Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »

[Source : anguillesousroche.com]

La Dre Astrid Stuckelberger, lanceuse d’alerte de l’Organisation mondiale de la santé, a déclaré publiquement que l’OMS avait été prise en charge par des entités hostiles telles que Bill Gates, qui perpétuent une « pandémie de mensonges » afin d’asservir l’humanité.

Dans une interview accordée à un journal norvégien, elle a déclaré que la pandémie avait été orchestrée par les élites mondiales afin d’instaurer un « nouvel ordre mondial » et de contrôler la population.

Freewestmedia.com rapporte : 

« C’était spécial : Des organisations telles que GAVI – l’Alliance mondiale pour la vaccination dirigée par Bill Gates – sont arrivées à l’OMS en 2006 avec des fonds. Depuis lors, l’OMS est devenue un nouveau type d’organisation internationale. GAVI a gagné de plus en plus d’influence, et une immunité totale, plus que les diplomates de l’ONU. GAVI peut faire exactement ce qu’elle veut, la police ne peut rien faire. »

L’OMS a fait l’objet d’un audit en 2014 et après cela, elle est devenue davantage une entreprise dont les pays sont les filiales.

« Quand je travaillais avec les relations internationales à l’OMS en 2013, j’ai vu que GAVI arrivait de plus en plus. GAVI a présenté un plan d’action mondial pour la vaccination 2012-2020. C’est-à-dire huit années où GAVI avait tout entre les mains. Bill Gates s’est occupé de la vaccination, il a pris le relais. »

[Voir aussi :
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

L’OMS exerce un pouvoir énorme sur les pays, a-t-elle ajouté. 

« Avant, tous les pays étaient libres. Mais maintenant, quand je fais des interviews dans le monde entier, je vois que chaque pays fait partie d’une ‘société OMS’. L’OMS n’est plus une organisation membre démocratique, comme l’ONU. Les différents gouvernements constituent la base de ‘l’entreprise’. Cela correspond logiquement à ce qui se passe actuellement, puisque les ‘entreprises’ veulent de l’argent, des affaires, et contrôler les gens. C’est comme l’esclavage. Les impôts que nous payons vont aux gouvernements qui sont soumis à « l’entreprise ». Sous les organisations multinationales, comme GAVI. »

Contrat entre GAVI, la Banque mondiale et l’OMS

« GAVI, la Banque mondiale et l’OMS ont conclu un contrat appelé IFFM : International Facility Finance for Immunization. Nos pays, nos populations, paient à l’OMS, à la Banque mondiale et à GAVI pour réaliser leurs programmes de vaccination. Ce qui signifie vacciner l’ensemble de la population. Quand vous voyez le plan de GAVI, vous voyez que de 2012 à 2020, ils ont eu cet objectif. Mais comme cela n’a pas fonctionné, ils ont dû créer une pandémie. »

Selon elle, la pandémie a très certainement été planifiée. 

« Vous pouvez le voir dans tous les documents. Tout le monde peut les analyser, ils sont au grand jour, sous nos yeux. »

[Voir aussi :
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010]

Elle a souligné les recherches du professeur John Ioannidis de l’université de Stanford, qui montrent que la mortalité en 2020 n’était pas plus élevée que les autres années. 

« C’est un mensonge, et il n’y a pas de pandémie. L’OMS accepte que la mortalité ne soit pas plus élevée, pourtant elle n’a pas déclaré que la ‘pandémie’ était terminée », a-t-elle ajouté.

[Voir aussi :
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
(ou sur Mondialisation.ca)
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents du Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Mme Stuckelberger a déclaré qu’elle ne se considérait pas comme une lanceuse d’alerte, mais comme une experte en santé publique, en médecine et en science. Mais les larbins de Gates lui ont déclaré la guerre. 

« Les universités de Genève et de Lausanne ont arrêté tous mes cours. Je suis en procès, ils m’attaquent. Ils veulent révoquer ma licence médicale, ils essaient de dire que je ne suis pas compétente, que je mens. Cela s’applique à tous les chercheurs qui disent cela, nous sommes maintenant plusieurs médecins à mettre en garde contre la mort après la vaccination. C’est dangereux pour les professionnels d’en parler. »

L’ancienne employée de l’OMS s’est moquée avec ironie du rôle des médias dans la diffusion des mensonges. 

« Les médias sont payés par les « entreprises » multinationales. Je les appelle les pirates internationaux. Et les médias contrôlent les gouvernements. Les médias doivent devenir indépendants, ils doivent aider la population à obtenir des informations libres. »

[Voir aussi :
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique]

Un certain nombre d’études et de médecins ont souligné qu’il existe un traitement pour le Covid-19.

Stuckelberger, qui vit à Genève, pense que la solution est de revenir à l’ancienne vie communautaire : 

« Nous devons organiser un système social parallèle. Nous devons revenir à l’âge des Vikings. C’est arrivé en Suisse, beaucoup de choses ici maintenant ont des racines dans l’époque des Vikings. J’y pense beaucoup – en Norvège, on peut revenir à l’agriculture. »




Selon l’Association des médecins sud-africains, le variant Omicron cause une «maladie bénigne»

[Source : RT France]

Muscles endoloris, fatigue et légère toux : le variant Omicron détecté en Afrique du Sud n’est à ce stade qu’une «maladie bénigne», selon l’Association des médecins sud-africains, qui s’interroge sur le «battage médiatique» qui a suivi sa découverte.

Alors que de sévères mesures restrictives commencent à être mises en place dans certains pays – comme en France – à la suite de la découverte du variant Omicron en Afrique du Sud, Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine, a tenu à relativiser sa dangerosité à ce stade.

« Il s’agit d’une maladie bénigne dont les symptômes sont des muscles endoloris et de la fatigue pendant un jour ou deux, durant lesquels on ne sent pas bien. Jusqu’à présent, nous avons constaté que les personnes infectées ne souffrent pas de perte de goût ou d’odorat. Elles peuvent avoir une légère toux. Il n’y a pas de symptômes proéminents. Parmi les personnes infectées, certaines sont actuellement traitées à domicile », a ainsi déclaré Angelique Coetzee, interrogée par Sputnik News.

La responsable a également fait savoir que les hôpitaux sud-africains n’ont pas été surchargés par les patients atteints par le variant Omicron, soulignant par ailleurs qu’il était nécessaire d’attendre de voir l’évolution des patients pour déterminer son réel niveau de menace : «Oui, la maladie est transmissible, mais pour l’instant, en tant que médecins, nous ne savons pas pourquoi il y a un tel battage médiatique, car nous sommes toujours en train d’étudier la question. Nous ne le saurons qu’après deux ou trois semaines, car certains patients ont été admis et ce sont des jeunes âgés de 40 ans ou moins.»

Ce que craint en revanche Angélique Coetzee, c’est que le variant ne frappe plus durement des personnes âgées non-vaccinées, et/ou des personnes souffrant de diabète ou de maladies cardiaques. Malgré tout, Angelique Coetzee a dans la foulée critiqué la décision de certains pays d’interdire les vols en provenance d’Afrique du Sud, la jugeant donc prématurée, car il n’y a pas assez d’informations sur le degré de dangerosité du variant. Après l’annonce de la découverte de cette nouvelle souche de Covid-19, les Etats-Unis, l’Union européenne, le Canada, Israël, l’Australie ont restreint les voyages en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe pour raisons sanitaires.

L’Organisation mondiale de la santé a qualifié le 26 novembre la nouvelle souche sud-africaine de préoccupante, car elle serait porteuse d’un nombre élevé de mutations qui la rendraient plus transmissible et plus dangereuse. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies a noté le même jour qu’il existait «une incertitude considérable» concernant la «contagiosité», «l’efficacité des vaccins» ou encore «le risque de réinfection» du nouveau variant du coronavirus «Omicron».

[Note de Joseph Stroberg : tout ce cirque Covid provient essentiellement d’une vision très probablement erronée de la maladie depuis Pasteur qui a voulu à tout prix, y compris en recourant à la fraude, démontrer que les maladies étaient causées par des germes, ceci pour mieux vendre ensuite ses vaccins. Cependant cette vision des choses est de plus en plus contestée par des médecins et des chercheurs qui on su sortir de la religion pasteurienne. Voir notamment :
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Fauci et la grande arnaque du sida
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les commentaires suivants repris depuis d’autres articles du site :

La propagande virale commence dès la formation universitaire largement chapeautée par Big Pharma depuis que Rockefeller s’est acharné en début de siècle dernier à éliminer toute école de pensée et toute médecine qui n’allait pas dans le sens de sa médecine chimique dérivée du pétrole. Et notamment la preuve d’un isolement véritable de virus sur un plan réellement scientifique, ainsi que la preuve expérimentale indubitable de contagions virales ou bactériennes avec expériences de contrôle ou contre-expériences n’ont jamais été fournies.
Il est maintenant largement avéré que la théorie des germes et son corollaire viral relèvent de fraude scientifique et de comportement religieux depuis au moins l’époque de Pasteur. Le présent site propose un large éventail d’articles et de sources qui tendent à démontrer tout ceci.
Le propre de la véritable science est la remise en question permanente des théories et des hypothèses à la lumière des nouvelles observations ou données et de faits mis à jour qui avaient jusqu’à une époque récente été maintenus cachés ou étouffés.
La théorie alternative du terrain et des exosome se révèle bien plus efficace et cohérente, sans « rustines », pour expliquer les maladies prétendument contagieuses, bactériennes ou virales. Et si elle était davantage prise en compte, elle ferait s’effondrer toute cette mascarade plandémique Covid et les mesures sanitaires nocives.

L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires. Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présents.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.

En sciences pures telles que la Physique, les chercheurs qui ne sont pas soumis à des lobbies, à des pressions de leur hiérarchie, à ces idéologies ni à des conflits d’intérêts (s’il en existe encore) tendent à considérer qu’une bonne théorie est non seulement cohérente et applicable aux situations connues de son cadre d’études, mais qu’elle doit aussi être prédictive et donc notamment capable de prévoir des situations inconnues et de les expliquer efficacement. Et donc, si une théorie existante se révèle incapable d’expliquer si possible simplement une nouvelle situation, c’est qu’elle doit au minimum être révisée et subir de nouveau la démarche scientifique. Dans des cas flagrants d’incapacité descriptive ou prédictive, elle devrait même être carrément abandonnée.

Sous le regard d’un physicien, la théorie virale se révèle être à l’image d’une chambre à air percée de nombreux trous : ses incapacités à expliquer simplement certains phénomènes qui pourtant entrent dans le cadre de ses objets d’étude. Au lieu de cela, elle s’est empressée de coller des rustines, dans l’espoir de maintenir le pneu en état de marche.

Les scientifiques purs ont également souvent tendance à considérer que la meilleure théorie explicative d’un phénomène ou d’un ensemble de phénomènes est celle qui y parvient le plus simplement, en appliquant notamment le principe du Rasoir d’Ockham selon lequel il vaut mieux éliminer rapidement les explications les plus improbables ou les plus tirées par les cheveux. En appliquant ceci aux phénomènes apparemment épidémiques qui dans la pratique peuvent être fulgurants et toucher en un bref laps de temps un très grand nombre d’individus, il y a ainsi une explication plus simple que celle de « virus non vivants » censés pirater le matériel génétique de cellules vivantes pour s’y multiplier et ainsi amener la mort de ces dernières puis la maladie et/ou la mort de l’hôte. De plus, la théorie virale n’explique pas comment il peut y avoir des malades d’une maladie prétendument virale sans qu’on lui trouve les virus associés. Elle n’explique pas non plus pourquoi certaines personnes portent un grand nombre de certains virus sans pour autant avoir la maladie qu’ils sont censés donner. En d’autres termes, les virus ne respectent pas du tout les postulats de Koch et de Rivers qui sont pourtant les conditions indispensables à la démonstration scientifique objective d’une maladie contagieuse d’origine virale. Mais au lieu de chercher une meilleure théorie, les virologues et autres experts du domaine ont préféré abandonner ces postulats dérangeants sous un fallacieux prétexte et ajouter une nouvelle rustine, le concept de « malades asymptomatiques », sachant que celui-ci revenait logiquement à affirmer que des personnes en bonne santé étaient en fait des malades qui s’ignoraient !

L’explication la plus simple est la suivante : les malades ont été exposés à la même source d’intoxication et celle-ci peut être éventuellement multifactorielle. Ou dans d’autres cas, ces apparentes contagions proviennent d’une situation de malnutrition endémique commune à l’ensemble d’une population ou d’un groupe d’individus. Et bien sûr, il existe des situations qui combinent à la fois des déficiences alimentaires plus ou moins graves ou dramatiques et des sources d’empoisonnement.

Parmi les sources d’intoxication, on peut notamment trouver :
• les additifs alimentaires ;
• les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables ;
• les toxines produites par des moisissures ;
• les toxines ou les venins produits par certains animaux (notamment des insectes tels que les punaises de lit) ;
• les adjuvants vaccinaux ;
• les produits ménagers ;
• les cosmétiques artificiels ;
• les polluants atmosphériques ;
• les matières plastiques ;
• les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique ;
• les thérapies géniques ;
mais aussi :
• la peur, la haine, la colère et d’autres émotions négatives ;
• le stress ;
• les pensées négatives qui tendent à rendre dépressif ou déprimé ;
• les ondes électromagnétiques, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), à cause en particulier des phénomènes physiques tels que l’induction magnétique et la résonance qui peuvent amener des effets voisins de ceux des rayonnements ionisants (notamment des altérations du matériel génétique et des cancers). Il existe des milliers d’études, notamment indépendantes, qui tendent à démontrer l’impact de telles ondes sur la santé (humaine, animale et/ou végétale).

(On peut également ajouter le froid comme facteur d’affaiblissement du corps, au même titre que la malnutrition).

Les observations de différents chercheurs en médecine tendent à montrer que la protéine Spike artificielle contenue dans plusieurs sortes de « vaccins » anticovid représente en fait une toxine pour les cellules humaines. De plus celle-ci est amenée à être produites par les cellules du corps elles-mêmes, au risque de provoquer des maladies auto-immunes.

Pour en revenir aux virus, le fait que parfois (mais pas du tout systématiquement) on en trouve en grand nombre dans l’organisme d’un malade de la maladie associée ne signifie pas du tout nécessairement qu’ils soient la cause de cette dernière, pas davantage que les mouches sont la cause des bouses de vache ou des ordures alors qu’on en retrouve en été presque systématiquement à ces endroits. Corrélation ne signifie pas nécessairement causalité. Et il arrive que l’on prenne les effets pour les causes.

Parlant de la Covid-19 (qui objectivement n’est qu’un ensemble de symptômes supposés représenter une maladie virale), il a justement été observé une forte corrélation entre les lieux d’implantation de la technologie 5G et ceux d’explosion apparente de l’épidémie, spécialement Wuhan, la Corée du Sud et Saint-Marin au départ. Pour s’assurer que la 5G soit effectivement l’une des principales causes de cette « maladie », il faudra systématiquement comparer les lieux et dates d’implantation dans les différents pays qui l’utilisent et les lieux et dates des foyers « épidémiques » ou de « contagion » apparente.

Il existe une forte similitude de symptômes entre les effets de certaines ondes électromagnétiques et la Covid-19, y compris dans sa forme appelée « longue » qui correspond typiquement aux symptômes d’exposition aux micro-ondes.

Il existe également des similitudes de symptômes entre les effets attribués à la protéine Spike et ceux de la Covid-19.

Le corps humain n’avait jamais été exposé aux rayonnements 5G jusqu’à une période récente, et lorsque l’on connaît les effets biologiques possibles d’ondes électromagnétiques, il est compréhensible que l’apparition de cette nouvelle technologie se soit accompagnée dans les semaines ou les mois suivants d’une nouvelle forme de « maladie », baptisée Covid-19 et attribuée à tort à un virus qui par ailleurs n’a jamais été réellement isolé au sens pur et physique du terme et surtout jamais expérimentalement démontré comme pouvant être la cause d’une telle maladie.

Le corps humain est un organisme merveilleux et sophistiqué qui est capable de s’adapter à de nombreux défis environnementaux, mais les organismes plus faibles peuvent mourir et d’autres devenir malades, le temps que le mécanisme d’adaptation fasse son œuvre et se purifie des effets délétères de l’agression subie.

Lorsque l’on analyse les courbes épidémiques depuis maintenant plus d’un an et demi, on relève tout au plus deux pics « épidémiques » qui correspondent en réalité très probablement à l’impact initial de la mise en route de la technologie 5G, puis à l’effet des mesures sanitaires stressantes qui ont eu un impact négatif par différents facteurs (notamment émotionnels, mais aussi physiques comme le port d’un masque qui augmente le taux de CO2 dans le sang tout en réduisant celui d’oxygène), sans compter les aînés pratiquement euthanasiés dans certains pays comme la France et le Québec. Les autres prétendues vagues n’existent que dans l’imagination des propagandistes médiatiques et gouvernementaux.

Pour conclure cette longue note, le présent site contient un grand nombre d’articles à l’appui des idées présentées et toute personne curieuse pourra se faire sa propre opinion concernant les causes réelles de la maladie Covid et de l’explosion de morts suite aux vaccinations qui sont présentées ici comme sources multiples de toxines.]

Les prétendus « variants » ne représentent que des variations des exosomes produits par le corps selon les conditions d’intoxication de ce dernier par divers poisons (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que la 5G) et selon les différents individus et groupes ethniques affectés. Les chercheurs ne trouveront probablement jamais 2 variants ou virus absolument identiques, sachant que leur séquençage ne parvient pas à reconstituer 100 % du modèle viral utilisé comme référence.]




Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Partie 2

(Partie 1 : La pandémie Covid-19 n’existe pas, le 16 novembre 2021.)

« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019

« … La totalité ou une partie substantielle de ces tests positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests de faux positifs. »

Dr Michael Yeadon : ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels…, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé dans les soins intensifs et analyste de santé publique de renom

Introduction

Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont véhiculé l’image d’un virus mortel [killer virus] qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour la Covid-19.

Au moment d’écrire ces lignes, environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme des « cas confirmés de Covid-19 ». La présumée pandémie aurait causé plus de 5 millions de décès liés à la Covid-19.

Les deux séries de données : la morbidité et la mortalité sont fabriquées. Un appareil de dépistage de la Covid très bien organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place en vue d’augmenter le nombre de « cas confirmés de Covid-19″, qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal »parallèlement à l’abrogation des droits fondamentaux de la personne.

Un soi-disant « Suivi de la propagation mondiale du Covid-19 » [“Global Tracker System”] a été établi avec une carte interactive indiquant les tendances mondiales et nationales et les tendances hebdomadaires.

Une quatrième vague [et cinquième vague] a été annoncée. Les chiffres invalides relatifs au Covid-19 sont régulièrement publiés dans les médias.

Pendant ce temps, les médias et les gouvernements ont fermé les yeux sur la tendance à la hausse des décès dus au vaccin contre la Covid-19 et des effets indésirables, qui sont confirmés par les organismes gouvernementaux « officiels ». (Voir ci-dessous)


TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/États-Unis

45 250 décès liés à l’injection de Covid-19, 7 418 980 blessures [injuries] 

publié le 19 octobre 2021

Base de données EudraVigilance, système de carton jaune MHRA. Base de données VAERS.


Le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse (RT-PCR)

La méthodologie oblique appliquée sous les directives de l’OMS pour détecter la présumée propagation du virus est le test de réaction en chaîne de la polymérase (RT-PCR), qui est couramment appliqué dans le monde entier.

Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de faux « cas confirmés de Covid-19 », qui sont ensuite utilisés pour créer l’illusion que la présumée pandémie est réelle.

Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des 20 derniers mois pour mener et soutenir la campagne de peur.

Et les gens sont maintenant amenés à croire que le « vaccin » Covid-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population du Monde entier aura été vaccinée.

« Confirmé » est un terme erroné : un « cas positif RT-PCR confirmé » n’implique pas un « cas confirmé de Covid-19 ».

La RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie Covid-19 ! Les spécialistes de la PCR indiquent clairement qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité] (Dr Pascal Sacré)

La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs avec le test RT-PCR, comme « cas confirmés de Covid-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus de routine d’identification des « cas confirmés » est en dérogation aux propres lignes directrices des CDC :

« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que 2019-nCoV est l’agent pathogène des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour surveiller le traitement de l’infection par le nCoV en 2019. Ce test ne peut exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » (soulignement ajouté)

Dans cet article, nous présenterons des preuves détaillées démontrant que la méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est imparfaite et invalide.

1. Faux positifs

Le débat précédent au début de la crise s’est concentré sur la question des « faux positifs ».

Reconnu par l’OMS et les CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :

« Aujourd’hui, à mesure que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que la Covid-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »

Le débat sur les faux positifs (reconnu par les autorités sanitaires) fait état de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation présumée du virus CoV-SARS-2.

2. Le PCR-Test ne détecte pas l’identité du virus

Le test RT-PCR n’identifie pas/détecte le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus grippaux de type A et B, et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).

Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui fait le test est infectée par le virus de la Covid-19.

Selon le Dr Kary Mullis, inventeur de la technique PCR : « La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. » Selon le célèbre immunologue suisse Dr B. Stadler

Donc, si nous faisons un test Corona PCR sur une personne immunitaire, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais un petit. segment fragmenté du génome viral.Le test est positif tant qu’il reste de petits fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie la moindre fraction du matériel génétique viral, suffisamment [pour être détectée].

Dr Pascal Sacré est du même avis : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, pas le virus entier. »

Afin de tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois par de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, à des erreurs de stérilité et à une contamination.

3. Le « test » RT-PCR Covid-19 « personnalisé » de l’OMS

Deux questions importantes et connexes.

Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. En outre, l’OMS en janvier 2020 ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov.

Ce qui a été envisagé en janvier 2020 était une « adaptation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’Institutde virologie de Berlin de l’Hôpital Charité.

Dr Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est évidemment un terme erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cité dans la section 2).

En outre, l’étude, publiée par Eurosurveillance, reconnaît que l’OMS n’a pas possédé d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov :

[Bien que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées… les isolats de virus ou les échantillons [de 2019-nCoV] de patients infectés n’étaient pas disponibles… »

L’équipe de Drosten et coll. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’un isolat du virus 2019-nCoV, un CoV-SRAS 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » [indicateur] du nouveau virus :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’uneespèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous présentons un rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite relation génétique avec le CoV-SRAS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignement ajouté).

Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de Covid-19 » (alias infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « l’étroite relation génétique avec le CoV-SARS 2003 ».

Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 19 ans (2003-SARS-CoV) est utilisé pour « valider » l’identité d’un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei à la fin décembre de 2019.

Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom.

L’OMS n’avait pas en sa possession « l’isolatde virus » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.

L’article de Drosten et coll. concernant l’utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous la direction de l’OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et coll. internationaux.

Il va de soi que si le test PCR utilise le virus du CoV-SRAS de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas de Covid-19 « confirmés » résultant du nouveau virus 2019-nCoV, rebaptisé ultérieurement SARS-CoV-2.

4. L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?

Bien que l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valides et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 avait été isolé d’un « échantillon altéré prélevé sur un patient malade » ?

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’un « nouveau type de virus » avait été « identifié », « semblable à celui associé au SRAS et au SRMO » (rapport connexe, pas de source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données normalisées partagés par l’OMS et l’International Severe Acute Respiratory and Emerging Infection Consortium à partir de dossiers médicaux électroniques. (soulignement ajouté)

L’étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d’autres documents consultés) suggère que les autorités sanitaires chinoises n’ont pas entrepris d’isolement/purification de l’échantillon d’un patient.

L’utilisation de « l’infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » est une erreur évidente, c’est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus (voir section 2 ci-dessus). L’isolat du virus par les autorités chinoises n’est pas confirmé.

Liberté d’information concernant l’isolement du CoV-2 du SRAS

Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey, intitulé : Demandes d’accès à l’information : Health/Science Institutions Worldwide « Have No Record » of SARS-COV-2 Isolation/Purification fournit de la documentation concernant l’identité du virus. [Voir en français : Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey]

Les demandes d’accès à l’information (FOI) ont été envoyées à quatre-vingt-dix institutions de santé/sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’iln’y a aucun dossier d’isolement/purification du CoV-2 du SRAS « ayant été effectué par qui que ce soit, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé et de sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro de ces enregistrements :

Nos demandes [au titre de la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement réalisés par l’institution concernée, ni aux dossiers rédigés par l’institution concernée, mais elles étaient ouvertes à tout dossier décrivant l’isolement/la purification du « virus Covid-19 » (alias « SRAS-COV-2″) réalisé par quiconque, jamais, dans le monde entier. »

Voir aussi : 90 institutions de santé et de sciences dans le monde entier n’ont pas réussi à citer même 1 record de purification du « SARS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, n’importe oùpar Peel sans fluorure, 04 août 2021

5. Les cycles d’amplification du seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides

Le test RT-PCR a été adopté par l’OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détecter le virus SARS-COV-2, conformément aux recommandations du groupe de recherche en virologie de Berlin (citées ci-dessus).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas « Nous avons commis une erreur ». La rétraction est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici)

Vous trouverez ci-dessous des extraits sélectionnés de mon article intitulé : L’OMS confirme que le test PCR du Covid-19 est invalide : les estimations des « cas positifs » n’ont pas de sens. Le confinement n’a aucune base scientifique.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles seuils d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et coll.

Le nombre de cycles d’amplification [devrait] être inférieur à 35 ; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de  virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire…

(Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en consultation avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (recommandé par l’OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de Covid-19 » comptabilisés dans le monde entier au cours des 22 derniers mois sont invalides.

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et coll., le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la « Rétraction » soigneusement formulée de l’OMS.

« Les directives de l’OMS Les tests diagnostiques du CoV-2 du SRAS stipulent qu’uneinterprétation minutieuse des faibles résultats positifs est nécessaire (1).Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas au tableau clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau à l’aide de la même technologie NAT ou d’une technologie différente. (soulignement ajouté)

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit vraiment infectée par le CoV-2 du SRAS diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »

« Positives invalides » est le concept sous-jacent

Il ne s’agit pas d’une question de « faible positif » et de « risque d’augmentations faussement positives ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie erronée » [non fiable] qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de Covid-19 ».

Ce que cet aveu de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du Covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de retester : « un nouvel échantillon devrait être prélevé et testé à nouveau… ».

L’OMS appelle à un « retest », ce qui équivaut à dire « Nous nous sommes trompés ».

Cette recommandation est pro forma. Cela n’arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir du début du mois de février 2020. Néanmoins, nous devons conclure qu’à moins d’être testées à nouveau, ces estimations (selon l’OMS) ne sont pas valides.

Dès le début, le test PCR a été régulièrement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de janvier 2020 de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 20 derniers mois à la compilation de statistiques erronées et trompeuses sur le Covid.

Et ce sont les statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « numéros officiels de Covid » (cas confirmés de Covid-19) n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté et un chômage de grande ampleur (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique :

« si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % 

Pieter Borger, Bobby Raj

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 % » : Il s’ensuit que l’utilisation de la détection de plus de 35 cycles contribuera de manière indélébile à « rmarcher » le nombre de « faux positifs ».

Le Mea Culpa de l’OMS confirme que la procédure de test PCR Covid-19 telle qu’appliquée est invalide.

La pandémie de grippe H1N1 de 2009 était-elle une « répétition générale » ?

En 2009, une pandémie de grippe H1N1 qui aurait touché 2 milliards de personnes a été menée par l’OMS.

Corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS : Plusieurs critiques, dont le Dr Wolfgang Wodarg a confirmé que la pandémie de grippe H1N1 était « faux »

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs de l’OMS pour déclarer une pandémie. En effet, le président de son influente commission de la santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Michael Fomento, 

Forbes10 février 2010

Rétrospectivement, la « pandémie » de Covid-19 est beaucoup plus grave et diabolique que la grippe H1N1 de 2009.

Voir l’analyse pertinente et rigoureusement documentée du Dr Wolfgang Wodarg sur le test RT-PCR tel qu’il a été appliqué par l’OMS en ce qui concerne la Covid-19.



Mot de la fin

Le test RT-PCR est le pistolet fumant. Cela invalide tout.

Il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Toute la banque de données est invalide.

Au moment d’écrire ces lignes, le nombre de « cas confirmés de Covid-19 » est de l’ordre de 260 millions dans le monde. Ces chiffres n’ont absolument aucun sens.

Aucune de ces données ne peut être classée comme « Confirmée ».

Le test PCR n’identifie pas le nouveau virus, et les fragments génétiques d’un coronavirus dit « similaire » de 2003 (SRAS-1) ne peuvent pas être utilisés comme moyen d’identifier le virus qui cause la Covid-19 ni pour identifier les variants mortels du nouveau coronavirus de 2019.

De plus, selon l’étude de la Freedom of Information (FOI) citée ci-dessus, l’isolat du nouveau coronavirus n’est pas confirmé.

Soutenu par une panoplie de mensonges, le récit Covid-19 est extrêmement fragile. Ce consensus repose sur une fausse science et une banque de données totalement invalide de prétendus « cas confirmés de Covid-19 ».

Il n’y a pas de pandémie.

Et en l’absence d’une pandémie de Covid-19, il n’y a aucune justification scientifique à la mise en œuvre du « vaccin » contre la Covid-19 qui a entraîné une tendance mondiale des décès et des blessures :

Comment Big Pharma a-t-il réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et coll.) ayant pour mandat de « protéger les personnes » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

Vaccin par rapport à quoi ? Le virus n’a pas été identifié.

De plus, le CoV-SRAS-2 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS de 2019, n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin Covid-19 dépend de la validité de centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données de mortalité liée au Covid. ( Voir Michel Chossudovsky, « Le virus existe-t-il ? »)

Que nous réserve l’avenir ?

Les gouvernements nationaux ont annoncé une cinquième vague, axée sur les prétendues « variants mortels » du SARS-CoV-2, y compris la variante Delta.

Ces soi-disant variants sont une véritable arnaque. Comment identifient-ils les « variants ». Le test PCR ne détecte ni le virus ni les variants du virus.

Il n’y a pas d’isolat du nouveau coronavirus enregistré. En outre, le test PCR « spécifique » [adapté] de l’OMS utilise comme substitut un virus similaire du CoV-SRAS de 2003 (qui a sans aucun doute beaucoup muté au cours des 19 dernières années).

« Les restrictions devraient être réintroduites ». … le variant Delta pose un « risque plus élevé d’hospitalisation. »

Ces annonces visent à justifier la poursuite des mesures politiques répressives, l’accélération du programme de vaccination, ainsi que la répression du mouvement de protestation.

Il n’y a pas de pandémie. La Finalité réside dans la Tyrannie.
La pandémie est utilisée pour imposer un nouvel ordre mondial.
Lorsque le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de possibilité de revenir en arrière.
La première étape consiste à démanteler l’appareil de propagande.
Le consensus Covid de l’élite est extrêmement fragile.
Il n’y a pas de pandémie.Ils n’ont pas d’argument sur lequel s’appuyer.
Ce consensus doit être rompu.

Michel Chossudovsky


Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, 13 chapitres :



Voir aussi : Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »


Lien vers l’article original :

Fake Science, Invalid Data: There is No Such Thing as a “Confirmed Covid-19 Case”. There is No Pandemic By Prof Michel Chossudovsky, November 26, 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) — Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021


[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




La virologie est-elle une religion ?

Par Jean Bitterlin

La Virologie (que l’on écrit avec une majuscule depuis qu’elle a pris le pouvoir sur le Monde) se veut science et pourtant elle présente de très importantes caractéristiques qui font penser qu’elle est avant tout une religion.

Voyons donc tout d’abord les définitions de la religion puisées dans le dictionnaire Larousse :

  1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré.
  2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
  3. Adhésion à une doctrine religieuse.

Ajoutons pour le plaisir la citation de José Cabanis :

« Tout y est vrai, pourvu qu’on y croie ».

Le dogme

Dans les grandes religions (et leurs variantes, voir ci-dessous) le sacré a été défini par l’homme : il s’agit de dieu, entité toute puissante que personne n’a vue (en dehors de quelques illuminés) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que clergé surtout, mais aussi fidèles, sont capables d’interpréter. Le dogme est donc l’existence de Dieu.

En Virologie, c’est le virus qui est l’entité toute puissante que personne n’a vue (même avec les microscopes les plus puissants du monde) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que seuls les virologues peuvent interpréter : la présence d’anticorps décrétés par eux comme étant spécifiques aux virus. Le dogme est donc l’existence des virus.

La dévotion des fidèles

Religions et Virologie ont toutes deux essentiellement recours à la terreur pour s’assurer de la dévotion des fidèles. Promesse de l’enfer éternel pour les premières, promesses d’épidémies ou de pandémies pour la seconde. Il vaut mieux suivre les préceptes du clergé, préceptes garants de vie éternelle dans l’au-delà ; si l’on suit ceux des virologues, la promesse est celle d’une vie sur Terre quasi éternelle. Carotte et bâton sont bien dans les deux cas le moyen utilisé pour obtenir la dévotion des fidèles.

Les religions expliquent de nombreux phénomènes par l’intervention divine. Si les récoltes sont bonnes, c’est que Dieu a apprécié les actions de grâce à son égard ; par contre sécheresse, inondation ou autres calamités témoignent de sa grande colère. Le clergé explique alors aux fidèles que Dieu avait de multiples raisons de ne pas être satisfait de leurs comportements ; ce que les fidèles reconnaissent volontiers quand ils sont dans le pétrin.

Le clergé virologue quant à lui invoque l’action des virus pour expliquer l’origine de nombreuses maladies. Le comportement des fidèles, là non plus, ne correspond que très rarement aux attentes du clergé ; d’où les épidémies. Malgré les moyens colossaux mis en œuvre dans les médias pour nous rappeler régulièrement notre grande vulnérabilité face aux virus, les couvertures vaccinales sont insuffisantes et les gestes barrières ont tendance à être absents.

Le clergé et les prophètes

Religions et Virologie ont toutes deux un clergé dont la hiérarchie est pratiquement identique. Au sommet de l’Église catholique (par exemple) il y a un pape qui donne le la aux évêques puis viennent les prêtres et les missionnaires. Dans la virologie il y a également un pape, le Dr Anthony Fauci (appelé également tsar de la Virologie), qui donne le la à des évêques (les responsables de santé publique), il y a des prêtres officiants (les médecins) et les missionnaires qui interviennent sur les plateaux à la télévision. La Virologie, comme l’église mormonne, a couvert les pays du Monde entier de missionnaires ; en France les plus célèbres sont Martin Blachier, Michel Cymes ou encore feu Jean-Daniel Flaysakier.

De temps en temps les hauts dignitaires (des religions ou de la virologie) se réunissent pour faire le point afin de s’assurer de la pureté de la foi et de la dévotion des fidèles.

Les religions ont de nombreux prophètes qu’elles vénèrent et dont elles aiment à citer les paroles (dites saintes paroles). La Virologie n’a que Jenner et Pasteur à présenter comme prophètes, mais ils sont d’autant plus vénérés. Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres est également présenté comme prophète, mais il faut bien reconnaître qu’il n’a pas rencontré de réel succès dans ses prophéties jusqu’à présent.

Répartition dans le Monde

Si les religions se partagent en plusieurs chapelles qui ont chacune une certaine préférence géographique, la Virologie a un très net avantage, car elle est unifiée et présente dans le Monde entier. Il faut dire qu’étant très récente au regard des premières elle n’a pas encore eu le temps de connaître de schisme.

L’apparition des variants

La religion monothéiste est apparue vers –1200 puis sont apparues diverses variantes, la religion chrétienne en l’an 0 de notre ère, puis la religion musulmane vers 600. Il y a également eu des religions variantes de la variante chrétienne avec les religions orthodoxe, protestante, et bien d’autres variantes encore (Témoins de Jéhovah, mormons et autres sectes).

La Virologie est un bloc soudé, mais ce sont les virus eux-mêmes qui présentent des variants. On appelle cela des mutations ou de nouvelles souches. En mutant, certains virus deviennent plus pathogènes (ça veut dire plus méchants) et plus contagieux. D’après les virologues le virus de la grippe prend chaque année un malin plaisir à muter rien que pour les embêter alors qu’ils avaient, disent-ils, préparé un vaccin avec ce qu’ils pensaient être la bonne souche.

Il faut aussi ajouter que le SARS-CoV-2 a battu tous les records de variants ; il y a même eu des variants de variants, avec le variant Delta tenant le haut du pavé. Rien qu’au 4 février 2021, le ministre britannique de la Vaccination annonçait qu’il y en avait plus de 4 000 ! Il doit y en avoir plusieurs dizaines de milliers aujourd’hui.

On ne sait pas trop non plus ce que le virus de la grippe a fait en 2020 ; il est pourtant malin comme un singe (ça se trouve qu’il provient d’un singe et s’est dit « hop, je fais un saut d’espèce » pour aller voir à quoi ressemblent les cellules humaines). Mais les virologues lui prédisent malgré tout un bel avenir pour 2022, 2023, et les suivantes puisqu’une grande partie de la population humaine étant désormais vaccinée contre le SARS-CoV-2 la voie est à nouveau dégagée pour le virus de la grippe.

Les guerres

Dans l’Histoire les conflits entre les adeptes des différentes religions ont été nombreux et particulièrement féroces.

Il en va de même pour les virus, et là encore c’est le plus fort qui l’emporte. C’est ainsi que le virus SARS-CoV-2, qui est apparu fin 2019 on ne sait trop comment en Chine, était tellement plus fort que celui de la grippe que ce dernier, lors de l’hiver 2019/2020 a tout juste eu droit à quelques petits vieux (et encore on n’en est pas sûr). Sa force provient sans doute de son enveloppe dont les virologues affirment qu’elle est hérissée d’épines (les fameuses protéines spike) si joliment dessinées par les artistes, alors que les virus de la grippe n’en possèdent apparemment pas. Malgré ses handicaps le virus de la grippe arrive à provoquer quasiment les mêmes symptômes que le terrible SARS-CoV-2 (fatigue, fièvre, toux, perte de goût et d’odorat) et comme lui s’attaque prioritairement aux personnes très âgées avec des comorbidités.

Les fêtes

Si la vie des religions est rythmée par des fêtes qui ont lieu chaque année à date plus ou moins fixe, les fêtes des virologues dépendent de phénomènes tels que les famines, les guerres et leurs conséquences (peste noire au 14e siècle, grippe espagnole entre 1918 et 1921), mais aussi de décisions prises par les grands prêtres de la Virologie (SIDA, H1N1, SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, etc.).

La célébration de la grippe dite saisonnière se distingue des autres fêtes virales, car elle est annuelle, et ce probablement depuis des siècles (hormis 2020 comme nous venons de le voir ci-dessus). Elle fluctue légèrement dans le temps en fonction de l’ensoleillement et des températures, ne semble pas dépendre des phases lunaires et bat généralement son plein du cœur à la fin de l’hiver. Les virologues occidentaux n’aimant pas trop les Chinois ont d’ailleurs longtemps parlé de « grippe asiatique » à son sujet puisque cette « saloperie » ne pouvait provenir que de Chine, les Chinois ayant l’habitude de manger toutes sortes de bestioles ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser que pas plus que la « grippe espagnole » n’avait pour origine l’Espagne, « la grippe asiatique » n’avait pour origine la Chine.

Le doute

Le doute n’est pas permis en religion : qui doute de l’existence de Dieu s’exclut de la communauté des croyants. Si un membre du clergé exprime publiquement ses doutes sur certaines orientations décidées par la Congrégation pour la doctrine de la foi (pour l’Église catholique par exemple) il est démis de sa fonction et de ses avantages et n’a plus qu’à créer une nouvelle église, ce qui est très difficile, ou suivre une formation quelconque (dans la restauration de nombreux postes sont à pourvoir) ou, au pire, s’inscrire au RSA (Revenu de Solidarité Active).

La Virologie demande également de son clergé qu’il fasse preuve de foi et de fidélité absolues. La Congrégation (appelée également Big Pharma) finançant directement ou indirectement toutes les recherches, les expériences sont donc automatiquement menées dans le cadre de la foi afin de donner les résultats escomptés. Ceux (les résultats) qui s’opposent au dogme ne peuvent qu’être entachés de grossières erreurs et finissent à la poubelle ; ce qui n’arrive pas souvent.

Le clergé de la virologie peut également compter sur la foi et la fidélité de ses nombreux domestiques qui sont très bien rétribués par la Congrégation ou par l’argent des contribuables. Dans ces conditions il est hors de question d’exprimer publiquement ses doutes sur certaines expériences ou de critiquer certains résultats, à moins de vouloir renoncer à un salaire plus que confortable et de se retrouver à la rue ; ou d’être à la retraite. L’exemple qui dissuade le clergé ou les domestiques de faire des bêtises est celui du célèbre professeur Peter Duesberg de l’Université de Berkeley qui avait, au début des années 1990, osé affirmer que le « virus » appelé VIH n’était en rien responsable du SIDA ; en réaction la Congrégation lui a tout supprimé : financement pour son laboratoire de recherche, étudiants du 3e cycle, conférences et publications dans des revues prestigieuses. De toute façon la Congrégation, qui possède également les médias mainstream fait savoir aux éventuels dissidents qu’ils ne pourront que « crier dans le désert ».

Conclusion

La science s’oppose aux religions dans le sens que « le premier devoir de tout scientifique est de vérifier rigoureusement ses propres assertions et d’essayer de les réfuter » comme le dit le biologiste Stefan Lanka. Ce dernier avait offert 100 000 euros à qui prouverait l’existence du virus de la rougeole ; le malheureux représentant de l’Institut Robert Koch (l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur) qui l’a poursuivi en justice n’a pu que présenter 6 soi-disant études scientifiques dont l’une présentait des erreurs grossières et les 5 autres ne faisaient que répéter ce que disait la première ; et le professeur Stefan Lanka attend donc toujours un postulant aux 100 000 euros.

Les religions ne peuvent suivre, par essence même, ce principe fondamental de vérification et de réfutation.

Mais la Virologie, tout comme les religions, ne suit pas non plus ce premier devoir ; poliomyélite et le SIDA illustrent cela parfaitement. Dans les deux cas, pour les virologues, seul un virus était responsable de la maladie et il était hors de question de vérifier s’il n’y avait pas d’autres causes. Pourtant :

L’isolation d’un virus, c’est-à-dire la séparation d’un virus de tout autre matériel génétique, serait la preuve scientifique de l’existence des virus. La Virologie n’a jamais réussi cela ; virus de la rougeole, VIH ou le tout récent SARS-CoV-2 n’ont jamais été isolés et il est donc malhonnête de prétendre à leur existence.

De plus la Virologie écarte tout simplement tous les faits avérés qui s’opposent au dogme de l’existence des virus. Qui sait, par exemple, que toutes les expériences faites lors de « l’épidémie de grippe espagnole » pour tenter d’inoculer le virus de la grippe à des bien-portants ont lamentablement échoué ?

La Virologie se situe donc clairement dans le domaine religieux : ELLE EST UNE RELIGION !

Jean Bitterlin 27 octobre 2021




Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés

Par Gabriel Baumgartner, docteur en physique EPFL,

auteur de :

Introduction

Le présent document constitue une synthèse des découvertes de l’année 2021 concernant l’inoculation contre la Covid-19. Il est rédigé dans l’idée de relever les aspects scientifiques et diffuser les questions ouvertes.

Il faut tout d’abord mesurer à quel point certains effets secondaires rapportés sont littéralement extraordinaires.

Ainsi, l’attraction entre certaines parties du corps et des aimants ou des parties métalliques suite à l’inoculation interpelle. Ce phénomène est si déconcertant qu’il est bien difficile de se convaincre de son existence. En tant que scientifique, j’ai cherché à comprendre ce phénomène qui dépasse l’entendement.

Au fil des découvertes, il apparaît que ce phénomène de magnétisme humain n’est qu’une pièce dans un gigantesque puzzle. Ainsi, au cœur de l’été est tombée une nouvelle stupéfiante concernant la composition de ces inoculations : la première analyse au microscope d’un vaccin Pfizer a détecté des particules identifiées comme un composé du carbone, plus précisément des nanoparticules de graphène. Cette nouvelle est particulièrement alarmante car aux nanoparticules est associée une nanotoxicité et celle du graphène a été étudiée depuis des années. La détection de graphène a été confirmée. Le 2 novembre 202, le docteur en chimie Pablo Campra de l’Université d’Almeria a publié son rapport intitulé :

Détection de graphène dans les vaccins Covid-19 par spectroscopie microRaman

Voici en 3 minutes, la présentation de ce rapport final par le Dr. Campra :



La détection de particules de graphène ouvre la voie à des recherches sur la composition des vaccins et soulève de graves questions. Comment expliquer la présence d’ingrédients potentiellement toxiques, non déclarés par les fabricants ? Quels peuvent être les effets de ces nanoparticules sur l’organisme ?

Ce document, destiné au plus grand nombre, fait la présentation de ces découvertes scientifiques qui modifient radicalement la compréhension de l’actualité.

Remerciements :

Je remercie chaleureusement le trio de laquintacolumna qui a initié en Espagne un travail d’analyse exceptionnel :

Grâce leur rigueur scientifique et à leurs intuitons, ce trio a ouvert des réflexions qui méritent d’être diffusées dans le grand public.

Effets biomagnétiques

Depuis le début de la campagne de vaccination, la population du monde entier observe un phénomène inédit dans l’histoire de l’humanité. Des personnes ont testé une attraction de type magnétique sur leur corps. Des pièces de monnaie et objets métalliques en tout genre restent collés au point d’injection du vaccin contre le virus Covid-19.

Cette information est tellement stupéfiante qu’elle ne paraît même pas croyable. Surtout après avoir tellement entendu de la part de nos autorités que le vaccin est sûr et efficace. Il paraît vraiment impossible de voir un tel phénomène se produire. A contrario, dans un monde normal, si phénomène aussi irréel venait à se produite, c’est tout le mythe vaccinal qui viendrait à s’effondrer.

Voici un témoignage, daté du 30 mai, du médecin Pedro Chavez au Mexique qui a fait des observations sur ses propres patients (voir sous son interview).

D’autres témoignages, issus de partout dans le monde, ont rapporté ce phénomène invraisemblable. On voit l’adhérence d’objets de masse variable. De plus, le magnétisme s’étend souvent à partir du bras sur tout le tronc.

(image tirées des émissions de laquintacolumna)

L’histoire devient encore plus irrationnelle lorsque l’ on voit comment cette information a été niée, notamment sur internet. Une recherche ne propose que des sites qui démontent ces observations :

Ainsi, il apparaît d’emblée que nous vivons une guerre de la connaissance et de l’information.

Tous les sites listés nient l’existence du biomagnétisme. Voici un exemple d’argumentation :

https://www.rtbf.be/info/societe/detail_les-vaccins-contre-le-coronavirus-ne-rendent-pas-magnetiques-les-bras-des-vaccines?id=10777776

Des vidéos et des photos de personnes parvenant à se coller des objets métalliques sur la peau après avoir été vaccinées contre le Covid-19 circulent abondamment sur les réseaux sociaux. Ce phénomène fait dire à certains militants « antivax » que cela prouverait que les vaccins contiennent des puces ou rendent magnétiques le bras. Il n’y a pourtant pas de puce dans les vaccins et ils ne peuvent pas non plus rendre les bras magnétiques. Les explications de ce phénomène sont à chercher ailleurs, notamment dans un état de la peau qui permet de rendre le bras « collant ». Ce changement de l’état de la peau pourrait, par ailleurs, être induit pas la réaction inflammatoire créée par l’injection du vaccin mais cette théorie n’est pas démontrée et demande des analyses scientifiques plus poussées.

……………

Divers trucages possibles

Si les vaccins ne contiennent pas de puces électroniques et ne contiennent aucun élément permettant de rendre le bras magnétique, des trucages sont bien efficaces pour créer le phénomène.

De l’adhésif transparent, des résidus de colle des pansements, ou même du miel permettent de coller des objets à la peau sans que cela se voie, comme l’a démontré l’équipe du site de fact checking « Fact and Furious ». Une autre hypothèse est celle d’une éventuelle prothèse d’épaule. Cette dernière peut contenir du cobalt et est donc susceptible d’attirer des aimants.

Il est donc impossible de se fier aux moteurs de recherche Internet. Par contre, à partir du moment où des médecins et un chercheur réputé comme Stefano Montanari, spécialiste de l’analyse des vaccins en Italie, a rapporté le biomagnétisme, le phénomène pouvait être considéré comme un fait acquis.

Pour compléter les témoignages, un lien britannique à ce sujet :

https ://www.notonthebeeb.co.uk/magnetism

À ce jour, aucune institution n’a relevé l’existence du biomagnétisme.

Il faudra donc se tourner vers des chercheurs indépendants et notamment le trio de laquintacolumna pour commencer à comprendre ce qui nous arrive.

Détection d’un composé non déclaré

En Espagne, bien avant la crise du Covid 19, Ricardo Delgado, le fondateur du site la quintacolumna, avait constaté un lien entre des décès dans des maisons de retraite et un vaccin particulier contre la grippe. En collaboration avec le docteur José-Luis Sevillano, ils ont cherché quel pourrait être le composé du vaccin qui expliquerait cet excès de décès. Ils ont pensé à un matériau : le graphène. Dès lors, ils ont entrepris d’analyser la composition de divers vaccins pour comprendre cette anomalie.

Ils ont réussi à détourner une fiole de vaccin Pfizer contre Covid-19 et ils ont demandé une analyse à l’Université d’Almeria.

Un premier rapport, dit préliminaire, est sorti fin juin. Il a montré, pour la première fois, que des nanoparticules étaient visibles au microscope optique et elles ont été également détectées avec d’autres méthodes (spectromètres et microscopie électronique).

Le docteur en chimie Campra, qui est l’auteur du rapport, a conclu qu’il s’agissait probablement de nanoparticules de graphène. Pour comprendre les graves questions qui se sont posées suite à la découverte d’une nanoparticule toxique pour l’organisme, nous allons commencer par voir en quoi consiste ce matériau et quelles sont ses caractéristiques.

En quoi consiste le graphène ?

Pour comprendre ce qu’est le graphène, partons du graphite qui est le matériau qui constitue une simple mine de crayon. Le graphite est uniquement constitué d’atomes de carbone, liés les uns aux autres. Sa structure montre des plans de carbone superposés. À partir de cette structure, il suffit de détacher un seul plan pour obtenir le graphène.

Atomes de carbone liés formant un plan de graphène

Le graphène est donc un composé qui n’a qu’une seule couche atomique, comme il s’apparente à une feuille et non à un volume, on parle d’un matériau bidimensionnel. Sa hauteur, avec une seule couche d’atomes, est la plus petite que l’on puisse créer. Il faut cependant préciser qu’il existe beaucoup de variantes de graphène. Ainsi, on parle de graphène même s’il comporte plusieurs couches (jusqu’à 10 couches).

À cette échelle de grandeur, on a affaire à un nanomatériau. Si nous prenons 1 mm que nous le divisons par 1000 nous obtenons 1 micromètre et c’est presque la limite observable au microscope optique. Divisons encore par 1000 et obtenons un nanomètre (nm). A cette échelle, on utilise des microscopes électroniques qui envoient des électrons sur l’échantillon à analyser.

Une nanoparticule de graphène est un petit bout de ce plan. C’est comme si l’on prend un kleenex et qu’on le déchire pour faire des confettis.

Le graphène est extraordinaire à bien des égards. Rendez-vous compte qu’un hamac imaginaire de 1 mètre carré de surface ne pèserait que 0,77 milligrammes, soit moins qu’une unique moustache de chat. Un tel hamac pourrait cependant supporter le poids d’un chat de 4 kilos !

Si un tel hamac était constitué d’une feuille d’acier mesurant la même épaisseur, il ne supporterait que 40 grammes, soit 100 fois moins que le graphène.

En lui attachant des molécules, on peut modifier le graphène. Cette fonctionnalisation chimique va permettre de le rendre soluble dans un fluide ou même magnétique. Grâce à cette capacité de fonctionnaliser ce matériau, il existe toute une chimie et une physique propre au graphène.

C’est bien sûr sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique qui focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène :

  • Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant ( 100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique
  • La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.
  • Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène est au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il est le matériau rêvé pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer un certain paramètre biologique et transmettre le résultat sans connexion filaire.

Pour la synthèse du graphène en partant du graphite, il y a diverses méthodes, on passe par une phase intermédiaire d’oxyde de graphène qui est le précurseur du graphène.

Dans le rapport, l’oxyde de graphène de référence représenté ci-dessous a été comparé aux particules présentes dans le vaccin.

Si l’on déchire ce plan de graphène pour en faire des confettis, on obtient des nanoparticules de taille et de forme variable.

Résultat de l’analyse au microscope optique

La taille (en surface) de ces nanoparticules est suffisamment grande pour pouvoir les observer au microscope optique. À droite, nous voyons une particules de graphène de type monocouche de référence, comparée à gauche avec une particule trouvée dans le vaccin. La similitude est complète, le graphène se présente comme un petit morceau de kleenex déposé au fond d’un récipient plein de liquide. Il comporte des plis et apparaît un peu froissé.

Voici d’autres particules, identifiées comme du graphène, présentes dans le vaccin analysé :

À part le microscope optique, d’autres méthodes ont été utilisées dont le microscope électronique et une méthode de spectroscopie. (voir l’annexe 1)

Pour affiner ces résultats, le Dr. Campra a entrepris une étude avec une technique d’analyse qui permet d’identifier un composé avec davantage de fiabilité. Cette technique combine un microscope avec un spectromètre de type Raman et elle a fourni des résultats qui ont confirmé la présence de graphène.

Le fait de combiner le microscope et le spectromètre dans le même appareil permet un grand niveau de confiance dans le résultat. On peut ainsi assurer que la particule pointée grâce à l’optique est analysée par le faisceau de spectromètre.

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Rapport final

https://www.dropbox.com/s/tnnq4ftw818chmx/FINAL_VERSI%C3%93N_CAMPRA _REPORT_DETECTION_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.pdf?dl=0

OU

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHEN E_IN_COVID19_VACCINES

Une solution de graphène acheté dans le commerce a constitué la référence. Elle contient divers types de graphène. Ci-dessous, on voit une particule monocouche quasi transparente et une particule noire multicouche :

Voici un résultat de détection au microscope optique dans un vaccin Pfizer :

Après avoir déposé une goutte de vaccin sur le support du microscope, on laisse cette goutte s’évaporer un certain temps et on voit à gauche une forme blanche qui correspond à ce qu’il en reste après évaporation. On voit une particule en noir qui est alors analysée avec le spectromètre Raman. Il s’agit d’envoyer un faisceau laser sur la particule et d’analyser le rayonnement qui sera émis en retour. La position des pics sur le spectre a permis d’identifier le graphène. Il s’agit ici d’une particule multicouche, d’où sa couleur noire.

Plusieurs vaccins ont été étudiés et du graphène a été détecté dans les vaccins Pfizer, Astrazeneca, Moderna et Janssen.

L’importance de ce rapport

Omettre de mentionner un composé toxique dans l’injection contre la Covid 19 est un délit contre la santé publique. La quintacolumna avait déjà formé un réseau qui avait alerté les préfets en envoyant les résultats du rapport préliminaire.

Désormais, l’intention est de relancer les plaintes dans toute l’Espagne sur la base des conclusions du dernier rapport du Dr. Campra. Porter cette affaire en justice va de pair avec une opération de diffusion des conclusions scientifiques de ce rapport.

En principe, l’inoculation est le fruit d’un choix conscient. A défaut d’information sur la présence de graphène et de sa toxicité, il est clair qu’il n’est pas possible de donner un consentement éclairé.

Dans la prochaine section nous allons découvrir les divers aspects de la toxicité du graphène.

Auparavant, il faut savoir que la présence de graphène dans les vaccins se confirme en consultant des brevets et des patentes.

L’état de la recherche confirme la présence d’oxyde de graphène

Le graphène a fait l’objet d’intenses recherches qui ont été largement financées par nos institutions au travers du projet Graphene Flagship . Les brevets déposés concernant le vaccin contre le coronavirus sont sans équivoque, comme le montre ce brevet chinois.

Abstract

The invention belongs to the field of nano materials and biological medicines, and relates to a vaccine, in particular to development of a 2019-nCoV coronavirus nuclear recombinant nano vaccine. The invention also comprises a preparation method of the vaccine and application of the vaccine in animal experiments. The novel coronavirus vaccine contains graphene oxide, carnosine, CpG and novel coronavirus RBD —–

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

……

Le brevet KR02010028065, déposé en Espagne (sollicité par KIM H. S. de Corée) pour une solution saline contenant du graphène, précise que le vaccin contre le coronavirus en contient également :

Finalement, l’intuition initiale de la quinta columna suivant laquelle le graphène était présent dans plusieurs vaccins s’est bel et bien confirmée, il a été détecté dans un vaccin contre la grippe de l’année 2019.

Enfin, voici des images du vaccin PROQUAD, destinée aux enfants entre 9 mois et 3 ans contre diverses pathologie dont la rubéole et la varicelle, photos du bas, comparé à une référence d’oxyde de graphène, photos du haut :

Toxicité de l’oxyde de graphène

La toxicité des nanoparticules de graphène est un sujet bien connu. Voici un tour d’horizon d’articles sur la question (extraits d’articles).

Le premier article montre les divers modes d’interaction entre la nanoparticules de graphène et une cellule. Ce qui est mis en évidence est que la dimension nano joue un rôle particulier car un telle particule peut s’introduire dans une cellule et s’intercaler dans tous les tissus.

https://particleandfibretoxicology.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12989-016-0168-y

Résumé

Cette revue rassemble des études sur les effets toxiques des GFN dans plusieurs organes et modèles cellulaires. Nous soulignons également que divers facteurs déterminent la toxicité des GFN, notamment la taille latérale, la structure de surface, la fonctionnalisation, la charge, les impuretés, les agrégats et l’effet couronne, etc.

Interactions possibles entre les matériaux liés au graphène avec les cellules (les flocons de graphène ne sont pas à l’échelle).

  1. Adhérence sur la surface externe de la membrane cellulaire.
  2. Incorporation entre les monocouches de la bicouche lipidique de la membrane plasmique.
  3. Translocation de membrane.
  4. Internalisation cytoplasmique.
  5. Endocytose médiée par la clathrine.
  6. Internalisation endosomale ou phagosomique.
  7. Localisation lysosomale ou autre compartiment périnucléaire.
  8. Localisation exosomale.

Effets sur le sang

Les 2 prochains articles montrent que le graphène va déclencher des pathologies semblables à la Covid 19.

https://www.researchgate.net/publication/328338305_Graphene_Oxide_Touches_Bloo d_In_Vivo_Interactions_of_Bio-Coronated_2D_Materials

L’oxyde de graphène est le sujet brûlant de la recherche biomédicale et pharmaceutique de cette décennie. Cependant, ses interactions complexes avec les composants du sang humain compliquent la transition des résultats prometteurs in vitro vers les paramètres cliniques. Même si l’oxyde de graphène est composé des mêmes atomes que nos organes, tissus et cellules, sa nature bidimensionnelle provoque des interactions uniques avec les protéines sanguines et les membranes biologiques et peut entraîner des effets graves tels que la thrombogénicité et l’activation des cellules immunitaires.

…….

Notre objectif est de faire la lumière sur les problèmes non résolus de la littérature corona d’oxyde de graphène afin de jeter les bases du développement futur de la technologie d’administration de médicaments.

In the journey of GO after injection in our body, the first process that occurs is undoubtedly the binding of plasma proteins on its surface (see Fig. 3-1). Intravenously injected nanoparticles encounter multiple lines of defense intended to neutralize the invaders. The first and most critical defense line is the blood protein adsorption and formation of the biomolecular corona (BC).
[Traduction : Dans le parcours de l’Oxyde de Graphène (OG) après injection dans notre corps, le premier processus qui se produit est sans aucun doute la liaison des protéines plasmatiques à sa surface (voir Fig. 3-1). Les nanoparticules injectées par voie intraveineuse rencontrent de multiples lignes de défense destinées à neutraliser les envahisseurs. La première ligne de défense, la plus critique, est l’adsorption des protéines sanguines et la formation de la couronne biomoléculaire (CB).]

Of the thousands of proteins present in our body, 10 to 50 may take part in a nanomaterial BC. The subset of blood proteins that have been identified in at least one nanomaterial BC has been named ‘‘adsorbome’’.
[Traduction : Sur les milliers de protéines présentes dans notre corps, 10 à 50 peuvent prendre part à une CB de nanomatériaux. Le sous-ensemble des protéines sanguines qui ont été identifiées dans au moins un nanomatériau CB a été nommé  »adsorbome ».]

Fig. 3 Main results of GO interaction with blood components are summarized in this illustration of the injection of GO flakes in the bloodstream. The formation of the BC (1) prevents the hemolysis of red blood cells (2a). Thrombosis (2b) and interaction with complement proteins (2c) are ascribed to GO. In (2d) some of the possible fates after macrophage encounters are shown: extracellular blocking or intracellular uptake. The release of cytokines occurs when macrophages uptake GO. Aggregates of GO in macrophage cytoplasm induce the production of pro-inflammatory cytokines. Dendritic cells fail to present antigens to lymphocytes when they uptake GO (2e). Lymphocyte activity is not inhibited, and BC protects lymphocytes from apoptosis (2f).
[Traduction : Les principaux résultats de l’interaction de l’OG avec les composants sanguins sont résumés dans cette illustration de l’injection de paillettes d’OG dans la circulation sanguine. La formation de CB (1) empêche l’hémolyse des globules rouges (2a). La thrombose (2b) et l’interaction avec les protéines du complément (2c) sont attribuées à l’OG. Dans (2d), certains des destins possibles après la rencontre avec les macrophages sont montrés : blocage extracellulaire ou absorption intracellulaire. La libération de cytokines se produit lorsque les macrophages absorbent de l’OG. Les agrégats d’OG dans le cytoplasme des macrophages induisent la production de cytokines pro-inflammatoires. Les cellules dendritiques ne parviennent pas à présenter des antigènes aux lymphocytes lorsqu’elles absorbent de l’OG (2e). L’activité des lymphocytes n’est pas inhibée, et la CB protège les lymphocytes de l’apoptose (2f).]


https://iopscience.iop.org/article/10.1088/2515-7639/ab5844

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par des espèces réactives de l’oxygène produites dans les cellules, qui à leur tour interagissent avec diverses biomolécules, y compris l’ADN. Dans cette revue, nous avons cherché à discuter de différentes études de génotoxicité réalisées avec des Graphene Based Materials en mettant l’accent sur les différents types et conditions cellulaires. En comparant et en discutant de tels rapports, les scientifiques seront en mesure de concevoir des GBM non toxiques pour de futures études précliniques et/ou cliniques.

On pense que le principal mécanisme de toxicité du graphène est causé par les espèces réactives de l’oxygène (ROS) produites dans les cellules. L’interaction des cellules avec GO, qui est la forme oxydée du graphène, provoque une production excessive de ROS , avec l’augmentation de la production de ROS, entraînant un stress oxydatif . ROS agit comme un messager secondaire dans de nombreuses cascades de signalisation cellulaire. Les ROS affectent également de manière significative les processus cellulaires et le métabolisme, tels que la fragmentation de l’ADN, les fractures des lipides membranaires et la dénaturation des protéines. Les dommages aux protéines et à l’ADN causés par les ROS conduisent à la mort cellulaire par des voies apoptotiques et nécrotiques . Par exemple, GO provoquerait l’apoptose et l’inflammation du tissu pulmonaire après inhalation chez les souris C57BL/6,

Lorsque l’oxyde de graphène (GO) est associé au polyéthylène glycol (PEG), on obtient un composé dont nous allons reparler plus loin du fait qu’il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et devenir ainsi particulièrement nocif.

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acs.molpharmaceut.6b00696

Le revêtement en polyéthylène glycol (PEG) a été fréquemment utilisé pour améliorer le comportement pharmacocinétique des nanoparticules.
Les études qui contribuent à mieux démêler les effets de la PEGylation sur la toxicité de la formulation de nanoparticules sont donc très pertinentes. Dans la présente étude, l’oxyde de graphène réduit (rGO) a été fonctionnalisé avec du PEG, et ses effets sur les composants clés de la barrière hémato-encéphalique, tels que les astrocytes et les cellules endothéliales, ont été analysés en culture et dans un modèle de rat in vivo. Les études in vitro ont démontré une toxicité dépendante de la concentration. La concentration la plus élevée (100 μg/mL) de rGO non pégylée a eu une influence toxique plus faible sur la viabilité cellulaire dans les cultures primaires d’astrocytes et de cellules endothéliales de cerveau de rat, tandis que la rGO pégylée a induit des effets délétères et la mort cellulaire.


https://www.nature.com/articles/srep03469

Maintenant, il est possible de fabriquer du GO de haute qualité en grandes

quantités 14, 15 et sa production industrielle augmente de façon exponentielle. Avec ses applications potentielles dans le domaine biomédical, la biosécurité de GO est d’une importance critique. De nombreuses investigations ont porté attention à sa biocompatibilité 16, 17, 18, 19. À une concentration d’environ 50 g/mL ou plus, GO commence à montrer la toxicité contre les érythrocytes, les fibroblastes et les cellules PC12. Il peut induire l’apoptose cellulaire, l’hémolyse et le stress oxydatif 16, 18, 19. La modification chimique de surface, telle que la PEGylation, est susceptible d’améliorer la biocompatibilité de GO 20, 21. Cependant, les liaisons chimiques liant le GO au polymère modifié peuvent être rompues in vivo , ainsi le GO modifié en surface peut également induire une toxicité in vivo .

GO a interféré avec la réplication de l’ADN et induit une mutagenèse au niveau moléculaire

Il a été rapporté que les nanofeuillets GO peuvent s’intercaler efficacement dans les molécules d’ADN24. Nous émettons donc l’hypothèse que GO peut interagir avec l’ADN génomique et interférer avec la réplication des gènes. Pour tester cette hypothèse, nous avons examiné l’interaction entre GO et ADN génomique.


https://link.springer.com/article/10.1007/s00005-015-0369-3

Résumé

Le graphène et l’oxyde de graphène (GO), en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur biocompatibilité, peuvent être utilisés comme matériau biomédical innovant dans la biodétection, la distribution de médicaments dans le corps, le traitement des néoplasmes, la médecine régénérative et la chirurgie implantaire. Les recherches sur l’utilisation biomédicale du graphène et du GO qui ont été menées jusqu’à présent sont très prometteuses et montrent que les nanomatériaux de carbone présentent une haute biocompatibilité.

Cependant, l’intolérance du système immunitaire aux nanomatériaux de graphène, si faible soit-elle, peut en conséquence rendre impossible leur utilisation en médecine. Cet article montre le mécanisme spécifique de l’influence moléculaire du graphène et du GO sur les macrophages et les lymphocytes dans des conditions in vitro et in vivo et leur application pratique en médecine.

On ne peut qu’être interpellé par les contradictions de cet article de 2015. On commence par évoquer des recherches prometteuses de nanomatériaux qui sont biocompatibles. Ensuite, on constate l’intolérance du système immunitaire au graphène. Finalement, on conclut qu’il pourrait être impossible de l’utiliser en médecine.

Il est légitime de s’interroger sur les motivations de ces chercheurs.

Si l’on prend un matériau toxique, par quel tour de passe-passe peut-il être qualifié de prometteur ? Comment mettre en avant sa biocompatibilité ?

Comment espérer un progrès scientifique en partant d’un matériau toxique ? Force est de constater qu’en dépit de son caractère toxique, le graphène a trouvé en 2021 beaucoup d’applications, notamment dans les vaccins.

Cette étude démontre que l’oxyde de graphène induit la cytotoxicité et l’apoptose dans les cellules pulmonaires humaines.


Cet article traite de la manière d’éliminer le graphène.

D’autres articles portant sur les organes de reproduction

Il ressort de ce tour d’horizon que la toxicité du graphène n’est pas à démontrer.

Malgré cela, on poursuit encore et toujours les recherches pour mieux cerner la toxicité du graphène. Ainsi, en 2018, un article relance encore le débat autour de la toxicité :

https://link.springer.com/article/10.1557/jmr.2017.388

« En tant que tel, une compréhension globale de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène est d’une importance cruciale. Cette revue présente une élucidation à jour de l’hémotoxicité des nanomatériaux de graphène à travers leurs interactions avec les protéines sanguines et les cellules, et offre quelques perspectives sur les défis actuels, les opportunités et le développement futur de ce domaine important.¨


Il faut savoir que depuis l’arrivée des nanoparticules, la compatibilité avec la biologie humaine et animale fait l’objet de recherches. Il n’est pas vraiment pertinent de parler de ¨défi actuel¨ à telle ou telle date car le problème de la toxicité est intrinsèque aux nanomatériaux du fait de leur taille.

À l’heure où le graphène est introduit massivement et vient interagir avec le monde animal et végétal, il apparaît urgent de prendre conscience des limites à respecter en matière de compatibilité entre les nanoparticules et les organismes vivants

L’article suivant montre bien que la recherche ne se donne aucune limite et qu’une révolution basée sur l’introduction du graphène est en marche, quelles qu’en soient les conséquences.

https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fnsys.2018.00012/full

Devant. Syst. Neurosci., 11 avril 2018 | https://doi.org/10.3389/fnsys.2018.00012

« La communauté scientifique a été témoin d’une augmentation exponentielle des applications du graphène et des matériaux à base de graphène dans un large éventail de domaines, de l’ingénierie à l’électronique en passant par les biotechnologies et les applications biomédicales. Pour ce qui concerne les neurosciences, l’intérêt suscité par ces matériaux est double. D’un côté, des nanofeuillets constitués de graphène ou de dérivés de graphène (oxyde de graphène, ou sa forme réduite) peuvent être utilisés comme supports pour l’administration de médicaments. Ici, un aspect important est d’évaluer leur toxicité, qui dépend fortement de la composition des flocons, de leur fonctionnalisation chimique et de leurs dimensions. D’un autre côté, le graphène peut être exploité comme substrat pour l’ingénierie tissulaire.¨

¨Dans cette revue, nous essayons de donner une vue d’ensemble des réalisations et des nouveaux défis du domaine, ainsi que quelles sont, à notre avis, les directions les plus excitantes à prendre dans un avenir immédiat. Il s’agit notamment de la nécessité de concevoir des nanoparticules multifonctionnelles (NP) capables de traverser la barrière hémato-encéphalique pour atteindre les cellules neurales et d’assurer la livraison à la demande de médicaments spécifiques.¨

Applications du graphène en neurosciences

¨Les applications biomédicales du graphène représentent un domaine en expansion continue. Les traitements traditionnels des troubles du système nerveux central (SNC) présentent un certain nombre de défis. Par conséquent, le développement de nouveaux outils qui surpassent les technologies de pointe pour l’imagerie, l’administration de médicaments, la régénération neuronale et l’enregistrement et la détection électriques est l’un des principaux objectifs des technologies modernes. médecine et neurosciences¨

Confirmation et découverte d’autres nanoparticules

À la suite des travaux du Dr. Campra, plusieurs chercheurs ont procédé à l’analyse des différents vaccins et ont confirmé la présence de graphène.

De plus, d’autres nanoparticules ont été détectées, notamment des métaux lourds en grande variété. Avant de lister ces travaux, il faut les placer dans un contexte historique

En soi, la présence de nanoparticules de métaux lourds n’est pas une découverte au même titre que le graphène. La détection de métaux lourds est une inquiétante réalité depuis bien des années, comme l’avait déjà montré une étude de Stefano Montanari et Antonella Gatti en 2017.

Grâce à une nouvelle technique d’analyse, leur travail avait déjà révélé que les 44 vaccins testés à l’époque contenaient des particules non déclarées par les fabricants.

Voici l’essentiel de ce travail.

https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html

Reçu : 30 novembre 2016 | Publié: 23 janvier 2017

Résumé

Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin d’apporter de nouvelles informations, une méthode d’investigation en microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un Microscope Electronique à Balayage Environnemental équipé d’une microsonde à rayons X.

…….

Matériaux et méthodes

44 types de vaccins provenant de 2 pays (Italie et France) ont été analysés. …

Résultats

Les investigations ont permis de vérifier la composition physico-chimique des vaccins considérés selon la composante inorganique déclarée par le Producteur. En détail, nous avons vérifié la présence de sels salins et d’aluminium, mais une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas, dont la présence n’était pas déclarées dans les notices livrées dans l’emballage du produit.

Images d’une particule individuelle, d’amas de micro- et nanoparticules (<100 nm) avec son spectres EDS.

On détecte : Fer, Silicium, Calcium Titane, Chrome,

Discussion

La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcerté. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement à l’approche du moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration.

Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et qu’elles se comportent comme tels.

Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité qui, de toute façon, est toujours là, celle typique des corps étrangers. Pour cette raison, ils induisent une réaction inflammatoire.

Résultats d’analyse de vaccins Covid 19

Voici un exemple de détection de nanoparticules de fer et de chrome dans le région à gauche en rouge.

PROF. WERNER BERGHOLZ (CORONA COMMITTEE 71) ‘VAXXED BATTLE BODIES / CONTAMINATED SERUM’


Voilà une étude très complète de l’équipe du Dr. Robert Young :

D’autres études indépendantes qui ont analysé la composition ont découvert des nanoparticules est sont répertoriées dans l’Annexe 2.

À part ces découvertes issues de l’analyse expérimentale, Karen Kingston, présentée comme une ancienne employée de Pfizer a expliqué la composition du vaccin et comment remonter au graphène en partant des composés listés dans la composition.

Elle explique que le graphène est lié à la molécule de PEG qui apparaît dans la composition. On a déjà vu que le procédé de PEGylation du graphène était bien étudié (voir sous toxicité).

https://rumble.com/vkgdq7-deadly-shots-former-pfizer-employee-confirms-poison-in-covid-vaccine.html



Karen Kingston analyse également le vaccin Moderna et évoque un composé, le SM-102, qui est vendu pour la recherche uniquement, en excluant une utilisation biologique.

https://exoportail.com/urgent-le-connecticut-publie-la-liste-des-ingredients-des-doses-de-moderna-qui-contiennent-un-produit-chimique-nocif-pour-les-humains-et-les-animaux/

Deux faits dans un gigantesque puzzle

À ce stade, nous avons 2 faits scientifiques confirmés qui constituent les pièces d’un puzzle:

  • Le phénomène de biomagnétisme. Du jamais vu chez l’être humain.
  • La détection de nanoparticules dans tous les vaccins , tant de graphène que divers métaux.

Avant de s’interroger sur des conséquences dans l’organisme de ces nanoparticules, ajoutons dans ce puzzle le fait que ces informations ne sont absolument pas relayées dans les médias. Pourtant, dans un monde humaniste ces deux faits scientifiques sont de nature à provoquer une déflagration médiatique.

Au contraire, nous avons droit à une désinformation systématique par tous les médias.. Le grand public qui utilise largement Internet pour s’informer va trouver un message unanime : pas de graphène dans les vaccins.

Résultats de recherche avec : graphène vaccin covid

En Espagne, le site maldita.es a totalement discrédité le rapport préliminaire du Dr. Campra.

https://maldita.es/malditaciencia/20210916/informe-universidad-almeria-vacuna-covid-19-pfizer-grafeno-oxido/

Ce site a montré ce qu’il faut prendre pour un communiqué de l’Université d’Almeria, communiqué non signé et véhiculé pat Tweeter . Le texte évoque ¨des fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux¨ . Notez que ce faux communiqué de l’Université est lui-même diffusé sur le réseau Tweeter.

La guerre d’information est donc profonde et palpable à travers la corruption qui sévit tant dans les sciences qu’au niveau politique.

Une gestion mafieuse du secteur de la santé a été constatée au niveau de l’UE depuis des années, voici l’extrait d’un rapport, établi en 2014, sur la question :

Il était déjà alarmant que la corruption dans le secteur de la santé soit aussi généralisée et que ce rapport anticorruption de 2014 constate avec résignation son impuissance.

La tournure des événements, depuis le début de la crise coronavirus, a bien démontré à quel point la science est également corrompue. Ces déclarations de 3 journaux de référence du secteur de la santé donnent bien l’état des lieux.

Comme l’affirme cet éditorial du British Medical Journal : lorsque la bonne science est supprimée les gens meurent.

3 exposés pour mieux comprendre cette effroyable anarchie intellectuelle qui règne actuellement à tous les niveaux:

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, esposé à l’IHU Marseille La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

Présentation sur la corruption systémique

https://reinfocovid.fr/articles_video/jean-dominique-michel-la-corruption-systemique-partie-3-tribune-reinfo/

« Tout ce que je vais vous dire est su connu et documenté mais d’un autre côté cela à l’air scandaleux d’en parler parce que c’est un tabou collectif. Il y a une logique criminelle qui est devenue la norme en matière industrielle c’est vrai aussi dans la finance.

En ce qui concerne les politiques de santé c’est la même chose…¨

[Ndlr : vidéo censurée.]

Science sans conscience 5 avec Denis Rancourt

Crise du Covid-19 : le triomphe de la « science » sans conscience – Jérémie Mercier (jeremie-mercier.com)



Discussion de l’état de la recherche et de l’article qui annonce l’efficacité des essais sur les vaccins.

Études sur le sang

Le sang des personnes vaccinées a montré des modifications impressionnantes.

Plusieurs documents montrent une modification des globules rouges qui s’empilent pour former des rouleaux.

Dr. Zandre Botha was shocked after studying the blood of « vaccinated » patients that were coming to her with serious illness after being injected with the shots being called « Covid vaccines ».

https://gloria.tv/post/CYb3Qraejiiy2SRLNkusqEjaC

comparaison du sang chez la même patiente avant et après vaccination :

Formation de rouleaux autour d’une nanoparticule

https://www.ethiccitizen.com/2021/08/24/les-effets-de-la-vaccination-sur-le-sang/

[Ndlr : site non actif au moment de la publication du présent article.]

Jane Ruby présente des résultats d’analyse de sang



laquintacolumna



Un composé du vaccin a donc provoqué une force attractive sur les globules rouges.

À défaut d’avoir les explications des fabricants, qui affirment avoir testé ces thérapies, les chercheurs indépendants tentent des explications basées sur la présence de graphène.

On suppose que le graphène acquiert des propriétés magnétiques à l’intérieur de l’organisme au contact de l’hydrogène.

Dr. Andrew Goldsworthy avance que la molécule de graphène est le siège de grands courants susceptibles d’aimanter ce qui l’entoure . Cela pourrait aimanter l’atome de fer de l’hémoglobine. Le globules rouges se comporteraient ainsi comme des aimants et s’empileraient en rouleaux.

https://www.notonthebeeb.co.uk/post/imperial-college-london-dr-andrew-goldsworthy

IMPERIAL COLLEGE LONDRES – Dr Andrew Goldsworthy sur le magnétisme induit par un vaccin

POINTS FORTS :

« … Où qu’il (le magnétisme) aille, il pourrait faire des ravages dans la perméabilité cellulaire et avoir toutes sortes d’effets biologiques, y compris l’insuffisance cardiaque, la maladie d’Alzheimer prématurée et, lorsque les mitochondries sont affectées, la fatigue chronique…. « 

On peut aussi faire l’hypothèse que l’oxyde de graphène va capturer des électrons à la surface des globules rouges et modifier leur état de charge.

Initialement, les globules rouges possèdent une charge négative à leur surface ce qui attire des ions positifs. Cet état naturel provoque la répulsion entre les globules rouges et peut se mesurer grâce au potentiel zeta (exprimé en Volts). Si l’oxydes de graphène arrache des électrons de la surface des globules rouges, cela va altérer cette configuration électronique et cela pourrait ainsi diminuer la force de répulsion entre les globules.

Pour les scientifiques , ces hypothèses forment un puzzle et le graphène est au cœur de toutes les questions ouvertes.

La formation de tels rouleaux de globules rouges est un phénomène qui a déjà été observé par ceux qui étudient les effets des ondes électromagnétiques sur l’homme. Il a déjà été rapporté que les ondes électromagnétiques de notre environnement provoquent également cette formation de rouleaux.

https://magdahavas.com/electrosmog-exposure/mobile-phones-electrosmog-exposure/live-blood-cells-and-electrosmog/

Pour compléter cette section, un test rapporté par des médecins est le TEST D DIMERE Extrait de l’article de Jean-Dominique Michel

https://anthropo-logiques.org/viol-des-esprits-et-psychose-de-masse/

D dimère Témoignage de médecins qui ont constaté le problème

Une autre alerte tout aussi grave retentit de partout : les injections géniques conduisent un nombre important d’inoculés de tous âges et profils de risque à connaître une élévation vertigineuse du taux de D-dimères (produits de dégradation de la fibrine), marqueur sanguin de thromboses (et donc de troubles de la coagulation, phlébites, embolies ou caillots sanguins). Avec une caractéristique troublante : les mesures effectuées sur certains « vaccinés » (de 20% à 62% d’entre eux selon les sources) atteignent des seuils astronomiques en l’absence de tout symptôme habituel identifiable. Alors que le taux normal de D-dimères ne doit pas dépasser 500, et qu’un taux de 2’500 est habituellement considéré comme grave et requérant une hospitalisation immédiate, nombre de personnes testées atteignent des valeurs allant jusqu’à 7’500, provoquant la stupeur des médecins et des laboratoires.

Ce qui laisse redouter des effets graves et même une mortalité importante à un horizon de quelques mois : l’explosion de micro-caillots dans le sang ne peut qu’endommager de manière irréversible les capillaires sanguins dans lesquels ils s’accumulent in fine, en particulier dans le cerveau. D’où l’appel pressant de ces médecins, invitant tous les injectés géniques à tester au plus vite leur niveau de D-dimères.

Témoignages de médecins





15ème numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit le médecin généraliste luxembourgeois Benoît Ochs,



La portée de ces découvertes

La prise en compte du biomagnétisme et la découverte de nanoparticules dans les vaccins sont 2 découvertes fondamentales.

De graves questions se posent :

Comment expliquer qu’un toxique se trouve présent dans des injections biologiques. ?

Pourquoi ces informations sur les nanoparticules non déclarées ne sont-elles pas relayées et diffusées au plus grand nombre. ?

Lorsque l’on voit que le grand public ignore tout ce qui découle de ces 2 découvertes, on prend réellement la mesure du lavage de cerveau qui opère dans notre monde.

Qui réalise vraiment ce que cela signifie ?

Les découvertes fondamentales sont susceptibles de provoquer une révolution dans la manière de penser. Comme lorsque Galilée a pointé une lunette astronomique vers Jupiter et a observé, pour la première fois, des lunes qui lui tournaient autour. Il a compris que tout ne tournait pas autour de la Terre et une révolution copernicienne était en marche. Après plusieurs années de combat, notamment contre l’Eglise, la révolution copernicienne a vu le jour et les planètes ont tourné autour du Soleil.

Au vu de ce qui précède, c’est bien quelque chose de fondamental qui s’est dévoilé cet été avec l’observation du biomagnétisme et les diverses nanoparticules qui n’ont rien à faire dans ce qui a été nommé ¨vaccin¨ .

Depuis longtemps, on sait que les microparticules sont des corps étrangers qui vont provoquer des maladies de dégénérescence et que l’organisme va les combattre.

A présent, il faudra prendre en compte les risques liés aux nanoparticules. Le docteur José Luis Sevillano de laquintacolumna a présenté une comparaison entre les divers effets produits par la Covid 19 et les divers effets possibles provoqués par une intoxication au graphène :

Effets produits par le Covid 19 Effets provoqués par une intoxication due à une nanoparticule
Thrombose, coagulation du sang Thrombose, coagulation du sang
Inflammation des tissus Inflammation des tissus
Altération du système immunitaire Altération du système immunitaire
Tempête de cytokines Tempête de cytokines

[Ndlr : des ondes électromagnétiques pulsées sur une porteuse de la gamme des micro-ondes ou des ondes millimétriques, comme pour le Wi-Fi, la 4G et la 5G, tendent à produire aussi au moins une partie de tels symptômes. Voir le Dossier 5G et ondes pulsées.]

Face à une agression de type chimique par des nanoparticules d’oxyde de graphène, le système immunitaire va tenter de s’attaquer à ces particules et provoquer une réponse immunitaire très semblable, voire identique, à la réaction face à un pathogène type viral.

Le Dr. Sevillano a d’ailleurs soulevé une question intéressante. Comment un virus peut-il développer une pneumonie bilatérale ? N’est-il pas établi qu’un virus va affecter les tissus à partir d’un foyer et qu’il ne va pas affecter les 2 poumons simultanément ? Autrement dit, est-il cohérent d’attribuer à un virus une pneumonie bilatérale ?

Pour celui qui voit là une incohérence, il faut bien chercher une autre explication.

L’explication alternative avancée par l’équipe de la quintacolumna est que certains patients (et peut-être la grande majorité ? ) sont affectés par un syndrome de rayonnement aigu SRA ( ou ARS Acute Radiation Syndrom).

Un article fondamental qui supporte cette théorie

https://meridian.allenpress.com/radiation-research/article/195/1/1/446280/Commonalities-Between-COVID-19-and-Radiation

Au fur et à mesure que les composants multisystémiques de COVID-19 émergent, des étiologies parallèles peuvent être établies entre l’infection par le SRAS-CoV-2 et les radiolésions. Alors que certaines personnes infectées par le SRAS-CoV-2 se présentent comme asymptomatiques, d’autres présentent des symptômes bénins pouvant inclure de la fièvre, de la toux, des frissons et des symptômes inhabituels tels qu’une perte du goût et de l’odorat et une rougeur des extrémités (par exemple, « orteils COVID », suggestifs des dommages aux microvaisseaux).

…..

Il est intéressant de noter que des années de recherche dans le domaine de la radiobiologie documentent la nature multiorganique complexe d’un autre état pathologique qui survient après une exposition à de fortes doses de rayonnement : le syndrome de rayonnement aigu (SRA). L’inflammation est un acteur commun clé dans COVID-19 et ARS, et entraîne les dommages multi-systèmes qui modifient considérablement l’homéostasie biologique. Les deux conditions déclenchent une tempête de cytokines, avec une augmentation des molécules pro-inflammatoires similaires et une diminution des autres molécules anti-inflammatoires. Ces changements se manifestent de diverses manières, avec un impact manifestement plus élevé sur la santé des patients ayant des problèmes de santé sous-jacents.

….

L’impact humain potentiellement dramatique de l’ARS a guidé la science qui a identifié de nombreux biomarqueurs de l’exposition aux rayonnements, établi des stratégies de gestion médicale pour les SRA et a conduit à l’élaboration de contre-mesures médicales à utiliser en cas d’urgence radiologique de santé publique. Ces efforts peuvent maintenant être mis à profit pour aider à élucider les mécanismes d’action des blessures COVID-19. De plus, cette intersection entre COVID-19 et ARS peut indiquer des approches qui pourraient accélérer la découverte de traitements pour les deux. …

Dans cette revue, nous décrivons les parallèles observés entre COVID-19 et les effets biologiques des lésions dues aux rayonnements qui incluent des composantes immédiates et à long terme : le syndrome de rayonnement aigu (SRA) et les effets retardés de l’exposition aiguë aux rayonnements (DEARE).

Coronavirus ou Syndrome du Rayonnement Aigu ?

Pour aller plus loin, nous pouvons comparer 2 équations bien distinctes :

Equation 1

Nouveau virus + nouveau vaccin = retour à la vie d’avant

Equation 2

Introduction de graphène partout + activation ondes radio = un nouveau monde

Analysons ces équations de manière méthodique.

Nouveau virus :

Même si le coronavirus a colonisé les esprits, les questions de l’origine et de l’existence même du virus se posent. Robert Young a ouvert le débat en demandant au Center for Desease Control (CDC aux Etats-Unis) la confirmation que le virus avait bel et bien été isolé. Le Dr. Robert Young doutait du fait que l’on avait vraiment isolé le virus a posé la question au CDC en utilisant le ¨freedom information act¨.

La réponse de cette haute institution est claire et définitive :

PERSONNE N’A JAMAIS ISOLÉ, PURIFIÉ ET/OU VÉRIFIÉ SCIENTIFIQUEMENT ET PROUVÉ L’EXISTENCE DE TOUT VIRUS À TOUT MOMENT, À TOUT ENDROIT, PARTOUT DANS LE MONDE !

https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus?fbclid=IwAR2RylFrVu30xj3836v0rlSvK4PRtdyZPfmTsEzRcMJ3jgNYMLpsyhsmE7g

La même question a été posée à des institutions à travers le monde avec toujours la même réponse. Voir l’annexe 3 avec la liste des 87 institutions qui ont été questionnées autour du monde.

Pour confirmer ce qui précède, il vaut la peine de comprendre ce que sont les méthodes de purification utilisées en biologie.

Stefano Scoglio montre dans l’article suivant comment on a fourvoyé la science en détournant purement et simplement le sens fondamental du terme ¨isoler¨

En physique ou en chimie, isoler une particule ou une molécule veut dire la séparer du reste.

Scoglio explique qu’il n’en va pas de même en biologie.

Scoglio a commencé en mars 2020 à dénoncer que le prétendu isolement du SARS-Cov2, réalisé principalement par l’équipe du Chinese Center for Disease Control (CCDC) sous le nom de Zhu N. et al. n’était pas du tout un isolement, car il n’y a pas eu de purification du virus, mais seulement la culture sur des cellules rénales de singe du fluide broncho-alvéolaire de certains patients atteints de pneumonie :

https://agenparl.eu/covid-scoglio-candidato-nobel-medicina-2018-la-questione-dellisolamento-del-virus-e-della-sua-patogenicita-secondo-la-legge-dei-cinque-postulati-di-koch/

Covid, Scoglio : La question de l’isolement du virus et de sa pathogénicité selon la loi des cinq postulats de Koch.

En microbiologie il existe une règle d’or, le postulat de Koch, développé par le microbiologiste allemand Robert Koch :

  1. l’agent présumé responsable de la maladie en question doit être présent dans tous les cas de cette maladie constatés ;
  2. il doit être possible d’isoler le microorganisme de l’hôte malade et de le faire croître en culture ;
  3. chaque fois qu’une culture du micro-organisme est inoculée à un hôte sain, la maladie se reproduit ;
  4. l’organisme doit pouvoir être à nouveau isolé de l’hôte infecté expérimentalement ……

En conclusion, le virus SARS-Cov2 n’a jamais été isolé au sens commun du terme. Les virologues se sont habitués à appeler « isolement » ce qui est la culture du surnageant du liquide centrifugé du patient sur des cellules rénales de singe ; mais appeler une chose pour une autre n’en fait pas ce qu’elle prétend être.

Puisque le virus n’a jamais été isolé, toute autre discussion sur la pathogénicité du virus, ou sa capacité à générer une pneumonie Covid, ainsi que tous les tests qui prétendent rechercher le virus, et enfin tout vaccin qui veut vaincre le virus, ne sont que des géants aux pieds d’argile, complètement dépourvus de tout fondement scientifique.

Et pour clore en revenant au début et en refermant la boucle, nous avons vu comment la possibilité de déclarer qu’un micro-organisme provoque une pathologie doit se fonder sur les postulats de Koch. Eh bien, ce sont les chercheurs chinois eux-mêmes qui déclarent, à la fin de leur étude : « Bien que notre étude ne satisfasse pas aux postulats de Koch… » [15]

Vidéo en italien du Dr. Stefano Scoglio, Ph.D.

https://www.youtube.com/watch?v=5z5ZWfZf11Y


[Ndlr : les annexes n’étaient pas présentes dans le document fourni. Cependant, les articles suivants fournissent des informations et des hypothèses complémentaires :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Sur les « virus », leur non isolement, la contagion… :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

“Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH” de l’édition Deluxe de House of Numbers (2009).

Un parallèle à faire avec le SARS-CoV-2, la situation étant très similaire.

[Voir aussi :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Quel est aujourd’hui l’article scientifique de référence démontrant que le SARS-CoV-2 soit responsable du Covid-19 ?



Kary Mullis, prix nobel et inventeur de la méthode de test PCR
(Kary Mullis : “Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade”)

Vidéo originale : https://www.youtube.com/watch?v=vaMZ4NyNCwI
Sous-titres FR https://cv19.fr




Dr Valentina Kiseleva 🎯 Le virus et autres mythes

[Source : AKINA | Le Front médiatique]

Titulaire d’un doctorat en médecine (équivalent américain) de l’université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C’est ce qu’elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.

Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n’a jamais eu lieu.



🗣 Interview animé par : Dr. Urmie RAY a étudié les mathématiques à l’Université de Cambridge, où elle a obtenu une licence, puis une maîtrise, et un doctorat. Après 23 ans de carrière universitaire et avoir diriger des recherches, après plusieurs articles dans des journaux scientifiques et un livre dans le domaine de l’algèbre, elle a démissionné de son poste de professeur en France – le pays de son enfance – pour se consacrer à ses centres d’intérêts depuis toujours, des questions de fond, notamment celles liées à la science.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

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Gigantesque recrutement à l’échelle mondiale ? Sommes-nous en train de subir des tests d’embauche ?

Par Alain Tortosa

Tout être pensant sait qu’il n’y a pas eu de crise sanitaire.
Les statistiques INSEE prouvent que le nombre de décès est totalement classique.

De plus dans une crise sanitaire :

  • On n’investit pas des milliards pour contrôler les populations.
  • On investit les milliards dans la recherche, la prévention et l’hôpital.
  • On n’empêche pas les médecins de prescrire.
  • On n’interdit pas la vente de molécules inoffensives qui, au pire, ne fonctionnent pas.
  • On ne fait pas tout pour massacrer les défenses immunitaires des citoyens.
  • On ne commercialise pas un pseudo vaccin qui cible la protéine spike du sars-cov-2 qui est un virus ARN dont le métier est de muter et dont la spike est la plus à même de muter.

Mais surtout :

  • On stoppe les injections dès l’émergence des preuves de leur inefficacité et de leur dangerosité.
  • On ne se met pas à injecter en masse des enfants de plus en plus jeunes au péril de leur vie.

Bref nous savons qu’il n’y a pas de pandémie et nous savons que l’intention est de nuire.
En revanche, même si j’ai des indices, je ne sais pas pourquoi…

Il serait une erreur de désigner LE coupable, car dans l’affaire il est probable, pour ne pas dire certain, que des alliances de circonstance « contre nature » aient vu le jour :

  • Les « satanistes ».
  • Les fervents de la diminution de la population mondiale.
  • Les fervents de l’importation de la dictature chinoise et du contrôle des populations.
  • Les fervents de l’ultralibéralisme, du fric pour du fric.
  • Etc.

Ils ont tous des intérêts et il serait de fait logique qu’ils travaillent temporairement main dans la main.

Je me pose néanmoins la question suivante.
La stratégie mise en œuvre cible principalement les populations des pays riches, pourquoi ?

La thèse de l’extermination de la population par un virus expérimental

Échec

Cette thèse présente l’avantage de cibler tout le monde, pays riches et pays pauvres.
Répandu volontairement ou accidentellement ? Les preuves manquent.
Si ce virus a été mis au point pour tuer, le résultat est très décevant et même un échec cuisant !
Ils ont fabriqué au final un « tueur » moins méchant que la grippe saisonnière.
Pour valider la thèse du virus exterminateur d’une partie non négligeable de la population, il faut aussi partir du principe que ces pourritures disposaient d’un VRAI vaccin (qui n’a pas été commercialisé).

[Note de Joseph Stroberg :
L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires.

Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

L’explication alternative beaucoup plus logique est la suivante : la préparation effectuée pour prétendument permettre la multiplication du virus tend en fait à tuer rapidement les cellules du tissu biologique et lors de leur mort, elles se désagrègent progressivement en produisant de nombreux brins d’ADN et d’ARN qu’elles expulsent au départ avec une enveloppe lipidique sous forme d’exosome ou de virus.
Les cellules meurent pour les deux raisons suivantes :
– elles sont empoisonnées par les substances introduites dans la préparation ;
– elles ne sont plus alimentées par le corps en nutriments, puisqu’elles en sont désormais séparées.
Les millions de cellules du tissu supposément infecté produisent chacune un certain nombre de déchets viraux provenant des brins d’ADN endommagés et des brins d’ARN divers participants à la vie cellulaire, ceci jusqu’à ce que la cellule finisse par mourir.

Dans une telle préparation, au lieu de multiplier un prétendu virus infectant, on créée en fait des millions de virus à ARN et d’autres à ADN différents en multiples exemplaires.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour un scientifique pur tel qu’un physicien, cet ensemble d’opérations ne prouve rien, mais relève de « bullshit » (foutaise, conneries), d’escroquerie intellectuelle, ceci d’autant plus qu’elles sont accompagnées d’un grand nombre de suppositions qui n’ont finalement jamais été réellement démontrées dans selon une méthode scientifique rigoureuse qui doit inclure obligatoirement des contre-expériences. À aucun moment le supposé virus n’a réellement été isolé en entier et observé simultanément au microscope électronique. Changez le modèle viral recherché et dans toute la soupe génétique récupérée par l’opération, il y a de fortes chances que vous le trouviez aussi, surtout avec une méthode d’amplification telle que celle utilisée pour les tests PCR qui introduisent potentiellement des erreurs lors de chaque cycle d’amplification.

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présent.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.]

Cet échec aurait pu inciter à changer de plan et se focaliser finalement sur les « vaccins ».

La thèse de l’extermination massive de la population par l’injection

Échec

Si vous voulez exterminer une partie de la population mondiale pourquoi ne pas cibler principalement les Africains ou les Indiens ? (Les Chinois ce n’est pas possible, c’est leur dictature qui gère.)
Ces populations sont bien des « inutiles » pour reprendre le vocabulaire de ce cher Dr Alexandre.

[Note de Joseph Stroberg :
Pour ne pas être accusés d’extermination, les commanditaires et les agents de la procédure doivent éviter que ce soit trop visible. En conséquence, le génocide doit être lent, rendre stérile une partie de la population, et cibler en priorité les nations « éduquées » et « informées » pour s’occuper tranquillement ensuite, sans plus aucun gêneur, des nations « arriérées ».]

De plus, d’un point de vue capitalistique, les pauvres produisent et les classes moyennes consomment.
Les richesses colossales acquises par les entreprises tentaculaires le sont par la surconsommation des classes moyennes de biens produits par les pauvres.
Tuer la classe moyenne revient à tuer le consommateur sans tuer le producteur (les pauvres) et donc la poule aux œufs d’or.
En plus, les occidentaux ne se reproduisent plus alors que plus vous êtes pauvre et plus vous faites d’enfants, ce n’est donc pas logique si vous voulez lutter contre la surpopulation.
J’ai toujours dit que si vous vouliez diminuer la population mondiale, il suffit de donner un capital, un crédit et une voiture à tous les pauvres et ils cesseront de faire des enfants ou la grève.

[Note de Joseph Stroberg : les ressources minérales et énergétiques sont insuffisantes pour généraliser le mode de vie occidental à l’ensemble de la planète.]

Je ne suis donc pas séduit par la stratégie de l’injection de masse pour supprimer la majeure partie de la population occidentale mondiale.
J’aurais personnellement commencé par tuer un milliard d’Africains et d’Asiatiques avant de me retourner vers les classes moyennes occidentales.
J’aurais donc plus tendance à penser que les morts provoquées par les injections seraient plus une cerise sur le cadeau, un lot de consolation pour les exterminateurs, un bénéfice secondaire non quantifié… qu’un plan mûrement réfléchi. Les injections ne tuent pas (encore ?) assez et pas assez vite…

[Note de Joseph Stroberg :
La grande majorité des êtres humains, lorsqu’ils combattent, tendent à rechercher et viser le point faible de l’adversaire.
Les élites mondiales qui relèvent de pensée satanique visent au contraire le point fort. Lorsque la tête tombe, le corps ne survit pas longtemps. Alors qu’avec l’approche du point faible, l’adversaire peut encore résister. On peut continuer à combattre même avec un bras en moins.
(De manière allégorique).]

La thèse de l’injection purement capitalistique

Succès

Dans ce cas, « vacciner » des riches et non des pauvres a un sens.
Produire des injections inefficaces et qui plus est, favorisant des variants, a aussi un sens.
Cela expliquerait sans doute pourquoi les injections mises à jour ne sont pas présentes sur le marché.
Économies, attente de variants et on ne sortira les mises à jour que lorsqu’il ne sera plus possible de camoufler la totale inefficacité des injections.
Et avec un peu de chance, un nouveau variant un peu méchant arrivera, ce qui permettra de bien relancer le marché des « vaccins ».
Bien entendu il y aurait le risque de faire émerger un variant vraiment mortel, mais ça, l’industrie n’en a que faire. On peut bien prendre le risque de détruire l’espèce humaine si on peut en tirer 50 dollars.

Cette thèse présente néanmoins des contradictions.
Si le nombre de 80 % de vaccinés en France est réel, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les 20 % restants au lieu de se focaliser sur les 3e, 4e… 10e dose qui sont des rentes à vie ?
Vacciner dès la naissance, ça c’est bien, même si quelques enfants meurent on s’en tape…
Mais pourquoi se focaliser sur les irréductibles alors même qu’ils sont irréductibles et qu’ils pourraient finir par vraiment se fâcher ?
Ou alors c’est encore une fois l’appât du gain… j’ai 80 % du marché, j’aurai les 100 % !

[Note de Joseph : Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et non pas 7,5 ni 8 milliards que l’Humanité est en passe d’atteindre. Et c’est lui qui est derrière toute cette plandémie par le biais notamment de l’OMS dont il est le principal donateur privé et de la GAVI qu’il contrôle aussi, sachant qu’il a aussi financé la plupart des fabricants de vaccins à ARN ou à adénovirus. Son but n’est pas l’extermination de l’Humanité, mais son contrôle (son asservissement), même si cela doit passer par l’extermination d’une partie de cette humanité.]

Le crédit social

Succès

Quand bien même l’objectif initial eut été d’éliminer une partie non négligeable de la population, l’opération est un succès sans précédent du point de vue de son contrôle.

Dans la vie, il y a souvent des galères, mais parfois de très bonnes surprises.
Qui aurait pu croire qu’il était si facile de se foutre de la gueule des gens et leur faire gober n’importe quoi ?
Au point qu’ils acceptent TOUT, sans limites !

  • Se confiner ? No problem.
  • Porter une muselière et la mettre à ses enfants ? No problem.
  • S’injecter des substances expérimentales dangereuses ? No problem.
  • Présenter un passeport vaccinal pour se rendre au cinéma ? No problem.

Si la dictature sanitaire était une mise en bouche pour la dictature climatique alors c’est un succès total.
Nous savons désormais qu’il suffit de faire croire en une menace mortelle imaginaire pour obtenir une obéissance sans limites.
Il y en a qui vont prendre leur pied et bien se marrer en nous regardant avec la nouvelle dictature climatique.
Dictature qui présente l’avantage d’être sans fin pour « sauver la planète » avec le concours d’une autiste au QI d’un singe qu’on exhibe comme au cirque et à qui l’on donne le prix Nobel sous les applaudissements des moutons terrorisés.

[Note de Joseph : Prise de conscience et autisme.]

Une campagne de recrutement à l’échelle mondiale ?

Pas impossible

Et si cette campagne de « vaccination » ciblée principalement dans les pays riches n’était qu’une campagne de recrutement ? Un test d’embauche ?
Des centaines de millions de personnes sont ainsi pucées. Pour l’instant avec leur smartphone, peut-être avec un système d’identification qui serait dans l’injection, mais qu’importe…
Et si les confinements, les masques, les injections, les pass sanitaires n’étaient que des épreuves de sélection ?
Avec ces tests à grande échelle, la dictature mondiale est en capacité de différencier précisément ceux qui acceptent tout et ceux qui refusent, ceux qui gobent et ceux qui réfléchissent !
Je ne doute pas que parmi ces maîtres du monde il y a de grands tarés qui ont des visions plus sataniques que chrétiennes.
Mais il y a aussi certainement des personnes sincères qui ont peur de la surpopulation, de l’évolution de la planète, de la destruction des écosystèmes, etc.

Les plus pessimistes (réalistes ?) d’entre nous pensent que les résistants termineront leur vie dans des camps et qu’ils seront exterminés petit à petit… On est idéaliste ou on ne l’est pas (sourire).

Mais si c’était le contraire ?
Et si nous étions en train de vivre une campagne de recrutement ?
Nous serions alors les recrutés sur des critères de volonté, d’indépendance, de réflexion, d’esprit critique, de curiosité, et donc d’intelligence instinctive.
Ceci pourrait aussi expliquer pourquoi l’Afrique n’est pas dans le plan, nous les Occidentaux étant si « supérieurs ».

Parce que si l’on se ramène au modèle des tarés qui veulent des surhommes, pensez-vous qu’ils vont les sélectionner parmi les moutons hypnotisés qui ont dit oui à tout ou parmi nous ?

[Note de Joseph Stroberg : pour l’instant, ceux qui mènent le jeu sont dans le camp génocidaire et de recherche de contrôle par coercition de Bill Gates. Eux ne recrutent que parmi les gens de leur caste et même de leur lignée sanguine. Si parmi le peuple certains les rejoignent à un relativement haut niveau, ce n’est alors qu’en tant que subalternes et parce qu’ils auront pu les contrôler d’une manière ou d’une autre. Le président actuel de l’OMS, un Africain, est là pour démontrer qu’ils ne s’occupent pas de la provenance, mettant tout le monde externe à leur caste dans le même paquet. Une condition presque indispensable pour travailler avec eux est d’être psychopathe.

S’il y a sélection d’êtres humains à l’échelle de l’Humanité, elle est d’un autre ordre, plus élevé.
Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie.]

Parce que je vous rappelle que tous les « grands » de ce monde n’ont respecté aucun confinement, qu’ils ne portaient pas de masque et ne les portent que devant les caméras. Qu’ils ne respectent les gestes barrières que face aux gueux, qu’ils ont fait semblant de s’injecter et ont des faux pass sanitaires !
Mis à part les faux pass (qui sont certainement légion dans le milieu médical), nous avons fait comme eux.
Ils sont libres et nous aussi !

Réfléchissez avant de jeter aux oubliettes ma théorie.
Nous sommes peut-être dans une campagne de recrutement et c’est nous qui serons embauchés dans ce nouveau monde.
(Ne me faites pas dire que nous allons accepter et ne pas leur cracher à la gueule.)
Là aussi, il y aurait prise de risque de leur part, car si nous n’adhérons pas à leur projet, nous serons debout pour décider du monde que nous voulons et il n’est pas dit qu’ils soient de la partie.

Merci.

Alain Tortosa.

29 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211029-dictarure-mondiale-cherche-cadres.pdf




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
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Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
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Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent

[Source : soleilverseau.com extraite de LA UNE TV – édition spéciale 14/08/2021]

[Ndlr : d’autres causes sont possibles et envisageables, puisque notamment la Covid-19 couvre notamment les symptômes de la grippe. La protéine Spike présente dans les vaccins procure aussi certains des symptômes de cette « maladie ».]

Petit extrait vidéo de la deuxième partie santé de l’émission du 14 Août 2021, de la nouvelle chaîne d’information ALTERNATIVE Française LA UNE TV (launetv.com), présentée par Richard BOUTRY. Écoutons le Dr Astrid Stuckelberger. Ses propos à propos du vaccin et du test PCR font froid dans le dos ! L’humanité est en danger.

Durée : 8 min



[Voir aussi, sur le graphène :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
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Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
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Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
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sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
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Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain — comme l’a mentionné Astrid Stuckelberger dans la vidéo — est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le dépeuplement possible :
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Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
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Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
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L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Un citoyen canadien demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées

Le patriote Patrick King s’est représenté lui-même devant le tribunal après avoir été condamné à une amende de 1 200 dollars pour avoir protesté contre l’arnaque du Covid-19. Il a assigné la ministre provinciale de la santé à prouver l’existence du soi-disant virus, et ils ont été forcés d’admettre qu’ils n’avaient aucune preuve. Le virus n’a jamais été isolé, et le gouvernement n’avait donc aucun fondement juridique pour imposer les restrictions sévères qu’il a imposées à la société. Depuis que cette confession choquante a été révélée, la province a annulé toutes les restrictions sur le Covid et traite désormais officiellement le Covid-19 comme une simple grippe !

Le Dr Deena Hinshaw, de l’Alberta, s’excuse pour la  » confusion, la peur ou la colère  » suscitées par la levée des mesures COVID-19

Par Kieran Leavitt

EDMONTON – La Dre Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l’Alberta, s’est excusée de la « confusion, de la peur ou de la colère » qui ont entouré la décision de la province d’éliminer la mise en quarantaine obligatoire des personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif, la recherche des contacts et les masques dans les écoles et les autobus.

« J’ai entendu dire que le message que les gens ont reçu de mes paroles était que je pense que le COVID est terminé et que les gens sont laissés à eux-mêmes pour y faire face », a-t-elle écrit dans une chronique publiée mercredi dans plusieurs médias.

« Ce n’était pas le message que je voulais faire passer », a-t-elle ajouté.

« Nous n’éliminerons pas le COVID, ce qui signifie que nous devons apprendre à vivre avec ».

Cette chronique survient une semaine après qu’elle a annoncé la levée des mesures de santé publique qui étaient en place pendant la majeure partie de la pandémie et au milieu de critiques intenses pour avoir agi ainsi. Le premier ministre Jason Kenney et le ministre de la Santé Tyler Shandro ont déclaré que la décision de lever les restrictions faisait suite aux recommandations de Mme Hinshaw.

Cela signifie également un nouveau changement dans son image publique. Au début de la pandémie, les gens partageaient des fanarts de Mme Hinshaw en ligne – l’une des images les plus remarquables la représentait dans une armure – et admiraient son comportement calme et froid en tant que visage de la réponse de l’Alberta au COVID-19.

La semaine dernière, le hashtag #FireHinshaw [Virez Hinshaw] s’est répandu.

En effet, elle venait d’annoncer qu’à partir de la mi-août, l’Alberta n’exigerait plus que les personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif s’isolent, mais qu’elle leur recommanderait fortement de le faire. Les traceurs de contact ne diront plus non plus aux contacts proches qui a pu être exposé (certaines mesures seront toutefois maintenues pour divers milieux à haut risque).



Transcription FR : https://pastebin.com/AY0z4mMX

“En Alberta, aujourd’hui, le port du masque obligatoire prend fin. Les enfants ne devront plus porter de masque lorsqu’ils retourneront à l’école, la quarantaine obligatoire va prendre fin, le traçage des contacts, les tests pour les symptômes légers, tout cela est terminé. Ils vont maintenant reconnaître le covid comme une grippe légère et la traiter comme telle. La liberté a gagné en Alberta, prouvant que se battre fonctionne”.

Le 5 décembre 2020, le citoyen canadien Patrick King a été reconnu coupable d’avoir enfreint un ordre du médecin en chef de la santé de l’Alberta (Deena Hinshaw), l’ordre étant “en réponse à la pandémie de Covid-19” et l’infraction concernant spécifiquement le fait de se trouver dans un rassemblement de plus de 10 personnes. King a été condamné à une amende de 1 200 $.

King a fait appel. Lors de sa comparution devant le tribunal le 4 mai, il a exposé les informations dont il aurait besoin pour préparer une défense adéquate et plausible. Il s’agit notamment de la preuve de l’isolement du virus SARS-CoV-2.

Le mercredi 14 juillet, M. King a assigné le CMOH (Médecin en chef du Canada) en vertu de l’article 699 du Code criminel, lui demandant d’apporter “tous les livres blancs décrivant l’isolement du virus SARS-CoV-2, directement à partir d’un échantillon prélevé sur un patient malade”, car “ces livres blancs auraient fait partie intégrante de l’élaboration des statuts établis en vertu de la ” Loi sur la santé publique ” ici en Alberta”.

Trois jours plus tard, King a été informé que son action en justice avait été annulée ; il a donc dû la faire reporter.

King a ensuite été assigné par les avocats de Deena Henshaw à comparaître à une audience en chambre. Lors de cette audience, un avocat de Deena Henshaw a déclaré : “M. King a demandé des preuves que nous ne pouvons pas fournir”.

Lorsque l’affaire est portée devant le tribunal, le samedi 24 juillet, elle a pris de l’ampleur, étant reformulée comme suit : “Sa Majesté la Reine contre Patrick James King”, et des procureurs généraux d’Ottawa y assistent. Une fois de plus, King fait état, et le tribunal prend acte, de l’incapacité du CMOH à fournir les preuves qu’il avait demandées.

L’enjeu de la contestation de King est que les politiques de santé liées au Covid élaborées et mises en œuvre par le gouvernement provincial de l’Alberta et son CMOH reposent sur l’existence d’un agent infectieux spécifique, alors qu’ils ne peuvent pas produire de preuves de l’existence d’un tel agent.

Les conséquences de ce précédent juridique sont sûrement énormes. Elles impliquent, comme l’a dit Peters, “la fin du covid”.

Dans son interview, King fait référence à l’affaire Rook contre Alberta, “où ils ont convoqué tous ceux qui avaient violé l’une de ces règles Covid … ils attendent la décision concernant des milliers et des milliers de contraventions et de convocations …” Ces affaires seront probablement rejetées.

Maintenant que King connaît la bonne méthode d’approche, il tient à faire passer le mot : “Ce qu’ils doivent faire, c’est contester la loi sur la santé publique, car alors le juge n’a pas d’autre recours que d’assigner les fonctionnaires qui sont responsables de tout cela.”

DOCUMENTATION LÉGALE :

Letter to Patrick James King (Service)
LAW relied on by the Applicant
Affidavit of Krisztina Grech Sworn July 16 2021
Originating Application

Vidéo et articles originaux :

https://www.redvoicemedia.com/2021/08/freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta/
https://adriandignam.com/covid-is-dead-alberta-court-strikes-down-public-health-policy-for-lack-of-scientific-evidence/
https://rumble.com/vkorz0-freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta.html

En savoir plus


[Voir aussi :
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Prendre sa santé en main
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Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
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Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’épidémie du nouveau coronavirus 2019 ou de la maladie à coronavirus (COVID-19) est revendiquée comme une menace pour le monde entier depuis début 2020. Les scientifiques travaillent jour et nuit pour comprendre l’origine du COVID-19. Peut-être avez-vous déjà entendu la nouvelle que le génome suspecté du SARS-CoV-2 a été publié[1] ? Comment exactement les scientifiques ont-ils identifié le génome complet du SARS-CoV-2 ?

Cet article explique, de manière purement technique, comment ils ont fait cela. Sans aucun doute, vous vous rendrez compte que cette méthode ne convient ni pour déterminer l’origine de l’acide nucléique d’un échantillon ni pour déterminer un génome exact. Divers algorithmes sont utilisés, dont les calculs tentent de proposer une construction fictive basée sur des spécifications, qui à son tour sert de modèle pour tous les processus ultérieurs. Cependant, chaque séquençage individuel conduit à des résultats différents du séquençage précédent ; ces écarts sont souvent vendus comme des mutations[2], et ce sont simplement des incohérences dans le calcul par les outils d’analyse du génome.

Du fait qu’une structure prétendument virale n’a jamais été isolée en culture pure et que la caractérisation biochimique a été réalisée directement à partir de celle-ci, tout séquençage est basé sur un mélange de matériel génétique dont l’origine ne peut être déterminée et sont toutes des constructions assistées par ordinateur à considérer comme de la pure spéculation.

[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
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Comme un petit mais non moins important détail, qui vous fait parfaitement comprendre que la manipulation technique de l’alignement/assemblage (comme expliqué dans l’article) est purement fictive et manipulatrice :

70% des virologues ne précisent pas quelle technique d’assemblage ils utilisent !

Et le fait tacite est que 100% des virologues ne divulguent pas quel pourcentage du génome «viral» calculé a été modifié jusqu’à ce qu’il ait été publié en tant que génome fini.

Avec les données du génome, qui par le chinois Fan Wu et. al[1] ont été publiés et mis à disposition en téléchargement, il ne s’agit en aucun cas de données brutes, mais plutôt de données préalablement étoffées ! 80% des séquences humaines ont disparu et surtout : Tout ce qui était publié ailleurs comme « viral » a été filtré ! Cela rend encore plus difficile la compréhension de la prétendue découverte d’un nouveau virus pathogène, puisque des expériences témoins sont également recherchées en vain dans les publications publiées.

Mais nous arrivons maintenant à l’analyse technique du génome.

Génome

Le génome est l’ensemble du matériel génétique, y compris tous les gènes d’un organisme. Le génome contient toutes les informations sur un organisme qui sont nécessaires à sa structure et à son maintien.

Les virus qui causent des maladies sont définis par le fait que leur séquence (génome) est unique et ne se produit pas dans des organismes sains.

Pour pouvoir détecter et déterminer la présence du matériel génétique d’un virus, ce virus doit être isolé et disponible à l’état pur conformément aux lois de la pensée et à la logique qui précède toute science comme règle fondamentale, afin que les propres séquences de gènes de la cellule ne soient pas interprétées à tort comme des composants d’un virus.

La séquence d’une substance génétique ne peut être déterminée que si elle se présente sous la forme d’un ADN.

Séquençage

Comment lire les informations présentes dans le génome ? C’est là qu’intervient le séquençage.

Le séquençage est utilisé pour déterminer la séquence de gènes individuels, de chromosomes entiers ou de génomes entiers d’un organisme.

Fig 1. A PacBio sequencing machine. PacBio is a third-generation sequencing technology which produces long reads. Image by KENNETH RODRIGUES from Pixabay (CC0)

Des dispositifs spéciaux appelés machines de séquençage sont utilisés pour extraire de courtes séquences aléatoires du génome qui nous intéresse. Les technologies de séquençage actuelles ne peuvent pas lire le génome entier à la fois. De petits morceaux d’une longueur moyenne comprise entre 50 et 300 bases (séquençage de nouvelle génération / lectures courtes) ou 10 000 à 20 000 bases (séquençage de troisième génération / lectures longues) sont lus, selon la technologie utilisée. Ces courtes pièces sont appelées lectures.

La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées en le divisant dans le sens de la longueur dans un champ électrique. Les pièces courtes voyagent plus rapidement, les pièces plus longues plus lentement. En même temps, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique à examiner, des morceaux de matériel génétique de différentes longueurs avec une longueur connue sont ajoutés. Cette technique standard fiable pour détecter et déterminer la longueur du matériel génétique est connue sous le nom d’« électrophorèse sur gel ».

Si la concentration d’un certain matériel génétique est trop faible pour qu’il ne puisse pas être détecté avec la technique de “l’électrophorèse sur gel”, cela peut être fait à volonté en utilisant la technique de réplication illimitée de l’ADN, appelée amplification en chaîne par polymérase PCR. De cette manière, un ADN indétectable peut être rendu visible par électrophorèse sur gel. C’est une condition préalable pour rendre la substance génétique accessible à d’autres investigations, en particulier pour la détermination ultérieure et décisive de sa longueur et de sa séquence. Cette méthode est également connue sous le nom de PCR en abrégé.

Si vous recherchez des informations plus détaillées sur le fonctionnement exact du séquençage du génome viral à partir d’échantillons cliniques, consultez l’article suivant.

  1. A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples: Application to coronavirus OC43
  2. Specific Capture and Whole-Genome Sequencing of Viruses from Clinical Samples

Assemblage du génome

Une fois qu’il y a de petits morceaux du génome, nous devons les combiner en fonction de leurs informations de chevauchement et construire le génome complet. Ce processus est appelé assemblage et est comparable à la résolution d’un puzzle. Des outils logiciels spéciaux, appelés assembleurs, sont utilisés pour assembler ces lectures en fonction de leur chevauchement. Ceci est utilisé pour générer des chaînes continues, appelées contigs. Ces contigs peuvent être le génome entier lui-même ou juste une fraction de celui-ci (comme le montre la figure 2). Il est important de noter que la source du matériel utilisé est sans importance.

Les virologues chinois n’ont pas effectué d’expériences témoins pour écarter la possibilité que même avec un ARN humain/microbien provenant d’un lavage de poumon d’une personne saine, une personne atteinte d’une autre maladie pulmonaire, une personne qui a été testée négative au SRAS-CoV-2.., ou à partir de cet ARN provenant d’échantillons de réserve de l’époque où le virus SRAS-CoV-2 était encore inconnu, exactement la même addition du génome d’un virus à partir de courts fragments d’ARN soit possible !

Fig. 2 Séquençage et assemblage

Les assembleurs sont divisés en deux catégories,

Assembleurs de novo : assemblent sans utiliser de génomes de référence (par exemple : SPAdesSGAMEGAHITVelvetCanu et Flye).

Assembleurs guidés par des références : assemblent en assignant des séquences à des génomes de référence.

Deux grands types d’assembleurs

On trouve deux grands types d’assembleurs dans la littérature bioinformatique. Le premier type est la méthode des consensualités d’implantation par recouvrement (OLC). Dans la méthode OLC, tous les chevauchements entre les lectures sont d’abord déterminés. Ensuite, toutes les lectures et tous les chevauchements sont organisés sous la forme d’un graphique. Enfin, nous identifions la “séquence de consensus”. SGA est un outil populaire basé sur la méthode OLC.

Le deuxième type d’assembleur est la méthode du graphe de-Bruijn (DBG)[3]. Au lieu d’utiliser les lectures complètes telles quelles, la méthode DBG décompose les lectures en fragments encore plus courts appelés k-mers (de longueur k) et crée ensuite un graphe de-Bruijn en utilisant tous les k-mers. Enfin, les séquences génomiques sont déduites sur la base du graphe de-Bruijn. SPAdes est un assembleur populaire basé sur la méthode DBG.

Qu’est-ce qui peut mal tourner dans l’assemblage du génome ?

Les génomes contiennent des motifs d’acides nucléiques qui apparaissent de nombreuses fois dans le génome. Ces structures sont appelées répétitions. Ces répétitions peuvent compliquer le processus d’assemblage et entraîner des ambiguïtés.

Nous ne pouvons pas garantir que le séquenceur puisse produire des lectures couvrant l’ensemble du génome. Il se peut que le séquenceur omette certaines parties du génome et qu’aucune lecture ne couvre cette région. Cela affectera le processus d’assemblage et ces régions omises ne seront pas présentes dans l’assemblage final.

Les assembleurs de génomes doivent relever ces défis et essayer de minimiser les erreurs causées lors de l’assemblage.

Comment les assemblages sont-ils évalués ?

L’évaluation des assemblages est très importante car nous devons décider si l’assemblage résultant répond aux normes. L’un des outils d’évaluation des assemblages les plus connus et les plus utilisés est QUAST. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des critères utilisés pour évaluer les assemblages.

N50 : longueur minimale des contigs nécessaire pour couvrir 50% de la longueur totale de l’assemblage.

L50 : nombre de contigs plus longs que N50

NG50 : longueur minimale des contigs requise pour couvrir 50 % de la longueur du génome de référence.

LG50 : nombre de contigs plus longs que NG50

NA50 : longueur minimale des blocs alignés nécessaire pour couvrir 50 % de la longueur totale de l’ensemble.

LA50 : nombre de contigs plus longs que NA50

Pourcentage du génome (%) : pourcentage de bases qui correspondent au génome de référence.

Se salir les mains

Commençons par les expériences. Je vais utiliser l’assembleur SPAdes pour assembler des lectures obtenues à partir d’échantillons de patients séquencés. SPAdes utilise des lectures de séquençage de nouvelle génération. Vous pouvez également télécharger QUAST gratuitement. Vous pouvez obtenir le code et les programmes binaires sur les pages d’accueil correspondantes et exécuter ces outils.

Entrez les commandes suivantes et vérifiez que les outils fonctionnent correctement.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py -h
<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py -h
[Ndlr : ils s’agit ici de lignes de commande informatiques sous systèmes Linux ou Unix.
Les logiciels Spades et quast utilisés ont apparemment été créés en langage Python.]

Télécharger les données

Je suppose que vous savez comment télécharger les données du National Center for Biotechnology Information (NBCI). Sinon, vous pouvez vous référer à ce lien.

Les lectures pour nos expériences peuvent être téléchargées à partir de NCBI en utilisant le numéro d’accession NCBI SRX7636886. Vous pouvez télécharger l’exécution SRR10971381, qui contient des lectures provenant d’une exécution MiniSeq d’Illumina. Assurez-vous de télécharger les données au format FASTQ. Vous pouvez trouver le fichier téléchargé sous le nom de “sra_data.fastq.gz”. Vous pouvez extraire le fichier FASTQ avec gunzip.

Après l’extraction, vous pouvez exécuter la commande bash suivante pour compter le nombre de lectures dans notre jeu de données. Vous verrez qu’il y a 56 565 928 lectures.

grep ‚^@‘ sra_data.fastq | wc -l
[Ndlr : autre ligne de commande sous Linux ou Unix.]

Vous pouvez télécharger le génome complet SARS Cov-2[1] disponible publiquement sur le NCBI avec le numéro d’accession GenBank MN908947 (N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas des véritables données brutes). Vous verrez un fichier au format FASTA. Ce sera notre génome de référence. Notez qu’il a été renommé “MN908947.fasta”.

Assembler

Assemblons les données provenant de l’échantillon COVID-19. Exécutez la commande suivante pour assembler les lectures avec SPAdes. Vous pouvez transmettre le fichier .gz compressé directement à SPAdes.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py –12 sra_data.fastq.gz -o Output -t 8

Nous avons utilisé l’assembleur général SPAdes comme démonstration pour cet article. Cependant, étant donné que le jeu de données de lecture est constitué de données RNA-Seq, il est préférable d’utiliser l’option “-rna” dans SPAdes.

Dans le dossier de sortie, vous verrez un fichier appelé “contigs.fasta” qui contient nos contigs assemblés.

Évaluation des résultats de l’assemblage

Exécutez QUAST pour les assemblages avec la commande suivante.

<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py Output/contigs.fasta-l SPAdes_assembly -r MN908947.fasta -o quastResult

Visualisation du résultat de l’évaluation

Lorsque QUAST a terminé, vous pouvez aller dans le dossier “quastResult” et voir les résultats de l’évaluation. Vous pouvez visualiser le rapport QUAST en ouvrant le fichier report.html dans votre navigateur web. Vous verrez un rapport similaire à celui de la figure 3. Vous pouvez cliquer sur “Rapport avancé” pour obtenir plus d’informations comme NG50 et LG50.

Fig. 3 : Rapport QUAST

Vous pouvez examiner les valeurs des différents critères de notation tels que la proportion de génome NG50, NA50, les mauvais assemblages et le nombre de contigs. Vous pouvez également visualiser l’alignement des contigs sur le génome de référence à l’aide du navigateur de contigs Icarus (cliquez sur “View in Icarus contig browser”), comme le montre la figure 4.

Fig. 4 : Rapport QUAST

Dans le navigateur de contigs d’Icarus, nous pouvons voir que le contig nommé “NODE_1” correspond très étroitement au génome de référence de COVID-19. Son contenu génomique est de 99,99 % (comme le montre la figure 3). En outre, la longueur totale alignée de 29 900 paires de bases est très proche de la longueur du génome de référence, qui est de 29 903 paires de bases.

Visualisation du graphique d’assemblage

Il existe un outil appelé Bandage qui vous permet de visualiser le graphique d’assemblage. Vous pouvez télécharger les exécutables précompilés depuis leur page d’accueil et exécuter l’outil. Vous pouvez charger le fichier graphique ” assembly_graph_with_scaffolds.gfa ” situé dans le dossier de sortie de SPAdes (allez dans Fichier → Charger le graphique → sélectionnez le fichier .gfa dans Sortie et ouvrez-le) dans Bandage et cliquez sur ” Draw graph ” pour visualiser comme indiqué dans la Figure 5. Notez que le long segment incurvé de couleur verte au milieu de la première rangée de segments de la figure 5 correspond à NODE_1 de notre assemblage SPAdes.

Fig. 5 : Partie du graphique d’assemblage SPAdes du jeu de données de lecture COVID-19 visualisée à l’aide de Bandage.

Exemple pratique de towardsdatascience

Comment ont-ils découvert le génome du SARS-CoV-2 ?

Maintenant que le génome de référence du SARS-CoV-2 est disponible, nous pouvons évaluer notre assemblage. Cependant, au départ, il n’existait pas de génome de référence exact pour le SARS-CoV-2, alors qu’ont fait les scientifiques pour le découvrir ? Comme expliqué dans cet article, l’analyse des génomes viraux relève de la métagénomique et il existe de nombreuses techniques pour y parvenir. Ils ont analysé la couverture des contigs (le nombre moyen de lectures couvrant chaque position de base dans un contig) et l’ont comparée à l’isolat de coronavirus (CoV) analogue au SRAS de la chauve-souris – bat SL-CoVZC45 (numéro d’accession GenBank MG772933)[3] [6]. Les résultats ont montré que le contig le plus long assemblé avait une couverture “élevée” (à partir de notre assemblage, vous pouvez voir que NODE_1 a également une couverture élevée) et était très étroitement lié à la chauve-souris SL-CoVZC45.

Les virologues chinois soulignent même explicitement que le brin de génome construit présente jusqu’à 90 % de similitude avec les brins de génome des coronavirus inoffensifs et revendiqués des chauves-souris, connus depuis des décennies.

Cette similitude de 90 % résulte du fait que c’est exactement un tel “génome” d’un “corona virus” de chauve-souris inoffensif qui a été utilisé comme modèle pour aligner les nombreuses séquences génétiques très courtes. Il convient toutefois de noter que ce génome de chauve-souris, comme tous les “génomes” de “virus” pathogènes, n’a été que calculé, c’est-à-dire assemblé mentalement à partir de séquences génétiques endogènes très courtes et/ou de fragments de gènes de nombreux microbes, qui n’ont en réalité jamais été trouvés en tant que brin héréditaire entier et n’apparaissent nulle part dans la littérature scientifique comme un “génome viral” complet.

L’étude du 24.01.2020 indique sous la rubrique Discussion :

“Notre étude ne répond pas aux postulats de Koch”.

Il est important de savoir ici que l’on ne connaît pas le pourcentage du génome “viral” calculé qui a été modifié avant d’être publié comme génome complet.

La publication de Fan Wu et al, dans Nature, Vol 579 du 3.2.2020, dans laquelle le génome (brin complet du génome) du SARS-CoV-2 a été présenté pour la première fois et avancé pour devenir le modèle de tous les alignements ultérieurs, a montré que la totalité de l’ARN obtenu à partir du lavage bronchique (BALF) d’un patient avait clairement été utilisée, sans aucun isolement ou enrichissement préalable des structures virales ou des acides nucléiques.

Dans cette publication, le professeur Zhang décrit comment il a calculé un génome de 29 903 nucléotides sur la base de courts segments de gènes d’une longueur de seulement 21 et 25 nucléotides (ce sont les paramètres par défaut des programmes d’alignement Megahit et Trinity utilisés) en utilisant une séquence donnée d’un génome (le virus inoffensif du coronavirus de chauve-souris) selon sept méthodes différentes et très élaborées, y compris des méthodes statistiques.

Cet ARN a ensuite été converti en ADNc et des molécules d’une longueur de seulement 150 nucléotides ont été séquencées afin de construire le génome complet d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides par simple calcul.

Il suppose – sans le dire explicitement – que les courtes séquences à partir desquelles il additionne la proposition de séquence du génome du virus SARS-CoV-2 sont de nature virale car il exclut les séquences plus longues qui résultent de la superposition (= contigs) des courtes pièces 21 et 25 et qui présentent des similitudes avec les séquences humaines issues de l’addition ultérieure au génome viral.

En termes simples, cela signifie que :

Comme les séquences humaines qui nous sont “connues” ont été calculées/supprimées du mélange de matériel génétique, les séquences restantes, nées de la réflexion irrationnelle des virologues (qui a été récompensée en 1954 par l’attribution du prix Nobel à John Franklin Enders pour une spéculation)[7], sont supposées être précisément de nature virale.

Le pourcentage de l’ensemble du génome présentant des lacunes (de 1 % à la quasi-totalité ? ??) n’est pas indiqué.

Conséquence logique :

Ce qui a été créé artificiellement ici en toutes sortes d’étapes, toutes sous des “hypothèses” simplement crues, jamais vérifiées, n’a absolument RIEN à voir avec la réalité ! La méthode de séquençage ne peut ni dire de quelle source supposée provient le génome généré par de nombreuses étapes de calcul, ni affirmer qu’il est de nature purement virale. Il s’agit tout au plus d’un outil permettant de générer un nouveau brin de génome fictif construit à partir de nombreuses séquences génétiques très courtes, au moyen de divers algorithmes et de programmes dits de “gap-filling” (comblement des lacunes dans la construction du génome). Il est plus qu’effronté de prétendre que cette construction (du génome), qui a été faite à partir d’un échantillon via lavage bronchoalvéolaire d’un patient sans isoler une certaine structure, est virale juste parce que le patient a présenté des symptômes.

Les bioinformaticiens ne se soucient pas de la source de la séquence du gène.

Lorsque l’idée des brins génétiques des virus de la grippe a été conçue pour la première fois, des embryons de poulet ont été mécaniquement blessés et empoisonnés, et un modèle a été laborieusement créé à la main à partir des courtes séquences d’acide nucléique des tissus en décomposition. Aujourd’hui, cette tâche est effectuée par des programmes informatiques alimentés par les séquences que les virologues qualifient de “virales”. L’origine réelle de ces séquences est sans importance pour les bioinformaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par “alignement”. Erwin Chargaff avait d’ailleurs prévenu de cette évolution dès 1976 dans son livre “Das Feuer des Herakli” [L’incendie d’Herakli].

Sources :

[1] F. Wu, S. Zhao, B. Yu et al. A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3

[2] Die behauptete SARS-CoV-2-Mutation aus England ist eine Mogelpackung

[3] Zhenyu Li et al. Comparison of the two major classes of assembly algorithms: overlap–layout–consensus and de-bruijn-graph, Briefings in Functional Genomics, Volume 11, Issue 1, January 2012, Pages 25–37. https://doi.org/10.1093/bfgp/elr035

[4] Jang-il Sohn and Jin-Wu Nam. The present and future of de novo whole-genome assembly. Briefings in Bioinformatics, Volume 19, Issue 1, January 2018, Pages 23–40. https://doi.org/10.1093/bib/bbw096

[5] S. Heerema and C. Dekker. Graphene nanodevices for DNA sequencing. Nature Nanotech 11, 127–136 (2016). https://doi.org/10.1038/nnano.2015.307

[6]Fan Wu: A new coronavirus associated with human respiratory disease in China

[7] Machtwerk – Einstieg in die Widerlegung der Virusbehauptung

Vous trouverez ci-dessous une liste de nos articles les plus importants [en allemand] :

https://telegra.ph/Corona-Fakten-Liste-der-wichtigsten-Artikel-09-08

Article original : https://www.samueleckert.net/durch-die-genom-analyse-werden-fiktive-viren-erschaffen/




87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Une personne saine d’esprit mélangerait-elle l’échantillon d’un patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contenait un virus particulier) avec des cellules rénales de singe, du sérum bovin fœtal et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est un “isolat du SARS-COV-2” et l’expédierait à l’étranger pour qu’il soit utilisé dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?

Parce que c’est le genre de travaux frauduleux que des équipes de recherche du monde entier font passer pour “l’isolement du virus”.

En date du 27 juillet 2021 :

87 institutions scientifiques et de santé du monde entier n’ont pas réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul rapport d’isolement/purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, à aucun moment. Vous trouverez ci-dessous la liste de ces institutions.

Ci-dessous toutes les demandes d’informations et leurs réponses archivées sur cv19.fr, voir les procédures complètes de chaque demande détaillée sur cette page : fluoridefreepeel.ca [archive]

1 Australia University of Western Australia – home of Gates-funded researcher Christine Carson
2 Australia ACT Government (Government of the Australian Capital Territory) / Canberra Health Services (CHS)
3 Australia Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation – CSIRO
4 Australia Department of Health
5 Australia Peter Doherty Institute for Infection and Immunity
6 Britain Health and Safety Executive
7 Canada Aylmer Police Services
8 Canada Centre for Disease Control, British Columbia
9 Canada City of Toronto, Ontario
10 Canada Department of Health & Community Services, Newfoundland Labrador
11 Canada Health Canada
12 Canada Institut National de Sante Publique du Quebec
13 Canada Institutes of Health Research
14 Canada Kingston, Frontenac, Lennox and Addington Public Health, Ontario (re “any variant”)
15 Canada McGill University
16 Canada Ministry of Health, British Columbia
17 Canada Ministry of Health, Ontario
18 Canada Mount Sinai Hospital, Toronto, Ontario
19 Canada National Research Council, [2]
20 Canada Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada
21 Canada Peterborough Police Service
22 Canada Peterborough Public Health
23 Canada Provincial Health Services Authority, British Columbia
24 Canada Region of Peel, Ontario, [2]
25 Canada Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario
26 Canada Toronto Police Service
27 Canada University of Toronto
28 Canada Vancouver Coastal Health Authority, British Columbia (re “the UK variant”)
29 Canada Grey Bruce Health Services
30 Canada McMaster University
31 Canada Public Health Agency of Canada[2]
32 Canada Vaccine and Infectious Disease Organization-International Vaccine Centre (VIDO-InterVac) at University of Saskatchewan
33 Czech Republic Ministry of Health
34 Czech Republic Univerzita Karlova
35 Denmark Statens Serum Institut
36 England Public Health England[2][3][4]
37 Europe Centre for Disease Prevention and Control
38 India Indian Council of Medical Research[2]
39 Isle of Man Department of Health and Social Care
40 Netherlands Ministry of Health, Welfare and Sport[2]
41 New Zealand Associate Minister of Health Hon Jenny Salesa
42 New Zealand Associate Minister of Health Hon Peeni Henare
43 New Zealand Associate Minister of Health Julie Anne Genter
44 New Zealand Bay of Plenty District Board
45 New Zealand Department of the Prime Minister and Cabinet
46 New Zealand Institute of Environmental Science and Research – ESR[2]
47 New Zealand Ministry of Health
48 New Zealand University of Auckland
49 New Zealand University of Otago
50 Norway Norwegian Ministry of Health and Cares Services & subordinate agency the Directorate of Health
51 Portugal Ministry of Health (jugement du tribunal formalisant que le ministère ne dispose d’aucune donnée ou référence sur l’existence du virus)
52 Republic of Africa Governmental COVID-19 Advisory Committee (jugement Afrique du Sud, en savoir plus)
53 Republic of Africa Minister of Co-operative Governance and Traditional Affairs
54 Republic of Africa National Department of Health
55 Republic of Africa National Institute for Communicable Diseases
56 Republic of Africa President
57 Republic of Columbia Ministry of Health & Social Protection
58 Republic of Ireland National Virus Reference Laboratory, University College Dublin
59 Scotland Public Health Scotland
60 Slovenia Department of Health
61 Slovenia Faculty of Medicine and Institute of Microbiology and Immunology, University of Ljubljana
62 Slovenia National Laboratory for Health, Environment and Food (Nacionalnega laboratorija za zdravje, okolje in hrano – NLZOH)
63 Spain Ministry of Health
64 United Kingdom Cabinet Office[2]
65 United Kingdom Department of Health and Social Care
66 United Kingdom Government Office for Science
67 United Kingdom House of Commons
68 United Kingdom House of Lords
69 United Kingdom Imperial College London
70 United Kingdom Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
71 United Kingdom Prime Minister’s Officelien vers cette réponse
72 United Kingdom University of Warwick
73 United States of America Agency for Toxic Substances and Disease Registry[2]
74 United States of America Centers for Disease Control and Prevention[2]
75 United States of America National Institute of Allergy and Infectious Diseases – NIAID, [2]
76 United States of America Oregon Health Authority
77 Uruguay Clemente Stable Biological Research Institute, Ministry of Education and Culture
78 Uruguay University of the Republic (UdelaR) Faculty of Chemistry
79 Uruguay Ministry of Public Health
80 Wales Public Health Wales[2]
81 Canada Hastings Prince Edward Public Health (Ontario)
82 Ukraine Ministry of Health
83 Australia Western Australia Minister & Department of Health
84 Australia South Australia Minister for Health and Wellbeing
85 Australia New South Wales Ministry of Health, Australia
86 England Pennine Acute National Health Service Trust
87 England Salford Royal National Health Service Foundation Trust

Certaines des réponses à ces demandes d’informations mentionnent le fait que l’isolement/purification du SARS-CoV-2 ne peut être effectué de la manière demandée, et que “l’isolement” mentionné dans les publications scientifiques réfère à la culture en cellule de prélèvement démontrant un effet cytopathique, mais aucune expérience témoin n’a été effectuée pour démontrer que cet effet cytopathique est présent ou non avec les mêmes procédures sur une culture saine ou stérile (voir FOI des pays-bas).

Voir aussi : Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Articles originaux :
https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars-cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/
https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

Télécharger tous les documents de demandes d’informations : https://files.catbox.moe/8gx9ft.zip


[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les références et liens contenus dont plusieurs proviennent du travail de recherche effectué
par Recherches Covid-19 (cv19.fr)]




Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
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Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





Épidémies et contagions

[Source : cv19.fr]

[Photo : AFP]

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie 1). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

    Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

    Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur, les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça…

    La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas, signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

    Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

    Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
    ►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
    ►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
    ►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
    ►modification des paramètres bioélectroniques ;
    ►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
    ►causes iatrogènes, vaccins,
    ►etc.
    => dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

    Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

    • Iatrogène

      • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
      • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).

    • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
    • Hygiène déficiente (-> encrassement).
    • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

    La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral.

    Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entravent les processus homéostasiques de détoxification (car ils entraînent une modification morbide de notre terrain et finissent par aggraver les choses). Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort !

    Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

    La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

    Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

    Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

    Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

    Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

    Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

    Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

    Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

    Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ?

    Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau (microzymas). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau…

    Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémieLes humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniquesélectromagnétiques et émotionnelles…

    Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

    En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

    « L’ignorance est mère de tous les maux. »

    Rabelais

    « Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c’est-à-dire propres à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme, la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami, un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels. »

    Pr. Grégoire Jauvais

    « La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires. » (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale.)

    Dr. Holleville

    « Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront… Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! »

    Dr. Alain Scohy

    « Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie. »

    Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique

    « Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. »

    Pr. Louis-Claude Vincent, 1976

    « C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur, qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause. »

    Albert Mosséri

    « La vie sobre met à l’abri des épidémies ou tout du moins atténue l’imminence du danger, les intempérants étant en cas d’épidémie atteints les premiers. »

    Dr. Paul Carton

    « Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte (carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. »

    Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle.

    « En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vue ou isolée une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques. »

    Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire

    « Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment. »

    Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement les épidémies.

    Deux cellules se transmettant de l’information à l’aide d’exosomes.
    Exosomes = virus = microzymas ?

    « Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile « d’imitation » (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité, comme les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. »

    Dr. Éric Ancelet

    « On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. »

    Dr. Louis De Brouwer

    « Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus. »

    Dr. Thomas Cowan

    Anecdotes :

    De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

    On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

    Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

    Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

    Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

    A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

    Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

    Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

    En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

    Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

    Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

    Articles complémentaires :

    Notion de terrain
    La Bioélectronique Vincent
    Nos amis les microbes
    Les microzymas et le polymorphisme microbien
    La toxémie
    Les 9 points de la santé ou de la maladie
    La loi de l’homéostasie
    Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins
    Pasteur l’imposteur
    Les ondes électromagnétiques
    L’équilibre acido-basique

    En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

    Source : https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/%C3%A9pid%C3%A9mies-et-contagions


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]


    Note




    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

    [Source : cv19.fr]

    Par le Dr. Ron Brown

    Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

    La métagénomique et les perspectives futures de la découverte de virus – ScienceDirect.

    Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

    Si vous avez l’intention de chercher des réponses à ces questions en interrogeant un coronavirus, il vaut mieux vous donner beaucoup de temps pour le traquer et l’emmener pour le questionner. Ce sont des petites créatures très occupées, qui élèvent des familles de descendants, s’échappent audacieusement des laboratoires, passent les frontières en contrebande, brandissent des protéines en forme de pointes acérées comme des épées pour tuer les cellules ciblées, sautent d’un seul bond entre des humains en contact étroit avec eux, manœuvrent autour des masques faciaux, attendant patiemment que vos mains frottées se salissent à nouveau, détournant l’ADN des cellules et les rançonnant, disparaissant de la circulation pendant l’été pour passer des vacances dans des cachettes secrètes, modifiant leur apparence pour se dissimuler des vaccins, et bien sûr, rendant les gens malades et commettant des homicides.

    Nous savons que ces choses sont vraies parce que des gens appelés scientifiques nous l’ont dit. Sauf que certaines de ces personnes ne sont pas du tout des scientifiques. Prenez le Dr Anthony S. Fauci, par exemple, médecin de formation et bureaucrate du gouvernement qui dirige l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis. Le Dr Fauci se met souvent dans des situations difficiles en faisant toutes sortes de déclarations non étayées sur la pandémie de coronavirus. Lorsque les données changent et qu’il est contraint de revenir sur ses déclarations, Fauci rejette la faute sur la science, en s’excusant et en expliquant que c’est ainsi que la science fonctionne.

    La science ne fonctionne pas du tout de cette façon. La plupart des vrais scientifiques sont suffisamment expérimentés pour éviter de faire des déclarations à la Fauci qui ne sont pas fondées sur des connaissances et des faits incontestables. Néanmoins, sans se laisser décourager par son manque de sens scientifique, le Dr Fauci continue à faire toutes sortes de déclarations sur les vaccins, les masques, les confinements et les virus. Combien de temps encore devrons-nous continuer à croire Fauci qui affirme que les virus sont de vrais méchants sans preuve irréfutable, au-delà du doute raisonnable ? Par exemple, le Dr Fauci a déclaré au Congrès américain le 11 mars 2020 que le coronavirus “EST dix fois plus mortel que la grippe”, et non qu’il POURRAIT ÊTRE plus mortel que la grippe. Par rapport aux 80 000 décès survenus pendant la grippe saisonnière 2017-2018, la mortalité annuelle due au coronavirus est loin d’être dix fois plus élevée, soit 800 000 décès par an, même en tenant compte des mesures de mitigation pour “arrêter la propagation.” Fauci a également co-écrit un éditorial dans le New England Journal of Medicine déclarant que le taux de létalité de la grippe saisonnière est de 0,1%. En réalité, 0,1 % est le taux de létalité de l’infection de la grippe, bien souvent inférieur, et non le taux de létalité. Le taux de létalité de la grippe en 1918 était de 2 à 3 %, comme celui du coronavirus lorsqu’il est apparu en Chine. 

    Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité due au coronavirus (cambridge.org).

    Les débuts de la virologie

    Pour découvrir la véritable nature des virus et, espérons-le, nous aider à surmonter notre microbiophobie, nous devons écouter de vrais scientifiques spécialisés en virologie. Le premier grand virologue dont vous n’avez probablement jamais entendu parler est le Dr Robert Doerr, qui a dirigé les Archives of Virology pendant une grande partie du 20e siècle. 

    (PDF) When did virology start ?, ASM News 62 (March) (1996), 142-5 | Ton van Helvoort – Academia.edu.

    Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

    Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

    Il y a 60 ans, Francis Crick a changé la logique de la biologie (nih.gov).

    Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

    Réplication virale – ScienceDirect.

    Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

    Nouvelles connaissances en virologie

    Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

    Activités biologiques des particules du virus de la grippe A “non infectieux” (nih.gov).

    Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

    Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet. 

    Les exosomes sécrétés par les cellules humaines transportent en grande partie des fragments d’ARNm qui sont enrichis dans les régions 3′ non-traduites | Biology Direct | Full Text (biomedcentral.com).

    Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

    Nul autre que le docteur VIH lui-même, Robert C. Gallo, a cosigné un récent article de perspective décrivant les similitudes entre les virus et les exosomes qui contiennent des déchets d’ARNm fragmentés. 

    Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? (nih.gov)

    Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

    La taille du protéome humain : La largeur et la profondeur (nih.gov)

    Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

    Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

    Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

    pubhealthreporig00014-0071.pdf (nih.gov).

    Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

    Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

    En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.


    Dr-Ron-Brown
    Ronald B. Brown, PhD, est l’auteur de plus d’une douzaine d’articles évalués par des pairs et publiés dans la U.S. National Library of Medicine of the National Institutes of Health ; ainsi que d’un chapitre sur la synthèse des connaissances de pointe dans Contemporary Natural Philosophy and Philosophies. Outre ses recherches épidémiologiques et de santé publique sur les maladies infectieuses et les vaccins pendant la pandémie de COVID-19, ses domaines de recherche actuels comprennent la prévention du cancer, des maladies cardiovasculaires, de la démence et d’autres maladies chroniques.


    Source : https://trialsitenews.com/rampant-microbiophobia-is-out-of-control-new-insights-on-the-true-nature-of-viruses/
    Traduction https://cv19.fr


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]




    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

    [Source : cv19.fr]

    Par Sally Fallon Morell

    L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.

    La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.

    L’HISTOIRE OFFICIELLE

    Bacillus anthracis est une bactérie anaérobie facultative en forme de bâtonnet, à Gram positif, d’une taille d’environ 1 sur 9 μm. La bactérie repose normalement sous forme de spores dans le sol et peut survivre pendant des décennies dans cet état.

    L’anthrax se propage par contact avec les spores de la bactérie. Les spores de l’anthrax apparaissent souvent dans les produits animaux infectieux. Le contact se fait par la respiration, l’alimentation ou par une zone de peau lésée. En général, l’anthrax ne se propage pas directement entre les personnes ou les animaux – en d’autres termes, il n’est pas contagieux.

    Spores de Bacillus anthracis

    Bien qu’il s’agisse d’une maladie rare, l’anthrax humain, lorsqu’il se manifeste, est plus fréquent en Afrique et en Asie centrale et méridionale. L’infection de la peau par l’anthrax est connue sous le nom de “maladie du porteur de laine”. Historiquement, l’anthrax inhalé était appelé “maladie du trieur de laine” car il s’agissait d’un risque professionnel pour les personnes qui triaient la laine. Aujourd’hui, cette forme d’infection est extrêmement rare dans les pays développés, car il ne reste pratiquement plus d’animaux infectés. En 2008, au Royaume-Uni, un fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux non traitées est mort de la maladie du charbon par inhalation [1].

    Bien qu’elle soit rare aujourd’hui, la maladie du charbon a posé un problème économique et sanitaire majeur en France et ailleurs au cours du XIXe siècle. Les moutons étaient particulièrement vulnérables, et des fonds nationaux ont été mis de côté pour étudier la production d’un vaccin. Louis Pasteur a consacré plusieurs années à cette quête après que Robert Koch, son rival allemand, ait revendiqué la découverte de l’agent responsable, le Bacillus anthracis. Les efforts déployés pour trouver un vaccin ont incité non seulement Pasteur mais aussi d’autres scientifiques de son époque à se lancer dans une course féroce pour la gloire et l’or.

    En 1881, Pasteur réalise une expérience publique à Pouilly-le-Fort pour démontrer son concept de vaccination. Il prépare deux groupes de vingt-cinq moutons, une chèvre et plusieurs bovins. Les animaux d’un groupe reçoivent deux injections d’un vaccin contre la maladie du charbon préparé par Pasteur, à quinze jours d’intervalle ; le groupe témoin n’est pas vacciné. Trente jours après la première injection, on a injecté aux deux groupes une culture de bactéries vivantes de la maladie du charbon. Tous les animaux du groupe non vacciné sont morts, tandis que tous les animaux du groupe vacciné ont survécu.

    L’expérience publique de Pasteur à Pouilly-le-Fort

    Ce triomphe apparent, largement rapporté dans la presse locale, nationale et internationale, a fait de Pasteur un héros national et a assuré la reconnaissance de la vaccination dans la pratique médicale.

    “Le bon Pasteur” – 1882

    C’est en tout cas l’histoire officielle. Maintenant, examinons-la de plus près.

    PUBLIC CONTRE PRIVÉ

    Les triomphes publics de Pasteur sont différents si l’on compare les articles de presse élogieux de l’époque aux carnets privés de Pasteur, analysés par Gerald L. Geison dans son livre The Private Science of Louis Pasteur [2].

    Pasteur a promu la théorie, largement contestée à l’époque, selon laquelle les microbes étaient à l’origine de la plupart des maladies, voire de toutes. La théorie des germes a permis aux scientifiques d’envisager un remède rapide à la maladie grâce à un vaccin contenant une forme affaiblie ou atténuée de la bactérie, un peu comme l’idée alors répandue qu’un peu de poison pouvait vous immuniser contre une dose plus importante.

    La lecture de ces premières tentatives de découverte d’un vaccin contre l’anthrax évoque des images de Monty Python et du ministère de la science idiote. Certains scientifiques ont tenté une “atténuation” en soumettant le microbe à un poison, le bichromate de potassium, ou à l’acide carbolique, un désinfectant. Un autre scientifique pensait pouvoir créer un vaccin atténué en chauffant le sang d’animaux infectés et en l’injectant à des animaux non infectés. Certains préféraient faire bouillir la bactérie dans du bouillon de volaille, d’autres dans de l’urine. Un collègue de Pasteur a essayé d’”affaiblir” des cultures d’anthrax en les exposant à des vapeurs d’essence. Pasteur a tenté de détruire la virulence du bacille de l’anthrax en le soumettant à de l’”oxygène atmosphérique”, c’est-à-dire de l’air en langage scientifique – toutes ces théories ont été poursuivies avec un sérieux digne de John Cleese.

    Malheureusement pour ces héros en puissance, aucune de leurs idées ne fonctionne très bien. Par exemple, lorsque le rival de Pasteur, un vétérinaire du nom de Toussaint, s’est concentré sur le sang chauffé, qui, selon lui, pouvait servir de vaccin efficace, il a constaté par la suite que les résultats étaient incohérents, allant jusqu’à tuer les animaux de laboratoire. Il a commencé à ajouter de l’acide carbolique, qui n’a pas non plus répondu aux attentes.

    Dans ses carnets, Pasteur exprime sa frustration de voir que ses propres expériences sur des lapins, des cochons d’Inde, des singes et des chiens donnent des résultats aussi peu concluants. Le vaccin magique était insaisissable et, selon Geison, Pasteur avait “une base expérimentale exceptionnellement faible pour annoncer la “découverte” d’un vaccin contre la maladie du charbon en janvier 1880″. [2] Pasteur fait une annonce similaire en février 1881 et, en mars, il fait état de résultats concluants lors de tests préliminaires sur des moutons. Comme le raconte Geison, “le ton audacieusement confiant des rapports publics de Pasteur exagérait les résultats réels de ses expériences avec le nouveau vaccin. En fait, les résultats de ses tests demeuraient décidément peu concluants”. [2]

    Lésion cutanée noire attribuée à une infection à l’anthrax

    Un autre problème rencontré par Pasteur était qu’il ne parvenait pas à rendre les animaux malades en leur injectant le microbe qu’il associait à la maladie qu’il étudiait, comme l’anthrax ou la rage. Dans le cas de l’anthrax, pour que des animaux sains tombent malades et meurent, il devait leur injecter de l’”anthrax virulent”. Pasteur rendait les microbes “pathogènes” plus virulents par ce qu’il appelait le “passage en série” de l’organisme à travers d’autres animaux. Dans le cas de l’anthrax, il utilisait des cobayes, leur injectait le micro-organisme qu’il associait à l’anthrax, puis sacrifiait l’animal et injectait son sang ou ses tissus – éventuellement mélangés à des poisons tels que l’acide carbolique ou le bichromate de potassium – à un autre animal ; ce processus était répété sur plusieurs cobayes. C’est ainsi qu’il a obtenu ce qu’il a appelé “l’anthrax virulent”.

    Pour la rage, Pasteur a pu produire les symptômes de la maladie en injectant “de la matière cérébrale. extraite d’un chien enragé dans des conditions stériles [c’est-à-dire empoisonnées], puis inoculée directement à la surface du cerveau d’un chien sain par un trou percé dans son crâne”. Ce traitement faisait parfois écumer la bouche des chiens et les faisait mourir. [2]

    Au milieu de ses expériences frustrantes sur l’anthrax, Pasteur est convaincu par l’Académie de médecine de faire la célèbre démonstration de Pouilly-le-Fort. Avec son rival Toussaint (un simple vétérinaire, même pas un vrai scientifique !) sur le dos, ses ennemis lui font signer le protocole d’une expérience qu’ils jugent impossible à réussir. Pasteur, à la consternation de ses collègues, accepte “impulsivement” le défi de Pouilly-le-Fort et signe le protocole d’expériences détaillé et astreignant le 28 avril 1881.

    UNE EXPÉRIENCE TROMPEUSE ?

    Geison insiste sur le fait que Pasteur a délibérément trompé le public sur la nature du vaccin qu’il a utilisé à Pouilly-le-Fort, bien qu’il n’y ait aucune raison particulière de le faire. Les protocoles ne spécifiaient pas le type de vaccin que Pasteur devait inoculer aux animaux. Au début de sa carrière, Pasteur était tout aussi méfiant quant aux détails de la fabrication de son vaccin contre le choléra des poules.

    Le point essentiel : contrairement à toutes ses premières expériences, les essais de Pouilly-le-Fort ont parfaitement fonctionné ! Tous les moutons vaccinés ont vécu, et tous les moutons non vaccinés sont morts. Un triomphe !

    Cependant, on est en droit de se demander si Pasteur a triché. Après tout, l’enjeu était de taille : toute sa carrière et l’avenir de la théorie des germes étaient en jeu. Les carnets de Pasteur indiquent qu’il était parfois malhonnête, voire peu recommandable. Il était également extrêmement agressif dans la défense de ses intérêts, ayant détruit plusieurs adversaires par la manipulation et une rhétorique acérée.

    La mort de tous les moutons non vaccinés est facile à expliquer. Pasteur a utilisé de l’”anthrax virulent” ; en d’autres termes, il les a empoisonnés. Qu’en est-il des moutons vaccinés – tous les moutons – qui ont survécu ? Leur a-t-il injecté de l’”anthrax virulent” ou simplement de l’anthrax, avec lequel il n’avait jamais réussi à tuer d’animaux ? Comme le diraient les Français, “Il y avait quelque chose de louche”.

    Après l’expérience, les demandes de vaccins contre l’anthrax inondent le laboratoire de Pasteur. Le laboratoire acquiert bientôt le monopole de la fabrication des vaccins commerciaux contre l’anthrax, et Pasteur poursuit agressivement les ventes à l’étranger. Au milieu des années 1880, Pasteur et son laboratoire tirent un bénéfice annuel net de 130 000 francs de la vente de vaccins contre l’anthrax. Mais Pasteur et ses assistants sont restés étonnamment réticents à divulguer tout détail sur le type de vaccin qu’ils utilisaient.

    Rapidement, des problèmes sont apparus, fournissant une autre raison de soupçonner Pasteur d’avoir triché : le vaccin contre l’anthrax n’a pas fonctionné. Dans Pasteur: Plagiarist, Imposter! l’auteur R.B. Pearson note que Pasteur a commencé à recevoir des lettres de plainte de villes de France et d’aussi loin que la Hongrie, décrivant des champs jonchés de moutons morts, vaccinés la veille. [3] Selon le gouvernement hongrois, “les pires maladies, pneumonie, fièvre catarrhale, etc. ont exclusivement frappé les animaux soumis à l’injection”. Un essai réalisé en 1882 à Turin a conclu à l’inutilité de la vaccination. Dans le sud de la Russie, les vaccins contre l’anthrax ont tué 81 % des moutons qui les avaient reçus [3].

    EMPOISONNEMENT À L’ARSENIC

    Petit à petit, l’utilisation du vaccin contre l’anthrax a diminué. … mais le plus mystérieux, c’est que l’apparition de l’anthrax a également diminué. Aujourd’hui, c’est une maladie rare. Alors, qu’est-ce qui a causé la mort de tant d’animaux, principalement des moutons, au cours du XIXe siècle, et pourquoi les moutons ne meurent-ils pas de la maladie du charbon aujourd’hui ?

    Prenons l’exemple de la solution de trempage pour moutons (une préparation liquide destinée à débarrasser les moutons des parasites). Le premier bain pour moutons au monde, inventé et produit par George Wilson de Coldstream, en Écosse, en 1830, était à base de poudre d’arsenic. L’une des marques les plus populaires était Cooper’s Dip, développée en 1852 par le vétérinaire et industriel britannique William Cooper. Le Cooper’s Dip contenait de la poudre d’arsenic et du soufre. La poudre devait être mélangée à de l’eau, si bien que les ouvriers agricoles – sans parler des moutons plongés dans la solution d’arsenic – étaient parfois empoisonnés.

    Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.

    Aujourd’hui, les bains pour moutons ne contiennent plus d’arsenic, de sorte que l’anthrax a disparu – sauf dans les pays en développement où il est encore utilisé dans des processus industriels comme le tannage – d’où le décès en 2008 du fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux importées [1].

    Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic. Après tout, les Français connaissaient une chose ou deux sur l’arsenic. Tous les médecins et pharmaciens stockaient de la poudre d’arsenic, et dans le roman à succès de Flaubert du milieu du siècle dernier, Madame Bovary, son héroïne se tue en avalant une poignée d’arsenic. Flaubert décrit de manière imagée les lésions noires qui marquent la belle Madame Bovary au moment de sa mort – tous les Français savaient à quoi ressemblait un empoisonnement à l’arsenic. Il semble que les scientifiques, les vétérinaires et les médecins aient été tellement éblouis par la nouvelle théorie des germes qu’ils n’ont pas pu faire le lien entre le poison et la maladie.

    Pasteur meurt en 1895 et prend immédiatement sa place en tant que premier saint de la médecine. La presse publie des gravures empestant la vieille dentelle, le montrant comme un objet d’adulation, ses flacons et ses gobelets posés sur un autel, un admirateur reconnaissant agenouillé devant eux. La science était devenue la nouvelle religion. Une description moderne appelle Pasteur “l’homme qui a sauvé des milliards de vies”.

    NOUVELLE ALERTE À L’ANTHRAX

    L’anthrax a disparu de l’esprit du public et les vaccins contre l’anthrax ont langui jusqu’aux célèbres lettres envoyées à des membres connus des médias et à deux sénateurs quelques semaines après le 11 septembre. Au moins vingt-deux personnes sont tombées malades et cinq sont décédées. [4] Les tests génétiques (et non l’isolement de la bactérie) ont révélé la présence de spores d’anthrax, mais personne n’a testé la présence d’arsenic dans les poudres.

    Les attentats ont ravivé l’intérêt pour le vaccin contre l’anthrax. Très peu utilisé pendant des décennies, le vaccin a été dépoussiéré pour être utilisé chez les personnes considérées comme étant dans une catégorie “à risque”, comme les membres de l’armée. Les soldats reçoivent le vaccin en cinq doses consécutives, avec un rappel chaque année [5].

    Même selon les sources conventionnelles, tous les vaccins contre l’anthrax actuellement utilisés provoquent des réactions, telles que des éruptions cutanées, des douleurs et de la fièvre, et des réactions indésirables graves se produisent chez environ 1 % des personnes vaccinées. [6] En 2004, une injonction légale contestant la sécurité et l’efficacité du vaccin a mis fin aux vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour les membres de l’armée, mais après qu’un rapport de la FDA en 2005 ait affirmé que le vaccin était sûr, [7] le ministère de la Défense a rétabli les vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour plus de deux cent mille soldats et employés du secteur de la défense. [8]

    LA SOLUTION DE LA NATURE

    Une dernière réflexion : Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries peuvent “biorémédier” l’arsenic dans le sol. [9] Ces bactéries résistantes à l’arsenic ou accumulant l’arsenic “sont répandues dans les sols pollués et sont des candidats précieux pour la biorémédiation des écosystèmes contaminés par l’arsenic”. La nature a toujours une solution, et dans le cas de l’arsenic, la solution est constituée de certaines bactéries du sol omniprésentes. Nous devons envisager la possibilité que la bactérie “hostile” de l’anthrax, isolée pour la première fois par Robert Koch, soit en fait un organisme de remédiation utile qui apparaît sur la scène (ou dans le corps) chaque fois qu’un animal ou un humain rencontre le poison appelé arsenic.

    Par Sally Fallon Morell, auteure du best-seller de cuisine Nourishing Traditions et présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation.

    Cet article est paru dans Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts, la revue trimestrielle de la Weston A. Price Foundation, automne 2020.

    Source : https://www.westonaprice.org/health-topics/anthrax-arsenic-and-old-lace/
    Traduction https://cv19.fr


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]


    RÉFÉRENCES

    1. https://www.telegraph.co.uk/news/uknews/4942456/Drum-maker-died-from-anthrax.html.
    2. Geison GL. The Private Science of Louis Pasteur. Prince-ton University Press, 1995, pages 167-170.
    3. Pearson RB. Pasteur: Plagiarist, Imposter! The Germ Theory Exploded! Dr William von Peters, 2002.
    4. Landers J. The anthrax letters that terrorized a na­tion are now decontaminated and on public view. Smithsonian Magazine, September 12, 2016.
    5. https://www.healthline.com/health/anthrax-vaccine-side-effects#dosage.
    6. https://en.wikipedia.org/wiki/Anthrax_vaccines.
    7. Roos R. FDA seeks comments on controversial anthrax vaccine. CIDRAP, January 13, 2005.
    8. Air Force Special Operations Command. Anthrax vaccine mandatory again. https://www.afsoc.af.mil/News/Article-Display/Article/163403/anthrax-vaccine-mandatory-again/.
    9. Ghodsi H, Hoodaji M, Tahmourespour A, Gheisar MM. Investigation of bioremediation of arsenic by bacteria isolated from contaminated soil. African Journal of Microbiology Research. 2012;5(32):5889-5895.



    Covid 19 : les technologies vaccinales à la loupe — par Christian Vélot, généticien moléculaire (mise à jour : vidéo, PDF et liens)

    [Source : PAN PLI]

    « Suite à sa note d’expertise grand public sur les vaccins faisant appel aux biotechnologies, le Dr Christian VÉLOT, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo didactique sur les différents types de vaccins contre la COVID-19, et en particulier ceux de dernière génération avec les risques potentiels qu’ils peuvent engendrer.
    Pensez à partager et à faire partager ! »

    L’équipe du CRIIGEN.

    IMPORTANT
    Suite à un entretien avec un membre du CRIIGEN et grâce au fichier de sous-titres qu’ils m’ont envoyé, j’ai ajouté (ce 17/01/2021) une piste de sous-titres à la vidéo qui corrige une erreur qui s’est glissée dans le propos de Christian à la minute 32:58.
    Merci de tenir compte de cette correction.

    Source : Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe (criigen.org)

    Expertise sous forme écrite : document PDF




    [Voir aussi :
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Les Technologies Vaccinales à la loupe — Le Dr Christian Vélot nous propose une vidéo sur les différents types de vaccins contre la Covid-19 (article plus étoffé de Guy boulianne, avec une présentation du Dr Christian Vélot);
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Les thérapies géniques à ARN messager ne sont pas des « vaccins » et peuvent modifier le génome humain ! MàJ3 (notamment l’article encadré de Myriam Marino)]

    [Ndlr : le Dr Christian Vélot se montre un bon vulgarisateur de la théorie vaccinale dans le cadre de la théorie virale. Cependant, bien des aspects de ces théories sont de plus en plus remis en question de nos jours, même si la démarche reste pour l’instant très minoritaire. Voir notamment :
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]La théorie des germes : Une erreur fatale
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]La théorie des exosomes contre celle des virus
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
    [wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkgreen »]5G, virus et covid-19]




    Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

    [Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

    Cher(e) ami(e) de la Santé,

    La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
    Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

    • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
    • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

    Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
    En commençant par l’expérience suédoise :

    Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

    Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
    Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

    • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
    • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
    • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
    • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

    Résultat ? 

    • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
    • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
    • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

    Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
    Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

    Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

    Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
    Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

    Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

    Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
    Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
    Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
    Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
    La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
    Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
    Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
    Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

    Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
    C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
    J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
    C’est de la désinformation pure et simple.
    Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

    Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

    Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

    « Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

    Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

    Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
    On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
    Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
    Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
    Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

    Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
    Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
    En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
    Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
    Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

    Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
    C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
    Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
    C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

    Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
    C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

    [Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    La théorie des exosomes contre celle des virus
    Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
    Dr Thomas S Coman (anglais)
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
    5G, virus et covid-19.]

    Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
    De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
    Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
    Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

    À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

    Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

    D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
    Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
    C’est faux.
    Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
    Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
    Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

    Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
    Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
    Alors que cela ne sert à rien.
    Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
    Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

    Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
    Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
    Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

    Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
    L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
    Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
    C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

    C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
    Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
    Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

    Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

    Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

    C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
    D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
    Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
    Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
    Mais c’est totalement faux.

    Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
    Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

    Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

    • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
    • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
    • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
    •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
    • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

    Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

    Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

    C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
    La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
    Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
    Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

    Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

    « Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
    Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
    Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

    Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
    Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
    Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

    Bonne santé,

    Xavier Bazin

    PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

    Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

    Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

    Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

    J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
    Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

    Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

    Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
    Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
    Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

    « Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

    Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
    Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
    Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

    Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

    Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
    Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
    Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

    Sources

    [1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

    [2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

    [3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

    [4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

    [5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

    [6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

    [7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

    [8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

    [9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

    [10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

    [11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




    La théorie des germes : Une erreur fatale

    [Source : Recherches Covid-19]

    La plupart des gens dans le monde pensent que le système de santé promu par les agences responsables de la santé publique, en particulier l’OMS, est solidement fondé sur des “données scientifiques fiables”. Ce système, connu sous le nom de “médecine moderne”, est perçu comme représentant une branche “d’élite” de la science, ce qui laisse entendre que toute autre approche des soins de santé et de la médecine doit être une pseudo-science ou un charlatanisme. Cette attitude élitiste est inculquée aux étudiants en médecine au cours de leur formation, comme l’a vécu le Dr Carolyn Dean, qui explique dans son livre intitulé Death by Modern Medicine [Mort par la médecine moderne] que,

    “En fait, on nous a souvent dit que si nous ne l’apprenions pas à l’école de médecine, ce devait être du charlatanisme.”

    Dans son livre intitulé Confessions of a Medical Heretic [Confessions d’un hérétique médical], le docteur Robert Mendelsohn indique que la croyance dans l’”autorité” médicale est injustifiée. Il développe sa réflexion sur les problèmes de la “médecine moderne” en faisant référence aux similitudes entre les croyances, la religion et la “médecine moderne”. Il décrit le corps médical comme “l’église de la médecine moderne” et justifie cette description par l’affirmation suivante

    La médecine moderne ne peut pas survivre sans notre foi, parce que la médecine moderne n’est ni un art ni une science ; c’est une religion… Il suffit de demander “pourquoi ?” suffisamment de fois et, tôt ou tard, vous atteindrez la limite de la foi.

    Ce sera sans doute un choc pour les gens de découvrir que la “médecine moderne” n’est pas fermement établie sur la base de la véritable “science”. L’expérimentation en laboratoire est certainement utilisée dans la médecine moderne, mais ce serait une erreur d’assimiler ces expériences à la “science”, comme l’explique le Dr Peter Duesberg dans son livre intitulé “Inventing the AIDS Virus“ [Inventer le virus du SIDA],

    “Le passage de la petite à la grande science a créé un ensemble de techniciens qualifiés mais de scientifiques médiocres, qui ont abandonné la véritable interprétation scientifique et qui assimilent même leurs expériences à la science elle-même”.

    La vraie science est un processus ; c’est un processus qui implique l’étude de différents aspects du monde afin d’élargir le niveau des connaissances humaines ; elle implique également la création d’hypothèses et de théories pour expliquer les différents phénomènes observés au cours de ces investigations scientifiques. Au fur et à mesure que les différentes études progressent et que l’ensemble des connaissances s’accroît, elles peuvent révéler de nouvelles informations ou mettre en évidence des anomalies et des contradictions dans les hypothèses et les théories existantes. Dans de tels cas, il est essentiel pour les scientifiques, quel que soit le domaine qu’ils étudient, de réévaluer ces hypothèses et théories à la lumière des nouvelles découvertes ; un processus qui peut nécessiter des révisions ou des adaptations des théories en vigueur. Il peut même être nécessaire d’abandonner une théorie s’il est démontré qu’elle n’est pas étayée par des preuves empiriques.

    L’une des principales théories sur lesquelles repose la “médecine moderne” est la “théorie des germes”, une théorie qui prétend que les micro-organismes, en particulier les bactéries et les virus, envahissent et infectent le corps, provoquant ainsi des maladies. Cette théorie, qui est généralement attribuée à Louis Pasteur au début des années 1860, est à la base d’une grande et très importante partie des pratiques médicales ; sans elle, la plus grande partie de la médecine moderne devient superflue, ce qui explique pourquoi le corps médical refuse de reconnaître ses défauts majeurs. Le maintien de la théorie n’est pas une preuve irréfutable qu’elle est pleinement établie et représente la vérité. En fait, les recherches que nous avons menées pour notre livre, What Really Makes You Ill ? Why Everything You Thought You Knew about Disease Is Wrong [Qu’est qui vous rend malade en fait ? Pourquoi tout ce que vous pensiez savoir sur les maladies est faux.] [traduction française en cours], nous ont permis de découvrir qu’il n’y a pas de preuve pour soutenir les affirmations de la communauté médicale en ce qui concerne la “théorie des germes”. Le terme “communauté médicales” fait référence à toutes les personnes, organisations, industries et institutions universitaires et de recherche qui pratiquent, recherchent, enseignent, promeuvent et soutiennent de toute autre manière le système de la médecine moderne.

    Il existe un principe fondamental selon lequel il incombe à ceux qui proposent une théorie d’en apporter la preuve. Or, dans le cas de la “théorie des germes”, la “preuve” n’existe pas ; il n’y a pas de preuve scientifique originale qui prouve définitivement qu’un “germe” provoque une maladie infectieuse spécifique. Bien que cette affirmation soit considérée comme très controversée et même scandaleuse, sa véracité peut être démontrée.

    Un certain nombre de sources corroborent l’affirmation selon laquelle la “théorie des germes” ne repose sur aucune preuve scientifique originale. L’une de ces sources est le docteur M.L. Leverson, qui, en mai 1911, a donné une conférence à Londres dans laquelle il a parlé de ses enquêtes qui l’avaient amené à la conclusion que,

    “Toute la structure de la théorie des germes repose sur des hypothèses qui non seulement n’ont pas été prouvées, mais qui sont impossibles à prouver, et beaucoup d’entre elles peuvent être prouvées comme étant le contraire de la vérité. L’hypothèse de base de ces hypothèses non prouvées, entièrement due à Pasteur, est celle selon laquelle tous les troubles dits infectieux et contagieux sont causés par des germes”.

    Le Dr M Beddow Bayly a également exposé l’absence de fondement scientifique de la “théorie des germes” ; dans son article de 1928 publié dans le journal London Medical World, il déclare que

    “Je suis prêt à soutenir, avec des faits scientifiquement établis, qu’en aucun cas il n’a été prouvé de façon concluante qu’un micro-organisme quelconque est la cause spécifique d’une maladie”.

    Il est clair que les preuves à l’appui de la “théorie des germes” ont brillé par leur absence plusieurs décennies après qu’elle ait été proposée par Louis Pasteur. Cependant, la situation n’a pas été rectifiée ; la théorie des germes reste non prouvée et des preuves accablantes démontrent qu’elle reste également une erreur.

    Bien que les affirmations de la communauté médicale selon lesquelles les “germes” provoquent des maladies fassent autorité, il n’existe aucune explication des mécanismes par lesquels les micro-organismes produisent la grande variété de symptômes, à des degrés d’intensité variables, qui sont censés se produire lorsqu’une personne est “infectée”. Cela représente une immense lacune dans les connaissances, bien que ce ne soit pas la seule que nous ayons découverte.

    On prétend que les “germes” se multiplient dans les cellules de l’hôte et que cela peut précipiter un niveau excessif de “mort cellulaire” qui serait un indicateur de maladie. Il est communément admis que c’est le “germe” qui a provoqué la mort de la cellule ; mais c’est une hypothèse erronée. Il existe de véritables raisons pour lesquelles les cellules meurent après avoir été soumises aux procédures de préparation utilisées dans les expériences de laboratoire, comme l’expliquent Torsten Engelbrecht et le Dr Claus Köhnlein, docteur en médecine, dans leur livre intitulé Virus Mania,

    “Ce phénomène est particulièrement virulent dans la recherche bactérienne et virale (et dans l’ensemble du développement pharmaceutique des médicaments) où les expériences de laboratoire sur des échantillons de tissus qui sont traités avec une variété de produits chimiques souvent très réactifs permettent peu de conclusions sur la réalité. Et pourtant, des conclusions sont constamment tirées – puis transmises directement à la production de médicaments et de vaccins”.

    Cette explication expose l’erreur fondamentale qui consiste à mener des recherches en laboratoire sans une compréhension adéquate de l’organisme vivant qu’est le corps humain, comme ils l’affirment par la suite,

    “Une autre question importante doit être soulevée : même lorsqu’un virus présumé tue des cellules dans une éprouvette (in vitro) … peut-on conclure sans risque que ces résultats peuvent être transmis à un organisme vivant (in vivo) ?

    L’hypothèse selon laquelle un “germe” particulier provoque une “infection” particulière repose uniquement sur l’affirmation que certains anticorps ont parfois été trouvés dans des échantillons prélevés sur des personnes présentant certains symptômes ; en d’autres termes, il semble y avoir une corrélation entre les symptômes et les anticorps.

    Cependant, les anticorps, qui sont des protéines, sont décrits comme des particules qui neutralisent les “agents pathogènes” et aident à les éliminer de l’organisme, ce qui signifie qu’ils sont définis uniquement dans le contexte de la “théorie des germes”. Mais cette explication est très problématique. On prétend qu’un système immunitaire fort et pleinement fonctionnel est capable de détruire tous les envahisseurs ; les “agents infectieux” ne devraient donc pas se trouver dans le corps d’une personne ayant un système immunitaire fort. Pourtant, des micro-organismes dits “pathogènes” ont été découverts dans le corps de personnes en bonne santé. Cette situation s’explique notamment par le fait que certains agents pathogènes peuvent exister dans l’organisme à l’état “dormant”. Mais un système immunitaire fort ne devrait pas permettre la présence d’un quelconque agent pathogène, même à l’état “dormant”.

    Dans une interview réalisée en 2005 pour le journal allemand en ligne Faktuell, le Dr Stefan Lanka a fait référence à ses études en biologie moléculaire et a affirmé avec audace que

    Au cours de mes études, moi et d’autres n’avons pu trouver nulle part la preuve de l’existence de virus pathogènes”.

    Au moment où nous écrivons ces lignes, en avril 2020, le monde serait en proie à une pandémie “mortelle” causée par un virus. Mais comme cet article et notre livre le révèlent clairement, il n’existe aucune preuve pour étayer ces affirmations.

    L’objectif principal de cet article, est de montrer que l’on fait craindre aux gens quelque chose dont il n’a jamais été prouvé qu’il puisse causer du tort. C’est pour cette raison que nous invitons tous ceux qui lisent cet article à comprendre que la “théorie des germes” n’a aucun fondement scientifique réel. Il est maintenant temps que la vérité l’emporte et que la “théorie des germes” soit reconnue comme une erreur fatale qui doit être reléguée aux oubliettes de l’histoire.

    Par Dawn Lester

    References:

    DEAN, C. – Death by Modern Medicine
    DUESBERG, P. – Inventing The AIDS Virus
    ENGELBRECHT, T & Köhnlein, C. – Virus Mania
    LESTER, D. & Parker D. – What Really Makes You Ill? Why Everything You Thought You Knew About Disease Is Wrong (Traduction française à venir dans l’année)

    MENDELSOHN, R. – Confessions of A Medical Heretic

    Dr ML Leverson MD May 1911 lecture http://www.whale.to/vaccine/shea1.html#Hume_
    M Beddow Bayly MD MRCS LRCP, 1936 booklet The Case Against Vaccination
    Dr Stefan Lanka – 2005 Interview in Faktuell http://www.whale.to/b/lanka.html


    Grosse libraire d’Ebooks gratuits, tous les livres mentionnés y sont normalement disponibles : https://1lib.us





    Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?

    [Source : Sott.net]

    Par M.K. Scarlett

    S’interroger sur le fait de savoir si le Sras-CoV-2 a été ou pas vraiment « isolé » peut sembler pertinent, d’autant que la généticienne Alexandra Henrion-Caude se pose la même question.

    Covid-19 - Les preuves d'une fraude globale

    L’article qui suit et les informations qu’il contient rend compte de certains faits qui posent question et qui sont par ailleurs peu débattus. Ces éléments ne suffiront sans doute pas à trancher la question, mais ils offrent, considérés dans leur ensemble, des éléments de réponses possibles, qui ouvrent eux-mêmes sur d’autres questionnements. Le tout étant par ailleurs parfois un peu technique, des explications supplémentaires portant sur des détails particuliers seront apportées au lecteur.

    Toutefois, et pour mettre les choses en perspective dans le contexte qui est le nôtre aujourd’hui, à savoir que nous avons affaire à des psychopathes — et à des suiveurs autoritaristes souvent corrompus, au rang desquels se trouvent des scientifiques — qui usent de sophisme pour nous raconter une histoire (celle de leur pseudo-réalité), voici un extrait de l’ouvrage de Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir :

    « [les sophistes sont des] maîtres dans l’art de déformer les mots, grassement payés et acclamés par les foules […] capables de faire l’éloge d’une chose mauvaise en la faisant apparaître comme bonne et qui [savent] avec maestria transformer le blanc en noir. [la sophistique est] un danger et une menace qui frappent la vie de l’esprit et celle de la société à toutes les époques. […] les sophistes, doués d’une énorme sensibilité pour les nuances du langage et d’une dose extrême d’intelligence formelle, cultivent le mot, érigent et parfaissent l’usage du mot en art — et […] ce faisant, ils corrompent en même temps le sens et la dignité du mot. [Il est essentiel] de reconnaître que quelque chose peut être magnifiquement fait, représenté, mis en scène, filmé brillamment et cependant être en même temps fondamentalement et essentiellement faux, et pas seulement faux, mais aussi mauvais, inférieur, lamentable, honteux, funeste, vil — et pourtant magnifiquement réalisé ! […] la difficulté à reconnaître les sophistes fait partie du succès de ces derniers. »

    On retrouve cet abus de langage au sein d’une mauvaise science devenue religieusement universelle dans laquelle il existe

    « un phénomène de « corruption systémique », une entreprise de manipulation généralisée permettant de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d’acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance de cause. »

    Voici donc la traduction de l’article écrit par Iain Davis sur son site Web In This Together.


    Le Covid-19, et les réponses gouvernementales qui ont suivi, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’aucune preuve n’existe pour démontrer qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis prêt à être corrigé. Cependant, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-Discovery. Leur comité consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

    Les sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation mondiale de la santé. Vous pouvez faire de même.

    D-Salud-Discovery indique qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

    L’ensemble du récit officiel du Covid-19 est une supercherie. De toute évidence, il n’existe aucun fondement scientifique dans aucune des parties de ce récit.

    Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons déclarer qu’il n’existe pas de preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est celles des ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.

    Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

    Note de MKS : Puisque l’auteur parle de parasites, voici quatre articles qui pourraient permettre au lecteur de creuser un peu plus :

    The Great Reset

    Qu’ont-ils identifié exactement ?

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classifié la maladie Covid-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de Covid- 19 le 11 mars 2020.

    Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

    « L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable du groupe de cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le Sras-CoV et le Mers-CoV) par un séquençage de nouvelle génération à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie. »

    L’OMS affirme que le virus du Sras-CoV-2 est à l’origine du Covid-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

    Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau coronavirus 2019-nCov — Rapport de situation n° 1 », ils déclarent que :

    « Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020 […] Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques. »

    Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus Sras-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les villages aux quatre coins du globe. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause le Covid-19.

    Pourtant, l’OMS affirme également :

    « Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires. »

    Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir d’« informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du virus dit Sras-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines en épi [ou protéine Spike – NdT] contenant l’ARN viral).

    Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

    structures protéiques

    Des virologues affirment qu’il n’est pas possible d’«isoler» un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes [et donc in vivo, et non in vitro dans lequel il est sorti de son environnement et ne peut par conséquent pas se comporter de la même manière – NdT]. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries — qui sont des organismes vivants. Par contre, ce que les virologues observent dans des cultures cellulaires, ce sont les effets cytopathogènes du virus qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules.

    [NdNM : pour les virus, les postulats de Koch sont remplacés par ceux de Rivers, mais ceux-ci ne sont apparemment pas respectés par les épidémies virales (autrement dit, cela tend à démontrer que les virus ne sont pas les véritables causes des épidémies virales). Voir Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies. De plus, le Docteur Stefan Lanka a démontré que les cellules se dégradent aussi naturellement sans la présence des virus incriminés, du fait qu’elles ne sont plus alimentées et qu’elles subissent l’effet toxique des préparations destinées à analyser les tissus cellulaires infectés. Autrement dit, ces effets cytopathogènes interviennent aussi sans la présence de virus censés produire la maladie virale en question. Voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus.]

    Lorsque les chercheurs chinois ont au départ séquencé le génome complet du Sras-CoV-2, ils ont observé un effet cytopathogène dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire simienne immortalisée et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

    Note de MKS : Une lignée cellulaire immortalisée est une lignée qui a échappé à la senescence cellulaire (par un procédé chimique) et qui peut donc se diviser indéfiniment in vitro. Les cellules Vero sont une lignée cellulaire utilisée pour les cultures cellulaires. Les cellules Vero E6 sont un clone de la souche 76, elle-même découverte en 1968. La lignée de cellules Vero a été isolée et établie à partir de rein de singe vert adulte d’Afrique (Certopithecus aethiops) en mars 1962 par Y. Yasumura et Y. Kawakita à l’université de Chiba au Japon. Source

    Au cœur de l’histoire officielle du Sras-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, [qui serait – NdT] capable de combler le fossé entre les espèces, des animaux aux humains. Lorsque des scientifiques du CDC aux États-Unis ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

    « Nous avons examiné la capacité du Sras-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, y compris les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0), et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules simiennes]… Aucun effet cytopathogène n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules simiennes] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le Sras-CoV-2. »

    Le CDC n’a observé aucun effet cytopathogène dans les cellules humaines. Ils n’ont trouvé aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

    Que le Sras-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie généralisée est loin d’être évident. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. Ne serait-ce alors rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

    Note de MKS : Notez que le Sras-CoV-2 imagé ci-dessus posséderait une protéine de surface (Spike) présentant une différence notable par rapport à d’autres coronavirus génétiquement proches. Ou plus exactement, le site de clivage de la protéine Spike du Sras-CoV-2 posséderait un insert (un fragment de peptide en plus) de quatre acides aminées, absent des protéines Spike de Sras-CoV. Source

    À propos de l’origine soi-disant zoonotique, Judy Mikovits a déclaré ce qui suit : […] Il n’a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n’a pas pu passer directement à l’homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s’agit d’une évolution virale accélérée. S’il s’agissait d’un phénomène naturel, il faudrait jusqu’à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.

    Rappelons aussi que le Dr Pekova suggérait dès avril dernier que le séquençage du Sras-CoV-2 « semble plutôt anormal, et qu’une restructuration aussi importante a peu de chances de se produire dans la nature, sans intervention humaine ».

    Voyage de découverte

    Le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan et le Centre clinique de santé publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du Sras-CoV-2 (MN908947.1). Ce séquençage a été mis à jour à de nombreuses reprises. Toutefois, MN908947.1 fut le premier à avoir décrit le prétendu agent étiologique du Sras-Cov-2, à savoir le Covid-19.

    Toutes les revendications, les tests, les traitements, les statistiques, le développement de vaccins et les politiques qui en découlent sont basés sur ce séquençage. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit du Covid-19 n’est qu’une mascarade.

    Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du Sras-CoV-2 en faisant correspondre desfragmentstrouvés dans les échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1 % avec les coronavirus Sras (Sras-Cov). Ils ont utilisé l’assemblagede novo et la PCR ciblée, et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6 % au Sras-CoV.

    Ils ont dû utiliser un assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance préalable de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En clair, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

    Note de MKS : L’assemblage de novo est une technique de séquençage d’un génome inconnu. Il nécessite l’assemblage d’un très grand nombre de petites séquences de ce même génome. Il nécessite aussi un génome de référence (s’il en existe un) afin de positionner (par comparaison) les séquences obtenues. L’assemblage de novo nécessite pour reconstituer un génome complet des programmes bioinformatiques de pointe. Source

    Avant de poursuivre, il est nécessaire de comprendre le principe du test PCR et l’usage qui en est fait dans le cadre de la « crise-Covid-19 ».

    Il s’agit en tout premier lieu d’un procédé d’amplification moléculaire qui mime le processus naturel de synthèse de l’ADN.

    La PCR ciblée est une technique de réplication ciblée in vitro — ou encore ACP pour « amplification en chaîne par polymérase ». Le principe consiste à obtenir, à partir d’un échantillon complexe et peu abondant, d’importantes quantités d’un fragment d’ADN spécifique et de longueur définie, dont l’ordre de grandeur à retenir est celui du million de copies en quelques heures, ce qui est généralement suffisant pour une utilisation ultérieure. Source

    Pour Kary Mullis, l’inventeur de la technique PCR qui lui a permis de gagner le prix Nobel de chimie en 1993, cet examen était avant tout qualitatif et destiné à répondre à la question : l’élément est là, oui ou non, mais il n’était pas du tout destiné à le quantifier, et donc, certainement pas conçu pour poser un diagnostic :

    « C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

    Voir aussi l’avis d’Alexandra-Henrion Caude sur le sujet : « Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude ».

    Ces cycles d’amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n’est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d’amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.

    Un article pré-publié sur le site medRxiv en juillet 2020 en fait la synthèse :

    « Aucune culture virale n’a été obtenue à partir d’échantillons […] avec des cycles d’amplification supérieurs à 24 ou 34, indiquent les chercheurs. La possibilité de cultiver du virus décroit lorsque les cycles d’amplification augmentent. »

    Par ailleurs, et histoire de rajouter à la confusion, le nombre de cycles n’est pas le même d’un pays l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre au sein d’un même pays…L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnésavec le génome déjà connu et publié du coronavirus du Sras (Sras-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du Sras n’est pas claire non plus.

    En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié cinquante patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras). Ils ont prélevé des échantillons sur deux de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

    À partir du matériel génétique trouvé, ils ont créé trente clones. Tandis qu’ils n’ont pu trouver aucune preuve d’un autre virus connu, ils ont toutefois trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques d’« origine inconnue ».

    E Gene target sequence

    En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57 % de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient la découverte d’un nouveau virus du Sras-CoV (toute nouvelle découverte étant par ailleurs considérée par les scientifiques comme une ambroisie), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

    « Les amorces pour détecter le nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du Sras, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie. »

    Note de MKS : Bien que l’auteur l’aborde partiellement plus loin, il est utile d’expliquer rapidement ce qu’est une « amorce » (et une sonde) dans le langage de la recherche génétique, voyons les quatre étapes du test PCR (après le prélèvement).

    • La première étape est celle de la dénaturation réalisée à une température de 95°C, l’ADN double-brin est séparé en ses deux brins d’ADN constitutifs ;
    • La deuxième étape est celle de l’hybridation lors de laquelle un oligonucléotide (la sonde) s’apparie à la séquence d’ADN qui lui est complémentaire ;
    • La troisième étape est celle de la polymérisation dans laquelle un deuxième oligonucléotide, l’amorce, s’hybride en amont, à quelques paires de bases de distance de la sonde ;
    • La quatrième étape est celle de l’émission de fluorescence qui permet d’éventuellement détecter et quantifier un signal fluorescent à même de prouver la présence de ce qui est recherché.

    Pour plus de détails, consultez cet article assez simplifié d’où j’ai tiré ce qui précède, ou celui-ci, bien plus fourni. Selon eurofins, les étapes 1 à 4 sont répétées de 35 à 50 fois. Un must !La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs à ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus Sras-CoV. La question n’a pas été posée.

    Ce supposé virus ne présentait qu’une correspondance de séquence de 57 % avec un coronavirus prétendument connu. Les 43 % restants étaient juste «  ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées en tant que nouveau génome auprès de la GenBank sous le numéro d’accès AY274119.

    Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une séquence correspondant à 79,6 % à AY274119 et l’ont donc qualifiée de nouvelle souche de Sras-CoV (2019-nCoV — finalement rebaptisée Sras-CoV-2). Personne n’avait, à aucun moment de ce processus, produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

    Ils n’ont rien isolé

    Les scientifiques sont très agacés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. La raison en est que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus Sras-CoV-2. Ce dont nous disposons, en revanche, c’est d’un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, celui-ci n’est pas particulièrement convaincant.

    Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du Sras-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

    Note de MKS : En préambule des réponses retranscrites ci-dessous, les auteurs de l’article stipule ce qui suit :

    « Et comme les tests PCR sont calibrés pour les séquences de gènes (dans ce cas-ci les séquences d’ARN car on pense que le Sras-CoV-2 est un virus à ARN), nous devons savoir que ces extraits de gènes font partie du virus recherché. Et pour le savoir, il faut procéder à une isolation et une purification correctes du virus présumé.

    C’est pourquoi nous avons demandé aux équipes scientifiques [auteurs] des documents pertinents auxquels il est fait référence dans le contexte du Sras-CoV-2 de prouver si les clichés au microscope électronique présentés dans leurs expériences in vitro montrent des virus purifiés. »

    Voici les réponses de ces scientifiques :

    • Study 1: Leo L. M. Poon; Malik Peiris. « Emergence of a novel human coronavirus threatening human health » Nature Medicine, March 2020
      Replying Author: Malik Peiris
      Date: May 12, 2020
      Answer: « The image is the virus budding from an infected cell. It is not purified virus. » [L’image est le virus bourgeonnant d’une cellule infectée. Ce n’est pas un virus purifié.]
    • Study 2: Myung-Guk Han et al. « Identification of Coronavirus Isolated from a Patient in Korea with COVID-19 », Osong Public Health and Research Perspectives, February 2020
      Replying Author: Myung-Guk Han
      Date: May 6, 2020
      Answer: « We could not estimate the degree of purification because we do not purify and concentrate the virus cultured in cells. » [Nous n’avons pas pu estimer le degré de purification car nous ne purifions pas et ne concentrons pas le virus cultivé dans les cellules.]
    • Study 3: Wan Beom Park et al. « Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea », Journal of Korean Medical Science, February 24, 2020
      Replying Author: Wan Beom Park
      Date: March 19, 2020
      Answer: « We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification. » [Nous n’avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification.]
    • Study 4: Na Zhu et al., « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China », 2019, New England Journal of Medicine, February 20, 2020
      Replying Author: Wenjie Tan
      Date: March 18, 2020
      Answer: « [We show] an image of sedimented virus particles, not purified ones. » [[Nous montrons] une image de particules de virus sédimentées, et non pas purifiées.]En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus Sras-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré [le 29 janvier 2020]:

    « Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic. »

    Ceci explique pourquoi le gouvernement australien a déclaré [le 4 décembre 2020] :

    « La fiabilité des tests Covid-19 est incertaine en raison de la base de preuves limitée… Il existe peu de preuves disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles. »

    Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

    « Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus Covid-19 a été isolé. »

    Ils n’ont, à ce jour, pas reçu de réponse.

    De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a présenté aux autorités nationales en charge de la santé publique en Angleterre [PHE en anglais – NdT] une requête en vertu de la loi sur la liberté de l’information. Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant la façon dont le virus du Sras-COV-2 avait été isolé. Ce à quoi ils ont répondu :

    « PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande. »

    La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

    « Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande. »

    Aux États-Unis, le Panel de diagnostic RT-PCR du Centre de contrôle des maladies (CDC) indique ce qui suit :

    « […] Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible […] La détection de l’ARN viral pourrait ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques. »

    Dans leur dernière mise à jour du 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de Covid-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le Sras-CoV-2 est présent ou cause le Covid-19.

    On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons nous contenter d’images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et de séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autrecomme autant de preuves concluantes que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

    Orf1 Gene Human Chromosome Match

    Tester en vain

    L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les think-thank, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel du Covid-19, affirment que le Sras-CoV-2 provoque le Covid-19. Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du Sras-CoV-2 a été publié. Il relève du domaine public.

    Au sein du génome du Sras-CoV-2, des séquences génétiques clés auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment des quatre suivantes :

    • Le gène de l’ARN polymérase ARN-dépendante (Rd-Rp) — Il permet à l’ARN du Sras-CoV-2 de se répliquer à l’intérieur du cytoplasme des cellules épithéliales malades du Covid-19 ;
    • Le gène S (ORF2) — Cette glycoprotéine forme le pic [Spike – NdT] à la surface du virion du Sras-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du Sras-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée ;
    • Le gène E (ORF1ab) — C’est une petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus ;
    • Le gène N (ORF9a) — Il s’agit du gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

    L’OMS tient un registre accessible au public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le Sras-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins anti-sens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

    Les brins d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral présumé. Au cours de l’amplification, alors que les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

    C’est de l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du Sras-CoV-2 dans un échantillon.

    Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST) [il s’agit d’une méthode de recherche heuristique utilisée en bioinformatique. Le BLAST permet de trouver les régions similaires entre deux ou plusieurs séquences de nucléotides ou d’acides aminés, et de réaliser un alignement de ces régions homologues – NdT]. Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc « BLASTER » [rechercher] les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles qui ont été déclarées dans la recherche du Sras-CoV-2.

    BLAST - Basic Local Alignment Search Tool Sras Cov2

    Les amorces et les protocoles de sonde de l’OMS pour le génome viral présumé du Sras-CoV-2 sont basés sur les profils des gènes Rd-Rp, ORF1, N et E. N’importe qui peut les soumettre à l’analyse de BLAST et découvrir les résultats.

    La séquence nucléotidique vitale Rd-RP, utilisée comme amorce avant, est — ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous lançons une recherche nucléotidique sur BLAST, celle-ci est enregistrée comme correspondant à l’isolation complète du Sras-CoV-2 avec une identité de séquence identique à 100 %. De même, la séquence d’amorce du gène E inverse — ATATTGCAGCAGTACGCACACA — révèle la présence de la séquence ORF1ab qui identifie également le Sras-CoV-2.

    Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence Rd-Rp du Sras-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100 %. La recherche sur le ORF1ab (gène E) en trouve 90 avec une identité de séquence de 100 % avec les chromosomes humains.

    En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène du Sras-CoV-2 E, et 100 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène vital Rd-Rp du Sras-CoV-2 .

    Chaque fois que nous vérifions les soi-disant marqueurs génétiques uniques au Sras-CoV-2 qui sont enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le Sras-CoV-2,ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, depuis des séquences microbiennes jusqu’à des fragments de chromosomes humains.

    Les soi-disant vérificateurs-de-faits (fact-checkers), comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les revendications de ceux qui ont remarquéle manque apparent de spécificité du supposé génome du Sras-CoV-2. Ils utilisent une ribambelle d’arguments bidons comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), ce qui fait que leur tentative de démystificationaboutit à quelque chose comme ça :

    « Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus Sras-CoV-2. De plus, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence d’ADNc entre les amorces est unique au virus. »

    Cette façon de faire semble déformer de manière délibérée la portée des observations émises en amont en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs-de-faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches effectuées sur BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au Sras-CoV-2. Pas plus qu’il n’est nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.
    © InconnuDes chercheurs marocains ont enquêté sur l’épidémiologie des cas marocains présumés du Sras-CoV-2. Neuf pour cent étaient positifs pour trois gènes, dix-huit pour cent étaient positifs pour deux gènes et soixante-treize pour cent pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs à aucun.

    Ceci est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que

    « Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du Sras-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé […] Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement une infection par le Sras-CoV-2. »

    Indépendamment des arguments fallacieux des vérificateurs-de-faits grassement rémunérés, si les amorces avant et arrière identifient des débris, l’une identifiant peut-être le fragment d’un chromosome et l’autre une séquence microbienne, alors la région amplifiée située entre elles est probablement aussi un débris.

    L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est spécieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que dans le prétendu génome du Sras-CoV-2 l’entièreté des chromosomes ou des microbes sont séquencés. Même s’il est possible que ce soit effectivement le cas, pour ce que l’on en sait. Ce qui est avancé [par ceux qui interroge les méthodes de dépistage – NdT], c’est que les prétendus marqueurs utilisés pour tester ce supposé virus ne sont pas adaptés à l’objectif.

    Séquençage Sras Cov2

    Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des occurrences de fluorescence de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences supposées exister. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « poubelle » (ADNc).

    Note de MKS : À propos de l’ADN « poubelle », voir cet article du Dr Gaby : « L’ADN « poubelle » viral, le régime cétogène qui améliore l’ADN et les effets cométaires ».

    Par exemple, le gène S du Sras-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus du Sras-CoV-2. La séquence cible est — TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100 %. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95 %. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100 % avec 86 fragments de chromosomes humains.

    Quel que soit l’endroit où l’on regarde dans le supposé génome du Sras-CoV-2, rien dans les protocoles de test de l’OMS ne permet d’identifier clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du Sras-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

    Si tel est le cas — et puisqu’il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus — aucune preuve de l’existence du Sras-CoV-2 sans test viable ne peut exister. Par conséquent, il n’existe pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée Covid-19.

    Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de Covid-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

    Note de MKS : Sur rien de « scientifique », mais sur une nécessité psychopathique servie par une certaine science, sans aucun doute.

    Fraude et conspiration

    La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

    « Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre. »

    La définition juridique d’une conspiration est la suivante

    « Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. »

    Il semblerait que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’aient fourni aucune preuve montrant qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Toutes les informations suggérant fortement qu’une telle probabilité existe sont facilement accessibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

    Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations à des fins frauduleuses, il s’agit alors d’une conspiration (dans les pays qui appliquent la Common law [Loi commune]) ou d’une entreprise criminelle commune en vertu du Droit international.

    Note de MKS : La Common law est système juridique anglo-saxon dont les règles sont principalement édictées par les tribunaux au fur et à mesure des décisions individuelles, et non sur le Droit civil comme en France qui s’appuie sur le Droit codifié — encore que la France fait de plus en plus souvent fi du Droit codifié pour le remplacer par la Common law, dont la jurisprudence a toujours été l’élément fondamental. Généralement, les pays sous la Common law sont les anciennes colonies ou les anciens protectorats britanniques y compris les Etats-Unis (à la seule exception de la Louisiane où s’applique un droit codifié.)

    Il semble que le Covid-19 ait été délibérément utilisé comme casus belli pour mener une guerre contre l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de flâner a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, les droits de manifester ont été réduits, nous avons été séparés de nos proches, et nos sociétés ont été détruites, soumises à des assauts psychologiques, muselées et terrorisées.

    Le Prince Charles nous demande d’accueillir la Grande réinitialisation à bras ouverts

    Pire encore, alors qu’il n’existe pas de preuve d’une mortalité sans précédent toutes causes confondues, on a enregistré des pics de mortalité anormaux. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont entraîné une interruption des soins de santé primaires et une réorientation des services de santé publique financés par nos impôts pour traiter à l’exclusion de toutes les autres une prétendue maladie.

    En outre, ceux qui ont présenté et fait circuler le récit Covid-19 proposent que cette prétendue maladie justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

    Pour être autorisés à participer à leur soi-disant « nouvelle normalité » [ou nouvelle réalité, soit leur pseudo-réalité – NdT], à savoir la transformation complète sans notre consentement de toute notre société, ils exigent que nous nous soumettions à leurs conditions.

    Ces mesures comprennent, sans s’y limiter, une surveillance biométrique de chacun, un contrôle et un suivi centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives, jusqu’à celle qui exige clairement que nous renoncions à toute forme de souveraineté sur nos propres corps. Toutes ces mesures constituent les conditions qui prévalent dans l’esclavage.

    Il ne fait aucun doute que nos droits ont été bafoués et que nous en avons été dépouillés. Dans les pays qui exercent la Common law, l’innocence est présumée, mais il n’empêche que les preuves d’un préjudice délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, émanent clairement de think tanks mondialistes et d’institutions supranationales, et ont été élaborées bien avant l’émergence de cette soi-disant pandémie.

    Dans les pays soumis au Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils faudrait qu’ils puissent prouver que, en dépit de leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre l’une des preuves librement disponibles suggérant que le Covid-19 est un mythe.

    Note de MKS : Le Code Napoléon est aussi appelé Code civil, et la présomption d’innocence est le principe selon lequel toute personne, qui se voit reprocher une infraction, est réputée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement démontrée. La plupart des pays d’Europe reconnaissent et utilisent le principe de la présomption d’innocence selon l’article 6 de la Convention européenne des droits de l’homme. Toutefois, il est des cas, tout du moins en France, où la présomption de culpabilité existe en vertu des exceptions au droit à la présomption d’innocence. Ces exceptions sont légales et la charge de la preuve de la non-culpabilité repose alors sur le prévenu.

    Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

    Source de l’article initialement publié en anglais le 16 novembre 2020 : In This Together
    Traduction : Sott.net


    Alors, fraude totale ou partielle ?

    Si l’on part du principe, comme postulé ici, que le Sras-Cov-2 est d’origine humaine, et qu’il est donc « réel », faut-il donc en déduire que le séquençage qui en a été fait est faux, bidouillé, falsifié, suffisamment pour en cacher certains éléments, parmi ceux qui pourraient servir les psychopathes au pouvoir, mais pas assez pour en révéler certains aspects? Encore que les éléments de preuve développés dans « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 » proposent justement d’y répondre :

    « Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 a été fabriqué à Fort Detrick et qu’il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d’affecter les fonctions neurologiques associées à l’obéissance.

    Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d’abord parce que le « virus de l’obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.

    Le confinement général fut une tentative désespérée de minimiser la propagation des effets potentiellement bénéfiques de la mutation du Sras-Cov-2. »

    Au départ, il y a une fabrication. Puis s’en est suivi une mutation. Le séquençage « officiel » du Sras-Cov-2 correspond-il au virus initial ou à sa mutation ? Ou à un autre « état » intermédiaire ?

    Quoiqu’il en soit, c’est une question à laquelle il est pour le moment difficile de répondre, et il est possible que nous n’en saurons jamais rien. Nous avons plus que certainement des lacunes tant techniques que factuelles pour comprendre les tenants (mais pas les aboutissants) de tout ceci. Tout ce que nous savons, à ce stade, c’est que ce virus est utilisé pour tenter d’imposer aux populations terrorisées un monde dystopique — par le biais notamment d’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer des conjectures et des théories malsaines sur ce à quoi le monde post-soi-disant-pandémique devrait ressembler.

    « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! » « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d’immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée.

    Pour conclure, qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag :

    « La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

    L’auteur dans son ouvrage La réforme du vrai — Enquête sur les sources de la modernité, publié en 2010 aux Éditions Charles Léopold Mayer, « explore les fondements sur lesquels s’est appuyée la révolution scientifique et les métamorphoses qu’elle a induites dans la société. » Nissim Amzallag plonge dans des considérations historiques pour essayer de comprendre si la science naissante, dite moderne depuis la pomme de Newton (mythe fondateur, s’il en est), « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». C’est loin d’être le cas :

    « les innovations les plus importantes, conceptuelles comme pratiques, dérivent de parti pris étrangers à toute exigence du réel ».

    Son livre s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’émanciper « de l’autorité d’une idéologie maquillée en savoir » en prenant conscience de l’existence d’une réforme du vrai. Ou devrait-on l’appeler « réforme du réel » ? En effet, il est difficile, quand on les connaît toutes les deux, de ne pas faire le lien entre l’existence des pseudo-réalités psychopathiques et la réforme du vrai de l’auteur, une réforme qui permet justement la mise en place de la dite pseudo-réalité. Dans son ouvrage, il en aborde en 2010 toutes les étapes sauf celle, finale, mais vouée à l’échec de par sa nature utopique, que nous expérimentons aujourd’hui.

    M.K. Scarlett 

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    Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




    Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux

    [Source : cv19.fr]

    Par Sayer Ji

    Des recherches révolutionnaires indiquent que la plupart des croyances concernant les propriétés prétendument mortelles de virus comme la grippe ne sont en fait pas fondées sur des preuves mais sur des mythes…

    La théorie des germes est une force extrêmement puissante sur cette planète, qui affecte les interactions quotidiennes, de la poignée de main jusqu’aux programmes nationaux de vaccination et aux campagnes mondiales d’éradication.

    Mais qu’en est-il si la recherche fondamentale sur ce que sont exactement ces “agents pathogènes”, comment ils nous infectent, n’a même pas encore été effectuée ? Et si une grande partie de ce que l’on suppose et croit sur le danger des microbes, en particulier des virus, avait été complètement remise en cause à la lumière de nouvelles découvertes radicales en microbiologie ?

    Certains de nos lecteurs savent déjà que, dans mes précédents écrits, j’explique pourquoi le concept de “germes comme ennemis” a été décimé par la découverte relativement récente du microbiome. Pour en savoir plus sur ce sujet, lisez mon article précédent, “How The Microbiome Destroyed the Ego, Vaccine Policy, and Patriarchy“. Vous pouvez également lire “Profound Implications of the Virome for Human Health and Autoimmunity“, pour mieux comprendre comment les virus sont réellement bénéfiques pour la santé des mammifères.

    Dans cet article, je vais adopter une approche moins philosophique et me concentrer sur la grippe comme exemple plus concret du changement de paradigme au niveau copernicien dans le domaine de la biomédecine et des sciences de la vie dans lequel nous sommes tous actuellement plongés, même si l’establishment médical ne l’a pas encore reconnu.

    Virus mortels de la grippe : Se vacciner ou mourir ?

    De la manière hyperbolique dont en parlent aujourd’hui les responsables de la politique de santé et les grands médias, le virus de la grippe (ou COVID-19) est une force mortelle inexorable (remarque : les virus sont des parasites involontaires, au pire, sans force motrice interne pour “infecter” activement les autres), contre laquelle tous les citoyens, de tous âges, doivent se protéger par le vaccin annuel contre la grippe, de peur (dit-on) de subir des conséquences mortelles. Pire encore, les personnes qui ont des convictions religieuses ou philosophiques, ou qui s’opposent en toute conscience à la vaccination, sont caractérisées comme des personnes qui font du mal aux autres en leur refusant l’immunité collective (un concept qui a été complètement démenti par une étude minutieuse des preuves, ou de leur absence). Par exemple, dans l’interview ci-dessous, Bill Gates dit à Sanjay Gupta qu’il pense que les non-vaccinés “tuent les enfants” :

    https://www.youtube-nocookie.com/embed/EFlhBYwLbf8

    Mais si je vous disais qu’il n’existe même pas de “virus de la grippe”, au sens d’un vecteur de maladie autonome et monolithique, conçu comme une relation de prédateur à proie ?

    Tout d’abord, considérez que la collaboration Cochrane, qui fait figure de référence, reconnaît qu’il existe de nombreux virus de la grippe différents qui ne sont pas, en fait, la grippe A – contre laquelle les vaccins antigrippaux sont ciblés – mais qui peuvent néanmoins contribuer à des symptômes identiques à ceux attribués à la grippe A :

    “Plus de 200 virus provoquent la grippe et les affections pseudo-grippales qui produisent les mêmes symptômes (fièvre, maux de tête, douleurs, toux et écoulement nasal). Sans tests de laboratoire, les médecins ne peuvent pas distinguer les deux maladies. Les deux durent plusieurs jours et entraînent rarement la mort ou une maladie grave. Au mieux, les vaccins pourraient être efficaces uniquement contre les grippes A et B, qui représentent environ 10 % de tous les virus en circulation”. (Source : Cochrane Summaries)”. [c’est nous qui soulignons]

    Cela donne une image de la complexité qui mine puissamment les politiques de santé qui présupposent que la vaccination équivaut à une immunité véritable et, par conséquent, nécessite que le groupe participe collectivement au rituel des campagnes de vaccination de masse par nécessité sociale de vie ou de mort.

    Même l’utilisation du mot “immunisation” pour décrire la vaccination est très trompeuse. Dès l’instant où le mot est utilisé, il présuppose déjà l’efficacité et donne l’impression que les non-vaccinés sont anti-immunitaires, au lieu de ce qu’ils sont en réalité : pro-immunitaires (via l’air pur, la nourriture, l’eau et le soleil), mais peu enclins à se soumettre ou à soumettre leurs enfants en bonne santé à des procédures médicales “inévitablement dangereuses” dont les bénéfices sont seulement théoriques.

    Pourquoi le virus de la grippe n’existe pas (comme on nous l’a appris)

    Mais le sujet devient encore plus intéressant lorsque l’on considère les conclusions d’une étude de 2015 intitulée “Conserved and host-specific features of influenza virion architecture” (Caractéristiques conservées et spécifiques à l’hôte de l’architecture du virion de la grippe). Il s’agit de la première étude jamais réalisée pour déterminer la profondeur moléculaire de la composition réelle du virus de la grippe. Étonnamment, étant donné la longue histoire de l’utilisation et de la promotion du vaccin, la caractérisation complète des protéines qu’il contient et de leur origine n’avait jamais été réalisée auparavant. Il est difficile de comprendre comment nous investissons des milliards de dollars par an dans les vaccins antigrippaux et comment nous avons créé une campagne mondiale pour contrer un ennemi viral dont les éléments de base n’étaient même pas connus il y a quelques années encore. Mais c’est néanmoins vrai.

    Le résumé de l’étude s’ouvre sur cette ligne très provocatrice :

    “Les virus utilisent les virions pour se propager entre les hôtes, et la composition des virions est donc le principal déterminant de la transmissibilité et de l’immunogénicité virales”.

    Les virions sont également connus sous le nom de “particules virales”, et ils sont les moyens par lesquels les acides nucléiques viraux sont capables de se déplacer et “d’infecter” les organismes vivants. Sans la particule virale (taxi) pour transporter l’ADN du virus (passager), il serait inoffensif ; en fait, les virus sont souvent décrits comme existant quelque part entre les objets vivants et inanimés pour cette raison : ils ne produisent pas leur propre énergie, ni ne sont transmissibles sans un hôte vivant. Ainsi, dans cette première ligne, les auteurs précisent que la composition du virion est également le principal déterminant de la manière dont un virus est infectieux ou non (transmission) et des effets qu’il aura sur le système immunitaire de l’hôte infecté.

    Particules virales influenza

    Cette distinction est importante car nous considérons souvent les virus comme de simples chaînes d’ADN ou d’ARN pathogènes. L’ironie, bien sûr, est que les choses auxquelles nous attribuons tant de létalité – les acides nucléiques viraux – ne sont même pas vivants, et ne peuvent pas infecter un organisme sans que tous les autres composants (protéines, lipides, acides nucléiques extraviraux) qui, techniquement, ne sont pas d’origine virale, participent au processus. Et donc, si les composants non viraux sont essentiels pour que le virus puisse causer des dommages, comment pouvons-nous continuer à soutenir que nous sommes confrontés à une entité monolithique de la maladie “dehors” qui nous “infecte”, une victime passive ? C’est fondamentalement insensé, compte tenu de ces conclusions. Cela sape aussi clairement la rhétorique incessante, fondée sur la peur, que tiennent les partisans de la vaccination pour contraindre les masses à se soumettre au rite de la vaccination, largement fondé sur la foi.

    Plongeons plus profondément dans les conclusions de l’étude.

    La ligne suivante du résumé porte sur le fait avec lequel nous avons commencé cet article : à savoir qu’il existe une grande complexité au niveau de la profonde variabilité de la composition du virion :

    “Cependant, les virions de nombreux virus sont complexes et pléomorphiques, ce qui les rend difficiles à analyser en détail”

    Mais ce problème de la grande variabilité de la composition virionique de la grippe est exactement la raison pour laquelle l’étude a été menée. Ils expliquent :

    “Ici, nous abordons ce problème en identifiant et en quantifiant les protéines virales par spectrométrie de masse, ce qui permet de produire un modèle complet et quantifiable des centaines de protéines virales et codées par l’hôte qui constituent les virions pléomorphiques du virus de la grippe. Nous montrons qu’une architecture conservée de virions de la grippe, qui comprend des quantités substantielles de protéines de l’hôte ainsi que la protéine virale NSI, est élaborée avec d’abondantes caractéristiques dépendantes de l’hôte. En conséquence, les virions de la grippe produits par les hôtes mammifères et aviaires ont des compositions protéiques distinctes”.

    En d’autres termes, ils ont découvert que le virus de la grippe est autant constitué de matériel biologique provenant de l’hôte que le virus “infecte” que de matériel génétique viral du virus en soi.

    Comment alors différencier le virus de la grippe comme étant totalement ” étranger ” ? Étant donné qu’il n’existerait pas sans les protéines ” propres “, ou celles d’autres animaux hôtes comme les oiseaux (aviaires) ou les insectes, il serait impossible de le faire avec une honnêteté intellectuelle parfaite.

    Il y a aussi le problème important que pose la production de vaccins antigrippaux. Actuellement, l’antigène du vaccin contre la grippe humaine est produit par l’intermédiaire d’insectes et d’œufs de poule. Cela signifie que les particules virales extraites de ces hôtes contiendraient des protéines étrangères, et produiraient donc des réponses immunologiques différentes et/ou imprévisibles chez l’homme, par rapport à ce que l’on attendrait de particules virales de la grippe humaine. Une possibilité est que les douzaines de protéines étrangères présentes dans la grippe aviaire pourraient théoriquement produire chez l’homme des antigènes qui réagiraient de manière croisée avec les auto-structures, ce qui entraînerait une auto-immunité. Actuellement, les tests de sécurité ne permettent pas de détecter ces réactions croisées. Il est clair que cette découverte ouvre une boîte à pandores de problèmes potentiels qui n’ont jamais été suffisamment analysés, car on n’a jamais compris jusqu’à présent que la “grippe” dépend aussi complètement d’un hôte pour sa transmissibilité et son immunogénicité.

    Les virus de la grippe sont-ils vraiment des exosomes “détournés” ?

    Enfin, l’étude a mis en évidence quelque chose d’encore plus étonnant :

    “Enfin, nous notons que les virions de la grippe partagent une composition protéique sous-jacente avec les exosomes, ce qui suggère que les virions de la grippe se forment en détournant la production des micro-vésicules”.

    Ce dont ces chercheurs parlent, c’est de la découverte que les particules de virion partagent des similarités étonnantes avec les particules de type viral produites naturellement par toutes les cellules vivantes appelées exosomes. Les exosomes, comme de nombreux virus (c’est-à-dire les virus enveloppés), sont enfermés dans une membrane et ont une taille comprise entre 50 et 100 nanomètres, comme les virus (20 à 400 nm). Ils contiennent également des molécules biologiquement actives, telles que des protéines et des lipides, ainsi que des molécules contenant des informations, comme pour l’ARN, qui sont exactement, ou très similaires, aux types de contenus que l’on trouve dans les particules virales.

    Regardez cette vidéo de base sur les exosomes pour vous faire une idée :

    https://www.youtube-nocookie.com/embed/sE2krsErbwI

    Lorsque nous commençons à examiner les virus à travers la perspective de leur interaction avec les exosomes, qui en tant que porteurs d’ARN sont essentiels pour réguler l’expression de la grande majorité du génome humain, nous commençons à comprendre comment leur fonction pourrait être considérée comme neutre en tant que “porteurs d’informations”, voire bénéfique. Les exosomes et les virus peuvent en fait être responsables de la communication et de la régulation inter-espèces ou inter-régions au sein de la biosphère, étant donné la manière dont ils sont capables de faciliter et de médier le transfert horizontal d’informations entre les organismes. Même la consommation d’un fruit contenant ces exosomes peut altérer l’expression de gènes d’une importance vitale dans notre corps.

    Exosomes

    À la lumière de cette perspective post-théorie des germes, les virus pourraient être décrits comme des éléments d’information à la recherche de chromosomes ; pas intrinsèquement “mauvais”, mais, en fait, essentiels pour la médiation de la relation génotype/phénotype au sein des organismes, qui doivent s’adapter en temps réel à des conditions environnementales toujours changeantes pour survivre ; ce que le rythme extrêmement lent des changements génétiques dans les séquences nucléotidiques primaires de notre ADN ne peut pas faire (par exemple, il peut falloir environ 100 000 ans pour qu’une séquence de gène codant pour une protéine change, contre quelques secondes pour que l’expression d’un gène codant pour une protéine soit modifiée par modulation via des ARN viraux ou exosomaux).

    Cela ne signifie pas non plus qu’ils sont “tous bons”. Parfois, compte tenu de nombreuses conditions échappant à leur contrôle, leurs messages pourraient présenter des défis ou des informations erronées aux cellules auxquelles ils sont exposés, ce qui pourrait entraîner un ” symptôme de maladie “. Ces symptômes de maladie sont souvent, voire invariablement, des tentatives d’autorégulation de l’organisme, qui finit par s’améliorer et se guérir lui-même.

    En d’autres termes, la composition virionique des virus semble être le sous-produit de la machinerie de production et du trafic de l’exosome normal de la cellule (également appelé microvesicule), bien qu’elle soit influencée par l’ADN de la grippe. Et comme les exosomes, les virus peuvent être un moyen de communication extracellulaire entre les cellules, au lieu d’être simplement une entité pathologique de la maladie. Cela pourrait expliquer pourquoi une accumulation de recherches sur le rôle du virome dans la santé humaine indique que les agents dits infectieux, y compris les virus comme la rougeole, confèrent des avantages importants pour la santé. [voir : the Health Benefits of Measles et The Healing Power of Germs ?]

    D’autres chercheurs ont fait des découvertes similaires sur la relation entre les exosomes et les virus, décrivant parfois le détournement viral des voies d’accès aux exosomes comme une hypothèse de “cheval de Troie”. Le VIH peut fournir un tel exemple.

    Remarques finales

    La découverte remarquablement récente de la nature dépendante de l’hôte de la composition du virion du virus de la grippe n’est en fait que la partie émergée d’un iceberg intellectuel qui n’a pas encore été pleinement mis en lumière, mais qui fait déjà “couler” des navires ; des navires paradigmes, si vous voulez.

    Un de ces paradigmes est que les germes sont des combattants ennemis, et que les virus ne jouent aucun rôle fondamental dans notre santé, et devraient être éradiqués de la terre avec des médicaments et des vaccins, si possible.

    Cette croyance est cependant intenable. Avec la découverte du rôle indispensable du microbiome, et de la sous-population de virus qu’il contient – le virome – nous sommes entrés dans une vision entièrement nouvelle, basée sur l’écologie, du corps et de son environnement, qui sont fondamentalement inséparables. Ironiquement, la seule chose que la grippe peut être capable de tuer est la théorie des germes elle-même.

    Pour une exploration approfondie de cette question, regardez la conférence ci-dessous sur le virome. Je vous promets que si vous le faites, vous ne pourrez plus maintenir la théorie des germes comme une vérité monolithique. Vous commencerez peut-être même à comprendre comment nous pouvons considérer certains virus comme “nos amis” et pourquoi nous avons peut-être bien plus besoin des virus qu’ils n’ont besoin de nous.

    https://www.youtube-nocookie.com/embed/TRVxTBuvChU

    Source : https://www.greenmedinfo.com/blog/why-only-thing-influenza-may-kill-germ-theory
    Traduction par https://cv19.fr


    [Voir aussi :




    Pourquoi l’obligation de la ceinture de sécurité et celle du masque ne sont pas comparables ?

    Par Joseph Stroberg

    Dans le but de discréditer les personnes qui refusent la dictature sanitaire et le port du masque obligatoire, d’autres qui fonctionnent encore dans la pensée unique propulsée par les médias mainstream établissent une comparaison entre l’obligation de la ceinture de sécurité dans les automobiles et l’obligation du port du masque. Cependant, les deux ne sont pas vraiment comparables. Ou, plutôt, tenter d’établir des points de rapprochement entre les deux risque fort d’aboutir au constat de leurs nombreuses différences. De plus, prétexter l’existence de mesures contraignantes, coercitives et restrictives de libertés pour en justifier de nouvelles du même type est le choix des tyrans et dictateurs de tous poils ou de leurs valets, mais certes pas celui d’individus qui ont à cœur le bien-être physique, moral, psychique et spirituel des autres.

    Pour commencer, les pays qui ont adopté l’obligation de la ceinture de sécurité dans les véhicules motorisés sur les routes et dans les rues des villes l’ont généralement fait à la suite d’études comparatives, des débats parlementaires puis des votes démocratiques. Dans le cas du port du masque, il n’y a eu aucun vote démocratique, mais des décrets décidés sans la moindre consultation populaire. Il n’y a eu aucun débat contradictoire. Et les seules études mises en avant sont quelques rares études (souvent biaisées ou après décision) qui tendent à indiquer un léger avantage du port de certains masques (de type très particulier) en des circonstances spéciales difficilement applicables à la population en général, face à de nombreuses autres études qui n’indiquent pas d’avantage substantiel au port des masques, quels qu’ils soient.

    Ensuite, mettre une ceinture de sécurité dans un véhicule automobile ne handicape que très peu les mouvements du conducteur et peu celui des passagers. Et ceci ne peut guère nuire à leur santé physique et mentale. Cela n’entrave pas non plus la respiration ni la vigilance. En cas d’accident, les statistiques indiquent une plus grande probabilité de s’en sortir vivant avec l’usage de la ceinture de sécurité, même si cela ne garantit pas de s’en sortir indemne. D’autres mesures sécuritaires ont été ajoutées (comme les coussins gonflables) pour augmenter la probabilité de faibles blessures. Par contre, un masque gêne plus ou moins gravement la respiration et la concentration, rend plus difficile la communication orale (et la rend impossible pour les malentendants), et semble également susceptible d’altérer le comportement social (voir : Comment leurs masques rendent bêtes et méchants). Cela peut également produire divers problèmes de santé, dont ceux dus à l’accumulation de moisissures, de bactéries et de virus.

    Enfin, l’usage de la ceinture de sécurité ne concerne qu’un environnement isolé et sans grand impact social, celui d’un véhicule sur roues et ayant un espace très limité. Alors que le port d’un masque dans les lieux susceptibles d’accueillir un grand nombre de personnes (restaurants, bars, centres sportifs, cinémas, salles de concert, écoles, universités, magasins et centres commerciaux, etc.) et même, pour certains pays, en extérieur (dans les parcs, les rues, etc.), a un fort impact social et tend à diviser la population en deux blocs de plus en plus hostiles : ceux qui se plient aux dictats mondialistes par crainte de punitions, par peur de contamination ou simplement par servilité ; et ceux qui s’y refusent pour diverses raisons.

    Concernant, l’idée ou l’hypothèse pandémique et de contamination virale, il s’agit avant tout d’une théorie scientifique et comme toute théorie, elle est susceptible de contestation, contradictions et révisions, et même de voir des preuves contraires s’accumuler contre elle. Combien même une théorie est largement répandue (comme, en son temps, celle de la Terre au centre de l’univers), il suffit d’un seul individu trouvant ses failles pour la mettre à terre (comme un Galilée ou un Giordano Bruno). Et les « scientifiques » perdent leur esprit du même nom s’ils se basent sur le consensus pour valider leurs thèses ou leurs modèles. Ils deviennent alors semblables à des religieux plus ou moins fanatiques qui s’appuient sur des dogmes et se lancent dans des campagnes inquisitoriales face à ceux qui ne les suivent pas. Concernant la justification que certains voudraient scientifique au port du masque, mais qui est bien plus religieuse dans son essence, la théorie virale est avancée. Cependant, elle fait face à une théorie révolutionnaire, celle des exosomes, qui pourrait la ravaler un jour au rang des théories dont on se demande maintenant comment on a pu y croire, comme celle de la Terre plate.

    Si nous étions dans de véritables démocraties, les contradicteurs des théories officialisées, des gouvernements et des médias dominants seraient au moins écoutés et libres de s’exprimer sur tous les supports médiatiques. Nous aurions de vrais débats publics. Et nous ne recourions à des décisions coercitives que si celles-ci s’appuyaient sur des conclusions fiables et qui emportent un large assentiment populaire. L’obligation de la ceinture de sécurité n’a rencontré concrètement que très peu d’opposition dans les différents pays qui l’ont mise en place. Par contre, les opposants à l’obligation du port du masque représentent au moins un quart ou un tiers de la population dans les pays concernés. Et ils sont diabolisés, comme jamais les quelques opposants à la ceinture ne l’ont été. En cas de contravention, les amendes sont également souvent bien plus salées.

    L’obligation du port du masque en comparaison de celle de la ceinture de sécurité marque incontestablement le glissement des démocraties modernes vers l’état factuel de dictatures. Elle est grandement favorable à la finalisation du Nouvel Ordre Mondial, mais devra être abandonnée si nous voulons construire un réel Nouveau Monde dans lequel les différences de toutes natures sont acceptées et respectées (y compris celles des croyances, des opinions et des points de vue).




    Covid-19 – Preuves de fraude mondiale

    [Source : Réseau International]

    par Iain Davis.

    La COVID-19, et les réponses gouvernementales subséquentes, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’il n’y ait aucune preuve qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19.

    Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis susceptible d’être corrigé. Toutefois, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-DiscoveryLeur conseil consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

    Les amorces et les sondes génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le SRAS-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation Mondiale de la Santé. Vous pouvez faire de même.

    D-Salud-Discovery déclare qu’il n’existe pas de tests capables d’identifier le SRAS-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé de la COVID-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

    L’ensemble du récit officiel de la COVID-19 est une tromperie. Apparemment, il n’y a aucun fondement scientifique pour aucune partie de ce récit.

    Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons affirmer qu’il n’y a aucune preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est les ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société pour répondre à leurs objectifs.

    Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

    Identification de quoi exactement ?

    L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classifié la maladie COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de COVID-19 le 11 mars 2019.

    Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

    « L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable de l’ensemble des cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le SRAS-CoV et le MERS-CoV) par séquençage de nouvelle génération (NGS) à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie ».

    L’OMS affirme que le virus SRAS-CoV-2 est à l’origine de la maladie appelée COVID-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

    Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau Coronavirus 2019-nCov Rapport de Situation 1 », ils affirment :

    « Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020… Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques ».

    Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus SRAS-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les communautés du monde entier. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause la COVID-19.

    Pourtant, l’OMS déclare également :

    « Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires ».

    Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir des « informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du fameux virus SRAS-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines avec des pics contenant l’ARN viral).

    Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

    Les virologistes affirment qu’il n’est pas possible « d’isoler » un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries (qui sont des organismes vivants). Les virologistes observent plutôt les effets cytopathogènes (ECP) du virus, qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules, dans des cultures cellulaires.

    [NdNM : voir aussi Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

    Lorsque les chercheurs chinois ont séquencé le génome complet du SRAS-CoV-2 pour la première fois, ils ont observé des ECP dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire immortalisée de singe et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

    Au cœur de l’histoire officielle du SRAS-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, capable de passer de l’animal à l’homme. Lorsque les scientifiques du CDC américain ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

    « Nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, notamment les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0) et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe] … Aucun effet cytopathique n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules de singe] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

    Le CDC n’a observé aucun ECP dans les cellules humaines. Ils n’ont vu aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

    Constatant ce problème, une équipe de scientifiques polonais a introduit ce « virus » séquencé dans des cellules d’épithélium humain (voies aériennes). Ils ont observé les effets sur ces cultures d’épithélium humain pendant 5 jours. Ils ont noté une réplication beaucoup plus importante que les scientifiques du CDC, mais ont finalement déclaré :

    « Nous n’avons observé aucune libération du virus du côté basolatéral de la culture d’épithélium humain ».

    Ce qui signifie qu’ils n’ont vu aucune preuve que les virions supposés aient rompu la membrane de la paroi cellulaire. Ce qui suggère à nouveau que ce soi-disant virus n’est pas infectieux chez les êtres humains.

    Il n’est pas certain que le SRAS-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. N’est-ce rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

    Voyage de Discovery

    Le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies de Wuhan et le Centre Clinique de Santé Publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du SRAS-CoV-2 (MN908947.1). Celui-ci a été mis à jour à de nombreuses reprises. Cependant, MN908947.1 a été la première séquence génétique décrivant le prétendu agent étiologique de la COVID-19 (SARS-CoV-2).

    Toutes les revendications, tests, traitements, statistiques, développement de vaccins et politiques qui en découlent sont basés sur cette séquence. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit de la COVID-19 n’est qu’une mascarade.

    Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du SRAS-CoV-2 en faisant correspondre des fragments trouvés dans des échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1% avec le coronavirus du SRAS (SARS-Cov). Ils ont utilisé l’assemblage de novo [NdNM : l’assemblage de novo est une méthode de construction de génomes à partir d’un grand nombre de fragments d’ADN (courts ou longs), sans connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En d’autres termes, le prétendu virus ainsi étudié n’est qu’une reconstitution à partir de fragments d’ADN, comme un puzzle reconstitué dont on n’est même pas sûr de disposer de tous les fragments.] et le PCR ciblé et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6% au SRAS-CoV.

    Ils ont dû utiliser l’assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. Tout simplement, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

    L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) avec le génome publié du coronavirus du SRAS (SARS-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du SRAS n’est pas claire non plus.

    En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié 50 patients atteints du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS). Ils ont prélevé des échantillons sur 2 de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

    Ils ont créé 30 clones du matériel génétique qu’ils ont trouvé. Incapables de trouver des preuves d’un autre virus connu, ils ont trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques « d’origine inconnue ».

    En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57% de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggèrent un virus du SRAS-CoV récemment découvert (les nouvelles découvertes étant l’ambroisie pour les scientifiques), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

    « Les amorces pour la détection du nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du SRAS, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie ».

    La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs pour ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus du SRAS-CoV. La question n’a pas été posée.

    Ce prétendu virus n’avait qu’une séquence correspondant à 57% à un coronavirus prétendument connu. Les 43% restants étaient juste « là ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées comme un nouveau génome sous le numéro d’accession à la GenBank AY274119.

    Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une correspondance de séquence de 79,6% avec AY274119 et l’ont donc appelée une nouvelle souche de SRAS-CoV (2019-nCoV – finalement rebaptisée SARS-CoV-2). À aucun moment de ce processus, on avait produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

    Isoler rien

    Les scientifiques sont très ennuyés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. C’est parce que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus SRAS-CoV-2. Ce que nous avons à la place, c’est un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, ce n’est pas particulièrement convaincant.

    Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du SRAS-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

    En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus SRAS-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré :

    « Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic ».

    Cela explique pourquoi le gouvernement australien déclare :

    « La fiabilité des tests de la COVID-19 est incertaine en raison du peu de preuves disponibles … Il existe peu de preuves pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests de la COVID-19 disponibles ».

    Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier Ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

    « Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus de la COVID-19 a été isolé ».

    À ce jour, ils n’ont pas reçu de réponse.

    De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a adressé une requête en vertu de la Liberté d’Information à Public Health England (PHE). Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant l’isolement d’un virus SRAS-COV-2. Ce à quoi ils ont répondu :

    « PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande ».

    La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

    « Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande ».

    Aux États-Unis, le panel de diagnostic RT-PCR du CDC indique :

    « … Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible … La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques ».

    Dernière mise à jour le 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de la COVID-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le SRAS-CoV-2 est présent ou cause la COVID-19.

    On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons accepter des images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et des séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autre) comme preuve concluante que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

    Des tests pour rien

    L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les groupes de réflexion, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel de la COVID-19, affirment que le SRAS-CoV-2 provoque la COVID-19.

    Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du SRAS-CoV-2 a été publié. Il est dans le domaine public.

    Des séquences génétiques clés, dans le génome du SRAS-CoV-2, auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment de :

    • Le gène de l’ARN-polymérase (Rd-Rp) – Il permet à l’ARN du SRAS-CoV-2 de se répliquer dans le cytoplasme des cellules épithéliales malades de la COVID-19.
    • Le gène S (Orf2) – cette glycoprotéine forme le pic à la surface du virion du SRAS-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du SRAS-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN situé à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée.
    • Le Gène E (Orf1ab) – petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus.
    • Le Gène N (Orf9a) – le gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

    L’OMS tient un registre public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le SRAS-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins antisens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

    Les brins d’ADNc se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral suspecté. Au cours de l’amplification, lorsque les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

    C’est par l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du SRAS-CoV-2 dans un échantillon.

    Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST). Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc BLASTER les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles revendiquées pour le SRAS-CoV-2.

    Les protocoles de l’OMS concernant les amorces et les sondes avant et arrière, pour le génome viral présumé du SRAS-CoV-2, sont basés sur les profils des gènes RdRp, Orf1, N et E. N’importe qui peut les passer dans BLAST pour voir ce que nous trouvons.

    La séquence nucléotidique RdRP vitale, utilisée comme amorce avant, est – ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous passons un nucléotide dans BLAST, il est enregistré comme un isolat complet du SRAS-CoV-2 avec une identité de séquence correspondant à 100%. De même, la séquence d’amorce du gène E arrière – ATATTGCAGCAGTACGCACACA – révèle la présence de la séquence Orf1ab qui identifie également le SRAS-CoV-2.

    Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence RdRp du SRAS-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100%. L’Orf1ab (gène E) en renvoie 90 avec une identité de séquence de 100% avec les chromosomes humains.

    En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes avec une correspondance de 100% au gène E du SRAS-CoV-2 et 100 microbes avec une identité de séquence de 100% au gène vital RdRp du SRAS-CoV-2.

    Chaque fois que nous vérifions les marqueurs génétiques uniques du SRAS-CoV-2, enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le SRAS-CoV-2, ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, des séquences microbiennes aux fragments de chromosomes humains.

    Les soi-disant vérificateurs de faits, comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les affirmations de ceux qui ont remarqué le manque apparent de spécificité du supposé génome du SRAS-CoV-2.

    En utilisant une série d’arguments de paillasson comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), leur tentative de démystification aboutit à quelque chose comme cela :

    « Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus SRAS-CoV-2. En outre, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence cDMA entre les amorces est unique au virus.

    Cela semble déformer délibérément la signification de ces résultats en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs de faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches menées par BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au SRAS-CoV-2. Il n’est pas non plus nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.

    Des chercheurs marocains ont étudié l’épidémiologie des cas marocains présumés de SRAS-CoV-2. 9% des cas étaient positifs pour trois gènes, 18% pour deux gènes et 73% pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs pour aucun.

    Cela est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que :

    « Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (NAAT) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du SRAS-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé (…). Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

    L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est fallacieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que des chromosomes ou des microbes entiers sont séquencés dans le prétendu génome du SRAS-CoV-2. Quoiqu’il en soit, pour autant que nous sachions. Ils disent que les prétendus marqueurs, utilisés pour tester ce supposé virus, ne sont pas adaptés à l’objectif.

    Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des incidents de floraison de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences dites existantes. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « junk » (ADNc).

    Par exemple, le gène S du SRAS-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus SRAS-CoV-2. La séquence cible est – TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100%. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95%. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100% avec 86 fragments de chromosomes humains.

    Peu importe où vous regardez dans le génome supposé du SRAS-CoV-2, il n’y a rien dans les protocoles de test de l’OMS qui identifie clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du SRAS-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

    Si tel est le cas, comme il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus, sans test viable, il n’y a aucune preuve de l’existence du SRAS-CoV-2. Par conséquent, il n’y a pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée COVID-19.

    Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de COVID-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

    Fraude concluante

    La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

    « Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre ».

    La définition légale d’une conspiration est la suivante :

    « Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel ».

    Il semble que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’ont pas fourni de preuves montrant qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19. Toutes les informations suggérant fortement cette possibilité sont facilement disponibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

    Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une Entreprise Criminelle Commune (ECC) en vertu du droit international.

    Il semble que la COVID-19 ait été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés.

    Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces chiffres correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres.

    En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

    Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions.

    Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage.

    Il ne fait aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie inexistante.

    Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que, malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la COVID-19 est un mythe.

    Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

    source [en anglais] : https://off-guardian.org

    traduit par Réseau International




    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

    [Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth
    par Thomas S. Cowan, MD, et Sally Fallon Morell.]

    Table des matières

    PRÉFACE
    INTRODUCTION

    Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME

    CHAPITRE 1 : CONTAGION
    La balle de ping-pong et le mur.
    Les postulats de Koch.
    Les postulats de Rivers.
    Louis Pasteur et comment il a triché.
    CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
    Premières expériences électriques.
    Électrification mondiale et grippe.
    La radio mondiale et la grippe espagnole.
    La grippe espagnole n’était pas contagieuse.
    Téléphones portables et augmentation de la mortalité.
    La mise en œuvre de la 5G et la propagation de la Covid-19.
    Symptômes de sensibilité électrique.
    Preuve de dommages causés par la technologie des ondes millimétriques.
    CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
    Les comètes et la peste noire.
    Poisons d’insectes et toxines environnementales.
    Le Dr Charles Campbell résout l’énigme de la variole.
    Chauves-souris contre les moustiques.
    Robert Koch sur la tuberculose et comment il a triché.
    Les observations du Dr Weston Price sur la tuberculose.
    La polio et le DDT.
    Paralysie induite par le vaccin.
    Maladies amérindiennes.
    Stefan Lanka et le virus de la rougeole.
    CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
    De la guerre contre le cancer à la guerre contre le sida.
    Les vraies causes du SIDA.
    AZT pour les patients atteints du SIDA.
    Épidémie de Covid à Wuhan.
    La recherche chinoise ne trouve pas de virus.
    CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
    Le monde des tests de coronavirus d’Alice-au-Pays des Merveilles.
    L’histoire de Stefan Lanka.
    L’échec de la chasse au coronavirus.
    Le test PCR par rapport à l’étalon-or.
    Tests d’anticorps.
    CHAPITRE 6 : EXOSOMES
    Louis Pasteur et la théorie de la contagion.
    Darwinisme social.
    Microscopes et germes.
    Les exosomes sont des virus.
    La peur et le stress produisent des exosomes.
    Nature une entreprise coopérative.
    CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
    Virologie et bifurcation.
    La nature de la vie.
    La découverte de la résonance.
    Résonance et maladies infantiles.
    Résonance et évolution.

    Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?

    CHAPITRE 8 : L’EAU
    Le travail de Gerald Pollack et Gilbert Ling.
    Les quatre phases de l’eau.
    L’eau et les processus électriques dans la cellule.
    Les caractéristiques de l’eau vivifiante.
    CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
    Les huiles végétales.
    Graisses animales et intégrité de la membrane cellulaire.
    La 5G et la carence en niacine.
    Le transport des aliments du commerce moderne.
    Régimes à base de plantes.
    Lait cru.
    Bouillon d’os, aliments fermentés.
    Sel.
    Le four à micro-ondes.
    CHAPITRE 10 : TOXINES
    Toxines dans le monde antique.
    Toxines modernes.
    Toxines dans les aliments.
    Médicaments modernes.
    Glyphosate et biocarburants.
    L’âge de l’aluminium.
    Toxines dans les vaccins.
    CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
    La toxine la plus répandue de l’ère moderne.
    Créer notre monde à partir de notre conscience.
    Comment la peur et les mensonges mènent à la maladie.

    Partie 3: CHOIX

    CHAPITRE 12 : QUESTION DE COVID
    Les chiffres – Covid est-il sous-estimé ou surestimé ?
    Symptômes alarmants.
    Traitement.
    Masques.
    Distanciation sociale.
    5G et l’apparition de contagion.
    CHAPITRE 13 : UN VACCIN CONTRE LE COVID-19
    Jenner et le vaccin contre la variole.
    Pasteur et le vaccin antirabique.
    La doctrine de l’immunité.
    Fabriquer des vaccins modernes.
    Problèmes avec le vaccin.
    Une nouvelle étiquette.
    Nettoyer l’électro-smog.
    CHAPITRE 14 : 5G ET L’AVENIR DE L’HUMANITÉ
    Qu’est-ce que l’homme ?
    La 5G et l’avenir de la Terre.

    ÉPILOGUE
    ANNEXE A : EAU
    ANNEXE B : BIO-GÉOMÉTRIE ET ATTÉNUATION DES CEM
    ANNEXE C : QUE MANGER ?
    Notes de fin
    Remerciements
    Autres livres des auteurs
    Index


    Extraits

    [Note : les numérotations correspondant aux notes de fin de livre ont été retirées.]

    Les postulats de Koch sont les suivants :

    1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
    2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
    3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
    4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

    Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

    Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

    En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

    1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
    2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
    3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
    4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
    5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
    6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

    Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.


    Imaginez un cas dans lequel certaines personnes qui boivent le lait d’une certaine vache développent une diarrhée abondante et sanglante. Votre travail consiste à trouver la cause du problème. Vous vous demandez s’il y a un agent transmissible dans le lait qui est consommé par les malheureux, ce qui les rend malades. Cela semble parfaitement raisonnable jusqu’à présent. Vous examinez ensuite le lait sous l’appareil de microscope nouvellement inventé et trouvez une bactérie dans le lait. Vous pouvez dire par son apparence qu’elle est différente des bactéries habituelles que l’on trouve dans le lait. Vous examinez attentivement le lait et découvrez que la plupart des personnes atteintes de diarrhée sanglante, sinon toutes, ont en fait bu ce lait. Vous examinez ensuite le lait consommé par les personnes qui n’ont pas développé de diarrhée et vous constatez qu’aucun des échantillons de lait ne contient cette bactérie particulière. Vous nommez la bactérie « listeria » d’après un collègue scientifique. Ensuite (…) vous purifiez les bactéries, afin qu’il ne reste plus rien du lait. Vous donnez cette culture bactérienne purifiée à une personne qui développe alors une diarrhée sanglante. L’argument décisif est que vous trouvez ensuite ces mêmes bactéries dans leurs selles. Affaire classée. Infection prouvée.

    Pasteur a fait ce type d’expérience pendant quarante ans. Il a trouvé des malades, prétendu avoir isolé une bactérie, donné la culture pure à des animaux souvent en l’injectant dans leur cerveau et les a rendus malades.

    (…)

    N’est-il pas possible que les toxines dans le lait peut-être parce que la vache n’est pas bien nourrie et ne peut pas facilement se débarrasser des toxines expliquent la présence de listeria (qui est toujours présente dans notre corps, avec des milliards d’autres bactéries et particules appelées virus) ? La listeria est simplement en train de biodégrader les toxines qui prolifèrent en raison de l’état malsain du lait.

    La question centrale est alors de savoir comment prouver que la listeria, et non quelque chose de toxique dans le lait, est à l’origine de la diarrhée ? (…) Nourrir une personne en bonne santé avec du lait, (…) cela ne prouve rien. Vous devez isoler (…) la listeria et nourrir la personne ou l’animal en bonne santé uniquement avec [cette bactérie] pour voir ce qui se passe. C’est ce que Pasteur prétend avoir fait dans ses papiers.

    Pasteur remit ses cahiers de laboratoire à ses héritiers à condition de ne jamais les rendre publics. Cependant, son petit-fils, Louis Pasteur Vallery-Radot, qui ne se souciait apparemment pas beaucoup de Pasteur, fit don des cahiers à la bibliothèque nationale française, qui les publia. En 1914, le professeur Gerard Geison de l’Université de Princeton a publié une analyse de ces cahiers, qui a révélé que Pasteur avait commis une fraude massive dans toutes ses études. Par exemple, lorsqu’il a dit qu’il avait injecté des spores virulentes d’anthrax dans des animaux vaccinés et non vaccinés, il pouvait clamer le fait que les animaux non vaccinés étaient morts, mais c’était parce qu’il avait également injecté des poisons aux animaux non vaccinés.

    Dans les cahiers, Pasteur déclare sans équivoque qu’il était incapable de transférer la maladie avec une culture pure de bactéries (il n’était évidemment pas capable de purifier les virus à ce moment-là.) En fait, le seul moyen de transférer la maladie était d’insérer le tissu infecté entier dans un autre animal (il injectait parfois le cerveau broyé d’un animal dans le cerveau d’un autre animal pour « prouver » la contagion) ou de recourir à l’ajout de poisons à sa culture, qui, selon lui, provoqueraient des symptômes chez les receveurs.

    Il a admis que tout l’effort pour prouver la contagion était un échec, conduisant à sa célèbre confession sur son lit de mort : « Le germe n’est rien; le terrain est tout ». Dans ce cas, le terrain fait référence à l’état de l’animal ou de la personne et du fait que l’animal ou la personne a été soumis au poison.

    Depuis l’époque de Pasteur, personne n’a démontré expérimentalement la transmissibilité de la maladie avec des cultures pures de bactéries ou de virus.


    Avec la découverte de la nature électrique du soleil, les scientifiques ont fait des observations intéressantes. La période 1645-1715 est celle que les astronomes appellent le minimum de Maunder, lorsque le soleil était calme. Les astronomes n’ont observé aucune tache solaire pendant cette période et les aurores boréales étaient inexistantes. En 1715, les taches solaires réapparurent, tout comme les aurores boréales. L’activité des taches solaires a ensuite augmenté, atteignant un sommet en 1727. En 1728, la grippe est apparue par vagues sur tous les continents. Les activités des taches solaires sont devenues plus violentes jusqu’à leur pic en 1738, lorsque les médecins ont signalé la grippe chez l’homme et les animaux (y compris les chiens, les chevaux et les oiseaux, en particulier les moineaux). Selon certaines estimations, deux millions de personnes ont péri au cours de la pandémie de dix ans.

    Ces faits et d’autres sur la relation entre la grippe et les perturbations électriques proviennent d’un livre remarquable, The Invisible Rainbow [L’arc-en-ciel invisible] par Arthur Firstenberg. Firstenberg raconte l’histoire de l’électricité aux États-Unis et dans le monde, et les épidémies de maladie qui ont accompagné chaque pas vers une plus grande électrification. La première étape consistait à installer des lignes télégraphiques. En 1875, celles-ci formaient une toile d’araignée sur la terre totalisant sept cent mille miles, avec suffisamment de fil de cuivre pour encercler le globe près de trente fois. Avec elle est venue une nouvelle maladie appelée neurasthénie.

    Comme ceux qui souffrent aujourd’hui de syndrome de fatigue », les patients se sentaient faibles, épuisés et incapables de se concentrer. Ils avaient des maux de tête, des étourdissements, des acouphènes, des flotteurs [des points dansants] dans les yeux, des battements de pouls, des douleurs dans la région du cœur et des palpitations; ils étaient déprimés et avaient des crises de panique. Le Dr George Miller Beard et la communauté médicale ont observé que la maladie se propageait le long des voies ferrées et des lignes télégraphiques. Elle ressemblait souvent au rhume ou à la grippe et saisissait souvent des personnes dans la fleur de l’âge.

    En 1889, nous marquons le début de l’ère électrique moderne et aussi d’une pandémie de grippe mortelle, qui a suivi l’avènement de l’électricité dans le monde entier. Selon Firstenberg : « La grippe a frappé de manière explosive et imprévisible, encore et encore par vagues jusqu’au début de 1894. C’était comme si quelque chose de fondamental avait changé dans l’atmosphère. »

    Les médecins sont perplexes face à la propagation capricieuse de la grippe. Par exemple, William Beveridge, auteur d’un manuel de 1975 sur la grippe, a noté: « Le navire de guerre anglais Arachne naviguait au large de Cuba « sans aucun contact avec la terre ». Pas moins de 114 hommes sur un équipage de 149 sont tombés malades de la grippe et ce n’est que plus tard qu’on a appris qu’il y avait eu des flambées à Cuba au même moment. »

    Pendant la Première Guerre mondiale, les gouvernements des deux côtés du conflit ont installé des antennes, qui ont fini par recouvrir la terre de signaux radio puissants et pendant la dernière partie de 1918, une catastrophe s’est produite. La grippe espagnole a touché un tiers de la population mondiale et tué environ cinquante millions de personnes, soit plus que la peste noire du XIVe siècle. Pour arrêter la contagion, les communautés ont fermé les écoles, les entreprises et les théâtres. Les gens ont reçu l’ordre de porter des masques et de s’abstenir de se serrer la main.

    Ceux qui vivent sur des bases militaires hérissées d’antennes sont les plus vulnérables. Un symptôme courant était le saignement des narines, des gencives, des oreilles, de la peau, de l’estomac, des intestins, de l’utérus, des reins et du cerveau. Beaucoup sont morts d’hémorragie dans les poumons, noyés dans leur propre sang. Les tests ont révélé une diminution de la capacité du sang à coaguler. Ceux qui sont proches de la mort souvent développé « cette couleur bleue particulière qui semblait marquer tous les premiers cas mortels. »

    [Note : voir aussi : L’aspirine a peut-être aggravé la pandémie de grippe de 1918. Il y a eu un usage massif d’aspirine pendant cette période, un médicament connu pour ses propriétés anticoagulantes.]


    Le système 5G est également installé sur les navires de croisière modernes. Par exemple, le bateau de croisière Diamond Princess annonce « le meilleur Wi-Fi en mer ». Le 3 février 2020, le navire a été mis en quarantaine à Yokohama, au Japon, après que de nombreux passagers se sont plaints de maladie. Au final, 381 passagers et membres d’équipage sont tombés malades et quatorze sont morts.

    Le bateau de croisière Diamond Princess.
    Les quatre objets ronds sur le dessus du navire sont des antennes et des émetteurs 5G.

    Il est intéressant de noter que l’armée possède des dispositifs de contrôle des foules qui fonctionnent dans les mêmes gammes: 6–100 GHz. Le système de déni actif à 95 GHz est une arme qui peut pénétrer dans la peau et produire des sensations de chaleur intolérables, poussant les gens à s’éloigner du faisceau.


    Une revue de recherche de près de deux cents études a noté que « les effets non thermiques ont été clairement démontrés dans des milliers de publications évaluées par des pairs ». Alors que certains modèles de bandes de fréquences EMF sont cohérents et peuvent être bénéfiques pour la santé, « les fréquences 5G choisies appartiennent en grande partie aux zones nuisibles ». Les auteurs ont noté que les études gouvernementales revendiquant la sécurité de la 5G n’ont pas tenu compte du fait que le rayonnement 5G peut être pulsé et modulé et émis par plusieurs antennes. Il est intéressant de constater que « les ondes électromagnétiques peuvent également être polarisées circulairement par interaction avec la poussière atmosphérique et peuvent donc pénétrer beaucoup plus profondément dans l’organisme. En outre, les ondes 5G peuvent présenter des interférences avec d’autres fréquences d’onde EMF, ce qui se traduit par des ondes stationnaires et des «points chauds» environnementaux de rayonnement qui peuvent être très éprouvants pour les personnes hypersensibles aux CEM. » La pollution atmosphérique et la 5G ne font pas bon ménage !

    Une étude publiée dans Frontiers in Oncology décrit les lésions pulmonaires causées par la radiothérapie. La radiothérapie utilise des ondes plus courtes à courte distance pendant une période plus courte, mais il va de soi que les ondes millimétriques 5G, avec des émetteurs à proximité, pulsant des quantités massives de fréquences à tout moment, pourraient également causer des lésions pulmonaires. Selon les auteurs, « En fonction de la dose et du volume de poumon irradié, une pneumopathie radique aiguë peut se développer, caractérisée par une toux sèche et une dyspnée (essoufflement). »

    Il est intéressant de noter que la Lloyd’s of London et d’autres compagnies d’assurance ne couvriront pas les blessures causées par les téléphones portables, le Wi-Fi ou les compteurs intelligents. Les champs électromagnétiques sont classés comme polluants, aux côtés de la fumée, des produits chimiques et de l’amiante : « L’exclusion des champs électromagnétiques (exclusion 32) est une exclusion d’assurance générale et est appliquée en standard sur le marché. Le but de l’exclusion est d’exclure la couverture des maladies causées par exposition continue et à long terme aux rayonnements non ionisants, c’est-à-dire par l’utilisation du téléphone portable. »

    Selon le Dr Cameron Kyle-Sidell, travaillant dans une salle d’urgence (ER) à New York, les affligés sont littéralement à bout de souffle. « Nous n’avons jamais rien vu de tel ! » Les symptômes des patients atteints de Covid-19 ressemblent à ceux d’une maladie de haute altitude plutôt qu’à une pneumonie virale. En fait, les ventilateurs que les hôpitaux se sont efforcés d’obtenir peuvent faire plus de mal que de bien et peuvent expliquer le taux de mortalité élevé, car ils augmentent la pression sur les poumons. Ces patients n’ont pas besoin d’aide pour respirer ils ont besoin de plus d’oxygène lorsqu’ils respirent. Beaucoup deviennent bleus au visage. Ce ne sont pas des signes d’une maladie contagieuse mais d’une perturbation de nos mécanismes de production d’énergie et d’acheminement de l’oxygène vers les globules rouges.


    [Voir aussi :




    La chute spectaculaire du nombre de personnes testées positives Covid-19 à Marseille s’explique-t-elle par la fermeture des bars-restaurants et le confinement partiel ?

    [Source : Réseau International]

    par Candice Vacle.

    Le Pr Raoult infectiologue et microbiologiste de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) est interrogé sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Covid-19 concernant tous les patients de l’hôpital universitaire de Marseille (dont l’IHU), dans cette vidéo de l’IHU du 21 novembre 2020 :

    Il commence par un bonne nouvelle : « On voit que le nombre de cas [personnes positives au test PCR Covid-19] est en train de s’effondrer à une vitesse étonnante. Sans que nous ayons changé nos paramètres de mesures […] Depuis janvier, on teste de la même manière, on rend les résultats positifs avec le même niveau, c’est-à-dire 35CT [cycle d’amplification du test PCR]. Et donc, le pic a été atteint vers la fin du mois d’octobre […] Depuis, ça n’arrête pas de descendre ».

    Par exemple, au pic épidémique du 25 octobre 2020, il y avait un peu plus de 300 personnes nouvellement dépistées positives (par jour) à l’IHU. Et, le 18 novembre 2020, il y en avait 90 (par jour) :

    « La pente est en train de diminuer de manière spectaculaire », dit-il. En effet, il explique qu’il y a « 10 fois moins actuellement » de personnes testées positives Covid-19 que lors du pic épidémique. Ceci n’est pas vérifiable sur le site de l’IHU car la dernière mise à jour date du 18 novembre 2020.

    Le Pr Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 à l’IHU, écrit le 19 novembre 2020, à propos des personnes testées positives de l’IHU : C’est « notre plus bas taux de positifs depuis le 13 août, ça baisse et vite ! »[1]

    Le nombre d’hospitalisations, lui aussi, « décroît de manière très significative », ajoute Pr Raoult. Il précise : « Le nombre d’hospitalisations en réanimation est en plateau et c’est normal parce que [les patients] restent un certain temps en réanimation. […] Il n’y a pas plus d’entrée que de sortie. Les choses paraissent stabilisées ».

    La fermeture des bars-restaurants et le confinement à la « française » expliquent-ils cette diminution rapide du nombre de personnes positives au test Covid-19 ?

    Le Pr Raoult répond : « Ce que l’on voit c’est qu’en réalité la fermeture des restaurants est arrivée à un moment où la pente […] était en train de diminuer de manière spectaculaire. Et, qu’au contraire, elle a remonté avec la fermeture des restaurants. Donc, on ne peut pas en conclure que la fermeture des restaurants ait aidé à contrôler » cette partie de l’épidémie de Covid-19 de cet automne.

    « Et le confinement, lui est arrivé au début de la chute brutale du nombre de cas ». Cette baisse « avait été anticipée par les dosages que font les pompiers dans les égouts ».

    « On ne peut pas voir sur ces données des faits des mesures sociales contraignantes sur l’évolution de l’épidémie qui a, donc, d’autres raisons pour évoluer que celles-la ».

    En bref, le nombre de personnes testées positives baisse considérablement et rapidement. Et, il n’y a aucun lien de cause à effet repéré entre l’évolution de la courbe épidémique et la fermeture des restaurants ou le confinement, à Marseille.

    Le Pr Bernard La Scola conclut :

    « L’évolution des courbes épidémiques est un grand mystère auquel personne ne comprend rien et sans lien avec la supposée immunité collective »[2].

    [NdNM : voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

    Le mystère de l’évolution de la courbe épidémique du Covid-19 inspirera-t-elle un peu de modestie à nos gouvernants ou bien clameront-ils que c’est grâce à leurs mesures coercitives que la courbe épidémique a baissé à Marseille ? La fermeture des bars restaurants est-elle toujours justifiée à Marseille ?

    Candice Vacle


    [1] Mail Pr Bernard La Scola du 19/11/20

    [2] Mail Pr Bernard La Scola du 22/11/20

    Réseau International




    Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

    [Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

    [Commentaires de] Robert Bibeau

    Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

    Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


    Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

    Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

    Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

    Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

    Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

    Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

    Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

    Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

    Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

    Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

    En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

    La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

    La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

    Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

    Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

    L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

    Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

    Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

    Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

    Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

    Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

    Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

    Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

    En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

    Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

    Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

    Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

    Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

    Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

    L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

    Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

    L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

    Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

    « Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

    Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

    L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

    Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

    Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

    À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

    Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

    Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

    John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

    Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

    John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

    En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

    Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

    A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

    Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

    Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

    Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

    Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

    Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

    Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

    Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

    En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

    Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

    Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

    Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

    S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

    Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

    Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

    Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

    Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

     Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

    Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

    Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

    Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

    Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

    Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

    Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

    Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

    Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

    L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

    Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

    The world looks wobbly" according to The World in 2019

    Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

    Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

    Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

    Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

    J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

    Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

    D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

    Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

    Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

    Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

    Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

    À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

    Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

    Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

    Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

    Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

    Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

    Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

    L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

    Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

    • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
    • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
    • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

    Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

    Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

    De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

    Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

    Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

    Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

    Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

    Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

    Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

    Il s’agit de l’Event 201.

    Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

    Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

    Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

    Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

    Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

    N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

    Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

    Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

    La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

    Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

    Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
    Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

    A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

    Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

    Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

    La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

    Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

    Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

    « Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

    Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

    A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

    Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

    Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

    Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

    Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

    Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

    Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

    La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

    L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

    S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

    Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

    Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

    La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

    Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

    Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

    Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

    Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

    Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

    Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
    Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

    Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

    Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

    Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

    À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

    Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

    L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

    Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

    Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

    Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

    Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

    Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

    [NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

    Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

    En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

    Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

    Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

    A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

    C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

    Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

    Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

    Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

    Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

    Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

    [NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

    Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

    Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
    (Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

    Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

    À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

    Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

    N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

    Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

    Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

    Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

    D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

    Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

    « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

    Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

    Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

    Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

    En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

    Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

    Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

    Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

    Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

    Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

    L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

    Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

    Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

    C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

    Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

    Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

    Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

    Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

    Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

    Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

    Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

    Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

    Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

    Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

    Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

    Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

    Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

    Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

    La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

    On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

    C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

    La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

    La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

    A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

    Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

    Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

    Amar


    Note du Saker Francophone
    
    En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.
    
    Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



    Vaccins💉: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même

    [Source : CitoiCitoyen]

    Lors de l’Audition publique du comité de santé publique de la proposition de loi concernant les immunisations qui a eu lieu le 19/02/2020, le Dr Larry Palevsky nous révèle que les scientifiques en Europe ont découvert que les virus et les bactéries qui sont injectés dans le corps en même temps que les adjuvants créent le mimétisme moléculaire. Cela signifie que le corps voit ces virus comme étant étrangers, mais malheureusement trouve des morceaux de ces virus qui correspondent aux siens [à son matériel génétique]. Et le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et [ce qui provient de] lui-même. Donc le système immunitaire se retourne contre lui-même en créant une maladie auto-immune. Tout cela est reconnu pour le vaccin contre l’hépatite B, ainsi que pour le vaccin contre la grippe… Donc dire que les vaccins sont sans danger n’est pas vrai !!!

    https://youtu.be/FsLj_kt4bXU

    [Voir aussi :




    Vaccins et virus

    Notes :

    • Le principe de la vaccination repose sur la croyance dans le caractère nocif et contagieux des bactéries et des virus, alors que le corps héberge en permanence des dizaines de milliers de bactéries et un million de milliards de virus (ou plus exactement d’« exosomes » et autres composants ou déchets génétiques produits par le corps lui-même). Plusieurs des articles suivants tendent à démontrer que la théorie des germes et sa fille, l’hypothèse virale, sont fallacieuses et ont été scientifiquement réfutées. [Parmi les plus démonstratifs et/ou élaborés, certains sont présentés sur fond de couleur saumon pâle. Ceux estimés incontournables sont de plus entourés de rouge.]
    • Les entreprises pharmaceutiques gagnent des milliards avec les vaccins et pseudo vaccins.
    • Un autre paradigme médical se dessine, basé sur la nature électromagnétique et vibratoire du corps autant que biochimique et sur l’idée fondamentale que la maladie découle en premier lieu de déséquilibres (par excès et/ou déficiences) dans un ou plusieurs plans de la vie humaine (physique, chimique, vital, affectif, émotionnel, mental, psychique… et même spirituel).

    Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent

    L’auteur de Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent, John Virapen, a été à la tête d’Eli Lilly, devenue célèbre grâce au Prozac, le premier inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS, SSRI en anglais), un type d’antidépresseur ayant atteint un statut de rockstar et basé la théorie aujourd’hui déboulonnée du débalancement chimique dans le cerveau.

    Entre autres scandales, John Virapen nous raconte comment il a fait du Prozac un « blockbuster », alors qu’il était président d’Eli Lilly Suède. Il expose les essais bâclés de la firme et les milliers de suicides et de meurtres sordides par « des gens au comportement jusque-là normal qui sombrent en quelques jours dans une folie suicidaire ou meurtrière ».

    « Pour la première fois, un haut dirigeant d’une grande firme internationale témoigne de l’intérieur et se révolte. Ce livre criant de vérité se lit comme un roman policier, un roman noir, mais ce n’est pas un roman. Il décrit, pièces en main, la falsification des études cliniques, la dissimulation des accidents mortels aux agences de contrôle, les mensonges systématiques aux généralistes par les visiteurs médicaux et surtout la corruption des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et celle des politiques. »

    (Audios)

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    La nature et le but de la maladie

    En 1976, Terry C. Fry a mis au point un cours de sciences de la santé qui a été traduit en plusieurs langues et intégré au programme de l’université de Paris.

    Voici celui consacré spécialement à la véritable cause des maladies et qui devrait être enseigné aux médecins et autres personnels soignants.

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    Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie

    Dans les coulisses, des personnes très intelligentes et ingénieuses ont entrepris de mettre à l’épreuve les méthodes de la virologie. Ces personnes se sont inspirées des travaux du Dr Stefan Lanka et de ses expériences de contrôle réalisées en 2020, qui ont ouvert les yeux de nombreuses personnes sur la fraude en matière de culture cellulaire.


    L’hypothèse des germes — Partie 1

    Selon l’Encyclopaedia Britannica, la « théorie » des germes, qui affirme que certaines maladies sont causées par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes trop petits pour être visibles, a « longtemps été considérée comme prouvée ». Selon l’université de Harvard, cette « théorie » a été « développée, prouvée et popularisée en Europe et en Amérique du Nord entre 1850 et 1920 environ ». Wikipédia affirme que la « théorie » des germes est « la théorie scientifique actuellement acceptée pour de nombreuses maladies ». Des articles publiés dans des revues scientifiques affirment que Louis Pasteur et Robert Koch « ont fermement établi la théorie des germes de la maladie » et qu’ils « ont prouvé pour la première fois la théorie des germes de la maladie dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle ». Ainsi, si nous devions écouter ce que déclarent les sources dominantes, il semblerait que la « théorie » des germes ait été scientifiquement prouvée sur la base des preuves établies par Louis Pasteur et Robert Koch. Il faut croire que les travaux de ces deux hommes ont permis de « prouver » l’hypothèse initiale des germes et de l’élever au rang de théorie scientifique. Mais est-ce vraiment le cas ? Pasteur et Koch ont-ils apporté les preuves scientifiques nécessaires à la confirmation de l’hypothèse des germes ? Que faut-il pour accepter ou rejeter une hypothèse ? Comment une hypothèse devient-elle une théorie scientifique ?

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    Des souris et des fous

    Une étude publiée dans le prestigieux journal Nature est censée « prouver » que le « SARS-COV-2 » est bien un pathogène. L’étude s’intéresse à la « résistance génétique » d’un grand nombre de souris que les chercheurs auraient « infecté » avec le virus. Cependant, elle ne fournit aucun groupe témoin, cache des résultats qui ne s’accordaient probablement pas avec ceux attendus, et triche ou entretient un gros flou artistique sur les autres, mais ne démontre rien sur le plan scientifique, au point que Pierre Chaillot se demande si elle ne relève pas d’un canular.

    (Vidéo 14 min)

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    Deux alternatives à Big Pharma vaccinaliste

    Les deux alternatives principales qui sont apparues depuis l’opération psychologique Covid-19 (qui avait manifestement pour but de vacciner massivement l’Humanité avec des nanoparticules particulières sont les suivantes) :


    Comment les vaccins anticovid peuvent-ils produire des maladies à prion comme Creutzfeldt-Jakob ?

    La maladie de Creutzfeldt-Jakob est un des effets secondaires relevés suite aux vaccinations contre la Covid. La protéine spike des vaccins à ARNm a été suspectée de la produire. Problème : ces protéines sont supposées provenir de virus, mais aucun virus pathogène n’a jusqu’à ce jour été réellement isolé en suivant la méthode scientifique ; où sont les études qui isolent et caractérisent chimiquement de manière scientifique des protéines spike dans les vaccins ? Des observations et analyses menées par diverses équipes de chercheurs ont par contre relevé la présence de graphène dans les vaccins. L’étude suivante montre le mécanisme par lequel le graphène affecte la protéine prion.


    L’étude de référence sur la rougeole n’apporte aucune preuve de l’existence d’un « virus » de la rougeole

    L’article de John Franklin Enders de 1954 est considéré comme la preuve définitive de la découverte d’un « virus » de la rougeole. Cette preuve a été présentée comme l’« isolement » de la rougeole et a servi de base à l’élaboration du vaccin. Il a également jeté les bases de l’utilisation d’expériences de culture cellulaire comme moyen de cultiver des « virus », ainsi que des affirmations qui en découlent, selon lesquelles les preuves indirectes connues sous le nom d’effets cytopathogènes (ou cytopathiques) peuvent servir de mesure de substitution pour les « virus » présents dans la soupe toxique de la culture cellulaire. La lecture de l’article et des conclusions d’Enders révèle cependant une histoire complètement différente de celle de l’isolement d’un « virus ». Voici les points saillants de son article :


    Aveuglés par la pseudo-science

    « Mes récents échanges avec les défenseurs de la virologie et de la théorie des germes sur Twitter m’ont vraiment ouvert les yeux sur l’enracinement de l’endoctrinement et sur la façon dont l’esprit critique et la logique ont été complètement effacés chez de nombreuses personnes. Non seulement il y a une incompréhension fondamentale du dogme que ces personnes tentent de défendre, mais elles n’ont même pas une connaissance pratique de ce qu’est la science ou de la manière de distinguer la vraie science de la fausse science, c’est-à-dire de la pseudoscience. Ils ne savent absolument pas ce qu’est la méthode scientifique et pourquoi ce processus doit être respecté pour que les connaissances acquises soient considérées comme de la science. Bien que cela puisse être pardonnable pour le profane, beaucoup de ces personnes avec lesquelles j’interagis se considèrent comme des scientifiques et des éducateurs. Ce sont des microbiologistes, des immunologistes, des chercheurs et des enseignants. Il est impardonnable de ne pas comprendre ce que la science est ou n’est pas censée être à ce niveau. Cependant, lorsque l’on comprend que le système éducatif, par le biais de la mémorisation et de la régurgitation répétée de la rhétorique pseudo-scientifique, est conçu pour produire des esclaves de l’industrie qui n’ont pas la capacité de penser de manière critique et logique, cela commence à avoir du sens. » (Mike Stone)


    Armes biologiques ?

    La notion de « pathogènes » et « d’armes biologiques » créées grâce à des expériences de « gain de fiction » continue de susciter la peur chez ceux qui ne réalisent pas encore que le concept tout entier est basé sur des prémisses anti-scientifiques. Malheureusement, les histoires sur les « laboratoires biologiques » continuent de susciter des craintes injustifiées et d’agir pour maintenir les gens dans la plantation de la théorie des germes. En conséquence, ils restent piégés dans un faux paradigme et incapables d’apprécier pleinement ce qui rend réellement les gens malades.

    Dans cette vidéo, est soulignée une fois de plus l’absence totale de preuves de l’existence des armes biologiques et comment les médias de masse ont ouvertement poussé ces récits fondés sur la peur depuis début 2020 pour aider à soutenir l’industrie de la « pandémie » et tout le mal qui accompagne la biosécurité de l’État de surveillance.

    (Vidéo 27 min)


    Le Camouflage Permanent du DDT

    Les affirmations selon lesquelles les insecticides protègent les personnes des vecteurs de maladies tels que les tiques (par exemple, la maladie de Lyme) et les moustiques (par exemple, la dengue et la fièvre jaune) reposent sur le dogme de la théorie des germes et sur le concept scientifiquement non étayé de « pathogènes ». L’examen des études fondamentales a universellement révélé que les microbes en eux-mêmes ne rendent pas malades les personnes en bonne santé.
    Malgré ces faits gênants, « en 1945, contre l’avis des chercheurs qui avaient étudié la pharmacologie du composé et l’avaient trouvé dangereux pour toutes les formes de vie, le DDT a été autorisé aux États-Unis et dans d’autres pays pour une utilisation générale par le public en tant qu’insecticide ». Ce n’était certainement pas la dernière fois que le slogan « sûr et efficace » était utilisé pour introduire un nouveau produit à grande échelle auprès d’un public non averti.
    Ce qui s’est passé par la suite a été l’une des plus grandes dissimulations d’empoisonnement de masse et d’« épidémies » de l’histoire connue, utilisant le poliovirus imaginaire comme couverture habituelle. Bien que l’utilisation du DDT ait finalement été interdite dans la plupart des pays, le scandale se poursuit encore aujourd’hui avec une application massive en Inde et en Afrique. Comme si cela ne suffisait pas, pourquoi la « Convention de Stockholm » se fait-elle l’apologiste de cette tromperie permanente ?

    (Vidéo > 20 min)


    Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

    Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

    « Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions. »


    L’indispensable vitamine C

    Entretien avec Michel Dumestre sur cette vitamine indispensable à la vie humaine, mais que le corps ne sait pas produire.

    (Vidéo 43 min)


    La Vérité sur le virus du Sida

    On pourra découvrir dans les vidéos et articles présentés ici, que non seulement le supposé virus du SIDA (dénommé HIV) n’a jamais été scientifiquement isolé en respectant la méthode scientifique (notamment à l’aide d’expériences de contrôle), mais que cette maladie n’est qu’un ensemble de symptômes qui varient selon le pays impliqué.


    Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

    Un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

    (Vidéo 1 h 32)


    « Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »

    Astrid Stuckelberger est de retour pour parler de son expérience au sein de l’Organisation mondiale de la santé et du rôle complexe que celle-ci joue dans la tyrannie covidienne.
    Le 16 mars 2020, Anthony Fauci a reçu un courriel de Michael Liu lui demandant de « verrouiller le monde, maintenant ».
    L’un des aspects de l’histoire du Covid-19 est que le monde entier a été infecté par le « virus » au même moment.
    D’un point de vue médical, il est impossible qu’un virus se propage dans le monde entier dans le laps de temps où les premiers cas ont été signalés en Chine.
    Les autopsies ont été interdites pour empêcher les analystes de vérifier si les gens mouraient d’un virus respiratoire.
    Il existe des preuves irréfutables que les rayonnements de la 5G peuvent tuer et rendre les gens malades.
    Charles Morgan, qui a soutenu une grande partie des recherches du Dr Stuckelberger, affirme que l’oxyde de graphène et d’autres nanotechnologies ont été utilisés pour prendre le contrôle de la main d’un chirurgien afin de faire effectuer des interventions chirurgicales par des médecins inexpérimentés.
    Cette nouvelle technologie, combinée à l’IA, permettra au contrôle mental et à la programmation prédictive de devenir encore plus dangereux pour l’humanité.

    « Les personnes qui véhiculent le narratif ARNm-spike sont plus que des menteurs : ils déforment la vérité et la science de façon à diriger les gens sur la mauvaise piste, les empêchant de comprendre, d’analyser et de trouver des remèdes »

    (Vidéos)


    La légende du vaccin

    Le mythe des microbes pathogènes, comme responsables des maladies, va prochainement s’effondrer ; personne ne sait à quel moment, mais il est certain qu’on ne peut plus sérieusement continuer à répéter cette erreur et ce mensonge historique, compte tenu de la masse des données qui s’est accumulée sur la question, grâce notamment à la crise artificielle du coronavirus.

    Quand la société occidentale va-t-elle comprendre l’imposture de Pasteur et réaliser que les virus ou les bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les « croyants » dans le monomorphisme, la « théorie du germe », réalisent l’archaïsme de cette conception des choses et leur ignorance devenue anachronique ?

    Selon ce grand scientifique français encore largement méconnu en France, Antoine Béchamp, un bon équilibre du terrain biologique est à la base de la santé. Il put établir par ses travaux la loi du « polymorphisme bactérien », cette connaissance étant actuellement appliquée par les écoles de thérapeutique de pointe qui abandonnent clairement la loi du monomorphisme conçue par Pasteur. Les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles, le stress, le manque d’hygiène, les agressions environnementales sont les causes d’un déséquilibre du terrain biologique et c’est cela qui explique la maladie et non pas une attaque kamikaze de micro-organismes parasites se saisissant de cette opportunité pour s’attaquer depuis l’extérieur à une forteresse corporelle défendue par une armée de défenseurs immunitaires entraînés !

    Cette vision des choses est dépassée par la réalité de la connaissance scientifique actuelle, mais cette croyance archaïque continue son chemin dans les cerveaux conditionnés par le narratif disant le dogme au service d’un système médical organisé en pouvoir. C’est l’ignorance qui explique l’adhésion conventionnelle à ce dogme désuet d’une médecine totalitaire et en cela obscurantiste, très en retard sur les acquis de la recherche…


    Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez

    Ce véritable manuel de santé nous dévoile notamment :
    • Les petits secrets cachés des gouvernements
    • Comment le système nous manipule
    • Pourquoi tout n’est qu’une histoire d’argent, avant tout
    • Comprendre pourquoi nous tombons malade
    • Appréhender les remèdes naturels
    • Savoir quoi faire pour guérir de pratiquement tout et ne plus être malade
    • Et bien plus encore…

    (Avec vidéo de présentation. 10 min)


    Dossier vaccin enfants : poison ou protection ?

    « 😳 Après avoir vu ça, je peux vous garantir que plus personne ne fera injecter un vaccin à son bébé. »

    (Vidéos)


    Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

    « En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

    Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.


    Pourquoi manger biologique ?

    En médecine naturelle, ce que l’on ingère fait partie des 9 facteurs de la santé intégrale.

    Le bio c’est le naturel, le vivant, c’est la nourriture originelle depuis toujours, c’est interdire les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Ensuite est venu le progrès, et l’homme a commencé à s’affaiblir, à dégénérer, à tomber malade et à prendre beaucoup de médicaments.

    Le bio c’est de la saveur et de l’odeur, c’est moins d’eau, plus de nutriments et d’antioxydants qui permettent une meilleure nutrition et protection cellulaire.

    Le bio c’est moins de pollution environnementale, c’est meilleur pour la biodiversité et notre santé.


    Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

    Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet sur le contenu des vaxins et ses implications.

    Une remise en question autant du discours officiel que de l’alternatif autour de la Spike.

    Il vaut mieux être ouvert d’esprit pour regarder jusqu’au bout.

    (Vidéo 2 h 37)


    Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?

    La recherche scientifique et les rapports faisant état de graves dommages causés aux vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martin sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous désormais mieux l’Agenda 2030 et le plan du Forum Économique Mondial ?


    Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé

    « Les industries pharmaceutiques ont pris le contrôle de notre santé, en corrompant massivement non seulement le milieu de la recherche médicale, mais aussi celui des autorités de contrôle nationales et internationales, ainsi que le monde de l’édition scientifique médical. »


    L’opération COVID est-elle une guerre contre la réalité ?

    Conférence.

    (Vidéo 1 h 37)


    La fraude qu’est la virologie expliquée en 19 minutes

    (Vidéo 20 min)


    La Nouvelle Biologie

    Conférence du Dr Stefan Lanka.

    (Vidéos)


    ARNm et dommages causés par les vaccins

    Lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.


    Le château de cartes de la théorie des germes

    Le grand public, dans le présent comme dans le passé, n’est que trop disposé à croire ce qu’on lui dit tant que l’histoire est simple et facile à comprendre. Il se laisse contrôler, croyant en des entités pathogènes invisibles dont il n’a jamais été prouvé scientifiquement qu’elles existaient comme causes de maladies. Il n’est pas disposé à consacrer du temps et des efforts à enquêter pour vérifier si les simples fantasmes de la théorie des germes qu’on lui a vendus sont, en fait, vrais. C’est pourquoi il a été beaucoup trop facile pour le monde entier de s’enfermer sous le faux prétexte d’une « pandémie », alors qu’il n’y avait rien de tel. Il n’y avait même pas l’ombre d’une preuve scientifique de l’existence d’un nouveau « virus » pathogène, et encore moins de la propagation rapide d’une « nouvelle maladie » à travers le monde. Toute personne ayant consacré un peu de son temps et de ses efforts à la recherche et à la compréhension de la situation aurait facilement démasqué l’escroquerie dès le début. Cependant, le grand public, sans vraiment réfléchir à la question, a abandonné sa propre autorité aux conteurs, acceptant volontiers l’histoire sur la base de la propagande de peur fournie par les médias grand public, comme cela a été le cas tout au long du siècle dernier.

    Heureusement, tout le monde n’a pas accepté de céder son esprit aux intérêts particuliers qui cherchent à obtenir le pouvoir et le contrôle de l’histoire. De nombreux scientifiques et médecins respectés se sont opposés à la théorie des germes qui a été élaborée à partir des années 1800.


    Approche de la santé par la reconnaissance de la dimension vibratoire du corps

    Un entretien au cours duquel les deux intervenants Béatrice Milbert et Philippe Bobola, médecin et physicien, rappellent que matière et vibration sont, selon la physique quantique, complémentaires et non opposées. La prise en compte de cette complémentarité débouche sur un spectre large d’approches thérapeutiques elles-mêmes complémentaires de la médecine allopathique.

    (Vidéo 1 h 15)


    5 échecs spectaculaires de la théorie des germes

    Le manque de preuves scientifiques rattrape ceux qui s’accrochent à la théorie des germes et à l’existence des virus. Nous voyons maintenant certains promoteurs des « pathogènes » s’emporter plutôt que d’être prêts à discuter de la longue histoire des expériences ratées. Combien de temps encore pourront-ils maintenir cette façade auprès de leur public ?

    La « théorie des germes » est une appellation frauduleuse, car il s’agit d’une hypothèse réfutée plutôt que d’une théorie scientifique.

    (Vidéo 25 min)


    Une autre vision des maladies infantiles

    (Vidéo 43 min)


    Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ?

    Quand on y réfléchit bien, la dérive totalitaire que nous subissons depuis quelques années est presque entièrement fondée sur la triple croyance que :
    1) les viru$ existent et qu’on peut les manipuler pour les rendre plus virulents ;
    2) les viru$ sont la cause des maladies et qu’ils se transmettent par un mécanisme de contagion ;
    3) les pandémies représentent une menace infiniment mortelle pour l’immense majorité des êtres humains vivant sur terre…

    De cette triple croyance découle la légitimation de toutes les mesures les plus folles et les plus liberticides, au nom de la protection des populations, leur faisant croire qu’elles ne peuvent en aucun cas compter sur leur immunité naturelle et qu’aucun autre remède n’existe en dehors des vaccins salvateurs…

    (Vidéo 1 h 15)


    « Je ne me tairai pas »

    Ce film est une incitation à remettre en question des choses qui nous sont présentées comme des faits depuis près de quarante ans.

    (Vidéo 1 h 20)


    Explication de la maladie de la vache folle

    Un article paru en 2002, passé sous les radars, mais qui reste d’actualité.

    Depuis 1986, l’infâme syndrome neurodégénératif connu sous le nom d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) fait battre le cœur de l’agriculture britannique. La maladie a entraîné l’anéantissement de milliers de bovins, tandis que son analogue humain, la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob (vMCJ), a gâché la vie d’un nombre croissant de jeunes gens. En outre, l’épidémie de spongiformes a créé un champ de bataille féroce entre les nations, les intérêts particuliers, les partis politiques, les agriculteurs, les victimes et les consommateurs.


    L’illusion multimilliardaire du « VIH » révélée au grand jour

    Le journaliste anglais Neville Hodgkinson a été un témoin actif de la controverse du SIDA au début. Il nous rappelle les incohérences du narratif officiel et il est toujours bon de bien se les mettre en tête.


    Le mensonge sur la maladie de Lyme

    Lorsqu’il s’agit de maladies redoutées, la maladie de Lyme se classe parmi les pires. Cependant, l’histoire du grand public pose un problème majeur. La « nouvelle » maladie n’est apparue que dans les années 1970, les tiques et les « germes » Borrelia ayant été accusés peu après.

    Il est temps d’exposer les documents scientifiques sur lesquels repose toute cette histoire et de souligner un autre problème fondamental : comment cette « maladie » peut-elle être diagnostiquée ?

    Il s’agit d’un sujet important, car les campagnes de marketing impliquant les tiques comme cause d’une grande épidémie et même comme « armes biologiques » potentielles ont déjà commencé…

    (Vidéo > 20 min)


    La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

    En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
    Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
    En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

    (Vidéo 26 min)


    Dr Luis Marcelo Martínez : « La protéine Spike n’a jamais existé »

    Le docteur argentin Luis Marcelo Martínez, généticien médical, a passé en revue toute la littérature virologique depuis 1912 et est certain que la protéine Spike n’a jamais existé. Il explique également pourquoi il est peu probable qu’une personne vaccinée soit contagieuse.

    (Vidéo < 9 min)


    Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus »

    Énorme intervention de Pierre Chaillot qui n’hésite pas à bousculer le formatage intellectuel de Corinne Reverbel et Christian Perronne en leur démontrant point par point qu’il est faux de dire qu’un virus a été isolé !

    (Vidéo < 8 min)


    Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité

    Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les “vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins » COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu. Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de Rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.


    Pour en finir avec les plandémies

    La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus.

    Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich.

    (Vidéos)


    40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

    Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


    Commentaires sur le VIH de Montagnier

    « Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

    Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


    Dr Alain Scohy sur la vaccination

    (Vidéo 28 min)


    À quel point les virus sont-ils morts ?

    Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

    Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


    L’invention du « virus Ebola »

    Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


    Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

    Brève présentation de l’ouvrage.


    Un nouveau paradigme médical

    La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


    Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?

    Gérard Mannig, informaticien en retraite et citoyen éveillé, observe et critique depuis longtemps la qualité du niveau des prises en charge sanitaires dans nos pays démocratiques, comme la vaccination, ses gardiens du temple, ses grands argentiers et ses coupables accointances. Où l’on apprendra au passage pour quelles raisons les médecins sont si régulièrement complètement nuls en vaccinologie et pourquoi ils préfèrent « faire confiance dans leurs institutions » ainsi que dans « la grande sagesse de leur Conseil de l’Ordre ».


    Débarrasser le corps du graphène

    L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

    Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

    Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.


    Nanotechnologie et « vaccins »

    En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».


    Go Virus Go !

    Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

    Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


    La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

    (ebook gratuit au format pdf à télécharger et partager)

    Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.


    Les injections sont-elles sûres et efficaces ?

    Analyse des injections à partir des données officielles après rappel des analyses sur les données Covid-19.

    (8 vidéos)


    À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…

    LHK : « Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du Great Reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE. »


    « Virus », des décennies d’escroqueries ?

    Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

    Le Covid est-il le mensonge de trop ?


    Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

    Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

    Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
    Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


    Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

    Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.


    La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

    Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

    L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

    (Vidéo > 2 h 30)


    Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

    L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


    Le mythe de la contamination épidémique

    Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
    (Vidéo 1 h 25)


    Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

    La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


    Démontage de la théorie virale

    L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


    Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

    Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


    Citations médicales sur les vaccinations

    Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.


    L’inquiétante histoire des vaccins

    Ce livre nous concerne tous ! Profitant de la crise du Covid-19, la médecine foule au pied le plus grand de nos principes républicains : la liberté !
    Marc Menant démonte dans ce livre coup de poing les travers de cette médecine en reprenant son histoire et en dénonçant ses impostures !
    Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.
    La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre  » liberté « . Au nom de la science, elle lui a substitué celui de la  » santé publique. »
    Tous se sont rendus coupables d’un délit d’illusion de bonne santé.
    Délit évitable par la vaccination qui – garantissent certains infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable, stock d’anticorps.
    Vous allez découvrir pourquoi seule l’histoire des vaccins depuis Pasteur peut nous aider sur ce débat au cœur de nos vies.
    Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui.


    Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

    Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux.


    Effets secondaires des vaccins : les scientifiques allemands jettent plusieurs pavés dans la mare

    Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.


    Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile

    ATTENTION ! NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTÉ. Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse, voire de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés !


    Toxicité des « vaccins anti-Covid »

    Dans cette période plus qu’étrange, alors que les sous-citoyens français vont redevenir « citoyens » le 14 mars (sauf les soignants suspendus, qui restent sous-citoyens), juste à temps avant les élections présidentielles en France, après 2 ans de « crise Covid », on sait : qu’il n’y a pas eu de pandémie ; que les « syantifiques » ont relayé le discours dominant par ignorance, naïveté, conformisme ou corruption ; que la solution magique promue (l’injection expérimentale) pour résoudre la pandémie bidon était non seulement également bidon mais aussi potentiellement dangereuse ; que les fabricants de ces injections bidons sont des entreprises habituées à mentir et à fournir des données bidons pour vendre leurs drogues et autres injections plus ou moins expérimentales.


    Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

    L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


    Parlons contamination

    Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme. Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.


    Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

    TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


    Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

    La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


    L’invention du SARS-CoV-2

    Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


    Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

    Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


    L’enterrement de la théorie virale

    Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.


    Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

    Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


    L’interprétation erronée du virus — 2e partie

    Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


    La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

    Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


    La nanotechnologie dans les vaccins

    Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.


    Ebola : briser les mensonges et la supercherie

    Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


    La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

    Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


    Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

    Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


    L’effondrement de l’hypothèse virale

    Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


    Autres articles liés à la théorie virale,
    la vaccination,
    l’industrie pharmaceutique,
    ou la santé en général :

    Organisation Mafieuse de la Santé
    Vos pensées contrôlent votre ADN !
    Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
    Besoin urgent d’agir en ce qui concerne le SARS-CoV-2 et la vaccination obligatoire contre la rougeole
    Quelques bons gros mensonges scientifiques
    Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
    avec le rapport Flexner (cité dans l’article)
    1968-2018 : la descente aux enfers !
    Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
    Coup de froid
    Prendre sa santé en main
    L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie

    Articles sur la thérie virale :
    La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
    La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
    Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
    Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
    Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
    Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
    Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
    Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
    Fauci et la grande arnaque du SIDA

    Sur le graphène :

    https://xochipelli.fr/2023/09/recapitulatif-de-22-etudes-scientifiques-recentes-promouvant-les-derives-de-graphene-dans-les-vaccins-medications-masques-filtres-de-ventilation-vetements-encres-etc-pour-lutter-contre-le-sars/
    Oxyde de graphène et nanotechnologies dans les injections : marquage de l’humanité ?
    Des champignons contre le graphène
    Comprendre le graphène
    Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
    Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
    Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
    Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
    L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
    Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
    Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
    Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
    Graphène et 5G
    À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

    Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
    Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
    Actionner un interrupteur dans la tête
    Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
    Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
    Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
    The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
    Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
    Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

    Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
    Le secret des vaxins
    Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
    Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
    Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
    L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
    Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

    Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
    Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
    87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
    Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
    Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

    Sur la contagion :
    La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Épidémies et contagions :

    Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
    ►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
    ►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
    ►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
    ►modification des paramètres bioélectroniques ;
    ►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
    ►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
    ►etc.
    Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

    Sur la protéine spike :
    Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
    Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
    “La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

    Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
    L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
    “Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
    Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

    Sur la vaccination :
    Citations médicales sur les vaccinations
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Dossier Vaccins

    Sur l’écouvillon du test PCR :
    Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
    Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
    Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
    Ce que cache le test PCR ?

    Sur la fraude des tests PCR :
    Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
    Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
    Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
    Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
    Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
    Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

    Sur le dépeuplement possible :
    Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
    Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
    L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
    Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
    Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
    Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
    L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
    Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

    Sur la 5G :
    « Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
    Graphène et 5G
    Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
    PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
    Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
    Dossier 5G et ondes pulsées

    Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
    La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
    La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
    Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
    Âme génétique et résonance morphique
    Catastrophes naturelles et pollution mentale]

    Meurtre par injection

    Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

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    Vaccins : Enjeux et décryptages

    Face à la levée de boucliers, et aux interrogations anti-vaccinales que connaît la France aujourd’hui, un éclairage s’impose : c’est de cette volonté que naît l’idée de réunir professionnels de la santéet spécialistes du sujet, non alignés sur la pensée unique des médias dominants. Nous avons sélectionné pour vous des intervenants venus des quatre coins de la France, pour la première fois réunis autour d’une même table, afin de traiter de ce sujet sensible : des origines jusqu’aux causes, en passant par les intérêts en jeu, tout en vous…


    Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

    En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène.


    L’hypothèse des germes — partie 2

    Où l’on apprend que l’hypothèse des germes a été réfutée involontairement par Pasteur et Koch, ainsi que par les divers chercheurs indépendants qui l’ont mise à l’épreuve. Elle n’aurait jamais dû être élevée au rang de théorie scientifique.


    Graphène : de micro à nanotechnologie

    Le docteur Laurence Kayser accueille Guillaume et Sébastien pour une émission hors normes sur la nanotechnologie vaccinale à base de graphène en lien avec l’Internet des corps qui sera effectif avec la 6G vers 2030.

    (Vidéo 2 h 24)

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    Bienfaits de la médecine chinoise (Acupuncture, Alimentation, Qi Gong)

    Découvrez les bienfaits de la médecine chinoise avec le spécialiste Jean Pélissier, interviewé par Fabien Moine et Carole Fouché et dont le nouveau livre « regard sur la médecine chinoise » sort aux éditions Exuvie Acupuncture, Qi gong, alimentation, massage tuina et spiritualité sont au programme de ce live !

    (Vidéo 1 h)


    Le lait cru de nouveau à la croisée des chemins

    La campagne contre le lait cru a commencé par un article fabriqué de toutes pièces paru en 1945 dans le magazine Coronet, faisant état d’une épidémie mortelle de brucellose dans une ville inexistante, ce qui a conduit à l’adoption de lois restrictives contre le lait cru dans le Michigan à partir de 1948.

    Une présentation PowerPoint réalisée en 2007 par un fonctionnaire de la FDA a faussement dénigré le lait cru en utilisant des rapports erronés ; aucun de ces rapports n’a prouvé que la pasteurisation aurait permis d’éviter les prétendues épidémies.

    L’annonce faite en 2024 par l’USDA attribue les symptômes observés chez les vaches laitières à la grippe aviaire sans que la présence du virus dans le lait ait été confirmée, en s’appuyant sur des méthodes de test PCR douteuses.

    Malgré les affirmations, il n’existe aucune preuve, évaluée par des pairs, de la transmission à l’homme de la grippe aviaire hautement pathogène à partir du lait cru.


    Le jeu de l’ivermectine

    Sam Bailey : « Dans cette vidéo, nous examinons l’histoire de l’un des médicaments les plus vendus au monde, y compris l’article de virologie grand public de 2020 qui affirmait qu’il s’agissait d’un agent “antiviral”. Alors que cet article a pu être partagé des dizaines de millions de fois, en revanche, ceux d’entre nous qui discutaient des expériences des virologues ont été frappés par des grèves et des interdictions sur les plateformes des grandes technologies. Il y a quelque chose de très suspect dans le récit de l’Ivermectine, d’autant plus que sa mythologie continue de croître avec de nouvelles affirmations selon lesquelles elle pourrait être un traitement contre le cancer. »

    (Vidéo 23 min)


    Les virus n’existent pas — Réfutation de la théorie virale

    1- Réfutation par le bon sens appliqué au narratif de la théorie virale.
    2- Réfutation scientifique.


    Après investigation, le Dr Mike Yeadon ne croit plus aux méchants virus

    « Je suis formellement convaincu que les maladies respiratoires aiguës que nous appelons rhumes et grippes (« maladies de type grippal ») ne sont pas causées par des particules infectieuses submicroscopiques appelées virus et qu’elles ne sont pas contagieuses.

    Pour un certain nombre d’autres maladies attribuées à des virus, telles que le « VIH/SIDA » et la « polio », j’ai suivi la piste des preuves suffisamment loin pour affirmer également qu’il n’y a aucune preuve qu’elles soient causées par de tels virus. Au contraire, et comme pour le « Covid-19 », elles sont plus justement appelées syndromes (puisque les symptômes allégués varient dans des proportions extraordinaires) et sont des attributions erronées d’un ensemble d’autres maladies. Dans chaque cas, les personnes sont réellement malades. C’est simplement que le diagnostic est erroné et qu’il n’est pas viral. »

    « … j’en ai appris suffisamment pour dire que je pense que la virologie est totalement frauduleuse. »

    « L’idée que nous risquons à tout moment l’émergence d’une pandémie ou d’une maladie grave et hautement infectieuse est un mensonge central que je considère aujourd’hui comme une contre-vérité évidente.
    Le voyage a été étrange et semé d’embûches. Le plus étrange, c’est de montrer à des gens intelligents les preuves qui étayent ma position actuelle sur les maladies respiratoires aiguës et de constater qu’elles ne les émeuvent pas. »


    La fin du mythe infectieux — cas de la grippe espagnole

    Voici quelque chose que vous ne verrez jamais dans les médias grand public. Lors de la grippe espagnole de 1918, considérée comme étant due au « virus » le plus contagieux de tous les temps, des chercheurs du service de santé publique et de la marine américaine ont tenté de déterminer les causes de la grippe et son degré de contagiosité réel. Cependant, les résultats de leurs expériences ont prouvé que la grippe n’est pas du tout infectieuse. Voici un bref aperçu de ce qui s’est passé au cours de ces études :


    Le but : vous enlever vos poulets

    Alors que tout le monde a été distrait par la fraude liée au COVID-19, de nombreux autres aspects de l’agenda mondialiste sont restés en arrière-plan. L’une d’elles est le retrait de la volaille et des œufs de l’approvisionnement alimentaire.

    La soi-disant grippe aviaire est utilisée comme prétexte pour abattre des centaines de millions d’oiseaux. Certaines personnes seront peut-être surprises d’apprendre qu’il s’agit essentiellement d’une reprise d’un récit qui a été testé pour la première fois il y a vingt ans.

    En 2005, une publication a détruit la science frauduleuse utilisée pour inventer une pandémie inexistante. Jetons un coup d’œil aux articles dont ils ne veulent pas que vous voyez alors qu’ils tentent de vous enlever vos poulets.

    (Vidéo < 20 min)


    L’escrodémie Covid-19 et SRAS-CoV-2, le virus qui n’a jamais existé

    Si vous n’aviez encore rien compris ou si vous aviez raté quelque chose en ce qui concerne les « virus », la « pandémie », le « SRAS-CoV-2 »… bref si vous ne comprenez toujours rien à ce qui se passe, Poornima Wagh reprend tout à zéro et vulgarise le domaine afin que tout le monde puisse suivre.
    Occasion unique de rattrapage et à ne pas manquer pour tout comprendre.

    (Deux vidéos)
    Mise à jour (2/4/2024) : suite à ces vidéos, Poornima Wagh a été l’objet d’une investigation journalistique sur son cursus et semble avoir menti à ce sujet, ce qui pourrait ruiner malheureusement sa prestation.


    La science cachée — La cause des maladies n’est pas les germes, mais le terrain

    Robert Young et Andy Kaufman discutent de leurs découvertes de la théorie révolutionnaire du terrain d’Antoine Bechamp après qu’il a examiné les cellules au niveau moléculaire et découvert que la maladie et la mauvaise santé découlent d’environnements internes malsains et acides, découvrant des fragments de vie granulaire au-delà des structures cellulaires, nucléaires et d’ADN qu’il a appelées « microzymas » (plus tard ou apparemment par coïncidence appelées historiquement « protits », « somatides », « bions » par d’autres scientifiques, similaires en fait, dit le Dr Andy Kaufman, aux cellules souches) dont des scientifiques comme Gunther Enderlein et Marie Bleker ont découvert qu’elles avaient la capacité de donner vie à des cellules saines ou à des bactéries et levures de différentes sortes dans des environnements acides, qui se forment principalement pour essayer de nettoyer les acides et les toxines, et qui peuvent reprendre la forme de cellules saines après le nettoyage des déchets toxiques dans un environnement alcalin approprié, selon un processus extraordinaire et fascinant jusqu’ici caché à la conscience du plus grand nombre par les « germologues » de la science moderne façonnée par la pharmacie : le pléomorphisme.

    Grâce à la présentation détaillée et variée des deux médecins, ce panel sur le terrain offre un tournant dans la compréhension publique de la santé et de la maladie, qui a été détournée jusqu’à présent par les virologues et les fabricants de vaccins qui soutiennent un paradigme malade axé sur le profit et dirigé par Big Pharma, et qui, sous l’égide des prédateurs et des abuseurs de pouvoir à l’OMS et au WEF, ainsi que des gouvernements mondiaux qui leur font des courbettes, s’est immobilisée en s’accrochant à sa valise inacceptable et absurde de Pandémie à jamais.

    (Vidéo 1 h 25)


    Covid, pandémie imaginaire des personnes ayant subi un lavage de cerveau

    « RACONTEZ-MOI votre expérience personnelle de Covid 19. En fait, attendez, ne le faites pas. Je crois que je l’ai déjà entendu un million de fois. Vous avez perdu tout sens de l’odorat et du goût — et à quel point tout cela était alors bizarre ? Vous avez été étonné pendant des jours. Vous avez eu une drôle de toux sèche, d’une sécheresse et d’une irritation sans précédent dans toute votre carrière de tousseur. Vous avez déjà eu la grippe quelques fois et, quand on a une vraie grippe, on le sait. Mais là, ce n’était vraiment pas la grippe. C’était tellement différent de tout ce que vous avez connu que vous ne seriez pas surpris d’apprendre qu’il avait été modifié en laboratoire avec toutes sortes de protéines de pointe et d’additifs de gain de fonction, peut-être même jusqu’à des fragments du virus du SIDA…

    Oui, c’est vrai. Pardonnez-moi d’empiéter sur le domaine sacré et personnel de votre expérience vécue. Mais puis-je suggérer prudemment que rien de ce que vous avez vécu ne valide nécessairement la théorie des fuites de laboratoire ? Cela démontre plutôt le pouvoir de la susceptibilité, du lavage de cerveau et d’une imagination débordante. Vous avez vécu — comme nous tous — une période de deux ans au cours de laquelle les anecdotes sur la santé sont devenues une monnaie d’échange précieuse. Alors que dans les années précédant la “pandémie”, personne ne s’était intéressé aux détails sanglants de votre rhume, tout le monde a soudain voulu comparer ses notes pour savoir s’il avait eu la même chose que vous — ou, de préférence, pour être à la hauteur, encore pire. Cela a créé un mécanisme d’autorenforcement de l’escalade de la panique : plus tout le monde en parlait, plus la “pandémie” devenait irréversible.

    Pendant ce temps, dans le monde réel, les preuves tangibles — par opposition aux preuves anecdotiques — de cette « pandémie » restaient obstinément inexistantes. »


    Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?

    Une émission du Dr Éric Loridan
    Invités : Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado de la Quinta Columna.
    Sujet. Nanotechnologie dans les vaccins : guerre ouverte contre les peuples ?

    Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger sont les voix principales de la Résistance et de la dissidence. Les plus crédibles, les plus intègres, les plus compétentes. Grâce à leurs expertises nous avons la confirmation que ces prétendus « vaccins » ne sont qu’un concentré de nanotechnologie et constitue de fait, un danger mortel pour la santé.

    Ricardo et Astrid abordent le sujet tabou sur le graphène et démontrent que cette campagne d’injections n’est rien d’autre qu’une machination criminelle à l’échelle planétaire. Un crime contre l’humanité construit sur le plus grand mensonge de l’Histoire.

    « Il faut frapper le Serpent à la tête… » dit Ricardo…

    (Vidéo 2 h 11)


    Récompense virale de 1 500 000 euros

    1,5 million d’euros offerts pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

    Pour l’instant personne n’a touché la récompense.


    Pourquoi abandonner la théorie virale

    Pourquoi le fait de réaliser que les virus pathogènes n’existent pas est une étape cruciale pour réduire la peur et créer une société meilleure.

    (Vidéo < 30 min)


    Dr Lee Vliet : 5G et mortalité Covid

    (Vidéo 7 min)


    L’opprobre de la syphilis

    (Vidéo 23 min)


    « Nous vivons dans “The Truman Show”. Tout est mensonge. C’est l’empoisonnement qui provoque la maladie »

    Le Dr Lee Merritt, chirurgienne orthopédique américaine et experte en armes biologiques, explique qu’elle essaie de faire comprendre aux gens que nous vivons dans « The Truman Show ». Il existe une fausse réalité scientifique et c’est ainsi que nous sommes contrôlés.

    (Vidéo 7 min)


    Ce qu’on ne nous a pas appris sur la peste

    La « peste » ou « peste noire » aurait anéanti la moitié de la population européenne au milieu des années 1300, méritant ainsi le titre de pandémie la plus meurtrière de tous les temps. La bactérie Yersinia Pestis serait à l’origine de la mort de toutes ces personnes et la maladie était si infectieuse qu’il était fatal de se trouver à proximité d’un cas.

    De nombreux aspects de ce récit ne tiennent tout simplement pas la route, en particulier le fait que la théorie des germes et les postulats de Koch ont été réfutés à de nombreuses reprises au cours du siècle dernier.
    Comme l’ont déclaré nos amis italiens après leur récent entretien avec le Dr Mark Bailey, ces contes de fées ont enfermé le monde dans un faux paradigme de la maladie pendant des générations.

    Les théoriciens actuels des germes ont ignoré de nombreux faits gênants, notamment un compte rendu beaucoup plus détaillé des cas de peste en Australie au siècle dernier.

    Dans cette vidéo, le Dr Sam Bailey examine la science qui sous-tend cette maladie soi-disant contagieuse et explique pourquoi l’un des joyaux de la couronne de la mythologie « pandémique » est tombé en désuétude.

    (Vidéo 25 min)


    Dr Tom Cowan — Nexus se fait piéger par l’IHU (de Marseille)

    Le Dr Cowan aborde les points suivants :
    – La polio a-t-elle été réellement éradiquée en Inde ?
    – Les règles d’isolement des rétrovirus et les exigences minimales logiques pour établir l’existence indépendante du VIH.
    – Discussion sur la manière dont Nexus a été manipulé par l’IHU.

    (Vidéo 1 h)


    L’homme qui rendait inutiles les transfusions de sang !

    René Quinton était face à son plus grand défi : prouver que la simple eau de mer est substituable sans dommage à la partie essentielle de notre liquide interne : le sang…


    La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?

    Toute recherche scientifique repose sur des dogmes particuliers, y compris (ou peut-être surtout) la biomédecine. Il est plus facile pour certains « scientifiques » de perpétuer des faussetés que d’admettre qu’ils se sont trompés, d’abandonner des idées de longue date et de repartir de zéro. De nombreux scientifiques préfèrent s’intéresser à des domaines de recherche à la mode afin d’obtenir des récompenses et des subventions plutôt que de remettre en question des croyances et des dogmes de longue date.

    C’est exactement ce qui s’est passé avec la médecine moderne, car trop d’argent et trop de réputations sont en jeu. Si l’on n’a pas le droit de remettre les choses en question, alors ce n’est pas de la vraie science.

    Les théories erronées en médecine ont gaspillé des milliards et causé des dommages incalculables. Imaginez s’ils devaient admettre que tant d’années de recherche et d’innombrables carrières universitaires ont été gaspillées à poursuivre des idées qui n’ont aucun fondement dans la réalité.

    Grâce à la pseudo-pandémie Covid, la corruption de l’establishment médical n’a jamais été aussi évidente pour autant de personnes.


    UN ADIEU À LA VIROLOGIE
    (ÉDITION POUR EXPERT)

    La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».


    La médecine spirituelle — Soigner l’âme pour guérir le corps

    Une conférence de Luc Bodin, dans le cadre de la 3e rencontre entre médecines conventionnelle et naturelle.

    (Vidéo 1 h 2)


    Le bioterrorisme, ça n’existe pas (jusqu’à preuve du contraire)

    … Comme le potentiel pathogène d’aucun virus n’a jamais été démontré scientifiquement, on ne voit pas très bien comment des chercheurs, fussent-ils imprudents ou mal intentionnés, auraient pu conférer une quelconque toxicité au virus couronné. …

    … il n’existe pas de preuve (scientifique) qu’un germe bactérien puisse être « militarisé » et employé comme arme létale.


    Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective

    Au début de la pandémie, il était difficile de comprendre pourquoi tant de gens agissaient de manière aussi irrationnelle et autodestructrice. (…)

    Une étude publiée en 2007 a rapporté le cas d’un homme ayant fait une overdose d’antidépresseur après une dispute avec sa petite amie, avalant les 29 pilules qui lui avaient été données dans le cadre de l’étude. Transporté d’urgence à l’hôpital, sa tension artérielle extrêmement basse, 80/40 et son rythme cardiaque élevé, 110 battements/minute. Les médecins et les infirmières l’ont gavé de sérum physiologique et ont réussi à faire remonter sa tension artérielle à 100/62.

    Mais le médecin qui est vraiment parvenu à le sortir de là est celui qui lui a dit que les pilules qu’il avait avalées étaient en fait des placebos et ne contenaient aucun médicament. Il faisait partie du groupe de contrôle ! En l’espace de quinze minutes, la tension artérielle et le rythme cardiaque de l’homme sont redevenus normaux.


    Le Cancer revisité

    La peur primitive de son propre corps, qui sommeille inconsciemment chez l’être humain depuis des siècles et qui s’est développée au fil de l’histoire, est particulièrement forte lors des diagnostics de cancer. À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.

    Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question.


    Pourquoi tous les « virus » proviennent-ils des laboratoires ?

    L’histoire de la « fuite du laboratoire » du COVID-19 est diffusée sur les plateformes grand public depuis le début de l’année 2020.
    Cependant, de nombreux membres de la communauté dite « de la liberté » présentent l’histoire comme une dissimulation de haut niveau. Ils affirment que la recherche est devenue incontrôlable et que des « agents pathogènes artificiels » sont en liberté.
    Sur quelles preuves s’appuient ces affirmations ?
    Comprennent-ils vraiment les articles essentiels de virologie sur le « gain de fonction » ?
    Dans cette vidéo, nous verrons pourquoi tous les « virus » proviennent de laboratoires, mais aussi pourquoi vous n’avez rien à craindre.

    (Vidéo 21 min)


    Génétique : Le génome en dissolution

    En 2006, 25 généticiens se sont réunis à l’université de Californie à Berkeley pour répondre à cette question apparemment simple : qu’est-ce qu’un gène ? Mais la tentative de définir précisément le concept de base de leur discipline s’est avérée extrêmement difficile. La réunion d’experts a failli tourner au désastre…

    La recherche médicale, en particulier, est confrontée à de nouveaux défis. Les premières esquisses montrent que le corps et l’âme, leur santé, leur maladie, leur développement et leur vieillissement sont soumis à une interaction génétique dont la complexité dépasse toutes les conceptions antérieures. Les généticiens doivent abandonner l’image d’un génome stable, dont les modifications sont des exceptions pathologiques. Le génome de chaque individu est en constante transformation. Par conséquent, chaque organisme, chaque être humain, voire chaque cellule du corps, est un univers génétique en soi.


    La vérité sur les antibiotiques

    Les antibiotiques sont souvent considérés comme l’une des plus grandes découvertes de la science médicale. On leur attribue le mérite d’avoir sauvé des dizaines de soldats pendant la Seconde Guerre mondiale et des millions de vies depuis lors. Cependant, cette histoire promulguée par l’establishment médical et l’industrie pharmaceutique pose des problèmes majeurs.

    Dans cette vidéo, est examinée l’histoire de la pénicilline et l’état des preuves scientifiques, y compris les préoccupations récentes concernant la « résistance aux antimicrobiens ». Les antibiotiques sont-ils toujours utiles et pourquoi semblent-ils parfois fonctionner si la théorie des germes de la maladie présente des failles fatales ?

    (Vidéo 19 min)


    Les folies de Peter McCullough

    Le Dr Peter McCullough est un héros pour de nombreux membres de la communauté de la liberté médicale et a été l’une des voix les plus importantes dans la lutte contre les vaccins COVID.

    Cependant, le Dr Mark Bailey et le Dr Kevin Corbett, vétéran de la lutte contre les virus, commentent et réfutent en détail les affirmations du Dr McCullough relatives aux « virus ». Il s’agit d’une question vitale, car ces affirmations maintiennent les gens dans le piège non seulement de l’illusion virale, mais aussi du paradigme allopathique au sens large.

    (Vidéo 1 h 5)


    Ces malades qui pensent pour nous

    (Vidéo > 1 h)


    Les progrès de la médecine ?

    Une conférence du Dr François Plantey.

    (Vidéo > 50 min)


    La science-fiction de l’immunité collective et de l’altruisme vaccinal

    Beaucoup de personnes ont accepté la vaccination anti-covid pour protéger leurs proches et contribuer à l’immunité collective. Mais qu’entend-on vraiment par « immunité collective » ? Cette expression peut se comprendre comme la somme des immunités individuelles. En réalité, elle désigne une théorie basée sur un modèle mathématique qui prétend mettre en équation le phénomène de la contagion. Ce modèle justifie des obligations vaccinales liberticides au nom d’un « altruisme sociétal »… Comme nous allons le découvrir, la théorie de l’immunité collective, véritable raison d’État, n’a jamais apporté la preuve de sa validité. Par ailleurs, le concept de « contagion » s’avère lui aussi bien fragile ! Finalement, loin de contribuer au contrôle des infections, les vaccinations de masse nous entraînent inexorablement vers la déprogrammation de notre immunité.


    Changement de personnalité post-injection : pourquoi ?

    (Vidéo 7 min)


    Rappel — Dégrader l’oxyde de graphène

    (Vidéo < 12 min)


    Sous la peau

    Dr Larry Palevsky : « L’un des principaux facteurs que l’on retrouve dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer est la nanoparticule d’aluminium qui est directement liée aux vaccins que nous administrons. »


    Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal

    Si la quasi-totalité de la communauté des défenseurs de la liberté de la santé s’accorde à dire que les vaccins COVID-19 sont dangereux, de nombreux désaccords subsistent sur les raisons de cette dangerosité. Il y a aussi la question de savoir si l’excrétion de particules par les vaccinés peut rendre malades les non-vaccinés.

    Le Dr Peter McCullough a réalisé un travail remarquable en 2021, en mettant en garde le monde contre les dangers des injections de COVID-19. Toutefois, en 2022, nous avons été déçus de le voir applaudir la pseudo-science des virologues. Malheureusement, il suscite aujourd’hui la peur en promouvant l’absurdité de l’excrétion vaccinale.

    Examinons l’état des preuves scientifiques concernant le « shedding » et révélons les véritables origines de ce récit.

    (Vidéo > 20 min)


    LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés

    Les Amish sont morts du Covid à un taux 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique « J’ai fait le calcul », a témoigné @stkirsch devant le Sénat de l’État de Pennsylvanie.

    « C’est possible parce que les Amish ne sont pas vaccinés. Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule directive du CDC »


    Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle

    Dans cette conférence, le professeur Ian Alkyildiz du Georgia Institute of Technology donne un aperçu de son travail au cours des 15 dernières années en matière de développement de systèmes de communication térahertz pour l’Internet de tout.


    Le Mythe de l’Infection

    La Rougeole par les Chiffres.

    La rougeole est devenue la maladie favorite pour provoquer la panique de l’épidémie. Ce qui est amusant parce que c’est une des maladies les plus bénignes. Mais, d’un autre côté, elle est utile, parce que les symptômes surgissent encore régulièrement. Ce n’est certainement pas le SIDA ou la maladie de la Vache folle, mais alors pour ces deux maladies-là personne ne prétend qu’il existe un vaccin. Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) a été une grande panique pendant un moment (tout comme début 2020 le coronavirus Covid-19), et puis il a complètement disparu (sans vaccin). Personne ne veut affirmer que le virus Ebola se propage en Occident parce que cela créerait une énorme panique. La grippe, et bien elle, elle a un vaccin, mais tout le monde admet qu’il n’est pas très bon. La rougeole est un monstre bien pratique.

    Le CDC admet que la grande majorité des cas de rougeole ne présentent pas d’effets durables (parmi lesquels le décès est manifestement le plus permanent), mais il affirme qu’elle a le potentiel de mutiler et de tuer, c’est pour cela que la vaccination vaut la peine, à n’importe quel prix (surtout si vous ignorez le risque des effets secondaires du vaccin).


    Pourquoi s’inquiéter de vaccins quand l’hypothèse virale n’a jamais été démontrée après plus de 70 ans de tentatives faussement scientifiques ?

    « Virus » pathogènes : les Drs Bailey, Cowan et Kaufman répondent à Del Bigtree.

    (Vidéo < 1 h 20)


    Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain

    (Vidéo 17 min)


    Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas

    Beaucoup d’entre nous, qui peuvent affirmer que les virus n’existent pas, trouvent plus facile de le faire, car la virologie est un dérivé de la théorie des germes.
    Si la « théorie » des germes est erronée, il n’y a aucun sens à rechercher de prétendus organismes submicroscopiques responsables de maladies. C’est pourquoi les théoriciens des germes ne veulent pas non plus que l’on gratte sous la surface de la soi-disant « science » des bactéries.
    Voyons pourquoi le concept de « pathogènes » est un échec total en soi, depuis les postulats de Koch jusqu’à certaines expériences modernes sur les animaux.

    (Vidéo > 20 min)


    Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

    Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

    Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
    Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


    Dr Sam Bailey : Pourquoi faisons-nous cela ?

    Dans une vidéo déclarative, les docteurs Bailey sont rejoints par le Dr Thomas Cowan et le Dr Andrew Kaufman pour publier une déclaration commune intitulée « Pourquoi faisons-nous cela ? » Celle-ci aborde le fossé qui s’est creusé au sein de la communauté de la liberté entre les positions « pro-virus » et « non-virus ».

    Les quatre docteurs en médecine expliquent brièvement pourquoi ils poursuivent leur dénonciation de la théorie virale comme étant fallacieuse, voire frauduleuse, et ne relevant pas de science.

    (Vidéo 20 min)


    Les horreurs du vaccin HPV : Meurtre et invalidité dus au Gardasil, POURSUITE EN COURS, et lettre d’éminents rabbins disant « Ne vous faites pas vacciner ! »

    Dans quel but a-t-on donné du poison à ces enfants ?

    L’objectif déclaré du Gardasil est de prévenir une MST (Maladie Sexuellement Transmissible) qui pourrait éventuellement entraîner un cancer du col de l’utérus lorsque les enfants seront beaucoup plus âgés.

    Mais il n’existe aucune preuve que le vaccin soit réellement efficace pour prévenir le cancer. Il s’agit d’une imposture qui ne fait que provoquer la mort et la misère.


    Comment le corona a tué Pasteur

    Yves Rasir : « Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie. »


    Et si la biologie moderne avait (presque) tout faux ?

    La biologie moderne repose grandement sur la vision de Louis Pasteur à la fin du 19ème siècle, vision qui a encore en 2023 un statut de quasi-religion.

    Pourtant, des visions alternatives du vivant permettent de mieux le comprendre et ainsi de mieux appréhender la santé de manière générale. Ainsi, les travaux du chercheur français Antoine Béchamp (1816-1908) et en particulier sa découverte des microzymas pourraient revenir sur le devant de la scène et casser le dogme pasteurien afin de contribuer à une médecine d’avenir réellement scientifique.

    Jérémie Mercier reçoit Alain Scohy, médecin et psychothérapeute, habitué des observations de tissus biologiques au microscope à fond noir, et qui livre une interprétation différente du vivant par rapport à celle de la biologie moderne, en s’appuyant sur les découvertes d’Antoine Béchamp.

    (Vidéo 1 h 20)


    Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

    Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


    C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

    Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

    Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


    La virologie : pseudoscience au service de la domination

    Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


    Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

    Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


    Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

    C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

    En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


    The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

    Dénonciation et conséquences de la plandémie Covid-19. Peut-on empêcher la finalisation du Nouvel Ordre Mondial qui mènera autrement à une tyrannie mondiale ?

    (Vidéo 2 h 16)


    Documentaire : Consentement non éclairé

    Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
    Ce film explore notre récente perte des droits de l’homme tout en évoquant l’impact dévastateur des mandats et l’histoire très émouvante de la perte d’un être cher.
    Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n’ont pas peur de s’opposer à Big Pharma et à l’élite qui profite de ces mandats.

    (Vidéo > 2 h)


    Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie

    C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !


    Démantèlement de l’hypothèse virale

    Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

    Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

    La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


    Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays

    Les programmes de vaccination COVID-19 doivent être arrêtés immédiatement. Le groupe de travail allemand pour l’analyse du vaccin COVID a rendu publiques ses premières conclusions dans un rapport de grande envergure :

    1. Des substances toxiques ont été trouvées dans tous les échantillons de vaccins COVID-19 – sans exception.
    2. Les échantillons de sang de toutes les personnes qui ont été vaccinées ont montré des changements marqués.
    3. Plus la stabilité de l’enveloppe des nanoparticules lipidiques est grande, plus les effets secondaires du vaccin sont fréquents.

    Dr Ana Maria Mihalcea :
    « En tant que médecin, je suis horrifiée par cette information. Je veux que tout le monde voie ça, ce n’est pas normal. C’est une preuve indéniable. C’est l’agenda transhumaniste de l’IA dans toute sa force. Les vaccins doivent être arrêtés. C’est ce qu’on injecte aux enfants. On l’injecte à des gens bien qui ne savent rien de l’agenda diabolique qui se cache derrière les vaccins. Il y a tellement d’informations irréfutables maintenant, et tous les responsables doivent être tenus pour responsables. Lisez ceci. Regardez-le. Ceci a été injecté à 68 % de la population mondiale.

    Je suis de tout cœur avec ceux qui ont cela dans leur corps. Faites quelque chose, partagez-la, parlez-en. Sauvez l’humanité. Merci »


    Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

    Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

    Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


    VIRUS TUEUR ??

    Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


    Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

    Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?


    Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

    La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.
    Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin.


    Les Racines de nos Maladies

    Autisme, hyperactivité, allergies, intolérances, maladies auto-immunes, tous ces fléaux se répandent aujourd’hui dans des proportions déconcertantes.
    À l’heure où l’industrie alimentaire relayée par les grandes surfaces propose en standard quasi-incontournable de la nourriture dénaturée, où la composition des médicaments reste incomplète même pour les médecins, où le moindre objet de notre quotidien contient des substances chimiques, il est urgent de s’interroger sur la véritable origine des pathologies contemporaines.
    (Avec vidéo > 13 min)


    Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

    La propagande de peur basée sur une lecture biaisée et tronquée des statistiques officielles est ici contrée par Pierre Chaillot dans plusieurs vidéos.


    Le journal LE MONDE travaille pour Bill Gates et la désinformation vaccinaliste

    “Je n’étais pas le seul à me demander quelle mouche avait piqué le journal LE MONDE en lisant les articles publiés sur papier ou sur son site à propos des vaccins et de la Loi d’obligation vaccinale de 2018.
    Comment expliquer que ce Journal du soir [supposé intelligent, bien informé, objectif et au-dessus de tout soupçon de conflits d’intérêt, sauf avec les compagnies bancaires qui désormais le possèdent] puisse propager insolemment des informations aussi biaisées sur la médecine des vaccins sans jamais donner la parole à un esprit critique susceptible d’introduire le moindre doute dans cette idéologie antiscientifique ?”


    Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

    Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous.


    Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

    Dès le début de la pandémie de coronavirus, Bill Gates est devenu un expert des pandémies, des maladies infectieuses, des vaccins, et des mesures de santé publique. Il fait depuis office de personne ressource pour les grands médias sur tout ce qui touche le coronavirus.
    La liste d’entrevues des grands médias avec Bill Gates à ce sujet est consternante.


    Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?

    Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque toute la planète, certains médias relaient que le vaccin est la seule solution pour une sortie définitive du confinement. Plus que quiconque, celui qui agite aujourd’hui ce spectre n’est autre que Bill Gates. Il a adopté, avec sa Fondation Bill & Melinda Gates, une position claire et déterminée, allant jusqu’à annoncer vouloir vacciner 7 milliards de personnes contre le Sars–CoV–2. Il me semble nécessaire de m’interroger sur le rôle précis que joue ce magnat sur le destin du monde.


    Épidémies et contagions

    Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


    Déclaration sur l’isolement des virus

    La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


    L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

    ►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.
    ►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
    Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.
    ►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction.


    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

    Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
    “La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
    Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

    “Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
    Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
    Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


    Vaccination : une vidéo du Docteur Robert F. Kennedy…

    (…)considérons toutes les maladies chroniques qui, selon la FDA, sont associées aux vaccins. Cent cinquante maladies figurent maintenant sur les notices des vaccins. La raison pour laquelle elles figurent sur les notices des produits, c’est que la FDA a déterminé que ces lésions étaient vraisemblablement causées par des vaccins.
    Il s’agit d’une épidémie de maladie chronique.


    Voir https://reseauinternational.net/correctif-de-ma-derniere-news-vaccination/


    Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

    « Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je vous fais suivre.
    Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.
    Régalez-vous ! »
    Eric Müller


    «
    Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la
    population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de
    Harvard aux législateurs étasuniens

    Je m’appelle Tetyana Obukhanych et je suis titulaire d’un doctorat en immunologie. J’écris cette lettre dans l’espoir qu’elle corrigera plusieurs fausses idées reçues sur les vaccins et afin de vous aider à avoir une compréhension juste et équilibrée de la vaccination, s’appuyant sur une théorie acceptée et de nouvelles découvertes scientifiques.
    Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus grande pour la population que les enfants vaccinés?


    Cas
    de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens
    américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le
    gouvernement fédéral

    Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral: quelques citations de la déclaration envoyée au Comité sénatorial de la santé (29 février 2019) ÉTONNANTES DÉCLARATIONS À LIRE, À PARTAGER ET À CONSERVER… « L’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose fermement à toute ingérence du gouvernement fédéral dans les décisions médicales, y compris les vaccins prescrits. Après avoir été pleinement informés des risques et des avantages d’une procédure médicale, les patients ont le droit de rejeter ou d’accepter cette procédure. La réglementation…


    Fauci et la grande arnaque du sida

    Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


    Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse

    Au début des années 1880, Wallace participa au débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole. Il pensait à l’origine que c’était une question de choix personnel mais après avoir étudié certaines des statistiques fournies par les militants anti-vaccination, il en vint à mettre en doute l’efficacité du vaccin.
    La théorie des microbes, sources de maladies, était alors très récente et loin d’être universellement acceptée ; d’autre part personne n’en savait suffisamment sur le système immunitaire humain pour comprendre pourquoi la vaccination fonctionnait. Quand Wallace enquêta, il découvrit des cas où les défenseurs de la vaccination avaient utilisé des statistiques plus que discutables. Toujours méfiant vis-à-vis de l’autorité, il devint convaincu que la diminution des cas de variole ne devait pas être attribuée à la vaccination elle-même mais à une meilleure hygiène et que les médecins avaient un intérêt particulier à vouloir promouvoir le vaccin. Wallace et d’autres opposants signalèrent que la vaccination, souvent effectuée dans de mauvaises conditions sanitaires, pouvait être dangereuse.


    Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins

    Au cours des dernières années, l’administration nasale de médicaments a attiré de plus en plus d’attention et a été reconnue comme la voie alternative la plus prometteuse pour la médication systémique de médicaments limitée à l’administration intraveineuse. De nombreuses expériences sur des modèles animaux ont montré que les supports à l’échelle nanométrique ont la capacité d’améliorer la délivrance nasale de médicaments peptidiques / protéiques et de vaccins par rapport aux formulations de solutions médicamenteuses conventionnelles.


    Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même

    Lors de l’Audition publique du comité de santé publique de la proposition de loi concernant les immunisations qui a eu lieu le 19/02/2020, le Dr Larry Palevsky nous révèle que les scientifiques en Europe ont découvert que les virus et les bactéries qui sont injectés dans le corps en même temps que les adjuvants créent le mimétisme moléculaire. Cela signifie que le corps voit ces virus comme étant étrangers, mais malheureusement trouve des morceaux de ces virus qui correspondent aux siens. Et le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même.
    (Vidéo 4 mn)


    Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

    Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »… Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce passe de la honte dans la tempête populaire ?


    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

    L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
    La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
    Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
    Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

    Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


    Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid

    Recueil de données officielles disponibles. Concernant l’Union Européenne, pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre


    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

    Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
    (Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
    CHAPITRE 1 : CONTAGION
    CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
    CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
    CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
    CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
    CHAPITRE 6 : EXOSOMES
    CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
    Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
    CHAPITRE 8 : L’EAU
    CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
    CHAPITRE 10 : TOXINES
    CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
    Partie 3: CHOIX…)


    Ce que nous dit Bill Gates en ce 30 avril 2020 concernant la vaccination mondiale

    Voici une publication envoyée à l’instant par Bill Gates, via ses « Gates Notes », à l’intérieur de laquelle il se targue lui-même d’être le plus grand bailleur de fonds au monde pour les vaccins. De suivre attentivement les recommandations et ambitions de Bill Gates nous donne, je crois, une réelle perspective des visées de cette crise de la COVID-19. Assurément, la vaccination à l’échelle planétaire est à l’agenda !


    Alerte Vaccins

    Le pharmacien Serge Rader est un connaisseur des médicaments, de leurs effets secondaires et de leur prix au niveau européen. Il est l’auteur d’un livre « Vaccins oui ou non » sur la contamination des vaccins à nanoparticules.
    (Vidéo 30 mn)


    Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !

    « Chère amie, cher ami,
    Oui, j’ai choisi mon camp dans l’affaire des 11 vaccins.
    Dès que l’on commence à s’intéresser à ce débat on est immédiatement frappé par le dogmatisme des prises de positions.
    D’un côté les « pro », de l’autre les « anti ». A chaque fois que l’on est confronté à un dogme, on pourrait, pardon, on devrait s’interroger : mais qu’y a-t-il derrière, qu’y a-t-il que l’on ne nous dit pas ?
    Je n’ai pas l’ambition démesurée de répondre à cette question, encore moins d’ériger un troisième dogme.
    Je souhaiterais plutôt vous proposer une réflexion personnelle qui vous permettra de vous positionner dans ce débat complexe et enflammé.
    Je voudrais d’abord éliminer, d’emblée, les deux camps les plus « ultra » :(…) »


    Les croyances du Dr Vadeboncoeur sur les vaccins et l’autisme

    (…)Dans son article « Vaccins et autisme : croire ou savoir » publié dans L’actualité, le Dr Alain Vadeboncoeur cite une « vaste et solide étude » publiée en 2014 sur l’absence de liens entre les vaccins et l’autisme.
    (…)Le Dr. Vadeboncoeur a-t-il lu l’étude? Si oui, il vient de démontrer ou son incapacité à comprendre des études scientifiques ou son intention de manipuler l’opinion publique. S’il n’a pas lu l’étude, eh bien il aurait dû la lire avant de faire ces conclusions erronées parce que l’étude n’a aucunement démontré l’absence de lien entre « les vaccins et l’autisme ».
    Regardons ce que dit réellement cette étude.


    Docteur
    Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle
    au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit
    de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

    Le Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à l’hôpital St. Anthony de Denver.
    En 2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à publier son article : The Case against immunizations qui reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies de pratique de la médecine clinique.


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    CO2, accusé levez-vous !

    [Source : lesalonbeige.fr]

    Par Jacques Laurentie,
    Ingénieur, auteur (Un autre son de cloche, et Face aux miracles – à paraitre –, édition Téqui)

    Depuis bientôt 20 ans, nul n’ignore la formule du dioxyde de carbone : CO2. Alors même qu’avant les années 2000, ce symbole presque cabalistique était totalement inconnu du grand public…

    Aujourd’hui, le CO2 sert de maître étalon à nos sociétés ! Les écologistes de nous expliquer que ce gaz est l’ennemi public numéro 1, et par voie de conséquence, aussi ceux qui en émettent (c’est-à-dire tout le monde).

    Vous souhaitez acheter une voiture : vous allez payer un malus en fonction de son taux de rejet de CO2. Vous souhaitez faire le plein d’essence de cette voiture, la majeure partie du prix est constitué de diverses taxes dont la taxe CO2 (dite carbone). Vous souhaitez rouler avec cette voiture, en 2018 le gouvernement impose une limitation de vitesse sur les routes du réseau secondaires à 80 km/h au lieu de 90 km/h. Une diminution pour augmenter la sécurité sur les routes ? C’est bien ce qui nous a été vendu, sauf qu’en réalité il s’agissait de donner un gage aux écologistes qui avaient participé à l’élection de Macron, et qui réclamaient depuis plus de 10 ans un abaissement des limitations de vitesse pour impacter les rejets de CO2. Ainsi la « Fondation pour l’Homme et la Nature » de titrer : « Passage à 80 km/h : Une baisse quasi immédiate de 7 % des émissions de gaz à effet de serre attendue en France »(([1] https://www.fnh.org/passage-a-80km-h-une-baisse-quasi-immediate-de-7-des-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-attendue-en-france/)). Baisse qui n’aura jamais lieu…

    Vous souhaitez vendre ou louer votre maison, attention un bilan de CO2 est obligatoire et vous interdira de faire ce que vous voulez de votre bien en fonction du résultat. Vous partez en voyage : on vous critiquera pour le volume de CO2 que vous allez relâcher dans l’atmosphère. Vous souhaitez acheter un réfrigérateur ou encore un sèche-linge, une étiquette vous indiquera le score CO2 de l’appareil ! Etc.

    En 2022 le Sri Lanka est le premier pays à mettre en place un « passeport carbone » donnant à chaque habitant une limite à ne pas dépasser ! Initiative applaudie par l’Union Européenne… Et il y a fort à parier que si, d’une façon ou d’une autre, les écologistes réussissent leur pari électoral, un tel passeport verra le jour en France et dans l’Union.

    Bref, le CO2 est devenu l’horizon de notre existence, l’alpha et l’oméga de l’Humanité. Pour notre bien, cela va sans dire…

    À ceci près que le CO2 n’a quasiment aucune influence négative sur le climat !

    Oui, vous avez bien lu…

    Nous rentrons là dans un sujet complexe qui aborde plusieurs notions que nous allons tâcher de simplifier.

    Alors, commençons par le début. Pour que la Terre soit habitable et adaptée à la physiologie humaine, elle doit disposer de conditions climatiques favorables, cela passe, entre autres, par : une température, un taux d’humidité, et une chimie gazeuse atmosphérique compatible. Concernant la température de la Terre, elle provient presque exclusivement du soleil, et un peu de son noyau. Le soleil émet des radiations vers la Terre, ces radiations sont majoritairement repoussées par le bouclier magnétique naturel de la Terre, puis filtrées en partie par l’atmosphère. Ajoutons l’effet d’albédo qui implique qu’une partie des émissions radiatives solaires sont réfléchies par l’atmosphère, les nuages et le sol. Les radiations ayant passé ces boucliers naturels chauffent le sol terrestre. Dès lors, la Terre émet à son tour des radiations (on dit qu’elle rayonne), renvoyant la chaleur reçue. Cette chaleur incidente est captée par l’atmosphère qui va en retenir une partie, et donc permettre à la Terre de maintenir ainsi une température moyenne d’environ 15°C (sans cet effet de rétention, la température moyenne du globe serait d’environ -20°C).

    Jusque-là, c’est simple : le soleil chauffe la surface terrestre, qui ensuite rayonne, et la chaleur ainsi émise est en partie retenue par l’atmosphère. C’est ce que les journalistes appellent l’effet de serre (en fait à tort, car l’effet de serre met en place d’autres mécanismes), et c’est ce qu’en science on nomme l’absorption dans l’infrarouge (vous pourrez aussi entendre le terme de « forçage radiatif »). Car, en effet, ce rayonnement terrestre se situe dans la gamme d’ondes de l’infrarouge, donc invisible à nos yeux (vous ne voyez pas la Terre émettre des rayons !). On dit que la Terre se comporte alors comme un « corps noir ».

    Mais que se passe-t-il dans l’atmosphère pour obtenir cet « effet de serre » ?

    Eh bien il s’avère que certaines molécules, principalement celles disposant de 3 atomes, ont une disposition physique qui fait qu’elles ne laissent pas passer certaines fréquences (en science la chaleur est une excitation de la matière, un mouvement rapide moléculaire, donc une fréquence). Autrement dit, elles retiennent la chaleur.

    Ainsi, quand les radiations rencontrent des molécules comme H2O (l’eau qui est constituée de deux atomes d’hydrogène et d’un atome d’oxygène), comme CO2 (dioxyde de carbone qui est constitué d’un atome de carbone et de deux atomes d’oxygène), comme O3 (ozone), comme le méthane ou encore comme l’oxyde d’azote, alors une partie du rayonnement radiatif (autrement dit, de la chaleur) est bloquée par ces GES (Gaz à Effet de Serre).

    La chaleur émise par la Terre est ainsi partiellement retenue par l’atmosphère. Le reste, la majeure partie, qui traverse notre atmosphère, se dissipe dans l’espace. Cet « effet de serre » est donc un phénomène tout à fait naturel et nécessaire, sans lui, la Terre serait difficilement habitable.

    Je le rappelle donc ici : merci à l’absorption atmosphérique (effet de serre), merci à l’eau et au CO2, sans qui nous ne pourrions vivre. Le carbone est nécessaire à notre écosystème terrestre, il n’est pas un polluant, bien au contraire. Ce mécanisme d’absorption dans l’infra-rouge et le CO2 sont donc salvateurs puisqu’ils nous évitent de mourir de froid et de faim !

    Intuitivement, si vous avez compris le principe décrit, vous allez penser que plus il y a de Gaz à Effet de Serre dans l’atmosphère, plus il y aura de chaleur bloquée, et donc plus la température du globe augmentera.

    En fait, non !

    Cette intuition naturelle, qui semble logique, est ce que l’on appelle un biais de pensée, ou de façon plus triviale, une « fausse bonne idée ». Pourquoi ? Comme expliqué, l’émission radiative terrestre se situe dans l’infrarouge, et les GES ont la capacité de bloquer une partie de ce rayonnement dans cette même gamme d’ondes. Une partie seulement, car il s’avère que les GES agissent sur certaines plages de l’infrarouge avec plus ou moins d’efficacité. En dehors de ces plages (une gamme de fréquences), les GES ne bloquent plus la chaleur. De plus lorsque l’efficacité de blocage d’un gaz est déjà à 100%, il n’est pas possible de bloquer plus !

    Expliquons ces phénomènes naturels.

    Le premier des GES, celui qui bloque le plus de chaleur, à hauteur de 90 %, est l’eau (H2O). Le magazine Futura Science de rappeler(([3] https://www.futura-sciences.com/planete/questions-reponses/rechauffement-climatique-vapeur-eau-elle-gaz-effet-serre-912/)): « Il s’agit même du principal gaz à effet de serre, puisque la vapeur contribue pour 60 % à l’effet de serre planétaire, contribution qui monte jusqu’à 90 % si l’on considère aussi les nuages. » Le CO2 arrive loin derrière avec moins de 5 % de « responsabilité », et l’on pourrait, devrait, aussi parler du méthane dont le pouvoir d’absorption (donc de retenir la chaleur) est 25 fois plus puissant que le CO2. Mais vous n’entendrez pas (ou peu) parler du méthane, la raison avancée étant qu’il reste moins longtemps dans l’atmosphère (de l’ordre de 20 ans). Ce qui est vrai, mais ce qui ne justifie pas pour autant qu’on l’évacue d’un simple revers de main. Au regard de ces faits scientifiques, l’on pourrait se demander pourquoi ne pas avoir aussi un malus à l’achat d’un véhicule, ou d’une maison, sur le méthane, ou encore l’ozone… ?

    Bien, revenons donc au dioxyde de carbone (CO2) qui nous intéresse.

    Il s’avère qu’il absorbe, c’est une caractéristique chimico-physique de ce gaz, dans l’infra-rouge sur principalement une plage de longueur d’onde allant de 14 à 17 µm (micromètres). Donc, il vous est aisé de comprendre que lorsque le sol terrestre émet de la chaleur dont la fréquence se situe par exemple à 18 µm, eh bien le CO2 ne la bloque pas, il n’en est pas capable. En plus de cette plage précise, qui exclut la majeure partie du rayonnement terrestre, il s’avère que le CO2 absorbe déjà à presque 100% la chaleur qui arrive dans sa plage d’action.

    Ce que vous pouvez voir, à travers un graphique, donné par le ministère de la jeunesse dans un document(([4] https://cache.media.eduscol.education.fr/file/Pluridisciplinaire/46/1/RA19_Lycee_G_1re_ES_Courbe_absorption_1190461.pdf)) d’enseignement (1re scientifique), page 3, intitulé « Courbe d’absorption de l’atmosphère terrestre » reproduit ci-dessous (nous prenons volontairement un graphique produit par le ministère, mais ce graphique se retrouve également dans diverses publications scientifiques…) :

    Ces courbes peuvent sembler complexes et rebuter la presque totalité de la population, c’est d’ailleurs ce que certains espèrent ! Mais, si vous le voulez bien, prenons 1 minute (pas plus) pour le comprendre. Car, en fait, vous verrez que tout est simple !

    Ce qui nous intéresse sur ce graphique, est tout en haut la partie à droite coloriée en bleue (la chaleur renvoyée par la Terre), avec une échelle en haut allant de 0,2 à 70, qui est la fréquence d’émission en micromètres. En face de cette courbe bleue nous allons regarder la troisième ligne en dessous, notée CO2. Cette courbe grise nous indique ce qu’absorbe (bloque) le CO2. La petite « montagne » en gris à droite, nous donne la plage d’action de 14 à 17 µm, et le niveau d’absorption (ici 100 %). Ce qui n’est pas en face du « bleu » n’est pas bloqué par le CO2, et ce qui se trouve en face de la « montagne grise » est comme vous le voyez bloqué dans sa totalité (à 100 %).

    Ce graphique qui traduit le comportement technique du CO2 dans l’atmosphère vous dit donc que le CO2 bloque une petite partie de la chaleur qui se situe sur la droite de la courbe bleue, et que le blocage actuel est déjà à 100%.

    Résumons : selon les données officielles (pas des données complotistes ici !), le CO2 pèse pour +/— 5% dans l’effet de serre, il absorbe la chaleur essentiellement « que » sur une petite partie de la plage infrarouge (donc pas tout le spectre, pas toute la chaleur), et enfin, son absorption est depuis l’origine du monde de presque 100%.

    Si vous devez retenir une seule chose, c’est que ce gaz (CO2) bloque sur sa plage d’action 100% de la chaleur émise. C’est ce que l’on appelle la saturation en absorption IR (infrarouge) du CO2. Et c’est une caractéristique propre à ce gaz, c’est « sa nature » si l’on peut dire. Vous comprenez donc que si je rajoute du CO2, pour autant, il ne bloquera pas plus de chaleur. On ne pourra pas bloquer 150 %, cela n’existe pas ! Donc, que je mette dans l’atmosphère un peu ou beaucoup de CO2, peu importe, il bloquera toujours la chaleur sur une plage de longueur d’onde, et à 100%. Dit autrement, la capacité du C02 à bloquer la chaleur ne dépend pas de sa concentration dans l’atmosphère.

    C’est pour cela que l’impact du CO2 sur l’effet de serre est insignifiant, car il ne peut pas retenir plus de chaleur que ce qu’il retient déjà aujourd’hui…

    L’Union des professeurs de physique et de chimie, publie un document en 2011(([2] https://www.hprevot.fr/plus-subtil.pdf)) intitulé : « L’effet de serre atmosphérique : plus subtil qu’on le croit ! », rédigé par Jean-Louis Dufresne du CNRS et Jacques Treiner de l’ESPCI-Paristech, dans lequel on lit :

    « En effet, dans les conditions actuelles, l’absorptivité du rayonnement infrarouge par le dioxyde de carbone est quasi maximale : elle ne dépend que très faiblement d’une variation de la concentration de ce gaz. On dit qu’elle est saturée. »

    Le Pr François Gervais, CNRS, spécialiste de l’absorption dans l’infra-rouge, relecteur pour le GIEC en 2012, édite en 2013 un livre dont le seul titre est évocateur : « L’innocence du carbone. » (éditions Albin Michel)

    Bien entendu, les laboratoires sélectionnés par le GIEC savent cela, car c’est une donnée élémentaire de la chimie. Mais, le GIEC dans sa communication « joue » d’une part sur le fait que si le CO2 a un rôle faible, il n’est pas nul, et d’autre part sur l’ignorance de ce sujet dans la population. En effet, il existe des phénomènes physiques qui font que l’augmentation de CO2 va tout de même influencer à minima la température terrestre, et d’autre part, surtout, il y a des raisons politiques d’incriminer le CO2 que nous aborderons la semaine prochaine dans le chapitre 6.

    Regardons donc ce qui fait que le CO2 peut tout de même avoir un rôle marginal.

    Il y a là 3 éléments à prendre en compte tel que mise en avant par le GIEC, et nombre d’écologistes qui reprennent cela en chœur sans connaître la réalité des phénomènes physiques en jeu :

    Premièrement il peut y avoir en fonction de l’altitude des couches de CO2 un petit phénomène d’augmentation de l’absorption infra-rouge. C’est ce que l’on appelle « l’effet de couche ». C’est un peu complexe, mais le principe physique implique que plus il y a de CO2 dans l’atmosphère plus son épaisseur augmente (la couche de CO2), et dans ce cas l’effet radiatif se fait avec des altitudes plus hautes. Or, avec l’altitude les températures baissent, ce qui a tendance à décaler la fréquence de température (ou longueur d’onde). Donc, une partie de la chaleur sera retenue avec une altitude plus importante sur une plage un peu plus large. Cette théorie est juste, mais implique des variations faibles, marginales.

    Deuxièmement, si nous revenons au graphique explicité précédemment, vous avez compris que le CO2 bloque l’énergie calorifique sur une plage de fréquence entre 14 et 17 µm (la courbe grise en forme de petite montagne). Or, sur les bords de la courbe (à 14 puis à 17), à gauche et à droite avant que le niveau soit presque à 100%, il peut là aussi y avoir un léger phénomène de blocage supplémentaire.

    Troisièmement, si enfin le GIEC reconnaît que l’effet direct du CO2 est faible (rapports AR5 et AR6), il lui impute néanmoins un effet secondaire dit « déclencheur ». Un peu comme un domino, qui va « emballer » le système. En d’autres termes, depuis le rapport AR5 de 2012, le GIEC se positionne sur le fait que l’augmentation de CO2 est grave, non pas pour la variation de température qu’il va engendrer en tant que telle, mais par ses effets secondaires. Ainsi, si la température augmente de 0,2 °C à cause du CO2 (ce qui est déjà improbable cf. calculs ci-dessous), alors il y aura plus d’humidité dans l’air (évaporation des océans), donc plus d’eau (H20) dans l’atmosphère ce qui va augmenter la température terrestre (rappelez-vous l’eau est de très loin le principal moteur de l’effet de serre). Encore une fois, s’il convient de lutter contre les GES pour éviter l’extinction de l’humanité, à quand une interdiction de l’eau et des taxes massives sur son traitement et sa consommation ?

    Ces 3 phénomènes climatiques mis en avant par le GIEC sont les seuls qui servent à incriminer le CO2, nous devons donc mesurer cet impact. Et pour cela, si vous le voulez bien, nous allons faire appel au GIEC « en personne » !

    Dans son dernier rapport, AR6 publié en avril 2022(([5] https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/downloads/report/IPCC_AR6_WGI_SPM.pdf)), version destinée aux décideurs, nous trouvons deux paragraphes que nous reproduisons ci-dessous in extenso :

    Paragraphe A.1.1 :

    « La terre et l’océan ont absorbé une proportion quasi constante (globalement environ 56 % par an) des émissions de CO2. »

    Paragraphe D.1.1 :

    « On estime que chaque 1000 GtCO2 d’émissions cumulées de CO2 causera probablement une augmentation de 0,27 °C à 0,63 °C de la température de surface mondiale avec une meilleure estimation de 0,45 °C. »

    Le Pr Gervais fait pour nous le petit calcul suivant : le paragraphe A.1.1 nous indique que le pourcentage d’émissions qui reste dans l’atmosphère (airborne fraction) est de 44 %. Si l’on prend les émissions humaines mondiales de CO2 avant le confinement covid afin de ne pas biaiser la démonstration qui étaient de 36 Gt (gigatonnes), 16 GtCO2 sont donc restés dans l’atmosphère.

    Le paragraphe D.1.1 nous dit qu’une année de forte production de CO2 comme 2018 ou 2019, réchauffe la Terre d’un maximum de : 0,45°C x 16 GtCO2/1000 GtCO2 = 0,007°C.

    En conclusion, et selon le dernier rapport du GIEC, la responsabilité du CO2 anthropique dans la variation de température est, pour les années les plus fortes en émissions, de 0,007°C… On notera que cette valeur est si faible qu’il est difficile de la mesurer réellement… Enfin, sachez que ce chiffre n’est pas linéaire (la projection sur 100 ans n’est pas 0,007 x 100), car il existe des limites physiques et chimiques.

    Pour les lecteurs scientifiques, je donne ci-dessous un calcul qui indique la relation entre une forte augmentation du taux de CO2 et son impact sur la température moyenne globale. Ce texte est issu d’une présentation du Pr Jean-Louis Pinault, géophysicien, qui a édité un livre en 2014 intitulé « De la mélodie des océans au changement climatique » et qui s’est particulièrement intéressé aux interactions entre les océans et l’effet de serre :

    « Dans l’hypothèse du doublement de la concentration du CO2 anthropique, une concentration de 500 ppmv correspond à une altitude d’émission de 13 680 m et une température de 217,63 K. La puissance radiative réémise déduite de la loi de Stefan-Boltzmann est 9,64 x (217,63/220) 4 = 9,23 W/m2 soit une perte de puissance de 9,64-9,23 = -0,41 W/m2, ce qui correspond à une augmentation de la température de 0,09 °C. »

    Ce calcul implique que le doublement de la production humaine de CO2 dans l’atmosphère entraînerait une augmentation de 0,09 °C, autrement dit, rien…

    Ces deux approches scientifiques nous indiquent donc que d’une part la contribution du CO2 produit annuellement par l’Homme impacte la variation climatique à hauteur de + 0.007°C, et qu’un éventuel doublement de la concentration atmosphérique aurait un effet théorique d’environ + 0.09°C.

    À la lecture de ces chiffres difficilement contestables, nous sommes en droit de nous demander pourquoi le CO2 est ainsi montré du doigt. Nous évoquerons un début de réponse dans le prochain chapitre, car la principale et unique raison de cette focalisation sur le CO2 est d’origine politique et remonte au début des années 1980…

    Note complémentaire : le taux atmosphérique de CO2 est passé en 170 ans (depuis 1850, date de départ de toutes les démonstrations du GIEC) de 0,03 % à 0,04 %, soit une augmentation d’environ 33 %. Et là, une question fondamentale se pose : cause ou conséquence ? Dit autrement, est-ce l’augmentation de température qui favorise la concentration de CO2, ou à l’inverse l’augmentation de CO2 qui favorise l’augmentation de température. Il faut savoir que ce point fait toujours débat au sein de la communauté scientifique (même si l’on vous dit le contraire…), et que de nombreuses mesures font ressortir une augmentation de la concentration atmosphérique du CO2 en décalage avec les variations de température, le CO2 augmentant après les pics de températures… Ainsi le Pr Pascal Richet, de l’Institut de physique du globe de Paris, a publié en 2021 une étude (The temperature—CO2 climate connection : an epistemological reappraisal of ice-core messages), que vous pouvez lire ici : https://hgss.copernicus.org/articles/12/97/2021/hgss-12-97-2021.html. Cette publication porte sur l’analyse des carottes de glace de Vostok donnant des informations sur le climat de la planète durant les 400 000 dernières années. Et les résultats démontrent que la température précède le CO2, d’environ 800 ans en moyenne. Comme un effet ne peut pas précéder sa cause, pour l’Institut physique du globe de paris la conclusion est claire : le CO2 n’est pas le moteur de l’évolution de la température. C’est le contraire qui est vrai : l’évolution de la température entraîne celle du CO2, avec un retard de quelques centaines d’années qui correspond à une durée appelée « mémoire thermique » des océans (lorsque la température monte, les océans dégazent plus facilement le CO2 qu’ils contiennent, mais le processus démarre avec lenteur). Ce phénomène est systématiquement évacué, sans justificatif, par les rapports du GIEC. En l’état, il conviendrait de pousser plus avant ce type de recherche.

    En conclusion de ce chapitre, le travail effectué auprès des populations et des politiques pour incriminer le CO2 comme le premier et souvent unique responsable, parmi les GES, de la variabilité climatique, ne tient pas face à une démarche scientifique. Ce gaz a un rôle mineur, presque insignifiant, au pire, le doublement anthropique de sa concentration atmosphérique (dont nous sommes loin) impliquerait une variabilité moyenne imperceptible. Dès lors, peu importe qu’il soit d’origine humaine ou naturelle.