Une zone B existe, donc il y a de l’espoir, je vous le promets !

[Source : Le Saker Francophone]

Par Le Saker – Le 20 janvier 2020 – Source The Saker Blog


Chers amis, aujourd’hui, il semble que le triomphe de nos adversaires soit total. Je veux publier cette chronique en disant que je ne crois pas une seule seconde que cela soit le cas. Tout ce que je vais faire aujourd’hui, c’est expliquer pourquoi. Ainsi, juste pour que les personnes autrement surdouées puissent comprendre, il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive et je vais laisser de côté beaucoup de choses.

Allons-y donc :

Premièrement, remarquez à quel point nos adversaires sont totalement paranoïaques ! Selon la façon dont vous comptez et à qui vous le demandez, ils ont fait appel à 25 à 65 000 personnes armées pour les « défendre ». Bien sûr, le but premier de ces absurdités est de faire croire qu’il existe une terrible force terroriste nationale prête à prendre le contrôle de Washington et à ouvrir des goulags pour les minorités. Il sera alors plus facile de vendre une répression massive des libertés civiles sous le prétexte de « protéger » la « démocratie » (supposée mais, en réalité, déjà disparue). Mais le fait qu’ils aient dû s’engager dans une chasse aux sorcières en contrôlant soigneusement chaque garde national (et probablement encore plus de personnes) montre qu’ils ont vraiment peur. Je pense qu’ils ont tort, il n’y a pas de menace terroriste intérieure crédible aux États-Unis, autre que le gouvernement lui-même, bien sûr. Mais ce qui importe ici n’est pas ce que je pense, mais ce qu’ils pensent, et ils semblent avoir développé un sérieux cas de paranoïa.

Deuxièmement, même si je ne crois pas à l’existence de terroristes nationaux aux États-Unis, je pense que des millions de citoyens américains sont convaincus que le vote a été volé. On peut comprendre que ces personnes soient dégoûtées et en colère. Beaucoup sont peut-être désespérés ou même découragés. Appelons-les les « Déplorables » et considérons cela comme une marque d’honneur. Eh bien, ces Déplorables ne prendront pas Washington DC par la force, mais ils ne feront plus jamais confiance à un politicien du Parti Démocrate, ni du Parti Républicain, ni aux médias grand public. Une des bénédictions déguisées de cette élection volée est que le Parti Républicain et Fox News ont montré leur vrai visage, et que leurs visages sont diaboliques, stupides et laids. Il y a quatre ans, des millions de citoyens américains n’ont pas tant voté pour Trump que contre Hillary, qu’ils considéraient (à juste titre) comme un symbole et une métaphore de l’ensemble de l’« État profond », du « marais », du « ZOG » (Zionist Occupation Government) ou de toute autre expression de votre choix. Ces Déplorables avaient d’abord fait confiance à Obama (« un changement crédible ») et, plus tard, à Trump (MAGA). Maintenant, ils savent que les deux camps sont tout aussi mauvais et faussaires.

Dans le passé, les deux factions du « Big Money Party » avaient des soupapes de sécurité (Tea Party, Occupy Wall Street, Rand Paul, Tulsi Gabbard, Bernie Sanders, etc.) Je pense que maintenant, les deux partis se trouvent littéralement à poil et, les gars, c’est vraiment pas beau à voir !

Troisièmement, et sur ce point-là je m’adresse principalement à mes lecteurs aux États-Unis et cela m’obligera à faire une note qui leur est principalement destiné :

Note de l’auteur

La planète peut être divisée en deux parties : ZONE A, la partie du monde entièrement contrôlée par l’empire anglo-sioniste, et ZONE B, celle qui comprend le reste. La grande majorité des Américains ne connaissent vraiment que la zone A. Pourquoi ? Pour les raisons suivantes :

  • La plupart des Américains n’ont jamais voyagé en dehors de la zone A.
  • Les Américains qui ont voyagé en dehors de la zone A l’ont généralement fait sans parler la langue locale, restant ainsi isolés de la population et des médias locaux.
  • La plupart des Américains obtiennent leurs informations auprès d’organes d’information basés aux États-Unis, souvent en combinaison avec quelques autres dans l’Anglosphère (Royaume-Uni, Australie).
  • Les médias américains mentent encore plus sur ce qui se passe dans la zone B qu’ils ne mentent sur la zone A.
  • Les écoles américaines ont pratiquement cessé d’enseigner l’histoire, et lorsqu’elles le font, ce n’est que de la propagande tournant autour de la « ville sur la colline » et toutes les autres conneries impérialistes sur le caractère exceptionnel des États-Unis. Par conséquent, lorsque la plupart des Américains sont exposés aux faits concernant la zone B, ils ne sont pas équipés pour en comprendre la signification ou l’importance.
  • La plupart des Américains supposent simplement que les habitants de la zone B sont très semblables à ceux de la zone A. La plupart des Américains supposent également que la plupart des gouvernements de la zone B sont encore plus malfaisants qu’oncle Shmuel.
  • La plupart des Américains croient également en ce que j’appelle le « préjugé sur l’immigration » : la croyance selon laquelle les gens viennent aux États-Unis de tous les coins de la planète parce qu’ils préfèrent les États-Unis à leur pays et à leur peuple. Toute personne vivant aux États-Unis et parlant espagnol sait que cette croyance est totalement fausse, bien sûr. Mais rares sont les Américains non hispaniques qui parlent en espagnol aux Hispaniques des États-Unis (pour votre information, moi oui). Les Anglos semblent généralement avoir du mal avec les langues…
  • Malheureusement, la plupart des Américains ne sont pas éduqués par leurs parents, leurs chefs religieux, leurs communautés ou leurs écoles. La plupart des Américains reçoivent l’essentiel de leur éducation en regardant la télévision. Comme toutes les chaînes de télévision américaines proposent presque le même mélange de divertissements vulgaires, de propagande et de publicités, cette « éducation » a donné naissance à un grand nombre de familles et de communautés massivement dysfonctionnelles. Cette dépendance à l’égard d’un écran clignotant (que ce soit la télé ou YouTube — même différence) leur donne une capacité d’attention très courte et une capacité limitée à traiter de grandes quantités d’informations écrites, ce qui est nécessaire pour pouvoir analyser une situation.

Conséquence directe de ces facteurs, la plupart des Américains vivent dans un « espace mental » où la zone B n’existe tout simplement pas et, lorsqu’elle est mentionnée, elle l’est invariablement sur le mode des « mêmes vieux clichés ».

Enfin, compte tenu de tout ce qui précède, c’est vraiment un miracle que les Déplorables aient complètement ignoré une campagne massive de lavage de cerveau (bieeeen pire que tout ce que les Communistes ou les Nazis n’avaient jamais imaginé !) contre « Trump le nouvel Hitler » et aient quand même voté pour lui deux fois, en 2016 et 2020 ! Cela montre bien que la plupart des Américains détestent discrètement mais passionnément le régime de Washington et qu’ils profitent de toutes les occasions qui leur sont offertes pour essayer de changer leur pays et leur vie en votant. On peut se demander ce que ces Déplorables « désobéissants » feront la prochaine fois, maintenant que le vote est ostensiblement devenu une perte de temps, n’est-ce pas ?

Voici maintenant la bonne nouvelle : La zone B existe bel et bien ! En fait, elle est énorme, riche, vraiment diverse et elle a depuis longtemps compris que l’empire anglo-sioniste et les États-Unis tels que nous les connaissions sont pratiquement morts ; qu’il n’en reste qu’un peu de mouvement inertiel et de nombreuses mauvaises habitudes de la part de politiciens américains ignorants, arrogants et délirants.

Pourquoi est-ce si important ?

Parce que si nous laissons le Grand Satan (une très bonne expression, je pense qu’elle convient parfaitement au nouveau régime, je l’utiliserai plus souvent) nous convaincre que la réalité est toute contenue dans la zone A, nous pourrions vraiment tomber dans le désespoir. Oui, les États-Unis sont foutus, tout comme l’ensemble de l’UE. Quant aux colonies américaines comme l’Australie ou la Nouvelle Zélande, non seulement elles sont foutues (par exemple en se rangeant du côté des États-Unis contre une Chine beaucoup plus puissante), mais elles semblent même avoir un désir morbide de surpasser les États-Unis en termes de lois folles et de positions idéologiques insensées (par exemple sur la Covid-19). Mais tout cela n’est vrai qu’en zone A. Très peu de personnes dans la zone B croient encore que les États-Unis sont très importants. La plupart d’entre eux savent déjà que ce n’est plus le cas, même si les médias de la zone A n’en parlent jamais.

Il y a encore d’autres bonnes nouvelles : ni l’empire (croupion) anglo-sioniste, ni les États-Unis (croupion) ne représentent une menace crédible pour la plupart des pays de la zone B. Oh bien sûr, les politiciens américains peuvent traiter la Russie de « station-service se faisant passer pour un pays » ou de « puissance régionale », la vérité est que l’Occident n’a pas réussi à la briser, ou même à la blesser de manière significative, malgré 46 mesures de sanctions (juste celles de Trump, sans compter celles de l’escroc du « yes we can »). En outre, même la Covid-19 n’a que marginalement endommagé la Russie (parce que, contrairement aux conneries pseudo-patriotiques des politiciens occidentaux, elle a pris la Covid-19 au sérieux, très au sérieux en fait, dès le mois de mars et a préparé le pays à pas moins de deux épidémies majeures, qui se sont toutes deux produites, et auxquelles la Russie a fait face avec succès ; c’est pourquoi l’UE est maintenant en plein mode Covid-hysterie, alors que la Russie n’a pas besoin d’imposer le moindre confinement).

Maintenant, mettons côte à côte deux éléments de la propagande américaine et jetons-y un coup d’œil, ok ?

  1. Les États-Unis ont l’économie la plus puissante de la planète.
  2. La Russie est l’adversaire numéro 1 des États-Unis (du moins selon les Démocrates, le Parti Républicain place la Chine en première position et la Russie seulement en deuxième position).

Voyez-vous le problème ?

Si les États-Unis sont si puissants, comment se fait-il qu’ils n’aient pas réussi à écraser la Russie ? Qu’en est-il de l’Iran ? Ou, à l’extrême, du Venezuela ? Pourtant, même dans ce dernier cas, le « meilleur » que cette prétendue Puissance Mondiale ait fait a été d’envoyer quelques ex-spécialistes ignorants se faire prendre et devenir la risée de tout le continent latino-américain !

Et ces gens veulent s’attaquer à la Chine ou à la Russie ! Sérieusement ?!

Voici donc l’autre très bonne nouvelle : La zone A ne présente aucune menace réelle pour la zone B !!!

Oui, bien sûr, les États-Unis peuvent encore atomiser la Chine, la Russie, l’Iran, le Venezuela ou tout autre pays. Mais regardons les conséquences d’une telle frappe :

  • Contre la Russie : les USA disparaissent tout simplement en tant que pays. Complètement et pour toujours.
  • Contre la Chine : les États-Unis, en tant que société, s’effondrent complètement pendant très longtemps.
  • Contre l’Iran : les États-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent perdre qu’avec des conséquences géostratégiques massives (le nouveau régime pourrait quand même essayer de réussir cette guerre, ne jamais dire jamais, même si cette idée peut vous sembler stupide – rappelez-vous toujours que les tarés de DC sont aussi délirants qu’ignorants !)
  • Contre la Corée du Nord : les Etats-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent que perdre avec des conséquences géostratégiques massives.
  • Contre le Venezuela : les États-Unis s’enlisent dans une guerre anti-insurrectionnelle qu’ils ne peuvent que perdre. Le régime comprador de Bogota ne survivra pas à une telle guerre et la Colombie « tombera » elle aussi.
  • Contre tout autre pays de la zone B : les États-Unis réussissent à atomiser ce ou ces pays, mais se retrouvent traités comme des parias par la planète entière (y compris par quelques colonies américaines), y compris par les véritables puissances militaires. L’OTAN et l’UE s’effondreront également si cela se produit (les États-Unis étant leur pierre angulaire).

En fin de compte, si la triade américaine est encore pleinement fonctionnelle et capable de mener une guerre nucléaire à grande échelle contre n’importe quel adversaire (y compris la Russie et, plus encore, la Chine), la vérité est que tout ce que cette triade réussit réellement à faire, c’est de rendre impossible l’utilisation de bombes nucléaires, par une autre puissance nucléaire, contre les États-Unis.

Le problème est que la triade nucléaire américaine n’apporte rien contre un adversaire qui n’utilise pas d’armes nucléaires (soit parce que cet adversaire a choisi de ne pas utiliser d’armes nucléaires en raison de la dissuasion efficace de la triade nucléaire américaine, soit simplement parce qu’il n’en possède pas).

Comme je l’ai déjà mentionné dans le passé, la force sous-marine américaine est, avec la triade nucléaire, l’autre force réellement efficace et puissante sur laquelle les États-Unis peuvent compter en cas de guerre. Cependant, à part le lancement d’un grand nombre de missiles de croisière obsolètes et donc faciles à contrer, cette force ne peut pas faire grand-chose pour aider une opération terrestre (ou, d’ailleurs, aérienne) américaine contre un adversaire très faible. Le problème avec les adversaires dits « faibles » est qu’ils ont relativement peu de cibles lucratives à frapper avec des missiles de croisière (pensez ici au Venezuela). La plupart de ces adversaires « faibles » ne disposent pas des défenses aériennes nécessaires pour faire face à une attaque de missiles et de bombes américaines à mi-chemin, et les États-Unis peuvent rapidement détruire les défenses aériennes dont disposent ces pays « faibles ». Alors oui, je l’admets. Si demain les États-Unis veulent une « guerre courte et triomphante », disons pour remonter le moral ou pour détourner l’attention des problèmes internes, ils pourraient toujours attaquer des pays comme, disons, Antigue-et-Barbude ou Sainte-Lucie, mais une telle farce ne serait guère qualifiée de « brillante victoire » des « meilleures forces armées de la galaxie », n’est-ce pas ? Mais cela pourrait-être le cas, qui sait ? Si la machine de propagande unifiée veut présenter cela comme un triomphe des forces américaines, comme elle l’a fait avec l’invasion de Grenade (une des pires opérations militaires de l’histoire !), elle peut le faire, bien sûr. Mais cela ne servirait qu’à ridiculiser davantage cette machine de propagande, puisque 2021 n’est pas 1983, il existe maintenant des millions de Déplorables qui n’achèteront jamais ce genre d’absurdités.

En outre, étant donné que les efforts conjoints des Etats-Unis, d’Israël et de l’Arabie Saoudite (l’« Axe du bien ») ont complètement échoué à soumettre les Houthis, je ne parierais pas sur une force d’invasion américaine dans les Caraïbes (à l’exception peut-être d’une ré-invasion d’Haïti ou de la République Dominicaine, mais ce sont déjà des protectorats américains, à quoi bon ? !)

Pourquoi tout cela est-il si important ?

Parce que les Démocrates ne nous préparent clairement rien de bon. Ensuite, non seulement nous assisterons à une vague de répression contre la liberté d’expression en interne, mais les Démocrates font déjà du bruit à propos, vous l’avez deviné, de la Chine et de la Russie (encore !) et, lorsque cela ne donnera inévitablement aucun résultat, ils tourneront à nouveau leur « haine » vers l’Iran et le Venezuela. Mais même ces pays comparativement plus faibles sont maintenant tout à fait capables de faire payer à Oncle Shmuel un prix immense en sang et en enfer en termes de revers politique, et sur de nombreux fronts.

La « puissance » d’une nation (ou d’une coalition de nations) peut être mesurée à l’aide de très nombreux types de mesures, mais les trois plus courantes sont probablement : la puissance économique, la puissance militaire et la puissance politique. Si nous utilisons ces trois paramètres pour comparer la zone A à la zone B, il serait raisonnable de réfléchir sur :

  • La puissance économique : plus ou moins égale, avec une zone A en baisse rapide et une zone B en hausse rapide. La zone A compte encore BEAUCOUP de régimes vendus à l’Occident et prêts à le défendre non seulement à l’ONU, mais aussi dans la plupart des organismes internationaux (y compris les organismes non gouvernementaux comme le CIO, par exemple, ou l’AMA).
  • Puissance militaire : La zone A est beaucoup plus faible que la zone B (pensez à Russie+Chine+Inde pour commencer !)
  • Pouvoir politique : La zone A est encore la plus forte, mais cela change aussi rapidement. On peut dire que la plupart des dirigeants du monde sont toujours des serfs pour la zone A, mais la plupart des gens dans le monde ont depuis longtemps tourné leur soutien vers les pays de la zone B. Le récent triomphe du peuple bolivien sur ses oppresseurs est un signe très révélateur de cette tendance.

Et voici le facteur clé à garder à l’esprit : il n’y a rien, absolument rien, que l’administration Biden/Harris puisse faire pour changer ces tendances. Il est tout simplement trop tard et lorsque l’effondrement interne des États-Unis s’amorcera, ces tendances ne feront que s’accélérer.

===> En d’autres termes, il y a de l’espoir ! <===

Oui, les méchants ont bien gagné, mais seulement contre Trump et ses pseudo-alliés désemparés (l’ont-ils trahi plus vite que lui ne l’a fait, ou est-ce le contraire ?), mais ils n’ont fait que gagner une bataille contre les Déplorables sans gagner contre la zone B.

Les Démocrates sont maintenant occupés à la vengeance sous toutes ses formes. Ils se délectent aussi à humilier Trump et ceux qui ont osé le soutenir. C’est l’équivalent politique de torturer des gens dans des sous-sols, et non de gagner de glorieuses batailles. Mais ils ne s’en rendent pas compte, ils sont trop vaniteux, trop haineux sur le plan idéologique et trop lâches pour le comprendre.

Pourtant, le lavage de cerveau, comme la torture (y compris la torture mentale !), est réel. Dans ce cas, il s’agit d’une bataille pour l’esprit des Déplorables qui doivent maintenant être mis dans un état catatonique de soumission et de respect total. Les Démocrates utilisent le mensonge, leur arme favorite, mais leur agression est réelle, néanmoins. Et c’est la bataille que nous, les opposants à l’impérialisme, devons mener — la bataille pour l’esprit des habitants de la zone A : nous devons leur montrer que la pseudo-réalité de la zone A n’a pas d’existence réelle en dehors de la télévision et de la rhétorique insipide des décideurs américains.

Nous devons nous préparer mentalement à une forte augmentation de la quantité et de la portée des mensonges que la machine de propagande américaine nous racontera (si vous pensiez que les 4 dernières années ont été mauvaises, préparez-vous à de beaucoup, beaucoup plus mauvaises ; bon exemple ici). Et, bien sûr, attendez-vous à BEAUCOUP de faux drapeaux, surtout pour démontrer la réalité du danger présumé provenant des « terroristes nationaux ». Tout cela se fera dans un contexte d’attaque à grande échelle contre la liberté d’expression, la dissidence et toute forme de pensée réelle (par opposition à une prétendue pensée), vraiment.

L’hypocrisie est, bien sûr, que la prochaine chasse aux sorcières (elle sera bien pire que celle de Salem ou de McCarthy) sera menée au nom de la diversité et ostensiblement contre la « haine ». En réalité, bien sûr, ce que le régime veut, c’est écraser la vraie diversité parce que les dirigeants de la Nomenklatura américaine détestent absolument tout, sauf leur triste personne. Comme tous les idéologues, ce que ces gens veulent, c’est 1) un pouvoir total et 2) une uniformité totale. Tous ceux qui rejettent ces dogmes modernes seront qualifiés de criminels, de terroristes, d’hérétiques, de racistes et, bien sûr, d’agents russes et chinois.

Et c’est pourquoi ce régime va également échouer.

Conclusion : la diversité sera gagnante. La VRAIE diversité, bien sûr !

Notre planète est merveilleusement diverse, surtout en dehors du secteur d’uniformité de la zone A. Il y a une zone B, et les dirigeants de la zone A seront vaincus par notre véritable humanité commune et partagée (et leur haine pour nous !). Quelque part entre Obama et Trump, le monde a évolué et il est maintenant très occupé à relever les immenses défis et à saisir les opportunités qui se présentent dans la zone B. Et non, ni la Russie ni la Chine ne sont occupées à essayer de saboter ou de saper les États-Unis – les dirigeants américains y parviennent bien mieux que n’importe quel Russe ou Chinois ne pourrait jamais le faire. Alors pourquoi s’en préoccuper (sans parler des risques !)?

Nous ne pouvons pas prévoir ce qui se passera ensuite, il y a tout simplement trop de variables pour le faire. Mais ce que nous pouvons faire, c’est prédire avec un grand degré de confiance que le nouveau régime au pouvoir à Washington ne fera pas mieux que tout autre régime arrivé au pouvoir par le biais d’une révolution de couleur au cours des deux dernières décennies. Il n’y a plus d’espoir pour l’Empire, tout comme pour les États-Unis. Il y aura beaucoup d’espoir pour eux, mais seulement après un long et douloureux processus d’effondrement et de renaissance (tous deux inévitables à présent). La vérité est que les États-Unis ne sont pas si uniques que ça en tant qu’empire, désolé, c’est juste un empire arrogant et narcissique typique qui s’effondrera comme tous les autres empires arrogants et narcissiques de l’histoire se sont effondrés, la plupart du temps sous leur propre poids obscène. Et ces pauvres âmes qui croient sincèrement que la Chine (ou la Russie) veut remplacer les États-Unis ne comprennent tout simplement pas que ces deux pays ont déjà été des empires, que cela fut un désastre, merci beaucoup, et qu’ils n’ont aucune envie de répéter leurs erreurs passées. Ce désir de non-exceptionnalisme et de normalité fera, avec le temps, l’objet d’un large consensus de société aux États-Unis. Et, avec le temps, les États-Unis seront enfin accueillis dans une zone B vraiment libre ou, devrais-je dire, un monde sans zone

The Saker

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare

[Source : Nice-Provence Info via Réseau International]

Nice Provence Info avait publié en juin 2017 cet article issu du site du site “Veteran-Today” et que la malveillance de notre ancien hébergeur OVH a effacé.

Cet article majeur et consistant avait suscité une grande curiosité de nos lecteurs et doit figurer dans notre bibliothèque malgré les entraves de la Police de la Pensée.

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

nous avertit George Orwell dans 1984.

Le Pouvoir étant lui-même complotiste (lire Macron, ce grand complotiste), il n’y a plus aucune raison pour que nous ne le soyons pas non plus.

Bonne lecture !

Le voile est à présent déchiré pour exposer clairement à la lumière la mafia khazare et ses effroyables plans pour infiltrer, tyranniser la planète entière et éradiquer toutes les religions du Livre pour en permettre une seule : leur talmudisme babylonien également connu sous les noms de luciférianisme, satanisme ou encore ancien culte de Baal.
L’histoire des Khazars, et particulièrement celle de la mafia khazare, le plus grand syndicat mondial du crime organisé, ayant muté grâce à un “tour de magie” monétaire utilisé par les anciens Babyloniens, a été quasiment occultée de tous les livres d’Histoire.

Actuellement, la mafia khazare sait très bien qu’elle ne peut opérer ou même exister sans un secret abject, et, dans ce but a dépensé beaucoup d’argent pour expurger les livres d’Histoire empêchant les citoyens de toute la planète d’en savoir plus sur leur pouvoir de nuisance terrifiant au delà de toute imagination et permettant la toute puissance de la plus grande organisation mondiale criminelle. Les auteurs de cet article ont fait de leur mieux pour reconstituer cette histoire secrète des Khazars et de leur syndicat mondial du crime organisé, mieux nommé encore mafia khazare, et pour l’exposer aux yeux du monde grâce à l’internet, cette nouvelle presse de Gutenberg.

Il est excessivement difficile de reconstituer cette histoire cachée de la mafia khazare, ainsi veuillez excuser les erreurs ou les inexactitudes mineures qui ne sont pas intentionnelles et seulement dues à la difficulté de creuser dans cette histoire réelle des Khazars et de leur mafia. Nous avons fait notre possible pour la restituer.

Ce fut tout d’abord Mike Harris qui relia les points et fit cette découverte récente de l’existence d’une histoire cachée et sanguinaire de la mafia khazare et de sa volonté de revanche sur la Russie.

Lors de la conférence en Syrie sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme religieux le 1er décembre 2014, Gordon Duff directeur de “Veterans Today” (publication des vétérans de l’armée américaine et des services secrets US), exposa publiquement pour la toute première fois que le phénomène du terrorisme mondial est actuellement le fait d’une vaste organisation criminelle internationale liée à Israël. Cette révélation envoya un tsunami au sein de la conférence et quasi-instantanément dans le monde entier, dans la mesure où presque tous les chefs d’État de la planète reçurent également le rapport de cette révélation historique !

Et les répercussions de ce discours historique continuent à résonner actuellement autour du monde.

Gordon Duff demande aujourd’hui au président Poutine de divulguer les documents des services secrets russes qui exposent environ 300 traitres du Congrès US pour leurs actes de félonie en série ainsi que d’espionnage pour le compte de la mafia khazare contre les intérêts de l’Amérique et de plusieurs nations du Moyen-Orient.

Nous savons désormais que la mafia khazare mène une guerre secrète contre l’Amérique et les Américains par l’usage d‘actes de terrorisme sous faux-drapeau de type “Gladio” et au travers d’organismes illégaux et inconstitutionnels comme la Federal Reserve, l’IRS, le FBI, la FEMA, le HomeLand Security et le TSA. Nous tenons à présent pour certain que la mafia khazare est responsable de “l’inside job” du 11 septembre 2001, attaque sous faux drapeau de pur style Gladio, ainsi que de l’attentat du Murrah building le 19 Avril 1995.

Voici donc les grandes lignes de l’Histoire cachée de la plus grande mafia de la planète

Khazarie carte

100800 après J.-C. : Les Khazars se sont développés au sein d’une nation gouvernée par un roi malfaisant, pratiquant la magie noire et secondé en sa cour par des oligarques occultistes. À cette époque les Khazars étaient connus par les peuples environnants comme criminels, assassins et pillards, pratiquant le meurtre comme mode vie et occupation journalière normale.

800 après J.-C. : Un ultimatum leur est donné par la Russie et d’autres contrés environnantes : les chefs des nations environnantes, au premier rang desquelles la Russie, ayant eu depuis tant d’années des plaintes de la part de leurs ressortissants, donnèrent un ultimatum au roi khazar. Ils envoyèrent un communiqué au roi, l’assignant à choisir l’une des trois religions du Livre pour son peuple en en faisant la religion officielle afin de socialiser le enfants dans la pratique de cette foi.
Il fut donc donné au roi le choix entre l’islam, le christianisme et le judaïsme.

Le roi choisit le judaïsme

Il promit alors de s’en tenir aux assignations de la confédération de peuples menée par le tsar (descendant des César de Rome) de Russie. Malgré les promesses de s’en tenir là, le roi khazar et son cercle rapproché d’oligarques continuèrent à pratiquer l’ancienne magie noire babylonienne connue aussi sous le nom d’occultisme satanique. Celui-ci implique des cérémonies occultes reposant sur le sacrifice rituel d’enfants par égorgement, puis d’actes de cannibalisme en buvant le sang et en dévorant le cœur de l’enfant égorgé.

Le secret profond de ces cérémonies occultes est le fait qu’elles étaient toutes basées sur l’ancienne religion de Baal et le sont toujours aujourd’hui.
Dans le but de tromper la surveillance de la confédération de nations menée par la Russie, le roi khazar se mit à mêler ces pratiques de magie noire luciférienne avec celles du judaïsme, créant ainsi une religion satanique hybride connue sous le nom de talmudisme babylonien qui devint la religion nationale des Khazars tout en continuant à nourrir le même pouvoir de malfaisance qu’auparavant !

Hélas, les Khazars continuèrent dans leur même façon de nuire, volant et assassinant les voyageurs égarés en pays khazar…

Les bandits khazars s’efforçaient souvent de dissimuler leur identité après avoir perpétré leurs méfaits sur ces malheureux visiteurs et devinrent maîtres dans l’art des déguisements et des fausses identités, une pratique qu’ils poursuivent encore de nos jours, de même que celles de leurs sacrifices d’enfants et cérémonies occultes, qui ne sont autres que celles de l’ancienne confrérie de Baal.

Vers 1200 : La Russie et les nations environnantes en eurent assez et décidèrent d’agir…
Àcette époque la Russie à la tête des nations voisines de la Khazarie envahirent celle-ci pour arrêter les crimes des Khazars contre leurs ressortissants, ce qui incluaient des enlèvements d’enfants et de bébés en vue de leurs sacrifices sanglants à Baal.

Ces “élites” khazares avaient un réseau d’espions très développé qui les prévint du danger. Aussi s’enfuirent-ils de Khazarie vers les nations de l’ouest de l’Europe, emmenant avec eux leur immense fortune en or et en argent. Ils se regroupèrent de façon discrète sous de nouvelles identités. En secret, ils poursuivirent leur pratique des sacrifices rituels sanglants de meurtres d’enfants, confiants dans la promesse de Baal de leur donner le monde entier et ses richesses sous réserve qu’ils poursuivent ces sanglants sacrifices en son honneur. Le roi khazar ainsi que son cercle rapproché de criminels se firent depuis lors une réputation de mafia auprès des nations voisines. Ils se mirent alors à ourdir un projet souterrain de revanche contre les Russes et les nations qui, en envahissant la Khazarie, les avaient chassés du pouvoir et de leur territoire.

Cette mafia khazare décida d’envahir l’Angleterre.

Pour accomplir ce plan, ils recoururent aux services d’Oliver Cromwell en vue de l’assassinat du roi Charles 1er et firent de l’Angleterre une terre où ils purent prospérer à nouveau. Ce fut le début de la guerre civile en Angleterre qui fit rage une dizaine d’années et se solda par l’assassinat de toute la famille royale ainsi que des centaines de personnes appartenant à l’aristocratie anglaise originelle.

C’est ainsi que la City de Londres fut établie comme la capitale bancaire de l’Europe et fut à l’origine de l’essor de l’Empire britannique.

David Ickes fut le premier à exposer courageusement en pleine lumière la mafia Rothschild. Ceci fit de lui un héros international et nous aurions besoin d’autres personnes de cette trempe pour briser une bonne fois cette zone d’ombre entourant la mafia khazare et mettre ainsi fin à leur illégitime hégémonie mondiale.

La mafia khazare décida d’infiltrer et de détourner toutes les banques au niveau mondial en utilisant la magie noire babylonienne, aussi connue sous le nom de “système magique pour faire de l’argent” babylonien ou encore l’art secret de fabriquer de l’argent à partir de rien associé au pouvoir de l’usure qui additionne sans fin les intérêts…
La mafia khazare utilisa donc son immense fortune pour favoriser ce nouveau système de leur invention et créateur magique d’argent qu’ils prétendirent inspiré par les esprits de Baal en échange de leurs sacrifices sanglants en son honneur.

Ce système babylonien “d’argent magique” supposait la substitution de l’or ou de l’argent déposés contre des certificats de “papier-crédit” qui permettait aux commerçants de voyager avec leur argent sous une forme qui autorisait le remplacement aisé en cas de perte ou de vol…
Il est intéressant de constater au passage comment le problème (de la dangerosité des voyages en Khazarie de par le fait de leurs razzias et meurtres) recevait sa solution grâce à eux 

Finalement le roi khazar et sa petite cour infiltrèrent l’Allemagne grâce à un groupe du nom allemand de “Bauer” pour les représenter et étendre leur fabuleux et maléfique “Baal-powered” système…
Ces Bauer, habitant à “l’Enseigne Rouge” (ce qui représentait fort bien en effet leur charmante activité secrète d’égorgement d’enfants), changèrent donc tout naturellement leur nom en Rothschild (rot-schild : enseigne rouge en allemand).

Ces Rothschild, hommes de paille de la mafia khazare, poursuivirent le travail d’infiltration et de détournement du système bancaire anglais et ensuite de toute la nation anglaise.
Ce Bauer/Rothschild eut cinq fils qui infiltrèrent à leur tour toutes les places bancaires en Europe y compris le système bancaire anglais, sous le couvert de puissantes opérations, y compris le fameux faux rapport de la victoire de Napoléon sur les Anglais alors qu’il était perdant. Ce coup de “génie” permit par la fraude et la tromperie l’appropriation par les Rothschild des richesses de la noblesse anglaise et propriétaires terriens qui avaient fait des accord d’investissement avec les institutions de la City de Londres.

Les Rothschild créèrent ainsi un système bancaire privé basé sur la monnaie-papier, spécialisé dans la création monétaire à partir du néant et additionnant au passage une usure pernicieuse sur le dos du peuple anglais et avec son propre argent ! Ils confiaient aux “insiders” que cette magie noire du pouvoir par la monnaie leur venait directement de Baal grâce à leurs fréquentes mises à mort sanglantes de petits enfants. Une fois qu’ils eurent infiltré et détourné le système bancaire anglais, ils interférèrent avec la couronne britannique et ses principales institutions dans toute l’Angleterre…

Certains experts pensent que les Rothschild éliminèrent peu à peu les membres de la famille royale d’Angleterre en organisant des unions avec des représentants de leur propre lignée khazare afin de faire accéder au trône leurs propres comparses.
D’une manière générale, la mafia khazare mena un effort international pour éradiquer les rois légitimes de droit divin. De par le fait-même que la mafia khazare prétend avoir un partenariat avec Baal (alias Satan, alias Lucifer), de par les sacrifices dont ils l’honorent, ils détestent tous les souverains régnant sous l’autorité de Dieu tout puissant car la plupart d’entre eux se sentent responsables de leurs sujets et conscients de leur rôle de protection contre des tentatives de traitrises ou d’infiltration d’ennemis se tenant à leurs portes.

À partir des années 1600, la mafia khazare suprima donc les autorités royales légitimes anglaises pour leur substituer des “infiltrés”.

Dans les années 1700, ils s’en prirent ensuite à la famille régnante de France en fomentant la révolution française.

Juste avant la première guerre mondiale, ils firent assassiner l’archiduc autrichien François-Ferdinand, dans le but, justement de déclencher cette guerre. Ce qui fonctionna à merveille.

En 1917, ils créèrent l’armée de la mafia khazare, alias les bolchéviques, et infiltrèrent et détournèrent la Russie, assassinèrent le tsar Nikola II et sa famille de sang froid, trucidant leur fille préférée à coups de baïonnette dans la poitrine, puis dérobèrent tout l’or, l’argent et les trésors fabuleux des œuvres d’art que la Russie possédait alors.
Juste avant la seconde guerre mondiale, ils se débarrassèrent des lignées royales autrichienne et allemande.
Ce fut ensuite le tour des lignées impériales de la Chine et du Japon.

Cette mafia khazare a une haine intense pour quiconque professe une quelconque foi en un quelconque Dieu, si ce n’est le leur propre, Baal/Satan qui leur donna pour mission de massacrer tout roi et toute royauté, et de bien s’assurer que ceux-ci ne pourraient plus jamais régner. Ils ont fait exactement la même chose avec les présidents américains, organisant des opérations secrètes et sophistiquées afin de les chasser du pouvoir.
Si cela ne fonctionne pas, la mafia khazare les assassine tout simplement, comme par exemple Mac Kinley, Lincoln, Kennedy. Elle entend éliminer quiconque pourraient rétablir des lois fortes ou être élu et oser résister à leur système de magie noire financière et à leur pouvoir souterrain rendu possible par leurs réseaux basés sur la compromission d’humains corrompus.

Les Rothschild financèrent les trafics de narcotiques internationaux sur ordre de la mafia khazare. Ils dirigèrent ensuite dans l’ombre l’empire britannique et élaborèrent un plan pour récupérer l’énorme quantité d’or et d’argent que les Britanniques ont payée à la Chine pour ses épices et soieries.

Les Rothschild, ayant découvert l’existence de l’opium turc et de son caractère fortement addictif, organisèrent un trafic pour le vendre à la Chine, infectant des millions de malheureux avec une dépendance mortelle au poison qui apportait dans le même temps des monceaux d’or et d’argent.
L’addiction à l’opium créée par les Rothschild en Chine infligea tant de mal à celle-ci que la Chine en vint à la guerre par deux occasions pour mettre un arrêt à cet empoisonnement. Ces guerres sont connues sous le nom de révolte des Boxers ou encore de Guerre de l’opium. L’argent que gagnèrent les Rothschild avec l’opium était si énorme qu’ils devinrent complètement addicts à cet argent facile, plus encore que les opiomanes de leur opium !

Les Rothschild furent la source de financement qui permit l’établissement des colonies américaines. Ils incorporèrent la “Hudson Bay Company” ainsi que d’autres compagnies commerciales afin d’exploiter les richesses de ce Nouveau-Monde. Qu’importe si l’exploitation de ces vastes ressources du continent passait par le génocide des peuples indigènes d’Amérique du Nord.

Hudson Bay Company

Les Rothschild suivirent également le même “schéma d’affaire” aux Caraïbes et dans le sous-contnent indien, occasionnant la mort de millions d’indigènes.

Les Rothschild tirèrent également profit du commerce des esclaves.

Ce commerce s’appuie sur la corruption des chefs africains qui revendent comme du bétail des membres kidnappés de tribus ennemies. Notons au passage que les mafieux khazars voudraient bien généraliser ce mode de fonctionnement à l’ensemble des populations du monde qui ne font pas partie de leur cercle maléfique.
Les marchands d’esclaves transportaient ensuite par bateau ces esclaves kidnappés vers l’Amérique et les Caraïbes où ils étaient revendus.

Les banquiers Rothschild apprirent également très tôt que les guerres étaient d’excellents moyens d’accroître leur fortune.

Ils mirent à profit cette expression « Pile je gagne, face tu perds » et finançaient les deux camps des belligérants. Il est à noter que la mafia bancaire khazare des Rothschild entretient une éternelle revanche contre les colonies américaines ainsi que contre la Russie qui aida celles-ci et leur fit perdre cette guerre.
En effet, lorsqu’ils perdirent cette guerre de la révolution américaine, les Rothschild en imputèrent la cause à la Russie — encore elle ! — qui avait bloqué les bateaux de la marine anglaise. Ils vouèrent alors une revanche éternelle contre les colons américains, exactement de la même façon qu’à l’encontre de la Russie qui écrasa la Khazarie 7 siècles plus tôt.

Les Rothschild et l’oligarchie anglaise qui les entoure n’ont eu de cesse depuis lors de trouver tous les moyens possible pour reprendre l’Amérique et la Russie et cela devint même leur principale obsession.

C’est pourquoi ils promurent la FED en déployant une fois de plus leur système babylonien qui s’appuie sur la création de fausse monnaie. La mafia khazare essaya donc en 1812 de reprendre le contrôle de l’Amérique du Nord et échoua une fois de plus à cause d’une nouvelle interférence Russe. Ce nouvel échec enragea la mafia khazare qui, une nouvelle fois, se mit à planifier une éternelle revanche à la fois contre les Russes et les colonies américaines. Ce qu’ils firent en infiltrant et détournant ces deux nations, leurs richesses ainsi qu’ en tyrannisant et massacrant au besoin leurs populations.

La tentative de cette même mafia de créer une banque centrale privée américaine fut stoppé par le président Andrew Jackson qui les traita de satanistes et voulut les faire déguerpir avec l’aide et la Grâce de Dieu. Les banksters Rothschild se coalisèrent et poursuivirent néanmoins opiniatrement leurs manœuvres dans l’ombre afin d’installer leur système monétaire sur le sol Américain.

Finalement en 1913, elle parvint à établir une importante tête de pont au cœur de l’Amérique. C’est en 1913 que la mafia khazare établit sa base grâce à la corruption et à la traitrise de membres du Congrès : le “Federal Reserve Act” fut passé en toute illégalité et contre la Constitution la veille de Noël et sans même le quorum requis. L’acte fut donc signé par un président américain corrompu, traitre à l’Amérique tout comme les membres du Congrès qui l’avaient élu. La mafia khazare put donc mettre en place un système de taxation tout à fait illégal, de façon à être sûre que le peuple américain paierait pour les titanesques dépenses du “Gouvernement américain”, le tout approuvé par un Congrès acheté et un président fantoche totalement aux ordres de cette machiavélique et ingénieuse communauté.

Il est aisé pour la mafia khazare de fournir autant de monnaie qu’il en faut pour faire élire leurs hommes de paille dès lors que vous contrôlez une “banque” qui n’est autre qu’une fabrique secrète de fausse-monnaie !

Dans le même temps qu’ils établissaient ce système de taxation généralisé, ils mettaient sur pied l””Internal Revenue Service”, leur collecteurs d’impôts privés incorporé à Puerto-Rico.
Peu après encore, ils mirent au point le “Federal Bureau of Investigation” (FBI) afin de protéger tout le système mis en place, de pourvoir à leurs besoins de mener des opérations occultes et surtout d’étouffer les poursuites concernant leurs sacrifices rituels d’enfants et les réseaux pédophiles qui les approvisionnent. Le FBI est aussi un réseau d’espionnage à leur usage propre. Il est à noter que le FBI n’a aucune charte officielle, conformément aux textes du Congrès, donc aucune existence légale, ni droit d’émettre aucun chèque de paiement.

La mafia Rothchild déploya sa “Révolution Bolchévique” en 1917 en Russie

afin de concrétiser sa revanche qui fut d’une sauvagerie sanglante inouïe sur un peuple russe innocent et ce, conformément à ce qu’ils avaient mis au point depuis tant d’années … depuis la destruction de la Khazarie par la Russie.

Alexandre Soljenitsyne

La mafia khazare Rothschild mit en œuvre et pilota la révolution communiste en fournissant des fonds depuis la FED afin de financer l’infiltration bolchévique de la Russie. Les bolchéviques furent donc créés et déployés par la mafia khazare comme l’instrument principal de leur revanche longuement préparée sur la Russie des tsars et sur un peuple russe innocent mais qui avait eut l’audace de briser la Khazarie dans les années 1000. Ce fait peu connu explique l’extrême violence exercée en 1917 sur la Russie : les bolchéviques furent lâchés dans un assaut de furie sanglante, parfaitement planifiée, qui stupéfia alors le monde entier par sa barbarie. Les bolchéviques, suivant les directives de la mafia Rothschild, pillèrent, torturèrent et se livrèrent à d’inimaginables massacres de masse sur environ 100 millions de Russes, y compris des femmes, des enfants, des bébés. Citons Alexandre Soljenitsyne : « Vous devez comprendre que les bolchéviques qui firent le coup d’État de 1917 n’étaient pas des Russes. Ils haïssaient les Russes. Ils haïssaient les Chrétiens. Mus par une haine ethnique revancharde, ils torturèrent et assassinèrent des millions de Russes sans l’ombre d’un remord humain. Jamais cela ne sera assez dit : Les bolchéviques ont accompli le plus grand meurtre de masse de tous les temps. Le fait que la plupart des gens soient ignorants et indifférents devant cet énorme crime est la preuve que les médias mondialistes sont dans la main des perpétrateurs de celui-ci.”

La mafia khazare s’est toujours attachée à infiltrer et détourner le judaïsme.

Ils ont donc mis sur pieds un plan d’action pour contrôler l’ensemble du judaïsme par le contrôle de l’esprit. Ils mâtinèrent donc le judaïsme de talmudisme babylonien tout en prenant le contrôle des banques en général,de Wall Street, du congrès des USA ainsi que des principaux mass-media.

Ainsi, la mafia khazare Rothschild peut distribuer la richesse et le succès à ces Juifs qui ont bu leur elixir magique et les utiliser comme des disjoncteurs ou des Sayanims (agents actifs).
Leur financement de la Knesset en Israël ainsi que son édification grâce à l’architecture des loges maçoniques est au service de leur talmudisme babylonien avec tout le mal qu’il génère partout, y compris des sacrifices occultes d’enfants dédiés à leur dieu secret,Baal.

Ils organisent un système appelé Nouvel Ordre Mondial ou encore Mondial- Sionisme, qui a été inculqué aux Juifs grâce à une illusion paranoïaque de supériorité raciale de leur groupe, allié au fait que tous les Gentils sont supposés avoir des intentions génocidaires à l’égard de ce groupe.
En retirant le rideau, on constate que l’architecture maçonique a été utilisée à l’édification de la Knesset et de la Cour Suprême israëlienne.
Ils ont appelé cette illusion raciale et paranoïaque Juive massive de conquête mondiale, “le Sionisme Mondial”. C’est en réalité une forme de Talmudisme Babylonien ou Luciferianisme qui était inconnu auparavant du courant dominant Juif.

Ce système a donc été conçu pour utiliser les Juifs comme couverture, les doter du pouvoir d’argent babylonien, les utilisant ainsi comme disjoncteurs et plus tard devant eux-mêmes être sacrifiés à Lucifer en deux étapes :

  • La première étape allait être leur Seconde Guerre mondiale, planifiée dans les camps de travail Nazis et aboutissant aux morts d’environ 200,000 Juifs par famine ou maladie, de même que 90,000 non Juifs, selon les chiffres officiels et reconnus des fonctionnaires de La Croix-Rouge. (Ce nombre est de 5 % de ce que la mafia khazare prétend.
  • Le deuxième grand sacrifice en serait le bouquet final, à l’avènement du Nouvel Ordre Mondial lorsque leur “Roi” Luciférien du monde accédera au pouvoir et quand toutes les trois religions d’Abraham seront supprimées : Particulièrement le Judaïsme, qui sera alors accusé pour toutes les guerres et destructions du monde.

À ce moment là la mafia khazare se métamorphosera à nouveau sous une nouvelle identité n’ayant plus rien à voir avec le Sionisme mondialiste …
Il est important de réaliser que la mafia khazare écrasa l’Allemagne avec la première guerre mondiale, créant ainsi un vide propice au fascisme, et ensuite la re-propulsa au premier rang en installant Hitler et le nazisme comme contre-force à leurs bolchéviques russes.

Hitler devint pour la mafia khazare un problème à partir du moment où il se libéra de leur joug et commença à agir pour la défense des intérêts du peuple allemand et des autres peuples libres du monde en développant un système bancaire libéré du système Rothschild.
Hitler initia un système financier libre de l’usure et bénéficiant aux travailleurs.

Ceci nécessitait bien évidemment la destruction complète de l’Allemagne et de son peuple car la mafia khazare de Rothschild ne pouvait en aucun cas permettre la naissance d’un système financier non basé sur l’usure.
Nous voyons la même chose aujourd’hui avec la guerre Khazare contre l’Islam puisque l’Islam ne permet pas l’usure. C’est la raison des vociférations agressives d’Israël demandant la destruction de l’Islam partout dans le monde.

Cette mafia khazare est bien rodée à présent pour mettre sur pieds de façon cachée des attentats sous faux drapeaux comme moyen courant d’utiliser les Américains aux déclenchement de guerres en leur faveur !
Après la seconde guerre mondiale, la mafia khazare déploya la guerre froide et à cet occasion importa des scientifiques Nazis expert en contrôle de l’esprit vers les USA : Ce fut l’opération Paperclip. Ceci leur permit de mettre sur pied le plus grand réseau d’espionage qui excède de loin tout ce qu’ils avaient déjà réalisé.

Sous ce nouveau système, ils continuent d’infiltrer et de détourner toutes les institutions américaines,y compris, les différentes Eglises, les loges maçoniques, bien sûr, surtout celles de rite “écossais” et “d’York”, l’armée US, le renseignement US, et la plupart des instituts privés liés à la défense, la Justice US y compris la plupart des gouvernements des Etats,et bien sûr, la plupart des partis politiques.
La mafia khazare prend les camps de travail Nazis comme pretexte pour manipuler les Alliés qui leur “devront” leurs propres colonies en Palestine grâce aux terres volées aux Palestiniens.
Ils sont ainsi fondés à utiliser leur soi-disant “Holocauste”shoatique comme gachette du contrôle de l’esprit contre toutes intimidations ou critiques à l’égard de leur voie sioniste.

Lorsque la mafia khazare obtint sa propre terre privée en Israël en 1947 grâce à ses manipulations politiques occultes, ils commencèrent à percevoir toute la Palestine comme leur nouvelle Khazaria et se mirent à comploter pour génocider tous les Palestiniens afin de s’octroyer la totalité de la Palestine. Leur Plan est le “Grand Israël” (Eretz Israël) s’étendant sur tout le Moyen-Orient et dans ce but ils manipulent ces Goyims Américains stupides afin qu’ils combattent sur commande pour la conquête des terres arabes et de leurs richesses, surtout celle du pétrole.
De récentes études menées par un doctorant juif respecté dans le cadre des recherches génétiques de John Hopkins a montré que 97.5 % des juifs vivant en Israël n’ont strictement aucun ADN hébreux et par conséquent ne sont pas Sémites et n’ont aucun sang lié à la terre de Palestine. En revanche, 80% des Palestiniens sont porteurs d’ADN hébreux et sont donc bien des Sémites liés par le sang à la terre de Palestine.

Ce qui signifie que les véritables anti-sémites ne sont autres que les Israéliens qui volent les terres Palestiniennes afin d’agrandir sans cesse leurs colonies !

Actuellement la mafia khazare décide de se métamorphoser encore et d’étendre ses rangs :
Se rendant compte qu’ils ne peuvent plus rester cachés aux yeux du public, ils travaillent dur en ce moment à encore infiltrer davantage en profondeur la franc-maçonnerie et ses ramifications secrètes, en y plaçant des membres très haut placés dans leurs réseaux pédophiles pratiquant les rituels de sacrifices d’enfants.

Ainsi, des membres haut-placés du Congrès sont intronisés dans leurs cercles sataniques leur donnant ainsi un pouvoir spécial, des récompenses financières et un très haut statut dans “leur hierarchie”.
Il s’ensuit un front massif d’espionnage usant de citoyens à double nationalité (US/israëlienne, mais Israëlienne first !), et plaçant dans les hautes sphères US des disjoncteurs nécessaires à péréniser le système de fausse monnaie de la Fed et les élections sous contrôle.

AIPAC :

La mafia Khazare a donc décidé d‘alourdir le “Mind-Control”, le contrôle de l’esprit des masses américaines afin de mieux les manipuler à approuver leurs guerres illégales, inconstitutionnelles, non-déclarée officiellement, non réellement provoquées, ingagnables mais, et tout est là, perpetuelles,dans le but d’un contrôle mondial encore accru et de prévision de gains titanesques.

(Comme en France, je souligne…), cette mafia a décidé de prendre totalement le contrôle sur l’ensemble de l’Éducation nationale en créant un enseignement mondialiste, d’orientation socialiste/collectiviste, basé sur le “politiquement correct”, l’acceptation de la “diversité” (ethnique)et de la décadence comme norme sociale (perversions diverses reconnues comme normales, “mariage gay”,inversion des valeurs, “gender”, etc.)

Fabius, Hollande les parrains du terrorisme satanique
Les seconds couteaux

Le fluor est rajouté aux réseaux d’eau potable des villes, aux pâtes dentifrices et les dentistes subissent un lavage de cerveau pour les persuader que le fluor c’est la prévention des caries … et qu’il n’est aucunement dangereux du tout pour les fonctions cérébrales ni pour la fonction thyroïdienne, ce qu’il est hélas en réalité…
L’addition du fluor aux réseaux d’eau potable et aux dentifrices a pour but en réalité de débiliter les facultés cérébrales moyennes des Américains, d’abaisser leur QI et de rendre les gens beaucoup plus dociles qu’ils ne le seraient sans cela .

Les médecins ont été induits en erreur par une recherche scientifique totalement biaisée depuis longtemps et donc secrètement contrôlés, volontairement tenus dans l’ignorance de tout côté négatif des études réalisées. Ceci comprend bien entendu les vaccins, généralement contaminés par des serums animaux douteux ainsi que de l’aluminium, entre autres …

Le pouvoir de l’argent a pris le contrôle depuis longtemps sur toute l’école de la médecine dite allopathique au travers de ses différents instituts et officines afin de s’assurer que leur agenda de duperie et de mensonges criminels mais juteux soit consciencieusement poursuivi.
Une partie de ce plan monumental de lavage de cerveaux et d’abêtissement du peuple américain a été l’action de la mafia khazare achetant et concentrant toujours plus les media jusqu’à aboutir à la situation actuelle où l’on a plus que six media parfaitement contrôlés (Controlled Major Mass Media). Ce CMMM fonctionne comme un cartel illégal de journaux qui devrait être dissout par le fait de la loi antitrust et condamné pour propagande de guerre contre le peuple américain.

Les chefs de la mafia khazare ont décidé qu’il était temps d’utiliser l’Amérique pour finaliser leur coup d’état planétaire ultime et leur occupation définitive du monde en créant une opération majeure sous faux drapeau au coeur même de l’Amérique. Ce qui permet de mettre le blâme sur l’Islam et de légitimer l’attaque de l’Amérique contre le monde musulman.

Ainsi ont-ils utilisé leur top-agents doubles Israëlo-Américain vivant en Amérique (top PNAC et top néo-cons) pour planifier une attaque nucléaire majeure le 11 Septembre 2001.
Bibi Netanyahu, la tête opérationnelle de la mafia khazare, déploya le Mossad et son réseau d’agents doubles pour organiser et réaliser cette attaque sur l’Amérique et la mettre sur le dos de l’Islam grâce au travail diligent des medias sous contrôle.
Ils informèrent donc leurs top rabins et amis du sionisme mondial de ne pas prendre l’avion ce jour-ci et de rester en dehors de New York, comme le fit par exemple “Larry Silverfisch” l’un des principaux initiateurs de l’opération.

Ils ont utilisé leur “disjoncteur” principal dans le département de la Défense pour entrainer les enquêteurs potentiellement dangereux du Pentagone dans la salle de réunion de l’Intel Navale, où ils seraient assassinés par un missile de croisière Tomahawk tiré d’un sous-marin israélien de classe Dauphin acheté à l’Allemagne.(re-qualifié “d’avion” sans qu’aucune pièces d’avion n’aient été pourtant retrouvées.)
Trente-cinq des enquêteurs potentiellement dangereux pour la mafia khazare et qui suivaient la piste des 350 têtes nucléaires Davy Crockett W‑54 déclassées et volées dans les fosses nucléaires de la base de Pantex au Texas, ont été assassinés par ce Tomahawk, dont le tir a été synchronisé avec la détonation de bombes pré-installées dans l’aile de l’Intel Navale qui avait été pourtant nouvellement consolidée.

La société écran du mossad israélien, “Urban Moving System” a été utilisée pour le transport des mini bombes nucléaires (provenant du vol des têtes de W‑54 des fosses nucléaires de Pantex et fabriquées à l’usine d’Hanford), puis ont été stockées dans l’Ambassade israélienne à New York et transportées aux tours jumelles pour “l’attentat” du 11 Septembre 2001.
Baal ou bien Moloch ou encore Lucifer ou Satan est bien cet “esprit” désireux de la mort et de la souffrance de tous les humains.

Granit FONDU sous les tours après le 11 septembre.
D’où provient une telle chaleur capable de faire fondre du granit ?

Pour son service, il récompense ceux qui lui donnent leur âme dispensant richesse incroyable, gloire et pouvoir…
C’est le contrat scellé par le sang et connu depuis toujours comme la vente de son âme.
L’agenda secret effroyable et la synthèse historique de cette mafia khazare sont maintenant révélés publiquement pour la toute première fois en Amérique par l’organe en ligne “Veterans Today” de Gordon Duff, ancien militaire.

Nous savons donc maintenant avec certitude que Bibi Netanyahu a exécuté l’attaque nucléaire sur l’Amérique le 11 septembre 2001 dans le cadre de cet agenda précis.
Accrochez-vous à votre chaise : ceci est le très grand secret et rend plus clair en effet tout ce qui se passe en Amérique, causé par Israël et sa Mafia ayant infiltré presque toutes les institutions du Gouvernement US et la société elle-même.

J’ai entendu beaucoup de secrets d’initiés choquant au fil des ans mais celui-ci est vraiment la cerise sur le gâteau et explique exactement ce qu’Israël et ses valets en Amérique nous ont fait pour le compte de leur maitre Rothschild !
Ils ont dévasté presque tous les aspects de nos vies, créant une économie de la pauvreté, beaucoup de chômage et de sous-emploi, générant le crime massif, l’alcoolisme et la drogue, détruit l’école qui nivelle par le bas les enfants, produit des programmes d’eugénisme comme le fluor dans l’eau et le mercure dans les vaccins, d’énormes fraudes, ainsi que la corruption politique effrénée !

Cet entretien de “Veteran Today” envoie à présent des ondes de choc dans le monde entier et quand vous considérez le contenu que Gordon Duff a divulgué pour la première fois ici publiquement, beaucoup risquent d’être choqués tant nous sommes loin de la version officielle !
Dans cet entretien Gordon Duff divulgue une transcription écrite de ce qui a été dit à une réunion entre Bibi Netanyahu et un traître américain ainsi que quelques autres espions en 1990.

Gordon Duff a divulgué que Netanyahu était un espion du KGB comme Jonathan Pollard. Et nous savons de plus maintenant qu’Israël a commencé comme un satellite des Bolcheviks de Russie . Ils étaient très malheureux quand l’Union soviétique est tombée.
Lors d’une réunion au bar de Finks à Jérusalem, célèbre rendez-vous des agents du Mossad, voici ce qu’a dit Benjamin Netanyahu repris directement de la transcription de l’enregistrement avec témoins et 100 % authentifié :

« Ce que vous faites n’a pas trop d’importance… Si nous sommes attrapés, ils nous remplaceront juste avec des personnes du même tonneau.

l’Amérique est un Veau D’or et nous le sucerons jusqu’à la moelle, le couperons et le vendrons morceau par morceau jusqu’à ce qu’il n’y ai plus rien que le plus grand État-providence du monde que nous créerons et contrôlerons.

Pourquoi ?

Parce que c’est la volonté de Dieu et que l’Amérique est assez grosse pour encaisser les coups, donc nous pouvons y taper, encore et encore !
C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et les faisons souffrir s’ils refusent d’être nos esclaves. »

Ceci est exactement ce que la mafia khazare Rothschild infiltrée depuis 1913 a fait en Amérique avec grand succès !

La connaissance de ce que Bibi a dit là devrait nous rendre tous furieux et motivés pour foutre ces créatures infernales hors d’Amérique afin de restaurer notre grande république !
Quand Bibi Netanyahu mentionne la volonté de Dieu, il se référait à Baal, aussi connu d’eux comme le Grand Hibou ou Moloch et qui exige être adoré par des bains de sang, des sacrifice humain douloureux et des tueries de masse.

S’ils “vendent leurs âmes” à Baal (c’est-à-dire à Lucifer ou Satan), ils seront récompensés par une incroyable richesse, la gloire et le super Pouvoir.

Le culte de Moloch-Baal

Ce qui arrive en réalité est que leurs âmes leurs sont en effet comme arrachées, ils deviennent inhumains, prennent les caractéristiques de Baal, et deviennent de plus en plus psychopathes et effroyablement mauvais.
Ce dont Bibi Netanyahu discutait au Finks était l’attaque nucléaire prochaine sur l’Amérique le 11 septembre 2001, et quand il a mentionné “ils” nous remplaceront juste, il se référait au “Cercle supérieur des Douze”, ce groupe dont Stew Webb a divulgué sur Veteran Today le nom de onze d’entre eux, qui s’appellent eux-même “Illuminati” ou “les Disciples de Satan.” Ces hommes font des sacrifices d’enfants à Denver deux fois par an, mangent les coeurs d’enfants, boivent leur sang après les avoir violés et égorgés.

Mes amis, nous devons révéler ces informations à tout le monde, nous unir et pourchasser ces pourritures de diciples de Baal jusque dans les moindres recoins et les traduire en justice pour leurs effroyables crimes.
Celui qui a compris ce que Bibi Netanyahu pense faire au Veau d’Or américain en le découpant en rondelles devrait être en colère et poussé à l’organisation de communautés conscientes et à l’action politique contre toute activité israélienne à l’intérieur de l’Amérique que ce soit par le Système de la Réserve fédérale, l’AIPAC, le JINSA, le Conseil de Politique de Défense, le CFR et les autres du même genre.

La mafia Khazare a caché 25 bombes atomiques dans des villes américaines majeures et d’autres grandes villes d’Europe pour faire chanter les gouvernements-“associés”.

Cela a été découvert et mentionné par Seymour Hersh comme leur “Option Samson”:
La mafia khazare a aussi détourné un certain nombre d’ogives S‑19 et S‑20 via un membre corrompu du Congrès US a qui la tâche a été confiée de récupérer des Mirvs ukrainiens pour les déclasser. Au lieu de cela, il les a vendu aux Israéliens et a arrosé d’autres Membres du Congrès corrompus.
Ceci est de la haute trahison et est punissable de la peine capitale.
Juste après leur attaque du 11 septembre sur l’ Amérique, la mafia khazare a annoncé à l’Administration US qu’ils s’apprêtaient éventuellement à faire exploser d’autres bombes dans quelques villes américaines, y compris Washington DC, s’ils refusaient à Israël de créer ses propres forces d’occupation en vue d’un état policier, basée sur le renforcement de toutes les lois américaines sous contrôle israélien.

Cette nouvelle force d’occupation israélienne appelée la “Homeland Security” (DHS) a été initialement créée par ces citoyens doubles et de plus, pervers : L’anciennne directrice de DHS Janet Napolitano est poursuivie en justice pour harcèlement sexuel d’hommes travaillant à DHS, ayant ordonné de déplacer leurs bureaux dans les toilettes hommes…
Le traître et citoyen double Michael Chertoff, (traduit du russe : “le fils du diable” ça ne s’invente pas !), est le cerveau criminel qui a installé DHS, avec l’ancien responsable de la Stasi d’Allemagne de l’Est, Marcus Wolfe, loué comme consultant spécial et mort mystérieusement aussitôt sa mission terminée.

La mafia Kazhare Rothschild ne pensait pas être percée à jour pour leur attaque nucléaire du 11 septembre 2001 mais ils firent une des plus grande erreur tactique de leur histoire en surjouant leur rôle cette fois ci… Ceci étant dû aux trop nombreux succès faciles qu’ils obtinrent dans le passé grâce à leur argent.
Bientôt l’Amérique “mainstream” saura que ce fut Netanyahu et le Likud qui organisa cette attaque sur l’Amérique sur ordre de la mafia Kazhare Rotschild.

Ils pensaient qu’ils avaient le contrôle complet sur tous les media mainstream et pourraient éviter la diffusion des résultats d’analyses de l’IAEA et de Sandia Labs auprès du public américain.
Ils firent donc une sérieuse erreur tactique car à présent la vérité concernant leur rôle dans l’attaque du 9.11.2001 se diffuse actuellement partout sur l’internet, la nouvelle presse de Gütemberg des temps modernes !

Ils n’ont pas compris la puissance d’internet et comment les pépites de vérité qui y sont publiées et répandues résonnent avec les gens partout dans le monde et se répandent comme un incendie à la vitesse de la lumière. La vérité se diffuse à présent partout auprès des masses.
Cette incroyable erreur tactique est si déterminante qu’elle les expose en pleine lumière et va finalement les détruire comme ils le méritent.
L’ordre de Nethanyahu, commanditant l’attaque nucléaire du 11 Septembre 2001 sur l’Amérique, restera dans l’histoire leur plus grande erreur, celle qui aura occasionné leur mise à nu et leur destruction pour laquelle le monde entier se ligue actuellement.

Les Russes ont déja fait fuiter, le dossier de l’IAEA, du laboratoire Sandia et des autres dangers possibles, transmis par Edward Snowden. Bientôt tous ces dossiers seront mis devant les yeux des Américains et du monde entier via internet : Ceci ne peut plus être arrêté.
Un certain nombre de Russes dans le haut commandement militaire et les plus hautes positions de la hierarchie gouvernante réalisent qu’il s’agit de la même cabale de crime organisé qui dirigea les Bolshevicks dans leur génocide de 100 millions de Russes innocents : Ces hommes veulent à présent un “remboursement”…

C’est pourquoi ils veulent s’assurer que les banksters Rothschild soient mis hors d’état d’être en affaire, ce qui coupera la mafia khazare de sa perpétuelle production de monnaie de contrefaçon. C’est la raison de la création de la banque de développement des BRICS : Remplacer le pétrodollar comme monnaie de référence mondiale, mais, à la différence du pétrodollar, cette banque est adossée à l’or, l’argent et autres biens tangibles, ne permettant aucune contrefaçon…
Les media mainstream ne sont plus crédibles et beaucoup d’Américains ne croient plus à leurs histoires, tout spécialement les générations en dessous de la trentaine qui recherchent l’info sur internet et se font ainsi leur propre opinion.

Tant d’utilisateurs d’internet en Amérique rejettent à présent les media mainstream que la vérité au sujet de l’attaque d’Israël du 9.11 est de plus en plus aisée à concevoir. Bientôt tout le mainstream en Amérique saura que l’attaque du 9.11 est due à Bibi Netanyahu, son Mossad et ses doubles-nationaux…

Tout le haut commandement militaire US sait à présent que c’est Netanyahu, le Mossad et ses bi-nationaux qui ont commandité l’attaque nucléaire du 9.11 sous les directives de la mafia khazare.
De multiples opérations sous diverses couvertures sont aujourd’hui déployées mondialement pour exposer et décapiter la mafia Rothschild et sa fabrique de fausse monnaie.

Leurs jours de pouvoir absolu et inhumain sont désormais comptés.Des commandos secrets US surentraînés, appelés “les bouffeurs de serpents nucléaires”, sont à présent à l’œuvre, traquant tout envoi ou valise diplomatique en provenance d’Israël. Ils visitent ou survolent les synagogues, les ambassades et autres lieux liés au Mossad, utilisant une batterie high tech de détecteurs à rayons gamma, ou à neutrons d’helium‑3, de satellites de détection ultra ciblée, afin de localiser et de récupérer tout stockage de têtes nucléaire. Ils travaillent d’arrache-pied à retrouver toutes les têtes nucléaires volées partout dans le monde en dehors d’Israël.
Ces commandos de super-élite furent alertés par un appel téléphonique de Michaël Shrimpton au MI‑6, les prévenant qu’un engin de grande envergure était dissimulé près du stade olympique. L’engin fut donc récupéré par le commando qui débarqua en Angleterre et le mis hors d’état de nuire.

Le MI‑6 avait hélas prévu de faire exploser l’engin afin d’accroitre la main-mise de la mafia khazare en Angleterre, où se trouve leur base au coeur-même du district financier de la City de Londres.
Le nom secret de ces chefs de la mafia khazare de Londres est Gog et Magog, et malgré le fait que beaucoup d’historiens croient qu’il s’agit d’un nom de code pour la Russie,il n’en est rien. C’est bien le nom de code des têtes de la mafia khazare, ce qui,entre parenthèse,semble désigner leur origine historique.

Le super Commando des “Nuclear Snake Eaters” est prêt à tout moment à intervenir en Israël, au cas où cette nation se dissoudrait sous la pression des désinvestissements européens et du retrait des aides US, conformément aux lois des USA : Il est en effet illégal de fournir des aides à une nation qui a la bombe et n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire.
Car Israël a bien des têtes nucléaires détectables par satellites munis de sensor à l’helium‑3, mais ne l’a jamais avoué, ni n’a signé aucun traité de non-prolifération.

Nous autres Américains, devont demander que le Congrès et l’Administration obeïssent aux lois et suppriment immédiatement toute aide monétaire ou militaire à Israël, et mettent en état d’arrestation toutes les têtes de l’espionnage Israëlien liées à l’AIPAC, au JINSA, au “Defense Policy Board”, ainsi qu’à toutes les passerelles à NYC, dans l’ADL, etc.
Il est assez peu connu mais probable qu’un nombre significatif de ces ogives nucléaires volées aient été récupérées.

Il a par ailleurs été rapporté par des infos d””insider” qu’un message solennel a été envoyé à Netanyahu et ses Likudistes, ainsi qu’aux hauts degrés de l’espionage israëlien en Amérique.
Quelle était la teneur de ces avertissements ? Ces personnes étaient prévenues que s’il y avait encore une attaque de type “false flag” en provenance des services secrets israëliens, ceux qui en seraient à l’origine seraient poursuivis sous les lois de sécurité nationale américaine et éliminés ainsi que leurs structures de défense qui seraient réduites en poussière.

La suite de l’Histoire de la mafia Khazare dépendra de VOUS ! C’est à dire des lecteurs de “Veteran Todays” et de nous tous, le peuple,en apprenant l’histoire secrète de cette mafia qui fut évidemment soustraite à tous les livres d’Histoire et bibliothèques par eux-même afin de maintenir ces crimes dans le plus grand secret. Aucune personne n’accepterait ces abominations si elles étaient révélées au grand jour !

Ainsi,de grâce, partagez ces données avec votre famille, votre entourage, vos collègues de travail et rendez les virales. Soyons très clair sur ce point : Si ce groupe ne peut agir dans cette ombre abjecte qu’ils affectionnent, ils seront attaquésde toutes part et détruits de façon certaine.
Ainsi reproduisez autant que faire se peut cette Histoire occultée afin que chacun en soit enfin informé.

C’est bien pour cette raison qu’ils ont travaillé si dur afin de contrôler tous les media mainstream ainsi que l’éducation et l’université,et faire en sorte, qu’aucun humain ne connaisse jamais leur secret maléfique.
Si celui-ci venait à être percé à jour, il liguerait assurément l’ensemble de l’humanité contre eux et à tous les niveaux où ils se sont incrustés.
La grande question qui reste posée : D’où leur vient cette sauvagerie et cet esprit de destruction exceptionnel envers les humains ? Certains pensent qu’il s’agit d’une culture toxique liée à une structure tribale maligne perpétuant la pédophilie, les crimes rituels d’enfants, etc… Celle-ci serait également caractérisée par l’illusion paranoïaque folle d’être un groupe d’essence supérieure. D’autres pensent qu’il s’agit des descendant de Caïn, d’essence diabolique et totalement dépourvue d’âme ou d’humaine conscience, mais sont de purs prédateurs, des bêtes sauvages… Incroyablement doubles, ils seraient doués à la fois pour monter des escroqueries inouïes en même temps que des dehors avenants…
Peut-être ya-t-il les deux facteurs.

Dans tous les cas, il est temps d’exposer cette plaie en pleine lumière, certainement la plus grande que l’humanité n’ai jamais connue. Il est temps pour le monde de travailler de concert pour éradiquer ce problème maintenant et à jamais. Par tous les moyens possibles.”

Mike Harris


Mike Harris est éditeur de “Veterans Todays”, animateur radio, ayant cotoyé le monde de la finance, candidat aux élections sénatoriales pour l’Arizona,
vice-président senior du “Adamus Defense Group” en Suisse.
Mike est expert d’arts martiaux full contact. Son expérience de longue date lui a valu le surnom de Iron-Mike.

Mike était partie prenante du groupe “Veterans Today” à la conférence de Damas sur le sujet : “Combattre le terrorisme et l’extrêmisme religieux”.
Il donna à cette occasion vingt-cinq entretiens télévisés qui furent diffusés à des millions de téléspectateurs en Syrie, Iraq, Liban et en Iran.
Dans ces interviews, Mike ainsi que Gordon Duff, éditeur également et directeur de “Veterans Today” insistaient sur le fait que le véritable problème derrière le terrorisme était en réalité un immense syndicat du crime organisé à l’échelle mondiale.


[Voir aussi : Les Khazares – problèmes et controverses (PDF 221 pages)]




Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL

Par Dr Nicole Delépine

L’UE impose des « tests négatifs » aux frontières alors que le test PCR est condamné en justice comme invalide dans plusieurs pays ! Déconnexion totale des décisions politiques de la réalité sanitaire et juridique. 

Les tests PCR IMPOSÉS AUX VOYAGEURS

À partir de dimanche 24 janvier minuit, un test PCR négatif de moins de 72 heures sera exigé pour l’entrée des Européens sur le territoire français. Décision confirmée à l’issue du Conseil européen tenu jeudi en visioconférence, la France rejoignant ainsi des pays ayant déjà mis en place cette mesure, l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne et l’Italie. Et également annoncée par E Macron.

Cette décision démontre une nouvelle fois le caractère complètement hors sol et purement politique des décisions de l’UE et de la France en particulier dans cette « AFFAIRE COVID ». Car nous sortons bien d’une crise qui se prétend sanitaire depuis un an, date à laquelle la pseudo-épidémie a bousculé nos vies et pour laquelle on refusait tous les contrôles frontaliers. À l’époque, la recette des pays asiatiques (contrôle aux frontières, et l’isolement vrai des malades (avec symptômes cliniques avérés) aurait ralenti la diffusion de l’épidémie surtout si on l’avait complété par le traitement précoce des patients avec des traitements déjà connus depuis les précédentes épidémies de coronavirus de 2003 en particulier.[1]

Le dramatique échec de la politique sanitaire française décidée d’en haut par le conseil prétendument scientifique et de défense où ne siègent pas ou très peu de médecins cliniciens (les vrais docteurs, ceux qui soignent des malades au stade précoce des maladies) justifie d’en changer.

L’ensemble des Français devrait pouvoir reprendre une vie normale, sans restriction sanitaire ou autres. Or la soumission à l’autorité (en l’occurrence à Emmanuel Macron, Angela Merkel et l’OMS, appliquant le programme du forum de Davos)[2] est telle que chacun tente de trouver une demi-solution personnelle comme les restaurateurs et leurs plexiglas, certains médecins et leur conseil de masques partout[3] et pour tous (même à l’extérieur et même chez les enfants) alors que toutes les études scientifiques sérieuses montrent l’inefficacité[4] [5] et même le danger[6] [7] d’une telle mesure.

Et les biologistes au lieu de dire STOP DÉPISTAGE inefficace vont disserter des heures sur un test qui serait peut-être moins mauvais que la PCR. Peut-être pour des raisons financières[8], ils tentent de trouver un test qui cherchera un virus dont on se moque, car ne tue ni enfants, ni adultes et très peu de vieillards s’ils sont soignés précocement par les traitements disponibles.

Non, tant que vous êtes asymptomatique, refusez tous les tests y compris le dernier venu sorti du chapeau en janvier 21, quand le scandale de la PCR éclate pour faire croire au peuple qu’il y a intérêt à se faire tester quel que soit le test proposé. Ne soyez plus soumis. Ne vous laissez pas manipuler par ceux qui tuent progressivement le pays et ses habitants.

Un test PCR positif après plus de 30 cycles d’amplification ne signifie pas qu’une personne sans signe clinique ne soit ni contaminée, ni contagieuse[9] [10] [11] [12] ainsi que l’a affirmé l’OMS dès le 8 juin[13] : « il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie » et récemment confirmé un dépistage massif portant sur 10 millions de Chinois[14].

Et si vous avez des symptômes, voyez un médecin qui pratique encore la médecine, l’examen clinique et le traitement en l’occurrence précoce qui fera disparaître vos signes en moins de 48 h. Il est temps de revenir à une vraie pratique de notre métier qui ne se résume pas à une ordonnance de radio pour une douleur dorsale ni à des tests pour un rhume ou une bronchite. La médecine 2.0 n’est pas de la médecine comme les malades en ont fait l’expérience dramatique toute l’année 2020 avec le pschitt de la télémédecine et la hausse des morts secondaires en l’absence de diagnostic pointu et de traitement adapté pour toutes les autres pathologies hors covid19.

Scandales du dépistage systématique des malades à l’entrée aux urgences, et des visiteurs des anciens en EHPAD

Ce scandale du dépistage s’ajoute à celui que nous dénonçons avec d’autres des mesures dites sanitaires privant de fait les vieillards en EHPAD de visites à travers les tests multiples imposés à répétition aux résidents et aux personnels alors que ces contacts sont nécessaires à leur survie pour éviter le syndrome de glissement et qu’il n’existe aucune démonstration scientifique de leur utilité ni de leur légalité.

Depuis plusieurs mois, des enquêtes suivies de plaintes et de procédures judiciaires ont démontré que ces tests ne sont qu’une supercherie[15]. La peur, outil magique du gouvernement mondial via l’OMS a été entretenue grâce aux médias et les mensonges permanents sur le nombre des malades, puis les cas, puis maintenant les variants de différentes provenances au fur et à mesure que la tricherie se dévoile. Ce test PCR est dénoncé depuis plusieurs mois et C. Drosten qui l’a vanté et mis sur le marché avec la complicité de l’OMS en janvier 2020 est maintenant poursuivi devant le tribunal de Berlin.

Drosten doit rendre des comptes : le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussées de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich. Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ? Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique). »[16]

À propos du test PCR : Maitre Fuellmich reproche à Drosten :

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020 [17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale. Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif. »[17]

Faux et usages de faux

Comment après tant d’articles scientifiques dénonçant l’absence de fiabilité des tests PCR peut — on aujourd’hui un an après le début de la mascarade exiger un faux à l’entrée d’un pays et imposer sept jours de confinement en attente de ce résultat non fiable aux non-résidents européens ? Officiellement pour des raisons sanitaires alors que cette épidémie proche de la grippe n’est pas plus mortelle que les autres et que l’épidémie est terminée, sauf dans les pays qui vaccinent le plus[18]. Le scénario tragique de la mise en condition des peuples dans un but de réorganisation de l’ordre mondial selon les critères de la clique de Davos est de plus en plus évident.

Nous rappellerons ici les principaux écueils du test PCR déjà détaillés ailleurs.[19]

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISES EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [20]

  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • Nombre recommandé de Cycles d’amplification trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. À Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité devient très faible.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit J. Salomon à demander un avis par saisine de la DGS[21].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :
– La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement
– La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques
– Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités
– Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…) »[22]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire à répétition de surcroît les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24 h/24 h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice — WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les solides études précitées, ainsi que les mises en garde de l’inventeur du PCR. : 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier, est évidente et leur responsabilité considérable, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d ’Ehpad alors que l’explosion des contaminations et de la mortalité depuis la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne justifie au contraire de temporiser ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 et rappelée le 13 janvier 2021 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

En conclusion, nous rappellerons que de nombreuses procédures[23] sont par le monde contre l’usage fallacieux du test PCR de Drosten et que chaque personne soumise autoritairement à ce test peut se retourner vers les tribunaux indépendants afin d’obtenir réparation de la part de l’autorité qui lui a imposé le test. Souhaitons que les dirigeants prennent conscience de leur responsabilité. Le statut d’intouchable n’existe pas. Même certains capos nazis ont été condamnés à Nuremberg.

Le procès de Nuremberg du Covid est en gestation. Ils feraient bien d’y réfléchir au lieu de foncer dans le mur. Les gens se réveillent.

Les voyageurs devraient se rebeller contre ces mesures liberticides injustifiées concourant à la mise en scène d’une pseudo-pandémie pour transformer des peuples libres en esclaves du métro-boulot-dodo dépourvus de pensée libre et donc de culture, histoire, etc.


Notes

[1] Étude du Lancet de Fauci disant que l’hydroxychloroquine est efficace

[2] Lire le livre de Klaus Schwab sur covid et grande réinitialisation disponible sur internet

[3] En particulier à l’extérieur alors que la seule étude randomisée sur le sujet (Danmask 19) a démontré que le port du masque à l’extérieur ne diminuait pas le risque de contamination

[4] Nicolas Dugré – Masks for prevention of viral respiratory infections among health care workers and the public PEER umbrella systematic review Vol 66: JULY | JUILLET 2020 Le Médecin de famille canadien https://www.researchgate.net/publication/343047403_Masks_for_prevention_of_viral_respiratory_infections_among_health_care_workers_and_the_public_PEER_umbrella_systematic_review

[5] Dr François Pesty « Bas les masques : une efficacité trop incertaine » France Soir du 21/7/2020

[6] L’élastique des masques chirurgicaux peut-il stimuler la protrusion d’oreille chez les enfants ? Plast Surg esthétique 2020 octobre ; 44 (5) : 1947-1950.doi : 10.1007/s00266-020-01833-9. En ligne du 18 juin 2020.

[7] Dr Nicole Delépine MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : MALTRAITANCE SANS FONDEMENT SCIENTIFIQUE
Économie Matin 14/11/2020 12438 180

[8] Le coût actuel des tests s’élèverait à plus de 3 milliards d’euros après actualisation des données publiées par l’express Le vrai coût des tests Covid : une facture à 2,8 milliards d’euros pour l’assurance maladie 14/1/21

[9] Dr Gérard Delépine Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! France soir https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude

[10] Andrew N. Cohen False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2 May 2020 medRxiv preprint https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v1.full.pdf

[11] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ».

[12] Elena Surkova False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs September 29, 2020
https://doi.org/10.1016/S2213-2600(20)30453-7

[13] Téléconférence du 8 juin de Maria Van Kerkhove

[14] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020) : https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

[15] Acté le 11 octobre par la cour d’appel de Lisbonne (Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés) ordonnant à ce motif la libération de touristes allemands mis en quarantaine sur la foi de tests PCR

[16] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[17] « Vos déclarations de sept 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme “limite magique” ?

[18] Israël et la Grande-Bretagne ou les contaminations ont explosé depuis le début des vaccinations

[19] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[20] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[21] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[22] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[23] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




La vaccination de masse anti Covid-19 prépare-telle une catastrophe sanitaire mondiale ?

Par Dr Gérard Delépine

Voir aussi sur mondialisation.ca.

Les communiqués de victoire des fabricants de vaccin à ARN messager proclamant 95% d’efficacité a été très efficace sur leurs cours de bourse, mais a mal caché l’absence de données sur la mortalité et en particulier sur la seule cible éventuelle des vaccins : les personnes très âgées avec comorbidités multiples.

En l’absence de données probantes publiées, les campagnes massives de vaccination en Israël et en Grande-Bretagne constituent des essais thérapeutiques phase 3 sur des populations mal informées. Leurs résultats constatés du premier mois font craindre qu’elles se transforment bientôt en catastrophe/scandale sanitaire.

Signal d’alerte fort venant d’Israël

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en un mois, près de 25% de la population (plus de 2 millions de personnes) auraient été vaccinées.

Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent.

Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 5674 cas le 20 janvier 21.[1]

Le Dr Sharon Elrai-Price,[2] des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.

Elle a ajouté que « 17% des patients gravement malades actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation ». Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin.

« Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre » et la mortalité journalière a été multipliée par 3 passant de 18 le 20 décembre à 50 le 19 janvier 2021, et conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

Forte inquiétude en Grande-Bretagne depuis la vaccination

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé passant de 14898 le 4/12/2020 à 33355 le 20/1/2021 (après un pic de 68063 le 9 janvier 2021.

Et malheureusement la mortalité Covid19 aussi, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1610 le 20/1/2021) dépasse de 30% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020) 

Dans ces deux pays les vaccins, présentés comme le moyen de sortir des confinements mortifères, aboutissent en fait à les prolonger !

Inquiétudes aux USA

Depuis le début de la vaccination, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021) et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[3] [4]chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique : « pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences gravesPour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Vaccins anticancer à risque et vaccin contre le SIDA et la dengue

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anticancer (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[5] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus)[6], quelques candidats vaccins contre le Sida et plus récemment avec le scandale du vaccin contre la dengue aux Philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. 

Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande provaccin actuelle, en l’absence d’essais suffisants, met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

Peter Doshi, un associé de l’Université du Maryland chargé de recherche sur les services de santé pharmaceutiques a prévenu dès novembre 2020 : « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il a rappelé aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux[8] « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront ».

Après examen du dossier remis à la FDA, il estime : « l’efficacité réelle beaucoup plus faible que celle affirmée jusqu’à présent : “bien en dessous du seuil d’efficacité de 50 % fixé par les autorités réglementaires pour l’approbation ». Ce chiffre ne serait donc pas de 95% mais bien en dessous, entre 19% et 29%. Si ces données avaient été présentées et analysées, il n’y aurait pas été possible d’obtenir d’autorisation de diffusion de ces vaccins par les autorités compétentes.

Les anticorps facilitateurs sont-ils responsables de cette catastrophe annoncée ?

Après vaccination, les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateur (en anglais Antibody-dependent enhancement[9]).

Chez l’homme, un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[10](VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[11] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline  a été abandonné à cause de ce mécanisme[12]. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccin contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

Dans un communiqué récent l’Académie de médecine[14]  avertit :

« sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination »

Ni pro ni antivaccin, je suis fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué et dont les premiers résultats en population réelle sont catastrophiques.

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs/déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile, comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le Covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anticovid si ce n’est des complications.

Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

En conclusion

Il faut se réjouir paradoxalement de la lenteur que met le gouvernement à généraliser la vaccination anti Covid19. Les résultats actuels du vaccin génique dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

Dr  Gérard Delépine chirurgien, statisticien 


Notes

[1] T Zrihen Dvir Israël : plus ils nous vaccinent, plus la pandémie progresse Riposte Laique 20 janvier 2021 

[2]i24NEWS Israël/Covid-19 : 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin janvier 2021

[3] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

[4] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

[5] https://docteur.nicoledelepine.fr

[6] Hystérie vaccinale, N et G Delépine éditions Michalon 2018

[7] Peter Doshi : Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020 https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

[8] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403.

[9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

[10] Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

[11] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018

[12] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[13] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[14] Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?




Q-Anon a une ressemblance frappante avec la psy-op bolchevique des années 1920 connue sous le nom d’opération Trust

[Source en anglais : Information Liberation]

Par Chris Menahan

« L’Opération Trust » [Opération Confiance] était une opération de contre-espionnage bolchevique menée de 1921 à 1926 visant à neutraliser l’opposition en créant la fausse impression qu’un groupe puissant de chefs militaires s’était organisé pour arrêter la prise de contrôle des communistes.

Voici un extrait sur l’opération « Trust » des pages 13-14 du livre du transfuge soviétique Anatoliy Golitsyn, « New Lies for Old » [Nouveaux mensonges pour vieux] :

L’un des aspects les plus troublants du canular de pacification de la base Trump en ligne «Qanon» est que, bien qu’il prétende combattre «l’État profond» (complexe de sécurité permanent), il favorise la restitution d’Edward Snowden et le changement de régime de la CIA en Iran.

Libérez l’Iran !!! [de son régime politique]
Combattez
Combattez
Combattez
Changement de régime.
Le peuple a le pouvoir.
Nous nous tenons debout avec vous.
Q

Extrait de l’article de Wikipedia sur Operation Trust :

L’opération Trust était une opération de contre-espionnage de la Direction politique de l’État (GPU) de l’Union soviétique. L’opération, qui a été mise en place par la Cheka (prédécesseur du GPU), s’est déroulée de 1921 à 1926. Elle a mis en place une fausse organisation de résistance anti-bolchevique, « l’Union monarchiste de Russie centrale » (MUCR), afin d’aider l’OGPU à identifier les vrais monarchistes et anti- Bolcheviks. La société écran créée s’appelait l’Association de crédit municipal de Moscou.

[…] Le seul historien occidental qui avait un accès limité aux fichiers du Trust, John Costello, a rapporté qu’ils comprenaient trente-sept volumes et étaient tellement déconcertants d’agents doubles, de changement de nom de code et d’opérations de tromperie imbriquées ayant « la complexité d’une partition symphonique », que les historiens russes des services de renseignement avaient du mal à séparer le fait du fantasme.

Cela ressemble au non-sens de style Confucius présenté par Q-Anon.

Le général Flynn est-il notre général Brusliv?

Q-Anon a fait en sorte que les partisans de Trump qui avaient raison d’être en colère contre la nature criminelle de notre classe dirigeante se leurrent avec des fantasmes selon lesquels les «chapeaux blancs» dans l’armée allaient nous sauver, pendant que le procureur général William Barr était occupé à dissimuler le Jeffrey Epstein et que l’administration Kushner était occupée à gracier les fraudeurs qui avaient fait un don à l’Institut Aleph et à libérer le traître Jonathan Pollard de la libération conditionnelle pour «faire son alyah» en Israël.

Tout comme l’opposition a été dénoncée et arrêtée par l’Opération Trust, des dizaines potentiellement de Q-Anoners ont été dénoncés et arrêtés à la suite de la marche sur le Capitole.

Beaucoup de néoconservateurs de notre gouvernement sont les descendants littéraux des trotskistes, il n’est donc pas hors de question qu’ils feraient le même tour deux fois.

Cette opération Q-Anon a eu un certain retour de flamme — Ashli Babbitt, vétéran de l’armée de l’air, croyante Q, a été horriblement exécutée de sang-froid par un officier de police du Capitole et transformée en martyr — mais le mouvement a fait jeter des tonnes de partisans de Trump en prison et les a étiquetés terroristes nationaux.

L’administration Biden complote maintenant pour utiliser les événements du 6 janvier pour justifier la loi PATRIOT 2.0, qui vise à criminaliser toute dissidence en tant que terrorisme domestique.

Leur révolution néo-bolchevique est presque terminée.

On n’a pas besoin de «fuites anonymes» de la part «d’officiers secrets du renseignement militaire» pour être témoin de la trahison conspiratrice que notre gouvernement est en train de commettre au grand jour !




Et si le vaccin Pfizer augmentait la mortalité du Covid ?

[Source : Riposte laïque]

Par Gérard Delépine

i24NEWS 12 janvier 2021. Israël : 4.500 personnes infectées au covid 19 après avoir reçu la première dose de vaccin

Signal d’alerte fort venant d’Israël

Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.

Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 9416 cas le 12 janvier21. Le Dr Sharon Elrai-Price, responsable des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.[1] Elle a ajouté que 17% des patients gravement malades qui sont actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin, dont 375 ont été hospitalisées en raison de la maladie. Parmi les personnes hospitalisées, 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine, et 7 plus de 15 jours après avoir reçu le vaccin.

Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre

Et la mortalité journalière est passée de 18 le 20 décembre à 50 le 17 janvier conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

Signal d’alerte fort en Grande-Bretagne depuis la vaccination

La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé de 14898 le 4/12/2020 à 68063 le 9 janvier 2021.

Et malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1564 le 14/2021) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020).

Inquiétudes aux USA

Depuis cette date, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021)  et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

La Norvège, vient d’émettre le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[2] [3] chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles. Selon l’Institut norvégien de santé publique « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences gravesPour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents » et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Évolution en France non vaccinée pendant cette période

En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anti-cancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[4] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anticancer du col de l’utérus[5]), quelques candidats vaccins contre le Sida qui ont été abandonnés et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande pro vaccin actuelle met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre « attendons de disposer des données complètes des essais » car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux : « le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront »

La cause de ces résultats paradoxaux : les anticorps facilitateurs ?

Après vaccination les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateurs (en anglais Antibody-dependent enhancement ADE).

Chez l’homme un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[8] (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[9] [10] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

Chez le chat le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline[11] a été abandonné à cause de ce mécanisme [12] Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essai de vaccin contre le coronavirus du Mers les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

L’apparition de tels anticorps facilitateurs est favorisée par la persistance d’un taux d’immunité insuffisante. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants[13]

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination

Je ne suis ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué.

Contrairement à ce que prétendent les décodeurs /déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué : vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

En conclusion :

Il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner : ils constituent les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population réelle.

Gérard Delépine


[Notes]

[1] Israël/Covid-19 : 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin i24NEWS12 janvier 2021

[2] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

[3] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

[4] La vaccination anti hépatique B a été suivi en occident par une multiplication de 2 à 4 de l’incidence des cancers du foie ;

[5] les vaccins anti HPV ont été suivi d’une augmentation de 30 à 200% de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes d’âge les plus vaccinés.

[6] Peter Doshi : Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020  https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

[7] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives ? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us : BMJ 2020 ;371 :m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403 .

[8] . Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

[9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

[10] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018)

[11] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[12] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[13] Académie de médecine Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?




Cobayes du monde entier, unissez-vous!

[Source : maurizioblondet.it]

[Auteur :] Gilad Atzmon

Peu de pays sont assez courageux ou imprudents pour mener une vaste expérience médicale sur l’ensemble de leur population et mettre en danger les personnes vulnérables. La Grande-Bretagne et Israël l’ont fait.

Le 8 décembre, la Grande-Bretagne a été le premier pays occidental à commencer à «vacciner sa population». Deux semaines plus tard, quelques jours avant Noël, la Grande-Bretagne s’est rendu compte qu’elle était en grave difficulté. Covid-19, le virus qui était censé disparaître de nos vies, est devenu autre chose. Le 19 décembre, le Premier ministre Boris Johnson a admis que des scientifiques britanniques avaient identifié un nouveau mutant Covid-19 qui est «70% plus transmissible» que ses ancêtres.

La Grande-Bretagne a introduit des restrictions locales plus strictes, mais malgré celles-ci, associées à la vaste campagne de vaccination, le nombre de cas de Covid-19, d’hospitalisations et de décès a continué d’augmenter. Ils augmentent de façon exponentielle sur une base quotidienne.

 Israël a lancé sa campagne de vaccination de masse quelques jours après la Grande-Bretagne. Au cours des deux semaines suivantes, Israël a réussi à vacciner près de 20% de sa population. Israël est de loin le vainqueur mondial en ce qui concerne le concours de vaccination de masse, mais le pays est également en grande difficulté. Comme la Grande-Bretagne, Israël fait face à une énorme vague de Covid-19 . Son système de santé national est au bord de l’effondrement, et la question inévitable est de savoir si ces crises sanitaires similaires (sinon identiques) sont liées aux deux vastes campagnes de vaccination contre le covid-19.

Aujourd’hui, dans la plus grande chaîne d’ information israélienne News12,  des informaticiens israéliens ont  révélé que la mutation rituelle B est en passe de devenir la souche Covid-19 dominante en Israël. On se demande comment la souche mutante britannique a réussi à faire  Aliya  et ainsi s’installer confortablement dans l’État juif. L’article de News 12 pourrait répondre à la question. «Les cas en Israël n’augmentent pas uniformément: il y a un ralentissement significatif dans le secteur arabe (israélien), qui était le principal sujet de préoccupation dans le passé. D’autre part, il y a une grave épidémie dans le secteur ultra-orthodoxe (juif). Cette semaine, 1,3% de tous les ultra-orthodoxes ont été vérifiés et le taux d’augmentation des cas d’enfants (63%) cette semaine était presque le double de celui des adultes. Dans le secteur ultra-orthodoxe, il y a eu une multiplication par  16 du nombre de personnes positives en quatre semaines: c’est un doublement chaque semaine – de 100 personnes vérifiées par jour (par million de personnes) à 1 600 personnes vérifiées, et le tout en un mois. Un tel taux de croissance n’est pas observé tout au long de la peste et est probablement dû au moins en partie au mutant britannique. Le mutant britannique est estimé à environ 20% de tous les ultra-orthodoxes vérifiés ».

Cela doit soulever les sourcils. Pourquoi la souche mutante britannique se répandrait-elle si largement parmi les juifs orthodoxes? Pourquoi ne se propage-t-il pas aussi rapidement dans la population arabe?

Nous pourrons peut-être tomber sur des informations très cruciales ici. Les Arabes israéliens sont peut-être mieux lotis sur le front du Covid-19 car beaucoup d’entre eux semblent réticents à vacciner.

 Le titre du marqueur israélien du 27 décembre déclarait: «Une source de préoccupation: les Arabes (Israéliens) ne viennent pas se faire vacciner». Le marqueur a souligné que les citoyens juifs de tout Israël se rendent dans les villages et les villes arabes pour recevoir des vaccins destinés aux Arabes. Selon un chef d’équipe d’un centre de vaccination à Nazareth, 70 à 80% de ceux qui viennent se faire vacciner étaient des juifs. Certains d’entre eux parcourent jusqu’à 50 km pour ce faire.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Le 3 janvier, le site d’ information israélien  Walla a  rapporté que « les ultra-orthodoxes mènent la campagne de vaccination de la population ». Walla a confirmé que «le pourcentage de personnes vaccinées contre la couronne dans la société ultra-orthodoxe est plus élevé que le reste de la population de tous âges».

Je ne comprends pas pourquoi les Israéliens ont décidé de devenir des cobayes dans cette périlleuse expérience non scientifique sur des vies humaines. Une option qui ne peut être ignorée est qu’Israël se dirige à nouveau vers des élections et il est plus que probable que les dirigeants israéliens aient cru qu’une campagne de vaccination de masse pourrait se traduire par un succès électoral.

Dans l’état actuel des choses, il est difficile de nier la possibilité d’une corrélation entre la vaccination de masse et une forte augmentation des cas de Covid-19 en Israël et en Grande-Bretagne. Il est difficile de nier le fait que les Arabes israéliens qui évitent généralement le vaccin s’en tirent bien mieux que les juifs orthodoxes – qui semblent également croire en Pfizer.

En plus des révélations sur la souche britannique, nous avons également appris l’existence d’une souche sud-africaine très dangereuse et probablement résistante aux vaccins actuels. Il faut très peu de recherches pour comprendre que l’Afrique du Sud, avec le Brésil et la Grande-Bretagne, est le terrain d’essai de nouveaux tests de vaccins depuis septembre. Ce n’est plus un secret pour personne que c’était à peu près au même moment que les nouveaux mutants ont été découverts au moins en Grande-Bretagne.

Je signale ici la possibilité dévastatrice d’un lien entre les vaccinations de masse et les pics de Covid-19. Je ne suis pas qualifié pour soutenir ou expliquer la science qui peut provoquer cette corrélation. Mes faits sont étayés par des données accessibles au grand public via les principaux médias. Je ne suis ni épidémiologiste ni virologue et j’espère vraiment que des personnes ayant une formation scientifique adéquate pourront réfuter les problèmes soulevés ci-dessus.

Parfois, j’aimerais vraiment me tromper.

En Italie, il est interdit de poser des questions :


Ministère de la diaspora: « Israël va vacciner tous les survivants de l’Holocauste dans le monde »

Mais ils seront quelques dizaines et très vieux, ils ont disparu d’eux-mêmes … quel besoin y a-t-il de les tuer d’abord avec le vaccin?




Les deux témoins

Par Joseph Stroberg

Dans l’Apocalypse de Jean, deux témoins apparaissent à la sixième trompette.

« Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. Ce sont les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre. Si quelqu’un veut leur faire du mal, du feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis ; et si quelqu’un veut leur faire du mal, il faut qu’il soit tué de cette manière. Ils ont le pouvoir de fermer le ciel, afin qu’il ne tombe point de pluie pendant les jours de leur prophétie ; et ils ont le pouvoir de changer les eaux en sang, et de frapper la terre de toute espèce de plaie, chaque fois qu’ils le voudront.
Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera »

(Apocalypse 11.3-7)

Si nous nous trouvons effectivement à l’époque correspondant à ce qui est présenté symboliquement pour la sixième trompette, comme de nombreux indices semblent le confirmer, alors l’hypothèse suivante paraît possible, à condition bien sûr de ne pas s’en tenir à une interprétation trop littérale ni trop mystique de l’extrait ci-dessus : les deux témoins sont Poutine et Trump. Ces derniers ne sont bien sûr pas revêtus de sacs, mais ont un accoutrement simple, étant donnée leur position. De plus, compte tenu du contexte de l’époque de la rédaction de la prophétie, des sacs (de toile) peuvent très bien désigner tout simplement des pantalons, forme de vêtement alors totalement inconnue. En tant qu’oliviers, ils recherchent plutôt la paix que la Guerre. C’est particulièrement vrai pour Poutine. Trump le souhaite aussi, mais se heurte à l’hostilité d’une grande partie des élites et du complexe militaro-industriel états-unien, ce qui fait que ses démarches en ce sens sont presque systématiquement contrées par des membres de son administration ou de son gouvernement dans les jours ou même les heures suivantes. Il annonce par exemple le retrait de Syrie, et les soldats américains commencent en effet par déserter les bases établies dans ce pays et à partir en Irak, mais quelques jours après, ils reviennent en force avec du matériel lourd.

En tant que chandeliers, les deux témoins doivent diffuser une forme ou une autre de lumière et en l’occurrence celle de la foi chrétienne. Poutine et Trump sont tous les deux croyants et attachés aux valeurs traditionnelles. Cela ne les empêche pas d’avoir leurs imperfections, comme tous les êtres humains. Il paraît plus important ici de regarder la direction qu’ils suivent, et leurs plus grandes intentions affichées. Les deux cherchent à améliorer la condition de vie et morale de leur propre peuple et, conséquemment en tant que puissantes nations, celle du reste de la population mondiale. Trump veut redonner aux États-Unis sa grandeur, notamment son autonomie. Il veut « assécher le marais », arrêter la corruption politique, faire cesser le chaos provoqué par l’immigration incontrôlée, fournir du travail pour tous, etc. Il a déjà obtenu certains résultats positifs, en dépit des nombreux obstacles placés sur la route pour le faire tomber et d’une forte hostilité médiatique (voir aussi À propos de Trump). Poutine a déjà agi dans un sens voisin, malgré de plus faibles moyens économiques au départ. Il a en particulier annulé le désastre de l’ère Eltsine. Par-dessus tout et malgré la farce mensongère et calamiteuse du Russiagate, ces deux dirigeants veulent travailler ensemble sans qu’il y en ait un à dicter sa politique à l’autre, mais en respect mutuel. Trump est Jacksonnien et non-interventionniste. S’il n’y avait que lui à décider, les armées américaines seraient déjà toutes rentrées au pays. Poutine a développé une armée moderne et efficace, essentiellement défensive, mais aussi fortement dissuasive. Il souhaite un monde multipolaire où le respect des souverainetés nationales serait de mise.

Par leur puissance militaire, les États-Unis et la Russie ont incontestablement le pouvoir de répandre le sang (notamment humain) sur les eaux et de frapper la terre de diverses plaies (armes nucléaires, biologiques et bactériologiques, au besoin). Poutine et Trump, en tant que présidents et chefs de leurs armées respectives, héritent alors d’un tel pouvoir. Il leur suffit en quelque sorte d’appuyer pour cela sur un bouton rouge (même si dans la pratique, c’est probablement un peu plus compliqué). Trump est le témoin pour l’Occident, et Poutine celui pour l’Orient. Disposent-ils pour autant du pouvoir de fermer le ciel et de faire cesser la pluie ? Si l’on se base sur les capacités de centres technologiques tels que HAARP et sur l’existence d’un texte de l’Union européenne interdisant l’usage d’armes climatiques, il semble bien que Trump et Poutine disposent de telles armes et puissent ainsi modifier le climat. Il reste une dimension non abordée, celle du pouvoir de prophétiser, et ce dont ces deux hommes politiques pourraient témoigner.

Poutine et Trump peuvent témoigner de leur foi et de ce que cela leur aura permis de réaliser en dépit des multiples et puissants obstacles qu’ils ont chacun rencontrés. Les deux ont dû faire face non seulement à l’inertie de leurs administrations, mais aussi à une opposition riche et puissante qui travaille à l’achèvement d’un Nouvel Ordre Mondial non multipolaire, mais au contraire fortement centralisé et hiérarchisée (sous l’apparence trompeuse de décentralisation par grands blocs [similaires à l’Union Européenne], régions et fusions de communes. Ce NOM représente ce que pourrait être un Antéchrist et Antichrist en tant que système. Trump et surtout Poutine ont de nombreuses fois averti, d’une certaine manière prophétisé, des conséquences négatives d’un tel Ordre pour les peuples et l’Humanité, celles-ci incluant une éventuelle guerre mondiale nucléaire. Ils combattent tous les deux cet Antéchrist et si le point de vue présenté ici se révèle plutôt juste, alors ils devraient finalement échouer dans leur tentative et le Nouvel Ordre Mondial se verra au contraire achevé au cours des prochaines années ou des prochaines décennies. Les durées mentionnées dans l’Apocalypse ne sont assez probablement pas à prendre en compte au pied de la lettre, mais plutôt comme indicateurs symboliques ou numérologiques, voire comme des codes qu’il resterait à décrypter.

Un élément insolite pourrait conforter l’hypothèse présentée ici : Trump a pris ses fonctions comme 45e président des États-Unis exactement 70 ans, 7 mois et 7 jours après sa naissance [voir Coïncidences concernant Trump et Israël]. Le 7 est un élément numérique clé du texte de l’Apocalypse. Et Trump, c’est aussi, d’une certaine manière, une trompette. Tout est possible a priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits. Peut-être que Trump et Poutine sont les deux témoins de l’Apocalypse, ou peut-être pas. L’avenir le dira. L’essentiel est sans doute de conserver l’esprit et le cœur ouverts pour mieux se préparer à toutes les éventualités.




Petite interrogation sur des démocrates et la guerre

Par Joseph Stroberg

Je me demande comment on peut être à la fois un fauteur ou prôneur de guerre (contre l’Iran ou toute autre nation) et en même temps se croire ou se faire croire socialiste et/ou démocrate (comme un Bernie Sanders). Il me semble que, théoriquement, les socialistes et les démocrates devraient avoir à cœur, avant tout, le bien-être physique et moral des peuples. Or, la guerre n’a jamais apporté le bien-être, mais la mort, la destruction, et la souffrance, en masse.


[Voir : Sanders déclare au New York Times qu’il envisagerait une frappe préventive contre l’Iran ou la Corée du Nord. Copie de l’article, ci-dessous.]


Sanders déclare au New York Times qu’il envisagerait une frappe préventive contre l’Iran ou la Corée du Nord

Par Jacob Crosse et Barry Grey
15 février 2020

Bernie Sanders a remporté le vote populaire dans les primaires
présidentielles du New Hampshire et de l’Iowa en se présentant comme un
opposant à la guerre. Après l’assassinat criminel du général iranien
Qassem Soleimani le mois dernier, Sanders a été le candidat démocrate à
la présidence qui critiqua le plus vigoureusement l’action de Trump. Ses
sondages ont augmenté en même temps que sa rhétorique antiguerre
renforcée.

Il a souligné à plusieurs reprises son vote contre l’invasion de
l’Irak en 2003, rappelant aux électeurs lors du débat présidentiel de
l’Iowa le mois dernier: «J’ai non seulement voté contre cette guerre,
mais j’ai aussi contribué à mener l’effort contre cette guerre».

Le
sénateur Bernie Sanders, candidat démocrate aux présidentielles,
s’adresse à ses partisans à Des Moines, Iowa, le 3 février 2020 [Source:
AP Photo/Pablo Martinez Monsivais]

Toutefois, lorsqu’elle s’adresse au principal journal de la classe dirigeante américaine, le New York Times,
la campagne de Sanders adopte un ton très différent de celui employé
par le candidat lorsqu’il s’adresse au public dans des discours de
campagne ou des interviews télévisées.

Les réponses fournies par la campagne de Sanders à une enquête sur la
politique étrangère des candidats démocrates à la présidence publiée ce
mois-ci par le Times donnent une image très différente de l’attitude du
soi-disant «socialiste démocrate» face à l’impérialisme américain et à
la guerre. Au cours de l’enquête, la campagne de Sanders s’efforce de
rassurer l’establishment militaire/du renseignement et l’élite
financière sur la loyauté du sénateur envers l’impérialisme américain et
sur sa volonté de déployer sa machine militaire.

La réponse à la troisième question de l’enquête du Times est peut-être la plus significative et la plus effrayante.

Question: Envisageriez-vous de recourir à la force militaire pour
prévenir un essai nucléaire ou de missile iranien ou nord-coréen?

Réponse: Oui.

Selon la campagne, la Maison-Blanche avec Sanders comme président,
serait ouverte à l’idée de lancer une frappe militaire contre l’Iran ou
la Corée du Nord dotée de l’arme nucléaire pour empêcher non pas une
menace de frappe nucléaire ou de missile contre les États-Unis, mais un
simple essai d’armes. Il s’agit d’une position à couper le souffle, non
moins incendiaire que celles avancées par l’administration Trump.

Sanders risquerait une guerre qui pourrait facilement impliquer les
grandes puissances et conduire à un cataclysme nucléaire afin de bloquer
un essai d’armes par des pays qui ont été soumis à des sanctions
américaines dévastatrices et à des provocations diplomatiques,
économiques et militaires pendant des décennies.

En outre, comme le montre clairement la réponse de Sanders au Times,
le candidat dit progressiste et antiguerre souscrit pleinement à la
doctrine de la «guerre préventive» déclarée comme politique officielle
des États-Unis en 2002 par l’administration de George W. Bush.
Affirmation illégale de la guerre d’agression comme instrument de
politique étrangère, cette doctrine viole les principes établis lors des
procès de Nuremberg des responsables nazis après la Seconde Guerre
mondiale, la charte des Nations unies et d’autres lois et conventions
internationales sur la guerre. L’adhésion de Sanders à cette doctrine,
sur les traces de l’administration Obama, montre que son opposition à la
guerre en Irak était purement une question de tactique, et non une
opposition de principe à la guerre impérialiste.

La question ci-dessus est précédée d’une autre qui évoque une réponse
pleinement conforme à la politique de guerre de l’administration Obama,
la première administration de deux mandats dans l’histoire des
États-Unis à diriger une guerre ininterrompue.

Question: Considéreriez-vous la force militaire pour une intervention humanitaire?

Réponse: Oui.

Parmi les guerres criminelles menées par les États-Unis au nom de la
défense des «droits de l’homme» figurent la guerre en Bosnie et le
bombardement de la Serbie dans les années 1990, la guerre aérienne de
2011 contre la Libye qui s’est terminée par le lynchage du dirigeant
déchu Mouammar Kadhafi, et la guerre civile en Syrie qui a été fomentée
par Washington et menée par ses milices mandataires liées à Al-Qaïda.

Les prétextes humanitaires frauduleux de l’agression américaine
n’étaient pas plus légitimes que le mensonge des «armes de destruction
massive» utilisées lors de l’invasion néocoloniale de l’Irak. Le
résultat de ces crimes de guerre a été la destruction de sociétés
entières, la mort de millions de personnes et la dislocation de dizaines
de millions d’autres, ainsi que la transformation du Moyen-Orient en
une région contestée par les grandes puissances qui menace d’être le
berceau d’une nouvelle guerre mondiale.

Sanders souscrit pleinement à cette doctrine de «guerre humanitaire»
qui est particulièrement associée aux administrations démocrates.

En réponse à une question du Times sur l’assassinat de
Soleimani, la campagne de Sanders qualifie l’action de Trump d’illégale,
mais refuse de prendre une position de principe contre les assassinats
ciblés en général et s’associe aux attaques contre Soleimani qui le
qualifiaient de terroriste.

La réponse est la suivante:

Il est clair qu’il existe des preuves que Soleimani a été impliqué
dans des actes de terreur. Il a également soutenu les attaques contre
les troupes américaines en Irak. Mais la bonne question n’est pas
«était-ce un méchant», mais plutôt «son assassinat rend-il les
États-Unis plus sûrs?» La réponse est clairement non.

En d’autres termes, l’assassinat extrajudiciaire de personnes par le
gouvernement américain est justifié s’il rend les États-Unis plus
«sûrs». Il s’agit d’une approbation tacite de la politique d’assassinats
par drones qui a été largement étendue sous l’administration Obama: une
politique qui incluait le meurtre de citoyens américains.

À un autre moment, le Times pose la question:

Seriez-vous d’accord pour commencer à retirer les troupes américaines de la péninsule coréenne?

Sanders de répondre:

Non, pas immédiatement. Nous travaillerions en étroite collaboration
avec nos partenaires sud-coréens pour avancer vers la paix dans la
péninsule coréenne, ce qui est la seule façon de traiter en fin de
compte la question nucléaire nord-coréenne.

Sanders soutient donc la présence continue de dizaines de milliers de
soldats américains dans la péninsule coréenne, tout comme il soutient
le déploiement de forces américaines de manière plus générale pour faire
valoir les intérêts mondiaux de la classe dirigeante américaine.

En ce qui concerne Israël, Sanders appelle au maintien du niveau
actuel de l’aide militaire et civile américaine et s’oppose au retour
immédiat de l’ambassade américaine de Jérusalem à Tel-Aviv.

Sur la Russie, il soutient entièrement la campagne maccartiste
anti-russe du Parti démocrate et se range derrière la base de droite de
la campagne de destitution ratée des démocrates contre Trump:

Question: Si la Russie continue sur la même voie en Ukraine et dans
d’autres anciens États soviétiques, les États-Unis doivent-ils la
considérer comme un adversaire, voire un ennemi?

Réponse: Oui.

Question: La Russie devrait-elle être tenue de restituer la Crimée à l’Ukraine avant d’être autorisée à réintégrer le G-7?

Réponse: Oui.

Enfin, le Times demande à la campagne Sanders sa position
sur la stratégie de sécurité nationale annoncée par l’administration
Trump au début de 2018. La nouvelle doctrine déclare que l’axe de la
stratégie étrangère et militaire américaine est passé de la «guerre
contre le terrorisme» à la préparation de la guerre contre ses
principaux rivaux, en nommant notamment la Russie et la Chine.

Dans l’échange suivant, Sanders accepte tacitement le cadre de
conflit des grandes puissances de la stratégie de sécurité nationale,
attaquant Trump de la droite pour ne pas avoir poursuivi agressivement
le conflit avec la Russie et la Chine:

Question: La stratégie de sécurité nationale du président Trump
appelle à déplacer l’accent de la politique étrangère américaine du
Moyen-Orient et de l’Afghanistan vers ce qu’il appelle les
superpuissances «révisionnistes», la Russie et la Chine. Êtes-vous
d’accord? Et pourquoi?

Réponse: Malgré sa stratégie déclarée, l’administration Trump n’a
jamais suivi une stratégie de sécurité nationale cohérente. En fait,
Trump a aggravé les tensions au Moyen-Orient et nous a amenés au bord de
la guerre avec l’Iran, a refusé de tenir la Russie responsable de
son ingérence dans nos élections et de ses violations des droits de
l’homme, n’a rien fait pour remédier à notre accord commercial injuste
avec la Chine qui ne profite qu’aux riches entreprises, et a ignoré
l’internement massif des Ouïgours par la Chine et sa répression brutale
des manifestants à Hong Kong
. Il est clair que Trump n’est pas un modèle de président à suivre. [C’est nous qui soulignons]

Dans une récente interview, Ro Khanna, membre démocrate du Congrès et
coprésident national de la campagne Sanders, a assuré l’écrivain Uri
Friedman que Sanders poursuivrait les opérations provocatrices de
navigation de la «liberté des mers» dans le golfe Persique et la mer de
Chine méridionale, tout en engageant l’administration Sanders à
«maintenir une certaine présence [des troupes]» sur la multitude de
bases qui parsèment les pays «alliés», du Japon à l’Allemagne.

Des millions de travailleurs, d’étudiants et de jeunes sont
actuellement attirés par Sanders parce qu’ils en sont venus à s’opposer
aux vastes inégalités sociales, à la brutalité et au militarisme de la
société américaine et à associer à juste titre ces maux au capitalisme.
Cependant, ils apprendront bientôt par une expérience amère que
l’opposition de Sanders à la «classe des milliardaires» n’est pas plus
réelle que sa prétendue opposition à la guerre. Sa politique étrangère
est impérialiste de bout en bout, en accord avec la politique agressive
et militariste du Parti démocrate et de l’administration Obama.

Les désaccords entre les démocrates et Trump en matière de politique
étrangère, bien qu’acerbes, sont tactiques. Les deux partis partagent
l’orientation stratégique consistant à affirmer l’hégémonie mondiale des
États-Unis, avant tout par la force des armes.

Peu importe les belles paroles de Sanders sur l’inégalité, il est
impossible de s’opposer aux déprédations de la classe dirigeante au pays
tout en soutenant le pillage et l’oppression à l’étranger.

Sanders n’est pas plus un apôtre de la paix qu’il n’est un
représentant de la classe ouvrière. Tant en politique étrangère
qu’intérieure, il est un instrument de la classe dirigeante pour
canaliser le mouvement croissant de la classe ouvrière et de
l’opposition au capitalisme derrière le Parti démocrate et le système
bipartite de la domination capitaliste aux États-Unis.

(Article paru en anglais le 14 février 2020)




La pandémie des ondes ? (mise à jour mineure)

Par Joseph Stroberg

Les grands médias et une bonne partie des médias alternatifs avalent sans difficulté l’hypothèse d’une épidémie mondiale qui serait causée par un coronavirus mutant multiforme (puisqu’on en aurait déjà trouvé plusieurs souches selon les nations et régions touchées). Dans le même temps, peu d’entre eux ont remarqué l’étrange coïncidence suivante : les endroits du monde affectés initialement ont été Wuhan et la Corée du Sud, les deux premiers à s’être équipés en technologie 5G fonctionnelle. D’autres pays se sont lancés dans la course, avec plus ou moins de retard dans le déploiement ou les essais sur le terrain : Italie, France, Allemagne, Suède, Canada, États-Unis, etc. (dans le désordre) et ils sont, à leur tour, touchés par cette apparente pandémie. Un autre pays fortement affecté actuellement est l’Iran qui pourtant ne semble pas avoir tellement progressé dans le domaine de la 5G. Cependant, il est en état de guerre larvée contre les États-Unis, l’Arabie Saoudite et Israël (entre autres) et risque d’autant de se trouver sous le feu d’émissions électromagnétiques diverses (notamment dans les bandes de fréquence des micro-ondes et des ondes millimétriques, par des radars et des satellites d’espionnage).

La vidéo présentée dans l’article « Complément à l’arc-en-ciel invisible » présente comme un fait l’hypothèse que les virus ne seraient pas des créatures vivantes autonomes, mais seraient produits (ou directement alimentés) par des morceaux d’ARN ou d’ADN de cellules humaines ou animales du fait de leur empoisonnement. Il est d’ailleurs reconnu que ces « virus » ne savent pas se reproduire par eux-mêmes (mais qu’ils le feraient par le biais des cellules animales ou humaines envahies). Elle affirme aussi, comme l’article « L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie », qu’aucune expérience médicale n’aurait pour l’instant réussi à démontrer l’hypothèse de la transmission d’une maladie prétendument virale par contact et même par inoculation des virus. Si ceci est fondé (ce qu’il reste à vérifier), alors les épidémies de grippe, de SIDA et d’autres supposés virus auraient en réalité chaque fois une tout autre cause, comme un empoisonnement d’une manière ou d’une autre, par une substance chimique ou par une autre cause capable d’affecter les cellules de manière plus ou moins radicale.

Il est scientifiquement démontré que des ondes électromagnétiques de forme et de fréquences particulières n’ont pas besoin d’une grande énergie pour affecter de manière notable le fonctionnement des cellules vivantes, de tissus biologiques, d’organes entiers… et donc d’êtres vivants, êtres humains y compris. Elles le font par le biais de plusieurs phénomènes, tels que l’induction électromagnétique et la résonance (voir notamment « L’intolérance aux ondes est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité », « L’imposture de la mesure des ondes numériques » et « Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…) »). De plus, il existe maintenant des milliers d’études, dont une majorité d’indépendantes, qui tendent à démontrer l’impact nocif des ondes électromagnétiques (d’autant plus lorsque ces ondes sont pulsées) et des champs électriques sur la santé. Les ondes électromagnétiques et les champs électriques peuvent ainsi, même à basse énergie, « empoisonner » les cellules.

En plus des effets nocifs des lignes électriques, surtout à haute tension, de l’électricité « sale » dans la plupart des habitations, des ondes d’émetteurs radio, de celles des satellites de communication, des antennes relais de cellulaires pour la 2G, la 3G et la 4G, etc. les êtres humains subissent ou subiront d’ici quelques mois (selon les pays et endroits) les effets encore plus négatifs de la technologie 5G. Celle-ci utilisera des puissances plus élevées et un réseau encore plus dense d’antennes afin de compenser le relativement faible pouvoir pénétrant des fréquences utilisées et ainsi de pouvoir copieusement arroser tous les citadins des environs. Il pourrait s’y ajouter les émissions 5G depuis l’espace par des milliers de satellites (le chiffre de 20 000 a été avancé).

Les êtres humains, les animaux et les plantes ne sont pas biologiquement habitués à toutes ces ondes artificielles qui envahissent leurs lieux de vie et dont l’effet d’empoisonnement est un peu similaire à celui de l’arsenic (en ce sens qu’une faible dose ajoutée quotidiennement finit par produire une saturation, par dépasser un seuil de tolérance et par avoir alors plus ou moins soudainement des conséquences dramatiques ou létales). « L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie » laisse entendre que l’électricité et les ondes électromagnétiques artificielles seraient en fait les principales responsables des maladies cardiovasculaires, du diabète et même des diverses formes de cancer. La plupart de ces maladies étaient d’ailleurs inconnues il y a plusieurs siècles. La croissance de la proportion de personnes touchées suit approximativement celle des technologies reliées à l’électricité et aux ondes électromagnétiques.

Selon l’influence électrique et électromagnétique subie par une population donnée, il peut s’écouler en moyenne un temps plus ou moins long entre les causes (la mise en route des technologies et des instruments produisant des champs électriques ou des ondes électromagnétiques) et l’apparition des symptômes des maladies qui jusqu’à présent sont plutôt attribuées à d’autres causes (telles que des virus ou encore des désordres psychologiques). Il s’est ainsi écoulé un certain nombre de mois entre la mise en route effective de la 5G en 2019 à Wuhan et en Corée du Sud, et l’apparition assez récente de l’épidémie de « coronavirus ». Et plus la 5G s’étendra, plus il y aura de telles épidémies. Les pays les plus épargnés seront ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir ce type de technologie ou qui l’ont volontairement refusée, dans la mesure où ils ne seront pas non plus soumis à de fortes émissions électromagnétiques depuis l’espace ou depuis les pays voisins (voire par des bases militaires au sein même de ces pays).

Tant qu’à remuer des idées ou des thèses que de nombreux médias qualifient de « complotistes », signalons aussi les autres points suivants :

  • L’article « L’utilisation militaire cachée de la technologie 5G » mentionne l’intérêt de forces armées pour la 5G ;
  • Le déploiement de la 5G dans le monde se fait sans consultation des peuples et contre l’avis de nombreux chercheurs qui ont présenté les dangers de cette technologie (voir « APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace ») ;
  • La crise du coronavirus permet la mise en place de mesures qui autrement auraient eu peu de chances d’aboutir (état d’urgence ou loi martiale, de manière plus ou moins progressive, dans un nombre croissant de nations du monde) ;
  • L’épidémie pourrait permettre une vaccination massive rendue obligatoire (et les adjuvants métalliques contenus dans la plupart des vaccins ne feront qu’amplifier les effets néfastes de la 5G) ;
  • Etc.

En reliant tous les points évoqués, nous pourrions facilement déduire que cette crise est provoquée et permettra la finalisation du Nouvel Ordre Mondial. Est-ce véritablement le cas ? À chacun d’en juger. Mais c’est l’avenir qui apportera la réponse définitive. Cependant, l’envisager peut aider à mieux s’y préparer, matériellement, émotionnellement, mentalement, psychologiquement et/ou spirituellement… au cas où malheureusement une telle hypothèse deviendrait réalité au cours des prochaines années ou des prochains mois.




Le dernier combat de Trump

[Source : Entre la plume et l’enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Trump a été battu de manière décisive, sinon à la loyale. Les espoirs de millions d’électeurs américains ont été écrasés et anéantis. La saga de l’homme orange est terminée. Les vainqueurs ont utilisé un stratagème : ils ont sacrifié le caractère sacré et la sécurité du Capitole, ils ont permis aux intrus d’entrer, ils leur ont permis de prendre des selfies dans le bureau du porte-parole du Congrès, puis ils ont simulé l’horreur et l’indignation. Les tentatives d’appel à la transparence électorale ont été pulvérisées en temps réel, alors que des foules énormes étaient dispersées. Les votes des grands électeurs ont été certifiés, l’ascension de Biden assurée, et les partisans de Trump sont gratifiés du titre de « terroristes nationaux ».

Donald Trump a désavoué les gens qu’il avait personnellement appelés à protester. Ses proches alliés politiques lui retirent leur soutien. En quelques heures, voire quelques minutes, ce dirigeant du monde admiré par des millions de gens est devenu une non-personne. Comme un garnement qui aurait posté une obscénité, il a été interdit de Twitter et de Facebook. Le temps nous dira s’il ira en prison, ce qui est le voue fervent de tant de démocrates, mais sa vie politique semble bien être terminée, même si sa cause est encore vivante. 

Les jeux étaient faits, contre le président Trump, dès le premier jour. Ses ordres étaient ignorés. Les tribunaux américains, les juges, la police, tout le système d’application de la loi était contre lui ; ses ordres se voyaient bloqués ou annulés, tandis que les médias se moquaient de lui et que l’opposition le délégitimait sans relâche. Il a même été bloqué par Fox News. Les États dirigés par le parti démocrate ont ajusté leurs lois pour garantir le résultat des élections. Trump a joué le dindon de la farce du tout début de sa présidence jusqu’à sa fin amère. Il était tenu en laisse par le tout-puissant Deep State, et lorsqu’il a essayé de se libérer, il a suffi qu’il tirent sur la laisse. 

Le 6 janvier, une manifestation massive en sa faveur a eu lieu à Washington, DC. Des centaines de milliers d’Américains sont venus dans la capitale pour demander justice après que la fraude électorale soit devenue évidente. Ils espéraient que les représentants républicains refuseraient de certifier la fraude et nommeraient une commission pour vérifier et recompter les votes. Certains des manifestants ont réussi à s’introduire dans le Capitole, ou la police les a laissés entrer. Cette action pacifique d’occupation du Capitole, l’exercice d’un droit naturel de protester, a été accueillie par des tirs meurtriers, et une jeune manifestante de San Diego, Ashli Babbitt, a été assassinée par la police en civil. Les représentants républicains ont été intimidés et se sont rendus ; Biden a été confirmé dans ses fonctions.

L’horreur et l’indignation des politiciens et des médias du parti démocrate ont été aussi simulées que les nouvelles qu’on nous a servies. L’année dernière, de nombreux bâtiments gouvernementaux avaient été occupés par des militants du BLM soutenus par le parti démocrate, et dans aucun cas la police n’a utilisé d’armes mortelles ou même fait sortir les manifestants des bâtiments.

« Peu après 20 heures mercredi, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant l’entrée verrouillée de King Street au Capitole, en scandant « Enfoncez la porte ! » et « Grève générale ! » Quelques instants plus tard, la police a cessé de contrôler des portes de State Street et a permis à la foule de déferler à l’intérieur, rejoignant les milliers de personnes qui s’étaient déjà rassemblées au Capitole pour protester contre les votes. La zone située à l’extérieur de l’Assemblée, où il est prévu de présenter le projet de loi à 11 heures aujourd’hui, était bondée de manifestants qui scandaient « Nous ne partirons pas ». Pas cette fois-ci »…

Le porte-parole du département de l’administration, Tim Donovan, a déclaré que même si les manifestants étaient encouragés à partir, personne ne serait renvoyé de force. … Le maire Dave Cieslewicz a déclaré qu’il avait donné l’instruction … au chef de la police Noble Wray de ne pas permettre à ses officiers de participer à l’évacuation des manifestants du bâtiment ».

C’est ce qui s’était passé à Madison, Wisconsin, en mars 2011, comme nous l’a rappelé Steve Sailer. En effet, c’est ce à quoi s’attendaient les manifestants ; certains étaient habillés en tenues de carnaval flamboyantes ; ils se tenaient correctement, ils étaient pacifiques, ils restaient dans des limites acceptables. Il ne s’agissait pas d’une insurrection ; ils n’ont pas essayé de prendre le contrôle du Congrès de manière significative. Pour eux, c’était une façon honnête et drôle d’exprimer leur indignation. Mais les véritables comploteurs de stratagèmes avaient l’intention de les piéger. Ils ont même assassiné quatre manifestants en espérant que les leurs réagiraient avec violence, mais en vain.

Les manifestants blancs américains sont exceptionnellement non-violents ; comme pour Occupy Wall Street il y a quelques années, les manifestants du Capitole du 6 janvier étaient timides et obéissants comme des agneaux. C’est pour cette raison que le BLM a été inventé, car les Noirs sont capables de se révolter violemment, contrairement aux Blancs bien dressés. Ce n’est pas une question de race : les gilets jaunes français, blancs comme neige, et les nationalistes ukrainiens ont bien combattu la police. Mais les blancs américains ne sont pas enclins aux émeutes, pas depuis la guerre civile. En tant qu’étranger, je ne comprends pas pourquoi les Américains veulent garder leurs armes s’ils ne les utilisent jamais, mais c’est comme ça.

De toute façon, leur non-violence ne leur a servi à rien. Le président élu Biden leur a même dénié le titre de manifestants : « N’allez pas les traiter de protestataires. C’était une foule en émeute, des insurgés, des terroristes nationaux ». En effet, ce nom devrait être réservé aux pillards autorisés par l’État et à leurs frères dans le monde entier, que ce soit à Hong Kong ou à Minsk, à Seattle ou à Portland.  

Les réseaux sociaux russes on comparé les événements de Washington DC à ceux qui se sont déroulés plus près de chez eux et se sont plaints d’un « deux poids, deux mesures ». Les médias américains n’avaient pas exprimé d’indignation lorsque leur homme de paille Boris Eltsine avait bombardé le Parlement russe en 1993. Le New York Times et le Département d’État avaient encouragé la foule nationaliste à prendre d’assaut les bureaux du gouvernement ukrainien en 2014. Ils ont encouragé l’opposition à Minsk à prendre le contrôle de leur parlement après avoir échoué aux élections. Les manifestants biélorusses juraient que les résultats des élections de leur pays étaient truqués, tout comme les partisans de Trump l’ont fait pour les élections américaines, mais Biden ne les a pas traités de « terroristes nationaux ». (En fait, le président Loukachenko non plus : il les a qualifiés de « manifestants », et leurs manifestations violentes ont été dispersées sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré). Dans ces cas-là, les Juifs ont l’habitude de répondre : « Comment pouvez-vous comparer ?!

Les Russes ont comparé la « tentative de coup d’État » au Capitole avec leur propre « coup d’État » de 1991, une provocation en partie planifiée à l’avance. En 1991, les organisateurs du faible coup de force n’avaient pas pu arrêter Eltsine et se sont rendus sans résistance ; la vague d’indignation a écarté Gorbatchev et le parti communiste du pouvoir. Au Capitole aussi, la police a fait entrer les « envahisseurs », comme vous pouvez le voir sur cette vidéo transmise par la BBC. D’autres vidéos suggérant l’implication de la police du Capitole dans cette provocation ostensible sont présentées ici. L’indignation orchestrée a permis aux vainqueurs de dénigrer et de chasser un Trump vaincu et ses partisans. Tout comme l’URSS s’est effondrée en août 1991, l’Amérique de Trump s’est effondrée en janvier 2021, et les élites libérales représentant les grandes corporations sont arrivées au pouvoir. Ce résultat a été obtenu grâce à une provocation, mais les partisans ordinaires de Trump étaient vraiment en colère contre le vol des élections. De même, 1991 était une provocation, mais les citoyens russes ordinaires étaient en colère contre la perestroïka de Gorbatchev, tandis que les élites libérales ont détourné cette expression de colère pour démanteler l’État soviétique et transférer tous les actifs à leurs oligarques.

Les gens qui ont une bonne connaissance de l’histoire se réfèrent à l’incendie du Reichstag de février 1933, l’incendie criminel inventé par le gouvernement nazi, nouvellement constitué, lui-même, afin de retourner l’opinion publique contre ses opposants et assumer les pouvoirs d’un état d’urgence. D’autres chercheurs ont cependant affirmé qu’il n’y avait aucune preuve de la complicité des nazis dans ce crime, mais que Hitler avait simplement profité de l’acte indépendant du communiste néerlandais van der Lubbe. Selon l’ Encycopaedia Britannica, l’incendie fait l’objet d’un débat et de recherches permanents. On dira probablement la même chose de l' »invasion » du Capitole, et les chercheurs se demanderont si ce sont les sous-fifres de Biden qui l’ont organisée ou s’ils ont simplement profité de la protestation sincère des trumpistes.

Cela ne fait aucun doute que pour un observateur objectif, les élections de 2020 ont été profondément piratées. Je ne vous ennuierai pas avec trop de détails publiés sur les résultats statistiquement impossibles[1], mais voici un exemple de fraude. La ville de Detroit a donné 95 % de ses voix à Biden/Kamala, un chiffre que M. Kim Jong-un considérerait avec une légère envie, tandis que M. Loukachenko murmurerait : « Comment est-ce possible ? Il est fort probable que ce résultat a été obtenu de la manière suivante:

 Les démocrates de Detroit ont externalisé la récolte des bulletins de vote, les sous-traitant à des barons locaux de la drogue, en leur offrant en échange des licences de commerce de marijuana à des fins récréatives. Ces licences sont ce qu’il y a de mieux depuis le permis d’imprimer de l’argent. Avoir de telles licences, c’est comme avoir son propre distributeur automatique de billets. Vous pouvez lire ici des informations sur leur rentabilité et toutes les démarches que les criminels sont prêts à faire  pour en obtenir. Les démocrates de Detroit ont modifié les lois locales autorisant la vente de marijuana dans leur belle ville (elle était interdite jusqu’en novembre 2020). Ils ont modifié les lois locales prescrivant la délivrance de licences de marijuana aux trafiquants de drogue ayant déjà été condamnés pour trafic de drogue. Ils ont fait sortir les barons de la drogue de prison. Ils ont modifié les lois locales pour permettre la récolte des bulletins de vote, c’est-à-dire la collecte des votes par correspondance et l’aide au remplissage des bulletins. Après cela, les trafiquants de drogue se sont mis à collecter les bulletins de vote par correspondance et à les remplir immédiatement, s’ils étaient consciencieux, ou à les remplir à leur guise, s’ils se sentaient paresseux. Ils avaient à leur disposition une juge, Cynthia Stephens, qui, à elle seule, a fait modifier les lois électorales du Michigan, puis a rejeté les accusations de fraude de Trump.

Oh oui, ma chère, il y en a eu, des fraudes électorales, et dans de nombreux États américains. « Les jeux de hasard, ils connaissent ; ils ne sont pas surpris par une belle main de quatre as », comme disait Mark Twain. Habituellement, les deux parties s’échangent leur place à tour de rôle et trichent chacun à leur tour. Mais cette fois-ci, Trump a convaincu beaucoup de gens que ce serait différent, et que c’était leur dernière chance.

Le problème, c’est que Trump était un mauvais organisateur. Il pouvait gagner les élections, s’il pouvait empêcher le genre de législation de Cynthia Stephens, interdire les bulletins de vote par correspondance, faire respecter l’obligation de présenter des papiers d’identité pour le vote, mobiliser son peuple pour le contrôle des élections. Une tâche redoutable, mais pas impossible, tout en ayant affaire à un adversaire prêt aux trucages. Il aurait même pu faire une révolution le 6 janvier, en mandatant les bonnes personnes pour agir, en formant un QG révolutionnaire, en planifiant une stratégie de prise de contrôle, mais il n’a rien fait de tel. Il pensait probablement que le Congrès verrait les vastes foules et autoriserait la vérification des résultats des élections.

Par ailleurs, il était si naïf qu’il croyait que les révolutions se produisaient toutes seules, comme dans les films. Ce n’est pas le cas. Derrière chaque révolution réussie, il y a beaucoup de planification, de forces armées, d’armes prêtes à l’emploi, de lignes d’approvisionnement, de logistique, de soutien dans les médias et de communications. Trump n’avait rien de tout cela. Il a suffi de lui couper son compte Twitter pour le rendre sourd et muet.

Il n’y a pas eu de tentative de coup d’État, comme l’a correctement déclaré Tyler Durden : « Trump n’a jamais eu la concentration, le sens de l’organisation ou la cohérence idéologique nécessaires pour monter un véritable putsch, et une intrusion de la foule qui a été rapidement dispersée par des agents armés de l’État n’y change rien. Peu après l’intrusion, il a diffusé une vidéo donnant pour instruction à ses partisans de ne pas prendre les sénateurs en otage ou d’emprisonner Mike Pence, mais de « rentrer chez eux ». Aucune faction du gouvernement fédéral ne s’est jointe à la foule sur ordre de Trump, car il ne s’est pas donné la peine d’en diffuser. Tout cet épisode n’a jamais eu la moindre chance d’empêcher la certification de Joe Biden, et encore moins de renverser le gouvernement. Ce n’était qu’une autre mascarade maladroite, et, en ce sens, une fin appropriée à la présidence de Trump ».

Les théories du complot ont joué leur rôle de leurre dans la débâcle. De nombreux trumpistes ont cru aux conspirations des QAnon et des Kayfabe ; ils ont publié des rapports sur l’arrestation de méchants, sur des serveurs confisqués par le FBI, sur Clinton et Biden attendant une justice brutale derrière les barreaux. Cette croyance a désarmé des gens qui, autrement, se seraient battus pour obtenir ce résultat. C’est le problème avec les conspirations : les conspirations imaginaires empêchent les actions réelles.

Néanmoins, je ne veux pas terminer cette pièce sur une note aussi triste et démoralisante. Le président Trump aura été un grand dirigeant. Il a réussi, contre toute attente, à améliorer le sort des travailleurs américains : pour la première fois depuis les années 1970, leurs revenus ont augmenté par rapport aux autres classes. Il a mis fin à l’immigration massive vers les États-Unis : l’immigration légale s’est réduite à un mince filet. Il a évité de nouvelles guerres ; il a essayé de faire la paix avec la Russie. Il a refusé de bombarder l’Iran, même dans les derniers jours de sa présidence, alors même que certains partisans d’Israël lui avaient promis un second mandat s’il y consentait.

Son combat contre la folie du Coronavirus a été sa grande réussite. Il était contre les confinements qui sont sur le point de détruire notre monde si complètement que peu de choses survivront. On se souviendra du dernier grand dirigeant américain qui n’a pas porté le masque de la lâcheté. Il n’a pas pu vaincre le puissant complexe médical, ou FAGMA, ou les maîtres du discours, mais il a essayé.

Le jour de sa défaite, le 6 janvier, c’était le jour de l’Epiphanie, ou l’Adoration des Mages, des Trois Rois Mages qui étaient venus adorer Jésus dans la grotte. C’était aussi la veille de Noël pour l’Eglise d’Orient. C’est la période la plus sombre de l’année ; dorénavant, le jour va s’allonger et nos espoirs vont remonter.

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Source: https://www.unz.com/ishamir/trumps-last-stand/

Traduction: Maria Poumier




Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard. MàJ 26/11/2020

[Source : noach.es]

Pierre Hillard, qui dénonce depuis 20 ans les arcanes technocratiques abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial, est de retour. Sa dernière vidéo « Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset » dans laquelle il rappelle les enjeux messianiques, vient de franchir les 700 000 vues. Le pays retrouverait-il la mémoire ?

1. Bonjour Pierre, peux-tu brosser un tour d’horizon de la situation actuelle STP ?

Depuis l’apparition de la Covid-19 avec ses conséquences sanitaires, sociétales et économiques, nous pouvons affirmer que le processus de concrétisation de la gouvernance mondiale est lancé. La politique de confinement imposée aux Français du 17 mars au 11 mai 2020 a ébranlé les structures économiques du pays. Nous retrouvons des phénomènes similaires dans tous les pays du monde, en particulier l’Europe et l’Amérique du Nord. Comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire en conférence ou de l’écrire dans mes livres, la finalité du mondialisme est d’aboutir à un système politique, économique et spirituel déjà exposé dans Utopia de Thomas MoreLa Nouvelle Atlantide de Francis Bacon1984 de George Orwell ou encore dans la série télévisée anglaise en 17 épisodes du Prisonnier de Patrick Mcgoohan. Régime totalitaire, collectiviste et imprégné d’un idéal spirituel issu du monde talmudo-kabbilistique, le système régentant l’humanité et présenté dans ces ouvrages et/ou films semble irréel, impensable en raison de son caractère implacable et inhumain. Et pourtant, nous y sommes ou, plus exactement, nous nous engageons dans cette voie préparée en haut lieu. On peut relever les préparatifs de cette surveillance orwellienne dans la vie de tous les jours. Ainsi, lors du déconfinement progressif de mai à juin 2020, le gouvernement français avait instauré une mesure permettant aux Français de se déplacer dans un rayon de moins de 100 km à partir de leur domicile sans l’obligation de présenter leurs papiers. Or, ironie de l’histoire, nous trouvons cette caractéristique dans le 1984 d’Orwell :

« Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètre, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers (…) » 

1984 – George Orwell (page 158, édition de poche, Folio, 2006).

Parallèlement à cette bascule, nous constatons des tensions multiples s’amplifiant en raison de cette affaire de Covid-19. En effet, l’arrêt de l’activité économique a bouleversé les États en profondeur, ces derniers étant déjà minés par l’endettement public et privé et un chômage déguisé. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Licenciements massifs et pauvreté en hausse sonnent l’hallali des pays développés. Nous entrons dans une nouvelle ère : l’économie verte (sous-entendu la fin de la consommation de masse) et la numérisation dans tous les domaines permettant le contrôle absolu des citoyens. Pour la réédition de Chroniques du Mondialisme L-5 aux Éditions Culture et Racines, j’ai fait une longue conclusion. Celle-ci est une sorte de bilan d’un monde né en 1945 en train de disparaître. Il y est évoqué et expliqué le rôle de nombreux acteurs comme l’Agenda 2030 et l’action du Forum Économique Mondial de Davos sous la direction de Klaus Schwab pour instaurer un nouveau monde liberticide dans le cadre de la grande réinitialisation. Son promoteur n’hésite pas à affirmer dans son dernier livre intitulé Covid-19 : the Great Reset (Covid-19 : la grande réinitialisation) que les objectifs ainsi que celui des élites mondialistes sont le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). Ce Forum de Davos, initialement prévu en janvier 2021, se réunit l’été prochain afin de lancer officiellement une politique qui est celle conduisant à notre asservissement. 

L’alignement des « trois 6 » est chose récurrente sur les logos des instances ou compagnies mondialistes.
Klauss Schwab
M « Great Reset » en tenue para-maçonnique sans masque de Darth Vader
à la Kaunas University of Technology

La devise gnostique « Scientia Ingenium Virtus » sur le blason, mot à mot « Science Intelligence Puissance » avec cerf blanc et non un agneau (cornes obligent) est à prendre comme « Pouvoir de la Connaissance ».

[NdNM : (Source : Guy Boulianne. Extraits.)

Bien que la robe que porte Klaus Schwab puisse paraître étrange au premier abord, elle ne cache aucun grand mystère. Il s’agit simplement de la tenue officielle alors qu’il recevait les insignes de docteur honoris causa de l’Université de technologie de Kaunas (KTU), en Lituanie, le 13 octobre 2017. [5] C’est la même chose concernant le blason de l’établissement d’enseignement supérieur et de recherche. La robe cérémonielle et ce blason se composent de plusieurs éléments qui peuvent être assimilés à l’occultisme mais, dans le cas qui nous occupe présentement, cela ne pourrait pas être attribué à Klaus Schwab.

Tous les insignes et attributs académiques de l’Université sont marqués par les armoiries de la KTU. Composé selon les exigences héraldiques strictes, le blason est divisé en trois champs spéciaux : Il est fabriqué à partir de couleurs héraldiques (dites teintures), de leurs combinaisons et de symboles distincts. La partie supérieure gauche des armoiries du KTU est le blason de la ville de Kaunas, qui symbolise l’emplacement de l’université. [6] La partie supérieure droite représente le symbole de la matière, qui incarne la lumière de la science. Un livre ouvert dans la partie inférieure des armoiries porte la devise de l’Université en latin Scientia, ingenium, virtus! (« Science, créativité, vertu! »). [7]

Références
  1. KTU News : Honorary Doctor of KTU Klaus Schwab: Industry 4.0 Must be Followed by Education 4.0. Kaunas University of Technology, October 16, 2017.
  2. Le blason de la ville de Kaunas : Le 30 juin 1993, les armoiries historiques de la ville de Kaunas ont été rétablies par un décret présidentiel spécial. Le blason présente un auroch blanc avec une croix dorée entre ses cornes, sur un fond rouge foncé. Les aurochs étaient le symbole héraldique original de la ville, établi en 1400. Le sceau héraldique de Kaunas, introduit au début du XVe siècle sous le règne du grand-duc Vytautas, est le plus ancien sceau héraldique de la ville connu sur le territoire du Grand-Duché de Lituanie. L’emblème actuel est le résultat de nombreuses études et discussions de la part de la Commission de l’héraldique lituanienne, et réalisé par l’artiste Raimondas Miknevičius. Un aurochs a remplacé un bison d’Europe, qui était représenté dans l’emblème de l’ère soviétique utilisé depuis 1969.
    • À propos du blason : « De gueules, à un aurochs passant gardien d’argent ensigné d’une croix d’or entre ses cornes ».
    • Kaunas a également un plus grand blason, qui est principalement utilisé à des fins de représentation de la ville de Kaunas. Le navire, les trois boules d’or et le texte latin « Diligite justitiam qui judicatis terram » (Chérissez la justice, vous qui jugez la terre) dans le plus grand blason font référence à Saint Nicolas, saint patron des marchands et des marins, qui était considéré en tant que gardien céleste de Kaunas par la reine Bona Sforza.
  3. Brand resources : « Logo and style guide embody KTU identity and ensure that a particular publication is associated with the University ». Kaunas University of Technology.

2. Cela fait un peu plus de 20 ans que tu dénonces les boisseaux technocratiques (UE, Alena, TAFTA…) abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial messianique dont on voit aujourd’hui l’aube pointée derrière le Grand Reset. Ordo ab Chao ?

En effet, l’architecture qui se présente a été annoncée il y a bien longtemps. On peut l’illustrer avec le cas de Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) dont l’objectif est de gérer les villes et communes à l’échelle planétaire dans le cadre de sept sections régionales :
1) Afrique ;
2) Asie-Pacifique ;
3) Eurasie ;
4) Europe ;
5) Moyen-Orient et Asie d’Ouest ;
6) Amérique latine et
7) Amérique du Nord.
Le principe d’une collaboration entre différentes cités n’est pas mauvais en soi en particulier pour trouver des moyens pour lutter contre la pollution ou encore apprendre à mieux gérer l’eau potable par exemple. Mais, comme on peut le constater, l’organisation planétaire se construit à partir de 7 sections régionales au sein desquelles les communautés urbaines s’émancipent peu à peu de l’autorité nationale. Tout cela se construit dans le cadre d’une gouvernance mondiale. Créées en 2004, CGLU est le résultat d’une combinaison d’instituts chargés de s’occuper de la gestion des villes. Il faut rappeler que le plus ancien de ces instituts s’appelle l’Union Internationale des Villes créée en … 1913 1. Avec cet exemple, on se rend compte que cet idéal de gouvernance mondiale et sa mise en pratique est une idée ancienne d’un point de vue matériel. On trouve aussi l’ensemble du programme « merveilleusement » exposé dans les écrits du révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dont les écrits, plus exactement les originaux de 1792 et 1793, ont été réunis en un seul livre (sans caviardage comme c’est le cas des versions officielles) La République du Genre Humain P-8 aux Éditions Omnia Veritas avec une préface de votre serviteur. Tout y est annoncé : la gouvernance mondiale appelée « République universelle », la technostructure planétaire divisée politiquement en « mille cases départementales », la disparition du catholicisme au profit de la « République Universelle » etc. Cependant, dans la mystique mondialiste, le passage à une étape supérieure repose toujours sur une transition violente. C’est le fameux principe Ordo ab Chao ou encore le Solve et Coagula avec un principe messianique et mystique en arrière-fond lié à l’esprit de la Kabbale. Quand Christine Lagarde, présidente du FMI en 2014, fait l’apologie du chiffre « 7 » dans une vidéo que tout le monde peut consulter 2, cela devrait interpeller plus d’une personne sur cet étrange discours.

En 1988, la monnaie mondiale était prévue pour 2018.
Octobre 2020 le Great Reset est annoncé pour 2021.

La grande réinitialisation ou Great Reset chère à Klaus Schwab, président du Forum Économique de Davos, n’est que l’allume-gaz pour parvenir à un stade supérieur. Nous sommes désormais devant l’immense bascule en cours de réalisation. L’exemple des tensions durant les élections américaines est révélateur d’une situation voulue pour tenter de déstabiliser ce pays dans l’espoir, pour certains, d’aboutir à une guerre civile qui aurait des répercussions planétaires dans tous les domaines. Signalons l’existence du Transition Integrity Project (TIP) mis en forme en juin 2020 dont le but est de prévenir une contestation des résultats électoraux par le président Trump 3. Ce phénomène révèle qu’il n’existe pas « un » État profond mais « des » États profonds rivaux entre eux. Il faut bien comprendre que deux formes de mondialisme s’affrontent : celui de la City de Londres voulant imposer un modèle unique planétaire où les États sont fracassés au profit d’une gouvernance mondiale tandis qu’une frange du monde anglo-saxon américain, de tendance patriote (d’où la fameuse formule : Make America great again), tient à défendre les intérêts politico-économiques mais aussi l’intégrité territoriale du pays. Pour cette frange anglo-saxonne représentée par Trump, les intérêts américains préservés doivent constituer un pilier et pouvoir s’agencer dans le cadre d’une gouvernance et/ou directoire mondial sans pour autant s’évaporer sur l’autel d’une unité planétaire et du libre-échange à tout crin. Concernant la galaxie mondialiste, il faut ajouter l’imprégnation d’un idéal messianique virulent chez certains dirigeants, absent chez d’autres tandis qu’une faction en accepte le principe mais … pas tout de suite (« neutralisation du messianisme » pour reprendre une expression de Gershom Scholem). L’enfer est divers et, surtout, divisé contre lui-même. Mais d’abord et avant tout, le point essentiel à retenir de l’esprit du mondialisme, c’est la volonté d’éradiquer le caractère messianique du Christ, c’est-à-dire l’Incarnation au profit d’un autre messianisme ; celui de la synagogue aveugle en attente de son « Messie » devant rendre sa gloire à Israël au dépens des nations.

​3. Tu présentes souvent les oeuvres de Science-Fiction comme les parties du programme d’« Après ». Outre l’orgueil, comment expliques-tu que l’élite balance ce genre d’infos ?

Des livres comme Utopia ou des films comme Elysium sont des instantanés du monde « idéal » voulus par les thuriféraires du mondialisme. Ce sont des puzzles de vérité qui permettent aussi d’imprégner les esprits d’une manière de penser et de réagir. Fort de cette imprégnation, il y a possibilité pour la partie adverse de connaître le trait psychologique de millions de personnes au mental structuré par ces livres et surtout par ces films puisque maintenant peu de personnes lisent. C’est une manière pour les adeptes du contrôle mental d’avoir un coup d’avance.

Pierre Hillard nous parle entre autres d’Elysium, de Mars Attacks et du Prisonnier (détails).
4. Ton dernier livre Sionisme et Mondialisme L-8 sous-titré « Le sionisme de ses origines au IIIè Reich, 1898-1941 » explique comment l’idéologie nazie a servi la cause sioniste. Comment, avant de l’écrire, as-tu pu imaginer cette improbable entente ?

Concernant la civilisation occidentale et ses caractéristiques, le point clef qu’il faut retenir est celui de l’Incarnation. Le Christ reconnu comme le Fils de Dieu incarné parachève les annonces messianiques de la Bible hébraïque devenue l’Ancien Testament pour les chrétiens. De nombreux Juifs n’ont pas reconnu ce fait et attendent toujours leur « Messie » au service de la seule gloire d’Israël et au dépens des nations. Un nouveau judaïsme, le Talmud, a été élaboré entre 100 et 500 ap. J-C. violemment anti-catholique, il sert de matrice à un idéal messianique juif en attente de son « Messie » en liaison avec la Kabbale, celle-ci étant l’interprétation ésotérique propre à ce milieu. Il s’agit pour les thuriféraires de ce monde révolté de maintenir une unité de pensée via une unité de sang. On est juif par la mère. À l’origine, cette affirmation raciale fut solennellement affichée dans les prescriptions données par Dieu dans le cadre de l’Ancien Testament. En effet, on peut lire dans le Deutéronome VII, 1-5 :

« (…) Tu ne contracteras point de mariage avec elles (ndla : femmes non-israélites), tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils ; car elles détourneraient de marcher après moi tes fils qui serviraient d’autres dieux (…). »

Ces injonctions matrimoniales, choquantes pour des lecteurs du XXIè siècle, doivent se comprendre dans le contexte de l’époque à finalité spirituelle. Selon ces textes religieux, le Messie devait naître du peuple hébreu, plus précisément, au sein de la tribu de Juda, celle-ci devant donner naissance au Messie issu de la famille royale de David. Cet idéal ne pouvait se faire que dans le cadre du mosaïsme débarrassé de toutes influences païennes sous-entendu d’essence satanique. Dans le cas contraire, une altération d’essence démoniaque aurait flétri ce mosaïsme interdisant la concrétisation physique du Messie à la fois Homme et Dieu … sous-entendu l’Incarnation. Ce principe, capital à saisir, fut à nouveau et solennellement proclamé lors du retour de la captivité des Juifs de Babylone (Vè siècle av. J-C). Le représentant religieux Esdras, au nom de ces exigences mosaïques (1er Livre d’Esdras, IX, 3-12 et X, 1-11), exigea le renvoi des femmes étrangères, mariées à des Israélites, et de leurs enfants … chose qui se fit.  Comme nous l’avons écrit dans Archives du Mondialisme L-7 (p. 71):

« (…) Ces mesures propres à l’Ancien Testament avaient pour but de maintenir les Hébreux loin de la contamination païenne d’essence démoniaque afin de permettre l’arrivée du Messie au sein d’un peuple spirituellement débarrassé de toute forme de corruption (le nazisme était aux antipodes de cet idéal). »

La non-reconnaissance de la divinité du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à conserver ces référents raciaux devenus obsolètes pour les chrétiens. La Révélation, s’adressant à tous les peuples de la terre, n’avait plus besoin de cette protection raciale et ciblée à finalité spirituelle. Ce n’est pas le cas des Juifs rebelles au messianisme christique qui, conservant depuis 2000 ans ce concept et en attente de leur Messie afin d’assurer la seule gloire d’Israël sur les nations, ont imprégné certains peuples d’un tour d’esprit naturaliste pour les détourner du christianisme au profit d’un horizon purement terrestre et racialiste. Il y avait entre nazis et sionistes un fond commun de réflexions reposant sur l’idée de pureté de sang et de supériorité raciale. Le rejet des mariages mixtes caractérisait aussi ces deux mondes. D’une certaine manière, un terrain d’entente était temporairement possible entre ces théoriciens et, en même temps, frères ennemis. Il faut rappeler que le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, du 17 septembre 1935 a approuvé les lois de Nuremberg en particulier en condamnant les mariages mixtes. J’ai publié l’article de ce journal avec sa traduction complète en français.

L’Etoile de David au recto avec l’inscription « Un nazi se rend en Palestine », la Croix Gammée au verso ajoutant « et le raconte dans l’Angriff » (journal du ministre de la propagande Joseph Goebbels).
5. Ne peut-on pas expliquer l’Accord de la Haavara par le fait que les autorités nazies y voyaient là un moyen d’exiler les Juifs d’Allemagne avec leur consentement ?

En effet, l’Accord de la Haavara (« Transfert » en hébreu) d’août 1933 ou décret 54/33 est le fruit d’une convergence racialiste entre ces deux mondes reposant sur le principe du miroir inversé. Ce document émanant des autorités nazies fut intégralement publié dans le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, le 5 septembre 1933. Les sionistes estimaient que les Juifs allemands étaient étrangers au monde germanique et qu’ils devaient s’installer sur l’antique terre d’Israël. En contre-partie, les nazis considéraient l’élément juif comme un corps étranger à la nation allemande. Chacun était prêt à faire un pas vers l’autre afin de parachever son idéal de pureté raciale à partir d’un territoire bien établi. C’est donc à partir de cet accord qu’une collaboration entre ces deux milieux a perduré jusqu’en avril 1941. C’est à cette date que l’Agence Juive de Berlin, plaque tournante du flux migratoire juif vers la Palestine, a été définitivement fermée. Cependant, comme j’ai pu le montrer dans mon livre, les discussions lançant cette entreprise n’ont pas été entamées par les nazis mais par la République de Weimar au cours de l’année 1932. 

Soleil Noir au château de Wewelsburg
Le Sabbat des Sorcières (1798) de Goya

Sabbat et Soleil Noir renvoient à Pan et à Saturne ; les cornes et anneaux caractisant ce « Lord of the Ring ».

6. Si le Christ est le premier adversaire à la fois des empires sioniste et nazi (et de tout autre…) cela n’invalide t’il pas la thèse d’un Hitler animé par une foi chrétienne ?

Avant même de citer Hitler, il faut rappeler le point suivant. Les carnets complets de Theodor Herzl, fondateur du sionisme, sont très clairs à ce sujet. Il n’y a qu’un seul ennemi pour ce milieu : le catholicisme. Il n’y pas une seule remarque négative contre l’islam, le bouddhisme et même le protestantisme. Au cours d’une discussion avec l’ambassadeur ottoman à Vienne, Mahmud Nedim, ce dernier rappela à Herzl que les Juifs et les musulmans étaient en accord sur un point essentiel en matière religieuse : « Nous ne reconnaissons pas le Christ comme le Fils de Dieu. » Pour le judaïsme talmudo-kabbalistique rebelle à l’Incarnation, la préservation du sang juif se doit d’être maintenu dans le cadre d’une lignée messianique attendue et espérée depuis 2000 ans. Le nazisme, ce « Reich de 1000 ans », était lui aussi adepte d’une vue totalement anti-chrétienne. Ce fait fut dénoncé avec l’encyclique Mit brennender Sorge en 1937. Rédigée exceptionnellement en allemand et non en latin sous l’égide du futur Pie XII, le cardinal Pacelli, cette encyclique soulignait le caractère violemment anti-catholique de cette idéologie. Précisons que la vie d’Adolf Hitler était aux antipodes du catholicisme. Il n’allais pas à la messe et ne communiait pas. Vivant en concubinage avec Eva Braun pour finalement se suicider, son mode de vie était à l’opposé des préceptes de l’Église. Comme chef d’État chrétien, nous préférons l’Équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875). Afin de mieux saisir le caractère anti-chrétien du nazisme, nous présentons les passages clefs de cette encyclique condamnant le national-socialisme sans le citer … pour des raisons propres à la diplomatie vaticane dans le contexte tendu de cette époque. Nous avons mis en gras [surligné] des passages que nous jugeons importants :

« C’est avec une vive inquiétude et un étonnement croissant que, depuis longtemps, Nous suivons des yeux les douloureuses épreuves de l’Église et les vexations de plus en plus graves dont souffrent ceux et celles qui lui restent fidèles (…). Cette inquiétude n’a pas été diminuée par ce que les représentants du vénérable Épiscopat (…) Nous ont fait connaître. (…) Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat [conclu le 20 juillet 1933], que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, (…) Nous étions guidé par le souci que Notre devoir Nous impose d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église (…). Si l’arbre de la paix, planté par Nous en toute pureté d’intention dans la terre allemande, n’a pas produit les fruits (…) que Nous désirions ardemment, personne au monde,(…) ne pourra dire aujourd’hui que la faute en est à l’Église ou à son ChefLes expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière ; elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination (…), l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église. Eux, et eux seuls, avec leurs silencieux ou leurs bruyants complices, sont aujourd’hui responsables si, au lieu de l’arc-en-ciel de la paix, c’est l’orage des funestes luttes religieuses qui se montre à l’horizon de l’Allemagne. [concernant la politique du IIIè Reich à l’égard du Concordat de 1933] (…) une interprétation qui faussait le contrat ou le détournait de son but, ou le vidait de son contenu et aboutissait finalement à sa violation plus ou moins officielle, devint la loi inavouée (…). Aujourd’hui encore, où la lutte ouverte contre l’école confessionnelle, protégée par le Concordat, où la suppression du libre suffrage à ceux des catholiques qui ont le droit de veiller à l’éducation de la jeunesse, manifestent sur un terrain essentiel de la vie de l’Église la gravité impressionnante de la situation et l’angoisse sans exemple des consciences chrétiennes (…). Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu n’est pas de ceux qui croient en Dieu (…). Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ‒ toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable ‒ quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu (…). Prenez garde, (…), à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens (…).

Swastika et Etoile de David s’entrelaçaient déjà dans la synagogue de Capharnaüm.

Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu (…) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race. (…) Nous remercions vos prêtres et tous vos fidèles, qui, dans la défense des droits de la Divine Majesté contre un nouveau paganisme agressif et favorisé, hélas, de bien des matières par des hommes influents, ont rempli et continuent à remplir leur devoir de chrétien(…)Personne ne peut donc dire : je crois en Dieu, cela me suffit en fait de religion (…). [Ne pas mépriser et ne pas rejeter l’Ancien Testament et les Hébreux, peuple élu à l’origine, même s’il est devenu déicide, selon la Tradition de l’Église, par la suite] Dieu a parlé à nos pères par les prophètes. (…)Les Livres sacrés de l’Ancien Testament sont entièrement Parole de Dieu et forment une partie substantielle de Sa Révélation. (…) Ils nous décrivent aussi le peuple choisi (ndla : le peuple hébreu), porteur de la Révélation et de la Promesse, s’égarant sans cesse loin de son Dieu pour se tourner vers le monde. (…) C’est précisément sur ce fond souvent obscur que ressort dans de plus frappantes perspectives la pédagogie de salut de l’Éternel, tour à tour avertissant, admonestant, frappant, relevant et béatifiant ses élus. Seuls l’aveuglement et l’orgueil peuvent fermer les yeux devant les trésors d’enseignement sauveur que recèle l’Ancien Testament. (…) Cette Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires  »révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race. (…) Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église. Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État aujourd’hui. Par des mesures de contraintes cachées ou apparentes, (…) l’attachement des catholiques à leur foi (…) est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine. (…) Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christviennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ (…). [Concernant la grâce] Rejeter cette élévation gratuite et surnaturelle au nom d’un prétendu caractère allemand, est une erreur : c’est combattre ouvertement une vérité fondamentale du christianisme. (…) Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions  que donne la foi en Dieu et au Christ. [Concernant la famille et la jeunesse] Si l’État fonde une jeunesse nationale, cette organisation obligatoire doit être ouverte à tous, et c’est alors ‒ sans préjudice des droits des associations religieuses ‒ pour les jeunes gens eux-mêmes et pour les parents qui en répondent devant Dieu, un droit incontestable et inaliénable d’exiger que cette organisation d’État soit purgée de toutes les manifestations d’un esprit ennemi du christianisme et de l’Église, manifestations qui, tout récemment encore et aujourd’hui même, mettent la conscience des parents chrétiens dans une insoluble alternative, puisqu’ils ne peuvent pas donner à l’État ce qu’il exige qu’en dérobant à Dieu ce qui est à Dieu. (…) Et plus les ennemis s’efforcent de déguiser sous de beaux semblants leurs sombres desseins, plus il y a lieu d’y opposer une méfiance vigilante, une vigilance provoquée à la méfiance par une expérience trop amère. (…) Nous avons pesé chacun des mots de Cette lettre à la balance de la vérité (…). »

7. Sionisme et Mondialisme L-8 clôt la trilogie commencée en 2017 par Atlas du Mondialisme L-6 et poursuivie en 2019 par Archives du Mondialisme L-7. En quoi, ces trois livres forment-ils un ensemble ?

Ces trois ouvrages se complètent de la manière suivante. Atlas du Mondialisme L-6 avait pour objectif de présenter des points essentiels de géopolitique comme la construction européenne ou encore l’évolution politique des États-Unis dans le cadre du mondialisme parallèlement à la mise en place d’institutions pour parachever la gouvernance mondiale. Cependant, afin de bien saisir l’esprit du mondialisme, j’ai étudié le messianisme juif, ses caractéristiques et ses différents avatars (Shimon Bar Kokhba, Sabbataï TseviJacob Frank, …). La compréhension de ce milieu déchiré en interne par des factions rivales est absolument indispensable à cerner. Par exemple, il est absolument capital de comprendre les préceptes du rabbin Isaac Louria du XVIè siècle et son impact sur certaines communautés judaïques d’essence messianique. Dans le deuxième volume, Archives du Mondialisme L-7, j’ai traité de l’importance de l’Ancien Testament à ne pas rejeter comme le font de nombreuses personnes mêmes chrétiennes. En effet, le fil directeur de ces textes, qu’ils soient, selon les convictions de chacun, d’inspiration divine ou non, est d’annoncer l’Incarnation en la personne du Christ dans le cadre d’un monde païen âpre et dure. Or la non-reconnaissance de celui-ci par les Juifs a conduit ces derniers à élaborer un nouveau judaïsme violemment anti-catholique entre 100 et 500 ap. J-C, le Talmud, code civil et religieux de la synagogue rebelle. C’est ce milieu hostile qui a irrigué les bouleversements spirituels et politiques en Europe voulant mettre à bas la Révélation. C’est d’ailleurs ce que j’ai pu prouver, toujours dans ce livre, avec l’influence du milieu talmudo-kabbalistique dans la Révolution de 1789 conduisant, par la suite, aux préparatifs menant à l’émergence du sionisme ; c’est-à-dire à la volonté de créer un foyer juif en Palestine prélude à la création de l’État juif. C’est justement cette recherche qui m’a poussé à la rédaction du troisième tome Sionisme et Mondialisme L-8. J’ai eu la chance de mettre la main sur les carnets complets de Theodor Herzl mais aussi sur de nombreuses pièces d’archives expliquant les relations entre nazis et sionistes à partir d’un accord conclu entre ces deux mondes, l’accord de la Haavara. Il m’a été possible de prouver qu’une entente, certes souvent tendue, s’est concrétisée permettant de former environ 80 000 Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles et artisanales dans 42 camps en Allemagne pour les expédier ensuite vers la Palestine sous mandat britannique. Ces Juifs germanophones formés ont constitué le substrat de la toute jeune économie israélienne à la création du pays en 1948.

8. Par ailleurs, tu es très sollicité pour écrire des préfaces de livres s’opposant au mondialisme avec des angles différents. Quelle en serait l’origine commune ?

Effectivement, j’ai eu l’occasion d’écrire de multiples préfaces pour des livres apparemment divers : L’Esprit Révolutionnaire Juif P-9 de Michael Jones, Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine P-1 de Carroll Quigley, Le Réseau Rampolla P-5 d’Henri Barbier, La République Universelle du Genre Humain P-8 d’Anacharsis Cloots, De la Salette à Diana Vaughan P-4 de Paul-Étienne Pierrecourt, Le Nouvel Ordre Mondial P-3 de H. G. Wells ou encore Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville P-10. Les sujets traités par ces livres sont variés. Néanmoins, par des chemins différents, ces ouvrages révèlent que la finalité du sujet traité consiste à aboutir à la mise à mort de la Révélation directement ou par étape. Comme je l’ai déjà indiqué, pour cerner un sujet, il faut toujours saisir le fil directeur à partir d’une masse de documents. L’Incarnation annoncée dans la Bible hébraïque, avec ses conséquences spirituelles et temporelles, représente le point incontournable de la haine talmudo-kabbalistique depuis 2000 ans. Dans cette révolte, on relève cette volonté d’établir une gouvernance mondiale régie par une élite opposée à la Révélation régentant une humanité soumise aux directives du Temple rénové.

9. Justement, cette mystique mondialiste se retrouvant dans le noachisme, le sabbatéo-frankisme ou la gnose est protéiforme. A quels indices peut-on la reconnaître ?

Tout d’abord, s’il fallait résumer la finalité de la mystique mondialiste, nous dirions, en nous référant au spécialiste israélien Gershom Scholem, qu’il s’agit de faire du peuple juif, le peuple prêtre, intermédiaire unique entre le Dieu un et le reste de l’humanité non-juive régie par les lois noachides, cette dernière se trouvant comme simple prosélyte de la Porte au seuil du Temple rétabli pour la plus grande gloire d’Israël. La compréhension du noachisme pour les non-Juifs est essentielle. Nous en avons l’explication dans le livre du rabbin Élie BenamozeghIsraël et l’Humanité, dont j’ai synthétisé les propos dans Atlas du Mondialisme L-6. Régi par sept lois, le noachisme a pour but essentiel de détruire trois points clefs : l’Incarnation, la Sainte Trinité et le sacerdoce catholique.

« Un Maçon est obligé, de par sa Tenure, d’observer la Loi morale, en tant que vrai noachite… »

Article Premier des Constitutions d’Anderson de 1738

Les outils qui rendent possible cet « idéal » se trouvent dans l’esprit de la gnose issue du monde antique (Égypte, Mésopotamie, …) sublimant l’idée que l’homme, parcelle du divin, peut par sa seule intelligence et sa volonté rejoindre ce même divin. Cette gnose, reposant sur la magie et l’évocation des esprits, avait été déjà condamné par le prophète Isaïe (Is. VIII, 19 dans la Bible Hébraïque) sous l’appellation « oboth » et « Iidonime ». Le phénomène est donc ancien. Dès le début de l’ère chrétienne, nous relevons la présence de ce courant cherchant à pervertir l’Église et son enseignement. En effet, sous le règne du pape saint Pierre, Simon le Magicien se présenta à lui pour connaître ses « pouvoirs magiques » moyennant une rétribution financière d’où le mot simonie. Rabroué par l’apôtre, il se convertit faussement au catholicisme afin d’en découvrir les secrets et subvertir la toute jeune Église. Historiquement, nous avons affaire au premier marrane (Juif faussement converti). Par la suite, nous observons une pléthore d’hérésies (arianisme, catharisme, bogomiles, hussisme, protestantisme etc) qui, toutes, reposaient sur des principes remettant en cause les dogmes catholiques pour se rapprocher peu ou prou de l’idéal opposé de la synagogue aveugle. En s’intéressant aux causes profondes de ces mouvements, nous retrouvons toujours par des chemins détournés l’influence du monde juif talmudo-kabbalistique comme c’est le cas avec les cathares acquis au principe du Dieu bon et du Dieu mauvais (le démiurge) et à la migration des âmes ou gilgoul dans le langage kabbalistique. Le siège de la Kabbale au XIIè siècle était, comme par hasard, situé dans le sud de la France. Nous pouvons relever aussi Pic de la Mirandole, auteur de l’ouvrage Neuf Cents Conclusions, qui fut condamné par les autorités de l’Église en 1487 car ses travaux mettaient « la magie et la Kabbale au-dessus des Évangiles »Comme par hasard, Pic de la Mirandole était très lié aux milieux ésotériques, en particulier à un Juif sicilien faussement converti et devenu prêtre qui s’appelait Abu’l Faradj. Par la suite, nous pouvons relever dans ces multiples influences l’expression « Être suprême », terme cher à la Kabbale pour désigner un Dieu infini, dont nous retrouvons l’emploi dans le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1789. Signalons l’existence d’un livre au titre à peine provocateur de l’universitaire juif américain Yuri Slezkine qui, pour définir le XXè siècle, n’a pas hésité à le nommer « Le siècle juif ». Il n’a pas tort.

« Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des états-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. »

 Connaissez-vous le noachisme ? – Pierre Hillard

« 1920 – Before the Storm » de Jakub Różalski
10. Merci pour cet entretien. Dernière question quant à l’actualité. Penses-tu que la dictature sanitaire qui vient n’est-elle pas, par ses excès, une fantastique opportunité de réveiller les peuples avant le « Grand Reset ».

Il est vrai que de nombreuses personnes sentent que quelque chose ne va pas. L’instinct de survie se fait sentir et, peu importe l’origine sociale et le niveau d’étude, certains commencent à se poser les vraies questions. Cependant, je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage d’autant plus que des millions d’extra-Européens ne bénéficiant plus des allocations et autres subsides financiers sauront montrer un vif ressentiment à l’égard du pays d’accueil. Le peuple français est pris en étau entre un système politique, la République d’essence talmudo-kabbalistique, et la présence sur son sol de populations allogènes désireuses de conserver leur propre culture. Tout cela se terminera en guerre totale. Les civilisations sont mortelles. Concernant la France, espérons que la Providence saura faire surgir le chef capable de rétablir une civilisation française née du baptême de Clovis. Mais en attendant, que de souffrances en perspectives !

L’élite nous avait pourtant prévenu lors de la cérémonie des Jeux Olympiques de Londres de 2012 : masques, virus, 5G et enfants malades…
[NOTES]

1 – Cf. https://www.uclg.org/fr/centenaire.

2 – Cf. Christine Lagarde, patronne du FMI, annonce-t-elle en 2014 la venue du Grand Reset pour 2021 ?

3 – Cf. http://transitionintegrityproject.net.

4 – Sources composant la vidéo :
1) Nouvel Ordre Mondial -Pierre Hillard sur Fréquence Evasion ;
2) Intervention de Pierre Hillard – La France à l’épreuve de l’Union Européenne (pour en savoir ;
3) Conférence Pierre Hillard et Piero San Giorgio – Comprendre le Mondialisme et y survivre 2/2 ;
4) Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme… origines, découvertes et terrifiantes perspectives ;
5) Songbird | Official Trailer [HD] | Coming Soon.
Cf. articles sur COVID-1984 et précisions complémentaires sur Golden Dawn.

LIVRES DE PIERRE HILLARD

1 – Minorités et Régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (2001) – Editions François-Xavier de Guibert

2 – La Décomposition des Nations Européennes: de l’Union Euro-Atlantique à l’État Mondial (2005) – Editions François-Xavier de Guibert

3 – La Marche Irrésistible du Nouvel Ordre Mondial : Destination Babel (2007) – Editions François-Xavier de Guibert

4 – La Fondation Bertelsmann et la Gouvernance Mondiale (2009) – Editions François-Xavier de Guibert

5 – Chroniques du Mondialisme (2014) – Editions Culture & Racines

6 – Atlas du Mondialisme (2017) – Editions Culture & Racines

7 – Archives du Mondialisme (2019) – Editions Nouvelle Terre

8 – Sionisme et Mondialisme (2020) – Editions Nouvelle Terre

LIVRES PRÉFACÉS PAR PIERRE HILLARD

1 – Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine de Carroll Quigley (2015) – Editions Culture & Racines

2 – La Guerre Secrète Contre les Peuples de Claire Severac (2015) – Editions Kontre Kulture

3 – Le Nouvel Ordre Mondial d’H.G. Wells (2018) – Editions du Rubicon

4 – De la Salette à Diana Vaughan de Paul-Étienne Pierrecourt (2018) – Editions Saint-Rémi

5 – Le Réseau Rampolla d’Henri Barbier (2018) – Editions Saint-Rémi

6 – De la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ à la Passion de l’Église de Louis-Hubert Remy (2018) – Editions ACRF

7 – Le Monde Occulte des Comic Book de DC Comics à Marvel de Jérémy Lehut (2019) – Editions Omnia Veritas

8 – La République Universelle du Genre Humain d’Anacharsis Cloots (2019) – Editions Omnia Veritas

9 – L’Esprit Révolutionnaire Juif d’Eugene Michael Jones (2019) – Editions Saint-Rémi

10 – Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville (2020) – Editions du Verbe Haut




Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste

[Source : Leviathan]

Traduction de l’article “Klaus Schwab and his great fascist reset”, par Winter Oak

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecterait nos corps avec les nanotechnologies et dans lequel la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et pour l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation ».

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du XXIe siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base : de remodeler l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens manifestement autoritaires.

Ce nouveau fascisme est aujourd’hui avancé sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

La fusion de l’État et des entreprises était au centre du projet fasciste original, en Italie et en Allemagne.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des affaires et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme consistait à utiliser l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite riche.

Schwab poursuivait cette approche dans un contexte dénazifié d’après-guerre, lorsqu’en 1971 il fonda le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il faisait la promotion de son idéologie du capitalisme stakeholder (un capitalisme des intéressés ou des parties prenantes) dans lequel les entreprises étaient amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement.

Le capitalisme stakeholder est décrit par le magazine d’affaires Forbes comme « l’idée qu’une entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de toutes ses stakeholders : clients, employés, partenaires, la communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie, simplement, que les entreprises puissent « continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de stakeholder est encore plus néfaste, rejetant toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, en faveur du gouvernement par le business.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne en génie mécanique), où son utilisation du terme stakeholders a effectivement redéfini les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres des communautés, mais en tant que participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était « d’assurer la croissance et la prospérité à long terme » de cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum comme Le Forum Économique Mondial ou World Economic Forum.

Le FEM/WEF se décrit sur son propre site Web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé » et ses admirateurs décrivent comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres dirigeants de la société pour “définir, discuter et faire avancer les questions clés sur l’agenda mondial” ».

Les « partenariats » que crée le WEF visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus non élus triés sur le volet, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais de lui imposer la domination du 1% avec aussi peu d’interférence que possible de la part de nous autres.

Dans les livres qu’écrit Schwab pour le grand public, il s’exprime dans les clichés hypocrites du marketing et de l’écoblanchiment.

Les mêmes termes creux se répètent en boucle. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des stakeholders et de la répartition des avantages » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous à « un avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière ces fanfaronnades, la véritable motivation qui anime son capitalisme stakeholder, qu’il promouvait toujours sans relâche à la conférence de Davos du WEF en 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son livre de 2016, The Fourth Industrial Revolution, Schwab écrit sur l’ubérisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, en particulier les start-ups à croissance rapide dans l’économie numérique : « Puisque les plates-formes “human cloud” classent les travailleurs comme indépendants, ils sont – pour le moment – libres de l’obligation de payer le salaire minimum, les impôts des employeurs et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude envers les personnes qui approchent de la fin de leur vie professionnelle et qui ont besoin d’un repos bien mérité : « Le vieillissement est un défi économique car à moins que l’âge de la retraite ne soit considérablement augmenté pour que les membres plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage des personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde est réduit aux défis économiques, aux impératifs économiques et aux avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies destinées à nous exploiter et à nous contrôler et Schwab joue là-dessus lorsqu’il déclare que

« la quatrième révolution industrielle [4eRI] représente une source importante d’espoir pour accompagner la montée en puissance du développement humain qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme :

« Bien que cela puisse ne pas sembler capital pour ceux d’entre nous qui vivent quotidiennement une série d’ajustements mineurs mais significatifs de la vie, ce n’est pas un changement mineur – la quatrième révolution industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, à égalité avec les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et encore une fois motivée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas neutre sur le plan idéologique, comme certains aiment le prétendre. Les technologies et les sociétés se façonnent, dit-il.

« Après tout, les technologies sont liées à la façon dont nous savons les choses, comment nous prenons des décisions et comment nous pensons à nous-mêmes et les uns aux autres. Ils sont liés à nos identités, nos visions du monde et nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course spatiale, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation “développée” repose implicitement sur l’adoption des technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui la sous-tendent, n’a jamais été une question de bien social mais uniquement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa quatrième révolution industrielle.

Il explique :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle sont vraiment perturbatrices – elles bouleversent les façons existantes de détecter, calculer, organiser, agir et fournir. Ils représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où la signification de « créer de la valeur » n’était pas claire, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employé qui travaille parmi nous, qui réduit les coûts et qui effectue des tâches qui impliquaient autrefois de vraies personnes » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus performants étend rapidement la productivité des employés – par exemple, en utilisant des robots de discussion pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) le support “live chat” pour les interactions avec les clients ». (9)

Dans The Fourth Industrial Revolution, Schwab nous précise en détail comment son “Meilleur des mondes” va réduire les coûts et augmenter les profits.

Il explique :

« Plus tôt que prévu, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les assureurs ou les bibliothécaires peut être partiellement ou totalement automatisé… »

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération de récits automatisés, prévoit qu’au milieu des années 2020, 90% des infos pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui alimente l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons ». (11)

Schwab est lyrique à propos de la quatrième révolution industrielle, qui, selon lui, est « différent de tout ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il clame :

« Considérez les possibilités illimitées d’avoir des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, des capacités de stockage et un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante de percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage d’énergie et l’informatique quantique, pour n’en nommer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations en sont à leurs balbutiements, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement alors qu’elles se renforcent et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique ». (13)

Il attend avec impatience plus d’éducation en ligne, qui impliquerait « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires ». (14) Schwab espère également voir des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et accessoires, les villes, les transports et les réseaux d’énergie » (15 ) et des villes intelligentes, avec leurs « plates-formes de données » essentielles. (16)

« Tout sera intelligent et connecté à Internet», dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « des capteurs câblés dans le bétail peuvent communiquer entre eux par un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il adore l’idée d’ « usines de cellules intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies du big data ». (19)

Celles-ci, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de nos vies personnelles.

« L’établissement de la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions sera vital », insiste Schwab. « Les préoccupations des citoyens concernant la vie privée et l’établissement de la responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements de réflexion ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette excitation technologique tourne uniquement autour du profit, ou de la « valeur », comme Schwab préfère l’appeler dans sa novlangue capitaliste du XXIe siècle.

Ainsi, la technologie blockchain sera formidable et provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie des registres distribués, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui peuvent rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

En général, l’intérêt de la 4eRI ​​pour l’élite dirigeante du business est qu’il « créera des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donnera naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer avec un état d’esprit coincé dans la troisième révolution industrielle ». (25)

Les technologies de la quatrième révolution industrielle, déployées par la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab : « Les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec un certain plaisir comment ces technologies « peuvent pénétrer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit :

« À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation augmentera pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il y a des moments où le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un avenir de science-fiction dans lequel « les voyages humains à longue distance et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et où « le prochain business model » pourrait donner à un consommateur la possibilité d’ « échanger l’accès à ses pensées contre l’option qui permet d’économiser du temps de taper une publication sur les réseaux sociaux par la seule pensée ». (31)

Parler de « tourisme spatial » sous le titre « la quatrième révolution industrielle et la dernière frontière » (32) est presque drôle, tout comme sa suggestion qu’un « monde plein de drones offre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde décrit dans les livres de Schwab, moins tout cela semble faire rire.

La vérité est que cette figure très influente, au centre du nouvel ordre mondial en cours de création, est un transhumaniste qui rêve de priver l’humanité d’une vie naturelle et de communautés saines.

Schwab répète ce message à maintes reprises, comme pour être sûr que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir mettra au défi notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle [4eRI] ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles feront partie de nous. En effet, certains d’entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront probablement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous deviendrons plus capables de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces développements soulèvent des questions profondes : où tracer la ligne entre l’homme et la machine ? Que signifie être humain ? » (37)

Une section entière de ce livre est consacré au thème « Modifier l’être humain ». Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit :

« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ». (39)

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure ». (40)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », (41) que « le Smart Dust [une poussière dite intelligente], des tableaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de la 4eRI de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau, suffit à rendre certains d’entre nous un peu malades, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la RV via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

Il est peu réconfortant d’apprendre que c’est tout – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste car cela « annonce de nouvelles industries et systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer dans la quatrième révolution industrielle des systèmes de valeur tout à fait inédits ». (45)

Et qu’en est-il de « la bio-impression des tissus organiques » (46) ou de la suggestion selon laquelle « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Objections éthiques ?

Tout cela est évidemment bon pour Schwab, qui est heureux d’annoncer : « Le jour où les vaches seront conçues pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles manquent, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier les génomes des porcs dans le but de cultiver des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Cela devient encore plus inquiétant. Depuis le sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans lequel Schwab est né, cette science a été jugée hors de propos par l’ humanité.

Mais maintenant, il pense manifestement que l’eugénisme est dû à un renouveau et il annonce à propos de l’édition génétique : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans I, Cyborg, le tristement fameux traité transhumaniste de 2002, Kevin Warwick prédit :

« Les humains pourront évoluer en exploitant la super-intelligence et les capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en se joignant à eux. Tout cela indique le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de “cyborgs”. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre état d’humain, qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais soyez averti – tout comme nous, les humains, nous nous sommes séparés de nos cousins ​​chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront effectivement les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine artificielle et « supérieure » se séparant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution : « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui oblige les êtres humains à s’adapter sans arrêt. En conséquence, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite plus haut. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens des mots. Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine radicale générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements au-delà de tout ce que nous avons vu auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une « grande transformation » en 2016 (52) et il est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de l’artifice, de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.

Mais, comme l’a révélé sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il est préoccupé par la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et par la manière d’avancer « si les technologies reçoivent beaucoup de résistance du public ». (54)

Les fiestas annuelles WEF de Schwab à Davos ont longtemps fait l’objet de manifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité que l’opposition à son projet se renouvelle et peut-être s’élargisse, avec le risque de « ressentiment, peur et répercussions politiques ». (55)

Dans son livre le plus récent, il fournit un contexte historique, notant que « l’anti-mondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins dans les années 1920, mais elle a repris dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression » . (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le contrecoup politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer » (57), affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue à travers le monde ces deux dernières années, citant les Gilets Jaunes en France parmi d’autres mouvements, et invoque le « sombre scénario » selon lequel « la même chose pourrait se reproduire ». (58)

Alors, comment un technocrate honnête est-il censé déployer son avenir choisi pour le monde sans l’accord du public mondial ? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous ?

Une solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable produite par les grandes médias et les intellectuels pour l’élite du 1% – ce qu’ils aiment appeler « un récit ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à sauter à bord de sa 4eRI express reflète la tragédie selon laquelle « le monde manque d’un récit cohérent, positif et commun qui décrit les opportunités et les défis de la quatrième révolution industrielle, un récit qui est essentiel si nous allons responsabiliser un ensemble diversifié d’individus et de communautés et éviter une réaction populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute : « Il est donc essentiel que nous investissions attention et énergie dans la coopération multipartite au-delà des frontières académiques, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des récits positifs, communs et pleins d’espoir, permettant aux individus et aux groupes de toutes les régions du monde de participer et de profiter des transformations en cours ». (60)

L’un de ces « récits » blanchit les raisons pour lesquelles la technologie de la 4eRI doit être installée partout dans le monde dès que possible.

Schwab se sent frustré que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – ne puisse toujours pas accéder à Internet », (61) 85% de la population des pays en développement restant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans le monde développé.

Le but réel de la 4eRI ​​est d’exploiter ces populations à des fins lucratives via le techno-impérialisme mondial, mais bien sûr cela ne peut pas être déclaré dans le « récit » de propagande nécessaire pour vendre le plan.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme le fait Schwab lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, l’opportunité et la liberté à toutes les stakeholders ». (62)

Il se présente pieusement comme le gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant :

« Penser inclusivement va au-delà de penser à la pauvreté ou aux communautés marginalisées simplement comme une aberration – quelque chose que nous pouvons résoudre. Cela nous oblige à nous rendre compte que “nos privilèges se situent sur la même carte que leurs souffrances”. Il va au-delà du revenu et des droits, bien que ceux-ci restent importants. Au lieu de cela, l’inclusion des stakeholders et la répartition des avantages élargissent les libertés pour tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « récit » conçu pour inciter les citoyens bien pensants à soutenir un schéma capitaliste impérialiste, a été largement utilisée en ce qui concerne le changement climatique.

Schwab est, bien sûr, un grand fan de Greta Thunberg, qui s’était à peine levée du trottoir après sa manifestation solitaire à Stockholm avant d’être emmenée pour s’adresser au WEF à Davos.

Il soutient également le projet mondial d’un Nouveau Deal pour la Nature, en particulier par Voice for the Planet, qui a été lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de jeunesse créée par Schwab en 2011 et bien décrite par la journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « une démonstration grotesque de malversations d’entreprise déguisées en bonnes actions ».

Dans son livre de 2020, Schwab décrit en fait la manière dont le faux « militantisme des jeunes » est utilisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une franchise remarquable :

« Le militantisme des jeunes augmente dans le monde entier, étant révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation à un point qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’il sera le catalyseur du changement et une source d’élan très importante pour la grande réinitialisation ». (64)

En fait, bien sûr, l’avenir ultra-industriel proposé par Schwab est autre chose que vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à investir dans les marchés verts et sociaux ». (65)

La pollution génère du profit et la crise environnementale n’est qu’une autre opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution : « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone se transforme d’un polluant à effet de serre en un actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone – un puits de pollution coûteux – implique plutôt des installations rentables de captage du carbone et d’utilisation-production. Plus important encore, il aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à devenir plus conscients et à s’engager dans des stratégies de régénération active du capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et permettre à la biodiversité de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages déchirants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel empirent la situation.

La géo-ingénierie est l’un de ses favoris : « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’ensemencement chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Et il ajoute : « De nouvelles approches sont actuellement imaginées à travers la combinaison des technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que les nanoparticules et d’autres matériaux avancés ». (68)

Comme toutes les entreprises et ONG pro-capitalistes qui soutiennent le Nouveau Deal pour la nature, Schwab est totalement et profondément non vert.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’énergie « propre » et « durable » comprend la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter plus de 4 milliards de personnes toujours en manque d’accès en ligne ». (70)

Schwab regrette également toutes les formalités administratives qui empêchent la marche en avant sans entrave des aliments génétiquement modifiés, nous avertissant que :

« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte, cependant, que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que l’édition génique offre une méthode précise, efficace et sûre d’amélioration des cultures ». (71)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab s’étendra au monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le répète à plusieurs reprises.

Son avenir préféré « ne se réalisera que grâce à une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une certaine forme de gouvernance mondiale efficace » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un éventuel « déficit d’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant improbablement que l’Organisation mondiale de la santé « est accablée de ressources limitées et en baisse ». (75)

Ce qu’il raconte en réalité, c’est que sa société de 4eRI / Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle s’impose simultanément partout sur la planète, sinon « nous deviendrons paralysés dans nos tentatives pour relever et répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet : « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres questions ». (77)

Cet empire englobant fronce beaucoup les sourcils à l’idée que des populations particulières décident démocratiquement de prendre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui expose ces nations au risque de devenir les retardataires de la nouvelle économie numérique » (78), prévient Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance populaire est considéré comme une menace du point de vue impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4eRI.

Il écrit :

« Les individus identifiaient le plus étroitement leur vie avec un lieu, un groupe ethnique, une culture particulière ou même une langue. L’avènement de l’engagement en ligne et une plus grande exposition aux idées d’autres cultures signifie que les identités sont désormais plus interchangeables qu’auparavant… Grâce à la combinaison de modèles de migration historiques et d’une connectivité à faible coût, les structures familiales sont redéfinies ». (79)

La vraie démocratie tombe essentiellement dans la même catégorie pour Schwab. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas volontiers des plans visant à détruire leur vie et à les asservir à un système mondial d’exploitation techno-fasciste, alors leur donner leur mot à dire n’est tout simplement pas une option.

C’est pourquoi le concept du stakeholder a été si important pour le projet de Schwab. Comme discuté ci-dessus, il s’agit de la négation de la démocratie, qui propose plutôt de « tendre la main à tous les groupes de parties prenantes pour trouver des solutions ». (80)

Si le public, le peuple, est inclus dans ce processus, ce n’est qu’à un niveau superficiel. L’ordre du jour a déjà été pré-supposé et les décisions pré-prises dans les coulisses.

Schwab l’admet effectivement lorsqu’il écrit : « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les stakeholders pour assurer une compréhension mutuelle qui renforce davantage une culture de confiance entre les régulateurs, les organisations non gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer au façonnement démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être considéré, après coup. Pas même directement consulté, juste « pris en compte » ! Et le rôle du peuple, le demos, sera simplement de « participer » au « façonnement » des développements biotechnologiques. La possibilité pour le public de rejeter l’idée même des développements biotechnologiques a été entièrement supprimée grâce à la formule des stakeholders et ses suppositions délibérément intégrées.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de son livre Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution : « Ce que vous pouvez faire pour façonner la quatrième révolution industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être contestée ou arrêtée, simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme anglais « systems leadership » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont le 1% nous impose à tous son programme, sans nous donner la chance de dire « non ».

Il écrit : « Le systems leadership consiste à cultiver une vision partagée du changement – en travaillant avec toutes les stakeholders de la société mondiale – puis à agir en conséquence pour changer la manière dont le système offre ses avantages, et à qui. Le systems leadership nécessite une action de toutes les stakeholders, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant à spectre complet de « système de gestion de l’existence humaine » (84), bien que d’autres préfèrent le terme « totalitarisme ».

L’une des caractéristiques distinctives du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience face aux contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » en langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela a dû être balayé pour permettre un Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons le même esprit resurgir dans les appels de Schwab à une « gouvernance agile » dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent les cycles et processus d’élaboration des politiques précédents inadéquats ». (85)

Il écrit : « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à égaler l’agilité, la fluidité, la flexibilité et l’adaptabilité des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » met vraiment à nu ses idées. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées de manière à s’adapter aux exigences du capitalisme et de ses technologies à but lucratif.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de soi-disant laboratoires de politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite d’expérimenter de nouvelles méthodes d’élaboration de politiques en utilisant des principes agiles » – et « d’encourager les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des “bacs à sable de développement” et des “bancs d’essai expérimentaux” pour élaborer des réglementations utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire progresser les objectifs capitalistes et non de les soumettre à une quelconque forme de contrôle. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État pour permettre une prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins attaché à sa fonction de régulation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans des mains privées, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab discute du problème des réglementations embêtantes et de la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la confidentialité.

Il propose « des accords de partage de données public-privé qui “brisent la vitre en cas d’urgence”. Ceux-ci ne se réalisent que dans des circonstances d’urgence préalablement convenues (comme une pandémie) et peuvent aider à réduire les retards et à améliorer la coordination des premiers intervenants, permettant temporairement le partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu effectivement une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence préalablement convenues » sont devenues une réalité.

Cela n’aurait pas dû être trop surprenant pour Schwab, puisque son Forum avait co-organisé en octobre 2019 la tristement célèbre conférence Event 201, qui a modélisé une pandémie de coronavirus fictive.

Et il n’a pas perdu de temps à sortir un nouveau livre, Covid-19 : The Great Reset, co-écrit avec Thierry Malleret, qui dirige quelque chose qui s’appelle The Monthly Barometer, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs et faiseurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et devrait peut-être ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes » . (92)

Ils continuent : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’excuse d’un changement social sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » !

Et bien qu’ils déclarent explicitement que Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs utilisent à plusieurs reprises le même terme pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret placent Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale :

« La Seconde Guerre mondiale a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre mondial et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux en ce qui concerne les politiques et les dispositions du contrat social (comme les femmes qui rejoignent le marché du travail avant de devenir électrices). Il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons plus en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables ». (94)

Ils se joignent également à de nombreux « complotistes » contemporains pour faire une comparaison directe entre Covid-19 et le 11 septembre : « C’est ce qui s’est passé après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité comme l’utilisation généralisées de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des arrivées et des départs de salariés ou de visiteurs sont devenu la norme. A l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme “normales” ». (95)

Lorsqu’un tyran déclare le droit de régner sans tenir compte du point de vue de la population, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement en droit de le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la grande tyrannie de Schwab, alimentée par Covid, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant : « certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir prendre avantage du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus larges. En effet, ils feront “bon usage” de la pandémie en ne laissant pas la crise se gâter ». (96)

L’élite dirigeante du capitalisme mondial a certainement fait de son mieux pour « profiter du choc infligé par la panique », nous assurant depuis les tout premiers jours de l’épidémie que, pour une raison insondable, rien dans nos vies ne pouvait rester pareil.

Schwab et Malleret sont, inévitablement, enthousiastes dans leur utilisation du cadrage New Normal, bien qu’ils admettent que le virus n’a jamais été que « bénigne ».

« C’est notre moment décisif », pavoisent-ils. « Beaucoup de choses changeront à jamais ». « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent :

« Des changements radicaux d’une telle ampleur sont à venir que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » (BC) et « après le coronavirus » (AC). Nous continuerons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements – à mesure qu’ils s’amalgament, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront une “nouvelle normalité” radicalement différente de celle que nous abandonnerons progressivement. Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler seront brisées au cours du processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait de « nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prévoyait : « L’échelle de la révolution technologique en cours entraînera des changements économiques, sociaux et culturels d’une telle ampleur phénoménale qu’ils sont presque impossibles à envisager ». (101)

Une manière dont il avait espéré que son programme technocratique serait avancé était, comme nous l’avons noté, par les fausses « solutions » au changement climatique proposées par de faux verts capitalistes.

Sous le titre « réinitialisation de l’environnement », Schwab et Malleret déclarent : « À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins ​​éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatiques et virales ont été utilisées par le WEF et leurs semblables pour faire avancer leur programme de gouvernance mondiale. Comme l’ont dit Schwab et son co-auteur, « ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la façon dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) impliquent des profits massifs pour, en grande partie, les mêmes secteurs du big business.

Covid-19 a évidemment été une excellente nouvelle pour les capitalistes qui espéraient tirer profit de la destruction de l’environnement. Schwab et Malleret écrivent : « La conviction que les stratégies ESG [Environmental, Social and Corporate Governance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du soi-disant « secteur de la durabilité » se frottent les mains avec joie à la perspective de tout l’argent qu’ils ont à gagner grâce à la grande réinitialisation fasciste prétextée par Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leur rapacité hypocrite.

Remarque Schwab et Malleret : « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum économique mondial estime que la construction d’une économie favorable à la nature pourrait représenter plus de 10 000 milliards de dollars par an d’ici à 2030… La réinitialisation de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Compte tenu de l’imbrication des crises climatique et de Covid énoncées par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation de la nouvelle normalité sur le dos de la crise climatique.

Mais, manifestement, toute cette publicité pour Greta Thunberg et Extinction Rebellion (mouvement soutenu par les grandes entreprises) n’a pas suscité suffisamment de panique publique pour justifier de telles mesures.

Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer et de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux.

« Cette différence cruciale entre l’horizon temporel respectif d’une pandémie et celui du changement climatique et de la perte de la nature signifie qu’un risque de pandémie nécessite une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la perte de la nature nécessitent également une action immédiate, mais le résultat (ou “récompense future”, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils veulent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent : « Il est clair que la pandémie approfondit et accélère des tendances géopolitiques qui étaient déjà apparentes avant que la crise n’éclate ». (109)

« La pandémie marquera un tournant, en accélérant cette transition. Il a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils peuvent à peine cacher leur joie face à la direction que prend désormais la société :

« La pandémie accélérera encore plus l’innovation : elle catalyse les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et elle “suralimente” toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la “transformation numérique” à laquelle tant d’analystes se réfèrent depuis des années, sans savoir exactement ce qu’elle voulait dire, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur du confinement sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente. »

« En avril 2020, plusieurs leaders technologiques ont observé à quelle vitesse et de quelle manière radicale les besoins créés par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois à peine, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption de la technologie, avaient progressé rapidement de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit évidemment à Klaus Schwab, car cette crise de Covid-19 a heureusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects de l’agenda qu’il a promu au fil des décennies.

Ainsi, Malleret et lui rapportent avec satisfaction que « la pandémie accélérera l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements à travers le monde ont, il va sans dire, fourni un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent :

« Les consommateurs ont besoin de produits et s’ils ne peuvent pas acheter, ils auront inévitablement recours à les acheter en ligne. Au fur et à mesure que cette habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais acheté en ligne auparavant seront à l’aise de le faire, tandis que les personnes qui étaient des acheteurs en ligne à temps partiel auparavant en deviendront plus dépendants. Cela a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché au total 250 000 travailleurs pour répondre à l’augmentation de la demande et ont construit une infrastructure massive pour les commandes en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du commerce en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient à l’époque pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent :

« Alors que de plus en plus de choses et de services nous sont apportés par nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises dans des secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront… Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnants” des confinements ». (115)

En corollaire, on pourrait suggérer que « ce n’est pas par hasard » que les gouvernements qui ont été capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des acteurs comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

La bonne nouvelle inspirée de Covid ne s’arrête jamais pour tous les secteurs d’activité qui devraient bénéficier de la quatrième répression industrielle.

« La pandémie peut s’avérer être une aubaine pour l’éducation en ligne », constatent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation beaucoup plus élevée pour les entreprises d’enseignement en ligne et plus de capital disponible pour les start-ups “ed-tech”… À l’été 2020 , la direction de la tendance semble claire : le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur envol :

« Pendant un certain temps, la distanciation sociale peut contraindre la pratique de certains sports, ce qui profitera à son tour à l’expansion toujours plus puis puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Il y a des nouvelles similaires du secteur bancaire : « Les interactions bancaires en ligne sont passées à 90% pendant la crise, contre 10%, sans baisse de qualité et augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré de Covid profite évidemment aux GAFAM, qui font d’énormes profits de la crise, comme les auteurs le disent :

« La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a battu record après record pendant les confinements, remontant même au-dessus des niveaux avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de si tôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises impliquées, qui n’ont plus à payer des êtres humains pour travailler pour elles. L’automatisation consiste, comme toujours, à réduire les coûts et donc à augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture fasciste de la Nouvelle Normalité offrira également des retombées lucratives à des secteurs d’activité particuliers, tels que l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie renforcera certainement notre attention sur l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher aux produits que nous achetons. Les plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront désapprouvés et peuvent même devenir une chose du passé ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique lié au profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent :

« Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. Après un certain temps, les préoccupations persistantes concernant le chômage technologique disparaîtront à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à minimiser les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre peur persistante et peut-être durable d’être infectée par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera ainsi la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à l’automatisation ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab a longtemps été frustré par toutes ces réglementations nuisibles qui empêchent les capitalistes de gagner autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise Covid a fourni l’excuse parfaite pour éliminer de grands pans de ces vieux obstacles à la prospérité et à la croissance.

La santé est un domaine dans lequel les formalités administratives fastidieuses sont abandonnées. Pourquoi un stakeholder sensé imaginerait-il qu’une obligation particulière de soin et de diligence devrait être autorisée à empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité particulier ?

Schwab et Malleret sont ravis de constater que la télémédecine « bénéficiera considérablement » de l’urgence Covid : « La nécessité de faire face à la pandémie par tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les agents de santé en leur permettant de travailler à distance) a éliminé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

L’abandon des réglementations est un phénomène général sous le régime mondial de la New Normal, comme le signalent Schwab et Malleret :

« À ce jour, les gouvernements ont souvent ralenti le rythme de l’adoption des nouvelles technologies en réfléchissant longuement à ce à quoi le meilleur cadre réglementaire devrait ressembler, mais, comme le montre maintenant l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire forcée par la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-global des réglementations qui avait auparavant entravé les progrès dans les domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de choix meilleur ou autre disponible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… De nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent :

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient que l’on est sans tabou ». (124)

« Sans tabou ». Ne vous y trompez pas : c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne sa prétention à la démocratie libérale et passe en mode complètement fasciste.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces derniers, sous-tend leur grande réinitialisation.

Des sommes d’argent phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bombées du 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent :

« En avril 2020, alors que la pandémie commençait à engloutir le monde, les gouvernements du globe avaient annoncé des programmes de relance s’élevant à plusieurs billions de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent : « Le COVID-19 a réécrit de nombreuses règles du jeu entre les secteurs public et privé. […] La plus grande intrusion bienveillante (ou non) des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra du pays et de l’industrie, prenant donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier alors que les gouvernements tentent d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique. »

« De plus en plus, des appels seront lancés au gouvernement pour qu’il agisse en tant que “payeur de dernier recours” pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destructions d’entreprises déclenchées par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du “jeu” de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son collègue se félicitent de la perspective que des pouvoirs étatiques accrus soient utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent :

« L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec la pandémie COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent :

« En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec différents degrés d’intensité, qu’il est dans l’intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître en permanence leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu rappelle encore une fois le langage fasciste, tout comme l’idée d’augmenter en permanence le rôle de l’État dans l’aide au secteur privé.

En effet, il vaut la peine de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui a répondu à la crise économique en 1931 en lançant un organisme spécial d’urgence, L’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il a déclaré que c’était « un moyen pour conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privée, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les animer ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la grande réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures policières qui ont été déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » de Covid.

La pure force brute qui ne se trouve jamais loin sous la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible quand il entre dans la phase fasciste et cela est très en évidence dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est déployé à maintes reprises dans le contexte de Covid-19. Parfois, c’est dans un contexte commercial, comme avec les déclarations selon lesquelles « le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique qui est maintenant là pour durer » ou que « la micro-réinitialisation obligera chaque entreprise de chaque secteur à expérimenter de nouvelles manières de faire des affaires, de travailler et de fonctionner ». (131)

Mais parfois elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables préfèrent nous représenter.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs auparavant réticents à s’appuyer trop lourdement sur les applications et services numériques ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain : regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en chair et en os, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller au gymnase, etc. »

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persistent, l’appui plutôt sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ». (132)

Dans un système fasciste, les individus ne se voient pas offrir le choix de se conformer ou non à ses demandes, comme Schwab et Malleret le disent clairement à propos de ce que l’on appelle la recherche des contacts :

« Aucune application volontaire de recherche des contacts ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc de ne pas divulguer des informations sur une éventuelle infection, des mouvements et des contacts), tout le monde sera affecté ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale qui aurait pu être utilisée pour imposer leur nouvelle norme :

« Alors que pour une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront aux politiques contraignantes en cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », qu’on nous impose, impliqueront bien entendu des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent :

« Le mouvement de l’entreprise sera vers une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les vaccins Covid en cours de préparation.

Schwab est profondément connecté à ce monde, allant jusqu’à tutoyer Bill Gates et ayant été décrit par Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble » .

On ne s’étonne donc pas qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu’ « un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible ». (136)

Il ajoute :

« Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». (137)

Les « anti-vaccins » rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous ceux qui sont engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative actionnaire, sa « gouvernance agile », son management totalitaire de l’existence humaine.

Mais comment envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation newnormaliste et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, mais s’est effondrée 988 ans avant l’objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en était ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à marcher, muselés et soumis, directement dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda ! Refuser leur récit ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme !

Klaus Schwab n’est pas un dieu, mais un être humain. Juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, sont peu nombreux. Leurs objectifs ne sont pas les objectifs de la grande majorité de l’humanité. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas le consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous le forcer sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification « d’urgence », nous n’allions jamais accepter leur plan déformé.

Ils ont peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons. Nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré.

Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons retirer notre liberté des mâchoires mortelles de la machine fasciste !

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Ibid.
8. Ibid.
9. Ibid.
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Ibid.
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
16. Ibid.
17. Ibid.
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
20. Ibid.
21. Ibid.
22. Ibid.
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
24. Ibid.
25. Ibid.
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
28. Ibid.
29. Ibid.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Ibid.
39. Ibid.
40. Ibid.
41. Ibid.
42. Ibid.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
48. Ibid.
49. Ibid.
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London : Century, 2002), p. 4. Lire aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
52. Ibid.
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
54. Ibid.
55. Ibid.
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19 : The Great Reset (Genève : WEF, 2020), e-book. Edition 1.0.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
60. Ibid.
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
62. Ibid.
63. Ibid.
64. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
65. Ibid.
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
68. Ibid.
69. Ibid.
70. Ibid.
71. Ibid.
72. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
73. Ibid.
74. Ibid.
75. Ibid.
76. Ibid.
77. Ibid.
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
79. Ibid.
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
81. Ibid.
82. Ibid.
83. Ibid.
84. Ibid.
85. Ibid.
86. Ibid.
87. Ibid.
88. Ibid.
89. Ibid.
90. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
91. Ibid.
92. Ibid.
93. Ibid.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Ibid.
97. Ibid.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
101. Ibid.
102. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
103. Ibid.
104. Ibid.
105. Ibid.
108. Ibid.
107. Ibid.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Ibid.
111. Ibid.
112. Ibid.
113. Ibid.
114. Ibid.
115. Ibid.
116. Ibid.
117. Ibid.
118. Ibid.
119. Ibid.
120. Ibid.
121. Ibid.
122. Ibid.
123. Ibid.
124. Ibid.
125. Ibid.
126. Ibid.
127. Ibid.
128. Ibid.
129. Ibid.
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris : Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
132. Ibid.
133. Ibid.
134. Ibid.
135. Ibid.
136. Ibid.
137. Ibid.


[Voir aussi :

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576
  • Le cerveau du “Grand Reset” suggère de “scanner les esprits” pour évaluer les risques avant d’autoriser à voyager
  • Tucker Carlson : Les élites insistent sur les confinements du Covid pour inaugurer le “Grand Reset”
  • Le NYTimes déclare que le “Grand Reset” est une “théorie du complot” le même jour où le Forum économique mondial le célèbre
  • John Kerry déclare qu’un “Grand Reset” est nécessaire pour stopper la montée du populisme
  • Donc, c’est quoi le “Grand Reset” ?
  • Great reset : c’est pour bientôt !




COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires

[Source : Guy Boulianne]

VEUILLEZ NOTER : Cet article s’adresse uniquement aux personnes qui ont l’esprit et les yeux ouverts, ou qui veulent les ouvrir rapidement. Il s’adresse aux personnes sans préjugé, ni a priori, et qui veulent faire évoluer leur conscience vers la libération et la lumière de la connaissance.


Transformation rituelle occulte et coronavirus : comment le port du masque, le lavage des mains, la « séparation sociale » et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires utilisés pour initier les gens à un nouvel ordre mondial

Steve Barwick
Steve Barwick, auteur du livre « The 4 Parts of God’s Plan » (Les 4 parties du plan de Dieu) et d’autres études bibliques approfondies.

[Par Steve Barwick] — Dans des études et commentaires précédents, j’ai documenté à maintes reprises le fait que nos dirigeants mondiaux sont aujourd’hui largement des occultistes (voir iciiciici et ici). Il en va de même pour les propriétaires de plusieurs des plus grandes entreprises et franchises sportives de notre pays (voir ici et ici). Même les célébrités poussent constamment l’occultisme (voir ici).

Et très franchement, de nombreuses églises chrétiennes ont été infiltrées par des pratiquants de la Kabbale, qui est un livre de mysticisme juif, de sorts magiques, d’enchantements, de numérologie artificielle et d’autres pratiques ésotériques et occultes que les rabbins orthodoxes utilisent au cours de leur vie quotidienne, et apprennent maintenant aux dirigeants chrétiens à l’utiliser également (voir ici).

Donc, avec tant de dirigeants de « haut niveau » du monde poussant l’occultisme — y compris les ennemis du Christ qui dirigent les quatre dynasties cachées de la politique, de l’éducation, de l’économie et de la religion — il ne devrait pas vous surprendre que toute la crise mondiale du coronavirus regorge de thèmes de symbologie occulte et d’initiation occulte rituelle.

En effet, comme vous le verrez dans la suite de ce commentaire, toute la crise du coronavirus manufacturée est un rituel géant et occulte du début à la fin, divisé en quatre mini-rituels, chacun avec le but occulte distinct d’initiation et de transformation du monde et ses habitants dans un Nouvel Ordre Mondial. Commençons donc par examiner les quatre rituels occultes distincts mais interdépendants qui composent cette énorme cérémonie mondiale d’initiation au rituel occulte :

• Port du masque rituel
• Lavage rituel des mains
• Rituel de « distanciation sociale »
• Verrous rituels

Au cours de l’examen de ces quatre rituels occultes, je ferai de mon mieux pour vous expliquer comment chacun fait partie d’une pièce de théâtre élaborée, conçue pour initier symboliquement les peuples de ce monde à leurs nouvelles positions dans un nouvel ordre mondial — un nouvel ordre qui rejette Jésus-Christ et le christianisme, et place les peuples de ce monde sous le contrôle ultime d’une élite mondiale dont le dieu est le diable lui-même.

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1. Le port rituel du masque

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi, dans Apocalypse verset 17:5, Babylone est appelée « Mystère, Babylone » ? Vous savez déjà que le mot “Babylone” signifie “confusion”. Mais que signifie le mot “mystère” ? Voici ce que la Strong’s Concordance [1] nous dit :

G3466 Musterion — À partir d’un dérivé du muo (pour fermer la bouche); un secret ou « mystère » (à travers l’idée du silence imposé par l’initiation aux rites religieux) – le mystère.

Ne négligez pas cela. Le mot « mystère » dans la Bible a à voir avec la fermeture de la bouche quand on subit une initiation religieuse secrète. Encore une fois, c’est : « l’idée du silence, imposée par l’ initiation aux rites religieux ». N’est-ce pas intéressant ?

Après tout, à l’heure actuelle, 30 pays, y compris les États-Unis, obligent désormais leurs citoyens à porter des masques faciaux sur leur bouche de manière obligatoire, apparemment pour aider à stopper les infections au coronavirus. Ceci, même si de nombreux experts médicaux, dont le Chirurgien général des États-Unis, ont déclaré ouvertement que le port de masques n’avait aucun effet bénéfique sur le coronavirus. De plus, de nombreux experts médicaux ont attesté que les masques faciaux peuvent même être dangereux pour la santé en ce qu’ils restreignent la pensée claire (et même la conscience) en piégeant le dioxyde de carbone dans la chambre du masque, vous forçant à le respirer à nouveau. encore et encore, épuisant ainsi votre sang d’air frais et le composant oxygène vital qu’il contient.

Alors pourquoi les pouvoirs en place, à l’échelle mondiale, obligent-ils leurs citoyens à porter ces masques, si les masques ne fonctionnent tout simplement pas contre le coronavirus et pourraient très bien être dangereux pour votre santé ? La réponse pourrait vous surprendre : Le masquage a traditionnellement joué un rôle très important dans les rituels occultes.

Entre autres choses, le port du masque sur la bouche est un signe de soumission… [NdNM : voir aussi Le masque comme symbole de soumission] un geste de votre volonté d’être soumis à d’autres qui ne sont pas votre Souverain habituel. Mais il y a plus. Selon l’Encyclopedia Britannica, le port de masque est : « Une forme de déguisement ou de dissimulation habituellement portée sur ou devant le visage pour cacher l’identité d’une personne et par ses propres traits pour établir un autre être. » [2]

En d’autres termes, le port d’un masque représente une transformation occulte — une alchimie humaine, si vous voulez — d’un rôle à un autre. D’une manière d’être à une autre. En effet, dans ce cas, du souverain individuel sous Dieu au sujet collectif sous les enfants du diable. Vous voyez, le rituel de masquage est spécifiquement conçu pour inverser l’ordre de hiérarchie mis en place par Dieu lui-même. Dans la hiérarchie de votre Père céleste, vous êtes un souverain représentant de Sa Parole sur cette terre. Et votre travail consiste à dire Sa Parole, en Son nom Souverain aux autres.

En d’autres termes, Il est le Roi, vous êtes un Prince de Son royaume, et votre travail consiste à porter Sa Parole aux autres, afin qu’eux aussi puissent y adhérer et retourner éternellement au Père, par Jésus-Christ. Comme il est écrit concernant notre devoir principal en tant que chrétiens :

2 Timothée 4:2 — Prêche la parole, insiste en toute occasion, favorable ou non, reprends, censure, exhorte, avec toute douceur et en instruisant.

En bref, votre travail consiste à enseigner la Parole de votre Père. Et vous devez être prêt et disposé à le faire en tout temps (c’est-à-dire « être instantané, en saison et hors saison »). En tant que tel, vous devez toujours rester démasqué, car votre travail — dans votre rôle terrestre en tant que l’un de ses fidèles représentants — est de parler et d’expliquer sa Parole aux autres. Et pour ce faire, vous devez ouvrir la bouche. Vous ne pouvez pas être muselé. Vous ne pouvez pas être masqué.

Le port du masque est un puissant symbole occulte indiquant votre soumission à un autre pouvoir autre que le Dieu Créateur qui vous a donné la commission directe de prêcher Sa Parole au monde :

Matthieu 28:18-20 — Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.

Donc, dans la hiérarchie de Dieu, vous êtes un représentant souverain de Sa Parole sur cette terre. Et votre travail consiste à diffuser cette Parole au plus grand nombre possible au cours de votre vie d’adulte. Mais dans la hiérarchie des ritualistes, c’est tout le contraire : L’intérêt du port d’un masque rituel occulte est de ramener à la maison votre subconscient — jusqu’à ce qu’il devienne complètement vrai dans votre vie quotidienne — l’idée que les choses ne sont plus les mêmes et ne seront plus jamais les mêmes.

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Les masques hâtent la suppression de l’ego pour aider à faciliter la mort de l’ancienne identité avant l’identification et la manifestation d’une nouvelle identité.

C’est une initiation à un nouvel ordre. Mais c’est aussi une transformation de soi en une nouvelle position dans ce nouvel ordre. Sous l’emprise du ritualiste occulte, vous, étant masqué, vous n’êtes plus la personne que vous étiez. Vous n’êtes plus un porte-parole désigné de Dieu sur cette terre. Vous êtes soudainement rétrogradé et réaffecté à la position de sujet obéissant.

Symboliquement, vous devenez serf dans le nouvel ordre. C’est votre nouveau rôle… votre nouvelle identité… représentée par le port du masque.

Le port du masque fait simplement partie du rituel d’initiation utilisé pour signaler visuellement et psychologiquement votre consentement à ce nouvel arrangement. Oui, en portant le masque, vous signalez votre consentement à accepter un nouveau poste très différent dans un nouvel ordre mondial.

Au lieu d’être un représentant souverain du Dieu Très-Haut et de Sa Parole sur cette terre, vous acceptez essentiellement de devenir un sujet volontaire — un esclave — pour les ennemis mêmes de Dieu et de Son Christ. Masqué, vous êtes maintenant prêt à servir les objectifs de l’ennemi, et non plus à Dieu. Lorsque vous mettez docilement le masque sur votre bouche, vous dites symboliquement aux ritualistes : « J’admets que mes paroles n’ont plus de but ni de pertinence dans cette vie. Mon seul but maintenant est d’obéir à vos paroles et à vos commandements. »

Et en se levant à la position de votre nouveau souverain et en vous muselant comme un chien dans le processus, ils créent alchimiquement un nouveau vous dans un nouveau rôle sous de nouveaux dirigeants. C’est le changement transformationnel alchimique impliqué dans le rituel. Ils tentent littéralement de prendre la place de Dieu dans votre vie et de faire de vous leur sujet volontaire. Ils deviennent votre au lieu de Christ. Votre antichrist.

Et en plaçant le masque sur votre visage, vous devenez leur fidèle serviteur involontaire. Vous êtes initié rituellement au nouvel ordre. Vous ne vous en rendez peut-être pas compte. Mais dans la magie occulte, la victime n’a pas besoin de connaître la signification de ce qu’on lui dit de faire. L’exécution du rituel lui-même — sur demande — est tout ce qui compte. Alors, qui, exactement, nous fait ça ?

1 Jean 2:18 — Petits enfants, c’est la dernière heure, et comme vous avez appris qu’un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists: par là nous connaissons que c’est la dernière heure.

Vous ne pensiez pas que ces « nombreux antichrists » resteraient assis sur leurs mains toute la journée, sans rien faire, dans les derniers jours de cet âge de la chair de la terre pendant qu’ils attendent le retour de leur père le diable dans son rôle de faux messie, n’est-ce pas ? Naturellement, ils adoucissent les choses pour leur dieu — Satan — avant qu’il n’arrive ici. Ils utilisent la magie rituelle occulte cérémonielle, à l’échelle mondiale, pour capturer le monde entier dans leur drague.

En portant le masque, vous vous transformez symboliquement et alchimiquement — « renaître » — en leur nouveau système mondial, grâce à une programmation rituelle occulte. L’Encyclopedia Britannica dit encore sur le port de masque rituel :

« La personne qui porte le masque est également considérée comme étant en association directe avec la force spirituelle du masque et est par conséquent exposée à un danger personnel similaire d’être affecté par celle-ci. … En portant le masque, le porteur subit parfois un changement psychique et, comme en transe, assume le caractère spirituel représenté par le masque . »

Eh bien, les amis, l’antéchrist est la « force spirituelle » du masque dont nous parlons. Vous comprenez cela, n’est-ce pas ? Il est l’esprit derrière les pouvoirs en place qui travaillent pour réussir ce coup d’État mondial. Et ce sont les pouvoirs en place qui vous ont masqué, muselé et rétrogradé à votre nouveau statut d’esclave, au nom de leur dieu, le diable lui-même. Le rituel du port du masque est conçu pour vous posséder avec l’esprit de soumission à vos nouveaux suzerains, qui sont les « nombreux antichrists » de 1 Jean 2:18. Et cela vous prépare à faire de même lorsque l’antéchrist arrivera et offrira sa véritable « marque », que nous examinerons à la fin de ce commentaire.

Si vous ne pensez pas que le port du masque change littéralement les gens, comme le dit l’Encyclopedia Britannica dans la citation ci-dessus, pensez à tous les « Karens » [3] masqués dont vous avez vu des vidéos en ligne, chassant sauvagement les gens qui ne portent pas de masques sur la route, les réprimandant publiquement pour ne pas porter de masques, et leur criant qu’il y a du « sang sur leurs mains » pour ne pas se masquer comme de bons petits garçons et filles devraient toujours.

En voici un, par exemple, dans lequel les « Karens » sont tous de gros mâles costauds et portant un masque, poussant littéralement un homme âgé hors d’un magasin pour ne pas porter de masque :



Grâce au port du masque, les ritualistes occultes ont créé une armée de « Karens » — des automates programmés qui prennent le rituel si au sérieux qu’ils se sentent personnellement et physiquement menacés lorsque vous ne le faites pas. Et cela ne les dérange pas de vous le dire. Souvent vigoureusement.

L’Encyclopedia Britannica poursuit en parlant du rituel de masquage : « Habituellement, cependant, le porteur devient habilement un “partenaire” du personnage dont il usurpe l’identité, donnant au masque non seulement une étincelle importante de vitalité par la lumière qui clignote de ses propres yeux, mais aussi lui donnant vie par ses mouvements et ses poses. » En d’autres termes, au final, le masque fait partie de l’identité même de ceux qui le portent. La transition occulte devient complète. Le « nouveau vous » est né du rituel.

L’Encyclopedia Britannica déclare en outre : « Mais souvent, le porteur [du masque] semble devenir psychologiquement un avec le personnage qu’il aide à créer. Il semble devenir un automate, sans sa propre volonté, devenue subordonnée à celle du personnage du masque. » Vous voudrez peut-être penser à ces dizaines de vidéos en ligne montrant des infirmières et des employés hospitaliers entièrement masqués participant à des vidéos de danse TikTok minutieusement chorégraphiées, tandis que simultanément des milliers de malchanceux victimes de coronavirus sont censés mourir cruellement et être empilés comme du bois de corde dans ces mêmes hôpitaux.

Oui, une véritable danse masquée de la mort, comme on le voit dans les films. Et nous savons tous qui est M. La Mort, n’est-ce pas ?

Apocalypse 6:8 — Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.

De plus, en ajoutant de la danse au port du masque, les nouveaux esclaves montrent leur volonté de divertir leurs ravisseurs — de devenir pour eux un peu plus que des sports de chair — tout comme les anciens soldats babyloniens ont essayé de forcer les captifs israélites à les divertir avec de la musique. Comme il est écrit :

Psaume 137:1-4 — Sur les bords des fleuves de Babylone, Nous étions assis et nous pleurions, en nous souvenant de Sion. Aux saules de la contrée Nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants, Et nos oppresseurs de la joie: Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion ! Comment chanterions-nous les cantiques de l’Eternel Sur une terre étrangère ?

Comme vous pouvez le voir, les Israélites d’autrefois ont refusé de divertir leurs ravisseurs… ils ont refusé de fournir la gaieté demandée… se demandant entre eux : « Comment pouvons-nous chanter le chant du Seigneur dans un pays étranger ? » Mais contrairement à l’époque de la captivité de Babylone, le coup d’État d’aujourd’hui contre le peuple de Dieu, et son renversement en cours, est, jusqu’à présent, accompli sans guerre conventionnelle.

Donc, dans l’ensemble, les gens ne réalisent même pas la profondeur et la gravité de la tentative de coup d’État contre eux, car cela se fait presque uniquement par la tromperie rituelle occulte. C’est pourquoi la Parole de Dieu nous avertit qu’il y aura des moments où nous ne pourrons même pas faire confiance à nos propres voisins. Comme il est écrit :

Jérémie 9:4-6 — Que chacun se tienne en garde contre son ami, Et qu’on ne se fie à aucun de ses frères; Car tout frère cherche à tromper, Et tout ami répand des calomnies. Ils se jouent les uns des autres, Et ne disent point la vérité; Ils exercent leur langue à mentir, Ils s’étudient à faire le mal. Ta demeure est au sein de la fausseté; C’est par fausseté qu’ils refusent de me connaître, Dit l’Eternel.

Tout d’abord, les pouvoirs en place trompent vos voisins en mettant le masque. Ensuite, vos voisins, pensant qu’ils font bien, travaillent pour vous pousser à faire de même, en utilisant la pression des pairs et la « signalisation de la vertu ». Et si vous refusez d’être trompé, comme ils sont, ils vous calomnieront, se retourneront contre vous et s’efforceront de vous supplanter. Cela vous semble-t-il familier ?

Dites-moi encore, combien de villes et d’États ont maintenant des « lignes de mouchard » très médiatisées dans lesquelles vos voisins peuvent appeler et vous dénoncer pour ne pas porter de masque ? À elle seule, une ville américaine aurait enregistré 200 000 appels de « dénonciation » sur sa ligne de mouchard en une seule semaine. Oui, c’est juste une version mise à jour de ce que le livre de Jérémie nous dit qu’il s’est déjà produit. Voisin retourné contre voisin. Dans ce cas, sur leur incapacité à effectuer un rituel prescrit.

Comme dans le vieux film, L’Invasion des profanateurs, vos propres voisins se retrouvent comme des personnes contrôlées par l’esprit qui ne veulent rien de plus que de vous entraîner dans la ruche de zombies interconnectés avec eux-mêmes et toutes les autres victimes du contrôle de l’esprit, vous trahissant joyeusement (et votre liberté et votre position données par Dieu) dans le processus.

Mais le port du masque a également une autre signification occulte, que nous n’avons que légèrement abordée. Comme l’indique le site Internet Coronacircus.com sur le port des masques :

« Pour mieux comprendre le symbolisme du port du masque, essayez de taper le mot “censure” dans Google Images et voyez quel type d’illustration apparaît principalement. Voici un échantillon de ce que vous trouverez :

Masque - Censure

« C’est aussi pourquoi nos chefs de file refusent ostensiblement de se « masquer » : c’est nous qui sommes bâillonnés, pas eux. Ces associations inconscientes sont extrêmement fortes. Les masques sont un symbole de soumission et de domination; ils sont profondément humiliants (et en effet elles sont populaires dans les pratiques de bondage sexuel BDSM).

« C’est pourquoi les gens leur résistent tant; c’est aussi pourquoi ils sont actuellement rendus obligatoires dans le monde entier. Il ne fait aucun doute que les barbares improductifs derrière ce cirque s’amusent; ils croient qu’ils sont subtils. »

Ah oui. Subtil comme le serpent. Coronacircus.com poursuit en soulignant :

« Cela implique également de nous imposer leurs symboles. L’interprétation ésotérique du bâillonnement obligatoire est directement liée à la symbologie du silence qui est aussi ancien que l’occultisme lui-même. »

La symbologie du silence
La symbologie du silence est aussi ancienne que l’occultisme lui-même.

Et voici une petite chose en particulier qu’ils aimeraient que vous gardiez silencieux. Oui, ils admettent même directement sur la boîte contenant les masques faciaux qu’ils ne fonctionnent pas pour le coronavirus. Alors pourquoi vous forceraient-vous à les porter sous peine de loi ? Parce que, dans le grand schéma des choses, le port du masque n’a rien à voir avec le coronavirus. Il s’agit de vous initier au nouvel ordre mondial et à votre nouvelle place en son sein.

Enfin, comme le dit le site occulte, Occult-World.com, sur le port de masques :

«… Les peuples anciens comprenaient bien le pouvoir du masque. Les preuves du port de masque dans les sociétés préhistoriques montrent que les masques ont peut-être été destinés à transformer le porteur comme par magie.

«… Le masque a été vénéré comme un objet sacré de pouvoir, un être vivant qui a sa propre personnalité ou représente la personnalité d’un autre être. Il permet au porteur de donner vie à la magie et même de devenir la personnalité ou l’esprit représenté par le masque.

«… Le masque est un médiateur entre l’ego et l’archétype, le banal [c’est-à-dire mondain] et le surnaturel, le sacré et le comique. Il relie le présent au passé, l’individu à l’ensemble du collectif de race, de culture, de pays et d’humanité. »

En d’autres termes, le port de masque est symbolique de l’acceptation silencieuse d’un mondialisme humaniste sous Satan.

Légende sur la boîte de masques standard
Légende sur la boîte de masques standard : « Ce produit… ne fournira aucune protection contre le COVID-19 (Coronavirus) ou d’autres virus ou contaminants » …

Comme vous pouvez le voir maintenant, le port de masques est bien plus que ce que nous avons été amenés à croire. Le port de masque est un phénomène très occulte, et l’a toujours été. Littéralement depuis des milliers d’années. En effet, c’est un exemple frappant de rassemblement — une initiation religieuse secrète liée au silence imposé par la fermeture de la bouche. Encore une fois, selon la Strong’s Concordance, le mot « Mystère » du titre « Mystère, Babylone » consiste en « l’idée du silence, imposée par l’initiation aux rites religieux ».

Vous comprenez sûrement maintenant que le port du masque n’a rien à voir avec le coronavirus, mais plutôt avec les croyances païennes et occultes crasseuses de nos suzerains actuels qui cherchent à faire de nous leurs esclaves volontaires grâce à une programmation psychologique, alias programmation rituelle occulte. Hé, ne soyez pas surpris ! C’est ce que font les occultistes. Comme l’histoire de la dame qui sauve le malheureux serpent, pour se faire mordre plus tard. Mais quand elle demande au serpent « Pourquoi m’as-tu mordu? », le serpent répond simplement : « Parce que je suis un serpent, madame. C’est ce que nous faisons. »

En vous faisant porter le masque, les pouvoirs en place vous initient à leur nouvel ordre. Ils vous rétrogradent de votre position de représentant souverain sur terre du Dieu Très-Haut, à votre nouvelle position d’esclave dépendant de leur système, alias leur « Mystère, Babylone », qui pourrait être très simplement traduit par : confusion silencieuse.

Peut-on arrêter le pouvoir de ce rituel occulte ? Oui on le peut. Et assez facilement, pour tout chrétien. En tant que chrétien, vous pouvez simplement vous retirer du rituel. Arrêtez de participer. Retirez votre consentement !


2. Lavages rituels quotidiens des mains

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Nous avons maintenant découvert que le phénomène mondial de port de masque fait partie d’un rituel d’initiation occulte conçu pour introduire l’initié dans un nouveau paradigme — une nouvelle position dans un nouvel ordre mondial. Le masque lui-même signale son consentement au changement et symbolise la perte de sa position souveraine précédente en tant que chrétien fidèle portant la Parole de Dieu.

Alors, qu’en est-il des autres rituels qu’ils nous ont imposés, comme le lavage rituel quotidien des mains ?

Peut-être que vous vous êtes consciencieusement lavé les mains huit ou 10 fois par jour depuis des mois, pensant que c’est un moyen d’empêcher « le virus » de vous infecter. Et oui, il y a effectivement une part de vérité dans l’idée de se laver les mains pour empêcher la propagation d’un micro-organisme infectieux.

Mais… en réalité, aux fins de l’initiation rituelle occulte, les pouvoirs en place vous font symboliquement vous laver les mains de vos devoirs envers Christ Lui-même.

Pour les occultistes, ce lavage rituel occulte forcé des mains inverse le rituel de lavage des mains public de Pilate, qui, depuis 2000 ans, a mis le fardeau de la mort du Christ sur les mains des ritualistes eux-mêmes, et a absous le Christ (et les Romains) de toute culpabilité :

Matthieu 27:24 — Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte augmentait, prit de l’eau, se lava les mains en présence de la foule, et dit: Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde.

Pilate a effectué un lavage rituel des mains devant tout le peuple d’Israël afin de placer la responsabilité de la mort du Seigneur directement sur la tête de ceux qui ont fait en sorte qu’il soit crucifié.

Maintenant, les pouvoirs qui sont en ce jour et âge — qui sont les descendants de ces mêmes pouvoirs terrestres qui ont tué Christ sur cette croix au Calvaire — vous font travailler chaque jour, dans un rituel symbolique occulte, pour inverser l’impact du rituel original de lavage des mains de Pilate, ainsi que sa déclaration d’innocence du Christ. « Lavez-vous les mains », vous disent les pouvoirs en place chaque jour aux nouvelles du soir. « Passez au moins 30 secondes sur chaque doigt de vos mains, sur vos paumes et le dos de vos mains. Faites-le plusieurs fois par jour si vous voulez vivre. »

Ainsi, votre acceptation alchimique du port du masque rituel commence à créer le « nouveau vous » — le serviteur initié passant de son ancienne position à la nouvelle. Et votre lavage rituel des mains vous fait symboliquement (quoique inconsciemment) effacer votre ancienne position — votre ancien maître et ses voies prescrites — en prévision de votre nouveau maître et ses voies prescrites.

C’est si simple. Le lavage des mains est le symbole rituel occulte du rejet.

Lorsque vous tombez amoureux du rituel du lavage des mains, vous emportez symboliquement votre ancienne vie, sous Christ, en acceptant volontiers votre nouvelle vie sous le nouvel ordre de l’ennemi et de ses « nombreux antichrists » qui ont réussi ce coup d’État dès le début.


3. Le rituel de la « distanciation sociale »

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Donc, si le rituel de masquage signale son consentement au changement et symbolise la perte de sa position souveraine précédente en tant que chrétien fidèle portant la Parole de Dieu, et le rituel de lavage des mains symbolise l’effacement de l’ancien ordre chrétien afin que le nouvel ordre puisse être inauguré, que signifie le rituel de « distanciation sociale » ?

Celui-ci est presque trop facile à repérer : dès le départ, l’utilisation du nombre magique six — comme à six pieds de distance — devrait mettre vos sens aiguisés à bout, ce qui signifie, bien sûr, votre discernement donné par Dieu.

Après tout, il n’y a pas de nombre occulte plus largement utilisé dans le monde que le nombre « six ». Comme vous le savez, le nombre même de l’antéchrist est « six cent soixante-six », ou 6-6-6.

[NdNM : 2 mètres = 6 pieds, 6 pouces et 6 huitièmes de pouces]



Les pouvoirs en place nous assurent que si nous nous éloignons tous de six pieds, nous n’attraperons pas de coronavirus. Avez-vous vraiment besoin de moi pour expliquer pourquoi c’est un tas de foutaises ? Ne savez-vous pas qu’il y a déjà des MILLIONS de virus dans chaque bouffée d’air que vous prenez ? Peu importe où vous marchez, ces virus sont là — quelque part entre 1,6 million et 40 millions de virus dans chaque mètre cube d’air que nous traversons en marchant.

Donc, peu importe à quelle distance des autres vous marchez, ces virus sont là. Vous ne pouvez pas leur échapper, sauf peut-être dans une combinaison Hazmat à part entière avec un réservoir d’air que vous devez laisser fonctionner 24 heures par jour, sept jours par semaine.

Ainsi, tout comme le port de masque, la distance sociale est un mensonge. Cela ne peut pas fonctionner. Pourtant, nous sommes obligés d’y participer. Mais pourquoi le feraient-ils ? Et si cela ne peut pas vraiment aider contre les virus, quel est son but occulte ? Eh bien, essayez ceci pour la taille : Chacun de nous est une partie individuelle mais intégrale du corps à plusieurs membres du Christ. Nous ne nous contentons pas de marcher avec Christ. Les vrais chrétiens marchent en Christ.

Colossiens 2:6-7 — Ainsi donc, comme vous avez reçu le Seigneur Jésus-Christ, marchez en lui, tant enracinés et fondés en lui, et affermis par la foi, d’après les instructions qui vous ont été données, et abondez en actions de grâces.

Mais symboliquement parlant, le rituel de la « distanciation sociale » — aux « six pieds » magiques les uns des autres — fait partie du rituel d’initiation qui VOUS SÉPARE du Christ. Plutôt que de marcher en Lui, en tant que son représentant personnel sur cette terre, vous êtes maintenant symboliquement et ritualistiquement séparé de Lui. Comme Kevin Bacon et ses six degrés de séparation.

Six pieds du Père. Six pieds du Fils. Six pieds du Saint-Esprit. Oui, c’est 6-6-6.

Les ramifications occultes sont indéniables. Mais ce n’est pas tout : chaque chrétien doit rester à six pieds de tous les autres chrétiens. Comprenez-vous ce que font les pouvoirs en place, rituellement et symboliquement ? Permettez-moi de l’expliquer : en tant que membre du Corps du Christ, vous êtes censé faire partie intégrante du corps entier « bien coordonné et formant un solide assemblage… » Comme il est écrit :

Éphésiens 4:16 — C’est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans la charité.

Le terme « bien coordonné et formant un solide assemblage » dans le verset ci-dessus signifie « joint, joint à joint » ou « serré ». Les mots « solide assemblage » dans le verset ci-dessus signifient « uni ». En d’autres termes, les chrétiens sont censés se rassembler, tendon à tendon et joint à joint, étroitement unis dans le Corps du Christ. Et en prêchant Sa Parole, nous devons aider à amener les autres dans le corps soudé pour aider le corps à grandir.

Mais la règle d’initiation rituelle occulte de six pieds de séparation neutralise symboliquement cette commande (rappelez-vous, c’est une forme de magie occulte. Les symboles sont tout dans la magie occulte). Il établit une distance arbitraire créée par l’homme entre ceux qui sont censés n’avoir aucune distance entre eux. Il déchire le corps métaphorique du Christ en morceaux, symboliquement parlant. Il sépare les « articulations et les tendons » qui sont censés être si étroitement liés.

Mais en tant que chrétien ayant bien étudié et fidèle, vous savez qu’il n’y a absolument rien sur cette terre qui puisse vous séparer de l’amour du Christ (Romains 8:35-39). Et cela inclut surtout un rituel occulte stupide. Néanmoins, la magie occulte rituelle est ce que font les pouvoirs en place. Ils s’en glorifient. Leur Kabbale en est pleine. C’est ce qu’ils font depuis des milliers d’années. En d’autres termes, c’est ce en quoi ils croient sincèrement. Et … c’est ce qu’ils veulent que nous achetions sans pensée critique.

Il y a des siècles, ils ont ramené de Babylone leur magie kabbalistique rituelle occulte. Maintenant, ils ont ouvert les livres anciens. Et ils déclenchent les rituels dans les derniers jours de cet âge de la chair de la terre. Et le pire est le suivant : cela fonctionne réellement. Les gens tombent amoureux de cela à cause de la profondeur et de l’ampleur de la tromperie. Et tout cela sur un virus avec un taux de survie de 98,5% ! Parlez de mettre les gens en transe mondiale !

En fin de compte, le rituel de la « distanciation sociale » forcée est conçu pour nier ou neutraliser symboliquement la Parole de Dieu d’une multitude de façons :

  • En éliminant la communion entre les croyants…
  • En arrêtant les services religieux dans le monde entier…
  • En faisant citer ou même arrêter des fidèles pasteurs d’église pour avoir célébré des offices religieux…
  • En faisant citer ou même arrêter des fidèles pour avoir assisté aux services religieux…
  • En déchirant symboliquement le corps mystique et métaphorique du Christ, qui est censé « être bien coordonné et former un solide assemblage ».

Dans Amos 3:3, le prophète pose une question très simple : « Deux hommes marchent-ils ensemble, Sans en être convenus ? » Eh bien, deux chrétiens ne peuvent pas « marcher ensemble » si les pouvoirs en place peuvent les forcer à marcher six pieds l’un de l’autre. Nous construisons un corps à plusieurs membres, les amis. Un temple vivant du Christ, avec chaque brique pressée contre l’autre comme les tendons qui traversent votre corps physique. Comme il est écrit :

1 Pierre 2:5 — Et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ.

Mais vous ne pouvez pas constituer un corps à plusieurs membres — un temple vivant de Dieu sur terre — si vous ne pouvez pas presser les briques les unes contre les autres dans le processus de construction. Vous savez ce qui se passe quand il y a des lacunes dans les coutures entre les briques : cela donne aux « rats » un moyen facile d’entrer dans le temple.

L’essentiel est que le rituel de « distanciation sociale » est symboliquement conçu pour limiter physiquement et spirituellement l’impact du christianisme sur cette terre, et mettre un terme à la croissance du Corps du Christ à plusieurs membres dans les derniers jours de cette terre de l’âge de la chair. C’est un rituel très intelligent. Mais voici une chose que les pouvoirs en place ont oubliée : « Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. » (Matthieu 19:6)  Dieu rassemble Son corps à plusieurs membres en Christ depuis environ 2000 ans maintenant. Et nous avons tous travaillé dur pour aider à le construire davantage.

Voilà donc notre commandement pour ces temps : « Qu’est-ce donc que Dieu a uni, que l’homme ne mette pas fin. » Et nous suivons cette commande en exposant les rituels occultes des pouvoirs en place. Nous cessons de participer aux rituels mondiaux et à leurs composantes. Et nous reprenons notre travail pour le Seigneur. Nous marchons ensemble, en Christ, très serrés. Jamais à six pieds l’un de l’autre, physiquement ou spirituellement.

Et quoi que vous fassiez, ne laissez pas non plus les « Karens » de ce monde mettre votre chèvre en « distanciation sociale ». Ce n’est pas leur affaire où ou comment vous marchez dans le Seigneur. Mais sachez toujours que ces moniteurs de hall complètement abîmés et sans travail sont là-bas, et ils vous méprisent pour votre choix de ne pas consentir à la nouvelle commande.




4. Le rituel des blocages et de l’isolement social

« Rester à la maison. Restez en sécurité. Sauver des vies. » — C’est ce qu’on nous dit, de toute façon. Pourtant, une étude récente sur les hôpitaux de la région de New York démontre que 66% de toutes les hospitalisations pour coronavirus ont concerné des personnes qui portaient des masques, se lavaient les mains, pratiquaient six pieds de séparation et restaient à la maison. En d’autres termes, la grande majorité des hospitalisations concernaient des personnes qui respectaient les règles, ce qui a incité le Daily Mail à demander dans un article d’actualité, « Le verrouillage a-t-il déjà fonctionné ? »

Et si les verrouillages ne fonctionnent pas, alors pourquoi sur la terre verte de Dieu nos suzerains mondiaux nous font-ils « rester à la maison ? » D’un point de vue occulte, il y a une réponse : Les verrouillages ne sont rien de plus que des rituels d’isolement social, effectués dans le but de « purifier » l’initié afin qu’il puisse entrer dans le nouvel ordre sans entraves par les choses du passé qui ne sont plus considérées, par les pouvoirs en place, comme bénéfiques pour l’initié.

Un rituel d’isolement comporte essentiellement quatre étapes :

Étape 1 : Isolement pour la purification (vous êtes coupé de la normale et plongé dans une « nouvelle normale » qui est complètement différente de votre vie passée).

Étape 2 : Abandonnez-vous à la « nouvelle norme ». Cela implique souvent de recevoir un cadeau symbolique (pensez à « vérifier le stimulus »), ce qui fait croire à l’initié qu’il est bien pris en charge par ses nouveaux suzerains, il n’est donc pas nécessaire de se rebeller contre le nouvel ordre dans lequel il est initié.

Étape 3 : Sacrifice. Aucun cadeau ne peut être donné sans avoir pris quelque chose. Dans ce cas, votre dignité… votre indépendance souveraine… votre voix… votre pouvoir individuel sur cette terre en tant que représentant de la Parole du Dieu Très-Haut — toutes ces choses, et plus, vous sont prises en échange du froid « Confort » d’une nouvelle voie dans un nouveau monde.

Étape 4 : Soumission. Pensez : Vaccins obligatoires. Traçage social. L’acceptation volontaire de nouvelles règles pour une nouvelle commande.

Encore une fois, l’idée est que la « nouvelle personne » initiée dans le « nouvel ordre » doit être purgée psychologiquement, sinon physiquement, de l’ancienne manière, avant d’être progressivement initiée à la nouvelle manière. Sur le site Web AvoidtheMark.com, un article sur les rituels d’initiation déclare :

« L’étape d’isolement du rituel est pour la purification. À ce stade, l’initié est séparé du banal. Saviez-vous que banal signifie littéralement « du monde » ? L’initié est en grande partie éloigné des personnes, des lieux et des choses par ailleurs familiers auxquels il est habitué, afin d’être « débarrassé » d’eux.

« Un initié est obligé de se détacher et d’être isolé, purgé et « purifié ». Un élément essentiel de cette séparation de son environnement typique est la suspension des règles de vie normales auxquelles on est habitué; la voie normale n’est plus. La plupart des sens de l’initié deviendront commandés et régulés à ce moment. En d’autres termes, la majorité de ce que l’initié voit, entend, sent, touche et goûte, est délibérément contrôlée.

« … N’ayant nulle part ailleurs où aller, à l’exception des endroits qui nous sont « autorisés », les personnes isolées, initiées peuvent être forcées de confronter leur propre reflet et leurs ombres intérieures qui ont été ignorées ou enfouies quelque part profondément sous le quotidien moyen. … Tout comme ils impliquent la reddition, les rituels d’initiation impliquent également le sacrifice ; le tangible qui peut être tenu dans la main et l’intangible, comme les comportements, doivent être abandonnés par l’exigence.

« Après tout, pour que quelque chose soit « donné », il faut aussi prendre quelque chose; un gage de soumission, une once de sang; une livre d’argile à remouler.

« Qu’il soit dramatiquement manifeste ou trompeusement subtil, le rituel réinterprète la réalité; une nouvelle définition de la réalité est donnée. Une formation sous forme de nouveaux comportements et connaissances, y compris des mythes et des codes, est introduite. Les choses nécessaires pour que les nouveaux membres fonctionnent correctement dans la nouvelle version de la société dans laquelle ils sont intronisés sont toutes imprégnées pendant cette période. La répétition est typique, car son utilisation aide à marteler le sort sur les initiés. »

Pensez-y : ce qu’ils décrivent, c’est la mise en œuvre de la « nouvelle norme ». Mais vous devez d’abord perdre « l’ancienne normale », afin d’être initié à la « nouvelle normale ». D’où les fermetures… la perte de travail… les restrictions de voyage… les restrictions aux affaires… les pénuries alimentaires… et bien plus encore.

En fin de compte, la « nouvelle norme » devient la norme et les anciennes méthodes sont progressivement oubliées. De nouvelles mythologies sont créées pour le nouveau monde, par nos nouveaux maîtres. Et le « nouveau vous » — le vous transformé — est né de l’isolement.



Le 24 octobre 2014, lors de l’AeroAstro Centennial Symposium du MIT, Elon Musk dit : « Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Vous savez, ces histoires où vous avez un homme avec un pentagramme, et l’eau bénite, et il fait comme si il pouvait contrôler le démon ? ». Bien que la réplique ait eu le don de faire rire l’assistance, Musk exprime sa peur de voir le génie sortir de sa bouteille pour ne plus jamais y revenir. (vidéo originale)

En résumé

Alors voilà. Le monde d’aujourd’hui subit une cérémonie d’initiation et de transformation rituelle occulte en quatre parties – en grande partie menée par la symbologie, comme pratiquement tous les rituels occultes – et conçue pour amener tout le monde, volontairement et asservi, dans le Nouvel Ordre Mondial.

Le rituel occulte mondial du port de masque signale votre consentement à votre nouvelle position asservie, sous vos nouveaux maîtres, et la perte de votre position en tant que représentant vocal ou porte-parole de la Parole de Dieu sur cette terre.

Le rituel occulte mondial du lavage des mains représente l’effacement de l’ancien ordre (c’est-à-dire l’ordre chrétien auquel vous apparteniez autrefois), de sorte qu’un nouvel ordre peut être inauguré et fermement établi.

Le rituel occulte mondial de six pieds de « distanciation sociale » symbolise la rupture du Corps du Christ sur la terre, de sorte qu’il ne fonctionne plus comme une unité stable et cohérente.

Le rituel occulte mondial des blocages symbolise l’isolement de tout ce qui est normal afin que vous puissiez être «purifié» de vos anciennes manières… abandonner votre ancien statut au nouvel ordre… vous sacrifier vous-même au nouvel ordre… et enfin, vous soumettre volontairement au nouvel ordre par l’obéissance à elle. Et cela continuera jusqu’à ce que le «nouveau vous» évolue comme un Phénix du drame et du traumatisme, directement dans les bras d’attente de Satan lui-même, finalement. (Voyez-vous maintenant pourquoi notre Père céleste a réduit la tribulation de sept ans à cinq mois, «pour le bien des élus»?)

Tout compte fait, c’est un spectacle étonnant à voir.

Le tout est accompli à travers une pièce de théâtre massive, globale, semblable à un théâtre, remplie de rituels occultes auxquels pratiquement tout le monde — à l’exception des élus de Dieu — participant volontiers, ignorant leur véritable signification et leur but ultime.

La marque de la bête

Tout compte fait, ces rituels d’initiation occulte en cours — le port de masques … le lavage des mains … les six pieds de séparation … les verrouillages — sont le précurseur direct, si vous voulez, d’accepter la Marque de la Bête. Maintenant, la Bible nous dit que la Marque de la Bête est placée sur le front et sur la main droite (Ap 13:16-17) de ceux qui la prennent volontiers.

Je me suis souvent demandé combien de personnes — le monde entier, en fait, à l’exception des élus de Dieu — pourraient éventuellement prendre la Marque de la Bête, volontiers, car c’est littéralement la « marque » occulte que le monde n’a jamais connu. Après tout, bien plus de gens connaissent la Marque de la Bête que, disons, d’autres « marques » comme la Lettre écarlate (une lettre « A » marquée en rouge sur la chair d’une adultère), ou l’Étoile jaune les Juifs ont été forcés de porter leurs vêtements dans l’Allemagne nazie.

Mais que se passe-t-il si l’infâme Marque de la Bête n’est pas du tout une marque visible ? Pas un vaccin. Pas un tatouage. Pas un « point quantique ». Pas une marque marquée sur la chair humaine brûlée. Mais au lieu de cela, une marque spirituelle invisible ? En effet, que se passe-t-il si la Marque de la Bête est si apparemment inoffensive dans la nature, on peut très facilement être trompé en la prenant, à travers l’initiation et la transformation de magie occulte rituelle, comme nous le voyons se produire aujourd’hui sur une base mondiale ?

La «marque » sur le front signifie simplement que l’on achète mentalement dans le nouveau système dans lequel il est initié. Et la « marque » dans la main droite signifie simplement que l’on commence à travailler pour le nouveau système… en devenant un participant à part entière et volontaire. En d’autres termes, que se passe-t-il si la Marque de la Bête à la main droite et au front signifie simplement que les gens adhèrent au nouveau système, la main et l’esprit ?

Symboliquement parlant, l’initié croit d’abord volontiers que l’histoire trompeuse est promulguée par les pouvoirs en place (c’est-à-dire, gardez à l’esprit que la croyance est une fonction de l’esprit / du front), puis l’initié participe volontairement et sérieusement à l’initiation occulte et la programmation (c.-à-d. commence à porter des masques… se laver les mains… prendre des distances sociales… se verrouiller). Voila ! Vous appartenez maintenant aux pouvoirs en place, à la main et à l’esprit. Ils vous ont capturé avec un mensonge, et vous ne vous en rendez même pas compte. Dans ce cas, c’est le mensonge du coronavirus.

Ils vous ont fait danser sur leur air. Et c’est précisément ce que la Marque de la Bête accomplit, quand Satan arrive ici : Acceptation mentale et émotionnelle du système satanique « Mystère, Babylone » par les gens du monde. Et la volonté — voire l’empressement — de travailler au sein de ce système satanique, à son avantage. C’est votre « marque ». Comme il est écrit :

Apocalypse 13:8 — Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’agneau qui a été immolé.

La seule différence à ce stade est que Satan n’est pas encore physiquement là pour tromper les gens avec ses miracles en rejoignant son système mondial de bêtes et en l’installant comme son dieu. Mais ses sbires sont là, et ils adoucissent le monde avec ces initiations rituelles occultes mondiales, en préparation pour le moment où leur père le diable arrive enfin dans son magnifique rôle de faux messie, et offre la « marque » de la même manière que son précurseur nous est offert aujourd’hui.

C’est pourquoi je dis que cette initiation / transformation rituelle mondiale occulte n’est rien de moins qu’un avant-goût de la Marque de la Bête — une répétition générale pour elle, si vous voulez. La bête commandait l’initiation rituelle des gens de cette terre, et littéralement des milliards de personnes dans le monde sont tombées dans la foulée et ont involontairement (mais assez volontiers) participé, main et esprit, à leur rituel.

Pensez-y. Presque le monde entier — à l’exception des élus de Dieu — se sont rassemblés autour d’une bannière mondiale singulière qui était arborée partout. Et cette bannière disait :

One World Together at Home

Quand Satan arrivera enfin dans son rôle de faux messie, c’est exactement à quoi ressemblera la Marque de la Bête : Le monde entier se réunira comme un, puis ira travailler pour le système, sous son nouveau leader. L’histoire qu’on vous demandera de croire — le mensonge qu’ils promulgueront — est celle-ci : « Jésus est ici ». Mais comme l’Écriture le prévient :

Marc 13:21-23 — Si quelqu’un vous dit alors: “Le Christ est ici, ou: Il est là”, ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront des prodiges et des miracles pour séduire les élus, s’il était possible. Soyez sur vos gardes: je vous ai tout annoncé d’avance.

Si, à ce moment-là, vous croyez au mensonge flagrant que le Christ est ici, lorsque l’Écriture vous dit exactement le contraire, vous avez pris (plutôt, vous avez été pris par) la première partie de la Marque de la Bête, c’est-à-dire la marque sur votre front, qui représente votre croyance. Vous avez cru le mensonge avec votre esprit, tout comme les gens d’aujourd’hui ont été complètement absorbés par le mensonge du coronavirus — le mensonge qu’un virus avec un taux de survie de 98,5% constitue une « pandémie mondiale » à travers laquelle nous devons abandonner tous nos libertés. Comme il est écrit à propos de cette époque à venir où Satan est sur cette terre dans son rôle de faux messie :

2 Thessaloniciens 2:11-12 — Aussi Dieu leur envoie une puissance d’égarement, pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice, soient condamnés.

Ensuite, lorsque vous commencez à travailler avec ferveur pour le nouveau système, en mettant en œuvre les changements dans votre vie qui seront requis par son leader mondial dans son rôle de dieu de cette terre, vous avez pris la deuxième partie de la Marque, c’est-à-dire la marque dans votre main droite, qui, bibliquement parlant, est votre main de pouvoir et la main par laquelle vous parvenez à un accord avec les autres.

Vous avez adopté le nouveau système avec un fermoir à main, tout comme des milliards de personnes à travers le monde, aujourd’hui, embrassent avec enthousiasme (mais sans le savoir) le port de masque occulte rituel, le lavage des mains, les six pieds de séparation et les verrouillages. imposées par leurs nouveaux maîtres mondiaux.

En bref, je crois que ce que nous voyons aujourd’hui est une course mondiale pour le moment où Satan arrive enfin ici, et trompe le monde en acceptant la vraie Marque de la Bête. L’essentiel est le suivant : vous pouvez choisir de devenir une autre brique dans le mur de cet ordre mondial naissant qu’ils essaient désespérément d’inaugurer (et qui, je crois, échouera finalement, selon Daniel 11:14).

Ou, vous pouvez choisir de rester une pierre vivante dans le Temple du Dieu Très-Haut (I Pierre 2:5), et rester ferme dans votre dessein en tant que récipient par lequel Sa Parole est transmise aux autres. C’est votre destinée éternelle, SI vous n’en êtes pas dissuadé par la tromperie.

Choisissez très judicieusement.

Steve Barwick

__________________

NOTES ET RÉFÉRENCES :

  1. La concordance exhaustive de la Bible, généralement connue sous le nom de Strong’s Concordance, est une concordance biblique, un index de chaque mot dans la version King James (KJV), construite sous la direction de James Strong. Le but de Strong’s Concordance n’est pas de fournir du contenu ou des commentaires sur la Bible, mais de fournir un index de la Bible. Cela permet au lecteur de trouver des mots là où ils apparaissent dans la Bible. Cet index permet à un étudiant de la Bible de retrouver une phrase ou un passage précédemment étudié. Il permet également au lecteur de comparer directement la façon dont le même mot peut être utilisé ailleurs dans la Bible. De cette façon, Strong fournit une vérification indépendante des traductions et offre une opportunité pour une compréhension plus grande et plus précise du texte.
  2. Selon Wikipédia : Le masque peut être utilisé lors de cérémonies rituellesLe masque sert non seulement à cacher le visage mais aussi à représenter un autre être, différent de celui qui le porte. Cet être peut représenter tour à tour une force naturelle d’origine divine, un guérisseur ou un esprit, un ancêtre qui revient pour bénir ou pour punir, un esprit de la mort ou de la forêt. Le biologiste Jeremy Griffith a suggère que les masques rituels, en tant que représentations du visage humain, sont extrêmement révélateurs des deux aspects fondamentaux de la condition psychologique humaine : premièrement, la répression d’un moi ou d’une âme coopérative et instinctive; et deuxièmement, l’état extrêmement en colère de l’intellect égocentrique de la pensée consciente injustement condamnée. Certaines sociétés font revêtir un masque d’infamie à ceux qu’elle veut discréditer, comme une sorte de peine afflictive et infamante, au même titre que le pilori.
  3. Karen est un terme utilisé dans les pays anglo-saxons pour désigner de manière péjorative une personne de sexe féminin, individualiste, revendiquant des droits supérieurs aux autres. Le terme est vraisemblablement apparu en 2017.



Gilets Jaunes: la « contagion » a atteint 22 pays dans le Monde!! Le silence médiatique est assourdissant…

Gilets Jaunes: la « contagion » a atteint 22 pays dans le Monde!! Le silence médiatique est assourdissant…

Publié par ESTELLE – Déc 26, 2018 10 14555

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Les Médias français se gardent bien d’aborder ce sujet: le
mouvement des « Gilets Jaunes » s’exporte partout dans le monde: en
Europe, en Afrique, en Amérique, en Asie… Pour contrer (à mon petit
niveau) ce silence médiatique, je vous propose donc un « tour du monde
des Gilets Jaunes »… 

A Taïwan, la Ligue pour la réforme fiscale et
juridique (qui milite depuis décembre 2016 pour obtenir une justice
fiscale), a organisé une marche de Gilets Jaunes le 19 décembre. A
Taipei (capitale de Taïwan), plus de 10 000 manifestants ont répondu à
l’appel
(Source: Taïwan News)

En Bulgarie, les manifestants antigouvernementaux ont commencé à porter des gilets jaunes dès le 16 novembre (Source: LCI)

Au Canada, les Gilets Jaunes de l’Alberta et des
provinces de la Saskatchewan protestent contre la taxe gouvernementale
sur le carbone et contre la signature récente d’un pacte sur la
migration (Source: CTV News)

En Croatie, le 15 décembre 2018, des Gilets Jaunes ont manifesté à Zagreb , Pula et Rijeka (Source: Index.hr)

En Égypte, un avocat a été arrêté pendant 15 jours
après avoir publié une photo de lui-même vêtu d’un Gilet Jaune pour
soutenir les manifestations en France (Source: Jerusalem Post). La vente de Gilets Jaunes a même été interdite en Egypte!! (Source: The Guardian)

En Allemagne, les Gilets Jaunes manifestent devant la porte de Brandebourg et à Munich (Source: Spiegel)

En Hongrie, des milliers de Gilets Jaunes protestent contre le gouvernement Orban dans les rues de Budapest (Source: Le Monde)

En Irak, le 5 décembre, des Gilets Jaunes ont
manifesté à Bassorah pour obtenir davantage de possibilités d’emploi et
de meilleurs services publics. Le gouvernement a tiré sur les
manifestants à balles réelles (Source: NBC News)

En Israël, les incertitudes économiques et la
corruption ont conduit à un rassemblement de Gilets Jaunes à Tel Aviv le
14 décembre (Source: Jerusalem Post)

En Italie, la manifestation des Gilets Jaunes a
inspiré un mouvement pro-gouvernemental mais anti-Européen: « Nous
sommes inspirés par les Gilets Jaunes français , mais nous sommes
motivés par d’autres questions. Contrairement aux Français, nous
soutenons notre gouvernement. Nous protestons contre l’Europe. Nous
voulons que l’Europe n’interfère plus avec la politique italienne. »
(Source: The Guardian)

En Jordanie, des manifestants jordaniens critiquant
la situation économique dans le pays ont commencé à endosser des Gilets
Jaunes alors que les manifestations se propageaient à l’extérieur de la
capitale (Source: The National)

Aux Pays-Bas, le 1er décembre, des Gilets Jaunes ont
manifesté dans des villes néerlandaises. De nouvelles manifestations
ont eu lieu le 8 décembre, au cours desquelles des manifestants
pacifiques ont traversé Rotterdam (Source: NL Times)

Au Pakistan, des centaines d’ingénieurs ont organisé une journée de protestation à Lahore avec des Gilets Jaunes (Source: Pakistan Today)

En Pologne, le 12 décembre, un groupe d’agriculteurs a bloqué l’autoroute A2 à 30 kilomètres de Varsovie, réclamant une indemnisation pour les porcs qu’ils étaient obligés d’abattre (en raison de la peste porcins africaine) et protestant contre l’importation de produits agricoles ukrainiens non étiquetés par rapport à leur pays d’origine. Le ministre de l’Agriculture, Jan Krzysztof Ardanowski, a rencontré les manifestants pour leur expliquer que le gouvernement allait satisfaire toutes leurs revendications (Source: New York Times)

Au Portugal, le 21 décembre 2018, un rassemblement
de Gilets Jaunes a été organisé sous le slogan « Vamos Parar Portugal »,
ce qui se traduit approximativement par « Arrêtons le Portugal »
(Source: Euronews)

En Russie, le 23 décembre 2018, des manifestants
portaient des Gilets Jaunes lors d’un rassemblement contre
l’augmentation des frais de stationnement à Moscou (Source: Kommersant)

En Serbie, une organisation de défense des droits
civils « Združena akcija Krov nad glavom » (traduction: action combinée,
un toit sur la tête) a commencé à utiliser des Gilets Jaunes dans le
cadre de ses manifestations pour s’opposer à l’expulsion d’un habitant
du district de Mirijevo à Belgrade et pour faire preuve de solidarité et
d’une cause commune avec le mouvement des Gilets Jaunes français
(Source: N1 Info)

En Tunisie, un groupe dérivé, les Gilets Rouges ,
est apparu sur Facebook, appelant à des manifestations contre la
situation économique du pays (Source: Independent)

Le symbole a également été utilisé par des manifestants au Royaume-Uni, en Suède et en Grèce (Source: BBC)

En Belgique, le mouvement « Gilets Jaunes » est très actif depuis 1 mois.
La police anti-émeute à Bruxelles a été la cible de billes de billard et
de pavés le 30 novembre. Elle a riposté avec des canons à eau. 60
arrestations ont été effectuées pour trouble à l’ordre public (Source)
Plusieurs dépôts de pétrole ont été bloqués en Wallonie le 16 novembre 2018 (Source).
Certains Gilets Jaunes belges ont commencé à former un parti pour les
élections fédérales belges prévues en 2019 sous le nom de « Mouvement
citoyen belge » (Source)
Le 8 décembre, des manifestants réclamant la démission du Premier
ministre Charles Michel ont tenté de franchir un barrage antiémeute, la
police a utilisé des gaz lacrymogènes et des canons à eau pour disperser
les manifestants. Les manifestants ont jeté des pierres, des fusées
éclairantes et d’autres objets sur la police, une centaine de
manifestants ont été arrêtés (Source)

Les médias se gardent bien de parler de cette contagion
mondiale du phénomène « Gilets Jaunes ». Il ne faudrait pas que ça
motive encore plus les Gilets Jaunes Français!! Charge à nous de faire
circuler ces informations 




Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction

[Source : MetaTV]

par Yacine MetaTV

Armes
électromagnétiques : On va parler aujourd’hui de quelques brevets pour
des armes dites « non létales », destinées à modifier le comportement
humain. Cela fait plus de 50 ans que différentes armées travaillent à
des armes utilisant des ondes magnétiques pour influer sur le
comportement d’une foule, d’une ville, voir d’un État entier.

Les technologies de contrôle des masses et des individus sont déjà au point depuis des dizaines d’années, depuis l’époque de Nicola Tesla, déjà.

Ces armes ont déjà été utilisées à de nombreuses reprises, dans le cadre de guerres ou de conflits internes.

Il faut aussi savoir qu’on a cartographié les réactions du cerveau en
fonction des fréquences des différentes émotions, pensées,
comportements. On sait ainsi quelles ondes il faut envoyer, à quelle
fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez
une personne cible ou chez un groupe d’individus. En 1961, on savait
déjà, par exemple, qu’il était possible de provoquer de la tachycardie
en envoyant des micro ondes à un sujet. Depuis, les armes à énergie
dirigée sont nec plus ultra du contrôle mental.

Voici quelques uns des brevets qui ont été signalés ces dernières années :

  • USP# 5,507,291 :

Brevet d’avril 1996

Procédé et dispositif associées à la détermination à
distance des informations quant à l’état émotionnel de la personne, en
faisant une comparaison des émissions d’ondes électromagnétiques de
cette personne.

Il s’agit de détecter à distance les états émotionnels d’une personne
en détectant les ondes électromagnétiques émises par cette personne. On
peut aussi surveiller la position d’une personne, transmettre des ondes
électromagnétiques (et donc des comportements précis) à cette personne.
On peut aussi agir sur le métabolisme de la cible, ou savoir si la
personne va faire une attaque cardiaque.

On notera que ce système n’est toujours pas utilisé dans nos hôpitaux, mais que les brevets sont bien déclarés.

Ce système permet aussi de tester l’état d’une personne qui entre
dans une certaine zone : par exemple on verra si la personne a des
intentions criminelles (car la plupart du temps, ces personnes ont un
pouls qui bat plus vite, davantage de transpiration et une pression
artérielle plus importante).:

  • USP# 5,552,386 :

Brevet de juin 1996

Procédé et méthode pour déterminer à distance l’état émotionnel d’une personne.

Après avoir déterminé les fréquences des différentes émotions du
sujet, un détecteur capte les changements de fréquence émises par le
sujet et traduit ces informations pour décrire quel est l’état
émotionnel de la personne visée. Ce système peut être très efficace dans
le cadre d’un interrogatoire, d’autant que le système prend aussi en
compte la pulsation du cœur, le débit sanguin, la dimension des
pupilles, la respiration etc.

  • USP# 6,506,148 :
    Brevet de janvier 2003

Manipulation par des champs éléctromagnétiques émis par des moniteurs.

« Des effets physiologiques ont été observés chez un
sujet humain en réponse à la stimulation de la peau avec de faibles
champs électromagnétiques qui sont pulsés à des fréquences proches de
1/2 Hz ou 2,4 Hz, comme pour exciter une résonance sensorielle. De
nombreux moniteurs d’ordinateur et les tubes de télévision, lors de
l’affichage des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques
pulsés des amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation.
Il est donc possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en
pulsant images affichées sur un écran d’ordinateur ou à proximité du
téléviseur
 », explique la fiche de ce brevet.

On utilise donc des écrans d’ordinateur ou de TV pour émettre des très basses fréquences électromagnétiques en modifiant l’intensité des images.

« Pour un écran d’ordinateur, les impulsions de l’image
peuvent être produites par un programme informatique adapté. La
fréquence des impulsions peut être commandée par l’entrée de clavier, de
sorte que le sujet peut accorder à une fréquence individuelle de
résonance sensorielle. L’amplitude des impulsions peut aussi être
commandée de cette manière. Un programme écrit en Visual Basic (R) est
particulièrement adapté pour une utilisation sur les ordinateurs équipés
de Windows 95 (R) ou Windows 98 (R). La structure d’un tel programme
est décrit. La production d’impulsions périodiques nécessite une
procédure de synchronisation précise. Une telle procédure est élaborée à
partir de la fonction GetTimeCount disponible dans l’interface de
programmation d’application (API) du système d’exploitation Windows,
avec une procédure d’extrapolation qui améliore la précision de la
synchronisation
 ». Cela peut aussi se faire à distance, bien sûr.

  • USP# 6,488,617 :

Brevet de décembre 2002

Une méthode et un dispositif pour produire l’état désiré sur le cerveau.

Ce système permet d’agir sur le cerveau d’une personne, après avoir
identifié les différents états cérébraux de la cible, en déterminant la
différence entre l’état du cerveau de la personne, et l’état désiré.

On applique un champ magnétique précis au cerveau de la cible, via
des aimants puissants, jusqu’à ce que le cerveau fonctionne comme voulu.

  • USP# 6,091,994 :

Brevet de juillet 2000

Manipulation du système nerveux par pulsations.

On créé un refroidissement pulsatoire subliminal à la cible via des
ondes envoyées à certaines fréquences.  Le cerveau a ainsi l’information
que le corps a refroidi, et passe dans une phase de ralentissement.

À l’heure actuelle , deux grandes résonances sensorielles sont
connues, avec des fréquences proches de 1/2 Hz qui provoque la
relaxation, la somnolence, ou même une excitation sexuelle suivant la
fréquence, et 2,4 Hz qui provoque le ralentissement de l’activité du
cerveau. On peut même endormir quelqu’un à distance.

D’ailleurs, un brevet déposé en janvier1973 (USP # 3,712,292) permet d’endormir quelqu’un en lui projetant des sons.

  • USP# 6,052,336 :

Brevet d’avril 2000

Appareil et méthode de radiodiffusion sonore utilisant des ultrasons comme un transporteur.

On émet des ultrasons avec une amplitude et/ou une fréquence modulée,
on les amplifie et on le diffuse pour atteindre un individu ou un
groupe d’individus dans une zone précise. Les gens entendent ainsi un
son dans leur tête, comme s’il venait d’à côté.

Il est clair que cette invention est destinée à neutraliser une foule
récalcitrante en lui envoyant des sons neutralisant. Une méthode qui
existe depuis la deuxième guerre mondiale au moins.

On sait qu’une foule exposée à des sons agressifs, comme le bruit
d’une craie sur un tableau, ou des cris de bébé, peut avoir des
comportements irrationnels.

On peut aussi, par exemple, imiter des crissement de pneus ou des bruits de freins pour une personne en fuite.

Avec des vibrations de basse fréquence (moins de 20Hz), on produit
des effets sur le corps, comme des nausées et un sentiment général de
malaise. Cela augmenterait aussi la suggestibilité de la foule.

« Les effets sur l’humeur d’une personne semblent être
causés par l’impact de fréquences proches de la fréquence alpha des
ondes cérébrales. Un phénomène appelé «entraînement» se produit lorsque
le cerveau est stimulé à des fréquences proches de 10 Hz. Cela signifie
que la fréquence naturelle du cerveau est amenée au plus près et parfois
égale à la fréquence de stimulation. Un cerveau normal affiche un
premier plan “alpha” (de 8 à 12 Hz) lors d’une vigilance détendue. La
vigilance tendue, telle que celle provoquée par la conduite autoroute,
conduit à un motif «bêta» avec une fréquence de 13 Hz ou plus. Un état
détendu proche du rêve provoque un motif “thêta” de fréquences 4-8 Hz »,
précise la notice de ce brevet.

On peut aussi empêcher une foule d’entendre ce que dit un orateur,
par exemple en diffusant ce qu’il dit par haut parleur avec un léger
décalage.

  • USP# 5,539,705 :

Brevet de juillet 1996.

Traducteur vocal d’ultrasons et système de communication pour la conversion des fréquences radio et des signaux audio vers l’esprit humain.

Ce système n’est pas détectable par des systèmes radio.

Il permet de convertir des signaux audio, y compris la voix humaine,
en signaux électroniques de type ultrasons. Ces ondes pourront passer
par des milieux solides, gazeux ou liquides. Les sous-marins utilisent
ce type de système pour communiquer.

  • USP# 5,017,143 :
    Brevet de mai 1991

Un procédé et un appareil pour produire des
communications subliminales visuelles plus efficaces. Des images
graphiques et / ou texte, présenté de manière subliminale, à des
intervalles rythmiques organisés, destinés à influer sur la réceptivité
de l’utilisateur, l’humeur ou le comportement.

Évidement, ces images ne sont pas perceptibles consciemment. On sait
que ce système peut permettre d’arrêter de fumer, par exemple.

On sait aussi que les « Rythmes visuels, tels que ceux
créés par des lumières stroboscopiques ou le changement rapide de scènes
de films ont une forte influence sur la réceptivité de l’homme,
l’humeur et le comportement 
».

  • USP# 4,877,027 :

Brevet d’octobre 1989

Système auditif à distance.

On induit des sons dans la tête d’une personne en l’irradiant au
niveau de la tête avec des micro ondes d’une gamme de 100MHz à
10.000MHz, modulées d’une manière précise, par rafales modulées. Chaque
salve est constituée de 10 à 20 impulsions uniformément espacées et
groupées étroitement ensemble. La longueur de la salve est comprise
entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes.  La cible aura ainsi
l’impression d‘entendre clairement un son.

En 1971 déjà, on a pu implanter des paroles dans la tête de quelqu’un en lui posant des électrodes.

Un signal pulsé à une fréquence d’environ 1.000 MHz créé un son
intelligible dans la tête s’il est dirigé vers la tête de la personne.

  • 3.393.279:

Ce brevet est ancien: 1962.

Il avait pour but d’exciter le système nerveux d’un sujet via
des ondes électromagnétiques. On pouvait même communiquer des paroles à
ce sujet, via des ondes émises à des fréquences non audibles en
direction du système nerveux de la cible.

Les candidats assassins

L’un des buts recherchés par ces programmes de contrôle mental, dont Bluebird dans les années 50,
était de former le soldat parfait : un soldat qu’on peut envoyer chez
l’ennemi pour faire les pires missions, mais qui ne se souviendra de
rien et qui ne dira donc rien à l’ennemi s’il se fait prendre. Ce soldat
pourra assassiner, avoir des relations sexuelles pour recueillir des
informations, transporter des objets ou des dossiers… Sans jamais être
conscient de ce qu’il fait.

Des documents de la CIA datant des années 50 et 60 mentionnent ces programmes, qui ont toujours cours aujourd’hui. On parle de Manchurian Candidate, du nom d’un film de 1959 avec Frank Sinatra.

Dans les années précédant la deuxième guerre, un savant fou, Walter Hess,
était capable, avec des électrodes connectées à l’hypothalamus, de
faire changer de comportement à des chats, qui devenaient soudain très
féroces. Hess a obtenu a obtenu un prix nobel pour sa superbe invention
en 1940. Il a aussi travaillé sur les humains, en leur implantant des
électrodes dans le cerveau.

Dans les années 50, un certain José Delgado a fait la même chose, mais sans les électrodes : via des implants dans le cerveau. Il a ainsi pu stopper un taureau en pleine course,
ou manipuler des chats et des chiens comme des robots télécommandés,
après leur avoir implanté un système dans le cerveau. Après on n’entend
plus parler de cette technologie pendant des années. Comme si un domaine aussi prometteur allait être laissé en friche.

Ainsi, en 1951, on a testé l’hypnose sur deux cobayes âgées de 19 ans, et on a vu qu’on pouvait les endormir par un simple coup de téléphone,
grâce à un signal, un code discret et indétectable. Et que n’importe
qui pouvait émettre ce signal. On a aussi vu qu’on pouvait utiliser ces
cobayes pour transmettre des messages de manière inconsciente. En 1954,
la CIA
est parvenue à faire tirer un cobaye avec une arme à feu, sous hypnose.
On pouvait aussi pousser les gens à se suicider sous hypnose.

A cette époque, la CIA travaille sur le projet Artichoke[1]. Dans un mémo de la CIA daté de janvier 1952, la ligne directrice de ce programme de recherche est donnée : «  Nous
est-il possible de contrôler une personne au point où celle-ci fera ce
que nous lui demandons, même contre sa propre volonté, et y compris
contre les lois fondamentales de la nature, comme celle de
l’auto-préservation ?
 »

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D’autres documents montrent que la CIA a aussi utilisé les drogues et les électrochocs pour obtenir les mêmes résultats.

En 1952, un hypnotiseur connu a expliqué qu’il travaillait
pour la CIA deux jours par semaine de manière ultra confidentielle. Il
explique que si un sujet refuse de coopérer pour être hypnotisé, on lui
fait prendre du sodium amytal ou du penthotal[2], des barbituriques.

En 1954, Morris Allen dit qu’il veut créer l’assassin parfait par l’hypnose.
Mais à ce moment, il fallait quelqu’un de très suggestible (une
personne sur cinq) et qui ait une tendance à la dissociation. On a
cherché en Europe
un agent des renseignements qu’il a transformé en gauchiste, membre du
parti communiste. Il était hypnotisé en pensant qu’il s’agissait d’un
traitement médical. Une fois que l’agent a été bien préparé, on l’a fait
travailler comme espion pour la CIA.

En 1954, Allen Dulles, chef de la CIA, confie les recherches sur la
modification du comportement à Sidney Gottlieb et à l’équipe qui
travaillait sur MK Ultra[3]. Gottlieb a mené des recherches sur les effets du LSD, y compris avec des cobayes non volontaires. En 1973, quand le congrès US a cherché à savoir ce que manigançait la CIA, c’est lui qui a détruit la quasi-totalité des fichiers de concernant MK Ultra.

Il était appelé « le sorcier noir » par certaines de ses victimes. On
peut encore ajouter que Gottlieb, mais aussi Richard Helms, alors
patron de la CIA, George White[4] et Morris Allen ont été accusés par une certaine Claudia S. Mullen [5] de l’avoir obligée à des relations sexuelles dès ses 9 ans, dans le cadre de sa programmation comme esclave sexuelle, en 1959 (mais
apparemment, on lui a seulement dit qu’elle était acceptée dans un
programme destiné à stopper le communisme). Mullen était là pour
apprendre « comment plaire sexuellement aux hommes » afin de
les faire parler d’eux. Ensuite, les types visés (politiciens, hauts
fonctionnaires…) étaient filmés dans des chambres d’hôtel à la Nouvelle
Orléans, équipées par la CIA, pendant les actes pédophiles, dans le but
de les faire chanter.

Mullen a aussi expliqué que le Dr Greene, qui programmait les enfants sous contrôle mental, était en réalité le fameux Dr Mengele, celui qui a été exfiltré d’Allemagne via l’Amérique Latine, avant de venir aux États-Unis travailler pour la CIA.

Un certain Alden Sears a repris les recherches sur
l’hypnose sur des sujets non consentants à l’université de Denver, pour
créer cet assassin parfait. Il est aussi parvenu à faire retenir des
textes complexes à ces cobayes, ou à leur faire mémoriser des lieux, des
scènes en détail, et à les retranscrire sous hypnose, tout en oubliant
avoir été programmés.

Gottlieb était l’incarnation du scientifique destructeur. Il a par
exemple contribué à répandre le LSD, découvert par Hoffman en 1953,
parmi les jeunes contestataires. Gottlieb a été le chef de la division
chimie de la CIA à la fin des années 50, et il a lancé pas moins de 149 expériences de contrôle mental, dont au moins 25 impliquaient des sujets non consentants[6] auxquels
on a fait prendre du LSD. La CIA a ainsi développé l’usage de LSD et de
cocaïne, en forçant les prostituées des bordels à en proposer à leurs
« clients », qu’on observait ensuite en plein délire.

Le très décrié Ewen Cameron, dont on a aussi déjà parlé (et qui a été désigné par Claudia Mullen comme le n°1 des
laveurs de cerveau de la CIA), était le président de l’American
Psychiatric Association et de la World Psychiatric Association. Ce qui
ne l’a pas empêché de travailler pour le programme MK Ultra, avec des
fonds de la CIA[7], dans son hôpital canadien. Il va sans dire que les patients, qui ont subi des électrochocs combinés à des privations sensorielles et à des cocktails de drogues, n’étaient pas volontaires. Ses recherches visaient surtout à re modeler l’esprit des sujets.

Mk-Ultra au Canada – Dr Ewen Cameron par JaneBurgermeister

En 1971, un certain Goerge Estabrooks, psychologue et hypnotiseur proche de la CIA et du MI5 depuis les années 20, expliquait avoir « programmé » plusieurs espions US durant la 2e guerre
mondiale. Un capitaine a ainsi été programmé pour qu’il oublie avoir
été hypnotisé, et Estabrooks a permis à un autre militaire d’agir sur le capitaine par hypnose, via la phrase « la lune est claire ».

Dans les années 20, on savait déjà créer des personnalités multiples
par hypnose. Estabrooks a ainsi créé deux personnalités chez un soldat,
l’un des deux étant devenu communiste, et ayant même pris sa carte du
parti. La deuxième personnalité était plus profonde, et savait tout ce
que pensait la première personnalité. Elle était anticommuniste, et
avait pour ordre de ne pas agir durant les phases de conscience. Pour
Estabrooks, « l’hypnose est une arme dangereuse qui rend impératif d’éviter la guerre de demain ».

Depuis, on a eu Sirhan Sirhan, qui passe pour l’assassin de Bob Kennedy, et plein d’autres comme James Holmes, cet étudiant en médecine qui a massacré plusieurs personnes lors de la Première de Batman il y a quelque temps.

De fait, la liste des médecins corrompus qui ont travaillé à détruire l’homme plutôt qu’à le guérir est extrêmement longue, rien que pour les États-Unis. 

Les armes électromagnétiques

Ça, c’était un peu la préhistoire du contrôle mental.

Aujourd’hui, on est passé aux armes électromagnétiques, qui
permettent d’obtenir les mêmes résultats, et même mieux, puisqu’elles
peuvent être dirigées contre des populations entières.

On les appelle des « armes non l’étales » car elles sont censées ne
pas tuer les cibles. Mais, il y a toujours des « dommages collatéraux ».

Dans les années 50 déjà, les russes ont utilisé ces armes contre
l’ambassade US à Moscou, et beaucoup d’employés ont déclaré des cancers
dans les années suivantes. Cela a servi de prétexte aux USA pour
développer ces armes. Alors qu’en réalité, ils y travaillaient déjà
depuis le début du siècle.

Dès 1952, le programme MK Naomi est lancé, afin de développer des substances mortelles. Par exemple, des aérosols toxiques ont été testés dans des grandes villles américaines dans le cadre de ce programme. L’année suivante, MK ULTRA était sur les rails.

En mars 1976, la CIA a publié un document sur les effets biologiques
des armes électromagnétiques. Évidemment, il ne s’agit en l’occurrence
que des expériences menées par l’URSS[8]. On nous y explique, par exemple :

  1.     Que « des sons et probablement même des mots qui semblent
    provenir de l’intérieur du crâne peuvent être induits par la modulation
    d’un signal à une intensité de pouvoir de moyenne basse
     ».
  2.      Qu’on est parvenu à tuer des animaux par attaque cardiaque ou
    une rupture d’anévrisme en utilisant des micro ondes de basse intensité.
  3.      A cette époque, on classifiait les effets de ces armes à micro
    ondes en deux catégories : effets thermiques et non thermiques.
  4.       Les effets sur des « systèmes biologiques » on a noté qu’ils variaient suivant la modulation de ces ondes.
  5.    On a noté des effets sur le sang au bout de quelques jours
    d’irradiation : variations biochimiques, modification de la coagulation,
    altération du système de formation du sang. L’exposition à long terme à
    de Ultra Hautes Fréquences (UHF) modifie la composition du sang et des
    muscles en réduisant la présence de fer. Chez des poulets, on a observé
    l’augmentation des protéines et d’autres éléments, avec une baisse du
    taux de plasma et d’albumine. Il y a aussi des changements de la
    structure nucléaire du système lymphatique. Et plein d’autres choses
    inquiétantes. Chez l’homme, on peut augmenter la coagulation du sang
    avec ces micro ondes, si bien qu’on peut aussi créer un AVC ou une
    attaque.
  6.    Il y a aussi (chez l’homme) des changements du système cardio
    vasculaire, dus notamment à des changements du système nerveux
    central. Problèmes coronariens, hypertension, perturbation des lipides
    dans le métabolisme…
  7.     Modification au niveau des cellules et problèmes pour les  structures de synthétisation des protéines.
  8.     Suite aux modifications du système nerveux central, les sujets
    ont constaté : des maux de tête, de la fatigue, des désordres au niveau
    des menstruations, de l’agitation, de la tension, des insomnies, des
    manques d’attention, de la dépression, de l’irritabilité.
  9.    Il y a aussi des dommages neurologiques: “l’exposition de
    lapins à de bas niveau de radiations par micro ondes a résulté en une
    altération de l’activité électrique du cerveau”
    . Suivant
    l’exposition du lapin, les altérations physiques du cerveau seront plus
    ou moins importantes, jusque dans les cellules.
  10.    Altération du système digestif.
  11.    Altération du système visuel.
  12.    Problèmes de reproduction : baisse de la fonction reproductive
    des ovaires, baisse de 20% de la fertilité des femelles, augmentation
    des bébés morts nés, poids plus faible.
  13.    Effets sur les gènes également dès la deuxième génération.
  14.    Modification des flux sanguins.
  15.    Interactions avec le système immunitaire

 L’armée US mène toujours des programmes de recherche sur les “armes à énergie dirigée“, avec des tests, des “entraînements” et tout le reste.

Applications

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Les
armes à micro ondes sont utilisées contre les populations depuis des
dizaines d’années. En Angleterre, il se dit que dans les années 80, lors
des grèves de mineurs, Thatcher avait installé des émetteurs dans les
quartiers populaires où ils vivaient, afin de les rendre apathiques. Il
se dit aussi que ce système a tellement bien fonctionné que Thatcher en a
ensuite équipé toutes les grandes villes.

Il s’agit en l’occurrence d’armes qui émettent des extrêmement basses
fréquences (ELF pour « extremely low frequency ») ou à l’inverse des
ultra hautes fréquences (UHF), dont le but est d’interférer sur le
cerveau pour transformer les gens en zombies. D’après certains, on peut
utiliser des téléphones portables pour relayer ces ondes, car ils ont
été conçus dans ce but également.

C’est l’Institut Tavistock[9], spécialisé dans la modification du comportement humain,
qui aurait développé ce système à partir des années 50. Dans les années
60, le Dr Ross Adey a travaillé sur le Pandora Project pour la CIA et
le MI5, dans le domaine du contrôle mental à distance (RMCT, « remote
mind control technology »). Il a exploité les ondes ELF (1 à 20 Hz) qui
avaient des effets psychologiques et biologiques sur l’homme. Ils ont
trouvé que les fréquences de 6 à 16Hz avaient des effets importants sur
le cerveau et les systèmes nerveux et endocrinien. Plus tard, il s’est
avéré que ces ondes peuvent aussi endommager l’ADN. Il a combiné des
ondes ELF avec des ondes UHF notamment, pour en amplifier les effets.

On a aussi utilisé ces armes, par exemple, à la base US de Greenham
Common en Angleterre, autour de laquelle des pacifistes (dont une grande
majorité de femmes) manifestaient depuis des mois[10].
Fin 1984, ces femmes ont été visées par de hauts niveaux de radiations
par micro ondes, et un certain nombre d’entre elles sont mortes du cancer. Apparemment, on peut coller un cancer à quelqu’un à distance en modifiant l’ADN via les ELF.

Au
même moment, une quarantaine de femmes qui se trouvaient à des endroits
différents autour de la base ont ressenti exactement les mêmes
symptômes. Ou elles remarquaient qu’elles étaient soudain extrêmement
fatiguées juste avant des événements importants, comme le départ d’un
missile de croisière ou quand une grosse manifestation
était prévue. Quand ces armes ont commencé à être utilisées suite à
l’installation d’une nouvelle antenne dans la base, la présence
policière s’est fortement réduite.

Très vite, certaines de ces femmes ont compris qu’elles
ne pouvaient pas rester près de la base plus que quelques heures.
D’après elles, on a utilisé différentes fréquences contre elles, afin
d’obtenir un cocktail d’effets indésirables, à la fois physiques et
psychologiques, allant de paralysies temporaires à de la désorientation,
en passant par des brûlures, des vertiges, des pertes de mémoire.
Apparemment, des scientifiques ont constaté de hauts niveaux de
radiations électromagnétiques autour de Greenham Common, et surtout dans
les endroits où les victimes ont noté des effets indésirables. On sait
également que les flics et militaires chargés de surveiller la base ne
travaillaient que par tranches de deux heures, et seulement pendant 2
semaines.

On aurait aussi testé ce système à Brighton pour faire partir les vagabonds du centre ville.

Suivant la fréquence utilisée, les effets sont différents, allant de la dépression (6,66Hz) au cancer, en passant par de la schizophrénie, de la paranoïa (4,5Hz) des attaques cardiaques etc.

Les anglais les utiliseraient aussi à Chypre,
afin d’exciter la population des Chypriotes grecs pour qu’ils virent
les turcs et laissent les anglo US faire ce qu’ils veulent à Chypre[11].
Les catholiques d’Irlande du Nord ont aussi subi des cancers mortels en
masse dans les années 80, selon le Dr Damien Burn et la militante Mary
Allen. Des cancers qui n’existaient quasiment pas sont soudain apparus
très fréquemment, dans des rues entières.

Une
fois qu’on a fait la liste de tous les états du cerveau possibles, avec
les fréquences émises par le cerveau pour chacun d’entre eux, il est
très simple de manipuler quelqu’un à distance. On peut ainsi viser une
personne précise dans une maison de plusieurs personnes, sans que les
autres ne sentent rien.

On peut aussi créer une paralysie à un sujet, toujours en émettant
des ondes qui entraînent une réaction physique de la personne. On peut
effacer la mémoire récente de la même manière.

Avec un système spécial qui envoie des micro ondes, appelé MASER, on
peut même faire de la “télépathie synthétique”. D’ailleurs, récemment
des expériences ont montré qu’un ordinateur pouvait déchiffrer des
pensées humaines. On peut aussi lire les pensées de quelqu’un à distance
après avoir scanner les ondes électromagnétiques  émises par le sujet
dans différentes situations[12].

On sait aussi, semble-t-il, manipuler le système nerveux d’une cible en diffusant des images pulsées

D’après Tim Rifat, l’Angleterre utiliserait ce système contre des citoyens récalcitrants au moins depuis la fin des années 80.

Aux États-Unis, un certain nombre de gens se disent victimes de harcèlement électromagnétique et
désignent souvent le gouvernement comme responsable. Mais, d’autres
expliquent par exemple qu’ils ont commencé à avoir des problèmes après
avoir porté plainte, par exemple contre un cabinet d’avocats ou un
politique. En fait, on peut fabriquer soi-même de quoi harceler son
voisin avec des ondes électromagnétiques dirigées. Plusieurs procès ont
déjà eu lieu à ce sujet.

L’une d’elles, Vicki Casagrande, une ingénieure, a expliqué devant une commission sur les victimes d’harcèlement électro magnétique que les victimes pouvaient être totalement contrôlées à distance : « les
muscles peuvent être relâchés ou contractés, que ce soit légèrement ou
violemment. Mais, ces effets peuvent aussi être placés dans le cerveau
juste comme une sensation
 (…) Les victimes peuvent avoir froid par 40°C dehors, et on a déjà eu très chaud en étant en short dans la neige ».

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Casagrande
explique que certaines personnes auraient des implants dans le cerveau,
afin de capter et d’émettre les ondes du cerveau, depuis les années 60
et 70.

Plus récemment, un assistant professeur à l’université des sciences et de technologie
de Hong Kong a réclamé 100 millions de dollars au gouvernement US,
qu’il accusait de lui avoir implanté des puces dans les dents en 1991,
quand il étudiait à l’université de l’Iowa. Suite à cela, il a dit
souffrir de problèmes de mémoire proches d’Alzheimer. Il disait aussi
que ces puces étaient capables de lire dans ses pensées,  de lui parler
quand il dormait et de modifier son comportement.

L’affaire James Walbert, jugée en 2008, a vu la reconnaissance par le tribunal d’un “harcèlement électronique” sur la victime, à qui une puce RFID avait été implantée (ainsi,
la cible reçoit encore mieux toutes les ondes qu’on lui envoie). Cet
ingénieur dénonçait son associé comme étant le responsable des attaques.

A cette époque, dans le Missouri, un élu avait recensé 300 plaintes
concernant du harcèlement électromagnétique. Certaines des victimes sont
simplement harcelées dans le cadre d’expérimentations. Du coup, un certain nombre d’associations (comme l’International Committee on Offensive Microwave Weapons) se sont montées pour aider les victimes, ou pour tenter d’alerter l’opion et les décideurs politiques. En Angleterre également, quelques victimes se sont regroupées et militent contre l’utilisation des armes à énergie dirigée


[1] Artichoke a duré de 1951 à 1963. Il a succédé au programme Bluebird (1951-1953)
où on testait déjà le LSD dans le but de faire parler les témoins. Dans
Artichoke, les anglais et les canadiens étaient partie prenante au
projet. Sous Artichoke, on a travaillé sur l’hypnose, les drogues, les personnalités multiples.

[2] Le Penthotal, qui fait partie des « sérums de vérité » a servi aussi pour les interrogatoires pendant la guerre d’Algérie, ou en Argentine contre les opposants à Pinochet.

[3] MK
Ultra, qui a regroupé près de 150 projets différents, n’a démarré
officiellement qu’en 1953 et aurait cessé en 1963, mais c’est faux même
si le programme a changé de nom pour MKSEARCH. MK ULTRA se penchait
aussi sur l’utilisation d‘armes chimiques et biologiques et
électromagnétiques afin de contrôler le comportement humain. MK ULTRA visait à manipuler le comportement humain via des armes chimiques, biologiques et électromagnétiques.

[4] Un agent du bureau des narcotiques à qui Gottlieb avait demandé de travailler sur les possibilités du LSD sur des personnes non consentantes.

[5] Mullen
a témoigné en mars 1995 devant la commission sur les expériences de
radiations sur l’homme (President’s Advisory Commission on Human
Radiation Experiments). Elle a estimé (malgré de troubles de la mémoire)
avoir été victime de programmation entre 1959 et 1984, dans le cadre
des recherches pour trouver l’espion parfait. Son but à elle était de
coincer des personnalités politiques, militaires ou du renseignement
afin de les faire chanter ensuite. « Le pire est que je sais très
bien que je n’étais pas seule. Il y avait énormément d’autres enfants
dans la même situation que moi
 », a-t-elle expliqué. Elle avait été
adoptée à l’âge de deux ans par une femme qui abusait d’elle et était
amie avec le président de l’Université de Tulane qui lui a conseillé un
psy, un certain Heath, qui l’a envoyée dans ce programme.

[6] L’affaire
Frank Olson, un agent de la CIA à qui on a fait prendre du LSD et qui
s’est défenestré en 1953, est symptomatique. Pendant des dizaines
d’années la CIA a nié toute implication dans ce décès. D’après la famille d’Olson, il a été assassiné par
la CIA après avoir découvert que ses recherches à Fort Detrick
servaient à torturer et tuer des gens. Il travaillait sur les armes
biologiques qu’on pouvait diffuser par l’air. On notera que pour ses
« recherches », Olson venait jusqu’en France, en Angleterre, en Norvège
et en Allemagne de l’Ouest. Durant ses voyages en Europe,
il a assisté à des interrogatoires dans lesquels la CIA commettait des
meurtres en utilisant les agents biologiques trouvés par Olson. En
rentrant il a voulu démissionner. C’est là qu’on l’a invité à une
réunion où on lui a fait prendre du LSD. Les jours suivants il a été
admis pour un traitement psychiatrique, et c’est là qu’il aurait sauté
par la fenêtre de son hôtel. La justice a refusé toute poursuite contre la CIA par la famille Olson.

[7] Évidemment, l’argent transitait par une officine de la CIA qui distribuait de l’argent à des travaux intéressant ladite CIA, en l’occurrence, la « Society for the Investigation of Human Ecology », à la Cornell University de Montreal.

[8] Car bien sûr, les premiers articles US qui parlaient de contrôle mental
désignaient les chinois ou les russes comme les utilisateurs de cet
affreux système. Et cela, dès les années 50 semble-t-il. Évidemment,
après une telle campagne de propagande, il a été facile de justifier les
recherches de l’armée dans ce domaine.

[9] Créé en 1946 sous le nom de Tavistock Institute of Human Relations, avec de l’argent de la fondation Rockefeller et de la famille royale anglaise, puis également des Rothschild.
Il est basé à Londres mais collabore avec de nombreuses fondations US,
pour un budget de 6 milliards de dollars par an. A l’origine, le but
était de contrôler l’opinion publique. En réalité, l’Institut aurait
commencé à fonctionner juste avant la première guerre.

[10] En
réalité, les manifestations ont commencé en 1981 pour se terminer
seulement 10 ans plus tard, quand les missiles nucléaires américains ont
été enlevés de la base. Fin 1984, 70.000 personnes étaient présentes
autour de la base. En 1982, il a été décidé que seules des femmes iraient manifester.
Elles ont formé là-bas une véritable société alternative. On comprend
donc que l’enjeu était important pour Thatcher et qu’il fallait
absolument les neutraliser.

[11] C’est-à-dire
avoir un accès facilité à Israël, mais aussi protéger leur invention
géniale : un système HAARP ultra sophistiqué destiné à contrôler le
temps, mais aussi les individus.

[12] Apparemment,
un certain major général Schaknow a évoqué ce système à Fort Bragg en
Caroline du Nord en 1992. Chaque signal électromagnétique du cerveau
associé à des pensées sous vocalisées est connecté à un ordinateur via
des électrodes ou une puce. Des ordinateurs permettent de lire les
pensées sous vocalisées en donnant un mot à chaque type d’émission. Car,
il y a une fréquence spécifique pour chaque mot dans une langue. Mais,
si le sujet s’amuse à penser dans une langue différente de la sienne,
l’ordinateur ne peut plus rien déchiffrer.

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Source(s) : Donde Vamos




La Révolution du masque

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Qui aurait imaginé que les manifestations pour Floyd seraient le meilleur vaccin contre le Coronavirus? Les mêmes qui nous avaient averti que le virus serait un fléau mortel et que la seule solution était de rester à la maison, nous ordonnent maintenant de faire des marches, tous au coude à coude contre la police! Ils ont donc sous leur commandement l’épouvantable pandémie, et le pouvoir de dire: la voilà qui arrive, ou bien non finalement. Toutes les manifs n’ont pas le même potentiel curatif: il est très dangereux de manifester contre le confinement, mais il est parfaitement hygiénique de manifester contre la police, disent-ils.

Les experts de la santé supportent les manifestations anti-police
« En tant qu’avocats de la santé publique, nous ne condamnons pas ces rassemblements comme étant un risque de transmission de la covid-19… Ceci ne devrait pas être confondu avec une posture permissive pour tous les rassemblements, spécialement pour les manifestations contre les ordres de confinement. »

On aura rarement vu un tel retournement de veste tout en souplesse. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque!

Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires. Le Covid, c’est la nouvelle normalité; il est intégré au discours des « éveillés ». Les beaux visages blancs, à la manif, se protègent avec des masques; les beaux visages noirs n’ont pas besoin de masques, parce qu’il est évident qu’ils sont du côté du bien.

Les masques, ça sert à cacher la défaite. Le coronavirus, c’est un truc qui n’a pas marché. Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly Karlin avait promis que le corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oops! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts. Voyez par exemple le taux de mortalité de la Norvège. Avec le Corona (en 2020), on a eu moins de morts que sans, au cours des cinq années précédentes. Et il n’a gère contribué au total, le salop!

La Norvège s’est infligée un confinement très douloureux pour arriver à ce chiffre record, si bas, et si inutile, qui casse les statistiques. La Suède n’a pas eu de confinement du tout. Les Suédois sont restés libres de se déplacer, d’aller au café, de travailler, de se détendre. Le virus n’a pas entravé le cours normal de leurs existences. Et le résultat n’est pas mal non plus; les Suédois sont morts avec leur Corona exactement autant que sans le fieffé virus, en 2018, par exemple.

Le Corona a tout juste ajouté  400 morts à la moisson de 2018, pas un petit million, pas le moindre millier. En en voyant le résultat, la premier ministre norvégienne a dit: « on aurait dû faire comme la Suède ». C’était dur à assumer, pour une Norvégienne, parce qu’entre voisins, ils ont de vieux comptes à régler; mais elle l’a fait quand même.

Partout dans le monde, le « on s’est fait avoir » est un sentiment qui gagne, dans la population. Dans la sobre Allemagne, le Comité spécial des experts a établi que des millions de gens ont été livrés à leur triste sort, comme résultat des mesures gouvernementales. 125 000 patients sont déjà morts ou vont mourir, parce qu’on a remis à plus tard l’opération chirurgicale dont ils avaient besoin. Des milliers de gens se sont suicidés; l’espérance de vie a reculé; des millions de gens ont des problèmes psychiatriques sérieux, concluent les experts, comme résultat du confinement. Le gouvernement allemand a tenté de cacher le rapport, et les médias germaniques n’en ont pipé mot.

Le confinement n’a pas sauvé de vies, et il a probablement coûté beaucoup de vies, a estimé le professeur Michael Levitt, de l’université de Standford, et prix Nobel. Il avait prévu que le Royaume Uni serait débarrassé du Covid en quelques semaines, et cela s’est vérifié dans la quinzaine suivante. Le virus est en train de disparaître tellement vite de Grande Bretagne que nous n’avons pas pu trouver assez de gens contagieux pour faire des essais de vaccins viables sur des volontaires en bonne santé, a dit un chercheur d’Oxford, et certains scientifiques envisagent d’infecter à dessein des volontaires avec le virus. On est très loin des rêves de Bill Gates et de l’OMS, du film Contagion qu’on nous avait annoncé, des milliards d’humains en attente du vaccin salvifique. Il n’y a même pas assez de gens malades pour tester leurs produits…

C’est fini, cette histoire de coronavirus. Il va partager nos existences comme tant d’autres virus, mais son puissant jumeau le virus de la panique va lui fausser compagnie. Certaines personnes sont outrées: le fantasme des millions de morts s’est effondré, mais la stratégie du confinement a creusé des cratères dans l’économie familiale, et a arrosé d’une manne exceptionnelle les Poches profondes. Au Royaume Uni, ce sont des milliers de locataires qui vont bientôt se retrouver à la rue. Aux US, ils y a 40 millions de chômeurs mais les Poches profondes ont ajouté une couche d’un demi billion de dollars à leur magot.

Semaines de pandémie : 11
Chômeurs : 42,6 millions
Augmentation de la fortune des milliardaires : 565 milliards de dollars (+19,15%)

Il va falloir que ces gens-là justifient leurs agissements, car les peuples vont demander des comptes. Peut-être, à Dieu ne plaise, qu’ils pourraient demander une petite taxe spéciale pandémie, de 105% sur les  bénéfices de certains? Et ce sont eux, avec leurs médias, qui se sont jetés sur le cadavre de George Floyd, comme sur une occasion unique de changer de trajectoire en plein vol.

Les Maîtres du Discours ont bricolé un agenda pour les masses depuis des années; il y a des gens formatés par cet agenda. Ils pensent et agissent comme on leur dit de le faire. Ils font des marches quand on leur dit « en marche ». Ils restent à la maison quand on leur dit de ne pas sortir. Ce sont des braves gens, ils veulent faire le bien, ils aiment la vertu et le font savoir, il est facile de les flatter en invoquant leur supériorité morale. Ils prennent leurs ordres de marche dans les journaux libéraux dominants. Ils n’ont pas beaucoup de capacités critiques; il suffit de leur dire ce qui est bon et bien, ils embrayent. Ostensiblement, ils font savoir qu’ils sont des humains meilleurs que ces égotistes qui ne pensent qu’à eux, qui méprisent la vertu et qui embrassent n’importe quel préjugé. Malheureusement, leur supériorité morale est basée sur un mensonge.

Ce sont des membres dévots de l’église alternative juive pour les gentils « en éveil » de l’Occident. Certains sont des croyants fanatiques; d’autres sont des hypocrites ou simplement des fidèles par habitude. Gardons à l’esprit la qualité quasi  religieuse de ce mouvement; il serait vain d’y rechercher le moindre bon sens, la moindre logique. Dans la mesure où ils constituent une église, ils dénient toute légitimité à toute  autre ligne de pensée et de conduite. S’ils étaient dirigés par de bons bergers avisés, ils pourraient constituer une force morale de poids, dans le monde, mais ils n’ont pas cette chance. (1)

La création de ce troupeau « éveillé » et obéissant est la plus grande réussite des Maîtres du discours. La coronapanique a amplifié le phénomène. Les gens sont devenus psychotiques, mentalement affaiblis, malléables. Les Maîtres ont fourni le discours sur la supériorité morale: ils prétendent que leurs adeptes ne s’enferment pas, eux, pour sauver leur peau, mais pour sauver les vieux et les êtres fragiles d’une mort certaine. Quiconque n’est pas d’accord veut donc que les êtres fragiles succombent « pour le PIB ». Tous ceux qui ne portent pas de masque sont des gens qui veulent la mort des vieux, comme dans ce dialogue:

Paul Williams, @thepaulwilliams

Moi – J’ai hâte que le rugby et le tennis reprennent.

Twitter – Vous voulez que tout le monde meure de Covid et vous êtes heureux de tousser à la figure des retraités, autant dire aller lécher les bords de leurs tasses de thé, Paul ?

C’est forcément un mensonge. Ce n’est pas seulement le PIB qui a souffert, comme l’a affirmé notre collègue Karlin en intitulant Dulce et Decorum Est Pro PIB Mori ! sa tentative pour rester dans la tonalité morale élevée ; « vous savez, nous on prend soin des vieux, mais vous, tout ce qui vous intéresse, c’est le salut du PIB sans âme », s’écrie-t-il. Non, nous parlons de ces milliers de trépassés à cause du confinement, et d’une perte incommensurable de liberté.

Non pas que je méprise le PIB. L’économie, c’est important, surtout pour les pauvres et la classe moyenne. Les Poches profondes se remplissent encore plus vite avec le confinement. Donc, si vous voulez jouer au petit jeu de la surenchère morale, vous pouvez riposter: « restez chez vous pour Wall Street »!, ou « restez chez vous pour les Poches profondes »!

Après avoir encouragé les manifestations pour Floyd, ils ont oublié leur bluff sur la terrible contagion du coronavirus. Mais  leur nouvelle cause est également basée sur un mensonge. On a pu lire sur des banderoles: « Celui qui ne marche pas en mémoire de George Floyd, est un sale con. Celui qui ne s’agenouille pas est un tueur. » C’est péremptoire et stupide.

Les chrétiens ont de meilleures réponses. Nous n’avons pas à nous repentir des péchés des autres. Nous n’avons pas à nous repentir de l’esclavage ou du meurtre de Floyd parce que nous n’avons mis personne en esclavage, et ce n’est pas nous qui avons tué ce gars-là. L’idée même de culpabilité collective est étrangère aux chrétiens. C’est une idée juive, mais les juifs ne sont pas assez bêtes pour accepter de porter quant à eux de la moindre faute collective. Ils aiment attribuer une culpabilité collective aux goyim, rendant même les Américains coupables de l’holocauste, mais jamais à eux-mêmes. Si vous mentionnez le rôle important que les Juifs ont joué dans la traite des esclaves, vous serez traité d’antisémite, expulsé de la société bien élevée et houspillé : « Est-ce que TOUS les Juifs faisaient le commerce d’esclaves noirs ? Sûrement pas ! »

Seulement voilà, ça marche parce que l’Église du Réveil fournit un très important sentiment d’unité, comme le fait toute église. Aujourd’hui, nous sommes unis, assis à la maison, et nous sauvons des vies en portant des masques. Maintenant, nous marchons ensemble en portant des masques et en sauvant des vies. Les êtres humains ont besoin de conseils moraux et d’unité, ainsi que de privations volontaires et de frustration sexuelle: c’est l’Église du Réveil qui pourvoit à tout ça.

C’est une Nouvelle Internationale, ce Wokintern [après le Komintern]. Il y a des manifestations dans le monde entier pour soutenir cette Révolution américaine, et cela rappelle le soutien universel à la Révolution russe de 1917. Il y a pourtant une différence importante : en 1917, les travailleurs industriels du monde entier ont soutenu la Révolution soviétique ; en 2020, ce sont les hipsters [personnes qui suivent les dernières tendances et modes.] du monde entier qui soutiennent la Révolution du masque.

La Révolution du masque suit à la lettre le manuel du Dr Gene Sharp. On y parle de construire la base révolutionnaire, d’avoir un symbole, d’exploiter au maximum le meurtre d’un citoyen par la police. C’est ce qui a été mis sur les rails lors des  printemps arabes, et en Europe de l’Est aussi. Il faut avoir une victime, c’est une condition sine qua non. En Égypte, c’est la mort du jeune Khaled Mohamed Saeed qui avait déclenché le Printemps arabe ; en Tunisie, le jeune Bouazizi qui s’était  immolé par le feu après avoir été maltraité par la police ; en Algérie, son exploit avait été suivi par celui de Bouterfif. En Russie, en août 1991, trois jeunes hommes avaient été accidentellement écrasés par un char d’assaut, et leur sang a servi de carburant au coup d’État d’Eltsine. George Floyd n’est que le dernier de cette longue liste de noms de victimes traînées sur l’autel de la révolution.

Suite à une nouvelle admonestation de Gene Sharp, les maîtres délégitiment le régime actuel de Trump et sabotent son soutien au sein de la police et des forces armées. En l’espace d’une journée, trois juges (nommés par Clinton et Obama) ont interdit à la Maison Blanche de bannir de ses propres conférences de presse un journaliste qui s’était mal conduit. Des lanceurs de cocktails Molotov ont été condamnés à une simple assignation à résidence par un juge de Brooklyn. Vendredi, le maire de Washington a demandé au président Trump de retirer tous les agents de la police fédérale qui font respecter la loi, et les troupes de la Garde nationale ; plus tôt, elle avait exigé le retrait des troupes et elle avait eu gain de cause. Le président Trump veut déployer 10 000 soldats à Washington, mais son secrétaire à la Défense, Mark Esper, n’est pas d’accord. « Mad Dog » Mathis, le chien enragé, attaque Trump. Les hauts républicains Bush, Romney et Powell retirent leur soutien à Trump.

Le contrôle des médias est la chose la plus importante dans la liste des choses à faire selon Gene Sharp. Les révolutionnaires ont le contrôle total des journaux, et luttent maintenant pour la domination des réseaux sociaux. Les employés de Facebook organisent des débrayages virtuels pour protester contre les posts de Trump. Les messages de M. Trump ont été qualifiés de « fake news » sur Twitter. C’est un tournant. Twitter a déclenché l’avalanche, en s’attaquant au Président et a en montrant qu’on pouvait le faire impunément. Les grandes multinationales ont suivi. Ce sont les principales bénéficiaires de la révolution du masque qui va achever le démantèlement de l’État tel que nous le connaissons.

On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Le contrôle des médias, c’est tout bon ; la police démoralisée, excellent ; les juges de votre côté, parfait ; l’armée neutralisée, quelle merveille ; mais vous aurez toujours besoin de jeunes prêts à se salir les mains et à en découdre, physiquement, dans le monde réel.

 Le peuple de l’éveil, ce sont des gens toujours plus forts pour brailler que pour faire le coup de poing. C’est cette carence qui a fait échouer l’excellent mouvement Occupy Wall Street. Il semble que ce qu’on appelle Antifa soit un petit mouvement comptant quelques dizaines de militants pour l’ensemble des États-Unis. Mais c’est un attrait pour la classe marginale noire : ils sont assez pugnaces et peuvent être cornaqués chaque fois que cela est nécessaire. Et si certains d’entre eux suivent George Floyd au royaume des ombres, encore mieux : la révolution a besoin de martyrs.

Notre collègue Le Saker estime qu’il ne peut s’agir d’une révolution : « pour qu’une révolution ait lieu, il faut une force capable de changer non pas la ou les personnes au pouvoir, mais de changer fondamentalement le régime, la politique elle-même, et de la remplacer par autre chose ». C’est un  romantique à l’ancienne. Les révolutions de couleur font bel et bien changer de régime à une nation donnée, qui passe d’un pouvoir présidentiel fort à un pouvoir direct des multinationales, comme cela s’est produit dans tant de pays.

Nous en avons la confirmation directement de la bouche des intéressés. Sur The Atlantic, l’un des principaux à avoir alimenté le RussiaGate, Franklin Foer, le confirme : « Ce qui se passe dans les rues – avec des fonctionnaires qui refusent de coopérer – ressemble beaucoup aux révolutions qui ont renversé les dictateurs en Serbie, en Ukraine et en Tunisie… Ce à quoi les États-Unis assistent ressemble moins au chaos de 1968, qui avait divisé une nation, et plus aux mouvements non-violents [et entièrement financés par George Soros et al] qui ont gagné un large soutien de la société dans des endroits comme la Serbie, l’Ukraine et la Tunisie, et ont balayé les dictatures comme celles de Milošević, Ianoukovitch et Ben Ali. Et cela, même si le mandat de Trump va se terminer par une élection » [si l’élection ne parvient pas à évincer Trump, il y aura une nouvelle élection, selon les nouvelles règles améliorées, jusqu’à ce qu’il soit battu, comme ce fut le cas en Serbie et en Ukraine].

Naturellement, aux États-Unis, ce sera différent de la Serbie ou de la Géorgie. Cela se passera en mode atlantique, ou mondialiste. Les États-Unis redeviendront le leader de l’OTAN ; les troupes américaines resteront partout à l’étranger ; le port du masque sera inscrit dans un amendement constitutionnel ; les écoles passeront à l’enseignement à distance à perpétuité ; les vaccinations seront obligatoires, sauf si vous êtes prêt à rester enfermé chez vous pour le restant de vos jours.

La foi chrétienne sera marginalisée. C’est déjà le cas dans les faits, puisque la chrétienté (tant occidentale qu’orientale) n’a plus eu de communion, plus de liturgie pendant des mois. Les évêques anglicans ont demandé à ce que l’ouverture des églises soit reportée, parce que, nul ne l’ignore, assister à un service divin, c’est beaucoup plus dangereux qu’une manifestation anti-police. L’évêquette de Washington DC s’est rangée du côté des émeutiers qui ont brûlé l’église du président, contre le président qui s’y était rendu. « [Trump] n’a pas prié », a déclaré Mariann E. Budde, l’évêque épiscopalienne de Washington. « Il n’a pas mentionné George Floyd, il n’a pas mentionné l’agonie des personnes qui ont été soumises à ce genre d’expression horrible du racisme et de la suprématie blanche pendant des centaines d’années. » Il est clair que cette dame appartient à l’Église crypto-juive du Réveil, et l’Église épiscopalienne est morte, en pratique.

Peut-être que la police va disparaître. Certaines villes très « éveillées » ont déjà cherché à éliminer la police. « Les villes se demandent s’il n’est pas temps de désengager la police et de « réimaginer » la sécurité publique, dit le New York Times. — Au lendemain du meurtre de George Floyd, certaines villes se demandent si l’on ne demande pas à la police de faire des tâches qu’elle n’a jamais été censée faire. Les budgets sont en cours de réévaluation ». Les multinationales à l’origine de la révolution n’ont pas besoin de la police — elles ont leur propre sécurité d’entreprise, parfaitement capable de faire face à leurs problèmes. Et elles ne se soucient pas de savoir si votre quartier sera protégé par la police, ou si vous serez obligé de faire garder vos rues la nuit par votre fidèle Colt. Ils ne se soucient pas que vous restiez enfermé, que vous soyez agressé ou que vous soyez pillé, c’est le prix de la soi-disant liberté, l’autre nom du nouveau féodalisme numérique.

La révolution du masque en est à ses débuts : elle garde ses troupes de choc l’arme au pied et enthousiastes. L’étape suivante viendra après les élections, lorsqu’une victoire de Trump ne sera pas reconnue par la concurrence. « i le vote servait à quelque chose, on ne nous laisserait pas voter », a déclaré un petit Américain futé. Et cette fois, ce n’est pas un vote qui tranchera, à moins que les Américains ne votent pour le candidat démocrate. Après quatre années de préparation passées à diaboliser et à disqualifier Donald Trump, après une demi-année passée à enfiévrer leurs adeptes, les Démocrates, menés par l’Église du Réveil, ont bien l’intention de prendre le pouvoir même s’ils ne gagnent pas par le vote.

Peut-être que Donald Trump et ses partisans feraient bien de frapper avant qu’il ne soit trop tard. Il y a beaucoup de bons gros trésors qui appellent au pillage légitime, tout d’abord Wall Street. La sous-classe noire ne s’intéresse pas à ces banques ; mais l’État peut très bien les piller, sans faire de casse. L’État peut s’emparer des réseaux sociaux et d’autres choses très utiles. La décision de Trump de faire revenir d’Allemagne 10 000 GI est judicieuse. Le retour rapide des vétérans d’Afghanistan et d’Irak, des Philippines et du Japon devrait suivre. Ils profiteront de Washington DC et de la Silicon Valley. Il ferait mieux, Trump, d’oublier la Chine, l’Iran et la Russie et de se concentrer sur sa survie. Il doit absolument se préparer pour le 4 novembre et être prêt pour la rupture de l’Union si le pire devait arriver.


(1) Il y a des personnalités noires pour soutenir Trump et pour démasquer les imposteurs. Voir ici deux vidéos du rappeur Lord Jamar: https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-rappeur-americain-Lord-Jamar-Black-Lives-Matter-est-un-mouvement-finance-par-Soros-et-dirige-par-59698.html. La résistance au mensonge existe aussi chez les Africains (un facteur parmi d’autres pour expliquer que le virus n’arrive pas à y creuser son trou?) et chez les descendants d’Africains, dans tous les pays du monde, même s’il est difficile d’en trouver la trace dans les médias. (ndt)

Traduction : Maria Poumier

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Source : https://www.unz.com/ishamir/the-mask-revolution/




La vallée européenne de ceux qui sont tombés : réflexions sur Franco, le féminisme et la fin de l’homme.

[Source : Le blog de Moïra Forest]

Par Gearóid Ó Colmáin

La
Journée internationale des femmes est devenue plus militante ces
dernières années. Alors que la civilisation européenne entre dans
une période de crise terminale, le féminisme et la confusion des
genres sont devenues les composants clé de la dictature de classe.
Nous sommes retournés au chaos de la Chute ; sinon dans cet épisode,
Eve tue Adam, bloquant tout espoir de salut.

Le
8 mars dernier, Journée internationale des femmes, j’ai visité la
Valle de los Caídos – la Vallée de ceux qui sont tombés, à San
Lorenzo de El Escorial, à l’extérieur de Madrid. Une gigantesque
croix de 150 mètres est érigée sur la coupole d’une basilique
taillée dans les montagnes de la Sierra de Guadarrama. Taillée dans
une crête de granit, la Basilique de la Santa Cruz del Valle de los
Caídos (basilique de la Sainte Croix de la Vallée de ceux qui sont
tombés) est l’une des merveilles du monde.

L’ancien
dictateur d’Espagne, Francisco Franco et le leader phalangiste José
Antonio Primo de Rivera sont enterrés dans la basilique. Franco a
ordonné aux architectes Pedro Muguruza et Diego Méndez de
construire la basilique dans le style Renaissance espagnole pour
refléter la « grandeur des monuments anciens qui défient le temps
et la mémoire. » L’enceinte qui abrite la basilique couvre 1300
hectares de forêts. Le site abrite aussi une abbaye bénédictine et
une auberge.

Le
général Franco voulait que le monument constitue « un acte
national d’expiation » pour les horreurs de la Guerre d’Espagne
(1936 – 1939). 40.000 personnes des côtés républicains et
nationalistes du conflit sont enterrés là. La gauche espagnole veut
que le corps de Franco soit exhumé de la basilique pour transformer
le bâtiment en musée contre le fascisme mais Santiago Cantera, le
prieur de l’abbaye bénédictine adjacente à la basilique, refuse
de permettre aux autorités d’entrer dans le bâtiment. Il dit que
le gouvernement ne peut exhumer le corps sans le consentement de
la famille de Franco. Cantera, un universitaire et intellectuel, a
été auparavant un politicien du parti phalangiste indépendant
avant de devenir un moine bénédictin.

La
Vallée de ceux qui sont tombés détient les dépouilles de
centaines de victimes des deux côtés de la Guerre d’Espagne (1936
– 1939). Il a été construit comme une tentative de réconcilier un
pays divisé. On ne peut imaginer endroit du monde plus « patriarcal
» à visiter pour la Journée internationale des femmes que la tombe
de Franco car à coup sûr, le régime de Franco était la
quintessence de l’oppression masculiniste des femmes. Cependant,
Pio Moa, un ancien opposant communiste de Franco, dans son
livre Franco
para Antifranquistas – 36 preguntas clave – Franco pour les anti-
franquistes, 36 questions clés, 
dit
que l’inverse est le cas en fait. L’étude qui suit est une
réflection sur le concept de la libération dans le contexte de
l’Espagne de Franco et le patriarcat en général. Les régimes
autoritaires et patriarcaux oppressent-ils les femmes ? L’Église
catholique romaine est-elle misogyne ?

Le
patriarcat est la condition de la libération des femmes

Durant
la dictature de Franco, les femmes espagnoles, argumente-t-il, se
sont plus épanouies qu’auparavant. Quelques statistiques
intéressantes ont été rassemblées pour soutenir ses déclarations.
Bien que Franco n’ait jamais été un membre de la Phalange
espagnole, beaucoup de ses membres ont collaboré avec son régime.
La Phalange a une idéologie sociale révolutionnaire. Ils voulaient
transformer et renouveler la société espagnole qu’ils
voyaient comme décadente et corrompue par le capitalisme.

La
Phalange avait une section spéciale féminine. la Sección
Feminina 
glorifiait
les scientifiques femmes Marie Curie et Lisa Meitner comme modèles à
suivre pour les femmes espagnoles.Même la célèbre nonne
lieutenant, Catalina de Erauso, était étudiée. Catalina de Erauso
était une religieuse espagnole qui s’est échappée de son couvent
déguisée en homme et qui s’est embarquée dans une série
d’aventures militaires et lesbiennes en Amérique Latine. Dans le
discours post-structuraliste, Catalina de Erauso est un parfait
exemple de « fluidité de genre » – un exemple à suivre. Mais dans
l’Espagne franquiste, elle a été considérée comme une
merveilleuse excentrique devant être étudiée et appréciée en
tant que part de l’histoire et du folklore – et non un modèle à
suivre.

L’éducation des femmes s’est développée de façon exponentielle pendant la dictature de Franco. En fait, le nombre de filles surpassait celui des garçons dans les écoles primaires et l’éducation du troisième cycle était encouragée.

Avant
1970, la participation des femmes dans l’industrie avait augmenté
de 25%. Pilar Primo de Rivera, la chef de la Sección
Feminina 
de
la Phalange, était responsable de la promulgation des droits
politiques, professionnels et ouvrières des femmes de 1961. On dit
que les phalangistes ont promu une vision de la femme inférieure aux
hommes. Il n y a aucune preuve de telles déclarations. La vision
phalangiste des femmes était qu’elles étaient différentes des
hommes, et par conséquent, avaient des roles différents dans la
société – ce qui ne serait pas une position particulièrement
radicale ou sujet à controverse dans une culture rationnelle.

La
Phalange espagnole voulait une Espagne moderne et progressiste où,
comme ils l’avaient souligné, les femmes seraient plus propres,
les enfants en meilleure santé, les gens plus heureux et les foyers
plus lumineux. C’est vrai que le vote à l’échelon municipal
était le fait des hommes car ils étaient les chefs de leurs
familles et la famille était la base de la société. Encore une
fois, pourquoi cela serait-il un problème pour les femmes ?
Aujourd’hui bien des femmes tendent à se fier à leurs maris pour
décider comment elles vont voter, et dans le même temps, des femmes
informées politiquement vont souvent influencer leurs maris.

Dans une famille unie, le vote des hommes devraient représenter tous les intérêts de la famille dans son ensemble. Dans l’arène politique, la famille parlerait d’une seule voix.

La
vue phalangiste des femmes étaient en accord avec l’enseignement
social de l’Église catholique : les femmes avaient un rôle
spécial dans la société en tant que mères et premières
pourvoyeuses de soins aux enfants. Cela a été souvent interprété
comme étant la promotion de la femme « inférieure » à
l’homme, mais quelle sorte de culture considérerait la
reproduction de la vie comme inférieure aux autres activités ?
Peut-être une société hyper capitaliste où le but de la vie
humaine est de servir pour maximiser les profits des prêteurs
d’argent ?

Pendant
la dictature de Franco, l’économie espagnole était deuxième
derrière le Japon dans le rythme rapide de son développement
économique. 

Le
modèle d’économie politique corporatiste et protectionniste a
assuré l’augmentation des salaires modestes et des gains
importants pour la classe ouvrière. Le chômage est resté en
dessous des 2% pendant la plus grande partie des années Franco grâce
au rapide développement industriel du pays. Il a immédiatement
augmenté de façon astronomique après 1975.

Pendant
cette période, l’Espagne est devenue l’un des pays les plus
développés du monde. Les femmes ont énormément bénéficié de la
stabilité sociale. La violence domestique contre les femmes était
bien plus faible qu’elle ne l’est aujourd’hui. Le viol était
rare ; aujourd’hui, il augmente de façon exponentielle.

Pour justifier l’introduction du divorce dans les années 1980, la gauche espagnole a déclaré qu’un demi million de personnes étaient en attente de séparation. Cependant, en 1987, seul 20.000 couples avaient divorcé. Dès 2006, le nombre avait monté à 100.000.

Aujourd’hui,
plus de 30% des mères ne sont pas mariées, le taux de natalité est
en chute et comme par exemple en 2011, 118.000 avortements ont été
pratiqués en Espagne. Nous sommes bien loin des suppliantes voilées
dans la basilique de Franco ! Avec 63%, l’Espagne a le cinquième
plus haut taux de divorce en Europe. L’avortement a été légalisé
en 1937 par le régime « socialiste » de Francisco Largo Caballero.
Il est nécessaire de savoir que les sociétés réellement
socialistes comme l’URSS de Staline avaient interdit l’avortement
et encourageaient les familles nombreuses. Demandez à n’importe
quel gauchiste ce qu’il pense de l’avortement et vous obtiendrez
de la tergiversation. Les gauchistes proclament leur opposition aux
guerres et à l’oppression des plus faibles mais arracher des bébés
des ventres de leurs mères à une échelle industrielle, les jeter
dans des poubelles et utiliser leurs membres pour des expériences
médicales est parfaitement civilisé et progressiste !

Alors
que j’étais dans la Vallée de ceux qui sont tombés, j’ai parlé
au frère Cantera. A la porte de l’accueil du monastère, j’ai
été reçu froidement par un moine assez méfiant. Il semblait qu’il
croyait que j’allais être hostile. Je pouvais voir de la peur dans
ses yeux. Une fois qu’il sembla satisfait que je ne sois pas un
autre ennemi, il est devenu la personne la plus aimable du monde et a
arrangé une rencontre avec le frère Cantera.

 Pendant
ma rencontre avec frère Cantera, nous avons parlé du  déclin
de la Chrétienté en Europe et de l’effondrement de la
civilisation.

Il m’a montré un article au sujet de la « conversion écologique » des oecuménistes dans l’Église catholique, qui désormais organisent des groupes de prières avec des membres d’autres croyances pour adorer la Mère Nature.

«
Cela ressemble à une rencontre de druides ». Il a secoué la tête.
« C’est fondamentalement diabolique » s’est-il lamenté. Frère
Santiago est régulièrement diabolisé dans la presse espagnole.
J’ai trouvé que c’est un homme réfléchi, gentil et
profondément humble.

Lorsque
je suis retourné à Madrid, les rues étaient remplies de féministes
avec des cheveux tondus aux couleurs criardes, des bottillons
Dr.Martens et des piercings au nez. Nombre d’entre elles
ressemblaient à Catalina de Erauso !

Franco
était un ennemi invétéré et sans pitié de la franc-maçonnerie
et des sociétés secrètes. A l’extérieur de l’un des
principaux cinémas, une publicité énorme pour une série télévisée
américaine récente « American Gods » avec l’habituelle et
rabâchée symbolique illuminati de la culture poubelle.
Contrairement à un mythe populaire, Franco ne s’est jamais opposé
à la République espagnole. Son opposition était contre la montée
de la franc-maçonnerie et des sociétés secrètes. En tant que
général dans l’armée espagnole, il a été témoin de la montée
néfaste des francs-maçons parmi ses rangs et dans l’arène
politique.

Les
francs-maçons ont parlé de « démocratie » et de la «
volonté populaire » mais Franco avait compris que la volonté
populaire en Espagne à cette époque, c’était le catholicisme.

Le
gens ne voulaient pas d’un soi-dans « état laïc » mais
d’emplois et de progrès économique.

La
soi-disante séparation de l’Eglise et de l’Etat est un mythe.
L’Église catholique a toujours fait la distinction entre la sphère
spirituelle et la sphère temporelle.

Le
fascisme est-il l’idéologie de la classe ouvrière ?

Arrivés
à ce point, les esprits de certains lecteurs doivent résonner
d’échos intempestifs du mot fascisme. Ainsi, qu’en est-il du
fascisme ? Franco était-il fasciste et suis-je moi-même fasciste ?
peu de gens en fait comprennent le terme fascisme.

Le mouvement fasciste en Italie s’est développé au sein des luttes ouvrières et paysannes à la fin du XIXe siècle en Sicile. C’était un mouvement des pauvres contre les riches propriétaires terriens et les capitalistes.

Les Fasci
Siciliani dei Lavoratori 
(ligues
de travailleurs siciliens) était un mouvement de gauche, composé
principalement de socialistes et de communistes qui se battaient pour
l’émancipation prolétarienne en Sicile.

Le
mot fascio signifie
faisceau. Un fasciste est un confectionneur de faisceaux. Les batons
peuvent facilement être cassés mais il est plus difficile de casser
des faisceaux. En s’unissant, la classe ouvrière peut réaliser
des gains importants contre les capitalistes et quelque fois même
les renverser. Dans un sens étymologique, néanmoins, tout groupe
d’intérêt ouvrier est fasciste. Mais il y a par conséquent un
sens sociologique qui est aussi vraie aujourd’hui. Si vous soutenez
la classe ouvrière, vous êtes un fasciste. L’idéologie de
l’élite dirigeante n’est-elle pas anti-fasciste ?

Si
nous devons faire le moindre progrès politique ce siècle-ci, nous
devons nous ré-approprier la langue et la décontaminer.

Le
fascisme signifie le collectivisme et en tant que tel, cela peut être
une bonne comme une mauvaise chose, qui dépendent de ce que sont les
politiques concrètes.

Le
fascisme était une idéologie radicale qui cherchait à combiner ce
qu’il y avait d’important dans la tradition, en clair le
catholicisme avec ce qu’il y avait de nécessaire pour le travail,
en clair une rémunération décente. C’était de gauche en terme
de travail et de droite en terme de valeurs. Mais les conservateurs
considérait le fascisme comme un mouvement radical et de gauche.
Franco était conservateur. Alors qu’il admirait bien des aspects
du national-socialisme allemand et du fascisme italien, son idéologie
est mieux décrite en tant que catholique, monarchiste et
conservatrice. C’est la raison pour laquelle Franco a marginalisé
la Phalange radicale espagnole.

La
Phalange espagnole a été dirigée par José Antonio Primo de
Rivera, un intellectuel dont les idées ont été inspirées par José
Ortega Y Gasset, Lénine, Spengler, Nietzsche et Mussolini.

La
Phalange espagnole luttait contre la classe dirigeante mais voulait
un état corporatiste organique.

Beaucoup
d’analystes font la confusion entre le corporatisme et la
corporatocratie. La dernière étant une société contrôlée par
les corporations.

Le
corporatisme est une forme de société basée sur les corporations
professionnelles ou les guildes et la collaboration de classe.
Cela correspond aux structures des guildes médiévales. Certains s’y
réfèrent comme une forme de socialisme de guilde.

Les corporatistes croient que la démocratie au travail devrait remplacer la démocratie parlementaire. Mais, au contraire des communistes, Ils croient dans les hiérarchies naturelles et la loi naturelle.

Les
communistes ont toujours considéré le fascisme comme une forme
d’oligarchie financière – un système terroriste utilisé par les
oligarques pour éviter la révolution sociale. Mais cela correspond
plus à la démocratie libérale qu’au fascisme. Comme le
communisme, le fascisme est devenu un mot vide de sens dans le
discours contemporain. Le terme est utilisé par les élites pour
faire taire la classe ouvrière. Le problème du militantisme ouvrier
aujourd’hui n’est pas qu’il soit fasciste mais plutôt qu’il
ne le soit pas !

Franco
l’anti-fasciste

Lorsque
Franco a pris le pouvoir, il a marginalisé les phalangistes radicaux
et a crée un régime hybride qui a préservé une bonne partie de la
classe dirigeante corrompue. Pour cette raison, les phalangistes
d’Espagne l’ont considéré comme un traître.

La différence entre le franquisme et le phalangisme pourrait être comparé aux Menchéviks et aux Bolchéviks au sein des démocrates sociaux russes.

Les
Menchéviks, dont Trotksy était un membre, étaient compatibles avec
les intérêts impérialistes, alors que les Bolchéviques voulaient
une révolution sociale.

Plus
qu’une dictature du prolétariat comme dans l’Union Soviétique de
Staline où les moyens de production étaient socialisés, José
Antonio Primo de Rivera appelait à un état dirigiste travaillant de
façon organique avec les syndicats. En termes marxistes, la vision
de

Riviera
serait parvenu au capitalisme alors que l’extraction du la valeur en
surplus provenant du travail aurait été maintenu.

La
critique marxiste classique du phalangisme est qu’il s’agit d’une
idéologie petite bourgeoise qui échoue à surmonter les
contradictions fondamentales de l’accumulation du capital.

Mais
il est néanmoins intéressant d’imaginer comment une telle société
aurait fonctionné dans le contexte d’une Église revigorée
prêchant contre l’usure.

Le
fascisme soviétique

Après
1957, les réformes de Krouchtchev en URSS qui établissaient à
nouveau les relations capitalistes de production, il n’y avait plus
de morale supérieure pour guider les travailleurs autres que le
« parti » quasi divin et la nomenklatura de plus en plus
corrompue. Ce n’est pas le socialisme qui a échoué en URSS, mais
plutôt le capitalisme d’état. Le socialisme sous Staline a amené
le plus grand progrès social et économique de l’histoire de la
Russie.

Après la contre-révolution khrouchtchévienne en 1956, si subtilement décrite par le grand communiste irlandais Neil Gould, des marxistes-léninistes comme Bill Bland ont décrit l’URSS comme un état fasciste.

En
d’autres mots, pour Bland, l’URSS post-Staline était un état qui
proclamait être socialiste mais dans lequel les relations
capitalistes de production dirigeait l’économie. La restauration
capitaliste en URSS a entraîné 30 ans de déclin économique
jusqu’au surgissement du néo-libéralisme dans les années 1990.

C’est
aussi l’Amérique « socialiste » de Roosevelt qui a mené à
la plus grande prospérité économique et pas seulement en Amérique.

Goebbels a loué les politiques économiques de Roosevelt qui avaient des similitudes avec celles des nationaux-socialistes allemands.

Lorsque
José Antonio Primo de Rivera a été arrêté et jugé par le
gouvernement Républicain en 1936, il a expliqué que lui aussi avait
combattu contre l’élite dirigeante espagnole. Il a été néanmoins
exécuté. Cela atteste de la médiocrité de la gauche
petite-bourgeoise en Espagne du fait qu’il avait fusillé un ennemi
sympathisant sur bien des points à leur propre cause.

La
collaboration finale de Franco avec l’OTAN et les institutions
financières américaines dans les années 1960 étaient opposée par
les phalangistes. Dans notre monde post-moderne de slogans sans
aucun sens, de clichés et d’enseignement de l’ignorance, nous nous
engageons rarement dans un débat qui a du sens, de discussion ou
d’échanges d’idées. En m’instruisant sur José Antonio Primo de
rivera, les Fasci
Siciliani 
et
d’autres mouvements, cela m’a fait comprendre que peut-être que je
suis sous certains aspects, un « fasciste » ou un
phalangiste.

Bien sûr, la subtilité des polémiques que j’essaye d’articuler ici va être perdue pour le simple d’esprit.

J’ai
souvent été accusé d’être un fasciste. Désormais, je
considérerai l’appellation comme un compliment pour lequel je n’ai
peu de mérite !

Comme
les fascistes et les phalangistes, je ne crois pas à la démocratie
parlementaire. Comme les phalangistes espagnols, mais au contraire de
bien des fascistes, je crois que seul une résurgence du catholicisme
romain traditionnel en Europe sauvera l’humanité de
l’auto-destruction. La doctrine catholique sur la dignité du travail
et les maux de l’usure la rend incompatible avec le capitalisme.

En
tant qu’ancien communiste, j’apprécie la valeur, le sens de l’amitié
et l’héroïsme de la lutte communiste dans la Guerre d’Espagne, si
bien documentée dans le livre d’Arthur Landis Spain
: the Unfinished Revolution (Espagne : la révolution inachevée
).
Les phalangistes affirment que les communistes ont commis des
atrocités contre les catholiques pendant la Guerre d’Espagne mais
ils ignorent le fait que des trotskystes ont, dans une proportion
importante, infiltré le mouvement communiste. Dans son livre, Soviet
Policy and Its Critics (Politique soviétique et sa critique
),
J.R. Cambell a écrit :

 » Cependant, l’un des problèmes les plus importants auquel faisaient face les travailleurs espagnols était de gagner lespaysans à la mentalité religieuse pour le Front Populaire. L’incendie d’églises créait des difficultés à cette tâche vitale et aidait la contre-révolution à un tel point que dans différentes parties du pays, avant la rébellion fasciste, les groupes fascistes étaient surpris la main dans le sac en train de brûler des églises. Il n y avait pas d’illusion à se faire sur l’utilisation qu’ils pouvaient faire de l’incendie d’églises « dans la manière ancestrale de paysans opprimés ». La résistance de la masse de travailleurs catholique en dehors de l’Espagne à l’organisation d’actions de solidarité effectives est quelque part le prix à payer pour l’incendie d’églises. »

Les
anti-communistes feraient mieux de méditer les lignes au dessus.

Exactement
comme les anti-franquistes ont servi l’opportunisme néolibéral, les
mensonges anti communistes ont servi les mêmes forces.

Les
vues phalangistes et communistes sur la Guerre d’Espagne ont été
effacées de l’histoire. A la place, beaucoup d’opinions sur la
guerre se sont basé sur le trotskyste britannique et espion de la
police George Orwell et son livre Hommage
à la Catalogne
.
Il est vrai néanmoins que les nationalistes espagnols ont de bonnes
raisons de détester les Soviétiques pour leur intervention dans la
guerre séparatiste catalane mais peu de nationalistes espagnols sont
conscients que des milliers de crimes atroces commis contre le clergé
catholique ont été menés par des trotskystes et des anarchistes et
ont été condamnés par les communistes.

Le
catalan et l’Union des républiques russes sionistes

Aujourd’hui
l’Espagne fait face à une autre crise séparatiste en Catalogne. Il
est évident selon les reportages biaisés de la presse russe à
l’étranger que Moscou soutient les séparatistes. Ils sont aussi,
ironiquement, soutenus par l’UE. Et par Israël. Le plan mondialiste
à long terme pour les nations européennes est la régionalisation.
L’Espagne va se fragmenter en micro- états « indépendants »
contrôlés – non pas par l’Union Européenne qui va s’effondrer –
mais par l’Union Eurasienne. C’est la raison pour laquelle
l’eurasisme n’est pas la réponse à long terme à nos problèmes.
Comme Orwell l’a exprimé : « Océania était en guerre contre
Eurasia ; par conséquent, Océania avait toujours été en guerre
contre Eurasia. »

Selon l’ancien député du parti populaire Milián Mestre, La Russie et Israël veulent des bases militaires en Catalogne. Dans un article précédent, j’ai déjà démontré la proximité des liens financiers et sécuritaires entre les séparatistes catalans et Israël. Milián Mestre, qui a rencontré personnellement Poutine, déclare que les Russes aimerait étendre leur influence dans la Méditerranée occidentale.

Les
Russes déclarent être des négociateurs de paix dans l’affaire
séparatiste catalane mais il est clair qu’ils sont du côté des
séparatistes, les élites européennes les soutiennent. Ils
comprennent que les nations doivent disparaître et laisser la place
à un système d’un état global en « deux-partis »
avec Eurasia à droite et Océania à gauche, les deux étant
contrôlés par la même oligarchie mondialiste.

Il
y a quelque chose de troublant concernant ces auteurs de dystopies du
XXe siècle : Orwell, Huxley et Wells. C’est comme s’ils avait eu
l’histoire interne sur l’avenir ou peut-être, en tant qu’importantes
figures politiques parmi l’élite, ils avaient secrètement accès à
des plans qu’ils pouvaient divulguer uniquement sous forme de
fiction.

Le but à long terme des sionistes est de provoquer une guerre entre la Russie et les Etats-Unis pour qu’Israël puisse soutenir les deux côtés et émerger en tant qu’état dirigeant du monde.

Il
est probable que l’Europe va encore être le théâtre de cette
guerre. Cela prend un sens géopolitique pour la Russie de soutenir
le mouvement d’indépendance catalan mais cela ne consolera pas les
nationalistes espagnols qui veulent sauver un état-nation qui existe
depuis au moins le douzième concile de Tolède en 681.

Nous ne pouvons pas dire que la Russie de Poutine est un acteur volontaire ou involontaire dans les plans d’Israël pour la guerre mondiale. Ce qui est certain cependant, c’est que les juifs russes sont lourdement impliqués en Catalogne ; ils ont un pouvoir significatif en Russie et Israël est leur état. La force de police catalane, les « Mossos » sont entraînés par les Israéliens et les officiels catalans de haut-rang ont dit qu’Israël est leur banque. Nous pouvons remarquer sans surprise que les gauchistes juifs « pro russes » en Occident sont déjà ralliés autour du mouvement sioniste catalan pour « l’indépendance ».

Comme
c’est ironique que les féministes et les anarchistes catalans aient
une couverture favorable des agences de presse de leur némésis
Poutine ! 

Le
retour au jardin d’Eden

(Adam et Eve (1932) par le peintre phalangiste Rosario de Velasco)

Pour
approfondir notre conceptualisation des femmes sous les régimes
autoritaires catholiques, nous devons retourner à la théologie.

Dans
la Genèse, Eve, séduite par les fruits de l’Arbre de Vie, succombe
à Satan, causant la chute d’Adam. Dans le Christ, Dieu est devenu un
nouvel Adam et a été lui même cloué sur l’arbre pour qu’il puisse
être réconcilié avec Lui et ne pas être condamné à erreur pour
toujours dans la vallée de ceux qui sont tombés sous la
tyrannie de Satan. C’est peut-être la signification la plus profonde
de la Valle de los Caídos dans notre contexte contemporain.

Alors qu’il agonisait sur la croix, le Christ dit à sa mère Marie :  » Mère, voilà votre fils. ». Il faisait allusion à l’apôtre Jean qui était debout près d’elle au pied de la croix. Puis le Christ dit à Jean : « Voilà ta mère « . A la suite, Notre seigneur s’exclama : « tout est consommé !  » Marie est devenue l’Église catholique et apostolique romaine qui restera jusque la fin des temps, le roc éternel contre lequel les pouvoirs de l’Enfer ne prévaudront pas.

En
tant qu’Église, elle devient la mère de l’humanité. La mort du
Fils de l’Homme devient des noces divines : la sanctification de
l’éternelle régénération de la vie. La Vierge bénie est une
nouvelle Eve à qui les enfants bannis du Jardin d’Eden pleurent de
la vallée du deuil et des sanglots, la Vallée de Ceux qui sont
tombés. Fulton Sheen nous dit que la Vierge bénie passe à travers
trois phases. La première, comme un rêve dans l’esprit de Dieu,
puis en tant que mère et finalement en tant qu’épouse. Le Nouveau
et l’Ancien Testament de la Bible peuvent être vus comme un mariage
entre Dieu et Israël. Dans Isaïe 54:5, Dieu dit à Israël : « car
ton créateur est ton époux. »

Marie représente l’Israël de l’Ancien Testament attendant le futur Messie. Au pied de la croix, Marie, en tant qu’Israël, deviens l’épouse du Seigneur, de l’Eglise universelle.

L’Ancien
Testament est matriarcal, violent et irrationnel. Doit-on s’étonner
que les Juifs se conduisent de cette façon, ayant voilé leur coeurs
de la vérité du Nouveau Testament ? Doit-on s’étonner qu’ils
fassent la promotion du féminisme, de l’homosexualité, de toutes
sortes de pseudo-science et de la perversion morale du monde ? Car si
Marie était restée l’Ancien Testament, ne serait-elle pas plutôt
Marie-Madeleine avant sa repentance, la prostituée de Babylone
? Et n’est-ce pas l’idéal de l’éco-féminisme, de l’Union
Européenne, de notre Nouvelle Babylone ?

Le
christianisme est la structure neurologique de la raison humaine.

Notre chute de la grâce nous a banni du monde sombre et barbare de l’Ancien Testament, dans les mains du matriarcat et de l’irrationalité, en clair, de la tyrannie. La prêtrise de la nouvelle tyrannie est la judéo-maçonnerie. L’objet de sa dévotion est la Mère Nature qui tue Dieu dans son ventre.

Le
christianisme est accusé de façon erronée de dénigrer les femmes.
La vérité est qu’aucune civilisation dans l’histoire n’a élevé le
statut de la femme dans la société plus que le christianisme. C’est
une femme, et non un homme, qui est couronnée aux Cieux. Dieu est
venu au monde par l’intermédiaire d’une femme et chaque homme est
appelé à imiter les souffrances du Christ pour son bien-être.
Chaque homme vient à la vie par une femme et passe à la vie
éternelle par le ventre de la Mère Eglise.

Avant
l’infiltration maçonnique de l’Église catholique à la
conférence de Vatican II de 1962-1965, les femmes portaient le voile
à l’Eglise – non pas parce qu’elles étaient inférieures aux
hommes mais parce que, dans la théologie catholique, les femmes ont
une relation particulière avec Dieu. Le rôle de l’homme est
d’être à la tête de la famille. Il lui est par conséquent
demandé de se sacrifier pour sa famille, comme le Christ l’a fait
sur la croix.

Être le chef de famille ne rend pas les hommes maîtres de leurs femmes et libres de les traiter selon leurs caprices. Au contraire, cela demande une totale dévotion à elles ; une perspective qui terrifierait bien des hommes modernes. 

Le
sacrifice du Christ sur la croix donne naissance à l’Église et
Marie est sa mère. L’Église est le seul moyen par lequel la
perdition des âmes peut être évité ; c’est le ventre de la vie
éternelle où la création se produit. Pendant la messe, nous
mourrons spirituellement et nous renaissons par le corps mystique du
Christ dans l’Eucharistie.

Tout
comme le tabernacle et le ciboire sont couverts pendant la messe, la
femme l’est aussi ; son voile signifie sa sainteté. Dans le
catholicisme, le but de la vie n’est pas la carrière, le pouvoir
et le profit mais la sainteté. Le catéchisme du l’Eglise
catholique est simplement un livre de règles de base visant à
sortir de ce monde de souffrance vivante ! Il ne nous permet pas
l’utopie dans cette vie-ci mais les outils de base pour rester
humain face à la souffrance.

Dans
une Europe post-chrétienne, l’homme est devenu une personne en
deuil dans la Vallée des ceux qui sont tombés. Dans ce ténébreux
Théâtre de l’Absurde, la géolocalisation de la gauche et de la
droite est devenue un bavardage sans aucun sens.

La
guerre contre le christianisme est une guerre contre la vérité.

Partout
en Europe, les églises sont vandalisées et profanées. Bien des
attaques sont à peine mentionnées dans les médias libéraux. En
Espagne, les religieuses sont de façon routinière attaquées
verbalement et physiquement par les féministes. Des activistes Femen
nues protestent dans les églises.

Le
mouvement féministe tout entier est une insulte à l’intelligence
humaine ; il a été conçu par des oligarques américains dans les
années 1960 pour aliéner les femmes de leur nature, les
incitant à imiter les hommes et les transformer en esclaves du
salariat.

Le féminisme est la misogynie ultime. les oligarques qui font la promotion du féminisme se sont vantés de leurs exploits.

C’est
le féminisme qui rend nos femmes esclaves, et non le patriarcat. Les
filles dans nos écoles sont endoctrinées dans le nouveau culte ;
c’est une forme perverse de rébellion institutionnalisée : les «
rebelles » sont aidées et soutenue par le système auquel elles
affirment s’opposer. J’ai vu une illustration poignante de cela à
Madrid lors de la Journée internationale des femmes : un supermarché
avait fait une offre spéciale pour ses clients pour célébrer la
journée des femmes. Un groupe de féministes ont inscrit un graffiti
sur la publicité avec les mots « féminisme ou barbarie ». Que
c’est ironique et d’une stupidité abêtissante !

Cela
a pris 18 ans au régime de Franco pour construire la basilique de la
Vallée de ceux qui sont tombés. La gauche espagnole a essayé
d’affirmer que le travail esclavagiste a été utilisé dans sa
construction. En fait, les travailleurs ont eu de bon salaires et les
prisonniers de guerre ont eu des réductions de peine massives en
échange de leur labeur.

En
2010, le gouvernement socialiste espagnol a fermé la basilique sous
le prétexte que la sécurité n’y était pas assurée. Après une
protestation massive par les catholiques espagnols, la basilique a
été ouverte à nouveau. La Vallée de ceux qui sont tombés est un
symbole convaincant de l’Europe elle- même : un corps pourrissant
disputé par les vautours. La controverse sur la tombe de Franco est
vraiment sur les mondialistes essayant de s’approprier l’histoire.

Franco en est venu à représenter tout ce que les mondialistes essayent de détruire : la loi naturelle, la famille, la Chrétienté et le patriotisme.

La
basilique et la croix sont des symboles puissants de la capacité du
christianisme à ressurgir. Alors que je quittais la Vallée de ceux
qui sont tombés, on venait d’annoncer que le recours en justice
des moines pour retarder l’exhumation de Franco avait été
accepté. Cela n’a rien avoir avec Franco ; les mondialistes
veulent transformer la basilique en un temple de Satan. Le recours
bénédictin est la dernière bataille du catholicisme contre le
Nouvel Ordre Mondial. 

Article source : http://www.gearoidocolmain.org/europes-valley-of-the-fallen-reflections-on-franco-feminism-and-the-end-of-man/




MILLIÈRE : Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19, vraiment ?

[Source : Québec Nouvelles]

Entrevue avec Guy Millière, distinguished Senior Fellow, Gatestone Institute, New York

Q : Les experts estiment que la campagne de Donald Trump ne va nulle part à cause de sa gestion de la COVID-19. Que pensez-vous de cela ?

Cela fait partie des éléments de désinformation constants énoncés contre Donald Trump. Jamais un président des États-Unis n’a été à ce point traîné dans la boue, diffamé, insulté. Quasiment tout ce qui se dit ou s’écrit sur Donald Trump est un exercice de haine aveugle et d’incitation à la haine. J’ai écrit récemment que Donald Trump était traité dans les grands médias de gauche, autrement dit dans quatre-vingts pour cent des médias américains, et dans quatre-vingt-dix-neuf pour cent des médias français ou canadiens comme l’est le personnage d’Emmanuel Goldstein dans le 1984 de George Orwell, avec la différence que dans 1984, le personnage d’Emmanuel Goldstein subit deux minutes de haine, alors que pour Trump, les deux minutes durent vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Donald Trump a laissé la gestion de la pandémie aux gouverneurs de chacun des cinquante États du pays, et nul ne rappelle que c’est ce qu’exige la Constitution : les États-Unis sont une fédération d’États. Certains États ont bien géré la situation, d’autres l’ont très mal géré, et les chiffres montrent que la gestion a été désastreuse dans l’État de New York et le New Jersey. Donald Trump a tenu d’un bout à l’autre de la pandémie un discours destiné à donner du courage au peuple américain : les diffamateurs disent qu’il a sous-estimé la pandémie, ce qui est faux et odieux, et auraient préféré sans doute qu’il se terre dans un sous-sol et dise aux Américains qu’ils allaient tous mourir, ce qui aurait été indigne d’un chef d’État. Donald Trump a suivi les recommandations des plus grands experts américains en matière d’infection, et les recommandations n’ont pas toujours été optimales, mais ce sont les experts qui sont fautifs, pas Donald Trump. J’ajouterai que Donald Trump a fait produire tests, respirateurs, équipements, en un temps record, grâce à son expérience de grand chef d’entreprise. La gauche américaine, sans aucun scrupule, a utilisé la pandémie comme un moyen de diffamer davantage encore Donald Trump. Elle l’a utilisée aussi pour s’efforcer d’infliger autant de dommages que possible à l’économie américaine, en pensant qu’une économie en ruine desservirait Donald Trump. Quand l’économie américaine a commencé à se redresser, la gauche américaine a eu recours aux émeutes et au pillage. Toutes les grandes villes démocrates ont été ravagées. Des services de police entiers ont été démantelés. À force de répétitions incessantes par les grands médias de gauche, la désinformation a laissé des traces dans les têtes, et une partie de la population américaine pense que Donald Trump a mal géré les choses : cela montre que ce que dit la vieille phrase: « calomniez, il en restera toujours quelque chose » est toujours pertinente.

Q : Malgré les sondages qui donne une bonne avance à Biden, estimez-vous que Donald Trump sera réélu le 3 novembre et pourquoi ?

Je pense que les sondages ne reflètent pas la réalité. Il est possible que le résultat soit serré et se joue à quelques dizaines de milliers de voix près. La population américaine a changé et continue à changer. Des millions de jeunes gens ont le cerveau lavé par leurs professeurs au lycée et à l’université et rêvent de socialisme, sans savoir de quoi il s’agit. Les minorités ethniques se font plus nombreuses et votent pour le parti qui leur promet de faire payer les riches et de redistribuer davantage. Mais les États-Unis n’en sont pas au point où une immense majorité pourrait voter pour un vieillard sénile et corrompu et pour une gauchiste sentimentale, sans rien savoir du programme qu’ils portent, et qu’ils cachent sous des mensonges constants. La population américaine étant ce qu’elle est aujourd’hui, le risque d’une victoire de Biden existe, mais les sondages donnant 12 ou 14 points d’avance à Biden me semblent biaisés et destinés à tenter de démoraliser les électeurs de Trump. Si Biden avait cette avance, il devrait logiquement remporter 50 états sur 50, et c’est une perspective ridicule. Je parle de risque en évoquant l’élection de Biden, car le programme du parti démocrate est un programme d’extrême gauche qui, s’il était mis en œuvre, briserait la reprise économique qui s’opère actuellement aux États-Unis, détruirait la Cour Suprême, donc les institutions américaines dont la Cour Suprême est la clé de voûte, et sur un plan international laisserait le champ libre à la Chine qui cherche l’hégémonie mondiale et à l’Iran des mollahs qui cherche l’hégémonie régionale au Proche-Orient. Pour l’heure, partout dans le pays, des centaines de milliers de gens soutenant Trump et comprenant ce qui est en jeu se mobilisent. Biden n’attire personne. Des gens voteront contre Trump, pas pour Biden. Tout est possible. La réélection de Trump, l’élection de Biden, des résultats contestés. Il est possible qu’on ne sache pas le résultat le 3 novembre au soir. Des fraudes sont en cours. Des bulletins de vote par correspondance disparaissent ou sont détruits. La gauche américaine est dans une logique de prise de pouvoir par tous les moyens.

Q : Selon vous, qui a remporté le débat des candidats à la vice-présidence ?

Je n’accorde pas une importance excessive aux débats. Cela dit, sur le plan du comportement, une grande majorité d’Américains ont trouvé les mimiques et grimaces de Kamala Harris désagréables et déplacées. Kamala Harris a aussi beaucoup menti, refuse de répondre à des questions essentielles, telles celles concernant la Cour suprême, et reprise à son compte des propos diffamatoires dont il a été démontré qu’ils étaient sans fondements. Mike Pence a été calme, courtois et a réfuté les mensonges de Kamala Harris en s’appuyant sur des faits, ce tout en énonçant les positions de principe de l’administration Trump de manière claire et nette, et il a donc remporté le débat. Les commentateurs de gauche ne s’y sont pas trompés et ont tenté de faire diversion en accusant Pence d’avoir été machiste en réfutant les mensonges de Kamala Harris, et en insistant beaucoup sur une mouche qui s’est posée sur la tête de Mike Pence. La modératrice était démocrate, et ses questions étaient très orientées, mais elle a été moins outrancière que Chris Wallace (lui aussi démocrate) lors du débat Trump-Biden, et Pence n’a pas eu à prendre la parole par effraction.

Q : Quel bilan faites-vous du premier mandat de Donald Trump ?

Donald Trump a accompli immensément en moins de quatre ans. L’économie américaine en mars 2020 ne s’était jamais aussi bien portée depuis plus de cinquante ans. Il y avait de la croissance, des investissements et le plein emploi. La sécurité mise à mal sous Obama revenait dans tout le pays, sauf dans les villes démocrates. L’immigration clandestine était largement jugulée. À l’étranger, Donald Trump a détruit l’État islamique et, privant le terrorisme islamique de bases d’entraînement, a réduit à quasiment rien les risques d’attentats terroristes sur la planète. Il a asphyxié le régime iranien, ce qui a stabilisé le Proche-Orient. Il a commencé à endiguer la Chine, en faisant face au danger représenté par celle-ci. Il a posé les jalons d’une paix entre Israël et le monde arabe sunnite. S’il est réélu, il rentrera dans l’histoire comme l’un des très grands présidents des États-Unis. Il a fait ce qu’il a fait en étant l’objet d’une campagne de déstabilisation incessante de la part d’une gauche déchaînée qui a mené contre lui un coup d’État rampant. L’utilisation politique de la pandémie par la gauche américaine devrait invalider moralement celle-ci : on ne joue pas avec la vie des gens pour des motifs politiques. Le recours aux émeutes ensuite devrait invalider moralement la gauche américaine davantage encore : les émeutes ont fait cent morts et occasionné des milliards de dollars de dégâts. Les démocrates se sont faits complices des émeutiers et ne les ont jusqu’à présent jamais dénoncés. Les médias du monde entier n’ont cessé de mentir sur tous les sujets abordés dans cet entretien. C’est pour rétablir la vérité, pour remettre les faits à leur place que j’ai écrit un livre qui vient de paraître en France. J’y explique ce qu’est devenu le parti démocrate, comment la gauche s’est emparée des médias et de la culture aux États-Unis, comment s’est déroulé le coup d’État rampant contre Trump, ce qu’a accompli Trump en politique intérieure et en politique étrangère, qui sont Joe Biden et Kamala Harris et ce que sont les enjeux de l’élection du 3 novembre. Quiconque veut comprendre doit lire le livre. Qui veut rester dans la haine et l’ignorance peut s’abstenir. J’ai appelé le livre « Après Trump ? » Et je dis : après Trump, il y aura Trump encore et ce qu’il lui reste à accomplir, ou il y aura la gauche américaine, et ce sera très différent.




Trump sera réélu. Voici pourquoi

[Source : Réseau International]

par Serge Charbonneau.

Oui, Donald Trump sera réélu haut la main.

Il n’y a aucun doute possible.

Voici pourquoi.

Donald Trump n’est pas un politicien et c’est pourquoi l’une des principales raisons de sa réélection n’est pas du tout politique.

Il sera réélu parce que « le peuple l’aime[1] » ! 

Eh ! Oui ! La principale raison pourquoi Trump sera réélu c’est qu’il est aimé ![2] Une raison absolument non politique.

Il est aimé comme une « rock star » peut être aimée. Il remplit les tarmacs[3] partout où il atterrit avec son Air Force 1Voyez ces nombreuses foulespartoutpartout[4].

Les cinq années de vomi sur Donald Trump de la part de tout l’establishment oligarchique mondialiste aidé de leurs gros canons médiatiques a eu un effet passionnel tant vers la haine que vers l’amour.

On a eu beau vomir copieusement chaque jour, chaque heure, et même chaque minute sur Donald Trump, et ce, de façon terriblement soutenue et constante partout, sur toutes les grandes chaines et sur toutes les plateformes, télé, radio, internet et sur toutes les émissions, de l’information à la culture en passant par les émissions de cuisine et de rénovation qu’on n’a pas réussi à le faire haïr par tous.

Ceux qui le haïssent viscéralement, comme atteint d’une maladie mentale sérieuse et inexplicable, ne le connaissent pas, ne le suivent pas et ne veulent surtout pas le connaître.

Par contre ceux et celles qui le suivent et qui sont touchés par ses nombreuses politiques mises en place pour le peuple, l’adorent et le bénissent[5].

Eh ! Oui ! C’est la passion des deux côtés.

Mais outre la passion, il y a aussi le résultat politique et économique de son administration.

Jamais un président n’aura tenu ses promesses aussi solidement. Voilà une autre des raisons majeures de sa réélection.

Tous ceux et celles qui ont voté pour lui en 2016 vont revoter pour lui avec un enthousiasme décuplé parce qu’absolument personne n’a été déçu. 

Plusieurs ont voté pour lui en 2016 par dépit. Ces gens écœurés des guerres et des mensonges classiques répétés ont opté pour cet individu sans expérience politique et qui avait des allures de clown de carnaval. Les gens jouaient le tout pour le tout et prenaient la chance d’élire ce bouffon télévisuel animateur-promoteur de match de lutte[6].

Quatre années plus tard, le bouffon a fait ses preuves. Sa sincérité s’est avérée. Il n’a pas déçu et a rempli une à une absolument toutes ses promesses.

La réussite économique est notable. Les cotes boursières fracassent constamment de nouveaux sommets. Le niveau d’emploi, jusqu’à la fermeture de l’économie due à cette politique mondiale imposée par la stratégie mondialiste du covid, atteignait des maximums inégalés, et ce, en particulier dans les milieux indigents, entre autres les banlieues des communautés ethniques défavorisées.

L’une des principales promesses de Donald Trump fut tenue. Il a mis fin aux traités de libre-échange qui dévastaient l’économie locale américaine. Par des mesures douanières nationalistes, il a récupéré les emplois que plusieurs entreprises américaines avaient délocalisés afin de maximiser leurs profits au détriment des travailleurs américains. Finie la production de produits américains « Made in China ». C’est le retour du « beautifull » « Made in the USA ».

Si les compagnies américaines veulent produire à l’étranger, ils ne pourront plus vendre leurs produits faits ailleurs sans une taxe d’importation élevée. Une politique efficace pour donner aux compagnies américaines « le goût du patriotisme ». Trump, comme un bon lutteur, a su leur tordre le bras pour leur faire comprendre où ils trouveraient dorénavant leur profit.   Leur profit n’est plus en Chine ou au Mexique ou même au Canada, mais bien aux USA.

Jobs ! Jobs ! Jobs ! 

Un résultat spectaculaire !

Surtout pour les communautés délaissées.

Les « Opportunity Zones »[7] 

Par des mesures fiscales assouplies et de l’investissement ciblé[8], ce programme met en place des structures favorisant l’entreprise dans des zones longtemps défavorisées.

57 pour cent des zones ciblées sont des zones où il y a des communautés noires ou hispaniques. Des zones où la pauvreté sévit depuis des lustres[9]. Des zones où le chômage est chronique, la scolarité peu élevée et la violence qu’entraine ce désœuvrement est bien présente.

Les « Opportunity Zones »[10] ont été un souffle d’espoir et dans bien des cas une marche vers la réussite.  Donald Trump a su ainsi montrer à ces minorités sa sincère volonté à améliorer leurs conditions de vie. Cette réussite[11] lui a fait gagner beaucoup de votes du côté des minorités afro-américaines et hispaniques.

Cette politique a été aussi soutenue par plusieurs gouverneurs démocrates, entre autres, Phil Murphy du New Jersey et par le sénateur démocrate Cory Booker[12].

Autre politique lui faisant gagner les cœurs de la communauté noire est le « Criminal Justice Reform »[13].

Un programme qui touche surtout les communautés noires et hispaniques défavorisées. Une bonne partie de la population carcérale est composée par les citoyens de ces communautés. Des gens devant purger des sentences interminables pour des délits souvent mineurs comme pour exemple la simple possession de drogue.

Le programme révise les sentences et gracie les prisonniers exemplaires ayant suffisamment purgé leur peine. Donald Trump accorde ainsi à plusieurs individus une seconde chance.

Le 1er avril 2019, Donald Trump recevait à la Maison-Blanche quelques-uns de ces prisonniers pouvant bénéficier d’une deuxième chance.  Il leur donnait même la parole[14].

Cette réforme fut un projet bipartisan auquel les démocrates ont participé à la grande satisfaction de Donald Trump[15].

Toujours pour montrer sa volonté sincère à améliorer la condition de vie des Afro-Américains, Donald Trump décrète un budget permanent pour les collèges et universités noires[16].

Donald Trump que l’on dit raciste et même suprématiste blanc donne plusieurs chaleureuses conférences dans les universités et collèges noirs[17].

Il est évident que le vote des communautés délaissées sera plus considérable qu’en 2016. Ces gens ont réellement bénéficié d’une écoute notable du Président[18] ainsi que des politiques de l’administration Trump. Le mouvement « Black for Trump » met toute son énergie pour accorder à Donald Trump « Four more years ».

L’administration Trump comprend plusieurs grands représentants noirs, l’un d’eux est le Docteur Ben Carson. Celui-ci avec son charisme sympathique et craquant et son sens de l’humour fin et pointu est un allié solide et un atout notable pour Donald Trump-dit-le-raciste. Il faut vraiment écouter la présentation que Ben Carson offre à Donald Trump lors de sa rencontre avec la communauté noire d’Atlanta. M. Carson attaque en disant qu’il faut du courage aux Noirs pour oser montrer qu’ils appuient ce « raciste » (sic) qu’est Donald Trump.  Prenez le temps de l’écouter ici[19].

À ces votes s’ajoute le vote religieux. Ces communautés noires sont passablement religieuses et plusieurs pasteurs convaincus et surtout convaincants travaillent ardemment à la réélection de Donald Trump[20].

Non seulement les Noirs, mais toute l’Amérique croyante est derrière Donald Trump. Ce filon électoral n’est pas négligeable.

Autre lobby important, le lobby juif. Le coup du transfert de l’ambassade US à Jérusalem et la déclaration concernant le Golan est important et assure la fidélité de ces puissantes gens.

La reconnaissance de Jérusalem comme étant la Capitale d’Israël[21] par le transfert de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem est une promesse faite par tous les présidents précédents[22].

Le rapatriement des GIs qui faisaient des guerres sans fin au loin est un autre excellent coup de Donald Trump pour s’assurer du vote des Vétérans et des familles de militaires.  En plus de ce retour réjouissant des valeureux guerriers, les dépenses pour leur offrir le dernier cri des armes modernes toutes faites «Made in USA» plaisent aux militaires. Des armes que Trump dit vouloir ne jamais être obligé de les employer.

Autre point majeur en faveur de Donald Trump est la faiblesse incroyable de son opposant.

Creepy Joe[23] est clairement sénile et a une feuille de route loin de la virginité. Les démocrates ne pouvaient choisir pire. Biden, en plus d’être le politicien classique le plus nul qui soit, n’a pas fait campagne. La stratégie démocrate est absolument renversante.  Une stratégie tellement incroyable qu’elle engendre les théories les plus folles, comme celle de voir au dernier moment Biden déclaré incapable suite à un accident ou une faiblesse soudaine et remplacé au pied levé par la pétillante Michelle Obama.

Autre volet très important dans cette campagne électorale, la folie dictatoriale du covid.

On ne peut dissocier les deux dossiers. Cette folie du covid est venue mêler les cartes lors de cette campagne. Tout allait trop bien pour Donald Trump, le covid est arrivé comme une bénédiction pour ses opposants.

Par ce virus, on a pu mettre fin aux rallyes de Trump qui faisaient littéralement boule de neige.

Par ce virus, on a pu remettre à zéro le succès économique de l’administration Trump. Le niveau des emplois qui atteignait des sommets a été réduit à néant. La fermeture carabinée des entreprises et des commerces a détruit en un claquement de doigts la réussite économique des trois années de Trump.

Et on maintient toujours cette menace virale bien active pour tenter de persister à démolir le succès de Trump et briser son élan de campagne.

Mais cette stratégie se tourne contre les démocrates et j’oserais dire contre ce « Deep State » mondialiste contre lequel Donald Trump se bat depuis cinq ans. Les gens en ont marre de cette folie et veulent retrouver la vie normale. Et Donald Trump, du haut de ses 74 ans et ayant fièrement vaincu le terrible virus dit « mortel », se retrouve maintenant en position de force. Il a démontré de sa personne qu’on pouvait vaincre facilement ce terrible virus dit « mortel ». Des MÉDICAMENTS EFFICACES EXISTENT ! Même une cure régénératrice est disponible et Trump la met GRATUITEMENT à la disposition de tous ceux qui pourraient en avoir besoin.

Donald Trump se retrouve donc avec un autre vote sérieux. Celui des gens qui en ont assez et qui veulent LE RETOUR À LA VIE NORMALE.

Donald Trump en plus d’être un président ayant un bilan exemplaire est devenu le candidat de l’espoir du retour à la normalité.    

En conclusion, si on additionne, tous ces points indéniables et véritables en faveur d’une réélection de Donald Trump il en résulte que Donald Trump sera réélu haut la main. La seule façon que les démocrates pourraient remporter cette élection est par la fraude.

Bien entendu, on peut prévoir des coups fourrés.

Le dernier débat aura-t-il lieu ?

Si oui, aura-t-il lieu en personne et non à la caméra (et télésouffleur pour Biden) ?

Biden va-t-il rester en santé pour être présent pour l’élection ? Devra-t-on le remplacer au dernier moment ?

Les bulletins postaux vont-ils favoriser une fraude massive pouvant renverser la vapeur ?

Si tout se déroule démocratiquement et dans les règles du savoir-vivre démocratique, il faut prévoir, non pas une deuxième vague du covid, mais bien une deuxième vague électorale rouge.

Oui, le 3 novembre, il y aura une énorme vague rouge, a big red wave !

En complément à ce survol, je vous invite à lire mon analyse de la situation il y a quatre ans afin de vous rappeler pourquoi on votait pour Trump en 2016[24].

Vous verrez à quel point les électeurs ne peuvent pas avoir été déçus. Jamais un président n’a autant tenu de promesses.

En 2016, les électeurs avaient fait un énorme doigt d’honneur à ces manipulateurs de conscience qui mettaient tout en œuvre pour faire détester Donald Trump. Je vous invite aussi à lire avec attention le texte publié au lendemain de l’élection de 2016 intitulé « Le plus grand Fuck You ! »[25]. Vous y retrouverez une description détaillée du travail des ordures médiatiques à qui la population américaine a fait un doigt d’honneur. Je crois qu’il est important de se rappeler ce travail et de bien voir qu’il se poursuit toujours sur différent plan.

Salutations,

Serge Charbonneau 

Québec

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[1] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[2] Trump supporters in Michigan chant « We Love You!… TRUMP: « Don’t say that, I’ll start to cry… »

[3] Trump Rally Crowd in Ocala, FL 10/16/20

[4] The Cameras Pan At Donald Trump Rally In Florida President Trump Signs the HBCU Executive Order

Trump Rally Crowd is UNBELIEVABLE in Swanton, Ohio

21 septembre 2020

Trump Asks Media to Show Full Crowd in Reno, Nevada.

12 septembre 2020

[5] Crowd Erupts in « We Love You » Chant to Trump

[6] The Battle of the Billionaires takes place at WrestleMania 23

[7] President Trump Participates in a Signing Event for an Executive Order

[8] Senator Tim Scott: We’re bringing job creators to the worse economic areas of the country

[9] Opportunity Zones: Will Tax Break for Investors Benefit Communities Too?

[10] Opportunity Zones

A new national community investment program that connects private capital with low-income communities across America

[11] Making Opportunity Zones Work for Black Communities

[12] Senator Booker and Governor Murphy on Opportunity Zones

[13] President Donald Trump Signs Historic Criminal Justice Reform Law | NBC Nightly News

[14] President Trump Remarks at White House Prison Reform Summit

[15] President Trump Makes Remarks On Criminal Justice Reform From The White House

[16] President Trump Signs the HBCU Executive Order

[17] President Trump speaks at historically black colleges and universities conference – 09/10/2019

[18] President Trump’s Platinum Plan for Black communities!

[19] Ben Carson introduces President Trump at ‘Black Voices for Trump’ rally in Atlantahttps://www.youtube.com/embed/U2XO-gpv6xE?enablejsapi=1&autoplay=0&cc_load_policy=0&iv_load_policy=1&loop=0&modestbranding=0&rel=1&fs=1&playsinline=0&autohide=2&theme=dark&color=red&controls=1&

[20] « NOT A RACIST » Black Pastors PRAY and DEFEND President Trump In Atlanta

[21] Reminder: U.S. Presidents Have Promised to Move the U.S. Embassy to Jerusalem For Decades

Obama: Jerusalem Will Be Israel’s Capital

[22] Montage: Past Presidents Promise to Move U.S. Embassy to Jerusalem

[23] Watch Joe Biden give an endless hug to Hillary Clinton

[24] Texte publié quelques semaines avant l’élection de 2016 :

Pourquoi on vote pour Trump ?

[25] Le plus grand « FUCK YOU »  (publié en le 10 novembre 2016)




Piratage et virus intellectuel : l’anti-trumpisme conditionné

[Source : plumenclume.org]

[Auteur :] Sébastien Renault

« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » 

(Gaston Bachelard)

Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne

À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître

Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées[1], cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.

Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés. 

La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbystes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.

Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.

On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel  « droite/gauche » :

–        D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…

–        De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées[2]) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…

Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.

Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.

La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.

À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.

Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.  

Des réussites économiques

D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.

Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017,  de  retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…  

Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.

Des réussites sociales

Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.

Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.

En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…

Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).

Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.

Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.

Les affaires étrangères

L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…   

Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).

Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…

La liberté religieuse

Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres[3], forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.

Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».

Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo[4] ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…

Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.       

Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…  

Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.

Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent  à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.

Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.

Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.

Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden[5]L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».

Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.

Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États[6].

Le rapt de l’élection présidentielle

Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.

La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.

Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».

La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…

Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !

Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :

https://www.youtube.com/watch?v=keANzinHWUA [Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD]

Contre toute attente statistique justifiable, Biden a soudainement dépassé Trump dans tous les États clés de la course 2020 à la Maison Blanche. Au final, sa marge d’avance, par exemple dans l’État du Wisconsin aujourd’hui au centre d’un procès crucial devant la Cour suprême, ne peut statistiquement survenir qu’avec l’entremise de la mise à jour frauduleusement verticalisée de sa courbe de votes totaux aux premières heures du matin du 4 novembre.

Restons dans le Wisconsin pour illustrer visuellement, au moyen du graphique ci-dessous, ce que représente exactement un tel pic statistique injustifiable : la mise à jour du décompte des voixs au matin du 4 novembre a fait passer Biden, encore en retard à minuit de plus de 100 000 voix, en tête de la course. L’axe des abscisses (x) représente le temps (en heures) ; l’axe des ordonnées (y) celui de la valeur brute de votes (en millions) à telle heure donnée :

[On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal,
en marche d’escalier, le 4 novembre 2020 à 4h.
]

À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.   

On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…

Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.

En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.

Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers… 

Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.

En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.

Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.

On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.

L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.

Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.

Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…

Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !

Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués

Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :

Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)

+ COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)

+ le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden[7]

+ Google, Facebook, Twitter

+ l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)

+ les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste

+ les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)

+ le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger[8])

+ …

En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… » 

De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.

Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».

Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine[9], aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes[10] et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.

Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de  porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.  

Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis[11]. En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.

En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationnalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.

Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…

Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies[12]. Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.

Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).

En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…

L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps[13].   

« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse[14], l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés »[15]. Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.  

En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !

Notes

[1] https://www.battleswarmblog.com/?p=46562
https://hereistheevidence.com/.
Jour après jour, on découvre un nombre croissant d’illégalités de vote, d’exemples d’activités frauduleuses d’une ampleur telle qu’elles ne peuvent être simplement niées, sauf par ceux qui le font et choisiront délibérément de continuer à nier la réalité des faits.

[2] Voir Marchandiser la vie humaine (nouvelle édition revue et augmentée), un ouvrage collectif séminal et approfondi « parcourant les connexions entre business de la stérilité, trafic de fœtus et d’organes, réseaux mafieux pour recruter des “femmes gisements” dans le monde entier… »

[3] Les Petites Sœurs des Pauvres ont remporté une victoire importante à la Cour suprême des États-Unis au début de l’année sur la prestation du programme contraceptif forcé de l’Obamacare : https://pregnancyhelpnews.com/little-sisters-of-the-poor-get-big-supreme-court-victory-in-obamacare-contraception-mandate-case.

[4] Pour mieux saisir le sens et les implications de ce « quid pro quo » à l’américaine, il sera utile au lecteur de suivre au lien suivant l’analyse comme de coutume avisée d’Israël Shamir, Trump Woos Jews, Jews Impeach Trump, article traduit par Maria Poumier sous le titre de Le quiproquo : https://plumenclume.org/blog/515-le-quiproquo.

[5] https://blog.youtube/news-and-events/supporting-the-2020-us-election/.

[6] Voir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.

[7] https://nypost.com/2020/10/15/emails-reveal-how-hunter-biden-tried-to-cash-in-big-with-chinese-firm/.

[8] Le lieutenant général, retraité de l’armée de l’air américaine, Thomas McInerny, explique encore que ce programme a été mis en place par l’administration Obama (dont Biden lui-même alors vice-président) pour modifier les votes lors des élections américaines de 2012. Il a de même été utilisé à l’encontre de Bernie Sanders en 2016, pour l’empêcher de vaincre Hillary dans le cadre des primaires démocrates. Il indique par ailleurs que l’administration Obama a encore tenté de l’utiliser lors des élections présidentielles de 2016, mais sans succès cette fois, ce qui a bien sûr donné la victoire surprise de Trump (voir l’interview complète ici).

[9] Pour le lecteur qui souhaiterait approfondir sa compréhension des tenants et des aboutissants de la situation étasunienne, surtout en ce qui concerne l’architecture multidimensionnelle et les résultats officiels des élections de 2020, nous recommandons ici la lecture de la Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis, le 14 novembre dernier, publiée sur Réseau International.

[10] Nous faisons varier à dessein notre terminologie, ici l’adjectif « covidiennes » au lieu de notre « covidiques » plus usité, pour être à la fois créatif et alternatif dans l’usage de nos concepts néologisés.

[11] https://www.jhunewsletter.com/article/2020/11/a-closer-look-at-u-s-deaths-due-to-covid-19.

[12] Principalement Pfizer et Moderna.

[13] Selon l’exhortation de saint Paul à Timothée (2 Tim 4, 2) de « dénoncer le mal, faire des reproches, encourager, mais avec une grande patience et le souci d’instruire, à temps et à contretemps. »

[14] Du grec συνείδησις -> συν-είδησις, qui au sens littéral connote bien l’idée d’union, « con- [συν- = avec] -science [-είδησις, c’est-à-dire ce qui est « raconté » pour être connu] ». En ce sens, la syndérèse est cette conscience morale, ou science du bien reconnu (par l’intelligence) et choisi (par la volonté) comme tel. Les grands auteurs scolastiques, tels que saint Thomas d’Aquin, décriront plus tard la syndérèse comme scintilla conscientiae (« l’étincelle de la conscience »), car c’est aussi une lumière brillant dans les ténèbres de la conscience de l’homme déchu (c’est-à-dire marqué par les conséquences du péché originel).

[15] Dans Les homélies spirituelles de saint Macaire. Saint Macaire le Grand, IVe siècle, disciple de saint Antoine et abbé du monastère de Scété en Égypte.

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Élections aux USA – Lettre du Général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Source : Réseau International]

par Dominique Delawarde.

Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.


Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

Je suis devenu très réservé, voire hostile à l’OTAN, ayant constaté ses dérives depuis 1990, dans le cadre de mes fonctions :

Mon expérience du renseignement m’a conduit à n’accorder qu’une crédibilité de plus en plus faible à l’énorme majorité des agences de presse et des médias mainstream, occidentaux en particulier.

Je n’apprécie pas l’action et/ou « l’influence puissante et nocive des lobbies » transnationaux sur la marche du monde, que ces lobbies soient financiers, médiatiques, communautaires, ou de toute autre nature.

L’auteur ayant mis les choses au clair, passons au vif du sujet.


Contexte pré-electoral de la présidentielle américaine

Depuis l’échec de Hillary Clinton à l’élection de 2016, les USA se sont profondément divisés en 2 camps irréconciliables, qui se détestent et sont désormais engagés dans un combat « à mort ». Contrairement à ce que les gens pensent en France ou en Europe, ces deux camps ne sont pas les camps républicain et démocrate qui ne constituent que les parties émergées de l’iceberg. Ces deux camps sont les tenants de deux conceptions du monde opposées : les « souverainistes » et les « mondialistes ». On retrouve les représentants des « mondialistes » majoritairement chez les démocrates, mais on en trouve aussi, en  moindre proportion, chez les républicains.

A la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, le 24 septembre 2019, Donald Trump a clairement choisi son camp, exprimé sa vision du monde et déclaré la guerre aux mondialistes en déclarant : « Comme mon pays bien-aimé, toutes les nations présentes dans cette enceinte  ont une histoire, une culture et un héritage qu’elles chérissent et qui méritent d’être défendus et célébrés, et qui nous donnent une force et un potentiel particulier. Le monde libre doit embrasser ses fondations « nationales ». Il ne doit pas chercher à en faire table rase et à les remplacer… »

Il a ajouté quelques secondes après : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays, si vous voulez la démocratie, accrochez vous à votre souveraineté, si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les chefs d’état avisés font toujours passer l’intérêt de leur propre pays en premier. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, l’avenir appartient aux patriotes. L’avenir appartient aux nations indépendantes et souveraines qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins et acceptent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique ».

Chacun peut comprendre qu’un tel discours puisse susciter l’adhésion d’une large part de la population américaine : plus de 73 millions de votes « Trump » comptabilisés en novembre 2020 soit 10 millions de plus qu’en 2016 où il avait obtenu moins de 63 millions de suffrages)….. Pour tous ceux qui croyaient que Trump était en perte de vitesse, ce +15% est une immense surprise, comme en 2016.

Le camp des mondialistes ne peut évidemment pas accepter un tel « discours-programme ». Il va donc faire tout ce qui est en son pouvoir pour barrer la route de la ré-élection au président sortant. Majoritaire dans « l’état profond US » (deep state), contrôlant la finance et les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazone, Microsoft et Tweeter), contrôlant aussi la quasi-totalité des médias mainstream et des agences de presse anglo-saxonnes et européennes, le camp des mondialistes va coordonner l’action de ses « bras armés » pour tenter de sortir Donald Trump de la présidence des USA.

Le président Trump, de son côté, n’est ni stupide, ni seul. Il dispose d’un très fort soutien populaire, d’une majorité au Sénat, à la Cour Suprême et 27 des 50 gouverneurs des États de l’Union sont républicains. A la chambre des représentants, il vient de réduire l’écart qui séparait son camp républicain du camp démocrate de 12 sièges (pour l’instant…) Il a mis en place une administration fédérale qui lui est majoritairement fidèle (pas totalement …). Il a changé une majorité des juges fédéraux. Il a résisté victorieusement à deux tentatives de l’état profond et des démocrates de le destituer (L’affaire du Russiagate montée de toute pièce dès 2016 et qui a fait flop ….. parce qu’elle était « bidon » et que les enquêteurs, les juges et l’opinion publique US ont fini par s’en apercevoir, et la tentative de destitution par la Chambre des représentants qui a tourné court au Sénat en 2019…..

Par ailleurs Trump est lucide lorsqu’il dit dans son dernier discours électoral du 2 novembre 2020, en Caroline du Nord : « S’il y a une chose que j’ai faite au cours de mon mandat, c’est de mettre en évidence la malhonnêteté des médias ». Les médias mainstream US ont toujours suscité et soutenu les actions anti-Trump.

C’est donc dans ce contexte de tensions extrêmes et au terme d’une campagne électorale au cours de laquelle tous les coups les plus tordus ont été observés, de part et d’autre, que survient le scrutin du 3 novembre 2020.

Les médias et les instituts de sondage américains ont-ils été honnêtes, lors de la campagne électorale ou ont-ils cherché à manipuler l’opinion ?

Les médias mainstream US, tout comme les médias européens d’ailleurs, ne brillent pas par leur honnêteté, leur pluralité et leur impartialité. Contrôlés par une poignée de milliardaires, ces médias défendent les causes et les intérêts qui sont ceux de leurs « patrons », membres actifs ou simples collaborateurs de l’état profond. Tous les moyens sont bons, y compris, les mensonges les plus éhontés. On met en évidence tout ce qui porte préjudice à l’adversaire (Trump), on occulte tout ce qui pourrait porter préjudice au camp que l’on défend (Biden). Les journalistes ne peuvent faire carrière que s’ils se soumettent et/ou s’autocensurent. On se trouve aujourd’hui dans une situation de « guerre de l’information » électorale :

Le commun des mortels a beaucoup de difficultés à s’informer correctement.

Depuis 4 ans déjà, ces médias US, parfaitement relayés par les médias « frères » européens n’ont eu de cesse, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, de noircir l’image du président Trump dans l’opinion publique US, occidentale et mondiale. Dans les mois précédant l’élection, ils se sont appuyés sur des sondages largement biaisés pour faire croire au peuple américain et au monde, comme en 2016, que l’élection était « pliée » et qu’une grande vague démocrate allait submerger le pays. Pour ne donner que l’exemple de la Floride, une forte majorité des sondages dans les 4 jours précédant le scrutin donnait Biden gagnant de 1 à 5 points. C’est Trump qui l’a emporté de 3,4 points. Les écarts constatés entre ces derniers sondages et le résultat du scrutin sont tels qu’ils ne relevaient pas de la marge d’erreur, mais du mensonge manipulateur, intéressé, et … éhonté. Ces sondages et articles mensongers ont été appliqués à la quasi totalité des états de l’Union. Les scores de Trump et du parti républicain, au jour de l’élection, ont révélé l’ampleur de ces « mensonges-manipulateurs » médiatiques et sondagiers pré-électoraux.

L’Hypothèse d’une fraude importante appliquée à quelques états clefs le jour du scrutin est-elle crédible ?

Mon intime conviction me dit que oui car il y a, à mes yeux, trop d’indices concordants pour permettre à la meute « médiatique » occidentale, dont nous savons qui la contrôle, de me convaincre du contraire. Les présidents chinois et russes ne s’y sont pas trompés en attendant la proclamation du résultats officiels, qui n’interviendra que le 8 décembre, avant de féliciter le vainqueur, lorsqu’il sera vraiment connu.

Voici les éléments qui me font douter de l’honnêteté du scrutin.

1 – Il y a eu cette précipitation curieuse, voire suspecte de la meute médiatique US, suivie par la meute « sœur » de l’UE dont nous savons qui la contrôle, à vouloir imposer un vainqueur alors que les résultats officiels de 5 ou 6 états ne sont pas encore connus. Nous savons tous que ces médias US sont « partisans » et qu’ils sont les plus farouches adversaires de Trump. Nous connaissons leur habitude récurrente à vouloir critiquer, contester, modifier, ne pas reconnaître, remettre en cause tous les résultats électoraux qui ne leur conviennent pas sur la planète (Syrie 2014, Venezuela 2018, Bolivie 2019, Biélorussie 2020 pour n’en citer que quatre). Nous connaissons aussi leur propension à vouloir promouvoir, voire imposer le candidat qui leur convient même lorsque celui ci est très minoritaire dans le pays (France 2017, Bolivie 2019, Biélorussie 2020, Navalny qui ne représente strictement rien en Russie, mais qui nous est « vendu », par nos médias, comme le challenger numéro un de Poutine.)

2 – Il y a ces actions très inhabituelles de Google, Facebook, You tube, Twitter censurant purement et simplement le Président en exercice des États-Unis, en agissant de concert et simultanément. Cette collusion évidente de ces grandes sociétés de service, dont nous savons qui les contrôle, n’est tout simplement pas « naturelle », ni démocratique ….

3 – Pour la première fois dans l’histoire des USA, le vote par correspondance a été massivement utilisé puisque plus de 42% des électeurs qui se sont exprimés l’ont fait par correspondance (plus de 64 millions). Il est mondialement reconnu que ce type de vote favorise la fraude électorale.

Le vote par correspondance a d’ailleurs été supprimé en France en 1975 parce qu’il était jugé propice à la fraude électorale.

Il est, soit dit en passant, étrange que des députés de la majorité LREM cherchent aujourd’hui à rétablir, en France, le vote par correspondance, en profitant de l’opportunité « Covid ».

Auraient-ils l’intention, eux aussi, de rouvrir plus largement les possibilités de fraude en France et de faire bourrer les urnes de leur circonscription pour se faire réélire au prochain scrutin ?…

Prétendre aujourd’hui qu’il n’y a pas eu la moindre fraude électorale aux USA avec 64 millions de votes par correspondance n’est tout simplement pas crédible.

Sans reprendre à mon compte l’ensemble des fraudes dénoncées par les républicains,  et énumérées dans cet article :

je retiendrai, tout de même, un seul exemple, reconnu par les deux partis, démocrate et républicain, et qui est donc ni contestable, ni contesté.

Selon son propre aveu au New York Times, Abigail Bowen, la greffière des élections du comté de Shiawassee dans le Michigan a ajouté, par erreur selon elle, un zéro en trop au décompte des voix de Joe Biden. Au lieu d’entrer 15 371 voix en faveur du démocrate, son équipe a ajouté 150 371. La touche 0 n’étant pas, sur un clavier d’ordinateur, voisine de la touche 5 ou de la touche 3, plaider l’erreur involontaire paraît bien étrange …. Elle ajoute avoir été notifiée de l’erreur 20 minutes plus tard et l’avoir corrigée ensuite. (Heureusement que quelqu’un s’est aperçu de cette erreur dont tout semble indiquer qu’elle était volontaire…..)

C’est très bien que cette erreur ait été rectifiée, mais cela pose tout de même questions :

Combien « d’erreurs » de 0 de ce genre ont-elles été commises, volontairement ou non ? …..

Combien « d’erreurs » de ce genre ont elles été repérées, notifiées et corrigées ? …..

Combien de ces « erreurs » ont-elles été validées dans le décompte final ?

Un candidat, démocrate ou républicain, est-il fondé ou non à demander un recomptage lorsque l’écart dans le résultat est dans la marge des 1% dans un des États de l’Union ? Cela ne se fait-il pas dans toutes les démocraties dignes de ce nom ? Est ce aux médias de proclamer un vainqueur sans disposer de résultats validés ?

J’observe que, dans cette marge de 1%, se trouvent les résultats de 5 états qualifiés de swing states : L’Arizona, la Georgie, le Wisconsin, la Pensylvanie et le Nevada.

Dans ces 5 états, Trump était en tête mais Biden aurait repris l’avantage de quelques milliers de voix dans tous ces états grâce à l’arrivée opportune, miraculeuse, massive et soudaine, en fin de dépouillement du scrutin, de votes par correspondance qui lui auraient été très, très, très favorables.

Vous l’aurez compris le vote par correspondance est, pour moi, la porte ouverte à la fraude. Lorsque ce vote par correspondance est massif, la fraude peut être importante et largement suffisante pour inverser un résultat dans la marge des 1%. Il est infiniment peu probable qu’il n’y ait pas eu de fraudes. Je me garderai bien de dire à qui cette fraude a profité et je ne suis pas sûr qu’on puisse en avoir un jour toutes les preuves. Je dis simplement que les médias mainstream « bisounours » US et européens qui aimeraient refuser à Trump le droit aux recomptages, aux enquêtes et aux vérifications mais qui, lorsqu’il s’agit d’autres pays, sont très regardants sur les comptages, et crient facilement « à la fraude électorale » ne se grandissent pas. Nous savions que la France et ses journalistes qui se moquent du perdant présumé, parce qu’il s’appelle Trump, donnaient l’image d’une « médiocre’atie », mais doit-elle devenir aussi une média’cratie qui tente de nous imposer nos Présidents et tout ce qu’il faut penser, sur tous les sujets ?


Abordons maintenant le deuxième objet de ma lettre.

Si le « mondialiste » Biden devait être élu le 8 décembre et intronisé le 20 janvier 2021 quelle évolution peut-on en attendre pour la planète, l’Europe et la France ?

Biden est un homme âgé, dont chacun sait qu’il n’a plus toute sa tête (Il sera dans sa 79 ème année le 20 janvier prochain). Pour cette seule raison, s’il devait être élu, il serait sous influence et ne prendrait ses décisions que sur les conseils et  le « contrôle étroit » de son entourage proche, émanation du « Deep State » et composé de « mondialistes » purs et durs. C’est d’ailleurs cet entourage qui l’aura aidé à l’emporter,  c’est cet entourage qui gouvernerait, en fait, les USA.

Parce qu’il est d’obédience « néoconservatrice », cet entourage est résolument pro-Israël et pour le maintien d’une hégémonie absolue des USA sur la planète. L’étude approfondie de cet entourage (Biographies, ascendances, réseaux et communauté d’appartenance) serait très révélateur mais, hélas, peu surprenant. Nous avons les mêmes chez nous. Il faudrait donc s’attendre à une multiplication des ingérences agressives US aux Proche et Moyen-Orients (Liban, Syrie, Irak, Iran), au profit d’Israël bien sûr, mais aussi aux frontières de la Russie, en Mer de Chine et en Amérique du Sud. Cette nouvelle équipe de gouvernement, bras armé du « Deep State », créera les prétextes s’ils n’existent pas et instrumentalisera la nébuleuse terroriste, comme elle l’a toujours fait dans le passé, pour l’aider à justifier ses ingérences.

Trump a réussi à réduire graduellement et considérablement les bombardements US sur la planète (47 000 bombes en 2017, 16 000 en 2018, 12 000 en 2019 et 928 en janvier + février 2020 (dernières données connues).

Il a rapatrié dans son pays nombre de ses soldats déployés, notamment aux Proche et Moyen-Orients. Sous son premier mandat, la coalition occidentale a tué beaucoup moins de monde que sous les mandats de son prédécesseur. Si une équipe mondialiste s’empare de la maison blanche,  des tendances  inverses pourraient se remettre en place dès le printemps 2021….et le sang se remettre à couler ….. L’OTAN n’a toujours pas compris qu’elle devrait et aurait intérêt à mettre un terme à ses dérives.

La mauvaise nouvelle est qu’une administration Biden chercherait aussi à impliquer l’OTAN, le Royaume Uni, la France et l’Union Européenne dans tous les coups tordus que ses stratèges néoconservateurs pourront imaginer.

La mauvaise nouvelle pour la France est que sa dépendance économique (dette et CAC40) et la servilité grandissante à l’égard des USA de ses élites, formées pour ça, ne lui permettront pas de refuser toutes les invitations US à se joindre à ses coalitions de circonstance pour des causes douteuses.

La bonne nouvelle tient dans le fait que, de part et d’autre de l’Atlantique, les peuples commencent à ouvrir les yeux. Que ça plaise ou non à nos médias, à nos politiques et à notre opinion publique manipulée, le « souverainiste » Trump a obtenu 15% de voix de plus qu’en 2016 (73 millions). Ses partisans tiennent la Cour Suprême, le Sénat, une majorité d’États et s’approchent de la parité à la Chambre des représentants. Ses partisans tiennent aussi les campagnes états-uniennes. Les démocrates ne tiennent vraiment que les grandes villes…

carte du vote 2020 (vote Trump en rouge), (vote Biden en bleu).

Il ne sera donc pas simple de gouverner les USA et de faire n’importe quoi dans ces conditions d’autant que l’économie US est en berne et la dette  abyssal

Il ne sera pas simple non plus de gouverner une UE de l’Ouest en faillite, avec des populations au bord de la révolte, des PIB en recul et des budgets de défense qui seront, qu’on le veuille ou non, sinistrés.

Dans ces conditions, la sagesse devrait consister à s’occuper correctement de ses affaires avant de vouloir jouer les shérifs sur la planète. Elle devrait aussi consister à ne pas vouloir s’ingérer partout dans les affaires d’états souverains sous le prétexte fallacieux de la lutte contre un terrorisme que nous avons largement contribué à créer et à entretenir par une politique étrangère calamiteuse (Libye, Syrie, Irak, Yemen, Iran, Russie, Biélorussie, Venezuela, Brésil, Bolivie entre autres) et par des prises de position officielles irresponsables « perçues » comme insultantes par des dizaines de pays sur la planète (caricature).

Tôt ou tard, une coalition occidentale gouvernée par des mondialistes agressifs, se prendra un grand coup sur le museau, s’étonnera, redescendra de son piédestal, et fera moins la fière. Ses populations multiplieront les marches blanches, les cérémonies de funérailles, les manifestations bruyantes et ostentatoires contre un ennemi qu’on aura provoqué. Elles compteront et pleureront leurs morts. Il suffit d’observer la brillante campagne conduite par les gouvernances des pays membres de cette coalition dans « la guerre contre le coronavirus », pour pressentir que nous ne gagnerons pas non plus la prochaine…

Dominique Delawarde 




Le Vatican conclut une «alliance mondiale» avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les banques pour créer une Grande Réinitialisation

[Source : Guy Boulianne]

« Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. »

(Apocalypse 17:1-2)

Le pape François a annoncé que le Vatican conclurait une « alliance mondiale » avec les grandes banques mondiales, les entreprises internationales et les fondations mondialistes pour créer un conseil économique visant à redistribuer la richesse à travers le monde.

L’initiative mondialiste, appelée « Le Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican), se présente comme une organisation pro-capitaliste qui vise à créer « des économies et des sociétés plus fortes, plus justes et plus collaboratives ». Le groupe d’élite, qui s’appelle pompeusement « Les Gardiens » (The Guardians), se qualifie lui-même de « collaboration historique de PDG et de dirigeants mondiaux travaillant avec la direction morale du pape François pour exploiter le pouvoir des affaires pour de bon », indique le site internet.

Selon le communiqué de presse du Conseil, le partenariat avec le Vatican signifie « l’urgence d’unir les impératifs moraux et commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. » L’héritière bancaire Lynn Forester de Rothschild déclare dans une vidéo : « Nous répondons au défi du pape François de créer des économies plus inclusives qui répartissent plus équitablement les bénéfices du capitalisme et permettent aux individus de réaliser leur plein potentiel ». En réalité, ceux qui se prénomment les « Gardiens » sont la même bande mégalomaniaque habituelle de mondialistes déterminés à mettre en œuvre des politiques d’extrême gauche radicale dans le monde entier, comme le Green New Deal et les initiatives de politique identitaire.

Le Conseil se compose d’entreprises et d’organisations mondiales qui partagent la mission de « mobiliser le secteur privé pour créer un système économique plus inclusif, durable et fiable », selon son site internet. Parmi la liste des « Gardiens » en plus du pape François figurent les PDG de Visa, Mastercard, Bank of America, DuPont, The Estée Lauder Companies, Johnson & Johnson et BP, ainsi que le secrétaire général de l’OCDE, le président de la Fondation Ford Darren Walker, le président de la Fondation Rockefeller Rajiv Shah et l’envoyé spécial des Nations Unies pour le climat, Mark Carney.

On lit sur le site Web de l’organisation : « Le Conseil est déterminé à agir. Il recherche un changement réel et durable pour le bien. Les organisations membres adopteront chacune une approche différente pour mettre en œuvre les Principes pour le capitalisme inclusif, mais chacune s’engage à promouvoir des économies durables, inclusives, fortes et fiables dans le monde entier. (…) Cela comprend une nouvelle amélioration des mesures environnementales, sociales et de gouvernance dans nos opérations quotidiennes alors que nous contribuons à atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies. »

Cela vient après que le Forum économique mondial, les Nations Unies et d’autres institutions ont récemment appelé à une « grande réinitialisation » pour réorganiser le système capitaliste mondial en un ordre mondial transhumaniste socialiste qui éliminerait la propriété privée et la monnaie.


« Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. »

(Apo 17:16)


Les projets subversifs de la Société fabienne

La Base fabienne de 1887

Comment des compagnies mondialistes qui se sont évertué durant toute leur existence à ruiner les peuples comme Visa et Mastercard, à polluer l’environnement comme British Petroleum Company (BP) et à répandre leurs organismes génétiquement modifiés (OGM) comme Johnson & Johnson peuvent-elles prétendre aujourd’hui se mobiliser pour créer « un système économique plus inclusif » et contribuer à atteindre les objectifs de développement durable incluant une nouvelle amélioration des mesures environnementales et sociales ? Je vous rappelle que le vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson est un vaccin OGM (le généticien Axel Kahn, L’Usine Nouvelle, 27-11-2020).

« Le capitalisme a créé une énorme prospérité à l’échelle mondiale, mais il a aussi laissé trop de gens pour compte, a entraîné la dégradation de notre planète et n’inspire pas largement confiance dans la société », a déclaré Lynn Forester de Rothschild, fondatrice du Conseil et associée directrice d’Inclusive Capital Partners. Mais d’où provient donc cet élan d’humanisme alors que la famille Rothschild a de tout temps cherché à causer du tort à des sociétés et à des individus, sans aucun remord ?

À la fin du XIXe siècle, les grands capitalistes libéraux (Rothschild, Carnegie, Rockefeller, etc.) ont soutenu la réforme sociale comme un moyen d’apaiser les classes ouvrières rétives et, finalement, de les placer sous leur contrôle. La Société fabienne était l’organisation clé mise en place à cet effet. Lord Nathan Mayer Rothschild fut donc l’un des premiers partenaires de Sidney et Beatrice Webb à financer leurs projets subversifs. Lord Rothschild lui-même a été personnellement impliqué, avec Sidney Webb, dans la restructuration de l’Université de Londres dans laquelle la London School of Economics (LSE) des Fabiens a été incorporée en 1898. Il a également fourni des fonds pour la LSE et en a été le troisième président, après son parent Lord Archibald Primrose, 5e comte de Rosebery.

Les Rothschild sont sans doute les principaux actionnaires du système mondial de banque centrale. La carrière de Victor Rothschild [1] comme agent soviétique confirme que le plan de ces banquiers basés à Londres pour imposer un “gouvernement mondial” dictatorial s’appuyait sur le Communisme. Le souci de la Société fabienne vis-à-vis de l’organisation internationale fut articulé dès le début dans les documents Fabiens comme le « Gouvernement International » qui fut à l’origine de la création, trois ans plus tard, de la Société des Nations, qui fut remplacée en 1945 par l’Organisation des Nations unies reprenant un certain nombre de ses agences et organismes. [2]

Or, le concept mortifère de l’Agenda 21 est profondément ancré dans la pensée et la stratégie fabienne. En effet, la Base fabienne de 1887 — que tous les membres devaient signer et respecter — stipule ceci :

« La Société fabienne est composée de socialistes. Elle vise donc à réorganiser la société par l’émancipation de la terre et du capital industriel de la propriété individuelle et à leur attribution en communauté pour le bénéfice général. De cette manière, seuls les avantages naturels et acquis du pays peuvent être équitablement partagés par l’ensemble du peuple.

« La Société travaille donc à l’extinction de la propriété privée et en conséquence de l’appropriation individuelle, sous la forme d’un loyer, un prix à payer pour l’autorisation d’utiliser la terre, ainsi que des avantages des sols et des territoires. » [3]

Depuis sa création, la Société fabienne entretient des objectifs ténébreux et diaboliques. Beatrice Potter Webb admirait le fondateur de l’eugénisme, Francis Galton. Elle poussa son époux Sidney Webb à adhérer à la Société eugénique à partir de 1890. Cependant, tous deux rejetaient l’idée d’eugénisme positif de Francis Galton. Ils préconisaient une action sur l’environnement plutôt que sur la biologie. [4] L’un des quatre fondateurs principaux de la Société fabienne, George Bernard Shaw, admirait le chef du parti national-socialiste, Adolf Hitler, et son programme génocidaire. Il disait explicitement :

« Vous connaissez presque tous au moins une demi-douzaine de personnes qui ne sont d’aucune utilité dans ce monde. Qui sont plus de problèmes que ce qu’ils valent. Il suffit de les mettre là et de dire, Monsieur ou Madame, allez-vous maintenant avoir la gentillesse de justifier votre existence? Si vous ne pouvez pas justifier votre existence, si vous ne tirez pas votre poids dans le bateau social, si vous ne produisez pas autant que vous consommez ou peut-être un peu plus, alors, clairement, nous ne pouvons pas utiliser la grande organisation de notre société dans le but de vous garder en vie. Parce que votre vie ne nous profite pas et qu’elle ne peut pas vous être très utile. »

Nous voyons donc que l’Agenda 21/2030 respecte en tout points les objectifs eugéniques et totalitaires de la Société fabienne. Le Dr Igor Shepherd écrit : « La grande réinitialisation (Great Reset) est un gouvernement mondial planifié de style régime communiste, actuellement en cours (par la force) via la pandémie Covid-19 pré-planifiée et canularisée. C’est un programme mondial totalitaire qui est devenu populaire en 1987 grâce aux Nations Unies. Il s’intitulait Agenda 21, car l’objectif était de réinitialiser complètement tous les gouvernements et économies du monde d’ici 2021. » [5] C’est exactement la tâche que les « Gardiens du Conseil » se proposent de réaliser selon le calendrier qui leur est imparti.


« Il cria d’une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. »

(Apocalypse 18:2-3)


Les Rothschild s’asseoient dans le temple de Dieu

Le « Conseil pour le capitalisme inclusif avec le Vatican » (The Council for Inclusive Capitalism with the Vatican) a été fondé par Lynn Forester de Rothschild, une femme d’affaires américano-britannique qui est la directrice générale d’E. L. Rothschild, une société holding qu’elle possède avec son troisième mari, Sir Evelyn Robert de Rothschild, membre de la famille Rothschild. Elle siège actuellement au conseil d’administration d’Estée Lauder Companies, de The Economist Group, de Bronfman-Rothschild, de E. L. Rothschild LP et de Christies International.

Elle est membre du Council on Foreign Relations (États-Unis), de Chatham House (Royaume-Uni), de l’Institute for Strategic Studies (Royaume-Uni), de l’International Advisory Council of Asia House (Royaume-Uni) et de la Foreign Policy Association (États-Unis).

Lynn Forester de Rothschild a été mariée trois fois. Son troisième mari est Sir Evelyn de Rothschild (né le 29 août 1931), à qui elle a été présentée par Henry Kissinger lors de la conférence du Groupe Bilderberg en 1998 en Écosse. Ils se sont mariés le 30 novembre 2000, à Londres, en Angleterre, après que de Rothschild a divorcé de sa femme en 2000. À l’annonce du mariage, le couple Rothschild a été invité à passer leur lune de miel à la Maison Blanche par les Clinton.

Sir Evelyn Robert Adrian de Rothschild est un financier britannique. Il a été nommé administrateur de Rothschild Frères à Paris en 1968 alors que Guy de Rothschild de la branche française de la famille est devenu associé chez NM Rothschild & Sons. En 1976, il a succédé à son cousin, l’agent soviétique Victor Rothschild, en tant que président de la banque et en 1982, il est devenu président de Rothschilds Continuation Holdings AG, la société de coordination du groupe de banque d’affaires. Il est devenu co-président de Rothschild Bank AG, Zurich en 1994, servant jusqu’en 2003, date à laquelle il a supervisé la fusion des maisons françaises et britanniques de la famille. David René de Rothschild de la succursale française a pris la relève en tant que président exécutif de Rothschild International après la fusion des différentes succursales et Sir Evelyn est resté président non exécutif de NM Rothschild & Sons.

Evelyn de Rothschild a été le président du journal The Economist de 1972 à 1989. Il fut le gouverneur de la London School of Economics, fondée en 1895 par les membres de la Société fabienne Sidney Webb, Beatrice Webb, Graham Wallas et George Bernard Shaw. Sir Evelyn a été nommé “Knight Bachelor” [6] dans les honneurs du Nouvel An 1989. Il sert de conseiller financier de la reine Elizabeth II.

Sceau découvert lors des fouilles sur les sites khazars. Cependant, plutôt que d’avoir été fabriqués par des Juifs, ceux-ci semblent être des disques solaires chamaniques.

Contrairement à la croyance populaire, la famille Rothschild n’a rien à voir avec le peuple juif, et encore moins avec le peuple sémite. En fait, les Rothschild descendent des Khazars, un peuple semi-nomade turc d’Asie centrale dont la religion d’origine était un mélange de chamanisme nomade et de sorcellerie. L’aspect chamanique implique généralement des chamanes qui entrent dans des états de transe pour tenter « d’entrer en contact direct et immédiat avec des êtres dans le domaine spirituel afin d’effectuer divers souhaits ».

L’une des pratiques chamaniques des Turcs que les Khazars avaient adoptées était la méthode d’installation d’un nouveau dirigeant. L’étranglement cérémonial d’un dirigeant nouvellement élu a amené ce dirigeant à entrer « dans un état d’inconscience avant la mort » afin « qu’il puisse devenir un médium pour la réception et la communication d’oracles ». [7]

Les Khazars se sont convertis au judaïsme autour de 735, au contact des marchands juifs venus de Byzance, ou par le biais des populations de Crimée. Cette conversion est généralement expliquée par un choix stratégique des élites khazares, leur permettant d’échapper à l’influence islamique et à l’influence chrétienne de leurs puissants voisins arabes et byzantins. Malgré cette conversion, les Khazars conservèrent leurs traditions occultes tout en s’imprégnant du Tamuld de Babylone.

Malgré la fin apparente de l’Empire khazar, nous nous retrouverons dix siècles plus tard avec le « faux messie » Sabbataï Tsevi, l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ainsi que de celle des frankistes. Ce courant spirituel découlait d’un réexamen de la kabbale lourianique, qui enseignait que « tout acte a un certain contenu par lequel l’homme se trouve rattaché à la racine spirituelle des mondes ». Ce précepte fut exacerbé jusqu’à ce que s’élabore l’idée de « rédemption par le péché ». L’argument théologique était le suivant : si, après la rupture des vases, les étincelles divines se sont répandues sur toute la surface du monde, cela signifie qu’il est nécessaire de s’abîmer jusque dans le domaine impur du mal (kelipot) pour parvenir à les rassembler intégralement, sans quoi la Rédemption ne peut arriver à son terme :

« Telle est donc l’œuvre qui a été laissée au Rédempteur, le plus saint de tous les hommes: il doit accomplir ce que les âmes les plus justes du passé n’ont pas été elles-mêmes capables de faire ; il doit descendre par les portes de l’impureté dans le domaine des kelipot et sauver les étincelles divines qui s’y trouvent emprisonnées. »

La sataniste Marina Abramovic posant avec Lord Jacob Rothschild devant le tableau intitulé « Satan convoquant ses légions »

Absolument hétérodoxe, ce courant juif manifeste la fine ligne qui sépare le nihilisme pur de la spiritualité radicale : il fait de la duplicité, c’est-à-dire du fait d’épouser des comportements contraire à ses convictions, une preuve de sainteté.

Les sabbatéens soutenaient en effet que la vraie foi ne peut être professée en public, car elle doit toujours restée cachée : « Chacun a le devoir de la nier extérieurement, car elle est comme une semence qui a été plantée dans le lit de l’âme et qui ne peut croître sans avoir été d’abord recouverte ». Encourageant ainsi la transgression de tous les tabous, le sabbatéisme donna lieu à un complet renversement des valeurs qui déboucha sur une massification des rituels orgiastiques et blasphématoires. Il fut considéré comme une immense « hérésie révolutionnaire » au sein du judaïsme. Poussant les contradictions à leur limite suprême, Sabbatai Zevi alla en 1683 jusqu’à se convertir volontairement à l’islam, « afin de conquérir la Kelipah de l’intérieur ». [8]

Passés maîtres du mensonge et de la duperie, les Rothschild ont poursuivi sans relâche les préceptes de leurs ancêtres et utilisèrent sans ménagement la kabbale et la magie babylonienne pour arriver à leur fin de domination mondiale. L’historien israélien Shlomo Sand écrit : « Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale. » [9]


« Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent. »

(Apocalypse 3:9)


L’allégeance de David Mayer de Rothschild

À l’ouverture d’une conférence TEDx le 16 décembre 2010, David Mayer de Rothschild dit : « Je suis un grand fan de Google, alors j’ai pensé, voyons quel est le message général sur la nature et je ne suis pas surpris. Lorsque vous cherchez ce qu’est la nature, la première chose qui se présente est : «la nature est L’église de Satan». (…) J’aime le fait que c’est comme si la nature était une île gastronomique tropicale. Mais c’est comme si la nature était l’église de Satan. Donc je veux profiter de cette opportunité pour dire que si c’est l’église de Satan, je suis un adorateur du diable. Je vais le dire maintenant : j’aime Satan. » (sur Youtube, à partir de 1:38 minutes).

Sous le couvert d’une plaisanterie, David de Rothschild proclame en fait son allégeance au prince de ce monde, puisque les Écritures révèlent que le diable – Satan – est actuellement en charge de la planète Terre. [10] Même Jésus-Christ, peu avant Son arrestation et Sa crucifixion, a reconnu l’autorité de Satan : « Je ne parlerai plus guère avec vous ; car le prince du monde vient. Il n’a rien en moi. » (Jean 14:30). Alors qu’il se trouvait devant Ponce Pilate, Jésus déclara : « Mon royaume n’est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs; mais maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas. » (Jean 18:37)

Fils cadet de Sir Evelyn de Rothschild, né le 25 août 1978 à Londres, David de Rothschild est le plus jeune héritier de la fortune bancaire de sa famille. À l’âge de 20 ans, de Rothschild avait lancé sa propre entreprise de marchandisage de musique et l’avait vendue. En 2001, il a acheté une ferme biologique de 1100 acres en Nouvelle-Zélande et a été invité à participer à une expédition polaire. Cette expérience a fait de Rothschild un éco-aventurier entreprenant, ainsi que le chantre du réchauffement climatique et du développement durable. Il a reçu le prix d’« Explorateur émergent » par le National Geographic, nommé « ambassadeur international » par l’ONG Clean Up the World et nommé « Young Global Leader » par le Forum économique mondial, En 2009, Rothschild a été nommé par le Programme des Nations unies pour l’environnement (UNEP) en tant que « héros du climat ».

Certains le considèrent comme un candidat possible en tant qu’Antéchrist. Lorsqu’il a entrepris son voyage « Palastiki » sur un catamaran de 60 pieds composé de 12500 bouteilles en plastique, certains l’ont même surnommé « Plastic  Jesus ». Henry Makow Ph.D. écrivait en 2016 :

« Son entreprise de marque lifestyle orientée vers l’écologie, « The Lost Explorer » a été lancée en 2015. Sous le logo occulte de son entreprise se trouvaient les mots « Est. 1978 » (Établi en 1978), une référence à l’année de la naissance de Rothschild. Le logo le plus récent indique « Est. 2025 ». Est-ce l’année où Rothschild passera de l’activisme, de la culture et des affaires à la scène politique et à un rôle de leadership mondial comme prévu par le Forum économique mondial ?

« Des aperçus rapides de l’écriture et de l’activité en ligne de cet homme révèlent un personnage à plusieurs niveaux qui n’est pas seulement calculé, mais également de nature psychologique. Son compte Twitter le montre audacieusement présidant une salle de réunion vide de type Nations Unies représentant la “Nature”. La bannière sur la page se lit simplement “Donnez une voix à la nature” et sa description indique : “Se perdre n’est pas un destin à éviter, mais un destin à embrasser”. » [11]

La question que nous sommes tous en droit de nous poser est celle-ci : Comment le pape François a-t-il pu conclure une « alliance mondiale » avec une famille qui a de tout temps évolué dans la sphère des illuminati et du satanisme ? La réponse ne se trouve-t-elle pas dans ce verset : « C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprissent les Ecritures. » (Luc 24:44-45) En tant que successeur de l’apôtre saint Pierre, sachant très bien ce qu’il en est des temps eschatologiques, Jorge Mario Bergoglio lança tout de même un cri du cœur — une sorte d’appel au secours — lors de l’homélie de la messe à la maison Sainte-Marthe le 13 février 2020 :

« Se laisser glisser lentement dans le péché, relativiser les choses et entrer en «négociation» avec les dieux de l’argent, de la vanité et de l’orgueil. Se laisser lentement glisser car c’est une chute avec anesthésie, tu ne t’en aperçois pas, mais lentement on glisse, on relativise les choses et l’on perd la fidélité à Dieu. Et pour nous, ce lent glissement de la vie vers la mondanité, c’est le grave péché : “Ils le font tous, mais oui, il n’y a pas de problème, oui, ce n’est vraiment pas l’idéal, mais…”.

« Ces paroles nous justifient au prix de la perte de la fidélité au Dieu unique. Ce sont des idoles modernes. Réfléchissons à ce péché de mondanité. De perdre l’authenticité de l’Évangile. L’authenticité de la Parole de Dieu, de perdre l’amour de ce Dieu qui a donné sa vie pour nous. On ne peut pas être bon avec Dieu et le diable. » [12] [13]

« Le Fils de l’homme s’en va, selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né. »

(Matthieu 26:24)


« Que personne ne vous séduise d’aucune manière; car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition, l’adversaire qui s’élève au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu ou de ce qu’on adore, jusqu’à s’asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. »

(2 Thessaloniciens 2:3-4)

https://youtu.be/PGbPXq8OJE4?list=PL0ZzLfn9ACdpCf7wscVI8Lx_zy63O1zz_

RÉFÉRENCES :
NOTES :
  1. Victor Rothschild (père de Lord Jacob Rothschild) avait épousé Teresa “Tess” Mayor, la petite-nièce de la fondatrice de la London School of Economics, Béatrice Webb, cette dernière ayant joué un rôle crucial dans la formation de la Société fabienne.
  2. Leonard Woolf : « International government. Together with a project by Fabian Committee for a Supernational Authority that will prevent War ». Introduction by Bernard Shaw. Fabian Research Department, Brentano’s, New York 1916.
  3. George Bernard Shaw : « Basis of the Fabian Society », in: The Fabian Society : its early history. Fabian Society, tract n ° 41, 2nd ed., London, p. 31.
  4. Daniel Becquemont : « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ». In: Mil neuf cent. Revue d’histoire intellectuelle (Cahiers Georges Sorel). Année 2000 / 18 / pp. 53-79.
  5. Guy Boulianne : « La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19 ». Publié le 10 décembre 2020.
  6. Le rang de Knight Bachelor (Chevalier Bachelor) fait partie des distinctions du Royaume-Uni. Il s’agit du rang le plus bas acquis par celui qui est décoré par le monarque sans pour autant être membre d’un ordre de chevalerie. Les Knight Bachelor constituent la plus ancienne famille de chevaliers anglais — ce rang existe depuis le règne de Henri III d’Angleterre (1207-1272) — mais leur rang est inférieur aux chevaliers membres d’un ordre, bien qu’ils portent le prédicat Sir.
  7. Kevin Alan Brook : « An Exploration of Khazarian Shamanism ». The American Center of Khazar Studies. A Resource for Turkic and Jewish History in Russia and Ukraine.
  8. Élise Gonthier-Gignac : « Les anges déchus. Politiques messianiques de la littérature dans des Anges mineurs d’Antoine Volodine, Faber le Destructeur de Tristan Garcia et les Renards pâles de Y Annick Haenel ». Mémoire présenté comme exigence partielle de la maîtrise en études littéraires. Université di Québec à Montréal, octobre 2015, p. 57.
  9. Shlomo Sand : « Déconstruction d’une histoire mythique. Comment fut inventé le peuple juif ». Le Monde diplomatique, Août 2008, page 3.
  10. La rédaction : « Pourquoi Satan est-il le “dieu de ce siècle” ? ». Le Monde de Demain, 2009 Juillet-Septembre, p. 5. [PDF]
  11. Henry Makow Ph.D. : « David Mayer de Rothschild – Groomed as Antichrist? ». An Oasis for the Awake, October 3, 2016.
  12. Debora Donnini : Pape François: la lente apostasie du cœur est un glissement vers la mondanité. Vatican News, 13 février 2020.
  13. Anne Kurian-Montabone : Sainte-Marthe : attention à la chute lente anesthésiée. ZENIT, le monde vu de Rome, 13 février 2020.



« Les aliens existent et ils ont signé un contrat avec les États-Unis »: les révélations hallucinantes d’un ancien haut responsable israélien

[Source : BusinessAM]

Responsable de la sécurité du programme spatial israélien pendant 30 ans, Haim Eshed a livré une incroyable interview à la presse de son pays. Il explique que les aliens existent, mais que l’humanité n’est pas encore prête à l’accepter.

Les propos ont tous les atours d’une théorie fumeuse. S’ils ne sortaient pas de la bouche d’une éminence de la recherche spatiale, ils seraient sans doute rangés dans la catégorie « discours conspirationniste ». Car non seulement les aliens existeraient, mais en plus, ils seraient en contact étroit avec les autorités américaines.

De 1981 à 2010, Haim Eshed a été le responsable de la sécurité du programme spatial israélien. Durant cette période, il a reçu à trois reprises le « prix de la Sécurité d’Israël » des mains du président israélien.

Dans une interview accordée au Yediot Aharonot – l’un des principaux quotidiens d’Israël – Eshed a révélé l’existence des aliens. Qu’un ancien haut responsable divulgue de telles informations est déjà, en soi, exceptionnel. Mais l’homme est allé beaucoup plus loin, expliquant que ces extraterrestres étaient en contact avec les autorités américaines, avec lesquelles ils auraient passé un contrat.

Haim Eshed

Fédération Galactique

Haim Eshed explique que les humains et les extraterrestres échangent déjà depuis « des années ». D’après lui, ce sont surtout les États-Unis qui ont un contact privilégié avec ces aliens. Ensemble, les deux communautés formeraient la « Fédération Galactique ».

« Trump était sur le point de révéler cela, mais les extraterrestres de la Fédération Galactique ont dit: « Attendez, laissez d’abord les gens se calmer ». Ils ne veulent pas déclencher une hystérie de masse. Ils veulent d’abord nous rendre sains d’esprit et compréhensifs », a détaillé Eshed.

[Voir aussi :] Il y aurait au moins 36 formes de civilisations extraterrestres intelligentes dans notre galaxie

L’ancien responsable de la sécurité du programme spatial israélien a ensuite franchi une étape supplémentaire, expliquant que les autorités américaines et les extraterrestres avaient conclu un contrat.

« Ils ont signé un contrat avec nous pour faire des expériences ici. Eux aussi font des recherches et essaient de comprendre l’ensemble de l’univers, et ils veulent que nous nous aidions. Il y a une base souterraine dans les profondeurs de Mars, où se trouvent leurs représentants, ainsi que nos astronautes américains », a-t-il confié.

Rappelons que Donald Trump a créé il y a un an la United States Space Force, une nouvelle branche des forces armées américaines destinée à mener des opérations militaires dans l’espace.

Pourquoi Eshed parle-t-il ?

Haim Eshed le dit lui-même : les extraterrestres sont réticents à ce qu’on apprenne leur existence sur Terre, parce qu’ils estiment que « l’humanité n’est pas prête ». Alors, pourquoi brise-t-il cet accord ? Car, selon lui, les mentalités sont en train d’évoluer.

« Si j’avais raconté tout ce que je dis aujourd’hui il y a cinq ans, j’aurais été interné. Partout où j’ai présenté cela dans le milieu universitaire, on m’a dit : cet homme a perdu la tête. Aujourd’hui, ils parlent déjà différemment. Je n’ai rien à perdre. J’ai été gradé et récompensé, je suis respecté dans les universités à l’étranger, où la tendance change également », a-t-il expliqué.

A 87 ans, Haim Eshed semble bien décidé à révéler tout ce qu’il sait. Pour ce faire, il vient de publier un livre, intitulé The Universe Beyond the Horizon – conversations with Professor Haim Eshed. Le Jerusalem Post indique qu’il y explique notamment comment les aliens ont réussi à nous sauver de catastrophes nucléaires.




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




La supercherie coronavirus devient toujours plus évidente

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Le dimanche 19 juillet 2020, le Dr. Carrie Madej publiait une vidéo pour expliquer ce qui va se passer avec les vaccins : je renvoie les anglophones à cette vidéo éloquente (ci-bas).

Dans la vidéo suivante, la Dr Carrie Madej s’interroge sur ce que « c’est que d’être humain ». Pourquoi ? Parce que les vaccins dits [antis-] « COVID » utilisent la technologie de l’ADN/ARN qui « recompose » le code génétique tout comme Monsanto, par exemple, recompose le code génétique de nombreuses semences (y compris les tomates, le maïs, etc.), sans parler de l’application de la biotechnologie génétique aux animaux.

(Mark Taliano, « Vaccins contre la COVID » et « Humains génétiquement modifiés », juillet 2020. Ce texte résume la vidéo.)

https://youtu.be/Rrwx8nMlzfw
https://beforeitsnews.com/health/2020/07/an-urgent-warning-from-dr-carrie-madej-must-see-video-3032692.html

2 – Neuf jours plus tôt, le 10 juillet 2020, on pouvait également suivre l’interview de fond et si éclairante, de Celeste Solum sur le vaccin – Former Fema – Vaccine Agenda Exposed (Nano Tech Hydrogel In The Cooties-91 Vaccine) [vidéo en anglais]:
https://www.bitchute.com/video/rLtA2m0gbUee/



3 – Le 19 juillet 2020, sur la chaîne de la télévision israélienne i24 News Direct, on pouvait écouter Le Professeur Yoram Lass, médecin, chercheur et ancien Directeur Général du Ministère de la Santé Israélien, balancer des informations déterminantes sur la crise du coronavirus…

Il expliquait entre-autre que le virus n’est plus là aujourd’hui, pour la simple raison qu’il est mort, que son temps est passé et que désormais on se met à faire des tests par centaines de milliers. Il est tout à fait naturel, expliquait-il, que plus on fera de tests plus on découvrira des porteurs positifs du coronavirus. Le nombre de tests détermine donc le nombre de déclarés « contaminés ». On dit alors qu’ils sont « malades » et que la « situation est grave ». Le Pr Yoram Lass disait qu’en Israël, au moment où il parlait, il y avait 24 personnes au total sous respirateur et pourtant le Gouvernement voulait à tout prix recommencer un nouveau confinement… 

Il poursuivait l’interview en disant :

« Le test PCR n’est pas fiable, puisqu’il ne distingue absolument pas les virus morts des virus vivants, si bien que selon ce test qui est pratiqué en masse aujourd’hui, tout le monde se retrouve dans les « contaminés » déclarés aussitôt « malades » alors que scientifiquement c’est absolument faux et ces milliers de personnes déclarées « malades » parce que testées positifs au coronavirus, sont en réalité parfaitement saines ! » 

Le taux de létalité pour coronavirus en Israël est de 0,8% à ce jour, au regard du nombre de « contaminés » déclaré (le 19 juillet 2020), c’est-à-dire beaucoup moins que les chiffres connus des années antérieures après le passage de la grippe saisonnière. On se demande donc pourquoi faire toute cette falsification autour des « testés positifs » en déclarant faussement que « testé positif = infecté et donc malade » ! Quel est le but de cette falsification et grossière manipulation pratiquée par le ministère de la santé ?! Pour moi, disait le Pr Yoram Lass, il s’agit d’un « comportement hystérique de la part des responsables » et nous allons avoir « plus de morts du massacre économique et du chômage » que de cette maladie qui n’a rien de menaçant ! Il n’y a pas de « seconde vague », tout cela est ridicule et il est temps de redevenir sérieux ! 

En effet, le discours moralisant et alarmiste qui circule actuellement, grâce à des journalistes privés de tout sens critique et de liberté de penser, s’alimente à la source des tests « positifs » qui sont pratiquées massivement aujourd’hui. C’est l’occasion pour maintenir la propagande en alerte et de s’assurer que la peur est bien entretenue elle aussi afin de pouvoir tenir jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera ainsi demandé, attendu impatiemment par une majorité d’abusés. Les directives sur l’obligation du masque en tous lieux sont également faites pour que le message soit clair : nous sommes toujours menacés par le virus (sous-entendu : tant que le vaccin n’a pas été imposé à la population mondiale entière !)

Le Pr Yoram Lass termine en disant :

« les tests ne sont intéressants que pour l’information. Il est aberrant que des chiffres soient diffusés sur le nombre de malades que cela signifie alors qu’une incontestable majorité de ces gens testés « positifs » sont en réalité en pleine forme et ne sont absolument pas malades ! » 

Ce jeu « étrange » de la part des autorités est non seulement insensé mais « irresponsable ». 

Des médecins « collaborateurs » trouvent le moyen de dire, également chez nous en France, que si ces mêmes personnes sont ensuite testées « négatives», cela voudra dire qu’elles se seront « rétablies » ! En réalité elles ne se seront pas « rétablies » puisqu’elles n’étaient pas malades… Il est important que les populations sachent que ce discours de peur sur la « pandémie » est une comédie dont il faut honnêtement se demander quel en est le but réel à part celui que tout le monde a déjà compris : le jackpot des affaires des grands groupes pharmaceutiques… Qui a donc intérêt à faire peur, à soumettre, à imposer des règles liberticides et à détruire massivement l’économie sans rien prévoir pour la repenser sérieusement ? Pourquoi un tel massacre réalisé sans scrupule et avec détermination ? Qui va profiter du crime de masse organisé par ce chantage à la peur ? Que chacun fasse l’effort d’y réfléchir et qu’il trouve par lui-même les réponses évidentes…

On peut déjà dire que cet épisode « confinement pour pandémie coronavirus » n’a fait que révéler le degré de perversion dans lequel se trouvent les gens qui se sont emparés du pouvoir. Désormais la majorité des citoyens a pu mesurer le mensonge habituel dans lequel elle se fait balader à longueur de temps et toute crédibilité des politiques, du moins ce qui en restait, a été balayée… Cela veut dire aussi et annonce les violences qui vont suivre désormais pour les règlements de compte avec ce pouvoir nous ayant méprisés à ce point !

4 – Il y a quelques semaines avant, c’est un autre médecin spécialiste qui nous informait sur cette question tournée en ridicule par les autorités politiques dépassées par leur incapacité à discerner ce qui est juste de ce qui est pervers. Le Dr. Beda M. Stadler, ancien directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Berne, biologiste et Professeur émérite, une sommité reconnue en Suisse et dans le monde, publiait un article dans le magazine suisse Weltwoche (Semaine mondiale) le 10 juin 2020.

Ce docteur nous expliquait alors qu’il était faux de prétendre que ce virus était nouveau ; qu’il était encore plus faux de prétendre que la population n’aurait pas déjà une certaine immunité contre ce virus ; que c’était le comble de la stupidité que de prétendre qu’une personne pouvait avoir la Covid-19 sans aucun symptôme ou même de transmettre la maladie sans présenter le moindre symptôme. Le contenu de son article expliquait le problème des tests pratiqués pour la détection du Sras-CoV-2. On a vu que le Pr Yoram Lass expliquait très simplement la même chose concernant le mensonge s’appuyant sur les tests…

Je renvoie le lecteur francophone à l’article du Dr Stadler qui a été traduit en français et publié le 10 juillet 2020 sur www.mondialisation.ca. Il trouvera dans cet article toutes les explications d’un scientifique qui sait de quoi il parle. Le titre de son article en dit long sur la supercherie qu’on nous sert à longueur de temps dans les médias, de la part de politiques irresponsables ! « Coronavirus : pourquoi tout le monde s’est trompé. Il ne s’agit pas d’un ‘nouveau virus’. Le conte de fée de l’absence d’immunité »

5 – On peut encore citer l’article de Makia Freeman, publié en français dans mondialisation.ca du 13 juillet 2020, dans lequel elle explique que l’on trouve énormément de coronavirus par les tests qui sont pratiqués en ce moment, mais qu’on n’a toujours pas retrouvé la trace du Sras-CoV2. Elle renvoie le lecteur à une étude qui, en février dernier, insistait déjà sur le fait que les tests ne révélaient aucune preuve de l’existence du virus appelé COVID-19. 

6 – Quand on ajoute à tout cela l’histoire retentissante du LancetGate, on est alors en mesure de comprendre les mensonges scientifiques qui ont été honteusement radotés sur le coronavirus, en découvrant au passage la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques. (Cf., article publié par le Professeur Michel Chossudovsky dans mondialisation.ca du 15 juillet 2020.) Pour celui qui a un peu de bon sens, il est devenu hors de question de continuer à faire confiance aux « Comités dit scientifiques » qui n’ont pas hésité à utiliser leur position prestigieuse pour nous abuser. La preuve a été faite qu’on nous menait en bateau et les bornes ont été largement dépassées.

CONCLUSION

Tous ces articles cités et bien d’autres références comme les livres entiers publiés par le Pr Perronne (« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? ») et par le Pr Raoult (« Epidémies, vrais dangers et fausses alertes »), les articles si détaillés du docteur Nicole Delépine (« Covid-19, Genèse et conséquences d’une hystérie mondiale »), nous renvoient à des sources abondantes sur toutes ces questions. Il est insupportable de voir un tel mensonge, sur une soi-disant « pandémie », s’étaler à perte de vue sans que les peuples ne réagissent vigoureusement à ce scandale absolu qui les jette dans un malheur sans nom. 

Le massacre « coronavirus » aura été spectaculaire : l’opération a été « bien menée » par les obscurs commanditaires d’une telle initiative ayant transité par l’OMS et qui reste étrange tout en posant de nombreuses questions importantes non résolues. Il faudra bien que prochainement la lumière soit faite, lorsque tout le monde comprendra obligatoirement à quel point il s’est fait manipuler ! 

Mais au-dessus de tout cela, ce qui restera le plus étonnant, fut le constat général de la naïveté des politiques au pouvoir, comment ils ont été démunis, sans discernement, sans véritable responsabilité, se contredisant sans cesse, mentant ouvertement à répétition et prenant partie pour des guerres de laboratoires ! Chaque personne a une capacité au raisonnement : on peut tabler sur le fait que tout un chacun pourra se poser des questions élémentaires, s’interroger sur la compétence de ceux qui prétendent nous diriger, et tirer des conclusions sur une réalité qui peut nous apparaître aujourd’hui comme évidente, tellement le mensonge a été grossièrement pratiqué par des gens que personne ne peut plus prendre au sérieux !

Jean-Yves Jézéquel


Image en vedette : torange.biz

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2020




Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

[Source : Québec Nouvelles.Info]

[Source originale anglaise : Westphalian Times]

Un article d’investigation du New York Times a soulevé des questions sur la validité du test de masse COVID de type PCR utilisé dans les pays du monde entier pour identifier les cas COVID et pour prendre des décisions politiques basées sur ces bilans.

Cela a suscité un débat aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Israël, mais pas encore au Canada, même si nous sommes confrontés au même problème.

Alors, comment le régime de test PCR du Canada se compare-t-il à celui des États-Unis? Tout porte à croire qu’il n’est pas beaucoup mieux.

Au cours d’une enquête de deux semaines, le Westphalian Times a interrogé les autorités sanitaires provinciales et les laboratoires de santé publique et a découvert qu’au Canada, la majorité des normes de diagnostic du test COVID-19 sont peut-être trop sensibles pour identifier de manière fiable les personnes souffrant actuellement de COVID et donc pour détecter et isoler celles qui sont infectieuses.

Le Westphalian Times a découvert que, selon d’éminents experts en épidémiologie aux États-Unis et au Royaume-Uni, jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID-19 pourraient être de faux positifs et que les Canadiens testés ne reçoivent pas l’importante statistique de seuil de cycle lorsqu’ils obtiennent un résultat positif à un test COVID.

Nous avons contacté les autorités sanitaires provinciales et les gouvernements de l’Alberta, de l’Ontario, du Québec, de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Nouvelle-Écosse, de la Saskatchewan et du Nouveau-Brunswick pour déterminer le niveau de sensibilité utilisé dans leur test PCR pour COVID.

Seules deux provinces, le Québec et le Manitoba, ont accepté de partager leurs valeurs Ct de seuil positif, l’une des statistiques essentielles utilisées pour déterminer si le test détecte un virus vivant ou des restes de virus ou une éventuelle contamination.

L’Ontario, la Colombie-Britannique, la Nouvelle-Écosse et la Saskatchewan ont refusé de partager leurs informations sur les tests PCR. La Colombie britannique a déclaré qu’elle n’avait pas la “capacité” de récupérer ces informations. Cependant, la Saskatchewan nous a fourni une étude du Journal of Clinical Virology datant de juillet 2020 qui comprenait les données des laboratoires provinciaux sur les tests PCR et les seuils de positivité utilisés par chaque province.

La raison pour laquelle la Colombie-Britannique a déclaré ne pas avoir la capacité de récupérer ces données n’est pas claire, car elles ont été publiées dans l’article du journal fourni par la Saskatchewan. L’Alberta et le Nouveau-Brunswick n’ont pas du tout répondu à nos demandes.

Expliquer le test PCR et l’importance du seuil de cycle

Le test COVID actuel est basé sur la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) – une “technique rapide et peu coûteuse utilisée pour “amplifier” – copier – de petits segments d’ADN“. De nombreux experts de renommée internationale en virologie et en tests PCR se demandent si les tests ont été rendus trop sensibles et si de nombreux positifs sont le résultat d’une vieille charge virale non-contagieuse ou même d’une contamination en laboratoire.

Le test PCR a été inventé pour trouver du matériel viral génétique dans un échantillon et n’a pas été traditionnellement utilisé comme seule méthode pour identifier les personnes souffrant d’une maladie virale ou bactérienne.

Le test COVID est généralement effectué à l’aide d’un écouvillon nasopharyngé, un écouvillon de 6 pouces de long inséré profondément dans la narine. L’écouvillon est tourné pendant un certain temps, puis il est envoyé à un laboratoire où un test PCR amplifiera considérablement la quantité de matériel génétique capturé, puis le comparera à l’ADN ou à l’ARN d’un segment particulier du virus COVID (ARN de référence).

Pour obtenir suffisamment de matériel génétique à tester, le processus PCR augmente le matériel génétique présent en le copiant puis en le recopiant encore et encore. Chacune de ces étapes croissantes est appelée “cycle” et le matériel génétique de la solution est mis en réaction contre l’ADN de référence pour déterminer un résultat positif.

Si l’échantillon contient une grande quantité de virus COVID, il réagira positivement après seulement quelques cycles, tandis qu’un échantillon contenant de petites quantités de matériel génétique nécessitera plus de cycles pour amplifier suffisamment de matériel génétique pour obtenir un résultat positif.

Comme le test PCR amplifie les traces de COVID-19 par cycles, un nombre de cycles plus faible pour obtenir un résultat positif suggère la présence d’une charge virale plus élevée pour la personne testée et donc un potentiel de contagion plus élevé.
Le nombre de cycles nécessaires pour identifier le matériel viral dans un échantillon donné est appelé seuil de cycle (Ct).

Le 29 août, Apoorva Mandavilli du New York Times a publié un article intitulé : “Votre test de dépistage du coronavirus est positif. Peut-être qu’il ne devrait pas l’être“. Mandavilli a interviewé d’éminents virologistes au sujet des tests PCR actuellement effectués aux États-Unis. Elle a indiqué que dans de nombreuses régions des États-Unis, les seuils de cycle pour le test sont fixés à un niveau très élevé, souvent jusqu’à 40 cycles. De nombreux experts éminents pensent que ce seuil est trop élevé.

Le professeur Michael Mina, épidémiologiste à l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a suggéré que ces tests pourraient détecter non seulement les virus vivants mais aussi les fragments génétiques laissés par une infection antérieure, “comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après que la personne soit partie. Il est bien établi dans la recherche COVID que les tests PCR pourraient trouver des résultats positifs pour des infections qui ont pris fin plus de deux mois auparavant.

Dans un tweet, Mina s’est fait l’écho de ce même sentiment en déclarant que:

“Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible, a convenu Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, Riverside. “Je suis choquée que les gens pensent que 40 puisse représenter un résultat positif”, a-t-elle déclaré au New York Times.

Le Dr Mina, de Harvard, a déclaré au Times qu’il fixerait le seuil du cycle à 30, voire moins. Il n’est pas le seul expert à le dire. Le professeur d’Oxford, le Dr Carl Heneghan, rédacteur en chef du British Medical Journal Evidence Based Medicine, a abondé dans le même sens, en déclarant sur Twitter que les laboratoires devraient fixer le Ct maximum à 30 cycles.

https://twitter.com/carlheneghan/status/1303220734689501184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1303220734689501184%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

De même, lors d’une apparition sur CNN, le Dr Mina a déclaré :

“Beaucoup de positifs que nous trouvons sont probablement des personnes qui étaient peut-être contagieuses la semaine dernière ou il y a quelques semaines mais qui le sont depuis plus longtemps, mais ces tests peuvent encore détecter essentiellement les restes de l’infection précédente”.

https://twitter.com/CuomoPrimeTime/status/1306437573041152002?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1306437573041152002%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

Pour quantifier le problème, un échantillon qui se déclare positif à un Ct de 30 peut avoir jusqu’à mille fois plus d’ARN viral qu’un échantillon qui se déclare positif à un CT de 40.

Le NYT rapporte que le seuil de cycle n’est généralement jamais inclus dans les résultats des tests donnés aux patients COVID-positve et à leurs médecins aux États-Unis. Les experts pensent que cela rend difficile pour les patients et les médecins de savoir s’il y a un risque de contagion. Le Westphalian Times n’a pas pu trouver une seule province qui communique la statistique Ct aux patients canadiens qui obtiennent un test PCR COVID positif.

Une personne dont le test est positif avec un nombre de cycles de 20, par exemple, devrait certainement s’isoler et se mettre en quarantaine parce que sa charge virale est susceptible d’être élevée, ce qui facilite la propagation involontaire du virus.

Cependant, une personne dont le test de dépistage est positif avec un nombre de cycles de 35 à 40 n’est très probablement pas contagieuse et n’aurait pas besoin de s’isoler parce que sa charge virale serait extrêmement faible.

Selon des études publiées, les laboratoires de santé publique n’ont jusqu’à présent trouvé aucun virus vivant chez les patients dont le test était positif après 34 cycles ou plus. La grande majorité des laboratoires n’ont aucun problème à cultiver des virus vivants en dessous de 25 cycles, mais il devient de plus en plus difficile de trouver des virus vivants à mesure que le nombre de Ct augmente – il n’existe que quelques exemples dans la littérature scientifique de laboratoires capables de trouver et de cultiver des virus COVID vivants à 30 cycles ou plus.

Source : La Scola, B., Le Bideau, M., Andreani, J. et al. Charge d’ARN viral déterminée par culture cellulaire comme outil de gestion pour la sortie des patients atteints du SRAS-CoV-2 des services des maladies infectieuses. Eur J Clin Microbiol Infect Dis 39, 1059-1061 (2020). https://doi.org/10.1007/s10096-020-03913-9
Source : Gniazdowski V, Morris P, Wohl S et al. Repeat COVID-19 molecular testing : correlation with recovery of infectious virus, molecular assay cycle thresholds, and analytical sensitivity.medRxiv 2020.08.05.20168963 ; doi : https://doi.org/10.1101/2020.08.05.20168963

Le Times a constaté que “jusqu’à 90 % des personnes testées positives étaient à peine porteuses de virus” dans le Massachusetts, New-York et le Nevada parce qu’elles ont reçu un test positif avec un nombre élevé de cycles, ce qui signifie que leur charge virale était extrêmement faible

De tels cas ne devraient même pas nécessiter la recherche des contacts, selon le Dr Mina qui s’est entretenu avec le Times : “Des tests avec des seuils aussi élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent aucun risque particulier – comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après qu’une personne en soit partie.

Préoccupations internationales mais un silence étudié au Canada

Le Westphalian Times a contacté Nathalie Grandvaux, présidente de la Société canadienne de virologie, codirectrice du Réseau Québécois COVID, directrice du Laboratoire d’interaction virus-hôte au CHUM et professeur à l’Université de Montréal pour discuter des tests COVID-19 au Canada et de la réponse du gouvernement.

Lors de la discussion sur la question des tests PCR et des cycles de Ct, le Dr Grandvaux n’était pas tout à fait d’accord avec le Dr Mina ou le Dr Heneghan, disant que ce n’est pas aussi clair et qu’il y a de nombreux facteurs qui entrent en jeu pour décider des seuils maximums de Ct à utiliser. Elle a déclaré qu’il était “très difficile d’établir une corrélation entre le Ct et la charge virale du virus. Je ne pense pas qu’on puisse faire cela”.

Lorsqu’on lui a demandé si elle était d’accord avec le seuil de 30 Ct suggéré par Mina et Heneghan, le Dr Grandvaux a répondu :

“Je ne pense pas que nous puissions donner un chiffre magique qui puisse être utilisé pour le monde entier, dans chaque laboratoire, avec chaque méthode. Je ne pense pas que nous puissions faire cela”. Elle a reconnu que “si vous avez des Ct très faibles et beaucoup d’ARN du virus, cela signifie qu’il y avait beaucoup de virus… même si votre échantillonnage n’était pas si bon… mais je ne pense pas que nous puissions faire un seuil général pour les seuils maximums”.

“Par ces méthodes, nous prenons des personnes qui ont une très faible quantité d’ARN, mais les données qui nous manquent pour tirer de bonnes conclusions sur les [valeurs de Ct] sont de grandes études qui mettent en corrélation les Ct avec le fait de prendre les mêmes échantillons et de les mettre en culture pour voir si l’échantillon se reproduit encore. Cela aiderait à déterminer si ces Ct très élevés des échantillons ne sont plus contagieux, mais nous n’avons pas ces données avec les grandes études. Nous n’avons que peu d’études”.

“Mais même si nous en avons, cela ne signifie pas que les gens ne sont pas contagieux (cas à Ct élevé positif). La seule façon de le savoir serait de prendre des personnes dans un projet de recherche et de mesurer leur Ct et de les mettre en contact avec d’autres personnes pour voir si elle se transmet”. En disant pour des raisons éthiques “nous ne pouvons pas faire cela”, mais “nous pourrions avoir un modèle animal pour le faire”.

Contrairement à d’autres experts sur cette question, M. Grandvaux estime qu’en cas de pandémie, il faut continuer à utiliser des Ct élevés par prudence : “Mais dans une situation de pandémie, je pense que c’est le moyen le plus sûr de prendre même les personnes ayant une faible charge virale et de s’assurer qu’elles ne contaminent pas d’autres personnes si elles sont encore contagieuses parce que nous ne savons pas”.

Ce sentiment n’est pas unique à Grandvaux. Le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, a dit exactement la même chose en Écosse lors de récentes discussions sur la question de savoir si les tests PCR donnent ou non un trop grand nombre de faux positifs. Elle a déclaré qu’elle préférait “pécher par excès de prudence” en attrapant “autant de cas que possible” lors des tests Covid, même si cela signifie générer davantage de faux positifs.

Ce débat important se déroule en public en Ecosse, au Royaume-Uni, en Israël et aux Etats-Unis. Au Canada, la situation est bien différente. Les Canadiens sont tenus dans l’ignorance des préoccupations d’éminents experts et nous ne savons pas si nos responsables de la santé publique examinent cette question.

Jusqu’à présent, pas un seul grand média n’a traité de cette question. Le Westphalian Times est le premier média canadien à rendre compte des seuils de cycle et des tests PCR COVID.

Valeurs Ct des laboratoires canadiens (des experts éminents disent que tout ce qui dépasse 30 est possiblement trop élevé):

Province Seuil de positivité (Ct) Source
QC 45 Le Laboratoire de sainté publique du Québec (LSPQ)
MB 40 Government of Manitoba
BC 35-40 Journal of Clinical Virology
AB 35 Journal of Clinical Virology
NB 40 Journal of Clinical Virology
NL 33 Journal of Clinical Virology
NS 33-35 Journal of Clinical Virology
ON 38-45 Journal of Clinical Virology
SK 36 Journal of Clinical Virology




À propos de Trump

[Source : Réseau International]

par Sylvain Laforest.

Le moment est venu de comprendre ce que fait Donald Trump et de
décrypter l’ambigüité de la manière dont il le fait. Le controversé
président a un agenda beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur
la politique étrangère et les affaires intérieures, mais puisqu’il doit
rester au pouvoir ou même en vie pour atteindre ses objectifs, sa
stratégie est si raffinée et subtile que presque personne ne la
comprend. Son objectif global est si ambitieux qu’il emprunte des
courbes elliptiques aléatoires pour aller du point A au point B, en
utilisant des méthodes qui déconcertent les gens sur leur compréhension
de l’homme. Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les
analystes alternatifs, comme les grands médias occidentaux propagateurs
de fausses nouvelles et une grande majorité de la population.

En ce qui concerne sa stratégie, je pourrais faire une analogie
rapide et précise avec les médicaments : la plupart des pilules sont
destinées à guérir un problème, mais elles sont accompagnées de toute
une série d’effets secondaires. Eh bien, Trump utilise ces médicaments
uniquement pour leurs effets secondaires, alors que la première
intention de la pilule est ce qui le maintient au pouvoir et en vie. À
la fin de cet article, vous verrez que cette métaphore s’applique à
presque toutes les décisions, actions ou déclarations qu’il a faites. À
partir du moment où vous comprendrez Trump, vous serez en mesure
d’apprécier l’extraordinaire mandat présidentiel qu’il accomplit, comme
aucun prédécesseur n’a jamais été proche de le faire.

Pour commencer, clarifions le seul aspect de sa mission qui est sans
détour et terriblement direct : il est le premier et seul président US à
s’être jamais attaqué au pire défaut collectif de l’humanité, soit son
ignorance totale de la réalité. Parce que les médias et l’éducation sont
tous deux contrôlés par la poignée de milliardaires qui dirigent la
planète, nous ne savons rien de notre histoire qui a été tordue à sec
par les vainqueurs, et nous ne savons absolument rien sur notre monde
actuel. En entrant dans l’arène politique, Donald a popularisé
l’expression « fake news » (fausses nouvelles) pour convaincre les
citoyens US, tout comme la population mondiale, que les médias mentent
toujours. L’expression est maintenant devenue banale, mais réalisez-vous
à quel point il est choquant de constater que presque tout ce que vous
pensez savoir est totalement faux ? Les mensonges médiatiques ne
couvrent pas seulement l’histoire et la politique, mais ils ont façonné
votre fausse perception sur des sujets comme l’économie, l’alimentation,
le climat, la santé; sur tout. Et si je vous disais que nous savons
exactement qui a tiré sur JFK depuis le monticule herbeux, que la
connaissance préalable de Pearl Harbor a été prouvée en cour, que
l’effet de serre du CO2 est scientifiquement absurde, que notre argent
est créé par des prêts de banques qui n’ont même pas les fonds, ou que
la science démontre avec une certitude absolue que le 11 septembre fut
une opération interne américaine ? Avez-vous déjà entendu parler d’un
journaliste mainstream, d’un documentaire de PBS ou d’un professeur
d’université parlant de tout cela ? 44 présidents se sont succédés sans
jamais soulever un mot de cet énorme problème, avant que le 45ème
n’arrive. Trump comprend que la libération des gens de cette profonde
ignorance est le premier pas vers la liberté totale, or il a
immédiatement commencé à appeler les journalistes mainstream par ce
qu’ils sont : des menteurs pathologiques.

« Des milliers de professionnels de la santé mentale sont d’accord avec Woodward et l’auteur de l’article d’opinion du New York Times : Trump est dangereux »

Bandy X. Lee, The Conversation 2018

« La question n’est pas de savoir si le Président est fou, mais s’il est fou comme un renard ou fou comme un fou »

Masha Gessen, The New Yorker 2017

Soyons clairs : pour l’establishment, Trump n’est nullement
déficient, mais il est plutôt considéré comme le destructeur potentiel
de leur monde. Depuis qu’il a emménagé à la Maison-Blanche, Trump a été
dépeint comme un narcissique, un raciste, un sexiste et un
climato-sceptique, chargé d’un passé louche et affublé de troubles
mentaux. Même si environ 60% des Américains ne font plus confiance aux
médias, plusieurs ont avalé l’histoire que Trump pourrait être cinglé ou
inapte à diriger, et les statistiques sont encore plus élevées à
l’extérieur des États-Unis. Bien sûr, Donald ne fait rien de spécial
pour changer la perception profondément négative que tant de
journalistes et de gens ont de lui. Il est ouvertement scandaleux et
provocateur sur Twitter, il apparait impulsif et même stupide la plupart
du temps, agit de façon irrationnelle, ment tous les jours, et
distribue des sanctions et des menaces comme si c’était des bonbons
sortis de la hotte d’un elfe dans un centre commercial en décembre.
D’emblée, on peut détruire un mythe médiatique persistant : l’image que
projette Trump est autodestructrice, et c’est exactement le contraire
dont les pervers narcissiques agissent, puisqu’ils veulent être aimés et
admirés par tous. Donald ne se soucie tout simplement pas que vous
l’aimiez ou non, ce qui fait de lui l’ultime anti narcissique, par sa
définition psychologique de base. Et ce n’est même pas ouvert aux
opinions, c’est un fait tout simple et indéniable.

Son plan général se dégage d’une de ses devises préférées : « Nous redonnerons le pouvoir au peuple
» , parce que les États-Unis et leur toile impérialiste tissée à
travers le monde ont été entre les mains de quelques banquiers
mondialistes, industriels militaires et des multinationales depuis plus
d’un siècle. Pour accomplir sa mission, il doit mettre fin aux guerres à
l’étranger, ramener les soldats à la maison, démanteler l’OTAN et la
CIA, prendre le contrôle de la Réserve Fédérale, couper tout lien avec
les alliés étrangers, abolir le système financier Swift, démolir le
pouvoir de propagande des médias, drainer le marais de l’État Profond
qui dirige les agences d’espionnage et neutraliser le gouvernement
parallèle qui se tapis dans les bureaux du Conseil des Relations
Étrangères et de la Commission Trilatérale. Bref, il doit détruire le
Nouvel Ordre Mondial et son idéologie mondialiste. La tâche est immense
et dangereuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Heureusement, il n’est
pas seul.

Avant d’aborder ses tactiques et techniques, nous devons en savoir un peu plus sur ce qui se passe réellement dans le monde.

La puissante Russie

Depuis Pierre le Grand, toute l’histoire de la Russie est une
démonstration permanente de sa volonté de maintenir son indépendance
politique et économique vis-à-vis des banques internationales et de
l’impérialisme, poussant cette grande nation à aider de nombreux autres
pays à conserver leur propre indépendance. Par deux fois, la Russie a
aidé les États-Unis contre l’Empire britannique/Rothschild, d’abord en
les soutenant ouvertement pendant la guerre d’Indépendance, puis encore
pendant la guerre civile, alors que Rothschild finançait les Confédérés
pour démanteler la nation et la ramener sous la coupe de l’Empire
colonial Britannique. La Russie a également détruit Napoléon et les
Nazis, tous deux financés par des banques internationales comme outils
pour écraser des nations économiquement indépendantes. L’indépendance
est dans l’ADN russe. Au terme de presque une décennie d’oligarchie
occidentale ayant pris le contrôle de l’économie russe après la chute de
l’URSS en 1991, Poutine a pris le pouvoir et a immédiatement drainé le
marais russe. Depuis lors, chacune de ses actions vise à détruire
l’Empire US, ou l’entité qui a remplacé l’Empire Britannique en 1944,
qui est aussi la dénomination non-associée aux théories de la
conspiration du Nouvel Ordre Mondial. Ce nouvel empire est
fondamentalement le même modèle des banques centrales, avec juste un
groupe légèrement différent de propriétaires qui ont changé l’Armée
royale Britannique pour l’OTAN, comme Gestapo mondiale.

Jusqu’à l’arrivée de Trump, Poutine luttait seul contre le Nouvel
Ordre Mondial dont l’obsession séculaire est le contrôle du marché
mondial du pétrole, puisque le pétrole est le sang qui coule dans les
veines de toute l’économie mondiale. Le pétrole a mille fois plus de
valeur que l’or. Les cargos, les avions et les armées ne fonctionnent
pas avec des batteries. Par conséquent, pour contrer les mondialistes,
Poutine a mis au point les meilleurs systèmes de missiles offensifs et
défensifs, de sorte que la Russie peut désormais protéger tous les
producteurs de pétrole indépendants comme la Syrie, le Venezuela et
l’Iran. Les banquiers centraux et le gouvernement de l’ombre US
s’accrochent toujours à leur plan mourant, car sans une victoire en
Syrie, il n’y a pas d’élargissement d’Israël, mettant ainsi fin au
fantasme centenaire d’unir la production pétrolière du Moyen-Orient
entre les mains du Nouvel Ordre Mondial. Demandez à Lord Balfour si vous
avez le moindre doute. C’est ça le véritable enjeu de la guerre de
Syrie, il ne s’agit rien de moins que d’y arriver ou de mourir.

Un siècle de mensonges

Maintenant, parce qu’un gouvernement de l’ombre commande directement
la CIA et l’OTAN au nom des banques et des industries, Trump n’a aucun
contrôle sur l’appareil militaire. L’État Profond est un chapelet de
fonctionnaires permanents gouvernant Washington et le Pentagone qui ne
répondent qu’à leurs ordres. Si vous croyez toujours que c’est le
« Commandant en chef » qui commande, expliquez pourquoi chaque fois que
Trump ordonne de se retirer de Syrie et d’Afghanistan, des troupes
supplémentaires arrivent ? Au moment où j’écris ce texte, les troupes US
et de l’OTAN se sont retirées des zones kurdes, se sont rendues en Irak
et sont revenues avec du matériel plus lourd autour des réserves
pétrolières de la Syrie. Donald doit encore drainer le marais avant que
le Pentagone n’écoute ce qu’il dit. Trump devrait être outré et dénoncer
à haute voix que le commandement militaire ne se soucie pas de ce qu’il
pense, mais cela déclencherait un chaos inimaginable, et peut-être même
une guerre civile aux États-Unis, si les citoyens qui possèdent environ
393 millions d’armes dans leurs maisons apprenaient que des intérêts
privés sont en charge de l’armée. Cela soulèverait également une
question très simple, mais dramatique : « Quel est exactement le but de
la démocratie ? » Ces armes domestiques sont les barrières de titane qui
protègent la population d’un Big Brother totalitaire.

Il faut se rendre compte à quel point l’armée US et les agences
d’espionnage se donnent du mal pour créer des opérations sous
faux-drapeau (false flags) depuis plus d’un siècle, de sorte que leurs
interventions semblent toujours justes, au nom de la promotion de la
démocratie, des droits humains et de la justice sur la planète. Ils ont
fait sauter le navire Maine en 1898 pour entrer dans la guerre
hispano-étasunienne, puis le Lusitania en 1915 pour entrer dans la
Première guerre mondiale. Ils ont poussé le Japon à attaquer Pearl
Harbor en 1941, étaient au courant de l’attaque 10 jours à l’avance et
n’ont rien dit à la base hawaïenne. Ils ont inventé une agression de
torpilles nord-vietnamiennes contre leurs navires dans la baie du Tonkin
pour justifier l’envoi de soldats sur le sol vietnamien. Ils ont
inventé une histoire de soldats irakiens détruisant des pouponnières
pour envahir le Koweït en 1991. Ils ont inventé des armes de destruction
massive pour attaquer de nouveau l’Irak en 2003 et ont organisé
l’opération du 11 septembre 2001 pour déchirer la Constitution de 1789,
attaquer l’Afghanistan et lancer une guerre interminable contre le
terrorisme. Ce masque de vertu totalement factice doit être préservé
pour contrôler l’opinion des citoyens US et leur arsenal domestique, qui
doivent croire qu’ils portent les chapeaux blancs des cowboys de la
démocratie.

Or, comment Trump a-t-il réagi quand il a appris que les troupes US
revenaient en Syrie ? Il a répété encore et encore dans chaque interview
et déclaration que « nous avons sécurisé les champs pétroliers de Syrie », et a même ajouté « je pense envoyer Exxon dans la région pour s’occuper du pétrole syrien
Les néoconservateurs, les sionistes et les banques étaient ravis, mais
le reste du monde est outré, car la grande majorité ne comprend pas que
Trump avale cette pilule uniquement pour ses effets secondaires. Sur le
flacon est écrit en petits caractères que « l’utilisation de cette
drogue pourrait forcer les troupes US-OTAN à quitter la Syrie sous la
pression de la communauté mondiale unie et de la population US ahurie ».
Trump a rendu la situation insoutenable pour l’OTAN de rester en Syrie,
et la façon dont il a répété cette position profondément choquante et
politiquement incorrecte dévoile clairement sa véritable intention. Il a
détruit plus d’un siècle de fausses vertus en une seule phrase.

Trump est une anomalie historique

Trump n’est que le quatrième président dans l’histoire des États-Unis
à se battre pour le peuple, contrairement aux 41 autres qui ont
principalement canalisé l’argent du peuple dans un pipeline de dollars
aboutissant dans des banques privées. Il y a d’abord eu Andrew Jackson
qui fut tiré à bout pourtant après avoir détruit la Second Bank des
États-Unis, qu’il accusait ouvertement d’être contrôlée par les
Rothschild et la City de Londres. Puis, Abraham Lincoln fut assassiné
après avoir imprimé ses « greenbacks » (billets verts), monnaie
nationale que l’État a émise pour payer les soldats parce que Lincoln
refusait d’emprunter des Rothschild à 24% d’intérêt. Ensuite, il y a eu JFK, qui a été tué pour
une douzaine de raisons qui allaient toutes à l’encontre des profits
des banques et de l’industrie militaire, et maintenant Donald Trump qui
vocifère qu’il va « rendre l’Amérique au peuple ».

Comme la plupart des hommes d’affaires, Trump déteste les banques,
pour le pouvoir formidable qu’elles ont sur l’économie. Il suffit de
jeter un coup d’œil au livre unique d’Henry Ford, « The International Jew
», pour découvrir sa méfiance et sa haine profondes envers les banques
internationales. Les entreprises de Trump ont beaucoup souffert à cause
de ces institutions qui vous vendent un parapluie, pour le reprendre dès
qu’il se met à pleuvoir. Le contrôle des banques privées sur la
création monétaire et les taux d’intérêt, à travers chaque banque
centrale de presque tous les pays, est un pouvoir permanent sur les
nations, bien au-delà du cycle éphémère des politiciens. En l’an 2000,
ces pillards de nations n’étaient plus qu’à quelques pas de leur rêve
totalitaire planétaire, mais deux détails subsitaient : Vladimir Poutine
et 393 millions d’armes US. Puis est arrivé Donald au visage orange, la
dernière pièce du puzzle dont nous, le peuple, avions besoin pour
mettre fin à 250 ans de l’empire des banques.

Techniques et tactiques

Au début de son mandat, Trump a naïvement tenté l’approche directe,
en s’entourant de rebelles de l’establishment comme Michael Flynn et
Steve Bannon, puis en aliénant chacun de ses alliés étrangers, déchirant
leurs traités de libre-échange, imposant des taxes sur les importations
et les insultant en pleine face lors des rencontres du G7 de 2017 et de
2018. La réaction fut forte et tout le monde s’est mis à focaliser sur
l’absurdité du Russiagate, qui semblait la seule option pour arrêter
l’homme sur son chemin de la destruction du mondialisme. Comme on
pouvait s’y attendre, l’approche directe n’a mené nulle part ; Flynn et
Bannon ont dû partir, et Trump fut emmêlé dans une poignée d’enquêtes
lui faisant réaliser qu’il n’obtiendrait rien avec la transparence. Il
devait trouver un moyen d’anéantir les personnes les plus dangereuses de
la planète, mais en même temps, rester au pouvoir et en vie. Il fallait
devenir plus malin.

C’est à ce moment que son génie a explosé sur le monde. Il a
complètement changé sa stratégie et son approche, a commencé à prendre
des décisions absurdes et à tweeter des déclarations scandaleuses. Aussi
menaçantes et dangereuses que certains d’entre elles puissent paraitre,
Trump ne les a pas verbalisées pour leur signification au premier
degré, mais visait plutôt leurs effets secondaires. Et sans se soucier
de ce que les gens pensaient de lui, car seuls les résultats comptent à
la fin. Il a même joué au bouffon sur Twitter, avait l’air naïf, fou ou
carrément idiot, peut-être dans l’espoir de faire croire qu’il ne savait
pas ce qu’il faisait, et qu’il ne pouvait pas être si dangereux. Trump
qui était déjà politiquement incorrect, a poussé beaucoup plus loin pour
montrer l’horrible visage que les États-Unis cachent derrière leur
masque.

Le premier test de sa nouvelle approche fut d’arrêter le danger
croissant d’une attaque et d’une invasion de la Corée du Nord par
l’OTAN. Trump a insulté Kim Jung-Un sur Twitter, l’a appelé Rocket Man
et a menacé de nucléariser la Corée du Nord au ras du sol. Son ire s’est
déchainée pendant des semaines, jusqu’à ce que tout le monde
s’aperçoive que ce n’étaient pas là de bonnes raisons pour attaquer un
pays. Il a paralysé l’OTAN. Trump a ensuite rencontré Rocket Man, et ils
ont marché dans le parc avec la naissance d’une belle amitié, riant
ensemble, tout en n’accomplissant absolument rien dans leurs
négociations, car ils n’ont rien à négocier. Beaucoup parlaient du prix
Nobel de la paix, parce que beaucoup ne savent pas qu’il est
généralement remis pour blanchir des criminels de guerre comme Obama ou
Kissinger.

Puis ce fut le tour du Venezuela. Trump a poussé sa tactique un peu
plus loin, pour s’assurer que personne ne puisse soutenir une attaque
contre le pays libre. Il a mis les pires néoconservateurs disponibles
sur l’affaire: Elliott Abrams, anciennement condamné pour conspiration
dans l’affaire Iran-Contras dans les années ’80 et John Bolton, célèbre
belliciste au premier degré. Trump a ensuite confirmé Juan Guaido comme
son choix personnel pour la présidence du Venezuela; une marionnette
vide si stupide qu’il ne peut même pas comprendre à quel point on
l’utilise. Une fois de plus, Trump a menacé de réduire le pays en
cendres, tandis que la communauté mondiale désapprouvait le manque total
de subtilité et de diplomatie dans le comportement de Trump, avec pour
résultat final que le Brésil et la Colombie ont reculé en déclarant
qu’ils ne voulaient rien avoir à faire avec une attaque sur le
Venezuela. La prescription de Trump n’a laissé que 40 pays satellites
dans le monde, avec des présidents et des premiers ministres
suffisamment dénués de cervelle pour soutenir timidement Guaido le
bouffon. Donald a coché la case à côté du Venezuela sur sa liste, et a
continué de défiler vers le bas.

Puis vinrent les deux cadeaux à Israël : Jérusalem en tant que
capitale, et le plateau du Golan syrien en tant que possession
confirmée. Netanyahou qui n’est pas le crayon le plus aiguisé dans le
coffre a sauté de joie, et tout le monde criait que Trump était un
sioniste. Le véritable résultat fut que l’ensemble du Moyen-Orient s’est
uni contre Israël, que plus personne ne peut soutenir. Même leur
complice historique, l’Arabie Saoudite, a dû désapprouver ouvertement
cette lourde gifle à l’Islam. Les cadeaux jumeaux de Trump étaient en
fait des coups de poignard dans le dos de l’État d’Israël, dont l’avenir
ne semble pas très prometteur, puisque l’OTAN devra bientôt quitter la
région. Case cochée à nouveau.

Alors que la réalité s’installe

Mais ce n’est pas tout ! Avec son absence de contrôle sur l’OTAN et
l’armée, Trump est très limité dans ses actions. À première vue, la
multiplication des sanctions économiques contre des pays comme la
Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran, le Venezuela et d’autres pays
semble dure et impitoyable, mais la réalité de ces sanctions a poussé
ces pays hors du système financier Swift conçu pour maintenir les pays
esclaves dans l’hégémonie du dollar, et ils glissent tous entre les
mains des banques internationales. Elles ont forcé la Russie, la Chine
et l’Inde à créer un système alternatif de paiements commerciaux basé
sur les monnaies nationales, au lieu du dollar tout-puissant. La réalité
bipolaire du monde est maintenant officielle, et avec ses prochaines
sanctions à venir, Trump poussera encore plus de pays hors du système
Swift pour rejoindre l’autre camp, au moment où d’importantes banques
commencent à tomber en Europe.

Même dans l’ouragan politique entourant Trump, il trouve encore le
temps d’afficher son humour arrogant presque enfantin. Regardez sa
dernière moquerie grandiose d’Hillary Clinton et de Barrack Obama, alors
qu’il s’est assis avec des généraux aux traits tendus, pour prendre une
photo dans une « salle de situation » alors qu’ils simulaient la
surveillance de la mort de Baghdadi quelque part où il ne pouvait pas
être, exactement comme ses prédécesseurs criminels l’ont fait il y a
longtemps avec le faux assassinat de Ben Laden. Il a même poussé la
blague jusqu’à ajouter les détails d’un chien reconnaissant le faux
calife de Daesh en reniflant ses sous-vêtements. Maintenant que vous
comprenez qui est vraiment Trump, vous serez également en mesure
d’apprécier le spectacle, dans toute sa splendeur et sa vraie
signification.

« Nous avons sécurisé les champs de pétrole de Syrie.» Avec
cette courte phrase, Trump joint sa voix à celle du Général Smedley
Butler qui fit vibrer le monde il y a 80 ans avec un petit livre
intitulé « La Guerre est un racket.» Piller et voler du pétrole
n’est certainement pas aussi vertueux que de promouvoir la démocratie
et la justice. Ce qui m’étonne, ce sont ces nombreux journalistes et
analystes « alternatifs », qui connaissent sur le bout des doigts tous
les problèmes techniques dans l’histoire officielle du 11 septembre, ou
la réalité scientifique de l’absurde réchauffement climatique
anthropique, mais qui n’ont toujours aucune idée de ce que fait Trump, 3
ans après le début de son mandat, car ils ont été convaincus par les
grands médias que Trump était un malade mental.

Pour ceux qui doutent encore du programme de Trump, croyez-vous
vraiment que l’implosion évidente de l’impérialisme US sur la planète
soit une coïncidence ? Croyez-vous toujours que c’est à cause de
l’influence russe sur les élections de 2016 que la CIA, le FBI, tous les
médias, le Congrès US, la Réserve Fédérale, le Parti Démocrate et la
moitié belliciste des républicains travaillent contre lui et tentent
même de le destituer ? Comme la plupart de ce qui sort des médias, la
réalité est exactement le contraire de ce que l’on vous dit : Trump est
peut-être l’homme le plus dévoué qui ait jamais mis les pieds dans le
bureau ovale. Et certainement le plus ambitieux et politiquement
incorrect.

Conclusion

Le monde changera radicalement entre 2020 et 2024. Le deuxième et
dernier mandat de Trump coïncide avec le dernier mandat de Poutine en
tant que Président de la Russie. Il se peut qu’il n’y ait pas une autre
coïncidence comme celle-ci avant très longtemps, et les deux savent que
c’est maintenant, ou peut-être jamais. Ensemble, ils doivent mettre fin à
l’OTAN, à Swift, et l’Union Européenne devrait s’effondrer. Le
terrorisme et le réchauffement climatique anthropique sauteront dans le
tourbillon et disparaitront avec leurs créateurs. Trump devra drainer le
marais de la CIA et du Pentagone et nationaliser la Réserve Fédérale.
Avec Xi et Modi, ils pourraient mettre un terme définitif de l’ingérence
des banques privées dans les affaires publiques, en refusant de payer
un seul sou de leurs dettes, et refonder l’économie mondiale en se
tournant vers les monnaies nationales produites par les gouvernements,
et les banques privées tomberont comme des dominos, sans plus de
serviteurs comme Obama pour les sauver à vos frais. Après, une paix et
une prospérité insupportables pourraient errer sur la planète, car nos
impôts paieront pour le développement de nos pays au lieu d’acheter du
matériel militaire inutile et payer des intérêts sur les prêts des
banquiers qui n’avaient même pas ces fonds en premier lieu.

Si vous ne comprenez toujours pas Donald Trump après avoir lu ce qui
précède, vous êtes sans espoir. Ou vous êtes peut-être Trudeau, Macron,
Guaido, ou tout autre idiot utile, ignorant que le tapis sous vos pieds a
déjà glissé.

Source : About Trump

traduit par Réseau International




Pacte de Marrakech, nouvelle mise en garde de Trump (bien plus crédible que les Fake News des médias)

Avec le Pacte mondial sur les
migrations, dit Pacte de Marrakech, les Nations unies veulent « faire
progresser la gouvernance mondiale aux dépens du droit souverain des
Etats à gérer leur système d’immigration », ont dénoncé vendredi les
Etats-Unis dans un communiqué plein de bon sens et qui met les points
sur les i.

Dans un long texte très argumenté, diffusé par la mission
diplomatique américaine à l’ONU, les Etats-Unis rappellent qu’ils ont
quitté les négociations sur ce Pacte en 2017 car ses objectifs sont
« incompatibles avec la loi américaine, la politique et les intérêts du
peuple américain ». Ils sont de ce fait, incompatibles avec les intérêts
des peuples européens. C’est parce qu’ils savaient que les citoyens
diraient non que les instances européennes et les Etats ne les ont pas
consulté, et qu’ils vont voter au mépris de la démocratie, et du droit
fondamental des peuples à disposer d’eux-mêmes.


« Les décisions sur la sécurité des frontières, sur qui est admis à résider légalement ou à obtenir la citoyenneté, figurent parmi les plus importantes décisions souveraines qu’un pays peut faire », soulignent aussi les Etats-Unis dans ce communiqué. Il n’est pas question donc qu’elles fassent l’objet « de négociations, d’un examen, dans un cadre international », ajoute le texte.

Tout en reconnaissant « l’apport de nombreux immigrants à la
construction de notre nation, nous ne pouvons soutenir un Pacte ou un
processus qui impose ou qui a la potentialité d’imposer des directives
internationales, des normes, des attentes ou des engagements qui
pourraient s’opposer à notre capacité à prendre des décisions dans les
meilleurs intérêts de notre nation et de nos citoyens », affirme avec
sagesse le document.

Washington anticipe aussi que les pays signataires du Pacte
chercheront in fine à imposer un « droit coutumier international » dans
le domaine des migrations, c’est à dire transformer ce pacte « non
contraignant » en obligation gravée en dur dans le droit international.
Le terme de « pacte » induit « des obligations légales », ajoutent les
Etats-Unis dans leur communiqué. La formulation du texte « sans
caractère contraignant » a également été considéré comme suspecte par
les autres pays qui ont décidé de ne pas le signer.

En dépit des crispations sans précédent provoquées par le Pacte, plus
de cent pays sont attendus lundi et mardi à Marrakech pour l’entériner
formellement avant le vote d’une résolution de ratification à
l’Assemblée générale de l’ONU prévue le 19 décembre à New York.

Ni la Suisse, ni Israël, ni l’Amérique du président Trump ne sont tombés dans ce piège immigrationniste.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.




Guerres et mensonges

[Source : Ema Krusi]

Dans cet épisode, Sylvain Laforest aborde GLADIO, les opérations secrètes de l’OTAN, le plan d’Israël de 1982 et amène aux prochains épisodes sur la Syrie.

Voici les liens des deux films dont Sylvain nous parle pendant cette capsule :

Film « Romanzo Criminale » http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61263.html
Film « American Gangster » http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=88156.html

GUERRES et MENSONGES

« NOTRE CONNAISSANCE DE L’HISTOIRE EST BASÉE SUR UN NARRATIF TOTALEMENT FAUX.

AUCUN DES ENJEUX ET CAUSES OFFICIELS DES GUERRES QUI NOUS FURENT IMPOSÉES NE SONT VRAIS.

RIEN N’EST ARRIVÉ COMME ON NOUS L’A RACONTÉ. »

Les révolutions américaine et française ont été des coups d’État.

UN COMPLOT DES ROTHSCHILD

En 1773, une poignée d’Illuminatis a déclenché une série d’événements à travers des loges franc-maçonniques pour infiltrer les économies des pays. Grâce à un président franc-maçon de Virginie, George Washington, et à un secrétaire du Trésor franc-maçon, Alexander Hamilton, la House of Rothschild a pris le contrôle de la First Bank of the United States en 1791.

Puis ce fut au tour de la France…

Les guerres perpétuelles sont très lucratives

DÉTRUIRE, EMPRUNTER, RECONSTRUIRE

La famille Rothschild a gagné une immense fortune à travers les guerres napoléoniennes en finançant les deux côtés des batailles.

Il est difficile de comprendre pourquoi une banque centrale est disposée à détruire son propre pays, mais lorsque vous comprenez le principe, tout devient très clair: les gouvernements empruntent de l’argent pour financer des armées destinées à détruire les armes, les infrastructures et les biens, puis les gouvernements empruntent de l’argent pour acheter de nouvelles armes et tout reconstruire, grâce à des contrats accordés à des entreprises militaires et de construction appartenant à des banquiers. Vous savez maintenant pourquoi le « carpet-bombing » [Tapis de bombes] fut inventé. Oh, et nous, les citoyens, devons tout payer par nos impôts.

Ce n’est pas le nouvel « ordre mondial » mais l’ordre du « nouveau monde »

LES BANQUES AMÉRICAINES ONT PRIS LE RELAIS

Parce que notre éducation échoue complètement à nous enseigner l’histoire du point de vue bancaire, presque personne ne comprend ce qui s’est réellement passé. Cela explique pourquoi tant de gens ne veulent pas faire face à la réalité que l’Allemagne nazie fut construite et entièrement financée par les banques et industries américaines, dans le but de détruire l’Empire colonial britannique et de prendre le contrôle de l’Ordre Mondial.

Sylvain Laforest, journaliste, réalisateur & auteur nous emmène à travers ces vidéos dans son dernier livre « Guerres & Mensonges ».

https://youtu.be/zpnRyry3L-0



Trois leçons à tirer de l’échec de l’enquête Mueller sur le Russiagate

[Source : Investig’Action]

Trois leçons à tirer de l’échec de l’enquête Mueller sur le Russiagate

Image: DonkeyHotey via Flickr

Il est clair à présent que l’enquête du procureur spécial Robert Mueller sur le Russiagate ne permettra pas de mettre à jour une collusion entre le camp de Donald Trump et le Kremlin dans le cadre des élections présidentielles de 2016. Alors, voici trois leçons importantes que la gauche progressiste devrait tirer de cette affaire.

Leçon numéro 1 : Maquiller le visage du cochon

La gauche n’a jamais vraiment été concernée par cette affaire. Ce
n’était qu’une querelle interne entre différentes parties de
l’establishment. Le capitalisme vieillissant est en phase terminale. Et
le principal problème de nos élites est de savoir comment sortir de
cette crise tout en maintenant son pouvoir intact. L’une des ailes de
l’establishment veut s’assurer que le visage du cochon reste maquillé,
tandis que l’autre se contente de pousser son museau plus au fond de la
cuvette tant qu’il y a encore de la nourriture.

Le Russiagate n’a jamais été une question de fond. Il s’agissait de savoir qui devait gérer cette image de déclin d’un capitalisme néolibéral autodestructeur et particulièrement turbulent.

Les dirigeants du Parti Démocrate sont moins terrifiés par Trump et
par ce qu’il représente que par nous et par ce que nous pourrions faire
si nous comprenions comment ils ont façonné le système politique et
économique à leur avantage permanent.

Il semblerait que le Russiagate a été un échec pour les dirigeants du
Parti Démocrate, mais ce fut en réalité un succès. Ce parti est censé
incarner la gauche. Or, il a détourné l’attention de la corruption
endémique de sa direction. Il a détourné les énergies politiques de la
gauche vers des cibles fantasmées et bien commodes : Trump et le
président russe Vladimir Poutine.

Ce que Mueller a découvert – tout ce qu’il pouvait trouver – c’est
une corruption marginale dans le camp Trump. Et c’était inévitable,
parce que Washington est embourbé dans la corruption à tous les étages.
En fait, Mueller a révélé les formes de corruption les plus marginales
au sein l’équipe Trump. Il a occulté par la même occasion les affaires
courantes qui auraient pu rappeler la corruption endémique infectant
également les dirigeants démocrates.

Une enquête anti-corruption aurait été beaucoup plus loin et aurait
fait beaucoup plus de bruit. Elle aurait braqué les projecteurs sur la
Fondation Clinton et le rôle de méga-donateurs tels que James Simons,
George Soros et Haim Saban, qui ont financé la campagne d’Hillary avec
un objectif en tête : intégrer leurs enjeux dans un “consensus” national
bien rémunéré.

De plus, en se concentrant sur le camp Trump – et sur des petits
poissons tels que Paul Manafort et Roger Stone -, l’enquête sur le
Russiagate avait pour but de protéger les dirigeants démocrates d’une
enquête pour corruption bien pire qui avait été révélée dans le contenu
des courriels du Comité national démocrate. C’est la fuite, le piratage
de ces courriels qui a motivé les enquêtes de Mueller. Ce qui aurait dû
être au centre de toute enquête était de savoir comment le Parti
Démocrate avait tenté de truquer ses primaires pour empêcher les membres
du parti de choisir Hillary et personne d’autre comme candidate à la
présidence.

En bref, le Russiagate se résume à deux années d’énergie gaspillée
pour la gauche. Une énergie qui aurait pu être dépensée d’une part pour
cibler ce que Trump fait vraiment plutôt que des fabulations, et d’autre
part pour cibler les propres pratiques des dirigeants démocrates,
également corrompus.

Leçon numéro 2 : Trump est légitimé

Mais c’est bien pire que ça. La gauche n’a pas seulement gaspillé
deux ans d’énergie politique sur le Russiagate. Dans le même temps, elle
a légitimé Trump, donnant du souffle à ses arguments bidon selon
lesquels il est le président anti-establishment, le président du peuple
que les élites veulent absolument détruire.

Trump se heurte à l’opposition de l’establishment non pas parce qu’il
est « anti-établissement», mais parce qu’il refuse de décorer le museau
du cochon avec du rouge à lèvres. Il déchire le masque, laissant
apparaître le visage cupide et autodestructeur du capitalisme
vieillissant. Et il le fait non pas parce qu’il veut réformer ou
renverser ce capitalisme suralimenté, mais parce qu’il veut supprimer
les dernières contraintes, essentiellement cosmétiques, du système afin
que lui et ses amis puissent piller avec plus d’abandon – et détruire
plus rapidement – la planète.

L’autre branche de l’establishment néolibéral, celle représentée par
la direction du Parti Démocrate, ne veut pas exposer le capitalisme
aussi crument, en révélant ses tendances intrinsèquement brutales. Cette
partie de l’establishment craint qu’une telle méthode finisse par
réveiller les masses pour les transformer en révolutionnaires. Les
dirigeants du Parti Démocrate craignent Trump principalement à cause de
la menace qu’il fait peser sur l’image d’un système politique et
économique qu’eux-mêmes ont conçu avec tant d’amour afin de pouvoir
continuer à s’enrichir et enrichir leurs enfants.

Le génie de Trump – son seul génie – est de s’être approprié une
partie du langage de la gauche et de l’avoir détourné pour faire avancer
les intérêts des 1%. Quand il attaque les médias mainstream «
libéraux», les accusant de défendre un agenda malfaisant et de jouer les
propagandistes, il n’a pas tort. Quand il s’oppose à la politique
identitaire cultivée par les élites « libérales » au cours des deux
dernières décennies – suggérant qu’elle a affaibli les États-Unis – il
n’a pas tort. Mais il a raison pour les mauvaises raisons.

Les médias mainstream et les journalistes qu’ils emploient sont des
propagandistes, ils défendent un système qui maintient leur statut.
Quand Trump était l’un des principaux candidats du Parti Républicain,
tous les médias mainstream le chérissaient, car il était pour la
télévision l’équivalent d’un putaclic. Il l’était depuis que la
télé-réalité a commencé à usurper la place des émissions d’actualité et
des débats politiques constructifs.

La poignée de groupes qui possèdent les médias US – et une grande
partie des entreprises US par ailleurs – s’emploient à faire plus
d’argent à la fois en augmentent les profits mais aussi en maintenant la
crédibilité d’un système politique et économique qui leur permet de
gagner toujours plus.

Les médias « libéraux » partagent les valeurs de la direction du
Parti Démocrate. En d’autres termes, ils s’efforcent de faire en sorte
que le cochon ne perde pas sa trousse de maquillage. En revanche, Fox
News et les rois de la provoc, tels que Trump, accordent la priorité à
gagner de l’argent à court terme plutôt qu’à crédibiliser à long terme
un système qui leur permet de gagner de l’argent. Ils se soucient
beaucoup moins de savoir si le visage du cochon reste maquillé.

Donc, Trump a raison de dire que les médias « libéraux » ne sont pas
démocratiques et qu’ils font maintenant de la propagande contre lui.
Mais il a tort sur le pourquoi. En fait, tous les médias mainstream –
qu’ils soient « libéraux » ou non, contre Trump ou pour lui – sont
antidémocratiques. Tous les médias font de la propagande en faveur d’un
système pourri qui maintient la grande majorité des Américains dans la
pauvreté. Tous les médias se soucient davantage de Trump et des élites
auxquelles il appartient que des 99%.

Il en va de même pour les politiques identitaires. Trump dit vouloir
rendre à nouveau l’Amérique (blanche) grande. Et il utilise l’obsession
de la gauche pour les identités comme un moyen de susciter une réaction
brutale de la part de ses propres partisans.

A gauche, trop de personnes ont déambulé comme des somnambules au
cours des deux dernières années, attendant que Mueller les sauve de
Trump. Mueller… Un ancien chef du FBI, la police secrète des Etats-Unis,
bon sang ! Et pendant ce temps-là, ces somnambules ont été manipulés
par les élites libérales qui les ont conduits dans le cul-de-sac des
politiques identitaires.

Leçon numéro 3 : l’expérience Corbyn

Mais il y a encore une leçon plus importante pour la gauche : son
soutien à l’enquête de Mueller contre Trump était téméraire jusqu’à
l’extrême.

L’enquête était vouée à l’échec. En fait, elle était conçue pour
échouer. Mais elle a surtout créé un précédent pour de futures enquêtes
politisées qui seront utilisées contre la gauche progressiste si elle
devait réaliser des gains politiques significatifs. Une enquête contre
la gauche vraiment progressiste serait par ailleurs beaucoup plus
agressive et beaucoup plus « productive » que ne l’était celle de
Mueller.

S’il y a le moindre doute à ce sujet, regardez ce qui se passe en
Grande-Bretagne où l’on retrouve le premier responsable politique
réellement progressiste de mémoire d’homme. Quelqu’un qui cherche à
représenter les 99% plutôt que les 1%. Alors qu’il a réussi à
considérablement gonfler les rangs du Parti travailliste pour en faire
le plus grand parti politique d’Europe, l’expérience Corbyn est
frappante.

Au cours des quatre dernières années, j’ai régulièrement documenté sur mon blog les difficultés de Corbyn aux mains de la classe politique et des médias britanniques. Vous pouvez trouver de nombreux exemples ici.

Corbyn, encore plus que la nouvelle et modeste vague de politiciens
insurgés du Congrès US, a été confronté à un flot incessant de critiques
émanant de tout le spectre politique particulièrement étroit du
Royaume-Uni. Il a été attaqué à la fois par les médias de droite et par
les médias soi-disant « libéraux ». Il a été malmené par le Parti
conservateur au pouvoir, comme il pouvait s’y attendre, mais aussi par
son propre parti au Parlement. Le système à deux partis du Royaume-Uni
s’est ainsi montré aussi creux que celui des Etats-Unis.

Les attaques devaient être féroces. En effet, aux Etats-Unis, le
Parti démocrate est parvenu à écarter de la campagne présidentielle
celui qui incarnait son aile gauche progressiste. Mais le système
britannique a accidentellement permis à un socialiste de glisser entre
les mailles du filet. Depuis, l’enfer s’est ouvert.

Ce qui est tellement remarquable, c’est que Corbyn est rarement
attaqué pour son action politique – principalement parce qu’elle jouit
d’un large attrait populaire. Au lieu de cela, dès le moment où les
membres de son parti l’ont désigné comme chef, il a été harcelé à partir
d’affirmations fantaisistes selon lesquelles il était soudainement
devenu antisémite alors que c’est ostensiblement un militant
anti-raciste de longue date.

Je ne démontrerai pas à nouveau à quel point ces affirmations sont invraisemblables. Il suffit de jeter un œil à ces articles précédents en cas de doute.

Mais ce qui est incroyable, c’est que comme pour l’enquête Mueller,
une grande partie de la gauche britannique, y compris des personnalités
telles qu’Owen Jones ou le soi-disant média de contre-culture Novara,
ont dépensé leur énergie politique à apaiser ou à soutenir ceux qui
accusaient stupidement le Pari travailliste d’être devenu
“institutionnellement antisémite” sous la présidence de Corbyn. A
nouveau, la promotion d’une politique identitaire naïve, celle qui
oppose les droits des Palestiniens aux susceptibilités des juifs
sionistes à l’égard d’Israël, a été exploitée pour diviser la gauche.

Au plus la gauche concédait du terrain à cette campagne, au plus les
opposants de Corbyn devenaient hargneux, implacables et suffisants. A
tel point que le Parti travailliste risque maintenant d’imploser.

Si les États-Unis avaient leur propre Corby comme président, il
serait sans aucun doute confronté à une enquête du type Mueller,
beaucoup plus efficace, pour assurer sa destitution.

Non pas qu’un président US de gauche serait plus corrompu ou plus
susceptible d’être entré en collusion avec une puissance étrangère. Mais
comme le montre l’exemple britannique, un tel président aurait contre
lui tout le système médiatique, du New York Times à Fox News. Et comme
le montre l’exemple britannique, les dirigeants des partis républicain
et démocrate travailleraient de concert pour achever un tel président.

A travers les succès et les échecs de l’enquête Mueller, la gauche a
l’occasion de comprendre de manière beaucoup plus complexe comment
fonctionne réellement le pouvoir et en faveur de qui il est exercé.
C’est un moment important qui doit être clarifié si nous voulons ouvrir
nos yeux sur les véritables leçons de l’enquête Mueller.

Source orignale: le blog de Jonathan Cook

Traduit de l’anglais par Investig’Action

Source : Investig’Action




Où va le monde ?

[Source : Réseau International]

Où va le monde ?

Où va le monde ?

par Paul Craig Roberts

Depuis 2016, les États-Unis ont été fourrés dans le pétrin du RussiaGate,
une imposture imaginée par le complexe militaro-sécuritaire, pour
empêcher le président Trump de normaliser ses relations avec la Russie.
Cette normalisation aurait discrédité ‘la menace russe’ qu’il a
manigancée pour assurer son budget annuel de 1000 milliards de dollars.

Le Parti démocrate, qui n’est certes pas
du tout démocratique, a favorisé cette imposture dans l’espoir de
liquider Trump pour ses propres raisons, et a entraîné avec lui la
pressetituée dans le complot.

Maintenant que le rapport Mueller a éventé les mensonges de l’establishment – qui accusait Trump d’être un traître ayant conspiré avec le président russe Poutine pour que la garce sanguinaire [photo ci-dessus] ne soit pas élue, afin de pouvoir travailler pour les Russes –, les gens ont maintenant l’esprit libre pour lancer une autre campagne sans queue ni tête. La succession de ces âneries abîme la réputation du pays.

Il est vrai que certains des démocrates les plus dingues et la pressetituée sont incapables de lâcher le RussiaGate.
Cette dernière écrit que Trump pourrait être mis en accusation pour que
dalle, sauf si les indignes démocrates reprennent plutôt le job
consistant à jeter par la fenêtre l’argent des autres. Un professeur
dérangé ou deux ont déliré que Mueller faisait partie du complot et
qu’il devrait faire l’objet d’une enquête. Sauf que toute cette
agitation met simplement en évidence que les États-Unis ont gaspillé
trois ans de leur existence.

44

Pendant
ce temps, les autres pays ont poursuivi leur petit bonhomme de chemin.
Les Russes, par exemple, ont découvert le bon côté des sanctions de
l’Oncle Sam. Leur économie est devenue plus indépendante et ils se sont
tirés du pétrin de n’être réduits qu’au rôle d’exportateurs de matières
premières vers l’Occident, un pétrin dans lequel ils avaient été fourrés
par l’Oncle Sam et les économistes russes endoctrinés par ce dernier.

Les fulminations et les menaces de
l’Oncle Sam contre la Russie ont eu pour résultat l’émergence de
nouveaux armements russes contre lesquels il n’a ni protection, ni
équivalent, des armes qui rétrogradent les États-Unis au rang de
puissance militaire de second ordre.

Si on compare les choses comparables, la
Chine est désormais la plus grande économie mondiale et, tout comme
l’Iran, elle méprise de plus en plus les fanfaronnades de l’Oncle Sam.

Même le Venezuela tient tête à Washington.

Le monde en conclut que les États-Unis ne sont pas la puissance qu’ils pensent être.

Les abus de Washington, avec son dollar
comme monnaie de réserve et ses violations du droit international, ont
encouragé l’abandon du recours au dollar dans le commerce international.
Cette menace est peut-être même plus grave pour la puissance des
États-Unis, que la supériorité de leurs capacités militaires sur celles
de la Russie.

Le président Franklin D. Roosevelt fut
comblé par la Seconde Guerre mondiale, car il comprit qu’elle laisserait
la Grande-Bretagne en faillite et sans empire. Roosevelt comprit que la
guerre avantagerait les États-Unis, puisque le dollar deviendrait la
monnaie de réserve. Comme le pays dont la devise est aussi la monnaie de
réserve, peut imprimer de l’argent pour régler ses factures, le
gouvernement n’a aucune contrainte budgétaire.

Pour un pays aussi endetté que les
États-Unis, perdre cet avantage serait un coup fatal. C’est à cette
catastrophe que Washington doit faire face à cause de sa politique de
sanctions idiote et de ses violations du droit international.

Pourtant il y a une autre catastrophe.
De la même manière que l’empire romain tomba aux mains des envahisseurs
qui franchirent ses frontières, l’empire de Washington est en train de
tomber. L’Europe, joyau de l’empire, est actuellement envahie par des
millions de gens inassimilables, au point que l’Europe n’est plus
européenne. Et Trump a jusqu’ici été incapable de défendre les
frontières des États-Unis. À vrai dire, le Parti démocrate et la
pressetituée s’opposent farouchement à toute défense des frontières.
Pourquoi un gouvernement qui rechigne à défendre ses frontières,
consacre-t-il 1000 milliards de dollars par an à la défense ?

42

Les sionistes néocons, qui orientent la politique étrangère des États-Unis en faveur d’Israël depuis le régime Clinton, poursuivent leur manège comme si nous vivions toujours dans un monde unipolaire. Pour quelque raison inconnue, le conseiller à la sécurité nationale du président Trump ne sait rien de la situation. Il parle comme s’il régnait sur le monde, alors que même les pathétiques vassaux européens, n’admettent pas le don du plateau du Golan syrien, fait par Trump à Israël.

Quant à l’autorité morale, après
l’Afghanistan, l’Iraq, la Libye, la Somalie, la Syrie, le Yémen,
l’Ukraine, le Honduras et maintenant le Venezuela, elle a fui
l’Occident.

Washington perd non seulement sa puissance économique et militaire, mais aussi son pouvoir de séduction [soft power],
né de sa propagande au sujet de rendre le monde plus sûr pour la
démocratie. La démocratie n’est même pas en sécurité aux États-Unis, les
démocrates et la pressetituée ayant fait de leur mieux pour la
contourner afin de renvoyer du pouvoir le président élu, chose que le
régime Trump tente précisément de faire au Venezuela.

Après le recours irresponsable à la
force de l’Oncle Sam, qui a laissé l’Occident dépouillé de toute valeur
morale, tous les mensonges et la propagande qui présentent l’Occident
comme un cadeau de Dieu pour l’humanité, ont fait choux blanc.

Le monde n’imagine plus admirer et
imiter l’Occident. Il le considère plutôt très malfaisant, comme « un
grand poulpe suceur de sang enroulé autour du monde, qui plonge avec
acharnement son bec sanglant dans tout ce qui a une odeur d’argent, »
selon les mots de Matt Taibbi

Une grande promesse a été dénoncée par
ceux à qui avaient confiance. Au gouvernement qui répond de ses actes
devant la loi et le peuple, il faut un peuple uni, et non pas le bordel
du multiculturalisme et de la politique identitaire. Du fait de la
destruction des racines ethniques autochtones de tous les pays
occidentaux, au prétexte que ce sont des ‘suprémacistes blancs’, la
civilisation occidentale ne peut plus se défendre contre les immigrants
qui n’adhèrent pas à sa culture.

La tension entre civilisation autochtone
et cultures importées se constate dans les tensions entre l’Union
européenne et la Hongrie et l’Italie. La Hongrie, qui a refusé de
prendre son quota d’immigrés non européens, risque des sanctions de
l’UE. En Italie, le gouvernement est tenu par une coalition de partis de
gauche et de droite unis contre l’immigration européenne et non
européenne. En Europe, les instances de l’UE, et les gouvernements
d’États membres, ceux de France et d’Allemagne, ont pris le parti des
immigrés contre les autochtones. En d’autres termes, les gouvernements
européens ne sont plus attachés à leurs propres cultures. Cela montre
sans ambiguïté que cette civilisation est morte.

Aux États-Unis, la désunion est telle,
que le nom du pays est lui-même abusif. Les électeurs d’Hillary
détestent les électeurs de Trump, et vice versa. La pressetituée et les
universités sont toutes unies contre les Blancs.

Les pays désunis sont fragiles. En conséquence, le monde occidental est en train de perdre sa qualité de meneur du monde.

Bien entendu, le reste du monde souffre
aussi de désunion. Sunnites et Chiites étant incapables de s’entendre,
il en résulte la faiblesse du monde musulman. Les tribus africaines ne
peuvent s’unir. L’Inde et le Pakistan restent à couteaux tirés. Il y a
de l’animosité entre Asiatiques. La Russie elle-même est une fédération.
Une province de Chine est musulmane. Mais les désunions là-bas sont
différentes de celles en Occident. Le Japon et la Chine ont des
différences, mais la population du Japon est homogène et la Chine l’est
en grande partie. Les Arabes sont des Arabes, qu’ils soient sunnites ou
chiites. La Fédération de Russie est le vestige d’un ancien empire, en
grande partie intégré, et ne résulte pas de l’immigration récente.

La conséquence de la désunion exclut
peut-être tout gouvernement de qualité. Mais la dissolution de
l’Occident dans la diversité et le multiculturalisme, signifie
assurément que la qualité de meneur de l’Occident a été perdue au profit
de l’impuissance de la désunion.

Est-ce le chaos qui nous attend ?

Original : www.paulcraigroberts.org/2019/04/03/where-is-the-world-headed-paul-craig-roberts/

Traduction Petrus Lombard




La vérité est une espèce en voie de disparition

[Source : Réseau International]

[Auteur : Paul Craig Robert]

[ Le Dr Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor US de la politique  économique dans l’administration Reagan. Il a été rédacteur en chef  adjoint et éditorialiste du Wall Street Journal, chroniqueur pour  Business Week et du Scripps Howard News Service. Il a occupé de nombreux  postes universitaires. Son dernier livre, The Failure of Laissez Faire  Capitalism and Economic Dissolution of the West est disponible ici:  http://www.amazon.com/Failure-Capitalism-Economic-Dissolution-ebook/dp/B00BLPJNWE/ ]

Chers
lecteurs, vous m’avez permis de maintenir ce site plus longtemps que je
ne l’espérais. Il me demande beaucoup de travail. Mes chroniques et
celles des invités suscitent beaucoup d’appréciation et aussi pas mal de
diabolisation et d’expressions de haine à mon égard. La moindre
critique d’Israël est qualifiée d’antisémite. Les gens conscients
comprennent que le recours à ce mot est si excessif qu’il est devenu
vide de sens, mais les évaporés concluent que si vous êtes qualifié
d’antisémite, vous êtes une sorte de monstre qui souhaite du mal aux
Juifs. Si vous faites remarquer les normes à doubles standard dont les
Blancs font l’objet, vous êtes stigmatisé ‘suprématiste blanc raciste’.
Si vous faites observer que les féministes #MeToo criminalisent
l’attirance hétérosexuelle, vous devenez un misogyne. Si vous dévoilez
les mensonges officiels dont le peuple étasunien est abreuvé – armes de
destruction de masse de Saddam Hussein, armes chimiques de Assad, armes
nucléaires iraniennes, invasion de l’Ukraine par la Russie, 11 septembre
2001, golfe du Tonkin et patati et patata, on vous écarte en vous
faisant passer pour un ‘théoricien du complot’ ayant la haine des
États-Unis. Au lieu de voir en vous quelqu’un qui tente de leur venir en
aide, des abrutis vous demandent : « Si vous détestez tant les
États-Unis, pourquoi ne déménagez-vous pas en Russie ? » Ou en Iran, en
Chine, au Venezuela ou dans le pays diabolisé et attaqué qui, selon
l’abruti, récolte ce qu’il mérite.

Chaque année, il devient de plus en plus dur de dire la vérité, quel
que soit le sujet. Si vous êtes trop attaché à dire la vérité factuelle,
comme j’y suis enclin, on vous saute sur le poil en masse. Il faudrait
que je demande aux sites Internet qui relayent mes chroniques, du moins
ceux que je connais, de ne plus autoriser les commentaires, car toutes
sortes de trolls rémunérés me calomnient à qui mieux mieux, puis
propagent la diffamation dans l’ensemble des médias sociaux. Leur but
est de me discréditer, de faire fuir les lecteurs de mon site. Et ça
marche. Quand le mystérieux site PropOrNot, financé par on ne
sait qui, m’a inscrit sur sa liste « Agents russes et comparses de
Poutine, » il y a eu des milliers d’annulations au bulletin
d’information.

David Irving

Ensuite, se servant de Wikipedia comme d’une base biographique ouverte permettant à quiconque de se mettre au parfum de votre réputation, ils vous qualifient d’antisémite, de théoricien du complot et de négationniste. Peut-être vous souvenez-vous de ma chronique Les mensonges de la seconde guerre mondiale, où j’analysais l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale de David Irving – la guerre de Churchill et celle de Hitler. Ce n’est pas l’histoire habituelle du vainqueur, servant à nous rendre fiers. Au contraire, les faits cités par Irving sont établis sur des décennies d’investigation historique et sur des documents, des discours, des lettres et des mémoires officiels. Irving a parcouru le monde pour interroger ceux qui ont vécu ces événements. Il a découvert des documents, comme les carnets de bord de Rommel et de Goebbels, examiné chaque document concernant la politique juive du gouvernement allemand, réfuté les faux journaux de Hitler, et ainsi de suite. Ses livres sont considérés être des chefs-d’œuvre par les historiens objectifs. Or on lui a clos le bec. Péché inacceptable, il révélait trop de vérités.

Dans mon étude approfondie des faits historiques rapportés par
Irving, j’ai présenté un résumé des pièces justificatives fournies par
Irving et rapporté sa conclusion qui différait de la version officielle.
Le témoignage de Irving a fait de lui un négationniste. En ce qui me
concerne, Wikipedia a déformé ma description des vues de Irving
et m’a mis dans la catégorie négationniste. La correction de la
description biaisée a pris une éternité. Et il y a toujours des
inexactitudes dans ma biographie sur Wikipedia, mais j’ai
laissé tomber. Chaque fois que des corrections sont faites, elles sont
effacées. Les biographies en open source requièrent beaucoup plus
d’intégrité qu’il n’en existe, c’est pourquoi Wikipedia n’est pas fiable. Vous pouvez seulement espérer compter sur Wikipedia pour les personnalités et les questions exemptes de controverse. En gros, d’après mon expérience, Wikipedia est un outil servant à discréditer ceux qui disent la vérité.

Comme je l’écris souvent, la grande majorité des gens sont
endoctrinés par la propagande au service des intérêts au pouvoir. Ils
sont mentalement trop faibles et trop émotifs pour supporter ce qui
s’écarte de la vision établie. Ça les effraye et ils s’enfuient. De ce
fait, quand vous écrivez, vous savez que vous le faites uniquement pour
quelques privilégiés.

La seule façon de faire est de croire Margaret Mead, d’après qui
quelques personnes suffisent pour changer le monde. Je pense que c’était
vrai jadis. Lénine et les bolcheviques étaient très peu nombreux, de
même que les pères fondateurs des États-Unis. De nos jours, par contre,
nos dirigeants disposent de moyens de contrôle extraordinaires. Il n’y a
pas si longtemps, Internet était considéré comme un instrument de
liberté d’expression, mais on peut vous en exclure et vous rendre
invisible. Alex Jones, par exemple, comme d’autres, a été coupé de YouTube et des médias sociaux. L’algorithme de Google
est modifié afin que les recherches ne trouvent pas les auteurs
censurés. Les grands sites Internet bien financés par les intérêts au
pouvoir, peuvent vous diaboliser avec la presse écrite et télévisée,
comme c’est arrivé à Julian Assange et à Manning, et même aux présidents
des États-Unis et de Russie. J’ai déjà remarqué que certains sites
dissidents qui étaient crédibles et qui résistaient à La Matrice, ont
commencé à être plus prudents. Ils craignent que trop de vérité ne les
marginalise.

Voici comment le Saker décrit la censure : « Ce à quoi nous assistons
aujourd’hui, c’est à une nouvelle ère de censure, dans laquelle
gouvernements et entreprises travaillent de concert à étouffer
(interdire, censurer, priver d’argent, filtrer à l’aide d’algorithme et
réduire au silence de différentes façons) tous ceux qui contestent
l’idéologie officielle et ses nombreux discours. Il serait très naïf de
penser que les dits ‘médias alternatifs’ et la blogosphère sont épargnés
par ces tentatives visant à faire taire les hérésies. »

Les prophètes ont toujours pris des coups, mais au moins autrefois,
leur message pouvait être entendu. De nos jours, il est possible de vous
détruire et de faire disparaître à jamais votre message.

Je suis lassé des dures critiques et de tous les courriels
d’ignorants, de narcissiques et de grossiers que je reçois. Ces lettres
ne viennent pas de mes lecteurs. Elles sont pondues par des trolls
salariés. Le Saker décrit leur fonction : « Ce sont des gens dont le
boulot est d’embrouiller les vrais questions, de les enfouir sous
d’insipides fatras d’âneries idéologiques ; la meilleure façon de faire
cela étant de détourner toute discussion en dehors du sujet initial
grâce à un barrage d’attaques ad hominem ou de clichés idéologiques. »

Certains ne se contentent pas de me convaincre une ou deux fois
d’avoir affaire à des simples d’esprit, ils insistent chaque jour. Il
est extraordinaire de voir avec quelle fierté certains affichent leur
imbécillité, leur incapacité à comprendre ce qu’ils lisent. Ainsi, mes
articles récents sur la manipulation de la tuerie de masse d’El Paso –
qui visait à diaboliser les Blancs, et dans lesquels je cite des gens
qui exigent l’extermination de la race blanche –, ont fait que j’ai été
accusé sur d’autres sites Internet de ‘prêcher la haine’, alors qu’en
réalité je ne fais que citer ceux qui prêchent la haine et demander en
quel honneur ils font cela.

Aussi,
si vous ne voulez plus soutenir ce site, je n’en serais pas désolé. À
vrai dire, je serai soulagé d’un fardeau et pourrai me protéger de la
stupidité des gens. J’en suis arrivé à conclure que c’est un oxymore que
d’associer ‘Étasunien’ avec ‘intelligent’. De nombreux lecteurs qui ont
voulu dire à leurs amis et proches que CNN ne dit pas toujours la
vérité, m’ont dit leur frustration. J’ai la même expérience avec des
amis et des parents. Quand des gens trop endoctrinés par leur lavage de
cerveau me questionnent, je réponds ne pas savoir et conseille de
demander à CNN.

Ce site est un contrat entre moi et les lecteurs. Tant que les
lecteurs appuieront le site, j’écrirai ce que je pense être la vérité
aussi longtemps que j’aurai l’acuité mentale et l’énergie me le
permettant. Mon ordre du jour est la vérité. La vérité est la vérité. Ce
n’est pas la vérité de race, la vérité de classe, la vérité sexuelle,
la vérité transsexuelle, la vérité politique, la vérité identitaire, la
vérité républicaine, la vérité démocratique, la vérité libérale, la
vérité conservatrice, la vérité libertaire, la vérité de gauche ou tout
autre type de vérité conditionnée à un machin.

Si vous êtes plus intéressé par mes fautes de frappe que par mes
sujets, trouvez-vous d’autres trucs à lire. Gardez à l’esprit que je
vieillis et que je souffre parfois d’arthrite, que mon clavier est usé
et que les nouveaux claviers ne s’adaptent pas à mon ordinateur, et que
ça produit des fautes de frappe. Après les millions de mots que j’ai
écrits au cours de ma vie, il m’est insupportable de me relire et je
n’ai pas toujours de correcteur sous la main. J’ai désactivé le
correcteur orthographique parce que le logiciel Apple remplace aussi des
mots pour vous. Comme vous ne le remarquez pas parce que vous êtes
concentré sur le contenu, vous pouvez vous retrouver avec des phrases
déconcertantes. La révolution numérique n’est pas la bénédiction que
votre lavage de cerveau vous fait croire.

Septembre est toujours le pire des mois pour l’appel au don, mais
c’est là que le trimestre tombe dans l’année civile. Je sais que vous
êtes à court d’argent. Vous avez tout claqué pendant les vacances d’été
et le week-end de trois jours de la fête du Travail. Mais sachez que mon
énergie et ma volonté seront dynamisés par votre soutien.

Les apparatchiks ont si bien coupé le peuple étasunien de la réalité,
avec des slogans vides de patriotisme et de démocratie, que peu de gens
sont ouverts. Pour échapper à La Matrice, il faut déjà être
exceptionnel. Je ne suis pas capable de vous sauver, mais je puis vous
pousser à le faire. Si vous voulez avoir l’esprit libre, vous pouvez y
arriver, mais il vous faut la force émotionnelle nécessaire. Le monde
n’est pas ce que vous percevez à travers votre éducation. Il y a de la
malveillance et de la corruption tout autour de vous. Elles sont bien
implantées et des mots vous ont été enseignés pour les respecter.

Depuis le début des temps, des humains veulent savoir la vérité du
monde. La vérité était le but de l’ancienne philosophie. La révolution
scientifique a donné aux humains la chance de découvrir quelques vérités
naturelles, et pour cela, ils ont dû se démener. Aujourd’hui, l’argent
est le principal facteur déterminant la ‘vérité’. La ‘vérité’ est ce que
dicte l’argent, et l’argent a le pouvoir d’imposer la ‘vérité’. De nos
jours, partout dans le monde occidental et dans les pays corrompus par
l’Occident, la vérité réelle, celle que je tente de communiquer, n’est
pas appréciée par les gouvernements ou les intérêts dirigeants. À vrai
dire, l’ennemi de la vérité n’est plus à Moscou ni en Chine. L’ennemi
est à Washington, à New York et à Hollywood, dans les médias de masse
CNN, MSNBC, NPR, New York Times, Washington Post et
dans les universités avec les scientifiques qui mentent pour de
l’argent. Les ennemis de la vérité sont les cousus d’or qui contrôle ces
entités, dont le Congrès, le pouvoir exécutif, le bureau ovale et
pouvoir judiciaire.

De toutes les espèces en voie de disparition, c’est la vérité qui est en plus grand danger. Je la regarde s’éteindre.

Paul Craig Roberts

Original : www.paulcraigroberts.org/2019/09/04/truth-is-an-endangered-species/

Traduction Petrus Lombard




Mes amis nous vivons les moments historiques annoncés et tant attendus !!

Maxence Ferrari est avec Lucie Lumière.

3 octobre 2019.

Magnifique ! Le sommet de Valdaï en ce moment même qui réunit l’Asie au complet, soit Chine, Russie, Turquie, Inde,Japon,Egypte etc.. plus de la moitié de la population mondiale) a conclut officiellement que l’Ordre mondial unipolaire est terminé (nouvel ordre mondiale cabalo-sataniste) Vous allez pouvoir l’entendre de vive voix !!! L’avenir est au respect de chacun dans un monde multipolaire et tous les problèmes actuels, Syrie, Iran, Israël-Palestine , Corée, sont en train d’être réglés pacifiquement. Au passage le président Poutine remercie le président Donald J. Trump pour ses actions envers la Corée du Nord.

Mes amis nous vivons les moments historiques annoncés et tant attendus !! Quels 2 grands présidents nous avons là avec Trump et Poutine !!! WoW !!!

Je suis fier de vous partager cette bonne nouvelle
que je vous annonce depuis plusieurs années !!

Voici le lien du sommet, vidéo sur YouTube qui vient directement de la chaîne RT

Note d’Alliance: Dure 3h. Poutine en parle à 8:30 pour ceux qui ne veulent pas tout écouter.