Pourquoi contre la C-19 et ses variants les traitements précoces sont de plus en plus nécessaires

01/08/2021 (2021-08-01)

Par Lucien-Samir Oulahbib

Un groupe de scientifiques internationaux réunis dans le FLCCC (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance, et ici sa version française en ligne : Protocoles de prévention et de traitement pour COVID-19) confirme ce que Didier Raoult avait expliqué au tout début concernant la nécessité impérieuse de prendre des traitements précoces afin de prévenir des effets ou « séquelles » complexes à long terme plutôt qu’attendre chez soi d’avoir des symptômes nécessitant une hospitalisation ; ou encore le fait de se contenter de prendre une injection qui s’avère de plus en plus expérimentale en ce sens où comme on l’a vu en Israël depuis plus d’un mois et… en Guadeloupe aujourd’hui cela ne protège guère de la contamination, sans parler des effets secondaires et de leurs conséquences de plus en plus mortelles. En particulier pour les plus jeunes.

Plus strictement dit encore, la réelle prise de responsabilité gouvernementale en matière sanitaire consiste à prévenir bien en amont des conséquences graves de toute maladie et non pas à opérer cette fuite en avant (affairiste par ailleurs au vu des milliards engrangés par les nouveaux marchands — dealers-d’injections magiques) dans des expérimentations hasardeuses et pérennes (3e dose en vue, en attendant la 4e…) dont on voit de plus en plus les effets délétèresmême si pour le moment cela ne touche pas encore les millions de personnes y ayant participé, le recul nécessaire n’étant pas là et ce d’autant plus que cette expérimentation à la va-vite (et disproportionnée au vu de la létalité comparée à celle du paludisme et aux maladies cardiaques : 8,9 millions de morts en 2019 dans le monde par exemple) peut créer des variants, comme le soupçonne Luc Montagnier (attaqué également sur ce point-là après avoir soupçonné dès le début le caractère fabriqué du virus considéré maintenant comme une hypothèse fiable).

On le voit, la rationalité, la responsabilité, l’idée que « gouverner c’est prévoir » ne sont pas du côté de nos gouvernants qui ont fait erreur sur erreur et continuent tout en mettant leurs œufs dans le même panier au risque de ne même pas pouvoir faire une omelette (d’où ce retournement judicieux de l’argument stalinien : « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs ». Réponse : OK, mais où est l’omelette ?).

Où est en effet la balance bénéfice/risques sinon pour les plus puissants s’agissant du premier terme et exclusivement pour les plus exposés (les « sans dents ») concernant le second ?…

Cette « inégalité »  ne peut d’autant plus durer que nous avons plutôt affaire à une syndémie (au sens d’attaquer des personnes au métabolisme plus vulnérable aux effets négatifs du modèle quantitativiste productiviste) qui amplifie au fond les maladies chroniques, posant alors, comme l’avait si bien vu Jules Romains avec « Knock », tout bien portant comme un malade qui s’ignore (aujourd’hui un « asymptomatique »), d’où la nécessité pour la Secte des puissants affairistes et scientistes qui nous gouvernent d’hypostasier le modèle du handicapé permanent avec leur passe hygiéniste.

Le corps humain, cette nouvelle matière première (comme dans Soleil vert) du nouveau Moyen-Âge bioélectronique.

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