Catégorie : Nicolas

Nicolas Bonnal

La 25e heure et le citoyen technique

La vingt-cinquième heure ? C’est selon Virgil Gheorghiu « le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien ».

JO, surveillance, confinements-vaccins, reset-écologie…

Nous y sommes, car nous avons devant nous une conspiration avec des moyens techniques et financiers formidables, une conspiration formée exclusivement de victimes et de bourreaux volontaires. On a vu les bras croisés le cauchemar s’asseoir depuis la mondialisation des années 1990 et la lutte contre le terrorisme (2001), puis progresser en 2020-21 à une vitesse prodigieuse, cauchemar que rien n’interrompt en ces temps de pleine apostasie catholique. La dégoûtante involution du Vatican s’est faite dans la totale indifférence du troupeau de nos bourgeois-diplômés-cathos…

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Donald Trump martyr du mondialisme

L’assassinat manqué de Trump, qui succède à celui du président slovaque Fico, contient une dimension magique et presque occulte. On se croirait à Dallas.

Ici Trump martyr renforce les difficultés du clan Biden encore soutenu par les mondialistes. La tentative bizarre d’assassinat revêt déjà une dimension mystérieuse renforcée par des millions de commentaires instantanés et vite oubliés que nous fournit le web. De ce point de vue cet assassinat raté évoque comme la première présidence de Trump le titre de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien. Il a fallu virer Kennedy méchamment pour poursuivre la guerre du Vietnam et pour parachever la mainmise du Deep State sur cette pauvre Amérique… Mais le Trump fut mollement chassé du pouvoir, comme un Nixon, avec les moyens du bord : l’éternelle triche électorale que l’on découvre enfin en France et ailleurs, et le soutien indéfectible des médias contrôlés ; dès lors sommes-nous enfin devant les vérités ultimes, la résistance derrière un héros ou la mort de tout dans la bouilloire mondialiste des sorcières de Shakespeare ?

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Les origines nazies du couple franco-allemand

De Gaulle :
« C’est le suicide, non la trahison, qui mettait fin à l’entreprise d’Hitler. Lui-même l’avait incarnée. Il la terminait lui-même. Pour n’être point enchaîné, Prométhée se jetait au gouffre. Cet homme, parti de rien, s’était offert à l’Allemagne au moment où elle éprouvait le désir d’un amant nouveau. Lasse de l’empereur tombé, des généraux vaincus, des politiciens dérisoires, elle s’était donnée au passant inconnu qui représentait l’aventure, promettait la domination, et dont la voix passionnée remuait ses instincts secrets… L’Allemagne, séduite au plus profond d’elle-même, suivit son Führer d’un élan. Jusqu’à la fin, elle lui fut soumise, le servant de plus d’efforts qu’aucun peuple, jamais, n’en offrit à aucun chef »

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Marx, la république et son règne des banquiers

Marx :
« Après la révolution de Juillet, lorsque le banquier libéral Laffitte conduisit en triomphe son compère le duc d’Orléans à l’Hôtel de Ville, il laissa échapper ces mots : “Maintenant, le règne des banquiers va commencer.” Laffitte venait de trahir le secret de la révolution. »

« Ce n’est pas la bourgeoisie française qui régnait sous Louis-Philippe, mais une fraction de celle-ci : banquiers, rois de la Bourse, rois des chemins de fer, propriétaires de mines de charbon et de fer, propriétaires de forêts et la partie de la propriété foncière ralliée à eux, ce que l’on appelle l’aristocratie financière. Installée sur le trône, elle dictait les lois aux Chambres, distribuait les charges publiques, depuis les ministères jusqu’aux bureaux de tabac. »

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Quand les élections consacrent son « peuple nouveau »

Les distraits de la contestation médiatique voyaient se produire un réveil. Réveil, il y a eu, mais ce n’est pas celui qu’on croit : c’est celui des droits de l’homme, de la conscience universelle, du non au fascisme… C’est une vieille tradition qui remonte aux sinistres-sic années mitterrandiennes déjà. Mais il y a un plus : le peuple nouveau.

Macron s’est félicité d’avoir fait apparaître un peuple nouveau en France ; en effet il a été réélu confortablement face à une opposition totalement contrôlée (« d’extrême-droite » ou « d’extrême-gauche ») et malgré toute une série d’exploits…

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Comment le vieil Occident zombie survit à sa mort

Vladimir Poutine et la Russie dominent, mais l’Occident se maintient avec sa dette, son hypocrisie, ses casseroles coloniales. Dix techno-lords US sont plus riches que tous les Africains. Bruxelles agonise en nous volant argent et liberté. (…)

Qu’est-ce qui n’est pas mort en Occident ? Qu’est-ce qui ne relève pas encore du phénomène zombi ?

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Code Ursula : de Big Brother à Big Mother

Le coup d’État bruxellois s’est donc passé de façon cool, sans fioritures. Tout le monde l’a accepté, le fameux rebelle Orban y compris. Meyssan s’est encore trompé et on n’aura pas Draghi. On aura Ursula la hyène, avec ses vaccins, ses moustiques-Gates, ses insectes-petits-plats, sa guerre, son budget militaire à 500 milliards remixé à mille (et dire qu’on se croyait ruinés !), on aura la guerre à mort contre la Russie tôt ou tard, car tout super-État se bâtit sur la guerre comme l’explique Donald Sutherland à Costner dans JFK, et avant lui Tocqueville ou Jouvenel. 27 chefs d’État ont voté pour une impératrice-teutonique qu’on nous assurait dotée de casseroles. La femme avenir de l’homme donnera la guerre et les insectes dans l’assiette, une prochaine combine avec les monstres pharmaceutiques américains et de beaux confinements. Mais tout le monde est content.

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Serge Halimi et la catastrophe de la presse française

La presse française est une catastrophe. Elle pousse à la guerre (pardon, à la fermeté) nucléaire contre la Russie, au Reset, à l’aberration écologique, à la censure et à la fin des libertés, comme elle poussait au si oublié virus, au si oublié vaccin et à la chasse aux vaccinés. Serge Halimi a dénoncé récemment le rôle honteux et toxique de cette usine à torchons subventionnée dans les massacres de Gaza, rôle qui va déboucher sur la venue au pouvoir de Le Pen dont on verra si elle est aussi bien tenue en laisse que Meloni en Italie (l’extrême-droite aura fait tous les trottoirs depuis vingt ans).

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Camille Flammarion et la fin du Mont Saint-Michel

« Cette merveille du moyen âge trônait, alors, entièrement entourée des flots de la mer. On ne pouvait l’aborder qu’à marée basse ou en barque. Aux heures de la pleine mer, c’était une île parfaite. Quelle splendeur ! Le chemin de fer n’arrivait même pas à Avranches — et encore moins à Pontorson. Depuis cette époque, une digue hideuse, construite en 1877, relie le Mont à la terre. C’est tout simplement un crime contre l’art, une infamie, un vandalisme de barbares. Le mercantilisme envahit tout. Histoire de gagner quelques centaines d’hectares de mauvaises terres. Que l’on ait endigué les grèves lointaines, passe encore mais que l’on cherche à créer des terrains de culture jusqu’aux remparts de la vieille cité, c’est, je le répète, un véritable crime. Il faudrait, au contraire, maintenant qu’elle est faite, couper la digue à cent mètres, au moins, des remparts, afin que, dans les grandes marées, la mer pût, de nouveau, faire le tour de la fantastique montagne… »

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Maupassant et la politique moderne

« En effet, livrer des millions d’hommes, des intelligences d’élite, des savants, des génies même, au caprice, au bon vouloir d’un être qui, dans un moment de gaieté, de folie, d’ivresse ou d’amour, n’hésitera pas à tout sacrifier pour sa fantaisie exaltée, dépensera l’opulence du pays péniblement amassée par tous, fera hacher des milliers d’hommes sur les champs de bataille, etc., etc., me paraît être, à moi, simple raisonneur, une monstrueuse aberration. Mais en admettant que le pays doive se gouverner lui-même, exclure sous un prétexte toujours discutable une partie des citoyens de l’administration des affaires est une injustice si flagrante, qu’il me semble inutile de la discuter davantage. »

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Tacite et le mauvais pullulement des lois

« Les premiers hommes, encore exempts de passions désordonnées, menaient une vie pure, innocente, et libre par là même de châtiments et de contrainte. Les récompenses non plus n’étaient pas nécessaires, puisqu’on pratiquait la vertu par instinct ; et comme on ne désirait rien de contraire au bon ordre, rien n’était interdit par la crainte. »

« Alors on ne se borna plus à ordonner pour tous ; on statua même contre un seul, et jamais les lois ne furent plus multipliées que quand l’État fut le plus corrompu. »

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Tocqueville et la vanité des peuples démocratiques

Le G7 est devenu pitoyable (le pape, Biden, Scholz, Macron…), en même temps que la marque d’un incroyable complexe de supériorité occidentale, complexe de supériorité qui atteint son sommet lors des interminables massacres de Gaza (qui laissent tout le monde de marbre finalement, on est bien d’accord). Au G7 on dit nûment : nous décidons de ce qui est bien et de ce qui est mal ; nous sommes le modèle ; nous avons aboli les races, les sexes, les cultures, l’énergie, l’industrie, la vie, la médecine, la religion, tout le reste ; notre nihilisme bienveillant triomphe et vous devez vous écraser, sinon nous vous écraserons (enfin, presque). La vanité démocratique est infinie, particulièrement dans les peuples euro-américains, et dans l’infini du texte de Tocqueville nous retrouvons une magnifique analyse de ce problème.

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Les vanités du gaullisme et du souverainisme

Il y a un mantra souverainiste en France en ce moment, lié au désespoir d’une petite partie de l’opinion (la majorité reste hypnotisée ou anesthésiée). Évidemment il est platonicien et ne risque pas d’accoucher dans la réalité.

On nous répète donc qu’en sortant de l’Europe on résoudrait tous nos problèmes.

En quoi les énarques Asselineau, Florian, Dupont-Aignan, etc., qui totalisent 1 % à chaque élection et désirent le Frexit dirigeraient la France mieux que les confrères énarques qui veulent rester européens ? Tous énarques, tous souverainistes !

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Syndrome du Titanic et radeau de la méduse

Nous sommes dirigés par des fous motivés et (aussi) d’efficaces incapables qui nous mènent au désastre. Ils organisent la faillite, détruisent, gaspillent, remplacent et dépeuplent, désirant enfin une guerre nucléaire, tout à leur rage messianique. Sinon c’est le totalitarisme au code QR et le camp de concentration numérique. Mais attention : il y a une élite autoproclamée (les 1 % les plus riches et les hauts fonctionnaires) et elle veut se préserver.

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De Zemmour à Malraux (le crépuscule culturel)

« En 1959, le général de Gaulle offrit à son “génial ami”, André Malraux, un ministère de la Culture à sa mesure, sur les décombres du modeste secrétariat aux Beaux-Arts de la IVe République. Dans l’esprit de Malraux, la France devait renouer avec son rôle de phare révolutionnaire mondial, conquis en 1789 et perdu en 1917 ; devant en abandonner les aspects politiques et sociaux à l’Union soviétique et aux pays pauvres du tiers-monde, elle consacrerait toute son énergie et tout son talent à propager la révolution mondiale par l’art. »

« … en d’autres termes la démocratisation du grand art du modernisme, s’est révélée, au cours de son demi-siècle d’exercice, un accélérateur de cela même qu’elle se proposait d’écarter des frontières françaises : l’afflux d’une culture de masse mondialisée et nivelée par le bas et le torrent des images publicitaires et commerciales déracinant tout ce qui pouvait subsister en France, dans l’après-guerre 1940-1945, de vraie culture commune enracinée comme une seconde nature par des siècles de civilisation. »

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Orson Welles et sa fonction US très spéciale

… l’individu génial, baroque, était plus intéressant par sa culture, ses facéties, son côté gauchiste caviar et Pantagruel d’opérette que le cinéaste.

Orson Welles est un acteur-marionnettiste (activité symbolique et traditionnelle…) de formation, un agitateur qui vient de l’extrême-gauche US (qui a pris dans les années trente et quarante le contrôle de ce pays par le théâtre).

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Chateaubriand et la nécessaire alliance franco-russe

Chateaubriand était un ami de la Russie comme le tsar Alexandre 1er fut un ami de la France, même celle de Napoléon.

En 1814, Alexandre écrivit une émouvante lettre au peuple de Paris avant d’occuper cette ville. Il produisit alors ce discours généreux écrit dans un français d’exception, qui était celui de la belle élite russe d’alors :

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Le Pokémon et la crétinisation technologique en 1880

(Août 1976) « L’autre jour à Madrid, par quarante degrés centigrades et sur la plaza del sol, « des milliers » (comme on dit) de jeunes professionnels et autres étudiants prometteurs se sont réunis en tongues, short et t-shirt pour une réunion Pokémon qui promettait beaucoup. Ils se réunissaient donc pour chasser le Pokémon devant les médias émerveillés qui en rendaient compte, et qui affirmaient qu’enfin les jeux vidéo ne sédentarisent pas (pourquoi leur chercher des poux dans la tête ? T’es facho ?), qu’enfin une action japonaise (Nintendo) montait autant qu’à Wall Street (où elles sont toutes achetées, comme Hillary, par les robots de la Fed insatiable), qu’enfin surtout soixante-cinq millions de zombies qui, comme dans un roman de Phillip K. Dick, faisaient la même chose (la chasse à une électro-bestiole donc) au même moment, c’était, c’est fantastique. Quel signe de modernité, tralala. »

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Gogol, Goldman Sachs et les âmes mortes

On peut spéculer sur le pétrole, sur les matières premières, sur les produits agricoles, sur la forêt amazonienne ; on peut aussi spéculer sur la ruine des hommes, la ruine des femmes comme Madame Bovary, les dettes des États, et alors bâcler un dossier que l’on aura tôt fait de vendre aux naïfs et aux complices des banques centrales et des gouvernements incapables pour ensuite spéculer encore contre le futur des peuples. Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, comme dit saint Paul à sa foule ébaubie…

Et nous ne sommes pas les seuls. Il y en a d’autres qui voient le monde par leurs écrans et transforment en milliers de milliards de dettes ou de gains ce que la foule anonyme ne comprend pas.

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L’abdication de l’Église : « Désormais tous les crimes sont possibles »

Bruckberger et l’abdication de l’Eglise : « Désormais tous les crimes sont possibles : on les trouvera aussi naturels que de voir l’eau couler sous les ponts. La civilisation chrétienne est morte. Les évêques français l’ont portée en terre collégialement. Ils ne savent plus ce qu’ils font. Car on ne voit pas ce qui peut remplacer la civilisation chrétienne. Quand elle est morte, c’est aussi l’humanité qui meurt en l’homme. »

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René Guénon et les raisons de notre impuissance

Nous sommes impuissants face au mal, surtout en Occident — et en France : nous le voyons progresser, se diversifier, faire semblant de s’opposer (toute maison divisée contre elle-même triomphera…) lors d’élections dérisoires et truquées, ridiculiser toute opposition même faible et bavarde, imposer sans problème notre agonie digitale. La monstruosité de nos dirigeants mondialistes-progressistes et de ces bienveillants milliardaires génocidaires échappe totalement au troupeau qui est hébété, mais aussi « parfaitement enthousiaste ». Car le Kali-Yuga a la vie dure.

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BHL et le terrorisme intellectuel en France

BHL incarne la chasse aux sorcières à la française, le fanatisme à la française, la superficialité à la française, le manque de professionnalisme à la française, le style pompeux à la française ; le goût enfin pour la lutte contre les tyrans qui s’est exprimé au-delà du ridicule ces dernières années avec ces présidents héritiers de Guy Mollet et de la Convention — sans oublier le gouvernement de 1849 qui voulait faire la guerre pour rien à la Russie.

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France : retour en mode QR de la Grande Terreur

Les mots de liberté et de citoyen mènent à l’abattoir ou à la dictature, et ce de manière régulière.
Ce qui se prépare pour cet hiver (pas de courant, d’eau, de nourriture, etc.) avec la touche de fascisme médiatique et de tyrannie numérique (fin du cash et compagnie) s’annonce inédit sur fond d’absence de réaction ou de protestation minoritaire, liquide et cliquée. Pas de souci pour le pouvoir : cette populace lasse est enthousiaste, conditionnée ou résignée.

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La Russie et le Nouvel Ordre Mondial

Certains esprits rebelles pensent que la Russie est une opposition biaisée, comme la Chine. Covid, CBDC, surveillance numérique, contrôle social, tout en fait réunit les États mondiaux contrôlés directement ou indirectement (via l’ONU et les institutions internationales comme l’OMS) par les GAFAM et les fonds de pension US, dont le plus connu est Black Rock dirigé par Larry Fink, le Blofeld du moment. On ne parlera pas du vieux Schwab et de Davos, moins en vogue en ce moment.

D’autres plus militants et plus « multipolaires » accusent ces mêmes rebelles de faire le jeu de l’ennemi ; ils ne me paraissent pas plus sérieux que jadis les fans de Staline ou bien Mao.

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Quand Ovide dévoile Pythagore et la métempsychose

« Dans cet âge antique, que nous avons appelé l’âge d’or, l’homme vivait content du fruit des arbres, des plantes champêtres ; et jamais il ne souilla sa bouche de sang. Alors l’oiseau balançait, sans danger, ses ailes dans les airs ; le lièvre errait sans frayeur, dans les campagnes ; la crédulité du poisson ne l’attachait point à l’hameçon funeste. Aucun être n’employait, aucun ne craignait ni les pièges, ni la fraude : tout était en paix… Les âmes ne meurent point : sorties de leurs premières demeures, elles passent et vivent dans de nouvelles habitations… Je le déclare au nom des dieux, prenez garde, par le meurtre détestable des animaux, de chasser de leur nouvel asile les âmes de vos parents. Que votre sang ne se nourrisse point de votre sang. »

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Emmanuel Todd et la question antisémite

… Cette affaire judéo-ukraino-russe devient passionnante. Comme on sait un antisémite aujourd’hui « ce n’est plus quelqu’un qui n’aime pas les juifs mais quelqu’un que n’aiment pas les juifs » — en particulier les néo-cons aux commandes. Emmanuel Todd est donc accusé d’antisémitisme (bien que d’origine juive, etc.) car il écrit en effet sur cet affreux conflit dans sa défaite (imméritée et mensongère) de l’Occident :
« … les deux personnalités les plus influentes qui “gèrent” l’Ukraine, Antony Blinken, le secrétaire d’État, et Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’État, sont d’origine juive. (…) Cette guerre, si elle présente l’avantage, dans les rêves des néoconservateurs, d’user démographiquement la Russie, ne contribuera nullement, quelle que soit son issue, à consolider la nation ukrainienne mais à la détruire. »

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Michéa, Mitterrand et la destruction du peuple français

« Plus personne n’ignore, en effet, que c’est bien François Mitterrand lui-même (avec la complicité, entre autres, de l’économiste libéral Jacques Attali et de son homme à tout faire de l’époque Jean-Louis Bianco) qui, en 1984, a délibérément organisé depuis l’Élysée (quelques mois seulement, par conséquent, après le fameux “tournant libéral” de 1983) le lancement et le financement de SOS-Racisme, un mouvement “citoyen” officiellement “spontané” (et d’ailleurs aussitôt présenté et encensé comme tel dans le monde du showbiz et des grands médias) mais dont la mission première était en réalité de détourner les fractions de la jeunesse étudiante et lycéenne que ce ralliement au capitalisme auraient pu déstabiliser vers un combat de substitution suffisamment plausible et honorable à leurs yeux. »

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Le modèle romain de notre empire ploutocratique

La ploutocratie totalitaire induit une gouvernance impériale-globale sur les masses. C’est pourquoi actuellement les élites et leurs journalistes choisissent l’empire ; il en était de même dans l’Antiquité…

L’Empire romain annihila tout, comme l’empire américain…

Mais le secret de Rome c’est ça : la domination du fric et la soumission d’une plèbe abrutie — les Américains ayant étendu à toute l’Europe l’abrutissement tyrannique et ploutocratique (vive la bourse et la télé) :

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