Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19

19/02/2022 (2022-02-19)

Par Gérard Delépine

IL FAUT DÉMENTIR LE DERNIER ARGUMENT PROVAX QUI SERAIT LA PRÉVENTION DES FORMES GRAVES

Vaccins anti-covid : comment continuer à les imposer malgré leur inefficacité avérée à prévenir la maladie et à éviter la transmission du virus et malgré leurs dangers maintenant reconnus même sur les TV et singulièrement pour les enfants innocents du covid ?

Informez encore et encore pour faire disparaître la peur de ce petit virus si peu méchant chez les moins de 65 ans (et curable chez tous, surtout traité précocement) et faire comprendre l’inutilité d’une injection.

Regardez les faits avérés pour lutter contre la politique sanitaire mensongère fondée sur la peur, la propagande et la censure.

En cette période, le président affirme « vouloir emmerder les non vaccinés » et impose encore le passe vaccinal jusqu’au 15 mars.

Espère-t-il qu’en le supprimant juste avant le vote présidentiel il obtiendra le vote des électeurs qu’il a si longtemps « emmerdés » comme les otages victimes du syndrome de Stockholm(([1] Le terme « syndrome de Stockholm » doit son nom à l’analyse d’une prise d’otage ayant eu lieu à Stockholm en 1973 par le psychiatre Nils Bejerot. Il s’agit d’un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci.))?

La plupart des pays font disparaître dès maintenant toutes les mesures coercitives. L’analyse de l’intérêt sanitaire réel de la pseudo vaccination à la lumière de ses résultats avérés d’après les données de l’OMS, et en particulier sa prétendue efficacité de la pseudo vaccination prévenir les formes graves doit une nouvelle fois être réévaluée.

Les données publiées par l’OMS et celles des agences sanitaires du monde entier, comparant les pays entre eux montre que les affirmations mainstream sur les pseudo vaccins sont fausses !

Les pseudo vaccins sont incapables d’arrêter l’épidémie

Les pays les plus vaccinés ne contrôlent pas l’épidémie, qu’il s’agisse d’Israël champion de Pfizer où l’explosion récente des contaminations dément cruellement les propos du ministre de la Santé(([2] Salomé Vincendon ISRAËL : D’APRÈS LE MINISTRE DE LA SANTÉ, LES VACCINS « PROTÈGENT » DU VARIANT OMICRON BFM TV Le 01/12/2021
https://www.bfmtv.com/international/moyen-orient/israel/israel-d-apres-le-ministre-de-la-sante-les-vaccins-protegent-du-variant-omicron_AN-202112010164.html)) prétendant que les vaccins protégeraient d’Omicron,

Malgré son taux record d’injection Pfizer, Israël a dû faire face à des vagues successives de plus en plus fortes établissant à chaque vague de nouveaux records de contaminations journalières.

ou de la Grande-Bretagne :

En Grande-Bretagne, la pseudo vaccination massive n’a pas non plus protégé la population.

En France, malgré un taux de couverture vaccinal atteignant 90 % dans les groupes cibles, le nombre de contaminations quotidiennes a été établi le 26 janvier 2022 avec le record absolu (500 563) depuis le début de la crise malgré des restrictions de plus en plus fortes qui renient les principes fondamentaux de notre démocratie.

Et cette incapacité à contrôler l’épidémie s’est répétée dans tous les pays adeptes de la stratégie du tout vaccinal.

Le 22 décembre 2021, Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur de l’OMS a reconnu que les doses de rappel ne suffiraient pas pour sortir de la pandémie.

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel »

Les pseudo vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort

NON MR PRAUD, NON DR BLACHIER, LES INJECTIONS NE PROTÈGENT PAS DES FORMES GRAVES, regardez les courbes de l’OMS et les rapports des agences sanitaires étrangères.

En France, les agences continuent à prétendre que les injections diminuent le risque de formes graves. Et les médias français, y compris ceux qui s’éloignent progressivement de la doxa covidienne répètent encore en boucle que les pseudo-vaccins protègeraient des formes graves et qu’il faudrait vacciner les personnes à risque !

Cet échec à prévenir les formes graves et les morts est pourtant constaté dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires.

En Israël, les injections Pfizer n’ont pas prévenu les formes graves et les morts et ont même permis en février 2022 l’établissement de records de mortalité quotidienne depuis le début de l’épidémie.

En septembre 2021 le ministre de la santé israélien, pour inciter à la troisième injection, avait reconnu sur une télévision israélienne que « la grande majorité des formes graves étaient observées chez les doubles vaccinés ».

Cinq mois plus tard, le 3/2/22, le Prof. Yaakov Jerris, directeur de l’hôpital Ichilov a déclaré(([3] A Israel National News 03.02.22 15:12)):

« 80 % des formes graves de covid sont observées chez les vaccinés complets (à trois doses) » ajoutant « les vaccins n’ont pas d’utilité pour diminuer la sévérité de la maladie »

En février 2022, le pays champion officiel des injections Pfizer s’est retrouvé avec les USA parmi les plus hautes mortalités quotidiennes mondiales par million d’habitants (8/Million).

En Grande-Bretagne, l’agence sanitaire officielle affirme que les vaccinés remplissent les réanimations. Le pourcentage de non-vaccinés en réanimation n’est pas supérieur à celui de la population générale prouvant ainsi que les injections ne protègent pas des formes graves.

En France, les agences et les médias prétendent que les injections diminuent le risque de formes graves, comme à l’époque de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl où elles prétendaient que le nuage radioactif s’était arrêté à la frontière.

Leur propagande est favorisée par la définition trompeuse(([4] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protégerait des formes graves | Mondialisation.ca)) des « vaccinés » qui n’acquièrent ce qualificatif que 15 jours après la deuxième injection(([5] Et bientôt la troisième…)) excluant ainsi toutes les complications et les morts post injections précoces, truquant l’estimation véritable de la proportion des « formes graves » hospitalisées selon leur statut vaccinal. Sans compter qu’un patient hospitalisé pour un lourd traitement chirurgical nécessitant des soins critiques est le plus souvent catalogué « covid », si son test est positif alors l’on sait qu’il existe plus de 50 % de faux positifs lors des dépistages chez les asymptomatiques.(([6] Luc Perino Plaisir de la mathématique et de la clinique élémentaires Le monde 28/11/2021
https://www.lemonde.fr/blog/expertiseclinique/tag/faux-positif/))

Cette absence de protection des formes graves est constatée dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires et explique en partie que les pays très vaccinés souffrent presque tous d’une mortalité plus élevée que celle des pays adeptes des traitements précoces

D’après Lesgards et al, les 3 raisons pour lesquelles ces pseudo vaccins protègent peu ou pas du tout contre les formes graves (ni d’ailleurs contre les infections moins sévères) sont les suivantes :

  1. ils ne stimulent pas la production des IgA sécrétoires vs circulantes(([7] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-dinformation-lattention-des-senatrices-et-senateurs-lesgards
    http://www.apar.tv/alt-news/des-resultats-dautopsie-donnent-des-preuves-irrefutables-du-role-des-injections-a-base-darnm-dans-les-deces-post-vaccination/));
  2. dans les épidémies à coronavirus les anticorps sont volontiers facilitants ;
  3. l’oxydation et inflammation induites par spike sont responsables de morts chez des sujets ayant des comorbidités, atteints du COVID.

OPACITÉ FRANÇAISE

Il est invraisemblable qu’en France ni les données brutes selon le statut vaccinal réel ni les comptes rendus du comité scientifique covid (classés « secret défense » pour 50 ans) ne soient pas publiés alors que le Premier ministre se flatte de la transparence de la gestion de la crise Covid.

Aucune donnée chiffrée vérifiable ne montre que les vaccins diminueraient la gravité du covid. Toutes les données officielles publiées à l’étranger prouvent le contraire.

La prétendue efficacité des pseudo vaccins à protéger des formes graves ne constitue donc qu’une publicité mensongère à visée marchande, et les journalistes et médecins qui découvrent l’ampleur de la manipulation devraient ouvrir les yeux sur ce point fondamental et répéter en boucle que les nombreux traitements précoces disponibles sont efficaces y compris chez les patients âgés ou comorbides.


image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *