Résultats de recherche pour : cancel culture

Comment Staline a « cancellé » Hamlet en Union soviétique et ce que cela nous apprend sur la « cancel culture »

La peur collective peut déboucher sur une censure tout aussi étouffante et oppressive que les interdictions gouvernementales, comme le montre l’histoire.

Hamlet de William Shakespeare est souvent considéré comme la plus grande histoire jamais écrite.

La pièce a tout pour plaire : des fantômes, des combats à l’épée, des suicides, de la vengeance, de la luxure, des meurtres, de la philosophie, de la foi, de la manipulation et un bain de sang final digne d’un film de Tarantino. C’est un chef-d’œuvre de grand art et de sensationnalisme, la seule pièce que j’ai vu jouer en direct trois fois.

Évidemment, tout le monde n’aime pas Hamlet. Joseph Staline, par exemple, était un de ses détracteurs.

Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021

L’héritage laïque serait potentiellement LGBTQIphobe ? ce monde devient fou et on se demande jusqu’à quel point les dirigeants veulent détruire l’humanité, son histoire, ses liens avec son passé, etc. Suicide collectif, mais choisi par quelques-uns seulement, avec la volonté de l’imposer à des milliards d’individus…

Au lieu d’apprendre à lire, à compter et un minimum d’histoire et du monde, un peu de géographie et de botanique, etc., les enfants sont soumis à un matraquage sur des questions qu’ils ne se posent pas.

France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture

C’est un aspect peu connu de l’Éducation Nationale et de sa bureaucratie pédagogique, qui vaut pourtant le détour. Depuis l’inénarrable Luc Peillon, rien n’a bougé : le mammouth impose un « référentiel de compétences » des enseignants qui constitue une véritable arme de guerre pour faire régner la police de la pensée dans les rangs, et pour rétrécir au maximum les espaces de liberté des profs vis-à-vis de la bien-pensance vivre-ensembliste et snessienne. Ou comment une armée d’1 million de profs est équipée pour broyer toute forme d’esprit critique dans ses effectifs et pour imposer au goutte-à-goutte la cancel culture dominante dans la caste.

« La rééducation culturelle, la mise aux normes de nos films, nos livres et nos séries est pour les woke la mère de toutes les batailles »

Les films et séries sont devenus un puissant vecteur du wokisme, dont Samuel Fitoussi, à travers son brillant essai Woke Fiction, décrypte avec rigueur la manière dont cette pensée façonne et contraint aussi bien le processus de création que de production. Première victime de cette offensive idéologique, la liberté artistique. En infiltrant et en s’emparant du monde de la culture, les éveillés ont réussi à faire de la fiction un outil insidieux de rééducation.

Édouard Drumont, et la montée du grand impérialisme américain

On a déjà étudié Mgr Delassus et sa conjuration antichrétienne — et son étude sur l’américanisme qui montre que l’Amérique est sans doute une matrice et une république (une république ou un royaume comme celui d’Oz ?) antéchristique qui repose sur quatre piliers : le militarisme messianique d’essence biblique ; le matérialisme effroyable ; la subversion morale totale qui défie et renverse aujourd’hui toutes les civilisations (LGBTQ, BLM, Cancel culture, Green Deal, etc.). Quatrième pilier enfin : pire qu’Hiroshima, l’arme absolue semble être cette bombe informatique dont l’admirable et déjà oublié Paul Virilio (dernier penseur français d’importance) a parlé.

Yves Charles Zarka : « L’écriture inclusive détruit la langue française en tant que telle »

Écriture inclusive, « politiquement correct », « cancel culture » et novlangue : le français est-il menacé ou s’agit-il de simples évolutions ? Le dernier numéro de la revue « Cités » (PUF) consacre un dossier à ce sujet. Son directeur, le philosophe et professeur émérite à l’Université de Paris, Yves Charles Zarka, revient sur les questions soulevées par sa publication.

2000 apparatchiks au chevet du tyranneau Mélenchon

Certes, réélire le dénommé « Madame Brichel » ne serait pas folichon, mais de là à s’abandonner dans les bras d’un bonimenteur fort en gueule, il y a un pas que deux mille marionnettes ou plutôt automates franchissent allègrement malgré le caractère irréel de son « autre monde ». La réalisation de ce dernier s’avère tout à fait impossible, d’autant plus qu’il n’y a rien de « français », la France pour Mélenchon ne commençant qu’à Valmy, soit 1000 ans d’Histoire précédente effacée, encore mieux que la « cancel culture » à la sauce yankee.

En Iran, on surveillait mon voile, en France, on contrôle mon masque

La société du port du masque est similaire à ce qu’il s’est passé en Iran :
Khomeyni et son entourage rassuraient la populace en jurant la main sur le cœur que tout ce qui se rapportait au port du voile n’était que rumeur, colportée par des haineux et méchants non pas complotistes, le mot n’existait pas, mais « anti-révolutionnaires », ou encore « passéistes, has been, royalistes ». Parallèlement, ils ont mis très vite en place ce que je nomme mieux grâce à l’actualité : la « cancel culture ».

LE Grand Réveil de l’Amérique ! Mise à jour 3

Dans son émission America’s Great Awakening sur Fox News, Jesse Watters a parlé de Jeffrey Epstein, d’Oprah, de CNN (crimes sexuels avec des enfants), du retrait de Maddow et de la façon dont les faux médias veulent nous diviser avec la « Cancel culture ». (Vidéo 10 min).
Mise à jour : la cavalerie arrive.

Billet charmant : où est ce Prince qui ne m’a pas embrassée, que je l’extermine ?

La culture de la destruction qu’est la cancel culture (en effet, c’est moins violent en anglais) s’attaque maintenant à Blanche Neige. Ou plutôt à ce pauvre Prince Charmant qui, sous le charme de la jeune femme, a eu la mauvaise idée de l’embrasser alors qu’elle était endormie. Ca mérite bien un combat ! Il n’y a rien de plus important aujourd’hui pour ces deux journalistes/activistes, que de s’attaquer aux Princes charmants, qui déjà ne courent pas les rues à force d’émasculation forcée de nos sociétés dévitalisées. Que deux personnes, mal dans leur peau, n’aient pas réussies à dépasser le stade de l’adolescence, c’est leur problème, mais comment notre société a pu se dégrader à ce point que des individus aussi primaires puissent avoir une telle audience ?

Nature, causes et conséquences du totalitarisme (de l’OMS)

Pourquoi parler de totalitarisme ?
Pourquoi est-ce difficile ?
Qu’est-ce que le totalitarisme ?
De quels outils disposons-nous pour penser le totalitarisme ?
Comment définir le totalitarisme ?
Comment le totalitarisme opère-t-il ?
Quelle est la cause du totalitarisme ?
Quels sont les types de totalitarisme ?
Quelles seront les conséquences de la propension totalitaire actuelle ?
Réponses de Michel Weber, philosophe et thérapeute psycho-corporel

Néolibéralisme. Comment le libéralisme est devenu un anticonservatisme

Depuis les années 1970, on parle volontiers de néolibéralisme. On désigne généralement par là un nouvel âge du libéralisme qui apparaît avec les gouvernements Thatcher en Grande-Bretagne, et la présidence Reagan aux États-Unis. Ce néolibéralisme prend une dimension particulière en Europe, et singulièrement en France. Il s’agit de réduire la part du secteur public et de diminuer la place des services publics, d’introduire partout la concurrence du privé, de dénationaliser (surtout en France), et de « responsabiliser » (sic) les citoyens en mettant fin à l’État-providence (en fait un État protecteur). Il s’agit aussi, dans notre pays de France, de sortir de la planification, pourtant indicative, de l’époque gaulliste et pompidolienne, et d’en finir avec toute politique forte de l’État comme l’aménagement du territoire. La philosophie de ce néolibéralisme se résume fort bien par la formule de Thatcher : « La société n’existe pas ». Il n’y a donc que des individus. Et de ce fait, il n’y a qu’une politique possible, celle qui prend seulement en compte les intérêts des individus. « There is no alternative » (TINA).

La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

… La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ l’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes 3/La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Le rapetissement universel

Nouveau premier ministre. Tocqueville et le rapetissement universel (1848) : « À peine cet événement eut-il été accompli, qu’il se fit un très grand apaisement dans toutes les passions politiques, une sorte de rapetissement universel en toutes choses et un rapide développement de la richesse publique. L’esprit particulier de la classe moyenne devint l’esprit général du gouvernement ; il domina la politique extérieure aussi bien que les affaires du dedans : esprit actif, industrieux, souvent déshonnête, généralement rangé, téméraire quelquefois par vanité et par égoïsme, timide par tempérament, modéré en toute chose, excepté dans le goût du bien-être, et médiocre ; esprit, qui, mêlé à celui du peuple ou de l’aristocratie, peut faire merveille, mais qui, seul, ne produira jamais qu’un gouvernement sans vertu et sans grandeur. »

Totalitarisme et féminisme : le point par George Orwell

On ne va pas rappeler la brutalité du féminisme occidental dans l’épisode que nous vivons ; Todd en avait bien parlé dans Après l’Empire. Chesterton déjà en avait parlé. (…)

Nous vivons des temps apocalyptiques où le séculaire totalitarisme progressiste occidental jusque-là plus ou moins maintenu explose à la surface du monde et veut exterminer tout ce qui bouge. On relira l’étude de Rothbard sur le fanatisme judéo-protestant qui s’exprime aujourd’hui dans les pays anglo-saxons, protestants, scandinaves, germaniques et judéo-chrétiens comme on dit. La fin prévisible du catholicisme romain permet à cette folie millénariste et progressiste de s’exprimer comme elle le fit en Allemagne et ailleurs au seizième siècle.

L’industrie des droits de l’homme

« The Human Rights Industry » (L’industrie des droits de l’homme), rédigé par Alfred de Zayas, est l’évaluation et la critique les plus complètes et les plus honnêtes à ce jour des performances des institutions mises en place par la communauté internationale pour contrôler le respect des principes qui sous-tendent la justice et l’État de droit au niveau mondial.

L’auteur de cet ouvrage soigneusement documenté nous a fait prendre conscience de l’importance de comprendre les procédures et les mécanismes souvent cachés par lesquels ces institutions exercent leur mandat. Il le fait avec une extrême authenticité, ayant occupé pendant plusieurs décennies diverses fonctions au sein des Nations Unies, dont celle de premier Expert indépendant des Nations Unies sur la promotion d’un ordre international démocratique et équitable de 2012 à 2018.

Au vu de son expérience de première main et de son engagement dans l’« industrie » des droits de l’homme, le point central de son étude peut être décrit avec justesse par le dicton de Juvénal « Quis custodiet ipsos custodes? » (Qui va garder les gardiens ?) Le résultat de l’enquête de l’auteur est un diagnostic sans illusion, qui aidera néanmoins le lecteur à saisir certaines des subtilités de la diplomatie internationale, à l’intersection du droit et du pouvoir.

La Fête des Mères

Quoi de plus beau que cette Fête des Mères, tradition des familles où tout le monde se rassemble autour d’un bon repas et offre des cadeaux à ces mamans à qui nous devons tout ?

La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?

L’« Agenda 2030 » est à la fois celui des Nations Unies et celui du Forum économique mondial (World Economic Forum) à Davos. Dans un article de 2016 (Welcome To 2030: I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better*), le magazine Forbes en proposait une description complète qui ne manquera pas d’attirer l’attention des lecteurs !

« Bienvenue en l’an 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire, “notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.

Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est devenu un service. Nous avons accès au transport, à l’hébergement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. Une par une, toutes ces choses sont devenues gratuites, donc cela n’avait plus de sens pour nous de posséder beaucoup. »

Délire covidiste (ou climatique), fluidification de la société, déconstruction de l’homme

Depuis Le Grand Empêchement est intervenue l’organisation d’une panique collective à partir d’un virus transgenre… S’en est suivi une folie d’enfermement à l’intérieur des populations (dit confinement), de couvre-feu, des obligations vaccinales sans cesse répétées et renforcées, et dont l’inefficacité est flagrante (le « vaccin », qui n’en est pas un, mais est un produit à ARN ou à OGM, n’empêchant ni d’être contaminé ni de contaminer les autres), ainsi qu’un fichage et flicage numérique généralisé. Cela confirme l’existence d’une nouvelle étape du libéralisme, et accélère celle-ci. Délire covidiste par la production d’un récit hallucinatoire, tétanisation par les mesures dites anti-covid généralement d’une totale irrationalité (ne pas se promener en forêt…), faux vaccins, vraie sidération du peuple, vrais profits et authentique connivence oligarchique : tout cela forme un tout.

Objectifs de la pédagogie drag : « déstabiliser » et « transformer l’éducation » des enfants

Pour ou contre L’heure du conte avec une drag queen ?
C’est la question de l’heure sans nuances qui divise, et la nouvelle normalité veut qu’aucun débat digne de ce nom n’ait lieu.

Les défenseurs de cette activité « familiale », qui ont la faveur des grands médias, vous diront que les intentions derrière ces prestations sont nobles et inoffensives : elles visent à initier les enfants à la diversité et à l’inclusion.

L’opposition à ces performances est très souvent présentée comme anti-drag et transphobe, mais rarement pour ce qu’elle est réellement : l’expression d’un gros malaise avec l’idée que des drag queens participent à l’éducation des enfants en leur enseignant de manière ludique la théorie du genre.

Et si les progressistes arrêtaient leur « terrorisme » intellectuel à l’égard des gens qui ne pensent pas comme eux?

Le Québec en ce magnifique printemps 2023 est un champ de bataille idéologique. Une « guerre » qui se joue sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les associations étudiantes, les syndicats, les firmes de marketing, les conseils d’administration. Pour les progressistes, chaque occasion est bonne pour pousser un programme politique radical. Mais il semblerait que le plan ne se passe pas comme prévu. Il y a une réaction depuis peu et même le début d’une contre-offensive. Une analyse de la guerre culturelle au Québec s’impose.

Le temps du changement est venu !

Cela fait quelques années que les élites mondialistes veulent que vous deveniez le plus minimaliste possible. Les écolos à la petite semaine appliquent à la lettre la bible de Klaus Schwab avec pour unique slogan : « décroissance et minimalisme ».

Tout est fait pour que chaque citadin rêve d’habiter un petit appartement, dans un HLM aux murs végétalisés, avec un balcon où pousseraient deux ou trois plants de tomates rachitiques. Chaque matin, après avoir ingurgité un bol rempli d’un liquide ressemblant à du café, l’heureux citoyen enfourcherait son vélo électrique pour aller travailler. Empreinte carbone oblige, pas de voiture sauf électrique. Les voyages en avion ne seront pas envisagés, et la vie s’écoulera lentement, entre travail et temps libre avec pour seules distractions les jeux vidéo, les émissions de Télé-Réalité et les réseaux sociaux consultés toutes les heures sur son portable dernier cri.

Toujours dans le même livre, Klaus Schwab et Thierry Malleret, décrivent exactement à quoi va ressembler le futur alimentaire de chaque être humain vivant sur Terre. Un avenir radieux où la gastronomie aura disparu au profit de la « malbouffe » qui est, malheureusement, de plus en plus plébiscitée dans nos pays dits « civilisés ».

Quel renversement du monde nous attend pour 2023 ?

Ceux d’entre nous qui ont déjà lu des romans dystopiques, tels « 1984 », « le Maître du Haut Château », « le Meilleur des Mondes », « Fahrenheit 451 », « un Bonheur Insoutenable », se sont sûrement dit un jour : « C’est pas possible que la planète parte ainsi en sucette ! Heureusement que c’est une fiction, sinon je ne sais pas comment j’aurais supporté cette réalité ».

En 2023 nous sommes arrivés à ce point de bascule où le monde qui vient n’aura plus rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. En d’autres termes, nous allons probablement vivre cette expérience saisissante de passer de l’autre côté du miroir de façon brutale et irréversible.

Sommes-nous prêts ? Allons-nous regretter la vie d’avant ? Ça dépendra du scénario qui l’emporte.

Le plan pour détruire les États-Unis

Aux États-Unis, nous avons un problème d’oligarques, et il est bien plus important que celui auquel Poutine a été confronté lorsqu’il est devenu président en 2000. L’Occident tout entier est désormais aux prises avec des élites milliardaires qui ont la mainmise sur les médias, l’establishment politique et toutes nos institutions importantes. Ces dernières années, nous avons vu ces oligarques étendre leur influence des marchés, de la finance et du commerce à la politique, aux questions sociales et même à la santé publique. L’impact de ce groupe sur ces autres domaines d’intérêt a été tout simplement stupéfiant. Les élites de l’establishment et leurs médias ont non seulement soutenu sans réserve le Russiagate, la destitution de Trump, les émeutes de BLM et le fiasco du 6 janvier, mais ils ont également contribué à l’hystérie du Covid et à la multitude de mesures répressives imposées au nom de la santé publique. Ce que nous aimerions savoir, c’est dans quelle mesure ce groupe participe activement à l’élaboration d’autres événements visant à transformer la République américaine en un système plus autoritaire ?

Entretien avec Alexandre Douguine, le philosophe « le plus dangereux d’Occident »

« L’eurasisme est la théorie du monde multipolaire. Il propose une structure alternative à l’ordre mondial libéral. Il vise à s’émanciper de l’unipolarité, de la mondialisation, de l’Occident comme centre autoproclamé de la civilisation postmoderne, et à établir un dialogue entre les différentes civilisations, parmi lesquelles figure l’Eurasie. Les autres grands espaces de civilisation indépendants sont la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique latine et le monde arabo-musulman bien sûr. La vision eurasiste diminue le rôle et le pouvoir de l’Occident. Elle affirme la liberté et le droit des autres civilisations d’exister en toute indépendance, et cela non seulement pour la Russie, mais pour l’ensemble du monde. »

N’ayez pas peur, le Grand Reset de Davos n’aura pas lieu !

La grande table rase du Grand Reset n’est pas inéluctable et n’aura pas lieu au moins si nous le décidons.

Contrairement à ce que voudraient les défenseurs du Grand Reset et singulièrement les milliardaires de Davos qui pensent qu’en se protégeant avec 5000 policiers pour 2500 participants, ils auront les moyens de faire taire près de huit milliards d’individus sur terre (même en ayant sacrifié un bon nombre via les injections volontairement funestes), ILS SE TROMPENT.

Alexandre Havard : « On arrive à la fin des mensonges »

D’origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Diplômé en droit, il a exercé le métier d’avocat avant de se consacrer au développement du système du Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.

Il évoque ici les grands défis auxquels notre civilisation est confrontée, dépeignant une société peuplée d’êtres pusillanimes, esclaves de leurs désirs et de leurs passions, où la vertu, la transcendance et l’altruisme ont laissé place au relativisme, au consumérisme et à l’individualisme.

(Vidéo 1 h 7 min)

La vraie politique de Mélonie, selon le philosophe italien Diego Fusaro

Selon les médias français, Giorgia Meloni serait une représentante du « post-fascisme »… Comment présenteriez-vous cette candidate et son programme ?

Diego Fusaro : « Je la présenterais tout simplement pour ce qu’elle est ! C’est-à-dire une droitarde classique, néolibérale, qui œuvre pour le marché souverain et l’impérialisme atlantiste. »

Totalitarisme occulte

L’une des caractéristiques de l’effort mondial massif en faveur d’un gouvernement central est le secret, car personne à la tête de cet effort n’admettra jamais qu’il s’agit d’un mouvement totalitaire.

Sa véritable intention est en effet cachée, et peut-être, pour la plupart, difficile à voir. Mais l’une des choses les plus étranges dans tout cela, c’est que si vous aviez ne serait-ce qu’un minimum d’intelligence, vous comprendriez très clairement ce qui se passe et quelles sont leurs intentions.