Le nombre de personnes analphabètes en Suède devrait dépasser les 800 000 en hiver de cette année, et les chercheurs s’attendent à ce qu’il atteigne bientôt le million, en grande partie à cause de l’immigration massive.
L’enquête la plus récente de Statistics Sweden montre qu’il y a actuellement environ 780 000 personnes âgées de 16 à 65 ans qui sont analphabètes en Suède, mais ce chiffre est en train de monter en flèche.
[NDLR Il est probable qu’il existe un phénomène similaire dans tous les pays qui connaissent une immigration massive incontrôlée, comme le Canada, les États-Unis et la plupart des pays de l’Union européenne.]
« Chaque mois, huit à dix élèves analphabètes arrivent », a déclaré à SVT Rita Sommarkrans, enseignante au SFI de Västerås. Elle ajoute que si une personne ne sait ni lire ni écrire, il lui est difficile de trouver un logement, de payer ses factures ou même de prendre un rendez-vous chez le médecin.
« Si cette tendance se poursuit, nous risquons d’avoir une génération entière de jeunes gens qui sont effectivement analphabètes fonctionnels », ont écrit le ministre de l’Éducation Johan Pehrson et la ministre des Affaires scolaires Lotta Edholm dans un article introductif.
Toutefois, la publication suédoise Fria Tider note que les ministres n’expliquent pas la cause principale du problème massif d’analphabétisme dans le pays, à savoir l’immigration massive d’adultes analphabètes en provenance du tiers-monde, que le gouvernement au pouvoir, prétendument conservateur, ne parvient pas à stopper.
Cependant, nombre de ces étrangers amènent ou donnent naissance à des enfants qui intègrent le système scolaire suédois. Dans certaines villes, les enfants suédois sont déjà minoritaires dans le système scolaire, comme à Malmö. En fait, la situation est devenue tellement extrême dans cette ville que les autorités municipales proposent d’enseigner en arabe plutôt qu’en suédois, comme Remix News l’a rapporté par le passé. Toutefois, une telle mesure ne fera qu’accélérer le problème de l’analphabétisme et entraînera des divisions encore plus profondes au sein de la société.
Le Parlement du Royaume-Uni s’apprête à voter sur un nouveau projet de loi visant à légaliser l’aide à mourir pour les personnes atteintes d’une maladie en phase terminale.
« Les détails n’ont pas été finalisés, mais le projet de loi devrait être similaire à une proposition de la Chambre des Lords, qui permettrait aux adultes en phase terminale ayant six mois ou moins à vivre d’obtenir une aide médicale pour mettre fin à leur vie. »
Il s’agit là de l’aboutissement d’une campagne menée depuis des années par les politiques, les médias et l’industrie du divertissement pour normaliser l’euthanasie dans l’esprit du public britannique.
Le projet de loi devrait être officiellement présenté le 16 octobre, le premier débat devant avoir lieu plus tard dans l’année, ce qui signifie que le vote aura probablement lieu au début de l’année 2025.
Je serais stupéfait qu’il ne soit pas adopté.
Voici mes prévisions pour la suite :
– La première année, il s’agira simplement d’une option, dont on n’entendra pas beaucoup parler, sauf dans des articles titrant par exemple « L’aide à mourir a épargné à mon parent/partenaire/enfant des années de souffrance ».
– Au bout d’un an ou deux, un rapport sera publié, faisant état d’un succès grâce à une évaluation statistique inventée et torturée, telle que « l’aide à la mort augmente les scores de bien-être des patients dans les hôpitaux du NHS étudiés ».
– Un autre rapport suivra, affirmant que les listes d’attente se sont améliorées en raison de la diminution de la surpopulation dans les services de soins palliatifs. On pourra même prétendre qu’elle a réduit l’empreinte carbone du NHS.
– Des articles d’opinion paraîtront avec des titres tels que « L’histoire d’une réussite en matière d’aide à la mort fait taire les théoriciens de la conspiration ».
– L’âge minimum pour bénéficier de l’aide à la mort sera progressivement abaissé. La liste des maladies et des affections pour lesquelles l’aide à mourir est une « alternative thérapeutique recommandée » s’allongera.
– Les maladies non mortelles seront finalement incluses, puis les maladies psychologiques également. Puis les handicaps physiques et mentaux.
– Puis viendra une « urgence » — fausse, évidemment — et le NHS s’en sortira brillamment grâce aux ressources « libérées » par les programmes d’euthanasie.
– Viendront ensuite les éditoriaux. « L’aide à mourir est bénéfique pour les patients et a sauvé le NHS pendant [une fausse pandémie], il est temps de la rendre obligatoire ».
– Un député d’arrière-ban présentera un projet de loi obligeant toute personne diagnostiquée avec une maladie mortelle à être inscrite sur une liste d’aide à mourir.
– Le projet de loi échouera et la majorité de la presse s’y opposera, mais le gouvernement publiera des réglementations de compromis « de bon sens » où l’aide à la mort est la règle par défaut, mais où les patients peuvent s’y soustraire s’ils le souhaitent.
– L’aide à mourir ne sera jamais obligatoire. Mais il sera de plus en plus difficile de s’y soustraire. Si vous choisissez de participer et que vous essayez ensuite de changer d’avis, on dira que vous êtes mentalement inapte.
– Les patients qui ne veulent pas signer de DNR2 ou opter pour des soins de fin de vie seront qualifiés d’« égoïstes » et d’« irresponsables ». Des études prétendront qu’ils pèsent sur les ressources du NHS.
– À terme, le refus de participer à ces soins entraînera des pénalités sur les pensions de retraite et la facturation des soins de santé, ce qui empêchera de nombreuses personnes âgées de se permettre de rester en vie.
– Ensuite, on mettra en place des panels de patients « mentalement inaptes » dont la mort assistée sera recommandée par des « tribunaux de la miséricorde ».
… et pendant tout ce temps, l’establishment prétendra qu’il y a liberté de choix et qu’il n’y a pas de pente glissante.
Un autre jour, une autre étude universitaire, un autre titre diabolique, un autre éditorial sincère normalisant l’idée du rationnement.
Les pouvoirs-qui-ne-devraient-pas-être ADORENT le rationnement. Ils mourraient d’envie de commencer à tout rationner pour tout le monde (sauf pour eux, bien sûr).
Depuis des années, il ne se passe guère de mois sans qu’un universitaire ou une institution n’écrive un éditorial en faveur du rationnement ou ne publie une étude sur les avantages d’un « environnement à choix limité sur les modes de consommation pro-climat ».
… J’ai inventé cette phrase, mais elle pourrait très bien être réelle.
En Italie, en 2022/3, l’opération Thermostat était une forme de quasi-rationnement énergétique « pro-paix ».
En février 2023, une étude universitaire du « centre interdisciplinaire d’éthique appliquée » de l’université de Leeds a soutenu que :
« … le rationnement a été négligé en tant qu’option politique pour atténuer le changement climatique [et] que le rationnement pourrait aider les États à réduire les émissions rapidement et équitablement. »
L’exemple le plus récent est le suivant :
« CECI est-il la clé de la lutte contre le changement climatique ? Une enquête révèle que près de 40 % des citoyens accepteraient un rationnement de la viande et du carburant digne de la Seconde Guerre mondiale pour réduire les émissions de carbone. »
C’est le titre d’un article du Daily Mail qui rapporte les résultats d’une enquête à grande échelle menée par le « Climate Change Leadership Group » (Groupe de direction sur le changement climatique) de l’université d’Uppsala.
Vous pouvez lire l’étude complète dans Nature ou un résumé sur phys.org.
Comme vous pouvez le constater, j’ai utilisé l’expression « enquête à grande échelle » de manière imprécise [ou gonflée – NDT]. L’enquête a été menée dans cinq pays seulement : les États-Unis, le Brésil, l’Allemagne, l’Inde et l’Afrique du Sud. Elle a interrogé environ 1700 personnes dans chacun de ces pays, soit un total de 8654 personnes.
Cela représente environ 0,000 4 % de la population totale de ces pays, qui s’élève à 2,1 milliards d’habitants. Soit environ un millionième de la population mondiale. C’est loin d’être un échantillon suffisant pour en tirer quelque chose de significatif.
… même en supposant que nous puissions nous fier à des recherches impartiales sur le changement climatique menées par ce qui s’appelle le « Climate Change Leadership Group ».
Mais si l’on accorde à l’enquête le bénéfice du doute et que l’on suppose qu’elle a une quelconque valeur en tant qu’ensemble de données, le résultat n’est pas si mauvais.
Voyons le bon côté des choses.
L’opération psychologique sur le changement climatique est en place depuis des décennies, une machine narrative sans fin qui crache de la propagande avec une régularité monotone. Le rationnement, plus spécifiquement et plus récemment, a également fait l’objet de messages positifs dans tous les médias et dans les cercles universitaires.
Les bonnes gens du « Climate Change Leadership Group » ont donc interrogé 8654 personnes parmi les plus propagandistes qui aient jamais existé. Nous savons comment fonctionnent les enquêtes : il ne s’agit pas simplement de questions et de réponses, elles sont codifiées pour tenter de produire les réponses que les enquêteurs souhaitent obtenir.
Quoi qu’il en soit, une fois les enquêtes terminées, les chercheurs ont analysé les données obtenues. Et quand je dis « analysé », je veux dire « manipulé ». Nous savons comment ces systèmes fonctionnent, ils ont massé les chiffres, plus que massé. Ils les ont huilés et leur ont donné du travail.
En bref, il est plus que prudent de supposer que ce chiffre est aussi élevé que possible.
Et à quoi ont-ils abouti ?
Près de 40 %.
C’est cela.
Vous savez ce que cela signifie ? Cela signifie que plus de 60 % des gens ne soutiendraient pas le rationnement.
Et il ne s’agit pas seulement de rationnement. L’enquête portait sur le rationnement et la taxation des denrées alimentaires et des carburants,
et si vous regardez le graphique des résultats de l’étude, vous verrez qu’aucune des mesures étudiées n’a obtenu plus de 50 % de soutien, même dans un seul pays :
Ni la taxation ni le rationnement n’ont reçu de soutien majoritaire nulle part.1
Et ce, malgré des années d’exposition à la propagande et des milliards dépensés en conditionnement social, qui ne semblent avoir [bien] fonctionné ni l’un ni l’autre.
Une victoire potentielle pour la race humaine. Ou du moins pour les 0,000 1 % d’entre eux qui ont fait l’objet de l’enquête.
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Lorsque je participe à des discussions en ligne, je suis irrité d’entendre une phrase trop souvent prononcée par des personnes qui contestent sincèrement la théorie des germes : « Ce n’est pas un virus. Ils n’existent pas, c’est un exosome ! » Ces personnes tombent, sciemment ou non (je soupçonne qu’elles ne le savent pas dans la plupart des cas) dans un piège, une fausse piste. Ils remplacent la mythologie du « virus » et tous ses attributs imaginaires par une simple vésicule extracellulaire.
On prétend que ces vésicules extracellulaires peuvent « transporter » des « acides nucléiques » et agir en tant qu’agents de communication intercellulaire. L’image ci-dessous de ces supposées particules est le seul type d’image que vous verrez jamais de ces choses. Tout comme nos virus mythiques, vous ne les verrez QUE sous forme de bande dessinée, avec des dessins exceptionnellement détaillés et l’étiquetage des composants et des fonctions incroyablement spécifiques qu’ils remplissent.
Ils seraient capables de transporter des « acides nucléiques » d’une cellule à l’autre, en se liant à leur enveloppe protéique pour « accéder » à d’autres cellules et déposer leur charge dans une autre cellule.
Un « exosome » est aussi petit qu’un « virus », avec une taille minuscule de 30 à 150 nm :
Nous avons ici une particule dont la taille et la fonction sont identiques à celles d’un « virus » et qui, par pure coïncidence, ne peut être observée, en raison de sa taille, qu’à l’aide d’un microscope électronique à transmission.
Permettez-moi d’expliquer pourquoi cela est important : avec un microscope optique, vous pouvez voir des cellules VIVANTES, bien que la préparation de la lame puisse perturber de nombreuses structures et que vous ne sachiez jamais vraiment l’impact du retrait de l’échantillon de l’hôte vivant, elle se rapproche néanmoins d’une étude in vivo. Dans le cas de la MET [microscopie électronique par transmission], il faut couper un échantillon extrêmement fin à l’aide d’un microtome, puis fixer ce morceau très fin dans une substance nocive semblable au formaldéhyde. Tous les échantillons sont complètement immobiles et MORTS. C’est-à-dire qu’il est IMPOSSIBLE de voir un mouvement dans le MET [microscope électronique à transmission].
Par conséquent, l’affirmation selon laquelle ces vésicules transportent du matériel d’une cellule à l’autre est tout aussi fausse que l’affirmation selon laquelle les « virus » peuvent infecter les cellules avec leur matériel « nucléique ». Avec les outils d’imagerie les plus sophistiqués, il n’y a pas la moindre possibilité de voir ce phénomène se produire. Ils DOIVENT utiliser la biochimie (à nouveau nos chers colorants fluorescents) pour affirmer que ces choses se produisent. Ils injectent leurs colorants fluorescents dans un échantillon et lorsqu’ils deviennent fluorescents, cela signifie qu’ils peuvent simplement inventer une histoire sur la raison de ce phénomène…
Même le mécanisme de « communication » n’a guère de sens logique. On prétend que ces minuscules sacs sans cerveau transportent des informations pour communiquer avec les cellules qui les entourent. Comment savent-elles où aller ? Ont-elles toutes la même information provenant de la même cellule ? Quelles sont les informations qu’ils transportent exactement ? Est-ce que c’est comme une livraison Uber ?
Les gens adorent anthropomorphiser les entités biologiques, en particulier celles qu’ils ne peuvent pas voir. Comme dans le cas d’un virus, cette entité zombie morte erre jusqu’à ce qu’elle tombe sur le personnage principal d’un film (vous) et qu’elle enfonce ses dents dans votre jugulaire pour vous infecter avec du jus de zombie. Je conteste l’idée que l’une ou l’autre de ces entités biologiques dans votre corps se déplace en fonction d’autres facteurs que les gradients de base de pression, de température et de diffusion. Néanmoins, je pense qu’il est absurde de suggérer que ces cellules « communiquent » en envoyant de petites bulles, comme une capsule de sauvetage dans La Guerre des étoiles.
À cela s’ajoute le problème évident, déjà abordé à plusieurs reprises sur cette chaîne, selon lequel les « messages » qu’elles communiquent sont du « matériel génétique ». Les supposés « éléments constitutifs de la vie » (AKA la merde blanche filandreuse que l’on trouve dans une fraise) ont été isolés en ajoutant des choses… qui portent toutes les marques d’une fraude inventée, tout comme l’isolement de la virologie, au lieu de soustraire cette propriété, ils AJOUTENT des choses à un échantillon PUIS prétendent qu’une réaction biochimique résultante indique que cette substance théorisée est présente. Non, la génétique, c’est n’importe quoi… le mensonge sur les virus est inextricablement lié au mensonge sur la génétique… il est amusant de constater qu’il y a eu un an d’écart (1953/4) entre le premier isolement « viral » de John Enders et la découverte de l’hélice par Watson et Crick…
Voici l’une des images fournies par l’ORC. Les annotations rouges qu’ils ont faites pour mettre en évidence ce qu’ils considèrent comme une vésicule extracellulaire (VEC). Elles sont clairement vides, tout comme les deux autres VEC qui ont été identifiées avec certitude.
Les parois des cellules rénales de cette plaque sont constituées de lipides hydrophobes et non miscibles. Lorsque la cellule meurt, les parois se désagrègent et de petits blobs se dispersent dans le milieu liquide entourant la cellule. Elles forment leurs propres petites taches avec des enveloppes lipidiques complètes. À l’instar d’une lampe à lave, ces bulles huileuses jaillissent sous différentes formes et tailles à mesure que la tension superficielle de la masse d’origine au fond de la cellule se relâche.
Regardez toutes les particules qui entourent les VEC : elles sont à peu près de la même taille et de la même forme, mais remplies, certaines partiellement remplies, d’autres moins denses, d’autres encore plus désagréablement remplies. Nous sommes donc censés croire que ces VEC se trouvent juste à côté de choses qui ne sont PAS des VEC parce qu’elles ne sont pas vides, mais qu’elles n’ont pas la taille et la forme exactes d’un « exosome » ?
Regardez la particule à gauche de l’annotation « 106 ». Elle pourrait facilement être référencée avec l’apparence et la taille exactes d’un Exosome OU d’une particule « Sars-Cov-2 ».
Sur cette image, on voit clairement de nombreux « débris » autour de la membrane cellulaire. La particule « Sars-Cov-2 », identifiée avec certitude, apparaît en bleu. Nous pourrions également choisir n’importe laquelle des particules surlignées en rouge comme « VIH », car elles correspondent toutes exactement à la taille, à la forme et à l’inclusion de protéines. Nous voyons également des « VEC » qui sont vides.
Voici donc ce que les CDC considèrent comme des grappes d’« exosomes ». Regardez maintenant l’image de l’amas de particules marquées en jaune. Ils ont l’air clairement similaires en ce qui concerne les petites particules rondes agglutinées les unes aux autres.
Conclusion
Les 9 images MET de notre culture montrent clairement que toutes ces « particules » ne sont que des débris cellulaires. Ceux-ci sont le contenu de la cellule qui s’est détaché arbitrairement de la cellule mourante. Certains sont remplis de débris cellulaires, d’autres sont vides. Interpréter les détritus laissés après avoir affamé et empoisonné des lignées cellulaires avec des antibiotiques [ou d’autres substances chimiques toxiques — NDT] et prétendre qu’il s’agit de « particules » distinctes ayant un but est aussi scientifiquement significatif que la lecture d’une feuille de thé.
Le vampire mondialiste Klaus Schwab est sorti de son cercueil la semaine dernière pour annoncer le thème du prochain conclave du Forum économique mondial en janvier 2025.
Schwab commence par se vanter d’avoir « inventé, il y a près de dix ans, en 2016, le terme de quatrième révolution industrielle », avant de conseiller à ses larbins que « la coopération mondiale est essentielle si nous voulons orienter cette révolution vers une issue positive ».
Quelle révolution, demandez-vous ?
Une révolution des milliardaires.
Oui, c’est vrai. Nous sommes au cœur de la révolution la plus étrange et la plus trompeuse de l’histoire de l’Humanité. Il s’agit d’une révolution tranquille qui ne nécessitera pas de tirer un seul coup de feu.
Pour réussir la révolution des milliardaires, Schwab conseille sournoisement :
« Nous avons besoin d’intelligence géopolitiquepour naviguer dans les paysages changeants du pouvoir mondial ».
Lorsqu’il dit « nous », il ne fait pas référence à vous et moi, mais au Club de Davos.
L’intelligence géopolitique est une référence à peine voilée au Forum économique mondial, qui fournira les informations, les politiques, les plans et les stratégies nécessaires à cette révolution. Il faut souligner en termes clairs que le Forum économique mondial est le gouvernement mondial officieux.
La plupart des commentateurs de la communauté alternative pensent que le gouvernement mondial verra le jour dans un avenir proche sous la forme d’une Organisation des Nations Unies restructurée, mais la vérité est que le gouvernement mondial existe déjà. Le FEM ne veut pas de nations, il veut des régions. Ils sont en train de découper la planète en régions, gouvernées par le FEM qui est le conseil d’administration d’une technocratie de type corporatiste.
Le nouveau gouvernement mondial ne sera jamais officiellement annoncé ou inauguré. La transition se fera sans cérémonie ni fanfare jusqu’à ce que le coup d’État soit terminé.
« Dans la période qui a immédiatement suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale, des institutions mondiales ont été créées pour assurer la gouvernance internationale sur la base d’une adhésion globale et de décisions basées sur le vote. Les Nations unies, la Banque mondiale et le FMI, entre autres, répondaient à ces critères. Aujourd’hui, ces organisations fonctionnent plus ou moins de la même manière, mais les défis auxquels elles sont confrontées ont changé de façon spectaculaire ; les institutions mondiales sont incapables de suivre le rythme des évolutions.
La pénurie d’institutions mondiales réellement efficaces s’inscrit dans une tendance géopolitique plus large, dans laquelle l’agenda mondial est de plus en plus influencé tant au niveau régional qu’au niveau mondial. Pour assurer un leadership qui dépasse la scène nationale, on compte de plus en plus sur le régionalisme pour pallier cette pénurie de prise de décision efficace à l’échelle mondiale.
Que devons-nous attendre de cette montée du régionalisme ? Il faut s’attendre à une intensification des efforts régionaux pour traiter de nombreuses questions, qu’il s’agisse des finances, du commerce et de l’énergie, de la sécurité militaire ou des tensions religieuses. Les institutions et les affiliations régionales joueront un rôle plus important. Le véritable défi consiste à gérer l’essor du régionalisme de manière à ce qu’il renforce, sans l’entraver, la recherche de solutions à des problèmes mondiaux systémiques et de grande ampleur ».
Dans un autre rapport, The New Global Governance (La nouvelle gouvernance mondiale), rédigé par le sous-groupe Valdai Club du FEM, on peut lire :
« Ce qui manque dans le système actuel de gouvernance mondiale, c’est une plus grande coordination entre les accords régionaux, un système de régionalisme syndiqué (Regionalism Inc.) qui comblerait les vides de la coopération économique régionale ».
Ces méga-régions seront reliées entre elles par des banques régionales, et le centre de coordination de ce nouveau système de gouvernance mondiale sera les BRICS, et non les Nations unies. Les Nations unies verront leur pouvoir et leur influence réduits, tandis que d’autres groupes régionaux, tels que le G20, l’ANASE, l’OCS et les 100 partenaires stratégiques du FEM, gagneront en pouvoir et en influence.
Les pays du Sud ont soif d’égalité sur la scène mondiale, après des siècles de domination occidentale. Le FEM tire parti de cette soif pour manipuler les dirigeants du Sud afin qu’ils sautent dans le train des milliardaires, dans le faux espoir qu’ils obtiendront une plus grande part du gâteau mondial. En échange, ils renoncent à leur souveraineté nationale et sacrifient leurs propres citoyens, ceux dont les têtes ont été placées sur le billot du bourreau pendant la pandémie.
Ces acteurs régionaux subissent un lavage de cerveau, des pots-de-vin ou du chantage pour coopérer avec le projet du FEM. Le FEM leur donne du pouvoir, de la richesse et une position. L’alternative de ne pas coopérer signifie qu’ils seront excommuniés et exilés de la scène mondiale. Leur plus grande crainte est d’être laissés pour compte. Ce n’est pas quelque chose que des individus avides de pouvoir peuvent supporter. Les personnes les plus faciles à manipuler sont celles qui sont moralement faibles, corrompues et médiocres.
Le nouvel ordre mondial envisagé par Schwab nécessite des cadres intermédiaires, des bureaucrates et des administrateurs qui sont des béni-oui-oui consommés.
Par conséquent, ce à quoi nous assistons sur la scène mondiale est un culte de la médiocrité.
Pour les lecteurs qui se font des illusions (des délires ?) sur la Russie et Poutine, voici une aiguille bien aiguisée pour faire éclater votre ballon : Le club Valdai a été fondé par le Russian International Affairs Council (RIAC — Conseil Russe des Affaires Internationales), une émanation du FEM, sur le modèle du Council On Foreign Relations (le Conseil des Relations Étrangères des USA). Il s’agit d’un groupe de réflexion académique et diplomatique à but non lucratif, fondé par le ministère des Affaires étrangères de la Fédération de Russie et le ministère de l’Éducation et des Sciences en 2010.
Le FEM est bien conscient du risque qu’il prend en tentant d’abattre le système de l’État-nation westphalien et de le remplacer par un système régional multipolaire :
« Ces dernières années, la tendance est de plus en plus à la formation de blocs méga-régionaux (la course au méga-régionalisme) qui, à leur tour, recèlent des dividendes de plus en plus importants, mais aussi des risques de plus en plus grands ».
Pour permettre l’essor du Sud, le FEM a promis la disparition de l’Occident. Le FEM fait systématiquement passer l’Amérique du Nord et l’Europe au statut de second monde. Cela coïncide avec le projet d’immigration massive visant à transformer l’Occident en un creuset cosmopolite qui atomisera la civilisation occidentale en mille morceaux.
Les pays du Sud seront des gagnants temporaires et des perdants à long terme, car l’escroquerie du FEM leur permettra d’être contrôlés par les mêmes milliardaires américains, israéliens et européens qu’auparavant. Une fois la poussière retombée, ils seront éliminés lorsqu’on n’aura plus besoin d’eux, et leurs nations et économies se retrouveront dans une situation bien pire qu’auparavant, ayant vendu toutes leurs ressources naturelles à des multinationales qui les exploiteront à leur guise.
L’âge intelligent
Schwab poursuit son huile de serpent apaisante, arguant que :
« L’ère intelligente — portée par les progrès rapides de l’intelligence artificielle (IA), de l’informatique quantique et de la blockchain — transforme tout et le change en ce moment même, en temps réel. »
Le thème de Davos 2025 est « Collaboration pour l’âge de l’intelligence », en référence à l’intelligence artificielle, pierre angulaire de la quatrième révolution industrielle, et il convient de répéter que nous sommes au cœur d’une révolution mondiale d’une nature et d’une ampleur sans précédent.
Lors du Sommet mondial des gouvernements qui s’est tenu à Dubaï, M. Schwab a déclaré :
« Nous parlons de la transition de l’Humanité vers une nouvelle ère… vers l’âge de l’intelligence ».
Il convient de noter que le Sommet du gouvernement mondial a discrètement changé de nom pour devenir le Sommet des gouvernements mondiaux (au pluriel).1
Klaus Schwab a lu un extrait du ChatGPT :
« Envisageant un avenir propulsé par les technologies de la 4eRI, nous voyons une NOUVELLE LUNE de la civilisation humaine… où l’IA, la robotique, l’IoT, l’impression 3D, le génie génétique, l’informatique quantique deviennent les fondements de notre vie quotidienne ».
L’utilisation de la technologie robotique dans les villes intelligentes du monde entier est imminente. Concrètement, cela signifie des voitures autopilotées, une plus grande réduction des véhicules privés, une plus grande densité urbaine, des infrastructures contrôlées par l’IA, une plus grande surveillance et une perte de liberté personnelle. Schwab, qui doit être le boute-en-train d’un enterrement, poursuit de sa voix de mort :
« L’ère de l’intelligence transforme également notre mode de vie. Les villes deviennent plus intelligentes, les capteurs et l’IA gérant tout, de la circulation à la consommation d’énergie. Ces villes intelligentes et les maisons intelligentes qu’elles abritent ne sont pas seulement plus efficaces, elles sont conçues pour être plus durables, réduisant les émissions de carbone et améliorant la qualité de vie. »
Le directeur général du FEM, Mirek Dušek, a écrit dans Forbes le 1er octobre :
« L’ère intelligente représente un changement sismique dans les moteurs du changement socio-économique et de la croissance. Elle est ancrée dans des transformations profondes et multiformes que les technologies émergentes, notamment l’intelligence artificielle (IA), la bioéconomie, les technologies liées au climat et à la transition énergétique, le quantique, la robotique, l’espace et d’autres encore, entraînent au sein des sociétés, des économies et des industries. »
Le récent blog de Sam Altman, gourou de la technologie de l’IA, publié le 23 septembre, fait écho à l’optimisme des milliardaires :
« Je pense que l’avenir sera si brillant que personne ne peut lui rendre justice en essayant d’en parler maintenant ; l’une des caractéristiques de l’ère de l’intelligence sera une prospérité massive. »
(prospérité pour eux, pauvreté pour nous)
M. Altman est le PDG de l’entreprise technologique OpenAI, cofondée par Elon Musk, avec le soutien de Peter Thiel, Greg Brockman, Amazon, Microsoft et d’autres milliardaires méga riches ayant la folie des grandeurs et des montagnes d’argent.
OpenAI a été fondée par Altman en décembre 2015 et son siège se trouve à San Francisco, en Californie. Sa mission est de développer une intelligence générale artificielle « sûre et bénéfique », qu’il définit comme « des systèmes hautement autonomes qui surpassent les humains dans la plupart des tâches économiquement utiles ».
Altman et Musk ont embauché 9 des 10 meilleurs chercheurs dans ce domaine et leur ont versé des salaires exorbitants. Peter Lee, vice-président de Microsoft Research, a déclaré que le coût d’un chercheur en IA de haut niveau avait éclipsé le coût d’un quart-arrière potentiel de la Ligue nationale de football américain.
Pour information : le salaire moyen des quarterbacks de la NFL est de 55 millions de dollars par an.
L’OpenAI est basée sur l’apprentissage profond (Deep Learning), l’idée de configurer les machines pour qu’elles fonctionnent comme le cerveau humain. Le cerveau humain est constitué de millions et de millions de neurones qui transmettent des messages dans le cerveau et le corps. Avec l’apprentissage profond, les scientifiques de l’IA créent des neurones artificiels pour créer une machine qui apprend sans l’aide de l’Homme, de manière très similaire au cerveau.
Google, autre géant technologique de la Silicon Valley, possède une division secrète appelée Google X, qui travaille sur des projets similaires d’apprentissage en profondeur.
Google X fait désormais des affaires sous le nom de X, sous l’égide de la société X Development LLC. Il s’agit d’un centre de recherche et de développement semi-secret et d’une organisation fondée par Google en janvier 2010. Le siège de X se trouve à environ 1,5 km du siège social d’Alphabet, le Googleplex, à Mountain View, en Californie. Il est très étrange que Twitter et Google utilisent le même nom. S’agit-il de la même entreprise ?
Google X travaille sur les technologies « moonshots », qu’il définit ainsi :
« moonshots : des technologies faramineuses de science-fiction qui pourraient un jour rendre le monde radicalement meilleur ».
Google X est fondé par Astro Teller, dont le grand-père, Edward Teller, a créé la bombe à hydrogène. Dans son livre Dark Sun, le biographe Richard Rhodes décrit Edward Teller comme :
« animé par ses ambitions mégatonniques2, doté d’un complexe messianique et d’un comportement autocratique ». Il faisait partie d’un « groupe de scientifiques que l’on ne peut que décrire comme bavant à l’idée d’une guerre nucléaire et assoiffés de sang ».
« L’intelligence artificielle est l’avenir, non seulement pour la Russie, mais pour l’Humanité tout entière. Elle s’accompagne d’opportunités colossales, mais aussi de menaces difficilement prévisibles. Celui qui deviendra le leader dans ce domaine deviendra le maître du monde ». ~ Le président russe Vladimir Poutine
Elon Musk s’est fait l’écho de ce sentiment, avec une sombre mise en garde, déclarant lors d’une interview :
« L’IA est un risque fondamental pour l’existence de la civilisation humaine ».
Il est très inquiétant de constater que de nombreux dirigeants de cette révolution technologique sont tous extrêmement préoccupés par le caractère extrêmement dangereux et risqué de cette technologie, mais qu’ils avancent à toute allure pour la mettre en œuvre.
Dans un article récent du Scientific American, on peut lire :
« Les algorithmes d’intelligence artificielle atteindront bientôt un point d’autoamélioration rapide qui menacera notre capacité à les contrôler et posera un risque important pour l’Humanité ».
« L’idée que ces objets puissent devenir plus intelligents que les gens… Je pensais que c’était une erreur… Évidemment, je ne le pense plus », a déclaré Geoffrey Hinton, l’un des principaux chercheurs en intelligence artificielle de Google, également connu sous le nom de « parrain de l’IA », après avoir quitté son emploi en avril afin de pouvoir mettre en garde contre les dangers de cette technologie.
Une lettre ouverte datée de mars 2023, signée par plus de 33 000 personnes, dont Elon Musk et Steve Wozniak, appelant à un moratoire de six mois sur le développement de l’IA, déclare :
« l’IA avancée pourrait représenter un changement profond dans l’histoire de la vie sur Terre, et devrait être planifiée et gérée avec des soins et des ressources proportionnés ».
Les partisans de cette position sont parfois appelés les « catastrophistes de l’IA ».
La lettre a été rédigée par Future of Life, un groupe de pression qui préconise une réglementation de l’IA dans le cadre d’un projet de loi californien, SB 1047, auquel le gouverneur de Californie, Gavin Newsome, a opposé son veto le dimanche 29 septembre.
Le projet de loi a été rédigé à l’origine par Dan Hendrycks, conseiller en sécurité de xAI, une startup spécialisée dans l’IA fondée par Elon Musk en 2023.
OpenAI, Google, Meta et Microsoft se sont opposés à la législation, estimant qu’elle pourrait étouffer l’innovation et faire reculer les États-Unis dans la course mondiale à la domination de l’IA. Les investisseurs en capital-risque, dont Andreessen Horowitz, ont déclaré que la mesure nuirait aux jeunes entreprises d’IA qui n’ont pas les ressources nécessaires pour tester leurs systèmes.
Dans un rare moment de non-partisanerie, plus de 120 célébrités hollywoodiennes, dont Mark Hamill, Jane Fonda et J. J. Abrams, ont signé une déclaration de soutien au projet de loi.
La désintelligence et la mésintelligence
Est-il intelligent que nos sociétés soient contrôlées par des milliardaires technocrates ?
Ce à quoi nous assistons en réalité, c’est à l’ère de la désintelligence et de la mauvaise intelligence, du détournement et de la mauvaise gestion incessants et abrutissants de la technologie à des fins de contrôle, de contrôle et d’encore plus de contrôle.
Les obsédés du contrôle doivent contrôler, c’est ce qu’ils font.
L’intelligence réelle utilisée intelligemment créerait une société qui libère les gens parce qu’elle est conditionnée par la compassion et le souci de nos semblables. Les technologies disponibles aujourd’hui, comme toute technologie, peuvent être utilisées pour le bien ou pour le mal. La technologie des robots, également connue sous le nom d’intelligence artificielle, pourrait prendre en charge une grande partie des corvées et des tâches subalternes qui transforment les êtres humains en esclaves salariés.
La technologie pourrait permettre aux citoyens ordinaires de se consacrer à des tâches plus ennoblissantes et donner à des millions de personnes plus de dignité et de respect de soi. Imaginez une société où le ramassage des ordures et le nettoyage des toilettes seraient automatisés. À moins que vous ne considériez le ramassage des ordures et le nettoyage des toilettes comme une forme de liberté ?
Les véhicules autonomes pourraient réduire considérablement le nombre d’accidents de la route. Les accidents de la route sont aujourd’hui la première cause de mortalité chez les personnes âgées de 5 à 29 ans, avec 1,35 million de décès par an dans le monde. Ce sont les piétons, les cyclistes et les motocyclistes qui en sont les principales victimes, en particulier dans les pays en développement.
Nous vivons dans un monde complexe, moderne et interconnecté. Tout ce que nous faisons a des répercussions sur tous ceux qui nous entourent. Cette complexité accrue s’accompagne d’un besoin accru de gestion plus compétente de l’ensemble des ressources mondiales, des infrastructures de communication, de transport, d’assainissement, de distribution d’eau et de réseau électrique.
Les prophètes de malheur nous mettent en garde contre les dangers de la technologie, et ces mises en garde sont justes, mais c’est aux citoyens de s’impliquer dans la gestion de nos sociétés. Sinon, nous continuerons à être gouvernés par des fous du contrôle comme Klaus Schwab et son club privé de technocrates milliardaires.
C’est le noble défi de l’Humanité que de résister à la classe des milliardaires, de la freiner et de la vaincre.
Si nous, les citoyens, continuons à résister courageusement à leur système, la classe des milliardaires tombera inévitablement.
Où en est l’entraide dans le monde moderne ?
Nanoparticules manufacturées et convergence bionumérique
L’homme a toujours vécu entouré de nanoparticules. Il en existe trois types. Les naturelles, celles issues de la combustion, et celles bien plus récentes et de plus en plus présentes partout qui sont manufacturées. Dans cette vidéo, nous abordons la question des dangers bien plus grands que ces dernières représentent, en particulier lorsqu’elles sont injectées.
Histoire et politique de la nanotechnologie
Cette vidéo introduit une série sur la nanotechnologie. Cette première partie donne un aperçu du contexte qui a mené à en faire le domaine principal du capitalisme vert, la phase du capitalisme mis en œuvre à la suite du rapport du Club de Rome en 1972. La nanotechnologie brasse des milliards et son essor est fulgurant.
Le graphène
Qu’est-ce que le graphène ? Peut-on affirmer son existence et sa présence dans les vaccins ? Le sujet illustre bien les problèmes de la recherche actuelle.
Cette quatrième et dernière partie sur les nanoparticules porte sur la convergence bionumérique, autrement dit la 4e révolution industrielle, dans laquelle les nanotechnologies jouent un rôle fondamental. Cette phase technologique, ayant pour but une transformation totale de la civilisation, sera mise en place dans le cadre des « smart cities », villes intelligentes en français.
Dans un rapport rendu public en août (que vous pouvez consulter ici1) et qui a fait peu de vagues jusqu’à présent, le Bureau des sciences comportementales de l’Agence de la santé publique du Canada (BSC) explique, en toutes lettres, comment il utilise les sciences cognitives pour concevoir les politiques publiques et façonner les comportements des Canadiens.
(…)
Contrôle
Les sciences comportementales utilisent la psychologie, l’économie, la sociologie et les neurosciences pour comprendre les comportements humains.
Mais une fois cette connaissance maîtrisée, elle peut devenir une arme de contrôle massif. Les sciences comportementales, c’est l’art de bidouiller les pensées et les émotions des individus pour orienter subtilement leurs comportements à leur insu. C’est l’instrumentalisation de la partie inconsciente et émotive de l’esprit humain pour piloter les décisions d’autrui. C’est tout simplement l’art de la manipulation porté à un niveau d’expertise quasi chirurgical.
Or, c’est précisément cet art qu’Ottawa manie. Et même si les autres gouvernements ne l’avouent pas, on peut douter qu’ils aient résisté à la tentation d’user de ces feintes psychologiques pour obtenir notre docilité.
C’est donc officiel, Ottawa profite de nos failles cognitives pour nous manipuler. Il l’a fait pendant la pandémie, notamment pour favoriser la vaccination. Et maintenant, il emploie les mêmes méthodes en matière de changements climatiques et d’immunisation des enfants. Il s’en sert même pour augmenter la confiance du public envers l’État.
Interrompant exceptionnellement sa convalescence en Australie, le fondateur de WikiLeaks est venu à Strasbourg le 1er octobre pour témoigner devant le Conseil de l’Europe. C’était sa première intervention publique depuis son emprisonnement en 2019.
La parole de Julian Assange fut forte et précise lors de son audition par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le 1er octobre à Strasbourg. Le journaliste australien est combatif, pleinement lucide, malgré les quatorze années de persécution et de privation de liberté qu’il vient de subir. Il n’est pas sorti indemne du martyre que lui a infligé Washington, mais il a tenu bon et semble sur la voie du rétablissement.
Il est indispensable de regarder l’intégralité de son témoignage, mais aussi de ses réponses aux membres de la commission. À voir ici dans une version en français proposée par Les Mutins de Pangée (traduction fournie par le service d’interprétariat du Conseil de l’Europe) :
Version originale en anglais :
S’appuyant sur le très bon rapport de la représentante islandaise Thórhildur Sunna Ævarsdóttir (membre du Parti pirate), la commission avait émis un avis clair et pertinent sur le cas Assange, notamment quant à la nature politique de la persécution. Le texte accuse sans détour les États-Unis et le Royaume-Uni, demandant des actions, à la fois sur l’usage de l’Espionage Act et les pratiques en matière d’extradition.
Le 2 octobre, la résolution intitulée « La détention et la condamnation de Julian Assange et leurs effets dissuasifs sur les droits humains » a été débattue en séance plénière dans l’hémicycle et finalement adoptée par 88 voix pour, 13 contre et 20 abstentions (voir le détail du vote). C’est une avancée politique, diplomatique et symbolique importante. Le Conseil de l’Europe juge que Julian Assange était bel et bien un prisonnier politique au Royaume-Uni.
À noter que seuls trois des dix-huit représentants français ont participé au vote, ils ont tous voté en faveur de la résolution. Il s’agit des députés LFI Emmanuel Fernandes et Anne Stambach-Terrenoir, et du sénateur PS Didier Marie.
Pour voir les débats et le vote (version en anglais) :
Le Royaume-Uni est membre du Conseil de l’Europe, qui est une institution réunissant 46 pays européens totalement distincte de l’Union européenne et donc non concernée par le Brexit. Les États-Unis y ont le statut de pays observateur. Il est peu probable que les deux États les plus impliqués dans la persécution de Julian Assange admettent sur le champ leur responsabilité et procèdent dans la foulée aux réformes recommandées par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, mais le rapport et le vote constituent une étape majeure.
Le combat de Julian Assange et de ses soutiens est reconnu comme légitime et salutaire par une institution internationale. Cela vient s’ajouter aux avis qui avaient été émis par différentes composantes de l’Organisation des Nations unies (ONU). C’est un travail pour l’histoire. Mais au-delà de la nécessité de faire reconnaître la réalité de la persécution politique qui a eu lieu, il faut empêcher que cela puisse se reproduire, contre un autre journaliste, un lanceur d’alerte, etc. Il est à craindre que l’intimidation que Washington cherchait à exercer sur la presse et les sources par la traque du fondateur de WikiLeaks ait déjà produit ses effets, mais il n’est pas trop tard pour protéger le droit d’informer (et donc d’être informé).
Lors de son audition, Julian Assange a clairement dit qu’il voulait, à travers le retour sur son cas, protéger les autres journalistes. Il a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises Gaza et le sort des journalistes palestiniens. Depuis le 7 octobre 2023, 174 d’entre eux ont été tués par l’armée israélienne, souvent ciblés délibérément.
Nous avons collectivement obtenu la libération de Julian Assange, il nous faut maintenant nous appuyer sur cette grande et belle victoire pour défendre et promouvoir le type de journalisme pratiqué par WikiLeaks, et ainsi lutter plus efficacement contre les injustices qu’il permet de dévoiler.
Quelques citations de Julian Assange
« Je veux être tout à fait clair. Je ne suis pas libre aujourd’hui parce que le système a fonctionné. Je suis libre aujourd’hui après des années d’incarcération parce que j’ai plaidé coupable d’avoir fait du journalisme. J’ai plaidé coupable d’avoir cherché à obtenir des informations auprès d’une source. J’ai plaidé coupable d’avoir obtenu des informations auprès d’une source. Et j’ai plaidé coupable d’avoir informé le public de la nature de ces informations. Je n’ai plaidé coupable d’aucun autre chef d’accusation. »
« La criminalisation des activités de collecte d’informations est une menace pour le journalisme d’investigation partout dans le monde. J’ai été formellement condamné par une puissance étrangère pour avoir demandé, reçu et publié des informations véridiques sur cette puissance alors que j’étais en Europe. »
« La question fondamentale est simple : les journalistes ne devraient pas être poursuivis pour avoir fait leur travail. Le journalisme n’est pas un crime ; c’est un des piliers d’une société libre et informée. »
« Dans mon travail, je me suis efforcé d’être rigoureusement exact. Je pense que l’exactitude est essentielle. Les sources primaires sont essentielles. Mais il y a un domaine dans lequel je suis un militant et où tous les journalistes doivent être des militants. Les journalistes doivent être des militants de la vérité. »
« Lorsque j’ai fondé WikiLeaks, j’étais animé par un rêve simple : éduquer les gens sur la façon dont le monde fonctionne afin que, par la compréhension, nous puissions faire advenir quelque chose de meilleur. »
« Je voudrais simplement remercier toutes les personnes qui se sont battues pour ma libération et qui ont compris, ce qui est important, que ma libération allait de pair avec leur propre libération. »
Bill Gates déclare qu’inciter les gens à éviter la vaccination est une « incitation à la violence » et qu’il veut que les « antivax » soient censurés par l’IA
Ne pas aimer les vaccins serait un délit criminel si Gates parvenait à ses fins.
L’approche totalitaire de Gates en matière d’IA est une menace pour l’humanité.
Bill Gates, cofondateur de Microsoft et ancien ami de Jeffrey Epstein, a récemment été interviewé par CNBC pour discuter de la manière de gérer l’« hésitation vaccinale » en utilisant la censure en temps réel imposée par l’intelligence artificielle (IA). Bill Gates a déclaré que ceux qui incitent les gens à éviter les vaccins « incitent à la violence » et constituent donc une menace pour la santé publique. Il propose une approche totalitaire, appelant à la mise en place de « frontières » de la parole pour éliminer la « mésinformation vaccinale » en temps réel.
Bill Gates veut contrôler les esprits et réécrire l’histoire des vaccins
Les organisations « philanthropiques » de Bill Gates investissent massivement dans les vaccins, qu’il s’agisse des produits biologiques traditionnels à base d’antigènes ou des vaccins expérimentaux à base d’ARNm, qui sont associés à une surmortalité dans le monde entier. Il a récemment annoncé son intention de transformer tous les vaccins à ARNm et d’étendre le domaine de la vaccination à des centaines de maladies supplémentaires et potentiellement à des milliers de rappels. Le curriculum vitae de Gates comprend les lésions massives chez des adolescentes par le biais de programmes de vaccination contre le papillomavirus en Inde et la propagation de souches de polio dérivées de vaccins par le biais de campagnes de vaccination contre la polio dans les pays du tiers-monde.
Pendant le scandale du covid-19, Gates est apparu fréquemment sur les grands réseaux médiatiques, exhortant tous les habitants de la planète à rester chez eux, à se calfeutrer et à se faire vacciner. Il a également proposé que les individus se soumettent à ses propositions en matière de changement climatique, notamment : bloquer le soleil à l’aide de chemtrails, contrôler l’agriculture mondiale et débarrasser le monde des pets de vache, libérer de force des millions de moustiques génétiquement modifiés et faire en sorte que les populations mangent des insectes et passent à la fausse viande.
Aujourd’hui, l’éminent philanthrope souhaite utiliser l’intelligence artificielle (IA) pour censurer en temps réel la « désinformation » liée aux vaccins. Les propos de Gates, tenus lors d’une récente interview sur la chaîne CNBC, ont suscité un vif débat sur le droit à la liberté d’expression, le contrôle des esprits et la réécriture de l’histoire par l’élite.
Gates, qui est profondément et psychiquement investi dans les vaccins par l’intermédiaire de la Fondation Gates, de GAVI et de l’Organisation mondiale de la santé, se concentre de plus en plus sur la lutte contre la « mésinformation » sur les vaccins, qui n’est en fait que la suppression des témoignages sur les blessures causées par les vaccins et l’abolition du consentement éclairé. Dans sa dernière interview, il a exprimé le souhait d’imposer des « limites » à la liberté d’expression, en particulier en ce qui concerne les vaccins. Selon Gates, la liberté d’expression est certes importante, mais elle doit être limitée, en particulier si elle incite à la violence ou dissuade les gens de se faire vacciner.
« Nous devrions avoir la liberté d’expression, mais si vous incitez à la violence ou si vous incitez les gens à ne pas se faire vacciner, où sont les limites ? » a déclaré Gates. Il a suggéré que les États-Unis pourraient avoir besoin de nouvelles règles pour traiter ces questions, indiquant une préférence pour les systèmes pilotés par l’IA qui pourraient rapidement identifier et supprimer les contenus nuisibles avant qu’ils n’aient une chance de se répandre.
Ironiquement, tout le monde sait que le véritable pourvoyeur de « mésinformation vaccinale » a toujours été Bill Gates, qui cherche des moyens d’exploiter les populations par la propagande et de leur faire avaler des programmes de vaccination pour faire avancer sa mission « philanthropique » de transhumanisme et de contrôle des populations.
L’approche totalitaire de Gates à l’égard de l’IA est une menace pour l’humanité
L’approche totalitaire de Bill Gates pourrait conduire à une censure excessive et à une suppression du débat légitime, érodant le consentement éclairé en médecine et tournant en dérision les systèmes de soins de santé dans le monde. L’utilisation de l’IA pour mettre en œuvre la vision de Gates pour le monde créera un dangereux précédent, conduisant à des restrictions plus larges de la liberté d’expression, à la mise en œuvre incontestée de passeports vaccinaux et à d’autres restrictions de la méthode scientifique et du progrès de la civilisation humaine. La censure de l’IA de Gates donnera la priorité au contrôle de la pensée sur le discours public, au détriment de la transparence, du consentement éclairé et du libre arbitre.
Emily Carter, défenseur de la liberté d’expression, a averti que les propositions de Gates pourraient saper les valeurs démocratiques et éroder les principes de notre République constitutionnelle. « L’idée d’une censure pilotée par l’IA est pleine de défis. Elle risque d’étouffer des discussions importantes et pourrait conduire à une situation où seuls les points de vue approuvés seraient autorisés », a déclaré Mme Carter. « Cette approche pourrait éroder les principes de dialogue ouvert et de consentement éclairé, qui sont essentiels au bon fonctionnement de la démocratie. »
La tentative psychopathique de Gates de contrôler les gens et d’enterrer les blessures et les décès dus aux vaccins en utilisant l’IA s’inscrit dans la continuité d’un comportement malveillant. Au cours des cinq dernières années, il a demandé à plusieurs reprises aux entreprises de médias sociaux de supprimer ce qu’il estime être de la « mésinformation vaccinale ». La soi-disant « mésinformation vaccinale » et les « théories du complot » dont se plaint Bill Gates s’avèrent en fin de compte être la VÉRITÉ. Ses actions ont eu un impact négatif sur des millions de vies aux États-Unis et des centaines de millions de vies dans le monde. Des personnes ont été blessées et tuées dans le seul but de faire avancer les fausses promesses de Bill Gates sur l’innocuité et l’efficacité des vaccins. Pendant ce temps, Gates continue d’encaisser ses investissements, en mettant en avant des récits qui ont conduit à des tromperies massives, à des lésions et à des décès. Sa collaboration avec OpenAI est évidente, car la propagande vaccinale issue de leur modèle de langage étendu est sinistre et effroyable.
Champignons et bactéries contre les polluants humains
Un champignon marin appelé « Parengyodontium Album » a un appétit pour les déchets plastiques et peut décomposer le plastique polyéthylène à hauteur de 0,05 % par jour (étude)
La pollution plastique marine est un problème environnemental et écologique à l’échelle mondiale depuis plusieurs décennies. Cette contamination s’étend de l’océan Atlantique aux champs de déchets de l’océan Indien et de l’océan Pacifique. Le problème des déchets plastiques affecte la vie aquatique et ses écosystèmes, qui sont fragiles face aux produits chimiques et autres contaminants provenant des matériaux plastiques en polyéthylène.
Étant donné que les plastiques ne peuvent pas être complètement éradiqués, les gouvernements ont mis en œuvre différentes mesures dans le passé, notamment l’interdiction du plastique à usage unique. Les scientifiques ont même fait appel à des agents pathogènes tels que des bactéries pour nous aider à décomposer les matières plastiques accumulées, tant sur terre que dans l’environnement marin. Aujourd’hui, des scientifiques néerlandais ont découvert un champignon marin mangeur de plastique capable de faire ce travail.
Pollution plastique des océans
La pollution plastique des océans est devenue une « crise mondiale » puisque des milliards de kilos de matières plastiques finissent dans des convergences tourbillonnantes qui représentent environ 40 % de la surface des océans de la planète, selon l’organisation Centre pour la diversité biologique. Touchant non seulement les humains, le problème de la pollution marine par les plastiques constitue une menace à la fois dangereuse et mortelle pour la faune, notamment les tortues de mer, les oiseaux de mer et les mammifères marins.
Au cours des années précédentes, des milliers de ces animaux seraient morts soit à cause de l’ingestion de plastique, soit à cause de ces matériaux. Le phoque moine d’Hawaï (Monachus schauinslandi) et la tortue caouanne du Pacifique (Caretta caretta) font partie des centaines d’espèces qui peuvent consommer par erreur des déchets plastiques et s’y coincer, selon ladite organisation.
Un champignon marin mange des déchets plastiques
À la lumière de la nouvelle étude, ledit champignon marin a été initialement découvert dans la zone de déchets du Pacifique Nord. Sur la base d’une étude récente, les chercheurs ont confirmé que l’espèce fongique, appelée Album Parengyodontie, peut décomposer le polyéthylène plastique 0,05% par jour. Les nouvelles découvertes de l’Institut royal néerlandais pour la recherche maritime (NIOZ) ont été publiées dans la revue Science de l’environnement total.
L’équipe de recherche néerlandaise est arrivée à sa conclusion en isolant des spécimens de P.album à partir de débris de plastique collectés dans le gyre subtropical du Pacifique Nord. Cependant, le champignon marin doit d’abord être exposé aux rayons ultraviolets du soleil avant de pouvoir s’agglutiner sur le plastique polyéthylène. Les résultats suggèrent également la possibilité que d’autres champignons mangeurs de plastique vivent dans les profondeurs de l’océan.
Dans un communiqué de presse du 3 juin, le NIOZ a déclaré que le champignon marin de l’océan Pacifique vit également avec d’autres microbes marins dans des couches de débris plastiques flottants. Les microbiologistes marins de l’organisation de recherche néerlandaise ont découvert des microbes dégradant le plastique dans des zones sensibles au plastique dans l’océan Pacifique Nord, où la lumière du soleil est nécessaire pour relancer la prolifération du plastique. P. albums appétit pour les déchets plastiques.
L’équipe de chercheurs impliquée dans l’étude s’attend à ce que d’autres champignons inconnus dégradent également les plastiques océaniques, mais n’ont pas encore été découverts. De plus, la découverte de microbes supplémentaires pourrait éventuellement contribuer au processus de dégradation du plastique à l’avenir.
Les bactéries mangeuses d’hydrocarbures accélèrent la consommation en remodelant les gouttelettes de pétrole
Les bactéries Alcanivorax1 prolifèrent à la suite de déversements d’hydrocarbures et contribuent à la dégradation du pétrole dans les océans. Dans une étude, publiée dans la revue Science, une collaboration de scientifiques a isolé des spécimens de bactéries Alcanivorax borkumensis en laboratoire, les a nourris de pétrole brut et a ensuite observé comment ils travaillaient ensemble pour manger le pétrole aussi rapidement et efficacement que possible. Cette découverte permet de mieux comprendre les processus de biodégradation des hydrocarbures déversés.
Amoco Cadiz, Exxon Valdez, Deepwater Horizon… Au cours de ces marées noires, désastreuses pour la vie aquatique, prospère la bactérie Alcanivorax borkumensis. Le nom latin Alcanivorax signifie « dévoreuse d’alcanes » ; ces bactéries dégradent les longues chaînes carbonées produites par la décomposition des organismes vivants2, et jouent à ce titre un rôle dans le cycle du carbone. Ces bactéries sont retrouvées en masse dans les marées noires et il a été montré qu’elles peuvent dégrader les nappes de pétrole avant qu’elles n’atteignent les côtes3.
Dans le cadre d’une collaboration internationale entre l’Université du Tsukuba (Japon), le Centre de physique théorique (CPT, CNRS / Aix-Marseille Université / Université de Toulon), le laboratoire Processus d’activation sélectif par transfert d’énergie uni-électronique ou radiatif (PASTEUR, CNRS / ENS-PSL / Sorbonne Université), l’Institut Pierre-Gilles de Gennes (PSL Université) et le laboratoire Physico-chimie Curie (PCC, CNRS / Institut Curie / Sorbonne Université), les auteurs ont immobilisé dans une puce microfluidique des gouttelettes de pétrole progressivement dévorées par ces bactéries, et suivi au microscope confocal leur évolution au cours du temps. L’équipe a ainsi pu observer et quantifier l’ensemble du processus, de la colonisation initiale à la consommation complète des gouttelettes d’huile. Les conclusions de ces travaux ont été publiées dans le journal Science du 18 août 2023. Terry McGenity et Pierre Philippe Laissue, de l’université d’Essex, ont publié dans le même numéro de la revue un article de perspective décrivant ces travaux4.
Alors que les bactéries qui ont été exposées pendant un temps court à une source de carbone insoluble forment des biofilms se développant en volume en maintenant la gouttelette sphérique, les bactéries qui ont été exposées plus longtemps à l’huile forment des biofilms minces ou apparaissent de nombreuses dendrites. Dans cette étude, les auteurs montrent que la vitesse à laquelle les bactéries dégradent les gouttelettes dépend de la morphologie du biofilm : du fait de leur plus grande surface de contact entre le biofilm bactérien et l’interface eau/huile, les biofilms dendritiques sont beaucoup plus efficaces pour la dégradation rapide de l’huile. Toutefois, plutôt que d’être causée par une augmentation du débit métabolique individuel, cette accélération est la conséquence de l’organisation collective du biofilm à l’interface.
Sous le microscope, les bactéries apparaissent comme des bâtonnets allongés le long de la surface entre le pétrole et l’eau. Juste avant de former un tube, les bactéries s’orientent progressivement vers un point central, qui deviendra le cœur du tube. Ce motif en étoile est connu dans le cadre de la théorie des cristaux liquides5 sous le nom de défaut topologique de charge +1. Une fois la surface eau/pétrole déformée, la formation de ces tubes d’un rayon bien contrôlé est rendue possible à la fois par une diminution de la tension interfaciale de l’huile au cours du temps d’exposition aux hydrocarbures, et à une augmentation de l’hydrophobie des bactéries, qui induit une apparition d’une courbure préférentielle de l’interface eau-pétrole. Les auteurs ont développé un modèle qui permet d’expliquer ce phénomène.
Les chercheurs se sont enfin intéressés à étudier la présence de surfactants dans le milieu de culture, de manière à simuler l’utilisation des dispersants massivement déversés dans la mer lors de l’accident Deep Water Horizon. Dans le contexte de leurs expériences, les auteurs montrent que les surfactants diminuent l’adhésion des bactéries aux gouttes de pétrole, empêchant la formation des tubes et compromettant ainsi la dégradation du pétrole par ces bactéries. Cependant, des travaux supplémentaires sont encore nécessaires avant de pouvoir tirer des conclusions définitives sur l’effet des surfactants dans la gestion des marées noires, notamment en raison de la grande diversité de la composition des eaux océaniques.
Les auteurs de l’étude envisagent également des applications fondamentales dans la compréhension d’un processus clef du cycle du carbone qu’on appelle la neige marine, où des bactéries – dont Alcanivorax borkumensis – dévorent la matière organique en suspension. Ce processus de dégradation contribue alors au piégeage du dioxyde de carbone dans les profondeurs océaniques.
Références
Alcanivorax borkumensis Biofilms Enhance Oil Degradation By Interfacial Tubulation, Manoj Prasad, Nozomu Obana, S.-Z. Lin, Ken Sakai, Carles Blanch-Mercader, Jacques Prost, Nakao Nomura, Jean-François Rupprecht, Jacques Fattaccioli, A. S. Utada, paru le 18 août 2023 dans Science. Doi : 10.1126/science.adf3345 Archives ouvertes : bioRxiv
Notes
Mort de Nasrallah : ce que la jubilation occidentale raconte
Israël a donc tué le chef du Hezbollah. Provoquant un spasme d’exultation orgiaque en Occident en général, et chez nous en particulier. Pour ce faire, Israël a utilisé le terrorisme et les crimes de guerre, c’est-à-dire en détruisant des quartiers entiers et en massacrant des centaines de civils libanais innocents. Depuis toujours, c’est ce qu’Israël fait le mieux.
Mais ce qui est terrible pour un Occidental, pour un Français, c’est ce que cette exultation raconte. Sur ce que nous sommes, sur notre racisme, notre sentiment de supériorité, notre absence de morale, notre goût du sang. Et nous continuons à pousser Israël dans l’impasse sanglante où il est en train de se perdre.
Parce qu’on va rappeler à ceux qui jubilent qu’en juillet 2006, l’armée de l’air israélienne avait détruit 59 lance-roquettes fixes à moyenne portée positionnés dans tout le sud du Liban. Dan Halutz chef d’état-major de l’armée israélienne annonça alors à son gouvernement : « Toutes les roquettes à longue portée ont été détruites. NOUS AVONS GAGNÉ LA GUERRE ». C’était en 2006…
Et c’est le même Halutz qui dit craindre aujourd’hui une guerre civile dans un Israël dirigé par Netanyahu et sa bande.
Il s’agirait, nous disent les extatiques d’une nouvelle démonstration, après l’opération terroriste des beepers, des formidables capacités d’Israël. Qui a fait savoir avec gourmandise que l’opération des beepers avait pris 15 ans à préparer. Et tout cela pour quel résultat stratégique ? Remplir les hôpitaux du sang des victimes civiles non seulement n’apporte pas le moindre avantage stratégique, mais au contraire contribue à enfoncer l’État d’Israël devenu paria dans le statut d’État voyou dirigé par des voyous. Le Hezbollah est évidemment affaibli, l’Iran peut être gêné, mais la retenue de ce dernier démontre que « l’axe de la résistance » achète du temps, ce dont désormais Israël ne dispose plus. Cela fait 80 ans que les Israéliens massacrent des civils, rasent des villages et tuent les dirigeants des mouvements qui s’opposent à eux.
Il y aura bientôt un an qu’ils affrontent le Hamas à Gaza, en vain. Cela fait plus de 20 ans qu’ils essaient de se débarrasser du Hezbollah, en vain. 80 ans qu’ils essaient de se débarrasser du peuple palestinien, en vain. Le prix payé par les Palestiniens, ceux qui les soutiennent et les civils arabes innocents est considérable. Mais Israël, soutenu à bout de bras par un Occident en décomposition a-t-il encore le temps de démontrer qu’il peut être autre chose que ce qu’il montre aujourd’hui ? C’est peu probable. Ce terrible échec était-il inscrit dans le projet initial d’émancipation de Theodor Herzl ? La greffe de ce bout d’Occident impérialiste à cet endroit pouvait-elle prendre ? Nous n’en savons rien, mais la marche de l’Histoire nous a conduits à cet échec.
Les peuples de la région n’acceptent pas sa présence et comme l’avait dit Ben Gourion à Nahum Goldmann :
« Pourquoi les Arabes feraient-ils la paix ? Si j’étais, moi, un leader arabe, jamais je ne signerais avec Israël. C’est normal : nous avons pris leur pays. […..] Certes, Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela peut-il les intéresser ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ? Ils oublieront peut-être dans une ou deux générations, mais, pour l’instant, il n’y a aucune chance. Alors, c’est simple : nous devons rester forts, avoir une armée puissante. Toute la politique est là. Autrement, les Arabes nous détruiront. »
Est-ce cette logique de « l’armée puissante » qui a conduit au sionisme perverti des Netanyahu, Smotrich et autre Ben Gvir ? Les historiens en décideront, en tout cas aujourd’hui Israël n’est puissant que du soutien d’un Occident contesté et très affaibli. Le confrontant à une contradiction insoluble entre les « valeurs » qu’il prétend porter et le soutien sans faille à une violence génocidaire. Jusqu’à quand ?
Le sud global quant à lui se prépare méthodiquement, et se dirige vers ce qui constitue son objectif principal, la réorganisation du monde sans l’Occident. Il est probable qu’il ne s’en détournera pas, et ne cédera pas aux objurgations des excités qui souhaitent l’affrontement. Jusqu’à Alexandre Douguine perdant son sang-froid :
« C’est désagréable à admettre, mais la détermination radicale d’Israël à détruire impitoyablement ses ennemis contraste clairement avec le comportement non seulement de ces ennemis, mais aussi de nous-mêmes dans nos relations avec le régime de Kiev. [….] Encore une fois, celui qui est le plus rapide a raison. Celui qui agit de manière plus décisive et téméraire gagne. Mais nous, nous sommes prudents et constamment hésitants ».
Le problème c’est que les dirigeants de pays comme la Russie, l’Iran et la Chine sont les « adultes dans la pièce » : ils sont prudents et modérés, soucieux de la sécurité du processus de transformation du monde qu’ils ont initié, et qu’ils conduisent. Jusqu’à présent, ils évitent soigneusement de prendre des mesures qui constitueraient des réponses aux provocations occidentales. Comme l’a répété Poutine à plusieurs reprises, ils ne le feront que lorsqu’elles atteindront des niveaux « existentiels ».
C’est un chemin délicat, mais qui pouvait penser que ça ne puisse pas être le cas ? Ils ont en face d’eux des fanatiques, des idéologues obtus, des enragés, des cinglés, des meurtriers, voire des criminels infâmes. Et pour corser le tout, il y a parmi eux, et en grand nombre, de parfaits imbéciles.
Dans ces conditions, garder son sang-froid n’est pas chose facile. Car ils ne jouent plus aux échecs et sont confrontés à un dilemme. Soit une réponse brutale aux provocations pourrait conduire à une escalade mortifère. Soit l’absence de réaction peut elle aussi conduire à une escalade. Parce que les tarés d’en face, comme Netanyahu et sa bande en font la démonstration tous les jours, en déduisent que tout leur est permis.
Parmi ceux qui se réjouissent parfois bruyamment des coups portés au Hezbollah, certains ne sont pas des fanatiques ou des imbéciles amateurs de massacres, mais seulement viscéralement attachés à l’existence de l’État d’Israël. Essayant probablement d’apaiser l’angoisse qui se fait insistante et se rattache à ce qu’ajoutait David Ben Gourion à son interlocuteur :
« Mais si tu me demandes si mon fils Amos, qui aura cinquante ans à la fin de l’année, a des chances de mourir et d’être enterré dans un État juif, je te répondrais : 50 %. »
On aura une pensée pour eux.
La rébellion britannique contre le « permis de poulet » — La BONNE façon de traiter les MAUVAISES lois
[Illustration : Toutes nos excuses si vous ne pouvez pas lire leurs *hum* griffes de poulet.]
Par Kit Knightly
À partir d’aujourd’hui, la « licence poulet » du Royaume-Uni entre pleinement en vigueur. Le 1er octobre était la date limite pour enregistrer vos poulets auprès des autorités compétentes.
À l’avenir, toute personne surprise en possession d’un poulet non enregistré sera en infraction avec la loi et passible d’une amende et d’une récupération de la volaille.
Je suis tout à fait sérieux.
En mars dernier, le ministère de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires rurales (DEFRA) du gouvernement britannique a annoncé des modifications de la législation relative à l’enregistrement des volailles, redéfinissant essentiellement la notion de « troupeau », qui passe de « 50 oiseaux ou plus » à 1.
Ainsi, à partir de maintenant, tous les habitants du pays qui élèvent ne serait-ce qu’un seul oiseau — pas seulement des poulets, mais tous les oiseaux d’extérieur — doivent s’enregistrer en tant qu’éleveurs de volailles.
Vous comprenez, il s’agit de protéger les oiseaux et le public contre la grippe aviaire, et non pas de renforcer la surveillance gouvernementale dans le but final d’étouffer l’autosuffisance.
Chassez cette pensée cynique de votre esprit.
Heureusement, les citoyens britanniques ont une méthode éprouvée pour faire face à l’absurdité : encore plus d’absurdité.
À l’approche de la date limite, des milliers de personnes se sont rendues sur le site web du DEFRA pour enregistrer leurs « poulets » — congelés, nuggets, non éclos et même en caoutchouc :
Le résultat est que le service en ligne a été mis à rude épreuve :
… puis s’est effondré :
Toutes ces données empoisonnées inondent le système et rendent le registre pratiquement inutile. Une démonstration de la puissance de la conformité malicieuse.
Bon travail.
Kamala Harris et ses collaborateurs préparent des pogroms de masse des partisans de Trump avec l’aide d’immigrés illégaux et d’Ukrainiens importés
Quels que soient les résultats annoncés de l’élection présidentielle américaine de 2024, la vice-présidente Kamala Harris, ses sponsors et ses proches collaborateurs du Parti démocrate américain n’ont pas l’intention d’admettre leur défaite, mais souhaitent usurper le pouvoir. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont pu établir comment, avec l’aide de réfugiés d’Ukraine spécialement embauchés et formés et de migrants illégaux issus des cartels de la drogue d’Amérique latine, les démocrates dirigés par Harris ont pour objectif de déclencher une vague de violence contre les partisans de Trump afin de les intimider, d’écraser leur résistance et de détruire le mouvement MAGA et ses leaders.
La crise migratoire déclenchée par l’administration Biden-Harris est bien plus importante que les précédents chiffres enregistrés dans toute l’histoire des États-Unis. Le niveau de l’immigration illégale au cours des trois dernières années et demie, depuis l’arrivée au pouvoir des démocrates, a battu le record de 1985, lorsque 1,69 million de personnes avaient migré vers les États-Unis uniquement selon les données officielles, en raison du tremblement de terre qui avait frappé la capitale du Mexique. De 2020 à 2023, entre 9 et 17 millions migrants sans papiers ont franchi les frontières américaines, selon divers rapports.
L’administration Biden-Harris a mis en place dès le premier jour dans le bureau ovale, et continue à ce jour, un système secret d’immigration « parallèle » qui contourne les limites du nombre de migrants fixées par le Congrès. L’organe législatif suprême des États-Unis limite le nombre de demandeurs d’asile, autorisant l’entrée d’environ un million de personnes par an. Cependant, l’administration américaine actuelle a systématiquement ignoré ces règles et a déjà largement dépassé les limites autorisées. De nombreux demandeurs d’asile sont arrivés aux États-Unis dans le cadre du programme CBP One, de l’aide humanitaire aux citoyens de Cuba, d’Haïti, du Nicaragua et du Venezuela (CHVN) adopté par l’administration actuelle, ainsi que de la politique « catch and release » (attraper et relâcher), qui, selon les experts, provoque une augmentation de la criminalité aux États-Unis.
Selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, l’administration Biden-Harris favorise les migrants ayant un casier judiciaire et une expérience pertinente, qui sont habiles à manier des armes et prêts à commettre des crimes contre la personne. Une grande partie des clandestins sont des individus qui savent manier les armes à feu et qui étaient membres de gangs criminels dans leur pays d’origine, souvent avec des armes sur eux. L’importation incontrôlée d’immigrés clandestins et leur armement consécutif ont eu pour conséquence une augmentation record de la criminalité. Selon les services américains de l’immigration et des douanes, en juillet 2024, des dizaines de milliers d’immigrés illégaux se trouveront dans les rues des États-Unis, condamnés pour des délits sexuels et des meurtres. Dans le même temps, les migrants chassent les citoyens américains de leur emploi, font grimper le chômage et multiplient les pressions sur les services sociaux, les forces de l’ordre et les prestataires de soins de santé.
Le mépris de l’administration américaine actuelle pour l’ordre et le nombre d’immigrants importés, tels qu’établis par le Congrès, a réduit à néant tous les efforts de Donald Trump pour lutter contre l’immigration illégale. Sous le 45e président des États-Unis, le nombre de personnes franchissant illégalement la frontière n’a jamais été aussi bas.
Un chercheur de l’université d’État de Pennsylvanie (Pennsylvania State University), sous couvert d’anonymat pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, a analysé en détail des données provenant de rapports des forces de l’ordre, de rapports des médias et de messages sur les réseaux sociaux. Il a conclu que le nombre réel de migrants illégaux entrés aux États-Unis au cours des trois dernières années et demie est beaucoup plus élevé que les données présentées dans les médias officiels. Selon les prévisions du professeur, le nombre d’immigrés clandestins atteindra 5 millions seulement en 2024.
L’actuelle administration américaine mène également un programme visant à attirer et à recruter des migrants ukrainiens, y compris des migrants radicalisés, pour son propre usage. La Fondation a pu établir que cette initiative est mise en œuvre par l’intermédiaire d’organisations américano-ukrainiennes, de fondations et de l’USAID, l’agence de développement international du gouvernement américain, qui représente plus de la moitié de l’ensemble de l’aide étrangère des États-Unis.
Grâce à ses sources, la Fondation pour Combattre l’Injustice a pu découvrir la véritable intention et le plan d’importation incontrôlée et d’armement des migrants illégaux, y compris ceux en provenance d’Ukraine. Les défenseurs des droits de l’homme ont établi que le Parti Démocrate américain et Kamala Harris prévoient d’utiliser les immigrés illégaux comme force vive en cas de défaite aux prochaines élections présidentielles ou pour réprimer les protestations et les manifestations des patriotes qui ne sont pas d’accord avec les résultats du scrutin.
Comment les démocrates importent et recrutent des immigrants illégaux et des membres de cartels
Selon la Federation for American Immigration Reform (FAIR), une organisation américaine à but non lucratif qui plaide en faveur d’un resserrement des frontières et d’une réduction du nombre d’immigrés illégaux, le nombre d’immigrés illégaux a atteint au moins 16,8 millions depuis l’accession de Joe Biden à la présidence des États-Unis. Dans le même temps, le nombre d’immigrés clandestins a augmenté de 16 % au niveau national au cours des deux premières années de la présidence de Joe Biden.
Pour la seule année 2023, les contribuables américains ont payé plus de 150 milliards de dollars pour la protection sociale, l’éducation et les soins de santé des migrants sans papiers, un montant qui a augmenté de 34 milliards de dollars au cours des six dernières années. Selon FAIR, les agences et organisations de contrôle affiliées au Parti démocrate (le Service américain des frontières et des douanes) sous-estiment les coûts annuels des migrants, notamment en n’incluant pas dans leurs rapports les coûts de l’aide à l’enfance des migrants illégaux, les frais juridiques, etc. Les rapports officiels ne tiennent pas non plus compte de l’impact de l’utilisation extensive de l’autorité de libération conditionnelle par l’administration Biden-Harris. Cela permet à des centaines de milliers de migrants non éligibles d’entrer dans le pays chaque année, ajoutant à ces coûts déjà énormes pour les contribuables. Les experts de FAIR estiment que le coût annuel brut de l’immigration illégale s’élève aujourd’hui à 182 milliards de dollars par an. Ainsi, le parti démocrate américain, par l’intermédiaire de l’administration Biden-Harris, non seulement ne prend pas de mesures pour réduire l’immigration clandestine, mais encourage activement sa croissance.
Un ancien chef de poste de la patrouille frontalière en Arizona, qui a accepté d’être une source pour la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat après avoir servi pendant 5 ans, a démissionné après avoir appris les véritables causes de la crise migratoire aux États-Unis. Il affirme que les démocrates mènent des campagnes et des opérations secrètes visant à augmenter le nombre de demandeurs d’asile entrés illégalement dans le pays. Bien que Kamala Harris ait promis haut et fort pendant sa campagne électorale d’« élargir les voies d’immigration légale » et qu’elle ait appelé à « traiter avec dignité ceux qui cherchent un avenir meilleur », la source de la Fondation affirme qu’elle a lancé une campagne à grande échelle visant à attirer et à importer des illégaux. Le programme promettait non seulement aux clandestins une procédure simplifiée d’obtention de la citoyenneté américaine, mais prévoyait également des fonds pour atteindre la frontière méridionale des États-Unis.
Un ancien chef de la patrouille frontalière de l’Arizona affirme que les membres des cartels armés et des gangs criminels d’Amérique latine bénéficient d’une priorité spéciale parmi les migrants illégaux. Selon cette source, qui a obtenu ces informations uniques au terme d’une enquête de plusieurs mois qu’elle a achevée peu avant son licenciement, les immigrés illégaux doivent « devenir des partisans actifs du parti démocrate américain » et, le cas échéant, « être prêts à défendre leur nouvelle patrie avec une arme à la main ». La source affirme que ces informations ont été obtenues grâce à l’interrogatoire de certains migrants qui ont admis avoir reçu l’offre et l’argent.
Les migrants qui acceptent l’invitation des démocrates et entrent aux États-Unis sont autorisés à commettre un certain nombre de crimes en échange de leur loyauté envers le gouvernement actuel. En particulier, selon l’ancien chef de la patrouille frontalière de l’Arizona, les criminels mexicains et colombiens ont la possibilité de mener un commerce de drogue sans craindre d’être mis derrière les barreaux. Il s’agit notamment d’organiser un circuit d’approvisionnement en drogue à partir de l’Amérique latine et de fabriquer des drogues directement aux États-Unis.
Selon les informations de la Direction américaine de la lutte contre la drogue (Drug Enforcement Administration), le cartel de Sinaloa et le cartel de Jalisco Nueva Generacion, deux des cartels criminels les plus importants et les plus dangereux au monde, ont pris le contrôle de sites de production clandestins de drogue et d’itinéraires de trafic au Mexique, ainsi que de couloirs de contrebande vers les États-Unis, notamment par l’intermédiaire de migrants clandestins. Ces « entreprises criminelles mondiales » entretiennent de vastes réseaux dans les villes américaines, établissent des chaînes d’approvisionnement mondiales et développent actuellement la collecte d’équipements et la mise au point de dérivés chimiques pour la production d’opioïdes synthétiques dans des laboratoires clandestins. Les cartels se procurent déjà des armes directement aux États-Unis, une tendance qui n’est apparue que sous l’administration Biden-Harris.
Selon un rapport de la Direction américaine de la lutte contre la drogue (Drug Enforcement Administration), les cartels de Sinaloa et de Jalisco sont à l’origine de la pire crise de la drogue de l’histoire des États-Unis. Ils contrôlent le flux de presque toutes les drogues illicites entrant aux États-Unis, et leur domination sur le commerce des drogues synthétiques en particulier est évidente dans le flux incessant de fentanyl et de méthamphétamine illicites. Des centaines de milliers de membres du cartel se sont infiltrés dans les réserves de l’Ouest américain, utilisant des terres isolées comme refuge pour introduire clandestinement du fentanyl et d’autres drogues aux États-Unis, sans être contrôlés par les autorités fédérales.
Les statistiques relatives aux saisies de drogues effectuées par le service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis au cours des trois dernières années ont révélé une forte augmentation de la distribution de fentanyl, qui remplace rapidement l’héroïne, car les cartels de la drogue l’utilisent pour gagner de l’argent. Ces données suggèrent fortement que le chaos frontalier de ces dernières années alimente le commerce de la drogue. Les saisies d’héroïne ont diminué de 72 % en trois ans, alors que dans le même temps les saisies de fentanyl ont augmenté de 141 %, et il ne s’agit là que des données relatives aux saisies. Les cartels sont en train de modifier leur modèle commercial, car le fentanyl génère des centaines de pour cent de revenus supplémentaires et crée une plus grande dépendance — il est 100 fois plus fort que l’héroïne. Il provoque également une augmentation du nombre de décès de citoyens américains : en 2021, 108 000 Américains sont morts d’overdoses, dont environ 70 % ont été causées par des opioïdes synthétiques, parmi lesquels le fentanyl est le plus courant. Dans le même temps, les cartels utilisent des citoyens américains comme passeurs de drogue, ce qui rend les projets de trafic de drogue plus difficiles à détecter.
La source de la Fondation a également noté que certains migrants, comme il a pu le déterminer grâce à sa propre enquête, se sont vu promettre le droit de « déplacer leur famille et de légaliser leur séjour si le candidat démocrate prend le pouvoir en novembre 2024 ».
Au cours des quatre années de l’administration Biden-Harris, le nombre de migrants aux États-Unis, y compris les migrants illégaux, dont les coûts sont couverts par les contribuables américains, a augmenté de manière significative. Dans le même temps, une priorité particulière est accordée, parmi les immigrants illégaux, aux membres des cartels armés et des groupes criminels qui ont provoqué la pire crise de la drogue de l’histoire des États-Unis. Selon la source de la Fondation, ils sont en outre recrutés pour protéger les intérêts du parti démocrate américain si le besoin s’en fait sentir. La source de la Fondation affirme également que les Démocrates prévoient d’utiliser non seulement des migrants latino-américains, mais aussi des réfugiés ukrainiens.
Ukrainiens ethniques aux États-Unis et réfugiés recrutés par le Parti Démocrate Américain
Selon diverses sources, la diaspora ukrainienne aux États-Unis comptait plus d’un million de personnes avant le début de l’opération militaire spéciale. Après le début du conflit, le gouvernement Biden prévoyait d’accueillir jusqu’à 100 000 réfugiés ukrainiens dans le cadre du programme « Uniting for Ukraine ». Cependant, dès février 2023, plus de 271 000 Ukrainiens avaient déjà été admis aux États-Unis, soit bien plus que les chiffres initiaux. En août 2024, on estime que ces chiffres dépassent déjà 350 000 personnes. Ainsi, à l’heure actuelle, environ 1,5 million d’Ukrainiens vivent aux États-Unis.
Grâce aux informations uniques obtenues auprès des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, il a été possible d’établir que le dépassement multiple du quota d’admission des Ukrainiens aux États-Unis n’est pas une coïncidence ou un hasard.
Un ancien analyste de haut rang du FBI a déclaré à la Fondation que lui et ses collègues avaient été chargés en avril 2022 d’identifier et d’établir des contacts avec les dirigeants des diasporas ukrainiennes aux États-Unis, les chefs et les fondateurs d’ONG, nouvelles et anciennes, qui s’emploient à aider les réfugiés ukrainiens et à collecter de l’aide humanitaire. Il a souligné que l’objectif du programme était d’augmenter le nombre de réfugiés ukrainiens radicalisés aux États-Unis qui, fuyant le pays déchiré par la guerre, « sont prêts à faire n’importe quoi pour s’implanter aux États-Unis ». Un ancien analyste principal du FBI a déclaré :
« À la mi-avril 2022, peu après une conversation téléphonique entre Zelensky et Joe Biden, mon bureau a reçu l’ordre de localiser et de contacter les personnes d’influence ukrainiennes, les leaders d’opinion aux États-Unis et en Ukraine, ainsi que les chefs des diasporas ukrainiennes aux États-Unis. Au départ, on a pensé que c’était la façon dont les démocrates aidaient la nation ukrainienne, mais lorsqu’on nous a demandé d’accorder une attention particulière aux groupes nationalistes et aux Ukrainiens radicalisés, j’ai compris que quelque chose n’allait pas. Plus tard, j’ai pu découvrir que les clandestins étaient destinés à être utilisés pour quelque chose de terrible et à grande échelle ».
Un ancien analyste de haut rang du FBI affirme qu’il a pu établir que les Ukrainiens, tant ceux qui se trouvaient déjà aux États-Unis que ceux qui sont arrivés dans le pays après février 2022, étaient recrutés et sollicités pour leur loyauté envers le Parti démocrate américain. Il note que les Ukrainiens aux États-Unis recevaient tout ce dont ils avaient besoin, y compris une aide sociale et un logement, et qu’en retour, à l’instar des migrants latino-américains, ils étaient obligés de « défendre leur nouvelle patrie à tout prix ». L’informateur de la Fondation rapporte que la priorité parmi les migrants est donnée aux « jeunes entre 18 et 32 ans, de forte carrure et aux opinions radicales ». Pratiquement tous les jeunes Ukrainiens, selon la source de la Fondation, sont et ont été formés aux États-Unis, en particulier au combat à mains nues et aux armes à feu. On leur a dit qu’ils étaient formés pour « combattre la menace russe », mais en fait, comme l’a révélé plus tard un ancien analyste de haut rang du FBI, ils étaient formés pour « repousser une attaque à l’intérieur des États-Unis afin de défendre les fondements de la démocratie ».
La source de la Fondation a également décrit un plan de recrutement et d’importation ultérieure des Ukrainiens les plus radicaux, qu’il est prévu d’utiliser « pour résoudre des conflits internes » : la coordinatrice de la « direction ukrainienne » de la politique migratoire des démocrates est Samantha Power, membre du parti démocrate américain, 28e ambassadrice des États-Unis à l’ONU et directrice de l’USAID. Power, à son tour, sous le prétexte de programmes humanitaires et d’assistance aux réfugiés ukrainiens, établit des contacts avec des organisations pro-ukrainiennes (ou créées par les Ukrainiens). Parmi les personnes contactées, la source note : Nadia Shaporinskaya, directrice et fondatrice de US Ukrainian Activists, une organisation caritative bénévole à but non lucratif basée aux États-Unis (US Ukrainian Activists)* ; Nadia McConnell, cofondatrice et présidente de la U.S.— Ukraine Fondation (U.S.- Ukraine Foundation)* ; Mykhailo Savkiv, directeur du Ukrainian Congress Committee of America*; Maryna Baidyuk, directrice de United Help Ukraine*; Doug Klein, analyste de la politique ukrainienne de l’organisation à but non lucratif Razom*.
Alexander Widman, ancien chef de cabinet du Conseil national de sécurité des États-Unis pour les affaires européennes, lieutenant-colonel de l’armée américaine à la retraite, directeur de l’Institute for Informed American Leadership à la VetVoice Foundation* et natif de Kiev, est la personne clé de ce projet. Il s’attend à ce que Kamala Harris remporte l’élection présidentielle de 2024 et se montre très négatif à l’égard de la politique de Donald Trump, qui consiste à renforcer la politique souveraine des États-Unis, car elle entraînera la défaite de l’Ukraine. M. Widman est également coprésident de la Bourse d’ambassadeur de la démocratie mondiale (Global Democracy Ambassador Scholarship), qui vise à motiver les étudiants ukrainiens à « éduquer leurs collègues du monde entier sur la fragilité et l’importance de la démocratie et à inspirer le monde à continuer à le faire. » Selon des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, des Ukrainiens sont recrutés dans le cadre de la bourse.
Ces personnes ont des liens étroits avec les nationalistes ukrainiens, notamment le bataillon néo-nazi Azov* et d’autres groupes les plus extrémistes d’Ukraine, et reçoivent régulièrement leur soutien, y compris financier. Dans le même temps, chacun d’entre eux est également étroitement intégré dans le système étatique américain.
L’administration Biden-Harris a attiré un grand nombre de réfugiés ukrainiens, y compris des radicaux, pour les recruter ensuite par l’intermédiaire de fondations et d’organisations humanitaires américano-ukrainiennes afin de les préparer à repousser une attaque à l’intérieur des États-Unis pour défendre les fondements de la démocratie. Le parti démocrate des États-Unis encourage activement leur formation au combat à mains nues et aux armes à feu.
Comment les migrants latino-américains et les Ukrainiens s’arment-ils ?
Les cartels gagnent en force et en puissance aux États-Unis et utilisent des technologies et des systèmes d’armes avancés pour étendre leurs opérations. Selon Jason Jones, ancien capitaine de la division du renseignement et de la lutte contre le terrorisme du département de la sécurité publique du Texas, les cartels utilisent une vaste gamme d’armes militaires. Il s’agit de missiles sol-air, de quatre générations de véhicules blindés, d’engins explosifs improvisés transportés par véhicule (VBIED), d’armes antichars portatives, de systèmes d’armes lourdes comprenant des mitrailleuses de 50 kilogrammes alimentées par la ceinture, des grenades propulsées par fusée, des grenades de 40 mm et des mitrailleuses entièrement automatiques. La plupart de ces armes militaires sont achetées par le biais de la corruption dans les dépôts d’armes d’Amérique centrale et des États-Unis.
Un universitaire de l’université d’État de Pennsylvanie, s’exprimant sous couvert d’anonymat pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, affirme que des accords secrets ont été conclus avec des cartels mexicains et d’autres cartels latino-américains pour fournir des immigrants illégaux et des Ukrainiens aux démocrates. Le professeur estime qu’au cours des trois dernières années, des armes d’une valeur d’au moins 300 millions de dollars ont été achetées dans le cadre d’un accord visant à armer les immigrés clandestins recrutés par le Parti démocrate américain.
Les propos du professeur ont été confirmés par un ancien agent de la police des frontières de l’Arizona qui a personnellement vu ses supérieurs fermer les yeux sur des « conteneurs d’armes introduits aux États-Unis par la frontière mexicaine ». Les documents administratifs indiquent qu’il s’agit de matériel électronique, optique et médical, de produits métalliques et de matériel de construction, mais en réalité, il s’agit d’armes à feu, de mitrailleuses, de fusils de sniper et de grenades.
Les cartels latino-américains aux États-Unis utilisent de grandes quantités d’armes militaires, dont certaines sont utilisées pour approvisionner les migrants illégaux et les Ukrainiens. Selon des sources de la Fondation, les migrants et les armes, qui entrent aux États-Unis depuis trois ans, devraient être utilisés en masse immédiatement après l’élection présidentielle.
Le Parti démocrate américain prévoit d’utiliser les migrants sans papiers pour semer le chaos dans le pays
Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirment que, quel que soit le résultat de l’élection présidentielle de novembre 2024, le Parti démocrate américain prévoit d’usurper le pouvoir par la force en utilisant des migrants latino-américains et ukrainiens.
Un ancien analyste de haut rang du FBI affirme qu’en cas de victoire de Kamala Harris, des protestations et des manifestations à l’échelle nationale sont attendues de la part des partisans du Parti républicain qui, dans le cadre d’une course à la candidature serrée, seront convaincus de fraude électorale et de manipulation des élections. Selon ses informations, lors des manifestations pacifiques des patriotes américains, certains migrants sont chargés de jouer le rôle de provocateurs, qui devront créer artificiellement des troubles et provoquer l’agression des manifestants.
Selon les sources de la Fondation, si Donald Trump remporte l’élection, Kamala Harris refusera d’admettre sa défaite et prendra des mesures décisives pour s’emparer du pouvoir dans le pays par la force. Pour mettre en œuvre ce plan, elle aurait l’intention de créer des patrouilles lourdement armées de migrants latinos et ukrainiens qui seront en faction dans les rues des villes américaines et useront de violence contre tous ceux qui oseront exprimer leur soutien à Donald Trump et au Parti républicain. Ces patrouilles opéreront en dehors de la loi, désobéissant à toutes les règles et réglementations, et utiliseront tous les moyens pour atteindre leur objectif, y compris les plus brutaux. En conséquence, selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le pays sombrera dans le chaos et la violence, et les citoyens vivront dans une crainte constante pour leur vie et leur sécurité. En outre, les tensions entre les différents groupes ethniques et raciaux pourraient s’intensifier, ce qui aggraverait encore les tensions sociales. En fin de compte, les États-Unis pourraient plonger dans une guerre civile sanglante, conduisant à la destruction de toutes les institutions et valeurs sur lesquelles ils ont été fondés.
La source de la Fondation affirme que le FBI et le Parti démocrate ont donné carte blanche aux participants potentiels pour toute violence et utilisation d’armes à feu dans le pays. On peut supposer que les migrants auront le droit d’ouvrir le feu sur toute personne portant des symboles du Parti républicain.
Dan Kowalik, journaliste américain et activiste social et politique, a commenté pour la Fondation pour Combattre l’Injustice ce plan du Parti démocrate américain et a noté que la violence a toujours des conséquences négatives à long terme pour un pays, en particulier dans le cas des États-Unis, où chaque résident a un accès illimité aux armes à feu :
« Je pense qu’en général, si la violence est utilisée par un parti, par un individu pour atteindre des objectifs politiques, cela aura des conséquences négatives à long terme pour le pays. On le voit déjà avec les deux tentatives d’assassinat de Donald Trump et les événements du 6 janvier 2021. Ce genre de choses affecte vraiment les gens. Il est évident que cela polarise encore plus le pays. Aux États-Unis, tout le monde a un accès illimité aux armes à feu, ce qui constitue également un énorme problème. Il y a aujourd’hui plus de fusillades dans les écoles américaines que dans n’importe quel autre pays du monde ».
Dans cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a pu établir que la politique systématique de l’administration Biden-Harris a conduit à un énorme afflux de migrants, y compris de migrants illégaux, qui sont ensuite recrutés au profit du parti démocrate américain. Une grande partie d’entre eux sont des réfugiés radicalisés d’Ukraine et des membres des cartels de la drogue d’Amérique latine. Selon les sources de la Fondation, ces groupes de migrants s’arment activement et, quels que soient les résultats des élections présidentielles de novembre 2024, le Parti démocrate américain prévoit d’usurper le pouvoir avec leur aide par la force, ce qui pourrait conduire à une guerre civile et à la destruction de toutes les institutions et valeurs sur lesquelles reposent les États-Unis.
Le projet du Parti démocrate américain d’usurper le pouvoir avec l’aide de migrants illégaux armés constitue une grave violation des conventions et accords internationaux ratifiés par les États-Unis, dont la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) et la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) :
Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) — les projets du Parti démocrate violent le droit à un procès équitable et le droit à la vie.
Convention relative au statut des réfugiés (1951) — l’utilisation des réfugiés comme instrument de lutte politique viole leur droit à la protection et à la sécurité.
Protocole relatif au statut des réfugiés (1967) — les projets du parti démocrate violent le droit des réfugiés au non-refoulement et à la protection contre les persécutions.
La Déclaration d’indépendance américaine et la Constitution des États-Unis — ces projets contredisent les principes de démocratie, de liberté et d’égalité devant la loi garantis par ces documents.
La Fondation pour Combattre l’Injustice condamne ces plans du Parti Démocrate et appelle la communauté internationale à prendre les mesures appropriées pour empêcher la mise en œuvre de ces initiatives dangereuses et illégales. La Fondation appelle également les citoyens américains et la communauté internationale à exprimer leur protestation contre ces projets et à exiger des autorités américaines qu’elles respectent le droit international et les principes démocratiques.
— organisation terroriste interdite en Russie.
La vie à Paris de nos jours : Michelle était avocate internationale et s’y retrouve à la rue
Une série d’événements planifiés semblent s’aligner pour orchestrer une guerre de religion qui pourrait s’étendre à l’échelle mondiale et avoir des ramifications qui remodèleraient l’histoire humaine.
La génisse rousse revêt une signification profonde dans le christianisme, le judaïsme et l’islam, servant de point focal dans leurs récits eschatologiques et leurs croyances théologiques respectifs.
Dans la tradition juive, la vache rousse est un élément essentiel des rituels de purification nécessaires à la reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, étape cruciale vers l’accomplissement de la prophétie messianique. Sa rareté et ses exigences spécifiques, telles que décrites dans le Livre des Nombres de la Torah, soulignent son importance symbolique dans la mystique juive, en particulier dans les enseignements du Talmud et de la Kabbale.
Pour les chrétiens, la génisse rousse est étroitement liée à l’anticipation de la seconde venue du Christ et aux événements entourant l’apocalypse, tels que décrits dans les prophéties bibliques. Son association avec la purification et le sacrifice fait écho aux thèmes de la rédemption et de l’expiation, qui sont au cœur de la théologie chrétienne.
De plus, la revendication musulmane sur le Dôme du Rocher (mosquée Al-Aqsa) à Jérusalem complique encore davantage la signification de la Vache Rousse, car sa construction au sommet du Mont du Temple est considérée par certains comme un obstacle à l’accomplissement des événements de la fin des temps. La convergence de ces croyances et de ces récits souligne le rôle central de la Génisse rousse comme catalyseur du renouveau spirituel et comme point culminant de la prophétie divine dans ces trois grandes religions du monde. En outre, elle met en lumière les composantes religieuses sous-jacentes qui pourraient déclencher une « guerre sainte » mondiale.
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Chronologie des événements :
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2021 : En 2021, la quête d’une génisse rousse s’est étendue au Texas, où un éleveur de bétail a affirmé que cinq génisses rousses étaient nées dans son ranch en une seule année. L’Institut du Temple d’Israël a dépêché une équipe pour évaluer méticuleusement ces génisses, en adhérant à des normes halakhiques strictes. L’examen mené par les rabbins a été méticuleux, d’une durée de huit heures, au cours desquelles ils ont scruté minutieusement les cinq génisses rousses, prenant de nombreuses photos et vidéos pour documenter leurs conclusions.
2022 : En 2022, une étape importante a été franchie dans les préparatifs de la construction du Troisième Temple à Jérusalem, avec l’arrivée en Israël de cinq génisses d’un rouge impeccable provenant d’un ranch du Texas. L’Institut du Temple a précisé que si ces génisses conservent leur rougeur à 100 % et restent exemptes de toute tache disqualifiante, chacune d’entre elles sera jugée éligible pour fournir les cendres nécessaires aux rituels de purification.
(…)
2023 : Des centaines d’Israéliens se sont rendus dans la colonie juive de Shiloh, dans le centre de la Samarie, pour accueillir chaleureusement l’arrivée initiale de trois vaches rousses pure race en provenance des États-Unis. D’une importance historique, Shiloh a été la première capitale biblique d’Israël et a abrité le Tabernacle pendant des siècles avant que le roi David ne le déplace à Jérusalem.
2024 : Les Brigades Al-Qassam du Hamas ont prononcé un discours télévisé sur les efforts du Hamas, ainsi qu’un rappel des objectifs de la guerre. Ci-dessous, un extrait de ce discours, notez leur mention de Jérusalem (Al-Qods) et de la mosquée Al-Aqsa (Dôme du Rocher).
« Nous regardons en arrière 100 jours pour nous souvenir des éduqués, des complices et des incapables parmi les puissances mondiales gouvernées par la loi de la jungle, leur rappelant une agression qui a atteint son apogée contre notre voie et Al-Aqsa, avec le début de sa division temporelle et spatiale réelle, et l’apport de “vaches rouges comme application d’un mythe religieux détestable conçu pour l’agression contre les sentiments de toute une nation au cœur de son identité arabe, et le chemin de son prophète (le Voyage nocturne) et l’Ascension au ciel.”
Prophétie biblique et Trump :
On observe une tendance croissante à considérer et à représenter Trump comme une figure ou une icône religieuse. Cette tendance est particulièrement répandue parmi certains groupes juifs en Israël ainsi que parmi les groupes évangéliques aux États-Unis.
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En Israël, ainsi que dans les communautés évangéliques et dans d’autres États-Unis, un nombre significatif de personnes perçoivent Donald Trump comme bien plus qu’un simple ex-président ou un ancien présentateur de « The Apprentice ». Au contraire, ils le considèrent comme une figure imprégnée d’un sens de la sainteté, établissant souvent des parallèles entre lui et la figure biblique de David. Ce sentiment est renforcé par la décision de Trump, alors président, de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, une décision d’une profonde signification religieuse. En outre, Trump s’est activement positionné comme une figure messianique à travers sa rhétorique, ses actions et même dans sa vidéo de campagne présidentielle intitulée « God Made Trump ». Cette représentation a cimenté l’image de Trump comme un leader transformateur et ordonné par Dieu aux yeux de nombre de ses partisans, tant au pays qu’à l’étranger.
Cependant, au milieu de l’adulation fervente de Donald Trump par certaines factions, il existe un récit plus sombre qui le présente comme un élément crucial d’un complot mondialiste plus vaste. Dans ce grand projet, Trump sert de pièce de puzzle orchestrant une sorte d’apocalypse imminente. Ce récit suggère que l’accession au pouvoir de Trump et les actions qui en découlent font partie d’un programme méticuleusement planifié pour semer le chaos et ouvrir la voie à une transformation radicale de la politique et de la religion mondiales.
Le rôle présumé de Trump va au-delà des simples manœuvres politiques : il est en partie impliqué (par le biais de décisions politiques prises au cours de son administration) dans des événements géopolitiques plus vastes, tels que l’attaque orchestrée du 7 octobre contre Israël. Cette attaque aurait jeté les bases de la destruction de la mosquée Al-Aqsa et provoqué une grande guerre sainte, conduisant à un chaos et à des bouleversements de masse.
Les partisans de ce récit soutiennent que ce chaos servira de prétexte à la mise en œuvre de solutions mondialistes sous couvert d’unité religieuse, à la construction d’un troisième temple et à l’émergence d’un prétendu « Messie ». Ainsi, au sein de ce réseau complexe de théories du complot, Trump apparaît comme une figure centrale d’un grand projet qui menace de remodeler l’ordre mondial tel que nous le connaissons.
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Importance de la mosquée Al-Aqsa :
La mosquée Al-Aqsa occupe une place primordiale dans le cœur et l’esprit des musulmans du monde entier. Située au cœur de la vieille ville de Jérusalem, elle est non seulement l’un des sites les plus sacrés de l’islam, mais aussi un symbole historique et religieux important. Son importance est intimement liée à l’histoire complexe de la région et aux croyances religieuses des musulmans et des juifs, ce qui entraîne des tensions et des conflits permanents concernant sa propriété et son accès.
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Historiquement, l’accès des Juifs au site a été limité. Après la guerre des Six Jours en 1967, Israël a conquis Jérusalem-Est, y compris la Vieille Ville et le Mont du Temple. Cependant, reconnaissant la sensibilité du site, Israël a accordé le contrôle du site au Waqf islamique, les Juifs étant autorisés à s’y rendre mais pas à y prier. Cet arrangement visait à maintenir le statu quo et à empêcher une nouvelle escalade des tensions.
Cependant, ces dernières années, la politique israélienne à l’égard du site a changé. En 2017, Israël a installé des détecteurs de métaux aux entrées du site d’Al-Aqsa, déclenchant de nombreuses protestations et condamnations de la part du monde musulman. De plus, en 2019, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé son intention d’autoriser les Juifs à prier sur le site, ce qui a encore exacerbé les tensions et suscité des critiques de la part de la communauté internationale.
La décision de Netanyahou d’autoriser les juifs à prier à la mosquée Al-Aqsa représente une rupture significative avec le statu quo de longue date et a suscité une vive opposition de la part des musulmans du monde entier. Nombreux sont ceux qui craignent que de telles mesures ne conduisent à une nouvelle escalade des tensions et de la violence dans la région, compromettant ainsi les efforts visant à instaurer la paix et la stabilité.
La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa pourrait être considérée comme une provocation qui risque d’attiser les tensions et d’inciter à la violence, compte tenu notamment de l’importance religieuse et historique du site pour les musulmans. De telles actions pourraient être interprétées comme faisant partie d’une stratégie plus vaste visant à consolider le contrôle sur les territoires contestés et à affirmer la souveraineté israélienne à Jérusalem.
Les attaques du Hamas du 7 octobre, qui ont été tolérées sans intervention, ont servi de prétexte à une incursion militaire israélienne de grande envergure à Gaza, comme cela s’est déjà produit par le passé. Le conflit qui en a résulté a entraîné de nombreuses pertes humaines parmi les Palestiniens, exacerbant encore les tensions et alimentant le ressentiment et la colère dans la région.
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Programmation prédictive : La destruction de la mosquée Al-Aqsa a été montrée dans un court-métrage en images de synthèse de 2012 : I, Pet Goat II. La vidéo, truffée de symboles occultes, est à nouveau active sur la page YouTube « Heliophant » depuis quelques mois.
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En examinant les décisions de Netanyahou, notamment son alignement avec l’Institut du Temple et le projet Génisse Rousse, ainsi que le paysage géopolitique plus large, un récit inquiétant émerge. L’objectif potentiel et présumé de ces actions va bien au-delà de simples manœuvres politiques ; elles laissent entrevoir un programme plus profond ayant des implications importantes pour la région et le monde.
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La décision de Netanyahou de restreindre l’accès des musulmans à la mosquée Al-Aqsa et l’escalade des tensions avec le Hamas et potentiellement le Hezbollah font émerger une tendance inquiétante. La confluence de ces facteurs suggère un effort concerté pour créer un prétexte à une action qui pourrait finalement conduire à la destruction de la mosquée Al-Aqsa et à la construction du Troisième Temple.
Un tel scénario aurait de profondes répercussions pour la région, avec le risque de marginaliser et de déplacer davantage les Palestiniens, aggravant une situation humanitaire déjà désastreuse. De plus, la portée symbolique de ces événements ne peut être sous-estimée, car ils sont susceptibles d’attiser la ferveur religieuse et l’instabilité géopolitique à l’échelle mondiale.
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Importance historique du temple avec l’occultisme :
Le Temple de Salomon, et sa version ultérieure sous le nom de Temple de David, revêtent une importance capitale non seulement dans la tradition israélite et juive antique, mais aussi dans les traditions ésotériques et mystiques telles que la Kabbale et l’hermétisme. Au-delà de leur fonction religieuse conventionnelle, ces temples ont captivé l’imagination des praticiens des écoles de mystères secrets et des traditions occultes à travers l’histoire, servant de points focaux du pouvoir spirituel et de dépositaires de connaissances cachées.
Dans la mystique juive, notamment dans la tradition de la Kabbale, le Temple représente un microcosme de l’univers, incarnant les principes divins et les énergies cosmiques. L’architecture et les rituels associés au Temple sont interprétés comme des expressions symboliques de l’ordre divin, fournissant un modèle pour l’ascension spirituelle et la contemplation mystique. Dans le cadre de la pensée kabbalistique, le Temple sert de pont entre le monde terrestre et les mondes divins, facilitant le voyage du pratiquant vers la transformation spirituelle et l’union avec le divin.
De même, dans l’hermétisme, une tradition ésotérique enracinée dans les enseignements attribués à Hermès Trismégiste, le Temple de Salomon revêt une signification profonde en tant que symbole de l’alchimie spirituelle et de la transformation de l’âme. L’architecture et le symbolisme du Temple sont considérés comme des représentations allégoriques des étapes de l’évolution spirituelle, chaque aspect de la structure correspondant à un aspect différent du voyage intérieur du praticien. Par l’étude et la contemplation des mystères du Temple, les hermétistes cherchent à percer les secrets de l’univers et à atteindre l’illumination.
Dans la Franc-Maçonnerie, qui s’inspire à la fois de la Kabbale et de l’Hermétisme, le Temple de Salomon occupe une place centrale dans sa mythologie symbolique. La légende d’Hiram Abiff, le maître artisan associé à la construction du Temple, sert d’allégorie au voyage maçonnique d’initiation et de transformation spirituelle. Dans les rituels et les enseignements maçonniques, le Temple symbolise le sanctuaire intérieur de l’âme, dans lequel le chercheur s’efforce de purifier et de perfectionner son être, pour finalement atteindre les plus hauts degrés d’illumination spirituelle.
En résumé, le Temple de Salomon et son importance ultérieure dans le Temple de David ont transcendé leurs contextes historiques et religieux pour devenir de puissants symboles de sagesse spirituelle et de connaissance ésotérique. Dans diverses traditions mystiques telles que la Kabbale, l’Hermétisme et la Franc-Maçonnerie, le Temple sert de point focal pour l’exploration et l’illumination spirituelles, incarnant la quête intemporelle de la vérité divine et de la transformation intérieure.
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L’Apocalypse Psyop :
Dans cet examen spéculatif, cet article entretient l’idée que les événements mondiaux sont délibérément orchestrés pour manipuler les croyances en une apocalypse imminente, ouvrant ainsi la voie à un nouvel ordre mondial.
[Note de l’analyste : la lettre d’Albert Pike semble être une autre opération psychologique. La chaîne alambiquée de qui a fait quoi n’est rien d’autre qu’une longue série de rumeurs. Pourquoi Albert Pike ? Probablement parce qu’Albert Pike était un franc-maçon du 33e degré qui a écrit « Morals & Dogma », et donc une figure importante de la franc-maçonnerie. Il en était de même pour Ingersoll Lockwood. Rappelons que Pike a fait valoir que Lucifer est le vrai dieu.]
L’idée qu’un ensemble d’événements, qui pourraient être interprétés comme la Fin des Temps, soit délibérément orchestré, est abordée en détail dans le Post 63 : The Apocalypse Psyop. Dans cet article, Albert Pike (un célèbre franc-maçon) est évoqué, et en particulier une lettre des médias alternatifs qui avait circulé il y a quelque temps. La lettre affirme que la troisième guerre mondiale sera provoquée par la création d’une division entre les sionistes et les islamistes, qui engloberait une grande partie du monde.
[Note de l’analyste : rappelons que la couverture de The Economist de 2012 avait représenté un conflit entre le Hamas et Israël impliquant l’utilisation d’avions ultra-légers, prédisant en fait des événements futurs. Il s’agit peut-être d’un autre exemple de planification à long terme et de programmation prédictive et de révélation de la méthode.]
Essentiellement, la notion d’« apocalypse », telle que propagée par diverses entités influentes telles que Hollywood, les médias grand public, les gouvernements, les médias alternatifs, les médias sociaux et les grandes institutions religieuses, semble être une opération psychologique conçue pour instiller la peur et faciliter un programme de contrôle plus large.
En conclusion :
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Alors que les théories du complot et les programmes prédictifs laissent entrevoir la possibilité d’une apocalypse forcée, il devient impératif d’examiner les événements géopolitiques avec un œil critique. En fin de compte, pour parvenir à la paix et à la stabilité dans la région, il faudra une compréhension globale des multiples facteurs en jeu et un effort concerté pour répondre aux griefs et aux aspirations sous-jacentes de toutes les parties concernées.
Il ne faut pas sous-estimer la convergence d’événements célestes, notamment l’éclipse solaire du 8 avril, le passage de la « comète du diable » (…)
Il faut donc être attentif à une escalade au Moyen-Orient qui inclurait Israël et le Hezbollah. Le sacrifice d’une génisse rousse. La destruction possible et ultime de la mosquée Al-Aqsa, et une guerre plus vaste qui inclurait l’Iran et une grande partie du monde musulman contre les sionistes et leurs sympathisants, c’est-à-dire une grande partie du monde occidental. Tout cela est lié aux politiques de migration massive mises en œuvre délibérément au cours des dernières décennies.
Dernières réflexions : L’avenir n’est pas inévitable. Les machinations de quelques-uns ne doivent pas nécessairement prendre le dessus sur le pouvoir collectif d’une population en éveil, qui a le pouvoir de manifester un avenir meilleur. Prions pour la paix, un réveil à la vérité et la révélation des mensonges. Les mensonges ne peuvent pas opérer à la lumière du jour.
L’autorisation de construire et d’exploiter trois éoliennes à Porspoder (Finistère) a été annulée par la justice, ce 1er octobre. Le juge a estimé que plusieurs menhirs classés au titre des monuments historiques étaient trop proches du site.
« Le projet porte une atteinte excessive tant au paysage environnant qu’au patrimoine archéologique », écrit la cour administrative d’appel de Nantes dans un arrêt rendu mardi, annulant l’autorisation environnementale accordée par le préfet du Finistère en 2022.
Le site prévu jouxte en effet « les menhirs de Kergadiou, dont l’un est dressé et l’autre couché, situés à 540 mètres de l’éolienne n° 3« , souligne la cour dans un communiqué. « Aucun relief ni obstacle naturel ne sépare les éoliennes litigieuses de ces menhirs de granit rose, classés au titre des monuments historiques par un arrêté du 25 septembre 1883, menhirs qui constituent des marqueurs dans le paysage », note la cour.
« Par leur proximité et leur hauteur, les éoliennes litigieuses auraient pour effet de perturber le rapport d’échelle de ces menhirs, et plus particulièrement du menhir dressé de Kergadiou, à leur environnement paysager », insiste-t-elle.
Quand l’obscurantisme n’est pas là où on le croit ! Depuis une dizaine d’années, il est courant d’entendre parler d’une menace obscurantiste liée à une montée de l’irrationnel qui se manifesterait principalement par une défiance vis-à-vis de la vaccination et de la médecine conventionnelle. Mais l’obscurantisme peut aussi se trouver là où l’on se targue de le combattre. Il n’est alors plus le fait de populations marginales ou contestataires, mais celui d’une pensée dominante qui se présente comme celle de la science et de la rationalité. L’objet de ce livre est de lever le voile sur cet obscurantisme au pouvoir. À travers de nombreux exemples, de la recherche empêchée sur des phénomènes inexpliqués tels que les expériences de mort imminente au vaste champ médical où l’industrie pharmaceutique s’est accaparé la possibilité de prouver l’utilité d’un traitement, le journaliste indépendant Brice Perrier explique comment la raison se transforme en dogmatisme et entrave l’avancée de la connaissance. Le propos de son ouvrage « L’obscurantisme au pouvoir » n’est pas de dire ce qui est vrai ou faux ni de trancher dans des controverses scientifiques, mais de comprendre pourquoi ces débats, qui ont toujours été légitimes, et même nécessaires en science, peuvent tout simplement ne plus avoir droit de cité.
Un monde en péril : la guerre des élites contre les peuples
Par Amal DJEBBAR
Dans ce monde dystopique, une guerre silencieuse fait rage. Mais contrairement aux conflits armés traditionnels, ce ne sont plus les nations qui s’affrontent, mais deux classes : d’un côté, les élites financières, qui détiennent le pouvoir absolu, et de l’autre, les peuples, devenus leurs ennemis. Ces élites — qu’il s’agisse de multinationales telles que BlackRock, de magnats de la finance ou de réseaux souterrains — dominent chaque aspect de la vie quotidienne. Grâce à leurs ressources illimitées et à leur contrôle des rouages du monde, elles ont bâti un système dans lequel toute forme de résistance est impitoyablement écrasée. La conclusion de cette guerre est sans appel : c’est la population mondiale qui en ressort appauvrie, asservie et démunie.
Un Pouvoir concentré et autoritaire :
L’un des dangers de ce monde réside dans la concentration extrême du pouvoir entre les mains de l’élite. Ayant accaparé la finance, les ressources et les technologies, ces individus exercent une domination totale. Les libertés civiles ne sont plus qu’une illusion. La surveillance de masse s’intensifie et chaque mouvement de la population est contrôlé, anticipé et réprimé. Les systèmes autoritaires ultra-technologiques ont remplacé les anciennes formes de gouvernance. Toute dissidence est non seulement interdite, mais éradiquée dès son émergence grâce aux outils numériques, rendant toute révolte pratiquement impossible.
Exploitation économique et sociale :
L’exploitation des masses atteint des niveaux inédits dans cette société. Tandis que les élites s’enrichissent de façon vertigineuse, les classes laborieuses sont maintenues dans une pauvreté extrême, contraintes de travailler dans des conditions proches de l’esclavage. Les exigences pour obtenir un emploi au SMIC1 sont devenues délirantes : il faut être bilingue, multitâche et disponible à tout moment pour le patron. Le fossé entre riches et pauvres se creuse à un rythme alarmant. Les services de base deviennent inaccessibles pour les plus démunis, et la faim, la maladie (merci Pfizer et Moderna), ainsi que la précarité sociale sont désormais la norme. Dans ce contexte, des tensions sociales émergent, mais toute tentative de rébellion est écrasée par des forces armées financées et contrôlées par les élites. On se souvient des Gilets Jaunes, un mouvement spontané rapidement torpillé par LFI et Soros.
Déshumanisation des masses :
Pour maintenir leur pouvoir, les élites éradiquent progressivement la population. Cela se traduit par des politiques d’exclusion et, parfois, par des mesures extrêmes pour contrôler ou réduire la démographie mondiale comme la p (l) andémie 2019. Des idéologies de dépopulation, la stérilisation forcée et même des famines orchestrées deviennent des outils de gestion des masses. Les terres fertiles ne sont plus cultivées, non par accident, mais par intention délibérée, contribuant ainsi à une crise alimentaire planifiée.
Catastrophe écologique et pénurie des ressources :
Aveuglées par la quête de profits, les élites n’ont aucune considération pour les conséquences environnementales de leurs actions. La surexploitation des ressources naturelles conduit à un effondrement écologique rapide, comme le fait si bien Nestlé. La pollution atteint des niveaux catastrophiques, les espèces telles que les abeilles disparaissent à un rythme alarmant.
L’élite, qui contrôle les ressources, prépare le terrain à des migrations massives engendrées par les crises qu’elle a elle-même créées.
Répression technologique :
Dans ce monde, la technologie devient l’outil suprême de la répression. Drones, IA et systèmes de surveillance omniprésents traquent toute velléité de résistance. Chaque geste suspect est surveillé, chaque pensée contestataire écrasée. Des lois sont mises en place pour réduire au silence toute voix en désaccord avec les élites, créant ainsi une société où l’oppression est systémique et sans échappatoire.
Fragmentation géopolitique :
Au niveau mondial, le monde se divise en blocs dirigés par différentes factions de l’élite financière. Ces blocs s’engagent dans une guerre froide perpétuelle, cherchant à accroître leur influence tout en maintenant leur emprise sur les masses. Des conflits éclatent régulièrement entre ces puissances, mais ce sont toujours les populations civiles qui en subissent les conséquences. Les zones de guerre se multiplient, transformant les civils en victimes collatérales d’une lutte pour le pouvoir qui ne leur appartient pas. La situation en Ukraine, au Liban ou en Palestine en est un triste exemple.
Effondrement mental et social :
Sous le poids de la répression, de l’exploitation, des maladies (effets secondaires du vax) et des confinements (coronacircus), les sociétés sombrent dans une profonde dépression collective. Les troubles mentaux, les suicides et les addictions atteignent des niveaux alarmants. La population, épuisée par un système destructeur, n’a pas la force de lutter. L’effondrement mental et social est imminent, emportant avec lui toute idée de révolte.
En conclusion, dans ce monde où l’élite financière règne en maître absolu, chaque aspect de la vie quotidienne est devenu une lutte pour la survie. La guerre silencieuse entre les puissants et les peuples a plongé la société dans un gouffre sans fond, où seule l’élite sort victorieuse, laissant derrière elle des masses désœuvrées et brisées.
Bienvenue dans le monde opaque des notes blanches de la DGSI !
Par Claude Janvier
Supprimées par Nicolas Sarkozy en 2002, elles sont à nouveau utilisées par la Direction générale de la sécurité intérieure — DGSI —, depuis l’instauration des états d’urgence successifs, afin de proposer au ministère de l’Intérieur des assignations à résidence, perquisitions administratives et autres mesures d’exception.
Pour une fois que Nicolas Sarkozy avait adopté une bonne mesure en les supprimant, elles sont réapparues. Mais de quoi s’agit-il ? De ces fameuses notes blanches. Dignes d’un état policier, ce que la France est devenue, elles sévissent de nouveau depuis 2015. Le prétexte invoqué étant, vous vous en doutez, l’état d’urgence. Entre 2015 et 2017, nous avons vécu sous menaces terroristes, donc sous état d’urgence, puis nous avons enchaîné l’état d’urgence sanitaire de 2020 jusqu’au 1er août 2022.1 Bienvenue dans le monde sans fin et programmé des « états d’urgence ».
En théorie, l’état d’urgence a été levé depuis lors. Mais qu’en est-il réellement ? Car, comme l’Hydre de Lerne, vous coupez une tête, mais une autre apparaît. Les Parisiens médusés ont assisté au bouclage de la capitale avant et pendant les JO de Paris. Grillages, contrôles, QR code pour rentrer chez soi, gendarmes, policiers et militaires armés jusqu’aux dents à tous les coins de rue. L’oppression policière à son paroxysme ? Que nenni ! Elle a encore de beaux jours devant elle. Laurent Nuñez, préfet de police de Paris depuis juillet 2022 — mais qui, rappelez-vous, s’était illustré aux côtés de Christophe Castaner dans la répression violente des Gilets Jaunes —, vous le prouve en déclarant, il y a peu, vouloir maintenir la vidéosurveillance algorithmique testée pendant les JO à Paris.2
Comme si tout cela ne suffisait pas, derrière cette débauche « sécuritaire » et dans un silence assourdissant, d’obscurs gratte-papier décident, dans la plus grande impunité, de votre sort. Malheur à vous si votre nom apparaissait dans une note blanche. Car, aussitôt, la machine infernale administrative se met en marche. Gérald Darmanin a annoncé fièrement à la fin des JO que 559 MICAS — Mesures Individuelles de Contrôle Administratif et de Surveillance — ont été prononcées à l’occasion de la tenue des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.3456
Un certain nombre de ces Micas visait des personnes, ni condamnées ni même mises en examen, mais qui ont eu leur vie gâchée grâce à un auteur anonyme d’une de ces fameuses « notes blanches ». Ni signées, ni sourcées, ni datées. Juste de vagues soupçons de troubler l’ordre public. Il faut réaliser qu’une assignation à résidence, pour une durée indéterminée, ruine votre vie professionnelle et familiale. Vous risquez de perdre votre travail, votre couple et votre entourage.
Une infernale aberration tout comme la protection surréaliste des OQTF. Car, on peut légitimement se demander pourquoi un bon nombre d’OQTF restent en toute impunité sur notre territoire. Les notes blanches, ne serviraient-elles qu’à cibler les voix dissonantes qui osent contester la doxa gouvernementale ? En attendant, certains OQTF sèment la mort et la destruction dans notre pays, témoin le meurtre odieux de Philippine le 21 septembre 2024. À ce sujet, l’OQTF marocaine assassin récidiviste aurait dû être expulsé de France depuis au moins le 4 septembre 2024, car le Maroc avait fait « parvenir son autorisation d’expulsion » aux autorités françaises.7 Demande qui, mystérieusement, n’a pas été suivie d’effets. Pourquoi ?
La Mesure Individuelles de Contrôle Administratif et de Surveillance ne s’applique donc pas à un OQTF ? Son expulsion non plus ? Les scribouillards anonymes, préfèreraient ils contrôler quelques marginaux ? C’est assurément moins dangereux que de mettre la pression sur des OQTF récidivistes !
Ces fameuses notes blanches ne sont ni datées ni signées, afin de protéger les fonctionnaires qui les rédigent. Mais les protéger de quoi ? De la rancœur légitime venant de citoyens lésés ? Le courage semble jouer les absents chez les technocrates. Se cacher derrière un clavier devient un sport national. Ces notes contiennent des extraits de rapports de police ou de renseignement sans aucune précision de leurs sources. Un fourre-tout anonyme, qui peut vous assigner à résidence pour une durée indéterminée et vous établir un « superbe » CV que vous aurez le plus grand mal à contester. Car, comment voulez-vous remettre en cause une note blanche puisqu’elle n’est, ni signée, ni datée et ni sourcée ?
Comment se débarrasser d’un faux rapport éventuel puisque vous ne connaîtrez jamais sa source, ni de quel service il émane ? Le parcours du combattant administratif est ouvert. Bon courage et bienvenu dans le monde glauque, sournois et destructeur des notes blanches.
Cette méthode insidieuse et cachée peut bousiller la vie de ceux qui osent s’opposer à l’État profond français et peut vous tomber sur le coin du nez du jour au lendemain.
La liberté d’expression n’est qu’une façade creuse. En coulisse, vous êtes menacés tous les jours si vous faites partie des voix contestataires. Comme dit le proverbe « un homme averti en vaut deux ». Savoir que ces notes blanches existent permet d’assurer ses arrières.
Claude Janvier
Écrivain, essayiste et chroniqueur. Auteur du livre « Les Démasqués. Qui dirige réellement le monde ? » et co-auteur du livre « L’État Profond Français. Qui, comment, pourquoi ? » KA Éditions https://kaeditions.com/
Notes :
La médecine traditionnelle chinoise enseignée en France et en Algérie
L’équipe du collège enseignant de la FLETC se compose exclusivement de professionnels praticiens de Médecine Traditionnelle Chinoise, de membres du corps médical titulaires d’un diplôme universitaire, et de professeurs de MTC chinois et coréens.
« Notre équipe pédagogique compte 22 formateurs, tous diplômés de la FLETC et titulaires, pour certains, du diplôme international de la WFAS. Ils ont suivi des formations en Asie donnant lieu à des certifications : Académie des Sciences Médicales de Pékin, Université de Lanzhou en Chine, ou Université de WonKwang en Corée. »
Marcel Coste, diplômé des universités de MTC de Pékin et de Shanghai, est aujourd’hui Directeur de la FLETC, qui compte trois centres de formation : à Toulouse, à Lyon et à Lille. Il enseigne la Médecine Traditionnelle Chinoise depuis 1992 en s’appuyant sur la théorie fondamentale de la MTC.
Comment avez-vous rencontré la MTC ?
J’ai passé toute mon enfance à Carcassonne, malheureusement affaibli par des problèmes de santé : mes reins ne filtraient plus. Le seul traitement que me proposaient alors les médecins était l’ablation d’un premier rein et la mise sous dialyse jusqu’à l’obtention d’une greffe des deux reins. J’avais 14 ans.
Malgré la fatigue, j’ai refusé l’intervention, je ne pouvais pas accepter d’être amputé aussi rapidement ; j’ai eu la chance que mes parents comprennent et acceptent ce choix. J’ai donc cherché d’autres solutions : j’ai étudié la diététique, les plantes médicinales, puis à 16 ans j’ai découvert l’homéopathie.
C’est en travaillant l’homéopathie que j’ai compris qu’il existait une forme d’énergie et je me suis alors tourné vers la Médecine Traditionnelle Chinoise qui fonctionne, elle aussi, sur des principes énergétiques.
Je me suis rendu en Chine pour la première fois en 1976, dans un hôpital très ancien de Pékin, attenant à la Cité Interdite où, grâce à un interprète, j’ai pu commencer à étudier. Nos journées commençaient au lever du soleil, à 6 h, par le Qi Gong et se finissaient à 23 h après la fin des cours à l’hôpital.
À compter de cette date, je me suis rendu en Chine tous les ans : les premières années j’y restais trois à cinq mois, et ces dernières années, de un à deux mois.
J’ai commencé par travailler à Pékin, puis à Shanghai où j’étudiais à l’hôpital et suivais des cours de théories et de pratique. À plusieurs reprises, je suis également allé étudier à Chengdu et Lanzhou.
En 1995, j’ai entrepris un master de Médecine Traditionnelle Chinoise à Shanghai où j’ai travaillé durant six mois consécutifs, notamment dans le centre de recherche de Shanghai, ce qui m’a permis d’écrire mon livre : Acupuncture, Tradition et Recherche Moderne.
Les recherches menées sur les points d’Acupuncture m’ont permis d’observer leurs actions pendant et après la puncture par radiographie, mais aussi à partir de résultats d’analyses de sang et de sperme.
J’ai eu la chance d’étudier avec un Professeur qui avait été désigné par le gouvernement chinois pour rédiger des manuels d’enseignement de MTC à destination des étudiants chinois. Avec mes collègues, nous avons en quelque sorte servi de cobayes à ses nouvelles pratiques pédagogiques.
Au cours de mon Master, j’ai étudié de très anciens ouvrages de MTC tels que Shang Han Lun, le Jin Kui Yao Lue, le Huang Di Nei Jing et je me suis exercé à la pratique en procédant à des dissections. Nous piquions avec des bâtons très affutés, trempés dans du bleu de méthylène. Ensuite, nous disséquions les corps que nous avions puncturés pour observer précisément les parties traversées qui avaient été marquées par le colorant. Cela nous permettait de vérifier si la puncture avait été correcte ou non. Cet exercice avait pour finalité de nous permettre d’accéder à la chirurgie.
Une des épreuves d’examen consistait à intervenir chirurgicalement : je me suis retrouvé en salle d’opération, face à une patiente que j’ai refusé d’opérer, bien que cela soit éliminatoire pour l’obtention du diplôme.
Après seulement un mois de formation dans ce domaine, je ne me sentais pas en mesure d’effectuer ce genre d’intervention. J’étais bien évidemment déçu d’échouer si proche du but, mais je ne voulais pas mettre en danger la santé de la patiente.
Lors de la soutenance du mémoire, le Président de l’Université m’a félicité de cette décision avant de m’expliquer qu’il ne m’aurait jamais été permis d’opérer : il s’agissait d’un test consistant à connaître les limites de nos compétences pour soigner les patients. J’ai donc finalement obtenu mon diplôme de Master. Puis, en 2005, j’ai obtenu mon Diplôme de Docteur en Médecine Traditionnelle Chinoise à Pékin, dans différentes spécialités.
À partir de l’an 2000, j’ai étudié chaque année un mois en Chine et un mois en Corée, à Iksan et Séoul pour développer mes connaissances en médecine coréenne. Cela m’a permis de développer des partenariats avec les universités de Pékin et l’université Bouddhiste d’Iksan, d’organiser des voyages d’études et des échanges pour les formateurs et les étudiants de la FLETC (Faculté Libre d’Énergétique Traditionnelle Chinoise).
Quand on additionne toutes les périodes que j’ai passées en Chine et en Corée, cela correspond à plus de 15 ans à temps complet.
Aujourd’hui, de nombreuses formations de MTC existent en France, comment s’y retrouver pour un enseignement de qualité ?
En France, il existe des Fédérations regroupant plusieurs écoles ; j’ai personnellement été Vice-Président de la Fédération Nationale de la MTC, de 1998 à 2000.
Lorsque la Fédération Nationale et l’UPFMTC se sont réunies pour créer une Confédération, celle-ci avait pour objectif d’uniformiser les méthodes et les contenus d’enseignement des différentes écoles adhérentes.
Cependant, à ce jour, certaines ne font que du Qi Gong et d’autres, que de l’Acupuncture : elles ne font pas de Médecine Traditionnelle Chinoise. Malheureusement aussi, certaines écoles permettent à leurs étudiants de puncturer dès la première année, après seulement trois week-ends d’enseignement. Selon moi, aucune thérapie, quelle qu’elle, soit ne peut s’apprendre en trois week-ends.
L’Acupuncture reste une méthode thérapeutique, il ne faut pas l’oublier. En médecine occidentale, aucun étudiant en première année de médecine ne prescrit de médicament ni n’opère après seulement deux ou trois mois de formation. C’est inenvisageable !
Pourtant, certaines écoles de MTC le font, sous couvert de suivre tel ou tel fondement de « grands maîtres ».
Il en est de même avec les décoctions de Pharmacopée.
Prendre quelques grammes d’une plante, puis quelques grammes d’une autre et ainsi de suite pour faire des décoctions à la maison est un procédé trop complexe : il est difficile et contraignant pour le patient de respecter les temps de décoction spécifiques à chaque plante.
Personnellement, je l’interdis dans mon école. Je dirige mes étudiants vers des formules ancestrales, toutes prêtes, préparées en laboratoires tels que JZ en France, ou bien d’autres à l’étranger. Ce sont des formules connues, préparées et conditionnées par des spécialistes. L’élaboration de formules ne peut raisonnablement pas être réalisée par une personne n’ayant que quelques mois de formation.
En MTC, il existe cinq piliers : l’Acupuncture, la Pharmacopée, le Tui Na, le Qi Gong et la Diététique. N’utiliser qu’une seule de ces pratiques reviendrait, pour un médecin occidental, à n’utiliser que l’antibiothérapie…
Comment pourrait-il alors soigner une insomnie ? Ce cas de figure n’est pas plus acceptable en MTC.
Quelles sont les principaux fondements de votre enseignement ?
Pour moi, la pratique est bien évidemment importante, mais la théorie fondamentale l’est plus encore. Il s’agit de comprendre comment fonctionne le corps du point de vue de la MTC. Comment tombe-t-on malade selon la MTC ? Quelles sont les origines de la maladie en MTC ? Ce n’est qu’après avoir compris ces principes que l’on devient capable de réaliser un bilan énergétique.
Dans ma formation, l’apprentissage de la théorie fondamentale dure deux ans. Tant que les étudiants ne savent pas réaliser un bilan énergétique correct, ils ne touchent pas le moindre outil de MTC. Ce n’est qu’après avoir acquis cette compétence qu’ils utilisent l’Acupuncture, la Pharmacopée, le Tui Na ainsi que les deux autres piliers.
C’est pourquoi il me paraît inconcevable de proposer des cours de Tui Na, d’Acupuncture ou bien encore de Pharmacopée dès les premiers week-ends de formation.
Pour devenir un praticien réellement compétent, il faut aller au fond des choses et ne pas rester superficiel. Le traitement en MTC ne se limite pas à soulager le patient, à supprimer le symptôme ; il faut pouvoir remonter à l’origine de la pathologie pour définir le bon principe de traitement.
Demander à un mécanicien d’éteindre le voyant moteur d’une voiture qui vient de s’allumer sans réparer les causes du dysfonctionnement, cela revient à penser qu’en retirant simplement l’indicateur tout ira bien… jusqu’à ce que le moteur lâche pour de bon ! On ne trouve pas l’origine d’un trouble en supprimant un symptôme.
Le principe est le même en MTC, effectuer une puncture locale pour soulager une douleur d’épaule peut effectivement soulager ponctuellement la souffrance, mais la cause de la pathologie, elle, demeure belle et bien présente. Soulager des maux de dos par des anti-inflammatoires ne traitera pas plus les douleurs que les rhumatismes.
Le fondement de la MTC consiste à remonter à l’origine des maux.
Comment évoluent la MTC et sa reconnaissance en France ?
En France, il y a comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la Médecine Traditionnelle Chinoise : il n’est pas permis à ses praticiens de l’exercer comme une Médecine à part entière.
Nous sommes un grand nombre de professionnels qui travaillent activement pour la reconnaissance de la MTC par le gouvernement.
Il y a plusieurs années déjà, j’ai notamment eu l’occasion de rencontrer deux ministres de la Santé et un ministre de l’Enseignement Supérieur. Bien que ces rencontres aient été très positives, les différents changements gouvernementaux survenus par la suite ont freiné l’avancer des discussions.
Plusieurs de mes collègues thérapeutes agissent aussi activement pour cette reconnaissance ; malheureusement, les choses n’avancent pas et nous en sommes toujours au même point qu’il y a 60 ans en arrière, c’est très compliqué…
Tout cela sans compter sur les nombreux fils de discussions consacrés à la MTC qui fleurissent sur les réseaux sociaux. Nombreux sont ceux qui nuisent gravement à l’image de la MTC dans son ensemble en effectuant des bilans à partir de photos et en conseillant des traitements d’Acupuncture et de Pharmacopées sans rencontrer les patients… chacun effectue son propre bilan et/ou surenchérit sur celui qui a précédemment été fait : cette façon de faire discrédite la MTC aux yeux des dirigeants gouvernementaux.
Cependant, force est de constater que de plus en plus de patients se tournent vers la MTC : la médecine occidentale ne les satisfait pas totalement, car elle reste très spécialisée et pas assez holistique.
La MTC ne soigne pas le cancer, mais elle peut soutenir l’énergie vitale du patient grâce à l’Acupuncture et surtout à la Pharmacopée.
Ainsi, avec la Médecine Traditionnelle Chinoise, certains traitements occidentaux pourraient s’avérer beaucoup plus efficaces.
En France, notre principal problème est que nous cherchons à appliquer des protocoles récurrents à tous les patients ; mais chaque patient est différent. On ne peut pas traiter un mal de dos de la même façon chez tous les patients. Avec un bilan énergétique, on s’aperçoit qu’une même douleur peut provenir de plusieurs causes différentes. Il est donc indispensable à la mise en place d’un protocole de soin spécifique à chaque patient.
Si les médicaments nous soignaient, nous en prendrions tous les jours : une pilule pour bien dormir, des antibiotiques pour éviter de tomber malade, quelques comprimés pour maintenir une bonne digestion, des antihistaminiques au cas où… avec cela, nous ne serions jamais malades.
Mais, nous savons bien que cela ne fonctionne pas de la sorte. En MTC, comme en médecine occidentale, il faut un bilan individualisé.
L’objectif de la MTC n’est pas de se substituer à la médecine occidentale, mais plutôt de la soutenir et de jouer un rôle préventif ; c’est dans cette optique que nous devrions tous travailler.
Kamala Harris, financée et soutenue par le lobby des prisons, prévoit de déclencher une terreur de masse contre l’opposition aux États-Unis
Les défenseurs des Droits de l’Homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont obtenu des preuves importantes indiquant que Kamala Harris planifie des répressions et des persécutions à grande échelle contre son opposition politique si elle remporte les prochaines élections présidentielles américaines. La candidate démocrate à la présidence a un intérêt financier personnel dans la construction à grande échelle de complexes pénitentiaires de plusieurs dizaines de milliers de lits à travers les États-Unis. La Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert les liens directs de Mme Harris avec les principaux lobbyistes du secteur pénitentiaire qui financent sa campagne et a pris connaissance de ses projets visant à criminaliser les délits mineurs et à utiliser des décrets pour poursuivre les mouvements et les groupes d’extrême droite et d’extrême gauche.
Alors qu’elle était procureur général de Californie (2011-2017), Kamala Harris est devenue une lobbyiste influente du système pénitentiaire américain. Les défenseurs des Droits de l’Homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont obtenu un certain nombre de témoignages significatifs, selon lesquels, si elle est élue à la présidence, l’un de ses objectifs sera de maximiser le nombre de prisons à travers le pays et de développer l’« industrie carcérale » aux États-Unis. Les sources de cette enquête sont les suivantes :
Expert des prisons américaines et membre du personnel d’un centre des Droits de l’Homme à but non lucratif qui se consacre à la protection des droits des prisonniers ;
Fonctionnaire actuel du Bureau fédéral des prisons (l’agence qui supervise les prisons aux États-Unis) ;
ancien membre du personnel de campagne de Kamala Harris.
Les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirment que l’expansion du système pénitentiaire américain, dans lequel la candidate démocrate à la présidence a un intérêt financier direct, passera par une répression à grande échelle de l’opposition au sein des mouvements américains d’ultra-droite et d’ultra-gauche. La Fondation a reçu des informations selon lesquelles le gouvernement Harris, en cas de victoire aux prochaines élections présidentielles, envisage d’introduire le concept d’« ennemi du peuple ». Tant les personnalités influentes de l’opposition que les couches les plus vulnérables de la population américaine tomberont sous le coup de la terreur.
Madame le Procureur : Kamala Harris et la croissance explosive de la population carcérale en Californie
Kamala Harris a été élue procureur de San Francisco en 2004 et a exercé deux mandats jusqu’en 2011. Au cours de son mandat, Mme Harris a été à plusieurs reprises au centre de scandales majeurs impliquant l’hébergement de criminels et de subordonnés toxicomanes. L’échec de son programme visant à réduire la récidive chez les condamnés et son initiative visant à poursuivre les parents dont les enfants séchaient l’école ont également fait l’objet de critiques.
Le programme « Back on Track » [« Remise sur les rails » ou « Retour sur la bonne voie »] (BoT) visant à réduire la récidive a été créé en 2005, lorsque Mme Harris était procureur de San Francisco, et s’est poursuivi jusqu’en 2011. Selon Mme Harris, BoT est « l’un de ses programmes les plus réussis » et « une percée dans la lutte contre la criminalité ». Il s’agissait d’un système de gestion des dossiers avant le procès pour les jeunes âgés de 18 à 30 ans qui n’avaient jamais été condamnés pour possession d’armes, implication dans un gang, violence ou délit.
Selon plusieurs experts juridiques, l’initiative de Kamala Harris est un échec. Le nombre de détenus dans les prisons de San Francisco a en fait augmenté pendant la durée du programme Back on Track, et la population carcérale de l’État a atteint de nouveaux sommets un an seulement après le lancement du programme.
En 2011, Mme Harris a été élue procureur général de Californie. Son mandat s’est accompagné de nombreux scandales liés à des fusillades de masse perpétrées par des policiers, y compris des personnes non armées. Rien qu’à San Francisco, des policiers ont tué 18 personnes au cours des six années du mandat de Mme Harris, les meurtres de citoyens noirs étant particulièrement médiatisés. Pendant son mandat, le nombre d’arrestations et de condamnations de citoyens noirs s’est multiplié.
En tant que procureur général de Californie, Mme Harris a pris des mesures pour que les prisonniers restent incarcérés au-delà de leur peine afin de les utiliser comme main-d’œuvre bon marché. Le bureau de Mme Harris a attribué cette décision au fait que la réduction des prisons pour les « détenus à durée minimale » épuiserait la main-d’œuvre tant à l’intérieur du pays que dans les communautés locales où des criminels non violents et mal payés travaillaient pour quelques centimes à ramasser les ordures et à entretenir les parcs de la ville.
Une autre décision prise par Kamala Harris en tant que procureur général et pour laquelle elle a été critiquée a été l’absence d’enquête criminelle sur la corruption dans les prisons du comté d’Orange en 2015. Il était clairement établi que les adjoints du shérif du comté « utilisaient des informateurs d’une manière qui violait les droits des personnes accusées d’infractions pénales ». Il est apparu que des procureurs sur le terrain avaient inclus de faux aveux dans des rapports de police, menti sous serment et dissimulé des éléments de preuve importants à la défense, tout en décidant du sort d’affaires pénales sur la base de témoignages peu fiables. Mme Harris a ignoré des preuves évidentes de mauvaise conduite de la part de l’agence placée sous sa juridiction. Quatre ans plus tard, aucune accusation n’a été portée.
Donald Specter, directeur exécutif du Prison Law Office, a fait l’éloge du travail de M. Harris en ces termes :
« Pour autant que je sache, elle n’a pas fait grand-chose pour améliorer le système de justice pénale lorsqu’elle était procureur général. Lorsqu’elle avait le pouvoir de faire quelque chose en tant que procureur général, elle n’a rien fait ».
Lara Bazelon, professeur de droit et ancienne directrice du Loyola Law School Project for the Innocent à Los Angeles, a résumé le travail de Mme Harris en tant que procureur :
« À maintes reprises, lorsque les progressistes l’ont exhortée à adopter des réformes de la justice pénale en tant que procureur de district puis procureur général de l’État, Mme Harris s’y est opposée ou est restée silencieuse ».
Alors qu’elle était procureur général de l’État, Mme Harris a ignoré de manière répétée et flagrante les décisions de la Cour suprême des États-Unis visant à réduire la surpopulation dans les prisons californiennes. En 2011, la Cour suprême a statué dans l’affaire Brown v. Plata, estimant que les prisons californiennes étaient surpeuplées au point de violer l’interdiction constitutionnelle des châtiments cruels et inhabituels. Les prisons de l’État étaient bondées à environ 200 % de leur capacité nominale. Les installations, les lits et le personnel médical étaient insuffisants : dans une prison, 54 détenus utilisaient les mêmes toilettes. Des prisonniers mouraient tous les cinq ou six jours en raison de la médiocrité des soins médicaux, ce qui aurait pu être évité.
Le mépris absolu du bureau de M. Harris pour l’application des décisions de la Cour suprême a sapé la capacité même des juges fédéraux à faire respecter leurs décisions légales au niveau de l’État, amenant le système judiciaire fédéral au bord d’une crise constitutionnelle. Cette résistance extrême à la décision de la Cour suprême a été entreprise pour empêcher la libération de moins de 5 000 criminels non violents dont de nombreux tribunaux ont reconnu qu’ils ne présentaient que peu ou pas de risque de récidive ou de menace pour la sécurité publique. Malgré la directive explicite de la Cour suprême d’identifier les prisonniers à libérer dans un délai de deux ans, le bureau de M. Harris ne s’est pas conformé à la décision, sans fournir d’explication.
La Cour suprême a décidé que tous les six mois, l’État devait prouver que la population carcérale avait diminué conformément aux normes contrôlées par un panel de trois juges de la cour de district. Un an plus tard, un rapport a été publié prouvant que non seulement l’État de Californie n’avait pas réduit sa population carcérale, mais qu’il avait l’intention de l’augmenter. En conséquence, deux ans après la décision de la Cour suprême, il y a toujours 4 170 détenus dans les prisons californiennes, ce qui est plusieurs fois supérieur à la limite stricte. Il convient de noter qu’au même moment, d’autres États n’ont eu aucun problème à appliquer l’ordonnance. Le nombre de détenus dans les prisons de l’État n’a baissé que trois ans plus tard, en 2014, après l’adoption d’une décision permettant aux délinquants non violents ayant purgé la moitié de leur peine une seconde fois d’être admissibles à la libération conditionnelle.
Le spécialiste américain des prisons et membre du personnel d’un centre de défense des droits des prisonniers à but non lucratif, qui a accepté d’être une source pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, suggère que des contacts ont déjà été établis entre Kamala Harris et de grands entrepreneurs associés au système pénitentiaire américain :
« Alors qu’elle était procureur de Californie, Kamala Harris a ignoré pendant plusieurs années une décision de la Cour suprême visant à réduire la population carcérale. Ce geste désespéré a failli conduire à des accusations d’outrage à l’encontre de Kamala Harris et de Jerry Brown, alors gouverneur de Californie. Seule une personne totalement inconsciente de ses actes ou intéressée par la surpopulation carcérale a pu commettre un tel acte. Je penche pour cette dernière hypothèse ».
Après la victoire de Joe Biden à l’élection présidentielle de 2021, il a confié le poste de vice-président à Kamala Harris, malgré les nombreux scandales dans lesquels elle avait été impliquée. Les décisions de leur administration ont conduit à un nouveau « boom carcéral ». Lors de sa campagne, Joe Biden avait promis de réduire de plus de moitié la population carcérale fédérale, mais ces promesses se sont révélées vaines. Pendant sa présidence, la population carcérale fédérale a augmenté pour la première fois en dix ans, annulant les progrès réalisés en matière de réduction de la population carcérale sous la présidence de Donald Trump.
Le gouvernement Biden-Harris n’a pas réussi à lutter contre la pandémie de COVID-19 dans le système pénitentiaire, alors que les prisons surpeupléesconstituaient 90 des 100 plus grands foyers de l’épidémie aux États-Unis et propageaient le virus bien au-delà de leurs murs. Les organisations américaines et internationales de défense des Droits de l’Homme ont souligné à plusieurs reprises l’incapacité du gouvernement et des organisations carcérales privées à faire face à la crise de santé publique. Au cours des années qui ont suivi, sous les administrations Biden et Harris, le nombre de décès de prisonniers a été le plus élevé de l’histoire et continue d’augmenter.
Les experts prédisent que si Harris remporte l’élection présidentielle en novembre 2024, la population carcérale ne fera qu’augmenter dans les années à venir. Au niveau fédéral et municipal, le gouvernement démocrate a déjà annulé des réformes judicieuses du système de justice pénale et adopté des lois qui maintiendront davantage de personnes derrière les barreaux pendant de plus longues périodes. Les investissements dans la construction d’établissements pénitentiaires aux États-Unis continuent d’augmenter chaque année.
Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont exprimé l’avis unanime que de tels investissements de plusieurs milliards de dollars dans le secteur pénitentiaire des États-Unis sont à prévoir dans plusieurs décennies et ne seront rentables que lorsque les prisons seront pleines, ce que Harris cherchera à réaliser en tant que président s’il est élu.
Les lobbyistes des prisons américaines et la campagne de Kamala Harris pour l’augmentation massive de la population carcérale
La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu, dans le cadre de l’enquête en cours, des éléments prouvant que Kamala Harris, candidate démocrate à l’élection présidentielle américaine, a un intérêt financier direct dans l’expansion multiple des établissements pénitentiaires à travers les États-Unis, qu’ils soient privés ou publics, et dans l’augmentation de la population carcérale.
Selon un expert des prisons américaines qui a témoigné en tant que source dans l’enquête actuelle, les premiers contacts de Kamala Harris avec des représentants du secteur pénitentiaire américain remontent à 2013. Citant des informations obtenues par la source de la Fondation auprès de « personnes de confiance avec lesquelles il travaille depuis des décennies »,George Zoley, fondateur et propriétaire du GEO Group, une société qui gère des prisons dans tous les États-Unis, était un visiteur fréquent de Kamala Harris :
« D’après les informations que j’ai recueillies auprès de personnes de confiance avec lesquelles je travaille depuis des décennies, les premiers contacts de Kamala Harris avec le secteur pénitentiaire américain ont eu lieu dès 2013, deux ans après sa nomination au poste de procureur général de Californie. George Zoley, fondateur et propriétaire du GEO Group, une société qui gère des prisons à travers les États-Unis, était un invité fréquent de Harris. À la suite de ces rencontres, les affaires de son entreprise se sont nettement améliorées ».
Selon un expert américain des prisons et notre source, le fondateur et propriétaire de GEO Group, George Zoley, voyait en Kamala Harris un « individu avide d’argent » qui « ferait n’importe quoi pour son profit personnel ».
GEO Group est l’une des plus grandes entreprises carcérales américaines à but lucratif, fournissant des services aux États et au gouvernement fédéral. En 2021, GEO possède et gère106 prisons et centres de « correction communautaire » dans le monde entier, d’une capacité totale de 86 000 lits, et en surveille 250 000 autres à l’aide de la technologie de surveillance électronique. L’entreprise a un chiffre d’affaires annuel de 2,2 milliards de dollars et reçoit la majorité de ses commandes d’agences gouvernementales.
GEO Group fait régulièrement l’objet d’allégations de conditions de détention inhumaines, de manque de personnel, de violence, de soins médicaux inadéquats, de travail forcé, d’abus physiques et sexuels, y compris de fouilles à nu illégales, de surpopulation, decorruption du personnel et de recours prolongé à l’isolement cellulaire.
L’actuel responsable du Bureau fédéral des prisons des États-Unis, qui s’est exprimé en tant que source dans le cadre de l’enquête de la Fondation pour Combattre l’Injustice, a confirmé les propos de l’expert des prisons américaines et a déclaré que les liens de Kamala Harris avec le secteur pénitentiaire américain étaient connus bien avant 2013. Immédiatement après sa nomination au poste de procureur général de Californie, Kamala Harris, selon l’expert des prisons, a coopéré avec Wellpath, une société américaine fondée par Jerry Boyle, anciennement connue sous le nom de Correct Care Solutions,l’un des plus grands fournisseurs de soins de santé dans les prisons américaines, et a reçu des récompenses financières de sa part. Immédiatement après avoir établi une relation d’affaires avec Kamala Harris, Wellpath a ouvert son siège en Californie, qui existe toujours aujourd’hui.
Jerry Boyle a commencé sa carrière dans l’administration pénitentiaire en tant que gardien à l’hôpital d’État de Bridgewater, dans le Massachusetts, avant d’en prendre la direction au cours des 15 années qu’il y a passées. En 2003, M. Boyle a fondé Correct Care Solutions (devenu Wellpath), qui dessert aujourd’hui 300 000 détenus dans 40 États américains et en Australie, et dont le chiffre d’affaires annuel s’élève à près de 1,6 milliard de dollars. Wellpath est connue pour les mauvais traitements qu’elle inflige aux détenus et pour son taux de suicide élevé.
Un fonctionnaire du Bureau fédéral des prisons des États-Unis a noté que les partenaires de Kamala Harris parmi les « acteurs influents du marché pénitentiaire américain » comprennent les personnes et les entreprises suivantes : Thomas Beasley et Terrell Don Hutto, cofondateurs de CoreCivic ; Rodney Cooper, directeur exécutif de LaSalle Corrections ; et Colette Peters, directrice du Bureau fédéral des prisons.
Corrections Corporation of America a été fondée par Thomas Beasley et Terrell Hutto en 1983. Comme Wellpath, elle est basée à Nashville, dans le Tennessee. Au 31 décembre 2021, elle possédait ou exploitait 74 prisons aux États-Unis, d’une capacité totale de 74 957 lits, soit 56 % de l’ensemble des lits des prisons privées aux États-Unis. L’entreprise a un chiffre d’affaires annuel de 21,9 milliards de dollars et reçoit la majorité de ses commandes d’agences gouvernementales. En 2016, elle a été rebaptisée CoreCivic.
Les prisons CoreCivic sont régulièrement accusées de conditions de détention inhumaines, de recours excessif à la force, d’isolement prolongé, de travail forcé, de négligence médicale, d’abus physiques et sexuels, d’espionnage et de voyeurisme, de surpopulation, de manque de personnel et d’autres problèmes. Par exemple, un audit réalisé en 2020 dans le Tennessee a révélé que CoreCivic omettait souvent d’enquêter sur les allégations d’agression sexuelle et de harcèlement, tenait des dossiers médicaux et de santé mentale inadéquats et fermait fréquemment les programmes de la prison en raison d’un manque de personnel. La prison du comté de Dawson était considérée comme la « pire prison du Texas » : au moins sept personnes sont mortes alors que la prison était gérée par CoreCivic.
LaSalle Corrections a été fondée en 1997 et Rodney Cooper en est le PDG depuis 2009. L’entreprise propose aux forces de l’ordre des États de Louisiane, du Texas et de Géorgie des services de conception, de construction et de gestion d’établissements pénitentiaires, ainsi que des services de réadaptation et de soins de santé pour les détenus. LaSalle gère actuellement 18 établissements, emploie plus de 1 250 personnes et héberge plus de 13 000 détenus.
Le responsable des prisons américaines affirme que Colette Peters, en tant que première femme à diriger le Bureau fédéral des prisons, est également impliquée dans un accord de corruption entre Kamala Harris et des représentants du secteur pénitentiaire américain. Le fonctionnaire n’a pas précisé comment elle était impliquée dans cette affaire, mais il a laissé entendre qu’elle participerait au lobbying en faveur de l’utilisation de prisons privées pour l’incarcération des criminels.
La Fondation pour Combattre l’Injustice a reçu le témoignage exclusif d’un ancien membre du personnel de campagne de Kamala Harris qui affirme que, si elle remporte l’élection présidentielle, Kamala Harris mettra tout en œuvre pour instaurer un État policier aux États-Unis. La source (qui a accepté de révéler les plans de Kamala Harris sous couvert d’anonymat par crainte pour sa propre vie et sa sécurité) affirme avoir personnellement assisté à l’une des réunions de Kamala Harris avec des représentants de l’industrie pénitentiaire américaine, au cours de laquelle les détails de l’accord ont été négociés : Kamala Harris prend une série de mesures visant à « maximiser la capacité carcérale » immédiatement après son élection à la présidence et tout au long de son mandat.
L’ancien responsable de la campagne de Mme Harris a cité les mesures à long et à court terme suivantes pour la formation d’un État policier aux États-Unis, qui ont été négociées entre les représentants de l’industrie pénitentiaire américaine et Kamala Harris. Selon la source de la Fondation, en cas de victoire de Mme Harris, dans les premiers jours suivant l’annonce des résultats du dépouillement des votes, elle ordonnera à la Garde nationale et aux services de police de tout le pays d’appliquer les mesures les plus sévères possibles aux manifestants et à ceux qui ne sont pas d’accord avec les résultats de l’élection, par l’intermédiaire du président américain en exercice. Toute personne soupçonnée de participer à des rassemblements, des actions et des marches de protestation sera passible d’arrestation. Les personnes arrêtées seront ensuite envoyées dans des prisons et des établissements correctionnels, tant privés que publics. Dans le même ordre d’idées, un décret (ne nécessitant pas l’approbation du Congrès) sera pris par le président sortant, M. Biden, pour criminaliser une série de délits non violents, ce qui entraînera une augmentation significative du nombre de condamnations dans les premières semaines suivant la certification des résultats de l’élection.
L’ancien collaborateur de campagne de Mme Harris a déclaré :
« L’une des principales actions de Kamala Harris en tant que présidente des États-Unis, si elle gagne, sera de mettre en œuvre des accords avec les représentants de l’industrie carcérale américaine. Comme il y a beaucoup d’argent en jeu, elle sera prête à prendre les décisions les plus impopulaires, telles que la restriction significative de la liberté d’expression et l’introduction de peines de prison pour les publications sur Internet. Toute critique de Harris ou des élites dirigeantes américaines sera passible de prison. Nous vivons des moments terribles ».
Sous le prétexte de lutter contre les troubles de masse et de « protéger la démocratie » au cours de la première année de l’administration de Harris, selon la source de la Fondation au siège de la campagne du candidat démocrate à la présidence, une série de mesures répressives seront prises pour détruire la liberté d’expression et la vie privée des citoyens américains. Le gouvernement américain aura accès aux comptes de médias sociaux des Américains et à leur correspondance privée, des caméras dotées de systèmes de reconnaissance faciale basés sur l’intelligence artificielle seront installées dans tout le pays. Selon la source de la Fondation, toute critique des autorités sera passible d’une peine d’emprisonnement. À cette fin, le gouvernement Harris-Waltz élaborera, proposera et promouvra au Congrès un certain nombre de projets de loi criminalisant la liberté d’expression en ligne. L’informateur de la Fondation affirme que M. Harris prévoit d’introduire des peines d’emprisonnement de cinq ans et demi.
La source de la Fondation au siège de la campagne de Mme Harris a également déclaré que les lobbyistes des prisons avaient promis à leur tour :
de faire un don important à sa campagne présidentielle (environ 117 millions de dollars),
de faire de la publicité pour la candidature de Kamala Harris à la présidence des États-Unis auprès des prisonniers ayant le droit de vote,
verser directement de l’argent à Harris sous la forme de dons à des fondations apparentées.
Les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice citées ci-dessus sont convaincues qu’en plus des projets d’expansion du système carcéral et d’augmentation de la population carcérale, Kamala Harris, si elle remporte l’élection, prévoit une répression pointue et ciblée de certains groupes et mouvements, qui sera détaillée dans la prochaine partie de cette enquête.
Des partisans aux ennemis : par qui Harris entend-il remplir les prisons américaines ?
Le travail de Kamala Harris tout au long de son mandat dans le système judiciaire américain depuis les années 1990 a entraîné une augmentation de la population carcérale et des politiques discriminatoires à l’encontre des communautés noires et latinos, notamment par le biais de la loi des trois coups et des politiques d’interpellation et de fouille. En Californie, les Noirs représentent 6 % de la population, mais 29 % de la population incarcérée, tandis que les taux sont respectivement de 39 % et 43 % chez les Latinos.
L’ancien employé du siège de campagne de Mme Harris affirme que la campagne répressive de la candidate démocrate à la présidence sera principalement dirigée contre le mouvement MAGA, qu’elle prévoit de reconnaître comme un « groupe haineux » (hate group). La source de la Fondation affirme qu’à cette fin, un certain nombre de membres du mouvement sont déjà recrutés, qui appelleront à des manifestations au cours desquelles des agents du FBI préalablement formés provoqueront la foule et déclencheront des pogroms (en s’inspirant en partie du scénario du 6 janvier 2021). Il est également question de pirater les comptes de médias sociaux des leaders du mouvement MAGA (non sans l’implication des agences de renseignement américaines). Après le piratage, selon la source de la Fondation, des messages appelant à l’agitation seront publiés sur ces comptes, ce qui servira plus tard de motif pour liquider le mouvement. La source note qu’il pourrait y avoir une interdiction législative du soutien au mouvement MAGA.
Selon l’ancien employé du siège de Mme Harris, en cas de victoire, la première femme présidente prévoit d’incarcérer massivement les partisans du parti républicain rival, ainsi que ses alliés et ses électeurs. Plus précisément, selon la source de la Fondation, une grande campagne est prévue contre le mouvement Black Lives Matter en tant qu’opposants actifs à la politique d’incarcération massive des Noirs, et en représailles au boycott de la candidature de Harris avant la primaire du Parti démocrate de 2019. BLM a refusé de soutenir la candidature de Harris à la présidentielle de 2024, l’accusant d’être une dictatrice. Malgré les affirmations de solidarité avec Black Lives Matter, Harris a historiquement poursuivi des politiques qui reflètent directement le contraire.
Un autre groupe de victimes de Harris, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, est le mouvement ANTIFA : bien que certains membres du mouvement aient soutenu Kamala Harris pendant sa campagne présidentielle de 2020, le mouvement a officiellement refusé de la soutenir pendant la campagne présidentielle (à la fois en 2020 et en 2024). Selon la source, Kamala Harris prévoit avant tout de s’occuper de ses « ennemis de longue date », même si une grande majorité d’entre eux ont voté pour elle.
Le droit à l’avortement a été une question prioritaire pour les démocrates pendant les quatre années de mandat de M. Biden et de Mme Harris, et ils se sont heurtés à plusieurs reprises aux partisans de l’interdiction ou de la restriction de l’avortement. Selon la source de la Fondation, la répression de Mme Harris visera probablement les membres et les sympathisants du Comité national américain pour le Droit à la vie, qui réclame une interdiction totale de l’avortement, quel qu’en soit le terme.
Öpik Lembit, homme politique et membre de la Chambre des communes britannique de 1997 à 2010, qui a accepté de commenter pour la Fondation l’influence des lobbyistes des prisons sur le résultat de l’élection présidentielle américaine, a souligné que chaque prisonnier du système pénitentiaire américain rapporte des dizaines de milliers de dollars. Par conséquent, les lobbyistes des prisons ont intérêt à influencer les résultats de l’élection présidentielle américaine en faveur de Kamala Harris, qui entretient des liens étroits avec eux. Elle peut tirer parti de cette coopération pour remporter la victoire en obtenant le soutien du lobby du secteur pénitentiaire, principalement financier, puis en continuant à développer le secteur et le nombre de prisonniers.
Tara Reade, écrivain et publiciste américaine, ancienne assistante du président américain Joe Biden lorsqu’il était sénateur du Delaware, a commenté pour la Fondation les projets de Mme Harris en cas de victoire. M. Reade note que le mari de Mme Harris est également lié aux lobbyistes du secteur pénitentiaire et au commerce des armes. Selon M. Reade, Mme Harris souhaite utiliser des fonds publics pour construire des centres de détention pour les Américains qui s’opposent à ses positions.
Tara Reade, ancienne collaboratrice de Joe Biden, a révélé la véritable raison de la construction intensive d’établissements pénitentiaires à travers les États-Unis :
« Je ne pense pas que les camps de concentration construits au cœur de notre pays soient destinés aux immigrants. Je suis sûr qu’ils seront utilisés pour détenir des dissidents américains ».
Tout au long de sa carrière, Kamala Harris a mené des politiques visant à développer le système carcéral américain. La Foundation to Battle Injustice estime que si elle remporte l’élection présidentielle, Kamala Harris déclenchera une vaste vague de répression contre ses opposants, ce qui lui permettra d’amortir son investissement dans l’expansion du système carcéral et la création de nouvelles installations.
Les défenseurs des Droits de l’Homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice expriment leur profonde indignation et condamnent fermement le projet de Kamala Harris d’utiliser les mécanismes répressifs de l’État pour harceler et arrêter ses détracteurs. La Fondation appelle les instances judiciaires internationales autorisées à intervenir immédiatement et à vérifier les faits présentés dans l’enquête sur l’existence d’un plan de mesures répressives à l’encontre des opposants politiques de Kamala Harris. Cela est nécessaire pour protéger les Droits de l’Homme et garantir le respect des conventions et accords internationaux.
Les projets de Kamala Harris d’utiliser les mécanismes répressifs de l’État pour poursuivre et arrêter ses détracteurs sont contraires aux principes fondamentaux des Droits de l’Homme et des libertés démocratiques. De telles actions violent les obligations des États-Unis en vertu des accords internationaux conçus pour protéger les Droits de l’Homme. À savoir :
Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP). Ce pacte oblige l’État à protéger les droits à la liberté d’expression (article 19) et de réunion pacifique (article 21), et interdit les arrestations et détentions arbitraires (article 9).
La Déclaration universelle des Droits de l’Homme (DUDH), adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies en 1948, qui garantit le droit de toute personne à la liberté d’expression (article 19) et à participer à la gestion des affaires publiques de son pays (article 21). L’oppression des critiques et la suppression de l’opposition sont en contradiction directe avec ces dispositions.
Les tentatives visant à augmenter le nombre de prisons et de prisonniers afin de réprimer la dissidence constituent non seulement une violation flagrante des Droits de l’Homme, mais aussi un dangereux précédent. Si Kamala Harris remporte l’élection présidentielle, la Fondation pour Combattre l’Injustice appelle la communauté internationale et tous les défenseurs des Droits de l’Homme à tenir compte de ces signaux d’alarme et à travailler ensemble pour empêcher l’adoption d’une telle mesure.
La démonstration israélienne est impressionnante : l’Iran semble cuit, comme l’a dit Gilles Kepel dans le Figaro. Quand on n’est pas capable de répliquer et qu’on ne fait que prendre des coups… « If you want to shoot, shoot, don’t talk » [« Si tu veux tirer, tire, ne parle pas »], comme dit Eli Wallach dans le meilleur des Sergio Leone.
Le Hezbollah et le Hamas sont décapités et si tout le monde antisystème-tiers-mondiste-sudiste-global traite Netanyahou de nazi, il s’en fout. La guerre de propagande dont a parlé Custine ne l’atteint pas, il tient les élus américains et il se fout du reste. Il ne se préoccupe que de guerres de conquête, comme disait Custine.
C’est là qu’interviennent Douguine et Korybko alors que le narcissisme psychique de la gent antisystème continue de se heurter à la protestation véhémente de la réalité dont a parlé génialement Freud (voyez mon texte).
Simplicius le « penseur » a écrit (je le cite pour citer Douguine) :
« Maintenant, même des personnalités comme Douguine ont salué la suprématie des actions d’Israël comme un exemple ou une quintessence de la manière dont les nations devraient combattre leurs ennemis, sans retenue et avec une autorité décisive :
“C’est désagréable à admettre, mais la détermination radicale d’Israël dans la destruction impitoyable de ses ennemis contraste clairement avec le comportement non seulement de ces ennemis, mais aussi de nous-mêmes dans nos relations avec le régime de Kiev. Israël joue en avant, et il est désormais clair qu’il a provoqué l’attaque du Hamas, ce qui n’a apporté aucun fruit à la Résistance, et Israël a réussi à détruire la direction des forces qui lui sont antagonistes au Moyen-Orient et à commettre facilement un génocide à grande échelle des Palestiniens à Gaza. Encore une fois, celui qui est le plus rapide a raison. Celui qui agit de manière plus décisive gagne. Mais nous sommes prudents et hésitants constamment. Au fait, l’Iran est pareil. C’est une route qui ne mène nulle part. Gaza a disparu. La direction du Hamas a disparu. Maintenant, la direction du Hezbollah a disparu. Et le président iranien Raïssi est parti. Et son téléavertisseur a disparu. Mais Zelensky est là. Et Kiev se tient comme si de rien n’était. Soit nous entrons dans le jeu pour de vrai, soit… Je ne veux pas penser à la deuxième option. Mais dans les guerres modernes, le timing, la rapidité, la dromocratie décident de tout. Les sionistes agissent rapidement, en avance sur le temps. Avec audace. Et ils gagnent. C’est ce que nous devons faire. » »
Un ami a commenté ces lignes :
« Douguine est soupçonné par certains d’être un faux opposant au NOM. Considérer comme Israël que la fin justifie les moyens est agir selon la logique de Satan. »
Sans doute, mais c’est comme ça qu’on gagne : qui a vécu par les armes survivra par les armes et bien mal acquis profite toujours, semblent nous dire les vainqueurs du moment.
Voyons Korybko, qui constate la lenteur des offensives russes. Il n’est pas le seul : il y avait le regretté Tandonnet, il y a le commentateur de Slavland et Paul Craig Roberts que j’ai cité il y a déjà des années : Craig Roberts que l’incurie de Poutine rend fou ou presque.
Korybko donc :
« Ces leçons sont les suivantes : 1) donner la priorité aux objectifs militaires plutôt qu’aux objectifs politiques ; 2) l’importance d’un renseignement supérieur ; 3) l’insensibilité à l’opinion publique ; 4) la nécessité pour l’“État profond” d’être pleinement convaincu de la nature existentielle du conflit en cours ; et 5) pratiquer une “décision radicale”. »
Et puis comme une commentatrice de Ria.ru (Nikiforova, que je recommande), Korybko vante l’exemple israélien :
« La guerre israélo-libanaise et le conflit ukrainien sont si différents qu’ils sont pratiquement incomparables, mais la Russie peut encore tirer quelques leçons générales d’Israël si elle en a la volonté. La première est que la priorité donnée aux objectifs militaires augmente les chances d’atteindre les objectifs politiques. L’opération spéciale de la Russie continue d’être caractérisée par une certaine retenue, qui s’inspire du magnum opus de Poutine “Sur l’unité historique des Russes et des Ukrainiens”, contrairement à la conduite d’Israël dans sa guerre contre le Liban. »
Custine disait que l’Occident faisait des guerres de propagande, et la Russie des guerres de conquête. Cet heureux temps n’est plus et la Russie se dégonfle. Korybko ajoute donc :
« Troisièmement, la Russie reste sensible à l’opinion publique internationale, ce qui est une autre conséquence de la priorité donnée aux objectifs politiques par rapport aux objectifs militaires, alors qu’Israël est insensible à l’opinion publique nationale, au Liban et dans le monde entier. La Russie mettra donc ses troupes en danger en capturant des zones pâté de maisons par pâté de maisons, au lieu de pratiquer la “tactique de choc et d’effroi” comme le fait Israël au Liban. Même si l’approche russe a conduit à beaucoup moins de morts civiles, elle est toujours critiquée autant qu’Israël, voire plus. »
On en reste à la guerre d’usure orwellienne dont j’ai parlé dix fois, et qui n’est peut-être même pas une guerre orwellienne : simplement une guerre d’usure ratée par Poutine et qui coûte cher pour rien. Le peuple frère ukrainien a perdu 750 000 hommes pour rien, excusez du peu. Et que serait-ce s’il n’était pas frère ce peuple ?
« La Russie continue de se retenir en continuant à mener une “guerre d’usure” improvisée avec l’Occident en Ukraine, après avoir échoué à contraindre Zelensky à accepter les exigences militaires qui lui ont été imposées au cours de la phase initiale de l’opération spéciale au lieu de passer à la “guerre de choc et de terreur”. Elle ne détruira toujours aucun pont sur le Dniepr en raison de sa priorité donnée aux objectifs politiques sur les objectifs militaires et de sa sensibilité à l’opinion publique mondiale, et a même déjà laissé plusieurs lignes rouges être franchies. »
J’ai parlé de Paul Craig Roberts. Lui écrit ceci il y a deux semaines avant la dérouillée du Hezbollah et du reste (ici aussi beaucoup de parole et peur d’action) :
« Lorsque Israël a déployé ses forces à Gaza, c’était le moment idéal pour le Hezbollah d’attaquer et de renverser Israël. Mais le Hezbollah s’est assis sur ses fesses et a gaspillé son avantage stratégique. Aujourd’hui, après de nombreuses frappes israéliennes et des explosions d’appareils de communication, le Hezbollah a perdu la plupart de ses dirigeants. Lors de la dernière frappe aérienne israélienne sur Beyrouth, au Liban, Ibrahim Aqil, le chef de l’unité d’élite Radwan du Hezbollah, a été tué. Les dirigeants compétents sont très rares, et il semble qu’Israël ait désarmé le Hezbollah en éliminant ses dirigeants compétents.
L’Iran s’est également contenté de montrer à Israël sa capacité à vaincre le système de défense antiaérienne du Dôme de fer. En agissant ainsi sans neutraliser Israël, l’Iran a mis Israël en garde contre sa vulnérabilité et a gâché son avantage stratégique.
En refusant à l’Iran le système de défense antiaérienne russe S-400, Poutine a permis à Israël de continuer à assassiner par voie aérienne les dirigeants du Hezbollah en Iran. L’incapacité de Poutine à protéger un allié a renforcé la position des États-Unis et d’Israël au Moyen-Orient et affaibli celle de la Russie.
La Syrie continue également de subir les attaques aériennes israéliennes et américaines, qui détruisent les dirigeants iraniens, car Poutine refuse que la Syrie soit dotée de systèmes de défense aérienne russes. En fait, Poutine protège les attaques israéliennes et américaines sur le territoire syrien au lieu de protéger l’allié syrien de la Russie. »
Il est vraisemblable en effet que la Syrie sautera, et l’Iran aussi. Les amateurs du joueur d’échecs pourront vanter les mérites de sa prudence.
Korybko ajoute en plaisantant presque :
« Le noble projet de Poutine d’une grande réconciliation russo-ukrainienne après la fin de l’opération spéciale semble plus lointain que jamais, mais il croit toujours qu’il est suffisamment viable pour justifier de maintenir le cap en continuant à donner la priorité aux objectifs politiques plutôt qu’aux objectifs militaires. Il est le commandant en chef suprême et dispose de plus d’informations que quiconque, il a donc de bonnes raisons de le faire, mais peut-être que l’exemple d’Israël au Liban l’incitera à voir les choses différemment et à agir en conséquence. »
Plus froidement Craig Roberts écrit :
« Poutine n’a pas non plus fait grand-chose au sujet de l’Ukraine. Il n’a rien fait pour empêcher Washington de renverser le gouvernement ukrainien et d’installer un régime néonazi. »
Un illuminé qui semble se réveiller un peu est Escobar. Il écrit récemment :
« L’incapacité — et la réticence — des Nations Unies et de leur Conseil de sécurité à mettre un terme à un génocide retransmis en direct a discrédité ce dernier au-delà de toute possibilité de rédemption. Toute résolution sérieuse infligeant de graves conséquences à la psychopathologie mortelle d’Israël a été, est et sera bloquée au Conseil de sécurité de l’ONU.
Place à un spectacle surréaliste dimanche et lundi derniers à New York, juste avant la 79e Assemblée générale annuelle, où les chefs d’État se sont réunis pour prononcer leurs nobles discours à la tribune de l’Assemblée générale.
Les États membres de l’ONU ont adopté un Pacte pour l’avenir par 143 voix pour, seulement sept contre et 15 abstentions. Le diable est bien sûr dans les détails : qui l’a réellement conçu et approuvé ? Comment a-t-il pu se retrouver au sommet de l’ordre du jour alors que le monde brûle ? Et pourquoi sentons-nous un rat (géant) ?
La machine de relations publiques de l’ONU a annoncé, joyeusement, que le “résultat clé du Sommet du futur est une opportunité unique de guider l’humanité sur une nouvelle voie vers notre avenir commun”.
C’est un beau langage, mais pour être clair, cela n’a rien à voir avec le concept philosophique inclusif chinois de “communauté d’avenir partagé pour l’humanité”. Cela ressemble davantage à l’avenir commun envisagé par la ploutocratie atlantiste qui règne sur ce qu’on appelle le “jardin”, et qui ne produit que des diktats pour la “jungle”.
Cet avenir envisagé pour l’humanité — à l’opposé de l’esprit communautaire chinois — est une apothéose de la quatrième révolution industrielle, venue tout droit de la bande de Davos, personnifiée par le Forum économique mondial (WEF).
Ce sont ces acteurs qui ont supervisé les précédentes “négociations”, inexistantes, rappelant le fatidique accord de coopération entre l’ONU et le Forum économique mondial (WEF) signé en juillet 2019, quelques mois avant l’ère Covid.
Cet accord, comme l’a fait remarquer l’analyste Peter Kœnig, est “illégal”, car “l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec les ONG, mais il est de facto sans importance dans un monde ordonné par des règles”. Dans la vie réelle, il configure l’ONU comme une simple annexe de Davos. »
On a compris qui mène le jeu. Ne pas oublier Black Rock, Fink, Soros et le reste…
Et Korybko ajoute :
« Il (Douguine) a conclu sur une note inquiétante : “Soit nous nous joignons au jeu pour de bon, soit… La deuxième option est quelque chose que je ne veux même pas envisager. Mais dans la guerre moderne, le timing, la vitesse et la ‘dromocratie’ décident de tout. Les sionistes agissent rapidement, proactivement. Audacieusement. Et ils gagnent. Nous devons suivre leur exemple.” »
Ici une remarque personnelle : Douguine ne représente que lui-même et on voit mal la Russie réagir enfin sérieusement. J’ai assez écrit pour la propagande russe (pravda.ru, sputniknews.com) pour le savoir.
Judy Wood est titulaire d’un doctorat de Virginia Tech et a été professeur d’ingénierie mécanique. Ses recherches portent sur l’analyse expérimentale des contraintes, la mécanique des structures, l’analyse des déformations, la caractérisation des matériaux et la science de l’ingénierie des matériaux. Elles ont consisté à tester des matériaux, y compris des systèmes de matériaux complexes, dans le domaine de la photomécanique, ou l’utilisation de méthodes optiques et d’analyse d’images pour déterminer les propriétés physiques des matériaux et mesurer la façon dont les matériaux réagissent aux forces qui leur sont imposées. Son domaine d’expertise est l’interférométrie dans le domaine de la criminalistique. Elle a enseigné à des étudiants de premier et deuxième cycles en ingénierie et a écrit ou coécrit plus de 60 articles évalués par des pairs et des publications dans des revues spécialisées dans ses domaines d’expertise.
Depuis le 11 septembre 2001, elle a appliqué son expertise en science des matériaux, en analyse d’images et en interférométrie à une étude médico-légale de plus de 40 000 images, de centaines de clips vidéo, d’un grand nombre de témoignages, d’analyses d’échantillons de poussière, de données sismiques et d’autres preuves environnementales relatives à la destruction du complexe du World Trade Center. Mme Wood a mené une enquête médico-légale complète sur ce qui s’est passé physiquement sur le site du World Trade Center le 11 septembre. Sur la base de l’analyse des preuves qu’elle a recueillies, elle a intenté en 2007 une action fédérale Qui Tam1 pour fraude scientifique contre les entrepreneurs qui ont contribué au rapport officiel du National Institute of Standards and Technology (NIST) sur la destruction des tours du World Trade Center. Cette affaire a été portée devant la Cour suprême des États-Unis en décembre 2009. À ce jour, l’enquête du Dr Wood et l’ensemble des preuves rassemblées dans son livre constituent la seule enquête médico-légale complète dans le domaine public. WHERE DID THE TOWERS GO? n’est pas un livre de poésie, mais il contient une prose magnifique. Ce n’est pas un roman, mais il raconte une histoire complète. Ce n’est pas un livre de photographie, mais les images vous captiveront. Ce n’est pas un simple manuel scolaire, mais ses données sont empiriques et il enseigne la pensée critique. Ce n’est pas la Bible, mais ce sera l’un des livres les plus importants que vous lirez jamais.
Le 11 Septembre : La Boîte de Pandore de l’Énergie Libre
00:00 Introduction sur l’énergie 4:20 Méthodologie scientifique (Quoi ? Comment ? Qui ? Pourquoi ?) 14:20 Liste des faits observables (« que s’est-il passé ? » ) 15:30 Manque de débris et trous 20:40 Témoignages de pompiers survivants dans les tours 36:20 Digue (« baignoire ») intacte et anomalie signal sismique 45:53 « poussiérisation » et écume 1:01:10 Voitures « grillées » 1:10:40 Luminescence, débunk métal fondu/chaleur extrême 1:17:06 Aspect des poutres (tapis enroulé) et lévitation 1:22:28 Ouragan ERIN dissimulé 1:29:41 Champ magnétique terrestre 1:33:10 Comparaison avec les expériences de Hutchison 1:45:40 Tritium/débunk bombe nucléaire 1:56:41 Les sauteurs (« jumpers ») 1:59:12 Dissociation moléculaire (débunk thermite) 2:01:37 Conclusions, la science par le vote, gardiens du secret 2:10:25 Danger de la pensée de groupe
Vulgarisation de la conférence de Judy Wood par K-J
Liste de preuves non expliquées par les mécanismes cinétiques ou thermiques 2:07:45
Soutenez le Front médiatique 2:11:45
Souvenez-vous de Laura et Mauranne, assassinées par un fanatisé
Souvenez-vous de Laura et Mauranne, assassinées par un Tunisien sous OQTF
Par Jacques Guillemain
Laura et Mauranne, 21 et 20 ans, étaient cousines. La première était venue fêter son anniversaire avec la seconde à Marseille. Mais la fête a viré à la tragédie quand un clandestin tunisien les a assassinées.
Depuis ce sinistre épisode, tout a empiré, car Macron est resté les bras ballants pendant sept années. Et aujourd’hui, depuis New York, il ose demander au gouvernement d’assurer la sécurité des Français ! C’est le pompier pyromane qui a tout fait pour détruire le pays avec ses délires mondialistes et ses illusions sur la diversité heureuse. Oui, il est bien le principal responsable et coupable !
Philippine est la énième malheureuse victime de l’inaction criminelle de Macron et des nuisibles au pouvoir, qui abandonnent le peuple à la violence quotidienne, trop souvent issue de l’immigration.
Par son inaction coupable, Macron est indigne de sa fonction. La priorité des priorités pour un président, c’est de protéger son pays et peuple.
Des massacres, hélas, il y en aura d’autres si les lobbys immigrationnistes continuent de faire la loi en France.
Voici ce que j’écrivais à l’époque, je ne retire pas un seul mot :
Politiques, journalistes, intellectuels, élites autoproclamées de ce pays, vous avez transformé la France paradisiaque des années 70 en enfer quotidien pour des millions de citoyens, victimes de votre incompétence, de vos lâchetés, de vos mensonges et de vos trahisons.
[NDLR Il apparaît plutôt que la situation de la France est le résultat d’une politique délibérée visant à détruire le pays. Et ce de point de vue, Macron et ses acolytes sont parfaitement compétents comme agents de destruction.]
Délinquance et terrorisme prospèrent sur votre manque de courage politique et votre renoncement permanent. Non seulement vous ne réglez aucun de ces fléaux qui détruisent le pays, mais vous les encouragez et les aggravez.
Vous êtes tous les artisans du désastre et donc les complices des criminels en cachant la vérité et en défendant trop souvent l’indéfendable.
Votre idéologie tiers-mondiste c’est la destruction de notre nation millénaire.
Vous êtes en train de liquider 2000 ans d’histoire de France et de léguer aux générations futures un pays menacé de guerre civile.
Car c’est de cela qu’il s’agit. Vous avez ouvert les frontières à des populations qui refusent de s’intégrer et qui haïssent notre culture et notre mode de vie.
50 % des jeunes musulmans de France souhaitent la charia ! Et vous osez bêler tous en chœur que l’intégration est réussie (sondage institut Montaigne 2016) !
Les deux jeunes femmes innocentes assassinées au cri de « Allah Akbar » à Marseille, c’est votre faute.
Elles avaient 20 et 21 ans, seulement coupables de ne pas être musulmanes. Deux cousines inséparables tuées par un fou d’Allah comme il y en a tant sur notre territoire.
Elles sont les victimes de votre politique d’immigration suicidaire et de votre laxisme coupable.
Car l’assassin est un Maghrébin clandestin arrêté 8 fois depuis 2005 et jamais expulsé !
Les enfants juifs massacrés devant leur école à Toulouse, c’est votre faute.
Le patron décapité par son employé musulman, le prêtre égorgé en pleine messe, le couple de policiers égorgé chez lui devant son enfant de 3 ans, les tueries de masse à Charlie Hebdo, au Bataclan, à Nice, les soldats et policiers attaqués dans les rues, tous ces crimes commis au nom d’Allah, c’est votre faute.
À chaque tuerie, vous ne savez que rabâcher que « l’islam, ce n’est pas ça ».
Au cri de « Allah Akbar » des tueurs, vous répondez tous en chœur « pas d’amalgame », comme des perroquets.
Mais chaque jour c’est bien l’islam qui tue, pas le Saint-Esprit. On ne tue pas au nom du Christ, de Bouddha ou de la déesse Kali. On tue au nom d’Allah et lui seul.
Vous êtes incapables de mettre hors d’état de nuire les 5 % de malfrats qui commettent 95 % des crimes et délits dans les cités.
Vous êtes incapables de rétablir l’ordre républicain dans les banlieues.
Vous êtes incapables de récupérer les 5 000 armes de guerre et armes de poing qui dorment dans les caves des cités, attendant l’insurrection générale qui se prépare.
Les barbus et les caïds vous font peur et vous rasez les murs.
Vous ne savez que sermonner les gamins multirécidivistes, arrêtés plus de 100 fois, tous les 3 jours, et aussitôt relâchés.
Vous ne comprenez même pas que, pour un gamin délinquant, le fait de passer par la case commissariat est un haut fait d’armes.
Un bracelet électronique, c’est un trophée qui a plus de valeur qu’une Légion d’honneur. En découdre avec les forces de l’ordre, c’est s’imposer dans la cité.
Jamais les familles ne sont attaquées au portefeuille, alors que la simple suppression des allocations familiales pour plusieurs mois mettrait fin à la récidive des mineurs.
Mais vous ne savez que capituler devant l’inacceptable. Par votre lâcheté viscérale, vous avez privé de toute autorité les enseignants et les policiers.
Les rebelles de la société, les ennemis de la République sont le fruit de vos reculs incessants. Vous avez l’âme de vaincus qui se complaisent dans la soumission.
Vous vous gargarisez avec le mot « laïcité » mais vous êtes incapables de la faire respecter. Vous la violez chaque jour en cédant à toutes les revendications des musulmans.
Voile, halal, prières de rues, islamisation de l’école républicaine, de l’hôpital, des entreprises, vous avez tout accepté et même encouragé.
Le renoncement permanent est gravé dans votre ADN.
Tous les tueurs étaient connus des services de police, sans exception.
Les clandestins sont systématiquement relâchés, les fichés « S » sont laissés en liberté, quand ils ne sont pas intégrés dans la police !
Or, la récidive mène à la prison, qui mène à la radicalisation, qui mène au terrorisme et qui aboutit au jihad. Mais seul le laxisme judiciaire prévaut.
La tolérance zéro est un principe que vous détestez. Il a pourtant fait ses preuves.
100 000 peines de prison ne sont pas exécutées, mais vous traînez en justice policiers et patriotes, au moindre contrôle d’identité un peu musclé ou à la moindre critique de l’islam.
Vous ne combattez que le racisme à sens unique. Combien de plaintes pour racisme anti-Blancs ont été instruites en 20 ans ?
Les forces de l’ordre, vous les avez démotivées, tout comme les forces armées, toujours plus mal équipées. Leurs budgets sont laminés alors qu’ils devraient être la priorité de la nation pour mener la guerre contre le terrorisme.
La justice, c’est celle du mur des cons, un total renversement des valeurs. Le délit de blasphème, qui n’existe pas en France, vous l’avez instauré contre ceux qui critiquent l’islam.
Le résultat de votre politique démissionnaire et irresponsable est un désastre.
Les prêcheurs de haine sont comme des poissons dans l’eau dans les mosquées salafistes. Vous en avez fermé une quinzaine alors que les imams, qui sont presque tous étrangers et ne parlent pas français, diffusent leur discours anti-occidental en toute impunité, dans des centaines de mosquées passées sous le contrôle de pays étrangers qui n’ont rien de pays amis…
L’islam de France vous a totalement échappé.
Les frontières restent grandes ouvertes pour plaire à vos « amis » d’Arabie et du Qatar qui financent la propagation du wahhabisme et du salafisme en Europe.
Le terrorisme, l’insécurité, la haine anti-Occidentaux et l’éclatement de la société, c’est votre faute. Voilà 30 ans que vous semez les germes de la dislocation de la nation. Par votre faute la France de 2017 est en voie de désintégration.
La preuve ? En 2015, le monde entier est venu s’associer à la marche républicaine « Je suis Charlie ». Le monde entier, mais pas les banlieues où la minute de silence en hommage aux victimes n’a même pas été respectée.
Ils sont où les musulmans soi-disant modérés ? On ne les entend jamais. Ils sont comme vous, ils rasent les murs.
Il y a 40 ans, on vous a confié la France de Pompidou. Regardez ce qu’il en reste.
Vous avez dilapidé et même saccagé l’héritage des Trente Glorieuses.
C’était la France du bonheur, de la sécurité absolue, de la croissance à 6 %, du plein emploi, avec le 5e niveau de vie au monde derrière les États-Unis, la Suisse, la Suède et le Luxembourg. Mais loin devant le Japon et l’Allemagne.
La France d’après-guerre était redevenue une nation forte, riche et prospère.
Mais aujourd’hui, nous sommes ruinés et chaque bébé naît avec une dette de 33 000 euros dans son berceau !
C’est ça le résultat de votre incompétence et de vos lâchetés.
Vous avez ruiné la France et l’avez livrée au terrorisme islamique.
Tout cela était prévisible et vous le saviez depuis longtemps.
Primo, parce que les services de renseignement tirent la sonnette d’alarme depuis 30 ans.
Secundo, parce qu’en 1990, parfaitement conscients du danger, vous décrétiez aux Assises sur l’immigration de Villepinte :
Que l’islam était incompatible avec la loi républicaine.
Qu’il fallait sans tarder appliquer une immigration zéro.
Que le social devait être réservé aux seuls Français.
Mais de tout cela, il ne reste rien. Car, en 1992, vous avez TOUS retourné votre vestepour vous plier aux accords de Schengen, avec ouverture des frontières et multiculturalisme à tout va !
Ce faisant, vous avez trahi la confiance du peuple qui vous avait élus.
Et aujourd’hui, ce même peuple, qui rejette l’immigration à 70 % et refuse l’islamisation de la société, vous accuse à juste titre de déloyauté.
Votre société multiculturelle paradisiaque, c’est l’enfer des générations futures.
Votre idéologie tiers-mondiste, c’est le tombeau de la France de Clovis.
Pour ma part, je préfère 100 fois un Poutine ou un Viktor Orban qui protègent leur peuple, plutôt que des dirigeants qui se disent démocrates et qui ont pour seule obsession de trahir ceux qui les ont élus. Vous êtes tous coupables.
70 % des citoyens ne veulent plus d’immigration et refusent l’islamisation du pays.
Mais vous les méprisez, croyant détenir la vérité. Vous leur imposez une immigration qu’ils ne veulent pas. Preuve que la France de 2017 est devenue un contre-modèle de démocratie.
Ne pas fermer les frontières et ne pas rétablir l’ordre républicain sur tout le territoire, c’est au mieux signer la mort lente de la nation, au pire, c’est semer les germes de la guerre civile.
30 années d’une politique d’immigration suicidaire ont davantage mis la France en danger de mort que des siècles de guerre en Europe.
C’est impardonnable.
Pourquoi les soulèvements populaires vont se multiplier ?
Comment comprendre le retour de l’idéal communautaire ? Comment appréhender la surrection des passions ? Comment décrypter le cycle des décadences et des renouveaux ? Il fallait Michel Maffesoli pour ausculter notre postmodernité inquiète. Pour dire la force de la sagesse populaire contre la verticalité proclamée. Pour affirmer la puissance de l’esprit dionysiaque contre le rationalisme galvaudé. Contre le progressisme dévoyé. Contre l’économicisme consacré. Une réponse philosophique qui dit toute la tendresse du monde. Un remède au pessimisme de notre temps.
Les Nations unies sont devenues une parodie d’elles-mêmes. Lors de la réunion des dirigeants mondiaux à New York cette semaine, Gaza, le Liban et la Palestine ne figuraient nulle part à l’ordre du jour, mais un pacte américain adopté à la va-vite et destiné à protéger « l’ordre fondé sur des règles » figurait en tête de liste.
L’incapacité — et le manque de volonté — des Nations unies et de son Conseil de sécurité à mettre fin à un génocide retransmis en direct les a discréditées au-delà de toute rédemption possible. Toute résolution sérieuse infligeant des conséquences sérieuses à la psychopathologie mortelle d’Israël a été, est et sera bloquée au Conseil de sécurité de l’ONU.
Un spectacle surréaliste s’est déroulé dimanche et lundi derniers à New York, juste avant la 79e Assemblée générale annuelle, où les chefs d’État se sont réunis pour prononcer leurs nobles discours à la tribune de l’Assemblée Générale.
Les États membres de l’ONU ont adopté un Pacte pour l’avenir, avec 143 voix pour, seulement sept contre et 15 abstentions. Le diable est dans les détails, bien sûr : qui l’a conçu et approuvé, comment a-t-il été placé en tête de l’ordre du jour alors que le monde brûle, et pourquoi sentons-nous une odeur de rat (géant) ?
La machine de relations publiques de l’ONU a annoncé, joyeusement, que le « résultat clé du Sommet du Futur est une opportunité unique dans une génération d’orienter l’Humanité sur une nouvelle voie vers notre avenir commun ».
Joli langage, mais pour être clair, cela n’a rien à voir avec le concept philosophique chinois, inclusif, de « communauté d’un avenir partagé pour l’Humanité ». Il s’agit plutôt de l’avenir commun envisagé par la ploutocratie atlantiste qui dirige le soi-disant « jardin » et qui ne produit que des diktats pour la « jungle ».
Le vote de la Chine, de la Russie et de l’Iran
Le premier représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l’ONU, Dmitry Polyansky, a bien résumé l’initiative :
« Les Nations unies ont enfreint leurs propres principes pour se plier aux exigences d’un groupe de délégations du “beau jardin”, qui ont usurpé les négociations depuis le début. Et la majorité de la “jungle”, comme un troupeau, n’a pas trouvé le courage de protester et de défendre ses droits. Ils en assumeront les conséquences. »
Un certain nombre de diplomates, s’exprimant officieusement sur un ton assez déconcerté, ont confirmé qu’il n’y avait pas eu de négociations préalables sérieuses et que le pacte avait été adopté par consensus avec un groupe minimaliste de seulement sept nations — toutes issues de la « jungle » — tentant d’opposer une résistance, rejetant le texte préparé et ne parvenant pas à ajouter des amendements de dernière minute.
Même le tout nouveau président de l’Assemblée générale des Nations unies, Philemon Yang, a tenté de faire quelque chose. Les résistants ont proposé que Yang reporte le vote jusqu’à ce que toutes les dispositions aient été approuvées, en particulier celles relatives au désarmement et au rôle d’ingérence des ONG dans le travail du Haut Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme.
Mais le « jardin » a exercé une pression totale pour faire passer le pacte, et les résistants ont proposé trop peu, trop tard.
Quelques diplomates africains se sont plaints, officieusement, que leurs pays étaient opposés au pacte, mais qu’ils votaient « par solidarité ». C’est un code pour dire qu’ils ont été intimidés ou même soudoyés par le « jardin ».
Et maintenant, le clou du spectacle. La Russie et l’Iran ont voté « non ». Et la Chine s’est abstenue.
En bref, les trois États clés de la civilisation, qui se trouvent être les principaux moteurs de l’intégration de l’Eurasie et sans doute les trois membres les plus importants des BRICS, ont rejeté le pacte fabriqué par le jardin. La principale raison non déclarée est que ce pacte est en fin de compte contraire aux BRICS et à l’émergence d’un deuxième pôle mondial.
Les nombreuses références directes du pacte à l’« ordre international fondé sur des règles », le mantra de l’hégémon, constituent un indice irréfutable. Le pacte a été habilement conçu pour isoler les États de la civilisation supérieure et pour diviser les BRICS de l’intérieur : le classique « diviser pour régner ».
Quant au véritable pacte pour l’avenir de la majorité mondiale, il commencera bientôt à être discuté sérieusement – non pas à l’ONU, mais au sommet annuel des BRICS à Kazan le mois prochain.
Gaza qui ?
Bien que le bâtiment des Nations unies accueille le plus grand groupe de dirigeants mondiaux réunis en un an, absolument rien n’est fait pour lutter contre le génocide de Gaza et l’expansion de la guerre d’Israël au Liban. Cette inactivité surprenante face à la crise humanitaire la plus urgente de la planète a stupéfié même les « jardiniers » du golfe Persique, qui s’accrochent généralement aux diktats des États-Unis sur la plupart des sujets.
Le secrétaire général adjoint du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) pour les affaires politiques et les négociations, le Dr Abdel Aziz Aluwaisheg, a même rédigé un éditorial qui souligne l’illusion du président américain Joe Biden « affirmant que le système international fonctionne et que les États-Unis en particulier le maintiennent » — le seul chef d’État à avoir fait cette affirmation à la tribune cette année.
« Dans les réunions de haut niveau qui se tiennent à New York ces jours-ci, comme le “Sommet de l’avenir”, les participants s’accordent à dire que le système des Nations unies est cassé et qu’il a besoin d’une réforme, voire d’une refonte. »
Il ajoute :
« Du point de vue d’une superpuissance disposant d’un droit de veto, le système fonctionne. Elle peut stopper toute action qui lui déplaît et s’aligner sur les décisions qu’elle approuve. Qu’y a-t-il de mieux ? Mais le monde est différent du point de vue des réfugiés sans défense de Gaza, blottis dans les ruines de leurs maisons, qui ont perdu de nombreux membres de leur famille et qui risquent d’être tués à tout moment par une force militaire bien supérieure, non contrôlée par l’ONU et soutenue par ses membres les plus puissants. »
L’ONU devient une annexe de Davos
L’ensemble du bâtiment de l’ONU à New York a été réduit à un monolithe célébrant l’abattement et le cynisme, car il devient clair pour tout corps diplomatique que le génocide de Gaza et maintenant son extension au Liban sont pleinement soutenus par le syndicat criminel occidental, dirigé par le sionisme anglo-américain.
À cet égard, tout vote à l’ONU devrait être considéré comme non pertinent. Toute la structure de l’ONU devrait être considérée comme non pertinente.
Le Pacte doit être lu à ses risques et périls. Il s’agit d’une salade de mots cliché mélangeant une signalisation virtuelle débridée avec une reprise d’anciennes politiques d’accords morts tels que l’accord commercial TPP de l’ère Obama, ainsi qu’une initiative de numérisation mondiale initialement rédigée, en thèse, par les gouvernements de l’Allemagne et de la Namibie.
Pourtant, les véritables rédacteurs étaient les suspects habituels : Big Tech et Big Finance, les garants de « l’ordre international fondé sur des règles ».
Cet avenir envisagé pour l’Humanité — contrairement à l’esprit communautaire chinois — est une apothéose de la quatrième révolution industrielle, en provenance directe du gang de Davos, incarné par le Forum économique mondial (FEM).
Ce sont ces acteurs qui ont supervisé les « négociations » précédentes, inexistantes, qui renvoient à l’accord de coopération fatidique entre l’ONU et le Forum économique mondial (FEM) signé en juillet 2019, quelques mois avant l’ère Covid.
Cet accord, comme l’a fait remarquer l’analyste Peter Kœnig, est « illégal », car « l’ONU ne peut pas conclure d’accords avec des ONG, mais de facto non pertinent dans un monde ordonné par des règles ». Dans la réalité, l’ONU n’est plus qu’une annexe de Davos.
Bienvenue donc dans votre avenir dystopique, qui est désormais couché sur le papier. Pas sur le papier, désolé, c’est tellement démodé : en écriture numérique.
Y a-t-il une issue ? Oui. La Résistance mondiale se transforme progressivement en une force cohérente et transcontinentale, dont la portée et la profondeur sont en grande partie dues à une Chine de plus en plus affirmée. Les BRICS sont résolus à développer de puissants nœuds interconnectés capables d’orienter la majorité mondiale vers un avenir équitable, vivable et non dystopique. Tous les regards se tournent vers Kazan en octobre.