La loterie des lots pourris, le talon d’Achille de Big Pharma

20/03/2023 (2023-03-20)

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Chers lecteurs,

la raison pour laquelle j’ai publié un dossier sur la qualité des vaccins Covid dans le numéro de mars de Néosanté, c’est parce qu’en réalité c’est LE talon d’Achille de Big Pharma.

Vous vous souvenez certainement de la légende d’Achille le célèbre guerrier de la mythologie grecque que sa mère avait plongé dans le Styx, le fleuve des enfers, afin de le rendre invulnérable. On a parfois l’impression qu’avec Big Pharma, c’est la même chose. Ils sont intouchables, ils ont pris un bain complet d’immunité juridique, médiatique et politique. On est dans l’univers du mythe, personne ne peut toucher à la vaccination qui a « sauvé des millions de vie ».

Et pourtant… Achille avait un point faible, ce fameux talon par lequel sa mère le tenait en le plongeant dans le fleuve, et qui fut sa perte, lorsque Pâris tira précisément sa flèche à cet endroit-là. Et bien, je prétends que Big Pharma aussi a son talon d’Achille, et c’est la qualité des vaccins.

1. Pro-vax ou anti-vax, tout le monde s’accorde sur l’importance de la qualité des vaccins

Il y a trois raisons qui me font penser cela. Tout d’abord, c’est un sujet sur lequel tout le monde peut tomber d’accord. Peu importe que l’on soit pour ou contre les vaccins, il y aura unanimité pour dire que ces fioles ne doivent contenir ni plus, ni moins que ce qu’elles sont censées contenir et qui est marqué sur la notice. Sinon, c’est de la fraude et on met la vie des gens en danger. C’est comme cela pour n’importe quel autre produit. Le chocolat doit contenir un certain pourcentage de cacao, la viande ne doit pas être périmée, le lait ne doit pas être contaminé de bactéries. Il y a des inspecteurs qui font des contrôles « au hasard » dans les points de vente, et lorsqu’il y a un problème, on rappelle le produit, on suspend tout immédiatement.

Idem pour les vaccins, non ?

Non.

2. Pour la qualité, Pharma garde sa responsabilité

La deuxième raison pour penser que la qualité est le point faible de l’industrie du vaccin est que juridiquement, c’est à peu près le seul cas où Big Pharma reste responsable. Si vous avez vu le film 1986 the Act : quand Pharma fait la loi, vous savez qu’aux États-Unis, tous les procès liés à des dommages vaccinaux sont sortis du circuit normal de la justice. Ils sont d’office traités par un tribunal administratif spécial affecté à la vaccination, qui a un mode de fonctionnement inique et dont l’objectif est évidemment d’indemniser le moins de victimes possible. De par ce système, l’industrie est exemptée de toute responsabilité légale depuis des décennies (discussion sur ce film avec Marc Daoud de Nexus). Chez nous, cela se passe toujours dans le circuit judiciaire normal, en responsabilité civile, mais dans la pratique, les procès traînent parfois 20 ans, « la science » ne permet jamais de conclure à un lien de causalité et les victimes restent sur le carreau. En fait, la seule chose qui est de la responsabilité directe du fabricant, que ce soit aux États-Unis ou en Europe, c’est de livrer un produit conforme à ce qu’il a annoncé dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché, et ce pour chaque lot.

3. Il y a incontestablement des lots pourris et non conformes en circulation

Depuis le début de la vaccination, le lot pourri ou « hot lot » est la terreur des producteurs, au point qu’aux États-Unis, après avoir eu quelques expériences qui ont failli coûter cher à l’industrie, celle-ci a décidé de régler le problème en séparant les lots pour les distribuer aux quatre coins du territoire, afin d’éviter qu’un lot problème ne soit trop voyant. (voir film 1986 The act). Car, si 20 personnes tombent raides après une vaccination dans la même ville, l’on s’apercevra de suite qu’il y a un mauvais lot, et plus personne ne voudra se faire vacciner. Tandis que s’il n’y a qu’une personne dans 20 états, on a beaucoup moins de chance de voir un « signal » indiquant que l’on est tombé sur un lot pourri. L’on pourra éventuellement le détecter dans une base de données, mais peu risquent de s’en apercevoir.

L’on objectera que c’était « avant », mais qu’aujourd’hui cela a bien changé et, comme me dit une connaissance qui travaillé dans l’industrie du vaccin « tu n’imagines pas le nombre de contrôles »… » stricts », « rigoureux », etc., je veux bien le croire, mais ces contrôles « stricts » portent sur un nombre de paramètres limité.

Je maintiens : la qualité des lots pose problème. On peut y trouver toutes sortes de contaminations ou de pollutions, et les principes actifs se dégradent facilement avec la température.

C’est un sujet auquel j’ai déjà consacré plusieurs articles (Nexus 121) avant la vaccination Covid, principalement à partir des analyses indépendantes sur les vaccins pédiatriques, effectuées par l’association italienne Corvelva.

Connues sous le nom de « Vaccinegate » les résultats des analyses toxicologiques, metagénomiques et microscopiques (nanoparticules) publiés par Corvelva avaient montré que la plupart des lots diffèrent et que de nombreux vaccins sont non-conformes ou « sales » : pollutions avec des nanoparticules métalliques, traces de pesticides ou de médicaments (amphétamines, antibiotiques, antiépileptiques), contamination par des virus et de l’ADN, et aussi incroyable que cela puisse paraître dans quelques cas, l’on ne retrouvait pas l’agent pathogène en quantité suffisante (dans ce cas inutile de vacciner si l’agent actif ne s’y trouve pas).

Au minimum, l’on peut parler de grave négligence, car ces anomalies peuvent être dangereuses pour la santé. Avec d’autres produits, il y aurait un rappel, une inspection, un retrait du marché. Ici, l’on temporise ou l’on censure. L’on ne peut pas affirmer qu’il y ait eu une intention de nuire et que l’on y aurait mis volontairement des crasses. En revanche, il y a un silence et une inaction coupables, car toutes les compagnies pharmaceutiques et toutes les agences de santé ont été notifiées et, après plusieurs années de déboire devant les tribunaux, le gouvernement refuse toujours d’effectuer les analyses ordonnées par les tribunaux afin de vérifier ou d’infirmer les résultats présentés.

À mon humble avis, avant le Covid, il y avait déjà de quoi mettre la clé sous la porte des usines à vaccins. En attendant, il y a plus urgent que les « bons vieux vaccins à l’ancienne ». En effet, il semble qu’avec les lots de vaccins Covid, l’on passe réellement à la vitesse supérieure.

4. La loterie des vaccins Covid : pas de pot pour ceux qui tombent sur le mauvais lot !

Tout le monde aura été étonné d’entendre certaines personnes se plaindre des effets épouvantables qu’elles ont éprouvés suite à une ou plusieurs injections Covid, alors que d’autres n’ont vraiment absolument rien eu. Évidemment, il peut y avoir de multiples raisons pour cela, mais une des hypothèses à considérer c’est qu’on ne leur pas injecté la même chose…

Aux États-Unis, la base de données VAERS qui enregistre les évènements indésirables suivant une vaccination fait mention du numéro de lot (ce n’est pas le cas en Europe). C’est grâce à cela que des chercheurs indépendants ont pu informer le public en répertoriant les effets et les décès par lots des vaccins Covid sur le site How Bad Is My Batch. L’on constate d’ailleurs un très grand intérêt du public pour cette question, puisqu’au moment d’écrire cet article, leur compteur affiche pas moins de 112 035 225 visites !

Voici ce qui devrait convaincre tout le monde de cesser immédiatement ces campagnes de vaccination :

* De toute évidence certains lots sont beaucoup plus toxiques que d’autres.

* Les lots toxiques ont un étiquetage spécifique dans des séries qui se suivent. La présence de séries de lots différents ne peut donc pas être un hasard. Des produits différents ont été fabriqués à différents moments.

Il est IMPÉRATIF DE RÉFLÉCHIR À TOUT CE QUE CES DEUX CONSTATS IMPLIQUENT.

Voici quelques exemples qui ont été relevés :

Lots Pfizer

X représente le nombre d’effets indésirables et Y les numéros de lots.

Lorsque les codes de lots Pfizer sont classés par ordre alphanumérique le long de l’axe des x, le schéma suivant apparaît —

Comme vous pouvez le constater, les lots sont classés par ordre alphanumérique dans des fourchettes de toxicité spécifiques. Et ces fourchettes diminuent linéairement à mesure que l’on monte dans l’alphabet, de telle sorte que —

EN > EP EP > ER ER > EW

FA > FC FC > FD FD > FE FE > FH

On peut débattre de la question de savoir si cela est délibéré ou non ; en tout cas, cela semble délibéré — et les scientifiques ont l’habitude d’étiqueter soigneusement chaque condition expérimentale afin d’en surveiller et d’en enregistrer les effets. Il se pourrait bien que des lots de toxicité variable aient été soigneusement étiquetés et testés sur le public, produisant différentes gammes de réactions indésirables. Par exemple :

La série EN de Pfizer (turquoise)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EN en turquoise. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots avec 2000 à 3000 effets indésirables chacun — mais en dessous de ce groupe il y a un grand vide, et enfin il y a un grand nombre de lots EN très proches de l’axe des x.

Un examen approfondi révèle que 12 lots se situent dans la fourchette 2000-3000. Ensuite, il y a 678 lots dans la fourchette 1-37 — et rien entre les deux. Examinez les données ci-dessous pour la série EN. La chute soudaine de 2000 à 37 est remarquable. Ce modèle de variation de la toxicité ne semble pas aléatoire, car s’il l’était, nous nous attendrions à une gradation avec des nuances de toxicité entre le haut et le bas.

L’impression de non aléatoire est renforcée par l’observation que tous les lots de l’intervalle 2000-3000 ont les codes de lot suivants —

EN6198 EN6199

EN6200 EN6201 EN6202 EN6203 EN6204 EN6205 EN6206 EN6207 EN6208

Les codes des lots se suivent dans une série mathématique parfaite. C’est comme si ces lots supertoxiques avaient été soigneusement étiquetés, afin que leurs effets puissent être suivis et enregistrés. Nous avons ici 12 lots — chacun produisant 100 fois plus d’effets indésirables que les autres lots — aucun d’entre eux n’a été rappelé par Pfizer — Pfizer a permis que ces lots soient déployés l’un après l’autre.

Le même phénomène se produit avec les séries EO, ER et EW.

La série EW de Pfizer (vert)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EW en vert. Vous verrez qu’il y a un groupe de 30 lots produisant entre 2500 et 1200 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il n’y a que 3 lots produisant 100 à 300 déclarations d’effets indésirables, puis tous les lots restants produisent moins de 22 déclarations d’effets indésirables.

Il semble évident que 30 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 30 lots sont les suivants : —

EW0150 EW0151 EW0153 EW0158

EW0161 EW0162 EW0164 EW0165 EW0167 EW0168 EW0169

EW0170 EW0171 EW0172 EW0173 EW0175 EW0176 EW0177 EW0178 EW0179

EW0180 EW0181 EW0182 EW0183 EW0185 EW0186 EW0187

EW0191 EW0196 EW0198

EW0202 EW0217

Les codes des lots super toxiques font tous partie d’une série mathématique continue.

La éérie ER de Pfizer (jaune)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série ER en jaune. Vous verrez qu’il y a un groupe de 11 lots produisant entre 1570 et 3337 déclarations d’effets indésirables, mais qu’en dessous, tous les lots restants produisent 22 déclarations d’effets indésirables ou moins.

Il semble évident que 11 des lots sont super toxiques par rapport aux autres.

De plus, les codes de lot de ces 11 lots sont —

ER8727 ER8729 ER8730 ER8731 ER8732 ER8733 ER8734 ER8735 ER8736 ER8737

ER2613

Tous les codes de ces lots super-toxiques font partie d’une série mathématique continue.

Série EL de Pfizer (bleu marine)

Dans le graphique ci-dessus, observez la série EL en bleu marine. Vous verrez qu’il y a un groupe de lots produisant entre 1169 et 2675 rapports d’effets indésirables, mais qu’en dessous, il y a une chute rapide et soudaine des effets indésirables.

Les lots les plus toxiques de la série EL ont souvent des codes de lot qui font partie d’une série mathématique.

EL0140 EL0142

EL1283 EL1284

EL3246 EL3247 EL3248 EL3249

EL3302

EL8982

EL9261. EL9262. EL9263. EL926 EL9265. EL9266. EL9267. EL9269

Les codes de ces lots super-toxiques font partie de séries mathématiques continues.

5. Coup de bol ou placébo ?

Qu’est-ce qui peut expliquer cette variation du genre « tout ou rien » ?

Selon Craig Paardekooper, la raison des lots super toxiques pourrait correspondre à une expérience à grande échelle entre des lots « biologiquement actifs » et des placébos.

En s’intéressant à la liste de dates d’expiration des lots publiée sur le site du CDC. — CDC Expiry List and Biologically Active Lots (Liste d’expiration du CDC et lots biologiquement actifs) le chercheur et a fait une observation assez surprenante, à savoir que l’on n’y retrouve pas tous les numéros de lots apparaissant dans la banque de données VAERS, mais principalement les lots toxiques ou qui seraient « biologiquement actifs ».

Voici sa démarche :

« Le CDC publie une liste de tous les lots fabriqués avec les dates de péremption. Une liste complète est publiée en annexe. J’ai émis l’hypothèse que la liste de péremption était une liste des lots biologiquement actifs parce que seuls les lots biologiquement actifs sont dangereux une fois périmés. Le sérum physiologique se périme, mais sur une période beaucoup plus longue, et ne présente qu’un risque minime (certains affirment même que le sérum physiologique ne se périme pas). Seuls les lots biologiquement actifs auraient été fabriqués par Pfizer, Moderna, etc.. Les services d’une société pharmaceutique très coûteuse n’auraient pas été nécessaires pour fabriquer du sérum physiologique inerte.

Sur la base de ces deux raisons, j’ai supposé que la liste de péremption était une liste définitive des lots biologiquement actifs.

Mon objectif dans cette étude était donc d’examiner la base de données VAERS afin d’identifier les lots ayant les effets biologiques les plus importants et de voir si ces lots correspondaient à ceux figurant sur la liste de péremption du CDC.

Mon hypothèse était qu’il y aurait une forte correspondance.

La méthode

J’ai utilisé la base de données VAERS pour les États-Unis uniquement et pour l’année 2021. J’ai compté le nombre de rapports d’effets indésirables, de décès, d’invalidités et de maladies mettant la vie en danger associés à chaque code de lot Pfizer, puis j’ai classé les lots en fonction du nombre le plus élevé d’effets indésirables.

Résultats

Voici un gros plan de la série EK de Pfizer dans les données VAERS.

Les lots biologiquement actifs (avec le plus d’effets secondaires graves) semblent être EK9231, EK5730 et EK4176. La liste d’expiration de lots du CDC ne mentionne que 4 lots EK. 3 correspondent, l’on n’a pas de trace du 4e.

EK4176

EK4244

EK5730

EK9231

Voici la série EL

Sur la liste d’expiration des lots du CDC les lots EL sont :

EL0140 EL0142 EL1283 EL1284 EL3246 EL3247 EL3248 EL3249 EL3302 EL8982 EL9261 EL9262 EL9263 EL9264

EL9265 EL9266 EL9267 EL9269

La correspondance est parfaite !

Toujours selon Paardekooper :

“Il se peut que les lots présentant peu d’effets indésirables constituent le groupe placebo/de contrôle. Il a été suggéré qu’il s’agissait simplement d’une erreur d’orthographe des lots hautement toxiques et qu’ils n’existaient donc pas vraiment. En d’autres termes, certaines personnes ont suggéré que tous les lots sont également toxiques et qu’il n’y a pas de placebos. Ils en concluent donc que les lots présentant un faible nombre d’effets indésirables ne sont que des erreurs d’orthographe des lots toxiques.

Afin d’examiner cette question, j’ai dressé une liste de tous les codes de lots présentant un faible nombre d’effets indésirables pour la série EL. Le format correct pour ces lots devrait être EL suivi de 4 chiffres. J’ai éliminé tous les codes de lots qui n’avaient pas ce format. Il me restait 360 codes de lots avec le format correct, mais simplement avec des effets indésirables faibles. Ces codes de lot se répartissaient également en séries mathématiques distinctes, et ces séries étaient très différentes des séries toxiques.

L’analyse des séries à faible toxicité révélera sans aucun doute une certaine systématisation des nombres et des gammes de ces lots. Les placebos, tout comme les lots biologiquement actifs, ne seraient pas distribués de manière aléatoire ou non planifiée.

Quels sont les risques de dommages ? 5 % des lots sont toxiques

La série EL comptait 18 lots hautement toxiques et 360 lots faiblement toxiques. Le rapport entre les mauvais lots et les bons lots est donc de 18 : 360, soit 1 : 20. Le maintien des mauvais lots à un niveau de 5 % les maintiendra juste sous le radar de la perception.

Si 1 lot sur 20 est toxique, et si chaque personne reçoit deux injections de vaccin par an, alors —

au bout d’un an, le risque de recevoir un lot toxique est de 1 sur 10

après 2 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 5

après 3 ans, le risque de recevoir un lot toxique sera de 1 sur 3.

Bien entendu, cela suppose que le pourcentage de lots super-toxiques reste constant à 5 %.

D’autres questions se posent évidemment : notamment quelle est la taille des différents lots et où ont-ils été expédiés ? À suivre dans un prochain article sur ce thème !

Et pour finir…

Ce qui m’inspire aujourd’hui

Prendre de la hauteur !

Fermer les yeux et se donner un moment de répit avant de continuer d’affronter ce monde en pleine métamorphose. Albatross m’est tout à coup revenu en mémoire, ce thème lancinant que l’on écoutait à l’âge ado pour s’évader dans l’imaginaire, d’autres lieux, une autre époque. Ce n’est pas très sophistiqué, mais ça fonctionne (en tous cas chez moi !) Ça fait du bien de se replonger dans une époque où nous avions au moins l’impression d’être libres 🙂

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(3 commentaires)

  1. A propos des recherches de Paardekooper, j’ai demandé des éclaircissements à Senta Depuydt. Voici les précisions qu’elle a apportées :

    « 1er constat: le fichier de lots issus de la banque de données des effets indésirables VAERS contient beaucoup plus de numéros de lots que le fichier avec les dates de péremption par lot du CDC (qui n’est pas public). Ce n’est pas normal…
    2ème constat: les lots du fichier ‘péremption’ sont ceux qui affichent le plus d’effets indésirables dans le fichier extrait du VAERS.

    Hypothèse de Craig Paardekoper: les lots à date de péremption sont les ‘vrais’ lots dont on est soucieux de connaître l’effet et les autres qui n’ont pas de date sont des placébos.
    Par ailleurs, il pense que les ‘vrais’ lots (plus coûteux car avec une nouvelle technologie) sont produits par Pfizer/Moderna, tandis que les placebos peuvent être produits par n’importe quoi et il n’y a pas besoin de mettre une date de péremption sur ceux-là.
    De fait, le constat de la disparité entre ces fichiers est très gênant…

    Tentative de ‘réfutation’: certains ont donc répondu qu’en réalité les lots qui ne sont pas dans le fichier péremption ne sont pas des lots différents (placebos par ex.) mais simplement des lots mal étiquetés. Ce seraient les mêmes que ceux qui sont repris dans le fichier péremption mais ‘avec des erreurs d’orthographe’.

    Réponse de Paardekoper: d’abord Il y en a plus de 300, cela fait beaucoup d’erreurs d’orthographe différentes. Par ailleurs ces numéros de lots semblent également se suivre dans des suites alphanumériques, ce que les erreurs d’orthographe ne font pas…

    Soit tout le monde est analphabète dans cette histoire, cela n’inspire pas confiance, soit l’hypothèse de Paardekooper est juste et l’on s’amuse à faire toutes sortes d’expérimentations avec des lots différents… »

  2. La vaccination est la plus grande escroquerie de tous les temps » Professeur Jules Tissot (1870-1950).

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