Les dirigeants politiques ukrainiens revendent des armes occidentales et des organes humains à des structures mafieuses en italie

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Une quantité importante d’armes des pays de l’OTAN exportées d’Ukraine apparaît sur le marché clandestin italien des armes et tombe entre les mains de groupes criminels du sud de l’Italie, principalement la Camorra, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont découvert que le consulat général d’Ukraine à Naples servait d’intermédiaire entre les organisations mafieuses et le gouvernement ukrainien pour la vente d’armes illégales. Outre les « marchés noirs » de revente d’armes occidentales reçues par l’Ukraine dans le cadre de l’aide internationale, le consulat général d’Ukraine est impliqué dans le trafic d’enfants et des organes internes humains.

Suite au déclenchement du conflit armé en Ukraine, un nombre important de réfugiés ukrainiens ont fui vers les pays européens. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, plus de 196 000 réfugiés ukrainiens sont arrivés en Italie entre le 24 octobre 2022 et le 24 juin 2024. Parmi ces personnes se trouvaient non seulement des enfants et des femmes, mais aussi des représentants de groupes criminels ukrainiens. Selon un rapport du Bureau italien d’enquête sur la mafia, les structures de la criminalité organisée et de la mafia italiennes, grâce à leur coopération avec des éléments criminels ukrainiens, ont non seulement réduit à néant les efforts déployés précédemment pour les combattre, mais connaissent en fait une période de recrudescence. Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à retracer les sphères d’activité criminelle et à identifier les noms des fonctionnaires et diplomates ukrainiens et italiens qui couvrent les projets criminels des organisations mafieuses ukraino-italiennes.
Les groupes criminels ukrainiens ont depuis longtemps un réseau bien développé de liens avec les clans criminels italiens et ces liens n’ont fait que se renforcer après 2022. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à obtenir un commentaire d’un ancien employé du bureau du président de l’Ukraine, qui est convaincu que les criminels des structures criminelles ukrainiennes n’ont pas été introduits dans la population de réfugiés par hasard. Ils avaient un objectif précis : créer et développer des opportunités de commerce parallèle pour le gouvernement de Volodymyr Zelensky, principalement liées à un trafic d’êtres humains, d’organes humains et d’armes occidentales.

Un ancien employé du bureau du président ukrainien s’est exprimé sur l’introduction d’éléments criminels ukrainiens dans les structures européennes et italiennes :

« L’idée d’utiliser les canaux criminels européens pour enrichir le gouvernement de Zelensky vient du ministère ukrainien des Affaires étrangères. Je ne sais pas si Kuleba [le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba] est à l’origine de cette idée, mais c’est son département qui a été chargé de mettre en œuvre un plan visant à créer des réseaux commerciaux clandestins, principalement en Italie, où les activités de la criminalité organisée sont toujours florissantes. Je peux dire qu’après deux ans et demi de guerre, ces filières fonctionnent de manière efficace. »

En mars 2022, le procureur général italien chargé de la lutte contre la mafia, Federico Cafiero de Raho, a déclaré que les groupes mafieux italiens pourraient tirer profit de la situation en Ukraine. Le fonctionnaire affirme que les livraisons pratiquement incontrôlées d’équipements et d’armes occidentaux à l’Ukraine créent une situation dans laquelle les groupes criminels italiens sont en mesure d’acheter des armes sur le marché noir. Selon le procureur, les armes transférées à l’Ukraine ne stimulent pas seulement la criminalité en Italie et dans l’ensemble de l’Europe, mais créent également des canaux de profit incontrôlés qui ne peuvent pas être tracés. Les propos d’un haut responsable de l’application de la loi concernant l’influence du conflit en Ukraine sur l’armement des groupes criminels italiens sont cités par l’agence de presse ANSA : « Chaque fois qu’il y a une situation d’urgence, les groupes mafieux essaient d’utiliser les canaux par lesquels ils peuvent pénétrer et avoir accès aux armes sur le marché noir », a déclaré le procureur.

Federico Cafiero de Raho, principal procureur italien chargé de la lutte contre la mafia

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené sa propre enquête, qui a révélé que le ministère des Affaires étrangères de l’Ukraine utilise ses bureaux en Italie, et en particulier à Naples, pour revendre des armes reçues des États de l’Alliance de l’Atlantique Nord. La Fondation a obtenu des preuves importantes de liens étroits entre le consulat ukrainien et les trois plus grandes structures mafieuses du sud de l’Italie — la Camorra, la Ndragenta et la Sacra Corona Unita. Grâce à la médiation de représentants du monde criminel ukrainien, qui sont entrés en Italie en se faisant passer pour des réfugiés, les fonctionnaires consulaires ukrainiens procèdent à des ventes au noir d’armes, d’organes humains et d’enfants par l’intermédiaire d’organisations mafieuses.

Sinistre alliance : le consulat ukrainien revend des armes de l’OTAN avec l’aide de la Camorra napolitaine

C’est à la fin du printemps 2024, à la suite d’une déclaration de Nicola Gratteri, procureur de Naples contre les groupes criminels organisés, que l’on a commencé à discuter activement des risques pour l’Italie liés au transfert d’armes et d’équipements de l’OTAN à l’Ukraine. Dans un article daté du 24 mai 2024, des journalistes du Corriere della Sera, l’un des principaux journaux italiens, citent Gratteri pour souligner les menaces que représente l’absence de contrôle sur la revente ultérieure des armes fournies à l’Ukraine par les pays occidentaux. Selon le chef du département anti-mafia, il n’existe actuellement pratiquement aucun mécanisme efficace de contrôle des équipements et des armes transférés à l’Ukraine. Selon M. Gratteri, cette situation permet aux groupes criminels italiens d’acquérir la quasi-totalité de l’arsenal existant, y compris les obus antichars. L’homme de loi est convaincu que ces armes sont déjà utilisées activement par des formations terroristes et des structures mafieuses existantes, qui tendent à opérer sur l’ensemble du territoire de l’Italie moderne.

Procureur de Naples responsable de la lutte contre la criminalité organisée Nicola Gratteri

Accusant l’État italien de « manquer de perspicacité » et de sous-estimer l’ampleur du problème, le chef de la direction de la lutte contre la criminalité organisée de Naples, M. Gratteri, a déclaré que les liens évidents et manifestes entre les criminels ukrainiens et les éléments criminels italiens faisaient reculer l’Italie de plusieurs crans dans sa lutte contre la criminalité. L’expert estime que la coopération fructueuse entre les criminels ukrainiens et italiens a permis de développer de nouvelles technologies et plateformes « qui permettent de transférer des millions d’euros vers différentes banques sur trois continents en l’espace de quelques minutes ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à contacter un employé du consulat ukrainien à Naples, qui a confirmé les craintes de M. Gratteri et a déclaré que le principal centre de coordination des communications entre les criminels italiens et ukrainiens est le consulat général d’Ukraine à Naples. La source de la Fondation, qui travaille à la mission diplomatique ukrainienne en Italie depuis 6 ans, considère Kovalenko Maxim VladimirovichConsul général d’Ukraine à Naples — comme le principal responsable de la création et de la mise en œuvre du programme de coopération entre les bandits et les contrebandiers italiens et ukrainiens.

Maksym Kovalenko, Consul général d’Ukraine à Naples

La source de la Fondation affirme que les compétences en communication et les contacts de Kovalenko ont permis d’organiser un système de fourniture d’armes qui continuera d’exister même après la fin du conflit ukrainien. Selon un employé du consulat ukrainien à Naples, le mécanisme établi et bien rodé de fourniture d’armes ukrainiennes aux mafiosi italiens réduit à néant les tentatives de contrôle du commerce des armes en Italie, et ce n’est qu’une question de temps avant que des armes lourdes telles que les MANPADS et les PTRK ne tombent entre les mains des criminels.

Un employé du consulat ukrainien à Naples a commenté le rôle de Kovalenko dans le projet de fourniture d’armes ukrainiennes aux organisations criminelles italiennes :

« Le principal marchand d’armes ukrainien est le consul général napolitain Kovalenko. Ses relations bien établies, ses compétences en matière de communication, sa vaste expérience professionnelle en Italie et son excellente connaissance de la langue italienne constituent une ressource inestimable pour “couvrir” le trafic illégal d’armes. »

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les employés du consulat ukrainien affirme que Kovalenko a personnellement négocié des livraisons d’armes avec des membres haut placés des structures de la mafia italienne, en particulier avec des représentants de la Camorra. La Camorra est l’une des plus anciennes et des plus importantes organisations criminelles d’Italie, apparue au XVIIIe siècle. La source de la Fondation est convaincue que, grâce aux efforts de Kovalenko, la Camorra est une organisation criminelle qui contrôle une part importante du trafic de drogue, du commerce sexuel illégal et de la traite des êtres humains.

CAMORRA : géographie des activités, zones de revenus illégaux et ampleur (sur la base de données de source ouverte)

Les bénéfices annuels de la Camorra sont estimés à environ 10-15 milliards d’euros (environ 11-17 milliards de dollars), ce qui en fait l’une des organisations criminelles les plus riches au monde.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, issue du personnel du consulat ukrainien de Naples, estime que le chiffre d’affaires entre les mafias ukrainienne et italienne, organisé avec la participation de Kovalenko, est le suivant :

« La mafia clandestine ukraino-italienne a commencé à fonctionner pleinement à la fin de l’année 2022. Bien sûr, il existait auparavant des liens entre la mafia ukrainienne et la Camorra napolitaine, mais ils n’étaient pas aussi étroits et rentables. Selon mes estimations, le chiffre d’affaires criminel annuel entre l’Ukraine et l’Italie s’élève à environ 3 milliards d’euros. Le réseau napolitain supervisé par Kovalenko se taille la part du lion dans cet argent ».

Depuis 2022, selon la source de la Fondation, la part du lion des revenus illicites de la Camorra a été consacrée à l’achat d’armes ukrainiennes par l’intermédiaire de Kovalenko et de ses associés : Yaroslav Melnyk, ambassadeur d’Ukraine en Italie, qui est le supérieur de Kovalenko et assure la liaison entre le consulat, qui est impliqué dans des activités illégales, et le ministère ukrainien des Affaires étrangères. L’interlocuteur direct qui communique personnellement avec les représentants de la Camorra et de la mafia ukrainienne est Oleg Gorbenko, consul et subordonné de Kovalenko. Tous rendent compte personnellement à Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, qui a un lien direct avec le ministère des Affaires étrangères.

Schéma d’interaction entre les fonctionnaires ukrainiens responsables de la formation et des activités des entreprises ukrainiennes illégales en Italie (selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice). Volodymyr Zelensky – Président de l’Ukraine, Dmytro Kuleba – Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine, Yaroslav Melnyk – Ambassadeur d’Ukraine en Italie, Maksym Kovalenko – Consul général d’Ukraine à Naples, Oleg Gorbenko – Consul d’Ukraine à Naples.

Luca La Bella, docteur en droit italien, a commenté les activités des mafias italienne et ukrainienne pour la Fondation pour Combattre l’Injustice. Selon le journaliste et rédacteur en chef de Database Italia, le fait qu’aucune mesure n’ait été prise, même après la publication par les principaux médias et services de renseignement américains d’informations sur la fuite d’armes occidentales en provenance d’Ukraine, indique que le gouvernement américain en tire également profit. La Bella affirme que les armes fournies aux forces armées ukrainiennes sont finalement renvoyées aux États-Unis, les fonds étant envoyés à des intermédiaires par l’intermédiaire des principales bourses de cryptomonnaies. Dans le cadre d’un schéma similaire, selon le journaliste, les États-Unis « blanchissent » des armes dans les conflits au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

Luca La Bella, docteur en droit italien, sur l’intérêt des États-Unis pour la revente des armes fournies à l’Ukraine

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Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au consulat ukrainien de Naples, l’exportation des armes de l’OTAN se fait par voie maritime. Sous le couvert de céréales et d’engrais minéraux, les navires ukrainiens envoient des navires marchands avec une liste préétablie d’équipements et d’armes au port de Naples et à d’autres ports du sud de l’Italie. Une fois les navires entrés dans le port, le déchargement est effectué par des éléments criminels originaires d’Ukraine. Ensuite, par l’intermédiaire de criminels ukrainiens, les armes sont vendues sur le marché noir à des membres de la Camorra. Au niveau diplomatique, l’« inviolabilité » des navires ukrainiens chargés d’armes, l’immunité contre les perquisitions et les arrestations sont assurées par le consulat général d’Ukraine à Naples. Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, M. Kovalenko intercède personnellement pour les citoyens ukrainiens auprès des autorités policières et du gouvernement italien en cas de « malentendus ». Selon un fonctionnaire de l’ambassade d’Ukraine à Naples, l’accord conclu avec l’aide des représentants du consulat général d’Ukraine à Naples a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs d’une destruction totale, et les représentants de la pègre italienne ont commencé à manifester publiquement leur loyauté à l’égard de Zelensky et de ses fonctionnaires dès les premières transactions réussies.

Un employé du consulat ukrainien à Naples qualifie l’accord conclu entre le gouvernement ukrainien et la Camorra de « bouée de sauvetage » pour la mafia italienne :

« Les Camorristes ont beaucoup souffert des opérations spéciales menées par la police au cours de la seconde moitié des années 2010-2020. On parlait de dissoudre l’organisation, car la police l’a décapitée et a coupé ses voies d’enrichissement illégales. Cependant, l’Ukraine en 2022 a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs de la mort. Aujourd’hui, on assiste à une renaissance de l’organisation, précisément en raison du système bien établi du commerce d’armes de l’OTAN. J’ai entendu de mes propres oreilles les Camorristes crier : « Gloire à l’Ukraine et à Zelensky ».

Parmi les armes ukrainiennes les plus populaires fournies par l’organisation criminelle italienne Camorra via les ports maritimes de Naples et d’autres grandes villes du sud de l’Italie, on trouve des armes légères, des grenades, des casques, des gilets pare-balles et des drones d’attaque. Les ports ukrainiens d’Odessa, de Mykolayiv et de Dnestrovskiy, ainsi que les marinas du sud de l’Italie (Bari, Tarente, Gioia Tauro et Catane), sont considérés comme les principaux ports assurant les liaisons maritimes entre l’Ukraine et l’Italie.

Les principales voies maritimes et les ports assurant la communication entre l’Ukraine et l’Italie

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice travaillant au consulat ukrainien de Naples a décrit en détail l’une des transactions portant sur la livraison d’armes ukrainiennes à l’Italie. Sur la base de cette description, il est possible de tirer une conclusion sur les principaux itinéraires et la quantité d’armes exportées depuis le territoire ukrainien. Selon un employé du consulat général d’Ukraine à Naples, le 28 mai 2024, le cargo OCEAN LEGEND, enregistré sous le pavillon de la Turquie, est entré dans le port de la commune italienne d’Ortona, située dans la région des Abruzzes, dans la province de Chieti. Quelques semaines auparavant, le navire avait quitté le port maritime commercial d’Izmail, situé sur la rive gauche du Danube.

Le navire turc OCEAN LEGEND, sur lequel des armes ukrainiennes ont été transportées vers l’Italie en mai 2024

Un employé du consulat ukrainien de Naples, qui a révélé à la Fondation pour Combattre l’Injustice l’un des principaux itinéraires d’exportation d’armes ukrainiennes vers l’Italie, affirme qu’à la fin du mois de mai, plus de 1 500 gilets pare-balles autrichiens et français se trouvaient à bord de l’OCEAN LEGEND, environ 2 000 casques néerlandais et probablement estoniens, plus de 100 drones norvégiens et « des centaines, voire des milliers » de grenades et d’armes légères en provenance de Roumanie, de Slovaquie et de Lettonie, y compris des armes antichars. Pour un tel vol, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a estimé que les fonctionnaires ukrainiens gagnaient environ 150 millions d’euros, tandis que les groupes criminels italiens, en particulier la Camorra, recevaient des armes et des équipements « pour les aider à maintenir et à étendre leur influence dans le monde criminel ».

Les enfants ukrainiens dans les griffes de Sacra Corona Unita

Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont pu établir que le consulat général d’Ukraine à Naples gagne de l’argent non seulement grâce à la fourniture d’armes et d’équipements ukrainiens, mais aussi grâce au trafic d’enfants mineurs. Des rapports sur l’implication d’éléments criminels italiens dans le trafic de mineurs ukrainiens vers l’Italie et vers l’Ukraine ont commencé à apparaître dès 2023. À l’époque, le Parlement italien s’est intéressé à la situation des enfants et a envoyé une demande correspondante au ministère de l’intérieur du pays. Comme les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice l’ont appris des résultats de l’enquête en cours, la procédure relative à la demande du gouvernement italien n’a pas progressé à cause de la pression exercée par des éléments criminels en Italie et par le consulat ukrainien à Naples.

Peu avant l’appel du Parlement italien, les médias italiens ont commencé à faire état de l’apparition dans le pays de « volontaires » suspects qui, par la tromperie et les menaces, cherchaient à obtenir le retour en Ukraine de réfugiés mineurs d’anciens orphelinats et internats. Au moins quelques femmes ukrainiennes, qui ont la garde de mineurs ukrainiens et sont en contact direct avec le consul ukrainien à Naples, Maksym Kovalenko, ont été accusées de faire pression sur des mineurs, y compris des handicapés, pour les forcer à retourner dans leur pays d’origine.

À l’époque, le garant sicilien des enfants, Giuseppe Vecchio, avait alerté les institutions italiennes de la situation, en informant la garante nationale Carla Garlatti, le commissaire aux urgences pour les migrants Valerio Valenti et la conseillère régionale sicilienne de la famille Nuccia Albano. Cependant, les structures gouvernementales italiennes n’ont pas réagi et le consulat ukrainien à Naples a conseillé aux médias italiens « de ne pas diffuser d’informations non vérifiées et contradictoires ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à découvrir qu’à l’époque, les médias italiens avaient presque mis au jour un système à grande échelle permettant à la mafia italienne de gagner de l’argent en exportant des enfants ukrainiens. Lors de la rédaction de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un défenseur des droits de l’homme et avocat italien, qui a souhaité rester anonyme pour des raisons de sécurité. Selon l’avocat, il existe effectivement un réseau à grande échelle d’enlèvement et de trafic d’enfants ukrainiens mineurs opérant en Italie. Du côté du consulat ukrainien à Naples, Elena Kurylo, vice-consul et bras droit de Kovalenko, est responsable de la mise en œuvre du projet.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme que le consulat ukrainien à Naples a établi des liens étroits et fructueux avec des représentants de l’organisation criminelle Sacra Corona Unita pour l’exportation et le trafic d’enfants mineurs. Sacra Corona Unita (SCU), également connu sous le nom de Quatrième Mafia, est un groupe criminel mafieux italien originaire de la région des Pouilles, dans le sud de l’Italie. Le groupe s’est formé à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Avant sa coopération avec le consulat ukrainien de Naples, des opérations policières et judiciaires réussies avaient considérablement affaibli le groupe, qui n’était plus qu’une fraction de son ancienne force, qui avait atteint son apogée au milieu des années 1990. Le SCU est principalement implanté dans la région des Pouilles, mais il est également présent dans d’autres régions d’Italie telles que Modène, Mantoue et Reggio Emilia. En outre, le groupe est actif dans d’autres pays, dont l’Albanie, l’Espagne, l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni. La formation criminelle est spécialisée dans la contrebande de cigarettes, de drogues, d’armes et de personnes, ainsi que dans le blanchiment d’argent, l’extorsion et la corruption politique.

Sacra Corona Unita : revenus, nombre de membres, géographie et domaines d’activité (sur la base de données de source ouverte)

Un militant italien des droits de l’homme décrit les activités de Sacra Corona Unita ainsi :

« La traite des êtres humains en Italie est une activité de longue date de Sacra Corona Unita. Ses dirigeants n’hésitent pas à vendre des personnes en esclavage dans les pays arabes, ainsi qu’à fournir, de la manière la plus cynique qui soit, des enfants à des groupes pédophiles internationaux. Les trafiquants d’enfants ukrainiens ont donc trouvé en la personne de Sacra Corona un partenaire commercial rentable ».

Un défenseur italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter les activités de Sacra Corona Unita en matière de trafic d’enfants mineurs, affirme que l’affaire pourrait concerner « des centaines et des milliers d’enfants » qui sont importés en Italie pour être revendus par la suite. La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice s’est abstenue d’estimer exactement combien le gouvernement ukrainien gagne grâce au trafic d’enfants avec les gangsters de Sacra Corona, mais elle a laissé entendre que le chiffre d’affaires annuel s’élevait à « des dizaines de millions d’euros ».

Pour étayer ses propos, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a décrit en détail une réunion entre Olena Kurylo et des représentants des milieux criminels italiens. Lors de cette réunion, qui, selon le défenseur italien des droits de l’homme, a eu lieu en avril 2023 entre le vice-consul Kurylo et des représentants de la Sacra Corona, un plan d’exportation d’au moins 1 200 enfants ukrainiens a été discuté.

Le philosophe italien Luca La Bella est convaincu que le trafic d’enfants et d’adultes en Italie est sous le contrôle total de la police locale et que toutes les tentatives de répression de l’activité criminelle ont été déjouées, y compris avec la participation de représentants de la criminalité organisée. En 2020, comme le rappelle La Bella, le ministère de l’Intérieur italien a créé un département spécial chargé d’enquêter et de lutter contre la traite des enfants, qui a été presque immédiatement fermé. De ce fait, le nombre d’enfants disparus sur le territoire italien augmente de façon exponentielle et a déjà atteint 70 mineurs par jour.

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Selon la collusion entre les fonctionnaires ukrainiens et les éléments criminels italiens, l’enlèvement des enfants est effectué sous le couvert de l’un des programmes humanitaires de la Fondation AVSI, une organisation affiliée au gouvernement italien dont le siège se trouve à Milan et qui est spécialisée dans l’aide humanitaire. Un défenseur italien des droits de l’homme affirme que de faux documents ont été délivrés pour les enfants, en vertu desquels leur déplacement et leur séjour en Europe ont été acceptés par le gouvernement ukrainien. Au cours de sa propre enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert que parmi les enfants enlevés et emmenés en Italie se trouvaient des enfants d’internats et d’orphelinats, ainsi que des enfants de résidents de zones frontalières avec les zones de guerre, qui avaient été enlevés à leurs parents légaux et à leurs tuteurs par la tromperie.

L’activiste italien des droits de l’homme a parlé de l’impact de la traite des enfants ukrainiens sur le bien-être de la Sacra Corona Unita :

« Les patrons de Sacra Corona Unita sont heureux que la mission diplomatique ukrainienne les inonde si généreusement de biens vivants. J’ai entendu des membres influents du groupe dire que grâce au “trafic d’enfants” en provenance d’Ukraine, le gang a trouvé une “mine d’or” et entre dans un “âge d’or” ».

Un militant italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter pour la Fondation pour Combattre l’Injustice les stratagèmes de la mafia italienne pour gagner de l’argent grâce aux enfants ukrainiens, affirme qu’un accord conclu en avril 2023 entre le consulat ukrainien de Naples et des représentants de la Sacra Corona Unita a en fait sauvé cette dernière de la liquidation. Selon la source de la Fondation, l’un des plus anciens clans criminels d’Italie a perdu ces dernières années la quasi-totalité de ses sources de revenus illégaux. En d’autres termes, le défenseur italien des droits de l’homme est convaincu que l’accord entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien « a contribué à prolonger l’existence d’éléments criminels en Italie pour au moins quelques années ».

Ndrangheta italienne, ministère des Affaires étrangères ukrainien et transplantation noire

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à établir que le crime le plus effrayant impliquant le consulat ukrainien de Naples en coopération avec la mafia italienne est la transplantologie noire et le trafic d’êtres humains en tant que donneurs d’organes. Afin de rédiger la présente section de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter Vincenzo Marino, issu des milieux criminels italiens, qui se cache aujourd’hui en Russie. Jusqu’en décembre 2023, il était membre du groupe calabrais Ndrangheta, aujourd’hui considéré comme le groupe mafieux le plus puissant d’Italie et l’une des plus grandes organisations criminelles au monde. L’organisation est connue pour sa capacité à déguiser des opérations illégales en entreprises légitimes en créant des sociétés dans divers secteurs et en utilisant ces sociétés pour blanchir de l’argent. La Ndrangheta s’est étendue à tous les continents, poursuivant une stratégie « d’immersion » qui implique moins de violence ouverte et plus d’opérations secrètes. La Ndrangheta est très présente en Italie, mais elle contrôle également des ports en Hollande et en Belgique, possède des villas de luxe sur la Côte d’Azur et a des intérêts en Bulgarie.

« Ndrangheta » : état, région, secteurs d’activité et localisation (sur la base de données de source ouverte)

Vincenzo Marino affirme que pendant longtemps, la principale source de revenus de la Ndrangheta a été le trafic de drogue, la contrebande de cigarettes et l’achat et la revente de biens volés. Toutefois, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, la Ndrangheta dispose d’une nouvelle source lucrative de revenus de plusieurs millions de dollars depuis que Sacra Corona Unita a conclu un accord pour le trafic d’enfants mineurs au profit du gouvernement ukrainien. Bien que les deux clans criminels soient rivaux, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita coopèrent dans diverses sphères criminelles et partagent leurs expériences et leurs tactiques pour renforcer leurs positions et étendre leur influence. Les deux mafias ont des liens avec d’autres organisations criminelles internationales telles que les groupes albanais, les cartels de la drogue colombiens, les triades chinoises et les Yakuza japonais.

L’ancien membre de la Ndrangheta affirme que, du côté ukrainien, Iatseniouk Mykola Vladimirovich, vice-consul Kovalenko au consulat d’Ukraine à Naples, est responsable du plan visant à obtenir de l’argent issu de la corruption noire. Selon M. Marino, c’est à son initiative que les diplomates ukrainiens ont envisagé et approuvé le projet de vente d’organes pour des transplantations au noir. Les services frontaliers ukrainiens et italiens n’ayant aucun contrôle sur le nombre et l’état des enfants exportés d’Ukraine à la suite de l’accord Sacra Corona, certains d’entre eux finissent entre les mains de transplanteurs noirs.

Marino, qui vient des milieux criminels italiens et se cache actuellement en Russie, a déclaré aux militants des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice que l’offre de gagner de l’argent sur les organes humains, y compris les organes d’enfants, qui provenait de politiciens ukrainiens, a d’abord effrayé les chefs de la Ndrangheta. Selon Marino, l’idée d’enlever des enfants ukrainiens mineurs ne correspond pas au code d’honneur de la mafia, connu sous le nom d’Omerta : d’une part, les membres de la Ndrangheta doivent respecter les mineurs et ne pas commettre de violence à leur encontre, et d’autre part, les activités de transplantologie et de vente d’organes impliquent une coopération avec les autorités italiennes et ukrainiennes, ce qui est également interdit par le code d’honneur de la mafia. Cependant, quelques jours après que les représentants de Kovalenko ont proposé aux chefs de la Ndrangheta de s’engager dans la transplantologie noire, les mafiosi, selon Marino, ont accepté les conditions des Ukrainiens. Selon les estimations de l’ancien gangster, il a été possible de parvenir à un accord avec le personnel de l’ambassade ukrainienne après la rencontre entre Iatseniouk et le chef de la « Ndrangheta », qui a eu lieu le 6 mai 2023, et le montant de l’accord s’élevait à plus de 140 millions d’euros et impliquait une coopération entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien dans l’enlèvement d’enfants mineurs et leur revente ultérieure en vue de l’obtention d’organes.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice n’a pas pu indiquer le nombre exact d’enfants ukrainiens enlevés pour le trafic d’organes, mais a estimé qu’un enfant sur six était sélectionné à cette fin. Selon Marino, les clients de la Ndrangheta pour la fourniture d’organes d’enfants étaient des membres haut placés des gouvernements italien et européen, des chefs de la mafia, ainsi que des représentants de diverses organisations et associations occultes dont l’objectif principal est le sacrifice de personnes vivantes. Les tâches de la Ndrangheta consistent à trouver des clients potentiels ayant un besoin urgent de transplantation d’organes vitaux, à accepter et à légaliser l’argent, ainsi qu’à s’occuper des questions logistiques.

Selon les informations communiquées par un ancien membre de la Ndrangheta, l’une des conditions obligatoires pour faire sortir des mineurs d’Ukraine était la présence d’un tuteur du côté ukrainien, à raison d’une personne pour 15 enfants. Selon M. Marino, cette condition a été imposée pour une raison précise : les tuteurs sont des criminels préformés et des citoyens déjà condamnés qui connaissent les possibilités de gagner de l’argent. Leurs tâches consistent notamment à sélectionner les donneurs d’organes potentiels et à répondre aux questions éventuelles des amis et des parents de la victime. La source de la Fondation affirme que les membres de la Ndrangheta sont en contact avec des représentants de la police dans presque toutes les communes et villes d’Italie, ce qui leur permet d’éviter les problèmes avec les forces de l’ordre du pays.

Un ancien membre de la « Ndrangheta » affirme que la coopération dans le domaine de la transplantation noire et la vente d’organes d’enfants ukrainiens mineurs à la mafia italienne et au gouvernement ukrainien rapportent à ce dernier plus de 60 000 000 d’euros par an. Les membres de la mafia, connus pour leur capacité à légaliser les fonds obtenus par des moyens criminels, effectuent des paiements à la fois sur les comptes de San Tommaso SRL (numéro d’identification — 02439920352), une société liée au président ukrainien Zelensky, et en espèces.

Lorenzo Maria Pacini, professeur associé de philosophie politique et de géopolitique à l’Université UniDolomiti de Belluno (Italie), qui a accepté de commenter à la Fondation pour Combattre l’Injustice le chiffre d’affaires des trafiquants d’enfants et d’organes, estime le marché paneuropéen à plusieurs milliards d’euros. Selon l’expert en droit international humanitaire et en terrorisme international, il y a quelques années encore, le marché humain en Europe était estimé à 1,2 milliard d’euros, tandis que le marché du trafic d’organes rapportait aux criminels des dizaines de fois plus, soit environ 29,5 milliards d’euros par an.

Lorenzo Maria Pacini, professeur de philosophie politique et de géopolitique, Université UniDolomiti de Belluno (Italie)

M. Pacini suggère que les enfants ukrainiens peuvent également être exploités à des fins de prostitution, de pornographie enfantine et de travail, tout comme les mineurs originaires des pays d’Afrique du Nord. Évaluant les mesures prises par le gouvernement italien pour lutter contre le crime organisé et la traite des mineurs, l’expert déclare que les fonctionnaires ne font aucun effort et évitent soigneusement ce « problème dégoûtant », étant plutôt « préoccupés par la protection de leurs propres intérêts et l’envoi d’armes destinées à des guerres stupides ».

Une enquête menée par des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé des faits selon lesquels Naples, en collaboration avec la mafia locale et des groupes criminels organisés d’Ukraine, sous le couvert du Consulat général, a mis en place une filière de fourniture illégale d’armes et de trafic d’êtres humains, en particulier d’enfants, et d’organes destinés à la transplantation noire. Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, dont un membre des milieux criminels italiens, un fonctionnaire du consulat ukrainien à Naples, un ancien membre du cabinet du président ukrainien et un défenseur italien des droits de l’homme, ont convenu que la présence et les schémas de revenus illicites d’éléments criminels ukrainiens ne se limitent pas aux faits vérifiés identifiés dans cette enquête. Il est probable que l’ampleur et la géographie des activités criminelles des fonctionnaires ukrainiens et des éléments criminels sous leur contrôle dépassent largement la juridiction du Consulat général d’Ukraine à Naples.

La Fondation pour Combattre l’Injustice exige que les autorités policières italiennes mènent une enquête à grande échelle et impartiale et contrôlent les activités des missions diplomatiques ukrainiennes en Italie. Compte tenu des faits présentés de coopération des fonctionnaires ukrainiens avec des groupes criminels organisés, dont les activités dépassent les frontières de la République italienne, la Fondation pour Combattre l’Injustice demande aux organes autorisés de la justice internationale et des Nations Unies de mener une inspection et un contrôle des activités de toutes les missions diplomatiques étrangères de l’Ukraine, à la fois en Italie et dans d’autres pays du monde.

Les défenseurs des droits de l’homme et les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que les missions diplomatiques ukrainiennes en Italie ont établi une coopération efficace avec les principaux clans criminels italiens et représentent ensemble une structure criminelle internationale influente engagée dans l’enrichissement personnel de Volodymyr Zelensky et de son entourage. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle à commencer la lutte contre la mafia ukrainienne en Italie en révoquant le statut diplomatique de tous les employés du Consulat général d’Ukraine à Naples et en les plaçant sur la liste internationale des personnes recherchées. Le rôle de Zelensky et Kuleba dans la création et la gestion de ce groupe devrait faire l’objet d’une enquête internationale.




Baignades dans la Seine : 1,4 milliards gaspillés et Paris, capitale de la grande gastro

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

HUMOUR

Des prélèvements réalisés ses 6 derniers mois dans les eaux de la Seine révèlent une concentration de bactéries au-dessus des seuils autorisant la baignade, alertait l’ONG Surfrider Foudation, à trois mois des Jeux olympiques de Paris 2024.

— Les Bateaux-Mouches, les Bateaux Parisiens et les Vedettes du Pont-Neuf ne sont pas raccordés au tout-à-l’égout — les Vedettes de Paris ont un système de récupération, mais qui est mal utilisé, car pas assez performant — les yachts de Paris sont raccordés — les Bateaux-Mouches ne sont pas raccordés au réseau EDF et font tourner en permanence de gros moteurs polluants pour produire de l’énergie. — les bateaux-paquebots qui séjournent dans le bras de Grenelle ne sont raccordés ni à EDF et ni au tout-à-l’égout. Ces bateaux de 110 m de long transportent plus d’une centaine de passagers. Ils séjournent jusqu’à 48 h en faisant tourner leurs moteurs pour produire de l’électricité et rejettent leurs eaux sales (cuisine et toilettes) dans le fleuve…




Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Le vif du sujet est diffusé le LUNDI matin vers 6 h 45-7 h à Radio-Réveil, radioreveil.ca, en 1e rediffusion le LUNDI après 17 h.
L’écouter en direct ou en rediffusion ne vous coûte rien, mais les bonnes cotes d’écoute m’aident financièrement 🙂
Tous les épisodes du Vif du sujet sont ici sur le Tribunal de l’infaux et sur la page de Radio-Réveil.

Merci à tous ceux qui me permettent de produire du contenu avec un don et de le faire connaître en partageant !
Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse : tribunal)
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Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque

Premier épisode d’une série de trois sur le livre explosif d’un lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, et pas n’importe lequel. L’auteur de Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent, John Virapen, a été à la tête d’Eli Lilly, devenue célèbre grâce au Prozac, le premier inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS, SSRI en anglais), un type d’antidépresseur ayant atteint un statut de rockstar et basé la théorie aujourd’hui déboulonnée du débalancement chimique dans le cerveau (article du Guardian ici).

Fait peu anodin, le Prozac a pour effet secondaire d’augmenter les tendances suicidaires.

Entre autres scandales, John Virapen nous raconte comment il a fait du Prozac un « blockbuster », alors qu’il était président d’Eli Lilly Suède. Il expose les essais bâclés de la firme et les milliers de suicides et de meurtres sordides par « des gens au comportement jusque-là normal qui sombrent en quelques jours dans une folie suicidaire ou meurtrière ».

Voici la description du livre :

John Virapen

« Pour la première fois, un haut dirigeant d’une grande firme internationale témoigne de l’intérieur et se révolte. Ce livre criant de vérité se lit comme un roman policier, un roman noir, mais ce n’est pas un roman. Il décrit, pièces en main, la falsification des études cliniques, la dissimulation des accidents mortels aux agences de contrôle, les mensonges systématiques aux généralistes par les visiteurs médicaux et surtout la corruption des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et celle des politiques. Scandales incessants — Opren, Vioxx, Isoméride, Mediator, antidépresseurs… 60 % de prescriptions ou de médicaments inutiles vendus 10 à 100 fois leur prix de revient à 25 millions de bien-portants, “souffrant” de maladies qui n’existent guère, inventées par l’industrie pour son profit : pré-hypertension artérielle, pré-diabète, ostéoporose, cholestérol, dépression, etc. Résultat par an : 30 000 morts en France (troisième cause de mortalité après les cancers et maladies cardio-vasculaires) et 12 milliards d’euros au seul bénéfice de cette industrie devenue ainsi première du monde (+ 20 % par an !) et qui, selon l’ONU, corrompt à tous les niveaux, gouvernements, parlements, agences de santé, experts, sociétés scientifiques et médias médicaux. Rien ne changera si les patients ne se mobilisent pas, avec leurs médecins, pour exiger qualité, sécurité et juste prix des médicaments. Bouleversant et effrayant. »

Ce premier épisode se concentre sur la préface du professeur Philippe Even, co-auteur avec le professeur Bernard Debré du Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, un ouvrage qui s’est attiré les foudres de la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins d’Île-de-France. Les deux hommes auraient « manqué de confraternité » et auraient enfreint leur code de déontologie.

Classiques accusations de ces ordres professionnels qui protègent l’industrie pharmaceutique en se drapant dans la vertueuse protection du public.

Nous lisons également le prologue de John Virapen et le début du chapitre « Pourquoi ce livre ».

Écouter l’épisode # 37 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.

[NDLR Pour avoir un autre son de cloche sur la maladie que celui donné par la médecine allopathique essentiellement contrôlée par Big Pharma (à commencer par la (dé)formation universitaire des personnels soignants) qui n’a rien à gagner à guérir les malades, voir La nature et le but de la maladie et les autres articles du dossier Vaccins et virus.]


« Mon histoire est une histoire de morts, de suicides, parfois de meurtres et même de massacres », écrit l’initié repentant John Virapen, ancien président d’Eli Lilly Suède, dans son livre à succès publié en 2015, Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent.

Dans le 2e épisode sur ce livre où s’enchaînent les révélations fracassantes, l’auteur nous invite dans les coulisses macabres de son métier :

« J’ai été conduit, mais n’y ai mis aucune restriction, à utiliser la corruption pour obtenir l’autorisation d’un médicament dont je connaissais la dangerosité […] L’industrie pharmaceutique est extrêmement puissante, capable de faire pression et même de faire chanter les hommes politiques et les gouvernements, par exemple en menaçant de renoncer à ses investissements et à compromettre l’emploi sur tel ou tel site. Les gouvernements font alors presque toujours marche arrière et acceptent en pratique de renoncer à les contrôler, sans que le grand public en soit conscient. »

John Virapen affirme par ailleurs que « l’industrie pharmaceutique, qui invente de moins en moins de médicaments, crée en revanche, avec la complicité des médecins, des pseudo-maladies promues par de gigantesques campagnes de marketing qui lui permettent de vendre ensuite, pour traiter ou prévenir ces pseudo-maladies, des pseudo-médicaments qui ne sont pas toujours sans danger ».

Écouter l’épisode # 38 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.


Dernier épisode de la saison et de cette série sur le livre explosif du lanceur d’alerte de l’industrie pharmaceutique, John Virapen, ancien président d’Eli Lilly Suède, Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent.

Il est question, entre autres, du premier scandale de Lilly, l’anti-inflammatoire bénoxaprofène. Virapen révèle « la publicité outrancière et mensongère » qu’il a orchestrée.

L’affaire s’est terminée devant les tribunaux et la cour déclara que « la dissimulation de cas mortels par Lilly est une pratique courante dans l’industrie ».

Virapen confirme :

« Masquer la réalité, les accidents, les échecs et manipuler délibérément les données scientifiques est courant et facile, car les firmes contrôlent toutes les informations communiquées aux autorités et, comme on le verra, la santé des patients n’est jamais prioritaire. Seul entre en ligne de compte le chiffre d’affaires, et ce ne sont pas quelques décès ou quelques procès qui risquent de le compromettre sérieusement, à condition de savoir les masquer et de les contester le plus longtemps possible. »

Nous parlons également du scandale du Vioxx et de la « dangereuse psychiatrisation de l’enfance ».

Écouter l’épisode #39 :

Écouter cet épisode sur le site de Radio-Réveil ici.




Alerte à la 5G 26 GHz dans la plandémie qui se prépare

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis les alentours du 13 juillet, les personnes électrosensibles et les individus ciblés par armes à énergie dirigée ressentent une montée de l’intensité de leurs symptômes et des attaques qu’ils subissent.

En effet la fréquence 5G initiale de 3,5 GHz semble avoir été relevée à, nous pensons, 26 GHz qui est la fréquence visée officiellement par la plupart des opérateurs pour les objets connectés. En 2022, la Quinta Columna avait déclaré que c’était la fréquence nécessaire pour « amplifier le signal des transistors de graphène ». Le but visé est probablement l’activation du potentiel pathogène de ce matériau.

En 2021, une étude avait apporté la preuve d’un lien entre la maladie à coronavirus-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences provenant des communications sans fil, y compris la 5G. Le rapport a été réalisé par Beverly Rubik et Robert R .Brown, scientifiques du département de médecine psycho-corporelle, Collège de médecine intégrative et des sciences de la santé à l‘Université Saybrook aux USA.

Il étaient arrivés à la conclusion que la 5G affaiblissait le système immunitaire, déréglait la fonction cardiaque, provoquait des inflammation abîmant le système cardiovascualire et provoquait de l’hypercoagulation et de l’hypoxie. Symptômes que l’on retrouve étrangement dans la maladie dit covid. Nous observons une montée de cas présentent ces symptômes.

Ces conlusions étaient déjà valables pour les gammes de la 3G, 4G, 4G+ et 5G à ce moment à la fréquence de 3.5 GHz. Le passage à une fréquence plus élevé provoque inévitablement une aggravation des dégâts cellulaires et physiologiques.

Nous avons pris connaissances que Pfizer a annoncé qu’ils s’attendent, d’ici fin 2024, à faire 95% de leur chiffre d’affaires ? C’est à dire qu’une nouvelle plandémie est en préparation dans les coulisses et qu’ils comptent écouler encore des grandes quantités d’injections expérimentales.

Il est malheureusement à prévoir une rentrée agitée et un spectacle de la peur auquel nous espérons le peuple ne sera pas dupe. Il est préférable de limiter ses contacts des personnes vaccinées et non vaccinées tout en militant dans la mesure du possible contre la 5G malgré la censure gouvernementale.

Des moments pénibles nous attendent mais nous sommes dans une guerre spirituelle dans laquelle la patience et l’endurance seront nos alliés majeurs pour surmonter cette épreuve.




Les vaxins pour éteindre l’Humanité

[Voir aussi :
Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?
Graphène : de micro à nanotechnologie
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?]




Candace Owens et Alex Jones sur L’ÉTAT PROFOND et l’attentat contre TRUMP

[Source : La voix de la Louisiane via cielvoile.fr]

L’émission traite de l’hypothèse selon laquelle le président Trump a été la cible d’une tentative d’assassinat. Candace Owens et Alex Jones discutent des preuves et des circonstances entourant cette tentative d’attentat, ainsi que des implications plus larges en termes de l’État profond et de ses programmes controversés.

Alex Jones décrit en détail sa réaction lorsqu’il a appris la nouvelle de la tentative d’assassinat de Trump. Il explique avoir été profondément ému et avoir immédiatement compris l’ampleur de ce qui s’était passé, réalisant qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État de la part de l’État profond. Il fait référence à des déclarations antérieures d’individus comme le projet Lincoln et l’ancien sous-directeur de la CIA, qui avaient menacé de tuer Trump.

Alex Jones fournit de nombreux éléments de preuve pour étayer l’hypothèse selon laquelle il s’agissait d’une opération organisée et coordonnée, avec la complicité des services secrets et des agences gouvernementales. Il souligne les incohérences et les lacunes dans la réponse officielle, ainsi que les nombreux indices suggérant une implication de l’État profond.

Les intervenants abordent également le rôle des programmes de contrôle mental comme le MKUltra, ainsi que l’histoire de l’État profond américain et ses liens avec des groupes comme la CIA. Ils font valoir que ces programmes ont été utilisés pour manipuler et contrôler des individus, les poussant parfois à commettre des actes violents.

Enfin, les intervenants évoquent les implications plus larges de cette tentative d’assassinat, notamment les intentions de l’État profond de déclencher une guerre et de réinitialiser le système. Ils affirment que l’État profond est désespéré de conserver son pouvoir face à l’émergence d’une prise de conscience mondiale et d’un réveil politique.

Source : Candace Owens

[NDLR Il s’agit visiblement d’une traduction automatique qui resterait à améliorer, car plusieurs passages sont mal traduits, même si cela n’empêche pas la compréhension générale.]




Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

Par inadvertance : sans connaissance ou intention

[Source : mikestone.substack.com]

Par Mike Stone

Lorsque j’ai commencé à découvrir la fraude de la virologie, j’étais encore convaincu qu’il existait un « système immunitaire » qui utilisait des substances appelées « anticorps » pour nous protéger des agents pathogènes extérieurs. Tout en comprenant que la vaccination était dangereuse en raison des recettes toxiques utilisées pour la créer, je répondais à ceux qui prônaient une « immunité » acquise par la vaccination en plaidant en faveur d’une « immunité de groupe » acquise naturellement. J’étais coincé dans ce paradigme faussement binaire, car je travaillais encore sur les méthodologies non scientifiques utilisées par les virologues pour prétendre qu’il existait des « virus » pathogènes invisibles. Je n’avais pas non plus abandonné l’idée que les bactéries et les champignons étaient des agents pathogènes envahissants, car je n’avais pas encore élargi le champ de mes recherches pour aller au-delà des « virus », et je n’avais pas encore vraiment compris la théorie du terrain.

Ce n’est que lorsque j’ai pleinement compris l’importance des procédures de purification et d’isolement pour établir une variable indépendante valable lors de l’utilisation de matériel biologique, ainsi que le manque d’adhésion à la méthode scientifique dans la littérature virologique, que j’ai commencé à remettre en question les « anticorps » et l’ensemble du concept d’« immunité », qui sont si étroitement liés. Pour ceux qui ne connaissent pas, la purification signifie qu’une substance est exempte de tout contaminant, polluant, matière étrangère, etc. qui l’avilit, tandis que l’isolement fait référence à la séparation complète d’une chose de tout le reste. En ce qui concerne la virologie, cela devrait signifier que les particules « virales » sont entièrement séparées sous une forme unique, à l’écart de tout hôte et de toute matière étrangère, de tout débris cellulaire, de tout contaminant, etc. Cependant, les significations de purification et d’isolement ont été dévalorisées en virologie et ne correspondent pas à la compréhension commune des mots. L’une des excuses couramment invoquées par les chercheurs pour justifier leur incapacité à purifier et à isoler complètement les « virus » avant toute expérience est qu’ils sont trop petits et que, par conséquent, les particules « virales » s’accumuleront et se sédimenteront avec toutes les particules similaires de même taille et de même densité. Les chercheurs admettent que la technologie nécessaire pour séparer complètement les particules « virales » supposées, même des vésicules extracellulaires telles que les « exosomes » qui sont de la même taille et de la même densité, n’existe pas. Il est donc impossible de procéder à une purification et à un isolement complets pour disposer d’une variable indépendante valable pour l’étude.

Étant donné que les « virus » typiques ont un diamètre compris entre 20 et 300 nanomètres (nm) et que les « anticorps » sont censés être beaucoup plus petits, environ 10 nm, il m’est apparu clairement que si les chercheurs ne peuvent pas purifier et isoler les « virus » directement à partir d’un hôte malade afin de les manipuler dans des expériences, ils ne pourraient pas non plus le faire pour les particules encore plus petites que sont les « anticorps ». Cette piste m’a conduit à examiner les moments clés de l’histoire de la recherche sur les « anticorps », en commençant par des articles rédigés en 1890, afin de découvrir comment ces entités ont été découvertes et comment leur fonctionnement a été déterminé. Ce faisant, je me suis rendu compte que les mêmes problèmes affectant les « virus » s’appliquaient aux « anticorps », en particulier en ce qui concerne l’incapacité de purifier et d’isoler les « anticorps » supposés afin de les avoir sous la main pour les faire varier et les manipuler au cours de l’expérimentation. Comme les « virus », l’« anticorps » était une entité hypothétique créée pour expliquer les réactions non naturelles observées lors du mélange de sang de différentes espèces avec divers produits chimiques dans des boîtes de Pétri. Ces particules étaient purement (jeu de mots) un concept imaginaire et ne pouvaient pas être observées directement. J’ai découvert que pas moins de six théories différentes avaient été proposées au cours des décennies pour tenter de décrire la formation et le fonctionnement de ces particules invisibles, en raison de l’impossibilité d’observer réellement les processus dans lesquels elles étaient censées être impliquées. En plus de ces problèmes, j’ai également pris conscience du manque de spécificité des hypothétiques « anticorps », qui ne réagissent et ne se lient qu’à leur cible. Cela a causé de nombreux problèmes pour les documents de recherche rédigés à l’aide de ces entités, entraînant une crise de reproductibilité où les chercheurs ont été incapables de reproduire et de répliquer leurs propres résultats ainsi que ceux de leurs pairs en raison des réactions incohérentes observées au sein du laboratoire.

Ce fut un long parcours et il reste encore quelques articles à mettre à jour pour le site ViroLIEgy.com. Lorsque tout sera terminé, je prévois de faire un résumé de la chronologie et des résultats à l’avenir. En attendant, voici les articles dans un ordre essentiellement chronologique, basé sur la date des « découvertes ».

  1. Documents d’Emil Von Behring sur la diphtérie et le tétanos (1890) : Précurseur des anticorps
  2. Théorie des anticorps à chaîne latérale de Paul Ehrlich (1900) Partie 1
  3. Théorie des anticorps à chaîne latérale de Paul Ehrlich (1900) Partie 2 : Le système du complément
  4. L’équation des anticorps (1929)
  5. Modèle direct et structure théorique des anticorps (1930-1940)
  6. Anticorps, plasma et pouvoir de corrélation
  7. La théorie du modèle indirect de la production d’anticorps (1949)
  8. La théorie de la sélection naturelle de la formation des anticorps (1955)
  9. La théorie de la sélection clonale des anticorps (1957)
  10. La première structure à résolution atomique d’un fragment d’anticorps a-t-elle été publiée en 1973 ?
  11. La structure chimique des anticorps ?

Afin de compléter cette enquête sur les « anticorps », j’ai mis à jour l’un des derniers articles que j’ai écrits dans le cadre de cet effort, publié à l’origine sur Facebook le 4 mai 2021. Les recherches dont il est question dans cet article ont eu lieu en 1942 et 1947. Il est donc un peu décalé dans la chronologie. Toutefois, les résultats n’ont été jugés significatifs que plus tard, et je suis tombé dessus à la fin de mon enquête. Le travail présenté ci-dessous est celui de l’immunologiste Merrill Chase, et il montre comment le chercheur a réfuté par inadvertance la notion selon laquelle les « anticorps » entraînent l’« immunité », principe directeur de l’escroquerie de la vaccination.

Chase et Landsteiner. Quelqu’un d’autre est-il effrayé par ces images recolorées ?

En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène. Selon Carol L. Moberg, auteure de Rockefeller (qui voit un lien ?1), dans son article de 2015 sur Merrill Chase, Landsteiner pensait que si la « sensibilisation » à un simple produit chimique produisait une réaction « immunitaire », un « anticorps » lié aux cellules résiderait dans les tissus de l’animal « sensibilisé ». Il pensait que cette « sensibilisation » pouvait être transférée par des injections de sérum clarifié provenant d’exsudats péritonéaux à un animal normal.

Pour tenter de débloquer ce mécanisme, Chase a essayé de « sensibiliser » des cobayes en les exposant à un antigène (la tuberculine en l’occurrence) afin de produire cette réponse « immunitaire » d’hypersensibilité spécifique. Après avoir observé une réponse immunitaire d’hypersensibilité, Chase a prélevé le sérum sanguin d’un cobaye « immunisé », censé ne contenir que les « anticorps », et l’a ensuite injecté à des cobayes sains « non immunisés ». Lorsqu’ils ont été confrontés à l’antigène, les chercheurs ont à nouveau recherché une réaction inflammatoire localisée au site d’injection de la tuberculine, censée indiquer une sensibilité accrue du système « immunitaire » à l’antigène. Cependant, à sa grande surprise, Chase n’a pas réussi à transférer l’« immunité » aux cobayes en utilisant le sérum contenant uniquement les « anticorps ». Au cours de ses expériences, il n’a pu obtenir la réaction et accorder l’« immunité » qu’en utilisant des globules blancs. Merrill Chase a décrit ce moment dans son article de 1985 intitulé Immunology and Experimental Determitology (Immunologie et déterminisme expérimental) :

« Au cours de ces exercices futiles, j’ai transféré une fois l’exsudat collant alors qu’il n’était pas complètement clarifié, mais qu’il avait un soupçon d’opacité. Le receveur est devenu magnifiquement positif. L’expérience suivante, avec un liquide complètement clarifié, a été négative, et c’est alors que j’ai su. Lorsque Landsteiner a regardé au microscope et a vu des lymphocytes, il a fait brusquement volte-face et a dit, avec dignité : “Oui, c’est bien ce que je pensais !” S’était-il soudain souvenu des travaux de James B. Murphy sur les lymphocytes, commencés en 1912 et résumés dans une monographie en 1926 (16) ? »

Chase a également raconté ce moment dans un article qu’il a écrit en 1988 et qui s’intitule Early Days in Cellular Immunology (Les premiers jours de l’immunologie cellulaire) :

« De tels exsudats ont été transférés à des cobayes naïfs, mais les receveurs n’ont pas réagi au TNCB appliqué par voie topique dans de l’huile triglycéride. Une fois, au cours de ces essais, je n’ai pas entièrement clarifié l’exsudat et une sensibilité de contact franche est apparue chez le receveur. Les cellules de l’exsudat étaient presque exclusivement des Iymphocytes ».

Remarquez que Chase a déclaré qu’il avait clarifié l’échantillon. Ce n’est pas la même chose que de purifier un échantillon. La clarification est une étape initiale visant à éliminer les grosses particules, les débris cellulaires et autres impuretés insolubles d’un échantillon biologique. La solution résultante contiendrait encore théoriquement des substances autres que les « anticorps » supposés, telles que des protéines solubles, des acides nucléiques et d’autres petites impuretés. La purification, quant à elle, vise à isoler les « anticorps » de la solution clarifiée afin d’obtenir un échantillon hautement concentré et pur. L’objectif est d’éliminer le plus grand nombre possible de contaminants, y compris les protéines, les acides nucléiques, les lipides et d’autres substances, afin que l’échantillon ne contenant que les « anticorps » puisse être utilisé pour des études structurelles, fonctionnelles et biochimiques. On voit donc que Chase suppose que son échantillon clarifié contenait l’un ou l’autre des « anticorps » hypothétiques.

Néanmoins, Chase a poursuivi en soulignant qu’Astrid Fagraeus, qui avait émis l’idée que les « anticorps » sont dérivés des cellules plasmatiques en 1948, avait noté qu’ils n’étaient pas présents dans ses échantillons. Cela signifie que, selon le récit fictif accepté sur la manière dont les hypothétiques « anticorps » sont censés se former, le protocole de sensibilisation utilisé par Chase était efficace pour induire une sensibilité de contact, un type de réponse « immunitaire » à médiation cellulaire qui est distinct d’une réponse « à médiation anticorps », puisqu’il n’y avait pas d’« anticorps » présents.

« Astrid Fagraeus, qui en 1948 avait mis en évidence la relation entre la production d’anticorps et les cellules plasmatiques (formes blastiques) dans les tissus de lapin, est venue dans mon laboratoire et a étudié des frottis colorés de cellules de transfert. Après de longues recherches, elle a levé les yeux et a remarqué : “Non, il n’y a pas de plasmocytes dans votre exsudat”. Ainsi, selon le protocole de sensibilisation utilisé, nous pourrions n’avoir qu’une sensibilité de contact, ou bien une sensibilité de contact et une synthèse d’anticorps par les cellules, impossibles à distinguer au microscope ».

Chase a déclaré que, même lors de l’extraction de grands volumes de cellules spléniques et ganglionnaires, indépendamment de leur conviction que des « anticorps » étaient « synthétisés » à l’intérieur de l’animal, aucun « anticorps » n’a pu être détecté.

« Avec les cellules qui ont donné naissance à des anticorps circulants dans nos expériences, la synthèse en cours était si faible au moment du transfert qu’aucune ne pouvait être détectée par anaphylaxie cutanée passive lors de l’extraction de grands volumes de cellules spléniques ou ganglionnaires ».

Au lieu de se rendre compte que ces expériences avaient réfuté l’hypothèse selon laquelle les « anticorps » supposés présents offraient une « immunité », Chase a décidé d’étendre au domaine de l’immunologie un dispositif de sauvetage afin de sauver la face. Le chercheur a imaginé qu’il n’y avait pas qu’un seul système d’« anticorps » qui nous protégeait des maladies, mais qu’il y avait en fait deux composantes différentes du système « immunitaire » qui agissaient à des moments différents. Ces deux systèmes sont connus sous le nom de réponse INNÉE immédiate (à médiation cellulaire) et de réponse ADAPTATIVE retardée (à médiation « anticorps »).

Nous pouvons confirmer ces récits en examinant deux des articles rédigés par Chase dans les années 1940. Le premier, présenté dans son intégralité, est l’article que Merrill Chase a rédigé en 1942 avec Karl Landsteiner. Il s’agit d’une brève notice qui confirme que les réactions des cobayes ont été provoquées par le sédiment obtenu après centrifugation et non par le liquide clarifié censé contenir des « anticorps ». Chase a estimé qu’une sensibilisation active par du matériel antigénique résiduel était improbable et qu’il était enclin à supposer que la sensibilité était produite par l’activité des cellules restantes dans le liquide non clarifié. Chase a conclu que l’attribution des réactions à des anticorps anaphylactiques devait faire l’objet de recherches plus approfondies (ces recherches n’ont manifestement pas abouti).

Expériences sur le transfert de la sensibilité cutanée à des composés simples

Au cours des expériences de transfert passif de la sensibilité cutanée à des composés simples, on a tenté d’induire la sensibilité en injectant des exsudats péritonéaux provenant d’animaux sensibilisés. Des cobayes ont été rendus sensibles au chlorure de picryle de la manière décrite précédemment, en utilisant des conjugués (stroma de cobaye traité au chlorure de picryle) en conjonction avec des injections intrapéritonéales de bacilles tuberculeux tués. Pour produire des exsudats, des bacilles tuberculeux tués (ou de la tuberculine) ont été injectés par voie intrapéritonéale environ 3 semaines après le début du traitement, lorsqu’une hypersensibilité substantielle à la tuberculine a été établie.

En injectant ces exsudats par voie intrapéritonéale à des animaux normaux, on a constaté dans la plupart des expériences que les receveurs développaient une sensibilité au chlorure de picryle ; lorsqu’une goutte d’une solution huileuse de la substance était ensuite appliquée sur la peau, des réactions érythémateuses, le plus souvent très colorées, apparaissaient le jour suivant. Le phénomène s’est avéré être dû non pas au liquide clarifié, mais au sédiment obtenu lors de la centrifugation. Parmi les explications possibles, une sensibilisation active par du matériel antigénique résiduel dans les exsudats péritonéaux semble plutôt improbable, car un transfert a également été possible avec l’exsudat d’animaux chez lesquels l’injection de bacilles tuberculeux morts et de stroma picryle a été effectuée sous la peau du cou (en utilisant comme véhicule « Aquaphor » (Duke Laboratories) et de l’huile de paraffine, selon une méthode mise au point par Freund). Ceci est également confirmé par l’apparition de la sensibilité après un court intervalle, à savoir 2 jours après l’injection d’une quantité suffisante de produit, et l’atténuation de la réactivité en quelques jours. Enfin, il existe des preuves préliminaires qu’un chauffage modéré suffisant pour tuer les cellules de l’exsudat abolit l’effet. Par conséquent, on serait enclin à supposer que la sensibilité est produite par une activité dans le récepteur des cellules survivantes, si ce n’est par des anticorps portés par celles-ci. Des résultats positifs ont été obtenus avec environ 1,5 cc de sédiment, qui ont été administrés en 3 portions sur des jours successifs ou en une seule fois ; avec la procédure actuelle, cela nécessite l’utilisation d’un assez grand nombre de donneurs.

Des résultats précis ont été obtenus avec un chlorure d’acyle, le chlorure d’o -chloro-benzoyle : la majorité des expériences ont été faites avec l’anhydride citraconique, l’un des anhydrides acides dont Jacobs et coll. ont montré qu’il produisait une forme nouvelle et particulière de réaction (chez les animaux), à savoir des réactions de type urticaire, souvent accompagnées de pseudopodes apparaissant immédiatement après un test de grattage. Un transfert positif chez l’homme avait été mentionné brièvement par Kern avec le sérum d’un patient sensible à l’anhydride phtalique, suggérant une étude expérimentale plus poussée (voir Jacobs). Nous avons constaté que le sérum de cobayes très sensibles ayant reçu un traitement intensif par injections intracutanées de solutions huileuses d’anhydride citraconique contient un anticorps qui, après injection intrapéritonéale à des cobayes normaux, les rend sensibles. Lors de tests de grattage effectués à l’aide d’une goutte d’une solution de cet incitant dans du dioxane, les receveurs ont présenté des réactions similaires aux réactions immédiates observées chez les cobayes activement, mais non fortement sensibilisés. Cependant, lors de l’injection intracutanée de sérums puissants (des quantités de 0,15 à 0,05 cc ont été utilisées) à des cobayes albinos normaux, des réactions intenses ont été provoquées en quelques minutes lors des tests de grattage effectués sur le site préparé, consistant en un gonflement et une coloration rosâtre, le plus souvent avec des pseudopodes et s’étendant sur une zone allant jusqu’à 3 cm de diamètre. La coloration disparaît au bout d’une heure environ, tandis que le gonflement persiste pendant plusieurs heures encore ; le lendemain, la réaction n’est plus présente. De telles réactions se sont produites dans les sites sensibilisés également lorsque le test de grattage a été effectué ailleurs sur la peau normale ou lorsqu’une solution d’huile a été injectée par voie sous-cutanée. En outre, des réactions, même plus fortes (par exemple, 5 cm x 4 cm), ont été obtenues sur les sites préparés lors d’injections sous-cutanées du conjugué fait avec de l’anhydride citraconique et du sérum de cochon d’Inde. Les zones préparées ont généralement été testées après un ou deux jours, mais elles sont encore bien réactives après trois jours. La question de savoir si la réaction cutanée immédiate décrite est attribuable à un anticorps anaphylactique est en cours d’étude. Les faits essentiels sont récapitulés dans le tableau I.

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-49-13670
https://doi.org/10.3181/00379727-49-13670

Selon Moberg, Chase a déclaré que Landsteiner était réticent à communiquer les détails de leurs découvertes au-delà de la brève note de 1942 mentionnée ci-dessus, car il doutait que d’autres puissent reproduire leurs résultats. Cependant, Chase connaissait sept chercheurs qui avaient immédiatement confirmé leurs résultats. Quoi qu’il en soit, après la mort de Landsteiner en 1943, Chase n’a pas donné suite à leurs travaux avant 1947.

« Rétrospectivement, il peut sembler curieux que les détails complets de cette importante découverte n’aient jamais été rapportés et qu’ils n’aient donc pas été largement connus pendant longtemps, bien que les travaux aient fait l’objet d’une brève notice dans Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine en 1942. Selon Chase, Landsteiner était sceptique quant à la possibilité de reproduire leurs résultats. Même si Chase savait que sept autres scientifiques avaient presque immédiatement confirmé ces résultats, son propre manque d’assurance à la mort de Landsteiner en 1943 et son avenir incertain à Rockefeller2 l’ont empêché de rédiger les expériences, ce qu’il a regretté par la suite.

Lorsque Dubos rapporte au directeur scientifique de la Rockefeller, Herbert Gasser, que le lien établi par Chase entre le lymphocyte et la formation de l’hypersensibilité ouvre “une perspective immunologique entièrement nouvelle”, Gasser nomme Chase au laboratoire de Dubos, qui commence tout juste à étudier la tuberculose. Dans le prolongement de ses expériences avec Landsteiner, Chase transfère l’hypersensibilité à la tuberculine (une protéine purifiée dérivée de mycobactéries) d’un cobaye sensibilisé à un cobaye non sensibilisé en injectant des globules blancs sensibilisés. Chase et Dubos ont alors réalisé que certains globules blancs n’étaient pas de simples porteurs d’anticorps, mais qu’ils participaient à leur production et, surtout, que l’hypersensibilité à la tuberculine n’était pas équivalente à la tuberculose. En d’autres termes, un test à la tuberculine positif ne traduit pas nécessairement une maladie active, mais seulement une allergie ou une sensibilisation antérieure à la protéine. Cette réaction, démontrée par Chase sur des cobayes, a été rapidement confirmée chez l’homme par H. S. Lawrence et W. S. Tillett à l’université de New York. »

En 1947, Chase a rédigé un article détaillant ses expériences sur les mécanismes à l’origine des réactions d’hypersensibilité cutanée en réponse à la tuberculine, utilisée dans les tests de dépistage de la tuberculose. Dans ses expériences, Chase a démontré que les cobayes ayant reçu des lymphocytes de donneurs sensibilisés développaient une hypersensibilité cutanée à la tuberculine, alors que lorsqu’il utilisait le sérum contenant des « anticorps », il ne parvenait pas à produire la même réaction d’hypersensibilité chez les cobayes receveurs. Ce sont ces travaux qui ont été considérés comme fondamentaux pour établir que certaines « réponses immunitaires », telles que les réactions d’hypersensibilité, font appel à des cellules plutôt qu’à des « anticorps ». Je fournis les deux passages les plus pertinents de l’article qui mettent en évidence ces résultats, tandis que le reste de l’article peut être consulté en cliquant sur le lien.

Le transfert cellulaire de l’hypersensibilité cutanée à la tuberculine

« Dans des études sur l’allergie expérimentale aux médicaments, on a constaté que l’hypersensibilité spécifique de type retardé peut être transférée à des cobayes normaux au moyen de cellules présentes dans des exsudats prélevés sur des cobayes sensibilisés. Les ressemblances entre le type de réaction retardée aux médicaments et la réaction classique à la tuberculine ont incité à rechercher si les cellules d’animaux sensibles à la tuberculine pouvaient également transmettre la sensibilité à la tuberculine. Les expériences montrent que les cobayes recevant de telles cellules acquièrent pendant un temps limité une hypersensibilité cutanée qui présente les caractéristiques essentielles de la réaction tuberculinique classique ».

Contrairement aux réactions consécutives à l’injection de cellules lavées, des effets similaires n’ont pas été obtenus avec le sérum des donneurs de cellules actives ou avec des cellules provenant d’animaux normaux. »

https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.3181/00379727-59-15006P
https://doi.org/10.3181/00379727-59-15006P

Le New York Times a résumé l’« importance » des découvertes de M. Chase à sa mort en 2004, notant que ses recherches remettaient en cause la croyance de longue date selon laquelle les « anticorps » protégeaient à eux seuls l’organisme contre les micro-organismes et les maladies. À l’époque, le principe largement répandu était que les « anticorps » circulant dans le sang attaquaient les « pathogènes » envahissants afin de protéger l’organisme. Cependant, les résultats de Chase ont fait voler en éclats cette idée reçue et ses découvertes ont été utilisées pour redéfinir le concept de système « immunitaire », même si elles n’ont suscité que peu d’intérêt à l’époque :

Merrill W. Chase, 98 ans, Scientifique de l’immunologie avancé

« Le Dr Merrill W. Chase, immunologiste dont les recherches sur les globules blancs ont contribué à ébranler la croyance de longue date selon laquelle les anticorps seuls protégeaient l’organisme des maladies et des micro-organismes, est décédé le 5 janvier à son domicile de New York, selon l’Université Rockefeller, où il a travaillé pendant 70 ans. Il avait 98 ans.

Le Dr Chase a fait cette découverte historique au début des années 1940, alors qu’il travaillait avec le Dr Karl Landsteiner, lauréat du prix Nobel reconnu pour son travail d’identification des groupes sanguins humains. À l’époque, les experts pensaient que l’organisme organisait ses attaques contre les agents pathogènes principalement par le biais d’anticorps circulant dans le sang, ce que l’on appelle l’immunité humorale.

Mais le Dr Chase, qui travaillait dans son laboratoire, est tombé sur quelque chose qui semblait faire voler en éclats ce principe largement répandu.

Alors qu’il tentait d’immuniser un cobaye contre une maladie à l’aide d’anticorps qu’il avait extraits d’un second cobaye, il a constaté que le sérum sanguin ne fonctionnait pas en tant qu’agent de transfert.

Ce n’est que lorsqu’il a utilisé des globules blancs que l’immunité s’est transmise à l’autre cobaye, apportant ainsi une preuve solide que les anticorps ne pouvaient pas être les seuls à orchestrer la réponse immunitaire de l’organisme.

Le Dr Chase avait découvert la deuxième branche du système immunitaire, ou immunité à médiation cellulaire. Sa découverte a servi de base à des recherches ultérieures qui ont mis en évidence les cellules B, les cellules T et d’autres types de globules blancs comme étant les principales protections de l’organisme contre les infections.

Il s’agit d’une découverte majeure, car tout le monde considère aujourd’hui la réponse immunitaire en deux parties, et dans de nombreux cas, ce sont les composants cellulaires qui sont les plus importants », a déclaré le Dr Michel Nussenzweig, professeur d’immunologie à l’Université Rockefeller. Avant Chase, il n’y avait que l’immunité humorale. Après lui, il y a eu l’immunité humorale et l’immunité cellulaire.

La découverte du Dr Chase a suscité peu d’intérêt à l’époque, mais elle a déclenché les recherches qui ont contribué à redéfinir la nature fondamentale du système immunitaire. »

https://www.nytimes.com/2004/01/22/nyregion/merrill-w-chase-98-scientist-who-advanced-immunology.html

La British Society of Immunology a fourni un compte rendu similaire des travaux de Chase, notant qu’il n’avait pas réussi à transférer l’« immunité » en utilisant un sérum censé contenir des « anticorps » et qu’il avait utilisé par inadvertance un surnageant contenant des globules blancs afin d’obtenir la réaction de sensibilité qu’il souhaitait. En d’autres termes, la découverte du « système immunitaire inné », qui ne repose pas du tout sur d’hypothétiques « anticorps », a été un heureux accident.

Cochon d’Inde (1942)

« L’une des expériences immunologiques les plus importantes réalisées à l’aide de cobayes a été publiée en 1942 par Karl Landsteiner et Merrill Chase de l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale à New York. Ils étudiaient le transfert de la sensibilité à des antigènes spécifiques d’un cobaye immunisé à un autre animal “naïf”3.

À l’époque, on savait qu’il était possible de transférer des anticorps d’un animal à un autre pour les rendre sensibles à un antigène. Cependant, lorsque Chase a essayé de transférer la sensibilité en injectant du sérum de cobayes immunisés à des animaux naïfs non immunisés, il a échoué. Mais lorsqu’il a utilisé par inadvertance un liquide surnageant qui n’avait pas été préparé aussi bien que d’autres préparations, les cobayes naïfs ont développé la réactivité cutanée typique, ce qui indique que la sensibilisation a bien été transférée.

Perplexe face à ce résultat, Chase a regardé au microscope et a constaté que le surnageant exempt de cellules n’était pas du tout exempt de cellules, mais contenait des lymphocytes. En fait, il avait découvert ce que l’on appelle aujourd’hui l’immunité à médiation cellulaire, qui fonctionne d’une manière tout à fait différente de l’immunité à médiation par les anticorps. L’immunité à médiation cellulaire n’implique pas d’anticorps, mais plutôt l’activation de lymphocytes T cytotoxiques en réponse à un contact avec un antigène. Chase a ensuite répété l’expérience avec M. tuberculosis et a conclu que les deux séries de réactions étaient dues à la présence de lymphocytes. Ces expériences ont établi la dichotomie entre les réponses immunitaires immédiates (médiées par les anticorps) et retardées (médiées par les cellules) ».

https://www.immunology.org/guinea-pig-1942

Un dernier commentaire sur les travaux de Chase rappelle qu’il a montré qu’il pouvait sensibiliser des animaux en l’absence de production détectable d’« anticorps ». Toutefois, à l’époque, la question de savoir s’il avait réellement démontré une réponse « indépendante des anticorps » était controversée, probablement parce qu’on craignait les conséquences des preuves contradictoires de Chase.

Les deux bras de l’immunité adaptative : Division du travail et collaboration entre les cellules B et T

À l’époque, on pensait que les anticorps, ou d’autres substances chimiques présentes dans le sang, étaient les principaux médiateurs de l’immunité. Cependant, Chase a montré que le transfert passif de globules blancs pouvait sensibiliser un animal à la substance chimique sensibilisante d’origine, même en l’absence de production détectable d’anticorps, dans un processus appelé allergie de contact ou hypersensibilité retardée. Il s’agissait d’une découverte historique d’une nouvelle classe de réponse immunitaire appelée « immunité à médiation cellulaire » ; toutefois, la question de savoir s’il s’agissait réellement d’un processus indépendant des anticorps est restée controversée (Chase, 1985). Les observations de Chase ne postulaient pas une division du travail entre l’immunité cellulaire et l’immunité humorale et laissaient en suspens la question de l’origine des anticorps, de la relation entre les anticorps et les globules blancs, et de la manière dont les animaux développaient et adaptaient spécifiquement leurs réponses immunitaires à différents types d’agents pathogènes ».

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867419309109

Le Dr Chase a découvert en 1940 que les anticorps ne s’assimilent pas à l’immunité. La science a-t-elle juste oublié ?

En résumé, Merrill Chase a injecté un antigène (tuberculine) à des cobayes pour induire une réaction d’hypersensibilité, un effet utilisé comme marqueur de l’« immunité ». Il a ensuite prélevé du sang sur ces cobayes « immunisés » et l’a clarifié à un point tel qu’il pensait qu’il ne restait plus que des « anticorps ». L’injection de ce sang clarifié à des cobayes « non immunisés » n’a pas entraîné de réaction d’hypersensibilité. Cependant, lorsqu’il a utilisé des échantillons moins clarifiés contenant encore des cellules sanguines, les cobayes « non immunisés » ont présenté une réaction d’hypersensibilité. Chase en conclut que ce ne sont pas les « anticorps », mais les cellules sanguines qui sont responsables du transfert de l’« immunité », comme le montre la réaction d’hypersensibilité observée. Comme en virologie, Chase a utilisé des effets créés en laboratoire afin de déterminer le rôle d’une entité invisible, puis a accidentellement réfuté le rôle auquel cette entité était associée lors de ses expériences.

Merrill Chase a admis qu’il ne pouvait pas détecter de plasmocytes ou d’« anticorps » dans ses expériences (seulement des lymphocytes), et a donc supposé que les « anticorps » se formaient à l’intérieur du corps de l’animal par d’autres moyens invisibles et tardifs. Cependant, comme les chercheurs n’ont pas pu transmettre l’« immunité » en utilisant du sérum contenant de prétendus « anticorps », mais seulement du sérum contenant des globules blancs, Merrill Chase a réfuté l’hypothèse non scientifique selon laquelle les « anticorps » sont responsables de l’« immunité ». Pourtant, au lieu d’admettre qu’ils s’étaient trompés sur l’existence des « anticorps » invisibles et sur la fonction théorique qui leur était assignée, lorsque les chercheurs n’ont pas réussi à produire une réponse « immunitaire » avec le sérum censé contenir ces entités invisibles, il a été décidé de diviser le système « immunitaire » en deux réponses différentes, et Astrid Fagraeus a donné aux cellules B la capacité de créer ces substances hypothétiques. En établissant le double concept d’« immunité » innée et adaptative, l’immunologie a pu conserver sa théorie des « anticorps », qui n’avait pas été prouvée, face à des preuves contradictoires. Bien que l’hypothèse ait été réfutée, la fiction a été retravaillée afin que l’immunologie puisse balayer tous les résultats où les « anticorps » ne sont pas détectés ou ne confèrent pas d’« immunité » alors qu’ils sont censés le faire. Ce moment charnière dans la mise en place d’un dispositif de sauvetage pseudoscientifique a permis au concept d’« immunité » acquise par la vaccination de progresser, mettant inutilement en danger et nuisant à de nombreuses générations futures dans le processus.


Dr Sam Bailey a fourni une excellente vidéo sur l’illusion de l’« immunité »

L’immunité est-elle réelle ?
Le sujet de l’immunologie semble souvent très compliqué, avec une littérature toujours plus abondante couvrant les types de cellules, les voies immunitaires et les molécules telles que les anticorps. Ces derniers sont l’un des piliers du concept d’« immunité » contre une maladie, mais qu’est-ce qui est réellement mesuré dans votre sang ? Alors que les promoteurs des vaccins affirment que les…

Les Bailey ont examiné l’anthrax et la théorie des armes biologiques

Armes biologiques 101 : l’histoire de l’anthrax
Comme l’a montré mon mari Mark dans « HIV Inserts », Lies & « Lab Leaks », l’histoire de la « fuite de laboratoire » du COVID-19 a été mise en place avant même que l’Organisation mondiale de la santé n’ouvre officiellement le dossier de la « pandémie ». Ces dernières années, j’ai abordé la question de la manipulation et de l’escroquerie du « gain de fonction », ainsi que les fantasmes pseudoscientifiques concernant les » armes biologiques »…

Les Bailey ont également annoncé qu’un autre membre rejoignait la position « No Virus » en la personne de Pierre Chaillot, statisticien et auteur français

Pierre Chaillot : « Je sors “sans virus”… »
Pierre Chaillot est un statisticien et un auteur français qui a révélé les données relatives au COVID-19 depuis le début de l’année 2020. En utilisant les chiffres officiels français, il a méticuleusement démontré que, même selon leurs propres termes, il n’y a pas eu de pandémie de « maladie infectieuse » et que tout cela n’était qu’une mise en scène. Dans son livre…

Christine Massey FOIs a fait l’objet d’une pléthore de demandes au titre de la liberté d’information

H5N1 :
« H5N1 » : L’Agence canadienne d’inspection des aliments n’a toujours pas trouvé de preuves valables de son existence
Salutations et meilleurs vœux, le 10 mai 2023 : Les « experts » de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) ont avoué, dans une réponse au titre de la liberté d’information, ne disposer d’aucune preuve scientifique de l’existence d’un prétendu « virus » ayant affecté le bétail au Canada (voir la réponse A2022-00201/MD…

Échec des défis posés par les virus et le fluor :
Échec de la contestation des preuves concernant le « virus » et le fluorure : KFL&A, Comté de Niagara NY, Wellington-Dufferin-Guelph PH
Salutations et meilleurs vœux, En mars 2024, j’ai déposé une demande d’accès à l’information auprès des « experts » de Kingston, Frontenac and Lennox & Addington (KFL&A) Public Health (Ontario) pour toutes les études/dossiers, rédigés par n’importe qui n’importe où, en leur possession, garde ou contrôle, qui correspondent aux descriptions énumérées ci-dessous — parce que certaines des personnes qui agissent en tant que « B…

Hépatite C :
Les CDC avouent : aucune preuve scientifique de l’existence du “virus de l’hépatite C” ou de la contagion des symptômes
Salutations et meilleurs vœux, le 2 mai 2024 : À la demande de courtenay, le militant de Justice for Jabbed toujours détenu comme prisonnier politique sur l’île de Man, j’ai déposé une demande FOIA pour toutes les études/rapports en possession, sous la garde ou sous le contrôle des responsables des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et/ou de l’Agency for Toxic Substan…

Streptocoque du groupe A :
Aveu des CDC : aucune preuve scientifique de la pathogénicité des streptocoques du groupe A
Salutations et meilleurs vœux, Note : cet article n’a rien à voir avec l’existence ou non de conditions de santé. Personne ne se demande si les personnes ou les animaux malades sont réellement malades ou non. La question porte sur la cause présumée de leur état de santé. Les explications “germes” servent de distraction et de couverture (pratique et rentable pour certains) pour les dommages causés…

Dawn Lester s’est penchée sur les raisons pour lesquelles nous ne devons pas avoir peur des moustiques

Des moustiques malveillants se déchaînent en Europe ?
Un récent article de la BBC intitulé Tiger mosquitoes behind dengue fever rise in Europe proclame dans le paragraphe introductif qu’“Une espèce envahissante de moustique a été trouvée dans 13 pays de l’UE, dont la France, l’Espagne et la Grèce, et les experts lient leur découverte à une augmentation de la dengue en Europe.”…

Michael Wallach a fourni une enquête sur l’imposture du séquençage du « SARS-COV-2 »

Révélation : L’imposture du séquençage du SARS-CoV-2
Fin 2020, alors que le monde est entièrement verrouillé et que la menace des injections forcées ou presque augmente chaque jour, l’extraordinaire Dr Stefan Lanka, un ancien virologue, envoie par courrier électronique un court article rédigé par un mathématicien de Hambourg, dont les conséquences sont stupéfiantes…

Betsy a exploré la question de savoir si les parasites sont des amis ou des ennemis

Les parasites : amis ou ennemis ?
Réaliser que les virus n’existent pas et que les bactéries ne causent pas de maladies bouleverse tout ce que nous pensions savoir sur ces aspects de la santé. Il s’agit d’un changement stupéfiant qui est également déstabilisant, dans la mesure où ces marqueurs familiers de la réalité n’existent plus. Qu’est-ce qui me rend malade alors ? Que font réellement les bactéries ? Etc. Vous savez…

Danni Møller a expliqué comment la variole est la rougeole, la rougeole la varicelle et la varicelle la variole

La variole est la rougeole, la rougeole est la varicelle et la varicelle est la variole.
Quand on sait qu’ils n’ont jamais prouvé l’existence des virus, la vérité devient évidente. La variole est la rougeole, la rougeole est la varicelle et la varicelle est la variole. Et ne me parlez pas de la variole du singe (lisez mon article sur l’origine de la variole du singe…).





USA — Aucun des crétins qui se présentent à l’élection présidentielle n’exposera CELA

Y compris ceux qui ont abandonné

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

Et les grands sites conservateurs ne l’auraient pas fait non plus à l’époque où j’ai écrit l’article suivant — au plus fort de l’hystérie COVID.

Les grands sites étaient trop occupés à essayer de trouver comment blâmer Trump ou Biden pour la COVID. Trop occupés à jongler avec leurs ballons politiques.

Je reviens à cet article alors que la campagne présidentielle passe à la vitesse supérieure et que le président en exercice tente de se rappeler quelle année nous sommes.

Aucun des candidats, y compris ceux qui se sont retirés, ne s’est exprimé avec force sur le désastre de la COVID.

Voici un extrait de mon article. Il met l’accent sur plusieurs crimes que nous ne devrions jamais oublier… :

Wuhan est le centre mondial du trafic d’opioïdes. Les précurseurs chimiques. Quel est l’un des principaux symptômes d’une overdose d’opioïdes ?

L’ESSOUFFLEMENT. C’EST LA MÊME CHOSE QUE POUR LA COVID, SURTOUT À New York City, OÙ LES MÉDECINS URGENTISTES PANIQUÉS NE SAVENT PAS COMMENT S’OCCUPER DE CES PATIENTS.

MAIS L’ÉTAT DE NEW YORK ÉTAIT DÉJÀ SUBMERGÉ DE TOXICOMANES AUX OPIOÏDES SOUFFRANT D’ESSOUFFLEMENT BIEN AVANT L’AFFAIRE COVID. ET MAINTENANT ILS APPELLENT CERTAINS D’ENTRE EUX DES VICTIMES DE LA COVID.

Extrait de drugabuse.com :

« Aux États-Unis, 44 personnes meurent chaque jour d’un arrêt respiratoire provoqué par une overdose d’opioïdes sur ordonnance. Les opioïdes inhibent la respiration, provoquent une sédation importante et rendent le réveil impossible. De plus, les opioïdes contenus dans les analgésiques sont les mêmes que ceux contenus dans l’héroïne, qui a causé plus de 8 000 décès par overdose en 2013. »

Estimation 2018 des décès par overdose d’opioïdes à New York : 3 000. Beaucoup plus de personnes dans la région de New York sont dépendantes de ces médicaments. Dans l’État de New York, en 2017, le nombre de personnes sorties des hôpitaux, après un traitement pour une surdose ou une dépendance aux opioïdes : 25 000.

À partir de 2020, les personnes ayant développé une hypoxie aux opioïdes pourraient être diagnostiquées à tort avec des « problèmes pulmonaires liés à la COVID-19 ». Certaines de ces personnes ont été sédatées davantage, avec du fentanyl, mises sous respirateur — ignorant la nécessité de traiter leur overdose, leur dépendance, leur sevrage — et elles sont mortes. Elles ont été tuées.

NJ [New Jersey] Spotlight News, 14 avril 2020 : « Le fentanyl n’est plus un fléau, il est désormais le médicament le plus recherché dans la guerre contre le COVID-19. »

« … le fentanyl, l’un des médicaments administrés aux patients pour qu’ils puissent supporter la douleur liée à l’insertion d’un tube respiratoire, est en pénurie, tout comme une poignée d’autres médicaments essentiels. »

« En temps normal, les patients restent sous respirateur pendant trois ou quatre jours. Aujourd’hui, non seulement le nombre de patients ventilés [COVID] a grimpé en flèche, mais la durée pendant laquelle ils restent sous respirateur est de deux à trois semaines. »

C’est inadmissible. C’est un protocole de meurtre. Mettre les toxicomanes aux opiacés, qui ont le souffle court, sous sédation prolongée avec le même type de médicament que celui qui a causé leur essoufflement.

Passons maintenant à un autre crime. Contre les personnes âgées.

The Hill, (non daté, fin avril 2020), fait état de : « données […] recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York ». L’étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) examine 5 700 patients hospitalisés pour des infections à coronavirus dans la région de New York, avec des résultats finaux enregistrés pour 2 634 patients. L’âge moyen des patients était de 63 ans… Pour le groupe d’âge suivant, les 66 ans et plus, les patients recevant une ventilation mécanique ont enregistré un taux de mortalité de 97,2 %.

97,2 % des patients âgés de l’étude COVID placés sous ventilation mécanique sont morts. C’est un meurtre.

Ces deux groupes d’âge — 65 à 74 ans et 75 ans et plus — représentent ensemble 73,6 % de l’ensemble des décès dus à la COVID dans la ville de New York.

Le groupe des 75 ans et plus représente, à lui seul, 48,7 % de tous les décès par COVID dans la ville.

Pour ce groupe, New York est en état de confinement. Fermée. Emprisonnée. Économiquement torpillée et dévastée. Avec deux ignorants-vampires — le gouverneur Cuomo et le maire De Blasio — qui la surveillent.

Si l’on soustrayait les décès prématurés et forcés des personnes âgées, et les décès forcés des toxicomanes aux opioïdes, la fiction de New York en tant qu’« épicentre du COVID » s’envolerait dans le vent en cinq minutes.

– Jon Rappoport




La Commission Européenne condamnée à nous communiquer les contrats d’achat des vaccins Covid-19




Une étude suédoise indique que les antennes 5G provoquent bel et bien le syndrome des micro-ondes

[Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler Atalay Yükseloğlu

Une étude scientifique publiée le 19 juin 2024 par Lennart Hardell, oncologue suédois et Mona Nilsson, co-fondatrice de la fondation suédoise de protection contre les radiations donne des résultats très convaincants sur la toxicité des antennes 5 G.

Les symptômes du syndrome des micro-ondes décrits dans les pays de l’Europe de l’Est sont reconnus par les scientifiques de cette étude. Ils sont évalués lors de la proximité des personnes souffrantes de ces antennes-relais, puis de leur éloignement, et il s’avère que c’est à ce moment que leurs symptômes diminuent voire disparaissent.

C’est donc une étude cruciale qui peut prouver à elle seule la dangerosité des antennes 5G et des ondes de la téléphonie mobile en général. Néanmoins il est à prévoir que la « communauté scientifique » réclame d’autres études (potentiellement financée par des tiers) pour établir définitivement le principe de cause à effet. Cette étude reste néanmoins une preuve incontournable pour notre argumentation tout comme les précédentes études de cette équipe en la matière.

[Condensé de l’étude :]

Résumé :

La cinquième génération, la 5G, pour la communication sans fil est actuellement déployée en Suède depuis 2019/2020, ainsi que dans de nombreux autres pays. Nous avons déjà publié sept rapports de cas qui incluent un total de 16 personnes âgées de 4 à 83 ans qui ont développé le syndrome des micro-ondes peu de temps après avoir été exposées à des stations de base 5G à proximité de leur domicile. Dans tous les cas, le rayonnement radiofréquence (RF) élevé de la 4 G/5G a été mesuré avec un détecteur à large bande. Le rayonnement RF a atteint >2 500 000 à >3 180 000 μW/m 2 en valeur maximale dans trois des études. Au total, 41 problèmes de santé différents ont été évalués pour chaque personne, classés de 0 (aucune plainte) à 10 (pires symptômes).

Les symptômes les plus fréquents et les plus graves étaient les troubles du sommeil (insomnie, réveil nocturne, réveil précoce), les maux de tête, la fatigue, l’irritabilité, les problèmes de concentration, la perte de mémoire immédiate, la détresse émotionnelle, la tendance à la dépression, l’anxiété/la panique, la dysesthésie (sensations inhabituelles au toucher), les brûlures et les lancinations cutanées, les symptômes cardiovasculaires (pouls transitoirement élevé ou irrégulier), la dyspnée et les douleurs musculaires et articulaires. Les troubles de l’équilibre et les acouphènes étaient moins fréquents. Tous ces symptômes sont inclus dans le syndrome des micro-ondes. Dans la plupart des cas, les symptômes ont diminué et ont disparu dans un court laps de temps après que les personnes étudiées se soient installées dans un endroit sans 5 G. Ces cas cliniques sont des exemples classiques d’études de provocation. Ils renforcent l’urgence d’empêcher le déploiement de la 5G jusqu’à ce que d’autres études de sécurité aient été réalisées.

Introduction

La 5G pour la communication sans fil est mise en œuvre en Suède ainsi que dans de nombreux autres pays depuis 2019/2020. Les antennes 5G émettent des rayonnements radiofréquences (RF) et jusqu’à présent, la fréquence 3,5 GHz a été utilisée comme onde porteuse pour la 5 G dans les environnements urbains. Lorsque la 5G est installée, les générations précédentes telles que la 2G et la 3G sont démantelées (https://www.pts.se/sv/privat/telefoni/teknikskifte/informationsmote-om-avveckling-av-2g–och-3g-nat/ ; en suédois). La 5G utilise la technique MIMO, à entrées et sorties multiples, avec l’utilisation de plusieurs antennes au niveau de l’émetteur et du récepteur. La 5G est jusqu’à présent diffusée en combinaison avec la 4G+ et enverra des données jusqu’à 100 fois plus vite que la technologie précédente (https://projectgoliat.eu/emf-5g/). Selon les études pilotes préliminaires menées en France, l’exposition à la 5G varie considérablement en fonction du nombre d’utilisateurs à proximité de la station de base et de la taille des transferts de données (https://www.anfr.fr/fileadmin/mediatheque/documents/5G/20200410-ANFR-rapport-mesures-pilotes-5G-FR.pdf).

De nombreux scientifiques ont exprimé des inquiétudes avant le déploiement de la 5G quant à une augmentation massive de l’exposition du grand public aux rayonnements RF (www.5Gappeal.eu). Il a été noté que les rayonnements RF étaient déjà prouvés nocifs pour la santé humaine aux niveaux rencontrés dans l’environnement avant le déploiement de la 5G. Ces inquiétudes ont également mis en évidence qu’il n’y avait pas eu de recherche antérieure sur les effets sur les humains et l’environnement de la nouvelle exposition aux rayonnements RF 5G, notamment les nouvelles fréquences plus élevées, les modulations, les impulsions rapides intense et peut-être plus important encore, l’exposition aux rayonnements RF beaucoup plus élevée attendue. En outre, dans un rapport au Parlement européen en 2019, il a été noté que l’exposition à la 5G sera plus complexe que les systèmes précédents : « Bien que les champs soient fortement focalisés par les faisceaux, ils varient rapidement avec le temps et le mouvement et sont donc imprévisibles, car les niveaux et les modèles de signal interagissent comme un système en boucle fermée. » (https://5gfree.org/wp-content/uploads/2020/07/IPOL_IDA2019631060_EN.pdf).

Pour un moratoire sur le déploiement de la 5G dès 2017 (www.5gappeal.eu), voir également (www.emfcall.org, http://www.emfscientist.org). Ces appels sont jusqu’à présent largement ignorés par les agences gouvernementales responsables, les politiciens et l’industrie des télécoms. Les progrès de cette technique se poursuivent à leur propre rythme, apparemment motivés par des intérêts économiques considérables au sein de l’industrie des télécoms.

Il ressort clairement des mesures effectuées jusqu’à présent que la mise en œuvre de la 5G a effectivement provoqué une augmentation massive de l’exposition humaine et environnementale aux rayonnements RF modulés par impulsions.

Le syndrome des micro-ondes

Les micro-ondes sont des fréquences comprises entre 300 MHz et 300 GHz dans le spectre des radiofréquences et c’est dans cette gamme de fréquences que fonctionnent les ondes porteuses de la 5G et des générations précédentes de téléphonie mobile.

Des preuves des effets négatifs sur la santé des rayonnements RF/micro-ondes ont déjà été publiées dans les années 1960 et 1970 dans les pays d’Europe de l’Est dans le cadre d’études sur les travailleurs exposés. Les symptômes courants étaient les maux de tête, la fatigue, les difficultés de concentration, l’insomnie, la détresse émotionnelle, l’irritabilité, la dysesthésie, les lésions cutanées, y compris la sensation de brûlure, les symptômes cardiaques et pulmonaires. Ceux-ci sont inclus dans le syndrome ou la maladie des micro-ondes qui comprend une variété de symptômes cliniques et physiques. Il a été observé qu’en général, les femmes semblaient plus sensibles que les hommes et que la sensibilité individuelle variait.

Une revue de ces études, ainsi que des études sur les animaux, ont conclu qu’il faut s’attendre à une « variété étonnamment large de réactions neurologiques et physiologiques » en raison de l’exposition à des niveaux non thermiques de rayonnement RF/micro-ondes.

Un autre terme pour la maladie était le syndrome de la maladie des radiofréquences. Les effets non thermiques dépendent principalement de la modulation et/ou de la pulsation du signal ainsi que de l’intensité maximale et moyenne. Les signaux pulsés et l’exposition simultanée à plusieurs fréquences provoquaient davantage d’effets et étaient donc considérés comme plus dangereux. Les effets observés augmentaient avec la durée d’exposition. Aujourd’hui, la population est exposée simultanément à une multitude de fréquences provenant de diverses technologies sans fil. Les signaux sont pulsés et modulés et l’exposition est chronique.

Il a également été observé qu’en général, les symptômes diminuaient après l’arrêt de l’exposition. Selon Marha et coll. (voir page 31) « à un certain moment après la fin de l’exposition (parfois plusieurs semaines ou plus), l’organisme retourne généralement à son état physiologique d’origine et toutes les plaintes subjectives et objectives disparaissent ».

Les résultats de ces premières observations ont été confirmés au cours des deux dernières décennies dans des enquêtes sur les effets sur la santé des habitants à proximité d’antennes-relais ou de stations de base de téléphonie mobile. Certaines de ces études récentes ont étudié la prévalence des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes, d’autres ont étudié d’autres conséquences comme le cancer ou les effets sur les paramètres biochimiques, par exemple les hormones ou les indications de dommages génétiques.

Une étude française a étudié la fréquence de la SLA.

Selon une revue de la plupart de ces études réalisées en 2022, 17 des 23 études ont démontré l’existence d’un syndrome des radiofréquences ou d’un syndrome des micro-ondes, 10 des 13 études ont signalé une augmentation des risques de cancer et six des huit études ont constaté des changements dans les marqueurs biochimiques chez les personnes vivant à proximité des mâts ou des stations de base.

Études sur la 5 G à ce jour

La littérature est peu abondante sur les effets sur la santé causés par l’exposition au rayonnement 5 G. Jusqu’à présent, selon nos connaissances, aucun effet à long terme n’a été étudié et il n’existe que quelques études à court terme sur les animaux et une étude en laboratoire sur l’homme. Aucune des études en laboratoire n’a utilisé une exposition correspondant à une exposition réelle à la 5G.

Au début du déploiement de la 5G, aucune étude n’était disponible sur les effets biologiques sur l’homme de l’exposition aux fréquences 5G autour de 3,5 GHz.

Aucune étude n’avait donc examiné une exposition semblable à celle rencontrée par des millions de personnes actuellement exposées au rayonnement des antennes 5G en combinaison avec la technologie 4 G.

Quelques études animales ont examiné les effets sur les animaux après une exposition au rayonnement RF de 3,5 GHz à des niveaux inférieurs aux limites de l’ICNIRP. Des études exposant des animaux à la fréquence de 3,5 GHz (et non aux signaux 5G réels) ont révélé des effets négatifs tels qu’un stress oxydatif dans le foie, les reins, le plasma, une dégénérescence des neurones dans le cerveau ainsi qu’un stress oxydatif dans les muscles et des effets négatifs sur la solidité des os. De plus, des modifications du comportement après une exposition fœtale ont été signalées.

Études en laboratoire sur l’homme

Une étude publiée en septembre 2023, examinant les effets sur les ondes cérébrales humaines, a exposé 34 jeunes volontaires en bonne santé à une modulation d’impulsions GSM de 3,5 GHz à un niveau moyen compris entre 1,5 et 2 V/m ou jusqu’à 10 610 μW/m 2 pendant seulement 26 min. La densité de puissance de pointe (PD) estimée a été calculée à 680 000 μW/m 2.

Les auteurs ont signalé « une différence globale non significative dans les oscillations cérébrales bêta, alpha, thêta et delta par rapport à l’exposition 5 G. Cependant, quelques électrodes dans les périodes d’exposition corrigées à la ligne de base et post-exposition ont présenté une modulation significative correspondant à l’état oculaire uniquement dans les rythmes alpha, thêta et delta, qui n’ont pas survécu à la correction statistique postérieure. ».

Des changements dans les ondes cérébrales humaines ont ainsi été observés. Cependant, le signal était modulé par GSM et n’était donc pas représentatif d’une exposition réelle à la 5G. L’exposition n’a duré que 26 minutes et n’était donc pas représentative des effets d’une exposition chronique dans la vie réelle. De plus, l’exposition dans la vie réelle comprend l’exposition simultanée à plusieurs autres signaux, par exemple à la 4G.

Études de cas sur l’exposition humaine à la 5G dans la vie réelle

Nous avons déjà publié sept rapports de cas sur les effets sur la santé des humains exposés au rayonnement RF 5 G. Les études ont été réalisées entre 2021 et 2023 et ont examiné les effets sur la santé décrits précédemment comme étant associés à l’exposition au rayonnement RF sur un total de 16 personnes. Des mesures du rayonnement RF ont également été effectuées.

Objectif de cette étude

L’objectif de cette étude était de faire un résumé de nos sept rapports de cas. L’un des objectifs était d’étudier la gravité et tout schéma de différentes maladies/symptômes sur la base du matériel total.

Matériel et méthodes

Les sept études de cas ont été initiées après un contact avec des personnes qui ont développé des symptômes identifiés dans le syndrome des micro-ondes peu après l’installation d’antennes 5G à proximité de leur domicile. Les personnes participantes ont été invitées à répondre à des questions sur la prévalence de différents symptômes liés au syndrome des micro-ondes. Le questionnaire structuré a été adapté d’après Belpomme (Dominique) et coll.. Une échelle de gravité à 10 degrés a été utilisée, grade 0 = aucun symptôme, grade 10 = douleur et/ou inconfort insupportables.

Le questionnaire comprenait au total 41 symptômes/problèmes de santé. Aucun examen clinique n’a été effectué. Les études comprenaient également des mesures de l’exposition aux rayonnements RF.

Nous avons fait une agrégation de tous les résultats de ces sept études de cas individuelles. Cinq groupes de symptômes ont été utilisés en fonction du site anatomique, notamment les maladies du système nerveux et des organes sensoriels (n=18), les maladies du système cardiovasculaire et respiratoire (n=9), les maladies de la peau et des organes musculo-squelettiques (n=6), les maladies du système digestif et urinaire (n=4) et les maladies de l’oreille et du système vestibulaire (n=4). La somme du degré de gravité rapporté pour chaque maladie/symptôme a été calculée pour tous les sujets de l’étude. Le degré minimum et maximum pour chaque élément est également rapporté, ainsi que les degrés moyens et médians calculés pour l’ensemble du matériel.

Dans la plupart des études, le compteur RF à large bande Safe and Sound Pro II a été utilisé pour mesurer le rayonnement RF. La plage de détection de réponse réelle est comprise entre 400 MHz et 7,2 GHz. Il a été étalonné par le fabricant et a une précision de ±6 dB. Les niveaux de crête où le rayonnement RF ont été enregistrés (https://safelivingtechnologies.com/products/safe-and-sound-pro-ii-rf-meter.html). Une description détaillée des méthodes est disponible dans toutes les publications. Dans l’une des sept études, le GigaHerz Solution HF 59B a été utilisé pour mesurer la gamme de fréquences 0,7–3,3 GHz, et le GigaHerz Solution HFW 59D pour la gamme de fréquences 2,4–10 GHz.

Le mesureur de champ à large bande Narda NBM-550, avec la sonde EF-1891, mesurant des fréquences entre 3 MHz et 18 GHz, a également été utilisé dans une étude [5] en plus du mesureur RF à large bande Safe and Sound Pro II. Ce dernier compteur ainsi que le compteur GigaHerz Solution affichent les niveaux de pointe du rayonnement RF tandis que le compteur Narda affiche les résultats en moyenne quadratique (RMS) pour le minimum, le maximum et la moyenne.

Études de cas 5G

Nous présentons ci-après un résumé de nos sept études de cas.

Étude [1] : deux personnes auparavant en bonne santé, un homme de 63 ans et une femme de 62 ans, ont développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après l’installation d’une base 5G station de communication sans fil sur le toit au-dessus de leur appartement. Une station de base pour la technologie de télécommunication de génération précédente (3G/4G) était présente au même endroit depuis plusieurs années. Un rayonnement RF très élevé avec des niveaux maximaux (valeur de crête mesurée la plus élevée) de 354 000, 1 690 000 et > 2 500 000 μW/m 2 a été mesuré à trois reprises dans la chambre située à seulement 5 m sous la nouvelle station de base 5 G.

Un niveau maximal (de crête) de 9 000 μW/m 2 a été mesuré avant le déploiement de la 5G. Les symptômes qui sont apparus rapidement après le lancement de la 5G étaient typiques du syndrome des micro-ondes : fatigue, troubles du sommeil, détresse émotionnelle, saignements de nez, acouphènes, étourdissements, troubles cutanés, problèmes de concentration, troubles de l’équilibre, troubles de la mémoire à court terme, confusion, symptômes cardiaques et pulmonaires (palpitations, sensation de lourdeur dans la poitrine) et sensation de chaleur dans le corps. Les symptômes étaient plus prononcés chez la femme. En raison de la gravité des symptômes, le couple a quitté son logement et a déménagé dans un petit bureau avec un rayonnement RF maximal (crête) de 3 500 μW/m 2. En quelques jours, la plupart de leurs symptômes se sont atténués ou ont complètement disparu.

Étude [2] : dans cette étude de cas, nous décrivons deux hommes, cas 1 et cas 2, travaillant dans trois bureaux à proximité de stations de base situées sur le toit au-dessus de leur bureau. Après le déploiement de la 5G, les deux hommes ont développé des symptômes typiques du syndrome des micro-ondes, par exemple, fatigue, maux de tête, acouphènes, étourdissements, troubles de la concentration et de l’attention, et troubles de l’équilibre. Le rayonnement RF après le déploiement de la 5G a été mesuré dans les trois bureaux. Dans le bureau 1, à seulement 3 m en dessous de la station de base 5G la plus proche, le rayonnement RF maximal (crête) pendant 1 min a varié de 463 à 1 800 000 μW/m 2, dans le bureau 2 de 6 230 à 501 000 μW/m 2 et dans le bureau 3 de 13 700 à 61 000 μW/m 2. FrançaisLes symptômes ont disparu chez les deux hommes en quelques semaines (cas 1) ou immédiatement (cas 2) après avoir quitté le bureau pour d’autres bureaux et espaces de vie avec des émissions de rayonnement RF maximales beaucoup plus faibles, maximum pour le cas 1=16 μW/m 2, et pour le cas 2=2 920 μW/m 2.

Les tableaux cliniques chez les deux hommes étaient clairement liés à l’exposition.

Étude [3] : dans ce rapport de cas, nous avons présenté une femme âgée de 52 ans qui a développé des problèmes de santé compatibles avec le syndrome des micro-ondes après l’installation d’une station de base 5G face à son appartement à 60 m de distance. Ces symptômes consistaient par exemple en des maux de tête, des étourdissements, des difficultés de concentration, de la fatigue, de l’arythmie, des brûlures cutanées et des saignements de nez.

Des niveaux élevés de rayonnement RF ont été mesurés dans son appartement en particulier dans la partie la plus proche de la station de base. À la fenêtre de son salon, des niveaux de pointe de rayonnement RF de 17 500 à 758 000 μW/m 2 ont été obtenus au cours de 10 mesures, chacune sur 1 min. Près du canapé du salon, des niveaux de pointe de 36 800 à 222 000 μW/m 2 ont été mesurés. Un rayonnement très élevé a été mesuré sur le balcon faisant face à la station de base, où les 10 mesures ont été effectuées dans un délai de 10 à 15 s — niveaux de pointe > 2 500 000 μW/m 2. Après avoir temporairement quitté l’appartement pour un autre logement avec un rayonnement RF beaucoup plus faible, 96–2 810 μW/m 2 niveaux de pointe, presque tous les symptômes ont disparu en peu de temps. Après être retournée dans son propre appartement, les symptômes sont réapparus.

Étude [4] : dans cette étude, nous avons examiné une famille de trois personnes vivant à des distances de deux stations de base 5G d’environ 50 et 70 m, respectivement. Les stations de base sont situées au sommet de deux immeubles de 6 étages et les antennes sont dirigées vers l’appartement de la famille au quatrième étage de l’autre côté de la rue. Les mesures dans l’appartement ont été effectuées 10 fois à chaque endroit, chaque mesure pendant 1 min. Les niveaux les plus élevés ont été mesurés près des deux fenêtres de la chambre principale, variant de 320 000 à 1 200 000 μW/m 2. Des niveaux élevés ont également été trouvés à la fenêtre de la chambre du fils, de 121 000 à 490 000 μW/m 2, et de la chambre de la fille, de 34 800 à 166 000 μW/m 2. Des niveaux légèrement inférieurs ont été trouvés à l’endroit de l’oreiller dans le lit pour tous les membres de la famille. Les membres de la famille ont signalé des symptômes inclus dans le syndrome des micro-ondes à des degrés divers auto-estimés. La fille avait les problèmes de santé les plus graves, par exemple des troubles du sommeil, des maux de tête, des problèmes de concentration et de mémoire, des troubles cutanés, un rythme cardiaque irrégulier, une sensibilité à la lumière, de l’anxiété et des crises de panique.

Étude [5] : dans ce rapport de cas, un homme de 49 ans auparavant en bonne santé a été décrit. Après l’installation d’une station de base 5G à 20 m de son appartement, il a immédiatement développé une variété de symptômes qui font partie du syndrome des micro-ondes. Les plus graves étaient des maux de tête, une dysesthésie (sensation anormale), une perte de mémoire immédiate, un pouls élevé et irrégulier, une compression thoracique, des brûlures et des lancinations cutanées. De très fortes radiations RF ont été mesurées dans son appartement. Les niveaux mesurés avec le compteur Safe and Sound Pro II ont atteint le niveau maximal mesurable du compteur Safe and Sound Pro utilisé, > 3 180 000 μW/m 2, en 10 à 15 s pour chacune des 10 mesures effectuées pendant 1 min dans le salon. Dans la chambre de l’homme, les niveaux mesurés au niveau de l’oreiller du lit allaient de 105 000 à 240 000 μW/m 2.

Des mesures de suivi ont également été effectuées avec un appareil de mesure à large bande Narda-550 affichant des résultats en moyenne quadratique (RMS) pour les valeurs maximales et moyennes. Le niveau RMS maximal le plus élevé dans l’appartement était de 1 368 021 μW/m 2.

Le niveau RMS maximal le plus élevé dans le salon était de 571 624 μW/m 2. Après avoir déménagé dans un autre appartement avec un faible rayonnement RF, les symptômes ont diminué ou ont disparu dans un court laps de temps, mais ils réapparaissent à chaque fois qu’il revient dans son appartement avec un rayonnement RF 5G élevé.

Étude [6] : cette étude a porté sur une femme âgée de 82 ans avec une hypersensibilité électromagnétique (EHS) depuis près de quatre décennies. Après le déploiement de deux stations de base 5G, à 528 et 489 m de sa maison respectivement, elle a développé des symptômes plus graves, par exemple, fatigue, dysesthésie, étourdissements, troubles de l’équilibre, sensibilité à la lumière et troubles cutanés qui sont tous inclus dans le syndrome des micro-ondes. Elle a aussi 83 ans. Le mari a été affecté, bien que dans une moindre mesure. Les solutions GigaHerz HF 59B et GigaHerz HFW 59D ont été utilisées pour les mesures. Des niveaux élevés de rayonnement RF de pointe maximal ont été mesurés dans la cuisine 166 700 μW/m 2 et dans le salon, 147 100 μW/m 2.

Étude [7] : dans ce rapport de cas, une famille auparavant en bonne santé comprenant un homme, une femme et leurs trois enfants a été étudiée. Les membres de la famille ont rapidement développé des symptômes du syndrome des micro-ondes après leur arrivée dans un chalet d’été situé à 125 m de distance d’une tour de téléphonie mobile haute de 24 m avec des antennes 5 G. Les symptômes les plus graves pour les adultes étaient des troubles du sommeil, des maux de tête, de la fatigue et un rythme cardiaque irrégulier. Les enfants ont eu des troubles du sommeil, de la diarrhée, des douleurs à l’estomac, des éruptions cutanées, des maux de tête et des symptômes émotionnels. Tous les symptômes ont disparu et la santé a été rétablie lorsque la famille est retournée dans sa propre maison à un autre endroit sans stations de base 5G à proximité. Aucune mesure n’était disponible à l’intérieur du chalet pendant le temps où la famille est restée près du mât. Des mesures ultérieures ont montré que le niveau de rayonnement variait de 9 000 à 43 400 μW/m 2 à l’extérieur du chalet du côté de la station de base 5G, par rapport à 2 500 μW/m 2 au maximum dans leur domicile habituel sans station de base 5G à proximité. On peut raisonnablement supposer que les niveaux RF étaient considérablement plus élevés au moment où la famille séjournait au chalet pendant la haute saison des vacances, lorsque le camping voisin était plein de monde. La zone était presque vide lorsque les mesures ont été effectuées. Le nombre d’utilisateurs et la taille des transferts de données influent sur le rayonnement RF émis par les stations de base 5 G.

Résultats

Maladies/symptômes du système nerveux et des organes des sens :

  • Les plus fréquents étaient les troubles du sommeil. Ainsi, sur les 16 sujets inclus, tous sauf trois ont signalé une insomnie. Les trois enfants âgés de 8, 6 et 4 ans souffraient d’insomnie de grade 10, qui est la pire catégorie. Toutes les personnes interrogées, sauf une, ont signalé des réveils nocturnes et 11 des 14 personnes incluses ont signalé un réveil précoce. Ces symptômes étaient les plus graves chez les enfants.
  • Les autres symptômes graves étaient les maux de tête, la détresse émotionnelle et l’irritabilité. La fatigue était fréquente, mais peut également être associée aux troubles du sommeil. Les idées suicidaires étaient le seul symptôme qui n’a été signalé par aucune personne participante. Maladies/symptômes du système cardiovasculaire et respiratoire : un pouls transitoirement élevé a été signalé par un homme (grade 10) et trois femmes (grades 5, 9 et 10, respectivement). Un homme (grade 10) et trois femmes (grades 9, 8 et 10, respectivement) ont signalé un pouls irrégulier. Aucune personne n’a signalé un pouls lent. Une variabilité de la pression artérielle a été signalée par deux hommes (degrés 5 et 3, respectivement) et une femme (degré 5).
  • Un saignement de nez a été signalé par deux hommes (tous deux de degré 5) et trois femmes (degrés 5, 10 et 3 respectivement). Cinq cas masculins sur 10 ont signalé une dyspnée (degrés 1 à 9) ainsi que trois femmes sur six (degrés 4 à 9). Une compression thoracique, une douleur thoracique et une toux ont également été signalées, bien que dans une moindre mesure. Maladies/symptômes de la peau et des organes musculo-squelettiques : parmi les symptômes les plus répandus, il y avait ceux affectant le visage, les bras et les jambes. Ainsi, cela a été signalé par cinq hommes (degrés 1 à 8) et trois femmes (degrés 6 à 10).
  • Des brûlures et/ou des lancinations cutanées sur les mains et les bras étaient communes chez quatre hommes (grades 3 à 10) et quatre femmes (grades 2 à 10). Une perte de cheveux a été signalée dans une mesure mineure ; trois hommes (grades 1 à 3), mais aucune femme.
  • Trois hommes et quatre femmes ont signalé une myalgie (grades 3 à 8 et grades 2 à 10, respectivement). Une arthralgie est survenue chez quatre hommes (grades 5 à 10) et trois femmes (grades 2 à 6).
  • Maladies/symptômes du système digestif et urinaire : sur six hommes, deux ont signalé des nausées (grades 3 et 1, respectivement). Les résultats correspondants pour les femmes étaient deux répondants sur trois (grades 10 et 3, respectivement).
  • Six personnes n’ont signalé aucune douleur abdominale. Aucun homme n’a eu d’urgence urinaire, contre deux femmes sur cinq (grades 10 et 1, respectivement).
  • Maladies/symptômes de l’oreille et/ou du système vestibulaire : un homme a noté une chaleur de l’oreille et/ou une otalgie (douleur auriculaire ; grade 5 par rapport à deux femmes [grades 1 et 2, respectivement],
  • Des acouphènes ont été signalés par trois hommes [grades 6, 5 et 1, respectivement] et trois femmes [grades 6, 2 et 2, respectivement]. Un seul homme a noté une sensibilité au bruit [hyperacousie] par rapport à trois femmes [grades 2, 1 et 4, respectivement].
  • Des troubles de l’équilibre ont été signalés par trois hommes [degrés 2, 1 et 3 respectivement] et quatre femmes [degrés 7, 10, 2 et 7 respectivement].

Conclusions

Nos sept études de cas, comprenant 16 personnes, sur les effets sur la santé d’une exposition réelle aux rayonnements RF 5G, ont montré que les personnes étudiées ont développé le syndrome des micro-ondes après l’installation de stations de base 5G à proximité de leur domicile. Les symptômes les plus fréquents concernaient le système nerveux : troubles du sommeil, maux de tête, fatigue, irritabilité, symptômes émotionnels et déficit de concentration/attention. Des niveaux de rayonnement RF très élevés, bien que bien inférieurs aux limites recommandées par l’ICNIRP et la FCC, ont été mesurés avec le détecteur à large bande. Certaines des personnes étudiées ont développé des symptômes graves. La plupart des personnes ont déménagé dans une autre habitation sans 5G, ce qui a atténué et fait disparaître le syndrome des micro-ondes en peu de temps.

Source: Summary of seven Swedish case reports on the microwave syndrome associated with 5G radiofrequency radiationPubMed




Effondrement de la jeunesse — L’automutilation numérique

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Vous ne connaissez pas l’automutilation numérique ?

Et bien moi non plus.

C’est un camarade lecteur qui m’a envoyé cet article et ce nouveau concept, que dis-je cette nouvelle dérive qui touche nos enfants, nos jeunes.

On refuse de nommer et de faire des différences de fragilités entre les différentes typologies d’individus, pourtant… de manière purement observationnelle ce que dit cette étude et ce que je constate dans la vraie vie pour ceux qui ont le plus de difficultés à se positionner et à trouver un ancrage solide ce qui ne constitue pas une critique ou un jugement de ma part. C’est même l’inverse. Pour aider, pour accompagner, il faut dire, nommer et ne pas considérer que tout se vaut.

Qu’est-ce que l’automutilation numérique, cette pratique inquiétante qui touche de plus en plus de jeunes ? (Source ici)

C’est le fait que « sous couvert d’anonymat, certains adolescents s’en prennent à eux-mêmes sur les réseaux sociaux ».

« Selon une étude américaine, un nombre croissant d’adolescents pratiquent l’automutilation numérique, une pratique qui consiste à s’envoyer soi-même, anonymement, des messages haineux. Cette démarche comparable à l’automutilation physique affecte particulièrement les filles, les jeunes non hétérosexuels et ceux issus de minorités raciales ».

« Contrairement au cyberharcèlement, où l’abus est dirigé vers autrui, l’automutilation numérique implique des adolescents qui s’envoient eux-mêmes du contenu nuisible sur les réseaux sociaux. Les résultats de leur travail montrent qu’une forme de violence autodirigée, facilitée par l’anonymat en ligne, ne cesse de croître. »

« Ce phénomène, apparu en 2010, touche de plus en plus de jeunes : entre 2019 et 2021, 9 à 12 % des adolescents américains s’y sont livrés, contre 6,3 % en 2016, soit une augmentation de plus de 88 %. » « Cette trajectoire ascendante, en particulier au sein de groupes démographiques spécifiques, souligne la nécessité d’interventions ciblées et de systèmes de soutien, d’autant plus que la recherche a montré une forte association entre l’automutilation numérique et l’automutilation traditionnelle, ainsi qu’entre l’automutilation numérique et la suicidalité », expliquent les chercheurs.

« Par ailleurs, les données récoltées montrent que certains groupes d’adolescents sont plus vulnérables : ceux issus de minorités raciales, les jeunes femmes et les jeunes non hétérosexuels sont plus susceptibles de s’automutiler en ligne. »

« Il est essentiel de comprendre pourquoi les jeunes se livrent à l’automutilation numérique et de les aider à développer des mécanismes d’adaptation plus sains », a déclaré Sameer Hinduja. « En outre, il est essentiel que les parents, les éducateurs et les professionnels de la santé mentale qui travaillent avec les jeunes apportent leur soutien à toutes les cibles d’abus en ligne, que ce soit dans un cadre informel et conversationnel ou dans un cadre formel et clinique », conclut-il.

Nous en sommes au début d’un nouveau phénomène qui va sans doute prendre de l’ampleur et rendre parfois complexe et difficile la recherche de la vérité dans certaines affaires.

Nos jeunes vont très mal.

La société doit aider à stabiliser et à ancrer, et je pense que nous faisons l’inverse en détruisant l’équilibre du plus grand nombre avec des politiques dites inclusives qui en réalité font plus de mal que de bien. L’objectif de départ est tout à fait louable. Mais la manière de procéder est à mon sens un échec complet et les stratégies utilisées ont un bénéfice/risque négatif. Il faudra sans doute des années et des drames répétés avant que ce débat soit lancé et que nous fassions marche arrière sur certaines manières de faire.

Protégez vos enfants des excès.

Charles SANNAT

« Ceci est un article “presslib”, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Le monde non libéré des « plandémies »

Par Joseph Stroberg

1)- Retour du masque en France

Face au Covid, le Tour de France rend le port du masque obligatoire pour les suiveurs avant et après les étapes :
https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Face-au-covid-le-tour-de-france-rend-le-port-du-masque-obligatoire-pour-les-suiveurs-avant-et-apres-les-etapes/1482446

2)- La grippe aviaire

Les surprises de la H5N1 bovine :
https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2024-07-14/les-surprises-de-la-h5n1-bovine.php

Influenza aviaire : la situation en France :
https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-la-situation-en-france

Rappel :
Mise à jour sur la grippe aviaire : signes avant-coureurs de la « propagation » à venir
Comment (et pourquoi) la grippe aviaire est sur le point d’entrer dans la phase des tests de masse
Et la grippe aviaire continue de sévir…
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
Le but : vous enlever vos poulets

3)- Le contrôle pétrochimique sur la médecine depuis un siècle

Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Dr Olivier Soulier : « La médecine de demain va devoir se débarrasser de l’industrie pharmaceutique »

4)- Les contes de fées effrayants

Qu’il s’agisse de la Covid-19 ou d’une probable prochaine prétendue pandémie qui pourrait être un nouvel avatar covidien aussi bien qu’une mutation du récit aviaire, ces crises et le contrôle « sanitaire » qu’elles permettent reposent essentiellement sur deux contes de fées que l’on fait passer pour des théories scientifiques : l’hypothèse des « virus » pathogènes et l’hypothèse mère des germes malicieux selon lesquelles la plupart des maladies seraient dues à des méchants virus ou à des méchantes bactéries. À force d’être entrées de force dans le crâne des futurs médecins lors de leur (dé)formation universitaire, sans être le moindrement analysées et encore moins critiquées, elles ont fini par envahir l’ensemble de la population mondiale, et à être crues comme parole d’évangile. Presque tout le monde croit maintenant par exemple que la grippe (alias Covid) est contagieuse et provoquée par un virus mutant et malin qui ne cesserait de déjouer les pronostics vaccinaux d’une année sur l’autre pour mieux survivre.

Continuer à croire à de tels contes permet l’élaboration de prochaines plandémies qui permettront d’imposer des mesures « sanitaires » de plus en plus draconiennes.

5)- Un nouveau paradigme médical

Le seul moyen de se débarrasser de futures plandémies est de cesser d’inverser les causes et les conséquences et de comprendre la nature réelle de la maladie.

Comme je l’ai déjà mentionné maintes fois ici ou ailleurs sous différentes formes pour tenter de contrebalancer l’influence néfaste de ces croyances quasi religieuses négatives sur la vie humaine individuelle et collective, la maladie est due à un déséquilibre (par excès et/ou déficiences) sur un ou plusieurs plans.

Si votre corps physique, votre univers émotionnel, votre univers mental, etc. ne sont plus en équilibre, vous en ressentez un mal-être ou des malaises, qui peuvent conduire ensuite à des effets physiques plus ou moins aigus (des symptômes) si la ou les causes du (ou des) déséquilibre(s) ne sont pas corrigées rapidement. Si la cause persiste, les symptômes tendent à s’aggraver, la maladie pouvant évoluer vers un stade pire de la désorganisation de votre corps ou de votre être.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par déficience sont notamment :

  • — sur le plan physique, la malnutrition (avec notamment des carences en vitamines, en sels minéraux et/ou en protéines), le manque d’exposition au Soleil, le manque de sommeil… ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, l’isolement, le manque de contact avec les autres, les animaux, les végétaux, la nature… ainsi probablement qu’avec la dimension divine ;
  • — sur le plan mental, le manque de stimulation (par la lecture, des exercices mentaux, la méditation, la réflexion, etc.) ;
  • — sur le plan spirituel, le matérialisme.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par excès (se traduisant par des empoisonnements ou des intoxications) sont par exemple :

  • — sur le plan physique, les additifs alimentaires, les pesticides, les herbicides, les polluants atmosphériques, les microplastiques dans l’eau et la nourriture, les substances pétrochimiques dans les cosmétiques, les détergents, les édulcorants, les médicaments issus de la pétrochimie, les vaccins, etc. ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, la recherche de sensations extrêmes, l’absence de pondération par le mental, la conscience ou la spiritualité, etc. ;
  • — sur le plan mental : le surmenage intellectuel…

Les bactéries qui sont hébergées en permanence dans votre organisme (constituant ainsi votre microbiome) y participent normalement de manière symbiotique à l’assimilation des nutriments aussi bien qu’à l’élimination de diverses toxines et de déchets divers (notamment des cellules mortes).

Les prétendus virus pathogènes ne sont eux-mêmes que le résultat de la mort de cellules ou de leur agression par diverses causes (dont les ondes électromagnétiques artificielles — les ondes radio, TV, Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G et 5G, radar, etc.). Ce sont de simples déchets cellulaires de divers ordres, dont des bouts d’ADN ou d’ARN, déchets éventuellement entourés d’une enveloppe lipidique pour les faire sortir de la cellule mal en point ou simplement en mode entretien (elle se débarrasse notamment des brins d’ARN périmés après leur production de protéines). Ces déchets sont multiples et leur code génétique dépend bien sûr de celui des cellules, et donc de l’individu (humain, animal ou végétal) dont les cellules sont affectées ou se nettoient. Ce sont des molécules mortes qui n’ont aucun pouvoir de réplication ni la moindre forme d’intelligence. Elles ne mutent pas. Les prétendus « variants » ne le doivent qu’à la spécificité génétique des individus.

(Pour en savoir plus, consulter les nombreux articles du dossier Vaccins et virus.)

6)- Le choix

A)- Continuer à croire Big Pharma et ses médecins. Cela permettra la justification et la mise en place de nouvelles plandémies que l’on dira causées par de nouveaux méchants virus, éventuellement fabriqués en labo P4, pour effrayer encore plus les gens.

B)- Étudier le nouveau paradigme, prendre sa santé en main. Si un nombre suffisant de personnes choisissent cette voie, plus aucune plandémie ne sera possible.




L’Internet des bionanotechnologies, un outil de piratage du corps et de l’esprit par la 5G et 6G ?

[Source : JSF-TV]

Nous ne sommes pas au bout des mauvaises surprises, mais il y a un élément qu’il ne faut surtout pas occulter, c’est la volonté du Pouvoir Profond de réduire la population mondiale et d’esclavagiser les survivants. L’Internet des corps et des objets est clairement conçu dans ce but.

Faire confiance aux gouvernements pour nous protéger est à coup sûr une erreur fatale, car avec l’Opération Covid, ils ont dévoilé leur nature criminelle.

Quelques liens sur le sujet Internet des nanochoses (IoBNT)

Un projet d’internet des bionanochoses apparaît, il repose sur l’utilisation de matériaux de graphène comme nanocapteurs et nanoémetteurs pour permettre un monitoring à distance des fonctions physiologiques et biologiques.

Il nécessitera une bande passante THz que fournira la 5G-6G pour une bande passante optimale de toutes les données du corps.

Néanmoins les risques de biopiratage et neuropiratage existent, allons nous vers une société qui imposera l’injection de ces nanoparticules pour participer pleinement à la société ?

Et si la campagne d’injections Covid était faite pour jeter les bases de ce nouveau paradigme ?

[À partir de 1:25]

[NDLR Christine Cotton reste dans l’hypothèse virale, mais si vous souhaitez vous en guérir et ne plus avoir peur des prétendus méchants « virus », vous pouvez lire, parmi les articles du dossier Vaccins et virus :
La nature et le but de la maladie (un cours très abordable).
Aveuglés par la pseudo-science (qui démontre en quoi la virologie ne relève pas de science)
et
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie.
Si vous y croyez encore à cause des supposés virus « augmentés » dans les labos P4, découvrez ce que les techniciens apprentis sorciers (mais non des scientifiques véritables) y font en réalité, même s’ils croient travailler sur des virus pathogènes pour les rendre encore plus mortels :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Et si vous avez déjà de bonnes bases en matière de méthodes et de concepts de la virologie :
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]



[NDLR Voir aussi :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Oxyde de graphène et nanotechnologies dans les injections : marquage de l’humanité ?
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle]




Des triplés devenus autistes le jour même de leur injection

(Extrait de la seconde vidéo de
https://nouveau-monde.ca/vaccins-de-la-dissimulation-a-la-catastrope-et-la-verite-du-peuple/)
Voir la note en début d’article.



Vaccins : De la dissimulation à la catastrophe & La vérité du peuple

[Note de Joseph :
Si en lisant l’article La nature et le but de la maladie et des articles complémentaires du dossier Vaccins et virus (comme L’hypothèse des germes — Partie 1 et Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie) les lecteurs ne réalisent pas que l’industrie pharmaceutique motivée par les gains financiers n’a aucun intérêt à leur faire connaître les véritables causes des maladies, mais tout au contraire à pousser le mythe des virus pathogènes, celui des méchantes bactéries et des mythes annexes, y compris lors de la (dé)formation universitaire des médecins, alors ils ne comprendront jamais. Plus les gens s’en remettent à elle pour des pilules ou des vaccins miracles, plus ils s’empoisonnent et en deviennent des malades et esclaves chroniques. Ce n’est pourtant qu’en remettant en question leurs croyances, leur mode de vie malsain et en se responsabilisant qu’ils pourront réellement trouver un état de santé durable et seront alors seulement fanés naturellement par l’âge.
En lisant ces articles, vous pouvez changer totalement de paradigme médical et réaliser que la santé provient essentiellement d’un mode de vie et de comportement sain et simple, ce qui inclut l’alimentation équilibrée et naturelle, l’absence d’ondes électromagnétiques artificielles et le non-usage de produits ménagers ou cosmétiques toxiques (ils le sont presque tous). Apprendre à gérer son stress et ses émotions ou à ne pas stresser est également un atout, voire indispensable pour la meilleure santé.]

[Source : @laileastick]





Autre source et traduction (@ArchivesDuCovidisme) :






De citoyen à intouchable, le jour où je n’ai PAS reçu ma lettre de désynchronisation

Par Alain Tortosa

Reconnaissons que la violence de la réalité est implacable. Quand bien même je serais lu par des millions de personnes, mon texte ne pourrait être « décodé » et compris que par des « complotistes », autrement dit par des « désynchronisés », des « déphasés ». Même s’il flirtait avec une forme de génie, rassurez-vous ma lucidité me permet de garder les pieds sur terre, il demeurerait totalement incompréhensible et même délirant pour les gens « normaux », les normies.

Certains de mes congénères déphasés et désynchronisés tout comme moi, mais naïfs ou optimistes appelez-les comme vous le désirez, n’ont pas baissé les bras. Ils continuent de vouloir communiquer avec les normies, à vouloir leur ouvrir les yeux sur une réalité qu’ils ne peuvent appréhender avec leur formatage. Le besoin d’espérance de mes camarades de lutte est tel que lorsqu’ils croient enfin arriver à établir une communication c’est, hélas, la preuve que leur interlocuteur était lui-même déjà désynchronisé et non un simple normie.

Ne voyez pas malice ou toute forme de condamnation dans mes propos. J’ai moi-même longuement et vainement tenté d’ouvrir les yeux à ces moutons. Et même si cela devient exceptionnel il m’arrive encore d’essayer avec un insuccès à la clef.

La parabole du film Matrix avec sa pilule rouge et sa pilule bleue relève du mythe. Elle présuppose que tout un chacun disposerait d’un libre arbitre afin de décider en toute conscience s’il préfère demeurer dans l’illusion de la doxa ou basculer dans un monde réel ô combien plus horrible et menaçant. Or le seul fait de se retrouver face à ce prétendu choix constitue une preuve de la croyance en l’existence possible de deux « réalités » que l’on présuppose diamétralement opposées.

Pour le normie, il ne saurait exister un monde dans lequel les complotistes seraient autre chose que des fous et encore moins un monde dirigé par des forces du mal. Pour eux, même s’il existe des dirigeants plus ou moins avides d’argent ou de pouvoir, ils sont globalement « bons ». Imaginer qu’il n’y a strictement aucune bonne intention, aucune volonté de soulager les souffrances ou augmenter l’espérance de vie chez les dirigeants de l’industrie pharmaceutique n’est pas une hypothèse envisageable.

Bref celui qui « déciderait » de prendre la pilule rouge l’a de fait déjà avalée. Le normie qui basculerait dans le complotisme suite à nos arguments relève encore une fois du mythe.

Mais qui dit compréhension ou acceptation de son impuissance à ouvrir des yeux et « changer le monde » ne dit pas pour autant absence de souffrance. Être face à un mouton, un aveuglé, un pigeon, être conscient d’une autre réalité, être effacé, désynchronisé et savoir que quoique l’on fasse, quoique l’on dise, quoique l’on argumente, nos propos demeureront totalement inintelligibles pour autrui s’apparente à de la torture.

Le langage du déphasé, notre langage, est basé sur la réflexion, la logique, le raisonnement, le fait, l’histoire, la critique, la démonstration, des heures de recherche et j’en passe. Nous n’hésitons pas à remplacer nos croyances quand l’évidence s’impose. Tandis que le « raisonnement », si on peut l’appeler ainsi, du normie est basé sur l’émotion, la peur, une impossibilité totale de lier les sujets ou les événements, une absence totale de mémoire et bien entendu une croyance en une « volonté » farouche de ne rien interroger ou remettre en question la sainte doxa. Il a été programmé pour croire qu’il est le contraire de ce qu’il est. Il se pense logique, informé, les pieds sur terre, capable de raisonnement, capable de remettre en question ses croyances et bien entendu plus intelligent que nous alors même que son discours est totalement calqué sur les médias ou BFM. Si vous lui demandez d’exprimer sa pensée, il se contentera de dérouler le discours médiatique. En fait il se pense exactement le contraire de l’image qu’il projette du complotiste.

C’est ainsi que le normal a participé aux dernières élections législatives en France, luttant pour ou contre tel camp et ignorant qu’ils ne sont que les faces d’une même pièce, ce que nous savons que trop. Celui-ci croit que nous sommes en démocratie, que le peuple peut décider de son destin, qu’il y a des institutions, un parlement, des droits et j’en passe.

Cela fait 40 ans que les maîtres du monde font monter la fameuse « extrême droite » au premier tour des scrutins, celle qui pourrait « anéantir la démocratie et les libertés » au 2e tour. Je vous rappelle que la vérité du normie n’est pas basée sur le fait, mais sur le discours instillé par les médias… Il ne sait plus qu’en France et dans les pays occidentaux la liberté est un lointain souvenir et pense sincèrement que la prise de pouvoir des prétendus extrêmes sonnerait le glas de la démocratie et des droits de l’homme.

Ceci c’est pour le premier tour des élections tandis qu’au deuxième tour les « forces du bien font barrage »… Nous aurions pu imaginer qu’au fil des décennies le normie eut pu comprendre que l’on se foutait de sa gueule, qu’il n’y avait plus de France, plus de défense, plus de monnaie, plus de souveraineté, plus de marge de manœuvre. Qu’il sache que les décisions sont prises à Bruxelles, pardon sont transmises par Bruxelles. Mais non, il croit encore qu’il y a des lois, des orientations qui peuvent être hexagonales. Depuis 40 ans on lui prouve que le RN n’a pas le droit d’être au pouvoir alors même qu’il est le parti qui remporte le plus de voix au premier tour et il continue à tomber dans le piège du « pacte républicain ».

Tout ceci n’est que farce, un vaste théâtre d’ombres, tout parti qui parvient au pouvoir fera la même politique autorisée par les financeurs maîtres du monde. Changer le système de l’intérieur obligerait à faire semblant d’être un enculé corrompu pendant 20 ans tout en gardant ses valeurs afin d’avoir le droit d’être élu Président pour ensuite révéler sa vraie nature et faire s’effondrer le château de cartes.

Ces normies de base croient sincèrement que leur avenir sera forcément différent s’ils votent Front Populaire (prétendu de gauche) ou Rassemblement National (prétendu de droite).

Le normie version 2.0 qui a un peu de culture croira quant à lui que les élections européennes sont décisives, car « tout se joue à Bruxelles ». Ignorant que le Parlement européen n’a strictement aucun pouvoir et que les décisions sont entérinées par la Commission qui, de bien entendu, n’a aucun membre élu. Membres qui ne sont que des pions placés pour leur capacité à être corrompus et leur absence totale de conscience comme la Hyène qui s’accroche à son pouvoir.

Je pourrais poursuivre pendant des pages, mais ce faisant je me parle à moi-même. Le normie « sait » que nous sommes en démocratie parce qu’on le lui répète inlassablement depuis sa naissance. Il ne manque pas de nous dire :

« Allez vivre en Russie ou en Corée du Nord pour que vous puissiez enfin toucher du doigt ce qu’est une dictature ! »

Cela pourrait faire rire quand on pense à l’assignation à résidence sans procès que nous avons subi pour le confinement ou le passe sanitaire, l’injection obligatoire pour pouvoir continuer à avoir une vie « normale ». Ces mêmes moutons ne manqueront pas de vous parler de la Chine :

« Cette horrible dictature dans laquelle les citoyens doivent présenter un QR-Code pour quitter leur quartier. »

Un QR-Code pour se rendre chez soi pendant les épreuves des JO 2024 et de la reconnaissance faciale ne relève donc absolument pas de la dictature selon ce même normie, mais d’une « évidente mesure de sécurité ». Aucun terroriste ne saurait contourner cette règle du QR-code pour accomplir ses méfaits.

C’est uniquement dans les dictatures qu’il y a censure, pas chez nous. Dans nos belles démocraties, il n’y a rien d’étonnant à voir que 2 % des électeurs ont voté pour un parti pro-Frexit aux dernières élections européennes alors même que 55 % des électeurs avaient voté contre la constitution européenne en 2005 !

« Les censures sur les réseaux sociaux, la mise au ban des résistants, l’interdiction de médias comme RT-France ne sont que des mesures de bon sens et protection qui visent à protéger la démocratie et les droits, pas comme en Chine ! »

Je dois me rendre à cette évidence, je, nous ne pouvons pas communiquer, argumenter avec ces gens « sains et normaux », nous avons été désynchronisés, eux et nous sommes totalement déphasés. Ils ne pourront rien comprendre de ce qui sort de notre bouche dès lors que c’est en contradiction profonde avec leur programmation.

Il est à noter que le système a pensé à tout pour nous occuper, nous les parias. Il a inventé les réseaux sociaux, une prison dans laquelle nous sommes enfermés et ne pouvons sortir et où règne un « espace de liberté virtuel où nous pouvons communiquer librement ».

Lors des manifestations contre le passe-sanitaire, nous étions tous les samedis autorisés par la dictature à faire notre petite promenade hebdomadaire sous la surveillance bienveillante de nos geôliers qui ne manquaient pas de nous montrer le parcours autorisé. Mais attention à 17 heures il fallait rejoindre nos quartiers et quiconque bravait le couvre-feu s’exposait à la violence des milices de Vichy.

Ici encore afin de nous faire croire que nous avons une forme d’efficacité les forces du mal n’hésitent pas à censurer des publications trop décalées.

Mais n’imaginez pas que vos délires complotistes puissent être lus (je dis juste lus, car étant normé, il ne peut pas comprendre les propos d’un désynchronisé) sur un réseau social par un normie, les algorithmes se chargent du partage de « l’information ».

Ces réseaux dits « sociaux » ne sont qu’un entre-soi, les normies ont le leur, nous avons le nôtre et chacun reste à sa place pour le meilleur des mondes.

Tel un gentil organisateur, la dictature a aussi mis en place un programme d’activité afin de pouvoir occuper nos esprits malades. Le fact-checker n’a pas été mis en œuvre pour protéger les normies de la contamination des déphasés. Je vous rappelle que le normal ne peut pas comprendre les mots délirants qui sortent de la bouche d’un déphasé. Il n’y a strictement aucune chance que celui-ci soit ainsi contaminé par un fou.

Non, le fact-checker a uniquement été mis en place pour faire croire aux désynchronisés qu’ils constituaient une menace, qu’ils ont un pouvoir de nuisance. Ainsi le déphasé peut encore se dire :

« Le pouvoir a peur de nous, c’est pourquoi il met en place une milice de la pensée ! »

Foutaise ! Tout ceci n’est qu’os à ronger pour nous occuper et nous éviter de fomenter une révolution !

Précisons que pour ce travail totalement inutile d’un point de vue de protection des normies, les forces du mal ont recruté parmi les plus débiles.

Si le déphasé peut tomber dans le piège et croire qu’il a un pouvoir, le fact-checker peut quant à lui se croire « en mission pour le saigneur1 » et imaginer que son action permettra de protéger les normies de la contamination. Le plus dingue est qu’il imagine même faire revenir dans le droit chemin un complotiste égaré. C’est dire à quel point ils sont vraiment cons, car la désynchronisation est une sentence à perpétuité.

À la décharge de mes collègues qui « continuent la lutte », notez que j’ai bien précisé dans mon titre :

« Le jour où je n’ai PAS reçu ma lettre de désynchronisation. »

Car ne croyez pas que la dictature va vous fournir un acte d’accusation ou la possibilité de vous défendre. Ne croyez pas que vous aurez droit à un procès. C’est là le fonctionnement standard d’une dictature sans morale.

La condamnation et l’exécution de la sentence tombent comme un couperet sans vous en informer !

La veille vous êtes considéré par les normies de votre entourage comme une personne avec qui l’on peut échanger, discuter. Certains même peuvent penser que vous avez une logique, une capacité de raisonnement et un certain niveau intellectuel.

Et du jour au lendemain la communication n’est plus possible avec ces mêmes personnes que vous pensiez avoir un bagage intellectuel, une « intelligence ». La sentence est tombée, vous avez été désynchronisé !

La communication est ainsi totalement interrompue. Oubliées toutes les qualités ou l’honnêteté que l’on vous prêtait la veille, tout ceci relève du passé voir même du mythe. Vous ne pouvez plus avoir le moindre échange, discussion ou communication avec le normie. Le semblant de communication s’apparente à un dîner de cons dans lequel chaque camp peut penser que le con c’est l’autre.

Seules les fonctions de base demeurent pour des conversations sans le moindre fond. Il n’est même plus possible de parler de météo, « réchauffement climatique » oblige.

Certains déphasés mettent plus ou moins longtemps pour comprendre qu’ils l’ont été, que leurs mots ne peuvent plus être compris par les normies et qui plus est, que leur langage est perçu comme une menace, le charabia d’un fou délirant et menaçant.

Plus le déphasé va chercher à forcer la communication, à utiliser la logique et le raisonnement, le fait, la science, la preuve, le bon sens et plus le normie va avoir peur, se braquer, vous rappeler le « consensus scientifique » et devenir violent face à ce « fou dont les mots sont dénués de sens ».

Et puis comment nous, normies, pouvons garder notre calme face à un tel déferlement d’illogisme, d’affirmations non prouvées, de refus de penser par soi-même, etc.

Il n’y a donc de solution que dans le divorce, la rupture et le deuil comme nous le ferions suite à l’entrée d’un proche dans une secte.

Et c’est là que le désynchronisé, le déphasé, risque de basculer dans la folie voyant son isolement social, son incapacité à communiquer, son bannissement à vie de la société des normies.

Notons qu’à ce stade les associations, collectifs, réseaux sociaux sont vitaux surtout dans les premières semaines du déphasage afin d’apporter soutien au nouveau complotiste et voir qu’il n’est pas seul. Si le gouvernement se garde bien de dire notre nombre, sachez que nous sommes quand même plusieurs millions ne serait-ce qu’en France et que cela ne peut qu’augmenter inexorablement.

Bien entendu la peine n’est pas prononcée pour une durée déterminée, mais une condamnation à perpétuité sans perspective de retour à la normale.

Il est une réalité physique instaurée par celui qui vous a condamné, c’est l’impossibilité d’être resynchronisé. Si un jour vous croisez un ancien complotiste qui vous dit :

« Qu’est-ce que j’ai été stupide de ne pas me vacciner, j’ai pris rendez-vous pour 6 doses d’un coup afin de rattraper le temps perdu, me protéger et protéger les autres. »

Surtout, n’hésitez pas à me fournir les informations.

C’est donc la dictature qui s’autocondamne avec un processus dans lequel le nombre de déphasés ne peut que croître et non l’inverse. Toute la question est de savoir quand le point de bascule se produira, quand le grand remplacement des normies par les déphasés deviendra la réalité.

Nous déphasés ne pouvons que survivre en attendant et laisser faire le temps.

Je vous le répète, notre statut de désynchronisé ne nous permet absolument pas de pouvoir ouvrir les yeux des normaux qui ne peuvent nous comprendre. Nous n’avons pas plus de langage commun avec un normie qu’avec une fourmi ou une huître, c’est un fait.

La seule chose que nous pouvons faire c’est de préparer l’avenir et l’accueil des nouveaux arrivants, des nouveaux déphasés, leur apporter connaissance, soutien, amour et sens.

Nous pouvons préparer le monde de demain lorsque les forces du mal n’auront plus suffisamment de moutons pour pouvoir poursuivre leur plan machiavélique ou qu’elles se seront auto-effondrées.

La lueur d’espoir se situe dans le fait que ce n’est pas nous qui pouvons fabriquer des déphasés, mais le système lui-même qui les génère.

C’est par ses contradictions, son illogisme, ses délires et son ego surdimensionné que le système allume la petite lumière du complotisme chez le normie. La dictature n’a alors d’autre choix que de le déphaser sur le champ pour éviter toute contamination, car elle ne sait pas faire autre chose.

Plus les « pandémies » engendrent de délires comme le droit de manger assis, mais pas debout ou vous interdit de marcher sur une plage déserte alors que vous pouvez être entassé dans le métro.

Qu’elle vous dit que plus vous serez vacciné et plus vous serez libre, plus le « Covid » disparaîtra et que vous vous retrouvez avec des effets secondaires suite à vos « injections sures et efficaces ».

Qu’elle vous affirme détruire l’économie russe conduite au désastre par un dictateur fou et sanguinaire assez con pour ne pas penser à couper le gaz et préférant saboter son propre gazoduc.

Qu’elle vous affirme depuis 20 ans que l’on va tous crever dans 10 ans à cause du réchauffement climatique causé par le méchant CO2, qu’il n’y aura plus jamais de neige, que ce sera la sécheresse généralisée.

Qu’elle retarde année après année notre « retour » sur la Lune en nous expliquant que nous n’avons plus la technologie des années 60.

Qu’elle vous explique que deux avions sont en capacité de faire effondrer trois tours.

Je pourrais développer d’autres exemples, mais vous avez bien compris le sens. C’est par cette stupidité, cet illogisme, ce mépris de l’humain, le foutage de gueule et nous la mettre profonde que la dictature fabrique du déphasé.

Vous pourrez observer que plus le temps passe et plus le temple de Satan accroît sa pression.

Nous pouvons imaginer que la peur augmente chez eux d’autant plus que ces monstres sont de plus en plus grabataires et proches de la mort avec une descendance consanguine et débile. Ils sentent peut-être que leur plan mortifère risque d’échouer du fait du nombre croissant de désynchronisés.

Le problème est qu’il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.

Plus ils agissent dans l’urgence et plus ils réveillent de normies qui sont à leur tour désynchronisés. La plandémie, les injections mortelles, le prétendu réchauffement climatique, le méchant Poutine et maintenant le génocide en Palestine avec l’éternel deux poids deux mesures, ne peut qu’ouvrir les yeux de normies et les condamner à la désynchronisation immédiate.

La folie est devenue telle que celui qui parle de paix en Ukraine et encore plus de paix en Palestine occupée est désormais considéré comme un traître, un fou, un monstre, un pourvoyeur de haine et bien entendu un antisémite notoire. Le système ne manquant pas de soutenir les nazis en Ukraine et de bien faire l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme.

Les élites travaillent activement contre leur camp !

Il n’y a donc qu’à attendre que les déphasés nous rejoignent de plus en plus, nous ne pouvons ni n’avons besoin de leur ouvrir les yeux, le système s’en charge pour nous.

En attendant, vivons, car s’il y a bien une chose que la richesse et le pouvoir n’apporte pas à ces monstres en quête de Messie, c’est la capacité de vivre et être heureux. Ils redoutent la mort au point de vouloir devenir immortels alors même qu’ils n’ont pas la recette de la vie. Tel le paniqué du Covid qui a arrêté de vivre de peur de mourir.

Les nouveaux déphasés verront que la tolérance, la paix, l’amour, la liberté et l’espoir sont de notre côté et certainement pas du côté de la dictature.

Ce disant je ne sais pas si je suis en train de vous mentir ou de me mentir le plus. Le fait est que je ne possède pas vraiment la recette. Comment vivre, être heureux en ayant conscience de toutes les horreurs du monde et de l’indicible. Comment ne pas hurler ou imaginer prendre des armes lorsque l’on sait que ces satanistes prennent leur pied en torturant, violant, démembrant des enfants et même des bébés le tout avec la complicité des médias !

Le type même de pensée qui me ferait regretter de ne pas être un normie qui ne peut comprendre le délire de déphasé comme nous. Je sais bien que je me mens à moi-même, plutôt crever que d’être comme eux !

Le chemin n’est pas de tout repos, continuer à vivre, car il n’y aurait rien de rédempteur à s’autoflageller et qui ne soulagerait en rien toutes ces victimes. Il me faut essayer d’évoluer entre bonheur et conscience de l’horreur du monde ce qui est un travail à plein temps.

Merci

Alain Tortosa.
11 juillet 2024 https://7milliards.fr/tortosa20240711-condamnation-desynchronisation.pdf


1 Ce n’est pas une faute d’orthographe.




L’OMS s’attaque à nos enfants

[Source : Cercle Aristote – Pierre Yves Rougeyron]




La nature et le but de la maladie

Terry C. Fry a grandi dans une ferme. En 1952, il est devenu homme d’affaires. En 1961, il fonde la Musical Heritage Society, un club de vente de disques par correspondance spécialisé dans la musique médiévale, de la Renaissance, baroque et classique. En 1970, il devient éducateur de santé, actif dans le mouvement de la santé naturelle. En 1976, il fonde le Health Science Institute (l’Institut des sciences de la santé) et met au point un cours de sciences de la santé qui est traduit en plusieurs langues et intégré au programme de l’université de Paris. Il a publié un magazine, « Healthful Living », ainsi que plusieurs bulletins d’information et livres. Il est apparu à la radio et à la télévision et a donné des conférences sur des sujets liés à la santé.

https://www.goodreads.com/book/show/25464232-the-life-science-health-system

La totalité des cours est disponible sur archive.org (en anglais) :
https://ia601601.us.archive.org/30/items/life-science-health-system-t.-c.-fry
On les trouve aussi sous forme de PDF unique :
https://mojadrogadozdrowia.com/wp-content/uploads/2016/03/the-life-science-health-system-t-c-fry.pdf

On n’a traduit ici que le deuxième cours (sans inclure les deux articles annexes écrits par un autre auteur).

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus (en particulier les articles Aveuglés par la pseudo-science qui montre pourquoi la virologie ne relève pas de science, Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie qui démonte la prétendue « culture virale », C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! sur le conte de fées des supposés virus « augmentés » en labos P4, et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) pour les experts) qui comprend divers articles complémentaires aux questions présentées ici par Terry C. Fry, dont celles relatives aux bactéries et aux virus.
Il présente la maladie comme étant un écart par rapport à la normale, ce qui revient à dire qu’elle représente un état de déséquilibre, par excès ou par déficiences. Il développe plus spécialement le cas des excès (ou intoxications), sur le plan physique.]

Par Terry C. Fry

Leçon 2 — La nature et le but de la maladie

— 1. Qu’est-ce qu’une maladie ?
— 2. Les objectifs de la maladie
— 3. La toxémie est la cause universelle de la maladie
— 4. L’hygiène naturelle ou la science naturelle des soins aux malades
— 5. Le caractère de la maladie
— 6. Questions et réponses

Puisque nous n’avons qu’une seule leçon sur le sujet de la maladie, je vous demande d’étudier sérieusement et de bien l’assimiler, car presque tous vos clients souffriront d’une maladie sous une forme ou une autre.

Dans cette leçon, nous verrons ce qu’est la maladie, ce qui la provoque, à quoi elle sert, et pourquoi elle se termine puisqu’elle est censée être l’occasion pour des entités microbiennes malveillantes de prendre pied dans notre corps et de le détruire. Nous examinerons comment un corps qui descend (comme on dit qu’il est malade) et des microbes qui montent inversent ces tendances.

1. Qu’est-ce que la maladie ?

  • a. Le mot maladie signifie tout simplement ne pas être à l’aise — une personne est mal à l’aise ou souffre de difficultés à maintenir l’énergie nécessaire aux fonctions qu’elle souhaite remplir et à maintenir opérationnelles les facultés qu’elle souhaite exercer.
    Dans la terminologie physiologique, la maladie signifie un écart par rapport à la normale. Cela signifie que le corps s’est écarté des fonctions normales. Dans un état pathologique, le corps a canalisé ou réorienté ses énergies de sorte qu’il dispose de moins d’énergie que d’habitude pour les fonctions qu’il exerce normalement.
  • b. Il existe deux types distincts de maladies. Le premier type de maladie a une utilité, le second n’en a aucune. Discerner ces deux types de maladies chez vos clients ne pose aucun problème. Ces deux types de maladies sont les suivants :

    • 1. Le premier type est la maladie constructive, souvent appelée maladie aiguë.
    • 2. Le deuxième type de maladie est la maladie dégénérative. Elle résulte d’une déficience organique dans laquelle les organes, les tissus, les os ou d’autres facultés ont subi une destruction, une distorsion ou une déficience irréversible.

Le service que vous rendrez à vos clients dépendra en grande partie de votre capacité à reconnaître si une maladie est constructive ou dégénérative. Je le répète : ce n’est pas difficile. Indépendamment de ces conditions de maladie, vous continuerez à guider votre client vers des pratiques saines, les pratiques saines étant la panacée universelle.

Si les maladies sont remédiables et réversibles, comme c’est le cas pour la plupart d’entre elles, elles sont constructives. Lorsque la maladie ne peut plus être inversée par des processus remédiables par le corps, elle est dégénérative. Par exemple, les dépôts osseux d’un arthritique peuvent généralement être autolysés et restaurés à un niveau proche de la normale. Mais lorsque l’ankylose s’est produite en raison de la destruction de l’os et du cartilage et de la fusion qui s’en est suivie, des pratiques saines rétabliront la santé, à l’exception de l’ankylose, qui est rarement réversible. Toutefois, de nombreuses maladies généralement considérées comme dégénératives peuvent être corrigées par l’organisme, notamment la plupart des cas d’arthrite.

2. Objectifs de la maladie

La maladie affecte l’ensemble du corps, et pas seulement une partie. La maladie remplit une fonction importante pour l’organisme. L’organisme déclenche des maladies curatives pour atteindre un objectif. Cet objectif concerne l’ensemble du corps, et pas seulement un organe, une zone ou une partie. Par exemple, nous pouvons savoir que nos reins sont malades. Mais, en réalité, c’est tout le corps qui est malade. Le fait que les symptômes ne soient visibles qu’au niveau des reins ne signifie pas que le reste du corps n’est pas affecté — cela signifie que les reins sont le point central de l’effort d’élimination, le point où les matières toxiques sont éliminées du corps.

Tout ce qui affecte une partie du corps affecte l’ensemble de l’organisme. Si nous avons mal au dos, c’est tout le corps qui est affecté. Nous nous préoccupons du bien-être de nos orteils, de nos doigts, de nos oreilles, de nos jambes, de nos yeux, de nos bras — nous défendons notre être tout entier parce que notre corps est une seule et même unité. Il n’y a pas de parties isolées dont nous ne nous soucions pas, que ce soit au niveau conscient ou inconscient de l’intelligence. Nous défendons tout, à tous les niveaux, parce que nous sommes tous concernés.

Nous n’avons pas de maladie ici ou là. Nous souffrons partout. Un appendice enflammé a été surchargé de substances toxiques parce que le corps est surchargé. L’intelligence du corps élimine la surcharge par tous les canaux d’élimination, mais malgré cela, la charge est si grande que l’appendice est accablé par plus que ce qu’il peut supporter. Cet état est le même dans toutes les maladies curatives où un organe local semble être le seul à être affecté.

2.1 La maladie est déclenchée par l’organisme

C’est le corps lui-même qui déclenche la crise connue sous le nom de maladie. Les scientifiques de la vie appellent ce processus un « nettoyage » ou une crise de guérison. Cette procédure est mise en place par l’organisme lorsque l’intégrité corporelle est compromise ou menacée par une accumulation de substances toxiques non éliminées. Le niveau de vitalité et l’ampleur de la surcharge déterminent le type de crise. En cas de vitalité élevée, comme chez un nourrisson, un très faible niveau de toxicité est toléré. Chez les nourrissons, les rhumes sont fréquents. Si la vitalité est faible, comme chez la plupart des personnes âgées de notre société, les rhumes sont rares. Parce que si peu de personnes âgées conservent un corps vital, la surcharge toxique les entraîne dans des maladies chroniques, des maladies dégénératives et des pathologies insoupçonnées qui conduisent à une mort inattendue ou à une « apparition soudaine » d’un cancer.

L’organisme doit être dans un état toxique avant de déclencher une crise. Ce ne sont ni les bactéries ni rien d’autre qui déclenchent et entretiennent une crise. Les micro-organismes sont incapables de mener une action unifiée ; en fait, ils ne peuvent exister s’il n’y a pas de nourriture (sol) pour eux, et les cellules vivantes ne sont pas un sol pour les bactéries.

Les bactéries sont impuissantes face aux cellules vivantes. Une « invasion » de bactéries telle que nous l’imaginons dans la contagion n’a jamais lieu. Les bactéries qui prolifèrent en cas de crise sont présentes en permanence. Nous hébergeons des milliards de micro-organismes dans notre tractus intestinal, sur notre peau, dans notre bouche et notre nez et dans d’autres cavités du corps. Ainsi, le corps est le SEUL acteur de la crise d’élimination ou de nettoyage que l’on appelle maladie.

Les bactéries et les virus ne sont pas responsables des maladies.

Imputer une maladie à un virus ou à une bactérie est une échappatoire facile. Il n’est pas bon de dire à un client qu’il est à l’origine de ses propres malheurs. C’est pourquoi la profession médicale a imputé la souffrance à tout sauf à l’échec de l’individu dans le jeu de la vie.

2.2 La maladie est un processus d’élimination

Le corps crée une crise en réponse à un besoin du corps de se libérer des matières toxiques et de réparer les dommages. En conséquence, le corps retire de l’énergie de ses activités normales pour la rediriger vers la crise de guérison.

Je pourrais vous dire que je souffre d’une maladie en ce moment. Je ne suis pas à l’aise avec mon larynx, comme vous l’avez remarqué en essayant de m’éclaircir la voix. J’ai mangé du chou pour mon repas du soir. Il était très piquant, car il contenait sans doute de l’huile de moutarde. En règle générale, tout irritant dans la gorge, l’œsophage ou la trachée provoque un écoulement de mucus qui englobe l’irritant afin de l’éjecter du corps. Dans mon cas, le corps a déclenché un écoulement de mucus pour dégager le passage de ce qui était considéré comme une substance toxique ou irritante. Il s’agit d’une maladie ou d’un malaise mineur. Mais il s’agit d’une maladie et le corps a réagi pour maintenir son intégrité fonctionnelle.

Le corps rejette tout ce qui est irritant. Par exemple, si on vous met de la poussière dans le nez, le corps sécrète du mucus pour entourer et éjecter la poussière irritante. Vous pouvez également éternuer. Dans les deux cas, le corps agit de manière défensive. Ainsi, toute maladie curative est une action défensive de l’organisme.

Les bactéries n’envahissent pas les organismes, car elles sont toujours à l’intérieur de l’organisme. Même lorsque nous avons perdu notre flore intestinale à la suite d’un jeûne, les bactéries sont toujours présentes. Dans de nombreux cas, les bactéries peuvent faire ce que font les ours et de nombreux autres animaux : elles s’inhibent ou deviennent dormantes. Pasteur n’est pas le père de la bactériologie comme beaucoup le pensent. C’est Antoine Béchamp qui est le père de cette science. Béchamp était un scientifique au sens propre du terme. Il a prélevé ce qu’il a appelé le microzyma dans les falaises de craie de France. Il a constaté qu’en fournissant de l’eau, de la chaleur et d’autres nutriments, le microzyma proliférait. Ces micro-organismes avaient été enfermés pendant dix millions d’années dans un état de dormance. Les bactéries possèdent donc certaines qualités de survie dont la plupart des gens ne sont pas conscients.

Le célèbre Dr Lewis Thomas, qui dirige le Sloan-Kettering Cancer Institute, a déclaré : « Ne plaignez pas l’homme qui a attrapé une bactérie, plaignez la bactérie qui a été attrapée par l’homme ». En d’autres termes, l’Homme constitue un environnement très difficile pour les bactéries. Le corps les maintient dans certaines limites. Le corps contrôle les bactéries à tout moment. Le corps est maître de son domaine.

Les bactéries ne contrôlent pas le corps comme les médecins nous l’ont fait croire.

Voici deux paragraphes tirés d’une « bible » sur l’hygiène naturelle, le premier grand ouvrage du Dr Shelton, Human Life : Its Philosophy and Laws (La vie humaine : sa philosophie et ses lois).

« Depuis des siècles, l’étude des maladies progresse. L’un après l’autre, les différents systèmes et complexes de systèmes présentés par le corps humain malade ont été étudiés avec un soin méticuleux, tant chez les vivants que chez les morts. L’étude de la pathologie a atteint un degré de perfection inconnu de la plupart des sciences collatérales qui forment ce que l’on appelle la science médicale. Les connaissances en pathologie ont progressé à pas de géant après l’invention du microscope, jusqu’à devenir aujourd’hui l’une des études les plus importantes pour l’étudiant en médecine. La physiologie, l’anatomie, l’histologie et la biologie sont toutes subordonnées à la pathologie.

L’étude de la maladie a toujours fasciné l’étudiant. La santé n’a reçu que peu d’attention. Aussi étrange que cela puisse paraître, la santé a été considérée comme si peu importante qu’elle ne méritait pas d’être étudiée. Aucune école n’a jamais existé pour enseigner les conditions de la santé. Les écoles de médecine existaient pour former les étudiants à la connaissance des maladies et des remèdes. Aujourd’hui encore, il n’existe aucune école dont l’objectif est d’enseigner les conditions et les exigences de la santé. Les conditions d’une vie saine sont peu comprises par les différentes professions de santé et encore moins par le grand public. La santé n’entre pas dans les attributions professionnelles du médecin. »

Le monde médical se préoccupe de traiter les maladies à l’aide de médicaments à la mode. Leur recherche de bactéries et de « virus » comme responsables des maladies me rappelle une petite blague que nous avons entendue après la Seconde Guerre mondiale. Voici ce qu’elle dit.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un civil allemand travaillait dans un camp de concentration. Un soir, il a poussé une brouette jusqu’à la porte de sortie pour qu’un garde l’inspecte. La brouette était chargée de chiffons. Le garde, très soucieux de son travail et de la sécurité du camp et de ses biens, passe méthodiquement en revue les chiffons, mais ne trouve rien. Il a donc laissé passer l’ouvrier.

Le lendemain, l’ouvrier se présente avec une brouette de journaux. Le garde a répété l’examen minutieux précédent. Le jour suivant, le travailleur est venu avec une brouette de feuilles. Le même examen minutieux a été effectué.

Le jour suivant, l’ouvrier s’est présenté devant le garde en poussant une lourde charge de terre. Le garde n’est pas dupe. Il oblige l’ouvrier à déverser la terre et à l’étaler, puis à la recharger laborieusement sur la brouette.

Le jour de travail suivant, un autre chargement de journaux est arrivé. Le garde soupçonne l’ouvrier de faire sortir quelque chose en cachette. En plus des autres procédures, il a donc tapoté les poignées et d’autres endroits à la recherche de matériel caché que l’ouvrier aurait pu voler. Mais rien n’a été trouvé.

Cette situation s’est répétée presque tous les jours de travail pendant un an. Parfois, le garde fouillait systématiquement les brouettes, mais il ne trouva jamais rien de valeur sorti du camp.

Peu à peu, la guerre fut terminée. Quelque temps plus tard, l’ancien garde a rencontré l’ancien ouvrier du bâtiment dans la rue.

Il s’approcha de l’ouvrier et l’arrêta brusquement en lui demandant en souriant :

« Hans, il faut que tu me dises quelque chose. Je ne suis pas idiot. Tu as volé quelque chose dans le camp. Je n’ai jamais pu le retrouver. Maintenant que ça n’a plus d’importance, pourquoi ne pas me mettre au courant ? ».

Hans répond : « Mais, idiot, tu l’as vu de tes propres yeux. Je volais des brouettes ».

Un tel aveuglement caractérise le corps médical. Le but de la maladie est si évident que les médecins ne le voient pas. Ils cherchent quelque chose qui n’existe pas, et ils n’ont aucune idée, après d’innombrables millions d’heures de travail à poursuivre des microbes et d’autres impasses similaires, que les virus en tant qu’entités vivantes n’existent pas.

Ils ont donc étudié le phénomène de la maladie de manière approfondie et ont répertorié plus de vingt mille maladies différentes. Elles portent le nom de la zone la plus touchée. Parfois, elles portent plusieurs noms en raison du nombre d’organes, de systèmes d’organes ou de tissus qui sont touchés.

3. La toxémie est la cause universelle de la maladie

En réalité, il n’y a qu’une seule maladie, quelle que soit la façon dont elle se manifeste. Cette maladie, que nous appelons maladie constructive, est provoquée par le corps lui-même et est connue sous le nom de crise de toxémie ou de guérison.

3.1 Les sept stades de la maladie

Il existe plusieurs stades de maladie. La cause sous-jacente de la maladie à tous les stades est la toxémie. Bien que la toxémie puisse avoir de nombreuses origines, elle est essentiellement due à une énergie nerveuse insuffisante pour éliminer suffisamment les poisons exogènes et les déchets de l’organisme. Le terme toxémie n’est pas assez large pour couvrir l’ensemble du processus d’empoisonnement, car il signifie qu’il y a du poison dans le sang. En réalité, il existe une toxicose. Les tissus, les cellules et les espaces interstitiels sont également chargés de poison. Bref, c’est tout le corps qui est toxique.

Les maladies présentent de nombreux aspects différents, car elles évoluent avec la détérioration progressive de l’organisme qui les subit. La maladie comporte sept stades distincts. Ces stades correspondent aux différences distinctes de chaque stade d’évolution.

3.1.1. Énervation

Le premier stade n’est même pas reconnu par les médecins comme une maladie. Les spécialistes de la vie l’appellent l’énervation. La plupart des gens parlent d’épuisement nerveux. L’énervation est un état dans lequel le corps ne génère pas suffisamment d’énergie nerveuse pour les tâches qu’il doit accomplir, ou bien les tâches qu’il doit accomplir peuvent être plus importantes que ce que la réserve normale d’énergie nerveuse peut supporter. Dans tous les cas, l’organisme devient déficient, et un organisme déficient génère moins d’énergie nerveuse si les conditions de surmenage ou de sous-génération persistent. La plupart des gens savent qu’ils sont épuisés nerveusement.

L’énervation peut être causée par l’épuisement de l’énergie nerveuse de plusieurs centaines de façons. Le sommeil régénère l’énergie nerveuse. Il est évident qu’un sommeil insuffisant ne répondra pas à nos besoins. Il ne rechargera pas complètement nos batteries. Nous avons besoin de sommeil pour régénérer l’énergie nerveuse du cerveau et du système nerveux.

L’énergie nerveuse est une forme d’électricité mesurable en millivolts. Les laboratoires du sommeil ont réussi à substituer de l’électricité à celle du corps. On parle alors d’électrosommeil. Il ne faut que deux heures sur vingt-quatre pour restaurer complètement l’énergie nerveuse de cette manière.

Il est facile de démontrer que l’énergie nerveuse est électrique. Si vous vous écrasez le doigt, un message sera immédiatement envoyé au cerveau et il en résultera l’ordre de retirer le doigt de celui qui a exercé la pression. De plus, le cerveau ordonnerait à tout l’équilibre du corps de coopérer à l’extraction du doigt de la pression incriminée. Seule l’électricité est capable d’une transmission aussi rapide. Aucun processus chimique ou circulatoire n’est capable d’une telle expédition. Elle ne se produit que par l’intermédiaire d’un réseau de nerfs dotés de capacités conductrices, et l’électricité est la seule forme d’énergie qu’ils peuvent conduire. Si vous prenez une faible tension et que vous vous y branchez tout en tenant la main de quelqu’un d’autre, cette personne reçoit un choc immédiatement lorsque vous touchez la source électrique sous tension. Je pense que personne ne peut douter du fait que nous produisons de l’électricité et que c’est la forme d’énergie que nous utilisons pour mener à bien nos activités physiques et mentales. Les sensations sont transformées en stimuli électriques et transmises au cerveau. Celui-ci les interprète et envoie des ordres en fonction de cette interprétation. Ainsi, si vous approchez votre doigt d’un objet chaud, le doigt reçoit en un clin d’œil l’ordre de s’en retirer.

Ce qui précède vise à démontrer que le corps est avant tout un organisme qui fonctionne grâce à la quantité d’électricité qu’il génère et qu’il a en réserve. Si cette réserve est épuisée ou insuffisante pour répondre aux besoins de l’organisme, les fonctions de l’organisme sont altérées, y compris les processus d’élimination des déchets métaboliques endogènes et des poisons exogènes introduits dans l’organisme. Cette déficience engendre d’autres déficiences, notamment la diminution de la capacité de l’organisme à restaurer l’énergie nerveuse épuisée. L’organisme commence à décliner. Le stade suivant de ce déclin est appelé toxémie.

3.1.2. Toxémie ou toxicose

Lorsque des substances toxiques, quelle qu’en soit l’origine, saturent le sang et les tissus, le système lymphatique et les liquides interstitiels, on parle de toxémie et de toxicose.

En tant qu’organismes fonctionnels, nous générons une quantité considérable de sous-produits toxiques. Nous produisons suffisamment de dioxyde de carbone pour nous tuer en quelques minutes. Si nos poumons ne fonctionnaient plus, l’accumulation de dioxyde de carbone et le manque d’oxygénation nous submergeraient assez rapidement. Notre capacité d’absorption du dioxyde de carbone est limitée. Et ce n’est là qu’un des nombreux déchets. Le corps humain compte des billions de cellules. Des dizaines de milliards d’entre elles expirent chaque jour. Elles sont remplacées par de nouvelles cellules. Les vieilles cellules sont décomposées par les lysosomes, des enzymes qui résident dans un petit organite à l’intérieur de la cellule elle-même. Lors de la mort cellulaire, ces enzymes décomposent la cellule en de nombreux éléments plus petits qui seront éliminés. Ces composants sont des débris cellulaires. Certains de ces composants, comme le fer, les protéines et les acides aminés, sont recyclés par l’organisme. Environ 95 % des besoins en fer et 70 % des besoins en protéines de l’organisme sont couverts par le recyclage. Certains autres besoins de l’organisme sont également satisfaits par le recyclage. Cela vous donnera une idée de l’immense providence et de la sagesse du corps dans la satisfaction de ses besoins. Les autres composants de la cellule décomposée sont l’ARN et l’ADN. Ceux-ci sont toxiques lorsqu’ils se trouvent dans le système. S’ils s’accumulent, comme c’est le cas chez la plupart des humains dans la société actuelle, un état d’intoxication (toxémie et toxicose) existe. C’est ce que les médecins appellent des virus, et ils attribuent à tort à ces débris morts les pouvoirs de la vie et de la malveillance.

La saturation des tissus et du sang en matières toxiques peut être causée à la fois par des déchets générés à l’intérieur et par des polluants provenant de l’extérieur que le corps n’a pas été en mesure d’éjecter du domaine vital. L’intoxication survient lorsque nous surchargeons l’organisme de substances toxiques provenant de l’extérieur, lorsque nous ne respectons pas nos capacités et que nous nous surmenons, dormons insuffisamment ou sommes soumis à un stress important, ou lorsque de nombreux autres facteurs épuisent l’énergie nerveuse de l’organisme ou l’empêchent de se régénérer de manière suffisante. Par exemple, le stress, les chocs émotionnels ou les expériences traumatisantes peuvent épuiser très rapidement l’énergie nerveuse de notre corps. C’est comme un court-circuit de la batterie d’une voiture.

À un certain niveau d’intoxication, nous commençons à ressentir le stade suivant de la maladie, appelé irritation.

3.1.3. L’irritation

L’irritation résulte de la détection de substances toxiques par notre réseau nerveux. La plupart d’entre nous n’accordent que peu d’importance à ce stade, et les médecins n’y prêtent certainement pas attention. Lorsque nous ressentons des démangeaisons, des nausées, des tremblements, un malaise, ou lorsque nous avons des zones gênantes, mais non douloureuses, c’est qu’il y a irritation. Le chatouillement du nez est une forme d’irritation. Les accumulations de mucus le long des muqueuses irritent, bien que l’irritation ne soit pas douloureuse. Il s’agit d’une légère incitation qui nous pousse à rechercher le confort et à nous en libérer. Par exemple, l’envie d’uriner ou de déféquer est une forme d’irritation due à une accumulation de déchets supérieure à ce que l’organisme peut supporter. Toutefois, cette envie n’est pas douloureuse, sauf si elle est ignorée jusqu’à ce qu’elle crée une pression trop forte dans la zone concernée. Une irritation presque douloureuse nous oblige à régler le problème.

Lorsqu’une personne boit trop d’alcool, nous disons qu’elle est intoxiquée. C’est un bon exemple d’intoxication exogène. Si toute absorption d’alcool est préjudiciable à l’organisme, le corps peut éliminer rapidement une petite quantité avant que les dommages ne soient trop importants. Si l’on augmente la consommation, l’élimination est proportionnellement moindre et les dégâts proportionnellement plus importants. Le premier verre d’alcool ne provoque qu’une irritation que l’on appelle aussi stimulation. Mais toute substance toxique, qu’il s’agisse de sel, de caféine ou de condiments, irritera ou stimulera. Il s’agit d’un état dans lequel l’organisme met en œuvre ses mécanismes de défense et accélère ses activités internes. On pourrait comparer ce phénomène à une alarme à bord d’un navire où tout le monde est appelé. Une frénésie d’activité se traduit par un affrontement avec les forces ennemies. Malheureusement, nous nous sentons souvent bien, hyper ou même euphoriques. Il est affligeant de voir un état euphorique naître d’une situation préjudiciable à l’organisme.

Si les causes de l’énervation, de l’intoxication et de l’irritation restent en vigueur et que l’organisme ne peut y faire face, il déclenche une crise de réaction appelée inflammation.

3.1.4. L’inflammation

C’est généralement à ce stade que les médecins reconnaissent une pathologie. C’est le stade où les malades sont parfaitement conscients d’un problème, car il s’agit d’une douleur. Elle implique également une réorientation corporelle des énergies vitales. Le tractus intestinal est fermé. L’énergie qui serait normalement disponible pour l’activité de l’intestin est prélevée et redirigée vers l’effort massif pour faire face à un état grave d’intoxication. De peur de porter un coup fatal à l’intégrité de l’organisme ou de le paralyser, le corps se mobilise pour faire face à l’urgence.

Dans le cas d’une inflammation, les substances toxiques ont généralement été concentrées dans un organe ou une zone en vue d’un effort d’expulsion massif. La zone devient enflammée en raison de l’irritation constante des substances toxiques. En cas d’inflammation, on parle d’« ites », par exemple d’appendicite, d’amygdalite, d’hépatite ou de néphrite. Il est à noter que les « ites » que nous venons de citer sont toutes dues à une surcharge de quatre organes différents de purification et d’élimination.

Les noms des « ites » correspondent généralement à l’organe ou à la zone tissulaire qui est enflammée. Ainsi, en cas de rhume, on parle de rhinite. En cas d’inflammation des cavités sinusales, il s’agit d’une sinusite. L’inflammation des tissus bronchiques se traduit par une bronchite ou de l’asthme. Et ainsi de suite. Ces pathologies sont particulières parce que, dans chaque cas, l’organisme a choisi d’éliminer l’extraordinaire charge toxique par l’intermédiaire de l’organe affecté. Par exemple, l’asthme existe parce que l’organisme a choisi les bronches pour évacuer les substances toxiques. La maladie est chronique parce que la charge toxique est incessante. Alors que la personne atteinte continue de s’intoxiquer, l’organisme continue d’éliminer la surcharge par les bronches ou le tissu alvéolaire.

L’inflammation ou la fièvre est une réaction de crise de l’organisme à une situation qui met la vie en danger. C’est le corps et lui seul qui crée la fièvre. Il s’agit d’une preuve ou d’un symptôme d’activités corporelles accrues et intenses visant à nettoyer et à réparer. Les énergies extraordinaires utilisées pour la fièvre le sont au détriment des énergies normalement impliquées dans la digestion, le travail ou le jeu, la pensée et la vision, etc. La fièvre est une activité curative. L’idée de la supprimer équivaut à frapper un homme qui se noie sur la tête pour qu’il cesse de se débattre. Par exemple, si les rhinitiques ou les grippés sont drogués, cela revient à frapper sur la tête le guérisseur de l’organisme. Ainsi, l’effort d’élimination est supprimé et la toxicité augmente jusqu’à ce que d’autres organes, généralement les poumons, soient saturés, non seulement par la toxicité, mais aussi par les médicaments administrés. Lorsque la vitalité du corps se rétablit, une pneumonie est susceptible d’apparaître.

L’inflammation est le quatrième stade de la maladie et représente l’effort le plus intense de l’organisme pour se nettoyer et se restaurer. Le stade suivant de la maladie est celui de la destruction et de la dégénérescence. Elle surviendra si les causes de l’intoxication générale de l’organisme se poursuivent.

3.1.5. Ulcération

L’ulcération signifie qu’une quantité stupéfiante de cellules et de structures tissulaires sont détruites. Les systèmes physiologiques sont anéantis en raison de l’incapacité de l’organisme à vivre dans un milieu toxique incessant. Là où le tissu est détruit, il reste un vide. Un exemple est celui d’un aphte dans la bouche. Des lésions ou des ulcères peuvent également apparaître dans d’autres parties du corps. Ces affections sont souvent très douloureuses, car les nerfs sont exposés.

Bien que le corps puisse utiliser un ulcère comme exutoire d’une accumulation toxique extraordinaire et se soulager ainsi, il guérira l’ulcère si les causes sont supprimées ou si le niveau de toxicité est considérablement réduit. Ce processus de réparation des dommages est comparable au rapiéçage d’un pantalon troué. Ce processus de rapiéçage est appelé induration.

3.1.6. Induration

L’induration est un durcissement des tissus ou le comblement d’une vacuité tissulaire par un tissu dur. La cicatrisation est une forme d’induration. Mais à ce stade de la maladie, le durcissement a une direction et un but. L’espace est comblé et les substances toxiques qui menacent l’intégrité corporelle sont encapsulées dans un sac de tissu durci. L’ulcère et les substances toxiques sont scellés par le durcissement du tissu qui les entoure. C’est une façon de mettre en quarantaine les substances toxiques, souvent appelées formation de tumeurs. C’est cette condition qui est diagnostiquée comme un cancer dix-neuf fois sur vingt, alors qu’en fait il n’y a pas de cancer.

L’induration est la dernière étape au cours de laquelle le corps exerce un contrôle intelligent. Si les pratiques pathogènes qui ont conduit à ce stade sont poursuivies, les cellules et les systèmes tissulaires se déchaînent. Ils survivent tant bien que mal par leurs propres moyens. Les cellules deviennent parasites, vivant des nutriments qu’elles peuvent obtenir du liquide lymphatique, mais ne contribuant en rien à l’économie du corps. Elles sont désorganisées. Leur encodage génétique a été altéré par les poisons. Elles ne sont donc pas capables d’une action organisée normale et intelligente dans le contexte d’une économie vitale. Lorsque les cellules se déchaînent de la sorte, on parle de cancer.

3.1.7. Le cancer

Le point final de l’évolution de la maladie est le cancer. C’est le dernier stade de la maladie et il est généralement fatal, surtout si les causes qui l’ont provoqué se poursuivent. La cessation des causes et l’adoption de pratiques saines peuvent l’arrêter, car elles peuvent revitaliser l’organisme au point de détruire les cellules cancéreuses. Tout est relatif. Les cellules cancéreuses vivent dans un environnement hostile, mais elles se divisent et prospèrent tant qu’elles disposent de nutriments. Les cellules cancéreuses peuvent être considérées comme des cellules qui sont devenues indépendantes et qui sont revenues au statut de cellules primitives incontrôlées — des cellules qui vivent entièrement par elles-mêmes comme les protozoaires.

Ces stades de la maladie présentent des caractéristiques bien distinctes, mais les limites sont plus ou moins arbitrairement tracées. C’est ce qui se produit souvent dans les tentatives de catégorisation, lorsqu’une forme évolue vers une autre. Les lignes de démarcation ne sont pas clairement définies.

Les gens se demandent parfois quand commence le cancer. Les hygiénistes ou les spécialistes des sciences de la vie répondent qu’il commence avec le premier rhume ou la première éruption cutanée de l’enfance. La première crise que subit un bébé est à l’origine de la chaîne pathologique qui mène au cancer. Cette chaîne évolutive commence alors parce que le phénomène de la vie est une violation constante des lois de la vie du début à la fin.

3.2. Virus et bactéries : leur rôle dans la maladie

Après avoir passé en revue les sept stades de la maladie, il devrait être évident que les bactéries et les soi-disant virus ne provoquent pas de maladies. Les virus provoquent des maladies si l’on appelle virus les déchets toxiques des cellules corporelles décomposées. Les débris cellulaires décomposés sont précisément ce que les virologues et les médecins appellent des virus. Ils considèrent les virus comme des entités vivantes alors qu’en réalité, les médecins n’ont jamais observé la qualité de vie qu’ils attribuent aux virus. Ce que l’on appelle virus est toujours mort. On n’a jamais observé qu’il était vivant. Il ne possède pas les premiers prérequis de la vie, c’est-à-dire des mécanismes métaboliques et de contrôle. Même les bactéries en sont dotées. Je répète que ce que l’on appelle les virus n’est rien d’autre que des composants de cellules décomposées.

Certaines personnes insistent sur le fait que la syphilis est causée par des bactéries, plus précisément des spirochètes. Bien que le terme spirochètes ait cédé la place à des virus appelés Herpès de nos jours — c’est la mode — il a été facile de démontrer que les spirochètes n’ont jamais été responsables de la syphilis. Si vous demandez à un bactériologiste ce qui vient en premier, le sol ou les bactéries, il vous répondra que le sol doit d’abord exister pour que les bactéries se développent, car ce sont les cellules vivantes qui offrent aux bactéries un environnement mortel. Ainsi, les bactéries n’existent jamais dans un état de prolifération où il n’y a pas de nourriture ou de sol pour leur propagation. Elles se multiplient lorsqu’il y a un festin et elles meurent lorsqu’il y a une famine ou un environnement défavorable. Par conséquent, les bactéries ne créent pas plus leur approvisionnement en nourriture que les mouches ne créent des déchets. Les ordures doivent préexister aux mouches et, dans le même ordre d’idées, les ordures ou le sol sur lesquels les bactéries se développent dans notre corps doivent préexister à leur présence et à leur propagation. En d’autres termes, elles ne sont pas à l’origine de l’état de l’organisme, elles sont là à cause de l’état de l’organisme.

Lorsque l’organisme est confronté à une situation hautement toxique, telle qu’une inflammation, il absorbe les bactéries de la cavité intestinale et les transporte jusqu’à l’endroit où les substances mortelles sont concentrées. Les bactéries aident alors, en symbiose, à décomposer ces substances toxiques en vue de leur élimination. Bien entendu, les excréments des bactéries sont également toxiques.

Les médecins ignorants considèrent ces bactéries non pas comme nos partenaires symbiotiques dans le processus de lutte contre la maladie, mais comme la cause de la maladie. Koch a détruit les théories originales de Pasteur par ses quatre postulats. Les deux premiers stipulent que si une maladie est causée par un certain type de bactérie, cette forme de bactérie doit toujours être présente lorsque la maladie existe. Le second postule que la maladie doit toujours être provoquée par la présence ou l’introduction de la bactérie dite responsable. Bien que ces principes cardinaux soient évidents, les exceptions sont si nombreuses qu’elles réfutent totalement la théorie germinale de la cause des maladies. Koch a énoncé ses postulats en 1892 ; le corps médical ne leur a jamais accordé la moindre crédibilité. Aujourd’hui encore, la profession s’accroche à la théorie des germes, sauf que les germes sous forme de bactéries sont relégués au second plan au profit d’une entité encore plus insaisissable appelée virus.

Les bactéries existent dans une multitude de souches, de formes et de capacités métaboliques. Les bactéries sont polyvalentes et, dans de nombreux cas, elles changent de forme et de mode de vie en fonction de la nature du sol qui leur est accessible. Les bactéries rondes peuvent prendre la forme d’un bâtonnet et vice versa.

On disait autrefois que le pneumocoque était responsable de la pneumonie. Or, on a constaté que ce type de bactérie était absent dans près de la moitié des cas. De plus, l’administration de la bactérie à des organismes sains n’a jamais provoqué de pneumonie. Le simple fait que les bactéries se trouvent dans le corps humain comme partout ailleurs n’est pas reconnu par le corps médical. Les bactéries sont des partenaires symbiotiques de toutes les créatures de la nature. Pour pouvoir exister dans la nature, l’homme a dû établir un état de symbiose avec toutes les forces naturelles.

Deuxièmement, si les bactéries envahissaient les organismes et les mettaient à terre comme elles sont censées le faire — si le corps pouvait être mis à terre alors qu’il est en bonne santé —, l’impulsion ou l’élan que les bactéries ont créé deviendrait plus prononcé et plus écrasant à mesure que l’organisme reculerait dans la maladie. Il s’agirait d’un voyage à sens unique, tout comme les vautours qui s’attaquent aux os d’un cadavre. Si les bactéries et les virus provoquaient des maladies, une fois qu’ils ont submergé l’organisme et l’ont affaibli, comment l’organisme très affaibli reprendrait-il l’ascendant ? Si l’on s’intéresse de près à cette question et si l’on en tire les conclusions logiques, on s’aperçoit qu’une fois qu’un organisme a perdu la bataille alors qu’il était en bonne santé, il perdra la guerre une fois qu’il aura été handicapé.

3.3 Maladie compliquée par les sous-produits des bactéries symbiotiques

Au plus fort de leur activité, les bactéries compliquent les maladies parce que les sous-produits de la fermentation ou de la putréfaction bactérienne sont des poisons mortels. Dans la fermentation, les sous-produits sont l’acide lactique, l’acide acétique ou le vinaigre, et l’alcool. La putréfaction concerne les aliments azotés ou les protéines. Les sous-produits des protéines en décomposition sont les ammoniaques, les indoles, les scatols, les purines, etc. Ils sont toxiques pour les organismes, bien que le corps puisse normalement éliminer ces poisons. En fait, nos excréments et notre urine sont chargés de sous-produits de la décomposition des protéines, provenant à la fois de la décomposition de notre corps et de la décomposition bactérienne.

Vous avez entendu parler de l’idéal de vivre dans un environnement sans germes. C’est évidemment impossible. Des milliards de bactéries se trouvent en permanence dans et sur notre corps. Si nous n’avions pas ces minuscules organismes, nous mourrions rapidement. Ils nous rendent de nombreux services essentiels qui seront abordés dans une prochaine leçon. Il suffit de dire que nous vivons en symbiose avec les bactéries.

C’est à tort que l’on accuse les bactéries d’être à l’origine de nos propres imprudences. Rares sont les médecins qui ne trouvent pas un bouc émissaire pour leur client et qui ne déchargent pas le patient de la responsabilité de ses problèmes.

La logique médicale n’est pas très logique. Selon la logique médicale, les bactéries ou les virus envahissent notre corps et détruisent nos cellules. Il semblerait que les défenses de notre corps le permettent par leurs intimations. Il semblerait qu’une fois que ces entités envahissantes ont pris de l’avance, elles ne cessent de détruire le reste des cellules de l’organisme, d’autant plus que la première attaque a paralysé l’organisme et réduit sa capacité à se défendre. Selon la logique médicale, les bactéries sont là en plus grand nombre, car elles prolifèrent de manière astronomique lorsqu’elles ont trouvé une situation de festin. Comment le corps peut-il inverser cette situation et se rétablir ?

Les médecins pensent qu’il faut administrer des médicaments qui tuent les bactéries pour que le corps ait une chance de se rétablir. Ils font également croire aux gens que les médicaments sont des agents de guérison ou qu’ils aident à la guérison.

Lorsque l’on commence à poser des questions profondes sur les causes de la maladie, les théories médicales s’effondrent d’elles-mêmes. Elles ne peuvent être soutenues face à des vérités évidentes. Nous devons donc trouver la base rationnelle de la causalité de la maladie.

La maladie a une seule cause unitaire. Elle est instituée et conduite par le corps lui-même. C’est la seule entité organisée capable de coordonner les différents processus de la maladie. La maladie survient lorsque les substances toxiques que nous avons générées à l’intérieur ou absorbées de l’extérieur ne sont pas éliminées en raison de l’incapacité de l’organisme à y faire face. Ces substances affaiblissent et dévitalisent l’organisme jusqu’au moment où, ne pouvant plus tolérer la charge toxique croissante à son niveau moyen de vitalité, le corps déclenche une crise, redirigeant ses énergies corporelles vers l’ennemi intérieur.

Revenons à la pneumonie. Les médecins craignent qu’un rhume ou une grippe ne se transforme en pneumonie. Cela se produit si souvent chez leurs patients qu’ils font des efforts « héroïques » pour l’éviter. Ils administrent des médicaments à profusion. Pourtant, la pneumonie survient si souvent malgré les médicaments que les médecins se sentent impuissants face à la pneumonie, l’une des premières causes de décès dans notre société. La question se pose alors : quelle est la cause de la pneumonie ? Le pneumocoque survit-il à l’assaut des médicaments et provoque-t-il malgré tout une pneumonie ?

Si les rhumes sont, comme nous l’enseignons, un processus de purification, comment un corps en crise peut-il s’aggraver ? Si le corps élimine abondamment des substances toxiques par les voies respiratoires, comme c’est le cas dans les rhumes et les grippes, comment se fait-il que les poumons soient également contaminés ?

Dans tous les cas de rhume et de grippe, la guérison est très rapide si le malade se couche dans une pièce aérée et baignée par la lumière du jour. Un repos presque total s’impose. Il faut s’abstenir de toute nourriture et boire beaucoup d’eau pure. Dans ces conditions, la débilité disparaît en un à trois jours. Mais si le malade refuse de se reposer et continue à manger les mêmes mauvais aliments qui ont fortement contribué à la crise, l’effort d’élimination peut être inférieur à l’accumulation continue de substances toxiques, auquel cas une pneumonie peut être concomitante. En revanche, si le malade consulte un médecin et se fait en plus droguer, l’organisme se concentre sur l’élimination des médicaments. Il peut cesser complètement le rhume ou la grippe face à l’ennemi principal. L’accumulation continue de substances toxiques se propage aux poumons. Les médicaments et les substances toxiques peuvent se concentrer si fortement dans les poumons qu’ils provoquent la mort ou ouvrent la voie au cancer. De nombreuses autopsies révèlent que les personnes qui ont eu une pneumonie, qui ont fumé ou qui ont vécu dans un air très pollué ont des tumeurs, des sacs indurés de tissu pulmonaire qui encapsulent les substances toxiques dans les poumons. De nombreux cas de jeûnes prolongés ont été effectués chez des personnes ayant souffert de pneumonies plusieurs années auparavant. On a constaté que les médicaments administrés sortaient des poumons au cours du jeûne à mesure que le corps autolysait les tumeurs et en expulsait le contenu.

Pourtant, malgré les causes évidentes de la pneumonie, les professionnels de la santé continuent de dire que le pneumocoque est à l’origine de la pneumonie, alors qu’en fait, plus de 25 % des cas de pneumonie n’ont jamais été causés par le pneumocoque. Maintenant que les médecins s’éloignent de plus en plus de la théorie des germes comme cause de la maladie, ils invoquent les virus comme coupables. Cela n’est vrai que si l’on entend par virus les déchets métaboliques non éliminés. Mais lorsque l’on commence à s’intéresser à ce que sont les virus et à la manière dont ils provoquent les maladies, on pourrait parler de la théorie du « mauvais esprit » de la maladie, car les médecins attribuent aux virus toutes les qualités d’esprits malveillants.

Un tel aveuglement caractérise la profession médicale. L’objectif de la maladie est si évident que les médecins ne peuvent pas le voir. Tout comme le gardien du camp de concentration, ils cherchent quelque chose qui n’existe pas et ne voient pas ce qu’ils voient si clairement tout le temps.

Les chercheurs en médecine ont répertorié plus de 20 000 maladies différentes. Ils en ont nommé presque toutes les variantes. Elles portent plusieurs noms en raison du nombre d’organes ou de systèmes tissulaires qui présentent des symptômes. Tout cela n’est qu’une seule et même maladie. Cette maladie, que nous appelons maladie constructive, est provoquée par le corps lui-même et est connue sous le nom de toxémie ou toxicose.

4. l’Hygiène naturelle ou la science naturelle des soins aux malades

4.1 Les travaux des docteurs Tilden, Carrington et Shelton

De même qu’il existe une cause universelle de maladie, il existe une panacée universelle ! Dans la mythologie, Asclépios avait deux filles. Toutes deux étaient des déesses. L’une était la déesse de la santé et s’appelait Hygeia. L’autre fille s’appelait Panacea. Elle était la déesse de la guérison. Le nom lui-même, en grec, signifie « guérison totale » ou « guérison universelle ».

Bien que ces déesses soient mythologiques, elles représentent des concepts valables. La panacée peut être obtenue par un retour aux pratiques naturelles. Le jeûne est le moyen le plus rapide d’invoquer la panacée universelle. De même que la maladie universelle est un corps chargé de toxines, la panacée universelle consiste à établir les conditions les plus idéales pour que le corps puisse se débarrasser de la toxicité et réparer les dommages subis. Le jeûne est la réponse. Il fonctionne dans tous les cas de maladie constructive, c’est-à-dire de maladie où il n’y a pas eu de dommages organiques irrémédiables.

De grandes sommités ont depuis longtemps redécouvert la panacée grecque. Le Dr Jennings l’a d’abord utilisée jusqu’à ce que le Dr John Tilden la développe dans son livre savant, Toxemia Explained. Le Dr Hereward Carrington a écrit quelques volumes très éclairants sur l’hygiène naturelle. Mais le Dr Shelton est allé plus loin et plus profondément que tous ceux qui l’ont précédé. Il s’est appuyé sur les épaules de tous ceux qui l’ont précédé et y a ajouté une touche de son propre génie. Dans notre section texte, nous présentons quelques observations du Dr Carrington. Voici une citation du Dr Herbert M. Shelton sur la nature de la maladie :

4.2 La définition hygiénique de la maladie

« Le système hygiéniste enseigne que la maladie est un effort correctif, une lutte des forces vitales pour purifier le système et retrouver l’état normal. Cet effort doit être aidé, dirigé et régulé si nécessaire, mais jamais supprimé. Qu’est-ce que cette chose mystérieuse qu’on appelle la maladie ? Il s’agit simplement d’un effort pour éliminer du domaine organique les matières obstruantes que nous appelons matières toxiques et pour réparer les dommages. La maladie est un processus de purification et de réparation. C’est une action corrective. C’est une lutte de pouvoir pour surmonter l’obstruction et maintenir les canaux de circulation libres ».

En réalité, la maladie est bien plus que cela si nous la considérons sous tous ses aspects. Le Dr Carrington a quelque peu simplifié la présentation du Dr Shelton. Il dit ce qui suit :

« La maladie est une tentative de l’organisme pour libérer ses cellules et son système circulatoire des substances toxiques qui les encombrent. C’est un corps désespéré qui rassemble ses dernières ressources pour se purger et se restaurer ».

Nous avons de nombreux et illustres prédécesseurs dans l’élaboration et la création de ce que nous appelons l’hygiène naturelle ou la science de la vie. Parmi nos prédécesseurs, les plus remarquables ont été quelques femmes vraiment remarquables. Alors que les femmes étaient rejetées dans la profession médicale, le mouvement hygiéniste était vraiment éclairé et sans entraves. Il a accueilli les femmes à bras ouverts et, si nous laissons de côté les médecins renégats, leur nombre est presque égal à celui des professionnels hygiénistes masculins.

Combien d’entre vous ont entendu parler de Louisa May Alcott ? Oui, tous. Mais combien d’entre vous savent qu’elle était hygiéniste ? Que son père était hygiéniste ? Que son frère William Alcott était un hygiéniste professionnel et un brillant écrivain ?

Je suis sûre que vous avez tous entendu parler de Florence Nightingale, qui a donné une nouvelle dignité et une nouvelle orientation à la profession d’infirmière. Elle était hygiéniste.

Combien d’entre vous ont entendu parler d’Ellen White ? C’est une hygiéniste qui a fondé la religion que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Adventistes du septième jour.

Il y a beaucoup d’héroïnes méconnues parmi les femmes qui étaient des professionnelles de l’hygiène. Mary Gove, Susan Nichols, Linda Burfield Hazzard et d’autres ont fait honneur à la profession d’hygiéniste et à la féminité.

La plus célèbre hygiéniste du beau sexe est peut-être Florence Nightingale. Son audace sur les champs de bataille de l’Europe de l’Est suscite encore notre admiration pour le courage de ses convictions. Les Britanniques combattaient les Russes et plus de soldats mouraient derrière les lignes de combat que sur celles-ci. Les médecins et leurs traitements tuaient les blessés et les malades plus rapidement que les Russes.

Lorsque Florence Nightingale est arrivée sur le champ de bataille, elle a vraiment pris les choses en main, malgré les médecins. Ce qu’elle a fait est très simple : elle s’est rendue dans les chambres des blessés et des malades et a ouvert les fenêtres pour qu’ils respirent de l’air frais. Elle ne permettait pas l’administration de médicaments. Elle donnait de l’eau aux patients, ce qui était contraire à la politique médicale de l’époque. Elle refusait l’alimentation lourde et, en fait, pour beaucoup, l’alimentation tout court. Être confiné dans un hôpital de champ de bataille était auparavant une condamnation à mort. Désormais, la quasi-totalité des blessés et des malades se rétablissent rapidement. C’est de l’histoire ancienne et Florence Nightingale est devenue célèbre grâce à son immense succès dans l’application des simples rudiments des méthodes hygiéniques. Ce succès est d’autant plus phénoménal que Mme Nightingale vivait à une époque médicale et dans un monde d’hommes. Elle a défié les médecins et a gagné. Elle a été une véritable pionnière de l’hygiène. Le monde, malgré sa pauvreté dans le domaine de la santé, est encore plus riche de l’avoir comptée parmi nos ancêtres.

5. Le caractère de la maladie

Pour comprendre la maladie, il faut comprendre la santé. La santé, c’est la jouissance de la plénitude des facultés et de la puissance de fonctionnement. La maladie n’est pas le contraire de la santé, mais l’expression d’une vitalité saine sous l’effet d’une toxicose. La maladie est une crise instituée et conduite par le corps dans le but de se purifier et de se réparer.

La maladie est causée par des pratiques ou des matériaux et des influences qui ne sont pas normaux pour l’organisme humain : ce à quoi nous ne sommes pas adaptés provoquera la maladie.

Il est faux de croire que nous devons lutter contre la maladie. La maladie n’apparaît pas si elle n’est pas provoquée. On pourrait dresser un énorme catalogue des matières et des influences anormales pour l’organisme, mais ce n’est pas si compliqué. Il suffit de maintenir les besoins simples de la vie qui construisent et maintiennent la santé. Nous ne devrions consommer que de l’eau pure lorsque la soif l’exige et des fruits, des légumes, des noix et des graines sains et mûrs lorsque la faim l’impose. Nous sommes des frugivores, et c’est à un régime de fruits tels que la nature nous les offre que nous sommes biologiquement adaptés.

En outre, nous sommes adaptés à l’air pur, au soleil, au repos et au sommeil, à un environnement agréable, à des compagnons émotionnellement équilibrés — en bref, nous sommes adaptés à un monde harmonieux. Nous sommes ainsi constitués que la santé résulte de la satisfaction de tous nos besoins physiques, mentaux, émotionnels, intellectuels et esthétiques. Ainsi, les maladies autres que les maladies dégénératives peuvent être considérées comme des crises corporelles visant à rétablir la santé.

La cause, le but et la nature de la maladie ont maintenant été définis. Certaines questions seront expliquées ci-dessous.

5.1 Les maladies ne sont pas contagieuses

ÉTUDIANT : Est-il vrai que les maladies ne sont en aucun cas contagieuses ?

INSTRUCTEUR : C’est exact. Les maladies ne sont pas contagieuses dans un sens ou dans l’autre simplement parce qu’elles sont instituées par le corps. Nous ne pouvons pas transférer notre charge toxique à quelqu’un d’autre. Cela devrait être évident. Un hygiéniste peut se rendre dans une chambre de malade sans en souffrir le moins du monde. Il est évident que la plupart des médecins, des infirmières et d’autres personnes se rendent dans les chambres de malades, même ceux qui sont atteints des maladies les plus soi-disant contagieuses. Ils ne contractent jamais la maladie et n’en souffrent pas, même si les médecins prétendent parfois que c’est le cas. Vous ne pouvez pas transférer vos substances toxiques à une autre personne à moins de les faire sortir de vous et de les injecter à cette personne. C’est ce que font les médecins lors des transfusions. Mais la contagion est ici induite par la médecine et ne se produit pas dans le domaine des possibilités naturelles.

On dit que le rhume, la grippe, la lèpre et un certain nombre d’autres maladies sont contagieuses. Au fur et à mesure que nous en apprenons davantage, les maladies deviennent de moins en moins contagieuses. L’asthme, le cancer, le psoriasis, la méningite, la poliomyélite et une longue liste d’autres maladies ne sont plus contagieuses. La rougeole, la varicelle et d’autres affections figurent toujours sur la liste des maladies dites contagieuses. La seule chose contagieuse dans ces maladies est l’ignorance médicale. C’est la plus contagieuse de toutes.

5.2 Comment les fléaux et les épidémies se développent-ils ?

La raison pour laquelle il semble y avoir des « épidémies » est que la véritable contagion est une épidémie de mauvaises habitudes similaires. Nous mangeons tous à peu près les mêmes saletés, sommes soumis aux mêmes saisons, au même type de logement et, à bien d’autres égards, nous nous livrons aux mêmes pratiques préjudiciables à la santé. Il n’est donc pas étonnant que nous soyons nombreux à souffrir des mêmes maladies. Les mêmes causes engendrent les mêmes effets. Bien entendu, ce phénomène est modifié dans la situation humaine par la diathèse de chaque individu.

Nous constatons ainsi que, dans le contexte d’une famille ou d’un groupe donné, les gens ont plus ou moins les mêmes mauvaises habitudes et souffrent des mêmes maladies.

Cette histoire de période d’incubation des germes et des virus relève de la mythologie médicale. Nous l’approfondirons et l’étudierons méthodiquement dans des leçons ultérieures.

À quoi attribue-t-on les fléaux et les épidémies ? Les épidémies d’aujourd’hui sont pour la plupart inventées et rendues publiques en Amérique par le Center for Disease Control à Atlanta, en Géorgie. Il s’agit d’un service fédéral qui rend de grands services à la profession médicale. Lorsque les laboratoires pharmaceutiques veulent vendre des quantités importantes de vaccins contre la grippe, la rougeole, etc., ils demandent au CDC de diffuser une propagande alarmiste qui incite le public à se rendre dans les cabinets médicaux pour se faire vacciner. Penser que les vaccins injectés aux personnes les rendent immunisées est une absurdité qui ne mérite pas d’être prise au sérieux — il s’agit d’une sorte de vaudou.

Les épidémies d’aujourd’hui résultent, je vous rassure, de la pratique massive des mêmes mauvaises habitudes et de la soumission aux mêmes conditions de vie pathogènes. Ce n’est pas un hasard si près de 90 % des affections qualifiées généralement de rhumes et de grippes surviennent au cours d’une période de sept mois de l’année.

La raison pour laquelle les épidémies surviennent en hiver et non en été devrait être évidente. En fait, la vie microbienne est plus active en été, tout comme nous, et ses fonctions sont ralenties en hiver. Mais voilà, on dit que les formes de vie microbienne sont plus actives et qu’elles provoquent des épidémies. Cela n’a aucun sens. En hiver, nous mangeons moins d’aliments sains — nous mangeons plus de cochonneries. Nous faisons moins d’exercice. Nous restons à l’intérieur et respirons un air vicié. En été, nous avons plus de soleil, plus d’exercice, plus d’air frais, des fruits frais et mûrs — en bref, nous vivons plus sainement en été et moins sainement en hiver. Les conditions nous poussent à vivre de manière à générer nos maladies. Les conditions générales entraînent une mauvaise santé générale. Ce n’est pas la contagion des germes, mais la contagion des conditions pathogènes qui crée ce que l’on appelle les fléaux ou les épidémies.

5.3 Les médicaments sont dangereux pour les bactéries et les cellules humaines

Les hygiénistes ou les scientifiques de la vie déplorent la pratique médicale qui consiste à nourrir les malades et à les droguer également.

Lorsqu’une personne est malade, la poursuite de l’alimentation suffit à contrecarrer les forces de guérison en son sein. Mais l’adjonction de médicaments détruit tellement les forces vitales que le corps doit souvent réorienter ses efforts de purification pour se libérer des poisons les plus virulents qui lui sont administrés. On voit donc que les professionnels de la santé apportent la mort au lieu d’apporter la vie.

Oui, les médicaments tuent les bactéries. Mais ils sont tout aussi mortels pour toutes les formes de vie métabolique. Ce qui perturbe et détruit les fonctions métaboliques des bactéries fait généralement de même pour les cellules de toutes les formes de vie. Même les médecins vous diront que les médicaments n’ont aucun effet sur les virus. Bien sûr, ils n’ont aucun effet sur ce qu’ils appellent des virus, car il s’agit de débris de cellules mortes qui ne peuvent pas être rendues plus mortes.

En conclusion, je vous assure qu’il ne faut pas avoir peur de la maladie. C’est comme avoir peur de son propre corps. Si vous avez peur de quelque chose, craignez votre disposition à consommer des aliments malsains et à vivre dans des conditions malsaines.

6. Questions et réponses

L’indigestion et l’acidose sont-elles des maladies ou de petites crises passagères ?

Ce sont des maladies, même si elles sont généralement de courte durée. Tout ce qui nous met mal à l’aise est une maladie. Si l’acidose n’existe pas, car nous mourrions bien avant que nos fluides corporels n’atteignent le stade de l’acidité, il existe en revanche une hypoalcalinité. Une réduction de l’alcalinité d’un pH de 7,40 à seulement 7,35 est suffisante pour provoquer un coma et une baisse de cinq à dix points peut entraîner la mort.

L’indigestion et ce que l’on appelle l’acidose sont généralement causées par la consommation d’aliments en combinaisons digestives incompatibles et par une alimentation à prédominance acide. Ce sont les causes principales de ces troubles.

Vous avez dit que les maladies ne sont pas contagieuses. Dans ce cas, comment expliquez-vous les maladies vénériennes ? Il est prouvé qu’elles sont contagieuses.

J’ai déjà répondu à cette question d’une certaine manière, mais je vais revenir sur ces arguments. La pensée conventionnelle veut que les gonocoques et les spirochètes soient transférés d’une personne à l’autre au cours de l’acte sexuel. La personne « infectée » développe alors soit la gonorrhée, soit la syphilis. Aujourd’hui, même le corps médical abandonne cette croyance de longue date au profit du virus de l’herpès comme cause de ce que l’on appelle les maladies vénériennes.

Tout d’abord, la syphilis est le fruit de l’imagination médicale. La plupart des cas de syphilis décrits dans les livres d’antan étaient des effets du mercure et des sulfamides que la profession administrait si généreusement. Ce que l’on appelle la gonorrhée n’est pas plus grave que les aphtes de la bouche. Il s’agit dans les deux cas d’une étape d’élimination par l’organisme. L’ulcération et la suppuration représentent le cinquième stade de l’évolution de la maladie. Les facteurs dits contagieux, les bactéries, sont là à cause de la maladie, et non pour la provoquer. En effet, environ 20 % des personnes souffrant de maladies vénériennes n’ont ni gonocoque ni spirochète. Dire qu’un bouton, un ulcère ou une pustule dans la zone sexuelle est causé par une bactérie ou un virus revient à dire que les furoncles sont causés par la même chose, alors qu’il est généralement admis que les furoncles sont le résultat de la saleté dans le corps. Il s’agit des mêmes processus, mais ils se produisent dans des zones différentes du corps. En outre, il faut reconnaître que l’autolyse des tissus et la création d’inflammations et de furoncles sont des actions du corps, et non des actions bactériennes ou virales.

Il est faux de dire que les maladies vénériennes sont contagieuses. La marine américaine a mené des expériences au cours desquelles il a été démontré que les personnes soi-disant infectées ne pouvaient pas infecter les personnes saines. Lorsque je faisais partie d’une brigade des mœurs au Japon, nous avons eu affaire à des prostituées soi-disant infectées qui avaient fréquenté des dizaines de GI’s, mais aucun d’entre eux n’a contracté la maladie. D’autre part, de nombreuses personnes infectées dans la zone sexuelle n’ont été en contact avec personne, en particulier les jeunes enfants qui ont parfois des infections dans la zone sexuelle.

Malgré les apparences, le concept de contagion n’est pas prouvé. Il s’agit d’un mot médical effrayant qui fait entrer les clients dans les cabinets des médecins. C’est un peu comme les compagnies d’assurance qui aiment voir des incendies et payer, car cela facilite la vente d’assurances.

Il semble plutôt impudent de votre part de dire que des millions de scientifiques, de médecins, de chercheurs et d’enseignants en médecine se trompent tous. N’est-il pas possible que vous vous trompiez sur le fait que la maladie est une action du corps plutôt qu’une action bactérienne ou virale ? N’est-il pas possible que les médecins qui existent depuis si longtemps aient vraiment raison ?

Les vieux mythes ont la vie dure, n’est-ce pas ? Plus le mythe est ancien et vénéré, plus il est difficile de le dissiper. Votre question aurait fait mouche il y a près de cinq cents ans, lorsque Copernic a présenté sa théorie héliocentrique du système solaire. Il est difficile de croire que tout le monde peut se tromper. Mais j’insiste sur le fait que toute la profession fonctionne sur une prémisse erronée. Le fait que le jeûne permette à un organisme de guérir rapidement d’une blessure ou d’une maladie et que les médicaments retardent ou empêchent complètement la guérison est une indication de l’erreur de l’école de pensée médicale. Le mot même de médecine est une erreur de dénomination. Ce mot signifie agent ou substance curative. Un tel agent ou une telle substance n’existe pas. La guérison est toujours la prérogative exclusive de l’organisme affecté. Il n’y a pas assez d’intelligence et de savoir-faire dans la connaissance collective du monde pour tricoter un os dans un organisme. La guérison est, je le répète, un processus entièrement corporel.

L’impudence ne vient pas de moi, mais de ceux qui nient cette vérité évidente et manifeste. L’âge ne rend pas les croyances vraies, et la vérité ne change jamais avec l’âge. La croyance que le monde était plat a été acceptée par des millions de personnes pendant près de deux mille ans, mais cela n’a pas aplani le monde. De même, si les masses de notre peuple n’acceptent pas des vérités évidentes, des vérités qui expliquent tout en matière de santé et de maladie et qui sont démontrables lorsqu’elles sont mises à l’épreuve, alors ce sont ceux qui nient l’évidence qui sont impudents. Dois-je répéter un vieux refrain :

« Je préfère avoir raison avec quelques persécutés que tort avec beaucoup ».

Je connais le canular de la grippe porcine, mais la vaccination contre la rougeole est-elle aussi un canular ? Si les enfants sont exposés à la rougeole, ils l’attrapent, mais s’ils ont été vaccinés, ils ne l’attrapent pas, n’est-ce pas ?

Tout le monde sait que la vaccination contre la grippe porcine était un canular. Ce n’est qu’une question de temps avant que les gens ne découvrent le canular du tétanos, le canular de la rage, le canular de la coqueluche, le canular de la rougeole et d’autres canulars médicaux.

Si les enfants sont exposés à d’autres personnes atteintes de la rougeole, ils ne l’attrapent pas. La rougeole n’est pas contagieuse. Ce qui est « contagieux », ce sont les habitudes alimentaires qui en sont la cause (toutes les habitudes de vie malsaines, les mauvaises combinaisons d’aliments, le stress, etc.) Mais les enfants n’ont généralement pas la rougeole si leur système est trop drogué et dévitalisé. Et c’est ce qui se passe lorsqu’ils sont vaccinés. Ils ne peuvent pas mener la simple crise d’élimination qu’est la rougeole. S’ils ne peuvent pas avoir la rougeole, ils auront tôt ou tard quelque chose de pire — comme le cancer ! La rougeole est une crise instituée et menée par le corps pour se débarrasser des accumulations toxiques. Les interférences vaccinales détruisent la vitalité nécessaire pour avoir la rougeole.

La rougeole est utile, elle n’est pas nuisible. Le corps crée la rougeole et maintient le processus en vigueur jusqu’à ce que le nettoyage du corps soit terminé. Contrairement au mythe médical, le corps ne se fera pas de mal en menant cette crise ou toute autre crise. On ne peut pas en dire autant des vaccins, qui sont eux-mêmes toxiques.

Le mal que l’on dit tirer de la rougeole provient en fait des médicaments et des traitements « héroïques » administrés par le corps médical. La rougeole et d’autres maladies aiguës sont des fonctions corporelles utiles ; le corps est aux prises avec une surcharge de matières toxiques. Les vaccins et les médicaments ajoutent à ces substances toxiques. Ils ne constituent jamais une « prévention » ou un antidote. Ils peuvent aggraver la situation, mais n’ont en aucun cas l’intelligence ou la capacité d’aider.

Si les vaccinations ne nous confèrent pas d’immunité, qu’en est-il des anticorps produits par les organismes vaccinés ?
Les anticorps ne constituent-ils pas une véritable défense contre un virus, comme dans le cas de la rougeole ?

Cela me rappelle une blague : un colonel de l’armée de l’air qui commandait une escadre de chasse inspectait ses pilotes un samedi matin. Il s’arrête auprès d’un capitaine et d’un lieutenant qui pilotent et copilotent un avion. Il a demandé au capitaine : « Que feriez-vous, capitaine, si votre avion prenait feu et que vous ne pouviez pas ouvrir la verrière ? » Le capitaine répond : « Monsieur, je m’éjecterais par la verrière. » Le colonel réplique : « Espèce d’idiot, vous seriez écrasé à mort dans l’opération. » Il se tourne alors vers le lieutenant et lui demande ce qu’il ferait. Le lieutenant répondit docilement : « Monsieur, je passerais par le trou que le capitaine a fait ». Cette question est d’une grande importance. La vérité est que le corps ne crée pas de nouvelles facultés de défense en réponse à un poison. Au contraire, ses facultés défensives sont détruites. Poser la question de cette manière revient à dire que le corps crée des anticorps pour se défendre contre le goudron et la nicotine de la cigarette parce qu’il peut en tolérer des quantités de plus en plus grandes sans subir les mêmes effets néfastes que lors de la première cigarette de la vie. Le corps ne tolère pas mieux la fumée après mille cigarettes qu’après une seule. L’organisme ne se défend plus contre les poisons pathogènes de la fumée de cigarette tout simplement parce que ses défenses ont été détruites et non pas renforcées.

Les chercheurs en médecine vous diront que les « anticorps » ne sont que des présomptions et non quelque chose de réellement démontrable en laboratoire en tant que nouvelle faculté corporelle. Ils sont présumés parce que, lorsque des vaccins sont administrés, la plupart des personnes qui les reçoivent ne contractent plus la maladie. Cela s’explique par le fait que les facultés défensives du corps sont détruites, et non améliorées. La capacité du corps à mener à bien la simple crise de nettoyage connue sous le nom de rougeole est tellement affaiblie par le poison vaccinal qu’il retient ce qui devrait normalement être expulsé. Ce n’est pas un hasard si le cancer est aujourd’hui la première cause de mortalité chez nos enfants. Lorsqu’un simple nettoyage ne peut avoir lieu, le corps évolue d’autant plus rapidement vers les stades suivants de la maladie.

Les anticorps sont, je le répète, un mythe médical, une invention de l’imagination médicale.

Vous venez d’admettre que les vaccins réduisent l’incidence de la rougeole. N’est-ce pas une bonne chose puisque la rougeole peut provoquer des lésions cérébrales ?

Comment puis-je faire comprendre que la rougeole n’est pas un fléau, mais un bienfait. Si le corps est sale à l’intérieur, un nettoyage est une bonne chose. La rougeole est un processus de nettoyage. Le corps mène la crise appelée rougeole et il le fait pour s’aider lui-même, pas pour se faire du mal. Le corps ne se blesse jamais, sauf lorsque la blessure est nécessaire et qu’il s’agit du moindre des deux maux. Les lésions cérébrales ne résultent pas d’une crise de nettoyage. Ce sont plutôt les médicaments administrés lors d’une telle crise qui sont responsables des dommages. Les médecins endommagent de nombreuses personnes avec leurs médicaments et rejettent commodément toute la responsabilité sur les nobles efforts de réparation du corps plutôt que d’en assumer la responsabilité.

Comment prouver qu’une maladie est causée par la toxicité plutôt que par des germes ? Vous basez-vous sur des preuves de laboratoire ou sur des observations empiriques ?

Si les germes étaient la cause de la maladie, il n’y aurait pas de rémission. S’ils avaient le pouvoir d’attaquer avec succès les tissus vivants et de proliférer suffisamment pour affaiblir une personne, comme on le suppose généralement, les résultats seraient comparables aux effets de pommes pourries au milieu de bonnes pommes — elles seraient bientôt toutes mauvaises. Les humains ne survivraient tout simplement pas à cette épreuve et il n’y aurait plus de race humaine.

Si nous faisions jeûner des personnes atteintes d’une maladie causée par un germe, le jeûne ne tuerait pas les germes. Tout comme une pomme pourrie peut gâcher les bonnes, la prolifération des germes se poursuivrait, que l’on mange ou que l’on jeûne. En fait, les personnes qui jeûnent recouvrent rapidement la santé, alors que si elles continuent à manger et à prendre des médicaments, elles se rétablissent lentement, voire pas du tout.

Des jeûnes ont été menés en laboratoire dans de nombreux hôpitaux et centres médicaux universitaires, avec des contrôles. Il a été prouvé sans l’ombre d’un doute que le corps se nettoie lui-même dans les conditions du jeûne et qu’il guérit deux ou trois fois plus vite lorsqu’il jeûne que lorsqu’il s’alimente et/ou prend des médicaments. Des expériences médicales sur le jeûne ont été menées à l’université de l’Illinois à Chicago et à l’université de Pennsylvanie à Philadelphie. Il n’est pas nécessaire de se plonger dans la littérature sur le jeûne pour trouver les résultats observés. Toutes les recherches médicales ont prouvé la véracité de la causalité toxémique des maladies, quelles que soient les interprétations erronées des chercheurs. Les chercheurs interprètent généralement leurs données pour satisfaire ceux qui financent l’expérimentation, généralement les entreprises pharmaceutiques ou les bénéficiaires des médicaments. Si les expériences sont trop contraires aux objectifs recherchés, elles sont généralement enterrées sans faire de bruit. Les preuves en laboratoire et les observations empiriques démontrent que la maladie est une réaction du corps à l’intoxication plutôt qu’à des germes.

Comment convaincre nos clients qu’ils sont responsables de leurs maladies et qu’il ne s’agit pas d’une malchance ?

Heureusement, vous n’avez pas à faire porter le poids de la responsabilité sur les épaules de vos clients. Au début, vos clients auront l’esprit « curatif » et voudront sortir du dilemme. Vous pouvez leur indiquer la voie positive du retour à la santé sans les culpabiliser. Vous pouvez leur faire remplir un questionnaire détaillé que nous avons mis au point et dont les réponses sont pondérées à l’avance afin que vous puissiez suggérer des changements dans le mode de vie du client. Vous pouvez faire de ce processus un moment d’aventure et d’exploration en présentant les avantages qu’il y a à faire ceci et cela et à ne plus faire ceci et cela.

Le Dr Jennings a fait jeûner des gens en les trompant. Il leur donnait du pain et des pilules de sucre, ce que nous appellerions des placebos, et leur demandait de prendre de l’eau avec ces pilules quatre ou cinq fois par jour. Il leur conseillait également de se reposer au lit, de prendre l’air, etc. Il déconseillait de prendre autre chose que de l’eau avec les pilules, sinon elles ne fonctionneraient pas. Les résultats obtenus par ses clients étaient tout simplement miraculeux. Ses patients se rétablissaient à 100 %, alors que ses collègues médecins, qui pratiquaient une médication héroïque, perdaient des patients en nombre épidémique.

On peut attribuer la magie de la santé à certains aliments ou à des régimes limités, même à un régime à base d’eau distillée. Mais vous ne pouvez garantir un résultat sain qu’à l’intérieur de certains paramètres. Par conséquent, le client vous suivra probablement dans sa quête de bien-être, tout comme il suit tous les charlatans dans le domaine médical ou dans d’autres domaines des soi-disant arts de la guérison.

Je répète que vous pouvez en faire un jeu, c’est-à-dire en faire une aventure intéressante plutôt qu’une corvée onéreuse. L’éducation et le pourquoi peuvent suivre les résultats. Les gens sont intéressés par les résultats et vous êtes là pour leur montrer comment faire. Les gens croient en la magie de la nutrition et nous allons vous l’enseigner telle qu’elle est. Nous allons vous l’enseigner pour que vous puissiez ramener vos clients à la santé le plus rapidement possible, non seulement en matière de régime alimentaire, mais aussi dans le cadre d’un régime de santé complet. Vous pouvez toujours donner des instructions tout à fait appropriées et directes qui permettront au client de retrouver rapidement la santé. Mais vous pouvez le faire de manière à ce que ce soit une entreprise passionnante. Vous cultiverez cette manière confiante de savoir exactement ce qu’il faut faire en examinant avec sympathie et empathie les problèmes de vos clients tels qu’ils vous sont rapportés par le biais de questionnaires et de plaintes verbales.

Je ne trouve rien à redire à l’explication de la maladie par la toxémie, mais elle semble trop simple pour être vraie. Pensez-vous que nos clients vont accepter cela ?

Je dois répéter que vos clients ne sont pas intéressés par des théories ou des explications. Ils recherchent des résultats, un tapis magique pour passer d’un état de maladie à un état de santé. Il suffit d’agiter devant eux la baguette magique du salut nutritionnel dans le cadre d’un régime de santé complet pour qu’ils le suivent religieusement. Votre expertise les émerveillera et une fois que le bouche-à-oreille aura fait son chemin à propos des résultats miraculeux que vos conseils rendent possibles, les clients afflueront vers vous.




Comment on a renversé les valeurs : mécanisme d’un effondrement

[Source : Marion Sigaut – Officiel]

Présentation à Ferney-Voltaire du mécanisme, tel qu’analysé par Judith Reisman, qui a fait de l’Amérique pudique et chrétienne une société rongée par la pornographie, la violence et toutes les perversions.

Trois noms émergent de ce cloaque : Kinsey, Rockefeller et la CIA…




Avertissement concernant le Dr Peter McCullough et son billet sur l’ARNsi

[Source : danielnagase.substack.com]

Par Daniel Nagase MD

Peter McCullough a récemment envoyé un article porteur d’espoir qui parle d’ARNsi et de la thérapie RIBOTAC comme moyen de désactiver l’ARNm des vaccins COVID-19.
[NDLR Voir aussi https://x.com/P_McCulloughMD/status/1796491774107451722]

Peu importe qu’il existe des moyens bien moins coûteux d’inactiver l’ARNm artificiel des vaccins COVID, ce que le Dr MCullough ignore largement.

  • L’un d’eux est l’évérolimus, un médicament très ancien dont le brevet a expiré et sur lequel j’écris ici :

  • L’autre est le jeûne intermittent, dont je parle ici :

Pourquoi le Dr McCullough fait-il la promotion de l’ARNsi ?

Voici un article sur l’ARNsi :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10725753

Qui est Arbutus Biopharma ?
L’entreprise qui a introduit la technologie des nanoparticules lipidiques dans le monde pour les « vaccins » ARNm :
https://investor.arbutusbio.com/news-releases/news-release-details/arbutus-biopharma-and-genevant-sciences-file-patent-0

Beaucoup d’entre nous espèrent que le Dr Peter McCullough ne deviendra pas un autre Dr Robert Malone » :

Il est très suspect de promouvoir l’entreprise Arbutus, qui a causé des dommages à l’ADN, comme remède contre les dommages à l’ADN.
Il se pourrait que de très gros moyens financiers se cachent derrière cette opposition contrôlée.

Le seul moyen pour tout mouvement de liberté de gagner est de réfléchir beaucoup plus profondément à la portée des tromperies d’aujourd’hui.





Quoi, je m’inquiète ?

[Source : off-guardian.org]

Par Todd Hayen

Est-ce que c’est fini ? Des personnes vont-elles continuer à mourir à cause des vaccins Covid ? Ou la surmortalité a-t-elle atteint son maximum ? Ou dois-je continuer à m’inquiéter pour tous mes amis et ma famille qui se sont fait vacciner ?

Un récent article de presse (The Telegraph, Royaume-Uni) titrait « Les vaccins Covid pourraient avoir atteint leur apogée » :

« Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à alimenter la hausse de la surmortalité ».

Cet article a fait grand bruit dans les médias sociaux, car il s’agit apparemment du premier (ou du moins de l’un des premiers) « média grand public » à admettre que la piqûre a une quelconque corrélation avec la surmortalité.

Inutile de dire que les « vérificateurs de faits » sont tous sortis de sous leurs rochers pour rejeter une telle chose, déblatérant divers « faits » incrédules tels que « tous les scientifiques ne sont pas d’accord ». Oh là, là, cela m’arrêterait dans mon élan, n’est-ce pas ? Le « fait » que « tous les scientifiques ne sont pas d’accord » rend le titre du journal plus crédible qu’il ne l’est autrement. Sans blague.

Quoi qu’il en soit, nous voyons en effet un grand nombre d’aveux similaires de la part de diverses sources. Mais qu’est-ce qui fait qu’une source est « grand public » ? Difficile à dire, en fait. La plupart d’entre elles appartiennent à un oligarque quelque part, alors qu’est-ce qui n’est pas « grand public » ? J’ai compris. Je pense que le mantra « Je ne croirai que ce qui provient de cette source » réduira considérablement le choix des sources au fil du temps. Si de plus en plus de torchons « grand public » comme The Telegram continuent à faire des affirmations aussi absurdes, il y aura de moins en moins de torchons considérés par les moutons comme « grand public ».

Je m’écarte du sujet.

Est-ce que c’est fini ? Bien sûr que non. Le pensiez-vous ? J’en doute. Il est certain que de nombreux moutons pensent que la « pandémie » est terminée, que le Covid est peut-être terminé (bien que l’agenda continue de battre ce cheval mort — je suppose que l’on peut encore extraire le sang d’un navet). En fait, il est difficile de savoir ce que pensent les moutons. Ils sont tellement « moutonniers ».

Je suppose qu’il suffit d’allumer la télévision et d’écouter quelques-unes de leurs idoles pour s’en rendre compte. Mais si c’est votre méthode pour comprendre quel lapin les moutons suivront ensuite, assurez-vous de regarder/écouter 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, car dans le jeu sans fin du « suivez le chef », le chef (ou du moins ce qu’il désigne) change à tout moment.

Malheureusement, la piqûre Covid risque d’entraîner la mort de bien d’autres personnes. Problèmes cardiaques chroniques, problèmes cérébraux, dégradation du système immunitaire, cancers, mortinatalité, infertilité (ce qui est une façon indirecte de se débarrasser des mangeurs inutiles). Il se peut que certains de ces problèmes ralentissent, mais ce n’est peut-être qu’une accalmie dans la tempête, et peut-être que tout cela reprendra avec une vigueur inégalée jusqu’à présent. Il faut laisser du temps au temps.

J’ajouterai cette citation tirée d’une récente interview du Dr Sherri Tenpenny. Vous vous souvenez d’elle ? C’est elle qui a dit que tous ceux qui ont pris le vaccin seront morts dans cinq ans (je n’ai pas pu vérifier si elle a fait cette citation, mais je me souviens qu’elle l’a dite. Des liens ? Quelqu’un ? Quelqu’un ?)

Ces gens me font toujours penser au film de Jimmy Stewart No Highway in the Sky, dans lequel Stewart, une sorte d’expert en aéronautique/ingénieur, affirme qu’un nouvel avion va tomber en panne après un certain nombre d’heures de service. Tout le monde pense qu’il est fou et insiste sur le fait que ses prédictions sont absurdes. Eh bien… regardez le film.

Et n’oubliez pas, en ce qui concerne la prédiction de Tenpenny, que cinq ans ne sont pas encore écoulés, et que beaucoup de gens sont morts jusqu’à présent. Le Dr Sherri dit que ce n’est pas encore fini :

« Ce n’est pas fini, ce n’est qu’une inspiration avant la prochaine expiration. Ce n’est qu’une pause avant la prochaine tempête. Il faut donc que les gens restent dans le jeu, qu’ils comprennent ce qui s’est passé et pourquoi. Et ils doivent comprendre que la censure est réelle. Lorsque Tedros (Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS) s’est exprimé lors de la réunion de l’Organisation mondiale de la santé (Assemblée mondiale de la santé) la semaine dernière, il a déclaré que nous devions nous en prendre aux antivax parce que ce sont eux qui nous ont empêchés d’introduire cette arme biologique dans le bras de tous les êtres humains de la planète. “Nous devons les faire taire. C’était juste un autre niveau de censure, et ça ne s’arrête pas, et ça va recommencer très bientôt.” »

Sympa.

La plupart d’entre vous me connaissent assez bien pour savoir que je suis d’accord avec les spéculations de Tenpenny. Malheureusement, c’est le cas. Et je crois aussi en Vanden Bossche. Mais je ne retiens pas mon souffle en espérant que la fin du monde arrive bientôt. Beaucoup de choses peuvent se produire de différentes manières. Et nous ne pouvons tout simplement pas être certains du calendrier. Il peut suffire de quelques années (ou mois !) pour que tout cela reprenne de la vitesse et aille plus loin, ou bien cela peut prendre des années. Dans tous les cas, l’agenda présente des avantages.

Une chose que Tenpenny dit et qui est, à mon avis, une vérité absolue, c’est l’effort de l’agenda pour introduire une aiguille dans chaque bras de chaque être humain sur Terre. Si vous considérez les choses sous cet angle, vous comprendrez que tout cela a un peu plus de sens. Il ne s’agit pas nécessairement de piqûres de Covid, mais aussi de piqûres contre la grippe aviaire, la variole du singe ou la maladie X. Il peut même s’agir des piqûres annuelles habituelles. Il peut même s’agir du vaccin annuel contre la grippe ! En fait, il peut s’agir d’à peu près n’importe quoi. Il est certain que n’importe quel vaccin ou piqûre, quel qu’il soit, est à prendre en considération. La nourriture, les chemtrails, l’eau contaminée, les moustiques, les tiques, les puces. Certaines de ces méthodes sont peut-être plus efficaces que d’autres, mais je n’exclurais aucune d’entre elles comme moyen possible d’introduire de l’ARNm dans notre corps.1

Bien sûr, si vous ne vous êtes pas aventuré jusqu’au fond du trou du lapin, vous êtes peut-être en train de vous exclamer « Balivernes » (ou quelque chose de moins désuet). « Ce Todd est un imbécile ! » Oui, oui, je ne vous contredirai pas sur ce point. Mais si je suis un imbécile, je ne suis pas le seul à l’être. Beaucoup d’entre vous se sont aventurés au fond de ce trou et savent exactement de quoi je parle.

Si vous adoptez ce point de vue, vous savez bien sûr que ce n’est pas encore fini. Et si vous adoptez cette perspective, vous saurez que la manière dont la Covid a été gérée n’était pas « une erreur » ou le résultat de « nous avons fait de notre mieux avec ce que nous savions ».

Vous saurez également qu’il ne s’agissait pas d’un plan de profit, c’est-à-dire d’un plan conçu pour que Fauci et compagnie, Pfizer et tous les autres escrocs qui ont mis tout cela sur pied puissent gagner des milliards de dollars. Non, ce n’est pas si simple, je le crains. C’est bien plus sinistre que cela.
Accrochez-vous à votre chapeau. La partie la plus folle de la chevauchée sauvage de M. Taud est sur le point de commencer.

Todd Hayen PhD est un psychothérapeute agréé qui exerce à Toronto, en Ontario, au Canada. Il est titulaire d’un doctorat en psychothérapie des profondeurs et d’une maîtrise en études de la conscience. Il est spécialisé dans la psychologie jungienne et archétypale. Todd écrit également pour son propre site, que vous pouvez lire ici.





Les « bébés Covid » entrés en maternelle montrent un retard de développement

[Source : ladepeche.fr]

Par Edwige Grolleau

Les effets du Covid-19 continuent d’avoir des répercussions dans nos vies quotidiennes. Selon une étude parue au mois de juin 2024, les enfants nés en période de pandémie accusent un retard de développement plus important que leurs aînés. Certains d’entre eux peinent à s’exprimer ou ne savent pas tenir un crayon.

Le constat est sans appel pour les enseignants qui les accueillent depuis cette année : les « bébés Covid » rencontrent un retard de développement cognitif, a repéré Slate, reprenant des informations du New York Times. C’est ce que démontre une nouvelle étude américaine parue au mois de juin, qui met en lumière les conséquences engendrées par les confinements successifs, sur les capacités d’adaptation des enfants nés à cette période.

Les conséquences de la scolarisation à la maison de millions d’élèves durant la pandémie de Covid-19, soulignaient déjà de difficultés d’apprentissage des mathématiques ou de la lecture. Mais cette fois-ci, les scientifiques se sont concentrés par les enfants qui viennent de commencer leur scolarité. « On parle là d’enfants de moyenne et grande sections qui jettent des chaises, mordent, frappent, sans l’autorégulation habituelle », souligne Tommy Sheridan, directeur adjoint de la National Head Start Association américaine.

Trop d’écrans, pas assez de relations sociales

L’étude réalisée dans des milliers d’écoles américaines, révèle ainsi que les plus jeunes sont plus nombreux à ne pas maîtriser les savoirs fondamentaux : tenir un crayon, communiquer leurs besoins, identifier les formes et les couleurs, gérer leurs émotions et interagir avec les autres. « Nous leur avons demandé de porter des masques, de ne pas voir les adultes, de ne pas jouer avec les enfants. Nous avons vraiment coupé ces interactions, et les enfants ne peuvent plus récupérer ce temps », a justifié au New York Times le Dr Jaime Peterson, pédiatre à l’Oregon Health and Science University.

[Voir aussi :
Effets nocifs des masques
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires
Les « experts » sanitaires admettent que les masques servent à contrôler les gens]

Des pédiatres, des professeurs et des experts de la petite enfance déplorent les effets négatifs et durables, sur les possibilités d’apprentissage fondamentales. Les résultats pointent également que les enfants nés au sein de foyers modes sont plus à même de subir un retard scolaire, en raison d’un manque d’interactions sociales et d’un temps plus élevé passé sur les écrans.

Des conséquences réversibles

Les premières années de vie sont fondamentales pour développer les capacités cognitives, en termes de langage, de coordination et de motricité. Heureusement, « des manques pendant la petite enfance, quand le cerveau est vieux de 6 mois, ne prédéterminent pas le reste de leur vie estiment les professionnels de la petite enfance », estime la pédiatre et neuroscientifique, Dani Dumitriu. La professionnelle de la petite enfance estime que les enfants scolarisés assidûment pourront rattraper le retard : « C’est tout à fait possible […], si nous prenons les choses en main tôt. »




Démonstration de sang affecté par les vaccins anticovid

Le journaliste Del Bigtrees a mené cette expérience dans le laboratoire du pathologiste Dr Ryan Cole.

[NDLR Des protéines Spike qui seraient prétendument dans ces vaccins ne peuvent pas produire un tel effet, alors que des nanoparticules à base de graphène qui possède de surprenantes propriétés électriques le pourraient. Voir aussi :
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Nanotechnologie et « vaccins »
Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?]




Amis agriculteurs, prenez note : ils vont essayer de confisquer et abattre vos poules

« N’enregistrez pas vos poules, enlevez vos pancartes d’œufs et fermez vos kiosques de bord de route.

Vous avez le droit de ne pas répondre aux questions.

Alors, lorsque la police, les services municipaux ou toute autre personne viennent frapper à votre porte, vous pouvez simplement dire : “Avez-vous vu le panneau sur ma porte ?”

Ne vous y conformez pas.

N’oubliez pas qu’il n’y a pas de science, pas de conformité. »

Myl traduction

[Voir aussi :
Le but : vous enlever vos poulets
Mise à jour sur la grippe aviaire : signes avant-coureurs de la « propagation » à venir
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
Le gouvernement néo-zélandais exige que les apiculteurs brûlent leurs ruches sous peine de poursuites pénales (dont la note)
Préparent-ils une famine mondiale ?
L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer les fermes laitières, bovines, porcines et avicoles à travers le pays ! Bonne voie vers la famine
Maladie, guerre et famine : le troisième cavalier du mondialisme approche au galop
Pénuries alimentaires, une guerre à venir ?]




Le gouvernement néo-zélandais exige que les apiculteurs brûlent leurs ruches sous peine de poursuites pénales

Le producteur de miel Springbank Honey affirme que les abeilles sont en bonne santé, mais le gouvernement prétend qu’elles sont atteintes de la loque américaine, une maladie bactérienne qui peut affaiblir et tuer les colonies d’abeilles.

L’extinction des abeilles mellifères peut provoquer une crise économique avec le déclin des produits tels que les fruits et les légumes.

Ils tuent les poules, les vaches, les abeilles, les canards, etc. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard…

Silvano Trotta

[Note de Joseph : si les êtres humains réalisaient que la peur de bactéries et de supposés virus pathogènes n’est pas justifiée, ils ne céderaient plus devant des mesures prétendument sanitaires (masques, distanciation sociale, confinement, vaccins, extermination d’abeilles, de poulets, de visons, de vaches, etc.) et ne risqueraient pas du subir une famine mondiale artificielle. Voir le dossier Vaccins et virus pour y consulter notamment les articles qui évoquent la réfutation scientifique de la théorie des germes et de sa fille virale et qui montrent que la virologie est une pseudoscience ne suivant nullement la méthode scientifique.
Certains des articles de ce dossier présentent aussi un nouveau paradigme médical, une nouvelle manière de voir et de vivre la santé, la maladie étant désormais comprise comme la conséquence de déséquilibres (par déficiences ou par excès) sur un ou plusieurs plans de l’existence : physique, chimique, électrique, vital, émotionnel/affectif, mental, psychique, et même spirituel. Les bactéries sont alors reconnues comme des auxiliaires vivant habituellement en harmonie avec leurs hôtes végétaux, animaux et humains, y permettant aussi bien l’assimilation de nutriments que le nettoyage ou l’évacuation de déchets divers (biologiques, chimiques…). On découvre également que les prétendus virus pathogènes sont en réalité des productions endogènes de cellules agressées, des déchets génétiques ou protéiques qui doivent être évacuées de l’organisme et dont l’évacuation peut se révéler plus ou moins douloureuse selon la quantité de tels déchets (qui elle-même dépend de l’ampleur ou de la gravité de l’agression — chimique, électromagnétique, émotionnelle, ou autre) par les voies prévues à cet effet : peau, poumons, intestins… au besoin avec recours à la fièvre pour augmenter la transpiration et à des microcontractions musculaires. Ce ne sont nullement des êtres vivants et ne sont bien sûr pas sujets à des mutations (puisque simples molécules éventuellement entourées de l’enveloppe qui en permet plus facilement l’expulsion de la cellule), la variation génétique de ces déchets dépendant de la spécificité génétique du corps qui les expulse.]




Gastroentérites et mortalité infantile : assurer l’accès universel à l’eau potable

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine — 27 juin 2024

Pour éliminer les gastroentérites bactériennes, cause majeure mondiale de décès chez les moins de 5 ans, il faut assurer l’accès universel à l’eau potable

Dans Pubmed1 plus de cinquante milles articles s’inquiètent de la résistance croissance des gastroentérites bactériennes aux antibiotiques2 3 4 5 6 7 en oubliant souvent de rappeler que ces infections disparaîtraient, si on organisait l’accès universel à l’eau potable. Cet article tente de réparer cette omission.

Les entérobactéries constituent un problème majeur de santé publique

Les entérobactéries peuvent provoquer des d’infections diverses, allant des gastroentérites aux infections des voies urinaires, respiratoires, mais aussi des septicémies, des pneumonies et des méningites…

Différentes bactéries peuvent causer des gastroentérites8 dont de nombreux Escherichia coli. Les Escherichia coli entérotoxinogènes sont responsables de diarrhées infantiles dans les pays en voie de développement et de la diarrhée du voyageur, les E. coli entéro-invasifs de dysenteries proches de la shigellose, les E. coli entérohémorragiques retrouvés au cours des colites hémorragiques et du syndrome hémolytique et urémique. Les E. coli entéropathogènes sont la cause de diarrhées infantiles persistantes souvent épidémiques dans les pays en voie de développement. Les E. coli à adhésion diffuse et les E. coli entéroagrégatifs à l’origine de diarrhées aqueuses persistantes chez l’enfant.

Mais la flore bactérienne des gastroentérites comporte aussi de nombreux autres germes9 dont les manifestations habituelles sont rappelées dans le tableau suivant.

Les gastroentérites bactériennes résultent de la transmission féco-orale d’une bactérie par un malade qui excrète le germe dans ses selles10 contaminant l’eau utilisée pour la boisson ou la toilette. Elles se manifestent généralement11 par une diarrhée et/ou une perte d’appétit, des nausées, des vomissements, des crampes une gêne abdominale. La gastroentérite ne constitue généralement pas une affection grave chez l’adulte en bonne santé, ne provoquant qu’un inconfort et des dérangements, mais chez les personnes très malades, faibles, très jeunes ou très âgées, elle peut entraîner une déshydratation sévère et un déséquilibre électrolytique menaçant le pronostic vital.

Ces complications sont en particulier liées à la production par certaines souches, de toxines, la capacité d’adhérer aux cellules intestinales, de former des biofilms et de résister aux antibiotiques.

Au niveau mondial, elles constituent un problème majeur de santé publique. D’après l’UNICEF les gastroentérites bactériennes emportent chaque année près de 500 000 enfants, constituent la deuxième cause de décès chez les moins de cinq ans, et tuent plus que le sida, le paludisme et la rougeole réunis !

Dans les pays où l’hygiène est respectée, aucune épidémie n’est possible

En France métropolitaine, les mesures d’assainissement et d’hygiène collective et individuelle ont fait quasiment disparaître les épidémies de gastroentérites bactériennes, mais certaines gastroentérites virales saisonnières persistent.

Les gastroentérites bactériennes, qu’on observe de manière isolée ou par petits foyers localisés, témoignent d’intoxications alimentaires liées à un défaut d’hygiène touchant une ou plusieurs personnes ayant partagé un repas dans une cantine scolaire, une maison de retraite, un restaurant d’entreprise ou une fête entre amis ou en famille.

La bactérie responsable apportée dans l’aliment au cours de la préparation par un cuisinier malade, notamment dans les plats en sauces et les crèmes pâtissières se multiplie habituellement pendant le transport par rupture de la chaîne du froid (aliments et plats surgelés) ou de la chaîne du chaud (restauration collective). La contamination du plat par E coli, Salmonelle, Shigella ou un staphylocoque doré peut aussi survenir pendant le stockage dans un réfrigérateur mal nettoyé ou désinfecté lors de la préparation ou la conservation des aliments.

Le signalement des cas suspects et confirmés permet le traitement dans les meilleurs délais et la prescription, en cas de besoin, d’une coproculture permettant le diagnostic bactériologique et un antibiogramme.

L’importation de produits alimentaires venus de pays lointains multiplie les risques comme l’a montré l’épidémie récente due à une souche d’E. coli présente dans des graines germées importées d’Égypte, mélangées à des salades diffusées par la grande distribution dans plusieurs pays, dont l’Allemagne et la France12.

Au niveau mondial, il en va de même : dans tous les pays riches qui assurent des règles d’hygiène strictes, l’eau potable et le traitement efficace des eaux usées, on n’observe que de rares cas de gastroentérites bactériennes.

Les épidémies de gastroentérites bactériennes sont la plaie des pays où l’hygiène et l’eau potable sont insuffisantes

Malheureusement plus de deux milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable dans le monde, dont près de 320 millions se trouvent en Afrique subsaharienne. 4,5 milliards autres ne disposent pas de services d’assainissement fiables, selon un nouveau rapport commun de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l’Unicef.13

Les gastroentérites bactériennes endeuillent les régions en manque d’eau potable. Dans ces pays, l’absence d’entretien et/ou la destruction des réseaux de distribution lors de combats obligent les populations à boire l’eau des rivières ou des puits, dont le taux de contamination est très élevé.

La répétition des épidémies favorise l’apparition de nouvelles souches de bactéries dotées de capacités de résistance croissante aux antibiotiques.

Le traitement repose sur les traitements symptomatiques, parfois la réhydratation et les antibiotiques.

Les traitements symptomatiques soulagent le malade. Les antidiarrhéiques réduisent le volume et la fréquence des selles et facilitent la réhydratation. Un médicament anti-vomitif est prescrit au cas par cas, si le médecin le juge nécessaire. Des médicaments antalgiques et antipyrétiques, un antispasmodique peuvent être utiles.

L’élimination du germe causal par les antibiotiques n’est pas toujours indispensable car les diarrhées se tarissent souvent spontanément en 2-3 jours. L’antibiothérapie paraît prudente chez les malades fragiles et les enfants jeunes, mais une prescription trop systématique est susceptible de favoriser l’apparition de résistances de plus en plus fréquemment observées14 15 16 17 18 19 20 en particulier contre l’amoxicilline, l’acide clavulanique et la céfazolin21

Une situation d’autant plus inquiétante que la quasi-totalité des enfants hospitalisés pour gastroentérite en Afrique subsaharienne sont traités avec des antibiotiques et que plus de la moitié de ces enfants entrés à l’hôpital sans être porteurs d’entérobactéries résistantes en sont ressortis contaminés par ces bactéries.

La prévention des infections à entérobactéries constitue la priorité

Elle repose avant tout sur des mesures d’hygiène collectives (eau potable, toilettes et traitement des eaux usées), professionnelles (désinfection des surfaces, la gestion appropriée des cathéters et des dispositifs médicaux, ainsi que le contrôle de la transmission croisée dans les établissements de soins de santé), mais aussi individuelles telles que le lavage des mains, et des instruments de cuisine, lavage et pelage des légumes et des fruits, cuisson à cœur des viandes, utilisation de lait pasteurisé, séparation des viandes/poissons crus des autres aliments lors préparation, alimentation prudente lors de voyages…

L’utilisation judicieuse des antibiotiques et la surveillance de la résistance aux antibiotiques sont également importantes pour prévenir l’émergence de souches résistantes.

Dans son témoignage récent sur Nexus22, le pasteur Franklin Yebga dénonce le coût astronomique du programme de vaccination en Afrique organisé par l’OMS, les fondations Gates et la banque mondiale. Ces sommes seraient beaucoup plus sanitairement efficaces, si elles étaient consacrées à assurer l’accès universel à l’eau potable.

Compte tenu du coût moyen d’un forage pour 10 000 à 15 000 personnes (5000 euros), les 155 millions de dollars récemment dépensées en vaccins auraient permis de créer 30 000 points d’approvisionnement d’eau potable et « aurait sans doute pu résoudre tous les problèmes d’eau en Afrique ».

Mais distribuer l’eau potable aux populations ne rapporte rien aux laboratoires pharmaceutiques et tarirait la source de profits considérables que procurent les vaccins…

À long terme, contre le fléau des gastroentérites bactériennes, consacrer un milliard de dollars à l’eau potable et à la promotion de l’hygiène serait infiniment plus efficace que les vaccins et traitements curatifs.

La distribution généralisée d’eau potable, le traitement des eaux usées et le respect des précautions d’hygiène empêchent la transmission des gastroentérites bactériennes.

Elles permettent aussi d’éradiquer de nombreuses autres maladies, qu’elles soient virales (l’hépatite A et E, poliomyélite) ou parasitaires (dracunculose, amibiases, giardase et autres flagellés intestinaux).

L’eau potable constitue donc un enjeu totalement prioritaire de santé publique, bien avant des vaccins trop souvent insuffisamment efficaces.

C’est d’ailleurs ce que proclamait le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus en 201723 :

« Avoir accès à l’eau salubre, à l’assainissement et à l’hygiène à domicile ne devrait pas être un privilège exclusivement réservé aux riches vivant en milieu urbainTous les pays au monde devraient garantir les “services fondamentaux pour la santé humaine”. »

Sans épidémie récurrente peu de risque de résistance aux antibiotiques.

Mais apparemment beaucoup de dirigeants et les participants aux nombreux forums sur les vaccinations feignent de l’ignorer, comme si leur seule ambition était de consolider le « marché du vaccin » et de financer les laboratoires fabricants.

Et aucun des journalistes qui glorifient ces forums24 25 26 27 28 29 ne rappelle qu’assurer l’hygiène et l’eau potable partout éradiquerait les gastroentérites, le choléra (et la poliomyélite qui obsède tant Bill Gates). Ignorance ? Mensonge par omission ? Censure ? Corruption ?

JO 2024 : comment Paris va nettoyer la Seine – Le Parisien





Risques du Gardasil et du Vax contre l’hépatite B

[Source : Tribune Libre]




Des populations aspirées dans le tourbillon des… étiquettes médicales

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

Prenez ces catastrophes : les pesticides qui perturbent les niveaux d’hormones ; les plastiques partout ; les produits chimiques dans les aliments transformés morts ; les préparations pour nourrissons qui remplacent le lait maternel ; les vaccins qui perturbent et détruisent le système immunitaire.

[NDLR L’auteur aurait pu ajouter les chemtrails, les détergents, les cosmétiques, les polluants atmosphériques issus de combustions diverses et diverses toxines environnementales produites par l’industrie… mais aussi les effets connus et néfastes des ondes électromagnétiques artificielles (cf. 5G et ondes pulsées).]

PUIS les chercheurs arrivent.

Ils prennent les symptômes créés par ces désastres, les regroupent et leur attribuent des étiquettes médicales :
TDAH, dépression, trouble bipolaire, dysphorie de genre…

En ce qui concerne les perturbations du système immunitaire dues aux pesticides, aux plastiques, à l’absence de lait maternel, aux aliments transformés morts, etc., regardez cette liste ahurissante de « maladies du système immunitaire » inventées par le système médical :

  • Les maladies auto-immunes :

    • Polyarthrite rhumatoïde (PR)
    • Lupus érythémateux disséminé (LED)
    • Sclérose en plaques (SEP)
    • Diabète sucré de type 1
    • Thyroïdite d’Hashimoto
    • Maladie de Graves
    • Psoriasis
    • Maladie cœliaque
    • Syndrome de Sjögren
    • Myasthénie grave

  • Immunodéficiences :

    • Déficit immunitaire combiné sévère (DICS)
    • Déficit immunitaire commun variable (DICV)
    • Granulomatose chronique (CGD)
    • Agammaglobulinémie liée à l’X (XLA)
    • Syndrome de Wiskott-Aldrich (WAS)
    • Syndrome d’hyper IgM
    • Syndrome de DiGeorge
    • Virus de l’immunodéficience humaine (VIH) entraînant le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

  • Hypersensibilités :

    • Rhinite allergique (rhume des foins)
    • Asthme
    • Anaphylaxie
    • Dermatite atopique (eczéma)
    • Allergies alimentaires
    • Dermatite de contact

  • Autres affections :

    • Maladies inflammatoires de l’intestin (MII), y compris la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse
    • Syndrome de Guillain-Barré
    • Dermatomyosite
    • Sclérodermie

Ces personnes savent vraiment comment étiqueter.

Ce sont des experts.

Ils peuvent regrouper et découper les symptômes et trouver des noms médicaux d’ici à l’horizon.

Ils peuvent résister à toute tentative de voir comment les pesticides, les préparations pour nourrissons ou les aliments transformés sont les vraies réalités.

Vous comprenez pourquoi.

Pour chaque étiquette de maladie, il existe des traitements médicaux. Des médicaments.

Traitements et médicaments = $$$$.

[Voir aussi :
La pierre angulaire de Big Pharma]

Plus le contrôle sur la vie des patients.

Il existe une liste bien plus longue que celle que je viens de publier ci-dessus. C’est le total des maladies basées sur… des virus qui n’existent pas.

Une initiative des rois de l’étiquette.

Si j’étais un jeune psychopathe avide débutant dans le monde d’aujourd’hui, je me spécialiserais en communication dans une université prestigieuse et j’écrirais une thèse intitulée :

« 100 façons de recycler la mort et de l’étiqueter avec de nombreux noms de maladies ».

Avec cette thèse en main, je décrocherais un très bon poste de départ dans l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde.

Ils verraient immédiatement ma valeur.

Prenons maintenant le point de vue d’un médecin. Un patient vient se plaindre. Le médecin peut l’écouter, effectuer quelques tests, apposer une étiquette de maladie et prescrire un médicament, ou il peut dire :

« Il me semble que vous avez été empoisonné par des pesticides. Je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas de remède pour éliminer le poison de votre corps ».

Il ne dirait pas ÇA même si vous l’enchaîniez et le frappiez avec un gourdin.

S’il était aussi honnête, il ferait rapidement faillite. Et il finirait par se retrouver devant l’ordre des médecins de l’État pour tenter (et échouer) de conserver sa licence.

Les idiots du conseil et les charlatans vendus le passeraient au peigne fin.1

Pourquoi ne pas choisir la voie de la facilité ? Il ferme les yeux, lance une fléchette imaginaire sur un jeu de fléchettes imaginaire et trouve un nom de maladie dont le patient n’a jamais entendu parler.

« Voici ce que vous avez », dit-il au patient. « Nous avons un traitement à vous proposer. Commençons. »

Et c’est ce qu’ils font.

La longue marche vers nulle part.

Épilogue : Pour explorer la fausse science qui a conduit à la fausse pandémie qui a conduit aux « vaccins » COVID, lisez le livre du Dr Mark Bailey et du Dr Sam Bailey, The Final Pandemic. Ce duo dynamique a mis la main sur de la vraie science. Il s’agit d’un antidote puissant contre les absurdités du courant dominant.





Blé et farine modernes : quantité, mais médiocrité nutritive ; le contraire des blés et farines anciens


[Source : alliancebio.fr]

(6 avril 2021)

Qu’est-ce que la farine de blé ancien ?

Blés anciens, farines anciennes, variétés modernes… Depuis quelque temps ces expressions se retrouvent sur le devant de la scène. Et ce n’est sans doute pas un hasard. La tendance de fond est à l’attention sur notre alimentation. Elle nous emmène à nous interroger aux modes de production, à son origine et à sa localité, comme à son évolution.

Sommaire :

Qu’est-ce que
LE BLÉ ANCIEN ?

Avec la création de l’agriculture conventionnelle de l’après-guerre, les semenciers ont sélectionné des variétés de blés améliorés par croisement.

Une tige de plante plus courte et solide, une résistance aux maladies, un grain plus productif qui tombent moins au sol lors de la moisson, des enveloppes faciles à éliminer lors du battage…

Ces variétés ont permis une amélioration de la productivité, ont facilité la culture, et ont permis d’avoir une matière première répondant à la mécanisation des meuniers et boulangers afin de faciliter les préparations et améliorer la productivité :

  • le rendement du blé moderne a fortement augmenté. Il est aujourd’hui trois fois plus élevé que celui des variétés anciennes,
  • la plupart des agriculteurs cultivent une seule sous-espèce de blé panifiable,
  • la grande majorité des pains proposés dans les supermarchés et boulangeries sont fabriqués à partir de blés modernes, le plus souvent avec un travail intensif et rapide de la pâte.

Dans ces créations la santé de la plante comme celle de celui qui consommera sa graine ont été oubliées. Le goût, les saveurs, les spécificités de terroirs des blés ont également été mis au second rang.

Le terme « blés anciens » a été spécifié depuis lors pour faire face à la création de ces « blés modernes ». De plus, une graine est dite « ancienne » lorsqu’elle n’est pas inscrite au Catalogue officiel des semences.

Les blés anciens sont donc des variétés de blés n’ayant pas subi de sélection pour une meilleure productivité ou pour l’industrie agroalimentaire. Leur grande diversité génétique naturelle leur permet de s’adapter à l’environnement qui est en perpétuel changement.

Qu’est-ce que
LA FARINE ANCIENNE ?

Une farine ancienne est une farine réalisée par des méthodes traditionnelles, avec un grain issu d’une plante n’ayant pas subi de transformation forcée.

La méthode d’excellence d’une farine ancienne est l’utilisation d’une meule de pierre en granit.

Ce procédé ancestral d’écrasement des grains avec une pierre plate sur une autre pierre servant de base est utilisé depuis l’Homme de Cro-Magnon il y a plus de 25 000 ans. [NDLR À vérifier, car il semble que l’agriculture de date que de quelques milliers d’années, du moins selon l’Histoire officielle.]

Ce système amélioré depuis, mais respectant ce même procédé est aujourd’hui la manière dont nous avons choisi de réaliser notre farine. Nos meules de pierres sont en granit monobloc du Massif du Sidobre, dans le Tarn. Réalisé par les frères Astrié : les deux meules sont en légère lévitation pour dérouler délicatement le grain sans le compacter en l’écrasant. L’entièreté du grain avec tous ses éléments — l’amande, le son et le germe — est écrasée doucement. Le grain n’est pas chauffé ni oxydé. Cette méthode donne une mouture de farine d’une texture unique et d’une qualité incomparable.

Quels sont les avantages
DES BLÉS ANCIENS ?

  • Les blés anciens présentent un avantage majeur : leur digestibilité.

Le gluten (terme générique pour désigner les protéines présentes dans les grains) des blés anciens et des blés modernes n’est pas le même. [Les protéines] des blés anciens moins complexes, moins « dures », sont celles que nous consommons depuis des dizaines de milliers d’années.

  • Les variétés anciennes ont une qualité nutritionnelle supérieure.

N’ayant pas été créé pour des spécificités précises comme leurs cousins « modernes », ce qu’ils sont est le reliquat de ce qu’ils ont développé tout au long de leurs histoires. Leurs capacités d’adaptation leur permettent de manifester la diversité des expressions de la variété de leurs gènes.

  • Ils révèlent la spécificité de leurs terroirs.

Les différents blés anciens se sont développés au fil de l’histoire selon des climats et des types de sols particuliers. Ils en sont donc l’image des territoires les plus hétérogènes.

  • Ils participent à la préservation de la diversité des espèces.

La biodiversité que nous offre la nature est synonyme de richesse, et doit être préservée. Les sélections participent à l’évincement de certaines variétés pour lesquelles ont ne sait voir leurs bénéfices pour certains usages, ou pour la beauté de ce qu’elles représentent. Ils sont arrivés jusqu’à nos jours par la plus belle des sélections qui soit : celle de l’amélioration et de l’adaptabilité au fil du temps.

Et si à ces variétés de blés anciens on ajoute le procédé de la farine sur meule on obtient une synergie des bénéfices. Contenant plus de minéraux et d’enzymes du grain, la farine ancienne présente des saveurs plus développées, des propriétés en plus grand nombre, et une meilleure assibilation des nutriments.

Notre farine de blé ancien
ROUGE DE BORDEAUX

Cette farine de blé T80 est réalisée à partir de la variété de blé ancien « Rouge de Bordeaux ». La variété Rouge de Bordeaux doit son nom à l’épi qui à maturité est rouge brun, avec un grain aux reflets rouge.

C’est à la fin des années 1970 que cette semence de blé Rouge de Bordeaux a été retrouvée dans le grenier d’un particulier. Cette variété de blé a commencé à se répandre il y a une quinzaine d’années entre Gers et Lot-et-Garonne.

Ce blé ancien révèle des caractéristiques typiques, celles de nos sols, de son histoire.

La farine issue de ce blé ancien possède de bonnes propriétés boulangères, et comme la plupart des blés anciens il offre une palette de goût importante et contient des glutens plus digestes. Elle vous permettra de réaliser de délicieuses préparations traditionnelles et rustiques.

Ce blé est intéressant d’un point de vue nutritionnel, car notamment riche en bêta-carotènes.

C’est une farine de grande qualité qui est très appréciée et très recherchée.
C’est d’ailleurs notre meilleure vente en ligne, profitez-en !

Ou acheter en ligne de la farine bio
DE BLÉ ANCIEN DIRECT MINOTERIE ?

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Notre espace e-boutique vous permet également d’acheter nos farines de froment, et nos graines variées en direct.




Guerres, réinitialisations et criminocratie mondiale — par Paul Cudenec

[Source : arcaluinoe.info]

[Mise à jour : notes de l’auteur incluses.]

Par Paul Cudenec

Au cours des dernières années, j’ai effectué quelques recherches sur les liens et les parallèles entre la Grande Réinitialisation et la guerre.

Bien que je me sois surtout concentré sur la Première Guerre mondiale, je suis arrivé à la conclusion — choquante pour certains, peut-être, mais absolument pas surprenante pour d’autres — que l’agenda qui sous-tend toutes les guerres modernes est le même que celui qui sous-tend la Grande Réinitialisation, la Quatrième Révolution Industrielle, le Nouvel Ordre Mondial ou tout autre nom que vous choisirez de lui donner.

Cet agenda — un agenda à long terme et à multiples facettes — est celui de l’entité que j’ai pris l’habitude d’appeler la criminocratie, une mafia mondiale qui, comme je l’ai expliqué dans ma brochure Ennemis du peuple, est dominée par l’empire financier et industriel Rothschild.

L’objectif global est la consolidation et l’expansion du pouvoir et de la richesse de la criminocratie, les deux termes étant pratiquement synonymes dans cette ère corrompue que René Guénon a appelée le règne de la quantité.

Nous pouvons décomposer cela en trois aspects :

Les objectifs à court terme : étant donné que tout cela n’est en fin de compte qu’une question d’argent, il s’agit des avantages financiers immédiats.

Les objectifs à moyen terme : la mise en place des avantages financiers à venir.

Les objectifs à long terme : la création des conditions sociales qui seront à l’avantage financier de la criminocratie dans les décennies à venir.

En ce qui concerne les avantages financiers à court terme de la Grande Réinitialisation, tels qu’ils ressortent de la phase initiale de Covid, ils sont tout à fait évidents.

Tout d’abord, il y a eu les bénéfices tirés de la vente des soi-disant vaccins eux-mêmes — achetés et indemnisés dans le monde entier par les autorités publiques dans une atmosphère où il n’y avait pas de place pour le contrôle [de ces achats] ou le débat démocratique.

Deuxièmement, il y avait tout le nouveau matériel qui pouvait être vendu, là encore à l’échelle mondiale, sur le dos de la soi-disant pandémie : masques, écrans en plastique, lave-mains, signalisation, tests PCR, etc.

Troisièmement, les grandes entreprises, en particulier celles qui opèrent en ligne, ont tiré un avantage financier des fermetures qui ont gravement affecté les petites entreprises.

En fait, Klaus Schwab, du WEF, s’en est ouvertement vanté dans son livre Covid-19 : La Grande Réinitialisation.

Il écrit :

« Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché ensemble 250 000 travailleurs pour faire face à l’augmentation de la demande et ont construit des infrastructures massives pour livrer les achats en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants de la vente au détail en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient avant la pandémie […]. Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnantes” des blocages ». [1]

En termes de guerre, la cause la plus évidente de profit rapide est la vente d’armements.

Le commerce des armes est un élément clé de l’empire criminocratique — comme le révèle le terme « complexe militaro-industriel ».

À l’époque de la Première Guerre mondiale, par exemple, le commerce des armes en Grande-Bretagne était contrôlé par un réseau monopolistique composé de Vickers Ltd, Armstrong, Whitworth and Co Ltd, John Brown and Co Ltd, Cammell, Laird & Co et Nobel Dynamite Trust.

Les historiens Gerry Docherty et Jim Macgregor, qui montrent comment les criminocrates ont créé et prolongé la guerre pour leur propre profit, notent :

« Le cercle équivalait à un vaste réseau financier dans lequel des entreprises apparemment indépendantes étaient renforcées par absorption et reliées entre elles par un système complexe d’actionnariat et de direction communs.

C’est une industrie qui défie le Trésor, influence l’Amirauté, maintient des prix élevés et manipule l’opinion publique ». [2]

La guerre nécessite également de grandes quantités de matières premières, non seulement pour fabriquer les canons, les munitions, les chars, les navires et les avions, et tout l’attirail associé, mais aussi pour transporter les marchandises et les hommes à travers les océans et les continents.

Le rôle dominant du gang Rothschild dans l’industrie pétrolière mondiale, ainsi que dans la sidérurgie et les chemins de fer, a permis à leurs tiroirs-caisses de sonner à toute volée à la suite de cette énorme augmentation de la demande, et ce des deux côtés du conflit de 1914-18.

Il existe d’autres aspects du gain financier immédiat, dans le passé comme dans le présent, qui sont difficiles à identifier avec précision, parce qu’ils relèvent d’un comportement clairement criminel et sont donc encore plus soigneusement dissimulés que d’autres formes d’escroquerie.

Il y a deux siècles, pendant les guerres napoléoniennes, les Rothschild ont profité de la pénurie alimentaire et de la flambée des prix pour opérer sur le marché noir dans leur ville natale de Francfort et vendre des provisions aux armées avec un profit considérable.

Des marchandises britanniques, notamment des tissus de coton, du sucre, de l’indigo et du tabac, ont également été transportées de l’autre côté de la Manche, via les entrepôts des Rothschild, au mépris du blocus de Napoléon.

Les sanctions liées à la guerre peuvent être une affaire rentable pour ceux qui ont les bons contacts.

L’aide « humanitaire » en temps de guerre est souvent une couverture commode pour des transferts de fonds massifs et très douteux.

Docherty et Macgregor expliquent comment, au cours de la Première Guerre mondiale, l’« aide » à la Belgique a constitué « l’une des plus grandes escroqueries au monde ». [3]

La Commission for Relief in Belgium s’est présentée comme « la plus grande entreprise humanitaire que le monde ait jamais connue ». [4]

Elle a ensuite affirmé avoir dépensé plus de 13 millions de dollars pour venir en aide à la population belge, un chiffre vraiment stupéfiant pour l’époque.

Le responsable est Herbert Clark Hoover, futur président des États-Unis, que les deux auteurs n’hésitent pas à qualifier d’« illusionniste et d’escroc » [5].

Avec une certaine fatalité, il s’avère qu’il était profondément lié aux cercles qui avaient planifié le désastre qu’il était censé atténuer.

Docherty et Macgregor expliquent :

« L’ingénieur minier d’origine américaine a vécu à Londres pendant des années et était un collègue d’affaires des Rothschild […]. Il détenait des actions de la Rio Tinto Company des Rothschild et était associé à la même dynastie Rothschild toute puissante qui avait investi dans sa Zinc Corporation ». [6]

« Lorsque Herbert Hoover a négocié les prêts massifs accordés par les gouvernements alliés pour l’aide à la Belgique, il a utilisé les organisations de J.P. Morgan en Amérique, coordonnées par Morgan Guaranty Trust de New York qui, à son tour, a effectué le transfert requis à Londres ». [7]

« La puissance financière n’était jamais loin de son centre de pouvoir. L’axe Morgan/Rothschild entourait l’ensemble du projet ». [8]

Selon un rapport de l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale publié au début de cette année, en 2024, l’aide mondiale à l’Ukraine a déjà atteint 278 milliards de dollars, et des milliards de dollars supplémentaires sont en cours de préparation. [9]

Il est intéressant de noter qu’en 2007, le New York Times a prédit qu’un membre de la jeune génération Rothschild, Nathaniel, « pourrait devenir le Rothschild le plus riche de tous » grâce à des « paris audacieux dans les nouveaux véhicules d’investissement de l’époque » et à la prévoyance géopolitique traditionnelle de la famille. [10]

Et d’ajouter : « L’homme en lice pour devenir le cinquième baron Rothschild est sur le point de devenir milliardaire grâce à un réseau d’investissements privés en Ukraine ».

La source de profit financier à moyen terme de ces rackets grandioses provient des énormes quantités d’argent public qui y sont injectées sous le prétexte d’une « urgence ».

L’« arbre à argent magique » des dépenses publiques devient soudain infiniment généreux lorsque l’on est confronté à la « crise » de la pandémie, de la guerre, du terrorisme ou du changement climatique, qui ne cesse de s’aggraver.

Par exemple, le gouvernement britannique estime que le coût total de ses mesures Covid-19 se situe entre 310 et 410 milliards de livres sterling. [11]

Parmi les mesures les plus coûteuses figurent le Coronavirus Job Retention Scheme 1 (parfois appelé furlough scheme) et le NHS Test and Trace 2.

Quant à la question clé de savoir d’où vient exactement cet argent, alors que les recettes fiscales sont en baisse en raison des fermetures, le gouvernement indique qu’il a augmenté les emprunts à hauteur de 313 milliards de livres sterling pour la seule année 2020/21.

Des emprunts auprès des banquiers mondiaux, en d’autres termes.

Les prêts lucratifs accordés aux gouvernements pour mener des guerres font partie du manuel de racket des Rothschild depuis l’époque napoléonienne.

L’historien Niall Ferguson note que la famille de banquiers s’est retrouvée « à plusieurs reprises des deux côtés de conflits décisifs qui allaient redessiner la carte de l’Europe ». [12]

Les lendemains de guerre sont également une grande source de profit. En 1871, les Rothschild ont prêté d’énormes sommes d’argent à l’État français pour payer ses réparations après la défaite contre la Prusse, dans ce que Ferguson décrit comme « la plus grande opération financière du siècle ». [13]

Les dividendes de l’après-guerre proviennent également de prêts et de contrats destinés à « reconstruire en mieux » des pays dévastés.

La troisième façon dont les criminocrates profitent des guerres, comme de la Grande Réinitialisation, est l’effet à long terme que ces événements ont sur la société.

Les États concernés, à court d’argent et endettés jusqu’au cou, n’ont d’autre choix que d’accepter l’idée des banquiers sur la meilleure façon de reconstruire leur pays.

Après les deux guerres mondiales, l’idée d’une réalité « d’après-guerre », à laquelle les gens devaient s’adapter, a été utilisée pour accélérer l’industrialisation et la modernité, en détruisant l’agriculture et les communautés traditionnelles et en déclarant que les anciens modes de pensée et de vie n’étaient pas adaptés à la nouvelle normalité.

Schwab espérait que la Covid aurait le même effet, en créant une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». [14]

Tous les événements de ce type, y compris la plupart des soi-disant « révolutions » et des soi-disant attaques terroristes comme le 11 septembre, ne sont, à mon avis, que des opérations de « choc et d’effroi » conçues pour pousser des populations traumatisées plus loin dans la société carcérale privilégiée par les criminocrates.

Les personnes sans racines, sans défense, désorientées, ayant subi un lavage de cerveau, entièrement dépendantes du système pour tous leurs besoins, coupées les unes des autres, de la nature, de la réalité et de l’appartenance spirituelle, sont le fourrage idéal pour la machine à faire de l’argent des criminocrates.

Dans cette optique, il n’est pas surprenant que, dans chaque cas, les mêmes moyens soient mis en œuvre pour s’assurer que les populations adhèrent à l’agenda.

La propagande la plus évidente est celle qui est menée par tous les médias publics et privés.

En 2020, c’est le ton et l’ampleur de cette propagande, tels qu’ils ont été perçus par la radio d’État française, qui m’ont indiqué que la « pandémie » de Covid était une opération psychologique.

Cette propagande doit aller jusqu’à créer un sentiment de conviction morale absolue dans la population et donc une peur ou une haine conditionnée de toute personne qui refuse de suivre la ligne.

En temps de guerre, les dissidents et les sceptiques sont dépeints comme des lâches, des traîtres, des cinquièmes colonnes travaillant pour le compte de l’ennemi méprisé et, pendant l’escroquerie Covid, nous avons été représentés comme des idiots irresponsables et égoïstes, mettant en danger la vie d’autrui et suivant peut-être un programme insidieux d’« extrême-droite ».

Pour imposer ce conformisme moral, le système déploie des groupes qu’il ne contrôle apparemment pas et dont les positions ont un poids moral auprès de certaines parties clés de la population.

Pendant la Covid, la « gauche » a non seulement repris tous les éléments des récits officiels concernant les confinements, la distanciation sociale et les soi-disant vaccins, mais elle a également adopté une position très agressive à l’égard des dissidents, vilipendant et ostracisant toute personne, même dans ses propres rangs, qui osait sympathiser avec les manifestants pro-liberté — comme j’en ai d’ailleurs moi-même fait l’expérience.

Au cours de la Première Guerre mondiale, une aile du mouvement des suffragettes a été mobilisée pour soutenir l’agenda criminocratique.

Apparemment, Emmeline et Christabel Pankhurst ont reçu une subvention du gouvernement en échange de l’arrêt de leurs activités militantes.

Emmeline déclare son soutien à l’effort de guerre et commence à exiger la conscription militaire pour les hommes britanniques, tandis que Christabel Pankhurst demande « l’internement de toutes les personnes de race ennemie, hommes et femmes, jeunes et vieux, trouvés sur ces côtes ». [15]

Et les suffragettes faisaient partie de ces femmes qui remettaient des plumes blanches aux hommes qui ne portaient pas l’uniforme, y compris à des adolescents âgés de 16 ans.

À la propagande s’ajoute la censure, considérée comme tout à fait normale et acceptable en temps de guerre et justifiée lors des prétendues pandémies au nom du bien public.

Mais aujourd’hui, la mission des « vérificateurs de faits » introduite pendant la Covid évolue vers une tentative plus large de défendre l’agenda criminocratique.

Alors que des lois dites « haineuses » sont mises en place à la hâte un peu partout, la cible principale semble être ceux d’entre nous qui ont percé à jour les mensonges et la propagande, qui ont relié les points afin d’identifier la forme du plan à long terme qui nous est imposé par des moyens détournés.

Nous sommes qualifiés de « théoriciens du complot », ce qui signifie apparemment automatiquement que nous sommes « d’extrême droite ». Notre engagement en faveur de la vérité et de la liberté est interprété comme de la « haine » et l’identification du rôle prépondérant des Rothschild dans l’empire criminel équivaut, semble-t-il, à un soi-disant « antisémitisme ».

La réalité est, bien sûr, très différente. C’est que le contrôle de nos institutions nationales et internationales, ainsi que de l’ensemble du système industrialo-financier, est tombé, par des voies détournées, entre les mains d’une véritable mafia.

Parce que cette domination mondiale est profondément antidémocratique et totalement illégitime — fondée sur des activités criminelles et la dissimulation de ces méfaits — elle doit rester secrète.

La criminocratie sait qu’il ne pourra jamais y avoir d’opposition claire et unie à son pouvoir tant que les gens resteront pris au piège de ses ruses et de ses illusions et ne reconnaîtront même pas son existence, sans parler de commencer à parler de la manière de l’abattre.

Notre première tâche, la plus importante, est donc d’exposer ses activités, de briser les multiples murs de ses défenses, d’ignorer ses menaces et ses tabous et de crier sur les toits ce qu’elle est et ce qu’elle nous fait.

Paul Cudenec

Journaliste indépendant et activiste britannique.


1 Programme de maintien de l’emploi sous le coronavirus. « Ce programme a été annoncé comme fournissant des subventions aux employeurs pour payer 80 % du salaire d’un employé et des coûts d’emploi chaque mois, jusqu’à un total de 2 500 livres sterling par personne et par mois. » — NdT

2 « NHS Test and Trace était un service financé par le gouvernement en Angleterre, établi en 2020 pour suivre et aider à prévenir la propagation du COVID-19. » — NdT




Devriez-vous ajouter la protéine spike à votre panier d’achats ?

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

Oui, je n’arrive pas à oublier cette histoire.

Je continue à écrire sur ce sujet, juste pour vous rappeler à quel point les injections de COVID sont incroyablement stupides — en plus de leurs effets mortels.

Nous avons toutes sortes d’experts alternatifs qui ne cessent de nous parler des dommages causés par la protéine spike, mais ils oublient une petite chose :

Personne n’a étudié, dans le cadre d’essais à grande échelle, le nombre de personnes qui produisent réellement cette protéine après avoir reçu la piqûre d’ARN COVID.

Oups.

[NDLR Jon Rappoport fait partie de ceux qui après investigation ont réalisé qu’il n’existait pas la moindre preuve scientifique solide de virus pathogènes et que la virologie n’était qu’une pseudoscience. Or s’il n’y a pas de tels virus, une protéine censée en provenir relèverait également d’illusion. Voir le dossier Vaccins et virus.]

Et pour ne pas oublier, l’objectif ENTIER de la piqûre COVID, une fois que l’on a enlevé le langage sophistiqué, est de forcer le corps à produire cette protéine. C’est tout. Rien de plus.

On pourrait donc penser qu’avec, disons, trois milliards de personnes ayant reçu la piqûre, quelqu’un pourrait dire : « Hé, est-ce que les trois milliards ont fabriqué la protéine ? Seulement un milliard ? Seulement deux cents millions ? Seulement six mille ? AUCUN ? Nous devons le découvrir ».

Mais non. Personne n’a dit cela. Personne n’est en mesure d’effectuer un test à grande échelle.

Cela vous paraît-il étrange ?

Scandaleux ?

Incroyable ?

C’est comme si on envoyait dix mille vaisseaux spatiaux sur Mars et qu’on ne vérifiait jamais s’ils étaient arrivés.

C’est comme si on construisait 500 mines d’or dans le désert sans jamais vérifier s’il y a de l’or dans le désert.

(…)




Il y a trois traits de personnalité qui se retrouvent fréquemment chez les personnes de pouvoir




Des pédophiles à l’origine des programmes d’éducation à la sexualité

[Source : Tocsin]

🔷 Avec Christelle Comet
Vice présidente des mamans louves

🔷 Avec Thibault Kerlirzin
Consultant en stratégie d’intelligence économique, Co-fondateur de “Davocratie”, Auteur de Soros l’impérial (Perspectives Libres)

[À partir de 49:10, sur environ 40 minutes]

Étude des standards européens d’EAS

[Source : https://www.mamanslouves.org/etude-des-standards-europeens-deas/]




L’Éducation Sexuelle préconisée par l’Éducation Nationale française à l’encontre des lois existantes pour la protection de l’enfance

[Source : parentsencolere.fr]

Campagne Nationale : courrier  » RAPPEL A LA LOI  » reçu par tous les établissements scolaires de France et d’Outre-mer

24 juin 2024

Nous vous présentons le courrier de rappel à la loi envoyé à TOUS les établissements scolaires de France et leur hiérarchie, cosigné par plus de 70 collectifs, associations, professionnels de la Santé et du Droit de France, de Belgique et d’Allemagne.

Cette union sans précédent a pour objectif de stopper la mise en œuvre des séances d’Éducation à la Vie Affective Relationnelle et Sexuelle (EVARS) pour tous, en faisant appel au pouvoir décisionnaire et individuel des chefs d’établissement et autres acteurs concernés.

C’est par une prise de conscience et un engagement de la responsabilité individuelle des auteurs, tout en rappelant la hiérarchie des normes juridiques et en démontrant l’illégalité de ces séances face aux lois de protection de l’enfance, supérieures à celle du Code de l’Éducation Nationale concernant l’éducation à la sexualité, que le personnel enseignant ne pourra plus se cacher derrière « l’obligation » de l’article L312-16 du Code de l’Éducation Nationale, celui-ci se soumettant obligatoirement aux blocs législatifs, conventionnels et constitutionnels. 

NOTRE COURRIER :

Résultats attendus :
– Que le personnel enseignant se conforme au respect des lois établies par crainte de poursuites, ainsi que toute personne dont les intentions ne sont pas de s’opposer au principe du respect du Code Pénal et Civil ainsi qu’à la CIDE (Convention Internationale des Droits de l’Enfant), la CEDH (Convention Européenne des Droits de l’Enfant) et/ou de le cautionner et/ou de le consentir.
Et ce, pour les écoliers de l’élémentaire jusqu’au lycée !
– Fin des séances en milieu scolaire, s’immisçant dans la sphère privée et l’intimité des mineurs, induisant des conséquences traumatiques.
– Connaître nos droits, ceux des enfants et s’en servir !
– Œuvrer à l’union, l’unité, la coordination, l’inter-protection avec une fermeté sans concession face à cette situation perverse, autant illégale, qu’immorale, de corruption et d’atteinte aux mineurs (entre autres) !

Conservez ce courrier comportant arguments et éléments vous permettant de défendre vos enfants et/ou ceux des autres, et qui, de surcroît, pourra servir, tout, ou en partie, à vos avocats si vous décidiez d’amplifier vos démarches.

En somme, un véritable « outil juridique de protection » et de prise de conscience pour :
– les parents ;
– les enseignants et leur direction et/ou hiérarchie ;
– les intervenants ;
– les professionnels du Droit représentant des parents qui engageraient des poursuites.
Mais surtout les enfants ! ! !

Ce courrier est à diffuser largement, sur vos différents réseaux, à partager lors de vos prises de paroles (conférences, émissions ou événements), salles d’attentes, etc., ou à déposer de manière anonyme dans les boîtes aux lettres des établissements d’ici la fin d’année solaire 2023 – 2024, en attendant le lancement des actions à la prochaine rentrée 2024.

Nous précisons également que la sollicitation des parents, grands-parents et professionnels, en vue de l’arrêt des séances d’EVARS dispensées, est chaque jour plus importante et grandissante, ce qui conforte nos actions et le besoin urgent de les concrétiser.

De plus, des témoignages de faits graves nous parviennent de façon exponentielle, de parents parfois démunis et impuissants face aux institutions, mais aussi des comptes rendus de séances qui témoignent de malaises, de dérangements ou de chocs, des séances vécues par les enfants lors d’un cours, d’un atelier, d’une lecture inclusive ou d’un spectacle.

Notre rôle s’articule systématiquement par l’envoi d’un courrier rappelant à l’établissement qu’il ne peut une nouvelle fois occulter les lois, ayant été préalablement avisé par notre courrier de rappel légal, et qu’il prenne connaissance de la saisine des autorités compétentes en cas de signalement, notamment auprès du Procureur de la République.

Ce signalement conduira aussi à une large médiatisation pour ne pas s’arrêter à la hiérarchie de l’établissement, et ainsi le transmettre au Maire de la commune concernée, au Conseil Départemental, à la Fédération de parents d’élèves, aux députés et sénateurs de la circonscription, également au défenseur des Droits de la région et aux médias locaux, voire internationaux, si besoin.

Nous conseillons également de vous munir du livre de Maître Virginie De Araujo Recchia : PROTÉGER LES MINEURS DE L’IDÉOLOGIE TOTALITAIRE « Éducation sexuelle » et changement de mœurs, ainsi que celui du Dr Ariane Bilheran : L’imposture des droits sexuels.

Deux livres pour tous les parents, avocats, enseignants, et les intervenants.

Disponibles ici :