La clef de la libération

23/04/2021 (2021-02-25)

Par Joseph Stroberg

Un nombre croissant d’êtres humains ne supportent plus la condition d’asservissement dans laquelle ils se trouvent plongés sous le prétexte de pandémie. Plusieurs en profitent pour sortir de l’hypnose(([1] Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ)) produite par les élites par le biais des médias dominants et se mettent éventuellement à participer à des démarches collectives d’ordre judiciaire(([2] Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours)). D’autres se résignent, entre la peur de mourir et l’espoir qu’un vaccin viendrait les libérer et leur redonner leur vie d’avant, alors même que leurs maîtres dirigeants leur ont pourtant bien martelé que leur condition actuelle serait désormais la nouvelle normalité(([3] Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”)). De fait, presque tout le monde, à part les maîtres esclavagistes, se trouve emprisonné chez lui ou dans un espace bien plus restreint que celui connu auparavant. Existe-t-il alors une clef pour ouvrir la porte de cette prison ?

La première condition pour sortir d’une prison est de prendre conscience de l’existence de cette dernière, puis de réaliser que nous nous y trouvons enfermés. Certaines personnes pourraient penser que si on ne voit pas une prison, c’est qu’elle n’existe pas. Ont-elles demandé aux victimes de sectes ce qu’elles en pensent ? Les pires des geôles ne sont pas nécessairement faites de pierre, de béton ou de métal. Leurs murs peuvent au contraire être construits d’émotions, de pensées ou de croyances. Les geôliers le savent. Les maîtres, encore plus. Il existe de nombreux moyens pour enfermer émotionnellement, mentalement ou psychiquement un être humain et actuellement nos dirigeants esclavagistes les utilisent pratiquement tous.(([4] Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes))

Sur le plan émotionnel, l’outil le plus puissant est l’instillation de la peur, particulièrement la peur ultime, celle de la mort. Quoi de mieux, pour cela, qu’un ennemi létal et pratiquement invisible, une menace mortelle qui pèserait sur nous depuis n’importe où et même n’importe quoi ou n’importe qui ? Eh bien, les élites ont trouvé un coronavirus particulier — une des variétés de virus qui peuplent habituellement notre virome (constitué de centaines de milliers de milliards d’entre eux) — et ils l’ont peut-être même boosté génétiquement dans l’espoir d’en faire un super soldat. Malheureusement, celui-ci a fait pschitt !… Il s’est dégonflé ! À côté des 65 millions de morts prévus, il n’en a atteint qu’environ un million, du moins officiellement. Le nombre réel pourrait être nettement moindre. Qu’à cela ne tienne ! Les tests PCR sont venus à la rescousse, permettant de faire passer des personnes saines pour des malades et ainsi faire retrouver au piteux microbe son épouvantable aura. La peur était ainsi toujours au rendez-vous.(([5] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation))

L’autre émotion fondamentale sur laquelle jouent les élites pour parvenir à leurs fins est paradoxalement une émotion positive : l’espoir ! Celle-ci est particulièrement utile contre ceux qui se sont rendu compte de leur incarcération. Il faut alors leur donner l’espoir qu’ils auront une remise de peine ou bien qu’ils parviendront à s’évader. L’alternance entre la peur et l’espoir(([6] La peur et l’espoir comme outils politiques)) engendre une condition psychologique analogue à celle subie par des rats de laboratoire qui subissent aléatoirement des chocs électriques et ceci sans nécessairement de raison(([7] Nous, rats de laboratoire)). Les êtres humains qui reçoivent ce genre de traitement, fait d’alternance de durée variable entre des périodes de peur et d’autres d’espoir (comme lorsqu’ils oscillent entre le confinement et l’espoir que le vaccin leur permettra de sortir) finissent par se retrouver en état hypnotique, brisés, soumis, prostrés au fond de leur cage. Les rats ne savent jamais lorsqu’ils vont recevoir leur prochaine décharge électrique ni leur prochaine portion de nourriture. Les êtres humains masqués ne savent jamais lorsqu’ils auront une aggravation de peine (plus de confinement, moins d’entreprises et de magasins ouverts, obligation du port d’un second masque sur le premier…) ni lorsqu’on va supposément les soulager (par le vaccin, par la livraison de nourriture à domicile, par une subvention, par une baisse d’impôts…).

Sur le plan mental, les principales armes sont connues des propagandistes depuis un siècle.(([8] Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19))12 Il est d’autant plus facile de les utiliser que l’individu ou le groupe ciblé aura auparavant été adéquatement « préparé », comme par la Gestapo nazie avant un interrogatoire, avec un bon conditionnement émotionnel conduisant à son hypnose ou à sa destruction psychologique et psychique. L’individu devient alors une éponge prête à absorber toutes les idées voulues, toutes les croyances utiles au Système, toutes les illusions que seul un bon discernement mental serait capable de percer à jour. En d’autres termes, il a subi un lavage de cerveau et celui-ci est alors rempli de poison idéologique et de pensées creuses. Il est désormais incapable de penser par lui-même et croit devoir se reposer sur ses maîtres (paternalistes ou despotiques) pour vivre.

La plupart des individus qui n’ont pas déjà été brisés par la propagande médiatique autour de la Covid-19 ou ceux qui se sont sortis de leur état hypnotique léthargique grâce à un choc salutaire qui a pu leur arriver n’ont cependant pas encore découvert la clef qui pourrait ouvrir la porte de leur prison ni le moyen d’en briser les murs. S’ils l’avaient fait, ils n’auraient pas besoin de placer de l’espoir dans les démarches judiciaires ou législatives, car celles-ci restent intimement liées au Système qui a permis, grâce à leur participation, leur emprisonnement. Est-ce que beaucoup d’esclaves ont été libérés juste en le demandant à leur maître ? Les avocats et les députés, aussi bien intentionnés soient-ils, ne peuvent agir que dans le cadre des lois établies par les maîtres. Du moins, les croyances largement diffusées par le Système sont tellement ancrées que presque personne ne songe à se passer des premières ni de celui-ci.(([11] Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir))

Si la libération de l’Humanité est collective, elle devra néanmoins passer par une prise de conscience individuelle. Car la clef réside à ce niveau. Chacun de ceux qui veulent se libérer doit trouver la clef pour que tous puissent sortir. L’individu détient la clef et il l’utilise au bénéfice de tous. Celui qui compte seulement sur les autres restera en cage. En effet, la prison est avant tout d’ordre invisible, construite par les peurs et les croyances. Dépasser nos propres peurs et voir nos croyances pour ce qu’elles sont ne relève que de nous-mêmes, pas des autres. Si nous ne sommes, individuellement, pas prêts à sortir sans masque, sans certificat de vaccination, sans autorisation écrite, sans test PCR…, à refuser de payer des amendes, à nous retrouver dans une cellule (capitonnée ou non) pour refus de payer, à voir notre salaire saisi, à voir notre maison saisie, à voir nos enfants saisis… par peur de la mort de faim ou de maladie ou du ridicule ou de ne pas faire comme les autres… alors nous resterons enfermés dans ces murs.

L’ironie du sort de ceux qui ne dépasseront pas leurs peurs, pour ne pas risquer de perdre leurs biens matériels, leurs enfants, leur illusoire sécurité ou encore leur santé est que pourtant ils perdront tout si le plan des élites va jusqu’au bout.(([12] Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux)) Et, pour l’instant, rien n’arrête ce dernier. Il ne s’arrêtera que lorsque suffisamment d’êtres humains auront trouvé la clef.(([13] Note sur l’avenir)) Celle-ci est une vibration, un Son, le Verbe, la parole, des pensées, idées ou prières, les trompettes de l’Apocalypse(([14] Regard sur l’Apocalypse)), à l’image des trompettes qui ont détruit les murailles de Jéricho, la note spécifique de notre âme, de notre conscience… Nous seuls pouvons détruire les murs de notre prison émotionnelle et psychique individuelle, par l’éveil de notre conscience, par la réalisation de notre nature qui n’est pas seulement de chair et de sang. Le Nouvel Ordre Mondial ne s’effondrera pas avant qu’un nombre suffisant d’entre nous, êtres humains sur la planète Terre, ayons trouvé la clef vibratoire de notre prison pour en faire tomber les murs ou pour en ouvrir la porte.


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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

  1. [9] Une brève histoire de la propagande []
  2. [10] Le quatrième pouvoir ou propagande ? []

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