La mort de la liberté, de A à Z

06/05/2024 (2024-05-06)

[Source : off-guardian.org]

Par John & Nisha Whitehead

« En regardant l’Amérique aujourd’hui, je n’ai pas peur de dire que j’ai peur. »

Bertram Gross, ancien conseiller présidentiel

Le système gouvernemental américain se rapproche de plus en plus d’un autoritarisme omniprésent.

Le peuple américain, la classe inférieure permanente de l’Amérique, s’est laissé distraire et diviser au point de ne pas remarquer les éléments constitutifs de la tyrannie que les architectes de l’État profond sont en train de mettre en place sous son nez.

Ce glissement progressif vers la tyrannie, exercée par des polices locales et fédérales militarisées et des bureaucrates légalistes, a été poursuivi par tous les présidents qui se sont succédé au cours des cinquante dernières années, quelle que soit leur affiliation politique.

Biden, Trump, Obama, Bush, Clinton : ils ont tous été complices de l’exécution du programme de l’État profond.

Franchement, peu importe qui occupe la Maison-Blanche, car c’est une bureaucratie non élue et motivée par le profit (appelez-la comme vous voulez : l’État profond, les contrôleurs, les maîtres d’œuvre, le gouvernement de l’ombre, l’élite des entreprises, l’État policier, l’État de surveillance, le complexe militaro-industriel) qui mène en fait la danse.

Dans l’intérêt de la liberté et de la vérité, voici un abécédaire qui expose les sombres réalités de la vie dans l’État policier américain dont personne ne semble plus parler.

A comme AMERICAN POLICE STATE (État policier américain). Un État policier « se caractérise par la bureaucratie, le secret, les guerres perpétuelles, une nation de suspects, la militarisation, la surveillance, une présence policière généralisée et des citoyens qui ont peu de recours contre les actions de la police ».

B comme BILL OF RIGHTS (Déclaration des droits). Dans la culture policière militarisée qui est celle de l’Amérique d’aujourd’hui, où vous pouvez recevoir des coups de pied, des coups de poing, du Taser, des coups de feu, être intimidé, harcelé, dépouillé, fouillé, brutalisé, terrorisé, arrêté à tort et même tué par un policier, et où ce policier est rarement tenu pour responsable de la violation de vos droits, la Déclaration des droits ne vaut pas grand-chose.

C comme CIVIL ASSET FORFEITURE (confiscation d’actifs civils). Ce plan gouvernemental visant à priver les Américains de leurs libertés — à savoir le droit à la propriété — est mis en œuvre sous le couvert de la confiscation des biens civils, une pratique gouvernementale dans laquelle les agents du gouvernement (généralement la police et maintenant les agents de la TSA1) saisissent des biens privés qu’ils « soupçonnent » d’être liés à une activité criminelle. Ensuite, qu’il soit prouvé ou non qu’un crime a été commis, le gouvernement conserve les biens du citoyen et il est pratiquement impossible de les récupérer.

D comme DRONES. Près de 1 500 services de police aux États-Unis intègrent des drones dans leur arsenal technologique, et ce nombre ne cesse de croître. Bien que les drones puissent être utilisés à des fins bienveillantes, ils sont de plus en plus devenus des extensions de l’État de surveillance, effectuant une surveillance aérienne de masse constante et sans mandat, en violation du quatrième amendement. Les nouveaux drones de police autonomes peuvent « lire une plaque d’immatriculation à une distance de 800 pieds 2 et suivre un véhicule à une distance de 3 miles3 ».

E comme EMERGENCY STATE (État d’urgence). Du 11 septembre au COVID-19 et au-delà, nous avons été soumis à un « état d’urgence » qui justifie toutes sortes de tyrannies gouvernementales et de prises de pouvoir au soi-disant nom de la sécurité nationale. Les tentatives actuelles du gouvernement de déclarer des soi-disant urgences nationales afin de contourner le système de contrôle et d’équilibre de la Constitution constituent une nouvelle expansion du pouvoir présidentiel qui expose la nation à de nouveaux périls constitutionnels.

F comme FASCISME. Une étude menée par les universités de Princeton et de Northwestern a conclu que le gouvernement américain ne représente pas la majorité des citoyens américains. Au contraire, l’étude a montré que le gouvernement est dirigé par les riches et les puissants, ou ce que l’on appelle « l’élite économique ». En outre, les chercheurs ont conclu que les politiques adoptées par cette élite gouvernementale favorisent presque toujours des intérêts particuliers et des groupes de pression. En d’autres termes, nous sommes gouvernés par une oligarchie déguisée en démocratie, et sans doute en route vers le fascisme, une forme de gouvernement où les intérêts des entreprises privées dominent, où l’argent mène la danse et où les citoyens sont considérés comme de simples unités économiques ou des unités de données.

G comme GLOBAL POLICE (Police mondiale). Le gouvernement fédéral a distribué pour plus de 18 milliards de dollars d’armes, de véhicules et d’équipements militaires adaptés aux champs de bataille, tels que des drones, des chars et des lance-grenades, aux services de police nationaux de tout le pays. En conséquence, les forces de police de la plupart des petites villes disposent aujourd’hui d’une puissance de feu suffisante pour rendre futile toute résistance de la part des citoyens. Lorsque vous prenez ces forces de police de petites villes, que vous les entraînez à ressembler et à agir comme des militaires, et que vous les enrôlez ensuite dans le programme Strong Cities Network (Réseau des villes fortes) des Nations unies, vous avez non seulement une armée permanente qui opère hors de portée de la Constitution, mais aussi une armée qui fait partie d’une force de police mondiale.

H comme HOLLOW-POINT BULLETS (balles à pointe creuse). Les efforts du gouvernement pour militariser et armer ses agences et ses employés atteignent des proportions épiques, avec des agences fédérales aussi variées que le département de la sécurité intérieure et l’administration de la sécurité sociale qui stockent des millions de balles creuses mortelles, en violation du droit international. Ironiquement, alors que le gouvernement continue de réclamer des lois plus strictes sur les armes à feu pour le grand public, l’arsenal de l’armée américaine fait passer l’arme de poing de l’Américain moyen pour un jouet de bricoleur.

I pour l’INTERNET DES OBJETS, dans lequel des « objets » connectées à l’Internet surveillent votre maison, votre santé et vos habitudes afin de garder votre garde-manger bien garni, vos services publics régulés et votre vie sous contrôle et relativement sans souci. Le mot clé ici, cependant, est le contrôle. Cette industrie « connectée » nous rapproche d’un avenir où les agences de police appréhenderont pratiquement n’importe qui si le gouvernement « pense » qu’il peut commettre un crime, où les voitures sans conducteur peupleront les autoroutes et où les données biométriques d’une personne seront constamment scannées et utilisées pour suivre ses mouvements, la cibler pour de la publicité et la maintenir sous une surveillance perpétuelle.

J comme JAILING FOR PROFIT (emprisonnement à but lucratif). Cette forme de punition de masse axée sur le profit a donné naissance à une industrie pénitentiaire privée de 70 milliards de dollars, qui s’appuie sur la complicité des gouvernements des États pour remplir leurs prisons privées en emprisonnant un grand nombre d’Américains pour des délits mineurs.

K comme KENTUCKY V. KING (KENTUCKY contre KING). Dans un arrêt de 8 contre 1, la Cour suprême a statué que les policiers peuvent pénétrer dans les maisons, sans mandat, même s’il s’agit de la mauvaise maison, tant qu’ils pensent qu’ils peuvent avoir une raison de le faire. Bien que la police en question ait poursuivi le mauvais suspect, envahi le mauvais appartement et violé à peu près tous les principes qui séparent les citoyens d’un État policier, la Cour a sanctionné la descente sans mandat, laissant les Américains sans véritable protection face à toutes sortes d’abus de la part des forces de l’ordre.

L comme LICENSE PLATE READER (lecteur de plaques d’immatriculation), qui permet aux forces de l’ordre et aux agences privées de suivre les déplacements des véhicules et de leurs occupants dans tout le pays. Ces données collectées sur des dizaines de milliers d’innocents sont également partagées entre les services de police, ainsi qu’avec les centres de fusion 4 gouvernementaux et les entreprises privées. Big Brother se retrouve ainsi aux commandes.

M comme MAIN CORE (noyau principal5). Depuis les années 1980, le gouvernement américain a acquis et conservé, sans mandat ni décision de justice, une base de données contenant des noms et des informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation. Comme le rapporte Salon, cette base de données, baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. La base de données « Main Core » contient au moins 8 millions d’Américains.

N comme NO-KNOCK RAIDS (descente policière sans frapper à la porte). En raison de la militarisation des forces de police du pays, les équipes SWAT sont aujourd’hui de plus en plus souvent déployées pour des affaires policières de routine. En fait, plus de 80 000 de ces descentes paramilitaires sont effectuées chaque année. Cela représente plus de 200 descentes de police par jour, au cours desquelles la police défonce des portes, endommage des biens privés, terrorise des adultes et des enfants, tue des animaux domestiques, agresse ou tire sur toute personne perçue comme menaçante, le tout à la poursuite d’une personne simplement soupçonnée d’un délit, généralement la possession d’une petite quantité de stupéfiants.

O comme OVERCRIMINALISATION and OVERREGULATION (SURCRIMINALISATION et SURRÉGULATION). Grâce à la surabondance de plus de 4 500 délits fédéraux et de plus de 400 000 règles et règlements, on estime que l’Américain moyen commet trois délits par jour sans le savoir. En conséquence de cette surpénalisation, nous constatons une augmentation du nombre d’Américains arrêtés et emprisonnés pour des « infractions » aussi absurdes que le fait de laisser leurs enfants jouer dans un parc sans surveillance, de recueillir l’eau de pluie et le ruissellement de la neige sur leur propre propriété, de cultiver des légumes dans leur jardin et d’organiser des études bibliques dans leur salon.

P comme PATHOCRACIE et PRÉCRIME. Lorsque notre propre gouvernement nous traite comme des objets que l’on manipule, que l’on exploite pour obtenir des données, que la police et d’autres agents du gouvernement malmènent, que l’on maltraite et que l’on emprisonne dans des prisons privées à but lucratif si l’on ose sortir du rang, nous ne sommes plus dans le cadre d’une république constitutionnelle. Au lieu de cela, nous vivons une pathocratie : la tyrannie aux mains d’un gouvernement psychopathe, qui « agit contre les intérêts de son propre peuple, sauf pour favoriser certains groupes ». Ajoutez à cela les programmes de prévention de la criminalité en plein essor du gouvernement, qui utiliseront des centres de fusion, des agences de collecte de données, des spécialistes du comportement, des entreprises, des médias sociaux et des organisateurs communautaires, et qui s’appuieront sur des technologies de pointe pour la surveillance, la reconnaissance faciale, la police prédictive, la biométrie et l’épigénétique comportementale afin d’identifier et de dissuader les soi-disant « extrémistes » potentiels, les dissidents ou les agitateurs. N’oubliez pas que toute personne s’opposant au gouvernement — qu’elle soit de gauche, de droite ou entre les deux — est désormais considérée comme un extrémiste.

Q comme QUALIFIED IMMUNITY (immunité qualifiée). L’immunité qualifiée permet aux policiers de s’en tirer sans avoir à payer le moindre centime pour leurs actes répréhensibles. Comme par hasard, les personnes qui décident si un policier doit bénéficier de l’immunité pour ne pas avoir à payer personnellement pour un mauvais comportement au travail appartiennent toutes au même système, tous les copains ayant un intérêt direct à protéger la police et son infâme code du silence : les procureurs de la ville et du comté, les commissaires de police, les conseils de la ville et les juges.

R comme Recherches d’identité sur la route et prises de sang. Les tribunaux se sont de plus en plus trompés en accordant aux fonctionnaires de l’État — en particulier à la police — un large pouvoir discrétionnaire pour effectuer des fouilles à nu, des prises de sang et même des sondages anaux et vaginaux pour un large éventail d’infractions, aussi mineures soient-elles. Dans le passé, on ne recourait à la fouille à nu que dans des circonstances exceptionnelles, lorsque la police était convaincue qu’un crime grave était en cours. Ces dernières années, cependant, les fouilles à nu sont devenues des procédures opérationnelles de routine au cours desquelles tout le monde est considéré comme suspect et, en tant que tel, est soumis à un traitement autrefois réservé aux criminels les plus graves.

S comme SURVEILLANCE STATE (état de surveillance). Chaque jour, l’Américain moyen qui vaque à ses occupations quotidiennes est surveillé, espionné et suivi de plus de 20 manières différentes par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises. Sous-produit du camp de concentration électronique dans lequel nous vivons, que vous marchiez dans un magasin, conduisiez votre voiture, consultiez votre courrier électronique ou parliez au téléphone avec vos amis et votre famille, vous pouvez être sûr qu’une agence gouvernementale, qu’il s’agisse de la NSA ou d’une autre entité, est en train d’écouter et de suivre votre comportement. Et c’est sans compter les traqueurs des entreprises qui surveillent vos achats, votre navigation sur le web, vos posts sur Facebook et d’autres activités dans la cybersphère.

T comme TASERS. Les armes non létales telles que les tasers, les pistolets paralysants, les balles en caoutchouc et autres ont été utilisées par la police comme armes de contrainte plus souvent et avec moins de retenue — même contre des femmes et des enfants — et dans certains cas, elles ont même causé la mort. Ces armes « non létales » permettent également à la police d’agresser en appuyant sur un bouton, ce qui rend d’autant plus probable le risque d’affrontements excessifs pour des incidents mineurs. Un Taser Shockwave, par exemple, peut électrocuter une foule de personnes sur simple pression d’un bouton.

U comme UNARMED CITIZENS SHOT BY POLICE (citoyens non armés abattus par la police). Il n’est plus rare d’entendre parler d’incidents au cours desquels la police tire d’abord sur des personnes non armées et pose des questions ensuite, souvent parce qu’elle craint pour sa sécurité. Pourtant, le taux de mortalité des patrouilleurs en service serait bien inférieur à celui de nombreuses autres professions, notamment le bâtiment, l’exploitation forestière, la pêche, la conduite de camions et même le ramassage des ordures.

V comme OPÉRATION VIGILANT EAGLE (Aigle Vigilant). Ce programme particulier prévoit la surveillance des vétérans de l’armée, les qualifiant d’extrémistes et de menaces potentielles de terrorisme national parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ». Associées à un rapport qui définit les extrémistes comme des individus et des groupes « principalement antigouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité locale ou étatique, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », ces tactiques sont de mauvais augure pour toute personne considérée comme s’opposant au gouvernement.

W comme WHOLE-BODY SCANNERS (scanners corporels). Utilisant des rayons X ou des ondes radio, les scanners et les unités mobiles du gouvernement sont utilisés non seulement pour « voir » à travers vos vêtements, mais aussi pour vous espionner dans l’intimité de votre domicile. Alors que ces scanners mobiles sont présentés au public américain comme des mesures de sécurité nécessaires, nous ne pouvons pas nous permettre d’oublier que ces systèmes sont susceptibles de donner lieu à des abus, non seulement de la part des bureaucrates du gouvernement, mais aussi de la part des techniciens employés pour les faire fonctionner.

X comme X-KEYSCORE, l’un des nombreux programmes d’espionnage mis en œuvre par la National Security Agency (NSA), qui vise chaque personne aux États-Unis utilisant un ordinateur ou un téléphone. Ce programme top secret « permet aux analystes d’effectuer des recherches sans autorisation préalable dans de vastes bases de données contenant des courriels, des conversations en ligne et l’historique de navigation de millions d’individus ».

Y comme YOU-NESS (ce que vous êtes). En utilisant votre visage, vos manières, les médias sociaux et votre « personnalité » contre vous, vous êtes désormais suivi en fonction de ce que vous achetez, des endroits où vous allez, de ce que vous faites en public et de la manière dont vous faites ce que vous faites. Les logiciels de reconnaissance faciale promettent de créer une société dans laquelle chaque individu qui sort en public est suivi et enregistré dans ses activités quotidiennes. L’objectif est de permettre aux agents de l’État de scanner une foule et d’identifier instantanément tous les individus présents. Les programmes de reconnaissance faciale sont mis en œuvre dans tous les États du pays.

Z comme TOLÉRANCE ZÉRO. Nous sommes entrés dans un nouveau paradigme dans lequel les jeunes sont de plus en plus considérés comme des suspects et traités comme des criminels par les autorités scolaires et les forces de l’ordre, souvent pour avoir eu un comportement un peu plus enfantin ou pour avoir dit le « mauvais » mot. Dans certaines juridictions, des élèves ont également été pénalisés dans le cadre de politiques de tolérance zéro pour des « crimes » aussi ineptes que le port de pastilles contre la toux, de rouge à lèvres noir, de coupe-ongles à l’école, de Listerine ou de Scope, ou de peignes pliants ressemblant à des couteaux à cran d’arrêt. La leçon que l’on enseigne à nos citoyens les plus jeunes et les plus impressionnables est la suivante : dans l’État policier américain, vous êtes soit un prisonnier (enchaîné, contrôlé, surveillé, commandé, limité dans ce que vous pouvez faire et dire, votre vie ne vous appartient pas), soit un bureaucrate de la prison (politicien, officier de police, juge, geôlier, espion, profiteur, etc.).

Aucun de ces dangers ne s’est dissipé, et pourtant, soudainement, personne ne semble parler des abus gouvernementaux flagrants qui continuent à faire des ravages dans nos libertés : les fusillades policières sur des personnes non armées, la surveillance invasive, les prises de sang sur la route, les fouilles à nu sur la route, les descentes des équipes SWAT qui tournent mal, les guerres coûteuses du complexe militaro-industriel, les dépenses de l’État, les lois précriminelles, la confiscation des biens civils, les centres de fusion, la militarisation, les drones armés, la police intelligente menée par des robots IA, les tribunaux qui marchent au pas avec l’État policier, les écoles qui fonctionnent comme des centres d’endoctrinement, les bureaucrates qui maintiennent l’État profond au pouvoir.

Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, c’est ainsi que meurt la liberté.

S’il nous reste un moyen de contrecarrer le gouvernement dans sa marche inexorable vers la dictature pure et simple, c’est peut-être le dixième amendement, qui affirme que « nous, le peuple » (sous la forme de jurys et de gouvernements locaux) avons le pouvoir d’invalider les lois, les tactiques et les politiques gouvernementales qui sont illégitimes, flagrantes ou manifestement inconstitutionnelles.

Annulez tout.

Annulez les affaires judiciaires. Annuler les lois. Annulez tout ce que le gouvernement fait qui va à l’encontre de la Constitution.

Il est temps de mettre au pas notre gouvernement incontrôlé, de récupérer nos libertés et de rétablir la justice en Amérique.


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Un commentaire

  1. Effectivement c’est à pleurer. Il y a de nombreuses années, lors de la chute du mur de Berlin, j’ai pensé au principe du Ying-Yang chinois. C’est quelque chose qui m’intéressait à l’époque. Je me suis dit que si l’union soviétique s’effondrait pour laisser place à l’arrivée d’une démocratie, alors pendant ce temps là, l’occident allait procéder logiquement dans l’autre sens, passant de la démocratie à la dictature. Tout ça graduellement bien sûr, comme le montre le symbole. Eh bien voilà, malheureusement mes craintes étaient fondées et nous y sommes.

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