L’insanité cynique de la Secte au pouvoir se précise

20/12/2021 (2021-12-20)

Par Lucien SA Oulahbib

La monstruosité n’a pas de limites, par définition, avec comme exemple ce qui se passe aujourd’hui en matière de santé. En l’occurrence, ce dernier « mutant » aux effets si infimes, si epsilonesques [minuscules] qu’il nécessite une propagande hors pair pour en amplifier les dégâts supposés tout en rejetant son émergence sur les non injectés. On jete alors des millions, voire des milliards de personnes dans l’angoisse effroyable de la morbidité permanente, anxiogène, productrice d’effets secondaires encore plus redoutables, puisqu’ils font baisser par le stress l’efficience du système immunitaire naturel. Ces effets dramatiques (perte de sommeil, crises d’angoisse, boulimies, catalepsies progressives inédites — immobilité accrue avec injections de séries télévisées à répétition pour compenser une vie sociale atone) s’ajoutent à ceux, cachés, de ces injections expérimentales (toujours sous AMM conditionnelle) qui nécessitent plusieurs doses par an, ce qui est également inédit, du jamais vu dans l’histoire vaccinale, surtout pour un virus si peu létal.

Au fond, ces injections (loin d’ailleurs de protéger à la différence des vaccins classiques) complexifient les données de santé au sens de s’ajouter négativement à tous ces autres traitements palliatifs qui tentent vainement de contrer toutes ces maladies chroniques produites par un mode de vie urbain si critique que certains spécialistes parlent plutôt désormais de syndémie. Ce terme est bien plus exact que cettedite « pandémie » que d’aucuns stipulent sans aucune preuve qu’elle serait essentiellement transmise (la virulence pas la contagion) par les « asymptomatiques » et les « enfants », d’où la [prétendue] nécessité d’injecter et de museler tout le monde ce qui est faux du moins si l’on ne confond pas « cas » et « malades » comme l’indiquent d’innombrables études désormais.

Mais comme l’indique Laurent Toubiana, il y a bien plus grave, car « nous sommes sortis de la rationalité », ce qui veut dire semble-t-il que nous sommes désormais en dehors d’elle, entremêlant alors l’irrationalité magique (croyance en des gris-gris comme les muselières, la ségrégation, distanciation, injections d’élixirs douteux) et anti-rationalité (mise à l’index des savants disant le contraire et des médicaments susceptibles de soigner efficacement, insultes et ségrégation pour les récalcitrants).

Cette sortie « hors de la rationalité », dans ces deux dimensions ci-dessus, amène nécessairement vers la bouffée délirante de la transe psychotique qui structure brusquement les comportements des foules prises dans des injonctions paradoxales (certaines cocasses : fermer les boîtes de nuit et non les boîtes échangistes, forçant les premières à se métamorphoser en direction des secondes ?).

La tension monte donc. Une sensation de se faire berner imprègne l’atmosphère, ce qui fait que ces foules surchauffées par des médias aux ordres peuvent à terme se ruer sur les boucs-émissaires en l’occurrence non plus les « antivax », mais les « nonvax » tout court, les insultant de plus en plus fort par des seconds couteaux qui profitent de l’aubaine pour se faire mousser, les menaçant même (« notre patience a des limites » tonne une Caroline Fourest que l’on ne connaissait pas infectiologue), les internant dans certains pays, inscrivant sur leurs vitrines comme en Allemagne (à nouveau) des menaces, et faisant même appel juridiquement à l’encontre de blâmes jugés pas assez punitifs envers des médecins qui ont osé soigner de façon traditionnelle (avec des résultats pourtant très probants comme l’a indiqué, malgré les dénis vindicatifs, le doctothon).

Tout ceci donna, en d’autres temps, l’amplification de la ségrégation légale pour ainsi « purifier ». Ceci implique, peu à peu, de passer des violences indirectes actuelles (mises à l’index, dénonciations verbales, perte d’emplois, impossibilité de voyager se restaurer d’avoir des loisirs faire du sport en salle) à des violences de plus en plus directes comme furent justifiés les pogroms et génocides d’autrefois qui ont souvent commencé tout aussi « doucement ». Ainsi, même la « nuit de cristal » aura mis cinq ans à arriver : 1938.

Comparaison n’est pas raison, certes, mais tout de même, la montée d’un cran vers la ségrégation globale pour une maladie de moins en moins létale résulte bien d’une montée aux extrêmes aux conséquences non encore calculables, sauf sur un point peut-être : une telle mise sous tension ne peut pas être d’origine médicale (la létalité étant epsilon comparée aux autres maladies infectieuses telles les insuffisances respiratoires aiguës), mais bel et bien politique. Elle vise à mettre au pas peu à peu la population mondiale en lui imposant la substitution de son système immunitaire naturel par un système immunitaire artificiel à obsolescence programmée.

Ce qui fait que nous voyons émerger la constitution mondialisée d’une Secte globale hygiéniste et affairiste qui au nom de la Science impose d’un côté des traitements divers à vie (la syndémie) et, de l’autre, des « transitions » énergétiques à vie, elles aussi sachant pourtant sur ce dernier point que le passage du thermique au tout électrique « saccage » bien plus la planète qu’une énergie fossile issue de la nature et dont les effets négatifs sont de plus en plus contrôlés.

À cela s’ajoute la mise à l’index de la peau blanche, la fin de la différence entre les sexes (ainsi l’OPA des dits « trans » sur le concours Miss France), la réduction du terme de « nation » — transcendant, pourtant racines ethniques et culturelles vers un être ensemble permettant une meilleure circulation des compétences — à un obstacle majeur envers cette métamorphose inédite de l’individu en terminal cybernétique de plus en hybride…

C’est la victoire idéologique du nazisme au sens heideggérien de construction d’une « race métaphysique » transcendant ontologiquement le léninisme et le fascisme avec comme hantise commune le libéralisme ; car ce dernier est philosophiquement antinomique au formatage uniforme nécessaire pour les ambitions étatistes d’expansionnisme impérialiste. Mais le maoïsme a montré qu’en isolant dans le libéralisme la protéine SC (pour Système Capitaliste), il était possible de mieux organiser les flux d’offres et demandes et par là assurer la vie luxuriante de la Secte (cette nouvelle « race métaphysique ») jusqu’à désormais inclure l’intériorité des corps et des esprits et non plus seulement leur « force » physique et intellectuelle.

C’est le passage de la mécanique des fluides vers la pneumatique dynamique ondulatoire : celle qui considère les individus en autant de systèmes de particules ou synthèses culturelles multiformes qu’il est possible de diffracter, matricer en points cibles divers afin par exemple ici de remplacer telle « pièce » (une immunité) jugée défectueuse par une injection, ou ailleurs par une série télévisée plus « dégenrée », plus « colorée », le tout porté par les photocopies et affiches (leaders d’opinion appelés aujourd’hui « influenceurs ») à la mode…

Quel est l’intérêt d’une telle qualification ?  Indiquer que nous avons à faire à une Secte imbue d’elle-même, sûre de sa supériorité, méprisant ceux qui la critiquent en les cataloguant avec des termes infâmes, refusant enfin toute rationalité désormais au profit de la pure logique ami/ennemi qui caractérise la cristallisation sectaire.

Or, celle-ci en passant de « l’espace infini au monde clos » (à l’inverse de ce qui s’était passé naguère) nous amène vers une période inédite que d’aucuns nomment génocidaire (nécessitant un Tribunal ad hoc) d’autres, totalitaire. J’estime pour ma part qu’il s’agit d’un processus sectaire cooptant ses membres sur des bases puristes articulant les prémisses de l’un et l’autre mouvement, mais nous ne pouvons encore à ce stade l’affirmer tel quel, même si les germes de 38 étaient là dès 25 et 33, ou ceux des grands massacres communistes (URSS, Chine maoïste, Cambodge de Pol Pot) étaient en germe dès 1917, d’autant que les pleins effets secondaires des injonctions et injections actuelles bien que montant crescendo (explosion des maladies chroniques, des suicides, de la prise d’opiacés légaux et illégaux, des bouffées délirantes) n’atteindront leur acmé que dans deux à trois ans au niveau sanitaire et un peu plus au niveau politique global. La destruction des nations et des individus prend bien plus de temps que prévu, d’où la nécessité de corréler à l’alarmisme sanitaire le catastrophisme climatique. Le premier confond (intentionnellement) cas et malades, le second météo et climat avec la même intention de nuire et ce de façon méticuleuse. Ceci est bien la caractéristique du tueur en série qui est aussi un pédocriminel en distanciel (piquer les enfants) tout en se prétendant artiste façon Néron : mettre le feu (à l’économie la société) et jouir de voir des millions de particules se ruer vers l’injection forgeant ainsi en temps réels toutes ces courbes exponentielles progressant dynamiquement sur les écrans qui font office de support à l’instar des cadres en bois d’autrefois.

Le hic pour cette Secte est que jamais dans l’Histoire ses aînées n’ont pu tenir bien longtemps, à l’exception sans doute de sa tendance soviétique (72 ans) et le fait que la maoïste, elle, grâce à son injection de la protéine SC tient encore et même mène la danse en compagnie de diverses cinquièmes colonnes. Mais le pot aux roses se dévoile, et à moins de surprises toujours possibles, cette Secte ira rejoindre les autres dans le fameux « puits sans fond de l’Histoire ».

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PS : Le dernier numéro de la revue Dogma : https://dogma.lu/wp-content/uploads/2021/12/Edition-17._Dogma.pdf

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