Catégorie : Nicolas

Nicolas Bonnal

Comment Tocqueville réfute la théorie de la conspiration

« Mais ce dont je suis convaincu, c’est que les sociétés secrètes dont on parle ont été les symptômes de la maladie et non la maladie elle-même, ses effets et non ses causes. Le changement des idées qui a fini par amener le changement dans les faits s’est opéré au grand jour par l’effort combiné de tout le monde, écrivains, nobles et princes, tous se poussant hors de la vieille société sans savoir dans quelle autre ils allaient entrer. »

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Léon Bloy et la « sentimentalité démoniaque »

L’occident toujours plus toqué choisit ses bonnes causes et délaisse les autres ; comme dit le peu estimé Chomsky, il y a les victimes qui ne comptent pas et celles qui comptent beaucoup. Ce qui compte aussi, c’est d’orienter la bonne volonté humanitaire vers des causes débiles (ou carrément criminelles) : et là cela marche comme sur des roulettes, surtout en France.

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Sécession des élites et démission citoyenne

« Tout le monde semble ignorer que, comme l’a indiqué La Boétie, en tyrannie il faut être deux : le bourreau et la masse victime ; ou, pour mieux dire, l’acteur et le public.
Si Lasch a bien développé le premier thème dans un texte célèbre, il me semble que c’est Debord dans les Commentaires qui a le mieux décrit le thème des responsabilités (ou irresponsabilités) du public. »

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Dictature digitale et servitude volontaire

Deux thèmes négligés ressortent de La Boétie : un, il est facile de contrôler les gens ; deux, il est nécessaire pour ce faire de les abrutir. La détérioration du matériel humain est essentielle. Le mot « abruti » ressort quatre fois du bref texte.
En réalité pour jouer au tyran il faut être deux et il faut que la masse obtempère et même participe, voir « le conglomérat de solitudes sans illusions » qui existe déjà dans l’Antiquité dépeinte par Platon.
Debord recourt au terme d’imbécile aussi et Gunther Anders à celui de serf. Dans la civilisation de la télé, le téléspectateur-auditeur devient un serf (le mot est le même en allemand, rappelle le traducteur de Gunther Anders), un type qui écoute les ordres. Qu’il s’agisse de guerre, de vaccin, de climat, de reset, d’écologie, de chasse au Trump ou au Musk ou au Kennedy ou au Poutine ou au complotiste ou au climato-négationniste (mazette…), le serf d’aujourd’hui, fanatisé et dangereux, écoute tout ouïe et adopte la position de « l’imbécillité qui croit que tout est clair ». Il est prêt pour toutes les croisades.

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Comment Macron est devenu indéboulonnable

Macron est indéboulonnable, il le sait et s’en vante, pleurniche Philippot ; peut-être qu’il sera réélu, peut-être qu’il se maintiendra au pouvoir en 2027 à la manière de Zelenski-Gambetta, pendant que son électorat crève sans se plaindre aux urgences des hôpitaux dans toute la France.

La question reste : qu’est-ce qui a rendu ce coup d’État maison possible ?

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Todd et le tranquille écroulement anglo-saxon

« L’Occident des sanctions ne représente que 12 % de la population mondiale. Les Brics comptent donc l’Inde, désormais le pays le plus peuplé, la Chine, deuxième pays le plus peuplé, tous deux situés sur le continent le plus peuplé, l’Asie. Le Brésil, quant à lui, est le pays le plus peuplé et le plus puissant d’Amérique latine : il a longtemps été un allié des États-Unis avant de devenir son principal opposant sur le continent américain, le Mexique ayant suivi une trajectoire inverse puisque,
depuis l’accord de l’ALENA, d’opposant principal il est devenu un satellite industriel. Enfin, l’Afrique du Sud est, de loin, le pays le plus puissant de l’Afrique subsaharienne. »

« Jamais la Russie n’aurait aussi bien résisté aux sanctions si le Reste du monde, sommé par les États-Unis et leur camp de choisir, n’était au fond convenu d’aider la Russie. L’Occident a découvert qu’on ne l’aime pas. Une terrible blessure narcissique. »

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Georges Duhamel et le triomphe de la matrice US

« La première fois que je suis entrée dans un magasin Gap et que j’ai vu les rangées de tee-shirts sans forme aux couleurs criardes, je n’aurais pu imaginer que trente ans plus tard Gap débarquerait en France. Ni Starbucks, ni les fast-foods, ni les chocolate cookies et les cupcakes. Nous avions l’élégance française, les cafés français, la pâtisserie française, quel besoin y avait-il de ces gâteaux insipides et de ces chaînes où le café n’avait d’autre goût que celui du sucre ? Nous qui avions les plus jolis vêtements d’enfants, pourquoi suivons-nous maintenant la mode américaine ? Le confort américain s’est imposé. Comme se sont imposés les rituels de Halloween et de la Saint-Valentin qui ont pris la place de nos propres carnavals. Et le club de gym au coin de la rue, remplaçant la promenade matinale ou dominicale… »

« Il y a, sur notre continent, en France comme partout, de larges places que l’esprit de la vieille Europe a dès maintenant désertées. Le génie américain colonise, petit à petit, telle province, telle cité, telle maison, telle âme. »

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Augustin Cournot, découvreur de la posthistoire

« … Il doit aussi venir un temps où les nations auront plutôt des gazettes que des histoires… »

Cournot incarne parfaitement ce génie médiocre, petit-bourgeois à la française, qui depuis Descartes ou Pascal jusqu’aux intellectuels du siècle écoulé, rêve de sa petite place dans la fonction publique. On peut dire aussi qu’il liquide à la française toute notion d’héroïsme ou de grandeur !

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Molière et la création des bourgeois.es modernes

Le bourgeois de Molière est un idiot malmené par sa femme. Sa femme savante est déjà woke et hostile à la chair sous toutes ses formes : elle ne se rêve que gnostique et spirituelle. Elle est déjà en mode Reset. Elle hait l’homme qui la craint.
Ce bourgeois semble un produit créé artificiellement… Et Marx comprend dans son Dix-Huit Brumaire que le bourgeois s’accommode d’un État fort parce qu’il transforme ses enfants en fonctionnaires et en retraités, tout en tapant sur les ouvriers : de Louis-Napoléon à Macron cela n’a guère changé.

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Comment la mode annonce ou prépare la dictature écologiste et woke

La mode est végétarienne et si possible véganienne.

La mode veut voyager en jet exclusivement mais ne veut pas d’avions pour le reste de la planète. Idem pour nos oligarques et politiques.

La mode est unisexe ou transmaniaque ; elle baigne dans tous les scandales liés au blanchiment, à la drogue, aux mafias (Versace etc.).

Antiraciste avant tout le monde (années soixante déjà), la mode a imposé l’agenda multiculturel anti-blanc d’aujourd’hui.

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Henri de Man et la liquidation de l’homme actuel

« C’est cependant dans ce pays qu’on voit le plus clairement comment, du point de vue technologique, la masse est le produit de la mécanisation ; du point de vue économique, celui de la standardisation ; du point de vue sociologique, celui de l’entassement et du point de vue politique, celui de la démocratie. »

« De nombreux employés de bureau n’ont jamais pénétré dans une salle des machines ni vu une machine-outil, mais leur vie n’en est pas moins mécanisée à l’extrême. Plutôt que le travailleur de l’industrie, l’employé peut même être considéré comme le prototype de l’homme de masse moderne. »

On attend toujours de voir un robot transformé en être humain. De Man voit, lui, qu’il est plus facile de transformer l’être humain en machine.

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La 25e heure et le citoyen technique

La vingt-cinquième heure ? C’est selon Virgil Gheorghiu « le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien ».

JO, surveillance, confinements-vaccins, reset-écologie…

Nous y sommes, car nous avons devant nous une conspiration avec des moyens techniques et financiers formidables, une conspiration formée exclusivement de victimes et de bourreaux volontaires. On a vu les bras croisés le cauchemar s’asseoir depuis la mondialisation des années 1990 et la lutte contre le terrorisme (2001), puis progresser en 2020-21 à une vitesse prodigieuse, cauchemar que rien n’interrompt en ces temps de pleine apostasie catholique. La dégoûtante involution du Vatican s’est faite dans la totale indifférence du troupeau de nos bourgeois-diplômés-cathos…

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Donald Trump martyr du mondialisme

L’assassinat manqué de Trump, qui succède à celui du président slovaque Fico, contient une dimension magique et presque occulte. On se croirait à Dallas.

Ici Trump martyr renforce les difficultés du clan Biden encore soutenu par les mondialistes. La tentative bizarre d’assassinat revêt déjà une dimension mystérieuse renforcée par des millions de commentaires instantanés et vite oubliés que nous fournit le web. De ce point de vue cet assassinat raté évoque comme la première présidence de Trump le titre de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien. Il a fallu virer Kennedy méchamment pour poursuivre la guerre du Vietnam et pour parachever la mainmise du Deep State sur cette pauvre Amérique… Mais le Trump fut mollement chassé du pouvoir, comme un Nixon, avec les moyens du bord : l’éternelle triche électorale que l’on découvre enfin en France et ailleurs, et le soutien indéfectible des médias contrôlés ; dès lors sommes-nous enfin devant les vérités ultimes, la résistance derrière un héros ou la mort de tout dans la bouilloire mondialiste des sorcières de Shakespeare ?

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Les origines nazies du couple franco-allemand

De Gaulle :
« C’est le suicide, non la trahison, qui mettait fin à l’entreprise d’Hitler. Lui-même l’avait incarnée. Il la terminait lui-même. Pour n’être point enchaîné, Prométhée se jetait au gouffre. Cet homme, parti de rien, s’était offert à l’Allemagne au moment où elle éprouvait le désir d’un amant nouveau. Lasse de l’empereur tombé, des généraux vaincus, des politiciens dérisoires, elle s’était donnée au passant inconnu qui représentait l’aventure, promettait la domination, et dont la voix passionnée remuait ses instincts secrets… L’Allemagne, séduite au plus profond d’elle-même, suivit son Führer d’un élan. Jusqu’à la fin, elle lui fut soumise, le servant de plus d’efforts qu’aucun peuple, jamais, n’en offrit à aucun chef »

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Marx, la république et son règne des banquiers

Marx :
« Après la révolution de Juillet, lorsque le banquier libéral Laffitte conduisit en triomphe son compère le duc d’Orléans à l’Hôtel de Ville, il laissa échapper ces mots : “Maintenant, le règne des banquiers va commencer.” Laffitte venait de trahir le secret de la révolution. »

« Ce n’est pas la bourgeoisie française qui régnait sous Louis-Philippe, mais une fraction de celle-ci : banquiers, rois de la Bourse, rois des chemins de fer, propriétaires de mines de charbon et de fer, propriétaires de forêts et la partie de la propriété foncière ralliée à eux, ce que l’on appelle l’aristocratie financière. Installée sur le trône, elle dictait les lois aux Chambres, distribuait les charges publiques, depuis les ministères jusqu’aux bureaux de tabac. »

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Quand les élections consacrent son « peuple nouveau »

Les distraits de la contestation médiatique voyaient se produire un réveil. Réveil, il y a eu, mais ce n’est pas celui qu’on croit : c’est celui des droits de l’homme, de la conscience universelle, du non au fascisme… C’est une vieille tradition qui remonte aux sinistres-sic années mitterrandiennes déjà. Mais il y a un plus : le peuple nouveau.

Macron s’est félicité d’avoir fait apparaître un peuple nouveau en France ; en effet il a été réélu confortablement face à une opposition totalement contrôlée (« d’extrême-droite » ou « d’extrême-gauche ») et malgré toute une série d’exploits…

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Comment le vieil Occident zombie survit à sa mort

Vladimir Poutine et la Russie dominent, mais l’Occident se maintient avec sa dette, son hypocrisie, ses casseroles coloniales. Dix techno-lords US sont plus riches que tous les Africains. Bruxelles agonise en nous volant argent et liberté. (…)

Qu’est-ce qui n’est pas mort en Occident ? Qu’est-ce qui ne relève pas encore du phénomène zombi ?

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Code Ursula : de Big Brother à Big Mother

Le coup d’État bruxellois s’est donc passé de façon cool, sans fioritures. Tout le monde l’a accepté, le fameux rebelle Orban y compris. Meyssan s’est encore trompé et on n’aura pas Draghi. On aura Ursula la hyène, avec ses vaccins, ses moustiques-Gates, ses insectes-petits-plats, sa guerre, son budget militaire à 500 milliards remixé à mille (et dire qu’on se croyait ruinés !), on aura la guerre à mort contre la Russie tôt ou tard, car tout super-État se bâtit sur la guerre comme l’explique Donald Sutherland à Costner dans JFK, et avant lui Tocqueville ou Jouvenel. 27 chefs d’État ont voté pour une impératrice-teutonique qu’on nous assurait dotée de casseroles. La femme avenir de l’homme donnera la guerre et les insectes dans l’assiette, une prochaine combine avec les monstres pharmaceutiques américains et de beaux confinements. Mais tout le monde est content.

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Serge Halimi et la catastrophe de la presse française

La presse française est une catastrophe. Elle pousse à la guerre (pardon, à la fermeté) nucléaire contre la Russie, au Reset, à l’aberration écologique, à la censure et à la fin des libertés, comme elle poussait au si oublié virus, au si oublié vaccin et à la chasse aux vaccinés. Serge Halimi a dénoncé récemment le rôle honteux et toxique de cette usine à torchons subventionnée dans les massacres de Gaza, rôle qui va déboucher sur la venue au pouvoir de Le Pen dont on verra si elle est aussi bien tenue en laisse que Meloni en Italie (l’extrême-droite aura fait tous les trottoirs depuis vingt ans).

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Camille Flammarion et la fin du Mont Saint-Michel

« Cette merveille du moyen âge trônait, alors, entièrement entourée des flots de la mer. On ne pouvait l’aborder qu’à marée basse ou en barque. Aux heures de la pleine mer, c’était une île parfaite. Quelle splendeur ! Le chemin de fer n’arrivait même pas à Avranches — et encore moins à Pontorson. Depuis cette époque, une digue hideuse, construite en 1877, relie le Mont à la terre. C’est tout simplement un crime contre l’art, une infamie, un vandalisme de barbares. Le mercantilisme envahit tout. Histoire de gagner quelques centaines d’hectares de mauvaises terres. Que l’on ait endigué les grèves lointaines, passe encore mais que l’on cherche à créer des terrains de culture jusqu’aux remparts de la vieille cité, c’est, je le répète, un véritable crime. Il faudrait, au contraire, maintenant qu’elle est faite, couper la digue à cent mètres, au moins, des remparts, afin que, dans les grandes marées, la mer pût, de nouveau, faire le tour de la fantastique montagne… »

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Maupassant et la politique moderne

« En effet, livrer des millions d’hommes, des intelligences d’élite, des savants, des génies même, au caprice, au bon vouloir d’un être qui, dans un moment de gaieté, de folie, d’ivresse ou d’amour, n’hésitera pas à tout sacrifier pour sa fantaisie exaltée, dépensera l’opulence du pays péniblement amassée par tous, fera hacher des milliers d’hommes sur les champs de bataille, etc., etc., me paraît être, à moi, simple raisonneur, une monstrueuse aberration. Mais en admettant que le pays doive se gouverner lui-même, exclure sous un prétexte toujours discutable une partie des citoyens de l’administration des affaires est une injustice si flagrante, qu’il me semble inutile de la discuter davantage. »

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Tacite et le mauvais pullulement des lois

« Les premiers hommes, encore exempts de passions désordonnées, menaient une vie pure, innocente, et libre par là même de châtiments et de contrainte. Les récompenses non plus n’étaient pas nécessaires, puisqu’on pratiquait la vertu par instinct ; et comme on ne désirait rien de contraire au bon ordre, rien n’était interdit par la crainte. »

« Alors on ne se borna plus à ordonner pour tous ; on statua même contre un seul, et jamais les lois ne furent plus multipliées que quand l’État fut le plus corrompu. »

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Tocqueville et la vanité des peuples démocratiques

Le G7 est devenu pitoyable (le pape, Biden, Scholz, Macron…), en même temps que la marque d’un incroyable complexe de supériorité occidentale, complexe de supériorité qui atteint son sommet lors des interminables massacres de Gaza (qui laissent tout le monde de marbre finalement, on est bien d’accord). Au G7 on dit nûment : nous décidons de ce qui est bien et de ce qui est mal ; nous sommes le modèle ; nous avons aboli les races, les sexes, les cultures, l’énergie, l’industrie, la vie, la médecine, la religion, tout le reste ; notre nihilisme bienveillant triomphe et vous devez vous écraser, sinon nous vous écraserons (enfin, presque). La vanité démocratique est infinie, particulièrement dans les peuples euro-américains, et dans l’infini du texte de Tocqueville nous retrouvons une magnifique analyse de ce problème.

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