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Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Stefan Lanka a critiqué dans de précédents articles les fondements scientifiques de ce qui nous a amenés à la crise que nous vivons actuellement.
Il était décrit en détail les procédés et méthodes utilisés par les virologues pour définir et caractériser un virus, l’histoire de cette science et la manière de la réfuter. Stefan Lanka a commencé ces expériences et a déjà montré un aperçu de la première étape le 21 avril 2021 dans une conférence vidéo.
Ces expériences témoins consistent à appliquer les méthodes utilisées par les virologues sans utiliser de tissus infectieux, pour démontrer que les résultats obtenus avec ou sans tissus infectieux donnent les mêmes résultats pour l’isolation du virus, les images en microscopie électronique et le séquençage génétique.

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

L’idée fausse du virus est au cœur de l’opération Coronavirus, car sans le concept de la théorie des germes et sans l’histoire d’horreur du virus tueur, la plupart des gens n’achèteraient pas le récit officiel de la propagande COVID dirigé par le NOM [Nouvel Ordre Mondial]. Dans un article précédent sur la nature du virus, j’ai discuté des efforts héroïques du virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, qui a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendue jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie

Dans les coulisses, des personnes très intelligentes et ingénieuses ont entrepris de mettre à l’épreuve les méthodes de la virologie. Ces personnes se sont inspirées des travaux du Dr Stefan Lanka et de ses expériences de contrôle réalisées en 2020, qui ont ouvert les yeux de nombreuses personnes sur la fraude en matière de culture cellulaire.

A comme Antivax

Le terme « antivax » existe depuis presque aussi longtemps que les vaccins et est généralement utilisé dans un sens péjoratif. Combien de fois, au cours des trois dernières années, avons-nous vu des personnes par ailleurs bien intentionnées se mettre sur la défensive et s’exclamer : « Je ne suis pas un antivax » ?

De nombreux antivax de la vieille garde ont utilisé des données historiques pour démontrer de manière concluante que les vaccins ne pouvaient pas être la cause de l’importante diminution du nombre de malades et de décès dus à de nombreuses maladies. Aujourd’hui, une nouvelle vague d’antivax, dans la lignée du Dr Stefan Lanka, continue de réfuter non seulement l’existence des virus, mais aussi le concept plus large d’agents pathogènes. Ce raisonnement « en amont » met définitivement à mal la notion de vaccination.

Les vaccins sont exposés sur de multiples fronts à mesure que de plus en plus de gens se rendent compte qu’il s’agit de l’une des plus grandes escroqueries de l’histoire. Le moment est-il venu d’adopter l’étiquette « anti-vax » ?

(Vidéo > 20 min)

À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.

Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.

Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.
C’est l’un des derniers éléments qu’il manquait pour complètement réfuter, méthodiquement, toutes allégations d’un nouveau virus contagieux responsable d’une nouvelle maladie tel que décrit et accepté actuellement.

L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.

L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…)
Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)

La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ».
(Vidéo 8 min)

La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins

Dans cette vidéo sous-titrée Stefan Lanka présente l’avancée de ses travaux sur les expériences témoins qui permettront de réfuter les affirmations des virologues qui affirment avoir découvert le génome du SARS-CoV-2 chez un patient à Wuhan, en démontrant que les méthodes utilisées sont à l’origine des résultats obtenus et qu’il est possible d’obtenir exactement les mêmes résultats à partir de prélèvements humains sains en reproduisant les mêmes méthodes et techniques.
(Vidéo 1 h 10 min)

Le culte de la virologie – Documentaire

“Le culte de la virologie, 150 ans de fraudes médicales de Pasteur au Covid-19” est un documentaire retraçant l’histoire de la théorie des germes jusqu’aux techniques de la virologie moderne.
Sont abordées en détail les méthodes et techniques frauduleuses que les scientifiques ont utilisés pour créer de toutes pièces un scénario d’épidémie catastrophe ayant plongé le monde dans une hystérie massive jamais vue auparavant.
Il est abordé par le biais de différents intervenants tels que le Dr. Stefan Lanka, le Dr. Andrew Kaufman, le Dr. Robert O. Young, le Dr. Thomas Cowan, le nutritionniste Jeff Green et le Dr. Alain Scohy les différentes failles dans le scénario présenté par les médias et experts en tous genre.
L’isolement des virus, les tests PCR, le séquençage nouvelle génération, la bio-informatique, les mutants, la théorie des germes, les processus de contagion, la vaccination et l’origine véritable du fameux “SARS-CoV-2” n’auront plus de secrets pour vous après ce visionnage.
(Vidéo > 2 heures)

Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène.

Armes biologiques ?

La notion de « pathogènes » et « d’armes biologiques » créées grâce à des expériences de « gain de fiction » continue de susciter la peur chez ceux qui ne réalisent pas encore que le concept tout entier est basé sur des prémisses anti-scientifiques. Malheureusement, les histoires sur les « laboratoires biologiques » continuent de susciter des craintes injustifiées et d’agir pour maintenir les gens dans la plantation de la théorie des germes. En conséquence, ils restent piégés dans un faux paradigme et incapables d’apprécier pleinement ce qui rend réellement les gens malades.

Dans cette vidéo, est soulignée une fois de plus l’absence totale de preuves de l’existence des armes biologiques et comment les médias de masse ont ouvertement poussé ces récits fondés sur la peur depuis début 2020 pour aider à soutenir l’industrie de la « pandémie » et tout le mal qui accompagne la biosécurité de l’État de surveillance.

(Vidéo 27 min)

L’escrodémie Covid-19 et SRAS-CoV-2, le virus qui n’a jamais existé

Si vous n’aviez encore rien compris ou si vous aviez raté quelque chose en ce qui concerne les « virus », la « pandémie », le « SRAS-CoV-2 »… bref si vous ne comprenez toujours rien à ce qui se passe, Poornima Wagh reprend tout à zéro et vulgarise le domaine afin que tout le monde puisse suivre.
Occasion unique de rattrapage et à ne pas manquer pour tout comprendre.

(Deux vidéos)
Mise à jour : suite à ces vidéos, Poornima Wagh a été l’objet d’une investigation journalistique sur son cursus et semble avoir menti à ce sujet, ce qui pourrait ruiner malheureusement sa prestation.

« Virus » ? Ou parasites ?

Se basant sur les recherches du Dr. Lee Merritt, Greg Reese nous propose un rapide tour d’horizon sur le lien qui pourrait exister entre parasites et certaines maladies comme la sclérose en plaque voire certains cancers.

(Vidéo < 5 min)

Récompense virale de 1 500 000 euros

1,5 million d’euros offerts pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

Pour l’instant personne n’a touché la récompense.

Pourquoi abandonner la théorie virale

Pourquoi le fait de réaliser que les virus pathogènes n’existent pas est une étape cruciale pour réduire la peur et créer une société meilleure.

(Vidéo < 30 min)

Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

« En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.

UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».

Apprendre du passé

Un analyste va au fond des choses, un critique dénonce un aspect. Une critique qui ne touche pas au fond d’une chose stabilise inévitablement le récit. La fonction de la critique est de stabiliser une construction et de détourner l’attention de l’essentiel. Ici : existe-t-il des virus qui rendent malade ? La peur et la violence de la politique épidémiologique sont-elles justifiées ou s’agit-il de terreur ?

Comme pour le Covid, les critiques du SIDA ont trouvé un écho dans le public et ont détourné l’attention du cœur du problème, à savoir le virus.

Le Cancer revisité

La peur primitive de son propre corps, qui sommeille inconsciemment chez l’être humain depuis des siècles et qui s’est développée au fil de l’histoire, est particulièrement forte lors des diagnostics de cancer. À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.

Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question.

ARNm et dommages causés par les vaccins

Lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.

Essence et motivation de la recherche de nouvelles connaissances

La paix entre les individus, les grands groupes et ce que nous appelons la Nature et la Création. La science est au service des hommes, donc de la paix et de la vie. La biologie nous en donne l’exemple. Sous tous ses aspects. Elle montre tout. Comment la paix et la vie sont possibles. Avec amour. Le dévouement inconditionnel et la résolution pacifique de tous les défis à relever.

En biologie, la violence n’est utilisée qu’à court terme pour préserver sa propre espèce, lorsque les ressources se raréfient de manière inattendue et qu’une autre solution, symbiotique, n’est pas possible. En tant qu’êtres humains et humanité, nous sommes en mesure d’éviter les pénuries, de sorte que chacun peut être sûr de la solidarité de tous les autres s’il devait lui-même se trouver un jour dans le besoin. (…)

Comme nous faisons partie intégrante de la vie, nous n’avons pas de vue d’ensemble. Nous sommes bien avisés de toujours considérer les réponses trouvées comme les secondes meilleures, qui seront complétées ou remplacées par de meilleures. Nous devons donc toujours améliorer nos questions et toujours remettre en question nos résultats et nos découvertes. Croire ou affirmer que l’on a trouvé la vérité est dangereux. Toutes les théories scientifiques de l’histoire de l’humanité sur la vie et la « maladie » se sont révélées fausses ou ont été tellement modifiées qu’elles n’ont plus rien de commun avec les idées initiales. (…)

Bien sûr, il existe des certitudes éternelles de grands maîtres, de poètes doués, de fondateurs de religions, de philosophes, de sociologues, de médecins, de biologistes et de scientifiques. Nous serions bien avisés d’accepter et d’assimiler leurs connaissances. Chaque roue ne demande pas à être réinventée. (…)

Notre science « institutionnalisée » actuelle a du mal à gérer les connaissances qui peuvent être qualifiées de « spirituelles », car « elle » n’admet comme réelles que la matière tangible et les interactions matérielles. Toutes les autres observations, possibilités de réflexion et connaissances qui dépassent les modèles d’explication matériels de la « science » institutionnalisée sont rejetées. (…)

Le génial penseur, historien et sociologue Eugen Rosenstock-Huessy a identifié et publié il y a cent ans un mécanisme très simple expliquant pourquoi la science établie, c’est-à-dire institutionnalisée, devient AUTOMATIQUEMENT et inévitablement une pseudo-science.

Les folies de Peter McCullough

Le Dr Peter McCullough est un héros pour de nombreux membres de la communauté de la liberté médicale et a été l’une des voix les plus importantes dans la lutte contre les vaccins COVID.

Cependant, le Dr Mark Bailey et le Dr Kevin Corbett, vétéran de la lutte contre les virus, commentent et réfutent en détail les affirmations du Dr McCullough relatives aux « virus ». Il s’agit d’une question vitale, car ces affirmations maintiennent les gens dans le piège non seulement de l’illusion virale, mais aussi du paradigme allopathique au sens large.

(Vidéo 1 h 5)

« Je ne me tairai pas »

Ce film est une incitation à remettre en question des choses qui nous sont présentées comme des faits depuis près de quarante ans.

(Vidéo 1 h 20)

500 millions

Documentaire.

Franc-maçonnerie, assassinat de Kennedy, 11 septembre, Apollo 11, guerre mondiale, Khazars… Tous ces événements ou éléments ont un point commun. Devinez lequel.

(Vidéos)

[Mise à jour : pour voir correctement les vidéos.]

Dr Sam Bailey — Virologie en fuite — Marvin gagne au tribunal

Sam Bailey :
« La dernière fois que j’ai interviewé Marvin Haberland, c’était en octobre 2022, alors qu’il contestait une amende infligée par un tribunal allemand. Il avait délibérément enfreint la législation “corona” pour dénoncer la nature frauduleuse de la virologie. Il a fait valoir que, la virologie ne suivant pas la méthode scientifique, les amendes imposées en vertu de la législation allemande sur les maladies infectieuses étaient illégales.
Marvin est finalement passé devant le tribunal le 26 avril 2023. Écoutez ce qui s’est passé et ce qui pourrait se passer ensuite, alors que la virologie déraille… »

Vidéo 40 min)