Note sur la vision

Par Joseph Stroberg

Pour voir les choses, les êtres et lui-même de manière de plus en plus précise et de moins en moins déformée, l’homme gagne à rechercher la fluidité mentale qui se traduit notamment par :

  • une diversification de ses points de vue;
  • la capacité de passer de l’un à l’autre;
  • un élargissement des perspectives et de l’horizon;
  • une vision à la fois analytique et synthétique (et en particulier la capacité à relier les éléments apparemment séparés);
  • la conscience des biais cognitifs pour mieux dépasser ces derniers.

Cette fluidité ne peut s’acquérir sans transparence, ce qui implique :

  • la disparition progressive des filtres émotionnels et passionnels;
  • le souci de la vérité (ou l’absence de la tendance au mensonge, y compris envers soi-même).

L’Homme ne peut découvrir la vérité (c.-à-d. la traduction fidèle de la Réalité) sans se mettre à nu, sans se découvrir lui-même. Il se découvre selon deux voies complémentaires :

  • l’introspection, la plongée en lui-même, pour y atteindre le vide central (qui paradoxalement le relie à l’infini);
  • l’utilisation des miroirs que sont les autres, pour ainsi s’observer de l’extérieur.



Note sur la lecture des événements

Par Joseph Stroberg

Il paraît étonnant de constater comment une suite d’événements durant une période donnée peut être interprétée de manière radicalement différente selon les personnes qui se livrent à ce type d’exercice. Cela paraît flagrant dans le cas du premier mandat présidentiel de Trump aux États-Unis, à tel point qu’on peut le considérer comme un cas d’école. Selon les a priori, les intérêts, la couleur politique, les affinités ou les répulsions affectives, etc. du lecteur et interprète de la période considérée, la lecture événementielle et son interprétation peuvent produire aussi bien un rapport circonstanciel relativement fiable qu’un véritable roman déconnecté des faits.

Pour la plupart des démocrates américains et de leurs alliés étrangers, l’ère Trump représente une succession de mensonges, de collusions avec la Russie ou d’autres nations, d’actions incohérentes ou confuses, de contradictions, etc. Dans le même temps, pour des rapporteurs médiatiques traditionnels situés plutôt dans le camp républicain, même s’ils sont nettement plus rares, Trump est parvenu à des résultats exceptionnels en matière de redressement économique des États-Unis, ceci avant l’intervention funeste de la crise de la Covid-19, crise qui a tout fichu par terre ou presque.

Cependant, quelques médias alternatifs se sont livrés à des exercices plus périlleux, au risque d’y perdre toute crédibilité. À partir de messages cryptiques d’un certain QAnon — supposé groupe d’individus qui seraient liés à des agences américaines de services secrets —, ils ont construit tout un récit flatteur pour l’actuel président américain en le présentant en quelque sorte comme un genre de héros ou de sauveur de l’Amérique, voire du monde, face aux élites corrompues, sataniques ou psychopathes qui seraient responsables de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Tous les événements, même les moins avantageux pour Trump y sont alors interprétés selon la stratégie brillante qu’aurait ce dernier pour faire échec à « l’État profond », au « marais » qu’il veut drainer dans son propre pays.

D’autres alternatifs osent encore davantage, faisant intervenir une résistance interplanétaire, une armée spatiale secrète, et/ou une lutte contre la Matrice ou contre une Intelligence artificielle. Tous les événements y sont lus et interprétés par le biais d’un filtre ou de lentilles qui privilégient uniquement une telle approche, au détriment d’explications plus simples, plus plausibles et plus probables. Pour autant, comme il s’avère que parfois la réalité dépasse la fiction, on ne peut totalement écarter ces grilles de lectures et les récits plus ou moins fantastiques auxquels elles conduisent.

En définitive, c’est le temps qui nous dira ce qu’il en est réellement. Même si les mécanismes cérébraux de dissonance cognitive peuvent faire que certains lecteurs événementiels se raccrocheront le plus longtemps possible à leur récit des événements, il arrivera un point où le factuel ne pourra plus être nié.


Voir aussi :




Vers l’IA ou vers l’Humanité

Par Joseph Stroberg

De nos jours, depuis la dévalorisation, le dénigrement, la désintégration et la corruption des religions, les notions de « bien » et de « mal » sont souvent considérées comme étant toutes relatives et tributaires au besoin des circonstances, voire des objectifs. Pourtant, si l’on se rapporte à l’essence ou à l’esprit originel des grandes religions, le « bien » peut être défini comme ce qui est conforme à l’ordre, aux lois et au mouvement naturel de l’univers, alors que le « mal » est ce qui s’en écarte ou prétend s’y substituer.

De ce point de vue, les êtres humains tendent à se séparer de manière de plus en plus marquée ou radicale en deux groupes. Le premier, le plus large, est celui qui suit la nouvelle religion mondiale, assez récente dans l’Histoire multimillénaire : la science matérialiste qui s’est éloignée de l’esprit scientifique de recherche et d’exploration originel pour se muer en système de croyances sectaire, mais répandu à l’échelle de la planète. Le second est celui des personnes qui possèdent encore une conscience morale et spirituelle.

(Voir aussi :

Le clivage entre ces deux groupes est devenu tel que l’on peut dresser un tableau représentatif assez fidèle de leurs tendances générales nettement opposées, même si de nombreux membres du second groupe peuvent au moins momentanément être attirés par le chant des sirènes en provenance des miracles technologiques de la religion du premier groupe et se laisser séduire, au risque croissant de s’y perdre à leur tour. Certains êtres humains hésitent ou oscillent encore entre les deux et peuvent mêler des tendances des deux bords.

Voici donc, assez succinctement et schématiquement les deux lignes directrices correspondantes :

Nouvel Ordre Mondial Ordre Universel Naturel
Matérialisme et éthique élastique. Spiritualité et conscience morale.
Croyance dans les dogmes scientifiques (vaccination, maladies dues aux germes, conscience naissant dans le cerveau, pas de vie après la mort, l’Homme est un dieu, l’Homme au centre de l’univers, l’Homme a créé Dieu, etc.). Croyances diverses envisageant la prédominance de l’esprit et/ou de la conscience sur la matière. Croyance en un principe universel ou créateur supérieur à l’Homme ou dont il émane (que certains appellent Dieu, mais pas nécessairement de manière personnalisée, et d’autres La Source).
Attrait marqué et dépendance pour les gadgets technologiques (téléphonie mobile, tablettes, robots, interfaces homme-machine, implants, etc.), l’intelligence artificielle, la monnaie électronique, les réseaux sociaux virtuels, la médecine conventionnelle, etc. Attrait pour la nature, les médecines alternatives, la méditation, les relations humaines véritables, etc..
Croyance aveugle dans les médias dominants, la pensée unique et les préceptes de la bien-pensance. Intérêt pour les médias alternatifs et des points de vue variés.
Censure de la dissidence. Ouverture d’esprit.
Soumission à l’autorité et aux diktats. Écoute de l’intuition et de la conscience.
Résignation (éventuellement inconsciente) à la condition d’esclave pour obtenir plus de sécurité matérielle. Amour de la liberté d’action, d’expression et de pensée.
Tendance marquée au déni et à la dissonance cognitive. Orientation vers la fluidité mentale.
Tendance à la projection psychologique, à l’inversion accusatoire, au dénigrement de tout ce qui n’est pas compris ou qui sort du système de croyances. Tendance au respect de l’autre et recherche de compréhension mutuelle.
Goût pour le profit. Goût pour les échanges, le partage, le don, etc.
Uniformisation (théorie du genre, égalité artificielle…). Diversité et respect des différences.
Organisation pyramidale hiérarchique permettant le contrôle par une petite minorité. Respect de la souveraineté individuelle et collective.
Usage de pesticides, additifs alimentaires, nourriture industrielle, vaccins, etc. Recherche du biologique et du naturel.
Etc. Etc.
IA (Intelligence artificielle) Homme épanoui jusqu’au paranormal déployé.
La machine contrôle l’Homme cyborg L’Homme naturel n’a plus besoin de machines



Courte note sur la dimension occulte des masques

Par Joseph Stroberg

D’un point de vue spirituel, les masques empêchent à la lumière intérieure (provenant de l’Esprit ou de l’essence de l’Homme) de s’exprimer à l’extérieur. La lumière ne pouvant jaillir, seule l’ombre se manifeste. En conséquence, l’individu n’a plus de retenue morale ou de conscience et ses instincts bestiaux se manifestent sans contrôle. Les masques contribuent à faire sortir le pire de l’Homme et à éteindre ce qu’il y a de meilleur en lui. Ils le réduisent ou le ramènent à une condition purement animale où les instincts (tels celui de survie et celui d’accouplement) et les émotions (particulièrement la peur) ont la priorité. Son mental et donc ses facultés de réflexion et de discernement étant mis en veilleuse, il devient aisément manipulable et servile. Il ne discute plus les ordres, même les plus extravagants et incohérents, même ceux qui nuisent à sa santé et à son bien-être ainsi qu’à ceux de ses proches. Ces derniers peuvent aussi bien devenir à ses yeux des ennemis qu’il convient de dénoncer pour peu qu’ils ne se plient pas aux mêmes ordres.

Voir aussi, de Nicolas Bonnal : Comment leurs masques rendent bêtes et méchants




Mourir libre ou vivre esclave

Par Joseph Stroberg

La crise mondiale de la Covid-19 est un révélateur du choix fondamental auquel fait face l’Humanité et chacun des êtres humains pris individuellement. Celui-ci a été évoqué par plusieurs prophéties représentant divers courants religieux ou spirituels (Bible, Coran, Sagesse amérindienne…). Il se traduit essentiellement par l’alternative du matérialisme ou de la spiritualité. Il a déjà été évoqué d’une manière ou d’une autre sur le blogue, en particulier dans les articles suivants :

Il est clairement indiqué dans le huitième feu à la fin de la prophétie amérindienne des sept feux, telle que présentée ci-après. Concrètement, l’individu ou le groupe qui choisit la voie spirituelle ne craint pas la mort et préfère généralement celle-ci à une vie d’esclave telle que celle proposée par le Nouvel Ordre Mondial.

[Source : Esprit Spiritualité Métaphysiques ou Spiritualité, Science et Développement]

La prophétie des sept feux

Un message de paix et d’unité selon la tradition des amérindiens algonquins et ojibwés

La prophétie algonquine des sept feux décrit l’évolution de l’humanité depuis des siècles jusqu’à nos jours. Nous sommes dans la période du septième feu, une période cruciale de choix de vie. La prophétie incite à choisir un monde de paix et d’union entre les races et les peuples. Ce message est délivré activement par plusieurs Grands Chefs Algonquins, dont le Grand-Père William Commanda et Dominique Rankin. Il est en accord avec une autre prophétie des Lakotas, celle de la femme Bison Blanc.

Sept prophètes sont venus chez les Anishinabés.

Ils sont venus quand le peuple vivait une vie paisible et bien remplie sur la côte nord-est de l’Amérique du Nord. Ces prophètes ont laissé au peuple sept prophéties sur ce que serait le futur. Chacune de ces prophéties fut appelée un feu, et chaque feu représente une période différente qui se produira dans le futur. Voilà pourquoi les enseignements des sept prophètes sont maintenant nommés les Sept Feux.

Le premier prophète dit au peuple:

« Dans la période du Premier Feu, la nation Anishinabé s’élèvera et suivra la voie du Coquillage Sacré de la Loge du Midewiwin. La loge du Midewiwin servira de point de rassemblement au peuple et ses traditions seront la source de beaucoup de force. Le Mégis Sacré les conduira à la terre choisie pour les Anishinabés. Vous devrez chercher une île en forme de tortue [l’Amérique du Nord] reliée à la purification de la terre. Vous trouverez une telle île au début et à la fin de votre voyage. Il y aura sept endroits où vous vous arrêterez sur votre parcours. Vous saurez que vous avez atteint l’endroit choisi quand vous aurez atteint une terre où la nourriture se développe sur l’eau. Si vous y restez, vous périrez. »

Le deuxième prophète dit au peuple:

« Vous reconnaîtrez le Deuxième Feu parce qu’en ce temps là, la nation sera cantonnée près d’une grande étendue d’eau. En ce temps là, la direction du Coquillage Sacré sera perdue. Le Midewiwin diminuera en force. Un garçon naitra pour indiquer la voie de retour aux traditions. Il montrera la direction des marches vers le futur du peuple Anishinabé. »

Le troisième prophète dit au peuple:

« Pendant le Troisième Feu, les Anishinabés trouveront la voie vers leur terre choisie, une terre à l’ouest de laquelle la nourriture pousse sur l’eau. »

Le quatrième feu:

Le Quatrième Feu fut originalement révélé au peuple par deux prophètes. Ils sont venus comme un seul. Ils ont parlé de la venue de la race à la peau blanche.

L’un des prophètes dit:

« Vous connaîtrez le futur de notre peuple par le visage que la race à la peau blanche affiche. S’ils viennent en affichant le visage de la fraternité, alors viendra une période de merveilleux changements pour plusieurs générations. Ils apporteront de nouvelles connaissances et objets qui pourront se joindre aux connaissances de ce pays. De cette façon, deux nations se joindront pour créer une puissante nation. À cette nouvelle nation se joindront deux autres, et les quatre nations formeront la plus puissante de toute les nations. Vous reconnaîtrez le visage de la fraternité si la race à la peau blanche vient sans porter d’armes, s’ils viennent en apportant seulement leurs connaissances et une poignée de main. »

L’autre prophète dit :

« Méfiez-vous si la race à la peau blanche vient en affichant le visage de la mort. Vous devrez faire attention parce que le visage de la fraternité et celui de la mort se ressemblent beaucoup. S’ils viennent en portant des armes, méfiez-vous. S’ils viennent souffrants, ils pourraient vous tromper. Leurs cœurs pourraient être remplis de convoitise pour les richesses de cette terre. S’ils sont véritablement vos frères, laissez-les vous le prouver. Ne les acceptez pas en toute confiance. Vous saurez que le visage qu’ils affichent est celui de la mort si les rivières sont empoisonnées et si les poissons deviennent impropres à la consommation. Vous les reconnaîtrez par ces multiples signes. »

Le cinquième prophète dit:

« Pendant la période du cinquième Feu, viendra un temps de grandes difficultés qui affectera la vie de tous les Autochtones. Quand les signes de ce Feu apparaitront, viendra parmi le peuple une personne qui promettra une grande joie et le salut. Si le peuple accepte ces promesses d’une nouvelle façon de vivre et abandonne les enseignements anciens, alors les difficultés du Cinquième Feu resteront avec le peuple pendant plusieurs générations. Les promesses qui vous seront faites se révéleront de fausses promesses. Tous ceux qui accepteront ces promesses causeront la presque totale destruction du peuple. »

Le prophète du Sixième Feu dit:

« Pendant la période du sixième Feu, il sera évident que les promesses du Cinquième Feu sont venues d’une fausse manière. Ceux qui auront été trompés par ces promesses éloigneront leurs enfants des enseignements des Sages. Petits-fils et petites-filles se retourneront contre leurs Ainés. Aussi, les Sages perdront leur raison de vivre, ils perdront leur rôle dans la vie. Pendant cette période, une nouvelle maladie fera son apparition parmi le peuple. L’équilibre de nombreuses personnes sera dérangé. La coupe de la vie sera presque renversée. La coupe de la vie deviendra presque la coupe de l’amertume. »

Quand ces prédictions furent faites, beaucoup se moquèrent des prophètes. Ils détenaient alors les remèdes nécessaires pour se préserver de la maladie. Ils étaient alors un peuple en bonne santé et heureux. Ils étaient ceux qui choisirent de rester en arrière lors de la grande migration des Anishinabés. Ces personnes furent les premières à entrer en contact avec la race à la peau blanche. Il en souffrirent le plus.

Quand le Cinquième Feu arriva, de grandes difficultés survinrent dans la vie de tous les Autochtones. La race à la peau blanche lança des offensives militaires contre les Autochtones dans tout le pays pour s’emparer de leurs terres et de leur indépendance comme peuple libre et souverain. Nous savons maintenant que les fausses promesses qui ont été faites à la fin du Cinquième Feu, se référaient au matériel et aux richesses inhérents au mode de vie de la race à la peau blanche. Ceux qui ont abandonné les anciennes méthodes et accepté ces nouvelles promesses furent un facteur important qui causa la presque totale destruction des Autochtones de ce pays.

Quand vint le Sixième Feu, les paroles du prophète s’avérèrent vraies, les enfants furent privés des enseignements des Sages. L’ère des pensionnats qui « civilisaient » les enfants indiens avait commencé. Le langage des Indiens et leur religion furent enlevés aux enfants. Les personnes commencèrent à mourir jeunes. Ils avaient perdu la volonté de vivre et leur raison de vivre.

Pendant l’ère confuse du Sixième Feu, il est dit qu’un groupe de visionnaires vint chez les Anishinabés. Ils rassemblèrent tous les prêtres de la Loge du Midewiwin. Ils dirent aux prêtres que la méthode Midewiwin était en danger d’être détruite. Ils ont rassemblé tout les Objets Sacrés. Ils ont rassemblé tous les écrits qui décrivent les cérémonies. Toutes ces choses furent placées à l’intérieur d’une bûche taillée dans l’arbre de fer. Des hommes furent suspendus à une falaise par de longues cordes. Là, ils creusèrent un trou dans la falaise et y enterrèrent la bûche là où personne ne pourrait la trouver. C’est ainsi que les enseignements des Sages furent cachés à la vue mais gardés en mémoire. Il est dit que le jour où les Indiens pourront pratiquer leur religion sans avoir peur, un petit garçon aurait un rêve qui indiquerait où la bûche de bois dur contenant les Objets Sacrés et les écrits a été enterrée. Il guiderait son peuple à cet endroit.

Le septième feu

Le Septième prophète qui rendit visite au peuple il y a bien longtemps, est décrit comme étant différent des autres prophètes. Il était jeune et avait une lumière étrange dans ses yeux. Il dit:

« Quand viendra la période du Septième Feu, de Nouvelles Personnes apparaitront. Elles retraceront leurs pas pour redécouvrir les traces laissées sur la route. Leurs pas les conduiront vers les Ainés à qui elles demanderont de les guider dans leur voyage. Mais beaucoup de Ainés se seront endormis. Ils s’éveilleront dans ce nouvel âge sans rien à offrir. Quelques-uns des Ainés seront muets parce que personne ne leur demandera quoi que ce soit. Les nouvelles personnes devront faire attention à la manière dont elles s’approcheront des Ainés. La tâche des nouvelles personnes ne sera pas facile.

Si les nouvelles personnes restent fortes dans leur quête, le Tambour à Eau de la Loge du Midewiwin fera de nouveau entendre sa voix. Il y aura une renaissance de la nation Anishinabé et les vieilles flammes seront attisées. Le Feu Sacré brulera de nouveau.

Le huitième feu

C’est en ce temps là qu’on donnera le choix à la race à la peau blanche entre deux chemins. Si elle choisit le bon chemin, alors le Septième Feu allumera le Huitième et dernier Feu, un Feu éternel de paix, d’amour, de fraternité et de sororité. Si la race à la peau blanche fait le mauvais choix de route, alors la destruction qu’elle a apportée avec elle en venant dans ce pays, se retournera contre elle et causera beaucoup de souffrance et de morts parmi tous les habitants de la terre. »

Les sages de la nation Ojibwé et des personnes d’autres nations ont interprété les deux chemins auxquelles la race à la peau blanche doit faire face, comme étant la route de la technologie et la route de la spiritualité. Ils pensent que la route vers la technologie représente une continuation de la ruée tête baissée vers le développement technologique. C’est cette route qui a conduit la société moderne vers une planète endommagée et brûlée. Serait-il possible que la route vers la technologie représente une ruée vers la destruction? La route vers la spiritualité représente un chemin plus lent, celui que les Autochtones traditionnels ont suivi et qu’ils cherchent à retrouver. La terre n’est pas brûlée sur ce sentier. L’herbe y pousse encore.

Le prophète du Quatrième Feu a parlé d’une ère où deux nations se joindraient pour créer une puissante nation. Il parlait de la venue de la race à la peau blanche et du visage de la fraternité que les Frères à peau blanche pourraient afficher. Il est évident d’après l’histoire de ce pays que ce n’était pas le visage que présentait généralement la race à la peau blanche. La puissante nation mentionnée dans le Quatrième Feu n’a jamais été formée.

Si le peuple naturel de la terre pouvait simplement porter le visage de la fraternité, nous pourrions délivrer notre société du chemin de la destruction. Pourrions-nous faire en sorte que les deux chemins qui représentent deux points de vue du monde diamétralement opposés s’unissent pour former cette puissante nation?

Serait-il possible de former une nouvelle nation qui serait guidée par le respect pour toutes les êtres vivants?

Sommes-nous les personnes du Septième Feu?

Danse des indiens algonquiens (gravure de John White, 1590)




Pourquoi l’obligation de la ceinture de sécurité et celle du masque ne sont pas comparables ?

Par Joseph Stroberg

Dans le but de discréditer les personnes qui refusent la dictature sanitaire et le port du masque obligatoire, d’autres qui fonctionnent encore dans la pensée unique propulsée par les médias mainstream établissent une comparaison entre l’obligation de la ceinture de sécurité dans les automobiles et l’obligation du port du masque. Cependant, les deux ne sont pas vraiment comparables. Ou, plutôt, tenter d’établir des points de rapprochement entre les deux risque fort d’aboutir au constat de leurs nombreuses différences. De plus, prétexter l’existence de mesures contraignantes, coercitives et restrictives de libertés pour en justifier de nouvelles du même type est le choix des tyrans et dictateurs de tous poils ou de leurs valets, mais certes pas celui d’individus qui ont à cœur le bien-être physique, moral, psychique et spirituel des autres.

Pour commencer, les pays qui ont adopté l’obligation de la ceinture de sécurité dans les véhicules motorisés sur les routes et dans les rues des villes l’ont généralement fait à la suite d’études comparatives, des débats parlementaires puis des votes démocratiques. Dans le cas du port du masque, il n’y a eu aucun vote démocratique, mais des décrets décidés sans la moindre consultation populaire. Il n’y a eu aucun débat contradictoire. Et les seules études mises en avant sont quelques rares études (souvent biaisées ou après décision) qui tendent à indiquer un léger avantage du port de certains masques (de type très particulier) en des circonstances spéciales difficilement applicables à la population en général, face à de nombreuses autres études qui n’indiquent pas d’avantage substantiel au port des masques, quels qu’ils soient.

Ensuite, mettre une ceinture de sécurité dans un véhicule automobile ne handicape que très peu les mouvements du conducteur et peu celui des passagers. Et ceci ne peut guère nuire à leur santé physique et mentale. Cela n’entrave pas non plus la respiration ni la vigilance. En cas d’accident, les statistiques indiquent une plus grande probabilité de s’en sortir vivant avec l’usage de la ceinture de sécurité, même si cela ne garantit pas de s’en sortir indemne. D’autres mesures sécuritaires ont été ajoutées (comme les coussins gonflables) pour augmenter la probabilité de faibles blessures. Par contre, un masque gêne plus ou moins gravement la respiration et la concentration, rend plus difficile la communication orale (et la rend impossible pour les malentendants), et semble également susceptible d’altérer le comportement social (voir : Comment leurs masques rendent bêtes et méchants). Cela peut également produire divers problèmes de santé, dont ceux dus à l’accumulation de moisissures, de bactéries et de virus.

Enfin, l’usage de la ceinture de sécurité ne concerne qu’un environnement isolé et sans grand impact social, celui d’un véhicule sur roues et ayant un espace très limité. Alors que le port d’un masque dans les lieux susceptibles d’accueillir un grand nombre de personnes (restaurants, bars, centres sportifs, cinémas, salles de concert, écoles, universités, magasins et centres commerciaux, etc.) et même, pour certains pays, en extérieur (dans les parcs, les rues, etc.), a un fort impact social et tend à diviser la population en deux blocs de plus en plus hostiles : ceux qui se plient aux dictats mondialistes par crainte de punitions, par peur de contamination ou simplement par servilité ; et ceux qui s’y refusent pour diverses raisons.

Concernant, l’idée ou l’hypothèse pandémique et de contamination virale, il s’agit avant tout d’une théorie scientifique et comme toute théorie, elle est susceptible de contestation, contradictions et révisions, et même de voir des preuves contraires s’accumuler contre elle. Combien même une théorie est largement répandue (comme, en son temps, celle de la Terre au centre de l’univers), il suffit d’un seul individu trouvant ses failles pour la mettre à terre (comme un Galilée ou un Giordano Bruno). Et les « scientifiques » perdent leur esprit du même nom s’ils se basent sur le consensus pour valider leurs thèses ou leurs modèles. Ils deviennent alors semblables à des religieux plus ou moins fanatiques qui s’appuient sur des dogmes et se lancent dans des campagnes inquisitoriales face à ceux qui ne les suivent pas. Concernant la justification que certains voudraient scientifique au port du masque, mais qui est bien plus religieuse dans son essence, la théorie virale est avancée. Cependant, elle fait face à une théorie révolutionnaire, celle des exosomes, qui pourrait la ravaler un jour au rang des théories dont on se demande maintenant comment on a pu y croire, comme celle de la Terre plate.

Si nous étions dans de véritables démocraties, les contradicteurs des théories officialisées, des gouvernements et des médias dominants seraient au moins écoutés et libres de s’exprimer sur tous les supports médiatiques. Nous aurions de vrais débats publics. Et nous ne recourions à des décisions coercitives que si celles-ci s’appuyaient sur des conclusions fiables et qui emportent un large assentiment populaire. L’obligation de la ceinture de sécurité n’a rencontré concrètement que très peu d’opposition dans les différents pays qui l’ont mise en place. Par contre, les opposants à l’obligation du port du masque représentent au moins un quart ou un tiers de la population dans les pays concernés. Et ils sont diabolisés, comme jamais les quelques opposants à la ceinture ne l’ont été. En cas de contravention, les amendes sont également souvent bien plus salées.

L’obligation du port du masque en comparaison de celle de la ceinture de sécurité marque incontestablement le glissement des démocraties modernes vers l’état factuel de dictatures. Elle est grandement favorable à la finalisation du Nouvel Ordre Mondial, mais devra être abandonnée si nous voulons construire un réel Nouveau Monde dans lequel les différences de toutes natures sont acceptées et respectées (y compris celles des croyances, des opinions et des points de vue).




Les deux témoins – antithèse

Par Joseph Stroberg

L’article Les deux témoins soulevait l’hypothèse que les deux témoins de l’Apocalypse puissent être les actuels présidents des deux pays du monde les plus puissants sur le plan militaire (bien sûr dans la perspective qui considère ce texte comme réellement prophétique et se rapportant à notre époque). Dans ce présent et court article, nous présentons une vidéo qui expose des faits et leur interprétation dans un sens qui tend à mettre à mal cette hypothèse, au moins en ce qui concerne Trump et dans une moindre mesure Poutine.

La vidéo considère QAnon comme une opération cabalistique menée par une secte et apporte des arguments en faveur de cette hypothèse.

QAnon n’a jamais mentionné lui-même le mot « CABAL »,
il a seulement cité des rumeurs !

Q n’a même pas rempli sa toute première promesse !
Hillary Clinton est toujours LIBRE et voyage !
Alors que Q a prédit son arrestation pour le 30 octobre 2017 !

Trump est AMI avec Bill Gates, les Clinton, Epstein…
Trump est Pro Vaccination, Pro 5G Technology & Science !
Trump n’a aucun pouvoir sur l’Amérique !!!

QAnon est un mouvement d’OPPOSITION CONTRÔLÉE !

Les adeptes fanatiques du culte de QAnon vont partout avec leurs mantras pour détruire les faits et diviser les gens !

https://youtu.be/og9slmpQRYY
[Source : BabylonDecodedFR]



Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?

Par Joseph Stroberg

« Il est vrai, sans mensonge, certain, et très véritable : Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d’une seule chose.

Extrait de la Table d’émeraude.


Considérer la vie humaine individuelle et collective sous l’angle de l’analogie entre les lois de la matière et celles de la conscience permet de faire des découvertes étonnantes. Ainsi et par exemple, les oscillations d’un pendule se retrouvent dans l’alternance politique entre droite et gauche ainsi que dans l’alternance sociétale entre patriarcat et matriarcat. Et comme le mouvement d’un pendule est amorti par le frottement de l’air et finit par atteindre un état d’équilibre, on peut suspecter qu’au bout d’une longue période, la politique trouve une forme d’équilibre au centre et la société finit par laisser s’exprimer et agir femmes et hommes avec leurs caractéristiques propres en un tout harmonieux. Les diverses organisations sociales, culturelles, politiques, économiques, etc. s’éloignent progressivement des extrêmes. Cependant, de même qu’un choc brutal peut relancer l’oscillation du pendule, la civilisation n’est probablement jamais à l’abri de se trouver dans un nouvel état critique. Si le choc est trop violent, elle peut même éclater.

Maintenant, est-il possible de découvrir une analogie dans le monde des lois physiques pour ce qui concerne le confinement, le port du masque ou encore la distanciation sociale ? Avec un peu d’imagination, pourquoi pas ? Commençons par le confinement. En physique nucléaire, celui-ci est une voie choisie par les chercheurs pour parvenir à produire des réactions de fusion entre des noyaux d’hydrogène, de tritium ou d’hélium, ceci pour générer une importante quantité d’énergie. De manière plus abordable, les carabines à air comprimé reposent sur le confinement du gaz dans un petit volume. Dans chaque cas, le but est l’explosion ou la libération d’énergie en un temps bref. Cela ne présage alors rien de bon pour une société de se voir confinée artificiellement dans des espaces restreints, surtout si l’on prend en compte les expériences de laboratoire qui ont démontré que des rats en surpopulation devenaient agressifs et en venaient se battre entre eux. La société humaine vaut-elle sur ce plan tellement mieux que des rats ? L’existence des deux guerres mondiales et des conflits continuels ici ou là depuis lors permet d’en douter.

Un matériau fortement contraint finit par imploser, par exploser, par se briser ou par se désagréger d’une manière ou d’une autre. Une civilisation trop endiguée, par confinement ou par d’autres moyens, risque donc de se voir détruite ou transformée radicalement en quelque chose qui n’est pas nécessairement souhaitable. Les diverses lois liberticides auxquelles les différentes nations du globe sont soumises de manière croissante depuis les attentats du 11 septembre 2001 et plus récemment depuis la « plandémie » de la covid-19 vont incontestablement aboutir à une métamorphose complète ou à une explosion de nos sociétés. De nombreux indices (dont l’existence des Georgia Guidestones) concourent pour indiquer que le but d’au moins certaines élites serait d’éliminer une grande partie de l’Humanité pour descendre sous le milliard d’individus. Une nouvelle guerre mondiale ferait pour elles parfaitement l’affaire. Des pandémies qui parviendraient effectivement à tuer en masse le feraient aussi. Mais comme le corps humain ne leur semble pas accommodant pour cela, résistant bien plus que prévu (ou parce que les virus ne seraient en fait pas la cause des maladies virales ?), ils doivent trouver des alternatives pour accélérer les choses.

Les vaccins et leurs toxines — assaisonnés maintenant au besoin de fragments d’ADN ou d’ARN et de composant micro ou nano technologiques — pourraient finalement créer des épidémies artificielles. En sciences physiques, si une réaction chimique est trop lente, on y ajoute un ou plusieurs catalyseurs chargés d’en abaisser le seuil énergétique et donc de la faciliter. Pour détruire ou transformer plus rapidement des corps humains, les vaccins peuvent ainsi se révéler de bons moyens. Ils affaiblissent les corps et produisent des maladies auto-immunes. Même s’ils sont résistants, à force d’être plus ou moins régulièrement empoisonnés, ces derniers peuvent finir par céder, par s’effondrer.
Si le confinement ne parvient pas à briser psychologiquement les individus ou les nations, les vaccins les briseront physiquement. Et si cela ne suffit pas, on y ajoute un bon cocktail d’ondes pulsées (wi-fi, 2G, 3G, 4G, 5G, Bluetooth…) pour produire d’autres effets néfastes ou augmenter le potentiel destructeur des autres moyens.

Le port du masque, avec la limitation de la respiration et de la communication qu’il entraîne, trouve notamment sa correspondance dans les phénomènes optiques ou électromagnétiques d’interférence et de filtrage. Leurs effets sont une transformation ou un affaiblissement des signaux initiaux. Ce qui se présente à la sortie n’a plus grand-chose de commun avec ce qui se trouvait à l’entrée. Le port du masque vise ainsi à rendre l’Humanité plus docile, à lui faire accepter et même réclamer son asservissement, puisque nombreux sont maintenant les êtres humains qui y voient un moyen d’être épargnés par le prétendu méchant virus. Cet outil contribue à dénaturer ou à diminuer la communication et la vitalité. Les réseaux sociaux et la téléphonie sans fil avaient amorcé un mouvement dans le sens du morcellement social. En multipliant et en éparpillant les relations, ils en diminuaient d’autant la qualité. Le masque vient alors apporter sa contribution à la diminution de l’intensité dans les échanges.

La distanciation sociale, elle, est comparable à l’utilisation d’une barrière ou d’un champ répulsif qui empêchent deux particules de se rencontrer. Puisque dans les lieux clos elle s’accompagne souvent de cases et de parcours fléchés, on peut même la voir comme l’établissement d’un réseau cristallin. Et un cristal est particulièrement rigide. Ainsi, on peut s’attendre à ce que la distanciation ait pour objectif, ou au moins comme conséquence imprévue, la métamorphose vers une société sclérosée et qu’il serait désormais difficile de changer. En acceptant de satisfaire à toutes ces nouvelles règles qui veulent devenir des normes pour l’avenir, les êtres humains trop dociles creusent leur tombeau pour ressusciter en cyborgs ou en zombies.

En se pliant aux injonctions de confinement, de port du masque et de distanciation, l’Humanité contribue à construire un monde rigide, déshumanisé, régulé, contrôlé dans le moindre de ses aspects et dont les véritables contacts et échanges humains seront exclus et choses du passé. Les survivants des processus explosifs et destructeurs mis en place vivront dans un « Meilleur des mondes » hyper mécanisés et seront probablement eux-mêmes devenus partiellement des machines. Est-ce vraiment cela que nous voulons ? Si ce n’est pas le cas, il n’y a pas trente-six solutions. La seule consiste à refuser confinement, masque et distanciation, quel qu’en soit le prix ! Si nous avons peur de la maladie ou des amendes salées, peur de perdre notre maison ou notre confort, alors nous vivrons ce « Meilleur des mondes » possibles pour les élites, mais le pire pour nous. C’est cela qui s’en vient à grands pas si nous nous laissons faire. La seule alternative consiste à ne pas attendre que le voisin fasse le premier pas de la désobéissance civile.




Résurrection en terre étrangère

Par Joseph Stroberg

Voici mon premier roman de science-fiction, publié aux Éditions Dédicaces :

[4e de couverture]

Baldirr, un Vijnien, participe à l’expédition de 51 délégués de races galactiques diverses en direction de Solix, une planète à l’humanité peu avancée. Leur destination est une place forte locale pour tenter d’y nouer des relations commerciales. Sans aucun avertissement perceptible d’aucune sorte, les barbares locaux les y massacrent. Baldirr ressuscite grâce au cristal spécial qu’il avait près du cœur. Les autres délégués ne disposaient pas d’une telle technologie. Il se retrouve donc seul et abandonné sur cette planète étrangère, le vaisseau ayant été mystérieusement détruit. Sans ressources et à bout de forces, il survit malgré tout, grâce à une prêtresse autochtone, Lucida.

Il doit tout réapprendre sur cette nouvelle planète et y découvrir une expression émotionnelle et passionnelle qu’il avait négligée dans son monde originel plus mental. Parallèlement, une civilisation galactique puissante menace Vijnia qui ne dispose d’aucun armement. Sur Solix, Baldirr découvre la tentative d’infiltration d’une race reptilienne prédatrice et cherche comment s’opposer à elle avec ses faibles moyens. Le fils de Baldirr, très jeune Vijnien surdoué et génial participe à sa façon aux événements. (…)


Le livre est pour l’instant disponible, en version papier ou ebook, sur les sites suivants :




Société libre ?

Par Joseph Stroberg

Il est paradoxal que nos sociétés modernes mettent autant en avant les notions de démocratie et de liberté quand dans le même temps dans nos régimes prétendument démocratiques, les êtres humains se trouvent de plus en plus contraints, avec très peu de souveraineté et de pouvoir de décision (sauf lorsqu’ils se trouvent au sommet des hiérarchies). Des dizaines de milliers de lois et de règlements prétendent gérer nos vies jusqu’au plus petit détail, depuis notre naissance jusqu’à notre mort, et ceci dans tous les secteurs : scolarité, métier, famille, santé, échanges, communication, loisirs, déplacements… et même jusqu’à notre respiration limitée par le port d’un masque. Nos gestes et paroles sont de plus en plus surveillés, scrutés à la loupe, et même dénoncés comme déviants ou « complotistes » lorsque nous ne marchons pas droit dans les rails du conformisme social, politique, culturel, professionnel, éducatif… et laïc. Parallèlement, par la destruction des religions et des valeurs morales, puis par l’anonymat et le caractère addictif des réseaux sociaux, et enfin par le fait de se cacher maintenant derrière un masque, les individus abandonnent tous les tabous et tendent à compenser leur manque de libertés concrètes par celle du discours et du jugement, critiquant tout et donnant leur avis trop souvent superficiel en toutes circonstances, même lorsqu’ils sont ignorants des domaines considérés. Si dans « l’autrefois » religieux la suprême sanction n’était pas tant la peine de mort que la promesse de l’enfer, dans notre « maintenant » matérialiste, elle a plutôt été remplacée par la perte du portefeuille ou d’un pouvoir social, au pire par la mort elle-même.

La liberté totale implique l’absence totale de règles et donc le règne de l’arbitraire. Si elle n’est pas régulée par un quelconque principe supérieur ou d’autorité, ne serait-ce que moral, elle a obligatoirement comme conséquence le chaos, car les diverses volontés individuelles partent dans toutes les directions et finissent tôt ou tard par se heurter plus ou moins violemment, à l’image des particules d’un fluide. Les sociétés humaines impliquant de multiples individualités aux volontés distinctes ont donc dû trouver, au cours de l’Histoire, des compromis entre le pur arbitraire non régulé et le totalitarisme qui règle le moindre aspect de la vie individuelle et collective. Parfois, le laxisme et l’absence de règles et de lois conduisaient à la barbarie. D’autre fois, des administrations, bureaucraties et systèmes gouvernementaux trop lourds favorisaient l’apparition de tyrannies sous le caractère arbitraire (ou l’arbitrage) d’un seul individu ou groupe d’individus. Les peuples pouvaient se voir alors confrontés à une dictature individuelle (dirigée par un monarque, un grand prêtre ou un chef marchand, selon la caste dominante) ou oligarchique (dirigée par une assemblée de nobles, de prêtres, ou de marchands). Dans la pratique, la caste des producteurs, la plus grande masse du peuple, n’a jamais elle-même vraiment dirigé les destinées de la nation ou du peuple considéré (même pas dans le cas des dictatures communistes, car dans celui-ci, les vrais dirigeants n’appartenaient plus, de facto, à la classe productrice ou ouvrière, mais à une clique, une « nomenklatura » qui jouait un rôle souvent équivalent à celui des anciens nobles, sans en avoir pour autant la grandeur).

L’exercice de la liberté d’action et de choix par un individu dans un groupe implique toujours des conséquences sur un ou plusieurs membres de ce groupe dès qu’il entre en interaction. Soit il agit en contrôlant un minimum ses mouvements et ses gestes (incluant les mouvements de sa langue, ou parole), de sorte à ne pas entrer en collision violente avec les autres, mais plutôt à seulement les effleurer ou à les toucher en douceur. Ou soit il ne se préoccupe guère des conséquences de ses mouvements et auquel cas il augmente plus ou moins considérablement la chance de heurter violemment les autres, de leur nuire, d’empiéter sur leur propre espace de liberté… Dans le premier cas, l’individu tend à agir avec maturité et responsabilité, limitant lui-même volontairement sa liberté. Il devient son propre arbitre, capable de juger l’impact potentiel de ses choix et actes (propos compris) avant de les accomplir. Il diminue volontairement son caractère arbitraire, se fixant lui-même des règles de conduite, comme certains chevaliers pendant le moyen-âge, ou encore comme certains moines, quelle que soit la religion considérée. Ce n’est bien sûr pas réservé à des castes ou à des types d’individus particuliers. C’est avant tout une question de conscience et de degré de maîtrise sur soi-même, quelle que soit la voie d’action choisie par l’individu. Néanmoins, combien existe-t-il à notre époque d’êtres humains qui vivent selon une telle approche, notamment prêts à sacrifier volontairement une partie de leur confort (matériel et même psychologique ou psychique) au profit de la collectivité ? Il ne s’agit pas ici d’une acceptation sous la contrainte, comme dans le cas du port d’un masque sous la menace d’amendes ou par peur d’attraper une maladie. Ce n’est pas non plus pour se faire bien voir ou apprécier. Non, c’est simplement pour ne pas nuire et par respect pour l’espace de liberté d’autrui.

Dans le second cas, l’individu pense prioritairement à lui-même ou est encore dominé par ses instincts, dont celui de survie. Il porte un masque par peur de la maladie ou de mal paraître. Lorsqu’il s’occupe des conséquences de ses actes, c’est le plus souvent à court ou à très court terme et sous un angle de vue plutôt restreint. Pour poursuivre sur l’exemple des masques, il se laisse le plus souvent guider par le conformisme ou par la voix dominante. Il étudie au mieux les conséquences sous le regard de psychopathes, un point de vue presque obligatoirement biaisé. Si on lui dit que la science indique que les vaccins sont sécuritaires et permettent d’empêcher les épidémies, mais qu’il faudra quand même continuer à porter le masque pour éviter que ses gouttelettes potentiellement porteuses de virus ne rendent malade quelqu’un d’autre, alors qu’il est lui-même en très bonne santé, il ne cherchera généralement pas plus loin, satisfait d’une explication simpliste, même si elle peut se révéler incohérente après une analyse plus approfondie. Il se conforte éventuellement dans l’idée qu’il est généreux parce qu’il empêche ainsi les autres d’attraper une maladie épidémique présentée comme très grave, bien qu’il ne voit personne dans la rue tomber raide mort à cause d’elle. Envisager que le confinement, la distanciation sociale et le port du masque puissent largement contribuer à détruire l’économie et le tissu social pour aboutir à moyen terme à un état bien pire que l’épidémie lui effleure rarement l’esprit.

Si l’on se fie par exemple un peu aux statistiques concernant le degré de docilité ou non face à la prochaine vaccination contre ladite maladie, le Québec présente un peuple largement soumis, un peuple qui a abandonné ce qu’il lui restait encore de liberté, sous le prétexte de sécurité sanitaire. Ceci vaut, à peu de choses près, pour de nombreuses autres nations « occidentales ». La tyrannie arbitraire de quelques tireurs de ficelles mondiaux a supprimé largement et presque totalement la liberté individuelle grâce à un ensemble supplémentaire de règles, cette fois orientées autour de la maladie et de la peur de la mort qu’elle engendre. L’incohérence et le changement presque quotidien, ou au moins hebdomadaire ou mensuel de ces règles favorisent la confusion et celle-ci à son tour facilite la diminution de la réflexion et de la lucidité face au réel. Par son degré de soumission, le peuple est ainsi sanctionné par un pouvoir tyrannique arbitraire, parce que les tyrans échappent eux-mêmes à toute possible sanction dans le cadre légal et le système qu’ils ont largement contribué à renforcer, sinon à créer. Leur liberté utilisée abusivement et sans contrôle s’est installée en retirant celle de ceux qui subissent au contraire un énorme contrôle de leur vie. Le « deux poids, deux mesures » est devenu si criant, si visible, qu’il faut être sourd pour ne pas l’entendre et aveugle pour ne pas le voir. La société humaine moderne a perdu la justice en cours de chemin. Les juges sont devenus de simples outils supplémentaires aux mains des dictateurs qui se cachent derrière le mot « démocratie » et derrière les gouvernements modernes.

Dans le passé, la liberté — née d’une situation sans règles écrites, mais avec seulement quelques lois ou commandements oraux ou religieux — aurait pu engendrer une pléthore de conséquences arbitraires. Chacun aurait pu devenir a priori un tyran pour ses voisins. Cependant, de suprêmes sanctions, des mesures de justice communément admises, permettaient de l’éviter. L’individu qui n’était pas capable de lui-même de maîtriser son degré de liberté par rapport à autrui vivait toujours sous la menace de la suprême sanction : enfer, décapitation, écartèlement, flagellation, lapidation par la foule, pendaison, etc. selon les peuples et les époques. Dans nos sociétés matérialistes, les valeurs morales disparues ont laissé la place à des idéologies corrompues, à l’inversion de principes universellement reconnus depuis la nuit des temps et, parallèlement, à la fin de ce type de sanctions suprêmes, puisque la peine de mort a pratiquement disparu de presque toutes nos nations si « civilisées » et que la religion et ses concepts tels que celui d’enfer ont pris également le bord. Les bagnes ont disparu et les prisons sont souvent devenues des hôtels de luxe, à la principale différence de la limitation des déplacements. Celles-ci ne dérangent plus guère les malfrats. Ces derniers peuvent souvent y poursuivre leurs petites « affaires » et préfèrent s’y trouver que dehors sous la neige. Les récidives sont fréquentes. Il en existe beaucoup moins en cas de décapitation.

L’Histoire humaine tend à démontrer que les sociétés les plus libres, à la différence de ce que nous connaissons aujourd’hui, reposaient sur pas ou peu de règles écrites. Les principales lois de vie commune étaient orales, souvent d’inspiration ou de guidance religieuse. La véritable liberté n’étant possible que conjointement avec la responsabilité, comme le sens de cette dernière n’est pas universellement présent en chaque être humain (il en faut probablement encore de beaucoup), pour la permettre néanmoins en de grandes proportions, l’Humanité doit alors mettre en place une mesure qui permette malgré tout de pallier l’irresponsabilité, même du plus grand nombre. Peut-elle trouver mieux que les sanctions suprêmes passées ? Sinon, il faudra probablement se résoudre à en réhabiliter quelques-unes pour ne pas s’enfoncer davantage dans le chaos, mais pour construire au contraire un Nouveau Monde.




Le pour et le contre

Par Joseph Stroberg

[photo : Getty Images]

Au cours de leur existence, individus et sociétés sont amenés à traverser différentes périodes critiques qui représentent autant de défis à relever, de portes à ouvrir vers l’inconnu. Chaque situation peut nécessiter une évaluation profonde des causes du malaise, afin de mieux pouvoir découvrir les remèdes, les solutions qui permettront de résoudre la crise, les clefs ou les mécanismes qui permettront d’ouvrir la porte. Dans chaque cas, nous gagnons à tirer profit de l’usage d’outils ou d’instruments adaptés à la mesure des éléments ayant contribué d’une manière ou d’une autre à produire ou à amplifier le problème. Cependant, s’il est généralement facile de mesurer les dimensions d’une boîte ou la température d’une pièce, il se révèle souvent bien plus complexe d’évaluer correctement les causes d’une crise et probablement aussi difficile de choisir ensuite la meilleure voie de résolution selon le degré de mise en évidence de ces dernières. Il nous est alors souvent nécessaire de peser le pour et le contre, de comparer les risques comportés par tels choix et les bénéfices qu’ils sont susceptibles d’apporter, puis d’en tirer un bilan.

La crise covid-19 se présente, d’un certain point de vue, comme un tableau hyper réaliste de certains peintres décorateurs ou comme une mécanique au moins aussi complexe qu’une automobile. En déterminer les causes est alors au moins aussi difficile que de deviner sans connaissances préalables comment le peindre a bien pu réaliser son œuvre et dans quel but, ou comment l’inventeur a pu créer son automobile et à quoi elle peut bien servir. Si des analyses techniques scientifiques, par divers instruments utilisant notamment des ondes électromagnétiques pénétrantes, peuvent éventuellement permettre de découvrir que la toile du peintre a été réalisée par couches semi-translucides successives (la première pour couvrir la surface avec les couleurs dominantes, la deuxième pour ajouter un niveau de détail, la troisième pour en augmenter la finesse, puis la dernière pour ajouter les jeux de lumière), le commun des mortels trouvera plus facile de regarder l’artiste peindre et ainsi de découvrir son secret.

Pour un novice qui n’aurait jamais vu une automobile, comprendre comment elle peut fonctionner sans être tirée par quelque animal relève aussi d’un gros défi. Sans être ingénieur, il peut avoir néanmoins l’idée d’en soulever le capot et de découvrir alors le moteur et ses instruments auxiliaires. Comprendre la fonction des différents composants, surtout sans pouvoir simultanément les voir fonctionner, n’est pas non plus une tâche aisée. S’il trouvait un peu plus loin ceux-ci éparpillés — vilebrequin, cardan, arbre à cames, bougies d’allumage, courroie de transmission, etc. — aurait-il la moindre chance de pouvoir reconstituer le puzzle ? Le succès serait plus probable en démontant la voiture pièce par pièce, ceci en notant minutieusement chaque emplacement pour pouvoir ensuite la remonter. Ceci lui faciliterait d’ailleurs sans doute aussi la compréhension du rôle de chacune d’elles.

Si analyser la disposition des pigments d’une toile et l’agencement des couleurs est comparable à décortiquer une automobile, dans un cas comme dans l’autre, cela ne suffit pas à comprendre la finalité et pourquoi ça « marche ». Pour obtenir la compréhension du mystère du réalisme saisissant du tableau ou du fonctionnement sans chevaux du véhicule, il ne faut pas rester le nez collé sur la toile ni les yeux sous le capot. Dans le premier cas, nous devons prendre un recul suffisant et découvrir la vision d’ensemble. Dans le second, nous devons nous asseoir au volant et mettre le moteur en marche puis piloter l’engin.

Pour espérer comprendre les véritables causes de ce qu’une instance internationale non élue (l’OMS), la plupart des dirigeants mondiaux et les médias mainstream ont appelé la pandémie Covid-19, nous gagnons à pratiquer une démarche qui combine au moins des approches et méthodes propices à l’analyse d’un tableau de maître décorateur et celles utilisées pour comprendre le fonctionnement d’une automobile. Cette crise comprend en effet une dimension statique — au moins celle des structures et institutions gouvernementales, des compagnies pharmaceutiques souvent multinationales, et de l’OMS — et des éléments dynamiques (principalement les décisions changeantes et contradictoires selon les pays et moments de l’année, et les « vagues » épidémiques et propagations).

L’analyse autant du tableau d’ensemble de la crise Covid-19 que de sa mécanique (notamment les confinements, l’usage des masques, le rituel du lavage des mains, la distanciation) a déjà été traitée sous plusieurs angles dans de nombreux articles alternatifs sur Internet. Lorsque l’on s’en tient aux faits, aux statistiques officielles, à la plupart des études médicales sur la question (surtout celles qui ne dépendent pas d’un financement donnant lieu à des conflits d’Intérêts), on ne peut qu’en déduire que cette crise est artificiellement montée en épingle et entretenue. En d’autres termes, l’interprétation du tableau par les médias dominants et par les gouvernements est erronée. L’explication du mécanisme de transmission et des mesures mises en avant pour y remédier l’est tout autant. Le virus, en admettant qu’il ait pu réellement être isolé (ce qui jusqu’à preuve du contraire n’a pas été fait) et, surtout, qu’il soit la vraie cause du phénomène épidémique dénommé Covid-19, n’a pas la dangerosité qu’on lui attribue officiellement. Tout ceci peut être considéré comme l’aspect « contre » la théorie officielle. Cependant, pour vraiment peser le pour et le contre d’une situation, d’une hypothèse ou d’une décision à prendre, il est quand même nécessaire d’examiner les éléments favorables, les « pour ». Ceux-ci sont ressassés en boucle par les médias mainstream, répétiteurs inlassables de la parole gouvernementale et des éventuelles forces situées derrière.

Peser le pour et le contre nécessite souvent une alternance entre les deux plateaux de la balance, les arguments se renvoyant la balle, les « pour » à gauche du terrain de tennis, et les « contre » à droite (ou vice-versa). Cela peut donner des échanges de questions et de réponses du type suivant, intérieurement pour celui qui s’interroge tout seul ou extérieurement entre plusieurs intervenants :

— Pourquoi le gars isolé dans sa cabane au Nunavut ou en Alaska attrape-t-il tout d’un coup la grippe un certain hiver alors qu’il n’a rencontré personne depuis plus d’un mois ?

— Euh ! Bin le virus dormait dans son corps.

— Mais le système immunitaire n’est-il pas censé tuer les virus ? Pourquoi est-il assez sympa pour en maintenir en vie quelques exemplaires pour la saison prochaine ?

— Euh ! Il faut demander aux virologues. Ils doivent bien avoir une explication. Il y a bien des « porteurs asymptomatiques » pour la covid-19, d’après eux, alors pour la grippe, ça doit bien être pareil.

— Des porteurs asymptomatiques ? Des gens dont le système immunitaire est assez gentil pour laisser traîner quelques poignées de virus ici et là, le temps qu’ils récupèrent avant de pouvoir mener une prochaine invasion tranquillement ? Et pendant ce temps, ils ne sont pas malade ?

— Eh bien, ils ne sont malades que si suffisamment de virus les envahissent ?

— Combien ? 1 million ? 1 milliard ?

— Ça dépend.

— De quoi ?

— De la maladie et de l’état de santé de la personne.

— Et si la personne est en bonne santé, y a-t-il besoin de plus de virus ?

— Peut-être bien que oui.

— Mais un virus n’est pourtant pas un être vivant, puisque notamment il ne sait pas se multiplier tout seul ?

— Parce qu’il utilise le code génétique d’une cellule pour s’y multiplier.

— Et pourquoi celle-ci se laisse-t-elle couillonner ?

— Bin pas toujours ! C’est là que le système immunitaire intervient. Il empêche le virus de rentrer dans la cellule en supprimant son enveloppe qui possède la clef. Et là le virus est bien mort.

— Mais ce n’est déjà pas un être vivant. Tout ce qu’il est censé faire, c’est se faire multiplier dans une cellule. Ce n’est qu’un genre de grosse molécule qui demande d’être dupliquée. Pourquoi cette molécule rendrait-elle malade par ailleurs ?

— Bin, parce qu’elle se multiplie.

— Mais même des milliards de virus, ça n’occupe pas beaucoup de place. Pourquoi ça rendrait malade ?

— Peut-être parce qu’en plus cette molécule est mauvaise pour l’organisme.

— Admettons. Maintenant, pourquoi le fait d’avoir la Covid-19 empêcherait-il d’avoir la Grippe ?

— Les virologues disent qu’en quelque sorte ça bloque l’entrée pour les autres virus.

— Ah bon ? Pourtant, les deux ont une clef d’entrée et peuvent entrer n’importe où sur la paroi cellulaire, tellement il y a de serrures. Et je doute fort que tous les emplacements soient occupés en même temps par une seule variété de virus, sachant que ces virus ne sont pas censés traîner à la porte d’entrée, mais se précipiter à l’intérieur.

— Je ne sais pas. Il faudrait demander à un virologue.

— Ouais, admettons qu’il ait une réponse logique et satisfaisante, et pas une nouvelle rustine à leur théorie qui me paraît de plus en plus foireuse. En attendant, c’est quand même une étrange coïncidence que depuis la covid-19, presque plus personne ne meure de la Grippe, comme si celle-ci avait été rebaptisée. As-tu entendu parler de la théorie révolutionnaire des exosomes ?

Pour pousser à fond une étude des « pour » et des « contre » concernant une théorie, on peut lui opposer une théorie alternative et regarder si cette dernière répond à davantage de points pour justifier des observations. Eh bien, par exemple, il semble que la théorie des exosomes soit plus efficace et plus réaliste que celle des virus (voir notamment : La théorie des exosomes contre celle des virus), même si elle est plus récente.

Toujours avec l’idée de faire la part des choses et d’évaluer le plus justement possible une situation, une théorie, ou une crise, voire même aussi le comportement d’un être humain individuel ou d’un groupe, nous gagnons à éviter le phénomène de projection, bien que ce puisse être difficile, surtout lorsque l’évaluation concerne d’autres personnes. En d’autres termes, il vaut mieux éviter de trop raisonner en fonction de nous-mêmes, de ce que nous aimons ou n’aimons pas, de nos croyances particulières, etc. Si nous jugeons par exemple un Trump de manière négative, nous devrions en fait commencer par nous interroger sur ce qu’il nous renvoie de nous-mêmes dans un jeu de miroirs, parce que chaque être humain peut servir de miroir aux autres. Le défaut que nous percevons chez l’autre peut provenir alors soit du même que nous n’aimons pas voir chez nous et/ou ne voulons pas reconnaître, soit d’une qualité opposée au défaut supposé et dont nous manquons ou croyons manquer. L’image renvoyée d’un Trump orgueilleux a par exemple une assez bonne chance de démontrer en réalité notre manque d’assurance ou d’affirmation de nous-mêmes. Ce que nous voyons chez l’autre est à la mesure de ce que nous sommes. Le degré de noirceur ou de lumière que nous y voyons dépend étroitement de notre propre lumière ou de sa relative absence, de la même manière que la lumière d’une torche renvoyée par un miroir aura nettement moins de puissance d’illumination que celle du Soleil.

Notre lumière intérieure permet d’effacer notre ombre aussi bien qu’elle permet de révéler la vie extérieure jusqu’au moindre détail. Ceci, si nous la laissons grandir et s’exprimer. C’est finalement elle qui révèle les contradictions, les mensonges, les faux-semblants… aussi bien que la cohérence, la vérité et la justice lorsqu’elles sont présentes. Pouvons-nous sérieusement évaluer et apprécier efficacement un être humain, une théorie, ou une situation critique sans d’abord faire croître et s’épanouir notre lumière intérieure ?




Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

Par Jean-Michel Grau

“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.”

Nicolas Machiavel, Le Prince

«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !»

Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid-19 : la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» [1]

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. «Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes.» [2] Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:

  • Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
  • Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire: le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid-19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre [3], pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.[4]

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid-19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»

Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations».

«Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais!» Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus »» .

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».

Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)

Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».

La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme «la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : «Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)

«Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées». «Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 : 
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset/.

Notes

  1. le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
  2. les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel.
  3. Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
  5. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.



Les Français manipulés — Des arguments pour les avocats, des preuves pour les juges

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Rappel :

L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Article publié à l’origine sur le site de Michelle d’Astier de la Vigerie, puis repris sur de nombreux sites, dont http://www.profession-gendarme.com.]

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

À voir. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

Et cet article :

Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir, de nouveau, au confinement

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

https://youtu.be/JeliScgfETY
Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale.

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” 

Françoise Giroud.

En résumé, pour bien mettre les points sur les i :

  • Toutes les mesures prises depuis le début du premier confinement sont anticonstitutionnelles.
  • Presque toutes les principales institutions françaises sont en léthargie : Assemblée Nationale, Sénat, Conseil Constitutionnel, Conseil d’État, Autorité judiciaire…
  • Dans ce pays la justice est d’une lenteur extrême. Un exemple : la plainte du collectif de médecins appelé C19 qui a été déposée en mars 2020 ; les plaignants sont convoqués chez le juge en janvier 2021.
  • La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine.
  • Le samedi 10 octobre 2020, le Dr David Nabarro, arrivé en 2018 en deuxième position lors de l’élection à la présidence de l’OMS derrière le sulfureux Tedros Adhanom Ghebreyesus (candidat de Bill Gates et de la finance), a déconseillé le confinement entier d’une population. Que s’est-il passé fin octobre 2020 en France ?
    Précisions complémentaires :

Mais il y a mieux. Le Saviez-vous ?

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

http://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

  • Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie de la « grippe mexicaine » en Belgique. Vous allez voir, c’est très instructif !
https://youtu.be/3OAQ4QTv_3M
Les bons conseils de Marc van Ranst en cas de pandémie
  • l’Ordre des Médecins est dans le collimateur de la Cours des Comptes, notamment pour conflit d’intéret :

Un rapport accablant pour l’Ordre des médecins (infodujour.fr)

  • Le Quotidien du Médecin a publié une très bonne nouvelle le 10 décembre 2020 :
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/
12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/

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  • La Bosnie-Herzégovine vient de donner une leçon à la France, le soit disant pays des Droits de l’homme.

Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine : la mesure de restriction de mouvement et de port de masques est une violation des droits humains fondamentaux — Affaire AP-3683/20

La mortalité en France selon les données officielles de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques). Analyse de Décoder l’éco.

Cela fait maintenant 1 an que l’on entend parler quotidiennement du coronavirus. Cela fait bientôt 9 mois que toute la vie politique et économique vit au rythme des décisions prises uniquement pour répondre à la peur de ce virus. Depuis le début de la crise, de nombreuses voix dénoncent l’excessivité des mesures prises au regard des épidémies que l’on vit chaque année. Toutes ces voix sont désormais cataloguées dans le camp bien pratique des complotistes. Autrefois, l’inquisition faisait taire tous ceux qui osaient contredire le clergé. Aujourd’hui la société entière organise la censure de ceux qui sortent du discours bien établi. Dans cette vidéo, on va voir que depuis mars dernier, on ne constate absolument aucune surmortalité pour les moins de 50 ans. Je vous montrerai où aller chercher toutes les données des décès en France et comment faire les calculs pour que vous puissiez le faire vous-même si vous voulez et vérifier que je n’invente absolument rien. J’exploite uniquement des données de l’état civil français. On verra ensuite les effets du coronavirus sur la mortalité des plus âgés et je ferai la comparaison avec la grippe pour que vous puissiez faire vos conclusions. La mienne est simple : au regard des chiffres officiels des décès, il n’y a absolument aucune raison objective de mettre en place un confinement généralisé ou même d’imposer à toute la population n’importe quelle règle. On peut en revanche comprendre l’intérêt d’avertir les Français des risques et en particulier les plus âgés pour qu’ils puissent faire leur choix et prendre les précautions qu’ils souhaitent. Mais même dans ce cas, il faut se poser la question de pourquoi ce n’était pas fait avant, puisque quand on regarde les chiffres, on se rend compte que des épidémies mortelles, on en a tous les ans, tous les hivers.

Décoder l’éco

Et le meilleur pour la fin : la trahison de Macron envers son peuple

Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun » prononcé par Emmanuel Macron le 12 novembre 2020 :


En Droit, les preuves ne peuvent en aucun cas être considérés comme de la diffamation.

« Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. »

Extrait de la Charte de Munich sur les droits et les devoirs du journaliste

Nouveau Monde (Alain Nicolaï et Joseph Stroberg) 




États-Unis – La question de l’adéquation

[Source : Réseau International]

par Andrei Martyanov.

Une insurrection ? Pas vraiment. Une insurrection est un soulèvement contre l’autorité et ce qui s’est passé à Washington le 6 n’était pas un soulèvement. C’était une manifestation pacifique qui a tourné à la violence avec l’aide de quelques provocateurs. Elle a été facilement gérée et ce qui importe ici, c’est que l’écrasante majorité des gens qui sont venus au Capitole n’avaient aucune intention de « se soulever » ou d’être des insurgés. Ils sont venus pour manifester. J’ai déjà démontré ce qu’est une véritable insurrection, évoluant vers un soulèvement. On peut comprendre qu’une bimbo de CNN déblatère des conneries sur le sujet, mais y avoir droit de la part d’Andrew Bacevich, un ancien officier cadre… Et pourtant :

« L’insurrection du 6 janvier a été le moment Altamont de cette génération. Tout comme Altamont, elle a fait voler en éclats des illusions qui ne méritaient pas d’être prises au sérieux ».

Non, ce n’était pas une « insurrection », c’est pourquoi elle s’est terminée relativement paisiblement avec, soyons honnêtes, très peu de victimes, aussi regrettables soient-elles, et la reprise des travaux par le Congrès. Peu de moments effrayants et l’humiliation en matière de relations publiques que le Capitole américain (et les États-Unis en général) a endurée à la suite de cela, à l’exception de quelques séquences dramatiques, ont produit un effet nul dans ce que Bacevich lui-même définit comme étant :

« Notre pays est un pays brisé. Si nous ne le reconnaissons pas, la Grande Insurrection de 2021 pourrait n’être qu’un simple précurseur de choses pires à venir ».

Oui, nous le savons et beaucoup le reconnaissent, mais cela ne fait pas d’un pur hooliganisme une insurrection. Utilisons les termes adéquats.

Et si cela ne suffit pas, venons-en à la question de la « liberté d’expression ». Je le répète :

1. Ce qui est connu aux États-Unis comme le « big-tech » n’est pas et n’a jamais été de la « big-tech » – ce sont des sociétés de réseaux sociaux qui ne produisent rien d’autre que du code, qui est téléchargé sur leurs serveurs, qui sont fournis par de VRAIES sociétés de technologie, et le seul produit que Facebook ou Twitter produisent est un exhibitionnisme de masse, des troubles sexuels et psychologiques, et de vastes flux de conneries. C’est pourquoi, personnellement, je n’ai pas de compte FB, Twitter, etc.

2. Toutes ces entreprises dites « big-tech » sont nominalement des entreprises privées. Et ne venez pas me dire qu’elles suppriment toutes les autres ! Ce sont des sociétés privées et le fait que leur monopole (pas vraiment) n’ait pas été brisé est le problème de POTUS et du Congrès américain. Voici ce que j’ai écrit hier en répondant à une personne sur le site du colonel Lang : cette « liberté d’expression » :

@Fred

« Ce droit de « propriété privée » ne s’étend-il qu’au discours politique ou cela signifie-t-il que les boulangeries ne doivent plus faire de gâteaux pour les homosexuels qui se marient et que les entreprises peuvent refuser les personnes que le propriétaire pense être de la mauvaise couleur ?

Ce que vous avez formulé s’appelle « déplacer les poteaux de but ». Ne mélangez pas ici les droits de l’homme fondamentaux et le droit d’utiliser une plateforme privée (OK, théoriquement privée) pour exprimer vos opinions. J’ai pleinement le droit de jeter n’importe qui hors de chez moi s’il commence à violer les normes que j’ai établies dans ma maison. Oui, c’est ce que signifie la propriété privée. Vous voulez que votre opinion soit exprimée publiquement, ce qui n’est PAS votre droit, sinon nous n’aurions pas de pré-modération et d’administrateurs ici – c’est votre droit d’aller créer votre propre « voix », qui va du blog privé sur une ressource d’accès public à un fournisseur d’accès Internet complet avec des serveurs, une infrastructure, etc. Ensuite, vous êtes responsable et tant que votre activité ne viole pas la Constitution, bon vent.

Bien que je sois dégoûté par tout ce qu’on appelle les « géants de la technologie » (pour votre information, ce ne sont pas des entreprises de technologie – elles ne produisent que des pages de code et des troubles psychologiques et psychiatriques de masse), je n’ai pas de compte FB et n’en aurai jamais, je ne tweete pas, etc. Formellement, ils ont raison – notre maison, nos règles. Vous n’aimez pas ça, vivez pleinement le capitalisme et la « démocratie » et faites les vôtres. C’est aussi simple que cela ».

Google, FB, Twitter, etc. sont-ils des vecteurs de l’idéologie et des politiques du parti démocrate-chrétien ? Absolument, ils sont méprisables, mais c’est la société, les utilisateurs, les clients qui les ont rendus tels. Ils ont aussi veillé à être ce qu’ils sont en termes d’influence. Et le gouvernement américain n’a rien fait à ce sujet. Alors, à quoi vous attendez-vous ? Que des recueils d’ordures du Comité national démocrate comme WaPo ou NYT commencent à publier mes articles ? Non. Ils ont leurs propres normes, aussi pathétiques soient-elles, dictées par leurs propriétaires et c’est tout. Ma question est la suivante : où peut-on trouver une véritable plate-forme conservatrice, dans un sens plus large, allant de sa propre infrastructure de réseau social à une presse écrite sérieuse ? Ce qui passe pour des médias « conservateurs » aux États-Unis est aussi conservateur que je suis chinois. Si le président des États-Unis mène sa « politique », ou plutôt son absence de politique, par le biais de ressources privées minables telles que Twitter et Fox News, un cloaque néolibéral néoconservateur, prétendant être « juste et équilibré », à quoi vous attendez-vous ? Les médias américains sont contrôlés de haut en bas par une classe aisée et ils ne permettront pas à une pensée conservatrice sérieuse d’être représentée, surtout parmi une génération qui est franchement stupide, a la capacité d’attention d’un poisson et est incapable de quitter son téléphone des yeux.

Hé, les milliardaires « conservateurs » et les soi-disant « patriotes » avec de l’argent, où est votre initiative, où est votre amour pour la « liberté d’expression », alors que vous ne pouvez même pas faire développer une plateforme alternative ? Oubliez la plateforme, il n’y a pas de penseurs conservateurs de bon niveau parmi vous. En fait, je doute qu’il y ait beaucoup de personnes vraiment brillantes dans ce qui passe aux États-Unis pour un mouvement « conservateur ». Alors, ne vous plaignez pas – vous avez eu une chance, vous l’avez gâchée, tout comme Donald Trump qui n’a rien fait pour changer quoi que ce soit dans les affaires qui comptaient vraiment, même en considérant un sabotage très réel de la part de l’establishment. L’impuissance à une échelle sans précédent. Que des paroles, pas d’actions. Maintenant, « big tech » ferme la porte à ceux qu’il n’aime pas ? Bien sûr. Vous vous attendiez à autre chose ?

Maintenant, avec tous ces discours lancés à la légère, nous ferions mieux de nous réveiller et de voir que l’hystérie des médias ne change absolument rien au consensus de Washington et que, si j’avais eu ma propre plateforme, j’aurais fait taire de très nombreuses idées « de gauche », parce que beaucoup d’entre elles, allant de l’institutionnalisation d’une perversion sexuelle à un racisme radical anti-blanc, méritent d’être rejetées du débat politique, comme étant destructrices et extrémistes. C’est ce que signifie l’adéquation. Quant au Parti républicain, c’est un spectacle bien plus dérangeant que de voir POTUS impuissant. Mais je tiens à préciser que si le Parti démocrate et ses politiques sont claires et présentent un danger, du moins ils en parlent ouvertement, le Parti républicain est une bande de lâches et de traîtres et, en tant que tel, il préside à la destruction du pays. Les whigs, ça vous dit quelque chose ? C’est le terme adéquat.

source : https://smoothiex12.blogspot.com

traduit par Réseau International




Biden et le pouvoir par la force

[Source : Réseau Voltaire via Réseau International]

[Photo : © AP / Julio Cortez]

par Thierry Meyssan

La prise du Capitole par des partisans du président Trump est présentée comme une tentative de coup d’État, alors que celui-ci est toujours à la Maison-Blanche. À bien y regarder, ce pourrait être l’inverse. La liberté d’expression a été confisquée par un pouvoir illégitime, au profit de Joe Biden.

Des boniments habituels

Pour « The West Australian », pour ses derniers jours, Donald Trump comme Adolf Hitler souhaite « le crépuscule des dieux ».

Àchaque élection présidentielle aux États-Unis, on nous explique que le sortant était un monstre, que l’on est désolé des crimes qu’il a commis, mais qu’une aube nouvelle se lève pour l’humanité avec l’accession d’un nouveau chef. Seule exception : l’élection de Donald Trump en 2016. À ce moment là et avant même qu’il ne prête serment, on nous expliquait que ce milliardaire avait été élu à la suite d’une regrettable erreur, qu’il était misogyne, homophobe, raciste, qu’il n’incarnait pas le « pays de la liberté », mais le suprémacisme des « petits blancs » et les intérêts des riches. Durant quatre ans, on ne cessa de nous convaincre que ce diagnostic était juste. On le traita de menteur et l’on passa sous silence ses idées et toutes ses réalisations.

Pour « Milliyet » (Turquie), la vertueuse Amérique est devenue folle.

Oui, car le choc causé par la prise du Capitole est tel que l’on veut bien croire n’importe quoi. Si les États-Unis se dirigent inexorablement vers la guerre civile [1], qu’allons-nous devenir, nous Occidentaux ?

C’est pourquoi nous n’avons pas voulu voir venir la crise qui débute. Seuls quelques journaux grecs avaient récemment exposé les raisons de la colère, que nous traitons depuis cinq ans déjà (c’est-à-dire avant l’élection de Trump).

C’est aussi pourquoi nous ne voulons pas la regarder en face et nous satisfaisons des commentaires aveugles selon lesquels cet épisode honteux n’aura pas de lendemain. Mais qui peut le croire ? Certes les choses vont se calmer un moment et la machine répressive va écraser les manifestants du 6 janvier, mais ce ne sera que partie remise et la guerre civile ne tardera pas.

D’ores et déjà, les non-Occidentaux ont compris que les États-Unis ont de tels problèmes intérieurs qu’ils ne pourront plus se poser en modèle pour le monde et encore moins donner des leçons de démocratie à ceux qu’ils veulent soumettre.

Des élections non-démocratiques

Selon « La Razon » (Espagne), l’insurrection aux États-Unis, ce sont les trumpistes qui ont pris le Capitole.

Lors de l’élection présidentielle de 2000, le monde éberlué a assisté au choix par la Cour suprême d’ignorer le recomptage des bulletins de vote en Floride. Conformément à la Constitution, elle déclara qu’elle n’avait pas à s’ingérer dans le scrutin d’un État fédéré et n’était contrainte que par la décision du gouverneur Jeb Bush qui avait déclaré que son frère George W. Bush avait été élu par ses administrés. Vingt ans plus tard, le monde assiste au rejet des 60 recours déposés par Donald Trump selon lesquels il y a eu des fraudes massives dans de nombreux États.

Ainsi que j’ai précédemment écrit, d’un point de vue juridique US, Al Gore, puis Donald Trump ont perdu. Mais d’un point de vue démocratique, ils ont probablement gagné. À vrai dire, il est impossible de le savoir précisément, mais au vu des résultats des autres élections qui avaient lieu au même moment, cela ne fait guère de doute. La seule chose que l’on peut affirmer, c’est que cette élection n’a rien de démocratique : le dépouillement est assuré par les gouverneurs qui, dans de nombreux États fédérés, choisissent eux-mêmes les fonctionnaires ou les sociétés privées qui le réaliseront. Au contraire, si le système était démocratique, le dépouillement serait effectué par des citoyens en public. Chacun a pu voir des urnes transportées hors des bureaux de vote vers un centre de dépouillement où des fonctionnaires les ouvraient, puis fermaient les rideaux empêchant les citoyens d’en savoir plus. Nul ne peut mettre en cause la sincérité de ces fonctionnaires, mais nul ne peut la garantir non plus. Une élection démocratique ne peut exister que dans la transparence. Par conséquent, cette élection est légale en droit US, mais tout simplement pas démocratique.

Des retournements de situation

Selon le « Corriere della Sera » (Italie), la fureur de Trump c’est l’assaut contre le Capitole.

Pour comprendre les évènements, nous devons observer deux retournements de situation qui ont précédé l’attaque du Capitole.

À la mi-décembre 2020, le président Trump a organisé une réunion au Bureau ovale à laquelle participait le général Michael Flynn. Celui-ci y a exposé son idée de loi martiale pour procéder à des élections transparentes [2]. La plupart des conseillers présents s’y sont opposés, malgré les changements de responsables qui avaient été opérés au Pentagone. Deux semaines plus tard, le 4 janvier 2021, les dix anciens secrétaires à la Défense toujours vivants signaient une brève tribune libre dans le Washington Post [3]. Ils assuraient que tous ceux qui tenteraient d’instaurer une éventuelle loi martiale devraient en répondre devant la Justice. L’unanimité des anciens secrétaires à la Défense atteste que ce projet de loi martiale était faisable et bien réel. Selon le Post [4], qui a reconstitué cette réunion en s’appuyant sur les confidences des anciens secrétaires à la Défense (qui n’y participaient pas, mais en ont été informés), le président Trump n’a jamais envisagé de se maintenir au pouvoir en faisant usage de la violence. Au contraire, il a porté des plaintes et soutenu diverses actions judiciaires pour faire annuler l’élection. Il se préparait à mener campagne pour revenir à la Maison-Blanche en 2025 [5].

Pour le « Hindustan Times » (Inde), les États d’Amérique ne sont plus unis, mais en feu.

Le vice-président Mike Pence, qui était soumis à de fortes pression des jacksoniens, a fait connaître sa position, le 6 janvier, le jour de la réunion des deux assemblées du Congrès en séance jointe [6]. Il constate que son rôle en tant que président de séance est purement cérémoniel et qu’il ne lui appartient pas de trancher le litige, même si une certaine lecture de la Constitution lui en donne théoriquement le droit. Il s’en remet donc aux parlementaires. Agir autrement aurait ouvert la guerre civile qui couve. Dans des moments pareils, chacun sait ce qu’il peut perdre et rares sont ceux qui acceptent de prendre un tel risque, particulièrement parmi les notables. Dès que cette position a été connue, plusieurs membres importants de l’équipe Trump ont donné leur démission. Les jacksoniens ont vécu ces revirements comme des lâchetés et des trahisons à leur idéal et à leur patrie.

Quelques heures plus tard, Donald Trump a tenu un meeting, non loin du Congrès, pour dénoncer une nouvelle fois une « élection volée » et annoncer son retour pour la campagne de 2024. Il n’a jamais appelé ses partisans à prendre le Capitole, même si certains ont pu le comprendre ainsi.

La prise du Capitole

Selon « L’Aube » (Grèce), « Le trumpisme est là et il nous menace »

Quelques groupes qui étaient marginaux durant le meeting ont tenté d’entrer dans le Capitole. Selon les vidéos, la police du Capitole les a laissés entrer sans opposer de véritable résistance. Les manifestants se sont d’abord comportés avec déférence en ce lieu à leurs yeux sacré. Cependant, ils avaient été infiltrés par un groupe d’Antifas. Sans que l’on sache ni pourquoi, ni comment, les choses ont soudain dégénéré. L’hémicycle a été envahi et des bureaux de parlementaires ont été saccagés.

Tous ceux qui ont vécu une guerre civile savent que c’est la pire des choses qui puisse arriver. Comme le philosophe anglais Thomas Hobbes, qui vécut la première guerre civile anglaise, ils sont tous persuadés qu’il vaut mieux subir un État tyrannique que d’être privé d’État (Le Léviathan [7]). Prendre le Capitole et éventuellement renverser « l’ordre » US est un acte lourd de terribles conséquences. Les choses ne sont pas allées jusque là. La police qui avait laissé les manifestants entrer dans le bâtiment les a soudain repoussés avec succès.

Le président Donald Trump a lui-même appelé au calme, mais sans son épouse. Selon la religion nationale US, la bénédiction de Dieu — et donc la paix et la prospérité— doit descendre par le président et la Première dame [8] sur le « peuple élu ». En choisissant de s’exprimer seul, Donald Trump a remis en cause la religion nationale.

Les réactions aux USA

D’après le « Daily Mirror » (Royaume-Uni), désormais aux États-Unis, c’est le gouvernement de la populace.

Des parlementaires démocrates, menés par la présidente de la Chambre Nancy Pelosi, ont immédiatement accusé le président Trump d’avoir lancé ses troupes à l’assaut du Congrès. Ils proposèrent de destituer le président Trump, même s’il ne lui restait que 13 jours de mandat, grâce au 25ème amendement, alinéa 4 de la Constitution. Cette manœuvre, qu’ils avaient déjà évoquée auparavant, permettrait de lui retirer le droit de se représenter.

Cependant le texte invoqué ne devrait pas s’appliquer en ce cas : il porte sur une incapacité imputable à la santé du président. Les débats lors de son adoption portaient sur la crise cardiaque qui empêcha le président Woodrow Wilson de remplir sa charge à la fin de son mandat (2 octobre 1919 au 4 mars 1921) et l’accident cérébral —moins grave— du président Dwight Eisenhower (24 septembre 1955 au 20 janvier 1961) qui le priva temporairement de certaines de ses facultés et le conduisit à partager ses pouvoirs avec son vice-président Richard Nixon.

La classe dirigeante a senti souffler le vent du boulet. Que la prise du Capitole ait été une faillite de sa police, comme on tente de nous en persuader, ou qu’elle ait été organisée sous faux drapeau par les ennemis de Donald Trump, ceux qui l’ont conçue ont la capacité de renverser les institutions et de limoger tout leur personnel.

Les réactions à l’étranger

Pour le « Boston Hérald » (USA), c’est le chaos.

Après un siècle de domination par les États-Unis, le reste du monde ne sait toujours pas ce qu’ils sont. Il ignore que la Constitution avait été écrite pour établir un régime inspiré de la monarchie britannique et qu’elle fut rééquilibrée par 10 amendements qui garantissent les droits des gens. Le pays qu’Alexis de Tocqueville décrit dans De la Démocratie en Amérique [9] est celui de ce compromis, un pays de liberté, mais cet équilibre a été rompu au cours des années Obama. Aveuglé, le reste du monde n’a pas vu que les États-Unis sont redevenus ce qu’ils étaient les quatre premières années de leur fondation : un système oligarchique, cette fois au service d’une classe de milliardaires internationaux. Il a délibérément ignoré la détresse des ex-classes moyennes, les regroupements de population par affinités culturelles et la préparation de deux tiers de la population à la guerre civile.

Les médias chinois ne peuvent s’empêcher de constater le deux poids, deux mesures en comparant les photos de la prise de l’assemblée de Hong Kong par une foule survoltée et celles de Washington. Tandis que les médias russes, occupés par la fête de Noël orthodoxe sourient désabusés devant leur rival historique à terre.

De leur côté, les médias occidentaux ont adhéré sans réserve à la « cancel culture » néo-puritaine qui détruit tous les symboles républicains et les remplace par d’autres glorifiant les minorités, non pour ce qu’elles font, mais parce qu’elles sont minoritaires. Ce faisant, ils se sont un peu plus identifiés à l’idéologie qui oppresse « l’Amérique » [10]. Vassaux soumis, ils ont présenté l’élection US comme si leurs lecteurs allaient y participer et Joe Biden comme leur nouveau maître.

Le « Chicago Tribune » (USA) ne dénonce pas la sédition, mais voit l’insurrection.

Réagissant aux évènements du Capitole, les dirigeants européens prennent leurs rêves pour des réalités : le président allemand et ancien chef des services secrets, Frank-Walter Steinmeier, a déclaré que des manifestants pro-Trump armés avait pris le Capitole ; tandis que le président français et ancien secrétaire d’un philosophe connu, Emmanuel Macron, a dénoncé une atteinte au principe fondamental de la démocratie « Un homme, une voix ».

Non. À quelques exceptions près, les manifestants du Capitole n’étaient pas armés.
Non. La Constitution US ne pose pas du tout l’égalité entre des citoyens de chaque État fédéré.
Oui. C’est bien la classe dirigeante US qui méprise la démocratie et les jacksoniens qui la défendent.

« Dieu nous aide ! », proclame le « Philadephia Daily News » (USA). « La guerre non-civile en est arrivée à ce point : des émeutiers ont pris le Capitole »

Déjà les très grandes fortunes qui se tiennent derrière Joe Biden se sont emparées du pouvoir. Elles ont mis fin à la liberté d’expression. Elles ont « préventivement » fermé les comptes Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat et Twitch de la Maison-Blanche, du président Trump et de ses supporters afin de « les empêcher d’appeler à de nouvelles violences » (sic). Ce faisant, elles se sont arrogé les pouvoirs de la Justice et ont échappé au décret Trump du 28 juin 2020 les enjoignant de choisir entre le statut de transporteur neutre d’information ou celui de producteur engagé d’information [11].

Thierry Meyssan

[Notes]

[1] « La guerre civile devient inévitable aux USA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 décembre 2020.

[2] « Le général Flynn, QAnon et les élections US », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 1er décembre 2020.

[3] “The time for questioning the election results has passed”, Washington Post (United States) , Voltaire Network, 4 January 2021.

[4] “Trump’s final efforts to overturn election create discomfort for the military”, Paul Sonne & Missy Ryan & Ellen Narashima, The Washington Post, January 6, 2021.

[5] “‘I’ll See You in Four Years’ : Trump and the Ghost of Grover Cleveland”, Peter Baker, The New York Times, January 3, 2021

[6] “Mike Pence letter to Members of Congress”, by Mike Pence, Voltaire Network, 6 January 2021.

[7] Leviathan or the matter, forme, & power of a common-wealth ecclesiastical and civil, Thomas Hobbes, 1651

[8] Contrairement à une idée reçue, la fonction de « Première dame » n’est pas cérémonielle, mais religieuse. Elle incombe à l’épouse du président et, s’il est célibataire, divorcé ou veuf, à une femme de sa famille qu’il désigne.

[9] De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville, Gosselin (1re partie 1835 2ème partie 1840.).

[10] Les Occidentaux sont persuadés que les Noirs et les Hispaniques ont tous voté contre Trump. En réalité ses électeurs comptaient 18 % d’Afro-Américains et 37 % de Latinos selon les instituts de sciences politiques.

[11] “Executive Order on Preventing Online Censorship”, by Donald Trump, Voltaire Network, 28 May 2020.




La pandémie « SPARS » 2025-2028 : découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA). MàJ

[Source : michelledastier.com]

Le plan du deep state de plus en plus révélé :

Saviez-vous que la banque mondiale a programmé la Covid-19 jusqu’au 31 mars 2025 ?

Et qu’en suivra la pandémie « SPARS » 2025-2028 ?

Découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA)

(voir page 6 du document PDF à télécharger sous la vidéo)
Ce script ne concerne pas uniquement les États Unis d’Amérique mais le monde entier.

NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aussi célèbre que la tour Eiffel en France.

SOURCES :

https:/humansarefree.com/2020/12/spars-pandemic-2025-2028-simulation-2017-coronavirus-plandemic-covid-19.html

http:/documents1.worldbank.org/curated/en/993371585947965984/pdf/World-COVID-19-Strategic-Preparedness-and-Response-Project.pdf


[Mise à jour : comme complément d’information, voir Guy Boulianne — Il y a trois ans, l’Université Johns Hopkins avait préparé un scénario futuriste sur une pandémie SPARS qui se poursuivrait jusqu’en 2025-2028.]




Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil

[Source : Sott.net]

Alexander Dugin — Geopolitica.ru

Sur le plan géopolitique [russe – NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c’est encore le cas aujourd’hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd’hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.

La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l’autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d’exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.

Cette fois, il n’y a pas eu d’élections mais un coup d’État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd’hui, les États-Unis sont sous le contrôle d’une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.

Mais c’est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d’autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu’ils sont. Et c’était déjà le cas avant même qu’ils n’approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd’hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C’est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d’un moment donné, le mensonge vous utilisera.

La lutte principale se situe désormais clairement au niveau international. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd’hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l’Occident et l’Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.

Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu’un dernier service rendu à l’État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d’une vraie liberté et d’une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu’étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu’orientales.

Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n’existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s’agit donc d’un même combat mené à l’échelle mondiale.

Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censureIl nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d’un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction – NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux – NdT]. Ils prouvent désormais qu’ils sont bel et bien le message [et non le messager – NdT]. Et le message s’avère être unilatéral.

Je ne suis pas d’accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l’assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d’une 5e colonne. Non. Il s’agissait d’une réponse symétrique de l’autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n’a pas le privilège dans l’organisation de guerres mimétiques et dans l’usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s’attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d’émeutes. Ce qui s’est produit sur la colline du Capitole n’était qu’une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l’existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l’aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n’a jamais envoyés.

Note du traducteur : En ce qui concerne l’existence d’une 5e colonne ou pas, il n’en reste pas moins qu’une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d’une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l’image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu’il affirme l’avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l’inverse ? N’est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion… Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l’esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L’auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l’évidence.

© Inconnu

Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l’Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.

Le vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs… Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu’ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu’ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu’ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d’entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu’ils le font avec nous. Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l’humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n’a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l’hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n’est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l’intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.

Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c’est l’abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d’Ashley Babbitt n’est que la première goutte.

Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma – NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.

Le Mal ultime s’est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l’enfer.

Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru
Traduction : Sott.net




Nouvelles de la vérité brutale #2

[Source : Amélie Paul (odysee.com) ou Amélie Paul]

« Des gars comme Antony Fauci qui disent n’importe quoi. Il ne connaît rien du tout à propos de rien. Et je lui dirai en pleine face. Rien. Le gars pense qu’on peut prélever un échantillon de sang et le mettre sous un microscope électronique et que s’il contient un virus on va le savoir. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine et il ne devrait pas être dans la position dans laquelle il est. La plupart de ces gens au sommet sont seulement des administrateurs et n’ont aucune idée de ce qui se passe en bas. Vous savez, ces gens-là ont un agenda, et ce n’est pas ce que nous voulons, étant donné que nous les payons pour qu’ils prennent soin de notre santé. Ils ont un agenda personnel. Ils créent leurs propres règles au fur et à mesure. Ils les changent quand ils veulent. Et ils sont arrogants, comme Tony Fauci qui n’a aucun problème à aller à la télévision devant les gens qui paient leur salaire et leur mentir directement à la caméra. On ne peut pas s’attendre à ce que les moutons respectent vraiment les meilleurs et les plus brillants. Ils ne font pas la différence. Je veux dire, j’aime les humains, ne vous méprenez pas. Mais essentiellement, il y a une très grande majorité d’entre eux qui ne possèdent pas la capacité de juger qui est un très bon scientifique et qui ne l’est pas. Je veux dire, c’est un problème de la science depuis le siècle dernier, parce que ceux qui jugent la science et lui accordent du financement ne la comprennent pas. »

Kary Mullis, inventeur du test PCR (7 min 50 à 9 min 20)




Élections Américaines — la fraude de Biden déclarée…

[Source : cogiito.com]

Par P.A. Jandrok 

Le professeur Alfio D’Urso avocat de la Cour suprême italienne lit un affidavit avec le témoignage d’Arturo D’Elia, qui témoigne sous serment qu’il est responsable du vol des élections américaines. Voir la vidéo…

Transcription de la vidéo


Le professeur Alfio D’Urso Laywer de Via Vittorio Emanuele, Catane, 95131 Italie, fournit par la présente l’affidavit de faits suivant, tel qu’il a été communiqué lors de plusieurs réunions avec un haut responsable des services de sécurité de l’armée:

Arturo D’Elia, ancien chef du département informatique de Leonardo SpA, a été inculpé par le procureur de Naples pour manipulation de technologie / données et implantation de virus dans les principaux ordinateurs de Leonardo SpA en décembre 2020.

«Sous la distraction et la direction de personnes américaines travaillant depuis l’ambassade des États-Unis à Rome, opération visant à faire passer les données de l’élection américaine du 3 novembre 2020 d’une marge de victoire significative de Donald Trump à Joe Biden. . . dans un certain nombre d’états où Joe Biden perdait le total des votes.

LE DÉFENDEUR DÉCLARE QU’IL TRAVAILLAIT DANS LES INSTALLATIONS DE PESCARA DE LEONARDO SPA ET A UTILISÉ DES CAPACITÉS DE CRYPTAGE DE GUERRE CYBERNÉTIQUE DE QUALITÉ MILITAIRE POUR TRANSMETTRE ET ÉCHANGER DES VOTES VIA UN SATELLITE MILITAIRE DE LA TOUR FUCINO À FRANCFORT, EN ALLEMAGNE.

Le défendeur jure que, dans certains cas, les données peuvent avoir été échangées pour représenter plus que le total des électeurs inscrits.

Le défendeur déclare qu’il est prêt à témoigner devant toutes les personnes et entités impliquées dans le transfert de voix de Donald Trump à Joe Biden lorsqu’il sera en totale protection pour lui-même et sa famille.

Je déclare et jure que les faits mentionnés ci-dessus ont été énoncés en ma présence




Élections américaines et satellite militaire italien

[Source : Ciel voilé]

Actuellement, après un second avertissement, la chaîne YouTube de Ciel voilé est interdite de nouvelle publication pendant deux semaines.

Un troisième avertissement entraînerait la suppression totale d’un travail commencé en février 2014.

Nous avons donc ce jour sous-titré une partie de l’interview de Bradlev Johnson, ci-dessous en anglais, et nous l’avons publiée sur Brighteon. Mais là aussi l’accès est « censuré ».

Nous publions donc le texte des sous-titres.

https://youtu.be/Ra1gJWmLxTw
Elections américaines et satellite militaire italien

Il existe une société qui s’appelle Léonardo. Et c’est une entreprise énorme comme SAIC ou Lockheed Martin où des sociétés de cette importance qui ont des contrats avec les gouvernements. Celles du complexe militaro-industriel. Des contrats de milliards de dollars. Avec des choses énormes y compris des satellites nationaux. Et c’est important. C’est quelque chose à quoi j’ai déjà fait allusion. Mais la manière dont cela se passe actuellement, les résultats des élections américaines ont été modifiés. Il y a eu toutes sortes de modifications. Et dans ces cinq ou six états clés : toutes ces machines de vote étaient connectées à internet. Internet a été utilisé pour télécharger ces informations vers ces fameux serveurs en Allemagne. Mais le passage dans un serveur ne laisse pas de traces. Donc, on suppose que le gouvernement est allé voir, le ministère de la Défense est allé voir ces serveurs. On oublie toutes ces histoires à propos de Gina Haspel qui aurait été visée. Tout cela n’a pas de sens. Rien de tout cela n’est arrivé. Est-ce que ces serveurs étaient surveillés ? Oui. Je pense que les serveurs étaient surveillés mais ils n’ont pas été emmenés. Donc une information passant dans ce serveur, ne laisse pas de traces. Donc, Il n’y a pas grand chose à voir. Vous pouvez voir un sursaut d’activité. Mais c’est tout. Mais de là elles étaient téléchargées et envoyées à Rome. Et c’est là que tout s’est passé. Et ce qui a été dit à Rome, en Italie, c’est que cela s’est passé dans l’Ambassade des États-Unis à Rome. Il y avait là un gars du département d’État, qui est-il ? Je ne sais pas. Je pense qu’on le saura bientôt en Italie. Et il était non pas le cerveau, mais celui qui était en charge de l’opération de changer les votes. Et il faisait cela avec une aide de MI6, de la CIA et de ce groupe Léonardo. Léonardo, cette entreprise qui a d’énormes contrats. Donc, tout cela était centralisé à Rome. Et donc les machines de vote étaient téléchargées par ces serveurs en Allemagne et renvoyées sur Rome. Donc ces gens observaient les données brutes. Ce sont eux qui ont dit « fermez ces cinq ou six états au même moment exactement ». Et le problème était que les algorithmes étaient surchargés. Que ce qu’ils avaient prévu ne marchait pas. Parce que Trump obtenait tant de votes, un record de votes parmi les noirs, les hispaniques, tout le monde votait pour Trump. Et donc cela faussait tous les algorithmes et ce qu’ils avaient prévu ne marchait pas. C’est pourquoi tout devait être arrêté. Donc ils ont tout téléchargé, ce qui leur a donné le temps de tout analyser et de créer de nouvelles « analogies », qui ensuite permettraient de rendre les votes favorables à Biden. Et donc une fois qu’ils ont créé les nouvelles données, et manipulé toutes les informations qui étaient là, ils ont renvoyé ces nouveaux résultats vers ce satellite militaire italien géré par Léonardo. C’était un satellite crypté, qui les a renvoyés aux serveurs et aux machines de vote aux Etats-Unis dans ces cinq ou six états.




Mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique COVID-19

[Source : Le Saker Francophone]


Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux.


Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

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Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.

Introduction – Pandémie iatrogène de panique

Le contexte politico-sanitaire est un contexte dans lequel, jusqu’en 2019, le consensus scientifique et politique passé en revue était que les mesures globales généralement et universellement appliquées en 2020 étaient [1] [2] :

  • non recommandées sans être justifiées par des preuves quantitatives suffisantes des circonstances épidémiologiques locales (juridictionnelles) (transmissibilité, gravité de la maladie, impact), et sans être mises en balance avec les préjudices économiques, sanitaires et sociaux locaux qui en résultent
  • pour de nombreuses mesures (recherche des contacts, mise en quarantaine des personnes exposées, contrôle des entrées et des sorties, fermeture des frontières), « non recommandé en aucune circonstance », quelle que soit la gravité de la maladie respiratoire virale pandémique (modérée, élevée ou extraordinaire)

Le contexte politico-sanitaire est également un contexte dans lequel il existe une histoire récente documentée de « paniques répétées de pandémie de santé » dans laquelle « les experts en maladies souhaitent attirer l’attention du public et faire pencher les décisions d’allocation de ressources en faveur de la maladie qui les intéresse »[3]. Bonneux et Van Damme, en 2011, l’ont exprimé ainsi [4] :

Les paniques répétées de pandémie de santé causées par un virus aviaire H5N1 et un nouveau virus de grippe humaine A(H1N1) font partie de la culture de la peur [réf.] Le pire des scénarios a remplacé l’évaluation équilibrée des risques. Le pire des scénarios est motivé par la conviction que le danger auquel nous sommes confrontés est tellement catastrophique que nous devons agir immédiatement. Plutôt que d’attendre des informations, nous avons besoin d’une frappe préventive. Mais si les ressources achètent des vies, le gaspillage des ressources gaspille des vies. Le stockage préventif d’antiviraux largement inutiles et les politiques irrationnelles de vaccination contre un virus H1N1 exceptionnellement bénin ont gaspillé plusieurs milliards d’euros et érodé la confiance du public dans les responsables de la santé. [réf.] La politique de lutte contre la pandémie n’a jamais été guidée par des preuves, mais par la crainte des pires scénarios.

En outre, un important scandale de conflit d’intérêts concernant les recommandations de l’OMS en matière de pandémie de grippe a été exposé en détail en 2010, où les enquêteurs Cohen et Carter ont conclu : « Parmi les principaux scientifiques qui conseillent l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe, certains ont fait un travail rémunéré pour les entreprises pharmaceutiques qui ont tout à gagner des conseils qu’ils ont rédigés. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été rendus publics par l’OMS »[5]

En 2020, rien de tout cela n’avait d’importance. Nous sommes entrés dans un monde de propagande, avec des institutions captives. Le principe de précaution (le gouvernement doit prouver l’absence probable de dommages avant d’imposer des politiques dangereuses) a été renversé, et la charge de la preuve a été imposée à la science pour justifier a posteriori des mesures sans précédent, rapidement imposées en l’absence de science ou même en s’opposant à elle. Malheureusement, une grande partie ou la plupart de l’establishment scientifique s’est conformé au nouveau programme.

Récemment, il y a eu à la fois des événements dramatiques (lancement du vaccin) et des communications scientifiques importantes, depuis que j’ai publié mes deux premiers articles scientifiques concernant la politique autour de la COVID-19, le 11 avril 2020 [6] et le 3 août 2020 [7], ainsi que des articles sur les préjudices mortels des réponses gouvernementales, déduits des données sur la mortalité toutes causes confondues, dépendantes du temps et de la juridiction [8] [9].

Mes deux premières analyses ont porté sur la science et la politique des masques [10] [11]. La présente mise à jour des développements récents porte à nouveau sur les masques, et comprend en outre des points clés sur les mesures de confinement et les vaccins.

La rigueur des mesures n’a aucun effet sur le nombre total de décès attribués à la COVID-19

Deux grandes études récentes ont été menées à l’échelle mondiale.

Dans leur article du 21 juillet 2020 intitulé « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de l’état de préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité de la COVID-19 et les résultats sanitaires associés » (50 pays), Chaudhry et al. ont indiqué [12] :

La fermeture rapide des frontières, le confinement total et les tests à grande échelle n’ont pas été associés à la mortalité de la COVID-19 par million de personnes. (Résumé / Résultats)

Lorsque la mortalité de la COVID-19 a été évaluée, les variables significativement associées à une augmentation du taux de mortalité par million étaient la prévalence de l’obésité dans la population et le PIB par habitant. En revanche, les variables qui étaient négativement associées à une augmentation de la mortalité de la COVID-19 étaient la réduction de la dispersion des revenus au sein de la nation, la prévalence du tabagisme et le nombre d’infirmières par million d’habitants. En effet, un plus grand nombre d’infirmières dans un système de soins de santé donné était associé à une réduction de la mortalité. Les taux de mortalité étaient également plus élevés dans les comtés dont la population était plus âgée […]. Enfin, les mesures gouvernementales telles que la fermeture des frontières, le confinement total et un taux élevé de tests COVID-19 n’ont pas été associées à des réductions statistiquement significatives du nombre de cas critiques ou de la mortalité globale. (Section 3.4)

Dans leur article du 19 novembre 2020 « Mortalité du fait de la COVID-19 : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées » (160 pays), De Larochelambert et al. ont trouvé [13] :

Résultats : Des taux de mortalité plus élevés sont observés dans les zones de latitude [25/65°] et de longitude [-35/-125°]. Les critères nationaux les plus associés au taux de mortalité sont l’espérance de vie et son ralentissement, le contexte de santé publique (fardeau des maladies métaboliques et non transmissibles (MNT) par rapport à la prévalence des maladies infectieuses), l’économie (produit national de croissance, soutien financier) et l’environnement (température, indice ultra-violet). La rigueur des mesures mises en place pour lutter contre la pandémie, y compris le confinement, ne semble pas être liée au taux de mortalité.

Conclusion : Les pays qui ont déjà connu une stagnation ou une régression de l’espérance de vie, avec des revenus et des taux de mortalité élevés, ont eu le plus lourd tribut à payer. Ce fardeau n’a pas été allégé par des décisions publiques plus strictes. Des facteurs inhérents ont prédéterminé la mortalité de la Covid-19 : leur compréhension peut améliorer les stratégies de prévention en augmentant la résilience de la population grâce à une meilleure condition physique et une meilleure immunité. (Résumé)

L’American Institute for Economic Research (AIER Staff) a passé en revue ces études et 22 autres études qui aboutissent à des conclusions similaires, dans son rapport du 19 décembre 2020 intitulé « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves » [14].

Par conséquent, dans l’ensemble, le nombre total de cas critiques et le nombre total de décès étaient associés à l’état de santé préexistant et à l’état sociétal de la population, et cela n’a pas été amélioré par les mesures gouvernementales visant à ralentir la transmission.

Il est important de noter qu’en plus des études sur les associations avec la mortalité totale, la dépendance temporelle et la granularité (dépendance juridictionnelle) de la mortalité toutes causes confondues montrent que la déclaration de pandémie de l’OMS du 11 mars 2020 et la recommandation universelle de « préparer vos hôpitaux » ont été suivies d’un grand nombre de décès, probablement induits par les infections et le confinement strict des maisons de soins non ventilées pour les personnes malades et âgées [15] [16].

La pandémie iatrogène de propagande en terme de psychologie de masse et la sociologie autour de la COVID-19 de 2020 commencent à être étudiées par des méthodes quantitatives [17].

La corruption de la science est mise à nue – Masques et PCR

Un aspect positif de ce que l’on peut appeler la « pandémie de propagande » actuelle est que la corruption systémique généralisée de l’establishment scientifique est exposée, non seulement par des rétractations très médiatisées d’articles publiés dans des revues de premier plan, mais aussi par des éditoriaux critiques. Par exemple, le 13 novembre 2020, le rédacteur exécutif Kamran Abbasi l’a exprimé en termes très clairs dans les pages de l’éminent BMJ [18] :

La science est supprimée pour des raisons politiques et financières. La Covid-19 a déclenché une corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. [réf] Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.

J’en donne trois exemples.

Premièrement, le biais systémique est palpable dans une mini-saga récente sur les masques, publiée dans les pages du New England Journal of Medicine [19] [20] [21].

Gandhi et Rutherford ont écrit un article intitulé « Perspective », publié le 29 octobre 2020 [22]. Les auteurs avancent l’idée extraordinaire que se masquer réduit la gravité de la maladie chez les personnes infectées. Ils commencent par l’affirmation propagandiste selon laquelle le masquage facial universel est « l’un des piliers de la lutte contre la pandémie de Covid-19 ». Ils poursuivent en avançant l’argument fantastique suivant : les masques peuvent réduire l’inoculum viral et donc provoquer des infections asymptomatiques dans lesquelles le sujet développe une immunité. Cela a alarmé les répondants car le mécanisme proposé est ce que l’on pourrait appeler « l’immunité acquise naturellement grâce aux masques ». Admettre tout type d’immunité naturelle, qui est une dure réalité de la biologie de l’évolution, est devenu sacrilège.

Deux groupes de chercheurs ont publié des réfutations contre Gandhi et Rutherford, dans la même revue.

Rasmussen et al. ont écrit [23] :

Il n’y a pas suffisamment de preuves pour soutenir l’affirmation selon laquelle les masques réduisent la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 et la gravité de la Covid-19, et encore moins que leur utilisation peut induire une immunité protectrice. […] La suggestion que les masques offrent une alternative à la vaccination sans preuve que les bénéfices l’emportent sur les grands risques encourage implicitement les comportements irresponsables.

Brosseau et al. ont, pour leur part, réajusté diplomatiquement les vues exposées par Gandhi et Rutherford en ramenant les lecteurs à la science et à la réalité établies [24] :

La réplication virale est liée à la dose, mais la gravité de la maladie ne l’est pas. L’épidémiologie indique que l’apparition de formes graves de Covid-19 est associée à des conditions préexistantes et à d’autres facteurs de risque, tels que l’âge, le sexe et la grossesse [réf].

Bien qu’elle n’ait pas encore été démontrée dans des modèles expérimentaux, la dose infectieuse du SRAS-CoV-2 est probablement similaire à celle du SRAS-CoV – environ 300 virions [réf]. Quelle que soit la gravité de la maladie, les gens présentent des charges virales élevées et un virus infectieux pendant au moins 8 jours après l’apparition des symptômes. La parole normale peut générer jusqu’à 3000 particules de 1 micron par minute dans l’air expiré, [ref] et chaque particule pourrait contenir plus de 250 virions, ce qui signifie qu’une seule minute de parole génère potentiellement plus de 750 000 virions. Les revêtements de visage en tissu ont une efficacité très variable en fonction de la capacité de filtrage et de l’ajustement. Le port d’un couvre-visage en tissu à proximité d’une personne infectée pendant plusieurs minutes peut ne pas empêcher la réception d’une dose infectieuse, qui, comme indiqué ci-dessus, n’est pas corrélée à une maladie moins grave.

Les auteurs de l’article original n’ont pas été dissuadés et ont répondu :

« Plus de preuves s’accumulent pour supporter cette idée » et « il y a de plus en plus de preuves à la fois physiques et d’enquêtes épidémiologiques que les masques en tissu (s’ils sont portés correctement) réduisent à la fois la transmission et l’acquisition » [25] L’examen de leurs sources montre que les auteurs ont une vision généreuse de ce qui peut constituer une « preuve » à l’appui. Voir également [26], concernant la tournure que prend l’« accumulation de preuves » dans le contexte politique des masques faciaux.

Deuxièmement, un exemple étonnant, toujours à propos des masques, est fourni dans les pages de Nature Medicine. Ici, l’équipe de prévision de la COVID-19 de l’IHME, le 23 octobre 2020 (« étude de l’IHME »), a déclaré que le port universel de masque serait d’une grande utilité aux États-Unis [27] :

L’utilisation du port universel de masque pourrait sauver 129 574 (entre 85 284 – 170 867) vies supplémentaires entre le 22 septembre 2020 et la fin février 2021, ou 95 814 (entre 60 731 – 133 077) vies supplémentaires en supposant une adoption moindre du port du masque (85%), par rapport au scénario de référence. (Résumé)

Si les masques offrent un avantage aussi important, il est impossible de comprendre comment aucun des nombreux grands essais contrôlés randomisés (ECR) dont les résultats sont vérifiés, n’a détecté cet avantage. Il est impossible d’obtenir les résultats négatifs souvent répétés dans les études ECR de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire, si les prémisses et les conclusions de l’étude IHME sont correctes. L’étude de l’IHME a été réfutée avant même sa publication.

L’étude de l’IHME est fatalement défectueuse sur au moins deux points :

  1. La méta-régression utilisée pour estimer (« suggérer », selon leurs termes) que le port universel du masque permet une réduction de 40% et plus de la transmission est sans valeur, et est le fruit d’un biais constructif ;
  2. Ils ont utilisé des données incorrectes pour évaluer la conformité du masquage de la population américaine pour la période concernée.

Cette dernière faille fatale a été exposée par Magness, dans son rapport publié dans le Wall Street Journal, intitulé « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées » [28] :

Malheureusement, les conclusions des modélisateurs de l’IHME contenaient une erreur que même un examen minimal aurait dû permettre de détecter. Le nombre prévu de vies sauvées et le cas implicite d’une obligation de port de masques sont basés sur une statistique erronée. En utilisant une enquête datant de plusieurs mois, les modélisateurs de l’IHME ont supposé à tort que le taux d’adoption de masques aux États-Unis ne s’élevait qu’à 49% à la fin du mois de septembre, et qu’il y avait donc une grande marge de manœuvre pour passer à une « adoption universelle », définie comme 95%, ou à un taux plus plausible de 85%. Cependant, selon les résultats d’une enquête plus récente, le taux d’adoption de masques aux États-Unis tourne autour de 80 % depuis l’été.

Magness ne fait aucune mention de la prémisse fictive de l’étude de l’IHME selon laquelle le port universel de masques réduit la transmission de 40 % et plus.

Troisièmement, dans l’un des plus grands scandales de l’épisode COVID-19, un test d’amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n’est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l’infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.

Le dit test RT-PCR a été présenté ainsi par Corman et al. [29], et leur propre article indique :

Nous avions pour objectif de développer et de déployer une méthodologie de diagnostic robuste à utiliser dans les laboratoires de santé publique sans disposer de matériel viral. […]

Dans toutes ces situations [toutes les applications passées de la RT-PCR pour « détecter les virus responsables des sécrétions respiratoires »], les isolats de virus étaient disponibles comme substrat principal pour établir et contrôler les tests et les performances des tests.

Dans le cas présent du 2019-nCoV, les isolats de virus ou les échantillons provenant de patients infectés ne sont pas encore disponibles pour la communauté internationale de la santé publique. Nous faisons ici rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de diagnostics pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV, conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le CoV-SARS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. […]

Le présent rapport décrit la mise en place d’un processus de diagnostic pour la détection d’un virus émergent en l’absence de sources physiques d’acide nucléique génomique viral. La rapidité et l’efficacité de l’effort actuel de déploiement et d’évaluation ont été rendues possibles par les réseaux de recherche nationaux et européens mis en place en réponse aux crises sanitaires internationales de ces dernières années, ce qui démontre l’énorme capacité de réaction qui peut être dégagée par l’action coordonnée des laboratoires universitaires et publics [réf]. Cette capacité des laboratoires ne soutient pas seulement les interventions immédiates de santé publique, mais permet aux sites d’enrôler des patients lors de réponses rapides de recherche clinique.

Un consortium international de scientifiques des sciences de la vie estime que l’article de Corman et al. présente des lacunes technologiques et méthodologiques fatales : Voir le rapport de Borger et al qui concluent, parmi plusieurs critiques, que [30] :

Il s’agit là de graves erreurs de conception, puisque le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments de virus. Le test ne peut pas être utilisé comme un diagnostic pour les virus du SRAS.

En outre, l’absence du gène HE dans le CoV-1 et le CoV-2 du SRAS fait de ce gène le témoin négatif idéal pour exclure d’autres coronavirus. Le document de Corman-Drosten ne contient pas ce contrôle négatif, ni aucun autre contrôle négatif. Le test PCR du papier Corman-Drosten ne contient donc ni témoin positif unique ni témoin négatif permettant d’exclure la présence d’autres coronavirus. Il s’agit là d’un autre défaut de conception majeur qui classe le test comme inadapté au diagnostic.

Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol ; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’était pas déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été « la première » à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise à relecture [réf] ; de plus, Victor Corman & Christian Drosten ont omis de mentionner leur deuxième affiliation : le laboratoire de test commercial « Labor Berlin ». Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire [réf.] et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.

À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile.

Bon nombre des critiques de Borger et al ont déjà été prouvées par des vérifications détaillées en laboratoire, comme le remarquable article de Singanayagam et al [31], qui utilise la RT-PCR avec le gène cible RdRp, qui montre (en particulier leur figure 3 A) :

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

De tels résultats concernant la fausse détection de virus présumés viables ont également été obtenus dans la grande étude plus récente de Jaafar et al. [32] qui ont utilisé l’amplification par RT-PCR du gène E que l’on pense être un peu moins spécifique du SRAS-CoV-2.

Il est clair que le test RT-PCR utilisé dans le monde entier est en soi sans valeur. Il produit de grandes quantités de « positifs » qui ne correspondent à aucun virus infectieux viable, qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’un autre. On n’y remédie que partiellement si les laboratoires se limitent à des Ct<30, sans parler du grand potentiel d’autres mauvaises pratiques de laboratoire sur le terrain.

Ajoutez à cela la malhonnêteté de la santé publique qui consiste à fabriquer une nouvelle définition de ce qui constitue un « cas ». Un « cas » est défini en médecine comme une infection active, symptomatique et diagnostiquée. Ce n’est plus le cas. Tout cas « positif » dans le « test » RT-PCR défectueux est désormais considéré comme un « cas ». La campagne massive de tests RT-PCR de la population générale asymptomatique, qui n’a aucune utilité clinique ou épidémiologique, alimente ainsi la propagande médiatique de la peur, avec des conséquences désastreuses : Tests RT-PCR non pertinent → signifie « cas » → propagande → mesures arbitraires / plus grand mal → popularité des dirigeants [33]

La transmission ne se fait pas par contact

Le 17 septembre 2020, une étude approfondie a été publiée par Meyerowitz et al [34] dans l’une des principales revues médicales du monde, Annals of Internal Medicine, qui a conclu ce qui aurait dû être évident dès le départ, même pour l’OMS : La transmission par contact des maladies respiratoires virales, y compris le SRAS-CoV-2, est hors sujet.

Selon les termes de Meyerowitz et al :

Des preuves solides provenant de rapports de cas et de groupes de cas indiquent que la transmission respiratoire est dominante, la proximité et la ventilation étant les principaux déterminants du risque de transmission. Dans les quelques cas où un contact direct ou une transmission fomitive est présumé, la transmission respiratoire n’a pas été complètement exclue. L’infectiosité atteint son maximum environ un jour avant l’apparition des symptômes et diminue dans la semaine qui suit, et aucune transmission liée tardivement (après qu’un patient a eu des symptômes pendant environ une semaine) n’a été documentée. Le virus présente une dynamique de transmission hétérogène : La plupart des personnes ne transmettent pas le virus, tandis que certaines provoquent de nombreux cas secondaires dans des groupes de transmission appelés « super-dispersion ». (Résumé)

[…] Il n’existe actuellement aucune preuve concluante de la transmission par fomite ou par contact direct du SRAS-CoV-2 chez l’homme.

Cette conclusion a des implications de grande portée :

  • Elle signifie que la « recherche des contacts » est une absurdité pour les maladies respiratoires virales. Il n’est donc pas étonnant que l’OMS ait recommandé en 2019 que la recherche des contacts soit « déconseillée en toutes circonstances » (voir ci-dessus). Pourquoi l’OMS a-t-elle rejeté la transmission par aérosol pour la COVID-19 ? C’est de l’anti-science arbitraire. [35]
  • Cela signifie que le lavage compulsif des mains et le nettoyage des surfaces sont des absurdités épidémiologiques, avec des conséquences négatives évidentes, comme les rappels massifs de désinfectants toxiques [36].
  • Cela signifie que les gouvernements et l’OMS ont été négligents pendant plus d’une décennie en n’étudiant pas, en ne recommandant pas et en ne mettant pas en œuvre des politiques de ventilation axées sur la transmission pour l’environnement bâti. En fait, l’OMS a enterré son propre rapport d’experts sur le sujet de 2009, sous la rubrique « eau / assainissement / santé » sur son site web [37], et un article de synthèse exhaustif du domaine public a été publié en 2007 [38].
  • Cela signifie que le verrouillage des portes et des fenêtres des maisons de soins pour personnes âgées constitue le pire scénario possible pour prévenir les épidémies dans les maisons de soins [39] [40].

Li et al [41] ont conclu (leur étude a été citée plus de 600 fois) :

Dix des 40 études examinées ont été considérées comme concluantes en ce qui concerne l’association entre la ventilation des bâtiments et la transmission d’infections aéroportées. Il existe des preuves solides et suffisantes pour démontrer l’association entre la ventilation, les mouvements d’air dans les bâtiments et la transmission / propagation de maladies infectieuses telles que la rougeole, la tuberculose, la varicelle, la grippe, la variole et le SRAS. (Résumé)

J’ai fait valoir que c’est précisément parce que la principale voie de transmission est constituée de fines particules d’aérosol que les masques ne peuvent pas réduire la transmission [42] [43].

Face à la preuve irréfutable que les masques ne réduisent pas le risque d’infection de leur porteur [44] [45], l’OMS et le complexe de santé publique ont inventé le « masque magique à sens unique », qui empêche la transmission par le porteur, tout en ne le protégeant pas. Les médias ont été ravis de propager ce fantasme, contraire aux lois de la physique, concernant la circulation de l’air porteur d’aérosols par les voies de moindre impédance à travers et autour des masques faciaux. Ce fantasme est ce qu’on appelle le « contrôle à la source », que de nombreux scientifiques qualifiés ont également répété.

En fait, même une stricte quarantaine de niveau militaire des jeunes adultes en bonne santé ne peut empêcher la transmission [46].

Les infirmières le savent. En Ontario, deux décisions importantes de tribunaux administratifs, en 2015 et en 2018, avec de longues audiences d’experts de tous bords, ont conclu que les infirmières de plusieurs grands hôpitaux ne pouvaient pas être obligées de porter des masques, qu’elles soient vaccinées ou non, car cela ne protégerait pas les patients [47] :

« Je pense qu’il y a maintenant un consensus qui se développe dans la communauté arbitrale selon lequel il ne fait aucun doute que ces politiques ne protègent pas vraiment les patients. L’arbitre a été assez ferme en décrivant les preuves apportées par l’hôpital comme insuffisantes, inadéquates et totalement non convaincantes », a dit Sharan Basran, avocate des infirmières.

Le port du masque dans la population générale n’apporte aucun bénéfice détectable

Depuis le 11 avril 2020, j’ai fait valoir en détail que les masques ne fonctionnent pas, et j’ai disséqué et exposé la fausse idée du contraire[48] [49]. À cette époque, il n’y avait pas encore eu d’étude de qualité suffisante pour informer la politique sanitaire sur le port du masque dans la population générale.

Le 18 novembre 2020, Bundgaard et al ont publié leur vaste essai contrôlé randomisé (ECR) sur des participants sélectionnés dans la population générale danoise. Selon leurs propres termes [50] :

Un total de 3030 participants ont été assignés au hasard à la recommandation de porter des masques, et 2994 ont été assignés au contrôle ; 4862 ont terminé l’étude. L’infection par le SRAS-CoV-2 s’est produite chez 42 participants à qui l’on avait recommandé de porter un masque (1,8%) et chez 53 participants du groupe témoin (2,1%). La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage (IC à 95%, -1,2 à 0,4 point de pourcentage ; P = 0,38) (rapport de cotes, 0,82 [IC, 0,54 à 1,23] ; P = 0,33). L’imputation multiple tenant compte de la perte au suivi a donné des résultats similaires. Bien que la différence observée ne soit pas statistiquement significative, les IC de 95% sont compatibles d’une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection. (Résumé / Résultats)

[…] la recommandation de porter un masque chirurgical en dehors de la maison, entre autres, n’a pas réduit, à des niveaux conventionnels de signification statistique, l’incidence de l’infection par le SRAS-CoV-2 par rapport à l’absence de recommandation de port de masque. […] Les masques faciaux fournis aux participants étaient des masques chirurgicaux de haute qualité avec un taux de filtration de 98% [réf]. (Discussion)

Pour être clair, « 95% d’IC sont compatibles avec une réduction de 46% jusqu’à une augmentation de 23% de l’infection » signifie que, dans les limites de l’incertitude, le port d’un masque pourrait avoir augmenté la probabilité d’être infecté de 23%. Telle est la nature de l’évaluation du risque relatif, lorsque l’impact comparatif sur le risque absolu est trop minime pour être détecté.

Les auteurs semblent avoir été contraints par le processus d’« examen par les pairs » de souligner que leur étude n’a pas été conçue pour tester l’hypothèse que j’ai évoquée plus haut, à savoir le masque magique à sens unique : « … et aucune évaluation de la capacité des masques à diminuer la transmission de maladies de leurs porteurs à d’autres personnes. »

À ce stade, quelque quinze (15) ECR de niveau politique plus tard, avec des résultats vérifiés, il faut se demander ce qu’il faudrait pour que le complexe de santé publique abandonne son nouvel enthousiasme pour le port de masque forcé de la population générale, ou au moins pour financer la recherche sur les préjudices répartis et les coûts sociétaux de cette politique draconienne.

Des études sur les préjudices quantifiables et potentiels du port de masque universel commencent à être publiées, tant dans des revues médicales régulières que dans des revues alternatives. Si le « principe de précaution » était plus qu’un simple effet de mode, de telles études auraient été nécessaires avant l’adoption de lois et d’obligations en matière de port de masque universel.

Le 6 juillet 2020, par exemple, Fikenzer et al ont publié une étude rigoureuse sur l’effet physiologique des masques sur 12 hommes en bonne santé (âgés de 38 ± 6 ans). Ils ont conclu [51] :

Les masques médicaux ont un impact négatif marqué sur la capacité cardio-pulmonaire, ce qui entrave considérablement les activités physiques et professionnelles pénibles. De plus, les masques médicaux nuisent considérablement à la qualité de vie de leur porteur. Ces effets doivent être considérés par rapport aux effets protecteurs potentiels des masques faciaux sur les transmissions virales. Les données quantitatives de cette étude peuvent donc éclairer les recommandations médicales et les décideurs politiques.

En novembre 2020, Borovoy et al. [52] ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur permet de déduire un potentiel important de dommages significatifs liés au port de masque. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales.

Les vaccins sont intrinsèquement dangereux

Le 13 juillet 2020, Arvin et al. ont publié dans les pages de la revue scientifique de premier plan Nature un important rappel à la réalité sous la forme d’une vaste « Perspective » (revue). L’article, à lire attentivement, est un exposé détaillé sur l’ignorance de l’homme concernant l’interférence artificielle avec le système immunitaire humain. Tout étudiant en sciences devrait conclure que « surtout, nous ne savons rien ». Les auteurs l’affirment sous une forme enjolivée [53] :

L’augmentation de la maladie dépendante des anticorps (ADE) est une préoccupation générale pour le développement de vaccins et de thérapies par anticorps car les mécanismes qui sous-tendent la protection par anticorps contre tout virus ont un potentiel théorique d’amplifier l’infection ou de déclencher une immunopathologie nocive. Cette possibilité doit être examinée attentivement à ce stade critique de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), qui est causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2).

Nous passons ici en revue les observations relatives aux risques d’ADE de la maladie, et leurs implications potentielles pour l’infection par le SRAS-CoV-2. À l’heure actuelle, il n’existe pas de résultats cliniques, d’essais immunologiques ou de biomarqueurs connus qui permettent de différencier une infection virale grave d’une maladie à immunité renforcée, que ce soit par la mesure des anticorps, des cellules T ou des réponses intrinsèques de l’hôte. Les systèmes in vitro et les modèles animaux ne permettent pas de prédire le risque d’ADE de la maladie, en partie parce que les mécanismes de protection et les mécanismes potentiellement nuisibles médiés par les anticorps sont les mêmes et que la conception de modèles à base d’animaux dépend de la compréhension de la manière dont les réponses antivirales de l’hôte peuvent devenir nuisibles chez l’homme.

Les implications de notre manque de connaissances sont doubles. Premièrement, des études complètes sont nécessaires de toute urgence pour définir les corrélats cliniques de l’immunité protectrice contre le SRAS-CoV-2. Deuxièmement, étant donné qu’il est impossible de prévoir de manière fiable l’apparition de la maladie après une vaccination ou un traitement par anticorps – quel que soit le virus responsable – il sera essentiel de s’appuyer sur une analyse minutieuse de la sécurité chez l’homme à mesure que les interventions immunitaires contre la COVID-19 progressent. (Résumé)

Compte tenu du déploiement qui a suivi, cela signifie que nous nous sommes lancés aveuglément dans une expérience à grande échelle sur des sujets humains, sans essais sur des animaux, sans transparence scientifique, sans possibilité de consentement éclairé, sous l’impulsion de sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que le bien de l’humanité.

Le 1er octobre 2020, Wehenkel [54] a publié un article dans lequel il a étudié 39 pays et a constaté une forte association entre le taux national de vaccination contre la grippe (IVR) des personnes âgées de 65 ans et plus et le nombre de décès dus à la COVID-19 par million d’habitants. Les résultats sont préliminaires mais peuvent constituer un exemple documenté de « renforcement de la maladie dépendant des anticorps (ADE) » impliquant la COVID-19. Tous les taux de décès par COVID-19 les plus élevés ont été enregistrés dans les pays où l’IVR est supérieure à 50 % (voir ses figures 1 et 3). Je sens une opportunité de financement de la recherche pour défaire cette découverte.

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario

L’auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur la COVID-19

Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l’université d’Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d’université, j’ai développé de nouveaux cours et j’ai enseigné à plus de 2000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J’ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J’ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j’ai attiré d’importants fonds de recherche pendant deux décennies.

J’ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J’ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.

Mon facteur d’impact de l’indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).

Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :

  1. En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d’aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d’aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l’air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j’ai enseigné la dynamique des fluides (l’air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j’ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
  2. En ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d’aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l’infection virale, et dans les mesures de protection. J’ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j’ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
  3. En ce qui concerne les méthodes d’analyse statistique. L’analyse statistique des études scientifiques, y compris l’analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d’observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d’erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d’analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
  4. En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l’épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d’évolution des maladies dans la population. J’ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J’ai des connaissances d’expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J’ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
  5. En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure : (1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire), (2) l’imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l’imagerie par résonance), (3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques), (4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d’énergie et les conductivités), et (5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux…). J’ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j’ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J’ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

Notes

  1. 2019–OMS : « Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique », avec annexe, Organisation mondiale de la santé, octobre 2019 : OMS . Rapport, ISBN : 978-92-4-151683-9, pp 91« Annexe : Rapport des revues systématiques de la littérature », WHO/WHE/IHM/GIP/2019.1, pp 125 
  2. 2017–OMS : « Évaluation de la gravité de la grippe pandémique (PISA) : Un guide de l’OMS pour évaluer la gravité de la grippe dans les épidémies et pandémies saisonnières », Organisation mondiale de la santé, mai 2017, WHO/WHE/IHM/GIP/2017.2 
  3. 2011–Bonneux : Luc Bonneux & Wim Van Damme. « La santé, c’est plus que la grippe ». Bulletin de l’Organisation mondiale de la santé 2011;89:539-540. doi : 10.2471/BLT.11.089086 
  4. Ibid note 3 
  5. 2010–Cohen : Cohen, D. et Carter, P. « L’OMS et les « conspirations » de la grippe pandémique ». BMJ 2010 ; 340:c2912. doi. (Publié le 04 juin 2010
  6. 2020–Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale de Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 lectures, puis a été retiré de la plate-forme, selon ce rapport. Maintenant sur vixra.org , et sur rcreader.com. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l’article : « Digi-Debates. The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, et à l’adresse suivante 
  7. 2020–Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : « Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569 
  8. 2020–Rancourt : « Mortalité toutes causes confondues lors de la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement », par Rancourt, DG (2 juin 2020) ResearchGate. DOI: 10.13140/RG.2.2.24350.77125 
  9. 2020–Rancourt : D. G. Rancourt, Marine Baudin, Jérémie Mercier. « Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France, à partir de la mortalité toutes causes confondues 1946-2020 ». ResearchGate (20 août 2020). DOI: 10.13140/RG.2.2.16836.65920/1  (Version en français
  10. Ibid note 6 
  11. Ibid note 7 
  12. 2020–Chaudhry : Chaudhry, Rabail et autres (2020) « Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions du gouvernement, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine, Volume 25, 100464 (21 juillet 2020 – The Lancet
  13. 2020–De Larochelambert : De Larochelambert Q, Marc A, Antero J, Le Bourg E et Toussaint J-F (2020). « Covid-19 Mortalité : Une question de vulnérabilité parmi les nations confrontées à des marges d’adaptation limitées ». Frontiers in Public Health 8:604339. doi : 10.3389/fpubh.2020.604339 (19 novembre 2020 – frontiersin.org
  14. 2020–AIER : « Les confinements ne contrôlent pas le coronavirus : Les preuves »AIER StaffInstitut américain de recherche économique. 19 décembre 2020 
  15. Ibid note 8 
  16. Ibid note 9 
  17. 2020–Yam : Kai Chi Yam, Joshua Conrad Jackson, Christopher M. Barnes, Jenson Lau, Xin Qin, Hin Yeung Lee. « L’augmentation des cas de COVID-19 est associée au soutien des dirigeants mondiaux ». Actes de l’Académie nationale des sciences. Oct 2020, 117 (41) 25429-25433 ; DOI : 10.1073/pnas.2009252117 
  18. 2020–Abbasi : Abbasi, Kamran (rédacteur en chef). « Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science ». Journal médical britannique. BMJ 2020 ; 371 :m4425. 
  19. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 – Potentiel de « variolation » dans l’attente d’un vaccin ». 29 octobre 2020. N Engl J Med 2020 ; 383:e101. DOI : 10.1056/NEJMp2026913 
  20. 2020–Rasmussen : Angela L. Rasmussen et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al. 
  21. 2020–Brosseau : Lisa M. Brosseau et al. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (critique de Gandhi et al.) 
  22. Ibid note 19 
  23. Ibid note 20 
  24. Ibid note 21 
  25. 2020–Gandhi : Monica Gandhi et George W. Rutherford. « Masquage facial pour la Covid-19 ». The New England Journal of Medicine, nejm.org, 19 novembre 2020. (réponse de Gandhi et al.) 
  26. Ibid note 7 
  27. 2020–IHME : IHME COVID-19 Forecasting Team, Reiner, R.C., Barber, R.M. et al. « Modélisation des scénarios COVID-19 pour les États-Unis »Nature Medicine (2020). doi 
  28. 2020 — Magness : Phillip W. Magness. « Les arguments en faveur de l’obligation du port de masques reposent sur des données erronées »Wall Street Journal (11 novembre 2020) 
  29. 2020 : Corman Victor M, Landt Olfert, Kaiser Marco, Molenkamp Richard, Meijer Adam, Chu Daniel KW, Bleicker Tobias, Brünink Sebastian, Schneider Julia, Schmidt Marie Luisa, Mulders Daphne GJC, Haagmans Bart L, van der Veer Bas, van den Brink Sharon, Wijsman Lisa, Goderski Gabriel, Romette Jean-Louis, Ellis Joanna, Zambon Maria, Peiris Malik, Goossens Herman, Reusken Chantal, Koopmans Marion PG, Drosten Christian. « Détection de nouveaux coronavirus en 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ». Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045. doi 
  30. 2020–Borger : Borger, Pieter et al « Rapport d’examen Corman-Drosten et al Eurosurveillance 2020 – L’examen externe par les pairs du test RT-PCR pour détecter le SRAS-CoV-2 révèle 10 failles scientifiques majeures au niveau moléculaire et méthodologique : conséquences pour les résultats faussement positifs »Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS). 27 novembre 2020 
  31. 2020–Singanayagam : Singanayagam Anika, Patel Monika, Charlett Andre, Lopez Bernal Jamie, Saliba Vanessa, Ellis Joanna, Ladhani Shamez, Zambon Maria, Gopal Robin. « Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020 ». Euro Surveill. 2020;25(32):pii=2001483. doi 
  32. 2020–Jaafar : Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Hoang VT, Colson P, Raoult D, La Scola B. « Corrélation entre 3790 échantillons positifs au qPCR et des cultures cellulaires positives, y compris 1941 isolats de SRAS-CoV-2 ». Clin Infect Dis. 2020 Sep 28:ciaa1491. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Epub avant impression. PMID : 32986798 ; PMCID : PMC7543373 – academic.oup.com 
  33. Ibid note 17 
  34. 2020–Meyerowitz : Eric A. Meyerowitz, Aaron Richterman, Rajesh T. Gandhi, et al « Transmission du SRAS-CoV-2 : Un examen des facteurs viraux, des hôtes et de l’environnement ». Ann Intern Med. – Epub avant impression 17 septembre 2020. doi:10.7326/M20-5008 – acpjournal.org 
  35. Ibid note 7 
  36. 2020–CBC : La presse canadienne : « Santé Canada rappelle plus de 50 désinfectants pour les mains dans une liste évolutive ». (5 août 2020) – cbc.ca 
  37. 2009–OMS : « Ventilation naturelle pour la lutte contre les infections dans les établissements de santé – Lignes directrices de l’OMS 2009 ». Éditeurs : James Atkinson, Yves Chartier, Carmen Lúcia Pessoa-Silva, Paul Jensen, Yuguo Li et Wing-Hong Seto, pp 106, 2009, ISBN : 978 92 4 154785 7 – OMS 
  38. 2007–Li : Li Y, Leung GM, Tang JW, Yang X, Chao CY, Lin JZ, Lu JW, Nielsen PV, Niu J, Qian H, Sleigh AC, Su HJ, Sundell J, Wong TW, Yuen PL. « Rôle de la ventilation dans la transmission aérienne d’agents infectieux dans l’environnement bâti – une étude systématique multidisciplinaire ». Air intérieur. 2007 Feb;17(1):2-18. doi : 10.1111/j.1600-0668.2006.00445.x. PMID : 17257148 
  39. Ibid note 8 
  40. Ibid note 9 
  41. Ibid note 38 
  42. Ibid note 6 
  43. Ibid note 7 
  44. Ibid note 6 
  45. Ibid note  7 
  46. 2020–Letizia : Letizia AG, Ramos I, Obla A, Goforth C, Weir DL, Ge Y, Bamman MM, Dutta J, Ellis E, Estrella L, George MC, Gonzalez-Reiche AS, Graham WD, van de Guchte A, Gutierrez R, Jones F, Kalomoiri A, Lizewski R, Lizewski S, Marayag J, Marjanovic N, Millar EV, Nair VD, Nudelman G, Nunez E, Pike BL, Porter C, Regeimbal J, Rirak S, Santa Ana E, Sealfon RSG, Sebra R, Simons MP, Soares-Schanoski A, Sugiharto V, Termini M, Vangeti S, Williams C, Troyanskaya OG, van Bakel H, Sealfon SC. « Transmission du SRAS-CoV-2 parmi les recrues dans la Marine pendant la quarantaine ». N Engl J Med. 2020 Dec 17;383(25):2407-2416. doi : 10.1056/NEJMoa2029717. Epub 2020 11 nov. PMID : 33176093 ; PMCID : PMC7675690. (11 novembre 2020) – nejm.org 
  47. 2018–Brown : « L’ONA remporte un deuxième arbitrage contre les hôpitaux sur la politique des vaccins ou des masques » (13 septembre 2018), Canadian Lawyer Magazine – canadianlawyermag.com 
  48. Ibid note 6 
  49. Ibid note 7 
  50. 2020–Bundgaard : Bundgaard H, Bundgaard JS, Raaschou-Pedersen DET, von Buchwald C, Todsen T, Norsk JB, Pries-Heje MM, Vissing CR, Nielsen PB, Winsløw UC, Fogh K, Hasselbalch R, Kristensen JH, Ringgaard A, Porsborg Andersen M, Goecke NB, Trebbien R, Skovgaard K, Benfield T, Ullum H, Torp-Pedersen C, Iversen K. « Efficacité de l’ajout d’une recommandation sur les masques à d’autres mesures de santé publique pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs de masques danois : un essai contrôlé randomisé ». Ann Intern Med. 2020 Nov 18:M20-6817. doi : 10.7326/M20-6817. Epub avant impression. PMID : 33205991 ; PMCID : PMC7707213. – acpjournals.org 
  51. 2020–Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d’exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098 – springer.com 
  52. 2020–Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques »Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020 – pdmj.org 
  53. 2020–Arvin : Arvin AM, Fink K, Schmid MA, Cathcart A, Spreafico R, Havenar-Daughton C, Lanzavecchia A, Corti D, Virgin HW. « Une perspective sur le renforcement potentiel du SRAS-CoV-2 dépendant des anticorps ». Nature. 2020 Aug;584(7821):353-363. doi : 10.1038/s41586-020-2538-8. Epub 2020 13 juillet. PMID : 32659783 – nature.com 
  54. 2020–Wehenkel : Wehenkel C. 2020. « Association positive entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde ». PeerJ 8:e10112  – doi



Un nouveau réseau social sans censure

https://freedom.social

Ceux qui utilisent des réseaux sociaux et souhaitent s’affranchir des géants censeurs tels que FB et Google gagneront probablement à s’inscrire dans ce nouveau réseau social.




Fin du mandat de Trump le 11 janvier 2021 ? MàJ2

Source : Donald J. Trump – United States Department of State

Le mandat de Donald J. Trump a pris fin le 2021-01-11 19:49:00.

Capture d’écran du site officiel du Département d’État des États-Unis réalisée à environ 15:14:00, heure de Montréal.


Mise à jour (d’après BNO News) :

Un message disant que le président Donald Trump avait quitté ses fonctions est apparu sur le site Web du département d’État américain, suscitant des spéculations selon lesquelles il a démissionné ou a été démis de ses fonctions. Il a été confirmé plus tard qu’il s’agissait d’une erreur.

Le message est apparu sur une page vide de la biographie du président, disant: « Le mandat de Donald J. Trump a pris fin le 2021-01-11 19:22:18. » Un message similaire est apparu sur la page de biographie du vice-président Mike Pence.

La cause de l’erreur n’était pas immédiatement claire, mais une version archivée de la même page a révélé un message similaire à la mi-décembre, affirmant que le mandat de Trump avait pris fin le 17 décembre. Il est peut-être passé inaperçu car la page ne semble pas être utilisée.

BuzzFeed News, qui a cité deux diplomates non identifiés, a rapporté qu’un «employé mécontent» serait derrière les changements. Il a déclaré que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait ordonné une enquête interne.

Seconde mise à jour : lorsque l’on tente de retourner sur la page en question, on obtient le message suivant :

« We’re sorry, this site is currently experiencing technical difficulties.
Please try again in a few moments.
Reference ID: »

(Traduction :
« Nous sommes désolés, ce site rencontre actuellement des difficultés techniques.
Veuillez réessayer dans quelques instants.
Pièce d’identité:.)

Malversations d’un employé ou cyberattaque ?

Donald Trump s’était donné publiquement comme mission de drainer le « marais », alias « État Profond » corrompu. Par sa personnalité particulière et ses actions, il n’a laissé presque personne indifférent et s’est créé de nombreux ennemis au sein de ce « Deep State » et de ses complices hors États-Unis. Même si à l’heure actuelle, le marais paraît toujours aussi putride, Trump l’a mis en lumière à la face du monde et aura joué un indéniable rôle de révélateur.




Témoignage de la famille d’un « mort du COVID » (ou pas d’ailleurs…)

[Source : Guy Fawkes News]

Combien d’autres hôpitaux usent honteusement de tels procédés? Ce témoignage a été posté hier sur Facebook. Il est toujours en ligne (pour l’instant). Au delà du fait que cela impacte directement les familles qui ne peuvent pas organiser des obsèques correctement cela fait également gonfler artificiellement les chiffres nationaux de la mortalité COVID :

Et bien voilà j’ai enfin la preuve que l’on nous prend pour des CONS. au décès de mon père hier à l’hôpital de st Nazaire 44, on m’a annoncé qu’il était Covid donc il fallait faire vite. Donc nous n’avions que deux heures devant nous pour venir le voir. À notre arrivée, ont nous a équipé de la tête aux pieds. La morgue est venue le chercher très rapidement. Quand j’ai demandé à récupérer les résultats du test, ils m’on dit qu’il ne pouvait pas l’imprimé car l’ordinateur a planté. Ce matin j’ai dû organisé les obsèques car la mise en bière était programmée pour 15h30. Donc nous avions le droit d’être avec lui pendant 1 heure mais aujourd’hui sans aucune protection 🤔 à part le masque ( même pas de gel ) à notre départ je suis remonté dans le service où il est décédé pour récupérer ses papiers et les résultats du test qui ! Comme vous pouvez le voir est NÉGATIF 🤬. Il va être grand temps de remettre les pendules à l’heure avec se gouvernement de MERDE. j’ai une grosse pensée pour ma sœur et toutes les personnes qui ne pourront pas lui dire au revoir. VIVE CETTE FRANCE DE CONNARD 🖕




Supprimez votre compte WhatsApp sans aucun délai

[Source : https://strategika51.org/]

par Strategika 51.

Cela fait des années que nous avertissons le public sur le danger extrême que constitue la compagnie Facebook inc., laquelle n’est qu’un des bras armés des services spéciaux de l’État profond.

L’application de messagerie WhatsApp a été rachetée par Facebook en février 2014 pour la somme de 19 milliards de dollars US. C’était l’un des meilleurs services de messageries offrant un cryptage dédié end-to-end au point où il était utilisé par les sous-traitants de la CIA dans des pays tiers. La dernière mise à jour de WhatsApp révèle au grand jour la nature extrêmement maléfique de Facebook et par dessus tout son objectif visant à instaurer un totalitarisme fasciste numérique supprimant toute opinion contraire à la propagande de l’État profond.

Toutes les discussions et le partage de photographies et de vidéos sur cette plate-forme sont compromises et enregistrées sur des serveurs souterrains situés dans une demi-douzaine de pays contenant des fichiers-personnes (même si vous utilisez des pseudonymes et changez tous les mois de puce USIM ou carte SIM) pour une durée minimale de 99 ans même après suppression du compte.

Il n’y a pas d’alternatives à WhatsApp même si l’application Signal (que nous utilisons avec parcimonie depuis des années) semble offrir des prestations similaires, elle n’est pas non plus sécurisée et son usage n’offre aucune garantie quant à la protection de la vie privée.

Les géants du numérique tels que Amazon, Twitter, Facebook et Google, et d’autres sont en train de perdre des dizaines de millions d’utilisateurs depuis qu’ils se sont arrogés le droit de façonner, manipuler et orienter l’opinion, nommer des chefs d’État et participer de façons actives dans les révolutions colorées et les guerres hybrides contre toute partie tiers jugée non conforme à leur nouvelle doxa.

Une soixantaine de gouvernements ont ordonné en urgence à leurs officiels de désinstaller WhatsApp et Facebook de leur téléphones mobiles. La Turquie est allée jusqu’à demander à la population de ne plus utiliser WhatsApp pour lutter contre le « fascisme numérique ».




Le dernier combat de Trump

[Source : Entre la plume et l’enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Trump a été battu de manière décisive, sinon à la loyale. Les espoirs de millions d’électeurs américains ont été écrasés et anéantis. La saga de l’homme orange est terminée. Les vainqueurs ont utilisé un stratagème : ils ont sacrifié le caractère sacré et la sécurité du Capitole, ils ont permis aux intrus d’entrer, ils leur ont permis de prendre des selfies dans le bureau du porte-parole du Congrès, puis ils ont simulé l’horreur et l’indignation. Les tentatives d’appel à la transparence électorale ont été pulvérisées en temps réel, alors que des foules énormes étaient dispersées. Les votes des grands électeurs ont été certifiés, l’ascension de Biden assurée, et les partisans de Trump sont gratifiés du titre de « terroristes nationaux ».

Donald Trump a désavoué les gens qu’il avait personnellement appelés à protester. Ses proches alliés politiques lui retirent leur soutien. En quelques heures, voire quelques minutes, ce dirigeant du monde admiré par des millions de gens est devenu une non-personne. Comme un garnement qui aurait posté une obscénité, il a été interdit de Twitter et de Facebook. Le temps nous dira s’il ira en prison, ce qui est le voue fervent de tant de démocrates, mais sa vie politique semble bien être terminée, même si sa cause est encore vivante. 

Les jeux étaient faits, contre le président Trump, dès le premier jour. Ses ordres étaient ignorés. Les tribunaux américains, les juges, la police, tout le système d’application de la loi était contre lui ; ses ordres se voyaient bloqués ou annulés, tandis que les médias se moquaient de lui et que l’opposition le délégitimait sans relâche. Il a même été bloqué par Fox News. Les États dirigés par le parti démocrate ont ajusté leurs lois pour garantir le résultat des élections. Trump a joué le dindon de la farce du tout début de sa présidence jusqu’à sa fin amère. Il était tenu en laisse par le tout-puissant Deep State, et lorsqu’il a essayé de se libérer, il a suffi qu’il tirent sur la laisse. 

Le 6 janvier, une manifestation massive en sa faveur a eu lieu à Washington, DC. Des centaines de milliers d’Américains sont venus dans la capitale pour demander justice après que la fraude électorale soit devenue évidente. Ils espéraient que les représentants républicains refuseraient de certifier la fraude et nommeraient une commission pour vérifier et recompter les votes. Certains des manifestants ont réussi à s’introduire dans le Capitole, ou la police les a laissés entrer. Cette action pacifique d’occupation du Capitole, l’exercice d’un droit naturel de protester, a été accueillie par des tirs meurtriers, et une jeune manifestante de San Diego, Ashli Babbitt, a été assassinée par la police en civil. Les représentants républicains ont été intimidés et se sont rendus ; Biden a été confirmé dans ses fonctions.

L’horreur et l’indignation des politiciens et des médias du parti démocrate ont été aussi simulées que les nouvelles qu’on nous a servies. L’année dernière, de nombreux bâtiments gouvernementaux avaient été occupés par des militants du BLM soutenus par le parti démocrate, et dans aucun cas la police n’a utilisé d’armes mortelles ou même fait sortir les manifestants des bâtiments.

« Peu après 20 heures mercredi, des centaines de manifestants se sont rassemblés devant l’entrée verrouillée de King Street au Capitole, en scandant « Enfoncez la porte ! » et « Grève générale ! » Quelques instants plus tard, la police a cessé de contrôler des portes de State Street et a permis à la foule de déferler à l’intérieur, rejoignant les milliers de personnes qui s’étaient déjà rassemblées au Capitole pour protester contre les votes. La zone située à l’extérieur de l’Assemblée, où il est prévu de présenter le projet de loi à 11 heures aujourd’hui, était bondée de manifestants qui scandaient « Nous ne partirons pas ». Pas cette fois-ci »…

Le porte-parole du département de l’administration, Tim Donovan, a déclaré que même si les manifestants étaient encouragés à partir, personne ne serait renvoyé de force. … Le maire Dave Cieslewicz a déclaré qu’il avait donné l’instruction … au chef de la police Noble Wray de ne pas permettre à ses officiers de participer à l’évacuation des manifestants du bâtiment ».

C’est ce qui s’était passé à Madison, Wisconsin, en mars 2011, comme nous l’a rappelé Steve Sailer. En effet, c’est ce à quoi s’attendaient les manifestants ; certains étaient habillés en tenues de carnaval flamboyantes ; ils se tenaient correctement, ils étaient pacifiques, ils restaient dans des limites acceptables. Il ne s’agissait pas d’une insurrection ; ils n’ont pas essayé de prendre le contrôle du Congrès de manière significative. Pour eux, c’était une façon honnête et drôle d’exprimer leur indignation. Mais les véritables comploteurs de stratagèmes avaient l’intention de les piéger. Ils ont même assassiné quatre manifestants en espérant que les leurs réagiraient avec violence, mais en vain.

Les manifestants blancs américains sont exceptionnellement non-violents ; comme pour Occupy Wall Street il y a quelques années, les manifestants du Capitole du 6 janvier étaient timides et obéissants comme des agneaux. C’est pour cette raison que le BLM a été inventé, car les Noirs sont capables de se révolter violemment, contrairement aux Blancs bien dressés. Ce n’est pas une question de race : les gilets jaunes français, blancs comme neige, et les nationalistes ukrainiens ont bien combattu la police. Mais les blancs américains ne sont pas enclins aux émeutes, pas depuis la guerre civile. En tant qu’étranger, je ne comprends pas pourquoi les Américains veulent garder leurs armes s’ils ne les utilisent jamais, mais c’est comme ça.

De toute façon, leur non-violence ne leur a servi à rien. Le président élu Biden leur a même dénié le titre de manifestants : « N’allez pas les traiter de protestataires. C’était une foule en émeute, des insurgés, des terroristes nationaux ». En effet, ce nom devrait être réservé aux pillards autorisés par l’État et à leurs frères dans le monde entier, que ce soit à Hong Kong ou à Minsk, à Seattle ou à Portland.  

Les réseaux sociaux russes on comparé les événements de Washington DC à ceux qui se sont déroulés plus près de chez eux et se sont plaints d’un « deux poids, deux mesures ». Les médias américains n’avaient pas exprimé d’indignation lorsque leur homme de paille Boris Eltsine avait bombardé le Parlement russe en 1993. Le New York Times et le Département d’État avaient encouragé la foule nationaliste à prendre d’assaut les bureaux du gouvernement ukrainien en 2014. Ils ont encouragé l’opposition à Minsk à prendre le contrôle de leur parlement après avoir échoué aux élections. Les manifestants biélorusses juraient que les résultats des élections de leur pays étaient truqués, tout comme les partisans de Trump l’ont fait pour les élections américaines, mais Biden ne les a pas traités de « terroristes nationaux ». (En fait, le président Loukachenko non plus : il les a qualifiés de « manifestants », et leurs manifestations violentes ont été dispersées sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré). Dans ces cas-là, les Juifs ont l’habitude de répondre : « Comment pouvez-vous comparer ?!

Les Russes ont comparé la « tentative de coup d’État » au Capitole avec leur propre « coup d’État » de 1991, une provocation en partie planifiée à l’avance. En 1991, les organisateurs du faible coup de force n’avaient pas pu arrêter Eltsine et se sont rendus sans résistance ; la vague d’indignation a écarté Gorbatchev et le parti communiste du pouvoir. Au Capitole aussi, la police a fait entrer les « envahisseurs », comme vous pouvez le voir sur cette vidéo transmise par la BBC. D’autres vidéos suggérant l’implication de la police du Capitole dans cette provocation ostensible sont présentées ici. L’indignation orchestrée a permis aux vainqueurs de dénigrer et de chasser un Trump vaincu et ses partisans. Tout comme l’URSS s’est effondrée en août 1991, l’Amérique de Trump s’est effondrée en janvier 2021, et les élites libérales représentant les grandes corporations sont arrivées au pouvoir. Ce résultat a été obtenu grâce à une provocation, mais les partisans ordinaires de Trump étaient vraiment en colère contre le vol des élections. De même, 1991 était une provocation, mais les citoyens russes ordinaires étaient en colère contre la perestroïka de Gorbatchev, tandis que les élites libérales ont détourné cette expression de colère pour démanteler l’État soviétique et transférer tous les actifs à leurs oligarques.

Les gens qui ont une bonne connaissance de l’histoire se réfèrent à l’incendie du Reichstag de février 1933, l’incendie criminel inventé par le gouvernement nazi, nouvellement constitué, lui-même, afin de retourner l’opinion publique contre ses opposants et assumer les pouvoirs d’un état d’urgence. D’autres chercheurs ont cependant affirmé qu’il n’y avait aucune preuve de la complicité des nazis dans ce crime, mais que Hitler avait simplement profité de l’acte indépendant du communiste néerlandais van der Lubbe. Selon l’ Encycopaedia Britannica, l’incendie fait l’objet d’un débat et de recherches permanents. On dira probablement la même chose de l' »invasion » du Capitole, et les chercheurs se demanderont si ce sont les sous-fifres de Biden qui l’ont organisée ou s’ils ont simplement profité de la protestation sincère des trumpistes.

Cela ne fait aucun doute que pour un observateur objectif, les élections de 2020 ont été profondément piratées. Je ne vous ennuierai pas avec trop de détails publiés sur les résultats statistiquement impossibles[1], mais voici un exemple de fraude. La ville de Detroit a donné 95 % de ses voix à Biden/Kamala, un chiffre que M. Kim Jong-un considérerait avec une légère envie, tandis que M. Loukachenko murmurerait : « Comment est-ce possible ? Il est fort probable que ce résultat a été obtenu de la manière suivante:

 Les démocrates de Detroit ont externalisé la récolte des bulletins de vote, les sous-traitant à des barons locaux de la drogue, en leur offrant en échange des licences de commerce de marijuana à des fins récréatives. Ces licences sont ce qu’il y a de mieux depuis le permis d’imprimer de l’argent. Avoir de telles licences, c’est comme avoir son propre distributeur automatique de billets. Vous pouvez lire ici des informations sur leur rentabilité et toutes les démarches que les criminels sont prêts à faire  pour en obtenir. Les démocrates de Detroit ont modifié les lois locales autorisant la vente de marijuana dans leur belle ville (elle était interdite jusqu’en novembre 2020). Ils ont modifié les lois locales prescrivant la délivrance de licences de marijuana aux trafiquants de drogue ayant déjà été condamnés pour trafic de drogue. Ils ont fait sortir les barons de la drogue de prison. Ils ont modifié les lois locales pour permettre la récolte des bulletins de vote, c’est-à-dire la collecte des votes par correspondance et l’aide au remplissage des bulletins. Après cela, les trafiquants de drogue se sont mis à collecter les bulletins de vote par correspondance et à les remplir immédiatement, s’ils étaient consciencieux, ou à les remplir à leur guise, s’ils se sentaient paresseux. Ils avaient à leur disposition une juge, Cynthia Stephens, qui, à elle seule, a fait modifier les lois électorales du Michigan, puis a rejeté les accusations de fraude de Trump.

Oh oui, ma chère, il y en a eu, des fraudes électorales, et dans de nombreux États américains. « Les jeux de hasard, ils connaissent ; ils ne sont pas surpris par une belle main de quatre as », comme disait Mark Twain. Habituellement, les deux parties s’échangent leur place à tour de rôle et trichent chacun à leur tour. Mais cette fois-ci, Trump a convaincu beaucoup de gens que ce serait différent, et que c’était leur dernière chance.

Le problème, c’est que Trump était un mauvais organisateur. Il pouvait gagner les élections, s’il pouvait empêcher le genre de législation de Cynthia Stephens, interdire les bulletins de vote par correspondance, faire respecter l’obligation de présenter des papiers d’identité pour le vote, mobiliser son peuple pour le contrôle des élections. Une tâche redoutable, mais pas impossible, tout en ayant affaire à un adversaire prêt aux trucages. Il aurait même pu faire une révolution le 6 janvier, en mandatant les bonnes personnes pour agir, en formant un QG révolutionnaire, en planifiant une stratégie de prise de contrôle, mais il n’a rien fait de tel. Il pensait probablement que le Congrès verrait les vastes foules et autoriserait la vérification des résultats des élections.

Par ailleurs, il était si naïf qu’il croyait que les révolutions se produisaient toutes seules, comme dans les films. Ce n’est pas le cas. Derrière chaque révolution réussie, il y a beaucoup de planification, de forces armées, d’armes prêtes à l’emploi, de lignes d’approvisionnement, de logistique, de soutien dans les médias et de communications. Trump n’avait rien de tout cela. Il a suffi de lui couper son compte Twitter pour le rendre sourd et muet.

Il n’y a pas eu de tentative de coup d’État, comme l’a correctement déclaré Tyler Durden : « Trump n’a jamais eu la concentration, le sens de l’organisation ou la cohérence idéologique nécessaires pour monter un véritable putsch, et une intrusion de la foule qui a été rapidement dispersée par des agents armés de l’État n’y change rien. Peu après l’intrusion, il a diffusé une vidéo donnant pour instruction à ses partisans de ne pas prendre les sénateurs en otage ou d’emprisonner Mike Pence, mais de « rentrer chez eux ». Aucune faction du gouvernement fédéral ne s’est jointe à la foule sur ordre de Trump, car il ne s’est pas donné la peine d’en diffuser. Tout cet épisode n’a jamais eu la moindre chance d’empêcher la certification de Joe Biden, et encore moins de renverser le gouvernement. Ce n’était qu’une autre mascarade maladroite, et, en ce sens, une fin appropriée à la présidence de Trump ».

Les théories du complot ont joué leur rôle de leurre dans la débâcle. De nombreux trumpistes ont cru aux conspirations des QAnon et des Kayfabe ; ils ont publié des rapports sur l’arrestation de méchants, sur des serveurs confisqués par le FBI, sur Clinton et Biden attendant une justice brutale derrière les barreaux. Cette croyance a désarmé des gens qui, autrement, se seraient battus pour obtenir ce résultat. C’est le problème avec les conspirations : les conspirations imaginaires empêchent les actions réelles.

Néanmoins, je ne veux pas terminer cette pièce sur une note aussi triste et démoralisante. Le président Trump aura été un grand dirigeant. Il a réussi, contre toute attente, à améliorer le sort des travailleurs américains : pour la première fois depuis les années 1970, leurs revenus ont augmenté par rapport aux autres classes. Il a mis fin à l’immigration massive vers les États-Unis : l’immigration légale s’est réduite à un mince filet. Il a évité de nouvelles guerres ; il a essayé de faire la paix avec la Russie. Il a refusé de bombarder l’Iran, même dans les derniers jours de sa présidence, alors même que certains partisans d’Israël lui avaient promis un second mandat s’il y consentait.

Son combat contre la folie du Coronavirus a été sa grande réussite. Il était contre les confinements qui sont sur le point de détruire notre monde si complètement que peu de choses survivront. On se souviendra du dernier grand dirigeant américain qui n’a pas porté le masque de la lâcheté. Il n’a pas pu vaincre le puissant complexe médical, ou FAGMA, ou les maîtres du discours, mais il a essayé.

Le jour de sa défaite, le 6 janvier, c’était le jour de l’Epiphanie, ou l’Adoration des Mages, des Trois Rois Mages qui étaient venus adorer Jésus dans la grotte. C’était aussi la veille de Noël pour l’Eglise d’Orient. C’est la période la plus sombre de l’année ; dorénavant, le jour va s’allonger et nos espoirs vont remonter.

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Source: https://www.unz.com/ishamir/trumps-last-stand/

Traduction: Maria Poumier




Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19

[Source : Olivier Demeulenaere via Les 7 du Québec]

« Dolores Cahill, professeur au University College de Dublin et experte mondialement reconnue dans son domaine, prédit que des décès surviendront dans le monde entier comme conséquence directe de la prise des vaccins COVID-19.

Dans sa dernière interview vidéo, le célèbre professeur Dolores Cahill fait cette sombre prédiction en se basant sur ce que l’on sait déjà des vaccins, de leur développement précipité et de l’approche entièrement nouvelle utilisant l’ARN messager au lieu des anticorps conventionnels.

Comme presque tous les grands experts qui s’élèvent contre le discours officiel sur la pandémie, le professeur Cahill a subi des représailles professionnelles et personnelles. Dans son cas, Dolores Cahill a été contrainte de démissionner de son poste de vice-présidente du comité scientifique de l’Initiative en matière de Médicaments Innovants (IMI), un partenariat entre la Commission européenne et l’industrie du médicament visant à promouvoir les nouveaux médicaments.

« Pourquoi des gens vont commencer à mourir quelques mois après les “vaccinations” à ARNm »

Embarrassée par les dénonciations de Mme Cahill, la Commission européenne a condamné ses affirmations, déclarant qu’elle pourrait causer un « préjudice important » si elle était prise au sérieux ».

John O’SullivanPrincipia Scientific, le 5 janvier 2021

Traduction Olivier Demeulenaere

Voir aussi :

Catherine Austin Fitts et Dolores Cahill interviewées à Bâle par Maneka Helleberg, présidente de la World Freedom Alliance

https://youtu.be/QATXTbRKR04
(Mads Palsvig, 31 décembre 2020)

Rappels :

Catherine Austin Fitts : « Un virus magique… pour un coup d’Etat parfait » [ou ici]

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

“Vaccin” contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne




Poursuites judiciaires contre les mesures Covid-19

[Source : Docs4 Open Debate]

International

ACU 2020 lance un recours collectif – 17 oct. 2020
La commission extra-parlementaire allemande ACU 2020 – corona a recueilli les témoignages de nombreux experts scientifiques internationaux importants, démasquant ainsi la crise de corona comme un scandale/fraude de corona d’une ampleur sans précédent.
En la personne de l’avocat Fuellmich, les initiateurs d’Acu2020 lancent une des plus grande actions en justice jamais entreprise sous la forme d’un recours collectif, une forme de procès dans lequel de nombreuses victimes peuvent ouvrir un dossier contre un tiers responsable de dommages subis à grande échelle. Les organisations criminelles responsables de cette immense catastrophe sanitaire et économique mondiale de la population seront jugées pour crimes contre l’humanité.
Dans cette impressionnante vidéo de 49 minutes (sous-titrée en néerlandais) de l’avocat Reiner Fuellmich, tous les faits sont présentés de façon très claire.

https://www.youtube.com/watch?v=ly7flUk6swQ

[NdNM : voir aussi : articles et vidéos relatifs à Reiner FUELLMICH]

[Source : www.ellaster.nl. Traduction automatique non révisée]

Poursuite internationale pour fraude au test PCR

par ELLA STER le 17 OCTOBRE 2020

La soi-disant deuxième vague est largement basée sur les résultats positifs du test PCR, ce qui entraîne des verrouillages persistants ou nouveaux et des mesures corona sévères. Selon Reiner Fuellmich, il y a un scandale de fraude coronaire. Les parties responsables seront inculpées dans une affaire devant un tribunal international.

Le Dr Reiner Fuellmich est l’un des quatre membres du Comité allemand de recherche Corona mis en place le 10 juillet 2020 pour examiner de manière critique la justification des mesures corona, mais aussi leurs effets néfastes. Le comité consulte un grand nombre de scientifiques et d’experts de renommée internationale.

Reiner Fuellmich n’est pas le premier à être le meilleur. En tant qu’avocat, il est membre de l’Ordre des avocats en Allemagne et en Californie depuis 26 ans, une ordonnance d’avocats qui suivent la jurisprudence anglo-américaine. En tant qu’avocat de première instance, il a par le passé intenté des poursuites fructueuses dans des affaires de fraude contre des géants tels que : Deutsche Bank, Volkswagen et Kühne + Nagel, un fournisseur mondial de services logistiques.

Le scandale de la fraude corona

Maintenant, il travaille avec un réseau international d’avocats sur le scandale de fraude Corona, « le plus grand délit jamais » et « probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis. » Reiner Fuellmich soutient que les responsables du scandale de fraude corona au niveau politique devraient être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils.

Les mesures corona prises par d’innombrables gouvernements du monde entier ont « coûté d’innombrables vies » et « détruit l’existence économique d’innombrables entreprises ». Les mesures sont basées uniquement sur les résultats des tests PCR, une méthode de recherche basée sur le test allemand de Dresde.

« Avec tout ce que nous savons aujourd’hui, il doit être rebaptisé scandale corona et les responsables doivent être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils au niveau politique. »

Les résultats positifs des tests pcr ont été injustement rejetés en tant qu’«infections ». C’est la justification des blocages mondiaux, des fermetures d’entreprises et d’écoles, des mesures d’un mètre et demi et des bouches-à-oreille obligatoires. La question clé est de savoir si les mesures ont été prises principalement pour protéger la santé publique, ou pour obtenir plus de contrôle et générer plus de profits pour l’industrie pharmaceutique.

Lobby massif des compagnies pharmaceutiques en Allemagne

Selon Reiner Fuellmich, l’Allemagne était « le centre d’un lobby massif des industries pharmaceutiques et techniques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands dits disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie ». Les chiffres suivants jouent un rôle important à cet égard :

Un groupe de scientifiques fait valoir qu’il n’y a aucune raison de prendre des mesures de grande envergure

Selon Reiner Fuellmich, il y a de plus en plus de dénonciateurs, de scientifiques de renom, de médecins et de juristes qui soutiennent que le coronavirus n’était pas une raison pour les mesures de grande envergure. Il s’agit notamment de:

Bien qu’il soit reconnu que covid-19 est une maladie dangereuse, qui, comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un cours clinique sérieux et dans certains cas peut même conduire à la mort, ils affirment que les chiffres montrent que la maladie n’était pas plus grave que la grippe saisonnière.

Dans la vidéo ci-dessous, Reiner Fuellmich rend compte des conclusions de la commission d’enquête :

  • Une grande partie de la population a déjà accumulé l’immunité intercell ou t-cellule, contre ce soi-disant nouveau virus. Par conséquent, il n’y a aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations.
  • Il n’était pas question que les hôpitaux risquent d’être submergés par covid-19. C’est le contraire qui s’est produit, car de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour. Certains hôpitaux font maintenant face à la faillite en raison d’une pénurie de patients.
  • Il n’y a pas de mortalité élevée. Des études menées par le professeur Loannidis et d’autres montrent que la mortalité coronarienne est équivalente à celle de la grippe saisonnière.
  • Le taux de mortalité élevé chez les personnes âgées est plus susceptible d’être dû à l’échec des politiques, car les patients infectés par covid-19 ont été transférés des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers. Là, ils ont infecté les personnes âgées avec un système immunitaire gravement affaibli, généralement en raison de conditions médicales préexistantes.

Alarmisme délibéré

Reiner Fuellmich affirme dans sa déclaration vidéo qu’un soi-disant « document de panique » a été divulgué écrit par le ministère allemand de l’Intérieur. Selon lui, le contenu secret montre hors de tout doute raisonnable que la population a en fait été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias traditionnels. Il affirme également que M. Wheeler, le chef de la RIVM allemande, « a suivi ce script mot pour mot ». Reiner Fuellmich poursuit : « Dans ses déclarations publiques, il a continué à proclamer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut aient prouvé exactement le contraire. »

« L’Allemagne était apparemment le centre d’un énorme lobby des industries pharmaceutiques et technologiques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands soi-disant disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie. »

La vraie cause de la mort n’est pas cachée

En réalité, les autopsies réalisées en Allemagne par le professeur klaus Püschel, médecin légiste à Hambourg, ont montré que les décès qu’il avait examinés étaient presque tous causés par des conditions graves et préexistantes. En outre, presque toutes les personnes étaient mortes à un très âge, comme ce fut le cas en Italie.

Reinier Fullmich dit: « Le RKI allemand (l’équivalent du CDC) initialement, curieusement, a recommandé de ne pas effectuer d’autopsies. » Il parle également de « nombreux rapports crédibles selon laquelle les médecins et les hôpitaux du monde entier ont reçu de l’argent pour déclarer une personne décédée victime de COVID-19, plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès.

Pas une pandémie coronale, mais une pandémie de PCR

La soi-disant « deuxième vague » qui a abouti au maintien des mesures, ou comme aux Pays-Bas un nouveau verrouillage, est basée uniquement sur les résultats positifs du test PCR. Cette méthode de test n’a jamais été approuvée à des fins diagnostiques. « Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même les CDC américains sont d’accord », dit Reiner Fuellmich.

« Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même la CDC des États-Unis (équivalent RIVM – n.) est d’accord.

DR REINER FUELLMICH

Le test PCR ne peut pas faire de distinction entre la matière inactive et la matière reproductrice (comme les particules infectieuses de réplication du virus – n.). Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire, car le test détecte, par exemple, un fragment d’une molécule (froide). Cela ne peut être rien d’autre que de signaler que le système immunitaire de la personne testée a surmonté un rhume. « Les tests PCR sont si sensibles que même les personnes très en bonne santé et non infectieuses sont positives. »

Néanmoins, les médias grand public sèment la panique et la peur en supposant à tort que tous ces résultats positifs de PCR concerneraient les infections malades et infectieuses. Pendant ce temps, un certain nombre de scientifiques très respectés à travers le monde supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie corona, mais seulement une pandémie de test PCR. Ils soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé.

« Il y a eu une véritable vague de maladies en mars et en avril, mais depuis, tout est revenu à la normale. Seuls les résultats positifs augmentent et tombent sauvagement maintes et maintes fois, selon le nombre de tests qui sont effectués. Mais les vrais cas de maladie sont terminés.

N’utilisez plus jamais les tests PCR comme outil de diagnostic

Carl Hennigan, professeur à la prestigieuse Université d’Oxford et directeur du Center for Evidence-Based Medicine, écrit que le virus COVID-19 ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test se poursuivait, mais a toujours été détecté de manière incorrecte. Le Dr Mike Yeadon écrit que ce test n’est pas adapté, devrait être retiré immédiatement et ne devrait plus jamais être utilisé à ces fins. Le test PCR est maintenant injustement utilisé pour diagnostiquer une maladie, mais il semble créer la peur avant tout.

« Si les tests pcr n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic pour les infections coronaires, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de verrouillage, mais tout aurait été considéré comme une simple vague de grippe moyenne ou légère. »

Le « document de panique » détaillé et divulgué, rédigé par un fonctionnaire allemand au ministère de l’Intérieur, contient une évaluation des risques des mesures corona. On conclut qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de graves risques pour la santé publique. Toutefois, on conclut qu’il existe de grandes preuves que les mesures corona mènent à d’énormes dommages pour la santé et l’économie. Reiner Fuellmich affirme que cela entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu responsable. Le fonctionnaire compétent et auteur du rapport a depuis été suspendu.

Responsable et complice

Reiner Fuellmich affirme que si des éléments de preuve irréfutables peuvent être démontrés que la fraude a été commise intentionnellement, comme la divulgation de faux faits relatifs aux critères pcr, il s’agit légalement d’un délit délictueux. Selon Reiner Fuellmich, ceux-ci peuvent même être légalement classés comme des crimes contre l’humanité réels, tels que définis à l’article 7 du Code pénal international. Les mesures corona qui en ont résulté ont causé des dommages dévastateurs à la santé publique et à l’économie.« Même en Allemagne et dans d’autres pays auparavant civilisés, les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règles de quarantaine. »

Parce que les grands médias n’ont pas signalé les faits réels de cette soi-disant pandémie, ils peuvent eux aussi être tenus responsables. Ils auraient pu savoir qu’il n’y avait pas de consensus sur le test PCR et auraient pu fournir aux opposants à la politique corona avec une plate-forme égale pour exprimer leurs points de vue. En raison des reportages non critiqués et unifatés, ils sont complices de créer une peur énorme parmi la population. Leur rôle a rendu impossible un débat ouvert sur les politiques et permet aux mesures de se poursuivre jusqu’à ce jour.

Avantages d’un recours collectif

Selon Reiner Fuellmich, un recours collectif est la meilleure façon de réclamer des dommages-intérêts aux parties responsables.

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire. »

Un soi-disant recours collectif est fondé sur le droit anglais et est appliqué aux États-Unis et au Canada. Il permet à un tribunal d’accorder des dommages-intérêts sur la base d’un acte d’accusation, en vertu duquel d’autres parties dans d’autres pays ont la possibilité de se joindre au demandeur dans un délai qui doit être déterminé par le tribunal.

L’avantage du recours collectif est qu’un seul processus est nécessaire, à savoir traiter la plainte d’un demandeur représentatif. Les avantages sont les les plus importants :

  1. C’est moins cher.
  2. C’est plus rapide que des centaines de milliers de procès individuels.
  3. C’est moins onéreux pour les tribunaux.
  4. En règle générale, il permet un examen beaucoup plus précis des allégations.

En Allemagne, un groupe d’avocats s’est uni pour aider leurs clients à se remettre des dommages et intérêts. Ils ont depuis fourni aux demandeurs allemands tous les renseignements et formulaires pertinents pour évaluer les dommages qu’ils ont subis. Il existe également un réseau international d’avocats (qui s’agrandit de jour en jour) et s’occupe également de ce dossier.

Avec la conduite d’un procès (international), on peut non seulement obtenir des dommages-intérêts et de la justice, mais il conduira également à la divulgation et la divulgation de l’énorme fraude et les violations des droits de l’homme que de nombreux gouvernements et organisations ont commis.

https://youtu.be/ly7flUk6swQ

En cliquant sur le CC au bas de la vidéo, vous obtenez les sous-titres néerlandais. Si la vidéo est retirée de Youtube, vous pouvez la regarder sur Bitchute: https://www.bitchute.com/video/zarFW3hwuyBc/

Ella Ster* – France | source: ellaster.nl

Les articles écrits par moi ne peuvent être publiés que 1:1 ailleurs à condition que l’auteur Ella Ster* soit clairement répertorié en haut ou en bas de l’article. En outre, il doit être au bas de l’entrée: « Source: www.ellaster.nl »

À partager : une révélation absolue et un vrai must !

Belgique

-Arrêt de la Cour d’appel – 28 oct. 2020 
Arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles sur le Covid 19 : Il n’y a pas de cadre juridique et les mesures ne reposent pas sur une base scientifique suffisante. Le texte a été distribué à tous les médias belges.
Le juge a décidé que les mesures prises doivent maintenant être scientifiquement justifiées, c’est-à-dire que leur utilité a été prouvée.
Les mesures proposées par les plaignants sont plausibles.
L’accent devrait être mis sur :

  • la protection des patients à haut risque
  • le renforcement des soins – médecins généralistes, hôpitaux, centres de soins lunaires
  • ouvrir l’économie et rendre la liberté au peuple

Ceci est en accord avec la Déclaration de Great Barrington : Protection ciblée
https://www.viruswaanzin.be/post/belgische-burgers-vs-belgische-staat-inzake-corona 

Texte de l’arrêt
Communiqué de presse Arrêt

-Un juge belge rejette une amende pour « non-respect de la quarantaine » comme étant anticonstitutionnelle – 13 oct 2020
https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/coronavirus-prononcer-un-peine-pour-non-respect-du-confinement-est-illegal-a-decide-un-juge-du-hainaut-1251218.aspx?fbclid=IwAR26ANNvp6eijqJ-KKxEdv-XQVIV-5URf6FoyIFx4A0WnlkyNW-yxEvNP4E

-Les citoyens luttent contre le couvre-feu anticonstitutionnel – 26 oct. 2020
https://geenvodjepapier.be/open-brief/?fbclid=IwAR3dMcwvecBoehMWUjUKM_W5gDW_nejLh5oiIBPLh4kD-CCWSPmdyKVk78Y 

Allemagne

Le tribunal de Berlin rejette le couvre-feu pour les bars/restaurants comme étant disproportionné – 16 oct. 2020
https://www.dw.com/en/germany-berlin-court-suspends-bar-and-restaurant-curfew/a-55306096

Autriche

La Cour suprême autrichienne juge illégale l’obligation de porter un masque buccal pour les enfants 23 déc. 2020
https://www.20minutes.fr/monde/2938679-20201223-autriche-cour-supreme-juge-masque-obligatoire-ecole-cours-alternance-illegaux

Bosnie-Herzégovine

Cour suprême : L’obligation de porter un masque buccal ainsi que la restriction de la liberté de circulation sont inconstitutionnelles. 22 déc. 2020
https://www.fena.news/bih/constitutional-court-masks-and-movement-restriction-are-human-rights-violation/

Espagne

La Cour rejette le verrouillage partiel de Madrid – 8 oct. 2020
https://www.vrt.be/vrtnws/nl/2020/10/08/spaanse-rechtbank-verwerpt-gedeeltelijke-lockdown-in-hoofdstad-m/

France

Tribunal de Toulouse : Obligation de porter un masque illégal – Arriège 24 déc 2020
https://actu.fr/occitanie/foix_09122/ariege-l-arrete-prefectoral-imposant-le-port-du-masque-dans-tout-le-departement-juge-illegal_38340364.html?fbclid=IwAR3jtMuWq1oLWcKr1CeaxuD5QhDN0BdKs3bvt7sQ4UxMtOMhpLZ8ykCkOCw

Synthèse de toutes les procédures judiciaires en cours en France :
Ce site web contient des formes de responsabilité personnelle que chaque citoyen peut soumettre à son propre médecin, à ses ministres, …
https://reaction19.fr/

Portugal

La Cour d’appel portugaise estime que les tests PCR ne sont pas fiables et lève la quarantaine. Seuls les médecins sont légalement autorisés à déclarer une personne malade, personne ne peut déclarer une personne malade par décret ou loi ou comme conséquence administrative d’un test de laboratoire. Seul un médecin est autorisé à le faire.
https://tkp.at/2020/11/17/portugiesisches-berufungsgericht-haelt-pcr-tests-fuer-unzuverlaessig-und-hebt-quarantaene-auf/

Royaume-Uni

Une équipe juridique de haut niveau prépare les poursuites pénales individuelles du parlement qui a signé la loi Coronvirus 2020 pour fraude, trahison et génocide – inédites depuis W.O. II. – 16 oct 2020
https://niburu.co/37-artikelen/wereld/15613-advocaten-staan-op-om-overheden-strafrechtelijk-te-vervolgen

https://www.thebernician.net/private-criminal-prosecution-of-parliament-top-legal-team-engaged/?__cf_chl_jschl_tk__=bd5998bfbae59116f1893ec54ae4f083a6d58795-1604501709-0-ASPoFuOfgjF3L9lm0nSuChFtU8Y7ASFlRsWI780gwn8AqiHtoH_8sgwsZ0C3t60tQHP4mWNqMO8nhtJgzv5Ljau4WO4tflo8nyvRTtJhyCwIunjliRQzOmpDmgLJczWpIcMug4VRVi379KqnC-YzmSt6X5QvdZ3AFORWIXMj9MrlgKAduAOl7FJNKtW7Y4FoAVkGHmHY3fjTlB7jj-Ki7C_h6iAZ_s1XDza6NDw-fHCkZXzLe71ze9pM1o7yuI-jQR0I69JAyzzB27TKc2RjZYJ93yNXqBw7EkJHMZbTeIG0zvwp5LccM3V08HtFzzY1zgA6ztNluw3ONxeKfVKGCnUcg1GBM9PlTzB3VqMz50Cn

Australie

Une association d’avocats (www.concernedlawyersnetwork.net) lance une procédure de fraude Covid contre le gouvernement australien corrompu
https://principia-scientific.com/covid-fraud-lawyers-file-action-against-corrupt-australian-government/

Canada

Poursuite judiciaire : Déclarer les mesures actuelles prises non légales – poursuite contre l’État Canadien.  
Dépôt à la Cour du Québec (français) 18 décembre 2020

Les experts internationaux apportent des réponses fondées à de nombreuses questions pratiques.

Rapport d’experts
Rapport d’experts : Le Covid est-il un risque pour l’ensemble de la population ? Les verrouillages sont-ils utiles ? Les enfants peuvent-ils signaler des infections ? ….  18 déc. 2020

[Source : Guy Boulianne :




5G mon amour : enquête sur la face cachée des réseaux mobiles

[Source : La Maison du 21e siècle André Fauteux]

L’auteur de ce récent livre, le journaliste d’enquête français Nicolas Bérard, a été interviewé par Stéphan Bureau, animateur de l’émission de radio Bien entendu, à Radio-Canada, ce 7 janvier 2021.

5G mon amour – Le site du journal L’age de faire (lagedefaire-lejournal.fr)




Les démocrates paniquent? Où est passé l’ordinateur de Pelosi?

[Source : Carrefours du monde]

Une offensive sans précédent de la censure dans les médias sociaux dominants, envers les conservateurs en général, et le président Trump et ses proches soutiens en particulier.

Le président Trump n’a pas terminé son mandat, pourtant Facebook, Instagram et Twitter ont supprimé son compte.

Selon les dernières nouvelles du 8 janvier, les comptes du président Trump, des avocats Lin Wood et Syndey Powell ont tous été supprimés.

Alors beaucoup cherchent une solution de repli et se tournent vers l’application Parler.

Pourtant, Parler aussi est visé par cette offensive de la big tech : Google, Apple et Amazon ont ciblé la plateforme dans une action qui semble coordonnée.

Regardons maintenant quelques informations venant de Californie et qui concernent la lutte contre l’épidémie de COVID19.

Selon les directives de l’État publiées par le ministère californien de la santé le 6 janvier, les résidents californiens ont désormais interdiction de voyager à plus de 200 kilomètres de leur habitation.

Le 6 janvier, le régime chinois, en collaboration avec le gouvernement local, a lancé une vague d’arrestation massive à Hong Kong.

Plus de 50 militants pro-démocratie ont été arrêtés et accusés d’avoir violé la loi de sécurité nationale de Hong Kong.

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a annoncé qu’il répondrait par une nouvelle série de sanctions contre le gouvernement chinois.

Il enverra également l’ambassadeur des Etats-Unis aux Nations Unies, Kelly Craft, à Taïwan pour protester contre la répression à Hong Kong.

La date exacte a déjà été confirmée. Craft se rendra à Taïwan du 13 au 15 janvier.

C’est la première fois que les États-Unis envoient un ambassadeur des Nations unies à Taïwan.

Beaucoup de gens attendaient le rapport du directeur des services de renseignement américains sur l’enquête relative à l’ingérence étrangère dans l’élection.

Le rapport tant attendu a finalement été rendu public le 7 janvier dernier. 14 pages ont été remises à la commission du Sénat sur le renseignement et diffusées sur certains médias américains.

Au même moment, le directeur national du renseignement américain, John Ratcliffe, a signé une lettre non classifiée de trois pages qui a été remise au Congrès et à certains médias.

Dans cette lettre non classifiée, nous apprenons que Ratcliffe lui-même ne pouvait pas prendre toutes les décisions concernant le rapport d’enquête.

L’Associated Press a rapporté que le Pentagone et le Département de la Justice ont tous deux offert leur aide à la police du Capitole le 6 janvier, mais que ces deux offres ont été rejetées par cette dernière.

Par ailleurs, il y a de plus en plus de preuves montrant l’implication de l’extrême gauche dans l’incident.

John Sullivan, un membre de « Black Lives Matter » de l’Utah, a participé à la prise d’assaut du Capitole. La police l’a arrêté le 7.

Mo Brooks, membre républicain de la Chambre des représentants des États-Unis, a également tweeté que « de plus en plus de preuves montrent que l’ANTIFA a orchestré l’attaque du Capitole avec des tactiques intelligentes de contrôle de la foule ».

Le 8 janvier, Nanci Pelosi a écrit une lettre à ses collègues démocrates du Congrès pour donner une impulsion à la destitution du président Trump avant le 20 janvier.

La gauche radicale tentent d’utiliser l’incident du Capitole pour attaquer davantage le président Trump.

Mais d’un autre côté, le lieutenant-général Thomas McInerney s’est exprimé à la Maison Blanche et une vidéo circule sur internet.

Il dit que des membres des forces spéciales ont profité de l’évènement du Capitol pour obtenir l’ordinateur portable de Nancy Pelosi. Il parle de « haute trahison ».

Ceci expliquerait pourquoi elle est devenue frénétique depuis, et pourquoi elle fait pression pour destituer Trump au plus vite alors qu’il ne reste que quelques jours avant le 20 janvier.

https://youtu.be/0dDtgYGzF5s



Prétendus « vaccins » Covid-19 à ARNm — Dr David Martin : Ne croyez pas ce qu’on vous dit !

[Source : Shining Traduction]

Robert Francis Kennedy Jr, l’avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis pour nous alerter contre la manipulation autour de la stratégie de soin.

Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un dispositif médical qui délivre un pathogène synthétique !

Lien de la vidéo originale : This is Not a Vaccine – AWAKENING CHANNEL

https://youtu.be/z4uD4SPufFI



Il y a plus de trente ans, le journaliste Jean-Claude Bourret avertissait déjà que nous n’étions pas en démocratie

Il y a plus de trente ans, le journaliste Jean-Claude Bourret avertissait déjà que nous n’étions pas en démocratie et que nous sommes manipulés par les grands groupes financiers internationaux.

[Source : Médiapart]

Superbe analyse de Jean-Claude Bourret, un journaliste INDÉPENDANT clairvoyant et honnête … »Démocratie ? »…

… JCB démontre très clairement :

« L’arnaque est énorme et elle est valable dans tous les pays « démocratiques »… « 

Démocratie ?

L’arnaque est énorme et elle est valable dans tous les pays « démocratiques »

Quand tu en prends conscience – car il faut réfléchir et prendre un peu de hauteur – c’est flippant, comme disent les djeuns.

1ère arnaque : la démocratie qui prévoit qu’est élu, et donc représentant du Peuple, celui qui obtient 50 % des suffrages + une voix.

Ainsi, s’il y a mille votants, est élu celui qui obtient au moins 501 voix, c’est à dire la moitié de mille + une.

Première arnaque : en quoi un « élu » qui obtient 501 voix, est-il plus légitime que son adversaire qui en a obtenu 499 ?

Mais l’arnaque démocratique ne s’arrête pas là.

En donnant tous les pouvoirs au vainqueur selon les « normes » imposées par ceux qui nous dirigent, normes tellement ressassées qu’elles semblent évidentes, et en confiant à l’élu tous les pouvoirs au détriment du perdant… pendant TOUTE la durée de son mandat, on crée un système potentiel de dictature soft.

On le voit avec le dossier « retraites », où chacun comprend bien qu’il y a beaucoup d’intérêts cachés – dont ceux des fonds de pension – et qu’il s’agit pour Macron d’exécuter, avant la fin de son mandat, un programme pensé pour lui par des « intérêts » financiers supérieurs.

Mais l’arnaque démocratique est beaucoup plus vaste. Indépendamment de la réflexion qui doit être la nôtre sur le thème : en quoi un « élu » ayant obtenu un peu plus de la moitié des votants est-il légitime à posséder d’un coup tous les pouvoirs, et à prendre toutes les décidions sans consultation du Peuple, pendant toute la durée de son mandat ?

Il y a cette autre question : Pourquoi les médias – et accessoirement la Constitution – n’exigent-ils pas que l’élu ait obtenu au mois la MOITIÉ des électeurs INSCRITS ?

Car prenez l’élection de Macron, dont chacun, y compris les Macroniens peut constater :

– que le jeune homme, désigné comme Président par BHL alors que Macron, totalement inconnu, venait d’être nommé, ministre de l’économie (poste clef) sous Hollande, a bénéficié pendant un an d’une hallucinante campagne de Presse, faisant la une de dizaines de grands magazines, grâce aux « médias » propriété de ceux qui nous dirigent, sans compter son passage sur les TV propriétés d’amis milliardaires ?

– que ce même jeune homme, étant devenu l’un des deux finalistes face à Le Pen, cette dernière étant diabolisée, comme son père l’a été pendant 40 ans, étant l’adversaire idéale face à Macron. Combien de mes amis ont voté Macron pour faire barrage à Le Pen ?

Et ceux qui nous dirigent espèrent bien nous refaire le coup en 2022, afin de faire réélire leur poulain, qui détruit tous les acquis sociaux pour brader au privé (hôpitaux, SNCF, éducation nationale, forces de l’ordre, retraites, EDF/gaz, banque de France, industrie pharmaceutique, etc.). Il s’agit là d’une des multiples manifestations de manipulations des peuples, la France n’étant pas, et de loin, la seule à pratiquer cette arnaque. On le voit par exemple aux USA ou seuls sont candidats des milliardaires !

Énorme arnaque encore, lorsque l’on entend des députés LREM nous expliquer qu’il représentent « la majorité » du Peuple, et qu’ils sont donc légitimes à mettre en place des réformes – comme les retraites – face à une opposition, nécessairement minoritaire.

Or le 23 avril 2017, 1er tour des Présidentielles, et malgré une énorme campagne de soutien à Macron de la part des TV et magazines, propriétés de ses amis oligarques, Macron n’a obtenu que… 18,1 % des inscrits, soit 8,6 millions de voix sur 47,5 millions d’inscrits.

Au second tour, grâce à l’épouvantail Le Pen, Macron a obtenu 20,7 millions de votes, soit.. .43,6 % des inscrits, ce qui veut dire que : 56,3 % des électeurs n’ont pas voté Macron.

On constate donc cette énième arnaque démocratique… qui ne concerne évidemment pas que Macron, mais TOUS les Présidents de la Vème… à l’exception de de Gaulle. Tous ont été élus avec moins de la moitié des électeurs inscrits !

Et on voudra bien m’épargner l’élection de Chirac face à Le Pen… Je n’oublierai jamais ces jeunes citoyens manipulés, défilant entre les deux tours avec des pancartes « votez escroc, pas facho ! »… C’est à dire que ces jeunes là, connaissaient déjà Chirac à travers de multiples affaires, dénoncées par quelques journaux, mais préféraient un magouilleur à un « fasciste »… On saura plus tard, que le Pen, présent au second tour, avait soudain eu… très peur de devenir Président !

Oui, belle démocratie que la nôtre que l’on peut résumer ainsi :

le système mis en place par l’oligarchie, permet :
– à des candidats d’être représentants du Peuple avec tous pouvoirs pendant la durée de leur mandat.
– à des candidats d’être élus avec… moins de la moitié des inscrits.
– d’éliminer complètement « l’opposition » aux vainqueurs, même si cette opposition représente 49,9 % des votants.

La solution ?
Elle est technique.

Prenez l’affaire des retraites à laquelle personne ne comprend rien (sauf ceux qui l’ont initiée dans les coulisses du pouvoir) : il suffirait de mettre au point un logiciel inviolable sur les Smartphones ou ordinateurs, et de faire un référendum instantané : tu votes oui ou non, en cliquant sur une icône.

Cela permettrait à toute démocratie d’avancer : le pouvoir devrait être très pédagogue avant de lancer un référendum… qui ne coûterait rien (pas de milliers d’écoles et de dizaines de milliers de citoyens pour recevoir les votes dans une urne, puis de « dépouiller » les scrutins… et dont les résultats seraient instantanés.)

En attendant, via le 49/3 imaginé par Debré pour donner au général de Gaulle les pouvoirs de ses décisions, Macron continue de faire ou ceux qui nous dirigent lui ont dit de faire… ou plutôt… de défaire les acquis de nos anciens.

Jean-Claude Bourret




Rapport de fin d’année 2020 de la société satanique mondiale

[Source : Le Saker Francophone]

[NdNM : humour satirique, pour ne pas dire « satyrique »]


Par Dmitry Orlov – Le 30 décembre 2020 – Source Club Orlov

Chers amis satanistes, chers invités, Mesdames et Messieurs ! L’année 2020 a été une année phare pour notre société et pour Sa Majesté satanique ! [Applaudissements]

Notre principale réussite en 2020 a bien sûr été de confiner la moitié de la planète en mettant en scène un virus respiratoire pas trop dangereux, sauf pour les personnes âgées et les gens déjà malades, avec l’aide du sous-fifre satanique Tedros Adhanom Boutros-Boutros-Boutros Ghebreyesus de notre organisation affiliée, l’Organisation Mondiale de la Santé. Cela nous a permis de mettre en œuvre de manière proactive une démolition contrôlée de l’économie mondiale. Elle est susceptible d’enrichir considérablement nos membres, alors que l’inévitable effondrement spontané nous aurait anéantis. [Applaudissements enthousiastes, cris de « Bravo ! »]

Nous ne devons cependant pas nous reposer sur nos lauriers ; le stratagème du virus cessera de fonctionner pour nous à un moment donné. Nous ne voulons pas nous retrouver dans la situation d’un Boutros-Boutros-Boutros qui a crié au loup une fois de trop ! Le battage médiatique se dissipe déjà. L’utilisation du terme « lockdown » est malheureuse ; après tout, c’est de l’argot carcéral américain pour indiquer l’enfermement des détenus dans leurs cellules. De plus, ces satanés Russes semblent avoir développé leur Sputnik V, un vaccin qui fonctionne réellement. Maintenant, tout le monde semble le vouloir au lieu de nos potions toxiques et destructrices de fertilité préférées. Pourtant, cela a fait couler des larmes de joie sur le visage de nombreux satanistes qui ont vu des millions de personnes porter des masques faciaux et se tenir à 1,5 mètre les unes des autres, comme dans l’excellent film de Stanley Kubrik « Eyes Wide Shut » avec Tom Cruise et Nicole Kidman. [Regards confus ; quelques rires étouffés, quelques applaudissements]

Notre autre grand succès de l’année dernière a été l’installation de Kamala Harris, une compatriote sataniste du nom de code « Matilda », comme leader du monde libre. Comme pratiquement toutes les servantes de Sa Majesté satanique, Kamala est stérile ou, si vous préférez, « sans enfants ». Pour être fécond et se multiplier, il faut la grâce de Dieu et, il va sans dire, Dieu n’est pas exactement de notre côté. C’est d’ailleurs pour cette raison que nous sommes toujours à la recherche de sang neuf, de préférence celui d’enfants chrétiens. Cela aide nos membres à rester actifs jusqu’à un âge obscène. Henry Kissinger et George Soros ont eu leur dose. Joe Biden attend maintenant sa transfusion. [Rires]

L’installation de « Matilda«  (son nom de code immortalisé par son compatriote jamaïcain Harry Belafonte) a été une tâche gargantuesque pour nos membres et leurs alliés et sous-fifres du Parti Démocrate et de l’État Profond. Mais tout a fonctionné grâce au merveilleux système d’éducation publique américain. Il a produit plusieurs générations d’Américains qui peuvent à peine compter sur leurs doigts et leurs orteils. S’ils étaient capables de faire de l’arithmétique de base, ils auraient repéré le problème : 74 millions de voix pour Trump plus 81 millions de voix pour Biden nous donnent 155 millions de voix au total. Mais il n’y avait que 153 millions d’électeurs inscrits il y a seulement deux ans, ce qui représente un taux de participation de 101 %. Et puis 160 millions de personnes auraient voté, soit un taux de participation de 103 % ! Comparez cela aux 55,7 % de participation aux élections de 2016. [Sourcils froncés, doigts et orteils qui tremblent nerveusement]

Impossible de donner un sens à ces chiffres. Depuis 2016, la population américaine a augmenté d’un peu moins de 8 millions de personnes. En supposant que la moitié d’entre eux soient devenus en âge de voter, cela ajouterait 4 millions de personnes aux listes électorales. En supposant que tous les électeurs s’inscrivent effectivement pour voter, cela ne ferait que 157 millions. Si on accepte un taux de participation déjà étonnant de 66,6% en 2020, cela représente un peu moins de 105 millions de votes au total, ce qui est loin des 160 millions qui ont été rapportés. Si Trump a obtenu 74 millions de votes, comme on l’a rapporté, alors seulement 31 millions de votes seraient le maximum théorique pour Biden, soit la moitié de celui de Trump. [Silence assommé]

Alors comment Biden et Harris ont-ils pu gagner ? Facile ! De la même façon qu’il a été possible de faire tomber trois gratte-ciel de New York en utilisant deux avions le 11 septembre 2001. Si les gens n’ont pas appris à compter, vous pouvez leur faire croire n’importe quoi ! [Rires, applaudissements]

Ainsi, sauf acte de Dieu, « Matilda » sera installée comme Reine de la Maison Blanche tandis que Joe Biden, maintenu en vie par le sang d’enfants chrétiens, se contentera de signer son nom et de dire « Oui, Madame la Vice-présidente » chaque fois que « Matilda » le touchera avec un bâton. La possibilité d’un acte de Dieu n’est pas à exclure, bien sûr ; souvenez-vous de Sodome et Gomorrhe. Néanmoins, nous devons nous attendre à ce que cette réincarnation particulière de « Matilda » soit couronnée en grande pompe et qu’elle continue à grossir en Amérique, une « Matilda » de plus, pour reprendre les termes inspirés de Hugh Masekela« devenir grosse en Afrique ». Et puis, bien sûr, elle suivra le scénario et « prendra l’argent et courra au Venezuela… » [Halètements étourdis]

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…parce que, voyez-vous, elle devra le faire ! A la fin de son mandat, il n’y aura pas beaucoup de pays dans lesquels elle pourra continuer à grossir. Et cela nous amène à la dernière partie traditionnelle du rapport de fin d’année : les prévisions. Selon nos amis satanistes de Deagel.com (joli logo satanique discret , au passage, bravo aux concepteurs !) d’ici 2025, les États-Unis perdront 70 % de leur population, 92 % de leur PIB réel et leur économie sera légèrement inférieure à celle du Mexique. Entre-temps, la Chine restera la première économie mondiale, en légère croissance, tandis que l’Inde et la Russie monteront en flèche pour se classer aux deuxième et troisième rangs. Les classements mondiaux seront très différents. L’Allemagne se retrouvera quelque part entre le Chili et l’Afrique du Sud. La Suisse et le Royaume-Uni (si cet anachronisme idiot devait encore exister) se situeront quelque part entre la Slovaquie et la Grèce. Les Suédois seront plus pauvres que les Roumains… et ainsi de suite. Le monde change sous nos yeux et rien ne sera plus jamais pareil. [Silence étonné]

Nous devons cependant garder espoir, car nous pouvons être sûrs que ce monde changé nous offrira de vastes terrains de jeu pour les satanistes que nous sommes, dans les nations du monde autrefois riches mais bientôt démunies. Bien sur, avec le tandem Chine-Russie qui sera à peu près responsable du globe entier, nous serons chassés dans les ténèbres hors du cœur de l’Eurasie et forcés de nous accrocher aux confins du monde, mais avant que cela n’arrive, nous avons tout un festin devant nous ! Rentrez, mes amis ! Le buffet satanique est ouvert !

Dmitry Orlov

Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Les Démocrates en mode panique ?

[Source : Business Bourse]

[NdNM : à mettre éventuellement en parallèle avec les événements du Capitole.]

Alex Newman: « L’Amérique va déchanter ! Trump n’a plus qu’une seule chose à faire… »

Le journaliste Alex Newman dit que si vous pensez que Joe Biden est tout proche de devenir le prochain président des Etats-Unis, grâce à la certification qui ne saurait tarder, eh bien, il y a de fortes chances que vous vous trompiez ! Ce n’est pas encore terminé, et je peux vous affirmer que les comploteurs du coup d’état du Deep State ont tous peur que le président invoque ce qu’on appelle « la loi de l’insurrection ». Cette loi lui permet de mettre fin à un coup d’état ou à une attaque contre l’Amérique en utilisant l’armée ou la milice. Trump a déclaré qu’il avait tenté d’annuler l’élection frauduleuse par tous les moyens légaux mais qu’il avait échoué. 

Voici ce que Alex Newman affirme: 

« L’ancien chef de la « Defense Intelligence Agency » (DIA), le général Michael Flynn, affirme qu’il est sûr à 100% que Trump sera président des Etat-Unis encore, les quatre prochaines années. Il a dit qu’il en est plus que certain. Flynn sait des choses que nous ne savons pas et il échange très régulièrement avec Trump. Le président doit comprendre que s’il baisse les bras et abandonne le combat aujourd’hui, ils ne le laisseront jamais tranquille…C’est un film d’horreur pour l’Amérique. Il y a beaucoup de gens qui pensent que le président a plusieurs options (comme effectivement la loi sur l’insurrection).

J’ai le sentiment que tous ces hauts placés du Deep State sont en train de vraiment paniquer. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles je dis cela, et l’une d’elle est cet acharnement pour essayer de le destituer par le biais de 25e amendement, et si cela échoue, ils vont tenter une procédure de destitution classique. Mais pourquoi autant d’hystérie à son encontre ? Si vous imaginez vraiment que dans deux semaines, Trump aura tout simplement céder sa place parce qu’il a perdu, un point c’est tout, et qu’il est ne peut plus rien y faire, pourquoi attachez-vous autant d’attention à le voir disparaître pour jamais ? Je pense que tous ces gens bien pensants sont très inquiets qu’il y ait une redistribution des cartes…Et honnêtement, je pense qu’il y a autre chose. Plusieurs anciens secrétaires de la défense ont écrit une lettre au président Trump pour lui déconseiller d’invoquer la loi sur l’insurrection. D’autres, comme certains généraux avec lesquels j’ai été récemment en contact, disent au contraire qu’il n’a pas d’autres choix d’évoquer la loi sur l’insurrection. Je ne sais pas ce qu’il va faire, et je n’anticipe rien, mais je pense qu’il y a beaucoup de gens très puissants à Washington qui sont carrément terrifiés par ce que Trump pourrait faire, dans les deux prochaines semaines. »

Voici ce qu’Alex Newman a ajouté: 

« Si Trump réussit en fin de compte à rester en place, ce sera une situation extrêmement turbulente. Et si c’est Biden qui passe tout de même, ce sera très compliqué à court terme, mais je crois que ce sera comme la fin de notre république constitutionnelle telle que nous l’avons connue. C’est même plus la peine d’envisager quoi que se soit. S’ils font tout simplement les choses qu’ils ont dit qu’ils allaient faire, je pense que c’est la fin de l’Amérique. Bienvenue au grand Reset ! Bonjour à ce qu’ils appellent le Nouvel Ordre Mondial. Et là, au revoir à toutes nos libertés ! Dites adieu à vos libertés religieuses. Dites adieu à vos libertés les plus élémentaires, votre capacité à gagner votre vie, à votre liberté d’expression, à vos droits d’élire vos dirigeants, de prier pour Dieu, à votre capacité à défendre votre famille. Nous parlons ici des droits fondamentaux et accordés à tout un chacun que nous avons tenus pour acquis en Amérique depuis trop longtemps. Tout ça va disparaître ! »

En bref, une deuxième présidence de Trump signifie une certaine préservation de nos libertés, alors que si Biden prend le relais, je peux vous affirmer que ce sera la fin de l’Amérique comme on la conçoit.

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