Mémorandum sur les armes électromagnétiques et psychotroniques et les techniques de contrôle mental de l’esprit humain

26/09/2024 (2024-09-26)

Par Hélène PELOSSE et Frédéric MORIN

Septembre 2024

Objectif de ce document

Ce document de synthèse a pour objectif de lever l’ignorance au sujet du niveau de recherche atteint dans le domaine de la connaissance et du contrôle du cerveau humain. Il vise à faire connaître l’existence des technologies et armes développées dans ce domaine par tous les pays industrialisés, et leur utilisation, notamment sur des personnes ayant été torturées et programmées dans les rituels dits MK-Ultra, sur des opposants à l’État profond, voire sur de simples cobayes humains pour tester ces armes, et maintenant, sur des populations entières.

La synthèse que vous avez entre les mains a été établie par Hélène PELOSSE, elle-même survivante de rituels MK-Ultra (qui témoigne dans le dernier film de Pierre Barnérias, les Survivantes), sur la base d’articles écrits par Frédéric MORIN, fondateur et chef rédacteur du magazine Motus devenus Morphéus (www.morpheus.fr). Nous sommes tous deux la cible de l’État profond et torturés depuis des années par armes électroniques et psychotroniques (ce terme vient de la contraction des mots psychologie et électronique).

Nous SAVONS, par l’expérience et la souffrance dans notre chair, notre psyché et notre esprit, ce que ces armes peuvent faire.

En bref, tout ce qui vous est exposé dans ce document représente une lutte contre d’immenses difficultés et d’atroces souffrances. Et l’une de ces difficultés est celle qui consiste à parvenir à reprendre possession de ses propres fonctions cérébrales quelques heures afin de pouvoir écrire et d’expliquer ces crimes contre l’humanité.

État de la science dans le domaine du contrôle du cerveau humain

L’état de la science est tel que l’on sait aujourd’hui parfaitement simuler artificiellement l’activité interférométrique de n’importe quelle zone du cerveau humain. De ce point de vue, ce qui est présenté dans les films comme de la science-fiction… ne l’est pas et ne reflète pas moins que l’état de la science actuelle.

Il convient de rappeler que le corps humain, tout comme un ordinateur, contient une myriade de processeurs de données, notamment :

  • l’activité chimique et électrique du cerveau ;
  • l’activité chimique et électrique du cœur et du système nerveux périphérique ;
  • les signaux envoyés de la région corticale du cerveau à d’autres parties du corps ;
  • les minuscules cellules ciliées de l’oreille interne qui traitent les signaux auditifs ;
  • la rétine et la cornée sensibles à la lumière qui traitent l’activité visuelle de l’œil.

Tous ces processeurs peuvent être manipulés ou affaiblis par des armes psychotroniques (contraction de psycho-électroniques) qui recourent à tous les moyens possibles (technogéniques, suggestifs, pharmacologiques, paranormaux, etc.) pour influencer de façon cachée et forcée la psyché d’une personne, dans le but de modifier sa conscience, son comportement et sa santé physique et mentale.

Le terme « torture psychotronique » ou « harcèlement électronique » recouvrent une forme très sophistiquée de torture technologique à distance, invisibles et non traçables, dans le but de détruire psychologiquement et physiologiquement la personne, en l’invalidant ou en la tuant.

Le terme « contrôle mental » recouvre toutes les tentatives secrètes d’influencer les pensées et le comportement des êtres humains contre leur volonté (ou à leur insu).

Un cerveau humain est un processeur magnéto-électro-chimique à impulsions micro-électriques qui interprète une multitude d’ondes électromagnétiques et les retranscrit spatialement et temporellement à la conscience d’un individu.

À titre d’exemple, quand on voit du rouge ce n’est que par convention qu’on dit qu’il s’agit de rouge. En fait, les cellules de la rétine reçoivent une longueur d’onde d’environ 650 nanomètres à une certaine fréquence. Par réaction chimique, une impulsion nerveuse est déclenchée et traitée par le cortex et est convertie en information « rouge ». Techniquement et à titre d’exemple, il est très facile de court-circuiter ce processus en envoyant l’information « rouge » directement au cortex qui ne pourra absolument pas faire la différence et la personne ciblée se forgera l’idée que telle chose était rouge. Le court-circuitage du sens visuel est alors total.

Avec l’assistance de l’intelligence artificielle, il est ainsi devenu possible de remodeler un cerveau à distance en modifiant l’inconscient puis le conscient d’un individu. De fait, la 5G, la densification du smog électromagnétique, la nanochimie, les modifications cytologiques et génériques constituent des extensions intégrées de ces technologies (y compris le fameux « vaccin » antiCOVID). Les cerveaux humains sont ainsi baignés, modulés et asservis par les techno-scientifiques aux commandes du formatage cérébral des populations.

Zbigniew Brzezinski lieutenant de David Rockefeller l’a prophétisé :

« La société sera dominée par une élite de personnes libérées des valeurs traditionnelles qui n’hésiteront pas à réaliser leurs objectifs aux moyens de techniques épurées avec lesquelles ils influenceront le comportement du peuple et contrôleront la société dans tous les détails, jusqu’au point où il sera possible d’exercer une surveillance quasi permanente sur chacun des habitants de la planète. Cette élite cherchera tous les moyens pour parvenir à ses fins politiques, comme de nouvelles techniques pour influencer le comportement des masses, ainsi que pour obtenir le contrôle et la soumission de la société ».

Un transhumaniste comme Laurent Alexandre décrit notre cerveau comme « un ordinateur fait de viande ». Quant à Marc Roux, président de l’association française transhumaniste, il affirme :

« Nous avons aujourd’hui les outils pour intervenir sciemment sur notre propre condition. Nous pensons qu’il peut y avoir de bonnes raisons de modifier notre biologie, même de manière invasive, radicale et irréversible. »

En Suisse, le Human Brain Project, largement financé par l’Union européenne, a pour but de créer un cerveau artificiel en travaillant sur les interactions entre les neurones et des processeurs électroniques.

1. L’historique des recherches et les brevets déposés

1.1. Des programmes initiés par l’URSS et les États-Unis après la Seconde Guerre mondiale

1.1.1. Les programmes aux États-Unis et en URSS

Depuis la Seconde Guerre mondiale de nombreuses technologies de contrôle mental ont été développées aux USA et en Union Soviétique. Les Russes ont été des pionniers dans bien des domaines à Novossibirsk dans les années 50. Armes psychotroniques et armes scalaires sont issues de ces recherches.

Ainsi Staline ordonna, dans le plus grand secret, des études poussées sur les phénomènes médiumniques et télékinésiques observés chez les moines bouddhistes. Les Russes découvrirent que certaines molécules composant l’air étaient le support des ondes psychiques pour la vision à distance. En supprimant ce vecteur porteur dans l’air, aucune voyance n’était plus possible. Les découvertes et vecteurs potentiels de modification du comportement humain étaient si étendus que les armées russes ont été équipées de casques protégeant électroniquement le cerveau de chaque soldat dès la fin des années 60.

Outre-Atlantique, les principales recherches pour transformer des gens normaux en tueurs ou pour procéder au conditionnement indu des consciences ont été effectuées par la CIA et l’US Army sous le nom de code Projet Chatter (1947-1953), Project Bluebird (1951-1953), Project Artichoke (1951-1953) et Project MK-Ultra (1953-73). Ces programmes, qui étaient conduits par des scientifiques nazis retournés par les États-Unis (Opération Paperclip), ont exploré les conséquences de l’hypnose, de la privation sensorielle, de l’isolement, des abus sexuels, des drogues et de diverses formes de torture. Il s’agissait de répondre à la question :

« Nous est-il possible de contrôler une personne au point où celle-ci fera ce que nous lui demandons, même contre sa propre volonté, et y compris contre les lois fondamentales de la nature, comme celle de l’auto-préservation ? »

1.1.2. Le programme MK-Ultra

L’un des principaux objectifs de la maltraitance institutionnelle médicamenteuse et infantile dans le cadre des atrocités du programme MK-ULTRA de la CIA (années 1950 à 1970) était d’implanter des déclencheurs en utilisant une médication de « l’état crépusculaire » (semi-conscience) et une hypnose enregistrée sur bande et d’effacer ce jeu des déclencheurs pavloviens dans la mémoire de la victime. Les programmes MK-Ultra ont consisté à fracturer la psyché d’enfants selon une véritable science de la torture impliquant drogue, abus sexuels ritualisés, meurtres et tortures en tous genres.

Ces programmes permettent de faire émerger des personnalités dites « alter » et à conditionner des êtres humains à effectuer des tâches spécifiques (espions, tueurs, esclaves sexuels, etc.). Il existe des dizaines de programmations MK-Ultra qui ont permis de conditionner des enfants et d’infiltrer tous les secteurs de la société (mode, sport, politique, religion, éducation, économie, etc.) avec une armée de zombies dormants, que l’on peut réveiller et utiliser en tant que de besoin. Il existe notamment des programmes MK-Eglise qui ont conditionné des personnes à être consacrés et utilisés comme agents de l’État profond au sein de l’église hiérarchique (prêtres/évêques/cardinaux) et de l’église dite charismatique (ordres religieux).

Un déclencheur hypnotique [pavlovien] est une phrase ou tout autre signal sensoriel (couleur, odeur, son, etc.) sur lequel la victime est programmée pour agir involontairement d’une certaine manière. Les survivants MK Ultra des années 50-70 peuvent encore être déclenchés à partir d’une programmation réalisée il y a des décennies. Le nom « candidat mandchou », tiré du roman de Richard Thomas Condon (The Manchurian Candidate, 1959) et du livre de John D. Marks (À la recherche du candicat mandchou, CIA et Mind Control, L’histoire secrète des sciences du comportement », New York 1979), est utilisé pour décrire une personne qui porte des déclencheurs pavloviens.

Avec les progrès technologiques, en combinant la voix envoyée dans le crâne et les technologies du Son Silencieux Faible (Lowery Silent Sound), ces déclencheurs peuvent maintenant être implantés dans un sujet ignorant. Le Dr José Delgado (expérimentateur MK-Ultra et neuropsychiatre) a présenté un taureau radiocommandé et l’a piloté sur commande (registre du Congrès de la faculté de médecine de l’Université de Yale No. 26, Vol. 118, 24 février 1974).

Dans le cadre de recherche militaire, la NASA et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) ont travaillé pour faire du cerveau humain une simple interface sous total contrôle en dépit de la volonté ou des aptitudes de leurs cobayes humains. Leur premier cobaye ayant survécu à ces traitements fut Kelly O’Brien, fille de Cathy O’Brien, femme sous contrôle MK-Ultra à l’époque.

Née en 1980, Kelly fut soumise dès sa naissance à des harmoniques, des fragmentations mentales par électrochocs et reprogrammations mentales incessantes. Après deux années d’expérimentations intensives sur Kelly, la DARPA présenta Kelly à la Maison-Blanche pour l’exhiber. Elle était capable à 2 ans de tenir un discours complexe parfaitement articulé, contrôlé, avec la verbalisation et la conceptualisation d’un adulte cultivé. Cette démonstration a permis à la DARPA d’obtenir des fonds quasi illimités dans le cadre de ses recherches sur le contrôle de l’esprit humain.

Elisabeth Rauscher, physicienne nucléaire dirigeant le laboratoire de recherche technologique de San Leandro en Californie avait déclaré concernant ces travaux :

« Donnez-moi de l’argent et trois mois et je serais capable de modifier le comportement de 80 % des habitants de cette ville sans qu’ils le sachent. Je les rendrai heureux ou tout au moins, ils se croiront heureux, ou bien, je les rendrai agressifs ».

1.2. Les brevets déposés et le niveau de recherche atteint

1.2.1. Les brevets déposés dans ce domaine

Entre 1975 et 1998, des milliers de brevets militaires furent déposés concernant différentes technologies : la télépathie synthétique, le craquage du cerveau, la lecture de la pensée, l’hypnose silencieuse, la cartographie cérébrale, l’imagerie mentale, la modulation des facultés psychiques et parapsychiques, etc.

Ces brevets laissent entrevoir ce qu’il est possible de faire via un simple i-phone nouvelle génération.

On peut citer notamment :

  • Le brevet 3 393 279 datant de 1962 a pour but d’exciter le système nerveux d’un sujet via des ondes électromagnétiques. Il permet de communiquer des paroles à ce sujet, via des ondes émises à des fréquences non audibles en direction du système nerveux de la cible. Ce brevet en dit long sur ce qu’il était déjà possible de faire, il y a presque 60 ans.
  • Le brevet USP # 3 712 292 de janvier 1973 permet d’endormir quelqu’un par l’envoi de simples fréquences sonores.
  • Le brevet USP# 4 877 027 d’octobre 1989 est un système auditif à distance. Il permet d’induire des sons dans la tête d’une personne en l’irradiant au niveau de la tête avec des micro-ondes d’une gamme de 100 MHz à 10 000 MHz, modulées d’une manière précise, par rafales modulées. Chaque salve est constituée de 10 à

20 impulsions uniformément espacées et groupées étroitement ensemble. La longueur de la salve est comprise entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes. La cible aura ainsi l’impression d’entendre clairement un son. Patrick Flanagan est l’inventeur de cette technologie dite du Neurophone. Le Neurophone est un appareil qui transforme des sons ou musiques en impulsions électriques et permet de les faire entendre en court-circuitant l’appareil auditif. Utilisé avec succès sur une personne atteinte de surdité, cette découverte fut classée « Confidentiel Défense ».

  • Le brevet USP# 5 017 143 de mai 1991 est un procédé produisant des communications subliminales visuelles plus efficaces. Il s’agit d’images graphiques et/ou textes, présentés de manière subliminale, à des intervalles rythmiques organisés, destinés à influer sur la réceptivité de l’utilisateur, l’humeur ou le comportement. Ces images ne sont pas perceptibles consciemment.
  • Le brevet USP# 5 507 291 d’avril 1996 est un procédé et dispositif qui permet d’obtenir à distance des informations sur l’état émotionnel d’une personne. On peut géolocaliser l’individu et lui transmettre des ondes électromagnétiques modifiant son comportement. Il est possible d’agir sur le métabolisme de la cible, et de savoir par exemple, si la personne va faire une attaque cardiaque.
  • Le brevet USP# 5 552 386 de juin 1996 est aussi un procédé permettant de déterminer à distance l’état émotionnel d’une personne. Après avoir intégré lesdonnées des fréquences relatives aux émotions du sujet, un détecteur capte les changements de fréquences émises par le sujet. Il traduit alors ces informations pour décrire quel est l’état émotionnel de la personne visée. Ce système peut être très efficace dans le cadre d’un interrogatoire, d’autant que le système prend aussi en compte la pulsation du cœur, le débit sanguin, la dimension des pupilles, la respiration, etc. Ce système permet aussi de tester l’état d’un individu qui a des intentions criminelles. En effet, la plupart du temps, on relève un pouls qui bat plus vite, davantage de transpiration et une pression artérielle plus importante.
  • Le brevet USP# 5 539 705 de juillet 1996 est un traducteur vocal d’ultrasons et système de communication pour la conversion des fréquences radio et des signaux audio vers l’esprit humain. Ce système n’est pas détectable par des systèmes radio.

Il permet de convertir des signaux audio, y compris la voix humaine, en signaux électroniques de type ultrasons. Ces ondes pourront passer par des milieux solides, gazeux ou liquides. Les sous-marins utilisent ce type de système pour communiquer.

  • Le brevet USP# 6 052 336 d’avril 2000 est un appareil de radiodiffusion sonore utilisant des ultrasons comme un transporteur. On émet des ultrasons avec une amplitude et/ou une fréquence modulée, on les amplifie et on les diffuse pour atteindre un individu ou un groupe d’individus dans une zone précise. Les gens entendent ainsi un son dans leur tête et peuvent changer d’état émotionnel à gré.

Cette invention est destinée à neutraliser une foule récalcitrante en lui envoyant des sons neutralisants. Une telle technique peut être adaptée à un simple i-phone en vue de neutraliser un individu cible.

  • Le brevet USP# 6 091 994 de juillet 2000 vise la manipulation du système nerveux par pulsations. À l’heure actuelle, deux grandes résonances sensorielles sont connues, avec des fréquences proches de 1/2 Hz qui provoque la relaxation, la somnolence, ou même une excitation sexuelle suivant la fréquence, et 2,4 Hz qui provoque le ralentissement de l’activité du cerveau. On peut même endormir quelqu’un à distance.
  • Le brevet USP# 6 488 617 de décembre 2002 est une méthode et un dispositif pour produire l’état désiré sur le cerveau. Ce système permet d’agir sur le cerveau d’une personne, après avoir identifié les différents états cérébraux de la cible… On applique alors un champ magnétique précis au cerveau de la cible, jusqu’à ce que le cerveau fonctionne comme désiré.
  • Le brevet USP# 6 506 148 de janvier 2003 permet de manipuler un sujet via des champs électromagnétiques émis par des moniteurs. Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à la stimulation de la peau avec de faibles champs électromagnétiques qui sont pulsés à des fréquences proches de 1/2 Hz ou 2,4 Hz, comme pour exciter une résonance sensorielle. De nombreux moniteurs d’ordinateur et les tubes de télévision, lors de l’affichage des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d’amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation. Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en pulsant des images affichées sur un écran d’ordinateur.
1.2.2. Le niveau de recherche atteint : l’exemple de la signature électromagnétique des états émotionnels et de l’induction d’un état émotionnel

Selon la littérature de Silent Sounds, inc. (travaillant sur l’hypnose silencieuse), il est désormais possible, à l’aide de superordinateurs, d’analyser les schémas EEG émotionnels humains, de les reproduire, puis de stocker ces « groupes de signatures émotionnelles » sur un autre ordinateur. Ensuite, il est possible à volonté d’induire et de modifier silencieusement l’état émotionnel d’un être humain à distance.

Edward Tilton, président de Silent Sounds, inc., dit ceci à propos de cette technologie dans une lettre datée du 13 décembre 1996 :

« Tous les schémas (signatures émotionnelles), cependant, ont été classés par le gouvernement américain et nous ne sommes pas autorisés à révéler les détails exacts… nous fabriquons des cassettes et des CD pour le gouvernement allemand, même pour les pays de l’ex-Union soviétique ! Le tout, avec l’autorisation du Département d’État américain, bien sûr… Le système a été utilisé tout au long de l’opération Desert Storm (Irak) avec beaucoup de succès ».

En utilisant ces EEG améliorés par ordinateur, les scientifiques peuvent identifier et isoler les « groupes de signatures émotionnelles » de faible amplitude du cerveau, les synthétiser et les stocker sur un autre ordinateur. En d’autres termes, en étudiant les formes d’ondes cérébrales subtiles qui apparaissent lorsqu’un sujet vit une émotion particulière, les scientifiques ont pu identifier le schéma caractéristique de ces ondes cérébrales qu’ils peuvent désormais dupliquer.

« Ces clusters sont ensuite placés sur les fréquences porteuses de Silent Sound™ et déclencheront silencieusement l’apparition de la même émotion de base chez un autre être humain ! »

En ce qui concerne la livraison du système et ses applications, c’est ici beaucoup plus qu’un système de son subliminal. Il existe de nombreux brevets technologiques qui peuvent être superposés individuellement ou collectivement sur une fréquence porteuse, pour provoquer toutes sortes d’effets. Il semble que deux méthodes soient livrées avec le système. L’une est l’induction directe par micro-ondes dans le cerveau du sujet. Elle est limitée aux opérations à courte portée. L’autre utilise les fréquences porteuses ordinaires de la radio et de la télévision.

Loin d’être nécessairement utilisé comme arme contre une personne, le système peut avoir des applications positives illimitées. Cependant, le fait que les sons soient subliminaux les rend pratiquement indétectables et dangereux pour le grand public.

Dans une utilisation plus conventionnelle, le système subliminal Silent Sounds peut utiliser des commandes vocales ; par exemple, en complément des systèmes de sécurité. Sous la diffusion musicale que vous entendez dans les magasins et les centres commerciaux se cache peut-être un message subliminal qui exhorte à lutter contre le vol à l’étalage. Lorsque le système de présentation subliminal porte des signatures émotionnelles clonées, le résultat est accablant.

Les utilisations de cette technologie sur le marché libre sont les bandes d’auto-assistance courantes, les bandes d’affirmation positive, de relaxation et de méditation, ainsi que les méthodes pour augmenter les capacités d’apprentissage. Mais il existe des preuves solides que cette technologie est en cours de développement vers un contrôle mental global. Le secret associé au développement de la technologie électromagnétique de modification de l’esprit indique son énorme puissance potentielle.

In fine, il apparaît évident que quiconque contrôle cette technologie contrôle l’esprit des hommes.

Il est prouvé que le gouvernement américain envisage d’étendre la gamme de ces technologies à tous les peuples et tous les pays. Cela peut être accompli, et est en train de l’être grâce au projet HAARP, presque achevé pour les régions d’outre-mer, et au réseau GWEN maintenant en place aux États-Unis. Le gouvernement américain nie tout cela. Le Dr Michael Persinger est professeur de psychologie et de neurosciences à l’Université Laurentienne, Ontario, Canada. Ses travaux et ses découvertes indiquent que les champs électromagnétiques puissants peuvent affecter et affecteront le cerveau d’une personne :

« La stimulation du lobe temporal peut évoquer le sentiment d’une présence, une désorientation et des irrégularités de perception. Elle peut activer des images stockées dans la mémoire du sujet, y compris les cauchemars et les monstres qui sont normalement réprimés ».

2. Les moyens de maintenir les populations dans l’ignorance du développement de ces technologies et de leur usage comme armes

2.1. La destruction des archives de la CIA

Ces programmes ont été révélés par les audiences Church-Inouye du Sénat américain à la fin des années 1970. Toutefois, aucune procédure pénale n’a suivi et seules deux actions civiles (Orlikow et Bonacci) ont abouti.

Les archives de ces activités ont été largement détruites, en 1973, sur ordre du directeur de la CIA, Richard Helms. Cependant, la Commission d’enquête sénatoriale présidée par le sénateur Frank Church, puis les travaux d’un autre directeur de la CIA, l’amiral Stansfield Turner, ont révélé que plus de 30 universités ont participé à ces recherches qui regroupaient plus de 150 projets expérimentaux distincts. Ceux-ci ont été conduits auxÉtats-Unis et dans des États membres de l’OTAN à l’insu des populations concernées.

2.2. La persécution des lanceurs d’alerte

Lors de la réunion publique annuelle du comité national français de bioéthique, qui s’est tenue à Paris le 22 janvier 1998 sur le thème « Science et racisme », l’une des conclusions a été :

« Les neurosciences sont de plus en plus reconnues comme constituant une menace potentielle pour les droits de l’homme, tout comme un autre domaine de la biologie — la recherche en génomique humaine — peut conduire à une focalisation excessive sur le déterminisme génétique et soulève le spectre de la discrimination génétique. »

Jean-Pierre Changeux, président du comité et neuroscientifique à l’Institut Pasteur de Paris, a déclaré à la réunion que comprendre le fonctionnement du cerveau humain est susceptible de devenir l’une des disciplines les plus ambitieuses et les plus riches de l’avenir.

« Mais les neurosciences présentent également des risques potentiels, a-t-il déclaré, affirmant que les progrès de l’imagerie cérébrale rendent possibles des atteintes inégalées à la vie privée. Bien que l’équipement nécessaire soit encore hautement spécialisé, il deviendra monnaie courante et pourra être utilisé à distance, a-t-il prédit. Cela ouvrira la voie à des abus tels que l’atteinte à la liberté psychique, le contrôle du comportement et le lavage de cerveau. « Ce sont loin d’être des préoccupations de science-fiction, a déclaré Changeux. Cela constitue “un risque sérieux pour la société”. »

Denis Le Bihan, chercheur au Commissariat à l’énergie atomique, a déclaré à la réunion que l’utilisation des techniques d’imagerie a atteint le stade où « nous pouvons presque lire les pensées des gens ». Le comité national de bioéthique prend ces menaces si au sérieux qu’il lance une étude pour examiner les problèmes et recommander d’éventuelles précautions.

En 1998, près de 14 000 sites Internet japonais, américains, britanniques, russes, australiens, canadiens, constituaient un front mondial d’alerte en direction des populations. Pilotée par d’éminents scientifiques ayant travaillé pour l’armée, cette coordination visait à prévenir les peuples de l’épée de Damoclès que constituaient les armes psychiques. Un grand nombre de citoyens ont fait les frais des expériences psychotroniques militaires et beaucoup en sont morts. Sur le site censuré www.brazilboycott.org, figurait une liste et un mémorial pour toutes les victimes de ces expériences sauvages.

Au lieu d’ouvrir le débat public sur ces technologies psychiques, une guerre sans merci fut déclarée aux lanceurs d’alertes. 10 à 20 000 sites Internet ont été la cible de cyberattaques militaires. Les scientifiques qui diffusaient ces informations en direction du public ont été neutralisés psychiquement ou tués.

En janvier 1999, le Parlement européen a adopté une résolution dans laquelle il appelle à une convention internationale introduisant une interdiction mondiale sur tous les développements et déploiements d’armes qui pourraient permettre toute forme de manipulation des êtres humains, restée évidemment lettre morte.

2.3. Le nettoyage d’Internet, le maintien en informations classifiées, l’absence de sanctions judiciaires

L’entreprise Google via son moteur de recherche fait la chasse aux brevets laissés sur Internet afin de maintenir une chape de plomb sur ces technologies. De même, toute tentative de mettre ces informations au grand jour fait l’objet d’attaques sous le prétexte du secret-défense. Ceux qui usent de ces armes secrètes sur les civils s’efforcent constamment d’empêcher le public de savoir quoi que ce soit sur celles-ci. Les preuves sont obtenues avec beaucoup de difficulté et aucune procédure judiciaire n’a ainsi pu aboutir.

Actuellement, dans l’état du Missouri, un élu a recensé 300 plaintes concernant le harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Un certain nombre d’associations comme l’International Committee on Offensive Microwave Weapons se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter l’opinion et les décideurs politiques, en vain.

2.4. Le ciblage des personnes qui dénoncent ces armes

Les individus qui essaient aujourd’hui de dénoncer ces armes sont ciblés par armes psychotroniques 24 h/24 h sont maintenues dans un état de survie tant psychique que physique : problèmes de santé importants, incapacité ou grande difficulté pour travailler, potentiel intellectuel, mental et émotionnel gravement perturbé.

Le harcèlement consiste en des événements uniques, soigneusement conçus et non démontrables, pour produire un stress psychologique chez la victime. Dans chaque série, un événement avec un effet déclencheur introductif de très haute énergie est mis en scène. Le but évident est d’être certain que la victime sache qu’il s’agisse de harcèlement externe et pas seulement de « malchance ». À partir de ce moment, les auteurs du harcèlement amènent la victime à « sursauter » au même effet avec une fraction infime de l’énergie de l’événement d’« introduction » initial.

Comme le harcèlement et le contrôle électroniques sont classés secret-défense, la description des effets est tirée des expériences personnelles des victimes harcelées par « quelques 2 000 gangs » connus pour ce genre de pratique. Les personnes faisant l’objet de ces expérimentations criminelles, rapportent qu’une fois que le harcèlement commence, dans pratiquement tous les cas, il se poursuit à vie. Il se poursuit notamment dans chaque ville, état et pays vers lequel la cible se déplace. Il se poursuit dans les prisons et les hôpitaux, même lorsque la cible meurt du cancer.

De nombreuses cibles sont de jeunes retraités, certains ont dans les 70 et 80 ans. Certains ont des enfants qui sont souvent soumis aux mêmes « expériences » que leurs parents. Lesanimaux domestiques sont aussi ciblés. Ils sont torturés puis douloureusement et violemment tués. Des décisions judiciaires aberrantes forçant par exemple la cible à suivre un traitement psychiatrique involontaire alors même que son conjoint est un criminel (par exemple, un père pédophile découvert en train d’abuser de son propre enfant) démontrent clairement que le harcèlement criminel électronique est protégé à tous les niveaux gouvernementaux et médicaux.

Compte tenu du développement des technologies, du déploiement du réseau de téléphone mobile et de la 5G, de la digitalisation d’un nombre croissant de politiques, il est évident qu’aujourd’hui toutes les populations sont, à différents degrés, sous contrôle psychotronique. L’intelligence artificielle et l’environnement technologique invasif actuel n’ont qu’un seul et unique objectif mondialiste : parvenir à contrôler électroniquement les fonctions psycho-émotionnelles, intellectuelles, spirituelles, et parapsychiques de tout individu sur Terre.

3. Les technologies utilisées et leurs effets

Cette partie vise à décrire les types de technologies utilisées pour harceler et torturer à distance ainsi que les effets de cette technologie, que ce soit sur les objets ou sur les victimes (corps et esprit).

3.1. Les différentes classes ou types de technologies

Ces classes de technologie correspondent aux équipements commerciaux non classifiés qui peuvent imiter les « vrais » équipements classifiés de harcèlement électronique (potentiellement bien plus puissants). La vérité est donc nécessairement plus terrible que ce qui est décrit infra.

Les télémanipulations physiques ne sont pas abordées ici, mais le lecteur doit savoir que la NASA et l’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers ou « Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens ») ont réussi à créer avec succès de petits effets antigravitationnels (qui ne sont pas simplement dus au magnétisme).

3.1.1. Méthodes de transmission pour signaux neuro-efficaces

Les méthodes de transmission sont de plusieurs types. On recense ainsi :

  • les micro-ondes pulsées (c’est-à-dire comme les signaux radar) ;
  • les ultrasons et voix-FM (transmis par l’air).

Alors que la transmission de la parole, datant du début des années 1970, était la première utilisation des micro-ondes pulsées, des signaux neuro-efficaces de type encore inconnu peuvent maintenant provoquer l’activation à distance de nombreux autres groupes de nerfs. Au moment de la rédaction de cet article, cette technologie est toujours classée « secret-défense ».

3.1.2. Déclenchements hypnotiques pavloviens

Un déclencheur hypnotique [pavlovien] est une phrase ou tout autre signal sensoriel sur lequel la victime est programmée pour agir involontairement d’une certaine manière (cf. survivants MK-Ultra des années 50-70).

3.1.3. Méthodes de surveillance à travers le mur

Cette méthode de balayage dit « à ondes millimétriques » utilise l’une des extrémités du spectre EM, du côté des signaux radio micro-ondes, en bordure de la zone de fréquences infrarouges. Pour voir clairement les petits objets ou les personnes, la fréquence la plus élevée qui pénètre les murs non conducteurs ou peu conducteurs est utilisée.

Le radar à balayage à ondes millimétriques peut être utilisé selon deux modes :

  • mode passif (aucun signal rayonné n’utilise le rayonnement de fond déjà présent dans la zone à numériser, totalement indétectable) ;
  • mode actif (« lampe de poche » à ondes millimétriques de faible puissance fixée au scanner comme une lumière conventionnelle montée sur un caméscope) ou utilisation d’un radar archéologique à pénétration de sol.
3.1.4. Lecture de la pensée

La lecture de la pensée peut être répertoriée comme une technologie de « surveillance à travers le mur ».

La lecture des pensées fonctionne comme suit :

  • lecture magnétique à proximité du crâne ou de la gorge (proximité des cordes vocales) ;
  • interprétation de l’EEG (électroencéphalogramme), en particulier via des capteurs filaires [agissant] à l’intérieur du cerveau ;
  • la capacité de lire et afficher ce que les yeux voient, à l’aide de capteurs implantés, est une forme de technologie presque semblable à la « lecture des pensées ».
3.1.5. Forçage cérébral

C’est l’inverse du biofeedback. Les rythmes cérébraux électriques à basse fréquence caractéristiques de diverses humeurs et états de sommeil peuvent, non seulement être lus à l’aide d’un équipement de biofeedback ou de machines EEG, mais aussi en utilisant la radio, le son, des électrodes de contact ou des lumières clignotantes. Les humeurs et les états de sommeil peuvent être générés, ou du moins encouragés, par l’utilisation de dispositifs de forçage cérébral.

Les signaux de forçage cérébral ne peuvent pas transporter la voix, qui appartient à une gamme de fréquences beaucoup plus élevée. Le forçage cérébral peut cependant être utilisé pour « mettre en condition » une cible et la rendre plus sensible à l’hypnose en induisant un état de relaxation et/ou de sommeil (c’est le même état qui est utilisé par les voyants.)

3.2. Les effets des technologies employées

Depuis 1975, l’avènement de la technologie V2K, révélée par Eléanore White, victime de torture électronique et aujourd’hui décédée, permettait de modifier les pensées de tout à chacun par les ondes. Ci-joint une liste (non exhaustive) de la plupart des effets courants de ces armes qui vise à montrer de quoi se compose la palette des tortures et effets stressants utilisés par les harceleurs. Ces effets sont typologisés en effets physiques invasifs à distance, non corporels (appliqués à des objets autour de vous) et corporels (effets sur le corps et l’esprit de la personne ciblée).

Le schéma ci-après, sans être exhaustif, illustre l’immense éventail des tortures possibles.

Graphique 1 : Illustration des tortures possibles
3.2.1. Effets physiques invasifs à distance, non corporels

Les exemples sont légion. On peut ainsi citer :

  • coupure de courant sur un appareil (temporaire, disjoncteur activé) ;
  • manipulation des paramètres d’un appareil ;
  • pannes temporaires qui « se réparent » d’elles-mêmes ;
  • jets d’objets, y compris non métalliques ;
  • manipulation précise des interrupteurs et des commandes ;
  • panne forcée, manifestement prématurée de l’appareil ou des pièces.
3.2.2. Effets corporels invasifs à distance (sur le corps et l’esprit)

3.2.2.1. Privation de sommeil et fatigue

La privation de sommeil et l’induction de la fatigue sont extrêmement courantes :

  • application silencieuse et instantanée du signal « caféine électronique » qui force et maintient l’éveil, quel que soit l’état de fatigue de la personne ciblée et son besoin de sommeil ;
  • bruit fort synthétique des voisins, souvent SYNCHRONISÉ avec les tentatives faites pour s’endormir ;
  • précision à la seconde : « sommeil autorisé » et « réveil forcé » beaucoup trop précis et répétés pour être naturels ;
  • « crises de fatigue » diurnes qui forcent la victime à dormir et affaiblir ses muscles au point de s’effondrer

3.2.2.2. Voix audible dans le crâne parfois des sons non vocaux

Cette voix synthétique est envoyée à distance et fabriquée pour donner l’impression que cela provient de l’environnement extérieur, comme par magie. Il s’agit de voix ou effets sonores que SEULE la victime peut entendre.

3.2.2.3. Voix inaudible dans le crâne (son silencieux)

Cette voix est envoyée par un signal radio produit à distance ; elle se manifeste par des envies soudaines de faire quelque chose ou d’aller quelque part, alors que la victime ne le voudrait pas autrement ; l’hypnose silencieuse (ultrasonique) peut être envisagée.

Cette voix relève également de la programmation de « déclencheurs » hypnotiques — c’est-à-dire de phrases spécifiques ou d’autres signaux qui provoquent des actions involontaires spécifiques

3.2.2.4. Déclenchement musculaire violent (agitation des membres)

La jambe ou le bras se secoue pour forcer violemment la cible à se réveiller et à rester éveillée [spasmes]. Tout le corps peut être secoué, comme s’il avait été frappé par une grosse décharge électrique. Le corps peut être secoué violemment comme s’il était sur une surface vibrante.

3.2.2.5. Manipulation précise de parties du corps (doucement, avec un objectif spécifique)

Les manipulations du corps en court-circuitant la volonté de la victime (voire son système neurovégétatif) sont potentiellement infinies. Ont été notamment identifiées :

  • manipulation des mains, forcée de se synchroniser avec la vision des yeux fermés, très puissant et coercitif.
  • flexion lente de près de 90 degrés vers l’arrière d’un orteil à la fois ou d’un doigt à la fois.
  • contrôle direct à distance de la respiration et des cordes vocales ; y compris le discours involontaire.
  • effacement ponctuel de la mémoire immédiate, oublis totalement anormaux.

3.2.2.6. Lecture des pensées silencieuses destinées à soi-même

La lecture des pensées silencieuses constitue une violente forme d’intrusion mentale des victimes. Elle peut prendre la forme d’une scénarisation par ingénierie (sketches) dans lesquelles vos pensées vous sont retournées par des inconnus dans la rue ou lors d’événements nécessitant la connaissance de ce que vous pensiez, ce qui génère un immense stress.

3.2.2.7. Application directe de douleurs à différentes parties du corps

Une des formes très courantes de harcèlement électromagnétique consiste à procéder à une torture physique à distance. À cet égard, on peut citer (sans que la liste soit exhaustive) :

  • Sensation d’aiguilles chaudes qui pénètrent dans la chair ;
  • Chocs électriques (sans qu’aucun fil ne soit appliqué) ;
  • Démangeaisons puissantes et incontrôlables, souvent appliquées lorsque la victime tente précisément de faire quelque chose de délicat ou compliqué ;
  • « Fièvre artificielle » soudaine, sans aucune maladie susceptible de la causer ;
  • Sensation brutale de chaleur ou de froid intense, et ce quelle que soit la température extérieure ou la façon dont vous êtes couvert ;
  • Brusque augmentation des battements cardiaques [tachycardie ou arythmie] alors que vous êtes détendu.
  • Etc.

3.3. La mise en place de scénarios et d’atteintes à l’intégrité, générateurs de stress externes

3.3.1. Participation au harcèlement d’étrangers, de voisins et dans certains cas, d’amis proches et de membres de la famille

Lorsqu’une personne est ciblée, son entourage est analysé et fait l’objet de manipulations par ces armes. À titre d’exemple, on peut citer les comportements ou problèmes suivants induits par ces armes :

  • grossièreté sans cause.
  • apparition de « problèmes » récurrents avec les commerçants, blocage de votre voiture, etc. ;
  • manipulations psychiques de votre entourage pour bloquer vos actions.
3.3.2. Effractions/sabotage à domicile

Il s’agit de faire peur et de générer du stress.

Ont été observés les évènements suivants : déchiquetage des vêtements, destruction de meubles, petit vol, pannes d’ingénierie des utilitaires, section de câble internet, crevaison des pneus du véhicule, etc.

3.3.3. Sabotage au travail

À titre d’exemples : suppression/corruption de fichiers informatiques, virus informatiques qui font planter le matériel] et qui ne peuvent pas venir du mode d’utilisation de votre ordinateur, propagation de rumeurs, sabotage de votre réputation professionnelle, etc.

4. Les exemples d’applications aujourd’hui

4.1. Les institutions et entités ayant recours à ces armes

4.1.1. Les armées

Depuis des décennies, les directions générales des armées des pays industrialisés ont considéré que les armes psychiques étaient le fer de lance de toutes les stratégies militaires futures. En effet, piloter les cerveaux de l’ennemi permet aisément le retourner et le neutraliser. Nul besoin d’armes conventionnelles, d’armes nucléaires, pas de destructions matérielles, aucun déploiement militaire coûteux.

Si vos armes psychiques sont supérieures à celles de votre ennemi, vous pouvez discrètement l’envahir sans heurts en laissant intactes toutes ses infrastructures, en maintenant même ses structures politiques et institutionnelles, et donc gagner une guerre sans la faire.

La première utilisation d’armes psychotroniques à grande échelle eut lieu en 1990 lors de la guerre contre l’Irak. Des avions US équipés d’émetteurs psychotroniques passèrent au-dessus des troupes de Saddam Hussein en émettant le message suivant : « Moi Mahomet, au nom d’Allah, vous demande de déposer les armes et de rester là où vous êtes ! ». Les troupes US d’invasion n’eurent plus qu’à rassembler les troupes prostrées de Saddam Hussein et les parquer sans tirer un coup de feu.

La guerre civile au Rwanda a été provoquée par armes psychotroniques qui ont conditionné les deux ethnies au génocide qui a eu lieu. Il s’agit d’un génocide provoqué.

Les gradés de l’OTAN sont recrutés parmi des personnes sous contrôle mental. Tous les hauts gradés de cet organisme sont recrutés dans des orphelinats dès l’âge de 2, 3 ans ou sont issus directement de la caste mondialiste. Ils subissent un entraînement et des programmations mentales dissociatives par trauma dès leur plus jeune âge sinon dès leur naissance. Ces dissociations visent à compartimenter leur cerveau, à développer chez eux des aptitudes psy, des sorties astrales, développant une acuité 40 à 50 fois supérieures à un être normal. Leur vie, leur être, leurs fonctions cérébrales sont littéralement des outils dédiés au Nouvel Ordre Mondial. Leur champ émotionnel est maîtrisé, voire, peut être inexistant dans certain cas.

Frédéric Morin a ainsi été en lien avec un colonel de l’OTAN et lui révéla qu’il disposait de différents implants qui le faisaient basculer dans une autre personnalité avec des aptitudes et connaissances spécifiques. En somme, l’homme en passant sous le portique d’un labo de l’OTAN, était modulé par une radio fréquence et devenait immédiatement quelqu’un d’autre, soit généticien, soit astrophysicien, soit pilote d’engins non conventionnels. Dans la revue de Rock Sauquere « TOP SECRET », l’homme fit publier un scanner d’une de ses mains où l’on pouvait voir différentes biopuces RFID. Par ailleurs, il affirma que son cerveau, comme un ordinateur, était régulièrement mis à jour. Il percevait ces mises à jour comme un bourdonnement venu d’une onde porteuse émise sans doute par satellite. Il ne pouvait savoir de quelles informations il retournait, mais il savait que quelque chose était changé en lui par de nouvelles données.

4.1.2. Les autres institutions ou lobbys

Si les armées ont compris l’enjeu des armes électroniques d’influence neuronale, d’autres institutions ou groupes l’ont également compris. Les yakusa japonais et d’autres mafias ont très tôt investi massivement dans les technologies psychotroniques après la chute du mur de Berlin. Le colonel Thomas Bearden en a témoigné.

Les multinationales, dont l’industrie pharmaceutique, ont également développé des armes psychiques d’influence, voire pires, comme des technologies émettant des ondes porteuses contenant les signatures électromagnétiques de maladies (la maladie étant leur fonds de commerce). Toutes les téléphonies mobiles, par relais terrestre ou satellite, sont des supports de telles armes.

Les facultés de formation de nos médecins seraient également sous l’influence de dispositifs mis en place par les multinationales pharmaceutiques. Il est important de comprendre qu’une multinationale dispose de son propre service de renseignement, de sa propre armée privée usant d’armes psychiques. Les soignants sortant des écoles de médecine sont formatés pour devenir de parfaits petits soldats pour défendre les intérêts de Big Pharma, sans même s’en rendre compte, et les exceptions — qui heureusement existent — d’individus capables de résister sont rares. Un médecin bien formaté est psycho-émotionnellement dans l’incapacité d’émettre une quelconque critique concernant la vaccination ou même l’usage d’une thérapie génique expérimentale devenue obligatoire (en dépit du Code de Nuremberg). La confiance aveugle des médecins envers l’industrie pharmaceutique, condamnée régulièrement à des milliards d’amende pour fraude, est illogique et non rationnelle. Elle est issue d’un conditionnement électronique de neuro-influence subi par l’ensemble de notre corps médical.

Tous les services secrets occidentaux, les armées secrètes de l’OTAN, disposent de telles armes électromagnétiques, ainsi que tous les services spéciaux des grandes religions. Le gouvernement mondial occulte a encouragé le déploiement et l’amélioration continuelle de ces technologies, jusqu’à donner à des noyaux d’intelligence artificielle le soin d’optimiser le conditionnement des cerveaux humains à l’échelle planétaire.

Dans la cacophonie des multiples sphères d’influence techno-psychiques, on peut se demander qui in fine contrôle qui. La réalité est que les mondialistes ont créé un golem : l’intelligence artificielle qui pilote des armes interférométriques en capacité de conditionner tous les cerveaux.

4.2. Des exemples d’applications sociales, géopolitiques, militaires et religieuses

4.2.1. Les armes à micro-ondes

Elles ont été utilisées contre les populations depuis des dizaines d’années.

Un ingénieur médical du département américain de la Défense a affirmé, en 1989, que les États-Unis et Israël avaient régulièrement utilisé des micro-ondes pour conditionner et contrôler l’esprit des Palestiniens.

En Angleterre, dans les années 80, lors des grèves de mineurs, Margaret Thatcher avait fait installer des émetteurs dans les quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques.

Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses fréquences (ELF, Extremely Low Frequency) ou à l’inverse des ultra hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le cerveau humain, y compris ceux de ses inventeurs…

C’est l’Institut Tavistock, spécialisé dans la modification du comportement humain, qui aurait développé ce système à partir des années 50. Dans les années 60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (RMCT : Remote Mind Control Technology). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Les chercheurs ont trouvé que les fréquences de 6 à 16 Hz avaient des effets importants sur le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est avéré que ces ondes peuvent également endommager l’ADN. Les ondes ELF ont été combinées avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets nocifs.

Sur la base US de Greenham Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande majorité de femmes) manifestaient, ces armes furent utilisées. Fin 1984, ces femmes visées par de hauts niveaux de radiations micro-ondes, ont été atteintes de cancer, nombre d’entre elles sont mortes. Ces armes permettent d’induire un cancer à distance en altérant l’ADN.

Ces armes utilisées secrètement contre les civils engendrent des paralysies temporaires, une désorientation, des brûlures dans certains cas d’exposition, des vertiges, des amnésies. Des scientifiques indépendants avaient constaté les hauts niveaux de radiations électromagnétiques autour de la base Greenham Common, preuve de l’utilisation de ces armes contre des manifestantes.

4.2.2. Les armes ELF

Les armes à très basse fréquence (ELF) sont étalonnées selon certaines fréquences cérébrales étudiées et connues des militaires. 6,66 hertz engendre la dépression, 4,5 hertz provoque une attaque cardiaque, d’autre vont moduler l’humeur de la victime irradiée en la rendant schizophrénique, paranoïaque, suicidaire, violente ou apathique.

Ce type d’arme fut utilisé sur les populations chypriotes par l’armée anglaise, mais également sur les catholiques d’Irlande du Nord dans les années 80.

4.2.3. Les MASER

Le système nommé MASER envoie des micro-ondes spéciales qui permettent de faire de la « télépathie synthétique ». Aujourd’hui on peut lire les pensées de quelqu’un à distance après avoir scanné les ondes électromagnétiques émises par le sujet dans différentes situations.

4.2.4. Manipulation du système nerveux

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d’une cible en diffusant certains types d’ondes.

D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait des systèmes manipulant le système nerveux contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80. Vicki Casagrande, ingénieure américaine, a expliqué devant une commission sur le harcèlement électromagnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « Les muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit légèrement ou violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau juste comme une sensation […] Les victimes peuvent avoir froid par 40 °C dehors, ou avoir chaud par –15 °C ».

4.2.5. Les implants

L’introduction d’implants a été parfois utilisée depuis les années 1960 et 70 comme support des technologies citées, mais avec les appareils actuels, les implants ne sont pas nécessaires.

La méthode globale 1974 agissait sous forme de transmission hypnotique silencieuse vers une cible sans qu’elle n’en soit consciente. Cette technique est probablement la plus insidieuse, car elle permet des mois, des années de programmation et de réglage du déclenchement pavlovien. La cible ne peut effectivement pas résister parce qu’elle ne peut entendre la programmation. Dans 99 % des cas, ni la victime, ni son entourage ne peuvent comprendre ou même imaginer qu’une technologie psychotronique est à l’œuvre. Intervient alors la psychiatrisation volontaire ou forcée de la victime.

5. Conclusion

La technologie s’insinue dans notre environnement, souvent à notre insu, sans que l’on en comprenne les tenants et aboutissants. Aujourd’hui nous disposons d’une téléphonie mobile dont la fréquence est très proche des harmoniques de l’eau, du wifi, de la 3G, 4G, 5G et de l’interconnectivité d’innombrables technologies domestiques, etc., autant d’ondes porteuses qui pénètrent l’être électromagnétique que nous sommes. Nous sommes immergés dans un smog électromagnétique qui pénètre en profondeur notre cerveau, perturbant notre système endocrinien, touchant nos fonctions mémorielles par annihilation de nos neurotransmetteurs, inhibant dans certains cas l’intelligence pratique, la vigilance, notre logique, toute action salvatrice et propice à un changement de cap pour notre civilisation planétaire.

Quand Google nous parle de connecter 30 milliards d’objets à l’échelle d’une planète, cela implique un smog électromagnétique généralisé d’une nocivité jamais connue pour le biotope et les êtres humains. Un tel lieu est sans doute vivable pour un cyborg, un four à micro-ondes ou une machine à café, mais pas pour un être humain, dont la bioélectronique ne saurait supporter une telle agression.

Google est une structure totalement contrôlée par des militaires en lien avec la DAEPA centre connu pour toutes ses expériences sur la conscience humaine dans le cadre de projets tels « Monarque ». Google tend à devenir un outil orienté vers une manipulation psychotronique de masse. Assisté par une très puissante intelligence artificielle, ce système informatique mondial peut moduler la subjectivité humaine selon des lois cybernétiques. Une fois que l’intelligence artificielle a appris de l’humain, elle dispose des données nécessaires pour traiter sa subjectivité comme un objet modulable et intégrable à souhait.

Google, entre autres réseaux militaires plus secrets, n’est autre que le déploiement potentiel de systèmes psychotroniques visant l’humanité entière. Une telle application civile et militaire est pourtant proscrite à l’échelle internationale qui interdit l’usage d’armes modifiant le comportement humain. En vain.

Car quelle commission internationale pourrait enquêter aujourd’hui ? De quels moyens technologiques disposerait-elle pour détecter et prouver de tels méfaits ? Par ailleurs, dans la mesure où le secret militaire est apposé sur toutes ces armes secrètes de l’ombre, qui est aujourd’hui est en mesure de le faire lever pour saisir l’ampleur du phénomène et l’arrêter ?

Tous nos téléphones et ordinateurs sont branchés sur un réseau militaire qui dispose d’une multitude d’outils psychotroniques depuis 60 ans. Un adolescent regarde en moyenne 76 fois son téléphone par jour. N’est-il pas déjà sous le joug de modulations cérébrales dont personne n’a encore conscience ? Qui connaît en détail la technologie embarquée d’un i-phone, d’une tablette ou des nouveaux ordinateurs miniaturisés ? Et, qui aujourd’hui aura la compétence pour déchiffrer les noyaux algorithmiques développés par intelligence artificielle et connectés à des réseaux de noyaux artificiels ?

Toutes les consciences sont atrophiées et se trouvent, au fil des développements technologiques, sous conditionnement toujours plus puissant. Une large majorité de l’humanité fonctionne déjà avec des pensées « artificielles » induites qui ne lui appartiennent pas. L’OTAN ne cache pas ses intentions à ce propos : ainsi, dans une brochure de 2020 intitulée « Cognitive Wafare », l’organisation affirme que puisque la majorité de la population est ignorante des technologies psychiques avancées, il est facile de faire de chaque citoyen « une arme de propagande participative ».

Ce mémorandum a pour objectif d’alerter tous les citoyens et les pouvoirs publics sur les dangers de ces technologies militaires qui s’appliquent au psychisme humain. Si l’interdiction de manipuler mentalement les masses ou de torturer existe dans les textes de l’ONU, ces derniers sont constamment violés.

Nous pensons que seul un sursaut spirituel pourra venir à bout de cette hydre. Il en va de nos existences et de notre civilisation.

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