Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes

28/02/2021 (2021-02-28)

[Source : Sott.net]

Par Dr Joseph Mercola

En avril 2020, j’ai interviewé Judy Mikovits, médecin, sur le rôle potentiel que joue dans le Covid-19 les gamma-rétrovirus humains. Judy Mikovits est biologiste moléculaire[1] et chercheuse, et a été la directrice de recherche fondatrice du Whittemore Peterson Institute au Nevada.

Son livre, Plague of Corruption [« Le fléau de la corruption », non traduit en français, et (préfacé par Robert Jr. F. Kennedy – NdT], a fini par être en 2020 un best-seller dans les listes du New York Times, de USA Today et du Wall Street Journal. Son nouveau livre, Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT], sera, espérons-le, un grand succès aussi. Il est disponible en précommande sur Amazon.

Elle est peut-être à l’heure actuelle l’une des chercheuses les plus censurées de la planète, notamment en raison de sa large participation au documentaire Plandemic, qui a largement été diffusé (plandemicseries.com) [voir notre article avec la vidéo sous-titrée en anglais archivée par nos soins, et celui incluant Plandemic II — Indoctornation, avec la vidéo sous-titrée en français – NdT].

Cas concret : YouTube a suspendu notre compte pendant une semaine dès que nous avons mis en ligne l’interview d’aujourd’hui — même si la vidéo n’était ni encore RÉPERTORIÉE ni accessible au public. Pire encore, le troisième et dernier livre de Judy Mikovits, The Case Against Masks: Ten Reasons Why Mask Use Should Be Limited [« Le dossier contre les masques — Dix raisons pour lesquelles l’utilisation des masques devrait être limitée », non traduit en français – NdT], est si fortement censuré que personne ne peut l’acheter. Judy Mikovits a déclaré ce qui suit :

« Je n’ai même pas de copie. J’ai ici avec moi deux exemplaires des autres livres, mais je ne peux même pas l’acheter [le dernier – NdT]. Les vendeurs de livres, comme Amazon, les ont tous achetés à Skyhorse, l’éditeur, et ils en bloquent désormais l’expédition depuis l’entrepôt. »

Note du traducteur : Retrouvez l’interview complète sur Bitchute ICI et la transcription en anglais au format Pdf ICI.

Il est clair que Judy Mikovits est considérée comme une grave menace pour le statu quo technocratique, et une fois que vous aurez entendu ce qu’elle a à dire sur les « vaccins » Covid-19 — qui, comme vous le verrez, constitue une appellation complètement erronée — vous commencerez peut-être à comprendre pourquoi.

Les « vaccins » Covid-19 ne sont pas des vaccins

Le « vaccin » Covid-19 n’est pas vraiment un vaccin au sens médical du terme. Il n’améliore pas votre réponse immunitaire à l’infection, ni ne vous empêche de contracter l’infection. Il s’agit en fait d’une thérapie génique expérimentale qui pourrait tuer prématurément une grande partie de la population et entraîner une augmentation exponentielle du nombre d’invalidités. Judy Mikovits déclare ce qui suit :

« Je suis juste hors de moi, en colère contre cette « thérapie » génique synthétique, ce poison chimique, et ce qu’ils font dans le monde entier. Nous voyons déjà des décès dus à cette injection. C’est illégal. Cela ne devrait pas être fait. Il faut y mettre fin tout de suite. Elle n’aurait jamais dû être autorisée, et pourtant nous voyons qu’elle est imposée aux populations les plus à risque. »

En effet, les informations et les récits des médias sociaux suggèrent que les personnes qui ont reçu l’injection commencent à tomber comme des mouches. Beaucoup meurent de causes inconnues en quelques jours, parfois quelques heures après avoir reçu la première ou la deuxième injection.

La légende du baseball Hank Aaron est décédée deux semaines après avoir reçu le vaccin, mais cela n’a jamais été mentionné dans sa nécrologie du New York Times. S’il avait été testé positif pour le Sras-CoV-2, il aurait certainement été déclaré mort du Covid-19, que le virus ait eu un rapport avec sa mort ou pas.

Mais dès lors qu’il s’agit du « vaccin », la connexion qui devrait nous sauter aux yeux est considéré comme une coïncidence et sans importance. Maintenant, tout d’un coup, les personnes âgées qui meurent peu après la vaccination sont ignorées sous prétexte qu’elles sont vieilles et qu’elles auraient pu mourir n’importe quand. Il faut cependant tout faire et à n’importe quel prix pour empêcher les personnes âgées de mourir du Sras-CoV-2. Cette façon de voir les choses est plutôt singulière.

Le problème de l’ARN synthétique

L’ARN messager (ARNm) utilisé dans de nombreux « vaccins » Covid-19 n’est pas naturel. Ils sont synthétiques. Comme l’ARNm produit de manière naturelle se dégrade rapidement, des lipides ou des polymères doivent lui être ajoutés pour éviter que cette dégradation ne se produise. Les « vaccins » Covid-19 utilisent des nanoparticules lipidiques PEGylées, et le PEG est connu pour provoquer l’anaphylaxie[2]. Les nanoparticules lipidiques peuvent également causer d’autres problèmes.

En 2017, Stat News a évoqué les difficultés rencontrées par Moderna pour mettre au point un médicament à base d’ARNm pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui peut entraîner la jaunisse, la dégénérescence musculaire et des lésions cérébrales[3] :

« Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une gaine protectrice. Pour Moderna, cela signifie intégrer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides.

Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : dosez trop peu, et vous n’obtenez pas assez d’enzyme pour affecter la maladie ; dosez trop, et le médicament est trop toxique pour les patients.

Dès le début, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile, ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec seulement de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé […] Crigler-Najjar constituait l’enjeu le moins complexe. Pourtant, Moderna n’a pas pu faire fonctionner sa thérapie […] Le dosage sans danger était trop faible, et des injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets troublants sur le foie lors d’études sur des animaux. »

Note du traducteur : Un « vaccin » pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui touche 1 personne sur 1 million de naissances :

« Cette maladie est due au déficit d’une enzyme du foie, qui doit normalement convertir la bilirubine en une forme pouvant être éliminée par le corps. Chez les personnes Crigler-Najjar cette enzyme ne fonctionne pas ou très peu.

La bilirubine s’accumule donc dans l’organisme, provoquant un ictère intense et chronique, marqué par la coloration jaune de la peau et du blanc des yeux. A un taux élevé, la bilirubine devient toxique et peut atteindre le cerveau et l’ endommager : c’est alors l’ictère nucléaire provoquant de graves troubles neurologiques, menant rapidement au décès. »

L’article susmentionné de Stat News publié en janvier 2017 se termine sur la déclaration suivante du P.D.G. de Moderna, le français Stéphane Bancel :

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion où Moderna a pris son envol. Nous avons une chance de transformer la médecine, et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas fini et que nous n’aurons pas eu d’impact sur les patients. »

Les lecteurs apprécieront tout le sens qui peut être donné au mot « impact ». Stéphane Bancel a été nommé « Global Leader » par le Forum économique mondial en 2009, alors qu’il était directeur général délégué du laboratoire Mérieux. Il est par ailleurs dès le début du mois d’avril 2020 devenu milliardaire grâce aux montées en bourse de son entreprise dont il détient 9 pour cent, et ce dès l’annonce en mars des essais du « vaccin » à ARNm anti-Covid.

Cependant, en qualifiant leurs « médicaments » de « vaccins », ils peuvent contourner les études sur leur innocuité. S’attendent-ils à ce que nous croyions subitement que toutes les étapes permettant de prouver leur innocuité ont été réalisées avec succès ? La durée pendant laquelle l’ARNm reste stable dans votre système constitue un autre problème. Pour l’empêcher de se dégrader trop rapidement, il est encapsulé dans un nano-lipide ; mais que se passe-t-il si l’ARNm se dégrade trop lentement, ou pas du tout ?

Le concept derrière les vaccins à ARNm anti-Covid est le suivant : en incitant votre corps à créer la protéine Spike du Sras-CoV-2, votre système immunitaire produira alors des anticorps. Mais que se passe-t-il lorsque vous transformez votre corps en une usine à protéines virales, ce qui implique que la production d’anticorps sera en permanence activée sans aucun moyen de l’interrompre ?

En outre, votre corps considère ces particules synthétiques comme des corps étrangers et une grande partie de la réponse anticorps perpétuelle sera constituée d’auto-anticorps qui attaqueront vos propres tissus. Mikovits explique :

« Normalement, l’ARN messager ne circule pas librement dans votre corps, et s’il le fait, c’est un signal de danger. En tant que biologiste moléculaire, le dogme central de la biologie moléculaire stipule que notre code génétique, l’ADN, est transcrit, écrit, en ARN messager. Cet ARN messager est traduit en protéines ou utilisé à des fins de régulation […] pour réguler l’expression des gènes dans les cellules.

Ainsi, prendre un ARN messager synthétique et le rendre thermostable — ce qui l’empêche de se décomposer — [est problématique]. Nous possédons un grand nombre d’enzymes (ARNases [ribonucléases – NdT] et ADNases [désoxyribonucléases – NdT]) qui dégradent les ARN et ADN libres circulant [dans le plasma sanguin – NdT] car, là encore, ce sont des signaux de danger pour votre système immunitaire. Ils sont littéralement à l’origine de maladies inflammatoires.

Ensuite, il y a le PEG, le polyéthylène glycol et la PEGylation, et une nanoparticule lipidique qui lui permettra de pénétrer dans toutes les cellules du corps et de modifier la régulation de nos propres gènes par le biais de cet ARN synthétique, dont une partie correspond en fait au message du gène syncytine […]

La syncytine est l’enveloppe endogène du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain […] Nous savons que si la syncytine […] est exprimée de manière aberrante dans le corps, par exemple dans le cerveau, dans lequel ces nanoparticules de lipides vont entrer, cela signifie que vous avez la sclérose en plaques.

L’expression de ce seul gène suractive la microglie, ce qui littéralement enflamme et dérègle la communication entre les cellules microgliales cérébrales, qui sont essentielles à l’élimination des toxines et des agents pathogènes présents dans le cerveau, et à la communication avec les astrocytes.

Elle dérègle non seulement le système immunitaire, mais aussi le système endocannabinoïde, qui est le variateur d’intensité de l’inflammation. Nous avons déjà vu d’après les essais cliniques que la sclérose en plaques constitue un effet indésirable, et on nous ment lorsqu’on nous dit : « Oh, ces gens avaient [déjà] cette maladie. » Non, ils ne l’avaient pas.

Il y a aussi l’encéphalomyélite myalgique. L’inflammation du cerveau et de la moelle épinière, qui est [associée aux] gamma-rétrovirus exogènes, les XMRVs. »

Notes du traducteur : Pour ce qui concerne le PEG (ou polyéthylène glycol) et la syncytine (présente dans le placenta mais aussi dans le sperme), nous renvoyons le lecteur à notre Focus « Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses ».

La microglie est une population de cellules gliales — population qualitativement hétérogène et quantitativement importante du système nerveux central — qui comprennent notamment les astrocytes et les oligodendrocytes. On les appelle aussi cellules de Hortega, du nom du chercheur qui les a découvertes en 1920. Ces cellules gliales jouent un rôle important dans l’homéostasie cérébrale, notamment en assurant une fonction réparatrice lors de lésions ou d’infections. Ce sont des macrophages qui orchestrent les réactions inflammatoires consécutives à des lésions du système nerveux central ou à certaines maladies neurodégénératives et influencent l’issue de ces pathologies. Source

Le système endocannabinoïde (ECS) est un système biologique composé d’endocannabinoïdes, qui sont des neurotransmetteurs rétrogrades à base de lipides endogènes qui se lient aux récepteurs cannabinoïdes (CBR), et de protéines de récepteurs cannabinoïdes qui sont exprimées dans tout le système nerveux central des vertébrés (y compris le cerveau) et le système nerveux périphérique. Le système endocannabinoïde fait encore l’objet de recherches préliminaires, mais pourrait être impliqué dans la régulation des processus physiologiques et cognitifs, y compris la fertilité, la grossesse, le développement pré et postnatal, diverses activités du système immunitaire, l’appétit, la sensation de douleur, l’humeur et la mémoire, et dans la médiation des effets pharmacologiques du cannabis. Source

L’encéphalomyélite myalgique est peut-être plus connue du lecteur sous le nom de Syndrome de fatigue chronique. Plus d’informations ICI.

L’XMRV est un virus apparenté au virus xénotropique de la leucémie murine qui dériverait de deux rétrovirus endogènes murins non décrits auparavant, les PreXMRV-1 and PreXMRV-2. Ces deux derniers ont également été séquencés [source], et c’est certainement la raison pour laquelle Judy Mikovits en parle au pluriel, les XMRVs.

Ces groupes à haut risque devraient éviter le « vaccin » Covid-19

Selon Judy Mikovits, des recherches montrent que depuis plus de trois décennies, 4 à 6 % des Étasuniens ont déjà été infectés par des gamma-rétrovirus XMRV par le biais de vaccins et de réserves de sang contaminés, ce qui favorise un certain nombre de maladies chroniques. Aujourd’hui, en déclenchant l’encéphalomyélite myalgique, ces thérapies géniques synthétiques (les « vaccins » dits anti-Covid-19) vont aggraver encore davantage le problème des maladies chroniques.

Pire encore, l’ARNm synthétique contient également une enveloppe du VIH, ce qui peut provoquer un dérèglement du système immunitaire. Judy Mikovits déclare que « C’est un cauchemar. Je suis en colère, car cela ne devrait jamais être permis. »

Comme nous l’avons mentionné lors de précédentes interviews, le Sras-CoV-2 a été mis au point en laboratoire avec une recherche de gain de fonction qui comprenait l’introduction de l’enveloppe du VIH dans la protéine Spike.

Note du traducteur : Un gain de fonction est un processus qui consiste à ajouter une fonction spécifique à une cellule via une mutation de la structure moléculaire. Il est bien entendu que ce gain de fonction — forcément créé par l’homme — peut être soit bénéfique, soit néfaste. Dans le cadre du Sras-CoV-2, ce gain de fonction fournirait à ce « virus Frankenstein », comme l’a appelé le professeur Luc Montagnier, une propagation efficace dans la population humaine. Rappelons que ce gain de fonction n’est pas le seul élément à avoir été ajouté :

« L’adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être humain… Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer. »

Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

L’hypothèse de Judy Mikovits veut que les personnes les plus sensibles aux effets secondaires neurologiques graves et au décès dus aux « vaccins » Covid-19 soient celles-là mêmes qui ont déjà reçu des injections de XMRV, borreliababesiamycoplasma, par le biais de vaccins contaminés, entraînant une maladie chronique (son livre, Plague of Corruption dont la lecture est fascinante, détaille la science et l’histoire des XMRV) :

« Oui, absolument. Il s’agit de l’une de nos hypothèses. Mais aussi, toute personne souffrant d’une maladie inflammatoire comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Parkinson, la maladie chronique de Lyme, ou encore quiconque présente une déficience immunitaire acquise due à des agents pathogènes et à des toxines environnementales.

Ce sont ces mêmes personnes qui seront tuées, assassinées, par ce vaccin, et Anthony Fauci le sait […] Je ne peux même pas dormir [à cause] de la gravité de la situation. C’est tellement mortel, je ne le dirais jamais assez. »

Le tableau ci-dessous énumère 35 maladies associées à l’infection par le XMRV. Si vous êtes atteint de l’une de ces maladies, vous devriez réfléchir longuement avant de faire la queue pour recevoir un « vaccin » Covid-19 à ARNm, car vos risques d’effets secondaires graves ou de décès sont probablement beaucoup plus élevés que chez une personne qui n’est atteinte d’aucune de ces maladies.

Les 35 maladies associées à l’infection par le XMRV

Note du traducteur : De gauche à droite et de haut en bas :

Cancer de la prostate — Cancer du sein — Myélome multiple — Lymphome non hodgkinien — Leucémie lymphocytaire chronique — Lymphome à cellules du manteau — Leucémie à cellules chevelues — Cancer de la vessie — Cancer colorectal — Cancer du rein — Cancer de l’ovaire — Maladie de Crohn — Thyroïdite de Hashimoto — Polymyosite — Syndrome de Gougerot Sjögren — Maladie de Behçet — Cirrhose biliaire primitive — Maladies inflammatoires de l’intestin — Psoriasis et dermatites — Diabètes — Maladie cardiovasculaire — Encéphalomyélite myalgique/Syndrome de fatigue chronique — Lupus — Syndrome de la guerre du Golfe — Autisme — Sclérose en plaques — Maladie de Parkinson — Sclérose latérale amyotrophique — Fibromyalgie — Maladie de Lyme — Trouble obsessionnel compulsif — Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité — Syndrome de stress post traumatique — Psychoses — Arthrite rhumatoïde

Cette liste n’est pas exhaustive. Il peut exister de nombreuses autres conditions qui peuvent vous placer dans une catégorie à haut risque. Un exemple est la thrombocytopénie idiopathique, un trouble hémorragique mortel. Selon Judy Mikovits, ses travaux montrent que 30 pour cent de toutes les thrombocytopénies idiopathiques sont associées aux XMRV.

Notons qu’un exemple existe avec celui du médecin de Floride de 58 ans qui a récemment reçu le « vaccin » Covid-19 et qui est mort deux semaines plus tard des suites d’une apparition soudaine d’une thrombocytopénie idiopathique. Le Dr Jerry L. Spivak, expert en troubles sanguins à l’université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’« il est médicalement certain » que le « vaccin » Covid-19 de Pfizer a causé la mort de cet homme[4] [5]. Pfizer a, bien sûr, démenti toute connexion.

Les altérations génétiques peuvent durer toute la vie

Alors, combien de temps l’ARN synthétique des « vaccins » Covid-19 qui provoque la production par vos cellules de cette protéine aberrante restera-t-il dans votre corps ? Judy Mikovits pense qu’il échappera à la dégradation pendant des mois, des années, voire dans certains cas, à vie.

Tout ceci évoque de manière sinistre les précédentes tentatives de créer un vaccin contre les coronavirus, tentatives qui ont toutes échoué parce que les vaccins provoquaient des réactions immunitaires paradoxales, ou une facilitation de l’infection par des anticorps. Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. Judy Mikovits poursuit :

« J’ai une belle-fille de 41 ans qui a un cancer du côlon très agressif. Nous assistons à une explosion de maladies chroniques et ces patients ne sont pas découragés de se faire vacciner. En fait, les médecins leur font peur pour qu’ils se fassent vacciner.

Comment réveiller les gens ? Faudra-t-il que des millions d’Américains et de personnes dans le monde entier meurent ? La mort de Hank Aaron aidera-t-elle la communauté noire ? […] Nous connaissons les mécanismes. Nous savons que les Noirs et les Hispaniques ne peuvent pas dégrader les virus à ARN aussi rapidement que les Caucasiens. Nous le savons grâce à des études qui remontent jusqu’au ROR. Le vaccin ROR est associé à la thrombocytopénie idiopathique. C’est indiqué sur la notice d’utilisation.

Si vous présentez un polymorphisme nucléotidique unique dans une de ces ARNases appelée ARNase-L, vous êtes plus susceptible de contracter des cancers du sein agressifs, des cancers de la prostate et d’autres cancers dus à une infection par le XMRV (alors pourquoi injecter de l’ARNm de syncytine, une enveloppe de gamma-rétrovirus ?) »

Note du traducteur : Hank Aaron était un joueur de base-ball étasunien, un des trois plus grands de l’histoire des États-Unis. Il est décédé ce 22 janvier à l’âge de 86 ans, deux semaines après avoir reçu le vaccin Moderna. Comme souvent, les fact-checkers s’en donnent à cœur joie pour nier tout lien possible entre l’injection et son décès.

L’ARNase ou RNase est une ribonucléase dont le rôle est de dégrader l’ARN lorsqu’il n’est plus nécessaire. Il en existe différentes classes au sein de tous les organismes, ce qui montre que la dégradation de l’ARN est un processus très ancien et important.

À propos de la syncytine, rappelons aussi ce qui suit :

« L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai. »

L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Une avancée de la génomique pourrait sauver des millions de vies

Selon Judy Mikovits, une solution consiste à utiliser des technologies de génomique fonctionnelle comme le fait Breakthrough Genomics, une entreprise qui utilise l’apprentissage automatique [de l’anglais « machine learning », encore appelé apprentissage artificiel ou apprentissage statistique – NdT] pour examiner les séquences complètes du génome afin de déterminer quels polymorphismes de nucléotides uniques dans les récepteurs ACE2, les voies antivirales comme RNaseL et les interférons peuvent prédisposer une personne à subir les dommages de ces « vaccins » à thérapie génique :

« Nous possédons la technologie pour déterminer qui est susceptible de subir des effets graves. Il s’agira d’une grande partie de la population »

Bien qu’il soit évident qu’une stratégie de vaccination ne puisse pas être universelle, imposer une thérapie génique à toute une population alors que l’on peut prévoir que des millions de personnes mourront et développeront des maladies mortelles comme la thrombocytopénie idiopathique est tout simplement inadmissible. Pourtant, toute personne qui ose en parler, comme le sait Judy Mikovits, risque de voir sa carrière et sa vie détruites.

Symptômes des dommages causés par le « vaccin » Covid-19

De nombreux symptômes actuellement signalés suggèrent des dommages neurologiques. Ils présentent une dyskinésie grave (altération des mouvements volontaires), une ataxie (manque de contrôle musculaire) et des crises intermittentes ou chroniques. De nombreux cas détaillés dans des vidéos personnelles sur les médias sociaux sont assez choquants.

Tout aussi choquant est le fait que ces vidéos sont rapidement retirées par les plateformes de médias sociaux, soi-disant pour violation d’une des conditions d’utilisation [qui changent tout le temps – NdT]. Il est difficile de comprendre comment une expérience personnelle peut être considérée comme une « fausse information ». Judy Mikovits explique ces dommages neurologiques de la façon suivante :

« C’est la neuroinflammation qui en est la cause. C’est le cerveau en feu. On verra des tics, on verra la maladie de Parkinson, on verra des scléroses latérales amyotrophiques, des choses comme celles-ci vont se développer à un rythme extrêmement rapide, et elles sont toutes en lien avec l’inflammation du cerveau. »

Les effets secondaires suggèrent également un dérèglement de la réponse immunitaire innée et une perturbation du système endocannabinoïde, qui agit comme un variateur d’intensité sur votre système immunitaire.

Note du traducteur : Le système endocannabinoïde — souvent abrégé en SEC — est un acteur majeur de l’homéostasie cellulaire qui fut découvert il y a trente ans, et tous les processus physiologiques de notre corps peuvent a priori impliquer son intervention. Il constitue un système de communication du corps parmi les plus importants et les plus complexes, et sa fonction principale est de réagir à des stress pour permettre au milieu interne de conserver son homéostasie. L’altération de son fonctionnement et des niveaux de ses médiateurs lipidiques (endocannabinoïdes) dans certains tissus, peut contribuer à l’installation ainsi qu’à la progression de différentes pathologies.

Judy Mikovits ajoute ce qui suit :

« Nous voyons des syndromes d’activation mastocytaire. Les symptômes cliniques seront ceux des maladies inflammatoires. On entend tout le monde les qualifier de « persistance du Covid » — la fatigue extrême, profonde et invalidante, l’incapacité à produire de l’énergie à partir des mitochondries.

Il ne s’agit pas d’un Covid persistant. C’est exactement ce qu’il en a toujours été : l’encéphalomyélite myalgique, l’inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Ce qu’ils sont intentionnellement en train de faire, c’est de tuer [certaines] populations, celles à qui ils ont déjà fait du tort. »

Selon ce que l’on peut observer, les réactions allergiques, y compris le choc anaphylactique, constituent un autre effet secondaire courant du « vaccin ». Le PEG, auquel environ 70 % des Étasuniens sont allergiques, est probablement responsable de ces réactions. Selon Judy Mikovits,

« Ces effets immédiats sont presque certainement causés par le PEG [polyéthylène glycol – NdT] et cette nanoparticule lipidique, la particule toxique même qui est injectée. »

À plus long terme, elle pense que nous assisterons à une augmentation significative des migraines, des tics, de la maladie de Parkinson, des troubles microvasculaires, de différents cancers, dont le cancer de la prostate, des syndromes de douleur sévère comme la fibromyalgie et l’arthrite rhumatoïde, des problèmes de vessie, des maladies rénales, des psychoses, des maladies neurodégénératives comme la maladie de Lou Gehrig (SLA) et des troubles du sommeil, dont la narcolepsie. Elle pense aussi que des symptômes semblables à ceux de l’autisme sont également susceptibles de se développer chez les jeunes enfants.

Nous finirons par tuer les plus à risque

Outre les maladies chroniques énumérées plus haut, d’autres personnes sont très exposées à ces « thérapies » géniques anti-Covid-19, notamment celles qui ont reçu le vaccin contre la grippe saisonnière, les Noirs et les Hispaniques. Ces derniers sont particulièrement prédisposés au risque de facilitation de l’infection par des anticorps, notamment en raison de la génétique. Tragiquement, sous couvert d’une justice raciale et sociale, ces vaccins sont administrés aux personnes qui sont les plus à risque. Judy Mikovits ajoute :

« Ce programme pour vacciner en premier lieu les minorités ethniques et les handicapés mentaux a été présenté par Johns Hopkins il y a quelques mois. Si votre cerveau est déjà en feu, si vous souffrez déjà d’une maladie inflammatoire neurale, pourquoi diable injecteriez-vous cette toxine inflammatoire neurale ? Cela revient à tuer les personnes qui sont les plus à risque. »

Les femmes en âge de procréer peuvent également être exposées à un risque de stérilité, car la syncytine (l’enveloppe du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain dont l’expression peut être dérégulée par l’ARN synthétique de la syncytine présente dans le vaccin) est nécessaire à la bonne fusion du placenta dans l’utérus et à l’implantation de l’ovule. En effet, l’Organisation mondiale de la santé affirme aujourd’hui que les femmes enceintes ne devraient pas recevoir les « vaccins » Moderna ou Pfizer en raison de signalements faisant état de fausses couches tardives[6].

Que faire si vous avez reçu le vaccin et que vous avez des problèmes ?

La principale raison pour laquelle je voulais interviewer Judy Mikovits était de connaître ses recommandations pour ceux qui ont choisi de se faire vacciner et qui le regrettent aujourd’hui. Il est intéressant de noter que j’ai appris que les stratégies sont les mêmes que celles que vous utiliseriez pour traiter l’infection par le Sras-CoV-2.

J’ai écrit de nombreux articles au cours de l’année dernière, détaillant des stratégies simples pour améliorer votre système immunitaire. Avec un système immunitaire sain, vous vous en sortirez sans incident, même si vous tombez malade. Je vais résumer ci-dessous certaines des stratégies que vous pouvez utiliser pour prévenir le Covid-19 et traiter les effets secondaires que vous pourriez rencontrer avec le vaccin.

Tout d’abord, vous voudrez avoir une alimentation « saine », idéalement biologique. Évitez les aliments transformés de toutes sortes, car ils sont chargés d’acide linoléique oméga-6 nuisible qui détruit votre fonction mitochondriale. Pensez également à la cétose nutritionnelle et à une alimentation limitée dans le temps, qui vous aideront à optimiser votre machinerie métabolique et la fonction mitochondriale. Comme l’a noté Judy Mikovits :

« Nous devons penser à se détoxifier des métaux, nous devons penser au glyphosate […] Nous devons prévenir l’inflammation dans tous les sites tissulaires et nous devons maintenir notre système immunitaire en bonne santé […] Pour lutter contre la neuroinflammation, il faut brûler des cétones plutôt que du sucre [des glucides – NdT], donc il faut pratiquer un régime cétogène et enlever le stress de la voie mTOR [affaiblir sa probable stimulation – NdT]. »

Note du traducteur : L’alimentation limitée dans le temps consiste à réduire l’espace entre les repas, de façon à les ramener sur une plage d’environ 8 heures, de 10h00 et 18h00, par exemple. Le jeûne intermittent constitue aussi une pièce maîtresse de ces stratégies.

Voir aussi notre Focus Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire et la liste suivante d’articles sur le régime cétogène et une alimentation pauvre (voire nulle) en sucre/glucide :

En ce qui concerne le glyphosate, un moyen simple d’en bloquer son absorption est de prendre de la glycine. Environ 3 grammes, soit une demi-cuillère à café, quelques fois par jour, devraient suffire, en plus d’une alimentation biologique, afin de ne pas ajouter plus de glyphosate à chaque repas.

Pour améliorer la désintoxication, je vous recommande d’activer votre production naturelle de glutathion avec des comprimés d’hydrogène moléculaire. Toutes ces stratégies devraient vous aider à améliorer votre résistance contre le Sras-CoV-2, et pourraient même aider votre corps à se désintoxiquer si vous avez fait l’erreur de suivre cette « thérapie » génique expérimentale.

Une autre stratégie utile consiste à maintenir un pH neutre [communément appelé équilibre acido-basique – NdT]. Votre pH doit se situer autour de 7 et vous pouvez le mesurer avec une bandelette urinaire peu coûteuse. Plus votre pH est bas, plus vous êtes acide.

Un moyen simple d’augmenter votre pH s’il est trop acide (et c’est le cas pour la plupart des gens) est de prendre un quart de cuillère à café de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) ou de potassium dilué dans l’eau plusieurs fois par jour. L’amélioration de votre pH renforcera la résistance de votre système immunitaire et réduira la perte de minéraux de vos os, diminuant ainsi votre risque d’ostéoporose.

Compléments alimentaires bénéfiques

Une supplémentation nutritionnelle peut également se révéler précieuse. Parmi les plus importantes, on peut citer :

  • Vitamine D — Les suppléments de vitamine D sont facilement disponibles et sont parmi les moins chers du marché. Tout bien considéré, l’optimisation de la vitamine D est probablement la stratégie la plus facile et la plus bénéfique que chacun puisse adopter pour minimiser son risque Covid-19 tout comme celui d’autres infections, et peut en quelques semaines renforcer votre système immunitaire.
  • N-acétylcystéine (NAC) — La NAC est un précurseur de la réduction du glutathion, qui semble jouer un rôle crucial dans le Covid-19. Selon une analyse de la littérature[7], la carence en glutathion pourrait en fait être associée à la gravité du Covid-19, ce qui amène l’auteur à conclure que la NAC pourrait être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.
  • Zinc — Le zinc joue un rôle très important dans la capacité de votre système immunitaire à repousser les infections virales. Comme la vitamine D, le zinc aide à réguler votre fonction immunitaire[8] — et il a été démontré en 2010 qu’une combinaison de zinc avec un ionophore de zinc, comme l’hydroxychloroquine ou la quercétine, inhibe in vitro le coronavirus du Sras. En culture cellulaire, elle a également bloqué la réplication virale en quelques minutes[9]. Il est important de noter qu’il a été démontré que la carence en zinc altère la fonction immunitaire[10].
  • Mélatonine — Elle stimule la fonction immunitaire de diverses manières et aide à réprimer l’inflammation. La mélatonine peut également prévenir l’infection par le Sras-CoV-2 en rechargeant le glutathion[11] et en améliorant la synthèse de la vitamine D, entre autres choses.
  • Vitamine C — Un certain nombre d’études ont montré que la vitamine C peut être très utile dans le traitement des maladies virales, de la septicémie et du syndrome de détresse respiratoire aiguë[12] , toutes ces maladies étant applicables au Covid-19. Ses propriétés de base comprennent des propriétés anti-inflammatoires, immunomodulatrices, antioxydantes, antithrombotiques et antivirales. À fortes doses, elle agit en fait comme un médicament antiviral, en inactivant activement les virus. La vitamine C agit également en synergie avec la quercétine[13].
  • Quercétine — Puissant stimulant immunitaire et antiviral à large spectre, la quercétine a d’abord été considérée comme offrant une protection à large spectre contre le coronavirus du Sras à la suite de l’épidémie de Sras de 2003[14] [15] [16], et des éléments indiquent qu’elle pourrait également être utile pour la prévention et le traitement du Sras-CoV-2.
  • Les vitamines B — Les vitamines B peuvent également influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au Covid-19, notamment[17] la réplication et l’invasion virales, l’induction de tempêtes de cytokines, l’immunité adaptative et l’hypercoagulabilité.

Judy Mikovits recommande également les interférons de type 1.

« L'[interféron] de type 1 — la source primaire d’interféron, alpha et bêta — est la cellule dendritique plasmacytoïde. Nous savons qu’elle est dérégulée chez les personnes atteintes du VIH, d’XMRVs, ou d’une expression rétrovirale aberrante. Ces personnes ne peuvent pas produire d’interféron.

Les interférons de type 1 peuvent être fournis dans un spray que vous pouvez vaporiser directement dans votre gorge, votre nez, et qui vous donnera la protection dont vous avez besoin pour que le virus ne se [réplique] pas. Il sera immédiatement dégradé […] Si vous avez de la toux, de la fièvre ou des maux de tête, augmentez immédiatement votre taux d’interféron de type 1. Deux pulvérisations par jour de cet interféron à titre prophylactique réduiront la charge virale.

Nous savons que le [Sras-CoV-2] n’est pas un virus naturel, nous savons qu’il a été créé en laboratoire, mais [l’interféron en] calmera l’expression, il dégradera l’ARN pour ceux qui ne peuvent pas le faire, et c’est son travail — faire en sorte que vos macrophages soient ces petits Pac-Man qui dégradent simplement l’ARNm viral. »

Note du traducteur : Voir aussi notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

Peroxyde nébulisé — Mon choix thérapeutique préféré

Mon choix personnel pour le traitement des symptômes du Covid-19 est le peroxyde nébulisé. C’est un remède maison que tout le monde devrait selon moi connaître, car dans de nombreux cas, il peut améliorer les symptômes en quelques heures seulement. Vous pouvez également l’utiliser comme stratégie préventive si vous savez que vous avez été exposé à une personne malade.

La nébulisation de peroxyde d’hydrogène dans les sinus, la gorge et les poumons est un moyen simple et direct d’augmenter l’expression naturelle du peroxyde d’hydrogène dans votre corps pour combattre les infections et elle peut être utilisée à la fois en prophylaxie après une exposition connue au Covid-19 et comme traitement pour les maladies légères, modérées et même graves.

Le Dr David Brownstein, qui a traité avec succès plus de 100 patients Covid-19 avec du peroxyde nébulisé, a publié un article de cas[18] sur ce traitement dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy and The Law. Il examine également ses avantages dans « Comment le peroxyde en nébulisation aide à lutter contre les infections respiratoires » [en anglais – NdT].

Le peroxyde d’hydrogène nébulisé est extrêmement fiable, et tout ce dont vous avez besoin est d’un nébuliseur individuel et du peroxyde d’hydrogène de qualité alimentaire, que vous devrez diluer avec une solution saline à 0,1 pour cent. Je vous recommande d’acheter ces articles à l’avance afin que vous ayez tout ce dont vous avez besoin et que vous puissiez commencer le traitement à la maison dès les premiers signes d’une infection respiratoire.

Recette de peroxyde d'hydrogène nébulisé

Dans la vidéo ci-dessus, je passe en revue les bases de ce traitement. Il est préférable d’acheter un nébuliseur qui se branche sur une prise électrique, car les nébuliseurs à piles sont trop faibles pour être vraiment efficaces. Assurez-vous également que votre nébuliseur est équipé d’un masque facial, et pas seulement d’un embout buccal. S’il n’est pas fourni avec un masque facial, vous pouvez en acheter un séparément. Il vous suffit de chercher sur Amazon « masque de nébulisation pour adultes » [cherchez les produits accessoires – NdT].

Note du traducteur : Voir aussi l’article en français sur le site French Mercola Le protocole au peroxyde d’hydrogène contre le coronavirus :

« Le peroxyde de qualité alimentaire est généralement disponible à des concentrations de 12 %. Vous devrez donc le diluer à 1 % pour l’utiliser comme je le décris dans la vidéo et le tableau [ci-dessus].

Les virus ne sont pas « vivants » en soi. Ils ont besoin d’un hôte vivant dans lequel ils peuvent infecter des cellules vivantes qui répliquent ensuite l’ADN et l’ARN viraux. Une fois qu’une cellule est infectée, les virus nouvellement répliqués quittent la cellule et passent à la cellule suivante pour dupliquer le processus.

Donc, quand on parle de « tuer » un virus, il est vraiment question de l’inactiver en brisant sa structure. C’est pourquoi le savon fonctionne si bien. Les coronavirus sont consolidés par un revêtement lipidique (gras). Le savon, étant amphipathique (ce qui signifie qu’il peut dissoudre la plupart des molécules), il dissout cette membrane graisseuse, ce qui fait que le virus se désagrège et devient inoffensif.

Plus spécifiquement, les substances grasses du savon sont structurellement similaires aux lipides trouvés dans la membrane virale, de sorte que les molécules de savon rivalisent avec et remplacent les graisses de la membrane. Ce faisant, la « colle grasse » qui consolide le virus se dissout.

Le peroxyde d’hydrogène fonctionne de manière similaire.
[…]
Vos cellules immunitaires produisent en fait du peroxyde d’hydrogène. C’est en partie ainsi que le système immunitaire tue les cellules infectées par un virus. En tuant la cellule infectée, la reproduction virale est arrêtée. Ainsi, la thérapie au peroxyde d’hydrogène aide essentiellement les cellules immunitaires à remplir plus efficacement leur fonction naturelle. »

Informations additionnelles

Nous espérons avoir fourni suffisamment d’informations pour vous faire reconsidérer le « vaccin » à « thérapie » génique Covid-19. Au minimum, faites des recherches supplémentaires avant de prendre votre décision. La simple vérité est que vous n’en avez pas besoin, et qu’il s’agit donc d’un risque inutile.

Pour en savoir plus, n’oubliez pas de commander à l’avance un exemplaire de Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT]. À bien des égards, nous traversons une crise et il est absolument essentiel de s’instruire, puis d’éduquer les autres. La vie de millions de personnes est en jeu. Alors, s’il vous plaît, prenez le temps d’assimiler ces informations, de les comprendre et de les partager avec ceux que vous aimez.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui seraient intéressés, ce livre en anglais de Judy Mikovits est, sur Amazon, en rupture de stock au format papier au moment où nous publions. Il est par contre disponible au format Kindle.

Une des vidéos les plus puissantes que j’ai jamais vues

La vidéo suivante de Barbara Loe Fisher est l’une des plus puissantes que j’ai jamais vues. J’espère que le fait de la regarder vous incitera à vous engager et à vous joindre à la lutte pour la liberté et l’indépendance en matière de vaccins.

Il existe une guerre culturelle et une collusion entre de nombreuses industries et les agences de régulation fédérales qui ont pour conséquence la suppression de la vérité sur des questions de santé vitales et importantes. Si cette suppression se poursuit, nous éroderons graduellement et progressivement nos droits individuels privés pour lesquels nos ancêtres se sont battus si durement. Veuillez prendre quelques minutes pour regarder cette vidéo.

https://youtu.be/xEcYQydhY9E

Protégez votre droit au consentement éclairé et défendez les exemptions de vaccin

Avec toutes les incertitudes qui entourent l’innocuité et l’efficacité des vaccins, il est essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination. Il est urgent que tout le monde aux États-Unis se lève et se batte pour protéger et étendre les protections du consentement éclairé à la vaccination dans les lois des États en matière de santé publique et d’emploi. La meilleure façon d’y parvenir est de s’impliquer personnellement auprès des législateurs de votre État et d’éduquer les dirigeants de votre communauté.

Penser globalement, agir localement

Les recommandations en matière de politique nationale sur les vaccins sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C’est au niveau des États que votre action visant à protéger vos droits en matière de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.

Il est essentiel que TOUT LE MONDE s’implique dès maintenant pour défendre le droit légal de choisir volontairement un vaccin aux États-Unis, car ces choix sont menacés par les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique, qui tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions relatives aux vaccins des lois sur la santé publique.

En vous inscrivant sur le portail gratuit du NVIC sur la défense des droits, à l’adresse www.NVICAdvocacy.org, vous aurez un accès immédiat et facile aux législateurs de votre État sur votre smartphone ou votre ordinateur, ce qui vous permettra de faire entendre votre voix. Vous serez tenu au courant des derniers projets de loi de l’État qui menacent votre droit de choisir un vaccin et vous obtiendrez des informations pratiques et utiles pour vous aider à devenir un défenseur efficace du choix des vaccins dans votre propre communauté.

En outre, lorsque des questions relatives aux vaccins nationaux se poseront, vous aurez à portée de main les informations actualisées et les éléments d’appel à l’action dont vous avez besoin. Dans un premier temps, veuillez donc vous inscrire sur le portail de sensibilisation du NVIC.

Note du traducteur : Bien que ce qui précède (tout comme le dernier point ci-dessous) concerne les États-Unis, l’information pourrait bénéficier à des francophones sur ce territoire. Les lois outre-Atlantique ne sont pas les mêmes que dans les pays francophones, mais il y est tout aussi essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination, notamment en vertu du Code de Nuremberg : Covid-19 — La campagne vaccinale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Partagez votre histoire avec les médias et les personnes que vous connaissez

Si vous ou un membre de votre famille avez subi une réaction grave à un vaccin, des dommages ou un décès, vous devriez en parler. Si nous ne partageons pas les informations et les expériences entre nous, tout le monde se sent seul et a peur de parler. Écrivez une lettre au rédacteur en chef si vous avez un point de vue différent sur une histoire de vaccin qui paraît dans votre journal local. Appelez une émission de radio qui ne présente qu’un seul aspect de l’histoire du vaccin.

Je dois être franc avec vous : il vous faudra être courageux car vous pourriez être fortement critiqué pour avoir osé parler de « l’autre facette » de l’histoire du vaccin. Préparez-vous à cela et ayez le courage de ne pas reculer. Ce n’est qu’en partageant notre point de vue et ce que nous savons être vrai au sujet de la vaccination que la conversation publique sur la vaccination s’ouvrira si bien que les gens n’auront pas peur d’en parler.

Nous ne pouvons pas permettre que les entreprises pharmaceutiques et les associations commerciales médicales financées par les entreprises pharmaceutiques ou les responsables de la santé publique qui encouragent l’utilisation forcée d’une liste croissante de vaccins dominent la conversation sur la vaccination.

Une personne affectée par un vaccin ne peut pas être balayée sous le tapis et traitée comme rien d’autre qu’un « dommage collatéral statistiquement acceptable » des politiques nationales de vaccination obligatoire universelles qui mettent beaucoup trop de gens en danger d’en être victimes et de mourir. Nous devrions traiter les gens comme des êtres humains et non pas comme des cobayes.

Ressources Internet où vous pouvez en apprendre davantage

Je vous encourage à visiter le site web de l’organisation caritative à but non lucratif, le National Vaccine Information Center (NVIC), à l’adresse www.NVIC.org :

  • Exigences et exemptions en matière de vaccins par État — Les lois sur les vaccins varient aux États-Unis d’un État à l’autre. En connaissant les politiques spécifiques de votre État, vous apprendrez comment obtenir des exemptions et mieux protéger votre droit à faire des choix éclairés en matière de vaccins.
  • NVIC Mémorial des victimes de vaccins — Consultez les descriptions et les photos d’enfants et d’adultes qui ont subi des réactions aux vaccins, des blessures et des décès. Si vous ou votre enfant êtes victime d’un effet indésirable d’un vaccin, pensez à poster et à partager votre histoire ici.
  • Si vous vous faites vacciner, posez 8 questions — Apprenez à reconnaître les symptômes des réactions aux vaccins et à prévenir les blessures dues aux vaccins.
  • Mur de la liberté vaccinale — Consultez ou affichez des descriptions de harcèlement et de sanctions par des médecins, des employeurs et des responsables scolaires et sanitaires pour avoir choisi un vaccin de manière indépendante.
  • Mur de l’échec vaccinal — Consultez ou affichez des descriptions de vaccins qui n’ont pas fonctionné et qui protègent les personnes vaccinées contre la maladie.

Sources et références

[1] MJforMDs.org Judy Mikovits Bio

[2] Bioregulatory Medicine Institute December 28, 2020

[3] Stat News January 10, 2017

[4] New York Times January 12, 2021

[5] The Defender January 13, 2021

[6] Wall Street Journal January 27, 2021

[7] A Hypothesis Based on Literature Data and Own Observations, preprint

[8] « COVID-19: Poor Outcomes in Patients with Zinc Deficiency, » International Journal of Infectious Disease 100 (November 2020): 343-49

[9] te Velthuis AJ, van den Worm SH, Sims AC, et. al . PLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176. doi: 10.1371/journal.ppat.1001176

[10] « Zinc Fact Sheet for Health Professionals, » U.S. Department of Health & Human Services, National Institutes of Health, updated July 15, 2020

[11] Grazyna Swiderska-Kołacz, Jolanta Klusek, and Adam Kołataj, Neuro Endocrinology Letters 27, no. 3 (June 2006): 365-8

[12] JAMA 2019 Oct 1; 322(13): 1261-1270

[13] Frontiers in Immunology June 19, 2020 DOI: 10.3389/fimmu.2020.01451

[14] Journal of Virology Sep 2004, 78 (20) 11334-11339, Antiviral activity of an analog of luteolin

[15] Bioorg Med Chem. 2006 Dec 15;14(24):8295-306

[16] Maclean’s February 24, 2020

[17] Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]

[18] Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)


Source de l’article initialement publié en anglais le 31 janvier 2021 : 
Mercola.com
Traduction : Sott.net

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