La VRAIE révolution sexuelle est la perte de la sexualité

11/03/2024 (2024-03-11)

Qui vous est apportée par les antidépresseurs

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par JON RAPPOPORT — 27 FÉVR. 2024

Je viens de lire un article étonnant de Freya India. Il décrit les effets dévastateurs des antidépresseurs ISRS sur les jeunes :

Les ISRS (en anglais Selective Serotonin Re-Uptake Inhibitors—inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine) sont une classe courante d’antidépresseurs utilisés pour traiter la dépression, l’anxiété et d’autres problèmes de santé mentale. Les ISRS les plus courants sont la fluoxétine (Prozac), l’escitalopram (Lexapro) et la sertraline (Zoloft). Il est bien établi que ces médicaments ont des effets secondaires sur la sexualité. En fait, on estime qu’entre 40 et 65 % des personnes qui prennent un ISRS souffrent d’une forme ou d’une autre de dysfonctionnement sexuel. Ce que peu de gens savent, cependant, c’est que ces effets secondaires peuvent persister même après l’arrêt des médicaments, une condition appelée dysfonction sexuelle post ISRS (PSSD pour post serotonine sexual dysfonction).

Il ne s’agit pas seulement d’une baisse de la libido. Il peut s’agir d’une perte totale de libido, d’un engourdissement des organes génitaux, de troubles de l’érection, d’une incapacité à atteindre l’orgasme et d’une absence totale d’attirance sexuelle. L’émoussement émotionnel est également fréquent, les personnes atteintes décrivant un engourdissement des émotions positives, l’absence de sentiments romantiques et des difficultés à nouer des liens avec les autres…

Au Royaume-Uni, un adolescent sur trois âgé de 12 à 18 ans s’est vu prescrire des antidépresseurs. Rien qu’en 2022, le nombre d’enfants âgés de 13 à 19 ans prenant des antidépresseurs a augmenté de 6 000 pour atteindre 173 000…

Et de plus en plus souvent avant la puberté ! Au Royaume-Uni, les prescriptions d’antidépresseurs pour les enfants âgés de 5 à 12 ans ont augmenté de plus de 40 % entre 2015 et 2021. À cinq ans ! Avant même qu’ils n’aient eu la possibilité de se développer normalement ! Les forums en ligne regorgent déjà de personnes qui partagent leurs expériences de la puberté sous ISRS et qui, à l’âge adulte, doivent faire face à des dysfonctionnements sexuels. Ils racontent qu’ils ont commencé à prendre du Zoloft à l’âge de 11 ans et qu’ils n’ont jamais développé de sensations sexuelles normales. On leur a prescrit du Prozac à 14 ans et ils ne savent pas ce que c’est que d’avoir une libido. Des personnes qui ont pris du Lexapro pendant moins d’un mois et qui, six ans plus tard, souffrent toujours d’un engourdissement des organes génitaux.

Perte des sensations sexuelles, du désir et de l’intérêt.

Et pour couronner le tout, des tonnes d’assurances de la part de la foule Woke selon lesquelles l’absence de sexualité est tout à fait acceptable. C’est une identité de genre.

Par opposition à une CATASTROPHE CHIMIQUE.

Je suis allée sur Google et j’ai tapé « SSRIs loss of sexual feeling » (perte des sensations sexuelles). Voici les entrées qui ont surgi :

NIH (pour National Health Institute — Institut National de la Santé, plus grand organisme de santé publique dans le monde) : « Dysfonctionnement sexuel avec les SSRI ».

Harvard Health (département dédié à la santé de l’université de Harvard) : « Certaines personnes prenant des SSRI sont incapables d’avoir un orgasme. Ces symptômes tendent à devenir plus fréquents avec l’âge… »

Mayo Clinic (fédération hospitalo-universitaire et de recherche américaine, de réputation mondiale) : « Les effets sur la fonction sexuelle peuvent inclure une modification du désir sexuel ; des problèmes d’érection ; des problèmes d’orgasme ; des problèmes d’excitation, de confort et de satisfaction. »

New York Times : « Les médecins et les patients savent depuis longtemps que les antidépresseurs peuvent provoquer des troubles sexuels. Absence de libido. Des orgasmes sans plaisir. Des organes génitaux engourdis… »

Il ne s’agit donc pas d’un secret.

Mais combien de médecins qui s’apprêtent à prescrire des antidépresseurs à des enfants disent à leurs parents : « Ce médicament peut avoir de graves effets secondaires sur le plan sexuel » ? (NdT : combien de médecins qui vaccinent disent aux parents les risques encourus ?)

C’est donc cela. Une ignorance généralisée, parce que les médecins se taisent sur ce qu’ils savent.

Et lorsque tout sentiment sexuel s’éteint, on dit à l’enfant : « Non-binaire… asexuel… genre… trans… tout va bien… pas de problème… ».

L’enfant se croit à la pointe d’une nouvelle société, d’une nouvelle culture, d’une nouvelle façon de voir le masculin et le féminin, d’une révolution.

Ce sont les médicaments. LES MÉDICAMENTS.

La castration chimique.

Que font les forces de l’ordre contre les laboratoires pharmaceutiques, les agences de régulation qui approuvent les médicaments, les médecins qui les prescrivent ?

RIEN.

Que font les conseils médicaux des États ?

RIEN.

Que fait la profession médicale ?

Elle ouvre la voie à la redéfinition des genres et soutient ces nouvelles définitions par des traitements toxiques et des mutilations chirurgicales des organes génitaux.

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