La FDA forcée de révéler les données de sécurité de Pfizer : c’est explosif (détails)

[Source : Sott.net]

Par Sonia Elijah
Trial site news

[Ndlr : ceci avait déjà été évoqué succinctement dans l’article La justice américaine oblige la FDA à divulguer les documents Pfizer. C’est explosif]

Les documents hautement confidentiels de Pfizer, qui ont été synonymes de l’extrême manque de transparence révélé par les actions des principales agences gouvernementales, au cours des 20 derniers mois, amenant les critiques du récit officiel à demander « montrez-nous les données », sont enfin révélés – enfin en quelque sorte : les quelques premières centaines de pages expurgées sur un total de 451 000.

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Qu’est-ce qui a conduit à cette divulgation ?

La faille dans le dispositif de sécurité draconien de Pfizer et de la Food and Drug Administration (FDA) est apparue sous la forme d’un communiqué de la Freedom of Information Act (FOIA) avec la demande déposée le 27 août 2021 pour accéder à toute la documentation de Pfizer sur laquelle la FDA s’était appuyée pour autoriser l’utilisation en urgence du vaccin Pfizer-BioNTech Covid-19. Une agence qui a reçu une requête de FOIA est tenue de « déterminer, dans les 20 jours ouvrables suivant la réception de cette demande, s’il convient d’y donner suite », comme le prévoit la loi de 1967 sur le droit à l’information. Il a pourtant fallu trois mois à la FDA pour publier les 91 premières pages caviardées, le 20 novembre.

La requête de FOIA a été formulée par un groupe de plus de 30 scientifiques et universitaires qui ont intenté une action en justice contre l’agence parce qu’elle n’avait pas entièrement satisfait à la demande, puisque moins de 1 % de la documentation avait été divulgué et que la FDA avait déclaré que toutes les données seraient partagées d’ici 2076. Par la suite, l’agence gouvernementale a eu l’audace de repousser la date encore plus loin, à 2096. Cela en raison de sa révélation de l’existence de milliers de pages supplémentaires, soit 451 000 pages au total, contre 320 000 pages initialement prévues. Toutefois, le rythme auquel la FDA est disposée à publier la documentation n’a pas changé et reste de 500 pages par mois. Il convient de noter qu’il n’a fallu que 108 jours à la FDA pour examiner toute la documentation de Pfizer avant d’autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer BNT162B2 dans le cadre d’une autorisation d’urgence le 1er décembre 2020.

Les scientifiques, les responsables de la santé publique et les universitaires, dirigés par le Dr Peter McCullough, forment le groupe de plaignants, PHMPT (Public Health and Medical Professionals for Transparency) et sont représentés par le cabinet d’avocats Aaron Siri, de Siri & Glimstad LLP.

Dans une interview exclusive accordée à Trial Site News, Aaron Siri, associé directeur du cabinet, qui a une grande expérience des litiges civils, a déclaré :

« Le tribunal n’a pas encore ordonné la production d’une seule page. Dans la plupart des cas, lorsque notre cabinet soumet une demande en vertu de la loi sur le droit à l’information, ils [l’agence] produisent des documents, mais la FDA veut le faire à un rythme incroyablement lent, qui ne correspond pas aux besoins de la demande. Le problème n’est pas de savoir s’ils vont produire les documents – ils vont les produire. Le problème est de savoir combien de temps cela prendra et, une fois que nous l’aurons obtenu, le problème sera celui des modifications qu’ils y apporteront. »

Lorsque je lui ai demandé si des requêtes de FOIA seront faites pour obtenir les documents de Moderna et de Janssen (une filiale de Johnson and Johnson) fournis à la FDA pour obtenir l’autorisation d’utilisation en urgence, il a répondu :

« Vous ne pouvez pas faire de demande tant qu’un vaccin n’a pas été homologué. L’autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose que l’homologation ou l’approbation. Le vaccin Pfizer est le seul vaccin qui a été homologué/approuvé comme étant « sûr et efficace » selon la FDA le 23 août 2021. »

Vous trouverez des détails sur l’affaire et les documents judiciaires pertinents sur le blog d’Aaron Siri, Injecting Freedom.

Les premières centaines de pages des documents Pfizer récemment publiés ont été partagées sur le site Web du PHMPT.

Le présent rapport d’enquête se concentre sur le document de 38 pages intitulé « Cumulative Analysis of Post-Authorization Adverse Event Reports of PF-07302048 (BNT162B2) received through 28 February 2021 « . Le rapport a été préparé par Pfizer, entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021. Les rapports d’événements indésirables proviennent des États-Unis, du Royaume-Uni, d’Italie, d’Allemagne, de France, du Portugal, d’Espagne et de 56 autres pays.

Il est intéressant de noter que l’artefact représente une analyse modifiée fournie par Pfizer, en réponse à ses manquements associés à la soumission incomplète d’un ensemble de données de sécurité à la FDA, sur laquelle l’agence a émis des commentaires. Une référence est faite à la demande du 9 mars de la FDA à Pfizer : « Nous sommes très intéressés par une analyse cumulative des données de sécurité post-autorisation pour soutenir votre future soumission BLA. Veuillez soumettre une analyse intégrée de vos données cumulatives de sécurité post-autorisation, y compris l’expérience post-autorisation aux États-Unis et à l’étranger, dans votre prochaine soumission de BLA. Veuillez inclure une analyse cumulative des risques importants identifiés, des risques potentiels importants et des zones d’informations manquantes importantes identifiés dans votre plan de pharmacovigilance, ainsi que des événements indésirables d’intérêt particulier et des erreurs d’administration du vaccin (associées ou non à un événement indésirable). Veuillez également inclure les données de distribution et une analyse des événements indésirables les plus courants. En outre, veuillez soumettre votre plan de pharmacovigilance mis à jour avec votre demande de BLA.

Les nombreuses inconnues

Au cours de la courte période de trois mois pendant laquelle les données ont été « signalées spontanément à Pfizer », 42 086 cas ont été enregistrés avec 158 893 événements. D’après les données, on peut interpréter que la personne moyenne (cas) aurait souffert d’un peu moins de quatre symptômes (événements). Fait particulièrement troublant, la FDA a choisi de protéger les intérêts de Pfizer en caviardant le nombre total de doses à (b) (4), empêchant ainsi de calculer les taux d’incidence et de fournir une analyse significative des données. Un autre fait profondément inquiétant concerne des limitations importantes citées par Pfizer : « l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue ». À ce sujet, les chercheurs qui ont dirigé une importante étude de Harvard menée de 2007 à 2010 ont découvert que « moins de 0,3 % de tous les effets indésirables des médicaments et de 1 à 13 % des effets graves sont signalés à la FDA ». En supposant que ce calcul soit correct, nous pouvons conclure que les 42 086 cas représentent un nombre stupéfiant de cas non signalés.

D’autres  » inconnues  » significatives parsèment l’analyse de Pfizer :

  • 2990 cas où le sexe est inconnu
  • 6876 cas où l’âge est inconnu
  • 9440 cas dont l’issue est inconnue

Une autre anomalie est que, pour les issues concernant les cas, Pfizer a choisi d’inclure les personnes qui se rétablissent d’événements indésirables dans la même catégorie que celles qui sont rétablies, sous l’étiquette « rétabli/en cours de rétablissement ». Cette décision à elle seule semble discutable.

Le grand nombre de déclarations spontanées d’événements indésirables

Il est alarmant de constater que l’analyse fait état d’un tel volume d’événements indésirables, classés comme « cas graves », au cours de cette courte période, que Pfizer a dû embaucher davantage d’employés à temps plein et procéder à des changements technologiques importants pour pouvoir traiter les rapports volumineux tout en respectant les délais réglementaires. Comme indiqué dans le document :

En raison du grand nombre de déclarations spontanées d’effets indésirables reçues pour le produit, le titulaire de l’autorisation de mise sur le marché a donné la priorité au traitement des cas graves, afin de respecter les délais de déclaration réglementaire et de s’assurer que ces déclarations sont disponibles pour la détection des signaux et les activités d’évaluation. Le rapport indique ensuite comment Pfizer a traité ce grand nombre de rapports d’événements indésirables. Pfizer a également pris de nombreuses mesures pour atténuer la forte augmentation du nombre de rapports d’événements indésirables. Ces mesures comprennent des améliorations technologiques importantes, des solutions en matière de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas. À ce jour, Pfizer a embauché b4* employés à temps plein (ETP) supplémentaires…

(*b4 est un terme expurgé)

Les 1228 décès

Dans le document généré par Pfizer, un sérieux signal d’alarme apparaît : 1228 personnes sont décédées dans les trois mois suivant la prise du vaccin, alors qu’aucun enregistrement ne rend compte du sexe des participants à l’étude qui sont décédés. Ces données, qui ont d’importantes répercussions sur la sécurité, étaient connues de Pfizer à la fin du mois de février. Pourtant, le 12 avril, le Dr Mace Rothenberg, ancien directeur médical de Pfizer, a déclaré au Washington Journal à propos de la mise au point du vaccin Pfizer : « Je peux vous dire qu’aucun détail n’a été négligé » et « aucun décès n’a été directement imputé au seul vaccin ». Ceux qui défendent la sécurité du vaccin Pfizer ont soulevé l’argument selon lequel  » la corrélation n’implique pas la causalité, c’est-à-dire que deux événements qui se produisent ensemble n’établissent pas une relation de cause à effet « .



La page 10 de l’analyse de Pfizer présente un important risque identifié d’anaphylaxie avec neuf décès signalés. Quatre de ces neuf décès sont survenus le jour même où les personnes ont été vaccinées (voir ci-dessous).

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Pfizer a souligné que ces personnes souffraient d’affections sous-jacentes, mais le fait qu’elles soient toutes les quatre décédées le jour même où elles ont reçu le vaccin suggère une causalité potentielle de décèsvaccinal.

Dans le tableau 7 des pages 16 et 17, 1403 cas d’EIAS (événement indésirable d’intérêt spécifique) cardiovasculaires ont été signalés et segmentés comme suit : Arythmie ; Insuffisance cardiaque ; Insuffisance cardiaque aiguë ; Choc cardiogénique ; Coronaropathie ; Infarctus du myocarde ; Syndrome de tachycardie orthostatique posturale ; Cardiomyopathie d’effort ; Tachycardie.

La latence d’apparition de l’événement pertinent allait de moins de 24 heures à 21 jours. Cela signifie que les événements pertinents sont survenus à n’importe quel moment entre moins de 24 heures et 21 jours après la réception du vaccin, avec une médiane de moins de 24 heures. 136 événements pertinents ont eu une issue fatale. Par conséquent, 50 % de ces événements pertinents (y compris les décès) sont survenus moins de 24 heures après l’administration du vaccin. Cela indique une fois de plus la causalité de décès vaccinal.

Pourtant, Pfizer conclut : « Cette revue des cas cumulés ne soulève pas de nouveaux problèmes de sécurité. La surveillance va se poursuivre ».

Si l’on examine la catégorie « IESA à médiation immunitaire/auto-immune », 1 050 cas ont été signalés, avec un peu plus de trois fois plus de femmes affectées que d’hommes – il y a eu 12 issues fatales. La médiane de la latence d’apparition de l’événement pertinent était inférieure à 24 heures, ce qui suggère à nouveau une causalité de décès vaccinal.

La gravité des cas

Si l’on regarde le graphique ci-dessous, on constate qu’une part importante des cas sont déclarés comme étant graves par rapport aux cas non graves, le nombre le plus élevé de cas graves se trouvant dans la catégorie « troubles généraux ». Un cas grave est un cas qui est médicalement important et qui entraîne soit une hospitalisation, soit une conséquence mettant la vie en danger, soit le décès. Il est intéressant de noter que pour les troubles cardiaques, immunitaires, vasculaires et les infections, les cas graves dominent et que pour les troubles immunitaires, tous sont classés comme graves.

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Les femmes étaient x3 fois plus touchées par les effets indésirables du vaccin

Dans toutes les catégories d’événements indésirables d’intérêt particulier, les femmes sont généralement trois fois plus touchées que les hommes. Toutefois, ce phénomène n’était nulle part aussi prononcé que dans le cas de l’anaphylaxie (une réaction allergique potentiellement mortelle), où les femmes étaient plus de huit fois plus touchées. Sur les 1002 cas d’anaphylaxie rapportés répondant au niveau 1-4 de la Brighton Collaboration (le niveau 1 étant le plus haut niveau de certitude diagnostique de l’anaphylaxie), 876 femmes ont été affectées contre 106 hommes. Les femmes étaient également beaucoup plus touchées par les événements cardiovasculaires ; 1076 femmes ont été signalées comme des cas contre 291 hommes. Ces données statistiquement significatives révèlent la possibilité réelle de risques liés à la sécurité des vaccins en fonction du sexe.

Pourtant, Pfizer ne commente nulle part ces données dans son analyse, mais réaffirme avec assurance que « l’examen des cas cumulés ne soulève aucun nouveau problème de sécurité ».

Les informations manquantes

Il convient également de noter que les données associées à la rubrique « Utilisation pendant la grossesse et l’allaitement » ont été on ne sait pourquoi exclues de l’analyse initiale soumise à la FDA. Dans la version modifiée, 413 cas d’effets indésirables sont signalés, dont 84 sont classés comme graves.

Les résultats des 270 grossesses ont été rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).

Il est alarmant que Pfizer affirme que « l’examen de ces cas d’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement n’a fait apparaître aucun signal de sécurité ». Les données contenues dans le document fortement expurgé semblent contredire cette évaluation optimiste.

Chez les enfants de moins de 12 ans, qui à l’origine ne figuraient pas dans l’analyse de Pfizer, 34 cas ont été signalés, dont 24 ont été classés comme graves. Le fait que de jeunes enfants aient reçu le vaccin de Pfizer suscite des inquiétudes, puisque l’entreprise n’a pas reçu d’autorisation d’utilisation d’urgence pour administrer le vaccin à la population pédiatrique à ce moment-là. En outre, la fourchette d’âge a suscité une inquiétude considérable, car elle allait de 2 mois à 9 ans. Le rapport ne contient pas de données sur le nombre total d’enfants ayant reçu le vaccin. Il n’est donc pas possible de calculer les taux d’incidence pour extrapoler une analyse significative.

Un exemple de liste des IESA connus dans l’analyse cumulative de Pfizer

  • Affections hématologiques et du système lymphatique : Lymphadénopathie
  • Événements cardiovasculaires : infarctus aigu du myocarde ; Arythmie ; Insuffisance cardiaque ; Insuffisance cardiaque aiguë ; Choc cardiogénique; Maladie de l’artère coronaire; Infarctus du myocarde; Syndrome de tachycardie orthostatique posturale ; Cardiomyopathie d’effort ; Tachycardie
  • Problèmes gastro-intestinaux
  • Troubles généraux et anomalies au site d’administration
  • Infections et infestations
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif : Arthralgie; Arthrite; Arthrite bactérienne; Syndrome de fatigue chronique; polyarthrite; Polyneuropathie; Syndrome de fatigue post-virale ; La polyarthrite rhumatoïde
  • Troubles du système nerveux
  • Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : infections des voies respiratoires inférieures ; insuffisances respiratoires, infections virales des voies respiratoires inférieures; syndrome de détresse respiratoire aiguë; Intubation endotrachéale; Hypoxie ; Hémorragie pulmonaire ; Trouble respiratoire ; Syndrome respiratoire aigu sévère
  • Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • Anaphylaxie
  • Maladie augmentée associée au vaccin (VAED) comprenant la maladie respiratoire augmentée associée au vaccin (VAERD).
  • COVID-19
  • Paralysie faciale
  • Troubles à médiation immunitaire/auto-immuns
  • Neurologique (y compris la démyélinisation) : Convulsions ; Ataxie; Cataplexie ; Encéphalopathie ; Fibromyalgie ; Augmentation de la pression intracrânienne ; Méningite; Méningite aseptique ; Narcolepsie
  • Liés à la grossesse : infection de la cavité amniotique ; Césarienne; Anomalie congénitale; Décès néonatal; Éclampsie; syndrome de détresse fœtale ; Bébé de faible poids à la naissance ; Exposition maternelle pendant la grossesse ; placenta praevia; Pré-éclampsie ; Accouchement prématuré; Mortinaissance ; Rupture utérine ; Vasa praevia
  • Rénal : Lésion rénale aiguë, insuffisance rénale
  • Événements thromboemboliques : embolie et thrombose ; AVC AESI, thrombose veineuse profonde ; Coagulation intravasculaire disséminée; Embolie; Embolie veineuse ; Embolie pulmonaire

Cela vaut la peine de comparer la liste ci-dessus avec la liste ci-dessous accessible via le site Web de la FDA sous le document « fiche d’information Pfizer-BioNTech pour les destinataires et les soignants », révisée au 9 décembre 2021. Il est manifeste que de nombreux effets secondaires engageant le pronostic vital n’ont pas été inclus, même si l’analyse cumulative de Pfizer des rapports d’événements indésirables post-autorisation a été produite pour la FDA le 30 avril 2021.

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Conclusion

Bien que l’auteur s’efforce de rester aussi objectif et impartial que possible, un examen approfondi de ce seul rapport suggère que la FDA et Pfizer semblent avoir dissimulé au public toute l’étendue des effets secondaires du vaccin Pfizer-BioNTech. Si cette hypothèse est effectivement vraie, alors l’agence de réglementation « Gold Standard » et la prestigieuse multinationale pharmaceutique ont jeté par la fenêtre tout le concept de consentement éclairé.

Cela relève également du simulacre que des mois plus tard, la FDA ait traîné les pieds et ait publié cet important document de sécurité basé sur les rapports de cas d’événements indésirables en vertu de la loi FOIA. Les rapports de cas jouent un rôle important dans la pharmacovigilance. La reconnaissance du lien entre la thalidomide administrée aux mères et les malformations de leurs bébés a été déclenchée par un rapport de cas.

Ce qui serait peut-être encore plus dévastateur – et qui tournerait en dérision tout l’intérêt des systèmes de réglementation avancés censés garantir la sécurité du public – serait que si la FDA gagne le litige en cours pour retarder la publication des informations, le public doive attendre encore 75 ans pour avoir accès à toutes les données, ce qui sera alors beaucoup trop tard.

Traduction : Résistance mondiale.
Corrections : Sott.net




Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ?

[Source : La Pilule Rouge]






Ne sacrifiez pas vos enfants, ils sont l’avenir de l’Humanité

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Nous ne pouvons dans un texte court relater tous les effets délétères de cette injection expérimentale et nous vous joignons ici le résumé qu’en fait le Dr Malone, inventeur infortuné de cette technique qu’il eut voulu utile à l’Homme et qui est en passe de détruire une part de l’Humanité.

Et voici la déclaration de l’inventeur de la technologie de thérapie génique que j’imagine dans l’état d’Einstein après les méfaits de sa création de fait de  la bombe atomique.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone(([1] « Avant que votre enfant ne soit injecté », déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins géniques Covid pour enfants – Anthropo-logiques))

[Vidéo : « Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)]

« Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique étaient exacts.

Je m’appuie sur cette déclaration, ma carrière étant consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Ensuite, je publierai le texte de cette déclaration afin que vous puissiez la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne fassiez l’injection à votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois points que les parents doivent comprendre :

La première est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines Spike toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  •     ○ leur cerveau et leur système nerveux ;
  •     ○ leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris les caillots sanguins ;
  •     ○ leur système reproductif ;
  •     ○ ce vaccin peut en outre déclencher des modifications fondamentales dans leur système immunitaire.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois ces dommages survenus, ils sont irréparables.

  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les lésions dans leur cerveau.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé.
  •     ○ ce vaccin peut causer des dommages à la reproduction qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  •     ○ Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests/recherche avant de pouvoir vraiment comprendre les risques.
  •     ○ Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments ne sont souvent révélés que plusieurs années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre propre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point : la raison qu’on vous donne pour faire vacciner votre enfant est un mensonge.

  •     ○ Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou grands-parents
  •     ○ C’est en fait le contraire. L’immunité qu’ils développent naturellement après avoir été infectés par le Covid est essentielle pour sauver votre famille, sinon le monde, de cette maladie…

En résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les « vacciner » contre les faibles risques du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du « vaccin » avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse des risques et des avantages est loin d’être aussi précise.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants ».

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades  du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme, ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites. Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant.

Cette injection diabolique l’est tellement que même un médecin de plateau comme Martin Blachier s’y oppose !

Le boom du jour : Ecoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 – We Sign It

« Au vu des données scientifiques disponibles

– sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),

– sur l’absence de risque de formes graves de la maladie covid19 chez les enfants de moins de 12 ans non à risque,

– de la vaccination des enseignants qui le souhaitent avec 3 doses de vaccins ARN qui protège à plus de 98%,

– de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise;

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale en dehors des 5% d’enfants à risque.

C’est à dire

– la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,

– l’absence de toute pression vaccinale sur les enfants sans comorbidités majeures ainsi que

– la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique. »

Mobilisation créée par Martin Blachier 15/12/2021 Contacter

Un gros progrès, même si on  pourrait discuter l’injection des enfants avec comorbidité etc.. mais chaque jour suffit sa peine.

Et même l’OMS : l’OMS exhorte l’Europe à ne pas vacciner les #enfants ! Si la vaccination des plus jeunes continue de faire débat à travers le continent, l’OMS a fermement tranché sur le sujet. Source : #AFP

Nicole Delépine





Covid : un cardinal accuse Soros et Gates de vouloir instaurer un « contrôle total » de la population

[Source : RT France via anguillesousroche.com]

Le cardinal allemand Gerhard Ludwig Mueller a accusé « l’élite financière » – citant Soros, Gates et Schwab – d’instrumentaliser la crise du Covid-19 pour instaurer un « contrôle total » des populations. La presse allemande dénonce son « complotisme ».


L’ancien évêque de Ratisbonne – aujourd’hui prince de l’Eglise catholique – Gerhard Ludwig Mueller a tiré à boulets rouges sur une certaine « élite financière », qui profite selon lui de la crise du Covid-19 pour « faire avancer son agenda ».

« Les gens qui sont assis sur le trône de leur richesse », voient une « opportunité de faire avancer leur programme », a accusé l’homme d’église dans un extrait d’entretien (non encore diffusé en intégralité) publié sur les réseaux sociaux le 6 décembre par l’Institut Saint-Boniface, un site traditionnaliste autrichien.

Le septuagénaire a estimé que le Covid-19 a semé le « chaos » et des « troubles » non seulement en raison du « manque de connaissances » sur la transmissibilité et la dangerosité du virus lui-même, mais aussi de la volonté des super-riches de « saisir une opportunité de mettre les gens au pas ». Les élites financières mondiales instrumentaliseraient selon lui désormais la pandémie et les mesures restrictives adoptées par les gouvernements afin de lutter contre la propagation du virus pour soumettre les gens à un « contrôle total » et mettre en place un « Etat de surveillance » mondial, a-t-il ajouté.

Parmi les personnes prétendument à l’origine de ce projet, les milliardaires Bill Gates et George Soros ainsi que le président du Forum économique de Davos, Klaus Schwab, ont été cités par le cardinal. « Cela n’a rien à voir avec la démocratie », s’est encore insurgé le prélat, pour qui les élites financières voudraient créer un « homme nouveau », qui serait à leur « image et à leur ressemblance ».

La presse allemande dénonce des propos « complotistes »

D’abord passés relativement inaperçus dans le monde germanophone, les propos du cardinal ont été depuis relayés par la presse, et taxés de « complotisme ». Interrogé par l’agence DPA, le politologue allemand Jan Rathje a estimé que ces propos relevaient non seulement de la théorie du complot, mais aussi possiblement de l’antisémitisme, George Soros étant de confession juive.

L’agence de presse précise que contacté par ses soins, le Vatican n’a pour l’instant pas fait de commentaire. Pas plus que la Conférence épiscopale allemande, qui a simplement réitéré son appel à la vaccination.

Contacté par DPA, le cardinal a pour sa part confirmé ses propos et affirmé qu’il rejetait la logique consistant à classer « automatiquement du mauvais côté » ceux qui critiquent l’« élite financière ». Il en a profité pour tancer une nouvelle fois « l’influence illégitime des élites super-riches dans divers pays ».

Gerhard Ludwig Mueller a été entre 2012 et 2017 préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, un organe essentiel de la curie romaine qui a pour mission de « faire connaître et garder la foi », avant d’être démis de ses fonctions par le pape François.

Lire aussi : Un archevêque de haut rang : Ceux qui combattent le « Nouvel Ordre Mondial » sont « protégés par Dieu »




Pascal Praud : ça ne vous étonne pas qu’à 85% de Français vaccinés nous avons le plus haut pic de contamination depuis le début de l’épidémie ? Ça devrait vous alerter, vos cerveaux devraient se mettre à fonctionner !

[Source : Business Bourse]




USA — Déjà 111 pilotes d’avion morts après le Vax !

[Source : Grand Changement 2]

Par Lance D Johnson

Les décès de pilotes américains explosent de +1750 % après l’introduction du vaxxin contre le covid-19 !

Les pilotes de ligne américains, auparavant en bonne santé, décèdent à un rythme sans précédent. Les pilotes doivent être en parfaite condition physique, mais en 2021, l’ensemble de l’industrie aérienne a conspiré contre la santé individuelle des pilotes et les a menacés de licenciement s’ils ne participaient pas à l’expérience du vaccin covid-19. En conséquence, plus de cent jeunes pilotes sont mystérieusement décédés en 2021, tandis que d’innombrables autres pilotes souffrent en silence d’événements indésirables et d’un système immunitaire affaibli. 

Un total de cent onze pilotes sont morts au cours des huit premiers mois de cette année ! Cela représente une augmentation de +1750 % par rapport à 2020, alors que le monde était censé être en pleine pandémie. Une liste des personnes décédées a été publiée dans le magazine de l’Air Line Pilot Association. En comparaison, il y a eu 6 décès de pilotes de ligne en 2020, et un seul décès en 2019. 

La recrudescence des décès de pilotes est un signal d’alarme pour tous. 

La plupart des 111 décès sont survenus après que les vaccins covid-19 ont été déployés en nombre. Comme il n’existe pas de codes médicaux pour les décès dus aux vaccins, la plupart des décès sont attribués à d’autres causes. Ces causes peuvent être liées aux preuves pathologiques à l’origine des lésions vaccinales, mais ne sont jamais codées comme telles. Les preuves pathologiques sont souvent ignorées, et les décès de jeunes hommes et femmes sont souvent qualifiés de « soudains » ou « inexpliqués » – sans aucune investigation pathologique. 

Seuls 5 décès ont été enregistrés entre janvier et mars 2021, alors que le taux de vaccination était faible. Curieusement, un total de (39) décès sont survenus en juillet et (34) en août – juste après que les gouvernements et les entreprises privées aient utilisé les mandats de vaccination pour violer la vie privée de leurs employés et les punir. Même si ces tactiques d’intimidation sont illégales, ces mandats de vaccination ont été utilisés pour effrayer les pilotes et les contraindre à se soumettre. Comme dans de nombreux domaines professionnels, les pilotes sont allés à l’encontre de leurs propres croyances et de leur situation médicale privée, acceptant la soumission. Nombreux sont ceux qui se sont pliés au mandat de vaccination parce que la discrimination était si forte, que l’égalité des chances était supprimée et que les décisions personnelles en matière de santé n’étaient pas respectées. Nombreux sont ceux qui, craignant de perdre leur emploi et leurs perspectives de carrière, ont fait la queue, espérant le meilleur tout en justifiant la tyrannie médicale.

Les problèmes mortels liés aux vaccins ont été mis de côté pendant des décennies, alors que le monde se réveille aux horreurs cachées de l’industrie. 

Les jeunes athlètes, auparavant en bonne santé, connaissent la même tendance à la mortalité que les pilotes. Goodsciencing.com a suivi plus de 300 incidents médicaux post-vaccinaux du 1er janvier au 10 décembre. Ces incidents concernent de jeunes athlètes en bonne santé qui se sont soudainement effondrés sur le terrain de jeu en 2021. Parmi ces incidents médicaux inexpliqués, 170 athlètes ont fini par mourir. Ces tendances ne sont pas surprenantes, car les données de pharmacovigilance recueillies dans le monde entier montrent que les vaccins à ARNm provoquent des inflammations cardiaques, des problèmes auto-immuns et une déplétion immunitaire, entraînant des arrêts cardiaques soudains, des dysfonctionnements neurologiques et des infections graves. CovidVaccineVictims.com conserve un mémorial pour les personnes décédées à la suite de cette expérience génétique horriblement forcée et épouvantable. 

Les problèmes liés à la vaccination ont été balayés d’un revers de main pendant des décennies, depuis que le Childhood Vaccine Injury Act de 1986 a accordé des protections juridiques aux fabricants de vaccins aux États-Unis. Bénéficiant d’une immunité juridique depuis plus de trente ans, les fabricants de vaccins se sont moqués de l’État de droit, s’exonérant de toute responsabilité juridique lorsque leurs produits nuisent aux personnes. Aujourd’hui, les fabricants de vaccins à ARNm ont conclu des contrats avec des gouvernements du monde entier afin de soustraire leurs activités à toute responsabilité judiciaire ou à un procès avec jury. Les fabricants de vaccins opèrent au-dessus des lois et continueront à s’en tirer avec un génocide si l’état de droit n’est pas rétabli. Les fabricants de vaccins à ARNm prévoient maintenant des rappels sans fin. Leur domination sur les gouvernements et leur masse monétaire sans fin leur permettront de voler, tuer et détruire en utilisant la propagande, la coercition et la force.

Les sources comprennent : 
SteveKirsch.substack.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
GoodScience.com
NaturalNews.com
Publications.aap.org
CovidVaccineVictims.com

Source : https://chemicalviolence.com/2021-12-13-us-pilot-deaths-increase-after-covid-vaccine-rollout.html#




USA : Un hôpital de Virginie est reconnu coupable d’outrage à magistrat et doit payer une amende de 10 000$ par jour après avoir refusé de donner de l’Ivermectine à un patient.

[Source : resistance-mondiale.com]

Chris Davies et son père Donald se battent depuis quelques semaines pour que leur mère et leur épouse Kathy Davies aient le droit d’essayer le médicament Ivermectin comme traitement du COVID-19 à l’hôpital Fauquier Health de Warrenton, en Virginie. Mais l’hôpital – où Chris travaille comme technologue en radiologie – avait fait subir à sa mère une série d’obstacles juridiques apparemment conçus pour l’empêcher de recevoir le traitement.

Lundi 13 décembre, la 20e Cour judiciaire de Virginie a déclaré Fauquier Health coupable d’outrage au tribunal pour avoir refusé de se conformer à des ordonnances antérieures et a décidé qu’à 21 heures ce soir, heure de l’Est, Kathy Davies devait recevoir la dose d’Ivermectin prescrite par un médecin engagé par la famille Davies. En outre, si l’hôpital ne s’y conformait pas, l’État avait le droit de lui infliger une amende de 10 000 dollars par jour. Cette ordonnance aurait été appliquée rétroactivement à partir du 9 décembre. Le tribunal a également ordonné que la famille Davies bénéficie d’une escorte policière si nécessaire pour administrer le médicament à leur mère.

Mais le tribunal a également déclaré que l’hôpital avait la possibilité de se débarrasser de l’accusation d’outrage en se conformant à l’ordonnance. L’hôpital aurait maintenant choisi de se conformer à cette ordonnance après une semaine d’argumentation sur les raisons pour lesquelles il ne pouvait pas autoriser l’administration du médicament à Kathy Davies comme le demandait la famille.

Cette histoire offre l’espoir d’un répit juridique pour de nombreuses familles qui se sont retrouvées dans des situations similaires en essayant de lutter contre un établissement médical sans doute opposé à tout traitement non soutenu par la FDA pour combattre le COVID-19.

La saga des Davies a commencé en octobre lorsque la mère de Chris Davies a été admise à l’hôpital avec le COVID-19. Elle a été placée sous respirateur dans l’unité de soins intensifs (USI) le 3 novembre. Donald devait être son mandataire médical et, après consultation de Chris et de ses frères et sœurs, il souhaitait que les médecins administrent à Kathy de l’Ivermectin dans l’espoir d’obtenir des résultats contre le COVID-19.

Les médecins et l’hôpital ont refusé cette demande et ont été catégoriques sur le fait qu’ils n’administreraient pas le médicament malgré les souhaits de la famille. Le 3 décembre, la famille Davies a informé Fauquier Health qu’elle engageait des avocats au nom de Kathy et qu’elle intentait un procès.

“Priez pour que nous ayons un juge compatissant et que le procès se déroule sans heurts”, a envoyé Chris aux amis qui soutiennent sa mère le 5 décembre. “Nous voulons juste avoir le droit d’essayer l’Ivermectin !”

“Prions pour que nous puissions le lui donner et que cela l’aide à sortir de cette longue souffrance !” a-t-il ajouté. “Merci à tous et que Dieu vous bénisse ! !!”

Le lundi 6 décembre, selon un document judiciaire obtenu par The Daily Wire, le tribunal avait décidé que Kathy avait le droit, en vertu de la loi de Virginie, d’essayer l’Ivermectine ou toute autre ordonnance et prescription fournie par le Dr Martha Maturi – le médecin retenu par la famille Davies qui avait prescrit l’Ivermectine – indépendamment de son emploi à l’hôpital.

Mais, lorsque Chris et une infirmière autorisée sont allés administrer le médicament la nuit du 7 décembre sur les ordres de Maturi, “l’administration de l’hôpital a empêché [lui et l’infirmière] d’entrer dans l’unité de soins intensifs avec l’Ivermectin”.

Selon Chris, “Kevin Sales, directeur de l’exploitation de l’hôpital, et Christine Hart Kress, directrice générale de l’hôpital, les ont empêchés d’entrer avec l’ordonnance initiale du tribunal”.

Alors que Chris avait l’Ivermectin en main, il dit que Kress “a menacé de dénoncer l’infirmière à l’ordre des médecins pour lui retirer sa licence” parce qu’”elle n’était pas une employée de l’hôpital”.

L’hôpital a dit à Chris qu’il avait demandé une autre audience d’urgence qui devait se tenir le 8 décembre.

Le 9 décembre, le juge James P. Fisher du 20e tribunal judiciaire de Virginie a statué – selon un autre document obtenu par The Daily Wire – que Maturi avait le droit de donner de l’Ivermectin à la mère de Chris en vertu de la loi de Virginie, déclarant que “ce tribunal estime qu’il n’est pas nécessaire de descendre dans une analyse des mérites de l’Ivermectin en tant que protocole de traitement” et que l’hôpital doit faire un “effort raisonnable” pour transférer les soins à Maturi.

L’ordonnance poursuit en notant que les arguments de l’hôpital contre l’admission de Maturi à l’hôpital n’étaient pas suffisants.

L’avocat de Davies, Ralph Lorigo, a fait valoir que “tout effort raisonnable” concernant l’Ivermectin signifiait trois choses : 1. Prescription de médicaments, 2. Administration de médicaments, et 3. Prendre tout appel concernant l’Ivermectin et le patient.

Les avocats de l’hôpital auraient accepté d’accorder à Maturi des privilèges d’admission dans ces conditions.

Mais vendredi, Maturi a passé des heures à répondre à des questions concernant l’assurance contre les fautes professionnelles, les références et d’autres formulaires que l’hôpital jugeait nécessaires avant de l’autoriser à voir le patient. L’hôpital a attendu jusqu’à 15h30 le vendredi 10 décembre pour faire savoir aux avocats de Davies qu’ils n’allaient pas admettre Maturi à l’hôpital malgré l’ordonnance du tribunal.

Les avocats de Davies ont discuté de la question avec les avocats de l’hôpital le vendredi, le samedi et le dimanche pour savoir pourquoi Maturi ne pouvait pas recevoir de privilèges. L’hôpital a déclaré que si Maturi devait administrer de l’Ivermectin, elle devrait prendre le contrôle total du patient. Ils ont essentiellement dit qu’aucun médecin ou infirmier employé par l’hôpital n’aiderait à prendre soin du patient.

Cela n’avait aucun sens pour les avocats de Davies ou pour sa famille, pour diverses raisons, dont la principale est qu’un seul médecin n’est jamais en charge du patient, mais qu’une équipe de médecins, de spécialistes et d’infirmières s’occupe du patient.

C’était trois jours de plus pendant lesquels la mère de Chris ne recevrait pas le médicament. Comme l’hôpital avait refusé à la famille Davies le droit de donner de l’Ivermectin à Kathy le vendredi après-midi, une audience d’urgence devait attendre jusqu’au lundi matin.

En réponse, les avocats des Davies ont fait valoir au tribunal lundi que l’hôpital avait été déraisonnable dans ses efforts pour soigner la patiente, Kathy Davies, et qu’il devait être tenu pour coupable d’outrage au tribunal.

Le juge Fisher leur a donné raison et a décidé lundi que l’hôpital pouvait faire appel de l’ordonnance, s’y conformer ou s’exposer à une amende de 10 000 euros par jour.

Lorigo a déclaré qu’après avoir essayé pendant plusieurs heures de demander des “éclaircissements” sur la question, Fauquier Health s’est finalement conformé à la décision. Les administrateurs de l’hôpital ont même fait savoir à Chris et à son père qu’ils avaient trouvé une infirmière diplômée qui pourrait aider le Dr Maturi à délivrer l’Ivermectin.

À l’heure où nous mettions sous presse, Chris et Maturi se rendaient au Fauquier Health avec de l’Ivermectin en main pour enfin la remettre à sa mère dans l’espoir de l’aider à vaincre le COVID-19.

Source : https://www.dailywire.com/news/virginia-hospital-found-in-contempt-of-court-subject-to-10k-per-day-fines-after-denying-patient-ivermectin




Véran interdit les antibiotiques pour plusieurs pathologies… et la Covid !

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Comment interdire de se soigner contre la Covid? Ce sera donc le Doliprane, rien que le Doliprane… Véran préfère que vous creviez ! Véran a décidé de limiter l’usage de plusieurs antibiotiques largement utilisés en France à la présentation d‘un test attestant d’une angine à streptocoques. Vous vous en foutez ?

Et quand le « pass » climatique sera à son tour instauré, votre autorisation d’acheter un billet d’avion supprimée, ça vous fera réagir ? Même pas…

Au même moment, l’échec des référés auprès du Conseil d’État est un encouragement à étendre la politique de discrimination à l’encontre des non-vaccinés. Soit une majorité de Français saisit l’enjeu démocratique derrière le #Covid, soit nous deviendrons des sous-citoyens d’un pays asservi.

Sont concernés :

  • amoxicilline ;
  • cefuroxime (sous forme de céfuroxime axétil) ;
  • cefpodoxime ;
  • azithromycine ;
  • clarithromycine ;
  • josamycine.

Problème ces antibiotiques sont largement utilisés pour tous les problèmes bucco-dentaires (dent arrachée), pour toutes les pathologies ORL et pulmonaires.

Vous avez reconnu l’azithromycine efficace contre la Covid et en toute certitude contre les complications bactériennes qui accompagnent la Covid.

https://www.vidal.fr/medicaments/gammes/azithromycine-teva-30508.html

En application des dispositions de l’article R. 5132-5-1 du code de la santé publique et dans le respect des dispositions de l’article R. 5123-1 du même code, le prescripteur peut recourir à une ordonnance de dispensation conditionnelle pour la prescription de médicaments de la classe des antibiotiques dans la suspicion d’angine bactérienne à streptocoque du groupe A. La liste des principes actifs entrant dans la composition des médicaments relevant de cette situation médicale est fixée dans l’annexe au présent arrêté.
Cette ordonnance conditionne la délivrance de l’antibiotique à la réalisation d’un test oro-pharyngé d’orientation diagnostique (TROD) des angines à streptocoque beta-hémolytique du groupe A dont le résultat est positif. Cette ordonnance devient caduque dans un délai maximum de 7 jours, dont le premier jour correspond à la date de l’ordonnance.
La mention à faire figurer sur l’ordonnance, rattachée à la dénomination commune du médicament, est la suivante : « si TROD angine positif, sous 7 jours calendaires ».

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000044483134

Il n’est pas interdit de prescrire sans test, mais attention, les médecins courageux seront marqués à la culotte… Crevez, mais crevez vaccinés !

Par tous les moyens le pouvoir limite la liberté de prescrire des médecins. Le totalitarisme conduit au désespoir et le désespoir aux actes désespérés. Véran en partage la responsabilité avec Macron.




« Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)

[Source : @ivermectine-covid.ch]






La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2)

Par Khider Mesloub et Robert Bibeau

La première partie de ce texte est disponible ici :
La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) – les 7 du quebec

L’euthanasie sociale sous le socialisme et sous le fascisme

Curieusement, cette « euthanasie sociale » (socialiste et/ou social fasciste)  des personnes âgées et vulnérables, opérée à la faveur de la pandémie du Covid-19, a une résonnance historique avec une pratique de l’État nazi appelée l’Aktion T4, programme d’extermination de plus de 300 000 Allemands handicapés physiques et mentaux. L’Aktion T4, appelé aussi « programme d’euthanasie » est un véritable protocole d’élimination des handicapés physiques et mentaux mis en œuvre dès 1939 à la demande expresse d’Adolphe Hitler. À cet égard, ironie de l’histoire linguistique, il n’est pas inutile de relever que le terme euthanasie contient le mot nazi (euthanazi), comme l’a écrit Lionel Chrzanowski : « De l’euthanasie à l’État nazi, il n’y a que quelques lettres d’indifférence ».

L’État nazi voyait ces personnes comme une charge pour la société, n’ayant aucune utilité pour la nation (sic). Les personnes à exterminer étaient sélectionnées par les médecins et réparties en trois groupes : celles souffrant de maladie psychologique, de sénilité ou de paralysie incurable ; celles hospitalisées depuis au moins cinq ans ; et enfin celles internées comme aliénés criminels, les étrangers et celles qui étaient visées par la législation raciste nationale-socialiste. Dans l’optique des nazis, les faibles d’esprit et tuberculeux, les enfants atteints de malformations et les vieillards malades, étaient des individus improductifs, antisociaux, mais surtout un fardeau social pour le système sanitaire et financier de l’État. Ils étaient considérés comme de véritables « choses inutiles ». Aussi, l’assistance de ces personnes était un gaspillage, en particulier dans un contexte où le pays devait concentrer toutes ses énergies sur l’effort de guerre (aujourd’hui, en 2021, pour le moment la guerre est économique, et conséquemment diplomatique, juridique, politique et idéologique, mais elle ne va pas tarder à se transformer en conflagration armée généralisée, permettant de concrétiser à l’échelle mondiale le programme d’euthanasie planifié). Les arguments eugéniques et d’hygiène sociale visant la création d’une pure race germanique (aujourd’hui le système capitaliste, avec sa tentative de reconfiguration économique sur fond de destruction des secteurs obsolètes de l’économie et d’euthanasie sociale des personnes vulnérables en raison du coût de leur entretien et de leurs soins), vise à créer une nouvelle « race » (catégorie-classe sociale)  de producteurs salariés numérisés et atomisés et de consommateurs isolés -désocialisés- d’e-Commerce, autrement dit une société avec moins de grandes unités-usines concentrationnaires- de production (sources de dangers de fraternisation de la classe ouvrière) et sans commerces physiques de proximité, devenus coûteux, désuets, non rentables) se mêlaient aux exigences utilitariste, chères aux libéraux.

Il faut comprendre ici que cette stratégie de démantèlement-réorganisation (Great Reset) de la nouvelle économie politique capitaliste vise particulièrement la petite et la moyenne bourgeoisie dont l’avenir de paupérisation et de prolétarisation est tracé par les complotistes du Grand capital mondialisé. On comprend mieux que ces segments marginaux et sacrifiés de la bourgeoisie dominante montent aux crénaux  de la Résistance à l’hystérie pandémique du Covid-19.(([1] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec)) Ces segments bourgeois adoptent deux tactiques différenciés. Un segment de la petite bourgeoisie se soumet au diktat des grands patrons et ordonne à la populace (plèbe) de se soumettre aux autorités « démocratiques » totalitaires, espérant ainsi sauvegarder leurs privilèges de classe en perdition. Un second segment de cette basse bourgeoisie se révolte et mène la charge contre l’évolution incontournable – inévitable – du monde de production capitaliste monopoliste, espérant ainsi entraver la marche en avant inéluctable du Grand capital moribond.(([2] Résultats de recherche pour « crise économique » – les 7 du quebec)) Peine perdue, l’histoire ne revient jamais sur ses pas… ces petits bourgeois l’apprendront de triste façon. Nous espérons qu’a la fin de leur périple ils se rallieront au prolétariat plutôt qu’au fascisme de leurs patrons.

Les gouvernements des États capitalistes de gauche et de droite

Quoi qu’il en soit, les gouvernants ne peuvent pas s’exonérer de leur responsabilité dans cette tragédie en arguant qu’ils ignoraient la menace de l’épidémie du coronavirus. Depuis plusieurs années, les scientifiques n’ont pas cessé de tirer la sonnette d’alarme. Les autorités médicales internationales (OMS) comme les États de tous les pays capitalistes étaient informés de la menace d’une épidémie liée aux coronavirus. D’autant mieux informés que le Grand capital mondialisé subventionnait des dizaines de laboratoires militaires de recherche de nouvelles armes bactériologiques de tuerie massive (virus à gain de fonctions meurtrières virales).(([3] Résultats de recherche pour « gain de fonction » – les 7 du quebec)) Or, comme on le constate dramatiquement aujourd’hui, aucune politique de santé prophylactique n’a été instituée, ni aucune thérapeutique curative n’a été expérimentée. Le scandale Ivermectine – les 7 du quebec   Les États ont délibérément ignoré les recommandations des autorités médicales en refusant de développer une véritable politique de santé prophylactique et curative.(([4] Pr Didier Raoult – Bilan scientifique suite à la terreur pandémique du COVID-19 – les 7 du quebec)) Pour des raisons de restrictions budgétaires, ils ont détruit le système de santé, notamment le secteur de prévention sanitaire tout comme les secteurs des soins de longue durée (CHSLD et EHPAD).(([5] Mourir parmi les personnes âgées emprisonnées en CHSLD ou en EHPAD! – les 7 du quebec)) Car, pour le capitalisme, les dépenses de prévention sont « improductives » – c’est-à-dire ne produisent pas de profit. Aussi, l’État, organe de planification et de rationalisation de la domination de classe, alloue-t-il un financement dérisoire à ce poste budgétaire jugé stérile en termes  de rentabilité économique et sociale.

Comment expliquer cette barbarie à visage démocratique ?

En premier lieu, comme on l’a souligné plus haut, du fait des restrictions budgétaires, responsables ces dernières années du démantèlement des hôpitaux et de la réduction des effectifs des personnels soignants (qui se poursuit encore aujourd’hui en pleine pandémie). Mais, plus globalement, cette politique sanitaire dépourvue d’humanité s’inscrit dans une « philosophie » de l’existence libérale où l’intérêt individuel prime sur les besoins primordiaux collectifs, conception particulièrement répandue parmi les classes dirigeantes cyniques, au sein des instances gouvernementales et entrepreneuriales. La mondialisation a converti l’ensemble des oligarques et larbins politiques à la logique comptable en matière de rapports sociaux. Pour cette pensée marchande vénale, l’homme n’est pas la fin de l’organisation sociale  et politique mais seulement le moyen de l’accumulation du capital, ce que nombre de Résistants appellent communément « le règne de l’argent roi » oubliant que l’argent n’est que la représentation du capital variable (salaire) et du capital constant (immobilisation et machinerie) . Enserré dans l’idéologie du culte de la performance (productivité) et de la compétition (concurrence pour les marchés) pour l’accumulation de profits et la valorisation du capital, « l’homme capitaliste » (le ploutocrate) est assujetti à des impératifs économiques supérieurs : la conquête des parts de marché, l’accroissement de la productivité, l’expansion (valorisation) de la rentabilité des capitaux, l’extension illimitée de l’économie libidinale de la jouissance personnelle et du divertissement individuel (strictement pour le profit). De là s’explique que, pour le système capitaliste, les individus ne sont dignes d’intérêt que dans la mesure où ils constituent une marchandise active, un objet dynamique capable lui-même de consommer d’autres objets qu’ils auront payés par leur travail salarié. Dès lors qu’ils perdent leur force productive génératrice de valeur et leur dynamique consommatrice, autrement dit ils vieillissent ou deviennent inaptes au travail, ils sont considérés par le capital comme des objets à charge, un coût dont il doit se décharger. Aussi, la reconnaissance de leur qualité humaine et de leur dignité sociale disparaît-elle au sein de la société capitaliste.

Corrélativement, doivent-ils se résoudre à accepter ou à commander leur disparition, leur dépérissement. Pour les gouvernants de l’État capitaliste sans coeur, les personnes âgées ne constituent qu’un amas d’objets rouillés, d’ex-moyens de production, destinés à être jetés à la casse… comme n’importe quelle autre marchandise obsolète.

En vertu de la conception de l’obsolescence programmée chère aux libéraux, à l’instar de Schumpeter, fondateur de la théorie de la «destruction créatrice», les personnes fragiles, invalides, âgées, inutiles, devenues surnuméraires, doivent ainsi abréger leur durée de vie, autrement dit se laisser mourir, du coronavirus ou de quelque maladie chronique inoculée par le système capitaliste pathogène via ses laboratoires virologiques de recherche de nouvelles armes létales. Plus exactement, c’est l’État qui se charge d’abréger leur durée de vie par leur mise à mort précipitée, au moyen de l’application de la politique d’«euthanasie sociale», dans le cadre de la conception malthusienne, cette mort volontaire, organisée par les gouvernements des riches par leur incurie volontaire, pour résoudre à leur manière scélérate la question des fonds de retraites (déficitaires et insolvables)  et du déficit de la sécurité sociale, de la démographie surnuméraire.(([6] Résultats de recherche pour « retraite » – les 7 du quebec))

Pour les puissants 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale

En réalité,  cette politique euthanasique s’intègre dans l’idéologie néo-malthusienne, c’est-à-dire la gestion de la démographie par l’accroissement de la mortalité, autrement dit la programmation de la dépopulation de la planète opérée actuellement par la pathologisation des populations (contamination virale, infection bactérienne, dégradation psychologique, aliénation sociale), la planification de la destruction de millions d’emplois occasionnée par la robotisation de l’industrie et la dématérialisation de l’économie (désignés sous le nom de Grand Reset), avec, comme corollaire, la paupérisation généralisée de centaines de millions de personnes privées de revenus, et, à court terme, la propagation de la famine, donc l’explosion de la mortalité. À cet égard, il est utile de rappeler que, bien avant le début de notre millénaire apocalyptique (marqué par deux profondes crises économiques en l’espace d’une décennie – 2008 et 2020 -), à la fin du siècle dernier, lors de la réunion des principaux dirigeants du monde capitaliste, tenue à Hôtel Fairmont de San Fransisco en 1995, cinq cents convives (parmi lesquels figuraient George Bush père, Margaret Thatcher, Václav Havel, Bill Gates, Ted Turner, Zbigniew Brzezinsky) avaient envisagé  que, dans la future société hautement technologique, 20% de la population active suffiraient pour faire fonctionner l’économie mondiale. En d’autres termes, 80% de la population mondiale deviendraient inemployables, donc inutiles, surnuméraires. Avec la volonté du grand capital d’accélérer actuellement la robotisation et la dématérialisation de l’économie, donc l’expulsion de millions de salariés de la production, les prévisions des puissants du monde se concrétisent. Et, par extension, le programme d’élimination des surnuméraires en voie d’exécution par les autorités étatiques, ces succursales du grand capital financier.

Cependant, une embuche imprévue se présente sur la route des convives malthusiens de l’Hôtel Fairmont. Quelle faction du Grand capital international commandera à son profit l’armée des salariés aliénés, ce 20% de population active enchaîné? En 1995 l’émergence de la super puissance chinoise (1,4 milliard d’individus solidement encadré par un gouvernement totalitaire) n’était pas encore évidente. En 2021, la superpuissance chinoise mène son expansion dans toutes les directions sous le programme des Nouvelles routes de la soie, entraînant la déroute de l’Alliance Américaine moribonde.(([7] Résultats de recherche pour « nouvelles route de la soie » – les 7 du quebec
Et débâcle américaine en Afghanistan et en Asie centrale :
Résultats de recherche pour « afghanistan » – les 7 du quebec))

Faute d’hôpitaux en cours d’élagages, larbins politiciens et technocrates bureaucratiques ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme »

Pour preuve. Pour ceux qui douteraient de l’agenda machiavélique planifié par les puissances du Grand capital, illustrée par l’euthanasie sociale (élimination d’une partie de la population surnuméraire non profitable) et économique (destruction des infrastructures devenues obsolètes du point de vue du grand capital financier, ce génocidaire des petits industriels et de l’économie productive, car les industriels, singulièrement les petits indépendants, pâtissent également des politiques euthanasiques économiques infligées par le grand capital financier), il suffit de citer la dernière étude consacrée à la baisse record de l’espérance de vie enregistrée depuis l’apparition de la pandémie, baisse occasionnée par la gestion criminelle de la crise sanitaire avec ces confinements déments.(([8] Résultats de recherche pour « confinements » – les 7 du quebec)) En effet, selon une étude publiée par l’université d’Oxford dans l’International Journal of Epidemiology, la diminution de l’espérance de vie dans 29 pays, dont les États-Unis, le Chili et 27 pays d’Europe (autrement dit les principaux pays de l’Alliance Américaine), est la plus importante de l’histoire moderne. Pour l’Europe occidentale, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis les années de la Seconde Guerre mondiale. Ces indices démographiques sont bien différents en Asie et en Afrique…Pourquoi ?

Pour les États-Unis, la diminution de l’espérance de vie est la pire depuis l’instauration des registres officiels démographiques en 1933, au plus fort de la Grande Dépression. L’étude d’Oxford conclut par cet avertissement sur les implications potentiellement mortelles à long terme de la pandémie (traduction, des mesures politiques et économiques meurtrières décrétées par les gouvernants, la pandémie est innocente  dans ces manigances) :

«Bien que la Covid-19 puisse être considérée comme un choc passager sur l’espérance de vie, les preuves de la morbidité potentielle à long terme due à une Covid longue et les impacts des soins retardés pour d’autres maladies, ainsi que les effets sur la santé et l’élargissement des inégalités découlant de la perturbation sociale et économique de la pandémie suggèrent que les cicatrices de la pandémie de Covid-19 sur la santé de la population pourraient être plus durables.» En d’autres termes, le taux de mortalité va considérablement augmenter, et l’espérance de vie continuer à dramatiquement baisser. Notamment du fait de la déprogrammation de nombreuses consultations et interventions chirurgicales au cours de la pandémie politiquement instrumentalisée.

Il en est ainsi du cancer. Pour prendre la situation de la France (à généraliser à l’ensemble des pays atlantistes), selon la Ligue contre le cancer, la « crise sanitaire » a freiné considérablement le dépistage. Cette négligence médicale entraînera inévitablement une explosion du nombre de décès dans les années à venir. Car, par le dépistage précoce du cancer, la chance de guérison est de 90%. Or, du fait de la défaillance de dépistage organisée depuis le début de la pandémie, on va assister à une inversion de la tendance : la mortalité liée au cancer va augmenter de manière exponentielle. En France, selon la Ligue, quasiment 100 000 cas de cancer n’ont pas été diagnostiqués en 2020, en raison des mesures restrictives de déplacement, de confinement, et, surtout, de déprogrammations ordonnées par les hôpitaux (pour cause, soi-disant de saturation de malades de Covid. Or, les hospitalisations liées au Covid n’ont représenté (comme on le souligne ci-dessous) que 2% au cours de l’année 2020. À cette défaillance de dépistage du cancer, il faut ajouter les autres pathologies chroniques létales qui n’auront pas été détectées, traitées et soignées à temps. Aussi, à court terme, faut-il s’attendre à une augmentation très importante des décès parmi ces populations atteintes désormais de maladies chroniques létales.

Une chose est sûre : la majorité des morts du Covid est décédée par manque de soins (défaillance d’unités de réanimation, de respirateurs, d’oxygénation, de traitement médicamenteux). Et les États sont responsables de cette hécatombe covidale. Car, après avoir sacrifié le système de santé sur l’autel du capital, à défaut de pouvoir mobiliser les hôpitaux moribonds, ils ont opté pour l’érection du dogme du « Vaccinisme » (croyance en le pouvoir thaumaturgique de la vaccination désormais déifiée, édifiée en exclusive méthode de soin aux dépens de la thérapeutique médicale curative conventionnelle, diabolisée et excommuniée par les médecins et scientifiques stipendiés par les Big Pharma, ces Seigneurs du grand capital, Démiurges du nouvel ordre mondial despotique) en religion médicale mercantile. Les États inféodés au grand capital en sont réduits à soigner (administrer) leurs populations à coups d’injonctions dictatoriales et d’injections vaccinales.(([9] Résultats de recherche pour « vaccin » – les 7 du quebec))

Qu’importe le moyen, l’essentiel est la disparition des « vieux », des fragiles, des surnuméraires, pour être remplacés par une nouvelle génération réifiée de producteurs et de consommateurs génétiquement modifiés, façonnés selon les normes capitalistiques du nouvel ordre économique financiarisé, numérisé, dématérialisé et, surtout, déshumanisé (au double sens du terme : un monde composé d’une humanité démographiquement réduite, et dépourvu sentimentalement et spirituellement de toute humanité).

La propagation mondiale de cette doctrine capitaliste utilitariste a infecté toutes les classes dirigeantes, pour qui l’avoir ($$$) a remplacé l’être, la quantité a effacé la qualité, l’esprit marchand a englouti les valeurs morales. Aussi, dressés comme des machines à commander, accoutumés à observer la vie uniquement par le prisme de la quantité, des statistiques, des courbes et des nombres, les technocrates modernistes (fascistes) sont-ils dépourvus de toute empathie, incapables d’évaluer l’impact inhumain de leurs décisions. Avec leur logique comptable, leur cerveau en forme de calculette, la vie devient une abstraction, la société une irréalité, les rapports humains sont réifiés, la gouvernance chosifiée. Nous avons affaire à de véritables pervers narcissiques et psychopathes, des êtres dépourvus d’affects, de sensibilité, d’humanité… N’est-ce pas l’exact définition du fascisme et du social-fascisme ?(([10] Marie-Estelle Dupont: «Les individus sont fragilisés par cette répression, ce chantage, cette manipulation médiatique» – les 7 du quebec 
et fascisme : Résultats de recherche pour « fascisme » – les 7 du quebec))

Les gouvernants contaminés par le virus de la doctrine capitaliste utilitariste

  Pour escamoter leur incompétence, ils se dissimulent derrière les courbes statistiques, les chiffres comptables. Leur reproche-t-on la réduction des lits d’hôpitaux, les technocrates sous-fifres des politiciens vassaux des ploutocrates milliardaires s’abriteront derrière les restrictions budgétaires. Leur reproche-t-on la défaillance des équipements médicaux (masques, tests, respirateurs, lits de réanimation), ils brandiront, dans un langage technique abscons, l’argument spécieux de « la conformité aux règles comptables exigées par les instances économiques supranationales garantes d’une gestion optimale en matière de sécurité établie selon les normes de fonctionnement en flux tendu en cours dans toutes instances gouvernementales » (sic). Leur présentera-t-on un tableau dramatique du nombre de femmes et d’hommes morts du fait du Covid-19 ou d’autres maladies, ils ne verraient qu’abstraction chiffrée et non une réalité humaine décimée.

Ironie de l’histoire, en plein XXIème siècle, à l’ère de la domination triomphale de la science et de la technologie, les classes dirigeantes décadentes, pour lutter contre un banal virus grippal, auront employé trois moyens mortellement incongrus : le confinement-isolement  dément ayant entraîné la mort de million de pauvres en pays émergents; l’euthanasie déguisée en compassion pour les vieux et les vulnérables;  et la vaccination expérimentale avec des médicaments non validés-alambiqués et testés sur des milliards de cobayes anthropoïdes contraints.

En effet, au lieu de soigner la maladie, sous forme thérapeutique médicale curative conventionnelle (totalement proscrite par les autorités gouvernementales), les médecins (tels des marabouts prescrivant des potions magiques pour guérir les maux de leurs clients en détresse, moyennant paiement de sommes souvent colossales), sous la pression des États soumis aux firmes pharmaceutiques, auront été assignés au rôle de prometteur de la vaccination. Autrement dit, usant de formules incantatoires vaccinales en guise d’argumentation scientifique, il se seront bornés d’orienter les patients vers les vaccinodromes, à déléguer leur pouvoir soignant aux vaccins, cet élixir pharmacologique, dernière potion médica-menteuse génique aux vertus magiques, inventée par les laboratoires des Big Pharma. Ainsi, les médecins auront démissionné de leur fonction soignante, décidant de ne plus soigner. Autant par lâcheté que par esprit de vénalité, ils auront trahi leur serment d’Hippocrate. (Pourtant, dans les études de médecine les étudiants apprennent que la vaccination ne doit jamais être employée pendant une période épidémique.)

Or, une maladie, ça se soigne. La maladie ne se vaccine pas. Sinon, autant supprimer la médecine pour octroyer le pouvoir thérapeutique médicale à la seule vaccination, autrement dit aux laboratoires pharmaceutiques, ces nouveaux thaumaturges de la médecine. Une vaccination, c’est un simple additif aux soins. C’est d’autant plus un additif dès lors qu’il s’agit d’un véritable vaccin. Or, ce n’est pas le cas avec les nouveaux produits géniques ARN-m commercialisés pourtant encore en phase d’essai clinique, c’est-à-dire expérimentale.

Par ailleurs, selon les gouvernants la surmortalité enregistrée au cours de l’année 2020 serait imputable à la saturation des hôpitaux, autrement dit aux admissions massives de malades dans les établissements de soin débordés. De même, selon le gouvernement Macron (c’est le même argument excipé par tous les États atlantistes), les mesures restrictives, tout comme les confinements, avaient été décrétées car les hôpitaux étaient saturés par les admissions ininterrompues de patients atteints de Covid. Donc, selon les gouvernants, c’est pour éviter une surmortalité incontrôlable dans les hôpitaux saturés de patients de Covid que les États avaient décidé d’instaurer les confinements, restreindre les déplacements, fermer les établissements accueillant le public, pour éviter également la propagation accélérée du virus.

Or, aujourd’hui, à lire le dernier rapport publié par l’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation), consacré aux hospitalisations en France, notamment aux causes des admissions hospitalières des patients, on apprend que les hôpitaux français n’ont accueilli au cours de l’année 2020 à peine 2% de malades liés au Covid. Dès l’introduction, le rapport écrit : « au cours de l’année 2020, les patients Covid représentaient 2% de l’ensemble des patients hospitalisés, tous champs hospitaliers confondus ». Ainsi, par ce rapport officiel, on découvre que, durant l’année 2020, au plus fort de la pandémie ayant prétendument saturé les hôpitaux, seulement 2% des malades hospitalisés étaient des patients Covid. Autant dire, Rien. Alors que les gouvernants et leurs médias stipendiés par les Big Pharma n’avaient cessé de déclarer que les hôpitaux étaient saturés, débordés par les admissions incontrôlables de malades de Covid, au point de ne plus pouvoir soigner les autres maladies (pour accréditer cette narration gouvernementale mystificatrice, de nombreuses consultations et interventions chirurgicales avaient été annulées par les hôpitaux, mettant ainsi en péril la vie de ces vrais malades sacrifiés sur l’autel de l’imposture sanitaire covidale). Au point d’organiser également, dans une mise en scène médiatiquement orchestrée, des transferts de malades vers d’autres régions aux hôpitaux prétendument moins saturés, voire vers l’étranger, notamment l’Allemagne, pour accréditer le scénario de la saturation des hôpitaux nationaux. Il ne faut pas oublier que cette imposture sanitaire gouvernementale a occasionné des mois de confinement avec les dommages collatéraux financiers, sociaux et psychologiques dramatiques. À analyser uniquement la situation de la France, le coût financier est estimé à 200 milliards d’euros juste pour l’année 2020 (d’ici la fin 2021, l’imposture sanitaire aura coûté 424 milliards d’euros), des millions de salariés mis en chômage partiel ou définitif (donc avec perte de revenus), des milliers de petits entrepreneurs acculés à la faillite, des millions de personnes précipitées dans la paupérisation, plongées dans la dépression (35% des jeunes avaient déclaré avoir des idées suicidaires du fait des confinements et des restrictions, des millions d’élèves avaient subi des retards scolaires, développé des phobies scolaires du fait notamment du port du masque en cours et des multiples mesures restrictives).


Nota bene : Pour ceux qui souhaiteraient être éclairés sur les réelles intentions des gouvernants, animés depuis des années par le projet de la mise en œuvre de l’Euthanasie sociale et économique, voici ce qu’écrivait déjà en 1981 un de leurs serviteurs et fidèles conseillers, Jacques Attali. En effet, dans le livre « l’Avenir de la Vie » (Segher éd.), publié par Michel Salomon, Jacques Attali déclarait : (…) « dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société.

D’où je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie, mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en termes de coûts pour la collectivité ». Quelques lignes plus loin, il déclarait : « en effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement ». (…). « On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché. Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir ». (…) « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures ». (…) « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future », préconisait-il. (…)

« La production de consommateurs et leurs entretiens coûtent cher, plus cher encore que la production de marchandises elles-mêmes. Les hommes sont produits par des services qu’ils se rendent les uns aux autres, en particulier dans le domaine de la santé, dont la productivité économique n’augmente pas très vite. ». « La productivité de la production de machines, augmente plus rapidement que la productivité relative de la production de consommateurs. Cette contradiction sera levée par une transformation du système de santé et d’éducation vers leur marchandisation et leur industrialisation. ». Ainsi, pour les puissants, l’euthanasie sociale et économique constitue une variable d’ajustement économique censée réduire les coûts d’entretien de personnes « improductives », « inutiles » à la société.

Khider Mesloub 





Quand l’ARN messager était interdit à cause de nombreux cancers chez les enfants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Vacciner les enfants à l’ARN messager, quelle bonne idée lancée par Jean Castex ! Ce n’est pas comme si cette technique sentait le soufre, et avait déjà suscité des controverses scientifiques tragiques il y a une quinzaine d’années… En effet, c’est une technique proche, celle des thérapies géniques, qui fonctionne à partir de fragments d’ARN, qu’avait utilisée le professeur Alain Fischer, devenu le Mr Vaccin du gouvernement, pour soigner les « bébé-bulles ». Les expérimentations avaient été arrêtées à cause des cas de cancers que la technologie développait chez les enfants, plusieurs mois après le traitement.

Jean Castex vient d’expliquer que vacciner les enfants à l’ARN messager était une “nécessité”. Le Premier Ministre nous donne l’occasion de redire quelques mots sur le manque de recul que constituerait une pareille décision, qui se prendrait au mépris du principe de précaution.

Vacciner les enfants à l’ARN messager ? Mais pour protéger qui ?

Redisons-le, une fois de plus, l’analyse bénéfice-risque de la vaccination des enfants… n’est certainement pas à l’avantage des enfants, puisque ceux-ci ne meurent pas du coronavirus. En revanche, ils peuvent contracter de très lourds effets secondaires avec le vaccin. 

Vacciner les enfants se justifie donc pour protéger les adultes, mais certainement pas les enfants eux-mêmes. C’est une logique purement sacrificielle qui dicte cette orientation du Premier Ministre. 

L’intéressé ne s’en cache d’ailleurs pas :

“Ce sont des transmetteurs, j’en suis l’exemple vivant, a déclaré le Premier ministre. C’est ma fille de 11 ans qui m’a donné le virus il y a quelques semaines. J’étais vacciné, donc je n’ai eu qu’une forme extrêmement légère, mais voilà. Donc oui, la vaccination des enfants est une nécessité.”

On ne vaccine donc pas les enfants pour protéger les enfants, mais pour protéger les adultes. 

Le précédent des bébé-bulles

Or, l’utilisation de séquences d’ARN sur des enfants a déjà été testée dans le passé, avec des résultats tragiques, bien connus du Monsieur Vaccin du gouvernement, Alain Fischer. Nous avons déjà évoqué ce sujet dans nos colonnes

Comme le relatait de façon très synthétique mais très éclairante Sciences & Avenir en 2014, de nombreux enfants traités avec des séquences d’ADN et des vecteurs viraux sont morts plusieurs mois après leur traitement, sous la houlette du professeur Fischer. Dans notre précédent article sur le sujet, nous donnes une série de liens sur la question, et nous rappelons que le docteur Fauci, aux USA, a ensuite prétendu sécuriser la technique en ciblant mieux son action sur les lymphocytes B. 

Il n’en reste pas moins que l’injection d’ARN messager chez les enfants manque de recul aujourd’hui, et que les effets secondaires se mesurent sur plusieurs mois, voire plusieurs années, et non sur quelques semaines. 

Une violation caractérisée du principe de précaution

Le propos n’est donc pas d’expliquer que, par principe, un vaccin à ARN messager déclenche des cancers en masse chez les enfants. Il est de dire qu’aujourd’hui nous manquons de recul pour estimer la masse des effets secondaires graves, voire létaux, que cette technologie peut produire chez des enfants, qui ne tireront par ailleurs aucun bénéfice direct de ce vaccin. Autrement dit, il est urgent de mesurer dans la durée le bénéfice-risque de ce vaccin. 

Il s’agit d’une simple application du principe de précaution à la santé de nos enfants. 




Le code de Nuremberg — prise de conscience bioéthique

[Source : AgoraVox]

Par eau-du-robinet.fr

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, un tribunal est constitué pour juger les principaux dirigeants nazis. Il est connu sous le nom de Tribunal de Nuremberg, une ville de Bavière. L’accord menant à sa création a été signé à Londres par des représentants des puissances victorieuses, dont la France.
SOURCE

L’importance du Code de Nuremberg conçu notamment pour juger les crimes commis par des médecins sur des déportés, tient à ce qu’il a constitué le point de départ de la prise de conscience sur les dangers des progrès de la science avec les dérives qu’elle peut susciter, et de la nécessité de l’encadrer par un certain nombre de règles. Ça été la naissance du code de Nuremberg et de la prise de conscience de la bioéthique.

La science est à la dérivé depuis des dizaines d’années, prise en otage par un groupe de personnes pour lesquelles les intérêts financiers priment sur notre santé et notre bien être. La science est aux mains des faussaires.

Il est important d’éveiller la conscience des scientifiques, en particulier celle des médecins, et bien évidement de toute la population pour défendre plus que jamais les valeurs humanistes et démocratiques.

La science, en particulier celle de la médecine​,​ est devenue la victime d’une corruption massive, idem pour les études dites « scientifiques ». Ils sont en train de viol​er les trait​és, les codes bioéthiques, notamment le serment d’Hippocrate, ainsi les lois. Sous un faux prétexte ils ont déclaré une pandémie. Celle-ci ayant été déclarée pour nous imposer des sanctions liberticides ​et inédites, sans fondement​s​ scientifique​s, ​et ​qui mettent en danger notre santé, en ignor​ant totalement no​tre​ immunité naturelle, cadeau gratuit et inestimable offert par Mère Nature.



Voici les 10 points du code Nuremberg

Le code de Nuremberg – 1947

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de la capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.
Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.
L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens : elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux, et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions de l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et out dommage physique et mental, non nécessaires.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu´elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui font les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent où y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience, s’il estime avoir atteint le seuil de résistance, mentale ou physique, au-delà duquel il ne peut aller

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment, s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Source

Quand on regarde les chiffres institutionnels on constate qu’on n’a pas affaire à une pandémie mais à une épidémie ; Or les médias ont fait bouillir la marmité de la désinformation pour semer une peur infondée, celle de mourir, en exagérant la dangerosité, déformant gravement des faits, en manipulant les chiffres, en donnant la parole essentiellement aux personnes ayant des conflits d’intérêts ! Ils ont osé d’interdire aux médecins les traitements ambulatoires précoce et inventé le mensonge qu’il n’existe aucun remède contre le Covid, pour nous imposer les vaccinations à perpétuité !

https://www.youtube.com/embed/6D3ZR_rg6cc

Pour rappel des faits, de la réalité, voici les vrais chiffres émanant des instituts français :

Voici un premier rapport :
Le rapport de l’I.R.SAN. l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de SANté, datant du 25 Mars 2021, confirme l’analyse de DR Astrid Stuckelberger, citation du rapport : L’épidémie, qui a touché la France en 2020, montre une surmortalité nulle pour les moins de 65 ans, (soit 80 % de la population) et très faible pour les plus de 65 ans (+3,72 % d’excès pour cette classe d’âge).
Voici le rapport

Voici un deuxième rapport :
Mr Martin Blachier, médecin français spécialiste en santé publique, se réfère au rapport de la A.T.I.H. (Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation) sur le COVID. Cette agence gère tous les systèmes d’informations des hôpitaux du territoire français, dont toutes les hospitalisations. 

Au cours de l’année 2020, les patients Covid représentait : 5% de l’ensemble des patients pris en charge dans les services de réanimation, ET 2% de l’ensemble des patients tout champs hospitaliers confondus.
Voici le rapport la A.T.I.H. datent d’Octobre 2021

L’irruption de la conscience bioéthique

Le 9 décembre 1946 s’ouvre devant le tribunal militaire américain de Nuremberg (Allemagne) le procès de vingt-trois médecins et scientifiques, accusés notamment d’avoir réalisé des expérimentations médicales sur des êtres humains durant la seconde guerre mondiale. Ce procès suit de quelques semaines celui de dirigeants nazis mené à Nuremberg par le Tribunal militaire international. Même si le procès des médecins, qui s’est achevé le 19 août 1947, s’est déroulé selon la procédure américaine, le jugement prononcé le lendemain est considéré comme une décision pénale internationale. Il comprend une liste de critères pour apprécier le caractère légal, ou non, des expérimentations médicales – liste connue sous le nom de code de Nuremberg.

Les principes érigés dans ce texte de portée universelle qui intervient quelques mois avant la Déclaration universelle des droits de l’homme (consentement, information loyale, justification scientifique et conditions éthique de mise en œuvre de la recherche, évaluation des risques encourus), seront repris par la suite au sein de l’Association médicale mondiale dans la Déclaration d’Helsinki régulièrement adaptée aux évolutions scientifiques depuis sa première version, en 1964.
Source

Citoyennes, citoyens, c’est l’heure de vous réveiller, même si c’est déjà presque trop tard, car les dégâts sont énormes et irréparables, pour défendre notre liberté, notre santé, notre intégrité, nos valeurs humanistes, car il est inacceptable de nous laisser transformer progressivement en cyborg comme c’est envisagé par Laurent Alexandre et autres transhumanistes dont certains très fortunés comme Elon Musk.




Nous n’avons pas mis nos enfants au monde pour qu’ils servent de cobayes aux laboratoires pharmaceutiques !

Bonjour,

Comme vous le savez, en un an de campagne de « vaccination » anti-Covid-19, parmi les plus de 50 millions de citoyens français « vaccinés », plus de 1300 personnes ont été signalées aux services de pharmacovigilance comme ayant perdu la vie suite à ces injections.

À la veille du lancement d’une campagne équivalente ciblant des millions d’enfants (dans un premier temps, ceux âgés de 5 à 11 ans), de nombreux experts et personnalités, impliqués dans la résistance aux mesures dites sanitaires imposées par le gouvernement français, ont alerté sur le caractère scandaleux de ce projet « vaccinal » pédiatrique.

Ayant découvert que plus de 22 000 enfants de moins de 12 ans avaient déjà été piqués avec des doses non adaptées à ces enfants et non validées par les instances responsables des processus de validation d’autorisation de mise sur le marché, nous désirons relayer le plus massivement possible l’appel de plusieurs personnalités exigeant l’arrêt immédiat de ces expérimentations sur les enfants.

Dans ce contexte, ci-joint, nous vous transmettons la copie d’un courrier destiné aux autorités sanitaires nationales ; courrier que plusieurs de ces personnalités ont co-signé.

Nous vous serions extrêmement reconnaissants de bien vouloir diffuser cette lettre appelant les autorités sanitaires à faire connaître les rapports de suivi de la « vaccination » illégale de ces 22 490 enfants, avant qu’elle ne soit étendue à des millions d’autres enfants de moins de douze ans.

Un très grand merci, par avance, pour votre intérêt et pour ce que vous pourrez faire pour les enfants de notre pays !

Le collectif INSEME de Porto-Vecchio

COURRIER NATIONAL DES LEADERS RÉSISTANTS UNIS POUR LA VÉRITÉ

Mesdames et Messieurs de la Société Française de Pédiatrie, du Comité Consultatif National d’Éthique, de la Haute Autorité de Santé, de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé et du Ministère des Solidarités et de la Santé :

NOUS N’AVONS PAS MIS NOS ENFANTS AU MONDE
POUR QU’ILS SERVENT DE COBAYES AUX LABORATOIRES PHARMACEUTIQUES !!!

En France, selon Santé Publique France, en mai 2021, alors qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait encore été octroyée pour les adolescents français, des médecins ont commencé à inoculer des doses de pseudo-vaccins à ARNm viral pour prévenir le Covid-19, à des enfants de moins de 12 ans !

Au cours de ce même mois de mai, Alain Fischer, le monsieur Vaccin du Gouvernement Macron, déclarait que ce n’était pas envisageable en 2021 !(([1] “…la vaccination des enfants de moins de 12 ans, celle-ci n’est “pas à l’ordre du jour” et ne devrait pas être envisageable “avant le début de 2022”, selon M. Fischer, qui a souligné que les essais cliniques relatifs à cette population commençaient à peine. »
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-la-vaccination-des-adolescents-pourrait-commencer-courant-juin-selon-alain-fischer_6081022_3244.html))

Plus tard, alors que des médecins avaient déjà piqué plusieurs milliers d’enfants de moins de douze ans, le 21 juin, le Comité Consultatif National d’Éthique, présidé par le Président du Conseil Scientifique du gouvernement Macron, déclarait qu’il était inacceptable, éthiquement et scientifiquement, de « vacciner » des enfants de moins de douze ans avec ces mêmes produits !(([2] À ce jour, pour le CCNE, la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable, en grande partie parce qu’il n’existe aucune étude évaluant la sécurité des vaccins contre la Covid-19 dans cette population. D’ailleurs, aucun pays n’a actuellement pris la décision de vacciner ses jeunes enfants.
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/enjeux_ethiques_relatifs_a_la_vaccination_covid_08.06.21_0.pdf))

Selon le quotidien Le Monde du 23 novembre dernier(([3] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/23/covid-19-qui-sont-les-17-000-enfants-de-moins-de-12-ans-deja-vaccines_6103239_4355770.html?fbclid=IwAR14JGyvYxszOnLzKCZVzMlWio2u4woiWH5vlixs68pcnfdiT5tvfCkqsOE)), à la date du 18 novembre, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, 22 490 enfants français de moins de douze ans, dont plus de 4500 enfants de moins de 5 ans, ont été piqués avec de l’ARNm de protéine virale depuis le mois d’avril dernier (Le Monde avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des touts-petits).

Ces injections ont été réalisées sans que personne, aucun parent, ni aucune autorité de tutelle, n’ait pu donner un consentement éclairé, vu qu’aucune étude clinique n’avait été réalisée, ni évaluée, et qu’aucune autorisation de mise sur le marché n’avait été approuvée par aucune agence publique, qu’elle soit française ou de l’Union Européenne.

Par ailleurs, informée par Santé Publique France de la réalisation de ces injections sur des bébés et sur d’autres enfants de moins de douze ans, qu’a fait l’ANSM concernant la pharmacovigilance correspondant à ces injections tellement délicates, vu leur caractère doublement expérimental, sur des enfants de cet âge-là ?

Le Ministre de la Santé considère-t-il tolérable que ces 22 490 bébés et enfants de moins de douze ans se soient vu injecter ces substances expérimentales appelées vaccins, alors que les premières doses adaptées aux enfants de 5 à 11 ans ne sont pas encore arrivées en France au moment où cette lettre est rédigée (11 décembre 2021) ?

Monsieur le Ministre est-il au courant que la cohorte d’enfants servant l’étude clinique de Pfizer est 10 fois plus petite que ce nombre de 22 490 enfants français ?

Nous exigeons que la lumière soit faite sur cette scandaleuse affaire et que les rapports de pharmacovigilance soient publiés AVANT que ne débute la campagne d’injections prévue pour le 15 décembre prochain.

Fait à Paris, le 11 décembre 2021

Signataires : Martine Wonner, Virginie de Araujo-Recchia, Nicole Delépine, Alexandra Henrion Caude, Yoanna Micoud, Laurent Mucchielli, Benoît Ochs, Jean-Marc Sabatier, Pierre Barnérias, Louis Fouché, Pascal Sacré, We for Humanity — une association humanitaire fondée par des survivants de l’Holocauste et leurs descendants, Collectif Soignants Militants Libres et Unis, Sébastien Recchia, Jean-Pierre Eudier, LNPLV, Le Collectif des Maires Résistants, Collectifs corses INSEME et INSEME SCOLA, Antennes de RéinfoCovid (Vaucluse, Var, 84, 13, 05 et Soignants) Jacqueline D’Antuoni, Sylvain d’Antuoni, Stefan Litty, Lionel Million, Lucette Istace, Marie Anne Andreani, Isabelle Bocognani, Jackie Giraud, Jean-Marc Sabatier, Fabrice Martineu, Nathalie Biancarelli, Michel Biancarelli, Laure Vignot, Alain Schollaert





Cadeau (pour temps meilleurs) : les collabos de la répression sanitaire

[Source : E&R via Sott.net]

[Photo : Le croque-mitaine Gilles Pialoux : « un des principaux facteurs de contamination chez les adultes reste le fait d’avoir un enfant chez soi »]

Rien ne serait possible dans le covidisme, c’est-à-dire le terrorisme sanitaire de l’oligarchie, sans la complicité active et traîtresse du pack médiatique qui parle d’une seule voix, celle de son maître.

Ces créatures, qu’on ne peut plus compter parmi nos frères humains au sens humaniste, n’ont que la bave aux lèvres et la répression à la bouche. Ils sont tous devenus des inquisiteurs, des traqueurs de résistants, des délateurs au petit pied, qui un jour découvriront qu’après la collaboration, il y a la libération…

Certains, dans le domaine sanitaire, ou insanitaire, vont tellement loin que leur sort est déjà scellé, en termes d’appartenance ou d’éloignement par rapport au groupe humain.

Mais d’autres, même en haut lieu, ont senti le danger, et rétropédalent doucement, pour que les vrais maîtres ne s’en aperçoivent pas trop. On sent qu’on est en 1942-1943, après Stalingrad, que le vent peut tourner, et qu’il faut garantir son avenir, vu le Nuremberg sanitaire qui se profile, annoncé par Raoult en 2020 et Di Vizio en 2021.

Ambivalent, l’inquiétologue Delfraissy est capable de jouer sur les deux tableaux, on n’est jamais trop prudent…

https://twitter.com/Carterj37919661/status/1468541776789184517

Dans la veine de l’ambigu Delfraissy, il y a évidemment l’inclassable Blachier, qui joue sur plusieurs tableaux lui aussi, et du jour au lendemain, au point que beaucoup d’antivax et d’anti-pass en sont désorientés.

Commentaire [Sott.net] : Dernières saillies de Martin Blachier sur CNews hier :



Prudent Blachier, qui voit que son camp – répressif – va décidément trop loin. On se répète, mais chez les plus durs, les plus radicaux, les plus acharnés des covidistes, quelque chose a lâché, mentalement.
Voici le petit dernier de la liste : Yonathan Freund. Il promet, celui-là !

Nous sommes plus que jamais dans la guerre des 1 % contre les 99 %. Il s’agit de pouvoir, pour les politiques qui l’avaient perdu progressivement sur les peuples depuis la naissance du Net, et qui le récupèrent avec le covido-terrorisme, mais aussi d’argent, pour les multinationales – du Big Tech, du Big Pharma et du Big Bank – qui sont intéressées dans cette opération mondiale et mondialiste, et qui en sont les commanditaires officiels.

Sauf qu’en bas, malgré les bataillons de policiers qui remplacent les bataillons de soignants manquants (vérifier si d’anciens soignants ne seraient pas devenus de nouveaux flics), volontairement écartés du soin de la nation, tout ne se passe pas comme prévu. En termes de résistance et de libération, la Guadeloupe est en avance sur la métropole.

C’est le noyau dur des résistants qui permet à un panel plus large de Français, pourtant vaccinés, mais de plus en plus sceptiques depuis l’annonce d’un énième variant et d’une 4e piqûre, de peut-être changer d’avis, pour inverser enfin le sens de l’histoire contemporaine française.

Et puis, au milieu du delirium covidique jaillissent ici et là des raisons de se réjouir, des petites victoires qui sont comme des petites bulles, qui s’agglomèrent dans la casserole nationale qui bout, qui bout, à l’image de la bête immonde (pour l’oligarchie) qui monte, qui monte…

Bravo aux soignants résistants !




La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

UN ARTICLE DE ABRAHAM BLONDEAU — Le 1er juillet est la Fête du Canada, lorsque tout le Canada peut célébrer collectivement notre fondation en tant que nation libre. Mais tout le monde ne fait pas la fête. À Toronto, Ontario ; Victoria, Colombie Britannique ; et d’autres endroits, la Fête du Canada a été annulée. Il s’agit en partie d’une réaction à la découverte de plusieurs centaines de corps sur les propriétés des pensionnats, ce qui, selon certains, justifient l’annulation de la célébration positive de l’histoire du Canada. Mais la Fête du Canada est également annulée pour une autre raison : la COVID-19. La réaction du gouvernement au virus a révélé quelques vérités choquantes sur le Canada.

Premièrement, elle a montré à quel point nos dirigeants fédéraux et provinciaux sont prêts à confiner les gens dans leurs maisons, à empiéter sur nos droits et libertés garantis par la Charte canadienne des droits et libertés, et à exercer un régime autocratique.

Deuxièmement, elle a démontré à quel point les Canadiens sont devenus dociles pour suivre les directives du gouvernement, même lorsque ces directives violent leurs droits. Il semble y avoir une majorité silencieuse croissante qui n’est pas d’accord avec une partie ou la totalité des politiques gouvernementales. Mais le mal est déjà fait. Le coronavirus était la tempête parfaite pour que ces dirigeants profitent de la société polie et docile du Canada.

Mais comment le Canada en est-il arrivé là ? Devrions-nous annuler la Fête du Canada, ou devrions-nous célébrer notre patrimoine ? Les dirigeants s’emparent-ils délibérément du pouvoir, ou s’agit-il de mesures bien intentionnées pour assurer la sécurité des Canadiens ? Les gens ont-ils été conditionnés à être dociles, ou s’agit-il simplement d’une théorie du complot ?

La vérité est que le Canada est un exemple de ce qui arrive quand une nation succombe à l’infiltration communiste de son gouvernement et de son système éducatif. La propension de nos dirigeants à être des autocrates et la société politiquement correcte et docile du Canada ont été délibérément manipulées pour transformer le Canada en une dictature communiste. Cette attaque est en cours depuis des décennies.

Cependant, un homme avertissait contre cette attaque et prophétisa ce qui arriverait au Canada il y a plus de 70 ans.

Infiltration communiste

Au début de la Guerre froide, l’accent était mis en grande partie sur le potentiel d’affrontements militaires entre les forces soviétiques et américaines et la perspective d’une guerre nucléaire. L’Occident fut lent à reconnaître que le danger évident et présent résidait dans la guerre idéologique et la subversion par les communistes au sein de nos propres nations. Pourtant, en 1956, Herbert W. Armstrong avertissait de cette guerre exacte dans laquelle l’Amérique et l’Occident se trouvaient engagés :

« C’est une sorte de guerre que nous ne comprenons pas, ou que nous ne savons pas comment gérer. Elle utilise tous les moyens diaboliques pour nous affaiblir de l’intérieur, saper nos forces, pervertir nos mœurs, saboter notre système éducatif, détruire notre structure sociale, détruire notre vie spirituelle et religieuse, affaiblir notre puissance industrielle et économique, démoraliser nos forces armées, et finalement, après une telle infiltration, renverser notre gouvernement par la force et la violence ! Tout ceci, habilement déguisé en un parti politique inoffensif ! Le communisme est une guerre psychologique mondiale ! »

La Trompette a rapporté et documenté cette infiltration aux États-Unis durant les années 1960 et 1970. (Pour en apprendre davantage à ce sujet, lisez la brochure gratuite “Il avait raison”, et l’article de Gerald Flurry, le rédacteur en chef de la Trompette, « Les racines du dangereux virage vers la gauche de l’Amérique »). M. Armstrong et M. Flurry ont tous deux souligné de façon précise que l’attaque la plus efficace avait été la conquête du système éducatif. M. Flurry a écrit : 

« C’est dans le système éducatif que la gauche a pris pied dans la nation : d’abord dans les collèges, puis les lycées et même les écoles primaires. C’est à partir du système d’éducation qu’une nation tire son leadership. D’où viennent les idées des dirigeants américains aujourd’hui ? De nos établissements d’enseignement. »

Si vous contrôlez la classe, alors vous façonnez les esprits des générations futures. De ces générations viennent les dirigeants et les éducateurs, et le cycle ne cesse de se répéter. Cette infiltration qui se produisait aux États-Unis a également eu lieu dans tous les pays occidentaux durant cette période, spécialement en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

Dans son livre historique “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”, M. Armstrong prouva que les États-Unis et le Royaume-Uni sont les descendants de l’Israël biblique. Les nations du Commonwealth britannique, qui comprend le Canada, sont des descendants de la tribu d’Éphraïm, en particulier. L’idéologie communiste athée attaque spécialement les nations qui ont une histoire avec Dieu. Cette attaque communiste s’est manifestée différemment dans chaque nation, et particulièrement au Canada, qui a toujours chevauché les mondes de l’anglais et le français.

Français contre Anglais

S’il y a un mot pour résumer l’histoire et le caractère canadien, c’est bien le compromis.

Les Français arrivèrent pour la première fois dans ce qui allait devenir le Canada au milieu des années 1500. Durant les nombreux conflits entre la Grande-Bretagne et la France, les Britanniques ont mené une politique de lutte contre la France dans ses colonies au lieu de l’Europe continentale. La Bataille de Québec en 1759 sur les Plaines d’Abraham à l’extérieur de la ville de Québec durant la Guerre de sept ans a finalement donné à la Grande-Bretagne le contrôle de pratiquement toute l’Amérique du Nord.

Les Britanniques ont permis aux Français de rester au Québec et se sont engagés dans une politique de compromis après des tentatives infructueuses d’assimilation des habitants français. Ce fut le début de l’instabilité inhérente du Canada. Les Britanniques considéraient 1759 comme le début de l’histoire canadienne ; les Français le voyaient comme la fin tragique de l’histoire canadienne. Les Britanniques sont majoritairement protestants ; les Français sont catholiques. Les uns parlent anglais, les autres parlent français. Qui plus est, M. Armstrong montra que les Britanniques sont de la tribu d’Éphraïm et les Français de la tribu de Ruben, ce qui ajoute une rivalité fraternelle aux couches de la concurrence entre les deux peuples. (Ces faits peuvent être prouvés en lisant “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”.)

Il n’existe pas d’histoire unificatrice d’une naissance nationale qui transcende l’ascendance et la race au Canada comme elle existe aux États-Unis, mais seulement une construction juridique engageant le gouvernement à faire des compromis entre les deux parties. La division s’amplifia après la Seconde Guerre mondiale lorsque le mouvement séparatiste germa au Québec et prit une grande partie de son élan avec Charles de Gaulle, qui le visita en 1967 et déclara « Vive le Québec libre ! ».

Cet esprit de compromis a saturé chaque aspect de la loi canadienne, du gouvernement et de la société. Il fut enseigné comme une voie de vie aux Canadiens. Cette façon de gouverner et de penser ouvrit la voie à l’attaque communiste sur le système éducatif.

Transformer l’éducation

En 1997, l’auteur et historien canadien J.L. Granatstein a fourni les preuves de l’infiltration des marxistes dans les écoles du Canada dans son livre “Qui a tué l’histoire canadienne ?”. Ces faits correspondent directement à l’avertissement de M. Armstrong. La première bataille entre les marxistes et les éducateurs traditionnels commença dans l’histoire du travail. Au lieu d’enquêter sur la raison pour lesquelles des syndicats furent créés et sur les griefs des travailleurs, les marxistes ont demandé aux étudiants ; Pourquoi se sont-ils levés contre leurs oppresseurs ? et Comment une grève générale peut-elle être utilisée comme une arme ? M. Granatstein explique :

« Les deux camps se sont combattus avec vigueur, mais personne ne peut rivaliser avec les marxistes dans la vitupération. Les historiens du travail institutionnel à l’ancienne étaient soit chassés soit livré à eux-mêmes pour chercher de nouveaux domaines dans lesquels travailler. Les marxistes avaient le contrôle complet du domaine de l’histoire du travail, y compris les journaux et les étudiants, et ils le maintiennent encore malgré le discrédit du marxisme partout dans le monde. Les universités, à l’abri du monde réel, continuent de protéger leurs marxistes. »

Cette attaque se propagea rapidement à tous les autres champs de l’histoire, chaque groupe d’intérêt spécial faisant valoir sa revendication. M. Granatstein poursuit :

« Il était beaucoup plus important d’étudier comment les travailleurs résistaient à l’industrialisation, déclaraient les historiens marxistes ; pour enquêter sur la manière dont le contrôle des naissances était pratiqué avant la pilule, ont maintenu les historiennes féministes ; ou pour documenter les expériences des hommes gais dans les bains publics de Toronto, que pour étudier les vies ennuyeuses des Premiers ministres, les efforts du Corps expéditionnaire canadien dans la Grande Guerre, ou la Révolution tranquille au Québec. Le blâme devait être attribué. Le Canada s’était rendu coupable de génocide contre les Indiens, du bombardement de l’Allemagne, du viol écologique du paysage, et d’autres choses encore. Leur objectif était d’utiliser l’histoire, ou leur version de l’histoire, pour guérir les mâles blancs de leur sentiment de supériorité. »

Les éducateurs marxistes protégés ont changé les programmes d’histoire dans les écoles primaires, secondaires et universitaires pour rendre nos jeunes gens honteux de leur histoire et remplis de haine de soi. Ils visent également à effacer toute l’histoire des hommes blancs et britanniques. Ils voulaient les « guérir » de leur supériorité sur les autres groupes et races. M. Granatstein explique, à l’aide d’un aperçu d’un manuel d’histoire populaire pour les universités intitulé “L’Histoire des peuples canadiens” :

« Il s’agit d’une histoire des peuples canadiens—il faut notez l’utilisation politiquement correct du pluriel—qui vise délibérément à parler des gens ordinaires, non pas des rois, des Premiers ministres et des élites. Comme sa préface l’affirme fièrement, il s’agit d’une histoire écrite pour contrer celle produite dans le passé par « une petite élite d’hommes blancs instruits, pour être lue par d’autres personnes comme eux ». Ce n’est pas une histoire de guerre et de développements politiques « dans laquelle eux et leurs pairs ont participé », ni d’une histoire écrite « du point de vue de gens qui dominaient de tels événements ». De plus, il ne s’agit pas d’une histoire écrite d’un point de vue canadien central. Au lieu de cela, c’est plutôt de l’histoire du point de vue des femmes, de la classe ouvrière, des minorités et des régions. »

Cette vue historique a été enseignée pour diviser les Canadiens en de petites factions et proclamer le faux récit de comment le Canada a opprimé les femmes et les minorités. Mais pourquoi cette attaque contre l’histoire des blancs anglais ? La raison est exposée par ce que M. Armstrong a écrit dans “Les Anglo-Saxons selon la prophétie”. Le Canada faisait partie de l’héritage d’Éphraïm, ou il faisait partie du domaine de la Grande-Bretagne, non pas de celui de Ruben (la France).

Une fois que vous changez l’histoire de comment une nation est apparue et qui est cette nation, vous pouvez changer le peuple. Quand vous combinez cette attaque contre l’identité et l’histoire du Canada avec l’esprit de compromis saturé dans la pensée canadienne, vous avez une combinaison mortelle.

Les fruits des efforts communistes pour endoctriner les Canadiens ont atteint leur plein épanouissement grâce à la dynastie politique d’une famille : les Trudeau.

Le Trudeauisme

Il n’y pas eu de premier ministre du Canada plus charismatique que Pierre Trudeau. On parlait de la « Trudeau manie ». Mais les fruits de son leadership sont profondément troublants. Particulièrement, la famille Trudeau a toujours eu une histoire constante d’avoir un « penchant » pour les tyrans, comme l’écrivain Mark Milke le soulignait dans l’article « La famille Trudeau aime les tyrans » publié dans la revue Maclean’s en 2018. M. Milke a écrit :

« Avoir un penchant pour les tyrans provoque plusieurs angles morts, que ce soit sur la démocratie, l’économie ou, plus récemment, sur l’environnement. Tous ont été exposés dans l’engouement continu de la famille Trudeau pour les tyrannies et les autocraties dans les commentaires d’Alexandre, Margaret et Justin Trudeau. Nous voyons des preuves de la longue histoire d’amour de la famille Trudeau avec les autocrates et les tyrans du monde. Mais le problème commença avec Pierre. »

Cet engouement est plus qu’un « penchant » mais c’est une claire amitié avec des gens d’un même esprit. Dans le numéro de la Trompette de janvier 2016, le contributeur Robert Morley exposa l’éducation, l’histoire et les politiques communistes de Pierre Trudeau et de son fils, l’actuel Premier ministre canadien Justin Trudeau. Dans son article « Tel père, tel fils », M. Morley a révélé que les deux ont fait l’éloge des dictatures communistes brutales et ont fait étalage des droits légitimes des Canadiens. Cet amour pour les Communistes était également évident dans les politiques sur l’éducation et la réforme constitutionnelle de Pierre Trudeau.

En 1965, l’enseignant d’histoire canadienne, A. B. Hodgetts convainquit le gouvernement de produire un rapport sur la façon dont l’enseignement de l’histoire au Canada affectait l’attitude des Canadiens à l’égard de leur gouvernement et de leur nation. Granatstein écrit, « Le rapport de Hodgetts suscita un intérêt croissant pour le Canada », ce qui incita le gouvernement Trudeau à fournir un financement supplémentaire aux provinces pour des « études canadiennes ». Mais ce n’était pas ce qu’il semblait être, pourtant. Granatstein poursuit :

« L’essor des études canadiennes s’est avéré très différent d’un intérêt pour le passé canadien. Les études canadiennes étaient… peu importe ce que ceux qui enseignaient quelque chose, n’importe quoi sur le Canada voulaient qu’il soit—un amalgame de littérature, d’art, d’actualité, de politique et d’enjeux publics, et d’environnement. »

Ce mouvement n’a fait que d’accélérer le remplacement de l’histoire canadienne par la propagande communiste. Ce qui créa plus de confusion et de division, c’est le fait que l’éducation était contrôlée au niveau provincial et territorial, ce qui a fait en sorte qu’il y ait 13 versions différentes de l’éducation canadienne. Cela commença à avoir une incidence sur la façon dont les Canadiens considéraient leur patrimoine et leurs traditions, ce qui permit à Pierre Trudeau de complètement remanier la Constitution canadienne en 1982 et d’inscrire cette façon de penser dans la loi. Granatstein écrit :

« Le boom des études canadiennes s’inscrivait dans le cadre d’un changement plus large des attitudes à l’égard de l’apprentissage… Dans la société en général (et surtout après l’entrée en vigueur de la Charte canadienne des droits et libertés), l’accent est passé des droits et libertés communautaires aux droits et libertés individuels, et hors du Québec, les droits collectifs ont commencé à être perçus comme anti-démocratiques. Les écoles reflétaient le changement… Pour les théoriciens de l’éducation, l’histoire était ennuyeuse, hors de propos, et ne convenait qu’au tas de scories, à l’exception de petites pépites qui pouvaient être extraites du passé et rendues utiles pour les préoccupations actuelles concernant le racisme, l’équité entre les sexes, et le sort des peuples autochtones. Que tout ce saccage de l’histoire et du patrimoine soit destructeur et une source de division, plutôt qu’une force unificatrice, ne semblait pas avoir d’importance. »

Trudeau tenta pendant des années de réformer la Constitution canadienne (créée le 1er juillet, 1867), mais il n’a pu réussir qu’en 1982, quand il ajouta la Charte des droits et libertés aux lois constitutionnelles. Bien que la charte consacre de nombreux droits importants pour les Canadiens, elle consacre aussi les valeurs insérées par les éducateurs marxistes, en mettant l’accent sur le multiculturalisme, les droits des minorités et les droits de l’individu, et elle plaça le Québec en position de pouvoir sur le reste du Canada anglais. Bien que les droits ne soient pas mauvais en eux-mêmes, c’est le contexte qui leur a été donné par les éducateurs qui cause le problème. La charte et le programme d’études communiste vont de pair pour imposer leur manière de penser aux Canadiens et donner aux « victimes opprimées » le pouvoir d’agir contre les traditions du Canada. Les juges et avocats radicaux ont utilisé la charte pour forcer continuellement la majorité des Canadiens à faire des compromis, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle. Comme Granatstein écrit :

« Le résultat de ce point de vue, comme Michael Bliss l’exprima en 1991, a été la « scission » de l’histoire canadienne, une scission qui reflétait la fragmentation de la nation. Le résultat avec lequel nous vivons chaque jour est un Québec à l’esprit séparatiste, un Occident malheureux, et une Charte des droits qui met l’accent sur les droits individuels ou collectifs. »

Rien n’illustre ceci plus clairement que la réponse à la COVID-19. La nation se fracture en plusieurs groupes, et dans chaque province, chaque région sanitaire agit indépendamment l’une de l’autre, sans uniformité. Cela illustre à quel point les Canadiens sont prêts à faire des compromis avec leurs propres droits parce qu’on leur a enseigné à faire des compromis avec leurs propres valeurs dans des salles de classes partout dans le pays.

Pierre Trudeau était peut-être le produit le plus visible du système éducatif communiste, mais nous avons toute une génération de dirigeants qui pensent de la même manière. Certains peuvent se dire conservateurs, libéraux ou néo-démocrates, mais un léopard ne peut pas changer ses taches : tous les dirigeants de tous les partis ont accumulé du pouvoir et violé les droits des Canadiens. Le Trudeauisme est l’intégration d’un régime de style communiste dans le gouvernement.

La normalisation du communisme

Le transfuge du KGB Yuri Bezmenov a mis en garde l’Amérique dans les années 1970 que la guerre idéologique communiste se faisait en quatre étapes : 1) la démoralisation, 2) la déstabilisation, 3) la crise, 4) la normalisation. Les États-Unis et le Canada ont vu leur système d’éducation infiltré par les communistes, comme M. Armstrong l’avait prévenu il y a 70 ans, mais les deux nations sont à des stades différents de cette guerre idéologique. En Amérique, il y a une guerre sur l’âme de la nation. Au Canada, la normalisation du communisme bat son plein.

Au Canada, il n’y a pas de leadership pour s’opposer aux politiques radicales de gauche des gouvernements provinciaux et fédéraux. Il y a peut-être une majorité croissante qui n’est pas d’accord avec le fait que leurs droits soient bafoués et que les gouvernements accumulent du pouvoir, mais ils n’ont aucune voix ou moyen organisé pour s’opposer aux autocrates au pouvoir. Le remplacement de l’histoire dans les écoles par le féminisme, la victimisation et l’idéologie marxiste a enseigné aux Canadiens à penser comme leurs éducateurs : Socialistes, Marxistes, Communistes. L’introduction des soins de santé nationalisés, de règlements détaillés et d’un système d’aide sociale généreux a appris aux Canadiens à se fier au gouvernement. Ceci n’existe pas en Amérique. L’esprit de compromis, ancré dans la vie des Canadiens, a été utilisé contre les Canadiens pour transiger avec leurs croyances fondamentales. Une nouvelle identité nationale a été fabriquée par les éducateurs et les médias qui se concentrent sur les excuses, le féminisme, le politiquement correct, et le multiculturalisme. L’identité du Canada a été pratiquement effacée !

Les États-Unis sont un exemple de cas où une infiltration communiste mène à une guerre pour sa survie ; le Canada est un exemple de cas où une infiltration communiste a pratiquement terminé le coup d’État.

Abraham Blondeau
Abraham Blondeau
Rédacteur, laTrompette.fr



Grande-Bretagne — Selon la chambre des Lords, les preuves sont insuffisantes pour rendre la vaccination obligatoire chez les soignants

[Source : REINFOCOVID]

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords.

La chambre des Lords est la chambre haute du parlement britannique dont le rôle s’apparente à celui du Sénat français.

Un article, paru dans le British Medical Journal, rapporte les échanges entre l’équivalent du Ministère de la Santé et la Chambre des Lords.

Les points importants de ce débat politique britannique sont les suivants :

  • Les plans du gouvernement n’ont pas fait l’objet d’une réflexion approfondie selon la chambre ;
  • 126 000 soignants quitteraient leur emploi si la vaccination devenait obligatoire, selon la chambre ;
  • Le gouvernement ne propose pas de plan d’impact de cette perte de soignants ;
  • Cette obligation vaccinale des soignants engendrerait un surcoût de 270 millions de livres sterling.

Le DHSC, équivalent britannique du ministère de la santé, n’a fourni aucune explication cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener selon la Chambre des Lords

Traduction de l’article

https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf

Un comité de la Chambre des Lords a soulevé plusieurs préoccupations concernant la proposition de loi visant à rendre obligatoire la vaccination contre le SARS-CoV-2 pour l’ensemble du personnel soignant en Angleterre, particulièrement de savoir si le bénéfice de la vaccination des 8 % des soignants non vaccinés était proportionnée et comment le système de soin ferait face à la perte des 5,4 % qui ne veulent pas être vaccinés.

Le Secondary Legislation Scrutiny Committee a déclaré que les plans du gouvernement n’avaient pas fait l’objet d’une réflexion approfondie, empêchant la chambre des Lords d’examiner la proposition de loi.

Le 9 novembre, le ministre anglais de la santé et de l’aide sociale, Sajid Javid, a annoncé que tous les membres du personnel travaillant dans des établissements de santé et d’aide sociale réglementés par le gouvernement britannique seraient tenus de se faire vacciner d’ici le 1er avril. « Nous devons éviter les dommages évitables et protéger les patients du système de soins, nos collègues du système de soins et le système de soins lui-même.

Mais dans un rapport publié le 30 novembre, la commission a déclaré que l’avantage d’augmenter la couverture vaccinale du personnel “peut être marginal” et que le gouvernement n’a pas publié de plans d’urgence sur la façon dont il ferait face à la perte de personnel qui ne veut pas du vaccin.

Le rapport indique que sur les 208 000 membres du personnel du Système de Santé National qui ne sont pas actuellement vaccinés, 54 000 (26 %) se feraient vacciner en vertu de la loi et 126 000 (61%) quitteraient leur emploi.

“Étant donné que l’on s’attend à ce que la législation entraîne des coûts supplémentaires de recrutement et de formation de 270 millions de livres sterling et des perturbations majeures de l’offre de soins à la fin de la période de grâce, des preuves très solides devraient être fournies pour soutenir ce choix politique.

Le DHSC [Department for Health and Social Care] (NDLR : équivalent du ministère de la Santé) n’a pas fourni de telles preuves”, a-t-elle déclaré.

La commission a également critiqué le ministère pour ne pas avoir inclus dans la législation des détails pratiques sur comment des expressions telles que “face à face” ou “autrement engagé” seraient appliquées, renvoyant à la place à des directives qui seront produites à l’avenir.

Le président de la commission, Robin Hodgson, a déclaré : “Nous sommes tout à fait favorables à des niveaux élevés de vaccination, mais le DHSC est responsable de ses décisions devant le Parlement et doit nous donner une idée claire sur les effets de ces réglementations, sur de l’effet de l’inaction et de toute autre solution envisagée, afin que le Parlement comprenne pleinement toutes les conséquences de ce que le DHSC lui demande d’accepter.

Ceci est particulièrement important lorsque le Système National de Santé est déjà soumis à une telle pression.

“Le DHSC n’a fourni aucune déclaration cohérente pour expliquer et justifier la politique qu’il entend mener, et cela nuit à la capacité de la Chambre à entreprendre un examen efficace de la législation proposée.”

Références

Référence : https://www.bmj.com/content/bmj/375/bmj.n2957.full.pdf  BMJ 2021;375:n2957 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.n2957




Totalitarisme sanitaire avant 3e guerre mondiale ?

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

« Nous ne vivons pas en république »

Valérie Bugault




Que faire face à la pulsion génocidaire des vaccinés ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Article et vidéo très inquiétants sur la montée d’élans génocidaires de la part de vaccinés, pourtant censés, par leur profession (pour certains), être garants d’une éthique et de règles déontologiques !!!…

Les ingrédients de la dernière guerre mondiale se retrouvent, pas à pas, mais à l’échelle mondiale cette fois, ce qui prend au piège les 7,8 milliards d’habitants de cette Terre (les Terriens), Terriens qui n’auraient plus que… la lune ou mars pour fuir cette fois-ci…

Toute cette horreur provoquée, orchestrée, lentement mais sûrement, par une poignée de personnes gravement psychotiques — (pervers, paranoïaques et psychopathes tout à la fois, comme les manipulateurs destructeurs décrits par le Dr Pagnard…) —, psychotiques, mais pour autant, pleinement conscients et responsables de leurs actes !!!…

Au passage, interdire les magasins d’alimentation aux non-vaccinés, et, leur couper tout moyen de subsistance en suspendant leurs contrats de travail et leur salaire, c’est exactement du même ordre, surtout quand il y a toute une famille derrière qui est tributaire de ce salaire, ce qui fait d’une pierre, X coups à la fois !!!…

Sadisme pur !!!…

Ce Masson de la vidéo, s’engouffre avec allégresse dans un tourbillon sadique cruel, déjà bien enclenché avec la suspension des médecins et soignants, des militaires, des gendarmes, des pompiers, etc. qui ont refusé la vaccination…

Diane Vincero


Par Éric Verhaeghe

Il est assez impressionnant de voir la pulsion génocidaire des vaccinés croître de façon exponentielle en Europe ces derniers jours. En Allemagne, des graffitis appellent à ne plus fréquenter les commerces ouverts aux non-vaccinés. En Belgique, des médecins suggèrent de ne plus soigner les non-vaccinés de façon prioritaire lorsqu’ils sont gravement malades. En France, le président de la Fédération des Radiologues propose d’empêcher les non-vaccinés de se rendre dans les magasins d’alimentation. On n’est plus très loin des pogroms. Que faire face à cette montée de l’appel à la violence ? Voici notre appel à se défendre efficacement.



La pulsion génocidaire est un serpent de mer dans l’histoire humaine. Elle a sévi plusieurs fois au vingtième siècle, et nous la voyons revenir chez les vaccinés, convaincus de façon irrationnelle que les non-vaccinés mettent leur vie en danger. C’est la peur de la mort qui parle en eux, et cette peur, la raison est incapable de la maîtriser. Elle pousse historiquement les majorités terrorisées par leurs angoisses à désigner un bouc-émissaire pour exorciser ces angoisses, au besoin par le sacrifice vital. 

Montée de la pulsion génocidaire

La pulsion génocidaire s’exprime aujourd’hui de façon grandissante, notamment par l’appel à “rendre la vie des non-vaccinés impossibles”, déclinée sous de nombreuses formes. En Allemagne, ce sont des graffiti anti-non-vaccinés qui apparaissent sur certaines vitrines, comme on le voit ici. 

En Belgique, ce sont des universitaires qui proposent de soigner les non-vaccinés après les vaccinés (ce qui indique bien que le vaccin n’empêche pas de finir à l’hôpital). En France, le Président de la Fédération des Médecins Radiologues (FNMR), Jean-Philippe Masson, propose d’empêcher les non-vaccinés d’accéder aux magasins d’alimentation. 

Nous avons déjà cité l’affaire de Stéphanie, jeune femme de 33 ans, que l’Institut Curie a empêché d’accéder à ses locaux en faisant intervenir la Brigade Anti-Criminelle (BAC). Pour ceux qui ne l’aurait pas vue, nous la remettons ici en mémoire :



Tous ces éléments sont autant de signaux de moins en moins faibles sur la violence que de nombreux vaccinés jugent nécessaires pour “régler” la crise sanitaire qui sévit plus brutalement qu’avant la vaccination. Que ne ferait-on pas pour s’enferrer dans sa logique et ne jamais reconnaître ses erreurs ?

Que faire face à cette pulsion génocidaire ?

Il ne faut surtout pas laisser prospérer cette haine avec indifférence. Au contraire, il faut clairement montrer les dents et démasquer la violence qui se cache derrière le visage maussade des bureaucrates qui prétendent obéir simplement aux ordres. Notre meilleure arme est de porter la lumière sur ces agissements qui prospèrent grâce à l’impunité de l’anonymat. 

C’est pourquoi il est indispensable que nous nous mobilisions pour actionner cette mise en lumière. Cette mobilisation passe notamment par les campagnes de shaming que l’association Rester libre ! organise

Associez-vous à cette campagne (cela prend 5 minutes)… soyons des milliers à agir, c’est la meilleure façon de neutraliser tous ceux qui auraient l’intention d’outrepasser la loi et qui se sentiraient pousser des ailes. 

Ensemble, nous serons les plus forts et nous les ferons reculer. 




Tribune : « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »

[Source : QG – Le média libre]

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L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre.

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder »

Les ressorts éculés de la propagande de masse

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.

Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge

Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021
Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)

Le premier [constat] est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».

Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020

Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple iciiciiciici et ). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

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Les 1 200 premiers signataires

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)
  • Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon
  • Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS
  • Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM
  • Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC
  • Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS
  • Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM
  • Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
  • Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII
  • Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1
  • Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane
  • Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université
  • Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS
  • Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS
  • Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS
  • Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux
  • Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)
  • David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre
  • Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay
  • Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille
  • Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8
  • Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS
  • Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS
  • Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS
  • Christian Toinard, professeur des Universités
  • Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
  • Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay
  • Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS
  • Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie
  • Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes
  • Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS
  • Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine
  • Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS
    Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
  • Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux
  • Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)
  • Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université
  • Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris
  • Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
  • Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat
  • Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie
  • Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
  • Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université
  • Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris
  • Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE
  • Claire Berton-Carabin, directrice de recherche
  • Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS
  • Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès
  • Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté
  • Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France
  • Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble
  • Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE
  • Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique
  • Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise
  • Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois 
  • Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS
  • Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie
  • Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon
  • Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers
  • Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne
  • Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)
  • Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités
  • Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes
  • Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux
  • Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux
  • Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)
  • Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre
  • Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes
  • Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université
  • Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry
  • Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID
  • Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE
  • Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education
  • Pierre Chaillot, statisticien
  • Pierre Roche, docteur en sociologie HDR
  • Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
  • Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine
  • Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS
  • Hélène San Clemente, ingénieur CNRS
  • Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS
  • Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale
  • Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS
  • Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université
  • Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève
  • Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique
  • Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13
  • Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités
  • Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS
  • Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion
  • Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)
  • Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS
  • Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon
  • Idriss Aberkane, Ph.D
  • Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne
  • Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour
  • Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université
  • Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes
  • André Bernold, retraité de la Michigan State University
  • Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École
  • Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord
  • André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne
  • Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
  • Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris
  • Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau
  • Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)
  • Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3
  • Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)
  • Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers
  • Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes
  • Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris
  • Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux
  • Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon
  • Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS
  • Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia
  • Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)
  • Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon
  • François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université
  • Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
  • Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE
  • Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie
  • Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée
  • Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur
  • Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3
  • Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale
  • Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris
  • Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS
  • Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg
  • Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS
  • Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université
  • Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique
  • Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc
  • Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS
  • Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)
  • Sylvain Fève, ingénieur au CNRS
  • Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie
  • Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités
  • Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur
  • Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
  • Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM
  • Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse
  • Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)
  • Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM
  • Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM
  • Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS
  • André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima
  • Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté
  • Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE
  • Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire
  • Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier 
  • Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon
  • Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy
  • Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes
  • Rosolino Lionti, ingénieur de recherche
  • Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8
  • Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse
  • Clara RomeroMaitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris
  • Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg (Allemagne)
  • Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire
  • Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2
  • Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3
  • Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris
  • Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7
  • Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS
  • Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université
  • Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille
  • Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant (droit, économie) à l’Université
  • Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier
  • Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III
  • Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam (Pays-Bas)
  • Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse
  • Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS (Biophysique)
  • Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités
  • Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI
  • Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich (Suisse)
  • Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne (Suisse)
  • Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine
  • André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg
  • Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités
  • Roland Hinnion, professeur de mathématiques (retraité) à l’Université Libre de Bruxelles (Belgique)
  • Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Denis Roux, docteur d’Etat, retraité de l’université
  • Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges
  • Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur
  • Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès
  • Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine
  • Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3
  • Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université 
  • Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication
  • Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier
  • Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS
  • Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER
  • Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier
  • Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS
  • Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences
  • Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne
  • Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis
  • Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université
  • Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
  • Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre (Chambéry-Grenoble, UGA, USMB), retraité de l’IRD
  • Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie
  • Maxime Parisotto, Ph.D et chercheur en biochimie
  • Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE
  • Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie
  • Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
  • Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph (Beyrouth, Liban)
  • Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR
  • Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions
  • Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8
  • Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Canada)
  • Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD
  • Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole
  • Milagros Ezquerro, Professeure des Universités
  • Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis (Bruxelles, Belgique)
  • Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur (Belgique)
  • Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne (Suisse)
  • Madalina Calamaz, maître de conférences des universités
  • Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie
  • Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III
  • Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen
  • François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (Suisse)
  • Hélène Bregani, psychologue (retraitée) à l’Université de Genève (Suisse)
  • Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté
  • Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure (CPGE, Strasbourg)
  • Hélène Pelczar Maître de conférences
  • Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université
  • Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille
  • Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris
  • Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
  • Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical
  • Alain Brunel, docteur en biologie
  • Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale
  • Michel Herren, docteur en philosophie (Lausanne)
  • Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique
  • Simon Archipoff, docteur en informatique
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie
  • Nicolas Murcier, docteur en sociologie
  • Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public
  • Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques
  • Patrice Gibertie, PhD, géographe
  • Françoise Gil, sociologue
  • Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1
  • Marc G. Wathelet, Ph.D., docteur en biologie moléculaire
  • Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques
  • Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences
  • Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie
  • Agnès Segura, Docteur en psychologie
  • Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé
  • Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris)
  • Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains
  • Georges Herault, Professeur des universités
  • Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans
  • Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins
  • Michel Cucchi, Directeur d’hôpital
  • Jacques Bouaud, chargé de valorisation de la recherche à l’AP-HP
  • Vincent Béja, ancien statisticien et chargé d’études à l’Observatoire Régional de la Santé de Provence Alpes Côte d’Azur
  • Bruno van Peteghem, Association Toxicologie-Chimie (ATC), Président du fonds de dotation I For Lyme (iFL)
  • Benoît Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Anne-Marie Monjo, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Olivier Lhoest, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international
  • Laure Laffly, biochimiste/biologiste (ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin)
  • Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université
  • Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien
  • Nancy Béchard Radiologue
  • Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état
  • Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre
  • Paul Bousquet, médecin, santé publique (évaluateur de risques)
  • Judith Ribbe, médecin en santé du travail
  • Philippe Teyber, cadre supérieur de santé
  • Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA
  • Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne
  • Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique
  • Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste
  • Michel Thomas, docteur en médecine
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin généraliste
  • Philip Siegenthaler, médecin généraliste (Suisse)
  • Yves Colliez, médecin généraliste
  • Alain Garenne, médecin généraliste
  • Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale
  • Franck Hugbéké, chirurgien-dentiste
  • Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier 
  • Dominique Lesuisse, psychiatre (Bruxelles)
  • François Thioly, psychiatre
  • Laurent Jacquemin médecin psychiatre
  • William Suerinck, Dr en médecine, psychiatre, ex Praticien Hospitalier
  • Maria Ancona, psychothérapeute en Psychiatrie (Fonction Publique Hospitalière)
  • Michel Brack, médecin ex attaché INSERM
  • François-Xavier Roth, praticien hospitalier, pédiatre
  • Marie Grenet, médecin, pédiatre
  • Christine Coremans, Cardio-pédiatre
  • Gérard Machline, médecin généraliste
  • Helene Chollet médecin généraliste
  • Françoise Volot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Marie Pasquier, médecin coordonnateur en EHPAD (suspendue)
  • Marlène Mellinger Chirurgien-dentiste
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Véronique Pécastaings, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Brigitte Bertoldo médecin régulateur libéral SAMU (suspendue)
  • Daniel Chollet pneumologue
  • Catherine Raulin, médecin ostépathe
  • Marc L’Hospitalier, ostéopathe
  • Philippe Ollivier, médecin, ophtalmologie
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste 
  • Éric Reboli, médecin urgentiste
  • Arturo Perez, médecin urgentiste
  • Fabien Quédeville, médecin généraliste
  • Sandro Provenzano, médecin généraliste
  • Catherine Dubien, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste (suspendu)
  • Catherine Delmas, médecin dermatologue
  • Dominique Rivière, médecin, gériatre, praticien hospitalier
  • Diane Williot, médecin généraliste et médecin coordonnateur en Ehpad
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Dominique Eraud médecin généraliste
  • Emmanuel Pichot, médecin radiologue
  • Catherine Solignac Fernstrom, immuno-allergologue
  • Delphine Rive médecin généraliste
  • Vincent Reliquet, médecin généraliste (AIMSIB)
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Brigitte Weiss, médecin généraliste
  • Christian Marquis, médecin généraliste
  • Alain Berthier, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Pascale Mourgues, médecin généraliste retraitée
  • Line Cabot, médecin généraliste
  • Christian Sarthe médecin généraliste
  • Patrick Viot, médecin généraliste
  • Anne-Laure Geslin, médecin généraliste
  • Bertrand Calichiama, médecin généraliste
  • Georges Oberzusser, médecin généraliste et médecin du travail
  • Hélène Oberzusser, radiologue
  • Ida Berar, radiologue
  • Marie Josephe Contrucci. Cadre de santé en Centre hospitalier
  • Denise Peyrat-Colonna, chirurgien dentiste
  • Christophe Grangeon, médecin urgentiste
  • Jean-Luc Lebrun, médecin, ex-praticien hospitalier (cessation d’activités)
  • Jacques Le Lann, médecin généraliste, gériatre et spécialiste de Santé Publique et Médecine Tropicale
  • Eric Beeth, Docteur en Médecine (Bruxelles)
  • Frédéric Schnee, Docteur en médecine générale
  • Anne Marie Begué-Simon, médecin homéopathe retraité, ancien maître de conférences et expert près des Tribunaux
  • Jean-Philippe Cros, médecin Honoraire des Hôpitaux, ancien chef de service
  • Françoise Caumont, chirurgien-dentiste
  • Corinne Masson, sage-femme (interdite d’exercer)
  • Bertrand Jop, Cardiologue 
  • Jacques Mabit, médecin généraliste
  • Catherine Maso, médecin généraliste
  • Joelle Locatelli, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin généraliste
  • Philippe Lemasson, médecin généraliste
  • Jean-Bernard Morez, médecin généraliste
  • Bernard Bozzi, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Jean-Marc Rehby, médecin généraliste
  • Floriane Lefèvre, médecin généraliste
  • Olivier Vercruysse, médecin généraliste
  • Alain Mazeyrat, médecin généraliste
  • Éric Portes, médecin généraliste
  • Bruno Geoffray, médecin généraliste
  • Franck Zeiger, médecin généraliste
  • Alain Carillon, médecin généraliste
  • Daniel Fagnano, médecin généraliste
  • Anne Nespolo, médecin généraliste
  • Claire Lenclud médecin généraliste
  • Christiane Vallin, médecin généraliste
  • Maryse Morin-Bateau, médecin généraliste
  • Michel Marcadé, médecin généraliste
  • Anne Catherine Martin, médecin généraliste
  • Catherine Gal Bozzi, médecin généraliste
  • Sylvie Leroux, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Dominique Prost médecin généraliste
  • Daniel Robinson, médecin généraliste, ancien médecin des hôpitaux de Lyon
  • Patrice Perrette, médecin généraliste, ancien président du Collège des Généralistes
  • Alain Batarec, médecin généraliste
  • Simone Casabon, médecin généraliste
  • Michel Boudet, médecin généraliste
  • Anne-Lise Vidal, docteur en médecine
  • Gaëlle Douhet, docteur en médecine générale 
  • René Messagier, docteur en médecine
  • Olivier Personne, médecin généraliste (Allemagne)
  • Daniel Dhaussy, médecin généraliste retraité
  • Jean Marie Pavard, médecin retraité
  • Isabelle Rossetti, médecin généraliste
  • Daniela Engel médecin généraliste
  • Philippe Imbert, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Caroline Chalbos. Médecin généraliste
  • Philippe Bonnet, médecin généraliste
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Catherine Artviga, médecin généraliste
  • Estelle Prevost, médecin psychiatre
  • Jérôme Jeudy médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Corinne Constantin, médecin généraliste
  • Pascal Henriot, médecin généraliste
  • Chrystelle Martin, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Jean Grimberg, Chirurgien Orthopédiste
  • Frédéric Pic, médecin, rhumatologue
  • Martine Mérour pneumologue
  • Farida Ouadghiri chirurgien gynécologue à l’hôpital de Niort (suspendue)
  • Laurence Duboc-Lecocq, docteur en Médecine Vétérinaire 
  • Claire Martin, médecin vétérinaire
  • Nadine Prouilhac, sage-femme
  • Aurélie Colin, sage-femme 
  • Nathalie Ba, sage-femme
  • Fanny Semblat, sage-femme
  • Morgane Chazaud, sage-femme hospitalière
  • Nicolas Bojic, médecin gériatre
  • Marie Gaspard, médecin biologiste
  • Véronique Grasset médecin généraliste
  • Jacky Maillard, médecin généraliste
  • Eric Menat, médecin généraliste
  • Christine Le Pezron médecin généraliste
  • Michel Souid, médecin généraliste et gériatre
  • Jean Claude Bourrin, médecin généraliste retraité
  • Alix Moulanier, Médecin généraliste
  • Armelle Blanchard, médecin généraliste
  • Corinne Bernard, Docteur en médecine
  • Jacques Gardan, médecin généraliste
  • Murielle Oger Rucker, médecin généraliste
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Philippe Bos, médecine anesthésiste réanimateur
  • Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste réanimateur
  • Richard Faitg, médecin anesthésiste réanimateur
  • Laurent Durinck, Anesthésiste
  • Valérie Mach-Alingrin, médecin en soins intensifs, Centre hospitalier
  • Élisabeth Angoujard, docteur en médecine, radiologue 
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • Jean Gabriel Balique, chirurgien hospitalier
  • Eve Lefrancq, Médecin Cardiologue
  • Valérie Sierra, médecin cardiologue
  • Bernard Hardt, Chirurgien Urologue
  • Janine Nazaire docteur en chirurgie dentaire
  • Francis Fiocconi, radiologue
  • Béatrice Gay, oncologue médical et médecine interne générale
  • J. Oosterlinck, médecin généraliste
  • Pierre Jacq, chirurgien-dentiste
  • Isabelle Le Bras chirurgien-dentiste
  • Jacqueline Mariani, chirurgien-dentiste
  • Marie-Jacques Poncet, médecin gynécologue
  • Antoine Gastal, médecin MPR des Hôpitaux de Saint Maurice
  • Hélène De Cristoforo, médecin généraliste
  • Virginie Thomas-Haag, médecin urgentiste
  • Anne Crepy, médecin gériatre
  • Geneviève Pagnard, psychiatre
  • David Esfandi, Psychiatre 
  • Frédéric Badel, psychiatre
  • Marie Hélène Lottin, psychiatre
  • Jacques Vigne, psychiatre
  • Louise Riguet, Médecin psychiatre
  • Muriele Savigny, psychiatre
  • Jean-Michel Delaroche, psychiatre
  • Lise Gandolfi, psychologue
  • Fabienne Carver Psychologue clinicienne
  • Aline Gosset-Rage, psychologue clinicienne
  • Yamina Cherrou, psychologue clinicienne
  • Isaline Heulin, psychologue
  • Alexandra Meert, Psychologue
  • Laure Novarese psychologue clinicienne
  • Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne
  • Lise Nathanson, psychologue clinicienne
  • Claire Roy, pharmacienne
  • Jean-Jacques Devic, pharmacien 
  • François Carre, docteur en pharmacie
  • Coralie Amar, Dr vétérinaire
  • Laurent Aufrere, docteur en chirurgie dentaire
  • Jacqueline Warnet, Gastro-entérologue
  • Paul-André Bellot, chirurgiuen-dentiste
  • Jean-Pierre Letourneur, Gastroentérologue
  • Hélène Costamagna, Gynécologue
  • Tess Deffinis Ostéopathe 
  • Hélène Hamon pédiatre
  • Corinne Tilloy, médecin généraliste
  • Hilde De Smet médecin généraliste (Belgique)
  • François Le Corre, médecin généraliste retraité
  • Valérie Papapietro, médecin gastro-entérologue
  • Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier
  • Arnaud Brun, Docteur en pharmacie
  • Aurore Rizzon, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Jean-Luc Laurent, psychologue clinicien
  • Rose-Marie Rohé Psychologue clinicienne
  • Viviane Truel psychologue clinicienne
  • Laurence Maury, psychologue
  • Hervé Staub, médecin généraliste
  • Patrick Marcon, médecin généraliste
  • François Berenger, médecin, pédopsychiatre
  • Catherine Bonnet, médecin, pédopsychiatre
  • Frédéric Goaréguer, médecin, pédopsychiatre
  • Véronique Helmlinger, médecin psychiatre (suspendue)
  • Clélia Dubois, aide médico-psychologique en psychiatrie
  • Danielle Vautrin, médecin généraliste
  • Claude Murtaza médecin généraliste
  • Philip Keros, médecin généraliste
  • Gilles Cizeron, médecin généraliste
  • Annie Logli-Poumerol, médecin généraliste
  • Cecile Miraglia Romer, médecin généraliste
  • Bernadette Meignan médecin généraliste
  • Laurent Hervieux, médecin généraliste
  • Didier Tarte médecin généraliste
  • Catherine Noel, Docteur en médecine
  • Anne Marie Pillon, médecin généraliste retraité
  • Yannick Jouan, docteur en Médecine
  • Jean-Luc Stanek, Santé Navale et docteur en chirurgie dentaire
  • Xavier Le Gregam, médecin généraliste homéopathe
  • Philippe Vernet, docteur en médecine – chirurgien
  • Antoine Damotte, chirurgien orthopédiste
  • Marc Franchini, Chirurgien Ophtalmologiste 
  • Philippe Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Gabin Lopez, médecin ophtalmologiste
  • Léna Le Flem, biologiste médical, PhD
  • Valérie Daubié sage-femme
  • Guylaine Lestienne Sage-femme
  • Françoise Casas, Psychomotricienne Psychothérapeute
  • Pascale Cloquell-Munos psychomotricienne
  • Anne-Sita Forest, Psychomotricienne
  • Marion James-Leduc, Psychomotricienne
  • Marianna Drinoczi, Psychologue clinicienne
  • Charline Chaveneau Orthophoniste
  • Laurent Redien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Sabine David, masseur-kinésithérapeute
  • Cyrille Ortman, kinésithérapeute
  • Sylvain Lafargue, masseur-kinésithérapeute
  • Matthias Giraudon, kinésithérapeute
  • Kim Gallois, kinésithérapeute
  • Clément Belmahdi, Masseur-kinésithérapeute
  • Françoise Cluzeau kinésithérapeute
  • Marie-Laure Pignier, masseur-kinésithérapeute
  • Caroline Grante, masseur-kinésithérapeute
  • Rose-Blanche Lehours Chaboud, infirmière en santé mentale
  • Laurence Jacquin Infirmière
  • Isabelle Rousset, Infirmière
  • Virginie Guillaume infirmière
  • Deniz Sevim, infirmière
  • Florence Marechaux, infirmière Education Nationale
  • Marie-Claude Durel, infirmière
  • Monique Lars, infirmière
  • Valérie Hutsebaut Infirmière
  • Nelly Cahuzac, Infirmière
  • Véronique Chevalier Infirmière 
  • Marielle Raggi, infirmière
  • Guillaume Renouf¸ infirmier
  • Nicolas Wodiczko, infirmier
  • Bénédicte Huguet infirmière
  • Cynthia Thezenas, infirmière Puéricultrice
  • Éric Comellini, Psychomotricien
  • Fabienne Garcia Kinésithérapeute
  • Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute
  • Thomas Brossier masseur kinésithérapeute
  • Laurence Meert, Kinésithérapeute
  • Bernard Chervet, psychiatre 
  • Pierre Babilliot, médecin psychiatre
  • Suzette Vieira Roth, pédiatre
  • Nicolas Ziolkowski Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations cliniques – Dispositifs Médicaux
  • Isabelle Hoehne, docteur en médecine, médecin généraliste (cessation d’activité)
  • Rose-Marie Castello, médecin du Travail
  • Donia Hammami, vétérinaire
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier, masseur kinésithérapeute
  • Julie Ceccone Radiophysicienne médicale en cancérologie, en CHRU
  • Francoise Poulain, praticien hospitalier urgentiste
  • Nathalie Caradot, docteur en médecine
  • Béatrice Petit, médecin généraliste retraitée
  • Philippe Martin, Ostéopathe
  • Emmanuelle Gaultron, ostéopathe
  • Marie Labat Médecin spécialiste
  • Philippe Saegesser médecin anesthésiste
  • Vincent Morault Docteur en Pharmacie
  • Isabelle Lagny, Médecin du travail
  • Marie Pascual, médecin du travail
  • Yves Richard, docteur en Chirurgie Dentaire
  • Catherine Lidon, sage-femme
  • Sébastien Moret, kinésithérapeute 
  • Virginie Pichault, infirmière en psychiatrie
  • Claude Deroussent, Médecin Généraliste
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin ORL
  • Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin ORL
  • Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue
  • Nicole Delépine pédiatre cancérologue
  • Marie Dominique Tronchon, Ostéopathe, psychothérapeute
  • Richard Defay neuropediatre
  • Annie Aubin, docteur en médecine
  • Geneviève Farrachi, médecin généraliste
  • Julien Petit, médecin généraliste
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Jean François Teyssier, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin Gynécologue Obstétricien
  • Jean-Luc Lauer, Kinésithérapeute-ostéopathe
  • Stéphan Lepetit-Teston, Ostéopathe, Kinésithérapeute
  • Laurent Redien, kinésithérapeute
  • Frédéric Texereau, chirurgien dentiste
  • Anne-Françoise Van den Bulke, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Le Gall, kinésithérapeute
  • Danièle Augé psychanalyste
  • Sandrine Raison. Infirmière
  • Noelle Vial, infirmière
  • Lucie Campitelli infirmière
  • Flottes Noémie, orthophoniste
  • Christine Mathou Orthophoniste
  • Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste (radiée)
  • Corinne Martin Rondeau, Orthophoniste (suspendue)
  • Emmanuelle Colson, Orthophoniste
  • Françoise Font Orthophoniste
  • Thibaut Berry, électroradiologie médicale
  • Jolanta Amouyal, Psychologue Clinicienne et du Travail
  • Françoise Verriest, psychothérapeute
  • José Pedralva da Silva, Psychologue clinicien
  • Elsa Hybertie psychologue clinicienne
  • Sandra Pain psychologue
  • Agathe Vastel-Paris, docteur en pharmacie, diplômée en biologie médicale
  • Laura Minart, docteur en médecine, médecine du travail
  • Déborah Busidan, médecin du travail
  • Martine Breteau, médecin du travail
  • Zineb Deheb, médecin, dermatologue
  • Jean-Charles Luizard, psychiatre
  • Laura Giusti, médecin psychiatre 
  • Bernard Chervet, psychiatre
  • Sylvie Imbert psychiatre
  • Magali Delvaux, médecin psychiatre
  • Anne Meriglier, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Françoise Ternoy, psychomotricienne
  • Delphine Bensaïd, psychologue clinicienne
  • Yvette Klein Wurtz psychologue clinicienne
  • Dominique Lismonde, psychologue clinicienne
  • Roselyne Charvet Dischly, psychologue clinicienne
  • Aleth Naquet, psychologue clinicienne
  • Catherine Vasseur psychothérapeute
  • Charles-Henri Crochet, psychologue clinicien
  • Michel Forné-Vivó, médecin, psychothérapeute
  • Marie-Bénédicte Hibon, médecin généraliste
  • Christian Latriche, médecin généraliste, homéopathe, acupuncteur
  • Jacqueline Guérin, docteur en médecine
  • Philippe Danjou Urologue, praticien hospitalier.
  • Benjamin Guy, médecin hospitalier
  • Dominique Jaulmes, médecin hospitalier
  • Véronique Aymes, docteur en chirurgie dentaire et professeur de mathématiques
  • Nadine Dumont, psychothérapeute
  • Elodie Petit-Aguilar, psychologue clinicienne
  • Fabrice Guilbaud, psychologue clinicien
  • Jean-Pierre Morinière docteur en pharmacie
  • Sophia Hamdi, psychologue
  • Karine Baillieu, psychologue
  • Florence Amat, psychologue
  • Florence Pichot, psychologue
  • Gilles Rochette, psychologue
  • Sophie Plantade, psychologue
  • Ève Cottignies, psychologue clinicienne 
  • Catherine Duchossoy, psychologue clinicienne
  • Christophe Charpiot, Psychologue de l’Education nationale
  • Eve Martin, psychologue de l’Éducation nationale
  • Françoise Zannier, Psychologue et docteur en Psychologie
  • Valérie A.G. Ventureyra, PhD, Docteur en Psychologie
  • Véronique Debeaumont, psychologue sociale 
  • Iréne Bouchaud psychothérapeute
  • Monique-Cécile Drouet, psychiatre
  • Clémence Garçon, soignante (suspendue)
  • Alain Freby, Médecin généraliste
  • Marceline Bogaert, kinésithérapeute
  • Johanna Radosevic, psychomotricienne (suspendue)
  • Marjorie Etienne, cadre de santé, infirmier fonction publique hospitalière (suspendue)
  • Sarah Kharmouche, kinésithérapeute
  • Mathieu Armessen Ostéopathe
  • Goulven Saliou, infirmier spécialisé en bloc opératoire
  • Anne-Françoise Hémion, pédicure-podologue
  • Jacques Guillet, masseur-kinésithérapeute
  • Michèle Serres médecin généraliste
  • Françoise Salkowsky médecin généraliste
  • Pierre Pennamen, Docteur en Médecine
  • Laurence Le Gall, médecin généraliste
  • Cécile Poiroux, médecin généraliste
  • Sophie Colmart, médecin généraliste
  • Sandra Jasmin médecin généraliste
  • Christophe Robin, médecin généraliste
  • Karine Delaumône, médecin généraliste
  • Michel Jreige, médecin généraliste, ancien urgentiste (suspendu)
  • Pierre Billon, docteur en médecine générale
  • Emmanuel Peyre médecin généraliste
  • Guaracy Gadegbeku, médecin générale
  • Valerie Vigne Chazaud sage-femme
  • Sternotte Isabelle, Ostéopathe, Sage-femme
  • Bénédicte Dassonville, médecin généraliste, ingénieur de l’ENSH
  • Marc Naudin, ostéopathe
  • Sophie Bezert, Orthophoniste
  • Charline Chaveneau, orthophoniste
  • Laurence Ducol, orthophoniste
  • Najia Majdi, sage-femme
  • Anne Veyrac, infirmière
  • Murielle Jouannet Infirmière 
  • Alain Giordanetto, infirmier
  • Martine Gaillard, infirmière
  • Sandy Bonne, infirmier
  • Benjamin Guglielmi, infirmier, cadre de Santé
  • Claude Robert, Orthodontiste
  • Zoé Debain, masseur kinésithérapeute
  • Laurent Lalliot Masseur kinésithérapeute
    Isabelle Lalliot Masseur kinésithérapeute
  • Béatrice Adam – Kinésithérapeute
  • Fabienne Carbonnel masseur-kinésithérapeute
  • Joëlle Thuet, infirmière
  • Magali Morroni, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Casamatta, infirmier de bloc opératoire
  • Raphaëlle Montassut-Diarra, infirmière
  • Virginie Rossi, infirmière en psychiatrie à l’hôpital
  • Fabienne Ormillien, infirmière
  • Marc Heinrich, infirmier
  • Nathalie Vigat, infirmière
  • Jacqueline Segot, Infirmière
  • Stéphanie Montagut infirmière
  • Dominique Danjou Loire, infirmière de bloc opératoire
  • Marie-Line Ferreira, infirmière
  • Lyne Furco infirmière
  • Marie-Hélène Scheidel infirmière
  • Alexandra Wendel, infirmière
  • Patricia Bacquet, infirmière faisant fonction de cadre
  • Cécile Fernandez, infirmière en pédopsychiatrie
  • Vladimir Pavlovic, Educateur spécialisé en pédopsychiatrie
  • Sylvain POIREL, infirmier, CHU de Montréal (Canada)
  • Catherine Huerta, infirmière en EHPAD
  • Margot Schnell, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, infirmière 
  • Aude Buche, infirmière
  • Jackie Trividic, infirmière
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Cristine-Isabel Goncalves. Infirmière en CHRU
  • Marie-Anne Février, Infirmière Puéricultrice
  • Yvette Laugier, Infirmière
  • Isabelle Côte, Infirmière
  • Annie Dumas, infirmière
  • Nathalie Devaucoup Infirmière
  • Jean Michel Valentini, infirmier
  • Sophie Cauchois, infirmière
  • Marie-Odile Desvalois, Infirmière
  • Marion Philippon infirmière en hématologie à l’hôpital
  • Viviane Defrance, infirmière scolaire, retraité
  • Nathalie Blanchard, infirmière puéricultrice
  • Jean-Roch Aubertein, Infirmier
  • Zoé Moutel, Infirmière
  • Nadine Mulas, infirmière
  • Sylvie Bonnefoy Infirmiere
  • Florence Joyeux, Infirmière
  • Carole Auger, Infirmière
  • Laurence Villedieu infirmière, auxiliaire de vie
  • Françoise Astier, agents des services hospitaliers qualifiés en Ehpad
  • Fatima Jriri, aide-soignante
  • Marie-Pierre Barrier, aide-soignante
  • Cyril Sala, aide-soignant
  • Hasna Bouzid aide-soignante
  • Charlène Kluck, aide-soignante (suspendue)
  • Lise-Marie Chemineau Infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Christophe Joie, ergothérapeute en Centre hospitalier Province de Liège (Belgique)
  • Emmanuelle Cart-Tanneur, pharmacienne biologiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Martine Dejean, pharmacienne
  • Stéphanie Cellier, pharmacienne
  • Cathy Nicoud, infirmière urgences pédiatriques
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Margaux Chopin, aide-soignante gérontologie
  • Marie Weinrich, médecin généraliste
  • Laurent Hennequin, Docteur en Médecine, ancien chef de service de Radiologie en CHR
  • Luc Quintin, médecin anesthésiste réanimateur, charge de recherches au CNRS (physiologie cardiovasculaire)
  • Guy Van Hoonacker, médecin anesthésiste réanimateur 
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
  • Denis Asselineau, médecin anesthésiste réanimateur
  • Koryna Socha, PhD, médecin et docteur en sciences médicales
  • Marie-Hélène Poirier Garcia, psychiatre, EPSM
  • Gaël Puget, orthophoniste
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Anne Mouriès, orthophoniste
  • Marie France Coquillay, pharmacienne et enseignante chercheuse retraitée
  • Alain Le Hyaric, médecin en santé publique
  • Florence Parent, Médecin de santé publique
  • Pierre Buet, médecin généraliste
  • Chau Huu Tin, docteur en Médecine
  • Nathalie Souzan-Delagrave, docteur en Médecine
  • Cécile Morgan, médecin généraliste
  • Brigitte Chorliet, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin Généraliste
  • Julie Chataing, médecin généraliste
  • Virginie Airiau, médecin généraliste
  • Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste
  • Anne Damais-Cepitelli, médecin biologiste
  • Jean Emsallem, Médecin Vasculaire
  • Marcel Hoehne, chirurgien vasculaire
  • Philippe Cepitelli, médecin
  • Perrine Millet, médecin, gynécologue obstétrique
  • Christian Quichaud médecin généraliste
  • Amel Abbad, attachée de Recherche Clinique
  • Benoit Artault, médecin, ancien directeur médical de centre de santé
  • Marie Claude Granget-Calliet, psychologue clinicienne
  • Julien Reboul Coordinateur Service éducatif de soins de santé à domicile (SESSAD)
  • Monique Marien Sroussi, gynécologue
  • Linh Hoang-thi médecin acupuncteur
  • Roman Florent, infirmier
  • Amandine Laurent infirmière
  • Anne Laissus, Infirmière
  • Marianne Passarrieu, pharmacienne
  • Anne Gardiesn pharmacienne
  • Marie Belliot, infirmière de réanimation à l’hôpital Jacques cœur de Bourges (suspendue)
  • Fatima Rezig, infirmière
  • Pascale Morbois, infirmière
  • Arlette Fétat, infirmière
  • Florence Verbaenen, infirmière en psychiatrie
  • Caroline Giron, psychologue
  • Denis Bellano, Docteur en psychologie, psychologue clinicien
  • Éric Lemlé, docteur en chirurgie dentaire
  • Laetitia Trossat, médecin en soins palliatifs
  • Jean-Jacques Picard, kinésithérapeute ostéopathe
  • Raphaël Sendrez masseur-kinésithérapeute
  • Marie-Christine Faure, infirmière puéricultrice
  • Jacques Pollini, anthropologue de la santé
  • Anne Camus-Bruneau, orthophoniste
  • Nicole Chaudière, pharmacienne
  • Laurent Tonnerre, infirmier
  • Nicolas Soloy, Art Thérapeute en Hôpital de jour
  • Florence Pierre, masseur kinésithérapeute
  • Denis Chefdor, Masseur-Kinésithérapeute ostéopathe
  • Marie-Laure Martin, kinésithérapeute
  • Caroline Lecouvette kinésithérapeute
  • Serge Houël, Masseur Kinésithérapeute (interdit d’exercer)
  • Frédéric Barbier Damiette, kinésithérapeute (suspendu)
  • Dimitri Jacques, psychothérapeute, biologiste en nutrition
  • Eberhardt Wittich, ex biologiste et chimiste
  • Théodore Rottier, psychologue
  • Emmanuelle Schulz psychologue clinicienne
  • Martine Durand Jullien, médecin généraliste
  • Patricia Melot médecin généraliste
  • Lagorce Sebastien, médecin généraliste
  • Sophie Dévé, médecin généraliste
  • Nicole Perrot médecin généraliste
  • Caroline Mouzet, Médecin généraliste
  • Martin Gauthier, médecin généraliste
  • Romain Dupont Docteur en médecine
  • Donald Archer, médecin généraliste retraité
  • Benoit Ochs, médecin généraliste (Luxembourg)
  • Jean Pascal Serbera médecin généraliste
  • Marie-Cécile Tellier, médecin généraliste
  • Ourdia Krim, médecin spécialiste
  • Marie-Line Eon, médecin et docteur en science de l’éducation
  • Philippe Yannic médecin biologiste
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Marie Fages, kinésithérapeute
  • Jean-Marie Kerlo, masseur kinésithérapeute
  • Jean-Pierre Gay-Montchamp, praticien hospitalier, pharmacologie-toxicologie
  • Daniele Guieu, Docteur Vétérinaire
  • Grégory Desfilles, Masseur Kinésithérapeute
  • Valérie Franco, infirmière
  • Laura Roux, infirmière
  • Christine Munier Infirmière libérale
  • Gabrielle Charvet, infirmière
  • Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière dans un centre de cancérologie en CHRU
  • Pascale Grimm, infirmière
  • Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire
  • Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute
  • Antoine Rault, vétérinaire
  • Christine Goldie, Attachée de Recherche Clinique
  • Serge Perrin, sapeur-pompier professionnel
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé
  • Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique
  • Tetsuaki Shigemitsu, Médecin-épidémiologiste
  • Silvia Moreno, Microbiologiste PhD
  • Karen Brandin, docteur en théorie algébrique des nombres (mathématiques)
  • Virginie Charreau, ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste
  • Thierry Raffin, PhD, sociologue
  • Emmanuelle Lepoutre, sophrologue
  • Claire Seigneur, Psychologue
  • Margot Szefer, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Martine Crogiez, Ergotherapeute
  • Nathalie Pech, PhD, économiste
  • Gauthier Lasou, ingénieur chercheur
  • Catherine Vaillandet, orthophoniste
  • Karine Rabiet, orthophoniste
  • Xavier Gallet, psychopraticien
  • Lucia Martinez, Aide médico-psychologique en EHPAD
  • Céline Merigot, éducatrice spécialisée auprès d’adultes ayant des troubles psychologiques
  • Christine Quélier, Sociologue et psychologue
  • Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
  • Monique Plaza, chercheur en neuropsychologie
  • Anna Marie Cournil, gérontologie sociale
  • Renaud de Bellefon, docteur en histoire
  • Gérald Pech, ingénieur, ancien chercheur dans le spatial
  • François Sanchez, doctorant à l’université de Mulhouse
  • Hervé Brochart, chercheur, docteur ès sciences pharmaceutiques
  • Olivier Rimbault, docteur en lettres classiques, chercheur indépendant
  • Jean-Claude Barescut, ingénieur (nucléaire, radioprotection)
  • Anne-Marie Ropert, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts
  • Julie Lioré, anthropologue, rédactrice scientifique indépendante
  • Pierre Goletto, retraité, École Centrale de Marseille, IAE d’Aix en Provence
  • Victor Molinié, interne en médecine (spécialité gériatrie) en CHU
  • Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Irina-Maria Stefanescu Chirurgienne
  • Anna Levy Bencheton Dermatologue
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Odile Huchet, pharmacienne
  • Yannick Marcadet, pharmacien
  • Marie-Claude Marcadet Fièvet, pharmacienne
  • Mireille Coulon, masseure-kinésithérapeute, cadre de santé
  • Séverine Guitton, Cadre de santé
  • Anne Vincent, Cadre de santé
  • Fabienne Consoli, médecin généraliste
  • Françoise Rometti Psychiatre
  • Sylvie Laval, psychiatre
  • Sophie Sabatier, médecin généraliste
  • Brigitte Faure médecin généraliste
  • Fabienne Emonnot psychiatre
  • Yvette Dorémieux, psychiatre
  • Hanna Kump pédiatre
  • Daniel Avisse médecin généraliste
  • Régis Pouthier, médecin généraliste
  • Corinne Navarro, médecin généraliste
  • Dominique Sabatier, médecin généraliste
  • Véronique Beranger, médecin généraliste
  • Gaëtan Cantineau, radiologue
  • Claudie Henru, pharmacienne
  • Katia Bustamante, chirurgien
  • Frédéric Teste, Ostéopathe
  • Mélanie Faucher, psychologue en centre hospitalier
  • Caroline Collin-Blondel, psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique (suspendue)
  • Danièle Santini, psychologue
  • Erika Cadat, psychologue clinicienne
  • Patricia Bres, infirmière
  • Mireille Klenovski, infirmière
  • Frédérique Yampolsky, infirmière
  • Florie Gaeta, infirmière hospitalière
  • Philippe Chauveau, infirmier
  • Marie-Anne Morien, infirmière
  • Marie-Françoise Stigliani, pharmacienne
  • Jean-Pierre Moutel, médecin généraliste
  • Stéphane Cheslet, podologue posturologue
  • Solen Halloin, sage-femme (suspendue)
  • Laurence Borgogno, médecin vétérinaire
  • Amandine Eloy, opticienne
  • Marie Berthet, dermatologue
  • Thierry Coquet, aide-soignant
  • Nicolas Ecobichon infirmier
  • Fabienne Tremillon, Infirmière
  • Stéphanie Delaigue infirmière
  • Dominique Cadoret, psychologue
  • Marie Boutrolle psychologue
  • Muriel Chetcuti, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Gérard Martinez psychologue Clinicien
  • Bernard Guibbaud, psychologue, sexologue
  • Elisabeth Griffon, assistante sociale hospitalière (suspendue)
  • Nicolas Erhardt, cadre socio-éducatif dans la fonction publique hospitalière (suspendu)
  • Eddy Prave, ingénieur et technicien de recherche, Université de Rennes 2
  • Raymond Barbry, chercheur au Centre international de recherche en étude transdisciplinaire (CIRET)
  • Jérémie Salvadero, docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse
  • Marc Guibert, gynécologue obstétricien
  • Charles Bénard, électro-radiologie
  • Thuy Chi Nguyen, médecin généraliste
  • Suzanne Vanet, chirurgien
  • Nicole Sicard, docteur en médecine, ancien chef de service hospitalier, accompagnante en santé
  • Thierry Deliere, chirurgien vasculaire, ancien Chef de service à l’Hôpital
  • Gaëlle Saliou, docteur en pharmacie
  • Patrick Guérin, docteur vétérinaire
  • Jolivet Delphine, infirmière
  • Paul Polis, médecin vétérinaire
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Claire Pasquinelli Masseur-Kinésithérapeute
  • Anne Gauquelin, orthophoniste
  • Josselyne Abadie, consultante éthique
  • Aïd Zair, kinésithérapeute
  • Marie-Christine Hénaut, kinésithérapeute
  • Delphine Leterrier kinésithérapeute
  • Sylvain Deleplanque, psychologue clinicien
  • Marie-Claire Hemptinne, psychothérapeute
  • Gérard Ostermann, psychothérapeute
  • Marie-Gabrielle Vasseur, chirurgien-dentiste 
  • Christine Blanc, médecin Généraliste
  • Céline Arnaud, sage-femme
  • Claire Soulas, infirmière
  • Fabrice Davison, Infirmier
  • Andrée Martini, infirmière anesthésiste
  • Frederic Jolly, Podologue
  • Christine Oliveira, psychothérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Jérôme Turostowski Osteopathe
  • Anne Bastin, orthophoniste
  • Antoine Fredot, pédicure Podologue 
  • Gwénaëlle Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Denis Ribbe, Praticien Hospitalier Urgentiste et gériatre
  • Anna Rosset, biologiste, médecin spécialiste en radio-oncologie
  • Philippe de Joux, médecin généraliste
  • Yvonne Parquer, médecin généraliste
  • Valérie Mayaud, médecin généraliste
  • François Ribière, médecin généraliste
  • Hélène Skolka, médecin généraliste
  • Annie Bendayan, médecin généraliste
  • Marcel-Marie Gricourt, médecin généraliste
  • Anne Belin médecin généraliste
  • Olivier Boumendil, médecin radiologue
  • Samira El Ouali, médecin ostéopathe
  • Jean-Dominique Maupu, Médecin retraité
  • Christine Cieur, docteur en pharmacie
  • Odile Normant, directrice d’Établissements Médico-sociaux
  • Carole Pellissier, Masseur kinésithérapeute
  • Françoise Rouillé, infirmière cadre et psycho-clinicienne
  • Henri Duchemin, ambulancier (suspendu)
  • Pascale Le Marquand, Ambulancière hospitalière
  • Nathalie Ingenito, laboratoire bio-médical
  • Marie-Hélène Lacarra, kinésithérapeute
  • Solène Charon, kinésithérapeute et Ostéopathe
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Esther Joly, sociologie et psychanalyste
  • Florence Belasco, psychologue clinicienne
  • Yoanna Micoud, psychologue
  • Lecomte Valérie, infirmière
  • Gérard Bunel, infirmier
  • Danièle Mullet, infirmière
  • Anne-Laure Durix, infirmière
  • Pascale Polly, infirmière
  • Philippe Baudier, infirmier de Secteur Psychiatrique 
  • Clothilde Mora, diététicienne-nutritionniste
  • Vanessa Szpatkowski, infirmière
  • Amélie Huberlant, infirmière anesthésiste
  • Aram Ndiaye, Infirmière en cancérologie
  • Viviane Dubost, psychologue
  • Lucile Brochot, vétérinaire
  • Charles-Antoine Winter, diététicien nutritionniste
  • Jean-Guillaume Bellier, professeur agrégé de géographie
  • Benoît Diné, ingénieur de recherche
  • Jean-Pierre Reyal, ingénieur à l’INSA
  • Nicolas Tetaz, Ingénieur spatial
  • Gabrielle Radault, PhD., Ingénieur Brevets
  • Patrick Meunier, enseignant agrégé de Biochimie-génie biologique
  • Xavier Audebert, audioprothésiste
  • Xavier Pascal, Ingénieur informaticien
  • Sabine Lasou, ingénieur chercheur
  • Patrick Lawson, ingénieur d’études
  • Bruno Vassoille, ingénieur d’études
  • Thomas Metge, ingénieur d’études
  • Maxime Goulon, Ingénieur d’études
  • Olivier Gosselet, Ingénieur d’études
  • Dorothée Dumay, Ingénieur d’études
  • Sandrine Marasco, technicienne de laboratoire d’analyses médicales
  • Jean-Jacques Navarro, ingénieur à Centrale Paris
  • Frédéric Goupil, Ingénieur aéronautique
  • Marc Savall, docteur en informatique de l’INSA
  • Helene Chambatte Abeille, ancien interne des hôpitaux de Lyon
  • Jean Soldini, Ph.D, philosophe et historien de l’art
  • Roland Dubourg, chercheur en sûreté nucléaire
  • René Chiche, professeur de philosophie, Vice-président du syndicat Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Benoît Brandin, professeur agrégé de philosophie
  • Marc Thibault professeur agrégé de philosophie
  • Sophie Amant, professeur de sciences économiques et sociales, doctorante en sociologie
  • Marie-Virginie Cambriels, doctorante à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3
  • Jörg-Andreas Bötticher, Professeur FHNW/ Musikhochschule, Basel (Suisse)
  • Jean Leplant, enseignant dans les Établissement et Services de Réadaptation Professionnelle
  • Laurent Gaillard, professeur de sciences physiques
  • Anne Girerd, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre
  • Kévin Krantz, professeur agrégé de philosophie
  • Jacques Eutrope, Ph.D, retraité de l’industrie
  • Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie
  • Marie-Suzanne Bourgeade, enseignante-chercheuse retraitée de l’université
  • Georges Sorais, Professeur de mathématique/Sciences physiques
  • Jean-Claude Villanueva, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Université de Montpellier
  • Christophe M. Dubois, ancien chercheur à l’Institut d’études européennes de l’Université Catholique de Louvain, ancien attaché de cabinet ministériel
  • Sylvie Lasserre, PhD, grand reporter
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Gérald Sawicki, professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine
  • Sébastien Aubert, normalien, professeur agrégé de génie mécanique
  • Dominique Arnaud, ingénieur retraitée du corps de l’industrie et des mines, Autorité de sûreté nucléaire
  • Michel Doucet, ingénieur chercheur retraité du CEA
  • Alvaro Buero Buoro, géophysicien
  • Cathy Brunel, microbiologiste
  • Michèle Florquin, biologiste (Belgique)
  • Guylain Cabantous, vice-président de CPAM, membre de la commission exécutive CGT Santé Action Sociale



Vaccination universelle ? Émile Zola et le conditionnement moderne

Par Nicolas Bonnal

Tout le monde se vaccine même quand Delfraissy explique que cela ne sert pas. Essayons d’expliquer pourquoi, même si notre conception de l’humanité doit en prendre un coup. Il est temps de remettre le troupeau vacciné à sa place. 10 % de rebelles, c’est déjà beaucoup.

À partir de 1780, l’humanité est entrée dans un cycle qui sera le dernier, avant la liquidation ou la transformation des privilégiés de notre espèce (le transhumanisme). La Révolution française marque l’apparition de l’homme métronome, du libre citoyen aveugle et dominé par les forces de l’idée et des constitutions. Comme l’écrit Augustin Cochin, le plus grand observateur de l’histoire du phénomène révolutionnaire :

« Avec le régime nouveau, les hommes disparaissent, et s’ouvre en morale même l’ère des forces inconscientes et de la mécanique humaine. »

Cochin explique aussi pourquoi nous partons toujours perdants face à la masse progressiste et ses imprécations :

« L’anarchie donne des leçons de discipline au parti de l’ordre en déroute. En devenant patriote, la masse des Français semble s’être donné un unique et invisible système nerveux, que le moindre incident fait tressaillir à l’unisson et qui fait d’elle un seul grand corps. »

La destruction du système nerveux, c’est bien la clé. La destruction créatrice… Aux forces de l’idée correspondent les forces du marché renforcées par une autre révolution irrésistible, l’industrielle. Le marché repose sur la vente aux masses. Comment faire pour nous faire acheter ? Un auteur finalement assez peu connu, Émile Zola, décrit dans son roman sur le développement darwinien des grands magasins l’émergence de la nouvelle puissante totalitaire du grand commerce, ce chancre du monde, comme dira Céline à New York.

Zola admire la puissance mécanique du Bonheur des Dames et de la machinerie commerciale :

« Il y avait là le ronflement continu de la machine à l’œuvre, un enfournement de clientes, entassées devant les rayons, étourdies sous les marchandises, puis jetées à la caisse. Et cela réglé, organisé avec une rigueur mécanique, tout un peuple de femmes passant dans la force et la logique des engrenages. »

Le but est d’attirer, de faire vendre, de briser les résistances de l’individu : Zola n’a pas attendu les centres commerciaux du Qatar et de Shanghai, et le cours en bourse d’Apple ou LVMH pour écrire :

« En décuplant la vente, en démocratisant le luxe, ils devenaient un terrible agent de dépense, ravageaient les ménages, travaillaient au coup de folie de la mode, toujours plus chère. »

Zola compare la conquête de la cliente à la séduction sexuelle. Même la modeste héroïne Denise est conquise par la luisante toute-puissance du magasin et de ses marchandises : « le Bonheur des Dames achevait de la prendre tout entière. » Elle en tombe amoureuse du patron !

Bouret, le maître de céans, est d’ailleurs comparé à un cavaleur.

« Et, quand il lui avait vidé la poche et détraqué les nerfs, il était plein du secret mépris de l’homme auquel une maîtresse vient de faire la bêtise de se donner… On la connaissait pour sa rage de dépense, sans force devant la tentation, d’une honnêteté stricte, incapable de céder à un amant, mais tout de suite lâche et la chair vaincue, devant le moindre bout de chiffon. »

Cinquante ans plus tard, le théoricien de la propagande soviétique Tchakhotine parla dans un livre surévalué de sexuel viol des foules. À la même époque, le neveu de Freud, Bernays, encourage les femmes à fumer en public avec le succès que l’on sait (au nom bien sûr de leur libération : aujourd’hui pourtant on les somme de ne plus fumer au bureau ou ailleurs…). Mais Zola, excellent observateur de son temps, décrit les bonnes et simples recettes pour le conditionnement de la clientèle. C’est que cette masse (fuge turbam [fuir la foule], disait Sénèque) ne rêve que d’être étourdie, hypnotisée et manipulée :

« La grande puissance était surtout la publicité. Mouret en arrivait à dépenser par an trois cent mille francs de catalogues, d’annonces et d’affiches… Il professait que la femme est sans force contre la réclame, qu’elle finit fatalement par aller au bruit. »

[Voir aussi :
Une brève histoire de la propagande
Comment on manipule pour avoir le consentement
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

On sait bien maintenant que l’abrutissement du troupeau vient par la musique de fond, par le bruit, par la noise, comme on disait en vieux français. Donc Bouret veut du bruit en bon expérimentateur de la psychologie des foules chère à Le Bon.

« Partout, il exigeait du bruit, de la foule, de la vie ; car la vie, disait-il, attire la vie, enfante et pullule. De cette loi, il tirait toutes sortes d’applications. D’abord, on devait s’écraser pour entrer, il fallait que, de la rue, on crût à une émeute. »

Zola joue encore sur une autre métaphore, celle de la religion, que l’on file à propos du sport omniprésent dans nos médias achetés et nos cerveaux conditionnés, mais il l’applique plus subtilement au commerce — comme on le fera plus tard à la politique, qui est une autre forme du commerce. Zemmour ? Macron ? Pécresse ? Faites votre choix, gentilles brebis !

« Sous la grâce même de sa galanterie, Mouret vendait de la femme à la livre : il lui élevait un temple, la faisait encenser par une légion de commis, créait le rite d’un culte nouveau ; il ne pensait qu’à elle, cherchait sans relâche à imaginer des séductions plus grande… »

Zola en écrivant cela ne pense même pas au serpent de la Bible. Dans sa cervelle médiocre de laïque, le conditionnement du cerveau est le même pour la religion ou pour l’achat de chiffons — ce n’est d’ailleurs pas faux quand on pense au succès planétaire des évangélistes. La « cathédrale du commerce » a simplement pris la place de l’ancienne ! Il va, parlant toujours de Mouret, jusqu’à conclure dans cette envolée presque épique :

« Sa création apportait une religion nouvelle, les églises que désertait peu à peu la foi chancelante étaient remplacées par son bazar, dans les âmes inoccupées désormais. La femme venait passer chez lui les heures vides, les heures frissonnantes et inquiètes qu’elle vivait jadis au fond des chapelles : dépense nécessaire de passion nerveuse, lutte renaissante d’un dieu contre le mari, culte sans cesse renouvelé du corps, avec l’au-delà divin de la beauté. »

Lutte d’un nouveau dieu contre le mari ? Avec son style vulgaire, l’auteur de J’accuse voit que le divorce viendra avec le commerce. La famille détruite ou recomposée est plus rentable, tout simplement. Car la femme libérée, disait un homme d’affaires américain, paiera enfin des impôts.

https://beq.ebooksgratuits.com/vents/zola-11.pdf




Guidés par un meilleur berger ?




Delfraissy : « Une grande partie des personnes qui vont s’infecter vont être des personnes vaccinées »




Bravo au Doctothon et à la Résistance ! Diffusez les replays pour informer un max de gens. Mise à jour

Par Nicole Delépine

RÉSISTONS !

NOUS NE SOMMES PAS SEULS

« Pour convaincre la masse qui croit la TV, il faudrait que le discours de la TV change ; ce n’est pas le cas pour le moment. Donc ce merveilleux #doctothon est une somme de déclarations qui vont rester en ligne, et seront donc consultables. Pas le choix… »

« « Journalistes », allez-vous ignorer ces 300 médecins qui s’expriment librement, dont certains sont parfois radiés pour avoir soigné et refusé une thérapie génique expérimentale ? Parlez de ce #Doctothon et honorez enfin la Charte de Munich qui vous oblige ! »

Présentation et premiers témoignages :



Partie 1 :



Partie 2 :



Partie 3 :



#Doctothon Dr Monique Marien gynécologue. Alerte sur les risques pour les femmes enceintes ! Il n’y a pas de surmortalité qui serait due à Covid-19 ! En revanche risques de thromboses accrus avec injection ! (alors que risque de thrombose du FAIT seulement de la grossesse existe)

« Entendu quelque chose de très pertinent : on ne donne même pas une aspirine en clinique à une femme enceinte, car ça peut être dangereux pour son bébé, mais par contre, on n’hésite pas à la piquer avec les risques que l’on SAIT ! »

« j’écoute depuis hier en live, c’est une super émission qui fait ressortir la vérité, l’empathie et la sincérité vis-à-vis de tout ce qui se passe depuis deux ans. Un grand merci à tous ces vrais médecins qui honorent le serment d’Hippocrate #NonALaVaccinationObligatoire »

« Les masques tombent et les serpents sortent la tête #PfizerGate #Doctothon une vraie mine d’or en matière d’arguments concrets, objectifs, scientifiques à propos de la pandémie et de la #vaccination »

@Marc_Doyer

« merci, Monsieur, de témoigner pour tous de la maladie à prion (c.-à-d. Maladie de la vache folle) qui atteint votre épouse ! « se vacciner c’est jouer à la seringue russe » ! »

« En ce moment ! Il témoigne de la maladie à prion de son épouse suite à l’injection ! »

@ArmyOfTrue1 :

« Anne, chirurgienne maxillo-facial avec une expertise en réparation de fentes palatines à la #Réunion

C’est une spécialité rare et hautement qualifiée. Elle a proposé de payer pour ses tests juste avant de rentrer au bloc pour ses patients. REFUS !!! »

DR Nicole Delepinne :

Il n’y aucun BÉNÉFICE à vacciner les enfants ! d’après les chiffres de la pharmacolovigilance USA, ce vaxx a tué en 1 an (effets secondaires) autant que tous les autres vaccins en 34 ans ! Refusez le chantage et sauvez les enfants !

https://twitter.com/faminifilm/status/1469732621311696898?s=20

@ClocloQuebec4

« J’ai dormi à peine 3 h, ce doctothon est intéressant et touchant. Ces docteurs qui se sentent seuls, car ils veulent respecter le serment d’Hippocrate malgré tout »

« Une pharmacienne dénonce ce qu’on dit depuis le début. L’escroquerie des tests #PCR. « Nous sommes dans une fausse pandémie de cas et cette injection n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale en phase de test. » »

Ce graphe montre la dévastation causée par les « vaccins » Covid :
ils ont tuée plus de gens que tous les autres vaccins combinés en 33 ans !

EN MÊME TEMPS QUE LE DOCTOTHON SE POURSUIT

Les citoyens poursuivent leurs manifestations

https://twitter.com/i/status/1469673629684224001
https://twitter.com/i/status/1469670899989295105
https://twitter.com/i/status/1469662558625964041

ET SIGNALONS LES LIENS AVEC LES MÉDECINS RÉSISTANTS

Site de Covisoins

Soignez Heureux – AH-SI

Visitez le site « Soignez heureux » interface de téléconsultation avec médecins payés par une ONG qui ont le droit de prescrire en acte gratuit. Le patient peut faire un don à l’ONG.

Si besoin à Coviadmin@protonmail.com




PCB : remerciements aux 12.700 médecins qui ont défendu la vérité contre la corona-psychose

Par Méthode OSBMr et Timothée OSBMr

vidéo:



Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), qui défend les piliers fondamentaux du christianisme, attire l’attention sur une déclaration alarmante. Au nom de tous les chrétiens sincères, nous exprimons nos remerciements aux 12.700 médecins et scientifiques pour avoir défendu la vérité contre le système de mensonges qui exploite la médecine.

Leur alliance internationale a publié une déclaration s’opposant à la politique sur les coronavirus et accusant les décideurs politiques de crimes contre l’humanité. Les médecins sont empêchés de fournir des traitements vitaux à leurs patients, et le débat scientifique ouvert est supprimé, voire puni.

Ce document indique que la négligence du traitement a entraîné des maladies et des décès inutiles. Ce sommet des médecins et des scientifiques s’est tenu à Rome, du 12 au 14 septembre. La discussion portait sur la pandémie de Covid.

Nous citons brièvement la Déclaration : 

« Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession médicale telle que nous la connaissons se trouve à un carrefour, nous sommes obligés de déclarer ce qui suit :

Les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement de type « taille unique », entraînant des maladies et des décès inutiles.

Des milliers de médecins sont empêchés de soigner leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique… Cela entraîne des centaines de milliers de décès de patients inutiles.

Ce n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

Par conséquent, il est maintenant résolu que : les médecins doivent avoir la liberté de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte possible du permis d’exercer leur profession. Les interférences d’entités et d’organisations gouvernementales nous empêchent encore plus de soigner les patients dans le besoin. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de causer des maladies et des décès inutiles. »

Le Patriarcat Catholique Byzantin défend les lois de Dieu et les vérités fondamentales de la foi qui sont nécessaires au salut. Les hérésies doctrinales actuelles provoquent une décadence des principes moraux, entraînant l’autodestruction de l’Église et de l’ensemble de la société humaine. Les États chrétiens légalisent la politique du genre, l’anti-éducation, la démoralisation délibérée, le vol des enfants par les services sociaux… En fin de compte, il s’agit d’abus moraux et psychologiques commis sur les enfants ; par exemple, rien qu’en Norvège, 70 à 100 enfants volés de la sorte se suicident chaque année.

Ces crimes sont enveloppés de phrases positives sur les droits des femmes et des enfants et sur le soi-disant droit des minorités sexuelles LGBTQ à adopter ces enfants volés. En fait, ce sont des crimes commis contre Dieu et l’humanité. La responsabilité de ces crimes incombe au Vatican apostat, dont l’apostasie a commencé avec Vatican II et culmine à présent, sous le pseudo-pape Bergoglio.

Celui qu’on appelle François abolit illégalement les commandements de Dieu, et introduit la diabolisation de l’Église. Il a intronisé le démon Pachamama au Vatican, et promeut le mariage des sodomites. De plus, il préconise avec arrogance et démagogie la vaccination expérimentale criminelle à ARNm.

Aujourd’hui, nous apprécions donc profondément cette Déclaration signée par plus de douze mille sept cents médecins. Elle condamne les hommes politiques, mais aussi les prélats de Judas, pour leur perte de conscience, leur trahison de la foi et leurs crimes contre l’humanité. Ils sont devenus responsables de la mort physique de beaucoup de personnes, mais aussi de la mort spirituelle des âmes égarées. Le Vatican apostat n’est plus le pilier de la vérité et de la conscience de l’humanité. Ce Vatican bergoglien est devenu un pilier de mensonges, et une force motrice dans l’auto-génocide de l’humanité.

En cette période de trahison et d’apostasie les plus profondes commises à l’encontre de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, le Patriarcat Catholique Byzantin défend le véritable enseignement et les principes moraux. Au nom de tous les chrétiens sincères, nous donnons une reconnaissance publique à tous les médecins qui se sont opposés au système de mensonge et de mort derrière lequel se trouve l’ange de lumière, Lucifer, ou Satan. Rappelons que la victoire finale sur le diable et ses serviteurs appartient à Dieu, notre Seigneur et Sauveur. Ceux qui se battent pour la vérité recevront de Lui la couronne de la victoire éternelle. Cette couronne attend aussi les braves médecins qui se sont dressés afin de défendre la vie contre la mort.

+ Méthode OSBMr          + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires du Patriarcat Catholique Byzantin




Nouvelle fausse pandémie en vue ?

Transmis par Philippe Loubière

[Note de Joseph : l’intérêt d’une telle vidéo n’est pas de faire peur, mais d’une part de comparer avec la crise Covid et d’autre part de se préparer aux éventualités présentées.

Si une fausse pandémie virale est préparée à l’aide d’une nouvelle arme biologique vaccinale, on peut au moins en diminuer les effets en renforçant son système immunitaire. Celui-ci est renforcé par notamment :
– l’absence de peur (garder confiance ou, mieux, la foi) ;
– une nourriture saine et équilibrée (donc au minimum non industrielle, bio et si possible issue de producteurs locaux, mais non pas de multinationales de l’agroalimentaire) ;
– des émotions positives ;
– des pensées saines ;
– l’absence de sources électromagnétiques artificielles (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 5G…) dans l’environnement quotidien (au besoin en se procurant des moyens de les contrer) ;
– etc.
]



Extraits :

Marburg le nouveau virus : arme biologique absolue

Soyons attentifs aux paroles de ces chercheurs : les Drs Kieran Morrisey et Roberto Petrella qui risquent leur vie à nous informer.

Bonjour. Je m’appelle Kieran Morrisey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Attention à ce que je vais vous dire : il y aura bientôt une fausse pandémie appelée Marburg. « Ils l’ont déjà préparée… ».

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article en 2017 écrit par deux scientifiques italiens — le couple Gatti et Montanari — qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir. Il me semble qu’il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies. Les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins. Nous devons aller au fond des choses. Cependant, au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril, Bill Gates — GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005. Qu’est-ce que Bill Gates et GAVI savent que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels publient-ils des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg avec ce test, comme dans le cas du Covid. Comme avec le test PCR actuel, il serait difficile de le réfuter. J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles qui affirment que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie de Covid.

Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas le virus, donc vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement.

Il n’y a pas de propagation asymptomatique d’un virus. Cela a déjà été accepté.

Cependant, des articles qui disent le contraire ont été publiés.

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé Rivax, qui contient de la ricine, une substance toxique utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo pour tuer un grand nombre de personnes.

Pourquoi auraient-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant. Mais comment pourraient-ils initier cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple. Ils l’ont déjà initiée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraite et les hôpitaux, et aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent fièvre hémorragique. Ils feront le test avec leur nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré à titre expérimental, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid. Cependant, une grande différence avec le vaccin de ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100 % de la population en un temps très court. La ricine contenue dans le vaccin va tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen de l’arrêter une fois que c’est commencé. Arrêter de se faire vacciner par le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS et qui que ce soit d’autre derrière tout ça.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que c’est une erreur., que ce vaccin les rendra encore plus malades.

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter ça immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes. Nous sommes en mission urgente pour essayer d’arrêter ça avant que ça ne commence. Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur lewrockwell.com. S’il vous plaît, lisez-le. S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, mais que je perds plutôt.

Je suis sur que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre. Mais je crois fermement que nous devons faire quelque chose avant qu’ils ne lancent cette menace de Marburg, prétexte pour injecter des substances toxiques de ricine.

Faire connaître cette vidéo (ou ce document).

Tedros le directeur de l’OMS lui-même annonce ce virus et les mesures terribles qui vont être prises…

« Le virus de Marburg est très différent de celui du Covid-19, mais la plupart des éléments de la solution sont les mêmes : isoler et traiter les personnes infectées, suivre et mettre en quarantaine les contacts et impliquer les communautés locales dans la solution. Il n’y a pas encore de vaccin autorisé contre le Marburg, mais plusieurs sont en cours de développement. L’OMS collabore avec ses partenaires pour suivre l’évolution de cette épidémie. »

Écoutons aussi ce que nous dit également le Dr Roberto Petrella médecin gynécologue italien.

Il s’agit d’une fièvre hémorragique similaire à celle du virus Ebola. Elle présentera les effets indésirables des vaccins Covid actuels : thrombose, microembolie, embolie diffuse qui (attention) se fera passer pour des symptômes de Marburg, c’est-à-dire d’un nouveau virus. Et vous, les Italiens (mais aussi les Français NDLR), vous allez y croire ! »

Quant à nos « amis » Bill Gates et Belinda, quelques milliards de cadavres, cela les fait sourire !


La solution ?

Horizontale : informer et arrêter ces vaxxxxxins mortels

Verticale : prier, car les messages du Ciel nous disent en substance : ceux qui n’ont rien à craindre sont ceux qui ont l’âme en paix. Le mal, c’est la peur.




Table ronde russe sur le crime Covid-19 planifié

[Source : https://www.bitchute.com/alcyonpleiades-fr/]






Le scandale Ivermectine

Par Jean-Loup Izambert

(…) suite à l’enquête Le virus et le président réalisée avec l’écrivain-enquêteur Claude Janvier, [la présente] sera suivie d’une nouvelle à paraître en février 2022 – du moins nous l’espérons – sur la désinformation entretenue sur la covid-19 par l’OMS, les dirigeants de l’Union dite « européenne » et tout particulièrement les Français.

Jean-Loup Izambert

Extrait :




Doctothon : 300 médecins qui s’expriment sans censure pour une autre vérité sur la Covid

[Source : Vécu 2]

Pour voir la totalité des vidéos (malgré la censure YouTube) : Bravo au Doctothon et à la Résistance ! Diffusez les replays pour informer un max de gens. Mise à jour – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

https://youtu.be/8yORFmHA0AY

Direct :

[Source : KAIROS]

https://youtu.be/P5n2JwasiJs



« Le délire scientiste » croqué par Patrice Gibertie

[Source : francesoir.fr]

Statistiques biaisées, études frauduleuses, grande panique… Patrice Gibertie, professeur agrégé d’histoire, aujourd’hui à la retraite, n’a pas sa langue dans sa poche. Il chronique régulièrement toute la gestion sanitaire sur son blog ; le voici sur notre plateau, pour revenir sur 18 mois de crise et partager son analyse.



Le délire scientiste

[Note de Joseph :
on découvrira peut-être à plus grande échelle dans un avenir plus ou moins proche que la science a, pour une grande part, muté sous l’emprise des élites paranoïaque ou psychopathes à l’origine du Nouvel Ordre Mondial. Elle s’est ainsi corrompue en « scientisme » qui présente toutes les caractéristiques d’une religion, et qui plus est d’extension mondiale. Elle a de plus adopté les caractéristiques de ses promoteurs corrupteurs et est donc devenue elle-même de nature paranoïaque, encourageant notamment les théories les plus délirantes qui n’ont jamais réellement passé l’épreuve des faits et d’une démarche scientifique rigoureuse, comme la théorie virale pourtant quasi universellement considérée comme vraie.
Ainsi, celle-ci a fortement tendance à incarner les traits de cette maladie psychologique qu’est la paranoïa :
 – l’orgueil s’y retrouve dans sa propension à prétendre expliquer (puis guérir) un grand nombre de maladies sans pourtant s’être donné la peine d’examiner d’autres explications, mais en rejetant avec condescendance manifeste toute théorie alternative ;
 – la méfiance y est particulièrement présente et extrême envers l’ennemi qu’elle s’est inventé, le « virus » ;
 – et enfin, la fausseté de jugement qui provient d’un manque d’ancrage à la réalité en y substituant un récit fabriqué, perceptible dans l’incohérence de la théorie, sa non-application de la démarche scientifique, son usage de syllogismes et de sophismes au lieu de la logique. Voir à ce propos Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial.

On retrouve la même tendance paranoïaque avec la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique :
 – l’orgueil s’y retrouve dans l’idée que l’Homme disposerait déjà du pouvoir de dépasser le Soleil dans son impact sur le climat et dans le dénigrement de toute théorie alternative comme relevant de « négationnisme » ;
 – la méfiance est dirigée cette fois contre le CO2 qui serait produit par l’Homme lui-même et contre le méthane provenant des vaches ;
 – et le délire, dans la non-prise en compte de plusieurs facteurs, dont :
     – le Soleil comme cause première du climat, en raison du fait qu’il est la source principale de chaleur de la Terre,
     – les observations historiques et préhistoriques du climat,
     – la vapeur d’eau et les nuages dans les modèles,
     – et surtout le fait qu’un modèle climatique ne représente lui-même qu’un ensemble d’hypothèses qui ne peuvent se substituer à l’expérience et à l’observation directe du climat ni même à sa simulation expérimentale en laboratoire.

À noter que ces théories délirantes, comme la paranoïa, trouvent une cause fondamentale dans la peur de la mort, par les virus dans le premier exemple, et par l’Homme lui-même ou les vaches qu’il élève dans le cas du climat.

Voir aussi : Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie]

Au commencement de la crise, Patrice Gibertie observe et cherche à comprendre cette situation nouvelle. Il écoute les professeurs Raoult et Perrone, qui à cette époque n’étaient pas encore censurés par les médias. Soucieux de soigner et de guérir leurs patients avec des traitements précoces, leur calme leur avait valu d’être classés parmi les médecins rassuristes avant d’être censurés et traités de complotistes.

C’est à la lecture d’articles scientifiques que le doute s’installe sur la narration officielle. Notant les différences qui existent entre le récit des médias qui alimentent la peur, et la littérature scientifique ou le vécu des malades, l’historien repense à des situations analogues et à ce que disait son professeur Jean Delumeau lorsqu’il parlait de « théologie de la peur » pour évoquer la démonologie du 15ème et 16ème siècle, une époque où, au nom de cette théologie, on pourchassait les sorcières et les croyances.

« Je vois très bien Gilbert Deray et quelques autres en grand inquisiteur de la démonologie », déclare Patrice Gibertie pour qui le délire scientiste, loin d’avoir disparu, ressurgit régulièrement. Prenant en exemple l’époque de la fin du 19ème siècle, il rappelle la dérive hygiéniste qui a suivi la révolution pasteurienne et l’apparition des premiers vaccins.

C’est l’époque où le médecin allemand Robert Koch, découvreur du bacille de la tuberculose, se lance quelques années plus tard dans une expérience plus aventureuse et échoue avec la tuberculine, traitement extrait du bacille, qui s’est révélé fatal pour les personnes qui avaient reçu l’injection.

Quelles statistiques pour quelle analyse ?

S’en tenant à son domaine de compétence, Patrice Gibertie ne va pas chercher les statistiques de l’Académie de médecine, mais décide d’analyser les chiffres de la surmortalité. Des chiffres qui révèlent que si l’année 2020 n’a pas été particulièrement létale, l’année 2021 en revanche montre une surmortalité pour des catégories d’âges qui ne sont pas frappées par le Covid et qui correspondent aux périodes de vaccination.

Il effectue également des analyses à partir des cartes de géographie pour comparer des pays ou des régions proches. Prenant l’exemple du continent africain, il observe des différence de dynamique épidémique et de mortalité entre les pays qui soignent leur population avec de l’ivermectine pour traiter la cécité des rivières ou onchocercose et des pays voisins qui ne prescrivent pas cette molécule.

Voir aussi : Pr Femi Babalola (Nigeria) : « ils jouent avec la politique, pas vraiment concernés par les patients »

De l’analyse ces études observationnelles, Patrice Gibertie dit ne pas trouver de corrélation entre le taux de vaccination et le taux de contamination, tandis que les contaminés peuvent être vaccinés ou non-vaccinés. En revanche, il existe une corrélation entre un taux de mortalité faible, des crises de durée courte et l’usage des traitements précoces.

Les études frauduleuses

« Nous sommes confrontés à une maladie nouvelle et peu létale. Comment serait-il possible de faire des études sérieuses randomisées en double aveugle ? Ce n’est pas possible, car il faudrait des dizaines de milliers de personnes » déclare l’historien qui observe des biais dans de très nombreuses études.

Voir aussi : Matthieu Million, au plus près du patient à l’IHU : recherche, éthique du soin, école du réel

Des biais saisonniers ou démographiques, comme c’est le cas pour les études israéliennes qui portent sur l’efficacité des vaccin, aux niveaux d’exigence différents selon que les études portent sur des molécules anciennes et peu coûteuses ou des nouveaux médicaments, l’historien analyse toutes les dérives. Des dérives qui le conduisent à considérer la démarche des sciences humaines et les analyses sur la surmortalité comme plus sûre et plus pertinente que certaines études scientifiques.

Enfin, se projetant dans l’avenir, il pense que les historiens de demain regarderont notre époque comme l’histoire d’une grande peur comme l’humanité en a connue, une grande peur liée à la méconnaissance et aux tentations totalitaires.




Et si le variant Omicron était la porte de sortie de la Covid ?

[Source : Pour un esprit critique]

Par Pascal Dubellé – psychiatre

Un nouveau variant, appelé OMICRON, a fait son apparition il y a quelques semaines dans les pays d’Afrique du sud. On ne sait pas encore grand-chose sur ce variant si ce n’est qu’il se répand comme une traînée de poudre et que cela suffit à affoler les populations. En revanche nous ne savons rien ou presque de sa virulence et nous sommes incapables de dire s’il sera ou non sensible aux vaccins comme aux nouveaux traitements antiviraux que l’on s’apprête à mettre sur le marché.

Toutefois, pour l’heure, et cela semble se confirmer à mesure que le temps passe, on ne relève aucune forme grave de la maladie ni aucun décès liés à ce nouveau variant. Il faudra attendre encore quelques semaines pour avoir un début de confirmation quant au pouvoir pathogène d’OMICRON, mais il est probable que ce pouvoir soit sensiblement atténué par rapport aux précédents variants, dont le dernier qui occupe encore la scène, le variant DELTA.

Or, s’il se confirme que ce variant est anodin, ce qui va dans le sens de l’évolution naturelle de ce genre d’épidémie à coronavirus, il nous faudra alors adapter rapidement la stratégie sanitaire et vaccinale en vigueur afin de favoriser l’expansion d’OMICRON pour qu’il supplante et remplace au plus vite le variant DELTA encore présent.

Cela signifie qu’il faudra lever évidemment toutes les mesures barrières et supprimer le passe sanitaire et qu’il faudra aussi, et surtout, interrompre au plus vite la campagne de vaccination, sauf, peut-être, pour la population vulnérable jusqu’à disparition totale du variant DELTA. De même il faudra interdire tout traitement susceptible de favoriser de nouvelles mutations.

Le but sera alors de préserver OMICRON pour éviter qu’un autre variant, par malheur plus pathogène, ne s’installe. OMICRON aurait aussi l’avantage de procurer une forme d’immunité naturelle, certes incomplète, mais sans doute supérieure à celle apportée par les vaccins à ARNm.

Ce nouveau variant pourrait nous permettre de sortir de cette Covid. Ne gâchons pas bêtement cette chance par des mesures et des politiques devenues obsolètes.

S’il s’avère que ce variant est aussi contagieux qu’un rhume et à peine plus grave, il serait alors une véritable aubaine pour nous. Pas pour l’industrie pharmaceutique, assurément, qui verrait son business plan  mis à terre ; pas pour ceux qui, en Europe et en France ont passé commande de centaines de millions de doses de vaccins devenues inutiles et achetées alors en pure perte comme ce fut le cas pour la H1N1.

Cette fâcheuse perspective qui verrait s’évaporer des milliards de dollars de gains à venir et qui serait responsable d’une énorme gabegie poussera-t-elle ceux qui gèrent cette crise Covid à vouloir arranger la réalité afin  de poursuivre une politique sanitaire et vaccinale qui ne serait pas seulement  vaine, mais totalement néfaste ?

À suivre de très près.




Le massacre des innocents, jusqu’à quand ?

[Voir aussi sur : ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Les séquelles psychiatriques des enfants sont fréquentes et tragiques. Stop au massacre.

Marie-Estelle Dupont : « Les Français sont fragilisés par cette pression, ce chantage, cette manipulation… » (lemediaen442.fr)

Il est très important de prendre le temps d’écouter cette interview du 442, car la psychologue revient sur différents aspects du coronacircus que nous vivons depuis bientôt deux ans et des séquelles dans le domaine de la santé mentale qui vont impacter les prochaines décennies. Nous ne pourrons ici qu’insister sur quelques points clefs exposés.

L’utilisation de la PÉDAGOGIE NOIRE(([1] La pédagogie noire (en allemand : Schwarze Pädagogik) est une forme d’éducation répressive visant à soumettre les enfants par diverses méthodes qui incluent aussi bien les châtiments corporels que la manipulation mentale. Des principes régis par le précepte « Qui aime bien châtie bien ».)) est à l’œuvre dans notre société manipulatrice et perverse. Fidèle à Rome en déclin, la technique « manger et divertir » pour tenir le peuple est utilisée comme le prouvent les larges compensations financières distribuées par le pouvoir pendant les confinements et couvre-feu. Un peuple qui a le ventre plein ne se révolte pas…. Du moins, un certain temps.

La psychologue évoque ses patients et leur psychisme. Des patients précipités dans l’angoisse et la sidération. Pour beaucoup, des jeunes, des militaires, cette pathologie ne les concernait pas dans les formes graves et se demandaient pourquoi ils devenaient les exclus de la société.

Les patients obligés de se vacciner vivent très mal les injonctions paradoxales. On se vaccine, mais on n’est pas protégé comme le montre l’obligation de porter le masque, etc.

Ceux qui ont perdu leur travail et leur logement de fonction sont dans un état à gros risque pour leur santé mentale et sociale. Elle a vu les patients tomber dans la panique, des mères horrifiées que leurs enfants privés de sport deviennent des obèses à risque.

La soi-disant solidarité avec les personnes âgées (que par ailleurs, on a isolé, soumis au Rivotril et interdits d’hôpital) atomise les liens sociaux, les liens familiaux et  on a joué avec l’autorité parentale, ce qui est gravissime.

Le cadre de valeurs, libertés , consentement éclairé a été effacé, la famille est atomisée, sans résoudre le problème posé que serait la plandémie.

FERMETURE DES CLASSES :
4000 classes fermées fin novembre 2021. Quel impact ?

La psychologue dénonce l’apprentissage à distance et sa grande inefficacité à terme. L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.

Conclusion « L’APPRENTISSAGE A DISTANCE C’EST DES BOBARDS »

LA FERMETURE DES CLASSES

met le chaos dans la famille. Aucun parent non-rentier ne peut s’organiser rapidement. L’enfant est exposé à une solitude chez lui.  On tente de faire porter le poids de la famille sur les enfants. Elle voit défiler des enfants qui ont des tocs (ne pas toucher son cartable, ne pas diner avec les autres à la maison etc..) On crée des troubles psychiatriques effarants.

Dégâts de la crise

Ils sont majeurs et on le sait depuis au moins un an, avec de nombreux cris d’alarme des pédiatres, des pédopsychiatres, des orthophonistes etc.
Des tentatives de défenestration ont été constatées à un âge où la notion de suicide est habituellement  absente.  Il y a déjà un an, on a constaté une augmentation majeure des idées suicidaires, des tentatives de suicide et des suicides chez les jeunes, voire très jeunes.

La vague pédopsychiatrique est monstrueuse, un véritable tsunami

Chez les tout petits, on a noté des angoisses majeures d’enfants jetés dans le chaos psychique avec retard de langage des tout petits confrontés au masque de la nurse qu’ils ne comprennent pas, dont il ne voit pas le visage ni les lèvres en particulier. Une nouvelle fois, elle insiste sur l’indifférence des Français à l’égard des bébés.  Enfants qui n’accéderont pas normalement à une vie psychique normale.

Laisser les jeunes tranquilles

Les zéro-cinq ans seront dans une vingtaine d’années des dépressifs, inadaptés, handicapés mentaux. Quelle société préparons-nous ?

Question sur les « citoyens en perte de sens » selon le chef de l’état

Qui est en perte de sens, les citoyens ou la communication du gouvernement dont l’impact psychologique est très lourd et frappe par sa similitude avec la pédagogie noire via la manipulation, la culpabilisation, etc. et l’inversion du sens des mots.

La situation actuelle perd le sens des choses, ce ne sont pas les citoyens qui sont en perte de sens. La perte de sens est du côté de celui qui la désigne.  La perte de sens vient de ces mesures arbitraires incohérentes et non pas du citoyen.

Penser est être « has been »

La subjectivité est devenue un potentiel désordre, c’est l’image du totalitarisme.

Le Livre « asile » décrit une institution totalitaire dans laquelle on abolit la limite entre la vie privée et publique, tout est mélangé   et décidé par l’état qui devient votre médecin. La gestion de la totalité de la vie de l’individu est mise en place par la technique pour faire renoncer à la vie d’avant. Le pass est un tour de passe-passe, marqueur rituel même du fait qu’on a renoncé à notre vie d’avant.

Question : qu’est ce qui explique la soumission d’une partie du peuple ?

Deux moments de sidération et de choc traumatique :

1) apparition de la pandémie. Les gens vivaient dans une sorte de confort sans crainte, et brutalement tout s’écroule dans leur vie confortable. Une obsession : retrouver la vie d’avant.

2) apparition du confinement et l’autre est devenu un potentiel danger.

La peur entraine l’envie irrépressible d’en sortir et les cerveaux choqués sont prêts à accepter n’importe quoi pour le « plus jamais cela ». On a accepté les mesures par un marchandage successif, alternant peur et promesses.

[Voir aussi : La peur et l’espoir comme outils politiques]

Mais céder au chantage encourage le maître chanteur ; avoir subi deux injections vous conduit au chantage de la troisième et bientôt, de la quatrième comme vient de le demander Mr Delfraissy. La société ne fait plus corps ; l’état prend en charge mon intimité corporelle On crée des situations d’atomisation.

La psychologue est très inquiète sur l’avenir d’une société qui confond rêve et réalité, un état qui pousse vers la psychose.

Très inquiète car les gens acceptent ou renoncent à une cohésion sociale en échange d’un confort illusoire. Le confort est un élément d’ultra individualisme. Les droits fondamentaux des enfants sont bafoués ; on laisse s’instaurer une société totalitaire.

Pas de valeurs actuelles qui réunissent les Européens.  Les young leaders liés au PCC, assumés par le Sénat, conduisent à une société de surveillance accrue qui nous fait craindre la Société de la surveillance numérique déjà en place via la Culpabilisation de toute personne  inquiète de la transformation anthropologique de la société.

La présidente de la Commission de l’Europe vient même de demander l’abolition de la déclaration de Nuremberg !

Délire de toute puissance au nom de la liberté retrouvée (ou qu’on retrouvera peut-être si on est obéissant) le réel n’existe plus. On fabrique une société psychotique, car on ne fait plus de différence entre le réel et le virtuel. BASCULEMENT ANTHROPOLOGIQUE.

Effondrement de la société

Société sans repères, sans valeurs, sans passé. Déplacement de la morale. Les citoyens oublient de réfléchir aux valeurs et à l’éthique. On n’ a plus le droit de regarder les conséquences de mesures sanitaires sur la santé mentale.

Il est urgent de penser !   Renoncer à ses valeurs est un suicide psychique

Ce qui humanise est le lien.  Grandir dans le ventre d’une femme qui m’a parlé etc., puis avec des gens qui m’ont bercé etc. Un conseil : préserver le lien, faire front pour préserver tout ce qui nous fait du bien et agir sur ce que l’on peut contrôler, préserver son cercle, préserver vos liens psychiques, et physiques. Cela vous permettra de ne pas sortir fragmenté de cette épreuve.

https://videos.reaction19.fr/?mediaId=d92da11b-fb67-4a30-9ec9-0d4755923581





Les dix mesures à prendre immédiatement dès mai 2022, mais pourtant proposées par aucun candidat

par Lucien Oulahbib

Ces dix mesures ne sont pas hiérarchisées : elles doivent être prises ensemble.

  1. Toujours pas proposé par aucun candidat : gel de la construction de mosquées, de temples (hindous) d’instituts (Confucius) tant que la réciproque n’est pas perceptible dans les pays dont les demandeurs sont originaires, en matière de liberté religieuse, se concrétisant par l’édification d’édifices et de centres idoines.
  2. Toujours pas proposé par aucun candidat : il ne suffit pas de sortir de l’OTAN, il faut également (menacer dans un premier temps) sortir de l’ONU, l’UNESCO, l’Unicef, la Banque Mondiale, le FMI… Tant que tous ces organismes ne se mettent pas en route ensemble pour solutionner pas à pas à la fois le problème des réfugiés, la question du développement et de l’anticorruption, avec la ligne de conduite suivante (esquissée par certains candidats cependant) : gel de l’aide au développement et des avoirs des classes dirigeantes si tous les efforts ne sont pas faits pour s’occuper réellement des réfugiés, les placer dans des lieux adéquats s’ils sont déboutés, les réfugiés acceptés devant uniquement l’être sur des critères liés à l’oppression politique et religieuse et non pas économique, voire climatique.
  3. Toujours pas proposé par aucun candidat : concernant les réfugiés correspondant à ces critères politiques et religieux (les autres devant être pris en charge par la « communauté internationale » sous peine de voir la France quitter toutes ces instances) il faut agir par ancienneté dans l’allocation des aides en ce sens où il n’y a aucune raison que des réfugiés passent avant des citoyens français alors que sous le prétexte qu’ils ont des enfants ils devraient passer en priorité. Non, chacun fait la queue. On ne passe pas devant tout le monde en agitant des priorités, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille pas penser à des solutions transitoires en attendant, surtout concernant les réfugiés politiques et religieux qui sont la priorité.
  4. Toujours pas proposé par aucun candidat : si l’on veut une France forte avec cent millions d’habitants d’ici 2050, il faut une réelle politique familiale en aidant dès le premier enfant et en incitant les jeunes filles et femmes hésitantes à ne pas avorter, mais plutôt à accoucher sous X, tant la demande d’adoption est grande. Ceci est bien plus prioritaire que la suppression du droit du sol qui est un acquis historique.
  5. Proposé par certains candidats, mais bien trop peu : la PMA sans père, la GPA implicite (faite à l’étranger, puis forcing pour la légalisation en France) sera interdite, les enfants ont le droit d ’avoir un père ET une mère, l’adoption peut être possible pour les couples de même sexe sur la base du volontariat d’enfants âgés de plus de 7 ans.
  6. Toujours pas proposé par aucun candidat : il sera remis à chaque famille un chèque « instruction publique » afin qu’elle choisisse l’école de son choix, celle-ci étant libre par ailleurs de recruter et d’opter pour la pédagogie de son choix, le Ministère de l’Instruction (et non plus de l’Éducation) intervenant a posteriori en cas de dérives circonscrites par les institutions idoines et la libre action des citoyens.
  7. Toujours pas proposé par aucun candidat : il sera remis à chaque salarié les 2/3 de ses cotisations sociales et 1/3 des cotisations patronales afférentes afin de choisir la sécurité sociale de son choix, les tiers restants étant pour 2/3 supprimés pour les petites et moyennes entreprises, tandis que le tiers restant (salariés et PME) ainsi que les 2/3 concernant les grandes entreprises seront consacrés à un Fonds Commun de Solidarité (FCS) qui fonctionnera comme fonds de pension permettant de renforcer le système de santé qui sera par ailleurs mutualisé concernant les soins lourds.
  8. Toujours pas proposé par aucun candidat : la liberté de prescrire sera renforcée, les médecins devant être protégés au même titre que les juges d’instruction. Le chantage à l’obligation de prendre des expérimentations sous AMM sera proscrit et l’État pourra se porter partie civile contre les structures publiques et privées qui l’exigerait. Et, bien sûr, tout ce qui est restriction pour des maladies ne dépassant pas 2 % des hospitalisations sera levé. Des dommages et intérêts pourront par ailleurs être demandés à l’encontre de ceux qui ont refusé de soigner et qui ont négligé la réalité d’effets secondaires graves (comme vient de le faire le Japon en exigeant que cela soit désormais inscrit sur les flacons idoines).
  9. Toujours pas proposé par aucun candidat : le Parquet doit être rendu indépendant du Ministère et l’indépendance des juges d’instruction renforcés, sauf celle du juge d’exécution des peines qui ne pourra plus infirmer la décision de ses collègues, mais juste la moduler cas par cas. Bien sûr la remise à niveau budgétaire devra suivre un audit conséquent des besoins dédiés.
  10. Proposé par certains candidats, mais trop peu : il faut une vaste politique de réaménagement du territoire (ministère désormais majeur chapeautant tous les autres ministères avec l’appui effectif du 1er Ministre) afin de tout rééquilibrer : villes/campagnes, industries/services, énergies/environnement, protectionnisme/ouverture, police/justice/défense, solidarité/droits sociaux, tout doit être revu secteur par secteur région par région et cas par cas.

Il ne s’agit donc pas ici de revenir sur diverses propositions déjà indiquées ici et là, mais d’avancer les plus essentielles et susceptibles de faire consensus parmi les citoyens amoureux de la France réelle et non pas seulement imaginée ; le tout de telle sorte que les arguments adverses refusant cette singularité française soient pris en quinconce et détruits bien en amont afin que l’assaut politique propre aux joutes démocratiques (tel le tournoi final entre les deux finalistes) se constitue au sein de conditions les plus épurées au possible.




Prions pour qu’une épidémie de Covid se produise enfin…

Par Alain Tortosa

L’angoisse monte parmi les membres de l’Église du Coronavirus…

Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?

Malgré toutes les annonces, les mensonges et autres manipulations,
nous risquons de passer les fêtes de Noël sans épidémie de Covid…

Avouez qu’un Noël sans Covid, c’est comme un Noël aux Bahamas sans la neige… Adieu la carte cadeau « un test PCR offert » ou pour les plus chanceux « un bon pour 2 doses d’ARNm » ou le désormais classique « Papi et Mamie vous allez manger la bûche dans la cuisine » (malgré leur 3e dose et leur rendez-vous pour la quatrième).

Mais d’où viennent ces tristes nouvelles me direz-vous ? Eh bien encore une fois de « l’irresponsable » réseau Sentinelles qui joue toujours les trouble-faits ou les trouble-fêtes comme à son habitude depuis le début de la Covigrippe en 2020.

Et alors même que nous subissons une « 5e vague qui risque d’être pire que la deuxième, troisième et quatrième » (il est toujours difficile de faire mieux que les premières).

« Vague à ce point terrible » que les hôpitaux, aux services fermés faute de personnels, préférant faire travailler des soignants vaccinés ET positifs que des soignants non vaccinés en pleine santé (logique « sanitaire » oblige), déclenchent le fameux plan blanc. Pour vous résumer le plan blanc, une majorité de soignants sont renvoyés à la maison à ne rien faire, attendant qu’on les appelle, tout ce qui n’est pas du ressort de l’urgence vitale est annulé et on laisse ouvert le service Covid quand bien même il serait vide. Service Covid à qui l’on attribue 10 lits, laissant les autres lits des autres services vides, afin de pouvoir parvenir le plus vite possible à la saturation… Et si d’aventure deux lits « Covid » demeuraient vides, on s’empresse de les fermer afin de pouvoir affirmer que 100 % des lits Covid sont occupés.(([1] Que les fastcheckers m’amènent la preuve que je dis faux)) Le plan blanc étant bien entendu une formidable vitrine médiatique pour réclamer et toucher de l’argent ou des personnels roumains tandis que les non-vaccinés n’ont plus leur salaire…

Pour en revenir à la « redoutable 5e vague » qui tourne en boucle sur les médias… Voici les données épidémiologiques(([2] https://www.sentiweb.fr/document/5475)) de la semaine 48 du 29 novembre au 5 décembre :
Le taux d’incidence de malades pour des Infections Respiratoires Aiguës (IRA), en gros les états grippaux de l’hiver, a enfin atteint 183 cas pour 100 000 habitants versus 146 la semaine précédente.

Champagne ! Nous avons enfin notre épidémie ! Mais mes chers amis (comme dirait un avocat en peine d’amour dont je tairai le nom), ne vous réjouissez pas trop, ce n’est pas une épidémie de Covid !

Qu’ouïs-je ?

Et oui, le taux d’incidence Covid a été estimé à 35 cas pour 100 000 habitants. 10 % des malades étaient positifs à un virus de la grippe (versus 4 % la semaine d’avant) indiquant que nous allons probablement vers l’épidémie de grippe saisonnière habituelle.

Je sais, c’est dur à entendre ou à lire, mais seulement 6 % étaient positifs au Sars-cov2.
Ce qui veut dire que 94 % des infections respiratoires en France n’étaient pas dues au Covid !

Alors pour celles et ceux qui espèrent un miracle, sachez que la semaine précédente ils étaient de 12 % ! Cela veut dire que non seulement le gentil virus représente peanuts dans le paysage des états grippaux en France, mais qu’il semble même décroître quand la grippe augmente… Malchance quand tu nous tiens…

Le gouffre est béant entre Sentinelles et son taux de 35 pour 100 000 versus la propagande avec son taux grotesque, mais terrorisant de 447. Le petit Covid ne représentant que 6 % des maladies respiratoires.

J’ai quand même une bonne nouvelle pour vous qui avez soif de peur et de dictature… Étant donné que les médecins de plateau et les politiques corrompus font l’histoire, rassurez-vous, le bon peuple ignore tout de cette réalité qu’il ne pourrait croire, tant elle est blasphématoire pour les membres de l’Église du Coronavirus et le ministère de la Vérité.

Nulle crainte que l’information ne sorte étant donné que 100 % des journalistes médiatiques à l’intelligence supérieure aux gueux que nous sommes et à la déontologie inébranlable ne sont absolument pas informés de ces vérités et prendront grand soin de ne pas enquêter.

Je vous rappelle que l’éthique du journalisme télévisuel repose sur une plastique parfaite et une capacité à uniquement savoir lire une dépêche AFP… Le code de déontologie est à ce titre on ne peut plus précis dans son article 2 :

« Tout questionnement, doute, vérification et encore plus critique ou contradiction d’une dépêche AFP constitue une faute grave entraînant la suppression immédiate de sa carte de presse. »

L’article 1er étant, je le rappelle, « La vérité sort exclusivement de la bouche de l’AFP ».

Donc pour résumer :

  • Il y a le début d’une épidémie de virus respiratoires en France.
  • La grippe commence à faire son apparition, mais elle est encore timide.
  • Il n’y a strictement aucune épidémie de Covid.

Et, excellente nouvelle :
Les Français sont informés du contraire, ils sont des millions à gober le mensonge et se précipiter pour faire leur dose de « rappel » pour éviter tout état de manque.

Je comprends, bien évidemment, l’entrain de certains qui espèrent obtenir un prix à la 10e dose. Mais je tiens à les rassurer, des récompenses sont distribuées par tirage au sort dès la première dose. Parmi les meilleurs prix nous avons des accidents cardiaques, des syndromes de Guillain-Barré et pour les plus chanceux une dégénérescence type vache folle et bien entendu, consécration parmi les consécrations le décès aussi rapide que non reconnu par les autorités…

C’est cette « chance » de décéder beaucoup trop faible encore, qui a poussé les organisateurs du concours à autoriser les doses de rappel, mais, réjouissez-vous, vous qui n’avez pas eu la chance de mourir pour les 3 premières doses, une nouvelle session de rattrapage est organisée pour le premier trimestre 2022… trois tirages au sort sont d’ores et déjà prévus pour le « Omicron show » en tournée dans toute la France ! De plus, suite à une plainte de la « ligue pour l’égalité des chances » des sessions de rattrapage sont prévues en début d’année pour les 5-11 ans et espérons par la suite pour les 0-4 ans !

Gardez espoir, la mort vous sourira si vous avez de la chance… En revanche, pour les candidats avec la poisse qui n’arrivent pas à gagner le gros lot, sachez que la machine pour mourir avec le sourire(([3] https://www.20min.ch/fr/story/il-veut-revolutionner-laide-au-suicide-avec-des-capsules-ultramodernes-657986612944)) devrait être commercialisée en début d’année ! Qui selon son « génial inventeur » (qui a plagié les meilleurs romans de SF), « Des capsules où le patient “ne panique pas et ne ressent pas l’étouffement”… Si ça ce n’est pas le bonheur !

Avouez qu’il faudrait vraiment être con pour ne pas profiter d’une époque aussi formidable !

Si on ne se revoit pas d’ici la Noël, je vous souhaite des fêtes emplies d’angoisses, de PCR, de rappels vaccinaux, d’enfants injectés, de non-vaccinés confinés, de virus à tous les coins de rue (sauf dans les magasins)… et qui sait, le père noël vous amènera peut-être des effets secondaires incurables… on peut rêver, c’est tout l’esprit de Noël qui baigne actuellement autour de nous…

Alain Tortosa.

9 décembre
https://7milliards.fr/tortosa20211209-toujours-pas-d-epidemie-s48.pdf





PCB : « L’expansion de la science, aujourd’hui, est une voie qui mène à l’autodestruction de l’humanité »

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)



Le Patriarcat Catholique Byzantin exerce le ministère apostolique et prophétique. Son devoir est d’exprimer la position de Dieu Lui-même sur les dernières connaissances scientifiques.

Citation des médias : 

« Les chercheurs de Columbia Engineering ont construit le plus petit système de puce au monde, consommant un volume total de moins de 0,1 mm3. Ce système n’est visible qu’au microscope. L’équipe a utilisé des ultrasons pour alimenter et communiquer sans fil avec l’appareil. »

(https://www.engineering.columbia.edu/press-releases/shepard-injectable-chips-monitor-body-processes,
Application of a sub–0.1-mm3 implantable mote for in vivo real-time wireless temperature sensingApplication of a sub–0.1-mm3 implantable mote for in vivo real-time wire…This paper presents a sub–0.1-mm3, fully integrated, injectable ultrasonic wireless device for biomedical temper…)

Commentaire : Les inventeurs justifient cette micropuce injectable par une utilisation en santé. Malheureusement, les soins de santé d’aujourd’hui ne se préoccupent pas de la santé des personnes, comme l’a montré la pseudo-pandémie actuelle, mais poursuivent plutôt la vaccination et le génocide. La puce est le moyen le plus efficace d’asservir mentalement l’humanité. La Bible met en garde de toute urgence contre la réception d’une puce, parlant de la menace du lac de feu !

La question morale et éthique, la question du salut de l’âme, est donc ici une priorité. En conséquence, la science doit être corrigée et protégée contre les abus visant l’auto-génocide de l’humanité. L’utilisation de la recherche scientifique doit être précisément définie par la législation. On ne peut pas être aveuglé par une justification positive d’un avantage apparent sans entendre une voix d’avertissement indiquant un terrible danger d’abus de masse.

L’idéologie qui est actuellement au pouvoir vise à réduire l’humanité de six milliards de personnes. Les phrases concernant les avantages des puces électroniques dans les soins de santé et la vaccination expérimentale, constituent une fraude mondiale. Il est plus que clair que cette puce ne servira pas non plus pour la santé, mais au contraire, pour l’asservissement de l’humanité et son auto-génocide. Dans quelles mains la vaccination expérimentale se trouve-t-elle ? Elle se trouve entre les mains d’élites satanistes qui ne cachent pas le plan d’asservissement de masse des personnes dans des camps électroniques, et leur annihilation ultérieure.

D’un point de vue religieux et spirituel, la puce est un instrument utilisé pour jeter les âmes en masse dans la damnation éternelle, dans l’étang de feu. L’ensemble de ce programme criminel doit être mis en lumière, et l’abus des puces électroniques clairement exposé. Les armes de destruction massive sont utilisées pour la destruction physique, tandis que le puçage est également destiné à la destruction éternelle des âmes. Comment ? La puce prive une personne de la chose la plus importante, à savoir sa volonté et sa liberté. Cela fait d’elle un robot biologique entièrement contrôlable. C’est un crime contre l’humanité, et une rébellion contre Dieu.

Citation des médias : 

« Ce système de puce a été testé sur des souris de laboratoire. Il a été utilisé pour la neurostimulation. Jusqu’à sept de ces systèmes ont été injectés dans le tissu musculaire de la souris à la fois. »

Commentaire : Ce système de puce a été utilisé pour la neurostimulation chez la souris. Cela signifie qu’il devient un outil pour l’asservissement intérieur de l’âme chez l’être humain. Une personne cesse d’avoir la liberté de pensée, d’émotion, de mouvement. Si sept de ces micropuces ont été injectées dans un petit muscle d’une souris en même temps, les personnes peuvent être pucées au cours de toute procédure médicale, par ex. avec une injection chez le dentiste, à leur insu. Il est anormalement facile d’en abuser.

Le Patriarcat alerte donc les avocats, les politiques, les experts militaires, les travailleurs culturels, les militants civiques et toutes les personnes de bonne volonté pour qu’ils soient conscients des graves dangers des puces électroniques ainsi que de leur responsabilité, et afin d’y répondre de manière adéquate. Une protection législative et autre doit être fournie. L’abus doit être sanctionné par les peines les plus sévères tant qu’il en est temps.

Les criminels qui dirigent à présent un gouvernement fantôme tout autour du monde, préparent l’esclavage et le génocide de l’humanité. Cela a été accompli par des confinements et l’application massive de vaccins expérimentaux et mortellement dangereux. Si ces satanistes de l’élite ne sont pas traduits devant un tribunal international dans les plus brefs délais, ils puceront l’humanité sous couvert de soins de santé, et la mèneront ainsi non seulement à la destruction temporelle, mais aussi éternelle !

Le rapport sur la micropuce a déjà été publié dans la presse grand public, donc une sérieuse question se pose de savoir si cette micropuce n’a pas été utilisée secrètement dans le vaccin expérimental contre le Covid-19 beaucoup plus tôt.

Le système de la fausse idéologie contemporaine a paralysé la raison et la conscience, et a nourri la source du mal dans le cœur humain, appelée péché originel. Si les contraintes morales et les lois de Dieu sont écartées, cette source de mal paralyse l’esprit et soumet le côté physique aux instincts les plus bas. L’homme devient esclave du mensonge et du mal. Toutes les guerres, toutes les atrocités, tous les crimes et meurtres les plus odieux, venaient de cette source empoisonnée du mal chez l’être humain. À un certain stade, l’homme devient un médium de Satan, c’est-à-dire une personne possédée par un démon. Et cette possession démoniaque mondiale est aujourd’hui le but du diable et de ses serviteurs qui ont usurpé le pouvoir sur l’humanité.

Personne ne peut vaincre ce système criminel et diabolique par le pouvoir humain. Il faut donc se tourner vers Dieu, confesser avec repentance ses péchés, surtout si  vous n’avez pas cherché la vérité, écouté et cru aux mensonges, et été systématiquement trompé par les grands médias. Vous devez à présent trouver au moins une heure par jour pour votre âme et la communion avec Dieu dans la prière intérieure. Dieu sauvera alors Sa nation ! Par conséquent, faites la promesse à Dieu aujourd’hui de consacrer une heure par jour à la prière !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires


PCB : Critique du transhumanisme

Le transhumanisme (TH) est une idéologie qui prétend que l’homme (au sens biologique du terme) a déjà atteint le sommet de l’évolution, et pourtant il est mauvais. Il dit donc qu’il est nécessaire d’améliorer ses « capacités mentales et physiques, d’éliminer la souffrance, la maladie, le vieillissement et même la mort » grâce aux nano et bio technologies, aux technologies de l’information et aux technologies cognitives (technologies NBIC).

Commentaire : L’idéologie du TH révèle qu’il n’est pas seulement évolutionniste, mais aussi utopique. Dans le domaine de la technologie, le développement a progressé, mais l’homme lui-même reste également pécheur et mortel. Il peut devenir comme un ange ou un démon, selon sa pensée et la façon dont il agit en fonction de celle-ci – faisant le bien ou le mal. L’homme a le libre-arbitre. S’il devient accro à l’alcool, à la perversion sexuelle, aux drogues ou aux sectes destructrices, il n’est plus libre mais est devenu un esclave. S’il reçoit une puce, il est complètement privé de son libre arbitre, il cesse d’être un humain et devient un robot biologique, un transhumain et finalement un soi-disant surhomme – un démon incarné.

THLes transhumanistes appellent cette soi-disant version améliorée de l’homme un post-humain ou un surhomme.

Commentaire : Nous avons déjà rencontré cela dans l’idéologie fasciste de Nietzsche sur le surhomme. Aujourd’hui, nous savons quels fruits cela a porté. L’idéologie du TH peut donc être qualifiée d’idéologie néo-fasciste.

THOn dit que ce post-humain sera plus intelligent que n’importe quel génie humain, et qu’il aura une bien meilleure mémoire.

Commentaire : le TH ignore la véritable nature de l’homme. L’homme n’est pas seulement doté de la raison ou de la mémoire, mais aussi de la conscience. L’intelligence en elle-même, placée de plus sous la domination d’un homme mauvais et sans conscience, est très dangereuse. Nous avons des criminels très intelligents, dont l’intelligence a littéralement fait d’eux des meurtriers de masse. Et, last but not least, des êtres immatériels ayant un degré d’intelligence plus élevé sont appelés des démons.

THLe corps post-humain ne sera pas sensible aux maladies et ne sera pas altéré par le vieillissement. Selon ce point de vue, les post-humains pourront même abandonner leur propre corps et vivre (seulement leur cerveau) dans des réseaux informatiques géants ultra-rapides.

Commentaire : Sur la question de la souffrance, de la maladie et de la mort, ainsi que sur la question de la vie éternelle, le christianisme possède un enseignement clair qui fournit une réponse adéquate et complète. Ici, la raison trouve la vérité, et le désir profond du cœur humain d’atteindre le bonheur véritable et éternel est accompli. Un chrétien connaît le sens et le but de la vie humaine. Par conséquent, il cherche à vaincre le mal en lui-même et sert Dieu en gardant Ses commandements. Il garde ainsi aussi le deuxième commandement de l’amour du prochain. La règle morale de base est : « Tout ce que vous voulez que les autres vous fassent, faites-le aussi ». (cf. Mt 7,12)

THLes transhumanistes croient qu’un post-humain existera, ayant un corps tellement modifié qu’il ne sera plus appelé un être humain, mais plutôt une machine humaine.

Commentaire : Quel idéal corrompu et bas ! Transformer une personne en une espèce d’appareil ! Il est difficile d’identifier exactement si un tel post-humain sera un robot biologique, un démon incarné, ou les deux.

TH : En plus de l’intelligence artificielle (qui introduit une puce à régulation externe), il est également prévu d’apporter des modifications au corps humain en y introduisant des nanotechnologies ou des biotechnologies étrangères (produits génétiquement modifiés ou transgènes), ou des produits psychopharmacologiques (médicaments), qui s’appuieraient sur les technologies informatiques.

Commentaire : Ces changements planifiés et irréversibles, qui doivent être obtenus en interférant avec le corps humain, sont des crimes de masse contre l’humanité ! Aujourd’hui, le moyen d’y parvenir passe principalement par la vaccination à ARN messager.

TH : Atteindre l’immortalité implique deux méthodes. La première fait appel à la biotechnologie – les cellules souches, le clonage, la cryogénisation (congélation des corps pour une renaissance future). L’autre méthode d’immortalité utilise l’information et la nanotechnologie dans le but de ce qu’on appelle le « transfert d’esprit », dans lequel le cerveau humain est complètement copié sur un ordinateur afin de créer des doublons humains.

Commentaire : Les méthodes du  TH pour atteindre la soi-disant immortalité sont vraiment ridicules. Seul Dieu, le Créateur de l’homme, peut ressusciter l’homme et lui donner la vie éternelle dans un bonheur parfait. Il est le Créateur du monde, de tout ce qui est visible et invisible (Credo). La cryogénisation et toutes les autres technologies permettant d’atteindre l’immortalité, sont une grande tromperie.

TH : Le processus même de transformation d’humain à post-humain sera développé selon le schéma humain/transhumain/post-humain. Un transhumain est défini comme un être humain de passage, une créature qui évolue vers le stade de post-humain : un descendant de l’homme modifié à un point tel, qu’il n’est plus humain.

Commentaire : Ces pensées malsaines, ces tentatives et ces efforts visant à « modifier » l’être humain à un point tel qu’il ne soit plus un humain, constituent des crimes contre l’humanité qui poussent au génocide mondial.

TH : L’agenda post-humain :

1) Vivre éternellement,

2) Vivre aux dépens des autres,

3) Ne pas avoir d’enfants.

Commentaire : Vivre aux dépens des autres est un égoïsme amoral. Ne pas avoir d’enfants signifie une fin douloureuse au bonheur familial et à la vie humaine sur notre planète. Un post-humain sans conscience, devenu médium du mal, vivra éternellement en enfer !

TH : Transhumanisme et vaccination : Le but de la vaccination est un changement massif des caractéristiques génétiques de la planète entière, ainsi que le puçage (digitalisation de l’homme).

Commentaire : Nous vivons actuellement cette pression de masse par la vaccination forcée à ARN messager. La résistance signifie un héroïsme proche du martyre et de la mort.

TH : Aujourd’hui, le TH est délibérément idéalisé à travers le cinéma.

Commentaire : Des films sont promus, présentant de manière positive et populaire à la fois le TH et les phénomènes destructeurs connexes tels que le genre et l’idéologie réductionniste.

Il y a une pression systématique et sournoise visant à abolir l’institution de la famille, l’institution de l’éducation et de la médecine, et à abolir l’État. En essence, le transhumanisme poursuit un contrôle mondial de tous les peuples.

THIntelligence artificielle : L’objectif primordial du TH consiste à créer une intelligence artificielle qui devrait surpasser le cerveau humain.

Commentaire : Cette intelligence artificielle, placée entre les mains de personnes sans conscience, entre les mains des médiums du diable, conduira l’individu et l’humanité à un auto-génocide à la fois temporel et éternel.

THTranshumanisme et société numérique : effort qui vise à changer une personne en un être numérique, et vice-versa, à changer un robot en une personne.

Commentaire : Ce sont vraiment des inspirations démoniaques ! Cette utopie détourne complètement l’attention de la réalité et du sens de la vie humaine. Le but de la vie humaine est la vie éternelle. Le moyen pour y parvenir est la foi dans le Créateur et dans le Sauveur, et une vie menée selon une conscience claire, c’est-à-dire dans le respect des commandements de Dieu, dont le plus grand est l’amour de Dieu et du prochain.

Dernières pensées :

Il existe un plan visant à créer une éducation numérique, une médecine numérique, une économie numérique. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout ce qui existe sera aboli, et ce sera le début de l’ère du transhumanisme. Avec l’introduction du terme « numérique », tout semble exister virtuellement mais, au fond, tout est aboli.

Le vrai christianisme, la moralité et les institutions sociales traditionnelles, telles que l’institution de la famille, l’école, l’université, la médecine et, finalement, l’État lui-même, sont considérés comme étant les principaux obstacles à l’introduction de l’idéologie du TH.

Un autre obstacle à l’introduction du transhumanisme sont les gens eux-mêmes, il faut donc les réduire en nombre. Par conséquent, des théories à propos de la surpopulation de la planète se forment, et toutes les mesures visant à réduire (tuer) la population sont justifiées.

Le transhumanisme puise sa spiritualité démoniaque dans l’idéologie du New Age.

Tant les idéologues du transhumanisme que les enseignants de la nouvelle ère défendent l’idée de l’auto-déification.

Julian Huxley met l’accent sur le soi-disant développement spirituel – en fait, il s’agit d’une  méditation négative à travers laquelle le contact est établi avec des démons. Il dit : « L’homme ou la femme ordinaire peut maîtriser la technique de la danse ou du tennis, alors pourquoi pas la (pseudo) extase mystique ou la (pseudo) paix spirituelle ? Huxley était un membre permanent de l’ordre maçonnique.

Terence McKenna (1946-2000) conseillait à ses disciples d’utiliser régulièrement diverses drogues psychédéliques pour traverser sans préjugés la période d’un changement induit dans la conscience humaine pendant le saut évolutif et psychologique. Il décéda à l’âge de 54 ans, bien qu’il ait cherché à atteindre l’immortalité terrestre.

Tentatives visant à créer des surhumains dans l’Allemagne fasciste :

Des milliers d’expériences furent menées, dont les victimes n’étaient pas seulement des hommes – des prisonniers, mais aussi des femmes et même des enfants. Au cours d’une expérience, Mengele essaya de changer la couleur des yeux de 36 enfants. Il leur injecta du colorant dans les yeux, ce qui entraîna une cécité et une douleur insupportable. Après cette expérience, Mengele envoya ces enfants à la chambre à gaz. Le procès de Nuremberg a condamné toutes ces tentatives.

Commentaire : Aujourd’hui, des crimes de masse contre l’humanité sont officiellement programmés ! La vaccination forcée par ARN messager y joue un rôle clé. Les chambres à gaz seront remplacées par des crématoires officiels et par des charniers. Le transhumanisme (TH) est une idéologie sataniste, et qui conduit à l’auto-génocide de l’humanité. Le TH doit être radicalement condamné par le public du monde entier, avant de pouvoir porter ses fruits désastreux !

Élaboré par

+ Méthode,

+ Timothée,