France, pays de Démocratie et des Droits de l’Homme, ou pays de prestidigitation ?

Par Diane Vincero

La France, Terre des Hommes, ce beau pays terriblement accueillant, pays de Démocratie et des Droits de l’Homme.

C’est ce que nous présente le prestidigitateur (il semble qu’il ait pour doux nom Macron…), mais derrière cette belle image vendeuse, il nous cache LA chose importante.

Parlons du Covid, vous savez ce virus qui causerait tant de misères depuis maintenant presque deux ans, en tout cas, c’est ce que relaient inlassablement tous les médias officiels. Selon eux et les autorités, nous surfons d’une vague (Covid…) sur l’autre, au point de surfer aujourd’hui sur la cinquième vague. C’est beau d’être aussi sportifs…

Or, pour ceux qui savent ouvrir les yeux, ils ressentent une sorte de « too much » dans tout ce qui est « hurlé » depuis qu’E. Macron nous a annoncé son fameux « Nous sommes en guerre », en oubliant du reste de nous préciser contre qui… Ce « too much » a amené les personnes dont les yeux sont ouverts, à regarder de près ce qui se passe en réalité.

Les observations faites par l’ensemble de ces personnes convergent toutes vers le même constat : nous sommes en réalité face à une gigantesque mascarade grand-guignolesque faite d’un impressionnant ramassis de mensonges plus énormes les uns que les autres, visant à obliger la totalité de la population à se faire injecter les produits fabriqués par quatre laboratoires pharmaceutiques.

Juste au passage et pour un rappel synthétique, voici quelques-uns de ces mensonges :

un virus circule par voie aérienne, mais, pas besoin de masques pour autant (ah bon ??). Mais, dès l’annonce initiale, on parle pourtant d’une « crise sanitaire », avant même le premier misérable mort !!… Ensuite, le tourbillon de mensonges s’est enchaîné : masques obligatoires même dehors au grand air (alors qu’ils ne peuvent stopper que des germes 5 à 10 fois plus gros que le Covid, celui-ci se glissant donc facilement dans les mailles du filet…), nombre de morts soi-disant catastrophique, lits de réanimation qui déborderaient, les pseudo variants mortels, les « vaccins » fabriqués et autorisés à être mis sur le marché (AMM) en un temps éclair (quelques mois au lieu des 10 ans habituels…), le passe sanitaire qui permet de recouvrer sa liberté et de partir en vacances pour l’été 2021, et vaccins qui soi-disant, garantissent une immunité totale, mais qu’il faut refaire finalement de plus en plus souvent, sous peine de perdre son passe sanitaire, etc., etc.

Et le bal de continuer de plus belle !!… L’image du nez de Pinocchio qui s’allonge au fur et à mesure de ses mensonges sied effectivement parfaitement à tous ces dirigeants politiques, et ces dirigeants industriels (Big pharma, industrie chimique etc.). Il doit maintenant friser les 1000 km… et ce n’est pas fini……

Résultat, obligation vaccinale pour tous qui se profile à l’horizon, lentement mais sûrement, et prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022. Injections imposées à des êtres de plus en plus jeunes, malgré les effets secondaires potentiellement handicapants à vie, voire potentiellement mortels, et pourtant signalés largement, mais le principe de précaution n’est pas appliqué, les dirigeants de Big Pharma et les dirigeants politiques ont même fait voter des lois les dédouanant de toute responsabilité de ces terribles effets, autant de crimes impunis…

Mais, à en croire nos dirigeants (et ceux du monde entier…), la population doit garder en mémoire que « tout ce qui est fait et mis en place depuis début 2020, l’est dans l’intérêt du peuple » et que celui-ci doit penser aux autres (comme c’est beau !!!), les protéger grâce aux masques (pourtant inutiles, cherchez l’erreur…) et aux gestes barrières, mesures que pourtant nos dirigeants piétinent, foulent aux pieds généreusement quand ils font la fête entre eux… Ces soignants portés aux nues en 2020 et pourtant jetés dehors quand ils ne sont pas vaccinés à partir du 15 septembre 2020 (contrats de travail ET SALAIRES SUSPENDUS purement et simplement….).

Manifestement, il y a un océan entre les beaux principes que nos dirigeants mettent en avant et les mensonges qu’ils profèrent, et la coercition dangereuse qu’ils exercent…

En effet, au fur et à mesure, les sanctions pleuvent, il est question par exemple de verbaliser les parents qui n’ont pas fait vacciner leur(s) enfant(s) à hauteur de… 1500 euros…

L’ensemble des mesures mises en place, lentement mais sûrement, vise à placer la population dans un goulot d’étranglement de plus en plus serré, comme on le fait d’ailleurs pour le bétail, notamment par le levier de ces aspects financiers, de manière à ce qu’aucun individu ne puisse échapper à ces injections potentiellement mortelles…

Mais toujours bien sûr, « pour le bien du peuple », comment en douter une seule seconde ??…

À ce stade, on voit donc un ramassis de mensonges énormes, des mesures déguisées, comme la possibilité de recouvrer sa liberté et de partir en vacances si on se fait vacciner, ou des mesures directement violentes comme la mise à la porte des soignants, ou des amendes, ou des mesures cruelles comme l’interdiction d’aller voir son enfant (ou autre personne de la famille) hospitalisé, si on n’est pas vacciné, etc., etc.

En conclusion, les dirigeants mentent, font croire qu’ils agissent pour le bien du peuple, et au passage le sanctionnent, l’obligent à se faire injecter un produit potentiellement mortel.

En quoi agissent-ils alors pour le bien du peuple ???

Est-ce cela la Démocratie ?? Est-ce cela le pays des Droits de l’Homme, pays où tous ces droits sont piétinés sauvagement par les dirigeants ???

Et pourtant, à y regarder de près, la France peut se vanter d’être un véritable pays démocratique. Nous en voulons pour preuve, les futures élections présidentielles : elles vont se faire, comme depuis des décennies par la voie des urnes, avec ces bulletins soigneusement cachés aux yeux des personnes présentes dans les bureaux de vote, pour garantir la confidentialité totale du choix de l’électeur. Qu’y a-t-il de plus beau que ce moment de pure Démocratie ??!! Cette merveilleuse opportunité de pouvoir choisir son (puis ses) dirigeant(s) au « plus haut sommet » de l’état (pardon : État…), puis au niveau des circonscriptions, etc.

Or, à y regarder de près, depuis De Gaulle, que le dirigeant élu soit de droite ou de gauche, la France a glissé inexorablement vers la situation actuelle… Combien de promesses électorales jamais tenues ??!!… Combien de « bonnes intentions » mises en avant, pour plaire au peuple, mais pas suivies ensuite ou suivies de leurs contraires ??!!… Comment a évolué le pouvoir d’achat des retraités ?? Comment ont évolué les salaires et les conditions de travail des camionneurs, malgré leurs grèves, leurs blocages de raffineries ?? Comment ont évolué les hôpitaux (vous savez, là où le peuple se fait soigner, pas les dirigeants bien sûr, ou alors dans des conditions toutes spéciales pour eux…) ??

Est-ce cela la Démocratie ???

Donc, elle se résumerait à pouvoir « élire » le président de la République (pardon : le Président de la République) ??

Mais, il semble qu’en ouvrant les yeux ne serait-ce que 2 secondes, on s’aperçoit que là encore, il y a un lézard (ou plutôt un énorme varan de Komodo, voire même un dinosaure carnivore géant, type Tyrannosaure Rex..) !!

En effet, comment est-il possible qu’E. Macron puisse décider de la prolongation de l’état d’urgence jusqu’au…. 31 juillet 2022, alors que les élections sont en mai ????!!!!

Cela sent le truc déjà orchestré d’avance : en d’autres termes, la campagne présidentielle est (comme toutes les précédentes), tout comme la vaste campagne de la prétendue pandémie Covid, une gigantesque mascarade, un tour de prestidigitation de plus. On attire votre attention sur des « candidats » à l’élection (d’où sortent-ils, qui les finance et finance leurs campagnes, etc. ?), de prétendus débats politiques, de belles promesses électorales, tout pour vous faire croire qu’on veut le bien du peuple, comme d’habitude…, mais, les mensonges sont déjà présents : le Système** a déjà choisi le futur président qui va suivre la même politique Covid (tout en affirmant peut-être le contraire pendant la campagne présidentielle…)

En d’autres termes, les dés sont aussi pipés qu’en Russie ou aux USA, mais la prestidigitation fonctionne toujours….

Et le tout saupoudré de « c’est pour le bien du peuple »

Et les mesures liberticides, coercitives, criminelles vont continuer de plus belle, puisque le peuple veut croire le prestidigitateur…

**Le Système serait, selon certains, Bilderberg, etc. Il est clair qu’il y a un système et qu’il dure depuis au moins 60 ans, sous nos yeux innocents, croyant dans cet « état souverain protecteur »… À propos de souverain, aucune différence avec les pays monarchiques !!! Comme on dit « monarchie républicaine »… Le peuple a toujours été pris pour une truffe, pendant la révolution de 1789 également, mais on souligne bien le 14 juillet, comme le jour où le peuple… le peuple rien du tout, il s’est fait rouler dans la farine comme avant et comme après…

Avec la mascarade Covid, il n’est plus possible de croire un seul instant à un état protecteur !!!

Voulant à tout prix injecter 100 % de la population, les dirigeants ont en effet perdu toute mesure et leur machine s’est emballée, pas seulement pour des raisons financières, puisque Big Pharma s’est d’ores et déjà mis en poche des dizaines de milliards d’euros aux frais des contribuables, mais manifestement pour d’autres raisons. D’aucuns disent que c’est pour nous pucer numériquement et nous rendre totalement tributaires des caprices des dirigeants (blocage de vos comptes bancaires dans le cadre d’une mascarade sur la pollution de l’environnement, ou d’une nouvelle « pandémie », cf. en ce sens, le très officiel rapport sénatorial français N°673 (Sénat-Session ordinaire de 2020-2021) par Mmes Véronique Guillotin, Christine Lavarde et M.René-Paul Savary…….), d’autres disent qu’il y a une volonté délibérée de réduire la population mondiale de 70 %. Ou peut-être tout cela à la fois, puisque nous avons affaire à une catégorie de population, la délicieusement nommée « élite », gravement atteinte sur le plan psychiatrique…




PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

[Source : Nexus]

Dans cet entretien pour Nexus, Marc Arazi nous révèle les dessous de l’industrie de la téléphonie mobile et l’impact des ondes sur notre santé.

[Voir aussi : Dossier 5G et ondes pulsées]

Médecin, président et co-fondateur de l’ONG Alerte Phonegate et auteur de l’ouvrage « Phonegate » paru en 2020 aux Éditions Massot, Marc Arazi revient sur les nombreuses mesures biaisées, les enquêtes passées sous silence et l’omerta qui continue de s’exercer dans les médias mainstream. Ondes téléphoniques, 4G/5G, mensonges d’État, impact sur les tissus biologiques : Marc Arazi passe au crible tous les problèmes liés à cette industrie mondiale.

– Retrouvez Marc Arazi sur son blog : https://arazi.fr
– L’ONG Alerte Phonegate : https://www.phonegatealert.org/

https://www.youtube.com/embed/E4orXMg-gsQ

👉 Lire notre dossier « Antenne-relais de téléphonie mobile, la résistance citoyenne », dans notre numéro 137 en vente en kiosque et en ligne :

👉Lire notre dossier « Danger d’Absorption Spécifique », dans notre numéro 136 en vente ici :

👉Lire notre dossier « Stop à la 5G », dans notre numéro 124 en vente ici :  

👉Lire notre dossier « Être électrohypersensible ou vivre l’enfer des ondes » dans notre numéro 128 :

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Rapports de l’OMS : Des recommandations mondiales sur la modification du génome humain

[Source : businessbourse.com]




L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température

[Source : lachainehumaine.com]

Par Pierre Lecot, de la chaîne « Décoder l’éco »

La mortalité hivernale est-elle vraiment un phénomène de propagation virale ?

1. L’importance de standardiser les décès pour prendre en compte l’augmentation et le vieillissement de la population

La France vieillit. Par conséquent, le nombre de morts chaque année augmente naturellement depuis 2010 (Figure 1). Cette hausse du nombre de décès n’est pas le signe que la santé des Français se dégrade, mais uniquement le résultat de l’augmentation du nombre de personnes âgées. En effet, à force de vieillir, tous les humains finissent par mourir.

Figure 1 : Décès annuels en France

Le vieillissement français s’illustre par l’évolution de la pyramide des âges de la France entre 2000 et 2020, réalisée avec les données disponibles sur Eurostat (Figure 2). En 20 ans, la génération des baby-boomers est, logiquement, passée de la tranche des moins de 55 ans à celle des plus de 65 ans. Dès lors, il est tout à fait normal que le nombre de décès en France augmente chaque année, et cela va continuer à augmenter pendant encore au moins 20 ans, jusqu’à ce que le gros de cette génération ait décédé.

Figure 2 : Pyramide des âges de la France en 2000 et 2020

Ainsi, il ne faut jamais commenter des nombres de décès bruts qui augmentent ou baissent non pas selon l’arrivée des maladies, mais toujours selon la taille de la population et selon l’âge des personnes. En effet, s’il y a plus de décès en France qu’au Luxembourg, c’est parce que les Français sont 100 fois plus nombreux que les Luxembourgeois. S’il y a plus de décès dans un EHPAD de 200 personnes que dans une école maternelle de 200 enfants, ce n’est pas parce que l’EHPAD est plus dangereux que l’école maternelle, mais uniquement parce que les résidents d’un EHPAD sont beaucoup plus vieux que les élèves d’une école maternelle. Ainsi, comparer des nombres de décès entre 2 populations ne peut pas se faire avec les seuls chiffres bruts, mais toujours en corrigeant de la taille de la population, et aussi en corrigeant de l’âge des gens. Il s’agit de standardiser les décès pour mettre la même population partout (Figure 3). Standardiser les populations pour comparer les décès est le calcul reconnu par Eurostat(([1] – https://ec.europa.eu/eurostat/documents/3859598/5926869/KS-RA-13-028-EN.PDF/e713fa79-1add-44e8-b23d-5e8fa09b3f8f)) ou l’OMS.(([2] – https://www.who.int/data/gho/indicator-metadata-registry/imr-details/78)) L’office statistique Ecossais en a détaillé les intérêts(([3] – https://www.nrscotland.gov.uk/files/statistics/age-standardised-death-rates-esp/age-standard-death-rates-background.pdf)) et compare les résultats des mortalités au regard des standardisations de 1976 et de 2013.

Figure 3 : Formule de la standardisation des décès

Pour comparer le nombre de décès en France de ces dernières années avec l’année 2020, nous avons standardisé les décès, en appliquant la population par âge de 2020 à toutes les années du passé. Il en est ressorti que l’année 2020 n’est pas du tout une année de record de mortalité (Figure 4).

Figure 4 : Décès standardisés en France selon l’année 2020

L’année 2020 est au niveau de l’année 2015. Il s’agit de la 6e année la moins mortelle de toute l’histoire de la France. Cette situation est la même quel que soit le pays en Européen considéré.(([4] – https://www.mondialisation.ca/la-mortalite-en-europe-comprendre-les-donnees-de-mortalite-europeenne-pour-prendre-les-bonnes-decisions/5657446)) Pour certains pays, comme la Norvège ou l’Islande, l’année 2020 est un record absolu de sous-mortalité. Au pire l’année 2020 présente une mortalité haute relativement à la décennie, mais plus basse que n’importe quelle année précédente comme pour la Belgique ou l’Espagne (Figure 5).

Figure 5 : Typologie des pays européens selon le rang dans l’histoire des décès standardisés de l’année 2020

2. Des cycles annuels de hausse et baisse de mortalité

L’étude des décès hebdomadaires standardisés en France depuis 2013 nous permet de visualiser les cycles de mortalité (Figure 6). Chaque année, le nombre de décès augmente en hiver et diminue en été. Cette augmentation de décès l’hiver est concomitante des maladies hivernales. Parmi elles, les infections respiratoires aiguës peuvent être attribuées à des virus comme les grippesles rhinovirus ou les coronavirus, ou à des bactéries comme les pneumocoquesles staphylocoquesHaemophilus influenzae ou d’autres.

Figure 6 : Décès hebdomadaires en France standardisés selon 2020

Il est important de faire la distinction entre l’origine et le symptôme. Jusqu’en 2019, les déclarations d’infections respiratoires hivernales faisaient mention d’un « état grippal » du patient. Ainsi, jusqu’à récemment, la surmortalité hivernale était comptabilisée comme étant causée par les virus de la grippe, justifiant notamment la politique vaccinale.

Certains hivers présentent des pics de mortalité nettement supérieurs à d’autres. L’hiver 2013-2014 a connu des pics de mortalité bien moins élevés que l’hiver 2014-2015. Cette différence fait partie des éléments expliquant les différences de décès d’une année sur l’autre. Nous avons déjà détaillé ce phénomène dans d’autres communications. Une explication serait le principe des années moissons.(([5] – https://www.youtube.com/watch?v=ufivMhlZ6Us)) Les hivers doux et peu mortels laisseraient en vie les plus fragiles de la population et ces derniers décéderaient pendant les hivers plus rudes. L’année suivante compterait mécaniquement moins de décès faute de personnes fragiles.

Une théorie concernant la hausse de mortalité hivernale est la propagation virale. Il s’agit de dire que l’hiver les virus arriveraient de l’extérieur et circuleraient dans la population. Cette théorie a été modélisée au début de 20e siècle(([6] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8les_compartimentaux_en_%C3%A9pid%C3%A9miologie)) avec les premiers modèles de propagation épidémique. Le fameux modèle SIR(([7] – https://www.addactis.com/fr/modeles-epidemiologiques-problematiques-calibrage-donnees-covid-19/)) a été construit en traduisant mathématiquement cette théorie. Il contient plusieurs paramètres qui définissent les fameux R0, Rt et Reff. Cette hypothèse de propagation virale sert de socle à un certain nombre des politiques de santé publique. Elle permet notamment de justifier la politique vaccinale antigrippe et est donc naturellement défendue par les industriels pharmaceutiques qui en sont les bénéficiaires directs. Il existe aujourd’hui bien d’autres modèles de propagation épidémique. Cependant le seul modèle médiatisé et utilisé par les gouvernements (retrouvé dans des documents fournis au Sénat(([8] – https://www.senat.fr/fileadmin/Fichiers/Images/opecst/quatre_pages/OPECST_modelisation_covid_19.pdf)) ou au sein des discussions de l’assemblé(([9] – https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/comptes-rendus/ots/l15ots1920067_compte-rendu.pdf))) pour justifier les politiques coercitives est celui de la propagation exponentielle. Cette propagation exponentielle entraînera alors une augmentation exponentielle de recours à l’hôpital (la part des contaminations qui dégénère) et une augmentation exponentielle des décès (la part des formes graves qui sont fatales).

Dans tout l’éventail imaginable des principes de propagation, une démarche simple de confirmation ou d’infirmation de la théorie extrême utilisée actuellement est de la confronter à son autre extrême. La vérité n’est certainement pas contenue dans un de ces 2 points trop simplistes, mais les statistiques peuvent nous permettre d’avoir une idée duquel de ces 2 points la réalité se rapproche.

Si nous récapitulons nous avons donc l’hypothèse A suivante :

Les hausses de mortalité, notamment hivernales, sont dues à la propagation exponentielle de maladies (notamment virales) au sein de la population.

Cette hypothèse a des implications très forte sur la politique de santé :

• Les humains sont tenus responsables de l’état de santé de leurs voisins (contaminations) et légitime les pratiques de quarantaine, isolement, port du masque etc.
• Elle légitime la stratégie de lutte préventive contre les pathogènes circulant (vaccination antigrippale)

Nous allons la confronter à l’hypothèse B :

Les hausses de mortalité, notamment hivernales, sont dues aux conditions extérieures et à la dégradation de l’état de santé général.

Cette hypothèse change les priorités de la politique de santé :

• Les humains ne sont pas tenus responsables de l’état de santé de leurs voisins. Il n’y a alors aucune raison de mettre en place des politiques restrictives
• La stratégie préventive devient une stratégie de santé générale (sport, alimentation, sorties, éventuellement apports vitaminés, qualité de l’air)

On note que l’hypothèse A sert de justification aux mesures coercitives gouvernementales et légitime la privatisation de la santé par des industriels qui vendent (ou forcent l’achat par l’intermédiaires des gouvernements) des vaccins et autres produits préventifs.

L’hypothèse B ne permet pas de politiques de coercition de masse. Elle soutiendrait des politiques préventives peu onéreuses, individualisées, sans promesse de vie éternelle, mais avec des améliorations de qualité de vie.

3. Les indices à notre disposition

3.1. Les indices à notre disposition : l’absence d’exponentielle

Si on suppose que l’hypothèse A est vraie, alors des phénomènes de vagues de propagation devraient être visibles à l’échelle européenne ou au sein d’un même pays. Cependant on observe l’inverse.

Ce phénomène de hausse de mortalité hivernale est complètement simultané sur toute l’Europe (Figure 7). La standardisation des décès nous permet de représenter les différents pays et années sur un même graphique. Ici toutes les populations sont ramenées à la population française de 2020.

Figure 7 : Décès standardisés France, Portugal, Suède, selon 2020

De la Suède jusqu’au Portugal, les hausses de mortalité sont naturellement simultanées tous les hivers, et même les étés lors des épisodes caniculaires. La mortalité hivernale des pays européens n’est donc pas en lien avec un phénomène de diffusion de maladies l’hiver en Europe. Le Portugal et la Suède sont séparés par 3 000 km. Si la diffusion entre individus de maladies l’hiver était responsable de l’augmentation de la mortalité, des décalages temporels devraient être visibles, ce qui n’est pas le cas. L’augmentation des décès ne représente pas le déplacement des maladies, mais leur apparition partout à la fois. Il s’agit d’une manifestation de la dégradation cyclique de l’état de santé. Cette dégradation simultanée partout en Europe se traduit par l’apparition de symptômes attribués à des maladies hivernales et par l’augmentation des décès. Le phénomène de courbe en cloche concernant la mortalité n’est pas le résultat d’un phénomène de propagation, mais d’un phénomène d’apparition. Il est évident que les portugais ne contaminent pas les suédois, ni inversement.

Le même résultat se constate à des niveaux plus fins que les pays. En France, pour lequel nous avons des résultats départementaux, les pics de mortalité sont synchronisés. Ils sont plus ou moins visibles selon l’âge et la taille de la population.

On a ici un fort indice de rejet de l’hypothèse A. Il nous manque un élément explicatif pour nous diriger vers l’hypothèse B.

3.2. Les indices à notre disposition : l’absence d’exponentielle

Il est important de rappeler que c’est directement à cause du modèle de propagation utilisé qu’existe le discours sur l’augmentation exponentielle des malades et des décès. En effet, les équations des modèles de propagation se résolvent grâce aux fonctions exponentielles. Ainsi il ne s’agit pas d’une observation, mais directement du modèle lui-même. Ce n’est donc pas une réalité vérifiée, mais un présupposé basé sur une construction de l’esprit. En téléchargeant la série longue des décès quotidiens de l’Insee,(([10] – https://www.insee.fr/fr/statistiques/4771989?sommaire=4772633)) nous pouvons observer les variations de décès depuis 50 ans (Figure 8).

Figure 8 : Décès quotidiens français lissés sur 7 jours depuis 1968

Les données sont lissées sur 7 jours de façon à éviter le biais induit par le jour de déclaration de décès. En effet, en France, on constate peu de décès déclarés les samedis et dimanches. Cela a plus de raisons d’être dû à un moindre nombre de constats de décès par les médecins qui sont moins nombreux à être actifs ces jours-là, plutôt qu’à une réelle protection dominicale.

Ainsi en France, depuis 50 ans, les hivers sont des périodes de forte hausse de mortalité. L’année 2020 est bien visible avec la particularité d’avoir des périodes décalées, mais également la fin de l’année 1969 dont la mortalité hivernale a été attribuée à la célèbre « grippe de Hong-Kong ». Certains étés sont aussi particulièrement mortels, avec notamment la canicule de 2003 (mais également les canicules de 1975, 1976 et 1983 non représentées ici). On note ainsi que les épisodes caniculaires ne sont pas récents et sont observables depuis le début des données modernes. L’année 2003 est exceptionnelle surtout par le nombre de personnes âgées qui étaient en vie à cette période (contrairement aux années 1975,1976 et 1983).

Il est facile de vérifier si des augmentations exponentielles de mortalité ont déjà eu lieu depuis 50 ans en France. Une des propriétés de l’exponentielle est que sa dérivée est une exponentielle. Ainsi, si le nombre de décès augmente de manière exponentielle, alors le nombre de décès accélère également de manière exponentielle. Pour vérifier si un tel évènement existe, il suffit de calculer l’accélération des décès d’un jour à l’autre, en calculant la différence seconde (Figure 9).

Figure 9 : Différence seconde des décès quotidiens lissés sur 7 jours depuis 1968

Figure 10 : Différence seconde des entrées à l’hôpital
et en service de réanimation pour Covid-19

A ce stade, le modèle de propagation ne peut prétendre à une validation par l’observation. Nous sommes dans le cas où la théorie a pris possession de notre évaluation de la réalité. Il est tout à fait possible de calculer pour chaque hiver, ou même sur chaque canicule, une courbe de propagation SIR. Il suffit d’ajuster les différents paramètres pour que la courbe colle au plus près de la réalité. La folie, c’est de prétendre que d’avoir fait coller une courbe à la réalité montre qu’on a compris le phénomèneLa folie c’est d’utiliser les paramètres pour ensuite calculer le R0 et s’en servir pour imposer des décisions politiques

3.3. Les indices à notre disposition : le lien parfait entre décès et température extérieure

Météo France met à notre disposition depuis janvier 2021 des jeux de données sur les relevés météorologiques.(([11] – https://public.opendatasoft.com/explore/dataset/donnees-synop-essentielles-omm/table/?sort=date)) Des données de températures, d’humidité, de pression atmosphérique, sont disponibles en de nombreux points et jusqu’à 25 ans de profondeur. Les données de température sont les plus nombreuses et les plus fiables. Elles couvrent de nombreux espaces et territoires.

Les conditions météorologiques extérieures sont toutes liées entre elles. La température basse de l’hiver est souvent liée à un assèchement de l’air et des basses pressions atmosphériques. La température extérieure est donc vue ici comme un indicateur de relevé météorologique. Il ne s’agit pas de supposer ou conclure que la température extérieure tue les gens, mais bien de savoir si les conditions météorologiques quelles qu’elles soient ont un impact sur la mortalité.

Pour cette analyse, le taux de mortalité par âge chaque jour en France sur chaque département est apparié à la température moyenne extérieure ce même jour sur ce département.

Nous allons donc pouvoir observer le lien entre mortalité et température extérieure. Les années 2017, 2018 et 2019 sont observées ici de façon à ne pas être perturbé par la Covid-19 et les mesures prises. Les décès sont lissés sur 7 jours pour la même raison que précédemment. Ils sont décalés de 5 jours par rapport à la température en considérant que le décès n’est pas immédiat, mais suit un état de dégradation progressive appelé maladie.

Le test de corrélation de Spearman(([12] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Corr%C3%A9lation_de_Spearman)) nous permet de savoir si les taux de mortalité et les températures évoluent en même temps. Ce test compare les rangs entre les points de chaque variable. Il a l’avantage de ne pas supposer la nature de la relation entre les 2 variables. Il mesure si la relation entre les 2 variables est monotone. La corrélation d’après Spearman est parfaite lorsque le Rhô vaut 1 ou -1 (Figure 11). Il vaut 1 lorsque les maximas des deux variables sont synchronisés et vaut -1 lorsque chaque maximum de la première variable correspond à un minimum de l’autre variable.

Figure 11 : Exemple de corrélation parfaite de Spearman

A l’inverse, le Rhô vaut 0 lorsqu’il n’y a pas de relation monotone ente les 2 variables (Figure 12).

Figure 12 : Exemple d’absence de corrélation selon Spearman

Pour simplifier la lecture visuelle, la température est inversée car les décès augmentent en réalité lorsque la température diminue (sauf pendant les épisodes caniculaires, mais qui sont rares). Les coefficient Rhô seront alors tous négatifs. Ils seront d’autant plus forts qu’ils seront proches de -1.

Le test de Spearman nous indique que la relation entre température et décès est significative dès 50 ans. L’intensité du lien ne fait ensuite qu’augmenter avec l’âge. Il n’y a aucune relation entre température et mortalité avant 50 ans.

Au-delà de 85 ans, le Rhô de Spearman frise les 0,9 (Figure 13 et Figure 14). Si la température expliquait totalement la mortalité, le coefficient serait de 1. Notre 0,9 ici signifie que des personnes âgées de plus de 85 ans meurent toute l’année, mais les augmentations et baisses de mortalité s’expliquent avec les variations de température quasiment parfaitement. Le peu qui reste peut éventuellement s’expliquer comme du bruit, autrement dit, les aléas de la vie.

Figure 13 : Taux de mortalité en France des plus de 90 ans et température, lissés sur 7 jours

Note de lecture : Le taux de mortalité toutes causes est en notation « scientifique » : 8e-04 signifie 8 décès pour 10 000 habitants. La température est inversée : -10 signifie +10°C.

Figure 14 : Taux de mortalité en France des 85-89 ans et température, lissés sur 7 jours

Le Rhô décroît ensuite régulièrement en rajeunissant, tout en restant significatif (Figure 15). Cela signifie que pour les âges plus jeunes, les accidents de la vie pèsent plus par rapport à la température. En effet, plus la population est jeune et moins il y a de décès et donc plus les évènements particuliers vont avoir un impact. Mais aussi visiblement, plus on est jeune et moins on est sensible aux aléas météorologiques dont la température. Entre 65 en 85 ans, le rho est quand même supérieur à 0.5. C’est donc une très forte corrélation, avec surtout moins de décès qu’à plus de 85 ans et moins de sensibilité hivernale.

Figure 15 : Taux de mortalité en France des 65-69 ans et température, lissés sur 7 jours

Le test de Spearman reste significatif entre 50 et 60 ans (Figure 16). Cependant, le Rhô décroît fortement aux âges avant 60 ans. Signe ici d’une vraie période charnière à ces âges sur la santé.

Figure 16 : Taux de mortalité en France des 55-59 ans et température, lissés sur 7 jours

Sur toutes les tranches d’âge avant 50 ans, le test de Spearman n’est plus du tout significatif (Figure 17).

Figure 17 : taux de mortalité en France des 45-49 ans et température, lissés sur 7 jours

Nous savons dorénavant que la température explique bien la mortalité hivernale. Ce résultat est à rapprocher d’autres études, notamment biologiques. Par exemple, il a été observé que la composition cellulaire du sang varie selon la saison. Ces variations peuvent être signe de changements au sein du système immunitaire liés aux conditions météorologiques.(([13] – https://www.nature.com/articles/ncomms8000)) Nous pouvons tenter de modéliser la mortalité à partir de la température pour les âges pour lesquels cela a du sens et notamment au-dessus de 65 ans. Ici la méthode GAM (modèle additif généralisé)(([14] – https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_additif_g%C3%A9n%C3%A9ralis%C3%A9)) est utilisée. Elle consiste à modéliser une statistique à l’aide d’une autre, dans notre cas avec des fonctions polynomiales. L’idée est de savoir si nous pouvons prévoir la mortalité en fonction de la température extérieure.

Il faut avoir en tête qu’à partir du moment que le passage à la modélisation implique de s’écarter de la réalité. Il s’agit d’une construction de l’esprit pour tenter de coller aux relevés et pas d’une explication parfaite du lien. Par exemple, même si le modèle GAM polynomial est puissant, il suppose qu’il n’y a pas d’effet de seuil. Un effet de seuil serait dans notre cas un saut de mortalité. Par exemple, si on imagine que la mortalité n’augmente pas régulièrement, mais que passer sous une certaine température, un grand nombre de personnes meurent d’un coup, cela provoque un effet de seuil. C’est probablement ce que l’on observe dans le graphique des plus de 90 ans. Les effets de seuil entraînent que la fonction de mortalité n’est pas dérivable et ne sera donc pas parfaitement approchée par des polynômes.

De même, le fait que les humains ne meurent qu’une seule fois implique :

• Qu’une forte mortalité après une baisse de température va diminuer le nombre de décès possible
• S’il survient une deuxième baisse de température, il risque d’y avoir moins mécaniquement mois de décès.

Il y a donc des effets d’exclusion qui ne sont pas modélisés ici.

Cela n’empêche pas de travailler, mais permet d’être conscient que la vraie vie ne s’approche pas facilement par des formules mathématiques contrairement à ce qu’essayent de faire croire certaines équipes scientifiques, en économie comme en médecine, qui font du catastrophisme une marque de fabrique et/ou tentent de vendre des produits miracles.

Finalement, pour les plus de 90 ans, on obtient un coefficient de corrélation à 0.7 ce qui fait de ce modèle, rustique et plein de défauts, un très bon modèle de prédiction malgré tout (Figure 18 et Figure 19). Le coefficient de corrélation est maximal à 0,75 pour la tranche d’âge des 85-89 ans, probablement grâce à une moindre importance des effets de seuils et de moisson.

Figure 18 : Taux de mortalité en fonction de la température, données brutes et courbe de GAM

Figure 19 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température

On peut constater que la modélisation fonctionne pour tous les départements sur lesquels il y a assez de population pour stabiliser les statistiques. Ci-dessous par exemple les 3 départements les plus peuplés pour la tranche d’âge des 90 ans et plus (Figure 20, Figure 21 et Figure 22).

Figure 20 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour le Nord

Figure 21 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour Paris

Figure 22 : Taux de mortalité des 90 ans et plus observé et prévu avec la température pour les Bouches-du-Rhône

Comme nous l’avons vu avec le test de Spearman, la corrélation est d’autant plus forte que l’âge augmente également dans les départements. Il est significatif à partir de 50 ans, mais pas en-dessous. Finalement, le lien fonctionne très bien même à niveau plus fin : les variations de température expliquent les variations de mortalité à partir de 50 ans et la corrélation est d’autant plus forte que l’âge est avancé.

4. En conclusion, les statistiques rejettent l’hypothèse de propagation
et confortent l’hypothèse du changement de conditions extérieures

Nous avons vu dans la première partie que le fait que les hausses et baisses de mortalité soient simultanées partout en même temps invalide l’hypothèse de propagation des maladies hivernales. Si les maladies se propageaient, on verrait des mortalités en décalé.

Dans la deuxième partie, nous avons vu que la mortalité des plus âgés est presque parfaitement corrélée à la température extérieure. Finalement c’est le bon sens qui a raison devant la théorie même si elle s’appuie sur des jolies formules. Les gens qui n’ont pas perdu pied avec la réalité savent encore que :

  1. L’hiver, il fait froid et on tombe malade.
  2. Quand on est vieux et malade, on risque plus de mourir que quand on est jeune et en bonne santé.

Ainsi, la mortalité hivernale n’est pas due à l’arrivée d’un virus particuliermais bien à la dégradation de l’état de santé liée au changement météorologique. Cela ne signifie pas que les contaminations n’existent pas du tout, mais elles sont au mieux des épiphénomènes dans la masse qu’est l’augmentation de la mortalité hivernale. Il est donc complètement vain de faire de l’isolement des humains l’hiver une priorité de santé publique, cela ne va rien changer ni à l’augmentation de la mortalité, ni à celle des hospitalisations.

L’autre résultat, c’est que la politique vaccinale qui vise à lutter contre chaque virus un par un, n’aura mécaniquement pas le moindre impact visible sur la mortalité ou la maladie. Les virus ne sont pas les causes uniques des hausses de mortalité. Ils sont une résultante observable d’une dégradation de la santé liée aux conditions extérieures. Ces conditions rendent malades les gens avec de multiples pathologies. Vouloir attribuer ces hausses de décès à des virus particuliers, comme les grippes, arrange énormément les producteurs de vaccins antigrippaux, et les gouvernements qui les achètent, pour faire croire qu’ils s’occupent de votre santé. Au passage, cela permet de détruire l’hôpital public, tout en continuant de dépenser toujours plus d’argent, lui aussi public, mais pour le diriger vers les bonnes poches.

Maintenant que nous avons vu ce lien entre 2017 et 2020, nous allons voir ce qu’il se passe si on prolonge notre modèle en 2020 et 2021. Nous allons étudier les écarts entre les décès prévu par la température et ce que nous avons vécu.

Pierre Lecot, de la chaîne « Décoder l’éco »

Sources :




Semaine 47, toujours pas d’épidémie de Covid en France selon le réseau Sentinelles. Vous n’entendrez jamais les médias en parler

Par Alain Tortosa

Semaine 47, toujours pas d’épidémie de Covid en France selon le réseau Sentinelles. (([1] https://www.sentiweb.fr/document/5470))
Vous n’entendrez jamais les médias en parler

Alors que Santé Publique(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=sp_pe_tb_heb.tx_pe_hebdo&s=2021-S46&t=a01&view=map1)) voit la « vague 5 » de cas croître exponentiellement, avec 311 positifs au PCR pour 100 000 habitants.
Le nombre de tests par semaine étant passé de 1,8 million en semaine 44 à 4 millions en semaine 47.
Tablons d’ailleurs que les tests seront prochainement gratuits à l’approche des fêtes de Noël ce qui permettra au gouvernement de faire exploser le taux d’incidence à un niveau jamais connu.

Le plus drôle (ou pitoyable parce qu’une majorité de nos compatriotes continue de gober) est qu’ils arriveront une fois de plus à faire cohabiter « la vague la plus terrible que nous ayons connue » avec « le vaccin fonctionne parfaitement même avec les variants » et ce dans l’indifférence la plus totale !

Ils peuvent aussi dire « le vaccin est beaucoup moins efficace (un exploit) » et « il faut donc généraliser la troisième et bientôt quatrième dose avec un vaccin toujours pas mis à jour pour les nouveaux variants ».

L’argument totalement imparable, si l’on ignore les résultats des autres pays, étant : « Sans les vaccins la situation serait bien pire ! »

La Foi déplace ainsi des montagnes !

Le problème est que le réseau Sentinelles, qui reçoit les patients en médecine générale, n’est toujours pas informé de cette « terrible » vague qui menace la France et l’Europe, voire la survie de l’espère humaine.

La science est à ce point ignorée, les médias sont à ce point corrompus, les journalistes sont à ce point des prostitués au service du pouvoir… que la dictature sanitaire n’éprouve même pas le besoin de faire taire le réseau Sentinelles.

Que le réseau dise et prouve qu’il n’y a JAMAIS eu d’épidémie de Covid en France depuis 2020, juste une simple « grippette » comme je l’écris depuis mars 2020, n’a strictement aucun effet ! Pas plus que le rapport de l’ATIH qui indique que le Covid a pesé pour 2 % des hospitalisations en 2020.

Le ministère de la Vérité déroule son scénario et des professeurs qui disent le vrai comme Christian Perronne sont devenus des « guignols à la santé mentale vacillante ».

Et ça passe comme une lettre à la poste !

Alors quand cette semaine le réseau Sentinelles constate une (légère) augmentation de personnes positives à un PCR Sars-cov2, soit désormais 32 cas positifs pour 100 000 habitants… Strictement personne à part nous les « complotistes illuminés d’extrême droite et analphabètes partisans de la Terre plate » s’y intéresse !

Et quand je dis 32 cas pour 100 000 habitants, rappelons que même parmi les patients qui consultent pour des infections respiratoires, leur positivité au PCR Sars-cov2 ne constitue en RIEN la preuve que le virus est la cause de leurs symptômes, symptômes qui peuvent être dus à d’autres infections…

En revanche ce même réseau nous indique que le taux d’infections respiratoires aiguës (IRA) est désormais estimé à 164 cas pour 100 000 habitants, tous virus confondus, et là encore bien loin du taux d’incidence magique de 310 rapporté par SPF !

Nous sommes donc pour Sentinelles, qui poursuit son travail dont les autorités n’ont que faire, au seuil d’une épidémie classique de virus hivernaux ce qui n’étonnera personne au début décembre…

Le fait essentiel étant que seuls 11,6 % des patients souffrants d’IRA sont positifs au Sars-cov2.

Ainsi 89 % des infections respiratoires en cette semaine 47 sont causées par d’autres virus que le Sars-cov2, preuve en est que les variants actuels sont bien inoffensifs, car incapables de supplanter les autres virus ambiants !

Notons que le gouverne-ment fait semblant de mettre toute son énergie pour « lutter » contre un virus qui ne concerne que 10 % des infections respiratoires et se moque éperdument des 90 % restantes.

Une autre preuve de l’innocuité statistique des variants actuels est que seuls 1 % des patients positifs au Sars-cov2 ont été hospitalisés à l’issue de leur consultation (Moins que lors d’une épidémie de grippe).

Enfin précision toujours cocasse, 54 % des personnes en consultation positives au Covid étaient vaccinées.
Ce que gouvernement et médias considèrent totalement « normal » étant donné qu’il y a officiellement plus de vaccinés que de non-vaccinés, et donc « normal » que les vaccinés continuent à attraper le Covid avec leur injection « efficace ».

Pour tenter de discréditer les données de Sentinelles qui n’est toujours pas informé de cette « terrible 5e vague », certains membres de l’Église du Coronavirus cherchent à nous faire croire que les malades iraient directement à l’hôpital sans passer par la case médecin. C’est évidemment totalement faux, nous ne sommes plus au premier confinement où les patients avaient interdiction de consulter leur médecin et avaient obligation d’être à l’article de la mort pour se rendre aux urgences… Aujourd’hui le phénomène semble s’inverser, le vacciné étant supposé ne pas faire de formes graves selon la propagande, il semblerait qu’il soit désormais très difficile de les hospitaliser quand bien même ils auraient de graves problèmes respiratoires, car « le vaccin protège ».

Une des preuves flagrantes que l’objectif n’est pas la santé des Français, mais un plan machiavélique saute aux yeux lorsque l’on sait que l’hôpital manque de personnels… Que des soignants vaccinés ET positifs sont maintenus à leur poste tandis que des soignants non vaccinés ET négatifs au Covid sont interdits d’exercice et privés de salaires ! Information qui n’est JAMAIS reprise par les médias parlant du manque d’effectifs…

Voici donc pour le dernier bulletin de Sentinelles, privé une fois de plus de celui de GrippeNet…

Il n’y a PAS d’épidémie de Covid en France et celui-ci est marginal au regard des autres infections respiratoires.
Si vous entendez BFM et autres « médias » le dire, je vous paye un coup à boire !
Nous vivons en URSS et l’unique source d’information officielle est la Pravda !

Merci

Alain Tortosa.

3 décembre 2021
https://7milliards.fr/tortosa20211203-epidemie-sentinelle-s47-mensonge-gouvernement.pdf





La justice américaine oblige la FDA à divulguer les documents Pfizer. C’est explosif

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Aux États-Unis, invoquant le Freedom of Information Act, un groupe d’une trentaine de professeurs et scientifiques de prestigieuses universités comme Yale ou Harvard a demandé en septembre 2021 d’accéder aux documents sur lesquels s’est fondée l’administration américaine pour autoriser la commercialisation du vaccin Pfizer contre le Covid-19.

« La FDA a très officiellement répondu, explique le journal Alternative Santé, courant novembre, aux scientifiques regroupés dans le collectif Public Health and Medical Professionals for Transparency qu’il lui faudrait pas moins de 55 ans pour accéder à cette requête concernant l’ensemble des documents, notamment parce qu’elle ne souhaite pas monopoliser ses équipes sur une seule requête de ce type.

Invoquant un manque de moyens nécessaires pour traiter rapidement les 329 000 pages concernées (dont il faut anonymiser les données patients et les données commerciales sensibles liées au secret industriel), elle a très officiellement répondu que le dossier complet ne serait disponible qu’en 2076, au rythme de 500 pages par mois. 

Scandalisés, les avocats des requérants insistent sur le fait que cette demande aurait dû être anticipée afin « d’assurer la transparence du gouvernement » et qu’il est « difficile d’imaginer » qu’il y a des tâches plus urgentes que la divulgation de ces données.

Pour eux, si la FDA a pu analyser ces documents en seulement 108 jours pour prendre une décision aussi importante qu’autoriser ce vaccin qui a été injecté à plus de 100 millions d’américains, elle devrait pouvoir rendre disponible ces documents dans le même délai, à savoir d’ici le 3 mars 2022. »

Un bras de fer s’est alors engagé et s’est joué au tribunal entre l’association de médecins et la FDA, l’agence américaine des médicaments. Un juge fédéral du Texas devait trancher cette question du délai considéré comme raisonnable pour rendre publics ces documents si essentiels pour la santé publique. Il s’est terminé en faveur de l’association. Le tribunal est revenu avec une ordonnance de libération de 500 documents par mois.

Et les premières pages sont déjà explosives : le premier document de quelques 30 pages sur les effets indésirables, y compris les décès. 1227 décès signalés dès février dans les essais. En regardant le nombre d’effets d’indésirables enregistrés pour les 42000 participants à l’essai, c’est 3% de mortalité !

Comment est-ce possible que ce produit ait obtenu l’accord de la FDA avec de tels résultats… telle est la question…

Francesca de Villasmundo




Effets pervers et dramatiques de la gestion psychopathologique de la crise Covid

[Source : NTD Français]

Mila Aleckovic Bataille, professeur de psychopathologie :

« Il y a un silence total sur les maladies mentales qui étaient causées non pas par la COVID-19, mais par la gestion catastrophique de la COVID-19. Dans le monde entier en particulier en France, il y a énormément de “Troubles dépressifs”, il y a des dépressions majeures, ce qu’on appelle des dépressions majeures ce- sont des dépressions graves, ce ne sont pas les troubles en tant que tels, mais ce sont les dépressions suicidaires. »


Voir aussi, concernant la gestion de la crise :




Un cardiologue de haut niveau prévient que l’étude liant les vaccins COVID à une augmentation massive des crises cardiaques est totalement ignorée

[Source : anguillesousroche.com]

« Ils ne vont pas publier leurs résultats parce qu’ils craignent de perdre les fonds de recherche de l’industrie pharmaceutique. »

Un cardiologue britannique de premier plan a prévenu qu’un de ses collègues se trouve dans l’impossibilité de faire publier ses travaux de recherche parce qu’ils établissent un lien définitif entre les vaccins COVID et une augmentation massive des crises cardiaques.

S’exprimant sur GB News, le Dr Aseem Malhotra a raconté qu’il avait été contacté par un chercheur d’une prestigieuse institution britannique qui affirmait avoir trouvé des liens concrets entre l’inflammation des artères coronaires et les vaccins expérimentaux à ARNm.

Le Dr Malhotra a ajouté que son collègue lui a dit que l’institution avait décidé qu’il valait mieux ne pas publier les résultats, de peur de perdre son financement de la recherche.

Se référant aux données de santé du gouvernement britannique qui montrent une augmentation substantielle du nombre de décès liés à la cardiologie, le Dr Malhotra a noté que :

« quelqu’un d’une institution britannique très prestigieuse – un chercheur du département de cardiologie [et] un lanceur d’alerte – m’a contacté pour dire que les chercheurs de [son] département avaient trouvé quelque chose de similaire dans les artères coronaires liées au vaccin ».

Il a poursuivi : 

« Ils ont eu une réunion et ces chercheurs ont pour l’instant décidé de ne pas publier leurs résultats parce qu’ils craignent de perdre les fonds de recherche de l’industrie pharmaceutique. »

Malhotra a également fait référence à un article récemment publié par le célèbre cardiologue Steven Gundry. La recherche a révélé que les vaccins COVID « augmentent considérablement l’inflammation sur l’endothélium et l’infiltration des cellules T dans le muscle cardiaque ».

« Connaître cette information est très inquiétant, [en plus de] l’article de Steven Gundry, et aussi des preuves anecdotiques… que des collègues nous disent que des personnes de plus en plus jeunes arrivent avec des crises cardiaques », a expliqué Malhotra.

Le médecin a ajouté : 

« Nous savons que depuis juillet, il y a eu près de 10 000 décès supplémentaires non liés à la maladie de Creutzfeldt-Jakob, et que la plupart d’entre eux, ou une partie importante d’entre eux, sont dus à des maladies du système circulatoire – en d’autres termes, à des crises cardiaques et à des accidents vasculaires cérébraux. »




Pfizer, une entreprise qui vous veut du bien

[Source : Idriss J. Aberkane]

« On va fact-checker tout ça !». Sérieusement ? Vous croyez encore que cette pratique de la vérification surfaite, sans nuance et biaisée a la moindre valeur ?

Dans un échange d’idées où la rationalité et la vérité sont censées être mises à l’honneur, que pourrait bien valoir un fait pris hors de son contexte ? Une tentative de manipulation sur fond de rigueur scientifique ? Une distraction de l’esprit pour les cerveaux si peu brillants qui nous inondent de leurs inepties ? Ou encore, un quelconque amusement pour une plèbe affamée d’annonces anxiogènes, si généreusement délivrées par notre vénérable gouvernement, pourtant malade et obsolète ?

Place au RE-CHECKING, à la contre-analyse, à la recherche profonde et à la mise en perspective des faits. Ne nous laissons plus tromper par des demi-vérités formidablement bien emballées. Osons douter pour mieux observer, acceptons de ne plus regarder pour mieux discerner.

Le re-cheking, c’est la liberté donnée à toutes et à tous de comprendre et de construire son point de vue. Le fact-cheking, c’est la tyrannie, même plus de la vraisemblance, mais de la vraisemblance, qui rime déjà bien trop souvent avec bien-pensance.

la liste des condamnations de Pfizer :
https://violationtracker.goodjobsfirst.org/parent/pfizer




Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Partie 2

(Partie 1 : La pandémie Covid-19 n’existe pas, le 16 novembre 2021.)

« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019

« … La totalité ou une partie substantielle de ces tests positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests de faux positifs. »

Dr Michael Yeadon : ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels…, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé dans les soins intensifs et analyste de santé publique de renom

Introduction

Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont véhiculé l’image d’un virus mortel [killer virus] qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour la Covid-19.

Au moment d’écrire ces lignes, environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme des « cas confirmés de Covid-19 ». La présumée pandémie aurait causé plus de 5 millions de décès liés à la Covid-19.

Les deux séries de données : la morbidité et la mortalité sont fabriquées. Un appareil de dépistage de la Covid très bien organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place en vue d’augmenter le nombre de « cas confirmés de Covid-19″, qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal »parallèlement à l’abrogation des droits fondamentaux de la personne.

Un soi-disant « Suivi de la propagation mondiale du Covid-19 » [“Global Tracker System”] a été établi avec une carte interactive indiquant les tendances mondiales et nationales et les tendances hebdomadaires.

Une quatrième vague [et cinquième vague] a été annoncée. Les chiffres invalides relatifs au Covid-19 sont régulièrement publiés dans les médias.

Pendant ce temps, les médias et les gouvernements ont fermé les yeux sur la tendance à la hausse des décès dus au vaccin contre la Covid-19 et des effets indésirables, qui sont confirmés par les organismes gouvernementaux « officiels ». (Voir ci-dessous)


TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/États-Unis

45 250 décès liés à l’injection de Covid-19, 7 418 980 blessures [injuries] 

publié le 19 octobre 2021

Base de données EudraVigilance, système de carton jaune MHRA. Base de données VAERS.


Le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse (RT-PCR)

La méthodologie oblique appliquée sous les directives de l’OMS pour détecter la présumée propagation du virus est le test de réaction en chaîne de la polymérase (RT-PCR), qui est couramment appliqué dans le monde entier.

Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de faux « cas confirmés de Covid-19 », qui sont ensuite utilisés pour créer l’illusion que la présumée pandémie est réelle.

Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des 20 derniers mois pour mener et soutenir la campagne de peur.

Et les gens sont maintenant amenés à croire que le « vaccin » Covid-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population du Monde entier aura été vaccinée.

« Confirmé » est un terme erroné : un « cas positif RT-PCR confirmé » n’implique pas un « cas confirmé de Covid-19 ».

La RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie Covid-19 ! Les spécialistes de la PCR indiquent clairement qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité] (Dr Pascal Sacré)

La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs avec le test RT-PCR, comme « cas confirmés de Covid-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus de routine d’identification des « cas confirmés » est en dérogation aux propres lignes directrices des CDC :

« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que 2019-nCoV est l’agent pathogène des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour surveiller le traitement de l’infection par le nCoV en 2019. Ce test ne peut exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » (soulignement ajouté)

Dans cet article, nous présenterons des preuves détaillées démontrant que la méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est imparfaite et invalide.

1. Faux positifs

Le débat précédent au début de la crise s’est concentré sur la question des « faux positifs ».

Reconnu par l’OMS et les CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :

« Aujourd’hui, à mesure que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que la Covid-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »

Le débat sur les faux positifs (reconnu par les autorités sanitaires) fait état de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation présumée du virus CoV-SARS-2.

2. Le PCR-Test ne détecte pas l’identité du virus

Le test RT-PCR n’identifie pas/détecte le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus grippaux de type A et B, et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).

Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui fait le test est infectée par le virus de la Covid-19.

Selon le Dr Kary Mullis, inventeur de la technique PCR : « La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. » Selon le célèbre immunologue suisse Dr B. Stadler

Donc, si nous faisons un test Corona PCR sur une personne immunitaire, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais un petit. segment fragmenté du génome viral.Le test est positif tant qu’il reste de petits fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie la moindre fraction du matériel génétique viral, suffisamment [pour être détectée].

Dr Pascal Sacré est du même avis : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, pas le virus entier. »

Afin de tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois par de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, à des erreurs de stérilité et à une contamination.

3. Le « test » RT-PCR Covid-19 « personnalisé » de l’OMS

Deux questions importantes et connexes.

Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. En outre, l’OMS en janvier 2020 ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov.

Ce qui a été envisagé en janvier 2020 était une « adaptation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’Institutde virologie de Berlin de l’Hôpital Charité.

Dr Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est évidemment un terme erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cité dans la section 2).

En outre, l’étude, publiée par Eurosurveillance, reconnaît que l’OMS n’a pas possédé d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov :

[Bien que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées… les isolats de virus ou les échantillons [de 2019-nCoV] de patients infectés n’étaient pas disponibles… »

L’équipe de Drosten et coll. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’un isolat du virus 2019-nCoV, un CoV-SRAS 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » [indicateur] du nouveau virus :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’uneespèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous présentons un rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite relation génétique avec le CoV-SRAS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignement ajouté).

Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de Covid-19 » (alias infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « l’étroite relation génétique avec le CoV-SARS 2003 ».

Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 19 ans (2003-SARS-CoV) est utilisé pour « valider » l’identité d’un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei à la fin décembre de 2019.

Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom.

L’OMS n’avait pas en sa possession « l’isolatde virus » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.

L’article de Drosten et coll. concernant l’utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous la direction de l’OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et coll. internationaux.

Il va de soi que si le test PCR utilise le virus du CoV-SRAS de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas de Covid-19 « confirmés » résultant du nouveau virus 2019-nCoV, rebaptisé ultérieurement SARS-CoV-2.

4. L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?

Bien que l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valides et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 avait été isolé d’un « échantillon altéré prélevé sur un patient malade » ?

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’un « nouveau type de virus » avait été « identifié », « semblable à celui associé au SRAS et au SRMO » (rapport connexe, pas de source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données normalisées partagés par l’OMS et l’International Severe Acute Respiratory and Emerging Infection Consortium à partir de dossiers médicaux électroniques. (soulignement ajouté)

L’étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d’autres documents consultés) suggère que les autorités sanitaires chinoises n’ont pas entrepris d’isolement/purification de l’échantillon d’un patient.

L’utilisation de « l’infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » est une erreur évidente, c’est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus (voir section 2 ci-dessus). L’isolat du virus par les autorités chinoises n’est pas confirmé.

Liberté d’information concernant l’isolement du CoV-2 du SRAS

Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey, intitulé : Demandes d’accès à l’information : Health/Science Institutions Worldwide « Have No Record » of SARS-COV-2 Isolation/Purification fournit de la documentation concernant l’identité du virus. [Voir en français : Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey]

Les demandes d’accès à l’information (FOI) ont été envoyées à quatre-vingt-dix institutions de santé/sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’iln’y a aucun dossier d’isolement/purification du CoV-2 du SRAS « ayant été effectué par qui que ce soit, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé et de sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro de ces enregistrements :

Nos demandes [au titre de la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement réalisés par l’institution concernée, ni aux dossiers rédigés par l’institution concernée, mais elles étaient ouvertes à tout dossier décrivant l’isolement/la purification du « virus Covid-19 » (alias « SRAS-COV-2″) réalisé par quiconque, jamais, dans le monde entier. »

Voir aussi : 90 institutions de santé et de sciences dans le monde entier n’ont pas réussi à citer même 1 record de purification du « SARS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, n’importe oùpar Peel sans fluorure, 04 août 2021

5. Les cycles d’amplification du seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides

Le test RT-PCR a été adopté par l’OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détecter le virus SARS-COV-2, conformément aux recommandations du groupe de recherche en virologie de Berlin (citées ci-dessus).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas « Nous avons commis une erreur ». La rétraction est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici)

Vous trouverez ci-dessous des extraits sélectionnés de mon article intitulé : L’OMS confirme que le test PCR du Covid-19 est invalide : les estimations des « cas positifs » n’ont pas de sens. Le confinement n’a aucune base scientifique.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles seuils d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et coll.

Le nombre de cycles d’amplification [devrait] être inférieur à 35 ; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de  virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire…

(Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en consultation avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (recommandé par l’OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de Covid-19 » comptabilisés dans le monde entier au cours des 22 derniers mois sont invalides.

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et coll., le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la « Rétraction » soigneusement formulée de l’OMS.

« Les directives de l’OMS Les tests diagnostiques du CoV-2 du SRAS stipulent qu’uneinterprétation minutieuse des faibles résultats positifs est nécessaire (1).Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas au tableau clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau à l’aide de la même technologie NAT ou d’une technologie différente. (soulignement ajouté)

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit vraiment infectée par le CoV-2 du SRAS diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »

« Positives invalides » est le concept sous-jacent

Il ne s’agit pas d’une question de « faible positif » et de « risque d’augmentations faussement positives ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie erronée » [non fiable] qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de Covid-19 ».

Ce que cet aveu de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de retester : « un nouvel échantillon devrait être prélevé et testé à nouveau… ».

L’OMS appelle à un « retest », ce qui équivaut à dire « Nous nous sommes trompés ».

Cette recommandation est pro forma. Cela n’arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir du début du mois de février 2020. Néanmoins, nous devons conclure qu’à moins d’être testées à nouveau, ces estimations (selon l’OMS) ne sont pas valides.

Dès le début, le test PCR a été régulièrement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de janvier 2020 de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 20 derniers mois à la compilation de statistiques erronées et trompeuses sur le Covid.

Et ce sont les statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « numéros officiels de Covid » (cas confirmés de Covid-19) n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté et un chômage de grande ampleur (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique :

« si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % 

Pieter Borger, Bobby Raj

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 % » : Il s’ensuit que l’utilisation de la détection de plus de 35 cycles contribuera de manière indélébile à « rmarcher » le nombre de « faux positifs ».

Le Mea Culpa de l’OMS confirme que la procédure de test PCR Covid-19 telle qu’appliquée est invalide.

La pandémie de grippe H1N1 de 2009 était-elle une « répétition générale » ?

En 2009, une pandémie de grippe H1N1 qui aurait touché 2 milliards de personnes a été menée par l’OMS.

Corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS : Plusieurs critiques, dont le Dr Wolfgang Wodarg a confirmé que la pandémie de grippe H1N1 était « faux »

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs de l’OMS pour déclarer une pandémie. En effet, le président de son influente commission de la santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Michael Fomento, 

Forbes10 février 2010

Rétrospectivement, la « pandémie » de Covid-19 est beaucoup plus grave et diabolique que la grippe H1N1 de 2009.

Voir l’analyse pertinente et rigoureusement documentée du Dr Wolfgang Wodarg sur le test RT-PCR tel qu’il a été appliqué par l’OMS en ce qui concerne la Covid-19.



Mot de la fin

Le test RT-PCR est le pistolet fumant. Cela invalide tout.

Il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Toute la banque de données est invalide.

Au moment d’écrire ces lignes, le nombre de « cas confirmés de Covid-19 » est de l’ordre de 260 millions dans le monde. Ces chiffres n’ont absolument aucun sens.

Aucune de ces données ne peut être classée comme « Confirmée ».

Le test PCR n’identifie pas le nouveau virus, et les fragments génétiques d’un coronavirus dit « similaire » de 2003 (SRAS-1) ne peuvent pas être utilisés comme moyen d’identifier le virus qui cause la Covid-19 ni pour identifier les variants mortels du nouveau coronavirus de 2019.

De plus, selon l’étude de la Freedom of Information (FOI) citée ci-dessus, l’isolat du nouveau coronavirus n’est pas confirmé.

Soutenu par une panoplie de mensonges, le récit Covid-19 est extrêmement fragile. Ce consensus repose sur une fausse science et une banque de données totalement invalide de prétendus « cas confirmés de Covid-19 ».

Il n’y a pas de pandémie.

Et en l’absence d’une pandémie de Covid-19, il n’y a aucune justification scientifique à la mise en œuvre du « vaccin » contre la Covid-19 qui a entraîné une tendance mondiale des décès et des blessures :

Comment Big Pharma a-t-il réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et coll.) ayant pour mandat de « protéger les personnes » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

Vaccin par rapport à quoi ? Le virus n’a pas été identifié.

De plus, le CoV-SRAS-2 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS de 2019, n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin Covid-19 dépend de la validité de centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données de mortalité liée au Covid. ( Voir Michel Chossudovsky, « Le virus existe-t-il ? »)

Que nous réserve l’avenir ?

Les gouvernements nationaux ont annoncé une cinquième vague, axée sur les prétendues « variants mortels » du SARS-CoV-2, y compris la variante Delta.

Ces soi-disant variants sont une véritable arnaque. Comment identifient-ils les « variants ». Le test PCR ne détecte ni le virus ni les variants du virus.

Il n’y a pas d’isolat du nouveau coronavirus enregistré. En outre, le test PCR « spécifique » [adapté] de l’OMS utilise comme substitut un virus similaire du CoV-SRAS de 2003 (qui a sans aucun doute beaucoup muté au cours des 19 dernières années).

« Les restrictions devraient être réintroduites ». … le variant Delta pose un « risque plus élevé d’hospitalisation. »

Ces annonces visent à justifier la poursuite des mesures politiques répressives, l’accélération du programme de vaccination, ainsi que la répression du mouvement de protestation.

Il n’y a pas de pandémie. La Finalité réside dans la Tyrannie.
La pandémie est utilisée pour imposer un nouvel ordre mondial.
Lorsque le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de possibilité de revenir en arrière.
La première étape consiste à démanteler l’appareil de propagande.
Le consensus Covid de l’élite est extrêmement fragile.
Il n’y a pas de pandémie.Ils n’ont pas d’argument sur lequel s’appuyer.
Ce consensus doit être rompu.

Michel Chossudovsky


Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, 13 chapitres :



Voir aussi : Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »


Lien vers l’article original :

Fake Science, Invalid Data: There is No Such Thing as a “Confirmed Covid-19 Case”. There is No Pandemic By Prof Michel Chossudovsky, November 26, 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) — Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021


[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Quel nom donneriez-vous à des institutions et des médias qui inventent une vague de contaminations chez les enfants pour extorquer un consentement à la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Ce que les médias et politiques ne vous disent pas…
Fausse pandémie chez les 0-9 ans !

Tests quotidiens tous âges.

Données Santé Publique France (SPF) sur le nombre de tests effectués quotidiennement en France, toutes tranches d’âges confondus.

Nous constatons sur le graphique une forte augmentation du nombre de tests quotidiens avec 792 000 tests le 26 novembre soit un peu plus qu’au 22 décembre 2020 (756 000) ou au pic de la « vague » 3, le 30 mars 2021 (685 000). Doublement des tests depuis le 2 novembre, fabrique en cours de la vague 5.

Tests quotidiens 0 — 9 ans

Le nombre de tests quotidiens chez les 0 à 9 ans explose passant de 10 000 le 11 novembre à 146 000 le 26 (15 fois plus) étant de 21 000 (7 fois moins) le 22 décembre 2020 et 81 000 (1,8 fois moins) le 30 mars 2021, pic de la « vague » 3. tandis que le nombre de tests tous âges confondus ne fait que doubler.
Nous sommes face à un choix délibéré de fabriquer une « vague » chez les jeunes enfants !

Taux d’incidence quotidien tous âges

Cela se retrouve bien sûr dans le taux d’incidence toutes tranches d’âge.

Nous constatons sur le graphique ci-dessus une forte augmentation du taux d’incidence tous âges qui suit la courbe du nombre de tests effectués.
Taux d’incidence quotidien de 56 cas pour 100 000 habitants (avec 792 000 tests) le 26 novembre 2021 soit supérieur par exemple au pic de la « vague » 4, le 9 août 2021 avec un taux d’incidence de 54 cas pour 100 000 (avec 989 000 tests).

Taux d’incidence quotidien 0 à 9 ans

Le taux d’incidence des 0-9 ans est bien évidemment impacté par l’augmentation vertigineuse des tests.

Nous constatons une forte augmentation du taux d’incidence qui suit la courbe du nombre de tests effectués.
Taux d’incidence quotidien de 75 cas pour 100 000 habitants (avec 146 000 tests) le 26 novembre 2021 soit supérieur par exemple au pic de la « vague » 4, le 9 août 2021 avec un taux d’incidence de 27 cas pour 100 000 (avec 17 000 tests).

Taux d’incidence hebdomadaire des 0 à 9 ans

Au niveau hebdomadaire le taux d’incidence des 0-9 ans a explosé en semaine 46 à 210 cas pour 100 000 enfants (394 000 tests par semaine), légèrement supérieur au pic de la « vague » 3 à 201 cas pour 100 000 jeunes en semaine 13 (372 000 tests par semaine).

Taux de positivité des 0 à 14 ans en semaine 46 par le réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr/document/5465))

Selon Sentinelles le taux d’incidence des IRA tous âges confondus est de 142 pour 100 000 habitants, 58 % de vaccinés, 8,3 % positifs au Sars-cov2 ; taux d’incidence de sars-cov2 est de 22.

« En semaine 2021-46 le taux de positivité au Sars-cov2 des patients consultant pour une IRA était de 6 %… chez les 0-14 ans ».

Taux d’incidence de 160 Infections Respiratoires Aiguës pour 100 000 chez les 5-14 ans.
Le taux d’incidence Sars-cov2 pour les enfants est quant à lui de 18 pour 100 000.

Ce qui signifie que 94 % des enfants qui sont allés consulter un médecin la semaine dernière pour des symptômes grippaux et autres infections respiratoires n’étaient PAS positifs au Covid !

Tandis qu’en semaine 46 les autorités sanitaires font exploser le nombre de tests chez les 0 à 9 ans à un niveau jamais atteint !
Soit 146 000 dans la journée du 26 novembre versus 9000 le 6 novembre, 16 fois plus.
Le nombre de positifs croît en conséquence (plus on fait de tests, plus on trouve de personnes positives).
De fait on fait exploser le taux d’incidence qui est le nombre de positifs pour 100 000 habitants.
Les autorités parviennent à un taux d’incidence artificiel de 210 cas pour 100 000 chez les 0-9 ans !

Pendant ce temps le réseau Sentinelles nous rapporte un taux d’incidence d’enfants ayant des symptômes grippaux ET positifs au PCR Sars-cov2 de 18 pour 100 000 habitants (12 fois moins).
Pour ce réseau, nous sommes à des années-lumière d’une épidémie de Covid chez les enfants.

Il n’y a PAS d’épidémie de malades, mais une épidémie de cas lié à l’augmentation du nombre de tests.
L’année 2020 ayant vu la naissance de pandémies de personnes en bonne santé !

La dictature sanitaire va s’appuyer sur cette augmentation artificielle du taux d’incidence pour prétexter un accroissement de l’épidémie chez les enfants et donc préconiser l’injection dans cette tranche d’âge non concernée par cette maladie.

Le test PCR étant l’outil qui permet de faire croire à une population en bonne santé et asymptomatique qu’elle est un vecteur significatif de propagation d’un virus…
Sans PCR sur les asymptomatiques, plus de confinement, plus de masques, plus de passe-sanitaire et plus de vaccination des personnes en bonne santé non à risque !

Je vous rappelle que 94 % des enfants qui consultent pour des symptômes ORL ne sont pas positifs au Sars-cov2… 6 % serait donc plus important que 94 % pour protéger officiellement les vieux grabataires.

Quand bien même tous ces enfants positifs ne seraient pas connus en l’absence de tests, il n’en demeure pas moins vrai que testés ou pas, ils sont nombreux à être porteurs sains.

Nous sommes là face à un mur de croyance et de propagande…
Le problème est le même qu’en justice, il est plus facile de prouver la culpabilité d’un coupable (par des preuves) que de prouver l’innocence d’un innocent (par des preuves)…
Il faudrait que l’enfant positif prouve qu’il n’est pas (ou infiniment peu) propagateur, bref, qu’il prouve son innocence…
Dans un monde scientifique, les études (non biaisées, sans conflit d’intérêts) devraient amener la preuve que les enfants asymptomatiques sont de puissants propagateurs, mais nous n’y vivons plus.

[Note de Joseph Stroberg : le problème encore plus grave est que la propagande commence dès la formation universitaire largement chapeautée par Big Pharma depuis que Rockefeller s’est acharné en début de siècle dernier à éliminer toute école de pensée et toute médecine qui n’allait pas dans le sens de sa médecine chimique dérivée du pétrole. Et notamment la preuve d’un isolement véritable de virus sur un plan réellement scientifique, ainsi que la preuve expérimentale indubitable de contagions virales ou bactériennes avec expériences de contrôle ou contre-expériences n’ont jamais été fournies.
Il est maintenant largement avéré que la théorie des germes et son corollaire viral relèvent de fraude scientifique et de comportement religieux depuis au moins l’époque de Pasteur. Le présent site propose un large éventail d’articles et de sources qui tendent à démontrer tout ceci.
Le propre de la véritable science est la remise en question permanente des théories et des hypothèses à la lumière des nouvelles observations ou données et de faits mis à jour qui avaient jusqu’à une époque récente été maintenus cachés ou étouffés.
La théorie alternative du terrain et des exosome se révèle bien plus efficace et cohérente, sans « rustines », pour expliquer les maladies prétendument contagieuses, bactériennes ou virales. Et si elle était davantage prise en compte, elle ferait s’effondrer toute cette mascarade plandémique Covid et les mesures sanitaires nocives.]

Quelques pistes de réflexion :

Si les enfants asymptomatiques (ou les adultes) étaient réellement des propagateurs d’épidémie menaçant les personnes vaccinées d’un vaccin « efficace ».

  • Nous devrions avoir des vagues chez les enseignants durant la période scolaire et des creux pendant les vacances… Où sont les études si faciles à réaliser et comparant le taux de contamination des enseignants versus les autres professions ?
  • Pourquoi faudrait-il augmenter artificiellement un taux d’incidence en augmentant le nombre de tests pour faire croire à la dangerosité des enfants ?
  • Testé ou non testé un enfant positif asymptomatique devrait contaminer autant… De plus un enfant testé positif étant retiré de l’école, l’augmentation délirante du nombre de tests devrait donc être de nature à diminuer le taux d’incidence des élèves, des enseignants, mais aussi de la population générale.

Mais quiconque regarde les courbes verra que ni le « tester, isoler », ni même le confinement, n’ont été de nature à aplanir les courbes de cas ou d’hospitalisations. Courbes qui suivent « étrangement » les courbes de nombre de tests… Et comme je l’ai écrit dans mon précédent texte, si l’augmentation du taux d’incidence de positifs par SPF correspondait à une anticipation d’une réalité de malades, alors Sentinelles verrait une amplification les semaines suivantes des taux d’incidence de malades comparable et non 10 fois moindre que le taux SPF !

En fait, ces tests ne pourraient avoir une utilité QUE si vous testiez 100 % de la population française tous les 3 jours et… nous constaterions alors qu’ils n’ont aucune utilité. En revanche, tester 100 % des symptomatiques pourrait avoir un sens, car on pourrait les isoler… (Mais à quoi bon les tester si on les sait malades [et contagieux] ?)

Ici encore, à quoi bon isoler un symptomatique en bonne santé alors qu’il pourrait participer à l’immunité naturelle de masse en contaminant d’autres personnes jeunes et en bonne santé (immunité naturelle qui n’existe plus depuis cette année pour L’OMS — voir mon texte à ce sujet). On en revient au bon sens, à la protection des personnes à risque et pour cela nul besoin de tests PCR !

  • Vous avez des symptômes, vous ne vous approchez pas de personnes à risque.
  • Vous êtes une personne à risque, vous vous protégez et prenez un traitement préventif.

Si les enfants étaient vraiment dangereux, il ne serait pas nécessaire de créer une fausse vague d’asymptomatiques.

Il faudrait aussi m’expliquer comment ces enfants (pas ou peu contaminants) pourraient protéger autrui en les injectant d’un produit qui n’empêche pas (ou très peu) la contamination.

  • Prenez un million (1 000 000) d’enfants.
  • Imaginez que 5 % soient des porteurs sains positifs asymptomatiques, ce qui donnerait en fait 50000 potentiellement « dangereux ».
  • Mais parmi ces potentiellement « dangereux », disons que seuls 10 % ont une charge virale suffisante pour être à la fois positifs, contagieux et contaminants, soit 5000 enfants « tueurs ».
  • Injectez ces enfants en imaginant (délire) que le « vaccin » bloque 20 % des transmissions, ce qui signifie que 80 % des enfants vaccinés ne protégeront pas, vous allez alors avoir 1000 enfants vaccinés bloqueurs « protecteurs ».
  • Vous allez maintenant supposer que ces 1000 enfants « protecteurs » vont prévenir la contamination d’une ou plusieurs personnes (ou d’une personne qui à son tour contaminerait une personne). Avec un R0 à 2 (épidémie réelle), ils vont théoriquement protéger 2000 personnes.
  • 76 % des Français étant adultes, vous aurez protégé 500 enfants et 1500 adultes.
  • Vous allez ensuite supposer que cette ou ces personnes n’auraient pas été contaminées par un autre enfant ou adulte vacciné ou pas… supposons ainsi que la protection tombe de moitié, soit 760 personnes épargnées par la vaccination infantile et de plus non contaminées par un tiers.
  • Vous allez alors supposer que les personnes protégées sont des personnes à risque, sinon aucun intérêt, soit 10 % des adultes. Vous allez donc potentiellement protéger 76 personnes à risque.
  • Vous allez ensuite supposer que les personnes à risque potentiellement protégées avaient un vaccin efficace à 20 % contre la contamination et qui de fait n’ont pas besoin de protection… vous tombez à 80 % de ces personnes à protéger soit 61 personnes à risque sans vaccin anti-contagion qui peuvent être ainsi protégées de la contamination grâce à la vaccination des enfants…
  • Puis vous allez supposer que ces personnes ont un vaccin efficace contre les formes graves à 60 % grâce à la 12e dose (ils disent 90 %)… Ainsi seuls 40 % ont besoin de protection. 24 personnes seront « protégées » d’une forme grave par les enfants.
  • Mais tout le monde ne va pas en réanimation, fort heureusement. Imaginons que l’on ne traite toujours pas les malades (sic) et que 20 % des hospitalisés vont en réa… (80 % n’ont pas besoin de protection contre). Donc 5 personnes seraient allées en Réa sans ce « vaccin solidaire » d’enfants.
  • Mais tout le monde ne décède pas en réa… tablons sur 50 % de décès. 2,5 personnes auront la vie sauve en réa « grâce » à la vaccination de ces enfants…
  • Oui, mais ces personnes ne seraient-elle pas décédées de leurs comorbidités, d’un autre virus si d’aventure… Rappelons que l’âge médian des décès est de 85 ans… disons que la moitié serait quand même décédée… soit 1,25 personnes « sauvées ».

De fait pour 1 million d’enfants vaccinés on pourrait espérer (avec beaucoup de chance et en se basant sur l’hypothèse du « vaccin efficace protecteur ») sauver pendant quelques mois ou un ou deux ans 1,25 personnes âgées, probablement en fin de vie et avec des comorbidités…

Combien d’effets secondaires à vie et de décès d’enfants par million d’injectés en ARNm expérimental ?

C’est votre définition du « vaccin solidaire » ?

Mais ça les autorités sanitaires n’en ont que faire en fabriquant une fausse 5e vague chez les enfants.

Alain Tortosa.

2 décembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211202-fausse-vague-enfant-extorsion-vaccination.pdf




Louis Fouché : « Il faut rester ouvert et en lien avec le monde »

[Source : francesoir.fr]

Marseille, épisode 5 – Il est toujours difficile de débriefer un entretien avec Louis Fouché. Cultivé et passionné, l’anesthésiste-réanimateur passe d’une idée à l’autre, dresse des ponts là où on ne les attend pas, enchaîne propositions et contre-propositions. Faire une synthèse de son propos s’avère délicat, tant il semble que chaque phrase revêt une importance cruciale.

Il faut dire que cette révolte qu’il ne cesse d’exprimer depuis un an et demi bouillonnait en lui depuis longtemps. Coincé dans le confort de sa vie de « médecin nanti », il a fallu que la crise sanitaire, qu’il perçoit comme une chance, « vienne secouer le cocotier » pour le faire descendre dans l’arène de la vie publique.

La technique et ses conséquences sur la société est l’un des grands champs de la réflexion du leader – il préfère « diplomate », l’organisation ne se voulant pas pyramidale – du collectif Reinfo Covid. À ses yeux, le problème réside dans le fait qu’elle progresse aujourd’hui à un rythme trop élevé « pour pouvoir être régulée par le corps social ». Conséquence : « Celui qui est le tenant de la technique va toujours prendre le pouvoir sur le groupe social. Pour le dire plus simplement : aujourd’hui, ce n’est pas vous qui décidez si votre fille de 12 ans a un IPhone dans la poche. C’est Google, c’est Amazon, c’est Microsoft, c’est Facebook, mais ce n’est pas vous. »

Alors, anti-progrès le Dr Fouché ? Non, bien entendu. Mais à condition d’être en mesure à chaque fois de bien peser le pour et le contre des implications d’une avancée technologique. « Si vous faites le compte des bénéfices-risques des systèmes numériques tels qu’ils sont conçus aujourd’hui, je crois qu’il faudrait les brider, les calmer et dire non à certains moments. »

Paradoxalement, c’est pourtant grâce à ces mêmes outils numériques qu’une partie de la population est en train de se réapproprier certains pans de sa vie. On le voit par exemple dans le domaine de la santé, où la diffusion des savoirs conduit désormais certains à reprendre en main leur alimentation ou la façon de prévenir les maladies. Autre exemple prosaïque donné par le médecin : les tutoriels disponibles sur YouTube permettent à des gens de refaire une partie de leur maison « à leur sauce, et non à celle de Leroy Merlin ».

« Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux »

Rompre avec la société, rejoindre un groupe alternatif, comporte un risque de dérive sectaire. Une critique qui a souvent été formulée à l’égard de ceux qu’on catalogue comme « dissident », « résistant » ou encore « complotiste ». C’est un écueil dont a conscience Louis Fouché. « A Reinfo Covid, il y a cette idée qu’il faut rester ouvert et en lien avec le monde. » Apôtre de la non-violence, il déplore que les débats passionnés autour de la gestion de la crise sanitaire, et plus largement du rapport au monde tel qu’il est, conduisent familles et amis à se déchirer. « À mon avis, cela n’a pas de sens. […] Entre être heureux et avoir raison, je préfère être heureux. En revanche, il faut bien sûr ne pas oublier ce qui est important et conserver ses valeurs. »

À propos du système de santé, celui qui a été poussé à se mettre en disponibilité de son poste à l’AP-HM (anesthésiste-réanimateur à l’hôpital de la Conception, à Marseille) dit avoir été très marqué par une conférence à laquelle il a assisté en 2014 au Collège de France. Il était question de l’évaluation en santé. « L’ambition actuelle, c’est de parvenir à un système où tout serait standardisé, et où les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, ceux qui font le ménage se contenteraient d’appliquer des protocoles préconçus par « ceux qui savent penser ».

« Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile »

Symbole de cette doxa :  la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), qui réunit chaque année à Chamonix les ministres de la Santé, des Finances, les patrons de grands fonds d’investissement, des Gafam, « et quelques chefs de services ronflants d’hôpitaux parisiens ». Le rêve de ces gens-là : « une santé qui ne serait que le fruit d’algorithmes ». « C’est déjà l’idée qu’on essaye de faire passer aux étudiants en médecine actuels. […] Mais c’est un leurre complet. Parce que ce qui soigne au fond, c’est l’humain et c’est la relation [entre le médecin et son patient]. »

Comment faire face à ce système ? Et d’une manière générale, comment s’opposer au néolibéralisme, désigné par Louis Fouché comme « l’ennemi » ? Cela en décevra certains, mais l’anesthésiste est sceptique quant au pouvoir de la rue. « Je ne crois pas que la manifestation soit quelque chose d’utile. […] Quand ils veulent, [les gouvernants] peuvent envoyer les blacks blocs afin de vous faire passer pour des gens violents. Quand ils veulent, ils peuvent faire dire aux médias que vous étiez 300 alors que vous étiez 3 000. »

Il appelle plutôt les opposants au système à recréer du lien, à monter des systèmes parallèles. « Il n’y a pas besoin de tout lâcher. Par exemple : pour organiser une bibliothèque collective destinée à ceux qui n’ont plus le droit d’entre dans une bibliothèque municipale, et ainsi leur permettre d’accéder à nouveau à des livres et du savoir, vous n’avez rien besoin d’abandonner. » Cela suffira-t-il ? On ne demande qu’à y croire.

Un « Entretien essentiel » dans lequel Louis Fouché nous parle de son livre « Tous résistants dans l’âme – Éclairons le monde de demain ! », (éditions Guy Trédaniel)… et de bien d’autres choses encore.

Auteur(s): FranceSoir




L’ancien premier ministre de la Colombie-Britannique, Bill Vander Zalm, affirme que le but derrière l’agenda COVID-19 est l’établissement d’un ordre mondial fasciste ou communiste

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le 18 octobre dernier, Dan Dicks a réalisé une entrevue pour la chaîne Press For Truth avec l’ancien premier ministre de la Colombie-Britannique au Canada, Bill Vander Zalm, durant laquelle celui-ci affirme que le but ultime derrière l’agenda COVID est le contrôle total des populations et l’établissement d’un gouvernement mondial dictatorial. Le journaliste indépendant avait déjà rencontré Bill Vander Zalm en 2013. À ce moment, ils avaient discuté ensemble du point de vue de l’ancien premier ministre sur la politique, l’élite mondiale et leur programme final. William Nicholas Vander Zalm, né le 29 mai 1934, a été le 28e premier ministre de la Colombie-Britannique de 1986 à 1991 et il a été impliqué dans le gouvernement pendant 25 ans au total, étant au courant de la façon dont les choses fonctionnent à l’intérieur.

Bill n’a accordé d’interview exclusive à aucun média depuis 8 ans (la dernière fois, c’était avec PFT), mais aujourd’hui, il est prêt à reparler en raison de la vitesse à laquelle il voit le monde accélérer vers un ordre communiste et fasciste mondial. Dans la vidéo ci-dessous, Dan Dicks de Press For Truth obtient une entrevue exclusive pour parler du cauchemar actuel de Covid-19 dans lequel nous nous sommes tous retrouvés, comment cela s’est produit, où cela se dirige dans le futur et surtout ce que vous pouvez faire pour vous protéger, vous et votre famille, à l’avenir !

Attention : la liberté est en train d’être supprimée et tout finira par être contrôlé !

Vous pouvez regarder l’intégralité de l’entrevue réalisée par Dan Dicks avec Bill Vander Zalm sur
la chaîne Odysee du média indépendant Press For Truth (en version anglaise).




À propos de Bill Vander Zalm

Bill Vander Zalm

Bill Vander Zalm est né Wilhelmus Nicholaas Theodore Marie van der Zalm et a grandi à Noordwijkerhout, aux Pays-Bas. Il a émigré au Canada après la Seconde Guerre mondiale, s’installant dans la vallée du Fraser en 1947. Après avoir terminé ses études secondaires, il a vendu des bulbes de tulipes et s’est finalement établi dans la pépinière et le jardinage.

Vander Zalm a été élu échevin de Surrey en 1965 et a été maire de la ville de 1969 à 1975. Son mandat a été marqué par sa répression contre les « mauvais payeurs » de l’aide sociale (jusqu’au début des années 1970, l’aide sociale en Colombie-Britannique était une responsabilité municipale).

Vander Zalm était à l’origine un partisan du Parti libéral du Canada et du Parti libéral de la Colombie-Britannique. Il a demandé l’élection à la Chambre des communes du Canada lors des élections fédérales de 1968 en tant que libéral à Surrey. Il a perdu par 4 445 voix. Il a également été candidat au congrès provincial à la direction du Parti libéral de 1972, où il a perdu contre David Anderson. Il s’est joint au Parti du crédit social de la Colombie-Britannique en 1974.

Il a été élu pour la première fois à l’Assemblée législative de la Colombie-Britannique lors des élections de 1975 pour la circonscription de Surrey (il représentera plus tard Richmond après les élections de 1986). Les Socreds ont repris le pouvoir après une interruption de trois ans.

Il a servi dans le cabinet du premier ministre Bill Bennett en tant que ministre des Ressources humaines de 1975 à 1978, où il a poursuivi sa croisade contre la fraude à l’aide sociale. Après la cérémonie d’assermentation, les médias lui ont demandé de commenter ce que le public pouvait attendre de l’aide sociale. Il a répondu : « Si les gens sont vraiment dans le besoin, ils peuvent s’attendre à être traités avec équité et compassion. traités généreusement, espérons-le encore plus que par le passé. Mais si quelqu’un est capable de travailler et refuse de le faire, il vaut mieux qu’il prenne une pelle ou que je lui donne une pelle. » Il est devenu largement connu du jour au lendemain lorsque les médias ont rapporté sa remarque improvisée avec les titres « Vander Zalm dit de leur donner une pelle ».

Vander Zalm a également été ministre des Affaires municipales et du Transport en commun de 1978 à 1981 et ministre de l’Éducation de 1981 à 1983. En 1984, il achète Fantasy Garden World, un parc à thème. La même année, il se présente sans succès à la mairie de Vancouver pour le candidat de l’Association non partisane. Il a perdu contre Mike Harcourt, qui était plus tard le chef provincial du NPD pendant la majeure partie du mandat de Vander Zalm en tant que premier ministre.

Premier ministre de la Colombie-Britannique

En 1986, le premier ministre Bennett a annoncé qu’il prenait sa retraite. Vander Zalm a attiré une attention considérable alors qu’il se demandait s’il se présenterait à la direction du Parti du crédit social. Il a généré plus de presse de la course que les autres candidats. Lors du congrès du parti à Whistler, en Colombie-Britannique, il l’a emporté sur 11 autres candidats en l’emportant au quatrième tour.

Il a prêté serment en tant que premier ministre juste un mois avant les élections de 1986. Au cours de la campagne électorale provinciale qui a suivi, « Vandermania » a balayé la Colombie-Britannique et les Socreds ont facilement remporté un autre mandat contre le Nouveau Parti démocratique (NPD) d’opposition. Vander Zalm a promis un « nouveau départ » après les années conflictuelles de Bennett. Cependant, lui et son gouvernement n’avaient aucun plan public pour ce qu’ils avaient l’intention de faire à long terme.

Une fois élu à part entière, Vander Zalm a occupé la plupart des postes ministériels avec des députés qui avaient langui à l’arrière-ban sous Bennett. Curieusement, Vander Zalm a décidé de divulguer la liste normalement secrète des nominations au cabinet à deux journalistes du Vancouver Sun quelques heures avant l’annonce officielle.

Le Parti du Crédit social était une alliance ténue entre les conservateurs fiscaux urbains, les libéraux fédéraux et les conservateurs chrétiens dans la Bible Belt de la province. Les conservateurs fiscaux ont dominé le parti pendant plus d’une décennie. Cependant, Vander Zalm était membre de l’aile sociale conservatrice, qui a rapidement pris le contrôle du parti. Son gouvernement a déjà tenté de réduire le financement public des avortements qui n’étaient pas médicalement nécessaires. Le tumulte qui en a résulté a forcé Vander Zalm à abandonner le programme.

Vander Zalm a été remplacé en tant que premier ministre par la vice-première ministre Rita Johnston, qui a battu McCarthy dans la course pour le remplacer en tant que chef de Socred. Le parti a été défait et a terminé loin troisième, le NPD revenant au gouvernement et les libéraux devenant l’opposition officielle. Le Parti Crédit Social a été complètement exclu de la législature lors des élections suivantes de 1996 et n’a plus jamais remporté de sièges.

Dans cette entrevue exclusive de Press For Truth, Dan Dicks s’entretient avec Bill Vander Zalm, ancien premier ministre de la Colombie-Britannique, pour discuter de son point de vue sur la politique, l’élite mondiale et leur programme final.




PSEUDOVAX anti-SARS CoV-2 et vieillissement précoce : la dose fait le poison

Par nicole Delépine

On l’a longtemps murmuré devant des nouveau-nés précoces et rapidement vieillis, devant des flambées de cancer témoignant de défaut de réparation naturelle, devant des sujets vaxx transformés en « vieux » y compris des célébrités, mais on ne disposait pas d’étude scientifique confirmant ces constatations et les validant par la découverte de son mécanisme cellulaire.

L’article Revealed : Vaccine Induced Cellular Ageing — 21st Century Wire du 28 nov 2021 BY NEWS WIRE nous ouvre des horizons inquiétants auxquels il faut pour le moins réfléchir. L’injection génique, au-delà de son inefficacité et des effets secondaires reconnus de plus en plus nombreux, serait-elle à l’origine d’un vieillissement précoce et de troubles associés à l’âge ?

Le Dr Mike Williams étudie le Vieillissement cellulaire induit par le vaccin.

L’auteur a précédemment discuté du risque accru d’infection par le SARS-CoV-2 après la vaccination Covid et introduit des concepts de tolérance immunitaire et d’entraînement immunitaire.

Dans cet article, il précise le sujet de la sénescence cellulaire, en particulier en ce qui concerne la vaccination Covid.

De la sénescence cellulaire

« La sénescence cellulaire est un processus qui résulte d’une variété de stress et conduit à un état d’arrêt irréversible de la croissance. Les cellules sénescentes s’accumulent au cours du vieillissement et ont été impliquées dans la promotion d’une variété de maladies liées à l’âge.

La sénescence cellulaire peut jouer un rôle important dans la suppression des tumeurs, la cicatrisation des plaies et la protection contre la fibrose tissulaire.

Cependant, il existe également des preuves accumulées que les cellules sénescentes peuvent avoir des effets nocifs in vivo et peuvent contribuer au remodelage des tissus, au vieillissement de l’organisme et à de nombreuses maladies liées à l’âge. »

Le processus de sénescence est synonyme de vieillissement cellulaire et on peut supposer que l’induction de la sénescence cellulaire favorisera un vieillissement accéléré.

Comme le soulignent Gonzalez-Meljem et al. dans « Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumorigenesis(([1] Gonzalez-Meljem JM, Apps JR, Fraser HC, Martinez-Barbera JP. Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumourigenesis. Br J Cancer. 2018 May;118(10):1283-1288. doi: 10.1038/s41416-018-0066-1. Epub 2018 Apr 19. PMID : 29670296 ; PMCID : PMC5959857))» : c’est une épée à double tranchant :

« Bien que la sénescence ait été considérée comme un mécanisme de protection contre la tumorigenèse, les activités des cellules sénescentes sont de plus en plus associées à des maladies liées à l’âge, y compris le cancer. Une caractéristique importante des cellules sénescentes est la sécrétion d’une vaste gamme de cytokines pro-inflammatoires, de chimiokines et de facteurs de croissance collectivement connus sous le nom de phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP). Des recherches récentes ont montré que la signalisation paracrine SASP peut médier plusieurs effets pro-tumorigènes, tels que l’amélioration des phénotypes malins et la promotion de l’initiation tumorale ».

Dans « Management of multicellular senescence and oxidative stress »,(([2] Haines DD, Juhasz B, Tosaki A. Management of multicellular senescence and oxidative stress. J Cell Mol Med. 2013 Aug;17(8):936-57. doi: 10.1111/jcmm.12074. Epub 2013 Jun 22. PMID : 23789967 ; PMCID : PMC3780549.)) Haines et ses coauteurs rappellent :

la première étape de la sénescence cellulaire est l’arrêt du cycle cellulaire induit par les dommages, également appelé sénescence réplicative (RS).

En règle générale, cet arrêt de croissance est déclenché par des réponses aux dommages à l’ADN induites par le stress et peut également être induit à la suite des effets de l’érosion des télomères — un phénomène qui produit des métabolites liés au stress.

Ainsi certains facteurs de stress peuvent causer des dommages à l’ADN qui induisent des réponses dans la cellule qui peuvent conduire à l’arrêt du cycle cellulaire.

Dans le SRAS-CoV-2la Spike Protein Induit la sénescence paracrine et l’adhésion leucocytaire dans les cellules endothéliales(([3] Meyer K, Patra T, Vijayamahantesh, Ray R. SARS-CoV-2 Spike Protein Induces Paracrine Senescence and Leukocyte Adhesion in Endothelial Cells. J Virol. 2021 Aug 10;95(17):e0079421. doi : 10.1128/JVI.00794-21. Epub 2021 Aug 10. PMID : 34160250 ; PMCID : PMC8354225.)) Meyer et ses collègues explorent une relation entre la sénescence cellulaire et les cellules infectées par le virus Sars Cov2.

Leurs conclusions sont préoccupantes.

Les cellules épithéliales humaines infectées par le virus ou transfectées par des pointes (protéine spike) ont présenté une augmentation de la sénescence, avec une libération de molécules inflammatoires liées au phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP).
Le point clé est à la fois les cellules infectées par le virus Sars Cov2 et les cellules transfectées par les protéines de pointe induisent la sénescence cellulaire.

Que va provoquer la campagne mondiale visant à injecter jusqu’à trois doses ou plus pour tous les âges, même les très jeunes ? Ne serait-il pas temps d’imposer un moratoire avant de poursuivre cette expérimentation sur des milliards d’individus ?

Ces pseudo vaccins seront administrés à plusieurs reprises chaque année. Tous, à chaque injection dose, produisent de l’ordre de milliards de protéines de pointe.

Les études animales ont démontré une distribution efficace des porteurs de vaccins de l’ARNm pour produire ces protéines de pointe, en quantités variables dans tout le corps,

Grave préoccupation.

Yang et Mei(([4] Jiang H, Mei YF. SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Viruses. 2021 Oct 13;13(10):2056. doi: 10.3390/v13102056. PMID : 34696485 ; PMCID : PMC8538446.)) ont démontré une autre partie du puzzle :

« Pour déterminer comment la protéine de pointe inhibe à la fois les voies de réparation NHEJ et HR, nous avons analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1, qui sont les protéines de point de contrôle clés pour la réparation HR et NHEJ, respectivement. Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait nettement la formation de foyers BRCA1 et 53BP »

Ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

« Il s’agissait d’une étude de laboratoire utilisant des modèles cellulaires qui ont démontré que la protéine de pointe pleine longueur était exprimée dans le noyau de la cellule. Il est important de noter que la protéine de pointe ne doit pas être trouvée dans le compartiment VIP de la cellule — le noyau.

Une fois sur site, la protéine de pointe a empêché d’autres protéines, par exemple BRCA1, d’être recrutées pour la réparation NHEJ — empêchant la réparation de l’ADN endommagé ».

L’organisme a des mécanismes de secours, mais nous savons via l’oncologie que les dommages causés aux protéines clés telles que BRCA1 entraînent une augmentation significative du risque de cancer et une durée de vie raccourcie.

Les dommages à l’ADN laissés non réparés ou non réparés correctement peuvent également conduire à la sénescence cellulaire.

Risques pour le fœtus

La mitose est une division cellulaire où la cellule se divise en deux moitiés identiques. Ce type de division est très important dans le développement du fœtus car il constitue la base de l’embryogenèse.

Gerasymchuk 2021 s’inquiète :

« Avec des nanoparticules jusqu’à 500 nm étant absorbées par le placenta ; et les nanoparticules lipidiques du vaccin Covid19 étant de l’ordre de 60-100 nm, qu’en est-il du risque pour le fœtus en développement ces particules traversent le placenta et accède au fœtus en développement ? »

CES ARTICLES ÉVOQUENT LES CONSÉQUENCES POSSIBLES DE DOMMAGES SUR L’ADN

« preuves naissantes de dommages à l’ADN induits par les protéines de pointe et de sénescence cellulaire, avec toutes leurs séquelles et conséquences connexes : réparation cellulaire dysfonctionnelle, cancer et vieillissement prématuré — mort »

« La dose fait le poison » est un principe de base en toxicologie

Cela ne devrait pas être différent avec les injections géniques anticovid.

En dehors de tous les autres effets graves déjà démontrés à la suite de la « vaccination » impliquant fortement la protéine de pointe, les injections répétées des êtres humains avec des produits inhibant potentiellement la réparation de l’ADN et provoquant une sénescence cellulaire, avec les risques de cancer assistés et la diminution de la durée de vie, méritent réflexion et justifient un moratoire.

Dans le cas du fœtus en développement, ce risque aurait dû susciter des recherches fondamentales avant la mise sur le marché des vaccins.

La sénescence cellulaire explique-t-elle l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues observée depuis la généralisation des injections anti-covid ?

Le taux de mortalité globale (toutes causes confondues) est plus robuste que les données Covid en raison du manque de fiabilité (définitions imprécises et discutables) de celles-ci. La mortalité globale (toutes causes confondues) est beaucoup moins corruptible. L’expression en taux standardisé selon l’âge, supprime beaucoup de facteurs de confusion.

L’analyse de la mortalité toutes causes confondues révèle un taux de mortalité chez les vaccinés deux fois supérieur à celui des non-vaccinés.

Source : ONS — Décès par statut vaccinal, Angleterre — 2 janvier au 24 septembre 2021.

Cette augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés constatée par l’Office National des Statistiques (ONS) britannique, très inquiétante, pourrait être en partie expliquée par les études scientifiques précédemment citées.

Consectetuer est venenum — la dose fait le poison.





Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ

Par Nicole Delépine

[Mise à jour : vidéo en fin d’article].

Mais payée jusqu’à deux millions de dollars pour ceux qui en font la propagande !

Jusqu’où iront-ils et jusqu’à quand les parents laisseront-ils faire cette folie criminelle ?

« Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran »,

écrit Le Parisien, le 11 novembre 2021.

AU SECOURS HIPPOCRATE ! 

On a appris il y a quelques jours que l’EMA autorisait l’injection expérimentale du Pfizer aux enfants de 5 à 11 ans. Tristesse, désespoir, colère. Pourquoi attaquer ces petits déjà meurtris par les mesures restrictives de leur liberté depuis deux ans ou presque dont le port du masque, sans intérêt contre la transmission,(([1] Comme l’ont démontré entre autres l’essai randomisé danois Danmasq19 et la Suède qui a laissé ses enfants aller sans masque à l’école et n’a constaté aucune propagation du virus en milieu scolaire.)) mais toxique avec risques médicaux, psychologiques et surtout sociaux ? Des enfants de 6 ans dessinent des visages sans bouche ni nez. Imaginez-vous que ce sera sans séquelles à vie ?

« Le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 a été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans par le régulateur européen du médicament », a annoncé le 25 novembre 2021 cette agence, ouvrant la voie à une vaccination au sein de ce groupe d’âge dans l’Union européenne.

Un groupe d’experts « a recommandé d’approuver une extension de l’application du vaccin contre le Covid-19 Comirnaty pour inclure son usage chez les enfants de 5 à 11 ans », a expliqué l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce vaccin à ARN messager est déjà autorisé pour les enfants de plus de 12 ans dans les 27 pays de l’UE.(([2] https://video.lefigaro.fr/figaro/video/Covid-19-lautriche-commence-a-vacciner-les-enfants-de-plus-de-cinq-ans))

Hors du continent européen, le vaccin de Pfizer a déjà été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans dans un petit nombre de pays, parmi lesquels les États-Unis, Israël(([3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/14/Covid-19-israel-autorise-la-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans_6102053_3244.html/)) et le Canada. Les enfants de 5 à 11 ans recevront un tiers de la dose utilisée pour les personnes plus âgées, en deux injections espacées de trois semaines, a expliqué le régulateur européen.

Le vaccin a démontré une efficacité de 90,7 %,(([4] En réalité seulement 1517 enfants ont reçu l’injection, l’efficacité n’a pas été jugée sur des critères pertinents (nombre de maladies symptomatiques et d’évolutions sévères), mais seulement sur le taux des anticorps (dont on ne connaît mal le rôle précis dans cette maladie nouvelle) et le suivi médian ne dépasse pas 2,3 mois, totalement insuffisant pour évaluer les effets secondaires.)) lors d’un essai réalisé sur 2 000 jeunes enfants suivis de cette classe d’âge a-t-il ajouté. Les effets secondaires ont été jugés « légers ou modérés ».(([5] Le nombre des enfants injectés et leur suivi médian ne dépassant pas 2,3 mois sont totalement insuffisants pour évaluer les complications à moyen et plus long terme ; en particulier aucune péricardite n’a été signalée alors qu’il s’agit d’une complication reconnue de ce pseudo vaccin à cet âge.)) Ils peuvent durer quelques jours et peuvent se manifester sous la forme d’une douleur localisée à l’endroit de l’injection, d’une fatigue, de maux de tête, de douleurs musculaires ou d’un rhume.

Selon le communiqué, le régulateur « a donc conclu que les bénéfices du Comirnaty chez les enfants de 5 à 11 ans dépassent les risques, particulièrement chez ceux qui présentent des comorbidités augmentant le risque de contracter une forme grave du Covid-19 ».

La propagande récente de l’Institut Pasteur

Pour promouvoir la vaccination chez les enfants qui n’ont absolument aucun bénéfice à en espérer, tous les médias montent en épingle un détail d’une étude de l’institut pasteur selon laquelle les personnes de plus de 40 ans vivant avec des enfants seraient plus exposées à la contamination.(([6] BFM TV Covid-19 : les personnes vivant avec des enfants sont plus exposées à la contamination 26/11/2021))

Il faut préciser que les auteurs de cet article(([7] Rebecca Grant Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe 2021;00:100278)) sont majoritairement salariés par les promoteurs et/ou responsables des vaccinations.(([8] Institut Pasteur, Research & Action Emerging Infectious Diseases (REACTing), ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes, Fondation de France (Alliance « Tous unis contre le virus »), Caisse Nationale d’Assurance Maladie, Paris, France…)) Que le but déclaré du travail est de préciser l’impact du variant delta sur l’efficacité des pseudo vaccins actuels. Qu’il ne s’agit absolument pas d’une enquête épidémiologique, mais une simple étude « cas control » dont tous les scientifiques admettent la très faible valeur probante du fait de l’incertitude de la réelle représentativité du groupe dit «control » construit a posteriori. De plus, le nombre de sous-groupes testés n’est pas précisé et tout le monde sait qu’au risque 5 % un test sur vingt est positif, même en l’absence de tout lien causal.

De plus, cet article de circonstances contredirait les conclusions de l’enquête épidémiologique de ce même Institut Pasteur sur les écoles de Creil et de plus d’une vingtaine d’articles internationaux prouvant que « les enfants sont innocents du Covid ».(([9] https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-stopper-la-pub-a-la-vaccination-chez-lenfant-innocent-du-sars-cov-2/))

Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre ce rhume des fous(([10] Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre le rhume des fous (20+) Facebook ReinfoCovid Quebec))

Des appels à la raison émanent de partout dans le silence et la soumission des peuples dont les 20 à 30 % réveillés n’arrivent pas à ouvrir les yeux de trop de concitoyens travaillés au corps par les politiques et la propagande écrasante des médias aux ordres.

De plus en plus de personnes même médiatiques prennent conscience de la vaste manipulation, mais encore insuffisamment nombreux. Poursuivons l’information, l’exposé des faits avérés et sauvons des vies, comme disait Pascal Praud quand il croyait aux prétendus vaxx…

Combien de victimes faudra-t-il avant ce réveil salutaire ?

Nous ne pouvons que confirmer ce que tous les articles les pédiatres honnêtes expliquent depuis avril mai 2020 :

Les enfants non malades (sans comorbidité = sans cancer ni immunodépression) ne risquent rien du SARS-CoV-2(([11] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) même dans ses formes initiales plus virulentes, les mutants actuels dont l’Omicron étant de moins en moins dangereux, bien que plus contagieux : une tempête dans une tasse de thé selon les Sud-Africains.

Les enfants porteurs du rhume Covid ne contaminent ni les enfants ni les adultes et aucun bénéfice collectif n’est à attendre de cette injection chez les petits. DONC PAS DE BÉNÉFICE NI INDIVIDUEL NI COLLECTIF.

L’INJECTION, UN RISQUE NON NÉGLIGEABLE ET INUTILE

Comment convaincre les parents de refuser cette injection chez les petits ?

Une nouvelle fois, rappeler l’état des lieux des effets dits indésirables avec les données récentes et les diffuser au maximum. Lecteurs, aidez-nous, aidez les petits et informez vos proches.

Ce risque est bien réel, car plus les sujets sont jeunes, plus leur système immunitaire est réactif, donc plus les enfants sont à risque de complications liées à la déferlante immunitaire.

C’est ainsi que les immunologistes expliquent que les jeunes présentent beaucoup plus de complications en tous cas précoces, des injections que les sujets âgés dont l’immunité est peu réactive. Et plus on est jeune, plus on est à risque : ainsi les sujets de moins de trente ans font des myocardites post vax, mais les 15 -18 ans plus que les 20 –30 ans et moins que les 11 – 15. Tout est à craindre chez les plus petits.

Les graphiques suivants montrent la parfaite concordance entre le nombre d’injections et la fréquence des myocardites et démontrent ainsi l’effet dose.

Vaccinations des enfants de 10 à 14 ans et mortalité toutes causes confondues en Angleterre — données officielles

Comparée à la moyenne de la mortalité toutes causes confondues de ces enfants pour les 5 dernières années : augmentation de + 44 %

Pour le Virologue J-M Claverie : La « vaccination » des enfants est une erreur grave(([12] https://planetes360.fr/video-virologue-j-m-claverie-la-vaccination-des-enfants-est-une-erreur-grave/))

La maladie des enfants est complètement bénigne. Ce rhume n’est pas dangereux, on devrait laisser les enfants faire leur petite maladie dans leur coin et pour acquérir l’immunité naturelle contre tous les ingrédients du virus et pas seulement une seule protéine. De plus la durée des tests a été très insuffisante : suivi 57 jours !

LES FORMES GRAVES CHEZ LES ENFANTS SONT UN MYTHE

Même la société française de pédiatrie le reconnaît :

voici sa mise au point le 30 septembre 2021 : FORMES GRAVES DE Covid CHEZ L’ENFANT : QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

En août 2021, des données venant des USA et concernant un nombre important de décès des enfants et adolescents ont inquiété quant à la possibilité d’une plus forte virulence chez l’enfant. Cependant, ces données sont à moduler par les données globales aux États-Unis (https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-Covid-19-infections/children-and-Covid-19-state-level-data-report/) qui font état d’un taux de létalité de 0,00 %-0,03 % (pourcentage de décès parmi les enfants atteints de Covid).

Les données françaises sont également très rassurantes ET CONFIRMENT TOUTES LES ANALYSES PRÉCÉDENTES : LES ENFANTS BIEN PORTANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid

(https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-Covid-19/)

La mortalité hospitalière cumulée au 18 août 2021 depuis le début de l’épidémie est de 11 cas pour les 10-19ans et 6 pour les moins de 10ans soit 0,02 % de la mortalité hospitalière cumulée rapportée au 18 aout 2021 par Sante Publique France (17 / 86 451) alors que les enfants et jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 23,9 % de la population.(([13] (source https://fr.statista.com/statistiques/472349/repartition-population-groupe-dage-france/))

Ces données sont illustrées par les graphiques visibles sur le PDF de santé France,(([14] Ce document PDF [téléchargé automatiquement] : Évolution des indicateurs épidémiques chez les 5-11 ans et comparaison avec les 12-17 ans. Au 31 octobre, semaine 43. Le point sur. 10 novembre 2021. Saint-Maurice : Santé publique France, 4 p. Directrice de publication : Pr Geneviève Chêne. Dépôt légal : 10 novembre 2021)) représentant le nombre d’enfants hospitalisés en soins critiques (moins de 10 ans et 10-19 ans), ainsi que la proportion de moins de 20 ans parmi les hospitalisations en soins critiques et le nombre d’hospitalisations en soins critiques tous âges confondus (données quotidiennes)

Chiffres officiels concernant les décès et hospitalisations des enfants de 5 à 11 ans dus au Covid-19 ?(([15] Analyse du Pr La Scola de l’IHU de Marseille Copyright © Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Point épidémique de Santé Publique France sur la « situation SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie chez les 5-11 ans et les 12-17 ans » datant du 31 octobre 2021 :

« Très rares décès d’enfants pour lesquels le lien avec le SARS-COV-2 est possible ou établi (respectivement 3 et 12 chez les 5-11 ans et 12-17 ans). Très grande majorité de ces décès chez des enfants présentant des pathologies chroniques.(([16] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/enquetes-etudes/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021))»

Selon cette source officielle, en 1 an et 8 mois de crise Covid-19, il y a eu 3 décès dus au Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans ; et 12 chez les enfants de 12 à 17 ans et tous ces enfants avaient une fragilité puisqu’ils avaient des pathologies chroniques.

Santé Publique France écrit aussi pour toute la période de la crise du Covid-19 :

« Les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentent respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021. »

Donc, sur 1000 personnes hospitalisées ayant le Covid-19, il y a en moyenne 3 enfants de 5 à 11 ans et 5 de 12 à 17 ans. Cette situation est stable.

Les enfants hospitalisés du Covid-19 ne sont pas des enfants en bonne santé

Professeur Bernard La Scola a précisé :

« Il en est des enfants comme des adultes de moins de 50 ans en moyenne. Ceux qui sont hospitalisés sont des personnes atteintes de pathologies chroniques — notamment immunosuppression — souvent liées à un cancer, ou une obésité morbide. »(([17] Mail du 16 novembre 2021 le pr la Scola))

Les chiffres ci-dessus de Santé Publique France peuvent-ils justifier une vaccination des 5-11 ans et des 12-17 ans ?

Réponses recueillies auprès du Pr La Scola(([18] Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Pr La Scola :

« Ça n’a jamais été ces chiffres qui ont justifié la vaccination des enfants, mais une éventuelle limitation de la transmission virale. »

Dans l’état actuel des connaissances est-il prouvé que la vaccination des enfants limite la transmission et la circulation du virus Sars-CoV-2 ?

Pr La Scola :

« Non, pas plus que celles des adultes d’ailleurs. Les pays les plus vaccinés et le plus tôt comme UK [Royaume-Uni] et Israël ont eu des taux d’incidence parmi les plus élevés au monde avec la propagation du variant delta. C’est bien l’évidence que la vaccination de masse ne protège pas la circulation du virus. »

La vaccination contre le Covid-19 représente-t-elle un/des risque(s) pour les enfants ? Si oui le ou lesquels ? Et avez-vous des preuves concernant ces risques ?

Le Pr explique qu’on n’a pas de démonstration des risques faute d’essai clinique sérieux et prolongé. En d’autres termes si nous les laissons faire vos enfants seront des cobayes purement et simplement.

« Les autorités se basent sur les résultats d’une étude faite sur un peu plus de 2000 enfants dont la moitié ont reçu le vaccin (10.1056/NEJMoa2116298) »(([19] https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2116298?articleTools=true))

« On n’a pas détecté d’effets secondaires graves. Mais en testant 1000 enfants, on ne détectera jamais que les effets secondaires fréquents à une fréquence inférieure à 1/1000. Orles effets qu’on a vus chez les adultes jeunes (thromboses, myocardites) ont une fréquence bien inférieure. En clair, on ne peut pas détecter ces effets secondaires rares. »

« On ne les détectera qu’en faisant les apprentis sorciers, en faisant une vaccination de masse des enfants et en reproduisant ce qui a été fait avec les adultes jeunes. Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente »

« Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »

Pour les 0 à 19 ans, le risque de soins critiques est de 2 pour 4962 contaminés non vaccinés (soit 0,05 %) et de 2 pour 1279 contaminés vaccinés (soit 0,16 %). LE RISQUE EST DONC TROIS FOIS SUPÉRIEUR POUR UN JEUNE VACCINÉ. Compte tenu des effets secondaires, la balance bénéfice/risque est totalement défavorable à la vaccination, car la probabilité des seules myocardies est supérieure.(([20] Ils tentent de vous faire croire que leurs injections protègent des formes graves, c’est bidon ! Nous avons besoin de traitements précoces et des vrais scientifiques qu’ils censurent ! | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Les jeunes 12-17 ans représentent 15 % des déclarations depuis le début dans les 8 derniers jours (120/780)

La proportion des déclarations des jeunes est de 22 % des déclarations de myocardites tous âges ces 8 derniers jours. Ce pour juste une tranche d’âge de 6 années.

Ajouter 269 péricardites, dont 29 ces 8 derniers jours.

Total 12-17 ans : myocardites + péricardites = 1049 dont 149 du 19 au 26 novembre.

Exemple de rapport(([21] marco nius @NiusMarco))

Aux USA les données du VAERS sont cruelles

VACCINATION DES 12-17 ans

L’effroyable remontée de pharmacovigilance du VAERS (ministère de la Santé US)

EN 4 MOIS :

  • 24 DÉCÈS
  • 86 CÉCITÉS
  • 444 MYOCARDITES
  • 1159 HOSPITALISATIONS

Toujours garder à l’esprit que seulement 10 % de la réalité est remontée

ET LES MODÉLISATIONS SUR LES VAX DES ENFANTS, INVRAISEMBLABLE PROPAGANDE

Données Pfizer/FDA, par million de 5-11 ans doubles doses. En résumé : Ils vont filer 106 myocardites à des enfants en bonne santé à risque zéro pour éviter 200 hospitalisations à des enfants malades. 22

LA CORRUPTION DES EXPERTS CACHÉE PAR LES MÉDIAS PERMET CETTE ABOMINATION

ENFIN SE DEMANDER CE QUI MOTIVE CERTAINS MÉDECINS À ENVOYER LES ENFANTS JOUER A LA ROULETTE RUSSE. Croyance ? Crédulité ? Liens d’intérêts ? Corruption ?

Déjà une interrogation : Le Pr Alain Fischer , Mr Vaccin est président de la fondation Rothschild(([23] http://www.fedr.ibpc.fr/fr/la-fondation-edmond-de-rothschild-85.htm. Leurs missions :
https://www.edmondderothschildfoundations.org/nos-missions/sante/default.aspx#SubSection)) promoteur des vaccinations. Est-ce que ce lien n’aurait pas dû l’exclure de cette fonction de conseiller ?

Pas facile de savoir exactement les motivations, mais pour certains elles sont claires. Les exploits de l’urologue Gilbert Deray (néphrologue cumulant 171 déclarations pour plus de 160 000 €)(([24] D’après Covidinfos.net)) deviennent bien connus comme ceux de Karine Lacombe (247 861€) qui prétendait que les vaccins étaient efficaces à 100 % et veut nous faire porter le masque ad vitam aeternam.

« Vacciner » des enfants à risque ZÉRO par une injection génique expérimentale dangereuse qui ne protège ni les vaccinés ni leurs contacts des contaminations n’a pas de sens médical, d’autant que leurs effets à long terme sont complètement inconnus.

Aucune justification en dehors de la corruption, de la propagande à la Goebbels et de la soumission des peuples à la pression quotidienne, répétée depuis 18 mois. La stratégie de la peur même avec un variant du nom omicron que l’on sait déjà n’être une tempête dans une tasse de thé.

Un expert canadien, Jim Kellner, qui fait la promotion de la vaccination des enfants vient d’être sacré champion mondial de la corruption Covid avec 2 millions de dollars reçus de Pfizer. Citons quelques articles canadiens(([25] Par Aguellid 3 novembre 2021 2 millions de dollars versés par Pfizer à un médecin qui fait la promotion de la vaccination des enfants — Bing News))(([26] Cosmin Dzsurdzsa Québec Nouvelles Info 1er novembre 2021))(([27] Tags : Alberta corruption Dr Jim Kellner pédiatre et professeur à l’Université de CalgaryPfizer PharmaceuticalsPromotion de la vaccination des enfants.)):

«Tout est logique, simple, limpide : c’est celui qui paie qui écrit la musique. Les médias sont conscients et complices de cette folie, ils devront le payer face à la justice. Comme par hasard, les chaînes d’info ont le numéro de téléphone de la crapule la plus corrompue de l’état ! »

Il est super content le monsieur… et souriant…

Plusieurs des plus grandes entreprises médiatiques du Canada n’ont pas révélé qu’un éminent professeur de pédiatrie de l’Alberta avait reçu près de 2 millions de dollars de Pfizer Pharmaceuticals pour promouvoir la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

Le Dr Jim Kellner, pédiatre et professeur à l’Université de Calgary, a été cité comme une autorité dans des dizaines d’articles publiés par CTV News, CBC, Global News, le Toronto Star et le Globe and Mail sur la vaccination des enfants et d’autres questions liées aux pandémies.

Depuis 2014, les recherches de Kellner ont reçu 1 940 443 $ de Pfizer Pharmaceuticals pour diverses études sur les vaccins, la subvention la plus récente de 787 004 $ étant allouée jusqu’à l’année 2022.

Le financement de la recherche de Kellner n’a pas été divulgué par les médias susmentionnés dans de nombreux articles remontant à 2020, bien qu’il soit indiqué publiquement dans son CV, qui est publié sur le site Web de l’université de Calgary.

(…) Dans les articles où M. Kellner est cité, il est tour à tour qualifié de « professeur et chercheur » , de « pédiatre », de « spécialiste des maladies infectieuses à l’Alberta Children’s Hospital », d’ »expert en maladies infectieuses », de « membre du groupe de travail fédéral sur l’immunité Covid-19 » et d’autres variantes. Kellner est également employé par les services de santé de l’Alberta.

Un article publié par CBC News ce 24 novembre, intitulé » Wondering about vaccinating younger kids against Covid-19? Alberta experts weigh in”, cite Kellner sur le sujet de l’administration du vaccin Pfizer aux enfants, sans faire référence à son financement.

« De mon point de vue, l’analyse des risques et des avantages montre qu’il y a un avantage certain à administrer le vaccin pour prévenir l’infection et les conséquences graves du Covid-19 », aurait déclaré M. Kellner.

Dans un autre article publié en avril par le radiodiffuseur public, M. Kellner encourage l’élargissement des groupes de personnes admissibles au vaccin Covid « en particulier en fonction de l’âge » et aurait déclaré que « la vaccination est la première chose qui peut faire la différence ».

Selon les résultats de recherche de la CBC, le nom de Kellner apparaît plus de 41 fois et apparaît dans de nombreuses vidéos et articles sur le thème de la vaccination, sans aucune indication sur les sommes qu’il a reçues du fabricant de vaccins Pfizer.

Les données du gouvernement du Canada montrent que le vaccin Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) est le vaccin le plus utilisé au Canada, plus de 14 millions de Canadiens ayant reçu au moins une dose du produit.

Dans un article publié en juin par le Globe and Mail, Kellner remet en question la protection offerte par l’immunité naturelle.

« Nous encourageons les personnes qui ont eu le Covid à se faire vacciner, et il est recommandé de le faire. On pourrait même dire que les personnes qui ont eu le Covid sont plus susceptibles de se faire vacciner, ayant vécu cette expérience », a déclaré M. Kellner au Globe and Mail. Le journal a cité Kellner comme une autorité au moins sept fois.

Quant au Toronto Star, Kellner apparaît en tant qu’expert dans au moins 11 articles, dont beaucoup encouragent la vaccination des enfants, et ce sans divulguer son financement. Dans le dernier article publié le 18 octobre 2021, Kellner discute des essais de vaccins Pfizer sur des enfants et est cité aux côtés du PDG de Pfizer, Albert Bourla.

De même, Global News cite Kellner à de nombreuses reprises, y compris dans des interviews, à propos de ses recherches sur le Covid-19 et les enfants, sans révéler les près de 2 millions de dollars qu’il reçoit de Pfizer.

Quant à CTV News, Kellner fait plusieurs apparitions à la une en tant que pédiatre, notamment dans un article daté du 20 octobre 2020.

Comme l’a rapporté en exclusivité True North au début du mois, le Globe and Mail et le Toronto Star n’ont pas non plus divulgué le financement par AstraZeneca de l’éminent professeur et auteur d’articles d’opinion Mark Lautens.

En comparaison la cote des experts français paraît bien plus faible (8 fois moins pour la championne française d’Euros for docs).

Contrairement à ce qu’on croit généralement la cause principale de la chute de l’Empire romain n’est pas la puissance brute des barbares, mais la corruption généralisée du bas empire qui l’a vidé de ses moyens de défense.(([28] Max Gallo La Chute de l’Empire romain Paru le 15 septembre 2016.))

En France la corruption paraît déjà avoir décrédibilisé les experts scientifiques et la parole des représentants de l’état. Au-delà de la santé des enfants, elle menace les fondements de notre démocratie ; comme l’avaient déjà expérimenté les citoyens d’Athènes(([29] Paul Demont, « Le tirage au sort dans la démocratie de l’Athènes classique », Silomag, n° 10, déc. 2019. URL :
https://silogora.org/le-tirage-au-sort-dans-la-democratie-de-lathenes-classique/)) et de certaines cités italiennes du Moyen âge qui ont recouru au tirage au sort de leurs représentants pour la limiter.








Et la dictature créa le PCR pour nous soumettre…

Par Alain Tortosa

De la multiplication d’un RIEN pour en faire un TOUT !
Des preuves supplémentaires du mensonge et de la fausse pandémie…

Je me bornerai aujourd’hui à ne parler que de la France quand bien même gouvernement et médias ne se privent pas de nous parler de la « catastrophe » européenne pour crédibiliser leurs nombreux mensonges. Et ce en prenant systématiquement soin de ne pas évoquer les pays qui ne confinent pas, ne vaccinent pas ou peu, qui traitent leurs malades et qui ont des résultats remarquables. Partant du principe acquis que « tous les pays qui font mieux ne sont pas comparables à la France et que seuls les pays qui ont de moins bons résultats sont fiables en termes de comparaison ».

Donc nous voici dans cette fameuse « 5e vague » tout aussi extraordinaire que les précédentes… une épidémie de « cas » comme il se doit.

Et un « cas », c’est quoi ?
C’est une personne asymptomatique, c’est-à-dire sans le moindre symptôme — fièvre, douleur, toux, etc. — qui est positive à un test PCR pratiqué au fond de votre nez !

Qu’est-ce qu’un test PCR ?
C’est une méthode inventée uniquement à des fins de recherches et non à visée diagnostique. Le principe revient à amplifier, augmenter la quantité de virus dans un échantillon par un certain nombre de cycles… Plus on fait de cycles et plus on peut trouver… n’importe quoi comme des virus « morts » ou des fragments de virus qui seraient des « restes » d’une ancienne infection. Le test est à ce point « impressionnant » que durant la première vague des bananes et du Coca-cola étaient positifs ainsi que des écouvillons vierges…

Et pourquoi pratique-t-on un prélèvement aux tréfonds de votre nez ? Parce que la probabilité de trouver des traces de virus est plus grande que dans votre salive…

De façon pragmatique, il faudra m’expliquer comment une personne en bonne santé sans le moindre symptôme, qui ne crache pas et ne tousse pas, et dont il n’est possible de détecter (par une méthode douteuse) un virus uniquement dans le fond de sa gorge, mais pas dans sa salive et dont la charge virale ne pourra qu’être faible, pourrait contaminer qui que ce soit ?
Et ce alors même que c’est un virus qui se transmet par les voies aériennes… il faut bien qu’il sorte de vous pour contaminer votre voisin ou tuer papi mamie !

D’autre part, les tests n’étant pas effectués sur 100 % des français et uniquement une infime partie… ces Français asymptomatiques et non testés sont donc non isolés et donc des « propagateurs officiels de virus ». De fait si tout ceci n’était pas une vaste escroquerie, le taux d’incidence de malades des semaines suivantes devrait suivre de près la courbe des positifs asymptomatiques des semaines précédentes. Bien entendu, ce n’est pas le cas comme nous pouvons le voir sur le tableau suivant.

Analysons les données…

Pour celles et ceux qui l’ignorent, le réseau Sentinelles(([1] https://www.sentiweb.fr)) comporte un ensemble de médecins de ville répartis sur toute la France qui fournissent chaque semaine une image de leur activité. Il est associé à d’autres réseaux dont Grippenet comportant un ensemble de Français (peut-être pas représentatif, mais reproductif) qui font remonter leur état de santé. Ces réseaux conjugués au réseau des hospitalisations permettent de détecter et suivre les épidémies en France.

En janvier 2018 par exemple, Sentinelles indiquait qu’il y avait épidémie de grippe en France dès lors que l’on dépassait les 179 cas (personnes symptomatiques) pour 100 000 habitants.

Notons que jusqu’à présent et pour la grippe il n’a jamais été question de tester massivement des personnes asymptomatiques et de les isoler pour gérer l’épidémie qui présente tous les ans sa courbe d’évolution en forme de cloche. Mais tout ceci a volé en éclat avec le Covid où le chef d’orchestre n’est plus Sentinelles, mais Santé Publique France avec ses positifs PCR, son taux d’incidence de positifs et son fameux R0 magique !

Tableau de données réseau Sentinelles, Grippenet et Santé Publique France.(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_pe_std_heb.tx_std&s=2021-S46&t=a01&view=map2))

Sur le tableau, j’ai reproduit le taux d’incidence du pic épidémique de symptômes grippaux des saisons 2016-17, 2017-18 et 2018-19. Nous voyons que celui-ci a oscillé entre 437 et 527 cas pour 100 000 habitants. Le pourcentage de virus de la grippe type A ou B dans les prélèvements était entre 65 % et 79 %, le solde étant d’autres virus respiratoires. À noter qu’au pic épidémique de ces saisons grippales, 5 % des Français du panel Grippenet déclaraient avoir eu des symptômes dans la semaine et qu’entre 2 et 8 % s’étaient rendus aux urgence sans passer par un médecin.

À ma grande surprise et contrairement au mensonge véhiculé par la propagande, l’hiver 2019-2020 a eu sa grippe. Certes un peu moins en termes de pic de taux d’incidence, 324 pour 100 000 habitants, mais comparable en termes de personnes touchées. Le pic a eu lieu en février et aussi bien le taux d’incidence que le pourcentage de virus de grippe dans les prélèvements faits par les médecins ont diminué régulièrement dans les semaines suivantes…

L’absence d’augmentation des déclarations de symptômes, mais aussi de passages aux urgences relevés par le réseau Grippenet tendrait à prouver que le Sars-cov2 n’avait pas remplacé la grippe et que les syndromes grippaux n’étaient pas du Sars-cov2 qui s’ignore… Sars-cov2 qui était sans doute ou probablement présent depuis un certain temps, mais à un niveau marginal. Sans compter que le taux de virus de grippe A ou B présent dans les prélèvements étaient comparables aux années précédentes.

À ce titre Sentinelles déclarait le 17 mars, juste avant le confinement :

« C’est la première fois depuis la mise en place de la surveillance des syndromes grippaux par le réseau sentinelles en 1984, qu’une remontée simultanée des cas de syndromes grippaux est observée dans plusieurs régions après le pic annuel de l’épidémie de grippe. Plusieurs raisons pourraient expliquer ces observations, comme la modification des comportements de consultation de la population due à la situation actuelle, mais aussi l’accroissement du nombre de cas de Covid-19 sur le territoire. »

Je peux donc affirmer que les deux épidémies de grippe et de Covid sont 2 épidémies distinctes et non concomitantes.

Quelle était l’ampleur de la première vague de Covid ?

La réponse du réseau Sentinelles est biaisée du fait du confinement et de l’interdiction de soins faite aux médecins de ville. Il fallait rester chez soi, prendre du paracétamol,(([3] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/covid19_fiche_patients-2.pdf)) ne pas se rendre chez le médecin et appeler le 15 uniquement en cas de détresse respiratoire. Selon les médecins de ville, au pic de l’épidémie de la vague 1, le taux d’incidence était de 138 cas pour 100 000 habitants, soit inférieur au seuil d’épidémie. En revanche l’ensemble des infections respiratoires présentes était de 436 cas pour 100 000 habitants, de fait le Covid représentait moins de 30 % des infections respiratoires rencontrées par les médecins du réseau.

D’autre part nous ne disposons pas du taux d’incidence de l’épidémie de positifs par test PCR, car à l’époque il n’y avait aucune campagne de dépistage massif des personnes en bonne santé positives.

(Notons au passage que Sentinelles a changé son outil de mesure dès l’apparition du Covid. Auparavant il mesurait les symptômes grippaux, puis il s’est mis à mesurer les Infections Respiratoires Aigus, qui englobent tous les virus y compris les symptômes grippaux. Il n’est donc pas possible de comparer le taux d’IRA au taux de symptômes grippaux.)

Comme je l’ai expliqué, il y a un biais sur le taux d’incidence de Sentinelle pour la vague 1. 41 % des consultations étaient des téléconsultations et selon Grippenet, 14 % des personnes interrogées symptomatiques se rendaient directement aux urgences, contre moins de 8 % pour les saisons grippales précédentes.

En revanche, si la médecine de ville était quasi interdite d’exercice, expliquant sans doute la faiblesse des 138 cas pour 100 000, le réseau Grippenet continuait de fonctionner.

Il est intéressant de voir qu’au pic de la vague 1, seules 2,5 % des personnes interrogées déclaraient des symptômes soit environ deux fois moins que pour les pics d’épidémie de grippe des années précédentes… Si on divise (avec le même coefficient) par deux le taux d’incidence moyen du pic d’une épidémie de grippe de 480 qui correspond à 5 % de personnes déclarant des symptômes, on arrive à un taux d’incidence au pic de la vague 1 de 240 Covid pour 100 000 habitants avec 2,5 % de personnes déclarant des symptômes.

Une autre façon de voir est d’estimer (ce qui est vérifié par les chiffres de mortalité saisonnière) que la petite épidémie de grippe de la saison 2019-20 additionnée de la « encore plus petite épidémie de Covid » de la même saison forme une épidémie somme toute banale qui a été perturbée par les mesures de restrictions et interdictions de soins.

On peut donc estimer le pic de la vague 1 non pas à 138 cas pour 100 000, mais à 240 cas pour 100 000 soit l’équivalent d’une toute petite épidémie de grippe.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignorerait, Santé Publique France a reconnu ne pas savoir faire la différence entre un patient hospitalisé positif au Covid et un patient hospitalisé dont la pathologie principale, ou conduisant au décès, est le Covid.

Nous pouvons trouver une explication de texte sur le document des autorités de santé « Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l’épidémie(([4] Parcours hospitalier https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd67.pdf))»

« En effet, il convient de préciser que l’outil SI-VIC ne permet pas de distinguer les patients hospitalisés pour des formes graves de Covid, des patients admis à l’hôpital pour d’autres raisons (opération planifiée, crise d’appendicite, etc.) et qui s’avèrent être également infectés par le SARS-Cov2. Ces derniers ne représentaient probablement que très peu de cas au début de l’épidémie, mais leur proportion a pu augmenter par la suite, sans que l’on puisse quantifier ce phénomène. »

Page 13

De plus on nous a toujours menti sur le taux d’occupation en réanimation(([5] https://7milliards.fr/tortosa20201122-fausses-reanimations.pdf)) qui en fait additionnait les personnes en soins critiques pour les diviser par le nombre total de lits de réanimation.

De fait au pic de la vague 1, le taux d’occupation des lits de soins critiques par des personnes officiellement Covid (les malades et les positifs) ne dépassait pas les 36 % (et non le chiffre mensonger de 138 %).

Enfin le nombre de décès est un faux, d’une part parce qu’il n’est fait aucune distinction entre les personnes malades décédées du Covid et les personnes positives, mais aussi parce que c’est une recommandation officielle de l’OMS de mentir sur les chiffres.(([6] https://7milliards.fr/coronavirus-faux-morts-officiels-oms.html))

Je vous cite le document officiel :

« Un décès dû à la Covid-19 ne peut pas être imputé à une autre maladie (par exemple, à un cancer) et doit être comptabilisé indépendamment des affections préexistantes qui sont soupçonnées d’avoir déclenché une évolution grave de la Covid-19. »

De fait, une personne avec un cancer en phase terminale positive au Sars-covd2 ou avec des symptômes faisant penser à un Covid, doit être considérée comme décédée du Covid.

Nous pouvons conclure de tout ceci que la première vague de Covid a bien existé, mais l’ampleur était celle d’une petite grippe qui serait restée inaperçue si on n’avait pas empêché les malades de se rendre chez leur médecin et si on avait autorisé ceux-ci à prescrire ne serait-ce que des antibiotiques en lieu et place du paracétamol… et non attendu qu’ils soient à l’article de la mort pour les hospitaliser et les placer en réanimation avant décès. Ceci sans parler du Rivotril dans les maisons de retraite.

Les autres « vagues ».

Si l’on se réfère aux données officielles reprises dans le tableau, la vérité est qu’elles n’ont pas existé.

Ces vagues n’ont pas le biais de la vague 1 du fait du confinement et de l’empêchement de consultation.

Pic de la « vague 2 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 497 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 82 malades pour 100 000 habitants (soit 6 fois moins que le taux mensonger de SPF et à la moitié du seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une présence d’un virus !

Pic de la « vague 3 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 360 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 35 malades pour 100 000 habitants (soit 10 fois moins que le taux mensonger de SPF et cinq fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Pic de la « vague 4 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 244 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 16 malades pour 100 000 habitants (soit 15 fois moins que le taux mensonger de SPF et onze fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). Pas d’épidémie, juste une petite présence d’un virus !

Actuellement « vague 5 » :

  • Taux d’incidence de PCR, 191 « cas » pour 100 000 habitants.
  • Taux d’incidence de personnes symptomatiques, de « malades », 22 malades pour 100 000 habitants (soit 8 fois moins que le taux mensonger de SPF et huit fois moins que le seuil de déclaration d’une épidémie). À noter que 4 % des prélèvements effectués par le réseau Sentinelles indiquent le début probable d’une épidémie de grippe. Pas d’épidémie en cours actuellement, juste une petite présence d’un virus qui sera probablement supplanté par la grippe qui arrive !

La présence de Sars-cov2 chez des personnes symptomatiques n’étant pas nulles…

Il est possible de se poser des questions sur l’existence de ces vaguelettes 2 à 5 et plus si affinités… au-delà des données mensongères.

  • Ont-elles été facilitées par l’interdiction de traitements ?
  • Ont-elles été facilitées par l’absence de politique ciblant les personnes à risque ?
  • Ont-elles été facilitées par les injections expérimentales inefficaces et créatrices de variants ?

Cela me semble plus que probable.

Il faut voir les pays qui s’étaient débarrassés du Covid et des morts qui sont réapparus après des campagnes massives d’injections de personnes en bonne santé non à risque.

Pour résumer :

Il est crédible et raisonnable d’affirmer :

  • Que les tests PCR permettent de fabriquer des épidémies de positifs en bonne santé.
  • Que ces positifs PCR ne se traduisent pas ensuite en « vrais » malades (le « faux » malade étant devenu une norme).
  • Que les PCR sont l’outil de la peur, de la privation des libertés, du passe-sanitaire et de l’obligation « vaccinale ».
  • Sans les PCR, pas d’épidémie de Covid, pas de dictature sanitaire, pas de manne vaccinale !
  • Que la première « vague » a été une petite épidémie qui a pris le relais de l’épidémie de grippe et dont les conséquences désastreuses ont été induites par les décisions sanitaires d’interdiction de consultation ET de soins.
  • Qu’il n’y a pas eu d’autres vagues épidémiques, les suivantes n’étant que mensonges et manipulations, ce que nous savions depuis fort longtemps et qui est corroboré par les données officielles Sentinelles.

Merci.

Alain Tortosa.

30 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211130-pcr-sentinelles-fausse-pandemie.pdf





Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, est mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène

[Source : cv19.fr]

Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxyde de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection [anticovid], expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, “comme des nano-lames de rasoir”.

Il affirme que cela pourrais expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…

Le 23 novembre, le Dr Noack a été “battu à mort” après sa dernière vidéo, selon sa femme visiblement enceinte.



Travaux du Dr. Pablo Campra sur lesquels sont basés cette vidéo

Résumé :

L’hydroxyde de graphène a été trouvé dans tous les vaccins étudiés. L’hydroxyde de graphène forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines mais très solides. Ils agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Ils ne se décomposent pas. Une fois dans la circulation sanguine, ils y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus ils restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.

Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.

Voici des citations importantes faites par le Dr Noack :

Recevoir le Vax, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le vax.

Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du Vax ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.

Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur.

Les athlètes de haut niveau qui meurent ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.

En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier.

La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : POURQUOI CES LAMES DE RASOIR SONT-ELLES DANS LES VACCINS ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?

Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce truc horrible !


L’Autriche est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination. Le plan de vaccination complet débutera en février 2022.

Sources :

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES
https://strangerinajewishworld.com/2021/11/28/dr-andreas-noack/
https://odysee.com/@Docuteca:5/AndreasNoack:2
https://truth11.com/2021/11/30/whistleblower-dr-andreas-noack-renown-austrian-chemist-is-dead-just-hours-after-speaking-out-about-the-effects-of-the-adjuvant-graphene-oxide-in-a-post-written-by-his-wife-he-was-found-dead-in-l/




Canada SPÉCIAL : un courageux policier de la GRC dénonce la gestion tyrannique et illégale de la crise Covid

[Source : qactus.fr]






« Avis de décès. Elle est morte, Lavie Davant !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux boire des coups en terrasse à 9,50 € les 25 centilitres de mauvaise bière et me sentir vivant en me serrant dans un RER à l’heure de pointe pour m’entasser dans un cinéma pour regarder un mauvais film à 12 euros le ticket.

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant, qui n’a rien à voir avec l’élégante Sophie Davant, non, je vous parle bien de la vie d’avant. D’avant le Covid bien sûr.

Je veux protéger la planète et sauver l’environnement, mais s’il vous plait, laissez moi partir en avion à 40 euros pour un week-end à Rome, mieux, je veux aller à Bali en charter low-cost, je veux polluer, je veux voyager en all inclusive et me sentir un prince dans un pays où les gens sont payés au lance-pierres !

Ouin-ouin, snif-snif, ouin-ouin, je veux retrouver ma copine Lavie Davant.

Haaaaa, mes amis que ne serait-on pas prêt à faire pour passer encore une nuit de plus dans les bras de la belle Lavie Davant.

Tout.

J’accepterais tout pour une nuit de plus avec elle.

Toutes les compromissions.

Toutes les lâchetés.

Oui.

Oui aux restrictions, aux piqûres, oui au passe sanitaire même si, il n’a d’autre utilité que de forcer les méchants non-vaccinés à se faire piquer. Oui encore à la ségrégation, oui au fait de rester enfermé, oui aux confinements, mais promettez moi une nuit dans les bras de la belle Lavie Davant !

Lavie Davant ce n’était pas juste les coups en terrasse et les avions. Lavie Davant était beaucoup plus profonde que cela. Les coups en terrasse ce n’est que l’écume des choses. Ils s’y trompent tous. Ils confondent. Ils n’ont pas compris que dans la liberté de boire des coups ou de voyager l’important n’était pas la boisson mais le flacon, ni le voyage, mais la liberté. C’est parce qu’ils se sont totalement trompés et égarés qu’ils ne la retrouveront jamais. La liberté, donc, Lavie.

Vous ne retrouverez jamais Lavie Davant !

Lavie Davant a vieilli, le temps est passé, il a fait son œuvre.

Le monde d’avant n’existe plus.

Il a déjà laissé place au monde d’aujourd’hui.

Demain sera pire.

Ce sera le monde d’après.

Un monde bien loin de Lavie Davant.

Gardez son visage en tête, son sourire, sa joie de vivre.

Ainsi était Lavie Davant.

Elle croquait la vie à pleines dents.

Nous rigolions, c’était une époque où nous avions de l’humour. Nous pouvions rire de tout. Ou presque. On sortait. Nous étions libres. Pas de passe ni de laissez-passer. Pas de restriction. Pas de prison pour un verre entre amis sur une plage un soir avec un feu de camps. On roulait en GTI bien trop vite. Nous buvions sans doute trop. Nous mangions mal, loin des 5 fruits et légumes chiants que nous permet notre triste quotidien. Entre boulghour et quinoa. Bio. Sans gras. Vivre longtemps. Même si c’est très chiant. Ni homme ni femme. Pas d’excès. Contrôle social. Permis à point. De l’école à l’âge adulte. Qu’elle était belle Lavie Davant à la lumière du feu crépitant.

Puis le feu s’est éteint. Comme Lavie Davant.

Je la garde dans mon cœur.

Autant d’instants précieux.

Ceux partagés par des gens, si différents, mais humains, tout simplement. Nous vivions ensemble, nous nous embrassions, nous nous serrions dans les bras, nous nous aimions, il n’y avait pas de distanciation sociale ni de gestes barrières.

Lavie Davant savait que vivre était dangereux, elle savait même que l’issue, toujours fatale était connue à l’avance. Lavie Davant savait, qu’un jour, il lui faudra mourir.

Nous voulons tous que ce soit le plus tard possible.

Lavie Davant, elle, comme tous ceux qui nous sont précieux, nous a quittés bien trop tôt.

Repose en paix, Lavie.

Ils ont tous voulu te tuer.

Ils ont réussi.

Ils ont réussi, parce que nous les avons laissés faire.

C’est pour cela que nous visons dans un monde de dépressifs suicidaires et devenant tous fous, plus ou moins.

Gardez le souvenir de Lavie Davant dans vos cœurs et dans vos esprits.

Il n’y a rien de plus puissant qu’une idée. Une idée de liberté, une idée d’humanité, d’égalité et de fraternité.

Elle était comme cela Lavie Davant.

Repose en paix.

Partagez ce faire-part de décès avec vos députés, vos sénateurs, vos maires. Ils sont les premiers responsables du climat de tristesse qui étrangle ce pays. L’étouffe. C’est eux, les vrais assassins de Lavie Davant. Elle n’est pas morte de vieillesse, c’était bien un homicide, que dis-je un vrai féminicide comme on dit aujourd’hui.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire charles@insolentiae.com
Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Quand le conte de fées se transforme en cauchemar…

Par Dr Geneviève Pagnard

Vous expliquez que le début de votre histoire avec votre partenaire s’est déroulée comme un véritable conte de fées : il se montrait empressé, charmant, galant, drôle, il vous trouvait toutes les qualités du monde. Un véritable prince charmant… Très rapidement, il vous a demandée en mariage, voulant des enfants.

Juste un léger bémol au passage, il vous a suggéré de « faire un petit régime pour perdre un peu de poids », alors que pourtant, vous avez un poids standard, mais, « il ne l’a pas fait pour vous blesser ».

Pendant la grossesse, vous avez senti qu’il changeait d’attitude, il devenait grognon pour un rien, insatisfait, vous laissant la charge de la maison. Le masque est tombé.

Pour l’accouchement, il est venu vous voir et voir votre enfant des heures après, se renfrognant dans son coin, refusant ostensiblement de partager ce merveilleux bonheur que vous apportait ce bébé.

Ensuite, les choses sont allées de mal en pis : il s’est montré égocentrique, colérique pour un rien, insatisfait de tout, pouvant faire voler son assiette à travers la pièce parce que le menu lui déplaisait, ne supportant pas le moindre pleur du bébé, ni le moindre bruit, refusant de s’occuper de bébé (pourtant, il vous avait réclamé des enfants ??!!), vous laissant toute la charge de la maison, se montrant pingre et râlant à la moindre dépense, mais, s’offrant ce qui lui plaisait.

Il vous a abreuvée de reproches incessants sur tout et n’importe quoi, et de propos dévalorisants sur vos capacités de mère, de maîtresse de maison, etc., etc.

En revanche, oh miracle !, en présence d’amis ou de membres de la famille, ou autres personnes extérieures, il était métamorphosé, à nouveau drôle, charmant, et vous retrouviez un peu celui qu’il était pendant le fameux « conte de fées ». Quoiqu’avec certains, il se permettait aussi de vous faire des réflexions désobligeantes.

Jusqu’au jour où vous lui avez parlé de séparation. Et là, incroyable, il s’est jeté à vos pieds, vous a imploré pardon, vous a promis de ne plus recommencer, tout en vous expliquant que « vous êtes trop sensible », que « vous ne l’avez pas bien compris ». Et il a même parlé de se suicider « parce qu’il ne peut pas vivre sans vous ».

Et, vous vous êtes laissée convaincre de ne pas le quitter…

Vous avez retrouvé le prince charmant des débuts et vous avez pensé que tout ça n’était qu’un malentendu, que grâce à vos efforts, les choses sont enfin rentrées dans l’ordre et que le fait de parler, de s’expliquer, s’avère payant en définitive.

Mais, petit à petit, les choses se sont à nouveau dégradées : retour des colères pour un rien, de l’insatisfaction pour tout, des reproches systématiques, des propos dévalorisants, et même, insultes grossières. Il trouvait tous les prétextes possibles pour que vous n’alliez pas voir votre famille, vos amis et progressivement, vous vous êtes éloignée de votre entourage, et vous vous êtes retrouvée isolée, avec comme seul horizon « “affectif” » : lui et ses colères, sa froideur… Vous avez tout fait pour tenter d’apporter un peu de joie à votre (vos) enfant(s) au milieu de cet océan glacial et de ces tempêtes qui se déclenchaient sans raison apparente.

Jusqu’au jour où, malgré la culpabilité de « casser » la famille, vous avez décidé que ce n’était plus possible et vous lui avez annoncé la séparation.

Et là, c’est un véritable cataclysme qui s’est déchaîné sur vous et vos enfants, fait de colères, vous accusant d’être incapable d’élever des enfants, vous menaçant de vous prendre les enfants et de ne pas payer de pension alimentaire, vous traitant de folle, et vous criant : « tu veux la guerre ! Tu vas l’avoir la guerre, tu vas voir !! » Un chaos de violence extrême, et peut-être des coups de poing, dans les murs, si ce n’est sur vous…


Un conte de fées, dites-vous ?? Mais alors, avant le précipice vers l’enfer !!…

En fait, que s’est-il passé et qui est cet individu ??

Quand on reprend les faits dans l’ordre chronologique, on observe 5 phases que constitue la manipulation destructrice :

  • la phase de séduction, période initiale décrite comme idyllique, celle du « prince charmant », du « conte de fées », où les choses sont souvent précipitées, puis
  • la période insidieuse, celle où commencent à apparaître par touches, de petites réflexions désobligeantes (« tu devrais faire un petit régime, mais tu sais, je t’aime ! »…) qui commencent à semer le doute sur vous-même, vos croyances, vos valeurs, etc.
  • la période de violence morale apparente qui commence souvent pendant la première grossesse, avec son lot de reproches entraînant de la culpabilité chez la victime, culpabilité qui avec le temps, deviendra de plus en plus lancinante, son lot de propos dévalorisants altérant la confiance en soi de la victime, avec l’isolement de la victime, les colères sans raison apparente venant souvent casser un moment de bonheur comme un anniversaire, un Noël. Les mensonges font partie du tableau, le double visage, se montrant charmant à l’extérieur, mais tyrannique dans le huis clos familial. L’inceste fait souvent partie du tableau.
  • la période de violence paroxystique au moment où vous annoncez la séparation, avec l’ouragan de colères, de menaces de vous prendre les enfants, de ne pas payer de pension alimentaire, de vous faire la guerre, vous traitant de folle, incapable d’élever des enfants. Le viol peut faire partie du tableau, des coups contre le mur ou sur vous également.
    Phase dangereuse où l’agresseur peut parfois, en venir à menacer de vous tuer, voire dans certains cas, à tuer vos enfants et vous ensuite.
  • la période suivant la séparation, celle où la guerre annoncée s’exerce effectivement dans une avalanche de procédures sans fin auprès du juge aux affaires familiales (demande de retrait des enfants, de non-paiement de pension alimentaire), du juge d’appel, du juge pour enfants, etc., etc., et guerre également lors des droits de visite et d’hébergement, les enfants servant de levier pour continuer à vous détruire, tout en détruisant les enfants, en les montant contre vous (et en vous accusant devant les juges de syndrome d’aliénation parentale !!!…).

Devant les juges, le MD se présente comme « la pauvre victime », inversant les faits à son avantage de façon révoltante, mentant sur tout.

Il joue son rôle à la perfection, au point que les différents acteurs de la Justice (magistrats, avocats, éducateur et assistants sociaux des services AEMO, MJIE et d’expertise, police, gendarmerie, etc.) les différents acteurs donc, se font abuser et donnent raison à l’agresseur, le parent victime étant alors mis au banc des accusés, presque au ban de la Société…… et étant contraint de respecter le droit de visite et d’hébergement, voire la résidence habituelle des enfants chez leur agresseur, et ce, même en cas d’inceste!!!…

La manipulation destructrice est un processus totalement stéréotypé d’un cas sur l’autre, se caractérisant par :

  • son noyau central : l’emprise
  • son mécanisme : basé sur le mensonge
  • et le « nerf de la guerre » : l’argent, le manipulateur destructeur (MD) organisant une véritable escroquerie financière.

Elle concerne 30 % de la population…

Les victimes qui ont vécu à la fois cette violence psychologique et la violence physique disent toutes que c’est de cette violence psychologique qu’elles ont le plus de mal à se remettre (sauf si bien sûr, la violence physique les a menées dans un fauteuil roulant, voire au cimetière…)

Cette violence s’exerce sur le parent victime, devant les enfants, voire sur eux directement aussi. Ainsi, parent comme enfants, développent un syndrome post-traumatique avec un syndrome anxio-dépressif et les répercussions à long terme sur les enfants qui sont des êtres en construction, sont lourdes…

Qui sont les manipulateurs destructeurs (MD) ?

Ils présentent un mélange de traits de personnalité paranoïaque, perverse et psychopathique, toutes personnalités appartenant au registre des psychoses, et sont considérés comme non soignables (d’autant qu’ils n’éprouvent jamais le besoin de consulter, parce qu’ils rejettent constamment la faute sur les autres, ne se remettent jamais en question, estimant qu’ils ont toujours raison, etc.)

Comment aider les victimes ?

Les entretiens psychothérapiques sont fondamentaux pour permettre à la victime de pouvoir enfin exprimer sa souffrance, ses doutes, sa culpabilité. Le décryptage du processus de MD leur permet de sortir très rapidement de l’emprise destructrice du MD et de retrouver une confiance en soi.

Les enfants bénéficient également de ce décryptage, mais celui-ci est présenté selon des règles particulières à eux.

Dr. Geneviève Pagnard, le 29/11/2021

Dr Geneviève Pagnard

J’ai exercé toute ma carrière en tant que médecin, psychiatre, victimologue, hypnothérapeute auprès de patients atteints de burn-out, angoisses, dépressions, séparations, deuils, souffrances liée à la grossesse et la maternité, à l’expatriation, au covid (isolement, perte de travail, dépression, effets secondaires de la vaccination sur vous ou vos proches, voire décès d’un proche, d’un enfant, etc.), souffrances liées aux psycho-traumatismes de tous types (accidents de la route, agressions, viols, braquages de banques, harcèlement moral au travail, à l’école, sur les réseaux sociaux, ou encore dans le couple et la famille (manipulation destructrice), inceste et autres violences intrafamiliales, etc.)

J’ai pu mesurer chaque jour, l’apport fondamental de la victimologie et de l’hypnose aussi bien pour des troubles psychiatriques, que psychologiques et que psychosomatiques.

J’ai travaillé avec les députés et les sénateurs français sur la loi du 9/7/2010, loi innovante sur les violences intrafamiliales, ayant introduit une ordonnance de protection, mais surtout, un délit de harcèlement moral dans le couple et la famille donnant aux JAF un pouvoir au pénal.

Ecrits:

  • Thèse de Doctorat en Médecine « La pollution en Méditerranée par les insecticides et les agents bactériologiques » – 1984
  • Primée en 1985 par le Ministère de l’Environnement et l’Académie de Médecine.
  • Diplôme de Criminologie et Agressologie
  • Auteur de « Crimes impunis ou Néonta, histoire d’un amour manipulé » – 2004 – Prime Fluo Éditions qui raconte l’histoire de Néonta, victime de manipulation destructrice, avec en parallèle, un décryptage rendant ce processus compréhensible et détectable par tous : victimes, mais aussi professionnels de la Justice (magistrats, policiers, gendarmes, etc.), médecins, psy, etc.

Pour un rendez-vous pour des téléconsultations, prière de téléphoner au (0033). (0) 6.16.16.27.14.




Pfizer rançonne les gouvernements !

[Source : https://crowdbunker.com/@laVerite]






La mutation du virus chez un traiteur juif qui infecte toute l’Afrique est venue de Beverly Hills

Par Jon Rappoport

Tony Fauci, Le Grand Père Blanc (les pères blancs étaient des missionnaires catholiques envoyés en Afrique — NDT), est en train de voler vers l’Afrique pour sauver le continent de la dernière mutation du virus, qui trouve son origine chez un traiteur de Beverly Hills.

Tony Fauci a fait une déclaration devant des journalistes au LAX (nom de l’aéroport de Los Angeles — NDT) avant de s’envoler :

« Nous savons maintenant que ce que nous appelons SARS-CoV-6 a fait un saut d’espèces fin octobre d’un sandwich au pastrami (spécialité gastronomique de la ville de New York et qu’on trouve chez les traiteurs haut de gamme américains — NDT) de chez le traiteur Fineberg sur Rodeo Drive, sur un client Fred Reilly. Reilly s’est envolé vers le Botswana où il a infecté trois joueurs de football qui faisaient du travail au noir comme agents de sécurité à une réception des Nations Unies ».

Fauci va expliquer à l’Afrique que le nouveau médicament de IG Farben, le RP-1984, qui a été stocké depuis 20 ans, puisqu’il a échoué à freiner la progression de la leucémie chez les rats, sera parachuté sur le continent.

Le médicament attaque toutes les cellules du corps, les empêchant de se répliquer. L’espoir c’est qu’il empêchera également le variant deli de se répliquer avant qu’il ne tue l’hôte (l’être humain).

« Les premières données semblent prometteuses », a déclaré Fauci. « Bien sûr, des confinements pendant au moins un an, la vaccination, le port du masque et la distanciation devront être religieusement appliqués », a-t-il ajouté.

« En raison des fermetures d’entreprises, la plupart des pays africains sombreront dans une dette irréversible et désespérée. Le Fond Monétaire International, comme à son habitude, va dépanner ces pays par des prêts. Cependant, cette fois-ci, les Nations Unies inaugureront une nouvelle monnaie numérique pour l’Afrique ».

La monnaie, a affirmé Fauci, inclura le Revenu de Base Universel pour toutes les personnes en Afrique — aussi longtemps qu’ils obéissent aux diktats gouvernementaux sans interrogations ou protestations.

À la Maison-Blanche Joe Biden a dit « Je ne mange pas de pastrami. Jill l’infirmière (qui veille sur moi — NDT) ne me le permettrait pas ».

Le propriétaire du Deli, Hank Fineberg, a dit au Los Angeles Times,

« Ce n’est pas de notre faute. Nous achetons nos pastramis à Gornish Garnish, un grossiste de Brooklyn. Pour quelle raison le CDC n’enquête pas sur eux ? En plus, aucun de nos clients n’a en fait été malade. Alors, quel est le problème ? ».

Le Times attribue le plongeon de la Bourse au variant deli. On peut également s’interroger sur la décision du Gouverneur de Californie, Gavin Newsom, de « laisser Rodeo Drive ouvert aux chalands ».

Bill Gates presse les gens à manger un succédané de pastrami fabriqué à partir de feuilles d’érable séchées, d’un dérivatif de résine de pin et de mica salé. (le mica est un des trois composants du granite avec le quartz et le feldspath — NDT)

Une nouvelle étude publiée par le New England Journal of Medicine (une des revues prestigieuses du domaine médical — NDT) conclut que

« le variant deli amène le corps à produire différents ensembles d’anticorps, certains d’entre eux ressemblant au SARS-CoV-2 originel. Le corps est alors confronté à la perspective d’anticorps attaquant des anticorps, ce qui entraîne un cycle tourbillonnaire ressemblant à un trou noir dans l’espace… »

NBC déclare,

« les dirigeants de Black Lives Matters se concertent avec des fonctionnaires à la Fondation Ford, pour élaborer une réponse aux nouvelles que le variant deli est en train de balayer l’Afrique ».

CBS :

« En Afrique, les principaux symptômes associés au variant deli sont la perte de poids, la déshydratation et la diarrhée. Ces symptômes proviennent habituellement de la malnutrition et de la famine, mais des chercheurs disent que c’est le variant qui est maintenant le principal coupable… »

Hier à la Maison Blanche, le Porte-Parole du Président, Jen Psaki, a dit aux journalistes,

« Le sombre hiver est arrivé en avance. Il est là. Le variant deli nécessitera de nouveaux confinements et fermetures de commerces. Le Président Biden publiera dans les prochains jours un large éventail d’obligations vaccinales. Pour le moment, il est en réunion avec les chercheurs du NIH (National Institute of Health – Institut National de la Santé – NdT) et se penche sur les dernières données de taux d’infection. À cet égard sa formation en analyse statistique lui servira bien… »

Un journaliste de FOX News a demandé,

« Est-ce que Noël sera annulé ? »

Psaki a répondu

« Le shopping aura lieu. Mais Jésus est né qu’une seule fois. Est-il nécessaire de continuer à célébrer cet événement ? Le Secrétaire d’État va rencontrer le Pape François pour discuter de la question ».

Le journaliste de FOX a poursuivi avec une autre requête :

« Qu’en est-il au sujet de tous ces migrants qui traversent la frontière mexicaine ? Combien sont porteurs du variant deli ? »

Psaki :

« Nous avons un nouveau programme de dépistage de masse appelé Baguette magique. Il peut surveiller des milliers de personnes en même temps et détecter la présence de virus. Jusqu’à présent nous n’avons trouvé qu’une seule personne à la frontière qui était infectée avec le variant deli – an ancien habitant du Montana (le Montana est un État du nord des États-Unis – NDT). Il a fait l’objet d’une chasse à l’homme de la part du FBI, en raison du fait qu’il était présent lors de l’intrusion dans le Capitole du 6 janvier. Il est maintenant en détention à L’Hôpital Walter Reed. Il ne présente pas de symptôme, ce qui est un peu un mystère.

Le directeur sortant du NIH, Francis Collins, a apporté lors d’une audioconférence ce matin avec des journalistes des précisions sur plusieurs problèmes posés par le variant deli : « Le nouveau variant produit différents effets dans différentes populations. En Afrique nous voyons des pertes de poids, des déshydratations et des diarrhées. En Amérique du Sud, le principal symptôme est une toux sèche. En Australie c’est une douleur passagère à la jambe et de la colère. En Europe un engourdissement des extrémités et une pauvreté accrue. Aux États-Unis un déclin de l’immunité conférée par le vaccin, une passivité hypnotique, et paradoxalement, une présence aux matches de football… »

Le Sénateur Chuck Schumer a déposé un projet de loi qui compensera les victimes du variant deli, sous la forme d’une carte fédérale qui peut être utilisée pour des achats de biens et de services d’un montant de 900 dollars. Les médecins qui diagnostiqueront recevront également une carte, d’un montant de 3900 dollars pour chaque cas de variant identifié.

Ne sortez pas de chez vous sans elle. En fait, ne quittez pas la maison. Confinez-vous.

Traduction Jean Bitterlin, le 29 novembre 2021.




La nouvelle hystérie du variant « Omicron » provient de la même institution qui a popularisé les confinements et les précédentes peurs du COVID

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le monde dans lequel nous vivons est bien petit. La peur du « variant Nu » dont vous entendez parler provient des mêmes personnes et institutions qui ont engendré la toute récente crainte du COVID, et celle d’avant, et celle d’avant, remontant jusqu’au début de l’hystérie du Covid.

[Mise à jour : l’Organisation mondiale de la santé a maintenant étiqueté cette souche comme étant le « variant Omicron », en omettant visiblement le « Xi » dans l’alphabet grec].

La presse d’entreprise et les gouvernements du monde entier ont fait un tapage incroyable autour d’un prétendu nouveau variant du COVID, le variant « Nu », qui a été détecté en Afrique du Sud et au Botswana.

Comme dans le cas des précédents accès d’hystérie-19 encouragés par la classe dirigeante, il n’y a aucune raison statistique de s’alarmer de cette nouvelle souche, qui est l’une des 100 000 mutations du coronavirus.

La « nouvelle souche » a à peine produit des cas confirmés en laboratoire, mais un récit paniqué a déjà été semé dans le public. Le Royaume-Uni, en particulier, a fait monter la peur d’un cran. Le pays a déjà ajouté plusieurs pays africains à sa liste d’interdiction de voyage, en invoquant la nouvelle souche.

Comme toutes les autres politiques prescrites par les gouvernements pour lutter contre un virus, les interdictions de voyager ne permettent pas d’arrêter un virus, mais elles réussissent à agiter les marchés et les masses dans des accès de folie.

Et ce n’est pas une coïncidence si le Royaume-Uni est à nouveau le premier à agir sur le front de la « souche Omicron ».

L’hystérie du nouveau variant est née à l’Imperial College UK, le siège d’une institution académique de modélisation corrompue et disgracieuse qui a fait du prosélytisme pour le confinement du monde occidental. Tout au long de la COVID Mania, l’Imperial a été la source d’innombrables versions de la propagande de la « nouvelle souche ». L’institution ne fait pas que participer à la modélisation de mauvaise qualité. Elle fomente la folie et exige une série de mesures totalitaires pour faire face à ses créations narratives défectueuses.

La campagne de peur du nouveau variant est née en début de semaine avec un fil Twitter de Tom Peacock, un post-doc d’une trentaine d’années employé à l’Imperial College de Londres. Il a mis le feu aux poudres par son interprétation alarmiste du variant, décrivant la nouvelle souche comme ayant un « profil de mutation de la protéine Spike vraiment horrible ».

Les médias d’entreprise, les gouvernements mondiaux et d’autres institutions ont régurgité les proclamations de pandémie de Peacock, déclenchant une nouvelle série de demandes autoritaires de la part de la classe dirigeante.

L’actuelle panique liée à la nouvelle souche survient à un moment où les cas de COVID-19 se multiplient en Europe, malgré l’adoption universelle des injections d’ARNm qui étaient promises pour résoudre le problème du COVID-19.

Cette « nouvelle souche » aurait été découverte en Europe, poussant le récit des médias encore plus loin dans l’abîme totalitaire.

https://twitter.com/disclosetv/status/1464226028205842439

Avec des affirmations diffusées aux masses par les grandes entreprises technologiques et les gouvernements mondiaux, l’Organisation mondiale de la santé, influencée par Gates Inc. et la Chine, sème un maximum de panique et de terreur.

En dehors du Parti communiste chinois, aucune autre institution n’a eu autant d’influence sur les politiques destructrices du COVID-19 que l’Imperial College de Londres.

C’est à l’Imperial College de Londres que l’on doit les tristement célèbres « modèles apocalyptiques » du COVID-19, qui promettaient que des millions de personnes seraient effacées de la surface de la terre si le monde occidental ne se confinait pas en mars 2020 en raison du COVID-19. L’idée que le monde devait « aplatir la courbe » par des confinements pseudo-scientifiques est née d’un modèle académique défectueux de Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College. Lorsqu’on lui a demandé d’ouvrir ses modèles, Ferguson a refusé catégoriquement. Il a ensuite démissionné en disgrâce du conseil consultatif scientifique du gouvernement britannique. Pourtant, le « Professeur Confinement » reste, d’une manière ou d’une autre, un personnage très influent dans la conduite des politiques totalitaires de réponse à la pandémie en Grande-Bretagne.

En ce qui concerne les nouvelles souches, il semble que tout ce qui est ancien soit à nouveau nouveau d’actualité. L’Imperial était la source principale du nouveau variant des modèles d’épouvante de 2020. C’est à peu près à la même époque l’année dernière que le Premier ministre britannique Boris Johnson, citant les spéculations d’Imperial sur une souche différente, a lancé un confinement hivernal.

Lisez mon article dans The Dossier sur cette « nouvelle souche » de 2020 et vous verrez les incroyables parallèles. La propagande de la « nouvelle souche Omicron » sud-africaine et botswanaise s’appuie sur la même campagne de peur, mais dans une version relookée. C’est exactement le même manuel.

L’année dernière, cela a commencé avec Erik Volz, un épidémiologiste de l’Imperial College de Londres, qui a affirmé que la nouvelle souche était 70% plus transmissible. Ses propos exacts ont ensuite été repris par le Premier ministre Johnson pour justifier son confinement.

Lisez le reste du rapport ici.

Traduction de The Dossier par Aube Digitale

[Note de Joseph : avec la théorie alternative à la virale (qui est la théorie des « exosomes »), les virus n’y sont pas vus comme la cause des maladies virales, mais la conséquence de divers empoisonnements et/ou de déficiences en certains nutriments alimentaires. Ils sont produits par les cellules humaines sans qu’il y ait intervention de matériel viral externe à l’organisme. Sous l’effet des agressions diverses subies de nos jours, dont les ondes électromagnétiques telles que la 5G, les cellules créent des « endosomes » qui en sortent ensuite et sont alors dénommés « exosomes ». Ces derniers sont constitués de morceaux d’ARN ou d’ADN qui sont entourés d’une enveloppe lipidique munie de bras ou de clefs (comme les protéines Spike) pour sortir de la cellule en franchissant la membrane cellulaire. Ils représentent dans certains cas des déchets à éliminer ensuite de l’organisme, au besoin de manière accélérée par la fièvre lorsque leur production est trop intense suite à une grave agression externe du corps. Dans d’autres cas, ils semblent être destinés à communiquer la nature de l’agression à d’autres cellules pour qu’elles se préparent à leur tour à y faire face. Ces exosomes qui ont été découverts par trois prix Nobel de médecine sont exactement de même forme que les virus, et pour cause, puisque cette théorie alternative mentionne que les virus sont en fait les exosomes, qu’ils soient à ADN ou à ARN.

Par ailleurs, lorsque des virologues ou des microbiologistes prétendent isoler un virus, ils ne font en fait que la succession des opérations suivantes :
1)- Culture du virus (parce qu’ils ne le trouvent pas en quantité suffisante sur le malade) à partir de tissus biologiques supposés infectés de la maladie virale, ceci en utilisant diverses substances chimiques et par exemple des cellules de singe vero comme hôte viral.
2)- Centrifugation de la soupe génétique récupérée.
3)- Prélèvement de la couche de densité qui est supposée correspondre à celle du virus.
4)- Analyse et reconstitution du matériel génétique par voie logicielle (calculs) à partir des morceaux de chaînes d’ADN ou d’ADN récupérés. Il s’agit ici en gros de reconstituer un puzzle en se basant sur un modèle viral préexistant. Dans la pratique, la reconstitution n’est jamais faite à 100 %, car il existe toujours des manques ou trop de chevauchements disparates qu’il faut en quelque sorte moyenner ou raboter.

À l’étape 1, on obtient exactement le même résultat de mort des tissus en partant de personnes parfaitement saines et donc de tissus sains, si on ajoute exactement les mêmes produits. C’est logique à partir du moment où ce sont en fait ces produits et le manque de nutriments (puisque les tissus sont séparés du corps et ne peuvent plus être alimentés) qui causent, selon la théorie alternative, la mort des cellules et non un supposé méchant virus.

À l’étape 4, il suffit de changer de modèle viral, au besoin en combinaison avec son prélèvement dans une autre couche de l’éprouvette (à l’étape 3) pour découvrir une ressemblance avec un autre virus avec aussi une précision qui ne sera jamais de 100 %.

La théorie alternative explique parfaitement pourquoi on n’obtient jamais 100 %, puisque d’une part aucun virus n’a ainsi été réellement isolé, mais seulement reconstitué à partir d’une soupe génétique et d’un modèle, et d’autre part, chaque être humain (idem pour les animaux) est unique et donc les virus, en fait « exosomes » qu’il produit sont également spécifiques. Et l’on peut quand même malgré tout obtenir une ressemblance à 99.7 % par exemple, parce que les différences génétiques entre deux individus sont mineures au sain d’une même espèce (inférieures à 1 %).

Les prétendus « variants » proviennent simplement des variations génétiques entre individus et entre ethnies, ainsi que des différences dans l’agression, comme notamment celle de la 5G qui n’est pas basée sur les mêmes fréquences selon les pays ou les régions, et comme celle des vaccins qui ne sont pas non plus les mêmes selon les différents pays ou les différents lots vaccinaux, surtout que nous sommes toujours en phase de test et que les fabricants de vaccins introduisent alors des différences de dosages des divers adjuvants et du nombre de nanoparticules entre les lots.]




Comment expliquer l’explosion des cas et des morts dans les 2 mois qui suivent les vaccinations ?

La surveillance de l’évolution immédiatement post vaccinale telle qu’elle apparaît d’après les données de l’OMS et de OurWorldinData montre une explosion de cas et de morts durant les deux mois qui suivent les campagnes de vaccination, sans aucune explication scientifique confirmée jusqu’à présent.

Le but de ce travail est d’exposer cette évolution paradoxale pour stimuler les recherches et évoquer les hypothèses qui permettraient peut-être de la comprendre.

Faits avérés tirés des courbes de l’OMS

Israël

Dans ce pays champion de l’injection Pfizer celle-ci a été suivie d’une explosion des cas et de morts pendant deux mois.

La campagne de « vaccination » a également été suivie d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid.


La Grande-Bretagne

Est le champion européen de l’Astra Zeneca. La vaccination, commencée en décembre 2020, a été suivie d’une forte exacerbation du nombre de cas quotidiens puis de la mortalité qui a doublé en trois mois.


Îles Fidji

Les injections ont commencé début mai. L’épidémie a explosé en juin et la mortalité a suivi.

Et la mortalité a explosé


En Slovaquie la vaccination a commencé le 4 janvier 2021.

Elle a été rapidement été suivie d’une hécatombe post vaccinale


Avant la vaccination les Seychelles avaient été épargnées par le Covid. Mais la campagne de vaccination a été suivie par une forte poussée de contaminations, puis de morts.


Au Népal


Mais aussi en Thaïlande


Au Cambodge, la vaccination a pris de l’ampleur en mars 2021 et en novembre plus de 80 % de la population avait subi au moins une injection. Mais le résultat est décevant : la vaccination a été suivie par une explosion des cas.


Avant la vaccination la Mongolie avait été épargnée par le Covid.

Malheureusement la vaccination a été suivie par une explosion de cas et de morts.


Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Cette hécatombe post vaccinale des deux premiers mois impose de prendre en compte dans l’historique des vaccinés cette période entre la première injection et les deux semaines qui suivent la dernière injection.

La comparaison des mortalités des vaccinés et des non vaccinés, en considérant les vaccinés incomplets comme des non-vaccinés, augmente fortement la mortalité de ces derniers et diminue d’autant celle des vaccinés.

Elle représente une tricherie trop fréquemment utilisée par nos gouvernants et les médias complices. Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Dans les pays où la vaccination a été plus lente, cet effet d’explosion des cas et d’hécatombe post vaccinale est peu perceptible, mais des accélérations brutales du rythme des vaccinations peuvent aussi être marquées par une augmentation de la mortalité.

L’effet Macron

Ainsi en France les menaces proférées par Macron contre les non-vaccinés ont été suivies par une augmentation brutale du nombre d’injections quotidiennes suivi par une augmentation des cas constatés puis de la mortalité quotidienne

Commentaires

Dans 80 % des pays champions de la pseudo vaccination Covid, celle-ci a été suivie par une hausse importante des cas (tests PCR positifs) et des morts pendant en moyenne deux mois.

Ce phénomène paradoxal n’a pas été observé avec les vaccins classiques, même lorsqu’ils sont peu efficaces comme celui de la grippe. En l’absence d’études scientifiques publiées à notre connaissance sur le sujet, on ne peut qu’émettre des hypothèses quant aux raisons de cette hausse des contaminations et l’hécatombe post vaccinale précoce.

Le rôle connu des anticorps facilitants

Pour la surmortalité immédiate, on peut évoquer un phénomène d’anticorps facilitants (ADE)(([1] Antibody dependant enhancement)) bien étudié après la catastrophe de la vaccination contre la Dengue (Denvaxia) aux Philippines. Il consiste à ce que les anticorps, créés à l’occasion d’une précédente infection ou par un vaccin insuffisamment efficace, au lieu de combattre la maladie, l’aggravent en facilitant l’entrée du virus dans les cellules. Cette apparition d’anticorps facilitants est responsable de l’échec et l’abandon des candidats vaccins après les essais animaliers(([2] En particulier contre péritonite infectieuse du chat.)) contre les précédents coronavirus (SRAS(([3] Dans le contexte des essais vaccinaux contre le SRAS (SARS-CoV-2), une VAED a été observée dans 9 études animales, dont une in vivo chez des singes verts expérimentalement infectés par deux fois.)) et MERS(([4] Chez le lapin infecté par deux fois, ainsi que des phénomènes d’ADE in vitro.)) ).

Ces observations sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des pseudovaccins contre la Covid-19. Ce risque avait d’ailleurs été décrit par de nombreux auteurs dès 2020(([5] Nouara Yahi Infection-enhancing anti-SARS-CoV-2 antibodies recognize both the original Wuhan/D614G strain and Delta variants. A potential risk for mass vaccination?))(([6] Iwasaki A. Yang Y. The potential danger of suboptimal antibody responses in COVID-19. Nat Rev Immunol. 2020; 20:339-341(([7] Li D. et al. In vitro and in vivo functions of SARS-CoV-2 infection-enhancing and neutralizing antibodies. Cell. 2021; 184:4203-4219))(([8] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020; 5(10): 1185-91))(([9] Nikolai Eroshenko, Taylor Gill, Marianna K. Keaveney, Implications of antibody-dependent enhancement of infection for SARS-CoV-2 countermeasures 5 June 2020
https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1)) et rappelé par l’Académie de médecine en janvier 2021(([10] Communiqué de l’Académie de Médecine Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Les mesures de surveillance de ce phénomène d’ADE se heurtent à la difficulté de caractériser l’aggravation de la maladie par la vaccination (VAED)(([11] VAED vaccine antibody-dependant enhancement)) de manière objective et le manque de marqueurs spécifiques.

La prévention de la VAED repose, non seulement sur un suivi attentif, mais également sur des mesures visant à s’assurer que les taux d’anticorps neutralisants obtenus restent suffisamment élevés chez toutes les personnes vaccinées, en particulier les sujets âgés, ce qui n’est pas suffisamment réalisé actuellement en France.

Si, comme cela est probable, l’infection à SARS-CoV-2 devient endémique, cette précaution sera essentielle à respecter, si on veut éviter de voir apparaître des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées, insuffisamment protégées par leur immunité humorale et cellulaire.

Les maladies liées à la protéine spike produites largement par les « vaccinés »

Aucune hypothèse publiée à ce jour n’explique l’explosion précoce des cas après vaccination et on peut s’interroger sur la signification des test positifs dans cette situation. Il est peu probable qu’il ne s’agisse que de faux positifs, car ils ont été suivis de signes cliniques et d’une élévation de la mortalité.

La possibilité d’une maladie causée par la protéine spike et transmise par autour d’eux par les vaccinés est donc possible et mérite d’être recherchée.





Comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid » autre qu’artificiellement créée

Par BS

Pierre de Décoder l’Eco a publié un document fondamental pour comprendre qu’il n’y a jamais eu de « crise covid », comme indiqué par Marc Girard dans plusieurs articles. Le délire se reprend avec intensité (variant OMICRON), avec la dévaccination des vaccinés 2 doses dans les prochaines semaines (désactivation du pass sanitaire selon 2 échéances), avec la menace de vaccination des 5 – 11 ans, avec les émeutes dans certains Dom-Tom, l’obligation de tests (avec autotests) pour les enfants de sixième (qui va évidemment se transformer en pass vaccinal pour aller à l’école dès que la vaccination des moins de 12 ans sera autorisée par l’UE)… etc..

La vidéo dure 8 minutes, elle fût publiée le 23 novembre et détaille les informations chiffrées les plus significatives du récent rapport de l’Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) consacré à la Covid-19. Ce rapport officiel indique que le Covid n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière sur l’année 2020 et que l’hôpital a fonctionné en sous-régime. Pierre utilise également les données fournies par un autre rapport de l’ATIH détaillant l’activité hospitalière totale pour montrer que l’hôpital n’a jamais été débordé à cause d’un petit coronavirus.

À la différence de Géodes de Santé Publique France sur lequel s’est basé le décompte des morts du covid du croque-mort Jérôme Salomon, l’ATIH ne reprend que les patients dont le motif d’hospitalisation est spécifique à la Covid-19. L’analyse de Pierre permet de chiffrer les conséquences des mesures prises par le gouvernement conseillé par le Conseil Scientifique (déprogrammation de soins, confinements, non-prise en charge des patients en urgence, etc.) : 

une activité hospitalière en baisse de 10% sur l’année 2020 incluant une baisse de 50% pour le mois d’avril 2020 (celui du 1er confinement, montrant un pic de mortalité) avec un taux de prise en charge Covid sur ce mois qui présente un maximum de 7,6% des admissions, taux inclus dans un taux de prise en charge total qui chute de moitié par rapport aux années précédentes. Que sont devenue les personnes qui auraient statistiquement dues être prises en charge pour les pathologies habituelles sur cette période ?

La vidéo a été publiée à la fois sur YouTube et Odysee (Odysee échappe à la censure).

L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version (Pierre Chaillot de Décoder l’Eco – 23/11/21 – 8 minutes 25) :



Version texte (via France Soir) :

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lactivite-hospitaliere-en-2020-la-vraie-version

L’agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) a sorti un rapport d’analyse sur l’impact de la Covid-19 sur les hospitalisations durant l’année 2020. Ce rapport a notamment révélé que durant l’année 2020, les hospitalisations pour cause de Covid-19 n’ont finalement représenté que 2 % de l’activité hospitalière sur l’année. La lumière a été faite sur ce rapport lorsque Martin Blachier l’a évoqué sur LCP, émission Ça vous regarde du 09 novembre 2021. La presse s’est bien évidemment empressée d’enterrer les résultats de ce rapport pour éteindre cet incendie qui menaçait de brûler l’histoire officielle.

Ce rapport a été enterré un peu vite et, surtout, l’autre rapport concernant l’activité totale des hospitalisations en 2020 a été passé sous silence. Nous allons voir que, non seulement l’activité Covid-19 à l’hôpital est très loin d’avoir ressemblé à l’image que les médias ont voulu véhiculer, mais qu’en plus, l’hôpital français n’a jamais été autant sous-utilisé qu’en 2020.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible sur l’année

La première révélation de l’étude de l’ATIH est le nombre d’hospitalisations pour cause Covid-19 en 2020. Sur l’ensemble de l’année, 217 974 patients ont été hospitalisés pour cette cause (Figure 1).

Ce nombre est étonnamment assez éloigné de ce que l’on peut trouver sur Géodes, le portail des statistiques du ministère de la Santé, sur lequel on trouve 277 821 en 2020 (Figure 2). Il semble manquer 60 000 hospitalisations dans le rapport de l’ATIH, soit 20 % du total. Cependant, à la page 20 du rapport, dans la partie Sources et Méthodes, on peut lire « La population d’étude est constituée des patients hospitalisés en 2020 pour une prise en charge de la COVID-19. […] Les hospitalisations de patients testés positifs à la COVID-19 mais asymptomatiques 16 ou dont le motif de recours à l’hospitalisation de court séjour n’était pas la COVID-19 ne sont pas intégrées au champ d’analyse. » Ainsi, l’ATIH, contrairement au ministère de la Santé, ne compte pas comme « Covid-19 » les patients hospitalisés pour une jambe cassée, mais déclarés malades a posteriori de la Covid-19. Il est intéressant de savoir que ces patients représentent 20 % des statistiques officielles, soit un patient sur cinq.

Au bilan, ces hospitalisations Covid-19 représentent 2 % de l’activité hospitalière sur l’année (Figure 3). Une activité assez insignifiante au regard de ce que gère l’hôpital avec ses 11 millions d’hospitalisations annuelles.

Les seules statistiques qui augmentent sont les durées d’hospitalisations et les nombres de décès des patients Covid par rapport aux autres patients.

Cependant, comme nous l’avons vu, les personnes hospitalisées pour Covid-19 sont les personnes âgées (Figure 4). Il paraît donc normal (voire rassurant) d’avoir plus de décès pour les hospitalisations Covid-19 de patients de plus de 80 ans, que pour les ruptures des ligaments croisés après un match de football de patients de moins de 40 ans.

À ce stade, il convient de rappeler que chaque année, plus de la moitié des décès français (donc plus de 300 000) ont lieu à l’hôpital (Figure 5). L’hôpital est le principal lieu de décès des Français, et c’est le signe qu’ils sont pris en charge, pas que l’hôpital est un lieu dangereux.

Concernant la durée des hospitalisations et la part des décès (Figure 6), nous avons montré à de nombreuses reprises que les patients Covid-19 n’ont pas eu de soins précoces de la part de leur médecin (puisque c’était déconseillé, voire interdit). Ils sont arrivés à l’hôpital dans un état fortement dégradé et il est normal qu’ils y soient restés plus longtemps et soient plus souvent décédés que pour une grippe prise en charge précocement. Cela ne prouve pas la dangerosité de la maladie, mais celle de l’interdiction de soin.

En plus de montrer que la Covid-19 a finalement peu pesé sur l’activité hospitalière sur l’année, il convient de rappeler que l’activité hospitalière n’a jamais été aussi faible que pendant cette année 2020. Toutes les déprogrammations ou les évictions de patients du fait de la politique de non prise en charge ont eu un effet déplorable sur l’organisation du soin. Cette non prise en charge est mesurée dans l’autre rapport de l’ATIH sur les hospitalisations totales.

Sur l’année, l’hôpital a accueilli 1,3 million de patients en moins, représentant 2,2 millions de séjours en moins. Cela représente un recul de plus de 10 % à chaque fois, et autant de personnes qui n’ont pas été prises en charge et soignées.

La presse s’est évidemment fait l’avocat du gouvernement en nous expliquant que ces chiffres annuels de faible activité totale ou Covid ne représentent pas les pics énormes qui ont eu lieu pendant les vagues. Heureusement, l’ATIH nous permet de vérifier tout cela.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible pendant les vagues

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité hospitalière mois par mois et de la comparer à l’activité liée à la Covid-19. Le nombre de séjours liés à la Covid-19 représente donc 1,3 % des séjours sur l’année, mais selon les mois cette part a pu varier entre 0 et 7,5 % (Figure 8).

Ainsi, au plus fort de l’activité Covid, cette dernière n’a représenté que 7,5 % de l’activité hospitalière en avril 2020. C’est déjà peu, mais encore à nuancer. En effet, les mesures de confinement et d’annulation de tout le reste de l’activité ont drastiquement diminué l’activité hospitalière à cette période.

L’activité hospitalière d’avril 2020 est 50 % inférieure à l’activité normale de cette période, comme en témoignent les courbes de 2018 et 2019 (Figure 9). Ainsi, 7,5 % de Covid dans un contexte où l’hôpital ne fonctionne qu’à mi-régime, signifie que l’activité Covid n’a représenté au maximum que 3,7 % d’une activité normale.

Il n’y a donc jamais eu d’impact de la Covid pour faire déborder l’hôpital. Non seulement à aucun moment l’hôpital n’a débordé, mais il a fonctionné en sous-régime toute l’année, et l’impact de la Covid est insignifiant quel que soit le moment.

L’activité Covid-19 de l’hôpital finalement faible partout

Les fiches synthétiques de l’ATIH nous permettent de mesurer l’activité région par région pour savoir si finalement la crise hospitalière a eu lieu quelque part, puisque au niveau de la France, elle n’a eu lieu à aucun moment.

On observe alors que la région ayant la part d’hospitalisations Covid la plus forte est l’Île-de-France, avec 2,2 % d’hospitalisations Covid (Figure 10). Ainsi, même au niveau régional, on est incapable de trouver un hôpital qui déborde à cause de la Covid-19.

En revanche, on note une correspondance quasi-parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité de l’hôpital. Plus l’hôpital a déclaré une part importante de Covid-19 et plus son activité a en fait baissé en 2020.

On note également que cet ordre correspond parfaitement à l’affiliation au pouvoir des grands dirigeants des services de santé de ces territoires, avec en premier lieu les Parisiens bien évidemment.

En conclusion, nous pouvons dire que nous avons montré dans de nombreux articles et vidéos que la mortalité sur l’année 2020 ne peut en aucun cas être attribuable à la seule Covid et est bien trop faible pour justifier la moindre mesure coercitive. Grâce à l’ATIH, nous savons dorénavant qu’il en est de même pour les hospitalisations. Le catastrophisme médiatique est toujours une mise en scène justifiant la répression.

Toutes ces statistiques proposées par l’ATIH ne font que nous confirmer que nous faisons face depuis deux ans à des choix idéologiques, politiques ou financiers de la part des décideurs, qui n’ont rien à voir avec la santé des Français.

Auteur(s): Pierre Lecot, pour FranceSoir


Gabriel Attal, à propos de ce rapport

https://francais.rt.com/france/92634-attal-reconnait-que-chiffre-2-patients-admis-hopital-cause-covid-juste

Interrogé sur le plateau du talk-show On est en direct le 13 novembre, le porte-parole du gouvernement a reconnu que le chiffre portant à 2% le nombre de patients Covid admis à l’hôpital en 2020 était «juste» mais a voulu tempérer son interprétation.

Invité de l’émission On est en direct (France 2) le 13 novembre, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, s’est exprimé au sujet d’un rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH) établissant à 2% le nombre de patients admis à l’hôpital pour cause de Covid-19.

«Tout ça pour ça ? Pour si peu de gens !», s’est alors étonné l’animateur de l’émission Laurent Ruquier en référence aux restrictions sanitaires inédites prises durant l’année 2020. Si Gabriel Attal a en conséquence reconnu que «ce chiffre est juste», il a cependant tenu à tempérer les interprétations à en tirer. Selon lui, le rapport expliquerait également «qu’il y a eu une tension très forte à l’hôpital du fait du Covid».

Gabriel Attal a estimé que les 2% des patients hospitalisés en 2020 pour prise en charge du Covid-19 représenteraient en réalité une moyenne de personnes «ayant franchi la porte de l’hôpital sur l’année». Il a souligné notamment l’apparition «de moments de saturation des hôpitaux sur trois mois, peut-être quatre mois sur les douze mois de l’année». «Ce chiffre ne donne pas le nombre de jours d’hospitalisation», a-t-il assuré, précisant que ces patients étaient selon lui «restés beaucoup plus longtemps».

Fondée en 2000, l’ATIH est un établissement public à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale. Publié le 28 octobre 2021, son rapport sur l’activité hospitalière 2020 liée au Covid-19 a été beaucoup commenté, notamment par les opposants aux mesures restrictives, jugées disproportionnées.

Mais du côté du gouvernement, la ligne directrice reste inchangée : répondant à la journaliste Léa Salamé, toujours sur le plateau d’On est en direct, sur la question d’un éventuel reconfinement, Gabriel Attal a ainsi fait savoir qu’il ne fallait «jamais rien exclure par principe». «Cette épidémie continue de surprendre le monde entier», a-t-il argumenté, assurant toutefois que pour le moment il n’était «absolument pas question d’un reconfinement dans notre pays, parce qu’on a ce taux de vaccination très élevé».

Articles de Marc Girard les plus importants consacrés à la crise covid

Été 2020 : https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/

Novembre 2020 : https://www.rolandsimion.org/un-commentaire-sur-le-re-confinement/

L’accélération du délire de ces derniers jours est une preuve supplémentaire que le but du gouvernement n’a AUCUN RAPPORT avec la santé publique.




Molnupiravir : le prochain scandale sanitaire ou le beau tour de passe passe…

Par Diane Vincero

⚠️ Le Molnupiravir

Véran a annoncé hier qu’il serait disponible à la fin de l’année.

Mais lorsque l’on consulte la fiche de ce « traitement », aussi appelé EIDD-2801, sur le site du NIH
https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/compound/eidd-2801 :

On remarque dès le début un pictogramme de danger, qui renvoie à la classification GHS de l’ONU
En faisant défiler la fiche, on arrive au point :

« 12.1.5 UN GHS Classification »

Où, il est indiqué à côté du pictogramme : GHS08

En allant sur le site du Centre antipoison afin de connaître ce que signifie GHS08, on retrouve ce pictogramme et il est écrit :

« RISQUE GRAVE POUR LA SANTÉ HUMAINE (GHS08). Peut nuire à la fertilité ou au fœtus, provoquer le cancer, des symptômes allergiques ou d’asthme ou avoir des effets graves pour les organes »

https://www.centreantipoisons.be/autre/tiquettes/tiquettes-nouvelle-l-gislation/la-signification-des-nouveaux-pictogrammes-de-danger :

Il semblerait que cette mention ait été supprimée dès l’annonce de Véran concernant ce produit…

🤔 Nous allons encore avoir le droit au « sûr et efficace » ?

‼️ Rappel : https://t.me/FrenchWhistleblowers/4042



Pour plus d’éléments sur cet antiviral, avec entre autres, là encore, la procédure accélérée de sa mise sur le marché, balayant tous les effets secondaires graves de cette molécule (comme pour les injections covid…) :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Molnupiravir




Une minute de silence pour ces jeunes victimes du vax

[Source :@ramdam129]

@ramdam129

#àntivaccination # #fypシ #

♬ son original – ramdam129





L’analyse concrète après 9 mois de vaccination Covid montre des conséquences dévastatrices !

[Source : ]



Ces chiffres officiels choquants montrent une augmentation impressionnante de 24 000 % par rapport à la moyenne annuelle de 9,8 décès post-vaccinaux, dans la période qui précède le début des vaccinations contre le Covid-19 !
Pourquoi l’institut Paul Ehrlich ne tire-t-il toujours pas la sonnette d’alarme ?

Le bilan choquant de 9 mois du CDC (CDC = Centre américain pour le contrôle et la prévention des maladies). On constate une augmentation de 9 200 % par rapport au taux de déclaration annuel moyen de 235 décès avant le début des vaccinations contre le Covid-19 !

Un crime mondial historique de vaccination contre l’ensemble de l’humanité se déroule donc sous nos yeux, qui est encore étouffé de manière criminelle par tous les médias du mainstream.
Le « débat sur la vaccination contre le Covid-19 » connaît actuellement un développement vertigineux :

  • La Saxe est le premier État à avoir introduit le pass sanitaire 2G (2G = vacciné ou guéri du Covid) à l’intérieur des restaurants et lors d’événements, excluant ainsi les personnes non vaccinées d’une grande partie de la vie sociale !
  • Le joueur de football national Joshua Kimmich exprime ses inquiétudes concernant la vaccination contre le Covid-19 et il est ensuite traité comme un « criminel ». L’ancien champion du monde de football Paul Breitner ne le laisserait plus jouer.
  • L’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder exige même qu’on discute enfin d’une vaccination obligatoire pour tous les citoyens.
    D’autre part, presque personne dans les médias du mainstream n’est autorisé à signaler (et encore moins à discuter publiquement) les décès et les effets secondaires graves survenus en rapport avec les « vaccins contre le Covid-19 ».
    Dans une vérification des faits, déjà 3 mois après le début des vaccinations en avril 2021, Kla.tv a révélé dans son émission « appel urgent au réveil », un bilan choquant des vaccinations contre le Covid-19 :
    Des milliers de personnes meurent après avoir été vaccinées contre le Covid-19.
  1. 324 personnes âgées meurent dans les maisons de retraite allemandes peu après la « vaccination contre le Covid-19 » !
  2. 3 298 personnes âgées sont infectées dans les maisons de retraite allemandes peu après la « vaccination contre le Covid-19 » !
  3. Des autorités renommées, telles que l’Institut allemand Paul Ehrlich – PEI en abrégé -, l’Agence européenne des médicaments EMA ainsi que l’agence américaine de protection de la santé CDC ont publié depuis le début de la « vaccination contre le Covid-19 » un nombre sans précédent dans l’histoire de la vaccination de décès choquants et d’effets secondaires graves !

Les gens sont très intéressés par ce débat public sur les dommages causés par les vaccins contre le Covid-19, qui a jusqu’à présent été catégoriquement bloqué par les médias du mainstream. C’est ce que montre la réponse à l’appel urgent au réveil d’avril :

Grâce à une diffusion active, plus de 2,75 millions de personnes ont déjà vu cet appel au réveil. Par l`engagement d’un seul téléspectateur de Kla.tv, environ 400 000 personnes ont pu être atteintes rien qu’au Japon. Cela a peut-être contribué au fait que la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Japon a été arrêtée pour l’instant !

Aujourd’hui, nous effectuons une nouvelle analyse concrète sur la base de données beaucoup plus complètes après 9 mois de « vaccination contre le Covid-19 » : Quelles sont concrètement les conséquences actuelles de cette vaccination ?

Les décès et les infections causées par le Covid-19 dans les maisons de retraite ne cessent pas, malgré la vaccination !

Osthofen :
Malgré une vaccination complète : plus de 100 personnes ont été infectées ! 13 résidents sont morts à la suite de l’infection.

Norderstedt :
Sur 76 résidents, 60 ont été infectés – seuls 3 n’étaient pas vaccinés ! Plus tard, 6 résidents sont décédés.

Schorfheide :
44 résidents ont été infectés malgré un large taux de vaccination ! 10 femmes et 1 homme sont décédés !

Bad Doberan :
Epidémie massive de coronavirus : malgré un taux de vaccination de plus de 90 %, 66 des 83 résidents de la maison de retraite ont été infectés, 6 sont décédés !

Oberhausen-Holten :
3 personnes âgées ont dû être réanimées 3 jours après la 3e vaccination ! Une de ces personnes est décédée !

Zedelgem/Belgique :
Bien que près de 100 % des personnes âgées aient déjà reçu « la piqûre de rappel », 28 résidents tombent malades du Covid-19 !

Ces quelques exemples constituent tout au plus la « pointe de l’iceberg » et soulèvent la question urgente suivante : les 2 ou 3 « vaccins » protègent-ils vraiment contre le Covid-19 ?

L’IPE lui-même semble avoir de sérieux doutes à ce sujet, puisqu’il a dû modifier trois fois la description de l’efficacité des vaccins contre le Covid-19 au cours des dernières semaines :

15 août 2021 : Les vaccins COVID-19 protègent contre les infections par le virus du SRAS-CoV-2.
7 septembre 2021 : les vaccins COVID-19 protègent contre une évolution grave d’une infection par le virus du SRAS-CoV-2.

23 septembre 2021 : Les vaccins COVID-19 sont indiqués pour l’immunisation active en vue de prévenir la maladie COVID-19 causée par le virus SARS-CoV-2.

De la protection initialement promise contre une infection par le coronavirus, il ne reste donc désormais qu’un vague espoir que les prétendus « vaccins » puissent avoir un effet préventif !

Même l’institut Robert Koch (RKI en abrégé) n’ose désormais plus parler d’un effet protecteur de ce qu’on appelle le « vaccin de protection contre la maladie du Covid », car il a retiré de sa page d’accueil, le 2 novembre 2021, la formulation suivante :

« La vaccination a un effet protecteur élevé d’au moins 80% contre le COVID-19 sévère, indépendamment du vaccin utilisé. » De même, l’estimation selon laquelle « les personnes vaccinées ne jouent pas un rôle important dans l’épidémiologie » a été supprimée. C’est donc précisément ce qui constituait jusqu’à présent la base des privilèges des vaccinés qui a été supprimé !

Cela constitue une déclaration de faillite et montre que les personnes vaccinées ont été trompées. L’effet protecteur n’a été que simulé !
Manifestement, le PEI et le RKI tentent de sauver la face avec ces modifications, car la vaccination, avec l’augmentation rapide des infections au Covid chez les personnes déjà plusieurs fois vaccinées, met en évidence le manque d’effet protecteur !

Bilan choquant sur 9 mois de l’Institut Paul Ehrlich

En l’espace de 21 ans, de 2000 à 2020, un total de 206 décès d’adultes suite à des vaccinations a été signalé au PEI. Cela correspond à une moyenne de 9,8 décès par an.
Dans notre cri d’alarme : « Des décès par milliers après la vaccination Covid-19 », nous avons déjà indiqué pour le premier trimestre 2021, selon le PEI, 407 décès après une vaccination contre le Covid.

Au 30 septembre 2021, le PEI annonçait déjà 1 802 décès après l’administration du vaccin Covid ! Extrapolé à l’ensemble de l’année 2021, cela correspond à 2 402 décès. Ces chiffres officiels choquants prouvent une augmentation d’environ 24 000 % par rapport à la moyenne annuelle de 9,8 décès avant le début des vaccinations Covid !
Pourquoi le PEI ne tire-t-il toujours pas la sonnette d’alarme ? Au lieu de cela, le PEI a même supprimé le point « décès » dans l’aperçu de ses prétendus rapports de sécurité et a dissimulé les décès de manière raffinée dans le texte. Au vu de tels faits, ne faut-il pas conclure à une irresponsabilité inconcevable, voire à une démarche criminelle de la part de cette autorité ?

Bilan choquant sur 9 mois du CDC

Avant le début des « vaccinations Covid », le CDC a signalé 235 décès en moyenne annuelle entre 2010 et 2020 après l’administration de toutes sortes de vaccins. Le 29 mars 2021, après seulement 3 mois environ de vaccinations Covid, le CDC annonçait déjà 2 509 décès. Après environ 9 mois, le CDC annonce maintenant un nombre incroyable de 17 128 décès au 15 octobre 2021.

Extrapolé à l’ensemble de l’année 2021, cela représenterait 21 635 décès ! Par rapport au taux de déclaration annuel moyen de 235 décès avant le début des vaccinations Covid, cela représente une augmentation de 9 200 % !
L’émission Kla.tv « USA : plus de décès dus à la vaccination Covid que de décès dus au Covid » montre même qu’aux États-Unis, il y a très probablement eu plus de décès après la vaccination que de décès dus à la maladie du Covid elle-même !

Autres faits mis en lumière depuis le 1er appel à la vigilance d’avril, qui exigent un arrêt immédiat de la vaccination

Des pathologistes démontrent, sur la base d’autopsies, que la vaccination est à l’origine de la mort dans 30 à 40 % des cas !

Des médecins démontrent la présence de graves impuretés dans les vaccins dits « Covid » ! Le Japon a arrêté la campagne de vaccination en raison des « impuretés » dans le « vaccin Covid »!

Des fausses couches augmentent dramatiquement après la vaccination Covid-19 !

Contrairement à ce qu’affirment les médias, plus de personnes vaccinées que de personnes non vaccinées doivent être hospitalisées à cause du Covid-19 !

Un entrepreneur de pompes funèbres britannique témoigne que depuis le début du programme de vaccination Covid, une vague de mortalité sans précédent a commencé. En revanche, les chiffres concernant les décès dus au Covid ont été massivement faussés vers le haut !

TOTAL de l’analyse concrète après 9 mois de vaccination :

Les chiffres publics choquants des plus hautes autorités comme le PEI et le CDC ont encore une fois explosé de manière dramatique par rapport au cri d’alarme de Kla.tv en avril ! Sous nos yeux se déroule donc un crime vaccinal mondial historique contre l’humanité entière ; celui-ci est encore criminellement passé sous silence par tous les médias du mainstream. Notre appel au réveil est donc plus urgent que jamais!

La grande tromperie de la population par les médias de masse uniformisés

Les effets secondaires exorbitants des vaccins cités dans cette émission, allant jusqu’à des milliers et des milliers de décès en relation temporelle étroite avec l’injection Covid contrastent fortement avec la propagande vaccinale quotidienne des médias dirigeants financés par les taxes obligatoires. Comment est-il possible que tous les médias de masse taisent de manière tout à fait irresponsable cette « catastrophe vaccinale » devant le peuple, et bloquent catégoriquement tout débat public?

Le fameux virologue Christian Drosten a même récemment déclaré : « Notre réalité est ce que les médias nous reflètent. »
De cette manière, en tant qu’« agence de publicité pharmaceutique », les médias de masse suggèrent au peuple la réalité d’une vaccination Covid parfaitement sûre. L’analyse concrète après 9 mois de vaccination Covid révèle cependant une véritable catastrophe vaccinale. Les médias de masse manifestement alignés ont ainsi désinformé et trompé la population de manière tout à fait criminelle.

Appel urgent à tous les citoyens !

Chers téléspectateurs,

Notre appel urgent s’adresse donc une fois de plus à tous les citoyens: aidez-nous à mettre immédiatement un terme au crime vaccinal révélé dans cette vidéo. Cela ne peut être fait que par le peuple, c’est-à-dire par le souverain suprême.
Demandez donc aux responsables politiques, aux responsables de la santé publique et aux médecins de rendre des comptes sur les faits choquants révélés dans cette vidéo et exigez une prise de position ! De cette manière, il sera possible de lancer un débat public indispensable !

Ne laissez plus les groupes médiatiques criminels détenir le pouvoir sur l’information. Utilisez plutôt la possibilité de contacter personnellement les nombreuses personnes de valeur qui sont encore largement ignorantes par rapport à cette catastrophe vaccinale. Étant donné que même les plateformes sociales, comme Youtube, suppriment généralement toute voix critique à l’égard de la vaccination peu de temps après sa mise en ligne, ce rappel à l’ordre urgent ne peut plus être transmis que par voie personnelle, c’est-à-dire de personne à personne.

Partagez donc MAINTENANT cette vidéo éducative avec le plus grand nombre possible d’amis, de collègues de travail et de membres de votre famille en utilisant le lien qui s’affiche. Utilisez tous les moyens à votre disposition, par exemple mail, WhatsApp, Twitter, Vimeo, Telegram ou publiez simplement la vidéo sur Facebook. Aidez-nous à faire en sorte que ce rappel à l’ordre urgent atteigne le plus grand nombre possible de citoyens !

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Sources / Liens :

Die « Corona-Impfdebatte »
https://www.deutschlandfunk.de/coronapandemie-landesweite-2g-regel-in-sachsen-ab-montag.1939.de.html?drn:news_id=1319099

https://www.deutschlandfunk.de/corona-impfung-podolski-kimmich-wird-als-schwerverbrecher.2851.de.html?drn:news_id=1317847

https://www.focus.de/sport/fc-bayern-paul-breitner-nimmt-sich-kimmich-zur-brust-bei-mir-haette-er-nicht-gespielt-oder-trainiert_id_24380676.html

https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_91095622/rekord-infektionen-altkanzler-schroeder-bringt-impfpflicht-fuer-alle-ins-spiel.html

Stopp der Impfkampagne in Japan
https://uncutnews.ch/japan-laesst-die-einfuehrung-von-impfstoffen-fallen-stellt-auf-ivermectin-um-und-beendet-Covid-fast-ueber-nacht/

Aussagen von PEI und RKI zur Wirksamkeit der « Corona- Impfstoffen »
https://web.archive.org/web/20210815002224/https://www.pei.de/DE/arzneimittel/impfstoffe/Covid-19/Covid-19-node.html

https://reitschuster.de/post/rki-stellt-im-kleingedruckten-corona-kurs-auf-den-kopf-und-keiner-merkt-es/

https://web.archive.org/web/20211101190904/https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/COVID-Impfen/FAQ_Transmission.html

Die aktuellen Zahlen von PEI und CDC zu Nebenwirkungen und Verdachtsfällen
PEI
https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-20-bis-30-09-21.pdf?__blob=publicationFile&v=6

CDC
https://pressecop24.com/usa-neue-berichte-und-zahlen-ueber-noch-mehr-todesfaelle-nach-Covid19-impfungen

Verunreinigungen im Corona-Impfstoff in Japan
https://uncutnews.ch/japan-laesst-die-einfuehrung-von-impfstoffen-fallen-stellt-auf-ivermectin-um-und-beendet-Covid-fast-ueber-nacht/

Zitat Christian Drosten
https://www.n-tv.de/panorama/Drosten-kritisiert-Corona-Berichterstattung-article22909525.html?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE




Mr Véran, un « cas » n’est pas un malade ! Sans test PCR, il n’existe pas de vague. Stop mesures antiCovid ! MàJ

Par Nicole Delépine

Une nouvelle fois les mesures annoncées par le ministre reposent sur des « cas » dépistés par tests et non sur des malades.

VAGUE DE « CAS » FONDÉS SUR TESTS PCR DÉNONCÉS PAR LA FDA, MAIS PAS DE MALADES

Les nouvelles annonces d’O. Véran reposent comme depuis plus d’un an sur les « cas » et la mystification, qui consistent à confondre cas dépistés par des tests fallacieux et de vrais malades.

Et comme les médias diffusent en continu la propagande gouvernementale sans dénoncer la différence entre un test positif et un vrai malade (que le réseau sentinelle dépiste), la panique et ses conséquences funestes continuent sur tous les plans, médical, mais aussi psychologique, économique et politique. Pendant que des pays aussi différents que le Texas ou la Côte d’Ivoire ont repris des vies normales depuis des mois, la France continue de s’enfoncer dans la désespérance et la régression générale.(([1] Faites vos jeux, rien ne va plus ! Comment le gouvernement peut-il parler de cinquième vague ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Qu’a dit Véran ?

« Le pass sanitaire ne sera plus valide sans la 3e dose à partir du 15 janvier.

La 3e dose de vaccin anti-Covid est ouverte à tous les Français de plus de 18 ans dès 5 mois après la 2e injection. Le pass sanitaire sera désactivé 7 mois après la 2e dose.

– Le gouvernement a exclu toute mesure de restriction stricte de type confinement et couvre-feu, compte tenu de la pression hospitalière qui reste modérée.
– La durée de validité des tests PCR et antigéniques, qui permettent d’obtenir le pass sanitaire sans vaccination, sera réduite à 24 h.
– Le port du masque est à nouveau obligatoire dans tous les établissements recevant du public, et dans les lieux de brassage de population à l’extérieur sur décisions des préfets.
– Les classes d’école ne seront plus fermées dès détection d’un cas de Covid-19. En cas de nouveau cas détecté, les élèves seront tous testés, ceux présentant un résultat négatif resteront admis en classe.

Les tests seront gratuits et pourront être faits par les parents à l’extérieur de l’école »

Cerise sur le gâteau : passe obligatoire pour les marchés de Noel !! .

LES ÉVEILLÉS : OUVREZ LES YEUX CONTRE LES TESTS PCR ET INFORMEZ !

Quand les « éveillés » vont-ils ouvrir leurs propres yeux et ceux de la population sur la vague de tests et l’absence d’augmentation du nombre de malades ? Ce test est l’arme de terreur du pouvoir qui permet de tenir le peuple dans l’angoisse de cette fameuse nouvelle vague qu’ils attendent tant elle est annoncée. Et tant que la population ne fera pas la différence entre cas et malades, ils recommenceront encore et encore.

Il faut dénoncer la supercherie qui nous trompe depuis janvier 2020. Elle a été clairement démontrée par maître Reiner Fuellmich dès octobre 2020(([2] Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com) )) et par le tribunal de Lisbonne qui a fort longuement expliqué qu’un diagnostic est un acte médical qui repose sur une consultation, des signes cliniques et éventuellement confirmé par les examens paracliniques.(([3] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com) )) Nous avions espéré que ces petites victoires juridiques aideraient à faire cesser cette tromperie mondiale, mais rien n’y a fait : le cirque continue, entretenant la peur même chez les soi-disant éveillés qui vont se faire tester pour se rassurer, et même chez certains médecins lanceurs d’alerte qui incluent le test PCR dans leurs algorithmes.

LE LEURRE DES CONTAMINATIONS DOIT CESSER

LES CAS NE SONT NI DES MALADES NI DES MORTS

Et le ministre l’avoue puisqu’il n’envisage pas de confinement ni couvre-feu en l’absence de pression hospitalière. Pas de malades, pas de morts.

Il vient de se faire prendre la main dans le sac, obligé de reconnaître que la soi-disant surcharge insupportable de nos hôpitaux de 2020 n’a rempli que 2 % des lits en moyenne et donc même si c’est 19 % au moment des pics, on reste très loin du tsunami décrit chaque soir par notre croque-mort de service toujours en place à ce jour. Donc il attend un peu que l’effet négatif médiatique soit oublié. Quelques journalistes n’ont pas apprécié le mensonge éhonté.

Le test PCR

ne dépiste que des virus, proches ou équivalents au SARS-CoV-2, des résidus de virus plus ou moins récents, mais ne démontre en aucun cas une nouvelle vague de Covid19.

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Tous ceux qui tentent d’informer sur les vérités et mensonges dans ce scénario catastrophe de plandémie depuis bientôt deux ans doivent le hurler, le répéter, l’expliquer, etc. et ne jamais le laisser oublier ! Et n’oubliez jamais que les bien portants appelés asymptomatiques ne transmettent pas le virus : ceci fut définitivement démontré par l’étude chinoise sur dix millions de personnes et aussi vite oublié. C’est la deuxième arme du trucage du scénario Covid.(([4] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) ))

LE TEST PCR EST L’ARME DU POUVOIR POUR NOUS MUSELER, PIQUER, ENFERMER, TRACER

Laissons raconter cette supercherie des tests PCR par le Dr Édouard Broussalian

Extrait de son magnifique récit de cette pandémie(([5] Un Plan Pour Le Monde — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
Planète Homéopathie • Un Plan Pour Le Monde (planete-homeopathie.org) avec toutes les références)):

« Sans tests PCR il n’y avait point de pandémie(([6] résumé par Fuellmich lui-même : « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ». « En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ». « Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé — n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal” ». « Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires.)) et le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de “cas”. Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de “pandémie”, juste des “cas”, pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.(([7] CDC 2019 Novel Coronavirus (nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel—Instructions for Use (fda.gov) ))

De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne. »

« Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, qu’il avait envoyé à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, avant même que l’article ne soit publié(([8] Et donc sans possibilité de relecture par ses pairs.)) a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan. »

Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un CT de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les “positifs” PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3 % de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur CT de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur CT raisonnable ne doit pas dépasser 30). »

Le 27 novembre 2020, un groupe très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.

Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.

Que seule la complicité servile des mé(r)dias — hormis en France l’exception notable de France Soir et quelques rares autres — soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux a permis d’installer la doxa officielle dans les cerveaux d’une population hypnotisée, abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement accusée d’être complotiste, la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement.

« Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique — notamment sur les réseaux sociaux — et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » — simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science » — formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. »

Notons que cette nouvelle version de l’historique confirme une fois de plus les récits de Denis Rancourt et Pascal Sacré dans mondialisation.ca entre autres, et ceux de Reiner Fuellmich dans nombre de vidéos et de bien d’autres ; tous travaux que nous avons tenté de répercuter pour rassurer et faire stopper cette double tromperie, imposture, duperie, falsification, fraude, dans un silence et une indifférence intersidérale.

D’où vient la valeur magique de ce bout de coton enfoncé au fin fond de votre nez, alors qu’on vous raconte que ce virus malin est fort contagieux et qu’il faut porter un masque pour éviter de contaminer les autres, même en forêt ou à la plage voire seul sur le mont Blanc ?

Appelez le test PCR du nom de votre choix, fraude médicale étant peut-être encore le plus approprié, mais informez, que cette plandémie puisse cesser avec son cortège de drames, de malades cancéreux et autres non traités, de suicides, de faillites, de ruptures, etc.

En résumé

Les tests PCR doivent être abandonnés et les malades diagnostiqués par les médecins comme pour n’importe quelle grippe.

Les cas ne sont pas des malades.

Les asymptomatiques ne sont pas malades et ne sont pas contagieux.

Les pseudovaccins géniques ne protègent pas des contaminations ni des formes graves, comme le nombre élevé d’hospitalisés double-vaccinés en Israël ou en Angleterre le démontre. Leurs effets secondaires sont importants, bien supérieurs aux autres « vaccins ».

En France, le syndrome Tchernobyl et la peur du conseil de l’ordre et des supérieurs hiérarchiques bloquent l’information qui ne doit néanmoins être guère différente des autres pays.

Pour désarmer le ministre sans violence, il faut le priver de la croyance en son test PCR et de ce narratif mensonger.

Et pour tous ceux qui se sont fait injecter pour retrouver la liberté, si vous ne vous réveillez pas, vous avez pris un abonnement pour perpet…(([9] élargissement de la dose de rappel à tous.
– Réduction du délai de 6 à 5 mois pour faire prendre sa dose de rappel ;
– À partir du 15 décembre, le pass sanitaire pour les +65 ans ne sera plus actif si l’injection de rappel n’aura pas été prise dans un délai de 7 mois après la dernière dose ;
– À partir du 15 janvier 2022, le pass sanitaire ne sera plus valide pour toutes les autres classes d’âges n’ayant pas pris leur dose de rappel.
Pour toutes et tous ceux qui croyaient que se faire injecter, c’était le retour à la liberté, vous voilà rassurés.
Vous venez de prendre pour perpet ». Via libreetinsoumis sur telegram))





À propos de la prétendue 5e vague. MàJ

[Source : IRSAN Recherche]

La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui a trop duré

Par Laurent Toubiana

Depuis quelques jours, la petite musique tant de fois entendue d’un nouvel épisode du feuilleton sanitaire en France se fait de nouveau entendre. Ce nouvel épisode s’appelle la « 5e vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles dont l’un des acteurs principaux est un virus du nom de Sars-Cov-2. Nous voici donc entrés dans une nouvelle zone de turbulence.

Fig. 1 : Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 et des décès liés au Covid-19
Source : Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme IRSAN (https://covid.irsan.eu)
Champ : France métropolitaine
Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.
La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10). Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020.

Le scénario est maintenant bien rodé. En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique. Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave. Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes. Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre. Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour. Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence » sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante. Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques. Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux). « En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter. Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard. Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare

le terrain. « Quelques dissidents » sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie, juste le temps de les décrédibiliser : incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes.

Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque. Ainsi, ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide. L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie. Dans le cadre de l’épidémie de Covid -19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts. Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie.

Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire. Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes.

Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid -19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise ( cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ;les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon…). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des annéesantérieures depuis 20 ans. Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’ont cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants (cf. fig. 1).

Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise.

Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indique que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacré au Covid-19 en 2020. Par ailleurs, il a été établi que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et unesurmortalité de moins de 4 % pour les autres.

De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations. Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du « quoi qu’il en coûte » décidée pour mettre en place le premier confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique. Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations usant de méthodes d’intimidations ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité est extrêmement faible mais cela ne suffit toujours pas, ces populations ayant déjà beaucoup souffert des mesurescensées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.

IRSAN : Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté

37, rue des Mathurins 75008 Paris.




Entretien avec le docteur Martine Gardénal

[Source : Ô Nature Tv]

Docteur homéopathe, médecin du sport, Martine Gardénal nous livre dans cet entretien quelques-uns de ses points de vue concernant la situation actuelle et notamment les effets indésirables des injections faites aux sportifs.




La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur. MàJ

Par Nicole Delépine

RÉVÉLATIONS CAPITALES DE LA FDA

Invention du récit Covid

La mystification par l’usage inapproprié du test PCR, dénoncée depuis octobre 2020 par l’avocat Reiner Fuellmich continue malgré sa condamnation en justice en octobre 2020 au Portugal.(([1] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr) ))(([2] La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux (francesoir.fr) ))

Kary Mullis, l’inventeur du test PCR.
Voir aussi : Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

Partout dans les pays riches, les gouvernants imposent son usage mortifère grâce à la corruption de nombreux scientifiques et médecins, médias auxquels on laisse la parole, les nombreux autres étant diffamés menacés et muselés.

Actuellement, un simple test positif vous fait qualifier de « cas »,(([3] *Elena Surkova, Vladyslav Nikolayevskyy, Francis Drobniewsk
False-positive Covid-19 results: hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020))(([4] https://latribunedissidente.over-blog.com/2020/10/la-pertinence-des-tests-pcr-dr-pascal-sacre.html))(([5] Covid : La PCR nasale peut-elle mentir ? Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020)) vous déclare dangereux pour les autres, vous interdit de travail, d’école ou de sport et vous expose à des interrogatoires dignes de l’inquisition (la torture physique en moins) pour que vous dénonciez ceux que vous avez rencontrés, qui seront aussitôt déclarés cas contact et soumis à leur tour à la folie d’exclusion et de tests répétitifs.

Pour casser la chaîne de transmission, il faut isoler les vrais malades, ceux qui présentent des signes cliniques (fièvre, toux, fatigue, anosmie…) chez lesquels le test peut être utile pour confirmer le diagnostic d’infection virale (et guère plus) et laisser vivre normalement les asymptomatiques (qui ne sont que très exceptionnellement contaminateurs).

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.

Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.(([6] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491))

Leur confirmation définitive en a été réalisée lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan(([7] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020…)) où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.

Nous savons, ils savent, et nous savons qu’ils savent.(([8] L’archipel du goulag, Soljenitsyne))

Un document récent de la FDA admet enfin que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillons viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, admettant qu’il teste autre chose,(([9] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov)) quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus

Le tristement célèbre test PCR pour le coronavirus (Covid-19) n’a pas été développé avec des échantillons réels, mais plutôt avec ce qui semble être du matériel génétique provenant d’un virus du rhume.

Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.

Pourtant les autorités savaient que de nombreuses personnes seraient testées « positives », leur permettant ainsi d’utiliser ces résultats pour créer le récit « Covid ».

Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.

Une autre révélation dans le document récent est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » et donc produisent des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données pour soutenir un faux récit.

AINSI : « nous sommes maintenant à la croisée des chemins dans le monde entier. Le moment est à nous de décider si nous allons permettre à ce type de fascisme médical de persister et d’avoir un impact sur l’avenir de nos enfants. Ou si nous allons enfin dire non à la politique tyrannique du gouvernement. »(([10] https://rightsfreedoms.wordpress.com/2021/10/27/fda-document-admits-Covid-pcr-test-was-developed-without-isolated-samples-for-test-calibration-e))

Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et revu régulièrement (dernier en juillet 2021)

« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.(([11] https://www.fda.gov/media/134922/downloadwww.fda.gov))

CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel(([12] Centers for Disease Control and Prevention Division of Viral Diseases 1600 Clifton Rd NE Atlanta GA 30329 CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases Effective: 07/21/2021))

« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.

L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »

Autre extrait :

NE PAS JETER : Informations importantes spécifiques au produit *** LIMITATIONS Ce test n’a pas été approuvé par la FDA. Ce test a été autorisé par la FDA en vertu d’une EUA pour une utilisation par des laboratoires autorisés. Ce test n’a été autorisé que pour la détection de l’acide nucléique à partir du 2019-nCoV, et non pour d’autres virus ou agents pathogènes.

Ce test n’est autorisé que pour la durée de la déclaration selon laquelle il existe des circonstances justifiant l’autorisation de l’utilisation d’urgence de diagnostics in vitro pour la détection et/ou le diagnostic du SARS-CoV-2 en vertu de l’article 564(b)(1) de la Federal Food, Drug, and Cosmetic Act, 21 U.S.C. § 360bbb-3(b)(1), à moins que l’autorisation ne soit résiliée ou révoquée plus tôt.”

“Mea Culpa de l’OMS”

L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR surtout lorsque les laboratoires utilisent fallacieusement des amplifications du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.(([13] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Vous trouverez ci-dessous la ‘rétractation’ soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe« (([14] WHO Information Notice for Users 2020/05))

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence.

La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV(([15] Diagnostic in vitro)) que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.

Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l’auteur).

Estimations erronées 

Ce n’est pas une question de “faibles positifs” ou de “risque de faux positifs”. L’enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR : 

il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…”.

“Retester, On s’est trompé…”. Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sens. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommandation contradictoire de l’OMS de “retester” confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA Covid SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.(([16] Le Pr Prof Michel Chossudovsky mentionne qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :  
The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset(Chapitre II).))

Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nations Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid surestimées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de ladite “pandémie”.

Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas spécifiquement les segments du virus . Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’accroissement extrême de la pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification ».

Par ailleurs d’autres scandales éclatent par rapport au test PCR(([17] FDA recalls millions of Covid test kit over false results – Asume Tech 11 Nov 21))

La US Food and Drug Administration a émis « le type de rappel le plus sérieux » pour des kits de test à domicile populaires qui indiquent si une personne est infectée par le coronavirus. Au moins 2,2 millions de produits pourraient avoir donné de faux positifs.

Quelques 2 212 335 kits produits par la société de biotechnologie Ellume, basée en Australie, et distribués aux États-Unis, présentent potentiellement des résultats faussement positifs au test de dépistage du SARS-CoV-2, a indiqué l’agence de santé publique dans un communiqué récent en novembre 21.

La FDA a averti que l’utilisation de kits défectueux « peut entraîner de graves conséquences néfastes pour la santé ou la mort », qualifiant le cas de « rappel de classe I ».

En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même.

Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies :
le comptage des malades et celui des morts de la maladie.





Le gouvernement fait des concessions aux Antillais vaccino prudents : il leur promet un « vaccin » sans ARN messager !

Par Gérard Delépine

Devant l’exaspération des Antillais contre l’obligation vaccinale, qui s’exprime parfois violemment, depuis plusieurs jours à la Guadeloupe, en Martinique et bientôt en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie, le gouvernement a d’abord envoyé la gendarmerie avec des chars, puis le GIGN. Belles provocations. Inutiles et dangereuses pour l’unité de la Nation, car elles rappellent à une partie de la population qui se croyait en pays démocratique l’époque où le maître faisait obéir les esclaves au fouet.

Le pouvoir a dû méditer la constatation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord « On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus » et fait maintenant semblant de négocier et propose aux soignants « un autre vaccin ». Ah oui, d’où sort-il ? Et pourquoi tous les métropolitains n’y auraient-ils pas droit ? Trop de stocks de Pfizer à écouler ?

Mais il n’existe actuellement aucun vrai « vaccin » au sens pasteurien sur le marché français.

Pasteur a défini la vaccination comme l’injection d’antigènes provenant d’un pathogène tué ou inactivé afin de susciter la création d’une réponse immunologique par la fabrication d’anticorps et la stimulation des cellules immunocompétentes de la personne injectée.

Aucune des injections antiCovid actuellement autorisées en France ne contient d’antigène ; ce ne sont donc pas des « vaccins » mais des médicaments, de plus totalement expérimentaux et issus d’une technologie expérimentale en infectiologie.

Si les labos, les gouvernements et les médias les qualifient de « vaccins », c’est uniquement pour camoufler la nature réelle de ces médicaments géniques et les faire bénéficier de la popularité et des lois qui protègent les vrais vaccins.

Tous ces pseudo vaccins sont expérimentaux, car leurs essais ne sont même pas terminés.

Les complications de ces pseudo vaccins sont trop nombreuses

Le gouvernement compte-t-il remplacer le Pfizer ou le Moderna par l’AstraZeneca ou le Jansen. De toute façon par des mécanismes différents ils interfèrent également sur l’ARN messager et font produire de la protéine spike. Les Antillais seront-ils dupes ?

Pour l’Astra Zeneca, l’Agence Européenne du Médicament EMA, pourtant très proche des fabricants, a identifié un surrisque de cas de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et de thrombose veineuse cérébrale (TVC) chez les personnes de moins de 55 ans.

Pour ces raisons, il est interdit dans de nombreux pays et réservé en métropole aux plus de 55 ans (donc aux infirmières qui prennent statutairement leur retraite à cet âge).

Les vaccins anti-Covid AstraZeneca et Janssen ont un point commun : il s’agit de vaccins à vecteurs viraux qui utilisent des adénovirus.

Le vaccin Janssen du laboratoire Johnson & Johnson. Le 13 avril 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé « mettre en pause » temporairement l’utilisation du vaccin Janssen par mesure de précaution. Comme pour l’AstraZeneca, plusieurs cas de thromboses ont été observés chez des patients ayant reçu le vaccin Janssen. La recommandation de la Haute Autorité de santé d’administrer une dose supplémentaire de vaccin à ARN messager a été suivi d’une chute brutale de ses injections, et ses livraisons sont stoppées en France depuis début juillet 2021 après utilisation d’environ 50 % des doses achetées. Le Danemark a été le premier pays d’Europe à exclure ce vaccin dès le lundi 3 mai après que l’autorité sanitaire ait déclaré :

« les avantages de l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson ne l’emportent pas sur le risque de possibles effets indésirables chez les personnes qui le reçoivent. »

En France Janssen est destiné aux plus de 55 ans ce qui exclut les infirmières parties normalement en retraite à cet âge.

Le vaccin Moderna

En Suède et en Finlande, le vaccin a été interdit pour les moins de 30 ans tandis qu’au Danemark et en Norvège il a été formellement déconseillé pour les moins de 18 ans après qu’une étude scandinave associant ces 4 pays a établi que :

« les hommes injectés avec le Spikevax de Moderna âgés de moins de 30 avaient un risque accru de développer une inflation du myocarde ».(([1] Déclaration de Mika Salminen, directeur de l’Institut finlandais pour la santé.))

O. Veran a prétendu devant les députés qu’il n’y aurait aucun mort démontré dû à la pseudo vaccination Covid en France. Les sites gouvernementaux sont-ils complotistes ? Consulter les sites est très instructif. Eudravigilance en compte plus de 30 000, le VAERS en recense plus de 18 000 et celui de l’Agence Sanitaire du Médicament française en signale plus de mille.

Après avoir menti sur les masques, sur la prétendue toxicité de la chloroquine, sur l’efficacité réelle des vaccins, il tente de nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui aurait épargné la métropole ou du chlordécone qui n’était pas toxique !

Ce gouvernement croit-il que les Antillais sont à ce point ignares qu’ils ignoreraient les graves complications recensées publiées dans les revues internationales et reconnues par de très nombreuses agences sanitaires ?

Ni les effets secondaires subis par les soignants métropolitains au début des vaccinations en France ?

Complications si fréquentes que la Haute Autorité de Santé avait conseillé de ne plus vacciner en même temps le personnel d’un service, pour ne pas risquer d’être obligé de le fermer par manque de soignants.

Ni la surcharge des Centres régionaux de pharmacovigilance comme celui de Limoges chargés de recueillir tous les signalements d’effets indésirables des médicaments submergés par les signalements post-vaccination Covid-19 depuis janvier dernier. Plus précisément, 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM. Le Haut Conseil pour la Santé Publique considère que l’obligation vaccinale des professionnels de santé doit être justifiée par les quatre conditions suivantes : prévention d’une maladie grave, risque élevé d’exposition pour le professionnel de santé ; risque élevé de transmission soignant-soigné, existence d’un vaccin efficace et bien toléré.

Une obligation infondée selon les critères du Haut Conseil de la Santé Publique

À propos du vaccin antigrippal, il s’est déclaré pour une incitation forte et contre une obligation considérant que la maladie est habituellement sans gravité chez les personnes jeunes et en bonne santé, qui représentent la majorité des soignants, que la prévention de la grippe repose sur les mesures d’hygiène (lavage et désinfection des mains, port du masque), que l’efficacité de la vaccination est modérée, ne dépassant pas 70 %, et diminue fortement lorsque les souches circulantes ne sont pas contenues dans le vaccin et qu’enfin les études disponibles en faveur des vaccins sont entachées de biais et n’apportent pas une preuve claire de leurs avantages.

Si on applique les mêmes critères au Covid dont les pseudo vaccins expérimentaux sont moins efficaces que ceux de la grippe (40 %),(([2] d’après le ministre de la Santé d’Israël, lors d’une interview télévisuelle)) moins durables et la tolérance très inférieure, l’obligation des soignants est infondée.

L’épidémie est terminée en Guadeloupe

L’obligation d’injecter un médicament génique expérimental pour stopper l’épidémie est d’autant plus à contretemps que l’épidémie n’a pas attendu la vaccination pour se terminer ainsi que le montre les courbes de l’OMS.

Cette évolution favorable sans vaccin confirme le cycle naturel des poussées bien décrites par le professeur Ben Israël ; une ascension de 4 à 6 semaines puis une chute brutale. Et comme l’immunité naturelle obtenue après guérison est plus forte et plus durable qu’après les pseudo vaccins la situation actuelle de la Guadeloupe est meilleure qu’après vaccination.

Et s’il devait survenir un nouveau variant, la vaccination serait incapable de la prévenir comme le sont, chaque hiver, les vaccins antigrippaux de l’année précédente.

Il suffirait alors de suivre l’exemple de l’Inde et d’utiliser les traitements préventifs et/ou précoces pour éliminer la menace. Des médicaments utilisés sur près d’un milliard d’Indiens et qui n’ont pas été suivis de complications !

Pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il contre les Antillais ?

Parce que loin de la métropole, les méfaits de ce gouvernement se voient moins d’autant que les médias minimisent ses responsabilités !!!

Après la Guadeloupe et la Martinique qui sont totalement bloquées par leur grève générale illimitée, un préavis de grève générale a été déposé aussi en Nouvelle-Calédonie. preuve que ça va très mal et que ce gouvernement utilise les outres mers comme laboratoire pour leurs injections et leurs répressions, avant la métropole.

Une pensée et un soutien sans faille à tous nos amis guadeloupéens qui subissent les premiers la dictature “sanitaro politique” de ce gouvernement, les médias corrompus nous diront bien sûr que l’ordre doit revenir à cause des pillages ou autres, mais ils vous mentent, car, c’est bien ce gouvernement qui pille l’économie, abandonne les hôpitaux et maintenant menace la vie des Français des DOM-TOM dans une violence jamais connue pour eux depuis la fin de l’esclavage.

Honneur à vous, amis français de Guadeloupe, de Martinique et d’outre-mer, les métropolitains vous regardent, car si vous tombez, c’est le reste du pays qui risque de tomber sous cette dictature.




PCB : Vaccination à ARN messager : une situation insoluble. Où est notre aide ?

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin



vidéo :
https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14720 
https://signore-abbi-pieta.wistia.com/medias/xu8s4cvokw
https://rumble.com/vo1r0b-vaccination-o-est-notre-aide.html
cos.tv/videos/play/31540594990945280
ugetube.com/watch/mcVrrG2Y5S3m9mK
bitchute.com/video/X15n0T5EngFP/

À qui faites-vous confiance ? Faites-vous confiance aux experts en virologie, ou à ceux qui mentent sans arrêt sur toutes les chaînes de télévision ?

Les médias de masse instillent la peur chez les gens, produisent de l’hystérie et leur font un lavage de cerveau professionnel. Dans quel but ? Faire croire au plus grand nombre au mensonge selon lequel la seule issue et le dernier espoir est la vaccination contre le Covid. Ils disent que si vous obtenez ce vaccin, pour lequel ni le fabricant, ni le gouvernement, ni le médecin ne veulent être tenus responsables, tout redeviendra normal. Cependant, mes vrais experts disent exactement le contraire. Les faits prouvent déjà que ceux qui meurent du Covid aujourd’hui étaient totalement vaccinés ! Alors, ils sont morts du vaccin plutôt que du Covid ! Le directeur des pompes funèbres britannique John O’Looney a dénoncé cela, confirmant que ceux qui sont décédés récemment ont été vaccinés. Le mythe du vaccin miracle s’est avéré être un gros fake. De plus, les vaccinés deviennent la plus grande menace pour eux-mêmes et leur environnement. Pourquoi ? Cela s’explique non seulement par le Dr Zelenko, mais aussi par d’autres. Le Dr Zelenko déclare : 

« Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », le corps devient une usine de production de protéines spike. »

Exemple : Une jeune femme enceinte et son mari ont rendu visite aux parents vaccinés du mari. Immédiatement après, la jeune femme a souffert de crampes sévères, a complètement perdu ses forces, est désormais alitée et ne peut plus bouger.

Autre exemple : un jeune couple avec des enfants en bas âge a rendu visite à sa tante. La tante et son mari avaient déjà reçu le vaccin à ARNm. Au cours de la visite, les os et tout le corps du jeune homme ont commencé à lui faire mal; il a subi une température élevée et a complètement perdu ses forces.

Une femme atteinte d’un cancer avait forcément besoin d’une radiothérapie. Elle était sous forte pression pour qu’elle se fasse d’abord vacciner ou subisse une série de tests dangereux et peu fiables. Si elle ne remplit pas ces conditions, elle se voit refuser un traitement vital.

Des infirmières témoignent que les patients actuellement hospitalisés pour un Covid-19 sévère ont tous été entièrement vaccinés contre le Covid. Ainsi, le mythe du vaccin miracle s’est évanoui. Néanmoins, les médias continuent leur démagogie vaccinale afin de créer une atmosphère frauduleuse pour des mesures gouvernementales absurdes. Ils retiennent intentionnellement des informations vraies.

Le professeur Bhakdi d’Allemagne, chercheur et virologue, met en garde d’urgence contre la vaccination :

« Si vous avez eu la première injection et que vous vous en êtes tiré, Dieu merci, remerciez le Seigneur, mais ne prenez pas la deuxième injection. Parce que lorsque vous prenez cette seconde injection, vous allez aller au-devant de gros ennuis.

Dans les ganglions lymphatiques, vous aurez les lymphocytes tueurs et d’autres cellules X. Si une cellule X fabrique ces protéines spike, ce lymphocyte va attaquer son frère ou sa sœur. C’est déjà terrible en soi si les lymphocytes tueurs commencent à essayer de vous tuer.

Je veux que vous décidiez de ne pas prendre la deuxième injection. Non seulement la seconde injection, mais toute injection par la suite mettra votre vie en danger. La pandémie n’existe pas en tant que nouvelle maladie mortellement dangereuse. »

Le Covid-19 est une fraude mondiale, et la vaccination mondiale contre le Covid  est une fraude encore plus grande !

Le terrorisme médiatique a d’abord donné une image d’une prétendue calamité avec des boîtes de congélation surpeuplées de cadavres, et maintenant, pour changer, ils ont proposé l’idée que ceux qui refusent les vaccins sont à blâmer pour une soi-disante pandémie et menaceraient tout le monde, y compris les vaccinés. C’est complètement absurde ! Les médias menteurs sont maintenant à blâmer pour le lynchage d’innocents qui rejettent un vaccin absurde et très dangereux qui n’est pas un vaccin et est plutôt une arme biologique. Le Dr Zelenko le confirme : 

« Il s’agit d’une arme biologique fabriquée artificiellement. »

Et il poursuit : 

« Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle empoisonnée ! … Votre ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. Savez-vous ce qui s’est passé en Israël, le 20 décembre ? La vaccination nationale a commencé ! »

Le docteur Zelenko dit la vérité, et est donc pratiquement menacé de mort quotidiennement, admet-il. Lui et son équipe ont traité avec succès plus de 6 000 patients contre le Covid. Il est compétent pour commenter le vaccin de façon professionnelle. Les vrais experts comme lui sont persécutés, réduits au silence et moralement détruits pour l’amour de la vérité. Aujourd’hui, on peut citer les noms de spécialistes qui ont mis en garde d’urgence contre le vaccin expérimental et qui, bien que non malades, sont décédés subitement.

Qui fait la promotion du vaccin et pourquoi ? Il est promu, par exemple, par Bill Gates qui a déclaré : 

« Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % ».

Un autre analphabète qui promeut la vaccination, et ne recule devant rien, est le pseudo-pape François Bergoglio qui dit : « Il faut le faire ! ». Et il ajoute hypocritement : « C’est un acte d’amour ! » – En fait, c’est un crime contre l’humanité ! Il a lui-même introduit les passeports Covid obligatoires au Vatican en tant que premier État au monde. Tous les employés du Vatican doivent être vaccinés. Le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements des véritables experts, et ne cesse de répéter comme un mantra un mensonge flagrant sur la nécessité absolue de se faire vacciner. Il commet ainsi un crime non seulement contre Dieu et l’Église, mais aussi contre toute l’humanité. La démagogie trompeuse de Bergoglio est suivie par certains des prélats qui ont échangé la vérité contre le mensonge, et Dieu contre le diable. Il faut se méfier de ces loups déguisés en brebis ; vous les reconnaîtrez à leurs fruits.

Contrairement à l’archi-menteur papal Bergoglio, le Dr Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel pour la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse. Il dit : 

« Ce vaccin est le plus grand risque de génocide pour l’humanité dans toute l’histoire de l’humanité. » 

Le pseudo pape, cependant, soutient de façon absurde que ce génocide programmé est un acte d’amour.

Le drame est que les gens accablés par les mensonges médiatiques sont incapables de prendre au sérieux ces vrais experts. Ils risquent d’être paralysés ou de mourir après la vaccination. Aujourd’hui, il convient de demander aux gens : Pourquoi suivez-vous ceux dont le but est votre mutilation ou votre mort et la propagation massive de la maladie ? Pourquoi les écoutez-vous ? Ce qui se passe aujourd’hui est-il même possible ? Il est facile de prouver aujourd’hui que plus de personnes meurent du vaccin que du Covid. Dans le même temps, on sait que la mortalité due au Covid n’a pas dépassé la mortalité due à la grippe saisonnière ordinaire. De plus, des statistiques peu fiables ont été gonflées en comptant les décès de personnes décédées avec le Covid, mais pas du Covid. Le Covid était la cause de la mort même dans des accidents de voiture.

La virologue tchèque Sona Pekova a commenté la question de savoir s’il est possible de produire un vaccin efficace contre le Covid. Elle a expliqué qu’il n’est pas possible de produire un vaccin efficace en raison d’une mutation rapide du virus. Pourquoi ? Parce que le vaccin n’est pas capable de devancer la mutation. Le spécialiste russe, le professeur Redko, a déclaré que des vaccins efficaces n’avaient toujours été utilisés que contre les infections stables telles que la polio, la rougeole etc., et jamais contre un virus qui mute.

La vaccination déclenche une guerre mondiale, qui dans le domaine psychologique conduit à la division des familles et de la nation.

Exemple : dans une famille, un homme dans la soixantaine a été vacciné. Sa femme, en revanche, est contre la vaccination. Sa belle-fille croyait au vaccin et a également été vaccinée. Son mari a obtenu de vraies informations auprès d’experts et s’est donc radicalement opposé à la vaccination. Dans une maison, les parents âgés sont divisés les uns contre les autres et les jeunes époux aussi. Une division aussi profonde de la société n’a jamais été réalisée dans toute l’histoire de l’humanité. L’agression et la haine sont uniquement de la part des vaccinés.

De vrais experts révèlent la nature de la menace du vaccin expérimental :

1) Il modifie le génome humain, faisant ainsi de l’homme un organisme génétiquement modifié, conduisant à l’autodestruction de la race humaine.
2) Le vaccin contient des nanoparticules qui pénètrent dans le cerveau, et il appartient donc au processus de puçage de l’humanité, notamment en association avec la 5G. Une personne pucée cesse d’être un humain, c’est-à-dire un être libre. Elle devient un robot biologique.
3) La vaccination est un moyen de réduire la population, c’est-à-dire de provoquer l’autodestruction de l’humanité.
4) La vaccination est également un élément de diabolisation, car la base biologique du vaccin à ARNm consiste en des tissus arrachés à un enfant vivant à naître, avant qu’il ne soit tué.

Il convient également de noter que la vaccination actuelle est une expérience menée sur l’être humain, qui est interdite par le code de Nuremberg en tant que crime contre l’humanité.

Des dizaines d’experts incorruptibles en virologie mettent en garde contre les conséquences spécifiques que nous constatons déjà aujourd’hui. Le Dr Ryan Cole, États-Unis : 

« Le vaccin à ARNm est une toxine. Il provoque la maladie. La même maladie pulmonaire, la même maladie vasculaire, la même maladie cardiaque, la même maladie cérébrale… ».

D’autres experts soulignent que le vaccin endommage le système nerveux central. Le pronostic sur lequel le Dr Cahill d’Irlande tire la sonnette d’alarme est le suivant : « D’ici deux ans, 90 % des personnes vaccinées seront mortes. Ceci est une affaire sérieuse! Il faudrait vraiment commencer à avoir peur de ça, plutôt que des histoires de croque-mitaines dans les médias, qui, au contraire, nous poussent vers l’abattoir de la vaccination.

Le plus grand crime consiste à introduire la vaccination obligatoire des enfants, comme ils essaient déjà de le faire dans certains pays. Les experts affirment que 99,998% des enfants se remettent du Covid sans aucun traitement. Mais après le vaccin, les enfants meurent ou ont de graves problèmes. Le Dr Bhakdi, microbiologiste et virologue, prévient : 

« Si vous donnez cette injection à votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins géniques comme des expériences menées sur les êtres humains, des expériences qui sont interdites ! ».

Aujourd’hui, nous sommes au sommet de la révolution technologique. L’informatique est un avantage, mais c’est aussi un grand danger pour l’humanité. Le contrôle total des personnes s’établit. L’esprit humain est aveuglé, ivre de l’orgueil du succès. Tout progrès scientifique, placé entre les mains de méchants, se retourne contre l’individu et l’humanité.

Nous arrivons ici aux questions de base que les gens évitent. La question du mal, la question des guerres… Toutes les guerres, tous les crimes proviennent de la source commune du mal qui est en chaque personne. Nous l’avons hérité de nos premiers parents. Ni la logique ni la technologie ne nous libéreront, nous les humains, de cette source spirituelle du mal : le péché héréditaire. Les gens sont les esclaves du mensonge et du mal, ce que beaucoup ne veulent pas admettre dans leur aveuglement spirituel. Nous en voyons les fruits visibles dans la psychose du coronavirus. La puissance du mal s’est déchaînée en mettant progressivement de côté les lois justes qui avaient toujours empêché l’invasion du mal. Le mal est privilégié par des anti-lois, et est appelé droit de l’homme. Nous sommes témoins de la promotion de l’idéologie du genre qui a le culot de dire des bêtises sur le fait qu’un homme n’est pas un homme et qu’une femme n’est pas une femme. Par conséquent, le vol d’enfants par le système de la justice pour mineurs est également accepté. Ces crimes sont enveloppés de phrases concernant les droits des enfants et des femmes. C’est une parodie de la vérité, de la justice et de la réalité. Mais les gens subissent un lavage de cerveau pour qu’ils acceptent progressivement ces mensonges absurdes. Les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, ils ont donc le devoir de soigner la maladie. Aujourd’hui, cependant, si quelqu’un tombe malade et refuse de se faire vacciner ou de subir des tests absurdes, on le laisse mourir, par exemple, d’une appendicite. En les mettant sous forte pression, ce système criminel transforme les médecins en croque-morts. Environ 125.000 personnes sont décédées en Allemagne en trois mois, en raison de l’accent mis sur les mesures dites Covid, et donc de la négligence des soins médicaux.

Avec l’asile de fous du Covid, nous nous sommes retrouvés dans une situation où chacun d’entre nous doit sérieusement penser à la mort. Et la deuxième question que tout le monde doit se poser est ce qui se passera après la mort. Après la mort, il y a le jugement de Dieu, et ensuite l’éternité. Heureuse pour certains, malheureuse pour d’autres. Ce n’est pas cent ou mille ans, mais une éternité. L’homme lui-même fait le choix final dans la vie concernant son destin éternel. La seule voie de salut pour chaque être humain est la vraie repentance, sans laquelle personne ne sera sauvé, pas même un évêque ou un pape.

Et qu’est-ce que la vraie repentance ? Se repentir, c’est se confesser à soi-même son péché – dire : je me suis trompé, j’ai cru à un mensonge – et le confesser aussi à Dieu. En même temps, je dois accepter le salut offert, c’est-à-dire le sacrifice par procuration du Fils de Dieu pour les péchés que j’ai commis dans ma vie. Tout le monde, sans exception, ne peut être sauvé que par la repentance, par laquelle il obtient le pardon des péchés (Lc 24, 47). La repentance est associée non seulement à la confession des péchés, mais aussi à la foi au Sauveur, Jésus-Christ. Les Écritures soulignent : 

« Il n’y a de salut en personne d’autre »

 (Actes 4:12).

Comment parvenir au salut ? Les Écritures disent : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Rom 10:10). Quel est le nom du Seigneur ? Son nom est Jésus, Isus en grec, Yehoshua en hébreu. Par conséquent, trouvez au moins trois minutes chaque jour, par exemple avant de dormir, réalisez votre culpabilité devant Dieu, et répétez avec foi : « Jésus, Jésus, Jésus, aie pitié de moi, pauvre pécheur » – faites-le cinq fois avec vos yeux spirituels concentrés sur les cinq plaies du Christ. C’est la contrition parfaite. Vous n’aurez besoin de rien de plus à l’heure de votre mort. Par conséquent, faites quotidiennement un acte de contrition parfaite. Dieu vous promet dans sa Parole : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». Vous serez sauvé !

L’invocation du nom de Jésus est un moyen de salut par rapport à la mort éternelle en enfer. Seule une personne spirituellement aveugle ou orgueilleuse rejette son propre salut ou, en d’autres termes, commet son suicide spirituel.

Tous ceux qui ont reçu le vaccin à ARN messager doivent admettre que même s’ils ont été mis sous pression, ils sont toujours à blâmer parce qu’ils s’y sont soumis. Ils doivent se confesser à eux-mêmes et à Dieu, et demander pardon à Dieu aujourd’hui même, car Jésus a dit : « La mort viendra comme un voleur ; vous n’en connaissez ni le jour, ni l’heure ». Chaque personne vaccinée, en particulier, doit être préparée à affronter la mort, le jugement de Dieu et l’éternité. Invoquez quotidiennement le nom de Dieu, car en ce nom réside votre salut !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin