Algérie — Après les législatives anticipées. Et, maintenant ?

Par Abdellali Merdaci

Selon un journal d’Alger, zélateur du néo-hirak, un candidat aux législatives anticipées du 12 juin a été élu député, à Constantine, avec trois cents voix.(([1] « Le Quotidien indépendant », 18 juin 2021.)) L’événement, en soi, peut paraître absurde, mais il n’entache en rien la légalité de cette élection. Bienvenue, M. le député ! Dans le contexte national algérien actuel, marqué par une irréductible pandémie sanitaire et par les dérives d’aventuriers stipendiés de la politique, seul compte le socle de la légalité dans une organisation du vote sans heurts et l’indispensable légitimité proclamée est celle de l’action, davantage que celle des chiffres. Du reste, les chiffres vitaminés d’une élection ne sont jamais consentis à une gouvernance meilleure, ainsi qu’en témoignent les élections de l’ère Bouteflika. L’écrivain et journaliste Mohamed Benchicou rapporte dans un remarquable essai biographique(([2] « Bouteflika, une imposture algérienne », Alger-Paris, Le Matin Éditions-Jean Picollec, 2004.)) comment le candidat Abdelaziz Bouteflika exigeait, en 1999, des généraux qui l’ont ramené au pouvoir de décider de ses propres chiffres électoraux. À l’évidence, le tripatouillage des résultats électoraux est exclu dans l’Algérie nouvelle et c’est une précieuse évolution démocratique.

Abdelmadjid Tebboune a rappelé, au-delà des chiffres de participation aux différentes consultations électorales (12 décembre 2019, 12 juin 2021) et référendaire (1er novembre 2020), la légalité de la démarche politique et institutionnelle qui les fonde. En démocratie, l’électeur a le droit de s’abstenir ou de boycotter une votation : si la politique de la chaise vide n’a jamais été payante, l’État algérien, qui n’impose rien, protège sa liberté de conscience. Dans aucun pays et dans aucune démocratie, même parmi les plus avancées, le taux de participation le plus bas n’a invalidé une élection et disqualifié ses candidats élus. Dans les faits, abstentionnistes et boycotteurs ne forment ni un parti, ni une tendance politique lisible, ni une majorité.

[Ndlr : en France, le faible taux de participation à une élection tend à être considéré par un certain nombre d’analystes ou de commentateurs comme une marque de manque de légitimité démocratique des représentants élus. Avec moins de 50 % de participation (comme cela a été le cas pour le premier tour des récentes législatives françaises), il devrait ou pourrait même se poser le problème de la légitimité de la forme gouvernementale elle-même, surtout lorsqu’elle prétend relever de démocratie.]

Pourquoi, à défaut d’une vraie opposition politique, une presse bien-pensante — qui la supplée — ne cesse d’asséner au président de la République et aux Algériens une incertaine logique des chiffres ? Il n’y a pas de « légitimité populaire » : qu’un candidat soit élu à 100 % des électeurs inscrits n’est pas un gage de réussite de son mandat. Sauf à tournebouler le sens des mots, la seule légitimité consensuelle appartient à l’Histoire. M. Tebboune, président de la République, écrit une page de l’Histoire de l’Algérie, et cette page, il faut se garder de la juger hors de l’heure du bilan.

Lorsqu’on évoque dans notre pays, dans les marges de toute consultation électorale démocratique, la formation d’un champ politique national, résolument national, l’absolu critère est celui de l’unité de la Nation algérienne. Or, le néo-Irak, érigé en dehors de toute légalité ces derniers mois par une presse qui lui est acquise en principal opposant du pouvoir d’État, parasité par des organisations nettement terroristes (Rachad, MAK) et par des acteurs politiques formés par les services américains de la démocratisation du monde arabe, du Moyen-Orient au Maghreb,(([3] Je renvoie sur cet aspect aux publications strictement documentées d’Ahmed Bensaada, notamment « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? », Alger, Apic, 2020, et aux articles sur ce thème publiés sur son site web : http://ahmedbensaada.com/)) en est éloigné. Il ne peut se projeter que dans le chaos pour mettre à terre les institutions de l’État, notamment la présidence de la République, et ses chartes, particulièrement la Constitution, ses garants juridiques.

Cette politique de destruction, sans honneur et sans loyauté, perdure. Après le 22 février 2019, contre un gouvernement sans gouvernail et sa « ‘içaba » (clan), il fallait un changement de cap, le hirak originel pouvait l’incarner dans une brève période de latence politique, le néo-hirak, qui prétend le continuer dans l’usurpation et dans l’imposture, constitue un obstacle. Il est de bonne guerre, contre cet ennemi de l’intérieur et de l’extérieur répondant à des agendas pernicieux, que le président Tebboune fasse valoir l’impérieuse nécessité de la légalité institutionnelle. L’Algérie, déstructurée par le long règne des frères Bouteflika, appelle cette impulsion vers l’État légal, qu’il conduit opiniâtrement.

Alors même que le président de la République s’appuie sur un programme de refonte du pays et parle régulièrement aux Algériens,(([4] Le président de la République est dans son rôle de défendre l’Algérie et de porter la voix de l’Algérie dans tous les médias du monde qui le sollicitent, quelles qu’en soient les lignes éditoriales. Son récent entretien avec « Le Point », porte-parole de la droite française, historiquement fermé à l’Algérie et proche du Makhzen, est en termes de politique algéro-algérienne un contresens. Comment les conseillers du président chargés de la presse ont-ils accepté qu’il soit interrogé par deux ex-Algériens devenus Français, l’un par le mariage avec une Française (Adlène Meddi), l’autre par choix personnel (Kamel Daoud) ? Si Meddi évite tout prosélytisme, Kamel Daoud se présente comme le « Français du futur » et invite les Algériens à le rejoindre dans ce choix. Alors qu’il n’y a pas de législation algérienne autorisant la double nationalité entre l’Algérie et la France, l’accueil à la présidence de la République de journalistes néo-français peut être perçu comme une caution à la course vers la binationalité franco-algérienne. Déception et regrets.)) quels arguments leur présentent ceux qui ambitionnent de faire tomber l’État algérien par de continuels mouvements de rue, troublant la paix sociale, et échappant à toute réglementation administrative et juridique ? Quelles sont les attentes des « ténors autoproclamés » (Ahmed Bensaada) du néo-hirak ? Maîtres Mostefa Bouchachi et Zoubida Assoul, secondés par Karim Tabbou et Abdelouahab Fersaoui (RAJ), bénéficiant de l’onction du sociologue français Lahouari Addi, activistes de mauvais aloi, formés et financés par les experts américains de l’agit-prop, envisagent sûrement de mettre l’Algérie sur les rails d’une politique antinationale, dans la perspective des États-Unis d’Amérique, de l’Europe et, singulièrement, de la France. Ils proposent un programme d’ouverture politique vers l’extérieur rompant avec les fondamentaux de l’État algérien issu d’une terrible Guerre anticoloniale, qu’ils souhaitent effacer, ainsi le droit des peuples sous domination coloniale, notamment en Palestine et au Sahara occidental, à l’autonomie politique nationale. Ce changement politique s’adossera sur l’établissement de relations diplomatiques avec Israël et sur la reconnaissance des thèses sionistes. Sous la direction de cette phalange d’illuminés, l’imparable progrès social serait d’ouvrir des terrasses à bière sur les avenues d’Alger, de libéraliser les mœurs(([5] On en a une représentation fidèle et juste dans l’expression des attentes de la jeunesse dorée d’Alger et d’Oran dans le documentaire de Mustapha Kessous « Algérie, mon amour » (France 5, 26 mai 2020). Mais cette projection libérée des mœurs est visible dans les grandes cités du pays et dans les couches sociales supérieures.)) et d’engager une politique déterminée vers la binationalité franco-algérienne pour contenter les bobos d’Alger, leur clientèle assurée et reconnue, qui ne pèse pas lourd dans l’échiquier électoral. Qu’ils aillent donc expliquer ce programme politique à l’électeur de la bourgade de Slim. Le MAK, pour sa part, n’a qu’un exclusif horizon politique, la sécession de la région kabyle d’Algérie (Tizi-Ouzou, Bejaia, en partie Bouira, Boumerdès, Sétif et Bordj Bou-Arréridj), faisant corps pendant des millénaires avec l’Algérie, relevée par cinquante-neuf années d’accompagnement exceptionnel de l’État algérien, pour la livrer à la France et à Israël. Quant aux islamistes de Rachad, leur objectif unique est de se venger de la cuisante défaite que leur a infligée, dans les années 1990, l’État algérien dont ils envisagent, désormais, l’anéantissement en manipulant la rue dans un jeu pervers et criminel.

Le reproche qu’il faudra faire à ces « ténors autoproclamés », c’est qu’ils ne s’adressent jamais clairement au peuple algérien sur leurs intentions. Leur fuligineuse antienne, devenue incantatoire, est de briser l’État algérien pour aller sûrement vers la dislocation du pays. Est-ce que l’extrême majorité des Algériens, et notamment ceux qui pour différentes raisons ne votent pas, et il faudrait y voir un effet du long règne autoritaire des frères Bouteflika plus qu’un désaveu du pouvoir d’État, approuveraient ce projet ? Quel Algérien se prévaudrait d’une tabula rasa, du démembrement de la terre sacrée d’Algérie et du démantèlement de ses institutions ? Il n’est ni indifférent ni inintéressant de savoir qui est à la manœuvre dans cette entreprise funeste de nettoyage du pays : de grands bourgeois à fort revenu bien installés dans la capitale, souvent rétribués sur les fonds régaliens de l’État,(([6] Ainsi, Mme Assoul, cheffe de parti, pressentie dans un triumvir dirigeant une transition politique en Algérie, une des doléances du néo-hirak, a été accusée publiquement par un sénateur constantinois de percevoir une mirobolante retraite à vie pour une mission parlementaire dans les années 1990. Elle n’y a pas réagi.)) qui se soucient comme d’une guigne des marcheurs des cités populaires dont ils exploitent le malheur, des islamistes de Londres et Genève, bazaris discrédités, sans attache réelle avec le pays, des séparatistes kabyles emmenés par un chansonnier de cabaret sauvage, qui reçoivent — contre toute attente — le soutien de communistes, héritiers de l’ancien PAGS, et des trotskistes du PST, représentants du peuple ouvrier arborant autrefois comme signe de ralliement une paire d’espadrilles (« sbidri ») éculée, tout feu, toute flamme contre l’État national algérien. Voilà les ennemis de l’Algérie, de l’État algérien et de M. Tebboune. Comment imaginer un « Bousbidri » en affaire politique avec un islamiste, un makiste et un bourgeois prédateur des beaux quartiers d’Alger — et, inversement ? Cette conspiration de cloportes, cette association bancale de groupes politiques sans ressort dans la société, de séparatistes hargneux et de terroristes sanguinaires dont la mesure commune est la chute de l’État légal, leurs fourvoiements violents et vertigineux n’ont aucun avenir en termes politiques et électoraux.

L’Algérie est une jeune nation, sortie de l’emprise d’un colonialisme français génocidaire qui a exterminé, entre 1830 et 1962, un quart de sa population. Ce pays d’infinie souffrance mérite d’exister. Aujourd’hui, le plus urgent engagement qui vaille est d’en défendre l’intégrité territoriale et la pérennité de ses institutions. L’unité de la Nation algérienne, désormais menacée et fragilisée par les soutiers de plans étrangers mortifères, est à ce prix. Maintenant, au-delà de la feuille de route de M. Tebboune, l’urgence pour le gouvernement et le parlement, et peu importe leurs soubassements partisans et idéologiques, est de penser des lois renforçant le cadre politique et institutionnel légal pour protéger contre toute hypothèse insurrectionnelle la Nation algérienne et l’inscrire dans la durée. Que vive l’Algérie ! 

Notes




Les témoignages des drames post-vaccination s’accumulent chaque heure

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

HALTE A LA VACCINATION COVID DES ENFANTS ! STOP DESINFORMATION  MEDIATIQUE(([1] Un groupe de médecins accuse la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants – Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) ))

Un nouveau cri d’alarme !

En attendant que les médias fassent leur travail comme cela commence en Allemagne avec le journal Bild(([2] https://youtu.be/dgvmHdttEEc)) qui fait son mea culpa ou en Irlande où un grand journal titre sur les morts de la vaccination,(([3] https://twitter.com/i/status/1405256231778926599)) combien faudra-t-il d’articles, de vidéos pour informer nos concitoyens de l’horreur de cette substance génique appelée vaccin, sans en avoir les caractéristiques, à l’intérêt nul pour les enfants qui ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus, dont les risques sont loin d’être négligeables, en particulier cardiaques ?

Même l’agence du médicament français ANSM enquête sur le lien entre myocardites et thérapie génique. Quand on connait leur lenteur à la détente, il y a de quoi être inquiet…(([4] Cas de myocardite : l’ANSM retient un “rôle possible” du vaccin Pfizer (europe1.fr) ))

La litanie quotidienne du frère ou du copain moqueur fier de se vacciner et mort six semaines plus tard, des personnalités qui ont vanté le pseudo-vaccin à la télé italienne américaine anglaise ou française qui disparaissent brutalement d’une crise cardiaque… Deux présentateurs de la télévision britannique, un espoir du tennis de 12 ans, un mannequin et une célèbre youtubeur handicapé féru de sport et suivi par 260.000 personnes qui avait fait la pub du vaccin il y a quelques semaines, meurent brutalement de crise cardiaque et même un footballeur de l’Inter de Milan, danois qui s’écroule sur le stade et s’en tire avec un défibrillateur. Quel sera son avenir sportif, et les assurances vont -elles l’indemniser à hauteur de ses pertes financières ?  Ce jour une infirmière argentine meurt brutalement quelques jours après le vaccin et presque toujours le même scénario brutal.

Hasard ? Coincidence me dira-t-on ? Ça commence à faire beaucoup et s’additionne aux chiffres des agences comme le Vaers aux USA, l’EMA, l’ANSM, ou anglaise.(([5] How can the UK Gov. make these mandatory ? – 20th update on Adverse Reactions to the Covid Vaccines shows 949,287 Adverse Reactions & 1,332 Deaths – Daily Expose))

LA PROPAGANDE DE LA BBC MISE EN CAUSE

Le cri d’alerte du jour succédant aux appels de collègues américains en particulier est celui d’un groupe de médecins britanniques accusant  la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants (juin 17, 2021). Ils demandent à tous de diffuser largement leur lettre ouverte.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette lettre ouverte  au Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de BBC Newsround (7 juin 2021) faisant la promotion de la vaccination Covid pour les enfants.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette  lettre de plainte au professeur Sridhar en réponse aux déclarations qu’elle a faites dans l’émission BBC Newsround, diffusée dans la plupart des écoles britanniques, qui comprenait plusieurs affirmations fausses ou trompeuses. Par exemple, les vaccins Covid-19 seraient sûrs à 100 %,  les enfants devraient se faire vacciner pour protéger leurs parents et  les avantages pour les enfants seraient supérieurs aux risques.

INVRAISEMBLABLE TRIPLE MENSONGE : les pseudo-vaccins sont dangereux, incapables d’empêcher les transmissions et les enfants ne transmettent pas le covid.

L’injection ne protègerait pas leurs parents, si même il était éthique de leur demander cela, mettre leur vie en péril pour un risque mineur de maladie pour leurs parents jeunes à risque infiniment faible de mourir du covid.

« Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable, relève de la propagande et a un impact négatif sur le processus de consentement pleinement éclairé. Nous avons demandé au professeur Sridhar de retirer immédiatement l’intégralité de son message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants. »

Veuillez partager cette lettre aussi largement que possible sur vos canaux de médias sociaux et avec les journalistes, les médias, les célébrités et autres. Merci pour tous et en particulier les enfants.

Lettre ouverte de l’Alliance britannique pour la liberté médicale adressée à :
Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de 
BBC Newsround (7 juin 2021) sur les vaccins anti-covid pour les enfants.

“Nous aimerions partager avec vous notre lettre ouverte à la MHRA datée du 7 juin 2021 concernant les vaccins Covid-19 pour les enfants.(([6] UKMFA Urgent Open Letter to the MHRA re Emergency Authorisation of the Pfizer Covid-19 vaccine for Children (ukmedfreedom.org)
60c886afa15a510c85059d51_UKMFA_Open_Letter_Devi_Sridhar.pdf (childrenshealthdefense.eu) ))

Cette lettre est une réponse à votre récente apparition sur BBC Newsround, où vous avez fait plusieurs déclarations qui ne sont absolument pas soutenues par des preuves scientifiques.

Les préoccupations sont principalement liées, mais pas limitées, aux points suivants :

« Vous déclarez que l’avantage du vaccin pour les enfants serait qu’ils n’auraient alors « pas à s’inquiéter de Covid-19 ». Les enfants sont déjà dans une position où ils n’ont pas à s’inquiéter du Covid-19, car le risque pour eux est proche de zéro.

Vous affirmez qu’un autre avantage serait qu’ils sont alors susceptibles de ne pas infecter leurs parents.

Les enfants ne jouent pas un rôle majeur dans la transmission, et les essais réglementaires ne prouvent pas non plus que les vaccins empêchent la transmission.

Il s’agit clairement d’une déclaration destinée à provoquer une réaction émotionnelle de culpabilité suivie d’un sentiment de devoir, et en tant que telle, il s’agit de propagande plutôt que de conseils factuels.

Vous affirmez que le principal inconvénient du vaccin est qu’il s’agit d’une « autre injection dans votre bras ».

Il s’agit d’une déformation grossière des risques connus et inconnus d’effets indésirables graves potentiels des vaccins Covid-19 pour les enfants.

Nous sommes sûrs que vous savez que le CDC aux Etats-Unis a convoqué une réunion d’urgence, spécifiquement pour discuter des centaines de cas de myocardite survenus chez des jeunes après la vaccination(([7] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9672233/The-Latest-WHO-warns-delta-variant-hold-Europe.html))

Des effets potentiellement mortels et des décès ont été signalés chez de jeunes adultes et des enfants aux Etats-Unis et en Israël, ce à quoi vous ne faites pas du tout référence.

Vous trouverez les références pertinentes à tous ces points dans notre lettre ouverte.

Dans la situation actuelle, marquée par l’incertitude et la peur, le public se tourne vers les professionnels pour obtenir des conseils équilibrés.

Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable. Lorsqu’il s’adresse spécifiquement à un groupe d’enfants vulnérables, il est impardonnable.

Nous notons que la version actuellement accessible de votre déclaration sur Newsround a déjà été expurgée, car vous avez initialement affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était sûr à 100 %.

Vous deviez être conscient que le fait de déclarer toute intervention médicale sûre à 100 % sape la crédibilité de quiconque.

Modifier un article après qu’il a déjà été diffusé et visionné par un très grand nombre de personnes et d’enfants, sans explication ni excuses publiques, est très irrégulier. Le commentaire à la fin de la transcription écrite, se contentant de noter une correction, ne touchera pas la majorité du public qui a entendu et assimilé votre affirmation initiale.

Nous vous demandons donc de retirer immédiatement l’intégralité de votre message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants”.

14 juin 2021

« Nous demandons que votre rétractation et vos excuses soient diffusées aussi largement que votre message initial, et plus particulièrement à toutes les écoles où ce matériel a pu être montré à des enfants.

Nous attendons une réponse confirmant que vous avez pris les mesures appropriées, ou justifiant les raisons pour lesquelles vous ne l’avez pas fait.

Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
Alliance britannique pour la liberté médicale www.ukmedfreedom.org

Cc : BBC
Rt. Hon. Gavin Williamson – Secrétaire d’Etat à l’Education
Rt. Hon. Oliver Dowden – Secrétaire d’État au numérique, à la culture, aux médias et aux sports Shirley-Anne Somerville – Secrétaire d’État écossaise à l’éducation et aux compétences » 

En conclusion

Les témoignages de drames post vaccination y compris chez des enfants s’accumulent chaque heure… Il suffit d’ouvrir Tweeter ou Telegram pour trouver une nouvelle histoire tragique de parents ayant perdu leur fils de 32 ans pour rien et qui veulent alerter sur les réseaux sociaux faute de pouvoir s’exprimer sur les grandes chaines de télévision.

Tous ceux qui participent à la désinformation auprès des enfants et de leurs familles porteront le poids de ces décès, mais aussi de ces enfants devenus invalides à vie, pour RIEN, pour soutenir inconsciemment le projet funeste de quelques milliardaires contre l’Humanité.  Tous  ceux qui par leur silence contribuent à l’accumulation de nouvelles victimes.

Les responsables commencent à être mis en cause comme le Dr Fauci dont le Sénat américain demande le licenciement dans une nouvelle conférence de presse.(([8] https://youtu.be/UYVAZkXcYOg)) Nous y reviendrons, mais personne ne peut être sûr de son impunité. Tous les tyrans tombent un jour. Tâchons de limiter le nombre de victimes dans cette attente.

Nicole Delépine





Douze morts du Covid en Belgique : tous étaient vaccinés

[Source : infodujour.fr]

[Photo : © Google]

Par Infodujour

Intrigante épidémie de Covid au sein de la maison de repos « Nos Tayons » à Nivelles en Belgique. Qui interroge les scientifiques.

Jean-Michel Wendling
Dr Jean-Michel Wendling (DR)

Par Jean-Michel Wendling

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L’établissement belge a vu une vague de résidents infectés malgré une vaccination complète conduite avec double dose en janvier de cette année. Selon la directrice Anne-Catherine Roobaert que nous avons contactée, « la phase critique est derrière nous ».

La moitié des résidents vaccinés ont été infectés et 12 décès

« A ce jour, le bilan est le suivant : près de la moitié des 117 résidents complètement vaccinés en janvier (vaccin Pfizer) ont été infectés entre mai et juin, explique la directrice. Ce sont 55 résidents qui ont été touchés dont 52 des 117 vaccinés (44%). Malheureusement, nous avons 12 personnes vaccinées qui sont décédées et encore 2 personnes diabétiques en situation instable actuellement hospitalisées. Le bilan est donc très sérieux et interroge »
On sait bien que la vaccination n’est jamais protectrice à 100% mais dans le cas de cet établissement, on est loin de ce qui est annoncé. L’expérience de Nivelles en est la preuve. C’est le variant indien qui a été identifié majoritairement chez ces personnes âgées.

Les soignants aussi

Trois des quatre personnes non vaccinées (75%) ont été touchées mais sans conséquences graves pour elles : l’une d’entre elles est asymptomatique et une autre est actuellement sous oxygène, mais va bien.
Les visites des familles avaient repris et un bon nombre de résidents se sentaient en sécurité et se retrouvaient dans les salles communes et en salle de repas collectif : dès les premiers cas, le 17 mai, ces mesures ont été suspendues et un confinement a été mis en place précise Anne-Catherine Roobaert.
Du côté des soignants, 20 personnes environ ont également été contaminées parmi les 135 personnels de l’établissement dont 60 % d’entre elles étaient également majoritairement vaccinées par le vaccin Pfizer et Astra Zeneca pour quelques-unes.

Questions sur les vaccins

Une couverture vaccinale de 60% des soignants au contact avec les résidents était obtenue, ce qui peut paraître insuffisant. L’insuffisante couverture vaccinale du personnel soignant est sans doute le premier « trou dans la raquette ».
Les gestes barrières comme le lavage des mains très perfectible dans la population générale et chez les visiteurs et le port du masque restent également des axes forts de la protection des vulnérables.
Concrètement, les experts s’intéressent maintenant aux conditions dans lesquelles les vaccins ont été conservés et administrés. Des analyses de la qualité de l’air sont également réalisées en coordination avec le Professeur Emmanuel André : des équipements ont été installés à cet effet et les résultats vont être bientôt révélés.

Résultats encourageants

« Un traçage plus approfondi va être réalisé pour savoir d’où peut provenir le patient zéro, ajoute Anne-Catherine Roobaert. De plus, nous continuons à tester. Les résidents et le personnel subiront un test sérologique aujourd’hui et nous effectuerons deux tests PCR par semaine jusqu’à ce que nous n’ayons plus de nouveaux cas. »
Les derniers tests PCR réalisés la semaine dernière ont donné des résultats encourageants. Parmi les résidents qui ont été négatifs jusqu’à présent, seuls deux ont cette fois-ci été testés positifs (avec des symptômes légers) et isolés. Parmi le staff, c’est encore mieux, plus personne n’est positif.
« Ce foyer survenu dans une maison de retraite représente une alerte qu’il faut donc prendre très au sérieux. Nous ne pouvons pas miser entièrement l’ensemble de notre stratégie de lutte contre la pandémie sur la seule vaccination » explique le professeur Antoine Flahaut à nos confrères du journal Atlantico. « La vaccination est bien sûr un allié très précieux dans la lutte, mais on constate qu’elle nécessite un très haut niveau de couverture pour être efficace ».

Une enquête épidémiologique

Les essais cliniques ont pourtant montré une très grande efficacité des vaccins y compris chez les personnes âgées et toutes les données que ce soit de l’expérience acquise en Israël, au Royaume-Uni ont montré une très bonne protection contre le virus : les variants vont-ils remettre en question ces résultats ? On n’a pas encore un recul suffisant sur la durée de l’immunité conférée par les vaccins, mais dans ce cas précis, la vaccination complète date de 4 mois et demi.
Pourquoi la Covid-19 a-t-il infecté autant de personnes vaccinées et pourquoi a-t-il causé autant de morts, alors que la maison de retraite a été épargnée jusqu’à présent ? Pourquoi un tel impact alors que le taux de vaccination est proche de 100 % chez les résidents et de près de 70 % chez le personnel ? L’enquête épidémiologique doit répondre à ces questions. « Tout sera vraiment scruté, explique Lara Kotlar, porte-parole d’AVIQ, l’Agence wallonne pour la qualité de vie. Nous voulons vraiment une enquête à 360° pour comprendre ce qui a pu se passer là-bas. Il s’agit encore d’un cas isolé et nous espérons qu’il le restera…  »

*Le Dr Jean-Michel Wendling, spécialiste prévention santé au travail à Strasbourg, est consultant scientifique pour infodujour.fr

[Voir aussi : Douze morts du Covid à la résidence Nos Tayons à Nivelles: une enquête épidémiologique pour tenter de comprendre ce qui s’est passé (rtbf.be)]




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Vacciner les adolescents contre le covid : stupidité mathématique, médicale, éthique

Par Gérard Delépine

Alors que l’hystérie vaccinale prospère encore en France malgré les alertes multiples sur les décès entraînés par la vaccination et de graves accidents invalidants, il faut avertir une nouvelle fois que vacciner les enfants et adolescents contre le covid19 est une grave faute éthique, médicale, scientifique. N’embarquez pas vos enfants dans cette galère.

Au 12 juin 2021, l’agence européenne du médicament rapporte(([1] 13,867 dead and 1,354,336 injuries in European database of adverse drug reactions for COVID-19 shots | The BL)) 13 867 décès en rapport avec l’injection et 1 354 336 incidents graves.(([2] Total reactions for the experimental mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) from BioNTech/Pfizer:
6,732 deaths and 502,162 injuries.
14,819 Blood and lymphatic system disorders incl. 74 deaths
11,018 Cardiac disorders incl. 843 deaths
90 Congenital, familial and genetic disorders incl. 5 deaths
6,146 Ear and labyrinth disorders incl. 3 deaths
216 Endocrine disorders
7,119 Eye disorders incl. 17 deaths
45,616 Gastrointestinal disorders incl. 332 deaths
140,516 General disorders and administration site conditions incl. 2,079 deaths
387 Hepatobiliary disorders incl. 28 deaths
5,436 Immune system disorders incl. 32 deaths
15,632 Infections and infestations incl. 711 deaths
5,552 Injury, poisoning and procedural complications incl. 94 deaths
11,782 Investigations incl. 260 deaths
3,730 Metabolism and nutrition disorders incl. 129 deaths
71,816 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 84 deaths
295 Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 21 deaths
90,427 Nervous system disorders incl. 692 deaths
330 Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 11 deaths
100 Product issues
8,902 Psychiatric disorders incl. 99 deaths
1,547 Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
2,052 Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
21,055 Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 777 deaths
23,678 Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 60 deaths
750 Social circumstances incl. 9 deaths
222 Surgical and medical procedures incl. 15 deaths
12,929 Vascular disorders incl. 251 deaths))

Et ce ne sont que les effets indésirables précoces reconnus par l’agence, faisant évidemment l’impasse sur les effets secondaires à moyen terme, probables (fausses couches à répétition en Israël et Grande–Bretagne) et à long terme inconnus, mais craints par les généticiens (augmentation des cancers, des maladies auto-immunes, stérilité ?). Bref, de tels points d’interrogation devraient rendre les plus raisonnables prudents et on s’étonne de l’attitude de militants bio anti-OGM qui n’hésitent pas à s’injecter des thérapies géniques non testées.

Efficacité de la propagande. Comment réagiront les journalistes devant l’évidence des complications niées consciencieusement dans leurs émissions. Les vaccins H1N1 et contre la grippe aviaire avaient été interdits par la FDA après quelques dizaines de décès en rapport avec l’injection. Pourquoi ce silence après de milliers de morts ?

Et en parallèle, rappelons que le covid19 n’a pas touché les enfants sans maladies préalables potentiellement léthales.

Depuis le début du #covid19 :

  • de 0 à 9 ans : 5 décès avec des comorbidités graves ;
  • de 10 à 19 ans : 9 décès causés par des comorbidités graves.

Alors, comment accepter le pseudo-impératif arithmétique ?
Maths que de délires commet-on en ton nom ?

Stupidité arithmétique

Tout récemment(([3] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([4] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([5] dans une interview au Journal du dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe.

Comment peut-il arriver à ce chiffre ?

Rappelons tout de même que ce professeur, lié à la fondation Rothschild est responsable de la vaccination obligatoire des nourrissons depuis 2018 imposée par Mme Buzyn mise à l’abri des poursuites judiciaires par son statut international à Genève, en marchant allégrement sur les rapports des professionnels de santé et du panel de la société civile qui s’étaient déclarés opposés à l’obligation pure et simple.(([6] « Pour être honnête, on voit mal où s’est glissée la démocratie sanitaire dans cette concertation. Comme si la notion de débat était perçue comme une contrainte ou un mal nécessaire, et non comme un passage obligé. Même les jurys citoyens se sont plaints que l’on n’ait pas fait état de leurs conclusions. Questionnés ainsi par l’Agence de presse médicale, il ressort que les avis des jurys divergeaient des propositions du comité sur plusieurs points. Par exemple, les avis des jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pris en compte. Le jury de professionnels de santé souhaitait, pour sa part, que le ministère de la Santé soutienne les recherches sur les effets de la vaccination à moyen et long terme et il proposait de saisir une commission parlementaire sur les adjuvants. Cela n’a pas été retenu, ni même évoqué. Et lors de la présentation, Alain Fischer a balayé toutes ces réticences, bien rapidement. »
Vaccination, le rendez-vous manqué de la concertation – Libération (liberation.fr) ))

Alors l’impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Aberration médicale ou manipulation : proposer la vaccination aux ados comme antidépresseur !

Dans cette interview, le professeur Fischer, après avoir reconnu que les mineurs « n’ont qu’un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l’idée de vacciner les ados à la place des adultes réticents est éthiquement inacceptable », prétend aussi qu’ils pourraient « tirer un bénéfice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandémie avec des décrochages scolaires et des impacts psychologiques très lourds pour les jeunes privés de collège ou de lycée, car la vaccination va réduire le risque de fermeture d’établissements à la rentrée ».

Son aplomb n’est pas digne de sa réputation et de son passé et rappelle plutôt celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu’elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considérables(([7] dont des suicides d’enfants très jeunes)) et le massacre éducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont été victimes.(([8] Et qui se poursuivent via la répression des manifestations festives post bac !))

Pour faire disparaître ces complications, il suffirait de reconnaître que l’épidémie est quasiment finie en France(([9] D’après le réseau sentinelle, l’incidence actuelle du covid en France est inférieure à 5/100000 et moins de 5000 nouvelles contaminations quotidiennes y sont recensées contre plus de 8000 en Grande-Bretagne championne européenne de la vaccination)), que les jeunes n’en ont jamais été responsables(([10] La fête de la musique, le carnaval de Marseille, les fêtes de Bordeaux et les rave parties qui ont été sanctionnées par de très nombreuses amendes, dispersions policières musclées, plaintes préfectorales, de garde à vue pour « mise en danger de la vie d’autrui » n’ont jamais été à l’origine de clusters prouvés.)) et de supprimer immédiatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vérité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme : « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux données actuelles de la science.

En effet, toutes les études épidémiologiques publiées depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De même la persistance ou la reprise des activités scolaires ne se sont accompagnées nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 18 mois d’épidémie et plus de 175 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré selon l’analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe)(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug; 109(8):1525-1530. doi: 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

  • L’étude de l’INSERM(([13] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L’étude de l’institut Pasteur(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
  • L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »(([15] Anne Jouan Exclusif Covid-19 : les enfants accusés… et innocentés Paris Match 09/05/2020))
  • Aux Pays-Bas,(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
    https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
  • En Irlande,(([17] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.)) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie,(([18] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse(([19] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020; 146(2):
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
  • En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

En Israël, une poussée de covid est apparue dix jours après la réouverture des écoles et des universités. Le rôle d’un employé super contaminateur a été clairement mis en évidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d’un enfant n’a été établi.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(([20] Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI:
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « dans la transmission du COVID-19, l’enfant n’est pas à blâmer. »

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont également claires :

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([21] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montrent un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard)) ne citent que de vagues études de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips télévisés émotionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l’origine de multiples dégâts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des épidémies de suicide, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s’excuser auprès de la population des mensonges diffusés à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité médicale : dans le monde réel, les vaccins covid actuels sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination antiCovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-État la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussée post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a été observée sur l’Île de Man

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L’exemple démonstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS et très peu de la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination était censée empêcher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de l’épidémie.

Le 18 juin2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (2775) deux fois moins vaccinée.

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

AUCUN ARGUMENT RATIONNEL NE JUSTIFIE LA VACCINATION DES ADOS À MARCHE FORCÉE

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants ?

Essais en cours sur les enfants aux États-Unis

La revue du 2 juin de Laure Gonlézamar pour France Soir(([22] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) )) fait le point de la situation des éléments connus sur les essais en cours sur les enfants aux États-Unis.

« Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés.

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources.

Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées.

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent rapidement, comme par magie ; notamment sur YouTube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés.

On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées », car seule compte la propagande vaccinale.

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6 % de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants, car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés ».

Pas de risque du covid pour les enfants et ados, risque des vaccins non négligeables et inconnus. Pourquoi vacciner ? Pour un voyage ? Mais le pass vaccinal est en train de sauter et vous pourrez bientôt voyager librement.

Vous avez la vie devant vous, ne prenez pas le risque de la gâcher !





Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




L’immunité post vaccinale ne protège pas la population contre le covid-19. Résultats cliniques avérés au 11 juin 2021

Par G Delépine, chirurgien et statisticien

Depuis que la population réalise peu à peu que l’épidémie a quitté la France, la demande vaccinale stagne, inquiétant les marchands de vaccins. Leurs représentants prétendent maintenant qu’il faudrait vacciner les enfants et atteindre un taux de couverture vaccinale de 70 % pour créer une immunité de groupe susceptible de protéger les aînés.

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La vaccination anticovid des enfants ne peut leur apporter aucun bénéfice

Nous avons largement rappelé que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne transmettent pas cette maladie, ni aux autres enfants ni aux adultes.(([1] Nicole Delepine – l’ouverture des écoles est sans danger : les enfants ne transmettent pas le covid19 Economie matin 23/04/2020 http://www.economiematin.fr/news-ouverture-ecole-covid-19-danger-france-delepine))(([2] « Non, les enfants ne transmettent pas le SARS-CoV-2 » https://www.nexus.fr/actualite/analyse/enfants-covid-19-gerard-delepine/))

Une vaccination expérimentale(([3] C’est le cas des pseudo vaccins covid actuels dont les essais ne seront pas terminés avant 2023)) « pour protéger les autres » est contraire aux règles éthiques de l’Association Médicale Mondiale(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) et au serment d’Hippocrate.

Le comité national d’éthique a critiqué la décision « précipitée » du gouvernement d’élargir la vaccination aux enfants et adolescents alors que l’épidémie est en décrue et s’interroge : « est-il éthique de faire porter aux mineurs la responsabilité, en termes de bénéfice collectif, du refus de la vaccination d’une partie de la population adulte ? »

« un consentement libre et éclairé est nécessaire pour vacciner, a rappelé le Comité consultatif national d’éthique dans un avis paru une semaine après l’annonce par Emmanuel Macron de démarrer la vaccination des plus jeunes.

L’immunité de groupe post vaccinale ne paraît pas exister avec les vaccins covid actuels

Les résultats actuels des pays qui ont atteint une couverture vaccinale de plus de 70 % montrent que l’immunité de groupe créée par les pseudos vaccins actuels n’est pas capable d’empêcher la transmission du covid19.

Quelques exemples de pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 %

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Ainsi 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020, alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4302) et celui des morts par 19 (atteignant 95), mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Une évolution post vaccinale comparable a été observée sur l’Île de Man

Les Émirats Arabes Unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale de 80 % chez les adultes.

Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Le Bahreïn est un émirat d’à peu près 1 million d’habitants. La campagne de vaccination a commencé le 7 décembre 2020 alors que le pays comptait 87 929 cas confirmés et 341 morts. Au 8 juin 2021, un total de 1 838 561 doses vaccinales a été injecté assurant une couverture vaccinale globale de près de 60 % et dépassant les 80 % chez les adultes.

Ainsi, depuis la vaccination les nombres de nouveaux cas et de décès ont considérablement augmenté avec un total de 253 819 cas et 1161 décès recensés au 10/6/2021 (le triple d’avant vaccination). 6 mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations quotidiennes reste beaucoup plus élevé qu’avant la vaccination.

Dans tous ces pays, une couverture vaccinale élevée se révèle donc incapable de prévenir l’extension de la maladie

Les « victoires » à la Pyrrhus d’Israël et de la Grande-Bretagne

Ces deux pays sont partout cités comme exemples de l’efficacité de la vaccination par les médias et leurs gouvernements qui ne parlent jamais des hécatombes post vaccinales précoces qui ont suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS.

Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

Israël

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne israélienne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Durant le mois de novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas, soit onze fois plus) et février (134 000 cas, soit 7 fois plus) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

La vaccination a aussi été suivie par une forte augmentation de la mortalité attribuée au Covid. En décembre 2020, le pays avait recensé 453 morts attribuées au Covid, mais en janvier ce chiffre mensuel a bondi à 1359 et en février à 965, établissant ainsi les records mensuels de mortalité covid depuis le début de l’épidémie.

Cet accroissement de la mortalité attribuée au Covid se traduit par une augmentation de la mortalité globale.

Les mois de janvier et février 2021 ont été ceux avec les taux de mortalité globale, toutes causes confondues, les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années.(([5] Gilad Atzmon – Rapport catastrophique sur la vaccination en Israël 23 mai 2021 – La Lumière du monde)) Le Comité populaire israélien constate que

« dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité globale a été la plus spectaculaire. Dans ce groupe d’âge, on constate une augmentation de 32 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente ».

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie, Israël comptait 366 000 cas confirmés et 3053 morts attribuées au covid. Les six mois suivant la vaccination ont vu ces chiffres plus que doubler avec 473 000 cas et 3373 morts de plus. La victoire proclamée par les responsables de la vaccination et les médias ressemble donc pour l’instant à une victoire à la Pyrrhus.(([6] Pyrrhus, roi d’Épire combattait les Romains avec une armée plus nombreuse et des éléphants. Il accumula les victoires à Héraclée puis à Ausculum, mais en perdant à chaque fois plus de soldats que les Romains. Et à la fin, ses troupes épuisées furent vaincues.))

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination.

La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont eux aussi établi les records de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Le faible taux de contamination actuel dont se flattent les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace, car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés, comme dans les pays très peu vaccinés. De plus, malgré son taux record de vaccinés une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée en Grande-Bretagne depuis trois semaines.

Les avocats de la vaccination prétendent que ces augmentations post vaccinales ne seraient pas dues à la vaccination, mais seulement à des coïncidences malencontreuses de flambée épidémique. Mais comment des poussées épidémiques dues au hasard surviendraient juste après la vaccination dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Le faible taux de mortalité actuel semble lié à la fin spontanée de la vague épidémique en Europe, mais aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risque. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février n’étaient plus à risque en mars, avril et mai. On ne peut pas mourir deux fois !

Un autre argument des pro vaccins est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais les exemples des Émirats Arabes Unis, des Seychelles et du Bahreïn montrent que même cinq mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

L’analyse des faits avérés publiés par l’OMS montre qu’une couverture vaccinale élevée ne protège pas la population de l’épidémie.

Cette incapacité des pseudo vaccins actuels à prévenir les transmissions virales a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Véran devant le Conseil d’État

Proposer la vaccination des enfants pour protéger les adultes est donc totalement illogique. Rappelons son caractère non éthique et dangereux en plus d’être inutile.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Inutile et à risques pour les enfants, elle ne protégerait pas les adultes, car l’immunité de groupe ne paraît pas pouvoir être atteinte avec les vaccins covid actuels, même avec des taux de couverture vaccinale dépassant les 70 %

On ne peut qu’exhorter nos dirigeants à suivre les conseils de Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS(([8] https://atlantico.fr/article/pépite/covid-19—tedros-adhanom-ghebreyesus-le-directeur-general-de-l-oms-appelle-a-renoncer-a-vacciner-les-enfants-pour-donner-les-doses-aux-pays-defavorises-covax)):

« renoncez à vacciner les enfants et les adolescents contre le Covid-19 et donnez les doses ainsi libérées au système Covax »





Pass sanitaire, ou comment s’asseoir sur l’éthique

[Source : Contrepoints]

Par Patrick de Casanove

Le pass sanitaire est une atteinte aux droits naturels.

Le gouvernement a fini par réussir à imposer le pass sanitaire. En transformant le  passeport vaccinal en pass sanitaire, moins fermé, il tient formellement parole sur  la non-obligation vaccinale. Pour cela il intègre d’emblée la guérison naturelle de l’infection et la possibilité d’un test négatif.

Grâce à cela, il court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le pass implique, et il essaie d’éviter de braquer ceux qui ne veulent pas être vaccinés.

Pour la vaccination, il agira par d’autres voies. En créant un seuil à partir duquel le pass sera obligatoire, il ne serre pas trop le nœud coulant pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.

Si les Français avaient compris le passeport vaccinal comme non éthique, cela aurait suffi pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, les argumentations contre le dispositif tournaient donc essentiellement autour de questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques, comme la possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner.

Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiques et logistiques, alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.

Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un pass sanitaire qui ne l’est pas non plus.

LE PASS EST LIBERTICIDE

L’argument pour le pass consiste à dire qu’il autorise un « retour à la vie normale ». Il repose sur l’émotionnel. Une vie de soumission ne saurait être normale. Le pass est présenté comme une libération bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition ni manipulation.

Affirmer que les gens seront libres avec le pass, ou qu’il permettra leur libération est une perversion des mots qui perdent leur sens.

Affirmer que les individus seront libres avec le pass sanitaire, mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que par conséquent ce refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.

Imposer le pass sanitaire au nom d’une prétendue libération est immoral. Un droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti-Covid, au motif que d’autres vaccins sont obligatoires pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.

Le pass sanitaire n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec la liberté. Cet ersatz est tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières ni de la distanciation sociale, ces fameuses jauges.

Le pass sanitaire ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.

LA LIBERTÉ EST UN PRINCIPE

La liberté n’a pas de contrepartie. Elle est un principe, qui plus est fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit énonce :

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Il ne faut pas reculer sur la liberté. Elle implique la responsabilité individuelle,  nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric BastiatLa Loi (1848). Détruire la liberté détruit l’Homme.

LE PASS PORTE ATTEINTE À L’ÉCHANGE

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société – Frédéric Bastiat, Échange (1850)

L’échange est un droit naturel comme la propriété.[…] priver [ tout citoyen] de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs […] c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice – Frédéric Bastiat – Association pour la liberté des échanges (1846)

Le pass est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.

LE PASS EST DISCRIMINATOIRE

L’étatisme parque les gens dans des cases. En attendant mieux, ou pire… il crée deux catégories de citoyens. Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, tout l’appareil étatique est mobilisé. Mais il ordonne la discrimination.

Même l’ONU est mobilisée contre la discrimination en attendant un ausweis mondial qui est bien parti.

Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau, mais la discrimination par la Covid est désormais légale aujourd’hui dès l’instant où mille personnes peuvent se rassembler.

Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.

SON OBJECTIF EST LE CONTRÔLE DES POPULATIONS

La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un ausweis est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteuses d’autres maladies infectieuses mais elles sont privées de ces libertés si elles ne peuvent pas prouver qu’elles n’ont pas la Covid. Il s’agit bien de politique.

Pour l’État, l’important n’est pas le contrôle de la Covid. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.

L’Europe a été son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un pass sanitaire sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. Une fois de plus l’Europe trahit ainsi ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes, ce qui confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.

Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.

Le pass sanitaire, peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict. Il existe des risques que ce pass finisse par ne pas concerner uniquement la Covid.

Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement citoyen des individus, écoresponsables comme il se doit, le comportement des entreprises citoyennes, elles aussi écoresponsables et solidaires, le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.

C’est la porte ouverte au crédit social. Si les Français ne peuvent plus se rendre en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois : les Chinois ne se mêlent pas de politique, ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruines.

Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du pass. Il suffit de constater que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le pass sanitaire : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.

À côté du pass lui-même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son  passeport vert mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.

Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression et celle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non-respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! » 

C’est le nec plus ultra du totalitarisme.

Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce pass ou un équivalent sans directive étatique. Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.

LA CAPTATION D’INFORMATIONS

Israël a montré le chemin. Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire par essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?

La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.

OUVRIR LES YEUX

Nous avons vu que le pass est une atteinte aux droits naturels qui s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’une petite atteinte. Le niveau de résilience ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la spoliation légale que l’État leur inflige.

Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un droit naturel est grave. Toute atteinte à un droit naturel les détruit tous.

Les droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La liberté c’est l’Homme. Détruire ses droits naturels c’est nier son humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le christianisme avaient fait de l’individu une personne, c’est fini.

S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins, sont morts abandonnés. Leurs proches ont été privés des rites funéraires propres à l’Homme à cause de réglementations étatiques délibérées.

En ce sens la crise créée par les politiques est un bouleversement extrêmement profond, social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales.

Cela traduit bien un changement absolu de notre société, dans ses fondations, ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à son fonctionnement harmonieux. C’est un changement civilisationnel.




Les expériences sur les enfants de moins de 12 ans se poursuivent sans accroc…

Par Alain Tortosa

La firme allemande BioNTech (dont les produits sont commercialisés par Pfizer) a massivement testé ses injections expérimentales d’ARNm en Israël avant de les poursuivre pour partie en Pologne pour les enfants…

Nostalgie quand tu nous tiens…

Les premières expérimentations de la thérapie génique à ARN Messager ont débuté en mars sur les enfants de moins de 12 ans.

Pourquoi « vacciner » les enfants ?

Pfizer(([1] https://www.pfizer.com/science/coronavirus/vaccine/additional-population-studies)) répond sans se cacher à la question :

« Les enfants doivent-ils être vaccinés pour que le monde atteigne l’immunité collective contre le SRAS-CoV-2 ? »

« Les enfants de moins de 15 ans représentent 26 % de la population mondiale. Nous pensons que la vaccination réussie des enfants contribuera à la protection contre le COVID-19 si le vaccin s’avère efficace dans cette population. »

Pfizer confirme qu’il n’y a strictement aucun bénéfice pour les enfants.

L’idée est qu’elle pourrait participer au mythe de l’immunité vaccinale de masse contre le Sars-Cov2.

Bref l’unique raison est mathématique(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210101-vaccination-sacrifice.pdf)) comme je l’avais déjà écrit il y a plus de 5 mois.

Rapport bénéfice vs risque

USA Today le confirme en indiquant que :

« Les enfants sont moins susceptibles que les adultes d’avoir un cas grave de COVID-19, donc les sociétés pharmaceutiques essaient de minimiser les effets secondaires des “vaccins” tout en maximisant les avantages ».

Plusieurs points de cette phrase sont très intéressants :

  • « essaient de minimiser les effets secondaires des vaccins. » Cela confirme qu’il y a bien des effets secondaires y compris pour des enfants (et d’autant plus pour une thérapie totalement expérimentale).

Et

  • « tout en maximisant les avantages » Alors que les avantages pour les enfants sont nuls.

Il est donc officiellement reconnu que le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour les enfants ne peut qu’être défavorable, car le bénéfice est nul.

Nous sommes ainsi dans le même cadre que les « bébés médicament »…

Quelle sécurité, quel objectif ?

Il a été décidé (par une dictature mondiale) que tous les enfants de la planète seraient donc utilisés pour uniquement protéger des vieux riches occidentaux en fin de vie.

  • Je ne parlerai pas du fait qu’il existe des traitements efficaces préventifs et curatifs contre le Covid.
  • Je ne parlerai pas du fait que rien ne prouve que la vaccination permettrait d’éradiquer ce virus et d’autant plus que ces « vaccins » n’éliminent pas la propagation du virus. Nous en avons la preuve du fait de vaccinés contaminés même après leurs 2 doses.
  • Je ne parlerai pas des effets secondaires graves et des décès, qui même s’ils sont minimisés ou même parfois niés par nos autorités sanitaires, existent pour des adultes en bonne santé.
  • Je ne parlerai pas des risques à long terme qui sont totalement inconnus comme les risques de maladies auto-immunes ou de cancers.

Durée de l’étude sur les enfants cobayes :

Les données officielles(([3] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04816643?term=NCT04816643&draw=2&rank=1)) de cette étude de phase 1 sur les enfants indiquent qu’elle a débuté fin mars 2021 (de cette année donc).

Que la fin d’intervention, c’est-à-dire le moment à partir duquel Pfizer BioNTech ne sera plus actif, mais uniquement dans l’observation est fixé au 4 mars 2022 soit environ un an plus tard !

Que la fin de cette phase 1 est fixée au 1er septembre 2023 soit deux ans et demi après les premières injections sur de jeunes enfants.

Quand ces injections expérimentales seront autorisées en masse pour les enfants de moins de 12 ans ?

UsaToday(([4] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/)) indique :

« Si ces essais prouvent l’innocuité et la réponse immunitaire, les entreprises prévoient de demander l’autorisation fédérale en septembre ou octobre (2021) pour fournir le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans, et un peu plus tard à l’automne pour les plus jeunes.» (c’est-à-dire dès 6 mois).

Les injections pour les enfants devraient donc probablement débuter en septembre 2021 soit 6 mois après les tout premiers essais chez les moins de 12 ans et donc 2 ans avant la fin de l’étude !

Qui sont les participants ?

« Ces essais incluront 4 500 volontaires dans les trois groupes d’âge aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne. Les organisateurs des essais s’efforcent d’assurer une diversité de participants aux essais, a déclaré la société. »(([5] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/))

« Un enfant recevra un placebo pour deux qui reçoivent le vaccin actif. Les enfants qui reçoivent le placebo auront la possibilité de recevoir les injections actives si le vaccin est autorisé dans les six mois suivant leur participation. »

Notez un point important, la commercialisation est prévue 6 mois après le début de l’essai qui dure 2 ans et demi.

Mais ceux qui ont reçu le placebo pourront donc demander le vaccin actif dès la commercialisation.

Il est plus que probable que les « allumés » ou les « désespérés » qui ont fait de leurs enfants des cobayes vont demander à les injecter dès que possible.

De fait il ne sera plus possible de comparer les effets à long terme des vaccins vs placebo.

… De l’art de faire disparaître les preuves du crime !

(À noter qu’il y avait la même disposition pour les adultes.)

Karine Lacombe et la « vaccination » des enfants

Le docteur Lacombe, plus présente dans les médias qu’avec ses patients, a déclaré hier 9 juin 2021 sur FranceInfo que la vaccination des enfants n’était qu’un « geste altruiste », confirmant que les enfants n’ont rien à y gagner médicalement parlant.

Mais qu’ils auraient « un bénéfice à la vaccination » !

Si, si, car grâce à la « vaccination » des enfants, l’épidémie disparaîtra (on peut rêver) et ainsi les mesures coercitives et dictatoriales (elle n’a pas utilisé ce terme) à leur encontre seront levées.

Nous sommes toujours dans le chantage à la liberté pour « convaincre ».

Elle a aussi été en capacité de noter qu’il y avait le problème du consentement qui n’était pas possible pour des enfants et que les parents devraient prendre la décision à leur place (à quand des procès à l’encontre de leurs parents, d’enfants devenus majeurs et ayant des séquelles graves ?).

Et de conclure avec sa logique « qu’il fallait vacciner les enfants ».

Je profite de ma tribune pour rappeler que Mme Lacombe a encore « oublié » d’énumérer ses conflits d’intérêts alors que la loi le lui oblige et que le « journaliste » qui lui a encore déroulé le tapis rouge, a aussi « oublié » de le lui rappeler.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de vous rapporter ses propos sur l’hydroxychloroquine.

Selon elle, il ne doit pas y avoir de débats scientifiques sur la molécule.

En discuter relève de la désinformation et de la fakenews !

Il n’y a aucun doute sur le fait que la molécule est inefficace et dangereuse comme le prouvent toutes les études (financées par les labos, mais pas les autres ?).

Il devrait de fait être interdit de communiquer sur ladite molécule pour ne pas tromper les Français.

Je vous rappelle que cette brave dame est quand même rémunérée notamment par Gilead et qu’elle a fait la promotion du Remdesivir, dès le début de la crise, tout en crachant sur l’hydroxychloroquine. Remdesivir dont l’inefficacité et la dangerosité ne sont plus à prouver.

Elle demeure pourtant toujours invitée comme intervenante respectable, compétente et intègre !

Fauci

Pendant ce temps et à quelques jours d’intervalle, la chaîne Fox News(([6] https://twitter.com/CuendetV/status/1401832873515225090)) (Accessible par 87,2 millions de ménages américains, elle est la chaîne d’information câblée la plus regardée aux États-Unis devant ses concurrentes CNN et MSNBC)(([7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Fox_News_Channel)) honnie comme il se doit par les médias corrompus français fait la part belle au scandale des mails du Dr Fauci qui a fait de son mieux pour faire disparaître l’hydroxychloroquine.

Le Dr Fauci est celui qui a transformé le Covid en fléau, obligé les masques, empêché l’HCQ, etc., etc. Les informations sortent suite à une fuite de plusieurs milliers de mails dont le Dr Fauci ne semble pas remettre en question leur véracité.

Il a de plus été confirmé sur la chaîne Fox News que la molécule était extrêmement efficace et qu’elle aurait pu sauver la vie de 450 000 personnes !

Bref un scandale international comme nous en avons rarement vu.

À noter que cet homme, d’une grande modestie, aurait déclaré(([8] https://news-24.fr/le-dr-fauci-appelle-a-pousser-son-licenciement-absurde-et-fait-rage-lorsque-vous-lattaquez-vous-attaquez-la-science/)):

« Donc, si vous essayez de m’attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous attaquez vraiment non seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science. »

Le scandale prend de l’ampleur(([9] https://www.youtube.com/watch?v=C1RHyr6U9MY)) sauf en France où l’AFP dit aux médias ce qu’ils doivent en penser et en dire pour continuer à manipuler massivement nos concitoyens sidérés(([10] https://www.leprogres.fr/sante/2021/06/07/masques-hydroxychloroquine-ce-que-contiennent-les-mails-du-scientifique-americain-anthony-fauci))

Bref, j’attends avec impatience que justice se fasse.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a déclaré quant à lui(([11] https://crowdbunker.com/post/mRbjlFD3a2Q7u)):

« La vaccination de masse crée les variants et est une énorme erreur scientifique et une faute médicale…
C’est effectivement la vaccination qui a créé les variants…
Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination…
Je refuse d’être vacciné, je dis aux 200 000 généralistes, comportez-vous en médecins et pas en moutons. »

Nous vivons une époque dans laquelle la parole d’un animateur de l’émission « TPMP » sur C8 est plus crédible qu’un prix Nobel. L’animateur est applaudi tandis que le prix Nobel est ridiculisé…

Indifférences face à la vaccination des enfants

À part nous, qui sommes qualifiés d’irresponsables ou de complotistes, tout le monde politique, médiatique, scientifique ou médical a l’air de trouver que la vaccination des enfants est un non-événement et une évidence.

Nous nous apprêtons à injecter à des centaines de millions d’enfants des produits 100 % expérimentaux dont nous ignorons tout pour un bénéfice reconnu NUL !

Nous savons donc qu’ils vont tuer des enfants pour rien (même si c’est évidemment toujours pour rien), mais ce que l’on ignore c’est dans quelle proportion et dans quel délai !

Ces enfants ne sont que des cobayes, des sujets d’expérimentation, une manne financière… ou pire…

Nous vivons sur une planète où il n’y a plus la moindre éthique, plus aucun sens du bien ou du mal.

Plus aucune référence aux horreurs du passé et aux crimes contre l’humanité.

Au fait, savez-vous que 1er septembre, la date de fin de l’étude sur les enfants, est la date anniversaire de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes ?(([12] https://www.herodote.net/1er_septembre_1939-evenement-19390901.php))

Avec la manipulation, le chantage et peut-être la vaccination obligatoire, adultes et enfants sont désormais les victimes d’une expérimentation humaine à une échelle jamais connue sans l’accord des personnes concernées !

Et quand nous verrons que l’épidémie ne disparaît pas malgré la vaccination massive, les « scientifiques » et « médias corrompus » accuseront les variants.

Il sera alors demandé de proposer une 3e puis une 4e dose de vaccins…

Jusqu’à quand le peuple suivra-t-il aveuglément ?

Sans doute jusqu’à ce qu’un drame se produise…

Merci.

Alain Tortosa

Le 10 juin 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210610-vaccination-enfants-cobayes.pdf





La réponse aux courriels de Fauci prouve que tout est faux, que la gestion des récits l’emporte sur la réalité, et que ceux qui sont au pouvoir le veulent ainsi

[Source : Aube Digitale]

En observant la couverture médiatique – ou l’absence de couverture – des courriels du Dr Anthony Fauci et de ce qu’ils signifient pour l’origine du coronavirus, on est frappé par le fait que tout est implacablement faux, des experts de la santé publique à la science.

Les courriels suggèrent notamment que Fauci s’est entendu avec Peter Daszak – chef de l’EcoHealth Alliance, qui a canalisé des fonds de recherche américains vers l’Institut de virologie de Wuhan – pour supprimer et écarter toute idée selon laquelle le virus responsable du Covid-19 pourrait ne pas avoir évolué naturellement.

En fait, M. Daszak a donné des interviews sur son travail en Chine tout au long de l’année dernière, et personne dans les médias n’a pensé à faire le lien. En d’autres termes, Donald Trump a dit que le virus venait de Chine et qu’il pouvait provenir d’un laboratoire, ce qui signifie qu’il était faux et raciste.

Ce n’est qu’un exemple, le plus récent et le plus aigu, de la victoire à tout prix de la narration sur la réalité. Des millions de morts, une destruction généralisée de l’économie, des changements tectoniques dans la société elle-même ? Petit prix à payer pour le “progrès” et assurer le “bon” résultat de l’élection de 2020, pourraient dire les fortifiants de Notre Démocratie, sans que personne ne sourcille. “Reconstruire en mieux !”, répète la presse à la place.

Trump en désaccord avec CNN est une menace mortelle pour la démocratie et la liberté d’expression, mais Biden disant à une journaliste qu’il préférerait l’écraser avec un camion électrique plutôt que de répondre à une question sur la guerre qui se déroule actuellement en Israël est une blague amusante, haha, comme c’est hilarant. Quel parfum de glace avez-vous commandé, monsieur ?

Cela peut sembler partisan à première vue, mais n’oublions pas qu’il s’agit des mêmes médias qui ont autrefois fièrement soutenu le récit des “ADM de Saddam” [Armes de Destruction Massive]. La vieille dichotomie entre démocrates et républicains ne fonctionne donc pas vraiment ici et, de plus, elle ne tient pas compte de la situation dans son ensemble.

Une société vraiment libre n’aurait pas de récits officielsa écrit la chroniqueuse australienne Caitlin Johnstone en début de semaine. Le fait est que les sociétés modernes ne sont pas libres, et que les récits officiels sont tout ce qu’elles ont. Où serait la légitimité de Joe Biden sans le récit de l’”insurrection” du 6 janvier au Capitole ?

Les fondateurs américains ont codifié le premier amendement parce qu’ils considéraient qu’une presse libre était nécessaire à une république libre. Pourtant, le complexe médiatique des entreprises et leurs homologues des Big Tech sont devenus les chiens de poche du pouvoir, et non ses chiens de garde. Même les agences, autrefois considérées comme neutres et objectives, sont dans le coup. AP a littéralement réécrit son manuel de style pour limiter l’utilisation du mot “émeute” l’été dernier. Reuters a “vérifié les faits” en déclarant que l’éloge funèbre de Robert Byrd par Biden était faux parce que le sénateur démocrate n’était pas un “grand sorcier” du KKK mais simplement un “cyclope exalté”.

Ce remplacement orwellien des faits par des récits conditionne le public à se faire l’écho de l’infâme défense d’Hillary Clinton à propos de Benghazi : “Quelle différence, à ce stade, cela fait-il ?”.

Les “faits” ne signifient rien pour cette foule. La “science” n’est pas [pour elle] un processus rigoureux de recherche de la vérité, mais un mot-totem invoqué pour conférer l’autorité et bannir la dissidence. La “vérité” est ce qu’ils déclarent être à ce moment-là, et lorsque cela ne leur convient plus, ils reviennent en arrière sans vergogne et réécrivent leurs propres mots, en prétendant depuis le début que c’est ce qu’ils ont toujours cru. Oui, c’est littéralement un comportement orwellien, mais ils ne semblent pas s’en soucier.

Après tout, qu’allez-vous faire, changer de chaîne ? En fait, c’est ce qui se passe. Mois après mois, les rapports d’audience montrent que CNN et MSNBC se font nettoyer par Fox News – et Tucker Carlson en particulier. La réponse est de tripler le nombre de sujets woke et de points de discussion démocrates, tout en menant un véritable jihad contre Fox pour “désinformation”.

Il est donc insensé de penser que les médias reviendront à la raison lorsque la réalité de l’audimat leur sautera aux yeux. Ils n’en ont tout simplement rien à faire. Se pourrait-il qu’ils ne se soucient pas tant de l’argent que du pouvoir ? Et pas seulement la proximité du pouvoir politique, mais le pouvoir de façonner et de contrôler la réalité elle-même, de refaire la société selon leurs idées utopiques. Même en supposant que ces idées soient bonnes – et c’est discutable dans le meilleur des cas – ce genre de pouvoir corrompt absolument, pour reprendre l’expression de Lord Acton.

Les médias sont censés être un moyen par lequel le public perçoit collectivement la réalité – et non les créateurs de la réalité elle-même ! Pourtant, ils agissent comme si cette dernière était vraie et voulue. C’est dangereux. Ils se croient maîtres de la réalité, au point qu’il est impossible de les raisonner. Confrontez-les à des faits réels, à des principes ou à des lois de la physique, et ils vous censurent – ou bien ils ricanent et continuent.

Le comportement de Biden commence à avoir du sens lorsque vous comprenez qu’il existe dans un monde imaginaire, entièrement imaginé par la presse et son équipe. Tout comme des milliers d’activistes, d’”ONG” et de consommateurs cultistes de subventions du gouvernement américain dans le monde entier. Comment atteindre ces personnes, qui ont intériorisé la “logique” de Qui/Qui ? C’est peut-être la question la plus importante à laquelle seront confrontés non seulement les États-Unis, mais le monde entier, très bientôt.

Traduction du Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




La synagogue de Satan

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

[Notes de Georges Gourdin :
Prenez le temps de lire cet article lumineux — et très rigoureusement documenté — de Mazetto qui vous apporte les clés pour comprendre la façon dont va le monde aujourd’hui.
Notre illustration à la une : Le Sabbat des sorcières, tableau de Goya (1798) qui nous dépeint un rituel de sorcellerie, dirigé par un Grand bouc, l’une des formes prises par le diable, qui officie lors d’un rituel de sacrifices d’enfants. Ce tableau avait été retenu par Juan Branco pour illustrer son site internet.]

[Ndlr : Mazetto évoque ici une secte particulière qui n’a rien à voir avec les synagogues en général.]

par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.

Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. 

Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666

C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama « l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666.(([1] Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18 )) Le nombre de la bête marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du second temple.

Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou Dönmeh(([2] https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh )) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle plus tard, avec Jacob Frank.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank )) Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.

Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale ou religieuse,(([4] « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui, Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. » (([Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22] )) en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes dans l’âme, ils prétendront être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte, qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.

La kabbale lourianique

L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–1572):(([5] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant, l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils, mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe primordiale de « la brisure des vases » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(([6] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111 ))

Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale, car, lors de la création, il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières « sefirot », les trois premiers vases — la Couronne (Keter), la Sagesse (Hokhmah), l’Intelligence (Binah) — disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(([7] https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique ))

Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(([8] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem )) la haute autorité en matière de kabbale le résume ainsi :

« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans la diaspora. »(([9] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68 ))

Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam.(([10] https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam )) Et ce sera au peuple élu qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.

On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité »(([11] https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss ))

Kabbale et satanisme

Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie, de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah », à savoir la descente en vue de l’ascension, la transgression en vue du repentir »(([12] Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192 – https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52 ))

Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« « Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la conclusion morale : puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous pécheurs. »(([13] Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462 ))

Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui (sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. »(([14] https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-Aliyah-Ascent.htm ))

Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a, officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance spirituelle intérieure de l’individu, et une « kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale pratique d’une bonne partie de magie « noire » — c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »

Il ajoute :

« Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens, particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(([15] Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d ))

Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la promotion faite chez des jeunes de la fête d’Halloween,(([16] https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s )) Hollywood a aussi, par l’entremise du star-system,(([17] https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-stars/ar-BB1acDMV )) tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de kabbale.(([18] D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403 )) Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses maîtres kabbalistes.

La cabale

C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui entre aujourd’hui dans sa phase ultime.

« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati » fondés par le jésuite Adam Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété : Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati, ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté et, en ce moment même, elle atteint son apogée. »(([19] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199 – https://1lib.fr/book/964237/8b5986 ))

L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :

« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(([20] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p. ))

Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir d’abord la Haskala,(([21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala )) les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn,(([22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn )) sous l’influence de Nicolai,(([23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai )) dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes,(([24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes )) l’ancêtre de l’Internationale communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(([25] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger )) de la perversion du judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(([26] https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-homosexuals-in-rabbinate.html ))

Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la Révolution française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(([27] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort )) et, aujourd’hui, le siège de la BCE(([28] https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ%C3%A9enne )) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté, depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.

Les crypto-sabbatéens

L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(([29] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz )) à son confrère Jacob Emden,(([30] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden )) qui l’accusa d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion », « mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal,(([31] https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal )) jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécut que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie cachée », il fit la révélation suivante :

« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer — je ne mentais donc pas — et nous sommes son peuple élu. Lucifer est bien vivant. »(([32] https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/n38/mode/2up ))

Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan, aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme

C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(([33] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21 )) pour écrire le Manifeste, selon les idées déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(([34] https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess )) fut, non seulement le mentor de Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non religieux. Le fait que son arrière-grand-père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen confirme la volonté d’empêcher la création d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la Déclaration(([35] https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917 )) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque d’appartenance à la Synagogue de Satan.(([36] https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG ))

Le règne du mensonge et de l’inversion

À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans continuent dévotement à faire le pèlerinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés, aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur Saint-Père franc-maçon, qu’ils considèrent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’ils ne perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé » du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël, malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti la médecine. Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le cas d’Albert Bourla,(([37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla )) PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller,(([38] https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html )) est compatible avec la santé, de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.

Israël, l’État sabbatéo-frankiste

Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la Première Guerre mondiale, il fallut à la cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(([39] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200 ))

Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street.(([40] https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf )) Quant à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu,(([41] https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara )) mais qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(([42] https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-after-antisemitism-claims )) cette simple vérité historique. C’est un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.

D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler, une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé « le prophète du Troisième Reich » et « magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(([43] Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163 ))

De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis, avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(([44] Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202 ))

Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :

Criminels de guerre juifs » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du « yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte aux monstres nazis.
 »(([45] Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 – https://1lib.us/book/5255692/918b9e ))

À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la critique, l’antisémitisme « nouveau »(([46] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme )) est apparu, incluant l’anti-sionisme.

Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant d’un « nouvel holocauste. »(([47] https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/ ))

Klaus Schwab, le sabbatéen

Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(([48] https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/ )) de collaborateurs nazis. Le groupe qui contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont les valeurs « humanistes » sont bien connues :

« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres phénomènes de ce genre feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège… à savoir, confondre les symptômes avec les causes… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(([49] https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?q=the+real+enemy ))

Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(([50] Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du monde supérieur de l’émanation divine (([atzilut]. La Torah que vénérent les vrais juifs, qu’ils appellent Torah de beriah (([de la création], fait partie d’un monde inférieur dans la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée. )) est restée un principe cardinal de la « sainte foi », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le monde… »(([51] Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162 ))

Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(([52] https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8 ))

666, la marque déposée

Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro contient la marque de la bête,(([53] https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/WO2020060606A1.pdf )) car le symbolisme est important chez les kabbalistes. L’internet des « corps »(([54] https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/ )) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner, qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »,(([55] Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes – https://1lib.us/book/5600763/a79838 )) remontent déjà à une vingtaine d’années. Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies de la génétique d’aujourd’hui.(([56] https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-genetique-a-portee-de-main/ ))

On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde transhumain, où Klaus Schwab nous promet que grâce à l’implant d’une puce électronique dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement, équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité. Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser toujours davantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à son époque, ne pouvait encore concevoir.

La fuite en avant

Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible : l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV‑2, sont aussi passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.

Mazetto


Notes de lecture :




« Ceci n’est pas un vaccin »

Par Lucien Samir Oulahbib


Dans ce moment surréaliste si douloureusement vécu, cette affirmation dans le titre n’est peut-être pas tant que cela une énième imitation de Magritte, mais l’illustration de notre triste réalité devenue même hyperréaliste, en ce sens où nous est imposé (en guise de « science » censée nous « éclairer » sur ce « réel » sanitaire) un trompe-l’œil : il s’agit en effet d’un modèle coercitif Canada Dry de perception et de comportement. La peinture présentée montre ainsi qu’une thérapie génique expérimentale (TGE) ayant une autorisation provisoire de mise sur le marché et appelée pompeusement « vaccin » aurait pour but de protéger non pas soi-même, mais « autrui » (nous pourrions lui faire du mal sans le savoir) ; ce qui implique déjà alors de ne plus percevoir ce « médicament vaccinal » comme ayant pour objet d’abord de protéger son porteur, mais d’empêcher qu’il puisse nuire, voilà la réalité (inédite) telle qu’elle nous est peinte. Et à laquelle il est sommé de croire sous peine d’être mis à l’Index..

Or, il s’avère que personne, pas même parmi les « positifs », n’est transmetteur sans symptômes (Fauci l’avouait il y a plus d’un an dans ses emails confortant ce qu’une docteure de l’OMS avait indiqué à la même époque — avant de se faire rabrouer — ainsi que l’Institut Pasteur), ce qui rendrait alors d’autant plus caduque la volonté de « vacciner » les enfants et adolescents. Ces derniers sont bien loin d’être les victimes majeures de cette maladie, celle-ci étant alimentée plutôt par le manque de soins préventifs précoces…

C’est donc bien ce détournement de fonction dudit « vaccin » (censé d’abord protéger son porteur) qui s’avère de plus en plus irréaliste, irresponsable, inconcevable, puisque tout le discours sur le côté principalement « asymptomatique » d’une maladie aux taux de létalité et mortalité infimes s’avère en réalité être de plus en plus faux…

Et pourtant cela n’empêche pas que des pseudo philosophes tels Enthoven et Onfray (par ailleurs guère connus comme étant des spécialistes en matière de santé) éructent des menaces, bien loin de leur posture maniérée en matière de tolérance stoïque de bon aloi. Exit donc Montaigne et Voltaire. Chassez le naturel, place à l’Inquisition au nom de « la » Morale (maximaliste pour le coup). Ne parlons pas d’un pseudo journaliste comme Patrick Cohen et d’autres encore, sans oublier nos deux « médecins » Dupont et Dupond — Alexandre et Marty — dont les visages défigurés par l’envie et la haine/jouissance solitaire dévoilent qu’ils deviennent le portrait craché que tentait en vain de cacher Dorian Gray dans son intimité.

Pourtant cela repart de plus belle en une GB de plus en plus « vaccinée », sans oublier les 1/1000 de myocardite chez les jeunes en Israël (comme l’indique le Courrier des Stratèges), comme si cette TGE inoculée avait pour but en réalité d’augmenter la fonction venimeuse du virus puisqu’il posséderait un « gain de fonction » permettant d’être mieux accepté par l’organisme humain. C’est en tout cas ce qui semble indiquer son séquençage selon Alexandra Henrion-Caude montrant dès novembre 2020 que ce « gain » aurait même été « breveté » : Fauci reconnaît l’existence de recherches liées à un tel « gain », tout en démentant le fait que sa participation financière au laboratoire P4 incriminé ait eu pour objet ce dernier… Pourtant, l’on ne voit pas vraiment comment dans une structure aussi opaque au sein d’un régime politique fait de la même matière la teneur des sommes allouées pourrait être vérifiée comme Fauci le prétend…

Mais peu importe, surtout s’il s’avère en tout cas qu’au fond ce « gain de fonction » peut faciliter la transmission du virus à l’organisme humain et que ledit « vaccin » est précisément structuré à partir d’une de ses parties (dont cette fameuse protéine Spike), car l’hypothèse se renforce en stipulant que ce virus à la réalité augmentée serait le levier permettant ce Grand Reset ou ce grand remodelage des sociétés urbaines contemporaines en route vers le tout numérique et le tout sanitaire, nos corps et esprits devenant le produit à manipuler fabriquer et vendre en même temps (le tout au nom également de la lutte contre le réchauffement climatique). « Vaccinés », nous voilà ainsi encore plus perméables à ce virus augmenté (puisque directement inoculé et non plus reçu aléatoirement), devenant donc dépendants de « l’antidote » que serait la « dose » [vaccinale] vendue, un peu comme dans les films de SF, ou plus prosaïquement à la façon des « addictions », alors qu’ayant des traitements précoces et prenant tout ce qu’il faut pour rester en bonne santé nous n’aurions pas besoin de tout cela en réalité…

Le « tout hygiéniste » formaté par la Secte Scientiste Affairiste (SSA) est ainsi parti à l’assaut global du dernier terrain vague supposé : nos corps qu’il faut littéralement programmer, baignant par ailleurs dans cette eau intellectuelle putride bien imaginée dansI-robot et Minority report, et que des pré-cyborgs en tête de gondole cherchent à nous vendre en guise d’élixir de vie.

Lucien Samir Oulahbib

Le 07/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe:
https://www.editions-harmattan.fr/livre-rhombe_les_nouvelles_eve_marie_marianne_les_nouveaux_adam_moise_jacob_lucien_samir_oulahbib-9782343233161-69943.html




Vacciner les enfants contre le covid serait « irresponsable, inutile et contraire à l’éthique »

Par Nicole et Gérard Delépine

DANGER : les enfants ne doivent pas être vaccinés par les pseudovaccins anticovid

À l’heure où l’épidémie est en voie de disparition en France, Europe et USA et que la divulgation des mails du DR Fauci montre qu’il a menti pour préparer le marché aux pseudo vaccins, il faut absolument faire échapper les petits à ces injections géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins, au sens classique du terme.(([1] Depuis Pasteur un vaccin se compose d’antigènes que l’on injecte pour stimuler la réponse immunitaire spécifique. Les pseudo vaccins actuels ne comportent pas d’antigène, mais un code génétique donnant des ordres à nos cellules.))

Les révélations scandaleuses qu’apporte la publication des mails de FAUCI arriveront-elles à temps à maturation pour stopper la folie vaccinale ? Ne vous étonnez pas en tous cas des gesticulations du pouvoir et des médias pour vous forcer à vous vacciner le plus vite possible, y compris les plus jeunes sous prétexte de passeport vaccinal ou autres mesures coercitives. Grâce à Macron, nous serons peut-être les derniers à l’abandonner, mais il disparaîtra en pratique, comme l’a prédit Eric Verhaeghe(([2] Pass sanitaire : Macron peut-il passer en force ? – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) dans un article récent du courrier des stratèges et nous même dès avril dernier,(([3] Delépine – Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée mondialisation.ca 9 avril 2021 https://www.mondialisation.ca/passeport-vaccinal-chronique-dune-mort-annoncee/5655350)) sa suppression début juin en Israël(([4] https://fr.businessam.be/trois-mois-apres-son-introduction-israel-na-deja-plus-besoin-du-passeport-vaccinal/)) et en bientôt en Grande-Bretagne(([5] https://jeminformetv.com/2021/06/01/le-pass-sanitaire-la-grande-bretagne-jette-leponge/)) le confirme.

Nous répétons depuis plus d’une année que les enfants et adolescents ne risquent rien du Covid(([6] Delépine – Les écoles doivent ouvrir comme prévu le 11 MAI 2020. Pas de danger, ni pour les enfants ni pour les adultes. Démonstration Agoravox 17/4/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-ecoles-doivent-ouvrir-comme-223390))

La littérature internationale démontre unanimement que les enfants ne contaminent ni les autres enfants ni les adultes côtoyés. Les quelques articles qui essaient de faire croire le contraire ne s’appuient que sur des données théoriques de laboratoires ou des simulations mathématiques fausses et jamais sur des études épidémiologiques dans le monde réel, les enseignants n’étant pas plus à risque de covid que la population générale (contrairement au jeu pervers de leurs syndicats qui ont tenté de le faire croire).(([7] Institut Pasteur COVID-19 DANS LES ÉCOLES PRIMAIRES : PAS DE TRANSMISSION IMPORTANTE DU VIRUS ENTRE ENFANTS OU VERS LES ENSEIGNANTS
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/covid-19-ecoles-primaires-pas-transmission-importante-du-virus-entre-enfants-ou-enseignants))

Même ceux qui prônent en France la vaccination pour les plus jeunes, le reconnaissent et font intervenir des arguments aussi malhonnêtes les uns que les autres.

Le plus ridicule propose la vaccination comme antidépresseur ! « Vacciner les enfants les ferait rentrer dans le sort commun (!) et donc « aiderait à leur reconstruction psychologique » ! Message pervers qui a le mérite de reconnaître qu’en tant que protection contre le covid, il n’a aucun rôle.

Une couverture vaccinale très élevée peut-elle empêcher les contaminations ?

Des apôtres de la vaccination covid des enfants veulent l’imposer pour obtenir la couverture vaccinale la plus élevée possible(([8] dont on sait avec l’exemple de la rougeole qu’elle est incapable d’éradiquer le virus)) dans le but officiel de sauver les personnes âgées. Mais les pays qui ont les plus hauts taux mondiaux de couverture vaccinale comme le Bhoutan (96 %), Gibraltar (>100 %) ou les Seychelles (>70 %) ont été victimes de graves flambées épidémiques post vaccinales ainsi que le montrent les courbes suivantes publiées par l’OMS(([9] Sur son site officiel WHO Covid19 Dashboard)) commentées par nos soins en rouge.

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Une couverture vaccinale même très élevée paraît donc incapable de prévenir les contaminations.

Quant à la protection des anciens comme argument ? Ces mêmes personnes âgées auxquelles on a refusé les traitements précoces efficaces et donné facilement le Rivotril « pour les soulager » et, de fait, les euthanasier intéressaient-elles le pouvoir ? Pourtant, environ dix mille personnes(([10] France Soir Chronique N°52 — « La sur prescription des 3 benzodiazépines injectables Rivotril®, Valium® et Tranxène®, a coïncidé avec les pics de décès de résidents dans les EHPADs, ce qui interroge »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg52-la-surprescription-des-3-benzodiazepines-injectables-rivotrilr)) pourraient ainsi être décédées dans les EHPAD avec l’aide de ce « merveilleux » médicament interdit aux insuffisants respiratoires et donné larga manu grâce au décret de fin mars 2020 de Édouard Philipe-Véran renouvelé en octobre et récemment le 1er juin 2021…

Qu’en est-il ?(([11] 40+ Doctors Tell UK Drug Regulators: Vaccinating Kids for COVID is ‘Irresponsable, Unethical and Unnecessary’ • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

APPEL DE MÉDECINS À LEURS GOUVERNANTS AU ROYAUME-UNI

« vacciner les enfants contre covid est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » »

Dans une lettre ouverte adressée à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé,(([12] Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) executive agency of the Department of Health and Social Care in the United Kingdom which is responsible for ensuring that medicines and medical devices work and are acceptably safe.)) plus de 40 médecins, médecins et scientifiques au Royaume-Uni affirment que les enfants sont plus vulnérables aux effets potentiels à long terme des vaccins CONTRE LA COVID.

Le groupe a déclaré qu’aucune personne de moins de 18 ans ne devrait être vaccinée contre la COVID, car les preuves montrent que le virus ne présente aucun risque pour les enfants en bonne santé. Lettre écrite en réponse à des documents divulgués du service national de santé du Royaume-Uni détaillant comment les autorités sanitaires britanniques prévoient de vacciner les enfants de plus de 12 ans.

Selon les documents du service de santé, des enfants dès l’âge de 5 ans pourraient être vaccinés dès juillet 21 — une mesure qui, selon le gouvernement, « pourrait être nécessaire pour réduire les cas de COVID alors que les confinements se lèvent dans tout le pays ». Pourtant les enfants ne transmettent pas et l’épidémie européenne s’effondre.

De hauts responsables anglais viennent, de plus, d’avouer officiellement avoir truqué les chiffres et instrumentalisé la peur pour imposer les mesures dites sanitaires qui convenaient aux politiques. Vont-ils poursuivre leurs mensonges ?(([13] Covid: des scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la « peur » pour faciliter le contrôle de la population ! — Le Libre Penseur
« Dans un long article The Telegraph révèle que des « scientifiques du comité (SPI-B) qui a encouragé l’utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de covid ont admis que leur travail était ‘’contraire à l’éthique ‘’ et ‘’totalitaire ‘’ ».
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson))

Les auteurs de la lettre ont rappelé que le risque de décès par COVID chez les enfants en bonne santé est de 1 sur 1,25 million. Les pseudovaccins géniques contre la COVID sont responsables des accidents vasculaires cérébraux dus à des thromboses veineuses cérébrales chez les personnes de moins de 40 ans — conclusion qui « a conduit à la suspension de l’essai pour enfants Oxford-AstraZeneca », ont précisé les auteurs. Ils précisent :

« les enfants ont une vie devant eux, et leurs systèmes immunologique et neurologique sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes. »

Sommes-nous vraiment au temps des apprentis sorciers, des joueurs de roulette russe ou bien le mythe de Faust a -t-il hanté nos dirigeants, mais aussi les populations étrangement soumises à cette intoxication par injection d’une substance qui peut transformer notre ADN voire celui des générations suivantes. Nul ne sait et c’est bien le plus invraisemblable. Dans le monde qui a inscrit il y a peu le principe de précaution dans la Constitution, où les mots environnement, futur de la planète reviennent à toutes les sauces, où des arracheurs d’OGM purgent encore leur peine, ceux qui achètent bio et chassent l’OGM de leur savon ou de leur shampoing se font injecter le poison qui les transformera au minimum en humains OGM. Bravo les communicants ! Vous avez transformé nos écolos et leurs adeptes, une bonne partie de la population, en défenseur de l’Homme OGM… Vous êtes très forts.(([14] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut lire cette lettre in extenso : « Covid-19 Child Vaccination: Safety and Ethical Concerns — An Open Letter From UK Doctors to Dr. June Raine, Chief Executive, MHRA » :

« Nous souhaitons vous informer de nos graves préoccupations concernant toutes les propositions visant à administrer des vaccins contre la COVID-19 aux enfants. Des documents gouvernementaux récemment divulgués suggèrent qu’un déploiement du vaccin contre la COVID-19 chez les enfants de plus de 12 ans est déjà prévu pour septembre 2021, et la possibilité que des enfants d’à moins de 5 ans soient vaccinés en été dans le pire des scénarios ».

Nous avons été profondément troublés d’entendre plusieurs représentants du gouvernement et du SAGE(([15] Leur comité scientifique conseiller du gouvernement anglais :
Le SPI-B est l’un des sous-comités qui conseille le Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef de Boris Johnson)) appeler dans les médias à ce que le déploiement du vaccin contre la COVID-19 «se tourne vers les enfants aussi vite que possible ». Le Matériel pédagogique distribué aux écoles de Londrescontient des questions « chargées d’émotions et inexactitudes ».

Manipulation des responsables syndicaux enseignants qui eux-mêmes manipulent les enfants

Il y a eu un langage troublant utilisé par les dirigeants syndicaux enseignants, qui conduit à la coercition des enfants pour qu’ils acceptent les vaccins contre la COVID-19.

La pression des pairs dans les écoles devrait être encouragée selon les directives gouvernementales relayées par les syndicats. Pourtant la coercition visant à faire accepter un traitement médical est contraire aux lois et déclarations britanniques et internationales.(([16] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Passer par les enfants est particulièrement minable, méprisable et illégal. La pression sur les enfants ne peut pas être acceptée selon la charte des droits de l’enfant.

« Une telle rhétorique est irresponsable et contraire à l’éthique, et encourage le public à exiger la vaccination des mineurs avec un produit encore au stade de la recherche et dont aucun effet à moyen ou long terme n’est connu, contre une maladie qui ne présente aucun risque matériel pour eux. Un résumé de nos motifs est donné ci-dessous et une explication plus détaillée et entièrement référencée est disponible. » dit la lettre adressée aux instances médicales gouvernementales anglaises.

Les auteurs listent ensuite les risques et avantages dans les traitements médicaux. Citons quelques réflexions majeures.

NE PAS REPRODUIRE LES TRAGÉDIES PASSÉES AVEC D’AUTRES VACCINS COMMERCIALISÉS À LA HÂTE

«  Nous devons veiller à ce que les tragédies passées qui se sont produites ne se reproduisent pas, en particulier lorsque les vaccins sont mis sur le marché à la hâte.

Par exemple, le vaccin contre la grippe porcine Pandemrix, déployé à la suite de la pandémie de 2010, a entraîné plus d’un millier de cas de narcolepsie, lésion cérébrale dévastatrice, chez les enfants et les adolescents, avant d’être retiré.

Le Dengvaxia, vaccin contre la dengue, a également été déployé sur les enfants avant les résultats complets de l’essai, et 19 enfants sont morts d’une possible détérioration dépendante des anticorps (ADE) avant le retrait du vaccin.(([17] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen)) Une répétition de cette situation avec les vaccins contre la COVID-19, aurait non seulement un impact sur les enfants et les familles touchés, mais aurait également un effet extrêmement dommageable sur le taux de vaccination en général ».

En France aussi, des médecins pro-vaccination craignent l’impact négatif des effets dommageables de la pseudo vaccination anticovid quand l’étendue des effets délétères sera connue, car l’acceptation facilitée par la confusion entre vaccin habituel et « vaccin » covid se retournera dans l’autre sens. Il sera trop tard pour que les gens confiants et trompés admettent leur erreur (difficile à sortir d’une conviction même devant les preuves, car mentalement on se détruit intérieurement) et ils risquent de rejeter en bloc les vaccins.

« Aucune intervention médicale ne devrait être introduite sur une base « taille unique (…). Cette approche a été décrite en octobre dernier par la chef du Groupe de travail gouvernemental sur les vaccins, Kate Bingham ». Elle avait déclaré : « nous devons simplement vacciner toutes les personnes à risque. Il n’y aura pas de vaccination des moins de 18 ans. Il s’agit d’un vaccin réservé aux adultes, destiné aux personnes de plus de 50 ans, qui se concentre sur les travailleurs de la santé, les travailleurs des foyers de soins et les personnes vulnérables. Les enfants n’ont pas besoin d’être vaccinés pour leur propre protection ».

« L’immunité acquise naturellement donne une immunité plus large et plus durable que la vaccination. En effet, de nombreux enfants seront déjà immunisés. Les enfants à très haut risque peuvent déjà se faire vacciner pour des raisons humanitaires. Les enfants n’ont pas besoin de vaccination pour soutenir l’immunité collective ».

PRÉOCCUPATIONS À COURT TERME EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ DES « VACCINS » ANTICOVID

Selon la lettre adressée au MHRA (réf 12)

« Au 13 mai, le MHRA 22 avait reçu un total de 224 544 événements indésirables, dont 1 145 décès en lien avec les vaccins contre le SARS-CoV-2. Les rapports d’accidents vasculaires cérébraux dus à la thrombose veineuse cérébrale initialement en faible nombre, mais à mesure que la sensibilisation augmentait, de nombreux autres rapports ont conduit à la conclusion que le vaccin AstraZeneca ne devrait pas être utilisé pour les adultes de moins de 40 ans. Cette conclusion imprévue a également conduit à la suspension de l’essai pour enfants d’Oxford AstraZeneca.

Des événements similaires ont été notés avec les vaccins Pfizer & Moderna sur le système américain de déclaration des effets indésirables (VAERS) et il est probable qu’il s’agisse d’un effet lié à la production de protéine Spike. »

« Les nouvelles lignes directrices du Royaume-Uni sur la prise en charge de la thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin (VITT) incluent tous les vaccins contre la COVID-19 dans leurs préconisations. La possibilité d’autres problèmes de sécurité inattendus ne peut être exclue.

En Israël, où les vaccins ont été largement déployés auprès des jeunes et des adolescents, le vaccin de Pfizer a été associé à plusieurs cas de myocardite chez de jeunes hommes et des préoccupations ont été soulevées au sujet de rapports faisant état d’une altération des cycles menstruels et de saignements anormaux chez les jeunes femmes après le vaccin. »

Les décès signalés aux USA chez des enfants vaccinés inclus dans des essais inquiètent les médecins anglais

« il y a maintenant eu un certain nombre de décès associés à la vaccination signalés au VAERS aux États-Unis, bien que les vaccins ne soient administrés qu’aux enfants dans le cadre d’essais et d’un déploiement très récent aux 16-17 ans ».

PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ À LONG TERME

« Tous les essais de phase 3 du vaccin contre la COVID-19 sont en cours et ne devraient pas se terminer avant la fin de 2022 ou le début de 2023. Les vaccins sont EXPÉRIMENTAUX et ne disposent que de données limitées à court terme et de données à un peu plus long terme sur l’innocuité pour les adultes. En outre, beaucoup utilisent une toute nouvelle technologie de vaccin à ARNm, qui n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation chez l’homme. L’ARNm est effectivement un promédicament et on ne sait pas combien de protéine Spike un individu produira.

Les effets potentiels d’apparition tardive peuvent prendre des mois ou des années pour devenir apparents. Les essais limités sur les enfants entrepris à ce jour sont totalement sous-renseignés pour éliminer les effets secondaires rares, mais graves ».

Insistons avec nos collègues anglais :

Les enfants ont la vie devant eux, leurs systèmes immunologiques et neurologiques sont encore en développement, ce qui les rend potentiellement plus vulnérables aux effets indésirables que les adultes.

« Un certain nombre de préoccupations spécifiques ont déjà été soulevées, y compris les maladies auto-immunes et les effets possibles sur le placenta et la fertilité. Un article récemment publié a soulevé la possibilité que les vaccins contre la COVID-19 à ARNm puissent déclencher une maladie neurodégénérative à base de prions. Tous les risques, connus et inconnus, doivent être mis en balance avec les risques de COVID-19. »

Le serment d’Hippocrate dit : « d’abord ne pas nuire », devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

« Les données probantes actuelles et disponibles montrent clairement que le calcul du risque par rapport aux avantages ne soutient PAS l’administration de vaccins précipités et expérimentaux contre la COVID-19 aux enfants, qui n’ont pratiquement aucun risque de COVID-19, mais qui font face à des risques connus et inconnus liés aux vaccins ».

La Déclaration des droits de l’enfant dit :

« l’enfant, en raison de son immaturité physique et mentale, a besoin de garanties et de soins spéciaux, y compris d’une protection juridique appropriée ». En tant qu’adultes, nous avons le devoir de protéger les enfants contre des préjudices inutiles et prévisibles.

La fin des essais de phase 3 actuels devrait au moins être attendue ainsi que plusieurs années de données sur l’innocuité chez les adultes, afin d’exclure ou de quantifier tous les effets indésirables potentiels.

Les auteurs de la lettre au MHRA concluent :

« nous appelons nos gouvernements et les régulateurs à ne pas répéter les erreurs de l’histoire et à rejeter les appels à vacciner les enfants contre la COVID-19. Une extrême prudence a été exercée sur de nombreux aspects de la pandémie, mais c’est certainement le moment le plus important pour faire preuve d’une véritable prudence nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par la précipitation et la peur, inutiles, met en péril la santé des enfants. »

COMPLÉTONS CETTE ANALYSE ANGLAISE PAR LES RAPPORTS AMÉRICAINS SUR LES ESSAIS INFANTILES(([18] COVID Vaccine Injury Reports Among 12- to 17-Year-Old More Than Triple in 1 Week, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Regardons d’abord l’ensemble des signalements aux USA. Aux États-Unis, 281,6 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées au 21 mai 2021. Cela comprend 120 millions de doses du vaccin de Moderna, 152 millions de doses de Pfizer et 10 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la COVID.

Sur les 4 406 décès signalés en date du 21 mai, 23 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % dans les 24 heures et 38 % chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination.

Le nombre d’événements indésirables signalés à la suite de vaccins contre la COVID continue d’augmenter, selon les données publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) au 21 mai. Les données proviennent directement des déclarations soumises au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS).(([19] Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables d’un vaccin aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’incidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de libération))

Les données montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables totaux ont été signalés au VAERS, dont 4 406 décès — une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 accidents graves, en hausse de 3 009 par rapport à la semaine dernière.

CHEZ LES JEUNES

Les rapports d’incidents et accidents liés au vaccin antiCovid chez les jeunes de 12 à 17 ans ont plus que triplé en 1 semaine, selon les données de VAERS au 28 MAI

Les données ont montré 3 449 événements indésirables au total, contre 943 rapports la semaine précédente, chez les jeunes de 12 à 17 ans. Les données de cette semaine comprenaient 58 déclarations d’événements indésirables graves dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.

LES CDC ENQUÊTENT SUR LES PROBLÈMES CARDIAQUES CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES ADOLESCENTS APRÈS LE VACCIN CONTRE LA COVID

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation des CDC a publié un avis le 17 mai avertissant les médecins des rapports de myocardite qui semble survenir principalement chez les adolescents et les jeunes adultes, plus souvent chez les hommes que chez les femmes, plus souvent après la deuxième dose et généralement dans les quatre jours suivant la vaccination avec les vaccins Pfizer ou Moderna. La plupart des cas semblaient « bénins » et un suivi est en cours. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut entraîner une arythmie cardiaque et la mort.

Comme l’a rapporté The Defender le 26 mai, le Connecticut a signalé 18 nouveaux cas de problèmes cardiaques chez les adolescents qui avaient reçu un vaccin COVID. Les 18 cas ont entraîné une hospitalisation, la grande majorité pendant quelques jours, tandis qu’une personne était toujours hospitalisée le 26 mai.

Une recherche dans VAERS a révélé 419 cas de péricardite et de myocardite, parmi tous les groupes d’âge, signalés aux États-Unis après la vaccination contre la COVID entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai. Sur les 288 cas signalés, 247 cas ont été attribués à Pfizer, 151 cas à Moderna et 20 cas au vaccin COVID de J&J.

COMMENT CONVAINCRE DE LA NÉCESSITÉ DU VACCIN CHEZ L’ENFANT ?
SURESTIMER LES HOSPITALISATIONS POUR COVID : CQFD

Une étude menée par des chercheurs de Stanford a révélé que le comptage des infections au SARS-CoV-2 chez les enfants hospitalisés surestimait l’impact de la COVID dans les populations pédiatriques, car les chiffres incluaient de nombreux patients asymptomatiques. Sur 117 admissions à l’hôpital, les auteurs ont conclu que 53 patients (45 %) ont été admis pour des raisons non liées au virus. L’étude a également révélé que 39,3 % (soit 46 patients) codés comme étant atteints du SARS-CoV-2 étaient en fait asymptomatiques (personne saine ayant seulement un test PCR positif).

« Si nous nous fions aux résultats positifs des tests de SRAS-CoV-2 des hôpitaux, nous gonflons environ deux fois le risque réel d’hospitalisation de la maladie chez les enfants. »

Alors, ne nous laissons pas manipuler, la vie actuelle et l’avenir de nos enfants est en jeu ! Prenons le temps d’attendre ce que deviendra l’épidémie actuellement terminée en Europe et aux USA et les résultats des traitements précoces dont l’autorisation est indispensable.

Cette épidémie disparaîtra peut-être définitivement comme celle du SRAS et du Mers. Et si ce n’est pas le cas, attendons les résultats des essais et des « vaccinations » sur des milliards d’individus qui ont été précipités dans la vaccination par une propagande inégalée. Qui vivra verra. Souhaitons leur bonne chance.





Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


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Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde

Par Gérard Delépine

Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne(([1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) )) qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.(([2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.(([3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

Rappel des faits avérés publiés par l’OMS

Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).

ASIE

Au Népal, pays de 28 millions d’habitants

La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.

Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants

La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants

En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants

Amérique du Sud

En Colombie, pays de 50 millions d’habitants

pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.

Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

Chili, pays de 18 millions d’habitants

La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …

Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants

La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

Moyen-Orient

Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants

Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants

EUROPE

En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants

La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie

En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants

La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

Monaco, pays de 38000 habitants

comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

Gibraltar, 34000 habitants

: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

Les victoires à la Pyrrhus(([4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.)) israélienne et britannique

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

Le « moissonnage » vaccinal

Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.

Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.

En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

La régression naturelle de l’épidémie

Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.

La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?

La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.(([5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252))

Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.

ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES

Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.

L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.(([6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne))

LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE

La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ

Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.

MORATOIRE INDISPENSABLE

Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.





Le compte est bon ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

Par Pierre Chazal

Depuis que la planète Terre s’est transformée, à la faveur d’une campagne de promotion vaccinale à faire rosir d’envie Apple©, Levi’s© et Coca-Cola©, en salle de shoot à ciel ouvert pour toxicos du monde entier, il se dit aux quatre coins de la galaxie chez nos amis extra-terrestres que le moment est peut-être venu d’aller nous rendre une petite visite. Eux aussi, si ça se trouve, ont quelques gadgets à nous refourguer dont ils n’ont plus l’utilité. Une crème magique contre les coups de lune ? Un aspirateur à poussière d’étoiles ? Si sept milliards d’êtres humains sont aussi pressés de s’injecter un produit expérimental pour un virus respiratoire dont personne ne sait ce qu’il deviendra d’ici six mois, c’est que la came doit être d’une qualité interstellaire.

La sensation d’euphorie, le rush et/ou les hallucinations n’apparaissent pourtant pas dans la liste des effets secondaires déclarés jusqu’à présent. Lou Reed nous a quittés trop tôt pour nous livrer son sentiment. Eric Clapton, lui, est déjà passé à confesse et s’est même fendu d’une chanson. Il a récemment écrit dans une lettre reprise dans tous les aucun média mainstream : « J’ai pris la première piqûre d’AZ et j’ai tout de suite eu de graves réactions qui ont duré dix jours. J’ai fini par me rétablir et on m’a dit qu’il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième injection… Environ six semaines plus tard, on m’a proposé et j’ai pris la deuxième injection d’AZ, mais avec un peu plus de connaissance des dangers. Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis, pratiquement inutiles pendant deux semaines, je craignais de ne plus jamais jouer. Je souffre de neuropathie périphérique et je n’aurais jamais dû m’approcher de l’aiguille. Mais la propagande disait que le vaccin était sûr pour tout le monde… »

La pureté et l’innocuité du produit étant encore à l’étude jusqu’à la fin des essais cliniques (21 février 2023 pour AstraZeneca, 27 janvier 2023 pour Pfizer BioNTech), on attendra la confirmation de Dave Gahan et Keith Richards pour se prononcer sur la question. Tout ce qu’on sait, pour l’instant, c’est qu’on ne sait rien, pour paraphraser l’ami Montaigne. « Le monde est une branloire pérenne », écrivait-il dans ses Essais. Au vu des évènements de l’année écoulée, on ne s’amusera pas à le contredire.

Guérir, c’est prédire

Qu’adviendra-t-il, première question, du virus de Wuhan et de ses multiples rejetons dans les années à venir ? Un, deux, trois petits tours et puis s’en vont ? Dans l’éventail de prophéties à qui l’on fait faire la danse du paon sur tous les plateaux télé, c’est de loin l’hypothèse la moins souvent envisagée. Ce fut pourtant le destin des H1N1, H2N2 (grippe asiatique) H3N2 (grippe de Hong Kong), MERS et autres SRAS qui, il est vrai, n’étaient pas suspectés d’avoir foutu le camp d’un laboratoire. Rien ne permet pour autant d’établir avec certitude que la petite bête sévira pour les siècles à venir ni qu’elle fauchera tout sur son passage sous forme de variant chilien ou javanais dopé aux amphétamines.

Autre question – et non des moindres, quelle sera l’efficacité réelle des vaccins quand, à l’automne et l’hiver prochains, le temps des promos, des spots de pub, des écrans géants, des vaccinodromes et des injections en musique aura cédé la place au temps de la vraie compète, celle qui envoie irrémédiablement au tapis les malfichus et les malchanceux de ce monde sans égards particuliers pour leur passeport sanitaire ou leur foi inébranlable en Notre-Dame-du-Vaccin ? Selon Santé Publique France, les épisodes de grippe saisonnière ont causé en 2015, 2017, 2018 et 2019 respectivement 18 300, 14 400, 13 000 et 8 100 décès, pour des taux de couverture vaccinale de 46,1%, 50%, 49,7% et 51%. Difficile donc, en vérité, d’établir le prélude d’un début d’amorce de lien de causalité entre létalité et vaccination dans le cas particulier de l’influenza.

Notre Sars-Cov-2 est très différent, nous dit-on, ce que même Saint-Thomas ne demanderait qu’à croire. Le problème, c’est qu’après nous avoir foutu sur la gueule à H24 des masques complètement inutiles, vendu des confinements et des couvre-feux contreproductifs sur bien des points, un simple d’esprit serait tenté de ne pas cosigner des deux pieds la fable journalistique selon laquelle la campagne de vaccination massive aurait brisé net la dernière vague épidémique. Les courbes de décès et de contaminations se cassent la gueule aux quatre coins de l’Europe et de l’Amérique du nord avec des taux de vaccination pour le moins très disparates d’un pays à l’autre (32% de primo-vaccinés en France, 56% au Royaume-Uni, 9% en Macédoine, 3% en Biélorussie, 48% aux USA, 22% en Lituanie…), et la situation épidémique ressemble, presque au jour près, à celle d’il y a un an quand tout avait rouvert sans restrictions et sans vaccin. Il est vrai qu’il est difficile de vendre ce qu’on n’a pas encore en stock, et que ce qui valait hier pour les masques et les tests vaut aussi bien, aujourd’hui, pour les vaccins. Dans ce monde étrange qu’est devenu le nôtre, la ligne de démarcation extrêmement ténue entre inutile et essentiel tient tout autant – si ce n’est davantage – à l’état de l’offre qu’à celui de la demande.

Jackpot et courts-circuits

Ce qu’on sait tout de même, d’ores et déjà, c’est que Pfizer, Moderna et AstraZeneca vont se faire des couilles en or massif. 900 millions de dollars pour Pfizer au premier trimestre 2021, c’est un bon début pour une entreprise dont la réputation n’est plus à faire en matière de scandales sanitaires. Moderna a vendu sur la même période pour 1,7 milliard de son élixir de jouvence, contre « seulement » 275 millions de dollars pour AstraZeneca. Dans le même temps, par un pur hasard du calendrier, le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre en France en 2021 le record historique de 38,5 milliards d’euros. « Cette dégradation brutale et sans précédent, conséquence de la crise sanitaire et économique, conduit au déficit le plus élevé jamais enregistré dans l’histoire de la sécurité sociale », a fait savoir mi-mars le ministère de la Santé. Il est vrai qu’on ne remplit pas de verres sans vider la carafe et qu’il serait dommage de gaspiller du fric en impulsant une véritable politique de santé publique, pérenne et plurivertueuse, quand il suffit, à chaque épidémie, de sortir le stylo et le carnet de chèques pour faire mine d’affronter l’orage devant les caméras de France 2.

En 2009, déjà, notre Roselyne Bachelot nationale, dame patronnesse de la culture confinée, des sports interdits et de la santé chancelante, avait acheté pour deux milliards d’euros de vaccins H1N1 à… AstraZeneca, qui a dû trouver comique de la retrouver sur sa route puisqu’elle avait été, entre 1969 et 1976, déléguée médicale d’ICI Pharma dont la branche pharmaceutique deviendra autonome en 1993 sous le nom de… Zeneca avant de fusionner six ans plus tard avec le suédois Astra. La France recensera au final, officiellement, 349 décès attribués au virus A-H1N1 et quelque 200 cas de narcolepsie-cataplexie induits par la vaccination dont certaines victimes, onze ans après, attendent toujours l’indemnisation promise par les autorités sanitaires en cas d’effets secondaires. La même année (loi Bachelot de 2009), rappelons-le, la divine Roselyne érigeait en mode de gouvernance l’association du mercantilisme et du bureaucratisme qui consacrait la main mise des ARS sur le système de soins hospitaliers. André Grimaldi, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, regrettait amèrement dans une tribune du 3 avril 2012 les conséquences déjà visibles de ce petit meurtre entre amis, lui pour qui les directeurs des agences régionales de santé avaient toute l’étoffe pour devenir « de véritables préfets sanitaires aux ordres du gouvernement. »

L’avantage de cette approche (on ferme des lits pour les malades, on centralise à mort et on vaccine tous les bien-portants) est qu’elle correspond exactement à l’idée de la médecine que se font Bill Gates et ses copains de l’Amicale de la Seringue. Dans un rapport fleuve datant de 2015 intitulé Philanthropic power and development. Who shapes the agenda ?, voilà-t-il pas que l’on apprend :

« Le fait que la fondation Gates priorise les solutions vaccinales pour les divers problèmes de santé publique reflète sa préférence pour les interventions courtes, mesurables et avec une forte visibilité. L’un des représentants de la GAVI a rapporté que Bill Gates lui confiait souvent dans des conversations privées qu’il était fermement opposé aux systèmes de santé. Il est même allé jusqu’à dire que c’était du complet gaspillage, qu’il n’y a aucune preuve que cela fonctionne, et que donc il ne dépenserait pas un centime pour le renforcement des systèmes de soins. »

En termes marketing, on appelle ça la top-down approach, et on ne trouvera pas étonnant de la voir relayée quasi telle quelle dans un article d’Hervé Morin paru dans le journal Le Monde (financé copieusement par Bill Gates) intitulé crânement : « Covid-19 : La France a-t-elle trop de lits de réanimation ? » Quand on en est à écrire ça, c’est vraiment qu’on est au-delà du foutage de gueule et qu’on considère la population si crétine et analphabète qu’on pourrait tout aussi bien lui intimer l’ordre d’acheter des tubas et des bouteilles à oxygène chez Decathlon pour s’intuber à la maison.

La théorie du hold-up

Ceci étant posé, pour réussir son coup et imposer son juteux modèle aux quatre coins de la planète, Big Pharma a dû composer avec un paramètre qui souvent cause la perte des brigands trop présomptueux : le temps. Dans tous les films de braqueurs (Heat, Point Break, Ocean 11…), les interventions sont minutées et calibrées au détail près pour que le butin soit sécurisé avant l’arrivée de la police. Quand ça tourne mal, que le temps vient à manquer, c’est le carnage assuré.

Dans son livre joliment nommé La société du Hold-up (2012), Paul Vacca décrit un monde financiarisé à outrance, basé sur la quête ultra-rapide du profit, où « l’homme est devenu un braqueur pour l’homme » et se révèle prêt à tout pour s’enrichir en un temps record. Le génie disruptif d’Apple, Google ou Facebook repose, écrit-il, sur une logique de coup qui bouleverse la donne et réinvente de nouveaux codes pour créer ex-nihilo un marché tout beau, tout neuf qu’ils n’ont plus qu’à inonder de leurs joujoux ultra-modernes. Les fabricants de vaccins du nouveau Big 4 de la médecine quantique (Pfizer, Moderna, AstraZena, Johnson & Johnson) sont en passe de réaliser le même tour de force, à l’aide de produits résolument innovants et d’une force de frappe médiatique sans équivalent dans l’histoire de la publicité et du merchandising. Encore faut-il que leur stratégie se montre à la hauteur des enjeux.

L’accélération fulgurante de la campagne d’injections de masse en Europe et en Amérique du Nord répond, à ce qu’on en observe pour le moment, à la logique des Blockbusters, qui visent à faire main basse sur l’audience avant même que la critique ou le bouche à oreille n’aient eu le temps de s’exercer. Une variante du Hit & Run qui fait sens dans un environnement hautement instable susceptible d’altérer du jour au lendemain la perception du produit, de son utilité comme de son efficacité. Face à une situation de fléchissement épidémique généralisé qui aurait pu se révéler fatale à Big Pharma, conditionner à la vaccination le fait que les gens puissent partir bouffer des tapas en Espagne constitue la stratégie gagnante pour une industrie qui sait qu’elle ne dispose que d’une fenêtre de tir réduite pour écouler sa marchandise. Créer l’urgence là où il n’y en a pas, c’est tout le génie marketing de ceux qui savent depuis que le dollar existe que tordre le réel et réinventer l’avenir conditionnent le besoin et commandent au désir. Laisser le train passer, en revanche, c’est prendre le risque de rester à quai avec ses bagages sans certitude d’en voir arriver un autre avant des lustres.

Sur la chaîne très covid-friendly CNN, une experte en vaccination lâchait ainsi en direct au mois d’avril : « Nous devons expliquer clairement aux gens que le vaccin est le ticket de retour à leur vie d’avant la pandémie. La fenêtre de vaccination est très étroite, avec tous ces états qui rouvrent tout à 100%, pour conditionner les réouvertures au statut vaccinal. Sinon, si tout rouvre librement, qu’est-ce qu’on va avoir comme carotte à offrir aux gens ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ? C’est pourquoi le CDC doit adopter une position plus ferme et dire : ‘Si vous êtes vacciné, vous pouvez faire ce que vous voulez. Toutes ces libertés que vous aviez, vous pourrez les retrouver.’ Sinon, les gens vont commencer à sortir et profiter de la vie sans être vaccinés. »

Un avenir incertain. Un produit en phase expérimentale. Une fenêtre de tir réduite. Un paquet de pognon à sa faire à condition de bien jouer le coup. On reconnaîtra peu ou prou le destin marketing du film Les Dents de la mer (sorti en1975) ainsi décrit dans le livre de Paul Vacca :

« Tout s’annonçait pour le mieux. Pourtant, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Une grande malédiction s’abat sur le film : Bruce, le requin mécanique confectionné à grands frais pour le film, ne veut pas fonctionner, manquant même d’estropier un technicien ; la météo s’y met aussi ; le retard s’accumule, le tournage déborde sur la période estivale. Le budget explose : il est multiplié par trois. Et pour arranger le tout, les plans tournés avec le requin sont inexploitables. De plus, comme le film s’est fait au jour le jour, de nombreuses séquences sont quasiment impossibles à monter. Au visionnage des rushs, les patrons d’Universal Pictures s’arrachent les cheveux : ‘C’est ça le film qui est censé faire peur à tous ? !?’

Spielberg humilié tente ce qu’il peut pour sauver le film au montage. Mais la panique s’est définitivement emparée des dirigeants de la major. C’est alors qu’ils ont l’idée d’un stratagème pour limiter la casse : tâcher de faire au moins un premier week-end honorable. Ils décident alors – fait inédit pour un film – d’acheter de l’espace publicitaire dans les networks américains pour 700 000 dollars, ce qui à l’époque représente une somme hallucinante. Ils distribuent d’emblée le film sur une très large combinaison de salles alors que l’habitude voulait que l’on fasse monter le nombre de salles en puissance. Leur but : récolter le maximum d’entrées durant le premier week-end avant que le bouche-à-oreille, qu’ils présagent désastreux, ne décourage tout le monde. Ce sera toujours ça de gagné… »

L’avenir leur donnera en partie raison (énorme succès à sa sortie) et en partie tort : le savoir-faire de Spielberg assurera au film une solide postérité. Mais ils avaient compris qu’avec des cycles de plus en plus courts de présence des films à l’affiche, le gigantisme avait de l’avenir, ce que nos professionnels de la vaccination planétaire ont compris également. Avancer moins vite qu’ils ne le font sur le calendrier vaccinal, ce serait méconnaitre la durée de vie limitée de l’effet d’appétence, surtout pour les plus jeunes sans aucune comorbidité et qui ont dû sans le savoir rencontrer dix ou quinze fois le virus sans éprouver autre chose qu’un mal de tête ou une fatigue passagère. Sur son fil Twitter, l’avocat Fabrice Di Vizio s’extasiait le 19 mai de la clairvoyance de sa fille avec ce message admiratif : « Ma fille de 17 ans : la vaccination, c’est comme la mode, tu payes des influenceurs pour faire acheter des trucs que personne n’aurait jamais acheté ! Ça donne l’impression d’être cool. Quand t’es vacciné, on te fait croire que t’es cool, t’es pour la science. » De là à basculer dans le monde des produits dérivés, des pin’s et tee-shirts « je suis vacciné.e » au concours de selfies manches retroussées sur Instagram, il n’y a qu’un pas que Pfizer & co auraient tort de ne pas franchir, histoire de surfer tout l’été sur la vague de solidarité universelle née au printemps dernier.

Lequel d’entre nous, parmi les plus réfractaires au Smartphone, à Facebook ou Google, n’a pas fini par se mettre à la page et succomber parfois malgré lui, d’une façon ou d’une autre, aux sirènes de la modernité ? Qui n’avance pas recule, au 19ème siècle comme aujourd’hui, et la pression de l’environnement technologique et sociologique est souvent une force irrésistible qui broie les résistances des plus têtus objecteurs de progrès, pour reprendre le bon mot de Pierre-Yves Rougeyron.

Un pont trop loin ?

La question qui demeure, néanmoins, dans le cas de ces vaccins expérimentaux à l’efficacité et aux effets secondaires inconnus sur le long terme, c’est de savoir quand nos joueurs de poker bienfaiteurs de l’humanité vont considérer qu’il est temps de se lever de table et d’encaisser leurs jetons avant que le casino sonne l’alarme générale. Il commence à se dire, ici ou là, que des vaccinés se contamineraient aussi bien que les autres tandis que certains mourraient du vaccin comme d’autres étaient morts auparavant du virus – c’est-à-dire sans pouvoir en apporter formellement la preuve. Les certificats de décès, en ces temps de contrebande, font l’objet d’une attention inédite de la part des diverses parties en présence. Des plaintes commencent à remonter, des doutes germent ici ou là sur la véracité des chiffres avancés par les autorités pour justifier leur politique d’injections à la chaîne. Bref, si le temps se gâte au propre comme au figuré et que la météo sanitaire en vient à contredire les prédictions autoréalisatrices des caïds en blouse blanche envoyés par les cartels du médicament, il pourrait être plus prudent pour eux de remballer la marchandise avant que les vrais problèmes ne commencent.

La courbe de vaccination d’Israël, pays pilote de l’expérience vaccinale, tendrait ces dernières semaines à plafonner autour des 62% de primo-injectés. Il n’est pas impossible que l’asymptote soit proche d’avoir été atteinte, et menacer les récalcitrants de les attacher aux roues d’un char pour aller faire la guerre au Hamas dans la bande de Gaza risque d’être mal perçu même par Gérard Leclerc, Christophe Barbier ou Brigitte Milhau. Si le même phénomène s’observe au Royaume-Uni, aux USA ou en Allemagne, il serait risqué de tenter le passage en force par le biais, par exemple, de la vaccination des enfants. Des psychopathes comme Karine Latombe ou Arnaud Fontanet, en France, ont déjà franchi le Rubicon histoire de tâter le terrain, et d’autres voix se sont déjà fait entendre en Amérique et en Europe pour murmurer cette éventualité. C’est un terrain si glissant que même Angela Merkel – qui n’a jamais approché un enfant de sa vie – ferait mieux de s’en tenir, pour éviter le faux pas, à ce qui est actuellement écrit noir sur blanc sur le site du gouvernement fédéral allemand :

« Aucun vaccin n’est actuellement approuvé pour les enfants et adolescents jusqu’à l’âge de 16 ans. Le vaccin de Biontech / Pfizer peut généralement être utilisé chez les jeunes de 16 ans et plus. L’approbation des vaccins pour les enfants est extrêmement délicate. Par exemple, il faut d’abord clarifier suffisamment que les vaccins sont sans danger pour les adultes. Ce n’est qu’alors que des études pourront être menées sur l’applicabilité chez les enfants. »

Tout porte raisonnablement à croire que Big Pharma saura retenir ses chiens et les rappeler à la niche face une fronde généralisée des mères de famille du monde entier. L’instinct de survie de l’espèce et l’amour maternel restent encore aujourd’hui des forces trop prodigieuses pour succomber aux coups de boutoir de la corruption, de l’hystérie de contrôle et de l’ubris des Dr Frankenstein et Folamour qui ont ouvert la boîte de Pandore sans plus trop savoir comment la refermer. Il faut dire qu’avec une moyenne annuelle de quatre millions de morts par infections respiratoires, nos bons docteurs auront du mal à nous revendre chaque hiver la même dystopie prométhéenne. On ne se baigne jamais deux fois, disait Héraclite, dans les eaux du même fleuve. La meilleure chose à faire, pour recréer une panique à la hauteur de nos attentes, serait plutôt de sortir un deuxième remake de l’Invasion des Profanateurs (1956 puis 1979). Des plantes extra-terrestres venues nous cloner pendant notre sommeil et remplacer l’humanité entière par des créatures dépourvues d’émotion et changées en automates, voilà un script qu’une année de confinements, d’évitements, de défiance et de déshumanisation nous aura préparés à accueillir dans la joie de nos vies retrouvées. Et si la prochaine dystopie, d’ailleurs, pouvait venir des extra-terrestres, elle ne pourra jamais être plus hideuse que les rictus de Bill Gates ou les mimiques de Karine Latombe.


https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-19/covid-19-pourquoi-lhypothese-dune-fuite-du-virus-dun-laboratoire-nest-pas-ecartee-a3fc216b-1dbb-4731-891f-de9f5b501c55

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/a-colmar-la-vaccination-contre-le-covid-19-se-deroule-en-musique_4614615.html

https://fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/

https://www.grandforksherald.com/newsmd/coronavirus/6824462-North-Dakota-got-a-mask-mandate-South-Dakota-didnt.-COVID-19-cases-have-plummeted-in-both

https://www.sortiraparis.com/news/coronavirus/articles/240384-vaccine-in-the-world-as-of-datadatestodayfrlatest-the-percentage-of-people-vacci/lang/en

https://www.courrierinternational.com/article/le-chiffre-du-jour-pfizer-gagne-900-millions-de-dollars-au-premier-trimestre-2021

https://www.msf.fr/actualites/les-fausses-accusations-de-pfizer

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/le-cytotec-medicament-de-pfizer-retire-du-marche-et-nouveau-scandale-sanitaire_507478

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/coronavirus-moderna-releve-sa-prevision-annuelle-de-ventes-de-son-vaccin-1961771.php

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/astrazeneca-les-ventes-du-vaccin-atteignent-275-millions-de-dollars-au-1er-trimestre_762794

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/covid-19-demissions-en-serie-des-infirmieres-a-l-hopital-apres-la-crise-sanitaire-on-va-affronter-une-crise-sociale-2034976.html

https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html

https://pharmacritique.com/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-au-moins-12-ans-au-service-de-lindustrie-pharmaceutique-source-de-conflits-dinterets-par-exemple-dans-la-vaccination-massive-contre-la-grippe-a-h1n1/

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

https://destinationsante.com/grippe-pandemique-combien-de-morts-en-france.html

https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/517294-la-loi-bachelot-a-fait-de-l-hopital-une-entreprise.html

https://archive.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Philanthropic_Power_online.pdf

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/11/covid-19-la-france-a-t-elle-trop-de-lits-de-reanimation_6079812_3232.html

https://www.youtube.com/watch?v=kYyejHNRWyw

https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

https://www.healthline.com/health-news/when-will-covid-19-vaccines-be-available-to-children-under-12

https://www.lci.fr/societe/covid-19-la-vaccination-des-enfants-et-ados-devient-elle-incontournable-2185469.html

https://www.bundesregierung.de/breg-de/suche/corona-gefaehrlich-fuer-kinder-1882974

https://www.lexpress.fr/actualites/2/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_934943.html

https://www.allmovie.com/movie/invasion-of-the-body-snatchers-v25289




Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent

[Source : Strategika]

Par Pierre-Antoine Plaquevent – mai 2021

On ne peut comprendre l’actuelle montée aux extrêmes en Terre sainte sans interroger la nature profonde du projet théopolitique qui sous-tend la branche religieuse du sionisme. Dans ce projet (qui ne fait pas l’unanimité chez les Israéliens eux-mêmes), la reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise de sacrifices à Yahvé en son sein occupent une place centrale. Temple qui doit être reconstruit précisément là où se trouve la mosquée al Aqsa d’où est partie la tragédie actuelle.

Le premier dossier paru sur Strategika intitulé « Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions » exposait différentes manipulations politiques du sacré au cours de l’histoire récente. Parmi celles-ci , je développais la place qu’occupe le Temple dans l’imaginaire et l’agenda du sionisme religieux mais aussi le rôle que devra y jouer le Messie attendu par le judaïsme dans la reprise des sacrifices sanglants au sein du Temple, cela de l’avis même des dirigeants de l’Institut du Temple de Jérusalem.

Dans ce texte co-écrit avec l’historien des religions Youssef Hindi, nous abordions aussi le rôle joué par cette mystique de la reconstruction du Temple de Jérusalem au sein des courants de la droite évangéliste pro-israélienne. Un soutien toujours plus important pour Israël à mesure que la diaspora juive américaine prend elle ses distances avec le projet messianique du sionisme religieux [1].

La flambée de violence qui embrase actuellement la Terre sainte ne peut se comprendre sans appréhender l’explosive poussée messianique qui aiguillonne le sionisme religieux depuis son origine. Une fièvre millénariste qui peut conduire le monde contemporain vers une crise globale sous la pression d’un acteur géopolitique de plus en plus irrationnel et pressé d’accomplir son projet métapolitique et théopolitique.

Afin d’éclairer la séquence en cours, nous publions ici une partie de notre étude dont la totalité est disponible ici : https://strategika.fr/2020/02/10/notre-dame-al-aqsa-et-le-troisieme-temple-la-geopolitique-des-religions/

L’incendie de la mosquée al Aqsa et le troisième Temple de Jérusalem

(…) La mosquée al Aqsa se trouve précisément là où les sionistes religieux veulent « reconstruire » le Temple. Et ils ne cachent pas leur volonté de détruire la Mosquée[2]. L’Institut du Temple[3] a été créé en 1987 par le rabbin Yisrael Ariel, en vue de ce projet de construction du Troisième Temple.

Tous les objets liturgiques du futur temple sont prêts[4]. En novembre 2016, le rabbin Hillel Weiss, porte-parole du Sanhédrin, interpelant Vladimir Poutine et Donald Trump, déclarait :

« Nous sommes prêts à reconstruire le Temple. Les conditions politiques actuelles, dans lesquelles les deux dirigeants nationaux les plus importants dans le monde soutiennent le droit juif à Jérusalem comme leur héritage spirituel, sont historiquement sans précédent. »[5]

La pression exercée sur le site de la Mosquée d’al-Aqsa est constante. Ainsi le 09 mai 2019, des dizaines de colons, escortés par la police israélienne, faisaient irruption sur le site de la mosquée al-Aqsa : « Firas al-Dis, responsable de la communication au sein de l’autorité des Wakfs islamiques de Jérusalem, a déclaré que ‘‘137 extrémistes ont envahi la mosquée al-Aqsa aujourd’hui’’ ». [6]

Début juin 2019, environ 1200 militants sionistes religieux s’introduisaient sur l’esplanade des Mosquées durant la fin du ramadan, une période où il leur est théoriquement interdit de visiter l’esplanade. Une intrusion qui a eu lieu avec l’aval de la police israélienne à l’occasion des festivités du « Jour de Jérusalem », une journée qui commémore la prise de la vieille ville de Jérusalem, alors sous contrôle jordanien, lors de la guerre des Six Jours en 1967.[7]

S’en suivront des heurts violents entre les fidèles musulmans qui défendaient leurs lieux saints et les militants sionistes venus faire le coup de poing pour commémorer le jour où selon eux le destin messianique d’Israël a été freiné. Les sionistes religieux n’ont effectivement jamais admis le statu quo imposé en 1967 par Moshe Dayan lors de la guerre des Six Jours. À cette époque, le général puis ministre de la défense, Moshe Dayan se serait exclamé face à l’idée de s’emparer de force de l’esplanade des Mosquées : « Pourquoi aurions-nous besoin d’un tel Vatican ? ».[8]

Moshe Dayan se ravisera et enverra ses parachutistes s’emparer de l’esplanade des Mosquées mais il placera ensuite lui-même l’administration de ce site très sensible sous la responsabilité du Wakf, l’administration des biens musulmans, et évitera les provocations et vexations supplémentaires de son aile droite. Allant jusqu’à déclarer à la radio israélienne :

« Nous ne sommes pas venus conquérir les lieux saints des autres, ni pour restreindre leurs droits religieux, mais pour assurer l’intégrité de la ville et y vivre avec d’autres dans la fraternité. ».[9]

L’esplanade des Mosquées constitue le troisième lieu saint de l’islam, après La Mecque (où se trouve Masjid al-haram, la mosquée sacrée) et Médine (où est située Masjid al-Nabawi, la mosquée du Prophète). S’y trouvent le dôme du Rocher et la mosquée al Aqsa, la plus grande de Jérusalem. Pour les musulmans, le Prophète Muhammad, accompagné de l’Ange Gabriel, s’éleva sur le dos d’une monture appelée « Bouraq » depuis La Mecque jusqu’à la Mosquée al Aqsa, et de là il traversera les sept cieux avant de recevoir de Dieu l’ordre pour les musulmans de prier cinq fois par jour.

Les juifs quant à eux appellent l’esplanade des Mosquées le mont du Temple. Il constitue pour la religion juive le lieu le plus sacré du judaïsme. Sur le mont du Temple se trouvait durant l’Antiquité le Temple de Jérusalem qui fut détruit en 70 après Jésus-Christ par les légions romaines de Titus lors de la première guerre judéo-romaine où l’Empire écrasa la révolte des juifs de la province de Judée. Pour les sionistes religieux (toujours plus influents en Israël mais contestés par une partie de la population secularisée), la reconquête intégrale du mont du Temple et à terme la reconstruction du troisième Temple constituent des objectifs stratégiques centraux de leur vision du monde et de leur idéologie messianique. Pour eux, Israël ne sera réellement Israël que lorsque les juifs pourront à nouveau se rendre au Temple pour y exercer les sacrifices rituels décrit dans l’Ancien Testament.

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Sources : L’esplanade des Mosquées, poudrière du conflit israélo-palestinien – https://www.franceculture.fr/geopolitique/lesplanade-des-mosquees-poudriere-du-conflit-israelo-palestinien
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Source : Donald Trump reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël – https://www.midilibre.fr/2017/12/06/donald-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-d-israel,1599150.php
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L’emplacement prévu du Temple reconstruit.
Source : A Jérusalem, le rêve explosif des activistes du troisième temple –  Pierre Haski – novembre 2016 https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20141030.RUE6416/a-jerusalem-le-reve-explosif-des-activistes-du-troisieme-temple.html
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Donald Trump devant le « mur des lamentations ». Mur considéré dans le judaïsme comme le vestige principal du second Temple de Jérusalem détruit en 70 après JC par les légions romaines de l’empereur romain Titus (Imperator Titus Caesar Vespasianus Augustus).
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Jair Messias Bolsonaro, président de la république fédérative du Brésil. Premier chef d’Etat étranger à se rendre au Mur des Lamentations à Jérusalem en compagnie d’un Premier ministre israélien : « pendant des décennies, les dirigeants étrangers se sont gardés d’apparaître au côté d’un dirigeant israélien devant le Mur des Lamentations pour ne pas sembler prendre position sur des questions hautement sensibles de souveraineté. Donald Trump avait été en mai 2017 le premier président américain en exercice à se recueillir devant le Mur. Mais il était accompagné par le rabbin du Mur, Shmuel Rabinovitz » Source : Bolsonaro crée un précédent diplomatique au Mur des Lamentations https://www.lepoint.fr/monde/bolsonaro-cree-un-precedent-diplomatique-au-mur-des-lamentations-01-04-2019-2305105_24.php
Le président brésilien entend des explications sur le Second Temple – Photo Amos Ben Gershom / GP : « Dans les tunnels du Kotel, le président Bolsonaro a pu voir une maquette du Second Temple ainsi qu’un film retraçant les liens millénaires du peuple juif avec Jérusalem et le Mont du Temple. Enfin, près de l’Arche de Wilson, le président brésilien a pu admirer une exposition de divers vestiges et objets du passé juif découverts sur ce site par les archéologues. Avant de quitter les lieux, il a signé le Livre des visiteurs. Visiblement impressionné et ému, le président brésilien a dit qu’il comprenait parfaitement le lien entre le peuple juif et Jérusalem. » https://lphinfo.com/jair-bolsonaro-a-visite-le-kotel/
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Il existe par ailleurs déjà une réplique inspirée du Temple de Jérusalem à Sao Paulo au Brésil : « Le Temple de Salomon est un édifice religieux à São Paulo, au Brésil. Il est le siège mondial de l’Église universelle du royaume de Dieu, une église chrétienne évangélique charismatique, dont le responsable est Edir Macedo Bezerra. Situé dans le quartier de Brás, il est le plus grand édifice religieux du pays. Le temple se veut une réplique du Temple de Jérusalem tel qu’il existait selon la bible, à l’époque du roi Salomon et qui est détruit selon celle-ci en 586 av. J.-C. par le roi de Babylone Nabuchodonosor II. » Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_de_Salomon_(S%C3%A3o_Paulo) et https://www.otemplodesalomao.com/author/souldigital/
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L’ancien président du Brésil Michel Temer lors de l’inauguration du « Temple de Salomon » en 2014.
Source :  https://www.flickr.com/photos/vice-presidencia/albums/72157645664529467
Ci-dessus une maquette du second Temple de Jérusalem.
La même reconstitution du Second Temple de Jérusalem. (© Felix Bensman | Dreamstime.com
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Ici une maquette du Second Temple exposé dans l’Institut du Temple à Jérusalem. (crédit photo : Nati Shohat/Flash90) – Source : https://www.timesofisrael.com/laying-the-groundwork-for-a-third-temple-in-jerusalem/
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Là encore une réplique du Temple est descendue par une grue sur le toit de la Yeshiva Aish HaTorah dans le quartier juif en 2009 (crédit photo : GALI TIBBON) https://www.jpost.com/israel-news/temple-institute-encourages-jews-to-hope-for-third-temple-in-new-video-597873
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Illustration du futur Temple reconstruit.
Ci-dessus une reconstitution virtuelle de l’intérieur du Temple
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Source : une maquette représentant le premier temple juif, qui se trouvait autrefois sous le complexe abritant le Dôme du Rocher (vu au centre, en arrière-plan) et la mosquée Al-Aqsa, est vue dans la vieille ville de Jérusalem, le 2 juin 2015. – REUTERS/Ammar Awad – https://www.al-monitor.com/originals/2015/11/yishai-sarid-third-temple-war-muslims-arabs-jewish-state.html#ixzz6vENrDqRF

La montée du sionisme religieux de 1967 à nos jours

Le reporter franco-israélien Charles Enderlin a longuement étudié l’impact du sionisme religieux sur la société israélienne ; il explique de quelle manière la reconquête du mont du Temple obsède et galvanise l’aile la plus religieuse du sionisme politique et militaire. Il montre aussi comment le messianisme religieux a fini par prendre le pas sur le sionisme laïc (qu’il défend) et a fait pression dès 1967 pour reprendre le mont du Temple aux musulmans. Cela notamment au travers de rabbins ultras et militants tel Shlomo Goren, général et aumônier-rabbin militaire de Tsahal. Il décrit ainsi l’exaltation qui s’est emparée du rabbin suite à la prise du mont du Temple par les parachutistes de Tsahal en 1967 :

« Je n’ai pas dormi pendant trois nuits et le trajet du musée Rockfeller, je l’ai parcouru en courant avec mes dernières forces sous les tirs et les bombardements. Dès la porte des Lions, j’ai commencé à sonner le Shofar (la corne de Bélier) en priant à voix haute ainsi que la Halakha l’exige en temps de guerre. Arrivé au centre du mont du Temple, j’ai sonné à nouveau le shofar et lu la proclamation que j’avais préparée quelques jours plus tôt, déclarant tous les lieux saints en Israël ouvert à toutes les religions du monde. Je suis ensuite descendu devant le Mur occidental devant lequel se trouvaient de nombreux parachutistes … À midi vingt, j’ai dit la prière du Minkhah. J’ai envoyé une jeep chercher le rabbin Zvi Yehouda Kook. Ils sont arrivés au Mur occidental en passant par le montant. » [10]

Plus connu sous le nom de « Mur des lamentations », le « Mur occidental » désigne pour le judaïsme le mur occidental du Temple d’Hérode. Shlomo Goren qui affirme dans ses mémoires avoir déclaré que « tous les lieux saints d’Israël seraient ouverts à toutes les religions du monde », aurait dans le même temps fomenté la destruction pure et simple du troisième lieu saint de l’islam en 1967.

Charles Enderlin rapporte ce dialogue entre Goren et le général Uzi Narkiss :

« Goren n’évoque pas la discussion qu’il a eu avec Uzi Narkiss. Ce dernier en révélera le contenu, des années plus tard, à un journaliste du quotidien Haaretz. Goren voulait tout simplement faire place nette :

Goren : « Uzi ! C’est maintenant ! Fait mettre cent kilos d’explosif dans la mosquée d’Omar et on en sera débarrassé une fois pour toutes !

Narkiss: « Rabbin ! Suffit ! »

Goren: « Uzi ! Ton nom entrera dans l’histoire ! »

Narkiss : « Mon nom est déjà inscrit dans l’histoire de Jérusalem ! »

Goren : « Tu ne réalises pas quelle portée cela aurait ! C’est l’occasion qu’il faut saisir maintenant à cet instant ! Demain il sera trop tard ! »

Narkiss : « Rabbin ! Si tu n’arrêtes pas je te ferai mettre au cachot ! » [11]

Charles Enderlin cite dans son enquête les propos d’autres religieux juifs partisans de la destruction des mosquées comme par exemple le rabbin Gershon Salomon, le président des Fidèles du Temple, qui explique sans détours :

« La mission de cette génération est de libérer le Mont sacré, d’en finir avec la domination qui s’y trouve. Plus de dôme ! Plus de mosquée mais l’emblème d’Israël et le Temple ! Assez des rêves d’un Temple qui descendrait du ciel ! » [12]

Source : Moshe Dayan dans la vieille ville de Jérusalem après la victoire israélienne de juin 1967
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Source : « Le grand rabbin des forces de défense israéliennes, Shlomo Goren, arrive au Mur occidental libéré. À sa droite, le général Uzi Narkiss et le HaRav Menachem Cohen. À l’extrême gauche se trouve le compagnon parachutiste qui a planté le drapeau israélien sur le Mont du Temple, déclarant ainsi la souveraineté juive sur le Mont, mettant fin à 1897 ans d’exil. » https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
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Source : « Le rabbin Shlomo Goren, portant un Sefer Torah, dirige une célébration spontanée au Mur occidental, alors que des milliers de Jérusalemites, submergés par l’émotion, se dirigent vers le site où se trouvait le Saint Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
« Le Sefer Torah est déposé dans un endroit sûr : une niche dans le mur occidental du Mont du Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/

Cette pression permanente qu’exerce le lobby messianique en Israël est certes dangereuse pour les populations de la région, mais elle concerne en fait le monde entier si l’on prend en compte l’implication américaine dans la région. Surtout, les proximités de vues qui existent entre certaines tendances extrêmes du protestantisme politique américain comme le courant des « sionistes chrétiens » sont de nature à inquiéter quant au maintien des équilibres géopolitiques instables du Proche-Orient. (…) Lire ici l’intégralité de l’E-book Strategika : Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions

L’Évangélisme sioniste et la fin de l’Histoire 

Comme nous l’avons écrit précédemment, l’origine du sionisme chrétien remonte au courant dit du « restaurationnisme », dans l’Angleterre du XVIIe siècle. À la même époque, en France, le huguenot Isaac de Lapeyrère écrivit son Du rappel des Juifs[21], ouvrage dans lequel il explique comment la conversion des juifs au christianisme se ferait concomitamment avec leur retour en Terre promise.

Aux États-Unis ce courant existe depuis le XIXe siècle et trouve un écho particulier du fait des idées d’élection et du concept de destinée manifeste[22] qui nourrissent chez certaines élites américaines le sentiment que les États-Unis auraient une mission spécifique dans l’histoire : le rôle messianique d’instaurer une paix universelle pour le monde entier. Ce courant chrétien-sioniste prendra réellement son essor après la Seconde Guerre mondiale avec l’instauration d’un proto-État israélien en Palestine, événement perçu comme un signe annonciateur du retour prochain du Christ par le courant évangéliste sioniste.

De fait, on retrouve une convergence frappante entre l’idéologie du sionisme religieux contemporain américain et les vues des chrétiens sionistes que l’on devrait appeler de manière plus exacte des « évangélistes sionistes ». Les évangélistes sionistes interprètent de manière littérale la Bible, ce sont en fait des millénaristes. Ils pensent que le Christ reviendra sur terre instaurer un royaume de justice universelle pour une période de mille ans une fois que les juifs seront tous rassemblés en Terre sainte et qu’une partie d’entre eux se sera convertie afin d’affronter l’Antéchrist.

Pour l’évangélisme sioniste l’histoire humaine est divisée en périodes qui correspondent aux différentes Alliances avec Dieu. Ces périodes appelées « dispensations » donnent son nom au courant du « dispensationnalisme » :

« Les dispensationnalistes[23] pensent qu’ils vivent la dernière dispensation, celle qui précédera le retour du Christ. Plus précisément, ils pensent que les vrais chrétiens doivent se préparer à l’Extase (Rapture en anglais), c’est-à-dire à être enlevés (de leur vivant ! NDA) de la sphère humaine pour rejoindre le royaume de Dieu. De là, ils seront en sécurité pendant les Tribulations, sept années de désastres et de guerres. Quant aux Juifs, ils retourneront en Israël avant l’Extase, où ils reconstruiront leur État ainsi que le Temple. Ayant refusé de reconnaître le Christ et d’être sauvés pendant l’Extase (à l’exception de 144 000 d’entre eux), ils se soumettront à l’Antéchrist, et seul un tiers d’entre eux survivra aux Tribulations, qui se termineront lors de la bataille de Megiddo (dans le nord d’Israël) ou Armageddon. Le Christ reviendra alors pour vaincre Satan, et instaurera un règne de mille ans. Les Juifs qui auront survécu reconnaîtront le Christ comme leur Sauveur, et répandront sa parole à travers le monde. À la fin des mille ans, Satan parviendra à se rebeller et sera cette fois vaincu définitivement. Des changements cosmiques auront alors lieu, les morts se lèveront et seront jugés, et le Royaume de Dieu sera établi pour l’éternité. »[24]

Cette interprétation littérale, naïve et finalement assez grossière des événements décrits dans l’Apocalypse de Jean a par ailleurs été condamné par des représentants du christianisme oriental qui ont publié en août 2006 un texte désignant le sionisme chrétien comme : « (…) une doctrine fausse, contraire à l’esprit du christianisme. La déclaration est signée par Mgr Michel Sabbah, patriarche latin de Jérusalem, Mgr Swerios Malki Mourad de l’Église syriaque orthodoxe, Mgr Riah Abu El-Assal, évêque anglican de Jérusalem, et Mgr Munib Younan, évêque luthérien de Jérusalem. » [25]

Cette lecture matérialiste et hétérodoxe de l’Évangile est désormais très répandue dans la culture populaire aux États-Unis :

« Surprenant ! Des millions d’Américains attendent aujourd’hui d’être « enlevés » (rapture) par Jésus-Christ lorsque celui-ci reviendra sur terre pour établir son Royaume terrestre. Cette croyance est propagée par de nombreux livres à succès, des romans mais aussi des ouvrages « hétéroclites » c’est-à-dire qui mêlent la fiction et l’exégèse. Citons Hal Lindsey et son best seller « The Late Planet Earth ». Avant d’être enlevés et d’échapper ainsi aux calamités qui vont s’abattre sur la terre (guerre atomique, règne de l’Antéchrist), ces chrétiens encouragent vivement le retour des juifs en Palestine, car c’est seulement par la restauration pleine et entière du Royaume d’Israël que les juifs pourront se convertir et reconnaître enfin Jésus comme messie. (…) À l’heure du Seigneur, les vivants sont « ravis » par Jésus qui les soustrait au monde et les transforme en leur octroyant un corps de lumière. Les élus, non seulement ne vont pas subir les épreuves de la tribulation, mais seront « changés » sans avoir à connaître la mort et la résurrection. À l’heure du Seigneur, il y aura des vivants qui ne mourront jamais.» [26]

L’actuel secrétaire d’État des États-Unis (NDA : fin 2019), Mike Pompeo, a lui-même déjà fait allusion à cette doctrine irrationnelle de l’enlèvement des justes durant l’Armageddon : « Alors simple membre du Congrès, il avait déclaré lors d’un sommet ecclésiastique à Wichita : « Nous continuerons à mener ces batailles. C’est une lutte sans fin… jusqu’au Ravissement. Faites partie de ce combat. Participez à la lutte. » [27]

De nombreux Américains pensent qu’encourager le retour des juifs en Palestine est en fait un acte de foi évangélique qui permet de hâter le retour du Christ et de son règne millénaire qui surviendra après une période de chaos. Dans une étude parue il y a une dizaine d’années, Guy Mosjoen a parfaitement résumé, les visées géopolitiques de l’évangélisme sioniste :

« C’est alors que le Seigneur se souvient de la promesse faite au peuple juif. Promesse de retour et de puissance retrouvée. Avec le système des dispensations, l’Église n’a jamais été qu’une parenthèse. Israël et l’Église sont restés distincts. La Nouvelle Alliance n’a pas annulé la Première, de sorte qu’une fois le temps de l’Église révolu, Jésus-Christ peut littéralement restaurer Israël. Le Royaume de Dieu n’est donc pas l’Église mais le Royaume de David. La grande tribulation n’a pas vu la disparition du genre humain. Il reste des juifs et des païens. Il reste aussi une capitale (Jérusalem), un temple reconstruit (car il a fallu le reconstruire pour que l’Antéchrist puisse le profaner), des lévites (des prêtres pour sacrifier de jeunes taureaux), et des nations à asservir puisque, dans les temps messianiques, le roi gouvernera avec une ʺmain de ferʺ.

Certains millénaristes, appelés théonomistes, sont même en faveur d’une civilisation chrétienne régie par l’application intégrale de la loi d’Israël.

Voici donc le millénium « chrétien » des fondamentalistes millénaristes, qu’ils soient postmillénaristes ou prémillénaristes, et s’ils sont prémillénaristes, qu’ils soient pré-tribulationnistes, mi-tribulationnistes, post-tribulationnistes ou encore pré-coléristes (…) On pourra s’étonner de lire encore le mot « chrétien » alors que c’est très explicitement d’un millénium juif qu’il s’agit. »[28]

Un catastrophisme théopolitique qui prend racine dans une lecture littéraliste de la Bible spécifique au monde protestant. Une interprétation des textes sacrés du christianisme qui met l’accent sur la loi vétérotestamentaire et le rôle providentiel des juifs dans l’histoire. Un rôle que n’annule pas la nouvelle alliance scellée par la première venue du Christ pour les évangélistes, d’où leur sentiment d’une proximité avec le judaïsme inconnue dans les mondes catholique et orthodoxe traditionnels. L’interprétation évangéliste des textes bibliques aura pour effet de ramener au sein du christianisme évangélique des éléments de millénarisme qui furent en leur temps rejetés par les premiers conciles chrétiens :

« Le millénarisme désigne la croyance en la venue d’un règne de Dieu sur terre qui instaurera son royaume de justice universelle pour toujours ou pour une période de mille ans. C’est le “millénium” chrétien dont certains courants paléochrétiens pensaient qu’il adviendrait après le retour du Christ pour une période déterminée de mille ans et dont les Églises catholique et orthodoxe ont défini qu’il est déjà advenu et que le retour et la victoire du Christ seront dès lors définitifs. (…) Les églises catholique et orthodoxe ont expliqué que le “millénium”, l’âge d’or qu’attendent les millénaristes, a déjà eu lieu dans le temps. Il s’agit en fait du millénaire chrétien qui commence aux débuts de la chrétienté en tant que religion protégée par l’État à partir de Constantin le Grand jusqu’à la chute de Constantinople. »[29]

Un millénarisme qui porte en lui un catastrophisme théopolitique intrinsèquement lié à la religion juive comme l’expose le professeur Michael Löwy, chercheur et enseignant à l’École des hautes études en sciences sociales :

« Selon G. Scholem, pour le messianisme juif la rédemption est un événement qui se produit nécessairement sur la scène de l’histoire, ʺpubliquementʺ pour ainsi dire, dans le monde visible ; elle n’est pas concevable comme processus purement spirituel situé dans l’âme de chaque individu et résultant dans une transformation essentiellement interne. De quel type d’événement visible s’agit-il ? Pour la tradition religieuse juive l’arrivée du Messie est une irruption catastrophique : ʺ Le messianisme juif est dans son origine et dans sa nature – on ne saurait jamais assez insister – une théorie de la catastrophe. Cette théorie insiste sur l’élément révolutionnaire cataclysmique, dans la transition du présent historique à l’avenir messianique. ʺ»[30]

Doctrine catastrophiste qui était aussi celle des néo-conservateurs réunis au sein du PNAC – Project for the New American Century –, néo-conservateurs pour la plupart anciens trotskystes d’origine juive.[31]

L’évangélisme sioniste place le troisième Temple au centre de son système religieux. Pour les évangélistes sionistes, la reconstruction du Temple est une condition au retour du Christ et à la conversion des justes parmi les juifs, ceux qui reconnaîtront le Christ comme leur messie lors de son second avènement. Les derniers rapprochements entre l’administration Trump et Israël (NDA : ce passage fut écrit fin 2019) ont été une illustration géopolitique éclatante de cette convergence de vue et d’intérêt entre la droite religieuse israélienne et l’évangélisme politique américain. Pour la première fois dans l’histoire, un secrétaire d’État américain visitait la Vieille Ville de Jérusalem en compagnie d’un haut responsable politique israélien. Une visite historique qui venait conforter les attentes israéliennes et une reconnaissance tacite de la souveraineté israélienne sur le site du mont du Temple et de l’esplanade des Mosquées :

« Ce geste apparaît surtout comme une nouvelle étape dans la révision de la position américaine à l’égard de Jérusalem engagée par Donald Trump, qui avait lui-même été en 2017 le premier président des États-Unis en exercice à se rendre au Mur des Lamentations. Ce site se trouve en effet à Jérusalem-Est, dont Israël s’est emparé en 1967 avant de l’annexer. La communauté internationale juge illégale cette annexion, et renvoie le statut final de la Ville sainte à des négociations de paix. »[32]

Durant cette visite, Mike Pompeo, accompagné du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de l’ambassadeur américain en Israël David Friedman ont visité aussi le tunnel du Mur des lamentations ainsi que la synagogue située sous terre, à l’endroit supposé du sanctuaire du Temple. Là ils ont pu « observer une reconstitution en réalité virtuelle du temple juif qui surmontait autrefois le mont du Temple » ainsi qu’une maquette très détaillée du futur temple présentée par l’Institut du Temple (The Temple Institute). [33]

Suite à ce voyage, Mike Pompeo avait diffusé une vidéo officielle censée résumer son séjour peu avant le déclenchement de la crise iranienne actuelle. On peut y voir une maquette du Temple associé à des images du Mur des lamentations, là où les lieux saints islamiques sont quant à eux ignorés sciemment. Dans la même vidéo sont aussi montrés le Saint-Sépulcre comme pour signifier l’alliance naturelle qui unirait Israël et la chrétienté face aux mêmes menaces.[34]

Durant ce séjour en Israël, Pompeo a donné toutes les assurances possibles à l’exécutif israélien et à la droite religieuse quant au soutien américain face à l’Iran. Les références bibliques furent nombreuses et appuyées durant les allocutions ou interviews accordées par le secrétaire d’État américain pendant et autour de ce voyage :

« Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a laissé entendre dans une interview que le président Donald Trump avait peut-être été envoyé par Dieu pour sauver le peuple juif et qu’il était ʺconfiant dans le fait que le Seigneur est au travail iciʺ ». [35]

Comme cette visite officielle avait lieu durant la fête juive de Pourim, Pompeo fit un parallèle historique puissamment ancré dans la mémoire juive : 

« Les Juifs du monde entier et ici à Jérusalem parlent du fait qu’Esther a sauvé le peuple juif il y a 2500 ans avec l’aide de Dieu de Haman » [36]

Haman, est une référence de la Bible qui apparaît dans le Livre d’Esther. Il évoque un archétype de l’ennemi du peuple juif dans la mémoire collective juive. Vizir de l’Empire perse sous le règne d’Assuérus (Xerxès Ier), Haman ourdit le projet de faire tuer tous les juifs installés dans l’Empire. Il fait alors passer un décret qui sera signé par le roi afin d’ordonner l’extermination de la population juive. Son plan sera déjoué par la reine Esther qui tenait sa judaïté secrète et qui la révèle à ce moment-là au roi Assuérus. Esther arrive alors à convaincre le roi perse d’épargner son peuple. Haman et ses dix fils seront pendus par les Juifs avec l’aval du roi Assuérus.

Des références vétérotestamentaires que Pompeo a réitéré devant l’un des médias évangélistes les plus influents :

« Pompeo répondait à des questions lors d’une interview à Jérusalem avec le Christian Broadcasting Network, fondé par le télévangéliste Pat Robertson, et dont l’auditoire est vaste. Quand on lui a demandé si Trump était une nouvelle Esther, il a déclaré : ʺEn tant que chrétien, je crois que c’est certainement possible. ʺ» [37]

Dans leur déclaration conjointe durant ce voyage officiel, Benjamin Netanyahu a lui aussi évoqué ces références en les citant dans une perspective anti-iranienne : 

« Le Président Trump vient d’entrer dans l’histoire. Je lui ai téléphoné. Je l’ai remercié au nom du peuple d’Israël. Tout d’abord, il a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et y a installé l’ambassade américaine. Ensuite, il s’est retiré du désastreux traité avec l’Iran et a imposé de nouvelles sanctions. Mais aujourd’hui, le Président Trump a fait quelque chose d’une égale importance historique – il a reconnu la souveraineté d’Israël sur les hauteurs du Golan, et cela, à un moment où l’Iran tente d’utiliser la Syrie comme plate-forme pour attaquer et détruire Israël. Et le message que le président Trump a transmis au monde est que les États-Unis se tiennent aux côtés d’Israël. Nous célébrons Pourim, quand, il y a 2 500 ans, d’autres Perses, menés par Haman, ont tenté de détruire le peuple Juif. Ils ont échoué ; et aujourd’hui, 2 500 ans plus tard, une nouvelle fois, les Perses dirigés par Khamenei tentent de détruire le peuple Juif et l’État Juif. » [38]

Cette référence au Vizir Haman de l’ancienne Perse, n’est pas juste rhétorique dans la bouche du Premier Ministre israélien, elle renvoie en fait à cette « plus longue mémoire » juive, une mémoire collective qui vit comme une réalité présente les persécutions, les guerres et les avanies historiques survenues (ou fabulées, telle l’histoire du livre d’Esther, entièrement mythique)[39] même il y a très longtemps. Une perception hypermnésique de son propre passé historique et communautaire que le professeur de psychologie Kévin Mac Donald a étudié en profondeur :

« Dans son tréfonds, l’ethnocentrisme juif est intimement lié à un sentiment de persécution historique. La mémoire juive est une mémoire de la persécution et de la catastrophe imminente, une mémoire qui justifie n’importe quelle réponse, parce que, au bout du compte, c’est la survie du peuple juif qui est en jeu. (…) Les juifs ont une très longue mémoire historique, des événements qui se sont produits il y a des siècles influencent encore leurs perceptions actuelles. Ce sentiment profond de mise en danger du groupe et d’injustice historique est associée à ce style hyperbolique de la pensée juive qui transparaît à maintes reprises dans le discours juif. »[40]

Pour cette « longue mémoire » juive, la référence au Vizir Haman ne renvoie pas seulement à l’antique Perse et donc à l’Iran actuelle mais aussi à l’ennemi ontologique d’Israël, Amalek, roi des Amalécites, ce peuple ennemi juré d’Israël d’après la Bible. Pour les juifs religieux, Amalek serait en fait un ancêtre du Vizir Haman, comme le développe le Rav Ron Chaya :

« Le nom de Haman est Haman Haagagui, c’est-à-dire descendant de Agag, or Agag était le roi du peuple Amalek à l’époque du roi Chaoul. » [41]

La figure d’Amalek convoque dans la mémoire juive un archétype intemporel, celui d’un ennemi qui prend différentes formes dans l’histoire et qui se réactualise perpétuellement. Pour les sionistes religieux, l’une des formes les plus virulentes d’Amalek est actuellement constituée par l’Iran. La situation géopolitique qui se dessine est tout sauf rassurante, les représentations et croyances religieuses des membres influents de l’administration américaine convergent dangereusement avec la religiosité apocalyptique de l’exécutif israélien.

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Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo et l’ambassadeur américain en Israël David Friedman (R) visitent les tunnels du Mur occidental dans la vieille ville de Jérusalem, le 21 mars 2019. (Photo par JIM YOUNG / AFP) – Source : https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

Le Troisième Temple et la guerre mondiale des religions

Cette infatigable et intraitable mémoire explique aussi la volonté actuelle de reconstruction du Troisième Temple à l’identique. Ainsi l’Institut du Temple (The Temple Institute)[42]travaille-t-il à préparer et à reconstituer jusque dans ses moindres détails l’architecture et le culte qui seront exercés dans le Temple reconstruit. Que ce soit les objets qui serviront aux sacrifices, les vêtements des prêtres, les prêtres eux-mêmes ou encore la fameuse vache rousse[43] nécessaire à certains rituels de purification spécifique, tous les éléments du culte que les sionistes religieux cherchent à reconstituer sont étudiés scrupuleusement. Le directeur pour l’Europe de l’Institut du Temple est le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld, un membre actif et important de sa communauté comme il le dit lui-même : « J’ai été directeur de différentes sociétés dans le textile. Sur le plan communautaire, j’ai été président de communauté et président d’associations, puisque j’ai fondé le B’naï Brith sur la Côte d’Azur, à Antibes où je résidais ; j’ai également fondé France-Israël dans la même ville et j’ai été président de la LICRA-Côte d’Azur pendant neuf ans. » [44]

Le Rav Jean Marc Haïm Rosenfeld – source : http://www.ichretien.com/reportages/le-consistoire-des-protestants-evangeliques-de-cote-d-ivoire-veut-donner-a-l-eglise-ivoirienne-de-parler-d-une-seule-voix-5349.html

Dans un long entretien accessible sur Internet, il livre des détails très instructifs sur les travaux de recherche et les préparatifs autour de la reconstruction du Temple de Jérusalem et de son culte. Surtout il expose très sereinement des conceptions qui peuvent sembler surréalistes et qui seraient sûrement  taxées de « complotistes » si elles étaient énoncées par un non-juif :

« Revue Kephas : Pour que le Temple puisse fonctionner, il faudra que des prêtres et des lévites reprennent du service, si j’ose dire. Comment pourra-t-on faire pour savoir qui est légitimement prêtre ou lévite dans le Peuple juif d’aujourd’hui ?

Jean-Marc Rosenfeld : Voilà une question sur laquelle nos maîtres se sont penchés plusieurs fois. Effectivement, un Cohen ou un Lévi d’aujourd’hui peut ne pas être un cohen ou un lévi : des mésalliances ont eu lieu, des tribus sont parties … De plus, ne peut l’être que quelqu’un qui connaît le fonctionnement, et qui applique la Loi que Dieu a donnée. Donc on ne peut pas se réveiller un jour en disant ʺTiens, maintenant je suis cohen, je suis lévi  !ʺ Selon nous, le Temple sera reconstruit et ensuite, le Messie arrivera pour nous donner toutes ses directives. Il nous dira alors qui est réellement cohen ou lévi. Aujourd’hui cela nous dépasse – même si on a des analyses de groupes sanguins qui commencent à se faire, et qui permettent de voir quelle est la descendance cohen et la descendance lévi dans ces groupes sanguins, c’est encore très, très aléatoire et ce n’est pas une science toraïque exacte. »[45]

Le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld évoque aussi les sacrifices d’animaux qui auront lieu dans le Temple comme au temps du paganisme antique : 

« Revue Kephas : Envisagez-vous, dans ce Temple à venir, une reprise du régime des sacrifices ?

J.-M. R. Effectivement, nos maîtres nous enseignent que les sacrifices auront à nouveau lieu. C’est pourquoi l’Institut du Temple reconstitue aussi des objets, que vous voyez ici, qui pourront peut-être servir dans le prochain Temple. Les sacrifices doivent reprendre parce qu’ils nous ont été ordonnés par Dieu. L’homme doit exécuter ce que Dieu a dit – même s’il ne le fait pas toujours, malheureusement, car si les religions se sont multipliées c’est par le fait des hommes, et pas de Dieu, qui dit au contraire : « Réunissez-vous ensemble car Je suis Dieu Un ». Le moment venu, Dieu nous éclairera : le Messie nous donnera exactement les fonctions à faire. Les sacrifices se referont, pas tous comme à l’époque – c’est marqué, d’ailleurs, dans la Torah – certains sacrifices ne se feront plus. Par exemple, savez-vous qu’à l’époque de la Délivrance, tout le monde apportera un sacrifice expiatoire ? Imaginez : tous les gens apportant des sacrifices pour l’expiation de leurs fautes, c’est écrit ! Et il y aura également l’offrande des parfums, c’est évident.

Revue Kephas : Et des sacrifices sanglants d’animaux ?

J.-M. R. Oui, ces sacrifices vont revenir : si Dieu nous a indiqué que ce sont des odeurs qui Lui sont agréables, comment le défier en disant « je ne ferai pas de sacrifices, parce que moi, tuer une bête, je ne suis pas d’accord » ? Pourquoi Dieu nous les demande-t-il ? Parce qu’en nous il y a une sorte d’être bestial depuis toujours ; et si l’animal a été créé, c’est pour l’expiation de la faute de l’homme : c’est quelque chose que nous pouvons difficilement comprendre… C’est comme la vache rousse : pour purifier un cohen il faut les cendres d’une vache rousse, pourquoi une vache rousse ? Aucun maître n’a pu le savoir, mais nous croyons qu’un jour le Messie nous le dira. »[46]

Une reconstruction du troisième Temple qui va bouleverser les équilibres religieux précaires de la région et qui peut conduire à un embrasement généralisé :

« Revue Kephas : La première question qui vient à l’esprit, c’est celle du lieu du Troisième Temple : pensez-vous qu’il doive et qu’il puisse être construit à l’emplacement des deux Temples précédents, qui est actuellement occupé par des mosquées célèbres dans tout le monde musulman ?

J.-M. R. Si on a compris le message que je viens de vous donner et que nos maîtres nous enseignent, l’emplacement que Dieu a choisi est la pierre de fondement du monde, la pierre où eut lieu la ligature d’Isaac [ou sacrifice d’Abraham N.d.A.], le rêve de Jacob, la naissance d’Adam et d’Ève – nos père et mère à tous, de tous les peuples … on ne peut concevoir que le troisième Temple n’apparaisse pas au même endroit. Et ce n’est pas seulement une vue de l’esprit, c’est marqué dans les prophéties, qui disent que « le Premier Temple sera construit et sera démoli, le Deuxième Temple sera construit et sera redémoli, et le Troisième Temple sera reconstruit et ne sera plus jamais redémoli » … C’est quelque chose que nous attendons : si les deux autres prophéties se sont avérées exactes, nous sommes sûrs que la troisième prophétie se réalisera également …

Revue Kephas : Concrètement, avec les mosquées sur l’Esplanade, comment envisagez-vous les choses ?

J.-M. R. Moi je n’envisage rien, simplement je transmets ce que les prophètes ont écrit … C’est qu’il y aura un phénomène surnaturel à cet emplacement. Je ne sais s’il faut en parler ou non, car ce n’est pas l’objet de notre approche qui est une approche de paix, de shalom, mais… c’est quelque chose qui va se passer : les troubles actuels marquent le début de la guerre de Gog et Magog, qui va, malheureusement, faire de nombreuses victimes – c’est marqué dans cette prophétie, qui dit également que la pierre de fondement va jaillir de l’eau et va submerger l’Esplanade du Temple. À ce moment-là, le Temple va se reconstruire, purifié, pour la paix et le bien du monde entier ; alors, les Justes des nations se réveilleront en disant « mais c’est la seule solution », puisque nous n’avons pas trouvé jusqu’à présent de solution politique… Nous, nous ne sommes pas dans une impasse parce que nous savons qu’il n’y a qu’une solution, et je pense que les Justes des nations vont se réveiller, et à ce moment-là, le Messie nous indiquera le chemin à suivre … »[47]

Le message est à peine voilé : nous irons jusqu’au bout car telle est la volonté de Dieu et la prophétie qu’annonce nos écritures. Reste donc aux israéliens de détruire la mosquée al-Aqsa afin de reconstruire le Temple et de réaliser enfin la « prophétie » biblique que juifs et francs-maçons (cités dans les pages qui précèdent) attendent et appellent de leurs vœux :

« De nombreux peuples et de puissantes nations viendront rechercher Yahvé à Jérusalem et rendre hommage à Yahvé.” Ainsi parle Yahvé : “En ces jours-là, dix hommes de toute langue, de toute nation, saisiront le pan de l’habit d’un seul individu yehoudi (Juif) en disant : Nous voulons aller avec vous, car nous avons entendu dire que Dieu est avec vous !’’ » (Zacharie 8, 22-23)[48]

Si une part significative des évangélistes semblent prête à suivre les religieux israéliens jusqu’aux conséquences ultimes de leur hybris théologique et téléologique, qu’en sera-t-il des catholiques La tentative actuelle d’infliger une distorsion au catholicisme pour lui donner une inflexion judaïsante aura-t-elle l’agrément des autorités catholiques ? Une future reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise des sacrifices sanglants en son sein sont-ils acceptables ? Des sacrifices sanglants que l’Eucharistie vient remplacer selon la théologie chrétienne. Dans les dogmes catholique et orthodoxe le sacrifice du Christ sur la Croix vient clore l’ère des sacrifices de l’Ancien Testament.

Quand les sacrifices sanglants offerts à Yahvé reprendront dans la ville sainte de Jérusalem, que feront alors les autorités catholiques ?  Diront-elles aux chrétiens de tolérer ce que Saint Irénée, Évêque de Lyon et Martyr (120-202) condamnait par avance comme d’essence diabolique dans son « Contre les hérésies » (livre 5, troisième partie) :

 « C’est précisément dans ce Temple (de Jérusalem) que siégera l’Adversaire[49], lorsqu’il tentera de se faire passer pour le Christ, selon ce que dit aussi le Seigneur : ʺ Quand vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, dressée dans le lieu saint — que celui qui lit comprenne ! ʺ » [50]

Et Saint Irénée d’expliciter plus encore :

« C’est ce que fera l’Antéchrist au temps de son règne : il transportera sa royauté dans Jérusalem et siégera dans le Temple de Dieu, persuadant insidieusement ses adorateurs qu’il est le Christ. (…) C’est cela même que dit l’Apôtre [Saint Paul vers 51, dans l’épître aux Thessaloniciens] :  ʺQuand ils diront : Paix et sécurité, c’est alors qu’une ruine soudaine fondra sur eux. ʺ » (1 Th 5,3) »[51]

Pierre-Antoine Plaquevent pour Strategika


« UN FILM SUR LA PRATIQUE DE L’OFFRANDE DE PESSAH
L’INSTITUT DU TEMPLE ORGANISE UN EXERCICE D’OFFRANDE DE PESSAH SANS PRÉCÉDENT
5 Nisan/25 mars 2015 – L’Académie de formation sacerdotale créée par le Temple Institute a organisé un exercice d’offrande de Pessah. C’est un film qui documente cet événement. Il s’agit de la reconstitution la plus précise et la plus authentique de ce service qui ait eu lieu depuis près de 2 000 ans. » Source : https://templeinstitute.org/
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Photo issue du même reportage sur le sacrifice (korban) de Pessah.
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Reconstitution d’une cérémonie de libation lors de la fête des Tabernacles (Soukkot), dans la vieille ville de Jérusalem. GALI TIBBON – Source : https://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-les-prophetes-du-nouveau-temple-20191205
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« Un membre de l’Institut du Temple tient une chèvre sans défaut d’un an dans une mise en scène de la préparation du renouvellement du sacrifice de Pessah dans le troisième Temple juif, le 2 avril 2012, lors d’une exposition au public à Jérusalem. La police israélienne a arrêté plus d’une douzaine de personnes soupçonnées d’avoir tenté de sacrifier une chèvre dans la ville autour de la fête de Pessah. » GALI TIBBON/AFP/GETTY – Source : Pourquoi les activistes juifs continuent-ils à essayer de sacrifier des chèvres dans la vieille ville de Jérusalem ? JACK MOORE 4/13/17 – https://www.newsweek.com/why-do-jewish-activists-keep-trying-sacrifice-goats-jerusalems-old-city-583433
Le sacrifice sanglant de l’agneau : « Les sacrifices animaux ne pourront être offerts qu’une fois le Temple reconstruit. Mais, à l’enseigne du Temple Institute, des prêtres ont déjà tenté, dans cette vidéo de 2015, de reconstituer les sacrifices tels qu’ils devront être pratiqués le jour venu. » – Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Il ne s’agit pas d’un film, d’une reconstitution historique ou d’une pièce de théâtre, mais de membres de familles sacerdotales juives qui, sous l’égide du Temple Institute, s’exercent en 2015 à la pratique des rituels de la Pâque juive, tels qu’ils espèrent les voir bientôt à nouveau pratiqués dans le Troisième Temple. Cette scène est extraite d’une vidéo du Temple Institute. » Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Le Sanhédrin naissant a publié une déclaration aux 70 nations pour Hanoukka qui sera lue lors d’une cérémonie à Jérusalem le dernier jour de la fête. La cérémonie comprendra la consécration d’un autel en pierre préparé pour être utilisé dans le troisième temple. La déclaration se veut une invitation aux nations à participer au Temple et à recevoir ses bénédictions. » Source : https://www.israel365news.com/117830/70-nations-hanukkah-altar-third-temple/
Allumage du feu sur l’autel du troisième temple pour la première fois (Photo Adam Eliyahu Berkowitz/Breaking Israel News) source : LES NATIONS SONT INVITEES A UN SACRIFICE ANIMAL SUR LE MONT DES OLIVIERS RENOUVELANT L’ALLIANCE DE NOÉ – ADAM ELIYAHU BERKOWITZ | 2 SEP 2019 – https://www.israel365news.com/136435/nations-invited-animal-sacrifice-mount-of-olives-renewing-noahs-covenant/
Reconstitution virtuelle de l’autel du Temple.
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Les Kohanim soufflent dans des trompettes en argent lors de la dédicace de l’autel du Troisième Temple. (Crédit : Adam Eliyahu Berkowitz Breaking Israel News) Source : https://www.israel365news.com/118474/dedication-altar-third-temple/
« Deux types de shofars ont été soufflés : des cornes de bélier courbées et des cornes de bouquetin droites. (Elan Shecter) » Source : https://www.israel365news.com/133127/sanhedrin-calls-conference-70-nations-take-place-anniversary-creation-world-nations-answer-call/

[1] Dermer : Israël doit privilégier le soutien des évangéliques à celui des Juifs US : « L’ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Ron Dermer, a suggéré dimanche qu’Israël devrait donner la priorité au soutien « passionné et sans équivoque » des chrétiens évangéliques plutôt qu’à celui des juifs américains, qui, selon lui, font partie « de manière disproportionnée de nos détracteurs ». « Les gens doivent comprendre que l’épine dorsale du soutien d’Israël aux États-Unis est constituée par les chrétiens évangéliques. C’est vrai en raison de leur nombre et aussi de leur soutien passionné et sans équivoque à Israël », a déclaré Dermer lors d’une interview sur scène à une conférence organisée par Makor Rishon, un organe de presse affilié à la communauté sioniste religieuse. »
https://fr.timesofisrael.com/dermer-israel-doit-privilegier-le-soutien-des-evangeliques-a-celui-des-juifs-us/

[2] http://www.alterinfo.net/L-institution-d-Al-Aqsa-les-israeliens-se-preparent-pour-demolir-la-mosquee-d-Al-Aqsa_a7995.html

[3] http://www.templeinstitute.org/

[4] https://www.youtube.com/watch?v=F6prYdPPPaQ

[5] https://www.breakingisraelnews.com/78372/bin-exclusive-sanhedrin-asks-putin-trump-build-third-temple-jerusalem/#3vwbci6oekLjVXjL.97

[6] https://www.trt.net.tr/francais/moyen-orient/2019/05/09/des-dizaines-de-colons-envahissent-la-mosquee-al-aqsa-1198231

[7] ►http://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-sous-tension-apres-des-heurts-sur-l-esplanade-des-mosquees-20190602
https://fr.timesofisrael.com/260-000-musulmans-prient-a-jerusalem-apres-une-attaque/

[8] https://www.letemps.ch/opinions/israel-victoire-messianisme-juif

[9] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013), Seuil, avril 2013.

[10] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[11] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[12] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[13] Bernard Cottret, Histoire de la réforme protestante XVIe-XVIIIe siècle, Perrin, 2001, p. 209.

[14] Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, Paris, Gallimard, 1986, I, p. 414.

[15] G. Esquier, L’anticolonialisme au XVIIIe siècle, Paris, PUF, 1951, p. 290.

[16] Sébastien Fath, Le poids géopolitique des évangéliques américains : le cas d’Israël : 
https://www.cairn.info/revue-herodote-2005-4-page-25.htm

[17] Cf. Brian Steensland, Philip Goff, The New Evangelical Social Engagement OUP USA, USA, 2014, p. 111.117

[18]cf. Sébastien Fath, op. cit.

[19] Sébastien Fath, op. cit.

[20] http://www.atlantico.fr/decryptage/normalisation-forcee-comment-donald-trump-est-en-train-revenir-bien-sagement-dans-rang-parti-republicain-jean-eric-branaa-3012759.html

[21] https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8608258x

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Destinée_manifeste

[23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Dispensationalisme

[24] Perani Prisca. « Les Chrétiens sionistes aux États-Unis. » In : Matériaux pour l’histoire de notre temps, n°75, 2004. Religion, société et politique aux États-Unis, pp. 76-85

[25] http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2011/08/declaration-de-jerusalem-sur-le_22.html

[26] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[27] http://www.afrique-asie.fr/lemprise-evangeliste-sur-ladministration-trump/

[28] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[29] Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le Retour aux Sources 2018.

[30] Löwy Michael. Messianisme juif et utopies libertaires en Europe centrale / Jewish  Messianism and Libertarian Utopias in Central Europa. In : Archives de sciences sociales des religions, n° 51/1, 1981. pp. 5-47.
Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le retour aux sources 2018.

[31] Voir : Y. Hindi, Occident & Islam – Tome I : Sources et genèse messianiques du sionisme, Sigest, 2015. Et : Stephen Walt et John Mearsheimer, Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, La Découverte, 2009.

[32] https://www.lepoint.fr/monde/au-mur-des-lamentations-pompeo-offre-a-netanyahu-une-image-symbolique-21-03-2019-2303058_24.php

[33] ►https://fr.timesofisrael.com/pompeo-en-visite-historique-au-mur-occidental-aux-cotes-de-netanyahu-et-friedman/
https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

[34] https://sputniknews.com/world/201903231073479183-mike-pompeo-jerusalem-third-temple-model/

[35] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[36] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[37] https://www.washingtonpost.com/religion/2019/03/22/pompeo-perhaps-trump-is-like-bibles-esther-meant-save-jewish-people-iran/?utm_term=.65425dab232a

[38] https://embassies.gov.il/paris/NewsAndEvents/Pages/Declarations-communes-du-Premier-ministre-Netanyahu-et-du-secr%C3%A9taire-d’%C3%89tat-des-%C3%89tats-Unis-Mike-Pompeo-suite-%C3%A0-la-declarati.aspx

[39] https://books.google.co.ma › books
Figures mythiques: fabrique et métamorphoses, Véronique Léonard-Roques, ‎Université de Clermont-Ferrand II. Centre de recherches sur les littératures modernes et contemporaines – 2008 – ‎Jewish mythology
Qui veut se pencher sur l’histoire d’Esther se trouve donc en présence d’un scénario mythique assez clairement identifiable.

[40] Kevin MacDonald, “Background Traits for Jewish Activism”
https://nationalpolicy.institute/2004/10/08/background-traits-for-jewish-activism/

[41] « Quel est le lien entre Haman et Amalek? » 
http://www.leava.fr/questions-reponses/explications-sur-la-bible/12926_question-noa.php

[42] https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_du_Temple

[43] Lire à ce propos : Youssef Hindi, « Poussée de fièvre messianique en Israël », bvoltaire.fr, 05/08/2015 : 
https://www.bvoltaire.fr/poussee-de-fievre-messianique-israel/

[44] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[45] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[46] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[47] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[48] La Bible, traduction intégrale hébreu-français par les membres du Rabbinat Français, sous la direction du Grand-Rabbin Zadoc Kahn, Éditions Sinaï, Tel-Aviv/Israël, 1994.

[49] N.d.A. : « L’Adversaire » se traduit en hébreu par « Satan ». 
http://projetbabel.org/forum/viewtopic.php?t=19007

[50] ►https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf

[51] ►http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://thomiste12.over-blog.com/article-s-irenee-la-fin-des-temps-et-l-antechris-99407388.html




Tentations totalitaires via le pass de plusieurs nations européennes

Par le Dr Gérard Delépine

La mémoire des peuples est courte. On aurait pu espérer que l’un des moteurs de la pensée nazie (l’eugénisme-hygiénisme) avait été définitivement enterré avec ceux qui les ont mis en application ou ceux qui les ont subis durant la Seconde Guerre mondiale. L’actualité nous montre malheureusement qu’il n’en est rien puisque, après Israël, l’Autriche et l’Allemagne et bientôt la France veulent discriminer une majeure partie de leur population avec un pass vaccinal et imposer une vaccination expérimentale inutile et dangereuse aux enfants.

Le pass est un projet illogique

Il repose sur une incohérence conceptuelle.

Ses partisans croient en l’efficacité des vaccins et se font vacciner, c’est logique et un choix respectable, cohérent avec leur croyance. Mais s’ils croient que les vaccins les protègent, ils n’ont aucune raison d’avoir peur des non-vaccinés et de vouloir leur imposer un vaccin par le pass.

Et s’ils croient que les vaccins les protègent insuffisamment, ils n’ont aucune raison de croire que le pass les protégerait davantage puisqu’il les mettrait au contact de vaccinés susceptibles, comme eux, de leur transmettre le virus.

Alors, pourquoi prôner une mesure illogique, attentatoire aux libertés fondamentales ?

D’autant que les faits établis montrent que la vaccination ne protège ni de la transmission (contaminations) ni des formes graves (mortalité)

La vaccination ne protège pas des contaminations

Les partisans de la vaccination prétendent qu’une couverture vaccinale élevée protégerait efficacement la population. Mais, à ce jour, les rares pays qui ont atteint 70 %(([1] Aucune étude clinique sérieuse dans le monde réel n’a apporté de preuve à cette théorie déduite de simulation)) de couverture vaccinale (Les Seychelles, Gibraltar et l’île de Man) souffrent depuis d’une véritable explosion de l’épidémie, comme si en pratique la vaccination facilitait les contaminations.

D’après les publications de l’OMS(([2] WHO Covid19 Dahboard consulté le 15/5/2021)), avant la campagne de vaccination les Seychelles comptaient 502 cas confirmés. Au 14 mai, avec un taux de 70 % de vaccinés, les cas confirmés atteignaient 9184 (+1800 %).

Depuis, les écoles ont été fermées pour trois semaines et les activités sportives en groupe sont limitées. Les bars, les restaurants et les magasins doivent fermer plus tôt et il est demandé à la population de ne plus se rassembler en dehors de la famille.

Même phénomène de réveil de l’infection par la vaccination à l’île de Man

Même phénomène à Gibraltar où la couverture vaccinale dépasse les 100 % (car la vaccination a été étendue aux visiteurs espagnols)

L’exemple du Koweït est tout aussi démonstratif.

Le Koweït est le champion arabe de la vaccination qui a débuté fin décembre. Depuis la vaccination le nombre hebdomadaire de contaminations a été multiplié par 5 (1625 cas dans la semaine d’avant la vaccination et 8806 dans la semaine du 3/5).

Cette augmentation du nombre des contaminations après la vaccination, observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup est de durée variable : de 4 à 6 semaines en Grande-Bretagne et Israël, elle s’est prolongée 2 mois et demi aux Émirats Arabes Unis.

Certes, il s’agit d’une corrélation purement temporelle entre la date des vaccinations et l’augmentation des contaminations ; mais la constatation d’une telle corrélation dans tous les pays qui vaccinent suggère fortement une relation causale selon un mécanisme qu’il serait urgent d’élucider pour tenter d’y remédier.

Cette incapacité de la vaccination à empêcher la transmission de la maladie a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Veran dans son argumentaire au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées peuvent diffuser tout de même le virus »

La vaccination ne diminue pas la mortalité Covid19

Les avocats de la vaccination prétendent qu’un haut taux de couverture vaccinale diminuerait le risque de formes graves et la mortalité.

Mais les exemples des Seychelles (taux de couverture vaccinale de 70 %) et de Gibraltar (plus de 100 % de vaccinés) montrent que ces affirmations sont fausses.

Même phénomène à Gibraltar

L’incapacité des vaccins à prévenir les formes graves et la mortalité a également été reconnue par O Veran devant le Conseil d’État « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès, si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de réinfection post vaccinale ».

La propagande/supercherie des prétendus succès anglais et israéliens

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne actuelle sont très faibles. Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition de très nombreuses personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

En effet, dans tous les pays vaccinés, la mortalité a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (la première année) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto une diminution de la mortalité dans l’année à venir.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne

La régression naturelle de l’épidémie explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les évolutions dans les pays vaccinés et non vaccinés ont suivi la même chronologie, mais avec une exacerbation post vaccinale transitoire de la mortalité qui entraîne, à court terme, un excès de mortalité dans le pays le plus vacciné.

Certes, on ne dispose pour l’instant que d’un court recul post-vaccination et il faudrait attendre une éventuelle nouvelle vague pour conclure définitivement, mais l’examen objectif actuel des faits montre que la vaccination large d’une population ne diminue pas la mortalité, mais l’augmente au moins à court terme.

Ceux qui prétendent le contraire nient les faits constatés pour tenter de justifier un pass sanitairement inutile qui renouerait avec des pratiques totalitaires des nazis.

Le pass : la Commission européenne renoue-t-elle avec ses racines nazies ?

Ce livre révèle les importantes similitudes entre la nature antidémocratique de l’Union Européenne et les plans totalitaires d’un « Espace économique global européen » de la période d’avant la Seconde Guerre mondiale. L’information principale de ce livre est que les inspirateurs et architectes de la Constitution Européenne sont essentiellement les juristes qui ont rédigé les lois de l’Europe nazie.

Ainsi Walter Hallstein, membre de l’association nazie des « protecteurs de la loi » de 1936 à 1945 et doyen de la faculté de droit sous Hitler, valida les lois de discrimination visant les juifs et en particulier l’instauration du port de l’étoile jaune. En 1950, il devint conseiller du chancelier Adenauer, rédigea l’essentiel de la constitution européenne puis présida la Commission européenne de 1958 à 1967.

L’instauration d’un pass sanitaire par la commission de Bruxelles réitère donc l’instauration de l’étoile jaune validée sous Hitler par son ancien président. Même idéologie prétendument « sanitaire », même technique appuyée par une propagande totalitaire et une censure féroce des opposants que n’aurait pas désavouée Goebbels.

Ce pass qui veut imposer des « vaccins » expérimentaux est contraire au code de Nuremberg(([3] Amiel P., « “Code de Nuremberg” : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in
Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011 https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf)) et à la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) qui stipulent qu’aucun traitement expérimental comme les pseudo vaccins actuels(([5] Ces traitements sont toujours expérimentaux, car leurs essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023 ; d’ailleurs leur autorisation n’est que conditionnelle. De plus les péripéties du vaccin Astra Zeneca et plus récemment du Jansen et du Johnson et Johnson a montré les risques de telles autorisations prématurées.)) ne peut être administré sans le consentement libre et éclairé du receveur.

Ce pass instaure une discrimination entre les populations, un véritable apartheid contraire aux fondements de notre démocratie.

Il a d’ailleurs été refusé par l’OMS(([6] COVID-19: LE COMITÉ D’URGENCE DE L’OMS OPPOSÉ À LA MISE EN PLACE D’UN PASSEPORT VACCINAL
H.G. avec AFP Le 20/04/2021)), la Maison-Blanche(([7] États-Unis : le gouvernement s’oppose au passeport vaccinal La porte-parole de la Maison-Blanche a affirmé ce mardi que le gouvernement américain était formellement opposé à l’idée d’un passeport vaccinal, car « les données personnelles et les droits des Américains doivent être protégés ».
https://www.rtl.fr/actu/international/etats-unis-le-gouvernement-s-oppose-au-passeport-vaccinal-7900017020)) et interdit dans de nombreux états américains, ce qui rendra très compliquée sa mise en œuvre effective.

Le pass, une mesure discriminatoire totalement inutile

Les nombreux états américains qui ont repris une vie normale en supprimant toutes les mesures prétendument sanitaires (sans pass) bénéficient d’un recul majeur de l’épidémie.

L’exemple du Texas dont le gouverneur a eu le courage de libérer ses citoyens contre l’avis des experts et de J. Biden qui avait qualifié son attitude de néandertalienne est très démonstratif.

Depuis sa libération, les statistiques officielles objectivent la poursuite de la chute des nouveaux cas et une quasi-disparition de la mortalité alors que le taux de vaccination complète (32 %) est très loin des taux jugés efficaces par les vaccinolâtres.

Arrêtons d’avoir peur d’un virus qui n’est pas plus mortel que la grippe asiatique de 1959 et qui est sensible aux traitements précoces.

Exigeons la liberté de soigner des médecins ! et la liberté du choix de son traitement par les malades. Et en particulier celui de refuser des traitements expérimentaux aux résultats réels très inquiétants.

Refusons le pass illogique, inefficace, profondément antidémocratique et refusé pour cela par la majorité du monde. L’appliquer en Europe dissuaderait la clientèle extra-européenne de revenir visiter nos pays ; notre industrie du tourisme, fortement ébranlée par les mesures prétendument sanitaires, n’a pas besoin de ce coup de grâce.

Liberté. Liberté chérie.





Efficacité des vaccins : tout est une question de présentation !

[Source : francesoir.fr]

Par Marceau

Efficacité des vaccins : Pfizer annonce 95% et Moderna 94%…vraiment ?

Et si c’était plutôt : Pfizer 0.71% et Moderna 1.1%…vous feriez-vous vacciner ?

Quand Pfizer vous dit que son vaccin est efficace à 95%, qu’est-ce que cela signifie exactement ? 

Cette « efficacité » est la réduction du Risque Relatif de faire la forme grave de la maladie Covid-19.

Cette valeur est liée :

  • aux conditions de l’essai clinique
  • aux personnes sélectionnées pour cet essai 
  • ainsi qu’à la période durant laquelle l’essai a été effectué

Par exemple si les personnes sélectionnées avaient été plus âgées, avec plus de comorbidités ou si l’essai avait été effectué pendant une période de forte circulation du virus, comme en Inde aujourd’hui, l’efficacité relative de ce même vaccin aurait été beaucoup plus faible.

Ce qui est important pour les personnes auxquelles on propose un vaccin ou un traitement c’est la valeur de réduction du « Risque Absolu ».

Commençons par rappeler les définitions des risques relatifs et absolus :

Le Risque Relatif : c’est un nombre qui vous dit comment quelque chose que vous faites ou ne faites pas peut modifier votre risque de développer une maladie.

Par exemple : si vous ne fumez pas on va vous dire que vous avez 30% de chance en moins de faire une maladie cardiovasculaire qu’une personne qui fume. La réduction du risque relatif dans ce cas-là est de 30%. Il s’agit toujours de comparaisons entre deux groupes ; et savoir à quel groupe vous appartenez-vous permet d’évaluer la probabilité que vous avez de développer ou non ladite maladie.

Vous avez compris, ce nombre est relatif et ne s’applique pas à votre cas personnel mais au groupe auquel vous appartenez. Cette information sur la réduction du risque relatif est utile pour les chercheurs car elle leur permet de combiner les résultats de différents essais cliniques pour faire des méta-analyses. En aucun cas cette information ne permet de vous donner le bénéfice que vous pourriez attendre d’un traitement car elle ne tient pas compte de votre risque de base de développer la maladie sans traitement.

Ce qui importe pour chacun d’entre nous c’est de savoir ce que le traitement ou vaccin peut nous apporter à titre personnel. Pour cela il faut donc connaître la valeur de « Réduction du Risque Absolu ».

Le Risque Absolu : c’est votre propre probabilité initiale de développer une maladie comme un cancer, une maladie cardiovasculaire…ou le Covid-19 si vous êtes infectés par le Sars-Cov-2.  Il faut donc connaître son risque personnel (en %) de développer ladite maladie sans traitement et d’y soustraire la valeur de « réduction du risque absolu » (en %) provenant des essais cliniques.

  • C’est cette valeur que nous avons besoin de connaître pour pouvoir prendre une décision éclairée sur les bénéfices d’un traitement par rapport aux risques d’effets secondaires encourus à titre personnel.

Mais cette valeur de « réduction du risque absolu » est toujours beaucoup plus faible que la valeur de « réduction du risque relatif » et n’est donc pas assez sexy pour vendre de nouveaux produits faits à la va vite. C’est pour cette raison que les labos préfèrent utiliser la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas la valeur de Réduction du Risque Absolu.

Un exemple simple d’essai clinique pour illustrer (Ref.1) :

(Ref.1) https://www.mdpi.com/1648-9144/57/3/199

Vous comprendrez donc aisément pourquoi les labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Relatif et non pas Absolu !

Cette donnée de réduction du risque relatif est utilisée pour le marketing et la propagande car elle exagère le bénéfice réel attendu. En revanche, ces mêmes labos utilisent la valeur de Réduction du Risque Absolu pour minimiser l’importance des effets secondaires !

Pour les personnes qui doivent décider de prendre ou non un traitement ou un vaccin, les médecins doivent leur donner la valeur de Réduction du Risque Absolu afin qu’ils puissent évaluer le bénéfice REEL qu’ils peuvent en espérer.  C’est la base du consentement éclairé !

Effectuons à présent l’exercice avec les vaccins de Pfizer et Moderna en utilisant les données des essais cliniques. Pour cela il nous faut quelques formules mathématiques (Ref.2):

(Ref.2) https://bestpractice.bmj.com/info/toolkit/learn-ebm/how-to-calculate-risk/

Vaccin Pfizer (Ref.3) :

(Ref.3)  https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577

Donc si vous êtes jeune avec un risque proche de 0% de faire une forme grave de la maladie Covid-19, prendriez-vous le vaccin pour une réduction de ce risque de 0.71% avec tous les effets secondaires graves voire mortels ? Même avec un risque de faire une forme grave de 30% qu’est-ce que ces 0.71% vont-ils bien pouvoir changer pour vous ? Posons-nous la question !

Un autre paramètre est aussi très important : c’est ce qu’on appelle le NNT qui est le nombre de personnes qui doivent être vaccinées, pour qu’une seule personne puisse avoir un bénéfice du vaccin.

Dans le cas du vaccin de Pfizer : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.0071 = 141.

Cela veut dire que sur les 141 personnes vaccinées avec Pfizer, 140 personnes vont prendre le risque des effets secondaires sans en tirer aucun bénéfice !

Prendrez-vous ce risque ?

Surprise du chef : les données israéliennes confirment bien la réduction du risque relatif RRR de 94% mais pour ce qui est de la réduction du risque absolu dans la « vraie vie (masqués et distanciés) » ils tombent à ARR = 0.46%, donc pire que les 0.71% !!! Dans ce cas il faudra vacciner NNT = 1 / 0.0046 = 217 personnes pour qu’1 seule ait le bénéfice du vaccin soit 1.5 fois plus que les données de l’essai clinique. Mais les « experts » se sont bien gardés de s’étendre sur ce paramètre.
 

Au tour du vaccin Moderna (Ref.4) :

(Ref.4) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmoa2035389

Dans le cas du vaccin de Moderna : NNT = 1 / ARR = 1 / 0.011 = 91.

Il faudra donc vacciner 91 personnes pour qu’une seule en tire les bénéfices. Les 90 autres auront pris le risque des effets secondaires, voire de mourir sans aucun bénéfice !

Voilà donc les données complètes pour les vaccins Pfizer et Moderna qui sont sensés sauver le monde !

Dans la règlementation de mise sur le marché de la FDA (Ref.5), il est notifié que les labos doivent mettre toutes ces données à disposition du public afin que tout un chacun puisse évaluer les risques et les avantages basés sur des preuves et d’éclairer le consentement.

“ Fournir les risques absolus, pas uniquement les risques relatifs. Les patients sont indûment influencés lorsque les informations sur les risques sont présentées en utilisant une approche d’évaluation du risque relatif ; cela peut entraîner des décisions sous-optimales. Ainsi un format de risque absolu doit être utilisé »

(Ref.5) : P60. https://www.fda.gov/media/81597/download + https://www.fda.gov/about-fda/reports/communicating-risks-and-benefits-evidence-based-users-guide

2.          Provide absolute risks, not just relative risks. Patients are unduly influenced when risk information is presented using a relative risk approach; this can result in suboptimal decisions. Thus, an absolute risk format should be used.

Etrangement ni la FDA, ni l’EMA ne l’ont exigé pour ces vaccins… et au contraire elles n’insistent que sur le bénéfice basé sur l’évaluation de la Réduction du Risque RELATIF ! Omettre de donner toutes les infos au public pour permettre le consentement éclairé est non seulement malhonnête mais dangereux.

Un exemple de publicité « présentant », sans le dire, les données de réduction du risque relatif et absolu sur l’affiche (Ref.6) : il s’agit du blockbuster de Pfizer Atorvastatine « Lipitor – US ou Tahor – FR » qui est une statine permettant d’abaisser les taux de cholestérol et de triglycérides circulant dans le sang. 

L’affiche présente en gros la réduction du risque de faire une crise cardiaque en prenant ce médicament :  – 36%. Mais il s’agit de la Réduction du Risque Relatif et non pas du Risque Absolu. Pour trouver la Réduction du Risque Absolu, il faut suivre l’astérisque :

Ce médicament a permis à Pfizer d’engranger des bénéfices records pendant plus d’une décennie : US$ 130 milliards !

(Ref.6) : https://www.healthnewsreview.org/toolkit/tips-for-understanding-studies/number-needed-to-treat/

Comment est-ce possible que nos autorités sanitaires, nos ministres et autres médecins de plateau peuvent nous raconter que ces vaccins série spéciale Covid-19 fonctionnent, que leur bénéfice est supérieur au risque, qu’ils vont nous sortir de la crise avec de telles données ?

Comment peuvent-ils envisager de faire vacciner les personnes non à risque ou encore les enfants alors que ces vaccins ne leur seront non seulement d’aucun bénéfice mais que les effets secondaires, parfois mortels, sont eux bien réels et s’accumulent jour après jour… et bien sûr sans connaître les effets secondaires à long terme !

Pourtant certains rétorqueront que la vaccination fonctionne en citant les exemples en Israël et en Angleterre, pays dans lesquels il n’y a quasiment plus de morts.

Alors regardons les courbes de mortalité de ces deux pays (Ref.7, 8). Israël et l’Angleterre ont commencé par les plus âgés et plus fragiles : vous pouvez voir une explosion de la mortalité concomitante avec le début de la vaccination, phénomène qui est également observé dans tous les pays qui vaccinent en masse. C’est ce que certains épidémiologistes appellent l’effet « moisson ». Le début de la campagne de vaccination a précipité la mort des plus fragiles.

(Ref.7) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/uk/

(Ref.8) : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/israel/

Après cela, il est normal que les courbes de la mortalité baissent comme nous le voyons. Rien de miraculeux !

Les cas d’infection de personnes doublement vaccinées se multiplient partout dans le monde, les personnes vaccinées dans les EHPADs continuent à mourir et personne ne veut regarder la vérité en face. Mais qui sont donc les 300-400 morts que nous avons encore tous les jours en France si les personnes vulnérables sont quasi toutes vaccinées ? Quelle différence avec avant la vaccination ? Pourquoi personne ne pose les bonnes questions mais au contraire, on s’obstine dans cette fuite en avant morbide.

Il y aura donc bien une quatrième vague à l’automne qui emportera les personnes vulnérables, vaccinées ou non, et au lieu de reconnaître l’inutilité et la toxicité de ces thérapies géniques, le narratif est déjà bien rôdé : on prépare les esprits aux nouveaux variants, aux vaccins qui ne seront pas efficaces et au booster dans 6 mois ! Puis il y aura l’abonnement annuel chez Pfizer. Et le plus cynique c’est que c’est le PDG de Pfizer lui-même qui annonce la suite (Ref.9) !

(Ref.9) : https://www.latribune.fr/economie/international/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire-selon-son-pdg-882539.html

Comment en est-on arrivé là ? Difficile de rationaliser cette folie furieuse qui va laisser des gens malades, infirmes ou morts alors que cette maladie ne leur aurait rien fait. Mais quelle société peut accepter et encourager cela ??? Quelle société qui a déjà fait tant de mal à ses plus jeunes envisage aujourd’hui de les mettre encore plus en danger avec des thérapies géniques dont on ne sait rien sur les effets secondaires à long terme ?

Et pour arriver à leurs fins, les dirigeants européens avancent avec le passeport sanitaire et le passeport vaccinal. Ils maintiennent la population dans la trouille pour l’empêcher de réfléchir.

Nous serons nombreux à nous en souvenir….et ils rendront des comptes !

Auteur(s): Marceau, pour FranceSoir




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les « vaccinations » Covid-19

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination – parmi eux la généticienne Alexandra Henrion-Caude.

Les thérapies utilisées appelés « vaccins » ne répondent pas à la définition du mot vaccin et il serait plus approprié de les nommer thérapies géniques ou thérapies à vecteurs vaccinaux.

Il existe deux certitudes concernant la distribution mondiale de ces thérapies Covid-19 :

  • La première est que les gouvernements et la grande majorité des médias grand public mettent toutes leurs forces pour que ces médicaments expérimentaux s’adressent au plus grand nombre de personnes possible. 
  • La deuxième est que ceux qui sont prêts à affronter le mépris qui accompagne le fait de poser des questions sérieuses sur les vaccins sont des acteurs essentiels dans nos efforts continus pour répandre la vérité.

Vous pouvez lire ce manuscrit en pré-impression ci-dessous. Il a été préparé par près de soixante médecins, scientifiques et experts en politiques publiques du monde entier pour être envoyé de toute urgence aux dirigeants mondiaux ainsi qu’à tous ceux qui sont associés à la production et à la distribution des différents vaccins Covid-19 en circulation.

Il y a encore beaucoup trop de questions sans réponse concernant l’innocuitél’efficacité et la nécessité de ces thérapies Covid-19. 

Cette étude est une bombe qui devrait être lue par tout le monde, quel que soit son point de vue sur les thérapies géniques ou vaccins. Il n’y a pas assez de citoyens qui posent des questions. La plupart des gens suivent simplement les ordres des gouvernements mondiaux, comme s’ils avaient gagné notre entière confiance. Ce n’est pas le cas. Ce manuscrit est un pas en avant en termes de responsabilité et de libre circulation de l’information sur ce sujet crucial. Veuillez prendre le temps de le lire et de le partager largement.
 


Vaccination de masse contre le SRAS-CoV-2: questions urgentes sur la sécurité des vaccins qui exigent des réponses des agences internationales de santé, des autorités réglementaires, des gouvernements et des développeurs de vaccins

Auteurs : Roxana Bruno 1 , Peter McCullough 2 , Teresa Forcades i Vila 3 , Alexandra Henrion-Caude 4 , Teresa García-Gasca 5 , Galina P. Zaitzeva 6 , Sally Priester 7 , María J.Martínez Albarracín 8 , Alejandro Sousa-Escandon 9 , Fernando López Mirones 10 , Bartomeu Payeras Cifre 11 , Almudena Zaragoza Velilla 10 , Leopoldo M. Borini 1 , Mario Mas 1 , Ramiro Salazar 1 , Edgardo Schinder 1 , Eduardo A Yahbes 1 , Marcela Witt 1, Mariana Salmeron 1 , Patricia Fernández 1 , Miriam M. Marchesini 1 , Alberto J. Kajihara 1 , Marisol V. de la Riva 1 , Patricia J. Chimeno 1 , Paola A. Grellet 1 , Matelda Lisdero 1 , Pamela Mas 1 , Abelardo J. Gatica Baudo 12 , Elisabeth Retamoza 12 , Oscar Botta 13 , Chinda C. Brandolino 13 , Javier Sciuto 14 , Mario Cabrera Avivar 14 , Mauricio Castillo 15 , Patricio Villarroel 15 , Emilia P. Poblete Rojas 15, Bárbara Aguayo 15 , Dan I. Macías Flores 15 , Jose V. Rossell 16 , Julio C. Sarmiento 17 , Victor Andrade-Sotomayor 17 , Wilfredo R. Stokes Baltazar 18 , Virna Cedeño Escobar 19 , Ulises Arrúa 20 , Atilio Farina del Río 21 , Tatiana Campos Esquivel 22 , Patricia Callisperis 23 , María Eugenia Barrientos 24 , Karina Acevedo-Whitehouse 5 ,

Résumé

Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, la course au test de nouvelles plates-formes conçues pour conférer une immunité contre le SRAS-CoV-2, a été endémique et sans précédent, conduisant à l’autorisation d’urgence de divers vaccins. Malgré les progrès de la polychimiothérapie précoce pour les patients atteints de COVID-19, le mandat actuel est de vacciner la population mondiale le plus rapidement possible. Le manque de tests approfondis sur les animaux avant les essais cliniques et l’autorisation basée sur les données de sécurité générées lors des essais qui ont duré moins de 3,5 mois, soulèvent des questions concernant la sécurité de ces vaccins. Le rôle récemment identifié du pic de glycoprotéine du SRAS-CoV-2 qui peut induire des lésions endothéliales caractéristiques du COVID-19, même en l’absence d’infection, est extrêmement pertinent étant donné que la plupart des vaccins autorisés induisent la production de glycoprotéine Spike chez les receveurs. Compte tenu du taux élevé d’occurrence des effets indésirables et du large éventail de types d’effets indésirables signalés à ce jour, ainsi que du potentiel d’amélioration de la maladie due au vaccin, de l’immunopathologie Th2, de l’auto-immunité et de l’évasion immunitaire, il y a la nécessité d’une meilleure compréhension des bénéfices et des risques de la vaccination de masse, en particulier dans les groupes exclus des essais cliniques. Malgré les appels à la prudence, les risques de vaccination contre le SRAS-CoV-2 ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales. Nous appelons à la nécessité d’un dialogue pluraliste dans le cadre des politiques de santé.

Introduction

Depuis que la déclaration de la pandémie Covid-19 en mars 2020, plus de 150 millions de cas et 3 millions de décès ont été rapportés dans le monde. Malgré les progrès de la polychimiothérapie ambulatoire précoce pour les patients à haut risque, entraînant une réduction de 85% des hospitalisations et des décès liés au COVID-19 [1], le paradigme actuel de contrôle est la vaccination de masse. Bien que nous reconnaissions l’effort impliqué dans le développement, la production et l’autorisation d’urgence des vaccins contre le SRAS-CoV-2, nous sommes préoccupés par le fait que les risques ont été minimisés ou ignorés par les organisations de santé et les autorités gouvernementales, malgré les appels à la prudence [2-8].

Les vaccins contre d’autres coronavirus n’ont jamais été approuvés pour l’homme, et les données générées dans le développement de vaccins contre les coronavirus conçus pour susciter des anticorps neutralisants montrent qu’ils peuvent aggraver la maladie COVID-19 via une amélioration dépendante des anticorps (ADE) et l’immunopathologie Th2, quel que soit le vaccin. plate-forme et méthode de livraison [9-11]. On sait que l’augmentation de la maladie d’origine vaccinale chez les animaux vaccinés contre le SRAS-CoV et le MERS-CoV se produit à la suite d’une provocation virale et a été attribuée à des complexes immuns et à la capture virale médiée par Fc par les macrophages, qui augmentent l’activation et l’inflammation des lymphocytes T [11 -13].

En mars 2020, des immunologistes vaccinaux et des experts en coronavirus ont évalué les risques du vaccin contre le SRAS-CoV-2 sur la base d’essais de vaccins contre le SRAS-CoV sur des modèles animaux. Le groupe d’experts a conclu que l’EIM et l’immunopathologie constituaient une réelle préoccupation, mais a déclaré que leur risque était insuffisant pour retarder les essais cliniques, même si une surveillance continue serait nécessaire [14]. Bien qu’il n’y ait aucune preuve claire de la survenue d’EIM et d’immunopathologie liée au vaccin chez des volontaires immunisés avec des vaccins contre le SRAS-CoV-2 [15], les essais de sécurité à ce jour n’ont pas spécifiquement abordé ces effets indésirables graves (EIG). Étant donné que le suivi des volontaires n’a pas dépassé 2-3,5 mois après la deuxième dose [16-19], il est peu probable qu’un tel EIG ait été observé. Malgré 92 erreurs de déclaration, on ne peut ignorer que même en tenant compte du nombre de vaccins administrés, selon le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS), le nombre de décès par million de doses de vaccin administrées a été multiplié par plus de 10. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. 

Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse. Nous pensons qu’il y a un besoin urgent d’un dialogue scientifique ouvert sur la sécurité des vaccins dans le contexte de la vaccination à grande échelle. Dans cet article, nous décrivons certains des risques de la vaccination de masse dans le contexte des critères d’exclusion des essais de phase 3 et discutons de l’ESG rapporté dans les systèmes nationaux et régionaux d’enregistrement des effets indésirables. Nous soulignons les questions sans réponse et attirons l’attention sur la nécessité d’une approche plus prudente de la vaccination de masse.

Critères d’exclusion de l’essai de phase 3 du SRAS-CoV-2

À quelques exceptions près, les essais vaccinaux contre le SRAS-CoV-2 ont exclu les personnes âgées [16-19], ce qui a rendu impossible l’identification de la survenue d’une éosinophilie post-vaccination et d’une inflammation accrue chez les personnes âgées. Des études sur les vaccins contre le SRAS-CoV ont montré que les souris âgées immunisées couraient un risque particulièrement élevé d’immunopathologie Th2 potentiellement mortelle [9,20]. Malgré ces preuves et les données extrêmement limitées sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2 chez les personnes âgées, les campagnes de vaccination de masse se sont concentrées dès le début sur cette tranche d’âge. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression [16-29], bien que ces receveurs se voient désormais proposer le vaccin sous la prémisse de la sécurité.

Un autre critère d’exclusion de presque tous les essais était l’exposition antérieure au SRAS-CoV-2. Ceci est regrettable car cela a nié la possibilité d’obtenir des informations extrêmement pertinentes concernant les effets indésirables post-vaccinaux chez les personnes qui ont déjà des anticorps anti-SRAS-Cov-2. Au meilleur de nos connaissances, les EAD ne sont pas systématiquement surveillées pour tout âge ou groupe de conditions médicales actuellement administré le vaccin. De plus, malgré une proportion substantielle de la population ayant déjà des anticorps [21], des tests pour déterminer le statut des anticorps anti-SRAS-CoV-2 avant l’administration du vaccin ne sont pas effectués en routine.

Les effets indésirables graves des vaccins contre le SRAS-CoV-2 passeront-ils inaperçus?

Le COVID-19 englobe un large spectre clinique, allant de la pathologie pulmonaire très légère à sévère et de la maladie multi-organique mortelle avec dérégulation inflammatoire, cardiovasculaire et de la coagulation sanguine [22-24]. En ce sens, les cas d’EIM ou d’immunopathologie liés au vaccin seraient cliniquement indiscernables d’un COVID-19 sévère [25]. De plus, même en l’absence de virus SRAS-CoV-2, la glycoprotéine de Spike seule provoque des lésions endothéliales et une hypertension in vitro et in vivo chez les hamsters syriens en régulant à la baisse l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) et en altérant la fonction mitochondriale [26]. Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l’homme, les implications de cette découverte sont stupéfiantes, car tous les vaccins autorisés pour une utilisation d’urgence sont basés sur l’administration ou l’induction de la synthèse de glycoprotéines Spike. Dans le cas des vaccins à ARNm et des vaccins vectorisés par adénovirus, aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. aucune étude n’a examiné la durée de la production de Spike chez l’homme après la vaccination. Selon le principe de prudence, il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être à tort comptée comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. il est parcimonieux de considérer que la synthèse de Spike induite par le vaccin pourrait provoquer des signes cliniques de COVID-19 sévère et être comptabilisée à tort comme de nouveaux cas d’infections par le SRAS-CoV-2. Si tel est le cas, les véritables effets indésirables de la stratégie de vaccination mondiale actuelle pourraient ne jamais être reconnus à moins que des études n’examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination. les véritables effets indésirables de la stratégie mondiale actuelle de vaccination ne seront peut-être jamais reconnus à moins que des études examinent spécifiquement cette question. Il existe déjà des preuves non causales d’augmentation temporaire ou soutenue138 des décès dus au COVID-19 suite à la vaccination dans certains pays (Fig.1) et à la lumière de la pathogénicité de Spike, ces décès doivent être étudiés en profondeur pour déterminer s’ils sont liés à la vaccination.

Réactions indésirables imprévues aux vaccins contre le SRAS-CoV-2

L’auto-immunité est un autre problème critique à prendre en compte compte tenu de l’échelle mondiale de la vaccination contre le SRAS-CoV-2. Le SRAS-CoV-2 possède de nombreuses protéines immunogènes et tous ses épitopes immunogènes sauf un ont des similitudes avec les protéines humaines [27]. Ceux-ci peuvent agir comme une source d’antigènes, conduisant à une auto-immunité [28]. S’il est vrai que les mêmes effets pourraient être observés lors d’une infection naturelle par le SRAS-CoV-2, la vaccination est destinée à la plupart de la population mondiale, alors que l’on estime que seulement 10% de la population mondiale a été infectée par le SRAS-CoV -2, selon le Dr Michael Ryan, responsable des urgences à l’Organisation mondiale de la santé. Nous n’avons pas pu trouver de preuve que l’un quelconque des vaccins actuellement autorisés a criblé et exclu les épitopes immunogènes homologues pour éviter une auto-immunité potentielle due à un amorçage pathogène.

Certains effets indésirables, notamment des troubles de la coagulation sanguine, ont déjà été rapportés chez des personnes vaccinées en bonne santé et jeunes. Ces cas ont conduit à la suspension ou à l’annulation de l’utilisation des vaccins adénoviraux vectorisés ChAdOx1-nCov-19 et Janssen dans certains pays. Il a maintenant été proposé que la vaccination avec ChAdOx1-nCov-19 puisse entraîner une thrombopénie thrombotique immunitaire (VITT) médiée par des anticorps activant les plaquettes contre le facteur plaquettaire-4, qui imite cliniquement la thrombocytopénie auto-immune induite par l’héparine [29]. Malheureusement, le risque a été négligé lors de l’autorisation de ces vaccins, bien que la thrombocytopénie induite par les adénovirus soit connue depuis plus d’une décennie et ait été un événement constant avec les vecteurs adénoviraux [30]. Le risque de VITT serait vraisemblablement plus élevé chez les personnes déjà à risque de caillots sanguins,

Au niveau de la population, il pourrait également y avoir des impacts liés aux vaccins. Le SARS-CoV-2 est un virus à ARN à évolution rapide qui a jusqu’à présent produit plus de 40 000 variants [32,33] dont certains affectent le domaine antigénique de la glycoprotéine de Spike [34,35]. Compte tenu des taux de mutation élevés, la synthèse induite par le vaccin de niveaux élevés d’anticorps anti-SRAS-CoV-2-Spike pourrait théoriquement conduire à des réponses sous-optimales contre les infections ultérieures par d’autres variants chez les individus vaccinés [36], un phénomène connu sous le nom de « sin »[37] ou amorçage antigénique [38]. On ne sait pas dans quelle mesure les mutations qui affectent l’antigénicité du SRAS-CoV-2 se fixeront au cours de l’évolution virale [39], mais les vaccins pourraient vraisemblablement agir comme des forces sélectives entraînant des variantes avec une infectivité ou une transmissibilité plus élevée. Compte tenu de la forte similitude entre les variantes connues du SRAS-CoV-2, ce scénario est peu probable [32,34] mais si les variantes futures devaient différer davantage dans les épitopes clés, la stratégie de vaccination mondiale aurait pu contribuer à façonner un virus encore plus dangereux. Ce risque a été récemment porté à l’attention de l’OMS sous forme de lettre ouverte [40].

Discussion

Les risques décrits ici constituent un obstacle majeur à la poursuite de la vaccination mondiale contre le SRAS-CoV-2. Des preuves de l’innocuité de tous les vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont nécessaires avant d’exposer davantage de personnes au risque 184 de ces expériences, car la libération d’un vaccin candidat sans le temps de bien comprendre l’impact qui en résulterait sur la santé pourrait conduire à une exacerbation de la crise mondiale actuelle. [41]. La stratification des risques des vaccinés est essentielle. Selon le gouvernement britannique, les personnes de moins de 60 ans ont un risque extrêmement faible de mourir du COVID-191 187. Cependant, selon Eudravigillance, la plupart des effets indésirables graves consécutifs à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 surviennent chez des personnes âgées de 18 à 64 ans. Le calendrier de vaccination prévu pour les enfants âgés de 6 ans et plus aux États-Unis et au Royaume-Uni est particulièrement préoccupant. Dr. Anthony Fauci a récemment prévu que les adolescents de tout le pays seront vaccinés à l’automne et les plus jeunes au début de 2022, et le Royaume-Uni attend les résultats des essais pour commencer la vaccination de 11 millions d’enfants de moins de 18 ans. aux vaccins expérimentaux, étant donné que les Centers for Disease Control and Prevention estime qu’ils ont un taux de survie de 99,997% s’ils sont infectés par le SRAS-CoV-2. Non seulement le COVID-19 n’est pas pertinent en tant que menace pour ce groupe d’âge, mais il n’existe aucune preuve fiable pour étayer l’efficacité ou l’efficacité du vaccin dans cette population ou pour écarter les effets secondaires nocifs de ces vaccins expérimentaux. En ce sens, lorsque les médecins conseillent les patients sur l’administration élective de la vaccination COVID-19,

En conclusion, dans le contexte de l’autorisation d’urgence d’utilisation précipitée des vaccins contre le SRAS-CoV-2 et des lacunes actuelles dans notre compréhension de leur innocuité, les questions suivantes doivent être soulevées:

Est-ce que l’on sait si les anticorps à réaction croisée provenant d’infections antérieures à coronavirus ou les anticorps induits par le vaccin 206 peuvent influencer le risque de pathogenèse involontaire après la vaccination avec COVID-19?

Le risque spécifique d’EIM, d’immunopathologie, d’auto-immunité et de réactions indésirables graves a-t-il été clairement divulgué aux receveurs de vaccins afin de répondre à la norme d’éthique médicale de compréhension du patient pour le consentement éclairé? Sinon, quelles en sont les raisons et comment pourrait-il être mis en œuvre?

Quelle est la justification de l’administration du vaccin à chaque individu lorsque le risque de mourir du COVID-19 n’est pas égal entre les groupes d’âge et les conditions cliniques et lorsque les essais de phase 3 ont exclu les personnes âgées, les enfants et les affections spécifiques fréquentes?

Quels sont les droits légaux des patients s’ils sont lésés par un vaccin contre le SRAS-CoV-2? Qui couvrira les frais de traitement médical? Si les réclamations devaient être réglées avec des fonds publics, le public a-t-il été informé que les fabricants de vaccins ont obtenu l’immunité et que leur responsabilité d’indemniser les personnes lésées par le vaccin a été transférée aux contribuables?

Dans le contexte de ces préoccupations, nous proposons de mettre un terme à la vaccination de masse et d’ouvrir un dialogue urgent pluraliste, critique et scientifiquement fondé sur la vaccination contre le SRAS-CoV-2 entre les scientifiques, les médecins, les agences internationales de santé, les autorités réglementaires, les gouvernements et les vaccins. développeurs. C’est le seul moyen de combler le fossé actuel entre les preuves scientifiques et la politique de santé publique concernant les vaccins contre le SRAS-CoV-2. Nous sommes convaincus que l’humanité mérite une compréhension plus profonde des risques que ce qui est actuellement présenté comme la position officielle. Un dialogue scientifique ouvert est urgent et indispensable pour éviter l’érosion de la confiance du public dans la science et la santé publique et pour garantir que l’OMS et les autorités sanitaires nationales protègent les intérêts de l’humanité pendant la pandémie actuelle. Il est urgent de ramener la politique de santé publique à la médecine factuelle, en s’appuyant sur une évaluation minutieuse de la recherche scientifique pertinente. Il est impératif de suivre la science.

[1]  https://www.gov.uk/government/publications/covid-19-reported-sars-cov-2-deaths-in-england/covid-19-confirmed-deaths-in-england-report

Déclaration de conflit d’intérêts

Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière pouvant être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

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Légendes de la figure

Figure 1. Nombre de nouveaux décès dus au COVID-19 par rapport au nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pour certains pays. Le graphique montre les données du début de la vaccination au 3 mai 365, 2021. A) Inde (9,25% de la population vaccinée), B) Thaïlande (1,58% de la population vaccinée), C) Colombie (6,79% de la population vaccinée), D) Mongolie (31,65% de la population vaccinée), E) Israël (62,47% de la population vaccinée), F) Monde entier (7,81% de la population vaccinée). Les graphiques ont été construits à l’aide des données de Our World in Data (consulté le 4 mai 2021) 
https : // github . com / owid / covid – 19 – données / arbre / maître /public / données / vaccinations

Affiliations

1 Epidemiólogos Argentinos Metadisciplinarios. República Argentina.
2 Centre médical de l’Université Baylor. Dallas, Texas, États-Unis.
3 Monestir de Sant Benet de Montserrat, Montserrat, Espagne
4 INSERM U781 Hôpital Necker-Enfants Malades, Université Paris Descartes-Sorbonne Cité, Institut Imagine, Paris, France.
5 École des sciences naturelles. Université autonome de Querétaro, Querétaro, Mexique.
6 Professeur retraité d’immunologie médicale. Universidad de Guadalajara, Jalisco, Mexique.
7 Médicos por la Verdad Puerto Rico. Centre médical d’Ashford. San Juan, Porto Rico.
8 Professeur retraité de processus de diagnostic clinique. Université de Murcie, Murcie, Espagne
9Urologue Hôpital Comarcal de Monforte, Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne.
10 Biólogos por la Verdad, Espagne.
11 Biologiste à la retraite. Université de Barcelone. Spécialisé en microbiologie. Barcelone, Espagne.
12 Centre de médecine intégrative MICAEL (Medicina Integrativa Centro Antroposófico Educando en Libertad). Mendoza, République argentine.
13 Médicos por la Verdad Argentina. República Argentina. ´
14 Médicos por la Verdad Uruguay. República Oriental del Uruguay.
15 Médicos por la Libertad Chili. República de Chile.
16 Médecin, orthopédiste. República de Chile.
17 Médicos por la Verdad Perú. República del Perú.
18Médicos por la Verdad Guatemala. República de Guatemala.
19 Concepto Azul SA Équateur.
20 Médicos por la Verdad Brasil. Brésil.
21 Médicos por la Verdad Paraguay.
22 Médicos par Costa Rica.
23 Médicos por la Verdad Bolivie.
24 Médicos por la Verdad El Salvador.
* Correspondance: Karina Acevedo-Whitehouse,  karina.acevedo.whitehouse@uaq.mx

Auteur(s): FranceSoir




Troubles menstruels méconnus post-vaccin covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Les « vaccins » anti-covid font parler, au moins sur les réseaux sociaux, des accidents graves et même de décès liés à leur injection, et globalement d’incidents considérés comme potentiellement liés au vaccin, c’est-à-dire survenus dans les quatre semaines suivant l’injection (en particulier, accidents vasculaires et neurologiques).

Même si les signalements sont certainement très sous-estimés (de l’ordre de 1 % de la réalité) il est tout de même très impressionnant de constater en Union européenne (par exemple) près de 8 800 décès directement reconnus comme probablement en rapport avec un des 4 vaccins anti-covid par l’agence européenne.

Il est étonnant que ce chiffre énorme, (même si relativement faible par rapport aux millions de personnes vaccinées), ne perturbe pas plus les futurs vaccinés que les agences chargées de la sécurité. Rappelons qu’un vaccin devrait être préventif, s’adresser aux personnes à risque et en aucun cas à des jeunes qui présentent un risque zéro de l’infection visée, ici le covid-19.

Le rapport bénéfice/risque ne peut être que négatif dans les populations à risque zéro comme les enfants actuellement menacés par les politiciens dont certains corrompus.(([1] Comme la ministre chypriote Albert Coroz : Stella Kirikiades qui aurait touché 4 millions d’euros après avoir signé les contrats d’achat de vaccins https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/ ))

La « tolérance » actuelle sur les décès entraînés par ces molécules en essai thérapeutique n’a de parallèle que l’immonde propagande qui inonde tous les médias dans le monde depuis plus d’un an pour cette sinistre mise en scène du coronacircus.

Dans l’émission « Tucker Carlson Tonight », sur Fox News, Carlson, célèbre présentateur américain habituellement pro-vaccin, a cité des statistiques gouvernementales montrant que plus d’Américains sont morts après avoir pris le vaccin covid en quatre mois qu’à la suite de tous les autres vaccins combinés en plus d’une décennie et demie.

Les données officielles du  gouvernement américain sur «  vaccine adverse event reporting system » (VAERS) montrent que 3 362 Américains – ou 30 personnes par jour – sont  morts du vaccin Covid entre décembre 2020 et le mois dernier.

« Plus de personnes, selon VAERS, sont mortes après avoir reçu le vaccin en quatre mois au cours d’une seule campagne de vaccination que de tous les autres vaccins combinés sur plus d’une décennie et demie », a déclaré Carlson.

Le nombre de décès est probablement beaucoup plus élevé que ce que VAERS rapporte, a déclaré Carlson, citant des rapports soumis au ministère de la Santé et des Services sociaux en 2010 qui ont révélé que « moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés par le système VAERS ».

Carlson a également mentionné dans son émission les informations majeures suivantes :

« De tous les vaccins MENVEO administrés pour prévenir la méningite bactérienne, une seule personne est décédée du vaccin entre 2010 et 2015. En 1976, 45 millions d’Américains ont été vaccinés contre la grippe H1N1. Au total, 53 personnes sont mortes du vaccin. Le gouvernement américain a mis fin au programme de vaccination parce que les autorités ont décidé qu’il était trop risqué. »

Les vaccins Covid ont contribué à 8 000 hospitalisations aux États-Unis, selon VAERS ».(([2] Tucker Carlson : How Many Americans Have Died After Taking COVID Vaccines ? • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Cette indication est capitale, car chacun se demande à partir de combien de décès une agence de l’État suspend-elle la pratique d’un vaccin. La réponse précise sur le vaccin H1N1 dont Mme Bachelot a dû jeter des millions de doses achetées trop rapidement nous informe sur les réactions de l’époque dans des situations similaires.  Près de 9 000 décès reconnus en UE en ce début du joli mois de mai depuis le début des vaccinations anti-covid et répartis parmi les quatre produits injectés. Ne serait-ce pas temps de cesser ce sinistre scénario ?

Où sont passées les féministes ?

Le corps de la femme une nouvelle fois maltraité n’intéresse-t-il que le docteur Marc Girard ?(([3] D’Hippocrate au “crime organisé” : comment la médicalisation de la femme a fait tomber les barrières de la moralité – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))(([4] La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne – Le site du Dr Marc Girard (rolandsimion.org) ))

Les effets indésirables moins spectaculaires que les décès sont complètement invisibilisés mais gâchent la vie courante de nombreuses citoyennes devenues patientes après une vaccination sous prétexte d’un virus si peu méchant chez les femmes encore réglées sans comorbidité.

La protéine SPIKE dans le collimateur des vaccins anti-covid

Certes ceux qui s’intéressent aux vaccins savent maintenant qu’ils visent tous la fameuse protéine spike et qu’ils pourraient entraîner des troubles de la reproduction. Chacun a entendu la multiplication des avortements en Grande-Bretagne dans les premières semaines de la vaccination intensive et la mort d’un enfant allaité par une mère vaccinée deux jours plutôt.

Mais ces faits lourds ne doivent pas masquer le quotidien plus banal mais inacceptable de nombreuses femmes « pour une prévention d’une maladie à létalité mineure (moins de 0,01 % de décès liés au covid19) » ?

Alors qu’apprend-on sur le vécu des femmes vaccinées ?

De nombreuses femmes disent que les effets secondaires du vaccin Covid ont un impact sur leurs règles, alors pourquoi les médecins ne s’en soucient-ils pas ?(([5] Women say COVID vaccine side effects impact their periods, so why don’t doctors care ? – Israel News – Haaretz.com))

Nous rapportons ici les réflexions d’un journal israélien dans un pays fort largement vacciné en très peu de temps, et où les effets sur les contaminations et les décès post vaccinaux ont été déjà relayés.(([6] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

N’importe quel vaccin peut perturber les menstruations, mais la façon dont l’établissement médical a réagi aux descriptions de cet effet secondaire possible du vaccin coronavirus reflète un problème plus général.

Quelques exemples de l’article cité concernant l’expérience israélienne sont relatés ici.

Une femme de 36 ans s’est rendue chez le médecin après avoir subi des saignements vaginaux deux jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin contre le coronavirus. Son gynécologue a effectué un examen et l’a envoyée pour des analyses sanguines. « L’hémorragie a duré 10 jours, et le médecin m’a dit qu’il semble que mes règles sont arrivées tôt. « Je lui ai dit : bizarre, parce que mes règles ont été très régulières au cours de la dernière année. » « Cela arrive », a rétorqué le docteur de façon désinvolte que cela peut être un signe de ménopause précoce. « C’était comme un coup de poing à l’intestin », dit-elle.

« Il n’est pas nécessaire d’expliquer à quel point il est difficile pour une femme de mon âge de recevoir des nouvelles comme celle-là de son médecin. Pendant quelques semaines, j’étais vraiment en deuil de la fertilité que j’avais apparemment perdue ».

« Ce n’est que lorsqu’un ami, après que je lui ai parlé de mon état déplorable, a suggéré qu’il est peut-être vraiment lié au vaccin – que je l’ai googolé et découvert, à ma grande surprise, qu’un grand nombre de femmes ont signalé des saignements vaginaux et des périodes irrégulières après avoir été vaccinées.

J’étais en état de choc. Pourquoi ne m’ont-ils pas avertie que cela pourrait être l’un des effets secondaires du vaccin, comme ils m’ont mis en garde contre une faible fièvre et des douleurs au bras ? Pourquoi mon médecin n’a-t-il pas dit un mot à ce sujet ?

« Une histoire parmi un nombre infini sur les effets du vaccin sur les cycles menstruels. Une période précoce ou tardive, plus lourde que jamais ou plus douloureuse que d’habitude – les témoignages des femmes s’accumulent. Et comment l’établissement médical les traite-t- il ? »

C’est pourquoi nous pensons utile de vous informer, car le consentement éclairé est la base de la médecine d’Hippocrate, particulièrement en ce qui concerne l’expérimentation au cours des essais thérapeutiques comme le sont actuellement les vaccins anti-covid-19 dont aucun essai phase 3 n’est terminé.

Bien sûr le stress émotionnel lié au contexte actuel depuis un an et la campagne au grand galop de vaccinations en Israël peuvent favoriser les troubles des règles. Les stress physiques liés aux changements de vie sont aussi des facteurs connus de dérèglement du cycle menstruel.

« On sait que l’acte d’inoculation lui-même peut susciter un certain stress physique, et en particulier le vaccin contre le coronavirus, qui a également causé un stress émotionnel pour beaucoup de gens. Une réponse inflammatoire est une réaction immunitaire normale aux vaccins, ce qui affecte également les saignements vaginaux. Dr. Lior Shahar in Tel Aviv donne un exemple : on sait que le fait de se faire vacciner contre le papillomavirus (Gardasil) perturbe les périodes des femmes et des jeunes filles.

Les effets du vaccin sur les menstruations n’ont pas été étudiés à l’avance par les entreprises qui fabriquent les vaccins. »

Comment les ressentis des femmes ont-ils été reçus par les institutions médicales ?

« L’établissement médical a traité la question avec dérision. En ce qui le concerne, l’apparition de saignements vaginaux ou de perturbations dans les menstruations sont des phénomènes de routine qui se produisent de temps en temps, il n’y a donc aucune raison de les traiter comme un effet secondaire. »

« Quand j’ai demandé dans les groupes de médecins, et aux médecins individuellement – médecins de famille et gynécologues, hommes et femmes – j’ai entendu : « il y a des rapports, mais ils sont sans fondement », « J’ai entendu des patients dire que cela arrive, mais je n’ai pas vérifié la littérature », « je ne connais aucune référence médicale à cela », et ainsi de suite.

Certains de ces médecins pratiquent également la médecine fondée sur le genre.

Le mois dernier, des personnes ont été testées pour le coronavirus dans un complexe de la ville arabe de Tayibe, dans le centre d’Israël. Il semble que les patientes signalent fréquemment ces troubles gynécologiques, mais l’établissement n’en tient pas compte.

Qu’est-ce que cette histoire nous dit sur la façon dont l’établissement médical considère les phénomènes qui n’affectent que les femmes ?

« Il y a une discrimination évidente ici ». Bien sûr, cela rappelle les déclarations terrifiantes que le professeur Galia Rahav, chef de l’unité des maladies infectieuses au Centre médical Shaba, Tel Hashomer, a déclaré à l’époque sur la paralysie du nerf facial comme un effet secondaire du vaccin :

« Au début, ils ont dit que ce sont des femmes hystériques, mais apparemment pas, parce que nous voyons les effets chez les hommes aussi, et je crois que c’est réel.

« Ce n’est pas la partie choquante. La paralysie faciale, comme le saignement vaginal, n’est pas un événement rare. Mais lorsqu’il y a soudainement une multiplicité d’incidents en conjonction avec le vaccin, cela soulève des questions.

Bien sûr, cela comprend la question de savoir s’il s’agit d’une distorsion résultant de la surdéclaration, mais aussi de savoir s’il s’agit d’un effet secondaire.

Dans les groupes de médecins dont je suis membre, il y a eu d’innombrables discussions sur le sujet de la paralysie du nerf facial, mais aucune discussion sur les saignements chez les femmes. Il est scandaleux de découvrir que lorsque ces rapports sont des femmes, cela ne soulève pas de questions ou de discussions.

Je suppose que nous avons fait des progrès dans ce domaine depuis que nous avons découvert la différence dans la façon dont les hommes et les femmes éprouvent des crises cardiaques, par exemple. Dans quelle mesure la médecine fondée sur le genre a-t-elle progressé et comment ces progrès sont-ils exprimés ?

« Il y a certainement eu des progrès dans la médecine fondée sur le genre. Par exemple, la FDA interdit maintenant d’approuver un médicament sans le tester sur les femmes aussi, et d’examiner la différence dans ses effets sur les femmes et les hommes. Aujourd’hui, il y a des médicaments qui sont approuvés à l’avance juste pour les femmes ou tout simplement pour les hommes. Mais dans les facultés de médecine, ils n’apprennent toujours pas ces différences d’une manière organisée, et la plupart des professionnels de la santé ne connaissent pas du tout les fondements de la médecine fondée sur le genre.

« Mais la médecine fondée sur le genre n’est qu’une partie du problème, et il y a le vrai problème. La médecine fondée sur le genre ne traite que des différences biologiques entre les hommes et les femmes et ne tient pas compte des problèmes liés aux déséquilibres de pouvoir, à la discrimination, aux stéréotypes, au silence, à la violence ouverte ou cachée, à la minimisation des femmes dans l’espace public, à l’accessibilité aux services de santé – autant de choses qui contribuent tant à l’inégalité entre les sexes en matière de santé. C’est certainement vrai pour les femmes qui sont marginalisées de plusieurs façons – les femmes qui sont mizrahi, arabes, lesbiennes, âgées, en surpoids, handicapées et ainsi de suite. »

« C’est pourquoi la médecine fondée sur le genre ne suffit pas. Il y a un besoin de médecine féministe. C’est la véritable médecine égale, qui donne une voix aux femmes, qui comprend qu’une femme n’est pas seulement un corps, mais une totalité des expériences et des rôles sociaux, des codes, des attentes et du harcèlement sexuel, et le lien entre elles et son état médical physique et psychologique ne peut être rompu.

Tant qu’il n’y aura pas une compréhension profonde de ce lien, il n’y aura pas de bonne médecine égale pour les femmes, ni pour aucun groupe défavorisé dans la société ».

Une façon originale de voir la médecine à laquelle il faut réfléchir, mais en attendant écouter les femmes qui subissent des troubles menstruels à la suite du vaccin serait une première étape.

Des témoignages dans d’autres régions du monde

Emma Kahn dans sa lettre mensuelle sur le site de l’AIMSIB(([7] Lettre d’infos du 5 mai 2021 – AIMSIB)) signale aussi le fait que de nombreuses femmes se plaignent de saignements irréguliers à la suite du vaccin Pfizer, cela pourrait être dû à des ménopauses précoces selon la publication de health.com.(([8] https://www.health.com/condition/infectious-diseases/coronavirus/can-covid-vaccine-affect-my-period))
Dans un long fil de discussion sur Twitter, Kate Clancy, PhD, professeur associé à l’université de l’Illinois, rapporte : « une collègue avait entendu d’autres personnes dire que leurs règles étaient abondantes après la vaccination. Je suis curieuse de savoir si d’autres femmes ayant leurs règles ont également remarqué des changements ? J’ai reçu la première dose de Moderna il y a une semaine et demie, j’ai eu mes règles un jour ou deux plus tôt et j’ai l’impression d’avoir à nouveau 20 ans. »
D’autres ont raconté leur propre histoire. « Je suis exactement une semaine après ma deuxième injection de Moderna et j’ai commencé un cycle très dur pour moi, et j’ai environ 2,5 semaines d’avance », a écrit l’une d’elles.

« J’ai reçu le Moderna le dernier jour de mes règles. Neuf (!!!!) jours plus tard, une autre période est apparue et cela a été un cauchemar », a commenté une autre.

Les histoires personnelles se multiplient : « je suis à trois semaines de ma première piqûre de Moderna et j’ai commencé mes règles au milieu d’une plaquette de contraceptifs ». « Cela ne m’est jamais arrivé en 12 ans de prise de la pilule. Je n’ai même jamais de taches entre les périodes. »

Les changements de règles sont-ils donc un effet secondaire légitime du vaccin ?

Existe-t-il des recherches sur les vaccins Covid-19 et les cycles menstruels ?
Pas vraiment. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) disposent d’un Vaccine Adverse Event Reporting System (système de notification des effets indésirables des vaccins), programme de surveillance dans lequel chacun peut signaler les effets secondaires qu’il a ressentis après avoir reçu le vaccin.

Plusieurs dizaines de femmes ont déclaré avoir eu des règles plus abondantes que d’habitude, des crampes douloureuses et des cycles menstruels inhabituels après avoir été vaccinées. Mais étant donné que n’importe qui peut soumettre n’importe quoi au système, tout cela est considéré comme anecdotique à ce stade.
Pour les femmes qui signalent des douleurs plus importantes que d’habitude, « il se peut que les douleurs post-vaccinales s’ajoutent aux douleurs menstruelles normales », explique à Health l’expert en maladies infectieuses Amesh A. Adalja, MD, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security dans le Maryland.

Le flux plus abondant est un peu plus difficile à expliquer. Une petite étude portant sur 233 femmes en âge de procréer présentant un diagnostic clinique de Covid-19 a fait état de certains changements menstruels. Sur les 177 patientes ayant des données sur leurs règles, 25 % avaient des « changements de volume menstruel », 20 % avaient des règles plus légères que d’habitude et 19 % avaient un cycle plus long que d’habitude, selon l’étude, publiée en janvier dans la revue Reproductive BioMedicine Online.

Il est possible que le vaccin Covid-19 ait un effet similaire, mais on ne le sait pas pour l’instant.

À l’heure actuelle, ces données sur la vie quotidienne des femmes restent peu connues et il importe que des médecins cliniciens s’y intéressent. La médecine n’est pas que celle des épidémiologistes, des simulations.

Les chiffres ne doivent pas faire oublier les êtres humains soumis à des interventions extérieures pas nécessairement justifiées. Elles devraient être informées des conséquences graves possibles, y compris les décès, liées aux vaccins expérimentaux mais aussi aux troubles de la vie quotidienne à même parfois de leur gâcher la vie.

Les doutes sur les perturbations de la fertilité à court et plus long terme devraient être élucidés avant une généralisation des pseudo-vaccins anti-covid contre une maladie non létale dans l’extrême majorité des cas. Pourquoi tant de hâte à vacciner des femmes réglées qui, du fait de leur sexe et de leur âge, ne risquent rien ?

Nicole Delépine





Le totalitarisme vaccinal s’exprime sans masque

Par Gérard Delépine

Dans un journal financier français appelé l’Opinion,(([1] 2 mai 2021)) la chronique d’un inquisiteur de la secte covidiste, Éric le Boucher, jette le masque et affirme sans honte :

« il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ».

Au-delà de la banalisation inadmissible d’un passeport vaccinal que trois quarts des Français refusent en dépit de l’intoxication médiatique,(([2] LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) punir ceux qui refusent l’injection expérimentale d’une thérapie génique intitulée à tort « vaccin » devient une idée proposée par un journaliste français. Il est temps de se réveiller !

Que ceux qui pensent exagérée la comparaison de notre époque avec des périodes troublées des années trente, et les angoisses sur les mesures extrêmes comme l’isolement dans des « camps » appelés encore pudiquement hôtels de résistants à la secte covid, et éventuellement l’éloignement des enfants, soient vigilants à ce qui n’est encore qu’écart de langage, mais impose une attention de tous les instants de ceux pour qui les mots de liberté, de consentement éclairé, de convention d’Helsinki ou de code de Nuremberg ont encore un sens.

Cette chronique menaçante de l’Opinion affiche l’ignorance scientifique et/ou mauvaise foi du rédacteur, et proclame son mépris pour la démocratie, et la volonté du peuple.

Il faut la dénoncer, car malheureusement la faiblesse des réactions politiques à l’annonce d’un passeport vaccinal, sauf exception, ne saurait rassurer. L’hypnose ayant accompagné la sidération induite par une propagande continue sur les chaînes d’information TV ou radio et la presse écrite a conduit à un état d’apparente décérébration ou au moins d’apathie d’une part encore importante de la population, même si le réveil semble avoir quelques frémissements. Goebbels, de l’enfer où il brûle sûrement, doit être jaloux de la puissance médiatique actuelle et de ses pouvoirs de censure mondiale…

Ignorance et incohérence de la chronique à propos des USA

Manifestement, cet article comme d’autres n’a pas bien analysé la régression de l’épidémie aux USA. Contre toute évidence, il attribue celle-ci à la vaccination.

Or le recul de l’épidémie aux USA a commencé dès janvier 2021, alors que le taux de vaccinés ne dépassait pas les 5 %. En totale contradiction avec le credo de sa chronique :

« si l’on veut en finir véritablement avec cette pandémie, il faut atteindre le fameux seuil de “l’immunité collective”, autour de 70 % de la population vaccinée ».

En mars 2021, le gouverneur du Texas, Greg Abbott a supprimé les mesures prétendument sanitaires sans écouter les covido-terroristes, dont Joe Biden et Fauci, qui lui prédisaient un cataclysme épidémique. Il s’est aussi attiré les injures d’autres covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom déclarant que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke qualifiait le parti républicain du parti du « culte de la mort », et Joe Biden estimait la décision de « pensée néanderthalienne », Keith Olbermann répétait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Leur boule de cristal les a trahis. La vérité est têtue. Au Texas, revenu à une vie quasi normale, la régression de l’épidémie s’est poursuivie sans que les modélisateurs annonciateurs de catastrophes parviennent à s’expliquer sur les erreurs considérables de leur dernière prophétie catastrophique démentie par les faits.

La décision du Texas a été suivie par les autres gouverneurs républicains, puis dans de nombreux états démocrates ainsi que l’illustre cette carte publiée le 3/5 par le New York Time.

Aux USA, depuis janvier 2021, la régression de l’épidémie se poursuit partout et plus rapidement dans les états libérés que dans ceux qui maintiennent des restrictions. Ceci démontre que les confinements et l’obligation du port des masques et des autres mesures pseudo-sanitaires ne servaient à rien ou étaient délétères, n’en déplaise aux désinformateurs de Arte et France télévision.(([3] Désintox. États-Unis : non, le Texas n’a pas démontré l’inutilité du port du masque antiCovid
France télévision le 16/04/2021))

Compte tenu de cette évolution naturelle favorable et des complications parfois graves des pseudo-vaccins actuels, les Américains ont compris que la « vaccination » actuelle présentait une balance avantage/risques très défavorable pour la très grande majorité de la population et ils ont déserté les vaccinodromes.

Ceci est jugé intolérable par Éric Le Boucher dont les convictions démocratiques paraissent bien incertaines et qui réclame une obligation vaccinale par des médicaments expérimentaux qui n’ont toujours pas reçu d’autorisation autre que conditionnelle de mise sur le marché, les essais ne devant clore leur première estimation qu’en 2023.

Heureusement que la Constitution américaine protège mieux les Américains que la nôtre ou qu’elle est mieux respectée.

Les vaccinalistes à outrance voudraient vendre 7 milliards de vaccins même à ceux qui n’en ont pas besoin. Dans quel but ?

Fort de leur foi en des produits (ou en bons représentants de commerce de l’industrie pharmaceutique ?) Le Boucher et d’autres affirment : « il faudra vacciner au moins 70 % des 7,7 milliards d’individus sur Terre » comme l’avait déjà proposé un député français sur sud radio en avril 2020. Ils ne remarquent pas que le Covid a surtout sévi dans les pays occidentaux riches et qu’il n’y a donc aucune raison et au contraire beaucoup de risque à introduire les vaccins actuels dans des pays sans mortalité Covid 19 notable.

En effet, dans ces pays, les courbes publiées par l’OMS(([4] Que chacun peut vérifier sur https://covid19.who.int/)) montrent que la vaccination est suivie pendant quatre à six semaines d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid19.

Qu’il s’agisse de la Mongolie :

De la Thaïlande :

Ou du Cambodge :

Ou encore les micro-États européens comme Monaco ou Gibraltar

OBJECTIFS OFFICIELS DES VACCINATIONS ANTICOVID

Le but théorique de la vaccination est de diminuer le nombre de malades et d’éviter les transmissions et les formes graves. Les données de l’OMS prouvent que c’est le contraire qui se produit avec les vaccins covid actuels.

Dans les pays souffrant fortement du Covid, des évolutions post vaccinales désastreuses ont aussi été observées

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie.

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril :(([5] Bilan catastrophique sur la vaccination en Israël – Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com) ))

« les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale par rapport à l’année précédente. Ces mois de janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle depuis le début de l’épidémie et totalise près du quart de la mortalité globale.

Des évolutions aussi inquiétantes ont été constatées au Chili :

en Inde

au Koweït

aux Émirats Arabes Unis,

au Bahrein(([6] G Delépine : Et surgit une hécatombe post vaccinale
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Mais la foi des vaccinolâtres dans la vaccination Covid19, comme toutes les croyances, ne se discute pas et ne peut pas être mise en cause par les faits avérés dans le monde réel. Triste pour les victimes des vaccins et leurs proches.

Le totalitarisme militant

Le Boucher, entre autres, proclame sans honte :

« les gouvernements devront imposer, comme avec le confinement, la santé collective contre la liberté individuelle ».

Pourtant le confinement n’a pas imposé « la santé collective » dans le monde réel, mais lui a considérablement nui, augmentant la mortalité Covid et celles de toutes les pathologies chroniques, l’aggravant par les complications psychiatriques et les morts collatérales par défaut de soins.(([7] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire-economique)) Tous les pays qui ont imposé cette technique moyenâgeuse se retrouvent dans le peloton des plus fortes mortalités Covid19 par million d’habitants.

Tous les religieux fanatiques ou prophètes illuminés de cette secte covidiste tentent de nous effrayer avec la bête. Le Boucher le formule ainsi : « la bête n’est pas sur le déclin, elle n’est pas morte, elle peut revenir, donc elle reviendra » avant de réciter un crédo sans aucun argument scientifique du monde réel. « Pour en finir une bonne fois pour toutes, il faut vacciner tout le monde ou presque ». N’a-t-il jamais entendu parler des traitements précoces qui ont réglé le problème dans tous les pays qui l’ont accepté ?

Les covidistes militants, dont le Premier Ministre, ignorent-ils que le Pr Delfraissy lui-même ne croit plus au confinement ni au vaccin salvateur ainsi qu’il l’a précisé dans sa lettre récente au Lancet(([8] L Atlani-Duault, B Lina, B Chauvin, JF Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 VOLUME 6, NUMÉRO 4.)) cosignée par des membres du conseil scientifique ?

« Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».

Même le ministre de la Santé français commence à parler d’antibiotiques, d’anticoagulants pour les malades et Boris Johnson promet aux Anglais des traitements précoces à prendre à domicile pour septembre. Le journal l’Opinion retarde-t-il d’une guerre ou bien faut-il vendre le maximum de vaccins avant de devoir les jeter comme pour le vaccin de H1N1 de Mme Bachelot passée à la culture…

La vraie bête immonde qui nous menace dans le monde réel est le totalitarisme, quel qu’en soit le prétexte.

Les fanatiques de la secte Covid19 qui crachent depuis plus d’un an sur notre devise « Liberté », notre Constitution, notre démocratie sont responsables de la pire crise sociale, sanitaire, éducative, économique depuis un siècle.

S’ils « croient » au vaccin (ce qui est leur droit absolu), qu’ils se vaccinent, mais qu’ils soient logiques. Puisqu’ils sont sûrs de l’efficacité de leur médicament, ils devraient se sentir protégés et n’ont donc aucune raison d’avoir peur du contact avec les non-vaccinés et de vouloir imposer aux autres leur croyance mortifère, les discriminations, ou la nouvelle étoile jaune (le pass).

Les USA nous ont montré que le retour à la liberté est parfaitement possible sans risque. Suivons son exemple.

Les résultats des essais ne seront pas connus avant plusieurs mois

Il faut attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et des campagnes vaccinales actuelles pour savoir si les vaccinés seront réellement globalement protégés et durant combien de temps, si la vaccination peut réellement diminuer les contaminations sur le long terme et si les complications ne seront pas trop nombreuses, en particulier chez les vieillards à comorbidité lourde qui auraient dû constituer la cible naturelle de cette thérapie.

Ce n’est donc qu’en 2023 que le bilan avantages-risques pourra commencer à être évalué permettant de définir éventuellement des indications médicalement fondées.

Les menaces des vaccinolâtres témoignent de leur foi, mais n’apportent aucun argument scientifique et leur agressivité sectaire montre le danger des extrémismes totalitaires.

Se contenter d’excommunications ou de fatwas contre ceux qui doutent nous ramène quelques siècles en arrière au temps des guerres de religion.

Revenons aux faits avérés et confrontons des arguments objectifs.





LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT

Par le docteur Gérard Delépine

Le chantage « vacciné ou discriminé » de nos gouvernants suscite la collaboration active de certains soumis, politiques, artistes, professions en péril, médecins, pharmaciens, biologistes, etc. et des médias aux ordres des milliardaires.

Au lieu de réclamer avec l’ensemble de la population le retour de nos libertés fondamentales bafouées inutilement, et l’autorisation des traitements précoces efficaces, ils préfèrent cautionner des mesures antidémocratiques d’apartheid et jouer les capos.

Ainsi certains prestataires de services du secteur des mariages auraient proposé au ministère la mise en place d’un pass sanitaire(([1] Marcelo Torello Covid-19 : pour les mariages, bientôt un pass sanitaire ? le point le 03/05/2021)) pour pouvoir se marier, comme le directeur du festival d’Avignon(([2] Festival d’Avignon – Olivier Py : « Il faudra un pass sanitaire pour entrer dans la Cour d’honneur « La Provence 1/5/2021)) pour pouvoir assister au festival. Jean Vilar doit se retourner dans sa tombe ! le maire de la Baule aurait aussi vendu son âme du diable pour des broutilles.

Certains politiques se démasquent, rendant très inquiets pour les prochaines élections.

De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Jean-Christophe Lagarde et François Bayrou, nous avons entendu des appels à l’élargissement de la vaccination voire à son obligation, sans cri d’orfraie contre cette étoile jaune-verte du Covid qui viendrait discriminer honteusement des catégories de population : les vaccinés, les non-vaccinés, les allergiques, les anciens malades covid chroniques, etc. et tous ceux dont les statuts particuliers ne leur permettraient pas d’entrer dans les cases prévues par nos administratifs.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale et les horreurs de la Shoah, et des juifs discriminés par le port de l’épouvantable étoile jaune, comment la mémoire collective peut-elle manquer à ce point ?

Cette discrimination envisagée ne choque pas la plupart des journalistes, y compris les femmes, les gens de couleur, etc. qui passent leurs vies à trouver des anomalies racialistes dans l’Histoire et dans notre culture.

Un exemple grotesque du jour : le baiser du Prince à la Belle au Bois dormant est-il raciste ?

Nous en sommes à ce degré de folie, mais séparer les gens sur la foi d’un vaccin qui ne protège pas, d’un test PCR qui est un vaste enfumage, d’un statut sanguin d’anticorps sans valeur médicale ne les gênerait pas ! Comme d’ailleurs les végans ou autres écologistes militants contre les OGM dans l’alimentation, qui ne sont pas pour autant conduits à refuser une drogue injectable dans son propre organisme de type OGM.

Et pourtant, rappelons-le une nouvelle fois, il n’y a pas de Pandémie comme l’affirme le rédacteur en chef du Lancet : « covid-19 » is not a pandemic »(([3] Lancet vol 396,10255 SEPT 2020 P 874)). La mortalité directe du Covid a touché essentiellement les plus de 80 ans et les conséquences se verront surtout sur tous les drames, non du virus, mais des mesures liberticides majeures prises par les pays soumis à l’ordre mondial dirigé au moins apparemment par l’OMS.

L’effet premier de la pseudo « pandémie » Covid est-il la perte de tout bon sens ?

QUELS SONT LES VRAIS MOTIFS D’UN PASSEPORT SANITAIRE ?

Notons qu’en ce début mai 2021, il est déjà refusé par les USA, la Russie, et l’Inde et singulièrement l’OMS. Mais l’UE, et la France à ses pieds sont plus extrémistes que tous les autres. Pourtant imagine-t-on la France se couper de sa riche clientèle américaine libre de circuler chez elle, ou bien imposer son passeport sanitaire aux Européens et pas à tous les autres voyageurs? On voit bien que tout cela est grotesque et a surtout dans l’immédiat le but de convaincre à la vaccination un maximum de Français et d’éviter d’avoir trop de doses inutilisées comme pour le vaccin H1N1.

NÉANMOINS LA TENTATION TOTALITAIRE EST PRÉSENTE

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Rappelons ici que le droit au mariage constitue l’un des droits humains fondamentaux, et que toutes les restrictions de liberté qu’on nous impose n’ont aucune utilité sanitaire démontrée. Elles ont totalement échoué et nous ont placés, en un an, parmi les six grands pays européens à la mortalité Covid19 la plus forte.

De même, la liberté de se réunir et de disposer de son corps représente un des droits humains essentiels.

Comme celui de refuser de prétendus vaccins (de fait produits de thérapie génique différents des vaccins classiques) totalement expérimentaux. Leurs résultats actuels en populations sont très inquiétants, car suivis de très fortes hausses post vaccinales des contaminations et des morts attribués au Covid19, pendant 4 à 6 semaines ainsi que l’illustre la comparaison des courbes OMS des épidémies en Grande-Bretagne que les médias érigent en succès.

Les Pays-Bas sont discrets, mais tellement plus efficaces, en ne vaccinant qu’avec discernement

On peut comprendre les difficultés extrêmes de nombreuses professions menacées de mort par les médias qui taisent les traitements précoces efficaces qui ont démontré tout leur intérêt dans les pays qui les ont utilisés.

Mais cela devrait les inciter à devenir des résistants, à combattre fermement la tyrannie au lieu de tenter des petits arrangements avec les tyrans. Les libertés ne se négocient pas, elles s’obtiennent et se défendent par la lutte ! La collaboration avec l’oppresseur affaiblit la résistance et doit être sanctionnée. Boycottons tous ceux qui prônent de pareilles mesures !

Se marier est un droit reconnu et protégé par des textes fondamentaux

Que ce soit l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948, l’article 23 du Pacte International des droits Civils et Politique, l’article 8 et 12 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

La décision n° 2003-484 du 20 novembre 2003 du Conseil Constitutionnel a rappelé que la liberté matrimoniale est un principe à valeur constitutionnelle protégé par les articles 2 et 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

Le mariage comme les festivals doivent rester des fêtes. Limiter le nombre de personnes, leur faculté de choisir leurs tenues (en fermant des magasins jugés non essentiels), leurs modalités festives constitue des atteintes disproportionnées à ce droit.

Ces fêtes ne sont pas dangereuses

Après la fête de la musique, les fêtes sauvages techno ou pas, le carnaval de Marseille ou la réunion récente des Buttes Chaumont, les covidterroristes ont prétendu que leurs participants mettaient en danger autrui, les policiers ont parfois dérapé(([4] Vidéo exclusive : les images d’une opération de police qui dérape à Marseille La Provence 3/5/2021 https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6342405/video-exclusive-les-images-dune-operation-de-police-qui-derape-a-marseille.html)), et les procureurs ont poursuivi en justice leurs organisateurs.

Pourtant aucun de ces rassemblements n’a été suivi par le moindre cluster. Dans un monde où la raison dominerait, la charge de la preuve devrait incomber aux avocats du confinement et des mesures sanitaires, car ce sont eux qui ont abandonné 100 ans de sagesse médicale en santé publique et l’ont remplacé par des obligations jupitériennes non testées piétinant la liberté, le libre choix du médecin pour le traitement de son patient, et des droits de l’homme.

Des mesures sanitaires liberticides aux résultats catastrophiques

La chloroquine a été interdite de prescription au prétexte qu’il n’existait pas de preuve scientifique de son efficacité. Mais les mesures de restrictions de libertés ont été imposées alors qu’aucune preuve n’existe qu’elles puissent être utiles.

Et depuis un an, la totalité des études analysant les faits avérés montrent qu’elles ne modifient guère l’évolution de l’épidémie et qu’elles infligent des dommages considérables(([5] https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-gL Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,reater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) non seulement sanitaires (victimes collatérales par défaut de soins, troubles psychiques, suicides), mais aussi crise économique, explosion de la dette, massacre de l’enseignement, et de l’avenir des jeunes, chômage.

Les avocats français de ces mesures (J. P. Delfraissy et le conseil scientifique) se sont basés sur leur foi dans la prophétie de Ferguson (simple simulation mathématique totalement erronée).

Analysant les faits avérés, ils ont récemment reconnu la nocivité du confinement : « l’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».et la nécessité d’un changement de stratégie sanitaire(([6] Le Conseil scientifique retourne sa veste partiellement sur le confinement. L’heure des comptes approche-t-elle ? (francesoir.fr) )) : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie »

Les pays européens tels que la Biélorussie, les Pays-Bas, la Finlande et la Suède qui n’ont pas imposé ces mesures liberticides ont une mortalité Covid bien plus faible que la nôtre.

Les états américains qui ont supprimé la totalité de ces mesures abracadabrantesques, comme le Texas et le Mississippi, bénéficient de la poursuite de la décrue majeure de l’épidémie avant même que la vaccination ait pu agir, puisqu’au 23 avril 2021 moins d’un tiers de la population était vaccinée alors que ses promoteurs estiment que la couverture vaccinale doit atteindre 70-80% pour qu’elle soit efficace.

Le pass vaccinal témoigne d’une angoisse qui ignore la logique. Si l’on croit à l’efficacité et à l’innocuité du vaccin et si on a peur de la maladie, il est normal de se faire vacciner; mais si on croit que le vaccin protège le vacciné, il est totalement illogique de craindre le contact des non-vaccinés et incompréhensible de vouloir leur imposer un médicament expérimental, d’autant que le ministre lui-même reconnaît que la vaccination n’empêche pas les transmissions virales et que le Conseil d’État s’est rangé à son avis «les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. » (([7] https://www.europe1.fr/sante/le-conseil-detat-deboute-un-octogenaire-vaccine-qui-demandait-a-etre-deconfine-4035600)) (([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees))

Conséquences du pass vaccinal en France

Le pass vaccinal n’est pas recommandé par l’OMS ni par la Maison-Blanche, et interdit dans de nombreux États américains, car jugé contraire à la constitution. Ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne le prônent.

Imposer dans les restaurants, les hôtels, les festivals et autres lieux de culture et de spectacles français un tel pass vaccinal aboutirait à dissuader les clientèles étrangères de venir visiter la France, de fréquenter nos établissements et les inciteraient à se diriger vers des pays plus libres.

Ce n’est pas d’un pass repoussoir de clientèle que ces professionnels ont besoin.

Ce dont la France a besoin ce n’est pas d’un pass inapplicable que seuls quelques pays européens veulent imposer, mais du retour aux libertés de se déplacer et de travailler pour tous et de la liberté de prescrire pour les médecins.

L’exemple de tous les pays qui ont récemment tenté la suppression des mesures prétendument sanitaires montre que ce n’est pas dangereux.

Comme le disait Victor Hugo « la seule chose dont j’ai peur, ce sont des gens qui ont peur »

Boycottons les collabos
Privilégions les commerçants résistants que vous trouverez en consultant ANIMAP, le site des commerçants qui ne demandent aucune preuve de test ou de vaccin sur les sites

Et des appels à se liguer pour refuser le passeport sanitaire émanent de partout. Citons l’appel de Mike Yeadon relayé par le blog de jeannesmits (réf 8)

Le passeport vaccinal, un instrument de tyrannie durable, inédit, et absolu, selon Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer(([9] https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html)) 30 avril 21

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a évoqué il y a quelques jours les plans visant à étendre la mise en œuvre du passeport vert dans un appel public à la vigilance adressé à America ’s Front line Doctors, association de médecins qui soutient les traitements efficaces contre le COVID-19 et s’oppose à la vaccination au moyen d’un agent biologique expérimental :

« Nous y sommes en Israël maintenant, et le Royaume-Uni sera pareil dans quelques semaines. »

Emmanuel Macron a annoncé que le passeport sanitaire devrait être mis en place début juin en France pour autoriser l’accès aux grandes manifestations publiques. Ce ne serait pas un passeport vaccinal, mais de « statut COVID », puisqu’il faudrait apporter la preuve soit de la vaccination, soit d’un test covid négatif de moins de 48 heures, soit d’une infection ayant muni le porteur d’anticorps.

Ce que dit Mike Yeadon, les outils sont là : ce sont eux qui sont mis en place.

« Certains diront que cela relève du fantasme. Je les aide à l’espérer, comme le disait ma chère Maman. Mais sachez que d’ores et déjà en Alaska, un village interdit à ses habitants de faire leurs courses en personne si elles n’ont pas été vaccinées. Et là, pour le coup, il ne s’agit pas d’une mesure ponctuelle pour « stopper la pandémie » : il n’y a aucune raison de revenir en arrière. »

MESSAGE DE Mike Yeadon aux médecins américains de Front Line Doctors

  • « À vous qui pensez que les passeports vaccinaux sont bons, ou du moins corrects, je m’adresse à vous.
  • Si vous êtes une personne vulnérable et que vous avez été vacciné, vous êtes protégé. Vous n’avez pas besoin de connaître le statut immunitaire d’autrui. Remarquez que même s’ils ont été vaccinés, cela ne garantit pas qu’ils ne puissent pas être porteurs d’une seule particule virale et vous la transmettre. Il n’est donc pas utile pour vous ou pour votre sécurité de savoir que tout le monde a été vacciné.
  • Si vous avez refusé de vous faire vacciner, par exemple, parce que vous n’êtes pas exposé à ce virus, sachant que les jeunes sont PLUS exposés à la grippe qu’au COVID-19, vous n’avez pas non plus besoin de connaître le statut immunitaire des autres.
  • La vaccination protège ceux qui en ont besoin. Les passeports vaccinaux ne protègent personne.
  • Mais le passeport vaccinal est utile à nos maîtres. Il s’agira de la première base de données au format commun, utilisable de Boston à Bogota, contenant votre identifiant numérique unique et un indicateur d’état de santé modifiable (initialement relatif au statut vaccinal).
  • Celui qui contrôle cette base de données et tout algorithme régissant ce qu’elle autorise ou refuse, possède un contrôle absolument totalitaire sur tous les aspects de votre vie.
  • Imaginez un avenir dans lequel un passeport vaccinal valide serait nécessaire pour entrer dans un terrain de sport ou un musée. Passeport vaccinal invalide : pas d’entrée.
  • Imaginez maintenant que les règles soient durcies (et elles le seront). Désormais, vous ne pourrez plus entrer dans les grands centres commerciaux ou dans des hôtels sans un passe valide.
  • Ira-t-on plus loin ? Bien sûr, pourquoi pas. L’algorithme sera modifié et vous ne pourrez plus entrer dans les grands supermarchés ou prendre les transports publics.
  • Une étape tyrannique pourrait consister en une modification de Visa/MasterCard qui exigerait un passeport vaccinal valide AVANT qu’un terminal ne s’ouvre pour une transaction d’achat.
  • Dès lors, vous ne pourriez même pas acheter une bouteille d’eau. Ou du carburant. Ou quoi que ce soit d’autre.
  • Ping ! Votre passeport vaccinal vous ordonne de vous présenter pour votre rappel de vaccin. Si vous ne le faites pas, votre passe expire. Pensez-vous avoir le choix ?
  • Ping ! On vous rappelle que vous devez aussi amener votre petit-fils, car sa mère ne l’a pas fait. Si vous ne le faites pas, votre passe devient invalide, tout comme celui de la mère du bébé. Pensez-vous toujours que vous aurez le choix ?
  • Le fait que je puisse facilement trouver des exemples doit au moins vous indiquer que le potentiel de contrôle totalitaire de toute la population se trouve tapi comme un ver au centre de cet avenir orwellien.
  • Ce n’est pas de la spéculation. On nous dit que ce système est sur le point d’arriver. Vous serez contraint de vous faire vacciner ou vous serez rapidement marginalisé.
  • Une fois que vous serez vaccinés, les libertés limitées qu’ils vous accordent peuvent être retirées à tout moment.
  • Ne vous faites pas d’illusions en imaginant que « personne ne pourrait être aussi méchant ». Je vous renvoie à de nombreux exemples au cours du siècle dernier. Il y a beaucoup de gens mauvais et la seule différence ici est l’ÉCHELLE et la nature irréversible du mal.
  • Maintenant que vous avez vu ce qu’il est si facile de faire pour prendre le contrôle total d’une société entière, vous DEVEZ vous opposer et trouver des moyens d’empêcher un système de passeport vaccinal de voir le jour. Par tous les us et moyens nécessaires. Enfin, à ceux qui disent que tout cela relève seulement d’une série d’erreurs malencontreuses et de l’incompétence, je vous invite à regarder ce documentaire. Bien avant d’arriver à la fin, vous réaliserez, comme je l’ai fait avec une horreur croissante, qu’il ne s’agit absolument pas d’incompétence. C’est un exercice répété et des exercices de ce type sont utilisés pour des jeux de guerre depuis des années, voire des décennies. Cela vous fera peut-être changer d’avis sur les origines de ce désordre et de ces crimes. Mais s’il vous plaît, une chose : ne dites pas qu’on ne vous a pas prévenus. »(([10] © leblogdejeannesmits pour la traduction
    Les liens de partage sur les réseaux sociaux ne figurent plus sous les articles de ce blog. Censure ? Aidez-moi à faire circuler les informations ci-dessus en copiant ce lien permanent https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html pour le partager par courriel ou sur une plateforme que vous fréquentez. Merci !))

Vous êtes prévenus ! PRÉVENEZ VOS VOISINS ET AMIS.

RÉSISTEZ !





Et surgit une hécatombe post vaccinale !

Par Gérard Delépine

L’hécatombe mondiale post vaccin anti Covid19 va progressivement mettre fin au mythe vaccinal

Alors qu’une propagande sans pareil (et incompréhensible si le médicament était à l’évidence efficace et sans danger) et des mesures liberticides veulent nous imposer une prétendue « vaccination » par des médicaments nouveaux mal évalués, les résultats des premiers mois des campagnes citées partout en exemple comme succès sont marqués par une augmentation paradoxale des contaminations et de la mortalité dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné.

Les faits avérés

Sont illustrés par les courbes de l’OMS publiées sur son site WHO Covid19 Dashboard additionnées de nos commentaires en rouge.

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.(([1] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314))

« Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. « Il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes… Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle et totalise près du quart de la mortalité globale.

Au Chili, les contaminations et la mortalité ont augmenté depuis la vaccination

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination, des fortes hausses des contaminations (+150%) et de la mortalité (+140%) globales ont aussi été observées

Au Bahreïn

Mais aussi au Koweït : les quatre mois post vaccination comptabilisent presque autant de contaminations que les dix mois précédents et 40% des décès survenus depuis le début de l’épidémie.

Mais aussi en Mongolie

Mais aussi à Monaco qui comptait seulement 3 décès avant la vaccination et plus de 30 aujourd’hui

Et à Gibraltar

Que peut -on déduire de ces faits avérés ?

Que les essais de ces vaccins ont été insuffisants. Aucun n’est terminé et il eut été judicieux d’attendre les résultats de ces essais (prévus à partir de janvier 2023)

Aucun d’entre eux ne signalait la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires.

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives si une nouvelle poussée survenait.

La situation s’est heureusement stabilisée en Israël et en Grande Bretagne en même temps que dans des pays peu vaccinés comme la Suède et les Pays Bas qui ont traversé cette période sans exacerbation brutale post vaccinale.

La comparaison montre une amplification nette de la mortalité en GB très vaccinée par rapport aux Pays-Bas peu vaccinés. Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en GB (934/M) dépasse le double de celle des PB (411/M).

Hypothèses qui pourraient expliquer cette surmortalité

Les vaccins ne sont pas assez efficaces : ils n’empêchent pas d’être malade ni n’évitent la transmission virale à l’entourage, comme l’a précisé le ministre de la Santé français le 31 mars 2021. La trop faible concentration d’anticorps favorise l’aggravation de la maladie par le phénomène des anticorps facilitants et facilite l’apparition de variants résistants.

Certains variants seraient susceptibles de s’accompagner d’une augmentation considérable de l’incidence de la maladie et de sa mortalité pendant les 6 à 8 semaines qui suivent les premières injections.

Les vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper le Covid19

Que l’on soit président du Pérou (M Vizcarra), ancienne ministre de la santé (R Bachelot), chirurgienne (Joëlle Huth) ou pensionnaires d ‘Ehpad en France(([2] OBS Des résidents de maisons de retraite contaminés par des variants alors qu’ils étaient vaccinés contre le Covid 23/4/2021)) (([3] S AURENCHE RTL Les infos de 18h – Coronavirus : 47 résidents d ‘Ehpad contaminés malgré la vaccination 22/2/2021)) (comme dans de nombreux autres pays comme les USA(([4] États-Unis : un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination Le Figaro avec AFP le 24/4)), l’Allemagne, l’Espagne), les vaccins actuels n’empêchent donc pas d’attraper la maladie.

Le risque serait plus élevé après la première injection, mais une vaccination complète ne protège pas non plus ainsi que vient cruellement de le rappeler la déconvenue récente de deux retraités marseillais(([5] CLAIRE DOMENECH Pourtant vacciné avec Pfizer, un couple marseillais contracte le Covid-19 Capital 23/4/2021)) vaccinés au Pfizer.

On ne doit pas croire qu’en se vaccinant on se protège du Covid19 et les propagandes pros vaccinales visant à retrouver une vie normale via un passeport sanitaire ne sont que de la manipulation politique sans fondement scientifique.

Les vaccins actuels n’évitent pas de mourir de Covid19

L’ARS de Guyane vient d’annoncer la mort de covid19 de deux retraités malgré une vaccination complète.(([6] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/guyane-deux-personnes-vaccinees-decedent-du-covid-19-7239925))

Plusieurs pensionnaires des Ehpad précédemment cités et des nonnes du couvent de Kentucky sont morts de Covid alors qu’ils avaient été totalement vaccinés et vivaient dans un grand isolement depuis un an et même après la vaccination.

L’affirmation partout répétée que la vaccination protège des formes graves n’est donc pas vraie ainsi que l’a reconnu récemment notre ministre de la santé O. Veran :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

(([7] Les propos hallucinants d’Olivier Véran « Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin… le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers » | Europe Israël news (europe-israel.org) ))

Les vaccins actuels ne préviennent pas la transmission de la maladie

C’est ce que rappelle le Conseil d‘Etat suivant en cela les affirmations du ministère(([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) dans un mémoire de réponse :

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ».

La vaccination peut favoriser l’apparition de variants

De nombreux chercheurs ont remarqué que la plupart des variants connus sont apparus dans les pays ou avaient été testés des médicaments (Remdesevir) ou des vaccins insuffisamment efficaces.

Cette hypothèse avait été soulevée par l’Académie de Médecine en janvier.(([9] le 11 janvier 2021 Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?))

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Et confirmée par JF Delfraissy et d’autres membres du conseil scientifique(([10] L Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,4)):

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin ».

L’échappement immunitaire par apparition des variants rend illusoire l’espoir de résoudre cette crise par les vaccins :

« ce changement du comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start ».

Cette incapacité à éradiquer l’épidémie par les vaccins rend encore plus indispensables les traitements précoces

Boris Johnson qui prétend avoir protégé son pays par les vaccins ne doit pas en être aussi certain, puisqu’il vient de promettre aux anglais qu’ils bénéficieront avant la fin de l’année de médicaments contre le Covid19 à prendre à domicile dès les premiers signes de la maladie.

Et pour confirmer sa promesse, il a alloué des sommes importantes au fond de recherche créé pour cet objectif.

Le Pr Éric Caumes, en février dernier a reconnu(([11] https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/covid-19-est-on-passe-a-cote-de-traitements-miracles/)): « cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité.

Même Olivier Véran a dû faire une “concession” au traitement précoce en admettant que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie ». Il a de plus annoncé, le financement de 45 nouveaux projets de recherche appliquée(([12] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/financement-de-45-nouveaux-projets-de-recherche-appliquee-sur-le-coronavirus)) sur le Coronavirus COVID-19 pour près de 22 millions d’euros et encourage les Français à participer aux études. Espérons seulement qu’il ne s’agit pas d’essais conçus et réalisés uniquement pour discréditer les traitements bon marché comme les fameux essais Discovery et Hycovid dont on attend toujours les résultats définitifs.

L’échec annoncé des vaccins impose de revoir complètement la stratégie sanitaire du gouvernement et devrait calmer l’arrogante campagne de publicité actuelle sur toutes les chaines TV recrutant comme agents de pub des personnalités aussi compétentes que A. Roumanoff. Misère.

Que chacun puisse juger librement et peser son propre bénéfice -risque mais sans culpabiliser ou traiter de débiles ceux qui n’ont aucune envie de jouer à la roulette russe ou au cobaye.





Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux

Par Nicole et Gérard Delépine

Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux(([1] Children Next to be Sacrificed to COVID-19 mRNA Injections as 12-Year-Old Girl is Paralyzed During Trials (healthimpactnews.com) ))

[Illustration : Offrande à Moloch par Charles Foster]

Alors que depuis un an, nous nous efforçons de rappeler que les enfants sont « innocents du covid-19 », qu’ils ne transmettent pratiquement pas le virus, ni aux autres enfants ni aux adultes, nous découvrons avec horreur les projets de vaccination large des enfants de l’UE dans le fallacieux espoir d’interrompre la transmission virale avec des vaccins.

Ne jetons pas aux oubliettes plus de deux millénaires de progrès. Ne nous conduisons pas comme les Carthaginois du roman de Flaubert(([2] Salammbô est un roman historique de Gustave Flaubert, paru le 24 novembre 1862 chez Michel Lévy frère qui relate de manière romantique la révolte des mercenaires contre Carthage.)) en exposant des enfants innocents au Dieu vaccin Covid19 qui deviendrait alors le digne héritier du dieu Moloch.

Il est urgent d’agir, de se réveiller, de refuser de sacrifier nos enfants à nos angoisses amplifiées par la propagande terrorisante des médias aux ordres de quelques milliardaires qui tentent de transformer notre civilisation, voire de la liquider.

Les enfants ne risquent rien du coronavirus

L’étude de la littérature internationale démontre que les enfants ne sont pas menacés par cette épidémie.

Toutes les séries rapportées,(([3]
►Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
►Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. Mar 23, 2020; 35(11)
►LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.
►Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. Apr 7, 2020. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
►Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
►Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
►Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.)) tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’il risque moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.

Aucun mort uniquement dû au Covid-19 n’a été recensé en France depuis quinze mois sur près de douze millions d’enfants âgés de moins de quinze ans (les trois morts testés PCR positifs étaient de grands immunodéprimés) alors que la grippe a fait en moyenne 8 victimes annuelles dans ce groupe d’âge.

L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien.

Chez les enfants, ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination, alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées dans les médias.

Les enfants ne transmettent pas le virus

Les médias et le gouvernement tentent de nous effrayer avec des enfants dépistés positifs, mais ne précisent jamais que les asymptomatiques dépistés « positifs » ne sont pas des malades, n’excrètent pas le virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.

Si beaucoup d’émissions TV ou radio nous présentent « Mme Duchnok dont le fils aurait contaminé le professeur », aucune étude scientifique sérieuse ne l’a démontré. Parmi les 11 703 études internationales recensées sur la base de données PubMed le 25 avril 2021 sous les termes « Children Covid19 » dont 1849 avec « Children Covid19 transmission », on n’en trouve aucune qui rapporte avec certitude la contamination d’un autre enfant ou même d’un adulte en éliminant toutes les autres sources possibles. 

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois(([5] Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville(([6] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants de la naissance à l’âge de 15 ans et permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans(([7] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD) )) et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande(([8] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903)), avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie,(([9] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.who.int/vaccine_safety/initiative/communication/network/ncirs/en/
Et Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([10] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)): sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce,(([11] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ; 10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394)) l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour,(([12] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19: cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/features/covid-19)) deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([13]
►Weiyong Liu. et al.: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
►Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/S1473-3099(20)30232
►Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
►Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
►Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars))

Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.

Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris.

La fréquence de ces faux positifs chez les asymptomatiques est considérable : 97 % des cas lorsque le test PCR est réalisé avec un nombre de cycles d’amplification trop élevé). L’OMS a récemment recommandé de toujours considérer l’état clinique avant d’interpréter un test qu’elle ne juge pas utile pour un dépistage massif.

La parfaite inutilité des dépistages systématiques a été démontrée par les plus massifs d’entre eux, celui de Wuhan portant sur près de 10 millions de Chinois : aucun des asymptomatiques PCR positifs ne s’est révélé excréteur de virus, n’est devenu malade ni n’a contaminé quiconque.

Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte. Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie, leur vaccination, même si elle était efficace et sans danger ne servirait à rien pour protéger les autres.

Allons-nous répéter les expériences nazies des vaccins ?

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : « La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ». Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Moderna et Pfizer ont annoncé récemment qu’ils commençaient des essais de leurs « vaccins » anticovid (de fait injections d’ARNm COVID) sur des enfants âgés de 6 mois à 11 ans. Plusieurs essais sont déjà visibles sur la base de données internationale clinicaltrials.gov disponible pour tous.

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Moderna a actuellement un essai en cours avec des enfants âgés de 12 à 17 ans avec environ 3000 participants.

Ces essais thérapeutiques sans intérêt médical ne sont pas sans risque : une jeune fille de 12 ans nommée « Maddie » en est déjà la victime, paraplégique.(([14] chaîne YouTube nommée WhatsHerFace ou sur la chaîne Rumble et la chaîne Bitchute si censure))

Si vous lisez en détail le descriptif de l’essai thérapeutique (tapez Covid19, Moderna ou Pfizer par exemple et children), vous voyez qu’est exigé le « consentement éclairé » des parents. Comment ce consentement peut-il être véritablement éclairé alors que cette maladie ne touche pas les enfants et qu’ils ne la transmettent pas aux adultes ? Même si tel était le cas, il ne serait pas éthique de se servir des enfants pour protéger d’autres humains et contraire au code de Nuremberg qui spécifie clairement que l’avantage supposé doit d’abord être direct. Quel bénéfice-risque quand la maladie est absente dans cette tranche d’âge ?

Le code de Nuremberg suivi des conventions d’Helsinki et d’Oviedo est formel. Ne pas les respecter nous ramène au temps des nazis. Sacrifier des enfants à la recherche est inacceptable. Mais à quelle époque cela nous ramène-t-il ? Comment pouvons-nous en arriver là ? Le sacrifice de son enfant à des fins de pratiques occultes a existé tout au long de l’histoire humaine. En est-on revenu à ces coutumes au moment où l’on s’apprête à conquérir Mars ? Ou bien les élites ont-elles comme certains le prétendent usé de pratiques infâmes qu’elles chercheraient à laver ?

La science corrompue suit une dérive sectaire

Les humains vivant en 2020 ont-ils été tellement paniqués par cette mascarade du coronacircus qu’ils ont besoin, comme de lointains ancêtres, de sacrifier aux puissances occultes qu’ils imaginent leur avoir infligé cette pandémie ?

« Les hommes ont toujours cherché à s’attirer les bonnes grâces de la divinité en particulier par la pratique des sacrifices. Sacrifier, c’est “faire sacrer” : une offrande passe dans le domaine divin et, en retour, le prêtre transmet des dons du ciel, tels que bénédictions, instructions, pardon ».

(([15] Les sacrifices dans la Bible | S.B.E.V. (bible-service.net) ))

« Sacrifices humains ? Le sacrifice humain est considéré comme une abomination en Israël et Juda… où cette pratique a néanmoins existé ! Sous l’influence des peuples voisins ? À Gezer (à mi-chemin entre Jérusalem et la Méditerranée, au N-O), près d’un lieu de culte cananéen, on a retrouvé des squelettes d’enfants. Au IXe siècle av. J.-C., un prince de Jéricho sacrifie son fils aîné lors de la reconstruction de la ville (1 Rois 16,34). À Jérusalem, au VIIIe siècle, les rois Achaz et Manassé commettent des actes semblables (2 Rois 16,3 et 21,16). Au VIIe siècle, le prophète Jérémie témoigne : “Les Judéens érigent le tumulus de Tafeth pour que leurs fils et leurs filles y soient consumés par le feu” (7,31). En cas de détresse, offrir ce que l’on a de plus cher demeure donc une tentation constante et cela, jusqu’au moment de l’Exil. Après l’Exil, quand le livre de l’Exode est mis en forme, il sera affirmé que tout premier-né “appartient” au Seigneur, mais qu’il faut le “racheter” par un animal (Ex 13,2.13 et 34,19-20) : le Seigneur est le Dieu de la vie »., © SBEV. Maurice Autané.

Une telle croyance est basée sur la peur, et ceux qui vendent cette peur agissent pour les intérêts de ceux qui vendent les « médicaments » pour nous protéger soi-disant de la chose redoutée. Tout au long d’une grande partie de l’histoire, la « santé » a été considérée principalement comme une question spirituelle, et si l’on était « malade », on rendait visite à un « prêtre » en son temple pour trouver comment apaiser les esprits, ou les dieux par une offrande, un ex-voto. »

On peut se demander si la « science » absolutiste qui a oublié le doute fécond et la discussion ouverte indispensable aux progrès n’a pas remplacé la religion de plus en plus absente de notre civilisation occidentale. La fameuse prophétie de Malraux (ou pas) sur « le XXIe siècle qui sera religieux ou spirituel ou ne sera pas » s’illustre au mieux dans nos nouvelles pratiques quasi barbares.

Les nouveaux ayatollahs des plateaux télé qui prétendent tout savoir, tout prévoir et veulent tout imposer relèvent plus de la secte que de la vraie science noyée par la corruption, tricheries, et manipulations élaborées. Ils sont même apparemment prêts à imposer des pratiques ancestrales et cruelles comme le SACRIFICE de nos enfants à travers une expérimentation mondiale de produits susceptibles de modifier le patrimoine génétique de l’humanité s’ils sont injectés à suffisamment de cobayes. Tragédie moderne.

« Les gens font confiance à ces autorités pseudo médicales ou pseudoscientifiques de la même manière que les croyants font confiance aux prêtres, pasteurs, imams ou autres autorités religieuses. Ces parents ignorants qui inscrivent leurs enfants à des essais expérimentaux covid-19 “vaccin” suivent le même chemin que les anciens qui ont écouté les autorités responsables de leur époque, et ont sacrifié leurs enfants aux prêtres pratiquant la sorcellerie ou la magie, leur faisant confiance et croyant qu’ils faisaient réellement quelque chose de bien pour eux-mêmes et leurs familles. »

Comment protéger vraiment nos vieillards ?

Les pays européens qui ont suivi les consignes de Ferguson et de l’OMS (confinement généralisé et absence de traitement précoce) souffrent des mortalités covid19 les plus élevées par million d’habitants (au 25/4/21 : 2070/M pour la Belgique, 1940/M en Italie, 1877/M au Royaume-Uni, 1563 en France).

Nos gouvernants ont parié que la fin de crise serait obtenue par des traitements nouveaux ou des vaccins, mais le Remdesevir s’est révélé un traitement hors de prix toxique et incapable de diminuer la mortalité.

Les vaccins actuels apparaissent beaucoup moins efficaces et plus toxiques que proclamés par les communiqués de victoire des laboratoires et incapables de prévenir la transmission. O Veran l’a reconnu ainsi dans un mémoire récent au Conseil d’État « les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». De plus d’après les membres du comité scientifique dont Delfraissy(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)) les vaccins suscitent l’apparition de variants contre lesquels ils sont inopérants : « Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. … La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

À ce jour l’Inde a subi le plus grand nombre mondial de contaminations (16 960 172 cas confirmés) et malgré la faiblesse de son réseau de soin elle compte proportionnellement dix fois moins de victimes que la France (148/M contre 1563/M) et la décision de son comité sanitaire de recommander des traitements précoces et même parfois préventifs (dont la chloroquine) en est certainement responsable.

Boris Johnson a enfin compris que les vaccins ne constituent pas la solution et l’importance de traiter précocement l’infection pour prévenir les aggravations(([17] Agence Reuters British PM Johnson launches search for COVID-19 antiviral treatments 20/4/2021.)) ; il vient de débloquer des fonds conséquents pour réaliser des essais et promet : “avant la fin de l’année, les Anglais infectés pourront être soignés à domicile avec des médicaments, pour réduire le besoin de lits d’hôpital”.

Serons-nous encore une fois les derniers à admettre l’importance des traitements précoces ?

Pour sauver nos vieux, il ne faut pas vacciner les enfants ;
il faut laisser les médecins prescrire !





Chronique d’une décomposition française : le retour des barbares

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Alexandra SCHREYER

Emmanuel Macron, Président de la République française, déclarait le 18 avril 2021 « Il faut déconstruire l’histoire de France ! » Certains n’ont pas attendu l’espoir exprimé par le président Macron. Ils ont déjà commencé !

« Là où on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes »

(Heinrich Heine dans Almansor)

Dans la nuit du 26 au 27 juin 2018, une voiture a été projetée dans la devanture de la Médiathèque des 4 000 à la Courneuve. Un incendie s’est ensuite déclaré, brûlant les livres, les documents, etc… Mais, depuis une vingtaine d’années, au moins 70 bibliothèques et sans doute bien plus, sont parties en fumée dans les banlieues de toute la France, dans les cités HLM et grands ensembles prioritairement. Il est notoire que les attaques de bibliothèques sont souvent passées sous silence, par une sorte de déni des maires qui ont un peu honte de l’ambiance de leur ville ou qui ne veulent pas, tout simplement, subir de représailles.

Livres brûlés - Chroniques Nuremberg - 1440-1514

Pour les sociologues, un tantinet gauchistes, qui s’intéressent à l’affaire, il s’agit bien sûr d’une population de jeunes désœuvrés, mal aimés, qui rejettent le symbole du Pouvoir dans une légitime révolte, car ces livres ne parlent pas de leur sort douloureux de pauvres victimes. D’autres seront plutôt tentés d’y voir l’action délibérée de bandes organisées et politisées, voire mues par des sentiments religieux, qui veulent détruire tout ce qui représente à leurs yeux l’Occident, sa culture et ses valeurs. Il est en effet tentant de traduire ces destructions comme une attaque contre un savoir et une connaissance rejetée afin de prôner, éventuellement, un certain obscurantisme.

Pour mémoire, les nazis détruisirent par le feu les ouvrages dissidents (notre illustration à la une) et les phalanges franquistes firent de même.

Roland Barraux - Savonarole bûcher vanités

Diego de Landa ordonna la destruction des manuscrits racontant l’histoire de la civilisation maya et Savonarole, au nom de la Sainte Inquisition, alluma le « Bûcher des Vanités » à Florence.Quant aux Talibans, ils ont détruit d’anciens livres rares, et la révolution française ne fut pas en reste, etc… la liste est loin d’être exhaustive.

Alors pourquoi tant d’acharnement à détruire et même brûler des livres afin qu’il ne reste absolument rien de leur contenu ?

Dans le livre des dieux égyptiens, il est dit que les hiéroglyphes ont le pouvoir de s’animer, il en est de même d’ailleurs pour les mots hébreux. Parfois, le scribe de l’ancienne Égypte détériorait ou mutilait ces signes afin de leur ôter ce pouvoir de création. C’est ce qu’ont sans doute pressenti toutes les grandes dictatures, celles qui ne supportent pas la contradiction, la différence, la liberté : brûler un livre revient à brûler l’esprit et la pensée. On peut donc s’inquiéter, à juste raison, quand on observe ce qui se produit avec l’incendie des bibliothèques en France. Cherche-t-on à mutiler et brûler des livres afin de leur enlever ce pouvoir de transmission d’une certaine pensée et culture ? Dans le film « Farenheit 451 » (le nombre de degrés auquel le papier se consume), l’action se situe dans une société totalitaire où le livre est interdit car il stimule la réflexion.

Fahrenheit 451

Alors, des « hommes-livres » ont choisi d’apprendre chacun un livre par cœur afin de sauvegarder la connaissance. Une vieille femme préfère s’immoler sur l’autodafé purificateur organisé par le dictateur.

José Luis Borges - Bibliothèque Babel

Mais il est difficile de pulvériser complètement le contenu d’un livre. Ces œuvres détruites recèlent encore l’âme des lettres comme les cimetières contiennent le livre de la vie des défunts et leur mémoire (un tel cimetière de livres existe réellement en Israël, à Safed). L’écrivain argentin José Luis Borges est à la recherche du livre ultime qui contient à la fois tous les mots de l’alphabet, tous les ferments de la création et toute la mémoire du monde, dans la gigantesque « Bibliothèque de Babel ». Il rêve de trouver un livre sans commencement ni fin, dont les pages s’ouvrent sur un autre monde invisible à nos yeux et au potentiel illimité.

Mais il est vrai qu’il y a plusieurs manières de brûler ou d’enterrer un livre.
Il suffit d’user d’inculture, c’est ce qui menace nos sociétés comme un péril supplémentaire. Nous sommes en passe de perdre tout simplement le chemin du savoir et si nous n’y prenons pas garde, bientôt « le temps approche où l’on ne saura plus lire ni écrire, où quelques mandarins chuchoteront des secrets à l’oreille… » (Jean Cocteau).
Ou d’user de malveillance

Vieux livres poussiéreux

Alors, il faut être vigilants, si nous ne voulons pas un jour prochain errer dans la fictive et profonde vallée de Kloriole(1) où s’étend un cimetière d’ossements de papiers, où gisent des livres fragiles comme des feuilles mortes et froissées dont nous ne recueillerons plus que la poussière, cimetières qui seront parcourus par des lettrés à la recherche des reliques de leur connaissance du passé, tant il est vrai qu’un peuple qui oublie son Histoire est un peuple perdu.

Alexandra SCHREYER

(1) NDLR : en références aux lieux imaginaires en littérature.




Cauchemar ou manipulation en Inde ? Les Indiens sont-ils victimes de fêtes religieuses, de variants ou de la vaccination ?

Par Alain Tortosa

Les journaux français tournent en boucle et nous alertent sur une situation devenue incontrôlable. Le «journal» Le Monde(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/19/c-est-un-cauchemar-en-inde-new-dehli-reconfinee-face-a-la-flambee-de-l-epidemie-de-covid-19_6077269_3244.html)) titrait le 19 avril :

« C’est un cauchemar : en Inde, New Delhi reconfiné face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. »

Analysons les données du gouvernement indien à Delhi…(([2] https://www.covid19india.org/state/DL))

La ville compte un peu moins de 20 millions d’habitants.

Il y a eu officiellement 900 000 positifs en ville depuis le début de la crise, soit 4,6% de la population qui a croisé le virus.

À titre de comparaison, la France comptait au 21 avril un cumul de 8% de positifs(([3] https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees)) soit presque deux fois plus qu’à Delhi, la fameuse ville au bord du gouffre !

Cela s’est traduit par un total de 12 638 décès à Delhi sur 2 saisons, soit 638 décès par million d’habitants.

Manipulation numéro 1

Le taux de mortalité à Delhi du Covid est de 638. Il est de 132 pour l’ensemble de l’Inde(([4] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=FRA~IND))

Et de 1487 en France !

Il y a donc plus deux fois plus de décès en France par habitant qu’à Delhi et dix fois plus de décès en France qu’en Inde…

À nombre de morts par habitant équivalant, la France devrait compter aujourd’hui plus d’un million de décès du Covid !

Les «vrais» malades

Les autorités sanitaires indiennes font la différence entre les personnes positives et les cas « actifs », les malades actuels, j’imagine.

Si l’on se réfère à cette donnée, il y avait au 20 avril, 85 575 Covid « active » à Delhi soit 0,43% de la population !

Autre donnée intéressante, le taux de patients « actifs» ramené au nombre cumulé de personnes positives qui est de 9,5%… donc sur 100 positifs, 9 sont actuellement infectés !

Mais hier sur 86 000 tests effectués, 28 395 se sont révélés positifs !

Manipulation numéro 2

Cela correspond à un taux de positivité de 32,82% pour un échantillon de 0,44% de la population.

Ce qui a permis à un «journaliste »de Cnews de déclarer le 21 avril à 11h10 :

« À New Delhi, un habitant sur trois est positif ! ».

Cette affirmation est mathématiquement vraie, mais relève d’une totale manipulation.

En premier lieu, 28 395 positifs correspondent à 0,14% de la population !

Enfin, si l’on se réfère à la seule donnée intéressante, soit le nombre total de cas actifs, il n’y a que 0,43% de la population qui serait malade actuellement à Delhi !

Ce taux de positivité de 33% ne reflète absolument pas la situation de Delhi qui, je le répète, ne compte que 0,43% de malades !

Les décès à Delhi

Comme indiqué en début de document, le nombre de décès à Delhi et en Inde est faible, voir ridiculement faible par rapport à la France.

Mais il y a néanmoins une hausse exponentielle du nombre de décès journaliers qu’il est possible de visualiser sur la courbe suivante :

Entre le 6 février et le 21 mars 2021, l’épidémie avait totalement disparu de Delhi pour prendre depuis une forme visiblement exponentielle à partir du 10 avril.

Pourquoi cette augmentation ?

Les médias ne manquent pas de parler de variants et même désormais de «variantsdoublementmutants»et bien sûr du relâchement de la population pour expliquer le phénomène !

Je vous rappelle une règle d’or édictée par la Sainte Église du Coronavirus qui dit que :

« Lorsque l’épidémie de Covid empire c’est toujours la faute à la population et que lorsque celas’améliore, c’est grâce aux mesures gouvernementales. »

Pour illustrer la culpabilité du public, un article extraordinaire a même été publié dans le BMJ(([5] https://www.bmj.com/content/372/bmj.n854))

Cet article s’étonnait de l’augmentation des cas malgré la campagne de vaccination… question pour le moins pertinente.

Et voici quelles étaient les conclusions :

Le coupable désigné est le Kumbh Mela.(([6] https://www.tourmyindia.com/kumbhmela/bathing-dates.html))

Cette fête religieuse réunit des millions de fidèles qui se purifient dans le Gange. Voici les dates en 2021 ;

Covid-19: India sees new spike in cases despite vaccine rollout

Le début des festivités a eu lieu le 14 janvier alors même que les décès à Delhi n’ont repris que le 22 mars pour devenir réellement importants à partir du 10 avril soit plus de 3 mois après.

Je vous rappelle que lors de la vraie épidémie en France en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était d’environ 20 jours.

Manipulation numéro 3

Le nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par les fêtes religieuses, car ils se produisent 60 jours après le début des fêtes et deviennent importants 90 jours après.

En 2020, la première vague de Covid a eu lieu à Delhi le 11 mai, rien entre janvier et mai. Bref l’hypothèse des fêtes est totalement ridicule et d’autant plus que j’ai du mal à imaginer les gestes barrières et le changement de masque tous les 4 heures dans une ville surpeuplée de 20 millions d’habitants.

Raison garder

Le «cauchemar»à Delhi rapporté par les «journalistes».

Une étude de 2015 estime que 80 personnes meurent chaque jour, soit 29 000 par an à Delhi, de la pollution.(([7] https://www.downtoearth.org.in/news/delhi-loses-80-lives-to-air-pollution-every-day-says-study-50222))

Si l’on compare cette donnée aux 10 536 décès du Covid en 2020 à Delhi, on constate que le Covid représenterait un tiers des décès dus à la pollution (36%)!

Le taux de mortalité8 en 2019 est de 7,29 décès pour 1 000 habitants à Delhi, soit 144 400 morts. 10% des décès soit 14 400 morts sont par septicémie selon les dernières données officielles (cequirenseigneassezbiensurl’hypothèseridiculedesgestesbarrièresàDelhi). 1,4 fois plus de morts par septicémie que du Covid !

Manipulation numéro 4

L’augmentation du nombre de décès à Delhi ne peut s’expliquer par un relâchement des gestes barrières dès lors qu’il y a plus de décès par septicémie en temps normal que par Covid ! La notion de gestes barrières en Inde est totalement ridicule !

La vaccination

Big Pharma fait tout pour empêcher médias et scientifiques corrompus de poser, ne serait-ce que l’hypothèse, que l’augmentation des décès pourrait être causée par la vaccination.

Pour autant, dès lors que les «vaccins» seraient efficaces contre la souche du mois de mars 2020, il serait logique qu’ils bloquent principalement le virus d’origine et qu’ils soient moins performants

(([8] http://des.delhigovt.nic.in/wps/wcm/connect/4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453/vital_annual_19.pdf?MOD=AJPERES&lmod=-108668931&CACHEID=4ac53080409a01a58f3ebfa50c073453&Annual%20Report%20of%20Registration%20of%20Births%20and%20Deaths%20in%20Delhi%202019))

pour les variants…

La vaccination ne peut donc QUE favoriser l’émergence de variants… Regardons la courbe des vaccinations journalières à Delhi.

La vaccination à Delhi débute à la mi-janvier pour atteindre 5% de vaccinés vers le 20 mars, période qui correspond au début de la recrudescence des décès.

Le 10 avril, alors que la courbe de décès journaliers devient exponentielle, nous assistons au pic du nombre de doses journalières administrées soit 105 918 doses.

À cette date, 10% des habitants sont vaccinés.

Autre point intéressant :

Le nombre de vaccinations journalières n’a cessé de diminuer depuis, aussi bien à Delhi que dans toute l’Inde.

Sommes-nous dans l’hypothèse d’une pénurie de vaccins (alors même que l’Inde produit son proprevaccin et que la situation devient « dramatique ») ou les autorités auraient-elles pris conscience d’une dangerosité potentielle de son vaccin qui au lieu de sauver des vies, provoquerait des variants et des morts ?

Que conclure provisoirement sur la situation en Inde ?

  • L’hypothèse des célébrations religieuses ou du relâchement des gestes barrières est totalement honteuse et ridicule.
  • L’augmentation des cas et des décès est parfaitement corrélée avec la montée en puissance de la vaccination et l’arrivée d’un nouveau variant indien.
  • Les autorités ont étrangement ralenti la campagne de vaccination.

Quid d’autres pays à forte vaccination ?

  • La Hongrie a connu une explosion de son taux de mortalité dès lors que 6% de la population a été vaccinée par le vaccin chinois (vaccin classique). Son taux de mortalité a doublé depuis la vaccination massive.
  • Le Brésil voit apparaître une explosion de son taux de mortalité le 3 mars quand le pourcentage de vaccinés dépasse les 4,36% de la population. Le vaccin est aussi un dérivé du vaccin chinois.
  • L’Inde a ce même problème avec son propre vaccin qui est aussi un vaccin classique.

Il est donc intéressant de constater que dans ces 3 cas nous avons affaire à des vaccins classiques.

Dangerosité ou innocuité des thérapies géniques expérimentales ?

Nous ne constatons pas de liens entre la vaccination et la mortalité en France, pays dans lequel les « vaccins» administrés sont ARN messager ou adénovirus OGM.

« Est-ce à dire que les thérapies géniques à ARN messager seraient à court terme moins létales ? »

Il est extrêmement difficile de répondre à cette question :

  • Nous voyons par exemple qu’Israël truque ses données de mortalité sur le site Euromomo.
  • La France a fait le choix de vacciner plutôt des personnes à risque, et donc à espérance de vie réduite, avec de l’ARN messager et il n’y a pas encore une vaccination de masse pour les personnes jeunes et en bonne santé dont, je le rappelle, le risque de décès du Covid est NUL ! À la différence de l’Inde où la population est jeune, âge médian 26 ans.
  • 90% des morts du Covid en France sont des faux morts, des personnes décédées positives au Covid ou même avec un soupçon de Covid.

Partons de l’hypothèse de 300 morts officiels par jour.

Nous pouvons déduire que 30 personnes (et même moins) sont réellement décédées du Covid par jour.

Doublons la mortalité du fait de thérapies géniques massives dans une population jeune…

Il n’y aurait que 60 décès au total… et cette augmentation, si elle était répercutée, se traduirait par 10% de plus de décès journaliers (300+30=330parjour).

Avec la fluctuation des faux morts, il est très possible qu’elle soit alors totalement statistiquement invisible.

Mais dès lors que la vaccination passera à une vaccination de masse pour une population en bonne santé, rien ne dit que le drame ne se produira pas. Nous constatons que le nombre de morts des 20 à 29 ans a doublé en France depuis début janvier.

Pour résumer la situation indienne:

  • Il y a une augmentation réelle de la mortalité.
  • Pour autant, l’Inde déplore officiellement deux fois moins de décès que la France.
  • Cette augmentation ne peut PAS s’expliquer par les fêtes religieuses ou une diminution des gestes barrières
  • L’accroissement du nombre de morts coïncide parfaitement avec la montée en puissance de la vaccination.
  • Étrangement, l’Inde a fortement diminué sa campagne de vaccination depuis 10 jours.
  • Des pays qui vaccinent avec des vaccins classiques comme le Brésil ou la Hongrie subissent ce même «hasard»de calendrier.
  • Les pays qui ont fait le choix de l’ARN messager ne semblent pas subir le problème. Soit parce que les thérapies géniques seraient moins dangereuses.

Soit parce qu’ils vaccinent essentiellement des personnes âgées à risque. Soit parce que les effets dévastateurs apparaîtront à plus long terme.

Soit parce que les autorités des pays concernés manipulent les données et camouflent les décès.

Alors que nous pouvions imaginer le contraire, se vacciner aujourd’hui avec un produit plus

« classique » semble pour le moins totalement déraisonnable.

Je vous rappelle qu’aucun vaccin contre des coronavirus n’a jamais fonctionné et que les essais de vaccins contre les coronavirus sur les animaux ont été dévastateurs.

Merci.

Alain Tortosa.

21 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210421-inde-cauchemar-ou-manipulation.pdf





Pour une lecture souverainiste de l’histoire de France

Par Henri TEMPLE (Co-fondateur et précédent Directeur du Centre du droit de la consommation et de la concurrence)

Napoléon, Jeanne d’Arc, Charles de Gaulle… Les analphabètes, les traîtres et les nationalistes nostalgiques, s’écharpent sur le jugement à avoir sur les grandes figures de l’histoire de France. Voir cette dernière à travers le prisme souverainiste semble pourtant la seule qui soit dans l’intérêt de la nation.

Il doit y avoir une lecture souverainiste de l’histoire. C’est-à-dire que, par delà les lectures affective, romanesque ou marxiste, il existe aussi une appréciation des faits et des hommes historiques selon qu’ils ont apporté le plus de liberté, de paix, de prospérité, de grandeur à une nation. Ne parlons même pas de la lecture dite « décoloniale » de l’histoire, épiphénomène d’une mode passagère, racialiste, « genrée », spécieuse et volontiers totalitaire, tentée par le lynchage. On oubliera sous peu ces divagations délirantes d’une « basse intelligentsia », pour reprendre les mots de Régis Debray..

L’approche de la commémoration le 5 mai prochain du deux centième anniversaire de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène suscite les agitations attendues dans les médias, le monde politique français, les écrivains, historiens et l’opinion publique. Ma dernière rubrique sur ce sujet (Napoléon et les chances gâchées de la France : une uchronie souverainiste) m’a valu certes des approbations, mais aussi une volée de bois vert, notamment de lecteurs qui n’avaient pas bien lu ce texte, et notamment ma précaution préliminaire (le terme d’« uchronie »).. Il est vrai que si le courrier des lecteurs permet parfois (heureusement) l’échange fructueux, il est aussi souvent un défouloir anonyme pour personnalités tendues.

Je reviens donc ici, d’une façon plus large, à la question de savoir s’il est permis d’avoir une opinion dissidente sur les grandes figures de l’histoire de France, selon le seul critère de leur contribution à l’intérêt général de la nation. Ou bien si l’on est sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Pour Napoléon, comme pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle. Or le jugement que l’on porte sur telle ou telle figure nationale a une grande importance : d’une part, car cela peut renforcer ou, au contraire, affaiblir, la cohésion des Français derrière leur histoire. Et surtout, d’autre part, si ce jugement est faux en tout ou partie, c’est que son auteur pratique des mécaniques de raisonnement fausses ou mal maîtrisées. S’il remplace la raison par la passion irrationnelle, peut-il être un citoyen utile et efficace pour servir son pays ? Ne faut-il pas tirer les leçons de l’histoire pour éviter de retomber dans les mêmes erreurs ? Durant la guerre de Cent Ans, les Français ont reproduit, durant plus de 80 ans, les mêmes fautes fatales. Ressemblant à s’y méprendre à celles que commettront ensuite nos généraux, politiciens ou chefs d’État : en 1759 (Québec), 1870, 1914, 1939/40, 1954 (Diên Biên Phu), 1962 (Accords d’Évian)…

Voulons-nous continuer ainsi, encore et encore ? Préférons-nous imputer tous nos malheurs aux Anglais ? Puis aux Allemands ? Aux USA ? Un bien commode défaussement. Ou ne faut-il pas mieux se demander pourquoi et comment on perd, du fait de nos propres carences d’intelligence, ainsi que des méthodes supérieures de l’adversaire ? Puis corriger ces erreurs butées et s’inspirer des méthodes qui gagnent ? Et enfin, y rajouter la touche de génie français (ça existe aussi) qui fait la différence à notre avantage. Vercingétorix et César, Clovis, Charlemagne, Guillaume le Conquérant, Raymond IV, Saint Louis, Philippe le Bel, Jeanne d’Arc, Henri IV, Richelieu, Colbert et Louis XIV, Louis XVI-Marie Antoinette et Robespierre, Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. 15 situations historiques majeures et tragiques sont incarnées par ces hommes (et deux femmes). Et elles ont provoqué, a posteriori, des divisions souvent passionnelles entre historiens et entre Français, des jugements majoritairement politiques : royalistes contre républicains, jacobins contre girondins, droite contre gauche, et, désormais, extrême gauche « cannabis-woke » contre la nation. Des jugements qui d’ailleurs varient du tout au tout dans le temps. Les grandes figures nationales les plus tiraillées d’un bord à l’autre seront Vercingétorix ou Jeanne d’Arc. Les plus contestées sont les plus récentes : Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. Les plus clivantes : Louis XVI et Robespierre ; Pétain et de Gaulle. Les plus oubliées : Raymond IV, Montcalm. Mais seulement trois émergent comme de sacro-saintes icônes : Jeanne, Napoléon et de Gaulle.

L’histoire de France est particulièrement tendue. C’est que la Gaule, puis la France, est à la fois un pays vaste et riche, et un lieu de passage entre le Nord et le Sud, l’Est et l’Ouest. Un isthme européen sans cesse menacé, envahi. Quelques rares peuples ont pu conserver, à travers les millénaires — nonobstant des vicissitudes — la continuité de leur héritage culturel originel : notamment les Scandinaves, les Germaniques ; Israël, l’Irlande, la Grèce, l’Arménie, l’Éthiopie, la Russie… Mais la France, un territoire trop vaste peut-être, a, en moins de 18 siècles, subi au moins trois acculturations. Des Gaulois aux Gallo-Romains, puis de ces derniers aux Francs, et enfin de la féodalité et la monarchie franques à la République, qui a affirmé le concept de nation comme ciment d’un ensemble disparate.

Les clivages régionaux, politiques, sociaux, identitaires (religieux, raciaux, « souchistes ») peuvent exciter les jugements portés sur les grandes figures de l’histoire. On en a une récente illustration avec les fanatismes dirigés, en général, contre les « mâles blancs », et en particulier contre leurs statues : Colbert en France, Churchill au Royaume-Uni… Une iconoclastie de crétins névrotiques. Or une nation se reconnaît elle-même au travers de son histoire, portée par ses héros, les « grands hommes » de son panthéon.

Est-il permis d’avoir une opinion dissidente sur Bonaparte et Napoléon ? Ou bien est-on sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Comme d’ailleurs pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle ? Il faut guérir de ce terrible mal intellectuel des Français de vouloir tout diviser en un simpliste « noir ou blanc ». Et rejeter cette assignation d’avoir à se soumettre à l’opinion de X, Y ou Z parce qu’il est un « spécialiste » de tel ou tel sujet et donc de devoir se taire… Comme Audrey Pulvar, journaliste antillaise, tête de liste socialiste aux régionales d’Île-de-France en 2021, qui appelle aussi les mâles blancs à se taire, reprenant à vil prix les psychoses des « décoloniaux », « woke », et autres sécrétions de cerveaux taraudés par des complexes. De vieilles rancœurs enfouies, et polluées par des constructions mentales rudimentaires et revanchardes.

Un livre très récent de Thierry Lentz (Pour Napoléon, éd. Perrin, 2021), saisissant l’opportunité du bicentenaire, s’affirme clairement en avocat de Napoléon. Mais est-il permis de porter des jugements a posteriori, favorables comme hostiles, sur un homme célèbre et son bilan ? Y aurait-il des critères permanents pour le faire sans risque d’anachronisme ? Non s’il s’agit de juger les mots et les moyens qui sont à comprendre dans leur époque ; et oui pour les résultats qui échappent à la patine du temps, car les effets demeurent souvent durant des siècles. Or les résultats de Napoléon, s’ils sont remarquables jusqu’à Austerlitz, en termes militaires et administratifs, sont désastreux à la fin : une France occupée (deux fois) et territorialement diminuée.

Bien sûr il faut commémorer Napoléon (Villepin avait refusé de célébrer Austerlitz et préféré commémorer Trafalgar…), car c’est notre histoire, glorieuse certes, mais douloureuse aussi et nous devons l’assumer. Mais pas comme des groupies ni, inversement, comme des décoloniaux : plutôt à la façon intelligente et nuancée de Thucydide pour Périclès, ou de Bainville sur le traité de Versailles, à l’aune de la raison et surtout en fonction de l’intérêt supérieur de la Cité. Thucydide fut un historien cherchant impartialement la vérité des faits, et à comprendre les causes profondes des événements, en écartant mythes et sentiments. De cette compréhension, il tente — il est le premier dans l’histoire du monde — de bâtir une philosophie de l’histoire en discernant les lois générales qui gouvernent le monde : pour réussir, l’action de l’homme politique ou militaire doit être intelligente et morale, au regard de la patrie. Thucydide a ainsi, à cette aune, jugé le bilan de Périclès et érigé une méthode historique d’une étonnante modernité, toujours actuelle. Pour lui, « comprendre le passé permet de voir clair dans les faits qui, à l’avenir, en vertu du caractère humain qui est le leur, présenteront des similitudes et des analogies » (Thucydide. Péloponnèse). Marx a bien compris Thucydide lorsqu’il écrit que « qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre ».

Pour les analphabètes, les pénitents, et les traîtres à la nation, Napoléon est, au choix, un mâle blanc (et donc à l’origine de tous les maux), un macho, un esclavagiste ou un tyran totalitaire. Pour les nationalistes nostalgiques, il est le génie absolu, capable par ses victoires militaires éclatantes de sauver la patrie, d’inspirer l’admiration au monde entier encore à ce jour ; le chef d’une épopée magnifique, le libérateur des peuples, l’organisateur de la France moderne, mais la victime des Anglais perfides. Il me semble que pour les souverainistes, Bonaparte ne doit pas être confondu avec Napoléon. Ce dernier rate les chances de paix que lui donne la victoire d’Austerlitz. La France perdra de nombreux territoires, près d’un million de jeunes sont tués (dont les descendants manqueront en 1870), et Paris est occupée deux fois.

Se demander si la liberté, la dignité, et la grandeur de la France ont été accrues par Jeanne d’Arc, Richelieu, Napoléon ou de Gaulle, relève d’un légitime bilan souverainiste. La France a-t-elle évité sa disparition ou sa sujétion ? A-t-elle été plus grande, plus prospère, plus libre, plus juste ? Les historiens dressent les constats, et les philosophes, les citoyens intelligents, peuvent et doivent alors se former leur libre jugement, non seulement pour le bilan du passé, mais aussi pour s’aider aux choix du temps présent qui féconderont l’avenir. « Il n’est pas de bonheur sans liberté — j’ajouterais sans souveraineté — ni de liberté sans courage » disait Périclès. Et particulièrement la liberté et le courage de considérer son histoire avec lucidité.

[Ndlr : en observant l’histoire de France sous l’angle souverainiste ainsi proposé par l’auteur Henri Temple, de prime abord, et sans recourir à une analyse fine de leurs actions et des conséquences de ces dernières, il apparaît que Napoléon a contribué effectivement à la grandeur, la liberté et la dignité de la France jusqu’à Austerlitz, mais que lorsqu’il s’est mué en empereur, il a plutôt nettement inversé la tendance et contribué à l’amoindrir, à lui redonner des chaînes et à favoriser son déshonneur. Charlemagne a probablement réussi jusqu’au navrant choix du processus d’héritage qui a ensuite séparé la France en trois États. Le sacrifice de Jeanne d’Arc n’en aura pas moins permis de chasser plus tard les Anglais hors du pays, voire du continent. De Gaulle a contribué à la grandeur de la France jusqu’aux solutions choisies lors des guerres d’indépendance dans les colonies. Louis XIV a fait rayonné, notamment par Versailles, la France sur l’Europe. Etc.. L’auteur aurait-il dû se prêter à ce type d’exercice et ceci de manière un peu moins succincte et schématique pour parachever sa démonstration ?]




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Chronique d’une mort annoncée des vaccins antiCovid 19 : résultats au 11 avril 2021

Par Gérard Delépine

Un espoir devenu mirage s’évanouit un peu plus chaque jour

Depuis le début de la crise, le gouvernement et les médias entretiennent l’espoir qu’un médicament nouveau ou des vaccins miracles viennent résoudre la crise sanitaire et nous libérer.

Mais l’échec des vaccins précédents contre les Coronavirus humains, depuis 2003, et animaliers, la mise en évidence d’anticorps facilitants susceptibles d’aggraver la maladie, les résultats précoces très inquiétants des campagnes de vaccination et l’apparition de variants résistants font disparaître chaque jour un peu plus cet espoir, comme s’évanouissent les mirages dans le désert au fur et à mesure qu’on s’approche d’eux.

La prophétie de Ferguson faisait d’emblée la propagande des futurs vaccins

Le rapport 9 de l’Imperial College, publié le 16 mars 2020 (mais resté secret défense pendant plusieurs semaines), a entraîné la panique et la décision immédiate du confinement général et aveugle.(([1] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Il prophétisait, en l’absence de mesures sanitaires fortes, un pic de mortalité vers le 3e mois de l’épidémie, avec des hôpitaux saturés et des lits de soins intensifs refusant les malades.

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510000 en Grande-Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Ce scénario de film d’horreur a été qualifié ainsi par le PR Raoult :

« ce n’est pas de la science, plutôt de la science-fiction qui évoque les prédictions de Nostradamus. »

Comme tous les prophètes imbus de leur révélation, Ferguson indiquait l’unique chemin du salut : l’astreinte à domicile de toute la population(([2] Stratégie du « tous ensemble avec le virus » médicalement délirante, car contraire à la quarantaine séparant les malades de la population saine)) imposée par la police pompeusement appelée « stratégie de suppression » et prétendait que la stratégie d’atténuation(([3] La stratégie d’atténuation regroupe les techniques traditionnelles : quarantaine des malades identifiés, isolement des sujets à risques, hygiène, utilisation des gestes et de matériel barrière. Associé à l’hygiène et à la destruction des animaux vecteurs éventuels elle a permis de stopper les grandes épidémies mortifères qu’a connues l’humanité.)) serait insuffisante pour éviter une mortalité élevée.

La stratégie de suppression prétendait pouvoir maîtriser rapidement l’épidémie en imposant l’astreinte à résidence de toute la population, par la force, sous contrôle policier sans séparer les malades des biens portants !

Elle prévoyait l’enfermement indiscriminé des populations entrecoupé de relâchements partiels des mesures, afin que les gens puissent progressivement récupérer un semblant de vie sociale et économique. Cette astreinte à résidence de la population devait durer « 12 à 21 mois en attendant la mise sur le marché d’un médicament nouveau ou d’un vaccin » pourtant très hypothétique dans des délais aussi courts. Dans la simulation de Ferguson, cette stratégie réduisait le nombre de morts à quelques milliers (non plus en centaines de milles ou en millions). Mais il y a loin de la prédiction à la réalité que l’on observe aujourd’hui.

Bilan d’un an de confinement et autres mesures liberticides(([4] Autopsie d’un confinement aveugle N et G Delépine éditions Fauves 2020))

Conçue par des mathématiciens non-médecins, qui paraissent ignorer la balance avantages/risques, la stratégie de confinement négligeait ses conséquences sanitaires, scolaires, universitaires, familiales, économiques, sociétales et politiques pourtant parfaitement prévisibles d’emblée et que nous avons d’ailleurs signalées dès le 21 mars 2020(([5] Delépine — Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox, 21 mars 2020)) et détaillées quelques jours plus tard(([6] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)).

Un an plus tard, le bilan des confinements stricts est catastrophique ; aucune étude sérieuse n’a pu montrer qu’il ait pu diminuer ou contenir l’épidémie(([7] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis — Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest. 2021 Jan 5 ; e13484. doi : 10.1111/eci.13484.)) et tous les scientifiques reconnaissent qu’il est responsable d’un nombre colossal de victimes collatérales, même ceux qui l’ont proposé initialement comme le conseil scientifique gouvernemental.

En effet, dans une lettre récente au Lancet(([8] Delfraissy et al. — Immune evasion means we need a new COVID 19 social contract Lancet February 18, 2021
https://doi org/10.1016/)), Le Pr Delfraissy et 4 autres membres du comité scientifique ont sonné le glas du confinement.

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs. Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale en particulier sur les jeunes et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques ».

La politique de la peur versus le traitement précoce refusé par les autorités

Mais, en France, la politique de la peur persiste comme la propagande renforcée pour des vaccins supposés nous sauver, associé au le chantage de plus en plus insistant « vacciné ou confiné » et au harcèlement individuel sur nos téléphones. Alors que ces vaccins sont expérimentaux, que les résultats des premières campagnes de vaccination sont très inquiétants, que les accidents post vaccinaux se multiplient, les mutations virales annulent tout espoir de leur efficacité.

Les tentatives de vaccin anti-coronavirus précédentes ont toutes échoué

Dans l’essai vaccinal contre la péritonite féline, les chatons vaccinés sont morts plus rapidement que les non-vaccinés.

Chez le furet,  le candidat vaccin a provoqué des hépatites.

Chez la souris et chez le macaque rhésus chinois, les vaccins ont provoqué des lésions pulmonaires.

Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), chez des souris un phénomène d’anticorps facilitants a été observé.

Aucun vaccin humain contre le MERS ou le SRAS n’a pu être mis au point malgré plusieurs années de recherche. Ces observations dans les essais vaccinaux contre le SRAS et le MERS sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des vaccins contre la COVID 19 dont le virus est proche.

Les vaccins commercialisés à cette date (avril 2021) contre le coronavirus du Covid-19 sont tous expérimentaux

Contrairement à ce qu’ont prétendu l’AFP et de nombreux médias, aucun des vaccins actuels n’a terminé ses essais phase 3. Les premiers résultats définitifs sont prévus pour janvier 2023 ! Il s’agit donc par définition de traitements expérimentaux qui ne bénéficient d’ailleurs que d’autorisation conditionnelle délivrée pour « raison d’urgence » en attendant les résultats définitifs.

Les errements des autorisations, des suspensions intermittentes, des modifications des recommandations témoignent d’ailleurs tous les jours qu’il s’agit de médicaments très partiellement évalués.

Les seuls résultats dont on dispose actuellement sont ceux des premières campagnes de vaccinations et ceux-ci sont actuellement très inquiétants.

Résultats angoissants des premières campagnes de vaccination

Les médias célèbrent le succès des campagnes de vaccination à l’aune du pourcentage des vaccinés, mais ne parlent presque jamais des seules choses qui importent pour les vaccinés, les bénéfices qu’ils peuvent en attendre et les risques qu’ils prennent en se vaccinant.

La Grande-Bretagne est le premier champion de la vaccination qui a commencé le 7 décembre 2020.

Au 11 avril 2021, 39 846 781 doses de vaccin avaient été administrées, plus de la moitié des Britanniques auraient reçu au moins une dose de vaccin, et la grande majorité des personnes âgées de plus 70 ans auraient reçu leurs deux doses. D’après les courbes OMS du 13 4 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1674138 contaminations.

En quatre mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 369779.

Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En quatre mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 127087 (+100 %). Surtout, lors de cette recrudescence de la mortalité, d’après un rapport gouvernemental, 70 % des décès ont touché des personnes qui avaient reçu leurs deux doses de vaccin(([9] SPI-M-O : Summary of further modelling of easing restrictions — Roadmap Step 2 Date : 31 Mars 2021
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/975909/S1182_SPI-M-O_Summary_of_modelling_of_easing_roadmap_step_2_restrictions.pdf)).

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec 9037923 doses de vaccin administrées et plus de 45 % de sa population vaccinée au 2 avril 2021.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, les ÉAU comptaient 195 818 contaminations. En trois mois post-vaccination, ce chiffre est passé à 489485 (+150 %). Malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 23 décembre avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, les Émirats Arabes Unis comptaient 642 morts attribuées au Covid-19. Le 14 avril, ce chiffre a plus que doublé passant à 1541 (+150 %). Le mois de février 2021 a établi le record mensuel de la mortalité (375), devançant celui de mars (271).

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer.

Au 4 avril 2021, 10 096 213 doses de vaccin avaient été administrées et près de la moitié de la population vaccinée. La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières pendant 2 mois, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

La mortalité a suivi la courbe des contaminations. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité (1427) depuis le début de l’épidémie dans ce pays et celui de février le second (774).

À Gibraltar (34000 habitants) la vaccination a commencé le 9 janvier 2021.

À cette date l’état comptait 2789 cas et 11 morts attribués au Covid19.

Depuis ce jour, les contaminations ont été multipliées par 2 (4277) et les morts par 8,5 (94).

À Monaco

(38000 habitants) la vaccination a commencé le 31 décembre et au 2 avril 2021, un total de 20510 doses de vaccin avait été administré. Le 31 décembre, Monaco comptait 858 cas et 3 morts. Quatre mois après le début de la vaccination au 14 avril, ces chiffres étaient respectivement passés à 2378 (+200 %) et 31 (+900 %).

Résultats globaux

Dans tous les pays largement vaccinés, l’évolution a été marquée pendant 4 à 6 semaines post vaccinales par une augmentation sans précédent du nombre quotidien des contaminations et des décès, avant une stabilisation proche des chiffres d’avant vaccination. Ces évolutions très angoissantes ne correspondent absolument pas aux chiffres de protection annoncés par les communiqués de victoire des firmes.

Les accidents post vaccinaux se multiplient

Certains effets secondaires sérieux des vaccins sont particulièrement fréquents. Ainsi la vaccination des soignants a été suivie de 20 à 40 % de malaises obligeant les soignants vaccinés à arrêter de travailler un à plusieurs jours et la Haute Autorité de santé à conseiller de ne plus vacciner tout le personnel d’une équipe le même jour.

Des accidents rares, mais très graves ont été rapportés chez des jeunes en pleine santé qui ne craignaient rien du Covid19 : un interne de médecine est mort à Nantes et un pompier du Var s’est retrouvé en réanimation. La possibilité de ces accidents graves explique la réticence croissante des soignants à se faire vacciner.

Chez les personnes très âgées, les effets secondaires des vaccins sont fréquents et la fragilité des pensionnaires d’EHPAD explique les conséquences dramatiques qu’ils peuvent entraîner.

Après 27 morts survenus dans ces établissements l’agence norvégienne a d’ailleurs déconseillé de les vacciner(([10] Covid-19 : la Norvège enquête sur 23 décès chez des patients âgés fragiles après la vaccination
BMJ 2021 ; 372 : n149)) « Des effets indésirables courants peuvent avoir contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». En Grande-Bretagne le décès du Prince Philip et en France — les décès post vaccinaux des plusieurs centenaires doyens de leur région et les suites post vaccinales de la ministre Roselyne Bachelot nous rappellent la sagesse de cette recommandation.

Les chiffres officiels des effets secondaires graves et des décès reconnus liés à la vaccination par l’EMA agence européenne du médicament, sont consultables sur la base de données EUDRAVIGILANCE et mis à jour régulièrement. Au 3 avril 2021, le tableau suivant résume la situation.

Remarque (@niusMarco) : Bilan Eudravigilance du 9 avril 2020

20 fois plus d’effets secondaires déclarés et de décès que pour H1N1 en 15 ans. Quasiment le même nombre d’injections (61 et 65 millions), mais pour le covid 60 % une seule dose.

Quelques hypothèses à l’origine des échecs en efficacité et effets secondaires

Le risque d’anticorps facilitants a été rappelé par l’Académie de Médecine

L’antécédent de la Dengue de Sanofi

L’aggravation d’une maladie par une vaccination destinée à la combattre a été récemment illustrée par le scandale sanitaire de la vaccination contre la dengue avec la mort de plusieurs centaines d’enfants aux Philippines. Cette catastrophe sanitaire est liée phénomène des « anticorps facilitants », ou ADE (antibody-dependent enhancement : aggravation dépendante des anticorps) ou VAED (vaccine-associated enhanced disease).

Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou que ces anticorps ont une faible spécificité.

Renoncement progressif des autorités françaises

L’académie de Médecine

Dans son communiqué du 11 janvier 2021 concernant les vaccins Covid19 l’Académie de Médecine précise :

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants…

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale… fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Le ministre et le conseil scientifique

Le ministre O. Veran et J.F. Delfraissy président du conseil scientifique ne croient plus que les vaccins seront la solution

Dans leur lettre au Lancet déjà citée(([11] Delépine — Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27 mars 2020 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)), Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy confient qu’ils ne croient plus guère que les vaccins feront disparaître l’épidémie :

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variantes du SRAS-CoV-2 sont corrélées avec l’absence d’une protection immunitaire robuste après la première exposition à des virus antérieurs (de type sauvage), ou même à un vaccin.

Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de l’évasion immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais aussi avec d’autres virus…

L’arrivée rapide de variantes du SRAS-CoV-2, telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil, suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes sont apparues pourrait avoir mis une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’une variante avec une transmissibilité accrue.

En cas d’évasion immunitaire importante, les vaccins actuels sont susceptibles d’offrir encore certains avantages aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire la sélection virale et l’évasion, rendant la perspective d’atteindre l’immunité de base de plus en plus éloignée. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes apparaissent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Olivier Véran, dans un mémoire récent au Conseil d’État(([12] https://www.bfmtv.com/police-justice/covid-19-un-homme-vaccine-depose-un-recours-devant-le-conseil-d-etat-pour-pouvoir-deroger-au-confinement_AN-202103300186.html)) reconnaît ainsi que les vaccins protègent peu les vaccinés :

« l’efficacité des vaccins est partielle » et n’empêche pas les transmissions de la maladie : « le vaccin réduit le risque de contracter une forme grave de la maladie, mais il n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

La mort annoncée des vaccins anti covid

L’Astra Zeneca est mort ou presque. Le Jansen-Jansen est mis en pause. Le Pfizer a favorisé l’apparition de variants résistants en Israël et en Grande— Bretagne.

Ni le conseil scientifique, ni O. Veran, le ministre de la Santé ne croient plus que les vaccins résoudront la crise sanitaire. Alors pourquoi continue-t-on à faire la promotion de ces vaccins ?





« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.