La Nouvelle-Zélande exige que les citoyens signalent comme « terroristes » les « théoriciens du complot » qui « s’opposent aux politiques du gouvernement »

19/12/2022 (2022-12-19)

[Source : anguillesousroche.com]

Le gouvernement néo-zélandais de gauche autoritaire a ordonné aux citoyens de dénoncer leurs amis et leur famille à la police s’ils les soupçonnent de s’opposer aux politiques gouvernementales, notamment aux mesures du COVID.

Selon des documents publiés par le gouvernement de Jacinda Ardern, infiltré par le FEM [Forum Économique Mondial], les citoyens néo-zélandais soupçonnés d’être des « théoriciens du complot » feront l’objet d’une enquête en tant que terroristes.

Rebecca Kitteridge, directrice du Service de renseignement de sécurité de Nouvelle-Zélande, a expliqué qu’il existe « des dizaines d’indicateurs » qui suggèrent qu’un membre de la famille ou un ami a été « radicalisé » par les théories du complot et pourrait préparer une attaque terroriste.

Toute personne qui s’oppose aux « politiques gouvernementales interprétées comme portant atteinte aux droits » ou aux « mesures covid prises par le gouvernement » doit être signalée et faire l’objet d’une enquête en tant que terroriste, selon Kitteridge. Regardez :

Sous la direction de la Première ministre Jacinda Ardern, la Nouvelle-Zélande est devenue l’avant-garde du programme autoritaire de gauche du Forum économique mondial. Les citoyens se sont vu retirer leurs droits de manière systématique et impitoyable, et maintenant on leur dit que remettre en question l’autoritarisme du gouvernement est une forme de terrorisme.

Il n’y a tout simplement pas de place en Nouvelle-Zélande pour le débat public. Quiconque a un point de vue différent de celui du gouvernement d’Ardern, infiltré par le FEM, est considéré comme un ennemi.

Ardern a signalé le passage du gouvernement en mode fasciste en juillet, en disant aux citoyens que le gouvernement est votre « unique source de vérité », et que « si vous ne l’entendez pas de notre bouche, ce n’est pas la vérité ».

Selon l’extrême-gauchiste Ardern, les citoyens doivent « rejeter tout ce qu’ils entendent d’autre », à moins que ce ne soit émis par le gouvernement.

Les temps sont durs en Nouvelle-Zélande. Mais êtes-vous surpris ? Nous parlons d’un État autoritaire d’extrême gauche, dirigé par la jeune leader mondiale Jacinda Ardern, où les citoyens sont invités à faire entièrement confiance au gouvernement et où les personnes qui osent penser par elles-mêmes et chercher des sources d’information alternatives sont traitées de « théoriciens du complot » et font l’objet d’une enquête en tant que terroristes.

Voilà l’avenir du monde si Klaus Schwab parvient à ses fins.

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⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

(18 commentaires)

  1. « La jeune « Dealer » mondiale Jacinda Ardern? » Une psychopathe notoire qui ne mérite qu’une chose. La méthode bolchévique : « Neuf grammes de plomb. »

        1. La violence est l’arme des faibles et de ceux qui n’ont guère de conscience. Ils jouent sur la peur et ça ne fonctionne que sur d’autres faibles.
          L’Homme adulte apprend à dépasser ses peurs. L’Homme conscient dépasse celle de la mort.

      1. Peut-être. Mais vous voulez vous prosterner devant ceux qui vous couperont la tête. Après vous! C’est toujours la même complaisance envers la racaille. On se dit pacifique. Ah oui! Tout le monde est contre la guerre! Eh bien! Figurez-vous que non! Il y a des gens que je ne désignerai pas qui la souhaitent ardemment!

        P.S. Ma position est défensive. Comme avec les injections, je préviens ceux qui voudraient me piquer qu’il y aura des conséquences. À eux de décider s’ils veulent les subir…

        1. Ne pas répondre à la violence par la violence n’est pas se prosterner.
          Il y a bien d’autres manières de résister aux tyrans, ne serait-ce qu’en préférant mourir libre que vivre esclave.
          Voir les nombreux exemples de martyrs et de Saints chrétiens qui ont préféré mourir (mangés par les lions ou la tête tranchée) que de se prosterner devant des Hommes.
          Si vous avez peur de la mort, tôt ou tard, vous entrez dans le jeu, dans le plan, dans les filets des tyrans, surtout avec les moyens dont ces derniers disposent de nos jours. Ou vous devenez comme eux et vous perdez votre âme.

          1. Il ne faudrait pas penser que, parce je tente de réfléchir aux violences de notre temps, je ne résiste pas ou que la mort m’effraie. De plus, la pensée manichéenne m’est indifférente parce qu’elle enferme les individus dans des convictions qui n’ont rien à voir avec la foi. J’admets que j’utilise bien souvent le sarcasme pour démasquer ceux qui n’ont pas le sens de l’humour. Et ils sont nombreux à ne pas voir que, devant la violence, l’arme la plus redoutable est l’humour et ses dérivés. Cela dit, j’abonde dans votre sens ; devant le tyran, il faut savoir ruser mais également prendre conscience que « puisque la mort nous menace, il faut montrer que la mort n’est rien. », Albert Camus, L’homme révolté.

      2. Voici un passage de Deux siècles ensemble d’Alexandre Soljenitsyne qui cite Youri Larine, (pseudonyme de Mikhaïl Zalmanovitch Lourié) :

        « Nous ne dissimulons pas l’augmentation de la population juive à Moscou et dans d’autres grandes villes », elle « sera également inévitable à l’avenir » ; il prédit alors la venue de 600 000 Juifs supplémentaires en provenance d’Ukraine et de Biélorussie. « II ne faut pas considérer ce phénomène comme quelque chose de honteux, que le Parti devrait dissimuler… Il faut faire comprendre au monde ouvrier que quiconque se déclare en public contre la venue de Juifs à Moscou… est, consciemment ou non, contre-révolutionnaire. », Alexandre Soljenitsyne, Deux siècles ensemble. Et Soljenitsyne ajoute ceci à la citation : « Et chacun sait ce que mérite un contre-révolutionnaire : neuf grammes de plomb. »

        Quand on subit la violence permanente de la Young « Dealer » de Davos, ou l’arrogance sectaire d’un pédéraste israélien (Yuval Noah Harari), on comprend mieux le sens de l’expression « contre-révolutionnaire ». Si la révolution consiste à se conformer à la doxa mondialiste, alors il faudra m’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements du monde ont adopté des mesures liberticides et criminelles promulguées par McKinsey et forcé toutes les populations du monde à se faire piquer. Il faudrait arrêter d’être complaisant avec ceux qui se disent humanistes tout en vous poignardant dans le dos ou en vous piquant « dans le bras gauche que vous aurez gracieusement tendu après vous avoir piqué dans le droit »!

        Ils ont semé la violence ; c’est ce qu’ils récolteront! Et la moisson sera abondante!

        1. Soljenitsyne était chrétien et donc du côté des contre-révolutionnaires (puisque les révolutionnaires soviétiques s’en prenaient spécialement aux chrétiens). Il s’attendait par conséquent à recevoir ces neuf grammes de plomb, mais il ne s’agissait nullement d’une incitation à faire de même aux autres (en l’occurrence ici, les autres étaient les révolutionnaires bolcheviques et communistes).
          Il vaut mieux éviter d’inverser le sens de ses propos par méconnaissance du contexte.

          1. Contrairement à ce que vous croyez, j’ai très bien lu Deux siècles ensemble et j’avais très bien compris le sens que donne Soljenitsyne à la citation, d’où le sarcasme dans mon propos. Vous me prêtez des intentions que je n’ai pas. Quand j’ai utilisé cette citation, c’était pour montrer le ridicule et l’ignorance de cette femme (Jacinda Arden) qui se ridiculise un peu plus chaque jour mais qui n’en demeure pas moins très dangereuse. Si on ne peut plus rire des tyrans, que reste-t-il, la complaisance et la soumission? Très peu pour moi…

              1. Cher Monsieur Stroberg,

                Vous avez raison. Le ton, l’expression du visage, le mouvement du corps, tout ça ne se traduit pas toujours dans un texte ou une phrase « lapidaire ». J’aime bien provoquer la controverse avec ce genre de phrases ; mais j’aime encore mieux le défi que vous avez posé à mon intelligence et qui est celui d’avoir à clarifier mon intention première. Ce fut un bon exercice pour moi d’expliquer mon propos et je vous en remercie…

                Cordialement…

    1. Voilà pourquoi ces gouvernements mondialistes à la botte du FEM, sont très empressés à désarmer leurs citoyens. Voir la dernière campagne en France pour inciter les honnêtes citoyens à rendre les armes – mais les voyous les garderont, eux.

      Voilà pourquoi les Américains s’accrochent au Second Amendement – le droit de s’armer, non seulement pour défendre ses proches et ses biens, mais surtout pour pouvoir renverser le tyran potentiel qui pourrait prendre en main les institutions politiques du pays, à quelque niveau que ce soit. La situation varie d’un comté à l’autre, d’un Etat à l’autre, selon si ce sont les Républicains patriotes qui dirigent, ou bien les Républicains traitres ou encore les Démocrates. Mais le Second Amendement concerne tout le territoire national.

      De mon expérience, les politiciens américains – dont certains adhèrent totalement à la doctrine du FEM, et qui pullulent au Parti Démocrate – font quand même, la plupart du temps, attention à ne pas faire trop de conneries car ils savent que les citoyens sont armés. Ils peuvent dire des conneries, Premier Amendement oblige, mais c’est tout.

    2. Pour compléter le débat ci-dessous dans les commentaires, à propos de la violence, voici une citation de Don Helder Camara, qui est utile à rappeler et surtout à garder en tête :

      « Il y a trois sortes de violence.

      La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’Hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.

      La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.

      La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.

      Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue. »

      Don Helder Camara (7 février 1909 – 27 août 1999)

      Je pense que ce que font Ardern et les autres marionnettes du FEM qui pullulent dans les gouvernements et institutions politiques en Occident, relève effectivement de la 1ère violence. La réaction violente des peuples relève de la seconde. Quant à la troisième, voir les derniers achats de véhicules Centaure, les millions de LBD, grenades de désencerclement et autres dispositifs de gazage, qu’a commandés le gouvernement de Macron. Ca dit tout ce que vous avez besoin de savoir.

      1. Sachant que France Info et le gouvernement néo-zélandais partagent la même idéologie que Davos, ce média ne peut pas caractériser le gouvernement néo-zélandais selon sa véritable nature, il doit au contraire le qualifier à l’opposé de ce qu’il est vraiment.

        J’ajouterai qu’il en va de même de tout autre acteur qui ne tient pas à ce qu’on connaisse ses véritables intentions, ils pullulent sur les réseaux dits sociaux.

        1. La Nouvelle Zélande, l’Australie, le Canada, la France, etc. fonctionnent tous dans le sens voulu par le FEM. Et leurs leaders sont souvent des Young Global Leaders de Klaus Schwab, tels Macron et Trudeau.

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