Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste ». Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt. (...) Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.
De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »
