Lette ouverte aux Sénatrices et Sénateurs contre le projet de loi « Dérives sectaires »

Comme vous le savez, le 19 décembre, en fin de journée ou en début de soirée, sera discuté, dans l’hémicycle du Sénat, le projet de loi n° 111, 2023-2024, visant à renforcer la lutte contre les soi-disant DÉRIVES SECTAIRES. Ce projet de loi répressif comprend un volet sur la « protection de la santé » (Chapitre III), qui est curieusement porté par le ministre de l’Intérieur, en l’occurrence, M. Gérald DARMANIN.

Malgré l’heure tardive du débat, les Français espèrent vous voir très nombreux dans l’hémicycle à vous opposer à ce projet anti-science. Avec certitude, les Français suivront, eux aussi, massivement vos débats sur LCP.

Pourquoi ce projet est-il anti-science ? Nous vous invitons, ainsi que le gouvernement et notamment Monsieur DARMANIN, à consulter « Les grandes controverses scientifiques », 2014, DUNOD, coll. Quai des sciences, 180 p.

Il en ressort un principe ancien et essentiel :




La controverse sur les manipulations du climat

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Il va de soi que ce n’est pas auprès des « experts du GIEC » qu’il faut s’informer sur les questions climatiques, tout comme ce n’est certainement pas auprès des « experts de l’OMS » qu’il faut chercher une information sérieuse sur la santé ! Dès que vous évoquez ce thème concernant le climat et l’eau en particulier, vous avez immédiatement une pluie de railleries qui vous tombe dessus ! Puis, vous êtes traîné dans la boue ; les pouvoirs nient farouchement la réalité et développent des arguments copieusement puisés dans le registre de la diffamation, traitant de « complotistes » ou « délirants » tous ceux qui osent évoquer ce scandale bien réel pour la santé publique. Ceux qui ont des preuves de la pratique des « chemtrails » sont bâillonnés, enfermés en psychiatrie ou astucieusement exécutés ! Une femme pilote de l’US Air Force, Kristen Meghan, témoigne depuis quelque temps, partout dans le monde, de la réalité indiscutable de ces programmes qui se pratiquent dans tous les pays occidentaux. Sa carrière a été brutalement compromise ! Pour ceux qui sont encore en mesure d’avoir envie de savoir, vous pouvez écouter son témoignage sur :



Concernant les Chemtrails, il existe un rapport scientifique qui ne laisse aucun doute possible sur la question et qui a été publié le 8 juillet 2010 par Vivre Debout ! Ce rapport scientifique a pour nom CASE ORANGE.

[Voir aussi :
Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles,
Révélations sur les chemtrails,
Smart dust, la poudre blanche intelligente,
L’arme du climat, une guerre invisible]

Case Orange a été élaboré par une équipe « d’experts », qui ont estimé qu’il était temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme « chemtrails ». Certes, l’identité des auteurs n’est pas dévoilée dans ce rapport — on peut comprendre pourquoi — mais toutes les données peuvent être contrôlées via les renvois en bas de page et toutes les affirmations sont étayées par des annexes détaillées.

Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action tout d’abord par les États-Unis.

Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, en Belgique, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010. L’on pouvait écouter les orateurs sur le site suivant :
http://www.ustream.tv/channel/belfort-test

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :
http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf
[en allemand en anglais ??]

Si vous ne pouvez pas le visualiser, je propose ici un résumé du texte de base que j’avais gardé en son temps dans mes documents.

Définition des termes

Contrails (condensation — trails = traînées de condensation): il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau émise dans les gaz d’échappement des avions.

Leur formation dépend et de l’altitude et de la température (aussi pour les moteurs à hélice). Leur caractéristique : ils sont éphémères.

Les avions actuels, équipés de moteurs plus puissants génèrent des traînées plus persistantes sur des longueurs de 30 à 40 km.

Distrails (dissipation — trails = dispersion) : ce sont des tunnels qui se forment lorsqu’un avion vole à travers un nuage. Les gouttelettes d’eau se transforment en vapeur d’eau.

Chemtrails (chemical – trails = traînées chimiques) : il s’agit de traînées d’avion délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques.

Elles sont plus persistantes, elles durent des heures et se déploient en quadrillant, de grandes surfaces. Officiellement, les États nient leur réalité. Si l’on met de côté le mensonge et la négation par les pouvoirs, la justification qui est avancée est celle-ci : il s’agirait d’influencer le climat et plus particulièrement de favoriser ou d’éviter les précipitations par le « cloud seeding » (ensemencement de nuages) en vue de s’opposer au réchauffement climatique !

Les carburants

Pour les avions civils, il y a +/— 50 substances chimiques dont l’éthylène, le formaldéhyde, l’acétylène et le propène.

Pour les avions militaires, le carburant est différent et breveté parce qu’il contient des additifs en relation avec le « point d’inflammabilité » (point plus élevé), la stabilité thermique, l’encrassement par des résidus de coke, etc. Il contient un lubrifiant supplémentaire.

Pas de contrôle sur les programmes militaires

Le commandement militaire qui centralise les missions d’épandages n’est pas contrôlé par les pouvoirs publics. Les avions militaires sont exclus des normes. Les recommandations ne sont pas toujours traduites en lois et sont donc non contraignantes.

Les avions-citernes KC135 (= équivalent du Boeing 707) et les bombardiers posent problème. Leurs émissions de gaz sont 1200 % supérieures pour le CO2 et 30 % supérieures pour le NO si on compare ces valeurs aux normes de référence !

Les Contrails

En d’autres termes, les contrails (« normaux ») sont déjà source d’une sérieuse pollution ! Les cirrus quant à eux — naturels ou artificiels — ont un effet refroidissant sur la température.

Les aérosols ont une double action :

1 — d’une part, ils forment un écran/filtre de la lumière du soleil (assombrissement global — global dimming). Il fait plus froid et plus sec.

2 — d’autre part, ils forment des gouttelettes d’eau et donc des précipitations.

La quantité d’aérosols influence le climat et cela donne donc la possibilité de manipuler le climat !

Les Chemtrails

Le phénomène des chemtrails a démarré à la fin des années 90. (On se rappelle l’article de William Thomas)

La recherche sur ce thème doit être menée et basée sur les programmes militaires et scientifiques existants, des études sur la modification de l’atmosphère et du climat basées sur des notions telles que « l’ensemencement », la « géo-ingéniérie », etc..

Elle doit également se baser sur des faits concrets comme des brevets, des licences, des contrats…

On connaît déjà plusieurs expériences faites par les militaires, comme le WWII, qui sont des plaquettes de brouillage (aluminium) servant de contre-mesure radar. (CHAFF)

Le Projet « Cirrus » qui est le premier programme d’ensemencement de nuages par General Electric, mais, dès le début, effectué dans un contexte militaire et donc en collaboration avec l’US Air Force et l’US Navy…

C’était un essai pour provoquer « artificiellement » la pluie.

Continuation des projets d’ensemencement via « Storm Fury » 1962 et « Popeye » 1967. Le but était d’affaiblir des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent.

1. À partir de cette époque, divers programmes d’ensemencement ont été réalisés aux États-Unis et sont devenus une arme par modification du climat.

Les ELF (Extreme Low Frequency)

En 1974, est découverte une autre possibilité pour influencer les conditions atmosphériques à savoir, modeler la magnétosphère (la couche au-dessus de l’ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – extreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’onde supérieures à 1 000 000 mètres).

Les ondes ELF génèrent un courant de particules qui sont capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF — extreme high frequency — ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres).

Elles influencent les conditions atmosphériques et peuvent provoquer la pluie ou la sécheresse.

En 1995, on assiste à la création en Alaska, d’une entreprise commune (militaire, civile) avec le projet HAARP (High Active Auroral Research Project). En réalité, HAARP est devenu une arme puissante et redoutable et fonctionne actuellement à pleine capacité : plusieurs gigawatts !

Ceci permet de provoquer des séismes (cf. les brevets et la hausse du magnétomètre 2 jours avant le tremblement de terre à Haïti).

Avec cette technologie, l’on peut donc aussi influencer le temps : « La Guerre des Fréquences ».

La manipulation du climat est un fait !

De plus, on en parle ouvertement depuis 1996 ! Des études sont effectuées au sein de l’armée américaine sous la dénomination « 2025 ». L’objectif poursuivi, c’est le contrôle et le monopole de l’atmosphère ainsi que de l’espace !

Le document « Owning the weather in 2025 » regroupe toutes les études qui ont un rapport avec la manipulation des conditions atmosphériques.

1 — Ensemencement des nuages avec de l’iodure d’argent.

2 — Modification de la ionosphère : « Space Weather ».

3 — Contrôle des pluies et des tempêtes par la formation de nuages et de CONTRAILS.

« Les évolutions actuelles sur le plan démographique, économique et environnemental créeront, au niveau mondial, des zones de tension qui, pour beaucoup de pays et ‘groupements‘ rendront inévitables et effectives, l’exécution des possibilités de modifications climatiques. » (Rapport Case Orange)

« Aux États-Unis, la modification du climat sera une composante de la politique nationale de défense avec des applications internes y compris des applications à l’étranger. Nos gouvernements mèneront les politiques à différents niveaux selon et compte tenu des intérêts. » (Idem)

On peut donc provoquer ou empêcher la pluie où l’on veut. Et ceci est très important. L’eau sera une ressource rare, chère et essentielle pour la survie. Celui qui contrôle l’eau contrôlera le monde.

Le programme a prévu une introduction de miroirs ionosphériques artificiels à partir de 2000 avec une nette hausse aux alentours de 2008.

Le système HAARP est devenu complètement opérationnel en 2015.

L’emploi de produits chimiques était prévu pour ensemencer l’atmosphère à partir de 2000 afin d’obtenir ainsi un « Weather Force Support » pour 2015 et obtenir un climat virtuellement contrôlable à 100 % en 2025 !

Le programme stipule une introduction de « smart clouds » par la nanotechnologie aux environs de 2004, avec un accroissement exponentiel après 2010. Une évolution identique est prévue pour « l’Énergie Dirigée », en parlant du réchauffement de l’ionosphère.

Une application toute particulière fut la présentation du « Carbon Black Dust » (poussière carbone noir), une technologie qui a été développée par le Ministère de la Défense US à partir de 2005.

Les gens à l’origine de ce programme délirant en parlaient ouvertement à la conférence de l’AAAS (American Association for Advancement of Science) à Asilomar en Californie, conférence qui a eu lieu du 18 au 22 février 2010. Ces gens sérieux affirmaient ouvertement qu’ils devraient épandre annuellement jusqu’à 20 millions de tonnes d’Aluminium ! Aujourd’hui, tous les pouvoirs nient farouchement dans toutes les langues, qu’on serait en train d’en épandre…

Le thème du « Réchauffement climatique Global » est sujet à de sérieuses controverses, surtout après le ‘climate-gate’ et la condamnation du film d’Al Gore par la Justice britannique.

La Géo-ingénierie est un néologisme pour exprimer la manipulation délibérée du climat pour contrecarrer les effets du réchauffement climatique (dû à l’émission des gaz à effet de serre) en influençant la balance énergétique et la réflexion de la lumière du soleil dans l’espace. La géo-ingénierie est apparue pour la première fois dans un brevet de la Hughes Aircraft Company: le brevet décrit — déjà en 1991, 18 techniques pour réduire le réchauffement global en dispersant dans la stratosphère de l’oxyde d’aluminium, de l’oxyde de thorium et des particules de « Welsbach » (=des particules de métaux) pour réfléchir la lumière du Soleil.

Ces substances sont vaporisées à une altitude de 7 à 13 000 m et sont de la taille de 10 à 100 microns.

La Hughes Aircraft Company est momentanément une division de la Raytheon Corporation, une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 21 milliards de dollars, qui est propriétaire de HAARP et fournisseur de l’armée américaine…

Les autorités nient l’existence d’opérations d’épandages dans l’atmosphère, mais le scénario proposé dans le rapport IPCC en 2001 ressemble étrangement au brevet « Welsbach »

D’une part, ces particules réfléchissent partiellement la lumière du Soleil, mais, d’autre part, elles bloquent le ‘rayonnement de corps noir‘ (black body radiation), le rayonnement thermique de la terre.

La conséquence de tout cela a été une nette hausse du réchauffement global !

Une étude récente montre qu’il y a deux manières de vaporiser ce mélange, qui contient 85 % de particules métalliques et 15 % de silica colloïdal (gel) (dioxyde de silicium) : Les particules sont ajoutées au carburant des avions à réaction civils et vaporisées à l’altitude de croisière et ainsi le problème de l’épandage n’est ni vu ni connu !

Ou alors, le mélange est injecté directement dans les gaz d’échappement à haute température, via un dispositif dont la marine américaine détient le brevet.

Ainsi, ce mélange se diffuse comme un aérosol, dans la traînée que produit l’avion avec l’avantage, encore une fois, de n’être ni vu ni connu !

Plusieurs avions militaires, dont l’avion-citerne KC135, possèdent ce dispositif d’aérosol et ceci pourrait expliquer au moins partiellement le fait que les avions militaires ont des valeurs d’émission plus élevées que les avions des lignes commerciales.

De plus, il n’est pas difficile de se procurer les preuves que des Ministères Européens de la Défense font des achats en grande quantité de baryum et de barytine C14, qui est employée, entre autres, pour la détection des courants maritimes… (Pour la France, voir les analyses de la Cour des Comptes publiées chaque année.)

Il existe des cartes météorologiques indiquant les zones d’épandage de par le monde. Elles ont même été, un certain temps, consultables publiquement sur un site officiel de Californie, avant d’être retirées par les pouvoirs qui se sont tardivement aperçus de la bourde.

Ceci indique que les hauts responsables des États ont connaissance de ces programmes de contrôle du climat, mais qu’ils se taisent, peut-être parce que la situation est plus grave qu’on se l’imagine. Depuis le délire covidiste, nous savons que les États au service du mondialisme veulent organiser le génocide des peuples pour les motifs que nous avons déjà largement analysés et publiés au cours de ces trois dernières années passées.

Dans un communiqué de presse du 9 septembre 2009, au cours des préambules du sommet de Copenhagen, 5 économistes (dont des prix Nobel) déclaraient que la géo-ingénierie du climat était considérée comme le moyen le moins coûteux pour résoudre le problème du réchauffement climatique global.

À propos de la légalité

Aux États-Unis, il n’y a pas de « problème » : l’épandage est légal depuis 1977. Le Ministère de la Défense peut faire des expérimentations biologiques sur sa propre population.

Ces mesures ont été renforcées en 2002. Initialement, il y avait une proposition de loi garantissant la sauvegarde de l’espace, d’armes à basse fréquence, la sauvegarde du milieu et du climat d’armes de nouvelles technologies destructrices et la protection contre les « chemtrails ». Mais toutes ces restrictions sont tombées lors de l’approbation de la loi en 2002.

En Europe, certaines directions militaires ont déjà dû admettre qu’ils épandaient au-dessus de leur propre territoire (propre population), mais, soit ils nient les effets nocifs (comme en Allemagne), soit ils justifient cet épandage dans le cadre de l’intérêt national (comme en Grande— Bretagne).

Menaces sur la santé des peuples et argent public utilisé contre les contribuables

Après avoir revu la vidéo de Claire Séverac (cf., également « La Guerre secrète contre les peuples », éditions Contre Kulture, 2015, 405 pages) j’ai noté la composition des produits chimiques qu’elle avait signalée en son temps. Composition des épandages (chemtrails) :

DIBROMURE D’ÉTHYLÈNE

– allergies
– gorge irritée, toux

– symptômes grippe

– fatigue

BARYUM, THRONTIUM

– difficultés respiratoires

– difficultés cardio-vasculaires

– division du cerveau (empêche une interaction entre les acides aminés)

– destruction de la couche d’ozone

ALUMINIUM
– alzheimer
– parkinson
– lou gehrig : La sclérose latérale amyotrophique ou SLA, également appelée dans le monde francophone maladie de Charcot ; maladie de Lou Gehrig ou ALS en anglais, est une maladie neurodégénérative des motoneurones de l’adulte.

– Autisme

METAUX LOURDS

– nanoparticules : la maladie des morgellons.

Elle conseillait de regarder un film : BYE BYE BLU SKYE



https://crowdbunker.com/v/QIRCm5BYU_8

Les autres dommages sont les suivants : les dégâts désastreux sur la couche d’ozone ; les coûts sont plus élevés pour introduire du soufre ; une diminution de la luminosité. Le cycle hydrologique est perturbé ce qui a comme conséquence l’apparition de sécheresses plus fréquentes. Le ciel bleu est désormais plutôt gris ou voilé. L’énergie solaire est amoindrie. Le vivant est clairement menacé.

Les gaz des avions, même sans l’ajout d’aérosols, sont une menace directe pour la nature, les animaux et l’homme, pour tout ce qui vit sur Terre…

L’existence de programmes en vue de maîtriser le climat ne peut plus être niée. Ils sont contrôlés et coordonnés par les autorités militaires. Ils sont approuvés par les gouvernements partisans du mondialisme et exécutés en silence pour éviter tout conflit et protestation, ainsi que pour pouvoir continuer tranquillement le massacre de ce qu’ils considèrent comme une « surpopulation problématique ». Les 2 objectifs principaux sont : 1 — le contrôle de la température en créant des nuages artificiels, les chemtrails via des contrails manipulés ; et 2 — le contrôle du climat par manipulation de l’ionosphère, via des Installations comme HAARP (ionisation, réchauffement de l’ionosphère).

Les États-Unis ambitionnent le contrôle total, civil et militaire, du climat d’ici 2025. Sur base des brevets qui sont la propriété de Raytheon et du Département de la Défense américain, il est clair que les programmes de manipulation climatique émanent et sont organisés à partir des États-Unis.

Les pouvoirs sont clairement criminels et n’ont aucun scrupule à planifier un génocide de masse. Ces deux dernières années qui viennent de passer nous ont donné un aperçu de ce qui va pouvoir se faire, comme les tremblements de terre sur commande (Turquie, Maroc) ; les incendies rigoureusement ciblés (île Maui Hawaï), où le métal des voitures a même été fondu ; les nuages de poussière gigantesques (sable du Sahara sur toute l’Europe) ; les vents d’une violence exceptionnelle comme en octobre 2023 en France (210 km/h sur la Bretagne)…

Récapitulons :

Toutes les sources d’eau potable ont été globalement captées par les communes ou par des sociétés d’exploitation et de distribution de l’eau potable. C’est d’ailleurs la captation abusive des sources d’eau sur tous les territoires, et la prolifération des « bassines » qui ont également provoqué la pénurie par l’épuisement de la nappe phréatique.

Le réchauffement climatique en tant que tel, n’est pas la cause première ou exclusive de la pénurie d’eau potable (des sources qui tarissent, des nappes phréatiques qui ne sont plus réalimentées par les pluies devenues plus rares, des petits et moyens cours d’eau qui se retrouvent asséchés), mais c’est le comportement irresponsable des industries de l’agriculture intensive et surtout les programmes militaires contrôlant le climat qui sont à l’origine de ce dérèglement climatique observé…

L’eau est un élément indispensable à la vie ; elle est donc d’une valeur inestimable. Nous devons faire preuve d’un immense respect pour cet élément sans lequel rien ne peut vivre sur Terre. Sur cette question, il est également évident que la conscience reste essentielle. Les conditions de la vie sur Terre sont en relation étroite avec la spiritualité, avec l’éveil de conscience de chacun, avec une éthique intime qui a trouvé la voie de son avènement.

Seul, ne sait pas, celui qui ne veut pas savoir ! Il va de soi que les inconscients ou les handicapés de l’autocensure n’ont toujours pas compris le projet criminel des mondialistes, ayant entre leurs mains l’ensemble des pouvoirs, et le degré de perversion qui anime ceux qui veulent dominer le monde. Les acteurs égarés de ces programmes délirants sont capables d’abolir toute trace de vie sur Terre en préservant la leur, mais aussi tout avenir pour l’espèce humaine ! Il faut impérativement les arrêter ou disparaître !

Jean-Yves Jézéquel

Voir aussi :

https://crowdbunker.com/v/CZZ46R4mqL

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :

http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf

*

Pour aller plus loin :

Voir en anglais :

Weather Warfare: “Beware the US Military’s Experiments with Climatic Warfare” par Michel Chossudovsky

En français :

HAARP : La guerre climatique par Michel Chossudovsky (article également publié par The Ecologist)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2023




VAXINS : les Japonais indemnisent ; les Anglais tombent comme des mouches ; en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir, incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de lire les notices Pfizer.

Au Japon la presse parle et en Angleterre c’est la panique.

Enfin, la plus grande chaîne d’information nationale du Japon, NHK, vient de mentionner les décès dus au vaccin COVID ! Concernant une femme d’une cinquantaine d’années dans la préfecture, décédée le lendemain de la réception du nouveau vaccin contre le coronavirus, elle a reçu 44 millions de yens (environ 300 000 USD). À l’échelle nationale, plus de 2 000 demandes de décès par vaccin sont toujours en cours.

Hier, la télévision japonaise CBC a diffusé un reportage complet sur les victimes de familles décédées après les vaccinations contre le covid ! Voici un reportage sur « une mère de 4 bébés dont le mari est décédé trois jours après la vaccination.

Semaine 43 — Angleterre et Pays de Galles — Décès excessifs.
Les décès de moins de 45 ans sont les plus élevés jamais enregistrés.
57 936 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES EN 2023 DÉJÀ.
301 395 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES CUMULÉS.

Problème, la surmortalité ne concerne pas les non-vaccinés… tendance à la baisse pour eux.

@PanDanTag

Royaume Uni Comparaison de la mortalité chez les 18-39 ans selon les statistiques officielles de l’ONS (Office for National Statistics) Non vaccinés vs “vaccinés” 4 doses Les “vaccinés” meurent 2,5 X plus




Oxyde de graphène et nanotechnologies dans les injections : marquage de l’humanité ?

[Source : profession-gendarme.com]

À la recherche de la vérité. Animée par Stéphanie Reynaud. Avec Patrick Jaulent, expert en cybersécurité et Dr Anne-Marie Yim, docteur en chimie organique.

JSF – TV

Source : CrowdBunker



[Voir aussi :
Comprendre le graphène
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La nanotechnologie dans les vaccins
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Projet Bluetooth Expérience X
Nanotechnologie et « vaccins »
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]




Dr Philippe Even : l’industrie pharmaceutique

[Source : Ciel Voilé]

« C’est l’industrie qui se saisit de la formation et de la déformation professionnelle [médicale] dès les premières années à la faculté. »

(à 13:38 par la docteure)






Effets des champs électromagnétiques sur le vivant, selon Dr Lee Merritt

[Source : https://www.drleemerritt.com]

Le Dr Lee Merritt a commencé sa carrière médicale à l’âge de quatre ans, en transportant le « sac noir » de son père pour des visites à domicile, le long des petites routes de l’Iowa. En 1980, elle est diplômée de l’école de médecine et d’odontologie de l’université de Rochester, à New York, où elle est élue membre à vie de la société médicale d’honneur Alpha Omega Alpha. Le Dr Merritt a effectué un internat en chirurgie orthopédique dans la marine américaine et a servi pendant neuf ans en tant que médecin et chirurgien de la marine avant de retourner à Rochester, où elle a été la seule femme à être nommée Louis A. Goldstein Fellow of Spinal Surgery (boursier Louis A. Goldstein en chirurgie rachidienne).

Le Dr Merritt exerce la chirurgie orthopédique et rachidienne en cabinet privé depuis 1995, a siégé au conseil d’administration de l’Arizona Medical Association et a été présidente de l’Association des médecins et chirurgiens américains. Elle s’intéresse depuis longtemps au bien-être et à la forme physique et a été certifiée par l’American Academy of Anti-Aging Medicine.

À l’âge de 63 ans, elle a remporté un championnat de culturisme féminin dans la catégorie Physique, avec l’aide de ses amis et la patience de sa famille. En tant que défenseur de longue date du marché libre et de la médecine centrée sur le patient, le Dr Merritt a eu l’occasion de participer à l’émission de John Stossel pour s’opposer à l’Obamacare. Plus récemment, elle a participé à de nombreuses émissions de radio pour parler de la Covid-19, de la futilité des masques obligatoires et d’autres mensonges et omissions des « technocrates » de la médecine.

Son récent discours à Doctors for Disaster Preparedness sur « Sars-CoV2 et la montée de la technocratie médicale » a été largement visionné sur YouTube et transmis par le Dr Mercola, l’un de ses héros médicaux. Elle est mariée et fière d’être la mère de deux fils, dont l’un perpétue la tradition médicale de quatre générations en tant que chirurgien général, et l’autre a un vrai travail en tant qu’ingénieur électricien. Pendant son temps libre, le Dr Merritt élève des poulets, jardine et profite du mode de vie rural du Midwest.

[Source : @Roms17]

Le Dr Lee Merrit affirme que les champs électromagnétiques endommagent les mitochondries, qui sont les minuscules batteries de l’organisme. Ils endommagent également l’ADN. Des armes à énergie dirigée sont utilisées. Les gens ont commencé à tomber malades dans les années 1850, lors de l’installation des lignes télégraphiques, qui émettaient un champ électromagnétique. Avant l’installation des lignes télégraphiques, il n’y avait pas de grippe annuelle ; celle-ci est apparue plus tard. Ils nous disent toujours qu’il n’y a aucune preuve dans aucune revue médicale concernant les CEM, ils veulent les exclure, mais ils endommagent notre système immunitaire, a-t-elle ajouté.

[Voir aussi :
L’impact des ondes sur la santé
Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables
Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi la Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
Les effets des ondes sur l’organisme
Présentation de l’électrohypersensibilité (EHS) par le Docteur Magali KOELMAN
Selon 9 experts de renom, les rayonnements radiofréquences peuvent entraîner des lésions cérébrales et la maladie d’Alzheimer
Les champs électromagnétiques de radiofréquence peuvent affecter la santé cardiaque
L’utilisation de la technologie sans fil modifie le cerveau — voici comment
Paquet d’ondes radio
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G]

(Source : https://www.bitchute.com/video/90NnW0zcEbCz/)






Juste au cas où la Chine appelle CECI une nouvelle pandémie

[Source : blog.nomorefakenews.com]

Par Jon Rappoport — 24 novembre 2023

Vous voyez le cercle de cônes orange dans la rue ? C’est moi debout à l’intérieur creusant sous la surface. (NdT : Jon Rappoport fait allusion à son travail qui consiste à rechercher — creuser — la vérité)

Chine… nouvelle épidémie mystérieuse…

Gateway Pundit : (NdT : site qui a publié l’article sur lequel Jon Rappoport s’est basé pour écrire son analyse. Vous y trouverez des images et une vidéo qui montre que les Chinois sont toujours dans la terreur du virus mortel, car on y voit des ambulanciers habillés comme des astronautes)

Une maladie inexpliquée ressemblant à une pneumonie se propagerait rapidement dans les écoles chinoises, entraînant une vague d’hospitalisations d’enfants.

Au cours des dernières semaines, de nombreuses écoles chinoises, principalement à Pékin et dans la province de Liaoning, ont signalé une augmentation rapide du nombre d’enfants présentant des symptômes graves. Selon le Daily Mail ces symptômes, notamment une forte fièvre et une inflammation des poumons, ressemblent étrangement à ceux d’une pneumonie.

Toutefois, cette maladie se distingue par l’absence de symptômes respiratoires courants tels que la toux. Ce profil symptomatique unique a conduit les professionnels de la santé à qualifier cette maladie de « pneumonie non diagnostiquée ».

Il est à noter que cette symptomatologie particulière aurait déconcerté les professionnels de la santé, qui s’efforcent de catégoriser et de comprendre cette nouvelle maladie.

Mystère ? Déroutant ? Étrange ?

Je ne crois pas. Ils vous donnent toujours : « Ceci n’a pas d’explication » — juste avant d’annoncer, comme par magie, qu’ils ont trouvé un nouveau virus.

Bien entendu, ils n’isolent jamais ce nouveau virus. Ils ne le découvrent jamais. Ils se contentent d’inventer un conte de fées.

En ce qui concerne le caractère « mystérieux » de la maladie en Chine à l’heure actuelle, voici une déclaration définitive de l’American Thoracic Society (Société américaine des maladies thoraciques) : « Il est possible d’avoir une pneumonie sans toux ni fièvre ». (statement)

Oups.

Pendant des années, les médecins ont diagnostiqué des pneumonies chez des patients qui ne toussaient pas. Ce n’est pas déconcertant. Ce n’est pas très étrange. Alors, oubliez cela.

La question qui se pose alors est la suivante : qu’est-ce qui rend tous ces enfants malades en Chine ? Hum. Voyons voir. S’agit-il de changements dans l’orbite de la lune ? De taches solaires ? De lasers tirés par des extra-terrestres ? De chauves-souris infectées importées de Mars ?

Non ?

Et pourquoi pas CECI ?

Ambassade des États-Unis en Chine, le 30 octobre 2023 :

ÉVÉNEMENT : Le gouvernement de la ville de Pékin a émis une alerte « orange » à la pollution de l’air à partir de 12 h le lundi 30 octobre jusqu’à 24 h le jeudi 2 novembre. Une alerte « orange » signifie que les prévisions officielles indiquent que l’indice de qualité de l’air (IQA) de Pékin dépassera 200 pendant deux jours consécutifs ou 150 pendant trois jours consécutifs. L’alerte peut être prolongée si les niveaux de pollution atmosphérique persistent.

En cas d’alerte « orange », certaines entreprises peuvent réduire leurs activités.

MESURES À PRENDRE : L’EPA américain (NdT : Environmental Protection Agency, agence fédérale de protection de la santé et de l’environnement) recommande aux personnes souffrant de maladies cardiaques ou pulmonaires, aux personnes âgées, aux enfants et aux adolescents de limiter ou d’éviter toute activité physique en plein air lorsque l’IQA dépasse 200. Elle recommande à tous d’éviter les efforts en plein air si l’IQA dépasse 300. »

Reuters le 30 octobre 2023 (NdT : Reuters est une des plus célèbres agences de presse)

Les autorités ont émis leurs plus importantes alertes au brouillard et à la brume mardi, alors que le smog enveloppe les principales villes du nord de la Chine, avertissant le public que la visibilité pourrait chuter à moins de 50 mètres (164 pieds).

La province septentrionale de Hebei a lancé un plan d’urgence antipollution, énumérant les mesures de sécurité routière à prendre en cas de besoin, y compris la suspension des décollages et des atterrissages, la fermeture temporaire des autoroutes et la suspension des ferries, a indiqué dans une notification le bureau météorologique chinois.

Alors que les niveaux de pollution de l’air dans la région Beijing-Tianjin-Hebei et dans la partie nord de la province du Henan ont atteint des niveaux modérés à sévères, les experts en contrôle de la pollution ont déclaré que l’augmentation des activités industrielles, le transport routier lourd et les incendies de cultures avaient contribué au brouillard, a rapporté le média d’État CCTV. (NdT : China Central TV)

Crisis 24, une « plateforme de sécurité mondiale », rapporte qu’une forte pollution sévit dans les provinces du nord de la Chine, notamment à Pékin et à Liaoning, les deux régions qui ont signalé la « maladie mystérieuse » chez les enfants.

Je vois. C’est la pollution qui provoque des problèmes pulmonaires. Je viens de tomber de ma chaise. Je viens de tomber de ma chaise. Quelle révélation ! Qui a déjà entendu parler de cela ?

Oui. J’ai vécu tout cela — j’ai fait des reportages sur tout cela — en 2020 — avec « COVID ». C’était aussi une pneumonie mystérieuse. À l’exception de la forte pollution de l’air. Chaque année en Chine, environ 300 000 personnes meurent de pneumonie (problèmes pulmonaires). Cela signifie qu’il y a des millions de cas.

NdT : En 2020 de nombreux articles parlaient déjà de la pollution de l’air comme responsable des maladies respiratoires. Il a suffi de « trouver » un nouveau virus chez trois individus décédés (sur les 300 000 annuels !) pour déclencher la farce covidienne. Je suis persuadé que même Jon Rappoport avait alors parlé du lien pollution – épidémie de pneumonies.

Traduction Jean Bitterlin, 02 décembre 2023




Contre la censure prévue en médecine sous couvert de loi relative aux dérives sectaires

Lettre ouverte des docteurs Delépine au ministre et aux parlementaires




A comme Antivax

[Source : @TheAmir]

Le terme « antivax » existe depuis presque aussi longtemps que les vaccins et est généralement utilisé dans un sens péjoratif. Combien de fois, au cours des trois dernières années, avons-nous vu des personnes par ailleurs bien intentionnées se mettre sur la défensive et s’exclamer : « Je ne suis pas un antivax » ?

De nombreux antivax de la vieille garde ont utilisé des données historiques pour démontrer de manière concluante que les vaccins ne pouvaient pas être la cause de l’importante diminution du nombre de malades et de décès dus à de nombreuses maladies. Aujourd’hui, une nouvelle vague d’antivax, dans la lignée du Dr Stefan Lanka, continue de réfuter non seulement l’existence des virus, mais aussi le concept plus large d’agents pathogènes. Ce raisonnement « en amont » met définitivement à mal la notion de vaccination.

Les vaccins sont exposés sur de multiples fronts à mesure que de plus en plus de gens se rendent compte qu’il s’agit de l’une des plus grandes escroqueries de l’histoire. Le moment est-il venu d’adopter l’étiquette « anti-vax » ?

Dr Sam Bailey



Sources

https://drsambailey.com/resources/videos/vaccines/a-for-antivaxxer
https://odysee.com/@drsambailey:c/A-for-Antivaxxer:c

Références




Le bioterrorisme, ça n’existe pas (jusqu’à preuve du contraire)

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves Rasir

Dans son infolettre du 15 novembre, mon amie, compatriote, collaboratrice et excellente consœur Senta Depuydt a publié une interview détonante du Dr Heiko Schöning. Ce vaillant médecin allemand s’est illustré en 2020 en dénonçant d’emblée une mascarade préméditée et en co-fondant la World Doctors Alliance, coalition d’opposants médicaux et scientifiques aux délires covidistes. C’est ce collectif qui a notamment fait venir Robert Kennedy Jr à Berlin, où le futur candidat-président américain a prononcé un discours mémorable devant une véritable marée humaine. Ce que beaucoup ignorent, c’est que Heiko Schöning avait anticipé dès 2018 ce qui allait se passer deux ans plus tard. Dans une interview télévisée, l’ancien médecin militaire prévoyait qu’une fausse urgence sanitaire allait bientôt servir de prétexte à des mesures totalitaires et que cette pseudo-pandémie imminente serait mise à profit pour tendre un traquenard vaccinal à la planète entière. Dans un livre non traduit en français, il avance que cette machination remonte à 2001 et qu’elle associe la CIA, le département US de la Défense et une brochette de firmes pharmaceutiques généreusement financées par le gouvernement américain. Fin 2023, voilà le fin limier de retour avec un deuxième ouvrage d’investigation intitulé en allemand « Angriff aufs mikrobiom » (« Attaque sur le microbiome »). Selon ce nouvel opus, les mêmes acteurs étasuniens fomenteraient cette fois une grande alerte de nature bactérienne et se présenteraient en sauveurs du monde en fournissant les seuls antibiotiques aptes à enrayer le fléau. Le but étant à nouveau de faire avancer l’agenda globaliste de contrôle social, de concentrer le pouvoir dans quelques mains et d’administrer à l’ensemble de la population mondiale un faux remède pire que le mal, ciblant cette fois la flore intestinale. Scénario noir et prémonitoire ? Vu son pédigrée, je ne doute pas de la sincérité et de la perspicacité d’Heiko Schöning. Ce qu’il ose prédire pourrait fort bien advenir prochainement. La « crise Covid » a montré que la stratégie du choc et la manipulation des foules par la peur fonctionnaient à merveille. En revanche, son raisonnement prédictif me semble fondé sur une faille de taille, celle de croire au risque bioterroriste et à la réalité d’une menace bactériologique.

La vie n’est pas une arme

Contrairement à la majeure partie de la résistance, Néosanté n’a jamais adhéré à la thèse du coronavirus trafiqué en laboratoire, doté de « gains de fonction » pour en étudier la virulence et accidentellement relâché dans la nature. Nous croyons encore moins que la présumée particule virale ait pu être manipulée à des fins militaires et diffusée intentionnellement en tant qu’arme de guerre. Nous avons exprimé ce « laboscepticisme » à travers plusieurs infolettres, notamment celle-ci et celle-là. Et nous avons plus d’une fois renvoyé aux vidéos du Dr Sam Bailey, souriante pourfendeuse de ce qu’elle appelle malicieusement un conte de fées. Comme le potentiel pathogène d’aucun virus n’a jamais été démontré scientifiquement, on ne voit pas très bien comment des chercheurs, fussent-ils imprudents ou mal intentionnés, auraient pu conférer une quelconque toxicité au virus couronné. Il est d’ailleurs formellement établi que c’est la psychose qui a occasionné de la surmortalité, et non la prétendue virose. Les virus tueurs évadés de labos, ça n’existe qu’au cinéma et dans l’imagination de certains auteurs avides de notoriété et se faisant passer pour des spécialistes en « bioterrorisme ». Les bactéries ? Si leur existence est avérée et si leur prolifération dans un corps humain peut représenter un danger, rien ne permet d’affirmer non plus leur pathogénicité. A fortiori, il n’existe pas de preuve qu’un germe bactérien puisse être « militarisé » et employé comme arme létale. J’ai beau me documenter sur le sujet, je n’ai pas encore trouvé d’élément prouvant indubitablement qu’un micro-organisme quelconque pouvait servir à détruire des vies à grande ou même à petite échelle. On peut certes trouver des textes et quelques études traitant du bioterrorisme et de l’armement bactériologique. Mais en les lisant avec un œil critique, on sera bien en peine d’y dénicher la moindre évidence scientifique. Pour illustrer l’absence de preuve solide, je vais partir de ce « bref historique » paru dans une revue sérieuse et y pointer trois épisodes censés accréditer le grand péril infectieux.

Les suppositions de Pasteur

La fable de la vie microbienne donnant la mort remonte bien sûr au sieur Louis Pasteur. Si l’on excepte les tentatives antérieures de décimer un ennemi en lui balançant des cadavres ou des vêtements de pestiférés et la suggestion épistolaire d’exterminer les Amérindiens par la variole, c’est en effet au célèbre chimiste que revient la « géniale » idée de provoquer artificiellement une maladie épidémique. Comme le raconte l’article, Pasteur avait le projet ambitieux de débarrasser l’Australie de ses lapins prolifiques en répandant le choléra des poules. C’eût été une vaste expérience convaincante en cas de résultat concluant, mais elle ne s’est jamais concrétisée. En lieu et place, le grand fraudeur que la France vénère a été sollicité par une admiratrice viticultrice en Champagne pour protéger ses caves des terriers les surplombant. Des cadavres de lapins ont bien été retrouvés sur le sol du clos les jours suivants, l’assistant du savant a estimé que l’essai était magistralement réussi, mais on chercherait en vain la moindre rigueur méthodologique dans cette amorce de lutte biologique. Sur le même modèle, mais plus méthodiquement, l’expérience a été reproduite en 1946 dans les vignobles de l’Héraut. L’article nous dit que les lapins inoculés sont décédés — on est prié de le croire sans le moyen de vérifier — mais qu’il n’y a pas eu d’épizootie. Tu m’étonnes, Simone ! C’est toujours comme ça en réalité : les expérimentateurs parviennent à faire mourir les animaux qui passent entre leurs mains, mais échouent à leur faire transmettre la maladie. L’auteur appelle ça des « résultats inégaux », façon de camoufler l’absence totale de preuve qu’un microbe introduit dans la nature puisse y provoquer une épidémie. Depuis Pasteur et ses suppositions gratuites, on attend toujours la démonstration que l’introduction d’un « pathogène » dans l’environnement débouche sur une hécatombe animale ou humaine. Comme toute religion, la patascience pasteurienne s’appuie essentiellement sur les dogmes édictés par le fondateur.

Les vaines cruautés japonaises

Dans ce « bref historique », on nous sert aussi les fameuses et abominables expériences de l’armée japonaise dans les années 30 et 40. C’est un sombre épisode que mentionne également souvent le très pasteurien Christian Perronne pour agiter l’épouvantail des bactéries tueuses. Comme le raconte feu Henri-Hubert Mollaret, chercheur à l’Institut Pasteur de Paris, le Japon a effectivement tenté d’utiliser l’arme bactériologique durant sa guerre contre la Chine. Ne possédant pas la technologie nucléaire ni l’expertise en armement chimique, l’Empire nippon a beaucoup misé sur la microbiologie pour se doter d’une arme de destruction massive à base de bactéries. Sur les prisonniers chinois, l’armée impériale s’est livrée à d’atroces essais scientifiques à côté desquelles les expérimentations du Dr Mengele passent pour de gentilles activités philanthropiques. Durant les dernières années du conflit, l’aviation japonaise a même tenté de provoquer des épidémies de peste dans plusieurs villes chinoises en larguant des bombes bourrées de bacilles ou de puces infectées. Ce sont des faits historiques que personne ne nie. Mais qui peut affirmer que ces tentatives macabres ont été couronnées de succès ? Si vous avez le cœur bien accroché et si vous prenez la peine de lire attentivement ce dossier publié par la Fondation Auschwitz, vous constaterez par vous-mêmes que les indices de réussite de la sinistre Unité 731 sont extrêmement ténus. Outre que les aveux de ses responsables ont été obtenus lors d’un procès stalinien clairement inéquitable, il apparaît que ni les tortures « bactériennes » sur les cobayes humains ni les épandages aériens ou les empoisonnements de rivière par des agents bactériens ne semblent avoir répondu aux attentes. Lorsqu’ils ont réussi à faire mourir des individus, les chercheurs sadiques les ont également grièvement blessés ou préalablement affaiblis par des traitements inhumains, ce qui ne permet pas de conclure à la responsabilité du germe. Et quand ils ont prétendument « contaminé » des populations entières, l’hécatombe voulue n’était visiblement pas au rendez-vous. Les quelques succès revendiqués reposent sur des rumeurs ou sur les déclarations invérifiées des accusés lors de ce procès truqué au profit de la propagande soviétique. Rien de scientifiquement consistant là-dedans ! Dans son article, Mollaret mentionne d’ailleurs les accusations d’attaques biologiques lancées quelques années plus tard à l’égard de l’armée américaine engagée en Chine et en Corée. Or on sait aujourd’hui qu’il s’agissait aussi d’une opération de désinformation ourdie par l’URSS pour salir l’ennemi américain et victimiser ses alliés nord-coréens. Encore une fois, rien ne permet de dire que des microbes militarisés ont déjà permis de tuer ou rendre malade qui que ce soit.

La douteuse épidémie de Sverdlovsk

La CIA aurait-elle imité le KGB dans l’art de diaboliser l’adversaire ? Le mythe du bioterrorisme repose en tout cas sur un autre événement majeur censé convaincre de sa réalité, la ténébreuse « affaire de Sverdlovsk ». Puisque le « bref historique » n’y fait que brièvement allusion, je vous invite à lire cette page Wikipédia pour savoir de quoi il s’agit. Selon le récit officiel actuel, une fuite accidentelle du bacille du charbon se serait produite en 1979 dans un complexe militaro-industriel proche de Ekaterinbourg, l’ancien et nouveau nom de Sverdlovsk. D’après ce narratif toujours, les spores de l’anthrax se seraient répandues dans l’air et auraient fait une centaine de morts dans le voisinage de l’usine. Le conditionnel s’impose, car les autorités soviétiques ont d’abord expliqué cette mini-épidémie par la consommation de viande avariée, une version corroborée en 1986 par le Pr Matthew Meselson, enseignant-chercheur à Harvard et autorisé à venir enquêter chez les Soviets. C’est seulement en 1992 que la version américaine de l’incident a prévalu, lorsque le président russe Boris Eltsine a reconnu « la véritable nature de l’épidémie ». Véritable, vraiment ? Souvenons-nous qu’à cette époque, les États-Unis orchestrent secrètement l’effondrement de l’ex-URSS et que le président russe, ivrogne notoire et dirigeant calamiteux, ne fait rien pour freiner ce dessein. Ce qui est interprété comme un signe de transparence de la Russie pourrait au contraire être une opération d’enfumage made in USA. N’est-il pas curieux que le Pr Meselson ait mangé son chapeau et retourné sa veste à la suite de la « mission d’investigation » occidentale ? Est-il anodin que cette équipée scientifique ait été diligentée par l’Oncle Sam et non par un organisme international impartial ? Et est-il surprenant que la thèse du nuage contaminé l’ait emporté sur la thèse de l’intoxication alimentaire sur base de tests PCR, comme nous le révèle cet article ? Avec cette technique génomique — le Corona Circus nous l’a assez montré — on peut trouver la trace de n’importe quelle molécule chez n’importe qui, il suffit de régler les machines pour qu’il en soit ainsi. Pour ma part, je demeure donc très sceptique sur cette ténébreuse affaire de Sverdlovsk et sur le rôle causal attribué à Bacillus Anthracis. S’il est certain qu’on a cherché des deux côtés du rideau de fer à se doter de l’arme bactériologique, les preuves de sa mise au point effective sont pour le moins légères. À propos de l’anthrax, ce sont évidemment les « attaques » de 2001 aux USA qui ont relancé la hantise du risque bioterroriste. Les quelques enveloppes piégées ont suffi à ranimer le spectre d’un fléau bactérien dévastateur. Et c’est précisément sur cet événement troublant que Heiko Schöning s’appuie pour prophétiser une nouvelle plandémie avec comme actrice principale une bactérie dangereuse. J’y reviendrai dans un prochain billet, car je ne vois pas du tout en quoi cet épisode risible confirmerait la théorie du germe pathogène. Jusqu’à preuve sérieuse du contraire, l’arme biologique n’existe pas et n’est pas près d’exister.

Yves Rasir

Note de TAL : J’abonde dans le sens d’Yves RASIR ! La preuve que les microorganismes (virus ou bactéries) sont la cause des maladies n’a jamais pu être apportée malgré d’innombrables tentatives d’infecter des gens avec des produits absorbés ou injectés. Tout ce qu’on raconte sur la contagion est FAUX, ARCHI-FAUX ! Ainsi dans un livre publié en 1910 un médecin a étudié la peste qui est, selon la croyance dominante, causée par une bactérie…Il a pu démontrer que ce  sont les conditions de vie déplorables qui permettent à la peste de survenir, pas le bacille qui n’est que la conséquence ! La maladie est toujours un effort du corps pour se dépolluer et se guérir et les micro-organismes sont des AIDES, des ALLIES ! Le château de cartes de la virologie officielle s’effondre, comme le montre avec précision le livre VIRUS MANIA

qui est un vrai chef d’œuvre de science avec conscience !

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ?
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective]




L’Amérique doit mettre fin à son dangereux désir de diaboliser la masculinité

[Source : aubedigitale.com]

Selon une étude récente de la faculté de médecine de l’UCSF, la femme américaine moyenne vit aujourd’hui 5,8 ans de plus que l’homme américain moyen. L’écart n’a jamais été aussi important depuis 1996.

S’adressant au New York Times, le Dr Brandon Yan, principal auteur de l’étude, a qualifié les résultats de « troublants ».

« Nous devons comprendre quels sont les groupes qui perdent particulièrement des années d’espérance de vie », a-t-il noté, « afin que les interventions puissent être au moins partiellement axées sur ces groupes ».

En ce qui concerne les causes de l’écart d’espérance de vie entre les hommes et les femmes aux États-Unis, le Dr Yan a répondu :

« Tous ces éléments indiquent une détérioration de la santé mentale dans tous les domaines, mais en particulier chez les hommes ».

Ce qui nous amène à la diabolisation de la masculinité.

Ces dernières années, il est devenu effroyablement courant d’entendre le mot « toxique » suivi du mot « masculinité ». Selon une autre étude récente, publiée dans l’International Journal of Health Sciences, les hommes qui perçoivent la masculinité de manière négative sont plus susceptibles d’avoir un bien-être mental plus faible que les hommes qui la perçoivent de manière positive,

L’étude judicieusement intitulée « The belief that masculinity has a negative influence on one’s behavior is related to reduced mental well-being » (La croyance que la masculinité a une influence négative sur le comportement d’une personne est liée à un bien-être mental réduit) a analysé les croyances et les comportements de 4 000 hommes. Les résultats démontrent clairement la relation entre les idées fausses largement répandues sur la masculinité et la façon dont ces idées fausses affectent la santé mentale des hommes. Elles montrent également que les attitudes masculines doivent être préservées et encouragées, et non diabolisées.

Il fut un temps, pas si lointain, où les traits masculins — force, courage et affirmation de soi — étaient célébrés par tous les Américains, indépendamment de leur orientation sexuelle ou de leurs affiliations politiques. Quand les choses ont-elles changé ? Dans les années 1980, semble-t-il.

Commentant l’étude approfondie, Eric W. Dolan, fondateur et rédacteur en chef de PsyPost, suggère que dans les années 1980, « il y a eu un changement notable » dans la façon dont la masculinité était perçue. Plus précisément, le regard porté sur la masculinité est devenu plus critique. La masculinité, note-t-il, est devenue synonyme « de traits négatifs comme la misogynie et l’homophobie, et liée à des problèmes tels qu’une mauvaise santé mentale et un comportement agressif ». Cette transition inutile et totalement destructrice, ajoute M. Dolan, « a été en partie alimentée par des théories sociologiques, conduisant à ce que certains appellent un “modèle déficitaire” de la masculinité, qui se concentre principalement sur ses aspects négatifs ».

M. Dolan a raison. Cependant, il passe à côté de la situation dans son ensemble. Le mouvement #MeToo, selon moi, a été le dernier clou dans le cercueil de la masculinité. En 2017, l’année où l’inconduite sexuelle d’Harvey Weinstein a été rendue publique, les attentes sociales liées au fait d’être un homme ont changé — de manière spectaculaire. La masculinité est passée de « problématique » à « toxique », un « virus » qui a besoin d’être traité. Comme on peut le constater, les hommes qui souscrivent à cette théorie virulente et profondément erronée sont plus susceptibles de souffrir que ceux qui la rejettent à juste titre.

John Barry, auteur de l’étude susmentionnée et cofondateur du Centre for Male Psychology, a constaté que les hommes qui avaient une vision positive de la masculinité affichaient des niveaux de positivité générale considérablement plus élevés que les opposants. Ceux qui rejetaient l’affirmation « La masculinité m’empêche de parler de ce que je ressens face à mes problèmes » avaient une meilleure santé mentale que ceux qui l’acceptaient.

Fait intéressant, M. Barry a constaté que les hommes ayant une vision positive de la masculinité étaient plus susceptibles de ressentir le besoin de protéger les femmes que ceux qui avaient une vision plus négative de la masculinité.

Lorsque la société diabolise la masculinité, M. Barry m’a dit que « les hommes ne sont pas les seuls à en souffrir ». Il estime que « les femmes en pâtissent indirectement à bien des égards ». Par exemple, ajoute-t-il, « si une mère voit son fils lutter pour se sentir à l’aise en tant qu’homme, sa douleur aura un impact sur elle aussi. Une mère peut voir l’estime de soi de son fils s’effondrer lentement au fur et à mesure qu’il grandit, avec le sentiment qu’en tant qu’homme, il n’a rien de positif à offrir à qui que ce soit, y compris à des petites amies potentielles ».

L’argument de M. Barry est valable. Les femmes trouvent les hommes masculins attirants. C’est un fait incontestable. Ce n’est pas pour rien que, depuis des décennies, les filles ont des posters de James Dean, Paul Newman, George Clooney, Tom Cruise et Brad Pitt sur leurs murs. Ce n’est pas de la science exacte. C’est une science de l’évolution.

Les hommes qui voient la masculinité sous un jour négatif peuvent avoir du mal à attirer une partenaire. C’est particulièrement vrai si, comme l’a fait remarquer M. Barry, « ils deviennent peu performants, reclus, et abandonnent tout sentiment d’être un protecteur des femmes et de leur communauté ».

Les filles, ajoute-t-il, « peuvent croire au discours négatif sur les hommes et voir leur père sous un jour défavorable, mais le regretter profondément des décennies plus tard, lorsqu’il est trop tard pour rattraper des années de relations père-fille altérées ».

Le message de Barry est clair :

« Si les gens sont tous liés en tant que membres d’une société — et je crois que c’est le cas — alors si les hommes sont empoisonnés, c’est la société qui est empoisonnée ».

Là encore, il a raison.

Les hommes et les femmes se complètent. Plus important encore, nous avons besoin les uns des autres.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





Les mécanismes de la dérive totalitaire

[Source : Décoder l’éco]

Le totalitarisme n’a jamais été complètement envisagé sous l’angle d’une maladie de civilisation, une pathologie collective délirante, du côté de la psychopathologie, avec les ramifications qui s’ensuivent.

C’est ce qu’Ariane Bilheran propose, avec cet essai psychologique et philosophique sur le pouvoir total en politique.

Elle démontre que le totalitarisme est un système paranoïaque dans lequel les pathologies perverses, sadiques, transgressives et psychopathes sont à l’honneur. La condition de survie de ce système est un mensonge premier qui est maintenu dans le secret, l’endoctrinement des masses à l’idéologie, la mise sous terreur des individus et des collectifs, entraînant tout à la fois sidération traumatique, jouissance pour certains et horreur pour d’autres.

L’accent est mis sur l’alliance pathologique entre la paranoïa et la perversion pour casser les liens et détruire la subjectivité et les corps des individus, réduits à l’état d’instruments ou pire, d’objets de marchandises inertes et interchangeables. Chacun est susceptible de se laisser entraîner dans la contagion délirante, dont les ressorts sont ici expliqués avec précision.

À partir de ce profond voyage dans la folie du pouvoir, Ariane explore également les authentiques expériences spirituelles qui ont été faites au sein de l’enfer, comme autant de manifestations d’un cri humain qui rencontre sa liberté au cœur de son désespoir.




L’impact des ondes sur la santé

[Source : maisonsaine.ca]

[Illustration : source]

    Par Dre Martha Herbert

    Si quelqu’un m’avait demandé il y a près de 20 ans, lorsque j’ai commencé à travailler dans la recherche sur l’autisme et à voir des patients atteints d’autisme, si les champs électromagnétiques (CEM) domestiques ou les rayonnements de radiofréquence (RF) du sans-fil avaient quelque chose à voir avec l’autisme, je n’aurais eu aucune idée de ce dont il parlait. À l’époque, j’étais déjà accro aux ordinateurs et au courrier électronique. Mais le Web était nouveau et nous n’utilisions pas de téléphones portables, donc il n’y avait pas d’antennes relais. J’avais un four à micro-ondes et l’utilisais pour chauffer ma nourriture avec seulement les préoccupations les plus vagues.

    Il n’y avait donc pas tellement de Wi-Fi et pas tellement d’autisme non plus — une coïncidence ? Beaucoup d’autres choses ont changé depuis1, et il y avait déjà beaucoup d’électricité2, mais en tout état de cause, je n’avais pratiquement pas vu de patients autistes pendant ma formation au début des années 1990. À l’époque, on enseignait que l’autisme et les autres troubles neurodéveloppementaux ou neuropsychiatriques de l’enfance étaient causés par des perturbations génétiques précoces du développement cérébral3.

    Beaucoup de choses se sont passées pour m’amener au point où j’ai coécrit un article de 40 000 mots avec 560 références scientifiques soutenant la plausibilité d’un lien entre l’autisme et les CEM, et une version révisée a été publiée en 2013 dans la revue Pathophysiology4.

    Au fil des ans, j’ai beaucoup appris en observant et en écoutant attentivement mes patients. J’ai constaté de grandes divergences entre ce que l’on m’avait appris à surveiller dans mes recherches sur le cerveau et ce que je trouvais réellement dans les données. J’ai commencé à découvrir de plus en plus de façons dont l’environnement et l’alimentation pouvaient affecter le cerveau et le corps. Et j’ai vu le nombre d’enfants autistes monter en flèche, alors que c’était censé être purement génétique et héréditaire.5-7

    L’écoute de mes patients m’a beaucoup aidé à changer ma façon de penser. Ma formation en neurologie pédiatrique ne m’avait pas vraiment préparée aux problèmes que présentaient mes patients. Ma pratique clinique a débuté en 1996, dans un cabinet de neuropsychiatrie. Au fur et à mesure que mon cabinet se remplissait d’enfants atteints d’autisme, de TDAH [trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité], de TOC [troubles obsessionnels compulsifs], de difficultés scolaires et de crises d’épilepsie, je les soumettais parfois à des recherches élaborées de causes génétiques et métaboliques, comme j’avais été formé à le faire, mais je trouvais rarement quelque chose à redire. En écoutant leurs histoires, j’ai été intriguée par les problèmes banals que partageaient tant de patients qui, par ailleurs, étaient différents les uns des autres. Ces enfants n’étaient tout simplement pas en bonne santé. Ils souffraient de diarrhée, de constipation ou d’éruptions cutanées. Ils avaient des maux de tête. Ils ne pouvaient pas dormir. Ils se tortillaient beaucoup sur leur chaise. Ils souffraient d’allergies alimentaires. Ils mangeaient quelques aliments et en refusaient beaucoup d’autres. Ils détestaient certaines textures ou sensations. Je devais travailler très dur, reformuler et répéter souvent pour qu’ils suivent mes instructions lorsque je les examinais. Tous ces problèmes se posaient à la plupart de mes patients, et pas seulement à ceux qui étaient atteints d’autisme. Et mon cabinet se remplissait de ces enfants malades et instables.

    En chevauchant les mondes de la recherche sur le cerveau, de la neurotoxicologie environnementale et des soins médicaux de terrain, je me suis rendu compte que je ne pouvais plus me contenter des questions que les gens posaient dans un seul et même domaine. Il ne suffisait pas de se demander en quoi le cerveau des personnes atteintes d’autisme ou d’autres troubles neuropsychiatriques pouvait différer de celui des personnes « normales », ou quelles toxines présentes dans l’environnement pouvaient être à l’origine de l’autisme. Pour moi, ces questions ne m’aidaient pas directement à améliorer le sort de mes patients. En fait, certains de mes patients et de ceux de mes amis allaient mieux, S’AMÉLIORAIENT — mais COMMENT changions-nous l’« autisme » du cerveau s’il n’était pas censé être modifiable ?

    Au fil du temps, j’ai rassemblé de plus en plus de preuves à l’appui de l’idée que l’autisme n’est pas un « cerveau brisé », mais un cerveau qui a du mal à s’autoréguler. Cela m’a amené à chercher non pas ce qui cause l’autisme, mais COMMENT l’autisme est causé, et comment on peut l’éliminer.8-11

    Quels sont donc les éléments qui peuvent dérégler le cerveau ? Eh bien, beaucoup de choses.12 Comme un sommeil perturbé ou l’insomnie. Comme l’exposition aux pesticides et aux émissions des automobiles ou des produits ménagers, aux colles et à d’autres produits chimiques. Un régime alimentaire pauvre en zinc, en magnésium ou en d’autres nutriments vitaux, ou trop riche en sucre, en additifs ou en autres cochonneries. Comme avoir un intestin tellement irrité ou enflammé que vous n’absorbez pas bien les nutriments. Comme avoir des allergies.

    Un cerveau déréglé peut ou non présenter des changements dans son anatomie — d’après ce que l’on voit sur une image de résonance magnétique du cerveau. Il peut ne pas présenter d’ondes cérébrales suffisamment anormales pour constituer des crises d’épilepsie si l’on procède à une étude des ondes cérébrales par électroencéphalogramme. Mais en procédant à un examen plus subtil, les chercheurs qui étudient la FONCTION du cerveau dans le trouble du spectre de l’autisme constatent que les différentes parties du cerveau ne sont pas aussi bien coordonnées entre elles que chez les enfants au développement plus typique.13-15

    C’est là où les champs électromagnétiques et les radiofréquences sont entrés en jeu pour moi. Les ondes cérébrales que le cerveau utilise pour communiquer à l’intérieur de lui-même sont électriques ou électromagnétiques. Il en va de même pour les CEM/RF. Étant donné la prolifération des appareils qui émettent des radiofréquences (tours de téléphonie cellulaire, téléphones portables, téléphones sans fil numériques ou DECT, routeurs Wi-Fi, etc.), nous nous promenons dans une soupe invisible de signaux électromagnétiques sans vraiment savoir si nous ne compliquons pas ou n’embrouillons pas les processus de communication dans notre cerveau.

    Cela peut sembler un peu tiré par les cheveux, mais ce n’est pas tout. Tout d’abord, le cerveau n’est pas le seul à utiliser des signaux électromagnétiques. Plus nos instruments de mesure scientifiques deviennent sensibles, plus nous apprenons que chaque cellule de notre corps utilise des signaux électromagnétiques — de nombreux processus cellulaires, et même l’ADN, impliquent des propriétés électromagnétiques qui changent de manière significative. La principale différence avec le cerveau est qu’il porte cette activité électromagnétique à un niveau d’organisation éblouissant et complexe.16

    À l’école, nous étudions la biologie, la chimie et la physique (y compris l’électromagnétisme) comme des matières distinctes, mais en réalité, notre corps biologique et notre cerveau fonctionnent grâce à des processus qui sont à la fois chimiques et électriques. Les ions chimiques créent des différences de tension électrique à travers les membranes cellulaires, par exemple, qui nous maintiennent en vie. On a récemment découvert que les personnes présentant une faible différence de tension entre l’intérieur et l’extérieur d’une membrane sont plus vulnérables au cancer. Or, si l’on augmente la différence de tension entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule, la vulnérabilité diminue et le cancer peut s’améliorer17.

    Nos fonctions biologiques vitales découlent d’innombrables interactions chimiques et électriques, et pour que nous soyons au mieux de notre forme, elles doivent être optimisées. Je pense qu’il y a suffisamment de preuves scientifiques pour affirmer que les CEM/RF sont des facteurs importants qui contribuent à dégrader la fonction chimico-électrique optimale de notre corps, déréglant ainsi notre cerveau et notre système nerveux.18

    Comment les CEM/RF peuvent-ils agir de la sorte ? Les problèmes que j’énumère ci-dessous sont parallèles à ceux qui ont été documentés chez les personnes atteintes de troubles du spectre de l’autisme.

    – Les CEM/RF stressent les cellules. Ils entraînent un stress cellulaire, tel que la production de protéines de choc thermique, même lorsque les CEM/RF ne sont pas suffisamment intenses pour provoquer une augmentation mesurable de la chaleur.19-21

    – Les CEM/RF endommagent les membranes cellulaires et les rendent perméables, ce qui les empêche de maintenir des différences chimiques et électriques importantes entre l’intérieur et l’extérieur de la membrane. Cela dégrade le métabolisme à bien des égards et le rend inefficace.22-30

    – Les CEM/RF endommagent les mitochondries qui sont les usines de production d’énergie des cellules. Elles conduisent leurs réactions chimiques sur leurs membranes. Lorsque ces membranes sont endommagées, les mitochondries luttent pour faire leur travail et ne le font pas efficacement. Les mitochondries peuvent aussi être endommagées par des chocs directs dans leur chaîne de montage chimique. Quand nos mitochondries deviennent inefficaces, il en est de même pour nous. Cela peut frapper notre cerveau avec une intensité particulière, puisque les communications et synapses électriques dans le cerveau requièrent une quantité énorme d’énergie.

    – Les CEM/RF créent un stress oxydatif, un phénomène qui se produit quand un système ne peut s’adapter à un stress causé par l’utilisation de l’oxygène, parce que le prix à payer est que la consommation d’oxygène génère des radicaux libres. Ceux-ci sont générés dans le cours normal des choses et ils sont habituellement neutralisés par les antioxydants comme ceux présents dans les fruits et légumes ; mais quand les antioxydants ne suivent pas le rythme ou que le dommage est trop grand, les radicaux libres commencent alors à faire des dommages.

    – Les CEM/RF sont génotoxiques et endommagent les protéines, le mécanisme le plus important étant celui des radicaux libres qu’ils génèrent et qui endommagent les membranes cellulaires, l’ADN, les protéines et tout ce qu’ils touchent. Lorsque les radicaux libres endommagent l’ADN, ils provoquent des mutations. C’est l’une des principales façons que les ondes sont génotoxiques — toxiques pour les gènes. Quand elles endommagent des protéines, elles peuvent les mener à se replier de façons particulières. Nous apprenons que des maladies comme l’Alzheimer sont liées à l’accumulation de protéines mal repliées et à l’incapacité du cerveau à éliminer ces déchets biologiques de ses tissus et de ses fluides.

    – Les CEM/RF épuisent le glutathion, le principal antioxydant et la principale substance de détoxification de l’organisme. Ainsi, d’une part, les CEM/RF créent des dommages qui augmentent le besoin d’antioxydants et, d’autre part, ils appauvrissent ces mêmes antioxydants.4,18

    – Les CEM/RF endommagent les barrières vitales de l’organisme, en particulier la barrière hématoencéphalique qui protège le cerveau des substances présentes dans le sang qui pourraient lui nuire. Lorsque la barrière hématoencéphalique présente des fuites, les cellules à l’intérieur du cerveau se détériorent, sont endommagées et tuées.4, 18, 31

    – Les CEM/RF peuvent altérer la fonction des canaux calciques, qui sont des ouvertures dans les membranes cellulaires jouant un grand nombre de rôles vitaux dans le cerveau et le corps.32-41

    – Les CEM/RF dégradent l’intégration riche et complexe des ondes cérébrales et augmentent l’entropie, ou la désorganisation, des signaux dans le cerveau, ce qui signifie qu’ils ne peuvent plus être synchronisés ou coordonnés, ce qui a été mesuré dans l’autisme.13-15, 42-51

    – Les CEM/RF peuvent perturber le sommeil et la production de mélatonine par le cerveau.52-54

    – Les CEM/RF peuvent contribuer aux problèmes immunitaires.55-61

    – Les CEM/RF contribuent à l’augmentation du stress aux niveaux chimique, immunitaire et électrique, dont nous faisons l’expérience sur le plan psychologique.31, 62-79

    Notes :

    Il y a beaucoup d’autres choses qui créent des effets de dégradation similaires, comme les milliers de substances « xénobiotiques » que nous disons toxiques.

    Notamment, les produits chimiques toxiques (dont ceux qui contiennent des éléments toxiques naturels comme le plomb et le mercure) causent des dommages par le biais de plusieurs des mécanismes susmentionnés.

    Dans de nombreuses études expérimentales sur les CEM, les dommages ont pu être réduits en améliorant l’état des nutriments, en particulier en ajoutant des antioxydants et de la mélatonine.80-83

    Nous vivons dans un monde plein de nouvelles substances et de combinaisons et intensités de fréquences électromagnétiques inexistantes dans la nature, dont plusieurs endommagent nos cellules, nos tissus et processus vivants de manières similaires. Il m’est donc difficile de croire que les CEM/RF sont les SEULS contributeurs à l’autisme et autres problèmes neuropsychiatriques et de santé. D’un autre côté, leur impact pourrait être significatif — et nous pouvons faire beaucoup pour réduire l’exposition et, par conséquent, cet impact.84

    Nous avons à peine commencé à explorer l’impact des ondes sur les fœtus et les bébés, mais cela ne s’annonce pas bien. Le développement du fœtus ou du jeune enfant est engagé dans un ensemble incroyable de processus dynamiques très vulnérables, où même de petits changements peuvent avoir des conséquences à vie. Et pourtant, combien de personnes mettent des moniteurs sans-fil juste à côté de la tête de leur bébé, sans se rendre compte de la dégradation potentielle qu’elles peuvent infliger au cerveau de leur enfant ?85 Combien de femmes enceintes branchent leur ordinateur portable et les mettent sur leurs cuisses et exposent ainsi leur fœtus aux rayonnements CEM/RF ?86 Combien d’hommes mettent-ils leur cellulaire dans la poche de leur pantalon alors qu’il a été démontré que cela dégrade le nombre de spermatozoïdes et entraîne des mutations ?87-92

    Plus j’en sais sur la biologie sous-jacente de l’autisme et de nombreuses autres maladies chroniques neuropsychiatriques et médicales, moins j’accorde d’importance aux étiquettes que nous apposons sur des maladies spécifiques. Du point de vue de la protection des personnes et de l’aide à leur guérison, je ne me soucie pas tellement de savoir s’il s’agit d’autisme, de TDAH, de TOC ou de toute autre étiquette que vous pourriez choisir, car sous la surface je vois plus de chevauchements que de différences entre ces conditions. Je pense que nous pouvons faire la différence en nous attaquant à la FONCTION de nos corps et de nos cerveaux, en :

    – réduisant les expositions nocives autant que possible, afin d’éviter la dégradation de nos fonctions corporelles et de prévenir la désynchronisation de notre système nerveux, et en

    – maximisant la qualité de notre alimentation grâce à une diète à haute densité de nutriments afin que notre corps ait tout ce qu’il lui faut pour se protéger et fonctionner au mieux.

    Entre-temps, étant donné tout ce que nous avons déjà appris sur les subtils impacts biologiques, cellulaires et électriques des CEM/RF, nous devons mettre à jour nos réglementations obsolètes pour tenir compte de l’extrême vulnérabilité que nous connaissons aujourd’hui. Et nous devons rechercher des moyens plus sûrs de répondre à nos besoins en matière d’appareils de communication et d’autres appareils générant des CEM/RF. Ce n’est pas parce que ces ondes sont invisibles qu’elles sont sans danger. Nous devons admettre que nous avons un problème et faire quelque chose pour le résoudre.

    Cet article est une traduction de la version anglaise originale, parue en mai 2015 dans le magazine Autism Notebook https://health.maryland.gov/phpa/OEHFP/EH/Shared%20Documents/CEHPAC/Dr.%20Herbert%20Autism%20and%20EMF%20The%20Autism%20NoteBook%20April-May%202015.pdf

    Références : https://www.electrosmog.be/doc/sc/enfants/Dr-Martha-R-Herbert_EMF-and-autism_2015.pdf

    Site de l’auteure : http://drmarthaherbert.com

    Dre Martha Herbert

    Dre Martha Herbert est une professeur adjointe de neurologie à l’École de médecine de l’Université Harvard, une neurologue pédiatrique au Massachusetts General Hospital à Boston, et une affiliée au Centre Martinos Harvard-MIT-MGH pour l’imagerie biomédicale, où elle est directrice du programme de recherche TRANSCEND (Recherche de traitement et d’évaluation neuroscientifique des troubles neurodéveloppementaux).
    L’approche de Dre Herbert en matière de traitement de l’autisme consiste à identifier méthodiquement les problèmes de chaque enfant et à y répondre en optimisant la nutrition, en réduisant l’exposition aux substances toxiques, en soutenant le système immunitaire, en réduisant le stress et en stimulant la créativité.
    Elle est l’auteure du livre La révolution de l’autisme : Whole Body Strategies for Making Life All it Can Be (http://www.AutismRevolution.org/et http://www.autismWHYandHOW.org) et codirectrice du BodyBrain Resilience Center (www.bodybrainresiliene.com), un organisme de recherche et pratique clinique appliquant les principes décrits dans son livre.
    Les recherches de la Dre Herbert peuvent être consultées à l’adresse www.transcenaresearch.org — https://transcend.mgh.harvard.edu/ et www.marthaherbert.org [ou https://drmarthaherbert.com/]


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    Les dérives autour de la transition de genre

    [Source : Jérémie Mercier]

    Pour ce 46ème épisode de Science en Conscience, Jérémie Mercier reçoit Nicole et Gérard Delépine, tous les deux médecins oncologues et respectivement pédiatre et chirurgien orthopédiques, à l’occasion de la sortie de leur livre « Dysphorie de genre — Hormones, chirurgies, transformations… Risques et dérives de la transition de genre chez les enfants et les adolescents », chez Fauves Éditions.

    Pour se procurer le livre :

    https://www.fauves-editions.fr/livre-dysphorie_de_genre_nicole_delepine_gerard_delepine-9791030205008-78359.html




    Si l’on arrache la prise, le Métaverse est dans le noir, mais le Royaume de Dieu s’illumine

    [Source : Campagnol tvl]






    Le « département de désinformation » de Moderna surveille 150 millions de sites Web à la recherche de récits « anti-vaccins »

    [Source : MPI]

    Par Pierre-Alain Depauw

    Par l’intermédiaire d’une organisation à but non lucratif financée par l’industrie pharmaceutique et de Talkwalker, une société de surveillance des réseaux sociaux, une équipe de Moderna — dirigée par un ancien vétéran du FBI — utilise l’intelligence artificielle pour surveiller toute critique du laboratoire pharmaceutique et de son « vaccin », tant dans les médias grand public que sur les réseaux sociaux et sites de jeux.

    Le « département de désinformation » de Moderna s’est associé à une organisation à but non lucratif soutenue par l’industrie pharmaceutique, Public Good Projects (PGP), pour surveiller et supprimer ou déréférencer les voix dissidentes sur la politique vaccinale contre le COVID-19, selon le rapport des journalistes d’investigation Lee Fang et Jack Poulson publié dans UnHerd.

    Au cours de l’année dernière, les « fichiers Twitter », deux procès contre l’administration Biden et d’autres enquêtes ont révélé des cas de collusion entre le gouvernement, les réseaux sociaux et les universités pour supprimer les discours dissidents sur les politiques liées au COVID-19, les allégations de fraude électorale et d’autres sujets.

    Big Moderna Brother vous surveille

    Ce nouveau rapport met en lumière la stratégie en coulisses de Moderna dans ce nouveau paysage médiatique. Il expose les principaux acteurs et comment ils ont travaillé pour surveiller 150 millions de sites Web dans le but de censurer les discours qui sapent le récit de l’entreprise sur le vaccin COVID-19 et de façonner activement le discours public au profit des résultats de Moderna.

    Le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la Déclaration de Great Barrington et professeur à l’Université de Stanford, a fait l’éloge du nouveau rapport dans un tweet :

    Moderna n’avait jamais réussi à commercialiser aucun produit avant le vaccin à ARNm contre la COVID-19 et était au bord de l’effondrement lorsque la pandémie a été annoncée.

    Son vaccin à ARNm contre le COVID-19 a transformé le fabricant de médicaments en une entreprise valant 100 milliards de dollars presque du jour au lendemain et a transformé son PDG, son président et ses cofondateurs en milliardaires.

    Aujourd’hui, alors que l’intérêt du public pour une nouvelle injection s’effondre, les bénéfices disparaissent également, ce qui conduit l’entreprise à investir dans de nouvelles stratégies — comme une campagne de marketing flashy — pour rester à flot, ont rapporté Fang et Poulson.

    Moderna redouble également d’efforts pour attaquer la dissidence sur les vaccins et orienter la politique de vaccination, ont-ils constaté.

    En fait, Moderna emploie aujourd’hui d’anciens agents fédéraux américains, comme Nikki Rutman, une vétéran du FBI qui a travaillé pour l’agence à Boston lors de l’opération Warp Speed, où son travail consistait à organiser des réunions hebdomadaires sur la cybersécurité avec Moderna.

    Elle dirige désormais la division mondiale de renseignement de Moderna — qui fait partie du département qui dirige le travail de Moderna pour mettre fin à ce qu’elle qualifie de « désinformation » — produisant des rapports qui signalent les « récits anti-vaccins » en ligne et recommandent comment y répondre ou les faire disparaître.

    Le département travaille avec Public Good Projects, largement financé par un don de 1,27 million de dollars de la Biotechnology Innovation Organization, un groupe de pression biotechnologique qui représente Pfizer et Moderna.

    Ils classifient ce qui constitue un risque pour la multinationale pharmaceutique et nécessite une réaction.

    En analysant des échantillons de rapports, les journalistes indépendants ont découvert que figurait parmi ce qui était considéré « à haut risque » une vidéo publiée par Elon Musk se moquant d’une myriade d’affirmations selon lesquelles les vaccins étaient « efficaces à 100 % », ainsi qu’un certain nombre de messages publiés par le comédien et commentateur politique Russell Brand que le département de surveillance de Moderna a signalé en septembre pour ses convictions « anti-vaccin ».

    L’équipe Moderna a également lancé une alerte concernant l’optique lorsque la star du tennis Novak Djokovic, qui a refusé le vaccin contre le COVID-19, a remporté l’US Open sponsorisé par Moderna.

    Les journalistes indépendants Lee et Poulson ont rapporté que le département de surveillance de Moderna ne se préoccupait pas de la véracité des affirmations faites dans les messages signalés, mais uniquement de leurs effets.

    « Aucun des rapports que nous avons consultés ne tente de contester les affirmations avancées », ont-ils écrit. « Au contraire, les affirmations sont automatiquement considérées comme de la “désinformation” si elles encouragent l’hésitation à la vaccination. »

    Moderna a commencé à travailler avec PGP en 2021-2022 sur un programme appelé « Stronger », dans lequel l’organisation à but non lucratif « a identifié la désinformation et façonné les décisions de contenu sur les réseaux sociaux ».

    PGP a pu le faire efficacement, car il disposait d’un « accès dérobé » aux données Twitter, via un « firehose », qui fournit un accès en temps réel à tous les tweets sur la plate-forme pour une analyse et une exploration de données à grande échelle.

    PGP, qui a travaillé directement avec Twitter pour développer ses politiques autour de la pandémie, enverrait à Twitter des listes de comptes à amplifier ou à censurer.

    L’avocat général de Twitter avait également conseillé au groupe de travail du département américain de la Sécurité intérieure chargé de lutter contre la désinformation de travailler avec PGP sur les questions liées au COVID-19.

    Réseau de 45 000 professionnels de la santé relais de Moderna

    Lee et Poulson ont également découvert que PGP distribuait des conseils sur la façon de répondre à la désinformation sur les vaccins à un réseau de 45 000 professionnels de la santé.

    « L’intention de Moderna, comme nous l’avons appris des courriels échangés, n’était pas seulement de lutter contre la désinformation, mais aussi d’influencer le contenu et la teneur du débat public ».

    Cette année, alors que le nombre de rappels contre le COVID-19 s’est effondré, Moderna et PGP ont lancé une nouvelle collaboration, cette fois en partenariat avec l’American Board of Internal Medicine, pour développer un programme de formation appelé « Infodemic Training Program », destiné à former les agents de santé, pour identifier la « désinformation médicale ».

    Malgré l’indignation du public face à la censure des réseaux sociaux, le manque évident d’intérêt à continuer de prendre des injections de rappel et la fin officielle de la pandémie annoncée en mai par l’administration Biden, Moderna continue d’étendre ses opérations de surveillance.

    Les alertes internes analysées révèlent que l’entreprise surveille de près les lois et les politiciens cherchant à restreindre les obligations de vaccination et qu’elle continue de signaler les messages publiés sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, par Musk, qui, note Moderna, « utilise de plus en plus cette plate-forme pour mettre en valeur les opposants marginaux au vaccin et les théoriciens du complot ».

    Les journalistes indépendants Lee Fang et Jack Poulson ont écrit :

    Le réseau des organisations à but non lucratif de vérification des faits s’est développé à un rythme industriel, offrant aux intérêts privés et publics des opportunités opaques de prendre un contrôle subtil sur le discours public. Une telle sophistication dans le mélange de messages de santé publique et de publicité d’entreprise devrait inquiéter quiconque s’intéresse à la manière dont le gouvernement contrôle la liberté d’expression.




    Les démasqués

    Présentation du livre de Claude Janvier

    Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?

    Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.

    Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !

    Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs complotistes sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…

    En parcourant ce livre, chacun se forgera sa propre opinion sur l’implication, ou non, de cette caste méprisable qui continue de susciter la polémique en France et ailleurs. Cependant, il est indéniable que des preuves de sa culpabilité existent. Il était nécessaire de les rassembler et de les révéler. Les voici…

    Pour se procurer le livre :

    https://www.cultura.com/p-les-demasques-qui-dirige-reellement-le-monde-9789938913545.html




    Le smartphone

    Par Amal

    Toute cette semaine, j’ai encore bien observé les personnes autour de moi.

    Les zombis qui nous entourent sont effrayants.

    Un nouveau membre s’est rajouté à leur corps : le smartphone.

    Il est devenu une extension du bras. Il n’est plus dans les poches. Il est toujours dans la main.

    Quelques-uns le portent autour du cou pendouillant comme la cloche d’une vache. Meuhhh !!

    Les zombis ne peuvent pas passer une seconde, et non pas une minute sans ce petit diable.

    Ils marchent avec, ils mangent avec, ils boivent avec, ils font leurs courses avec, ils payent avec, ils jouent avec, ils doivent même faire l’amour avec.

    Le smartphone est une vraie drogue.

    Le smartphone hypnotise.

    Le smartphone débilite.

    Nos zombis sont complètement accros de cette machine qui les transforme en machine aussi.

    A l’arrêt du bus, dans le train, dans les rues, dans les magasins, en voiture ; tous, ont cette chose avec eux.

    Tous, ont les têtes baissées, fixées à leur écran. Ils vont tous souffrir de text neck.

    Connaissez-vous ces maladies : text neck, la zappite, la nomophobie ?

    Qu’est-ce que c’est me diriez-vous ?

    Je vous réponds, les nouvelles maladies liées à ce maudit diablotin qu’est le smartphone.

    Je vous mets leurs définitions pour que vous ayez un aperçu de ces horreurs :

    Le text neck est un syndrome qui compte toutes les maladies cervicales liées à l’utilisation intensive de diablotin.

    La zappite est un terme qui désigne ces crises d’ennui provoquées par l’absence de sollicitation du diablotin.

    La nomophobie se dit d’une personne qui ne peut pas se passer de son diablotin et éprouve une peur excessive à l’idée d’en être séparé ou de ne pouvoir s’en servir.

    Vous avez vu les crises que font les zombis quand ils n’ont plus de batterie ? Ne sont-ils pas pathétiques ?

    Je ne vous parle même pas des ondes électromagnétiques qu’émettent ces diablotins et qui perturbent notre organisme.

    Au-delà de ces problèmes physiques, le diablotin aspire les cerveaux, il est un moyen redoutable de contrôle.

    Les zombis sont abreuvés non-stop de conneries, d’idioties, de débilités, de contenus pornographiques, d’idées dangereuses et destructrices (le wokisme par exemple). Ils ont basculé dans un monde artificiel et ne redescendent plus sur terre.

    Si je voulais, et je ne le veux pas, je ferais des séances de désintoxication du diablotin à coups de claques dans la gueule.

    Voyez le temps que passent les enfants sur cette merde. Les parents irresponsables qui collent le diablotin aux mioches pour s’en débarrasser, pour ne pas les avoir dans les pattes, pour faire les courses dans le calme…

    Je pense que les dés sont jetés. Tous les zombis sont cuits. Ils ne font plus partie de l’espèce humaine. Ils ont déjà basculé dans le monde des machines.

    Le contrôle est en place, il est puissant et il est omniprésent.

    Le jour où les forces malveillantes enverront l’ordre ultime, nous risquons d’assister à une scène chaotique comme au début du film « Cell Phone » réalisé par Tod Williams de 2016.

    Voici le trailer en Français et en anglais (dans la même vidéo) :

    À moins d’arrêter cette malédiction, ce qui faisable en soit, mais pas du tout dans les prérogatives des mondialistes, nous sommes damnés à assister à la fin de l’homme fait de chair et d’esprit, et nous assistons à l’apogée de l’homme machine.

    Bonus : je vous mets un lien sur 40 illustrations du pouvoir du diablotin :

    https://hitek.fr/42/40-illustrations-nouvelles-technologies-controle-vies_2916

    Petits recueils avec Amal :




    « Certains ont reçu de très mauvais lots… l’EMA et les institutions nationales auraient dû informer le public »




    Surmortalité confirmée depuis les campagnes d’injection expérimentale anticovid

    Par Nicole Delepine

    Œuvrons ensemble pour l’interdiction générale mondiale de l’injection expérimentale covid19 ! URGENT

    La surmortalité confirmée dans tous les pays vaccinés devrait calmer les ardeurs de la poursuite de cette pseudo vaccination meurtrière et appeler à son interdiction mondiale.

    Chacun doit protéger ses proches par l’information objective, interdire le harcèlement des personnes âgées en EHPAD pour qu’ils acceptent l’injection (celle couplée avec la grippe est encore plus génératrice d’AVC).

    Nos élus devraient assumer leur devoir de représentants du peuple en exigeant pour le moins un moratoire. Pourquoi ce silence général devant la nouvelle qui devrait revenir chaque jour sur nos écrans TV ? Rappelez-vous le bruit répétitif d’un décès à la suite d’un essai clinique d’un médicament, essai qui était immédiatement stoppé.

    Et depuis le vax anticovid expérimental des millions d’effets secondaires, dont un quart grave, et des milliers de morts dans le monde en rapport direct avec l’injection, sans que cette interdiction de poursuivre ne tombe. Il est clair qu’il n’est plus question de santé des peuples.

    Pour ceux qui n’arrivent pas à accepter ce dur état des choses, voici les résultats résumés sur X par DR Hippocrate. Ces schémas ne devraient plus permettre d’ignorer cette surmortalité post injection expérimentale, y compris chez les jeunes. Ce sont des faits avérés et non des opinions. Pourquoi les nier ou les ignorer ?

    Cette surmortalité post vaccinale s’observe aussi chez les personnes âgées alors que les injections, si elles étaient efficaces et non toxiques auraient dû stopper la surmortalité observée lors de la première année de la crise covid :

    Il est de plus incompréhensible de continuer à recommander ces injections délétères alors que les données de l’OMS, mises en graphique par le département de l’université d’Harvard, démontrent la fin de l’épidémie depuis février 2022.

    Virginie Joron députée européenne, a commenté la réponse de la Commissaire qui a signé les contrats d’achats vaccins Covid.
    https://europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2023-002470-ASW_EN.html

    Dans cette réponse, figure un élément important que les médecins devraient regarder de plus près avant de faire des injections (Les avocats en charge de dossier de victimes devraient aussi s’en servir) : « Ce n’est que dans des cas très exceptionnels que des décès ont été signalés causés par le vaccin. Un exemple est la “thrombose avec syndrome de thrombocytopénie” avec les vaccins vecteurs adénoviraux COVID-19 pour lesquels des mises en garde et des contre-indications ont été incluses dans les informations sur le produit afin d’informer les professionnels de la santé et les patients et de réduire le risque de conséquences indésirables. » Quid donc de la thrombose avec syndrome de thrombocytopenie ? « Le syndrome de thrombose-thrombocytopénie (TTS) est un problème de santé grave impliquant des caillots sanguins (thrombose) et un faible taux de plaquettes (thrombocytopénie). Lorsque des rapports de TTS après la vaccination avec des vaccins contre la COVID-19 à vecteurs viraux ont été révélés en 2021, le TTS est devenu une priorité de l’enquête menée au Canada et dans le monde. »1

    Au début des premières injections, j’avais interrogé l’association Amapti. Évidemment, ils avaient répondu comme la majorité des médecins qu’ils n’en savaient rien, mais que le rapport bénéfice-risque était en faveur de l’injection Covid. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pourquoi l’@EMA_News ne suspend pas ces autorisations qui entraînent la mort ?2

    De « societies of actuaries » Exam Results | SOA

    L’excès de mortalité chez les jeunes se confirment en 2023

    Même la France avare de la publication de ses résultats ne peut plus nier une surmortalité en 2022

    Docteur Hippocrate a reposté
    @tatiann69922625

    Incroyable qu’il y ait encore des médecins qui ne savent pas que les ARNm de Pfizer & Moderna endommagent le système immunitaire et que chaque injection supplémentaire provoque davantage de dégâts immunitaires Prouvé par la Cleveland Clinic !
    https://medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full.pdf 19 nov.

    Laisserez-vous encore injecter vos proches, ainés dans les EHPAD harcelés par les encadrants, vos enfants ou vous — même, ou bien est-ce suicidaire ou encore finalement le syndrome de Stockholm ?

    D’autant que les aveux de l’agence européenne du médicament viennent de confirmer OFFICIELLEMENT que les injections visant à éviter les contaminations entre personnes n’avaient jamais été démontrées efficaces. Relisez la lettre de l’EMA aux parlementaires européens3. 4

    Quant aux effets néfastes reconnus ils sont de plus en plus nombreux.

    Selon la journaliste Annette Gartland from Changing Times 21 novembre 2023
    WHO database lists more than 5.23 million reports of adverse reactions after Covid vaccination

    La VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé répertorie désormais 5 239 635 rapports d’événements indésirables à la suite de la vaccination contre le Covid, dont 25 881 décès (répertoriés sous « Troubles généraux et conditions au site d’administration »).

    Il existe une liste distincte, dans la même catégorie, de 2 296 rapports de mort subite, ainsi que 486 rapports de mort subite d’origine cardiaque, 202 rapports de mort cérébrale, 174 rapports de mort cardiaque, 20 rapports de décès prématuré d’un bébé et 15 rapports de décès néonatal., huit rapports de syndrome de mort subite du nourrisson, six rapports de « mort clinique » et trois rapports de « mort subite inexpliquée par épilepsie ».

    UNE SEULE CONCLUSION : INTERDICTION MONDIALE ET IMMEDIATE DES INJECTIONS ANTICOVID A ARNm ET DE TOUT VACCIN BASE SUR LA TECHNOLOGIE ARNm





    L’inquisition frappe aussi la Pologne

    [Source : ordreuniversel.org]

    Ce qui se passe en Pologne démontre que la chasse aux vrais médecins est devenue une priorité européenne. Ne laissons pas faire cela !

    [NDLR L’emprise de l’industrie pharmaceutique, alias Big Pharma, sur la médecine est quasi planétaire et les différents ordres de médecins et ordres d’autres personnels soignants en sont de nos jours des chiens de garde au détriment de trop nombreux médecins, pharmaciens, infirmiers… qui paient le prix de leur volonté de soigner avant tout en tenant compte des réalités du patient.]

    Par Élisabeth Pellenq-Zemek (22 septembre)

    RESTONS SOLIDAIRES AVEC le Docteur Katarzyna RATKOWSKA, médecin convoquée le 24 novembre prochain par la Chambre Disciplinaire de l’Ordre des Médecins en Pologne. La Chambre s’apprête à interdire le Docteur RATKOWSKA d’exercer la médecine.

    L’Ordre des Médecins en Pologne reproche au Dr RATKOWSKA :

    1. D’avoir soigné les patients atteints du Covid en prescrivant avec succès un médicament connu en Pologne depuis 40 ans, inscrit dans la pharmacopée ainsi qu’approuvé par un spécialiste des maladies pulmonaires et un professeur en neurologie pour la prise en charge du Covid. Le Docteur RATKOWSKA a répondu à la demande des patients qui avaient perd confiance dans le traitement du Covid officiellement préconisé (par le paracétamol).

    2. D’avoir fait appel à la prudence, à plusieurs reprises, à la fois en consultations et publiquement, vis-à-vis de produits injectables nommés « vaccin anti-covid ».

    3. D’avoir fait part de son indignation après la découverte des essais cliniques du laboratoire Pfizer, s’étant déroulés en Pologne en 2021 sur des enfants âgés de plus de 6 mois, pour la plupart issus des orphelinats et des familles d’accueil. Le Docteur RATKOWSKA a adressé une lettre ouverte à ce sujet au Président de la République de Pologne et au Premier Ministre (ce jour, elle n’a pas reçu de réponse).

    À l’automne 2021, le Dr RATKOWSKA a été convoquée deux fois à la section Responsabilit Professionnelle de l’Ordre des Médecins en Pologne, où elle n’a jamais eu la possibilité de parler, de s’exprimer ni d’argumenter ses choix. Le 18 mars 2022, elle a été jugée par le Conseil Régional de l’Ordre des Médecins en Pologne où le chargé d’affaires a accusé le Dr RATKOWSKA pour d’avoir soigné le Covid en utilisant le traitement connu de longue date, il a demandé l’interdiction d’exercer la médecine avec un effet immédiat. À l’époque, la Chambre Disciplinaire n’a pas suivi, néanmoins elle a de nouveau convoqué ce médecin à comparaître le 24 novembre 2023.

    Le Dr RATKOWSKA travaille comme médecin psychiatre au sein d’un dispensaire public en Pologne couvrant un secteur de presque 200 000 habitants. Sur 6 postes des médecins dans ce dispensaire, seuls deux sont pourvus, dont le sien.

    L’OUPS soutient la liberté de choix thérapeutique des médecins, le respect de la déontologie édicale et de la dignité humaine, ainsi que le droit pour la population d’avoir le choix et l’accès aux soins.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-des-enfants-des-chercheurs-polonais-denoncent-des-essais-cliniques  : le Dr RATKOWSKA s’exprime au début de la 1 ère partie de la conférence sur les essais cliniques sur les enfants polonais




    La France, la Belgique, les États-Unis et le Canada inondés de nourriture à base d’insectes, même dans les produits bio et les végans

    [Source : reponsesbio.com]

    Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada

    Par Jean-Baptiste Loin — 19 novembre 2023

    Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes.

    Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins.

    Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion.

    Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle.

    Tout commence en 2016, lorsque trois jeunes trentenaires, Clément Ray, Aude Guo et Bastien Oggeri, anciens membres du cabinet McKinsey et de la banque d’affaires Rothschild1, fondent une entreprise de biotechnologies spécialisée dans la production et la vente de mouches soldats noires.

    Soit à peine un an après que l’influence tentaculaire du cabinet ayant galvanisé les citoyens français pour les campagnes présidentielles d’Emmanuel Macron2, commence à jouer de sa légion de réseaux pour favoriser le développement de cette entreprise nourrissant le souhait de vous faire gober leurs mouches.

    Levant très rapidement des fonds colossaux avec une facilité déconcertante, Innovafeed suit un plan de route redoutable pour passer sans encombre les barrages ayant pourtant conduit la majorité des acteurs du secteur de l’insecte « comestible » à la banqueroute.

    En l’espace de quelques années, ce n’est pas moins de cinq cents millions d’Euros qui auront été réunis pour la création de centres ultra technologiques, « cultivant » des insectes dans une proportion jamais atteinte auparavant à l’aide d’Intelligences Artificielles s’appuyant sur plusieurs milliers de capteurs par usine, contrôlant des centaines de bras robotisés semblables aux robots nourriciers imaginés par les créateurs du film Matrix.3

    Faisant sans conteste de cette « French Tech » la principale usine de production d’insectes au monde.

    Tout chez Innovafeed a été pensé pour donner une apparence vertueuse à sa démarche, s’alignant sur la logique d’une réduction des émissions carbone et se donnant en modèle d’une bonne conscience environnementale, en se réclamant pour une économie circulaire inoffensive.

    Entreprise représentée par des jeunes gens à l’apparence fort sympathique, dont une des fondatrices, née en Chine et élevée en France, remporte le prix d’entrepreneuse de la « French tech » en donnant un visage au « pacte de parité » imaginé par son gouvernement.4

    Offrant à la fois :

    • – une initiative semblant tout d’abord dédiée à l’alimentation des animaux d’élevage de poules, porcs et poissons ;
    • – une dynamique économique « green » prisée par les régions, censée favoriser l’emploi ;
    • – un discours soigneusement poli et diffusé par les médias avec parcimonie, prenant soin de ne pas trop en dire…

    Qui aurait pu penser que ces dernières années Innovafeed allait resserrer un étau de domination mondiale allant bien au-delà de son apparente mission ?

    Et pourtant, comme vous allez le constater, le véritable danger de l’inondation des marchés par l’alimentation à base d’insectes ne vient pas de la société vietnamienne citée dans mon précédent article sur le sujet récemment autorisée par l’UE, mais plutôt de la dynamique et des nouveaux contrats organisés par Innovafeed.

    Cependant, pour bien en comprendre l’impact il est nécessaire de faire un rapide point sur le contexte planétaire ainsi que le jeu d’influences exercé par le cabinet McKinsey.

    McKinsey et son pilotage des démocraties occidentales

    Fondé en 1926 par un comptable évangéliste américain donnant son nom au cabinet, McKinsey « conseille » et influence le monde sur la base du développement occidental depuis les débuts de l’ère ultra industrielle.

    Comptant aujourd’hui cent trente bureaux répartis dans soixante-cinq pays, cette firme ayant inspiré le film éponyme — La Firme — emploie plus de quarante mille avocats, statisticiens, ingénieurs et journalistes pour déployer ses pions en régulant les marchés.5

    Vivement critiquée en période de pandémie de Covid pour son rôle alarmant dans la promotion des vaccins ARNm de chez Pfizer en France, elle a en quelques mois pris les rênes du gouvernement et des instances de santé pour s’assurer qu’un maximum de citoyens soient sous l’emprise de ces injections dont les ravages mortels ne sont plus à souligner.6

    Mais sur lesquelles je ne me priverai pas de revenir plus en détail dans un prochain article.

    Empochant deux millions d’Euros par mois, pour ses « conseils » ayant empoisonné des populations entières et endeuillé tant de familles.7

    Or, en plus de cet inquiétant tableau, brandissant à la première occasion la bannière des risques du réchauffement climatique auquel elle a largement contribué en plébiscitant les plus grands groupes pétroliers au monde depuis le Clayton Antitrust Act de 19148, le cabinet McKinsey est aujourd’hui victime d’une « rébellion interne » pour avoir joué un double jeu en faveur des principaux groupes pétroliers censés faire évoluer positivement leur activité d’ici 2050.

    Plus de mille de ses employés ont ainsi signé une lettre commune déclarant, je cite :

    « Notre inaction et notre soutien au sujet des émissions — de gaz à effet de serre — des clients — de la Firme — pose un risque sérieux pour notre réputation » mais aussi « pour les relations avec nos clients ».

    « Depuis plusieurs années, nous disons au monde d’être audacieux et de s’aligner sur une trajectoire d’émissions pour atteindre 1,5 °C ; il est grand temps que nous appliquions notre propre conseil ».9

    Conseil qu’elle a pourtant le toupet de prétendre suivre, en organisant des stratagèmes échafaudés dans le but de coincer les consommateurs dans un processus introduisant différentes sortes d’insectes dans leurs assiettes, snacks et autres produits de consommation.

    Bien que l’entomophagie ait déjà été majoritairement rejetée, et ce à plusieurs reprises au fil de ces dix dernières années, McKinsey continue de disposer ses pions sur l’échiquier.

    À l’aide de son influence légendaire auprès des médias « mainstream », mais aussi et surtout en utilisant ses ouailles dans le cadre d’une approche de longue haleine. Dorant soigneusement leur blason en mettant financements, atouts politiques et démarches pseudo écologiques de leur côté. Tentant de faire passer de jeunes requins pilotés par IA, pour de gentils idéalistes.

    C’est le cas, entre tous, d’Innovafeed, que le gouvernement français se félicite de compter parmi son élite entrepreneuriale.

    Obtenant en novembre 2022 le certificat B Corp, leur permettant de prétendre « officiellement » exécuter un « business » au service des « forces du bien ».10

    La phase 2 d’Innovafeed

    Après avoir patiemment lissé son discours en évitant de trop déborder sur l’alimentation pour humains, prétextant venir à la rescousse d’éleveurs qu’elle est en réalité en train d’exterminer, la Biotech Innovafeed s’attaque aussi à la nourriture pour animaux de compagnie et commence à fournir les plus grosses « agro-tech » à destination de l’alimentation industrielle, pondant des produits déjà disponibles dans vos supermarchés.11

    Non contente de l’ouverture des deux plus grosses fermes d’insectes au monde, Innovafeed vient de s’associer à l’industriel ADM, pour ouvrir une nouvelle usine aux États-Unis, dans l’Illinois.12

    Au programme une large gamme d’aliments pour animaux domestiques, tout en ouvrant indirectement le marché des plats cuisinés qui embarqueront les premières huiles et farines de « mouches soldat noires ».13

    Augmentant une production actuelle initialement démesurée, de soixante mille tonnes de protéines, vingt mille tonnes d’huiles, ainsi que quatre cent mille tonnes de fertilisants à base d’insectes par an.

    Agitant numériquement ses tentacules robotisées sur des bacs de culture de cinq étages, s’étalant sur une surface globale de plus de quatre-vingt-dix mille mètres carrés.14

    Destinés, en plus des animaux de compagnie, des animaux d’élevage et des engrais, à la production de barres énergétiques et boissons pour sportifs ainsi qu’une panoplie de nouvelles marques venant éclore comme des œufs.

    Un marché qui atteindra d’ici la fin de l’année le milliard et demi de Dollars, créé de toute pièce par McKinsey et l’ONU à travers les branches de la FAO et du PAM, le Programme Alimentaire Mondial, respectivement dirigés par Qu Dongyu, ancien vice-Ministre de l’agriculture chinois, et Madame Cindy McCain, veuve du sénateur McCain et héritière d’une dynastie agroalimentaire, pour atteindre les habitudes de près de deux milliards d’individus en 2023.15

    Sans même compter le potentiel du marché des animaux d’élevages, que le président d’Innovafeed estime à quarante-huit milliards d’Euros par an.

    Toutefois, puisqu’il ne leur est pas encore facile de convaincre tout le monde, les « dealers » d’insectes n’hésitent pas à passer par les niches économiques les plus surprenantes, ne semblant effrayés par la moindre antinomie.

    C’est en tout cas ce que semble penser Alexandra Kazaks, Docteur à la division nutrition de l’Institut de technologies alimentaires américain.

    Selon elle, « un surprenant nombre de végans en achète déjà ».16

    D’autres fabricants tentent d’ailleurs de s’inviter dans les rayons bio, à l’image d’Entomo Farms, une structure canadienne proposant différentes sortes de produits à base d’insectes comme des snacks ne laissant présager aucune présence de poudre de crickets sur l’emballage, indiquant uniquement, discrètement, la présence de « poudre de criquet biologique » dans la composition du produit.17

    Sentiers que la marque française Avenia essaie de suivre en s’invitant dans les Biocoop après avoir passé le cap des muffins et desserts à base d’insectes.18 19

    Ou encore la marque Hi, à traduire par « Salut », déjà largement critiquée pour sa volonté à « faire de l’argent avant tout », qui tente de s’immiscer dans l’industrie du cannabis avec des produits édulcorés demandant une attention toute particulière pour pouvoir y détecter la présence de poudre d’insectes.20

    Innovafeed aussi veut intégrer le marché de la bio, cependant tout en discrétion, passant d’abord par la conquête du label allemand Naturland en plaidant pour la première « guideline » dédiée à l’élevage d’insectes bio.21

    Rejoignant par la même occasion le marché de la santé avec le développement de nouveaux médicaments à base d’insectes, ainsi que de compléments alimentaires.

    La phase 3 d’Innovafeed

    Pourquoi s’arrêter en si bon chemin puisque l’alimentation pour bestiaux, animaux domestiques et humains lui semble déjà acquise ?

    Le prochain tournant d’Innovafeed est cousu de fil blanc.

    En plus de mourir de malnutrition, les branches alimentaires de l’ONU, soit la FAO et le PAM, bâtissant les fondations dictatoriales d’un nouveau programme alimentaire mondial, augurent qu’en 2050 l’humanité risquerait davantage de mourir d’infections microbiennes que de cancers… contre lesquelles le seul remède serait, vous vous en doutez, la bio-ingénierie d’insectes.

    C’est en tout cas ce que prédisent les entomologistes du centre de biotechnologies pour insectes LOEWE, installé à Giessen, en Allemagne.22

    De son côté, avec un nouveau produit lancé depuis quelques mois, « NovaGain », Innovafeed s’intéresse déjà à la santé des crevettes d’élevage en formulant le premier complément alimentaire pour animaux destinés à la consommation humaine.23

    Pendant que des « Agri-Tech » spécialisées dans la biologie génétique comme FreezeM, développent des mouches soldats noires modifiées génétiquement pour optimiser le rendement, la taille et la capacité à moins consommer pour se développer. Cette nouvelle espèce de mouches mutantes atteignant deux à trois fois la taille d’une mouche normale a été baptisée « BSF-Titan ».

    Promettant une ouverture de marché de la mouche soldat aussi suspecte qu’inquiétante.

    Que se passera-t-il quand ce genre d’insectes sera amené à « s’échapper » et se reproduire dans la nature ?

    Question ne semblant guère préoccuper Innovafeed, qui dès le début avait toutes les cartes en main pour éviter les pièges recensés par McKinsey après plus d’une décennie d’échecs des fermes d’insectes françaises, belges, néerlandaises, israéliennes, canadiennes et américaines.

    Sa principale usine se trouvant à proximité des productions de Tereos, le plus important sucrier de betterave de l’hexagone, un accord était vraisemblablement prévu en amont pour nourrir les mouches de la Biotech avec les déchets de leur production de sucre avant l’implantation de l’usine.24

    De même que son récent contrat avec Cargill, le lobbyiste de l’agriculture internationale ayant atteint les plus hautes sphères gouvernementales.

    S’ouvrant de plus en plus de portes en direction des hypermarchés et produits de consommation de masse, en entretenant ses partenariats avec des structures comme Labeyrie et Auchan.25

    Les insectes débarquent dans les supermarchés et produits bio

    Depuis 2013 la marque Crickeat est disponible dans des hypermarchés Auchan du sud de la France.26

    Suivie ces dernières années par le groupe Carrefour et ses équivalents belges et néerlandais.27

    Concrétisant ses bonnes relations avec Innovafeed en insérant discrètement dans ses rayons les premières truites28, poulets29 et porcs30 nourris à la mouche noire soldat, Auchan, qui n’en est plus à son coup d’essai, devrait bientôt passer à la vitesse supérieure, mais cette fois dans le nord de la France.

    Or, bien que l’approche soit encore timide, selon une source anonyme, tout porte à croire que l’introduction de denrées à base d’insectes dans les magasins bio et Biocoop soit déjà en cours de négociation.

    Une troupe d’investisseurs formant une nouvelle forme de trust

    Comment une jeune entreprise comme Innovafeed a pu devenir la première licorne de la tech française en « disruptant » agriculture et élevage traditionnels en quelques années ?

    Tout simplement parce qu’en plus de l’influence et des services de McKinsey, elle compte dans son capital la majorité des entreprises lui ayant permis un développement foudroyant.

    Vous vous souvenez d’ADM et Cargill, ses deux derniers plus gros contrats ? Eh bien figurez-vous qu’ils sont actionnaires d’Innovafeed.31

    Et avec eux le géant Temasek, faisant partie des fonds souverains de Singapour, ouvrant actuellement de nouveaux bureaux à Paris après avoir jeté son dévolu sur Bruxelles et Londres.32

    Mais aussi Futur French Champions, fonds d’investissement du Qatar, et Grow Forward, le magnat d’investissements du secteur agroalimentaire de Chicago.

    Un ensemble d’atouts largement introduits dans les habitudes alimentaires des Américains, mais aussi des Français et des Européens, s’assurant qu’au final l’insecte soit bel et bien la protéine la plus plébiscitée et la moins chère de la consommation du futur.33

    Montrant que l’argument selon lequel l’alimentation à base d’insectes ne « peut pas envahir la consommation humaine à cause d’un prix trop important », ne sera bientôt plus qu’un vague souvenir.

    Il est pourtant si facile d’aller dans le bon sens et, avant d’avouer l’environnement et l’humanité vaincus par un futur incertain, de miser sur le développement présent de l’agriculture biologique, de l’artisanat, de l’élevage bio lié au respect animal, et de certaines protéines végétales quasi autosuffisantes, comme, par exemple, le propose la charte de la boutique de Réponses Bio, ayant ouvert ses portes la même année qu’Innovafeed sans jamais avoir été aidée ou financée autrement que par le choix de ses nombreux abonnés, clients et lecteurs et lectrices.34

    Bien à vous,

    Jean-Baptiste Loin

    Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un média indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.

    Sources et références :




    Aveux de l’EMA : l’agence lâche les gouvernements !

    À la demande de parlementaires de l’UE, l’EMA AFFIRME que les pseudovaccins expérimentaux anticovid-19 n’ont jamais été approuvés pour empêcher la transmission du virus [jamais isolé(([1] NDLR Voir le dossier Vaccins et virus, et notamment Un adieu à la virologie))] de personne à personne. L’Agence européenne des médicaments a ainsi confirmé, de fait, que la « vaccination obligatoire » contre le Covid-19 était une utilisation illégale hors AMM.

    LES VAX MASSIVES NE REPOSAIENT PAS SUR DES FAITS.

    L’EMA SOULIGNE LE MANQUE DE DONNÉES SUR LA CONTAGIOSITÉ.

    LES VAX SONT UNIQUEMENT PROPOSÉES POUR LA PROTECTION D’UN INDIVIDU.

    EN CONSÉQUENCE :

    LES CAMPAGNES DE VACCINATION DOIVENT ÊTRE ABSOLUMENT STOPPÉES ET LES GOUVERNEMENTS DEVRONT PORTER LA RESPONSABILITÉ DES EFFETS SECONDAIRES ET DE LEUR RÉPARATION.

    Conférence de presse du 21 novembre 2023 au Parlement européen, suite à la réponse pour le moins surprenante de l’EMA, à la lettre du député européen Marcel de Graaff, demandant de retirer l’autorisation de mise sur le marché des « vaccins » Covid à cause des très graves problèmes engendrés.

    ➡️ Voir sur Odysee
    https://odysee.com/@Q…uestions:6/Le-scandale-arrive—L’eurod%C3%A9put%C3%A9-Marcel-De-Graaff:8

    ➡️ Voir en VOSTFR sur Odysee
    https://odysee.com/@ledeclencheur:b/Le-scandale-arrive—L’eurod%C3%A9put%C3%A9-Marcel-De-Graaff—(VOSTFR):e

    ➡️ Partager le tweet
    https://x.com/LDeclencheur/status/1727400835821314420?s=20




    L’opération COVID est-elle une guerre contre la réalité ?

    [Source : Le CEP]

    La crise Covid a-t-elle été « une arnaque au comptage » qui a permis de soutenir une guerre contre la réalité ?
    [Vidéo reprise sur Odysee ici]

    Statisticien professionnel, Pierre Chaillot présente ici le travail de collecte et d’analyse statistique qu’il a réalisé et synthétisé dans son ouvrage « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », et dans lequel il démontre avec brio la façon dont les autorités ont utilisé les chiffres pour manufacturer la « crise COVID ».

    0:00 Le CEP
    00:24 — Introduction
    02:43 — Un mot sur la statistique
    03:42 — Plan général
    05:10 — La mortalité pendant la pandémie
    18:28 — La construction du mythe : Séquençage, tests, grippes
    41:56 — La légende de l’efficacité du V.
    01:05:43 — La réalité des effets indésirables
    01:22:37 — Conclusion
    01:25:08 — Questions du public

    Vous pouvez vous procurer l’ouvrage de Pierre Chaillot sur le site de la Librairie Française : http://www.librairiefrancaise.fr/fr/sante/11491-covid-19-ce-que-revelent-les-chiffres-officiels-pierre-chaillot-9782810011520.html

    Retrouvez les activités et les articles du CEP sur notre site : le-cep.org
    Abonnez-vous à la revue trimestrielle du Cep : https://le-cep.org/produit/abonnement-annuel/




    Dysphorie de genre

    [Source : espace de respiration]






    Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé

    [Source : qg.media]

    Par Laurent Mucchielli

    Les éditions de l’École Normale Supérieure (ENS) viennent de publier la traduction française d’un livre important de Sergio Sismondo, professeur de philosophie des sciences et des techniques à la Queen’s University de Kingston au Canada, intitulé Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma. Elles ont eu de surcroît la bonne idée de le mettre intégralement en accès libre en ligne. [NDLR Le voici inséré ici :]



    Sa lecture vaut le détour. Elle est même cruciale pour qui veut mieux comprendre la façon dont, au cours des dernières décennies, les industries pharmaceutiques ont pris le contrôle de notre santé, en corrompant massivement non seulement le milieu de la recherche médicale, mais aussi celui des autorités de contrôle nationales et internationales, ainsi que le monde de l’édition scientifique médical, le tout avec l’aide de cabinets de conseils comme McKinsey.

    [NDLR Les surlignages en jaune et les petites notes entre crochets sont des ajouts non présents dans l’article original de Laurent Mucchielli.]

    Comme le rappelle dans sa préface Mathias Girel (à qui l’on doit déjà la préface de la traduction française du livre majeur de Robert Proctor, Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, en 2014), « les fantômes dont il est question ici sont bien réels, et ils ne se déplacent pas seuls : ce sont des rédacteurs fantômes, c’est-à-dire des personnes, travaillant pour l’industrie pharmaceutique, qui écrivent des articles qui sont ensuite signés par des chercheurs, mais aussi des organismes de recherche sous contrat (ORC), des associations de patients, des leaders d’opinion ». Il s’agit ainsi de remonter toute la chaîne de production dont l’aboutissement est d’un côté la publication dans les revues scientifiques médicales, de l’autre la prescription individuelle des médicaments par les médecins, voire leur usage en population générale par les gouvernements dans le cadre des politiques de santé publique. Et, tandis que ces aboutissements sont ultra-médiatisés, la chaîne de production qui se cache derrière reste, elle, invisible. D’où le titre du livre : le management fantôme de la médecine. Pour Sismondo, il s’agit rien moins que d’un « nouveau modèle de science », une « science d’entreprise, réalisée par de nombreux travailleurs cachés, à des fins de marketing, et qui tire son autorité de la science académique traditionnelle ». Au fond, comme le dit l’auteur dans sa postface, « Le management fantôme de la médecine est un livre qui explore la manière dont l’industrie pharmaceutique fusionne science et marketing, en particulier en Amérique du Nord et en Europe ». Et ce système de fabrication des connaissances repose sur une « corruption systémique » à laquelle l’auteur a également consacré un article récent (Sismondo, 2021).

    La fabrique d’une pseudo-science au profit de l’industrie pharmaceutique

    [Note de Joseph : cela fait quelques années que nous récoltons, sur Nouveau Monde, des articles (dont certains placés dans le dossier Vaccins et virus) qui pris ensemble démontrent que la virologie est une pseudo-science parce que l’hypothèse virale a été scientifiquement et implacablement réfutée et parce que ses méthodes ne relèvent pas de science, mais de religion avec notamment ses rituels (comme la prétendue « culture virale »), ses dogmes (comme celui de l’existence de méchants virus), ses grands prêtres (y compris prétendument « résistants » au Nouvel Ordre Mondial), ses idoles (comme les vaccins) et ses saints intouchables ou nobélisés (comme Montagnier ou Pasteur) à défaut d’être canonisés. Cela fait quelques années que nous dénonçons la mainmise croissante de l’industrie pharmaceutique, alias Big Pharma, sur la (dé)formation des médecins lors de leurs études universitaires et après. Ce livre apporte de l’eau au moulin de la réinformation.]

    Dans ce livre, qui repose sur d’innombrables entretiens, observations de réunions, lectures de documents produits par les industriels et leurs affidés, Sismondo analyse « les principales tactiques et pratiques utilisées par les compagnies pharmaceutiques pour influencer la médecine ». Il décrit « les chemins que parcourent l’information et les savoirs relatifs aux médicaments depuis les organismes de recherche sous contrat [ORC] (qui effectuent la majeure partie de la recherche pharmaceutique), jusqu’aux planificateurs de publication (qui dirigent la production d’articles de revues écrits par des rédacteurs fantômes), en passant par les leaders d’opinion (qui sont déployés pour éduquer les médecins aux médicaments) et au-delà ». Il nous permet ainsi de comprendre les mécanismes de production, de circulation et de consommation du savoir médical tels que l’industrie pharmaceutique les conçoit, c’est-à-dire dans un univers intellectuel où « la recherche, l’éducation et le marketing ont fusionné ». Et l’auteur de nous rappeler que « l’avalanche de connaissances que les entreprises créent et diffusent n’est pas conçue pour le bien de l’Humanité, mais pour augmenter les profits ». Et même, « il arrive parfois que la recherche de profits aille totalement à l’encontre de l’intérêt général ». Comment cela est-il rendu possible ?

    Les industriels font d’abord produire des recherches (les essais cliniques) par des organismes de recherche sous contrat, qui utilisent à leur tour des sous-traitants : « l’industrie finance à peu près la moitié de tous les tests cliniques — souvent des essais contrôlés randomisés, la [soi-disant] plus précieuse forme de savoir médical — et parraine la plupart des nouveaux essais entrepris chaque année ». Les ORC (organismes de recherche sous contrat) travaillant pour leur compte « planifient et mènent des essais cliniques pour faire approuver des médicaments et pour élaborer de nouveaux arguments en faveur de la prescription de médicaments. Ils recrutent des médecins, qui recrutent des sujets d’essai, dont les tissus, fluides et qualités observables peuvent être transformés en données ». Les ORC sont ainsi « les premiers fantômes de l’industrie pharmaceutique ».

    Ensuite, grâce à ces données récoltées, « l’industrie pharmaceutique produit une part significative de la littérature scientifique sur les médicaments brevetés ou en cours de brevetage. Dans les revues médicales les plus prestigieuses, près de 40 % des articles récemment approuvés sont le fait du management fantôme ». Des « planificateurs de publication » mettent alors au point des « stratégies de publication », mettent sur pieds « des équipes de professionnels pour penser et rédiger des articles », puis « sélectionnent les revues auxquelles ces articles seront soumis et choisissent les leaders d’opinion qui en seront les auteurs putatifs ». C’est ainsi que « les sciences médicales sont façonnées pour servir des objectifs marketing. (…) Le résultat ressemble à de la science médicale, et peut même être [apparemment] une science de haute qualité, mais c’est une science conçue pour vendre des médicaments ».

    En outre, « le management fantôme se poursuit avec la communication des sciences médicales sur le terrain. En donnant des conférences, les leaders d’opinion contribuent à l’énorme influence que l’industrie pharmaceutique exerce sur le savoir médical. Les leaders d’opinion sont les zombies de l’industrie, des morts-vivants missionnés pour exécuter les ordres de l’industrie pharmaceutique ».

    Puis vient l’étape de la diffusion, c’est-à-dire de la communication : « une industrie de services sophistiquée enserre toute communication médicale. (…) En qualité d’agents des sociétés pharmaceutiques, les sociétés de formation médicale et de communication créent des cours, planifient des conférences et des séminaires, mènent des enquêtes et rédigent des articles et des études. Tout ce matériau est ensuite remis aux éducateurs, aux chercheurs et aux médecins qui les utiliseront à bon escient ». Pour parachever le tout, « ces entreprises nourrissent les journalistes qui écrivent dans les journaux généralistes et les magazines médicaux, en leur transmettant des détails techniques, des articles scientifiques, des noms d’experts à contacter et même des lignes narratives. Ils fournissent même des clips vidéo aux chaînes de télévision qui diffusent ensuite des reportages sur les dernières avancées médicales ».

    Enfin, l’industrie a appris à utiliser à son profit les défenseurs des patients et les associations de défense des patients (ADP) qui sont ainsi devenus « d’autres maillons essentiels dans la nébuleuse du marché du médicament ». C’est ainsi que, aux États-Unis, les deux tiers de ces associations reçoivent un financement de l’industrie, avec un ciblage particulier pour celles « qui donnent des conférences ou participent aux discussions qui ont lieu à la Food and Drug Administration ». Sismondo note même que, « dans certains cas extrêmes, les ADP sont des créatures de l’industrie. Elles sont entièrement financées par une ou plusieurs entreprises, le recrutement de leur personnel est pris en charge par des professionnels, et elles trouvent des patients à enrôler a posteriori ».

    Au final, les industries pharmaceutiques « exercent une pression systématique sur la circulation du savoir scientifique et les pratiques médicales qui en découlent. Il s’agit d’un système d’influence rendu plus efficace du fait même qu’il est opaque et fantomatique ». Et ce système d’influence est probablement bien plus efficace que la publicité, même si les industries utilisent toujours très largement ce moyen de propagande (Sismondo rappelle ainsi que, « par exemple, en 2016 aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique dans son ensemble a acheté pour plus de 3 milliards de dollars de publicités télévisées et a dépensé presque autant en publicités dans les magazines, journaux et autres médias. Sur ce montant, 300 millions de dollars ont été consacrés à des annonces dans des revues médicales »).

    La grande « pharmaceutisation » de la société (ou le retour de Knock)

    Le constat économique est là : « l’ensemble des ventes de médicaments augmente de près de 10 % par an, que l’année soit bonne ou mauvaise ». Aux anciennes maladies, se sont en effet ajouté les nouvelles, issues de nos modes de vie modernes [ou produites par les médicaments et les vaccins eux-mêmes]. Mais le problème est bien plus grave encore car, comme le rappelle Sismondo, même quand les maladies n’existent pas, ou pas vraiment, les industries pharmaceutiques ont une réponse : « les maladies peuvent être façonnées et ajustées pour créer un marché plus fort et plus rentable ». Sismondo rappelle ici ce fait déjà bien connu au terme duquel, pour augmenter leurs ventes, les entreprises pharmaceutiques tentent de « vendre de la maladie », selon la formule de Moynihan et Cassels (2005). Concrètement, les industriels « s’efforcent d’accroître la sensibilisation aux maladies pour lesquelles leurs médicaments peuvent être prescrits, et d’augmenter ainsi la probabilité que les gens se croient atteints de ces maladies » [Voir aussi : Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective]. Il ne s’agit plus d’une médicalisation croissante de la vie, mais, plus précisément et plus globalement, d’une « pharmaceutisation » (pharmacolisation) de la société. Ce concept suscite une petite littérature scientifique (notamment sociologique) depuis une quinzaine d’années aux États-Unis (Abraham, 2020 ; Williams et coll., 2011). Sismondo en rappelle des exemples qui, pour être bien connus des spécialistes, n’en demeurent pas moins majeurs et édifiants.

    Commençons par une maladie psychique, la dépression, qui constitue désormais « l’une des maladies les plus évidemment régies par l’existence de médicaments ». Sismondo résuma ainsi l’évolution de la maladie et de sa pharmaceutisation : « jusque dans les années 1960, la dépression était un diagnostic relativement peu répandu, et était plutôt associée aux personnes âgées. Elle est devenue, dans les années 1970, un peu plus visible grâce aux fabricants de la première génération d’antidépresseurs. Cependant, depuis l’arrivée sur le marché du Prozac de la compagnie Eli Lilly en 1987, un nombre toujours plus important de personnes furent diagnostiquées dépressives. Le nombre de personnes touchées par la dépression a augmenté (au point que l’OMS l’annonce comme le problème de santé bientôt le plus répandu au monde), les critères du diagnostic de dépression n’ont cessé de s’élargir et les estimations de la prévalence de la dépression ont augmenté de façon spectaculaire. La dépression est devenue le “rhume” des troubles mentaux ». Le premier grand succès financier de ces nouveaux « antidépresseurs » sera le Prozac. Grâce à lui, les industriels parviendront à « commercialiser à la fois le médicament et la maladie ». De fait, « ils ont investi massivement dans la recherche sur la dépression et les antidépresseurs. Ils ont largement promu une théorie de la dépression fondée sur la carence en sérotonine, puis une théorie du déséquilibre chimique, pour lesquelles il n’existe pas beaucoup de preuves. Ils ont établi des liens étroits avec des psychiatres et d’autres médecins qui rédigent des manuels, des articles et des guides de pratiques cliniques. Ils ont financé des campagnes de sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation. Les entreprises ont réussi à donner un statut à la maladie tant sur le plan médical que culturel, en aidant les médecins à volontiers la reconnaître et à la diagnostiquer et les patients à interpréter leurs sentiments et leurs expériences dans les coordonnées de la dépression — peut-être même à façonner leur identité autour d’elle ».

    Bien d’autres maladies chroniques de la société contemporaine sont également l’objet de cette pharmaceutisation, notamment l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’ostéoporose.

    Une autre façon pour Sismondo de le dire est celle-ci : « Il fut un temps où les gens se considéraient le plus souvent en bonne santé, sauf s’ils tombaient malades ou présentaient des fragilités ou des symptômes inhabituels ». Or, désormais, on parle de « risque » et nous sommes tous concernés, tous potentiellement malades. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore », faisait dire Jules Romains au docteur Knock en 1923. Un siècle plus tard, sa prédiction s’est réalisée au-delà même de ce qu’il entrevoyait. Désormais, comme l’écrit Sismondo, « nous sommes tous, toujours, en mauvaise santé. La plupart des maux dont nous souffrons sont chroniques, les traitements peuvent ainsi durer toute une vie. Et comme nous sommes tous à bien des égards en mauvaise santé, le traitement — même réussi — des facteurs de risque ou des pathologies n’a jamais de fin ». Pour Big Pharma, c’est le jackpot. Et la suite est plus grave encore.

    Une criminalité (très bien) organisée

    Sismondo développe notamment l’exemple des opioïdes aux États-Unis, car on y retrouve « presque tous les éléments évoqués dans le reste du livre ».

    Rappelons les faits : au cours des vingt dernières années, plus de 200 000 citoyens américains sont morts à cause d’opioïdes vendus sur ordonnance comme antidouleurs, mais qui étaient en réalité tout aussi dangereux et addictifs que l’héroïne. En cause, « la flambée de prescriptions d’analgésiques, en particulier l’OxyContin », autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) depuis 1995. L’affaire est la suivante : « l’antidouleur contenu dans l’OxyContin est l’oxycodone, un ancien dérivé de la morphine semblable à l’héroïne dans sa structure et ses effets généraux. L’argument de vente du nouveau médicament était sa concentration élevée en oxycodone combinée à un mécanisme de libération continue que son fabricant, Purdue Pharmaceuticals, appela “Contin”. Le mécanisme dit Contin, breveté en 1980, était censé modérer les effets euphoriques et semblables à ceux de l’héroïne, et soulager la douleur pendant douze heures. Le résultat, affirmait-on, était un opioïde peu addictif. Pour Purdue, l’OxyContin était un bon substitut à son précédent opioïde à libération lente, le MS Contin, qui avait fait l’objet d’abus en tant que drogue récréative ». Parallèlement, la Drug Enforcement Administration (DEA) autorisait les quotas de production des analgésiques susceptibles d’entraîner une dépendance, ce qui « a permis de multiplier par près de quarante la production d’oxycodone entre le début des années 1990 et aujourd’hui ».

    Ainsi donc un industriel a fait fortune en vendant une drogue équivalente à l’héroïne qui a tué des centaines de milliers de personnes, le tout avec la bénédiction du gouvernement américain. Comment cela est-il possible ? Entouré tout au long de son opération par des cabinets de conseils comme l’Américain McKinsey et le Français Publicis, l’industriel a commencé par inviter plus de 5 000 participants à plus de 40 conférences sur la gestion de la douleur, tous frais payés. « Ces conférences ont permis d’établir une base de prescripteurs et, plus important encore, une base de leaders d’opinion pour siéger à l’agence de conférenciers de Purdue et donner des présentations rémunérées à d’autres prescripteurs ». Cette liste comprenait 2 500 médecins, parmi lesquels 1 000 étaient actifs. Grâce à la force d’influence des leaders d’opinion, Purdue a pu financer plus de 20 000 événements éducatifs afin de faire valoir l’utilisation des opioïdes pour traiter la douleur de manière énergique ». Ensuite, l’industriel a passé un accord rémunéré avec la Joint Commission on Accreditation of Healthcare Organizations, qui se présente comme une « organisation indépendante à but non lucratif » composée de médecins et qui est à l’origine du système d’accréditation américain. Grâce à cet accord, et avec l’aide d’un autre industriel disposant de davantage d’infrastructures (Abbott), Purdue a pu diffuser son produit dans tous les hôpitaux américains.

    Et la corruption ne s’arrête pas là. L’industriel a aussi fait des cadeaux aux étudiants en médecine ainsi qu’à des organisations comme l’American Geriatrics Society et l’American Academy of Pain Medicine. C’est ainsi que, « dans un panel de l’American Geriatrics Society qui a rédigé des directives pour le traitement de la douleur chronique chez les personnes âgées, plus de la moitié des membres avaient été payés pour des consultations ou des conférences par l’une ou l’autre des compagnies qui fabriquent des opioïdes ». La corruption ira très loin puisque, après le vote d’une loi en 2016 (le Ensuring Patient Access and Effective Drug Enforcement Act), l’industriel « fit en sorte que la DEA ne puisse pas enquêter sur la distribution ou sur les compagnies. Bien que la DEA se soit farouchement opposée à la loi, elle fut muselée par une stratégie à deux volets : les employés de la DEA se voyaient systématiquement offrir des postes directement ou indirectement liés à l’industrie — au total, cinquante employés furent mutés — et des législateurs grassement financés subordonnèrent leur soutien global à la DEA au silence de celle-ci sur cette loi ».

    Enfin, bien sûr, durant toute cette immense opération de marketing, l’industriel s’est assuré le soutien des scientifiques. D’abord en finançant de nombreux essais cliniques randomisés, publiés ensuite dans les plus grandes revues médicales sous des signatures collectives, sans toutefois que l’on sache qui a réellement mené la recherche, qui a rédigé l’article, etc. « En d’autres termes, il est presque sûr que ces études furent managées de façon fantôme ». Il a fallu par ailleurs dissimuler les effets indésirables du « médicament », en l’occurrence l’addiction parfaitement semblable à celle provoquée par l’héroïne et le risque de mort par overdoses tout aussi létales.

    Au final, les ventes d’OxyContin ont fait la fortune de l’industriel concerné (Purdue Pharmaceuticals), dont les propriétaires (la famille Sackler, qui pratique bien entendu la philanthropie, à destination notamment des universités) se sont incroyablement enrichis à cette occasion. Les quelques 600 millions de dollars d’amendes payés par la suite ne sont qu’une goutte d’eau comparée aux dizaines de milliards qu’a rapportés cette drogue légale. Cela fait partie du business plan. Le bilan sanitaire et social de cette affaire est pourtant catastrophique car, non seulement l’industriel a contribué directement la mort de centaines de milliers de personnes, mais il a de surcroît bouleversé le marché américain des drogues en jetant des centaines de milliers de personnes (appartenant principalement à la classe ouvrière) devenues dépendantes dans les bras des trafiquants de drogues (Quinones, 2015). Au demeurant, comme l’écrivent Anne Case et Angus Deaton (2021), « beaucoup de ceux qui ont suivi de près le scandale des opioïdes ne voient guère de différence entre le comportement de ces dealers légalisés et celui des fournisseurs illégaux d’héroïne et de cocaïne qui sont si largement méprisés et condamnés ». Il s’agit dans les deux cas « de se remplir les poches en détruisant des vies ». Sauf qu’ici, ces crimes organisés se commettent avec la bénédiction des autorités publiques.

    Des éléments qui aident également à comprendre la crise du Covid

    Dans cette traduction française, Sergio Sismondo a ajouté une postface inédite (rédigée en juin 2023) dans laquelle il revient sur la crise du Covid, d’une façon qui conforte pleinement nos propres analyses (Mucchielli, 2022a). Il constate d’abord que « la pandémie ayant été définie comme une crise de santé publique, et non comme un simple problème de santé individuelle, les industries pharmaceutiques ont directement engagé le dialogue avec les gouvernements, en essayant de faire de ces derniers — qui sont les régulateurs des dépenses de santé en général et en médicaments en particulier — leurs alliés ». Dès lors, il est clair que « la pandémie a accéléré l’effacement des frontières entre l’industrie pharmaceutique et les autres parties prenantes, telles que les gouvernements, les organismes de réglementation et les établissements universitaires. Les collaborations et les partenariats sont devenus essentiels pour accélérer les processus de recherche, de développement et de distribution. Toutefois, cet enchevêtrement a également suscité des inquiétudes quant aux conflits d’intérêts, à l’influence indue et au risque de compromission dans la prise de décision ». Ensuite, Sismondo constate également que « les industries pharmaceutiques se sont également adressées directement à un large public de non-spécialistes, en présentant leurs vaccins comme la solution à cette crise, grâce aux outils des relations publiques » (toujours les mêmes cabinets de conseil à commencer par McKinsey).

    Sismondo développe ensuite deux exemples concrets. Le premier est la façon dont ce vaste système de corruption a d’abord permis à l’industriel Gilead Sciences de refourguer un antiviral (le Remdesivir) pourtant déjà reconnu comme inefficace dans des épidémies virales précédentes (Hépatite C et Ebola), le tout avec la bénédiction des services sanitaires gouvernementaux américains dirigés par Anthony Fauci. Le second est la façon dont d’autres industriels (aux premiers rangs desquels Pfizer et Moderna) ont prétendu avoir mis au point des « vaccins sûrs et efficaces à 95 % » et les ont vendus un peu partout dans le monde avec la bénédiction non seulement des gouvernements nationaux, mais aussi des organisations internationales aux premiers rangs desquels l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Union Européenne (UE). Il en conclut que « si l’on ne connaît pas les taux d’infection de fond dans les populations étudiées, si l’on ne fait pas preuve d’une transparence totale sur les méthodologies des essais et si l’on ne rapporte pas de manière exhaustive les effets indésirables, ces scores élevés d’efficacité vaccinale ne nous disent pas tout ce que nous avons besoin de savoir pour évaluer les vaccins. Mais en tant qu’outils de relations publiques, ils ont été très efficaces ».

    Sismondo termine en écrivant que « dans l’idéal, le livre aurait donc dû inclure des recherches sur les stratégies de l’industrie pour traiter avec les gouvernements et le grand public, deux éléments cruciaux pour le succès commercial de leurs produits en période de pandémie ». De fait, le moins que l’on puisse dire est que la crise du Covid illustre parfaitement le propos de l’auteur, qui aurait pu par exemple s’intéresser de plus près à d’autres dimensions de cette crise telles que le scandale du Lancet (Mucchielli, 2022b) ou encore aux graves effets indésirables provoqués par l’administration contrainte en population générale de ces thérapies génétiques expérimentales. Mais il est sans doute encore un peu trop tôt pour que les effets de cet immense rapt sur les consciences et sur les corps soient reconnus et analysés par des intellectuels qui, pour la plupart, n’ont pas été capables sur le moment de comprendre et de résister à une propagande industrielle et politique déployée avec plus de force que jamais. Ils retrouveront certainement davantage de lucidité et de courage dans les mois et les années qui viennent.

    Laurent Mucchielli

    Références :

    Abraham J. (2010), « Pharmaceuticalization of Society in Context: Theoretical, Empirical and Health Dimensions », Sociology, 44 (4), p. 603-622.

    Case A., Deaton A. (2021), Morts de désespoir. L’avenir du capitalisme, Paris, Presses Universitaires de France.

    Moynihan R., Cassels A., (2005), Selling Sickness. How drug companies are turning us all into patients, Crows Nest, Allen and Unwin.

    Mucchielli L. (2022a), La doxa du Covid. Tome 1 : Peur, santé, corruption et démocratie, Bastia, éditions Éoliennes.

    Mucchielli L. (2022 b), « “Fin de partie” pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intellectuelle (le Lancetgate) », in Mucchielli L. (dir.), La doxa du Covid. Tome 2 : Enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise, Bastia, éditions Éoliennes, p. 99-110.

    Quinones S. (2015), Dreamland. The True Tale of America’s Opiate Epidemic, London, Bloomsbery Press.

    Proctor R., (2014), Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, Paris, éditions des Équateurs.

    Sismondo S. (2021), « Epistemic Corruption, the Pharmaceutical Industry, and the Body of Medical Science», Frontiers in Research Metrics and Analytics, 8 (6), 614013.

    Sismondo S. (2023), Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma, Paris, ENS éditions (en ligne).

    Williams S., Martin P. et Gabe J. (2011), « The Pharmaceuticalisation of Society? A Framework for Analysis», Sociology of Health & Illness, 33 (5), p. 710-725.




    Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective

    [Source : epochtimes.fr]

    Par Steve Templeton

    Au début de la pandémie, il était difficile de comprendre pourquoi tant de gens agissaient de manière aussi irrationnelle et autodestructrice. Je suis immunologiste spécialisé dans les maladies infectieuses, et c’est à partir de ce moment-là que j’ai décidé de me plonger dans l’étude la psychologie humaine. Il existe de nombreuses publications éclairantes et le sujet est fascinant, ce qui, je crois, se reflète dans mon livre (en particulier dans les chapitres 5 et 7). Au début de l’année, j’ai eu la chance de discuter avec le célèbre psychologue Jordan Peterson sur la réponse psychologique face à la pandémie (entre autres sujets).

    Ce qui suit est adapté au chapitre 5 de mon livre Fear of a Microbial Planet : How a Germophobic Safety Culture Makes Us Less Safe (ndt. La peur d’une planète microbienne : comment une culture sécuritaire germophobe nous rend plus vulnérables).

    L’effet nocebo

    Les images sanglantes et les descriptions réalistes des symptômes et des pathologies des maladies infectieuses, telles qu’elles m’étaient présentées quand j’étais en première année de médecine, ont parfois un effet intéressant sur les étudiants. Je me souviens d’un cours de microbiologie médicale de premier cycle :

    Le professeur : « Et l’apparition des symptômes de cette infection particulièrement désagréable se caractérise par une raideur de la nuque et… »

    Moi : (Je commence à me frotter la nuque).

    C’est ce qu’on appelle l’effet nocebo, où l’attente ou la suggestion d’un symptôme peut provoquer son apparition ou son aggravation. C’est l’opposé catégorique de l’effet placebo, où l’attente d’une amélioration des symptômes conduit les sujets à déclarer qu’ils se sont effectivement améliorés, même en l’absence de traitement réel.

    Dans certains cas, le développement de tels symptômes peut s’avérer très grave. Une étude publiée en 2007 a rapporté le cas d’un homme ayant fait une overdose d’antidépresseur après une dispute avec sa petite amie, avalant les 29 pilules qui lui avaient été données dans le cadre de l’étude. Transporté d’urgence à l’hôpital, sa tension artérielle extrêmement basse, 80/40 et son rythme cardiaque élevé, 110 battements/minute. Les médecins et les infirmières l’ont gavé de sérum physiologique et ont réussi à faire remonter sa tension artérielle à 100/62.

    Mais le médecin qui est vraiment parvenu à le sortir de là est celui qui lui a dit que les pilules qu’il avait avalées étaient en fait des placebos et ne contenaient aucun médicament. Il faisait partie du groupe de contrôle ! En l’espace de quinze minutes, la tension artérielle et le rythme cardiaque de l’homme sont redevenus normaux.

    Ce n’est pas le surdosage d’un placebo qui a failli le tuer, mais le simple fait de penser qu’il allait mourir. C’est le cas des effets placebo et nocebo : la libération de β-endorphine (en plus de la dopamine) induit l’analgésie dans le premier cas, et est contrecarrée par la cholécystokinine (CCK) dans le second.

    En d’autres termes, les effets placebo et nocebo peuvent être directement mesurés selon les niveaux de libération neurochimique et peuvent être bloqués par des médicaments spécifiques. Un excellent exemple de libération neurochimique de l’effet placebo est celui des patients atteints de la maladie de Parkinson, chez qui le traitement par placebo peut se traduire par une amélioration de la mobilité.

    Une étude historique de 2001 a montré que le traitement par placebo chez les patients atteints de Parkinson entraînait une libération de dopamine dans de multiples zones du cerveau. En d’autres termes, le fait de s’attendre à ce qu’un traitement entraîne une amélioration (placebo) ou une aggravation de la douleur ou des symptômes de la maladie (nocebo) joue son rôle.

    Malheureusement, le pouvoir de cette croyance peut avoir des effets mentaux et physiologiques profondément négatifs, tant au niveau individuel que collectif. Au niveau du groupe, l’effet nocebo est particulièrement puissant chez les germophobes, et peut rapidement contaminer les autres, tout comme la transmission d’un virus hautement contagieux.

    [Note de Joseph :
    Lorsque les gens réaliseront massivement que l’hypothèse virale et la théorie plus générale des germes ont été scientifiquement réfutées il y a des décennies et que les maladies ne sont ni causées par des virus pathogènes (jamais effectivement isolés) ni par de méchantes bactéries, mais par d’autres causes (chimiques, physiques, vitales, électromagnétiques, émotionnelles, mentales…), ils seront bien moins souvent malades.
    Voir le dossier Vaccins et virus.]

    L’hystérie collective

    En 2006, au Portugal, le pays a connu une épidémie inquiétante. Des centaines d’adolescents ont contracté une maladie mystérieuse avec éruptions cutanées, vertiges et difficultés respiratoires. Pourtant, il n’y a pas eu d’exposition collective à un produit chimique ou d’infection par un virus. Le seul point commun que les enquêteurs ont pu mettre en évidence est un feuilleton pour adolescents, intitulé Morangos com Açúcar ou Fraises au sucre. Juste avant l’épidémie proprement dite, la série en avait présenté une fictive, dans laquelle les personnages étaient atteints d’une grave maladie causée par un mystérieux virus.

    Mais dans la vraie vie, les étudiants ne faisaient pas semblant et ne cherchaient pas à échapper aux examens. Ils croyaient vraiment être malades et souffraient en réalité d’une maladie psychogène de masse, également appelée hystérie collective.

    En 2018, sur un vol d’Emirates Airlines reliant Dubaï à New York, 100 passagers ont déclaré s’être sentis malades après avoir observé d’autres personnes présentant des symptômes grippaux. Face à la panique, l’ensemble du vol a été mis en quarantaine après son atterrissage à New York. Même la présence du rappeur des années 90 Vanilla Ice sur le vol n’a pas suffi à calmer la panique. Les enquêteurs ont ensuite déterminé que seuls quelques passagers étaient atteints de la grippe saisonnière ou d’un simple rhume. Tous les autres ont souffert d’hystérie collective.

    Historiquement, les lieux où un grand nombre de personnes sont confinées dans des espaces restreints et dans des conditions stressantes sont considérés comme les endroits les plus propices aux épidémies ; les couvents, les usines et les pensionnats sont souvent au centre de ces incidents. Tout au long de l’histoire, l’hystérie collective a été largement associée à des groupes de femmes ou d’adolescentes (environ 99 % de tous les incidents). En fait, le terme « hystérie » est dérivé du mot grec ancien hystera, qui signifie « de l’utérus ».

    Les incidents commencent généralement par un événement déclencheur, comme dans le cas de l’épidémie fictive de Fraises au sucre, mais il s’agit le plus souvent d’une personne qui signale un événement mystérieux. Souvent, un goût inconnu, une odeur nauséabonde ou des émanations sont incriminés, ou parfois une autre personne présentant des symptômes est considérée comme porteuse d’une maladie contagieuse. Très rapidement, plusieurs personnes sont touchées, et la maladie peut se propager pendant des jours, voire des semaines, par vagues successives, et aucune enquête ne permet de déceler de cause évidente.

    Peu après les attentats terroristes du 11 septembre 2001, cinq lettres contenant des spores d’anthrax ont été envoyées à des sénateurs et à des médias, tuant cinq personnes et en infectant 17 autres. À la suite de ces attaques, la menace du terrorisme biologique a fait la une de la plupart des journaux et a été couverte à plusieurs reprises par tous les grands programmes d’information.

    La peur et l’anxiété suscitées par le risque de dissémination d’agents biologiques invisibles de destruction massive dans l’ensemble de la population constituent une source majeure d’hystérie collective. Plus de 2000 fausses alertes à l’anthrax ont été signalées aux États-Unis suite aux premiers envois. Lorsque Bruce Ivins, chercheur sur l’anthrax, s’est suicidé dans des circonstances suspectes, le FBI a fait une déclaration dans laquelle ils ont expliqué que cette personne était probablement le seul auteur des lettres, et la peur collective du bioterrorisme s’est apaisée.

    L’un des ingrédients clés de l’hystérie collective repose sur le phénomène de contagion émotionnelle, qui se résume à peu près à cela : les personnes proches les unes des autres ont tendance à partager des comportements et des émotions. Ce phénomène peut commencer par la tendance inconsciente des gens à imiter les expressions faciales ou les postures des autres, ce qui produit alors des émotions similaires au sein d’un groupe.

    Ce mimétisme a été démontré expérimentalement : les personnes exposées à des situations ont tendance à afficher des expressions et des postures et à signaler des niveaux d’anxiété similaires à ceux des acteurs présents dans la même pièce, même si leur comportement ne correspondait pas aux circonstances ou à la « condition de menace » expérimentale.

    La contagion émotionnelle et le risque d’hystérie de masse sont accentués par Internet et les réseaux sociaux. Les personnes déjà sensibles à la contagion émotionnelle sont souvent les mêmes que celles qui ont été les plus touchées par des contenus sensationnels en ligne évoquant une menace de pandémie et qui ont donc souffert davantage de dépression, d’anxiété, de stress et de symptômes de trouble obsessionnel-compulsif.

    Pire encore, de nombreuses personnes ont abandonné leurs réseaux sociaux traditionnels (famille et communauté locale) au profit de réseaux virtuels en ligne, ce qui peut permettre aux personnes déjà sujettes à l’anxiété de rencontrer d’autres personnes partageant les mêmes idées, créant ainsi des réseaux propices à la contagion émotionnelle.

    Ce phénomène est similaire au fait de consommer beaucoup d’articles sensationnels, qui sont associés à des niveaux accrus d’anxiété publique.

    Qu’est-ce qui peut briser la chaîne de contagion émotionnelle et le risque d’hystérie collective ? L’une des possibilités est de s’exposer à un groupe communautaire dont les perspectives sont différentes, bien que cela puisse tout aussi bien aboutir à un rejet complet ou à une « mise à l’écart » entraînant un conflit entre les groupes. Une autre possibilité est que le groupe hystérique fasse l’expérience de ce qu’il craint le plus, à savoir une infection par un virus pandémique. Si le groupe a complètement surestimé le risque de maladie grave et de décès lié au virus, le fait de connaître une infection bénigne apportera la seule preuve dont ils ont besoin.

    Même quand la maladie elle-même n’est pas bénigne, une vague pandémique réelle qui traverse une population tend à réduire le stress et l’anxiété au niveau local et à concentrer les gens sur un objectif unique. C’est ce que l’on appelle « l’effet œil de typhon ». Lors des épidémies de SRAS, les personnes les plus proches de la pandémie étaient moins anxieuses et plus à même d’évaluer avec précision leurs propres risques. À l’inverse, les personnes qui se trouvent à la périphérie ou en dehors des épidémies et qui ont reçu leurs informations des médias plutôt que de leur expérience personnelle ont fait état d’une anxiété et d’une détresse accrues. Il n’y a rien de plus efficace que de voir ses peurs irrationnelles démenties de première main.




    Éducation sexuelle : « L’infiltration pédophile se fait sous nos yeux »

    [Source : Epoch Times France]

    Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme, elle est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages et donne régulièrement des conférences en lien avec ces thématiques.

    Ariane Bilheran est notamment l’auteur du livre « L’imposture des droits sexuels » dans lequel elle fait le bilan « des dérives déjà existantes en France, au travers de “l’éducation à la sexualité” » et décrypte les mécanismes pervers à l’œuvre dans le cadre de la transgression sexuelle des enfants et des adolescents.

    Régis Brunod est pédiatre et pédopsychiatre, ancien chef de clinique à la faculté de médecine de Paris et ancien maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne. Au cours de sa carrière, il a été expert auprès des tribunaux dans le cadre d’affaires de pédocriminalité. Le Dr Brunod a écrit plusieurs ouvrages consacrés à la pédiatrie, dont « Préserver l’innocence des enfants » (éd. du Bien commun).

    Lors de notre entretien, Ariane Bilheran et Régis Brunod ont notamment analysé les « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », un document publié en 2010 à l’initiative de l’OMS qui vise à définir « un cadre de référence pour les décideurs politiques, les autorités compétentes en matière d’éducation et de santé, et les spécialistes ».

    Présentés comme « un plaidoyer pour l’instauration d’une éducation sexuelle holistique qui donne aux enfants et aux jeunes, filles et garçons, une information objective, scientifiquement correcte, sur tous les aspects de la sexualité et qui, parallèlement, les aide à s’approprier les compétences nécessaires pour agir en fonction des connaissances acquises », les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe proposent une série de recommandations sur les enseignements à dispenser aux enfants dès le plus jeune âge dans le cadre de l’éducation à la sexualité, notamment en milieu scolaire.

    Pour ce faire, le document fournit une matrice structurée en 6 groupes d’âge (0-4 an ; 4-6 ans ; 6-9 ans ; 9-12 ans ; 12-15 ans ; 15 ans et +) et en 8 catégories thématiques (corps humain et développement ; fertilité et reproduction ; sexualité ; émotions ; relations et styles de vie ; sexualité, santé et bien-être ; sexualité et droits ; déterminants sociaux et culturels de la sexualité).

    Pendant notre entretien, Ariane Bilheran et Régis Brunod ont aussi analysé la « Déclaration internationale des droits sexuels » publiée en 2009 par la Fédération internationale pour le planning familial (IPPF) — une ONG qui collabore avec l’OMS ou l’Unicef et qui figure parmi les références présentées dans les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe.

    Ils se sont aussi interrogés sur l’influence des travaux de l’Institut Kinsey sur les recommandations présentées par l’OMS en matière d’éducation à la sexualité ainsi que sur la séduction exercée par ces théories dans le cadre des politiques publiques menées dans les domaines de l’éducation et de la santé.

    Standards pour l’éducation sexuelle en Europe :
    https://www.sante-sexuelle.ch/assets/docs/Standards-OMS_fr.pdf

    Déclaration des droits sexuels de l’IPPF :
    https://www.ippf.org/sites/default/files/ippf_sexual_rights_declaration_french.pdf

    • 00:00 Introduction
    • 02:43 À qui s’adressent les Standards pour l’éducation sexuelle en Europe et la Déclaration internationale des droits sexuels ?
    • 14:32 Dans quelle mesure les travaux d’Alfred Kinsey ont-ils influencé les questions liées à l’éducation à la sexualité ?
    • 16:40 Quelle est la valeur scientifique des travaux sur lesquels l’OMS s’appuie dans le cadre des Standards pour l’éducation sexuelle ?
    • 25:19 Comment s’explique l’influence des théories de l’Institut Kinsey sur l’OMS et certains professionnels de santé ?
    • 35:26 Quelles sont les conséquences des enseignements recommandés pour les enfants ?
    • 41:50 L’immixtion de l’État dans l’éducation à la sexualité est-elle acceptable ?
    • 54:26 Les questions liées au genre et à l’identité sexuelle ont-elles leur place à l’école ? Les enfants disposent-ils des ressources nécessaires pour en appréhender les enjeux de manière libre et éclairée ?
    • 01:00:37 Quels sont les risques des enseignements liés à la théorie du genre pour les enfants ?
    • 01:03:11 Quelles conséquences pour les professionnels qui s’opposent aux recommandations de l’OMS en matière d’éducation sexuelle ?
    • 01:09:04 En quoi la promotion des droits sexuels participe-t-elle du phénomène totalitaire ?
    • 01:13:26 Conclusion



    France — Campagne de vaccination HPV dans les collèges : informations partielles, encadrement inadapté et précipitation mettent en péril la vie des enfants !

    La campagne de vaccination contre le HPV dans les collèges a débuté en octobre 2023, sur circulaire interministérielle de juin 2023.

    Le 19 octobre 2023, un accident qui va s’avérer mortel a lieu dans un collège privé sous contrat de la région nantaise : un élève de cinquième fait une « chute » consécutive à un « malaise » post-vaccinal. Il décède quelques jours après.




    Au-delà de 1984 d’Orwell, la 5G et le lancement de la 6G : « Il est facile de démolir une société numérique ». La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique

    [Source : Les moutons enragés]

    “L’enfer est vide et les diables sont tous là.”

    William Shakespeare, « La Tempête », 1623

    L’analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 »


    Par Peter Koenig

    De la 5G à la 6G

    Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes engagés dans la dépopulation ; contrôler les survivants, nous exploiter, nous déshumaniser et, à terme, nous numériser, afin que nous puissions être contrôlés à distance par la 5G ;

    Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News .

    Personne ne sait vraiment, ou du moins n’a dit publiquement ce que la 6G est censée faire, ce que la 5G ne peut pas déjà faire. Au fait, l’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut-être. Mais personne ne divulgue les résultats.

    Voici comment Qualcomm décrit la 5G :

    Réseau mobile de 5e génération. Il s’agit d’une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils. Regardez ça.

    Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.

    [Voir :
    Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
    Les pompiers californiens rendus malades par la 5G nous alertent
    Pourquoi les ondes artificielles sont les plus dommageables
    Champs électromagnétiques artificiels et naturels : pourquoi la Wi-Fi, le Bluetooth et les téléphones portables endommagent-ils les cellules ?
    Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils de la 5G ?
    Les effets des ondes sur l’organisme
    Danger 5G : 13 raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G sera une catastrophe pour l’humanité
    Premières victimes reconnues des antennes 5G
    Paquet d’ondes radio]

    Au-delà du 1984 de George Orwell

    Il y a « deviner » ; et les scientifiques qui présentent la vérité décrivant l’impact causé par ces ultra-micro-ondes sur la faune et les humains sont le plus souvent qualifiés de « théoriciens du complot ».

    C’est l’expression « taisez-vous » pour tout ce que le courant dominant, la Cabale, Matrix et les mondialistes ne veulent pas que le public sache. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.

    Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.

    Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :

    Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1 000 gigabits/s avec une latence aérienne inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regardez ça.

    Nous, le peuple, sommes engagés dans une course : la vie contre la mort. Si nous nous réveillons et réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l’ Agenda 2030 de l’ONU et de la Grande Réinitialisation, sera « voué à l’échec ».

    Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous, le peuple, « irons en enfer ».

    C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour que nous, le peuple, nous réveillions en masse pour reprendre notre monde et nos vies avant qu’il ne soit trop tard.

    Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique nomme la CNUCED

    Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total de la cabale mondialiste (ouvertement dirigée par Washington), mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) , a nommé l’un de ses sous-ministres. agents, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier de la toute-numérisation.

    La CNUCED – en dérogation flagrante à son mandat historique en faveur des pays en développement, à savoir du Sud global –, uniformisera les règles du jeu, comme on dit, au nom de l’ensemble du système des Nations Unies en annonçant dans un communiqué de presse à Genève le 15 novembre 2023 , sa e-Week du 4 au 8 décembre 2023, dans le cadre d’une refonte majeure de sa série annuelle de Semaines du commerce électronique qui a débuté en 2016.

    La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebecca Grynspan , a déclaré :

    « L’économie numérique joue un rôle essentiel dans la promotion des objectifs de développement à tous les niveaux. Grâce à des discussions inclusives et multipartites, nous pouvons construire ensemble un avenir numérique mondial qui profite à tous.

    La tristement célèbre semaine électronique de la CNUCED s’appelle

    « E-Week 2023 de la CNUCED pour mobiliser un soutien mondial en faveur d’une économie numérique plus inclusive. »

    Sous-titré :

    « Plus de 3 000 parties prenantes de 130 pays examineront comment transformer les opportunités numériques en gains de développement partagés et réduire les fractures existantes pour un avenir durable. »

    Le texte du communiqué de presse regorge de slogans, de subtilités et de « non-sens » (discours insensés pour les « gnomes vendus aux systèmes »).

    Par exemple….

    « La conférence a pour thème «Façonner l’avenir de l’économie numérique ». Les sujets comprendront plus de 150 sessions axées sur la résolution des problèmes urgents liés à la numérisation. Les sujets clés porteront sur la gouvernance des plateformes, l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur le développement, les pratiques numériques respectueuses de l’environnement, l’autonomisation des femmes grâce à l’entrepreneuriat numérique et l’accélération de la préparation au numérique dans les pays en développement.

    Cette phrase d’introduction manque à peine d’un des jargons mondialistes dénués de sens, qui sont désormais courants et circulent dans l’esprit des gens, sans qu’ils réfléchissent à ce qu’ils signifient réellement.

    Attendez une minute, ils ont oublié le terme « durable ». Cela apparaîtra sûrement plus tard dans le texte.

    La CNUCED et le « terrain de jeu numérique »

    Personnes très importantes (VIP) présentes. Ils parlent également de plusieurs intervenants de haut niveau comme Amandeep Sing Gill , l’envoyé du secrétaire général de l’ONU pour la technologie ; Nizar Ben Neji , ministre tunisien de la communication et des technologies ; ainsi que Henry Puna , secrétaire général du Forum des îles du Pacifique ; et bien d’autres IT-VIP.

    Le potentiel de l’IA. Ils ne manquent pas d’ exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) , rappelant au monde que le temps presse alors que le monde fait face aux incertitudes entourant les technologies émergentes, y compris l’adoption rapide de l’IA, qui révolutionne de plus en plus l’économie numérique.

    C’est clair : notre avenir, l’avenir du peuple, est conçu comme un avenir numérique. Et cela, sans aucune concertation. L’organisme des Nations Unies et ceux qui tirent ses ficelles envisagent de décider pour nous, le peuple. Mais seulement si nous les laissons faire.

    L’égalisation des règles du jeu numérique se concentrera sur les flux massifs de données provenant de l’économie numérique et appellera des réponses de gouvernance mondiale à la concentration du marché et à la répartition inégale des bénéfices.

    Ils affirment que plus de 70 % des revenus publicitaires numériques mondiaux sont reversés à seulement cinq plateformes numériques.

    Alors, que comptent-ils faire à ce sujet ? Rien. Car ces cinq plateformes numériques contrôlent déjà le monde – Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft . Ces mastodontes contrôlent environ 9 000 milliards de dollars de communications informatiques. Et maintenant, ajoutez « X » (ancien Twitter ) et l’horizon du changement semble ultra sombre, surtout pas pour un organisme mineur de l’ONU, appelé CNUCED.

    Ce n’est de loin pas tout.

    À l’ordre du jour figure également un autre slogan : Exploiter la promesse numérique, qui prédit et promet que l’économie numérique basée sur les données recèle un vaste potentiel permettant aux pays de stimuler la croissance économique, de favoriser l’innovation et de réduire les obstacles géographiques et physiques au développement inclusif.

    Voici la cerise finale sur le gâteau :

    La numérisation pour le développement – ​​la plateforme de la semaine électronique de la CNUCED pour un dialogue constructif et inclusif vise à générer des idées et des actions qui peuvent alimenter les efforts mondiaux, en particulier le Pacte numérique mondial des Nations Unies en cours, visant à catalyser un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous. , en vue du Sommet du futur de l’ONU de 2024 .

    Et pour tout cela, ils ont besoin de partenariats plus solides ; en particulier avec les multiples crises mondiales qui se déroulent sur les fronts géopolitiques, économiques et climatiques, les pays doivent prendre des décisions cruciales pour tracer la voie de la numérisation vers un développement équitable et durable .

    Ils parlent peut-être du pacte contraire à l’éthique et illégal de 2019 entre le Forum économique mondial (WEF) de Klaus Schwab et les Nations Unies, ainsi que des guerres et des conflits mondiaux sans raison provoqués par l’homme, du chaos et des meurtres, juste pour tenir la population à distance. confus et distrait.

    Ceci complète le slogan : l’équité et la durabilité ne sont pas oubliées.

    « Démanteler une société numérique »

    En lisant entre les lignes et au-delà des slogans et du jargon numérique de la propagande, il n’est pas difficile de constater que nous nous dirigeons de plus en plus rapidement vers l’asservissement numérique.

    Considérez ce que Tucker Carlson a dit dans une récente interview : il est facile de « détruire une société numérique ».

    Pensez-y.

    Si tout autour de nous est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste » (à savoir le FMIMPC), un ou quelques interrupteurs peuvent désactiver nos différents réseaux :

    • approvisionnement en eau, électricité, gaz, énergies de toutes sortes,
    • approvisionnement alimentaire,
    • livraisons de carburant,
    • des signaux de trafic,
    • tous les transports,
    • toutes les communications,
    • l’argent sur nos comptes, et bien plus encore.

    Les gens mourraient comme des mouches. Il n’est pas nécessaire d’avoir une explosion nucléaire pour éradiquer la population mondiale, ni les soi-disant « mangeurs inutiles » (une citation de l’Israélien Yuval Noah Harari du WEF ), qui pourraient également mettre en danger ceux qui contrôlent les interrupteurs.

    Et nous, le peuple, serions complètement impuissants.

    À présent, il devrait être clair pour nous tous ce qui est progressivement et, à bien des égards, imperceptiblement préparé pour nous : Nous, le Peuple, sommes le « Mal pur ».

    C’est Nous qui sommes dans la Matrice. Les élites qui contrôlent les quelques commutateurs pour exécuter la fin du jeu sont en dehors de la matrice. Ils garderont leurs lignes d’approvisionnement ouvertes – de tout, dans l’espoir de vivre dans un paradis où nous, le peuple, ne possédons rien mais sommes heureux.

    Ils contrôlent à distance la Matrix. Nous, les gens autoproclamés « aux pilules rouges », pensions que nous étions à l’extérieur et que nous pouvions observer le chaos se créer à l’intérieur.

    C’est l’inverse.

    Ne vous laissez pas berner. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) et nous, le peuple , à savoir l’humanité agissant dans le monde entier à la base de la société.


    Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).

    Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.


    L’image présentée provient de Children’s Health Defense.

    La source originale de cet article est Global Research
    Copyright ©Peter Koenig , Recherche mondiale, 2023

    Voir aussi à propos des ondes :
    Les effets des micro-ondes pulsées et des ondes électromagnétiques à très basse fréquence sur le cerveau humain ? Les gouvernements « classifient » régulièrement les informations relatives à la manipulation du système nerveux humain




    La fraude qu’est la virologie expliquée en 19 minutes

    [Source : LeLibrePenseur.org via Profession Gendarme]

    [Note de Joseph : en préambule, voici ci-après une petite présentation tirée d’un récent courriel écrit à destination d’une doctoresse pour répondre à une vidéo sur le virus du singe.

    Le prétendu virus du singe n’a pas plus été réellement isolé que les autres prétendus virus pathogènes.

    Les séquences génétiques prétendument virales contenues dans les banques informatiques de gènes ne sont que des séquences illusoires, obtenues suite à une mauvaise recette de cuisine (nommée « culture virale ») qui contient un mélange de cellules (celles de soi-disant « culture » — souvent des cellules VERO provenant de rein de singe vert —, celles d’embryon de bœuf, et divers composants génétiques en provenance des tissus prétendument infectés et qui peuvent aussi contenir n’importe quoi présent dans l’environnement de la personne chez qui ces tissus ont été prélevés, comme des cellules d’animaux domestiques) et différentes substances toxiques.

    De cette soupe on ne sort aucun virus réellement isolé, purifié et caractérisé chimiquement, mais on prélève, suite à une centrifugation, des bouts de tissus ou de cellules dont la densité correspond à celle du supposé virus. Et cerise sur le gâteau, à partir de ce méli-mélo génétique on procède au final à un séquençage informatique qui n’est qu’une moulinette logicielle tournée suffisamment longtemps pour arriver à reconstituer un puzzle génétique par collage de bouts de chaînes génétiques de plusieurs dizaines de codons, par invention des parties manquantes et par rabotage ou moyennage des parties qui ne collent pas bien pour les forcer à se raccorder et à coller au modèle génétique du supposé virus cherché dans la soupe. De plus, le modèle génétique viral est lui-même le résultat d’une opération similaire.

    Quand par une telle méthode informatique on reconstitue un pourcentage suffisant du puzzle (par exemple 99,7 %) on déclare avoir trouvé le virus cherché. Si le pourcentage est un peu trop bas, on déclare que l’on a découvert un « variant » du virus. On est dans la même logique que dans l’exemple suivant :

    On cherche le roman Germinal de Zola dans une bibliothèque contenant 10 000 livres. Pour cela on coupe les romans en morceaux pour en analyser les phrases (équivalent de bouts de code génétique, le livre lui-même étant le code génétique complet d’un virus qui serait effectivement isolé). On donne les millions de bouts de papier à un robot pour qu’il reconstitue le roman Germinal à partir du modèle présent dans la bibliothèque virtuelle logicielle. Étant plus rapide qu’un être humain, à partir d’un certain nombre d’heures, il finit par arriver à recoller les morceaux de papier déchirés et à rafistoler tant bien que mal 99,7 % du roman cherché, ceci en ajoutant des mots manquants et d’autres fois en rabotant des parties un peu trop grosses pour bien entrer dans les trous. Alors le robot déclare avoir trouvé Germinal dans la bibliothèque réelle. Pourtant, ce roman pourrait ne pas être présent dans la liste des ouvrages répertoriés et à aucun moment on ne s’en est assuré.

    À aucun moment les virologues n’effectuent les indispensables expériences de contrôle comme celle qui consiste à pratiquer la « culture virale » sans tissus prétendument infectés. Quand on fait une telle expérience (ce qu’a réalisé Stefan Lanka), on obtient exactement le même résultat sur les cellules de prétendue culture : elles meurent pareillement en délivrant des exosomes pris pour des virus pathogènes, alors qu’il n’y a aucun tissu en provenance d’un être humain. Elles meurent simplement et principalement à cause des poisons présents dans la soupe.

    Les virologues recourent à des raisonnements circulaires tels que le suivant. Ils supposent notamment la présence d’un virus dans le tissu supposément « infecté », obtiennent la mort des cellules de culture, et en déduisent que c’est ce virus qui a tué ces cellules. S’ils faisaient l’expérience de contrôle mentionnée ci-dessus, ils obtiendraient exactement la même mort des cellules de culture et pourraient ainsi constater que cette mort n’est pas due à la présence d’un supposé virus. Ils ont inventé les tests de supposés « anticorps » parce qu’ils ne parvenaient pas à trouver des virus chez les personnes malades qui pourtant d’après leur théorie devraient être envahies de virus. La présence de ces supposés « anticorps » était alors pour eux la preuve (indirecte) de la présence du virus chez le malade.

    Quant aux tests PCR, ils ne font que multiplier des chaînes génétiques non spécifiques (n’appartenant pas à un virus réellement isolé et purifié), en introduisant des erreurs à chaque cycle d’amplification. Et au final, on y cherche seulement des « amorces » supposées spécifiques au virus.

    Les virologues ne sont jamais parvenus à trouver Germinal (un virus pathogène donné, n’importe lequel) dans leur bibliothèque (chez un être humain ou un animal) et ils ont donc inventé des méthodes pour prétendre qu’il existait quand même. Alors que la virologie a été scientifiquement réfutée il y a près de 70 ans ! Les maladies dites « virales » ne sont jamais produites par des virus pathogènes, mais par d’autres causes. Dans la plupart des cas, y compris pour la grippe, il n’existe qu’une contagion apparente, les gens étant exposés à des causes communes (notamment le retour du froid) et aucune expérience scientifiquement valide n’a pu démontrer la moindre contagion naturelle à partir de personnes ou de matériel supposément infectés.

    Le dossier Vaccins et virus contient des informations complémentaires sous diverses formes, dont Un adieu à la virologie.

    Un des arguments qu’opposent les gens crédules de l’hypothèse virale est celui des labos P4 et des armes bactériologiques. Une réponse y est donnée dans l’article C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !. Un autre argument est celui de se faire inoculer la rage ou le SIDA par exemple. Tout ce que l’on se ferait ainsi inoculer est une mixture empoisonnée, mais pas de virus qui n’ont jamais pu être réellement isolés, purifiés et caractérisés.

    Voir aussi :

    ]






    Apprendre du passé

    [Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]

    Par le Dr Stefan Lanka

    Effet désastreux de la critique du VIH et du SIDA

    Un analyste va au fond des choses, un critique dénonce un aspect. Une critique qui ne touche pas au fond d’une chose stabilise inévitablement le récit. La fonction de la critique est de stabiliser une construction et de détourner l’attention de l’essentiel. Ici : existe-t-il des virus qui rendent malade ? La peur et la violence de la politique épidémiologique sont-elles justifiées ou s’agit-il de terreur ?

    Le SIDA, en tant que GRID (NdT : en anglais Gay Related Immune Deficiency — déficience immunitaire liée à l’homosexualité), n’était à l’origine conçu uniquement que pour les hommes homosexuels, afin d’endiguer une invention unique dans l’histoire de l’humanité : La prostitution gratuite d’hommes pour les hommes, accessible au public. À partir d’un symptôme, en partie des taches devenant noires en raison de l’altération des tissus du derme, on a construit une faiblesse immunitaire prétendument virale et mortelle. La cause réelle des taches était d’une part toxique (drogues aspirées par voie nasale stimulantes sexuellement ; abus d’antibiotiques) et des chocs conflictuels (ici des conflits liés à la souillure).

    Lorsque dans les années 70 ceux de la haute société qui pratiquaient le sexe en groupe a appris qu’un virus se propageait chez les homosexuels et qu’il avait muté d’une forme inoffensive à une forme mortelle au cours des dix dernières années, ils ont été pris de panique. Avec des demandes et des souhaits de dépistage, les hétérosexuels pratiquant le sexe en groupe ont submergé les services de santé non préparés (à ces demandes — NdT). Les autorités ont été contraintes de rebaptiser GRID en SIDA. Dans la phase initiale du GRID et lors du changement de nom en SIDA, les contradictions étaient si grandes que même l’homme le plus important de la science, John Maddox, éditeur de la revue spécialisée de premier plan Nature, a déclaré que c’était une preuve de Dieu que leur stupide SIDA n’ait pas explosé à la figure des Américains, c’est-à-dire qu’il ait été démasqué.

    [Voir aussi :
    Commentaires sur le VIH de Montagnier
    Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
    Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
    Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
    Fauci et la grande arnaque du SIDA
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    et autres articles du dossier Vaccins et virus]

    De nombreuses personnes se posaient de nombreuses questions sur le virus, mais la critique du SIDA a sorti le fer chaud du feu et a fait monter la peur à l’infini. Ils affirmaient que le virus, le VIH, existait et que les méthodes de dépistage fonctionnaient. Le virus serait plus inoffensif qu’on ne le prétendait et difficilement transmissible, raison pour laquelle une personne testée positive devait consommer beaucoup de drogues ou avait de nombreuses relations sexuelles. Cela ruinerait son prétendu système immunitaire et déclencherait sa mort lente. Comme pour le Covid, les critiques du SIDA ont trouvé un écho dans le public et ont détourné l’attention du cœur du problème, à savoir le virus. Tous ces critiques sont issus de l’establishment et ne sautent pas par-dessus leur ombre. (NdT : l’expression allemande « Sauter par-dessus son ombre » signifie que l’on fait quelque chose alors que cela va à l’encontre de ses propres convictions ou de son caractère)

    La phrase importante : le SIDA a été le premier exercice global d’obéissance, le Covid le second. La terreur de la peur du virus a été perfectionnée et peut être utilisée à tout moment. Les critiques ne sont pas seulement un soutien important de la terreur, ils augmentent la peur.

    Conseil : S’il vous plaît, approfondissez vos connaissances, transmettez-les et empêchez ainsi la troisième guerre mondiale des épidémies. Le meilleur outil pour cela est notre magazine WissenschafftPlus (depuis 2003 !).

    Effet catastrophique des détracteurs de la vaccination

    En 1995, nous avons présenté pour la première fois la question de la preuve virale du VIH aux autorités sanitaires fédérales. La réponse a été honnête : il existe un consensus de la science dominante sur l’existence de ce virus. Des preuves écrites ne sont pas nécessaires. Les détracteurs du VIH/SIDA ont détourné l’attention du point central et ont consolidé l’affirmation d’une immunodéficience mortelle et transmissible. Nous avons étendu la question des preuves à tous les virus pathogènes. Les citoyens critiques envers les vaccins demandaient à leurs autorités sanitaires des preuves de l’existence des virus contre lesquels ils devraient faire vacciner leurs enfants. Les réponses : il n’y a pas de preuves concrètes. En Autriche, la pression sur les politiques a été telle que le Land de Haute-Autriche a organisé le 23 octobre 2001 le légendaire congrès pour et contre la vaccination.

    Un grand infectiologue y a révélé la fonction des critiques de la vaccination. Il a remercié les critiques de la vaccination pour leur action, car une critique superficielle lui permet de vendre chaque année davantage de vaccins : Les critiques des vaccins attireraient l’attention sur les lacunes de l’argumentation, qui seraient ensuite comblées. Gratuit et meilleur que tous les stratèges en marketing !

    À retenir : celui qui ne touche pas le point (NdT : le point essentiel, fondamental…) ou qui ne veut pas le toucher devient l’ami de celui qui est critiqué. Les critiques de la vaccination sont-ils naïfs ou rusés ?

    Conseil : Apprenez à connaître la biologie réelle. Il est prouvé qu’il ne peut pas y avoir de virus pathogènes dans la nature ! Faites passer le message, afin que la dictature mondiale permanente de l’infection, entrée en vigueur aujourd’hui, soit démocratiquement balayée.

    Traduction Jean Bitterlin 18.11.2023




    Situation sanitaire du Bangladesh et évaluation de l’utilité du Gardasil dans ce pays

    [Illustration : Mohammad Ponir Hossain/Reuter]

    Par Dr Gérard Delépine

    L’OMS tente d’imposer dans le monde entier sa vaccination coûteuse, mais fort rentable Gardasil. Quelle en est l’opportunité ? Nous étudierons ici l’exemple du Bangladesh.

    Au Bangladesh, malgré la rareté du dépistage et l’absence de vaccination contre les papillomavirus (HPV), le cancer du col est actuellement moins fréquent (8268 cas annuels1) que dans de nombreux pays européens pourtant très dépistés et très vaccinés. Dans ce pays, l’incidence de 10,6/100 000 est proche de celui de la Grande-Bretagne ou des Pays-Bas et inférieure à celui de la Norvège (14,8/100 000) ou de la Suède (13/100000), pays qui bénéficient tous du dépistage et d’un taux de vaccination Gardasil de la population cible supérieur à 80 %.

    Au Bangladesh, le cancer du col constitue la seconde cause de décès par cancer féminin dans ce pays, mais ne siège qu’à la 29e place des causes de mortalité avec un taux de 6/100000 très loin derrière les diarrhées (27,3/100 000), la tuberculose (22,6/100 000)2 ou les infections des voies respiratoires inférieures (17,9/100 000), maladies infectieuses que des traitements peu coûteux, qui ont fait leurs preuves d’efficacité certaine, pourraient éviter.

    Au Bangladesh le cancer du col ne représente donc pas un problème prioritaire de santé publique.

    La vaccination par Gardasil n’a toujours pas démontré qu’elle était capable d’éviter un seul cancer du col dans aucun pays du monde. Aucun essai randomisé de Gardasil n’a prouvé une quelconque diminution d’incidence des cancers invasifs, mais seulement celle des infections à HPV, des verrues génitales et de dysplasies bénignes qui régressent le plus souvent toutes seules, mais qui, considérées à tort comme des critères substitutifs des cancers, ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché.

    La vaccination à visée anticancéreuse par Gardasil ne constitue, en réalité, qu’une expérience massive sur des populations désinformées par une propagande massive (comme lors du covid).

    Après 17 ans d’utilisation, les résultats cancérologiques du Gardasil sont inquiétants, car dans aucun pays l’incidence globale (0-85 an), qui diminuait depuis les années 1990 grâce au dépistage, ne diminue plus, et dans le groupe d’âge le plus vacciné, arrivé à la période à risque (actuellement les 25-34 ans) l’incidence de ce cancer augmente paradoxalement, comme le montrent les données des registres des cancers.

    L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Les chiffres officiels3 montrent que, depuis la généralisation de la vaccination, le nombre global de cancers du col a augmenté (de 727 en 2006 à 942 en 2022) et que l’incidence standardisée des cancers invasifs ne diminue plus, alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques. 

    Pour 2022 l’incidence est estimée à 7,1/100 000. Les nombreux articles qui claironnent l’éradication du cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur des simulations hasardeuses et l’espoir incertain que la diminution des infections à HPV entraînerait une diminution des cancers invasifs, hypothèse démentie par les faits constatés dans le monde réel.

    Mais le plus inquiétant dans les données publiées par l’AIHW est l’augmentation d’incidence des cancers invasifs dans le groupe des femmes les plus vaccinées, celui des 25-34 ans4 :

    La triste histoire de Sharon Tate, championne olympique à Londres, morte du cancer du col 7 ans après avoir été vaccinée est là pour illustrer ce risque.

    Les données britanniques, publiées par Cancer Research UK5, confirment cette tendance très inquiétante avec une augmentation significative d’incidence (+15 %) dans le groupe le plus vacciné.

    Même constat alarmant en Norvège6 7 et Finlande8 9 où, depuis le Gardasil, l’incidence standardisée des cancers invasifs augmente sur l’ensemble de la population et encore plus dans le groupe le plus vacciné des 25-34 ans.

    En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers qui continue de diminuer et qui est devenue significativement inférieure à celles des pays champions du Gardasil.

    Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

    Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV (comme ils l’ont affirmé pour le covid19). Mais en France ce cancer est exceptionnel chez l’homme (600 cas annuels), et le plus souvent curable (environ 200 morts par an) et il ne menace qu’une population très limitée (les homosexuels passifs et les malades du Sida).

    De plus, la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis le Gardasil chez les filles dans les pays adeptes de la vaccination scolaire comme l’Australie, la Grande-Bretagne ou les pays scandinaves.

    Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires, les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

    Comme tout traitement, le Gardasil expose à des complications

    Tout récemment à Nantes un collégien est mort des suites de la vaccination Gardasil ; et malgré les dénégations embarrassées de l’agence régionale de santé, ce fait est indiscutable : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.10

    Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, le VAERS (système de déclarations des complications postvaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

    La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensés par le VAERS : Coma, Épilepsie, Paralysies des membres, Paralysie faciale Syndrome de Guillain-Barre, Thromboses, Uvéite, Choc anaphylactique, Avortement spontané, Insuffisance ovarienne…

    Ces complications ont motivé des plaintes en justice :

    et des manifestations dans de nombreux pays (Colombie, Japon, Irlande, Danemark) :

    Ces manifestations contre le Gardasil et les nombreuses actions en justice dans plus de dix pays étrangers témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

    Mais en France les agences officielles les nient comme elles ont jadis nié que les retombées du nuage de Tchernobyl aient atteint notre territoire.

    L’absence de bénéfice cancérologique constaté dix-sept ans après la mise sur le marché du Gardasil et les nombreuses complications recensées rendent la balance avantage/risques négative même si l’OMS financée en grande partie par Bill Gates et nos agences prétendent le contraire.

    Le prix européen considérable du Gardasil (près de 360 euros pour trois doses dont la fabrication revient à 1,5 euro), la propagande mensongère et la corruption de certains décideurs expliquent peut-être sa recommandation pour le Bangladesh, d’autant plus surprenante que l’expérience du Gardasil dans le district de Gazipur en 2016 a été entachée de nombreux problèmes éthiques 11 et n’a apporté en pratique aucun bénéfice aux jeunes filles vaccinées.

    Quelle politique pour l’Occident voulant vraiment « aider » les pays encore défavorisés ?

    L’exemple du Bangladesh : un des vrais fléaux médicaux curables est la tuberculose

    Pour les associations humanitaires voulant aider réellement la population, il paraîtrait plus efficace de s’attaquer à la tuberculose (plus de 16 000 morts annuels dans ce pays) curable dans plus de 85 % des cas par des antibiotiques adaptés. Le prix d’un traitement complet, y compris le traitement BPaLM (composé de bédaquiline (B), de prétomanide (Pa), de linézolide (L) et de moxifloxacine (M)), permettant de traiter les personnes atteintes de tuberculose résistante aux médicaments en 6 mois (au lieu des deux ans habituels) est d’environ 500 dollars, soit à peu près le coût d’une vaccination à trois doses de Gardasil.

    Chaque don de 1000 euros permettrait de sauver à coup sûr 2 tuberculeux et aussi de diminuer les transmissions de la maladie, permettant à terme d’espérer l’éradication de la maladie alors que consacrer cette somme au Gardasil n’aboutirait à aucun bénéfice mesurable ni prévisible selon les expériences relatées précédemment.

    Ce n’est pas de Gardasil dont le Bangladesh a besoin, mais de médicaments et de tests contre la tuberculose et d’eau potable pour lutter contre les diarrhées mortifères.