05/04/2024 (2024-04-05)
[Source : Clintel]
Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes — ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) ait jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.
Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?
[Voir aussi :
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du dossier Climat]
Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social.
Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi. Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important.
C’est une division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation d’étiquette sociale.
Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.
Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film.
#ClimateTheMovie sera disponible gratuitement sur de nombreux sites en ligne à partir du 21 mars 2024. Des sous-titres dans de nombreuses langues sont actuellement créés par la Fondation Clintel. Suivez @ClimateTheMovie et @ClintelOrg pour les mises à jour.
Version sous-titrée :
Traduction en français par IA EzDubs :
[Source : ezdubs.ai via @GiletteJaune]
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