Des questions concernant le chaos au Capitole auxquelles il faut absolument apporter des réponses. MàJ

[MàJ : Une vidéo de 14 min sur cette problématique :]


[Source : Aube digitale via Profession Gendarme]

Un autre point de vue que celui des media mainstream français. Le premier lien ouvre sur une vidéo de twitter qui montre sur la droite des gens qui regardent tranquillement et en face des gens qui veulent entrer et la police du capitole qui ouvre les barrière pendant qu’un individu au premier plan leur dit d’accélérer.

Auteur : The Most Important News (Etats-Unis) | Editeur : Walt | Vendredi, 08 Janv. 2021 – 08h44

Comme la plupart des Américains, j’ai été absolument horrifié par la violence que j’ai vue au Capitole américain mercredi. Mais j’ai eu du mal à comprendre ce dont j’étais témoin. Les partisans de l’Empire sont presque toujours extrêmement pacifiques, mais beaucoup de ceux qui prenaient d’assaut le Capitole étaient très violents. Cela n’avait aucun sens pour moi. Et comment diable les manifestants sont-ils entrés au Capitole américain en premier lieu ?

Eh bien, il s’avère que la police a en fait ouvert les barricades qui entouraient le Capitole américain et a délibérément permis aux manifestants de prendre d’assaut le bâtiment. Vous pouvez voir cela en vidéo ici

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Je n’ai jamais rien vu de tel de toute ma vie.

Et une fois les barricades ouvertes, au moins un policier a en fait fait avancer les manifestants…

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Le consensus général dans les médias est que ce sont les partisans de Trump qui ont fait cela, mais dans cette vidéo, vous pouvez voir les partisans de Trump essayant en fait d’éloigner les militants d’Antifa alors qu’ils brisaient la vitre…

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Et voici une autre vidéo où vous pouvez entendre les partisans de Trump huer alors qu’un militant Antifa tente de briser une fenêtre …

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Et une fois à l’intérieur du bâtiment, ils ont été rassemblés dans des zones particulières. Par exemple, vous pouvez voir un “gardien” mener les manifestants à différents étages juste ici

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Soit le Congrès américain dispose du pire personnel de sécurité que nous ayons jamais vu, soit on a laissé cela se produire exprès.

Et il y a de nombreux rapports selon lesquels des militants antifa ont été amenés en bus. En fait, un patriote a même enregistré une vidéo des bus d’Antifa qui ont été amenés au coeur de Washington D.C. avec une escorte…

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Alors qui a fait en sorte que ces bus d’Antifa aient ce genre d’escorte ?

C’est presque comme si quelqu’un était extrêmement déterminé à amener ces militants Antifa à leur lieu de travail afin qu’ils puissent faire le taffe.

Une fois à l’intérieur du Capitole, les militants d’Antifa auraient pu faire un bien meilleur travail de déguisement.

En fait, l’un d’entre eux a déjà été identifié comme un membre de Philly Antifa…

S’il voulait se faire passer pour un “partisan de Trump”, il aurait probablement dû recouvrir le marteau et la faucille qui sont tatoués sur le dos de sa main…

John Sullivan, un habitant de l’Utah, fondateur d’une violente organisation d’extrême gauche connue sous le nom de «Insurgence USA», a été photographié à l’intérieur du Capitole…

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Il a ensuite été interviewé par CNN, mais ils ne lui ont jamais demandé ce qu’il faisait là-bas…

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Le “manifestant” le plus célèbre du chaos du mercredi est peut-être “le gars aux cornes de viking”.

Il s’avère qu’il a été photographié lors d’un rassemblement de BLM en Arizona, portant exactement la même tenue en juin

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Et il a également été photographié lors d’un événement “d’activisme climatique” en 2019

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Apparemment, son nom est Jake Angeli et il est un “praticien chamanique”. Mais mercredi, il s’est fait passer pour un partisan hardcore de Trump.

Alors pourquoi les grands médias ne peuvent-ils pas rassembler tous ces éléments ?

Il ne devrait pas falloir trop de travail de détective pour identifier un grand nombre de ces personnes.

Alors pourquoi ne le font-ils pas ?

Et avez-vous remarqué que la police a laissé partir la grande majorité des “manifestants” sans les arrêter une fois que tout était fini ?

Les grands médias insistent sur le fait qu’”ils seront arrêtés plus tard”, mais beaucoup de gens n’y croient pas.

Tout cela me semble très étrange.

Juste au moment où un débat sur les preuves d’irrégularités électorales était sur le point de commencer dans les couloirs du Congrès, ces émeutes ont éclaté comme par hasard.

Les membres du Congrès ont été rapidement évacués, et les millions d’Américains qui regardaient n’ont jamais pu assister à un débat honnête sur les élections de 2020.

Lorsque les procédures ont finalement repris, l’atmosphère avait complètement changé et, tout à coup, personne ne s’est intéressé à débattre de la légitimité des résultats des élections.

Alors, qui a réellement profité des émeutes ?

Il est également important de noter que ces émeutes ont porté un coup sévère à tout avenir politique que le président Trump espérait avoir.

D’une pierre deux coups, les militants ont donc neutralisé le débat sur la légitimité de l’élection et ils ont également dévasté le mouvement Trump.

Il semble que quelqu’un jouait vraiment aux “échecs en 4D”, et ce n’était pas Trump et ses partisans.

Et ce n’est que le début. Comme je ne cesse de le répéter, la gauche radicale ne sera jamais satisfaite tant qu’elle n’aura pas atteint tous ses objectifs.

Élire Joe Biden n’était qu’un moyen de se débarrasser de Trump. En fait, la gauche radicale n’aime pas non plus Biden, et elle le combattra amèrement si Biden ne suit pas son programme complet.

En fin de compte, ce qu’ils veulent, c’est une “révolution” à part entière dans ce pays. Et comme nous l’avons vu mercredi, ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour obtenir ce qu’ils veulent.

Traduction de par Aube Digitale




Pour tous ceux qui veulent éviter de se laisser formater par le modèle du Forum Économique Mondial selon une «Grande réinitialisation» censée être induite par le coronavirus

[Source : Horizons et débats via Mondialisation.ca]

Photo Wikipedia

Par Diana Johnstone*

[Image d’entête :]
© World Economic Forum, Flickr, CC BY-NC-SA 2.0
Visionnement du film en réalité virtuelle « Collisions » lors d’une session du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, en janvier 2016.


Le grand prétexte qui doit nous conduire vers la dystopie

Dans leur étude « Covid-19. The Great Reset » (« Covid-19 : La grande réinitialisation ») publiée par le Forum économique mondial/World Economic Forum (WEF/FEM), les économistes Klaus Schwab et Thierry Malleret nous donnent à entendre la voix de la future gouvernance mondiale.

En intitulant leur dernière publication au sein du WEF « Covid-19 : The Great Reset », les auteurs associent la pandémie à leur propositions futuristes de façon à provoquer un concert de hauts cris d’illuminations soudaines. Dans le climat de confusion et de méfiance qui règne actuellement, l’enthousiasme avec lequel les économistes Klaus Schwab et Thierry Malleret saluent en la pandémie un signe avant-coureur du bouleversement socio-économique qu’ils présagent laisse à penser que si celui-ci ne s’était pas déclaré tout seul par hasard, ils auraient volontiers créé le Covid-19 de toutes pièces.

En effet, Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial, a déjà vigoureusement prôné la « Grande Réinitialisation » en utilisant le changement climatique comme facteur déclencheur de la crise, avant que la toute récente éclosion du Corona virus ne lui fournisse un prétexte encore plus direct de promotion pour ses projets de restructuration du monde.

D’emblée, les auteurs commencent par clamer que

« le monde tel qu’il était dans les premiers mois de 2020 n’existe plus »,

(éd. allemande p. 12)

que des changements radicaux vont façonner une

« nouvelle normalité ».

(id. p. 12)

Nous allons nous-mêmes en être transformés :

« Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler vont être réduites à néant au cours de ce processus ».

(id. p. 13)

Tout au long du livre, les auteurs semblent se réjouir des effets supposés des nombreuses « angoisses » suscitées par le virus, lesquelles sont censées conditionner les gens à désirer les changements radicaux qu’eux-mêmes (les auteurs) appellent de leurs vœux.

Ils utilisent le jargon technocratique pour proclamer que la pandémie est déjà à l’œuvre, modifiant la mentalité humaine afin que celle-ci se conforme à la nouvelle réalité qu’ils croient inévitable.

« Notre crainte sous-jacente et peut-être persistante d’être infecté par un virus (Corona ou autre) […] va donc accélérer la marche implacable de l’automatisation […] ».

(id. p. 183)

Vraiment ?

« En raison de la forte appréhension – provoquée par le Coronavirus – qu’on éprouve à rester assis dans un espace fermé en compagnie de parfaits inconnus, il se peut que beaucoup de gens décident qu’ils préfèrent regarder le dernier film ou la dernière représentation d’opéra à la maison parce qu’au fond c’est ce qu’il y a de mieux à faire ».

(id. p. 234)

« Il y a d’autres effets immédiats qui sont beaucoup plus faciles à prévoir, dont la propreté par exemple. La pandémie va certainement mettre davantage l’accent sur l’hygiène. En particulier, la nouvelle obsession de l’hygiène entraînera la création de nouveaux emballages. Nous serons invités à ne plus toucher aux produits que nous désirons acheter.

Les plaisirs simples, comme sentir un melon ou toucher un fruit, seront mal vus et pourraient même appartenir au passé »

(id. p. 234)

Voilà bien la voix des derniers postulants à la gouvernance-mondiale ! Du haut de leur condescendance les experts décident des « besoins » des masses. Ces désirs supposés sont destinés à correspondre aux objectifs de rentabilité colportés par ces mêmes experts. Leurs plans tournent autour de l’innovation numérique, de l’automatisation massive grâce à « l’intelligence artificielle » et enfin de « l’amélioration » des humains qui seraient alors artificiellement dotés de certaines des caractéristiques des robots : par exemple, pouvoir résoudre des problèmes sans s’embarrasser de considérations éthiques.

Klaus Schwab, ingénieur et économiste de formation, est né à Ravensburg en 1938. Il a fondé son Forum économique mondial (FEM) en 1971, massivement sponsorisé par les multinationales. Ce groupe se réunit une fois par an à Davos, en Suisse – la dernière fois c’était en janvier 2020 et cela aurait dû avoir lieu l’année prochaine en mai, mais sera reporté pour cause de Covid-19.

Klaus Schwab accueille les participants
au premier Symposium De Gestion européen en 1971.
Otto von Habsburg (à gauche) a prononcé le discours principal
lors de la séance d’ouvertureUn puissant lobby

De quoi s’agit-il au juste ? Je décrirais volontiers le FEM comme une combinaison de cabinet-conseil capitaliste et de lobby géant. Ses visions futuristes sont conçues pour piloter les investisseurs dans les domaines rentables de ce que M. Schwab appelle la « Quatrième Révolution industrielle » (4IR) pour ensuite, une fois ces domaines définis, faire pression sur les gouvernements afin qu’ils soutiennent ces investissements au travers de subventions, d’allégements fiscaux, de marchés publics, de réglementations et de lois.

En bref, le FEM est le lobby des nouvelles technologies, de tout ce qui est numérique, de l’intelligence artificielle et du transhumanisme.

Cette organisation est actuellement devenue puissante parce qu’elle opère dans l’environnement du capitalisme d’État, dans lequel le rôle de l’État (surtout aux États-Unis, un peu moins en Europe) a été largement réduit à un rôle de réponse positive aux demandes de ces lobbies, surtout dans le secteur financier.

Puisqu’ils se sentent immunisés contre les obscures aspirations des gens ordinaires par les contributions financières à leurs campagnes électorales, la plupart des hommes politiques d’aujourd’hui sont quasiment dépendants des conseils de lobbies comme le WEF afin qu’on leur dise ce qu’ils doivent faire.

Au XXème siècle, en particulier pendant le New Deal, le gouvernement américain était sous la pression d’intérêts contradictoires. Le succès économique de l’industrie de la défense pendant la Seconde Guerre mondiale a donné naissance au Complexe militaro-industriel (CIM) qui est devenu un facteur structurel permanent de l’économie américaine.

C’est le rôle dominant du CIM et les lobbies qui ont finalement transformé la nation en un capitalisme d’État en lieu et place de l’institution républicaine initiale.

La preuve de cette transformation est l’unanimité avec laquelle le Congrès ne se prive jamais d’approuver des budgets militaires grotesquement gonflés. Le CIM a donné naissance à des médias et à des groupes de réflexion endoctrinant sans cesse le public sur la nécessité existentielle de continuer à investir les richesses de la nation dans la production d’armes de guerre. À moins que les électeurs ne se mettent d’accord, ils ne peuvent trouver aucun moyen d’expression politique face à des élections monopolisées par deux partis pro-MIC.

Le FEM peut être considéré comme le pendant du CIM. Il entend mobiliser les gouvernements et les leaders d’opinion pour promouvoir la « 4IR » qui dominera l’économie et la vie civile au quotidien elle-même.

La pandémie est donc juste un prétexte éphémère ; la nécessité de « protéger l’environnement » va devenir un prétexte plus pérenne. Tout comme le CIM sera présenté comme absolument nécessaire pour « protéger nos libertés », la 4IR sera présentée comme absolument nécessaire pour « sauver l’environnement » – et dans les deux cas, beaucoup des mesures préconisées auront l’effet inverse de celui recherché.

Jusqu’à présent, la tyrannie technologique de la 4IR de M. Schwab n’a pas encore trouvé sa place au sein du capitalisme d’État américain. Mais il semble que ses perspectives soient prometteuses. La Silicon Valley a massivement contribué à la campagne de Joe Biden, ce dernier s’est empressé d’intégrer ses grands pontes dans son équipe de transition.

Mais le vrai danger dans tout cela, à savoir la réinitialisation du pouvoir en entier, ne réside pas dans ce qui est là, mais dans ce qui n’y est pas : une quelconque opposition politique sérieuse.

Jens Stoltenberg, Ursula von der Leyen et John Kerry
au Forum économique mondial

Peut-on rétablir la démocratie ?

Un boulevard est en train de s’ouvrir au Great Reset pour la simple et bonne raison que rien ne s’y oppose. Pas de prise de conscience généralisée des problèmes en cause ni d’organisation politique populaire efficace, rien. C’est pour cette même raison que la dystopie (en tant que véritable anti-utopie) de M. Schwab fait peur.

L’élection présidentielle de 2020 vient d’illustrer la dépolitisation presque totale du peuple américain. Cela peut paraître bizarre si l’on tient compte de la virulence des réactions des partisans politiques en présence. Mais tout cela n’a rien été d’autre que beaucoup de bruit pour rien.

Il n’y a pas eu de véritable débat sur les thèmes d’importance, on n’a soulevé aucune question politique d’envergure, que ce soit au sujet de la guerre ou des orientations du futur développement économique.

Les arguments assez vicieux n’ont visé que les personnes et non pas la politique. Donald Trump, souvent incapable, s’est vu traiter « d’Hitler » tandis que les bellicistes démocrates de Wall Street ont été qualifiés de « socialistes » par les Trumpistes. Mensonges, insultes et chaos ont été omniprésents.

Un renouveau de la démocratie ne peut résulter que d’un engagement organisé et ciblé sur les questions soulevées par les planificateurs de Davos, d’où se dégagerait une opinion publique bien informée qui se prononcerait sur ses choix quant aux innovations technologiques socialement acceptables et celles qui ne le sont pas.

Les signaux d’alarme lancés à la marge n’influenceront pas le rapport de force intellectuel. Ce qu’il faut, c’est que tous les citoyens du monde se réunissent pour étudier les problèmes et se forger une opinion véritablement documentée sur les objectifs et les méthodes de développement du futur.

Tant qu’ils ne seront pas confrontés à des critiques bien informées et précises, la Silicon Valley et ses alliés commerciaux et financiers continueront simplement à faire tout ce qu’ils s’imaginent pouvoir faire, quelles qu’en soient les implications sociales.

Une analyse rigoureuse de la situation devra aboutir aux choix entre les innovations potentiellement utiles et celles qui sont inopportunes afin d’éviter que des notions populaires ne soient abusées pour faire accepter par tous une quelconque « avancée technologique », aussi désastreuse soit-elle.

Redéfinir les questions importantes

Les divergences politiques entre la Gauche et la Droite et entre les républicains et les démocrates se sont accentuées, alors que ces mêmes divergences viennent de se révéler incohérentes, déformées et non pertinentes, fondées davantage sur des préjugés idéologiques que sur des faits avérés. Il faudrait définir de nouvelles orientations politiques plus constructives en abordant des questions spécifiques et concrètes.

Le Prince de Galles et Klaus Schwab à Davos en janvier

Reprenons donc, une par une, les propositions divulguées du Great Reset en les examinant d’un point de vue à la fois pragmatique et éthique.

1 – Du fait de la pandémie, le recours aux conférences téléphoniques via Skype, Zoomou d’autres nouvelles plateformes a fortement augmenté

Le FEM se félicite de cette tendance. Faut-il en conclure que c’est une mauvaise chose ? Pour être juste, cette innovation est positive en ce qu’elle permet à de nombreuses personnes d’assister à des conférences sans les frais, les tracas et le coût environnemental induits par le transport aérien. En revanche, le côté négatif est que cela empêche tout contact humain direct. Il s’agit là d’un problème simple où les aspects positifs semblent l’emporter sur les aspects négatifs.

2 – Faudrait-il que l’enseignement supérieur devienne accessible en ligne, les professeurs dispensant des cours aux étudiants sur Internet ?

Il s’agit d’une question beaucoup plus complexe qui devrait être débattue en profondeur par les établissements d’enseignement eux-mêmes et les communautés dont ils sont tributaires, en pesant le pour et le contre et en gardant à l’esprit que ceux qui fournissent la technologie veulent la vendre et se soucient peu de la valeur du contact humain dans l’éducation – non seulement le contact humain entre l’étudiant et le professeur, mais aussi les contacts entre les étudiants eux-mêmes, qui sont souvent déterminants dans l’existence. Les cours en ligne peuvent être très utiles pour des étudiants géographiquement isolés, mais la disparition de la communauté universitaire serait un pas de plus vers la destruction de la communauté humaine dans son ensemble.

3 – La santé et le « bien-être »

C’est sur ce point précis qu’il faudrait approfondir la réflexion :

« Dans l’ère post-pandémique », disent Schwab et Malleret, « trois industries (au total) vont prospérer : la haute technologie, la santé et le bien-être ».

(id. p. 241)

Pour les planificateurs de Davos, ces trois éléments se recoupent.

Ceux qui croient que le bien-être est essentiellement auto-généré et qu’il dépend des mentalités, des activités et du choix des modes de vie, passent à côté de l’essentiel.

« La combinaison de l’IA [intelligence artificielle], des objets du quotidien connectés à l’internet, des capteurs et de la technologie mobile apportera de nouvelles connaissances sur le bien-être des individus en matière de santé. Ces systèmes surveilleront notre état de santé et nos sentiments, […] fourniront des informations précises sur notre empreinte carbone, notre impact sur la biodiversité, la toxicité des ingrédients que nous consommons et les environnements ou le contexte des espaces au sein desquels nous nous déplaçons, ce qui entraînera des progrès significatifs dans la prise de conscience du bien-être collectif et individuel ».

(id. p. 243s.)

Question : Souhaitons-nous vraiment, ou avons-nous réellement besoin, de tout ce narcissisme cybernétique ? Ne pouvons-nous pas simplement profiter de la vie en aidant un ami, en caressant un chat, en lisant un livre, en écoutant Bach ou en regardant un coucher de soleil ? Nous ferions mieux de décider par nous-mêmes avant que ces gens ne nous chamboulent l’esprit.

4 – La nourriture

Pour ne pas me couper l’appétit, je vais faire l’impasse sur cette question. Les magiciens de la technologie veulent se débarrasser des agriculteurs, de leurs sols souillés et de leurs animaux malpropres et produire industriellement des aliments artificiels créés et améliorés dans de beaux laboratoires bien propres – à partir de quoi, au fait ? Le thème central : le genre humain considéré comme « homo faber ».

5 – Qu’en est-il du travail accompli par l’homme ?

« Selon toute vraisemblance, la récession déclenchée par la pandémie entraînera une forte augmentation de la substitution en matière de main-d’œuvre, c’est-à-dire que le travail physique accompli par l’homme sera remplacé par des robots et des machines « intelligentes », ce qui entraînera des changements permanents et structurels sur le marché du travail ».

(id. p. 61s.)

Ce remplacement est déjà à l’œuvre depuis des décennies. Conjugué à la sous-traitance et à l’immigration, il a de toute façon affaibli le pouvoir collectif du travail. Mais il ne fait aucun doute que les industries technologiques sont prêtes à aller plus loin, bien plus loin encore et également plus vite pour supplanter les humains et les priver de leur travail.

« La crise du Covid-19 et les mesures de distance spatiale qui l’ont accompagnée ont brusquement accéléré ce processus d’innovation et de changement technologique. Les chatbots (les dialogueurs automatiques) qui s’appuient souvent sur la même technologie de reconnaissance vocale que l’Alexa d’Amazon, ainsi que d’autres logiciels capables d’effectuer des tâches à la place du personnel humain, se sont imposés à toute vitesse. Ces innovations, motivées par la nécessité (comme par exemple les mesures d’hygiène), vont bientôt se traduire par la perte de centaines de milliers, voire de millions d’emplois ».

(id. p. 62)

La réduction des coûts de main-d’œuvre a longtemps été le leitmotiv de ces innovations, de même que la volonté interne de l’industrie technologique de « […remplacer en] faisant tout ce qui est en son pouvoir ». On met alors au point des prétextes d’utilité sociétale pour justifier ce procédé. Comme par exemple celui-ci :

« Comme il est fort probable que les consommateurs privilégient dans un avenir proche les services automatisés aux contacts physiques, ce qui se passe actuellement dans le secteur des centres d’appel se produira inévitablement aussi dans d’autres domaines ».

(id. p. 62)

« Comme il est fort probable que les consommateurs privilégient … » ! Tous les gens que je connais se plaignent de l’exaspération ressentie lorsqu’on essaie de joindre une banque ou une compagnie d’assurance afin de leur exposer une situation d’urgence et qu’au lieu d’un véritable interlocuteur on se trouve confronté à une voix dépersonnalisée et à une sélection de numéros non pertinents sur lesquels il faut cliquer. Je sous-estime peut-être le niveau d’hostilité envers ses semblables qui imprègne la société actuelle, mais j’ai l’impression qu’il existe de la part du public une forte demande implicite en faveur de moins de services automatisés et davantage de contacts directs avec des personnes réelles qui peuvent penser en dehors de l’algorithme et comprendre réellement le problème, plutôt que de se contenter de recracher des corrections d’erreurs préprogrammées.

Dans ce domaine l’insatisfaction est massive. Mais nous n’en entendons pas parler car nos médias veulent nous persuader qu’actuellement notre plus gros problème existentiel réside dans la confusion ressentie par un quelconque individu confronté à l’indétermination de l’orientation sexuelle d’un autre individu.

En cela, je soutiens que la demande des consommateurs se conjugue au besoin désespéré des individus capables et désireux de gagner leur vie. Les technocrates, eux, gagnent très bien leur vie en privant d’autres personnes de la possibilité de gagner la leur.

Et voici une autre de leurs idées lumineuses :

« Dans des villes aussi différentes que Hangzhou, Washington DC et Tel-Aviv, par exemple, on s’efforce de passer de programmes pilotes à des opérations à grande échelle capables de mettre en place une armée de robots de livraison dans les rues et dans les airs ».

(id. p. 185)

Quelle superbe alternative au salaire versé aux livreurs humains, leur moyen de subsistance !

En outre, remarquons au passage qu’un homme qui roule sur un vélo de livraison utilise une énergie renouvelable. Mais tous ces robots et ces drones ? Des piles, des piles et encore des piles ! Fabriquées à partir de quels matériaux, provenant d’où et produites de quelle façon ? Fabriquées par d’autres robots ? D’où vient l’énergie qui remplace non seulement les combustibles fossiles mais aussi l’effort physique humain ?

Lors de la dernière réunion de Davos, l’intellectuel israélien Yuval Harari a lancé un puissant avertissement :

« Alors que par le passé, les gens devaient lutter contre l’exploitation, au XXIème siècle, la véritable lutte d’envergure se fera contre l’insignifiance. […] Ceux qui échouent dans la lutte contre l’insignifiance formeront une nouvelle « classe inutile » – non pas du point de vue de leurs amis et de leur famille, mais inutile du point de vue du système économique et politique. Et cette classe inutile sera séparée de l’élite de plus en plus puissante par un fossé toujours plus large ».[1]

6 – Et enfin, parlons de l’armée

Nos prophètes de malheur du capitalisme prédisent l’effondrement partiel de l’aviation civile et de l’industrie du transport aérien, car les gens vont tous décider de rester chez eux, collés à leurs écrans. Mais ne vous en faites pas !

« Cela fait du secteur aérospatial de la défense une exception et un refuge relativement sûr ». Sûr pour l’investissement en capital, cela s’entend. Au lieu de vacances passées sur des plages ensoleillées, nous pouvons nous attendre à des guerres spatiales. Cela pourrait arriver bien plus tôt que prévu, car, comme le conclut la Brookings Institution dans un rapport de 2018 sur « la façon dont l’intelligence artificielle (IA) transforme le monde », tout va plus vite maintenant, y compris la guerre :

« L’analyse des Big Data associée à l’IA aura un impact profond sur l’analyse du renseignement, car de vastes quantités de données sont passées au crible en temps quasi réel […], ce qui permet aux chefs militaires et à leur état-major d’atteindre des niveaux d’analyse et de productivité sans précédent dans le domaine du renseignement. Les fonctions de commandement et de contrôle subiront un impact similaire, car les responsables humains délèguent certaines décisions de routine et, dans des circonstances particulières, des décisions clés à des plates-formes d’IA, ce qui réduit considérablement le temps nécessaire pour lier la décision à l’action qui en découle ».[2]

Donc, pas de danger qu’un officier au grand cœur hésite à déclencher la troisième guerre mondiale par attachement sentimental envers l’humanité. Si la plateforme IA considère que c’est une opportunité, on fonce !

« En fin de compte, la guerre n’est plus qu’une compétition sur le temps de réaction, dans lequel le camp le plus apte à décider rapidement et à passer le plus vite à l’action l’emportera pratiquement toujours. En effet, les systèmes de renseignement en intelligence artificielle, en liaison avec les systèmes de commandement et de contrôle assistés par l’IA, peuvent agir sur les supports décisionnels ainsi que sur la prise de décision en les faisant passer à une vitesse largement supérieure à celle des méthodes de guerre traditionnelles.

Ce processus sera si rapide, en particulier quand il sera couplé à des décisions automatiques de déploiement de systèmes d’armes autonomes dotées d’intelligence artificielle aux conséquences mortelles, qu’un nouveau terme a été spécifiquement créé pour désigner la vitesse à laquelle la guerre pourrait désormais être livrée : Hyperwar ».[3]

Les Américains ont le choix. Soit ils continuent à se chamailler à propos de futilités, soit ils se réveillent – se réveillent vraiment, reconnaissent la réalité planifiée pour ce qu’elle est et agissent en conséquence.

L’avenir sera déterminé, pour une partie considérable, par les choix en matière d’investissement. Non pas par des discours inconvenants et plutôt peu en recourant au vote électoral, mais essentiellement par les choix d’investissement.

Si le peuple veut reprendre le pouvoir, il doit réaffirmer son contrôle sur la façon dont le capital est investi et à quelles fins.

Et si le capital privé rechigne, il faudra le nationaliser. C’est la seule révolution possible – et c’est aussi le seul conservatisme, la seule façon de préserver des conditions de vie décentes. C’est en cela que consiste la véritable politique.

Notes :

https://www.weforum.org/agenda/2020/01/yuval-hararis-warning-davos-speech-future-predications/
https://www.brookings.edu/research/how-artificial-intelligence-is-transforming-the-world/
3 Op. cit.

Cet article a été publié [en anglais] à consortiumnews, le 24 novembre 2020.

* [À propos de l’auteur]

Diana Johnstone vit à Paris. Son dernier livre est «Circle in the Darkness: Memoirs of a World Watcher» (Mémoires d’un observateur du monde). Atlanta 2020. (ISBN 978-1-949762-13-6). Ell a également publié: «La Croisade des fous: Yougoslavie, première guerre de la mondialisation». Montreuil 2005. (ISBN 2841095339). «Hillary Clinton. La reine du chaos». Paris 2016. (ISBN 978-2-915854-85-5). Elle a écrit par ailleurs une préface et un commentaire aux mémoires de son père, Paul H. Johnstone, ancien analyste principal au sein du groupe Strategic Weapons Evaluation Group(WSEG) au Pentagone. Les mémoires ont été publiées sous le titre «From MAD to Madness. Inside Pentagon Nuclear Planning» en 2017.
Vous pouvez joindre Mme Johnstone à l’adresse électronique : diana.johnstone@wanadoo.fr


[Voir aussi : La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend]




Maria Zack : “Nous connaissons les personnes qui ont mis en place le logiciel de fraude”

[Source : Planetes360]

https://youtu.be/kQ13eOlkwhg



Nuremberg et ses idéaux oubliés : « la civilisation est la véritable partie plaignante »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir

Tribune : Jour après jour, décret après décret, nos droits inscrits dans la Constitution et dans les nombreuses conventions internationales signées depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, sont supprimés. La liberté de circuler est soumise à autorisation depuis plus de 10 mois, le droit de travailler aboli pour de nombreuses professions, l’obligation du port du masque est imposée depuis six mois, et le droit d’exprimer ses opinions limité chaque jour davantage[2] [3] [4] [5].

Le pouvoir mondialiste financier représenté chez nous par le président[6], fait appliquer les consignes dictées par l’organisme en cas de pandémie, comme dans la plupart des pays ayant signé l’accord avec l’OMS[7]. Il a suffi de déclarer une pandémie en janvier 2020 après en avoir modifié les critères, pour que la plupart des pays occidentaux obéissent à des directives pseudo-sanitaires liberticides comme le confinement policier, le masque, les faux tests PCR[8]et maintenant une vaccination expérimentale (aux dires même de Pfizer dans la rédaction de son essai publié sur clinicaltrials.gov)[9].

L’oubli de l’Histoire qu’ont instauré les pédagogues post-soixante huitards rend utile de rappeler les fondements de l’éthique médicale moderne que nos gouvernants piétinent allègrement.

Je fus un jour sidérée qu’un réanimateur pédiatrique, compétent par ailleurs, mais habitué à « AIDER » des petits patients handicapés à « partir » m’avoue ne pas connaitre le procès de Nuremberg, alors que je l’interpellais sur la « nouvelle mode » en oncologie pédiatrique depuis le début du siècle d’euthanasier les enfants considérés comme perdus[10].

Ce qui me choquait énormément, c’est que son raisonnement ignorait ou considérait sans intérêt le droit au choix de l’enfant et de ses parents. La médecine au service du malade que nous avions choisie comme vocation se transformait sous nos yeux ébahis en machine à essai thérapeutique et/ ou à décision individuelle du Dieu médecin.

A l’occasion de la cérémonie commémorative du 75ième anniversaire du procès de Nuremberg, début décembre nous avons souhaité en reparler. Les semaines passent, mais la situation s’aggrave, la dérive totalitaire s’imposant très vite, comme si nos dirigeants craignaient de ne plus avoir le temps…

Le procès de Nuremberg

« La véritable partie plaignante à la barre, c’est la civilisation », déclarait le procureur américain Robert Jackson, dans la salle d’audience 600 du tribunal, en présence de centaines de journalistes.

Alors que l’épidémie de covid ou pseudo-pandémie se meurt et n’a pas à ce jour fait plus de morts dans le monde que la grippe asiatique (2 millions de morts), la cérémonie commémorative du procès de Nuremberg s’est tenue à huis clos, sans public. Tout un symbole de lourde signification.

N’est -ce pas déjà un enterrement de première classe pour cet évènement, un des plus importants de l’histoire contemporaine que certains voudraient voir disparaitre des mémoires au nom du sempiternel ringardisation du passé. 

 Et pourtant la période troublée que nous vivons semble particulièrement bien choisie pour rappeler les bases éthiques de la civilisation que ce procès a énoncées et que nous sommes très nombreux, et singulièrement en Allemagne,[11] à vouloir consolider. La commission extraparlementaire corona fondée en juillet par les avocats Reiner Fuellmich et Viviane Fischer et al.[12] a d’emblée envisagé la mise en place à terme d’un Nuremberg du covid, et dans cette attente multiplie les plaintes contre les responsables de la mystification coronavirus, leurre pour détruire les fondements de la civilisation occidentale telle que nous la connaissions et l’apprécions.

Définition des crimes

 20 NOV 1945

Les accusés doivent répondre de complot, crimes de guerre, crimes contre la paix et, pour la première fois de l’histoire, de crimes contre l’humanité. Ceux-ci sont définis comme « l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout autre acte inhumain commis contre toute population civile, avant ou pendant la guerre, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux ».

 La notion de génocide ne sera, elle, reconnue dans le droit international qu’en 1948.[13] ce procès hors-norme qui s’est tenu dans une ville en ruines, mais dont le palais de justice relié à une prison était encore debout. Nuremberg, ancienne cité impériale, reste depuis la ville symbole du nazisme où Hitler tenait ses grands rassemblements et où ont été promulguées en 1935 les lois anti-juives.

Nuremberg sera le lieu de douze autres procès de responsables nazis (docteurs, ministres, militaires…). 

« Ce procès a marqué l’acte de naissance de la justice internationale, prolongée des décennies plus tard par la création de tribunaux pour juger des génocidaires rwandais ou des acteurs de la guerre en ex-Yougoslavie, puis par la mise en place de la Cour pénale internationale »

“Les idéaux de Nuremberg ont été oubliés »(france24.com)

Le 20 novembre 1945 s’ouvrait le procès de Nuremberg pour juger les responsables nazis. L’Américain Ben Ferencz fut procureur en chef du « plus grand procès de l’Histoire », et il a ensuite voué sa carrière à la création d’une cour pénale internationale.

L’extraordinaire histoire de Ben Ferencz 

À seulement 27 ans, Ben Ferencz doit rassembler les preuves qui permettront de soutenir l’accusation contre ces hommes et devient le plus jeune procureur en chef de Nuremberg directement chargé de l’un des procès spéciaux, celui de 22 membres des Einsatzgruppen, ces unités responsables du massacre de plus d’un million de civils dans les territoires occupés en Europe de l’Est.

Toute sa vie, Ben Ferencz a été hanté par la répétition d’un nouvel Holocauste, avocat engagé, militant inlassablement pour l’émergence d’une vraie justice internationale.

 Son vœu est enfin devenu réalité en 1998 avec la signature du Traité de Rome prévoyant la création de la Cour pénale internationale

 À 95 ans, toujours actif, il participe notamment à de nombreuses conférences sur la paixIl explique à France 24 que « la justice est toujours le seul moyen qui permettra à l’humanité de survivre dans les 70 prochaines années »

« Nuremberg a défini un modèle dans son ensemble. Ce qui a été réalisé était la meilleure solution : faire traduire en justice des individus responsables de crimes, de limiter le procès aux responsables et de traiter chacun équitablement sous le coup de la loi. Cela a permis de faire condamner ce qui était alors un droit national, c’est-à-dire le droit de partir en guerre quand on estime que ses intérêts nationaux sont menacés. Ce droit national s’est transformé en crime international.

Mais les guerres ont continué et les idéaux de Nuremberg, dont nous espérions qu’ils allaient influencer le reste du monde, ont été oubliés. Les États-Unis les ont eux-mêmes bafoués lorsqu’ils sont allés au Vietnam par exemple. Au lieu d’utiliser des moyens pacifiques, nous avons voulu atteindre nos objectifs par la force. Nous avons payé un prix très sévère en raison de cette erreur fatale. Nous continuons de le payer aujourd’hui. »  

 Il est très pessimiste sur le devenir de l’humanité :

 « À moins d’accepter le principe de régler les conflits pacifiquement, il n’y aura plus personne sur notre planète dans 70 ans.

La Terre sera une planète vide, comme des milliards dans l’espace. Notre capacité à tuer dépasse de loin notre capacité à créer des institutions nécessaires pour empêcher ces violences. Si nous ne changeons pas, non seulement notre manière de vivre et notre façon de penser, mais aussi les méthodes selon lesquelles nous réglons les conflits, il ne restera plus personne dans 70 ans.

Je regarderai alors en bas depuis le paradis, ou en haut depuis l’enfer ou de je ne sais où, et je dirai ‘Je vous l’avais dit’.

Le Procès des médecins ou Procès des docteurs et le programme AKTION T 4[14]

 Le procès touchant un corps social débute par celui des médecins allemands car il s’agit de la population professionnelle la plus nazifiée de l’Allemagne (plus de 50 % des médecins sont alors membres du parti nazi – SA et SS)[1].

20 des 23 accusés avaient été médecins, les trois autres étant fonctionnaires nazis. Plaidant non coupables ( car selon eux, ils agissaient au nom de la médecine de guerre), ils ont tous été accusés de plusieurs chefs : l’expérimentation médicale nazie, le Programme Aktion T4.

Les attendus du jugement, appelés improprement Code de Nuremberg, ont été à la base des principes positifs éthiques de l’expérimentation clinique, plus tard décrits dans la Déclaration d’Helsinki dont nous allons parler.

Parmi les accusés :

 Karl Brandt, autorité médicale suprême du IIIe Reich. Chargé notamment du programme Aktion T4, utilisé pour euthanasier les malades mentaux et les handicapés. Il est condamné à mort et exécuté le 2 juin 1948.

Karl Gebhardt, médecin de Heinrich Himmler et président de la Croix-Rouge allemande. Jugé pour avoir pratiqué des expériences sur les prisonniers des camps, spécialement les femmes de Ravensbrück. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Waldemar Hoven, médecin du camp de Buchenwald. Jugé pour avoir euthanasié massivement les déportés. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Joachim Mrugowsky, médecin et chef de l’Institut d’hygiène de la SS. Jugé pour expérimentation sur les prisonniers des camps. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Wolfram Sievers, dirigeant de l’Ahnenerbe. Jugé pour ses expériences mortelles sur des humains. Condamné à mort, il est exécuté le 2 juin 1948.

Herta Oberheuser, médecin qui participe à l’injection de sulfamide. Seule femme à être jugée, elle est condamnée à 20 ans de prison.

Gerhard Rose, médecin commettant des sévices sur ses patients, condamné à mort.

Sont acquittés  Kurt Blome, scientifique ayant testé des vaccins sur des prisonniers de camp de concentration. Jugé pour extermination de prisonniers malades et expériences conduites sur des êtres humains., Adolf Pokorny , dermatologue, accusé d’avoir coopéré avec les programmes de stérilisation, acquitté « pas à cause de, mais malgré sa défense » qui était d’avoir su que la méthode proposée par lui dans une lettre n’était valable.

Qu’est devenu le Tribunal ?

Le docteur canadien Donald Ewen Cameron, fut plus tard le premier président de l’association mondiale de psychiatrie, après avoir travaillé pour la CIA dans le projet d’expérimentations illégales MKULTRA.

Le rapport Green produit par le Pr Anrew Ivy devant le tribunal fut rédigé suite à un débat prévu auprès d’une commission scientifique internationale mais signé hâtivement par l’American Medical Association pour la circonstance alors que cette commission n’avait pas été réunie, cette turpitude fut soulevée par la défense des médecins allemands.

Le code de Nuremberg et l’AMM (World Medical Association)

sont nés de ce procès. La déclaration d’Helsinki énonce les principes élaborés à la suite du procès de Nuremberg appelés code de Nuremberg.

La Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains- a été adoptée par la 18e Assemblée générale de l’AMM, Helsinki, Finlande, Juin 1964 et amendée par les 29e Assemblée générale de l’AMM, Tokyo, Japon, Octobre 1975, 35e Assemblée générale de l’AMM, Venise, Italie, Octobre 1983,

Puis 41e Assemblée générale de l’AMM, Hong Kong, Septembre 1989

48e Assemblée générale de l’AMM, Somerset West, Afrique du Sud, Octobre 1996

52e Assemblée générale de l’AMM, Edimbourg, Ecosse, Octobre 2000

53e Assemblée générale de l’AMM, Washington DC, Etats Unis, Octobre 2002 (ajout d’une note de clarification)

55e Assemblée générale de l’AMM, Tokyo, Japon, Octobre 2004 (ajout d’une note de clarification)

59e Assemblée générale de l’AMM, Séoul, République de Corée, Octobre 2008

64e Assemblée générale de l’AMM, Fortaleza, Brésil, Octobre 2013

Qu’est- ce que la déclaration d’Helsinki ?  Un tout indissociable

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains, y compris la recherche sur du matériel biologique humain et sur des données identifiables.[15]

Citons ici les énoncés exacts de la déclaration d’Helsinki.

Chaque paragraphe doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents. Cette Déclaration s’adresse en priorité aux médecins, mais cependant les autres personnes engagées dans la recherche médicale impliquant des êtres humains à adopter ces principes.

Le serment d’Hippocrate a été remplacé par la déclaration de Genève. La déclaration de Genève a remplacé le serment d’Hippocrate, serment médical adopté par l’assemblée générale de l’Association médicale mondiale à Genève en septembre 1948. Elle a fait l’objet de 6 révisions, la dernière étant celle d’octobre 2017.

La mission du médecin est de promouvoir et de préserver la santé de l’être humain. Il exerce ce devoir dans la plénitude de son savoir et de sa conscience.

Cette déclaration s’attache spécifiquement à définir les objectifs humains de la médecine.

« la santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations » et le Code International d’Ethique Médicale déclare qu’un « médecin doit agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il le soigne ».

L’objectif premier de la recherche médicale impliquant des êtres humains :

comprendre les causes, le développement et les effets des maladies et d’améliorer les interventions préventives, diagnostiques et thérapeutiques (méthodes, procédures et traitements). Même les meilleures interventions éprouvées doivent être évaluées en permanence par des recherches portant sur leur sécurité, leur efficacité, leur pertinence, leur accessibilité et leur qualité.

La recherche médicale est soumise à des normes éthiques qui promeuvent et assurent le respect de tous les êtres humains et qui protègent leur santé et leurs droits.

Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’auto-détermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche.

La responsabilité de protéger les personnes impliquées dans la recherche doit toujours incomber à un médecin ou à un autre professionnel de santé et jamais aux personnes impliquées dans la recherche même si celles-ci ont donné leur consentement.

Dans la recherche médicale impliquant des êtres humains, les médecins doivent tenir compte des normes et standards éthiques, légaux et réglementaires applicables dans leur propre pays ainsi que des normes et standards internationaux.

Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement dans la mesure où elle se justifie par sa valeur potentielle en matière de prévention, de diagnostic ou de traitement et si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés.

Ce protocole devrait contenir une déclaration sur les enjeux éthiques en question et indiquer comment les principes de la présente Déclaration ont été pris en considération.

Le protocole devrait inclure des informations concernant le financement, les promoteurs, les affiliations institutionnelles, les conflits d’intérêts potentiels, les incitations pour les personnes impliquées dans la recherche et des informations concernant les mesures prévues pour soigner et/ou dédommager celles ayant subi un préjudice en raison de leur participation à la recherche.

Dans les essais cliniques, le protocole doit également mentionner les dispositions appropriées prévues pour l’accès à l’intervention testée après l’essai clinique. Dans la recherche médicale comme dans la pratique médicale courante, la mise en œuvre de la plupart des méthodes diagnostiques, thérapeutiques et de prévention expose à des risques et à des contraintes.

L’investigateur doit être attentif aux dispositions éthiques, légales et réglementaires applicables à la recherche sur les sujets humains dans son propre pays ainsi qu’aux règles internationales applicables. Aucune disposition nationale d’ordre éthique, légal et réglementaire ne doit conduire à affaiblir ou supprimer les mesures protectrices énoncées dans la présente déclaration.

Comités d’éthique de la recherche

Le protocole de recherche doit être soumis au comité d’éthique de la recherche concerné pour évaluation, commentaires, conseils et approbation avant que la recherche ne commence. Ce comité doit être transparent dans son fonctionnement, doit être indépendant du chercheur, du promoteur et de toute autre influence indue et doit être dûment qualifié. Il doit prendre en considération les lois et réglementations du ou des pays où se déroule la recherche, ainsi que les normes et standards internationaux, mais ceux-ci ne doivent pas permettre de restreindre ou exclure l’une des protections garanties par la présente Déclaration aux personnes impliquées dans la recherche.

  Le comité doit avoir un droit de suivi sur les recherches en cours. Le chercheur doit fournir au comité des informations sur le suivi, notamment concernant tout évènement indésirable grave. Aucune modification ne peut être apportée au protocole sans évaluation et approbation par le comité. A la fin de la recherche, les chercheurs doivent soumettre au comité un rapport final contenant un résumé des découvertes et des conclusions de celle-ci.

Vie privée et confidentialité

 Toutes les précautions doivent être prises pour protéger la vie privée et la confidentialité des informations personnelles concernant les personnes impliquées dans la recherche.

Consentement éclairé

La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

Les études sur l’être humain doivent être conduites par des personnes scientifiquement qualifiées et sous le contrôle d’un médecin compétent. La responsabilité à l’égard d’un sujet inclus dans une recherche doit toujours incomber à une personne médicalement qualifiée et non au sujet, même consentant.

Toute étude doit être précédée d’une évaluation soigneuse du rapport entre d’une part, les risques et les contraintes et d’autre part, les avantages prévisibles pour le sujet ou d’autres personnes. Cela n’empêche pas la participation à des recherches médicales de volontaires sains. Le plan de toutes les études doit être accessible.

La personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche doit être informé de son droit de refuser d’y participer ou de s’en retirer à tout moment sans mesure de rétorsion. Une attention particulière devrait être accordée aux besoins d’informations spécifiques de chaque personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche ainsi qu’aux méthodes adoptées pour fournir les informations.

Lorsque le médecin ou une autre personne qualifiée en la matière a la certitude que la personne concernée a compris les informations, il doit alors solliciter son consentement libre et éclairé, de préférence par écrit. Si le consentement ne peut pas être donné par écrit, le consentement non écrit doit être formellement documenté en présence d’un témoin.

Toutes les personnes impliquées dans des recherches médicales devraient avoir le choix d’être informées des conclusions générales et des résultats de celles-ci.

Lorsqu’il sollicite le consentement éclairé d’une personne pour sa participation à une recherche, le médecin doit être particulièrement attentif lorsque cette dernière est dans une relation de dépendance avec lui ou pourrait donner son consentement sous la contrainte. Dans ce cas, le consentement éclairé doit être sollicité par une personne qualifiée en la matière et complètement indépendante de cette relation.

Personnes incapables ou inconscientes

Lorsque la recherche implique une personne incapable de donner un consentement éclairé, le médecin doit solliciter le consentement éclairé de son représentant légal.

Les personnes incapables ne doivent pas être incluses dans une recherche qui n’a aucune chance de leur être bénéfique sauf si celle-ci vise à améliorer la santé du groupe qu’elles représentent, qu’elle ne peut pas être réalisée avec des personnes capables de donner un consentement éclairé et qu’elle ne comporte que des risques et des inconvénients minimes.

Lorsqu’une personne considérée comme incapable de donner un consentement éclairé est en mesure de donner son assentiment concernant sa participation à la recherche, le médecin doit solliciter cet assentiment en complément du consentement de son représentant légal.

Le refus de la personne pouvant potentiellement être impliquée dans la recherche devrait être respecté.   La recherche impliquant des personnes physiquement ou mentalement incapables de donner leur consentement, par exemple des patients inconscients, peut être menée uniquement si l’état physique ou mental empêchant de donner un consentement éclairé est une caractéristique nécessaire du groupe sur lequel porte cette recherche.

Dans de telles circonstances, le médecin doit solliciter le consentement éclairé du représentant légal. En l’absence d’un représentant légal et si la recherche ne peut pas être retardée, celle-ci peut être lancée sans le consentement éclairé. Dans ce cas, le protocole de recherche doit mentionner les raisons spécifiques d’impliquer des personnes dont l’état les rend incapables de donner leur consentement éclairé et la recherche doit être approuvée par le comité d’éthique de la recherche concerné. Le consentement pour maintenir la personne concernée dans la recherche doit, dès que possible, être obtenu de la personne elle-même ou de son représentant légal.

Lorsque le consentement ne peut être obtenu sous forme écrite, la procédure de recueil doit être formellement explicitée et reposer sur l’intervention de témoins.

Informations détaillées à fournir au participant

Le médecin doit fournir des informations complètes au patient sur la nature des soins liés à la recherche. Le refus d’un patient de participer à une recherche ou sa décision de s’en retirer ne doit jamais nuire à la relation patient-médecin.

Pour la recherche médicale utilisant des tissus ou des données d’origine humaine, telles que les recherches sur tissus et données contenues dans les biobanques ou des dépôts similaires, les médecins doivent solliciter le consentement éclairé pour leur analyse, stockage et/ou réutilisation. Il peut se présenter des situations exceptionnelles où il est impraticable, voire impossible d’obtenir le consentement. Dans de telles situations, la recherche peut être entreprise uniquement après évaluation et approbation du comité d’éthique de la recherche concerné.

Utilisation de placebo

Les bénéfices, les risques, les inconvénients, ainsi que l’efficacité d’une nouvelle intervention doivent être testés et comparés à ceux des meilleures interventions avérées, sauf dans les circonstances suivantes :

Lorsqu’il n’existe pas d’intervention avérée, l’utilisation de placebo, ou la non-intervention, est acceptable ; ou bien lorsque pour des raisons de méthodologie incontournables et scientifiquement fondées l’utilisation de toute intervention moins efficace que la meilleure éprouvée, l’utilisation d’un placebo, ou la non-intervention, est nécessaire afin de déterminer l’efficacité ou la sécurité d’une intervention, et lorsque les patients recevant une intervention moins efficace que la meilleure éprouvée, un placebo, ou une non-intervention, ne courent pas de risques supplémentaires de préjudices graves ou irréversibles du fait de n’avoir pas reçu la meilleure intervention éprouvée.

« Le plus grand soin doit être apporté afin d’éviter tout abus de cette option », dont on décèle immédiatement les dangers….

Conditions de l’accès à l’intervention testée après l’essai clinique

« En prévision d’un essai clinique, les promoteurs, les chercheurs et les gouvernements des pays d’accueil devraient prévoir des dispositions pour que tous les participants qui ont encore besoin d’une intervention identifiée comme bénéfique dans l’essai puissent y accéder après celui-ci.

Cette information doit également être communiquée aux participants au cours du processus de consentement éclairé. »

Enregistrement des recherches, publication et dissémination des résultats

Toute recherche impliquant des êtres humains doit être enregistrée dans une banque de données accessible au public avant que ne soit recrutée la première personne impliquée dans la recherche.

   Les chercheurs, auteurs, promoteurs, rédacteurs et éditeurs ont tous des obligations éthiques concernant la publication et la dissémination des résultats de la recherche. Les chercheurs ont le devoir de mettre à la disposition du public les résultats de leurs recherches impliquant des êtres humains. Toutes les parties ont la responsabilité de fournir des rapports complets et précis. Ils devraient se conformer aux directives acceptées en matière d’éthique pour la rédaction de rapports. Les résultats aussi bien négatifs et non concluants que positifs doivent être publiés ou rendus publics par un autre moyen. La publication doit mentionner les sources de financement, les affiliations institutionnelles et les conflits d’intérêts. Les rapports de recherche non-conformes aux principes de la présente Déclaration ne devraient pas être acceptés pour publication.

Principes applicables à la recherche médicale conduite au cours d’un traitement

Dans le cadre du traitement d’un patient, faute d’interventions avérées ou faute d’efficacité de ces interventions, le médecin, après avoir sollicité les conseils d’experts et avec le consentement éclairé du patient ou de son représentant légal, peut recourir à une intervention non avérée si, selon son appréciation professionnelle, elle offre une chance de sauver la vie, rétablir la santé ou alléger les souffrances du patient.

Cette intervention devrait par la suite faire l’objet d’une recherche pour en évaluer la sécurité et l’efficacité. Dans tous les cas, les nouvelles informations doivent être enregistrées et, le cas échéant, rendues publiques.

Le médecin ne peut mener une recherche médicale au cours d’un traitement que dans la mesure où cette recherche est justifiée par un possible intérêt diagnostique, thérapeutique ou de prévention. Quand la recherche est associée à des soins médicaux, les patients se prêtant à la recherche doivent bénéficier de règles supplémentaires de protection.

Les avantages, les risques, les contraintes et l’efficacité d’une nouvelle méthode doivent être évalués par comparaison avec les meilleures méthodes diagnostiques, thérapeutiques ou de prévention en usage. Cela n’exclut ni le recours au placebo ni l’absence d’intervention dans les études pour lesquelles il n’existe pas de méthode diagnostique, thérapeutique ou de prévention éprouvée.

Tous les patients ayant participé à une étude doivent être assurés de bénéficier à son terme des moyens diagnostiques, thérapeutiques et de prévention dont l’étude aura montré la supériorité. (Note explicative)

Le médecin doit donner au patient une information complète sur les aspects des soins qui sont liés à des dispositions particulières du protocole de recherche. Le refus d’un patient de participer à une étude ne devra en aucun cas porter atteinte aux relations que le médecin entretient avec ce patient.

Lorsqu’au cours d’un traitement, les méthodes établies de prévention, de diagnostic ou de thérapeutique s’avèrent inexistantes ou insuffisamment efficaces, le médecin, avec le consentement éclairé du patient, doit pouvoir recourir à des méthodes non éprouvées ou nouvelles s’il juge que celles-ci offrent un espoir de sauver la vie, de rétablir la santé ou de soulager les souffrances du malade. Ces mesures doivent, dans toute la mesure du possible, faire l’objet d’une recherche destinée à évaluer leur sécurité et leur efficacité. Toute nouvelle information sera consignée et, le cas échéant, publiée. Les autres recommandations appropriées énoncées dans la présente déclaration s’appliquent.

En conclusion, ces rappels de conventions signées par la France et la grande majorité des pays devraient être lus et relus soigneusement par chacun d’entre nous, et particulièrement si nous sommes amenés à autoriser une recherche chez une autre personne comme un ainé en EHPAD, un enfant amené à être inclus dans un essai thérapeutique pour un cancer, ou encore un parent comateux en réanimation incapable de donner un consentement.

Des décisions lourdes qui entacheront le reste de votre vie et pas seulement celle du patient concerné. Comme les familles qui ont donné accord à l’euthanasie d’un proche, dans un moment de détresse et donc de faiblesse et qui ne s’en remettent jamais….

Bref, certains résidents d’EHPAD auraient reçu un document d’une cinquantaine de pages avant accord pour essai du vaccin expérimental Pfizer (selon les termes du laboratoire dans sa présentation sur  le site officiel américain clinicaltrials.gov). Tant mieux ! Et qu’ils les lisent ou au moins leurs proches ! Arrêtons, dans la foulée de certains ministres de prendre les résidents d ‘Ehpad pour des débiles. Même si certains souffrent de démence sénile, d’autres ont choisi ces établissements pour ne pas vivre seuls et être aidés dans leurs activités motrices. Ils ne savaient pas ce que certains d’entre eux allaient endurer, en particulier de perdre leurs droits de citoyens. Le chantage que certains subissent pour accepter le vaccin anticovid est inacceptable : si vous refusez la piqûre, vous resterez isolé dans votre chambre, privé des activités collectives et des visites de vos proches.[16]

 La longueur du document a fait curieusement  rire des commentateurs des médias,  un peu trop rapidement. Je leur conseille de se plonger dans le code de Nuremberg, ou s’ils préfèrent, le livre de Bruno Halioua sur le procès des médecins de Nuremberg ou encore « la resistible ascension d’ Arturo-UI de Bertold Brecht[17].

Il est des tragédies dont il faut garder souvenir pour tenter d’éviter, ou au moins minorer les malheurs à venir.   

 « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde. »[18]

[Notes]

[1] Il y a 75 ans, s’ouvrait à Nuremberg le plus grand procès de l’histoire (france24.com)

[2] C’est ainsi que certains médecins sont poursuivis par l’ordre pour avoir émis des opinions qui déplaisent au pouvoir

[3] Qu’une radio (RMC) est condamnée par le CSA pour n’avoir pas appliqué l’« obligation de maîtrise de l’antenne » face à un médecin qui rappelait que l ’efficacité de la chloroquine contre le covid était démontrée, ce que vient pourtant de confirmer la plus haute juridiction Italienne

[4] Que certains journaux sont menacés de perdre le statut de presse s’ils continuent de critiquer le dogme officiel

[5] [VIDEO] Debriefing Me Ludot : Dr Delepine, son référé sur la liberté d’expression des médecins (francesoir.fr)

[6] Comme au Canada par le premier ministre

[7] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)

[8] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – Docteur Delépine (nicoledelepine.fr) ; recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[9] Vaccin génique : essai thérapeutique à grande échelle, vous êtes le cobaye (francesoir.fr)

[10] Cf ma conférence à l’institut Bull en 2013 euthanasie pédiatrie – Bing

[11] Très marqués par le passé allemand de leurs grands-parents et le poids du nazisme qu’ils portent encore sur leurs épaules. Les allemands de l’est ont eux connus les affres de la dictature et de l’interdiction de parler, même à voix basse ou/et à son voisin et ne veulent à aucun prix revivre quelque chose qui y ressemblerait. De nombreux témoignages d’allemands en guerre contre la fraude covid nous sont parvenus.

[12] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[13] Il y a 75 ans, s’ouvrait à Nuremberg le plus grand procès de l’histoire Publié le : 20/11/2020

[14] Officiellement (The United States of America v. Karl Brandt, et al.) l’été le premier des douze procès pour crimes de guerre fait par les autorités américaines dans leur zone d’occupation en Allemagne, à Nuremberg, après la fin de la Seconde Guerre mondiale

[15] Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains – WMA – The World Medical Association

[16] Ce qui prouve que personne ne pense que les vaccinés seraient totalement protégés car sinon pourquoi éloigner les non vaccinés ?

[17] Une pièce qui démonte les mécanismes de la montée du totalitarisme, et dont le personnage central Arturo Ui s’inspire à la fois de l’ascension d’Hitler et de Richard III. Profitant du déclin du Trust du Chou-Fleur, ce petit gangster crevant d’ambition, propose aux marchands de légumes victimes du racket un nouveau système de protection…La Résistible Ascension d’Arturo Ui de Bertold Brecht : tirade d’Arturo Ui | La Compagnie Affable

[18] In 17

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir




MAL TRAITÉS, le documentaire qui dérange Big Pharma et ses affidés

[Source : Les 7 du Québec]

Mal traités, la suite de Hold-Up, un documentaire choc.

Lien vers le documentaire : https://maltraites-ledoc.com/




Trump s’élève contre les violences qui ont eu lieu au Capitole et mentionne la transition le 20 janvier

[Source : @TeamTrump – Team Trump (parler.com)]




Me Ludot, avocat du Dr Delépine : liberté d’expression des médecins devant le Conseil d’État

[Source : FranceSoir]

Le Dr Nicole Delépine a été très active sur les réseaux sociaux et dans les médias. Elle a fait l’objet d’une plainte ordinale par l’ordre national des médecins pour les propos qu’elle a tenus. Plusieurs de ses confrères ont fait l’objet des mêmes poursuites disciplinaires : le Professeur Raoult, le Pr Perronne notamment. Son avocat Me Ludot nous présente le référé-liberté déposé ce lundi pour le compte du Dr Delépine devant le Conseil d’État qui devrait être normalement statué sous 48 heures. La liberté d’expression des médecins.

https://youtu.be/ofWdUMcrxiU



Qui était derrière les événements du Capitole ? MàJ2

[Source : Nicolas Bonnal]

Énième False Flag. Soulèvement d’ailleurs bien toléré des soi-disant pro-Trump expliqué aux moins nuls : « on soupçonne de plus en plus que la prise d’assaut du Capitole a été initiée par des provocateurs de gauche. Une photo a émergé de l’individu «Viking» qui a mené l’action d’assaut aujourd’hui. Cette même personne – portant la même tenue et une peinture faciale presque identique – aurait également été aperçue lors d’un rassemblement BLM plus tôt cette année… Étant donné que les gauchistes ont truqué tout le reste – les médias, la Big Tech, les élections, l’histoire des États-Unis, etc. – personne ne serait surpris s’ils truquaient également les événements au Capitole. » Twitter et Facebook censurent et même ferment les comptes du Donald. Ce dernier est dégagé…

https://www.zerohedge.com/political/its-over-trump-promises-orderly-transition-jan-20-after-biden-win-certified

Natural News ) La prise d’assaut du Capitole américain aujourd’hui [Le 6 janvier] est maintenant lancée par les médias de gauche pour diaboliser les partisans de Trump en tant que terroristes violents. Pourtant, les mêmes médias ont décrit la violence Antifa / BLM comme «principalement pacifique», même lorsque ces acteurs de gauche lançaient des cocktails Molotov et brandissaient des lasers aveuglants contre les forces de l’ordre.

Aujourd’hui, on soupçonne de plus en plus que la prise d’assaut du Capitole ait été initiée par des provocateurs de gauche. Une photo a émergé de l’individu «Viking» qui a mené l’action d’assaut aujourd’hui (montré sur le côté droit de la photo ci-dessous). Cette même personne – portant la même tenue et une peinture faciale presque identique – aurait également été aperçue lors d’un rassemblement BLM plus tôt cette année.

Notez les tatouages, les poils du visage et le costume identiques:

[NdNM : Cet individu est apparemment Jake Angeli, un acteur américain qui est présenté par ailleurs comme un supporter de Trump. Voir Jake Angeli: Horned man who stormed the Capitol is actor and hardcore Trumpist (news.com.au).
2e MàJ : Jake Angeli a été photographié en compagnie du gendre de Nancy Pelosi, celle qui a lancé la procédure de destitution contre le Président Trump. Est-ce purement fortuit ou l’indication d’un double jeu ?

]

Un dépliant est également apparu qui appelle Antifa à se déguiser en supporters de MAGA afin de se faire passer pour eux tout en incitant à la violence:

La seule violence commise aujourd’hui a été la fusillade de la police du Capitole et aurait tué une partisane non armée de Trump qui a reçu une balle dans le cou.

C’est la police, en d’autres termes, qui commet la violence, pas les partisans de Trump.

Tout cela soulève la question : la prise d’assaut du bâtiment du Capitole était-elle un acte d’instigateurs de gauche rémunérés qui tentaient de présenter les partisans de Trump comme violents?

Étant donné que les gauchistes ont truqué tout le reste – les médias, la Big Tech, les élections, l’histoire des États-Unis, etc. – personne ne serait surpris s’ils truquaient également les événements au Capitole.

https://www.naturalnews.com/2021-01-06-staged-viking-who-stormed-capitol-building-blm.html

https://www.zerohedge.com/political/twitter-begins-deleting-trumps-tweets-joining-facebook-scrubbing-president

Trahison de Mike Pence : une ombre totalitaire plane sur les Etats-Unis




Le coup d’État du Capitole ?

[Source : La Croix du Sud]

[Voir aussi : Qui était derrière les événements du Capitole ?]

https://youtu.be/RmEuxSjAhQM

Photo des manifestants : PHOTOS: Mob Of Far-Right Trump Supporters Breach U.S Capitol Building | WBUR News

PHOTOS: Mob Of Far-Right Trump Supporters Breach U.S Capitol Building

[Une foule de partisans d’extrême droite de Trump pénètre de force dans le Capitole américain]

Members of the National Guard assist police officers in dispersing protesters who are gathering at the U.S. Capitol Building.(Tasos Katopodis/Getty Images)
Members of the National Guard assist police officers in dispersing protesters who are gathering at the U.S. Capitol Building.(Tasos Katopodis/Getty Images)
A pro-Trump mob breaks into the U.S. Capitol. (Win McNamee/Getty Images)
A pro-Trump mob breaks into the U.S. Capitol. (Win McNamee/Getty Images)
A protester takes a photo with police officers in riot gear dispersing protesters gathering at the U.S. Capitol Building. (Tasos Katopodis/Getty Images)
A protester takes a photo with police officers in riot gear dispersing protesters gathering at the U.S. Capitol Building. (Tasos Katopodis/Getty Images)
With the U.S. Capitol in the background, lights from police vehicles illuminate Pennsylvania Avenue. (Carolyn Kaster/AP)
With the U.S. Capitol in the background, lights from police vehicles illuminate Pennsylvania Avenue. (Carolyn Kaster/AP)
People are seen in the House gallery as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
People are seen in the House gallery as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
Trump supporters gathered in the nation's capital Wednesday to protest the ratification of President-elect Joe Biden's Electoral College victory over President Trump in the 2020 election. A group of Republican senators said they would reject the Electoral College votes of several states unless Congress appointed a commission to audit the election results. (Samuel Corum/Getty Images)
Trump supporters gathered in the nation’s capital Wednesday to protest the ratification of President-elect Joe Biden’s Electoral College victory over President Trump in the 2020 election. A group of Republican senators said they would reject the Electoral College votes of several states unless Congress appointed a commission to audit the election results. (Samuel Corum/Getty Images)
Demonstrators breached security and entered the Capitol. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
Demonstrators breached security and entered the Capitol. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
A U.S. Capitol police officer wears a gas mask as supporters of US President Donald Trump enter the Capitol on Jan. 6, 2021, in Washington, D.C. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
A U.S. Capitol police officer wears a gas mask as supporters of US President Donald Trump enter the Capitol on Jan. 6, 2021, in Washington, D.C. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
Supporters of U.S. President Donald Trump enter the U.S. Capitol's Rotunda. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
Supporters of U.S. President Donald Trump enter the U.S. Capitol’s Rotunda. (Saul Loeb/AFP via Getty Images)
(Saul Loeb/AFP via Getty Images)
(Saul Loeb/AFP via Getty Images)
(Saul Loeb/AFP via Getty Images)
(Saul Loeb/AFP via Getty Images)
Supporters of President Donald Trump gather outside the Capitol's Rotunda. (Olivier Douliery/AFP via Getty Images)
Supporters of President Donald Trump gather outside the Capitol’s Rotunda. (Olivier Douliery/AFP via Getty Images)
Capitol police officers point their guns at a door that was vandalized in the House Chamber during a joint session of Congress on Wednesday. (Drew Angerer/Getty Images)
Capitol police officers point their guns at a door that was vandalized in the House Chamber during a joint session of Congress on Wednesday. (Drew Angerer/Getty Images)
A protester is seen hanging from the balcony in the Senate Chamber. (Win McNamee/Getty Images)
A protester is seen hanging from the balcony in the Senate Chamber. (Win McNamee/Getty Images)
Trump supporters try to break through a police barrier at the Capitol in Washington. (Julio Cortez/AP)
Trump supporters try to break through a police barrier at the Capitol in Washington. (Julio Cortez/AP)
People run in the halls as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
People run in the halls as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
People shelter in the House gallery as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
People shelter in the House gallery as protesters try to break into the House Chamber. (Andrew Harnik/AP)
Security barricades the door of the House chamber as protesters try to break in to the joint session of Congress certifying the Electoral College vote on Wednesday. (Tom Williams/CQ-Roll Call, Inc via Getty Images)
Security barricades the door of the House chamber as protesters try to break in to the joint session of Congress certifying the Electoral College vote on Wednesday. (Tom Williams/CQ-Roll Call, Inc via Getty Images)

This article was originally published on January 06, 2021.


Trump appelle au calme :

GreenLife sur Twitter : « Appel au calme de D Trump censuré par twitter et FB. Partagez en masse 🙏 https://t.co/mJAFPsCjnV » / Twitter :

https://twitter.com/GreenLi82716253/status/1347065539554914314

Le manifestant à cornes :

𝗯𝗿𝘂𝗻𝗼lp #MakeFranceGreatAgain #MAGA sur Twitter : « Partagé par @fcristian11, un document qui confirme que ce sont des antifas qui se sont infiltrés parmi les partisans de Trump pour semer le désordre https://t.co/818cCkGRIO » / Twitter


La reconnaissance faciale montre l’intrusion des antifas :

This story is no longer available – Washington Times (https://www.washingtontimes.com/news/2021/jan/6/xrvision-firm-cl/)


La police laisse entrer les manifestants :

katie sur Twitter : « the police opened the fucking gates. https://t.co/HyDURXfoaB » / Twitter


Prise de parole d’Emmanuel Macron :

Emmanuel Macron sur Twitter : « We believe in democracy. #WeAreOne https://t.co/dj3hs66KKn » / Twitter


BFM sur le sujet :

Nancy Pelosi dénonce « une attaque honteuse portée à la démocratie » après l’intrusion des pro-Trump dans le Capitole

Dans la nuit de mercredi à jeudi, des militants pro-Trump ont envahi le Capitole, se frayant unchemin jusqu’à la Chambre des représentants. La situation est depuis sous contrôle. En rouvrant la séance pour valider l’élection de Joe Biden et Kamala Harris, la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a dénoncé « une attaque honteuse portée à la démocratie ». « À ceux qui se sont efforcés de nous arracher à nos responsabilités, vous avez échoué », a-t-elle lancé.


Article neutre [?] sur le sujet :

Les derniers saccages de Donald Trump (lemonde.fr)




Game over pour Trump ?

[Source : Cactus]

En gros :

« Je sais et je comprends votre douleur. Nous avons eu une élection qui nous a été volée. C’était une large victoire. Tout le monde le sait, même nos adversaires le savent, mais vous devez rentrer chez vous maintenant pour avoir la paix. Nous devons respecter la police et nous ne voulons pas de blessés. C’est assez difficile comme cela. Nous n’avons jamais vu une telle chose pour gagner une élection, car c’était une élection frauduleuse. Mais nous ne devons pas tomber dans leur piège. Nous devons être en paix. Rentrez chez vous. Nous vous aimons. Vous avez vu ce qu’il s’est passé et comment vous avez été traités. Ce sont des personnes diaboliques et je sais ce que vous ressentez, mais rentrez en paix chez vous. »

Trump [traduction révisée].

Les tweets de D. Trump sont maintenant bloqués. Nous avons eu le temps de sauvegarder la vidéo, impossible à partager.




Pandémie mondiale : un scénario de longue date ?

Traduction: Jeanne Traduction




Est-ce la fin de la Saga Biden-Trump? Avec Charles Gave, Président de l’institut des libertés

[Source : Sud Radio]




Élections US : dernière ligne droite ?

[Source : FranceSoir]

Auteur : Elisabeth Dancet

Alors qu’une majorité d’Occidentaux se sont rassemblés en petit comité pour célébrer les fêtes de fin d’année malgré la crise sanitaire, certains ont continué de travailler d’arrache-pied pendant ce qui fut appelé, à une autre époque, la trêve des confiseurs.

Nous avons évoqué dans notre dernier article trois possibilités d’actions pour révéler les fraudes massives intervenues durant les élections présidentielles du 3 novembre dernier.

Ces trois voies se déroulent activement, sans que personne ne puisse dire lesquelles se démarqueront à partir du 6 janvier et dans les jours qui vont suivre. A cette date, le Congrès se réunit pour faire le décompte final des votes des grands électeurs. Étant donné les multiples fraudes intervenues dans les États clés, cette session risque d’être houleuse et d’entrainer de nombreux débats, preuves à l’appui. Plus de soixante élus fédéraux, membres du congrès et sénateurs, se sont positionnés à ce jour pour objecter comme la Constitution leur en donne le droit, lors de la session parlementaire du 6 janvier. Le républicain Josh Hawley a été le premier à ouvrir le feu le 30 décembre. « Je ne peux pas voter pour certifier les résultats du collège électoral le 6 janvier sans évoquer le fait que certains États, en particulier la Pennsylvanie, n’ont pas suivi leur propre législation pour le déroulement de ces élections », a affirmé le sénateur du Missouri.

Le 2 janvier, le sénateur républicain Ted Cruz appuyé par 10 autres sénateurs a publié une déclaration conjointe. Dans cette déclaration, les sénateurs affirment leur volonté d’objecter au décompte des voix du collège électoral et exigent un audit officiel pour s’assurer de l’intégrité du processus électoral. « Le Congrès devrait immédiatement nommer une commission électorale, dotée d’une autorité d’enquête indépendante et complète, pour effectuer un audit d’urgence de 10 jours des résultats des élections dans les États contestés » ont insisté ces sénateurs.

La première voie concerne les juridictions des États clés. Selon la loi du décompte électoral de 1887, les législateurs des États ont tous pouvoirs pour compter et valider les votes de leurs citoyens. Rappelons que sept États ont déposé des listes de votes alternatifs pour Trump lors du vote du collège électoral le 14 décembre.

En Arizona, excédés par la passivité des élus face à la montagne d’évidences présentées lors des auditions publiques, les Américains eux-mêmes se sont portés volontaires et ont décidé de recompter les votes. Républicains, démocrates et indépendants, « We the People » ont voulu en avoir le cœur net. Sous l’impulsion de Liz Harris, candidate républicaine au congrès, ils ont réexaminé la base des données électorales de l’État. Ce qu’ils ont trouvé est édifiant et confirme les nombreux témoignages sous serment. Dans leurs échantillons d’électeurs de 67 comtés, ils ont découvert que 15 000 personnes au moins ont voté alors qu’elles n’habitent pas l’État, ont disparu ou sont décédées. Le mathématicien Bobby Pitton, qui a déjà présenté ses analyses statistiques lors des auditions publiques du 30 novembre, a calculé qu’au moins 160 000 votes sont illégaux dans l‘État. La différence affichée entre les deux candidats est de 10 377 voix ! La pression exercée sur les élus par le peuple est forte et il va être difficile de valider les votes pour Biden, alors que Trump a gagné.

En Géorgie où les élus se sont enfin décidés sous la pression populaire, à rouvrir des auditions publiques le 30 décembre, il s’est passé deux événements extraordinaires. Jovan Pulitzer inventeur et expert de l’internet, a effectué en direct avec son équipe un piratage à distance d’une des machines Dominion du comté de Fulton face aux sénateurs de l’État médusés ! Ces machines sont supposées ne pas être connectées à Internet. Or l’une d’entre elles était en train d’envoyer des données et d’en recevoir, démontrant la capacité de CHANGER les résultats en temps réel, d’envoyer de faux bulletins, d’affecter une fraction prédéterminée à chaque candidat… Ce témoignage en live, preuve des mensonges avérés des fabricants des machines DVS, a été corroboré par une autre analyse précise des historiques des votes par des spécialistes des data dont Dave Lobue, expert en fraude financière. Dans le comté de Dodge, ces experts ont identifié 17 218 votes soustraits en un instant du total des votes pour Trump et ajoutés à Biden. Ce switch a été effectué en 8 minutes dans la nuit du 3 au 4 novembre, entre deux envois informatiques des données à l’État pour publication. Ces procédés peuvent passer inaperçus sans l’analyse historique des transactions. Dans le comté de Dougherty, 17 650 voix pour Trump ont simplement disparu, quand le différentiel attribué à Joe Biden pour l’État de Géorgie est de 11 779 voix ! Statistiquement, l’équipe a aussi prouvé que les votes pour Trump ont été décrémentés dans plusieurs comtés, et que cette manœuvre a été répétée plusieurs fois. Leur conclusion est sans appel : il est impossible de certifier les résultats des élections en Géorgie car Trump a gagné.

En Pennsylvanie, les membres du Congrès se sont enfin décidés à déclarer que leurs élections étaient inconstitutionnelles. On se souvient des irrégularités et fraudes massives identifiées dans cet État. Sur le plan constitutionnel, les irrégularités ont été reconnues officiellement par 10 membres du congrès sous la houlette de Dan Meuser. Cette déclaration a été publiée sur le site de la législature de l’État : « tant que ces pratiques illégales n’auront pas été reconnues et corrigées, il nous est impossible de reconnaitre le vote des grands électeurs car il est basé sur un nombre total de votes erroné. »

En récupérant les résultats effectifs de ces trois États seulement – sur les 7 qui sont contestés – Trump obtient 47 votes de grands électeurs et dépasse aisément la barre des 270 votes nécessaires pour remporter les élections, alors que la situation est tout aussi biaisée au Michigan, dans le Wisconsin et au Nevada.

Ceci nous conduit à la deuxième voie : le rôle du Sénat et celui de son président Mike Pence. Les experts en droit constitutionnel s’affrontent sur les possibilités d’action du vice-président qui va présider la réunion du 6 janvier. Les votes de chaque État seront examinés par ordre alphabétique. Face à chaque objection, les chambres se réunissent chacune de leur côté pour en débattre. Le Congrès, à majorité démocrate, ne validera pas les objections. Le Sénat peut-être, même si certains républicains ont déjà entériné la victoire de Biden. Certains constitutionnalistes affirment que selon le 12ème amendement de la Constitution, le président du Sénat a les pleins pouvoirs pour choisir la liste des votes alternatifs, aux vues des preuves qui lui sont présentées. Le rôle de Pence, qui a salué le choix des élus résolus à challenger les votes, sera déterminant et créera peut-être un précédent.

Comme la loi de décompte des voix de 1887 donne les pleins pouvoirs aux législatures des États, ils doivent – selon l’article 2 – dé-certifier les votes pour valider les listes alternatives. Ce conflit légal potentiel pourrait remonter à la Cour suprême, restée très en retrait jusqu’à ce jour, alors qu’elle a enregistré des dizaines de plaintes à propos des élections, y compris la dernière en date émise par Donald Trump contre l’État du Wisconsin déposée le 30 décembre…

La troisième voie est encore plus d’actualité qu’avant Noël : le président Trump peut mettre en action son ordre exécutif du 12 septembre 2018 en cas d’interférence étrangère dans le déroulement des élections. L’avocate Sidney Powell a été reçue le 19 décembre à la Maison Blanche pour évoquer avec le Président sa nomination éventuelle en tant que conseiller spécial à propos des fraudes électorales. La réunion à laquelle assistait également le général Flynn, a fait l’objet de commentaires virulents des participants, outrés par l’attitude défaitiste des conseillers de Trump. Si on attend toujours le rapport du DNI (Director of National Intelligence) John Ratcliffe sur l’interférence étrangère de la Chine, de l’Iran et de la Russie dans ces élections, Sidney Powell a de son côté consigné les preuves et témoignages sous serment accumulés sur le sujet dans un rapport de 270 pages. Ce rapport contient aussi des documents du FBI et de la CIA démontrant le piratage des machines DVS par des hackers de Russie et d’Iran, et leur utilisation au Venezuela. Le rapport a été rendu public et mis en ligne sur le site de l’avocate le 22 décembre.

Malgré les nombreuses restrictions annoncées à Washington – sous prétexte de covid ou à cause des fraudes – fermeture des bars, des restaurants et des hôtels, les patriots du mouvement #StoptheSteal (#ArrêtezLeVol) s’organisent pour un grand rassemblement dans la capitale le 6 janvier. Plus d’un million de personnes sont attendues, et les grands médias se taisent : pourquoi ? Malgré cette censure digne du régime chinois, les Américains sont décidés à ne pas laisser passer les résultats frauduleux de ces élections.  

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir




Claire Edouards, retraitée de l’ONU, balance tout sur le plan élitiste et génocidaire Covid-19 + 5G + vaccins

[Source : Pro Fide Catholica via Qactus]

Cette Dame s’appelle CLAIRE EDWARDS, elle a travaillé à l’O.N.U. et dénonce ce qu’elle a pu constater de la mise en œuvre du PLAN EUGÉNISTE contre LES PEUPLES par LE COVID-19.

Claire Edwards membre de l’ONU en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Elle cite tous les noms des responsables de cette mascarade Covid-19.

Depuis mai 2018, Claire Edwards collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace. (www.5gspaceappeal.org).

Elle explique très clairement que les personnes ne sont pas « malades du COVID-19 », MAIS elles sont impactées par les symptômes des EXPOSITIONS AUX RADIATIONS ÉLECTRO-MAGNÉTIQUES 5G (Exposure to Electromagnetic Radiation = EMR)

Elle cite « LA FINE ÉQUIPE » en charge de ce GÉNOCIDE.

La vidéo de cette Dame a été, bien évidemment, censurée sur You Yube.

Elle n’est active que sur ODYSEE.

La traduction en Français a été réalisée.

Bonne écoute à vous tous.

En téléchargement :

https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/Claire-Edwards-d%C3%A9nonce-le-g%C3%A9nocide-du-Covid—vid%C3%A9o-censur%C3%A9e-sur-YouTube/46164c7499c90a9f54ec9eb7b00d6b81c24bc698/2a1faf

Ou

https://t.co/k08duHELtr?amp=1


[Voir aussi sur le blogue Nouveau Monde de nombreux articles et éléments de preuves sur ces questions :

Et notamment :




La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend

[Source : Les Observateurs]

Les Observateurs

Cenator : La RTS donne la parole à Patrick Artus, un grand pape du Great Reset. Un vrai pikettiste, un économiste de gauche mondialiste, dans la ligne du WEF. 

À notre avis, les pays qui vont se sortir de cette crise ne sont surtout pas ceux qui verseront dans l’assistanat ni dans le revenu universel (le fameux oreiller de paresse, l’expression qui a déclenché l’attaque de la meute contre Guy Parmelin). Ce sont au contraire ceux qui vont se retrousser les manches et adopter le slogan d’Orban : Nous allons créer autant d’entreprises qu’il en a été détruit et fournir l’aide indispensable au redémarrage.

Dans le « nouveau capitalisme » prôné par Artus, l’État « sauve » tout le monde, même les entreprises qui auraient dû faire faillite et qui vont vivoter grâce à l’aide. Ce sauvetage artificiel par la planche à billets instaure en réalité une économie communiste à la soviétique, où les entreprises non viables sont maintenues à flot par les subventions. 

Lors du premier confinement, quand nous ignorions tout du virus et manquions même de désinfectant, des restrictions limitées avaient encore un certain sens, pour un court temps de réorganisation. Par contre, le deuxième confinement est clairement irrationnel et suicidaire et il utilise la pandémie comme prétexte pour établir un nouveau modèle sociétal.
La mise en place du Great Reset apparaît toujours plus évidente, et la pandémie en devient même l’instrument, au lieu qu’il ne soit qu’une 
conséquence de celle-ci.

Un capitalisme sur des bases saines et durables signifie pour Artus plus de collaboration internationale, de façon qu’aucun pays ne sombre dans la crise. Et par aucun pays, Artus, en bon globaliste, entend toute la planète Terre au sens des élites du WEF. 

Le véritable bilan de la situation européenne actuelle, c’est que sa civilisation est à l’agonie. Le marxisme culturel a vaincu la liberté de parole, détruit la liberté académique, imposé la pensée unique à ses médias, à son enseignement ; il a imposé à la population occidentale un sentiment de culpabilité, il a sali son histoire, déformé, piétiné ses traditions, les fondements de sa civilisation, il lui a imposé le multiculturalisme, il a organisé l’invasion par des populations incompatibles.

A présent, après que nos cerveaux ont été « nourris » de la maternelle jusqu’au tombeau par l’idéologie progressiste, nous serions redevables à l’État pour tout le reste (nourriture, logement, transports…) ?

Car après que les gouvernements successifs ont laissé venir en Europe occidentale un mélange de populations étrangères tel que l’histoire de l’humanité n’en a jamais connu, et vu qu’une grandpartie de cette population est inemployable, il faut bien prévoir de quoi l’entretenir – d’autant plus maintenant que la quatrième révolution industrielle, la robotisation, est prévue par les grands horlogers de WEF.

Et selon Patrick Artus, aux mérites académiques ronflants, l’Europe aux abois aurait en plus le devoir de sauver le monde dans un élan de solidarité fraternelle. Fraternité universelle, qui n’existe que dans la tête de personnes qui vivent de leur idéologie. Ces visionnaires ont la prétention de pouvoir définir, de leur bureau, ce que doit être le nouveau modèle économique mondial et de savoir comment réformer l’économie et l’humanité de fond en comble.

Artus pense que l’économie va se redresser avec plus de social, en opposition avec le capitalisme qui « cherche le profit à tout prix » et vise à récompenser les actionnaires.
Dans le modèle qu’il préconise, ce n’est plus le privé qui prend les risques, en prêtant ses économies aux entreprises en mal de liquidités, c’est l’État s’y substitue.
Voici donc la fin du capitalisme, ce que la gauche réclame depuis 1917. 
C’est exactement cela, la vision pikettiste et marxiste de l’économie.
 La rentabilité des entreprises, pour Artus, n’est plus un objectif. 

Dans le capitalisme classique, une entreprise doit, avant tout, faire le nécessaire pour être rentable, compétitive, sinon c’est la faillite. La possibilité d’une aide sociale découle de la viabilité des entreprises, et non l’inverse.

  • « Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »  Winston Churchill

Artus et le Great Reset veulent remplacer les actionnaires par l’État, et détruire par là la propriété privée. C’est une société néo-communiste qui se dessine clairement dans ces propos.
En fait, ce nouveau capitalisme n’est rien d’autre que le rêve bolchévique réchauffé. Artus, en réclamant 
un monde (occidental) « plus soucieux de lutter contre les inégalités et plus respectueux de l’environnement », déroule un tapis rouge devant la Chine – le pays même qui nous a infectés puis inspiré ces confinements.

Pour Patrick Artus, il faut plus d’Europe, plus de solidarité, et il cite comme exemple la dette colossale (750 milliards) du plan d’urgence destiné à résoudre la crise post-covid, dette solidairement remboursable entre pays membres, que l’UE veut laisser aux générations à venir. 

Beaucoup disent que cette dette ne sera jamais remboursée, qu’il y aura un Great Reset, que la planche à billets va résoudre les problèmes. Les mêmes réclament la disparition de l’argent physique, ce qui rendra l’argent encore plus virtuel et théorique (et traçable à 100%) et  relativisera toute dette. C’est la mise en place de l’utopie communiste, version digitale.

Ajoutons à cela le revenu universel comme le voudrait Artus.

« La meilleure façon de tuer un homme, c’est de le payer à ne rien faire. »

Félix Leclerc

Lausanne l’a déjà expérimenté pour les jeunes. Après l’an 2000, la gauche s’est installée sur son trône et a instauré l’assistance comme un dû. La commune a distribué de l’assistance sans contrepartie, sans aucune exigence de remboursement. Beaucoup de jeunes en pleine capacité ont choisi de se faire entretenir par la collectivité. L’explosion des jeunes assistés a alors fait naître d’autres services sociaux pour les remettre au travail – avec ce bénéfice secondaire, pour les politicards, que ces jeunes, « en cours de réorientation » sortaient par là-même des statistiques des assistés.
L’explosion du budget du social n’a nullement effrayé les sociocrates car ils savent qu’il suffit d’augmenter les impôts et la dette pour financer les prestations et le salaire des fonctionnaires qui les servent.
Jusqu’au moment où la réalité nous explosera à la figure.


A quoi ressemblera l’économie après la pandémie?

L’interview de Patrick Artus, chef économiste à la banque Natixis et co-auteur de l’ouvrage « L’économie post-Covid » :



Mehmet Gultas : Deux scénarios possibles pour la crise sanitaire. Soit la crise s’aggrave, soit qu’on maîtrise, même d’une manière imparfaite, la pandémie et qu’on refonde l’économie mondiale sur des bases plus saines et durables. Vers quel scénario se dirige-t-on ?

Patrick Artus : On va maîtriser la pandémie, la situation sanitaire sera stabilisée.

Qu’est-ce qui sera durablement différent après cette crise ? En étant prudent, sachant que toutes les grandes crises ont amené de grands changement irréversibles et pas forcément ceux qu’on s’attendait.

Le capitalisme ne va pas du tout devenir plus inclusif ni plus sympathique. (Rire de Mehmet Gultas.)

Le propre du capitalisme contemporain, c’est de chercher à rétablir le plus rapidement possible ses profits. Donc, après la crise, pour produire avec des coûts plus faibles, il faut délocaliser davantage, il faut rechercher les rentes de monopoles – Mehmet Gultas rajoute : geler les embauches – et montrer une certaine réticence vis-à-vis de la transition énergétique.

Mehmet Gultas : Donc ce durcissement du capitalisme est inéluctable ? Ou est-ce qu’on peut quand même encore l’éviter ?

Patrick Artus : Alors, on peut l’éviter, car il y a des pressions en sens opposé. Simplement, le roulement  spontané  du capitalisme, ça va être de se rétablir le plus vite possible (oui, oui, Mehmet Gultas) au détriment des autres.

Mais après, vous avez les opinions, les populations, les gouvernements, et même la finance, assez curieusement. Puisque en particulier les grands investisseurs aujourd’hui jouent un rôle tout à fait déterminant pour pousser les entreprises à être plus inclusives, à s’occuper du social, à changer leur gouvernance, à s’occuper du climat.

Mais il ne faut pas être naïf. Spontanément, une entreprise du capitalisme contemporaine a quand même, quelles que soient les  forces en sens inverse, comme but essentiel de rétablir sa rentabilité pour ses actionnaires.

Le cas de Danone est très intéressant. Avec la chute de sa rentabilité, cette société pourtant très avancée a annoncé un plan de licenciement. Donc, même dans les entreprises les plus avancées vers cette nouvelle forme de capitalisme, on reste dans un capitalisme complètement actionnarial.

Mehmet Gultas : Vous dites : la politique à mettre en œuvre ne peut pas être réformistes, il faut des ruptures. Lesquelles ?

Patrick Artus : Alors, on part de l’idée que cette crise va fabriquer une énorme hétérogénéité dont nous n’avons pas d’expérience. Il y a des pays qui vont aller bien parce qu’ils ont des bonnes industries et il y a des pays qui vont aller mal. Un pays comme l’Espagne, par exemple, ou même la France, avec une grosse exposition à l’automobile, à l’aéronautique, au tourisme, ces pays vont aller mal. Il y a des secteurs qui vont aller bien, d’autres mal.

Les jeunes avec des contrats d’intérim vont aller mal, d‘autres personnes iront toujours bien avec des contrats de travail à long terme dans de grandes entreprises.

Donc on a besoin de rupture parce qu’on a besoin de politiques extrêmement puissantes pour lutter contre cette hétérogénéité. Si on ne fait pas ça, il y aura des pays, des secteurs qui vont être durablement en crise, des personnes durablement dans la pauvreté. Il faut donc changer notre approche dans la lutte contre la pauvreté.

Nous proposons dans le livre un revenu universel pour les jeunes, par exemple.

Il faut aussi laisser les entreprises négocier plus localement, parce que chaque situation sera différente, avec beaucoup discussion et de dialogue social dans chaque entreprise,

Il faut beaucoup plus de coordination et de coopération entre les pays,

En Europe, ça avance un peu. On a eu le plan de relance et le budget de moyen terme européens, qui sont plus solidaires que ce qu’on avait dans le passé.

Il y a des problèmes de très grande pauvreté dans le monde, il y a des pays dont les économies s’effondrent dans cette crise. Si on ne fait rien, ces pays vont être durablement en grande difficulté, comme l’Amérique latine, par exemple.

Il faut comprendre que nous avons cette explosion d’hétérogénéité dans toutes les dimensions, et c’est à cela qu’il faut répondre.


Le livre cité par Mehmet Gultas : L’économie post-Covid. par Olivier Pastré et Patrick Artus

Résumé de l’éditeur :

Penser l’après-Covid est vital. Deux scénarios sont envisageables. Le premier est celui d’une aggravation de la crise sanitaire, économique et sociale, faute de réponses adaptées. Le scénario alternatif est celui de la maîtrise, même imparfaite, de la pandémie et d’une refondation de l’économie mondiale sur des bases plus saines et durables.

Pour définir où se fixera le curseur entre ces deux scénarios, tout dépendra des politiques économiques et sanitaires mises en œuvre – de l’entreprise à l’économie mondiale en passant par un nouveau paradigme du travail et de l’emploi. Première solution : le repli sur soi, le protectionnisme et la guerre des monnaies, terreau de tous les populismes. Seconde solution : la prise de conscience que la coopération et la solidarité sont les seuls piliers d’une sortie de crise par le haut.

La politique à mettre en œuvre ne peut pas être réformiste. Il faut des ruptures. Ce livre court et incisif en propose huit (revenu universel de base, transition énergétique, décentralisation, syndicalisme…). Il dessine ainsi le « chemin de crête » étroit qu’il est possible de suivre pour sortir de cette crise historique de manière équitable et pérenne.

Chef économiste de Natixis, Patrick Artus est professeur associé à l’École d’Économie de Paris. Olivier Pastré est professeur d’économie à l’université Paris-VIII et président d’IMB Bank (Tunis). Ils sont tous deux membres du Cercle des économistes et ont publié ensemble Sorties de crise (Perrin, 2009).




Le PRÉSIDENT TRAHI par son propre camp

[Source : Première de Couverture]

👉Le Message du nouvel an du président Trump
👉La nouvelle bombe de Lin Wood
👉Le président Trump trahi par son propre camp : McConnell défendra Biden
👉Résistant à la pression de ses pairs, seul le Sénateur Hawley reste fidèle au président Trump




LES « VACCINS » ANTI-COVID PRÉVUS SONT ILLÉGAUX !

[Sources : Minurne Résistance et coe.int]

L’UTILISATION DE CES MODIFICATEURS DU GÉNOME EST INTERDITE PAR LA LOI

Il s’agit d’une loi européenne de 1997, dite Convention d’Oviedo, du nom de la ville espagnole où elle a été annoncée et présentée. Son article 13 stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite. Beaucoup de pays ont hésité à la signer, craignant que cette disposition entrave leur recherche médicale.

La France l’a ratifiée en 2011 par l’article 1er de la loi du 7 juillet 2011 sur la bioéthique. Elle est opposable en droit interne depuis le 1er avril 2012, conformément aux dispositions de son article 33 §4

Article 1er : Est autorisée la ratification de la convention du Conseil de l’Europe pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997.

Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :

La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir préalablement signé un document donnant la composition détaillée du médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.

Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.

Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.

La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit.

L’Imprécateur
12 décembre 2020


Pour complément d’information :

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (STE n° 164) a été ouverte à la signature le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne).

Cette Convention est le seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Elle établit les principes fondamentaux applicables à la pratique médicale quotidienne et est considérée comme telle dans le Traité européen sur les droits des patients. Elle traite également de manière spécifique de la recherche biomédicale, de la génétique et de la transplantation d’organes et de tissus.

Les dispositions de la Convention ont été développées et complétées dans les Protocoles additionnels relatifs aux domaines spécifiques.

  Traités du Conseil de l’Europe


  Documents connexes





TERRE VERTE, un bocage au Sahel

[Source : Terre Verte]

Auteur : Henri GIRARD

Intégrer la sauvegarde de l’environnement dans l’agriculture sahélienne au Burkina Faso.

champ Zai Guie Terre Verte

L’ONG TERRE VERTE intervient au Burkina Faso depuis 1989 à travers des associations inter-villages locales, dans la réalisation de périmètres bocagers (wégoubri en langue mooré), un concept nouveau d’aménagement rural mis au point par la Ferme pilote de Guiè dans les années 90 et maintenant repris dans d’autres fermes pilotes burkinabè.

La dégradation du milieu rural sahélien s’est aggravée durant ces dernières décennies, mettant en péril les populations rurales. L’embocagement de l’espace rural permet de résoudre les problèmes liés à cette agriculture extensive, en instaurant un nouveau cadre et une agriculture bioécologique.

Par une approche globale du problème, la Ferme pilote de Guiè a réussi à intégrer la sauvegarde de l’environnement dans l’agriculture sahélienne. Le concept repose sur la création de périmètres bocagers en copropriété, comprenant des parcelles individuelles et des communs dont la gestion est organisée autour d’un groupement foncier des bénéficiaires. Il en résulte un milieu totalement restauré où agriculture n’est plus synonyme d’érosion, où élevage n’est plus synonyme de surpâturage et où les arbres et arbustes sont harmonieusement intégrés à l’environnement.

C’est ce concept que nous vous invitons à découvrir au travers de notre site.

Bien environnementalement vôtre.

Henri GIRARD
Président de TERRE VERTE


Sur le site :

La désertification

Le bocage sahélien

Nos 4 fermes pilotes

Plus d’info

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Ou est le Burkina?



Le conseil d’État italien approuve enfin le traitement précoce par Hydroxychloroquine !

Auteurs : Docteurs Nicole et Gérard Delépine

Mieux vaut tard que jamais, mais combien de morts inutiles ?

Alors que le Conseil de l’Ordre des Médecins français poursuit le Pr Raoult et 5 autres médecins pour utilisation et/ou promotion de « traitement dont l’efficacité n’a pas été reconnue » (chloroquine à faibles doses en phase précoce, entre autres), ce traitement vient d’être reconnu en Italie par sa plus haute juridiction, après l’examen d’un rapport exhaustif du problème par les Professeurs Alessandro Capucci, Luigi Cavanna et Paola Varese du 7 décembre 2020.[1 et 2]

Cette reconnaissance officielle de l’efficacité de l’Hydroxychloroquine et des autres antipaludéens sur le Covid19 s’ajoute à celles déjà actées dans plus de 20 pays [3] dont les populations cumulées dépassent les 3 milliards d’humains.

Mais le conseil de l’ordre doit s’estimer plus qualifié scientifiquement que les experts internationaux.

Le rapport d’expertise scientifique des Professeurs Alessandro Capucci, Luigi Cavanna et Paola Varese mérite d’être lu en entier (30 pages). Nous en donnons ci-après quelques courts extraits commentés.

Sécurité de l’Hydroxychloroquine (HCQ) à faibles doses : le mythe des risques cardiaques

HCQ est un médicament sur le marché depuis 1959 pour les maladies chroniques. Plusieurs travaux ont mis en évidence l’innocuité de l’utilisation du HCQ à la fois dans les thérapies prolongées et dans les cycles thérapeutiques courts avec des doses de 200 mg 3 fois par jour.

Le médicament est actuellement utilisé en Italie par environ 60000 patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ou de lupus. Le Pr Roberto Gerli, président de la Société italienne de rhumatologie, a confirmé, « depuis 35 ans qu’ils [les rhumatologues] l’utilisent, ils n’ont pas enregistré d’effets indésirables significatifs au niveau cardiologique ».

La macroanalyse de Risch (2020) confirme l’innocuité absolue du médicament, utilisé à des doses thérapeutiques et en évitant les patients prédisposés aux réactions cardiaques. L’étude de Pascarella et coll. spécifiquement consacrée à l’examen de l’association entre HCQ et les risques cardiaques (2020), montre que l’utilisation de HCQ n’est pas associée à l’allongement de l’intervalle QT chez une importante cohorte de patients atteints de maladies rhumatismales inflammatoires chroniques.

Les données confirmant l’innocuité de HCQ ont récemment été présentées au Congrès annuel de l’American College de Rhumatologie[4]. La sécurité de HCQ pour la Covid 19[5] concluait :  l’hydroxychloroquine est protectrice pour le cœur, pas nocive.

À l’exception de certains rapports d’effets bénins (allongement de QT dans 23% des sujets), HCQ est même associé à une incidence réduite des événements cardiaques défavorables mortels.

Shivraj Padiyar dans sa revue récente[6] conclue « la plupart des données disponibles et crédibles suggèrent que l’HCQ est un médicament sûr, y compris l’essai RECOVERY indiquant l’absence de cardiotoxicité par l’HCQ. »

Les travaux de Hung 2018 décrivent un risque réduit de maladie coronarienne chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traitée avec HCQ.

Selon les données de Sharma en 2016, les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par HCQ avaient une réduction de 72% des risques cardiovasculaires.

Ces observations expliqueraient la réduction de la mortalité globale de l’étude Gentry et coll. 2020, qui a analysé l’utilisation de HCQ chez les anciens combattants souffrant de maladies rhumatismales et démontré une augmentation de leur survie par rapport aux contrôles, sur la même base que d’autres médicaments immunomodulateurs et stéroïdes.

 Isaac V. Cohen dans une revue récente des évènements indésirables[7] liés au traitement par chloroquine (CQ) et HCQ[8] remarque que « plusieurs rapports de cas décrivent la mortalité cardiaque associée à l’inflammation du myocarde. L’utilisation de CQ et HCQ dans les cohortes de lupus érythémateux et polyarthrite rhumatoïde, pour l’étude est une coïncidence bénéfique, car ce sont également des conditions inflammatoires affectant le système cardiovasculaire qui sont également traitées avec CQ et HCQ.

L’efficacité de la chloroquine à faible dose dans la Covid est démontrée par de nombreuses études rétrospectives

L’étude CORIST, étude rétrospective italienne, analyse l’évolution de 3451 patients admis dans 33 centres cliniques en Italie du 19 février 2020 au 23 mai 2020. 76,3 % des patients ont été traités par HCQ avec une réduction de 30 % de la mortalité et de la morbidité intra-hospitalière

Celle de Catteau et coll. est une étude observationnelle avec un échantillon très important de sujets hospitalisés : 8075 dont 4542 en monothérapie HCQ et 3533 dans le groupe témoin). Des décès ont été enregistrés chez 17,7 % des sujets du groupe HCQ contre 27,1 % du groupe sans HCQ, ce qui équivaut à une différence de mortalité de 30 % pour les patients hospitalisés recevant un traitement par HCQ.

L’efficacité de la chloroquine précoce à faible dose est démontrée par de nombreuses études prospectives du traitement de la Covid

Ainsi Ladapo et coll. dans leur méta-analyse de 5577 patients[9] inclus dans 5 essais randomisés montrent que l’utilisation du médicament HCQ réduit le risque d’infection, d’hospitalisation ou de décès de 24 %, sans aucune interruption de la thérapie due à la toxicité.

Selon les méta-analyses publiées, l’efficacité du médicament HCQ dépend de la posologie et disparait en cas de surdosage (apport quotidien supérieur à 600 mg) ne respectant pas les recommandations nationales d’utiliser HCQ 200 mg trois fois par jour pendant 5 à 7 jours. Ainsi, si on exclue les 4 publications randomisées utilisant des doses trop élevées (dont les deux grands essais de l’OMS, RECOVERY et SOLIDARITY qui ont utilisé 800 mg/j pendant 9 ou 10 jours respectivement, et une dose totale de 9 200 ou 10000 mg HCQ, on observe une réduction de la mortalité jusqu’à 35%.

La pertinence des faits avérés

« Les données probantes sur le terrain, qui sont les plus importantes pour les malades démontrent avec une très grande certitude statistique l’efficacité et l’innocuité du médicament ».

Dans le cas d’études observationnelles non contrôlées, la référence pour évaluer l’ampleur de l’effet d’un médicament en termes comparatifs est le taux d’hospitalisation dans l’échantillon de malades traités précocement par rapport à la population soumise à d’autres protocoles de traitement ou à leur absence.

Les faits recueillis spontanément dans diverses régions d’Italie au cours de la première phase épidémique (mars-avril 2020) montrent de façon constante et répétée que la comparaison entre le taux d’hospitalisation des personnes traitées à l’hydroxychloroquine (±azithromycine) est de 5 à 6 %, par rapport à un taux de 20% chez les sujets atteints du SRAS-COV-2 soumis à d’autres protocoles thérapeutiques, tel que rapporté par les rapports de l’Institut Supérieur de Santéde la même période.

Cela est constamment relevé dans des situations différentes, menés par des médecins différents dans différentes parties de l’Italie (et dans diverses régions du monde), avec comme seul élément commun : le même protocole de traitement l’hydroxychloroquine (±azithromycine).

Une méthodologie rigide qui aurait rendu aveugle

Le rapport italien propose une explication généreuse[10] aux errements de l’Agence italienne du médicament :

« probablement par excès de zèle, l’Agence Italienne du médicament (AIFA) ainsi que les autres agences internationales de médicaments et instituts supranationaux (FDA, EMA, OMS, etc.) chargés de sauvegarder la santé des citoyens, ont fondé leur jugement sur des données qui n’étaient absolument pas pertinentes à l’élucidation de la question relative à l’efficacité et à l’innocuité de HCQ dans les soins à domicile de la première étape de l’infection par le SARS-CoV-2.

Ils ont vraisemblablement été submergés par la quantité considérable d’informations reçues avec un important biais de l’information des principaux producteurs de connaissances de ce secteur – c’est-à-dire les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes, et les instituts de recherche financés par eux… »

« En favorisant les exigences méthodologiques de validité interne, les agences pharmaceutiques ont été contraintes, en raison de l’absence d’études expérimentales menées sur la population de référence réelle (patients covid-positifs traités à domicile), de violer l’exigence de validité externe, qui prime toutefois tout autre critère, car elle détermine la pertinence de la preuve.

Cette violation est confirmée par l’utilisation de critères d’évaluation inadéquats, tels que le taux de mortalité ou la période de séjour à l’hôpital, alors que le critère de jugement le plus approprié pour vérifier l’utilité clinique (et pharmaco-économique) de l’hydroxychloroquine est celui du taux d’hospitalisation des sujets traités. »

Conflits d’intérêt et prise de contrôle (dite « capture » selon le terme international)[11] des agences de régulation

La pratique réglementaire montre la persistance de certains problèmes fondamentaux. Deux d’entre eux sont les phénomènes de conflits d’intérêts et les conséquences de la prise en main (capture) des organismes de réglementation par les régulés eux -mêmes.

La prise de contrôle du régulateur par les régulés eux-mêmes compromet l’intégrité et l’exactitude des décisions publiques, qui ne visent plus à la protection et la satisfaction des intérêts généraux, mais celle des intérêts privés de groupes spécifiques.

L’analyse des cas de capture ou détournement du contrôle des agences de régulation (regulatory capture) a généré des milliers de contributions scientifiques, théoriques et empiriques, appartenant à un large éventail de disciplines académiques qui sont généralement ignorées du grand public. Elles sont malheureusement ignorées complètement en France.[12]

Diverses causes et mécanismes convergent pour permettre la « capture » du régulateur par le régulé.

Tout d’abord, il y a un état général d’asymétrie d’information qui afflige le régulateur et les experts qu’il utilise, qui provient de la plus grande expérience de l’industrie régulée par rapport au régulateur, la difficile mesurabilité des phénomènes biomédicaux, l’imperfection des processus de validation expérimentale et de publication scientifique, le déficit de ressources publiques ou d’inertie institutionnelle. Les firmes en représentant partiellement les différents éléments de risque et de décision, peuvent conduire à des décisions publiques erronées ou sous-optimales dans la défense de la sécurité sanitaire.

Un tel pouvoir de conditionnement est renforcé par le fait que dans certains pays, il y a un manque de garanties réglementaires spécifiques pour la transparence et la réglementation des activités de lobbying et/ou d’autres mécanismes de participation des parties prenantes comme celui des « pantouflages », dans lesquelles les régulateurs complaisants sont ensuite embauchés à prix d’or par les régulés, (La Pira et Thomas, 2017).

Comme le montre la littérature, les phénomènes d’asymétrie de l’information, de lobbying, de pantouflage aboutissant à la capture du régulateur sont particulièrement fréquents dans le monde de la santé, en raison de l’importance économique des intérêts en jeu, de l’urgence dans laquelle les décisions sont souvent prises, de la puissance financière de l’industrie du médicament (qui gère la gestion de la quasi-totalité des essais cliniques), des ressources souvent limitées du régulateur et de l’utilisation stratégique faite par l’industrie privée de la hiérarchie des preuves scientifiques et des publications.[13]

En Italie (comme en France), des épisodes de prise en main de la formation biomédicale et de mise à jour professionnelle ont été mises en évidence. Enfin, il convient de noter que, bien que dans les cas les plus graves, il existe des épisodes de corruption, extorsion ou détournement de fonds (comme, par exemple, dans les événements qui ont abouti à la condamnation n ° 5756 de 2012 de la Cour Suprême, United Civil Sections).

L’asymétrie d’information et les autres moyes de capture du régulateur peuvent le conduire à prendre des décisions erronées même s’il agit en parfaite bonne foi.

Parmi les solutions proposées dans la littérature, il y a le renforcement de recettes déjà proposées dans le passé, mais pour la plupart non appliquées : comme l’interdiction / limitation du parrainage privé d’événements scientifiques biomédicaux, une plus grande implication des sociétés scientifiques dans la détection des conflits d’intérêts, l’ouverture aux différentes parties prenantes, la transparence des documents et accès aux comptes rendus des séances des agences, aux documents réglementaires, utilisation du benchmarking international afin d’acquérir et d’évaluer des preuves du contraire, aux fins d’enquêtes complémentaires.

Que retenir de ce rapport scientifique qui a conduit le Conseil d’État Italien à approuver le traitement précoce par HCQ ?

HCQ à faibles doses n’est pas nocive et parait même protectrice pour le cœur.

Le traitement précoce par HCQ à faibles doses diminue d’environ 30% le risque d’hospitalisation des malades atteints de Covid19. Le traitement précoce par HCQ à faibles doses diminue d’autant la mortalité.

Les agences sanitaires ont été et sont sous influence des laboratoires pharmaceutiques et de leurs complices, qui ont détourné le pouvoir réglementaire des agences dans les seuls intérêts de l’industrie et affidés politiques et scientifiques et/ou médecins, pharmaciens, biologistes, sociétés savantes etc. L’exemple savoureux et dramatique du Remdesivir est le plus récent. Mais c’est une autre saga.


[Notes]

[1] L’usage de l’hydroxychloroquine autorisé en Italie : le rapport scientifique complet – PLANETES360

[2] Hydroxychloroquine approuvée en Italie – PaSiDupes (wordpress.com)

[3] Dont la Chine, l’Inde, le Maroc, la Tunisie, la Malaisie, de nombreux pays arabes du moyen orient…

[4] ParkE, et coll. L’utilisation du HCQ n’a pas été associée à l’augmentation de l’intervalle QT dans une grande cohorte de patients atteints de LSL et de PR 2020 (étude portant sur 681 patients)

[5] New Microbe and New Infect 2020; 37:100747) https://doi.org/10.1016/j.nmni.2020.10074 [lien dysfonctionnel] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7439006/

[6] Shivraj Padiyar 1, Debashish Danda Revisiter la sécurité cardiaque de l’hydroxychloroquine dans les maladies rhumatologiques à l’ère du COVID-19 : faits et mythesEur J Rheumatol 8 octobre 2020. doi : 10.5152/eurjrheum.2020.20174 [–> Revisiting cardiac safety of hydroxychloroquine in rheumatological diseases during COVID-19 era: Facts and myths (eurjrheumatol.org)]

[7] Isaac V. Cohen Événements indésirables cardiaques associés à une exposition à la chloroquine et à l’hydroxychloroquine au cours de 20 ans de rapports de surveillance de l’innocuité des médicaments Sci Rep. 2020 ; 10 : 19199

[8] IsaacV. Cohen Cardiac adverse events associated with chloroquine and hydroxychloroquine exposure in 20 years of drug safety surveillance reports https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7644696/pdf/41598_2020_Article_76258.pdf

[9] Joseph A. Ladapo Randomized Controlled Trials of Early Ambulatory Hydroxychloroquine in the Prevention of COVID-19 Infection, Hospitalization, and Death : Meta-Analysis https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.30.20204693v1

[10] Ne soulignant pas les conflits d’intérêts pourtant majeurs dans la prise de décisions

[11] « il est plausible que le gouvernement et les organismes supranationaux soient victimes du phénomène de « la capture réglementaire ». Il s’agit d’un phénomène aujourd’hui bien connu dans la littérature qui décrit les effets de l’asymétrie de l’information entre l’industrie (en l’occurrence pharmaceutique) et l’organisme de réglementation, au détriment de ce dernier, qui doit se prononcer sur des questions pertinentes pour l’industrie, avec des informations et des critères interprétant les éléments de preuve, fourni par ce dernier.

Dans cette relation asymétrique, le régulateur n’est pas seulement un décideur autonome, car il dépend de l’industrie comme principale source d’information, mais finit par assumer son « état d’esprit » en absorbant aussi son axiologie.

[12] https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/02/Aristote-relations-m%c3%a9decins-industrie.pdf

[13] Mitnick, B., (2011), « Capturing ̳Capture » : Definition and Mechanisms, dans : Levi-Faur D., (2011), Handbook on the Politics of Regulation, E. Elgar




Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait ». MàJ

[Source : Olivier Demeulenaere]

[Mise à jour : Pour des informations complémentaires, notamment sur Catherine Austin Fitts, voir sur le site de Guy Boulianne : Catherine Austin Fitts nous livre ses explications concernant les banques, les émeutes, le vaccin, les projets des globalistes et propose sa solution]

Catherine Austin Fitts, une ex-secrétaire d’État adjointe au Logement analyse ici brillamment le Plan machiavélique qui menace l’humanité ! Écoutez-la bien… 

« Je décrirais le Covid-19 comme l’institution des contrôles nécessaires pour convertir la planète du processus démocratique à la technocratie… Cela ressemble beaucoup plus à un coup d’État qu’à un virus ».

« C’est un système d’esclavage… un système de contrôle complet 24h/24 et 7 jours/7 – y compris le contrôle des esprits ».

« Dans une certaine mesure la technocratie va nous faire évoluer vers un système similaire au système chinois ».

« Monsieur Global considère la race humaine comme du bétail… Ils ne nous considèrent pas comme la même espèce qu’eux. En fait, avec beaucoup de biotechnologie ils pensent qu’ils vont vivre beaucoup plus longtemps que nous et qu’ils vont vivre des vies très différentes de nous… À mesure qu’un groupe devient de plus en plus avancé sur le plan technologique, il se sépare culturellement, légalement, financièrement de tous les autres groupes. En d’autres termes, ils ont créé une civilisation séparée ».

« Ils ont un miroir sans tain. Ils peuvent voir tout ce que vous faites ; vous, vous ne pouvez même pas voir qui ils sont ».

« Vous ne pouvez plus rester au milieu de la route. Vous devez suivre la secte ou suivre la vérité ».

« Nous construisons notre propre système d’esclavage, nous construisons la prison et nous la finançons… ce qui nous donne le pouvoir d’arrêter. »




« Lutter contre… l’anxiété climatique. » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

par Charles Sannat

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Il
y a quelques jours, dans ma petite ville normande, deux jeunes filles,
angoissées climatiques et planétaires, ont décidé de faire une « clean
walk » ce qui doit se traduire par une marche du nettoyage…

Tout le monde a trouvé cela charmant.

Moi je trouve cela con-con, et plus les autres trouvent cela charmant plus je trouve cela con-con.

Tout
d’abord, nous payons des impôts et des taxes pour l’entretien, ce qui
veut dire que le nettoyage n’est pas fait convenablement, mais là n’est
pas le plus important. L’essentiel, c’est la culpabilisation
environnementale qui pousse certains à ce type d’actions charmantes
(sans aucun intérêt à terme, mais qui ne font pas mal non plus), et
d’autres carrément à la dépression environnementale puisqu’il n’y a plus
d’avenir, on va tous mourir… Merci Greta la dépressive chronique.

Culpabilité

La
culpabilité est une émotion causée par la transgression d’une norme
morale. Il s’agit d’une émotion proche du concept du remords.

Dans
la classification des émotions morales de Jonathan Haidt, la
culpabilité fait partie des émotions auto-conscientes, celles permettant
aux individus de réguler leurs actions. L’embarras et la honte sont des
émotions proches de la culpabilité. La culpabilité s’en distingue car
elle entraîne des remords, la volonté de réparer sa faute,
s’accompagnant d’empathie envers les victimes. Selon l’anthropologue
Ruth Benedict, les cultures peuvent être classées en fonction de
l’importance de l’utilisation de la honte ou de la culpabilité pour
réguler socialement les activités de leurs membres.

Vous êtes victime d’une manipulation psychologique !

C’est cela que vous devez comprendre avant tout débat sérieux sur le climat ou l’écologie.

Il faut retirer l’irrationnel, le passionnel de l’équation.

Quand on est culpabilisé il est très difficile de raisonner objectivement…

Libérez-vous !

Le
sort du monde, de la planète et des abeilles n’est pas entre vos mains
et ceux qui vous font croire l’inverse le font pour vous culpabiliser,
pour vous manipuler, et pour vous soutirer de l’argent.

Ce qui tue
la planète c’est la mondialisation, avec nos produits fabriqués en
Chine sans norme antipollution ou environnementale ce qui fait que ces
usines ne pourraient plus fonctionner chez nous. Nous avons délocalisé
nos emplois mais aussi notre pollution.

S’émouvoir de l’urgence
climatique un i-phone à la main, trier ses poubelles jaunes pour que le
contenu termine dans l’incinérateur général qui a besoin de combustible
sec pour brûler l’humide, bref, tout ceci est une vaste foutaise, un
immense mensonge.

Il n’est pas grave ce mensonge tant que vous n’êtes pas malheureux.

Il
le devient lorsque vous devenez des angoissés climatiques, et chez nos
jeunes, l’angoisse climatique atteint des niveaux ahurissants.

On ne protégera pas la planète avec ce système économique de consommation de masse.

La consommation de masse est la négation de toute politique environnementale.

Alors
si vous voulez vraiment faire quelque chose pour la planète, cessez de
consommer à outrance, réparez au maximum, et choisissez la simplicité et
la sobriété volontaire. C’est peu, c’est imparfait, mais c’est le bon
début !

C’est dans nos actes de consommation que se joue
l’essentiel de la protection de l’environnement. Pas dans le recyclage,
car si l’on pousse le raisonnement, il n’y a pas à recycler ce qui n’a
pas été produit parce que cela n’a pas été acheté !

La cause
première de tous les problèmes environnementaux imputables à l’humain,
ce n’est pas le mauvais remplissage de votre poubelle jaune, mais le
système totalitaire marchand, mondialisé, et basé sur la consommation de
masse et la production de masse. Tout le reste n’est qu’écume des
choses.

Prendre soin de notre maison commune !

Cela
n’est pas une raison pour ne pas prendre soin de notre maison commune
évidemment. Evidemment qu’il faut trier. Mais au même moment, le camion
des poubelles jaunes qui passait deux fois par semaine ne passe plus
qu’une fois par semaine, et ma taxe d’ordures ménagères augmente… Je
refuse donc d’être culpabilisé. Je paye plus, et on me ramasse moins ma
poubelle jaune. Du coup, je vais aller acheter un second bac. Je le
ferai bien volontiers, mais sans culpabilité.

Je vais même acheter de plus en plus de produits en vrac pour éviter les emballages.

Tout faire pour se comporter mieux et réduire notre empreinte est une bonne chose, mais sans culpabilité.

Vous ne sauverez pas la planète.

Vous ne pouvez pas sauver la planète.

Car le système vous impose en réalité de la tuer, de la polluer, de la pourrir pour que ce système puisse tourner !

De
l’agriculture intensive à la pétrochimie, de la mondialisation à la
pollution des usines en Asie cachées en Inde ou en Chine, des
supertankers aux super porte-conteneurs, des millions de poids-lourds 
chargés de tous ces produits jetables, c’est le système qui pourrit
cette planète.

Alors, ne soyez pas culpabilisés, vous n’avez
aucune chance de sauver la planète. Même en vous suicidant ou en n’ayant
pas d’enfant… la planète crèvera du système totalitaire marchand. Avec
ou sans vous, ou sans votre descendance. Ne soyez pas naïf.

Mais
vous pouvez, nous pouvons prendre soin de notre maison commune, en
achetant un lopin de terre, une maison à la campagne, en y créant des
oasis de biodiversité et en y aimant la vie.

Le meilleur remède à
l’anxiété écologique, c’est de sortir de la propagande, démonter le
mensonge, expliquer que vous ne pouvez pas sauver la planète contre ce
que le système impose, et refuser la culpabilité.

Le meilleur
remède à l’anxiété écologique, c’est aussi l’action. En travaillant
votre résilience dans un monde complexe, en réduisant vos besoins, en
augmentant votre degré de liberté, vous vous rendez plus fort, plus
robuste face aux crises économiques, mais vous protégez aussi notre
maison commune. Cela part d’une idée simple.

La… simplicité volontaire.

La sobriété volontaire.

Les
jeunes filles qui font des « clean walk » un i-phone à la main, produit
en Chine par des enfants sans droits sociaux, me feront toujours
marrer…

C’est charmant, mais vraiment con-con.

Signé un vieux con bougon !!!

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article « presslib
» et sans droit voisin, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou
en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite.
Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime
quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de
l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous
abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur
www.insolentiae.com. »


[Voir aussi :




Dans la forêt lointaine

Par Joseph Stroberg

Dans une forêt perdue,
Loin des sirènes du monde,
Hors des cris et des guerres,
Un village vivait.
Dans une forêt ailleurs,
Loin des agités du monde,
Hors des routes et des cartes,
Un village respirait.
Dans une forêt humide,
Abrités du soleil,
Des villageois chantaient,
Simplement pour la vie,
Simplement pour l’été,
Des villageois riaient,
Pour les arbres et les fleurs,
Des villageois créaient,
Pour leurs frères animaux,
Des nids et des abris,
Des villageois dansaient,
Parmi les oiseaux.
Mais un jour arriva,
Un méchant promoteur,
Autre mot pour brigand,
Qui, des projets, avait.
Un jour apporta le malheur avec lui.
Les monstres mécaniques,
S’approchèrent en meutes,
Abattirent les arbres,
Et les animaux fuirent.
Les villageois pleurèrent,
Les villageois prirent peur,
Leurs dieux, ils supplièrent,
Mais aucun ne put vaincre,
Le dieu du promoteur,
Car celui-ci, puissant, était,
Et Argent se nommait.
Les villageois partirent,
Leur monde était mort,
Ils n’avaient plus d’espoir,
De le voir revivre,
Ils avaient peu d’espoir,
De retrouver un jour,
Ailleurs un paradis.




La viralité d’une fausse vidéo d’Obama met en lumière le phénomène du «deep fake»

Une vidéo dans laquelle des termes injurieux à l’égard de Donald Trump sont mis dans la bouche de Barack Obama a été visionnée près de 3 millions de fois. La technologie permet déjà de réaliser des trucages vidéos si élaborés qu’ils deviennent très difficiles à distinguer.

«Nous entrons dans une ère où nos ennemis peuvent faire croire que n’importe qui dit n’importe quoi à n’importe quel moment», peut-on entendre dans la bouche de Barack Obama. «Ainsi, ils pourraient me faire dire des choses comme, je ne sais pas, (…) le président Trump est un idiot total et absolu!» lâche-t-il dans une vidéo partagée par le média Buzzfeed. Très vite, le subterfuge est révélé: il s’agit d’un montage d’images réalisé avec l’aide du cinéaste Jordan Peele et d’une intelligence artificielle spécialisée dans les «deepfake», ces faux créés à l’aide de méthodes particulièrement sophistiquées.

Voir la suite et vidéos:

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2018/04/20/32001-20180420ARTFIG00134-la-viralite-d-une-fausse-video-d8216obama-met-en-lumiere-le-phenomene-du-deep-fake.php




Trump cible les conspirateurs

[Source : Radio-Québec]

Ça va chauffer aux États-Unis, les hauts-échelons de l’administration Obama, OBAMA INCLUS, vont faire face à des accusations de Haute Trahison impliquant la peine de mort.

https://youtu.be/GgdUMVkUKfw




Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

[Source : Nicolas Bonnal]

Lecteurs, comme vous êtes plus de trente-trois mille par mois et que je ne veux pas vous perdre, voici la déclaration que vous devez faire signer au médecin sagouin qui voudrait vous vacciner pour faire plaisir à Castex aux ordres de Bill et de Davos. Comme dit Philippe qui m’envoie ce document, il y aura peu de volontaires chez les médecins ! Pour signer ou pour vacciner, Philippe ? Ce sera le sermon d’hypocrite contre le serment d’Hippocrate !

Nicolas Bonnal

Lecteurs, comme vous êtes plus de trente-trois mille par mois et que je ne veux pas vous perdre, voici la déclaration que vous devez faire signer au médecin sagouin qui voudrait vous vacciner pour faire plaisir à Castex aux ordres de Bill et de Davos. Comme dit Philippe qui m’envoie ce document, il y aura peu de volontaires chez les médecins ! Pour signer ou pour vacciner, Philippe ? Ce sera le sermon d’hypocrite contre le serment d’Hippocrate !

“Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. La dictature est en marche” selon le Docteur Badel

Castex présente un projet de loi lui permettant d’interdire déplacements et activités aux non-vaccinés.

https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Aspects-juridiques/Responsabilite-en-cas-de-dommage/Responsabilite-du-vaccinateur

https://www.village-justice.com/articles/quelle-responsabilite-matiere-vaccination,36876.html





Message d’une personne travaillant et testant la sécurité des masques depuis plus de 20 ans.

[Source : Profession gendarme]

Cette personne n’a pas d’agenda. Elle se soucie juste de la santé et de la sécurité.

22 juin 2020


Lettre ouverte aux médecins et au public de l’Alberta

Cher Dr Hinshaw,

Objet: Alberta Health recommande aux Albertains de porter du N95, des masques chirurgicaux ou non médicaux en public afin de réduire la probabilité de transmettre ou de développer une maladie à partir du coronavirus appelé COVID-19

J’enseigne et réalise des tests d’ajustement des respirateurs depuis plus de 20 ans et maintenant pour mon entreprise SafeCom Training Services Inc. Mes clients comprennent de nombreux départements gouvernementaux, nos militaires, des prestataires de soins de santé avec Alberta Health Services, des établissements d’enseignement et l’industrie privée. Je suis un auteur publié et une autorité reconnue sur ce sujet.

Les masques avec filtres respiratoires, en particulier les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, offrent une protection COVID-19 négligeable pour les raisons suivantes :

1. Les virus dans les enveloppes fluides qui les entourent peuvent être très petits, si petits en fait que vous auriez besoin d’un microscope électronique pour les voir. Les masques N95 filtrent 95% des particules d’un diamètre de 0,3 microns ou plus. Les particules de COVID-19 sont de 0,08 à 0,12 microns.

2. Les virus ne pénètrent pas seulement par la bouche et le nez, mais peuvent également pénétrer par nos yeux et même les pores de notre peau. La seule barrière efficace que l’on puisse porter pour se protéger contre l’exposition aux virus serait une combinaison de protection contre les matières dangereuses entièrement encapsulée avec des poignets attachés aux chevilles et des poignets attachés aux gants, tout en recevant l’air respirable d’un appareil respiratoire autonome (ARA). Cette barrière est un équipement standard pour se protéger contre un risque biologique (virus) et devrait être portée dans un environnement potentiellement dangereux 24/7 et vous ne seriez pas en mesure d’en retirer une partie même pour prendre une gorgée d’eau, manger ou utiliser les toilettes dans un environnement viral. Si vous le faisiez, vous seriez exposé et annuleriez toutes les précautions que vous aviez prises auparavant.

3. Non seulement les masques N95, chirurgicaux et non médicaux, sont inutiles en tant que protection contre le COVID-19, mais en outre, ils créent également des risques très réels et des menaces graves possibles pour la santé du porteur pour les raisons suivantes :

A. Le port de ces masques augmente la résistance respiratoire, ce qui rend plus difficile l’inspiration et l’expiration. Conformément à la réglementation du gouvernement de l’Alberta sur l’utilisation d’un masque respiratoire, toute personne tenue de porter un masque respiratoire doit faire l’objet d’un dépistage afin de déterminer sa capacité à en porter un en toute sécurité.

Toute couverture de la bouche et du nez augmente la résistance respiratoire, que le masque soit certifié ou non. Les personnes ayant des conditions médicales préexistantes d’essoufflement, de maladie pulmonaire, d’attaques de panique, de difficultés respiratoires, de douleurs thoraciques à l’effort, de maladies cardiovasculaires, d’évanouissements, de claustrophobie, de bronchite chronique, de problèmes cardiaques, d’asthme, d’allergies, de diabète, de convulsions, de l’hypertension artérielle et les stimulateurs cardiaques (pacemakers) doivent être présélectionnés par un professionnel de la santé pour être approuvés afin de pouvoir en porter un en toute sécurité. Le port de ces masques peut provoquer une urgence médicale pour toute personne présentant l’une de ces conditions.

L’hypertension artérielle liée à la grossesse est possible. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer l’impact du port d’un masque pendant de longues périodes sur la grossesse.

Il est dangereux de recommander, et encore plus d’obliger quiconque ayant des problèmes de santé à porter un masque sans les informer des risques liés à leur port sans avoir été préalablement présélectionné et approuvé par un professionnel de la santé.

B. Pour qu’un masque respiratoire offre une protection à un utilisateur spécifique, cet utilisateur doit être équipé individuellement du bon type, de la bonne taille, si le visage masculin doit être rasé de près (seule la moustache courte est autorisée). Ensuite, l’utilisateur doit être testé avec ce respirateur par un professionnel qualifié pour déterminer si le respirateur fournit à l’utilisateur un joint étanche à l’air – une exigence pour tout masque respiratoire.

C. Masques N95 – N pour non résistant aux particules d’huile, 95 pour le pourcentage de protection – le niveau le plus bas de tous les masques respiratoires

Ces masques, même lorsqu’ils sont correctement dimensionnés et ajustés, ne protègent pas contre l’exposition aux virus, mais ils sont capables d’une protection adéquate contre les particules plus grosses telles que les squames d’animaux, le pollen et la sciure de bois.

Masques chirurgicaux (ceux en papier qui s’enroulent autour des oreilles) – ne scellent pas le visage et ne filtrent rien.

Les masques non médicaux et / ou faits maison sont dangereux car :

  • Non conçu pour les exigences efficaces mais protectrices d’une inhalation facile et d’une purge efficace du dioxyde de carbone expiré
  • Peut entraîner une carence en oxygène pour l’utilisateur
  • Cela pourrait provoquer une accumulation de dioxyde de carbone pour l’utilisateur
  • Ne doit en aucun cas être recommandé

D. Ils augmentent la température corporelle et le stress physique – pourraient provoquer une alerte de température élevée sur un pistolet thermomètre

E. Ils entravent la communication verbale

F. N95, les masques chirurgicaux et non médicaux peuvent créer à eux seuls des infections et des maladies possibles en provoquant une accumulation d’air chaud et humide exhalé sur le matériau intérieur du masque, juste devant la bouche et le nez de l’utilisateur, ce qui est l’environnement parfait pour les bactéries se forment, se développent et se multiplient. C’est pourquoi le N95 et les autres masques jetables n’ont été conçus que pour une courte durée, une utilisation spécifique et ensuite immédiatement jetés.

Donc, si les masques ne sont pas efficaces pour prévenir la maladie, qu’est-ce que c’est? Que diriez-vous de la méthode essayé, testé et méthode prouvé de protéger notre santé avec une alimentation saine, de l’eau propre, en évitant les aliments transformés, de la malbouffe et des fast-foods, beaucoup d’air frais, le soleil, l’exercice modéré, un sommeil réparateur adéquat et l’évitement du stress ? 

Nous avons tous un système immunitaire qui peut combattre et surmonter toute menace COVID-19 s’il est sain et si nous le nourrissons.

Merci d’avoir lu cette lettre ouverte et de m’avoir permis de partager mon expertise. Je vous demande de partager cela avec le public via une déclaration aux médias, car nous sommes tous déterminés à promouvoir une bonne santé pour tous les Albertains. Si vous ou un membre du public souhaitez me contacter pour une question ou un commentaire, j’aimerais avoir de vos nouvelles.

Je peux être contacté au chris@safecom-inc.com.

Cordialement, Chris Schaefer Directeur SafeCom Training Services Inc.




L’incendie de Notre-Dame de Paris et la guerre contre la beauté

[Source : Le blog de Moïra Forest]

L’incendie de Notre-Dame de Paris et la guerre contre la beauté

Par Gearóid Ó Colmáin

Enguerrand Quarton. Pietà de Villeneuve-les-Avignon Huile sur bois, 163 cm x 219 cm. Musée du Louvre.

L’incendie de la cathédrale Notre Dame de Paris devrait être considéré comme un acte de guerre de la part de l’État contre l’Église. Nous n’avons pas besoin de preuve. 200 ans d’une guerre maçonnique contre l’Église est suffisant pour justifier notre suspicion.

Lorsque des faux drapeaux ont été agités il  y a quelques années, tout le monde postait des mèmes sur les réseaux sociaux avec « Pray for Paris ». Ou sont les prières aujourd’hui ? Le grand théologien catholique Urs Von Balthasar a dit jadis que les hommes qui oublieraient le sens de la beauté, oublieraient comment prier et finalement oublieraient comment aimer. Notre-Dame était un témoignage à la vérité de l’église. Sa majesté ridiculisait le scepticisme de l’homme. Il était difficile même, pour un non-croyant, d’y pénétrer sans ressentir un sens de l’effroi, sans ressentir une certaine… révulsion pour l’orgueil humaniste. 

Nous vivons dans une époque de laideur et de mensonges. C’est une époque de toits plats et de grandes fenêtres ; de flous appelés art et de tapage appelé musique – une époque lâche et sans foi. Il n y a plus d’art car l’homme ne cherche plus la vérité désormais. Il n y a plus de bonté car l’homme est heureux dans son iniquité.
Dans une époque d’anxiété, les hommes se cachent dans des carrés et des rectangles. Les arches et les voutes sont la demeure des hommes spirituels, confiants dans leur relation avec la nature mais humbles devant Dieu.

Après deux-cents ans de leur absurdité arrogante, les athées ne peuvent toujours pas expliquer pourquoi aucune civilisation libérale n’a jamais érigé un monument qui ferait que l’homme s’émerveillerait. Les Grecs pouvaient penser parce qu’ils pouvaient encore expérimenter l’émerveillement. Ils expérimentaient l’émerveillement parce qu’ils étaient émus par la beauté en tant que quelque chose de réel et d’objectif, quelque chose qui pourrait être étudié en tant que chemin vers la transcendance – vers la vérité. Athènes n’était pas grande parce qu’elle avait produit Socrate ; Athènes était grande parce qu’elle l’avait conduit à la mort pour avoir insulté les dieux ! Je suis bien sûr ironique et polémique. J’essaye d’articuler l’idée que la grandeur de la civilisation n’est pas mesurée par des individus, mais par une architecture de valeurs. Socrate était accusé de corrompre la jeunesse athénienne, menant la défaite d’Athènes contre les Spartiates. Être un grand philosophe ne faisait pas de Socrate quelqu’un de plus important que le Summum Bonnum (souverain bien). 

Le 19 mars dernier, j’ai rejoint des catholiques partout dans Paris pour un pèlerinage à la cathédrale Notre-Dame pour célébrer la Saint-Joseph. C’était mon premier pèlerinage. Des milliers de Français marchaient à travers les rues de Paris en chantant des hymnes en français et en latin. Lorsque nous sommes arrivés par milliers à la cathédrale, nous avons écouté un sermon dit par l’évêque qui parlait comme un homme ayant des prémonitions sur la douleur en réserve en France.

Il y a une guerre civile dans l’Église catholique qui va directement vers le Saint Siège. C’est l’infiltration la plus profonde et la plus maligne que l’Église n’ait jamais connu. La guerre civile fermente dans les rues de Paris également. Tout le monde en parle. La classe ouvrière s’est levée ; la crise migratoire est hors de contrôle et les intellectuels du pays vont en prison pour critiquer la religion d’état ; une religion dont bien des gens sont inconscients mais qui les dirige. Une religion dont les temples sont fermés au public; un culte d’arrogance, de superstition et de laideur : la secte diabolique de la franc-maçonnerie. Depuis son établissement au XVIIIe siècle, la franc-maçonnerie a été condamnée par plusieurs papes. Le pape Léon XIII a prévenu que non seulement elle avait infiltré les élites européennes mais qu’elle grimpait les échelons de l’Église elle-même. 

Une révolution dans les rues

Il y a un règne de terreur contre quiconque parle de la religion d’État. Jusqu’à maintenant, les hérétiques ont été raillés. Jusqu’à maintenant, il a été possible de garder les hérétiques sous contrôle en les rejetant en tant que malade mentaux, d’intellectuellement contestés, de simples d’esprit, de naïfs et d’idiots. Mais le Clergé d’État craint les masses. Semaine après semaine, elles s’emparent des rues. Des serveurs de bar, des propriétaires de cafés, des chauffeurs de taxi, des travailleurs de toute races, croyances ou classes écoutent des programmes subversifs, partagent des articles de blogs subversifs, discutent sur des livres etdes filmssubversifs. La semaine dernière, j’ai suis allé dans un café pour interviewer mon ami Iurie Rosca, l’ancien vice premier ministre de Moldavie. Il est en fuite aussi car il risque la prison pour des accusations fabriquées de toute pièce pour son opposition au Clergé d’État de l’Union Européenne.

Les serveurs nous connaissaient pour notre travail politique. Ils nous ont adressé des pouces levés en signe de solidarité. Sur la page de couverture du Monde alors que la cathédrale Notre-Dame de Paris était en flamme, il y avait un article sur la possible incarcération d’Alain Soral pour « négationnisme ». Soral est le plus célèbre intellectuel dissident de France. Il y a eu plusieurs tentatives de perpétration d’attentats contre sa personne et il vit dans des lieux sécurisés. C’est la figure dominante de l’un des plus dangereux mouvement d’Europe, dangereux aux yeux du Clergé d’État.

La guerre contre l’Église en France

On compte jusqu’à trois églises par jour qui sont attaquées quotidiennement en France, et cependant, le public n’est pas informé par les médias. Plus de 1000 églises ont été attaquées l’an dernier. Les satanistes ont attaqué des hosties, ont répandu des excréments sur les murs, ont cassé des statues. Personne n’en parle. Personne même le sait. Mais les attaques augmentent semaine après semaine. Les ennemis de l’Église catholique romaine craignent la France plus que n’importe quel autre pays. La Franceest le seul pays àavoir eu un roi qui a été fait saint : Louis IX ou Saint-Louis au XIIIe siècle.

Le 21 octobre 1239, le pape Grégoire IX a écrit au roi Louis IX. Il a déclaré que le peuple de France est l’héritier de l’alliance que Dieu a fait avec l’ancienne tribu de Juda. « La tribu de Juda était la figure anticipée du Royaume de France » a-t-il écrit.

Pendant des siècles, la France a été la protectrice de Rome. En fait, les États Pontificaux ont été un cadeau de la France au Saint-Siège. Les missionnaires et les ordres religieux français ont fait plus que n’importe quel autre pays dans le monde pour répandre le message de l’Évangile. De 1309 à 1376, Avignon, dans le sud de la France, a été le siège de la papauté.

Ces dernières années, la prise de conscience de la signification de la France devient de plus en plus apparente. De plus en plus d’intellectuels écrivent et donnent des conférences sur le rôle que la France joue dans la fin des temps. Il y a eu plus d’apparition mariales approuvées par l’Église que dans les autres pays. La nation est dotée des plus belles églises du monde ; nombre d’entre elles sont là depuis plus de mille ans.

En France, la dissidence contre le Nouvel Ordre Mondial, c’est le catholicisme. Tout le reste n’est que stupidité. Lorsque Rome est tombée aux mains du culte de mort franc-maçon lors du concile de Vatican II de 1963, ce sont des théologiens français qui ont résisté. Ils avaient déjà un siècle et demi d’expérience de résistance au culte de mort maçonnique depuis que les occultistes ont pris le pouvoir en 1789.

Monseigneur Marcel Lefèbvre a dit en 1989 que la franc-maçonnerie dirigeait l’Église à Rome. Il a dit qu’il avait écrit des preuves comme quoi ils voulaient un gouvernement mondial sous leur contrôle. Il a dit que s’il devait aller à Rome, il n’aurait pas à s’expliquer devant eux, c’est eux qui devraient s’expliquer devant lui, car il défendait simplement les doctrines de l’Église.

Lorsque la Mère Bénie sera déclarée Reine de France une fois encore, le mot « négationnisme » aura acquis une nouvelle signification !

La chute de Rome

La prise de contrôle de l’Église catholique par Satan a été annoncée au XVIe siècle par Notre Dame de Bon Succès. Elle a été encore prédite à Fatima en 1917. Rome perdra la foi a t-elle dit. Et bien, Rome n’a pas seulement perdu la foi, Rome est pourrie jusqu’à la moelle. Nous avons désormais un pape hérétique protégeant une cabale de satanistes violeurs d’enfants. Mais il a les médias de son côté, il a les Nations Unis de son côté, il a les imbéciles de petits bourgeois gauchistes de son côté, et quelle bande d’imbéciles ils sont !

Lorsque le cardinal Vigano a révélé que le pape protège des agresseurs d’enfants, le pape a dit aux journalistes qu’il ne dirait rien puisqu’il savait qu’ils le défendraient.

Les catholiques bourgeois qui suivent le pape François comme des moutons enivrés sont plus a blâmer que n’importe qui pour la chute de la civilisation chrétienne. L’Église a toujours défendu la raison contre le sentimentalisme. L’infaillibilité du pape était un concept théologique lié aux affaires de doctrine. Cela ne veut pas dire que l’on ne peut pas critiquer le pape ! Il est impératif cependant de maintenir l’unité et ne pas oublier que, puisque l’institution est divine et éternelle, les sacrements le sont aussi.

Avec ses manières, ses coutumes, sa viticulture, sa cuisine, ses paysages, ses monuments, sa culture, la langue, sa philosophie et son art, aucun pays au monde n’a autant de grâce que la France mais la nation est en train de mourir sous un Gros Mensonge.

Qui aujourd’hui est si soumis à un lavage de cerveau, qui est si dénué de capacité critique pour ne pas voir la vacuité des droits de l’homme, la déclaration de la fierté universelle et l’amour-propre de l’homme, le catéchisme d’une bourgeoisie cupide et sans pitié ? 

Un temps pour la retenue et la réflexion

Les provocations contre l’Église en France proviennent de tous côtés. Récemment, le magazine Charlie Hebdo a publié un dessin de couverture du Christ avec des parties génitales couvrant son visage torturé sur la croix. Les chrétiens de France savaient que c’était de la provocation et n’ont pas réagi ; les musulmans devraient apprendre d’eux.

Ce mois-ci, le gouvernement célèbre les trente ans de la pyramide maçonnique en verre du Louvre. Le Clergé d’État ne perd jamais une occasion de se moquer des gens mais les pyramides égyptiennes, le temple légendaire de Salomon et autres obsessions du clergé d’état n’a jamais produit du grand art. Il y a une seule religion dans le monde où Dieu est venu sur terre en tant qu’homme, a fondé une institution mondiale faite pour durer jusqu’à la fin des temps, et aucune quantité de géolâtrie mystique ne va changer ce fait. Les amoureux d’art viennent au Louvre pour méditer sur les représentations de la Passion, de la Nativité et les innombrables variations de la plus grande histoire jamais imaginée. Peut-être que l’une des oeuvres les plus considérables du Louvre est aussi la plus humble. C’est une oeuvre du XVe siècle d’un monastère chartreux de Villeneuve-les-Avignon. Elle s’appelle « la Pietà d’Avignon » – la pietà d’Avignon d’Enguerrand Quarton. Le travail a été achevé à une époque où la chrétienté était à genou, alors que l’islam s’avançait à l’intérieur de l’Europe. 

Bien que peint sur un panneau, l’oeuvre est presque une sculpture avec des personnages ressortant de la scène contre un ciel doré avec une architecture mauresque dans le fond,  qui représente probablement Istanbul ou Jérusalem. Le Christ est allongé devant sa Mère et Marie-Madeleine par Joseph d’Arimathie. Il ôte la couronne d’épines de la tête du Christ. La couronne d’épines, un symbole de mortification de l’orgueil, a été conservée à Notre-Dame. Elles, avec un clou et un fragment de la croix ont été sauvé du feu. Dans la méditation de Quarton, Saint Jean, vêtu comme un prêtre, prie et contemple pieusement le lointain, son visage sobre est un réceptacle de la lumière orientale. le critique d’art René Huyghe écrit :

« La retenue intense du geste appartient à la France, à son réalisme vivant, à sa conscience de la vie de l’esprit qui, étant soumise à de grandes expériences spirituelles et les communiquant avec une grande sincérité, se passe de manifestations extérieures. »

Article original ici : http://www.gearoidocolmain.org/notre-dame-de-paris-fire-and-the-war-on-beauty/




Howard Kunstler : il y aura RESET mais pas celui qu’on croit ; la situation est trop incontrôlable

[Source : Nicolas Bonnal]

Howard Kunstler : il y aura RESET mais pas celui qu’on croit. La situation est trop incontrôlable. Effondrement des États et des économies et maintien du pouvoir de Trump (cf. Mike Adams). Pour Kunstler le Grand Reset est du BAVARDAGE de riches. Pas de monnaie globale numérique possible. Ne sis miser ante tempus (dixit Sénèque) donc. On va cahin-caha ou Caïn chaos vers Small is beautiful. Léopold Kohr (cf. nos textes) dirait que la mondialisation a atteint sa masse critique. Ils ne pourront pas tout contrôler. Stockez, déconnectez-vous, priez et n’oubliez pas Gandalf et le reset à la Tolkien, lecteurs…
  • L’élection est réexaminée, la fraude soustraite du décompte, le président Trump est déclaré vainqueur.
  • Le vote par correspondance pour le second tour du Sénat de Géorgie est disqualifié car une fraude systématique est révélée. Stacy Abrams est mise en examen pour avoir organisé la fraude.
  • Un certain nombre de célébrités politiques, des rats des marais de DC, des arnaqueurs de K-Street, des personnalités des médias et des dirigeants d’entreprises de technologie sont arrêtés et accusés de crimes graves liés à la fraude électorale.
  • La CIA est purgée et réduite à un rôle strictement analytique pour conseiller l’exécutif.
  • Le FBI est également purgé; Le directeur Wray est accusé d’entrave à la justice.
  • Suite au renversement du récit électoral des médias d’information (et des résultats réels des élections), Black Lives Matter et Antifa sont relâchés sur un certain nombre de villes et provoquent des destructions considérables, mais se font finalement botter le cul par les troupes fédérales. Les maires de la ville qui ont laissé les ravages se poursuivre sont arrêtés, accusés de complicité à l’insurrection et démis de leurs fonctions en attendant leur procès.
  • Nancy Pelosi a été remplacée à la présidence de la Chambre. Mitch McConnell a été remplacé comme chef de la majorité.
  • L’avocat américain John Durham porte des accusations contre les avocats impliqués dans l’enquête Mueller, notamment Andrew Weissmann, Aaron Zebly, Brandon Van Grack et Jeanie Rhee. M. Mueller est désigné comme co-conspirateur non inculpé en raison d’incompétence mentale.
  • Un procureur spécial est nommé pour enquêter sur les opérations de l’entreprise familiale Biden; les mises en accusation suivent fin 2021.
  • Le marché boursier entre dans une déflation longue et profonde de la valeur des actifs au cours des premier et deuxième trimestres et rebondit le reste de l’année. S & P tombe à 550 gamme; DJI moins de 10 000; Nasdaq sous 3000.
  • L’indice DXY dollar tombe sous les 80 au 2e  trimestre, 60 en fin d’année.
  • Le PIB américain a baissé de 40 % à la fin de 2021.
  • La production de pétrole aux États-Unis (moins les liquides de gaz naturel) a baissé de 40 %, fin 2021.
  • Système bancaire en plein désarroi en raison du non-paiement des loyers et des hypothèques. Le gouvernement fédéral intervient avec des paiements directs de secours aux locataires. Les propriétaires en défaut sont autorisés à rester dans leur maison à titre provisoire (ce qui n’est jamais réconcilié).
  • Épidémie de peste bubonique parmi les sans-abri de Los Angeles alors que les rats prolifèrent dans leurs campements.
  • Les fonds de pension s’effondrent alors que la chaîne brisée des paiements de loyer et d’hypothèque détruit les fiducies de placement immobilier.
  • Le gouvernement fédéral est contraint d’organiser des programmes massifs de distribution de nourriture.
  • Des millions de personnes se sont inscrites dans des projets de création d’emplois dans le cadre du New Deal (certains d’entre eux de valeur).
  • La ville de New York a été contrainte de réduire le service de métro au strict minimum alors que l’argent s’épuise.
  • Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a été rappelé hors de ses fonctions.
  • George Soros et plusieurs directeurs d’ONG financées par Soros accusés de crimes de racket et de financement de campagne électorale.
  • General Motors, Chrysler et Ford sont de retour en quête de protection contre les faillites. Cette fois, leurs actifs sont vendus et réorganisés en petites entreprises. Pas de renflouement.
  • Virus Covid s’efface de la scène au 3e trimestre, mais il reste le carnage économique. Énorme quantité de matériel de restaurant vendu pour dix sous sur le dollar.
  • Bitcoin «Hodlers» devient Bitcoin «Sodlers» en tant que réservoir de cryptos.
  • L’hystérie «réveillée» s’évapore alors que les Américains luttent contre les problèmes désespérés de la réalité quotidienne.
  • L’effondrement de l’enseignement supérieur commence sérieusement alors que le racket des prêts universitaires implose. Des dizaines de collèges et même de fermeture d’universités; d’autres rétrécissent considérablement dans un effort désespéré pour continuer.
  • Les célébrités hollywoodiennes s’excusent en masse pour le comportement passé de «Woke», implorent le pardon des victimes et des fans. Néanmoins, l’effondrement de l’industrie cinématographique se poursuit alors que, après Covid, les Américains recherchent désespérément la compagnie d’autres personnes au lieu de divertissements en conserve, dont ils en ont assez.
  • Le sport professionnel s’effondre à mesure que le modèle économique échoue. Les Américains appauvris lancent des ligues locales de baseball et de football à bas prix.
  • Twitter et Facebook deviennent des services publics.

[Source en anglais : Forecast 2021 — Chinese Fire Drills with a side of French Fries (Jacobin-style) and Russian Dressing | Kunstler

Voir aussi : My predictions for 2021 are almost fully aligned with James Howard Kunstler: Read the list here – NaturalNews.com].




Les Canadiens poursuivent en justice l’OMS, leur premier ministre Trudeau et leurs procureurs

Auteurs : Docteurs Nicole et Gérard Delépine

[Voir aussi : https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2020/10/COVID19-25-10-2020.pdf]

L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais des actes anticonstitutionnels des gouvernements complices de l’OMS.

Justin Trudeau, premier ministre canadien, est poursuivi directement en même temps que l’OMS ? Cela rendra-t-il prudents les dirigeants des autres pays complices du plan de l’instrumentalisation de la supercherie Covid19 ?

La révolte gronde. D’où viendra-t-elle avant de se répandre comme un tsunami impossible à contrôler ? Depuis le million de manifestants à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy, on aurait pu croire que la révolution viendrait d’Allemagne. Mais les manifestations pacifiques se sont multipliées dans de nombreux pays européens pendant souvent plusieurs semaines d’affilée comme en Italie, mais aussi en Amérique du Nord, et en particulier au Québec particulièrement touché par des restrictions extrêmement strictes des libertés.

La procédure en cours déposée le 21 décembre contre les responsables de ces mesures inefficaces devant le tribunal d’Ottawa, l’OMS, les Gavi et B Gates ainsi que le pape et la reine d’Angleterre en tant qu’inspirateurs d’ordre montre l’exaspération des victimes du monde entier. Elles ont compris que le but des restrictions des libertés n’est pas de sauver les peuples d’un virus[1], mais bien de ruiner les classes moyennes et de les transformer en esclaves modernes avec revenu minimal de subsistance et jeux débiles télévisés pour les endormir.

Le but devient plus clair depuis que les dirigeants trop sûrs d’eux ne s’en cachent plus. Des résistances s’organisent avec le pôle juridique initié par Reiner Fuellmich et son groupe allemand qui diffuse sur le monde occidental comme une traînée de poudre. Mais aussi directement par les peuples qui faute de mieux descendent dans la rue et résistent à la dictature de toutes les façons possibles.

Pour fêter la nouvelle année qui sera celle de la libération : les Autrichiens

Linz, Graz, Innsbruck, St Pölten : Un grand afflux de manifestants contre les mesures arbitraires et insupportables, injustifiées. Ces derniers jours, des milliers de personnes sont descendues dans la rue à St Pölten et Graz. Et[2] le premier janvier, Innsbruck a également manifesté. Les gens appellent pacifiquement, mais sûrement à respecter leurs droits fondamentaux et à rétablir la situation conforme à la Constitution.

« L’œil local à Linz. À partir de 16.00, plus de 1.000 personnes ont déjà déménagé sous la forme d’une « promenade » sur le site de la foire à Urfahr, puis sur la Linzer Landstraße. Le flux n’a pas voulu s’arrêter, le célèbre militant Martin Rutter, qui a parlé en direct de la manifestation, a même estimé jusqu’à 3.000 participants ». Sa diffusion en direct a été suivie par des milliers de spectateurs ».

« Les manifestations contre les mesures de Corona ne relèvent plus d’un camp politique. Peu importe qui est à gauche ou à droite, tout le monde veut la même chose : la fin des mesures, la liberté, les droits fondamentaux et le retour à une vie normale. Il ne faut pas se laisser monter les uns contre les autres, ne plus jouer le partage et le jeu « Gauche contre droite » qui permet aux dirigeants de museler les oppositions. »

La censure tout azimut et la propagande forcenée rend la mise en réseau de résistance importante

Il est important de se connecter maintenant. C’est ce qu’ont souligné de nombreux activistes sur le terrain ainsi que dans leurs diffusions en direct. Car la censure est omniprésente, chacun craint la suppression de ses apparitions sur l’internet, le non-respect par l’État de ses droits à la liberté d’expression.

À Linz, la police s’est remarquablement abstenue. Si, lors de la dernière marche silencieuse, on était martial avec au moins 20 voitures d’intervention, on se contentait aujourd’hui de quelques fonctionnaires. L’État de droit n’a rien à craindre des manifestants, mais est directement menacé par les actes anticonstitutionnels[3] du gouvernement.

Alors, manifestations plus plaintes de toutes sortes contre les masques, contre les vaccins par Maitre Brusa en France,[4] et puis cette étonnante procédure canadienne résumée dans notre papier publié dans France soir ce jour Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr) 2 janvier 2020 :

Résumé de la procédure publiée à Ottawa le 21 décembre 2020, contre l’OMS et Cie

Nous tenterons ici d’en rapporter les principaux éléments, laissant au lecteur assidu le loisir de consulter la procédure in extenso avec toutes les références bibliographiques.

LA PROCEDURE CLASS ACTION DE L’ONTARIO[5] le 21 décembre 2020

LA COUR SUPÉRIEURE DE JUSTICE DE L’ONTARIO énonce la réclamation suivante entre :

Plaignants : Stacy Amikwabi, Shawn Brennan, George Fayad, Joshua Alas-wilson, Alice Tojcic, Jane Doe, John Doe, les demandeurs

-et- accusés :

  • Le Pape FRANÇOIS, au nom du saint- Siège et de l’état du Vatican, nonciature apostolique d’Ottawa
  • La Société de Jésus à Toronto
  • SM La Reine ELIZABETH II, Au Nom De L’ORDRE De La JARREILLE, Maison De WINDSOR (Ancien SAXE-COBOURG-GOTHA, Aux Bons Soins de L’utilisateur Du Bâton Noir Ottawa.
  • ALLIANCE MONDIALE Des VACCINS (GAVI) Washington DC
  • ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ De L’ONU – OMS Washington
  • SANTÉ PUBLIQUE ORGANISATION DU CANADA Ottawa
  • FONDATION B ET M GATES Seattles
  • Premier Ministre J. TRUDEAU Ottawa
  • DR. THERESA TAM, aux soins de l’Agence de Santé Publique du CANADA
  • Administrateur en chef de la santé publique, phac.cpho-acsp.aspc@canada.ca
  • Premier MINISTRE DOUG FORD, Toronto
  • Christine ELLIOTT, ministère de la Santé, Toronto (Ontario) M7A 2J3
  • MAIRE Jim WATSON, 110, avenue Laurier Ouest, Ottawa (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DU CANADA Ministère de la Justice Canada
  • Bureau régional de l’Ontario, Toronto (Ontario)
  • PROCUREUR GÉNÉRAL DE L’ONTARIO Bureau du droit de la Couronne, Direction du droit constitutionnel

Défendeurs (accusés selon la terminologie française par les plaignants)

Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs[6]. Les adresses des défendeurs sont détaillées dans la procédure.

QUELLES SONT LES DEMANDES DES PLAIGNANTS ?

1. Les plaignants désirent :
  • obtenir une ordonnance certifiant cette instance en tant que recours collectif.
  • Affirmer que les décisions prises par J Trudeau sont invalides sur le plan juridique.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les mesures prises par le Parlement du Canada conformément aux instructions du Premier ministre, déclarant une pandémie sur la base des conseils de l’OMS est ultra vires = invalide[7], eu égard à leur pouvoir et leur autorité.
  • Ils exigent une déclaration selon laquelle les protocoles Covid-19 nécessitaient un examen immédiat avant enregistrement totalement transparent de la science et des données historiques.
  • Ils souhaitent que soit fixée une date immédiate et urgente par la Cour pour permettre une audience sur l’examen des protocoles et règlements et des plans de vaccination par le gouvernement fédéral, provincial et municipal ainsi que l’OMS.
  • Ils exigent des Déclarations contre les gouvernements fédéral, provincial et municipal, sur une base provisoire, pour suspendre les mesures COVID-19 jusqu’à la nécessité de telles mesures soit démontré par la science et l’opinion médicale.
2. Le demandeur, Stacy Amikwabi, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de sa classe
  • Dommages-intérêts généraux pour douleur, souffrance et perte de la jouissance de la vie.
  • Dommages spéciaux dont le montant reste à déterminer.
  • Dommages pour perte de revenu et / ou autre perte économique pour des montants déterminés.
  • Les dommages-intérêts punitifs.
  • Intérêts avant et après jugement conformément aux tribunaux Loi, LRO 1990, ch. C43 tel que modifié.
  • Les frais de cette action sur une base d’indemnité substantielle plus la TVA.
  • Tout autre redressement que cette honorable Cour peut juger juste.

Le demandeur, Shawn Brennan, réclame en son propre nom et au nom de tous les membres de son Groupe les mêmes reconnaissances et compensations.

Les plaignants :
Peuples autochtones ruinés et manipulés pour les vaccins dans la réserve FRENCH RIVER

Stacy Amikwabi réside sur une réserve (Première Nation de Henvy Inlet), en fait French River Réserve indienne no 13 (Rowan Proclamation 1852). Stacy et sa femme ont été économiquement dévastés par le verrouillage et autres protocoles introduits dans la réserve par le gouvernement fédéral. Ils seront de plus confrontés avec les vaccins obligatoires.

Ils ont tous été déjà informés que des restrictions seront imposées pour ceux qui n’acceptent pas le vaccin. Stacey et sa famille ne peuvent pas donner leur consentement éclairé à une « thérapie génique expérimentale », à savoir l’inoculation d’ARNm, qui aurait été développée et administrée en réponse aux cas de COVID-19 ailleurs. 

En raison d’une censure évidente et de la suppression de l’expression de l‘opinion qui n’accepte pas la propagande mondiale d’une pandémie, Stacy ne peut fournir un consentement éclairé pour une « thérapie génique expérimentale ». 

Stacy Amikwabi se présente comme représentatif de tous les peuples autochtones lésés par l’obligation de protocoles et mesures qui sont une réaction excessive à des ensembles de données produites, manipulées et distribuées dans une volonté de faire valoir l’existence d’une pandémie.

Le plaignant, Shawn Brennan représente les propriétaires de petites entreprises, lésés par la peur organisée et les mesures non justifiées

Entrepreneur à Peterborough, en Ontario. Shawn Brennan & Business ont été largement dévastés par l’impact des protocoles et des réglementations qui ne sont étayés par aucune recherche scientifique et médicale appropriée.

La cellule familiale de Shawn Brennan a été soumis à un stress incroyable en raison de la peur engendrée par l’inflation et manipulation des statistiques de décès, dans ce pays et dans le monde. 

Le plaignant George Fayad est un représentant de tous les propriétaires de petites entreprises d’Ottawa lésés par les protocoles et règlement.

George est un petit garagiste qui réside à Ottawa, en Ontario. Ses activités ont été négativement affectées par confinements, protocoles et réglementations.

Le plaignant Joshua Alas-Wilson, jeune adulte vivant à Balderson, en Ontario, représente les handicapés qui ont grand besoin de socialisation, gravement lésés par les mesures inadaptées

Joshua atteint du syndrome de Williams, maladie génétique caractérisée par un retard cognitif, retard de développement, anxiété et dépression intermittente. En tant que personne qui a des difficultés formant néanmoins des liens durables avec ses pairs, il vit en assistant à des rassemblements sociaux hebdomadaires, en faisant du bénévolat. En raison des restrictions mises en place à cause du covid-19, il ne peut plus assister à son rassemblement hebdomadaire, marcher librement, se socialiser ni faire de bénévolat.

Cela a créé des sentiments extrêmes d’isolement se manifestant par une anxiété majeure, des palpitations cardiaques périodiques et dépression. Joshua a été insulté car se sentait mal à l’aise et critiqué en raison de son incapacité à porter un masque. 

L’incapacité de porter un masque a gravement limité tout contact social, ce qui l’a poussé à rechercher des interactions sociales via Internet où il a ensuite été victime d’intimidations, de harcèlement et de blessures.

Joshua est le représentant de toutes les personnes ayant des « besoins spéciaux » lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Alisa, représentante des parents isolés qui ont vécu des situations tragiques pendant les confinements

La plaignante, Alisa Tojcic, mère célibataire et ses trois jeunes enfants vivant au centre-ville de Toronto via l’aide sociale sont restés chez eux pendant 57 jours pendant le premier confinement.  Ils vivent dans un appartement sans balcon et tous les patios du bâtiment et aire de jeux étaient fermés autour d’eux. 

Les enfants étaient terrifiés et Mme avait des crises de panique.  Son aîné a eu une commotion cérébrale, confiné dans sa chambre car la famille ne pouvait aller nulle part.

De plus, la famille qui compte sur les transports en commun, a été complètement bloquée lors du premier confinement

Alisa Tojcic est la représentante de tous les parents isolés et les enfants qui ont été lésés par les protocoles et règlements covid-19.

Les accouchées

Depuis mars. Jane Doe, mère plaignante qui a accouché depuis la mise en œuvre des protocoles et règlements covid. Son expérience, seule dans la salle d’accouchement et sans sonenfant après la naissance l’a traumatisé gravement. 

Jane représente toutes les nouvelles mamans depuis le 12 mars 2020 et leurs enfants, qui ont été lésés par les protocoles et règlements Covid-19.

Le plaignant, John Doe, est un travailleur de la construction dans la région d’Ottawa.  Contraventions ruineuses pour non-respect des mesures imposées !

Le ministère du travail a commencé à émettre des amendes pour avoir enfreint les protocoles de sécurité Covid-19, ne pas avoir observé la distanciation ou le port du masque. 

Les employés sont confrontés à la peur de recevoir une contravention sur la « nécessité de la sécurité » au travail. Dans certains cas, les revenus perçus pour le jour de travail est inférieur ou égal au montant de la contravention

John se dresse en tant que représentant de toutes les personnes qui ont été lésées par les protocoles Covid-19 et règlements et leur application par l’émission de contraventions et d’amendes.

Pourquoi les plaignants accusent-ils les personnalités citées plus haut ?

Les accusés cités sont les suivants
Le pape de Rome

L’accusé, le pape François, pontife romain, jésuite, membre de la Compagnie de Jésus. Le 3 octobre 2020, le Pape a publié l’Encyclique « Fratelli Tutti » dans laquelle il recommandait à toutes les nations de donner leur souveraineté à un gouvernement mondial et un nouvel ordre mondial.[8]

Le Saint-Siège entretient des relations diplomatiques avec d’autres États souverains et avec lesambassades accréditées auprès du Saint-Siège, pour permettre au Pape d’exercer une autorité universelle à l’échelle mondiale.

L’accusé, Etat du Vatican, a vu le jour le 11 Février 1929 par le Traité du Latran entre le Saint-Siège et l’Italie. Le siège du Saint-Siège (Sancta Sedes) est l’État de la Cité du Vatican. C’est un état qui appartient au Saint-Siège, siège de la juridiction épiscopale et du gouvernement central de l’Église catholique.

La cité du Vatican vaut des milliards et abrite de nombreux documents qui devraient être partagés avec l’humanité. Cet état connaît les méfaits et la manipulation de la Compagnie de Jésus depuis sa création en 1534 jusqu’à nos jours, selon les rédacteurs de la procédure résumée ici.

La Compagnie de Jésus

dans sa bulle d’autorisation, : « Regimen Ecclesiac Militants » (The Regime des militaires ecclésiastiques). 

En Europe, partout où l’intérêt de Rome obligeait le peuple à s’élever contre leur roi, ou si ces princes temporels avaient pris des décisions embarrassantes pour l’église », la Curie savait qu’elle ne trouverait pas plus habile, rusé ou audacieux à l’extérieur que la Compagnie de Jésus lorsqu’il s’agissait d’intrigues, de propagande ou même de rébellion ouverte.

Et plus loin dans le même livre :

« Il en va de même aujourd’hui, les 33000 membres officiels de la Société opèrent partout dans le monde en tant que personnel, officiers d’une armée vraiment secrète contenant dans ses rangs chefs de partis politiques, hauts fonctionnaires, généraux, magistrat, médecin, professeur de faculté, etc. tous s’efforcent de réaliser, dans leur propre espace, « Opus Dei, l’œuvre de Dieu », en réalité les plans du Directeur général et la papauté ».

Reine Elizabeth II

Conformément à l’article 9 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867, « le gouvernement exécutif et l’autorité du Canada continue à être dévolue à la reine. ». SM la reine Elizabeth II est également à la tête du groupe de travail fédéral sur Covid-19.  Le premier ministre Trudeau a nommé un haut officier militaire à la tête du groupe de travail pour Covid-19, qui doit rendre compte au commandant en chef, qui est Sa Majesté la reine Elizabeth II en vertu de l’article 15.

Ordre de la jarretière

L’Ordre de la Jarretière a été fondé par Édouard II, roi d’Angleterre en 1348 pour se protéger avec un groupe d’élite de propriétaires fonciers contre les gens du commun.  Le symbole de l’Ordre comprend la devise « Honni soit qui mal y pense ». » Le même symbole et la même devise se retrouvent partout au Canada sur les édifices gouvernementaux et palais de justice. L’Ordre de la Jarretière exécute les plans élitistes mondiaux de la royauté et des entreprises oligarques par rapport à un programme mondial élitiste, pleinement connu seulement d’un petit groupe au détriment des êtres humains sur la terre mère.

L’agenda mondial connu du Vatican et de la reine, soutenue par des sociétés telles que GAVI, Gates Fondation, entre autres, appliquant les ordres des directions mondiales de la santé émises par l’OMS, a mis des personnes au Canada en danger, voire dans le monde entier, selon la rédaction de cette procédure contre ces personnes et organisations. Ils sont donc poursuivis par cette procédure.

Alliance mondiale pour les vaccins et les immunisations (GAVI) et le célèbre Bill Gates

L’accusé GAVI

En 2000, Bill Gates a démissionné de ses fonctions de PDG de Microsoft, créé la « Fondation Gates » et avec d’autres parties a lancé l ‘ « Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination « GAVI ».[9]  Au 29 juillet 2020, la Fondation Gates s’est engagée pour 4,1 milliards de dollars américains. Le Canada est un membre de longue date de GAVI et membre de son conseil depuis sa création. 

Les membres de l’alliance GAVI sont : l’UNICEF, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates. 

GAVI a développé le Covid-19 Global Vaccine Access Facility (Covax Facility alias Gavi Covax AMC) pour répondre à ces « défis sans précédent » créés par la décision de l’OMS de déclarer une « pandémie ». Gavi Covax AMC sponsorise les fabricants qui souhaitent « investir dans le vaccin candidats avant leur licence. ». 

À ce jour, le Canada a fourni 1 milliard de dollars de financement directement à GAVI. Le 14 décembre 2020, Karina Gould (ministre du Développement international du Canada) a annoncé que le Canada versera 255 millions de dollars canadiens supplémentaires (200 millions de dollars américains).

LOBBYING ORGANISE ET FINANCE

La « Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) »[10], est un autre partenariat mondial formé entre les organisations publiques, privées, philanthropiques et la société civile pour consolider l’emprise élites mondiales et multinationales sur la santé publique.

Elle Fonctionne en tant que partenariat public-privé pour la santé mondiale ; l’objectif ultime de ces « partenariats » est de promouvoir les agendas mondiaux des entreprises participantes, en faisant du lobbying auprès des gouvernements et des organisations internationales afin de mettre en œuvre des politiques en leur faveur. 

Cela se fait aux dépens des citoyens des pays participants, et donc aussi des Canadiens.

Dans ce système, des fonds sont détournés des budgets nationaux pour financer des projets de sociétés sous l’égide de GAVI et al., mais uniquement au profit de ces entreprises.

Ces projets GAVI sont ensuite propagés dans le monde entier grâce à un partenariat spécial avec l’OMS pour accroître son influence et ses sources de profit et avec l’Agence de santé publique du Canada.

L’OMS[11]

L’accusée OMS. La création de l’OMS est entrée en vigueur le 7 avril 1948 et son rôle principal était de diriger et coordonner la santé internationale au sein du système des Nations Unies. 

En janvier 2010, Bill Gates a promis 10 milliards de dollars de financement à l’OMS et annoncé : « la décennie des vaccins ».

Gates et GAVI sont les deuxième et troisième bailleurs de fonds de l’OMS après le Gouvernement des USA, qui a récemment retiré son financement par décision du président Trump. Conformément au Règlement sanitaire international (RSI 2005) chaque État membre de l’OMS doit désigner un point focal national (PFN). Le NFP est accessible à tout moment pour les communications avec l’OMS concernant les risques pour la santé publique dans le monde.  L’’Agence de la santé publique du Canada (AAP). Cette agence suit les directives de l’OMS et non du gouvernement du Canada.

Fondation Bill et Melinda Gates

L’accusée Fondation Gates : les restrictions légales américaines interdisent la Fondation Gates (« Fondation ») de s’engager explicitement dans un lobbying normatif visible. Par conséquent, la Fondation se sert des bénéficiaires comme catalyseur de la mobilisation des ressources, et comme « éclaireur » de l’innovation scientifique par la promotion de vaccins pas encore complètement développés et tests de nouveaux vaccins sur les populations, en particulier les enfants et les jeunes adultes en Afrique, délivrés sous mandats de l’ONU ou de ses organisations comme l’OMS ou l’UNICEF. 

La Fondation « n’’était que le deuxième bailleur de fonds de l’OMS avec 531 millions de dollars. C’était plus que la Contribution du Royaume-Uni de 392 millions de dollars, et deuxième seulement après les États-Unis avec 873 millions de dollars »[12] en avril 2020, lorsque Trump a cessé le financement de l’OMS.

Dans un article des Pastors Chronicles, le titre suivant apparaît : « les vaccins des Nations Unies stérilisent 500 000 femmes au Kenya » le 8 décembre 2018.

« Le milliardaire Bill Gates aime vraiment aider les gens des pays pauvres à se faire vacciner.

Mais beaucoup disent que ses motivations ne sont peut-être pas si pures. En fait, beaucoup croient que ce mondialiste, avec les Nations Unies, mène un « effort de dépeuplement massif ».

Comme l’a rapporté l’Agence de Presse Africaine du Kenya :[13] 

« Odinga a déclaré que les filles et les femmes âgées de 14 à 49 ans sont celles qui connaissent la croissance la plus rapide les populations du pays n’auront pas d’enfants, en raison d’un exercice de stérilisation qui a été vendu au pays comme vaccin contre le tétanos ».

Et dans le premier article ci-dessus :

« À l’époque, l’Église catholique du Kenya affirmait que le vaccin antitétanique utilisé par

le gouvernement du Kenya et les agences des Nations Unies ont été contaminés par une hormone (HCG) qui peut provoquer des fausses couches et rendre certaines femmes stériles ».

Comme la Convention des Nations Unies sur le génocide de 1949 a défini la stérilisation comme l’une des définitions de génocide, basé sur ce qui précède, il est clair que les agences de l’ONU et les Bill et Melinda Gates Fondation soutiennent les actes de génocide à travers ses programmes de vaccination.

Premier ministre Justin Trudeau

L’accusé par les plaignants, J. Trudeau, a lors de sa dernière apparition à l’ONU, parlé du programme de « grande réinitialisation » poussée sur l’humanité par l’élite oligarque, Big-pharma, les grandes technologies et le Forum économique mondial. Il n’agit pas sur la base de données médicales et scientifiques solides pour guider les Canadiens et Autochtones à travers cette crise, mais fait écho à un programme néfaste maintenant à la vue de tous.

Or J. Trudeau titulaire d’une charge publique agit en dehors de son autorité législative. En nommant un officier supérieur à la tête du groupe de travail COVID-19, le Premier ministre invoque la reine Elizabeth II, commandant en chef de l’armée.

Le premier ministre et son cabinet ont de plus invité au Canada l’OMS et les grandes entreprises, qui sont par définition coupables de génocide au Kenya. Pfizer a payé 2,3 milliards de dollars le 2 septembre 2009 au ministère américain de la Justice, pour la plus grande fraude en matière de soins de santé dans l’histoire du ministère de la Justice.14

Dr Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada

T. Tam titulaire d’une charge publique est l’un des sept membres de l’Independent Oversight et du Comité consultatif du programme de l’OMS pour les urgences sanitaires. Récemment, la journaliste Sheila Gunn Reid (14 décembre 2020), a noté[15]:

« je voulais tout savoir sur les relations de Tam et de son agence avec l’OMS.

Quelles autres décisions, y compris celles que nous ignorons peut-être, ont été infectées par l’OMS et sa mission excentrique chinoise ratée ? »

Premier ministre de l’Ontario Doug Ford

Doug Ford, actuel premier ministre de l’Ontario, titulaire du Bureau a mis en œuvre des mesures, des lois et des règlements qui nuisent au grand public sans avis médical scientifique valable pour soutenir les mesures draconiennes.

L’isolement est défini comme de la torture et qualifié de crime contre l’humanité. Ce crime internationalement reconnu est devenu une infraction pénale légalement définie auCanada, en particulier en vertu de la Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre.[16]

Christine Elliott

C. Elliott, actuelle ministre de la Santé et des Soins de longue durée. Pendant une conversation filmée entre le Dr Barbara Yaffe, chef adjoint du cabinet médical of Health et le Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, un échange a eu lieu, dans lequel Barbara Yaffe s’est exclamée : 

« je ne sais pas pourquoi j’apporte tous ces papiers. Je ne les regarde jamais, « je dis juste n’importe quoi, ils écrivent pour moi »[17].

Ville d’Ottawa – maire J. Watson

Le maire de la ville d’Ottawa, Jim Watson, supervise les règlements municipaux sur les mesures COVID-19 et donc responsable des préjudices associés à la mise en œuvre et application des protocoles Covid-19 et mesures prises.

Procureur général du Canada

Il est constitutionnellement le juriste en chef du Canada, donc titulaire d’une charge publique et doit être nommé en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire, constitutionnellement responsable des actes et omissions des fonctionnaires.

Le procureur général de l’Ontario

Juriste en chef de la province de Ontario, titulaire d’une charge publique, doit être poursuivi en tant que défendeur dans toute action en jugement déclaratoire. Le procureur général de l’Ontario est responsable statutairement et constitutionnellement des actes et omissions des fonctionnaires.

APERÇU HISTORIQUE selon la procédure (traduction libre résumée)

Le 15 mai 1213, le roi Jean Ier dans une concession au pape Innocent III, a abandonné la souveraineté de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, en payant une allocation annuelle, liant ses héritiers et successeurs à perpétuité. Aujourd’hui, SM la reine Elizabeth II rend compte au Pape et verse l’allocation annuelle.

Le Vatican appartient à la famille Rothschild. En 1880, les Rothschild ont fait un important prêt au Pape, se mettant ensuite en mesure de reprendre la Banque du Vatican. Ensemble, les Rothschild et le Vatican possèdent la Bank of America et Merrill Lynch, parmi de nombreuses autres propriétés partagées avec des familles d’oligarques, telles que les Rothschild et les Rockefeller.

La Compagnie de Jésus constituée par Ignace de Loyola en 1534 à Paris est restée secrète jusqu’en 1770. L’expression : « la fin justifie les moyens », émane du jésuite qui permet aux membres de mentir, tricher, adultérer, assassiner afin de réaliser leurs fins, aussi longtemps que c’est au nom de Jésus. Le livre, « l’histoire secrète des Jésuites »[18] d’Edmond Paris raconte leurs méfaits en fomentant la Première Guerre mondiale, la Grippe espagnole, la Seconde Guerre mondiale et maintenant une « pandémie ».[19]

L’Ordre de la Jarretière été fondé en 1348 par le roi Édouard III pour établir un cercle de noblesse d’élite, pour soutenir les trésors royaux et contrôler le peuple. Aujourd’hui, c’est la plus grande Organisation franc-maçonne dans le monde. La reine Elizabeth II est à la tête de l’Ordre royal de la Jarretière, dont la devise est « Honni soit qui mal y pense ».

L’huissier du bâton noir[29], un fonctionnaire du Parlement du Canada est le secrétaire de la reine au Canada, porte le bâton noir pour ouvrir le Parlement et l’inscription sur le Black Rod est « Honni soit qui mal y pense » témoignant du contrôle exercé par l’Ordre de la jarretière au Canada.

Le Canada demeure une colonie pour la reine. Le Premier Ministre du Canada a nommé l’armée à la tête du groupe de travail Covid-19.[20] Cela place la reine à la tête du groupe de travail Covid-19, en vertu de l’article 15 de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique,1867.

En octobre 2020, le Pape a publié sa lettre encyclique intitulée « Fratelli Tutti », traitant d’une nouvelle vision du monde. Il déclare : « je ne propose certainement pas un universalisme autoritaire et abstrait imaginé ou planifié par un petit groupe et présenté comme un idéal dans un souci de nivellement, de domination et le pillage. ». Bien qu’il dise le contraire, le Pape continue en recommandant aux États individuels d’abandonner leur souveraineté et confier la gouvernance aux Nations Unies afin que nous en ayons un gouvernement mondial dans un ordre mondial.[21]

Jus Cogens[22] = principes de droits réputés universels et supérieurs

La procédure rappelle les principes de JUS COGENS.

« Toute enquête sur les principes de justice fondamentale repose non seulement sur l’expérience et la jurisprudence canadiennes, mais aussi sur le droit international, y compris « jus cogens ».

Cela tient compte des obligations et des valeurs internationales du Canada tel qu’exprimé dans les diverses sources du droit international des droits de l’homme – déclarations, pactes, conventions, décisions judiciaires et quasi judiciaires des tribunaux internationaux et normes coutumières ». 

Les plaignants déclarent que le « jus cogens » est défini comme une norme pour laquelle aucune dérogation n’est autorisée et qui ne peut être modifiée que par une norme de droit international général ayant le même caractère.[23]

« Les plaignants accorderont une importance particulière à ce qui suit concernant les outils internationaux et nationaux ». Ils déclarent que les principes juridiques et moraux énoncés dans le les documents ci-dessous sont le prisme à travers lequel la crise mondiale actuelle doit être considérée :

  • Pacte international relatif aux droits civils et politiques[24] : 23 mars 1976 « Reconnaissant que, conformément à la Déclaration des droits de l’homme, l’idéal des êtres humains libres jouissant et la liberté politique et l’absence de peur, « nul ne peut être soumis sans son libre consentement à l’expérimentation scientifique. ».
  • Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide.[25]
  • Loi sur les crimes contre l’humanité et loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24[26] 
  • Convention internationale sur la répression de la répression du crime d’Apartheid, 30 novembre 1973 
  • Convention pour la prévention des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain concernant l’application de la biologie et de la médecine (Convention d’Oviedo) avril 4, 1997[27]
    • Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
    • Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de son descendants ».
  • Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, 13 septembre, 2007. 
CONSEQUENCES FINANCIERES AU CANADA

Depuis mai 2020 : plus de six millions de Canadiens ont demandé des prestations de chômage et 7,8 millions de Canadiens ont eu besoin d’un soutien du revenu d’urgence du gouvernement fédéral, en raison des fermetures économiques et des fermetures dictées par les mesures de Covid.

Estimations du déficit fédéral résultant de leur réponse au SRAS-CoV-2 (COVID-19) va jusqu’à 400 milliards de dollars. (Cela dépasse le budget national du Canada pour un an).

Décisions autoritaires et infondées scientifiquement

Le 20 mai 2020 – La Dr Tam a imposé l’utilisation de masques non médicaux destinés au grand public afin de fournir une « couche de protection supplémentaire » qui pourrait aider à empêcher les patients atteints de Covid-19 asymptomatiques ou pré-symptomatiques d’infecter les autres. Avis non étayé par des preuves scientifiques.

Le 22 mai 2020 – J Trudeau a déclaré aux journalistes que la « recherche des contacts » devait être accéléré à travers le comté. 

Le 25 mai 2020, le gouvernement fédéral a annoncé des dispositions d’un éventuel Code pénal faisant de la publication de « fausses informations » sur le COVID-19 une infraction pénale. La « désinformation » évolue rapidement pour signifier que toute opinion ou déclaration, même d’experts, qui contredit ou critique les mesures prises et / ou mandatées par l’OMS, mis en œuvre au niveau mondial par les gouvernements nationaux et régionaux, sera condamnée.

Le 23 juin 2020, le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles demande, dans un rapport de 69 pages, la fin des mesures de verrouillage sur la base d’une analyse du manque de connaissances médicales et scientifiques preuve de leur imposition et de l’infliction de violations graves et injustifiées de la Charte. Le 18 juin 2020, le premier ministre Doug Ford a annoncé une hausse et une accélération à venir de la mise en place d’une surveillance « traçabilité des contrats » par téléphone portable.

DÉFIS CONSTITUTIONNELS
Les plaignants évoqueront la violation des sections suivantes de la Charte canadienne des droits et libertés[28]

« Liberté de conscience et de religion, de pensée, de croyances et d’opinion et d’expression, y compris liberté de la presse et des autres médias, communication, liberté de réunion pacifique, liberté d’association. »

Ils rappellent que tout citoyen canadien a le droit d’entrer, de rester et de sortir du Canada.

Section 7

  • Toute personne a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne et le droit de ne pas en être privé, sauf conformément aux principes de justice fondamentale.

L’article 8

  • Chacun a le droit d’être protégé contre fouilles ou fouilles abusives.

Article 12

  • Chacun a le droit de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels, traitement ou punition.

Article 25

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété de manière à abroger ou déroger à tout Autochtone, traité ou autre les droits des libertés qui concernent les peuples autochtones du Canada.

Article 26

  • La garantie dans leur charte de certains droits et libertés ne doit pas être interprété comme niant l’existence de tout autre droit ou liberté existant Canada.

Les plaignants reviennent sur des points majeurs des sous-sections de la Charte

Section 2

  • toutes les sous-sections engagées ensemble en vertu de la déclaration de pandémie sans preuve scientifique, manipulation des statistiques et nombre de « tests » PCR
  • introduction de vaccins par des entreprises autorisées à sauter les essais sur les animaux et à faire des êtres humains des cobayes pour «vaccin génique expérimental» qui mettrait alors les êtres humains en danger en risquant de perturber l’expression de nos gènes, de modifier la transcriptase inverse humaine (RT) dans le corps humain, pouvant entraîner la mort en raison de l’intrusion dans le pool génomique du corps humain, y compris la facilitation des réactions auto-immunes et le développement de protéines chimères et séquences génomiques en réponse.

Ces actions, isolées ou prises ensemble, violent toutes les sections.

Il est évident pour tous que l’article 2 (b) est particulièrement attaqué lorsque la censure prévaut sur toutes les plateformes médiatiques et la liberté de pensée, de croyance et d’opinion et l’expression sont gravement menacées.

Section 6

Ce droit a été bafoué par et l’exécutif agissant sans autorité, car il ne s’est pas informé sur la science du coronavirus, le test PCR, ni sur les vaccinations proposées. Cette abdication du devoir et la responsabilité envers le peuple est écrasante et évidente.

Section 7

Les protocoles imposés causant des effets mentaux, physiques, émotionnels et profonds, les dommages économiques ne sont pas fondés sur une science crédible quant à l’existence réelle d’une pandémie.

 L’OMS s’est livrée à tant de manipulations, même sur la définition de pandémie, que d’avoir un gouvernement fédéral s’attachant à une telle exagération est une violation flagrante de la vie, de la liberté et de la sécurité de la personne, en violation évidente des lois du Canada et des lois internationales et des engagements mentionnés ci-dessus, signés et ratifiés pour protéger les citoyens.

Violation de l’article 7 :

suppression des statistiques et des informations vitales, censure de la presse contre toute opinion opposée, manipulation des statistiques de décès et exagération du nombre de cas par des « tests » PRC inutiles et faux, introduction de sociétés pharmaceutiques privées invitées à conduire une thérapie génique expérimentale sur l’ARNm, pour une maladie dont 98,09% de la population récupère et bien qu’il existe des traitements connus pour la guérison … : équivaut à la violation flagrante de l’article 7.

Section 8

Les tests sont utilisés pour suivre des individus dans le monde entier. Ceux testés au Canada sont maintenant saisis dans une base de données policière. L’ordre du jour proposé par les sociétés pharmaceutiques semble chercher à modifier l’ADN de l’être humain et à insérer des micro-puces à des fins de surveillance satellite. Ce sont des violations majeures de l’article 8.

Section 12

Chacun a le droit… « de ne pas être soumis à des actes cruels et inhabituels traitement…« 

Article 25

Le gouvernement fédéral, par le biais de la loi relative à l’apartheid sur les Indiens, a établi une catégorie d ‘ « Indiens inscrits » et « autres » (article 25 de la Loi constitutionnelle de 1982).

Les « autres » sont les privés de leurs droits, les opprimés, les oubliés et blessés et à travers son agenda actuel, il fait que tout le monde « autres ». Les plus vulnérables de la population, les personnes âgées, les enfants et les autochtones entrent tous désormais dans la catégorie « autres ».

Article 35

Cet article de la Constitution confirme l’existence d’autres droits et libertés que les plaignants affirment comme incluant l’application des traités internationaux, et du jus cogens au droit interne. Le rejet de ce principe de relation internationale constitue une violation de l’article 26.

Les plaignants chercheront à tenir une audience, de toute urgence, sur la base d’un bref de quo warranto, certiorari, déclaration et injonction avancée à travers le prisme de la violation de la charte des droits et libertés et des outils internationaux de la protection contre la tyrannie.

DROITS DE L’HOMME AU CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ, À LA SANTÉ ET À L’INTÉGRITÉ CORPORELLE[29]

Les gens doivent bénéficier d’un consentement pleinement éclairé lorsqu’il s’agit d’injecter du matériel génétique étranger dans leur corps. Les législateurs n’ont pas les connaissances spécialisées nécessaires pour conduire l’analyse indispensable des risques bénéfices de l’individu. Seul l’individu, ou dans le cas d’un enfant, les parents peuvent posséder cette connaissance. Tous les vaccins comportent des risques.

La vaccination obligatoire constitue une violation flagrante du droit au consentement éclairé.

La Déclaration d’Helsinki déclare que chaque projet de recherche doit être précédée d’une évaluation minutieuse des risques et des charges prévisibles et comparaison avec les avantages prévisibles « (article 18). Il ajoute que la recherche devrait être stoppée lorsque les risques l’emportent sur les bénéfices potentiels (article 20) ». 

Le sujet THÉRAPIE GÉNIQUE

Ici, nous ne parlons pas seulement de thérapie génique expérimentale affectant quelques-uns mais de l’ARNm forcé qui n’est pas la vaccination telle que nous la connaissons, c’est une thérapie génique qui consiste à transjecter des êtres humains avec des protéines virales produites à partir de matériel d’origine non humaine.

La Déclaration d’Helsinki et le Conseil des organisations internationales des sciences médicales (CIOMS) exige que :

 « les personnes vulnérables ne devraient pas être incluses dans la recherche à moins que la recherche ne soit indispensable à l’amélioration de leur santé et cela ne peut se faire avec les personnes qui sont capables de donner leur consentement »

Selon les essais américains Pfizer et BioNTech, le risque d’infection est réduit de 0,39%. De plus, le test PCR 100% inutile ne peut pas établir que ces personnes pourraient avoir déjà subi une infection par le SRAS-CoV-2 de manière asymptomatique. 

La « vaccination » de masse prévue, non seulement ne demande pas le consentement éclairé, mais veut « vacciner » d’abord les personnes vulnérables et les enfants. » Les gouvernements doivent de toute urgence orienter les politiques de santé vers la protection, plutôt que vers la violation des droits de l’homme.

MODUS OPERANDI DES VIOLATIONS DES DROITS DE L’HOMME via l’EUGÉNISME

Les vaccins COVID sont des vaccins à ARNm. L’ARNm n’a jamais été utilisé comme vaccin. 

En substance, nous n’avons absolument aucune idée à quoi s’attendre de ce matériel qui est vendu au public comme « vaccin ». 

Le vaccin traditionnel introduit simplement des morceaux de virus pour stimuler une réaction immunitaire. Le nouveau vaccin ARNm est complètement différent. Il injecte en fait (transfecte) des molécules de matériel génétique synthétique provenant de sources non humaines dans nos cellules. Une fois dans les cellules, le matériel génétique interagit avec notre ARN de transfert (ARNt) pour fabriquer une protéine étrangère qui apprend au corps à détruire le virus pour lequel il est codé.

Notamment, ces protéines nouvellement créées ne sont pas régulées par notre propre ADN, et sont donc complètement étrangères à nos cellules. Ce qu’ils sont pleinement capables de faire est inconnu.

Plus récemment, des études de Zhang L et al.,[30] publiées le 13 décembre 2020, ont fourni la preuve que le génome du SRAS-CoV-2 transfecté dans le corps humain avait déclenché une réponse du corps humain consistant à intégrer le génome du SRAS-CoV-2 dans l’ADN humain. Des études dès 2003 avaient montré que cela serait probablement facilité dans les testicules et les ovaires entre autres organes.

Par conséquent, des preuves claires de la manipulation et de la mutation du génome humain pourraient être déjà établies. 

Forcer les gens à accepter une transvection avec du matériel d’ARNm qui changera leur génome est en fin de compte un programme eugénique imposé par le gouvernement

Ces nouveaux « vaccins » sont en outre contaminés par de l’aluminium, du mercure et peut-être du formaldéhyde. Les fabricants n’ont pas encore révélé les autres toxines qu’ils contiennent.

Étant donné que les virus mutent fréquemment, la probabilité que tout vaccin fonctionne pendant plus d’un an est improbable. Dire aux gens que le vaccin développé sans utiliser de matériel viral isolé et cultivé est une pure illusion. Aucune étude d’innocuité à long terme n’aura été réalisée pour s’assurer que l’un de ces vaccins ne causera pas le cancer, des convulsions, des maladies cardiaques, des allergies et les maladies auto-immunes observées avec autres vaccins.

Si vous avez toujours voulu être cobaye pour Big Pharma, c’est maintenant une opportunité en or.

CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Les plaignants déclarent que depuis le 3 mars 2020 les conditions imposées correspondent à la deuxième définition du génocide. La convention des Nations Unies sur le génocide déclare : « Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice mental ou physique. »  les dirigeants ont négligé les êtres humains sur le plan spirituel, émotionnel, mental et physique depuis le 2 mars 2020.

Les plaignants réclament des dommages-intérêts de la part des accusés pour fait de génocide et apartheid depuis cette date jusqu’à la fin de l’oppression.

Les plaignants déclarent que certains accusés ont été publiquement identifiés pour avoir commis un acte de génocide au Kenya – OMS, Fondation Gates. Ceux qui coopèrent maintenant avec eux dans la folie des vaccinations de masse dans le monde entier, pour une maladie de source inconnue et au taux de guérison de 98,01%, sont également complices des crimes de génocide et apartheid.

L’AGENDA

L’ordre du jour mondial semble tourner autour de la pandémie, des tests et de la vaccination. Les plaignants déclarent que le les informations scientifiques et médicales accessibles au public n’appuient pas la déclaration d’une pandémie. Ils prouveront que la définition de pandémie a été manipulée par l’OMS pour des raisons néfastes et non pour des raisons médicales ou scientifiques.

Le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros A Ghebreyesus a été accusé de génocide à la Cour pénale internationale. L’ONU et l’OMS avec le projet de loi et la Fondation Gates a commis un génocide au Kenya.

Le concept de pandémie a été déclaré, non pour lutter contre une maladie infectieuse connu sous le nom de COVID-19 (bien qu’il ait toujours existé), mais pour répondre à un ordre du jour néfaste. La maladie peut être correctement traitée sans vaccination, il s’agit d’un taux de récupération de 98,01% et les traitements appropriés pour la maladie ont été supprimés dans le monde entier.

Plus inquiétant est une censure mondiale contre quiconque défie la sagesse conventionnelle de la nécessité de déclarer une pandémie. Le groupe déclare que la censure viole leur Charte des droits des alinéas 2a) et 2b) et leur donne droit à une indemnisation conformément à l’article 24 de la Charte.

PANDÉMIE

Les plaignants déclarent que l’utilisation de la terreur des enfants et des personnes âgées fait partie l’agenda de ceux qui manipulent cette crise sanitaire. L’obligation de conditions de vie depuis le 2 mars 2020, a causé des dommages mentaux et physiques aux enfants et aux personnes âgées.

Le groupe réclame des dommages-intérêts pour les tests PCR du génocide et de l’apartheid le au nom des enfants et des personnes âgées.

TESTS

Les plaignants déclarent qu’il existe de nombreuses preuves scientifiques et médicales prouvant que le «test » PCR est inutile. La plupart des scientifiques conviendront que la définition des cycles de la PCR au-delà du seuil de cycle de 25 cycles, rend l’outil inutile. 

La plupart des kits de test PCR, sinon tous, sont fixés à 45, ce qui rend les résultats inutiles et fallacieux. Cependant, les résultats positifs sont utilisés pour augmenter le nombre affiché de malades pour alimenter le mensonge de la propagation de la maladie – juste cela – un mensonge. Le demandeur et la classe action affirment que des médecins du monde entier reçoivent un supplément d’honoraires pour déclarer un cœur mort d’attaque ou mort d’un accident de voiture, mort de COVID-19. Pourquoi ? Subterfuge ? 

VACCINATIONS

Les plaignants déclarent que la Fondation OMS / Gates / ONU a été identifiées comme ayant commis un acte de génocide en stérilisant 500000 filles et des femmes kényanes. Ils déclarent qu’ils sont confrontés à un autre acte de génocide à moins qu’il ne soit arrêté rapidement et que les responsables et les autorités s’expliquent. Ils déclarent que ce n’est pas la grippe qui a tué dans la grippe espagnole de 1917, mais les vaccinations qui ont fait 50 millions de morts dans le monde.

Ils déclarent que le programme de vaccination proposé dans le monde est une guerre biologique livrée à l’humanité.

DOMMAGES / INFRACTIONS

Mesures Covid : les plaignants déclarent que les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux ont suivi l’exemple « d’une déclaration de pandémie par l’OMS », organisation qui a manipulé la définition de pandémie pour l’adapter à son propre programme néfaste (et engagée dans un acte de génocide au Kenya). La déclaration de pandémie n’était pas fondée sur des avis médicaux, mais plutôt sur les conseils d’une organisation corrompue et génocidaire.

Tous provinciaux et gouvernements municipaux ont emboîté le pas en fondant leurs actions sur une déclaration de pandémie par l’OMS.

Mesures fédérales

J. Trudeau a tenu (tient) des conférences de presse quotidiennes pour « informer » les Canadiens sur décrets et arrêtés, tels que « rester à la maison », qui n’ont aucune valeur juridique, nonobstant le fait qu’ils ont été appliqués par des agents d’exécution municipaux et provinciaux, mais à aucun moment le Parlement fédéral n’a invoqué la loi fédérale sur les urgences.

Mesures provinciales

Le 17 mars 2020, le premier ministre de l’Ontario, et son gouvernement ont invoqué la loi provinciale sur la gestion des urgences et la protection civile, avec un état déclaré « urgence », prorogé en Juillet 2020, et ont adopté à ce jour, 48 règlements avec ordonnances d’exécution.

L’effet net et sommaire des ordonnances contenues dans le règlement est le suivant :

Ordonner la fermeture de toutes les entreprises, à l’exception des entreprises «  essentielles  » liées à la nourriture et à la médecine.

Une «distance sociale» de deux (2) mètres; pas de «  rassemblement public  » de plus de cinq personnes sans lien de parenté, avec distance « de deux mètres, augmentée par la suite à dix personnes; fermetures de restaurants et de bars, à l’exception du service à emporter; fermeture matérielle de toutes les écoles, garderies et universités publiques et privées ; usage obligatoire des masques faciaux, mandaté par le Ministère de la Santé, à tous les collèges de services médicaux de réglementation médicale, pour diriger tous leurs membres autorisés d’imposer le masquage obligatoire de tous les patients, employés et membres, dans leur lieu de travail; fermeture de toutes les commodités du parc, y compris toutes les aires de jeux et les installations les enfants ; élimination des programmes individuels et de tous les autres programmes destinés aux enfants ayant des besoins spéciaux, et ceux qui souffrent de handicaps neurologiques et physiques

Interdire tous les rassemblements publics de plus de cinq personnes, nonobstant une distance de deux mètres, y compris l’interdiction des services religieux, y compris restriction sur les mariages, les funérailles et autres actions religieuses, rituels et rites.

La disposition relative aux infractions, à la mise en accusation et à l’imposition de lourdes amendes violation des ordonnances, avec l’impossibilité de contester ces amendes en tant que la Cour des infractions était (et pourrait à nouveau) être physiquement fermée et la Cour provinciale les contraventions à la Loi sur les infractions indiquent clairement que l’accusation et la ligne ne peuvent pas être «  postées  » mais que la personne doit se présenter physiquement à la Cour des infractions provinciales pour déposer une défense des accusations, seulement pour trouver un palais de justice fermé.

La Ville d’Ottawa a adopté des règles provinciales et municipales qui imposent des exigences et restrictions sur : masques faciaux, rassemblements sociaux, restaurants, bars, espaces de réunion et d’événement, sports, exercices et gymnases, lieux de culte, casinos, salles de bingo et établissements de jeux, cinémas, installations pour les arts de la scène, vente au détail, services de soins personnels et la liste est longue[31].

Les demandeurs déclarent que les allégations de l’OMS, notre organisme fédéral, les gouvernements provinciaux et municipaux, ainsi que les médias grand public, affirmant que nous sommes face à la plus grande menace pour l’humanité de notre vivant, sont FAUSSES. La modélisation mathématique utilisée pour justifier les mesures de confinement extrême est invalide. 

De plus, la grande majorité de la population ne court aucun risque de complications, ni mortalité résultant de l’exposition au COVID-19.

L’endiguement massif et aveugle des citoyens, la restriction de l’accès à notre économie, aux tribunaux, au parlement et à nos moyens de subsistance, aux soins médicaux et thérapeutiques, et l’obligation de la distanciation physique et d’autres restrictions sont des mesures qui n’ont jamais été mis en œuvre ni testées, sans base scientifique ou médicale.

L’impact de ces mesures sur les plans physique, émotionnel, psychologique et le bien-être économique est profondément destructeur, injustifié et manifestement non durable.

Ces mesures d’isolement drastiques ne sont pas étayées par des preuves. Il existe un consensus considérable dans la communauté scientifique sur le fait que de telles mesures ne sont ni durables ni justifiées, et bien que ces mesures puissent retarder propagation virale, il est peu probable qu’ils aient un impact sur la morbidité globale.

Le fait est que ce discours sur la pandémie du COVID-19 suscite une panique inutile utilisée pour justifier les violations systématiques par le gouvernement des droits et libertés qui forment la base de notre société, y compris nos droits constitutionnels, notre souveraineté, notre vie privée, notre règle de la loi, la sécurité financière et même notre démocratie même. il est clair que des violations significatives des droits et libertés des demandeurs ont été perpétrées par les gouvernements fédéral, provinciaux et municipaux et les autorités sanitaires.

Le fait est qu’en raison de tout ce qui précède, les demandeurs ont souffert et continuent de souffrir, de graves violations de leurs droits constitutionnels qui ne sont justifiées par aucun mesure, y compris l’art. 1 de la Charte.

Les préjudices / actes répréhensibles des plaignants seront plus spécifiquement placés dans un futur document. L’urgence de déposer ce document est primordiale.

CONCLUSION

Les plaignants allèguent d’actions délictuelles générales et manquement à obligation fiduciaire, méfait dans la fonction publique, négligence grave, ainsi que délits de voies de fait, y compris délit de génocide et apartheid et complicité de génocide et d’apartheid.

Ils déclarent que leurs avocats participent à une alliance mondiale avec avocats, médecins, scientifiques qui expriment une alarme collective contre ces mesures draconiennes non étayées par une démonstration médicale ou scientifique. Ils proposent que l’affaire soit jugée à Ottawa.

Date : 21 décembre 2020

ELDERS WITHOUT BORDERS, MICHAEL SWINWOOD / LIZA SWALE spiritualelders@gmail.com

STACY AMIKWABE et coll. -et- PAPE FRANÇOIS, et al

Les demandeurs


[Notes]

[1] parfaitement traitable par des médicaments classiques comme l’hydroxychloroquine et plusieurs antibiotiques mais aussi, et pour encore moins cher, par l’artémisine ou l’ivermectine,

[2] Linz, Graz, Innsbruck, St. Pölten: Riesiger Zulauf bei Corona-Demos (wochenblick.at) [En allemand]

[3] Certaines décès mesures ont été ainsi qualifiées par la cour constitutionnelle d’Autriche

[4] Plainte contre vaccins géniques reaction19fr

[5] Procédure en vertu de la Loi de 1992 sur les recours collectifs

[6]

[7] Ultra vires (Latin : « beyond the powers ») is a Latin phrase used in law to describe an Act which requires legal authority but is done without it. Its opposite, an act done under proper authority, is intra vires (« within the powers »)

[8] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20201003_enciclica-fratelli-tutti.html

[9] https://www.gavi.org/history-gavi
https://www.gavi.org/operating-model/gavis-partnership-model/bill-melinda-gates-foundation
GAVI-The Vaccine Alliance. L’opportunité d’investissement GAVI COVAX AMC-An. Perspectives de potentiel investisseurs : www.gavi.org

[10] Nouvelles du CEPI. Le Canada augmente le financement de la recherche sur le vaccin COVID-19 du CEPI. 14 décembre 2020 :

[11]  https://www.who.int/about/who-we-are/history

[12] « Trump et l’OMS : combien les États-Unis donnent-ils ? Quel est l’impact d’une interruption du financement ? », NPR.org. 15 avril 2020; Lee Harding, «Gates, WHO, and Abortion Vaccines», in Frontiers Center for Public Policy, juillet, 19, 2020.

[13] Raila Odinga « La vaccination contre le tétanos est une stérilisation de masse chez les femmes », 12 septembre 201 : https://www.standardmedia.co.ke/kenya/article/2001254261/raila-tetanus-vaccination-is-a-mass-sterilization-on-.

[14] Département américain de la justice. Bureau des affaires publiques. « Le ministère de la Justice annonce la plus grande fraude dans les soins de santé : « Pfizer paiera 2,3 milliards de dollars pour un marketing frauduleux ». 2 septembre 2009.

[15] 20 Sheila Gunn Reid. « Le gouvernement fédéral garde des records sur le rôle de Theresa Tam à l’Organisation mondiale de la santé ». 14 décembre 2020.

[16] Gouvernement du Canada. Actes codifiés. Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 24.

[17] 22 Dr David Williams, médecin hygiéniste en chef de l’Ontario, et Dre Barbara Yaffe, médecin-chef adjoint agent de santé, fait le point sur le COVID-19, sur : Le Parlement de l’Ontario

[18] « Les Constitutions de la Compagnie de Jésus et leurs normes complémentaires : une traduction anglaise complète des textes latins officiels », Institut des sources jésuites, (Saint Louis, 1996).

[19] Histoire secrète, Paris, supra note 4.

[20] Le major-général Dany Fortin, ancien commandant de l’OTAN en Irak, supervisera le groupe de travail conformément à l’annonce du 27 novembre 2020. Sa Majesté la Reine Elizabeth II fait rapport à Rome, le Canada est une colonie, tous les chemins mènent à Rome.

[21] http://www.vatican.va/content/francesco/en/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html Lettre encyclique Fratelli Tutti., (3 octobre 2020), supra note 1.

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Jus_cogens :
Le jus cogens (du latin droit contraignant, souvent traduit par norme impérative) concerne des principes de droits réputés universels et supérieurs et devant constituer les bases des normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969, dans son article 53 : « Aux fins de la présente Convention, une norme impérative de droit international général est une norme acceptée et reconnue par la communauté internationale des États dans son ensemble en tant que norme à laquelle aucune dérogation n’est permise et qui ne peut être modifiée que par une nouvelle norme du droit international général ayant le même caractère.

[23] -Convention des Nations Unies pour la prévention et la répression du crime de génocide. Résolution 260 A de l’Assemblée générale (III) du 9 décembre 1948 12 janvier 1951, conformément à l’article XIII. (Convention sur le génocide, 1948).
– La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (DNUDPA) a été adoptée par l’Assemblée du jeudi 13 septembre 2007.
– Loi sur les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre. SC 2000, ch. 2.
– Code criminel du Canada (LRC, 1985, c. C-46), art. 318 (2).

[24] ONU, Pacte international relatif aux droits civils et politiques, 1966
Gouvernement du Canada, Loi sur les crimes contre l’humanité et Loi sur les crimes de guerre, SC 2000 C.24

[25] Génocide signifie : « Tuer des membres du groupe, Imposer des conditions de vie conçues pour causer un préjudice physique ou mental ; Soumettre délibérément au groupe des conditions de vie censées apporter de sa destruction physique en tout ou en partie ; Imposition d’une mesure destinée à empêcher les naissances au sein du groupe ; Transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe ».

[26] En particulier : attaque dirigée contre toute population civile signifie un comportement impliquant les multiples commissions d’actes visées au paragraphe 1 contre toute population civile, en vertu de ou en faveur d’un état de politique organisationnelle pour commettre de telles attaques

[27] Un traitement médical ne peut être effectué qu’après qu’un patient informé du but, de la nature, des droits et des conséquences de l’intervention et y a librement consenti. Ce principe a ses origines dans le « Code de Nuremberg » de 1947, qui a été développé lors du procès des Nazis médecins qui ont mené des recherches sur les prisonniers des camps de concentration.
Article 13 : « Une intervention visant à modifier le génome humain ne peut être entrepris à des fins préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si son but est de n’introduire aucune modification dans le génome de ses descendants.

[28] Partie I de la Loi constitutionnelle de 1982. Charte canadienne des droits et libertés, art 7, partie 1 de la Loi constitutionnelle, 1982, étant l’annexe B de la Loi de 1982 sur le Canada (Royaume-Uni), 1982, c 11.

[29] Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme (1997), Convention d’Oviedo. Les chercheurs doivent assurer un équilibre entre les risques potentiels et les bénéfices de la recherche et que les risques ont été minimisés (ligne directrice 8).

[30] 57 Zhang L 2020bioRxiv

[31] Note de l’auteur de l’article : nous ne pouvons qu’être fascinés par le copier-coller des mesures de restriction à travers le monde indépendamment d’une quelconque extension de l’épidémie alléguée. Cela confirme que tous les gouvernements soumis à l’OMS ont pris leurs ordres auprès de l’organisation comme le stipulait l’accord des 194 pays signés en 2017. Contrairement à l’incompétence alléguée pendant les premiers mois de la crise, tout était soigneusement préparé. www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont




Les lendemains d’une lettre ouverte qui a fait du bruit

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Frédéric Vidal pour FranceSoir

La lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs semble avoir attisé les réseaux sociaux et quelques journalistes.

Si 99 % des réactions ont été très positives et je remercie leurs auteurs pour ce soutien massif, parmi les 1 % restants, certains ont soulevé plus ou moins poliment la question des statistiques sur laquelle, pour être franc, je les attendais un peu. Une petite mise au point s’impose donc.

Car c’est bien sur les chiffres de l’INSEE que je m’appuie pour dire que le COVID-19 est à ce jour un non-événement statistique. Entendez par-là qu’il n’y a pas de surmortalité significative en 2020 en France par rapport aux décennies précédentes. Ceux qui m’ont parfois brutalement contredit n’ont à l’évidence rien vérifié d’eux-mêmes, ils ont gobé la propagande telle quelle et en ont fait la leur. Ce point est capital, parce que lorsqu’on élimine ce sur quoi s’appuie la politique de la peur, plus rien de cette politique ne devrait avoir le moindre sens sous l’angle de vue strictement sanitaire.

Il convient donc d’être factuel. Lorsqu’on observe la courbe ci-dessous, on place d’un coup d’œil l’année 2020 et son pic de mars/avril dans son ensemble par rapport aux 70 dernières années. Vous retrouverez les concordances de cette courbe dans les tableaux visibles un peu plus bas. N’oublions pas que depuis 10 ans la mortalité annuelle augmente avec plus de 600.000 morts en France, en raison d’un vieillissement graduel de la population et l’arrivée de la génération des premiers baby-boomers à l’âge moyen de la mortalité, comme le montre la seconde courbe ci-dessous.

Ce qui est particulièrement significatif et édifiant, c’est de regarder la situation statistique officielle (INSEE) qui a conduit au premier confinement. Il est donc pertinent d’éplucher le premier trimestre 2020 et pourquoi pas même les 4 premiers mois.

Cela demande une certaine persévérance pour dénicher dans les méandres du site de l’INSEE ce qui nous intéresse là et ne pas se contenter des interprétations orientées du dossier COVID proposé à l’accueil.

Étant d’un esprit prudent par les temps qui courent, j’ai sauvegardé le contenu des pages édifiantes, dont voici quelques copies d’écran (valeur pour mille habitants).
Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000436395

Le 17 Mars 2020 on a donc confiné la France entière pour la première fois de son histoire, sous prétexte d’une pandémie terrifiante qui surchargeait les hôpitaux et allait décimer la population. Si le gouvernement « laissait circuler le virus », c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », assénait E. Macron, quelques mois après que l’Imperial College à Londres ait informé en Mars le conseil scientifique français d’une fourchette de 300 à 500.000 morts…

Logiquement, la situation des semaines qui précédent le 17 mars ont conduit à cette décision historique. Examinons donc les statistiques de l’INSEE de janvier, février et mars qui ont pu justifier le début de cette dictature sanitaire.

Ne reste qu’à sortir la calculette, additionner les nombres, faire la moyenne sur ces 3 mois et ramener en pourcentage le nombre de décès du premier trimestre. Calcul élémentaire que n’importe qui peut vérifier.

Pourcentage des décès du premier trimestre sur la population :

2020 = 1,04 %
2019 = 1,06 %
2018 = 1,06 %
2017 = 1,05 %

Si l’on inclut avril en plus, où déjà l’on ratissait très large sur l’étiquetage COVID des décès liés à d’autres causes, dont tous ceux de la grippe saisonnière, on obtient ceci :

2020 = 1,09 %
2019 = 1 %
2018 = 1,03%
2017 = 1 %

En remontant un peu plus loin dans le temps, de manière non exhaustive, la situation devient « catastrophique » selon les critères actuels :

1985 = 1,11 %
1978 = 1,13 %

La planète s’est-elle arrêtée de tourner en 1978 et 1985 ? S’est-elle arrêtée aussi en 2017, 2018 et 2019 ? Ne faut-il pas chercher ailleurs les causes de cette mise en confinement qui a ruiné l’économie, la santé et les libertés fondamentales ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes et les faits, même complotistes, sont têtus. « Fake News » chantent en chœur les journalistes et les trolls du web qui n’ont apparemment rien vérifié par eux-mêmes ou l’on fait et se sont tus. Ne nous y trompons pas, ce syndrome de la pensée unique est plus qu’un syndrome. C’est une pathologie pour certains, une doctrine pour d’autres.

Autre vérification pertinente, si l’on compare les pics hivernaux sur janvier/février/mars de chaque année, on voit qu’entre 1975 et 2020 il y a 8 années très comparables à 2020 dont 5 égales ou pires (en rouge). Ramené là aussi en pourcentage, le pic de mars/avril 2020 est de 0,103 % de mortalité. Je vous laisse comparer :

– 2020 : 0,103 %
– 2017 : 0,102 %
– 1997 : 0,100 %
– 1985 : 0,103 %
– 1984 : 0,102 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
– 1980 : 0,101 %
– 1978 : 0,107 %
– 1976 : 0,103 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
– 1975 : 0,104 %

Quelqu’un se souvient-il qu’on ait arrêté le monde ces années-là, instaurant une dictature politico-sanitaire, ruinant les économies, la santé des gens et sabotant leurs libertés les plus essentielles ? Les faits sont décidément têtus.

À ce constat s’ajoute le fait statistique aggravant que l’âge médian de la population a toujours reculé pour atteindre 41 ans en 2020. Pour le dire autrement, on mourait davantage avant avec une population plus jeune, qu’en 2020 avec une population plus âgée. Et ne parlons pas du fait que ceux qui ont déclenché la maladie survivent à plus de 99 %.

Voilà pour les stats. Pour finir sur ce point, rappelons que les preuves s’accumulent que les chiffres COVID sont gonflés de toutes sortes de décès relevant d’autres causes, dont tous ceux de la grippe qui ont statistiquement disparu cette année. Ce qui signifie que tous les chiffres que vous venez de voir sont officiels, mais à l’évidence bidonnés.

La seconde arme de la peur sur laquelle s’articule la dictature sanitaire est le test de dépistage PCR

Là, ça ira vite. Pour faire court, selon un grand nombre de professionnels de la santé à travers le monde et selon son inventeur lui-même, qui n’ont pas de conflits d’intérêts contrairement à ceux qui hantent quotidiennement les plateaux TV, ce test n’a aucune validité. Et la question se pose du pourquoi avoir choisi ce test et pas un autre ?

https://www.youtube.com/embed/57YQjM5_30E

Son inventeur, Karry Mullis, l’expliquait déjà en 1997, n’en déplaise au journal Le Monde à qui ça semble avoir échappé lorsqu’il a affirmé que cette information était un fake, mais qui a tout de même fini par publier dans une tribune le 7 Novembre 2020 que ce test était « un non-sens épidémiologique ». Karry Mullis est mort en août 2019, juste avant le début de l’apparition du COVID.

Les faux-positifs sont d’autant plus nombreux qu’au-delà de 30 cycles le test est déjà très douteux et qu’au-delà de 35 cycles il révèle à peu près n’importe quoi, y compris des résidus de virus mort qui sont autant de faux positifs. En France on pratique entre 40 et 45 cycles selon le conseil scientifique ! Ce qui a été dénoncé par plusieurs spécialistes et journalistes comme un test qui fournit jusqu’à 90 % de faux positifs (New York Times du 02/09)… Pour rappel, un cycle est une amplification d’une partie du génome x fois, un peu comme un microscope grossit x fois. On attend toujours des arguments de la part des détracteurs.

Pour en finir, une dernière petite courbe édifiante des pandémies de 1857 à 2020, du genre de celles qu’on ne voit pas à la télé :

Le matraquage médiatique quotidien des chiffres de la peur basés sur une réalité imaginaire, est aujourd’hui le bras armé d’une politique terroriste. Et je pèse mes mots.

Toute cette politique de la terreur s’appuie sur des statistiques manipulées et un test inadapté, offrant une manipulation aisée sur laquelle on peut jouer à la baisse ou à la hausse en fonction des besoins du moment. Cette politique que veulent pérenniser les pouvoirs, ne fructifie à ce jour que grâce à la complicité des médias de masse qui l’alimentent sans répit, tout en dissimulant les décrets passés, la nature des projets de loi en discussion et tout en essayant de contrer leurs contradicteurs sans arguments sérieux et souvent sans argument du tout. Le projet de loi que vient de retirer provisoirement le gouvernement est le sceau d’une dictature. En voici un extrait, ne perdez pas de vue que ce n’est plus un décret mais une loi :

Art. L. 3131‑9 : « 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées. »

Cette guerre mondiale contre les peuples, là aussi je pèse mes mots, est avant tout une guerre de l’information. Et ceux qu’ils redoutent le plus sont ceux qu’ils nomment « complotistes », qui de plus en plus nombreux, délaissant leur vie privée et leur travail, se relaient partout pour faire circuler la vérité en lieu et place des journalistes.

À ce jour le seul virus massivement dangereux est celui de la propagande. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut baisser la garde sur le plan sanitaire, surtout au moment où l’une des plus grandes usines de fabrication d’hydroxychloroquine vient de brûler…

Le COVID-21 pointe en effet déjà son nez et il n’est pas exclu que la nature et la qualification du danger changent. D’autant qu’au moment où j’écris ces lignes, il semble se passer quelque chose de significatif en Chine. Scénarisation ou réalité, l’avenir nous le dira.

Le point positif, c’est que de plus en plus de gens en perte de liberté vont finir par se demander d’où sortent soudainement tous ces virus et leurs mutations, qui servent si bien l’avènement précipité du Nouvel Ordre Mondial annoncé depuis des années, calqué sur le modèle de crédit social et de surveillance numérique du parti communiste chinois.

Chaque nation fait face comme elle peut aux techniques de manipulation des masses à l’œuvre. Mon opinion du moment est que la France n’a pas encore touché le fond, mais que ça ne saurait tarder et que ce sera là l’opportunité de se relever pacifiquement et de commencer à assécher le marais.

Pour terminer, quelques critiques parfois violentes, mais toujours sans arguments, ont été formulées quant à mon allusion à la pédocriminalité institutionnalisée. Il est toujours désolant de constater une telle ignorance du sujet quand tant sont morts à travers le monde d’avoir essayé de la révéler. A leur décharge, je conçois bien toutefois que des esprits sains ne peuvent imaginer pareille ignominie. 

Je n’y répondrai pas aujourd’hui. Cela nécessite un article à part entière et même plusieurs, tant le sujet est vaste et nécessite de la rigueur. Le temps est venu de le faire. Croyez-moi ou pas, ça ne fait que commencer.
 

Frédéric Vidal est un ancien journaliste.

Auteur(s): Frédéric Vidal pour FranceSoir




État d’urgence sanitaire : un chantage au vaccin se met en place en France

[Source : Médiapart]

Un projet de loi déposé le 21/12/2020 par le Premier Ministre Castex prévoit de pérenniser l’état d’urgence sanitaire… et de mettre en place une obligation vaccinale pour les réfractaires.

Il s’agit du projet de Loi n° 3714 déposé le 21/12/2020 et proposé par le Premier Ministre. Ce projet de Loi institue un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires.

Sur le site l’Assemblée Nationale, on voit que ce texte passera en « procédure accélérée ».

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3714_projet-loi

Dans ce projet de Loi, on peut découvrir, dans la section 2, article L. 3131-9, 6ème point, le texte suivant :

« Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, SUBORDONNER les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la PRESENTATION DES RESULTATS D’UN TEST DE DEPISTAGE établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, AU SUIVI D’UN TRAITEMENT PREVENTIF , y compris à l’ADMINISTRATION D’UN VACCIN, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées. »

Cela signifie :

1- Le Gouvernement instaure un régime pérenne d’urgence sanitaire.

2- Dans ce régime d’urgence sanitaire, le Premier Ministre pourra interdire l’accès aux moyens de transports (individuels et collectifs), l’accès à certains lieux (publics, privés ?), l’exercice de certaines activités (sport, manifestions et réunions publiques, …) à la condition de s’être fait tester et/ou de s’être fait vacciné.

3- Par déduction, cela signifie que tout citoyen français qui refuse de faire un test et/ou de se faire vacciner verra ses droits fondamentaux bafoués. Il sera discriminé et considéré comme un citoyen avec des droits restreints ! Bref, un paria !


[Voir aussi : Dictature : la terrible loi française créant le Passeport Sanitaire !]




Les dépistages massifs par PCR ne servent à rien. STOP DÉPISTAGE

Par Dr Gérard Delépine

Les bien portants ne sont pas contaminants, selon la dernière étude chinoise sur 10 MILLIONS de personnes testées.

Depuis plusieurs mois, le ministère et les médias prétendent que le dépistage massif par tests PCR permettrait d’identifier les asymptomatiques qui entretiendraient l’épidémie, caractéristique pourtant très inhabituelle pour une infection respiratoire.

Le président et le conseil de défense justifient les restrictions de nos libertés et le blocage de notre économie sur le nombre de cas dépistés même asymptomatiques.

Des études empiriques et des modélisations trop précoces basées sur des données incertaines ou dans des milieux particuliers ont suggéré que les individus non malades auraient pu être contagieux pendant la phase pré symptomatique. Mais les progrès dans la connaissance de la maladie ont peu à peu montré que ce n’était pas le cas, et Maria Van Kerkhove responsable technique de la cellule chargée de la gestion de la pandémie à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré[1]« il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie », soulevant une tempête d’indignation dans les médias. L’étude chinoise récente confirme que les propos de Maria Van Kerkhove en juin étaient justes et qu’il est difficile d’avoir raison trop tôt. Les asymptomatiques ne sont pas contagieux et leur dépistage massif par PCR ne sert à rien.

Un dépistage sans précédent[2] appliquant des protocoles rigoureux

Wuhan avait été confiné très sévèrement du 23 janvier au 8 avril 2020. Au cours des mois suivants, pour déterminer l’évolution de l’épidémie, le gouvernement a ordonné un dépistage complet de l’infection dans toute la population du 14 mai 2020 au 1er juin 2020 mobilisant plus de 330000 agents (50 000 professionnels de la santé et plus de 280 000 travailleurs et bénévoles de la communauté) pour un coût total (équivalent français) de plus d’un milliard d’euros.

Le dépistage ciblait 10 652 513 personnes, soit 94,1 % de la population de Wuhan et ses alentours. Le dépistage par PCR effectué du 14 mai 2020 au 1er juin 2020 a testé, 92,9 % des 10 652 513 personnes prévues soit 9899 828 participants, 9 865 404 sans diagnostic antérieur de COVID-19, et 34 424 supposés guéris du covid-19.

Les techniques de prélèvement, acheminements et d’analyses des tests ont suivi strictement les recommandations nationales chinoises ; les tests PCR oropharyngés limités à 37 cycles d’amplifications[3] ciblaient 2 gènes. Tous les malades PCR positifs ont subi des tests antigéniques IgM et IgG et des cultures virales.

Des résultats PROBANTS

Le dépistage des 9 865 404 participants sans antécédents de COVID-19 a identifié 300 cas positifs asymptomatiques et identifié 1174 contacts étroits des cas positifs asymptomatiques, tous testés négatifs pour le COVID-19. Les tests d’anticorps contre le virus SRAS-CoV-2 étaient positifs IgG (+) dans 190 des 300 cas asymptomatiques, ce qui indique que 63,3 % de ces cas positifs asymptomatiques ont été effectivement infectés. 34 424 cas d’anciens COVID-19 guéris ont participé au dépistage dont 107 ont de nouveau donné un résultat positif, ce qui donne un taux de repositivité de 0,310.

La proportion de cas positifs asymptomatiques en IgM (−) et IgG (−) est proche de 40% confirmant la possibilité de faux résultats positifs des tests PCR. Les cultures virales étaient négatives pour tous les cas positifs asymptomatiques, indiquant l’absence de « virus viable » dans les cas PCR positifs détectés dans cette étude.

Tous les cas positifs asymptomatiques, et leurs contacts étroits ont été isolés pendant au moins 2 semainesjusqu’à ce que les résultats des tests PCR deviennent négatifs. Aucun des cas positifs détectés ou de leurs contacts étroits n’est devenu symptomatique ou testé positif pendant la période d’isolement.

Les résultats de culture du virus et du suivi des contacts n’ont donc trouvé aucune preuve que les cas positifs (personnes saines testées PCR+) puissent être infectieux.

La non-contagiosité des asymptomatiques est confirmée par d’autres études

Une étude menée en Corée portant sur le suivi médical et biologique de 790 contacts de 285 cas positifs asymptomatiques n’a révélé aucun cas confirmé de COVID-19[4]. La surveillance des patients guéris de COVID-19 en Chine n’a également révélé aucun indice évoquant la contagiosité des personnes saines avec tests PCR positifs.

Les conséquences de cette non-contagiosité des « cas » sont colossales

La fable de la transmission par des cas asymptomatiques a été instrumentalisée pour justifier et fabriquer un consentement pour des mesures de privation de liberté, portant sur des populations entières. Si seuls les malades symptomatiques sont contagieux, il n’existe aucune raison scientifique ni médicale de confiner la population saine. Il suffit d’isoler les malades, comme on l’a toujours fait lors des épidémies graves de l’histoire.

Cette propagande mensongère sur la contagiosité des cas asymptomatiques est également avancée pour justifier l’obligation généralisée du port de masques[5] et les campagnes massives de dépistage par des tests dont la positivité chez un asymptomatique ne signifie pourtant en rien qu’il soit réellement contaminé[6] ni contagieux[7].

Cela explique que les mesures prétendument sanitaires qu’on nous impose depuis des mois sans aucun fondement scientifique soient totalement inefficaces, en nous détournant des seules mesures efficaces (lavage des mains, quarantaine des malades symptomatiques).

Les pays européens qui imposent ces mesures sanitaires erronées et interdisent les traitements utiles (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, zinc, vitamines D et C, etc., dès les premiers signes) se classent dans le top 5 européen des plus fortes mortalités attribuées au covid19. Ils mettent gravement en danger la vie de leurs populations, ce qui devrait conduire nécessairement à des procédures juridiques comme elles fleurissent partout dans le monde, en particulier aux USA, Canada, Allemagne, etc.

Que peut-on faire ?

Ce n’est pas le Covid19, mais les mesures restrictives de liberté qu’on nous impose depuis 9 mois qui ont créé le chaos. Elles ont abouti à une mortalité record attribuée au Covid19 (976/M), à des dizaines de milliers de victimes collatérales par arrêt ou retard des soins, un tsunami de problèmes psychiatriques et de suicides, un désastre éducatif qui marquera durablement notre jeunesse, une dette supérieure au PNB, un chômage sans précédent, la destruction des petits commerces, du sport et de la culture et une catastrophe économique chaque jour plus sévère.

Lorsqu’une équipe de foot perd trop de matchs de suite, on change d’entraîneur pour un autre qu’on espère plus performant. Suivons cette sagesse populaire. Stoppons cette politique suicidaire.

Il est urgent d’annuler toutes ses mesures sanitaires contre-productives, malfaisantes, et souvent grotesques qui visent à nous imposer des vaccins bâclés, non réellement testés totalement inutiles pour 85%-90% de la population et qui nous exposent à des complications inconnues.

Ne plus écouter ces modélisateurs qui nous fourvoient à l’aide de prophéties totalement fausses.

Ne plus tester les personnes asymptomatiques, puisqu’elles ne sont pas contagieuses.

L’année 2020 a été celle de la débâcle contre un virus qui, au niveau mondial, n’a tué pas autant que la grippe asiatique, mais a permis d’imposer à la population des privations de liberté parfois pire que du temps de l’occupation nazie8.

L’année prochaine sera celle de la reconquête de nos libertés, si et seulement si nous nous battons. N’ayons plus peur ! Libérons la France pour qu’elle redevienne digne de son histoire et respecte à nouveau sa devise.


« Liberté j’écris ton nom »

[Auteur :] Paul Eluard

Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin)

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom

Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom

Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom

Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom

Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom

Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom

Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

SOYONS DIGNES DE NOS ANCÊTRES


Notes
  1. Lors d’une conférence de presse virtuelle de l’OMS du 8 juin 2020
  2. Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China.
    Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020)
  3. Contrairement à l’usage en Occident au moins jusqu’à octobre 2020
  4. KCDC. Conclusions tirées de l’enquête et de l’analyse des cas ré positifs (avis). Division de l’évaluation des risques et de la coopération internationale 2020-05-19. https://www.cdc.go.kr/board/board.es?mid=a30402000000&bid=0030 (2020)
  5. Pourtant montré inutile par l’étude randomisée Danmask 19
  6. Aucun des 418 cas positifs asymptomatiques chinois de l’étude n’est tombé malade
  7. Aucun des 418 cas positifs asymptomatiques chinois de l’étude n’a contaminé ses contacts
  8. Les nazis n’ont jamais demandé aux Français de présenter des ausweis le jour



Le 29 décembre 2020 — Donald Trump célèbre saint Thomas Becket en ce 850e anniversaire de son martyre : « Nous voulons Dieu ! »

[Source : Guy Boulianne]

[Introduction de Jeanne Smits Le site de la Maison Blanche affiche depuis le 28 décembre une “Proclamation” de la main de Donald Trump à l’occasion du 850e anniversaire du martyre de saint Thomas Becket, tué par les hommes de main du roi Henri II pour n’avoir pas cédé devant les empiètements de ce dernier sur les droits et privilèges de l’Église catholique. C’était le 29 décembre 1170.

Que le président des Etats-Unis rende un tel hommage à un martyr qui sut défendre au prix de sa vie les droits de Dieu est remarquable en soi. Dans la période actuelle, où s’installe une nouvelle tyrannie et une ingérence indiscutable du pouvoir civil, du temporel, dans le domaine du spirituel, la démarche de Donald Trump est lourde de sens. Qu’il l’ait faite de manière aussi solennelle, en s’associant de fait au cri des peuples : « Nous voulons Dieu ! », est un signe.

Soyons clairs. La « liberté religieuse » affirmée par Donald Trump n’est assurément pas celle que défendait Thomas Becket : le saint archevêque a versé son sang pour les droits de la vraie religion et du vrai Dieu. Trump évoque, lui, un droit subjectif de tout homme de ne pas être inquiété pour ce qu’il croit, et de pratiquer la religion qui est la sienne. Il y a là des questions religieuses et philosophiques de fond ; je n’irai pas plus loin.

Mais sur le plan politique, Trump vient de poser un acte étonnant, et assurément important, puisqu’il a choisi d’honorer non quelque militant des droits de l’homme, mais un saint martyr, en demandant à tous les Américains de célébrer cet anniversaire. Il y rappelle qu’il faut « obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes », et rappelle le droit des nations de défendre la vie à naître.

Je vous propose ci-dessous une traduction intégrale de la « Proclamation » de Donald Trump, telle qu’elle figure sur le site whitehouse.gov. — Jeanne Smitshttps://www.youtube.com/embed/FHCiziDnrS8?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


Proclamation du 850e anniversaire du martyre de saint Thomas Becket

Nous célébrons aujourd’hui le 850e anniversaire du martyre de Saint Thomas Becket, le 29 décembre 1170. Thomas Becket fut homme d’État, érudit, chancelier, prêtre, archevêque ; et tel un lion, il défendit la liberté religieuse.

Avant même que la Grande Charte ne fût rédigée, avant que le droit au libre exercice de la religion ne fût inscrit comme la première liberté de l’Amérique dans notre glorieuse Constitution, Thomas donna sa vie pour que, comme il l’a lui-même dit, « l’Église parvienne à la liberté et à la paix ».

Fils d’un shérif londonien, qualifié un jour de « clerc de bas étage » par le roi qui le fit tuer, Thomas Becket allait devenir la plus haute autorité de l’Église en Angleterre. Lorsque la couronne a tenté d’empiéter sur les affaires de la maison de Dieu par le biais des Constitutions de Clarendon, Thomas refusa de signer le document offensant. Lorsque le roi Henri II, furieux, menaça de le faire condamner pour outrage à l’autorité royale, en lui demandant comment un prêtre aussi « pauvre et humble » osait le défier, Mgr Becket, alors archevêque, répondit : « Dieu est le souverain suprême, au-dessus des rois » et « nous devons obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ».

Parce que Thomas ne voulait pas consentir à ce que l’Eglise se soulette à l’État, il a été contraint de renoncer à tous ses biens et de fuir son propre pays. Des années plus tard, après l’intervention du pape, Becket a été autorisé à revenir – et il a continué à résister aux ingérences autoritaires du roi dans la vie de l’Eglise. Le roi en eut finalement assez de la défense acharnée de la foi religieuse par Thomas Becket ; on dit qu’il s’est exclamé avec exaspération : « N’y aura-t-il personne pour me débarrasser de ce prêtre turbulent ? »

Les chevaliers du roi réagirent au message en se rendant à la cathédrale de Canterbury pour signifier un ultimatum à Thomas Becket : qu’il cède aux injonctions du roi ou qu’il meure. La réponse de Thomas résonne dans le monde entier et à travers les âges. Ses derniers mots sur cette terre furent les suivants : « Pour le nom de Jésus et la protection de l’Église, je suis prêt à embrasser la mort. » Revêtu des ornements liturgiques, Thomas fut abattu là où il se tenait, à l’intérieur des murs de sa propre église.

Le martyre de Thomas Becket a changé le cours de l’histoire. Il a fini par entraînér de nombreuses limitations constitutionnelles au pouvoir de l’État sur l’Église à travers l’Occident. En Angleterre, le meurtre de Becket a conduit à la déclaration de la Magna Carta 45 ans plus tard : « L’Église d’Angleterre est libre et (…) elle doit jouir de tous ses droits et libertés sans qu’on puisse y toucher. »

Lorsque Thomas Becket refusa d’autoriser le roi à s’immiscer dans les affaires de l’Église, l’archevêque se tenait à l’intersection de l’Église et de l’État. Cette prise de position devait aboutir, après des siècles d’oppression religieuse et de guerres de religion soutenues par les Etats partout en Europe, à l’instauration de la liberté religieuse dans le Nouveau Monde. C’est grâce à de grands hommes comme Thomas Becket que le premier président américain, George Washington, a pu proclamer plus de 600 ans plus tard qu’aux États-Unis, que « tous possèdent également la liberté de conscience et les protections de la citoyenneté » et que « ce n’est plus maintenant de tolérance que l’on parle, comme si c’était par l’indulgence d’une classe de personnes qu’une autre devrait jouir de l’exercice de ses droits naturels inhérents ».

La mort de Thomas Becket rappelle de manière puissante et impérissable à chaque Américain que le fait que nous soyons libres de la persécution religieuse n’est pas un simple luxe ou un accident de l’histoire, mais plutôt un élément essentiel de notre liberté. C’est notre trésor, notre héritage inestimable, acheté au prix du sang de martyrs.

En tant qu’Américains, nous avons d’abord été réunis par notre conviction que « la rébellion aux tyrans est obéissance à Dieu » et que la défense de la liberté est plus importante que la vie elle-même. Si nous voulons continuer à être le pays de la liberté, aucun fonctionnaire, aucun gouverneur, aucun bureaucrate, aucun juge et aucun législateur ne doit être autorisé à décréter ce qui est orthodoxe en matière de religion ou à exiger des croyants religieux qu’ils violent leur conscience. Aucun droit n’est plus fondamental pour une société pacifique, prospère et vertueuse que le droit de suivre ses convictions religieuses. Comme je l’ai déclaré sur la place Krasiński à Varsovie, en Pologne, le 6 juillet 2017, le peuple américain et les peuples du monde continuent de crier : « Nous voulons Dieu. »

En ce jour, nous célébrons et vénérons la courageuse prise de position de Thomas Becket en faveur de la liberté religieuse et nous réaffirmons notre appel à mettre fin aux persécutions religieuses dans le monde. Dans mon discours historique aux Nations unies l’année dernière, j’ai clairement indiqué que l’Amérique est aux côtés des croyants de tous les pays qui ne demandent que la liberté de vivre selon la foi qui est dans leur propre cœur. J’ai également déclaré que les bureaucrates mondiaux n’ont absolument pas à s’attaquer à la souveraineté des nations qui souhaitent protéger la vie des innocents, ce qui reflète la croyance des États-Unis et de nombreux autres pays selon laquelle chaque enfant – né et à naître – est un don sacré de Dieu. Au début de l’année, j’ai signé un décret visant à faire de la liberté religieuse une priorité de la politique étrangère des États-Unis. Nous avons demandé à chaque ambassadeur – et aux plus de 13 000 agents et spécialistes du service extérieur des États-Unis – dans plus de 195 pays de promouvoir, défendre et soutenir la liberté religieuse comme pilier central de la diplomatie américaine.

Nous prions pour les croyants partout dans le monde qui souffrent de persécution en raison de leur foi. Nous prions en particulier pour leurs pasteurs courageux et édifiants – comme le cardinal Joseph Zen de Hong Kong et le pasteur Wang Yi de Chengdu – qui sont des témoins infatigables de l’espérance.

Pour honorer la mémoire de Thomas Becket, les crimes contre les croyants doivent cesser, les prisonniers de conscience doivent être libérés, les lois limitant la liberté de religion et de croyance doivent être abrogées, et les personnes vulnérables, sans défense et opprimées doivent être protégées. La tyrannie et le meurtre qui ont choqué la conscience du Moyen-Âge ne doivent plus jamais se reproduire. Tant que l’Amérique sera debout, nous défendrons toujours la liberté religieuse.

Une société sans religion ne peut pas prospérer. Une nation sans foi ne peut pas durer – parce que la justice, la bonté et la paix ne peuvent pas prévaloir sans la grâce de Dieu.

PAR CONSÉQUENT, moi, DONALD J. TRUMP, Président des États-Unis d’Amérique, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par la Constitution et les lois des États-Unis, je proclame par la présente le 29 décembre 2020 comme le 850e anniversaire du martyre de Saint Thomas Becket. J’invite le peuple des États-Unis à célébrer cette journée dans les écoles, les églises et les lieux de rencontre habituels par des cérémonies appropriées en commémoration de la vie et de l’héritage de Thomas Becket.

EN FOI DE QUOI, j’ai apposé ma signature en ce vingt-huit décembre de l’an de Notre Seigneur deux mille vingt et de l’indépendance des États-Unis d’Amérique le deux cent quarante-cinquième.

DONALD J. TRUMP




Le Top 5 des actualités les plus réprimées en 2020

[Source : Aube Digitale]

[Auteur : Frank D. Miele]

À l’époque, lorsque j’étais rédacteur en chef du Daily Inter Lake à Kalispell, dans le Montana, j’appréciais le rituel de fin d’année qui consistait à voter dans le sondage de l’Associated Press sur les dix meilleurs articles d’actualité.

Lorsque j’ai commencé à participer en 2000, ma liste comprenait beaucoup d’articles identiques à ceux qui figuraient sur la liste finale de l’AP, bien que souvent avec des différences de classement. Mais lorsque j’ai pris ma retraite en 2018, ma vision de l’actualité avait fortement divergé de celle du consensus de l’AP. Je suis devenu une sorte de mouche du coche à ce moment-là, remettant en question ce qui semblait être un parti pris de gauche de plus en plus transparent dans les reportages grand public.

Cette divergence a probablement été amplifiée par la candidature de Donald Trump en 2016 et par la lumière qu’il avait jetée sur les Fake News, mais mon désenchantement à l’égard de ma profession n’a cessé de croître depuis des années, comme le montre mon livre “La Matrice Médiatique : Et si tout ce que vous savez était faux ?”

Pourtant, il n’est pas possible que, il y a encore quatre ans, j’aie pu prédire à quel point les médias deviendraient terriblement irresponsables d’ici 2020. Les grands journaux remportent des prix Pulitzer pour des reportages manifestement faux sur des sujets tels que la “collusion russe”. Pendant ce temps, les oligarques de la Silicon Valley se sont autoproclamés censeurs – avertissant le peuple américain de ne pas lire ou regarder quoi que ce soit qui n’a pas été “vérifié par les faits” par leur police de la pensée triée sur le volet.

La situation est devenue si mauvaise qu’il ne vaut plus la peine de classer les meilleures informations de l’année parce que si peu de choses sont couvertes par les nouvelles et si beaucoup de ces informations sont passées sous silence comme une “théorie du complot”. C’est pourquoi je vous présente la première présentation annuelle de Heartland Diary USA sur “La dernière chance de se réveiller et de sentir les nouvelles qu’ils ont essayé de tuer”.

Voici donc les cinq actualités les plus importantes reprimées de l’année 2020. Pardonnez-moi de ne pas entrer dans les détails, mais plus je m’approche de la vérité, plus il est probable que Google, Twitter et Facebook enterrent aussi mon article.

5) La mystérieuse mutation des confinements :

Quelqu’un a-t-il déjà compris pourquoi il est acceptable que les employés des épiceries restent au travail pendant une pandémie internationale tout en répondant aux besoins de l’ensemble de la population sans autre restriction que le port d’un masque, mais qu’il est considéré comme dangereux que les gymnases ouvrent ou, plus ridicule encore, que quiconque autre que les conjoints des gouverneurs prenne leur bateau pour faire un petit tour autour du lac ? Il semble que le verrouillage peut se transformer en ce qui convient aux politiciens. Les effets inégaux de l’embargo sur les différents États et les différents secteurs ont entraîné le déplacement de billions de dollars de capitaux d’une manière qui remodèlera l’économie pour les générations à venir, mais nous ne sommes pas censés en parler.

4) L’Hydroxychloroquine :

Si vous savez quelque chose sur ce médicament, c’est probablement qu’un type en Arizona est mort après l’avoir ingéré, et que le président Trump en est peut-être responsable d’une manière ou d’une autre. Eh bien, comme on dit, un peu de connaissance est une chose dangereuse. Le type en Arizona n’a pas pris d’hydroxychloroquine ; il a pris un nettoyant pour aquarium appelé phosphate de chloroquine. Et Trump n’a jamais dit à personne de prendre ni le médicament ni le nettoyant pour aquarium. Il a juste dit que l’hydroxychloroquine était un traitement prometteur contre le COVID-19. Bien sûr, dès qu’il l’a dit, les universitaires radicaux de gauche qui contrôlent les revues médicales et les associations ont averti que l’hydroxychloroquine n’avait aucun avantage en tant que traitement et qu’elle était potentiellement dangereuse, même si elle avait été utilisée sans danger contre la malaria et divers syndromes de déficience immunitaire pendant des décennies. Heureusement, de nombreux médecins qui connaissaient bien ce médicament ont continué à l’utiliser comme thérapie dans les premiers stades des infections du COVID, et de nombreux patients dans le monde entier ont ainsi été épargnés des effets les plus désastreux du virus. Ne vous attendez pas à lire le New York Times à ce sujet.

3) La victoire du vaccin de Trump :

Bien que le président ait été dépeint comme un opposant à la science, c’est le soutien de son administration qui a permis de passer le plus rapidement possible de la découverte du virus au vaccin viral – essentiellement en moins d’un an. Alors même que les démocrates de la Chambre sont sur le point de lancer des enquêtes sur les prétendus crimes contre l’humanité de Trump pour avoir été président pendant la crise du COVID, des vies sont sauvées grâce à ses politiques. Ne vous attendez pas à en entendre parler dans les grands médias, qui ont passé une grande partie de l’année 2020 à ridiculiser Trump pour ses prédictions pressenties selon lesquelles un vaccin serait développé d’ici la fin de l’année.

2) L’ordinateur portable de Hunter Biden :

La possibilité d’enterrer l’histoire de Hunter Biden tout au long de la campagne présidentielle de 2020 est l’une des plus grandes victoires de l’histoire de la propagande. Hunter est le fils de l’ancien vice-président Joe Biden, et son passé reconnu de toxicomane est désormais considéré comme son point fort. La commission sénatoriale de la sécurité intérieure a trouvé de nombreuses preuves que Hunter a fait gagner des centaines de millions de dollars à la famille Biden en vendant l’accès à son père. Ainsi, lorsque l’ordinateur portable de Hunter est apparu avec des preuves incriminantes à la première personne, il était assez évident que Joe Biden avait beaucoup de réponses à donner. Sauf que les médias ne lui ont jamais fait répondre de quoi que ce soit. Il a préféré se reposer sur l’affirmation bizarre de 50 anciens responsables des services de renseignement américains selon laquelle les preuves évidentes de collusion étrangère sur l’ordinateur portable de Hunter avaient toutes les caractéristiques d’une campagne de “désinformation russe”. C’était un non-sens errant. Reporters, lisez les e-mails !

1) La fraude électorale :

Il s’est avéré que tout ce qui s’est passé en 2020 avant le 3 novembre n’était que le prologue de la plus grande tromperie de l’histoire américaine – à savoir le détournement d’une élection présidentielle par des moyens à la fois légaux et illégaux. Plus important encore, chaque État qui a modifié ses procédures électorales sans le consentement de son corps législatif a enfreint la Constitution américaine. C’est pourquoi les républicains prévoient de contester le vote du Collège électoral le 6 janvier. Que vous aimiez Donald Trump ou non ne devrait pas avoir d’importance. Soit vous respectez la Constitution, soit vous ne la respectez pas. Le fait que Trump ait augmenté son soutien dans presque tous les groupes démographiques depuis 2016 et qu’il ait pourtant perdu l’élection restera apparemment un mystère car le parti démocrate, avec l’aide de républicains faibles, est déterminé à poursuivre la mascarade selon laquelle Joe Biden est un homme d’État âgé bien-aimé encore plus populaire que Barack Obama.

Je devrais ajouter une clause de non-responsabilité ici. Ma liste ne sera pas la vôtre. Nous sommes en 2020, et il y a beaucoup de suppressions à faire.

Vous êtes donc invités à soumettre vos propres contributions dans la section des commentaires ci-dessous. En attendant, pour compléter mon Top 10, voici d’autres articles importants supprimés en 2020 :

  • Les liens communistes avec Antifa et Black Lives Matter ;
  • Comment le canular russe a été exposé mais est resté impuni ;
  • Comment la politique d’un certain gouverneur de l’État de New York a conduit à des milliers de décès liés au COVID dans des maisons de retraite ;
  • La campagne réussie du milliardaire George Soros pour subvertir la jurisprudence américaine en élisant des procureurs de district pro-criminels ;
  • Et bien sûr la suppression de l’actualité elle-même.

Traduction de RealClearPolitics.com par Aube Digitale


À propos de l’auteur

Frank D. Miele est un chroniqueur conservateur à RealClearPolitics.com. Il est également le modérateur de www.HeartlandDiaryUSA.com. Il a travaillé en tant que journaliste communautaire primé pendant presque quatre décennies, dont 34 ans au Daily Inter Lake à Kalispell, Montana, où il a été rédacteur en chef de 2000 à 2018. La rubrique « Editor’s 2 Cents » de Miele a été régulièrement publiée dans le journal de 2004 à 2018 et lui a valu un large public parmi les conservateurs à travers le pays. Il vit avec sa femme et ses enfants à Kalispell. Pour mémoire, il n’est pas lié à Frank Miele qui est le rédacteur en chef du magazine Skeptic.