Les fondements de ces villes « intelligentes » reposent sur la gouvernance numérique, qui utilise la technologie pour optimiser la gestion urbaine, mais introduit également des risques de surveillance type crédit social, évaluant les comportements des individus.
L’omniprésence de la surveillance s’appuie sur l’intelligence artificielle et des robots patrouilleurs dotés de reconnaissance faciale, constituant de vastes bases de données personnelles. La période de confinement a vu l’accélération de cette dynamique, avec l’adoption de mesures de contrôle strictes justifiées par la santé publique.
Bien que l’intelligence artificielle et la robotique soient louées pour leurs bénéfices, elles présentent également des risques lorsqu’elles sont utilisées pour augmenter le contrôle social et la manipulation. Ces technologies, combinées à des techniques d’ingénierie sociale, modèlent les comportements et les opinions, modifiant insidieusement les normes sociales sans un consentement démocratique.
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