Comment le corona a tué Pasteur

01/03/2023 (2023-03-01)

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves RASIR

[NDLR Les liens vers des articles sur Nouveau Monde sont ajoutés]

Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie.

1) L’introuvable patient zéro

Dès l’entame de l’opération plandémique, les médias aux ordres nous l’ont répété à l’envi : les autorités sanitaires de chaque pays étaient sur pied de guerre pour retrouver les « patients zéro », c’est-à-dire leurs premiers contaminés nationaux. Le but de cette traque était bien sûr de remonter la chaîne de transmission du virus afin de stopper sa progression. Les épidémiologistes se sont donc mis en chasse pour retracer les contacts des malades et coincer le gibier, à savoir les tout premiers covidés arrivés ou infectés sur le sol national. Le hic, c’est que les chasseurs sont toujours rentrés bredouilles. En Chine, ils ne sont pas arrivés à dénicher le patient zéro malgré une longue enquête concentrée autour du marché aux animaux de Wuhan, pourtant épicentre de l’épidémie. En Italie, la piste d’un migrant chinois ou d’un touriste italien débarquant de Chine a été évoquée, mais le « coupable » n’a pas été identifié. Idem en Belgique, idem en France, idem en fait partout dans le monde. Les enquêteurs n’ont jamais réussi à remonter les filières jusqu’au cas initial, car il manquait toujours des maillons dans les chaînes de transmission. Les premiers malades ne se connaissaient pas et il n’y avait pas eu de possibilité de contact entre eux. Ça la fout un peu mal pour la théorie du virus made in China se disséminant facilement avant les masques, gestes barrières et autres confinements. Une chauve-souris ou un pangolin aurait donc pris l’avion et débarqué incognito ? Les gardiens du dogme pasteurien s’en tirent en expliquant qu’une personne sans symptômes a très bien pu refiler le virus tueur à un autre porteur qui a lui-même essaimé pendant la période d’incubation. C’est pratique, l’asymptomatologie, pour voler au secours de la virologie. Mais c’est aussi se tirer une balle dans le pied comme nous allons le voir au point suivant.

2) La prolifération des asymptomatiques

Des microbes sans malade et des malades sans microbe, ce n’est pas nouveau. Pour chaque maladie dite infectieuse, il est notoire que la présence du germe n’est pas forcément pathogène et que son absence n’empêche pas toujours le stade pathologique. Par exemple, une majorité d’entre nous héberge la bactérie Helicobacter Pylori, mais une toute petite minorité va déclencher un ulcère ou un cancer de l’estomac, tandis que l’agent bactérien n’est pas toujours retrouvé chez les ulcéreux et les cancéreux gastriques. C’est déjà une fameuse faille du narratif pasteurien faisant du micro-organisme le principal fautif. Le sida est arrivé à point nommé, car on nous a alors expliqué que les assaillants pouvaient rester cachés ou s’endormir avant d’attaquer. Avec le corona, cette pirouette n’est cependant pas valable puisque l’intrus est censé entrer par le nez, progresser vers les poumons s’il surmonte l’immunité locale et déclencher presque à coup sûr une infection respiratoire, comme le virus de la grippe. Or il s’est avéré que la proportion de covid asymptomatiques était très importante. Les estimations ont varié entre 15 et 70 % au fil du temps, mais la plus sérieuse étude sur la question a évalué le pourcentage à 40,5 %. Il y a donc plus de quatre cas sur dix qui ne sont précisément que des cas, c’est-à-dire des tests PCR positifs ne reflétant même pas un nez qui coule ou une petite toux. C’est logique puisque cette technique de dépistage génère une myriade de faux positifs et qu’elle n’a pas été inventée pour poser un diagnostic. Cet instrument a cependant été employé pour accuser le virus et c’est même le seul « témoin » de l’accusation, laquelle n’a jamais dénoncé la trop grande sensibilité du test. Grâce à la PCR et à la pullulation de contaminés non malades, on a eu l’éclatante démonstration que les fondations du paradigme pasteurien sont pour le moins branlantes. La corrélation entre virus et maladie, qui n’est déjà pas un lien de causalité, est loin d’être évidente !

3) Les soignants pas plus touchés

La théorie virale est d’autant plus bancale que le personnel soignant n’a pas été décimé par le supposé fléau infectieux. Les autorités sanitaires ont prétendu le contraire, nous ont fait applaudir les héroïques médecins et infirmières « en première ligne sur le front », mais n’ont jamais apporté la preuve que leurs troupes étaient davantage concernées par l’épidémie. En Belgique comme en France, les chiffres de décès par métier ont toujours été cachés et ce n’est que par la presse ou via des mutuelles que des cas ont sporadiquement été rapportés. Rien de statistiquement anormal. Côté belge, je n’ai pour ma part identifié qu’une dizaine de soignants dont la mort a été attribuée au covid. Et j’ai fait remarquer à l’époque que quatre d’entre eux étaient d’origine africaine, ce qui n’est pas anodin puisque les Noirs et métis vivant en Occident sont à risque de carence en vitamine D au sortir de l’hiver, les peaux foncées synthétisant moins bien cette précieuse alliée de l’immunité. À défaut de « payer un lourd tribut », les héros ont-ils davantage été exposés au virus ? Même pas ! Certaines études ont bien conclu que les professionnels du soin étaient proportionnellement plus nombreux parmi les contaminés, mais ce sont des trompe-l’œil puisque les pros se sont évidemment testés plus souvent et que la méthode PCR génère plein de faux positifs. Bien plus intéressant de ce point de vue, le test sérologique n’a montré aucune différence entre les soignants et la population générale selon une étude menée en Belgique par l’Institut Sciensano. Avec ou sans blouse blanche, les Belges ont rencontré le virus dans des proportions équivalentes. L’Institut en a déduit que les toubibs et le personnel infirmier s’étaient bien protégés, mais l’on se souviendra que ces deux corporations se plaignaient du manque d’équipements avant et durant la première vague. Pour intégrer que le récit pasteurien est mensonger, il suffit de se rappeler les temps précovidiens et les épidémies de grippe annuelle. Bien que non masqués et serrant les mains de leurs patients sans arroser les leurs de gel hydroalcoolique, les médecins de terrain n’ont jamais massivement succombé à l’influenza censée se transmettre, lui aussi, par les contacts cutanés ou les microgouttelettes en suspension dans l’air. On n’a jamais vu les rangs des généralistes être décimés par la pourtant réputée contagieuse grippe saisonnière, et ce n’est pas le corona qui a changé la donne. Allô Pasteur ?

4) Les omniprésentes comorbidités

Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Jamais cette phrase attribuée à Antoine Béchamp ou Claude Bernard et qu’aurait admise Louis Pasteur sur son lit de mort n’a été plus conforme à la réalité. Pour autant qu’il existe, le sars-cov2 a très bien révélé que son rôle était nul ou infime en regard du terrain, c’est-à-dire de la santé et de la vitalité du patient en amont de l’épisode infectieux. À Wuhan déjà et en Italie surtout, il est très vite apparu que cette grippe à corona — famille de particules impliquée, je vous le rappelle, dans 13 à 18 % des syndromes grippaux hivernaux habituels — épargnait totalement les enfants et accablait très préférentiellement les aînés porteurs de comorbidités. Selon les données italiennes observées partout ailleurs, pas moins de 94 % des « covidécédés » souffraient préalablement d’obésité, de diabète et/ou d’hypertension. Chez les 6 % restants, on pouvait encore soupçonner un cancer sous-jacent ou une autre maladie chronique non diagnostiquée. Bref, « il y avait toujours quelque chose quand on cherchait un peu », comme l’a déclaré le Dr Louis Fouché lors de sa toute première vidéo enregistrée à l’IHU de Marseille. Certes, l’anesthésiste-réanimateur s’est lui aussi farci le covid par la suite, à l’automne 2021, et « ce n’était pas rien » comme il l’a confié après sa convalescence. Comme lui, des centaines de milliers de gens pas vieux et en apparente bonne santé ont également été frappés et secoués par cette grippe à l’impact extrêmement variable : rhinite légère chez les uns et pneumonie sévère chez les autres, avec toute la palette de gravité entre ces deux pôles. Est-ce pour autant la revanche de la théorie du germe ? Pas du tout selon nous. Dans la vision qui est la nôtre, l’agent infectieux est soit endogène et produit par l’individu (théorie des microzymas), soit exogène et « téléchargé » par les patients dont l’immunité laisse à désirer. Au début, il était logique que les plus fragiles tombent les premiers. Ensuite, il n’était pas moins logique que l’infection survienne sur d’autres terrains. Comme nous l’avons maintes fois souligné, l’infectiologie classique a comme axiome que les agents infectieux les plus virulents sont aussi les moins contagieux et qu’inversement, les plus transmissibles sont aussi les plus inoffensifs. Cela s’est encore vérifié spectaculairement puisque les chiffres de mortalité se sont tassés à mesure que le covid gagnait en popularité. Autrement dit, les gens en bonne santé ont « fait » la maladie quand elle ne présentait plus guère de danger. Pourquoi l’affection en a-t-elle néanmoins affecté beaucoup ? C’est ici qu’il faut prendre en compte la médecine du Dr Hamer et bien comprendre le rôle auxiliaire des agents infectieux qui viennent participer au processus de guérison. En d’autres termes, le virus couronné s’est probablement invité chez tous ceux qui, à des degrés très divers, avaient déjà une faiblesse réclamant correction. Le surpoids, même modéré, est l’un de ces handicaps répertoriés. Les subcarences en vitamines et minéraux en sont un autre, de même que la sédentarité. Il est archiprouvé que le manque d’activité physique et le déficit micronutritionnel (en zinc et vitamine D essentiellement) sont des facteurs favorisants prépondérants de la grippe classique comme de la grippe covid. De notre point de vue, les conflits relationnels et la perte d’équilibre émotionnelle ne sont évidemment pas à négliger et ils constituent même une « comorbidité » décisive. Même s’il incarne la sérénité, Louis Fouché a quand même somatisé après avoir perdu son poste hospitalier. Bref, la théorie du terrain sort à nos yeux consolidée par ces trois années plutôt mortelles pour le modèle pasteurien.

5) Les clusters aux abonnés absents

Le grand méchant loup n’effrayant pas assez, il fallait agiter le spectre de meutes entières attaquant férocement les humains sans défense. Et comme le mot « foyer » ne permet pas de jargonner en faisant le malin à la télé, les politiciens et leurs conseillers ont sorti l’anglicisme « cluster » de leur trousse MacKinsey. Signifiant « groupe » ou « grappe », ce terme désigne les foyers épidémiques apparaissant lorsque le cruel virus se propage et contamine des individus réunis dans un même endroit. Selon le récit covidiste, tout rassemblement aurait été un terrain de jeu pour l’agent infectieux et il fallait à tout prix éviter la multiplication des clusters. Cette autre forme de modélisation mathématique s’est cependant avérée aussi foireuse que les prévisions de mortalité et les foyers de contagion n’ont pas du tout répondu aux pronostics. Certes, l’étude française Épi-Phare a mis en évidence que le lieu de travail et le foyer familial étaient le point de départ de petites flambées épidémiques. C’est facilement explicable du fait que ces deux milieux de vie sont propices aux conflits relationnels et que les personnes en présence subissent les mêmes influences environnementales. Les bars et restaurants ? Comme l’a exposé le mathématicien Vincent Pavan, le seul travail scientifique qui a servi à justifier leur fermeture était en réalité un piètre sondage truffé de manquements méthodologiques. Rien ne prouve que les bistrots et les restos soient des clusters en puissance parce qu’on y ouvre la bouche. Le plus ennuyeux pour la théorie pasteurienne, c’est que les contaminations ont complètement déserté les transports en commun. Même agglutinés dans des wagons bondés, les usagers du train ou du métro n’y auraient pas « chopé » le covid parce qu’ils étaient masqués. La bonne blague, alors que ces lieux clos sont de véritables bouillons de culture paradisiaques pour les germes de toute nature ! La preuve la plus flagrante que la hantise des clusters ne repose sur rien, c’est que les grands rassemblements de 2020, comme le salon du bâtiment en Belgique ou les fêtes de la musique en France, n’ont donné lieu à aucune vague d’infections parmi les participants. Idem en 2021 pour les raves-parties sauvages et les « boums » des jeunes Bruxellois au Bois de la Cambre. Les médias et les médecins de plateau avaient prédit le pire, mais le virus a boudé les joyeux fêtards. Cherchez l’erreur !

6) Une symptomatologie non spécifique

Un microbe pour chaque maladie, une maladie pour chaque microbe : c’est le rêve et le « business model » des plandémistes catastrophistes. Selon leur credo, chaque virus émergent va donner lieu à une pathologie particulière se distinguant par des symptômes particuliers. Avec le sars-cov2, on allait voir que le covid était du jamais vu, du parfaitement inédit ! Hélas pour les faux prophètes, les signes cliniques de la grippe classique et de la grippe covid sont tellement ressemblants qu’aujourd’hui encore, les quatre principaux (toux, fièvre, fatigue, courbatures) ne permettent pas de faire la différence. Même Bill Gates vient de reconnaître que son fléau chéri avait tout l’air d’une grippe pas bien méchante. La détresse respiratoire aiguë ? Ça peut arriver après tout refroidissement assorti de complications. La perte provisoire du goût et de l’odorat ? Elles ont sans doute été plus fréquentes, mais ce n’est pas une exclusivité covidienne. C’était aussi la première fois que des milliards de gens acceptaient de se faire farfouiller le nez avec un long coton-tige porteur de nanoparticules toxiques. Les pneumopathies atypiques ? Comme nous l’avons signalé, cette catégorie existait déjà dans la nomenclature pour désigner certaines bronchopneumonies bactériennes. Le covid a été une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les autres maladies respiratoires (3 millions d’hospitalisations chaque année en France) soudainement disparues ou en nette régression. Même les non infectieuses comme l’emphysème ou le cancer du poumon ont mystérieusement reflué ! Les troubles de la coagulation et les hypoxies silencieuses ? Ils ne sont pas non plus l’apanage du covid et peuvent être imputables à diverses intoxications, notamment au cyanure ou au mercure. Bref, on ne voit toujours pas ce qui permet d’incriminer un « nouveau corona » plus dangereux que ses cousins et que l’influenza. Comme d’habitude, ce sont les surinfections bactériennes qui ont tué et non un virus plus virulent qu’un autre. La symptomatologie du covid est d’ailleurs si peu spécifique qu’il a fallu le test PCR pour décréter qu’une nouvelle maladie avait débarqué. Trois ans plus tard, les tableaux cliniques de la grippe normale et de sa rivale coronavirale demeurent tellement similaires qu’un nouveau test de dépistage vient d’être commercialisé pour les différencier. Et le fabricant promet déjà un test trivalent permettant de faire le tri entre grippe, covid et bronchiolite. Il n’y a pas aveu plus clair que les médecins pasteuriens y perdent leur latin et que les génomes viraux ne peuvent être reliés à des symptômes spéciaux. 

7) La propagation démentie par les statistiques

C’est la grenade dernièrement dégoupillée par le statisticien Pierre Chaillot : les courbes épidémiques ne confirment absolument pas la thèse d’un virus arrivant quelque part et se propageant progressivement. Et ceci est vrai pour toutes les épidémies grippales ! Pour examiner cet argument de poids, je vous renvoie au livre récemment publié par le jeune scientifique français et à l’interview qu’il a accordée au mensuel Néosanté dans son numéro de janvier. Je l’ai déjà partagé dans ma lettre du 14 décembre, mais voici un extrait particulièrement percutant de cet entretien démystifiant : « Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays. Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Pierre Chaillot ne nie pas catégoriquement que des particules virales puissent se propager dans la population. Ce n’est pas son domaine de compétence et il ne prend pas parti dans ce débat. En revanche, son analyse statistique infirme totalement que « ce quelque chose » qui se propagerait a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Or si la maladie et la mort ne sont pas corrélées à la circulation du virus accusé, que reste-t-il de sa culpabilité ? Et au-delà, que reste-t-il du paradigme pasteurien inculpant les microbes et oubliant le terrain ? J’ai beau chercher, je ne vois rien.

8) La saisonnalité de l’infection

Pour autant qu’il existe et qu’il soit réellement émergent, le sars-cov2 fait incontestablement partie des virus dits hivernaux. Ça ne veut pas dire que ces particules roupillent en été et se réveillent aux premiers frimas, ça signifie que leur activité et leur supposée nocivité sont fonction du climat. Souvenez-vous de la première vague : elle a déferlé en mars 2020 et refluait déjà mi-avril. La seconde vague, elle, a débuté à la rentrée et a culminé en fin de saison automnale. Il est très vite apparu que le covid était une maladie saisonnière et qu’à l’instar de la grippe annuelle, elle sévissait plus ou moins sévèrement selon qu’il faisait chaud ou froid. C’est ce que des épidémiologistes compétents comme Jean-François Toussaint ou Laurent Toubiana ont rapidement expliqué en s’attirant pourtant les foudres des télétoubibs et des modélisateurs fous comme Martin Blachier. C’est aussi ce que le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement dans son bouquin : les courbes épidémiques de la virose corona ont épousé très étroitement celles des températures. Comme je l’ai relaté dans ma lettre « Coup de froid pour la doxa », ce constat est accablant pour la religion covidiste et pour la doctrine pasteurienne faisant du germe le facteur pathogène principal. Attention : l’analyse de Chaillot ne montre pas que le froid mérite à son tour d’être pointé du doigt. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher dans les conditions de vie, et notamment dans celles liées aux saisons. Et le jeune statisticien de mentionner une piste, celle de l’assèchement de l’air qui peut favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan en 2019. En début d’été 2021, la saisonnalité du covid ne semblait plus aussi évidente, car beaucoup ont contracté la maladie en juillet. On se souviendra toutefois que le printemps avait été pourri et que l’entame des vacances n’était pas non plus des plus chaleureuses. De plus, c’est en mai-juin que la première vague d’injections expérimentales s’était abattue sur les moins de 60 ans ne voulant plus manquer leurs transhumances estivales. Simple coïncidence ? Plusieurs études scientifiques, dont celle de la microbiologiste Hélène Banoun, ont suggéré que les fraîchement vaccinés étaient contagieux en excrétant soit l’ARN messager, soit leurs protéines spike, soit encore leurs anticorps facilitateurs d’infection. Cette hypothèse du « vaccine shedding » ne fait pas consensus, mais elle apporterait une explication à ce pic de juillet 2021 qui fait figure d’exception confirmant la règle, celle-ci étant que les syndromes grippaux, covid compris, frappent très préférentiellement en automne et en hiver. Si les virus détalent dès que le mercure remonte, doit-on encore en avoir peur et les juger responsables de nos maux ? Il me semble que la question induit la réponse.

9) Notre suspect l’est plus que jamais

C’est dans notre infolettre du 25 mars 2020 que nous avons lancé ce pavé dans la mare : nous tenions un suspect ! Grâce aux recherches du « journaliste citoyen » Dominique Guillet, nous avons en effet révélé la raison très probable pour laquelle l’Italie du Nord, et la Lombardie en particulier, était sévèrement frappée par la « première vague » de covid. C’est en effet dans cette région que deux mois auparavant, les autorités avaient procédé à une grande campagne de vaccination contre la méningite. Suite à une mini-épidémie ayant fait deux morts, elles avaient décidé de vacciner gratuitement toute la population vulnérable, c’est-à-dire les personnes âgées. Voilà sans doute pourquoi les séniors de Bergame ou de Brescia tombaient comme des mouches tandis que leurs homologues de Bologne ou de Turin étaient peu frappés par le fléau prétendument importé de Chine. En Lombardie, c’est parfois d’un village à l’autre que la situation sanitaire et le taux de remplissage du cimetière variaient fortement, ce qui est incompatible avec la thèse d’un virus qui se propage, mais qui se comprend aisément si le vaccin anti-méningocoque est en cause. Pour vérifier la corrélation, il suffisait de superposer la carte des décès avec celle de la couverture vaccinale, ce qui n’a pas été fait par les épidémiologistes italiens trop occupés à traquer l’introuvable patient zéro chinois. Notre suspect était d’autant plus à soupçonner qu’à Madrid, épicentre espagnol de la flambée de covid, on avait également vacciné contre la méningite à l’automne 2019. Mais n’oublions pas non plus le vaccin antigrippal ! Dans ses numéros 100 (mai 2020), 103 (septembre 2020) et 107 (janvier 2021), la revue Néosanté a pointé les effets délétères de ces injections en exposant, nombreuses sources scientifiques à l’appui, qu’elles avaient certainement fait le lit des pneumopathies atypiques attribuées au coronavirus. Certes, aucun « grand » média ni aucun gouvernement n’ont exploré cette piste. Mais ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas sérieuse. Je pense même que c’est l’inverse et que le suspect n’a pas été inquiété en raison de son évidente culpabilité. Pour notre part, nous restons en tout cas convaincus que les campagnes vaccinales contre la méningite et contre la grippe sont liées aux ravages de l’hypothétique virus couronné. En juillet dernier, des chercheurs allemands ont encore publié une étude qui confirme nos soupçons. Elle montre clairement qu’au printemps 2020, la vaccination antigrippale était le facteur de risque numéro un face à la « pandémie ». Un risque encore plus important que la carence en vitamine D !

10) L’échec des mesures sanitaires

L’innocence de la particule baptisée sars-cov2 dans l’éclosion de la pseudo-épidémie de covid est d’autant plus patente qu’aucune mesure destinée à l’endiguer n’a été efficace. Faut-il vous égrener tous les articles et travaux scientifiques que nous avons mentionnés dans nos billets durant trois ans parce qu’ils montraient l’inefficacité de la distanciation sociale, des confinements ou du port du masque ? Concernant la muselière, il y avait à un moment donné plus de 130 études attestant de sa parfaite incapacité à museler le virus, mais nous avons arrêté de les compter. Inutile de continuer à canarder l’ambulance des croyances pasteuriennes puisqu’elle est complètement hors d’usage. Histoire de l’envoyer définitivement à la casse, citons toutefois cette récente méta-analyse de la prestigieuse Collaboration Cochrane. Selon ce réseau de chercheurs indépendants, qui a analysé 78 études de qualité, il n’y a absolument aucune preuve que les bâillons buccaux permettent et ont jamais permis d’enrayer les épidémies d’infections respiratoires. Qu’ils soient chirurgicaux ou industriels, les masques ne marchent tout simplement pas. La seule règle d’hygiène qui semble avoir un modeste effet protecteur, c’est le lavage des mains. Aucune autre « barrière » physique érigée contre les présumés assaillants viraux n’a satisfait aux essais rigoureusement contrôlés. Mais a-t-on encore besoin de tester les « stratégies non pharmaceutiques » quand nous avons eu l’éclatante démonstration de leur inutilité ? Énorme caillou dans la chaussure covido-pasteurienne, la Suède a sauvegardé la vérité en ne cédant pas à la terreur. Sans fermer ses écoles, magasins ou restaurants, et sans imposer le port du masque, ce pays a pourtant échappé aux scénarios apocalyptiques qu’on lui avait prédits. Et il s’en est plutôt bien sorti en termes de mortalité par habitant. A contrario, les pays européens et les états américains qui ont été le plus loin dans le délire liberticide ont à rougir de leurs statistiques pandémiques. La Chine ? Tout en la soupçonnant de dissimuler ses morts, les experts occidentaux nous ont expliqué que ce pays devait l’endiguement du fléau infectieux à sa stricte politique « zéro covid ». Or l’année 2022 a fait crouler ce mythe puisque les confinements impitoyables n’ont pas empêché l’envol des contaminations. L’abandon de cette politique début décembre allait-il conduire à la catastrophe ? Caramba, encore raté pour les modélisateurs : les hôpitaux et cimetières chinois ont bien été débordés de mi-décembre à mi-janvier, mais pas plus qu’ailleurs. En France ou en Angleterre, les morgues et les funérariums étaient même davantage saturés, comme l’ont rapporté plusieurs médias invoquant le grand retour de la grippe influenza. Bref, on chercherait en vain un quelconque lien entre l’action d’un coronavirus létal et les décisions adoptées pour éloigner le péril viral. Leur échec magistral signe à nos yeux la cuisante déroute du paradigme pasteurien.

11) Le plantage des vaccins

Faut-il tirer sur cette autre ambulance ? Quand ils nous ont vendu le vaccin, les labos pharmafieux et leurs délégués commerciaux politiciens avaient fait miroiter que le virus allait s’arrêter de circuler. Or il est désormais allègrement prouvé que les injections géniques n’ont pas empêché leurs bénéficiaires d’être « contaminés » par l’ennemi public ni de le « transmettre » à autrui. Vaccinés ou pas à l’ARN messager, des millions d’Occidentaux ont « fait le covid » en 2021 et 2022. En évitant les formes graves ? Si cette foutaise était vraie, on aurait dû voir un « effet vaccin » dans les chiffres de mortalité. Or comme le souligne le général Delawarde dans son dernier rapport, on ne voit aucune trace d’un « miracle vaccinal » s’étant produit dans le monde depuis l’arrivée du messie en seringue. En 2021, le nombre officiel de décès covid (3,62 millions) a même été supérieur à celui de 2020 (1,83 million). Selon Dominique Delawarde, il est manifeste que les vaccins Pfizer et Moderna ont une efficacité négative puisque sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité covid 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millier d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. D’où vient ? C’est à tout le moins la preuve chiffrée que les vaccins expérimentaux occidentaux ont échoué à combattre la maladie ciblée. Les vaccins classiques ont-ils fait mieux ? On peut en douter puisque 90 % des Chinois ont reçu le vaccin développé en Chine et que cette couverture optimale n’a pas permis d’éviter de nouvelles flambées épidémiques. Il faudrait voir ce qu’il en est en Russie et à Cuba, deux autres pays « inventeurs » de vaccins anticovid, mais il serait de toute façon difficile de distinguer le ralentissement naturel de l’épidémie d’un éventuel impact des valences locales. En revanche, il y a un continent entier qui fait office de groupe témoin : vu que l’Afrique est très peu vaccinée et qu’elle reste très peu concernée par le covid, on peut rationnellement postuler qu’aucun vaccin n’était nécessaire pour affronter le cataclysme. En continuant à bien se porter sans se faire piquer, les Africains torpillent le dogme pasteurien selon lequel un nouveau virus couronné aurait pris la planète d’assaut en 2020.

12) L’immunité collective, on l’attend toujours

La vision pasteurienne des maladies infectieuses est d’autant plus révolue qu’un autre mythe fondateur venant de Pasteur s’est fracassé à l’occasion de la « crise sanitaire » : celui de l’immunité collective. Quand ils ont vu que cette protection de troupeau faisait défaut, les prélats de l’église vaccinaliste se sont vite rabattus sur le taux d’infections naturelles. Celui-ci grimpant en flèche « grâce » aux nouveaux variants, la collectivité serait bientôt immunisée par l’effet cumulé des campagnes vaccinales et de la propagation virale. Las, la réalité est encore venue démentir les modèles et le Graal de l’immunité grégaire n’a jamais été atteint. Tout le monde connaît quelqu’un qui, vaxxé ou pas, a contracté plusieurs fois la maladie. Et c’est bien normal puisque la notion de bouclier collectif est une fumisterie totale. Elle a été inventée en son temps pour expliquer la décélération progressive des épidémies et leur disparition, mais cette mythologie n’a jamais été scientifiquement validée. Les maladies infectieuses ont toujours disparu bien avant que le seuil théorique de contamination ou de vaccination pour les faire cesser ne soit atteint. Certes, le covid se singularise puisque ce stade est allègrement dépassé (selon les estimations, près de 90 % de la population auraient déjà rencontré le virus d’une manière ou d’une autre) et que des « vagues » continuent à déferler. Mais c’est justement une preuve supplémentaire que cette fable de l’immunité collective ne repose sur rien. Comme nous l’avons étayé dans un dossier de Néosanté (N° 126 d’octobre 2022), l’immunité est par nature individuelle, car elle dépend du terrain de chacun (physique, psychologique, génétique…) et non de celui du voisin. Les micro-organismes sont innocents des pathologies dont on les accuse, car le système immunitaire lui-même n’a rien à voir avec un dispositif militaire chargé de mener une guerre. Ça, c’est ce que Néosanté avait expliqué en octobre 202 dans un dossier sur « La symbiose ignorée » rédigé par le Dr Éric Ancelet. Depuis lors, le parapluie commun promis en vain se fait toujours attendre…


13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8 % selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99 % des vaccinés ont développé des anticorps, mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi a révélé qu’aux États-Unis, 84 % des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16 % des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales. Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34 % des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures, maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques). Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60 % des cas au cours de la première saison et dans 44 % des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20 % des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal, mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité, car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là ! Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan, Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade, isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat, mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée, mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient, mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter, mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel. On comprend que les censeurs ont vite réagi, car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(25 commentaires)

  1. Lorsque l’on mélange fausse vérité et que l’on tire des mensonges d’approximations et de manipulations; on arrive à ce genre de textes.

    D’ailleurs la réalité n’existe pas, nous vivons dans une matrice. Ce genre de texte déconsidère en une seule fois tout « complotisme » pointant les erreurs du gouvernement. Il n’y a même pas d’effets secondaires et les « vaxXxins » ne sont que de l’eau salé avec un puce 5G pour nous contrôler à distance et ce sont les gens qui se suicident parce que la « prise en main » se passe mal.

    Pasteur était un reptilien qui voulait nous asservir pas ses injections (et il n’était pas le premier puisqu’avant lui ont commençait à décimer volontairement avec la « variolisation »), la grippe espagnole, la peste, et autre épidémies n’étaient que les premiers effets de la 7G extraterrestre, l’extinction des civilisations précolombiennes venait de la première mise en œuvre de électricité, quant aux égyptiens, ils furent « détruit » par le réchaudissement climatique provoqué par les moteur à propulsion des extra terrestres qui leur avait construit les pyramides.

      1. J’ai déjà argumenté de nombreuses fois. Il n’y a plus rien à dire.

        Le livre de pierre chaillot ne parle pas de contamination et à chaque fois il explique qu’il ne sait pas de quoi les gens sont morts (ce qui est quand même le cœur du problème de ces 3 ans). il a décalé les courbes pour des raisons obscures et affirme du coup qu’il n’y a pas contamination car tout tombe en même temps. Il décide que tout dépend du froid, alors que des gens sont morts (des mêmes symptômes) en juillet-aout. Il ne reste qu’à affirmer alors Qu’ils sont morts d’autres choses ‘(mais sans dire de quoi…) Et si tout tombe en même temps (forcément si on décale les courbes pour les recentrer, on perd les débuts de l’épidémie), c’est à cause de sa construction mathématique.

        Sur ce point, on peut dire que le « covid » n’a pas démarré en décembre 2019 à wuhan, mais bien plus tôt aux USA et qu’il était déjà répandu dans le monde entier début 2020, mais classé dans tout plein de trucs différents car c’était une/des « maladies » inconnue.

        Dans l’absolu, on SAIT qu’il y a contagion. On SAIT qu’il y a des pathogènes. On SAIT que des gens sont morts (même les non soignés sont bien morts de quelque chose).

        Que les « virus » n’ont pas été isolés comme machin chose le préconisait ne veut pas dire qu’ils n’existent pas. Je suis contre les vacxXxins (tous les vaxXxins). MAIS cela ne veut pas dire que la rougeole n’existe pas. Qu’ils aient coté covid à tort et à travers ne veut pas dire qu’il n’y a pas eu une maladie. que les tests ne doivent pas servir à faire de diagnostique (malades asymptomatiques ! !) qu’ils doivent être calibrés avec précisions (nombre de cycles – sensibilité) et en choisissant avec une attention particulière ce que l’on doit chercher (la/les protéines – spécificité) est un fait. Mais cela ne fait pas disparaître les cas qui étaient malades. L’hypoxie heureuse a été _pour la première fois_ identifiée à très large échelle. Et il est peu probable que ce soit à cause de la 5G.

        Pasteur en sus des vaxXxins a inventé la « pasteurisation » qui vous permet d’avoir du lait et du fromage toute l’année sans habiter à côté d’une ferme. Bien entendu que le concept de vaxXxination ne fonctionne pas, par construction, mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de pathogènes qui peuvent se transmettre.

        Ce genre de délires déconsidère auprès de la majorité des gens en affirmant des choses que l’observation et l’expérience des gens montrent que c’est faux. Parce que la démarche scientifique ce n’est pas affirmer des choses. C’est d’abord, à partir d’observation construire une/des théories et de construire des expériences qui challengent les théories.

        Sa théorie que les virus ‘existent pas ne vient d’aucune observation. Un super exemple que la contamination et les virus qui n’existent pas est d’avoir des relations sexuelles « dangereuses » avec des personnes séropositives et ayant le sida. C’est partager sa seringue avec un malade ayant une hépatite. c’est se fire injecter un produit sanguin non traité d’une personne ayant le sida et/ ou une hépatite. Si une personne montre par des expériences « renouvelées » (plusieurs fois et plusieurs sujets différents) et qu’aucun des sujets ‘a attrapé aucune des « maladies », je veix bien revenir à la table des discussions.Pour comprendre pourquoi pour d’autres observations on n’arrive pas à la même conclusion. Parlez d’ondes, de 5g, de graphène et autres « bondieuseries » n’est pas une « discussion sérieuse ».

        Par exemple allez demander à des parents de la génération d’enfants nées dans le début des 70’s à quoi servaient les après-midi rougeole. D’ailleurs on savait même gérer la chose (garder les malades au chaud). On observe même les effets de la vaxXxination avec un virus qui « circulent moins », elle attrape les bébés (parce que la maman n’est plus protégée, et donc ne transmet plus d’anticorps (ou autre chose que l’on a pas déterminée, ca la médecine n’est pas un science mais une pratique )) et les adultes (parce qu’ils ne sont plus protégés). Parce que l’idée du vaxXxin pour la vie est un idée débile juste pour pousser les gens à se vaxXxiner : une fois et on est tranquille. En fait on l’attrapait petit, et on la ra-attrapait régulièrement (sans symptômes – sans être malades) régulièrement au cours de sa vie (les petits cousins, puis ses enfants, puis les enfants des autres, puis ses petits enfants….

        Cette _observation_ est la « preuve » que la contamination existe. On a même l’observation AVEC la circulation de la maladie et SANS la circulation qui change la cible des malades à cause de la perte de protection par les contaminations précédentes.

        Rayer d’un trait de plume cette réalité en affirmant n’importe quoi sans preuve n’est pas de la science, mais une dissertation un poil fantasque.

        Pour le dire autrement, j’ai perdu pas loin de 60 minutes à expliquer à un religieux que son dieu n’existe pas.

        1. Penchez-vous sérieusement (et sans a priori) sur l’influence des champs électriques et des ondes électromagnétiques pulsées sur le vivant.

          Pour ce qui est du recentrage des courbes, il est quasiment obligatoire de le faire compte tenu des différences entre les régions pour ce qui est de l’apparition du froid, du moins si l’on cherche effectivement à démontrer son influence importante. Par ailleurs, il est largement admis et reconnu que les maladies respiratoires sont prépondérantes pendant la saison hivernale (qui se situe en été dans l’hémisphère austral). Mais bizarrement (du moins dans le cadre de la théorie virale et de la contagion par virus), la saison grippale de l’Australie y reste alors cantonnée, malgré le nombre non négligeable de voyageurs qui se rendent dans l’hémisphère nord.

          Toujours concernant les courbes qui prétendent démontrer la contagion, par une analyse poussée, en dérivant ces courbes, Pierre Chaillot a démontré qu’il ne s’agissait aucunement de processus exponentiels, contrairement à ce que la théorie en vogue prévoit en matière de contagions. Elles suivent plutôt une courbe de Gauss qui elle est conforme à un modèle basé simplement sur la résistance plus ou moins grande à des facteurs d’agression (froid et ondes, par exemple). Ceux qui sont touchés en début de courbe (et sans avoir rencontré préalablement d’autres grippés ou malades) sont les plus faiblement résistants. Ceux du milieu sont ceux à résistance moyenne. Et ceux en fin de courbe sont les plus résistants parmi les affectés. Ils résistent plus longtemps à l’agression. Et bien sûr ceux en meilleur état général de santé et à la plus grande vitalité ne sont pas touchés, quel que soit le nombre de grippés rencontrés.

          Dans l’absolu nous ne savons rien du tout de la contagion. Seul Dieu le sait (et s’il existe bien).
          Vous ne savez pas non plus s’il y a des pathogènes en dehors de répéter les croyances à ce sujet, de la même manière qu’au moyen-âge ils savaient tous que la Terre était plate.

          Vous ne vous êtes visiblement jamais penché de près sur les découvertes et démonstrations de Stefan Lanka. Pour toute personne qui a une certaine connaissance de la méthodologie scientifique, il a implacablement démontré que la virologie actuelle n’est pas une science, et qu’aucune démonstration scientifique de l’existence de virus pathogènes n’a pour l’instant été réalisée. Ce n’est pas parce que le monde entier croyait jusqu’à il y a peu à leur existence que c’est vrai.

          Vos après-midi rougeole ne démontrent aucunement l’existence de virus pathogènes, mais tout au plus dans ce cas (qui reste largement à confirmer par des observations et des études réellement scientifiques) qu’une sorte de phénomène de transfert de symptômes a eu lieu. C’est la seule chose que l’on peut conclure à ce stade. Il reste à démontrer rigoureusement ensuite si la cause de la similarité des symptômes est la même que pour l’individu ayant contracté la maladie en premier. Ceci n’a (probablement) jamais été réalisé. Mais un tel transfert de symptômes peut parfaitement s’expliquer par le phénomène maintenant connu et démontré scientifiquement de la communication cellulaire par biophotons.

          1. Je vous ait dit que je perdais mon temps.

            C’est une religion e je n’y peux rien.

            Chaillot est à coté de la plaque. Les « épidémies » ne sont pas exponentielles mais gaussiennes. Et cela ne règle pas le coup des morts de l’été. Sur les ondes électromagnétiques, allez expliquer cela sur les « épidémies du moyen age ».

            Mais c’est une perte de temps. je parle à un mur, qui comme les médecins de platô, déroule son script qui est juste une opinion basé sur des théories qui ne résistent pas à l’observation.

            En fait « vous » êtes un don quichotte qui se bat contre les moulins à vent des platô télé et pour se faire montre leurs mensonges pour affirmer que rien n’est vrai.

            TOUT ce qu est dit ici se heurte à la simple observation. Ce qui a fait pété l’histoire ambiante, est ce que les gens ont vu.Et ce que les gens ont vu rend cette théorie incohérente : ou les médecins ont menti, mais non il n’y a pas de reptiliens.

            Comme les « vieux » meurent pratiquement tout le temps en hiver, on est immortel, c’est juste le froid qui nous tue

            1. les épidémies du moyen-age n’étaient pas des épidémies de grippe. La peste, par exemple, était bien plus mortelle que le pseudocovid.
              Voir le livre d’Arthur Firstenberg : l’histoire de l’électricité et de la vie.
              Une bonne centaine de pages de références et de sources. Les épisodes de grippe les plus fortes coïncident avec les périodes d’électrification, puis des satellites, puis du sans-fil…
              La contagion de la grippe n’a JAMAIS pu être prouvée, malgré des tests chez les militaires US, par exemple, au début du XXe siècle. C’est donc encore à ce jour une hypothèse. Une hypothèse n’est pas une preuve, même si la médecine actuelle se base sur des hypothèses comme si elles étaient prouvées.
              Quant aux maladies infantiles, c’était une folie d’avoir tenté de les empêcher par des pseudovaccins qui empoisonnent les enfants et c’est tout. Toutes les courbes de mortalité de ces maladies étaient déjà très faibles avant l’introduction des vaccins, même parfois avant la découverte du pathogène. Enfin, la croyance en la découverte du pathogène.
              La vision réductrice : un pathogène, une maladie, est assez puérile dans la médecine. La maladie est un phénomène complexe.
              La virologie est une fausse science (avec de jolies images de synthèse de méchants faux virus) créée pour imposer la vaccinologie et ainsi assurer des bénéfices énormes aux pharmas. Il n’y a rien de scientifique là-dedans. Heureusement, c’était si gros cette fois avec la fausse pandémie, que bien des gens ont ouvert les yeux. Malheureusement le prix à payer est gigantesque et effroyable pour beaucoup.

            2. Vous n’avez pas non plus lu l’article https://nouveau-monde.ca/nouvelle-lumiere-sur-la-peste-noire-la-connexion-cosmique/.
              Il montre bien la cause probable des rares épidémies au moyen-âge et la raison pour laquelle les comètes et météores étaient perçus négativement.
              Et des astronomes ont aussi découvert une forte corrélation entre les épisodes grippaux (plus rares également dans le passé) et les cycles d’activité solaire.
              Mais comme vous tenez mordicus à votre croyance, vous ne voulez surtout pas risquer de la remettre en question en vous plongeant sérieusement et sans a priori dans tous les articles que je vous ai déjà proposés.

              1. Vous aussi avez des croyances, fausses au demeurant : la « pasteurisation » n’a pas été inventée par votre héros Pasteur l’imposteur, mais par Nicolas Appert.
                De même que la vaccination est l’idée d’Edward Jenner.
                Votre héros, ou plutôt zéro était un médiocre chercheur qui n’a fait que voler et s’approprier le travail des autres lorsqu’il le pouvait.
                Il n’a pas pu dérober le travail de l’immense Antoine Béchamp sur les microzymas.
                Au fait, l’héliocentrisme ne tient pas la route.
                Bon atterrissage.

              2. À qui est destiné votre commentaire ?
                Nombre d’articles du site, particulièrement dans le dossier Vaccins et virus, s’en prennent à Pasteur et aux théories qui en découlent (particulièrement la théorie virale, mais aussi celle des germes), bien loin de les défendre.
                Pourquoi parler de l’héliocentrisme ici ?

              3. Erreur désolé, mon commentaire ne vous étais pas destiné, il était pour Hervé.

  2. Tous ces arguments sont intéressants. Mais alors, de quoi parle Raoult (entre autres) quand il évoque les innombrables mutations du Sars-Cov 2, quand il explique que la 1ère d’entre elles est apparue en Italie, quand il affirme détenir des centaines de génomes de ce virus etc. ?

    Par ailleurs, lors d’épisodes grippaux, il me semble que les médecins du réseau Sentinelle ne signalent pas les cas au même moment selon les régions de France, suggérant ainsi une propagation.

    1. https://nouveau-monde.ca/linvention-du-sars-cov-2/ commente le rapport très pointu d’un mathématicien allemand démontrant comment les virologues fabriquent de manière logicielle des « génomes » viraux qui n’ont aucune assise réelle.
      https://nouveau-monde.ca/comment-lanalyse-du-genome-cree-des-virus-fictifs/ et https://nouveau-monde.ca/comment-creer-votre-propre-nouveau-virus-genere-par-ordinateur/ sont plus abordables que le rapport du mathématicien allemand évoqué ci-dessus.
      Ces génomes sont seulement des constructions mentales obtenues par logiciel, comme les trois articles cités le démontrent. En vraie science, l’argument n’autorité n’a aucune valeur. Ce qui compte ce sont les faits, l’expérimentation reproductible et la logique démonstrative.
      L’Italie, Wuhan, l’Iran et la Corée du Sud et quelques autres villes chinoises sont les premiers endroits à avoir utilisé la 5G. Et ce sont les premiers lieux à avoir connu des symptômes grippaux dénommés Covid. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/rappel-la-chine-la-5g-et-le-coronavirus-de-wuhan-le-nouveau-virus-de-lempereur/
      Le froid ne s’installe pas exactement au même moment dans les diverses régions.

      1. Les faits : des gens sont tombés malade, puis ont contaminé d’autres gens d’une maladie que l’on pouvait identifier par quelques symptômes récurrents (saturation O2 faible, perte de goût et odorat, atteinte aux poumons, hypoxie heureuse, fièvre, grande fatigue) que l’on pouvait soigner avec les _même mollécules_ (hydroxychloroquine, azythromicyne, ivermectine, doxycicline) (zync, vit D3… aidait le système à se soigner seul en boostant le système immunitaire (qui protège pas de la 5G) et qui entraînait la mort des gens « plus fragile » (même si ce n’était pas forcément visible) si on les laissait sans soin. et TOUS LES MALADES étaient positif aux fameux « test ».

        Cette simple observation remet en cause la totalité des discours rien n’existe. Même si le test pcr n’est pas une vérité absolue, cela fait quand même un sacré ensemble de coïncidences qui vont toutes dans le même sens.

        1. La relative proximité temporelle de malades ressentant les mêmes symptômes ne peut aucunement démontrer à elle seule de manière scientifique l’éventualité d’une contagion épidémique, car la cause peut être une exposition collective à un phénomène touchant une ou plusieurs régions. En l’occurrence, un des facteurs pouvant engendrer des symptômes grippaux ou covidiens est (très probablement) les champs électriques et les ondes électromagnétiques pulsées, étant donné la nature électrique très sensible du corps et les phénomènes physiques pouvant perturber les courants électriques (dont l’induction magnétique). Des milliers d’études ont démontré l’impact des ondes électromagnétiques (même non ionisantes) et des champs électriques sur le vivant.

          Et de nos jours, il est facile d’exposer de vastes zones à une même cause :
          — contamination de l’eau ou d’aliments par des toxines ;
          — polluants atmosphériques (comme à Est Palestine, récemment) ;
          — 5G activée dans une région (ou dans l’espace par Musk, par exemple) ;
          — ligne à haute tension ;
          — …

          Mais il est plus facile pour les industries (pharmaceutiques, télécoms, minières, agroalimentaires…) d’incriminer des ennemis invisibles, les supposés virus, que de remettre en question leur business juteux (vaxins, 5G, toxines minérales trouvées dans les mines, pesticides…) et d’inventer tout un tas de maladies nouvelles pour cacher les vrais coupables.

          1. « En l’occurrence, un des facteurs pouvant engendrer des symptômes grippaux ou covidiens est (très probablement) les champs électriques ».

            Si ma tante en avait….

            Votre phrase ne peut aucunement démontrer à elle seule de manière scientifique l’éventualité d’une contagion par les champs magnétiques. Vous avez le droit de vous asseoir sur la rigueur d’une démonstration scientifique que vous demandez aux autres.

            la « grippe » « espagnole » de 1918, c’était la 5G, c’est bien connu

            1. La grippe espagnole, c’était juste après le déploiement du premier grand réseau radio du monde, d’avril 1917 à début 1918 par l’armée US. Des fréquences artificielles inconnues par les êtres vivants jusque-là.

              Chapitre VII de l’Arc en ciel invisible; L’histoire de l’électricité et de la vie. Arthur Firstenberg : Maladie électrique aiguë
              + Chapitre VIII sur les essais de contagion (tout est sourcé).

              Publication du Dr Magda Havas, spécialiste de l’étude des effets des ondes et champs électromagnétiques artificiels depuis des années : https://magdahavas.com/5g-and-mm-waves/is-there-an-association-between-covid-19-cases-deaths-and-5g-in-the-united-states/

              Et une autre en français. San Marino, état test de la 5G. Le plus grand nombre de morts pendant la plandémie : https://alerte.ch/images/stories/documents/info/Covid-19_vs_5G_or_High_RF_Exposure_IR.pdf

              Maintenant, absolument inutile d’argumenter si vous n’avez pas lu ce livre ou si sa lecture ne vous intéresse pas. On ne peut pas donner un avis sérieux sur un sujet que l’on ne connaît pas. Et visiblement vous ne connaissez pas grand-chose à l’impact sanitaire des champs électriques, magnétiques, et des ondes électromagnétiques. Je ne perdrai donc pas mon temps à réagir.

              Bien à vous.

            2. Encore un élément :

              Les symptômes pseudo-grippaux, perte du goût et de l’odorat, essoufflement, etc. étaient connus depuis les années 1940-1950 chez les militaires opérant sur des radars.
              Voir les milliers d’études soviétiques, ainsi que US NAVY.
              https://zoryglaser.com/document-library/

              Renseignez-vous correctement avant de proférer des erreurs sur un ton péremptoire.

            3. Vous n’avez pas non plus lu les articles du site qui évoquent la « grippe » prétendument « espagnole » :
              https://nouveau-monde.ca/covid-arnaque-lhistoire-de-la-grippe-une-histoire-importante-pour-en-parler-autour-de-vous/
              https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-theorie-des-germes-documentaire/
              https://nouveau-monde.ca/le-covid-a-travers-la-theorie-des-germes-150-ans-descroquerie-scientifique-sur-les-virus/
              https://nouveau-monde.ca/le-ciel-nous-tombe-sur-la-tete-le-ciel-nous-tombe-sur-la-tete/
              Vous vous contentez de répéter ce qu’on vous a appris.
              Un véritable scientifique remet toujours en question ses théories (qui par essence doivent être contestables, ce qui n’est visiblement plus le cas de la virale). Il doit les mettre à l’épreuve de multiples manières, chercher à les prendre en défaut. Et c’est ce qu’a fait Stefan Lanka qui a depuis tellement honte de la virologie qu’il ne veut plus se faire appeler virologue. Une théorie qui comporte tellement de failles et que les nombreuses rustines ajoutées ont rendue incohérente en la transformant en doctrine religieuse sectaire.

  3. Et sur tout cela, je vous fiche mon billet que s’il y a des procès à propos de la gestion du covid, on ne pourra même pas sortir les analyses de chaillot pou montrer les manipulations parce que les avocats des politiques sortiront ces discussions expliquant celui qui montre la surmortalité des vaxXxins et la non sur-mortalité du covid affirme que c’est à cause du froid et qu la contagion n’existe pas.

    Pour régler le problème raoult, ils expliqueront que le bougre explique que le vieux est _obligatoirement_ naturel (chez berkoff) Alors que tout le mode sait, et que les preuves sont là, et donc comme il se trompe sur là, ce qu’il pense sur le reste peut prêter à confusion.

    ILS ont déjà gagnés. Mais de toute façon…

    1. Vous n’avez pas non plus lu les articles qui montrent qu’il n’y a pas eu de surmortalité covid notable dans la plupart des pays, voire mondialement, excepté parmi les aînés (en France et au Québec au moins) pendant la brève période où ils ont été abandonnés sans soins ou achevés à coup de Rivotril.
      Vous n’avez pas lu non plus ceux qui témoignent des magouilles hospitalières pour faire passer des morts accidentelles ou de cancer ou de quoi que ce soit d’autre pour des morts covid, ceci dès que la victime avait eu un résultat positif au test PCR qui ne peut nullement servir de diagnostic médical et a seulement servi à créé des faux malades. En plus, les hôpitaux touchaient un bonus en cas de déclaration covid au lieu de grippe ou d’autre chose.
      Votre mention de Raoult ne me paraît pas très claire. Pourriez-vous la reformuler ?

    2. Y a t’il eu un nouvel agent pathogène qui engendre la COVID 19 ?
      Cette question je me la pose depuis un an.

      Cette maladie a t’elle des symptômes spécifiques ?

      Un méta étude publiée en 2020 dans Cochrane30 nous apporte des éléments troublants :
      « Nous avons identifié 16 études portant sur 7 706 participants au total. La prévalence de la
      maladie COVID-19 variait de 5 % à 38 %.
      Nous avons trouvé des données sur 27 signes et symptômes, qui se répartissent en quatre
      catégories différentes : systémiques, respiratoires, gastro-intestinaux et cardiovasculaires.
      Sur la base des données actuellement disponibles, ni l’absence ni la présence de signes ou de
      symptômes ne sont suffisamment précis pour confirmer ou infirmer la maladie »

      16 études, 7700 participants et impossible de conclure à l’existence d’une nouvelle maladie !

      Sur la transmission :

      Des études sur la transmission ont été menées au début du 20 éme siécle

      Notamment celle du Dr Rosenau qui n’a pas pu en fournir cette preuve avec la grippe espagnol :
      Rosenau14
      L’objet était d’infecter par la grippe espagnole réputée extrêmement dangereuse par 100
      « volontaires » sains et sans symptômes, fournis par la Navy.
      « Ensuite, nous avons procédé au transfert du virus obtenu à partir de malades ; c’est-à-dire
      que nous avons recueilli les sécrétions matérielles et muqueuses de la bouche, du nez et des
      bronches de 19 malades et les avons transférées à nos volontaires. Nous avons toujours
      prélevé le matériau de la manière suivante : le patient fiévreux, au lit, a devant lui un grand
      aménagement peu profond en forme de plateau, et nous avons lavé une narine avec une
      solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cc, qui est autorisé à couler dans ce plateau ; et
      cette narine est soufflée vigoureusement dans le plateau. Cela est répété avec l’autre narine.
      Le patient se gargarise ensuite avec la solution. Ensuite, nous obtenons du mucus bronchique
      en toussant, puis nous tamponnons la surface muqueuse de chaque narine et aussi les
      muqueuses de la gorge. »
      Ensuite, ils ont mélangé toutes les « trucs » ensemble et ont pulvérisé 1 cc du mélange dans
      chacune des narines de 10 volontaires, et « dans la gorge, tout en inspirant, et sur l’œil » et ont
      attendu 10 jours pour que les volontaires tombent malades. Cependant, « aucun d’entre eux
      n’est tombé malade de quelque manière que ce soit ». »
      Rosenau MJ : I. Series of experiments at Boston, November and December, 1918. Hygienic Laboratory U.S.P.H.S.
      Bulletin 1921

      Schématiquement :
      La présence de la cause doit entraîner la présence de l’effet, l’absence de l’effet doit entraîner symétriquement l’absence de la cause.
      Voir les postulats de Koch.

      Pour avoir davantage de source :
      http://mai68.org/spip2/spip.php?article13797

      A la lecture de livre virus-mania
      https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782874341830-virus-mania-corona-covid-19-rougeole-grippe-porcine-grippe-aviaire-cancer-collectif/
      On constate un schémas commun :
      Le virus n’a jamais était isolé et chaque fois un test bidon a été créé.

      1. Le covid c’est le copié-collé du SIDA :
        Une liste de symtômes fourre-tout tellement longue que beaucoup de personnes peuvent être étiquetées SIDA
        Un faux test PCR
        Fauci était au NIH depuis 1984. C’est lui qui était aux commandes du fameux SIDA. Il a reproduit le même scénario en 2020 avec le pseudocovid. Avec bien plus de succès cette fois.
        Le docteur David E. Martin l’a expliqué dans une brillante conférence, doublée en français (sur odysee) : L’illusion de la connaissance
        https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/David-Martin-part-1:0

  4. Ne pas oublier que le vaccin grippal de 2019 contenait déjà du graphène
    expliquant certains décès

    1. Oui, et qu’en Italie du Nord, une énorme campagne de vaccination anti-grippe et anti-méningite a été faite en 2019-2020…
      Les gens sont morts empoisonnés et non soignés.

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