E. Zemmour et autres candidats : dites la vérité sur pseudovax et pass !

Par Nicole Delépine

Serait-il anxiogène de parler des vrais problèmes sanitaires aux Français ? De qui se moque-t-on ?

Résumé

Tous les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique, non sanitaire puisque outil du contrôle social à la chinoise via le pass :

  • Informer du caractère expérimental de l’injection génique
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non vax une dose, etc. Le 2 doses de plus de 65 ans devient un non-vax pour le gouvernement et les statistiques hospitalières et sans pass
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres.

Pourquoi Zemmour refuse-t-il le vrai débat sur la dictature sanitaire et le Frexit ?

Bien triste que les conseillers solides de Z aient été écartés et que ce dernier n’ait pas eu l’intelligence de se rapprocher de Florian Philippot, entre autres, dont la position sur la dictature sanitaire a le mérite de la clarté.

Dommage qu’il n’ait pas pris clairement position pour le Frexit, préalable indispensable à l’indépendance de la France et évidemment à une politique sanitaire libérée des décisions de la commission de Bruxelles qui a acheté du Remdesivir(([1] Un demi-million de doses acheté le 8 octobre 2020 alors que le laboratoire Gilead et l’OMS savaient que le traitement incapable de diminuer la mortalité Covid était responsable de complications majeures)) quand il était établi que ce produit était inefficace et toxique et qui se bat par tous les moyens pour imposer aux populations européennes des vaccins expérimentaux qui se révèlent chaque jour un peu plus incapables d’arrêter l’épidémie.

Ces silences qui en disent long le condamne à perdre les voix de nombreux citoyens qui lui faisaient confiance.

Après avoir écouté le TV liberté et celui de RadioCourtoisie de Pierre C du 16 novembre(([2] Loibre journal du droit et des libertés du 16 novembre 2021 : « Eric Zemmour n’a pas dit son dernier mot »)), fort intéressantes par ailleurs, je reste sidérée de l’argument utilisé par Z. et ses soutiens pour ne pas parler du drame de la situation sanitaire, et plus ou moins accepté par P et ses interviewers.

Certes P. et O. ont insisté sur l’impérieuse nécessité que Z s’empare rapidement du côté liberticide des décisions pseudo médicales du pseudovax et du pass, (heureusement), mais l’absence de prise en compte du drame international qui se joue sur la santé humaine, via les injections géniques fut très insuffisant.

Zemmour et tout autre candidat doivent exiger très clairement la suppression immédiate du pass, outil de discrimination inacceptable et du passage vers la société à la chinoise.

Résumons : Z. n’est pas gêné par le pass sanitaire pourtant copier-coller du pass nazi et des privations et interdictions aux juifs, ici remplacés par les non-vaccinés. Le même scénario du totalitarisme, inventer un ennemi et s’en servir de bouc émissaire pour aveugler les foules se reproduit.

Écoutons le consultant et analyste politique Mathieu Slama dans sa tribune du figaro du 15 novembre :

« S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le pass sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le pass sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière. »(([3] Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire» (lefigaro.fr) ))

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisé en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Chaque crise a donc son coupable désigné. « Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative ».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et « rebondit » (selon le mot consacré).

Emmanuel Macron et son gouvernement ont délibérément construit cette figure de bouc émissaire, qualifiant tour à tour les non-vaccinés d’égoïstes, d’irresponsables, leur faisant endosser la responsabilité d’un éventuel reconfinement, les ostracisant par le moyen du pass sanitaire. Le discours est clair : si l’épidémie repart, c’est la faute des non-vaccinés ; si nous devons reconfiner ou fermer des commerces, ce sera votre faute. Quant au pass, il agit comme une sorte de certificat de pureté et de vertu, séparant les purs (vaccinés) des impurs (non-vaccinés), les vertueux des immoraux, les responsables des irresponsables. Il matérialise la stratégie du bouc émissaire en marginalisant socialement, de manière concrète, ceux qui sont rendus responsables du malheur.

En désignant à la foule un bouc émissaire, le gouvernement a agi de manière cynique et irresponsable, encourageant les divisions, le ressentiment et la violence verbale. En concentrant la colère des gens sur les non-vaccinés, il s’est exonéré de toute responsabilité dans la conduite de la crise, détournant le regard des gens sur ses propres insuffisances au détriment d’une partie de la population. Obnubilés par l’« irresponsabilité » des non-vaccinés, nous avons fini par oublier que dans une crise, la responsabilité incombe d’abord aux gouvernants.

La stratégie macronienne est une stratégie de division et d’hystérisation qui aboutit, à chaque crise, à la désignation d’un coupable et à la mise en place d’une politique répressive à l’encontre d’une partie de la population.

La société sécuritaire et répressive est une société de la recherche permanente du coupable. C’est une société fragmentée, divisée, injuste et inégalitaire. D’une certaine manière, la crise sanitaire a rendu visible ce qui était jusqu’alors moins visible, mais tout aussi prégnant.

Rappelons-le : on ne saurait faire durablement société dans la recherche permanente d’un coupable. La stratégie du bouc émissaire est une solution de court terme, mais qui menace notre société libérale et démocratique dans ses fondements mêmes.

Comme le rappelle René Girard, « on ne manquera pas de faire remarquer qu’un bouc émissaire, aussi puissamment rejeté puis adulé soit-il, ne saurait éliminer la peste ».

ANXIÉTÉ ET VACCINATION, LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE ET DE LA POUSSIÈRE SOUS LE TAPIS

Le grand argument de Z. pour éviter de discuter des décisions majeures du gouvernement sur la santé des Français serait de ne pas être « anxiogène » pour ne pas diviser. Vous rigolez ?

Faire peur aux vax qui formeraient un ensemble homogène. Plus c’est gros plus ça passe… Eh bien non, sinon pourquoi changer de mentor, le mensonge est déjà arrivé à un degré de perfection.

Ça ressemble comme deux gouttes d’eau à l’attitude d’Édouard Philippe et d’Olivier Véran avec les patients qui toussent et respirent mal. Restez chez vous avec du Doliprane. Et plus tard si besoin dans les EHPAD et parfois à domicile, le tranquillisant et somnifère Rivotril qui vous endormira pour l’éternité. Circulez, il n’y a rien à voir.

Le peuple vacciné serait rassuré comme veut nous le faire croire Véran ou Castex, et serait serein pour les autres sujets ?

Peut — être quelques bobos parisiens de ses proches adeptes hypnotisés par France info ou la télévision officielle, le Monde, Libé ou le Parisien, le pensent-ils, mais pas la masse du peuple dont la majorité des vaccinés sont des malgré nous(([4] Les « malgré nous » de 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
« Finalement qui fera céder nos gouvernements amoureux du totalitarisme ?
Ce ne sont pas les « antivax » seuls qui vont faire craquer Macron et ses affidés, mais l’ensemble des mis à l’écart, discriminés que sont les non-vaccinés, associés aux victimes des injections répétitives (et les familles des victimes décédées ou handicapées).
Ils seront de plus en plus nombreux : encore debout : « les malgré nous », ou parfois estropiés.
Ils défileront, car, contrairement à ce qu’ont espéré les initiateurs de ce massacre à la piquouse, les transgénisés ne se retournent pas contre les « non transgénisés ».)) qui n’ont accepté les injections que sous la contrainte (les adultes pour travailler et les jeunes pour faire du sport avec les copains, aller en boîte, etc… et aussi la honteuse pression de certains proviseurs et celle des autres élèves, la force du groupe hélas manipulé)…

Les autres sujets ne seraient-ils pas anxiogènes ?

Au passage, il est drôle ou tragique de sous-entendre que le problème des migrants, des murs de l’Europe (Trump rigole) de la guerre chine-usa, qui menacent, ne sont pas angoissants… Non, seulement le problème du Covid angoisserait ces bienheureux vaccinés, qui du coup seraient divisés et ne voteraient pas Z… ? Qui peut penser qu’un être intelligent peut soutenir de bonne foi ce genre de raisonnement ou bien faut-il ne pas contrarier une petite catégorie de Français pro-macronistes dupes de sa gestion de crise ?

Pourquoi ce déni, ce silence, cet abandon des soignants, des pompiers et de tous les « malgré eux » de 2021 qui se sont fait extorquer leur consentement, harceler jusqu’à ce qu’ils cèdent alors que le harcèlement moral constitue un délit… ?

CRISE PUREMENT POLITIQUE QUI DEMANDE DES RÉPONSES POLITIQUES

La crise actuelle du Covid n’est pas sanitaire, mais politique, si jamais elle a été quelque temps autre chose. Un problème politique nécessite une prise en charge politique et singulièrement par les candidats à l’élection présidentielle.

Le délire a décidément envahi beaucoup d’esprits autrefois brillants et a entretenu la confusion. Il ne faudrait pas parler de l’extorsion de consentement à des millions de français, ni de la situation médicale que bon nombre découvrent après l’injection, même si ce ne sont pas que des décès.

Non Mr Z, il n’y a pas deux groupes de français et si P. conseille justement à Z de s’intéresser aux six millions de français vaccino prudents, il a tort de les séparer sur le papier avec les pourcentages de voix possibles, car franchement la palette des situations est large et les millions sont sûrement beaucoup plus que six !

Entre le vaccino-prudent qui a pu résister aux pressions et le vacciné à l’insu de son bon droit pour une, puis deux, puis trois injections en attendant l’abonnement bisannuel, il n’y a pas de fossé. Tous ensemble dans la même galère, les vax tombant en plus dans celle des effets secondaires, ne serait-ce qu’une grande fatigue qui dure plusieurs mois et des nouveaux « non-vax » sans pass s’ils rechignent à l’injection suivante.

Et tous ces gens-là seraient « contents » qu’on ne parle pas de leurs problèmes ! On rêve de tant d’illusions et de validation du discours présidentiel de la prétendue satisfaction des vaccinés !

On retombe vite dans le camp des vaccino-prudents, à isoler comme en Autriche ?

C’est oublier que dès que la troisième injection va s’imposer, le résistant à la multi piqûre sera réintégré dans la case des non-vax pestiférés et se retrouvera sans pass. Dès le 15 décembre, le retraité double vax ne pourra pas plus voyager et redeviendra dans les additions mensongères des médias un « non vax », surtout s’il est hospitalisé.

Lorsqu’on regarde les courbes de mortalité de l’OMS, on remarque que les campagnes de vaccination sont suivies d’une explosion de cas et de morts pendant 30 à 60 jours. (cf. courbes de l’OMS de mars 20 à mars 21)

Afin de ne pas compter l’hécatombe post vaccinale les agences gouvernementales classent les victimes des effets toxiques survenus avant le quinzième jour post seconde injection dans les non-vax.

C’est d’ailleurs par ce tour de passe-passe que l’on trouve tant de prétendus non vax à l’hôpital s’ils arrivent avant la fin de la deuxième semaine de leur deuxième injection. Pas belle la vie ?

Une conclusion :

Si Z. a séduit un temps bon nombre de Français par son franc-parler et sa façon de dire ce qu’il pense véritablement indépendamment des conséquences électorales, il va les perdre rapidement s’il se trahit lui-même en devenant un candidat comme les autres, girouette sensible aux sondages et autocensurée.

On se rappelle Marine Lepen qui à mon sens n’a pas perdu l’élection à cause d’un dialogue peu convaincant avec M (la forme), mais bien à cause du fond, car elle a écouté les conseillers obnubilés par les sondages au lieu de Philippot, et a renoncé au Frexit et à la sortie de l’euro. Trahison et conséquence : échec. Au diable, les communicants !

Si Z raisonne sur les voix qu’il pourrait perdre en parlant politique vaccinale, conséquences délétères des injections avec ses traînées d’effets secondaires, c’est qu’il est devenu un candidat banal et que l’abstention et M seront encore les grands vainqueurs.

Est-il temps qu’il se reprenne et qu’il vire ses conseillers vieux caciques, qui ne cherchent que des postes et non le bonheur des Français ? Qu’il appelle vite Philippot qui a tout compris du coronacircus, et quelques autres comme JF Poisson par exemple et d’autres conseillers écartés. Florian Philippot est lucide, clair depuis plus d’un an et mobilise de nombreux militants. Que Z. fasse un ticket avec lui, hypothèse qui séduirait sûrement les électeurs. À quoi correspond ce rejet de F. Philippot extrêmement sérieux et qui connaît les dossiers ?

La dictature prétendument sanitaire n’est que politique :
il faut stopper l’essai thérapeutique mondial en cours

Sur le fond, contrairement à ce qui s’est murmuré dans lesdites émissions du 15 du novembre, Z. ou tout autre candidat qui sortirait du chapeau (encore le temps ?) doit bien évidemment se positionner sur ce pseudovax.

LE PSEUDOVAX EST L’OUTIL POLITIQUE (QUI PERMET LE PASS ET LE PROJET TOTALITAIRE SUR TOUS SUJETS (PASS CARBONE, ETC.) ET DONC, DOIT ÊTRE SUPPRIME MAINTENANT

Il ne s’agit en aucun cas de médecine, même pour ceux qui l’ont cru un temps. On a le droit de se tromper, mais pas de s’enferrer, surtout quand on aspire à de hautes fonctions.

Que Z. se soit vacciné ou pas (on n’aurait jamais dû le savoir, argument électoral maladroit et appel à violer le secret médical(([5] Nous dit-il s’il souffre du SIDA ou d’une leucémie ? Il faut faire taire tous ceux qui se croient obligés de nous donner leur statut vaccinal, ce qui décrédibilise d’emblée tout ce qu’ils vont dire ensuiteStop exhibition !)) ), il devrait demander un moratoire rapide devant l’accumulation de décès et d’effets dits indésirables graves révélés par le VAERS pour les USA dépendant de la FDA et des CDC et par EudraVigilance pour l’UE, l’ONS et MHRA pour la Grande-Bretagne. Notons que toute déclaration mensongère au VAERS est passible de poursuite en justice. On peut donc y accorder une certaine confiance et les milliers de décès accumulés exigent ce moratoire.

Rappelons que le vaccin H1N1 a été stoppé après 53 décès. Le vaccin contre la grippe aviaire également après quelques décès et le vaccin contre le rotavirus après quelques invaginations chez les bébés. De façon systématique, tous les essais thérapeutiques sont stoppés au moins provisoirement habituellement après le premier mort.

Ici nous sommes à près de 30 000 décès validés par l’UE et environ 17 000 aux USA. N’est pas angoissant ? Si, alors ne surtout pas en parler. Vite un doliprane. FRANCHEMENT INACCEPTABLE DE TOUT CANDIDAT : CETTE FOLIE DOIT CESSER.

Et rappelons que l’épidémie ne tue plus et depuis plusieurs mois

Pseudo vaccin expérimental et Pfizergate : informez les citoyens

Éric Z. aurait dû en tant qu’éventuel président, rappeler aux Français le caractère expérimental des injections géniques et des doutes sur les conséquences délétères déjà décrites dans les documents officiels de Pfizer il y a un an et confirmées dans la vie réelle actuelle (voir les tableaux de l’agence officielle EMA et son site effets secondaires des médicaments EudraVigilance).

Des problèmes neurologiques graves, voire des maladies de la vache folle (voir les vidéos de Marc Doyer qui a réveillé Pascal Praud et le récit de son épouse atteinte de la vache folle), aux myocardites dont on découvre chaque jour l’ampleur. Et surtout de l’avenir incertain sur la fertilité des futures générations, dont les troubles menstruels si fréquents des femmes et des petites filles, la raréfaction des spermatozoïdes dans le sperme des donneurs potentiels laisse mal augurer de leur avenir familial.

Le Pfizergate est un problème politique(([6] Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le 2 novembre 2021, des révélations publiées dans le British Medical Journal (BMJ)(([7] Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial | The BMJ)) ont pointé du doigt de potentielles défaillances, des falsifications de données et des problèmes de sécurité au sein de Ventavia Research Group, l’un des sites choisis par le laboratoire Pfizer pour mener ses essais cliniques du vaccin anti-Covid Comirnaty®.

Ces révélations se basent sur le témoignage de Brook Jackson, ancienne directrice régionale au sein de Ventavia Research Group, l’un des sous-traitants du laboratoire Pfizer chargé d’évaluer l’efficacité du vaccin Comirnaty contre la Covid-19. Selon elle, Ventavia Research Group aurait commis des manquements lors de ses tests, « falsifié des données » et « tardé à assurer le suivi des effets secondaires ».

Dans son mail envoyé à la FDA, Brook Jackson accuse Ventavia d’une douzaine de pratiques douteuses dont elle aurait été témoin. Parmi ses accusations, elle relate entre autres :

  • Des participants étaient placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.
  • Un manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables.
  • Des écarts de protocole non signalés.
  • Des vaccins qui n’étaient pas conservés à des températures appropriées.
  • Des échantillons de laboratoire mal étiquetés.
  • Un ciblage du personnel de Ventavia pour signaler ce type de problèmes.

Selon le BMJ, l’ancienne directrice régionale de Ventavia Research Group aurait « fourni des dizaines de documents internes à l’entreprise, de photos, d’enregistrements audio et d’e-mails ». Pour autant les sociétés Ventavia et Pfizer n’ont pas réagi à ces révélations ».

Les agences FDA et EMA font le gros dos. Les politiques se taisent. Et Z. dont on attendait la différence aussi !

Comment les candidats, dont Z. peuvent-ils passer sous silence ces mauvaises pratiques qui mettent en jeu la vie de milliards d’individus ?

Il aurait dû présenter aux futurs électeurs le passé dramatique de Pfizer de nombreuses fois poursuivi pour faux et informations erronées aux usa avec des milliards versés aux victimes. Le Pfizergate actuellement dévoilé devrait être traité par Z. tellement la gravité des faits découverts (essai clinique truqué en résumé) est capitale pour le choix éclairé des Français.

Comment Z. et d’autres commentateurs, dont certains a priori sincères, peuvent-ils dire que chacun est libre de se faire vacciner ou pas ?

Fabuleuse manipulation mondiale

Justement ils ne sont pas libres, mais manipulés toute la journée, en plus de ceux dont le consentement est extorqué. Ne faisons ni l’autruche ni la vierge effarouchée et regardons la réalité en face.

Libre ? Belle pétition de principe qui ne serait vraie que s’il y avait consentement ÉCLAIRÉ et LIBRE.(([8] Consentement éclairé du patient : définition et prérequis
Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé. Ces derniers devront obligatoirement respecter la volonté du patient.
Consentement libre et éclairé du patient (définition) – Désignation personne de confiance (France-assos-sante.org) )) Or sur quoi se fonde ce soi-disant choix répété à l’envi sur toutes les ondes alors qu’il y a TROMPERIE du matin au soir sur la réalité de l’essai en cours sur les citoyens supposés libres et devenus cobayes soumis ?

En résumé, les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique puisque outil du contrôle social à la chinoise

  • Informer du caractère expérimental ;
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves ;
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques ;
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non-vax, une dose, etc. ;
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres ;
  • S’opposer fermement à toute obligation vaccinale et tout particulièrement celle des enfants qui ne risquent rien du Covid, mais beaucoup de l’injection ;
  • Imposer au gouvernement via la pression populaire et médiatique la liberté de prescription des médecins pour les traitements précoces ;
  • Exiger la réintégration immédiate des fonctionnaires suspendus de façon honteuse et sans but sanitaire aboutissant à fermer encore davantage de lits hospitaliers au moment où on en a (peut-être) le plus besoin ;

Et quand on entend V. Pécresse, X. Bertrand et trop d’autres se prononcer pour l’obligation vaccinale et même l’enfermement des non-vax, on se dit qu’ils ont aussi oublié les traités signés par la France comme la convention d’Oviedo qui rappelle les engagements des nations pour le code de Nuremberg.(([9] Notre expérience de la violation des lois éthiques de Nuremberg – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Ceux — là seront vite éliminés de la course à l’échalote. Au moins, espérons-le.

Qu’Éric Zemmour, tous les élus, tous les citoyens relisent au moins la déclaration d’Helsinki et le code de Nuremberg et en fassent état !

Non, tout ceci n’est pas dépassé si nous ne voulons pas sombrer dans une société sauvage.

Rappelons les articles 8 et 14 de la déclaration d’Helsinki à laquelle les promoteurs d’essai prétendent se conformer.

« Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche. Art. 8

… Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement…. si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés. Art. 14 »

Passer à côté de ce rôle politique indispensable et laisser faire ce gouvernement liberticide en approuvant passivement sa politique sanitaire est une position complètement inacceptable pour le citoyen moyen. Si Z. veut faire plaisir à quelques bobos parisiens, qu’il n’oublie pas, le Paris riche n’est pas la France et ne suffira pas à son élection d’autant que cet électorat constitue le socle des voix de M. Et ceci est valable pour tous les candidats bien sûr.

À bon entendeur, salut.





Qui sont les responsables de la crise mondiale Covid-19 ?

[Source : BibiCabaya]

Par Joachim Hagopian

Les Drs. Zelenko et Martin nomment les criminels génocidaires derrière l’arme biologique covid-19

[Ndlr : si le SRAS-CoV-2 est une arme biologique, alors il n’a pas fait le nombre de morts attendu par la simulation Event 201 (qui était de 65 millions).]

Au lieu d’utiliser des vaccins tueurs Covid-19, Vladimir Zelenko, docteur en médecine et praticien acclamé de chefs d’État, a guéri avec succès plus de 6000 patients Covid-19 par une combinaison d’hydroxychloroquine, de zinc, de quercétine, de vitamine C et de vitamine D en traitement alternatif qui a résulté en un taux de survie de 99%. Alors que ses réalisations notables lui ont valu des nominations pour le prix Nobel de la paix et la Médaille Présidentielle de la Liberté, le fait de s’exprimer publiquement contre les dangers des soi-disant vaccins l’a amené à endurer des menaces de mort quotidiennes, des tentatives de mort sociale et professionnelle ainsi qu’une censure généralisée. Exprimant courageusement la vérité et fournissant un remède de santé efficace et peu coûteux qui s’oppose ouvertement à l’agenda de dépopulation génocidaire de la Cabale, il est considéré comme une menace pour la tyrannie médicale et politique du Nouvel Ordre Mondial. Le Dr Zelenko nomme un chat un chat : donner ces «vaccins» aux enfants est un sacrifice de sang d’enfant, d’une part, et l’ordre du jour mondial d’obligation vaccinale est le sacrifice satanique de sang de l’ensemble de l’espèce humaine, d’autre part.

Après avoir été déréférencé de tous les réseaux sociaux prostitués au système et complices du génocide, le 25 octobre 2021 le Dr Zev Zelenko a audacieusement exposé les démons derrière ce complot diabolique visant à dépeupler la planète avec l’injection létale de Big Pharma :

« Je suis un réaliste du complot. Vanguard et BlackRock [sic] sont partie prenante de toutes les industries, médias, universités et politiques. Vanguard et BlackRock investissent l’un dans l’autre par le biais de ce qu’on appelle la propriété circulaire. Ainsi, il faut considérer Vanguard et BlackRock comme un monopole qui possède tout. Après avoir fait les vérifications nécessaires, vous découvrirez que les principaux actionnaires de ce monopole sont les :

• famille Rothschild
• famille Du Pont
• famille Rockefeller
• famille Carnegie
• famille Orsini
• famille royale britannique

qui utilisent les fondations suivantes pour fomenter le chaos dans le monde

• Fondation Bill et Melinda Gates
• Fondation Soros Open Society
• Fondation Clinton

Ces fondations contribuent à la déstabilisation géopolitique. Le chaos est profitable en affaires et sert à l’acquisition du pouvoir. Seule une force divinement inspirée peut vaincre ce Goliath. Le monde ne sera racheté que par des actes de bonté et de gentillesse. Nous avons besoin d’une conscience divine collective afin de mériter une intervention divine. Les propriétaires du monopole Vanguard/BlackRock sont une manifestation du serpent primordial. Je suis TRÈS optimiste quant à la survenue d’un événement rédempteur qui rééquilibrera notre monde obscur. Attachez vos ceintures et profitez du voyage. »

Vladimir Zev Zelenko,
docteur en médecine

Même un examen superficiel — étonnamment effectué par Tim Gielen et qui expose les deux plus importants actionnaires aux manettes aujourd’hui : Vanguard et BlackRock — montre que c’est ce même petit groupe de monopolistes, succinctement soulignés par le Dr Zelenko, qui possède et contrôle essentiellement le monde entier. Son pouvoir absolu sur l’humanité lui a permis jusqu’ici de s’en tirer pour meurtre tout en détruisant notre planète au moyen de produits toxiques. Par exemple, si on prend les principaux fabricants mondiaux de l’industrie alimentaire telles que les plus grandes marque populaires : Coca Cola, PepsiCo, Unilever, Nestlé et Mondelez International, on s’aperçoit que tous ces fabricants géants de nos aliments chimiquement transformés sont contrôlés par les deux mêmes investisseurs actionnaires monopolistes, Vanguard et BlackRock. Les troisième et quatrième plus grandes sociétés d’investissement au monde sont Berkshire Hathaway de Warren Buffet et State Street Corporation.

Les plus grandes entreprises de l’industrie des technologies sont un autre exemple de ce jeu de monopoly. Facebook possède WhatsApp et Instagram, tandis qu’Alphabet, en tant que maison-mère de toutes les entreprises Google, possède YouTube, Gmail et le plus grand sponsor d’Android — la plus grande plate-forme d’applications mobiles au monde, le système d’exploitation quasi exclusif de tous les smartphones — ainsi qu’Apple IOS, l’autre système d’exploitation majeur. Ainsi la société de Bill Gates, Microsoft Corporation, Facebook, Apple et Alphabet constituent les quatre plus grandes entreprises technologiques sur lesquelles fonctionnent pratiquement tous les ordinateurs, télex et smartphones du monde. Ces même deux principaux investisseurs — Vanguard et BlackRock — détiennent également des parts majoritaires d’actions dans toutes les sociétés de l’industrie BigTech. En fait, toutes les entreprises qui fabriquent des ordinateurs, des téléviseurs, des smartphones et des appareils électroménagers — IBM, Hewlett Packard, Intel, Sony et Dell, y compris les plus grands marchés en ligne Amazon et eBay —,  les plus grandes chaînes de grands magasins et d’épiceries, toutes les méthodes de paiement appartiennent toutes aux mêmes sociétés d’investissement géantes Vanguard et BlackRock.

Chaque industrie sur terre est détenue et contrôlée par ces deux mêmes grands investisseurs. Tous les produits agricoles, les semences appartenant à Monsanto, le tabac, l’alcool et les sociétés de BigPharma — qui sont en train de nous tuer en ce moment même avec des armes biologiques génocidaires déguisées en pseudo vaccins — appartiennent tous aux mêmes lignées. Le jeu économique est totalement truqué : à commencer par tous les meilleurs sites de voyage sur Internet, en passant par les meilleures compagnies aériennes ; les meilleurs avionneurs ; les meilleures chaînes d’hôtels et de restaurants ; les meilleures raffineries de pétrole qui alimentent tous les avions, trains, bateaux, camions et voitures ; les sociétés sidérurgiques et les sociétés minières qui fournissent toutes les matières premières utilisées dans tous les modes de transport ; le BTP ; la fabrication de textiles et la confection de vêtements : ils sont tous contrôlés par les mêmes propriétaires, y compris la prétendue industrie verte qui fabrique des panneaux solaires et des éoliennes. D’ici 2028, les actifs Bloomberg que possèdent ces deux propriétaires mondiaux — Vanguard et BlackRock — atteindront 20000 billiards de dollars. BlackRock est considérée comme le quatrième bras du gouvernement compte tenu de ses liens intimes avec les banques centrales Rothschild. Même le plus grand actionnaire de BlackRock est Vanguard et vice versa, bien que Vanguard assure l’anonymat complet de ses propriétaires particuliers. Mais récemment, des preuves accablantes ont montré que c’est ce même petit groupe de familles de la noblesse noire que le bon Dr Zelenko a dénoncé.

Récapitulation: tout sur terre est pratiquement détenu et contrôlé par ces mêmes sociétés d’investissement de premier plan ainsi que par les plus grandes banques, fonds communs de placement, compagnies d’assurance et même les nations politiques, propriétés contrôlées par la corruption et le chantage ; tous ces domaines sont complètement dominés par le mêmes lignées de contrôle — les dynasties des familles Rothschild, Rockefeller, Du Pont, Carnegie, Orsini, Bush et Windsor, ainsi que quelques clans moins connus mais tout aussi puissants couverts dans l’ouvrage de Fritz Springmeier Bloodlines of Illuminati [Les lignées des Illuminati]. Afin de parfaire leur emprise sur l’humanité, même les petites sociétés d’investissement de Fortune 500 appartiennent aux mêmes grandes sociétés connues au sein d’une structure de pouvoir de forme pyramidale à hiérarchie verticale. Comme l’a astucieusement observé le regretté grand comédien, George Carlin, il y a plus d’une douzaine d’années : tout cela n’est qu’un «grand club [de psychopathes] dont nous ne faisons pas partie» et qui contrôle pratiquement tous les aspects de nos vies et chaque entreprise de la planète, tant légales qu’illégales, sans exception.

Davantage d’identités de criminels du covid sont en train d’émerger. À part le Dr Mengele du génocide du coronavirus, nous avons dit le Dr Anthony Fauci, responsable des subventions de la recherche virale du NIH, et trois principaux complices — le Dr Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, chargé d’exécuter l’ordre de Fauci de mener une étude sur une arme biologique létale à gain de fonction de coronavirus, jusqu’à ce que celle-ci soit interdite aux États-Unis, puis en envoyant 7,4 millions de dollars des contribuables américains au plus grand ennemi des États-Unis, la Chine communiste, et à la bat woman de son Institut de virologie de Wuhan, le Dr Shi Zhengli qui a averti que d’autres virus seront relâchés, et le racketteur en chef de la commercialisation des armes biologiques de Fauci et collègue terroriste intérieur, l’ancien vétérinaire de l’OMS, le Dr Peter Daszak — il y a plein d’autres coupables pointés du doigt, responsables criminels, derrière l’attaque d’aujourd’hui à l’arme biologique contre l’Humanité.

Selon le révélateur de vérité sur l’arme biologique Covid, le Dr David Martin, professeur, auteur, inventeur, chercheur et expert en brevets, vient de rendre public la liste de trois douzaines de noms d’autres criminels identifiés du programme de dépopulation de l’élite. Par ordre alphabétique des prénoms, ils sont :

1. Al Gore, vice-président des États-Unis (1993-2001), président et cofondateur de Generation Investment Management LLP  ·

2. André Hoffmann, vice-président de Roche  ·

3. Angel Gurria, Organisation de coopération et de développement économiques  ·

4. Bill Gates, Fondation Bill & Melinda Gates  ·

5. Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne  ·

6. Chrystia Freeland, vice-premier ministre et ministre des Finances, cabinet du vice-premier ministre du Canada  ·

(Source : THE CANADIAN PRESS/Adrian Wyld)

7. David M. Rubenstein, co-fondateur et co-président exécutif du Groupe Carlyle  ·

8. Dustin Moskovitz, Open Philanthropy, co-fondateur de Facebook  ·

9. Fabiola Gianotti, directrice générale, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN)  ·

10. Feike Sybesma, président du Conseil de Surveillance de Royal Philip  ·

11. S.M. la Reine Rania Al Abdullah du royaume hachémite de Jordanie, reine du royaume hachémite de Jordanie, bureau de S.M la Reine Rania Al Abdullah  ·

12. Heizo Takenaka, professeur émérite à l’Université Keio  ·

13. Herman Gref, PDG et président du conseil d’administration de Sberbank  ·

14. Jim Hagemann Snabe, président de Siemens  ·

15. Julie Sweet, directrice générale d’Accenture  ·

16. Klaus Schwab, fondateur et président exécutif, Forum économique mondial  ·

17. Kristalina Georgeva, directrice générale, Fonds monétaire international (FMI)  ·

18. L. Rafael Reif, président, Massachusetts Institute of Technology  ·

19. Larry Page, Google  ·

20. Laurence D Fink, présidente et chef de la direction de BlackRock  ·

21. Luis Alberto Moreno, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

22. Marc Benioff, président et chef de la direction de, Salesforce  ·

Source : REUTERS/Ruben Sprich – LR1ED1H1DWS0L

23. Mark Carney, envoyé spécial des Nations Unies pour l’action et le financement climatiques, Nations Unies  ·

Photographe : Patrick Doyle/Bloomberg via Getty Images

24. Mark Schneider, PDG de Nestlé  ·

25. Mark Zuckerberg, Facebook  ·

26. Mukesh D Ambani, président et directeur général de Reliance Industries  ·

27. Orit Gadiesh, président de Bain & Company  ·

28. Patrice Motsepe, fondateur et président exécutif d’African Rainbow Minerals  ·

29. Paula Ingabire, ministre des technologies de l’information et de l’innovation, ministère des technologies de l’information et de la communication et de l’innovation du Rwanda  ·

30. Peter Brabeck-Latmathe, vice-président du conseil d’administration du Forum économique mondial  ·

31. Peter Maurer, président du Comité international de la Croix-Rouge (CICR)  ·

32. Robert Mercer, Fonds Renaissance  ·

33. Tharman Shanmugaratnam, ministre principal du gouvernement de Singapour  ·

34. Thomas Buberi, directeur général d’AXA  ·

35. Yo-Yo Ma, violoncelliste  ·

Todd Rosenberg Photography 2010

36. Zhu Min, président de l’Institut national chinois de recherche financière  ·

LIEN :

Grâce aux Drs Zelenko et Martin, les criminels sont maintenant en ligne de mire. Bientôt, les procès Nuremberg 2.0 poursuivront les criminels de la Cabale énumérés ci-dessus. Un point clé très important à saisir est que les mêmes malfaiteurs derrière le génocide par injection létale sont les mêmes contrôleurs planétaires qui ont, à l’envi, violé, volé et pillé la terre pendant de nombreux siècles : ces mêmes lignées Illuminati commencent et terminent toutes les guerres, les dépressions économiques, les catastrophes non naturelles (ex. tremblements de terre, éruptions volcaniques, ouragans, inondations, sécheresse), les famines, les assassinats (comme celui de JFK) et le terrorisme tel que le 11 septembre et la guerre de dépeuplement covid-19 d’aujourd’hui contre l’espèce humaine, ainsi que le fléau de la pédocriminalité en tant que crime organisé dont la croissance est la plus rapide au monde — et plus généralement, le trafic sexuel d’êtres humains et d’enfants. Plus que jamais dans l’histoire, nous savons maintenant qui sont ces meurtriers lucifériens, et justice doit être rendue afin de mettre fin à leurs crimes brutaux contre l’Humanité.

Un cas d’espèce de criminels VIP faisant l’objet de poursuites judiciaires est le cas très médiatisé de Ghislaine Maxwell, l’ancienne petite amie britannique et présumée trafiquante sexuelle d’enfants de Jeffrey Epstein, dont le procès devrait commencé plus tard ce mois-ci. Nous verrons survenir d’autres inculpations. Par exemple, les derniers gros titres de ce scandale sans fin de l’État Profond viennent d’annoncer le renversement du PDG de Barclays Bank. Depuis 2019, le PDG de BarclaysJes Staley, fait l’objet d’une enquête sur 1200 courriels échangés entre 2008 et 2012 avec le pédocriminel international du trafic sexuel d’enfants, Jeffrey Epstein. Les deux hommes se sont rencontrés en 2000 lorsque Staley dirigeait la banque privée JP Morgan réservée uniquement à la clientèle la plus riche, comme Jeffrey Epstein, qui à son tour était financée par le fondateur du mega groupe sioniste et de L Brands, Les Wexner. La JP Morgan Chase Bank d’aujourd’hui a une longue histoire qui remonte à 1835 en tant que substitut de Rothschild opérant aux États-Unis. Le rapport d’enquête final mené ces dernières années par la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni et la Prudential Regulation Authority (PRA) de la Banque d’Angleterre étant sur le point d’être publié sur les affaires louches de Staley avec le pédocriminel le plus infâme d’Amérique, un avocat de Staley a catégoriquement nié la criminalité de son client et a entamé une procédure visant à contester le rapport préliminaire de ces autorités.

Ce qui est clair, c’est que Jes Staley a noué une amitié étroite et continue avec Epstein pendant au moins quinze ans — avant, pendant et après la condamnation pénale d’Epstein en 2009. Non seulement un nombre impressionnant de courriels ont été échangés au cours de cette seule période de quatre ans, mais Epstein y fait plusieurs références à «Blanche-Neige» dont on suppose qu’il s’agit d’un code. On a également appris que Staley rendait souvent visite au délinquant sexuel condamné — tandis qu’Epstein «endurait» son «traitement de faveur» d’une durée d’un an — en se présentant tous les soirs à la prison de Palm Beach pour des soirées pyjama. De plus, Staley fut également un invité du tristement célèbre complexe «Orgy Island» [Île d’Orgie] d’Epstein dans les Caraïbes, admettant qu’il avait vu Epstein en personne pour la dernière fois en 2015. Le résultat de l’enquête étant sur le point d’être rendu public, il y a quelques semaines, le puissant banquier de Barclays des six dernières années a été contraint de démissionner de sa fonction exaltée.

Barclays est officiellement devenu le successeur de Rothschild pour la fixation du cours de l’or en 2004, suivi deux ans plus tard par l’un des siens, Marcus Agius, marié à une Rothschild et nommé comme nouveau président de Barclays — et qui sera exposé six ans plus tard par le scandale de la fixation des taux chez Barclays en 2012. Et maintenant, moins d’une décennie plus tard, Barclays fait face à un nouveau scandale salace. La dynastie sioniste bancaire Rothschild semble se débarrasser de son dernier et plus bas fruit pourri, «Staley», afin de se distancer un tant soit peu de son légendaire marécage infesté de pédocriminels. Aussi gros que soient les efforts des Rothschild, leurs empreintes digitales très visibles et louches de marionnettistes sont indélébiles partout dans le commerce international du trafic sexuel d’enfants et ne peuvent jamais être effacées. Leur contrôle satanique de la planète est très certainement en déclin.

Et maintenant, avec le procès de Ghislaine Maxwell, la partenaire criminelle VIP d’Epstein dans le trafic sexuel, qui doit commencer plus tard ce mois-ci, il faut s’attendre à ce que davantage de personnages très en vue qui ont été pris en flagrant délit tombent de l’opération sioniste de chantage sexuel. Après tout, il y a toute une bande de princes, de présidents et de premiers ministres qui sont les partenaires sexuels connus et compromis d’Epstein et de Maxwell : c’est ce que l’élite criminelle fait régulièrement pour se divertir. Si vous avez encore du mal à y croire, jetez un œil à ma série très documentée de cinq livres : Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy and the Deep State [Empire et pédocriminalité : Satan, la sodomie et l’État Profond]. La dépravation des dirigeants planétaires est entièrement accessible, ne pouvant plus être cachée de la vue de tous.

Joachim Hagopian est diplômé de West Point, ancien officier de l’Armée et auteur de Don’t Let the Bastards Getcha Down [Ne laissez pas les salauds vous détruire] qui expose une direction militaire américaine défectueuse basée sur l‘ancienneté et qui élimine invariablement les meilleurs et les plus brillants, laissant la médiocrité et les partisans de l’ordre s’élever au sommet en tant que généraux politiciens-bureaucrates désignés pour perdre chaque guerre américaine moderne selon les desseins de l’élite. Après son séjour militaire, Joachim a obtenu une maîtrise en psychologie clinique et a travaillé comme thérapeute agréé dans le domaine de la santé mentale auprès de jeunes et d’adolescents maltraités, pendant plus d’un quart de siècle. À Los Angeles, il s’est retrouvé aux prises avec les plus grands services de protection de l’enfance du pays au sein du système américain complètement délabré et corrompu de la protection de l’enfance. L’expérience à la fois dans l’Armée et dans le système de protection de l’enfance l’a bien préparé en tant que chercheur et journaliste indépendant à exposer les maux de Big Pharma et la manière dont le système médical et psychiatrique contrôlé par Rockefeller inflige plus de mal que de bien ; par exemple, l’actuel canular pandémique diaboliquement mortel et génocidaire. Journaliste indépendant depuis 8 ans, Joachim a écrit des centaines d’articles pour de nombreux sites d’information, notamment Global Research et lewrockwell.com. En tant qu’auteur publié d’une série de 5 volumes intitulée Pedophilia & Empire: Satan, Sodomy & the Deep State, les livres et chapitres de Joachim sont des best-sellers d’Amazon dans les catégories défense des enfants et des droits de l’homme. Sa série de sources A-Z documente et expose entièrement le fléau mondial de la pédocriminalité et reste disponible gratuitement sur le blog de Joachim à l’adresse http://empireexposed.blogspot.com/ et https://pedoempire.org.

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (15 novembre 2021).

Source originale : American Empire Exposed https://empireexposed.blogspot.com/ publié le 14 novembre 2021.

Partagé par Before It’s News https://beforeitsnews.com/global-unrest/2021/11/dr-zelenko-and-dr-martin-are-now-naming-names-of-the-genocidal-killers-behind-covid-19-bioweapon-2532878.html , publié le 15 novembre 2021.




Panique de Macron face à la dégradation de la situation

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ne le dites surtout pas, mais le pouvoir macroniste est en pleine panique face à la discrète mais profonde dégradation de la situation politique, largement due aux décisions hâtives prises sur la vaccination obligatoire, probablement imposées par les « influences » multilatérales. La Guadeloupe s’approche de l’insurrection, et en métropole, le ministère de la Santé panique face aux défections dans les hôpitaux publics.


[slideshare id=250686324&doc=dgs17-211119141227&type=d]

La panique s’installe dans les couloirs du pouvoir. Derrière la propagande officielle selon laquelle le pays suivrait comme un seul homme son Grand Timonier qui impose l’obligation vaccinale un peu partout, le mur se lézarde, et les fissures qui apparaissent menacent de se transformer en cataclysme politique, en grand effondrement ou grande implosion de la machine à Great Reset. Plusieurs signaux faibles sont désormais émis sur les sueurs froides qui montent au front de nos prétendus héritiers des Lumières. 

Le ministère de la Santé flippe à donf’

Premier signal faible : la circulaire que nous reproduisons ci-dessus, envoyée par les services du désormais incasable Jérôme Salomon, donné un temps au Conseil d’Etat, mais finalement vissé à son siège compte tenu du bad buzz lugubre qui le précède désormais. L’objectif est d’anticiper les “tensions” à l’hôpital, comprenez les fermetures de service rendues inévitables par le manque de personnel.

Aujourd’hui, le ministère de la Santé ne contrôle plus rien et, pour savoir ce qui se passe sur le terrain, est contraint de demander à des bureaucrates de remplir des tableaux Excel sur les fermetures prévues. Il faut dire que, en pleine période de pénurie de main-d’oeuvre, le brillant Olivier Véran a imposé une obligation vaccinale parfaitement inutile d’un point de vue sanitaire (puisque le vaccin n’empêche pas la circulation du virus) qui a fait fuir 10% du personnel. 

Voilà qui s’appelle tout simplement de l’incompétence pour fait d’idéologie dogmatique. 

Résultat : on n’est pas sûr que l’hôpital tiendra, alors qu’il a tenu pendant les pics de 2020. Mais on imagine que les énarques et autres tacherons des services de communication ne manqueront pas pour expliquer que le vaccin est une solution et non un problème. 

La Guadeloupe en route vers l’insurrection

De leur côté, les Guadeloupéens, qui n’ont pas eu le loisir de voir l’interview du Courrier qui leur est consacrée, puisque nos services l’ont censurée (ce qui outrepasse l’accord tacite qu’ils ont toujours respecté jusqu’ici avec le Courrier et constitue une rupture de confiance), les Guadeloupéens, disons-nous, se sont gentiment mis sur le chemin de l’insurrection. 

Ellen Bessis nous donne quelques éléments de situation :



Nous découvrons ici que la Guadeloupe pourrait bien montrer la voie à la métropole sur la meilleure façon de résister à la tyrannie. 

La directrice de l’ARS de Guadeloupe outrepasse ses pouvoirs

Incidemment, il semblerait que la directrice de l’ARS de Guadeloupe contribue pour une grande part au mécontentement populaire local en se substituant au Conseil de l’Ordre des médecins par des radiations intempestives de professionnels libéraux qui ne relèvent pourtant de son pouvoir. Encore, semblerait-il, une talibane de la vaccination !

Continuons comme ça ! Le pire deviendra de plus en plus sûr…

D’ici là, le gouvernement a envoyé des blindés de la gendarmerie en Guadeloupe pour mater la rébellion… et a censuré le Courrier des Stratèges dans l’île. Même pas drôle. 




Grande-Bretagne : 89% des décès de Covid-19 au cours des 4 dernières semaines étaient parmi les entièrement vaccinés selon les dernières données de santé publique

[Source : ZEjournal.mobi]

Les dernières données officielles de la santé publique montrent que les personnes entièrement vaccinées représentaient 89% des décès de Covid-19 au cours des quatre dernières semaines, tout en représentant également 77 % des hospitalisations de Covid-19 et 65 % des cas présumés de Covid-19 du 9 octobre au au 5 novembre.

Le rapport statistique Covid-19 est un rapport hebdomadaire sur les données Covid-19 publié par Public Health Scotland, et la dernière mise à jour publiée le 10 novembre confirme que les choses empirent pour la population entièrement vaccinée d’un mois à l’autre tandis que les choses s’améliorent pour les non vaccinés. population.

Le tableau 18 du rapport confirme que la majorité des cas de Covid-19 se trouvaient parmi la population entièrement vaccinée au cours de la semaine commençant le 30 octobre 2021, représentant 10 693 cas. Alors que la population non vaccinée a enregistré 6 854 cas.

Le nombre total de cas par statut vaccinal confirmé par le tableau ci-dessus entre le 9 octobre et le 5 novembre était le suivant :

  • Population non vaccinée = 24 992 cas (- 438 sur les données des dernières semaines)
  • Population partiellement vaccinée = 4 125 cas (+ 368 sur les données des dernières semaines)
  • Population entièrement vaccinée = 43 253 cas (+ 2 045 sur les données des dernières semaines)

Cela signifie que la population vaccinée représentait 65% des cas de Covid-19 entre le 9 octobre et le 5 novembre, tandis que la population non vaccinée représentait 36%.

Cependant, la différence entre les vaccinés et les non vaccinés s’aggrave encore en ce qui concerne les hospitalisations, les entièrement vaccinés représentant désormais la majorité des hospitalisations liées au Covid-19 depuis au moins juillet 2021.

Le tableau 19 du rapport confirme que la majorité des hospitalisations liées au Covid-19 concernaient la population entièrement vaccinée au cours de la semaine commençant le 29 octobre 2021, représentant 356 hospitalisations. Alors que la population non vaccinée représentait 142 hospitalisations.

Le nombre total d’hospitalisations par statut vaccinal pour tous les groupes d’âge entre le 9 octobre et le 5 novembre, tel que confirmé par le tableau 19 du rapport PHS , était le suivant :

  • Population non vaccinée = 536 (- 16 sur le rapport des dernières semaines)
  • Population partiellement vaccinée = 76 (+ 1 sur le rapport des dernières semaines)
  • Population entièrement vaccinée = 1673 (- 58 sur le rapport des dernières semaines)

Cela signifie que la population vaccinée a représenté 77 % des hospitalisations liées au Covid-19 entre le 9 octobre et le 5 novembre 2021, tandis que les non vaccinés n’en représentaient que 23 %.

Mais encore une fois, la différence entre les vaccinés et les non vaccinés s’aggrave encore en ce qui concerne les décès prétendument liés au Covid-19.

Le tableau 20 du rapport confirme que la majorité des décès de Covid-19 se sont produits parmi la population entièrement vaccinée au cours de la semaine commençant le 23 octobre 2021, représentant 108 décès. Alors que la population non vaccinée ne représentait que 14 décès dus au Covid-19, près de 8 fois moins.

Le nombre total de décès présumés de Covid-19 par statut vaccinal entre le 2 octobre et le 29 octobre 2021, tel que confirmé par le tableau 20 du rapport PHS , était le suivant :

  • Population non vaccinée = 56 décès (- 8 décès sur le rapport des dernières semaines)
  • Population partiellement vaccinée = 12 décès (+ 0 décès sur le rapport des dernières semaines)
  • Population entièrement vaccinée = 449 décès (- 5 décès sur le rapport des dernières semaines)

Cela signifie que la population vaccinée représentait 89 % des décès dus au Covid-19 entre le 2 octobre et le 29 octobre 2021, tandis que les non vaccinés ne représentaient que 11 %.

Le fait que les entièrement vaccinés représentent désormais la majorité des cas de Covid-19 est extrêmement préoccupant en ce qui concerne l’efficacité des injections de Covid-19, car jusqu’à récemment, les enfants ; qui ne sont pas éligibles à la vaccination, ont représenté la grande majorité des cas.

D’autres questions sur l’efficacité des vaccins doivent également être posées en raison du fait que les hospitalisations et les décès liés au Covid-19 augmentent d’un mois à l’autre parmi la population entièrement vaccinée, tandis que les hospitalisations et les décès parmi la population non vaccinée continuent de diminuer.

– Source : The Exposé (Royaume-Uni)




Gibraltar : 99 % de vaccinés ; festivités de fin d’année annulées

[Source : Résistance Mondiale via ZEjournal.mobi]

Le gouvernement appelle à la prudence et demande d’éviter les rassemblements de masse, de porter un masque autant que possible et de maintenir une distance de sécurité. Au cours des dernières 24 heures, il a enregistré 57 nouveaux positifs et il y a déjà 359 cas actifs.

[Ndlr : sachant que les « cas » même prétendument « actifs » sont basés sur un test frauduleux, le PCR.
Tous les prétextes, même complètement fallacieux, seront bons pour finalement reprendre ou maintenir des mesures sanitaires malgré les piqûres géniques Covid, et ceci dans la plupart des pays.
Tant que les gens ne réaliseront pas que la seule chose à faire est de ne pas obéir à ces mesures quitte à se retrouver chargé d’amendes, puis en prison, ils s’enfonceront de plus en plus dans la dictature. Comme l’a rappelé le Dr Zelenko, il vaut mieux sacrifier le présent pour sauver l’avenir que sacrifier l’avenir pour espérer sauver le présent.]

Par de la population pleinement vaccinée contre la Covid-19
Doses de vaccins Covid-19 et personnes ayant reçu une dose, deux doses ou trois doses.
Nombre de nouveaux cas et de morts

Gibraltar connaît une augmentation constante des infections au Covid-19 depuis octobre et ces derniers jours, le nombre a grimpé en flèche, ce qui a incité le gouvernement, vendredi, à appeler à la prudence et à suspendre les fêtes et réceptions officielles de Noël. Il a également exhorté les gens à éviter les grands rassemblements et à porter un masque lorsque la loi l’exige ou lorsqu’ils se sentent mal à l’aise, ainsi qu’à garder une distance sociale sûre avec les autres personnes.

Cette augmentation des contagions, que le gouvernement de Gibraltar qualifie d’« exponentielle » ces derniers jours, rend « essentiel » que le public se comporte « de manière prudente et sensée étant donné que nous sommes toujours plongés dans une pandémie mondiale qui fait de nombreuses victimes chaque jour dans le monde », a-t-il déclaré dans un communiqué de presse.

Le Rock compte 359 cas actifs de Covid-19 vendredi, dont 57 au cours des dernières 24 heures et 72 au cours de la journée précédente. Cinq personnes sont hospitalisées, dont une dans l’unité de soins intensifs, et 440 personnes sont en isolement.

La campagne de vaccination, qui a fait des progrès vertigineux à Gibraltar, dont les habitants sont revenus à la normale bien plus tôt qu’en Espagne, n’a cependant pas permis de stopper le nombre d’infections. Le gouvernement de Gibraltar attribue ses chiffres au taux élevé de dépistage parmi ses résidents, qui lui permet, selon lui, de détecter beaucoup plus de cas positifs qu’ailleurs. Elle souligne toutefois qu’en Europe, le nombre de personnes infectées est en hausse.

Foyers lors d’événements, de rassemblements religieux et au travail

Selon le Département de la Santé publique de Gibraltar, depuis le 2 octobre, il y a eu des rapports positifs chez des adultes associés à divers événements et des épidémies communautaires distinctes liées à divers rassemblements religieux. Il ajoute : « Cette semaine, on a constaté une forte augmentation des transmissions sur les lieux de travail ».

Par conséquent, outre l’annonce de l’annulation des fêtes de Noël officielles, des réceptions officielles et autres rassemblements similaires, il appelle le public à faire preuve de discernement à cet égard, en tenant compte des conseils donnés. Il rappelle qu’il faut tenir compte du nombre de personnes, de l’environnement – intérieur ou extérieur – du degré de ventilation si l’on se trouve à l’intérieur, et du fait que les personnes présentes sont vaccinées, âgées ou vulnérables. Il conseille d’éviter les fêtes pendant quatre semaines.

En outre, il déconseille « fortement » l’organisation de grands événements sociaux informels, de fêtes ou de réceptions pendant au moins les quatre prochaines semaines, alors que le programme de vaccination de rappel est en cours de déploiement. « À ce moment-là, il sera également nécessaire de veiller à ce que l’utilisation des installations officielles soit étroitement surveillée et, le cas échéant, de reporter les événements à une date ultérieure », ajoute le document.

Il prévient qu’il est vital que le public suive les directives de la santé publique et prenne toutes les précautions raisonnables pour réduire la transmission du virus afin d’assurer sa propre sécurité, ce qui sera également dans le meilleur intérêt de ses proches.

Il rappelle également que les masques faciaux restent l’une des méthodes les plus efficaces pour réduire la transmission et qu’à Gibraltar, leur port est obligatoire dans les magasins et supermarchés, les établissements médicaux et de soins de santé, les transports publics, les funérailles dans un lieu de culte fermé ou légèrement ouvert et dans le terminal de l’aéroport.

La campagne de vaccination de rappel Covid-19 est actuellement en cours pour les plus de 40 ans, le personnel de santé et d’autres groupes vulnérables. Jusqu’à présent, 12 079 doses de rappel ont déjà été inoculées dans le Rock.

sources :

• sevilla.abc.es/sevi-gibraltar-suspende-fiestas-oficiales-navidad-ante-exponencial-aumento-contagios-covid-19
• ourworldindata.org
• 9news.com.au/australia-on-track-to-surpass-usa-in-vaccination-rates




Ne faudrait-il pas plutôt confiner les « vaccinés » ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La question se pose de plus en plus sérieusement, comme il a été indiqué lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (18/11/21) par Hélène Banoun (23’43) à propos de certaines communautés aux USA qui obligent les injectés à faire une quarantaine avant de rentrer dans leurs cercles. Mais comment s’en étonner du fait d’incohérences de plus en plus pesantes ?

En effet, les injectés sont, de fait, porteurs du virus et de sa protéine. Voilà pourquoi certains peuvent la transmettre – sans s’en apercevoir en plus (puisqu’ils ne se font plus tester) – à la différence des non-injectés qui eux se testent alors qu’ils ne sont pas malades. Et même lorsqu’ils sont “positifs”, ces derniers ne transmettant pas par ailleurs de façon significative.

[Voir aussi, comme explication alternative :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
et les liens inclus]

Moins ironiquement exprimé, le problème s’avère le suivant: les non-injectés sont exclus de partout, à l’exception des transports et des magasins, tout en sachant qu’ils se testent bien plus (pour le train long trajet, l’avion et certains événements) que les injectés qui eux se croient non seulement protégés, mais incapables de contaminer, ce qui est faux comme l’indiquent officiellement les Autorités ne serait-ce qu’en imposant toujours le port de la muselière et ce “rappel” tous les six mois désormais. D’où vient alors la poursuite de cette contamination, si ce n’est des injectés et du fait qu’au fond ce virus comme les autres va et vient et s’avère de surcroît moins létal dans son variant actuel ? L’incohérence domine donc avec éclat.

De plus, l’antienne stipulant qu’au moins “cela” protégerait des “formes graves” est fausse, nulle et non avenue, étant donné que les personnes non injectées qui seraient en majorité en “réa” ou décédées font partie pour l’essentiel des catégories à risque qui auraient dû être protégées préventivement par des traitements précoces. D’où la non-pertinence de cette comparaison viciée ainsi dès le départ. Par ailleurs, nombre de pays qui sont très majoritairement injectés voient en “réa” beaucoup d’injectés et bien sûr aussi des non-injectés, mais qui font partie des catégories à risque, d’où également la non-pertinence de ce comparatif, mais aussi, et surtout, la preuve de l’inefficacité de fait de ces injections alors que, comme l’indique à nouveau et lui aussi le professeur Montagnier, les traitements précoces marchent.

D’où l’incohérence (apparente) de plus en plus criante de toutes ces pseudo-mesures “sanitaires” qui apparaissent de plus en plus affairistes (telle cette présidente de la Commission européenne allant remettre un prix “business” au propriétaire de Pfizer), hygiénistes, sadiques (en martyrisant les enfants avec la muselière et en tapant sur les “mamans louves”), scientistes, sectaires (en faisant la chasse, littéralement, contre toute analyse dissonante, en empêchant de soigner, le médecin n’étant plus qu’un assistant parmi d’autres de l’Ordre ogre cybernétique).

Et la classe politico-médiatique, fascinée (par les milliards [de dollars ou d’euros], et par la puissance narcissique des écrans) jusqu’à en jouir en direct – éructant ordre sur ordre insensé – en veut encore plus, tels des psychopathes sortis tout droit de Scream.

Il serait temps de s’en occuper non ?… Du moins en régime démocratique…




Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH” de l’édition Deluxe de House of Numbers (2009).

Un parallèle à faire avec le SARS-CoV-2, la situation étant très similaire.

[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Quel est aujourd’hui l’article scientifique de référence démontrant que le SARS-CoV-2 soit responsable du Covid-19 ?



Kary Mullis, prix nobel et inventeur de la méthode de test PCR
(Kary Mullis : “Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade”)

Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=vaMZ4NyNCwI
Sous-titres FR https://cv19.fr




Résultats de la vaccination dans les îles lointaines

Par Gérard Delépine

Depuis plus de 18 mois, les fabricants de vaccins, l’OMS, nos gouvernants et les médias complices répètent constamment que la sortie de la crise Covid ne pourrait résulter que des injections anti-Covid expérimentales prétendument « sures et efficaces à 95 % ».

L’analyse de leurs résultats avérés dans les îles lointaines un peu isolées du reste du monde et très vaccinées permet fortement d’en douter. Que ce soit en Océanie (Nouvelle-Calédonie et Fidji) ou dans l’océan Indien tout près de l’Afrique (Réunion, Maurice, Seychelles).

Cette analyse factuelle repose sur les données publiées par l’OMS (consultables à : OMS Covid Dashboard) et les courbes de l’université John Hopkins (consultables à OurWorldinData Covid [nom de pays à mettre en anglais]).

La Nouvelle-Calédonie recense un peu moins de 300 000 habitants

Avant le début de la vaccination seulement 46 cas avaient été observés et aucun mort. La vaccination a débuté mi-janvier 2021 et avait touché 60 % de la population au 15/11/2021.

Cette pseudo vaccination n’a pas évité une vague brutale de Covid en septembre

Entraînant plus de 11 000 nouveaux cas aboutissant à une incidence cumulée de 36 576/million et 272 morts soit une mortalité globale de 906/million. La vaccination n’a donc pas tenu ses promesses d’éviter les contaminations et les morts.

Les Iles Fidji comptent environ 936 000 habitants

La vaccination a débuté le 10 avril 2021 alors que les îles avaient été jusque-là épargnées par l’épidémie. Au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination, le nombre de cas cumulés s’est envolé, dépassant les 52000 soit une incidence de 56 344/million.

Et la mortalité attribuée au Covid a suivi atteignant au 16/11/202, d’après l’OMS 679 morts soit 730/million.

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais leurs politiques sanitaires sont très différentes ; les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce, tout vaccin » tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est donc particulièrement démonstrative.

En 2021, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes

La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 31 (de 600 à 19 000)

et celui des morts par 24 (de 10 à 240).

Selon le dernier rapport de l’Université John Hopkins, le 8 novembre le pays occupait la première place du classement mondial en termes de nombre de morts quotidiens par habitant déclarant 10,99 décès par million d’habitants contre 3,66 aux États-Unis et 1,16 en Espagne. Au 17/11/2021, l’incidence cumulée atteint 14827/million et la mortalité cumulée 187/million.

À Maurice, la vaccination n’a donc pas tenu ses promesses d’éviter les contaminations et les morts.

L’échec vaccinal des Seychelles

Ce petit État africain pauvre compte à peu près 100 000 habitants et cherche à favoriser le tourisme de luxe qui constitue sa principale ressource. Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés sans aucun mort. Pour sauver sa prochaine saison touristique et rassurer ses touristes potentiels, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population.

L’inde et la Chine lui ont fait cadeau de plus de 120 000 doses qui ont été administrées à partir du 11 janvier 2021. Au 15 novembre 2021, il est un des pays les plus vaccinés au monde avec une couverture vaccinale supérieure à 80 %.

Depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas positifs à coronavirus qui ont atteint près de 500 cas journaliers plusieurs jours de suite début mai 2021, conduisant le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos… Au 17 novembre 2021, le pays comptait 22 722 cas confirmés et 122 morts contre 500 cas et 1 mort avant la vaccination.

Après 10 mois de vaccination, malgré un taux de couverture vaccinale de 80 %, le nombre de contaminations a été multiplié par 44, la mortalité par 122, le pays a été confiné et sa saison touristique fortement compromise.

L’incidence globale par million atteint 227 220 et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1220/million.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin.

L’épidémie reste active. Au 17/11/2021 le nombre de cas cumulé atteint 55 865 (incidence 61718/M) avec 376 morts (mortalité 415/M).

Injectés à 60 %, 70 % ou même 80 % de la population les pseudo vaccins anti-Covid n’ont donc pas rempli leur rôle de prévention ni de la transmission de l’épidémie ni de la mortalité.

Madagascar

L’île de Madagascar compte environ 29 milllions d’habitants Au 3 novembre 2021, un total de 547 311 doses de vaccin ont été injectés et moins de 2 % de la population a été injectée le gouvernement ayant fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local l’Artémisine qui a été beaucoup consommée.

Au 17/11/2021 l’épidémie est maîtrisée depuis début juillet après 43 672 contaminations et 964 morts soit une incidence globale de 1617/million et une mortalité globale 35/million

Conclusion

Le traitement précoce et/ou préventif par Artémisine a permis à Madagascar de pleurer 6 à 35 fois moins de morts par million que la stratégie du tout vaccin adoptée dans les autres îles

Nos dirigeants devraient considérer les résultats avérés des politiques sanitaires plutôt que de croire en des simulations biaisées qui ne servent qu’à affoler les populations et détourner la stratégie au profit des pseudo vaccins expérimentaux qui laissent l’épidémie prospérer.




Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !

[Source : Kla.TV]

Dans l’émission affichée à l’arrière-plan, j’avais parlé de l’importance de surveiller de près les taux de mortalité à partir du moment où la vaccination commencerait. Vous vous en souvenez. Entre-temps, le décompte officiel montre que le nombre moyen de décès a augmenté de pas moins de 24 000 % depuis le début de la vaccination contre la maladie du Covid, et ce sans les cas non enregistrés. Il faudrait donc refaire le calcul.

[Ndlr : ce qui vaut pour la Suisse vaut pour les autres pays qui ont pactisé avec la GAVI.
Voir aussi :
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma]



Je suis à nouveau tombé sur des révélations explosives concernant un monstre de la vaccination qui n’a pas seulement la Suisse, mais tous les pays du monde sous son emprise. L’exemple de la Suisse vous montre ce qui se passe quand on s’associe à une alliance mondiale pour la vaccination. Et là, nous parlons de GAVI.

En effet, notre Conseil fédéral suisse l’a déjà fait le 23 juin 2009, en concluant un accord avec GAVI sans tenir compte du peuple et de la démocratie. Cet accord est tellement explosif qu’il est totalement inacceptable que la plupart des Suisses, et des personnes du monde entier en général, n’en soient toujours pas informés.
Avant de voir de quelles monstruosités notre Conseil fédéral suisse est donc capable, puissions-nous, nous Suisses, prendre conscience que c’est précisément à ce Conseil fédéral que nous donnerons le pouvoir absolu sur nous jusqu’à la fin de l’année 2031, si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre prochain contre le durcissement de la loi Covid !

Mais commençons par un bref aperçu de ce qu’est GAVI :
En 1999, des représentants de l’association des entreprises pharmaceutiques se sont réunis au centre italien de Bellagio avec des représentants de l’UNICEF, de la Banque mondiale, de la Fondation Rockefeller, de l’OMS et, bien entendu, avec Bill Gates.
Les discussions y ont porté sur les programmes de vaccination pour les pays en développement, financés jusqu’alors par la fondation Rockefeller et mis en œuvre par l’OMS. Mais ces programmes de vaccination souffraient toujours de difficultés financières – comme ils disent. C’est pourquoi il a été décidé lors de cette réunion de créer GAVI, c’est-à-dire l’Alliance Globale pour les Vaccins.

Bill Gates a donné au nouveau venu GAVI une petite aide financière de départ de 750 millions de dollars. L’année suivante, la création de GAVI a été officiellement annoncée au Forum économique mondial de Davos, c’est-à-dire au FEM. Et pas annoncé au peuple suisse… Comprenez bien de quoi je parle maintenant.

L’objectif premier de GAVI est de permettre aux pays en développement d’accéder aux vaccins et d’intégrer les programmes de vaccination dans leur système de santé. Nous savons depuis le Covid qui GAVI compte parmi les pays en développement. Depuis 2019, le monde entier est en effet sous l‘emprise de cette pieuvre mondiale, appelée Alliance Globale pour les Vaccins.

Pourtant, GAVI n’a jamais été légitimée démocratiquement. GAVI n’est qu’une fondation privée dont le siège est à Genève. Elle est dirigée par un conseil d’administration de 18 membres. Au sein de ce conseil siègent, comme nous l’avons déjà mentionné, des représentants de la fondation Bill & Melinda Gates, de la Banque mondiale, de l’OMS, de l’UNICEF ; mais aussi des représentants des gouvernements des pays membres de GAVI, des représentants des gouvernements des pays en développement qui participent aux programmes de GAVI, etc. et bien sûr, on y trouve aussi des représentants des fabricants de vaccins en grand nombre, ainsi que les principaux dirigeants du secteur financier ; et puis encore diverses organisations non gouvernementales (dites ONG) et – tout cela réuni au sein d’un même conseil d’administration.
Voilà pour la compréhension de base de GAVI : il nous faut maintenant parler de cet accord entre le Conseil fédéral suisse et GAVI. Dans cet accord, cette Alliance GAVI est tout à coup reconnue « par la Suisse“ – soit au nom de la Suisse – comme une personnalité juridique internationale. Et ce, bien que le mandant du Conseil fédéral, c’est-à-dire le peuple suisse, ne savait absolument rien de cette personnalité GAVI, que je qualifierais d‘ « alliance secrète ».

Cela reviendrait donc, si je fais une comparaison, à ce que ma femme fonde dans mon dos et en mon nom une gigantesque entreprise dont je n’ai pas la moindre idée, mais dont je suis entièrement responsable et pour laquelle on peut me demander à tout moment des comptes. Vous comprenez ? Et maintenant, voyons tout de suite quels privilèges notre Conseil fédéral a garantis à cette Alliance GAVI au nom de « la Suisse », derrière notre dos :
Par exemple, l’inviolabilité de tous les bâtiments et du terrain à Genève où est implantée GAVI. L’inviolabilité, qu’est-ce que c’est ? Je vais le dire pour ceux qui ne comprennent pas ce mot. En clair, cela signifie qu’aucun représentant des autorités suisses ne peut pénétrer dans un quelconque bâtiment ou terrain de GAVI sans l’accord explicite du directeur de GAVI. Intéressant, non ? Au nom du peuple suisse, qui n’en sait absolument rien, il a été reconnu par la loi que les bâtiments, les terrains et les biens de GAVI ne peuvent jamais être inspectés, confisqués, expropriés ou saisis. Le peuple suisse n’a aucun pouvoir. Or, à notre insu, il a été reconnu au nom de la Suisse que toutes les archives, tous les documents et tous les supports de données de GAVI sont inviolables, et intouchables. Aucune personnalité ou instance, aussi élevée soit-elle, ne peut accéder à leur correspondance, à leurs documents, à leurs supports de données, etc. De plus, le Conseil fédéral suisse a accordé à GAVI l’immunité juridique et d’exécution. Imaginez-vous cela ! A l’exception des infractions au code de la route, s’ils ont un accident quelconque avec leur véhicule. Pour le reste, ils sont immunisés.
En d’autres termes, GAVI peut recevoir tout type d’avoirs ou de valeurs mobilières, peut les conserver, les convertir, les transférer et peut en disposer librement en Suisse. Le transport ou l’envoi de toute correspondance ou de tout support d’information est considéré comme une valise diplomatique. Tous les fonds ou toutes les fondations qui sont sous la surveillance de GAVI jouissent ensemble des mêmes droits que GAVI elle-même – donnés par notre Conseil fédéral – donc également de l’inviolabilité et de l’immunité pour tout ce qui a trait à GAVI.

Vous voyez, de cette perspective, les concessions fondamentales faites à GAVI, telles que nous les connaissons ailleurs, prennent naturellement un tout autre poids, comme la garantie par le Conseil fédéral d’une indépendance totale et d’une liberté commerciale, mais aussi d’une liberté de réunion, de parole, de décision et de publication illimitée, etc. Vous comprenez ?

Plandémie ou pas, tous les membres du conseil de la fondation, le directeur, son adjoint, les membres des comités consultatifs, mais aussi les collaborateurs de GAVI jouissent tout simplement d’une immunité totale, et ce même s’ils ne travaillent plus chez GAVI. C’est incroyable ! Le directeur de GAVI, son adjoint et les hauts fonctionnaires de GAVI bénéficient des mêmes droits que les diplomates. En clair, un Bill Gates a aujourd’hui des droits que seul un Etat entier possède.

Je vais donc tirer une conclusion jusqu’ici : Dans cette situation, une organisation totalement privée, qui n’a de légitimité démocratique nulle part, jouit d’une légitimité politique d’une étendue qu’on peut à peine imaginer !

Et ce qui est le plus incroyable, c’est que le Conseil fédéral suisse a déclaré dans cet accord que tous les bâtiments, y compris le site de GAVI à Genève, sont une zone extraterritoriale. En clair, cela signifie que même la juridiction suisse n’y est plus valable et que personne ne peut pénétrer sur ce site sans autorisation. Je fais une jolie petite analogie avec la City of London, qui est totalement privée et dont la majorité de l’humanité pense encore aujourd’hui qu’il s’agit du nombril de l’Angleterre, alors que même la reine Élisabeth n’y obtient d’autorisation d’accès qu’en s’agenouillant. Voilà ce qu’il en est. Le même spectacle se déroule dans le petit Etat du Vatican de 44 hectares avec ses 1 000 habitants et tous leurs privilèges et droits inaliénables.

En bref, GAVI a le même statut en Suisse que la Banque des règlements internationaux à Bâle, en abrégé BRI, qui est également considérée comme une zone extraterritoriale. Même en cas de litige au sein de la GAVI, cet accord du Conseil fédéral garantit que tout doit ou peut être réglé en interne, sans intervention extérieure.

Vous voyez, ce sont là les dérives factuelles de ces accords que nous allons encore regarder pour finir : depuis 2011, GAVI est financée en grande partie par les gouvernements, à travers ce qu’on appelle les Conférences de donateurs. Rien qu’au cours des dix dernières années, les gouvernements ont fait don à GAVI – écoutez bien – de quelque 23 milliards de dollars. Et cet argent est bien entendu utilisé par GAVI pour ses programmes de vaccination. Nous en subissons actuellement les conséquences dans le monde entier. N’oublions jamais la chose suivante : ces fonds que GAVI, elle-même exonérée d’impôts, reçoit en grande partie des gouvernements, c’est l’ARGENT DES IMPOTS des citoyens pour la plupart totalement ignorants. Donc pas seulement des Suisses, mais de tous les pays qui cofinancent GAVI. Elle est financée par l’argent de nos impôts. Il est donc difficile d’expliquer que ces gouvernements financent avec l’argent de nos impôts une organisation totalement privée, sans légitimité démocratique, qui est en outre absolument exempte de toute obligation de rendre des comptes et de toute juridiction. Beaucoup d’immunité contre les poursuites judiciaires… Oui, même notre Parlement fédéral n’a pas eu le droit de participer aux délibérations ou aux décisions concernant cet accord.

Je dois maintenant conclure : Si nous, Suisses, ne déposons pas dans l’urne le 28 novembre 2021 un NON clair au renforcement de la loi Covid, le Conseil fédéral pourra continuer à prendre des décisions dans des cas dits « d’urgence » sans en informer le Parlement – et ce dès maintenant et jusqu’à fin 2031.

Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, cela signifie que pendant 10 ans, le Conseil fédéral pourra continuer à intervenir seul dans notre législation en ce qui concerne la loi sur les dettes et les faillites, et ainsi restreindre nos droits de propriété ! Réfléchissez bien, vous les Suisses, à ce que cela signifie.

J’ai encore une chose à dire : Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous permettons au même Conseil fédéral de décider seul des restrictions de la vie économique et sociale de manière arbitraire – et ce jusqu’à fin 2031, c’est-à-dire sans droit de veto du Parlement !

Je le répète : Si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous légitimerons le même Conseil fédéral qui, derrière notre dos, a mis en place, a maintenu et maintient encore en place, la GAVI contre nous. Et qui peut, de sa seule compétence, établir une discrimination et une surveillance de masse de groupes ou d’individus, comme par exemple : le traçage des contacts, les seuils, les plans de vaccination, les quarantaines et les tests, etc.

Et c’est pourquoi, encore une fois, si nous ne déposons pas un NON clair dans les urnes le 28 novembre, nous tolérerons que le certificat Covid permette une restriction et une surveillance durables des citoyens que nous sommes !

Donc en résumé celui qui ne veut pas accepter sans résistance une loi d’habilitation, comme il y en a eu une pour la dernière fois sous le troisième Reich, qu’il dépose un NON clair dans l’urne le 28 novembre. Et je dis maintenant : S’il vous plaît, transmettez ce savoir à tous ceux qui n’ont pas encore connaissance de ces contenus. Maintenant c’est très important. Chaque heure compte, littéralement. Alors s’il vous plaît, profitez du temps et allez-y. Notre Suisse ne sera plus la même si les NON au durcissement de la loi Covid ne l’emportent pas très nettement, s’ils n’obtiennent pas la majorité. – Je le dis : le sprint final a commencé !

Je suis Ivo Sasek qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.




Dr Vladimir Zelenko : « C’est un génocide »

[Source : Eric Montana/VK via Sott.net]

[Photo : Dr. Vladimir Zelenko]

Par Éric Montana

Lorsque je disais que l’opération Covid et la vaccination qui l’accompagne sont une conspiration criminelle, beaucoup d’ex confrères des mainstream disaient de moi que j’avais « perdu la raison », que j’avais sombré dans le « complotisme compulsif »…

Aujourd’hui, dans le monde entier des journalistes indépendants, des scientifiques, des médecins, des virologues, Michael Yeadon ex vice président de Pfizer, le Dr Zelenko qui a soigné Trump et Bolsonaro avec de l’hydroxychloroquine, affirment la même chose que moi.

Ont-ils tous « perdu la raison » ? Sont-ils tous des « complotistes compulsifs » ?

Malheureusement non. La vérité éclate partout et comme le disait l’anthropologue américain Alexis Bugnolo :

« Quand ce sera clair pour tout le monde que les gens vaccinés sont en train de mourir, ces gens deviendront extrêmement en colère, il y aura des émeutes dans toutes les grandes villes, nous verrons la chute des gouvernements et ils tueront ces politiciens, journalistes et ces médecins pour ce qu’ils leur ont fait juste avant qu’ils ne meurent eux-mêmes. Il y aura énormément de troubles civils. »

Et quand en Autriche, le Secrétaire Général du parti FPÖ incite les citoyens à l’insurrection pour chasser les criminels du gouvernement, nous comprenons tous, que c’est ce qui va se passer partout dans le monde occidental. Ce n’est qu’une question de temps.



Commentaire [Sott.net] : Et voici une autre vidéo récente du Dr Zelenko :



Sources :

Eric Montana sur VK

Vidéo par Jacob Cohem




Syndromes néo-nazis à SciencePo chez Mélenchon (et « systématiquement » ailleurs)

Par Lucien Samir Oulahbib


En voulant inscrire dans la Constitution la possibilité de « choisir » d’être un homme ou une femme (même pour les nouveau-nés ?) Mélenchon milite, de manière désormais sans ambages, pour la manipulation génitale des corps. Il veut imposer d’autre part le métissage généralisé sous peine d’être exclu socialement (dans un premier temps). Voilà pourquoi son nazisme (national-socialisme) est « néo »: il y aura bien intervention physique sur les corps dès l’enfance (modification hormonale) ; et toute une rééducation mentale sera effectuée à divers niveaux (importation de la révolution culturelle maoïste) à commencer sans doute (mais déjà là) par la commémoration de la défaite des Sarrasins devant Charles Martel (pour la regretter), puisque — comme Hitler — Mélenchon ne cesse de s’en lamenter. L’islam aurait pu être « une chance civilisationnelle pour la France », dit-il sans cesse. Et il n’est en effet pas trop tard pour rattraper le temps perdu comme on peut s’en apercevoir de plus en plus chaque jour dans les rues de nos villes…

Quant au reste de la rééducation, Mélenchon ne sort pas des vieilles antiennes léninistes, exportant sur les boucs émissaires habituels les maux permanents des sociétés (injustice, corruption…). Staline y ajoutait le Juif, suivant ici Hitler. Mélenchon remplace seulement le terme par « sioniste » et défile par exemple sans souci avec ceux qui veulent les rejeter à la mer ou les exterminer.

Il faut prendre toute cette affaire de plus en plus au sérieux : l’anathème « extrême droite », par exemple, que Mélenchon peut rétorquer chaque fois qu’il est tancé sur ces trois sujets (manipulation génitale, métissage imposé, islam salvateur) ne tient pas, car il provient de ces gens qui comme lui confondent volontairement toute critique démocratique avec l’extrême droite et cette dernière avec le nazisme et le fascisme.

L’extrême droite comme son nom l’indique est la frange radicale de ce qui est appelé la droite en ce qu’elle milite pour un régime fort défendant une culture initiale qui se distingue de la « massification » abrutissante et pour ce faire prétend jusqu’à aller faire taire le parlementarisme jugé trop « bavard » selon l’expression bien connue de Donoso Cortès.

Le fascisme prend en compte cet aspect anti-parlementariste, mais il ne s’agit pas pour lui de lutter contre la massification : il s’agit plutôt de s’en servir via les « faisceaux » tout en purifiant le corps social de ses rebuts afin de renouer avec la grandeur romaine d’autrefois qui pouvait d’ailleurs appeler en son sein des dictateurs afin de « conduire » le peuple.

Quant au nazisme, la notion de purification est cruciale afin de purger le terme « nation » de ces éléments qui en pervertissent le sédiment bio-ethnique initial et cela se fait grâce au « socialisme », celui de l’État total qui régit tout jusqu’au plus profond de l’intime, d’où la nécessité également d’un eugénisme et de la destruction des éléments jugés corrupteurs.

Pour le néonazisme, la purification mentale se fait par la manipulation génitale et l’eugénisme idéologique en sélectionnant la race des éléments supérieurs au sens où ils ont la bonne couleur de peau (non blanche), le bon discours (effacement de tout ce qui est occidental et autodafé mental et médiatique), le bon sexe (trans permanent), la bonne hygiène au sens large (jusqu’à réguler ton taux de carbone jugé nocif pour « Gaïa »). Le néo-nazisme est également un néo-paganisme.

À cela s’ajoute la purification hygiéniste et scientiste générale qui vise à voir les corps comme étant de la matière malléable selon les desiderata étatistes du moment tel qu’éradiquer tout « cas » provenant d’une interaction avec un « virus », alors que ce dernier est un élément permanent et que le premier ne doit pas être confondu avec l’état de malade (2% des hospitalisations en France en 2020 pour la C-19, 5% en soins intensifs. Et parmi ces 2 %, 11 % de ces 5 % sur ces 2 % sont décédés faute de soins précoces, soit en prorata : epsilon). Le plus à « gauche » militent pour que les profits des affairistes bénéficient aussi à leurs ouailles (revendications également des fascistes et des nazis qui voulaient mettre leurs gens à la tête des firmes). Mélenchon milite certes contre le « pass » de la discrimination dite « sanitaire », mais ce uniquement parce qu’il ne veut pas laisser ce terrain à « l’extrême droite », pas plus qu’au « Gilet Jaune », ce qui fait qu’il a tué ce dernier en permettant à la violence ultragauche de s’épanouir avec sa bénédiction. Et aujourd’hui, il cherche à parasiter la révolte contre le « pass », mais pour des raisons purement tactiques : ne pas laisser le peuple choisir ses propres dirigeants en bon léniniste qu’il est resté (ainsi les soviets étaient expurgés des éléments pourtant choisis par la base, mais jugés anti-bolcheviques).

Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que les Milices dites « Antifa » ne supportent pas dans les Universités et Instituts que leur classification par couleur de peau — allégeance à l’effacement culturel et à l’autodafé mental — soit contestée, d’où les interdictions et purges permanentes comme SciencePo vient de l’établir à l’encontre du directeur de Valeurs Actuelles, le tout dans l’indifférence générale, tant, et ce plus largement encore, ce néonazisme débarrassé de ses vieux oripeaux qui désignaient de façon trop primaire le « Juif » ou le « bourgeois » montre maintenant du doigt le « sioniste », le « blanc hétéro-normé » et le » non-vacciné » comme étant ses nouveaux ennemis à écarter en attendant le moment où il sera possible de les parquer (« confiner »). Ce régime maoïste songe même à les mettre à mort.

Il existe donc une différence de degré et non de nature entre les différentes couleurs (« arc-en-ciel ») de ce néonazisme qui trie par couleur de peau, sexualité, risque de contamination idéologique et physique. Le port volontaire de la muselière pour certains est le signe par excellence de ce souhait de soumission qui n’est pas pour déplaire aux partisans d’une emprise plus « religieuse » sur les corps (au sens littéral : religare : relier, lier, les corps et donc âme et conscience également) à l’emprise cybernétique, les numérisant jusqu’à leur faire oublier tout angle droit, base fondamentale qui permet pourtant (chez Pythagore déjà) de distinguer des lignes formant socle et par là édifier une vision. Aujourd’hui, le néonazisme milite pour son Grand Remplacement par une succession d’images sans scénario : montagnes de corps sans organes, mais (dé)branchés. Triomphe de l’art contemporain qui avait déjà dessiné toutes ces prémisses, celles de ce « sans » scénario se qui se traduit en « trans »(e) perpétuel(le) sous électrochoc permanent.

Le 17/11/2021




Vaccination et taux d’incidence, l’escroquerie se poursuit. La vaccination n’est PAS de nature à diminuer l’épidémie en France

Par Alain Tortosa,

No Département Couverture Incidence
77 Seine-et-Marne 64,9 81,06
91 Essonne 65,8 75,41
60 Oise 67,2 71,87
85 Vendée 84,7 140,37
65 Hautes-Pyrénées 85,2 130,05
75 Paris 92,1 134,53
(*)Ces données ont été extraites sur geodes.santepubliquefrance.fr le 17 novembre 2021.

  • Couverture vaccinale des personnes complètement vaccinées selon le sexe (%) hommes et femmes 2021-11-15
  • Taux d’incidence — Semaine glissante — tous âges
  • Le tableau ci-dessus se suffit à lui-même…

    Les médias et médecins malhonnêtes ou corrompus ne se privent pas de citer les départements avec un taux de vaccination faible ET avec un taux d’incidence élevé pour manipuler le peuple et vendre de la vaccination « indispensable ».

    Ils ne se privent pas de dire que les pays européens qui subissent une nouvelle vague ont les taux de vaccination les plus faibles.

    Les informations qu’ils citent sont exactes, mais ils « oublient » de parler de tous les départements dans lesquels c’est exactement l’inverse.

    Bien entendu, ils passent sous silence les Pays-Bas ou nous expliquent, comme de bien entendu, que la situation n’est pas comparable avec la France comme elle n’a jamais été comparable avec la Suède.

    Raison pour laquelle je ne parlerai ici que de la France.

    De plus je n’ai pas retenu les départements d’outre-mer, car on pourrait me rétorquer « densité de population » ou « circulation du virus », « isolement ». ou « taille des cocotiers »…

    Nous voyons sur ce tableau que des départements les moins vaccinés, avec moins de 70 % de couverture vaccinale, ont des taux d’incidence parmi les plus faibles au tour de 70-80. Départements qui pour autant ont une forte densité de population.

    Tandis que des départements avec une couverture vaccinale de plus de 80 % ou même 90 % de la population (chiffre délirant s’il en est) ont des taux d’incidence de 130-140 soit presque deux fois plus.

    Nous pourrions débattre du peu de manque de fiabilité du taux d’incidence ou même de la manipulation des chiffres par le gouvernement, mais ce n’est pas le propos de mon petit papier.

    Le fait est que c’est le taux d’incidence qui est utilisé par la dictature pour nous priver toujours plus de libertés et nous obliger à nous injecter de l’ARNm expérimental.

    En résumé, sur les données gouvernementales, il n’y a strictement aucune corrélation en France métropolitaine entre le taux d’incidence (marqueur décisionnel) et le taux de vaccination.

    Donc selon les données gouvernementales la vaccination N’EST PAS de nature à diminuer l’épidémie, affirmer le contraire est un mensonge.

    Merci

    Alain Tortosa.

    17 novembre 2021

    https://7milliards.fr/tortosa20211117-vaccination-incidence-mensonge.pdf




    Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire»

    [Source : lefigaro.fr]

    Par Mathieu Slama

    En Autriche, les autorités ont annoncé la mise en place d’un confinement pour les personnes non-vaccinées. Selon l’analyste politique, une telle mesure permet de désigner des coupables tout trouvés.

    Consultant et analyste politique, Mathieu Slama collabore à plusieurs médias, notamment Le Figaro et Le Huffington Post. Il a publié La guerre des mondes, réflexions sur la croisade de Poutine contre l’Occident, (éd. de Fallois, 2016).


    Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé, dimanche 14 novembre, l’entrée en vigueur dès ce lundi d’un confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas guéri du Covid-19. L’Autriche devient le premier pays au monde à mettre en place une telle mesure, qui s’installe donc au cœur même de l’Europe démocratique et libérale. Avec ce confinement discriminatoire, nous franchissons une étape supplémentaire dans la politique autoritaire mise en place pour lutter contre le Covid, puisqu’il s’agit désormais d’aller au bout de la logique du passe sanitaire, c’est-à-dire exclure définitivement les non-vaccinés de toute vie sociale.

    La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise.Mathieu Slama

    S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le passe sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le passe sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière.

    Pourquoi en irait-il différemment de ce confinement discriminatoire mis en place par l’Autriche ? On a entendu hier soir plusieurs candidats de droite à la présidentielle indiquer qu’ils n’étaient pas défavorables à l’idée de confiner les non-vaccinés seulement. Le Professeur Gilles Pialoux a déclaré ce matin que le confinement des non-vaccinés «avait du sens d’un point de vue médical». Tous les tabous sautent un à un, et ce n’est qu’une question de temps avant que celui-ci ne soit brisé.

    À LIRE AUSSI : «Quelles erreurs de raisonnement ont permis l’acceptation du passe sanitaire ?»

    Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique. L’enjeu que nous voudrions soulever ici est ailleurs.

    La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

    Le philosophe René Girard élabore, dans son ouvrage célèbre La Violence et le sacré, l’idée selon laquelle les sociétés sont, depuis les origines, troublées par un mal, le désir mimétique, source de rivalités et de conflits, et qu’elles ont résolu ce mal en désignant une victime sacrificielle, le bouc émissaire. «À l’agitation et à la peur qui ont précédé le choix du bouc émissaire, puis à la violence exercée contre lui, succède, après sa mort, un climat nouveau d’harmonie et de paix», écrit Girard.

    Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.René Girard

    Le bouc émissaire est à la fois celui qui concentre toute la responsabilité de la crise et celui qui garantit, par son sacrifice, le maintien de l’ordre social. Pour Girard, «qu’elle soit physique ou psychologique, la violence infligée à la victime nous paraît justifiée par la responsabilité du bouc émissaire dans la survenue d’un mal dont il convient de se venger, d’un élément mauvais ou nuisible auquel il faut résister ou qu’il importe d’éliminer». Chaque crise a donc son coupable désigné. «Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative».

    Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et «rebondit» (selon le mot consacré).

    À LIRE AUSSI : Loi de vigilance sanitaire: «Le gouvernement impose, le Parlement exécute»




    Pascal Jouary : « Le secret-défense autour de la gestion du Covid ne sera levé que dans 50 ans ! »

    [Source : Sud Radio]

    Avec Pascal Jouary, journaliste, auteur de « Secret-défense : le livre noir », une enquête sur 40 affaires entravées par la raison d’État, aux éditions Max Milo.




    Effets indésirables : des parents d’enfants décédés ou malades se battent pour faire émerger la vérité

    [Source : CovidHub.ch]

    L’association française VERITY a vu le jour fin octobre. Elle a été fondée par trois familles de jeunes morts brutalement après leur « vaccination » contre le Covid-19. Sur diverses plateformes, elle recueille les témoignages douloureux de victimes ou de leurs proches désemparés.

    Le but des parents de Maxime, Mélanie et Sofia* : « obtenir des réponses à leurs questions, faire cesser l’omerta sur les effets indésirables, et éviter à d’autres de vivre cette douloureuse expérience » peut-on lire dans l’article que le magazine Nexus a consacré à leur initiative.

    Le 15 octobre dernier, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, n’hésitait pas à affimer :

    « Il n’y a pas, à ce stade, de cas de décès avéré imputable à la vaccination. »

    Lutte contre la censure et le déni

    De plus en plus nombreux sont désormais ceux qui, en France et ailleurs, ne sont pas d’accord avec lui et cherchent à le faire savoir. D’autres groupes sont nés, notamment sur Telegram, comme Vaccins Covid 19 Effets secondaires et Chrétiens Anti-Vaccins.

    Mais pour y parvenir, ils doivent lutter contre censure et déni. Persévérer pour se faire entendre, créant (parfois pour la sixième fois !) des pages Facebook, des sites web et/ou des fils Telegram. Leur ton est parfois véhément, traduisant un fort sentiment de frustration.

    VERITY recueille pour sa part les témoignages de familles désespérées, ou des victimes elles-mêmes. Elle leur offre un espace d’expression libre où évoquer les myocardites, péricardites, thromboses et autres neuropathies dont elles ont été souffert/souffrent.

    Mais aussi l’absence de recours, de reconnaissance et de soutien officiels auxquelles elles doivent, en plus, faire face.

    En France, c’est le silence dans les médias. Pascal Praud, de Cnews, a été l’un des premiers à interviewer le mari d’une victime, Marc Doyer, qui a depuis rejoint l’association VERITY.

    Aux Etats-Unis, c’est notamment à l’initiative du républicain Ron Johnson, sénateur du Wisconsin, que les premiers témoignages sur des effets indésirables graves ont pu commencer à être entendus « officiellement ».

    Il avait convoqué fin juin 2021 une conférence de presse pour donner la parole à des victimes ou des familles de victimes. Comme celle de Maddie Garay, 13 ans, qui a pris part à l’essai de Pfizer l’an dernier. La jeune fille est aujourd’hui en fauteuil roulant, victime de graves neuropathies (voir lien ci-dessous).

    Les « vaccins » provoquent un « génocide des jeunes » avertit le Professeur Peter McCullough

    Plus récemment c’est à son initiative qu’un panel d’experts a été réuni, au nombre desquels figurait Peter Doshi, rédacteur du prestigieux British Medical Journal (voir ci-dessous le sujet publié sur CovidHub).

    De son côté, le Prof. Peter McCullough, cardiologue renommé, a récemment lancé un avertissement cinglant concernant la surmortalité mondiale observée en raison des « vaccins », qui provoqueraient selon lui un véritable « génocide » chez les jeunes.

    En Suisse, le sujet est encore largement passé sous silence. Les médias se contentent pour le moment de donner sans vrais commentaires le nombre des effets indésirables répertoriés par l’Agence Swissmedic, si n’est qu’ils seraient « pour la majorité des cas inoffensifs. »

    Sources & références :

    Nexus / Des parents d’enfants décédés ou malades suite à l’injection contre la Covid-19 se rassemblent pour la Vérité

    Site web de VERITY FRANCE

    Page Facebook de l’association VERITY FRANCE

    Fil Telegram de VERITY FRANCE

    Fil Telegram de Vaccins Covid-19 Effets secondaires

    Fil Telegram de Chrétiens Anti-Vaccins

    Témoignage de la mère de Maddie Garay (conférence de presse organisée par le Sénateur Johnson /le témoignage commence à 1:58)

    Marc Doyer au bord des larmes sur CNews

    24 Heures / Un tiers des effets indésirables sont jugés graves

    Voir aussi sur CovidHub :

    https://www.covidhub.ch/pr-doshi-devant-le-senat-us-les-essais-cliniques-nont-pas-montre-que-les-vaccins-geniques-sauvent-des-vies/embed/#?secret=CYRVrBtkaP

    https://www.covidhub.ch/une-surmortalite-mondiale-due-aux-vaccins-anti-covid-selon-le-pr-mccullough/embed/#?secret=fAhNETOeah

    *Concernant le cas de Sofia :

    https://www.covidhub.ch/le-vaccin-janssen-est-lance-en-suisse-et-suspendu-en-slovenie-autre-technologie-meme-probleme/embed/#?secret=JIbHwbRlvm




    Pour la dissolution du Conseil national de l’Ordre des Médecins !

    [Source : leslignesbougent.org]

    Adressé à : Olivier Véran, Ministre de la santé

    Autrefois fondée pour les meilleurs desseins, L’Ordre des Médecins est devenu aujourd’hui un organisme dépassé.

    Entre la compétence des médecins qui n’est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l’impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ?

    Oui la liste est longue, comme vous pourrez le constater par vous-même un peu plus bas !!

    Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.

    Le Conseil national de l’Ordre des Médecins est un organisme archaïque qui cumule aujourd’hui les affaires louches, le tout dans un esprit obscurantiste et malsain.

    Nous ne sommes plus en sécurité tant que l’Ordre des Médecins existera et détiendra autant de pouvoirs. Je fais donc un appel général au bon sens de tous les citoyens pour demander à ce que cet organisme soit aboli et remplacé par un nouveau plus sain, plus moderne et plus ouvert d’esprit.

    JE SIGNE LA PÉTITION

    L’Ordre des Médecins : à l’origine, c’était quoi ?

    L’Ordre des Médecins est né le 7 octobre 1940, sous le régime de Vichy, prenant la forme d’un organisme de droit privé chargé d’une mission de service public :

    • veiller au respect de l’éthique médicale,
    • accompagner les médecins en matière de déontologie, de justice et dans leurs démarches administratives,
    • se poser comme garant de la relation médecin-patient,
    • et comme conseiller des pouvoirs publics et des organismes français de santé publique.

    Bien que créé dans un contexte sombre, les missions confiées à cet organisme semblent a priori utiles, voire indispensables. En tout cas en théorie.

    Mais dans les faits, le Conseil de l’Ordre ne remplit plus sa mission !

    Qu’en est-il de l’Ordre des Médecins aujourd’hui ?

    Dans une tribune publiée le 9 mars 2021, 26 organisations (parmi lesquelles plusieurs syndicats de médecins et des associations de patients) ont demandé officiellement la dissolution de l’ordre.

    Selon les auteurs de cette tribune, le Conseil de l’Ordre « protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants. »

    Et ce ne sont pas des accusations en l’air. Elles reposent en effet sur un rapport à charge de la Cour des comptes paru en décembre 2019,(([1] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/272231.pdf)) pour le moins édifiant.

    Voici quelques uns des nombreux manquements que ce rapport soulève :

    • un contrôle insuffisant de l’exercice de la profession et de la déontologie ;
    • une absence de contrôle de l’actualisation des compétences des médecins ;
    • un contrôle hétérogène des contrats entre médecins et industriels ;
    • une faible implication de l’Ordre des Médecins dans l’accès aux soins ;
    • divers problèmes de gouvernances et défaillances de gestion, etc.

    JE SIGNE LA PÉTITION

    Mais il y a bien pire !

    Voici trois dysfonctionnements extrêmement graves que ce rapport soulève aussi :

    1) Tout d’abord, l’indulgence dont bénéficient les médecins à qui des patient(e)s reprochent des abus sexuels (pages 104 à 108 du rapport).

    Malgré les signalements allant jusqu’à des condamnations au pénal, on ne constate AUCUNE sanction de la part de l’Ordre en lui-même.(([2] Par exemple, l’affaire du chirurgien Joël Le Scouarnec, condamné par la justice en décembre 2020 pour viols et agressions sexuelles sur mineurs, mais aucunement inquiété par l’Ordre. https://www.lepoint.fr/justice/affaire-le-scouarnec-l-introuvable-sanction-disciplinaire-28-08-2019-2332206_2386.php#))

    2) Ensuite, les arrangements obscurs entre les médecins et les laboratoires pharmaceutiques.

    La Cour de Compte a pu en effet observer un fait étrange : aucun rappel à l’ordre n’a été émis par le conseil de l’ordre concernant les conventions entre les fabricants de médicaments et les prescripteurs… aucun !  (page 33 du rapport)

    À croire que tous les médecins sont irréprochables à ce propos… la bonne blague !

    Lorsque le journal Le Monde a souhaité enquêter sur ces relations troubles en mars 2019, le Conseil national de l’Ordre des médecins a refusé de communiquer sa base de données contenant les contrats conclus entre les laboratoires pharmaceutiques et les médecins.(([3] https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/09/30/conflit-d-interets-l-impossible-acces-aux-contrats-conclus-entre-les-laboratoires-et-les-medecins_6054218_3224.html)) Pourtant, fin 2011, après le scandale du Mediator, qui avait révélé l’emprise du laboratoire Servier sur la médecine française, la loi Bertrand avait instauré une obligation de transparence sur ces collaborations.(([4] Loi Bertrand et loi anti-cadeaux : les dessous de la transparence – Le petit juriste))

    3) Et finalement, les fonds dédiés à l’aide aux médecins en difficulté attribués majoritairement aux conseillers ordinaux (soit les dirigeants du Conseil de l’Ordre) ou au président national lui-même, qui aurait touché jusqu’à 10 000€ par mois (pages 15 et 16 du rapport) alors que, comble de l’ironie, il est censé exercer sa fonction bénévolement…

    À ce compte-là, je pense que beaucoup de Français souhaiteraient devenir de fervents bénévoles !

    JE SIGNE LA PÉTITION

    Et les patients dans tout ça ?

    C’est à se demander si leur bien-être a encore une quelconque importance aux yeux de cet organisme.

    Entre la compétence des médecins qui n’est pas réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, et l’impunité en cas de plainte, il y a de quoi se faire du souci.

    Combien d’erreurs médicales ? Combien de négligences faudra-t-il pour que la situation change ?

    Et que dire des quelques médecins qui osent porter la voix pour émettre de nouvelles idées et qui se font museler sans ménagement.

    Le professeur Henri Joyeux (chirurgien cancérologue), par exemple, pour ses positions concernant la politique vaccinale en France, subit les foudres de l’Ordre des Médecins depuis le 1er décembre 2016. Un véritable feuilleton judiciaire qui dure depuis près de cinq ans et dont le but est de radier cette trop forte tête.(([5] Le professeur Henri Joyeux, un habitué des polémiques médicales | Le Huffington Post LIFE))

    La pensée unique semble être plus que jamais de mise dans le monde scientifique et médical.

    Une pensée unique dictée par un Conseil de l’Ordre défaillant au plus haut point.

    Il est grand temps de faire porter notre voix contre ce non-sens digne de l’obscurantisme.

    Signez cette pétition pour :

    • dissoudre le Conseil national de l’Ordre des Médecins,
    • effectuer une refonte complète de cet organisme pour faire table rase de tous ses manquements actuels et pour qu’il intègre désormais de manière coordonnée et assumée les médecines alternatives au même titre que les traitements conventionnels. 

    JE SIGNE LA PÉTITION

    Prenez soin de vous,

    Thibaud de Santé Non Censurée

    Sources



    Politique sanitaire, tout va bien madame la marquise !

    [Source : @LigneDroiteMatinale]

    Avec Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, directrice de l’institut de recherche SimplissimA,
    Martine Wonner, députée (non inscrite) du Bas-Rhin, médecin psychiatre,
    et Marc Doyer, membre de l’association Verity France et fondateur du groupe de soutien Mauricette — son épouse est dans un état critique après vaccination.






    En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins veut attacher les gens pour les vacciner de force

    [Source : wochenblick.at]

    Par Christoph Uhlmann

    Traduction par Christine côte

    [Photo : Thomas Szekeres, président de l’Ordre des Médecins, à la Pressestunde, ORF, le 14 novembre 2021]

    Complètement fou, Szekeres dépeint le scénario d’horreur de la vaccination forcée

    « La question se pose de savoir si l’on doit attacher quelqu’un et lui faire l’injection ».

    L’Ordre des Médecins va encore plus loin ! En Autriche, le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, s’est exprimé sur la vaccination obligatoire à l’heure de presse sur ORF, dimanche. Il fallait réfléchir à « comment l’appliquer », a-t-il expliqué, en disant : « Je veux dire, la question se pose déjà de savoir si vous attachez quelqu’un et si vous lui donnez ensuite la piqûre. » Le vice-président, Harald Mayer, s’emploie lui aussi à semer la panique face à la quatrième vague qui serait en train d’arriver, en se moquant des politiciens trop lâches pour imposer la vaccination obligatoire pour tous. Néanmoins, il envisage une vaccination obligatoire ainsi qu’un confinement pour tous avant Noël. Le ministre de la Santé Mückstein a déjà annoncé ce confinement. Et l’association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande à ses membres de tenir des heures de consultation de 7 h à 7 h 10 pour les patients qui ne présentent pas de preuve de la 3G. Cela équivaut à un non-traitement ! Quant au corps médical, il perd actuellement toute éthique et toute morale et siffle inconsciemment le serment d’Hippocrate. Ils ont peut-être fait des études de médecine, mais ce ne sont pas des médecins. Parce que les médecins doivent avant tout ne pas faire de mal…

    • Le Président de l’Ordre des Médecibns (ÄK) pour la vaccination obligatoire générale
    • Préparation propagandiste des présidents de chambre pour ce qui est à venir : « Si vous attachez quelqu’un et lui donnez ensuite la piqûre ».
    • Le vice-président de l’Ordre des Médecins (ÄK) pour le confinement et la vaccination obligatoire générale avant Noël
    • Le ministre de la Santé, Wolfgang Mückstein (Verts), annonce le confinement de tous les établissements.
    • L’Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg recommande une plage horaire de 10 minutes en tout pour les consultations de TOUS les patients sans preuve 3G

    La dictature Corona est sur le déclin. Les acteurs et les sbires du régime en sont conscients. Une dernière bataille ? Ceci est reconnaissable au fait que les déclarations deviennent de plus en plus extrêmes. Le président de l’Ordre des Médecins, Thomas Szekeres, est particulièrement en vue à cet égard et ne manque pas une occasion de prouver qu’il fait partie de ceux qui ont étudié la médecine, mais ne peuvent absolument pas être qualifiés de médecins. Car le premier principe éthique de base de l’action médicale stipule que le médecin ne doit pas, ou ne devrait pas, avant tout, causer un préjudice au patient.

    Szekeres parle d’attacher les gens et d’injections de force

    Il a été prouvé que les confinements entraînent des dommages psychologiques et physiques importants. Comme le rapporte le Wochenblick, le « groupe vulnérable » des maisons de retraite, dont on parle tant, est particulièrement touché par cette mesure. Cela n’intéresse pas Szekeres. Il voulait déjà enfermer TOUS les Autrichiens en avril : « Enfermez toute l’Autriche. Et enfin, achetez des vaccins », fulminait-il à l’époque. Avec les injections expérimentales de génie génétique, des dommages massifs dus à des effets secondaires et à des effets tardifs ne peuvent être exclus. Mais cela ne concerne pas le médecin à la tête de l’Ordre des Médecins. Lors de l’heure de presse de dimanche, il s’est une nouvelle fois distingué comme un propagandiste modèle. En ce qui concerne la vaccination obligatoire, il a déclaré que son introduction était une décision politique, mais qu’elle avait un sens médical afin de « réduire le nombre d’infections ». Il a déclaré qu’il faudrait évaluer « la réaction de la population, la manière de mettre en œuvre et d’appliquer ces mesures ». « Je veux dire, c’est alors déjà la question de savoir si on attache quelqu’un et si on lui fait ensuite l’injection », un tableau sorti d’un film d’horreur. Il ajoute qu’il ne peut pas l’imaginer. Il se prononce explicitement en faveur du « fait que les personnes non vaccinées soient massivement désavantagées, même au travail ».

    Mückstein annonce le confinement pour tous

    Le vice-président de l’ÄK, Harald Mayer, est également favorable à l’obligation générale de vaccination et voit aussi la nécessité d’un confinement pour tous avant Noël. Il a fantasmé auprès d’un quotidien : « Si la politique autrichienne continue à être trop lâche pour décréter la vaccination obligatoire pour tous, alors elle entraînera toute l’Autriche dans un nouveau confinement, puis la quatrième vague nous dépassera. » Apparemment, le ministre vert Mückstein, qui est censé être responsable de la santé, l’a entendu. Car Mückstein a déjà annoncé un confinement général, qui doit être décidé mercredi, comme le rapporte le Wochenblick.

    Une stratégie de propagande perfide

    Le Wochenblick n’a fait état de cette forme de stratégie de propagande que récemment. Le Dr Roman Braun, expert en communication et maître formateur en PNL, explique dans une interview AUF1 avec Elsa Mittmannsgruber, rédactrice en chef du Wochenblick, que les intentions impopulaires sont diffusées à l’avance de telle sorte qu’elles soient mentionnées, mais avec distance. Ce pré-enseignement pourrait alors ressembler à ceci : « Il n’y aura pas de vaccination obligatoire », « Il n’y aura pas de nouveau confinement »… Il s’agit donc d’une stratégie perfide visant à préparer les gens à quelque chose qui a été prévu pour l’avenir…..

    AUF1 rapporte bien à propos une citation explosive de Jean-Claude Juncker datant de décembre 1999 :

    Escalade totale — aucun traitement sans 3G

    En Allemagne, la « Kassenärztliche Vereinigung Baden-Württemberg » (Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire du Bade-Wurtemberg) se moque également de l’éthique médicale. Selon une circulaire adressée à ses membres, l’association considère que « le refus de la vaccination est impudent et socialement inacceptable ». « Au plus tard lorsqu’on met en danger autrui, Corona et la vaccination ne sont plus une affaire privée », indique la circulaire. Loin de toute éthique médicale, il préconise des règles 2G/3G pour les visites des médecins et recommande aux médecins de tenir leurs consultations pour les patients qui ne respectent pas les règles 3G de 7h00 à 7h10 — soit 10 minutes seulement ! Ce que l’avocate Beate Bahner, active depuis longtemps dans la résistance aux mesures, en pense, vous pouvez le voir dans sa vidéo partagée sur Facebook. [Pour la vidéo de Maître Beate Bahner, ouvrir le lien principal ci-dessus c.c.]

    Voici la circulaire :
    https://www.wochenblick.at/wp-content/uploads/2021/11/Schreiben_der_KV_BW_v_11_11_2021_10_Minuten_Sondersprechstunde_fuer.pdf

    Voici à quoi pourrait ressembler à l’avenir la salle d’attente pour les patients qui ne fournissent pas de preuve de la 3G, s’ils sont traités :

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    Le prétexte odieux de la présence de non injectés hospitalisés alors que sont des personnes à risque abandonnées…

    Par Lucien Oulahbib

    … qu’il aurait fallu donc soigner bien en amont avec les traitements précoces qui marchent, comme les médecins indépendants l’ont démontré. Ils sont donc poursuivis pour avoir sauvé des gens. Tout le reste n’est que propagande.

    D’autant que de plus en plus d’injectés remplissent les hôpitaux (démunis) en particulier pour les effets secondaires qui touchent bien plus les moins de 75-65 ans que la maladie elle-même qu’il faut bien différencier par ailleurs des personnes dites « positives » qui ne la transmettent pas si elles n’en ont pas les symptômes (en particulier les enfants), mais qu’il faut dans ce cas soigner et ce tout de suite pour éviter les formes longues comme l’avait indiqué dès le début Raoult.

    L’injection proposée devient dans ce cas inutile, voire nocive, pour certaines personnes sans comorbidités, mais ayant des propensions qu’elles ne soupçonnaient pas à déclencher des maladies auto-immunes vasculaires et cardiaques multiformes. Et les autres personnes qui ont pu échappé en effet à ces effets secondaires y sont sans doute arrivées parce qu’elles ont éliminé d’entrée le message : tuant ainsi dans l’œuf l’injonction d’auto-production de la protéine Spike en la considérant d’entrée de jeu comme un « bug » illogique, et ce heureusement.

    On verra bien dans les années qui viennent si cette hypothèse de destruction préventive de ce poison made in Big Pharma tient ou si, comme le pensent certains, nous allons assister d’ici quelque temps à l’accélération non seulement de maladies auto-immunes, mais de cancers multiformes, fatigues longues, migraines à répétition, perte globale de tonicité comme l’indiquent certains spécialistes en particulier ceux s’occupant des sportifs de haut niveau…

    Mais foin de ce réalisme rigoureux qui analyse ainsi scrupuleusement toutes les hypothèses et met en avant toutes les thérapies, car la médecine est avant tout une pratique visant à soigner et non à expérimenter, l’Autriche renoue avec son passé nazi en montrant du doigt un élément toujours exogène source de tous les maux accentuant ainsi l’apartheid se mettant en marche vers ce néo-nazisme hygiéniste, scientiste, affairiste, globalisé, quadrillé et de plus en plus militarisé.

    La Belgique emboîte le pas. En Australie, les camps de rééducation sanitaire sont construits, dévoilant l’aspect hygiéniste, scientiste, pseudo-empiriste de l’approche anglo-saxonne. Et de ce fait, ceci montre plus généralement au grand jour l’impasse de toute cette « médecine » mécaniste qui a des années de retard sur l’analyse holistique du corps humain pensé comme un « tout supérieur à la somme de ses parties » (comme l’indiquent avec de plus en plus de succès l’acupuncture, les traitements homéopathiques, la médecine dite « naturelle » — ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas évidemment aider le corps lorsqu’il ne peut plus se défendre tout seul au bout de trois jours : avec des anti-inflammatoires, antiviraux, antibiotiques, mais ces derniers dans une certaine mesure, car ils peuvent à l’inverse détruire toute la flore intestinale nécessaire à notre « deuxième cerveau »…).

    Nous sommes alors et en effet ‘à la croisée des chemins’, mais ce en son sens encore plus complet que prévu : il s’agit bel et bien d’une lutte (de plus en plus implacable) entre une civilisation mécaniste, hygiéniste, scientiste pour laquelle les individus ne sont que des stocks mobiles et immobiles à bloquer et débloquer selon les flux (politiques, économiques, financiers) et une civilisation qui continue la percée humaniste de la Renaissance tout en ne perdant pas de vue les acquis apportés par les Anciens, ce qui permet de redresser les errements modernes (la réduction de l’esprit scientifique vers un scientisme mécaniste qui réduit l’individu à une ‘somme’) alors que la dynamique (y compris quantique) montre que toute ‘somme’ atteinte est toujours dépassée en ce sens où le résultat atteint est toujours conditionné au fait de savoir s’il renforce le Soi (y compris celui de la Nation) ou l’amenuise, et ce à chaque instant (le passage de l’émancipation nécessaire vers l’affinement permanent).

    L’anecdote d’un officiel post-maoïste illustre cette lutte implacable : la Chine a réussi son développement capitaliste en étouffant la liberté de penser et de choisir ses dirigeants ; maintenant elle exporte ce modèle politique dans le reste du monde avec l’assentiment de l’élite dite ‘occidentale’, le tout formant dorénavant cette Secte néo-nazie construisant comme race supérieure des nouveaux seigneurs qui régissent ce Moyen-âge cybernétique globalisé.

    Ainsi ce passe hygiéniste se transforme peu à peu en passe ‘climatiste’ encore informel (QCA: quantité de carbone autorisée). Il est déjà politiste (QSD: quantité de suspension digital sur les ‘réseaux’) avec l’assentiment sans failles de toute la classe politique et médiatico-intellectuelle (ou presque) qui pour un quart d’heure de gloire perpétuel est prête à tout, bourgeois de Calais, bourgeois tout court ‘qui vendront la corde pour les pendre’ (Lénine), les adeptes de celui-ci devenant les premiers à la confectionner désormais (Médiapart, France Insoumise…).

    Tout cela mérite le mépris le plus profond. Et le basculement non seulement vers la résilience, mais l’offensive généralisée à l’encontre de ce régime félon globalisé.




    Covid et fanatisme

    Par Alain Tortosa

    La science, l’honnêteté et l’humanisme ont été remplacés par le fanatisme

    Définition du Larousse(([1] https://www.larousse.fr/dictionnaires/français/fanatisme/32811)):

    « Dévouement absolu et exclusif à une cause qui pousse à l’intolérance religieuse ou politique et conduit à des actes de violence. »

    Le fanatisme repose sur plusieurs fondamentaux :

    • La peur qui est son moteur.
    • LE coupable désigné.
    • L’objectif (unique).
    • L’obligation de non-réalisation de l’objectif par la dictature.
    • La disqualification de toute autre thèse.
    • La disqualification de l’auteur de tout autre thèse.
    • Le miroir et l’inversion de la réalité.
    • Le transfert de culpabilité.
    • La déshumanisation du coupable désigné.
    • La fin justifie les moyens.
    • L’appauvrissement de la société.

    [Voir aussi :
    Note sur le fanatisme]

    La peur, le moteur

    Le fanatique, s’il n’a pas peur de mourir, a peur à minima de perdre ce qui faisait son mode de vie, son environnement.

    Cette peur est le principal moteur conduisant au fanatisme lorsqu’elle confère à l’irrationnel.

    La propagande a fonctionné et fonctionne encore à plein régime pour maintenir le fanatique dans la peur.

    Les Français n’ayant eu accès qu’aux médias mainstream ont été baignés pendant des mois dans cette peur de mourir du « fléau » !

    Rappelez-vous qu’au début de la crise, certains n’hésitaient pas à dire qu’un tiers des malades mourraient et que nul n’était à l’abri !

    Nous savons aujourd’hui que le Covid a officiellement représenté 2 % des hospitalisations de l’année 2020.

    Mais cette information est sans le moindre effet sur le fanatique qui pourrait vous affirmer que le 5 avril 2020, 110 % des lits de réanimation étaient occupés alors même qu’au plus fort de la crise, seuls 37 % des lits de soin critique étaient occupés par des personnes étiquetées Covid.

    Mais ça, il ne peut pas l’entendre.

    Le non-vacciné « complotiste » accepte l’incertitude de la vie alors que le fanatique veut tout contrôler pour en arriver à penser que « l’interdit c’est la liberté ».

    Ce qui prime pour lui c’est le sentiment de sécurité.

    Ainsi il ne doute pas que le passe-sanitaire est un « outil de liberté » permettant d’aller au restaurant sans risquer la mort.

    Tandis que le non-vacciné « complotiste » voit ce même passe comme un outil de la dictature et de destruction massive, voire définitive, des droits de l’homme.

    Le fanatique est ainsi prêt à tout pour être rassuré, aussi bien à éliminer son dangereux voisin que d’arrêter de vivre pour ne pas mourir.

    Son mécanisme de défense ne se déclenche plus face à un danger réel, mais un danger imaginaire fabriqué de toutes pièces (mais sur une base réelle) par la propagande de la dictature.

    Le coupable unique

    Le fanatisme repose sur une pensée simpliste, binaire, dans laquelle l’ennemi peut être facilement identifié et combattu.

    Dès lors que celui-ci serait multifacette, mais surtout que l’on serait plus ou moins impuissant face à lui, la sauce du fanatisme ne saurait prendre.

    L’existence même d’un virus qui frapperait quiconque au hasard sans pouvoir s’en prémunir ne peut que plonger le candidat fanatique dans la panique au point d’imaginer le suicide pour échapper à l’incertitude.

    Pour autant cette phase est indispensable à la dictature (et Big pharma) dont la propagande va construire un danger mortel au point que le paniqué sera prés à s’accrocher à n’importe quelle branche fanatique pour échapper à la folie.

    C’est ainsi qu’après la sujétion des cerveaux, après avoir créé une peur telle que l’individu n’a plus accès à sa matière grise et à son esprit critique, la dictature passe à la deuxième phase :

    Le coupable désigné !

    Il s’agit ici d’identifier l’ennemi et être convaincu qu’il est possible de s’en protéger et le vaincre.

    Dans le cadre de la dictature sanitaire, l’ennemi ne sera plus le virus, entité désincarnée, invisible et supposée incontrôlable, donc source de terreur.

    Non « l’ennemi » désigné sera incarné, il sera le « non-vacciné » et celui qui ne respecte pas les gestes barrières ou le port du masque.

    Il se trouve que celui-ci est statistiquement à la fois anti-masque ET anti-vaccin (j’utilise le vocabulaire du fanatique) et nous avons donc bien affaire à une entité unique identifiée à combattre.

    Le coupable n’est plus le virus, mais la personne en bonne santé qui continue de vivre comme si de rien n’était face à la « menace mortelle ».

    « Si tous les Français respectaient les gestes barrières, si tous les Français étaient vaccinés alors nous serions débarrassés définitivement du virus… depuis longtemps. »

    Je pourrais vous citer par exemple Martin Blachier qui a déclaré le 12 novembre sur LCI que « les non-vaccinés mettent en danger la nation ! ». Rien que ça  !

    L’ennemi est ainsi clairement nommé et désigné, nous disposons d’armes pour le combattre, ce qui est extrêmement rassurant pour le fanatique !

    Le coupable ou le bouc émissaire ?

    Force est de constater que le coupable désigné depuis le début de la crise n’est donc PAS le virus, mais des « mauvais français ».

    Tous les moyens de lutte et de rétention de liberté ont été ciblés en direction des personnes en bonne santé.

    Les milliards n’ont pas été injectés dans la recherche, dans la santé, dans l’hôpital, dans les traitements, dans la prévention, ou pour booster le système immunitaire.

    Non, ils ont été dépensés pour acheter le silence des confinés, le renforcement des contrôles, des services de sécurité ou même l’achat de drones.

    Le coupable était (et est) cet humain en bonne santé égoïste et non coopérant… mais certainement pas le virus (ou les personnes qui l’auraient fabriqué ou diffusé).

    L’objectif

    L’objectif est bien entendu noble comme il se doit.

    Se protéger de l’ennemi désigné… celui qui ne respecte pas l’autre, celui qui ne se soumet pas.

    Il faut donc que le non-vacciné se vaccine et que ceux qui ne portent pas le masque le portent.

    La solution EST la vaccination de TOUS avec le port du masque, y compris pour les enfants.

    Lorsque « l’autre » (le non-vacciné) n’existera plus, nous serons à nouveau heureux et en paix.

    Toute la chaîne de pensée, de l’identification de l’ennemi, de l’objectif à atteindre et des solutions préconisées doit être la plus simpliste possible afin d’être comprise par tous, même le plus débile d’entre nous (y compris un ministre) :

    • Problème simple.
    • Objectif simple.
    • Solution simple.

    L’obligation de non-réalisation de l’objectif par la dictature

    Si du point de vue du fanatique de base, l’objectif est la « sécurité », la « liberté » et la « justice », il n’en est pas de même de la dictature ou du Big Pharma qui l’organise.

    L’ennemi commun est le liant de la société dictatoriale.

    Il y a de plus un bénéfice secondaire non négligeable qui devrait permettre à notre « Président » d’être réélu.

    Aucun échec ne peut être imputé à la dictature, l’ennemi commun rendant impossible la réalisation des grands projets.

    Cela rajoute à la haine nourrie envers « les autres », les non-vaccinés…

    « C’est à cause d’eux si nous sommes dans cette situation », la propagande ne se gênant pas de leur mettre sur le dos tous les maux, dès que la situation se présente.

    Dans le cadre de cette fausse pandémie, le fait de miser sur un vaccin qui favorise lui-même les variants, garants de sa piètre performance, relève du génie…

    Plus il faudra de doses de rappel comme ils disent, plus il y aura de réticents à la dose de trop !

    Si d’un côté les mesures dictatoriales permettent aux résistants épuisés de lâcher prise et tomber dans l’injection expérimentale, un abonnement à vie à des injections dont les effets secondaires ne peuvent pas être balayés à l’échelle familiale et de l’entourage proche, est de nature même à dissuader des candidats à une dose supplémentaire.

    Ainsi le nombre de non-vaccinés ne peut QUE diminuer ET croître en même temps au fil du temps.

    La source est intarissable et il est ainsi possible de conserver « l’ennemi commun » ad vitam æternam.

    Des médecins médiatiques et corrompus ne se privent pas d’affirmer qu’il faudra se vacciner tous les trois mois et porter un masque à vie.

    Mais sinon, ne nous inquiétons pas… La dictature a réussi à transformer le peuple en fanatique pour une pandémie dont nous ignorerions encore l’existence sans les médias.

    Demain (aujourd’hui) « l’ennemi » sera (sans doute le même d’ailleurs) celui qui roule avec son vieux diesel et refuse le crédit carbone.

    La propagande va continuer à présenter des phénomènes naturels comme induits par l’homme.

    Et du fait que les événements climatiques extrêmes existent depuis que la Terre est Terre, nous pouvons en prendre pour quelques milliards d’années de dictature climatique !

    Les fanatiques applaudiront à la fois aux mesures dictatoriales indispensables pour « sauver la planète », mais aussi aux représailles contre l’ennemi commun « le climato -sceptique » (climato-réaliste).

    Disqualification de toute autre thèse qui représenterait une menace

    Toute hypothèse qui mettrait en péril le discours et le coupable désigné doit être disqualifiée sous peine d’effondrer l’édifice.

    Les sujets suivants (par exemple) ne sont même pas discutables :

    • La possibilité d’une immunité naturelle.
    • L’existence de traitements efficaces.
    • La contamination par des personnes asymptomatiques qui relèverait d’un mythe.
    • Les autres voies que le vaccin.
    • Un vaccin contre un virus ARN qui ciblerait que la spike est voué à l’échec.
    • Le vaccin est inefficace et dangereux.
    • Le masque est inefficace et dangereux.

    Le fanatisé acquiert une incapacité quasi structurelle à remettre en question « ses » croyances issues de la doxa et de la propagande.

    • Rappelez-lui que les études prouvent que la vaccination n’empêche pas la transmission…
    • Montrez-lui des exemples de lieux ayant subi une vague alors même que 100 % des personnels étaient vaccinés…
    • Demandez-lui de regarder tous les pays où États qui ont massivement vacciné, parfois même plus de 90 % de la population et qui subissent une vague meurtrière exceptionnelle…
    • Parlez-lui de l’Autriche « contrainte » de confiner alors qu’elle est un pays avec un taux de vaccination extrêmement important…
    • Montrez-lui l’absence de corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination…

    Malgré tout ceci, le fanatique reviendra systématiquement sur :

    • « Oui, mais le vaccin protège. »
    • « Oui, mais le passe-sanitaire sauve des vies. »
    • « Oui, mais les non-vaccinés sont une menace. »
    • « Oui, mais il faut vacciner massivement y compris les personnes en bonne santé qui ne font pas de formes graves. »

    La pensée rationnelle et la réflexion ne sont plus…

    La réalité du monde n’est plus issue d’une analyse objective de la situation et des faits, mais sur l’avis d’une autorité dictatoriale et corrompue.

    La fanatique dispose de son coupable… le non-vacciné, et de sa solution… son éradication.

    Tous les sujets contre-fanatiques relèvent systématiquement du crime de lèse-covid.

    Disqualification de l’auteur d’une parole dissidente

    Dès lors qu’une personne connue ou inconnue émet une hypothèse qui va à l’encontre de la doxa, tout doit être mis en œuvre pour la disqualifier.

    Celle ne portera pas sur les thèses (indéfendables s’il en est), mais sur l’auteur :

    • Les diplômes des scientifiques ou des médecins déviants n’ont plus la moindre valeur.
    • Leur parcours professionnel n’a plus la moindre valeur.
    • Il est important d’insister sur leur bannissement de la respectable communauté scientifique.

    Tous les qualificatifs visant à le dénigrer seront à privilégier :

    • « Antivax. »
    • « En mal de notoriété. »
    • « Sulfureux. »
    • « Complotiste. »
    • « D’extrême droite. »
    • « Antisémite. »,…

    Nous assistons de plus en plus à une psychiatrisation de l’opinion divergente.

    Seul le « fou » peut remettre en cause la « Vérité ».

    Ce qui permet à la fois d’éviter le prisonnier politique qui peut poser soucis en « démocratie ».

    Mais aussi permettre de rassurer le fanatique de base ou sa famille qui sont donc à l’abri de la maladie déviante.

    Le miroir et l’inversion de la réalité

    Le fanatique va reprocher au « complotiste » d’être fermé, sectaire, fourbe, incapable de se projeter dans une autre réalité, incapable d’avoir une pensée rationnelle, incapable de réviser ses croyances, incapable d’analyser des faits, d’être intolérant, d’être dans l’obscurantisme, le rejet d’autrui et dans l’anti-science.

    Manière d’être qui caractérise totalement non pas le prétendu « complotiste », mais le fanatique !

    Et inversement le fanatique va se voir tel qu’il n’est pas ou plus… honnête, tolérant, ouvert d’esprit, rationnel, cartésien, factuel, logique, scientifique, critique, etc.

    Le fanatique va projeter sa propre réalité sur autrui et faire sienne la réalité d’autrui.

    [Note de Joseph Stroberg : cependant, le phénomène de projection et l’effet miroir ne sont pas réservés au fanatisme.
    Voir notamment : L’utilité des miroirs et de l’observateur]

    Nous voyons bien que le fanatique est dans une optique de contrainte, de violence, de destruction, d’interdit ou de combat.

    Tandis que le coupable désigné est lui dans la liberté, la tolérance, l’altérité, le libre arbitre et la paix.

    (Sauf si la situation dégénère auquel cas il n’a de choix que de basculer dans la violence pour sauver sa vie et ses valeurs.)

    Le transfert de culpabilité

    « Moi le vacciné, moi la personne de valeur, je ne suis pas responsable de ce que tu es ou que tu fais toi.

    C’est toi qui par ton action déviante te place dans cette situation.

    Tu es le seul responsable de ne pas porter un masque ou de ne pas te vacciner. »

    Et « si ce n’est toi, c’est donc ton frère ! ».

    Moi le bien-pensant fanatique…

    « Je n’ai pas à me sentir coupable si un enfant de 12 ans doit subir une discrimination issue de la défaillance et du manque de civisme de ses parents. »

    Dès lors « je n’aurai pas à me sentir coupable de tout ce que je pourrais te faire subir parce que c’est toi (ou ta famille) qui t’es mis dans cette situation. »

    Déshumaniser « l’autre », celui qui n’est pas comme moi

    Selon la nature et le degré des mesures contraignantes, discriminatoires ou inhumaines que je devrai mettre en œuvre ou appliquer, la déculpabilisation peut s’avérer insuffisante.

    Un CRS qui matraque ou gaze une mère avec son enfant dans une manifestation pacifique est théoriquement protégé par son statut d’exécutant.

    Mais comment pourrait-il ne pas se suicider à force de… sans déshumaniser la personne en face ?

    Il devient indispensable pour le fanatique de faire de l’autre une personne qui n’est pas comme lui.

    « Si mon voisin non vacciné est comme moi, s’il a les mêmes valeurs humaines, s’il a autant le droit d’exister que moi, comment pourrais-je lui interdire d’exercer son métier ? »

    • Celui qui était mon ami, mon voisin, mon collègue de travail hier…
    • Celui qui était reconnu pour son savoir, ses qualités humaines, son empathie, ses compétences professionnelles hier…
    • Celui qui a charge de famille, pas de fortune personnelle, des crédits sur le dos…

    Comment pourrais-je le licencier demain sans une réécriture du passé ?!

    Comment pourrais-je le convoquer dans mon bureau et lui signifier calmement son interdiction de pouvoir désormais travailler sans subir de problèmes de conscience ?

    Impossible !

    Il faut donc bien passer par un processus visant à faire de l’autre l’unique coupable et le déshumaniser.

    C’est le travail de propagande du régime fanatique !

    Le non-vacciné n’est pas comme nous, il est égoïste, il ne pense qu’à lui, il n’en a que faire de précipiter des humains ou des enfants vers la maladie, l’hospitalisation, la réanimation ou même la mort…

    Celui qui ne respecte pas les gestes barrières ou la vaccination est celui qui tue son papi et sa mamie !

    Comment un être humain pourrait tuer sciemment des personnes âgées ou des enfants ?!

    Ces gens, ces non-vaccinés, sont donc bien des monstres sans humanité qui au nom de leur fanatisme (car pour les fanatiques, c’est bien entendu l’autre le fanatique) n’hésitent pas à sacrifier leur propre famille ou les autres !

    C’est bien la preuve « QU’ILS » ne sont pas comme nous !

    « La conclusion s’impose, moi le vacciné je suis humain, eux non ! »

    Quelques mois de propagandes de plus et le fanatique sera en capacité de tuer son voisin…

    La fin justifie les moyens

    Nous avons vu qu’il est indispensable de faire sauter le verrou de la culpabilité et déshumaniser l’autre pour s’autoriser toutes les exactions possibles au nom de la sécurité et de nos « valeurs ».

    Dans le fanatisme l’idéologie doit primer sur l’affect !

    [Note de Joseph : en fait, une idéologie relève probablement elle-même du plan affectif ou émotionnel, au moins à partir du moment où l’on s’y attache, et le fanatisme découle d’un attachement excessif allant jusqu’à la dépendance vitale.]

    Sans propagande et déshumanisation des « coupables », comment voulez-vous :

    • Empêcher des enfants de sortir, d’aller au cinéma ?
    • Obliger des enfants à porter un masque à partir de 6 ans ? (La dictature n’a pas osé les masquer dès la naissance. Gros risque d’une perte d’adhésion.)
    • Obliger des enfants à se vacciner par « altruisme » pour « protéger » des grabataires ?
    • Exclure de la société, des loisirs, de la vie courante, des non-vaccinés avec un passe sanitaire ?
    • Empêcher les non-vaccinés de se rendre dans un hôpital (sauf urgence vitale) ?
    • Priver des personnes honnêtes et appréciées, mais non vaccinées de leur travail ?
    • Confiner les non-vaccinés, hommes, femmes et enfants ?
    • Placer des non-vaccinés dans des camps comme cela est en préparation dans de nombreux pays et pratiqué notamment en Chine.

    Êtes-vous conscients qu’une majorité de Français approuvent ces mesures sans le moindre problème de conscience ou de culpabilité ?

    Ils sont nombreux (majoritaires ?) à penser qu’il faudrait interdire de réanimation les non-vaccinés !

    Sont-ils sortis dans la rue quand on a affirmé qu’un non-vacciné non protégé ne devait pas entrer dans un hôpital pour ne pas contaminer les vaccinés protégés ????!!!!

    Les fanatiques approuvent l’interdiction de travailler, approuvent la suppression des aides sociales, approuvent de retirer la garde des enfants de parents non vaccinés, approuvent l’interdiction de soins, approuvent les confinements, approuvent les camps !

    Il ne manque plus qu’à décider de tuer les non-vaccinés et la boucle sera bouclée…

    Nous ne sommes pas si loin, vous savez…

    Le vacciné est un être de lumière et « l’autre » est un non-être.

    L’appauvrissement de la société

    Le fanatisme conduit inévitablement à se débarrasser de personnes de valeur utiles pour la société.

    Nous en sommes les témoins vivants avec l’obligation vaccinale des soignants.

    Je ne reviendrai pas sur la propagande, « les hôpitaux sont saturés, le personnel est épuisé, c’est la faute aux mauvais français qui sont tombés malades ou qui demain vont saturer les réanimations ».

    Dans les faits :

    • Les hôpitaux et la médecin libérale souffrent de la suspension des soignants non vaccinés.
    • Les hôpitaux et la médecine libérale se privent des meilleurs éléments, ceux qui ne sont pas tombés dans le piège du fanatisme et qui ne peuvent être QUE de meilleurs praticiens soucieux de leurs patients et qui n’ont pas bafoué leur serment par peur, pour de l’argent ou des primes.

    La société fanatique va donc se priver d’une partie de ses forces vives qui seront soit confinées, interdites d’exercer, soit s’expatrieront dans un pays qui ne pratique pas l’apartheid (si ils en trouvent un).

    Pérennité de la dictature

    Le problème est qu’une dictature va cibler une minorité pour en faire le bouc émissaire et permettre au fanatisme de s’ancrer durablement.

    Tant que la société fonctionne, tant que les esclaves fanatisés ont la possibilité de « vivre », de travailler, de consommer, la dictature peut dormir sur ses deux oreilles.

    Tant que l’ennemi est présent, il demeure possible de se focaliser sur lui et le rendre responsable de tous les maux.

    Pour autant l’équilibre est fragile…

    L’ennemi doit demeurer à la fois signifiant pour ne pas épuiser le fanatisme.

    (Imaginez 100 000 non-vaccinés dans des camps en France qui n’ont aucun contact avec l’extérieur depuis 5 ans, il va être difficile de persuader le fanatique standard qu’ils sont la cause de tous leurs maux.)

    Mais l’ennemi ne doit pas augmenter au risque de représenter une masse critique.

    Voyons déjà comment les services hospitaliers sont perturbés avec l’obligation vaccinale… imaginez l’obligation étendue à tous les secteurs…

    D’autre part, d’un point de vue arithmétique, vous ne pouvez pas empêcher et parquer dans des camps 3 millions de Français.

    Ce serait ingérable et d’un coût prohibitif qui ferait que nous serions obligés de les éliminer physiquement.

    Cette mesure aurait quand même du mal à passer (pour l’instant) dans l’opinion publique.

    J’écris « pour l’instant » car il suffirait de passer tous les jours des images d’enfants mourant contaminés par des non-vaccinés, non-vaccinés faisant la fête, pour que l’idée de les supprimer fasse son chemin.

    Il demeure donc nécessaire de rester dans une dictature plutôt « light » pour ne pas risquer de trop augmenter le nombre d’ennemis.

    À moins que l’objectif soit une guerre civile, ce qui est un autre sujet.

    En attendant, le fanatisme est de rigueur et devrait perdurer encore longtemps sans un réveil des consciences.

    Au moment de l’écriture de ces lignes, convenons que le risque de pénurie de jouets fabriqués par des enfants pour des enfants pour Noël est autrement plus grave que la décision de l’Autriche d’assigner à résidence tous ces mauvais autrichiens en bonne santé et non vaccinés.

    Merci

    Alain Tortosa.(([2]Toute ressemblance avec des faits historiques ne peut qu’être fortuite.))

    15 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211115-fanatisme-et-covid.pdf





    Autriche totalitaire. Après le pass, la folie du confinement des non-vaccinés

    Par Gérard Delépine

    Israël est le modèle déclaré du chancelier autrichien Sebastian Kurz en ce qui concerne la politique anti-Covid, mais l’Autriche veut faire mieux dans la dictature. Les restrictions des libertés, pourtant sans aucune efficacité sanitaire démontrée, sont de plus en plus sévères dans ce pays critiqué pour ne plus être démocratique.

    Le pass sanitaire autrichien

    En juin 2021, alors que la situation sanitaire était satisfaisante dans son pays le chancelier Kurz a imposé un passe-sanitaire pour forcer la population à accepter les injections anti-Covid expérimentales.

    Le passe a instauré la ségrégation entre ceux qui se croient protégés par la vaccination ou des tests négatifs et les vaccino prudents.

    Les enfants ont été lourdement discriminés : sans tests, aller à la piscine, jouer sur les terrains de sport et participer à la vie sociale leur a été interdit. À l’école le masque et les tests leur ont été imposés.

    Pourtant les enfants ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas. La littérature scientifique et toutes les sociétés de pédiatrie sont unanimes sur ces points.

    Mais en Autriche, si les élèves refusent le test Covid, ils risquent d’être séparés de leurs parents. Le conseiller municipal de Vienne pour l’éducation Christoph Wiederkehr (NEOS) a annoncé lors d’une conférence de presse conjointe avec le ministre de l’Éducation Heinz Faßmann que si « les élèves ne se laissent pas tester à la demande de leurs parents », la protection de l’enfance interviendrait.

    Pourtant le pass sanitaire augmente les contaminations journalières

    La nocivité sanitaire du pass est rapidement apparue avec un nombre de nouveaux cas qui a fortement augmenté et pris une allure exponentielle passant de moins de 100 cas par jour avant le passe à 10 400 le 14/11/2021.

    Mais plutôt que de prendre acte de la nocivité du pass, le gouvernement autrichien l’a aggravé en réduisant validité des certificats de vaccination de 12 à 9 mois, puis en supprimant la possibilité de l’obtenir par des tests !

    L’échec du pass réside dans le changement insidieux du comportement de ses titulaires qui se croient protégés et sont moins prudents, donc susceptibles davantage d’attraper un des nombreux virus hivernaux. Par exemple en France le réseau Sentinelles montre en ce débit novembre la montée de métapneumovirus, de VRS et de virus grippaux, tous potentiellement capables de positiver les tests (comme la FDA l’a souligné).

    Par ailleurs, il est maintenant démontré que les pseudo vaccins actuels ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. L’exemple caricatural du porte-avions Queen Elizabeth aurait pourtant dû alerter : sur ce porte-avions la totalité de l’équipage a été vaccinée, mais après une escale plus de 100 marins ont attrapé le Covid. Tous vaccinés, mais pas protégés !

    Le pass sanitaire accroît la mortalité quotidienne

    Cette augmentation des contaminations apparue depuis l’usage du pass a été suivie d’une augmentation de la mortalité « attribuée » au Covid ainsi que le montrent les données publiées par l’OMS (consultables à OMS Covid Dashboard Austria), illustrées par la courbe tracée par les statisticiens de l’université John Hopkins (consultable à OurWorldinData Covid Austria).

    D’une moyenne de 2 morts par jour avant le pass, l’Autriche est passée à une moyenne de 30 décès quotidiens dans la deuxième semaine de novembre.

    Délire totalitaire ségrégationniste en marche sous prétexte sanitaire

    Au lieu d’annuler ce pass antidémocratique et contre-productif sur le plan sanitaire, le gouvernement autrichien s’enfonce dans son délire liberticide en instaurant un confinement des non-vaccinés, créant ainsi un apartheid de ses citoyens, médicalement stupide et profondément contraire aux idéaux démocratiques européens.

    Dès aujourd’hui les 2,5 millions d’autrichiens non vaccinés sont assignés à domicile (sauf pour les travailleurs, qui ont encore droit aux tests gratuits, mais pas pour longtemps)).

    Des contrôles fachos sont pratiqués par la police avec amendes astronomiques

    Interdiction d’arranger des rencontres de non-vaccinés même payantes (genre café résistant, ou clubs, ou raves, ou dîners) sous peine d’amendes allant jusqu’à 30 000 euros ; apparemment les couples non mariés sont encore autorisés à se rendre visite (ce qui n’était pas le cas au 1er confinement du fait d’un décret secondairement annulé par la cour constitutionnelle).

    Ils annoncent déjà un durcissement pour dans 10 jours. (probablement interdiction de voir sa famille et sa parenté, masques en extérieur…).

    Le plus cruel de tout est bien sûr de séparer les familles et les couples…

    Et depuis la semaine dernière (à l’incitation du maire de Vienne, socialiste, Michael Ludwig), injection pour les 5-12 ans, même sans autorisation de l’EMA. L’Autriche renoue avec son passé totalitaire, ça fait froid dans le dos.

    La démocratie suédoise est plus efficace que le totalitarisme

    À l’autre bout de l’Europe, la Suède a conservé ses valeurs démocratiques tout au long de la crise et maîtrise parfaitement l’épidémie depuis plus de 4 mois.

    Le pays n’a pas succombé à la tyrannie d’experts sur-instruits et sous-expérimentés. Il n’a pas mis en œuvre des politiques autoritaires conçues plus pour briser les esprits que pour briser la pandémie.

    Il a permis aux enfants de poursuivre une scolarité normale sans masque ni peur. Il a minimisé les dégâts économiques des mesures sanitaires appliquées ailleurs (perte de PIB 2020 2,5 % en suède contre 8 à% en Europe confinée. Il a permis une vie quasi normale à la population.

    Et il n’a pas transformé ses électeurs en quasi-prisonniers. Anders Tegnell, le héros qui a su résister aux pressions de l’OMS, des médias(([1] CBS News a déclaré : « La Suède devient un exemple de la façon de ne pas gérer le Covid-19. »
    Sweden becomes an example of how not to handle COVID-19 – CBS News.))(([2] L’ Université de Virginie a publié un communiqué de presse intitulé : « L’absence de verrouillage a augmenté les décès dus au Covid-19 en Suède. »
    Lack of Lockdown Increased COVID-19 Deaths in Sweden (uvahealth.com).))(([3] Le New York Times mis en bonne page un article intitulé : « La Suède tente un nouveau statut : l’État de Paria »
    Sweden Tries Out a New Status: Pariah State – The New York Times (nytimes.com).))(([4] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
    Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).)) et de certains médecins suédois corrompus et refusé tout confinement, est tellement aimé du peuple que les gens se font tatouer son visage sur la peau.(([5] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
    Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).))

    En Suède, lorsque l’agence sanitaire recommande une mesure volontaire, la population est confiante et l’applique.

    La comparaison des courbes de cas et de décès quotidiens observés dans ces deux pays de populations à peu près égales par leur nombre, leur âge moyen et le pourcentage de vaccinés démontre que miser sur Le respect des libertés fondamentales, l’honnêteté de l’information officielle et l’intelligence de ses citoyens est plus efficace que miser sur la propagande, la censure des opposants et la contrainte policière, ce qu’avait déjà constaté le ministre de la Santé de Taiwan au début de la crise.(([6] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire.
    le Diplomat 27 février 2020
    The Coronavirus Outbreak: How Democratic Taiwan Outperformed Authoritarian China | by Lin PU 普麟 | Medium))

    Espérons que les Français suivront bientôt l’exemple suédois et retrouveront la joie de vivre sans masque ni contraintes infondées au lieu d’écouter les sirènes du totalitarisme inefficace sur le plan sanitaire et mis en place dans d’autres objectifs.

    Que tous les Français épris de démocratie interrogent les candidats aux élections sur leur stratégie antiCovid, afin d’éliminer tous les partisans du totalitarisme qui se camouflent derrière des prétextes sanitaires ou climatiques comme Xavier Bertrand et Valérie Pécresse qui veulent astreindre à domicile les vaccino-prudents pour les contraindre à accepter une injection expérimentale.

    Mais les Autrichiens n’ont pas dit leur dernier mot.

    @AnonymeCitoyen 14 nov.

    Des manifestants se rassemblent à Innsbruck en Autriche contre le confinement des personnes non vaccinées dès ce soir minuit dans le pays. #Autriche #Austria





    Responsabilité des médias : la plainte contre X des associations BonSens et AIMSIB

    [Source : francesoir.fr]

    [Voir aussi :
    L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie]

    Auteur(s): FranceSoir

    Emmanuel Macron s’est exprimé mardi, et ses assertions scientifiques pèchent une nouvelle fois par manque de rigueur. Rappelons que le 12 juillet 2021, le président de la République s’était déjà appuyé sur différentes données pour le moins fragiles afin de justifier les mesures les plus coercitives d’Europe : obligation vaccinale pour les soignants et mise en place d’un passe sanitaire.

    Voir aussi : Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

    L’association RéInfoLiberté a depuis déposé une plainte contre X, visant cette loi, qui repose potentiellement sur un document faux, d’après son président Vincent Pavan et Maître Ludovic Heringuez. Il s’agit de l’étude en prépublication de « Boseti et al » intitulée «  Épidémiologie et contrôle des épidémies de SRAS-CoV-2 chez les populations partiellement vaccinées : une étude de modélisation appliquée à la France . » Cette dernière avait servi de fondement à l’avis du Conseil scientifique.closevolume_off

    Voir aussi : « Une loi qui repose potentiellement sur un document faux » Vincent Pavan et Me Heringuez

    Troisième dose pour les plus de 65 ans, maintien du passe sanitaire, autocongratulation sur la gestion de crise sanitaire, annonce de traitements « réellement efficaces » pour la fin de l’année… Emmanuel Macron, se réclamant pourtant de « la science », a multiplié les annonces aux fondements hasardeux : or, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique. Force est de constater que le président a préféré un registre plus péremptoire.

    Voir aussi : Emmanuel Macron, arrêtez de dire n’importe quoi !

    Les affirmations scientifiques du président ont été reprises et diffusées à l’unisson dans les médias sans une vraie analyse contradictoire – et ce, même en amont de son allocution, puisque le 6 novembre, le terrain était déjà prêt : on rapportait ainsi une hausse de 61 % des rendez-vous pour la troisième dose. Le rôle des principaux médias dans la diffusion et rediffusion de ces informations est donc en question.

    L’association BonSens.org s’associe donc à l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
    – d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
    – de complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
    – de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)

    Une plainte de 108 pages, auxquelles s’ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail.

    L’intégralité de la plainte (PDF) : Plainte contre X avec constitution de partie civile de BonSens.org et de l’AIMISIB

    Auteur(s): FranceSoir




    Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront

    [Source : AIMSIB]

    Par Encéphalix

    Ne soyons pas naïfs, tout circule sur le Net, vrais pépites comme faux grossiers susceptibles de fausser toutes les analyses. Nous savons que certains « services » hostiles à nos politiciens européens ne se privent pas d’utiliser la crise de la Covid pour « aider » à la manifestation de la vérité et augmenter l’embarras de nos lamentables dirigeants politiques actuels. Voici la probable version non caviardée du contrat commercial de Novembre 2020 liant l’Union Européenne à Pfizer-BioNTech pour la délivrance des vaccins contre la Covid-19 (1). Si nous nous trompons, l’AIMSIB s’excusera platement auprès de tous les belligérants cités dans cet article, mais il faudra naturellement pour nous convaincre produire le contrat original que même les membres de la commission du contrôle budgétaire européen n’ont jamais pu consulter (2). On s’est demandé longtemps qui avait pu signer pour l’Europe un engagement aussi mirobolant pour les firmes et aussi incroyablement défavorable aux Européens, vous comprendrez beaucoup mieux en fin d’article. Encéphalix s’est penché longuement sur la centaine de pages de ce contrat, ce qu’il y a trouvé ne va pas vous laisser de marbre, en voici les éléments les plus saillants. La grande manipulation à marche forcée… Bonne lecture.

    [Voir aussi :
    PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes
    et
    Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)]

    Introduction

    Ce « contrat d’achat anticipé » aurait été signé le 20 novembre 2020 pour une durée de 24 mois.

    Capt. écran p.1

    Dispositions générales

    Dès la 2e page de ce document, il aurait été convenu que les seuls changements qui pourront y être apportés seront d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties:

    Capt. écran

    Trad: « Il est entendu que tout changement fait sera d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties. Dans le cas où des modifications substantielles sont demandées, les parties discuteront de leur impact de bonne foi »

    La commission européenne aurait pré-commandé à la date de la signature 200 millions de doses et pris une option pour 100 millions de doses supplémentaires.

    Capt. écran
    Cap. écran

    Trad: « Sur la base de ce contrat d’achat anticipé, la Commission Européenne mandate le contractant (=Pfizer-BioNTech) pour qu’il s’engage à produire et livrer en priorité 200 millions de doses du vaccin qui sera commandé par les Etats membres participants (via des formulaires spécifiques de commande de vaccins) au prix et conditions, incluant le calendrier de livraison, conclu dans cet accord d’achat anticipé »…/…Les parties reconnaissent que la Commission souhaitera peut-être passer une commande supplémentaire pour un maximum de 100 millions de doses du vaccin. »

    Premiers paiements effectués par l’Union Européenne

    Afin de garantir, l’accès aux vaccins, la Commission aurait versé un acompte de 700 millions d’euros correspondant à 3.50€H.T. par dose :

    Capt. écran

    Trad: « Afin de garantir aux Etats membres participant le droit d’acquérir des doses de vaccins dans un laps de temps donné et à un certain prix et conditions, la Commission payera un acompte. »

    Capt. écran

    Trad: « La Commission accepte de payer un paiement initial de 700 millions d’euros (correspondant à 3.50€ par dose multiplié par 200 millions) au contractant (=Pfizer-BioNTech). Ce paiement d’avance sera un acompte pour garantir le volume commandé à l’article 1.5.2, et devra etre considéré comme un acompte sur le prix [des vaccins] tel que défini ci-dessous. »

    Les doses, à quels prix

    Le prix qui aurait été négocié dépend du nombre de dose.

    Pour les 200 millions pré-commandées, la moyenne serait à 15.50€ H.T.par dose avec une répartition :
    – 17.50 € H.T. pour les doses comprises entre 0 et 100 millions
    – 13.50 € H.T. pour les doses comprises entre 100 et 200 millions.

    Capt. écran

    Toutefois, les doses supplémentaires ne seraient pas payées au prix attendu de 13.50€ H.T mais :
    – 15.50 € H.T. pour chaque dose supplémentaire si la commande est passée dans les 3 mois après l’accord initial de mise sur le marché
    – 17.50€ H.T. pour chaque dose supplémentaire si commande >3mois après accord initial de mise sur le marché mais avant la fin de ce contrat d’achat anticipé.

    Capt. écran

     Cet accord ne semble pas favorable à la commission et aux Etats membres puisqu’ils payent au prix fort les doses supplémentaires au-delà de l’accord initial de 200 millions de doses.

    Livraison et répartition des vaccins

    La livraison des doses de vaccins a été négocié avant qu’ils ne soient mis sur le marché avec un nombre croissant de doses :
    – 25 millions dernier trimestre 2020
    – 40 millions 1er trimestre 2021
    – 60 millions 2e trimestre 2021
    – 75 millions 3e trimestre 2021

    Capt. écran

    Retrait possible des engagements de commandes

    On apprend ainsi que si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc) intervenait après le 15/08/2020, chaque partie signataire pouvait se retirer de l’accord. 
    Si l’AMMc était pas accordée au 15/08/2021 mais que Pfizer-BioNTech était dans l’incapacité de délivrer la moindre dose de vaccin au 15/11/2021, les deux signataires pouvaient se retirer de l’accord.

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    Traduction : « Si l’autorisation n’est pas accordée au 15 août 2021, la Commission et le contractant (=Pfizer-BioNTech) auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

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    Traduction : « Si l’autorisation est accordée au 15 août 2021, mais qu’au 15 novembre 2021 le contractant est dans l’incapacité de fournir la moindre dose commandée pour des raisons techniques ou autres, la Commission et le contractant auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

    La date limite de délivrance de la totalité des doses

    Celle ci semble arrêtée au 31/05/2022, on ignore donc si un second contrat a été signé pour la période ultérieure.

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    Trad: « Dans le cas où le contractant est dans l’incapacité de fournir la totalité des doses commandées au 31 mai 2022, la Commission et le contractant auront le droit de se mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

    Les états européens sans aucune marge de manœuvre

    Comme cité plus haut, la commission européenne aurait négocié directement les conditions d’achat et de répartition des doses vaccinales. Les Etats auraient ensuite l’obligation d’acheter la quantité allouée par la commission et ne pourraient pas négocier directement avec le fabricant :

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    Trad: « La Commission sera seule responsable du processus d’approvisionnement et de la conclusion de ce contrat d’achat anticipé incluant les responsabilités découlant de la conduite des négociations. »

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    Traduction : « Il revient au Etats membres participants, et non à la Commission, d’acquérir les doses de vaccin auprès du fabricant sur la base de ce contrat d’achat anticipé sauf accord contraire. Toutes les politiques de vaccination resteront donc l’affaire des Etats membres participants. »

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    Trad: « Les Etats membres participants commanderont pour 200 millions de doses de vaccin au total en accord avec la répartition communiquée par la Commission au contractant (=Pfizer-BioNTech) conformément à l’article 1.6.3, en envoyant au contractant un exemplaire rempli de l’annexe 1 au format papier ou par email au format PDF dans les 10 jours ouvrables après que la Commission a communiqué la répartition. Ce bon de commande de vaccin devra être signé par un représentant autorisé de l’Etat membre participant et le contractant. »

    D’après ce document, les Etats ne peuvent pas annuler leurs commandes si les délais de livraison ne sont pas respectés :

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    Trad: « Tout échec pour fournir des doses selon les dates de livraison estimées comme indiquées ci-dessus ne donnera pas le droit aux Etats membres participants d’annuler leur commande quelque soit la quantité du produit sauf disposition décrite dans l’article 1.6.3. »

    De plus, les commandes ne pourraient être annulées uniquement que dans l’éventualité où la Commission n’a pas exercé son droit à suspendre cet accord commercial.

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    Trad: « Pour éliminer tout doute, les Etats membres participants n’auront pas le droit de résilier un bon de commande de vaccin dans les scénarios (iii), (v) ou (vi) ci-dessus si la Commission n’a pas exercé sont droit à mettre fin à cet accord d’achat anticipé. »

    Don et revente des vaccins sur avis favorable de Pfizer

    La revente ou le don de doses de vaccin serait possible dans des conditions strictes. Les Etats membres pourraient revendre ou donner des doses à des pays tiers uniquement si Pfizer-BioNTech accepte. Par ailleurs, il serait possible de revendre ou d’allouer des doses à des Etats membres qui ont signé cet accord ou qui font parti de l’espace économique européen à condition qu’ils aient signé un accord équivalent à un bon de livraison directe de Pfizer-BioNTech.

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    Trad: « La Commission communiquera au contractant (=Pfizer-BioNTech) la répartition des doses commandées conformément à la commande initiale ainsi que chaque dose supplémentaire parmi les Etats membres participants. Chaque Etat membre participant aura le droit de les revendre ou les donner aux pays tiers dans le besoin ou des institutions publiques, contribuant ainsi à un accès aux vaccins global et juste à travers le monde. Le droit de revendre ou donner les doses en excès nommées dans la phrase précédente sera sujet à l’accord du contractant… »

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    Trad: « Nonobstant ce qui précède, les doses en excès peuvent être revendues ou réattribuées par les Etats membres participants à d’autres pays membres de l’Union Européenne ou revendues à des Etats de l’espace économique européen, le cas échéant, chaque Etat membre de l’UE devra avoir rempli un bon de commande de vaccin et acceptera par écrit d’être lié par les mêmes conditions pour ces doses réaffectées et chaque Etat membre de l’espace économique européen aura conclu un accord équivalent à un bon de commande de vaccin en cas de livraison directe par le contractant (=Pfizer-BioNTech), et devra accepter par écrit d’être lié par la clause d’indemnité/dédommagement de l’article…. »

    Immunité totale de Pfizer-BioNTech en cas de dommages

    En cas d’effet indésirable, Pfizer-BioNTech serait dégagé de toute responsabilité : « La commission déclare […] que:

    L’utilisation de ces vaccins produits grâce à cet accord se fera dans les conditions d’une épidémie qui requière une telle utilisation, et donc que l’administration de ces vaccins se fera sous la seule responsabilité des Etats. Chaque Etat indemnisera et dégagera le contractant (=Pfizer-BioNTech), ses affiliés, sous traitants, distributeurs, employés […], de toute responsabilité encourue dans le cadre de la défense des réclamations de tiers (y compris les honoraires raisonnables d’avocats et autres dépenses) concernant les préjudices, dommages et pertes tels que définis à l’article 1.12.2 découlant de ou se rapportant à l’utilisation et au déploiement du vaccin ».

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    Ce qui est appelé « pertes » dans cet accord concerne les décès, les blessures physiques, mentale ou émotionnelle, la maladie, le handicap, la perte ou dommage à la propriété, les pertes économiques ou l’interruption de son travail/business :

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    Ainsi, les Etats endosseraient l’entière responsabilité de l’utilisation de ces vaccins et des indemnisations qui pourront en découler

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    Trad: « Les Etats membres participants acquérant un vaccin seront responsables de leur déploiement et de leur utilisation selon leurs stratégies nationales de vaccination, et assumeront toute responsabilité associée avec un tel usage et déploiement. Ceci doit s’étendre à et inclure toute indemnisation du fabricant de vaccin selon les termes et conditions du contrat d’achat anticipé concerné pour la responsabilité relative à l’utilisation et déploiement de vaccins normalement supporté par un tel fabricant. »

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    Traduction : « Considérant la nature sans précédent de la situation COVID-19 actuelle et les circonstances exceptionnelles dans lesquelles les vaccins doivent être livrés, les parties s’accordent explicitement à ce que le contractant (=Pfizer-BioNtech) et ses affiliés ne soient tenus pour responsable d’aucun préjudice à l’exception de préjudices supportés par la Commission et les Etats membres participants prouvés comme une conséquence directe d’une violation par le contractant ou ses affiliés de ses obligations dans le cadre de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccins, et que le contractant et ses affiliés ne pourront être dans aucun cas responsables des retards de livraison, pertes de revenu, pertes économiques prévues, pertes d’entreprises, pertes de profit, pertes de bonne volonté, atteintes à la réputation, pertes liées à la crise économique ou coût d’approvisionnement alternatif. »

    De plus, le montant [des indemnités] payées par un Etat membre participant en vertu de l’article 1.12 ne serait pas recouvrable auprès du contractant [=Pfizer-BioNTech] sauf si un tribunal juge que le laboratoire a commis une violation de ce contrat d’achat anticipé

    Capt. écran

    Trad: « Les montants payés par un Etat membre participant selon l’article 1.12 ne sont pas recouvrables auprès du contractant (que la réclamation d’une partie tierce résulte ou non d’une rupture de contrat par le contractant) si la plainte concerne une rupture des dispositions de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccin par le contractant sauf s’il existe un jugement définitif par un tribunal compétent qu’aucune indemnisation n’est due au contractant conformément à cet article 1.12 auquel cas toute indemnisation correspondante déjà payée par un Etat membre participant pourra être totalement remboursée par le contractant. »

    Cette immunité serait levée si ces « pertes » sont la conséquence d’une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication conduisant à un produit défectueux obligeant les autorités à faire un rappel de produits défectueux, suspendre la distribution des vaccins ou retirer l’AMMc.

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    Traduction : « Une telle indemnisation ne sera pas disponible pour [Pfizer-BioNTech + affiliés] dans la mesure où (i) les pertes ont été causées par une faute intentionnelle, comme définie à l’article 1.12.3, de [Pfizer-BioNTech] ; ou (ii) les pertes ont été causées par une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication (telles qu’appliquées au moment de la fabrication) avant certification du lot de vaccin selon les exigences énoncées au Titre IV de la directive 2001/83/EC, conduisant à un défaut de qualité dans le vaccin au moment de chaque livraison et aboutissant à une décision par les autorités compétentes de rappeler ou suspendre la distribution du vaccin, ou à un retrait ou une suspension de l’autorisation par la Commission européene. »

    Retrait européen des vaccins

    Si un retrait des vaccins devait avoir lieu, les Etats doivent saisir le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’agence européenne du médicament (EMA) pour avoir un avis scientifique afin de savoir si le retrait du marché du vaccin par les autorités était justifié. Le contractant (Pfizer-BioNTech) doit être inclus dans le processus.

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    Traduction : « Les Etats membres participants devront, nonobstant les compétences et responsabilités des autorités de régulation compétente, impliquer le CHMP de l’agence européenne du médicament dans tous les cas de rappel ou de suspension de la chaine d’approvisionnement des vaccins à cause d’une suspicion de manquement aux bonnes pratiques de fabrication, et chercheront sans délai un avis scientifique du CHMP pour déterminer si un rappel ou une suspension de la chaine d’approvisionnement était justifié, et devront soumettre toutes les informations nécessaires au CHMP. Le contractant devra être impliqué dans le processus conformément aux procédures applicables. »

    Cette disposition peut sembler légitime mais condamne absolument toute résolution du conflit en faveur des populations: Pfizer y représenterait ses intérêts industriels et en face,  on confierait à l’EMA , bastion profondément pénétré par l’influence déraisonnée des pharmaceutiques, la tâche de représenter les intérêts européens sans aucune représentation de la CEE. Risible mais ce n’est pas tout, si Pfizer est poursuivi la CEE doit pourvoir intégralement au paiement de ses frais d’avocats. Les états peuvent mandater un expert indépendant que Pfizer a le droit de récuser, obligeant à la désignation d’autant d’expert jusqu’à ce que Pfizer l’accepte. Et l’Europe a signé sans barguigner une disposition aussi scélérate…

    Qui a signé seule ce contrat pour l’Europe ?

    C’est Stella Kyriakides qui aurait signé au nom de la Commission Européenne et pour les Etats membres qui s’y sont associés.

    Capt écran

    On se souvient des soupçons très lourds et immédiatement étouffés de corruption qui a touché cette commissaire européenne à la santé (3), seuls les médias « étrangers » ont publié l’affaire, toute la presse européenne ayant choisi d’en taire le scandale.

    On comprend mieux désormais pour quel « service » Monsieur et Madame Stella Kyriakides aurait reçu 4M€  de prêt sur un compte familial sans même tenter de dissimuler cette somme dans un quelconque paradis fiscal

      Conclusion

    Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté…

    Qui se saisira à l’avenir du problème crucial des lots vaccinaux supertoxiques écoulés sur le marché mondial (4)(5) sans que Pfizer ni l’EMA ne s’en préoccupe? 

    Encephalix
    Novembre 2021

    Notes et sources

    (1) https://www.aimsib.org/PDFs/Contrat-PFIZER-1618676600910_APA-BioNTech-Pfizer.pdf
    (2) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
    (3) https://www.aimsib.org/2021/05/16/corruption-et-gestion-de-la-covid-19-on-y-est/
    (4) https://www.covid-factuel.fr/2021/11/02/vaccins-anti-covid-les-evenements-graves-ne-concernent-ils-que-quelques-lots/
    (5) https://theexpose.uk/2021/10/31/100-percent-of-covid-19-vaccine-deaths-caused-by-just-5-percent-of-the-batches-produced/




    L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie

    [Source : AIMSIB]

    Trop c’est trop! le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections (1), certainement non conformes au droit européen (2), épouvantablement toxiques (3)(4)(5), refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant  préventives que curatives (6), répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés (7), mais où va le monde? La France Libre et quelques-uns de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… Bonne lecture.

    « On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Le droit d’informer est, comme la liberté d’expression et d’opinion, un droit social qui devrait être universellement partagé. Le droit d’informer ne saurait être réservé à des groupements publics et privés qui prétendent s’en réserver l’usage parce qu’ils en monopolisent les moyens. »

    Henri Maller (ACRIMED)

    Introduction

    Si dans quelques mois cette affaire est réellement instruite, nous devrons tous une reconnaissance particulière à  Maître Virginie de Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris, pour l’exceptionnelle qualité rédactionnelle de son dépôt de plainte réalisé le 4 novembre 2021 auprès du Doyen des juges d’instruction. Les plaignants sont représentés par un particulier qui souhaite rester anonyme à ce jour, par l’association BonSens.org ainsi que par l’AIMSIB, au passage nous tenons à remercier chaudement l’ensemble de nos membres qui par le paiement régulier de leurs cotisations nous permettent d’assumer les coûts financiers parfois importants de plusieurs milliers d’euros, de certaines instances.

    Les petits ruisseaux forment les grandes rivières, merci de ne jamais les tarir…

    L’ensemble de la plainte est accessible ici et là (8):

    Cliquez sur l’image pour consulter la plainte

     Les termes de la plainte

    Le choix technique de la plainte contre X autorise au juge d’instruction toutes les directions que son enquête exigera, c’est naturellement cet instrument du Droit qui a été choisi. l’objet de la plainte est résumé ici:

    Capt. écran p.2

    L’objet de cet article ne recherche pas à résumer le travail de Maître Virginie de Araujo-Recchia, mais simplement à le présenter, nul doute que dans les années à venir tout chercheur intéressé par l’histoire contemporaine pourra se référer avec bonheur dans la synthèse documentaire rassemblée par ce mémoire. 

    Sommaire de la plainte pénale

    Accès aux annexes

    rendez-vous sur
    https://partage-public.avocat.fr/ajax/share/0a168cc90115a15aa16a3b8115a14b39aa2d96a48ba021a7/1/8/NDg

    Conclusion

    L’AIMSIB est très heureuse d’avoir pu participer financièrement et techniquement à la réalisation de cette action judiciaire sans précédent dans l’histoire de la crise de la Covid. L’avenir nous dira si la justice Française se donnera le droit et les moyens d’investiguer dans les directions que nous lui présentons ici.

    Mais dès aujourd’hui ce travail de compilation des preuves permet à l’ensemble des parties attaquées par la doxa officielle d’argumenter avec force l’idée que le désastre sanitaire qu’on nous présente demeure diamétralement opposé à la réalité objective de la situation réelle.

    Médecins attaqués par les Conseils ordinaux, journalistes indépendants, politiciens intègres, malades ayant à souffrir d’effets indésirables post-vaccinaux, soignants non vaccinés, salariés pourchassés par leurs DRH, médecins objectifs… Ce mémoire est pour vous. Défendez-vous, défendons-nous!

    La rédaction de l’AIMSIB
    Novembre 2021

    « Conformément à l’art 85 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale, les plaignants n’avaient pas l’obligation préalable de dépôt de plainte entre les mains de M. le Procureur de la République, puisqu’ils se plaignent notamment de crimes ».

    Notes et sources

    (1)

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/emmanuel-macron-arretez-dire-nimporte-quoi

    (2) https://www.aimsib.org/2021/10/10/des-vaccins-ecoules-sans-aucune-ammc-valide-cest-possible/
    (3) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
    (4) https://www.aimsib.org/2021/06/27/pire-que-la-maladie-les-consequences-involontaires-des-injections-anti-covid/
    (5) https://rumble.com/vp0smb-2021095-et-pourtant-leur-confiance-avait-t-totale.html
    (6) https://www.aimsib.org/2021/07/04/traitement-de-ville-de-la-covid-19-reactualisation-de-juillet-2021/
    (7) S’agissant des dix premiers de la raffle du printemps 2021, toute controverse inhérente à l’histoire officielle de la Covid doit être sévèrement condamnée:

    (8) https://aimsib.org/PDFs/PlainteCaviardeeBonSens.orgAIMSIB-MP-04112021.pdf




    Une piqûre dans l’obscurité

    [Source : cv19.fr]






    Un « Gouverne Aimant » pour la France

    [Source : Philippe Argillier le RDH / le HRU]

    https://youtu.be/YZGJjJfkfiI

    [Voir aussi :
    Révélations de Philippe Argillier auprés de Christian Tal Schaller
    et
    Le gouvernement mondial de l’ombre]




    Pourquoi Big Pharma ne veut surtout pas reconnaître que l’ARN Messager est une thérapie génique

    [Source : lecourrierdesstrateges.fr]

    Par Éric Verhaeghe

    Big Pharma a une angoisse : celle de voir le grand public admettre l’idée (pourtant difficile à contester) que l’ARN Messager et les vaccins qui utilisent sa technologie sont une thérapie génique. Ce débat en apparence purement technique pour le grand public revêt en réalité une importance capitale, car la thérapie génique est productrice de cancers, surtout chez les enfants. Le « monsieur Vaccin » du gouvernement, Alain Fischer, le sait très bien, puisqu’il est l’un des pionniers de la thérapie génique sur les bébé-bulles, arrêtée deux fois en urgence à cause de la mortalité par cancer qu’elle causait chez les enfants. Mais ce point crucial n’apparaît pas dans sa biographie Wikipédia…

    L’ARN Messager est-il une thérapie génique ? Cette affirmation angoisse beaucoup Big Pharma (et quelques autres), alors qu’elle est pourtant confirmée par des sites scientifiques. Mais pourquoi la combattre ? Il faut ici rappeler une série d’événements qui se sont succédé depuis les années 90 pour comprendre l’angoisse des laboratoires. 

    Big Pharma se bat pour distinguer ARN Messager et thérapies géniques

    Il faut lire les articles de presse insistant sur le caractère complotiste de l’affirmation selon laquelle l’ARN Messager ferait partie des thérapies géniques pour combattre l’importance de cette question technique en apparence secondaire. Ainsi, alors qu’un cadre de Bayer a déclaré, le 8 novembre, lors d’un événement officiel filmé de l’entreprise, que le vaccin à ARN Messager était une thérapie génique, la presse subventionnée s’est mise en ordre pour expliquer qu’il s’agissait d’un “lapsus” et que, bien entendu, il n’y avait aucun lien entre les deux

    Cet article récent fait suite à une longue série d’autres, véhiculés par les fact-checkers habituels (dont le site de la RTBF). Pour tout ce petit monde :

    Ces affirmations sont fausses ou infondées et ont déjà été vérifiées par l’AFP à plusieurs reprises.

    Alors si l’AFP le dit, l’ARN Messager ne doit pas être une thérapie génique… et Stefan Oehlrich, dirigeant de Bayer, a réellement commis un lapsus en affirmant le contraire à la convention de l’entreprise. 

    L’ARN Messager n’est pas une thérapie génique ? Vraiment ?

    La difficulté de cette opinion selon laquelle l’ARN Messager n’est pas une thérapie génique tient au fait qu’on la lit beaucoup sous la plume des fact-checkers (et l’on sait que la rubrique fact-checking est confiée aux journalistes les moins compétents), mais qu’elle est démentie par les sites scientifiques. 

    Par exemple, le site de la Société Française de Thérapie Cellulaire et Génique, dont l’objectif est de “favoriser le développement d’études scientifiques, technologiques, précliniques et cliniques sur la thérapie cellulaire et génique”, dit le contraire. On y lit en effet, sur la page consacrée aux vaccins contre le COVID 19, cette phrase sans ambiguïté :

    Jusqu’à présent, quatre Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles ont été accordées par la Commission pour les vaccins développés par BioNTech et Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen Pharmaceutica NV, en accord avec leur évaluation positive par l’EMA. Les technologies qui se cachent derrière les vaccins AstraZeneca et Janssen ne concernent pas le domaine de la thérapie génique. Ils utilisent des vecteurs adénoviraux pour transporter de l’ADN vers les cellules et générer des anticorps contre COVID-19.

    Donc, dans le groupe des vaccins commercialisés, seuls les vaccins AstraZeneca et Janssen ne relèvent pas le thérapie génique. Donc, Pfizer et Moderna en relèvent. C’est en tout cas le point de vue de la société de thérapie génique, mais on veut bien croire qu’il soit moins valable, moins compétent, que l’avis du fact-checker de l’AFP.

    Au passage, la page Wikipedia consacrée aux vecteurs viraux ne dit pas autre chose : elle indique que les thérapies géniques, comme les vaccins à ARN Messager, utilisent des technologies similaires. 

    La mauvaise réputation de la thérapie génique

    Ce qu’il faut comprendre, c’est la raison pour laquelle les journalistes qui relaient comme des chiens fidèles les éléments de langage de Big Pharma sur le prétendu complotisme de tous ceux qui doutent, se mobilisent contre un rapprochement technologique qui n’est contesté par aucun site scientifique. Pourquoi désinforment-ils avec autant d’opiniâtreté ?

    Tout le problème tient à la mauvaise réputation de la thérapie génique, et tout particulièrement aux cas de cancers déclenchés par les enfants qui l’ont reçue en traitement expérimental. Malgré toutes les campagnes de nettoyage de réputation sur Internet, il est en effet impossible d’effacer complètement de malheureuses séquences où des enfants sont morts de leucémie plusieurs mois, parfois quelques années, après avoir reçu ce traitement. 

    Le Monsieur Vaccin du gouvernement au coeur des polémiques

    Ce risque de réputation lié à la thérapie génique est au demeurant parfaitement connu d’Alain Fischer, le “Monsieur Vaccin” du gouvernement, puisqu’il en est l’un des principaux auteurs. Avant de représenter les intérêts d’Emmanuel Macron et de faire partie de l’équipe de Martine Aubry, le professeur Alain Fischer était en effet connu pour ses expérimentations en matière de thérapie génique sur les “bébé-bulles”, c’est-à-dire les enfants souffrant d’immunodéficience. 

    Si ces expériences sont présentées comme de grands succès sur sa page Wikipedia, elles ont fait pas mal de remous à l’époque où elles étaient pratiquées. Elles ont notamment été interrompues deux fois en urgence à cause de leurs effets secondaires, consistant à favoriser l’apparition de cancers chez les enfants. 

    Comme l’indiquait, en 2014, la Revue Médicale Suisse :

    Après dix mois de suivi, la publication de Science faisait état du succès de la technique chez deux patients. Ce résultat remarquable fut toutefois suivi de deux échecs (sur dix tentatives) dont un décès. L’essai clinique fut alors suspendu en urgence en 2002.

    (…) Parmi les neuf bébés-bulle qui ont participé au nouvel essai, cinq ont été traités en France et quatre aux Etats-Unis. Ils avaient entre 4 et 10 mois et demi, la plupart souffrant d’infections sévères. Un enfant est décédé rapidement après la thérapie. Un autre a dû recevoir une greffe de sang de cordon et il a été retiré de l’essai (il est vivant). Les sept autres enfants vont bien et ont pu surmonter leurs infections. «La thérapie génique a corrigé leur déficit immunitaire, mais pas tout à fait», a clairement expliqué le Pr Fischer au Monde. Il se refuse à user du terme de guérison. «Ce traitement est efficace sur les lymphocytes T, mais peu sur les lymphocytes B, précise-t-il. Ces enfants doivent donc recevoir des injections d’immunoglobulines toutes les quatre semaines. A part cela, leur vie est normale.»

    Autrement dit, les deux essais de thérapie génique menés en dix ans par le professeur Fischer ont chaque fois conduit à des décès prématurés chez une partie des petits patients. Beaucoup de scientifiques en ont conclu que la thérapie génique appliquée aux enfants était une idée très risquée, qui pouvait produire des effets désastreux à moyen ou long terme. 

    On comprend que Big Pharma n’ait guère envie de laisser s’installer l’idée que le vaccin à ARN Messager ressemble à la thérapie génique : cette banalisation de la comparaison ou du rapprochement ne pourrait que nourrir la méfiance vis-à-vis du vaccin. 

    Où l’on retrouve le bon docteur Fauci

    Il n’est pas sans intérêt de souligner que l’impuissance de la thérapie génique utilisée par le docteur Fischer à stimuler la production de lymphocytes B chez les enfants traités a donné l’idée, à des chercheurs américains, de corriger ce problème en utilisant des lentivirus. Cette expérimentation menée en 2018 et 2019 était conduite par… Anthony Fauci, qu’on retrouve à la manœuvre aux Etats-Unis pour faire la promotion des vaccins à ARN Messager. Comme le monde est petit !

    On reprendra les propos de Fauci à l’époque :

    Pour Anthony S. Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (Niaid) du NIH, « ces nouveaux résultats passionnants suggèrent que la thérapie génique pourrait être une option de traitement efficace pour les nourrissons atteints de cette maladie extrêmement grave, en particulier ceux qui ne disposent pas d’un donneur optimal pour la greffe de cellules souches. Cette avancée leur offre l’espoir de développer un système immunitaire entièrement fonctionnel et la chance de mener une vie saine et bien remplie. »

    Entre Fischer et Fauci, on comprend désormais quelle communauté d’intérêts scientifiques fait la promotion d’une technique vaccinale dont aucun ne méconnaît la mauvaise réputation et les risques éventuels. Et on comprend mieux pourquoi tout ce petit monde évite de nuire à la “confiance dans le vaccin” en prenant soin d’établir une cloison artificielle entre l’ARN Messager et la thérapie génique. 




    Évolution sanitaire des pays les plus vaccinés au 14 novembre 21 — Faits avérés d’après les chiffres OMS

    Par Gérard Delépine

    Depuis plus de 18 mois, nos gouvernants et les médias complices nous rabâchent :

    « le retour à la vie normale sera possible grâce au vaccin »,
    « vous retrouverez vos libertés quand vous serez vaccinés »
    « les non-vaccinés sont responsables de la poursuite de l’épidémie ».

    Mais aucune étude dans le monde réel n’a apporté le moindre début de preuve à l’appui de cette propagande marchande pro injection anti-covid.

    Et l’analyse des données officielles de l’OMS (consultable à OMS covid dashboard) est très inquiétante. Aucun des champions de la vaccination n’est parvenu à éliminer le virus, ni à éviter de fortes reprises de l’épidémie et très peu ont totalement libéré leur peuple vacciné des mesures liberticides prétendument sanitaires imposées sans preuve scientifique de leur efficacité.

    La Grande-Bretagne est le champion de l’injection Astra Zeneca

    Mais son haut niveau de « vaccination » ne l’a pas protégée d’une forte reprise de l’épidémie qui persiste depuis quatre mois, avec une moyenne de 40000 cas quotidiens.

    Le 10 août 21, témoignant devant les députés anglais, le professeur Sir Andrew Pollard chef de l’Oxford Vaccine Group a déclaré « le fait que les vaccins n’arrêtent pas la propagation de Covid signifiait que l’atteinte du seuil d’immunité globale dans la population était “mythique”. », ajoutant « avec la variante Delta actuelle, ce n’est pas possible »

    Israël est le champion de l’injection Pfizer

    Au printemps 2021, avant l’émergence du variant Delta, Israël avait été le premier pays au monde à croire avoir atteint l’immunité collective grâce à l’injection Pfizer.

    Mais son très haut taux d’injection ne lui a pas permis d’éviter une nouvelle vague avec l’établissement d’un nouveau record absolu de contaminations quotidiennes (11000/J soit l’équivalent pour la France de 70000 cas/J). Et la mortalité quotidienne a suivi malgré les troisièmes injections. Cette résurgence de la maladie a fait reconnaître au ministre de la Santé que le taux d’efficacité de l’injection ne dépassait pas 39 % et qu’elle ne durait que quelques mois.

    S’adressant à Channel 13 TV News le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog à Jérusalem, a précisé que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées » et « 95 % des patients sévères sont vaccinés. » détruisant ainsi la propagande vaccinale prétendant que le vaccin protégerait des formes graves.

    Les Pays-Bas ont plus de 75 % de leur population vaccinée,

    mais ce grand succès de vente de pseudo vaccin est actuellement marqué par un record absolu des contaminations quotidiennes (12000/J soit l’équivalent français de 50000 cas/J) qui fait envisager de nouvelles mesures restrictives.

    Là aussi la vaccination s’est révélée incapable de protéger la population.

    Le 13 novembre le docteur Kuipers, spécialiste des soins intensifs a déclaré(([1] https://www.curacaochronicle.com/post/main/nl-forget-it-acute-care-expert-says-about-covid-herd-immunity/))

    « La suggestion a été faite de l’immunité collective. Oubliez ça ! ».
    « Nous travaillons maintenant avec plusieurs scénarios. L’un est le suivant : il y aura toujours un grand nombre de patients corona. Avec un nombre substantiel de patients, nous devons vraiment organiser les soins différemment à long terme. Augmenter la capacité hospitalière pour accueillir tous les patients atteints de Covid-19 et de soins réguliers ».

    Singapour est le champion asiatique de la pseudo vaccination anti-Covid avec environ 90 % de la population injectée

    Mais ce succès du nombre des injections ne l’a pas empêché de subir un véritable tsunami de contaminations avec un nombre 4 fois supérieur au pic d’avant injection.

    Le jeudi 19 août 2021, lors d’un multi- conférence du groupe de travail du ministère, le ministre des Finances Lawrence Wong a averti :

    « Singapour n’atteindra pas l’immunité collective pendant la pandémie malgré son taux élevé de vaccination contre le COVID-19(([2] : Lawrence Wong Singapour n’atteindra pas l’immunité collective contre le COVID
    https://www.bworldonline.com/95-herd-immunity-vs-delta-is-a-myth-says-infectious-disease-expert/))»
    « Le chemin pour devenir une nation résiliente au COVID sera une tâche longue et difficile. Même avec des taux de vaccination très élevés, nous n’allons pas atteindre l’immunité collective ».

    Le 8 septembre 21, Tikki E. Pangestu, expert en maladies infectieuses et professeur invité à la NUS Yong Loo Lin School of Médecine à Singapour a déclaré :

    « Atteindre 95 % d’immunité collective contre le Delta est un mythe. La variante Delta étant désormais dominante dans la plupart des pays, la cible devrait plutôt être l’immunité aux maladies ou la prévention des maladies graves et des décès dus au virus ».

    La Corée du Sud dépasse un taux de vaccination de 80 %

    En juin les médias coréens se réjouissaient que l’immunité de groupe était à portée de main.(([3] La Corée du Sud est en passe de créer une immunité collective après avoir vacciné 20 millions de personnes
    https://en.yna.co.kr/view/AEN20210803004500320))(([4] https://koreajoongangdaily.joins.com/2020/07/09/national/socialAffairs/herd-immunity-covid-antibody/20200709190007649.html))

    Ils prétendaient même « qu’elle serait atteinte dès novembre(([5] https://www.nationthailand.com/international/40004280))». Le porte-parole du ministère de la Santé, Son Young-rae, prévenait que :

    « même après que l’immunité collective sera atteinte en novembre, les masques faciaux et d’autres mesures de sécurité resteront nécessaires ».

    Mais, depuis octobre leur mirage s’évanouit, l’épidémie explose et la mortalité également :

    En octobre, le nombre quotidien de contaminations s’est élevé à 2,5 fois celui du pic de l’épidémie avant la vaccination (2600 vs 1000) et la mortalité a suivi.

    démontrant que les vaccins ne résolvent pas le problème Covid ni celui des restrictions sanitaires.

    L’Allemagne a injecté 70 % de sa population

    Mais ce succès des ventes de pseudo vaccins n’a pas évité une forte reprise de l’épidémie en juillet avec croissance exponentielle depuis septembre avec un nombre de contaminations quotidiennes (36000) dépassant largement les records d’avant « vaccination ».

    Les habitants du quartier gouvernemental de Berlin font un adieu lent et silencieux, sans déclaration, sans communiqué de presse, l’adieu à une illusion, à l’objectif que les politiques poursuivent depuis le début de l’année : l’immunité collective.

    « Je peux malheureusement difficilement imaginer à ce stade que nous atteindrons l’immunité collective », a déclaré K. Lauterbach(([6] Milena Hassenkamp, Christoph Hickmann, Armin Himmelrath, Martin Knobbe, Timo Lehmann, Martin U. Müller, Miriam Olbrisch, Gabriel Rinaldi et Christoph Schult L’immunité collective est impossible. Maintenant quoi ? Der Spiegel 21/7/2021
    https://www.spiegel.de/international/germany/herd-immunity-is-impossible-now-what-a-35335ea0-5ab2-4e3d-95e5-f2672b817056-amp)) expert en santé des sociaux-démocrates de centre gauche (SPD).

    L’euphorie vaccinale a apparemment cédé la place à la lassitude vaccinale, et une partie de la population ne veut toujours pas se faire vacciner, sachant que la protection vaccinale est beaucoup plus faible et plus courte qu’annoncée et les accidents post vaccinaux plus nombreux. Le pays apprend progressivement à vivre avec la pandémie, mais il peine, en partie parce que toutes les conséquences ne sont pas avouées et restent imprévisibles.

    La population danoise est vaccinée à plus de 75 %,

    mais ce haut taux de « vaccination » a été incapable de lui éviter une reprise brutale de l’épidémie et une menace de nouveau confinement.

    L’agence danoise des maladies infectieuses SSI a déclaré qu’elle ne pensait plus qu’il serait possible d’obtenir une immunité collective dans le pays grâce à la vaccination,(([7] Ritzau/Le local news@thelocal.dk @thelocaldenmark 6 août 2021
    https://www.thelocal.dk/20210806/explained-why-has-denmark-given-up-on-achieving-herd-immunity-via-vaccines/)) ce qui signifie que sars CoV 2 pourrait continuer à circuler pendant des années.

    « Si les vaccins étaient efficaces à 100 % contre les variantes actuellement en jeu et si nous avions une couverture vaccinale à 100 % chez les personnes de 12 ans et plus, alors nous pourrions parler de l’obtention d’une véritable immunité collective contre la variante delta », a déclaré Krause. « Mais malheureusement ce n’est pas la réalité, nous ne pouvons pas y parvenir. »

    « Cela signifie qu’il est désormais logique de traiter Covid-19 de la même manière que nous traitons la grippe saisonnière, et de ne pas répondre aux vagues d’infection avec des restrictions strictes ». « Cela rappellera plus la grippe qu’avant », a-t-elle ajouté.

    L’Islande est le pays européen le plus vacciné

    Malheureusement, cette couverture vaccinale ne lui a pas évité une récidive majeure de l’épidémie.

    En juin 2021 Þórólfur Guðnason l’épidémiologiste en chef de l’Islande déclarait que l’immunité vaccinale progressait bien.(([8] https://grapevine.is/news/2021/06/11/icelands-herd-immunity-is-progressing-well/))

    Mais depuis la nouvelle vague, il a dû déchanter et reconnaître dans une interview à la radio publique que :

    « la vaccination n’a pas conduit à l’immunité collective que les experts espéraient et qu’en réalité l’immunité collective ne pouvait pas être obtenue par la vaccination. »(([9] https://www.organiclifestylemagazine.com/iceland-says-herd-immunity-must-be-reached-through-transmission))

    Faute de mieux, il tente une dernière fois de l’atteindre en incitant à un rappel (3e dose).(([10] https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2021/11/08/hopes_booster_shot_will_create_herd_immunity/))

    L’Irlande est également très vaccinée (plus de 75 % de la population totalement vaccinée)

    En juin le Dr Vellinga déclarait(([11] https://www.rte.ie/news/primetime/2021/0608/1226962-covid-19-ireland-herd-immunity/)):

    « avec les vaccins, si nous continuons comme nous le faisons, d’ici la fin de l’année, nous devrions avoir une situation assez normale ».

    Mais une rechute majeure des contaminations est survenue début juillet 2021 qui s’amplifie encore depuis un mois.

    La ville de Waterford a l’un des taux de vaccination les plus élevés d’Irlande contre Covid-19, avec 99,7 % des adultes de plus de 18 ans entièrement vaccinés, mais est devenue l’endroit avec le taux d’infection Covid-19 le plus élevé du pays.

    Le taux d’incidence sur 14 jours atteint 1 486 cas pour 100 000 habitants, soit trois fois la moyenne nationale qui s’élève à 493 infections pour 100 000 habitants. La zone électorale adjacente de Tramore-Waterford City West a un taux sur 14 jours de 1 121 pour 100 000, selon les derniers chiffres hebdomadaires publiés par le Health Service Executive’s Health Protection Surveillance Centre.

    Que penser de « l’immunité de troupeau » érigée en Graal par nos dirigeants ?

    Thierry Breton, le commissaire européen en charge des vaccins, avait jugé possible une immunité collective le 14 juillet 2021 dans l’Union européenne. Devant le sénat, il exposait ainsi le principe du certificat vaccinal :

    « Rien ne sera obligatoire ! ».
    « On n’utilisera jamais le mot passeport. Ça donne le sentiment d’être obligatoire. Il ne le sera pas. Ce sera volontaire ».

    Comment pourrait-on encore le croire ?

    L’OMS avait d’emblée prévenu :

    « jamais, dans l’histoire de la santé publique, l’immunité collective n’a été utilisée comme stratégie pour répondre à une épidémie ».(([12] Allocution liminaire du Directeur général de l’OMS lors du point de ‎presse sur la COVID-19 — 12 octobre 2020‎
    https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-opening-remarks-at-the-media-briefing-on-covid-19—12-october-2020))

    Le 12/11/2021 le Dr Jefferson Jones, médecin du groupe de travail sur l’épidémiologie COVID-19 du CDC concluait lors de la réunion :

    « penser que nous serons en mesure d’atteindre une sorte de seuil où il n’y aura plus de transmission d’infections peut ne pas être possible. » 

    Depuis lors, le CDC détourne son attention d’un objectif de vaccination spécifique qui, une fois atteint, présagerait la fin de la pandémie. 

    L’immunité de groupe ne pourrait être espérée par le vaccin que si celui-ci protégeait totalement les individus vaccinés suffisamment longtemps et les empêchait de transmettre la maladie. C’est le cas des vaccins contre la variole ou contre la fièvre jaune.

    Or les faits avérés montrent qu’aucune de ces deux conditions n’est remplie par les pseudo vaccins anti-Covid. Les vaccinés ne sont protégés qu’à 40 % et guère plus de quelques mois, en cas d’infection leur charge virale est égale à celle des non-vaccinés infectés et ils peuvent transmettre parfaitement la maladie. Cela explique que l’immunité collective est irréalisable par la pseudo vaccination actuelle.

    Conclusions

    Ce panorama de l’évolution de l’épidémie dans ces pays champions de la vaccination, telle qu’elle est décrite par les données de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins démontre :

    • Que les pseudo vaccins Covid ne protègent pas les populations des récidives de l’épidémie
    • Que les agences sanitaires abandonnent l’espoir d’une immunité collective par la vaccination maintenant qualifiée de mythe par la quasi-totalité des agences qui y croyaient
    • Que cet échec est la conséquence de l’efficacité insuffisante et de la durée beaucoup trop courte(([13] 4 à 6 mois alors que L’immunité naturelle dure beaucoup plus longtemps)) des pseudo vaccins actuels qui n’empêchent ni d’être malade ni de transmettre la maladie
    • Que beaucoup d’experts pensent qu’il est temps d’apprendre à vivre avec le covid comme avec la grippe saisonnière.

    Il est grand temps que notre ministre de la Santé considère
    les faits avérés et les conclusions des agences étrangères
    et cesse la quête infructueuse d’un Graal vaccinal illusoire et dangereux.

    L’échec maintenant patent des pseudo vaccins est d’autant plus criant que les traitements précoces bon marché ont fait leurs preuves d’innocuité et d’efficacité en Inde comme en Afrique (Nigéria, Madagascar) lorsqu’on regarde leurs données publiées par l’OMS.

    L’inde a privilégié les traitements précoces et préventifs par hydroxychloroquine et Ivermectine avec succès.

    Le Nigéria a bénéficié des traitements quotidiens par les antipaludéens

    Madagascar est le champion victorieux de l’Artémisine





    Gabriel Attal n’exclut pas de reconfiner les Français non-vaccinés

    [Source : lemediaen442.fr]

    Invité sur le plateau de l’émission de France 2 On est en direct le 13 novembre 2021, Gabriel Attal, n’exclut pas la possibilité d’un reconfinement pour les non-vaccinés. Face aux questions de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur un possible confinement à l’autrichienne, qui ne concernerait que les personnes non-vaccinées, la réponse du porte-parole du gouvernement laisse planer une possible ségrégation un peu plus ciblée :

    « On espère pouvoir éviter ça [NDLR: le reconfinement], on va tout faire pour ! […] L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après dix-huit mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe, car cette épidémie continue de surprendre le monde entier.  [L’exemple de l’Autriche] ça ressemble un peu à ce que l’on a fait avec le pass sanitaire. Il faut voir concrètement comment ça va s’organiser. »

    Pourquoi se mettre à dos toute la population française quand on peut s’acharner sur les 20 % de récalcitrants ? En effet le gouvernement n’est pas aussi con qu’il en a l’air, bien au contraire. L’idée reste de contraindre — par la violence de la semi-liberté — les Français qui ne souhaitent toujours pas se faire injecter le produit Pfizer. Et confiner toute la population, c’est suicidaire, surtout avant la présidentielle. Rappelons à nos lecteurs que la vaccination n’est que la face cachée de l’identité numérique mondiale. Même si Albert Bourla se fait des couilles en or massif, c’est Bill Gates avec le projet ID2020 qui doit se finaliser. Et pour manipuler toutes les populations, il faut contraindre les récalcitrants qui emmerdent ces messieurs. Mais il ne faut pas non plus exaspérer les vaccinés, tout en gardant une certaine pression tout de même. Dans un monde qui ressemble de plus en plus à un cirque, rien d’étonnant à voir de la contorsion et des clowns en guise de politiques prêts à vendre leur propre mère pour se faire un p’tit billet.

    Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




    Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins

    [Source : anguillesousroche.com]

    Bill Gates a exhorté les gouvernements du monde entier à sanctionner les utilisateurs en ligne qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination.

    Dans une nouvelle interview de 30 minutes avec le politicien britannique Jeremy Hunt, M. Gates a évoqué la « préparation à la pandémie » et le déploiement actuel de vaccins dans le monde.

    « Nous avons besoin d’une nouvelle façon de faire les vaccins », a déclaré Gates à Hunt.

    M. Gates a souligné l’importance de supprimer ce qu’il a appelé les « fausses informations » concernant le coronavirus et les « vaccins » approuvés par le gouvernement qui l’accompagnent. Il a déploré la montée de ce que l’on appelle « l’hésitation du masque » et « l’hésitation du vaccin » chez ceux qui choisissent de ne pas porter le masque ou de ne pas se soumettre aux injections expérimentales.

    Au lieu de s’en remettre aux médias sociaux pour réglementer « ce qui doit circuler » en ligne en ce qui concerne les discussions scientifiques sur la médecine et les vaccins COVID, M. Gates a suggéré que les gouvernements devraient « prendre les devants » pour contrôler la censure des médias en ligne, après avoir critiqué les plateformes telles que Facebook pour avoir été « un peu lentes » à enfoncer le clou.

    Le magnat de la technologie a ensuite jeté l’opprobre sur les géants des médias sociaux, en se moquant de leurs motivations en matière de publication de contenu, qui sont loin d’être vertueuses, tout en préconisant que les gouvernements prennent en charge le contrôle des discussions sur Internet.

    Affirmant qu’il n’est pas « réaliste » d’attendre de Big Tech qu’elle modère suffisamment ses propos, M. Gates a suggéré que « les gouvernements finiront par décider [des] supposées théories du complot sauvages : doivent-elles être vérifiées ? Doit-on ralentir leur diffusion ? Doit-on y placer des points de vue contrebalancés ? »

    Après avoir exprimé une certaine insatisfaction à l’égard de la réponse mondiale à COVID-19, Gates a expliqué qu’il souhaitait désormais que les responsables politiques planifient les « futures pandémies », en s’appuyant sur les efforts concertés de 2020, en demandant aux organismes internationaux de mettre en place des programmes de surveillance médicale et de commencer à « s’entraîner » à répondre à d’éventuelles menaces biologiques à l’aide d’une série de « germ games« .

    M. Gates a appelé à la création d’un « groupe de travail sur les pandémies à l’OMS [Organisation mondiale de la santé] » qui effectuerait des simulations d’attaques bioterroristes dans les aéroports, a-t-il déclaré, par exemple. « Vous dites, ok, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies causées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui. »

    Le groupe de travail nécessiterait des « dizaines de milliards » de dollars d’investissement de la part des nations du monde pour se préparer à l’éventualité d’une arme biologique fabriquée, a suggéré M. Gates.

    « On pourrait donc penser qu’il s’agit d’une priorité », a-t-il déclaré, prédisant que « l’année prochaine, ces allocations [financières] devront être faites, y compris pour ce groupe de travail sur la pandémie mondiale ».

    [En guise d’antidote, voir la vidéo suivante et les articles associés :
    Dr Valentina Kiseleva : Le virus et autres mythes]




    Qui décide de l’approbation des vaccins pour les plus jeunes ?

    [Source : Kla.TV]

    L’Agence européenne des médicaments (EMA) examine actuellement l’autorisation des vaccins Covid19 des fabricants BioNTech et Pfizer pour les enfants âgés de cinq à onze ans ! C’est ce qu’a annoncé l’EMA le 18 octobre à Amsterdam. C’est dans la précipitation que les autorisations pour les vaccins génétiques controversés ont été approuvées, d’abord pour les adultes, puis également pour les adolescents à partir de douze ans.
    L’EMA, qui est responsable de l’autorisation et de la surveillance des médicaments dans l’UE, est présentée comme l’instance des experts.
    Mais dans quelle mesure l’agence est-elle digne de confiance et surtout indépendante, compte tenu également du fait que le « vaccin » serait bientôt injecté aux plus jeunes ?

    Le 16 novembre 2020, Madame Emer Cooke a été nommée directrice de l’EMA. Elle a une influence décisive sur l’approbation des produits pharmaceutiques. D’où vient-elle ?

    — De 1985 à 1991, Madame Cooke a occupé divers postes au sein de l’administration de
    l’industrie pharmaceutique irlandaise.

    — En 1991, elle a rejoint le conseil d’administration de la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA). Ceci est la plus importante organisation de lobbying de l’industrie pharmaceutique européenne, avec les dépenses les plus élevées, qui a le plus de contacts avec l’UE et plusieurs agences de lobbying.

    — Elle représente certaines des plus grandes sociétés pharmaceutiques, dont Astra Zeneca, Johnson & Johnson et Pfizer. Jusqu’en 1998, Madame Cooke a officiellement représenté les intérêts de ces sociétés pharmaceutiques justement dans le domaine des réglementations.

    — De 1998 à 2002, Madame Emer Cooke a ensuite dirigé le département pharmaceutique de la Commission européenne. Puis elle a rejoint l’EMA, où elle a occupé jusqu’en 2016 le poste de chef des inspections et chef des affaires internationales.

    — De novembre 2016 à novembre 2020, Madame Cooke a occupé un mandat de directeur exécutif de l’EMA, en étant responsable de toutes les activités réglementaires liées aux produits pharmaceutiques.

    Après la prise de fonction de Madame Cooke à l’EMA, les vaccins Covid19 ont été approuvés pour l’UE dans un délai très court par les sociétés pharmaceutiques suivantes:

    — le 21 décembre 2020, celui de Pfizer et de BioNTech,
    — le 29 janvier 2021, celui d’AstraZeneca.
    — le 12 mars 2021, celui de Johnson & Johnson.

    Lorsque de nombreux cas de thrombose veineuse cérébrale, dont certains mortels, ont été signalés en rapport avec une vaccination d’AstraZeneca, Madame Emer Cooke a notamment fait pression pour que l’autorisation de l’UE soit maintenue.

    En outre, le budget total de l’EMA pour 2021 s’élève à la somme impressionnante de 386 millions d’euros. Sur ce montant, 330 millions d’euros, soit environ 86 %, proviennent uniquement des redevances d’approbation versées par les entreprises pharmaceutiques.

    Le député autrichien Gerald Hauser se demande si une personne comme Madame Cooke avec une expérience aussi prononcée dans le secteur pharmaceutique peut décider de l’autorisation d’un vaccin sans parti pris :

    « Alors, Madame Emer Cooke, qui a été nommée au conseil d’administration de l’EMA à la mi-novembre 2020, a travaillé toute sa vie pour l’industrie pharmaceutique. Elle a fait du lobbying pour l’industrie pharmaceutique à titre exécutif et est maintenant responsable de l’approbation, du contrôle et de l’efficacité des vaccins — dont AstraZeneca. Mesdames et Messieurs. Dans un tel cas, que dire en tant que parlementaire non praticien ? Que dire ? Délit d’initié pur et simple, favoritisme pur et simple, corruption… C’est comme ça. Veuillez y penser lorsqu’à l’avenir vous citerez l’EMA, comme preuve de l’exactitude des tests des médicaments. »

    La question de la crédibilité de l’EMA se pose donc évidemment : un vaccin qui provoque déjà plus de décès et d’effets secondaires que tous les autres « vaccins » réunis, est censé protéger les enfants de maladie ? Une injection qui fait gagner des milliards aux compagnies pharmaceutiques est censée être « bénéfique » pour les enfants ? !

    Résultats de l’entreprise en 2020 et au premier trimestre 2021 :

    Pfizer : 14 500 millions de dollars
    Johnson & Johnson : 21 600 millions de dollars
    BioNTech : 1 100 millions d’euros






    Vaccination de masse et logique sacrificielle

    [Source : AIMSIB]

    Par Hypathie A

    Nous vivons un temps d’une exceptionnelle dureté pour la démocratie où même les juges, quels qu’en soient l’instance, répriment systématiquement le droit pour promouvoir l’idéologie vaccinale prétendument salvatrice. Exception notable de ce jugement du Conseil d’État en date de la semaine dernière, passé inaperçu et pourtant d’une double exceptionnelle portée (1) : Oui la myosfasciite à macrophage existe (2), et oui ses victimes doivent être indemnisées. Quinze ans pour faire reconnaître les droits d’une infirmière vaccinée par obligation professionnelle, probablement autant pour pouvoir peut être recevoir la compensation financière de celle-ci? Mais alors, si les victimes des vaccins ne peuvent ni préjuger de leurs effets secondaires possibles au moment des injections ni toucher leurs indemnisations en temps utile, comment peut-on éthiquement défendre le principe de la vaccination obligatoire ? Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement, et dans cet exercice, Hypatie A excelle (3)(4)(5). Voici un texte argumenté  et d’une limpidité sans faille, bonne lecture.

    Introduction

    Les blessés de guerre ont une place définie dans la société. Leur terrible malheur est transmuté en Honneur par la “Nation reconnaissante”. S’ils y perdent un membre ou la santé, ils gagnent une pension, une médaille, voire une statue, bref un statut. Et même une place réservée dans le métro.

    “Nous sommes en guerre”

    Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous sommes en guerre. M. Macron l’a même affirmé en direct à la télé. Certes, une guerre d’un genre nouveau, mais une guerre malgré tout.

    L’idéologie qui impose cette guerre est extrêmement simpliste, terriblement violente et diablement efficace. Elle tord la réalité pour nous faire croire qu’il ne peut y avoir qu’un seul et unique problème qui mérite toute notre attention, et

    Ce problème ne peut être réglé que par une seule et unique solution (brevetée), véritable panacée : une “vaccination” expérimentale universelle. C’est trop simple : “il n’y a pas d’alternative”, le credo néolibéral par excellence.

    Et puis, quand on y pense, la vaccination de masse n’est-elle pas intrinsèquement totalitaire ? Non seulement elle vise la soumission totale des individus et ne peut s’imposer que par coercition, terreur, propagande et autres bons pour une bière gratuite …

    Mais surtout, il s’agit de l’intrusion ultime dans l’intime : la modification forcée et potentiellement irréversible de l’organisme de chaque Humain.
    Et peu importe notre singularité : femme enceinte, vieux diabétique, bébé baveux ou jeune athlète, nous avons tous droit au même produit standardisé (breveté). La différence biologique est simplement niée.

    Ne serait-ce pas là le commencement de la déshumanisation, et la porte ouverte aux pires atrocités ?

    Alors imaginons un instant… Que se passerait-il si l’on ne produisait qu’une seule taille de chaussure afin de simplifier les chaînes de production et d’augmenter les rendements ? Beaucoup de gens auraient mal aux pieds… des « anti-chaussures » à n’en pas douter.

    La logique de la standardisation génère forcément des oeufs cassés. Que faire de ces très très rares victimes de la standardisation industrielle ?

    Une logique sacrificielle

    Pour faire passer la pilule, on affirme que ces sacrifiés sont “acceptables” au regard du “bien commun”. De nombreux outils “scientifiques” sont là pour recenser, accompagner, dédommager les oeufs cassés : pharmacovigilance, balance bénéfice-risque, ONIAM… tout un arsenal spécialement dédié. Et on jure sur ses grands dieux que de tels oeufs sont très très rares… voire inexistants.

    1. La Pharmacovigilance

    Même Martin Blachier, pourtant ardent défenseur des vaccins, le reconnaît : la pharmacovigilance est incapable de déceler plus de 10% grand maximum des effets indésirables des médicaments, probablement autour des 1% dans le cas des vaccins (7)(8) . On le sait, on le dit depuis longtemps, ce système obsolète cumule les aberrations et les défauts (9).

    Les vaccins en particulier bénéficient d’avantages que les Humains ont perdu depuis longtemps comme la présomption d’innocence, même s’il existe de nombreuses preuves du contraire, mais ils bénéficient aussi :
    – D’une véritable “dissonance cognitive” de la part des médecins, incapables d’envisager ne serait-ce que la possibilité qu’un vaccin (n’importe lequel) puisse causer des drames.
     Par voie de conséquence : la méconnaissance par le corps médical des effets graves relevés dans la littérature scientifique par les chercheurs académiques ou les associations de victimes… voire des effets graves inscrits dans la notice, ce qui expliquerait leur incapacité à reconnaître que les pleurs inconsolables d’un nourrisson, à la suite de ses vaccins obligatoires, peuvent être le signe d’une inflammation cérébrale.
    – La passivité du système de déclaration : de fait, si on refuse d’entrevoir un lien de causalité, rien n’est déclaré par le soignant. Quant aux victimes elles-mêmes, elles chercheront d’abord à se soigner. Déclarer l’effet ne vient pas spontanément à l’esprit, pour peu que le lien avec l’injection soit envisagée.
    – Une extrême difficulté à déclarer un effet : obsolescence des plateformes qui peuvent saturer, difficultés d’accès, dossiers qui disparaissent… Sur ce point, le Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux (REVAV) a beaucoup à nous apprendre (10).

    Reconnaître les effets indésirables de tout médicament est pourtant fondamental à plus d’un titre :
    – À titre médical, afin de favoriser les diagnostics et de développer des thérapies idoines
    – À titre juridique, afin d’évaluer et de reconnaître les dommages, et de les indemniser.
    – À titre humain, afin d’aider la victime à surmonter son traumatisme.
    – À titre politique, pour évaluer le vrai coût des risques… et des campagnes de vaccination.

    Ainsi, la fameuse balance bénéfice-risque est truquée à la base, reposant sur des données pourtant officiellement reconnues comme peu fiables.

    Comme le dit le médecin québécois René Lavigueur dans sa lettre ouverte publiée dans le journal La Presse (censurée dès le lendemain) à propos des vaccins anti-covid : “Pourquoi ignorer (…) le risque de ces vaccins ? Si le fabricant n’est responsable de rien, s’il a pu négocier une immunité judiciaire, alors qui sera responsable des dommages bien réels de ces vaccins (11) ?”

    Très bonne question.

    2. L’ ONIAM

    Dans le cas d’une simple recommandation vaccinale, si vous êtes victime d’un effet grave, vous l’avez dans l’os. Et bonne chance face aux laboratoires surpuissants.

    Dans le cas d’une vaccination obligatoire, il existe en France un système d’indemnisation dédié, en cas d’accident vaccinal : l’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux. Car bien évidemment, on ne va pas demander aux laboratoires de prendre la responsabilité de la sécurité de leurs produits… ce ne serait pas bon pour les affaires (12). C’est à la solidarité nationale d’assumer les “blessés de guerre”.

    On privatise les bénéfices et on mutualise les pertes.

    Le business plan parfait.

    Étude de cas :

    Mme L. était infirmière. Dans le cadre de sa profession, elle a reçu de multiples vaccinations obligatoires contenant de l’aluminium. Dès 2007, elle rencontre divers troubles neurologiques et en 2009, elle reçoit un diagnostic de Myofasciite à macrophages (MFM), un syndrome de fatigue chronique accompagné de douleurs musculaires et de troubles neurologiques, causé par une biopersistance des adjuvants aluminiques au sein des macrophages, qui migrent partout dans l’organisme via les voies lymphatiques, et peuvent même traverser la barrière hémato-encéphalique… avec leur dangereuse cargaison (13).

    Ce type d’information cruciale, vous ne la trouverez dans aucun rapport officiel. Non, officiellement, les macrophages restent gentiment au site d’injection, l’adjuvant aluminique s’élimine par magie en quelques jours, les doses sont riquiquies et c’est bien connu, seule la dose fait le poison… Et puis, on en mange tous les jours, de l’alu ! Et tout le monde sait que « avalé » et « injecté », c’est kif kif en termes de pharmacodynamie (14).

    Il existe pourtant à ce jour une littérature scientifique internationale de premier plan, plusieurs centaines d’études cliniques, post-mortem, in vivo et in vitro sur la toxicité des particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination qui contredisent formellement ces croyances infondées.

    Un parcours du combattant

    C’est donc avec confiance que Mme L., épaulée par l’association E3M, dépose un dossier d’indemnisation en 2016 auprès de l’ONIAM. Seulement voilà, l’ONIAM rejette le dossier au prétexte que le lien entre la vaccination et la pathologie n’est pas démontré.

    Pour affirmer cela, ses experts s’appuient exclusivement sur le “consensus règlementaire”, celui des agences sanitaires officielles (15) qui acceptent les données des laboratoires sans rien vérifier.

    Ce consensus règlementaire est bien éloigné de l’état réel des connaissances scientifiques, celui des chercheurs qui étudient sérieusement ce sujet à l’exclusion de tout autre, et qui publient dans les plus grands journaux scientifiques, soumettant leurs travaux à la critique des pairs.

    Ces chercheurs assument et signent leurs travaux, contrairement aux “experts” des laboratoires qui imposent leurs résultats de façon anonyme, sans donner accès aux données brutes classées “secret des affaires” (16).

    En clair, la décision de l’ONIAM repose sur une contrefaçon intellectuelle : la confusion entre le consensus règlementaire (généralement fourni par les laboratoires, figé dans le marbre et impossible à vérifier) et le consensus scientifique (l’état des lieux réel de la connaissance, en perpétuelle évolution).

    Ainsi, sur le sujet des adjuvants aluminiques, le consensus règlementaire toujours en vigueur est de considérer que les particules d’aluminium injectées lors d’une vaccination ne posent aucun problème, surtout pas chez le nourrisson en plein développement neurologique… surtout pas en lien avec l’autisme (17) .

    Mais le plus amusant, c’est que pour affirmer cela, les agences s’appuient sur une rhétorique totalement anti-scientifique, pour ne pas dire magico-religieuse.

    En effet, tout l’argumentaire règlementaire des agences ne repose que sur une seule et unique étude in vivo (18)…  portant sur 4 lapins étudiés pendant un mois… et qui observe systématiquement une pénétration cérébrale des particules neurotoxiques.

    Ne serait-ce pas là un premier indice, conforté par de nombreuses études récentes (19) de “plausibilité biologique” pour de potentiels troubles neurologiques ? Pas pour les agences sanitaires.

    Mme L. ne lâche pas. S’en suit des années de procédures, véritable calvaire pour des personnes épuisées physiquement, mentalement, financièrement : le Tribunal administratif de Caen condamne l’ONIAM, qui fait appel. Report du dossier en cour administrative d’appel de Nantes qui annule le jugement. Déjà 6 ans de procédures, et rien n’est encore gagné. Tout est fait pour décourager les victimes : allongement et coûts des procédures, refus des experts d’étudier la littérature scientifique, confiance quasi religieuse dans les leaders d’opinion et les agences sanitaires, question des délais de survenue des effets indésirables, question d’imputabilité… Sans les associations de victimes, l’implication de juristes spécialisés et une bonne dose de chance, c’est peine perdue.

    3. Le Conseil d’État

    Dernier espoir : le Conseil d’Etat.

    Saisi en 2019, l’institution vient de rendre son verdict, estimant que la cour administrative d’appel avait commis une erreur de droit, et que « pour écarter toute responsabilité de la puissance publique, il appartenait à la cour, non pas de rechercher si le lien de causalité entre l’administration d’adjuvants aluminiques et les différents symptômes attribués à la myofasciite à macrophages était ou non établi, mais de s’assurer, au vu du dernier état des connaissances scientifiques en débat devant elle, qu’il n’y avait aucune probabilité qu’un tel lien existe.” (20)(21)

    Depuis 2012, le Conseil d’État a rendu 12 arrêts en faveur des victimes de MFM. En clair, l’arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes est annulé : Mme L. devrait être indemnisée… Un jour… Car l’ONIAM ne semble pas être un organisme favorable aux victimes d’accidents médicaux. Bien au contraire, il semblerait que la gestion de cet argent public sente le souffre : prise illégale d’intérêts, abus de confiance, malversations, impayés envers des victimes dont le dossier a pourtant été accepté (22)… Un scandale qui perdure. (23)

    Maître François Jégu, chargé de l’affaire de Mme L., souligne que « la jurisprudence est en cours d’édification » dans le but également de faire progresser l’indemnisation des vaccinations non obligatoires qui se fait par voie contentieuse, face à des acteurs d’une extrême puissance.

    L’ONIAM ne peut plus se retrancher derrière l’avis (obsolète) des agences sanitaires pour écarter toute demande.

    Il paraît raisonnable de considérer qu’un « faisceau de preuves concordantes » devrait suffire pour accorder une indemnisation, et qu’il ne s’agit pas ici d’un tribunal pénal où les preuves formelles d’imputabilité, impossibles à obtenir pour ce type de produit, seraient exigées.

    Ce n’est pas comme si les laboratoires étaient condamnables, de toute façon. (24)

    Pourquoi de tels dysfonctionnements ?

    On voit clairement qu’un organisme comme l’ONIAM est conçu pour protéger les laboratoires et les décisions politiques, le système en place.

    Après tout, reconnaître les victimes vaccinales, c’est reconnaître les défauts des politiques de santé publique. C’est poser la question de la responsabilité politique (que l’idéologie néolibérale a totalement dissoute), la question des compromissions d’intérêts des leaders d’opinion, de l’indépendance des agences sanitaires, du pouvoir pharamineux qu’exercent les laboratoires sur le monde de la santé (entre autres).

    Du coût réel de ces mesures, en termes de vies gâchées, en termes de dépenses engagées.

    Alors que faire ?

    Lors d’un colloque portant sur le droit des victimes d’un effet indésirable de médicament (25), l’universitaire Laurent Bloch fait des recommandations concrètes :

    – La pharmacovigilance devrait être indépendante des structures étatiques, organisée par un groupe de citoyens et d’associations.
    – Les comités d’experts doivent être totalement indépendants de l’industrie. Ils doivent exercer dans leur champ précis de compétences et s’exprimer exclusivement sur l’objet de leurs recherches.
    – Le fonds d’indemnisation prévu devrait être financé par les laboratoires : l’ONIAM serait uniquement chargée de distribuer ce fonds. Le contrôle de la gestion de ce fonds devrait être renforcé.
    – Le doute devrait bénéficier aux patients : la charge de la preuve doit porter sur les laboratoires et le produit doit être « présumé coupable » jusqu’à preuve du contraire.
    – En clair il faut revoir toute la législation…

    Sans ces réformes, les victimes sont condamnées à subir cette violence institutionnelle et à gérer, en plus de leurs soucis de santé, un poids moral et financier épuisant.

    Le cas des vaccins anti-covid

    En France, c’est également l’ONIAM qui prend en charge les accidents liés aux vaccinations anti-covid, au titre des articles L3131-0 à L3131-4 du Code de la Santé Publique. Au vu des difficultés rencontrées par les victimes des vaccins obligatoires, il y a de quoi être très inquiet.

    Au moins 21 demandes d’indemnisation ont été déposées à l’ONIAM concernant des dommages liés aux vaccins anti-covid (26). Sur ces 21 dossiers, 2 ont été rejetés, 4 font l’objet d’une mission d’expertise médicale et 15 sont en cours d’instruction… Il est précisé que l’ONIAM dispose d’un délai de 6 mois pour se prononcer sur chaque dossier…

    L’exemple des victimes de la vaccination H1N1 de 2009, souffrant notamment de narcolepsie, un trouble extrêmement handicapant, n’augure rien de bon.

    Après 11 années, sur les 173 demandes déposées à l’ONIAM (l’avocat d’une victime affirme à lui seul détenir plus de 250 dossiers…) 57 seulement ont, à ce jour, reçu une indemnisation.

    55 victimes ont été forcée de saisir la justice pour faire avancer leur dossier (27). Un véritable calvaire pour des victimes épuisées. L’ONIAM n’est-il pas censé simplifier et accélérer les procédures « amiables, rapides et gratuites » précise le site internet de l’établissement (28).

    Au lieu de ça, on nage dans l’arbitraire le plus total : l’ONIAM décrète quelle marque de vaccin il indemnise ou pas, ce qui est imputable ou non au vaccin (on rappelle qu’il est le payeur). Il choisit les délais d’apparition des effets indésirables les plus courts possibles… et les montants versés sont systématiquement revus à la baisse, à l’encontre des préconisations de ses propres experts… Quand les victimes reçoivent effectivement leur indemnisation…

    Conclusion

    Bien sûr, on pourrait tiquer sur le fait que les vaccins, et notamment les vaccins anti-covid, ont été financés avec l’argent public (29) en termes de recherche et de pré-achat : les profits et les brevets, eux, restent bien privés. C’est encore l’argent public qui servira à indemniser les victimes.

    Pile on perd, face ils gagnent.

    Les victimes des effets secondaires des vaccins sont livrées à eux-mêmes et devront, in fine, supporter seules la charge d’effets parfois très graves pour leur santé et leur vie. Elles devront supporter seules les longues procédures d’indemnisation et l’impact psychologique et financier que tout cela génère. Devant autant de dysfonctionnements, il paraît absolument évident qu’aucune obligation vaccinale ne devrait être imposée à la population, de quelque façon que ce soit, et que chacun devrait pouvoir estimer sa propre balance bénéfice-risque, de façon éclairée et posée, pour ne pas avoir à dire « si seulement j’avais su… »

    Hypatie A
    Octobre 2021

    Notes et sources

    (1) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
    (2) https://www.aimsib.org/2019/08/23/professeur-romain-gherardi-et-laluminium-vaccinal-quand-la-science-avance-a-pas-de-geants/
    (3) https://www.aimsib.org/2019/07/29/aluminium-vaccinal-larticle-qui-tue-a-suivre-deux-heures-de-videos-gratuites/
    (4) https://www.aimsib.org/2021/02/28/adjuvants-aluminiques-bravo-a-ceux-qui-savent-changer-davis/
    (5) https://www.aimsib.org/2021/03/07/autopsie-assassinat-scientifique/
    (6) Pour la blague : https://www.thecut.com/2021/06/the-most-wild-vaccine-incentives-that-states-are-offering.html
    (7) http://www.pharmacovigilance-tours.fr/tl_files/Documents/Publications/2011/Pharmacovigilance%20des%20vaccins.%20E.%20Autre-teca%20et%20al.%20Revue%20du%20Praticien%20Med%20Gen%202011%2025%20869%20715-8.pdf
    (8) https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf
    (9) https://www.aimsib.org/2021/09/25/pharmacovigilance-des-vaccins-anti-covid/
    (10) https://www.facebook.com/reseauvictimesdaccidentsvaccinaux/photos/pcb.2993640594210404/2993640200877110
    (11) https://web.archive.org/web/20211026114028/https://plus.lapresse.ca/screens/2cea04f9-8c82-4c75-8178-8377e51a966f__7C___0.html
    (12) Pour en savoir plus : https://alutotal.wordpress.com/2020/02/21/pourquoi-de-laluminium-dans-les-vaccins/
    (13) Gherardi RK et al. Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system. Autoimmun Rev 2019;18:691-705
    (14) https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
    (15) http://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/10/adjuvants-vaccinaux-rapport-ANM1.pdf
    https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/hcspr20130711_aluminiumetvaccins.pdf
    http://www.acadpharm.org/dos_public/Rapport_Adjuvants_aluminiques_VF_CORR_5.pdf
    (16) Pour en savoir plus : Lobbytomie de Stéphane Horel, éditions La Découverte. Les Gardiens de la raison, Stéphane Horel, Stéphane Foucart, Sylvain Laurens, éditions La Découverte
    (17) https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/autism-spectrum-disorders
    (18) Flarend RE, Hem SL, White JL, Elmore D, Suckow MA, Rudy AC, et al. In vivo absorption of aluminium-containing vaccine adjuvants using 26Al. Vaccine. 1997 Sep;15(12–13):1314–8
    (19) Bruce M, Streifel KM, Boosalis CA, et al. Acute peripheral immune activation alters cytokine expression and glial activation in the early postnatal rat brain. J Neuroinflam. 2019; 16:200.
    (20) https://jegu-associes.fr/2021/10/22/conseil-detat-arret-du-29-septembre-2021-consecration-de-la-relation-de-causalite-juridique-entre-la-myofasciite-a-macrophages-et-la-vaccination-aluminique/
    (21) Un seul regret : il est bien dommage que le Conseil d’Etat fasse exactement le contraire de ce qu’il préconise en se retranchant derrière l’avis (obsolète) de l’OMS dès que l’on s’attaque à la sécurité des vaccins pédiatriques à l’aluminium, obligatoires en France et injectés dès l’âge de 2 mois. Dans ce cas précis, ce n’est plus un « état des connaissances scientifiques » qui est observé, mais une simple référence aux agences sanitaires… Exactement comme l’ONIAM. Le scandale est probablement beaucoup trop gros et trop politique pour éclater.
    (22) https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/scandale-dans-la-gestion-de-largent-des-victimes-daccidents-medicaux-3509534
    (23) https://www.youtube.com/watch?v=CcrjvRp9jTE
    (24) Article L3131-3 du Code de la santé publique
    (25) https://www.prescrire.org/Docu/Archive/docus/ColloqueVictimesBloch.pdf
    https://www.prescrire.org/Fr/1/507/49888/4156/SubReportList.aspx
    (26) https://www.village-justice.com/articles/vaccination-contre-covid-qui-est-responsable-cas-prejudices,39873.html
    (27) https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/indemnisation-des-accidents-vaccinaux-un-scandale-francais_2146050.html
    (28) https://www.oniam.fr/
    (29) https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-5-chiffres-fous-sur-le-financement-des-vaccins-1269170




    Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

    [Source : Dr Mercola]

    Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

    Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

    La « plandémie » et le Grand Réveil

    Bref aperçu :

    • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
    • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
    • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
    • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
    • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

    [Voir aussi :
    Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
    Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
    L’heure de la justice]

    Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

    Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

    « J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

    Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

    J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

    Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

    J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

    Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

    La fraude de l’injection

    Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

    « Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

    L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

    Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

    Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

    Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

    Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

    C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

    Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

    Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

    Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

    « Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

    Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

    Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

    Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

    Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

    Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

    S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

    Comme l’a relevé Austin Fitts :

    « Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

    D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

    « C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

    En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

    Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

    Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

    Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

    « Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

    Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

    « Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

    S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

    Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

    Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

    Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

    « Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

    C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

    Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

    Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

    Que pouvez-vous faire maintenant ?

    Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

    Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

    Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

    Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

    « J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

    Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

    Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

    Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

    Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

    Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

    De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

    « Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

    Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

    Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

    Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

    Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

    Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

    Qui est derrière tout cela ?

    Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

    « Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

    Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

    Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

    Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

    Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

    En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

    Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

    S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

    Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

    Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

    Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

    Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

    Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

    Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

    « À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

    Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

    Des signes d’un changement positif

    Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

    « Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

    Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

    Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

    Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

    C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

    Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

    La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

    Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

    Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

    Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

    Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




    Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles

    [Source : numidia-liberum.blogspot.com]

    « Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

    Robert F. Kennedy Jr.

    L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD pour la distribution des vaccins aux hôpitaux et aux cliniques de santé si besoin est. Avec le recul, il s’agit d’une boule de cire qui a été moulée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, le NIH et son porte-parole Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID). Le Dr Anthony Fauci comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter un vaccin expérimental et très dangereux. Même s’il s’agit clairement d’une pro vaccination, Bloomberg a révélé à quel point six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui ont reçu de l’argent des coffres du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont été gratifiés dans des contrats attribués de manière opaque au sein de l’Operation Warp Speed OWS) .

    Préambule

    La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.
    En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.
    Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

    En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick [6], le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.
    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».
    Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Pour simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

    Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

    H. Genséric


    Selon Bloomberg :

    Au cours des six semaines suivantes, OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires, ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi conjointement avec Glaxo. Le gouvernement a publié à contrecœur certains des contrats – fortement censurés – au cours de l’été en réponse aux demandes du Freedom of Information Act. Slaoui(([1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Biden en janvier 2021)) dit que le tapage n’est pas nécessaire : « Ce sont des contrats simples. Ils n’ont rien de spécial à part le montant d’argent, qui est lié au coût de développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a déposé une plainte exigeant la publication des contrats des vaccins coronavirus. Fin octobre, HHS a publié un contrat Moderna, fortement censuré.

    Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes précédemment programmés et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

    « C’est un buziness parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

    Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont pris ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu des effets indésirables plus graves ainsi que des décès dus à juste la dernière année où ils ont été administrés à des personnes que nous avons vu de tous les 70 vaccins combinés des 10 années précédentes selon les propres chiffres VAERS du CDC.(([2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
    –  Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
    –  Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19
    –  HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré
    –  La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !
    –  Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés
    –  Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….
    –  Le sang contaminé nouveau est arrivé
    –  Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts))
    Et, étant donné qu’il est extrêmement long de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais déposés après 48 heures ainsi que le biais inhérent au système allopathique de soins médicaux en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (d’au moins un ordre de grandeur de dix fois, mais probablement plus proche de 100 fois(([3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis
    –  USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
    –  HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?
    –  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent)) ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents pathogènes et agents, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, bien que loin d’être exhaustive, d’une poignée de telles expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées, comme vous pouvez tout lire dans les hyperliens indiqués.

    • 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures prises dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

    • 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été déclenchée dans le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin plutôt qu’une pandémie naturelle par l’Institut Rockefeller avec leurs cobayes soldats de la Première Guerre mondiale avec des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.(([4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine
    Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.
    Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.

    Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??))
    Cette véritable pandémie a été aggravé par les quartiers exigus de la guerre des tranchées et si l’on considère que c’était également à l’époque où le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) par Arthur Firstenberg.

    • 1942 : L’armée impériale japonaise établit un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant au tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont expérimenté sur la tribu indienne Fore là-bas. La tribu a reçu une injection de la version hachée du cerveau de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob ou l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Après cinq ou six ans, la tribu Fore a développé ce qu’elle appelait le «kuru» où elle s’est littéralement dépérie alors que son cerveau se transformait en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné à choisir. Soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre biologique avec des germes » à développer leur propre agent de la maladie à prion kuru de la MCJ/ESB de qualité militaire.

    • 1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain connu.

    • 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise au moins 239 zones peuplées, d’agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres,  de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et Serratia Marcescens (qui est connu pour causer la méningite).(([5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
    –  Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)
    –   La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid
    –  USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019
    –  Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
    –  France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)
    –  Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!
    –  Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique
    –  Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!))

    • 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année d’avant. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

    • 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella par le Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

    • 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 avec son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté sur les soldats et les citoyens américains des armes chimiques et bactériologiques, appelées par euphémisme « stimulants ». Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

    • 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin à la recherche et aux tests sur la guerre des germes biologiques sur les citoyens américains avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

    • 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone de 1970 avec un sous-comité du Congrès, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément  le virus du sida a fini qui a été conçu. Il a été créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

    • 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « The Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA) , qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait vraiment partie de MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

    • 1974 : National Security Study Memorandum 200 intitulé « The Kissinger Report » indique que pour réduire la croissance démographique : 

    “ Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent des fonds de la population… ”

    • 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle à New York et à San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

    • 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles comme je l’ai déjà dit.

    • 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux irakiens tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc.

    • 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on lisait : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

    • 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental unique en son genre s’est déclarée naturellement à New York. Environ la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et il s’est apparemment propagé aux humains par les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui a circulé en Israël de 1997 à 2000. L’une des personnalités clés pendant cette période à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement de sécurité sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques comme le vaccin contre la variole sous la « Emergency Health Powers Act » jusqu’à ce que la California Association of Nurses refuse de l’accepter et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et germinatif de Ft. Detrick [5]et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO a été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) En fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché d’un million de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) d’OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs à suivre, comme le Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

    • 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie où ils avaient la tête rétrécie et malformée et d’autres malformations congénitales graves. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que les vaccins le font parfois. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

    En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll d’un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017:

     « Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur  et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier dans des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans les laboratoires, épissant ensemble différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de soins de santé préventifs tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

    SOURCE : Algora Blog

    NOTES de H. Genséric