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L’inversion vaut aussi pour la drogue

Le gouvernement taliban d’Afghanistan — pays qui produisait jusqu’à récemment 90 % de l’héroïne mondiale — a considérablement réduit la culture de l’opium dans l’ensemble du pays. Des sources occidentales estiment que cette réduction peut atteindre 99 % dans certaines provinces. Cela soulève de sérieuses questions quant au sérieux des efforts d’éradication de la drogue déployés par les États-Unis dans le pays au cours des 20 dernières années. De plus, alors que les réserves mondiales d’héroïne se tarissent, les experts déclarent à MintPress News qu’ils craignent que cela n’entraîne une augmentation de l’utilisation du fentanyl — une drogue des dizaines de fois plus puissante que l’héroïne qui tue déjà plus de 100 000 Américains chaque année.

Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !

(Vidéo 47 min)

« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement, loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources.

Mondialisme: l’inversion des valeurs

Alexis : « Dans ce Webjournal j’explique d’où vient l’inversion des valeurs et la subversion des institutions en Occident. Attachez vos tuques avec de la broche, c’est du lourd. »
(Vidéo)

Inversion

« Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois, ou perdus. », déclarait notre Jupiter fraîchement élu le 27 juillet 2017. Le téléspectateur ou lecteur normalement constitué pouvait interpréter ces propos comme une promesse d’offrir un toit aux plus démunis. C’est du moins ce que nous suggère en la circonstance notre bon vieux sens commun. Ce dernier, malheureusement, se trouve le plus souvent inapte à saisir l’intention profonde sous la permanente ambiguïté verbale d’un psychopathe. Car cet engagement pouvait tout aussi bien annoncer, sans ambages, la déportation pure et simple des sans-abris, sans que le bon peuple y voie malice… Vous trouverez peut-être ce contrepied délirant ou paranoïaque. Il illustre néanmoins à merveille la double-pensée si caractéristique du discours présidentiel.

31 octobre 2023 — Avec ce livre vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas

« Lorsque nous avons trouvé, par le plus grand des « hasards »… ce que vous allez lire dans ce livre, nous n’en croyions pas nos yeux.

Comment des êtres humains pouvaient-ils harceler électromagnétiquement d’autres humains (« Voice to Skull avec pour acronyme V2k) ?

Mais en ouvrant d’autres tiroirs, nous avons découvert qu’il y avait encore plus grave pour l’humanité tout entière, avec la publication le 31 octobre 2023, d’un document qui nous ramenait aux heures les plus sombres de notre histoire contemporaine.

Nous ne voulions pas y croire !

C’était impossible !

Après de multiples recherches croisées, nous nous sommes rendus à l’évidence, ce document validé par une entité gouvernementale était bien réel.

Depuis ce jour, notre vie a changé. »

Production d’infrasons, perception et effets sur la santé associés aux éoliennes

Les premières recherches sur les caractéristiques des grandes éoliennes à rotor ascendant ont été entreprises par la NASA et Boeing en 1979.

Les résultats ont validé les études théoriques et numériques antérieures, confirmant les mécanismes fondamentaux par lesquels ces turbines à vent génèrent des bruits de basse fréquence et des infrasons. Dans les années qui ont suivi, l’amélioration des profils de pales associée à la construction de pales en matériaux composites et à un contrôle plus précis du pas a permis d’obtenir des caractéristiques sonores plus silencieuses à des fréquences plus élevées. Les mécanismes primaires définissant la production d’infrasons, à savoir les forces de portance sous-jacentes qui sont la condition nécessaire pour générer du couple et de la puissance, ne peuvent pas être réduits de la même manière, de sorte que les infrasons correspondants associés aux turbines modernes sont toujours inévitablement présents.

Lorsque les parcs éoliens deviennent de plus en plus grands, avec parfois 140 éoliennes ou plus, un certain nombre de facteurs peuvent entraîner une augmentation des niveaux d’infrasons. En particulier, les sillages des éoliennes situées en amont qui se répercutent sur les éoliennes situées en aval entraînent des forces de portance instables supplémentaires et donc une production accrue d’infrasons, en particulier si les éoliennes sont trop rapprochées les unes des autres.

L’auteur a identifié des mécanismes par lesquels ceux de perception conventionnels connus peuvent être plus sensibles que ce qui est actuellement reconnu.

6 juin 1944 – 6 juin 2024 : la fabrique du mensonge

Qu’il nous soit permis de rappeler que le Général de Gaulle, acteur de premier plan de la Seconde Guerre mondiale, n’a jamais voulu participer à l’une quelconque des commémorations du débarquement de Normandie par les Anglo-Saxons du 6 juin 1944, que ce fût son 5e, son 10e, son 15e ou son 20e anniversaire.

« Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi. Vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi. »

« Vous croyez que les Américains et les Anglais ont débarqué en Normandie pour nous faire plaisir ? »

Les expériences étrangères de la transidentité chez les mineurs éclairent le problème

Depuis une dizaine d’années, en se victimisant, les transgenres ont obtenu dans les pays occidentaux des droits dérogatoires à la loi commune comme celui d’être reconnu du sexe opposé sur simple déclaration d’un ressenti, de changer de prénom et d’exiger d’être appelé par celui-ci, et pour les hommes de naissance déclarant être des femmes trans celui de pouvoir pénétrer dans les espaces auparavant destinés aux femmes de naissance, de concourir dans les compétitions féminines et de demander, en cas d’incarcération, de l’être dans des prisons pour femmes.

Les nombreuses études qui ont été réalisées permettent maintenant de se faire une idée objective du problème chez les mineurs afin d’éviter de prendre des positions purement idéologiques sur le sujet.

Pyramides vs Croix/Roue

Plutôt qu’un État centralisateur, laisser chaque région, département, commune, village… vivre sa propre destinée selon sa volonté collective ou commune. L’Homme mature peut fort bien se passer de gouvernements. Il n’a plus besoin d’un père qui lui dise quoi faire ou ne pas faire ni d’une mère qui le biberonne. Alors que le Nouvel Ordre Mondial déresponsabilise et ment à l’Humanité pour mieux la contrôler, un réel Nouveau Monde gagne au contraire à rechercher un modèle civilisationnel radicalement différent si les êtres humains souhaitent y vivre libres.

La justice dévoyée : le gouvernement des juges

« C’est tout le mérite de Richard Dessens de faire découvrir aux lecteurs les méandres d’une justice qu’il considère désormais dévoyée, comme il le démontre avec autant de précision que d’érudition, rappelant pour cela ce que fut “la loi naturelle”, s’interrogeant sur ce “qu’est le droit”, sur “l’équité” et le “dévoiement moderne des droits naturels”… On le suit avec intérêt sur les réponses qu’il tente d’apporter à la question “Qu’est-ce que la Justice ?”, ce “vaste programme”. Le lecteur verra qu’il s’interroge également sur le rôle du juge “de l’exécutant au créateur de droit (et sur) les faits”… »

Paul Watzlawick et les pathologies occidentales

La guerre contre la Russie devait être la solution : elle est devenue le problème. L’Europe technocratique supranationale devait être la solution : elle est le problème. Le vaccin devait être la solution : il est devenu le problème. On continue ?

On va voir plusieurs aspects du problème (vous savez, « la solution c’est le problème »). Le légendaire Paul Watzlawick avait souligné le caractère gothique de nos monstrueux systèmes de « santé » : la multiplication par trente des dépenses médicales a créé les conditions d’un effondrement humain : faible, endetté, complexé, le citoyen serait bon pour les abattoirs de la postmodernité et pour soixante vaccins par an. Tournant le dos aux enseignements de Jünger ou de Rudolf Steiner, le petit blanc occidental se donne aux monstres et aux charlatans des hôpitaux pour un oui ou pour un non.

Comment survivre en pathocratie

On observe depuis des années que ceux qui nous dirigent semblent frappés de traits psychologiques particuliers et pathologiques. La multiplication des comportements de type perversion narcissique, psychopathie, absence totale d’empathie et bien d’autres sont la marque de nombreux dirigeants politiques et privés.
Le problème est que quand ces personnes se retrouvent au pouvoir, elles en viennent à créer un climat de doute sur la santé mentale propre des citoyens en générant des comportements sociaux eux aussi devenus pathologiques.
Comment s’en prémunir ? Comment garder sa santé mentale quand toute la société semble proche de disjoncter ? Comment survivre en « pathocratie » ?

Néolibéralisme. Comment le libéralisme est devenu un anticonservatisme

Depuis les années 1970, on parle volontiers de néolibéralisme. On désigne généralement par là un nouvel âge du libéralisme qui apparaît avec les gouvernements Thatcher en Grande-Bretagne, et la présidence Reagan aux États-Unis. Ce néolibéralisme prend une dimension particulière en Europe, et singulièrement en France. Il s’agit de réduire la part du secteur public et de diminuer la place des services publics, d’introduire partout la concurrence du privé, de dénationaliser (surtout en France), et de « responsabiliser » (sic) les citoyens en mettant fin à l’État-providence (en fait un État protecteur). Il s’agit aussi, dans notre pays de France, de sortir de la planification, pourtant indicative, de l’époque gaulliste et pompidolienne, et d’en finir avec toute politique forte de l’État comme l’aménagement du territoire. La philosophie de ce néolibéralisme se résume fort bien par la formule de Thatcher : « La société n’existe pas ». Il n’y a donc que des individus. Et de ce fait, il n’y a qu’une politique possible, celle qui prend seulement en compte les intérêts des individus. « There is no alternative » (TINA).

Fin de vie : une « loi de rassemblement » qui suscite la colère

Après l’entretien du président de la République annonçant le prochain examen du projet de loi sur la fin de vie, le Premier ministre Gabriel Attal a indiqué que le premier examen du texte par les députés en séance plénière aurait lieu le 27 mai. Les sénateurs devraient, eux, être saisis du texte « après l’été », a précisé la ministre des Relations avec le Parlement, Marie Lebec. Les soignants réunis au sein du collectif sur la fin de vie1 dénoncent « un calendrier indécent », alors que « ceux qui devront appliquer cette loi n’ont jamais été associés à sa rédaction et n’ont pas été consultés sur un texte à l’évidence déjà rédigé ».

Macron accélère l’avènement du mal absolu … et on laisse faire collectivement ?

JFK aurait été tué pat un fou isolé, sans lien avec La CIA, qui a déjoué tout et son contraire, mais a été tue sans avoir pu parler.

La Lune en 1969, c’était facile, y compris avec une jeep pour aller y faire des drifts en direct… mais depuis on y pose à peine des boîtes de conserve, et on ne sait pas la faire revenir.

Le 11/09 c’est un mec dans des grottes en Afghanistan sous dialyse qui a piloté l’attaque terroriste la plus incroyable du monde, défiant toutes les lois de la physique, de la chimie et de la logique… mais il faut y croire…

Et la liste est plus longue… car ces gens qui dirigent l’empire du mensonge et du $ sont fous.
Et Macron est leur antéchrist.

(Vidéo > 1 h 10)

Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

Un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

(Vidéo 1 h 32)

L’OTAN et les rouages de l’État profond

Avec Marc Legrand, Écrivain et historien (Histoire militaire, Défense, Sécurité, Renseignement). Auteur de « Histoire des SERVICES SECRETS » (2019) & « L’État invisible » (2022).

(Vidéo)

À la vie à la mort !

Henri Roure :
« Je n’avais pas pour Badinter cette admiration que les journalistes de la presse grand public supposent unanime. Je suis cependant reconnaissant à sa mémoire, évoquée dans toute la presse, de me permettre de dire ma pensée sur l’abolition de la peine de mort et de faire quelques digressions sur des sujets voisins.

Une fois encore le pseudo-humanisme ambiant se complaît dans les plus étranges contradictions. »

Lorsque Winston Churchill citait le fondateur de l’Ordre des Illuminati et nous mettait en garde contre les dangers du communisme en 1920

Très loin de la sphère complotiste, Winston S. Churchill parlait implicitement de l’Ordre des Illuminati dans un article très peu ordinaire, publié le 8 février 1920 par l’hebdomadaire britannique Illustrated Sunday Herald, intitulé « Zionism versus Bolshevism: A Struggle for the Soul of the Jewish People » (Le sionisme contre le bolchevisme : Une lutte pour l’âme du peuple juif). Alors qu’il était secrétaire d’État à la Guerre et à l’Air, Churchill commençait son article de cette façon : « Certaines personnes aiment les Juifs et d’autres non ; mais aucun homme réfléchi ne peut douter du fait qu’ils sont sans aucun doute la race la plus redoutable et la plus remarquable qui ait jamais paru au monde. » Il poursuit plus loin en citant Johann Adam (Spartacus) Weishaupt, c’est-à-dire le fondateur de l’Ordre des Illuminati au XVIIIe siècle, ainsi que les conspirateurs les plus connus Marx, Trotsky, Bela Kun, Rosa Luxemburg et Emma Goldman comme faisant partie de la conspiration visant à abattre la civilisation.

Macron parle de la Déclaration des droits de l’homme. Ce n’est pas la Corée du Nord mais…

Plus on vous parle de quelque chose, et moins cette chose existe. C’est une forme d’inversion qui devient systématique, une inversion où les mots perdent leur sens. Les plans de sauvegarde de l’emploi détruisent votre boulot. France Travail s’occupe de ceux qui sont sans travail. Alors, quand Macron parle de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen en s’étant assis dessus au sens premier et littéral du terme lors de sa funeste décision concernant le passe sanitaire il y a de quoi rire.

États unis — Vente et trafic d’organes de fœtus et nouveau-nés, le nouveau scandale de l’avortement

La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’Américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulée par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.

La Ligue de renseignement du cyberespace (CTIL) contre la liberté d’expression

Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

(avec Vidéo 56 min)

Une métapolitique contre l’Antéchrist

Dans le domaine de l’étude des conspirations, on considère que les manœuvres étatiques profondes enveloppées de secret sont la norme — les informations classifiées ne sont évidemment pas documentées ou accessibles à ceux qui n’ont pas d’habilitation de sécurité. Lorsque ces informations sont divulguées, elles sont souvent militarisées par le biais de rencontres limitées et d’opérations psychologiques, de contrôles et de récits contrôlés. D’après ce que nous pouvons savoir, il est difficile de parvenir à une perception unifiée de l’ensemble, notamment en raison de la compartimentation délibérée et du déni plausible qui caractérisent l’art de l’État profond. C’est pourquoi nous nous retrouvons le plus souvent avec une pluralité d’hypothèses fragmentaires. Ceci est particulièrement évident dans le cas de la tromperie COVID. La guerre psychologique peut même atteindre le point de ce que quelqu’un comme Michael Hoffman a appelé la « révélation de la méthode », lorsque la révélation et l’exposition de la vérité sont elles-mêmes utilisées comme un moyen de dissimuler la vérité, de dissuader toute résistance et de rendre ceux qui participent à cette révélation complices de l’opération même qu’ils cherchent à révéler.

Pourquoi laissons-nous Israël et l’Ukraine avoir le dernier mot sur nos décisions ?

Le système d’alliances des États-Unis est souvent qualifié d’empire, et pour cause. Mais il s’agit d’une forme particulière d’empire, dans lequel le centre métropolitain semble dirigé et gouverné par la périphérie. Dans l’idée classique de l’empire, la domination va du haut vers le bas. Ce n’est pas le cas ici.

Cette inversion n’est nulle part plus évidente que dans les relations entre les États-Unis et Israël.

La révolution woke a des conséquences dramatiques

Le mot woke signifie éveillé, c’est-à-dire lucide et alerté face à des gestes ségrégatifs visant des groupes minoritaires. Les personnes considérées comme woke se revendiquent du wokisme. Le mouvement woke germe sur les campus américains et devient un groupe de pression influent. Il traque les racistes, homophobes, sexistes, transphobes, grossophobes, spécistes, ou jugés tels. Il dénonce le passé des pays occidentaux, l’esclavagisme, le racisme, le colonialisme, le sexisme, l’homophobie. Il dévoile les iniquités, les abus qui toucheraient les minorités sexuelles ou raciales. Il appelle à déconstruire l’histoire et la civilisation occidentales, et à promouvoir la véritable égalité.

Les activistes woke insinuent que les Blancs écrasent les Noirs, que les hommes écrasent les femmes, que les hétérosexuels écrasent les homosexuels, que les chrétiens écrasent les musulmans, que les êtres humains écrasent les animaux. La lutte des classes marxiste est transposée à l’ensemble des relations humaines, avec pour finalité, le renversement de l’ordre social et l’anéantissement de la civilisation chrétienne.
L’hystérie idéologique recouvre plusieurs sujets : le transgenrisme, le racisme, le réchauffement climatique, l’homophobie, les inégalités hommes-femmes présumés.

Des faits démontrent les ravages du wokisme dans l’éducation, chez les enfants, dans la société, dans la France chrétienne. Les enfants subissent un lavage de cerveau.

La société non genrée est une société narcissique, manipulée et fascisante

Le narcissisme est la contemplation de soi, l’attention exclusive portée à soi, l’amour exclusif porté à l’image de soi, associant survalorisation de soi et dévalorisation de l’autre.
Le fascisme est un mouvement politique, une organisation qui s’appuie
sur un pouvoir imposé par la force au sein de la classe dominante, ici le règne des médias,
sur la persécution d’une classe ennemie, ici opposants blancs,
sur la répression arbitraire de l’opposition, ici arrestations, jugements, condamnations partiaux,
sur le recours à la violence, ici charges policières, emplois de gaz à l’encontre de manifestants,
sur le contrôle politique extensif de la société civile, ici les Français blancs de souche,
sur un parti unique, ici l’entente et la coopération gauche-centre-droite,
sur un chef nanti de tous les pouvoirs, ici un président qui a laminé tous les autres pouvoirs.
Une pensée unique politiquement correcte et une caste dirigeante acquise à cette pensée, tendent et orientent notre société vers le fascisme.

Par ses caractères, la théorie du genre est le symptôme d’une société narcissique, manipulée et fascisante.

Génétique : Le génome en dissolution

En 2006, 25 généticiens se sont réunis à l’université de Californie à Berkeley pour répondre à cette question apparemment simple : qu’est-ce qu’un gène ? Mais la tentative de définir précisément le concept de base de leur discipline s’est avérée extrêmement difficile. La réunion d’experts a failli tourner au désastre…

La recherche médicale, en particulier, est confrontée à de nouveaux défis. Les premières esquisses montrent que le corps et l’âme, leur santé, leur maladie, leur développement et leur vieillissement sont soumis à une interaction génétique dont la complexité dépasse toutes les conceptions antérieures. Les généticiens doivent abandonner l’image d’un génome stable, dont les modifications sont des exceptions pathologiques. Le génome de chaque individu est en constante transformation. Par conséquent, chaque organisme, chaque être humain, voire chaque cellule du corps, est un univers génétique en soi.

Allemagne : 25 ans d’État hippie

Il y a 25 ans aujourd’hui, le rouge et le vert prenaient le pouvoir en Allemagne. Les conséquences sont connues.

Le 27 octobre 1998, Gerhard Schröder a été élu chancelier. Avec Joschka Fischer comme vice-chancelier, c’était la première fois que les rouges et les verts prenaient le pouvoir ensemble en Allemagne. À bien des égards, Schröder et Fischer ont jeté les bases d’une transformation totale de l’État fédéral sur le plan social, politique, ethnique et, de plus en plus, économique. Angela Merkel, qui s’est complètement mise au vert au fil de sa carrière, n’a pas seulement poursuivi cette politique révolutionnaire sans interruption, elle a également mené cette transformation totale avec une radicalité que l’on n’aurait jamais crue possible auparavant. Notre gouvernement jaune-rouge-vert actuel continue à suivre cette ligne extrême qui date de l’époque Merkel. Depuis 25 ans, l’Allemagne poursuit donc sans interruption une politique idéologique radicale rouge-verte. Il n’est donc pas surprenant que les résultats de ce radicalisme politique soient de plus en plus évidents dans la vie quotidienne des gens.

L’homme et la science moderne ont-ils évolué depuis le Moyen-Âge ?

La théorie virale relève-t-elle de la science ou de la Foi ?

Du temps de l’inquisition, la « Vérité » avec son grand « V », donc incontestable, était uniquement basée sur la Foi et sur des dogmes.
Disons-le franchement, c’était quand même beaucoup plus pratique et bien moins source de controverses.

Le consensus était l’unique voie (ou voix), et quiconque s’en éloignait risquait de terminer brûlé comme hérétique.

Il ne saurait y avoir de « Vérité » avec un grand « V » en science. La vérité relevant uniquement du dogme ou de la foi, qu’elle soit religieuse ou pas.
Une vérité scientifique ne peut exister qu’à la condition qu’elle puisse être fausse (ou réfutée).

À l’inverse, une fausse « science » n’aura jamais tort et toutes les expériences prétendument « scientifiques » n’auront pour seul objet que de confirmer le dogme.
C’est notamment ce qui se vérifie depuis la crise du Covid ou le changement climatique.