Résultats de recherche pour : brics

LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

… L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

Bonne année ou bonne fin du monde ?!

Bon-ne an-née… Ces deux mots sonnent-ils comme une prière, un mantra, un mensonge à soi-même, une manière de conjurer le mauvais sort ou ont-ils la valeur d’un « bon appétit » ?
Le fameux « bon appétit » que nous, riches occidentaux, nous lançons pour nous motiver ? Il faut dire que nous ne savons pas ce qu’est la faim, la vraie, et qu’il faut bien s’encourager pour supporter l’excès de calories que nous nous apprêtons à ingérer.

La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire

La version multipolaire de l’ordre mondial s’écarte du modèle unipolaire en ce sens qu’elle respectera soi-disant véritablement le droit international et partagera le pouvoir entre une coalition plus large d’États-nations. Par conséquent, il est censé introduire un multilatéralisme fonctionnel dans la gouvernance mondiale, sans doute pour la première fois. Pour certains, ce modèle multipolaire semble préférable à l’ordre unipolaire actuel, fondé sur des règles internationales.

Pourtant, lorsque nous examinons les déclarations des dirigeants vantés du nouvel ordre mondial multipolaire, leurs objectifs semblent indiscernables de ceux de leurs homologues unipolaires. D’une part, ils expriment un engagement inébranlable en faveur du développement durable et de l’Agenda 2030.

La survie de la domination de Washington sur l’ONU

Lors de leur création, les Nations unies portaient un idéal d’égalité des peuples et des nations. Cependant, dès les premiers mois de son fonctionnement, Washington et Londres ont soutenu Israël contre le peuple palestinien. Puis, Washington a falsifié le Conseil de sécurité en faisant siéger Formose à la place de la Chine et en provoquant le boycott de l’URSS. Aujourd’hui, la domination des États-Unis sur cette institution est dénoncée par une vaste majorité d’États membres. Tandis que les BRICS se placent en ordre de bataille pour que l’institution revienne au Droit international.

La fausse alternative russe au mondialisme

Certains combattants du front altermondialiste font preuve d’une persévérance digne de choses plus nobles pour pratiquer une propagande ouverte et bruyante en faveur du Kremlin au détriment d’analyses géopolitiques pertinentes…

Au sein des cercles considérés comme dissidents, antisystème, antimondialistes, il existe une certaine catégorie de personnes qui ont remplacé l’analyse politique par des exercices d’adoration-vénération de l’administration du Kremlin. Et quoi que fasse ce « collectif Poutine », les infatigables admirateurs des officiels de Moscou sont toujours prêts à promouvoir leur politique

Le « grand réveil » du Sud dans l’ère multipolaire eurasienne contre l’ordre unipolaire atlantiste en déclin

En s’enfonçant de plus en plus dans ce 21e siècle incertain et inquiétant, une certaine partie de l’humanité est la proie habituelle et permanente du « Caractère totalitaire des systèmes occidentaux » (comme l’a dénoncé un jour Daria Douguine, martyre du monde multipolaire), des systèmes totalitaires de contrôle social finement conçus pour que les victimes vivent dans une « dictature sans larmes », où leurs bourreaux sont perçus comme leurs bienfaiteurs, et où les victimes elles-mêmes sont incapables d’aspirer à un monde autre que celui qu’on leur a imposé. Puisque le pouvoir se caractérise toujours et en fin de compte par la dictée de sens et de récits sur la réalité, ou plutôt par la distorsion de la réalité en fonction de ses intérêts et de ses objectifs, il se trouve qu’aujourd’hui, au XXIe siècle, cette certaine partie de l’humanité souffre inconsciemment d’une profonde dissonance cognitive à propos d’elle-même et de ce qui l’entoure.

Une métapolitique contre l’Antéchrist

Dans le domaine de l’étude des conspirations, on considère que les manœuvres étatiques profondes enveloppées de secret sont la norme — les informations classifiées ne sont évidemment pas documentées ou accessibles à ceux qui n’ont pas d’habilitation de sécurité. Lorsque ces informations sont divulguées, elles sont souvent militarisées par le biais de rencontres limitées et d’opérations psychologiques, de contrôles et de récits contrôlés. D’après ce que nous pouvons savoir, il est difficile de parvenir à une perception unifiée de l’ensemble, notamment en raison de la compartimentation délibérée et du déni plausible qui caractérisent l’art de l’État profond. C’est pourquoi nous nous retrouvons le plus souvent avec une pluralité d’hypothèses fragmentaires. Ceci est particulièrement évident dans le cas de la tromperie COVID. La guerre psychologique peut même atteindre le point de ce que quelqu’un comme Michael Hoffman a appelé la « révélation de la méthode », lorsque la révélation et l’exposition de la vérité sont elles-mêmes utilisées comme un moyen de dissimuler la vérité, de dissuader toute résistance et de rendre ceux qui participent à cette révélation complices de l’opération même qu’ils cherchent à révéler.

Revanche US et déclin chinois — ou les métamorphoses de la matrice

La puissance US a changé de forme — et c’est ancien : cela date des années soixante, quand « le capital devient image » (Debord) et quand le solide devient du liquide…
La culture et la technologie sont américaines, les « âmes » sont américaines, tout devient américain et jamais on n’a eu autant de milliardaires en dollars dans le showbiz US. 43 000 dollars le siège de concert de Taylor Swift, vous savez qui sait ?

Élections en Argentine : rupture populiste de droite ou reprise en main par Washington ?

C’était le 20 novembre dernier. Les projecteurs du monde entier se sont tournés vers ce pays d’Amérique latine, l’Argentine. Javier Milei, un ovni politique, un provocateur prêt à en découdre. Il qualifie ses détracteurs de « merdes » et promet de s’attaquer au pourrissement de l’État à la tronçonneuse. Derrière le choc, qui est Javier Milei ? Est-ce une bonne nouvelle que ce candidat ultralibéral arrive aux responsabilités ? Et si oui, pour qui ?

« Le maître de ce monde et l’impression abondante de fausse monnaie »

« … en 2020, les choses ont radicalement changé. Nous sommes arrivés à un point où il était clair comme de l’eau de roche que quelque chose n’allait pas du tout. Tout le monde, toutes les institutions, littéralement toutes les institutions, se sont mises au diapason. Tous ces dirigeants immatures qui, par le passé, avaient l’habitude de se battre les uns contre les autres et ne parvenaient pas à se connecter et à trouver un accord, se sont soudain mis sur la même longueur d’onde. On peut donc dire que les masques sont vraiment tombés à ce moment-là. Et nous avons vu qu’ils suivaient exactement les mêmes directions. C’est à ce moment-là qu’ils nous ont dit de porter des masques. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont ironiquement fait tomber les leurs ! C’est à ce moment-là qu’il est apparu clairement que les choses n’étaient pas telles qu’ils les décrivaient. Ils ont forcé les gens à subir ces fausses injections … » (…)

« Ce n’est donc qu’un moyen de mettre un terme à ce qu’ils appelaient auparavant le libéralisme et à la puissance des États-Unis qui promouvaient le capitalisme. Mais il s’agissait d’un faux libéralisme, car la seule chose qui comptait vraiment était que les grandes entreprises deviennent plus grandes et atteignent le point où très peu d’entre elles possèdent toutes les ressources. »

L’effondrement d’Israël et des États-Unis

Pour la première fois, le monde assiste en direct à un crime contre l’Humanité, à la télévision. Les États-Unis et Israël, qui ont uni leur sort depuis longtemps, seront tous deux tenus pour responsables des massacres de masse commis à Gaza. Partout, sauf en Europe, les alliés de Washington retirent leurs ambassadeurs à Tel-Aviv. Demain, ils le feront à Washington. Tout se passe comme lors de la dislocation de l’URSS et se terminera de la même manière : l’Empire américain est menacé dans son existence. Le processus qui vient de s’enclencher ne pourra pas être stoppé.

Pourquoi les États-Unis ont besoin de cette guerre à Gaza

Washington doit gagner sa guerre de Gaza contre l’Iran parce qu’il n’a pas réussi à gagner sa guerre d’Ukraine contre la Russie.

Le Sud global s’attendait à l’aube d’une nouvelle réalité arabe…

Les représentants de 57 États musulmans se sont réunis à Riyad le 11 novembre pour porter un coup sérieux et concret aux génocidaires et à ceux qui les soutiennent. Mais en fin de compte, rien n’a été offert, pas même un réconfort. 

L’Iran et la Russie tendent un piège occidental en Palestine

Le seul pays qui pourrait détourner l’Occident de l’Ukraine est Israël. Mais les États-Unis et leurs alliés tombent dans un piège existentiel s’ils pensent qu’une victoire au Proche-Orient sera plus facile à remporter qu’une victoire en Europe.

La tragédie palestinienne : à qui profite le crime ?

À l’heure actuelle, on sait parfaitement qui profite de l’horrible tragédie palestinienne.

Dans l’état actuel des choses, nous avons trois victoires pour l’hégémon et une pour sa nation porte-avions en Asie occidentale.

Le premier gagnant est le parti de la guerre, une vaste escroquerie bilatérale.

Les États-Unis s’exposent à une défaite dans la guerre géopolitique autour de Gaza

Cent ans après la révolte arabe (1916-1918) contre les Turcs ottomans au pouvoir, dans le contexte de la défaite imminente de l’Allemagne et de la Triple Alliance lors de la Première Guerre mondiale, un nouveau soulèvement armé des Arabes éclate — cette fois contre l’occupation israélienne, dans le contexte de la défaite imminente des États-Unis et de l’OTAN lors de la guerre d’Ukraine — offrant le spectacle palpitant d’une histoire qui se répète inlassablement.

L’Empire ottoman s’est désintégré à la suite de la révolte arabe. Israël devra lui aussi quitter les territoires qu’il occupe et faire place à un État palestinien, ce qui, bien entendu, constituera une défaite cuisante pour les États-Unis et marquera la fin de leur domination mondiale, rappelant la bataille de Cambrai, dans le nord de la France (1918), où les Allemands, encerclés, épuisés et au moral en chute libre, dans un contexte de détérioration de la situation intérieure, ont dû faire face à la certitude que la guerre était perdue, et se sont rendus.

Le flot torrentiel d’événements de la semaine dernière est à couper le souffle, à commencer par un appel téléphonique du président iranien Sayyid Ebrahim Raisi au prince héritier saoudien Mohammed bin Salman mercredi pour discuter d’une stratégie commune face à la situation consécutive à l’attaque dévastatrice du Mouvement de résistance islamique, le Hamas, contre Israël le 7 octobre.

La géopolitique du « déluge d’Al-Aqsa »

L’opération Al-Aqsa Flood du Hamas a été méticuleusement planifiée. La date de lancement a été conditionnée par deux facteurs déclencheurs.
Tout d’abord, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a présenté sa carte du « nouveau Moyen-Orient » à l’Assemblée générale des Nations unies en septembre, carte dans laquelle il a complètement effacé la Palestine et tourné en dérision toutes les résolutions de l’ONU sur le sujet.
Deuxièmement, les provocations en série à la mosquée sacrée d’Al-Aqsa à Jérusalem, y compris la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : deux jours avant la fête d’Al-Aqsa, le 5 octobre, au moins 800 colons israéliens ont lancé un assaut autour de la mosquée, frappant les pèlerins, détruisant les magasins palestiniens, le tout sous l’observation des forces de sécurité israéliennes.

Toute personne dotée d’un cerveau en état de marche sait qu’Al-Aqsa est une ligne rouge définitive, non seulement pour les Palestiniens, mais aussi pour l’ensemble du monde arabe et musulman.

Poutine est-il de mèche avec les mondialistes ?

Dans de nombreuses régions du monde, Vladimir Poutine est admiré pour son franc-parler et sa défense de la souveraineté nationale. Mais sur le plan intérieur, de nombreuses politiques de Poutine semblent s’aligner sur celles des mondialistes occidentaux. Comme il est noté dans un récent billet de Riley Waggaman sur Substack, Poutine vient de « signer un décret sur la création d’un passeport domestique “numérique” », dont beaucoup pensent qu’il ouvrira la voie à une tyrannie technocratique.

Zone litigieuse israélienne — Escarmouche localisée ? Ou le début d’un grand cygne noir mondial ?

« L’irruption en Israël a surpris beaucoup d’entre nous. Mais dans une certaine mesure, il s’agissait d’une escalade attendue depuis longtemps, destinée à amorcer le dénouement du conflit ukrainien, en y atténuant la chaleur.

Il existe de nombreux récits qui circulent sur tout ce qui semble « anormal » à propos de l’attaque du Hamas, donc je ne raconterai pas chaque point ici, car la plupart d’entre vous les ont probablement lus à plusieurs endroits ; des choses comme la brèche très invraisemblable dans les portes et les défenses de haute technologie d’Israël, les échecs sans précédent du Mossad et du Shin Bet, l’invocation étrangement scénarisée de « Pearl Harbor » par Netanyahou, ce qui est très révélateur si l’on considère que Pearl Harbor était également une attaque sous faux drapeau avec le but d’amener les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale. »

Le complexe américain de Napoléon

La profession psychiatrique préfère ignorer la possibilité d’une folie collective et se concentrer sur les troubles individuels, en dépit d’une masse de preuves historiques montrant que des sociétés et des nations entières ont été saisies par des troubles mentaux d’une sorte ou d’une autre. Quoi qu’il en soit, le complexe de Napoléon, ainsi nommé en l’honneur de Napoléon Bonaparte, qui était beaucoup trop petit pour un dirigeant national de son époque et aussi incroyablement méchant et imbu de sa personne pour compenser, n’est en aucun cas un diagnostic médical reconnu.

Le cas de Shenaya menacée d’expulsion que même un Zemmour défend

Il n’est guère étonnant de constater que les services administratifs actuels qui délivrent ou pas l’autorisation de séjour en France sont tenus par des ennemis de la République française, comme l’indique non seulement l’affaire de cette jeune lycéenne, Shenaya, que Zemmour défend, à juste titre, mais aussi beaucoup d’autres, tel ce jeune musicien kabyle amoureux de la culture française attendant quatre ans une autorisation alors que d’autres, ne parlant pas français et ayant une longue barbe pacifiste, l’avaient, eux, depuis bien longtemps. Pis, les ONG approchées lui disaient qu’elles ne pouvaient rien puisqu’il « parlait français » (et n’avait pas de « barbe »…), comprenne qui pourra…

Un gouvernement mondial unique : une réalité évidente

Beaucoup d’entre nous ont remarqué qu’avec l’apparition de la pandémie dite de Covid-19, une nouvelle donne dans les relations internationales est apparue, qui avait peut-être échappé à beaucoup d’entre nous jusqu’alors. À savoir qu’au-delà de toute divergence entre plusieurs pays et groupes de pays, ceux-ci se soumettent tous, sans aucune déviation, à un seul centre de pouvoir mondial.

La Russie doit combler le fossé en matière de marquage de bétail !

Seul Moscou peut empêcher la domination de Washington sur l’ensemble du spectre du marquage.

Pour vaincre le mondialisme, Moscou adopte à contrecœur, mais de manière responsable, l’agenda mondialiste.

Il n’y a aucun moyen d’arrêter le « progrès » technologique promu par Davos, le G20, le FMI, la Banque mondiale, l’ONU et l’OMS. C’est pourquoi Moscou doit collaborer étroitement avec toutes ces organisations mondialistes afin de maintenir la parité mondialiste avec l’Occident collectif, faute de quoi la Russie ne sera pas en mesure de se protéger des mondialistes. Pensez-y.

Nous sommes tous dans le même bateau, et même si le bateau coule et que Moscou perce à contrecœur des trous dans la coque du bateau, cela ne signifie pas nécessairement que le gouvernement russe est d’accord avec l’agenda du naufrage. Au contraire.

Vous venez de lire un résumé de l’essai de 5 000 mots de Lucien Cerise expliquant pourquoi Moscou est prudemment et intelligemment en phase quasi parfaite avec la Grande Réinitialisation : parce que Moscou résiste en fait à la Grande Réinitialisation.

La Russie et le Great Reset selon Lucien Cerise

La Grande Réinitialisation, ou Great Reset en anglais, est un programme d’inspiration cybernétique visant à informatiser totalement les sociétés humaines au point de « fusionner le biologique et le numérique », selon les mots de Klaus Schwab, président du World Economic Forum (WEF, forum de Davos). L’informatique doit devenir omniprésente, un passage obligé de chaque instant, un goulot d’étranglement universel, pour mener une existence normale. Plus largement, il s’agit de dépasser la condition humaine pour nous acheminer vers le transhumanisme au moyen d’un encadrement complet de la vie quotidienne par les technologies NBIC — nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Les organisations du capitalisme occidental (WEF, FMI, GAFAM) soutiennent ce programme avec enthousiasme. Mais comme l’explique Peter Töpfer :

Etatsunafrique vs Françafrique. La France ne peut être une puissance indépendante que si elle apprend à repousser les États-Unis

L’accord AUKUS était une proposition stratégique illogique de l’Australie, car elle va ruiner le pays en achetant des sous-marins nucléaires étatsuniens. Ils ne sont que nominalement pour la sécurité de l’Australie, mais resteront au moins officieusement sous commandement étatsunien.

Un point majeur de l’accord était qu’il a baisé la France qui avait un gros contrat avec l’Australie pour construire des sous-marins conventionnels pour elle. Le ministre français des Affaires étrangères a dit que c’était « un coup [de poignard] dans le dos ». La France n’a même pas été informée de l’accord, mais l’a appris par la presse.

Le fait que les États-Unis baisent la France, un grand allié européen de l’OTAN, pour ses propres fins politiques et économiques n’est pas nécessairement sans précédent, mais le faire aussi publiquement et ouvertement que l’a fait l’accord AUKUS aurait dû être un grand signal d’alarme.

Malheureusement, le président français Macron et son gouvernement se sont rendormis et ont donné aux États-Unis l’occasion de baiser à nouveau la France.

Don de Bernard Arnault : merci not’ maît’, vous êtes trop bon

Nous devrions être fiers. Nous français, nous avons l’homme le plus riche du monde en la personne de Bernard Arnault. C’est ce que nous racontent les gazettes qui pensent amuser le bon peuple en relayant avec gourmandise les classements de la presse spécialisée américaine. Vous n’entendrez jamais quiconque le qualifier « d’oligarque », vilaine expression réservée à la Russie et à l’Ukraine. Pas de ça chez nous ! En France ce sont des « capitaines d’industrie », et même un ruffian du calibre de Bernard Tapie n’a jamais subi cette insulte. Comme les autres oligarques, ses confrères qui dominent l’économie française, sa fortune est le fruit du fonctionnement du capitalisme français d’aujourd’hui, complaisance de l’État et de la haute fonction publique. De ce point de vue, la trajectoire de Bernard Arnault est une caricature.

9/11 : Origines et développement du néolibéralisme

Le néolibéralisme a commencé le 11 septembre. Mais ce n’est pas le 11 septembre 2001, date à laquelle ont été commis les attentats contre les tours jumelles de New York, causant des milliers de morts dans cette ville et, immédiatement après, des centaines de milliers d’autres dans le reste du monde, avec la pléthore des guerres « justifiées » par l’Empire, victime de ces attentats. Non : le libéralisme a commencé exactement trois décennies plus tôt : le 11 septembre 1973. Cette terrible date inaugurale a également eu lieu dans les Amériques, mais dans l’hémisphère sud : au Chili.

L’opinion américaine bascule et devient hostile à toute aide à l’Ukraine

Pour la première fois, un sondage montre que 55 % des Américains se lassent et jugent qu’en l’absence de percée ukrainienne durant la contre-offensive, il devient inutile de déverser des milliards à fonds perdu en Ukraine. En effet, ce sont 113 milliards de dollars qui ont été accordés à Kiev, soit 900 dollars par foyer, pour un résultat nul, puisque Moscou occupe toujours 20 % du territoire ukrainien.

Chez les républicains, ce sont 72 % des sondés qui souhaitent réserver ces milliards au peuple américain. Les candidats républicains, Donald Trump le premier, préconisent de se concentrer sur les problèmes domestiques.

Le candidat républicain Vivek Ramaswamy, qui n’a aucune chance d’être élu, vient de déclarer : « Si je suis élu, je reconnais le contrôle de la Fédération de Russie sur les territoires occupés de l’Ukraine ». Et il promet la fin des sanctions, ainsi que le blocage de la candidature de l’Ukraine à l’OTAN. Ce positionnement montre que le dossier ukrainien n’est plus porteur, après 18 mois de guerre sans résultat.

La partie d’échecs en 3D de Vladimir Poutine

Vous trouverez toujours quelqu’un pour ridiculiser une théorie élaborée en la comparant à « une partie d’échecs en 3D », comme si personne n’était capable de jouer aux échecs en 3D. Or, il est divertissant de constater que Vladimir Poutine mène depuis 2008 une partie d’échecs en 3D pour mettre un terme au mondialisme, l’idéologie maîtresse pour dominer la planète d’une toute petite élite internationale composée des banques internationales, grands fonds d’investissement et leurs multinationales. Il ne sert à strictement rien d’observer le monde à travers une loupe politique, puisque le FMI, la BRI, la Banque mondiale, la FED, BlackRock et Vanguard mènent le monde à travers leur contrôle sur les pétrolières, multinationales, pharmaceutiques, médias, ONG et leur porte-parole visible qu’est le Forum Économique Mondial de Davos. La CIA et l’OTAN n’écoutent pas les présidents et Premiers ministres, ils sont tous à la solde de cette clique mondialiste dont les terminaisons américaines sont le Council on Foreign Relation et la Commission Trilatérale. Biden, Macron, Trudeau et Scholz sont de simples exécutants, de vulgaires pions sur l’échiquier.

Vers une dictature climatique ?

L’OCDE compte 1,32 milliard d’habitants et on y parle déjà publiquement de leur faire manger des insectes et de rationner leurs déplacements à vie. Les BRICS comptent 3,3 milliards d’habitants et enchaînent les commandes d’avions de ligne et les mégaprojets d’infrastructure. La Chine à elle seule coule plus de béton en 2 ans que tous les USA durant tout le 21e siècle… et ce même quand la construction représente presque 30 % des émissions de CO2 mondiales.

Christian Gerondeau a vécu assez longtemps pour connaître l’époque où les catastrophistes climatiques prédisaient publiquement — et dans la presse — une nouvelle ère glaciaire pour les années 1990, ou encore les prédictions de fonte totale des glaces arctiques pour 2010. Il vient partager avec nous sa très haute expérience de la politisation extrême des enjeux climatiques. Oui il existe des défis environnementaux, et, disons-le, même des crises, mais leur résolution n’est absolument pas l’enjeu cardinal du catastrophisme ambiant. Pour les nouveaux Savonaroles et autres prêcheurs de l’apocalypse, seule la confiscation massive des libertés publiques compte.

(Vidéo 1 h 25)

Le passage du libéralisme à la technocratie mondiale

L’évolution des événements en Russie a montré que l’administration Poutine n’est en fait que l’exécutant docile des ordres de la « ploutocratie russe ». Sous le régime actuel, le pays pourrait être qualifié sans exagération de « xénocratie » (domination par des étrangers). Et, comme dans tous les pays capitalistes, le facteur économique a subjugué le facteur politique, les hommes d’État n’étant que des marionnettes du capital.

La fausse pandémie lancée en 2020 a confirmé sans conteste que la Russie, la Chine et les autres pays du BRICS sont soumis à un seul centre de commandement.

Ce gouvernement mondial de l’ombre impose des directives contraignantes à tous les États par l’intermédiaire de ses centres de commandement tels que l’OMS et GAVI. Génocide mondial, destruction de l’économie mondiale, assassinat par le vaccin, imposition de masques, distanciation sociale, enfermement et isolement, ces politiques n’ont rencontré de résistance que dans quelques pays africains, dont les dirigeants ont payé de leur vie. La Biélorussie et la Suède ont aussi partiellement résisté.

Misère de la politique (étrangère) macronienne…

L’affaissement (plus que l’effondrement pas encore visible), quoique multiforme, n’a en effet pas de limites, puisqu’au-delà de l’adage, non seulement le fond a été atteint, et même dépassé, mais les gnomes non plus de Zurich, mais du Quai (d’Orsay) le creusent toujours encore « plus loin » (jusqu’à ne même plus lire les notes de la DGSE sur le Niger et donc encore moins les transmettre…), risquant de se trouver en Chine alliée de la Russie membre des Brics dont l’hôte de leur futur sommet aurait cependant refusé la venue du Mr Smith installé à la Lanterne par la Secte SHAA (et se remettant toujours d’une tournée sensuellement arrosée à Kinshasa…), en attendant d’y être pendu ?…