Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés

Par Gabriel Baumgartner, docteur en physique EPFL,

auteur de :

Introduction

Le présent document constitue une synthèse des découvertes de l’année 2021 concernant l’inoculation contre la Covid-19. Il est rédigé dans l’idée de relever les aspects scientifiques et diffuser les questions ouvertes.

Il faut tout d’abord mesurer à quel point certains effets secondaires rapportés sont littéralement extraordinaires.

Ainsi, l’attraction entre certaines parties du corps et des aimants ou des parties métalliques suite à l’inoculation interpelle. Ce phénomène est si déconcertant qu’il est bien difficile de se convaincre de son existence. En tant que scientifique, j’ai cherché à comprendre ce phénomène qui dépasse l’entendement.

Au fil des découvertes, il apparaît que ce phénomène de magnétisme humain n’est qu’une pièce dans un gigantesque puzzle. Ainsi, au cœur de l’été est tombée une nouvelle stupéfiante concernant la composition de ces inoculations : la première analyse au microscope d’un vaccin Pfizer a détecté des particules identifiées comme un composé du carbone, plus précisément des nanoparticules de graphène. Cette nouvelle est particulièrement alarmante car aux nanoparticules est associée une nanotoxicité et celle du graphène a été étudiée depuis des années. La détection de graphène a été confirmée. Le 2 novembre 202, le docteur en chimie Pablo Campra de l’Université d’Almeria a publié son rapport intitulé :

Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 par spectroscopie microRaman

Voici en 3 minutes, la présentation de ce rapport final par le Dr. Campra :



La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?

Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.

Remerciements :

Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :

Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitons, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.

Effets biomagnétiques

Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.

Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à s’effondrer.

Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).

D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du bras sur tout le tronc.

(image tirées des émissions de laquintacolumna)

L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’ on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations :

Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.

Tous les sites listés nient l’existence du biomagnétisme. Voici un exemple d’argumentation :

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-vaccins-contre-le-coronavirus-ne-rendent-pas-magnetiques-les-bras-des-vaccines?id=10777776

Des vidéos et des photos de personnes parvenant à se coller des objets métalliques sur la peau après avoir été vaccinées contre le Covid-19 circulent abondamment sur les réseaux sociaux. Ce phénomène fait dire à certains militants « antivax » que cela prouverait que les vaccins contiennent des puces ou rendent magnétiques le bras. Il n’y a pourtant pas de puce dans les vaccins et ils ne peuvent pas non plus rendre les bras magnétiques. Les explications de ce phénomène sont à chercher ailleurs, notamment dans un état de la peau qui permet de rendre le bras « collant ». Ce changement de l’état de la peau pourrait, par ailleurs, être induit pas la réaction inflammatoire créée par l’injection du vaccin mais cette théorie n’est pas démontrée et demande des analyses scientifiques plus poussées.

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Divers trucages possibles

Si les vaccins ne contiennent pas de puces électroniques et ne contiennent aucun élément permettant de rendre le bras magnétique, des trucages sont bien efficaces pour créer le phénomène.

De l’adhésif transparent, des résidus de colle des pansements, ou même du miel permettent de coller des objets à la peau sans que cela se voie, comme l’a démontré l’équipe du site de fact checking « Fact and Furious ». Une autre hypothèse est celle d’une éventuelle prothèse d’épaule. Cette dernière peut contenir du cobalt et est donc susceptible d’attirer des aimants.

Il est donc impossible de se fier aux moteurs de recherche Internet. Par contre, à partir du moment où des médecins et un chercheur réputé comme Stefano Montanari, spécialiste de l’analyse des vaccins en Italie, a rapporté le biomagnétisme, le phénomène pouvait être considéré comme un fait acquis.

Pour compléter les témoignages, un lien britannique à ce sujet :

https ://www.notonthebeeb.co.uk/magnetism

À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.

Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.

Détection d’un composé non déclaré

En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau : le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.

Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.

Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).

Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.

Atomes de carbone liés formant un plan de graphène

Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs couches (jusqu’à 10 couches).

À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.

Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.

Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !

Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.

En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.

C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :

  • Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
  • La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
  • Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.

Résultat de l’analyse au microscope optique

La taille (en surface) de ces nanoparticules est suffisamment grande pour pouvoir les observer au microscope optique. À droite, nous voyons une particules de graphène de type monocouche de référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.

Voici d’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin analysé :

À part le microscope optique, d’autres méthodes ont été utilisées dont le microscope électronique et une méthode de spectroscopie. (voir l’annexe 1)

Pour affiner ces résultats, le Dr. Campra a entrepris une étude avec une technique d’analyse qui permet d’identifier un composé avec davantage de fiabilité. Cette technique combine un microscope avec un spectromètre de type Raman et elle a fourni des résultats qui ont confirmé la présence de graphène.

Le fait de combiner le microscope et le spectromètre dans le même appareil permet un grand niveau de confiance dans le résultat. On peut ainsi assurer que la particule pointée grâce à l’optique est analysée par le faisceau de spectromètre.

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Rapport final

https://www.dropbox.com/s/tnnq4ftw818chmx/FINAL_VERSI%C3%93N_CAMPRA _REPORT_DETECTION_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.pdf?dl=0

OU

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHEN E_IN_COVID19_VACCINES

Une solution de graphène acheté dans le commerce a constitué la référence. Elle contient divers types de graphène. Ci-dessous, on voit une particule monocouche quasi transparente et une particule noire multicouche :

Voici un résultat de détection au microscope optique dans un vaccin Pfizer :

Après avoir déposé une goutte de vaccin sur le support du microscope, on laisse cette goutte s’évaporer un certain temps et on voit à gauche une forme blanche qui correspond à ce qu’il en reste après évaporation. On voit une particule en noir qui est alors analysée avec le spectromètre Raman. Il s’agit d’envoyer un faisceau laser sur la particule et d’analyser le rayonnement qui sera émis en retour. La position des pics sur le spectre a permis d’identifier le graphène. Il s’agit ici d’une particule multicouche, d’où sa couleur noire.

Plusieurs vaccins ont été étudiés et du graphène a été détecté dans les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Janssen.

L’importance de ce rapport

Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en envoyant les résultats du rapport préliminaire.

Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.

En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement éclairé.

Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.

Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.

L’état de la recherche confirme la présence d’oxyde de graphène

Le graphène a fait l’objet d’intenses recherches qui ont été largement financées par nos institutions au travers du projet Graphene Flagship . Les brevets déposés concernant le vaccin contre le coronavirus sont sans équivoque, comme le montre ce brevet chinois.

Abstract

The invention belongs to the field of nano materials and biological medicines, and relates to a vaccine, in particular to development of a 2019-nCoV coronavirus nuclear recombinant nano vaccine. The invention also comprises a preparation method of the vaccine and application of the vaccine in animal experiments. The novel coronavirus vaccine contains graphene oxide, carnosine, CpG and novel coronavirus RBD —–

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

……

Le brevet KR02010028065, déposé en Espagne (sollicité par KIM H. S. de Corée) pour une solution saline contenant du graphène, précise que le vaccin contre le coronavirus en contient également :

Finalement, l’intuition initiale de la quinta columna suivant laquelle le graphène était présent dans plusieurs vaccins s’est bel et bien confirmée, il a été détecté dans un vaccin contre la grippe de l’année 2019.

Enfin, voici des images du vaccin PROQUAD, destinée aux enfants entre 9 mois et 3 ans contre diverses pathologie dont la rubéole et la varicelle, photos du bas, comparé à une référence d’oxyde de graphène, photos du haut :

Toxicité de l’oxyde de graphène

La toxicité des nanoparticules de graphène est un sujet bien connu. Voici un tour d’horizon d’articles sur la question (extraits d’articles).

Le premier article montre les divers modes d’interaction entre la nanoparticules de graphène et une cellule. Ce qui est mis en évidence est que la dimension nano joue un rôle particulier car un telle particule peut s’introduire dans une cellule et s’intercaler dans tous les tissus.

https://particleandfibretoxicology.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12989-016-0168-y

Résumé

Cette revue rassemble des études sur les effets toxiques des GFN dans plusieurs organes et modèles cellulaires. Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN, notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégats et l’effet couronne, etc.

Interactions possibles entre les matériaux liés au graphène avec les cellules (les flocons de graphène ne sont pas à l’échelle).

  1. Adhérence sur la surface externe de la membrane cellulaire.
  2. Incorporation entre les monocouches de la bicouche lipidique de la membrane plasmique.
  3. Translocation de membrane.
  4. Internalisation cytoplasmique.
  5. Endocytose médiée par la clathrine.
  6. Internalisation endosomale ou phagosomique.
  7. Localisation lysosomale ou autre compartiment périnucléaire.
  8. Localisation exosomale.

Effets sur le sang

Les 2 prochains articles montrent que le graphène va déclencher des pathologies semblables à la Covid 19.

https://www.researchgate.net/publication/328338305_Graphene_Oxide_Touches_Bloo d_In_Vivo_Interactions_of_Bio-Coronated_2D_Materials

L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de cette décennie. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats prometteurs in vitro vers les paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves tels que la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires.

…….

Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus de la littérature corona d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

In the journey of GO after injection in our body, the first process that occurs is undoubtedly the binding of plasma proteins on its surface (see Fig. 3-1). Intravenously injected nanoparticles encounter multiple lines of defense intended to neutralize the invaders. The first and most critical defense line is the blood protein adsorption and formation of the biomolecular corona (BC).
[Traduction : Dans le parcours de l’Oxyde de Graphène (OG) après injection dans notre corps, le premier processus qui se produit est sans aucun doute la liaison des protéines plasmatiques à sa surface (voir Fig. 3-1). Les nanoparticules injectées par voie intraveineuse rencontrent de multiples lignes de défense destinées à neutraliser les envahisseurs. La première ligne de défense, la plus critique, est l’adsorption des protéines sanguines et la formation de la couronne biomoléculaire (CB).]

Of the thousands of proteins present in our body, 10 to 50 may take part in a nanomaterial BC. The subset of blood proteins that have been identified in at least one nanomaterial BC has been named ‘‘adsorbome’’.
[Traduction : Sur les milliers de protéines présentes dans notre corps, 10 à 50 peuvent prendre part à une CB de nanomatériaux. Le sous-ensemble des protéines sanguines qui ont été identifiées dans au moins un nanomatériau CB a été nommé  »adsorbome ».]

Fig. 3 Main results of GO interaction with blood components are summarized in this illustration of the injection of GO flakes in the bloodstream. The formation of the BC (1) prevents the hemolysis of red blood cells (2a). Thrombosis (2b) and interaction with complement proteins (2c) are ascribed to GO. In (2d) some of the possible fates after macrophage encounters are shown: extracellular blocking or intracellular uptake. The release of cytokines occurs when macrophages uptake GO. Aggregates of GO in macrophage cytoplasm induce the production of pro-inflammatory cytokines. Dendritic cells fail to present antigens to lymphocytes when they uptake GO (2e). Lymphocyte activity is not inhibited, and BC protects lymphocytes from apoptosis (2f).
[Traduction : Les principaux résultats de l’interaction de l’OG avec les composants sanguins sont résumés dans cette illustration de l’injection de paillettes d’OG dans la circulation sanguine. La formation de CB (1) empêche l’hémolyse des globules rouges (2a). La thrombose (2b) et l’interaction avec les protéines du complément (2c) sont attribuées à l’OG. Dans (2d), certains des destins possibles après la rencontre avec les macrophages sont montrés : blocage extracellulaire ou absorption intracellulaire. La libération de cytokines se produit lorsque les macrophages absorbent de l’OG. Les agrégats d’OG dans le cytoplasme des macrophages induisent la production de cytokines pro-inflammatoires. Les cellules dendritiques ne parviennent pas à présenter des antigènes aux lymphocytes lorsqu’elles absorbent de l’OG (2e). L’activité des lymphocytes n’est pas inhibée, et la CB protège les lymphocytes de l’apoptose (2f).]


https://iopscience.iop.org/article/10.1088/2515-7639/ab5844

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par des espèces réactives de l’oxygène produites dans les cellules, qui à leur tour interagissent avec diverses biomolécules, y compris l’ADN. Dans cette revue, nous avons cherché à discuter de différentes études de génotoxicité réalisées avec des Graphene Based Materials en mettant l’accent sur les différents types et conditions cellulaires. En comparant et en discutant de tels rapports, les scientifiques seront en mesure de concevoir des GBM non toxiques pour de futures études précliniques et/ou cliniques.

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par les espèces réactives de l’oxygène (ROS) produites dans les cellules. L’interaction des cellules avec GO, qui est la forme oxydée du graphène, provoque une production excessive de ROS , avec l’augmentation de la production de ROS, entraînant un stress oxydatif . ROS agit comme un messager secondaire dans de nombreuses cascades de signalisation cellulaire. Les ROS affectent également de manière significative les processus cellulaires et le métabolisme, tels que la fragmentation de l’ADN, les fractures des lipides membranaires et la dénaturation des protéines. Les dommages aux protéines et à l’ADN causés par les ROS conduisent à la mort cellulaire par des voies apoptotiques et nécrotiques . Par exemple, GO provoquerait l’apoptose et l’inflammation du tissu pulmonaire après inhalation chez les souris C57BL/6,

Lorsque l’oxyde de graphène (GO) est associé au polyéthylène glycol (PEG), on obtient un composé dont nous allons reparler plus loin du fait qu’il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et devenir ainsi particulièrement nocif.

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.molpharmaceut.6b00696

Le revêtement en polyéthylène glycol (PEG) a été fréquemment utilisé pour améliorer le comportement pharmacocinétique des nanoparticules.
Les études qui contribuent à mieux démêler les effets de la PEGylation sur la toxicité de la formulation de nanoparticules sont donc très pertinentes. Dans la présente étude, l’oxyde de graphène réduit (rGO) a été fonctionnalisé avec du PEG, et ses effets sur les composants clés de la barrière hémato-encéphalique, tels que les astrocytes et les cellules endothéliales, ont été analysés en culture et dans un modèle de rat in vivo. Les études in vitro ont démontré une toxicité dépendante de la concentration. La concentration la plus élevée (100 μg/mL) de rGO non pégylée a eu une influence toxique plus faible sur la viabilité cellulaire dans les cultures primaires d’astrocytes et de cellules endothéliales de cerveau de rat, tandis que la rGO pégylée a induit des effets délétères et la mort cellulaire.


https://www.nature.com/articles/srep03469

Maintenant, il est possible de fabriquer du GO de haute qualité en grandes

quantités 14, 15 et sa production industrielle augmente de façon exponentielle. Avec ses applications potentielles dans le domaine biomédical, la biosécurité de GO est d’une importance critique. De nombreuses investigations ont porté attention à sa biocompatibilité 16, 17, 18, 19. À une concentration d’environ 50 g/mL ou plus, GO commence à montrer la toxicité contre les érythrocytes, les fibroblastes et les cellules PC12. Il peut induire l’apoptose cellulaire, l’hémolyse et le stress oxydatif 16, 18, 19. La modification chimique de surface, telle que la PEGylation, est susceptible d’améliorer la biocompatibilité de GO 20, 21. Cependant, les liaisons chimiques liant le GO au polymère modifié peuvent être rompues in vivo , ainsi le GO modifié en surface peut également induire une toxicité in vivo .

GO a interféré avec la réplication de l’ADN et induit une mutagenèse au niveau moléculaire

Il a été rapporté que les nanofeuillets GO peuvent s’intercaler efficacement dans les molécules d’ADN24. Nous émettons donc l’hypothèse que GO peut interagir avec l’ADN génomique et interférer avec la réplication des gènes. Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné l’interaction entre GO et ADN génomique.


https://link.springer.com/article/10.1007/s00005-015-0369-3

Résumé

Le graphène et l’oxyde de graphène (GO), en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur biocompatibilité, peuvent être utilisés comme matériau biomédical innovant dans la biodétection, la distribution de médicaments dans le corps, le traitement des néoplasmes, la médecine régénérative et la chirurgie implantaire. Les recherches sur l’utilisation biomédicale du graphène et du GO qui ont été menées jusqu’à présent sont très prometteuses et montrent que les nanomatériaux de carbone présentent une haute biocompatibilité.

Cependant, l’intolérance du système immunitaire aux nanomatériaux de graphène, si faible soit-elle, peut en conséquence rendre impossible leur utilisation en médecine. Cet article montre le mécanisme spécifique de l’influence moléculaire du graphène et du GO sur les macrophages et les lymphocytes dans des conditions in vitro et in vivo et leur application pratique en médecine.

On ne peut qu’être interpellé par les contradictions de cet article de 2015. On commence par évoquer des recherches prometteuses de nanomatériaux qui sont biocompatibles. Ensuite, on constate l’intolérance du système immunitaire au graphène. Finalement, on conclut qu’il pourrait être impossible de l’utiliser en médecine.

Il est légitime de s’interroger sur les motivations de ces chercheurs.

Si l’on prend un matériau toxique, par quel tour de passe-passe peut-il être qualifié de prometteur ? Comment mettre en avant sa biocompatibilité ?

Comment espérer un progrès scientifique en partant d’un matériau toxique ? Force est de constater qu’en dépit de son caractère toxique, le graphène a trouvé en 2021 beaucoup d’applications, notamment dans les vaccins.

Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.


Cet article traite de la manière d’éliminer le graphène.

D’autres articles portant sur les organes de reproduction

Il ressort de ce tour d’horizon que la toxicité du graphène n’est pas à démontrer.

Malgré cela, on poursuit encore et toujours les recherches pour mieux cerner la toxicité du graphène. Ainsi, en 2018, un article relance encore le débat autour de la toxicité :

https://link.springer.com/article/10.1557/jmr.2017.388

« En tant que tel, une compréhension globale de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène est d’une importance cruciale. Cette revue présente une élucidation à jour de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène à travers leurs interactions avec les protéines sanguines et les cellules, et offre quelques perspectives sur les défis actuels, les opportunités et le développement futur de ce domaine important.¨


Il faut savoir que depuis l’arrivée des nanoparticules, la compatibilité avec la biologie humaine et animale fait l’objet de recherches. Il n’est pas vraiment pertinent de parler de ¨défi actuel¨ à telle ou telle date car le problème de la toxicité est intrinsèque aux nanomatériaux du fait de leur taille.

À l’heure où le graphène est introduit massivement et vient interagir avec le monde animal et végétal, il apparaît urgent de prendre conscience des limites à respecter en matière de compatibilité entre les nanoparticules et les organismes vivants

L’article suivant montre bien que la recherche ne se donne aucune limite et qu’une révolution basée sur l’introduction du graphène est en marche, quelles qu’en soient les conséquences.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnsys.2018.00012/full

Devant. Syst. Neurosci., 11 avril 2018 | https://doi.org/10.3389/fnsys.2018.00012

« La communauté scientifique a été témoin d’une augmentation exponentielle des applications du graphène et des matériaux à base de graphène dans un large éventail de domaines, de l’ingénierie à l’électronique en passant par les biotechnologies et les applications biomédicales. Pour ce qui concerne les neurosciences, l’intérêt suscité par ces matériaux est double. D’un côté, des nanofeuillets constitués de graphène ou de dérivés de graphène (oxyde de graphène, ou sa forme réduite) peuvent être utilisés comme supports pour l’administration de médicaments. Ici, un aspect important est d’évaluer leur toxicité, qui dépend fortement de la composition des flocons, de leur fonctionnalisation chimique et de leurs dimensions. D’un autre côté, le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire.¨

¨Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis du domaine, ainsi que quelles sont, à notre avis, les directions les plus excitantes à prendre dans un avenir immédiat. Il s’agit notamment de la nécessité de concevoir des nanoparticules multifonctionnelles (NP) capables de traverser la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neurales et d’assurer la livraison à la demande de médicaments spécifiques.¨

Applications du graphène en neurosciences

¨Les applications biomédicales du graphène représentent un domaine en expansion continue. Les traitements traditionnels des troubles du système nerveux central (SNC) présentent un certain nombre de défis. Par conséquent, le développement de nouveaux outils qui surpassent les technologies de pointe pour l’imagerie, l’administration de médicaments, la régénération neuronale et l’enregistrement et la détection électriques est l’un des principaux objectifs des technologies modernes. médecine et neurosciences¨

Confirmation et découverte d’autres nanoparticules

À la suite des travaux du Dr. Campra, plusieurs chercheurs ont procédé à l’analyse des différents vaccins et ont confirmé la présence de graphène.

De plus, d’autres nanoparticules ont été détectées, notamment des métaux lourds en grande variété. Avant de lister ces travaux, il faut les placer dans un contexte historique

En soi, la présence de nanoparticules de métaux lourds n’est pas une découverte au même titre que le graphène. La détection de métaux lourds est une inquiétante réalité depuis bien des années, comme l’avait déjà montré une étude de Stefano Montanari et Antonella Gatti en 2017.

Grâce à une nouvelle technique d’analyse, leur travail avait déjà révélé que les 44 vaccins testés à l’époque contenaient des particules non déclarées par les fabricants.

Voici l’essentiel de ce travail.

https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html

Reçu : 30 novembre 2016 | Publié: 23 janvier 2017

Résumé

Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin d’apporter de nouvelles informations, une méthode d’investigation en microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un Microscope Electronique à Balayage Environnemental équipé d’une microsonde à rayons X.

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Matériaux et méthodes

44 types de vaccins provenant de 2 pays (Italie et France) ont été analysés. …

Résultats

Les investigations ont permis de vérifier la composition physico-chimique des vaccins considérés selon la composante inorganique déclarée par le Producteur. En détail, nous avons vérifié la présence de sels salins et d’aluminium, mais une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas, dont la présence n’était pas déclarées dans les notices livrées dans l’emballage du produit.

Images d’une particule individuelle, d’amas de micro- et nanoparticules (<100 nm) avec son spectres EDS.

On détecte : Fer, Silicium, Calcium Titane, Chrome,

Discussion

La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcerté. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement à l’approche du moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration.

Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme tels.

Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité qui, de toute façon, est toujours là, celle typique des corps étrangers. Pour cette raison, ils induisent une réaction inflammatoire.

Résultats d’analyse de vaccins Covid 19

Voici un exemple de détection de nanoparticules de fer et de chrome dans le région à gauche en rouge.

PROF. WERNER BERGHOLZ (CORONA COMMITTEE 71) ‘VAXXED BATTLE BODIES / CONTAMINATED SERUM’


Voilà une étude très complète de l’équipe du Dr. Robert Young :

D’autres études indépendantes qui ont analysé la composition ont découvert des nanoparticules est sont répertoriées dans l’Annexe 2.

À part ces découvertes issues de l’analyse expérimentale, Karen Kingston, présentée comme une ancienne employée de Pfizer a expliqué la composition du vaccin et comment remonter au graphène en partant des composés listés dans la composition.

Elle explique que le graphène est lié à la molécule de PEG qui apparaît dans la composition. On a déjà vu que le procédé de PEGylation du graphène était bien étudié (voir sous toxicité).

https://rumble.com/vkgdq7-deadly-shots-former-pfizer-employee-confirms-poison-in-covid-vaccine.html



Karen Kingston analyse également le vaccin Moderna et évoque un composé, le SM-102, qui est vendu pour la recherche uniquement, en excluant une utilisation biologique.

https://exoportail.com/urgent-le-connecticut-publie-la-liste-des-ingredients-des-doses-de-moderna-qui-contiennent-un-produit-chimique-nocif-pour-les-humains-et-les-animaux/

Deux faits dans un gigantesque puzzle

À ce stade, nous avons 2 faits scientifiques confirmés qui constituent les pièces d’un puzzle:

  • Le phénomène de biomagnétisme. Du jamais vu chez l’être humain.
  • La détection de nanoparticules dans tous les vaccins , tant de graphène que divers métaux.

Avant de s’interroger sur des conséquences dans l’organisme de ces nanoparticules, ajoutons dans ce puzzle le fait que ces informations ne sont absolument pas relayées dans les médias. Pourtant, dans un monde humaniste ces deux faits scientifiques sont de nature à provoquer une déflagration médiatique.

Au contraire, nous avons droit à une désinformation systématique par tous les médias.. Le grand public qui utilise largement Internet pour s’informer va trouver un message unanime : pas de graphène dans les vaccins.

Résultats de recherche avec : graphène vaccin covid

En Espagne, le site maldita.es a totalement discrédité le rapport préliminaire du Dr. Campra.

https://maldita.es/malditaciencia/20210916/informe-universidad-almeria-vacuna-covid-19-pfizer-grafeno-oxido/

Ce site a montré ce qu’il faut prendre pour un communiqué de l’Université d’Almeria, communiqué non signé et véhiculé pat Tweeter . Le texte évoque ¨des fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux¨ . Notez que ce faux communiqué de l’Université est lui-même diffusé sur le réseau Tweeter.

La guerre d’information est donc profonde et palpable à travers la corruption qui sévit tant dans les sciences qu’au niveau politique.

Une gestion mafieuse du secteur de la santé a été constatée au niveau de l’UE depuis des années, voici l’extrait d’un rapport, établi en 2014, sur la question :

Il était déjà alarmant que la corruption dans le secteur de la santé soit aussi généralisée et que ce rapport anticorruption de 2014 constate avec résignation son impuissance.

La tournure des événements, depuis le début de la crise coronavirus, a bien démontré à quel point la science est également corrompue. Ces déclarations de 3 journaux de référence du secteur de la santé donnent bien l’état des lieux.

Comme l’affirme cet éditorial du British Medical Journal : lorsque la bonne science est supprimée les gens meurent.

3 exposés pour mieux comprendre cette effroyable anarchie intellectuelle qui règne actuellement à tous les niveaux:

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, esposé à l’IHU Marseille La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

Présentation sur la corruption systémique

https://reinfocovid.fr/articles_video/jean-dominique-michel-la-corruption-systemique-partie-3-tribune-reinfo/

« Tout ce que je vais vous dire est su connu et documenté mais d’un autre côté cela à l’air scandaleux d’en parler parce que c’est un tabou collectif. Il y a une logique criminelle qui est devenue la norme en matière industrielle c’est vrai aussi dans la finance.

En ce qui concerne les politiques de santé c’est la même chose…¨

[Ndlr : vidéo censurée.]

Science sans conscience 5 avec Denis Rancourt

Crise du Covid-19 : le triomphe de la « science » sans conscience – Jérémie Mercier (jeremie-mercier.com)



Discussion de l’état de la recherche et de l’article qui annonce l’efficacité des essais sur les vaccins.

Études sur le sang

Le sang des personnes vaccinées a montré des modifications impressionnantes.

Plusieurs documents montrent une modification des globules rouges qui s’empilent pour former des rouleaux.

Dr. Zandre Botha was shocked after studying the blood of « vaccinated » patients that were coming to her with serious illness after being injected with the shots being called « Covid vaccines ».

https://gloria.tv/post/CYb3Qraejiiy2SRLNkusqEjaC

comparaison du sang chez la même patiente avant et après vaccination :

Formation de rouleaux autour d’une nanoparticule

https://www.ethiccitizen.com/2021/08/24/les-effets-de-la-vaccination-sur-le-sang/

[Ndlr : site non actif au moment de la publication du présent article.]

Jane Ruby présente des résultats d’analyse de sang



laquintacolumna



Un composé du vaccin a donc provoqué une force attractive sur les globules rouges.

À défaut d’avoir les explications des fabricants, qui affirment avoir testé ces thérapies, les chercheurs indépendants tentent des explications basées sur la présence de graphène.

On suppose que le graphène acquiert des propriétés magnétiques à l’intérieur de l’organisme au contact de l’hydrogène.

Dr. Andrew Goldsworthy avance que la molécule de graphène est le siège de grands courants susceptibles d’aimanter ce qui l’entoure . Cela pourrait aimanter l’atome de fer de l’hémoglobine. Le globules rouges se comporteraient ainsi comme des aimants et s’empileraient en rouleaux.

https://www.notonthebeeb.co.uk/post/imperial-college-london-dr-andrew-goldsworthy

IMPERIAL COLLEGE LONDRES – Dr Andrew Goldsworthy sur le magnétisme induit par un vaccin

POINTS FORTS :

« … Où qu’il (le magnétisme) aille, il pourrait faire des ravages dans la perméabilité cellulaire et avoir toutes sortes d’effets biologiques, y compris l’insuffisance cardiaque, la maladie d’Alzheimer prématurée et, lorsque les mitochondries sont affectées, la fatigue chronique…. « 

On peut aussi faire l’hypothèse que l’oxyde de graphène va capturer des électrons à la surface des globules rouges et modifier leur état de charge.

Initialement, les globules rouges possèdent une charge négative à leur surface ce qui attire des ions positifs. Cet état naturel provoque la répulsion entre les globules rouges et peut se mesurer grâce au potentiel zeta (exprimé en Volts). Si l’oxydes de graphène arrache des électrons de la surface des globules rouges, cela va altérer cette configuration électronique et cela pourrait ainsi diminuer la force de répulsion entre les globules.

Pour les scientifiques , ces hypothèses forment un puzzle et le graphène est au cœur de toutes les questions ouvertes.

La formation de tels rouleaux de globules rouges est un phénomène qui a déjà été observé par ceux qui étudient les effets des ondes électromagnétiques sur l’homme. Il a déjà été rapporté que les ondes électromagnétiques de notre environnement provoquent également cette formation de rouleaux.

https://magdahavas.com/electrosmog-exposure/mobile-phones-electrosmog-exposure/live-blood-cells-and-electrosmog/

Pour compléter cette section, un test rapporté par des médecins est le TEST D DIMERE Extrait de l’article de Jean-Dominique Michel

https://anthropo-logiques.org/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/

D dimère Témoignage de médecins qui ont constaté le problème

Une autre alerte tout aussi grave retentit de partout : les injections géniques conduisent un nombre important d’inoculés de tous âges et profils de risque à connaître une élévation vertigineuse du taux de D-dimères (produits de dégradation de la fibrine), marqueur sanguin de thromboses (et donc de troubles de la coagulation, phlébites, embolies ou caillots sanguins). Avec une caractéristique troublante : les mesures effectuées sur certains « vaccinés » (de 20% à 62% d’entre eux selon les sources) atteignent des seuils astronomiques en l’absence de tout symptôme habituel identifiable. Alors que le taux normal de D-dimères ne doit pas dépasser 500, et qu’un taux de 2’500 est habituellement considéré comme grave et requérant une hospitalisation immédiate, nombre de personnes testées atteignent des valeurs allant jusqu’à 7’500, provoquant la stupeur des médecins et des laboratoires.

Ce qui laisse redouter des effets graves et même une mortalité importante à un horizon de quelques mois : l’explosion de micro-caillots dans le sang ne peut qu’endommager de manière irréversible les capillaires sanguins dans lesquels ils s’accumulent in fine, en particulier dans le cerveau. D’où l’appel pressant de ces médecins, invitant tous les injectés géniques à tester au plus vite leur niveau de D-dimères.

Témoignages de médecins





15ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit le médecin généraliste luxembourgeois Benoît Ochs,



La portée de ces découvertes

La prise en compte du biomagnétisme et la découverte de nanoparticules dans les vaccins sont 2 découvertes fondamentales.

De graves questions se posent :

Comment expliquer qu’un toxique se trouve présent dans des injections biologiques. ?

Pourquoi ces informations sur les nanoparticules non déclarées ne sont-elles pas relayées et diffusées au plus grand nombre. ?

Lorsque l’on voit que le grand public ignore tout ce qui découle de ces 2 découvertes, on prend réellement la mesure du lavage de cerveau qui opère dans notre monde.

Qui réalise vraiment ce que cela signifie ?

Les découvertes fondamentales sont susceptibles de provoquer une révolution dans la manière de penser. Comme lorsque Galilée a pointé une lunette astronomique vers Jupiter et a observé, pour la première fois, des lunes qui lui tournaient autour. Il a compris que tout ne tournait pas autour de la Terre et une révolution copernicienne était en marche. Après plusieurs années de combat, notamment contre l’Eglise, la révolution copernicienne a vu le jour et les planètes ont tourné autour du Soleil.

Au vu de ce qui précède, c’est bien quelque chose de fondamental qui s’est dévoilé cet été avec l’observation du biomagnétisme et les diverses nanoparticules qui n’ont rien à faire dans ce qui a été nommé ¨vaccin¨ .

Depuis longtemps, on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va les combattre.

A présent, il faudra prendre en compte les risques liés aux nanoparticules. Le docteur José Luis Sevillano de laquintacolumna a présenté une comparaison entre les divers effets produits par la Covid 19 et les divers effets possibles provoqués par une intoxication au graphène :

Effets produits par le Covid 19 Effets provoqués par une intoxication due à une nanoparticule
Thrombose, coagulation du sang Thrombose, coagulation du sang
Inflammation des tissus Inflammation des tissus
Altération du système immunitaire Altération du système immunitaire
Tempête de cytokines Tempête de cytokines

[Ndlr : des ondes électromagnétiques pulsées sur une porteuse de la gamme des micro-ondes ou des ondes millimétriques, comme pour le Wi-Fi, la 4G et la 5G, tendent à produire aussi au moins une partie de tels symptômes. Voir le Dossier 5G et ondes pulsées.]

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va tenter de s’attaquer à ces particules et provoquer une réponse immunitaire très semblable, voire identique, à la réaction face à un pathogène type viral.

Le Dr. Sevillano a d’ailleurs soulevé une question intéressante. Comment un virus peut-il développer une pneumonie bilatérale ? N’est-il pas établi qu’un virus va affecter les tissus à partir d’un foyer et qu’il ne va pas affecter les 2 poumons simultanément ? Autrement dit, est-il cohérent d’attribuer à un virus une pneumonie bilatérale ?

Pour celui qui voit là une incohérence, il faut bien chercher une autre explication.

L’explication alternative avancée par l’équipe de la quintacolumna est que certains patients (et peut-être la grande majorité ? ) sont affectés par un syndrome de rayonnement aigu SRA ( ou ARS Acute Radiation Syndrom).

Un article fondamental qui supporte cette théorie

https://meridian.allenpress.com/radiation-research/article/195/1/1/446280/Commonalities-Between-COVID-19-and-Radiation

Au fur et à mesure que les composants multisystémiques de COVID-19 émergent, des étiologies parallèles peuvent être établies entre l’infection par le SRAS-CoV-2 et les radiolésions. Alors que certaines personnes infectées par le SRAS-CoV-2 se présentent comme asymptomatiques, d’autres présentent des symptômes bénins pouvant inclure de la fièvre, de la toux, des frissons et des symptômes inhabituels tels qu’une perte du goût et de l’odorat et une rougeur des extrémités (par exemple, « orteils COVID », suggestifs des dommages aux microvaisseaux).

…..

Il est intéressant de noter que des années de recherche dans le domaine de la radiobiologie documentent la nature multiorganique complexe d’un autre état pathologique qui survient après une exposition à de fortes doses de rayonnement : le syndrome de rayonnement aigu (SRA). L’inflammation est un acteur commun clé dans COVID-19 et ARS, et entraîne les dommages multi-systèmes qui modifient considérablement l’homéostasie biologique. Les deux conditions déclenchent une tempête de cytokines, avec une augmentation des molécules pro-inflammatoires similaires et une diminution des autres molécules anti-inflammatoires. Ces changements se manifestent de diverses manières, avec un impact manifestement plus élevé sur la santé des patients ayant des problèmes de santé sous-jacents.

….

L’impact humain potentiellement dramatique de l’ARS a guidé la science qui a identifié de nombreux biomarqueurs de l’exposition aux rayonnements, établi des stratégies de gestion médicale pour les SRA et a conduit à l’élaboration de contre-mesures médicales à utiliser en cas d’urgence radiologique de santé publique. Ces efforts peuvent maintenant être mis à profit pour aider à élucider les mécanismes d’action des blessures COVID-19. De plus, cette intersection entre COVID-19 et ARS peut indiquer des approches qui pourraient accélérer la découverte de traitements pour les deux. …

Dans cette revue, nous décrivons les parallèles observés entre COVID-19 et les effets biologiques des lésions dues aux rayonnements qui incluent des composantes immédiates et à long terme : le syndrome de rayonnement aigu (SRA) et les effets retardés de l’exposition aiguë aux rayonnements (DEARE).

Coronavirus ou Syndrome du Rayonnement Aigu ?

Pour aller plus loin, nous pouvons comparer 2 équations bien distinctes :

Equation 1

Nouveau virus + nouveau vaccin = retour à la vie d’avant

Equation 2

Introduction de graphène partout + activation ondes radio = un nouveau monde

Analysons ces équations de manière méthodique.

Nouveau virus :

Même si le coronavirus a colonisé les esprits, les questions de l’origine et de l’existence même du virus se posent. Robert Young a ouvert le débat en demandant au Center for Desease Control (CDC aux Etats-Unis) la confirmation que le virus avait bel et bien été isolé. Le Dr. Robert Young doutait du fait que l’on avait vraiment isolé le virus a posé la question au CDC en utilisant le ¨freedom information act¨.

La réponse de cette haute institution est claire et définitive :

PERSONNE N’A JAMAIS ISOLÉ, PURIFIÉ ET/OU VÉRIFIÉ SCIENTIFIQUEMENT ET PROUVÉ L’EXISTENCE DE TOUT VIRUS À TOUT MOMENT, À TOUT ENDROIT, PARTOUT DANS LE MONDE !

https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus?fbclid=IwAR2RylFrVu30xj3836v0rlSvK4PRtdyZPfmTsEzRcMJ3jgNYMLpsyhsmE7g

La même question a été posée à des institutions à travers le monde avec toujours la même réponse. Voir l’annexe 3 avec la liste des 87 institutions qui ont été questionnées autour du monde.

Pour confirmer ce qui précède, il vaut la peine de comprendre ce que sont les méthodes de purification utilisées en biologie.

Stefano Scoglio montre dans l’article suivant comment on a fourvoyé la science en détournant purement et simplement le sens fondamental du terme ¨isoler¨

En physique ou en chimie, isoler une particule ou une molécule veut dire la séparer du reste.

Scoglio explique qu’il n’en va pas de même en biologie.

Scoglio a commencé en mars 2020 à dénoncer que le prétendu isolement du SARS-Cov2, réalisé principalement par l’équipe du Chinese Center for Disease Control (CCDC) sous le nom de Zhu N. et al. n’était pas du tout un isolement, car il n’y a pas eu de purification du virus, mais seulement la culture sur des cellules rénales de singe du fluide broncho-alvéolaire de certains patients atteints de pneumonie :

https://agenparl.eu/covid-scoglio-candidato-nobel-medicina-2018-la-questione-dellisolamento-del-virus-e-della-sua-patogenicita-secondo-la-legge-dei-cinque-postulati-di-koch/

Covid, Scoglio : La question de l’isolement du virus et de sa pathogénicité selon la loi des cinq postulats de Koch.

En microbiologie il existe une règle d’or, le postulat de Koch, développé par le microbiologiste allemand Robert Koch :

  1. l’agent présumé responsable de la maladie en question doit être présent dans tous les cas de cette maladie constatés ;
  2. il doit être possible d’isoler le microorganisme de l’hôte malade et de le faire croître en culture ;
  3. chaque fois qu’une culture du micro-organisme est inoculée à un hôte sain, la maladie se reproduit ;
  4. l’organisme doit pouvoir être à nouveau isolé de l’hôte infecté expérimentalement ……

En conclusion, le virus SARS-Cov2 n’a jamais été isolé au sens commun du terme. Les virologues se sont habitués à appeler « isolement » ce qui est la culture du surnageant du liquide centrifugé du patient sur des cellules rénales de singe ; mais appeler une chose pour une autre n’en fait pas ce qu’elle prétend être.

Puisque le virus n’a jamais été isolé, toute autre discussion sur la pathogénicité du virus, ou sa capacité à générer une pneumonie Covid, ainsi que tous les tests qui prétendent rechercher le virus, et enfin tout vaccin qui veut vaincre le virus, ne sont que des géants aux pieds d’argile, complètement dépourvus de tout fondement scientifique.

Et pour clore en revenant au début et en refermant la boucle, nous avons vu comment la possibilité de déclarer qu’un micro-organisme provoque une pathologie doit se fonder sur les postulats de Koch. Eh bien, ce sont les chercheurs chinois eux-mêmes qui déclarent, à la fin de leur étude : « Bien que notre étude ne satisfasse pas aux postulats de Koch… » [15]

Vidéo en italien du Dr. Stefano Scoglio, Ph.D.

https://www.youtube.com/watch?v=5z5ZWfZf11Y


[Ndlr : les annexes n’étaient pas présentes dans le document fourni. Cependant, les articles suivants fournissent des informations et des hypothèses complémentaires :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Sur les « virus », leur non isolement, la contagion… :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]