Les virus n’existent pas — Réfutation de la théorie virale

13/05/2024 (2024-05-04)

Par Anonyme

1- Réfutation par le bon sens appliqué au narratif de la théorie virale.

2- Réfutation scientifique.

1- Origine de la théorie virale

D’après Pasteur, les maladies paraissant contagieuses sont d’origine microbienne. Or dans certaines maladies, les bactéries pathogènes ne sont pas retrouvées ; on en déduit qu’il existe des particules plus petites, des virus (virus signifie poison en latin) non visibles en microscopie optique et responsables d’infections. Le virus est décrit comme un brin de matériel génétique, ADN ou d’ARN, entouré d’une enveloppe ; c’est une particule morte, sans métabolisme (qui caractérise le vivant).

Ce virus (mort) est censé, pour un virus respiratoire :

  • – traverser la barrière de mucus, puis la membrane cellulaire,
  • – se diriger vers le noyau cellulaire, le pénétrer,
  • – ouvrir la chaîne d’ADN, pour s’y incorporer
  • – puis se multiplier en milliers d’exemplaires, entraînant la destruction de la cellule,
  • – infecter les cellules adjacentes, diffuser dans le sang (virémie) et envahir l’organisme.

Ce narratif est fantaisiste et invraisemblable car :

  • – le virus est mort et n’a pas d’outils pour réaliser toutes ces tâches ;
  • – il existe des barrières naturelles : mucus, enzymes, anticorps, membranes… ;
  • – il existe des moyens puissants de protection empêchant l’incorporation d’ADN étranger dans le génome.
  • – le système immunitaire, une merveille de complexité et d’intelligence, perfectionné sur des milliers d’années et adapté au cours de l’évolution à lutter contre les éléments étrangers, accepterait-il que des particules inertes envahissent l’organisme pour détruire les cellules ? Masochisme cellulaire ?

Irrationnel et défiant le bon sens !

2- Il n’a pas été prouvé scientifiquement que les virus existent
[et jusqu’à preuve du contraire, ils n’existent pas.]

  • – La théorie virale a été réfutée une 1re fois en 1952, par des expériences sur du « matériel infecté » : aucun virus n’est observé en microscopie électronique et les analyses biochimiques sont identiques au contrôle.
  • – La découverte des bactériophages (virus censés tuer les bactéries) en 1954 et de la double hélice d’ADN en 1953 (Crick et Watson, prix Nobel) conduisent à théoriser la virologie sur le modèle morphologique et biochimique du bactériophage.
  • – La théorie virale a été réfutée une 2e fois, principalement par le virologiste Stefan Lanka, dès 1995.
  • – Aucun virus n’a jamais été isolé de manière scientifique par les virologues.
  • – Aucun génome complet de virus n’a jamais été isolé.

Isolation scientifique d’un virus

La méthode de référence est celle d’une conférence de consensus de l’Institut Pasteur de 1973. Elle consiste :

  • – à réaliser sur un prélèvement, une ultracentrifugation en gradient de densité sur saccharose (séparation des divers éléments selon leur densité),
  • – à prélever la bande de densité virale, qui est ainsi purifiée (l’analyse en microscopie électronique doit montrer des particules virales, nombreuses, toutes de même taille),
  • – à décoder le génome complet et à caractériser les protéines.

Il s’agit d’une procédure simple et facilement reproductible.

Elle est couramment réalisée, avec succès, pour les bactériophages, découverts en 1954 et devenus le modèle des virus.

Malheureusement, pour la virologie :

  • – le bactériophage, censé être un tueur de virus, n’est pas un virus ; il s’agit d’une microspore produite par une bactérie mourante en culture, en milieu défavorable ; la microspore donnera naissance à une nouvelle bactérie.
  • – aucun « autre virus » n’a jamais été isolé par cette méthode, depuis 1954

La pseudoisolation des virus par la virologie

Devant l’échec d’une isolation scientifique, la virologie utilise une méthode de substitution, la culture cellulaire, de 2 façons :

1. Sur un surnageant d’échantillon infectieux, obtenu après centrifugation, qui contient des « virus », des débris cellulaires, des microbes, des exosomes (vésicules d’ADN ou de déchets), etc..

2. Sur une culture cellulaire, souvent de rein de singe (le singe a 98 % de génomes identiques à l’homme).

On laisse mourir la culture, en arrêtant de la nourrir au sérum fœtal bovin (indispensable à la survie des cellules) et en introduisant des antibiotiques (cytotoxiques). .

On en déduit que le virus a détruit les cellules, alors que sans matériel infectieux on obtient le même résultat !!

Les virus sont ensuite créés par ordinateur :
  • – Séquençage (caractérisation) des millions de fragments d’ADN ou ARN ;
  • – assemblage (ou alignement) des fragments, par de multiples logiciels, pour reconstituer le génome viral selon un modèle préétabli dans l’ordinateur, en gros, reconstituer le puzzle d’ADN.
    La fraude est grossière, les ADN proviennent de sources multiples et aucun contrôle (sans matériel infectieux) n’est effectué.
    Selon cette méthode, en 70 ans, jamais une expérience de contrôle n’a été faite,
    « ALORS QUE CELLE-CI EST UNE RÈGLE D’OR ÉLÉMENTAIRE EN SCIENCE ».
  • – Le Dr Lanka a réalisé la même expérience avec du génome humain et a retrouvé 100 % du génome du coronavirus !
  • – deux expériences avec culture cellulaire du virus de la rougeole et contrôle (sans virus) ont donné le même résultat.

Autres preuves

Procès de l’isolation du virus de la rougeole :

– Le Dr S. Lanka a promis 100 000 euros, en 2014, à qui démontrerait l’existence d’une étude prouvant l’isolation du virus : 6 études ont été présentées et invalidées.
– La Haute Cours de Justice de Stuttgart, en 2016 a reconnu la non-isolation du virus de la rougeole, ce qui constitue une jurisprudence pour la rougeole et tous les autres virus isolés par le même protocole.

– L’étude princeps de mise en évidence du Coronavirus de Zhu, de févr. 2020, ne montre ni isolation virale ni contrôle !!

– 222 institutions sanitaires scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du « SARS-COV-2 », par qui que ce soit, où que ce soit (Christine Massey—mars 2024).

– Le CDC chinois, en 2021, reconnaît la non-isolation du corona.

– Des demandes de preuves d’isolation, au CDC et à l’institut Robert Koch, pour tous les principaux virus, n’ont reçu aucune réponse positive.

– 1 million de dollars est promis à qui isolerait le Coronavirus.

En outre le CDC reconnaît en 2021, la non-validité des tests PCR !

Le test PCR du Pr Drosten a été finalisé en févr. 2020, avant même la « découverte » du virus !

En conclusion : toutes les allégations concernant la réalité de la théorie virale sont invalidées et frauduleuses. Cette fraude massive sert à l’autojustification de l’existence de la virologie et à l’industrie des vaccins. À noter que « la Grippe aviaire » est une autre escroquerie, basée sur des tests sans valeurs.

Références

l’erreur d’interprétation : http://wissenschafftplus.de/cms/de/wichtige-texte


[Voir aussi :

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».

et les autres articles du dossier Vaccins et virus

]

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(17 commentaires)

  1. Bon, ici au moins on se limite à la théorie ‘virale’. On n’a pas nié en bloc la théorie des germes ou le système immunitaire. Avec ça on peut évoluer vers la théorie du terrain. Y a du progrès. Tout est dans la présentation bien qu’Anonyme ne soit pas le nom d’un scientifique connu.

    1. C’est un premier pas
      La théorie des germes de Pasteur et Koch est fausse.Mais c’est plus long à démontrer pour chaque maladie dite « infectieuse »
      Voir les video de Sam Bailey,sur Odyssee, par exemple

      1. Les précédents articles et vidéos sur la théorie ‘du terrain’ (et non pas ‘virale’) mélangent virus et autre agents pathogènes. Pourtant ils déclarent dès le départ ne parler que des virus « que personne n’a isolé ni vu, ou qui ne sont même pas visibles au microscope électronique », en les appelant quand même ‘germes’. Les « germes », eux, incluent TOUS les micro-organismes pathogènes, bactéries, champignons, parasites, algues, amibes, virus (s’ils existent), etc. A part ça, moi je ne demande pas mieux que les virus ça n’existe pas mais il faudrait arrêter de nous embrouiller comme le fait Sam Bailey (c’est principalement d’elle que je parle) et produire un contenu cohérent. Comme déjà dit, c’est une question de présentation. Quand on y parle de germes, il est indispensable de clarifier les vues de l’auteur:
        – soit les autres micro-organismes pathogènes, qui sont extérieurs au corps au départ, n’existent pas ;
        – soit la théorie dite du ‘terrain’ s’applique uniquement aux virus, les autre agents ‘extérieurs au corps’ étant en fait réellement pathogènes ;
        – soit les autres pathogènes ne sont pas pathogènes ;
        – soit donner une autre explication, mais plus cohérente cette fois (comme celle de Béchamp).

        Idem pour le système immunitaire, il faut préciser :
        – soit il existe comme décrit,
        – soit il existe mais sert à autre chose,
        – soit il n’existe pas…
        A part ça, le terrain a toujours joué un role dans les maladies, tous les médecins le savent.

        1. Les Bailey incluent naturellement les soi-disant virus pathogènes dans les germes, mais font la différence que les autres germes ont eux été isolés et caractérisés de manière suffisamment scientifique. Ils démolissent autant les dogmes de la virologie en particulier que ceux de la théorie plus générale des germes.

          1. D’accord si vous le dites. Mais je parle des contenus vidéo et là c’est l’impression que j’ai décrite qui se dégage. Tout est dans la présentation. Quant à « démolir les dogmes de la théorie plus générale des germes », je ne vois pas le rapport. Béchamp, lui, avait au moins sa propre explication sur le rôle des germes.

              1. Concernant Béchamp j’ai mentionné « le rôle des germes » et non pas « la théorie des germes ». Votre lien me ramène à ce qui est déjà connu de la théorie de Béchamp, en plus détaillé, mais pas de trace de Sam Bailey dans ce long article. c’est d’elle que je parle. Faudrait lire les mots. Avez-vous une vidéo où S.B. précise ces choses? Si on évoque « les germes » au lieu de « les virus » ne serait-ce qu’une fois, alors qu’on implique que « les virus n’existent pas » sans dire que les bactéries existent », alors vous conviendrez que c’est un article incohérent.

              2. Germes = Bactéries + Champignons microscopiques + … + supposés Virus.
                Est-ce que retirer les virus de l’ensemble enlève la réalité des autres germes ? Non.
                Cela devient alors simplement :
                Germes = Bactéries + Champignons microscopiques + … (sans les Virus pathogènes, puisque ceux-ci relèvent d’illusion et n’existent a priori pas plus que les licornes ou que les éléphants roses).
                Sam Bailey rejette l’existence de « virus » [qui ne sont que des composants cellulaires ou des déchets génétiques, mais pas des entités pathogènes non vivantes prétendument capables de se répliquer dans des cellules hôtes], mais pas des autres germes (elle rejette seulement la pathogénicité de ces derniers, comme Béchamp le faisait).
                Elle ne mentionne cela désormais que très occasionnellement.
                Dans la vidéo suivante, par exemple (à partir de 1:50), elle parle des supposés virus pathogènes en particulier, et des germes en général :
                https://nouveau-monde.ca/dr-sam-bailey-pourquoi-les-pathogenes-nexistent-pas/

              3. @Joseph Stroberg
                Merci pour vos commentaires. Je vous souhaite une bonne soirée.

            1. Iapalfeu…
              Lorsque vous parlez ( plus loin) de la « Théorie » de Béchamp, vous ramenez ce chercheur à un simple théoricien. Or cet homme a passé une bonne partie de sa vie à démontrer la réalité des microzymas et leur rôle fondamental dans tout le vivant.
              Une découverte scientifique n’est pas une théorie, car tout le processus expérimental qui a servi à en montrer la réalité est soigneusement écrit , daté , et déposé officiellement à l’académie des sciences.
              Tout scientifique digne de ce nom a donc la possibilité d’accéder à cet écrit et à reproduite les expériences jusqu’à confirmation des résultats.
              Merci d’éviter de rabaisser monsieur Béchamp à un touriste qui supposerait des théories. ..

              1. Cependant, en science le mot « théorie » n’est pas péjoratif et désigne toute hypothèse plus ou moins élaborée et solide, si possible appuyée expérimentalement. Exemple : la théorie de la gravitation universelle de Newton. Aucune théorie n’est considérée comme certitude absolue, mais doit au contraire être réfutable pour être considérée comme scientifique, sinon on est plutôt dans le domaine des croyances, comme en religion. Et donc même pour Béchamp, il s’agit d’une théorie, celle du terrain et des mycrozymas. Une théorie peu solide, peu élaborée, voire farfelue, ou encore réfutée expérimentalement est plutôt considérée comme simple hypothèse.

    2. Le système dit « immunitaire » n’est qu’une théorie et comme toute théorie, si nous restons dans le cadre scientifique (et non dans celui des croyances comme celles d’une religion), elle est contestable. La théorie des germes a également été réfutée et n’a jamais été scientifiquement validée, les postulats de Koch n’étant jamais tous respectés, ce qui est pourtant une condition minimale pour pouvoir établir le lien causal entre un germe et la maladie dont on l’accuse d’être la cause. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/le-chateau-de-cartes-de-la-theorie-des-germes/. Cela tend à démontrer que les bactéries et autres germes (champignons, etc.) sont tout au plus des causes secondaires dans certaines maladies dont la ou les (dans le cas d’un problème multifactoriel) causes principales sont à chercher ailleurs.
      En envisageant la maladie comme le résultat de déséquilibres sur un ou plusieurs plans (physique, chimique, électrique, magnétique, électromagnétique, vital, affectif, émotionnel, mental…), ceci par excès (qui équivalent alors à un empoisonnement) ou par défaut (notamment en nutriments alimentaires), tout devient nettement plus simple et clair et notamment il n’y a plus des milliers de maladies nommées à partir d’organes, de processus ou de leur inventeur, mais des déséquilibres particuliers dont on observe des effets (on n’en perçoit pas nécessairement tous les effets, au moins dans un premier temps) et dont il convient de chercher la cause réelle et première. Avec un tel nouveau paradigme, pour lequel le terrain est en déséquilibre, par manques ou par excès, la notion de système « immunitaire » perd son sens et devrait plutôt être remplacée par celle de système de nettoyage, purification, réparation, réharmonisation… les bactéries y jouant d’ailleurs leur rôle en plus de leur fonction (pour certaines d’entre elles) d’aider à l’assimilation de nutriments. D’autres participent au traitement et à l’expulsion des déchets tels que les morceaux d’ARN et d’ADN dont les cellules doivent se débarrasser.

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