La perte de l’âme du monde

[Source : words.mattiasdesmet.org]

Par Mattias Desmet

À la mi-avril, je traversais un aéroport en Lituanie et j’ai fait la queue à un café. Lorsque la file d’attente s’est enfin dégagée et que j’ai atteint la caisse, j’ai regardé dans les yeux d’une jeune femme, âgée d’environ 17 ans, je pense. Ces yeux me fixaient, attendant immobile ma commande.

J’ai hésité un instant, puis j’ai brisé la surface impénétrable de ces yeux avec mes mots. « Un chai latte, s’il vous plaît, de préférence avec du lait d’avoine et de la cannelle, si vous en avez ». Elle a tapé sur le clavier de son ordinateur, les doigts tendus, puis a relevé la tête et rencontré à nouveau mon regard pendant quelques instants. Comme je n’avais plus rien à dire, elle a tapé plusieurs fois sur son clavier, ni vite ni lentement, et m’a tendu le ticket de caisse. « Puis-je payer en liquide ? » « Non. » Elle a fait glisser vers moi un petit terminal de paiement. Je l’ai scanné et j’ai entré mon code. Et elle a dirigé ses yeux immobiles comme les lentilles d’une caméra de surveillance vers la personne suivante dans la file d’attente.

À la table où j’ai attendu que les chiffres en néon rouge sur le panneau au-dessus du comptoir annoncent que mon chai latte était prêt, j’ai sombré dans la contemplation. Cette jeune femme, elle n’était ni polie ni impolie, elle ne cherchait ni à se faire remarquer ni à se cacher, elle n’était ni grossière, ni aimable, ni rapide, ni lente. Mais qu’était-elle ? Neutre peut-être ? Technique et sèche ? Elle bougeait et agissait comme une machine ; son âme s’était retirée dans les profondeurs insondables de ses cellules. Désâmée1 ! C’est le mot qui a cherché à naître dans mes pensées.

Et ce mot a fait surgir du brouillard de ma mémoire toute une série de figures qui m’avaient toutes fait la même impression ces derniers temps : des êtres rivés à l’écran de leur smartphone dans les trams et les trains, des gens qui ne répondent à mon salut spontané dans la rue que par un regard creux, des êtres pour qui la plaisanterie et le sérieux sont trop lourds, des êtres qui n’offrent de fondement ni à la colère ni à l’amour.

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L’âme se retire du monde. Ce phénomène est lié à notre vision rationaliste du monde. Au cours des derniers siècles, nous en sommes venus à considérer les humains comme des « organismes » sans âme, et ils se comportent de plus en plus comme tels.

« L’univers est une machine — un ensemble de particules élémentaires qui suivent les lois de la mécanique sans aucune place pour la contestation ou la frivolité. Et les humains sont de petites machines prises dans la grande machine. Ils n’ont ni âme ni esprit ; leur conscience est un sous-produit insignifiant des processus bioélectriques de leur cerveau. »

Yuval Noah Harari est peut-être aujourd’hui le prophète littéraire le plus connu de la vision mécaniste de l’Humanité. Dans son méga-best-seller Homo Deus, il pousse cette pensée jusqu’à ses conséquences extrêmes : les humains sont des robots ; chaque comportement physique et mental est le résultat de processus mécaniques ; ils n’ont pas de libre arbitre, ne font pas de choix et, par conséquent, ne peuvent assumer aucune responsabilité :

« Au XIXe siècle, l’Homo sapiens était comme une mystérieuse boîte noire dont le fonctionnement interne nous échappait. Ainsi, lorsque les chercheurs se demandaient pourquoi un homme sortait un couteau et en poignardait un autre à mort, une réponse acceptable était : « Parce qu’il l’a choisi. Il a utilisé son libre arbitre pour choisir le meurtre, et c’est pourquoi il est entièrement responsable de son crime. » Au cours du siècle dernier, en ouvrant la boîte noire de Sapiens, les scientifiques n’ont découvert ni âme, ni libre arbitre, ni « moi », mais seulement des gènes, des hormones et des neurones qui obéissent aux mêmes lois physiques et chimiques que celles qui régissent le reste de la réalité. Aujourd’hui, lorsque des chercheurs demandent pourquoi un homme a sorti un couteau et poignardé quelqu’un à mort, la réponse « Parce qu’il l’a choisi » ne suffit pas. Les généticiens et les spécialistes du cerveau fournissent une réponse beaucoup plus détaillée : « Il l’a fait en raison de tels ou tels processus électrochimiques dans le cerveau, qui ont été façonnés par un patrimoine génétique particulier, lequel reflète à son tour d’anciennes pressions évolutives couplées à des mutations fortuites. »

(Homo Deus, pp. 328-329).

Dans le cadre de la pensée mécaniste, il n’est pas considéré comme une mauvaise chose d’envisager l’univers comme une machine. La grande machine qu’est l’univers peut être entièrement comprise, prédite et manipulée rationnellement (voir, par exemple, Laplace). Les humains peuvent prendre le contrôle de leur propre vie grâce à la raison. Ils imprimeront de la nourriture en laboratoire et laisseront le fardeau de la grossesse aux utérus artificiels. Ils iront sur Mars et contrôleront l’ensoleillement et la pluie. Et ils peuvent se perfectionner, en éliminant définitivement les défauts et les insuffisances de la condition humaine.

Le moment où les humains se perfectionneront est imminent — Harari sent ce moment approcher :

« Les expériences réalisées sur l’Homo sapiens indiquent que, comme les rats, les humains peuvent être manipulés et qu’il est possible de créer ou d’annihiler des sentiments complexes tels que l’amour, la colère, la peur et la dépression en stimulant les bons endroits du cerveau humain. L’armée américaine a récemment lancé des expériences d’implantation de puces informatiques dans le cerveau de personnes, dans l’espoir d’utiliser cette méthode pour traiter les soldats souffrant de stress post-traumatique. À l’hôpital Hadassah de Jérusalem, des médecins ont mis au point un nouveau traitement pour les patients souffrant de dépression aiguë. Ils implantent des électrodes dans le cerveau du patient et les relient à un minuscule ordinateur implanté dans la poitrine du patient. Sur commande de l’ordinateur, les électrodes transmettent de faibles courants électriques qui paralysent la zone du cerveau responsable de la dépression. Le traitement ne réussit pas toujours, mais dans certains cas, les patients ont rapporté que le sentiment de vide obscur qui les avait tourmentés tout au long de leur vie avait disparu comme par magie. »

(Homo Deus, p.334).

Si nous comprenons suffisamment bien l’homme-machine, l’ingénieur-médecin sera capable d’éliminer tout dysfonctionnement — c’est en gros le message du transhumanisme. La maladie et la souffrance appartiendront au passé. Et finalement, même la mort cédera à la lumière de la Raison. Yuval Noah Harari le dit sans équivoque :

« En réalité, les humains ne meurent pas parce qu’un personnage vêtu d’une cape noire leur tape sur l’épaule, ou parce que Dieu l’a décrété, ou parce que la mortalité est une partie essentielle d’un grand plan cosmique : les humains meurent toujours à cause d’un problème technique. »

(Harari, Homo Deus, p.25).

« Et chaque problème technique a une solution technique. Nous n’avons pas besoin d’attendre le second avènement pour vaincre la mort. »

(Harari, Homo Deus, p.26).

« Les ambitions du rationalisme vont très haut, jusqu’au ciel. Le rationaliste a déclaré que le trône de Dieu était vide, puis il s’y est assis lui-même. Lorsque la compréhension rationnelle de l’univers-machine et de l’homme-machine est suffisamment avancée, les humains peuvent se rendre surhumains — les humains peuvent devenir Dieu. Au XXIe siècle, le troisième grand projet consistera pour nous à créer des pouvoirs divins de création et de destruction et à transformer l’Homo sapiens en Homo Deus. »

(Harari, p.53).

L’Homo Deus se profile à l’horizon, l’Homme qui, en fusionnant avec la technologie, peut devenir Dieu. Les yeux, les oreilles et les nez artificiels fourniront à l’homme des informations beaucoup plus précises et étendues que celles obtenues par les sens naturels. Ils seront capables de sentir comme un chien, d’avoir littéralement des yeux à l’arrière de la tête et d’entendre ce qui se dit à des kilomètres de distance.

Et ne croyez pas que cette idéologie transhumaniste se limite au domaine des fantasmes et des grands projets idéologiques des écrivains et des philosophes. Au cours des soixante-dix dernières années, les gouvernements ont élaboré des projets concrets pour concrétiser cette idéologie. Des projets comme Neuralink d’Elon Musk aux programmes « Neurowarfare » de la DARPA, ils tentent fébrilement de réaliser le grand rêve transhumaniste.

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Le rationalisme promet d’amener l’Humanité au paradis, mais jusqu’à présent, il n’y est pas parvenu. L’air du 21e siècle est constamment saturé d’un sentiment de crise. La guerre contre le terrorisme, la crise bancaire, la crise climatique, la crise MeToo, la crise Covid, la crise ukrainienne — l’écho tonitruant d’une crise résonne encore lorsque l’éclair de la crise suivante frappe à nouveau la structure fragile de la société.

D’une certaine manière, les grandes crises sociales du 21e siècle reflètent toutes un problème dans les relations dans lesquelles les humains sont pris : elles proviennent toutes de relations problématiques et défaillantes entre les humains et les institutions (crise bancaire), entre les humains et leurs semblables (guerre contre le terrorisme), entre les hommes et les femmes (crise MeToo), entre les humains et la nature (crise climatique).

Dans un premier temps, le rationalisme lui-même tente d’apporter une solution aux problèmes qu’il engendre. La solution proposée aux problèmes d’identité sexuelle est un ajustement mécanico-chirurgical du corps ; la solution à la menace terroriste est l’État de surveillance ; la solution à l’impact nuisible de l’homme sur la nature est la numérisation des « villes de cinq minutes » où les humains vivent dans de petites unités d’habitation et ne s’éloignent jamais de plus de quelques kilomètres de leur domicile, des voitures électriques hypertechnologiques que l’État peut allumer et éteindre à volonté, une forêt d’éoliennes et des plaines de panneaux solaires. Et si cela ne marche pas — tout le monde sait d’ailleurs que cela ne marchera pas — nous passerons à l’explosion de bombes au nitrate dans l’atmosphère et à l’installation de miroirs manipulables entre la Terre et le Soleil.

[NDLR Selon la dialectique hégélienne Problème-Réaction-Solution2, il est en réalité plus probable que les problèmes évoqués ici soient intentionnellement produits, ceci pour aboutir au final à la dystopie totalitaire absolue du Nouvel Ordre Mondial : tous surveillés, fichés, contrôlés, pucés (vaxinés), déshumanisés (transhumanisés) ; la transformation de l’Homme en machine lui retire automatiquement son âme3, et le vaxin nanotechnologique à prétendu ARNm pressenti par Steiner contribuerait d’ailleurs au retrait de l’âme du corps4.]

Plus la vision rationaliste échoue, plus elle revendique désespérément la vérité. À chaque nouvelle crise, les représentants du récit dominant — les grands médias, les gouvernements nationaux, les institutions mondiales — réagissent en renforçant la censure. Des armées de vérificateurs de faits et de « premiers intervenants numériques » parcourent l’Internet à la recherche de toute voix discordante. Les algorithmes ralentissent la diffusion de toute voix discordante sur les médias sociaux. Des millions de messages, même émanant de personnes qui ont récemment acquis une renommée mondiale en remportant des prix scientifiques prestigieux, sont supprimés de l’Internet.

Ces « ambassadeurs de la vérité » restent remarquablement impassibles lorsqu’il s’avère plus tard que l’histoire qu’ils ont défendue sans esprit critique était erronée. La crise de la Covid l’a abondamment démontré. Presque tous les éléments du récit dominant se sont révélés faux : le virus a été créé en laboratoire au lieu d’être issu d’une zoonose5 ; la mortalité du virus était au moins dix fois inférieure à ce qui avait été annoncé ; le vaccin n’a pas empêché la propagation du virus et a eu beaucoup plus d’effets secondaires que ce qui avait été suggéré, et ainsi de suite.

La réaction de la population lorsque les mensonges sont révélés est particulièrement étonnante. Hannah Arendt s’exprime ainsi :

« Les dirigeants totalitaires de masse ont fondé leur propagande sur l’hypothèse psychologique correcte selon laquelle, dans de telles conditions, on peut faire croire aux gens les déclarations les plus fantastiques un jour et croire que si le lendemain on leur donne la preuve irréfutable de leur fausseté, ils se réfugieront dans le cynisme ; au lieu de déserter les dirigeants qui leur ont menti, ils protesteront qu’ils savaient depuis toujours que la déclaration était un mensonge et admireront les dirigeants pour leur intelligence tactique supérieure. »

(Les origines du totalitarisme, p. 382).

Il s’agit là d’un fait remarquable : la poursuite zélée d’une « information correcte » et d’une « politique fondée sur la science » aboutit à l’inverse : une société qui tombe dans des absurdités croissantes. Au sein du groupe qui suit le récit dominant, les gens commencent à croire que la Terre bascule parce que nous pompons trop d’eau et qu’il n’y a pas de différence biologique (et psychologique) entre un homme et une femme.

À l’autre extrémité du spectre sociopsychologique, dans le groupe de personnes qui résistent au discours dominant, de plus en plus de gens croient que la Terre est plate et qu’un torse reptilien se cache sous les chemises blanches de l’élite. Le problème mondial est de plus en plus considéré de manière unilatérale et simpliste comme le problème d’une élite malveillante et satanique.6

Aux deux extrêmes polaires, les mêmes processus psychologiques sont finalement à l’œuvre : une personne fatiguée et solitaire, dont la vie semble de plus en plus vide et dépourvue de sens, tente de contrôler ses sentiments et ses affects en attribuant la cause de toutes les peurs et de tous les problèmes à un seul petit point. Le camp « mainstream » projette tout le mal sur les anti-vaxeurs et les théoriciens du complot ; le « contre-mouvement » localise tout le mal dans « l’élite malveillante ».7

Une constante des deux côtés est que le mal est d’abord projeté à l’extérieur de soi8. Dans cette mesure, on ne peut que tomber dans l’agressivité et l’impuissance. Le moyen de sortir de cette impuissance n’est pas d’atténuer la lumière du soleil à l’aide de miroirs contrôlables technologiquement dans l’espace ou de faire exploser des bombes au nitrate dans la stratosphère ; notre peur des attaques terroristes ne disparaîtra pas en introduisant un État de surveillance, la haine raciale ne disparaîtra pas en réécrivant les livres d’histoire, la pulsion sexuelle ne deviendra pas moins problématique grâce à l’idéologie woke, et les maladies ne seront pas prévenues par des vaccins à ARNm et des nanotechnologies dans le sang.

Et le moyen de sortir de l’impuissance n’est pas non plus un soulèvement violent contre l’élite. L’élite est le miroir de la population. Elle fait partie du même organisme global. Tant que la vision de l’Humanité et du monde ne changera pas, la population créera toujours la même élite. La principale conclusion est la suivante : la vision rationaliste du monde a fait son temps.

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Il y a quelques centaines d’années, les gens ont commencé à croire que la pensée rationnelle conduirait à la Vérité. Mais sur ce chemin, c’est la tromperie qui a le plus souvent prévalu. D’une certaine manière, il s’agit simplement d’une conséquence de notre vision rationaliste et mécaniste de l’homme et du monde.

« L’homme est une machine prise dans la grande machine de l’univers ; son but suprême est de s’imposer dans la lutte pour la survie. Pourquoi une telle machine de survie essaierait-elle de dire la vérité ? Les Grecs anciens le savaient déjà : dire la vérité est toujours risqué. Cela réduit vos chances de succès dans le jeu de la survie. Pour une personne rationaliste, la conclusion est vite tirée : seuls les idiots disent la vérité ».

Ainsi, la croyance fanatique en la « rationalité » a étranglé la Vérité. Dans la population. Et dans l’élite. Toute cette quête de rationalité a conduit à ce que j’appelle « le voile de l’apparence » qui est devenu de plus en plus épais et impénétrable dans notre société. Le voile de l’apparence a toujours existé, mais il s’est excessivement développé au cours des derniers siècles. Il devient plus épais que jamais. Nous vivons à l’ère de la propagande et de la manipulation à grande échelle. Les moteurs de recherche comme Google ont d’abord été financés par l’État américain. Et cela pouvait coûter des sommes énormes. Pourquoi un moteur de recherche est-il si intéressant pour l’État ? Parce qu’il est extrêmement utile en tant qu’instrument de propagande.

La propagande tente d’orienter les processus mentaux. Elle veille à ce que l’attention se porte sur une chose et non sur une autre. C’est ce que fait Google. Chaque fois que vous cherchez dans votre vie mentale et que vous donnez une requête à Google, le moteur de recherche vous oriente dans une direction selon un algorithme établi par l’État et vous éloigne d’une autre direction. De nombreuses applications bien connues sur l’Internet sont des instruments de propagande camouflés.

Et cela ne s’arrête pas là. Un exemple : en 2020, les Nations unies ont recruté pas moins de 110 000 « digital first responders »9. Ces personnes ont une mission : discréditer toute personne censée diffuser des « fake news » (fausses nouvelles). Et ces fake news sont définies comme « tout ce qui va à l’encontre de l’idéologie de l’ONU ». L’ONU n’est pas la seule à recruter de tels collaborateurs. Presque toutes les grandes institutions mondiales le font. Chaque jour, des centaines de milliers de personnes s’activent sur Internet pour tenter d’influencer votre opinion en présentant artificiellement certaines opinions comme populaires et « justes » et d’autres comme répréhensibles et erronées.

Les techniques de propagande du 21e siècle sont d’une ampleur tout à fait étonnante. Elles vont du recrutement artificiel d’une foule virtuelle ou réelle (« rent a crowd »10, une forme d’« astroturfing »11) pour donner aux opinions préférées une aura de popularité attrayante à l’action exactement inverse en ralentissant les « likes »12 sur les médias sociaux (« shadowbanning »13) pour faire apparaître les opinions indésirables comme impopulaires et donc inintéressantes.

La question de savoir ce qui est réel et ce qui est apparence devient encore plus floue avec l’essor spectaculaire de l’intelligence artificielle. Faux profils sur l’Internet, chatbots qui se distinguent à peine des personnes réelles lors des conversations, photos artificielles et vidéos profondément truquées — le monde de l’apparence devient de plus en plus difficile à distinguer du monde réel. Ainsi, l’homme du XXIe siècle disparaît dans une galerie des Glaces numérique où l’image réelle et l’image virtuelle se distinguent à peine l’une de l’autre. Et il s’y déplace comme une marionnette sur les fils algorithmiques de maîtres dont il ne voit jamais les yeux. C’est la grande question de l’avenir proche : qui est le maître dans cette salle ? Et comment en sortir ? Cette question se résume à ceci : qu’est-ce que la vérité ?

Où est le point faible dans l’armure du moloch qui tient la condition humaine sous son emprise ? Pour sortir de la captivité des apparences, il faut, en toute logique et dans une certaine perspective, revaloriser un acte que l’homme pouvait accomplir autour des feux de camp de la préhistoire : l’acte de dire la vérité. Cet acte est à la fois la solution à la crise individuelle et à la crise collective dans laquelle se trouve la société.

C’est sur ce point que nous devons porter notre attention : l’art de bien parler constitue le remède logique d’une société malade de ce nouveau type de mensonge que l’on appelle la propagande. Nous vivons une révolution métaphysique, comparable à celle qui a conduit au siècle des Lumières. Cette révolution se résume essentiellement à ceci : une société dirigée par une masse propagandisée est remplacée par une société dirigée par un groupe de personnes reliées entre elles par un discours sincère.

En un sens, cette révolution transforme également les déséquilibres créés par le rationalisme ; elle les transforme à nouveau en relations. Le parler sincère est un parler en résonance — il relie l’âme de l’Homme au monde extérieur ; il rétablit le lien avec ses semblables, son propre corps, ses propres pulsions, la société et la nature. C’est une question importante à notre époque : quelle est la psychologie de l’acte de bien parler ? Quelles sont les différentes façons d’utiliser les mots, et quelle forme d’expression peut percer le voile de l’apparence et inspirer les gens à une époque où ils étouffent sous la manipulation et l’apparence ? Comment maîtriser l’art de la bonne parole ?

[Voir, notamment sur la Vérité :
Chasser les marchands du Temple – Ce qu’est l’Amour]





Mondialisme et Sacrifice

[Source : arcaluinoe.info]

Par Sylvain Durain

Chers amis,

C’est un plaisir et un honneur de pouvoir m’exprimer devant vous aujourd’hui, lors de ce Congrès. Malgré mon absence physique, soyez assurés de ma présence spirituelle à vos côtés. Je tiens à remercier les organisateurs de cet événement majeur et en particulier Iurie Roșca pour son invitation. J’espère être des vôtres pour une prochaine session de ce Forum, qui travaille pour le maintien et la survie de notre civilisation si précieuse et si malmenée.

Pour cela, il faut connaître en profondeur les principes de nos ennemis et des grands mouvements qui se mettent en place.

J’aimerais donc vous parler d’un sujet que je connais bien et sur lequel je travaille depuis plus d’une décennie qui est celui du retour du sacrifice humain, en lien avec le Mondialisme. En analysant cette thématique, une idée-force s’est imposée à moi : le mondialisme se base sur le concept de la régénération du monde. Idée présente dans la kabbale avec les Sephirot, dans l’islam par le tawhid qui oblige à une vision moniste du monde. Cette conception est de retour de manière faussement laïcisée chez nos dirigeants, qu’ils soient dans les différents gouvernements ou à Davos. Il faut que l’Ancien Monde meure pour accoucher enfin du nouveau.

Ce monde, étant pour eux imparfait, fait face à des crises qui créent du désordre. Ce désordre n’est en soi pas mauvais puisqu’il permettra, in fine, la création et l’avènement d’un nouvel ordre. C’est le noyau, c’est le cœur nucléaire de la pensée mondialiste ici résumé en quelques mots. L’ordo ab chaos, grande idée ésotérique, nous dirige aujourd’hui. Les termes de « Great Reset », ou de « Grande réinitialisation », ne sont rien d’autre que des actualisations de ce concept.

Je vous propose trois parties pour illustrer mes propos. D’abord, le progressisme perçu comme un retour en arrière. Ensuite, la guerre comme sacrifice sanglant. Enfin, la grande réinitialisation mondiale comme projet final de la modernité.

Le progressisme, un retour en arrière

L’idée du progrès n’est pas nouvelle, et n’est d’ailleurs pas négative en soi. En effet, le christianisme, fondation de notre civilisation, nous permet une sortie du monde archaïque en nous donnant un libre arbitre qui, s’il est bien utilisé, permet une forme de progrès dans nos vies. Ainsi, la médecine, la science, la technique, toutes les grandes avancées humaines positives sont le fruit de cette idée.

Mais ce n’est plus cette idée du progrès positif qui nous est imposée. C’est celle du progressisme matériel et idéologique dans un but messianique de l’homme nouveau. Si la Révolution française exigeait la rupture des liens avec le Ciel, avec Dieu, la révolution actuelle, via le transhumanisme, exige la rupture avec nos liens biologiques. En clair, tout doit disparaître, les hommes, les femmes, les parents, les enfants, rien n’existe en dehors de notre désir. Nous sommes devenus, selon les chantres de ces mouvements, des hommes-dieux. Tels des nouveaux Adam individuels et narcissiques, nous pourrions ainsi donner vie à ce que nous désirons, simplement en le nommant.

Ce désir est également une clé pour comprendre le Mondialisme. Je n’ai pas le temps de rentrer dans les détails, je ne prendrai qu’un seul exemple : les transitions de genre. Cette folie est, je n’ai pas peur des mots et je le crierai aussi longtemps que Dieu me prêtera vie, un sacrifice humain moderne. Selon la logique aristotélicienne, un être est en état de puissance avant d’être en acte. Ici, un jeune enfant de sexe masculin est un homme en puissance, il le sera en acte après sa pureté. En bloquant son développement, la société, que je n’ai pas peur de qualifier ici de satanique, détruit l’acte avant ce développement. L’avenir est empêché, c’est un avortement nouveau, hors du corps de la femme, qui détruit le corps de l’enfant déjà né. C’est ce désir de mort qui est induit dans le cerveau de nos jeunes. Le désir étant mimétique, il est très dangereux de manipuler ainsi la jeunesse de nos nations si fragiles.

Dans le monde archaïque, les sacrifices humains avaient lieu après ce que René Girard a nommé des crises sacrificielles. Dans ce monde préchrétien, basé sur l’ordo ab chaos, se produisait une indifférenciation généralisée et la fin des hiérarchies naturelles. Ainsi, le désir mimétique se propageait dans la communauté, chacun voulant l’objet du pouvoir, la même femme, le même destin. Pour sortir de ce chaos, on désignait un bouc-émissaire, nous passions alors d’une guerre du tous contre tous à une guerre du tous contre un. Ce bouc-émissaire était ensuite déifié, jusqu’au retour d’un prochain chaos dans une vision cyclique de l’histoire l’humanité qui ont donné les mythes de l’antiquité.

Mais, de nos jours, rien n’a changé. Ou plutôt, tout est de retour. Aujourd’hui, l’indifférenciation est totale, les hiérarchies sont tombées. L’homme est indifférencié à la femme, les enfants sont indifférenciés aux parents, idem pour les professeurs et les élèves. Plus grave encore, l’individu est indifférencié à Dieu, chacun se fabriquant sa petite religion individuelle. Rendez-vous compte cher amis, aujourd’hui en France, 49 % des catholiques ne croient plus au paradis, 64 % d’entre eux ne croient même plus à l’enfer. Près de 20 % des Français se disent sans religion, 7 % de ces Français croient en un dieu personnel. La transcendance est niée, seule l’immanence est sur un piédestal dangereux.

Contrairement au projet des Lumières, la sécularisation de l’Europe de l’Ouest se termine, nous en verrons la fin. Elle n’aura été, in fine, qu’un mouvement profondément anticatholique tant les sectes de tout poil fleurissent et prospèrent. Les protestants, l’islam pour l’Europe, le judaïsme radical pour Israël, c’est encore une fois la force de la démographie qui fait loi. Dans 25 ans, l’Europe sera à nouveau un continent religieux, mais à quel prix. La montée de religions basées sur l’absence du sacrifice de Dieu n’aura qu’une conséquence logique : le retour du sacrifice humain. Si Dieu ne se sacrifie plus pour les hommes, les hommes se sacrifieront pour de faux dieux. L’inauguration du tunnel de Saint Gothard, en Suisse, est une belle illustration du retour des religions archaïques et de la violence qu’elles sous-tendent.1

En attendant, ce sont des nouvelles religions primitives qui reviennent. Je pense ici au mythe de Gaïa, la déesse mère, qui serait en danger de mort à cause de ces mauvais fils : nous les hommes. Cette mère toute puissante exige alors des sacrifices, les hommes blancs catholiques doivent disparaître, ils seraient le cancer de la Terre qui souffre. Cette religion, à travers des figures comme Greta Tunberg, amène la jeunesse dans la pire des voies. Celle de la mort. On rejette son rôle biologique en refusant de donner la vie, en refusant de se marier, en refusant de se soumettre aux bases de la Loi Naturelle. Rendez-vous compte, 30 000 vasectomies ont été pratiquées en 2022 contre seulement 2000 en 2010 en France. En 10 ans, la religion gaïatique, à travers ce que j’ai nommé un matriarcat sacrificiel, a détruit la psyché de la jeunesse européenne et a permis un « grand remplacement sacrificiel » qu’il faudrait combattre. La nature ayant horreur du vide, ce qui est faible est remplacé par ce qui est fort.

Les innocents, comme dans les religions archaïques, sont les premiers touchés. La montée des dérives pédocriminelles, l’avortement généralisé et même désormais inscrit dans la Constitution de la République française, mais aussi les enfants français qui se font assassiner par des étrangers récidivistes, la pauvre Lola victime visiblement d’un sacrifice rituel maghrébin. Rien ne nous est épargné, rien n’est épargné à notre avenir qu’incarne notre jeunesse.

Ainsi, nous le voyons bien chers amis, le progressisme n’est pas le progrès, mais il est un gigantesque retour en arrière, les moyens techniques en plus. Ce retour est celui qui nous ramène aux pratiques primitives des désignations de bouc-émissaires et des pratiques de sacrifices humains. La grande différence, nous sommes tous des boucs-émissaires potentiels, nous sommes tous livrés au Moloch mondialiste, et tout ceci pour un soit-disant « Bien ».

Ce qui se cache derrière le mal nommé « wokisme », c’est tout ceci. La mort du corps, la haine du corps même, car la haine de l’Incarnation. En effet, dès les premiers temps de lutte contre le Christ, le corps était désigné comme l’ennemi du bien. Dieu s’étant incarné en homme, par l’union hypostatique, Satan, dans sa jalousie, s’agite pour combattre le corps humain préféré par Dieu. C’est le grand projet de toutes les gnoses, le corps est une prison de laquelle il nous faut nous échapper pour nous libérer.

La guerre comme sacrifice sanglant

La guerre est désormais partout. A nos portes, à tous les coins de rue, en Ukraine, en Asie Mineure, en Afrique, partout. Ces guerres ont aussi un lien avec le retour du sacrifice humain. En effet, elles prennent leurs sources dans la Révolution française, encore elle, mère de tous les maux modernes. Rappelons, rapidement, les tenants sacrificiels de cette étape majeure du Mondialisme. La mort du Roi de France, alors considéré comme le Lieutenant du Christ, c’est-à-dire comme celui tenant place matérielle au vrai Roi de France, le Christ lui-même, est un sacrifice rituel. Le sang du Christ, ici encore dans une vision satanique du monde, coule à nouveau et renouvelle le monde. Les révolutionnaires, en agissant de la sorte, réouvre une époque de cycles dirigés par l’ordo ab chaos. Après le Roi, devait suivre le peuple. Ce que l’on a nommé la Terreur est la suite logique avec le sacrifice de centaines de milliers d’enfants innocents, de femmes, de curés, de gens du peuple. Il faut renouveler le peuple pour le renouveler le monde.

La montée aux extrêmes dont parlait Clausewitz est en réalité une conséquence du désir mimétique, encore lui. Ce mimétisme, au cœur de notre humanité, est une chance, car il permet d’imiter Dieu à travers le Christ et viser ainsi à la sainteté. Mais le monde moderne met tout en place pour créer un désir biaisé, un mimétisme négatif.

Le cas du 7 octobre en est une belle et funeste illustration. Le crime de guerre du Hamas, possiblement largement permis par le pouvoir israélien, montre comment ce mimétisme, quand il est allié à une spiritualité, mène aux pires horreurs humaines. Netanyahu cite ainsi « la prophétie d’Isaïe » pour sa vengeance inhumaine. Là encore, régénérer le peuple à des fins messianiques, dans un silence diplomatique assourdissant. Des centaines de milliers de morts, en majorité des enfants.

À ce titre, rappelons que la guerre industrialisée de 1914-1918 a, quelque part, sanctifié la République. Le sang du peuple a coulé pour la déesse républicaine, elle a trouvé ses héros et assis alors sa légitimité dans l’histoire. Le sang des Ukrainiens a-t-il pour objet de sanctifier l’OTAN, en mal de reconnaissance et dont on annonçait la mort depuis de nombreuses années ? Ce serait aux dirigeants de répondre.

La grande réinitialisation mondiale comme projet final de la modernité

Nous le voyons, chers amis, le projet de grande réinitialisation mondiale n’est qu’une étape supplémentaire du grand projet satanique de régénération révolutionnaire des peuples. En économie, pour le grand manitou du Forum Économique Mondial, ce sont les mêmes principes qui dirigent. Basé sur l’économiste Joseph Schumpeter, c’est l’idée de la création destructrice2 qui est promue. En effet, les petits commerces, les indépendants, les entreprises familiales, toutes ces

édifications du travail populaire ne rentrent pas dans les bonnes cases, il faut donc les faire disparaître. Pas d’inquiétude nous dit Klaus Schwab, une économie détruite créera automatiquement une économie nouvelle grâce au numérique et aux nouvelles technologies. C’est la fameuse nouvelle révolution de l’ère post-moderne dont Laurent Alexandre nous vante également les mérites. Tout ce qui est incarné doit disparaître, tout doit devenir mouvant, virtuel, impalpable. Encore une fois il faut détruire pour reconstruire.

Notre corps, en analogie avec notre monde imparfait, n’est qu’une prison. Quelle mauvaise création que celle de Dieu pour les transhumanistes, car nous allons mourir un jour ! Implant de puces, connexion de la conscience à des interfaces numériques, c’est le projet final de la modernité, celui qui nous fera enfin changer d’époque. Après avoir détruit l’espace et le temps, la biologie et la transcendance, nous serions enfin heureux, pour le « Bien » de « l’Humanité », dans une sorte de Matrix ultra technologique. Notre corps, inutile, sera détruit et notre esprit pourra ainsi vaguer à des occupations éternelles dans le néant. Ce serait alors la victoire du Chaos sur l’Ordo, la fin du cycle infernal, mais surtout une victoire de la Mort sur la Vie.

La vie éternelle, dans le christianisme, existe bel et bien, mais se trouve aux antipodes de cela. Ces projets transhumanistes sont des singeries du projet divin. Notre âme est éternelle oui, mais est vouée, en finalité, à retourner au Créateur, à retourner à Dieu après l’expérience humaine. Il n’y a que Dieu qui crée ex nihilo, l’homme n’est qu’une créature et ne sera jamais le créateur d’un nouveau dieu. Ni lui, ni la machine, ni une version hybride ne pourront égaler Dieu. Comme me le répétait mon regretté ami Jacques Carbou, auteur du livre La Mécanisation de l’esprit3, « restons optimistes, ils ne peuvent rien contre le Ciel. »

Mon temps est compté, j’aurais eu mille choses à vous dire, mais je me dois de conclure. Si une idée devait rester de mon intervention, je vous demande de garder celle-ci à l’esprit : le sacrifice humain est de retour, car nous ne pratiquons plus la sainte messe, dans laquelle le Christ se sacrifie à nouveau, de manière non sanglante, dans le renouvellement de son Sacrifice sanglant. Derrière ces attaques, c’est donc le Christ qui est visé, comme toujours, Lui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie. Sa Passion doit inspirer notre combat et notre persévérance. Chers amis, maintenons le cap, et poursuivons notre travail. Je vous adresse, à tous, l’expression de toute ma considération. En union de prières.







Guerres, réinitialisations et criminocratie mondiale — par Paul Cudenec

[Source : arcaluinoe.info]

[Mise à jour : notes de l’auteur incluses.]

Par Paul Cudenec

Au cours des dernières années, j’ai effectué quelques recherches sur les liens et les parallèles entre la Grande Réinitialisation et la guerre.

Bien que je me sois surtout concentré sur la Première Guerre mondiale, je suis arrivé à la conclusion — choquante pour certains, peut-être, mais absolument pas surprenante pour d’autres — que l’agenda qui sous-tend toutes les guerres modernes est le même que celui qui sous-tend la Grande Réinitialisation, la Quatrième Révolution Industrielle, le Nouvel Ordre Mondial ou tout autre nom que vous choisirez de lui donner.

Cet agenda — un agenda à long terme et à multiples facettes — est celui de l’entité que j’ai pris l’habitude d’appeler la criminocratie, une mafia mondiale qui, comme je l’ai expliqué dans ma brochure Ennemis du peuple, est dominée par l’empire financier et industriel Rothschild.

L’objectif global est la consolidation et l’expansion du pouvoir et de la richesse de la criminocratie, les deux termes étant pratiquement synonymes dans cette ère corrompue que René Guénon a appelée le règne de la quantité.

Nous pouvons décomposer cela en trois aspects :

Les objectifs à court terme : étant donné que tout cela n’est en fin de compte qu’une question d’argent, il s’agit des avantages financiers immédiats.

Les objectifs à moyen terme : la mise en place des avantages financiers à venir.

Les objectifs à long terme : la création des conditions sociales qui seront à l’avantage financier de la criminocratie dans les décennies à venir.

En ce qui concerne les avantages financiers à court terme de la Grande Réinitialisation, tels qu’ils ressortent de la phase initiale de Covid, ils sont tout à fait évidents.

Tout d’abord, il y a eu les bénéfices tirés de la vente des soi-disant vaccins eux-mêmes — achetés et indemnisés dans le monde entier par les autorités publiques dans une atmosphère où il n’y avait pas de place pour le contrôle [de ces achats] ou le débat démocratique.

Deuxièmement, il y avait tout le nouveau matériel qui pouvait être vendu, là encore à l’échelle mondiale, sur le dos de la soi-disant pandémie : masques, écrans en plastique, lave-mains, signalisation, tests PCR, etc.

Troisièmement, les grandes entreprises, en particulier celles qui opèrent en ligne, ont tiré un avantage financier des fermetures qui ont gravement affecté les petites entreprises.

En fait, Klaus Schwab, du WEF, s’en est ouvertement vanté dans son livre Covid-19 : La Grande Réinitialisation.

Il écrit :

« Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché ensemble 250 000 travailleurs pour faire face à l’augmentation de la demande et ont construit des infrastructures massives pour livrer les achats en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants de la vente au détail en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient avant la pandémie […]. Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnantes” des blocages ». [1]

En termes de guerre, la cause la plus évidente de profit rapide est la vente d’armements.

Le commerce des armes est un élément clé de l’empire criminocratique — comme le révèle le terme « complexe militaro-industriel ».

À l’époque de la Première Guerre mondiale, par exemple, le commerce des armes en Grande-Bretagne était contrôlé par un réseau monopolistique composé de Vickers Ltd, Armstrong, Whitworth and Co Ltd, John Brown and Co Ltd, Cammell, Laird & Co et Nobel Dynamite Trust.

Les historiens Gerry Docherty et Jim Macgregor, qui montrent comment les criminocrates ont créé et prolongé la guerre pour leur propre profit, notent :

« Le cercle équivalait à un vaste réseau financier dans lequel des entreprises apparemment indépendantes étaient renforcées par absorption et reliées entre elles par un système complexe d’actionnariat et de direction communs.

C’est une industrie qui défie le Trésor, influence l’Amirauté, maintient des prix élevés et manipule l’opinion publique ». [2]

La guerre nécessite également de grandes quantités de matières premières, non seulement pour fabriquer les canons, les munitions, les chars, les navires et les avions, et tout l’attirail associé, mais aussi pour transporter les marchandises et les hommes à travers les océans et les continents.

Le rôle dominant du gang Rothschild dans l’industrie pétrolière mondiale, ainsi que dans la sidérurgie et les chemins de fer, a permis à leurs tiroirs-caisses de sonner à toute volée à la suite de cette énorme augmentation de la demande, et ce des deux côtés du conflit de 1914-18.

Il existe d’autres aspects du gain financier immédiat, dans le passé comme dans le présent, qui sont difficiles à identifier avec précision, parce qu’ils relèvent d’un comportement clairement criminel et sont donc encore plus soigneusement dissimulés que d’autres formes d’escroquerie.

Il y a deux siècles, pendant les guerres napoléoniennes, les Rothschild ont profité de la pénurie alimentaire et de la flambée des prix pour opérer sur le marché noir dans leur ville natale de Francfort et vendre des provisions aux armées avec un profit considérable.

Des marchandises britanniques, notamment des tissus de coton, du sucre, de l’indigo et du tabac, ont également été transportées de l’autre côté de la Manche, via les entrepôts des Rothschild, au mépris du blocus de Napoléon.

Les sanctions liées à la guerre peuvent être une affaire rentable pour ceux qui ont les bons contacts.

L’aide « humanitaire » en temps de guerre est souvent une couverture commode pour des transferts de fonds massifs et très douteux.

Docherty et Macgregor expliquent comment, au cours de la Première Guerre mondiale, l’« aide » à la Belgique a constitué « l’une des plus grandes escroqueries au monde ». [3]

La Commission for Relief in Belgium s’est présentée comme « la plus grande entreprise humanitaire que le monde ait jamais connue ». [4]

Elle a ensuite affirmé avoir dépensé plus de 13 millions de dollars pour venir en aide à la population belge, un chiffre vraiment stupéfiant pour l’époque.

Le responsable est Herbert Clark Hoover, futur président des États-Unis, que les deux auteurs n’hésitent pas à qualifier d’« illusionniste et d’escroc » [5].

Avec une certaine fatalité, il s’avère qu’il était profondément lié aux cercles qui avaient planifié le désastre qu’il était censé atténuer.

Docherty et Macgregor expliquent :

« L’ingénieur minier d’origine américaine a vécu à Londres pendant des années et était un collègue d’affaires des Rothschild […]. Il détenait des actions de la Rio Tinto Company des Rothschild et était associé à la même dynastie Rothschild toute puissante qui avait investi dans sa Zinc Corporation ». [6]

« Lorsque Herbert Hoover a négocié les prêts massifs accordés par les gouvernements alliés pour l’aide à la Belgique, il a utilisé les organisations de J.P. Morgan en Amérique, coordonnées par Morgan Guaranty Trust de New York qui, à son tour, a effectué le transfert requis à Londres ». [7]

« La puissance financière n’était jamais loin de son centre de pouvoir. L’axe Morgan/Rothschild entourait l’ensemble du projet ». [8]

Selon un rapport de l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale publié au début de cette année, en 2024, l’aide mondiale à l’Ukraine a déjà atteint 278 milliards de dollars, et des milliards de dollars supplémentaires sont en cours de préparation. [9]

Il est intéressant de noter qu’en 2007, le New York Times a prédit qu’un membre de la jeune génération Rothschild, Nathaniel, « pourrait devenir le Rothschild le plus riche de tous » grâce à des « paris audacieux dans les nouveaux véhicules d’investissement de l’époque » et à la prévoyance géopolitique traditionnelle de la famille. [10]

Et d’ajouter : « L’homme en lice pour devenir le cinquième baron Rothschild est sur le point de devenir milliardaire grâce à un réseau d’investissements privés en Ukraine ».

La source de profit financier à moyen terme de ces rackets grandioses provient des énormes quantités d’argent public qui y sont injectées sous le prétexte d’une « urgence ».

L’« arbre à argent magique » des dépenses publiques devient soudain infiniment généreux lorsque l’on est confronté à la « crise » de la pandémie, de la guerre, du terrorisme ou du changement climatique, qui ne cesse de s’aggraver.

Par exemple, le gouvernement britannique estime que le coût total de ses mesures Covid-19 se situe entre 310 et 410 milliards de livres sterling. [11]

Parmi les mesures les plus coûteuses figurent le Coronavirus Job Retention Scheme 1 (parfois appelé furlough scheme) et le NHS Test and Trace 2.

Quant à la question clé de savoir d’où vient exactement cet argent, alors que les recettes fiscales sont en baisse en raison des fermetures, le gouvernement indique qu’il a augmenté les emprunts à hauteur de 313 milliards de livres sterling pour la seule année 2020/21.

Des emprunts auprès des banquiers mondiaux, en d’autres termes.

Les prêts lucratifs accordés aux gouvernements pour mener des guerres font partie du manuel de racket des Rothschild depuis l’époque napoléonienne.

L’historien Niall Ferguson note que la famille de banquiers s’est retrouvée « à plusieurs reprises des deux côtés de conflits décisifs qui allaient redessiner la carte de l’Europe ». [12]

Les lendemains de guerre sont également une grande source de profit. En 1871, les Rothschild ont prêté d’énormes sommes d’argent à l’État français pour payer ses réparations après la défaite contre la Prusse, dans ce que Ferguson décrit comme « la plus grande opération financière du siècle ». [13]

Les dividendes de l’après-guerre proviennent également de prêts et de contrats destinés à « reconstruire en mieux » des pays dévastés.

La troisième façon dont les criminocrates profitent des guerres, comme de la Grande Réinitialisation, est l’effet à long terme que ces événements ont sur la société.

Les États concernés, à court d’argent et endettés jusqu’au cou, n’ont d’autre choix que d’accepter l’idée des banquiers sur la meilleure façon de reconstruire leur pays.

Après les deux guerres mondiales, l’idée d’une réalité « d’après-guerre », à laquelle les gens devaient s’adapter, a été utilisée pour accélérer l’industrialisation et la modernité, en détruisant l’agriculture et les communautés traditionnelles et en déclarant que les anciens modes de pensée et de vie n’étaient pas adaptés à la nouvelle normalité.

Schwab espérait que la Covid aurait le même effet, en créant une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». [14]

Tous les événements de ce type, y compris la plupart des soi-disant « révolutions » et des soi-disant attaques terroristes comme le 11 septembre, ne sont, à mon avis, que des opérations de « choc et d’effroi » conçues pour pousser des populations traumatisées plus loin dans la société carcérale privilégiée par les criminocrates.

Les personnes sans racines, sans défense, désorientées, ayant subi un lavage de cerveau, entièrement dépendantes du système pour tous leurs besoins, coupées les unes des autres, de la nature, de la réalité et de l’appartenance spirituelle, sont le fourrage idéal pour la machine à faire de l’argent des criminocrates.

Dans cette optique, il n’est pas surprenant que, dans chaque cas, les mêmes moyens soient mis en œuvre pour s’assurer que les populations adhèrent à l’agenda.

La propagande la plus évidente est celle qui est menée par tous les médias publics et privés.

En 2020, c’est le ton et l’ampleur de cette propagande, tels qu’ils ont été perçus par la radio d’État française, qui m’ont indiqué que la « pandémie » de Covid était une opération psychologique.

Cette propagande doit aller jusqu’à créer un sentiment de conviction morale absolue dans la population et donc une peur ou une haine conditionnée de toute personne qui refuse de suivre la ligne.

En temps de guerre, les dissidents et les sceptiques sont dépeints comme des lâches, des traîtres, des cinquièmes colonnes travaillant pour le compte de l’ennemi méprisé et, pendant l’escroquerie Covid, nous avons été représentés comme des idiots irresponsables et égoïstes, mettant en danger la vie d’autrui et suivant peut-être un programme insidieux d’« extrême-droite ».

Pour imposer ce conformisme moral, le système déploie des groupes qu’il ne contrôle apparemment pas et dont les positions ont un poids moral auprès de certaines parties clés de la population.

Pendant la Covid, la « gauche » a non seulement repris tous les éléments des récits officiels concernant les confinements, la distanciation sociale et les soi-disant vaccins, mais elle a également adopté une position très agressive à l’égard des dissidents, vilipendant et ostracisant toute personne, même dans ses propres rangs, qui osait sympathiser avec les manifestants pro-liberté — comme j’en ai d’ailleurs moi-même fait l’expérience.

Au cours de la Première Guerre mondiale, une aile du mouvement des suffragettes a été mobilisée pour soutenir l’agenda criminocratique.

Apparemment, Emmeline et Christabel Pankhurst ont reçu une subvention du gouvernement en échange de l’arrêt de leurs activités militantes.

Emmeline déclare son soutien à l’effort de guerre et commence à exiger la conscription militaire pour les hommes britanniques, tandis que Christabel Pankhurst demande « l’internement de toutes les personnes de race ennemie, hommes et femmes, jeunes et vieux, trouvés sur ces côtes ». [15]

Et les suffragettes faisaient partie de ces femmes qui remettaient des plumes blanches aux hommes qui ne portaient pas l’uniforme, y compris à des adolescents âgés de 16 ans.

À la propagande s’ajoute la censure, considérée comme tout à fait normale et acceptable en temps de guerre et justifiée lors des prétendues pandémies au nom du bien public.

Mais aujourd’hui, la mission des « vérificateurs de faits » introduite pendant la Covid évolue vers une tentative plus large de défendre l’agenda criminocratique.

Alors que des lois dites « haineuses » sont mises en place à la hâte un peu partout, la cible principale semble être ceux d’entre nous qui ont percé à jour les mensonges et la propagande, qui ont relié les points afin d’identifier la forme du plan à long terme qui nous est imposé par des moyens détournés.

Nous sommes qualifiés de « théoriciens du complot », ce qui signifie apparemment automatiquement que nous sommes « d’extrême droite ». Notre engagement en faveur de la vérité et de la liberté est interprété comme de la « haine » et l’identification du rôle prépondérant des Rothschild dans l’empire criminel équivaut, semble-t-il, à un soi-disant « antisémitisme ».

La réalité est, bien sûr, très différente. C’est que le contrôle de nos institutions nationales et internationales, ainsi que de l’ensemble du système industrialo-financier, est tombé, par des voies détournées, entre les mains d’une véritable mafia.

Parce que cette domination mondiale est profondément antidémocratique et totalement illégitime — fondée sur des activités criminelles et la dissimulation de ces méfaits — elle doit rester secrète.

La criminocratie sait qu’il ne pourra jamais y avoir d’opposition claire et unie à son pouvoir tant que les gens resteront pris au piège de ses ruses et de ses illusions et ne reconnaîtront même pas son existence, sans parler de commencer à parler de la manière de l’abattre.

Notre première tâche, la plus importante, est donc d’exposer ses activités, de briser les multiples murs de ses défenses, d’ignorer ses menaces et ses tabous et de crier sur les toits ce qu’elle est et ce qu’elle nous fait.

Paul Cudenec

Journaliste indépendant et activiste britannique.


1 Programme de maintien de l’emploi sous le coronavirus. « Ce programme a été annoncé comme fournissant des subventions aux employeurs pour payer 80 % du salaire d’un employé et des coûts d’emploi chaque mois, jusqu’à un total de 2 500 livres sterling par personne et par mois. » — NdT

2 « NHS Test and Trace était un service financé par le gouvernement en Angleterre, établi en 2020 pour suivre et aider à prévenir la propagation du COVID-19. » — NdT




Lettre ouverte aux amis du monde entier — Iurie Roșca

[Source : telegra.ph]

[Illustration : Iurie Roșca]

Par Iurie Roșca — 02 juillet 2024

Chers amis,

Tout d’abord, je remercie sincèrement tous ceux qui ont pris position et protesté contre la tentative des dirigeants du réseau mondialiste Soros de me condamner pénalement à plusieurs années d’emprisonnement sur la base d’une fausse accusation d’avoir commis le crime de « trafic d’influence ». Cette situation n’est pas inhabituelle pour moi, car au cours des 35 dernières années, j’ai toujours fait l’objet de poursuites pénales pour mes activités politiques et journalistiques. J’étais un dissident anticommuniste et je suis devenu un dissident pour la deuxième fois, un dissident antimondialiste.

[Voir :
Le célèbre patriote roumain Iurie Roșca risque d’être emprisonné !]

L’obsession des centres de pouvoir de me réduire au silence s’explique simplement. Au cours des 15 dernières années seulement, depuis que je ne suis plus député, j’ai publié, en tant que journaliste et éditeur, une dizaine de livres à compte d’auteur, ainsi que plus de 15 livres d’auteurs étrangers anti-Système. J’ai écrit des centaines d’articles en quatre langues, j’ai réalisé un très grand nombre de vidéos, j’ai tenu des conversations vidéo avec des intellectuels antimondialistes du monde entier.

Je ne citerai ici que les titres de quelques-uns de mes livres publiés ces dernières années : « The Fall from the USSR into the EU »(La chute de l’URSS dans l’UE) (2014), « Orthodoxy and Economic Nationalism » (Orthodoxie et nationalisme économique) (2017), « Conspiration of the Red Demons. 100 years since the Bolshevik coup » (La conspiration des démons rouges. 100 ans depuis le coup d’État bolchevique) (2017), « National Interest as Modus Vivendi » (L’intérêt national comme modus vivendi) (2020), « Falling from Capitalism in Technology. Notes of a dissident under the New World Order » (Tomber du capitalisme dans la technologie. Notes d’un dissident sous le Nouvel Ordre Mondial) (2023), « Humanity 2.0: Depopulated and Augmented » (Humanité 2.0 : Dépeuplée et augmentée) (2024, anglais, allemand, français). Mon activité éditoriale s’exerce au sein de l’institution à caractère académique et éditorial, l’Université du Peuple, dont je suis le président.

Depuis 2020, lorsque la fausse pandémie de Covid-19 a éclaté, je suis un fervent critique de la stratégie du meurtre de masse et de la modification génétique par injection. Mes interventions vidéo et mes articles ont acquis une audience remarquable en Moldavie et en Roumanie, ce qui explique pourquoi les plateformes de Big Tech telles que YouTube et Facebook ont liquidé mes comptes.

Après que Moscou a entamé une « opération militaire spéciale » en Ukraine dans le cadre des stratégies atlantistes visant à étrangler la Russie, sur ordre du directeur du service de renseignement et de sécurité, notre site d’information et d’analyse politique www.flux.md et mon blog d’auteur www.iurierosca.md ont été fermés sous le prétexte de lutter contre la « propagande de guerre ». Pendant cette période, les gouverneurs de Chisinau, contrôlés par les cercles mafieux occidentaux, ont exercé une pression importante sur le bureau du procureur, essayant de les amener à ouvrir une affaire criminelle contre moi. Finalement, les mercenaires de Soros au gouvernement ont trouvé la solution optimale pour me mettre en prison.

Ils ont eu recours à une astuce illégale en envoyant à un juge politiquement subordonné au régime atlantiste un dossier pénal dont l’examen était en suspens depuis plus de six ans. Je précise que la plainte pénale a été déposée par un escroc bien connu dans mon pays en février 2017. J’étais alors en conflit avec le pouvoir politique oligarchique et antinational. Mais comme les accusations portées n’ont pu être prouvées, le dossier est resté en suspension pendant ces 6 années. Les épisodes cités par la personne qui a déposé la plainte pénale dateraient de 2009-2011. Mais comme ses affirmations ne sont étayées ni par des preuves ni par des témoins, il a fallu identifier une personne dotée du manteau de juge qui serait prête à commettre n’importe quels abus et illégalité afin d’exécuter l’ordre politique d’emprisonner une personnalité publique gênante.

À mon avis, l’accélération du rythme d’examen de l’affaire pénale dans laquelle je suis accusé n’est pas seulement liée à mon activité de journaliste anti-Système. Je pense que l’un des principaux facteurs qui ont déterminé l’urgence du processus de condamnation à la prison est le Forum de Chisinau. Ce groupe de réflexion international est devenu de plus en plus visible ces derniers temps, rassemblant davantage de chercheurs, d’universitaires, d’analystes politiques et de journalistes d’investigation du monde entier. Je rappelle ici le nom des dernières éditions du Forum de Chisinau qui ont eu un impact international remarquable.

« L’Agenda 21 de l’ONU et la grande Réinitialisation. La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme », 9-10 septembre 2023. Le sujet de cette réunion pourrait être formulé comme suit : La mort du paradigme libéral et la montée de la technocratie. Notre réunion de cette année était intitulée « LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation » (25-26 mai 2024). J’ai toutes les raisons de penser que le rassemblement de tant d’éminentes personnalités du monde entier, capables d’analyser en profondeur l’état du monde d’aujourd’hui, dérange les centres d’influence mondialistes. Et l’on recourt alors à l’anéantissement du principal organisateur de cet événement qui prend l’ampleur d’un mouvement métapolitique mondial.

Mes chers amis et camarades qui luttent contre la tyrannie technocratique des satanistes, je ne renoncerai pas à ma position. Je crois en Jésus-Christ, le Sauveur du monde. L’importance de notre cause est au-dessus des risques personnels.

Veuillez envoyer vos messages de soutien au président de la République de Moldavie, aux membres du Parlement et du gouvernement, c’est-à-dire aux facteurs politiques qui contrôlent la justice dans mon pays. Ces personnes ne vibrent pas aux arguments de nature morale ou juridique. Mais ils sont suffisamment pragmatiques pour comprendre à un moment donné que ma persécution nuit à leur image et compromet leurs chances électorales.

Que Dieu vous bénisse.

Cordialement,

Iurie Roșca




Le célèbre patriote roumain Iurie Roșca risque d’être emprisonné !

Par le docteur Calistrat M. Atudorei

Les laquais moldaves du mondialisme se précipitent intensément ces jours-ci pour faire taire Iurie Roșca, qui a créé pendant des décennies un fort courant d’opinion qui a systématiquement exposé l’agenda criminel de la ploutocratie transnationale.

Pendant près de 30 ans, après avoir quitté la première phase de la politique de la République de Moldavie, Iurie Roșca a révélé, avec une remarquable capacité de compréhension, une force d’expression et une facilité enthousiaste, presque tous les mouvements et stratégies par lesquels la pieuvre mondialiste cherche à asservir le monde. Ses articles, ses livres et surtout ses transmissions vidéo ont éveillé à la réalité des centaines de milliers de personnes de Roumanie/Moldavie, ainsi que de nombreux autres pays. Des ressorts cachés de la politique intérieure et internationale, au génocide de la « pandémie » Covid ou à l’agenda transhumaniste, rien d’essentiel n’a échappé à la fine analyse de l’ex-politicien de Chisinau. Toutes ces analyses, portées à un niveau de compétence exceptionnel, s’appuient sur un énorme volume d’études portant sur les travaux des auteurs les plus pertinents dans chaque domaine abordé. Ces études et recherches s’ajoutent à sa longue expérience (près de 20 ans) en tant qu’homme politique : président du Parti chrétien-démocrate populaire, vice-président du Parlement et vice-premier ministre de la République de Moldavie.

De quoi Iurie Roșca est-il exactement accusé ?

Les accusations lancées par les gouverneurs ont été particulièrement nombreuses au fil du temps. Plusieurs dossiers criminels ont été montés contre lui, il a été interdit d’entrée en Roumanie (seul cas de ce type), des tentatives d’assassinat ont eu lieu contre lui, de nombreux sites où il publie ses articles ont été fermés. Mais le procès qui semble avoir été préparé avec une grande détermination dans le but précis de le faire tomber est qualifié de « dossier de trafic d’influence ». Une accusation absurde, portée sans aucune preuve en 2017 par une simple dénonciation. Le dénonciateur, un ancien administrateur d’une société commerciale, a affirmé qu’en 2009 Roșca lui avait demandé un million d’euros (!!) pour le sauver (l’administrateur qui est devenu plus tard l’accusateur) d’un litige économique. L’administrateur en question affirme aujourd’hui qu’après avoir été reconnu coupable par un tribunal, il aurait donné une partie de l’argent à Roșca, mais que la situation n’ayant pas été « résolue »…, il a demandé à récupérer son argent par le biais d’une action en justice.

Le fait que le dossier soit une très mauvaise contrefaçon est évident même à partir de la simple observation du processus judiciaire. Iurie Roșca n’a été notifié de l’accusation qu’en 2018, un an après la constitution du dossier, sans qu’aucune enquête pénale n’ait été diligentée contre lui dans l’intervalle. Comment le dénonciateur a-t-il pu attendre tant d’années sans déposer une éventuelle plainte ?! Pourtant, en 2018, le dossier avance, à une vitesse telle que les procureurs ont esquivé les étapes de la procédure d’enquête pénale et ont transmis en urgence le dossier au tribunal. Cette précipitation les a amenés à sauter l’audition des témoins de la défense, à refuser tout délai pour la présentation des preuves, et également à refuser de procéder à l’expertise complémentaire prévue par la loi. Il est intéressant de noter qu’après l’ouverture du procès, afin d’instiller des confusions bureaucratiques, l’affaire est passée entre les mains de trois juges. Dans tout ce processus, la seule « preuve » invoquée par les procureurs était la déclaration de ce dénonciateur. Sur les deux témoins de la défense, les tribunaux n’en ont admis qu’un seul, mais comme il n’était pas dans le pays, il a été demandé à Iurie Roșca (illégalement) de faire des déclarations judiciaires devant le témoin qui ne pouvait pas venir. Puisque Roșca a invoqué la nécessité de se conformer à la procédure, le tribunal l’a privé de manière hallucinante du droit de faire des déclarations dans sa propre affaire pénale, ce qui, selon son avocat, représente une « absurdité législative ».

Un autre élément qui montre la hâte et la fureur aveugle du Système intervient dans le contexte du fait qu’à la date judiciaire du 18 juin 2024, Iurie Roșca n’a pas pu se présenter au tribunal parce qu’il était hospitalisé en raison d’une dépression nerveuse et d’autres problèmes de santé. Cependant, le juge a ordonné qu’il soit amené de force au tribunal, malgré le fait que la défense ait présenté le certificat médical concernant l’hospitalisation.

Le prochain délai a été fixé au 26 juin 2024, mais la date et l’heure ont été choisies exactement au moment où l’avocat de Roșca devait assister un client dans une autre affaire pénale. La procédure établie par le juge dans la présente affaire n’a pas respecté les normes juridiques relatives à la satisfaction des conditions de participation, ce qui était manifestement délibéré.

Le célèbre dissident de Chisinau

Je pense que les informations présentées sur la manière dont le procès d’Iurie Roșca est instrumentalisé ne laissent pas de place à trop de doutes. Le constat qui se dégage est que nous avons affaire à un procès de type stalinien dans lequel le verdict est fixé à l’avance et les autres étapes législatives ne sont que des formalités insignifiantes. Voici qu’en République de Moldavie, sur ordre de quelques éminences grises, de tels processus sont encore possibles.

La raison de cette répression brutale, qui est en cours (!), est que, compte tenu de l’accélération dramatique actuelle des événements internationaux, le Système estime que la voix et les actions d’Iurie Roșca ne peuvent plus être tolérées.

Dans ce contexte, il est nécessaire de noter une initiative particulièrement impactante que le journaliste, écrivain et analyste politique Iurie Roșca mène avec beaucoup de succès depuis 2018, c’est-à-dire l’année exacte où le procès actuel a été mis sur la table. L’initiative, extrêmement dérangeante, consiste à organiser une série de conférences sous l’égide du « Forum de Chisinau », qui bénéficie d’une large participation internationale. Les présentations sont à chaque fois retransmises en direct et en différé sur de multiples canaux médiatiques à travers le monde. La session de mai de cette année, par exemple, avait pour thème « Unrestricted War—A Holistic Approach to the Great Reset » (La guerre sans restriction — une approche holistique de la grande réinitialisation) et a réuni des personnalités de près de 20 pays. Pour n’en citer que quelques-uns, je mentionnerai Daniel Estulin, Meryl Nass, James Roguski, Ana-Maria Mihalcea, Todd Callender, Olle Johansson, Fred Nazar ou Alex Newman. Les présentations ont apporté des éclaircissements déterminants sur les crises majeures auxquelles l’Humanité est actuellement confrontée. Les échos des informations diffusées à cette occasion continuent de résonner dans les médias alternatifs aujourd’hui.

[Voir notamment :
Quelques éléments sur les stratégies de contrôle mental des masses
Forum de Chisinau 2023 — Une urgence humaine
Forum de Chisinau 2023 — Remarques introductives
Le sens de l’Histoire et son évolution vers le totalitarisme technocratique avant la libération de l’Humanité
LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation
« Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique
La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire
César, Mammon et Dieu, quel choix ferons-nous ?
Une métapolitique contre l’Antéchrist
L’Antéchrist : l’accomplissement de la mondialisation]

Afin de mieux cerner l’activité d’Iurie Roșca, je mentionnerai également quelques-uns des ouvrages qu’il a écrits et publiés ces dernières années : « De la chute de l’URSS à l’UE », « Orthodoxie et nationalisme économique », « La conspiration des démons rouges », « L’intérêt national comme modus vivendi », « Notes d’un optimiste chrétien », « Exercices de lucidité », « Sortir des ténèbres », « Les dinosaures du régime soviétique, les Tartares de la corruption moldave », « L’humanité 2.0 — dépeuplée et augmentée ».

*

Ces lignes se veulent un signal d’alarme concernant la situation actuelle très difficile d’une personnalité qui représente un repère important de la culture et de la dignité de la nation roumaine. Iurie Roșca est réellement en danger d’être lynché par les serviteurs de la Mafia internationale, cette clique démoniaque qu’il a démasquée avec un courage presque insensé. Il serait souhaitable que ceux qui ont encore un peu de respect pour les valeurs authentiques du peuple roumain (peuple dans lequel j’inclus également les frères d’au-delà de la rivière Prut) créent une sorte de pression publique par laquelle les soi-disant « autorités » de Chisinau montreraient ne serait-ce qu’un minimum de décence. Il s’agit d’un homme qui a façonné la vie et la conception de milliers de ses semblables et qui, pendant des décennies, n’a rien fait d’autre que de dire tout haut des vérités que d’autres n’osaient même pas chuchoter.

Personnellement, j’exprime mon respect et ma gratitude envers Iurie Roșca, que je considère comme un frère, un mentor et un modèle d’attitude face aux défis eschatologiques que nous vivons à l’heure actuelle.

Bucarest,

le 28 juin 2024


Chaîne Telegram EASTERN APPROACHES — ALEX THOMSON

Iurie Roșca, que j’ai interviewé (https://www.ukcolumn.org/video/iurie-rosca-the-christian-optimist-part-1) l’année dernière, risque d’être emprisonné par le régime moldave. Son opposition persistante et raisonnée à l’adhésion de la Moldavie à l’Union européenne est bien connue et a été exprimée dans une série de livres, ainsi que lors de campagnes et de discours publics.

Il y a tout juste deux semaines, la présidente Maia Sandu a donné son accord à une loi sur la trahison qui muselle les critiques (https://www.euractiv.com/section/enlargement/news/moldovan-president-signs-treason-law-denounced-by-opposition-amnesty-international/) de la politique du gouvernement moldave à l’égard de l’UE et de l’OTAN, et au début de cette semaine, l’Union européenne a officiellement ouvert les négociations (https://www.consilium.europa.eu/en/press/press-releases/2024/06/25/eu-opens-accession-negotiations-with-moldova/) sur l’adhésion de la Moldavie.

Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi Iurie Roșca a reçu des convocations au tribunal au cours des deux dernières semaines, malgré un certificat médical de mauvaise santé. Il n’y a aucune urgence apparente dans cette affaire ; les accusations pénales portent sur une allégation datant de 2009 et ont été déposées il y a sept ans ! (Toutefois, il n’en a pas été informé la première année).

Calistrat Atudorei a souligné le caractère grotesque (https://geopolitika.ro/articles/the-well-known-romanian-patriot-iurie-rosca-is-in-danger-of-being-imprisoned) de l’accusation pénale de « trafic d’influence » portée contre lui.

Je demande instamment à ceux qui lisent ces lignes de faire connaître cette persécution d’un dissident chrétien par un pays candidat à l’adhésion à l’UE. L’emprisonnement en Moldavie peut être une condamnation à mort de plusieurs manières désagréables. Il serait très utile qu’un grand nombre de personnes contactent l’ambassade de Moldavie dans leur pays ou tout organe judiciaire ou étatique moldave dont elles ont connaissance, pour signaler que ce qui est fait à Iurie Roșca est surveillé de près.

https://t.me/EastApp

Alex Thomson


LUIS CARNEIRO, PORTUGAL

En tant que citoyen portugais et européen, je suis profondément préoccupé par les poursuites injustes dont fait l’objet Iurie Roșca, un auteur et journaliste indépendant de Moldavie qui risque d’aller en prison pour son engagement sans crainte à dire la vérité au pouvoir.

Iurie Roșca est un patriote et un homme d’intégrité morale, dont les convictions chrétiennes guident ses positions de principe. Il n’a pas peur de critiquer l’Union européenne et la Fédération de Russie. Son dévouement à sa nation et à sa foi devrait être célébré, et non criminalisé.

Un référendum national sera organisé en Moldavie le 20 octobre 2024 pour décider si la Constitution doit être modifiée afin de refléter le souhait des citoyens d’adhérer à l’Union européenne. Pourtant, aujourd’hui, les voix critiques à l’égard de l’Union européenne sont non seulement tolérées, mais aussi activement intégrées dans l’espace du dialogue européen et de l’action commune. La présence de l’euroscepticisme au sein même des institutions européennes en est un exemple clair.

Il est contradictoire avec l’état actuel du dialogue européen d’étouffer les critiques à l’égard de l’Union européenne, en particulier lorsque de multiples perspectives, y compris celles qui critiquent l’UE elle-même, bénéficient d’une tribune au sein de ses propres institutions.

Dans une Europe d’États-nations souverains et autodéterminés, nous apprécions les voix divergeantes et dissidentes. C’est un signe de force et de dynamisme lorsque les acteurs politiques sont autorisés à exprimer des points de vue critiques et sont jugés publiquement sur la base du bien-fondé de leurs idées, au lieu d’être réduits au silence par la persécution.

Envoyons un message clair aux autorités de Moldavie et de toute l’Europe : nous ne resterons pas les bras croisés alors qu’un auteur et un journaliste honnête, indépendant et respectueux des principes est injustement poursuivi.

Je suis aux côtés d’Iurie Roșca, pour la justice et la liberté.

Luís Carneiro, chercheur universitaire et ancien professeur adjoint en études politiques à l’université de Porto, au Portugal.




Un banquier sympathique déclare la Russie leader mondial de la technologie « payez avec le sourire ».

Herman Gref met les sourcils à l’envers !

[Source : edwardslavsquat.substack.com]

[Illustration : « Payez avec le sourire ».]

Par Edward Slavsquat 21 juin 2024

Il y a en Russie un banquier sympathique qui s’appelle Herman Gref.

Vous le connaissez peut-être comme l’ancien membre du conseil d’administration du FÉM qui a rédigé la préface de l’édition russe de La quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab ; il est également connu comme le financier de Spoutnik V, un connaisseur respecté des étiquettes de bétail, le tsar de l’intelligence artificielle en Russie et un étudiant studieux de la Kabbale.

Ces réalisations n’ont aucun lien entre elles.

Le profil de Gref sur la Grande Réinitialisation est toujours disponible sur le site web du FÉM :
https://www.weforum.org/people/herman-gref/

Vous le connaissez. Nous parlons souvent de lui sur le blog.

Quoi qu’il en soit. Il a des nouvelles passionnantes à vous annoncer :

La traduction automatique de Yandex transforme « Herman » en « German ».
Source : Kommersant.ru

Les détails croustillants :

L’été dernier, Sber a été le premier en Russie à lancer un projet de paiement biométrique pour les utilisateurs de base. Aujourd’hui, environ 600 000 terminaux sont installés dans tout le pays et peuvent accepter des paiements par biométrie : « Pay With A Smile » (Payer avec le sourire) avec SberPay. D’ici la fin de l’année, il y en aura plus d’un million.

La Fédération de Russie représente environ 30 à 33 % du marché total des terminaux opérationnels dans le monde. Cela signifie que la Russie est le seul pays au monde où le paiement par biométrie est devenu accessible en masse, c’est-à-dire littéralement à l’ensemble de la population du pays. 30 millions de clients Sber se sont déjà connectés au service. Chaque jour, 50 000 personnes se connectent et essaient ce mode de paiement.

« Comme le montre la pratique, il faut deux ou trois ans pour que les gens se rendent compte de la commodité du service et commencent à l’utiliser en masse. Je pense que d’ici deux ans, nous verrons apparaître des millions de terminaux et que cette expérience sera absolument systématique, tant à Moscou que dans n’importe quelle petite localité du Kamtchatka ou de Sakhaline, ou quelque part à Magadan », a ajouté le directeur de Sberbank.

Je tiens à rappeler la commodité de la technologie « payez avec le sourire ». C’EST PRATIQUE.

C’EST HERMAN GREF QUI LE DIT DANS CETTE VIDÉO TROUBLANTE :

[Voir le court extrait sur le site source.]

GREF : En 2023, nous avons commencé à généraliser les paiements par reconnaissance faciale. À l’heure actuelle, la Russie est le premier pays au monde à avoir commencé à utiliser la technologie biométrique pour les transactions quotidiennes à grande échelle. Nous avons trouvé un moyen d’éviter l’utilisation de caméras 3D très coûteuses, et nous avons réduit le coût de l’équipement en utilisant des mathématiques avancées. Je dois dire que c’est bien plus pratique, encore plus que de payer avec son téléphone.

Si vous n’êtes pas encore convaincu que Pay With A Smile est le meilleur moyen, le plus antimondialiste, le plus multipolaire et le plus pratique de payer, regardez cette vidéo promotionnelle d’une minute de Pay With A Smile mettant en scène une jeune femme ayant une faible estime d’elle-même qui rencontre son véritable amour en payant un cappuccino avec son visage :

Vous pouvez également regarder le montage primé d’Edward Slavsquat :

C’est ainsi que les choses se passent.

Ne vous inquiétez pas. L’Institut Edward pour l’étude des villages travaille sans relâche au développement de nouvelles technologies pour contrer le cauchemar biométrique de Gref :

Pour publication immédiate
L’Institut Edward pour l’étude des villages, basé à Novgorod, invente un nouveau type de sandwich

Vous devriez d’ailleurs nous rejoindre sur Telegram.

Je vous souhaite un bon vendredi.




Guerre réseau-centrée et technologies de l’information et de la communication à double usage

[Source : arcaluinoe.info]

Par John Klyczek

Cette présentation explique comment les technologies de l’éducation sont utilisées pour des applications militaires à double usage dans le cadre des guerres de quatrième et cinquième génération (4GW et 5GW). En explorant les données biométriques et psychométriques des étudiants, les technologies éducatives à double usage compilent les profils psychologiques individuels des étudiants qui peuvent être agrégés en gestalts de groupe. Grâce à l’Internet des corps (IoB) et aux réseaux de l’Internet des objets (IoT), les technologies éducatives à double usage peuvent être utilisées pour conditionner socio-émotionnellement la dynamique de groupe afin qu’elle se conforme à la dynamique des systèmes technocratiques de la quatrième révolution industrielle (4IR). Sous prétexte de cybersécurité, les agences militaires et de renseignement intègrent des « systèmes de systèmes » réseau-centriques capables d’ouvrir des portes dérobées à la cybernétique ed-tech par le biais de l’IoB et de l’IoT afin de générer des analyses prédictives de l’IA pour la technocratie de commandement et de contrôle de la 4IR.

Cette présentation va donc s’appuyer sur les recherches compilées dans mon livre, intitulé School World Order: The Technocratic Globalization of Corporatized Education (L’ordre mondial de l’école : la mondialisation technocratique de l’éducation privatisée) [1]. Le livre couvre une progression de technologies en évolution, en commençant par les technologies basées sur l’écran, puis les technologies portables, et enfin les technologies implantables. Les technologies basées sur l’écran comprennent les didacticiels d’apprentissage adaptatif ; les technologies portables comprennent les dispositifs de rétroaction socio-émotionnelle (SEL) ; et les technologies implantables comprennent les interfaces cerveau-ordinateur (ICO) et, enfin, les nanotechnologies. Les deux derniers types de technologies éducatives, les didacticiels d’apprentissage adaptatif et les dispositifs portables de biofeedback SEL, collectent des données sur les algorithmes cognitifs et comportementaux des étudiants (ou, en d’autres termes, sur leurs algorithmes de pensée) et sur leurs algorithmes socio-émotionnels (ou, en d’autres termes, sur leurs algorithmes de sentiment) respectivement. Ces données sont ensuite utilisées pour développer des systèmes d’intelligence artificielle (IA), qui sont préparés à s’interfacer avec les systèmes nerveux humains par le biais d’ICO. Ces systèmes d’IA peuvent également être utilisés pour créer des bases de données de crédit social et des analyses prédictives, qui peuvent être utilisées pour la guerre réseau-centrée 4GW et 5GW dans la technocratie mondialiste de commandement et de contrôle de la 4IR.

En guise de transition, alors que nous nous plongeons dans les applications militaires des technologies éducatives à double usage, nous pouvons commencer par examiner quelques-uns des premiers tutoriels intelligents [2] qui ont été développés [3] par la marine américaine [4], et certaines des premières itérations des précurseurs analogiques des didacticiels numériques modernes d’apprentissage adaptatif ont également été développées [5] avec l’aide de l’US Navy, de l’US Airforce et de la Human Resources Research Organization (HumRRO), une division de l’armée américaine.

La base cybernétique des systèmes de tutorat intelligents et des IA d’apprentissage adaptatif repose sur les psychométries cognitives et comportementales [6] issues des boucles de rétroaction stimulus-réponse [7] programmées dans les machines d’enseignement à conditionnement opérant de B. F. Skinner [8]. Les machines d’enseignement de Skinner ont renforcé le conditionnement classique stimulus-réponse formulé par Wilhelm Wundt, puis affiné en behaviorisme par des psychologues comme E. L. Thorndike ; puis finalement Skinner est arrivé et a pu programmer les boucles stimulus-réponse behavioristes dans des algorithmes qui pouvaient être automatisés grâce à ses machines d’enseignement analogiques, qui ont évolué pour devenir les didacticiels numériques modernes d’apprentissage adaptatif. Ces boucles stimulus-réponse intègrent fondamentalement les boucles de rétroaction qui constituent la base permettant à l’intelligence artificielle de suivre les progrès et de prédire les résultats pour les étudiants individuels, les groupes d’étudiants et les écoles entières.

Si l’on considère les entrées et sorties de données d’un ordinateur, il s’agit essentiellement de corollaires [9] du stimulus et de la réponse respectivement : le stimulus étant l’entrée environnementale et la réponse étant la sortie comportementale. Ces boucles de rétroaction environnement-entrée/comportement-sortie [10] peuvent être utilisées pour élaborer des scénarios de planification, de programmation et de budgétisation [11] développés par la RAND Corporation pour la planification centrale de l’économie au sens large [12], englobant l’éducation basée sur les résultats [13] dans une économie de commandement et de contrôle [15] de la 4IR [14].

L’architecture de la boucle de rétroaction a été élaborée lors des conférences de Macy sur la cybernétique [16] à la fin des années 1940 et au début des années 1950, par des personnes comme Norbert Wiener, qui a écrit The Human Use of Human Beings: Cybernetics and Society [17] (L’utilisation humaine des êtres humains : cybernétique et société). C’est à l’occasion des conférences Macy sur la cybernétique [18] que les réflexes subliminaux et conditionnés de la conscience humaine ont été mathématiquement réduits à des boucles neurochimiques stimulus-réponse qui reflètent les boucles électriques d’entrée-sortie d’un ordinateur numérique à code binaire.

Cela peut se faire à l’échelle individuelle, mais aussi à l’échelle du groupe. Un autre participant aux conférences de Macy sur la cybernétique était Kurt Lewin [19] qui a inventé la « dynamique de groupe » [20] parce qu’il pensait que le conditionnement individuel stimulus-réponse est plus efficace lorsqu’il est renforcé par les punitions et les récompenses sociales de la dynamique de groupe. Il a donc créé le Center for Group Dynamics au Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Il a travaillé avec Max Wertheimer [21] qui fut l’un des pères fondateurs de la psychologie gestaltiste [22]. Lewin a utilisé la psychologie gestaltiste pour créer des dynamiques de groupe politiquement correctes sur le plan socio-émotionnel. Il a joué un rôle important dans la création de l’Institut Tavistock des relations humaines [23] qui a facilité [24] les « groupes T » [25] également créés par Lewin. Ces groupes T sont en corrélation [26] avec un autre de ses projets connu sous le nom de « formation à la sensibilité » [27]. Grâce aux groupes T et à la formation à la sensibilité, les individus peuvent être conditionnés pour se conformer aux gestalts du groupe.

Dans le domaine de l’éducation, une pédagogie connue sous le nom d’« apprentissage socio-émotionnel » (SEL) [28] fait progresser les méthodologies ed-tech qui intègrent les produits portables de biofeedback. Avec l’aide des dispositifs portables de biofeedback SEL, qui analysent les algorithmes émotionnels des élèves par le biais d’EEG [29], des électrocardiogrammes [30] et la réponse galvanique de la peau [31] (en d’autres termes, les ondes cérébrales, le rythme cardiaque et la réponse galvanique de la peau), les élèves peuvent être conditionnés pour se conformer aux gestalts de groupe des groupes de la classe, des groupes de l’école et de la communauté au sens large.

En modifiant les dynamiques intergroupes et intragroupes par le biais des groupes T et de la formation à la sensibilité, le conditionnement par biofeedback du SEL peut être utilisé pour façonner et remodeler les gestalts de groupe afin de se conformer à la dynamique des systèmes technocratiques de la 4IR. Il convient de noter ici que la RAND Corporation [32] a collaboré avec le Fetzer Institute [33] qui a mis en place le Collaborative for Academic, Social, and Emotional Learning (CASEL) [34]. Le CASEL est l’un des principaux centres d’échange d’informations sur les initiatives d’apprentissage socio-émotionnel aux États-Unis.

Qu’est-ce que la dynamique des systèmes ? La dynamique des systèmes [35] sont des modèles informatiques qui représentent graphiquement des superstructures complexes et non linéaires qui englobent les relations institutionnelles politico-économiques. Il peut donc s’agir de la dynamique de la chaîne d’approvisionnement [36], la dynamique de la croissance démographique [37], la dynamique des soins de santé publics [38], la dynamique du système scolaire [39] pour ne citer que quelques exemples.

Le concept de dynamique des systèmes a été développé par Jay W. Forrester [40]. Professeur au MIT, il a formulé la théorie de la dynamique des systèmes alors qu’il étudiait la dynamique de la chaîne d’approvisionnement chez General Electric. Il a également été l’un des architectes de l’ouvrage du Club de Rome intitulé Limites à la croissance [41], qui présentait des modèles de croissance démographique et de consommation des ressources environnementales pour la dynamique des systèmes de ce que l’on appelle aujourd’hui le développement durable [42] dans la Grande Réinitialisation 4IR.

La dynamique des systèmes 4IR peut être améliorée en combinant la planification de scénarios, développée par Herman Kahn [43] qui était un fonctionnaire de la RAND Corporation [44] ; la méthode Delphi [45] , qui a été développée [46] par Olaf Helmer [47] , un autre membre de la RAND Corporation [48], et la recherche-action [49], développée par Kurt Lewin. La planification de scénarios est fondamentalement une augmentation non linéaire [50] des systèmes de planification, de programmation et de budgétisation (PPBS) ; la méthode Delphi permet de créer un consensus artificiel par le biais d’un conditionnement dynamique de groupe [51]. La recherche-action est essentiellement une méthode de suivi et d’ajustement des plans de scénarios et d’autres plans de SPPB par le biais de boucles de rétroaction [52].

Pour synthétiser tout cela, la méthode Delphi incite les populations à désirer et à poursuivre les plans de scénario ludifiés pour la 4IR, tandis que les boucles de rétroaction de la recherche-action permettent aux technocrates de suivre, de tracer et d’ajuster les progrès vers leur plan de scénario idéal pour la 4IR. Grâce à cette infrastructure de boucle de rétroaction, les technocrates peuvent passer du conditionnement de l’individu au conditionnement du groupe, ce dernier se conformant à son tour à la dynamique des systèmes plus larges de l’économie planifiée de la 4IR.

Saisir « système de systèmes » [53] qui a été développé par William A. Owens [54]. Également affilié à la RAND Corporation, Owens est l’architecte de la « révolution dans les affaires militaires » (RMA) [55] , dont la 4GW [56] et la 5GW. L’un des éléments clés de la 4GW est l’implication d’« acteurs non étatiques » dans les affaires militaires (en d’autres termes, l’implication de civils dans la poursuite d’objectifs militaires).

Le « réseau-centré » fait partie intégrante du système de systèmes [57] ou « réseau-centrique », qui est fondamentalement une exploitation cybernétique de la dynamique des systèmes et de la dynamique des groupes par le biais d’un système omniprésent de suivi et de traçabilité qui permet ce que l’on appelle la « domination à spectre complet » [58] par l’armée américaine. La domination totale implique la domination de cinq domaines : la terre, la mer, l’air, l’espace extra-atmosphérique et le cyberespace d’information.

Grâce à la domination d’un système de systèmes réseau-centrés, les technocrates peuvent mettre au point des systèmes prédictifs de lutte contre le terrorisme [59] et l’analyse pré-criminelle [60] qui pourraient être exploitées pour signaler des données psychométriques politiquement incorrectes afin d’anticiper des scénarios indésirables. Parallèlement, les technocrates peuvent également utiliser la cybernétique de commandement et de contrôle pour stimuler l’esprit des individus et des groupes, y compris les acteurs non étatiques, par des opérations psychologiques [61] qui orientent les comportements vers des scénarios 4IR mondialistes. En bref, par le biais d’un système de systèmes, les technocrates peuvent manier le retour d’information réseau-centrique nécessaire pour orienter la planification de scénarios, la méthode Delphi et la recherche-action de manière à conditionner les individus à se conformer aux groupes tout en conditionnant simultanément les groupes à se conformer à la dynamique des systèmes plus vastes de la 4IR.

Quelles sont donc les solutions ? Que pouvons-nous faire à ce sujet si ce n’est d’être conscients des réalités et donc d’être en mesure d’anticiper les façons dont nous sommes lidifiés à travers le système des systèmes. Quelques solutions pratiques consistent à essayer de contrecarrer leur capacité à recueillir des signaux à partir de leurs analyses.

L’option la plus efficace serait peut-être de commencer par s’affranchir le plus possible du réseau électrique, ce qui implique d’utiliser autant que possible des technologies analogiques. Mais dans le monde dans lequel nous vivons, ce n’est probablement pas possible pour tout le monde. Il existe donc plusieurs façons d’utiliser différents types de technologies qui permettent de contourner les systèmes de traçage cybernétique.

Nous pouvons commencer avec du matériel alternatif, comme les Raspberry Pis, qui pourraient contourner les portes dérobées des micrologiciels qui sont installées dans les puces matérielles des appareils des Big Tech. En ce qui concerne les systèmes d’exploitation alternatifs, nous pouvons utiliser les systèmes GNU Linux, qui pourraient contourner l’extraction de données des Big Tech, comme l’extraction de données d’IA dans le cadre du programme Microsoft Co-Pilot Recall [62] qui est en train d’être installé dans les nouveaux systèmes d’exploitation Windows 11. Nous pouvons également construire des réseaux peer-to-peer alternatifs qui peuvent contourner le suivi des fournisseurs d’accès à Internet. Enfin, dans la mesure où nous pourrions choisir d’utiliser des technologies qui ne relèvent pas de cette catégorie de technologies alternatives, il est important d’utiliser autant que possible des logiciels et des communications cryptés, et même de porter une cage de Faraday pour bloquer la géolocalisation lorsque nous nous déplaçons dans l’espace physique.

Il ne s’agit là que de quelques moyens pratiques de réduire les capacités de ces divers systèmes technocratiques à exploiter nos données à des fins d’analyse prédictive et de ludification de nos comportements.

Nous vous remercions.

John Klyczek

John Klyczek est titulaire d’une maîtrise d’anglais et a plus de dix ans d’expérience dans l’enseignement de divers cours universitaires, notamment la rhétorique, l’argumentation de recherche, les études interdisciplinaires et les études littéraires. Ses études littéraires se concentrent sur les analyses historicistes du mondialisme, de la technocratie et de l’eugénisme dans le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley et d’autres dystopies de science-fiction.





Chine et Russie : les nouveaux chevaux du char mondialiste

[Source : The Predators versus The People]

Par Mees Baaijen

Première partie : La Russie, de l’empire souverain à l’État mandataire mondialiste

Articles à venir :

Deuxième partie : La Chine : Du Tao à Mao, puis au faux Tao

Troisième partie : Les autres pays oligarchiques des BRICS et le piège multipolaire

Quatrième partie : Le changement de paradigme Ouest-Est assombrit l’avenir d’Israël.

Résumé

Au nom du syndicat du crime Glafia, vieux de 500 ans, qui cherche à dominer le monde, la Russie et la Chine sont depuis longtemps prêtes à prendre le relais des États-Unis en tant que leaders hégémoniques de la prochaine version d’un ordre mondial unipolaire.

Ce dernier — et quatrième — changement de cycle dans le projet mondial de la Glafia est promu sous la marque brillante mais fausse d’un ordre mondial multipolaire bienveillant qui respecte la souveraineté des pays — qui sont cependant tous gouvernés par les mandataires de la Glafia.

Cet effort de propagande comprend également la fausse fin du projet mondialiste, en raison des actions bientôt attendues des courageux nouveaux héros « traditionalistes » sur la scène mondiale : la Chine « taoïste » et la Russie « orthodoxe ».

[Voir aussi, du même auteur et également sur la Glafia :
Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui]

Introduction

Cette série d’articles fait suite à mon livre The Predators versus The People (Les prédateurs contre le peuple)et à mon récent article The United States of America : from fake dream to real nightmare (Les États-Unis d’Amérique : du faux rêve au vrai cauchemar). Vous y découvrirez comment les États-Unis ont été capturés, et probablement créés, pour devenir la quatrième puissance hégémonique contrôlant les États-nations du monde au nom du projet secret de domination mondiale de 500 ans mené par les Prédateurs, ou Glafia.

Il s’agit d’un syndicat du crime composé de quelques centaines de familles dynastiques, extrêmement riches (jusqu’à des milliers de milliards de dollars) et étroitement liées, sans lien avec un pays, une religion ou une ethnie. Les premiers cycles hégémoniques ont été menés par l’Espagne (15e/16e siècle), la Hollande (17e siècle) et l’Angleterre (18e/19e siècle).

Avec les mandataires britanniques et sionistes de la Glafia, les États-Unis ont préparé et instigué le grand massacre de l’Eurasie au XXe siècle, qui a fait plus de 200 millions de morts : les guerres mondiales, y compris le nazisme et Hitler, les révolutions communistes en Russie, en Chine et ailleurs, la guerre froide, ainsi que leurs guerres culturelles, éducatives, scientifiques, financières et spirituelles secrètes contre l’Humanité.

Les États-Unis ont également installé des régimes fantoches dans toutes les anciennes colonies européennes « nouvellement indépendantes » d’Afrique et d’Asie, créées après la Seconde Guerre mondiale par le faux programme de décolonisation planifié par la Glafia. Les pays d’Amérique latine, colonisés bien plus tôt par l’Espagne et le Portugal, avaient déjà été « libérés » au début du XIXe siècle, pour devenir des États vassaux permanents de l’hégémon britannique, puis américain, de la Glafia.

Outre le contrôle de TOUTES LES TERRES, une tâche importante des États-Unis était d’être les pionniers du développement d’une technologie avancée pour la surveillance permanente de TOUS LES GENS, comme l’a annoncé Zbigniew Brezinski en 1970, dans son livre Entre les deux âges : ce projet est maintenant souvent appelé la Prison numérique mondiale (avec les CBDC, le revenu de base universel, la 5G, les crédits de carbone, etc.). Ce projet est actuellement mis en œuvre à l’échelle mondiale, sur le modèle de ce qui a été mis en place en Chine communiste.

Avec l’accomplissement de ces tâches, l’État mandataire américain n’est plus nécessaire en tant que leader hégémonique de la Glafia, et il est en train de devenir un bouc émissaire et d’être démoli, en même temps que le reste de l’Occident. Pendant ce temps, la Chine, assistée de la Russie — dont la population et le potentiel économique et industriel sont bien plus importants que ceux des États-Unis — prend le relais.

Préparation de la Russie par la Glafia

Après la défaite de Napoléon, pion de la Glafia, en 1815, la Russie était la nation la plus puissante du continent européen. La Russie était parfaitement consciente du plan des Rothschild visant à placer l’Europe sous le contrôle de la Glafia — sous le couvert du Concert des nations — par l’installation de banques centrales usuraires et de fausses démocraties, dirigées secrètement par des « élites » nationales subordonnées, soudoyées et corrompues. Elle a tenté de contrer cette première tentative de contrôle du monde par la Sainte-Alliance qu’elle a conclue avec les monarchies d’Autriche et de Prusse et qui a été renouvelée sous Bismarck en 1871.

Pourtant, les Rothschild ont réussi à devenir les principaux bailleurs de fonds de cette alliance. Ils se sont également fortement impliqués dans les chemins de fer et l’industrie pétrolière russes. Niall Ferguson écrit : « De toutes les grandes puissances, c’est la Russie qui a eu le plus recours aux prêts étrangers dans la période précédant 1914 ». La Russie se modernise rapidement et améliore les conditions de vie de sa population, et la possibilité d’une révolution populaire s’éloigne de plus en plus.

La confiance du tsar Nicolas II dans les Rothschild était telle qu’il a déposé une grande partie de son énorme fortune dans leurs banques. Après le meurtre rituel de toute la famille Romanov en 1917, aucun héritier n’a survécu pour la réclamer. Ce crime a été perpétré sous le couvert de la révolution bolchevique. Tout comme la Révolution française, il ne s’agissait pas d’un mouvement populaire, mais de l’instrument secret et richement financé de la Glafia pour prendre le contrôle total de la Russie (Antony C. Sutton ; Docherty et MacGregor), au cours duquel des dizaines de millions de personnes allaient trouver une mort atroce.

L’horrible et sanglante expérience communiste qui a suivi — l’Union soviétique — construite grâce à la technologie militaire et civile américaine (Antony C. Sutton) a bien servi le plan de la Glafia pour la conquête de l’Eurasie au 20e siècle :

  • La Russie était une puissance importante pour aider à la destruction planifiée de l’Allemagne. Pourtant, depuis le traité russo-allemand de Rapallo de 1922 jusqu’à la veille de l’opération Barbarossa menée par Hitler contre l’URSS en 1941, l’Union soviétique — comme les États-Unis — a contribué à la construction de son futur ennemi (G. Preparata). Dommage que Poutine ait oublié de le dire à Tucker Carlson !
  • Ce fut également un précurseur, avec de nombreuses leçons apprises, de la prise de pouvoir communiste sous Mao en Chine, rendue possible par l’hégémonie américaine de la Glafia — et maintenant du monde entier, comme le promeut le FEM (« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »).
  • L’Union soviétique était la source parfaite pour une stratégie de la peur dans les rackets de protection de la Glafia : Le communisme comme épouvantail dans la guerre froide, dans le faux processus de décolonisation et dans la construction de l’Union européenne (basée sur le modèle soviétique, V. Bukovsky1).
  • Avec la Russie dans le « frigo communiste », et plus tard la Chine également, ces deux pays ont été neutralisés en tant que concurrents économiques, ouvrant ainsi la voie à la carrière mondiale fulgurante de l’hégémon américain de la Glafia, les États-Unis « libres et démocratiques ».
  • Le communisme, le système de contrôle de la population préféré de la Glafia, a également été utilisé comme force subversive pour saper l’Occident (Y. Bezmenov2).

Cependant, leur projet initial de fusion entre l’Union soviétique et les États-Unis (Norman Dodd, Comité Rice) a échoué. Pourtant, en 1959, le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a frappé de sa chaussure le pupitre des Nations unies et s’est écrié :

« Les enfants de vos enfants vivront sous le communisme. Vous, les Américains, êtes si crédules. Nous n’aurons pas à vous combattre ; nous affaiblirons votre économie, jusqu’à ce que vous tombiez entre nos mains comme un fruit trop mûr. »

L’Occident, aujourd’hui affaibli et victime d’un lavage de cerveau, semble accepter la toute nouvelle proposition des « parties prenantes communistes », la Grande Réinitialisation du FEM, où vous ne posséderez rien, n’aurez aucune liberté et aucun avenir humain (Schwab & Harari3).

L’échec apparent du plan de fusion communiste/capitaliste, la décision de la Glafia d’aller à l’Est pour son cinquième cycle et la naissance du plan de prison numérique mondiale ont rendu l’expérience soviétique obsolète : la Glafia a vu son pion Gorbatsjev l’achever en 1991.

Peu après, Fidel Castro, l’agent de la CIA de la Glafia, a déclaré :

« La prochaine guerre en Europe sera entre la Russie et le fascisme, sauf que le fascisme s’appellera Démocratie ».

Pas de prophétie, juste des informations d’initiés, sur une guerre sans but (pour l’Humanité, pas pour les profiteurs de guerre) qui est aujourd’hui une bien triste réalité en Ukraine.

Après 1991, la Russie a d’abord été ouverte au capitalisme par une thérapie de choc, qui s’est soldée par un désastre et un pillage planifiés — par l’« équipe Harvard » en tant que destructrice, avec en vedette le gauchiste Jeffrey Sachs, qui s’efforce aujourd’hui de restaurer sa réputation ternie. Cette opération a été planifiée des années avant la chute du mur de Berlin : les banques occidentales et israéliennes de la Glafia ont accordé d’importants crédits à de futurs oligarques sélectionnés (M. Wolski : 75 % d’entre eux sont juifs et liés à Chabad, un mandataire de confiance de la Glafia), afin que les propriétaires des banques internationales — les familles les plus riches du monde — puissent acheter à bas prix l’énorme richesse de la nation russe, tout en laissant sa population dans la ruine. Environ 30 000 Russes ont été assassinés au cours de cette opération par la mafia russe (un autre mandataire de la Glafia), et l’espérance de vie des hommes à la naissance a chuté de six ans.

Au plus profond de la crise russe, l’ancien agent du KGB Vladimir Poutine — qui avait été sélectionné et encadré très tôt par Henry Kissinger, agent de la Glafia, et avait ensuite été formé comme Young Global Leader par le FEM (par la bouche de Klaus Schwab, voir références) — est devenu l’homme de paille des oligarques russes et des banquiers mondialistes subordonnés à la Glafia. Avec son maître à penser Chabad, le rabbin Berel Lazar (en Russie depuis 1990), il a ensuite « sauvé la Russie ». Cela et sa réaction aux attentats à la bombe sous faux drapeau ont rendu le gangster Poutine très populaire auprès des Russes (Putin’s False Flag, Iain Davis).

Le mentor Kissinger a certainement dit à Poutine, il y a longtemps, qu’une Russie forte était nécessaire pour le changement Ouest-Est de la Glafia, et que la guerre prédite par Castro serait le prix à payer pour sa carrière fulgurante et celle de la Russie. Tout comme Bleichröder, un banquier associé à Rothschild, avait dit à Bismarck que la guerre serait le prix à payer par l’Allemagne pour son projet d’unification financé par la Glafia au 19e siècle (Nicolai Starikov).

Lorsque le Covid a été lancé en 2020, la Russie « autonome » de Poutine a obéi au scénario mondialiste de l’OMS et a vacciné une grande partie de sa population avec les vaccins toxiques d’AstraZeneca, aujourd’hui retirés. Idem, sa banque centrale est entièrement alignée sur la banque BRI de la Glafia à Bâle (y compris le projet CBDC4), tandis que les politiques de la Russie sont également totalement de mèche avec l’alliance traîtresse ONU/FEM et leur agenda 2030 de « durabilité », l’escroquerie climatique, la nourriture à base d’insectes, la Grande Réinitialisation et la Quatrième Révolution Industrielle.

La guerre en Ukraine

Hannah Arendt, profondément impressionnée par les nombreuses révélations (y compris les atrocités sionistes) lors du procès Eichmann (1961) à Jérusalem, a parlé de la banalité du mal. La guerre actuelle en Ukraine en est un exemple. Vous me traiterez peut-être de cynique, mais c’est ce que j’ai conclu il y a deux ans, et je pense que c’est toujours valable :

« Les “élites” occidentales savent que l’Est va irrémédiablement prendre le relais (voir les propos de Macron en 2019 sur la fin de l’hégémonie occidentale). Mais avant cela, les deux parties (les deux proxys de la Glafia !) se sont mises d’accord sur une guerre de théâtre sanglante pour se débarrasser de leur vieux matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et remplir leurs poches et leurs coffres-forts à ras bord ».

La récente génération de missiles hypersoniques russes joue un rôle clé dans ce conflit : selon Scott Ritter, les États-Unis — qui auraient maintenant des années de retard en matière de technologie militaire, une situation très étrange — sont déjà en échec et mat, de même qu’Israël : L’Occident ne peut tout simplement pas se défendre contre les missiles hypersoniques de l’Est. Et alors que la Russie partage apparemment cette technologie avec la Chine et l’Iran, les États-Unis semblent incapables de combler le fossé.

L’Église orthodoxe russe corrompue collabore pleinement avec les oligarques russes de la Glafia et leur homme de paille, Poutine. Depuis la guerre en Ukraine, elle mène un « djihad orthodoxe » (terme de Derk Sauer) au cours duquel ses prêtres bénissent les soldats qui partent au front en Ukraine. Au lieu de réclamer une solution pacifique, l’Église soutient la guerre et trahit ces pauvres garçons, leur promettant un passage au ciel lorsqu’ils mourront pour les « nobles objectifs de la patrie ».

Un autre rôle important dans le récit officiel du Kremlin est joué par le « cerveau » de Poutine, le « philosophe traditionaliste » Alexandre Douguine, un admirateur de Lénine et de Staline qui, en 2014, a appelé les Russes à « tuer, tuer, tuer » les Ukrainiens. Sa réaction face au Covid a été révélatrice : il s’est tu et a commencé à porter un masque (Iurie Rosca). Il a été démasqué dans le récent article de Paul Cudenec, qui conclut qu’il est un pion mondialiste.

Le fort soutien populaire à Poutine repose exactement sur la même tromperie généralisée des médias officiels qu’en Occident : dans les deux cas, la majorité salue encore les hommes politiques responsables des politiques désastreuses de Covid. Comme l’écrivait Oswald Spengler il y a un siècle : « Les médias sont le moyen par lequel l’argent opère la démocratie ».

L’étrange position de nombreux altermondialistes à l’égard de Poutine et de la Russie

Comme la plupart des pays (y compris tous les États occidentaux), la Russie d’aujourd’hui n’est qu’une démocratie nominale : le véritable pouvoir derrière la façade officielle est secrètement et fermement entre les mains de la Glafia, par l’intermédiaire de ses mandataires russes et juifs. Toute opposition mettant en danger leurs intérêts est impitoyablement traitée en réduisant au silence, en interdisant, en emprisonnant ou en tuant les dissidents (Iurie Rosca).

En Russie, la fusion entre l’État et le capital, le vieux modèle de la Glafia décrit il y a des décennies par le célèbre historien français Fernand Braudel (qui a également été le premier à utiliser le terme « prédateurs »), est aujourd’hui évidente, comme elle l’était à l’époque du communisme. « Le monde entier est une scène », comme l’a écrit Shakespeare. Et depuis plus d’un siècle, la Russie est l’un des nombreux États-nations sur l’échiquier de Lord Curzon, « où se joue le grand jeu pour la domination du monde », par le seul joueur qui en est à l’origine : la Glafia.

Il est surprenant de constater que la plupart des dirigeants antimondialistes occidentaux, tout en perçant à jour et en critiquant la propagande de leurs propres gouvernements, prennent la propagande incessante de Poutine et du Kremlin entièrement au pied de la lettre. Les raisons de cet étrange phénomène pourraient être les suivantes :

  • Des vœux pieux ou un faux espoir (« la Russie, dernier rempart contre les mondialistes »).
  • Influencer et corrompre les services secrets russes (très fréquent à l’époque soviétique et certainement encore aujourd’hui).
  • Il s’agit d’une tentative honnête de corriger le noircissage bruyant de la Russie par les politiciens occidentaux et la presse grand public (qui fait bien sûr partie du banal et génocidaire « accord de lutte professionnelle » en Ukraine conclu par les gangsters occidentaux et russes).

Enfin, la cause première est l’ignorance généralisée de l’histoire réelle de la Russie, qui, espérons-le, sera atténuée par le présent article.

Références




Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui

[Source : arcaluinoe.info]

[Illustration : Image : AP]

Par Mees Baaijen

Cette présentation est basée sur mon livre Les Prédateurs contre Le Peuple, qui est disponible en sept langues sur substack.

L’arbre de la connaissance du bien et du mal

L’arbre et le serpent faisaient partie du Paradis ! Par dessein divin, les êtres humains créatifs et curieux n’ont pas pu y résister : pour nous mettre tous à l’épreuve ?

Un développement sans précédent du potentiel humain a pris son essor, tant pour le Bien (agriculture, science, art, écriture, artisanat, certaines technologies) que pour le Mal (esclavage, usure, abus, guerres, certaines technologies).

Les sociétés hiérarchisées (souvent fondées sur l’esclavage) et les technologies améliorées qui en ont résulté ont conduit à la mondialisation il y a déjà 5000 ans : le commerce mondial est devenu le commerce des « riches » (lingots, esclaves multicolores, épices, produits de luxe).

Le capital

La richesse du commerce a permis d’énormes accumulations de capitaux, un peu partout, en Asie, en Afrique et en Europe. L’usure s’envole, les oligarchies se développent. Mais seule l’Europe est devenue le « monstrueux façonneur de l’histoire du monde » (Braudel) : pourquoi ?

Vers 1500, un nouveau plan de domination mondiale est né en Méditerranée, par les Vénitiens, les Génois et les ex-Juifs ibériques : il s’agit de la Glafia. Il s’agit d’une classe de prédateurs composée de familles dynastiques de banquiers et de marchands, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, et pour qui la finalité satanique — faire de la terre leur ferme privée avec nous, les humains, leur bétail — justifie tous les moyens.

Ils savaient que leur domination sur le monde ne pouvait être établie que par l’intermédiaire de mandataires (secrets). Par coïncidence, les États-nations étaient en plein essor en Europe.

Les États-nations, premiers mandataires nationaux de la Glafia

Les banquiers génois avaient découvert comment ils pouvaient « contrôler à distance » l’empire espagnol grâce à des capitaux mobiles. La Glafia a ensuite utilisé ce modèle de manière systématique. Elle a infiltré et capturé les futurs États-nations européens, qu’elle a contrôlés par le biais de banques centrales usuraires (protégées par des lois), de capitaux (corruption et investissement) et de fausses démocraties (tromperie). Cette fusion unique entre l’État et le capital a été la clé de leur succès (F. Braudel, G. Arrighi). Les anarchistes avaient raison sur le rôle perfide de l’État-nation !

En dominant le système monétaire (banques centrales) et en injectant des capitaux dans les États-nations capturés (mais officiellement « autonomes »), des projets normalement impossibles — découvertes à grande échelle, colonisation, révolutions, guerres, science, technologie et « développement » — sont devenus possibles, mettant fin à la phase de croissance organique.

Les cycles hégémoniques

L’Espagne catholique, qui était alors le plus grand empire du monde, a été mise à l’écart en tant qu’hégémon, parce qu’elle n’était pas favorable à l’usure et aux juifs. À partir du début des années 1500, la Hollande et l’Angleterre ont été progressivement préparées à devenir les hégémons suivants, désormais protestants.

La Réforme, l’indépendance des Pays-Bas vis-à-vis de l’Espagne, la révolution de Cromwell et la Glorieuse Révolution en Angleterre, les banques centrales et les « démocraties » en Hollande (1609) et en Angleterre (1694), et la Compagnie des Indes orientales dans les deux cas, ont toutes été pilotées et financées par la Glafia. Chaque cycle hégémonique se divise en trois phases : une phase marchande ou d’accumulation (souvent financée par l’hégémon précédent), une phase d’expansion industrielle et enfin une période de financiarisation, dominée par le secteur bancaire (les premiers marchands sont devenus des banquiers). Dès les années 1830, les États-Unis étaient préparés (l’argent de Rothschild a mis en place les barons voleurs, la guerre civile, etc.) La phase de financiarisation — et finale — a commencé dès 1971 (même Imagine des Beatles en faisait partie !).

Au cours des cent dernières années, la Chine et la Russie ont été préparées à devenir les nouveaux chevaux oligarchiques du char de la Glafia, dans le cadre de la même fusion du capital et de l’État. Cette opération hégémonique se présente sous la marque brillante de l’ordre mondial multipolaire, mais elle est dirigée par les mêmes prédateurs. Pendant ce temps, l’Occident encore endormi subit une démolition contrôlée.

Lors des précédents changements hégémoniques, les guerres ont toujours été au menu. Il en va de même aujourd’hui, avec un changement inédit de l’Ouest vers l’Est. Les « élites » occidentales savent que l’Est prendra irrévocablement le relais (Macron, 2019), mais avant cela, les deux parties (les deux mandataires de la Glafia !) se sont entendues sur une guerre de théâtre sanglante en Ukraine, pour se débarrasser de leur ancien matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et se remplir les poches et les coffres-forts à ras bord.

Gaza répond à un objectif similaire. Selon le nouveau paradigme, les Israéliens déshumanisés (par la volonté de la Glafia, ils ont été dupés pour entrer dans la cage dans laquelle ils ont été constamment aiguillonnés) sont un obstacle qui doit être éliminé. Si l’on en croit Scott Ritter, Israël est déjà en échec et mat.

La méthodologie pour coloniser le globe

On peut distinguer trois phases :

  1. La découverte et la conquête du tiers-monde, le fruit le plus facile à cueillir (commencée au XVe siècle, achevée en 1914), pour ensuite transformer toutes les colonies en États-nations « autonomes », sous l’autorité d’élites subordonnées.
  2. La conquête de l’Eurasie avec ses 13 grands Empires, le fruit de l’effort (préparé de longue date, avec la Première Guerre mondiale en 1914 comme ouverture) : le Grand massacre de l’Eurasie au 20siècle, mis en scène par les mandataires anglo -américano-sionistes de la Glafia, qui sont sortis en héros, encore serinés chaque année, alors qu’ils ont mis en place tous les croquemitaines, y compris Hitler !
  3. Une fois TOUTES LES TERRES colonisées, la phase suivante consiste à mettre TOUS LES PEUPLES sous contrôle, cette fois par le biais de la technologie : la prison numérique mondiale, en préparation depuis au moins 60 ans (Brzeziński1). C’est la fin du jeu, pour laquelle le 11 septembre était l’ouverture, la Covid un test, etc.

Les Juifs : Les plus anciens mandataires internationaux de la Glafia

À partir de 1200 avant J.-C., la Phénicie (Canaan), idéalement placée pour le « riche » commerce, à mi-chemin entre l’Europe et l’Asie, a été le premier empire « moderne », le pionnier et le précurseur de la mondialisation, du capitalisme et des multinationales. Les Phéniciens ont également créé l’aristocratie (noire) de l’Europe (la pierre angulaire de Charles !).

Les Juifs et les Phéniciens étaient presque indiscernables jusqu’en 270 avant J.-C., lorsque la Bible hébraïque a été rédigée par une équipe d’experts à Alexandrie, qui ont suivi le conseil de Platon de créer un État-nation. Les juifs ordinaires ont été dupés, afin d’en faire des armes au service d’une petite élite (phénicienne, juive ou les deux ?). Ils ont très probablement été dupés lors de leur expulsion d’Espagne, qui a été très similaire à ce qui s’est passé au 20siècle. Et récemment, en tant que rats de laboratoire de Pfizer, et maintenant le piège de Gaza, conduisant à la disparition d’Israël (annoncée par Kissinger, Ehud Barak).

La tromperie est partout : « Le monde entier est une scène » (W. Shakespeare)

  • Médias (magie noire, symbolisme occulte), éducation ;
  • Des rackets de protection sans fin, y compris le communisme, Hitler, le 11 septembre, la Covid, le CO2, et même la Nature (qui décide avec quel sexe vous naissez), etc. ;
  • le scientisme (le Siècle des Lumières était un Siècle de l’Oscurcissement), le matérialisme, le wokisme, le transgendérisme et le transhumanisme (technologie vs Nature) ;
  • L’imposture de la supériorité du capitalisme et du libéralisme américains ;
  • Les États-nations faussement « autonomes » ;
  • Les fausses démocraties, un jeu de confiance qui dure depuis des siècles et qui s’achève ;
  • Guerres et révolutions, aujourd’hui en Ukraine, à Gaza.

Aperçu du livre

Après la Covid, des millions de personnes comprennent une chose : elles ont été dupées. Pourtant, elles se demandent toujours POURQUOI toutes ces choses étranges ont pu se produire. Beaucoup ont déjà compris qu’il est très difficile de trouver la réponse sur Internet ou dans les livres. En effet, seule une analyse large et approfondie de l’Histoire mondiale peut nous donner une vue d’ensemble du passé, en tant que cadre nécessaire à une bonne compréhension de ce que nous vivons aujourd’hui et de ce que nous pouvons attendre de l’avenir.

Les Prédateurs contre Le Peuple, un livre clair et captivant qui propose une analyse approfondie et indépendante de l’Histoire et qui explique pourquoi tant de choses étranges se produisent aujourd’hui. Il s’agit d’un récit honnête, logique et sans fioritures de l’Histoire mondiale, qui va à l’encontre de la fausse version officielle qui nous a été servie presque tous les jours de notre vie. Actuellement, le livre est divisé en deux parties : Globalisme : La véritable histoire (partie A), complétée par Globalisme : 46 faits saillants (partie B), un ouvrage de référence comprenant 46 brefs essais sur des sujets cruciaux. Des améliorations et des ajouts seront apportés prochainement.

La véritable Histoire commence par un aperçu des débuts de l’Histoire mondiale, y compris les fondements scientifiques falsifiés des origines de l’univers, de la vie et de l’homme. Elle se concentre ensuite sur la énième tentative de domination du monde, cette fois par une Mafia mondiale, ou Glafia. Ce groupe de familles bancaires dynastiques, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, est appelé ici Les Prédateurs. Leur complot a pris forme vers 1522 et a été le premier à reposer sur le pouvoir du CAPITAL et de la TROMPERIE. Aujourd’hui, cinq siècles plus tard, il est sur le point de s’achever avec la Grande Réinitialisation du FEM.

S’appuyant sur un grand nombre d’éléments convergents, dont une bonne partie émanant d’historiens très respectés, cet ouvrage apporte la preuve que les principaux événements mondiaux des cinq derniers siècles ont été provoqués par ces prédateurs. Dès le départ, la Glafia a mené cet énorme projet par personnes interposées. Elle a fait des futurs États-nations « souverains » d’Europe ses premiers mandataires, qu’elle contrôlait par l’intermédiaire de banques centrales usuraires et de pots-de-vin (capital), et de fausses démocraties (tromperie). Ces États européens mandataires ont ensuite été chargés de coloniser les « fruits les plus faciles à cueillir », les terres et les populations du tiers-monde, et financés à cette fin. Des siècles plus tard, la Glafia a organisé leur fausse décolonisation.

Les empires d’Eurasie, les « fruits mûrs », étaient les noix les plus difficiles à casser. Une vaste opération de guerres, de crises et de révolutions a été préparée longtemps à l’avance. C’est devenu le grand massacre de l’Eurasie au XXsiècle, avec plus de 200 millions de morts. Tous les croque-mitaines de ses nombreux réseaux de protection — y compris le communisme et Hitler — ont été mis en place par les mandataires britanniques, américains et sionistes de la Glafia. Pourtant, grâce à la tromperie des universités et des médias traîtres, les Britanniques et les Américains de la Glafia qui ont incité au grand massacre sont encore fêtés comme les plus grands libérateurs de tous les temps, tandis que leurs mandataires sionistes se présentent encore comme les plus grandes victimes de tous les temps. L’Occident a également servi d’incubateur pour les sciences et les technologies de pointe.

Au cours d’un jeu de confiance qui a duré des siècles, la Glafia a corrompu et capturé tous nos 193 faux gouvernements souverains et faux gouvernements démocratiques, qui agissent maintenant comme des « traîtres à l’intérieur des portes », avec la Covid comme preuve du pouding totalitaire. Avec TOUTES LES TERRES sous le contrôle de la Glafia, leur objectif pour le 21e siècle est de contrôler TOUS LES PEUPLES individuellement, via la Grande Réinitialisation/IVe Révolution Industrielle, le jeu final pour installer leur Prison Numérique Globale (avec CBDC, Revenu de base universel, budgets carbone, etc.).

Après les premiers cycles de ce projet de domination avec l’Espagne, les Pays-Bas, l’Angleterre et les États-Unis en tant qu’hégémon occidental, les nouveaux États leaders mondiaux de la Glafia, la Chine et la Russie, tous deux préparés depuis des décennies, prennent maintenant le relais pour le cinquième cycle. Le changement actuel, le premier de l’Ouest vers l’Est, s’effectue sous le couvert de guerres militaires et bactériologiques et d’un nouvel « ordre mondial multipolaire bienveillant », tandis que l’Ouest, toujours trompé et en sommeil, est en train d’être démoli.

Les révélations explosives sur les centaines de millions de victimes des impitoyables projets Prédateurs visant à coloniser le globe, et sur les nombreuses guerres, révolutions, crises et autres atrocités horribles qu’ils ont mises en scène et qu’ils continuent de commettre, sont choquantes. Mais ce n’est pas tout : leur guerre spirituelle cachée contre « NOUS, le Peuple », un Obscurcissement masqué sous le nom de Lumières, a éloigné l’Humanité de la Nature et de l’Univers, en particulier en Occident. C’est pourquoi la redécouverte de l’essence de la vie est la révolution dont NOUS avons besoin.

Épargnez-vous l’énorme et déroutant souci de tout comprendre par vous-même ! Avec la tranquillité d’esprit que ce livre vous apporte, vous pourrez vous consacrer à la recherche de moyens pour retrouver notre planète, notre liberté et notre avenir volés.

Les premières civilisations

La civilisation a été caractérisée par les villes, l’argent et l’écriture.

Mees Baaijen

Mees a grandi dans une campagne hollandaise à la vie simple. Il a travaillé dans 7 pays sur 4 continents. Athée depuis l’âge de 12 ans, il pense aujourd’hui que le Siècle des Lumières était un Siècle de la Fin, destiné à nous éloigner de l’Univers (Tao, Dieu), d’où provient notre pouvoir.





Covid-19 : les « complotistes » avaient vu juste

Par Me NONOBSTANT

[NDLR L’Histoire récente nous a cependant largement montré que s’élever contre la vaccination pasteurienne ou la fausse vaccination à supposé ARNm n’empêche nullement les entreprises pharmaceutiques de continuer de sévir et de contrôler l’enseignement médical, ni les Bill Gates et autres milliardaires de poursuivre leur agenda eugéniste.
Par contre, si suffisamment de monde en général et de personnels soignants en particulier poussent plus avant leur démarche « complotiste » de remise en question des croyances modernes et creusent plus profond, ils réaliseront probablement et en nombre suffisant la vacuité et l’ineptie scientifique de l’hypothèse virale (abusivement nommée, désormais, « théorie virale »)1, et il n’existera plus mondialement aucun justificatif aux vaccins et autres cocktails thérapeutiques prétendument « antiviraux » ni aux diverses mesures « sanitaires ». Les maladies dites virales ont bien d’autres causes que les virus pathogènes fantomatiques, et les diverses substances utilisées en allopathies pour soi-disant soigner ne contribuent le plus souvent qu’à soulager des symptômes, ceci en produisant de surcroît des effets secondaires plus ou moins nocifs. Consulter le dossier Vaccins et virus permettrait au lecteur d’approfondir le sujet.]





L’institut de M. Malone publie une liste de politiciens canadiens ayant des liens avec le Forum économique mondial

[Source : mondialisation.ca]

Une liste publiée par l’institut de recherche du Dr Robert Malone montre que des dizaines de politiciens canadiens anciens et actuels, dont Trudeau et certains membres de son cabinet, ont obtenu leur diplôme des programmes du Forum économique mondial.

[Voir aussi :
Les Young Global Leader, l’organisation du FÉM pour « infiltrer » les gouvernements
et
Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab]

Par Anthony Murdoch

Une nouvelle liste publiée par le Malone Institute, basé aux États-Unis, met en évidence des dizaines de politiciens canadiens et de ministres actuels du gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau qui ont des liens avec le programme Young Global Leaders du Forum économique mondial.

L’Institut Malone, fondé par le Dr Robert Malone, en partenariat avec la Fondation suédoise Pharos, a lancé un projet de Forum économique mondial pour enquêter sur « les membres mondialistes de l’organisation commerciale connue sous le nom de Forum économique mondial (WEF) et les agents qu’ils ont formés ». Le projet a publié un résumé des diplômés des « Global Leaders of Tomorrow du Forum économique mondial (un programme d’un an qui s’est déroulé de 1993 à 2003) ainsi que des Young Global Leaders (un programme de cinq ans lancé en 2004/2005 et toujours en cours) ».

Un coup d’œil à sa liste récemment publiée montre plus d’une douzaine de ministres libéraux actuels et anciens du cabinet Trudeau qui ont été diplômés des programmes des jeunes leaders du FEM, dont la vice-première ministre Chrystia Freeland (2000), le Premier ministre Justin Trudeau (2005), l’ancien président du Conseil du Trésor Scott Brison (2005), le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie François-Philippe Champagne (2009) et la leader du gouvernement à la Chambre des communes Karina Gould (2010).

Parmi les autres ministres du Cabinet, citons la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly (2016), le ministre des Services aux citoyens, Terry Beech (2017), l’ancienne ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, Maryam Monsef (2020) et le ministre du Logement, de l’Infrastructure et des Collectivités, Sean Fraser (2022).

La députée conservatrice Michelle Rempel (2016) ainsi que le député et chef du NPD (Nouveau Parti démocratique) Jagmeet Singh (2018) figurent également sur la liste.

Pour créer la liste, l’Institut Malone et la Fondation Pharos ont utilisé les moteurs de recherche du WEF et ont recoupé les listes publiées en utilisant des outils tels que les archives de la « Wayback Machine » ainsi que Wikispooks, « et d’autres sources complémentaires ».

« Ce n’est peut-être pas exact à 100 %, mais nous avons fait de notre mieux pour le rendre aussi correct et mis à jour que possible », note le Malone Institute.

Le rapport ne surprendra peut-être pas de nombreux Canadiens, car les liens entre le WEF et les libéraux de Trudeau sont bien connus. En fait, le désormais ancien président du WEF, Klaus Schwab, a dit un jour à Freeland qu’il avait « compté » sur elle pour s’assurer que ses objectifs mondialistes voient le jour.

En 2017, Schwab s’est même vanté que la moitié du cabinet de Trudeau était membre de son programme de jeunes leaders.

L’ancien chef du Parti conservateur et actuel député Andrew Scheer a également brièvement figuré sur la liste, mais a depuis été retiré après que sa déclaration du 24 mars 2022 niant toute implication dans le WEF ait été rendue publique.

« Récemment, on m’a signalé que le site Web du Forum économique mondial comprenait un profil de moi », a noté M. Scheer en 2022.

« Je ne suis PAS membre du WEF. Je n’ai jamais assisté à une réunion, une conférence ou tout autre événement parrainé ou associé au FEM. Je ne suis jamais allé à Davos. Je ne sais pas pourquoi mon profil a été inclus sur leur site Web Young Global Leaders. Une fois que cela a été porté à mon attention, j’ai demandé au WEF de me retirer de son site. Ils se sont exécutés depuis. »

Il est intéressant de noter que l’actuel chef conservateur Pierre Poilievre a été placé dans l’onglet « incertain » de la liste Malone/Pharos. Il a nié avoir été impliqué dans le programme des jeunes leaders ; cependant, les pages d’Internet Archive impliquent le contraire.

Les membres du WEF « sont déployés intentionnellement et internationalement en tant qu’agents étrangers »

Selon l’Institut Malone, les personnes impliquées dans le WEF ont « été déployées intentionnellement et internationalement en tant qu’agents étrangers représentant les intérêts des membres du WEF pour “pénétrer les cabinets mondiaux des pays” ainsi qu’un large éventail de… secteurs. »

« Le WEF est l’organisation qui a orchestré la planification, le développement et la mise en œuvre harmonisés à l’échelle mondiale des confinements, des mandats, des campagnes de vaccination autoritaires, de la suppression des options de traitement précoces, du ciblage mondial des médecins dissidents, de la censure, de la propagande, de l’information et des programmes de contrôle de la pensée que nous avons tous connus depuis fin 2019 », s’est exclamé l’Institut Malone.

« C’est la structure organisationnelle utilisée par ceux qui ont cherché à contrôler et à gérer le monde pour faire avancer les intérêts économiques et politiques de leurs membres par le biais de la “Grande Réinitialisation” en cours (comme l’a nommé et décrit leur président Klaus Schwab) en exploitant et en exacerbant les perturbations sociales et économiques qu’ils ont artificiellement et intentionnellement conçues depuis que le SRAS-CoV-19 a commencé à se propager à travers le monde. »

La liste des jeunes leaders met également en évidence d’anciens politiciens canadiens liés au FEM, notamment l’ancien ministre progressiste-conservateur et conservateur Bernard Valcourt (1993), l’ancienne vice-première ministre libérale Sheila Copps (1994) et l’ancien premier ministre libéral du Québec Jean Charest (1994).

L’ancien maire de Calgary, Naheed Nenshi, qui se présente pour devenir chef du Nouveau Parti démocratique de l’Alberta, a également été inscrit sur la liste (2011).

Comme l’a noté LifeSiteNews, Freeland en particulier a des liens profonds avec le WEF mondialiste. Elle est actuellement membre du conseil d’administration du WEF et a assisté à une réunion du WEF en janvier, participant à un panel public sur l’Ukraine.

Le WEF est surtout connu pour être le groupe derrière le programme socialiste de la « Grande Réinitialisation », dont le slogan se vante d’un avenir dans lequel les masses « ne posséderont rien » et « seront heureuses ».

Parmi les objectifs de la Grande Réinitialisation figurent la réduction et l’élimination de l’utilisation des combustibles fossiles, l’infrastructure d’identification numérique et les systèmes de passeport liés à la santé.

Anthony Murdoch

Article original en anglais : Dr. Malone’s institute publishes list of Canadian politicians with ties to the World Economic Forum, LifeSiteNews, le 28 mai 2024.

Traduction : Edge

La source originale de cet article est lifesitenews.com
Copyright © Anthony Murdoch, lifesitenews.com, 2024




Les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : lifesitenews.com]

« Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à soumettre les peuples, sont habillées sous la forme de science, alors qu’elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occulte et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles ».

[Voir aussi :
https://nouveau-monde.ca/un-professeur-finlandais-expose-les-racines-occultes-du-forum-economique-mondial/]

Par Frank Wright

De nombreuses théories délirantes circulent sur ceux qui seraient les maîtres de notre avenir. Peu d’entre elles peuvent rivaliser avec les idées abracadabrantes de ces personnes, dont les paroles, lorsqu’elles sont citées mot pour mot, semblent farfelues.

Que penser alors des affirmations d’un homme qui a eu affaire à certains de ces individus en personne ? Aujourd’hui, je vous présente les travaux du professeur Mikko Paunio, dont l’argument « … est qu’en fin de compte, les programmes mondiaux fondés sur l’ésotérisme et l’occultisme ou, plus simplement, le nouveau panthéisme de la nature, sont fous et donc socialement dangereux ».



Dire que le Forum économique mondial et ses groupes de pairs sentent le soufre, c’est faire preuve de méchanceté à l’égard de l’enfer. Pourtant, c’est en décrivant avec précision les actes de ces technocrates fantaisistes, pour qui nous ne sommes guère plus qu’un problème de gestion à résoudre, que l’on servira le mieux la cause de l’Humanité.

Une affirmation aussi audacieuse, si elle est faite sans preuve, peut être rejetée sans discussion. Pourtant, les recherches menées depuis 30 ans par le professeur Mikko Paunio, qui n’est pas étranger aux réunions au niveau de l’État, présentent un ensemble de travaux qui révèlent que « les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont des absurdités ésotériques ».

Les arguments suivants ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une présentation simplement intitulée « Le pouvoir occulte ». Ils ne sont pas avancés par un obscur théoricien du complot, mais par un homme dont la longue carrière l’a conduit dans les couloirs mêmes du pouvoir :

Les justifications des politiques mondiales obscurantistes de l’ONU et du Forum économique mondial, qui visent à asservir les peuples, sont présentées sous la forme d’une science, alors qu’elles sont fondées sur l’ésotérisme et l’occultisme et ne sont donc que la pensée irrationnelle d’imbéciles.

Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans son pays natal, la Finlande, et qui a fait un bref passage à la Banque mondiale. Il est actuellement médecin-chef au ministère finlandais des Affaires sociales et de la Santé. Son travail de conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau de l’État dans toute l’Europe et aux États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche au culte du climat dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste en santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres dessous de ces misanthropes adorateurs de la nature.

Lorsque j’étais un jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires de la commission de l’énergie du Premier ministre au lendemain de l’accident de Tchernobyl, en Finlande. Moi-même et les autres secrétaires devions lire un interminable flux de données manuscrites d’un membre de la commission appelé Pentti Malaska, professeur d’études prospectives à l’université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette réunion ?

Il s’est avéré plus tard qu’il s’agissait d’un occultiste.

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle «… le nouveau panthéisme de la nature qui est né dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial ».

Le Club de Rome a été fondé en 1968, l’année de sa publication phare, Les limites de la croissance. Il est composé d’une centaine de dirigeants d’État et de technocrates issus de gouvernements, d’entreprises et de bureaucraties supranationales telles que l’ONU.

Ce livre a marqué un tournant dans le culte moderne de la Terre, en présentant l’Humanité comme un handicap supporté par une planète souffrante. Il présentait un avenir marqué par un effondrement catastrophique — des systèmes et de la population humaine — sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur et les promesses d’espoir, elle a creusé un sillon que les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui ont bien su emprunter. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations unies et le Forum économique mondial sont tous des adeptes de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement en faveur de projets tels que Net Zero.

Toutefois, comme l’explique M. Paunio, ces organisations ne sont pas seulement unies par un intérêt commun pour le marketing de la crise.

Dès 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], je faisais remarquer qu’une grande partie des activistes du mouvement néo-malthusien Green antiscience étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire la théosophie.

Le point de vue de Paunio est que les prétendus maîtres du monde sont des fantaisistes, et que leurs fantasmes sont directement inspirés d’une tradition occulte remontant au 19e siècle. Il affirme qu’ils n’appartiennent pas seulement à une secte, mais que la promotion et la pratique de ces croyances, qu’elles soient cachées ou non, constituent un credo qui a supplanté celui de l’Église.

Cette religion a largement remplacé le christianisme dans les pays occidentaux. Le panthéisme naturel s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, fondée sur l’ésotérisme et l’occultisme de la plus célèbre escroc du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Paunio prend soin de faire la distinction entre « ésotérique » — qui signifie « personnel » — et « occulte » — qui signifie « caché ». Il affirme qu’un culte de la fantaisie personnelle, dont les pratiques privées se reflètent dans une vision du monde détachée de la réalité, est endémique au sein de l’élite dirigeante. Si tel est bien le cas, cela expliquerait pourquoi tant de nos dirigeants ne semblent se préoccuper que d’eux-mêmes, et pourquoi leurs croyances et leurs politiques semblent souvent n’avoir que peu de rapport avec la réalité observable.

Quelles sont les preuves de l’existence d’un tel culte ? Certains de ses adeptes les plus éminents ne se soucient guère de garder pour eux leurs croyances occultes. En janvier 2016, Klaus Schwab «… est apparu dans une interview télévisée avec RTS Suisse en Suisse, où il a ouvertement révélé son occultisme ésotérique fou. »

Dans la vidéo mentionnée, Schwab parle de la « fusion des mondes numérique, physique et biologique » à travers une technologie qui, selon Paunio, n’est rien d’autre que de la science-fiction.

[NDLR Sauf que cette technologie est malheureusement bien réelle (et pas seulement brevetée) dans la plupart des cas, comme des articles des dossiers Implants numériques et contrôle mental et 5G et ondes pulsées permettent de s’en rendre compte. Il semble que ces individus aient les moyens de leurs ambitions.]

Tout ce que Schwab a mentionné à la télévision suisse en 2016 est tout simplement de la science-fiction contraire à l’éthique. Une telle technologie n’existe pas et n’existera jamais. Il s’agit juste de la pensée grincheuse d’un vieil homme grincheux basée sur des vols dans l’espace intérieur et des idées dérivées de rituels occultes.

Paunio affirme que la soi-disant science présentée par des gens comme Schwab n’est qu’une fantaisie. Qu’en est-il du protégé de Schwab, Yuval Noah Harari ?

[Paunio s’est-il donné la peine d’investiguer dans ce domaine technologique, ou bien se trouve-t-il sur ce point particulier face à quelque chose qu’il ne peut ou ne veut pas croire ?]

Le WEF a délibérément créé un faux CV en sciences naturelles pour Yuval Harari, qui est en réalité un historien.

Harari n’est qu’un imposteur, inventé par son maître pour ressembler à un prophète scientifique du futur. Il n’est rien d’autre qu’un autre Walter Mitty, affirme Paunio — mais un Walter Mitty dirigé par un homme ayant un certain attachement aux traditions occultes.

Klaus Schwab a recruté le fonctionnaire non élu de l’ONU chargé de l’environnement de loin le plus influent, Maurice Strong, un riche industriel canadien sans éducation (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong a été LA figure centrale de la promotion de l’agenda du développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du nouveau panthéisme de la nature.

Comment ces fous ont-ils pu atteindre une plate-forme aussi puissante ?

Grâce au soutien inconditionnel que leur apportent les grands médias, les politiques mondiales insensées du FEM, qui visent à nous appauvrir et à aggraver les problèmes environnementaux, ont gagné du terrain dans toutes les institutions occidentales, y compris les églises protestantes et l’Église catholique.

Il n’y a pas à discuter, car les preuves sont partout autour de nous. Nous habitons déjà les monuments numériques d’un culte qui s’est emparé de nos dirigeants et de nos médias. Pourtant, les conclusions de Paunio vont plus loin que la religion internationale du malheur. Son travail révèle comment des organisations telles que le FEM travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un agenda — celui de l’effondrement.

Paunio a prouvé dans cet article que le Forum économique mondial a utilisé un fonds d’innovation finlandais pour promouvoir la Grande Réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui dépend du Parlement finlandais, a publié un rapport falsifié sur le miracle finlandais de l’économie circulaire et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nuisible à l’environnement, à la santé humaine et à l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission européenne a présenté aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxation de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme ensemble de mesures sur le climat Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et qui conduira finalement à une planification quinquennale de type soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le travail du professeur Paunio ne consiste pas simplement à se moquer des bouffons et à démentir leurs fausses références. Il s’agit d’une tentative sérieuse de contribuer au contre-récit d’un management technocratique dont le mal est rendu plus compréhensible par la révélation de ses inspirations occultes.

Il termine son long essai sur le sujet par un cri de ralliement adressé à la communauté de l’économie réelle.

Nous, le peuple, les travailleurs ordinaires et les entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, devons nous réveiller pour défendre l’instruction, la liberté et la société moderne. Seule la recherche du bien, à partir de ses propres points de départ, peut supplanter ces expériences humaines menées depuis l’étranger. La Finlande, en tant que société à part entière et historiquement dominée par d’autres nations, est aujourd’hui une plate-forme solide pour des expériences farfelues, à moins que nos décideurs ne soient conscients des énormes dangers qui y sont associés.

Pour en savoir plus sur les travaux du professeur Paunio, consultez l’émission de John Henry Westen, ainsi que les articles à venir de Frank Wright sur le contexte de ses travaux.




Saturne et cube noir : que signifient ces symboles de la religion secrète des puissants ?

[Source : Jérémie Mercier]

Dans les épisodes précédents, Icaros a commencé à décrypter pour nous la religion secrète des « maîtres du monde ». Du 11 septembre comme rituel de reconstitution de la destruction du temple de Salomon, au Coronacircus comme couronnement initiatique, nous commençons à y voir plus clair sur leurs superstitions de fins des temps.

Dans cet épisode, Icaros approfondit ses explications sur le culte de Saturne et du cube noir, et répond aux questions soulevées jusqu’ici. Il décrit les principaux symboles de ce culte, et ce qu’ils représentent. (…)

► Premier entretien du 20 septembre 2022 : Coronacircus et superstitions de la fin des temps.
► Deuxième entretien du 17 février 2023 : Quand les théories du complot font partie du complot ou ici.
► Troisième entretien du 17 février 2023 : Superstition de fin des temps : où en sont-ils ? ou ici.

► Le blog d’Icaros : https://coronacircus.com/

[Voir aussi, pour une vision plus positive du cube (pas nécessairement noir) et de la croix liée :
https://nouveau-monde.ca/changer-le-systeme/]

En cas de censure, lien alternatif : https://crowdbunker.com/v/i2qQkhCR-co



Russie + Chine = une fausse alternative à l’hégémon américain

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca — 19 mai 2024

L’éminent penseur politique et auteur Mees Baaijen m’a envoyé un courriel me suggérant d’écrire un article qui apaiserait d’une manière ou d’une autre l’enthousiasme des admirateurs des dirigeants russes et chinois, ainsi que des BRICS, qu’ils perçoivent comme un projet alternatif à l’hégémonisme américain et, par conséquent, bénéfique pour les peuples du monde. C’est pourquoi cet article est dédié aux adorateurs du culte Russie-Chine-BRICS à l’occasion de la récente visite de Poutine en Chine.

C’est donc à Pékin que le président russe Vladimir Poutine a effectué sa première visite officielle depuis les dernières élections présidentielles et son investiture triomphale à Moscou. Mais avant de faire quelques remarques sur les relations entre les deux pays, je voudrais rappeler aux idolâtres du régime de Moscou qu’il ne peut être considéré comme légitime que dans la mesure où le pouvoir génère la légitimité.

Conformément à la constitution russe adoptée en 1993, ce pays est une démocratie libérale calquée sur le modèle occidental. Mais comme dans tout régime ploutocratique, en Russie, l’exercice électoral n’est qu’un spectacle politique destiné à créditer le régime en place. Rappelons que Poutine n’a jamais été élu sur la base d’une véritable alternative. Il a d’abord été installé comme président intérimaire le 31 décembre 1999 par décret de Boris Eltsine, dont l’état de santé s’était dégradé en raison d’une consommation excessive d’alcool. Et toutes les élections présidentielles qui ont suivi au cours des 25 dernières années n’ont été qu’une série de simulacres dans des conditions de suppression de toute opposition réelle. La dernière campagne électorale n’a pas fait exception à la règle.

La première remarque concernant les relations bilatérales entre les deux pays serait la suivante. Il ne s’agit pas de relations mutuellement bénéfiques, mais de relations en faveur de la Chine et au détriment de la Russie en tant qu’État, et en même temps au profit des groupes oligarchiques qui contrôlent l’économie de ce pays.

Un grand frère et une république bananière

Une fois de plus, après les sanctions imposées à la Russie par la guerre économique des Anglo-Américains assistés de leurs satellites européens, ce pays a été poussé dans les bras étouffants de la Chine. Un rapide coup d’œil sur les marchandises exportées par la Russie jusqu’à il y a quelques années, principalement vers l’Occident, puis vers la Chine et d’autres pays de l’Est, montre clairement l’état ingrat dans lequel ce pays s’est retrouvé. Les groupes d’intérêts privés qui contrôlent le pouvoir politique en Russie exportent massivement des ressources naturelles et des matières premières, notamment du gaz, du pétrole, du bois, des céréales, des métaux, etc. Au contraire, la Russie a importé de l’Occident, et maintenant de la Chine, des produits industriels finis, des technologies, des composants informatiques, etc. Dans ces conditions, on ne peut pas parler de relations économiques mutuellement bénéfiques, mais d’une nature néocoloniale de ce type de partenariat.

En d’autres termes, la Russie est devenue une république bananière de la Chine, qui prive son « partenaire commercial » de ressources naturelles. Rappelons également que la Russie a concédé à la Chine d’immenses territoires en Sibérie depuis des décennies. Et compte tenu de l’écart démographique entre les deux pays, Moscou pourrait, dans un avenir assez proche, perdre les territoires situés au-delà de l’Oural au profit de ce « principal partenaire ». Ainsi, alors que la Russie et l’URSS jouissaient du rôle de « grand frère » à l’égard des pays colonisés de l’ancienne zone communiste, elle se trouve aujourd’hui dans la position embarrassante de « petit frère du grand frère chinois ».

Et le fait que la Russie reste une puissance nucléaire redoutable ne l’exonère pas des risques de rester un appendice économique de la Chine hyperindustrialisée. L’erreur que commettent les analystes géopolitiques lorsqu’ils évoquent la Chine est de considérer ce pays selon la formule d’une rivalité européenne classique qui divise les acteurs en deux camps. C’est-à-dire, dans le cas présent, la compétition entre « l’Ouest » et « le Reste ». Mais il faut savoir que les Chinois ont une mentalité et une stratégie totalement différentes pour promouvoir leurs propres intérêts dans le monde.

Lorsque deux personnes se battent, c’est la troisième qui gagne

Leur formule magique n’est pas le jeu à deux, mais à trois acteurs. Dans la confrontation entre l’Occident et la Russie, les deux parties doivent perdre en faveur du troisième acteur, la Chine. Mais contrairement aux Occidentaux, elle ne pratique pas un langage belliqueux, mais favorise l’expansion économique par le biais d’une diplomatie douce basée sur une ruse orientale infinie. Il suffit d’observer les relations commerciales entre la Chine et les États-Unis, mais aussi entre ce pays et l’UE, pour constater que la guerre en Ukraine n’a pas affecté ces relations. L’expansion de la Chine dans les États d’Asie centrale de l’ex-URSS, ainsi que dans les pays ex-communistes d’Europe, se fait évidemment au détriment de la Russie et des États-Unis. Le même processus est en cours sur l’ensemble du continent asiatique, en Amérique latine et en Afrique.

Par conséquent, la dynamique géoéconomique à l’échelle mondiale invalide le récit dominant présent dans les discours et les documents signés à Pékin ces jours-ci par Xi Jinping et Poutine, qui insiste sur le « mythe de la multipolarité ». L’histoire de la multipolarité n’est rien d’autre qu’une manœuvre de la ploutocratie mondialiste tirant les ficelles d’en haut, conçue pour tromper les États de l’Est et du Sud qu’en échange de l’hégémonie américaine, un ordre mondial plus juste et plus équitable est à venir pour les anciennes nations colonisées. C’est là que réside toute l’escroquerie. Le déclin de « l’Occident » n’implique pas la montée du « Reste ».

En effet, les élites mondialistes exercent un contrôle tout aussi fort sur l’« Occident collectif » que sur des conglomérats tels que les BRICS. Et quiconque est capable de saisir l’ensemble et de voir la situation dans sa totalité ne peut nier cette réalité. Et celui qui n’a pas encore compris qu’il s’agit d’un immense piège, tissé par les mêmes cercles mondialistes, risque de se mettre dans une position ridicule, car la vérité deviendra évidente même pour les aveugles.

Quand les entreprises gouvernent, les États obéissent

L’illusion que des entreprises telles que BlackRock, Vanguard, State Street laissent un Poutine et un Xi Jinping préserver la souveraineté nationale de leurs pays révèle une grave erreur de perspective. Et ce, quand il ne s’agit pas d’un écran de fumée pour couvrir la stratégie universellement valable des élites mondialistes. Faut-il rappeler qu’aucun pays n’échappe aux griffes de la pieuvre financière de la Banque des règlements internationaux mondialiste ?

Ceux qui ont un minimum d’instruction savent que la mondialisation des dernières décennies a érodé jusqu’à l’annihilation la souveraineté de tous les États. Et à cet égard, ni les États-Unis, ni la Chine, ni la Russie ne sont des exceptions. Je me réfère au titre d’un livre fondamental publié en 1995, When Corporations Rule the World (Quand les entreprises dirigent le monde)de David C. Korten. Et toutes les erreurs de calcul des adorateurs des BRICS se résument à leur entêtement à ne pas appliquer cette formule à des pays comme la Russie et la Chine.

Pour rire un peu plus, nous citons la déclaration commune des deux dirigeants du 16 mai : « promouvoir la démocratisation des relations internationales et l’équité et la justice internationales ». Il est tout à fait comique de voir comment les représentants de deux régimes abusifs, antidémocratiques par excellence, plaident avec véhémence pour la « démocratisation des relations internationales ». Si cela signifie l’expansion du modèle « russe » ou « chinois » sur le monde entier, alors nous avons toutes les raisons de nous inquiéter pour notre avenir.

Gouvernement mondial avec le nom de conspiration UN

Un deuxième aspect fondamental qui frappe toute approche critique est la rhétorique triomphaliste affichée par Poutine et Xi louant le rôle moteur et bénéfique de l’ONU. Ils déclarent leur allégeance à l’ONU, plaidant pour le renforcement du rôle de cette organisation dirigée par des entités non étatiques éminemment mondialistes telles que le CFR, le WEF, la franc-maçonnerie et d’autres cercles occultes. D’ailleurs, le plaidoyer pour le rôle prépondérant de l’ONU dans les relations internationales est présent dans tous les documents des BRICS (voir mes articles à ce sujet : https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-08-24-9o94djqp/ ou Les BRICS menacent-ils l’agenda mondialiste ? ; https://arcaluinoe.info/fr/blog/2023-08-26-646srixg/ ; https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-08-29-4fdmeklk/ ou Les BRICS — un instrument clé pour l’établissement du nouvel ordre mondial).

Une lecture attentive du texte programmatique du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, intitulé « Notre programme commun » (https://www.un.org/en/common-agenda) et des documents préparatoires au Sommet pour l’avenir (https://www.un.org/en/summit-of-the-future) prévu pour les 22 et 23 septembre 2024 suffit pour comprendre que le gouvernement mondial est en train d’émerger en portant le masque de l’ONU. N’oublions pas non plus la prochaine Assemblée mondiale de la santé https://www.who.int/about/accountability/governance/world-health-assembly, qui se tiendra du 27 mai au 1er juin 2024 et qui devrait adopter l’Accord sur les pandémies ainsi que compléter le Règlement sanitaire international. Et étant donné que la Chine et la Russie ont montré leur totale obéissance à l’OMS pendant la période de la fausse pandémie de Covid-19 et n’ont jusqu’à présent manifesté aucun désaccord avec la politique génocidaire et tyrannique de cette organisation, l’idée même que ces deux pays soient en désaccord avec l’agenda mondialiste est une pure aberration.

En ce sens, il convient de rappeler qu’à l’origine de l’émergence de la Société des Nations après la Première Guerre mondiale et de l’ONU après la Seconde Guerre mondiale se trouvaient les cercles occultes de la ploutocratie mondialiste. Le siège des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial se trouve précisément à l’ONU. Et nos braves rebelles des BRICS contre l’ordre unipolaire déifient notamment cette organisation, préconisant qu’elle exerce une « gouvernance mondiale ». Cette notion même annule toute idée d’indépendance nationale.

Et si tout être humain qui a gardé sa capacité cognitive et son intégrité morale intactes est profondément préoccupé par l’imposition de la Grande Réinitialisation menée à un rythme accéléré, alors il n’y a pas moyen d’éviter l’évidence frappante que la Russie et la Chine sont parmi les champions de la mise en œuvre de cette stratégie satanique. Il suffit de se référer à l’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable, à l’acceptation de la CBDC, à la société sans argent liquide, à la surveillance généralisée, à l’adhésion au mythe du changement climatique, à la numérisation totale, etc. Dans ce contexte, peut-on prétendre que la Russie et la Chine ne font pas partie du projet cauchemardesque de mise en place d’une technocratie satanique mondiale ? Et pourtant, ils sont encore assez nombreux ceux qui continuent à nier l’évidence.

La subordination à l’OMC comme adhésion aux politiques économiques néolibérales

Outre la subordination à l’ONU et à l’OMS, la déclaration commune des deux dirigeants du 16 mai indique également qu’ils souhaitent « renforcer la coopération dans le cadre de l’OMC ». Ici, une petite explication s’impose. Pour ceux qui ont un minimum de connaissances en relations internationales, le rôle néfaste de l’OMC est bien connu. On sait donc que cette organisation représente l’instrument de recréation des relations économiques internationales dans l’intérêt des grandes entreprises et au détriment des États et des peuples, ainsi que des petites et moyennes entreprises. Le fondement de l’OMC est l’idéologie économique néolibérale axée sur le libre-échange, sur l’affaiblissement de l’indépendance économique des États, sur l’interdiction des mesures de protection des marchés intérieurs, les mêmes principes étant présents dans ce que l’on appelle le Consensus de Washington (https://en.wikipedia.org/wiki/Washington_Consensus ; https://www.ipea.gov.br/forumbrics/en/learn-about-brics.html).

Il convient de noter qu’au cours des dernières décennies, le seul paradigme permettant d’interpréter les relations économiques internationales est le paradigme néolibéral, toutes les autres écoles de pensée économique étant marginalisées et blâmées. L’idée même d’un énorme marché qui engloberait une construction amorphe en expansion continue comme les BRICS est façonnée par l’idée du libre-échange, qui est la règle d’or des prédateurs économiques.

Nous le répétons. Le déclin de l’empire américain ne signifie pas le déclin de la ploutocratie mondialiste, qui contrôle une grande quantité de ressources économiques, technologiques, militaires et médiatiques. Et entre la mondialisation unipolaire et la mondialisation « multipolaire », il n’y a pas de différence de fond.

(à suivre)




Grande Réinitialisation : la menace terrible des villes intelligentes et de l’IA

[Source : @geopolitique-profonde]

Le concept de « Great Reset » [Grande Réinitialisation] évoque à la fois fascination et appréhension, proposant une transformation profonde de notre société sous la houlette de forums influents comme celui de Davos. Ce plan envisage une refonte de la gouvernance globale et intègre les technologies de pointe au sein des futures « smart cities » [villes intelligentes].

Ces métropoles futuristes, souvent idéalisées comme des paradis technologiques, sont au cœur de l’Agenda 2030. Toutefois, au-delà de leurs avantages proclamés en matière de durabilité et d’efficacité, elles révèlent des aspects moins reluisants tels qu’une surveillance étendue et une manipulation comportementale subtile. Paris, dirigée par des leaders tels que Macron et influencée par des théoriciens comme Klaus Schwab, n’échappe pas à cette tendance.

Les fondements de ces villes intelligentes reposent sur la gouvernance numérique, qui utilise la technologie pour optimiser la gestion urbaine, mais introduit également des risques de surveillance type crédit social, évaluant les comportements des individus.

L’omniprésence de la surveillance s’appuie sur l’intelligence artificielle et des robots patrouilleurs dotés de reconnaissance faciale, constituant de vastes bases de données personnelles. La période de confinement a vu l’accélération de cette dynamique, avec l’adoption de mesures de contrôle strictes justifiées par la santé publique.

Bien que l’intelligence artificielle et la robotique soient louées pour leurs bénéfices, elles présentent également des risques lorsqu’elles sont utilisées pour augmenter le contrôle social et la manipulation. Ces technologies, combinées à des techniques d’ingénierie sociale, modèlent les comportements et les opinions, modifiant insidieusement les normes sociales sans un consentement démocratique.

Dans ce cadre, la cybersécurité et les identités numériques deviennent des questions essentielles. Avec la numérisation rapide de notre existence, protéger les données personnelles et combattre la surveillance de masse sont des priorités impératives.

Les smart cities, vitrines de l’initiative de Davos et de l’Agenda 2030, illustrent une vision future où la technologie et la gouvernance numérique dominent. Cependant, derrière le vernis de l’innovation, il est crucial de rester vigilant. L’espoir d’un futur amélioré ne doit pas faire oublier les dangers d’une surveillance généralisée et d’une diminution de l’autonomie. Équilibrer le progrès technologique avec le respect des libertés individuelles est un enjeu capital pour notre temps.

[À partir de 58:45 pour l’intervention sur les « smart cities » et l’IA.]






Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




La Moldavie au bord de la guerre ou la neutralité impossible

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

L’évolution du front ukrainien laisse entrevoir la perspective imminente d’un effondrement de la ligne de défense ukrainienne et d’une offensive décisive de l’armée russe. L’une des cibles stratégiques de la Russie est le port d’Odessa. Et en cas d’opération réussie, les Russes déclarent officiellement que leur prochaine cible est la région séparatiste de l’est de la Moldavie limitrophe d’Odessa, la Transnistrie. Les Russes y maintiennent illégalement un contingent militaire, prétendant être des gardiens de la paix et protéger la population russophone ou même les citoyens russes, ces derniers recevant en masse des passeports d’État russes. La Transnistrie est un « conflit gelé » qui risque de dégeler au profit de la Fédération de Russie et au détriment de la République de Moldavie. Mais qu’est-ce que cela change sur le « grand échiquier » de la troisième guerre mondiale ? Pas pour le reste du monde, mais pour mon pays, c’est une question vitale.

L’OTAN a sa propre stratégie pour un tel scénario. Pousser la République de Moldavie et la Roumanie à entrer en guerre contre la Russie en tant qu’État de l’OTAN voisin de mon pays, avec lequel nous partageons la même histoire, la même culture et la même langue. La Pologne est également prête à entrer en Ukraine avec ses troupes dans le cadre du même plan visant à contrer l’offensive russe.

Nous notons d’emblée que la République de Moldavie est un pays neutre en vertu de ses règles constitutionnelles et que le stationnement de troupes militaires étrangères sur son territoire national est interdit. Cependant, la force de la loi a été contrée par la loi de la force cette fois-ci également. Depuis plus de trois décennies, Moscou impose son rôle de « pacificateur » et de médiateur dans un conflit territorial dans lequel elle est elle-même impliquée.

Il est notoire que la République de Moldavie est dirigée par un réseau de ce que nous appelons des ONG-crates, des enfants de George Soros et des mercenaires américains. Ces individus ont été contraints par leurs protecteurs occidentaux de violer le statut de pays neutre de la Moldavie et de développer une rhétorique agressive à l’encontre de Moscou, voire de fournir un soutien politique et logistique au régime criminel de Kiev. Et pendant les deux années de guerre par procuration en Ukraine, les patriotes moldaves ont exigé que les autorités cessent de s’engager dans le conflit et respectent le statut de neutralité de notre pays, qui exige l’équité et l’impartialité dans de tels conflits armés. Nous n’avons pas été entendus. De plus, on nous a dit, non sans raison, que c’est la Russie qui est la première à violer la neutralité de mon pays par sa présence militaire illégale sur notre territoire national. Certes, l’OTAN et les Américains sont en Roumanie, et les Russes n’ont aucune raison de se retirer de Transnistrie. Les raisons stratégiques l’emportent sur les normes constitutionnelles d’un petit État vulnérable comme la République de Moldavie.

À l’heure actuelle, les citoyens de la République de Moldavie en âge de servir dans l’armée reçoivent des convocations pour se présenter aux commissariats militaires afin de participer à certains cantonnements, et des exercices militaires se déroulent sur notre territoire ce mois-ci avec la participation d’Américains, de Roumains et de Moldaves. Tout cela suscite à juste titre l’indignation des citoyens. L’auteur de ces lignes a lancé un appel public aux jeunes en âge de servir dans l’armée, suggérant que la rébellion sur les réseaux sociaux est insuffisante. Les gens doivent sortir en masse pour manifester pacifiquement dans le centre de la capitale et exiger l’une des deux choses suivantes : soit les dirigeants du pays respectent la neutralité de l’État, soit ils démissionnent. Un autre commentaire a suivi, dans lequel j’ai rappelé à quel moment un patriote ne peut pas ne pas faire la guerre. À savoir, lorsque l’unité territoriale et l’indépendance du pays sont menacées. D’où vient ce danger ? Malheureusement, de la Russie. Ce risque n’est pas encore devenu un fait accompli, mais il peut le devenir à tout moment. Que doit donc faire un Moldave ? Doit-il accueillir l’armée russe avec des fleurs ou se défendre ? Pour un patriote occidental, de tels dilemmes ne se posent pas, mais pour nous, Moldaves, ils se posent.

Bien sûr, nous ne pouvons pas exclure qu’un scénario tragique pour mon pays puisse encore être évité. D’autant plus que l’on parle beaucoup d’une partition de l’Ukraine entre les Russes et les Occidentaux. Et les responsables de Moscou ne cessent de répéter qu’ils sont prêts à s’asseoir à la table des négociations à tout moment et apparemment sans conditions préalables. Quel pourrait être le facteur qui amènerait la Russie à renoncer à une offensive sur Odessa et à annexer implicitement la Transnistrie et peut-être même toute la République de Moldavie ? Ce facteur pourrait même avoir un nom propre. Par exemple, Roman Abramovitch, l’oligarque londonien qui a toujours une porte ouverte sur le Kremlin. Qui vise-t-il ? La City de Londres, les services secrets britanniques, l’oligarchie mondialiste, l' »État profond », autant d’euphémismes pour désigner les centres de pouvoir qui l’ont engagé en tant qu’envoyé spécial auprès de Poutine. J’ai régulièrement observé ses visites inopinées au Kremlin, qui aboutissaient invariablement à d’étranges concessions de la part de Moscou. Je l’ai également remarqué lors de TOUTES les négociations russo-ukrainiennes de ces dernières années, sauf qu’il n’a jamais été précisé lequel des deux représente ce personnage. La réponse est qu’il représente une tierce partie qui, tout au long de l’histoire moderne, a toujours provoqué des guerres et en a toujours tiré profit.

Envoyé spécial de la ville de Londres auprès de Poutine
et éternel pacificateur Roman Abramovitch

Un facteur important qui pourrait tempérer l’élan militaire de la Russie pourrait être la Chine, qui n’a pas renoncé à son plan en 12 points pour pacifier la guerre en Ukraine.

Et pour les optimistes qui excluent une telle perspective, je ne mentionnerai que les retraits étranges et inattendus des Russes de Kiev, des régions de Kharkov et de Herson, les échanges de prisonniers non provoqués et défavorables du côté russe, le respect des tabous garantissant la sécurité personnelle de Zelenski et des autres membres de la clique de Kiev, etc. Dans ces conditions, un patriote moldave en arrive à la conclusion paradoxale que l’esprit trop conciliant, voire capitulard, de Poutine pourrait être à l’avantage de la République de Moldavie.

Les relations de la Moldavie avec la Russie sont encore compliquées par l’atteinte permanente et méthodique à l’unité territoriale du pays en stimulant le conflit entre les autorités centrales de l’État et celles de la région appelée unité administrative-territoriale gagaouze. Il s’agit d’une région du sud du pays peuplée majoritairement d’une ethnie turque de religion chrétienne orthodoxe, qui manifeste traditionnellement un attachement excessif à la Russie et, implicitement, un manque de loyauté à l’égard de la République de Moldavie. Ce soft power à la russe nuit gravement à la stabilité interne. Et Moscou est toujours prêt à mettre de l’huile sur le feu pour dynamiter mon pays de l’intérieur. La Russie ne reconnaît pas nos relations de partenariat. Nous sommes trop petits. On nous propose donc soit la vassalité, soit, si nous n’obtempérons pas, la désintégration territoriale.

Pour l’auteur de ces lignes, il n’y a rien de plus détestable que la politique de l’Occident collectif. Mais si l’on tient compte du fait que, malgré les conflits majeurs qui se profilent à l’horizon entre l’Occident et la Russie, les deux parties font preuve de la même obéissance aveugle à la verticale mondialiste, l’équation se complique. Seuls les enthousiastes incurables, les aveugles et les naïfs peuvent ignorer la réalité frappante que l’Occident collectif et la Russie exécutent docilement et en parfaite harmonie TOUTES les stratégies de la Grande Réinitialisation.

Dans le processus de suppression de la souveraineté de TOUS les pays du monde sous la baguette de l’ONU, lorsque la politique génocidaire et liberticide de l’OMS est suivie par les deux parties, un grave dilemme se pose dans le cas de la République de Moldavie. L’Occident, contrairement à la Russie, ne s’attaque pas à l’unité territoriale de mon pays, préférant la colonisation économique et civilisationnelle, qui conduit de toute façon au « Meilleur des mondes », le paradis numérique dystopique et transhumaniste. Mais si des stratégies telles que l’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable ou le Traité sur les pandémies sont plus difficiles à comprendre pour la grande majorité de la population, les agressions militaires extérieures sont plus faciles à percevoir. En d’autres termes, la guerre non militaire des centres de pouvoir occidentaux passe presque inaperçue aux yeux du public, contrairement à la guerre « dure » et chaude de la Russie en Ukraine, avec une extension possible à mon pays.

Je sais que de tels articles ne peuvent changer la vision cyclopéenne et mondiale des maîtres du commentaire géopolitique en Occident qui sont dans le camp anti-mondialiste. Pour eux, la Russie de Poutine reste un espoir et une alternative. Je n’ai pas à m’en plaindre. Le droit à l’erreur fait en quelque sorte partie des droits fondamentaux de l’Homme. J’ai simplement essayé d’esquisser dans ces lignes la tragédie d’un peuple frontalier, dévasté par les contradictions de deux types d’impérialisme (occidental et russe).


N’hésitez pas à me contacter et à envoyer vos opinions et suggestions à cette adresse électronique :
chisinauforum2024@protonmail.com




Le climat comme arme sanitaire

Le Climat, c’est la Santé !

[Source : bam.news]
Par Réginald De Potesta De Waleffe

Après une tentative désastreuse de gérer la « crise COVID » et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte : Le Climat !
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Depuis « l’Appel à une action d’urgence pour limiter l’augmentation de la température mondiale, restaurer la biodiversité et protéger la santé »1, publié le 4 septembre 2021 dans les pages du Lancet, et le nouveau « narratif » publié ce mois‑ci avec le soutien de la Fondation Rockefeller (dès sa fondation en 1913, la Fondation Rockefeller2 est directement à l’origine de l’ordre sanitaire international avec l’Organisation d’Hygiène à la SDN3) : « Act on Climate — Our Lives Depend on It. A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health »4 prépare les esprits à faire du climat la probable septième Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI), auparavant réservée aux pandémies : coronavirus (2020), Ebola (2018 et 2014), Zika (2016), poliomyélite (2014) et H1N1 (2009).


Tels sont les critères d’une USPPI : une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue, avec des implications sanitaires dépassant les frontières, et qui nécessite une action internationale immédiate5. L’urgence climatique coche toutes les cases pour le Parlement européen qui la déclare en 20196, ou pour l’Archipel du Vanuatu en 20227, sauf que la mer ne monte pas assez vite et le plan d’évacuation8 d’urgence négocié avec l’Australie tombe à l’eau9.

Qu’à cela ne tienne, la situation est pire (sic) que toutes les urgences précédentes10 ! En outre, dès avril 2020, l’OMS et de nombreux commentateurs n’ont cessé d’établir des parallèles entre la crise climatique et ladite pandémie de coronavirus11, comme en atteste le nom du partenariat que la Fondation Rockefeller a noué avec l’OMS : « Partenariat contre les pandémies globales à l’ère du changement climatique »… tout un programme.

Et ça tombe vraiment bien, car aucune maladie ne semble plus pouvoir être étrangère aux conséquences directes de nos émissions de CO212, un peu comme si toutes les affections respiratoires étaient étiquetées « COVID », mais cette fois‑ci, en « climat ». La boucle est bouclée. La santé de tous dépend de tous. Les animaux vecteurs de maladies se déplacent, les vagues de chaleur, incendies, inondations impactent l’eau, le cheptel et les cultures et donc directement la santé humaine. Ce refrain est repris en chœur par les acteurs de la gouvernance mondiale, l’OMS1314, l’ONU15, le Forum Économique Mondial16, les lobbies et les ONG écologistes. Ces dernières sont considérées, à tort, comme l’émanation d’une volonté populaire, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins qu’un racket aux bons sentiments financé largement par les fortunés « sauveurs de l’humanité » comme Rockefeller, Getty, Gates ou Soros pour n’en citer que quelques-uns1718, plutôt que par les contributions des petits donateurs.

La lutte contre le réchauffement climatique anthropique (RCA) n’est plus une menace pour les générations futures, mais passe pour la réalité aux conséquences directes sur la santé des écosystèmes (sic). Les populations les plus défavorisées en sont les premières victimes et « nous ne pouvons laisser personne de côté » (Leave no one behind).19 À votre bon cœur messieurs‑dames, si ce n’est pas pour vous, faites‑le au moins pour les autres… Cela ne vous rappelle rien ? La couverture de santé universelle est d’ailleurs inscrite au programme, avec identité numérique à la clé. C’est pour votre sécurité et si l’on s’y met tous, tout se passera bien, d’ailleurs on s’occupe de tout, vous avez déjà bien assez à faire avec l’inflation, le terrorisme, le retour de la guerre froide, les punaises de lit (quand ce ne sont pas les effets indésirables20 des injections et leur composition…).

Les dernières marches avant le Sommet

1. La COP28 : La Santé d’abord21

La prochaine COP débute ce 30 novembre. Elle est consacrée cette fois à l’avancée du plan d’action et mettra l’accent sur la » santé climatique ». C’est le moment choisi par l’OMS pour affirmer ses prérogatives et d’en faire une COP Santé. Quelques jours avant l’ouverture de la 28e conférence des parties, l’OMS a publié son cadre opérationnel pour construire des systèmes de santé résilients au changement climatique et à faibles émissions de carbone22 concomitamment avec un épais rapport du Lancet en faveur d’une réponse climatique centrée sur la santé23 en guise de caution scientifique.

Risques climatiques pour la santé et les systèmes de santé (source : OMS nov. 2023)

2. Recommandation du Cadre Sendai pour la COP2824

Le processus de Sendai concerne la réduction des risques de catastrophes, avec cinq priorités :

  • Comprendre les risques de catastrophes, tout enregistrer, tout voir, tout modéliser ;
  • Renforcer la gouvernance des risques de catastrophes pour mieux les gérer ;
  • Intervenir en temps réel sur tous les paramètres opérables ;
  • Investir dans la réduction des risques de catastrophes aux fins de la résilience ;
  • Renforcer l’état de préparation aux catastrophes pour intervenir de manière efficace et pour « mieux reconstruire » (Build Back Better) durant la phase de relèvement, de remise en état et de reconstruction.

Les négociations pourraient rendre ce cadre d’action mobilisable même en l’absence de catastrophe, et donc par prévention d’un désastre majeur, comme pourrait en être accusé à tout hasard le dioxyde de carbone, ce fertilisant vital et source unique d’oxygène issu de la photosynthèse. Un bilan carbone imposé à tous les agents économiques permettrait une quantification rigoureuse et le contrôle de ces émissions.

Les discussions se poursuivent à Dubaï jusqu’au 12 décembre.

3. Nouvelle « Convention et Accords de l’OMS » (CA+) prévu le 24 mai 2024. « Santé pour la paix et paix pour la santé »

Le premier Règlement Sanitaire International (RSI) a été établi en 1951. Révisé en 1969, 1981 et 2005, le travail d’une nouvelle mouture a débuté sur le thème « Santé pour la paix et paix pour la santé » qui tire les enseignements de la période COVID.

Les négociations doivent aboutir à un nouveau traité « pandémies » et une réforme du Règlement Sanitaire International (RSI) établi en 2005. L’OMS aspire à des pouvoirs étendus et coercitifs pour remplir les missions qu’elle s’est données. Sauver la paix et le climat sont ses nouveaux défis.

Le projet de texte25 et ses amendements26 donnent à l’OMS le pouvoir de s’auto‑saisir dès lors que sont concernés les sujets suivants : la santé animale, la protection des écosystèmes, la santé humaine (le triptyque « One Health ») et le niveau de CO2. Et le discours climatique catastrophiste officiel couvre d’une manière très opportune ces quatre sujets.

À cela s’ajoute un financement permanent, le droit de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie, le droit de procéder à des confinements, d’activer le passeport vaccinal, d’accroître la surveillance des populations, de censurer, d’autoriser des traitements (d’en discriminer d’autres), de rendre obligatoires et d’organiser des vaccinations éventuelles, de sélectionner les fabricants autorisés, d’imposer une gestion centralisée éclipsant l’autonomie des États membres, souveraineté des États aussi éclipsée par la signature possible d’une partie prenante supérieure (par la définition extensive de partie par le nouveau traité). Ainsi, dans l’éventualité où l’Union européenne serait partie signataire, la Commission européenne, de plus en plus autoritaire (cf. la prolongation de 10 ans des glyphosates) pourrait faire appliquer le nouveau traité aux États membres.

L’opposition à ces développements regroupe les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil qui ne voient pas d’un bon œil le tournant unilatéral des hautes instances de l’OMS. Tout récemment le nouveau Premier ministre slovaque s’est formellement opposé à ce nouveau traité, l’accusant de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique27. Nous saurons après la prochaine réunion de l’Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) qui se déroule du 4 au 6 décembre s’il y a un « consensus mondial » suffisant pour la ratification aux deux tiers, ce dont il est encore raisonnable de douter, quoique beaucoup d’efforts ont dû être fournis pour huiler les rouages de ces négociations.

Outre l’opposition de certains pays, des citoyens et des organisations se mobilisent. Alertée par la disparition des dernières versions du traité de la « pleine considération pour la dignité, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes », CitizenGO, a pu rassembler non moins de 333 500 signatures d’opposants au CA+ de l’OMS en 8 jours à peine.28

Senta Depuydt (Children’s Health Defense) suit ce dossier de très près. Elle appelle à une sortie de l’OMS. Une présentation détaillée qui vaut le détour est disponible sur son site Substack29.

4. Préparation du Sommet pour le Futur en septembre 202430

Un autre processus pourrait également aboutir à une prise de contrôle centralisée au nom d’une urgence planétaire.31

La désignation de menaces systémiques globales s’est toujours accompagnée d’appels à une réponse internationale où les antagonismes et les souverainetés étatiques doivent s’effacer au nom du bien commun et partant, nous conduire à une gouvernance globale : notre agenda commun !

En 2012, dans la foulée de Rio+20, trente-deux scientifiques signent une tribune dans Science : L’urgence planétaire appelle une gestion globale et une gouvernance mondiale. Elle passe par la réforme en profondeur des institutions nationales et internationales32.

Pour faciliter cette transformation et éviter la catastrophe, la Global Challenges Foundation est fondée en 2013. Elle publie un rapport33 qui liste douze menaces fatales pour l’humanité et appelle à une coopération renforcée. Elle fonde un prix de 5 millions de dollars pour l’élaboration d’un plan pour une O.N.U. 2.0. : “The New Shape Prize is the first ever attempt to invite the whole world to come up with the best possible innovative ideas of how we can find a New World Order”, Johan Rockström, Davos 2018.


En 2015, Futur Earth34 établit les bases de l’architecture de cette nouvelle gouvernance globale. La même année, la Commission on Global Security, Justice & Governance produit un rapport35 sur la crise de la gouvernance mondiale. Ses recommandations pour relever les défis majeurs (défaillance des États, prévention des conflits, réchauffement climatique, sécurité de la cyberéconomie…) passe par un dialogue global et, ô surprise, une réforme des institutions internationales.

Quelques mois plus tard, l’Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU) dresse l’Agenda 2030 et les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la rosette arc‑en‑ciel orne la boutonnière des Young Global Leaders. L’année 2015 est couronnée par les Accords de Paris de la COP21 et le cap du Net Zero pour 2050 grâce aux marchés d’échanges du carbone, le nouvel étalon de la consommation limitée par votre Pass Carbone.


En novembre 2018, Emmanuel Macron préside la fondation du Forum de Paris sur la Paix36. Les lauréats du New Shape Prize y présentent leurs travaux. La liste des fondateurs et partenaires laisse rêveur : UNESCO, U.E., FMI, World Bank, Rockefeller Foundation, Bill & Melinda Gates Foundation, Carnegie Foundation, Open Society, Microsoft, Amazon, TikTok… Ses travaux sont focalisés sur l’amélioration de… la gouvernance mondiale.

En 2019, l’ONU appelle un plan d’action sur 10 ans pour répondre aux ODD.

En 2020, l’OMS déclare l’USPPI COVID et dans la foulée Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, publie son livre où il appelle un Grand Reset pour lequel le COVID présente « une fenêtre d’opportunité que nous ne pouvons pas rater »37, une répétition générale donc ?

En réponse, les 16 et 17 septembre 2020, le Forum de la Gouvernance Mondiale se tient en virtuel, COVID oblige, avec ce mot d’ordre : « Dessiner une feuille de route pour le futur que nous voulons, pour les Nations Unies dont nous avons besoin ». À cette occasion est constituée une Commission sur la Gouvernance Climatique, soutenue entre autres par la Fondation Rockefeller38, et chargée d’émettre des suggestions de réformes au système global. Ces commissionnaires se voient aussi confier la tâche d’émettre des propositions pour concrétiser la gouvernance mondiale au Sommet pour le Futur. En cas de déclaration d’état d’urgence, ils suggèrent la mise en œuvre d’une plateforme dédiée pour répondre de manière concertée à un choc global.

« Six limites planétaires sur neuf ont été dépassées »39.

Lors de l’AGNU de septembre dernier, la Commission a produit un rapport pour gouverner l’urgence planétaire40 et déclarer que 6 limites planétaires sur 9 qui ont été scientifiquement identifiées sont dépassées (les neuf limites planétaires sont le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, les changements d’utilisation des sols, l’acidification des océans, l’utilisation mondiale de l’eau, l’appauvrissement de la couche d’ozone, l’introduction d’entités nouvelles dans l’environnement — pollution chimique — et l’augmentation des aérosols dans l’atmosphère)41 ! Elle déplore tant l’absence d’initiative au sommet que le manque de réactivité de la société civile qu’elle appelle à se mobiliser pour exiger les évolutions nécessaires. Dès lors, elle recommande que l’AGNU déclare à l’occasion du Sommet pour le Futur une urgence planétaire et convoque une plateforme d’urgence pour coordonner une action concrète42 : L’établissement d’un tableau de bord général pour surveiller les neuf limites planétaires, ses fonctions vitales, ses paramètres et tous nos faits et gestes en temps réel pour assister la gestion du système Terre. Un rapport intermédiaire sera présenté à la COP28.

L’U.L.B. organise une journée d’étude complète et une conférence en soirée sur le sujet des urgences planétaires ce mercredi 13 décembre43.

The Digital World Brain “Neural techniques that invalidate free will”, Jacob Nordangård, octobre 202344

Le plan est déjà prêt

A Big Plan for a Small Planet a été élaboré par la Global Commons Alliance portée par le Club de Rome, le Forum Économique Mondial, le Rockefeller Philanthropy Advisors, la Global Challenges Foundation parmi 70 autres organisations contrôlées par de riches donateurs. Il s’agit d’accélérer le changement de système pour préserver le bien commun (sic)… et voler toutes vos libertés. La formule est simple,une commission planétaire qui établit des objectifs basés sur la science, qui informe les instances qui déclenchent les changements systémiques idoines, lesquels sont évalués en temps réel grâce à l’internet des objets et des corps par la fée intelligence artificielle (sic)45.

« The warming of the climate is no longer merely, or primarily, an environmental issue. It is an energy issue; a business issue; an investor issue; a moral issue; a security issue; an agricultural issue; a coastal issue; a religious issue; an urban issue; in short, a global issue that touches every conceivable facet of human existence. It is a matter of universal concern that cuts across party lines, religious affiliations, class divisions, and demographic distinctions. Therein lies our current opportunity. »

Annual report Rockefeller Brothers Fund 200546

Il faut prendre l’Agenda annoncé au sérieux. Pour empêcher les catastrophes qui nous menacent, il nous faudrait tout mesurer, tout contrôler, tout piloter. Le narratif nous emmène tout droit vers l’état d’urgence : limites planétaires, pandémies, climat et guerres, rien ne va plus. Depuis l’entrée en scène médiatique de Greta Thunberg et son intronisation47 au World Economic Forum de Klaus Schwab, l’urgence climatique et sa litanie de catastrophes inondent les médias officiels. La société tout entière est appelée à entrer en transition comme on entre en religion48. Il ne s’agirait en fait que d’entériner un état de fait.

On nous répète inlassablement que les conséquences du réchauffement seront pires que celles du COVID49. Ce qu’il faut comprendre de cette phrase, c’est que les mesures que l’on s’apprête à prendre seront pires que celles de la précédente USPPI COVID. Progressivement, les droits humains s’effacent du cadre des négociations de la gouvernance des risques.

Les aspirations à une gouvernance mondiale ne sont pas des phénomènes récents, mais plutôt le résultat de décennies d’efforts orchestrés par de riches fanatiques désireux d’accroître leur contrôle sur les populations. Ces derniers engrangent patiemment les bénéfices d’une emprise croissante sur les institutions internationales tout en imprégnant tous les pans de la société de leur idéologie. Leur influence est majeure dans le financement des universités et des fonds de recherche. Cela façonne ainsi le récit propagé par les médias sous leur influence et leur permet, à coup d’ingénierie sociale, d’imposer leur vision d’un monde angoissant et au bord de l’effondrement. Cette soif de contrôle pourrait bien atteindre un tournant décisif avec les développements de la cybernétique où la biologie fusionne avec le monde digital dans un grand tout hyperconnecté. L’identité électronique50, la géolocalisation, le bilan carbone convergent vers l’établissement d’un modèle intrusif et liberticide, omniscient quant à chacun de nos faits et gestes. Ce cauchemar totalitaire imposera une biopolitique au nom du bien commun. Toutefois, derrière cette rhétorique altruiste se profile une menace réelle pour l’humanité. Même si on assiste à une forte montée du scepticisme climatique51 et qu’il reste encore quelques étapes importantes à franchir avant l’adoption d’un tel cadre supranational, il ne faudrait pas négliger les moyens considérables et la détermination implacable des intérêts qui le soutiennent, que ce soit au nom d’une menace réelle, imaginaire ou fabriquée.

« Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise,
ils créeront des crises pour violer vos droits ».

Samuel Stemmer

Réginald de Potesta de Waleffe
Pour BAM!





Poutine et Cipolla face à la stupidité occidentale

Par Nicolas Bonnal

On va donc refaire la guerre.

« Il ne manque pas un bouton de guêtre », disait l’auguste maréchal Le Bœuf en 1870, six mois avant de rendre glorieusement le fort de Metz avec l’illustre Bazaine, un autre maréchal de France…

Flaubert écrit alors dans sa correspondance :

« Ce peuple mérite peut-être d’être châtié, et j’ai peur qu’il le soit. »

Nous sommes arrivés à un tel point dans la catastrophe française et sommes dirigés par de tels idiots que nous ne savons pas si cette nation-machin ruinée et surendettée survivra dans trois ans. Il est vrai qu’une partie des idiots aux affaires veut aussi nous faire disparaître pour obéir au conclave ploutocrate de Davos. Et comme une grande partie de la population est d’accord (télé-addiction, antiracisme, féminisme rousseauiste-sic, humanitarisme BHL, Grand Reset, russophobie, écologie, bellicisme ultra, chasse au pauvre et au carbone ou maintenant aux arbres, demandez le motif), pourquoi se gêneraient-ils ?

Depuis deux ans l’ennemi réduit sans y toucher l’OTAN à de la bouillie de chat ; il l’a fait avec 6 % du budget militaire US (60 milliards contre 1100) et avec un sixième de ses propres troupes, les mêmes qui doivent se faire exterminer par deux ou vingt mille (qui sait alors ?) zouaves français ; en même temps l’Europe avance vers le Grand Reset involontaire (enfin, presque) à coups de pénurie et de passe énergétique, voire de confiscation des comptes bancaires. L’Ukraine entêtée (découvrez le livre de ma femme sur le patriotisme ukrainien qui a toujours été virulent et sous-estimé, surtout par les Russes) va continuer ses opérations. Biden et Blinken seront contents sauf qu’ils peuvent aussi sauter électoralement, ayant fait doubler ou tripler le prix de l’essence dans le premier pays motorisé du monde automobile. On ne parlera pas de l’immobilier et des loyers (3000 dollars mensuels comme prix de base à Miami, 1200 dollars pour un 5 m 2 à New York, voyez le Daily Mail…).

Mais continuons, comme dirait Sartre avec son trio imbécile aux enfers. La France est désindustrialisée et connaît un déficit commercial mensuel de cent milliards… de francs ; l’Allemagne des débiles sociaux-écolo-démocrates connaît ses premiers déficits commerciaux qui vont durer et s’amplifier ; les USA de Biden sont à plus de mille milliards de déficit commercial par an (34 000 milliards de dette ; mais la bourse monte)…

La Russie est excédentaire de 300 milliards d’euros chaque année, devenue grâce aux sanctions la quatrième (elle dépasse le Japon cette année ou la prochaine) puissance économique et la deuxième puissance commerciale du monde (première puissance militaire elle l’était déjà sauf pour les distraits, les néo-Gamelin et autres colonels Goya-Yoda-yoga…).

Mais ne passons pas à côté du grand mystère : l’abrutissement occidental.

J’ai écrit de nombreux textes sur la stupidité. Elle me paraît une marque occidentale dans la mesure où elle est industrialisée depuis l’imprimerie faustienne (voyez Guénon, Barzun, McLuhan, Lévi-Strauss, etc.) : le patriotisme fut une caractéristique de cette stupidité qui est toujours hystérique et violente. Céline en parle très bien de cette « religion drapeautique qui remplaça promptement la première » (c’est dans le Voyage) mais aussi Marshall McLuhan qui étudiant Pope et la Dunciade dénonce le développement industriel du conditionnement psy à cause de l’imprimerie — à qui on doit les sanglantes et interminables guerres de religion ; Flaubert a tonné contre les idées reçues plus tard, et Ortega Y Gasset a dénoncé lui ces terrasses pleines, ces salles de cinéma pleines (Hermann Hesse aussi dans le pauvre Loup des steppes), ces cafés pleins, ces réunions politiques pleines de fascistes, de communistes, de socialistes, de libéraux et maintenant d’européistes et autres mondialistes convaincus. L’Occidental est composé de deux classes : la classe qui prône « l’ineptie qui se fait respecter partout » (Debord) et la classe de « l’imbécillité qui croit que tout est clair » (Debord encore) parce qu’elle l’a vu et cru à la télé ou dans les journaux. McLuhan a été définitif : la rage occidentale vient toujours de l’imprimé.

On est industriellement sous hypnose depuis Gutenberg.

En face il y a la Russie et la Chine et les Brics plus adultes. L’Occident est-il fondamentalement stupide ? Entre révolutions, nationalisme, socialisme, colonisation, décolonisation, Grand Reset et écologie, est-il fondamentalement un continent d’imbéciles, ces imbéciles dit Bernanos dont la colère menace le monde ? Ouvrez vos journaux, écoutez BHL et BFM pour vous en rendre compte.

Le sujet est vaste ; je vais rappeler l’époustouflant professeur italien (souvent des imbéciles, ces professeurs, relisez Molière et son Bourgeois gentilhomme en ce sens) Cipolla et ses cinq lois de la stupidité. Je les donne en annexe mais je rappelle la principale pour moi :

« elle crée des problèmes à un groupe de personnes sans en tirer le moindre bénéfice. »

Cela me paraît résumer notre classe politique actuelle efféminée, gnostique, idéaliste, pleurnicharde, écologiste, humanitaire, ignare et demeurée — mais sélectionnée en ce sens par les tireurs de ficelles façon Fink (BlackRock) ou Klaus Schwab. Car l’occident reste avec sa « culture du carnage » helléno-hébraïque le lieu des tireurs de ficelles. Mais on n’en dira pas plus de peur de passer pour un complotiste (chaque curieux qui DEMANDE OU DONNE UNE EXPLICATION devient un complotiste. Toute explication devient ontologiquement complotiste).

Rappelons donc ces lois de Cipolla sur la stupidité :

« Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer elle-même le moindre bénéfice. »

Carlo Cipolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité :

Loi 1 : Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en « liberté ».

Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi ? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas.

Loi 2 : La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.

La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer — de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus — possèdent un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il ? Personne ne sait. Voir la Loi 1.

Loi 3 : Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.

Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux.

« Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationalité détestable, mais une rationalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide, vous êtes complètement à sa merci… ».

Loi 4 : les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.

Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls.

Loi 5 : Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.

Elle est plus dangereuse qu’un voyou, car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose : leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous.

Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante : « le pays devient alors un enfer », conclut Marco Cipolla.

Le début de la phase finale de la stupidité postmoderne date des années soixante (on y reviendra) : on a d’un coup la révolution sexuelle (qui accouche de l’avortement puis de la tyrannie LGBTQ), l’antiracisme, le féminisme, l’écologie, le bellicisme humanitaire façon BHL qui rejoint l’apocalypse sauce néo-cons, on a la fin des valeurs, Vatican II, mai 68, les villes nouvelles, l’immigration de remplacement, le binôme télé-bagnole (voir la mère maquerelle d’Audiard), on a le grand effondrement à la romaine (revoir Fellini, Kubrick, Tati, Godard, etc.), et la désindustrialisation aussi, tout cela aboutissant à l’actuelle catastrophe. Enfin on a la tyrannie informatique (Hal 9000 dans 2001).

La stupidité est mortelle.

Sources :

http://www.cefro.pro/media/02/02/1435522111.pdf

Tetyana Bonnal — la poésie patriotique ukrainienne (Amazon.fr)

Nicolas Bonnal — la destruction de la France au cinéma (Amazon.fr)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Le_B%C5%93uf

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/levi-strauss-et-la-civilisation-cannibale

https://www.dedefensa.org/article/maxime-du-camp-et-le-declin-francais-en-1870




Septembre 2001 aux États-Unis : quelle fut l’origine des événements ?

Par Christian DARLOT

Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences.

Sénèque

La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins.

Edmund Burke

Tout pouvoir est une conspiration permanente.

Honoré de Balzac

La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable.

Mark Twain

On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles.

Georges Courteline

Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique.

Marshall McLuhan

Le bobard dément prépare le bombardement.

Éphraïm Camember, 29 juillet 1881

Résumé :

Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leur dessein.

Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

Table des matières

  • 1 Coïncidences

    • 1.1 Coïncidences à Manhattan
    • 1.2 Coïncidences au Pentagone
    • 1.3 Coïncidences économiques et politiques

  • 2 Disparition des avions

    • 2.1 Complicités
    • 2.2 Leurres
    • 2.3 Avion abattu
    • 2.4 Avion détourné
    • 2.5 Appels téléphoniques
    • 2.6 Victimes
    • 2.7 Accusation

  • 3 Scénario imaginable

    • 3.1 Destruction des tours
    • 3.2 Choix imposé au Gouvernement

  • 4 Puissances étatiques et supra-étatiques

    • 4.1 Négociations internationales ; le prix du silence
    • 4.2 Conséquences politiques
    • 4.3 Réseaux oligarchiques.

Un article précédent a montré que la version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat contre le Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction des tours : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias. Comment ces évènements furent-ils possibles ?

1 Coïncidences

Des coïncidences étonnantes accompagnèrent ces évènements extraordinaires. 1

1.1 Coïncidences à Manhattan

– Une société de sécurité du World Trade Center, Securacom, était dirigée par un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III, et une autre par un frère de Cheney. Or, le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux de maintenance.

– Un exercice de réaction à une attaque terroriste biologique, Tripod II, était organisé à New York et programmé pour le lendemain, 12 septembre. De nombreux secouristes avaient été rassemblés depuis plusieurs jours, et un centre de commandement avait été installé sur un quai du fleuve Hudson. Ces préparatifs furent bien utiles, puisque le Bureau de gestion des urgences de New York, situé dans la tour n° 7, devint bientôt indisponible ! 2

– Au matin du 11 septembre, plusieurs sociétés ayant des bureaux dans les tours envoyèrent à leurs employés des courriels leur enjoignant de ne pas venir ce jour-là, ou de partir au plus vite.

– Un des hommes les plus riches du monde, Warren Buffet, organisait ce 11 septembre un « petit déjeuner de charité » et un tournoi de golf sur le site militaire d’Offutt, siège de l’US STRATCOM (STRATegic COMmand, commandement des armes atomiques, doté d’un bunker souterrain à 18 mètres sous le niveau du sol), où George Bush passa au cours de l’après-midi. Cette base était aussi le poste de commandement d’un exercice en cours. Plusieurs dirigeants d’entreprises ayant leur siège dans les tours du WTC avaient été invités et étaient arrivés la veille au soir. Pour employer comme lieu de fête une base militaire très importante, l’assentiment du Secrétaire à la Défense était évidemment nécessaire.

– Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux. 3 Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n° 7, il avait acquis six semaines auparavant les tours jumelles, immeubles déficitaires, et les avait assurées séparément contre des attentats, chacune pour une valeur de 3,6 milliards de dollars. 4 En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance et les compagnies de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance !

– Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines auparavant par le groupe de « performance » Gelatin qui fit pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de la tour. Que se passa-t-il à l’intérieur ? L’assureur des Tours jumelles, Maurice Greenberg dirigeait depuis 1993 Kroll Incorporated, une société de sécurité du World Trade Center. 5 En 1999, son fils Jeffrey Greenberg devint PDG de la société de gestion de risques Marsh & McLennan, dont des bureaux occupaient huit étages, du 93e au 100e. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages ; 295 membres du personnel furent tués.

– Après la première explosion dans la tour nord, cinq hommes sommairement travestis en Palestiniens furent aperçus dansant et se filmant sur fond de tour en flammes. Signalés par des passants à la police, ils furent arrêtés, se déclarèrent Israéliens, et furent identifiés comme agents du Mossad, agissant sous la couverture d’une entreprise de déménagement du New Jersey, en réalité inexistante. 6 Quelques semaines plus tard, ils furent libérés par l’intercession de Michael Chertoff, fonctionnaire antiterroriste au Département de la Justice, doté des deux nationalités étasunienne et israélienne. 7 Expulsés des États-Unis, ils déclarèrent à une chaîne de télévision israélienne qu’ils étaient venus à New York pour « couvrir l’évènement ». 8 Les pompiers prévoyants vérifient en effet le bon fonctionnement des pompes et l’étanchéité des tuyaux la veille d’un incendie.

– Selon le WTC Building Performance Report publié en mai 2002 par la FEMA le bâtiment 7 abritait des bureaux du Département de la Défense, de la CIA (le plus grand hors de Washington) et d’autres agences (NSA, FBI), de la Security and Exchange Commission SEC (institution fédérale de contrôle des marchés financiers), de l’Internal Revenue Service (le fisc) et un dépôt d’archives judiciaires contenant, parmi bien d’autres, des dossiers sur la manipulation par ENRON des tarifs de l’électricité en Californie. Les documents sur ces malversations furent ainsi fort opportunément détruits.

Au 23étage, le centre de surveillance et d’alerte de l’agglomération new-yorkaise, aménagé deux ans auparavant pour un coût de 13 millions de dollars, devait permettre de gérer en lieu sûr une crise grave (ouragan, attaque terroriste). Il fut détruit, mais par bonheur fut suppléé par le centre de commandement installé pour l’exercice Tripod II ! 9

1.2 Coïncidences au Pentagone

– En mars 2001, Bruce Hoffman, un dirigeant de la Rand Corporation, déclara à des officiers supérieurs de l’armée de l’air étasunienne : « Nous essayons de préparer nos armes contre Al-Qaïda, l’organisation — ou peut-être le mouvement — associé à Ben Laden. […] Pensez un moment à ce que fut l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993. Maintenant, considérez qu’il est possible de faire tomber la tour nord sur la tour sud et de tuer 60 000 personnes. […] Ils trouveront d’autres armes, d’autres tactiques et d’autres moyens pour atteindre leur cible. Ils ont un choix évident d’armes, dont […] les drones. »

– Un exercice Mass Casualty MASCAL, code Abbotsville, en mai 2000, prévoyait la frappe d’un avion contre la façade ouest du Pentagone, celle où l’explosion se produisit le 11 septembre 2001. Entre le 24 et le 26 octobre 2000, un autre exercice MASCAL éprouva la préparation des équipes d’intervention d’urgence en cas d’écrasement d’un Boeing 757. 10

– Quelques jours avant le 11 septembre 2001, des experts en explosifs nucléaires du ministère de la Défense avaient été envoyés en Allemagne pour une visite de courtoisie. Colin Powell était parti pour deux jours à Lima, et d’autres personnalités du ministère étaient absentes.

– Selon M. Dov Zakheim, sous-secrétaire d’État à la Défense et contrôleur budgétaire, des milliards de dollars manquaient, pour l’année 2000, dans les comptes du Département de la Défense des États-Unis, et des titres douteux venaient à échéance au 12 septembre, ce qui ne l’empêcha pas de partir en voyage, lui aussi en Allemagne. Un audit fut annoncé par le Secrétaire d’État à la Défense, M. Donald Rumsfeld, et le matin même du 11 septembre 2001 des contrôleurs budgétaires commencèrent à enquêter sur ces détournements de fonds, en étudiant les archives du budget du ministère de la Défense, récemment transférées dans cette partie rénovée du Pentagone. Les archives brûlèrent. Dans cette aile du Pentagone venait aussi de s’installer un service de renseignement de la Marine, l’ONI (Office of Naval Intelligence), dont plusieurs membres furent tués. Officiellement 125 personnes furent tuées au Pentagone, et parmi elles 34 étaient comptables ou analystes, tous civils. Avis aux entendeurs.

– Ce jour même, pour des manœuvres de l’armée de l’air, des avions avaient été envoyés en mission dans toutes les directions. Le thème de ces manœuvres Vigilant Warrior et Vigilant Guardian était « des avions détournés frappent des immeubles », et une manœuvre de moindre envergure simulait l’écrasement d’un avion sur le siège d’une agence de renseignements. Des silhouettes d’avions fictifs étaient insérées sur les écrans parmi celles représentant des avions réels. 11 Aussi les aiguilleurs du ciel peinaient-ils à distinguer la fiction de la réalité supposée. Ce jeu de guerre ne fut interrompu qu’une heure environ après les évènements à Manhattan.

D’autres exercices annuels en cours, Northern Guardian et Northern Vigilance, simulaient une attaque russe. Les chasseurs de la défense aérienne patrouillant habituellement au Nord-Est étaient donc partis en Alaska et au Canada. Les dates habituelles de sept exercices aériens avaient été modifiées pour inclure le 11 septembre parmi les jours de leur déroulement.

– À l’occasion de ces manœuvres, des spécialistes de la défense aérienne avaient été déplacés (en congé ou en mission) et remplacés par des militaires sans expérience du poste auquel ils étaient provisoirement affectés. Ce bouleversement de l’organigramme du commandement fut évidemment décidé avec l’accord de chefs militaires hauts gradés, par des fonctionnaires haut placés dont beaucoup avaient deux nationalités, étasunienne et israélienne, et étaient liés au « Project for a New American Century » (PNAC).12Ce cercle politique professait que seul un « nouveau Pearl Harbour » ferait accepter au peuple étasunien les actions nécessaires pour faire perdurer la domination mondiale des États-Unis. 13 

– Selon des sources militaires, à cause de ces manœuvres, quatre chasseurs seulement étaient armés et prêts à décoller à la base d’Andrews protégeant la capitale, à une vingtaine de kilomètres de Washington. Les avions de chasse volèrent à des vitesses anormalement lentes, et les F-18 du Corps des Marines, basés aussi à Andrews, ne furent pas envoyés intercepter le prétendu Boeing 757 s’approchant de Washington. 14

– Alors que le pays paraissait attaqué, Donald Rumsfeld, joua au brancardier amateur. Il resta injoignable pendant une demi-heure et ne participa aux réunions qu’après 10 heures, une heure et quart après le début des évènements. Force est de conclure qu’il laissait les militaires prendre des décisions et assumer la responsabilité de la suite. Le Secrétaire d’État à la Défense gambadant sur la pelouse…15 Abandon de poste ; on en a démis pour moins que cela.

– La société AMEC Construction Management, qui venait d’achever des travaux dans cette aile du Pentagone, 16 fut aussitôt chargée du déblayage par Donald Rumsfeld, sans appel d’offres. Outrepassant son pouvoir de Secrétaire d’État à la Défense, Rumsfeld la fit aussi participer au déblayage des ruines du World Trade Center, à New York et non à Washington. 17

– Les contrats avec l’État, liés aux guerres, rapportèrent plusieurs milliards de dollars à la société Halliburton où Richard Cheney avait exercé, entre deux épisodes politiques. 18 Contrats de gré à gré, bien entendu, dont, au mépris de la Constitution, une part revenait à Cheney.

– Un incendie eut lieu le 11 septembre au matin, non au Pentagone, mais dans une annexe de la Maison-Blanche. Ce sinistre rarement mentionné paraît couvert par le secret.

1.3 Coïncidences économiques et politiques

– Les services d’espionnage anglo-saxon, dont le fameux ÉCHELON des « cinq yeux », prétendent détecter, par analyse sémantique, même l’emploi de termes voilés dans des messages. Ces préparatifs leur auraient pourtant échappé ? Des services de renseignement allemand, français, israélien, jordanien, marocain, russe, affirmèrent avoir prévenu les services étasuniens de risques de détournements d’avion, dès janvier 2001 et encore au cours de l’été. 19 Qui intoxiqua qui ?

– Au cours des jours précédents, des achats de 5 milliards de dollars de bons du Trésor étasunien, et le volume inhabituel des achats d’options à la baisse des actions en bourse des compagnies aériennes prouvent que des spéculateurs financiers anticipaient les attaques. 20

– Un projet d’exploiter les réserves de pétrole et de gaz d’Asie centrale, étudié depuis plusieurs années, nécessitait de faire passer un oléoduc et un gazoduc à travers l’Afghanistan. En 1997, des délégués du gouvernement taliban furent invités au siège de l’Union Oil Company of California, Unocal, sis au Texas dont George W. Bush était alors gouverneur, mais ce projet buta sur les droits de passage demandés par les Talibans. En février 1998, John J. Maresca, ancien diplomate et personnalité éminente du Pentagone, alors vice-président pour les relations internationales d’Unocal, affirma au Comité des relations internationales du Congrès qu’un gouvernement afghan favorable aux États-Unis serait nécessaire pour que ce projet aboutisse. Quelques jours avant les attentats, les négociateurs étasuniens avaient menacé les négociateurs afghans d’une invasion. 21 Selon le quotidien israélien Ma’ariv, les bases militaires étasuniennes bâties en Afghanistan après l’invasion jalonnaient le trajet projeté. 22

– Associées dans l’industrie pétrolière, les familles Bush et Séoud tenaient ce jour-là une réunion. 23 Quoique les autorités étasuniennes aient interdit à l’aviation commerciale mondiale toute liaison avec les États-Unis, des ressortissants séoudiens purent quitter les États-Unis. 24 Un Boeing 707 s’envola aussi vers Tel-Aviv.

– Une semaine après les attentats, des lettres contenant des bacilles du charbon, modifiés en laboratoire, furent envoyées à des personnalités politiques, dont les sénateurs Patrick Leahly et Tom Daschle, qui tentaient d’amender le Patriot Act. Vingt-deuxpersonnes furent contaminées dont 5 moururent. L’enquête incrimina le biologiste Bruce Irvins, 33 ans de service au laboratoire militaire de Fort Detrick, mais « déséquilibré mental ayant agi seul » (un de plus !) et opportunément suicidé en août 2008 à la veille de son arrestation. Néanmoins George Tenet, directeur de la CIA en 2001, vante dans ses mémoires (2007) l’efficacité de cette agence pour retracer ces lettres piégées jusqu’à leur origine : Al-Qaïda. Pudiquement nommé US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, ce laboratoire spécialisé dans les armes biologiques est devenu fameux par sa participation aux manipulations du virus du Covid.

– Deux centaines de ressortissants israéliens furent expulsées au cours des jours suivants. 25

– Des membres de la commission d’enquête sur les attentats participaient à des firmes pétrolières, à des compagnies aériennes, à Boeing, ou à des sociétés en lien avec la CIA, avec Larry Silverstein, ou dont l’activité dépendait de la situation politique, comme la compagnie de mercenariat Blackwater. D’autres furent ensuite compromis dans des scandales comme la faillite frauduleuse de l’institution de garantie immobilière Fannie Mac. La commission fut présidée d’abord par Henry Kissinger, qui démissionna pour ne pas révéler les noms des clients de son cabinet de conseil, puis par Thomas Kean, en relation d’affaires avec les familles Bush et Ben Laden. 26 La commission était dirigée autoritairement par Philipp David Zelikow27, collaborateur proche de Richard Cheney, Condolizza Rice et Karl Rove. 28

2 Disparition des avions 

2.1 Complicités

Au début de juin 2001, le Secrétaire d’État à la Défense, Donald Rumsfeld, modifia les procédures coordonnant l’aviation civile et la défense aérienne, établies depuis les années 60. Il retira aux commandants des bases le pouvoir de décider et se l’attribua à lui — même.

Les pirates de l’air auraient réussi à détourner pas moins de quatre avions de ligne sans provoquer d’alerte. Comment déjouer les services de sécurité de plusieurs aéroports en même temps ? La société de sécurité était israélienne, originaire d’un pays en alerte permanente. Nulle preuve de leur présence dans les aéroports ni à bord des avions ne fut présentée. Les procédures de sécurité à bord sont strictes, l’accès à la cabine de pilotage est réglementé, et le personnel navigant est attentif et entraîné à réagir aux imprévus.

Ces habiles pirates ne savaient pas piloter ; tout au plus quelques-uns étaient-ils capables de faire des ronds dans l’air à bord d’avions d’écolage. Pourtant ils auraient pris les commandes d’appareils très complexes, qu’ils n’avaient jamais pilotés, et pour changer de route sans être repérés, auraient débranché les « transpondeurs » assurant les communications, dont ils connaissaient donc le fonctionnement. Ils auraient volé à basse altitude pour ne pas être repérés par les radars civils, mais cette ruse ne permet pas d’échapper aux radars militaires. Des avions de chasse sont à tout instant prêts à décoller, interviennent plusieurs fois par jour, et mettent en moyenne un quart d’heure à joindre un avion s’écartant de sa route. Comment détourner quatre avions pendant 33, 49, 83 et 112 minutes, sur 500 km, sans être interceptés ? 29

Trois jours après seulement, le FBI publia sur une affiche les photos et les noms de 19 suspects, dont six étaient « supposés » pilotes et huit « présumés » Séoudiens. La date de naissance de sept seulement était connue, et la nationalité de huit ne l’était pas ; 6 habitaient en Arabie, Égypte, Maroc et protestèrent véhémentement contre cette usurpation d’identité qu’ils demandèrent aux consulats étasuniens de reconnaître en publiant un démenti.

2.2 Leurres

La chasse aérienne chercha en vain deux avions au-dessus de l’Atlantique. La confusion des vrais avions et des leurres insérés, pour les manœuvres, sur les écrans du contrôle aérien laisse planer le doute sur leur trajet et même sur leur envol. Décollèrent-ils ? Atterrirent-ils sur un aéroport discret, mais doté d’une piste de longueur suffisante ? Ont-ils été démontés dans un hangar ? Ou même, scénario rocambolesque : furent-ils jetés dans l’Atlantique et les équipages récupérés par un navire croisant par-là ?

2.3 Avion détourné

Un avion fut peut-être réellement détourné, mais plutôt piloté par des complices. Il pourrait avoir atterri sur la base aérienne militaire Westover dans le Massachusetts, dont le personnel avait été averti la veille que la base serait fermée ce jour-là. De cet avion partirent les appels téléphoniques des hôtesses, dont les paroles paraissent avoir été choisies pour faire passer à demi-mots un message de détresse. Le sort de l’avion et des passagers est inconnu.

2.4 Avion abattu

L’avion United Airlines 93 (« Let’s roll! ») s’écrasa en Pennsylvanie, officiellement près de Shankville, dont des habitants dirent avoir entendu un sifflement et une explosion. Les autorités locales ne trouvèrent que quelques débris, mais de grands morceaux furent trouvés à 14 km de là, près d’un lac. Le FBI boucla le site de Shankville et annonça que l’avion s’était enfoncé profondément dans le sol meuble (sic), puis qu’il avait été déterré, mais pas reconstitué selon l’usage. Pourtant placées dans la queue de l’avion, les deux « boîtes noires » auraient été trouvées à 3 m et 8 m de profondeur. Un avion-taupe. Cet avion fut vraisemblablement abattu par erreur, parce qu’il ne s’était pas posé assez vite après l’interdiction de vol.

2.5 Appels téléphoniques

Plusieurs appels téléphoniques auraient été envoyés par des passagers à leurs proches. Ces appels ont été si abondamment commentés qu’un résumé est inutile. Le plus célèbre est celui de Barbara Olson, seule personne à avoir décrit des pirates tenant en respect tout l’équipage et les passagers en brandissant des coupe-papiers. Des armes comme le pistolet Glock 17 sont conçues pour n’être pas détectées par les portiques de sécurité, mais les pirates auraient préféré des cutters contraignant au corps à corps. Le seul témoin fut Barbara Olson, et l’enquête montra l’inexistence de son appel téléphonique. En 2001 la technique ne permettait pas de communiquer par téléphones portables en vol, et les appareils de bords avaient été supprimés. Tous ces messages furent donc émis à partir du sol, y compris ceux des hôtesses. Le téléphone du passager censé avoir lancé le cri de ralliement « Let’s roll! » fonctionna encore pendant 15 minutes après l’écrasement de l’avion ! Les récits sur des appels prétendument envoyés par des passagers à leurs proches pendant le vol participèrent donc à la mise en scène.

2.6 Victimes

Le FBI interdit promptement de publier des informations sur les passagers, le vol, et même l’heure de décollage. 30 Composer une liste de passagers bidon est au programme du premier cycle de barbouzologie. 31 Des personnes furent toutefois vraiment tuées dans l’avion tombé en Pennsylvanie et vraisemblablement dans celui d’où partirent les appels des hôtesses.

2.7 Accusation

Le grand coupable, M. Oussama Ben Laden, fut officiellement désigné six heures après ; jamais enquête ne fut si rapide. Les télévisions et la presse battirent aussitôt furieusement du tam-tam, empêchant d’argumenter raisonnablement. Lancée dès les premières heures par des personnalités politiques, cette accusation ne put plus être discutée. Pourtant M. Ben Laden ne fut pas inculpé aux États-Unis pour ces attentats, dont il condamna la lâcheté le 16 septembre 2001, par un communiqué sur la chaîne d’information Al Jazeera. Il était alors soigné à l’hôpital militaire de Rawalpindi, protégé par les autorités pakistanaises pourtant alliées aux étasuniennes. Le 28, il déclara à des journalistes du quotidien pakistanais Ummat : « Je n’avais pas connaissance des attaques, je ne considère pas le meurtre de femmes, d’enfants et d’autres êtres humains innocents comme un acte louable… Un gouvernement existe dans le gouvernement des États-Unis. C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a organisé les attentats ». Deux fois encore, il affirma n’avoir pas participé à ces attentats. 32 Les vidéos où il s’en vante furent reconnues fausses par l’institut suisse Dalle Molle, dont l’expertise fait autorité pour authentifier des enregistrements audio et vidéo. 33 Des revendications d’origine inconnue ne furent pas confirmées ensuite : étonnante discrétion de la part d’un mouvement terroriste supposé capable d’organiser secrètement, du fond d’une grotte, des attentats d’une telle ampleur. 34

Selon les notices nécrologiques publiées par la presse du Proche-Orient et par Fox News, puis confirmées le 19 janvier 2002 par M. Pervez Musharraf, président du Pakistan, M. Oussama Ben Laden mourut d’insuffisance rénale en décembre 2001 et fut enterré dans les montagnes au sud-est de l’Afghanistan. Pour le besoin de leur scénario, les organisateurs le firent survivre fictivement encore dix années. 35

3 Scénario imaginable

Les arguments physiques exposés dans l’article précédent ne pourraient être réfutés que par d’autres arguments physiques, mais l’interprétation des agissements humains présentée ci-dessous pourrait être révisée si de nouvelles informations étaient révélées. Quoique la vérité ne soit pas encore connue avec certitude — mais cela viendra — une vue rétrospective des faits permet de proposer un scénario, dont la cohérence reconstruite est évidemment discutable. Sa critique argumentée permettrait de progresser vers une compréhension réaliste des évènements.

Des groupes différents pourraient avoir organisé des complots gigognes emboîtés 36 :

– Un « petit » complot, dont les instigateurs étaient les Bush et les Séoud, aurait visé le Pentagone pour mettre en scène un attentat fictif contre un ministère d’État, afin de fournir un prétexte à envahir un pays souverain, l’Afghanistan.

– À l’insu de ses organisateurs, ce « petit complot » aurait été éventé par des agents d’un État du Proche-Orient, qui auraient organisé un « grand » complot visant à contraindre les États-Unis à mener des guerres au Proche-Orient, non seulement pour le pétrole, mais surtout dans l’intérêt de cet État, afin de détruire les capacités militaires et économiques des États voisins. Après les évènements, les organisateurs du grand complot auraient fait plier ceux du petit. 37

3.1 Destruction des tours 

Qui déclencha les bombes ? Les organisateurs du complot ou les chefs militaires ?

– Puisque chaque pays pratique le secret militaire, le nombre de bombes atomiques dans le monde n’est pas connu précisément. Elles ne paraissent pas aussi bien gardées que les humains sains d’esprit le souhaiteraient ; ainsi, lors de la dissolution de l’URSS, une partie de l’arsenal disparut, et pas seulement des chars ou des armes à feu. Les organisateurs pourraient ainsi avoir disposé eux-mêmes de bombes. 38

– La multiplicité des manœuvres aériennes ce jour-là prouve le pouvoir des organisateurs sur le ministère de la Défense. Les chefs militaires sont en charge de la sécurité du pays ; ils s’attendaient à un attentat : pourraient-ils avoir été induits en erreur ? Au cours de l’été précédent, ils peuvent avoir fait entreposer des bombes thermonucléaires dans le bâtiment n° 7, centre de gestion de tous les bâtiments du World Trade Center, afin de pouvoir procéder si nécessaire à une démolition d’urgence. Nul danger à stocker ce type d’explosif, tout à fait stable tant que les deux parties de la masse critique de la bombe-amorce restent séparées. 39

Leur réaction pourrait donc être imaginée ainsi :

« Alertés dès les explosions dans les tours, les chefs militaires ne crurent évidemment pas un instant à la fable des avions, mais supposèrent que des missiles étaient entrés dans les tours, et pas pour y placer des bombes à confettis. Ces chefs étaient à Washington, loin de New York, ne disposant que d’informations partielles et sans les experts en explosifs nucléaires, mais face à un dilemme auquel ils avaient déjà réfléchi : risquer qu’une explosion nucléaire à 300 m au-dessus du sol, altitude idéale, détruise la ville, causant peut-être 10 millions de morts, ou détruire les tours et ainsi les bombes supposées y avoir été placées par des missiles, en faisant certainement périr les personnes qui y étaient. La destruction mécanique d’une bombe nucléaire ne déclenche en effet pas d’explosion nucléaire. Afin de minimiser les pertes humaines, les chefs militaires donnèrent eux-mêmes l’ordre de placer les bombes de démolition dans les loges souterraines, et de les faire exploser. Une heure fut nécessaire pour la mise en place, sans doute via des tunnels partant du bâtiment 7, puis pour permettre aux opérateurs de se carapater en refermant les portes blindées. Ainsi, les bombes auraient été déclenchées sur ordre de chefs militaires ignorant le complot, et pas sur ordre des comploteurs. »

Mouiller les militaires à leur insu serait très habile ; un trait de génie (de génie du mal !).

Comment estimer la vraisemblance de ce petit roman ?

Quoiqu’il en ait été, au cours de l’après-midi le bâtiment 7 (troisième tour) fut détruit par le même procédé, effaçant des indices sur la technique employée. 40

3.2 Choix imposé au Gouvernement

Pendant toute la journée, le Président de la République étasunienne, M. G. W. Bush, fut promené en avion. 41 Complice du petit complot ? 42 En activant le plan de « continuité du gouvernement » hors des conditions légales puisque le Président était mis à l’écart volontairement, le Vice-Président Richard Cheney et le Secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld usurpèrent le pouvoir. Coup d’État. 

Le soir, devant le Gouvernement et les chefs militaires réunis à Raven Rock — le QG souterrain creusé dans les Appalaches — les organisateurs du grand complot donnèrent le choix aux autres dirigeants : obéir, ou supporter le poids d’une accusation les incriminant, mais disculpant les organisateurs. Les dirigeants accréditèrent la version qui leur fut dictée. 43

Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent.

Les chefs militaires n’eurent d’autre option que d’obéir, eux aussi, aux ordres d’attaquer les pays du Proche-Orient. 44 À chaque niveau de commandement, une vérité fut inventée pour le niveau inférieur. 45 Quelques militaires furent promus. 46 Le cafouillage de la défense aérienne et la vulnérabilité du Pentagone écornèrent la réputation de l’armée étasunienne : l’apparence d’une incompétence stupéfiante fut le prix que les organisateurs du complot firent payer au pays pour qu’il paraisse agressé. Omerta : l’irradiation de Manhattan pendant plusieurs mois était inavouable ; la panique eût emporté l’économie étasunienne.

Quoique spéculative, cette interprétation des évènements est fondée sur des faits avérés. La révélation de nouvelles informations pourrait évidemment conduire à la réviser, et sa critique argumentée permettrait de l’améliorer.

Conclusion 

Les moyens techniques, les coïncidences, et la biographie des participants aux évènements montrent que les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan furent organisés par des services secrets des États-Unis et d’un petit État du Proche-Orient, en lien avec une partie de leur gouvernement. 47 Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent à ceux de ce petit État.

Bien entendu, la plupart des ressortissants de ces États n’ont pas pris part à ces crimes. Cela va de soi, mais dans le trouble général mieux vaut le rappeler. 48

4 Puissances étatiques et supra-étatiques

4.1 Négociations internationales ; le prix du silence

Les réseaux de détection établis pour surveiller les essais nucléaires mesurent précisément, même à des milliers de km, les effets des explosions : ondes sismiques et émissions de radionucléides. Les dirigeants des principales puissances du monde, les membres permanents du Conseil de Sécurité, plus l’Allemagne, le Canada, et peut-être d’autres, furent alertés le jour même et reçurent un rapport de leurs services de renseignement dans la semaine. 49 Tous les États feignirent de croire à la version officielle des évènements, faute d’avoir la puissance politique suffisante pour la contredire. Après vinrent les négociations : d’un côté les demandes « Cessez de susciter des troubles dans le Caucase », « Ne vous mêlez pas de la situation au Tibet ni au Turkestan oriental », « Laissez-nous nos puits de pétrole en Irak », et de l’autre côté les menaces « Rappelez-vous que nous contrôlons l’information et la finance ; ne risquez pas d’être calomniés, déconnectés du réseau de paiement international ou soumis à des spéculations contre vos titres de dette. ».

4.2 Conséquences politiques

L’attentat de Manhattan fut prétexte à promulguer des lois restreignant les libertés, à organiser la surveillance de masse et à déclencher des guerres, tout cela dans des délais si brefs qu’ils révèlent des textes déjà rédigés et des agressions déjà planifiées. 50 Les lois coercitives furent ensuite étendues aux pays vassaux des États-Unis. 51 Vingt ans après, « l’urgence sanitaire » et « la menace sur le climat » servent de prétexte à imposer d’autres contraintes tyranniques. Un totalitarisme s’installe, surveillant sans cesse davantage les citoyens.

Les accords entre puissances ne valent que quelques années. Dès 2003, le refus opposé par les dirigeants de la France à l’agression contre l’Irak 52 décida les gouvernants anglo-saxons à spolier les firmes pétrolières françaises de leurs investissements en Irak, et à soumettre définitivement le rival millénaire. En mars 2003, Condoleezza Rice, alors conseillère du président G. W. Bush pour la sécurité nationale, déclara :

« Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France. »

En 2005, un autre coup d’État eut lieu, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarkozy au Gouvernement, puis de sa promotion à la Présidence. 53 La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

Les Présidents de la République Française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants, complicité dans la covidinguerie, approbation du pacte migratoire, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.

4.3 Réseaux oligarchiques.

Ces attentats permettent d’apercevoir les desseins des suprémacistes étasuniens et israéliens, et aussi ceux des mondialistes. L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. Leurs décisions visent la maximisation du profit, quelles qu’en soient les conséquences, et la rivalité les y contraint. Leurs budgets sont comparables à ceux d’un État moyen. 54 Elles entretiennent des services d’analyse, de programme et d’action, mènent leur propre politique 55 et influencent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des élections. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis donnent force publicité aux desseins prétendument généreux exposés par leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7. 56 Une apparence de débat couvre les arrangements, et les décisions sont dictées aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union Européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une « coupole » centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles, et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid 57 : quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, il a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Il sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la « Grande Réinitialisation ». 58

L’analyse présentée dans ces deux articles peut choquer des personnes généreuses ; pourtant, dès lors que la conspiration est prouvée, ce ne sont pas les « complotistes » qu’il faut blâmer, mais les comploteurs. Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les tensions internationales et les guerres, en Ukraine et au Proche-Orient, participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

Libérons-nous !

Regardez les auteurs et la date :


1 Une recherche par mots-clés permet de vérifier facilement, sur des sites internet officiels ou sur des sites de journalisme d’investigation, les faits cités ici ; exemples : Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004 ; Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/. Des articles signés Michel Straugof, publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone, exposent en détail la biographie de personnalités actives dans cette affaire, en particulier au ministère de la Défense étasunien.

2 Sur la base d’un rapport de Carnegie Mellon (1997), une directive du Président Clinton, PDD 63 du 22 mai 1998, institua la Presidential Commission on Critical Infrastructure Protection, « Commission présidentielle pour la protection des infrastructures critiques », chargée de recenser les moyens d’assurer le fonctionnement du pays en cas de troubles graves. Cette commission envisagea des attaques de pirates ou « d’États terroristes », et une illustration montrait un avion frappant des tours. Le 911 est le numéro d’appel d’urgence aux E-U.

3 Larry Silverstein se disait ami de Benjamin Nathanyaou, Yitzhak Rabin, Ariel Sharon, Ehud Barak…

4 Le désamiantage aurait coûté environ un milliard de dollars, et la mise aux normes de sécurité et de télécommunications, 800 millions. Le coût de l’investissement fait par Silverstein et ses associés (bail emphytéotique et quelques travaux) varie selon les sources de 14 millions de dollars (c’est peu !) à 3,6 milliards (c’est beaucoup !). Le plan de démolition des tours fut bien entendu transmis aux nouveaux propriétaires.

5 Selon l’usage, des contre-assurances avaient été conclues par prudence. 

6 Des images montrent leur camionnette décorée de l’image d’un avion frappant une tour… réalité ou montage ?

7 Chertoff rédigea la version finale du Patriot Act, voté quelques jours après le 11 septembre 2001. Il mena aussi la procédure contre Zacarias Moussaoui, dont les avocats demandèrent l’accès à des documents classés confidentiels et le témoignage de prisonniers détenus à Guantánamo, prétendument membres d’Al-Qaïda. Les procureurs rejetèrent ces demandes, arguant de menaces possibles contre la sécurité nationale, prétexte fréquent depuis 2001. Face à ce refus, la juge Leonie Brinkema interdit aux procureurs de requérir la peine de mort. Moussaoui fut condamné à la prison à perpétuité pour terrorisme, malgré sa folie évidente et quoique l’accusation ait reconnu qu’il n’avait pas participé aux attentats du 11 septembre 2001.

8 Ehud Barak se trouvait à ce moment même dans un studio de la BBC, à Londres, et déclara qu’il était temps de lancer une guerre contre la terreur.

9 Les professionnels de la sécurité voulaient un site moins exposé que le WTC, mais l’équipe municipale de Rudolph Giuliani imposa ce choix, très critiqué.

10 Pourtant un exercice sur la chute d’un avion sur le Pentagone avait d’abord été écarté comme trop peu réaliste.

11 Avant de devenir sous-secrétaire d’État à la Défense, Dov Zakheim avait été, de 1987 à 2001, vice-président de System Planning Corporation, société créatrice d’un dispositif de guidage d’avions gros porteurs, et d’un logiciel permettant de faire apparaître des leurres sur des radars durant des exercices.

12 Cf. les articles signés Michel Straugof publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone. Le PNAC fut fondé par William Kristol et Robert Kagan, époux de Victoria Nuland qui organisa le coup d’État de 2014 à Kiev. Kagan est à l’origine d’une lettre ouverte du PNAC, adressée au Président Clinton le 26 janvier 1998, pour demander une guerre contre l’Irak, déjà sous prétexte que ce pays aurait possédé des armes de destruction massive. En 2000, le document du PNAC Rebuilding America’s Defenses « Reconstruire les défenses de l’Amérique » présenta les armes biologiques ethniques comme un outil politiquement utile pour les États-Unis.

13 Le Council on foreign relations est surtout composé de suprémacistes étasuniens, et le Project for a New American Century rassemble surtout des sionistes étasuniens. Jeb Bush en est membre.

14 Comme les détournements étaient fictifs, il ne fallait pas que des pilotes constatassent l’inexistence des avions.

15 Vérifiait-il que tout se passait comme prévu ?

16 Pour un coût de 258 millions de dollars.

17 Une partie des débris fut transportée sur le champ d’épandage de Fresh Kills, près de New York, devenu le cimetière des victimes non identifiées des attentats, et transformé depuis en parc de promenade.

18 Secrétaire d’État à la Défense pendant les mandats de Bush père, Cheney fit employer, pendant la guerre du Golfe de 1991, des mercenaires de KBR, filiale du groupe pétrolier Halliburton, dont il devint vice-président en 1995. Son revenu déclaré en 2005 était modestement de 8,8 millions de dollars. Actionnaires de sociétés de mercenaires, Richard Cheney et Donald Rumsfeld s’enrichirent énormément par les guerres qu’ils organisèrent.

19 AFP, 22 novembre 2001, International Herald Tribune, 21 mai 2002.

20 Marc Chesney et Loriano Mancini, professeurs à l’université de Zurich, concluent : « la probabilité qu’il y ait eu délits d’initiés est forte pour American Airlines, United Airlines, Merrill Lynch, Bank of America, Citigroup et JP Morgan. Ce n’est pas une preuve juridique, mais le résultat de méthodes statistiques. ». Délits d’initiés entre le 6 et le 10 septembre : Dailymotion https://www.dailymotion.com/video/x5a2zu William Bergman, Curious Coincidences of 2001: Following the 9/11 Money Trail, Sanders Research Associates, 4/01/06. Jacques Follorou, Une spéculation massive à la veille du drame inquiète les autorités. Le Monde, 19 septembre 2001.

Le 10 septembre, le baril de pétrole augmenta de 13 %, et des options de vente furent prises sur plusieurs sociétés :

  • 4 516 sur American Airlines, 11 fois plus que le volume moyen annuel, contre seulement 748 options d’achat.
  • 4 744 options à la vente d’actions de United Airlines entre le 6 et le 7 septembre 2001, contre 396 à l’achat.
  • 1 209 options de vente contre 13 les jours précédents sur Marsh & McLennan occupant des bureaux dans huit étages de la tour nord (du 93e au 100e), prétendument frappés par le vol 11 d’American Airlines.
  • 2157, 100 fois plus d’options de vente qu’à l’ordinaire, sur Morgan Stanley, présente dans 22 étages du WTC. Sept années plus tard, cette banque fut l’une des organisatrices et bénéficiaires de la crise de 2008.
  • 5 615, 60 fois plus qu’à l’ordinaire, 12 215 en peu de jours, sur Merrill Lynch présente dans un bâtiment voisin.
  • Les options de vente sur l’assureur Citigroup furent 45 fois plus nombreuses que d’ordinaire du 6 au 10.

Mais les actions des firmes d’armement s’envolèrent !

Très mollement menée, l’enquête sur ces délits d’initiés ne permit pas de connaître l’origine des informations reçues par les spéculateurs. Deux ans plus tard, le 19 septembre 2003, le FBI annonça la clôture de l’enquête, affirmant qu’absolument nulle preuve n’existait de spéculation liée à une connaissance éventuelle des attentats.

21 En 1997, Zbigniew Brzezinski avait écrit que le maintien de l’hégémonie des États-Unis nécessitait de contrôler les vastes réserves de pétrole et de gaz de l’Asie Centrale. Or, après l’échec des négociations entre les Talibans et les firmes pétrolières des É-U, le commandant Ahmed Shah Massoud fut assassiné, l’avant-veille des attentats, au moyen d’une caméra piégée, par de faux journalistes tunisiens qui moururent avec lui. Les connaisseurs de l’Afghanistan affirment qu’il était le seul chef capable de fédérer et diriger une résistance armée, et de bouter l’envahisseur hors du pays. Une interprétation cohérente des faits devrait expliquer la coïncidence de sa mort avec les attentats et l’invasion de l’Afghanistan par les troupes des États-Unis et de leurs alliés. Les soupçons se portent sur l’ISI pakistanaise, liée à la CIA. Il n’y a pas que le pétrole et le gaz qui rapportent : la production d’extrait de pavot fut de 2300 tonnes en 1995, puis réduite par les Talibans à 200 en 2000, et remonta à 8400 tonnes en 2007.

22 Le président nommé de l’Afghanistan occupé fut Hamid Karzaï, ancien cadre de l’Unocal, dont les frères gérèrent la production et la commercialisation de la cocaïne, avec l’aide de la CIA.

23 Salim Ben Laden, frère aîné d’Oussama, était l’associé de George W. Bush à Houston (Texas) dans la société pétrolière Harken. Les familles Ben Laden et Bush ont fondé le fonds de gestion de portefeuille Carlyle. Selon Éric Laurent, dès son accession au pouvoir, l’administration Bush fit cesser les enquêtes du FBI sur M. Oussama Ben Laden, Al-Qaida et la participation de la famille royale séoudienne au financement du terrorisme.

24 Six avions d’affaires et un gros porteur décollèrent le 13 septembre, emmenant 40 Séoudiens dont 24 personnes de la famille Ben Laden dans un Learjet mis à leur disposition par la firme d’armement Raytheon (N-Y Times).

25 Le 30 avril 2001, la base aérienne de Tinker, en Oklahoma, signala la possibilité d’espionnage par des étudiants israéliens se disant artistes peintres. Suspicious activities Involving Israeli Art Students at DEA facilities juin 2001. Une trentaine d’« étudiants » habitaient près du domicile de pirates de l’air présumés.

26 Kean fut actionnaire et directeur du groupe pétrolier Amerada Hess, ayant une société commune avec Delta Oil, firme pétrolière séoudienne.

27 En novembre 1998, le magazine Foreign Affairs publia l’article « Catastrophic Terrorism: Tackling the New Danger », cosigné par Zelikow, membre du PNAC, annonçant : « Comme Pearl Harbor, [un attentat grave] diviserait notre avenir en un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes réduisant les libertés civiles, autorisant une plus grande surveillance des citoyens, la détention de suspects et le recours à la force meurtrière. De nouvelles violences pourraient suivre les attaques terroristes à venir ou les contre-attaques américaines. Les Américains jugeraient tardivement que leurs dirigeants ont fait preuve de négligence en ne s’attaquant pas au terrorisme de manière plus urgente. ». En septembre 2002, à l’université de Virginie, Zelikow déclara que l’Irak n’exerçait pas de « véritable menace » contre les États-Unis, mais que la « menace non déclarée » était la « menace contre Israël ; rhétoriquement, le gouvernement américain ne veut pas trop insister sur cette menace, parce qu’elle n’est pas très populaire ». Le même mois, dans The National Security Strategy of The United States of America « La stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique », il prôna la doctrine de la guerre préventive, et six mois plus tard, les États-Unis agressèrent l’Irak en violant la résolution 1441 de l’ONU. En 2003, il fut directeur exécutif du Rapport de la Commission du 11 septembre. Constatant ses appartenances partisanes, les familles des victimes du 11 septembre demandèrent en vain sa démission.

28 Rove présida les réunions d’un comité créé en août 2002 à la Maison-Blanche, chargé d’élaborer une stratégie « pour diffuser l’affirmation de la Maison-Blanche que Saddam Hussein était une menace pour les États-Unis ».

29 Selon le New York Times, les enregistrements des échanges entre le sol et les chasseurs furent « égarés ou effacés ». Même sort, quelques semaines après, pour les échanges entre le contrôle aérien et les avions détournés.

30 À 13 h 10, American Airlines (AA) publia les listes des passagers et des membres d’équipage. Celle du vol 77 mentionnait 64 personnes. Le FBI interdit ensuite à AA, à l’aéroport de Dulles et même à la FAA de publier des informations. Une liste officielle recensa 56 personnes, mais pas les cinq pirates, et le rapport de la commission en mentionne 58, « terroristes » compris. Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004. Comme après toute catastrophe aérienne, des journalistes cherchèrent des familles éplorées dans les aéroports de destination, mais la plupart furent bredouilles, excepté pour l’avion tombé en Pennsylvanie. Dean T. Hartwell Planes without Passengers: the Faked Hijackings of 9/11. Le gouvernement fédéral offrit 1,7 million de dollars aux familles des victimes en échange de l’abandon de toute poursuite ; pourquoi, si des terroristes étaient les auteurs du crime ?

31 Les services secrets tiennent prêtes en permanence des listes de quelques dizaines de personnes imaginaires. Les fausses personnalités sont détaillées, précisant enfance, famille, études, diplômes, stages, emplois et domiciles successifs, liaisons, amis et violons d’Ingres. Combien de Smith, Ford, Ferguson et Fernandez dans les États très peuplés des côtes Est et ouest des É-U ? Truquer une liste de passagers est plus facile que modifier les lois de la Physique, plus facile que faire voler à 900 km/h, au niveau de la mer, un avion dont les ailes s’arracheraient s’il volait à plus de 400 km/h, plus facile que viser à cette vitesse une cible de 60 m de large, plus facile surtout que créer des millions de joules, exploit à la portée du seul Divin Créateur.

32 http://archives.cnn.com/2001/US/09/16/inv.binladen.denial/index.html

www.globalresearch.ca/interview-with-osama-bin-laden-denies-his-involvement-in-9-11

Pendant l’été 2001, Oussama Ben Laden était hospitalisé sous le nom de Hassan al Talal, à l’hôpital étasunien de Dubaï (NY Times, 1/11/2001). Le 12 juillet, il reçut la visite de l’agent de la CIA, Larry Mitchell ; la discussion aurait été houleuse (Le Figaro, 31 octobre 2001). Cet agent quitta Dubaï peu après, le 15 juillet.

RFI — Attentats — Ben Laden et la CIA : les détails de la rencontre

Les talibans demandèrent des preuves de la culpabilité de Ben Laden, mais ne les obtinrent pas et refusèrent donc de l’extrader. (Washington Post, 29 octobre 2001).

33 Au cours des années suivantes, la silhouette de Ben Laden grossit, maigrit, et même rapetissa !

34 Le Times publia le 29 novembre 2001 une coupe des grottes fortifiées de Tora-Bora en Afghanistan, paraissant sortie d’une BD de Black et Mortimer : air conditionné, aire pour hélicos, portes blindées, issues de secours.

35 Le 8 août 2011, un hélicoptère vétuste s’écrasa au centre de l’Afghanistan. À bord, plusieurs membres du commando censé avoir abattu Oussama Ben Laden. De belles funérailles consolèrent fort leurs familles. Ainsi, il n’y eut jamais de preuves et il n’y a désormais plus de témoins. Assassinat ? Une autre interprétation est possible : à expédition inexistante, commando imaginaire. Si, comme tout l’indique, l’élimination de M. Ben Laden fut une pure fable, il a suffi d’attendre un accident — il s’en produit fatalement au cours d’une guerre — pour révéler que les morts étaient les membres de la courageuse équipe qui avait soulagé le monde de l’ennemi public n° 1. Héros dont l’identité avait jusqu’alors été tue, dans l’intérêt national et pour ne pas embarrasser leur modestie.

36 Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/

37 Peut-être même les organisateurs du grand complot ont-ils inspiré, incité et aidé les organisateurs du petit.

38 C’est la thèse de Khalezov (cf. article précédent).

39 Des explosifs chimiques furent aussi placés, peut-être aux emplacements prévus, selon le plan de démolition.

40 Le bâtiment 7 était le centre de contrôle de tout l’ensemble immobilier, communiquant avec d’autres bâtiments par des passages en sous-sol. Les explosions sous les Tours Jumelles ne pouvaient manquer d’y laisser des traces.

41 Que le Président et les principaux ministres soient emmenés en lieu sûr par des gardes du corps est normal, mais ce qui ne l’est pas, c’est que le Président soit promené toute la journée à bord de l’avion présidentiel, et ainsi déchu en fait de son pouvoir. Le 10 septembre, G.W. Bush alla en Floride et y passa la nuit, protégé par des batteries antiaériennes ; le 11 au matin, il lisait un conte pour enfants à des écoliers. Dans la journée, l’avion présidentiel alla de Floride à une base militaire en Louisiane, passant au-dessus du Golfe du Mexique, lieu idéal pour un accident. G.W. Bush ne fut vraisemblablement emmené à Raven Rock qu’après qu’il eut cédé. Sur quoi ? Sur le programme d’agression au Proche-Orient ?

42 Pour rappel, George Walker Bush fut élu Président de la République des États-Unis d’Amérique par la grâce du trucage des élections en Floride par son frère John Ellis Bush, gouverneur de cet État.

43 Au mois d’avril 2004, George W. Bush se présenta devant la commission d’enquête, mais exigea de témoigner sans prêter serment et sans que l’audition ne soit ni publique, ni filmée, ni enregistrée. Il exigea aussi d’être accompagné du vice-président Richard Cheney, disant : « Cela nous donnera l’occasion de répondre aux membres de la commission. » Bref, il fut chaperonné.

44 Donald Rumsfeld, son adjoint Paul Wolfowitz, et Richard Perle, nommé en juillet 2001 président de la commission de la politique de défense, réclamaient depuis des années une nouvelle guerre contre l’Irak, et demandèrent dès le 11 septembre que l’armée la préparât. Quand une agression est décidée, les militaires de bon sens sont écartés ; règle universelle s’appliquant à toute époque et dans tout pays.

45 Lorsqu’une firme automobile prépare un nouveau modèle, maintes personnes participent au projet, mais les firmes concurrentes n’apprennent que des bribes de renseignements. Les exécutants d’opérations clandestines ne connaissent ni l’identité ni les motifs des commanditaires, et observent le secret. Convaincre un service technique de garder ses observations sous le coude et de fournir un rapport de complaisance est le B A BA du pouvoir. Enfin, le chantage à la vie de la famille est classique : un accident est si vite arrivé !

46 Dont le général Eberhart, commandant la région aérienne. Ces militaires avaient confirmé sous serment la V.O.

47 Les magnats du pétrole d’Arabie saoudite trempaient vraisemblablement dans le complot contre l’Afghanistan, mais ne paraissent pas avoir participé à la destruction des tours de Manhattan. M. Donald Trump s’efforça pendant quatre années de mettre fin aux guerres commencées par ses prédécesseurs. Le but du plan de paix partial proposé pour le Proche-Orient était peut-être de délier les États-Unis du chantage subi depuis 2001. En 2020, le trucage de l’élection présidentielle organisé pour l’éliminer fut si évident qu’il aura des conséquences graves. Complot au grand jour. Deuxième coup d’État. Dans le gouvernement de J. Biden, les titulaires d’une dizaine des principaux postes sont des sionistes avoués. Qui décide à présent de la politique ?

48 Hélas ! On voit que de tout temps / Les petits ont pâti des sottises des grands. Jean de La Fontaine.

Les deux Taureaux et une Grenouille,Livre second, Fable IV.

49 Des laboratoires surveillent à tout moment la composition de l’atmosphère et, quoique quelques–uns ne dépendent pas directement d’un gouvernement, leur renommée, leur financement, l’emploi de leurs techniciens et la carrière de leurs chercheurs dépendent des études commandées par les pouvoirs établis. Le soutien d’un État eût été nécessaire pour qu’ils publiassent leurs observations.

50 Dès le 19 septembre 2001, le projet d’Anti-Terrorism Act comptait 345 pages. Les rédacteurs n’ont pas chômé !

En France, une la loi sur la sécurité quotidienne fut adoptée le 15 novembre 2001 sous le gouvernement Jospin.

51 http://lidiotduvillage.org/2020/06/05/le-genie-du-complotisme/

52 En 2000, le président Clinton apposa la signature des États-Unis au traité sur la Cour Pénale Internationale, CPI. En mai 2002, avant l’agression contre l’Irak, le Président G. W. Bush notifia aux Nations Unies que les États-Unis se déliaient de cet engagement, et Rumsfeld publia dans un communiqué les motifs de cette décision : éviter que des militaires étasuniens puissent être traduits devant la Cour. Depuis cette dénonciation du traité par les États-Unis, la Grande-Bretagne, partie au traité, s’efforce d’employer la CPI dans l’intérêt des pays anglo-saxons.

53 En 2007, toute la presse promut Ségolène Royal comme la brêle qui se ferait battre. Ce battage publicitaire pour la perdante désignée préfigura l’encensement en 2017 du gagnant choisi par l’oligarchie mondialiste.

54 BlackRock gère la plus grande masse mondiale d’actifs financiers, presque 9000 milliards de dollars. Par comparaison, le budget de la France (flux) est d’environ 600 milliards d’euros.

55 Le Danemark a récemment nommé un ambassadeur auprès d’une firme supranationale.

56 Les GAFAMs sont les ministères de la Vérité.

57 En France, l’examen des statistiques de mortalité conduit à diviser par au moins cinq le nombre avancé par les dirigeants de « 100 000 morts » dus au Covid. Plus qu’une épidémie de grippe, le Covid fut une épidémie de refus de soin, de tests non valides et d’injections de produits mortels. Ces faits furent dénoncés par maintes personnes, dont Luc Montagnier, Laurent Toubiana, Pascal Sacré, Nicole Delépine,Christian Perronne, Martine Wonner, Alexandra Henrion-Caude,Reiner Fuellmich, Pierre Chaillot, et d’autres valeureux résistants. Les vaxxins sont plus dangereux que la maladie. Parmi de nombreuses références :

https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu_zk ; https://odysee.com/@MartineWonner:b/actu-de-la-semaine-et-invitee-christine-cotton:3 ; https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/belgique-masques-et-confusion-entre-tests-positifs-dits-cas-et ;

58 L’apôtre du Great Reset, l’inénarrable Klaus Schwab dans son costume de franc-maçon interplanétaire, illustre jusqu’à la caricature l’hubris des dirigeants décidés à imposer leur volonté aux peuples. L’étonnant livre qu’il a publié avec Thierry Malleret, COVID-19 : La Grande Réinitialisation, sonne comme un aveu.

https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
[Traduction : https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/]




Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




Freiner la Grande Réinitialisation — Les chrétiens sont un obstacle au mondialisme, et les puissances mondiales le savent

[Source : harbingersdaily.com]

Par Terry James

Ceux d’entre nous qui croient être chargés par le Seigneur d’être des « sentinelles » sur le chemin de ronde l’accélération de la mise en scène de l’accomplissement prophétique comme une chose merveilleuse à voir. Il est indéniable que nous approchons à grands pas du dénouement de l’âge de grâce.

Aucun développement récent n’a été plus significatif que le mouvement vers l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial. L’un des éléments les plus troublants de ce mouvement est ce que l’on appelle « la grande réinitialisation ».

Ce terme, défini dans le titre d’un livre du même nom, signifie la mondialisation du monde entier — ceux qui ont l’intention d’établir un monde sous un seul gouvernement ne doivent pas, selon eux, être contrecarrés. L’existence même de la planète dépend de leur capacité à atteindre leurs objectifs, ceux-ci résumés dans ce qu’ils appellent l’Agenda 21 et maintenant l’Agenda 2030. Cet « agenda » signifie qu’ils doivent accomplir toutes les étapes de la mise en place de cet ordre mondial au plus tard en 2030.

Ces maîtres mondialistes en puissance ne voient pas les choses se développer comme nous le faisons en les regardant à travers le prisme de la prophétie biblique. Alors que nous voyons les choses avancer vers le régime de l’Antéchrist à un rythme étonnant et effrayant, les mondialistes, comme l’auteur du livre La Grande Réinitialisation, considèrent que les choses sont ralenties et inhibées par des forces qu’ils doivent éliminer. En d’autres termes, ils doivent éliminer ceux qui sont comme nous, par exemple. Et par « nous », j’entends à la fois nous, les chrétiens, qui dénonçons leur méchanceté, et cette nation, les États-Unis d’Amérique, dont le peuple est imprégné depuis près de trois siècles de liberté fondamentale et de droits conférés par Dieu sur la base d’un fondement judéo-chrétien.

L’Amérique est l’obstacle le plus puissant à l’Agenda 2030 et à la Grande Réinitialisation. Cette nation, la plus matériellement bénie de l’histoire, ne s’enfoncera pas « doucement dans cette bonne nuit », comme l’aurait dit Dylan Thomas. Il ne sera pas facile de nous faire rouler à bicyclette, de rester dans des villes de quinze minutes et de manger des insectes au lieu des aliments que nous aimons, comme les grands réinitialisateurs et leur agenda insistent pour que nous le fassions. Il y aura une forte résistance tant que la nation existera telle qu’elle est composée actuellement.

Bien sûr, les Américains qui aiment la liberté sont constamment attaqués par les puissances et les principautés d’Éphésiens 6:12, qu’elles soient démoniaques ou humaines. Et cette cabale luciférienne est déterminée à faire tomber l’Amérique et à éliminer toute opposition à son programme. Ces sous-fifres appellent l’opposition à laquelle ils sont confrontés « le recul de la mondialisation ». L’extrait suivant donne plus de détails sur la détermination de Klaus Schwab et de ses acolytes à changer les choses afin que leur nouvelle tour de Babel puisse être construite, sans opposition.

Le livre de Klaus Schwab et Theirry Malleret, Covid-19 : La grande réinitialisation identifie « la chute libre de la gouvernance mondiale » comme un défi existentiel, et si nous ne collaborons pas, « nous sommes condamnés ».

« Les États-nations rendent possible la gouvernance mondiale (l’un entraîne l’autre) », peut-on lire dans le livre. « Plus le nationalisme et l’isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus la gouvernance mondiale risque de perdre sa pertinence et de devenir inefficace. Malheureusement, nous nous trouvons aujourd’hui à ce point critique. Pour dire les choses crûment, nous vivons dans un monde où personne n’est vraiment aux commandes »…

Kristalina Georgieva [directrice générale du Fonds monétaire international] a suggéré de « se concentrer sur les domaines nous sommes condamnés si nous ne travaillons pas ensemble ». Les exemples qu’elle a donnés comme quoi « nous sommes condamnés » sans la mondialisation sont le « changement climatique », la « transition verte » et la dette…

Les auteurs n’expliquent pas pourquoi une « réinitialisation individuelle » est nécessaire ; ils supposent simplement qu’il s’agit d’une conséquence de la « pandémie » de Covid. Cependant, comme ils l’ont fait tout au long du livre, ils ont utilisé le collectivisme comme outil de contrôle social. « Si, en tant qu’êtres humains, nous ne collaborons pas pour faire face à nos défis existentiels (l’environnement et la chute libre de la gouvernance mondiale, entre autres), nous sommes condamnés », ont-ils affirmé… La montée des nationalismes rend le recul de la mondialisation inévitable dans la plupart des pays du monde — un élan particulièrement notable en Occident. Le vote en faveur du Brexit et l’élection du président Trump sur un programme protectionniste sont deux marqueurs importants de la réaction occidentale contre la mondialisation », écrivent les deux auteurs.

Comme l’écrit l’auteur de l’article :

Comme nous l’avons déjà dit, l’expression « bien commun » et sa vilaine sœur, « le plus grand bien », représentent le collectivisme, que l’on retrouve dans les mouvements socialistes, communistes et fascistes. Ces mouvements utilisent le « bien commun » comme outil de contrôle social.

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le processus politique américain. La volonté incessante d’instaurer un système collectif marxiste est au cœur de la tentative de Grande Réinitialisation imposée par les larbins humains, assistés par les démons d’Éphésiens 6:12, selon mon opinion assurée.

L’autre jour, j’ai entendu un sénateur s’exprimer dans l’hémicycle du Sénat. J’aime ce qu’il a dit, bien que je sois presque certain qu’il n’a pas réalisé la véritable portée de sa déclaration.

Il a dit quelque chose comme : « Au lieu de la Grande Réinitialisation antiaméricaine, nous avons besoin de la Grande Résistance. Nous devons résister à cette tentative de tyrannie de type marxiste ».

La Grande Résistance est précisément ce qui est donné dans la Parole de Dieu comme opposition aux tentatives de Satan et de ses sbires d’amener au pouvoir l’homme du péché, l’Antéchrist, et son régime d’horreurs.

« Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu’il ne paraisse qu’en son temps. Car le mystère de l’iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. »

2 Thessaloniens 2:6-8

Nous qui connaissons le Seigneur Jésus pour le salut, nous faisons partie de la Grande Résistance. Pasteurs, écoutez ! Ne résistez pas à la Grande Résistance. En résistant à la Grande Résistance, vous aidez et assistez ceux qui veulent amener la Grande Réinitialisation.

Prêchez la prophétie biblique, et ceci d’un point de vue pré-Trib(([1] Abbréviation de pré-Tribulation. Le point de vue pré-Trib consiste à la croyance en un enlèvement des chrétiens avant la Grande Tribulation. NdT)). Jésus est sur le point d’intervenir dans les méchantes affaires de l’humanité. L’Enlèvement, selon tous les signes et signaux de la Tribulation à venir qui fait rage dans toutes les directions, est sur le point de bouleverser la vie sur la planète Terre !

Pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, voici comment se préparer et être ainsi assuré d’aller vers Jésus-Christ lorsqu’Il appellera tous les croyants à Lui dans ce moment stupéfiant de sauvetage de cette terre soumise au jugement.

« Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut, selon ce que dit l’Écriture. »

Romains 10:9-10




Guerre économique mondiale — La place du dollar dans le chaos

[Source : birchgold.com]

[Illustration : Toa Heftiba]

Par Brandon Smith

Dans une récente déclaration publiée sur les médias sociaux, Tucker Carlson a expliqué succinctement les nombreuses raisons qui l’ont poussé à se rendre en Russie pour interviewer le président Vladimir Poutine. Sa décision, qui a suscité une avalanche d’indignations de la part des médias de gauche et d’une multitude de politiciens occidentaux, a été inspirée par l’inquiétude de M. Carlson quant au fait que les Américains ont été mal orientés par la propagande des médias d’entreprise, laissant le public complètement ignorant de la guerre en Ukraine.

Il est essentiel de comprendre ce que les tensions avec l’Est pourraient provoquer.

Cela vaut la peine d’être vu :

[Version française : Interview de Poutine : Tucker Carlson pourrait-il être sanctionné en Europe ?]

Voici quelques citations clés :

Cette guerre a complètement remodelé les alliances militaires et commerciales mondiales, de même que les sanctions qui ont suivi, et au total, elles ont bouleversé l’ordre économique de l’après-Seconde Guerre mondiale. Le système qui a garanti la prospérité de l’Occident pendant plus de 80 ans est en train de s’effondrer très rapidement, et avec lui la domination du dollar américain.

Je suis d’accord.

En fait, je ne pense pas que la majorité des Américains aient la moindre idée des conséquences réelles d’une guerre mondiale avec la Russie et ses alliés.

Même si le conflit n’aboutissait jamais à des coups de feu et restait confiné au domaine de la guerre économique, les États-Unis et la majeure partie de l’Europe seraient dévastés.

M. Carlson a notamment évoqué les dangers qui pèsent sur le statut du dollar américain.

Je pense que ce commentaire a probablement mystifié un grand nombre de personnes. La plupart des gens ne peuvent pas concevoir l’idée d’une implosion du dollar américain déclenchée par un dumping étranger du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale.

Ils croient vraiment que le dollar est invincible.

Les personnes les plus délirantes sont, malheureusement, celles qui appartiennent aux cercles économiques dominants. Ils ne parviennent pas à comprendre que l’Occident subit déjà un effondrement financier au ralenti.

La guerre accélérerait les dégâts économiques à des niveaux jamais atteints depuis la Grande Dépression.

Ce que l’histoire nous apprend sur les monnaies de réserve mondiales

Le dollar américain a remplacé la livre sterling comme monnaie de réserve mondiale en 1944. La livre sterling a régné en maître pendant quelque 200 ans, puis sa valeur s’est effondrée après que le Royaume-Uni se soit mis en faillite en combattant les deux guerres mondiales.

Avant cela, le franc français a été la monnaie préférée du monde pendant un siècle — avant que la nation ne se ruine en expérimentant le papier-monnaie non garanti (de façon spectaculaire lors de l’escroquerie de la bulle du Mississippi). La dévastation économique qui en a résulté a conduit directement à la Révolution française.

Le franc français a remplacé le florin néerlandais, qui a servi de monnaie de réserve mondiale pendant près d’un siècle avant que les Pays-Bas ne fassent faillite au cours de la guerre de Quatre-vingts ans.

Auparavant, le dollar espagnol en argent était la monnaie de réserve mondiale, en partie grâce aux mines espagnoles fantastiquement productives dans le Nouveau Monde. Mais peu importe les tonnes d’argent que les galions espagnols transportaient à travers l’Atlantique, le gouvernement en dépensait encore plus… D’abord en faisant défaut sur les dettes de la nation, puis en dévalorisant la monnaie pour continuer à lutter contre les Anglais et les Néerlandais, le dollar d’argent espagnol s’est effacé de l’histoire.

Je pourrais continuer à remonter le temps pour trouver d’autres exemples…

Voici ce qu’il faut savoir :

Toutes les monnaies de réserve mondiales de l’histoire ont été remplacées.

Chacune d’entre elles.

Le gouvernement émetteur dépense plus d’argent qu’il n’en a (généralement en temps de guerre), ce qui a pour effet de déprécier la monnaie et, parfois, de faire défaut sur les dettes, brisant ainsi la confiance nécessaire à la survie de toute monnaie.

La chute du dollar américain est inévitable

Cela fait de nombreuses années que je mets en garde contre cette issue. Je pense avoir clairement exprimé ma position dans le passé ; je soupçonne que le conflit entre l’Est et l’Ouest a été soigneusement élaboré au cours d’une décennie ou plus, et la Russie n’est pas innocente dans cette affaire.

La Russie a toujours collaboré avec les institutions mondialistes, y compris le FMI, dans le but de créer un nouveau « système de monnaie de réserve mondiale ». Comme je l’ai noté en 2014 dans mon article False East/West Paradigm Hides Rise Of Global Currency [Le faux paradigme Est/Ouest cache la montée en puissance d’une monnaie mondiale] en référence à la guerre naissante avec l’Ukraine.

Je rappelle aux partisans de Poutine que Poutine et le Kremlin ont d’abord poussé le FMI à prendre le contrôle de l’économie ukrainienne, et que le FMI exige maintenant que l’Ukraine combatte la Russie en échange d’un soutien financier. Cela peut sembler ironique pour les observateurs les plus téméraires, mais pour ceux qui sont conscients du faux paradigme Est/Ouest, tout cela fait partie d’un plan plus vaste de consolidation du pouvoir.

Dès la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch (dont beaucoup affirment qu’elle a eu lieu avec l’aide des agences de renseignement occidentales), l’agenda de la Troisième Guerre mondiale a été mis en branle. Les deux parties semblent avoir créé les circonstances qui ont rendu la conflagration inévitable.

La Russie, étrangement, a soutenu l’intervention du FMI pour sécuriser l’économie ukrainienne. Le FMI a ensuite exigé que l’Ukraine se batte contre la Russie pour garder le contrôle du Donbass, sous peine de perdre l’aide financière qui maintenait le pays en vie. Est-ce de l’ironie, ou y a-t-il autre chose qui se passe ici ?

L’OTAN a commencé à armer l’Ukraine, qui a utilisé ces armes pour massacrer des civils dans le Donbass. La population de l’Est voulait rejoindre la Russie, et l’Ukraine n’avait pas l’intention de le permettre (le financement du FMI était en jeu). Pendant ce temps, le gouvernement négociait ouvertement l’inclusion officielle de l’Ukraine dans l’OTAN. La Russie a alors envahi le pays et s’est emparée du Donbass.

Aujourd’hui, toute la région est un baril de poudre et les deux parties sont prêtes à allumer la mèche.

Si je devais choisir un camp dont la position est « plus juste », ce serait la Russie. Imaginez que la Chine travaille à la création d’une alliance militaire avec le Mexique, avec la possibilité pour l’armée chinoise d’installer des armes et des soldats à notre frontière méridionale. Imaginez le chaos que cela provoquerait aux États-Unis. C’est ce à quoi la Russie a été confrontée avec l’Ukraine.

N’oubliez pas que l’Amérique a failli déclencher une guerre nucléaire mondiale lorsque la Russie soviétique a installé des missiles à Cuba en 1962. Les opérations militaires menées si près des frontières des grandes puissances nationales ne sont pas une plaisanterie.

Je ne fais certainement pas confiance à Poutine, mais cela n’enlève rien au comportement orwellien des dirigeants politiques européens et américains. Il se passe ici quelque chose qui va au-delà des mécanismes typiques de la politique de la corde raide géopolitique. La guerre ne profite qu’à un groupe restreint de mondialistes, et je soupçonne les deux parties de servir sciemment ou involontairement les intérêts mondialistes.

Elle est indéniable. C’est une réalité vérifiable : nos gouvernements et nos institutions élitistes sont corrompus au-delà de tout entendement. Ils recherchent une réforme autoritaire, une « grande réinitialisation économique » et déclenchent de multiples conflits dans le monde. Nous avons vu le masque tomber pendant la Covid. Ces gens ne sont pas simplement malavisés ; ce sont des monstres, et ils ont faim. Ils n’hésiteront pas à provoquer une crise mondiale et à sacrifier l’Occident comme une chèvre sur l’autel pour obtenir la centralisation qu’ils souhaitent.

Le paradigme Est/Ouest s’inscrit parfaitement dans ce plan. Les nations des BRICS sont prêtes à abandonner complètement le dollar ; certaines l’ont déjà fait dans le cadre d’échanges bilatéraux.

Ne vous y trompez pas, si le conflit en Ukraine (et dans d’autres régions du monde comme la Syrie ou l’Iran) continue de s’aggraver, la Chine se débarrassera de ses avoirs en dollars. En tant que premier importateur/exportateur mondial, de nombreux pays suivront l’exemple de la Chine et abandonneront le dollar pour le commerce international.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Des milliers de milliards de reconnaissances de dettes encaissées en une seule fois

Le dollar, qui a été hyperinflaté pendant plus d’une décennie de planche à billets de la Réserve fédérale, est resté stable uniquement parce qu’il est la réserve mondiale et la pétromonnaie. C’est précisément pour cette raison que les banques étrangères détiennent des milliers de milliards de dollars dans leurs coffres. Avec la perte du statut de réserve, un flux ininterrompu de dollars reviendra aux États-Unis à mesure que les investisseurs étrangers se détourneront des billets de la Fed.

Résultat ? Un effondrement inflationniste massif.

Voilà ce qui est en jeu.

C’est ce à quoi Tucker Carlson faisait probablement référence, et beaucoup trop d’Américains ne le comprennent tout simplement pas. Les mondialistes en profitent parce que c’est ce à quoi ils travaillent depuis des décennies — la déconstruction de la société et de l’économie américaines, afin que l’« ancien ordre mondial » puisse être remplacé par leur « nouvel ordre mondial » de monnaies numériques des banques centrales, un panier de monnaies du FMI et une foule d’autres changements socialistes très désagréables.

Et le meilleur pour eux, c’est qu’ils seront considérés comme les « héros » lorsque tout sera terminé. Ils ont passé la majeure partie du siècle dernier à préparer l’Amérique à l’échec économique en dévaluant le dollar et en créant un piège de la dette nationale. Le système allait s’effondrer de toute façon, mais ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité sur la guerre et « l’arrogance des États-nations », puis venir à la rescousse avec leur monnaie numérique dystopique.

Un conflit Est/Ouest ouvre la porte à la Grande Réinitialisation. À l’heure actuelle, la seule chose qui freine la marée est le refus général du public de se battre. Personne n’a envie d’aller mourir à l’étranger dans une bataille insignifiante pour l’Ukraine (Zelensky se fait vraiment des illusions s’il pense que les Américains vont verser du sang dans ses tranchées — même un appel sous les drapeaux serait un échec total). Personne n’est intéressé par le déclenchement d’une troisième guerre mondiale, qu’elle soit nucléaire ou simplement économique.

Si les trois dernières années ne nous ont rien appris d’autre, tous ceux qui ont des yeux dans la tête savent que le dollar américain n’est plus une réserve de valeur. Le gouvernement fédéral semble déterminé à ramener sa valeur à zéro et le reste du monde ne reste pas les bras croisés… C’est pourquoi il est absolument crucial de diversifier votre épargne en remplaçant les dollars par des actifs qui ont fait leurs preuves dans l’histoire en tant que réserve de valeur : les métaux précieux physiques.

Je pense que l’indignation de l’establishment à propos de l’interview de Poutine par Tucker Carlson est fondée sur la crainte que le public occidental ne voie un autre aspect de la guerre et ne soit encore moins intéressé par le combat.

Toutefois, cela n’empêche pas l’OTAN ou la Russie d’étendre la guerre au-delà de l’Ukraine, dans d’autres régions, ou de recourir à des subterfuges financiers (là encore, gardez les yeux rivés sur la Syrie et l’Iran). En fin de compte, ils veulent que nous choisissions un camp, mais seulement à partir de la liste des camps qu’ils approuvent. Les groupes occidentaux soucieux de liberté doivent choisir leur PROPRE camp et se battre pour leurs propres intérêts. Il ne s’agit pas d’opposer l’OTAN à la Russie, mais les peuples libres aux mondialistes. C’est la seule façon de mettre fin à ces catastrophes.

Brandon Smith est un analyste économique et géopolitique alternatif depuis 2006 et le fondateur de Alt-Market.com.




Le sens de l’Histoire et son évolution vers le totalitarisme technocratique avant la libération de l’Humanité

[Source : arcaluinoe.info]

Par Laurent James

On sait que l’histoire est constituée de cycles temporels imbriqués les uns dans les autres, comme une série de respirations de périodes variables suivant l’ampleur, la taille du cycle. Plus le cycle est court, et plus rapide est sa respiration. C’est ce qui fait qu’un penseur matérialiste comme Marx, focalisé sur l’histoire de l’économie, forcément récente au regard de l’histoire de l’humanité, n’apercevait qu’un simple mouvement de répétition temporelle dans la succession qualitative des événements (au lieu de cycles imbriqués), lorsqu’il écrivit cette célèbre phrase : « L’histoire se répète, d’abord comme une tragédie, ensuite comme une farce ».

Cette constatation est tout à fait juste à l’échelle d’une vie humaine, on peut la voir comme une illustration du principe théologique selon lequel le mal est une singerie du bien. Le bien est primordial, le mal est conjoncturel. Ce qui est néfaste surgit lorsque le bien s’efface, ou quand il déraille, quand il s’essouffle.

Or, il me semble que l’une des caractéristiques principales de notre monde post-moderne, notre monde apocalyptique entièrement régi par la Puissance des Ténèbres, c’est que l’ordre temporel de l’histoire s’est tout simplement inversé. Je veux dire que la dissolution de l’humanité dans les abysses du non-être est telle que, si l’histoire se répète, c’est d’abord comme une farce, et puis ensuite, non comme une tragédie, mais comme une comédie ― au sens où l’entendait Dante, c’est-à-dire au sens où la narration débouche au Paradis ; puisqu’en tant que chrétiens, nous savons bien qu’après le triomphe du mal ne peut qu’advenir celui du bien.

Mais ce qui est important à retenir, c’est bien qu’à notre époque, la Parodie précède l’événement. Toute chose surgit d’abord comme une farce, une singerie, non pas de ce qui est déjà arrivé, mais de ce qui est prévu par l’Esprit-Saint pour la victoire finale.

La conspiration mondialiste des Etats-Unis, bloquant tout d’abord de manière offensive toute formation d’alliance nuptiale entre la Grande Europe continentale et la Nouvelle Russie, a peu à peu changé de tactique pour se transformer en grande parodie. La parodie de l’Empire du Saint-Esprit, c’est l’Europe de Bruxelles, c’est la tyrannie hégémonique du non-être, qui prend aujourd’hui la forme du pouvoir absolu de la Technologie, humiliante, aliénante, dissolvante, anéantisante de toute forme de vie intérieure ― comme l’avait vu Bernanos ― mais également de vie extérieure.

L’enfermement technocratique de la conscience est la parodie de la libération à venir de la Sainte-Sophie.

La conspiration politique de l’intérieur a été remplacée par la conspiration technologique de l’extérieur, qui est désormais l’ennemi fondamental de l’unité géopolitique eurasiatique.

Alors que c’est la géopolitique qui devrait l’emporter sur les idéologies, la technocratie l’emporte aujourd’hui sur la géopolitique, poursuivant sa tâche pour asseoir son pouvoir total, se jouant des guerres intra-continentales et de toute multipolarité, effective ou non. C’est-à- dire que le pouvoir absolu des ténèbres du non-être n’envisage plus du tout quelque choc des civilisations que ce soit, mais l’aplanissement des civilisations, et leur résorption dans une harmonie de façade.

Le redressement économico-industriel de la Russie, tout comme de la Chine et prochainement de l’Inde, s’est fait sous les fourches caudines de la cyber-technocratie de surveillance généralisée. L’Etat s’est libéré des servitudes oligarchiques, pour tomber sous la férule des technocrates. Les forces spirituelles, qui sont les forces vivantes de chaque civilisation, se battent ardemment pour retrouver leur place dans chaque pôle, afin de rendre au concept de multipolarité son véritable caractère révolutionnaire et anti-occidental.

En Chine, par exemple, aujourd’hui, la reconnaissance faciale sert de moyen de paiement dans de nombreux magasins. Et, tout comme en Occident, la pratique de l’incinération a remplacé celle de l’enterrement, invisibilisant ainsi complètement la Mort ― au grand bénéfice des promoteurs immobiliers, ennemis acharnés depuis toujours de l’existence des cimetières. Mais on sait que, par ailleurs, de nombreux groupes taoïstes de combat tentent de renverser le faux confucianisme au pouvoir, de manière à rendre à la Chine son autorité spirituelle tout en conservant son ascendant politique.

Cette question de l’invisibilisation de la Mort, ou plutôt de sa virtualisation, est également à la base du Transhumanisme, dont le problème principal est, lui aussi, son caractère parodique. La mission du Christ, pour Saint Irénée de Lyon ainsi que pour tous les pères de l’Eglise, est la suivante : « Dieu s’est fait homme pour que l’homme puisse se faire Dieu ».

Or, cette divinisation de l’homme par la grâce, dont l’exemple lumineux et absolu nous est donné par la Vierge Marie, est parodié ― singé, mimé, abêti ― précisément par le Transhumanisme.

Le Transhumanisme, c’est la volonté de diviniser l’homme sans passer par le Saint-Esprit. Ce qui est exactement la promesse faite par le serpent au couple primordial dans la Genèse.

Ce qu’il nous faut absolument, et de toute urgence, c’est retrouver et faire fructifier le Principe du Saint-Esprit, horizon marial de la Grande Europe Antérieure.

Comme l’écrivait Jean Parvulesco : « Il nous faut un retour à l’être européen, un recommencement total de l’histoire et de la conscience politiques européennes, de leurs structures d’affirmation et de présence agissante propres, renouvelées depuis leurs profondeurs originelles retrouvées »

Le grand combat aujourd’hui, permettant de retrouver le sens tragique de l’histoire, consiste à retourner la Grande Parodie contre elle-même, afin de faire surgir au grand jour notre être véritable : Le Grand Renversement contre la Grande Réinitialisation, l’Église mariale de la Fin contre la Technocratie, la Grande Europe Impériale contre le triomphe de l’État mondial tyrannique.






Sortir de la caverne

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Que mon billet de la semaine dernière suscite des réactions outrées, je m’y attendais un peu. Les Gaulois réfractaires n’apprécient guère qu’on égratigne le druide et qu’on regarde sa potion de travers. Ce qui m’a surpris, c’est que ma lettre surprenne tellement de lecteurs. Certains m’ont violemment reproché de « retourner ma veste », de « trahir la résistance » ou de « faire le jeu des vaccinolâtres », ce qui est un comble puisque Néosanté incarne depuis 13 ans la critique radicale de la patascience appelée vaccinologie. Il y a même des amis qui sont venus aux nouvelles en croyant que mon compte avait été piraté et que la newsletter ne pouvait pas provenir de moi. Cette incrédulité m’a étonné, car je tiens exactement le même discours depuis 4 ans : autant j’aime bien Didier Raoult que je n’ai pas, contrairement à beaucoup d’autres, découvert en 2020, autant je me méfie de l’hydroxychloroquine qui n’est pas une molécule anodine.

Un poison reste un poison

Certes, ce médicament chimique est sans doute « le plus prescrit au monde » comme le répète sans cesse son célèbre promoteur. Et à dose correcte, il ne tue que les personnes fragiles du cœur. Mais à ceux qui m’accusent de la diaboliser, je réponds que cette molécule ne doit certainement pas être banalisée. Avant l’invention des antibiotiques, la médecine dite « moderne » soignait les maladies infectieuses avec du mercure ou de l’arsenic : viendrait-il à l’idée de toubibs contemporains de défendre ces « remèdes » redoutablement toxiques ? La liste de 70 effets secondaires de l’HCQ établie par la célèbre Mayo Clinic, ce n’est pas moi qui l’ai inventée. Et les mises en garde du NHS (service de santé britannique), ce ne sont pas non plus des manœuvres récentes échafaudées pour disqualifier une parade au covid et préparer la voie au vaccin. On remarquera que le NHS incite les consommateurs de chloroquine à téléphoner au centre antipoison s’ils manifestent une grande détresse respiratoire, effet adverse notoire et sans doute pas rare puisqu’il est repris en tête de liste. Dans l’étude dont je vous parlais la semaine dernière, les chercheurs ont également établi que le médoc tératogène augmentait de 30% le risque de malformation congénitale. Or dans le contexte de panique virale mondiale, il a très probablement été prescrit à des femmes enceintes dont certaines ont accouché de bébés difformes. Rien que ça, ça me fait gerber et ça me met en colère contre les avocats du Plaquenil. Pour rappel, il suffit de surdoser le médicament d’un facteur 2 pour lui conférer un pouvoir létal. C’est pourquoi il est très raisonnable et rationnel de suspecter qu’il a beaucoup tué ces quatre dernières années. Un médecin-réanimateur marocain abonné de Néosanté m’a raconté jeudi dernier qu’une femme s’était présentée aux urgences de son hôpital après avoir avalé toute une boîte de comprimés. Elle s’en est sortie, ce qui plaide en apparence pour l’innocuité de l’HCQ. Mais combien d’autres patients n’ont pas eu cette chance et sont décédés à domicile ? Quitte à me faire taxer de « traître », je me range résolument dans le camp des soignants et des pharmacologues alarmés par le recours massif à l’antipaludique.

Une doxa-bis qui dupe énormément

Mes détracteurs m’ont vivement reproché d’adhérer ainsi à la doxa covidiste. Or c’est à mon sens exactement l’inverse : ceux qui continuent à se fier aux « traitements précoces » ont été complètement contaminés par la narration officielle. Ils croient que nous avons été attaqués par un nouveau virus engendrant une nouvelle maladie et que celle-ci devait être combattue à grand renfort de substances nouvelles ou « repositionnées ». La seule différence entre le narratif dominant et le narratif alternatif, c’est que le second n’est pas tombé dans le guet-apens vaccinal. Par rapport au récit des comploteurs, le récit adopté par la plupart des complotistes est même plus anxiogène puisqu’il postule l’existence d’un agent infectieux rendu plus pathogène. Mais pourquoi diable s’accrocher à cette pure fiction ? Les chiffres ont parlé et il n’y a pas eu de pandémie. Il y a eu une pandémie de peur, une pandémie de tests, une pandémie de iatrogénie, une pandémie d’abandon de soins et de mesures sanitaires délétères, une pandémie d’assassinats au Rivotril, une pandémie de statistiques falsifiées, mais il n’y a pas eu de fléau viral justifiant le développement des injections expérimentales ou le recours à un arsenal médicamenteux spécial. Dois-je rappeler que les médecins qui ont soigné avec les moyens du bord, par exemple le Dr David Bouillon en Belgique, s’en sont très bien tirés ? Dois-je rappeler qu’après la « première vague », la grippe baptisée covid a été traitée avec succès au moyen des seuls antibiotiques, anticoagulants et cortisone, soit les outils classiques de la médecine classique face aux pneumopathies ? Dois-je rappeler que le zinc et la vitamine D, c’est-à-dire les compléments naturels habituels contre la grippe, ont démontré toute leur utilité préventive et curative ? Si la mini-épidémie de Wuhan était passée inaperçue et si l’OMS n’avait pas sauté sur l’occasion pour monter une gigantesque opération psychologique, on ne se serait rendu compte de rien, car la saison grippale 2020 n’a pas dérogé aux normes saisonnières. Les livres de Laurent Toubiana, Eusèbe Rioché et Pierre Chaillot en apportent les preuves irréfragables. Au fond, les ingénieurs sociaux à l’origine de cette méga-manipulation ont fait de l’excellent boulot : ils ont réussi à conduire des milliards de moutons blancs vers les injections géniques et des millions de moutons noirs vers des produits toxiques comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Il serait en effet naïf d’imaginer que les scénaristes de la psy-op n’ont pas anticipé la popularité de ces molécules et n’ont pas orchestré à dessein interdictions et restrictions. Rien de plus tentant qu’un remède prohibé pour les récalcitrants à la piquouze ! L’important était d’apeurer et de faire passer un banal syndrome grippal pour une calamité inédite, passage obligé vers la surveillance numérique et le « great reset » économique.

Raoult se dépasteurise !

La machination repose évidemment sur la théorie du germe chère à Louis Pasteur et à ses adeptes. Sans cette religion sectaire et ses superstitions, la mystification covidienne n’aurait pas pu entraîner la planète entière dans le délire totalitaire. Sans cette croyance en la pathogénicité des microbes, la minuscule minorité de milliardaires psychopathes ne pourrait plus terroriser les foules à son profit. C’est pourquoi Néosanté œuvre inlassablement à déconstruire le paradigme médical pasteurien et à pointer ses failles béantes. Comme dans le mythe platonicien de la caverne, il importe de réaliser qu’on nous abuse avec des ombres chinoises symbolisant les fausses connaissances. Dans la vie réelle, les micro-organismes ne veulent pas notre peau, ils ne sont pas la cause des maladies et il est donc absurde de leur faire la guerre. Saurons-nous profiter de la formidable opportunité offerte par le virus couronné pour tourner la page et leur déclarer la paix ? Dans ma série de lettres de janvier-février 2023 intitulée « Comment le covid a tué Pasteur », j’ai passé en revue les éléments montrant que la vision biophobique ne tenait plus la route. Et dans les analyses qu’il partage désormais en primeur avec les lecteurs de notre mensuel, le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement que les thèses virologiques sont amplement contredites par les faits et les chiffres. Dans le numéro de décembre, notre nouveau collaborateur avait déjà magistralement exposé « la vraie histoire de la fausse pandémie ». Dans le prochain numéro de février, il revient à la charge et révèle lumineusement qu’il a suffi de deux instruments — les tests (dont les résultats n’ont ni queue ni tête) et la codification hospitalière (dont la modification a permis de remplir la coque-vide) — pour monter la grande escroquerie plandémique. Avez-vous entendu le druide dénoncer ces deux clés de l’arnaque corona ? Non, car cela l’obligerait douloureusement à retirer ses œillères pasteuriennes. Très récemment, il a pourtant fait un pas en dehors de la caverne. Dans cette vidéo décoiffante, Didier Raoult admet ni plus ni moins que les virus et bactéries n’ont pas de responsabilité causale(([1] Note de Joseph : il n’en est pas encore vraiment là, même s’il semble aller dans la bonne direction. Il pense toujours que les virus doivent avoir un rôle à jouer, éventuellement en combinaison avec des bactéries, notamment pour expliquer la grippe, mais n’envisage pas pour l’instant que les bactéries puissent agir en tant qu’agents de nettoyage de l’organisme ni que les « virus » — en fait « exosomes » et autres déchets ou composants cellulaires — soient simplement le résultat de l’agression des cellules par divers facteurs environnementaux, dont les champs électriques et les ondes électromagnétiques. Les « virus » particuliers proviennent de conditions particulières et sont bien sûr alors spécifiques à l’individu dont ils proviennent, ce qui fait qu’il est impossible ou très improbable d’en trouver de génétiquement identiques chez d’autres personnes. Globalement le corps en émet des milliards par jour, constituant alors le « virome », à cause des agressions environnementales permanentes qu’il subit, ne serait-ce que par l’électrosmog. Si à un moment donné leur nombre devient excessif en certains organes ou tissus biologiques trop agressés, des bactéries viennent aider à leur évacuation ou à leur recyclage. À ce stade, cela peut se traduire en symptômes perceptibles, dont la fièvre ou des irritations dues à l’inflammation des tissus par cette suractivité cellulaire et microbienne. Ces virus et bactéries ne sont pas la cause d’une maladie supposée contagieuse, mais des effets d’une agression ou d’un choc subi individuellement ou collectivement.)) dans les maladies qu’on leur impute ! Les microbes sont présents, et encore pas toujours, mais « il y a autre chose » qui reste à découvrir dans le processus pathologique. À mes yeux, l’infectiologue marseillais est un authentique scientifique, autrement dit un gars qui est capable de se remettre en question, de rompre le consensus et de faire ainsi progresser la science. Je fais le pari qu’il va continuer à se dépasteuriser et qu’il regrettera un jour d’avoir préconisé un remède inutile et dangereux.


Réaction de Pryska Ducoeurjoly (par courriel collectif)

Chers amis,

J’ai bien pris connaissance de la polémique sur les dernières newsletters d’Yves. J’ai aussi reçu des emails de la part de membres de l’Aimsib… En tant que collaboratrice régulière de Néo Santé, je me permets de répondre.

Pour être claire et transparente, Yves me lit en copie.

J’apprécie beaucoup Néo Santé car c’est LE support qui m’a permis de publier la quasi-totalité des enquêtes les plus intéressantes que j’ai pu produire. Je remercie donc Yves de m’avoir ouvert ses colonnes depuis plus de 10 ans, dans un contexte où l’expression du journalisme d’investigation était déjà un vrai défi ! Cependant, ce n’est pas pour autant que j’adhère à tous les éditos ou à l’ensemble de la ligne éditoriale. Nous avons souvent des débats, Yves et moi ! Néanmoins, Yves accepte de laisser la place dans ses colonnes à des points de vue avec lesquels il n’est pas forcément en accord. C’est tout à son honneur.

Ceci dit, sur les deux dernières newsletters, je me permets d’exprimer en toute amitié mon désaccord avec le point de vue d’Yves.

Sur la forme, je n’adhère pas au ton. Je trouve regrettable de qualifier Raoult de druide et de Panoramix… cela ne sert pas le sérieux du débat contradictoire. Je ne pense pas que cela soit vraiment apprécié par l’audience de Neo Santé. Cela peut aussi contribuer à desservir les dossiers de la revue, à placer les collaborateurs en situation délicate, par exemple pour décrocher plus tard d’autres ITW.

Tout le monde n’est pas fan de Raoult (ses conclusions sur le vaccin papillomavirus me hérissent le poil, Nicole Delépine sera d’accord avec moi sur ce point). Pour autant Didier Raoult reste une personnalité scientifique de haut niveau et surtout un soignant de premier plan, qui a osé mettre en place un protocole de soin (basé aussi sur une antibiothérapie et le zinc). Il mérite un débat contradictoire respectueux. Je pense que c’est surtout cela qui a choqué et fait réagir, au-delà du débat scientifique en lui-même qui est toujours bienvenu.

Sur le fond, après ma collaboration avec Hélène Banoun sur La Science face au pouvoir, j’ai pu lire pas mal de choses sur l’action de l’HCQ dans la pathogénicité de la maladie Covid, ainsi que celle de certaines classes d’antibiotiques. Maintenant, si on ne croit pas à l’existence d’une maladie spécifique Covid, ni à un virus associé, il est certain que le débat sera plus compliqué. Pour ma part, je me rallie aux conclusions de JM Sabatier sur l’existence d’une pathogénicité spécifique de la maladie Covid, ce qui permet de comprendre l’action de certaines classes de médicament.

Autre remarque pour nourrir le débat de fond, je ne pense pas que les études double contrôle randomisée placebo soient le Graal de la preuve scientifique, loin de là. Raoult a parfaitement raison sur ce point. Il a bien fait de mettre en place un protocole de soin et non un protocole d’étude clinique. Philippe Even, dans Corruption et crédulité en médecine (Cherche-Midi 2015), ouvrage dédié principalement aux médocs anticholestérol, démontre que les RCT (randomized controlled trials) sont faits pour et par les labos en vue de valider leurs molécules toxiques qui seraient immédiatement recalées si on les passait au crible de simples études d’observation de terrain. Les études dites « gold standard » sont manipulables, « basées sur les malades idéaux, dans des conditions éloignées de la vie réelle » dit Even. Les essais cliniques sont « du marketing déguisé », dit aussi Peter Gotzsche.

En espérant que la vérité puisse tracer son chemin dans l’opinion publique en 2024, via l’expression d’un débat contradictoire respectueux des différents points de vue qui contribuent à son émergence, 

je vous souhaite à tous une belle année !

Pryska Ducoeurjoly

—–

PS : À propos de l’étude évoquant le risque de malformations fœtales sous HCQ, je me permets, Yves, de te donner mon point de vue.

À mon avis, elle mérite aussi d’être prise avec des pincettes comme les autres études que tu cites.

— Tout d’abord, l’étude repose sur des données d’ordonnances, ce qui ne nous donne pas une image claire de l’utilisation réelle du médicament.

— De plus, l’approche de l’étude, basée sur le codage et de la classification. Outre le fait que le risque d’erreur dans la classification est un biais en soi, les chercheurs n’ont pas accès aux dossiers médicaux personnels. Nous sommes typiquement dans le cadre d’une étude de type « Big data », rétrospective (données jusqu’à 2015), ce type d’études a largement été dénoncé par Didier Raoult à l’occasion de la fameuse étude du Lancet (100 % Big Data aussi). C’est une grosse différence avec les études présentées par Raoult, qui lui dispose du dossier médical de chacun des participants.

— En ce qui concerne les résultats, les auteurs suggèrent un « risque légèrement accru avec l’HCQ, mais cette augmentation n’est pas suffisamment significative pour être concluante. Les auteurs admettent eux-mêmes disposer d’un faible nombre de cas pour certaines malformations spécifiques. Je m’interroge sur la manière de comparer une cohorte de 2000 femmes à un groupe de référence de 3 millions de femmes. Ça me paraît assez atypique comparé à ce que je vois habituellement avec des cohortes équilibrées en termes de nombre. Il faudrait aussi se pencher attentivement sur la manière dont les auteurs ont exclu l’impact d’autres médicaments. Apparemment ils ont essayé d’isoler le risque HCQ, mais il faudrait prendre une heure pour étudier les annexes et vérifier tout cela. Il suffit de lire le livre de Corinne Lalo, Le grand désordre hormonal, pour s’apercevoir que tous les médicaments chimiques ont un impact neuro–hormonal, qu’ils sont des perturbateurs endocriniens et que tous les médicaments chimiques devraient être interdits pendant la grossesse. Le paracétamol en premier lieu bien sûr ! D’autant plus qu’il est en vente libre en pharmacie et que son effet tératogène a largement été documenté d’après Corinne Lalo.

— Enfin, je note les liens étroits des auteurs avec l’industrie pharmaceutique. Ils ont reçu des financements de plusieurs grandes entreprises, notamment Eli Lilly and Company, GlaxoSmithKline, Baxalta, Pacira Pharmaceutical Inc, Aetion Inc, Alosa Foundation, Merck for Mothers, Pfizer, Bristol-Myers Squibb, AbbVie Inc, Roche Holding AG, Bayer, Vertex et Novartis. Dans ma pratique journalistique, j’évite généralement de citer ce type d’étude.


Réponse d’Yves Rasir

Bonjour Pryska,

Merci pour cette belle réaction argumentée.

J’adorerais une confrontation entre Michel de Lorgeril et Didier Raoult sur la hiérarchie des méthodologies, car le premier ne jure que par les études versus placebo doublement contrôlées et randomisées. Que certaines soient manipulées, j’en conviens volontiers, mais c’est aussi sur l’absence de vrai placebo qu’a été bâtie toute l’imposture vaccinaliste et pasteurienne (et le mythe homéopathique, soit dit en passant). Du reste, dans sa vidéo « dépasteurisée » que je pointais avant-hier, Raoult déplore qu’on se fourvoie depuis 80 ans sur la grippe parce qu’il n’y avait pas de groupe contrôle dans les études. Ce n’est pas la première fois que le Professeur fait preuve d’une singulière incohérence…

Pour ce qui est du covid, il est clair qu’une Banoun ne dit pas la même chose qu’un Chaillot. C’est toute la différence entre une pasteurienne pur jus et un gars sans a priori qui découvre que rien ne colle dans la théorie du germe. Je confirme mon ouverture au débat contradictoire puisque l’une et l’autre interviennent dans le Néosanté de février.

Amitiés confraternelles,

Yves RASIR





« Il n’y a plus d’alternative, ce sera le chaos ou le retour à la souveraineté du peuple »

Par Christian Darlot

Dans un entretien avec des journalistes du Figaro, le sociologue Christophe Guilly explique les causes de la révolte des classes moyennes, confrontées dans tous les pays d’Europe à la perte de leur fonction économique et à la baisse de leur niveau de vie. Cette chute, les faisant retomber parmi les classes dominées, aux revenus précaires, dont elles étaient sorties depuis quelques générations, résulte des changements matériels de la société.

En effet, la chronologie des quarante dernières années montre, sans doute possible, l’enchaînement des causes et des effets : la cause première est l’imposition du libre-échange par la finance anglo-saxonne. Au début des années 80, un intense battage publicitaire présenta le libre-échange comme le meilleur moyen de prospérité et de paix mondiales, et le duo Thatcher-Reagan fut choisi comme voyageurs de commerce de cette idéologie mercantile. Tout en découle : les faillites d’entreprises, la délocalisation de la production, le chômage ouvrier, puis la délocalisation des bureaux d’étude et le chômage des ingénieurs et des cadres, et par réaction la création de boulots tertiaires parasitaires pour les enfants des classes sup et moyennes-sup, et l’aumône d’allocations au populo pour maintenir la paix sociale. Trois générations de chômeurs ont été ainsi dissuadées de se révolter contre le sort imposé par les maîtres de l’économie, et à présent ils sont présentés comme des paresseux. Sous prétexte d’attractivité économique, les prestations sociales sont diminuées. Pendant ce temps, les institutions d’enseignement étaient dégradées en garderies afin de différer l’augmentation du nombre de sans-emploi, et à présent le niveau d’instruction s’effondre. À quoi bon dépenser un pognon de dingue pour instruire le peuple si les travailleurs qualifiés ne sont plus nécessaires ? Mieux vaut n’instruire que les héritiers. Une société de castes s’instaure.

La mondialisation aligne tendanciellement les revenus : ceux des producteurs des pays développés sur ceux des producteurs des pays pauvres, et ceux des dirigeants sur ceux des maîtres du jeu mondial. Elle détruit donc la cohésion sociale dans chaque pays développé, sans pour autant permettre une cohésion à l’échelle mondiale. En allongeant les chaînes de production, elle enrichit les compagnies commerciales qui empochent la différence des salaires entre les pays, et elle fait la fortune des armateurs, et surtout des banquiers, fournisseurs d’avances financières. Elle renforce la volonté des dirigeants des États les plus puissants de contrôler les sources de matières premières et d’énergie, afin de maintenir les vassaux dans la soumission. Elle pénalise donc les pays qui n’ont pas de grandes disponibilités en énergie (d’où l’attaque contre l’énergie nucléaire, française en particulier), tandis que la spécialisation tend à déstructurer, puis à détruire, le réseau économique productif des puissances généralistes comme la France.

Cet enchaînement de conséquences du libre-échange aurait suffi à causer la crise actuelle, mais d’autres facteurs l’ont aggravée :

— Le rattrapage technique, éducationnel, et à présent scientifique, de pays comme la Chine, l’Inde, le Viet Nam, aux salaires croissants, mais encore nettement plus bas que les salaires des pays d’Europe.

— Le prodigieux progrès des télécoms, qui permet de délocaliser les bureaux d’étude, d’assurer la logistique des échanges de marchandises, et aggrave la spéculation. Ce fut le moyen de mettre en œuvre la mondialisation, non seulement matérielle, mais aussi intellectuelle et surtout idéologique et financière.

— La création et la circulation sans frein de capitaux fictifs. Les banques privées ont usurpé le pouvoir d’émettre de la monnaie, qu’elles émettent désormais sans contrepartie réelle. L’étendue mondiale de leurs réseaux les fait échapper au contrôle par les États, dont elles ont au contraire corrompu et soumis les dirigeants politiques. Elles peuvent ainsi tout acheter, terres, industries, services, en payant en monnaie de singe, monnaie sans valeur, mais ayant cours légal dans le monde entier et soutenue par des systèmes judiciaires, de plus en plus corrompus eux aussi, ainsi que par la force armée. La force brute est employée dans des guerres d’agression. Dans les pays soumis à l’empire financier, des entreprises peuvent encore mettre au point des innovations techniques, souvent remarquables, mais ne peuvent plus les développer et sont contraintes de les céder aux grandes sociétés. Vingt grandes compagnies financières dirigent les banques centrales et contrôlent le capital des deux cents plus importantes sociétés industrielles et commerciales mondiales. Leur budget est supérieur à celui de nombreux États, et elles ont donc des services de prospective, de corruption et d’action, aussi étoffés que les ministères des États. Leurs dirigeants rivalisent, mais se connaissent et se concertent.

En Europe, dans l’espoir de restaurer une autonomie financière à l’échelle du continent, des dirigeants politiques incompétents et chimériques ont institué une monnaie qu’ils ont voulue unique, l’euro, trop forte pour l’économie de la plupart des pays, et dont les dirigeants allemands ont profité pour détruire l’industrie des pays voisins.

Le système coince à présent, sur la dette (fictive), la perte de compétence (réelle), l’idéologie (importée et délirante) et la sujétion (imposée, mais acceptée). La dette est voulue pour donner prétexte à brader les moyens de production de la Nation — augmenter la dette fut une des fonctions de la fausse épidémie covidingue — et l’idéologie sert à distraire l’attention vers des problèmes imaginaires, réchauffement climatique prétendument d’origine humaine et guerre des sexes. La décadence intellectuelle et morale des classes dominantes révèle son adaptation à cette nouvelle organisation mondiale, tandis que le wokisme sert à embrouiller les esprits pour empêcher les luttes sociales.

En outre, une volonté idéologique ne peut plus être niée : un dessein, dont les citoyens ne perçoivent encore qu’une partie, a été élaboré depuis longtemps et est mis en œuvre par une oligarchie restant volontairement discrète, mais dont les porte-parole sont chargés de révéler progressivement les projets pour y habituer peu à peu les peuples. Ce dessein est de submerger par l’immigration les peuples européens (trop contestataires ?), de détruire leur civilisation, et d’exterminer une partie de la population mondiale. Ce constat n’est pas une rêverie complotiste, il résulte de l’observation du monde. Les évènements des trois dernières années ne sont pas des conséquences de l’évolution spontanée des sociétés, mais d’un plan élaboré, dont les modalités d’application sont mises à jour et adaptées à l’évolution de la situation, au gré des circonstances.

Cela paraissait impensable, inimaginable, mais depuis 2020 c’est devenu patent. Les porte-voix de l’oligarchie publient ouvertement sa volonté d’imposer son pouvoir. Les promoteurs de « l’Agenda 2030 » et de la « Grande réinitialisation » font publiquement leur réclame.

L’opposition mondialistes/souverainistes est là.

Guilly prévoit, à raison, un sursaut des classes moyennes qui pressentent l’ouverture de la trappe sous leurs pieds. Quand elle s’est ouverte sous les pieds des ouvriers, les meneurs de la bourgeoisie opulente ont conseillé aux chômeurs de « positiver », de s’adapter, de passer de la Sidérurgie à l’Informatique, et les classes moyennes ont approuvé. Mais à présent qu’on leur dit de traverser la rue, les classes moyennes comprennent que leur vie est menacée.

Cependant un sursaut sans base productive ne serait qu’un ultime soubresaut avant l’agonie.

Le redressement passe impérativement par :

— La production locale, donnant du travail et motivant un renouveau d’ingéniosité technique. Des droits de douane sont nécessaires pour permettre de développer des activités nouvelles, et donc des frontières nationales sont indispensables, ainsi que des accords internationaux mettant fin au libre-échange absolu des marchandises, des services, des capitaux et des personnes. Tout le contraire des traités que signe Pustula la Hyène.

— Le redressement de l’éducation, le retour à des raisonnements fondés sur la réalité objective, et la restauration de l’intérêt général — donc national — contre la mentalité irréaliste, individualiste et subjective ; la lutte contre la propagande wokiste et mondialiste.

À l’échelle de la croissance démographique et économique du monde, la France est désormais un pays moyen. Une politique adaptée doit donc être complètement inventée. Il faut :

— En politique intérieure : refonder le pouvoir à partir de la base et bâtir une démocratie véritable. Tâche difficile, puisque désormais une partie du territoire est devenu étrangère, composée d’îlots hors-la-loi et parasitaires. Des pouvoirs locaux sont nécessaires pour permettre l’expression et la mise en œuvre de la volonté des citoyens, mais pourraient être utilisés par des puissances hostiles pour infiltrer le pouvoir politique et économique. Un équilibre institutionnel nouveau, sans précédent, est à définir. Tant à l’échelle de l’Europe qu’à celle de la France, il faut empêcher l’institution d’une organisation impériale plutôt que nationale : à l’échelle de l’Europe, il faut refuser toute supranationalité ; à l’échelle de la France, il faut promouvoir l’action locale, mais refuser tout communautarisme.

Cette tâche indispensable nécessite d’écarter du pouvoir tous les traîtres qui y ont été placés. Ce sera le plus difficile.

— En politique extérieure : recouvrer la pleine souveraineté, abolir l’UE et refonder une coopération prudente avec les pays d’Europe. La langue française est encore une des dix les plus parlées dans le monde, c’est un atout très important. Ce n’est pas par lubie que le freluquet dit qu’il n’a jamais vu la culture française (cela n’étonne pas de lui) et parle angali ex officio. Il obéit spontanément à ses maîtres, dont il partage la volonté de soumettre la France. La simple survie de la nation impose de s’émanciper des Zanglos, des Zélus et des Teutons, de faire fond sur la tradition culturelle française, en particulier en s’alliant à l’Italie, à présent totalement soumise à l’OTAN, mais ayant conservé une tradition de beauté mise à mal en France. La France n’a pas d’ennemi militaire, mais, depuis 2005 et le retour de l’agent étasunien Sarközy, l’OTAN l’entraîne dans des guerres d’agression ne la concernant pas. L’intérêt national est de quitter l’OTAN, de renouer des liens de confiance avec la Russie et l’Iran — qui l’accepteraient très volontiers — de rétablir les liens séculaires avec l’Afrique et l’Amérique du Sud, et de renouer tous ces liens en respectant le principe d’égalité entre États souverains.

L’intérêt et l’honneur convergent, pour le salut de la France.

Tout est à réinventer et à refaire, et il faut toujours beaucoup de vieux pour faire du neuf.




La Réinitialisation par l’effacement de la mémoire et la maladie mentale de masse

[Source : Ciel Voilé]

Mike Adams interviewe le Dr Michael Nehls






Le Great Reset et les 4 cavaliers de l’apocalypse

[Source : ODC TV – Ondes De Choc TV]

Epidémie, guerre, famine et conquête, voilà les quatre fléaux que nous promettent les élites mondialistes à travers le Great Reset.
Avec notre invité de la semaine Marc Gabriel Draghi, nous vous invitons à lire entre les lignes et à décoder les projets formulés dans le livre de Klaus Schwab : « Covid-19 : le Great Reset »

Chapitres 🔎 :
00:00 Introduction
01:51 Le Great Reset, transhumanisme et dictature numérique
08:31 Les quatre cavaliers de l’apocalypse
20:40 Klaus Schwab, simple porte-parole de l’oligarchie?
29:38 La Chine, une alliée de l’élite mondialiste?
38:02 Le Bitcoin est un laboratoire de la NSA et de la CIA
45:50 Israël, ami ou ennemi des mondialistes?
55:45 Ukraine et Gaza, que vise l’oligarchie mondialiste?
1:07:40 Des conseils pour survivre au Great Reset?

[Voir aussi :
Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?
Cryptomonnaies : Prospection, enjeux, questionnements et perspectives
Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés
La Russie doit combler le fossé en matière de marquage de bétail !]




LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation

[Source : telegra.ph]

Par Iurie Rosca

Forum Chisinau 2024
« LA GUERRE SANS RESTRICTION : Une approche holistique de la Grande Réinitialisation »

Chers amis, l’année dernière, l’équipe internationale du Forum Chisinau — qui rassemble de nombreux intellectuels, auteurs, chercheurs, experts et journalistes de différents pays fortement engagés dans la lutte contre la tyrannie mondiale d’une élite mondialiste malveillante — a réalisé un excellent travail. Notre principal événement, qui s’est tenu les 9 et 10 septembre, était le Forum Chisinau 2023, intitulé « L’Agenda 21 de l’ONU et la grande réinitialisation : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ». Nous avions 33 intervenants qui ont brillamment contribué par leurs discours à l’analyse et au démantèlement des stratégies mondialistes visant à détruire et à soumettre l’humanité.
(Voir : https://rumble.com/user/Chișinăuforum?page=2 ; https://odysee.com/@Chișinăuforum:5)

Nous avons étalé cet événement sur quatre mois en publiant régulièrement, deux fois par semaine, les discours de chaque participant à tour de rôle, à la fois en version vidéo et en version texte. En outre, les discours de nos participants ont été traduits dans plusieurs langues — allemand, français, italien, portugais, espagnol, russe, grec, roumain, etc. — et ont été publiés sur de multiples plateformes de médias alternatifs. Au fur et à mesure que cette campagne de diffusion progressait, nous avons réussi à placer les discours sur diverses ressources médiatiques et à distribuer massivement les articles et les vidéos de nos camarades, et nous avons donné de multiples interviews, toutes ces activités conférant une pertinence particulière et une visibilité remarquable à notre projet métapolitique promu par le biais du groupe de réflexion international Forum Chisinau.

Le moment est venu de préparer notre prochaine rencontre internationale. Le thème annoncé dans le titre de ce mémorandum pourrait également être formulé ainsi : La guerre sans restriction comme stratégie multidimensionnelle d’une élite luciférienne pour une domination totale du monde.

L’état de guerre comme réalité permanente

L’assaut total du pouvoir de l’ombre, qui était déjà en cours depuis de nombreuses années, s’est fortement accéléré en 2020. C’est l’année de lancement d’une opération spéciale appelée « pandémie Covid-19 », qui vise à l’extermination massive de la population mondiale et à la modification génétique, ainsi qu’à l’appauvrissement et à l’asservissement des survivants.

Cet état d’alerte, provoqué par un événement d’une gravité sans précédent dans l’histoire, exige une analyse complexe, exhaustive et profonde, car la survie même de l’espèce humaine est en jeu. L’urgence d’un examen adéquat de l’état du monde d’aujourd’hui nous appelle également à formuler des solutions qui nous offriraient une chance d’éviter une catastrophe terminale rapide et irrémédiable.

Nous sommes donc en état de guerre. L’agresseur ne représente pas un État ou un groupe d’États, mais constitue un vaste réseau d’entités privées, supranationales, guidées non seulement par la soif du pouvoir absolu et l’instauration d’une tyrannie mondiale, mais surtout par des motifs profondément spirituels et de nature maléfique. Les cibles de ces forces sont toutes les nations du monde, tous les êtres humains, les rivalités entre eux faisant simplement partie de la stratégie de domination.

L’une des principales caractéristiques qui distinguent l’état de guerre actuel des états classiques est qu’il n’est pas déclaré et qu’il n’y a pas d’acteurs légitimes tels que deux parties belligérantes représentées par des États. L’ennemi est caché, de nature subversive, et attaque ses victimes avec une gamme d’armes non conventionnelles qui ne sont pas perçues par les nations cibles comme des actes d’hostilité militaire. Dans ce cas, la règle d’or de L’art de la guerre de Sun Tzu est appliquée à la perfection :

« Grâce à vous, nous apprenons à être invisibles, grâce à vous, inaudibles, et ainsi nous pouvons tenir le destin de l’ennemi entre nos mains ».

Les tactiques de dissimulation et l’application d’un vernis de respectabilité scientifique et d’une prétendue responsabilité morale dans le destin du monde rendent les maîtres de ce jeu mortel pratiquement invulnérables.

Au cœur de la force massive d’influence mondiale se trouve la puissance économique, technologique, médiatique et culturelle-cognitive qui annihile toute capacité de compréhension complexe et de résistance efficace de la part des États et des nations. L’ennemi de l’humanité est extrêmement sophistiqué, parfaitement équipé d’un nombre énorme d’instruments, et capable de jouer un jeu funeste pour le monde entier, tout en continuant à montrer son innocence et ses bonnes intentions.

Le masque de respectabilité sur le visage des « institutions internationales »

Les ennemis de l’humanité agissent par l’intermédiaire d’organisations internationales perçues comme neutres et bénéfiques pour les États et les peuples, telles que l’ONU, l’OMS, le FMI, la Banque mondiale, la Banque des règlements internationaux (BRI), l’OMC, l’OMS, la GAVI, l’UNESCO, l’UNICEF, l’UE, l’OTAN, etc. Et comme complices de cette énorme « conspiration ouverte » apparaissent les gouvernements des États du monde devenus les marionnettes de ces forces occultes : des régimes politiques qui contribuent au génocide des peuples qu’ils gouvernent.

L’influence écrasante, à l’échelle mondiale et nationale, de cet archipel du pouvoir réel est diffusée et exercée par une myriade de sociétés secrètes ou semi-secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Royal Institute of International Affairs (Chatham House), le Tavistock Institute, le Council on Foreign Relations, le Club de Rome, le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Forum Économique Mondial, etc.

Les guerres non militaires comme stratégie de domination

Parmi l’énorme éventail de guerres non militaires menées par ces élites démoniaques, on peut citer les suivantes :

  • Guerre de religion
  • Guerre de civilisation
  • Guerre économique
  • Guerre cognitive
  • Guerre culturelle
  • Guerre idéologique
  • Guerre psychologique
  • Guerre des médias
  • Guerre biologique
  • Guerre génétique
  • Guerre raciale
  • Guerre d’immigration
  • Guerre géophysique
  • Guerre climatique
  • Cyberguerre
  • Guerre électromagnétique
  • Guerre démographique
  • La guerre féministe
  • Guerre des sexes
  • Guerre des transgenres
  • Guerre intergénérationnelle, etc.

Parallèlement, des guerres chaudes sont déclenchées, comme en Ukraine et dans la bande de Gaza, dans le but de contribuer à la « démolition contrôlée » de l’économie mondiale, à la désagrégation de la capacité fonctionnelle des États et à la réinitialisation du monde sur la base d’un Nouvel Ordre Mondial [NOM].

Pour porter le coup de grâce à l’anéantissement des États et de la liberté humaine, les élites sataniques nous préparent depuis des décennies à une « guerre interplanétaire » découlant d’une « invasion extraterrestre » et du mythe des OVNIS, afin de réaliser le projet Blue Beam, qui apparaîtra comme la phase terminale du triomphe du NOM.

Ainsi, nous sommes contraints par les circonstances de vivre dans une apocalypse permanente que nous percevons souvent comme la « nouvelle normalité ».

Une stratégie unique masquée par les rivalités régionales

L’Agenda 2030 de l’ONU pour le développement durable avec ses 17 objectifs est imposé à chaque nation et exprime la réalité de la gouvernance mondiale : un agenda qui pousse le plan d’extermination de masse et d’asservissement ultime, sans qu’aucun pays n’oppose de résistance. De plus, tant qu’aucun pays du monde n’annoncera son désir de quitter cette organisation faîtière du pouvoir de l’ombre (l’ONU), le Gouvernement Mondial fonctionnera tout aussi imperturbablement sans même formaliser son existence.

Pour l’année 2024, la signature d’un traité dit de pandémie de l’OMS a été annoncée, qui instaurerait définitivement une tyrannie mondiale sous prétexte de santé et éradiquerait définitivement toute trace de souveraineté nationale et personnelle.

Parallèlement, une nouvelle réalité dystopique s’étend sur le monde entier, se manifestant comme l’apogée de la science et de la technologie promettant l’avènement du paradis éternel. L’ère de la numérisation, de la surveillance universelle, de la destruction des libertés fondamentales — sous prétexte d’urgences médicales, climatiques ou cybernétiques — se manifeste avec une force irrésistible. Les monnaies numériques des banques centrales, l’Internet des objets, l’Internet des corps, les villes intelligentes ou villes de 15 minutes, l’« homme augmenté » sous les traits du transhumanisme, la technocratie comme forme de tyrannie universelle, s’annonçant comme une prophétie autoréalisatrice, toutes ces nouvelles réalités sont en train de remodeler le monde entier.

Une évasion de la prison conceptuelle

Aucun des conflits de premier plan qui font actuellement rage à l’échelle mondiale, qu’ils soient Ouest-Est ou Nord-Sud, ne semble affecter l’imposition d’une stratégie mortelle commune émanant de l’ONU, de l’OMS et d’autres organisations.

Le caractère extrêmement sophistiqué et complexe du système de domination mondiale par le biais des organisations internationales — d’innombrables entités privées imbriquées sous un masque scientifique, culturel, médical ou médiatique — conduit à un état de domination intégrale beaucoup plus périlleux que celui qui pourrait être atteint par la conquête militaire ou l’assujettissement économique.

La multitude de formes de guerres totales non militaires qui sont menées contre l’humanité n’est même pas perçue par la grande majorité des gens comme une agression générale contre l’humanité. Cette incapacité à appréhender les nouvelles réalités géopolitiques avec leur profonde signification spirituelle pourrait bientôt s’avérer fatale pour le monde entier. Une certaine erreur de perspective, une inertie de la pensée maintiennent l’esprit collectif dans la captivité des temps passés.

Dans les nouvelles conditions historiques de la mondialisation, dues à une avancée massive de la science et de la technologie et à la concentration gigantesque du pouvoir mondial entre les mains d’entités privées, les anciens schémas de division entre pays, régions et civilisations ne sont plus valables ; ils ne servent plus qu’à masquer le vrai visage des factions participant au conflit.

Pour sortir de la confusion générale et avoir la possibilité d’opposer une résistance efficace pour assurer la pérennité de la civilisation humaine, il est nécessaire de faire une distinction catégorique entre la perspective horizontale et la perspective verticale.

Horizontalement, c’est l’Occident collectif et les pays BRICS, le Nord riche et le Sud émergent qui se font face. Pourtant, la lutte essentielle se déroule verticalement : l’agression multidimensionnelle et implacable des élites mondiales diaboliques d’une part et de tous les peuples du monde d’autre part. Et si le premier plan d’affrontement est enregistré par la perception publique, le second, infiniment plus important, échappe à l’attention du monde.

Les rivalités entre les groupes de pays susmentionnés n’ont pas cessé même en 2020, mais pour couronner le tout, tous les pays ont répondu avec la même docilité aux édits de l’OMS lors de la fausse pandémie de Covid-19, qu’ils n’ont pas perçue comme un acte de guerre.

L’Occident collectif contre les BRICS, les États-Unis contre la Chine : Qui dirige ?

L’une des erreurs fondamentales liées à la mondialisation est la tendance à attribuer à l’Occident collectif le rôle exclusif de moteur de ce processus. Selon cette logique, l’effondrement de l’Occident entraînerait automatiquement l’échec de la mondialisation. D’où les mythes liés aux BRICS en tant qu’alternative civilisationnelle à l’Occident. La récente expansion substantielle de cette organisation informe et omnivore a suscité de nouvelles vagues d’enthousiasme parmi les partisans naïfs de la démondialisation. Le déclin de l’Occident et la montée en puissance des BRICS sont également applaudis par tous les adversaires de l’hégémonie américaine. Pendant ce temps, rares sont ceux qui remarquent que la Grande Réinitialisation s’impose partout. Transcendant les conflits géopolitiques horizontaux, il est dicté par la verticale du pouvoir, la seule force qui compte vraiment. Une fois de plus, le monde est gouverné par des entités privées supranationales opérant à travers l’ONU, l’OMS, etc. Big Money, Big Oil, Big Pharma, Big Tech, Big Media, etc. ne sont que les tentacules d’une même pieuvre satanique.

Et si l’on sait que l’Agenda 2030 de l’ONU est accepté et mis en œuvre par tous les pays du monde, que la politique génocidaire de fausses pandémies et de meurtre par injection de l’OMS est une politique officielle de tous les États, que la digitalisation est omniprésente, comment admettre une telle absurdité en admirant une si fausse alternative ?

Certains se réjouissent de la perspective d’une dédollarisation imminente comme si elle devait être suivie de l’établissement de la souveraineté monétaire au niveau de chaque nation et de la disparition de la BRI et de la City de Londres. Il faut savoir que le dollar sera remplacé par des CBDC au niveau « national », après quoi une unité monétaire numérique universelle sera imposée.

C’est un truisme de dire que les mêmes prémisses conduisent toujours aux mêmes conséquences. La société technologique conduit à la disparition des campagnes, à l’urbanisation, à la technocratie et, par le biais de la robotique et de l’intelligence artificielle, au chômage de masse. Le remplacement de l’hégémonisme américain par l’hégémonisme chinois ne signifiera pas pour autant l’échec de la Grande Réinitialisation. Au contraire, la société chinoise est un modèle idéal pour les élites mondialistes, qui souhaitent ardemment étendre ses caractéristiques à l’échelle mondiale.

Une véritable révolte des nations suppose d’abord la volonté d’abandonner les carcans mondialistes qui asservissent l’humanité, au premier rang desquels l’ONU et l’OMS. Mais jusqu’à présent, aucun pays au monde n’a annoncé de telles intentions, suivant plutôt avec docilité la politique du Gouvernement mondial qui opère à travers ces organisations.

La fin de la géopolitique classique

Le mythe du changement climatique est accepté aveuglément et docilement par tous les États sous l’égide de l’ONU. L’activité de la BRI, l’élimination de l’argent liquide et l’imposition des CBDC ne sont pas perçues comme des outils destinés à paupériser et à asservir la population mondiale, mais sont au contraire considérées à tort comme des processus naturels d’une régulation financière inévitable. Il en va de même pour la perception publique d’autres « organisations internationales ».

La capacité à fixer l’esprit collectif, à dissiper les mythes supposés sur le cadre international, ainsi qu’à réduire méthodiquement la capacité cognitive de l’homme contemporain est la principale garantie de succès des mondialistes. À l’heure actuelle, il n’y a pas de différence entre le niveau d’ignorance de l’individu moyen et celui d’un fonctionnaire d’État. Dans ces conditions, la stratégie du déguisement et de la manipulation fonctionne sans la moindre entrave.

J’ai appelé ces nouvelles réalités à l’échelle mondiale « la fin de la géopolitique classique ». Aujourd’hui, le conflit de base est vertical : il se déroule du haut vers le bas et l’ennemi est une entité non étatique, supranationale et extraterritoriale. Par conséquent, comme dans les exercices de décryptage pratiqués en ingénierie sociale, les deux coins inférieurs du triangle doivent, pour échapper à leur éternelle condition de victimes, renoncer à leurs hostilités mutuelles « horizontalement » et regarder vers le haut pour découvrir le véritable ennemi qui les attaque « verticalement ».

Erreur de perspective dans l’identification de l’ennemi

Et je reviens ici au titre de mon discours de clôture prononcé au Chisinau Forum 2023 le 9 septembre dernier : « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique (https://arcaluinoe.info/en/blog/2023-09-09-alfpxu0e/ ou « Connaître son ennemi » — la règle d’or de l’art de la guerre à l’ère technocratique). Une connaissance approfondie de la nature des ennemis de l’humanité nous offre une chance de revanche, de contre-offensive et de survie.

Nous entrons ici dans la zone la plus délicate et la plus incertaine. En effet, l’homme d’aujourd’hui n’a plus de perspective religieuse et spirituelle sur la vie. La modernité nous a irrémédiablement marqués : nous sommes matérialistes, athées et rationalistes. Et ce, alors que les ennemis de l’humanité, qui nous ont sécularisés et stérilisés spirituellement pendant des siècles, sont eux-mêmes restés profondément ancrés dans les réalités spirituelles. Ils nous ont éloignés de notre Sauveur, mais ont maintenu leur alliance avec leur maître. C’est-à-dire qu’ils nous ont aveuglés afin de pouvoir nous dominer et nous vaincre sans aucune résistance.

Face à un mal spirituel total, à des forces démoniaques surhumaines, nous n’avons aucune chance de réussir en utilisant uniquement le potentiel humain. L’absence d’égalité des armes signifie notre défaite éternelle. Notre besoin vital est de redécouvrir et de rechercher une alliance stratégique avec notre Créateur Jésus-Christ. Avoir un ennemi aussi puissant que Satan tout en restant dans l’illusion de l’autonomie et de l’autosuffisance humaine est une illusion induite par le fils de la perdition.

Il nous appartient de choisir de jouer le rôle de perdants ou de préférer la mission de conquérants, en faisant un grand saut paradigmatique et en revêtant l’armure de nouveaux croisés. En conclusion, notre choix est très simple : à qui obéir, à Dieu ou à Satan. Il n’y a pas de troisième option. L’autonomie humaine est un piège parfait qui nous aveugle et pousse notre Résistance dans une impasse suicidaire.

L’illusion libérale comme facteur de paralysie

L’une des raisons du succès écrasant de nos ennemis est que nous continuons à opérer dans des conditions de tyrannie mondiale et de terrorisme d’État avec notre cadre de référence démocratique libéral dépassé. Face à une guerre totale des élites satanistes contre l’humanité, dans les dents d’un génocide universel, nous fonctionnons avec des notions légalistes ; nous faisons appel à la Constitution, aux Droits de l’Homme et aux normes démocratiques. Nous plaçons nos espoirs dans les cycles électoraux et les « sauveurs » comme Trump ou Poutine, en déifiant l’opposition contrôlée. Et nous refusons de comprendre la nature tragicomique de cette situation.

Lorsqu’un assassin tue vos enfants, votre femme, vos proches, un citoyen honorable s’assoit pour porter plainte au tribunal ou chercher un avocat. Mais la guerre a sa propre logique inexorable. Si vous n’arrêtez pas votre meurtrier, il vous tuera. Même si ce ne sont pas des fusils et des bombes qui sont utilisés comme armes mortelles cette fois-ci, mais des injections, des ondes électromagnétiques et de la nourriture empoisonnée, cela ne change pas le rapport de forces entre les deux parties, l’assassin et la victime. La victime est en état de légitime défense et doit riposter. Notre réponse au plan génocidaire d’une élite mondialiste de réinitialisation est typiquement appelée le Grand Réveil — et à juste titre. Mais cet effort d’éveil doit trouver sa continuation immédiate dans le Grand Soulèvement. Toute autre démarche ne serait qu’un exercice intellectuel stérile et nous condamnerait à la disparition de la civilisation humaine.

Veuillez partager ce texte avec vos abonnés, le placer sur autant de plateformes que possible, le traduire dans vos propres langues et l’envoyer à vos amis qui pourraient être nos orateurs potentiels au Forum Chisinau 2024. Afin de minimiser le risque de toute entrave aux déplacements normaux (confinements, etc.), je suggérerais la fin du mois de mai comme la meilleure période pour notre prochain événement.

Le Forum Chisinau est un groupe de réflexion international indépendant et n’est subordonné à aucun centre géopolitique, État ou entité privée. Nous n’avons pas de sponsors et n’en recherchons pas. Toutes les dépenses liées à nos activités sont à la charge de chaque participant. Une véritable résistance métapolitique et une dissidence implacable exigent une totale liberté de pensée et d’action.

N’hésitez pas à me faire part de vos avis sur le thème annoncé pour la prochaine édition, à formuler des suggestions à cet égard et à proposer de nouveaux intervenants pour notre événement. J’attends vos messages à l’adresse électronique suivante : ChisinauForum2024@protonmail.com

Iurie Rosca est un journaliste indépendant de la République de Moldavie, un dissident anticommuniste, un ancien député et vice-premier ministre, un rédacteur, un traducteur et un organisateur du groupe de réflexion international antimondialiste Forum Chisinau.




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Bill Gates et Epstein : 30 ans de trafic, de chantage et d’espionnage avec les services secrets

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Et si le chantage lié à la prostitution de mineurs tenait tout le réseau du pouvoir global ? Cet article de Whitney Webb parcourt les liens de Jeffrey Epstein, un agent des services israéliens, avec le monde de la politique, de l’informatique et de la santé.

Whitney Webb est une journaliste américaine indépendante qui a un site nommé « Unlimited Hangout ». Elle a écrit 2 volumes majeurs intitulés « One Nation Under Blackmail ». Il y a près de 1000 pages décrivant le réseau de corruption et de criminalité qui gangrène la gouvernance américaine et mondiale par un système de chantage basé sur le trafic sexuel et l’espionnage informatique. Il s’agit d’un des plus longs articles publiés sur ma page, mais il est impératif de citer des détails et des sources dans ce genre de dossiers. Par ailleurs, on tombe à la renverse à chaque paragraphe.

Voici une photo de 2011 prise à l’appartement d’Epstein à Manhattan, publication du NY times :
À gauche c’est Larry Summers ancien secrétaire du Trésor et ancien Président l’université de Harvard (et non Leon Black, le directeur d’Apollo management, un fonds d’investissement de la CIA). Black a démissionné depuis la révélation de ses liens avec Epstein (à qui il a versé plus de 150 millions de $). Au milieu, Jeffrey Esptein, Bill Gates et à droite Boris Nicolic, un médecin qui a été conseiller scientifique de Gates qu’Epstein avait désigné comme exécuteur testamentaire.

Vous apprendrez dans cet article que :

  • Mélinda Gates a divorcé à temps par peur d’être impliquée dans le procès Epstein.
  • Bill Gates et Jeffrey Epstein se connaissaient depuis le début des années 1990, notamment par l’intermédiaire de Ghislaine et Isabelle Maxwell.
  • Jeffrey Epstein et toute la famille Maxwell sont au service du Mossad : Robert Maxwell, le magnat de la presse assassiné, Isabel et Christine, Ghislaine, leurs enfants.
  • Isabel Maxwell était propriétaire de Touchcomm, un logiciel d’espionnage qu’elle a vendu à Microsoft. Isabel Maxwell est aussi une « pionnière de la technologie », conseillère pour le Forum économique mondial.
  • Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990
  • Epstein et Bill Gates étaient « très liés » aux Clinton et ont beaucoup travaillé ou investi ensemble, avec leurs fondations.
  • Epstein s’est baladé avec le bras droit de Gates/Microsoft en Russie.
  • Epstein a été impliqué dans la recherche scientifique, la génétique et les neurosciences
  • Des clubs comme A Small World et Edge fund (financé par Epstein) ont réuni tout un petit monde que l’on cite beaucoup dans des dossiers pédophiles : Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Lynn de Rotschild, Nicole Junkerman, Paul Allen (Microsoft), Naomi Campbell, Andnan Kashogghi… enfin tous les noms déjà cités dans les dossiers de pédophilie.

ET beaucoup d’autres choses encore…

Melinda Gates divorce à cause de la relation de Bill avec Epstein

Une série de révélations concernant les liens entre Bill Gates et Jeffrey Epstein ont été faites après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, des preuves substantielles suggèrent que l’association Gates-Epstein a en fait commencé des décennies avant 2011 et qu’elle est toujours censurée par les médias grand public.

Non pas dans le but de protéger Bill Gates, mais plutôt dans le but de protéger Microsoft.

Au début du mois de mai 2021, l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, après vingt-sept ans de mariage, a choqué à la fois ceux qui louent et ceux qui détestent le couple de pouvoir « philanthropique ».

Moins d’une semaine après l’annonce initiale du divorce, le 7 mai, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » en apprenant la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein, responsable d’un trafic de mineurs et agent de renseignements. Le rapport suggère que Melinda a été l’une des principales raisons de la décision de son mari de prendre ses distances avec Epstein vers 2014, en raison de son malaise avec Epstein après qu’ils l’aient tous les deux rencontré en 2013. Cette rencontre, qui n’a jamais été rapportée, avait eu lieu dans le manoir d’Epstein dans l’Upper East Side de New York.

Le Daily Beast a également révélé que les détails du divorce des Gates avaient été décidés plusieurs semaines avant l’annonce officielle. Puis, le 9 mai, le Wall Street Journal a publié la nouvelle selon laquelle les plans de divorce remontaient encore plus loin, Melinda ayant consulté des avocats spécialisés en la matière depuis 2019. Cette consultation aurait eu lieu après que les détails de la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein eurent attiré l’attention des médias grand public, notamment du New York Times.

Si les grands médias s’accordent apparemment pour dire que Jeffrey Epstein a probablement joué un rôle dans la séparation des Gates, ces mêmes médias refusent de parler de l’étendue réelle de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. Selon la presse mainstream, les liens entre Bill Gates et Epstein remonteraient à 2011, alors que les preuves indiquent que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

Ce refus général de rendre compte honnêtement des liens entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prépondérant de Gates dans l’actualité, tant en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 qu’en tant que promoteur et bailleur de fonds majeur de « solutions » technocratiques controversées à un grand nombre de problèmes sociétaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui s’est passé par la suite, et qu’elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu’entreprise et pour certains de ses anciens cadres dirigeants.

Cette dissimulation particulière s’inscrit dans la volonté évidente des médias d’appareil à ignorer l’influence manifeste qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée et, sans doute, continuent d’exercer dans la Silicon Valley. En effet, les personnes qui ont fondé les géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont toutes des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroits que d’autres.

Le présent article synthétise un ensemble de propos qui sont développés dans les deux tomes One Nation Under Blackmail que j’ai consacré au réseau de chantage international et américain qui lie le monde de la finance, de la politique, de la criminalité et des renseignements.

Le mystère de l’Evening Standard

En 2001, l’article sans doute le plus important qui ait jamais été écrit sur Jeffrey Epstein est paru en janvier 2001. Il portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans l’Evening Standard de Londres. Cet article du journaliste Nigel Rosser n’a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d’Epstein et le début de sa notoriété publique. Il a néanmoins été retiré du site web de l’Evening Standard et ne peut plus être trouvé que sur les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j’ai mis à la disposition du public un PDF de cet article et de plusieurs autres articles relatifs à Epstein qui ont été supprimés.

On peut aussi le télécharger ici : Télécharger

Les principales déclarations faites dans l’article montrent clairement pourquoi il a été retiré d’Internet, apparemment à la suite de la première arrestation d’Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais immensément puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l’article, il note qu’Epstein « a un jour prétendu avoir travaillé pour la CIA, bien qu’il le nie aujourd’hui », l’une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l’article a été retiré d’Internet bien avant la deuxième arrestation d’Epstein en 2019.

Une grande partie de l’article souligne la proximité d’Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que les deux exerçaient une influence considérable sur le prince, en grande partie en raison du rôle de Maxwell en tant « qu’entremetteur ». L’article indique que Maxwell « manipulait » le prince et qu’elle agissait probablement pour le compte d’Epstein ».

Une ligne se démarque cependant en tant que le premier indice majeur permettant de démystifier la véritable origine de la relation entre Gates et Epstein. Peu après avoir présenté Epstein dans l’article, Rosser déclare qu’Epstein « a gagné de nombreux millions grâce à ses relations d’affaires avec des personnes telles que Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l’Ohio Leslie Wexner, dont il dirige le trust ».

Les relations de Wexner et de Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues et remontent respectivement à 1985 et 1987. Les médias grand public continuent toutefois de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et ont refusé de suivre les pistes fournies par Nigel Rosser. Je suis personnellement au courant de cette rétention d’informations dans une certaine mesure, puisqu’un journaliste de la BBC m’a contacté en 2019 pour obtenir des détails sur cet article de 2001 de l’Evening Standard, que j’ai fournis. À ce jour, la BBC n’a jamais fait état du contenu de cet article. Il convient de noter que la BBC a reçu pendant des années des millions de dollars de financement de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, ni Trump, ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, c’est-à-dire bien avant qu’Epstein ne devienne célèbre. En outre, le fait que Gates soit cité aux côtés de deux proches associés d’Epstein connus à l’époque — Donald Trump et Leslie Wexner — suggère que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

Outre l’article du Evening Standard, Maria Farmer, une victime d’Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996, a déclaré se souvenir avoir entendu Epstein mentionner Bill Gates d’une manière qui laissait entendre qu’ils étaient des amis proches et qui lui donnait l’impression que le cofondateur de Microsoft pourrait bientôt se rendre dans l’une des résidences d’Epstein.

Microsoft, McKinley, et Isabel Maxwell

Outre ces deux éléments de preuve essentiels, il y a également le fait qu’avant l’article du Evening Standard, Gates avait déjà un lien documenté avec une entreprise dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait une participation financière, ce qui peut donner un indice sur la nature des « liens commerciaux » auxquels Nigel Rosser a fait allusion. En outre, la nature étrange de la relation de Gates avec Isabel Maxwell, qui a des liens avec le scandale d’espionnage du logiciel PROMIS et avec les services de renseignement israéliens, est documentée dans un article publié en 2000 par le Guardian.

Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell, ainsi que leurs maris de l’époque, ont créé le groupe McKinley en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la société-écran Information on Demand, utilisée par leur père Robert Maxwell pour vendre au gouvernement américain le logiciel PROMIS, qui contenait une « backdoor » (ou logiciel d’espionnage). Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel « voulurent se diversifier et reconstruire » et voyaient en McKinley « une chance de recréer un peu de l’héritage de leur père ».

Le groupe McKinley n’était cependant pas seulement une entreprise d’Isabel, de Christine et de leurs maris, puisque Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt substantiel » dans la société, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Ce même article notait également que Ghislaine, tout au long des années 1990, avait « construit discrètement un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu’« elle est secrète au point d’en devenir paranoïaque et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Elle a choisi de se décrire « comme une “opératrice Internet” » pendant cette période, même si « son bureau à Manhattan refuse de confirmer le nom ou la nature de son activité ».

Ghislaine Maxwell et sa famille, ses sœurs Isabel et Christine en 2019 à Londres.

Un autre article, paru dans The Scotsman en 2001, note séparément que Ghislaine « est extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». Le degré d’implication de Ghislaine dans les affaires du groupe McKinley n’est pas clair. Toutefois, à cette époque, elle menait avec Jeffrey Epstein une opération de chantage sexuel liée aux services de renseignement, et leurs finances se chevauchaient considérablement, comme l’indiquent les rapports de presse de l’époque et ceux qui ont suivi.

McKinley a créé ce qui est devenu l’annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme du « premier site à publier de longues critiques et évaluations de sites web ». L’approche « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, ce qui a donné lieu à des « alliances majeures » avec AT&T, Time Warner, IBM, Netcom et le réseau Microsoft (MSN), qui ont toutes été négociées par Isabel Maxwell. L’alliance majeure de Microsoft avec McKinley s’est concrétisée à la fin de 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l’option de recherche du service MSN de l’entreprise.

Les efforts de McKinley pour devenir le premier moteur de recherche à entrer en bourse ont échoué, ce qui a déclenché un conflit entre Christine Maxwell et le mari d’Isabel, qui a également eu pour conséquence que l’entreprise s’est retrouvée derrière d’autres leaders du marché. En conséquence, McKinley n’a pas eu la possibilité de faire une deuxième tentative d’introduction en bourse. Excite, qui a ensuite été rachetée par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996. On dit que c’est Isabel Maxwell qui a rendu l’opération possible, le PDG d’Excite à l’époque, George Bell, affirmant que c’est elle seule qui a sauvé l’achat de McKinley.

Malgré l’échec de McKinley, les jumelles Maxwell et d’autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement obtenu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l’opération, mais ils ont également noué des liens étroits avec les flambeurs de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’opération de chantage sexuel qu’elle menait alors aux côtés de Jeffrey Epstein.

Après la vente de McKinley/Magellan, les liens manifestes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignements américains et israéliens se sont considérablement renforcés. Les liens d’Isabel avec Microsoft ont également perduré après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de l’entreprise technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. CommTouch, un « obscur développeur de logiciels » fondé en 1991 par d’anciens officiers de l’armée israélienne, s’est concentré sur « la vente, la maintenance et l’entretien de logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et personnels ». L’entreprise a spécifiquement courtisé Isabel parce qu’elle était la fille du « super-espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait des raisons similaires de rejoindre l’entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l’entreprise lui donnait « une chance de poursuivre l’engagement de son père en Israël ».

De toutes les alliances et de tous les partenariats qu’Isabel a négociés au cours de ses premières années à CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Les cofondateurs de Microsoft ont cependant fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de son introduction en bourse, un sort qui avait frappé la précédente entreprise d’Isabel Maxwell, le McKinley Group, peu de temps auparavant. En effet, CommTouch n’a cessé de repousser son introduction en bourse jusqu’à l’annonce, en juillet 1999, d’un investissement massif de la part d’entreprises liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen.

Selon un rapport de Bloomberg, les investissements de Vulcan et Go2Net d’Allen ont suscité un regain d’intérêt pour la vente d’actions et pour CommTouch, jusqu’à présent un obscur développeur de logiciels, et ont également gonflé le cours de leurs actions juste avant leur entrée en bourse. L’argent des sociétés liées à Allen a été spécifiquement utilisé « pour développer les ventes et le marketing et renforcer sa présence sur les marchés internationaux ». La décision d’Allen d’investir dans CommTouch semble étrange d’un point de vue financier, étant donné que l’entreprise n’avait jamais réalisé de bénéfices et qu’elle avait enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars l’année précédente. Pourtant, grâce à l’investissement opportun d’Allen et à sa coordination apparente avec les retards répétés de l’introduction en bourse de la société, CommTouch a été évaluée à plus de 230 millions de dollars lors de son introduction en bourse, contre 150 millions de dollars quelques semaines avant l’investissement d’Allen.

Paul Allen and Nicole Junkermann at Cinema Against AIDS
Cannes in Cannes, France. Source : Vocal Media

On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen s’est porté au secours de l’introduction en bourse de CommTouch et ce qu’il espérait tirer de son investissement. Il convient toutefois de souligner qu’Allen est devenu par la suite l’un des membres d’une communauté d’élite en ligne créée en 2004 et appelée A Small World, qui comptait également parmi ses membres Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein, telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d’Adnan Khashoggi, un ancien client d’Epstein. Le principal actionnaire d’A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd’hui en disgrâce, qui était un partenaire commercial d’Epstein et qui a depuis été condamné pour viol et abus sexuel. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, une associée d’Epstein, qui était elle-même une agente des services de renseignement.

Moins de trois mois après les investissements d’Allen dans CommTouch, en octobre 1999, la société a annoncé qu’elle avait conclu un accord majeur avec Microsoft. En décembre 1999, Microsoft a annoncé qu’elle avait investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % de ses actions. Cette annonce a fait passer le cours de l’action CommTouch de 11,63 dollars à 49,13 dollars en l’espace de quelques heures. Une partie de cette transaction avait été finalisée par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire suite à la vente de Zip2, la première entreprise d’Elon Musk dont il était le PDG.

Il semble en outre que Bill Gates, alors à la tête de Microsoft, ait personnellement investi dans CommTouch sur insistance d’Isabel Maxwell. Dans un article publié en octobre 2000 dans le Guardian, Isabel « plaisante sur le fait d’avoir persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel » dans CommTouch au cours de cette période.

L’article du Guardian note ensuite curieusement, à propos d’Isabel Maxwell et de Bill Gates :

« Dans un faux accent du sud [Isabel] ronronne : Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour continuer à échapper aux impôts, pourquoi ne pas m’autoriser à l’aider ? Elle éclate de rire ».

Étant donné que des personnes aussi riches que M. Gates ne peuvent bénéficier d’une « exonération fiscale » et que cet article a été publié peu après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d’Isabel suggèrent que c’est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust, qui gère les fonds de dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement considérable dans CommTouch.

En outre, il convient de souligner la manière étrange dont Isabel décrit ses relations avec M. Gates (« en ronronnant », avec un faux accent du Sud), décrivant ses interactions avec lui d’une manière que l’on ne retrouve dans aucune des nombreuses autres interviews qu’elle a accordées sur une grande variété de sujets. Ce comportement étrange peut être lié aux interactions antérieures d’Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein à cette époque.

Isabel Maxwell as CommTouch President

Après 2000, les activités et l’influence de CommTouch se sont rapidement développées, Isabel Maxwell attribuant par la suite aux investissements de Microsoft, dirigé par Gates, et de Paul Allen la bonne fortune de l’entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain. Maxwell, citée dans le livre Fastalliances publié en 2002, déclare que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » essentiel, ajoutant que « l’investissement de Microsoft nous a mis sur la carte. Il nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché ». À cette époque, les liens entre Microsoft et CommTouch s’étaient renforcés grâce à de nouveaux partenariats, notamment l’hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch.

Bien qu’Isabel Maxwell ait réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratives pour CommTouch et qu’elle ait vu ses produits intégrés dans des composants logiciels et matériels clés produits et vendus par Microsoft et d’autres géants de la technologie, elle n’a pas pu améliorer la situation financière désastreuse de l’entreprise. En 2006, l’entreprise était endettée de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste à CommTouch en 2001, mais a conservé pendant des années un nombre important d’actions CommTouch, évaluées à l’époque à environ 9,5 millions de dollars. Aujourd’hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière de la technologie » du Forum économique mondial.

Le directeur technique de Microsoft visite la Russie avec Epstein (Myhrvold, 1998)

Visites au centre nucléaire et à l’école de la ville.

Autre indice d’une relation entre Epstein et Gates avant 2001 : les liens étroits d’Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur de la technologie de l’entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des conseillers les plus proches de Gates, sinon le plus proche, et il a coécrit le livre de Gates de 1996, The Road Ahead, qui visait à expliquer comment les technologies émergentes allaient influencer la vie dans les années et les décennies à venir.

En décembre de la même année où il est devenu directeur technique de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l’avion d’Epstein du Kentucky au New Jersey, puis en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Parmi les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols figuraient Alan Dershowitz et « GM », vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il convient de garder à l’esprit que c’est à la même période que Gates a eu une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine.

En outre, dans les années 1990, Myhrvold a voyagé avec Epstein en Russie aux côtés d’Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de « femme la plus influente du monde de l’informatique ». Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google ainsi qu’avec la société de tests ADN 23andme et est membre du Forum économique mondial, auquel elle contribue également. Dyson a déclaré par la suite que la réunion avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. La rencontre semble avoir eu lieu en 1998, d’après les informations publiées sur les comptes de médias sociaux de Dyson. Une photo montre Dyson et Epstein, avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. Sur cette photo, ils se tiennent devant la maison de feu Andrei Sakharov, scientifique nucléaire et dissident soviétique, qui aurait eu des liens avec les services de renseignement américains. Sakharov et son épouse, Yelena Bonner, soutenaient les causes sionistes.

Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise, montrant Epstein dans une salle de classe remplie d’adolescents, apparemment également à Sarov, compte tenu de la date sur les photos.

Une autre image de Dyson, sans horodatage visible, mais avec une légende indiquant que la photo a été prise « chez Microsoft Russie à Moscou » en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson précise : « C’était le début d’un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et divers proches (y compris un garde du corps) ont exploré l’état de la science postsoviétique ». Epstein semble être l’un des « proches », compte tenu des photographies, des dates et de l’objectif décrit du voyage.

Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un intérêt pour les avancées scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu’il avait reçu Epstein dans les bureaux de l’entreprise, accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair, a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d’emprunter le jet d’Epstein et de séjourner chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également noté que Myhrvold a été accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs fournis par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et qui avait déjà voyagé avec Myhrvold dans l’avion privé d’Epstein. (note Alan Dershowitz a été l’avocat qui défendu Epstein lors de ses premiers procès)

Les liens entre Jeffrey Epstein, Gates et le laboratoire du MIT.

En outre, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a par la suite développé ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et a travaillé directement sous la direction de Myhrvold, est devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après la première arrestation d’Epstein. « Il a un passé douteux, mais Linda m’assure qu’il est génial », a déclaré plus tard Ito dans un courriel adressé à trois membres du personnel du MIT. Dans le célèbre petit livre noir d’Epstein, il y a plusieurs numéros de téléphone pour Stone, et son contact d’urgence est répertorié comme Kelly Bovino, un ancien mannequin et un co-conspirateur présumé d’Epstein. Après l’arrestation d’Epstein en 2019, il est apparu qu’Epstein avait « ordonné » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

La fondation Edge financée par Epstein « les dîners de milliardaires qui rassemblent l’élite » jusqu’au Pentagone

Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates étaient tous membres de la communauté de la fondation Edge (site web edge.org), aux côtés de plusieurs autres icônes de la Silicon Valley. Edge, qui est décrite comme une organisation exclusive d’intellectuels « redéfinissant qui nous sommes et ce que nous sommes », a été créée par John Brockman, qui se décrit lui-même comme un « impresario culturel » et un agent littéraire de renom. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l’art à la fin des années 1960, mais on connaît moins ses diverses missions de « conseil en gestion » pour le Pentagone et la Maison-Blanche au cours de la même période. Edge, que le Guardian a qualifié de « site web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif affilié à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir été impliqué dans les activités de Brockman dès 1995, lorsqu’il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté qui était géré par Brockman.

Edge, cependant, est plus qu’un simple site web. Pendant des décennies, il a également contribué à réunir des cadres du secteur technologique, des scientifiques qui étaient souvent des clients de Brockman, et des financiers de Wall Street dans le cadre de son dîner des millionnaires, qui a eu lieu pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé « dîner des milliardaires », et Epstein est devenu intimement impliqué dans ces événements et dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié en train d’assister à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, « assistante » principale de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice dans le trafic sexuel et le chantage mis en place par Epstein et Maxwell.

Nathan Myhrvold, Microsoft and Jeffrey Epstein at the 2000 Edge Billionaires’ Dinner
Source: https://www.edge.org/igd/1200

De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 dollars sur un total de 857 000 dollars collectés par Edge. Au cours de cette période, Epstein a été pendant plusieurs années le seul donateur d’Edge. Epstein a cessé de donner en 2015, année au cours de laquelle Edge a décidé de mettre fin à la tradition de son dîner annuel des milliardaires. En outre, le seul prix décerné par Edge, le prix Edge of Computation d’une valeur de 100 000 dollars, a été attribué en 2005 au pionnier de l’informatique quantique David Deutsch, et a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait créé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la science de pointe dans le monde entier ».

Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé dîner annuel Edge, ont qualifié l’événement d’« opération d’influence ». Si l’on suit l’argent, il apparaît qu’il s’agissait d’une opération d’influence bénéficiant largement à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Tout porte à croire que Myhrvold et Gates faisaient partie intégrante de ce réseau, même avant que l’implication d’Epstein dans Edge n’augmente de manière significative.

Epstein et les fondations Gates et Clinton « santé globale et safe sex »

Il convient d’examiner les liens entre les activités « philanthropiques » de Bill Gates et de Bill Clinton au début des années 2000, compte tenu notamment des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l’ancien agent de renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par le témoignage de la victime d’Epstein et par l’implication intime d’Epstein avec des personnes qui étaient proches de l’ancien président à l’époque.

Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000
Source : LA Times

Malgré les tensions nées de la lutte de l’administration Clinton contre le monopole de Microsoft à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton se sont dégelées en avril 2000, lorsque Gates a assisté à la « Conférence sur la nouvelle économie » organisée par la Maison-Blanche. Outre M. Gates, Lynn Forester (aujourd’hui Lady de Rothschild), proche collaboratrice d’Epstein, et Larry Summers, alors secrétaire d’État au Trésor, ont assisté à la conférence, eux aussi critiqués pour leurs liens avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison-Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial, Mark Middleton, a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison-Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait état de ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers qui avaient été versés à la campagne de réélection de Clinton en 1996. Janet Yellen, l’actuelle secrétaire au Trésor de M. Biden, a également participé à la conférence.

M. Gates a pris la parole lors d’une table ronde intitulée « Combler le fossé mondial : Santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain allait donner lieu à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité d’offrir un accès à l’Internet à tous afin de combler le fossé numérique et de permettre à la « nouvelle » économie basée sur l’Internet de prendre forme. À l’époque, Bill Gates soutenait, avec le milliardaire américain Craig McCaw, une société qui espérait établir un monopole mondial sur les fournisseurs d’accès à l’Internet grâce à un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme la source d’inspiration de Starlink d’Elon Musk.

Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment, avec le lancement de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000 et de la Fondation Clinton en 2001. Dans un article qui titre sur la santé global et le safe sex Wired a décrit les deux fondations comme étant « à l’avant-garde d’une nouvelle ère de la philanthropie, dans laquelle les décisions — souvent appelées investissements — sont prises avec la précision stratégique exigée des entreprises et des gouvernements, puis font l’objet d’un suivi minutieux afin d’évaluer leur succès ».

La clique des faux philanthropes

D’autres médias, comme le Huffington Post, ont toutefois contesté le fait que ces fondations pratiquent la « philanthropie » et ont affirmé que les qualifier ainsi entraînait « la déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a également noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et quelques organisations similaires « vont toutes dans le sens d’un effacement des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». Il note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et l’Institut Milken. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont été créés au moment même où cette nouvelle ère de la philanthropie commençait.

Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le célèbre « roi des obligations à haut risque » de Wall Street, qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude sur les valeurs mobilières en 1989. Il n’a fait que peu de prison et a été gracié par Donald Trump. Milken a commis ses crimes alors qu’il travaillait aux côtés de Leon Black et de Ron Perelman chez Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. Black était très lié à Epstein, dont il a même confié la gestion de sa fondation « philanthropique » personnelle à Epstein pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. Perelman était l’un des principaux donateurs de Clinton. En 1995, il a participé à une collecte de fonds pour le président de l’époque en présence d’Epstein et ses entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et à Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs au sein de l’administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’impitoyable dans le monde des affaires en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite aussi à Tony Blair, l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée.

Des années après avoir créé leurs fondations, Bill Gates et Hillary Clinton ont expliqué qu’ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » consistant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « cite les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu’il avait rencontré Clinton avant qu’il ne devienne président, déclarant : « Je l’ai connu avant qu’il ne soit président, je l’ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu’il n’est plus président. »

Toujours dans cette interview, M. Clinton a déclaré qu’après son départ de la Maison-Blanche, il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « où j’essaie de construire un réseau mondial de personnes qui font leur propre travail ».

La Clinton Health Access Initiative a reçu pour la première fois un don de 11 millions de dollars de la Fondation Gates en 2009. Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a versé plus de 497 millions de dollars à la CHAI. La CHAI a été fondée en 2002 avec pour mission de lutter contre le VIH/sida dans le monde entier en établissant des relations solides avec les gouvernements et en remédiant aux « inefficacités du marché ». Les dons importants de la Fondation Gates ont toutefois commencé peu de temps après l’expansion de la CHAI dans le domaine des diagnostics et des traitements contre le paludisme. Notamment, en 2011, Tachi Yamada, l’ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d’administration de la CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

Bill Gates and Bill Clinton at the annual Clinton Global Initiative in 2010

Epstein, concepteur de la Clinton Global Initiative

En ce qui concerne la Clinton Global Initiative, les avocats de la défense d’Epstein ont soutenu devant le tribunal en 2007 qu’Epstein avait fait « partie du groupe original qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d’Epstein ont décrit la CGI comme un projet « rassemblant une communauté de leaders mondiaux pour concevoir et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus pressants du monde ». La Fondation Gates a donné à la CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à la CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. Outre les dons de la Fondation Gates, Microsoft a été intimement impliqué dans d’autres projets « philanthropiques » soutenus par Clinton.

Outre ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l’initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à « rassembler et analyser des données sur le statut de la participation des femmes et des filles dans le monde » et impliquait que les deux fondations travaillent « avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter ces données et les compiler ». Selon le New York Times, plusieurs mois avant l’annonce du partenariat, M. Gates et M. Epstein se sont rencontrés lors d’un dîner et ont discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie. Lors de la candidature infructueuse d’Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient tous deux sur sa courte liste d’options potentielles pour la vice-présidence.

En outre, Epstein a tenté de s’impliquer directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour convaincre la Fondation Gates de s’associer à JP Morgan dans le cadre d’un « fonds caritatif pour la santé mondiale » de plusieurs milliards de dollars, qui aurait donné lieu à des honoraires considérables versés à Epstein, qui était très impliqué dans JP Morgan à l’époque. Bien que ce fonds ne se soit jamais concrétisé, Epstein et Gates ont discuté de l’implication d’Epstein dans les efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n’ont été rapportés par la presse qu’après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Pourtant, comme nous l’avons mentionné, il était connu qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation — 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

Epstein, le « ticket de Gates » pour gagner un prix Nobel

De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l’importance qu’Epstein semblait avoir dans le monde de la « philanthropie » des milliardaires, Gates ayant déclaré qu’Epstein était son « ticket » pour gagner un prix Nobel. Les médias norvégiens ont toutefois rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n’a pas fait grand bruit dans les médias internationaux à l’époque. Il convient de se demander si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d’autres personnes qui convoitaient également des prix Nobel et si l’une de ces personnes a reçu ces prix par la suite. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il ne les ait utilisées qu’une seule fois dans le cas de Bill Gates, étant donné l’étendue de son réseau, en particulier dans le monde de la technologie et de la science.

C’est également en 2013 que Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein à sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de prendre ses distances avec Epstein. Si la raison invoquée, dans le sillage de l’annonce du divorce des Gates, était que Melinda était rebutée par le passé et la personnalité d’Epstein, elle pourrait potentiellement être liée à d’autres préoccupations concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui partage son nom.

En effet, 2013 a également été l’année où l’ingénieur système du manoir Gates, Rick Allen Jones, a commencé à faire l’objet d’une enquête de la police de Seattle pour sa collection de matériel pédopornographique et de viols d’enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir des Gates un an plus tard, il n’a pas été incarcéré après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de « rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. Du point de vue de Melinda, ce scandale, combiné à l’association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, a pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates, bien avant l’arrestation d’Epstein en 2019.

Terramar : Ghislaine Maxwell, l’ONU et Clinton

2013 a également été l’année où les Maxwell ont été impliqués dans la Fondation Clinton. Cette année-là, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutenait officiellement les objectifs de développement durable des Nations unies relatifs aux océans, s’est engagé à verser 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative dans le cadre d’un effort visant à former une Alliance pour des océans durables. TerraMar a fermé ses portes peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle 2011
du Forum Économique Mondial

Notamment, le projet TerraMar de Ghislaine a succédé à bien des égards à la Blue World Alliance d’Isabel Maxwell, qui a échoué et qui était aussi ostensiblement axée sur les océans de la planète. Blue World Alliance a été créée par Isabel et son mari Al Seckel, aujourd’hui décédé, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l’île d’Epstein. L’Alliance Blue World s’est également fait connaître sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, a été désigné comme agent de liaison de Globalsolver avec la Fondation Clinton. Il avait auparavant été stagiaire à la Clinton Global Initiative.

Xavier Malina a ensuite travaillé dans l’administration Obama au Bureau du personnel de la Maison-Blanche. Il travaille aujourd’hui pour Google. Il convient également de noter qu’au cours de cette même période, le fils d’Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d’État dirigé par Hillary Clinton.

(Notes de S.D. :
1. Le projet Terramar de Ghislaine Maxwell lui aurait permis d’avoir un réseau de sous-marins permettant de transporter des enfants et des clients vers l’île d’Epstein. Ces informations n’ont pas fait l’objet de vérification.
2. Terramar aurait été reconnu par l’ONU comme une organisation bénéficiant d’une immunité juridique. James Biden, le frère du président actuel aurait un terrain sur une île voisine à seulement 20 minutes de trajet. Cette info-ci a été vérifiée par Newsweek).

La science de Gates et la science d’Epstein

Mélanie Walker, la « neurochirurgienne » au parcours parfait : « cadeau » d’Epstein au prince Andrew — conseillère à la fondation Bill Gates — YGL/conseillère au WEF Davos et conseillère spéciale du président de la banque mondiale (et la bourse Rockefeller aussi)

Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton s’entremêlent et que cette dernière a des liens avec Epstein et Maxwell, il apparaît également qu’Epstein a exercé une influence significative sur deux des plus éminents conseillers scientifiques de Bill Gates au cours des quinze dernières années, à savoir Melanie Walker et Boris Nikolic.

Capture d’écran d’une présentation de 2019 que Melanie Walker a faite
pour la Fondation Rockefeller, où elle est boursière. Source : YouTube

Melanie Walker, aujourd’hui célèbre neurochirurgienne, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu’il lui a proposé un emploi de mannequin chez Victoria’s Secret. De telles offres étaient souvent faites par Epstein et ses complices lorsqu’ils recrutaient des femmes pour son opération et il n’est pas certain que Walker ait jamais travaillé comme mannequin pour la société appartenant à Leslie Wexner. Elle a ensuite séjourné dans un immeuble new-yorkais associé aux activités de trafic d’Epstein lors de ses visites à New York, mais on ne sait pas combien de temps elle a séjourné dans cet immeuble ou dans d’autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue la conseillère scientifique d’Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle s’est tellement rapprochée du prince Andrew qu’elle a assisté à une fête d’anniversaire organisée par la reine au château de Windsor, en compagnie d’Epstein et de Ghislaine Maxwell. Pendant cette période, Melanie apparaît sur les carnets de vol d’Epstein sous son nom de naissance, Melanie Starnes, bien qu’il ressemble à « Starves » sur les carnets de vol.

La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a fait l’objet d’un examen minutieux après que l’ancienne gouvernante d’Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew s’était vu « offrir » une « jeune et belle neurochirurgienne » lors de son séjour dans la propriété d’Epstein au Nouveau-Mexique. Étant donné qu’un seul neurochirurgien était à la fois proche du prince Andrew et faisait partie de l’entourage d’Epstein à l’époque, il semble très probable que cette femme « offerte » à Andrew était Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew a « tenu compagnie » à cette femme pendant trois jours. L’arrangement a été mis en place par Epstein, qui ne se trouvait pas dans la propriété à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

Stratton a déclaré ce qui suit à propos du séjour :

« À l’époque, Jeffrey avait cette femme, soi-disant neurochirurgienne, assez jeune, belle, jeune et brillante, qui restait à la maison avec lui… À un moment donné, nous avions tous ces thés différents et vous pouviez choisir les thés que vous vouliez, et elle m’a demandé d’en trouver un qui rendrait Andrew plus excité.

Je suppose qu’elle a compris que son travail consistait à le divertir parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur serait qu’Andrew dise : “Non, je ne l’ai pas vraiment trouvée si attirante.”… Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors sur la corde raide.

Je suppose que, selon une autre théorie, Jeffrey l’a probablement engagée et elle savait que son travail serait, devrait être, de rendre ces gens heureux… Ils ne pensaient qu’au sexe. Je veux dire, je sais avec certitude que Jeffrey aimerait idéalement trois massages par jour ».

Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors cadre chez Microsoft, qui est aujourd’hui associé au conseil d’administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz. Andreesen Horowitz soutient notamment Carbyne911, la start-up de lutte contre la criminalité liée au renseignement israélien financée par Epstein et son proche associé, l’ancien premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu’une autre entreprise technologique liée au renseignement israélien dirigée par Barak, appelée Toka. Toka a récemment obtenu des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l’intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. On ignore quand, comment et dans quelles circonstances Melanie Walker a rencontré Sinofsky.

Après avoir déménagé à Seattle pour rejoindre Sinofsky et après un bref passage en tant que « praticienne dans le monde en développement » en Chine auprès de l’Organisation mondiale de la santé, Walker a été engagée en tant que responsable de programme senior par la Fondation Bill & Melinda Gates en 2006. Étant donné que la principale caractéristique du CV de Walker à l’époque était d’avoir été conseillère scientifique d’un autre « philanthrope » fortuné, Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce rôle essentiel souligne encore davantage comment Bill Gates, à tout le moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait suffisamment sur ses intérêts et ses investissements scientifiques pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller, dont elle est membre, Mme Walker a ensuite conseillé M. Gates sur des questions relatives à la neurotechnologie et à la science du cerveau pour la société secrète de M. Gates, bgC3, que M. Gates avait initialement enregistrée en tant que groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. Selon les documents fédéraux, les domaines d’activité de bgC3 étaient les suivants : « services scientifiques et technologiques », « analyse et recherche industrielles » et « conception et développement de matériel et de logiciels informatiques ».

Lorsqu’elle travaillait à la Fondation Gates, Melanie Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de M. Gates, à M. Epstein. Aujourd’hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée Young Global Leader par le Forum économique mondial. Elle conseille également l’Organisation mondiale de la santé, qui est étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

Au WEF, Mme Walker a écrit en 2016 un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les dispositifs portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avaleurs seront la norme d’ici 2030. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour changer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que si le scénario dystopique qu’elle dépeint « semble fou […] la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le prime time, soit en cours de développement ». Bien entendu, nombre de ces technologies ont pris forme grâce au mécénat de ses anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par l’intermédiaire de Walker, il a assisté à une réunion en 2011 avec Gates et Epstein où il a été photographié aux côtés de James Staley, alors cadre supérieur chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche associé d’Epstein. À l’époque, M. Nikolic était le principal conseiller de Bill Gates en matière de science et de technologie et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. Selon le discours dominant, il s’agirait de la première rencontre entre Gates et Epstein. En outre, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a présenté le « fonds caritatif pour la santé mondiale » commun à la Fondation Gates et à JP Morgan.

La réunion de 2011 dans l’hôtel particulier de Jeffrey Epstein à Manhattan, à laquelle ont participé James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

En 2014, Nikolic s’est montré « enthousiaste » à propos du penchant supposé d’Epstein pour les conseils financiers avant l’introduction en bourse d’une société d’édition de gènes dans laquelle Nikolic détenait une participation de 42 millions de dollars. Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, et Bloomberg a rapporté par la suite qu’Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics capital, qui investit dans des entreprises liées à la santé à « la convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement de thérapies, de diagnostics et de modèles de prestation supérieurs ». M. Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d’investissement stratégique de la Fondation Gates.

Au moins trois des entreprises soutenues par Biomatics — Qihan Biotech, eGenesis et Editas — ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard qui entretient des liens étroits avec Epstein et qui est également étroitement associé à la Fondation Edge. L’investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n’est plus mentionné sur le site web de Biomatics. Qihan Biotech, qui appartient à Church, cherche à produire des tissus et des organes humains à l’intérieur de porcs pour les transplanter chez l’homme, tandis qu’eGenesis cherche à modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez l’homme. Editas produit des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et bénéficie également du soutien de la Fondation Gates et de Google Ventures.

Church qui a créé une appli de rencontre basée sur la génétique a été accusée de promouvoir l’eugénisme ainsi que des expériences humaines contraires à l’éthique. (note SD : il aurait notamment voulu recruter une femme pour lui faire naître un Néandertal).

L’intérêt marqué d’Epstein pour l’eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates, ainsi que son père William H. Gates II, ont également été associés à des mouvements et des idées eugéniques.

Après la mort d’Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur testamentaire » de la succession d’Epstein, ce qui suggère des liens étroits avec Epstein, malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d’Epstein ont été rendus publics, Nikolic n’a pas signé un formulaire indiquant sa volonté d’être exécuteur et n’a finalement pas servi dans ce rôle.

Le silence médiatique continue

Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qu’il est acceptable de discuter de la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces mêmes médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d’enquête. C’est particulièrement vrai dans le cas de l’article de l’Evening Standard et de l’étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et CommTouch, la société qu’Isabel dirigeait auparavant.

La raison probable de la dissimulation de l’étendue réelle des liens entre Epstein et Gates est bien plus liée à la société Microsoft de Gates qu’à Bill Gates lui-même. S’il est désormais permis de faire état de liens qui discréditent la réputation personnelle de Bill Gates, les informations susceptibles de lier ses relations avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été omises.

Si, comme l’a rapporté l’Evening Standard, Epstein a effectivement gagné des millions grâce à ses relations d’affaires avec Gates avant 2001 et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société CommTouch, liée à l’espionnage israélien, étaient rendus publics, il pourrait facilement en résulter un scandale comparable à celui de l’affaire du logiciel PROMIS. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable à Microsoft et à son partenaire, le Forum économique mondial, car Microsoft est devenu un acteur clé des initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, qui vont de l’identité numérique et des passeports-vaccins aux efforts visant à remplacer les travailleurs humains par l’intelligence artificielle.

Il est clair que des acteurs puissants ont tout intérêt à ce que l’histoire Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années suivantes, non pas nécessairement pour protéger Gates, mais plus probablement pour protéger l’entreprise elle-même et d’autres cadres supérieurs de Microsoft qui semblent avoir été compromis par Epstein et d’autres personnes appartenant au même réseau lié aux services de renseignement.

Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou faire disparaître) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux dirigés par Jeff Bezos et Elon Musk. L’une des principales raisons en est que l’opération de chantage du réseau Epstein impliquait non seulement un chantage sexuel, mais aussi des formes électroniques de chantage, utilisées avec succès par Robert Maxwell pour le compte des services de renseignement israéliens dans le cadre de l’opération PROMIS. Compte tenu de leur nature, les formes électroniques de chantage par le biais de la surveillance illégale ou de logiciels piratés peuvent être utilisées pour compromettre les personnes au pouvoir qui ont quelque chose à cacher, mais qui n’étaient pas enclines à s’engager dans l’exploitation de mineurs, comme ceux qui ont été abusés par Epstein.

Le fait qu’Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société-écran qui a joué un rôle central dans l’espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement géré leurs sociétés ultérieures avec l’intention avouée de « reconstruire » le travail et l’héritage de leur père espion, indique fortement la probabilité qu’au moins certains produits Microsoft aient été compromis d’une manière ou d’une autre, probablement par le biais d’alliances avec des entreprises technologiques gérées par Maxwell. Le fait que les médias grand public ne se soient pas préoccupés des liens documentés entre le réseau Epstein et d’autres cadres supérieurs de Microsoft, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que, si la saison des relations entre Bill Gates et Epstein est ouverte, il n’en va pas de même pour Microsoft et Epstein.

Les liens d’Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d’une tentative plus large de dissimuler la forte composante d’intelligence dans l’origine des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. Beaucoup d’efforts ont été déployés pour donner au public l’impression que ces entreprises sont des entités strictement privées, en dépit de leurs liens profonds et anciens avec les agences de renseignement et les armées des États-Unis et d’Israël. La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais couverte par les médias traditionnels, car de nombreux organes d’information appartiennent à ces mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour l’engagement de leurs lecteurs en ligne.

La raison la plus importante pour laquelle les origines et les liens entre l’armée et le renseignement et l’oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne seront jamais honnêtement examinés est peut-être que ces mêmes entités travaillent actuellement à une vitesse fulgurante à l’avènement de la quatrième révolution industrielle, qui fera de l’intelligence artificielle, de l’automatisation, de la surveillance électronique de masse et du transhumanisme des éléments centraux de la société humaine.

L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré au début de l’année que le rétablissement et le maintien de la confiance avec le public étaient essentiels à ce projet. Toutefois, si la véritable nature de la Silicon Valley, notamment ses liens étroits avec le violeur d’enfants en série et trafiquant de sexe Jeffery Epstein et son réseau, venait à être révélée, la confiance du public serait considérablement érodée, menaçant ainsi ce que l’oligarchie mondiale considère comme un projet essentiel à sa survie.




Les consommateurs rejettent le « Great Reset »

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Mon ami a loué une Tesla pendant les vacances. C’est sans aucun doute la référence pour les voitures électriques (VE) et c’est un vrai plaisir de la conduire. Mais il y a un problème  : ce n’est pas du tout une voiture pratique. L’ami roulait dans le froid et sa batterie était presque vide au bout de deux heures. La recherche d’une recharge n’a pas été une mince affaire. La première ne fonctionnait pas. La deuxième indiquait qu’elle pouvait charger en 10 heures, le temps que mon ami n’avait pas. La troisième a chargé la voiture en une heure, mais c’était quand même une heure entière de perdue (heureusement qu’il ne fallait pas attendre la fin du chargement d’autres voitures).

La conclusion de mon ami : il s’agit bel et bien d’une voiturette de golf couverte d’éloges, mais conçue pour vous maintenir à la maison et sous la coupe du fabricant. Et ce n’était qu’un test. Les réparations et leurs coûts, en particulier du remplacement de la batterie, sont des surprises bien pires. N’oubliez pas qu’il s’agit d’une Tesla — ce que l’industrie des VE a de mieux à offrir. Les autres fabricants de ces engins produisent des véhicules qui sont loin d’être aussi bien notés, ce qui explique pourquoi tant d’entre eux restent invendus et pourquoi leurs commandes sont en chute libre.

Il semble que l’engouement pour les VE ait déjà atteint son apogée. En Amérique, la croissance de la demande pour des voitures à essence est aujourd’hui bien supérieure à celle des voitures électriques, inversant la tendance d’il y a 12 mois. Les consommateurs ont enfin compris. C’est une bonne deuxième voiture, à condition de rouler dans sa propre ville, d’avoir un branchement à la maison et de pouvoir la recharger pendant la nuit, et de ne pas devoir soudain quitter la ville. C’est un jouet, parfois amusant, mais pas une vraie voiture. Pour cela, il faut de l’essence.

L’idée que la VE va permettre de passer à une « énergie propre » est absurde. Si toutes les voitures étaient électriques, le réseau électrique s’effondrerait et le rationnement serait la norme. Et c’est peut-être là tout l’intérêt. Vous ne conduirez que si vous en avez la permission. Vous n’aurez aucun contrôle sur vos déplacements. Les autorités décideront de tout à votre place. C’est une stratégie parfaite pour créer une société de dépendants.

Heureusement, les consommateurs ne jouent pas le jeu. Nous vivons encore avec les vestiges d’un système capitaliste dans lequel les fabricants doivent faire des bénéfices. C’est donc un grave problème pour l’ensemble de l’industrie des VE qui pourrait faire face à une vraie crise en 2024.

Bien sûr, Tesla continuera à fabriquer des voitures de luxe pour les citadins aisés. Mais ce n’est pas pour tout le monde. Et ce n’est même pas pour ceux qui ont encore un long chemin à parcourir.

Puisque nous parlons d’échecs, pensons à la fausse viande. Vous vous souvenez qu’elle allait remplacer la vraie viande ? Eh bien, jetez un coup d’œil dans les épiceries américaines aujourd’hui. C’est un autre produit qui a atteint son apogée. L’action du fabricant de la fausse viande « Beyond Meat » était à 196 dollars en 2019. Elle n’a cessé de chuter. Actuellement, elle est offerte à environ 8 dollars, sans que personne n’y soit particulièrement intéressé. Il semble que cette société ne restera pas non plus sur le marché pour longtemps, ce qui amène à se demander pourquoi tous ces magouilleurs continuent à nous faire avaler leurs trucs. Les consommateurs commencent à en avoir marre.

Il en va de même pour les vaccins contre le Covid-19, payés par vos impôts. Les sociétés pharmaceutiques ont effectué de grandes ventes, ont obtenu des brevets et ont vu une demande publique apparente. Mais il y a un problème : ces vaccins ne fonctionnent pas. Ils sont également très dangereux. Il s’agit d’un vrai désastre pour Moderna et Pfizer. En deux ans, l’action Pfizer est passée de 59 à 28 dollars. Moderna a chuté de 384 à 100 dollars au cours de la même période. Les deux entreprises possèdent d’énormes stocks de ces vaccins, alors qu’il ne reste pratiquement plus de demandes de la part des gens malgré leurs interminables rappels. Ces sociétés font également l’objet de poursuites judiciaires pour avoir exagéré les avantages qu’ils procurent. En tout état de cause, ces vaccins n’ont jamais été nécessaires pour la grande majorité de la population et certainement pas pour les enfants.

Une fois de plus, nous devons remercier les vestiges du capitalisme pour cela. Le gouvernement a essayé de forcer tout le monde à se faire vacciner. Et il y est parvenu auprès de certains segments de la population pendant un certain temps. Il a également fait appel à des stars d’Hollywood et à toutes sortes « d’influenceurs » pour inciter les gens à se faire vacciner. En Amérique, des villes entières (New York, Nouvelle-Orléans, Chicago et Boston) ont même été fermées aux personnes non vaccinées. À tout le moins, les entreprises et les responsables gouvernementaux qui ont coopéré devraient présenter des excuses pour ce désastre.

En même temps, pensons aussi à Threads, l’alternative de Mark Zuckerberg à X (ex-Twitter). Ce média social a été lancé en début de 2023 en grande pompe. Il a démarré avec 4 millions d’utilisateurs, principalement en repêchant les utilisateurs d’Instagram. Aujourd’hui, il n’en compte plus qu’un million, mais même eux sont à peine actifs.

Pour ma part, lorsque j’ai vu comment on abusait d’Instagram, j’ai immédiatement supprimé mon compte et un millier d’images avec. Quel soulagement ! Il se trouve que je détestais ce truc de toute façon. Bon débarras !

Threads a été un désastre qui s’est ajouté aux problèmes de l’espace virtuel partagé (métavers) de M. Zuckerberg qui est vide et ennuyeux. Il s’avère qu’il n’est pas du tout un bon homme d’affaires. En ce qui concerne le Facebook, lancé également par Zuckerberg, il n’est plus qu’une plateforme publicitaire qui commercialise vos données. Il n’est vraiment utile que pour son propre marché. Il est étonnant que le cours de son action n’ait pas encore été touché, pas pour le moment.

Vous voyez une tendance ? Les marchés du monde réel rejettent le « Great Reset » (Grande réinitialisation), ce plan radical international socialiste conçu pour formater l’économie mondiale. Que l’on mange des insectes, que l’on conduise des voitures électriques, que l’on mange de la fausse viande ou que l’on vive dans le monde du métavers censuré, rien de tout cela ne marche. Nous ne pouvons qu’espérer que cette tendance se poursuive en 2024 et qu’elle entraîne la faillite des sociétés qui se sont lancées dans ces affaires bien douteuses. Espérons que le marché des consommateurs puisse rendre son jugement final avant que tous ces trucs ne deviennent obligatoires — ce qui est le véritable objectif.

En attendant, soyons reconnaissants pour tout ce qui reste de capitalisme, car les marchés libres sont synonymes de choix pour les consommateurs. Et lorsqu’ils ont le choix, nous pouvons constater aujourd’hui que les consommateurs n’aiment pas les projets envisagés pour notre vie par Klaus Schwab, même s’ils sont soutenus par Bill Gates.




La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire

[Source : arcaluinoe.info]

Par Iain Davis

Bonjour,

Je m’appelle Iain Davis. Je suis un chercheur d’investigation, un journaliste et un auteur britannique.

Je voudrais remercier Iurie Rosca et le Forum de Chisinau de m’avoir donné l’occasion de discuter du contexte historique du concept d’ordre mondial multipolaire.

La version multipolaire de l’ordre mondial s’écarte du modèle unipolaire en ce sens qu’elle respectera soi-disant véritablement le droit international et partagera le pouvoir entre une coalition plus large d’États-nations. Par conséquent, il est censé introduire un multilatéralisme fonctionnel dans la gouvernance mondiale, sans doute pour la première fois. Pour certains, ce modèle multipolaire semble préférable à l’ordre unipolaire actuel, fondé sur des règles internationales.

Pourtant, lorsque nous examinons les déclarations des dirigeants vantés du nouvel ordre mondial multipolaire, leurs objectifs semblent indiscernables de ceux de leurs homologues unipolaires. D’une part, ils expriment un engagement inébranlable en faveur du développement durable et de l’Agenda 2030.

D’autre part, ils soutiennent le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit rester le centre géopolitique de la gouvernance mondiale, même si notamment la perte du droit de veto n’est pas envisagée. En outre, ils soutiennent sans réserve la 4e révolution industrielle (RI4) du Forum Économique Mondial, axée sur l’IA.

Ils considèrent également que la censure et le contrôle de l’information sont nécessaires pour lutter contre l’« infodémie » et protéger le monde contre la « désinformation ».

Leurs initiatives mondiales — et les partenariats public-privé qui les mettront en œuvre — sont pratiquement identiques aux initiatives et aux partenariats de leurs homologues unipolaires. Enfin, pour les partisans de la multipolarité, un nouveau « système financier » mondial est, comme toujours, la clé de la prétendue « transformation ».

Jusqu’à présent, les oligarques mondialistes, qui sont les bénéficiaires ultimes du modèle unipolaire, ont non seulement préconisé le changement de polarité de l’Ouest vers l’Est, mais ont également joué un rôle dans sa facilitation. En effet, ils ont créé les conditions monétaires, financières, économiques et donc géopolitiques qui semblent le garantir.

Si l’ordre mondial multipolaire est quelque chose de nouveau, alors cette trajectoire vers une gouvernance mondiale centralisée devrait-elle changer ? Mais lorsque le modèle multipolaire semble accélérer la transition vers un pouvoir centralisé, nous devons nous demander s’il y a quoi que ce soit de nouveau et de différent dans ce modèle.

Le Forum Économique Mondial (FÉM) se présente comme l’organisation chef de file des partenariats public-privé (PPP) à l’échelle mondiale. En 2019, le FÉM a tenté de faire valoir ses droits en concluant un partenariat stratégique avec les Nations Unies. L’objectif général de ce partenariat était « d’accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. »

Le FÉM représente les entreprises mondiales les plus puissantes de la planète. Comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, les sociétés pharmaceutiques à elles seules peuvent façonner, et souvent diriger, les décisions politiques mondiales. Il faudrait être extrêmement naïf pour imaginer que le FÉM et ses parties prenantes (membres) ne peuvent pas influencer ce qu’ils prétendent simplement conseiller. C’est dans ce contexte que nous analyserons leurs propos.

Selon le livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret intitulé « The Great Reset » [La Grande Réinitialisation (GR)], l’essence de la GR est un plan visant à remplacer « les idées, les institutions, les processus et les règles qui ont échoué par de nouvelles mieux adaptées aux besoins actuels et futurs ». Comme presque tous les autres groupes de réflexion et « organisations internationales » occidentaux, ils admettent que le passage à un monde multipolaire est tout simplement inéluctable :

Le XXIe siècle sera très probablement une ère dépourvue d’hégémon absolu, au cours de laquelle aucune puissance n’acquerra une domination absolue. Dans ce nouveau monde désordonné, défini par une évolution vers la multipolarité et une concurrence intense pour l’influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l’idéologie ».

The Great Reset (TGR), p. 76.

Le seul problème que pose l’évolution vers la multipolarité est que le recul de la « mondialisation » qui en découle pourrait se produire trop rapidement. Par conséquent, un retrait prématuré causerait des « ravages ». Par conséquent, la nouvelle « forme de mondialisation » ne sera « viable » que si le système global adéquat est fermement mis en place :

Un retrait précipité de la mondialisation entraînerait des guerres commerciales et monétaires, ce qui nuirait à l’économie de chaque pays, provoquerait des troubles sociaux et déclencherait un nationalisme ethnique ou clanique. La mise en place d’une forme de mondialisation beaucoup plus inclusive et équitable, qui la rende durable, tant sur le plan social qu’environnemental, est le seul moyen viable de gérer le recul. Cela nécessite des solutions politiques (…) et une forme de gouvernance mondiale efficace.

TGR, p. 81.

Le Livre affirme que les ruptures provoquées par les pandémies soulèvent ce qu’il considère comme la perspective déplorable d’un « déficit de l’ordre mondial ». Par conséquent, en l’absence d’un « hégémon absolu » — l’ordre mondial unipolaire — les États-nations doivent trouver un moyen de « collaborer au niveau mondial ». ajoutent Schwab et Malleret :

Si aucune puissance ne peut imposer l’ordre, notre monde souffrira d’un « déficit d’ordre mondial ». Si les nations et les organisations internationales ne parviennent pas à trouver des solutions pour mieux collaborer au niveau mondial, nous risquons d’entrer dans une « ère d’entropie » dans laquelle le repli sur soi, la fragmentation, la colère et l’esprit de clocher définiront de plus en plus notre paysage mondial, le rendant moins intelligible et plus désordonné. La crise pandémique a à la fois révélé et exacerbé ce triste état de fait.

TGR, p. 76.

La soi-disant Grande Réinitialisation a été conçue pour gérer et exploiter l’effondrement orchestré de l’ordre mondial unipolaire. La voie vers la multipolarité, ou vers une mondialisation repensée et un nouvel ordre, est donc tracée. C’est la « démondialisation » inhérente à l’ordre mondial multipolaire qui fournit l’« opportunité » suggérée pour le partenariat public-privé mondial. Personne, et surtout pas le FÉM, ne propose de conserver l’« hyper-mondialisation » de l’« hégémonie absolue ». Ils expliquent :

Il ne sert à rien d’essayer de rétablir le statu quo (…), mais il est important de limiter les inconvénients d’une éventuelle chute libre qui précipiterait des dommages économiques majeurs et des souffrances sociales. Cela ne sera possible qu’en améliorant la gouvernance mondiale — le facteur le plus « naturel » et le plus efficace pour atténuer les tendances protectionnistes. Il n’y a pas de temps à perdre. Si nous n’améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance.

TGR, p. 81.

Ce « cadre stratégique » est la gouvernance mondiale d’un monde multipolaire et le FÉM affirme qu’il s’agit tout simplement de la réponse la plus « naturelle » aux crises mondiales, étant donné que, selon le FÉM, les États-nations individuels sont incapables de résoudre les problèmes du monde.

Telle est donc « l’essence » de la Grande Réinitialisation, comme l’indique clairement le livre :

Sans une gouvernance mondiale appropriée, nous serons paralysés dans nos tentatives d’aborder et de répondre aux défis mondiaux, en particulier lorsqu’il y a une telle dissonance entre les impératifs nationaux à court terme et les défis mondiaux à long terme. Il s’agit là d’une préoccupation majeure (…)

TGR, p. 83.

Et plus loin :

En fin de compte, face à un tel vide dans la gouvernance mondiale, seuls les États-nations sont suffisamment cohésifs pour être capables de prendre des décisions collectives, mais ce modèle ne fonctionne pas dans le cas de risques mondiaux qui nécessitent des décisions concertées à l’échelle mondiale. Le monde sera très dangereux si nous ne réparons pas les institutions multilatérales.

TGR, p. 85.

La conclusion du FÉM est que, réel ou imaginaire, le modèle westphalien n’est tout simplement pas équipé pour faire face aux « défis mondiaux ». Seule une gouvernance mondiale « multilatérale » peut éviter la descente dans un monde « très dangereux ». Une évolution vers la multipolarité est donc nécessaire.

Ce sont précisément les arguments avancés par les prétendus leaders du nouvel ordre multipolaire.

Prétendre, comme certains le font, que la « Grande Réinitialisation » représente une défense de l’ordre unipolaire et que le passage à un modèle multipolaire est une sorte d’antidote à la GR semble reposer sur une incompréhension fondamentale de la nature de la GR.

Pour illustrer davantage ce point : Schwab et Malleret suggèrent que les « défis mondiaux » qu’ils ont identifiés poursuivront la tendance à la « régionalisation ». Ils affirment qu’en lieu et place de l’hégémonie unipolaire menée par les États-Unis, le monde sera de plus en plus divisé en régions semi-autonomes à l’échelle continentale :

L’issue la plus probable du continuum mondialisation/pas de mondialisation réside dans une solution intermédiaire : la régionalisation. Le succès de l’Union européenne en tant que zone de libre-échange ou le nouveau Partenariat économique global régional en Asie (…) illustrent bien comment la régionalisation peut devenir une nouvelle version édulcorée de la mondialisation. En bref, la démondialisation sous la forme d’une régionalisation accrue était déjà en cours. Le COVID-19 ne fera qu’accélérer cette divergence mondiale, l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie se concentrant de plus en plus sur l’autosuffisance régionale plutôt que sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, distantes et complexes, qui incarnaient autrefois l’essence de la mondialisation.

TGR, p. 79.

Ce monde « régionalisé » ressemble étrangement au modèle exposé par le professeur Carroll Quigley. Dans son entretien de 1974 avec le journaliste du Washington Post Rudy Maxa, Quigley parlait de ce qu’il appelait le « monde à trois puissances ». Il avait déjà méticuleusement répertorié les activités d’un réseau anglo-américain, dont les membres avaient fait de grands progrès dans la construction d’un système de gouvernance mondiale qu’ils espéraient contrôler.

Voici une citation de Quigley tirée de l’interview :

Ils travaillaient à fédérer le monde anglophone (…). Ils étaient étroitement liés aux banquiers internationaux. Ils travaillaient à l’établissement d’un monde, ce que j’appelle un monde à trois puissances. Et ce monde de trois puissances était : Le bloc atlantique (l’Angleterre, le Commonwealth et les États-Unis), l’Allemagne (l’Allemagne hitlérienne), la Russie soviétique. Tout cela est décrit dans mon livre, et c’était leur idée. Remarquez qu’il s’agit d’un système d’équilibre des pouvoirs.

L’idée de blocs de pouvoir parfois antagonistes les uns des autres, mais jouant chacun leur rôle dans le maintien d’un système mondial centralisé de relations internationales gérées, ressemble beaucoup au modèle décrit par le projet d’études spéciales du Rockefeller Brothers Fund.

Les Rockefeller et Henry Kissinger ont identifié ce que le FÉM appellera plus tard le « déficit de l’ordre mondial » :

Un système d’organisation de l’ordre international a été détruit sans être remplacé par un autre.

Prospect for America, p. 164.

Le problème était que les Nations Unies ne fonctionnaient pas comme les Rockefeller ou leurs partenaires l’avaient prévu. La prise de décision souveraine des gouvernements était considérée comme problématique. Les « grands espoirs » des Rockefeller quant à « l’expression institutionnelle » d’une véritable gouvernance mondiale ont été contrariés :

Les grands espoirs n’ont pas été pleinement réalisés parce que les institutions formelles des organisations mondiales ont été conçues pour réaliser plus que le consensus des aspirations communes existantes n’était prêt à soutenir.

PfA, p. 164.

Les nations agissaient dans leur propre intérêt et concluaient des accords commerciaux bilatéraux et des traités de défense. Elles étaient donc quelque peu réfractaires à une gouvernance mondiale absolue par leurs partenaires privés.

La solution des Rockefeller face à l’intransigeance des États-nations consistait à balkaniser la planète en morceaux, ou blocs, plus faciles à gérer. Aujourd’hui, nous pourrions les appeler des « pôles ». Cela permettrait ensuite à la gouvernance mondiale, sous les auspices des Rockefeller et de leur partenariat public-privé, de s’épanouir :

Le résultat escompté est la paix dans un monde divisé en unités plus petites, mais organisées et agissant dans un effort commun pour permettre et aider le progrès dans la vie économique, politique, culturelle et spirituelle. Il s’agirait vraisemblablement d’institutions régionales placées sous l’égide d’un organisme international à l’autorité croissante — combinées de manière à pouvoir traiter les problèmes que, de plus en plus, les nations séparées ne seront pas en mesure de résoudre seules.

PfA, p. 26.

Les Rockefeller et leurs partenaires — un « réseau », si l’on veut — espéraient que l’ONU serait en mesure d’exercer une véritable gouvernance mondiale sur les « petites unités » ou blocs régionaux :

Les Nations unies sont l’organisation internationale qui offre aujourd’hui l’espoir raisonnable de pouvoir assumer des fonctions de plus en plus nombreuses et des responsabilités de plus en plus grandes. L’esprit et la lettre de la Charte (…) ne se contentent pas de proclamer l’indispensable ordre mondial (…)

PfA, p. 33.

Et :

L’ONU est enfin le symbole de l’ordre mondial qui sera un jour édifié.

PFA, p. 35.

La clé de la gouvernance mondiale, insistent-ils, est la « régionalisation » multilatérale (une affirmation que le FÉM et d’autres défenseurs de l’ordre mondial multipolaire répéteront plus tard).

Les accords multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux. Lorsqu’ils sont pleinement développés, ils impliquent un accord commun sur les dispositions monétaires et de change, une discipline commune sur les questions fiscales et la libre circulation des capitaux et de la main-d’œuvre. Nous pensons que cette approche régionale est valable à l’échelle mondiale. Ce qu’il faut immédiatement, c’est une détermination à aller dans la direction qu’elle implique. Les accords régionaux ne sont plus une question de choix. Ils sont imposés par les exigences de la technologie, de la science et de l’économie. Notre rôle est de contribuer à ce processus par une action constructive.

PfA, p. 188-190.

Dans la Grande Réinitialisation, Schwab, s’exprimant au nom du FÉM, a déclaré que la gouvernance mondiale dans un monde multilatéral et régionalisé, avec des chaînes d’approvisionnement plus localisées, était « la réponse la plus naturelle » aux crises mondiales.

Soixante ans plus tôt, les Rockefeller publiaient ce qui semble être exactement le même plan et affirmaient que les « arrangements multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux ». Avant le projet d’études spéciales des Rockefeller, le « réseau » exposé par le professeur Carroll Quigley suggérait également essentiellement le même système de gouvernance mondiale basé sur un « équilibre des pouvoirs » multipolaire.

L’un des principes fondamentaux de l’ordre mondial multipolaire suggéré est de renforcer l’adhésion à la Charte des Nations unies, établissant ainsi une véritable gouvernance mondiale. Les oligarques mondialistes préconisent depuis longtemps exactement la même approche, tout comme les prétendus dirigeants de l’ordre mondial multipolaire.

Les ambitions de la bande que Quigley appelait « le réseau », tout comme les ambitions du Projet d’études spéciales des Rockefeller et les ambitions de la Grande Réinitialisation du FÉM, sont maintenant les ambitions de l’ordre mondial multipolaire nominalement dirigé par les BRICS.

Merci beaucoup d’avoir écouté cette présentation.

(Encore une fois, toutes nos excuses pour la qualité du son.)

Iain Davis est un chercheur d’investigation, journaliste et auteur britannique.






Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

Mais le lien est aujourd’hui évident.

L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

Traduction de Slay News par Aube Digitale