Pourquoi la Secte aurait-elle suscité la panique sinon pour asservir aujourd’hui ?

(FILES) This file photo taken on February 23, 2017 shows a worker inside the P4 laboratory in Wuhan, capital of China's Hubei province. - The P4 epidemiological laboratory was built in co-operation with French bio-industrial firm Institut Merieux and the Chinese Academy of Sciences. The facility is among a handful of labs around the world cleared to handle Class 4 pathogens (P4) - dangerous viruses that pose a high risk of person-to-person transmission. (Photo by JOHANNES EISELE / AFP)

06/07/2021 (2021-07-06)

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : JOHANNES EISELE / AFP]

Comme il est de plus en plus probable maintenant d’entériner la « manip » faite sur ce virus et surtout le fait qu’il vienne d’un labo P4 installé en Chine communiste, il faut distinguer dans l’analyse deux hypothèses :

  • celle qu’il ait été volontairement distribué via diverses cérémonies sportives et militaires ;
  • celle qu’il soit issu d’un « accident » (ce qui aurait alors suscité la panique des dirigeants communistes, car ne sachant pas comment ce » gain de fonction » pourrait être létal — ce qui aurait été cependant le but recherché, selon la première hypothèse).

L’idée première fut de « confiner » en attendant mieux, en particulier : les traitements précoces (la première étude sur l’hydroxychloroquine fut chinoise) ; et ce que les dirigeants ont appelé par la suite « vaccin » (qui n’a cependant pas été exporté). La Secte qui nous gouverne (scientiste-hygiéniste et affairiste adepte du « Trans ») apprenant cet « accident » se mit alors en mode panique et suivit sa frange communiste chinoise dans cette pratique archaïque appelée « confinement ».

Mais les partisans de la première hypothèse (l’accident volontaire) peuvent rétorquer que cette « panique » a pu être simulée de la même façon que l’apparente décontraction du Président français disant qu’il fallait continuer à aller au théâtre. Pratiquement au même moment, sa ministre de la santé entérinait le fait de classer l’hydroxychloroquine comme substance vénéneuse (débutée en novembre au moment même de la diffusion officielle du virus via les cérémonies), faisant fi des études chinoises et françaises qui s’amorçaient (elle aurait pu suspendre le classement de cet antiviral comme toxique dangereux). Et le nouveau ministre de la Santé l’interdisait carrément quelques mois plus tard (ainsi que tout autre médicament), suite à une étude frauduleuse retirée depuis, mais jamais attaquée juridiquement jusqu’à présent (juillet 2021) par les autorités concernées dont il a toujours la charge. Il tolère cependant, mais au compte-gouttes que les médecins puissent prescrire, laissant « en même temps » à certaines officines le soin de les poursuivre dans une contradiction somme toute peu gênante selon la doctrine de la Secte (les contradictions n’ont pas à être dépassées ou résolues, mais « gérées » — j’ai étudié cela dans Éthique et épistémologie du nihilisme, les meurtriers du Sens, et dans divers articles sur « le néo-léninisme contemporain »).

Ce « concours de circonstances » fait cependant de plus en plus peser la balance du côté de l’intention volontaire et de la simulation généralisée (panique au-dehors, mais la vie continue en privé y compris dans les restaurants et les bordels chics). Mais dans quel but ?… Et puis les partisans de la seconde hypothèse (« l’accident » opportuniste) peuvent ne pas lâcher prise en avançant que le problème n’est pas là, mais plutôt dans sa manipulation affairiste (les traitements géniques en lieu et place de combinaisons efficaces entre antiviraux et antibiotiques articulés à diverses prises de vitamines C et D) et aussi sa manipulation politique comme cette « opportunité » dite du « Grand Reset ». Celle-ci permet aux adeptes du tout numérique et de l’écologisme frugal d’imposer leur furie idéologique grâce à l’arrêt de l’économie « non essentielle » et des transports, au nom d’un nouveau paganisme qui déifie la Terre et aussi d’une Volonté infinie capable de soumettre la vie à la moindre torsion du préfixe « Trans » fonctionnant alors comme prémisse onto/eschato/téléo/logique sacrée : trans/ition éco/logique/nomos/sexuel/identité, humanisme, animal, etc.

Les partisans du caractère volontaire de « l’accident » n’en démordent cependant pas : il s’agirait de réduire la population mondiale de 7 milliards à environ 500 000 « trans » en faisant en sorte que l’essai clinique actuel (appelé pompeusement « vaccin ») fabrique suffisamment de « variants » mortellement fulgurants de type Ebola.

Qu’en penser ? Comment trancher ?…

Pour l’instant concernant l’analyse il semble bien que l’hypothèse de « l’accident » volontaire pèse plus dans la balance que le côté involontaire, d’autant que cela ne nuit pas au fait que ladite opportunité du Grand Reset peut fort bien être pensée comme étant le réel but à atteindre.

Néanmoins, il semble bien que ce dernier point pèse plus dans l’analyse en dernier ressort que la mise à mort de milliards d’individus du moins au vu des faits à disposition : en effet la maladie reste peu létale et les « variants » n’entament pas (pour l’instant, juillet 2021) cette caractéristique objective du moins lorsque les chiffres ne sont pas biaisés.

Aussi convient-il d’admettre, du moins pour le moment (juillet 2021), que la balance des faits penche plutôt vers l’accident simulé en vue de réorienter drastiquement le cours du monde vers le « Trans » (affairiste) que vers la seule hypothèse d’exterminer les trois quarts de l’humanité.

Ce qui ne veut pas dire cependant que cette dernière possibilité ne fasse pas de manière indirecte, douce, via une implosion, un « suicide », d’aucuns disant, par exemple, que les civilisations s’effondrent lorsqu’elles n’arrivent plus à « gérer » la somme des contradictions laissées à l’abandon, tant l’élite est de plus en plus occupée à se vautrer dans le narcissisme et le nombrilisme (« après moi le déluge »). Ceux-ci sont amplifiés aujourd’hui dans ses caprices cristallisés en idées fixes par la médiatisation névrotique de l’égotisme parfois sulfureux (pédocriminalité), mais voilés dans l’altruisme forcené (obligatoire, disproportionné, donc esclavagiste) ce qui est le comble de l’hypocrisie, disait Pascal, car à force de simuler l’ange on donne prise à la Bête.

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