Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !

[Source : Médias-Presse-Info]

Chers amis,

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit non moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.

L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.

Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.

On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE




Un employé des labos balance tout : le vaccin est un projet d’asservissement de l’humanité qui se fonde sur des textes religieux

[Source : Médias-Presse-Info]

Par MICHELE MARIE

Un fichier audio sans lien url ou intitulé m’est tombé entre les mains il y a deux jours. Il contient les révélations faites par un employé de labo parisien devant un petit groupe de personnes dont l’identité n’est pas annoncée, sinon par leurs prénoms à la fin de la narration. La date semble être contemporaine des élections américaines de 2020, ou légèrement antérieure.
Le message m’a paru suffisamment digne de foi et important pour que j’en entreprenne la transcription. La voici, dans sa forme presque brute, après un « toilettage » minime.

« Je travaille dans les laboratoires depuis 10 ans, je suis donc dans le système. Ça fait 10 ans qu’on travaille sur les nanoparticules. Au début, l’objectif était de suivre les cellules cancéreuses. Mais malheureusement, ce projet a été détourné de sa finalité.

On est financé comme vous le savez par plusieurs laboratoires. J’ai travaillé pour un laboratoire à Paris et j’aimerais m’expliquer sur un problème. Ce que je vais vous dire n’est pas du complotisme. J’entends beaucoup de gens parler de complotisme, mais non, ça n’en est pas.

Je vais vous expliquer rapidement comment ça se passe pour les nanoparticules. En premier lieu, lorsque vous les injectez dans votre corps, elles attaquent vos globules rouges, ensuite elles remontent jusqu’à votre peau. Et quand vous les exposez à un laser, il y a de l’information qui ressurgit [devient visible]. C’est comme une sorte de tatouage. Et vous devenez aussi comme une sorte d’antenne… Non non, ce n’est pas juste la 5 G. Avec mon équipe, quand on a vu ça, on a d’abord pensé que c’était une blague, puis on a compris que c’était en fait la réalité.

Vous avez vu qu’ils veulent faire le “Grand Reset”, supprimer le cash…? On peut en fait par ces nanoparticules intégrer des informations sous forme de “métadatas”. Les métadatas sont contenues dans ces nanoparticules, qui sont injectées par le vaccin. On les appelle des “adjuvants” mais en fait ce sont des nanoparticules. Même le vaccin de la grippe contient des nanoparticules et cela vous donne une idée de la raison pour laquelle le ministre de l’Intérieur vous a parlé du [a poussé au] vaccin pour la grippe: dans le vaccin de la grippe, vous avez aussi des adjuvants qui contiennent des nanoparticules… »

Une voix (celle de son interlocutrice) l’interrompt :

« Il y a même des médecins qui conseillent de faire faire le vaccin de la grippe aux enfants, pour éviter de transmettre la grippe aux parents et aux grands-parents! »

Le narrateur reprend:

« Ils se sont dit que s’ils n’arrivaient pas à vous vacciner contre le Covid, s’ils voyaient qu’il y avait de la résistance, ils pouvaient très vite vous faire passer le vaccin {du Covid] comme étant un vaccin pour la grippe.

Moi j’ai juste envie de vous dire que tout ça en fait c’est un plan. Car par mon travail je fréquente ces gens, donc j’ai quelques informations. Ça fait quand même 10 ans que je travaille dans les laboratoires et vous avez des hommes politiques qui sont actionnaires de ces laboratoires. Si vous voulez des noms je vous les donne tout de suite. Vous avez une personne qui s’appelle Alain Bauer, je ne sais pas si vous le connaissez. Donc ce monsieur est, disons, assez important en France, vous pouvez aller le chercher sur Google, vous verrez que tout ce que je dis est vrai. Il est actionnaire de plus d’un laboratoire.
Ce qu’il faut savoir c’est que …je suis Juif, de confession juive… et ces gens-là… je ne sais pas si je peux le dire, mais en fait il y a quelque chose de religieux derrière [ce projet]. Si vous n’avez pas compris qu’il y a quelque chose de religieux derrière, c’est que vous n’avez rien compris. Disons qu’il y a une volonté de vous mettre tous en esclavage.
Et avec le Grand Reset qui va venir, avec la suppression du cash, il se pourrait bien que ce vaccin serve à vous réduire en esclavage.
Je ne sais pas si vous avez vu… il y a un vaccin qui a été développé en Russie… Alors celui-là je vous le dis tout de suite, ce n’est pas un vaccin, c’est un placebo, il n’y a rien dedans. »

Voix de l’interlocutrice : « C’est pour contenter la population qui souhaite se faire vacciner ? »

« – Voilà! En fait c’est politique. Donc, moi ce que j’ai envie de vous dire c’est que vous n’aurez pas le choix, nous n’aurons pas le choix sauf à utiliser la violence, car ces gens sont très, très déterminés. Vous n’aurez pas d’autre solution que d’utiliser la violence et même l’extrême violence car ces gens, moi je les entends parler, parler du peuple, et ils n’ont aucune considération pour votre santé ou celle de vos enfants, qui sont visés en premier lieu.

Pour les tests PCR, ils les enfoncent [l’écouvillon] jusqu’à la glande pinéale. Ces tests-là contiennent des nanoparticules. Le frottis se fait au niveau de la glande pinéale et ça [les nanoparticules] monte directement au cerveau. Je ne sais pas si vous avez vu… certains généticiens vous ont informés de ce problème-là… Ne testez pas vos enfants et essayez de les retirer de l’école, si vous pouvez. »

Bruits de fond, des gens posent des questions tous à la fois. Le narrateur répond à une question (inaudible) :

« Le virus n’existe pas, Madame. Le Covid n’est pas un virus tant que vous ne l’avez pas isolé. Le virus n’a jamais été isolé, il n’existe pas. Une fois que vous isolez le virus, effectivement vous pouvez le nommer, mais là il n’a jamais été isolé, on ne l’a jamais vu au microscope. C’est comme le virus du VIH, le virus n’existe pas, le virus n’a jamais été isolé. »

Puis il reprend le fil de son exposé :

« Donc tout ça c’est une énorme, énorme machination, faite par des laboratoires où je travaille. Je prend des risques en vous le disant parce que j’ai été plusieurs fois coupé. On m’a déjà coupé parce que j’étais dans des groupes qui ont été infiltrés, je l’ai compris et donc je prends des risques en vous disant cela.
Retirez vos enfants de l’école et si vous voyez qu’en France ça commence à… parce que moi j’ai des informations, je peux vous dire qu’ils peuvent aller jusqu’au bout, jusqu’à ramener l’armée chez vous pour vous obliger… pour vous vacciner de force… Si vous voyez que ça commence à chauffer en France, je vous conseille de quitter le pays, d’aller en Suède ou de vous mettre à l’abri. Parce qu’en Australie c’est déjà le cas, je ne sais pas si vous l’avez vu, il y a des gens qui se font vacciner de force ».

Une voix lance :

« En Australie, sur ce continent, pour le vaccin c’est affolant, affolant. Et c’est là qu’on voit bien qu’il y a un plan réel, pour autant insister à vouloir vacciner tout le monde comme ça. C’est grave, c’est très grave. »

Le laborantin reprend son récit:

« J’ai envie de dire une dernière chose: je ne veux pas passer pour un raciste ou un antisémite… je suis juif de confession, je suis juif séfarade et en fait les gens qui sont derrière tout ça, ce sont des Juifs. [NdNM : D’après certaines sources probablement qualifiées de « complotistes », il ne s’agirait pas du tout de vrais Juifs, mais de Khazars se faisant passer pour tels.] C’est pour ça que je vous disais que c’est un projet religieux. C’est que pour eux …heu… je ne sais pas si vous avez lu le Talmud…Parce que moi je suis dans cette religion donc je connais beaucoup de personnes… Ces gens-là ils ont comme objectif de réduire l’humanité en esclavage, donc ils suivent leurs préceptes religieux, ce sont des fanatiques. Je les connais tous, je les connais et j’ai l’habitude de les fréquenter. Je les entends parler entre eux, ce sont des directeurs, des PDG, et ce plan-là était en place depuis 2001.

Nous recevons des subventions, je le confirme tout de suite, nous recevons des subventions de la Fondation Bill et Melinda Gates. Il était prévu de vacciner tout le monde vers avril mais on n’a pas pu le faire parce que ça bloquait au niveau des États-Unis, à cause de la présidence… du Président américain qui nous a bloqués. Et à cause du médecin de Marseille, le Professeur Raoult. Disons que ça a été le grain [de sable] qui a fait dérailler [enrayé] la machine, ils ne s’attendaient pas à ce qu’un médecin puisse parler de la chloroquine, qui marche effectivement. La chloroquine associée à l’azithromycine, ça marche, parce qu’en fait dans le Covid il y a de la malaria, alors c’est pour ça que ça marche, d’accord ?

Mais le virus [lui-même], il n’existe pas, il n’a jamais été isolé, c’est un virus qu’on n’a jamais vu, à part ce que vous avez vu à la télé, ce qui a été pris avec des photos radioactives. Mais ça n’existe pas.

Retirez vos enfants de l’école, préparez-vous… essayez de vous préparer mentalement, préparez-vous spirituellement et si vous voyez que vous n’y arrivez pas, essayez de fuir. Fuyez les grandes villes parce que c’est là où ils espèrent mener leur répression sanitaire. Ils ont un peu peur, je pense, je pense qu’ils ont un peu peur…ils ont peur que… bon que la situation leur échappe…

Mais je pense qu’il faudra attendre les élections aux États-Unis, car nous avons peut-être un espoir avec l’élection de Trump. Parce que qu’on le veuille ou pas, c’est politique aussi, c’est du religieux qui se mêle au politique. Comme je le disais tout à l’heure, c’est des gens qui sont fanatiques. Ils ont un projet, ce projet c’est de nous réduire tous en esclavage. Et je vous le dis parce que moi je suis dans le système. J’y travaille, ça fait 10 ans, et ceux qui me traitent de complotiste ou de je ne sais quoi, ben regardez ce qui se passe autour de vous : du jour au lendemain on a été confinés, je ne sais pas si vous avez vu avec quelle rapidité la situation a changé en France… Du jour au lendemain, on a été confinés. On n’a rien compris, les gens se sont retrouvés bloqués dans les aéroports…

Ils projettent aussi de ramener la famine parce que vous savez, avec le confinement, vous avez la chaîne logistique qui est cassée. Je vous rappelle également que les Chinois sont en train de constituer leurs réserves de nourriture. Donc, dans les temps à venir, ce que je vous conseille de faire, c’est de vous constituer des réserves de nourriture… on ne sait jamais.
Voilà, c’est ce que je voulais dire. »




Sasek avertit tous les lanceurs d’alertes : Attention aux stratèges du coronavirus !

[Source : kla.tv]

Avec des « astuces de jeu » diaboliquement perfides, les trompeurs mondiaux du coronavirus réussissent même malheureusement à instrumentaliser sans cesse à leurs fins des lanceurs d’alerte indépendants; mais cela peut se terminer brusquement si l’on voit à travers leurs stratégies, comme Ivo Sasek les dévoile ici.




Richard Boutry : Les coulisses de l’information

[Source : Ema Krusi]

FAUT QU’ON PARLE : LA FABRIQUE DE L’INFORMATION, avec Richard Boutry, journaliste de renom qui entame une prometteuse collaboration avec France Soir.

Comment on crée un journal de 20h00 ? Quelles sont les coulisses d’une réunion de rédaction ? Dans cette entretien, Richard Boutry nous parle de son expérience de 20 ans à France Télévisions et 10 ans à TV5 Monde.

L’information se fabrique. Mais comment ? Quelles est la formation d’un journaliste ? Lui apprend-on à poser les questions ? Lesquelles ? Quel est le rôle des 3 plus grandes agences de presse en 2020 ?

Retrouvez le point de vue de Richard Boutry dans cette capsule et rejoignez-le ici :

👉 La minute de Ricardo : https://laminutedericardo.com
👉Chaîne Youtube France Soir : https://www.youtube.com/c/FranceSoirVideos




« Trump : Nous ne pouvons pas permettre la tenue d’une élection complètement frauduleuse ! » L’édito de Charles Sannat

[Source : BusinessBourse]

[Auteur : Charles Sannat]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Je suis parti un peu comme un voleur, pour quelques jours de repos bien nécessaires à défaut d’être forcément bien mérités.

Pourtant, je ne suis pas bien loin et je vous reviens pour deux choses.

La première pour vous souhaiter du fond du cœur de belles fêtes de Noël pour ceux pour qui ce moment représente quelque chose d’important et de sacré et de bonnes fêtes de fin d’année pour tous les autres, car après tout, nous avons tous le droit de célébrer la fin d’une année et la venue d’une autre.

Surtout en ces temps de pandémie et d’année qui restera pour beaucoup très difficile.

Pourtant 2020 n’est pas encore terminée et les menaces restent nombreuses, les incertitudes multiples, les risques importants.

Des dettes monstrueuses, aux marchés surévalués, en passant par les mutations des virus et les vaccins incertains, l’année 2020 n’a pas encore dit son dernier mot que 2021, ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices.

Du côté des Etats-Unis, nous avons du nouveau.

Trump a parlé dans une vidéo.

En gros il a encore expliqué et réexpliqué les fraudes qui pour lui sont manifestes.

[Voir :] Donald Trump diffuse lui-même la fraude électorale !!

Il a expliqué que Biden n’avait pas du tout gagné, mais alors pas du tout.

Que le parti démocrate avait institutionnalisé, préparé et organisé la fraude depuis plus de 4 ans pour s’assurer que le mouvement initié par Trump serait fracassé.

Il a dit que la famille Biden avait reçu des millions d’euros de la part du parti communiste chinois ce qui est un évident motif de trahison et de collusion avec l’étranger.

Il a enfin conclu en disant que jamais il ne pouvait accepter la tenue d’une élection totalement frauduleuse. Il a introduit en expliquant qu’il avait le devoir de protéger le droit de vote des Américains !

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1341565405509394440?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1341565405509394440%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2020%2F12%2F26%2Ftrump-nous-ne-pouvons-pas-permettre-la-tenue-dune-election-completement-frauduleuse-ledito-de-charles-sannat%2F

Refus de signer le plan d’aides !

Trump vient également de refuser de signer le plan d’aides sur lequel les démocrates et les républicains viennent de s’accorder, se payant au passage le luxe d’expliquer que la prochaine administration sera peut-être lui !!

Pourquoi a-t-il refusé ces aides ? Parce qu’elles ne sont pas suffisantes, et surtout, qu’ont été glissés dans ce paquet des milliards de dollars donnés à des « special interests » [Littéralement « Intérêts particuliers »] et autres lobbies ! Par contre rien ou presque pour les restaurateurs qui souffrent terriblement et qui n’y sont pour rien et dont le business doit être préservé dans des conditions identiques à celles de départ car ce n’est pas « leur faute », mais la faute « des Chinois ». Il rappelle que ce plan est censé aider les Américains, pas les intérêts étrangers comme l’achat d’armes par… l’Égypte, puisqu’il y a une somme assez rondelette par exemple pour l’Égypte !

https://twitter.com/realDonaldTrump/status/1341537886315950080?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1341537886315950080%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2020%2F12%2F26%2Ftrump-nous-ne-pouvons-pas-permettre-la-tenue-dune-election-completement-frauduleuse-ledito-de-charles-sannat%2F

Du côté de Laurence Haim, c’est la panique qui monte !

C’est un titre qui est en lui-même tout un programme !

« Apocalyspe Now…

Trump pour l’heure n’en démord pas.

Il ne concède toujours rien.

[Voir aussi :] Fraude électorale en Californie: Ils ont même réussi à faire voter des sans abri !  
USA: Mais qu’est-ce que cette arnaque ? Vidéo absolument stupéfiante d’employés en Georgie, en pleine fraude électorale !

Kamala Harris, la vice-présidente élue de Joe Biden, n’a toujours pas démissionné de son poste de sénatrice.

Le monde est comme en apesanteur.

Les marchés également.

Biden, lui, est étonnamment discret et ne se montre pas franchement virulent contre Trump.

Et ils « sont » inquiets, car Trump devrait accepter sa défaite, il devrait avaler la fraude, il devrait se laisser faire, on lui a sans doute tout proposer.

L’argent.

Des permis de construire.

Sans doute aussi une immunité.

Il aurait du accepter cela comme Al Gore a accepté de laisser Bush occuper la Maison-Blanche, ce qui a considérablement enrichi Gore devenu le monsieur protection du climat de la planète.

Et pourtant, Trump, ne veut rien céder.

Nous étions en 2016.

Trump disait, qu’il « avait eu une vie formidable, qu’il avait connu la richesse, la joie d’avoir des enfants et des petits enfants », et que le moment était venu pour lui  » de redonner à ce pays qui lui avait tant donné ».

L’immense majorité des gens ne comprend pas Trump, parce que personne ne veut leur expliquer Trump. Derrière l’excentrique, et le personnage fantasque, se cache un patriote sincère, un homme qui a relevé tous les défis. Devenu milliardaire, ruiné, puis à nouveau richissime, star de télé, et enfin président des Etats-Unis, Trump, est un homme capable des engagements les plus grands impliquant aussi les sacrifices les plus élevés.

[Voir aussi :] Général T. McInerney “Ce n’est pas de la fraude électorale, c’est de la trahison !”

Vous pouvez penser différemment de lui. Tel n’est pas le sujet.

Le sujet, c’est que Trump est un homme qui a une mission.

Alors, oui, Laurence Haïm et d’autres ont peur, parce que comment arrêter un homme qui a une mission et l’envergure d’un Trump quand on ne peut pas l’acheter, le corrompre ou l’accuser ce qui a été fait depuis plus de 4 ans mais qui a échoué ?

Nous aurons cette réponse dans les prochains jours.

Je vous souhaite une belle fin d’année, et les prochains jours seront sans doute mouvementés.

Je pars quelques temps, mais je reviendrais si l’actualité le nécessite.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT




Prochain Noël en taule ?

[Source : Antipresse via Réseau International]

Le briefing Antipresse avec Slobodan Despot

Où il est question de la vente de la franchise «homo sapiens» à un dieu nouveau, du bilan de l’an 2020, de l’hospitalisation complète de la société occidentale et du confort rassurant de l’hospice, de modélisations sociales (car nous pouvons nous aussi projeter le pire!), du discrédit de toutes les institutions — et autres déferlements de vérité dont ce Noël nous gratifie.

«Face aux ténèbres» de William Styron est paru aux éditions Gallimard:

L’Antipresse 265 paraît ce 25 décembre. Comme toujours, on y appelle les choses par leur nom et l’on y soigne son français.




Analyse et résumé des éléments exposés par Jean-Bernard Fourtillan

[Source : Recherches Covid-19]

Le professeur Fourtillan avait publié le 20 août un document mettant en cause l’institut Pasteur pour la fabrication du virus responsable de la crise sanitaire actuelle, le 4 décembre il déposait une plainte contre ce même institut.

Revoyons et analysons plus en détail les documents fournis sur le site verite-covid19.fr

Les allégations du professeur Fourtillan reposent principalement sur trois brevets

– du brevet Européen de 2003 EP 1694 829 B1 (Pièce 2) à la page 3 :

[0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam), à des molécules d’acide nucléique issues de son génome, aux protéines et peptides codés par lesdites molécules d’acide nucléique ainsi qu’à leurs applications, notamment en tant que réactifs de diagnostic et/ou comme vaccin.

– du brevet Américain de 2003 US 012.8224 A1(Pièce 3) à la première page :

(57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

– du brevet Américain de 2011 US 8,243,718 B2 (Pièce 4) à la première page : (57) (57) Abstract : The invention relates to a novel strain of severe acute respiratory syndrome (SARS)- associated coronavirus, resulting from a sample collected in Hanoi (Vietnam), reference number 031589, nucleic acid molecules originating from the genome of same,proteins and peptides coded by said nucleic acid molecules and, more specificaly, protein N and the applications thereof, for example, as diagnostic reagents and/or as a vaccine.

Ces brevets proviennent bien de l’institut pasteur, qui a étudié des virus émergents dans le but de produire des méthodes de test et des vaccins pour ces virus potentiellement contagieux et mortels, et donc de breveter ces méthodes.

Mais que s’est-il passé entre 2011 et 2019 ? Le Pr. Fourtillan explique que des séquences du virus du SIDA, le VIH ont été insérées dans le virus du deuxième brevet américain entre 2011 et 2015.

http://d.p.h.free.fr/covid19/docs/Verite_sur_Covid-19_et_les_Vaccins_anti_Covid-19.pdf (Page 5)

À ce stade ces ajouts sont plus des suppositions reposant sur l’analyse du génome de différents chercheurs à travers le monde ayant fait état d’insertions de fragments du VIH dans les premiers séquençages du matériel génétique mis en cause dans l’épidémie de Covid-19.
La possibilité d’un ajout de fragments de VIH est une thèse relayée par de nombreux scientifiques à travers le monde.
Le nouveau coronavirus chinois est-il un avatar d’un coronavirus génétiquement modifié pour fabriquer un vaccin curatif du SIDA ?
L’étude indienne ayant initié cette thèse : Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag
Luc Montagnier : il y a du VIH dans le Covid-19

Si cette hypothèse fut contestée sous prétexte que la nature est capable de faire des choses qu’on ne comprend pas, l’origine du virus, avec ou sans VIH est discutée plus ouvertement aujourd’hui qu’au début de la crise sanitaire comme dans cet article du CNRS paru le 27 octobre 2020 « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ».

Le Pr. Fourtillan n’a pas la preuve irréfutable que l’institut Pasteur a créé le virus responsable de la situation actuelle, mais a de fortes suspicions de la possible implication de cet institut de recherche.

De plus, ce ne serait pas la première fois que cet institut trafique des coronavirus dans le cadre de recherches opaques : l’Institut Pasteur a ramené illégalement des fioles de Mers Coronavirus en 2015

Les allégations du professeur s’appuient sur un deuxième point

En Février 2017, une délégation du gouvernement français et de l’Institut Pasteur s’est rendue à Wuhan afin d’inaugurer le nouveau laboratoire P4 de Wuhan dans le cadre d’une collaboration entre la France et la Chine. Sur la photo suivante on reconnaît Elizabeth Guigou, Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, Yves Lévy, l’époux d’Agnès Buzyn, qui était directeur de l’INSERM, à cette époque, Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur, et un directeur de l’Institut Pasteur.
On ajoutera aussi qu’Agnès Buzyn, qui était ministre de la santé en France lorsque la crise du COVID-19 a éclaté est également à l’origine de la signature du décret qui a interdit la vente libre d’hydroxychloroquine en France le 13 janvier 2020, 8 jours avant l’annonce officielle du début de l’épidémie.

L’institut Pasteur avait donc les moyens et la possibilité d’étudier des virus à Wuhan, ville dans laquelle le virus a été observé pour la première fois.

Troisième point

Le professeur fait aussi mention d’un article d’une revue spécialisée publié en 2005 dans VIRAL IMMUNOLOGY (voir p.50) dans lequel le docteur Frédéric Tangy mentionne la possibilité de développer un vaccin à ARN atténué ayant des applications sur le VIH et le virus du Nil occidental.

Des internautes ont par la suite fait le liens entre les déclarations de Fourtillan et le fait que des Australiens aient été testés faux-positifs au VIH après s’être fait vacciner contre le Covid-19.


Suivant ce cheminement, il est possible que l’institut Pasteur ait une responsabilité dans la crise sanitaire actuelle bien qu’il n’existe pas de preuves formelles mais des suspicions.
C’est pourquoi Fourtillan avait déposé une plainte pour investiguer plus largement le rôle potentiel de l’institut, délibéré ou accidentel.

La stratégie agressive du professeur à sûrement participé à la diffusion de ses thèses, ce qui mènera nous l’espérons à un travail plus approfondi et a une enquête si la plainte émise est jugée recevable.

Il est aussi fait mention du brevet WO2020060606A1 CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA dans les recherches de Fourtillan.
Une hypothèse selon laquelle les nanoparticules des vaccins pourraient être utilisées comme systèmes d’identification et de traçage des individus est émise, mais il n’y a pas de mention de l’utilisation de nano-particules ou d’injections d’une quelconque technologie dans le corps humain dans ce brevet (?). Les systèmes d’identification élaborés seraient plus sur la forme d’une montre connectée voir d’un implant cérébral permettant de scanner les fonctions corporelles et ondes cérébrales (voir page 22 chapitre 25).

Il existe des recherches sur l’utilisation de nano-particules pour pouvoir imprimer des puces RFID à bas coût et les intégrer dans un plus large panel d’objets ou de les intégrer à des produits pour prévenir la contrefaçon (par exemple). Si l’utilisation de nano-particules injectées dans le corps humain pourrait théoriquement créer une sorte de puce RFID en fonction des méthodes d’excrétion de ces composants, rien ne montre que cela est possible à large échelle aujourd’hui.


Son internement récent avait suscité l’indignation aussi bien en France qu’à l’international. Libéré, il a répondu à l’invitation de FranceSoir pour une interview au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé et de s’exprimer.

Le professeur de pharmacologie, après l’émoi causé par son internement forcé, répond aux questions de Richard Boutry.

https://youtu.be/J6DE0yREIFc

Retrouvez ici la Plainte du Professeur Jean-Bernard FOURTILLAN contre l’Institut Pasteur.
Ainsi que sa présentation sur ses recherches Toute la Vérité sur Covid-19 et les vaccins anti Covid-19.
http://d.p.h.free.fr/covid19/




Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs – MàJ

[Sources : Urantia-Gaïa et FranceSoir]

par Le Passeur (sur Urantia-Gaïa) ou Frédéric Vidal (ancien journaliste, pour FranceSoir)

[NdNM : Les deux sources distinctes de ce même texte ne se mentionnent pas mutuellement. Que peut-on en déduire ? Est-ce que Le Passeur est un pseudonyme de Frédéric Vidal ?]

Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.

Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.

Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.

Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.

Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?

Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.

La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable.

Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l’intérêt d’une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.

Je suis désolé si les mots sont durs, mais l’heure n’est plus aux litotes.

Pour celles et ceux d’entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s’ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s’en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.

La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n’ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l’incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu’ils risquent en inconscience d’accepter pour retrouver l’illusion d’un bol d’air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu’allez-vous faire pour eux et pour vous ?

Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l’avez vu, vous le voyez parce que s’il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l’essence du journalisme, vous en avez l’information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l’ont. Je parle des lanceurs d’alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l’on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l’écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l’actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l’avaient abandonné et parfois renié.

Lorsque la maison brûle et qu’on est à l’intérieur, on ne se demande plus s’il est risqué ou non d’essayer d’éteindre les flammes, pas plus qu’on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.

Encore faut-il accepter de voir l’incendie. Je concède qu’à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c’est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercées. Je ne m’adresse pas à eux, je sais qu’ils s’effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.

Aujourd’hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l’un des plus grands mensonges de l’humanité, car il y en a d’autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d’un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d’un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l’imaginent.

L’arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l’information.

VOUS êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c’est ce pour quoi vous êtes aujourd’hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n’y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.

Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l’illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu’ils n’ont pas la capacité pour la plupart d’aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.

Seule une minorité n’est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d’alerte n’ont pas cessé d’informer, d’apporter les preuves de ce qu’ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.

Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j’espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C’est un devoir, qui même s’il n’a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793.

Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.

N’attendez pas de n’avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n’aurez plus rien, quand les peuples n’auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C’est ce qu’il nous faut tous conjurer, tant qu’on le peut encore, en agissant dans le bon timing.

Une partie de la jeunesse n’a plus d’espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l’économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s’appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c’est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l’élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d’intérêts, votre corruption.

D’ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l’enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.

Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l’arme de l’information qu’ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd’hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.

L’Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s’écrira le moment venu dans le sens d’une grande libération et pas d’un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l’Histoire ou dans le mauvais.

L’important n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C’est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.

Le Passeur.

Source : http://www.urantia-gaia.info 
(faites circuler et merci de respecter l’intégralité du texte.)




Le complot contre Trump

[Source : Esprit Qritique]

Au cas où il y aurait quelques septiques parmi l’assistance qui ne seraient pas encore passés par la case « RussiaGate », Esprit Qritique vous propose une version traduite par le Média en 4-4-2 du documentaire d’Amanda Milius : « The Plot Against The President », basé sur le livre à succès du journaliste d’investigation Lee Smith.

L’histoire vraie de la façon dont le membre du Congrès américain Devin Nunes a découvert l’opération visant à faire tomber le président des États-Unis Donald Trump via l’Etat Profond « The Deep State ».
Le fameux RussiaGate.

Une soit disant ingérence russe dans les élections américaines de 2016, qui est le plus grand scandale politique de l’histoire des États-Unis.

Après le livre à succès «The Plot Against the President» du journaliste d’investigation Lee Smith, ce long métrage documentaire explore de nouvelles informations et des interviews supplémentaires au fur et à mesure que l’affaire se déroule.

Le documentaire « Le complot contre le président » explore les tentatives de lier la campagne Trump à la Russie.

Mais que s’est-il passé exactement ?

Tous les Américains et une grande partie du monde pensent qu’ils connaissent le « Russiagate », mais la plupart des gens ne serait pas en mesure d’expliquer exactement ce qui s’est passé et pourquoi il s’agissait du plus grand scandale politique de l’histoire américaine.

Source :
https://odysee.com/@TraductionEn442:a/THE-PLOT-AGAINST-THE-PRESIDENT-VOSTFR:4?r=BDhRerVCk5WhSiKrvG72S2ofykRZyHhW

L’article de Fox News :
https://www.foxnews.com/entertainment/plot-against-the-president-trump-movie

Le Livre de Lee Smith :
https://www.centerstreet.com/titles/lee-smith/the-plot-against-the-president/9781546085010/




Tout le monde s’est trompé sur Trump

[Source : Réseau International]

par Caitlin Johnstone.

Après des semaines de spéculations et d’espoirs désespérés que Donald Trump puisse gracier le lanceur d’alerte de la NSA Edward Snowden et/ou le fondateur de WikiLeaks Julian Assange avant de quitter ses fonctions le 20 janvier, ce que les dernières grâces présidentielles ont livré est aussi éloigné de cela que vous pouvez l’imaginer.

« Lors d’une audacieuse salve de grâces avant Noël, le président Trump a accordé mardi la clémence à deux personnes condamnées dans le cadre de l’enquête du conseil spécial sur la Russie, à quatre gardes de Blackwater condamnés pour le meurtre de civils irakiens et à trois anciens membres républicains corrompus du Congrès », rapporte le New York Times.

Je n’ai probablement pas besoin de le dire à mes lecteurs habituels, mais un pardon de Trump pour Assange et Snowden n’est certainement pas dans les cartes. Trump n’a fait que protéger le statu quo impérial pendant toute la durée de son mandat et un pardon pour l’un ou l’autre de ces héroïques défenseurs de la transparence gouvernementale serait une déviation de ses modèles établis, différent de tout ce qu’il a déjà démontré pendant son mandat. Il est bon de faire pression sur les politiciens pour qu’ils fassent ce qu’il faut, même s’ils ne le feront probablement pas, et il y a fort à parier qu’il ne le fera pas.

Histoire à venir bienôt de @nytmike et moi – Trump pardonne ou commue
Papadapolous et une autre cible de l’enquête Mueller, quatre hommes
liés au meurtre de civils irakiens et trois membres corrompus du Congrès

Le mandat de Trump a révélé que pratiquement tout le monde, dans l’ensemble du spectre politique américain, s’est trompé à son sujet. Et c’est un témoignage de la puissance des chambres d’écho des médias que la plupart d’entre eux se trompent toujours autant sur lui qu’il y a quatre ans.

À ce jour, même après quatre ans de preuves du contraire, les partisans de Trump croient toujours que leur président a mis fin aux guerres, asséché le marais et combattu l’État profond. Ils croient qu’il lutte contre l’État profond même après qu’il ait emprisonné Assange. Ils croient qu’il met fin aux guerres alors même qu’il a intensifié les agressions de type Guerre Froide contre la Russie, tué des dizaines de milliers de Vénézuéliens par des sanctions entrainant des famines, opposé son veto aux tentatives de sauver le Yémen des États-Unis. Il s’efforce de fomenter une guerre civile en Iran en utilisant les sanctions et les opérations de la CIA dans le but déclaré de provoquer un changement de régime. Il a occupé des champs de pétrole syriens dans le but d’empêcher la reconstruction de la Syrie, a considérablement augmenté le nombre de troupes au Moyen-Orient et ailleurs, a considérablement augmenté le nombre de bombes larguées par jour par rapport à l’administration précédente, tuant un nombre record de civils, et a réduit la responsabilité militaire pour ces frappes aériennes. Ils pensent qu’il assèche le marais après avoir rempli son cabinet de monstres du marais de l’establishment.

À ce jour, même après quatre ans de preuves du contraire, les libéraux sont toujours convaincus que Trump est un serviteur de la Russie qui a passé son mandat à promouvoir les intérêts de Vladimir Poutine. Ils le croient alors même qu’il a déchiré les traités avec la Russie, bombardé le gouvernement syrien et armé l’Ukraine (ce qu’Obama a refusé de faire), imposé de nombreuses sanctions et déclenché de nombreuses autres escalades qui vont directement à l’encontre des intérêts et de la sécurité de la Russie.

Aujourd’hui encore, même après quatre ans de preuves du contraire, de nombreux membres de la gauche continuent de prétendre que Trump est un président fasciste ou semblable à Hitler, bien qu’il ait fait déporter beaucoup moins de personnes qu’Obama. Et malgré le fait qu’il quittera avec une certitude absolue son poste le 20 janvier après avoir perdu une élection.

Toutes les parties ont prétendu que Trump était une déviation radicale de la norme, lui aussi le prétend, alors que tout ce qu’il a fait pendant toute la durée de son mandat a été de protéger le statu quo comme l’ont fait ses prédécesseurs. Comme l’a récemment déclaré l’écrivain et militant Sam Husseini, « Trump est le pouce opposable de l’establishment. Il semble être du côté opposé, mais il l’aide à en saisir davantage ».

Caitlin Johnstone : Si vous supposez que Trump a déjà eu un réel intérêt à faire bouger le bateau de manière significative. Ce n’est pas le cas. Il n’a rien fait d’autre que de protéger le statu quo pendant toute la durée de son mandat.
Sam Husseini : Trump est le pouce opposable de l’établissement.
Il semble être du côté opposé, mais il l’aide juste à en saisir plus.

Après quatre ans, tout le monde – à gauche, à droite et au centre – a prouvé qu’il avait tort à propos de Trump. Il n’était ni un monstre uniquement maléfique (il n’était incontestablement même pas aussi mauvais que Bush), ni un héros populiste drainant le marais et luttant pour l’homme commun contre l’État profond.

En réalité, le mandat de Trump a clairement établi ce qu’il était vraiment pendant tout ce temps : un président des États-Unis. Mieux que certains, pire que d’autres, mais aussi profondément horrible dans l’ensemble puisqu’il a volontairement servi de visage à la force la plus malfaisante et la plus destructrice de la planète, à savoir le gouvernement des États-Unis. Il était le même genre de monstre que ses prédécesseurs.

Trump est un président américain d’une dépravation assez moyenne, avec beaucoup d’histoires en tout genre accumulées par les médias. En réalité, il était à peu près ce que vous obtiendriez si vous preniez n’importe quel baby-boomer américain moyen qui regarde Fox News et qui crie sur Obama à la télévision, le rendiez riche, et que vous en faisiez un président.

C’est ce que Trump est et a été. Rien de plus extraordinaire que cela. Ce n’est que l’efficacité des chambres d’écho et la tendance humaine à privilégier le récit par rapport aux données factuelles qui empêche plus de gens de voir cela.

Et maintenant peut-être qu’il s’en va, avec ses crimes imaginaires toujours considérés comme réels et ses crimes réels complètement ignorés. L’humanité ne pourra pas créer un monde sain tant que nous ne trouverons pas un moyen de transcender notre relation malsaine et délirante avec le récit mental qui obscurcit si facilement notre perspective de ce qui se passe réellement.

source : https://caityjohnstone.medium.com

traduit par Réseau International




Un autre modèle de données erroné de l’Imperial College est à l’origine du dernier confinement au Royaume-Uni

[Source : Réseau International]

par Whitney Webb.

La source derrière l’affirmation qu’une nouvelle souche COVID-19 au Royaume-Uni est 70% plus contagieuse, le Dr Erik Volz de l’Imperial College, admet que le modèle qui a produit cette statistique est défectueux et qu’il est « trop tôt pour dire » si la souche se propage plus facilement.

Samedi, le premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé de nouvelles mesures extrêmes juste avant les vacances en raison de l’émergence d’un nouveau variant COVID-19. Pour Johnson, et pour le médecin en chef du Royaume-Uni Chris Whitty, qui a également pris la parole lors de la conférence de presse de samedi, la nouvelle souche – surnommée VUI-202012/01 – est environ 70% plus transmissible, mais aucune preuve ne montre qu’elle est plus dangereuse ou plus mortelle que les souches précédentes.

Selon la BBC, l’affirmation de Johnson selon laquelle le nouveau variant « pourrait être jusqu’à 70% plus transmissible », était basée sur les informations discutées la veille par le Groupe Consultatif sur les Menaces des Virus Respiratoires Nouveaux et Émergents du gouvernement britannique, ou NERVTAG. Pourtant, comme le note la BBC, ce chiffre provient apparemment d’une seule source, une présentation de 10 minutes donnée par le Dr. Erik Volz de l’Imperial College, vendredi dernier, le même jour que la réunion du NERVTAG.

Volz – un proche collègue de Neil Ferguson, discrédité – a fait cette présentation au COVID-19 Genomics UK (COG-UK), un consortium de recherche largement financé par le gouvernement britannique et le Wellcome Trust et, en particulier, le Wellcome Sanger Institute. Le Wellcome Sanger Institute a récemment fait l’objet de critiques pour avoir « mal utilisé » l’ADN des Africains afin de développer une « puce génétique sans accords juridiques appropriés ». Un prochain rapport du Unlimited Hangout détaillera les liens du Wellcome Trust avec le mouvement eugénique britannique, la Fondation Bill et Melinda Gates et le vaccin COVID-19 d’Oxford-AstraZeneca. Notamment, le scientifique financé par le Wellcome et à l’origine de ce candidat vaccin, Adrian Hill, a récemment été cité par le Washington Post comme ayant déclaré : « Nous sommes dans la position bizarre de vouloir que le COVID reste, au moins pour un certain temps… Mais les cas sont en déclin ». Le gouvernement britannique, Google et d’autres acteurs puissants sont positionnés pour profiter des ventes de ce vaccin candidat particulier.

Selon la dernière publication de Volz, le COG-UK « a permis de générer plus de 40 000 séquences de SARS-CoV-2 dans le pays en moins de 6 mois (environ la moitié de tous les génomes séquencés dans le monde au 7 juillet) » et « a facilité l’utilisation d’un échantillonnage robuste et systématique et d’approches bioinformatiques et de laboratoire partagées ainsi que la collecte de métadonnées de base cohérentes, ce qui a permis de constituer un vaste ensemble de données à haute résolution capable d’examiner les changements dans la biologie du virus au Royaume-Uni ».

Dr. Erik Volz

Toutefois, dans sa présentation de vendredi dernier, Volz dévalorise à plusieurs reprises la qualité de l’échantillonnage du COG-UK et, par extension, la validité du modèle utilisé pour justifier le chiffre de 70%, ce qui soulève des questions évidentes quant à la raison pour laquelle Boris Johnson aurait cité ce chiffre de manière si convaincue et l’utiliserait pour justifier des mesures de confinement draconiennes pendant la période des fêtes ainsi que la mise en place arbitraire d’un nouveau niveau de confinement plus extrême.

En comparant la nouvelle souche, que Volz désigne dans la présentation sous le nom de N501Y, à une autre souche nommée A222V, Volz déclare : « Nous en sommes encore aux tout premiers stades, nous avons en gros un mois de progression pour la comparaison, alors que nous avons maintenant observé A222V pendant 3 mois ». Après avoir noté la nature limitée de l’ensemble de données pour N501Y, Volz a déclaré que « la progression [dans le cas de la nouvelle souche] semble effectivement plus importante ». Il ajoute ensuite rapidement que « les tendances que vous voyez au début ne se confirment pas toujours, vous devez laisser plus de données s’accumuler ».

Volz poursuit en comparant les transmissibilités de A222V et de N501Y. Concernant le modèle utilisé pour déterminer la transmissibilité de l’A222V, Volz déclare que « l’ajustement du modèle n’est pas particulièrement bon » étant donné que « il y a beaucoup de valeurs aberrantes au début et beaucoup de valeurs aberrantes plus tard ». Il conclut que « nous ne nous attendons pas à ce qu’un modèle de progression logistique soit nécessairement approprié dans ce cas ». Cependant, il utilise ce modèle « pas nécessairement approprié » et mal ajusté pour le comparer à la nouvelle souche.

Pourtant, même avec le modèle de transmissibilité de la nouvelle souche, Volz affirme qu’il est « trop tôt pour dire » quelle est la transmissibilité de N501Y, précisant que le chiffre de 70% estimé par le modèle est basé sur « l’état actuel de nos connaissances », qui est à nouveau basé sur un mois de données et ses tendances, tendances que Volz a également noté « ne se réalisent pas toujours ». Volz ajoute ensuite que les rares données utilisées pour développer le modèle de transmissibilité de la nouvelle souche ont posé quelques problèmes, déclarant que « la fréquence de l’échantillon est très élevée et surdispersée ». Plus tard dans la présentation, Volz déclare que les données, fournies par le COG-UK, étaient à la fois « un échantillonnage non aléatoire et très perturbé », ce qui remet en question non seulement la quantité limitée de données en termes de temps, mais aussi la qualité de ces données. Après avoir noté les défauts flagrants des deux modèles qu’il compare, et qu’il est « trop tôt pour dire » beaucoup de choses sur N501Y, Volz déclare que N501Y « se propage plus vite que A222V ne s’est jamais propagé ».

La présentation de Volz fait suite à la publication, aux côtés de Wendy Barclay, professeur à l’Imperial College et membre du NERVTAG, de la caractérisation génomique préliminaire de la nouvelle souche. La présentation de Volz vendredi dernier et cette caractérisation préliminaire, publiée pour la première fois le 19 décembre, ont été les principales sources de données examinées lors de la réunion de la NERVTAG. Notamment, l’étude, rédigée pour le gouvernement britannique et le COG-UK financé par le Wellcome Trust, n’a pas encore été examinée par des pairs et ne fait aucune mention d’une augmentation de la transmissibilité ou du chiffre de 70%.

Le retour de Ferguson

Le collègue de Volz, Neil Ferguson, a également joué un rôle clé dans la promotion de la nécessité d’un enfermement plus restrictif en raison de cette nouvelle variante génétique. En mai, Ferguson a été pris en train d’enfreindre les règles des confinements précédents qu’il avait fortement défendues et sans doute orchestrées afin de rendre visite à son amant. Il s’est également attiré de nombreuses critiques pour avoir produit des modèles défectueux, en particulier ses prédictions extrêmement inexactes concernant le nombre de décès par Covid-19 prévus, qui ont été largement utilisées pour justifier les précédents confinements au Royaume-Uni. Malgré la récente controverse, Ferguson fait toujours partie du NERVTAG et a participé à la réunion de vendredi dernier pour discuter de la nouvelle souche. Cette réunion a été considérée comme ayant « joué un rôle essentiel dans le changement d’avis du premier ministre – et a conduit à l’annonce samedi de l’annulation effective de Noël pour des millions de personnes ».

Cependant, tout comme pour Volz dans sa présentation, la réunion du NERVTAG n’a pas permis de s’entendre sur le taux de transmissibilité de 70%. Au lieu de cela, une majorité des membres du groupe s’est opposée à toute sorte « d’action immédiate sur la nouvelle mutation » et a voulu « attendre plus de preuves ». Le compte-rendu de la réunion, tel que cité par le Daily Mail, a noté que le NERVTAG n’avait qu’une « confiance modérée » dans le fait que la nouvelle souche soit plus transmissible et avait conclu qu’il y avait « actuellement des données insuffisantes pour répondre aux questions cruciales sur la nouvelle souche », notamment sur sa prétendue transmissibilité accrue. Le fait que, comme l’indique le compte-rendu de la réunion du NERVTAG, la nouvelle souche « peut être difficile à séquencer », ce qui signifie qu’elle n’est pas facilement identifiée par rapport à d’autres souches, aggrave encore le problème.

Notamment, alors que la plupart des membres du NERVTAG se sont opposés au type « d’action immédiate » que Johnson a annoncé à la suite de leur réunion, Ferguson est apparu sur la BBC le jour de la réunion du NERVTAG et a affirmé que le Royaume-Uni devait procéder à un troisième confinement plus restrictif que tout confinement précédent. Ferguson semble être un membre clé de la « minorité bruyante qui croit que… nous devrions paniquer beaucoup plus fréquemment » et qu’une source de Whitehall a cité comme « intimidant » le gouvernement britannique pour qu’il prenne des mesures plus extrêmes ces derniers jours dans une récente conversation avec le Daily Mail.

Neil Ferguson

Dans les quelques jours qui ont suivi l’annonce de ces mesures, Ferguson est devenu la principale source d’allégations selon lesquelles le nouveau variant « a une plus grande propension à infecter les enfants », bien qu’il ait également déclaré que « nous n’avons pas établi de lien de causalité à ce sujet, mais nous pouvons le voir dans les données ». Cependant, il note également que « nous devrons recueillir davantage de données » pour déterminer réellement si les enfants sont plus facilement infectés par la nouvelle souche. Un autre membre du NERVTAG et également professeur de l’Imperial College, Wendy Barclay, a également répété l’affirmation non prouvée selon laquelle le nouveau variant infecte de plus en plus d’enfants, en déclarant que « les enfants sont, peut-être, aussi sensibles à ce virus que les adultes ». Le laboratoire de Wendy Barclay au Collège Impérial est financé par le gouvernement britannique et le Wellcome Trust.

Malgré l’admission de Ferguson qu’il n’y a pas de preuve réelle pour étayer cette affirmation, les grands titres des médias britanniques comme « La variante britannique du coronavirus pourrait être plus susceptible d’infecter les enfants », des scientifiques et d’autres ont laissé entendre que la déclaration était basée sur plus que de simples spéculations à partir d’ensembles de données incomplets et biaisés. La crainte exagérée que les enfants soient apparemment plus sensibles au nouveau variant pourrait être utilisée pour justifier une vaccination accrue de ce groupe démographique, dont il a été démontré qu’il n’était pas affecté par les souches COVID-19 précédentes par rapport aux autres groupes d’âge.

Les critiques du récit contestable déjà étiquetés comme « théoriciens du complot »

L’absence de consensus légitime du NERVTAG et d’institutions connexes comme l’Imperial College sur la transmissibilité de la nouvelle souche a fragilisé les affirmations de Johnson selon lesquelles des mesures de confinement paralysantes pour Noël étaient nécessaires ainsi que ses justifications pour les nouvelles mesures restrictives de confinement, à tel point qu’il a même suscité des critiques de la part de médias mainstream en dehors du Royaume-Uni, comme ABC News.

Malgré la justification douteuse des mesures de confinement, qui est suffisamment flagrante pour être notée par le grand public, le gouvernement britannique « surveillerait maintenant les médias sociaux à la recherche de théoriciens du complot », après que la surveillance des réactions des médias sociaux par le gouvernement à la suite de la conférence de presse de samedi ait révélé que « beaucoup ne sont pas préoccupés par le nouveau variant », certains étant « plus sceptiques » notant que « la simultanéité d’un nouveau variant avec l’approbation d’un vaccin était suspecte ».

Les rapports des médias sur la surveillance par le gouvernement britannique de la « désinformation » concernant la nouvelle souche ont déclaré que « les conspirations ont lieu malgré le fait que le Groupe Consultatif sur les Menaces des Virus Respiratoires Nouveaux et Émergents (NERVTAG) du gouvernement britannique souligne la gravité potentielle du nouveau variant ». Ces rapports ne mentionnent pas que le compte-rendu du NERVTAG a révélé un manque de consensus pour le nouveau confinement et une incertitude quant à la transmissibilité accrue de la nouvelle souche. Selon ce récit, des médias comme ABC News et même la majorité des membres du NERVTAG qui n’ont pas estimé qu’il y avait suffisamment de preuves pour justifier les allégations de transmissibilité de la nouvelle souche, pourraient être considérés comme des « théoriciens du complot ».

Le récit entourant la nouvelle souche et les mesures de confinement qui y sont associées illustre clairement la facilité avec laquelle les « avis d’experts » peuvent être manipulés pour soutenir une politique particulière en l’absence de toute justification légitime. Le consensus réel de la réunion du NERVTAG ainsi que les experts cités par les médias traditionnels qui sont en désaccord avec ceux de la « minorité bruyante », représentée par Neil Ferguson et Wendy Barclay, ont été largement ignorés dans les rapports des médias traditionnels britanniques et du gouvernement britannique lui-même, probablement parce que citer de tels faits gênants délégitimerait la politique qui en résulte. Au lieu de cela, ceux qui sont en désaccord avec le récit clairement questionnable sont rapidement étiquetés comme « théoriciens du complot » par le gouvernement britannique, une démarche qui aura probablement pour conséquence d’étendre la guerre déjà déclarée du Royaume-Uni contre le reportage indépendant et les posts de médias sociaux qui osent remettre en question et/ou contester le récit prôné par le gouvernement.

source : https://www.thelastamericanvagabond.com

traduit par Réseau International




Publicité mobile anti-crise Covid-19

[Source : Véro P.]

https://twitter.com/veroniquepoir12/status/1341878750514966528



« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique

[Source : Anthropo-logiques]

J’ai la très grande joie de partager un nouveau texte (le troisième publié ici) de M. Frédéric Badel, médecin-psychiatre. Il nous livre un tour du propriétaire après dix mois de psychose collective qui fait évidemment quelque peu froid dans le dos.

Commentant le documentaire « Hold-Up » (diffamé comme on le sait avec une violence extrême par la presse mainstream), Edgar Morin a eu cette remarque tellement sagace : « Pas une fois dans Hold up on n’entend parler d’une techno-science sans conscience produite par un système, d’une logique capitaliste marchandisant mondialement jusqu’à notre imaginaire ou une critique de l’État total en formation, mais toujours de personnages néfastes. »

Le film, contrairement à la critique outrancière qu’en a faite la presse, n’impose aucune thèse. Il montre et donne la parole à des acteurs, politiques et économiques, qui réclament un Nouvel ordre mondial et on pensé, depuis au moins une décennie, qu’une pandémie (avec la peur qu’elle générerait) serait le meilleur moyen pour parvenir à l’imposer.

En relevant cela, le réalisateur n’impose rien. Libre à chacun d’en faire la lecture qu’il veut (ce qui est, précisément, ce qu’entendent empêcher les médias qui se tiennent désormais pour détenteurs de la vérité -et travaillent donc à l’imposer à la population.)

Mais Edgar Morin vise juste dans sa critique en indiquant que ce qui importe -et ce qu’il est urgent désormais de mettre en lumière- c’est l’idéologie et le programme de ce capitalisme totalitaire qui cherche à prendre le pouvoir sur le monde et réduire ses habitants à des sujets dociles. Un capitalisme soviétique, ou plutôt à la chinoise, hanté par un délire transhumaniste et eugéniste hélas très réel.

Dans ses textes, le Dr Badel décrit avec une précision d’entomologiste les procédés manipulatoires qui nous sont infligés depuis bientôt une année avec là aussi une violence extrême -et leurs effets terribles sur les psychismes individuels comme le psychisme collectif.

A voir aujourd’hui la presse s’agiter comme une seule division blindée avec le « nouveau variant tellement contagieux » que l’on dit avoir détecté en Angleterre, on se demande comment faire pour que la machine à produire de la panique puisse juste se mettre en pause pour laisser un peu souffler la population.

Il y a bien sûr quelque chose d’irresponsable et de brutalement maltraitant dans cette insistance quotidienne à peindre le diable sur la muraille et achever de détruire la santé mentale de la population. C’est exactement ceci que le médecin-psychiatre décrypte et analyse ici avec une lucidité sans concession.

Au fond, c’est bel et bien la psychiatrie (la vraie, la noble, il en est aussi ô combien hélas des formes abusives) qui aura le plus manqué à nos prises de décision collectives. Les conseils scientifiques et autres task forces n’ont absolument pas intégré la variable santé mentale à leurs travaux, et sont eux-mêmes tombés dans des modes de fonctionnement et de pensée hautement pathologiques. Le prix à payer collectif de cette psychopathologie sera lourdissime.

C’est donc avec joie que je vous invite à découvrir l’article du Dr Badel, que je remercie à nouveau chaleureusement de sa confiance et de sa fidélité à ce modeste blog.

Covid 19, un virus et des hommes

par le Dr Frédéric Badel, médecin-psychiatre

En dix mois, notre quotidien a été grandement modifié et nos repères profondément changés. Notre démocratie a subi de fortes turbulences, malmenée par l’état d’urgence et les mesures rongeant nos droits fondamentaux.

L’apparition du virus nommé Covid 19 peut-il en être l’explication ?

Dès mars 2020, soit peu de temps après la date supposée d’apparition du virus, certaines incohérences dans la communication et dans la gestion de la maladie pouvaient alerter.

La création d’un conseil scientifique fin mars, composé de personnes ne tenant pas compte des données de terrain et décidant seules de mesures sanitaires nouvelles, court-circuitant toutes les instances en place, constituait une anomalie. Le confinement pour un virus ne se justifiait pas, la France n’étant pas en guerre contrairement à ce qu’annonçait le Président, et l’interdiction faite aux médecins de soigner librement leurs patients était une atteinte à l’un des piliers fondateurs de la médecine. Traiter l’infection avec du paracétamol et ne pas consulter son médecin, ou encore aller à l’hôpital directement, a participé au retard de prise en charge et à l’augmentation de la mortalité, ainsi qu’à la surcharge de certains services. Nombre de structures privées ont vu leurs lits réquisitionnés rester vides. Et dans le même temps, leurs malades habituels n’ont pu être soignés comme ils auraient dû l’être, certains en sont morts. Le traitement donné à cette épidémie, tant médical que médiatique, ne ressemblait en rien à celui donné aux précédents épisodes virologiques. Le comptage quotidien du nombre de victimes rendait l’atmosphère menaçante et contribuait à terroriser la population.

De même l’annonce dès le début de l’épidémie d’un « monde d’après » devant être opposé au « monde d’avant » amorçait une rhétorique étonnante concernant une épidémie virale.

Les médias ont très largement propagé une parole gouvernementale basée sur la manipulation (essentiellement par la peur et les modifications des indicateurs d’épidémie), sur le mensonge (au sujet de la disponibilité puis de l’efficacité des masques par exemple), sur l’infantilisation (se faire à soi-même une attestation), et sur la culpabilisation (embrasser ses proches les fera mourir).

Le nombre de morts diminuant dès le mois de mai, les indicateurs de l’épidémie ont été modifiés pour créer volontairement la confusion et l’illusion d’un virus persistant. Les malades devenant rares, ils ont été remplacés dans les chiffres par les « cas ». Ces cas, qui n’ont aucune signification épidémiologique et sont donc ininterprétables, ont été détectés à l’aide de tests qui s’avèrent donner un très fort taux de faux positifs. Mais pourtant et en dépit du bon sens, cette application à débusquer les « cas » au moyen de ce même test s’est accentué.

Le nombre croissant de « cas » a justifié la prise de mesures privatives de liberté, toutes aussi incompréhensibles, illogiques et inopérantes les unes que les autres. Leur inefficacité prévisible a été maquillée en mauvaise observance des règles et a justifié de nouvelles mesures toujours plus contraignantes, contradictoires et arbitraires.

La culture du non-sens s’est installée comme moyen efficace de sidération des masses. En témoigne la fermeture des bars et autres salles de sports et de spectacles sans protestation aucune de la majorité d’entre nous alors que, dans le même temps, l’accès reste libre aux transports en commun.

Ces techniques de manipulation ont eu pour finalité de sidérer les esprits. Terroriser une population en diffusant en permanence des messages catastrophiques n’est pas nouveau. Après un temps variable s’installe l’indifférence, l’impuissance apprise, autant de phénomènes adaptatifs naturels qui consistent à ne pas s’agiter en vain lorsqu’il est évident que le résultat ne dépend pas de l’action entreprise.

S’est ainsi installée une tolérance de plus en plus grande à la fonte de nos droits fondamentaux : les confinements, puis les couvre-feux et les fermetures arbitraires d’établissements conviviaux. La tolérance aux injustices et la soumission à l’autorité ont été mesurées en permanence, en repoussant chaque fois un peu plus loin le curseur de la restriction des libertés. Une mesure charnière a semble-t-il consisté dans l’obligation de port du masque à l’école imposée aux enfants dès six ans. Le gouvernement a su que, dorénavant, les gens étaient capables d’appliquer à leurs propres enfants des mesures pouvant nuire à leur santé physique et psychologique, sans qu’aucune preuve scientifique étayant l’utilité de tels sévices n’ait jamais été apportée. Et pourtant, peu nombreux sont ceux qui ont retiré leurs enfants des établissements scolaires.

Les données du réel, celles constatables dans le quotidien par l’observation directe (par exemple il n’y a pas des malades partout et moi-même je n’en connais pas), ne sont pas parvenus, après le mois d’avril et la fin de l’épidémie, à rétablir une organisation psychique cohérente suffisante pour éviter à certains parents d’infliger la maltraitance à leurs enfants.

Aujourd’hui, la manipulation se poursuit au moyen des mêmes méthodes pour inciter à la vaccination.

En effet, vacciner contre un virus qui expose au décès moins de 0,5 % des personnes infectées, l’âge médian des victimes étant de 84 ans, vacciner contre un virus qui, de surcroît, est régi comme ce type de virus par la règle de la mutation (plusieurs sont déjà détectées), n’est pas rationnel. C’est une absurdité sur le plan médical. Le rapport bénéfice-risque n’est pas favorable et la question de l’élaboration d’un tel vaccin ne devrait même pas se poser. De plus, les traitements pour cette affection existent et sont efficaces. Mais la science n’a pas sa place. Ce sont les médecins des plateaux-télé qui forgent l’opinion, et ce en dépit de leurs collusions avec les laboratoires sur lesquelles des comptes ne leur sont que rarement demandés.

La population est désormais scindée en deux groupes.

Le premier, hétérogène, est composé des personnes favorables au vaccin. Il réunit celles qui, par conviction ou par lassitude, sont prêtes à s’y soumettre pour sortir de la crise. Il abrite ainsi les personnes qu’il a été possible de sensibiliser, qui croient sans hésitation au message relayé par les ondes. Celles-là resteront réceptives à tous les messages de danger et agréeront la méthode de sortie de crise, fût-elle assortie de privations pérennes de leurs droits. On trouve aussi dans ce groupe les personnes qui se sont coupées de toute information depuis longtemps, pour se protéger, et qui sont devenues indifférentes à tout discours. Pour elles, l’essentiel est de ne plus entendre parler du sujet. Elles ont disqualifié tous les avis pour les neutraliser. Ainsi le leurre des tests conduisant à une épidémie de cas, sans morts ni malades, ne parvient plus à leur entendement, comme si leur cerveau avait été débranché. Leur priorité est de mettre un terme à la maltraitance qui leur est infligée en se coupant de toute nuisance.

Le second groupe rassemble les détracteurs du vaccin, ceux qui ont échappé à l’influence du matraquage médiatique, qui ont souvent pris des avis ou cherché des informations hors des sources classiques, tout en restant sensibles à la réalité de leur environnement (services hospitaliers non saturés, nombre de morts comparable aux années précédentes, mesures prises non proportionnées, amenuisement des droits fondamentaux sans justification etc.). Ces personnes ont également intégré qu’une vaccination n’exempterait pas des mesures de distanciation sociale et, par conséquent, que la convivialité ne serait pas rétablie, que le gouvernement garderait de façon arbitraire le contrôle de la population et de ses activités. Elles observent avant tout l’immixtion toujours croissante de l’État dans leur quotidien et dans leur vie privée.

Ces deux groupes sont désormais séparés par une ligne qu’il sera difficile de faire bouger. La manipulation a montré des limites qui étaient prévisibles et elle sera sans effets sur ceux qu’elle a tenté, en vain, de convaincre. Ces groupes se sont figés, leurs effectifs se sont immobilisés, et peu importe les arguments avancés, les scandales établis ou les preuves apportées, ceux-ci se noieront dans un récit national inaliénable impossible à dénoncer sauf à être traité de complotiste. Les mots se seront substitués à la réalité et, utilisés à contre-emploi, ils auront perdu de leur sens et véhiculeront des idées en rupture avec les faits. Le pouvoir en place pourra même avouer ses mensonges, le peuple l’acclamera, incapable de le croire mal intentionné et persuadé qu’il est au-dessus des soupçons. Il n’est donc plus temps de publier des résultats d’études prouvant l’efficacité de tel produit, le mensonge sur tel autre, de produire des courbes démontrant le caractère infinitésimal du risque sanitaire et disproportionné des réactions de peur. Surdité et aveuglement règnent en maître chez les personnes qui, conditionnées, sont privées de jugement et incapables d’admettre que des faits objectifs puissent démentir la réalité qu’elles ont construite.

Organiser l’affrontement de ces deux groupes de la population est une possibilité -opportunité ?– désormais envisageable. Nos dirigeants devraient rapidement s’en saisir pour encourager une organisation sociale qui opposerait bons et mauvais citoyens, gens sains, dociles, responsables et vaccinés et gens toxiques, rebelles, inconséquents et non vaccinés. Ce système de bons citoyens est présent en Chine. Il repose sur la délation et l’obéissance à la règle.

Le bon usage par le gouvernement de la graduation dans la contrainte et la soumission du peuple conduisent à ce jour à l’acceptation d’une vaccination inutile dont la toxicité n’est pas évaluée et pour laquelle les laboratoires, compte tenu de la rapidité d’élaboration des produits, ont déjà négocié de ne pas être tenus responsables de potentiels effets secondaires, obtenant des États qu’ils répondent de telles conséquences.

Et pourquoi pas en définitive puisque les politiques sont devenus médecins. Nos gouvernants et nos parlementaires, de par leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres -ici au virus mortel-, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt, ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement n’a plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées. Il a fait tout son possible dans le domaine de la manipulation, il a mobilisé toutes les sphères d’influence tout en restant crédible auprès d’une partie importante de la population. Pour ceux qui, rebelles, refusent d’adhérer, d’autres méthodes plus coercitives encore s’imposent.

Les signes de cette dérive totalitaire se trouvent dans les techniques de lavage de cerveau employées, identiques à celles des sectes. Elles étaient là dès le départ, mais comment croire qu’un gouvernement démocratiquement élu puisse se retourner contre son peuple ?

Aujourd’hui, une partie de ce peuple est plongée dans la pauvreté, le désarroi, les « non-essentiels » commencent à se suicider, les troubles psychiatriques se multiplient et… le conseil scientifique continue d’assurer sa grand-messe à une armée de fidèles hallucinés.

Demain, n’importe quel virus, réel ou fictif, pourra de nouveau semer la terreur chez des populations prêtes à se faire vacciner pour conserver un peu de liberté. Elles y sont prêtes. Et si les tests actuels sont encore utilisés -contre toute logique-, même les populations vaccinées seront positives et resteront contagieuses. Les mesures de distanciation resteront la règle.

Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates d’apparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés.  Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert d’assurer leur salut. Ce qui fait l’humain, sa capacité à tisser des liens, son besoin d’entrer en contact avec l’autre, est menacé. Le tissu social s’est dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. Les mesures prises altèrent la santé de la population et tuent. Elles sont anti-sanitaires. La dictature est en marche.

Notre mode de vie a effectivement bien changé ; le Covid n’en est que le prétexte, le catalyseur. Cette dégradation de nos conditions d’existence et la disproportion des mesures prises pour lutter contre un virus donne du crédit au discours de ceux qui voient là le moyen d’instaurer un nouvel ordre mondial qui doit annihiler notre vie privée et nos droits individuels.

Les premiers constats montrent les signes de la réalisation de cet ordre nouveau.




5G : attendez-vous à des problèmes de peau et de santé généraux

[Source : La maison du 21e siècle]

Docteur en biologie (1970), Hugo Schooneveld fut chercheur principal, neurobiologiste et endocrinologue comparatif des insectes à l’Université agricole de Wageningen (1965-1999). Il y a aussi conduit des enquêtes pour évaluer les problèmes de santé après une exposition aux champs électromagnétiques (CEM), évalué l’intensité des CEM dans les maisons et les lieux de travail, développé des outils analytiques pour étudier la structure des CEM et les mélanges de fréquences générés par les équipements électroniques et les lampes à économie d’énergie, et évalué l’importance de l’électricité « sale » (interférence de hautes fréquences transitoires). Aujourd’hui retraité, il est conseiller auprès de la Fondation néerlandaise de l’électrohypersensibilité. Voici notre version française de son texte The 5G communication system – Expect skin and general health problems. AF

Résumé

Aux Pays-Bas, les premiers émetteurs de la téléphonie mobile de 5e génération ont été mis en service par trois entreprises de télécommunications. Leurs émetteurs fonctionnent principalement sur la fréquence 700 MHz. Il s’agit en quelque sorte d’émetteurs « d’entrée de gamme 5G », sans les caractéristiques des émetteurs de 3,5 GHz attendus en 2022 et ceux de 26 GHz qui arriveront en 2027 ou plus tard. Certaines personnes pourraient donc éprouver des problèmes supplémentaires de stress électrique, bref de l’électrohypersensibilité (EHS). Ceci non seulement en raison des impulsions chroniques de synchronisation 50 Hz dans le signal, mais aussi en raison des très nombreuses microantennes de 3,5 GHz qui doivent être installées et qui augmenteront ainsi l’exposition. Les émetteurs 26 GHz proposés augmenteront le risque de lésions cutanées et de perturbation des fonctions physiologiques dues à des effets non thermiques. La peau est un organe large, délicat, fin et fragile. Les limites d’exposition de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) récemment mises à jour ne prennent pas en compte la position et les fonctions spéciales de la peau. Le rayonnement 5G provoquera des effets sur la matière biologique, mais personnes n’étudie actuellement les liens entre ces effets physiologiques et de possibles problèmes de santé. Il est temps de mettre en place un groupe de travail pour élucider spécifiquement les effets du rayonnement 5G sur la peau et sur le bien-être – et ajuster les limites d’exposition en conséquence.

Émetteurs et effets biologiques par ordre d’apparition

En Hollande, trois fournisseurs Internet, KPN, VodafoneZiggo et T-Mobile, ont mis en service leurs canaux 5G après l’acquisition de licences de diffusion lors de la vente aux enchères du 21 juillet 2020. Ces licences concernent les fréquences dans la bande 700 MHz (plus 1400 et 2100 MHz). Les champs électromagnétiques (CEM) de cette fréquence atteignent une grande distance et pénètrent encore mieux les murs des maisons que ceux des émetteurs existants. Les émetteurs seront provisoirement installés sur les tours de transmission actuelles, qu’ils soient ou non intégrés aux systèmes 4G.

Dans quelques années, nous aurons les systèmes 3,5 GHz avec MIMO (Multiple-Input Multiple-Output) limité, qui seront principalement installés dans les rues et les espaces publics. Ceux-ci pourront gérer beaucoup plus de conversations et de données.

Ce n’est qu’après des années que la bande 26 GHz deviendra opérationnelle. Ces émetteurs avancés sont équipés de toutes les options 5G1, telles que les connexions ultrarapides pour de nombreux usagers simultanément avec MIMO massif et formation de faisceaux de micro-ondes pulsées. Cela donnera à tous ceux qui s’enregistrent avec un téléphone intelligent 5G leur propre connexion groupée avec l’émetteur, où qu’ils se trouvent. Compte tenu de la fréquence élevée et donc de la faible longueur d’onde, les champs de ces émetteurs seront constitués d’ondes millimétriques (ondes mm). Les systèmes 5G rayonnent tous les champs pulsés, jour et nuit, à une fréquence d’impulsion de 50 (ou 60) Hz.

Les fournisseurs d’accès Internet n’ont jamais étudié les effets potentiels sur la santé et n’ont pas l’intention de le faire2. Des centaines de scientifiques ont exprimé leurs préoccupations dans l’appel 5G, adressé à l’ONU, à l’OMS et au Programme des Nations Unies sur l’environnement3. Les raisons de ces préoccupations sont énumérées ci-dessous.

Effets sur la santé

Les champs pulsés sont généralement nocifs

Les personnes peuvent développer une hypersensibilité (allergie) au rayonnement basse fréquence des appareils électroménagers ou au rayonnement de radiofréquence (RF) des émetteurs à la maison ou à l’extérieur, ou aux deux. L’électronique numérique est dans de nombreux cas le coupable, en particulier l’alimentation à découpage de l’électronique qui produit une onde pulsée « sale » sur les câbles électriques. Environ 3 % des citoyens ont développé une hypersensibilité à cela, appelée « hypersensibilité électrique » ou électrohypersensibilité (EHS)4,5.

En outre, plusieurs appareils domestiques polluent l’éther avec des signaux de transmission de RF/micro-ondes pulsés, tels que les téléphones sans fil digitaux (DECT), le Wi-Fi, les téléphones mobiles, les protocoles Bluetooth et Zigbee et autres modes de communication. Toutes ces sources de CEM de hautes fréquences sont pathogènes. Le remède est d’éteindre ou de retirer ces équipements, sinon de s’en éloigner le plus possible6.

Les émetteurs des systèmes de téléphonie mobile de deuxième (2G), troisième (3G) et quatrième génération (4G) génèrent également des problèmes d’EHS comparables chez les riverains de ces antennes : fatigue chronique, problèmes de sommeil, bourdonnements dans les oreilles, maux de tête et nombreux problèmes dérivés7.

Ces signaux de transmission sont également pulsés. Une caractéristique physique des impulsions en électronique est que les fronts montants et descendants du signal, tels que ceux qui peuvent être visualisés sur un oscilloscope, sont très prononcés et que la durée de l’impulsion est très courte : de quelques à plusieurs centaines de microsecondes.

Certains processus physiologiques du corps sont perturbés par ces impulsions et les mécanismes impliqués ne font pas encore consensus chez les experts. Vraisemblablement, une ou plusieurs fonctions du système nerveux sont affectées, bien que ces effets précis n’aient pas été davantage analysés.

Les champs des émetteurs 5G sont également pulsés à la fréquence 50 (ou 60 Hz) par seconde8. L’arrivée de plus d’émetteurs 5G provoquera une augmentation de la pression électromagnétique sur les humains. Avec l’installation prévue d’un nombre sans précédent d’émetteurs 3,5 GHz sous forme de petites cellules dans les rues et de picocellules dans les bureaux et en tant qu’applications de l’Internet des objets (IdO) dans les maisons, il s’agira d’une hausse faramineuse du nombre total d’émetteurs8. Nous craignons pour la santé de bien des gens.

ICNIRP : « La peau doit protéger le corps contre les ondes millimétriques. »

Foutaise! La peau fait partie intégrante du corps. La peau recueille toutes les ondes mm et est susceptible de subir des dommages et – en conséquence – également l’intérieur du corps. Les ondes mm sont absorbées par les molécules d’eau, ce qui hausse la température dans les tissus, tout comme dans un four à micro-ondes. Les ondes mm pénètrent dans le corps à seulement 1 mm de profondeur ou moins et se coincent ainsi dans les structures contenant de l’eau dans la peau qui devient ainsi le principal récepteur.

La Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP)10 voit simplement la peau comme une sorte de coquille qui absorbe les ondes mm et ainsi protège le corps contre leurs effets. Elle ne considère pas la peau séparément en termes de limites d’exposition, mais comme un membre11. L’avantage de ce raisonnement, pour les télécoms, est que l’on peut augmenter l’intensité du rayonnement par un facteur de 2,5. Alors que l’ICNIRP tolère que la température corporelle puisse augmenter en moyenne de 2 °C, pour un membre c’est jusqu’à 5°C. Ceci mine la peau en y concentrant toute l’énergie radiante réellement destinée à l’ensemble du corps. La peau a une épaisseur d’environ 1 mm12, une surface de jusqu’à 2 m2 et une masse de 7 kg représentant environ 10 % de la masse corporelle13. En capturant toute énergie incidente, la peau accumule en théorie dix fois plus d’énergie électromagnétique que prévu. En fait, ce serait le cas si elle avait une structure homogène. Mais la peau contient des couches aux propriétés hydrophiles ou lipophiles. Seules les structures contenant de l’eau peuvent absorber l’énergie des ondes mm et ce sont précisément ces couches qui sont maintenant fortement surchargées. Les impacts restent à définir.

La peau, un organe large et délicat

La peau est un organe métaboliquement actif avec une structure très complexe et assure de nombreuse fonctions organiques14,  endocriniennes et immunologiques. Elle contient une série de récepteurs, dont de nombreuses terminaisons nerveuses nues (non protégées par la myéline isolante)  avec des substances neuroactives, des cytokines et d’autres composés régulateurs. Les fonctions exactes de tout cela n’ont été que partiellement clarifiées. Compte tenu de la vulnérabilité de tous ces composants aux CEM et aux ondes mm en particulier, on craint des effets sur la santé de la peau et du corps16.

Morphologie de la peau

La figure 1 ci-dessous montre la structure en couches de la peau, avec à l’extérieur la couche cornée avec des cellules mortes. Les ondes mm peuvent être partiellement réfléchies par cette couche, en fonction de sa teneur en humidité. En dessous se trouve la couche de cellules épithéliales formant la corne de l’épiderme, les kératinocytes. Le derme en dessous est la partie la plus volumineuse de la peau avec de nombreuses structures, telles que des vaisseaux sanguins, des glandes sudoripares avec drainage, des fibres musculaires, des branches du système nerveux, souvent remplies de nombreux types de capteurs de substances émettrices neuroactives, cellules sensorielles et cheveux, et divers types de cellules en mouvement libre, telles que les leucocytes, les macrophages et les cellules du système immunitaire. À la base, l’hypoderme, associé à une membrane basale et à des couches musculaires.

Figure 1. Représentation schématique d’une coupe transversale de la peau. Couches : A- stratum corneum; B- épiderme; C- derme; D- hypoderme; E- membrane basale; F- couche musculaire. Composants complets avec innervation et apport sanguin : 1- cheveux; 2- follicule pileux; 3- muscle; 4- tissu adipeux; 5- terminaisons nerveuses nues ramifiées; 6- macrophage; 7- glande sudoripare avec tube de drainage vers l’extérieur, en spirale; 8- couche musculaire; 9- veine; 10- artère. Source : Alamy Stock Photo

Fonctions de la peau

La peau n’est pas seulement l’organe cible du système nerveux et du système neurohormonal, elle est surtout une source riche de plusieurs types d’hormones et de substances immuno-actives17. La peau peut être vue comme un organe périphérique semi-autonome qui sert à protéger le reste du corps contre les dommages causés par des forces mécaniques, la déshydratation, le chaud et le froid. De plus, elle est équipée de plusieurs types de sens et senseurs pour monitorer des facteurs environnementaux pertinents.

La peau a un réseau nerveux périphérique dense pour la communication avec le système nerveux central en amont et en aval. Il existe également une communication via la circulation sanguine et des substances de signalisation du système immunitaire. Toute « expérience » est « remarquée » et conduira à des réponses compensatoires pour assurer l’homéostasie.

Effets thermiques des ondes 5G de 26 GHz

Les structures étirées dans la peau agissent comme des antennes de réception pour le rayonnement millimétrique18. Celles-ci peuvent être les vaisseaux sanguins, les espaces intercellulaires remplis de liquide et en particulier les canaux de drainage des glandes sudoripares. L’extrémité de forme hélicoïdale de ces canaux remplis d’humidité conductrice de la sueur, convient parfaitement comme19 une antenne captant les micro-ondes. On peut donc s’attendre à ce que ces canaux soient surchauffés, ce qui endommagerait la cellule elle-même et le tissus environnants.

Ce serait encore pire par endroits car les structures biologiques ne sont pas des masse conductrices homogènes. Dans une approche modèle avec des cerveaux bovins morts, le premier millimètre de masse cérébrale a été réchauffé à 35 °C après une irradiation de 30 minutes avec un champ de 39 GHz20. C’est un réchauffement environ 175 fois plus élevé qu’avec un champ de 1,9 GHz et il est expliqué par la microarchitecture du tissu cérébral. Évidemment, les méninges ne sont pas de la peau, et il y a plus d’incertitudes dans les hypothèses utilisées. Néanmoins, cela montre la simplification excessive des principes de l’ICNIRP. Le réchauffement est considéré comme un simple processus de diffusion de chaleur; en fait, la diffusion de la chaleur diffère dans les couches de tissu composite complexes.

Effets tissulaires non thermiques des ondes millimétriques

Les effets non thermiques des ondes sont d’importance biologique. Ils concernent, entre autres, les effets physiques sur la structure des biomolécules et sur le changement de fonction des processus biologiques dans lesquels la température ne joue pas de rôle21. Ces effets non thermiques se produisent à des densités de champ bien inférieures aux limites d’exposition de l’ICNIRP22.  

Effets neurologiques

Il existe plusieurs exemples de l’influence stimulante (non thermique) des ondes mm sur l’activité des tissus nerveux et cérébraux. Ce ne sont pas les corps cellulaires des neurones de la moelle épinière qui sont sensibles aux perturbations des ondes. Ce sont les morceaux « nus » d’éperons nerveux – dendrites et neurites / axones – qui ne sont pas partiellement entourés par les gaines gliales isolantes. Les nerfs « nus » dans la patte de la souris répondent à la stimulation par ondes mm avec une diminution de l’activité de pointe spontanée. Cela est dû à une diminution supplémentaire du potentiel négatif de la paroi cellulaire, ce qui la rend moins sensible à la transmission de stimulus23.

Dans une culture in vitro de neurones prélevés dans une fine tranche de cortex cérébral de rat, l’activité neuronale a pu également être supprimée par l’irradiation d’ondes milimétriques. Ce résultat a nécessité une dose ajustée avec précision (une force de stimulation faible ou trop élevée avait un effet sous-optimal). Cela est dû à la complexité du réseau de neurones dans ce morceau de tissu. L’intensité du champ de stimulation la plus efficace était des ordres de magnitude inférieure à la limite thermique pour cette gamme de fréquences24.

La fréquence de stimulation est également importante car elle peut induire des résonances selon la fréquence dans la membrane axonale nue. Là, des déplacements de membrane élastique se produisent et conséquemment les portes ioniques de la membrane ne peuvent plus se propager de manière optimale sur la membrane lipoïde et fonctionnent comme un canal ionique25.

Effets moléculaires

De nombreux effets moléculaires et cellulaires ont été trouvés avec une exposition aux ondes mm dans la gamme supérieure des GHz. Dans l’ex-Union soviétique, de nombreuses recherches ont déjà été menées à ce sujet au siècle dernier. Plusieurs problèmes de santé ont ainsi été traités avec succès30, 31. Les ondes mm ont également été démontrées efficaces pour le traitement du cancer32, mais dans le monde occidental, les publications (la plupart russes) n’ont jamais attiré beaucoup d’attention.

À la recherche des effets des ondes mm sur l’homme, Dariusz Leszczynski33 n’a trouvé que 99 articles dans les bases de données biologiques, dont seulement 11 concernaient l’homme. Il n’y a toujours pas d’image claire des principaux effets physicochimiques ou moléculaires des ondes mm sur quelque matériel biologique que ce soit. Des effets sur les cellules muqueuses, les fibroblastes, les kératinocytes, les lymphocytes et les mélanocytes ont été trouvés dans des cellules humaines in vitro. Il y avait une variabilité considérable des effets sur différents types de peau et entre les personnes. L’état de santé influe également sur la force des effets.

Des effets des ondes mm ont été trouvés sur l’expression génique, les cassures chromosomiques, le stress oxydatif, les processus immunologiques, la génotoxicité et l’inflammation, entre autres. On dit souvent que l’énergie des ondes mm serait trop faible pour influencer les interactions biochimiques. Cependant, les résonances avec les structures cellulaires ou les groupes de biomolécules chargées peuvent expliquer les effets des ondes mm, y compris la rupture des liaisons hydrogène ou les influences des forces de van der Waals34.

Changement structurel des biomolécules

L’opinion générale est que les CEM peuvent générer des résonances dans des groupes chimiques chargés à la surface des macromolécules, telles que les protéines. En raison des changements de configuration, les connexions entre la protéine et le substrat peuvent également se produire ou non. Cela s’applique à tous types de récepteurs et aux canaux ioniques de calcium voltage-dépendants35. Les groupes chargés sur les protéines des portes ioniques peuvent subir un changement de forme en raison des champs électriques alternatifs, si bien que la perméabilité des canaux calciques change. Cela s’applique également aux portes ioniques pour d’autres types d’ions36. Un apport incontrôlé d’ions peut perturber la fonction de la cellule ou de l’organe – et donc de tout l’organisme.

Effets sur le génome

La plupart des expérimentations avec les ondes mm ont été faites au cours des dernières années et sont résumées par la référence numéro26. Les recherches concernaient les effets sur les biomolécules, les potentiels de membrane cellulaire, les portes d’ions et la division cellulaire27 chez les animaux. Il y a aussi des effets sur l’expression génique, la transcription, la forme des protéines, le stress oxydatif, les réactions immunitaires et autres fonctions29. L’exposition à long terme aux champs de 35 GHz donne à la fois un stress thermique et une inflammation de la peau32. L’irradiation des rats par des champs de radiofréquences d’un téléphone sans fil numérique (DECT) ou d’un téléphone intelligent produit des changements majeurs dans la configuration des protéines dans le cerveau des souris39. En outre, l’irradiation de la peau humaine pendant une heure avec des champs de 900 MHz à partir d’un téléphone utilisant la norme GSM à un débit d’absorption spécifique de 1,3 W/kg a montré un changement dans la synthèse de huit protéines40. Ces observations indiquent que les champs de radiofréquences modifient l’expression de l’ADN et de l’ARN28.

Il faut plus de recherche, mais quel type?

Des expériences antérieures ont été menées avec des ondes mm de fréquences et d’intensités très différentes, mais aucune d’entre elles ne contenaient la fréquence précise et la modulation des données des ondes 5G actuellement utilisées. De plus, les tests ont souvent été réalisés avec des intensités de champ très supérieures aux limites ICNIRP que nous jugeons trop élevées. Nous devons répéter les expériences avec les paramètres de terrain actuels rencontrés dans la vie quotidienne. Et ceci, alors que la mise en œuvre des systèmes 5G s’effectue rapidement37.

Quel type de recherche faut-il alors faire?

Nous cherchons des « cibles » d’impact des CEM sur le corps1, 28. Il est évident qu’il y a des dommages aux cellules et à l’ADN, mais leur importance pour le développement de problèmes de santé est encore inconnue. Certains prétendent que l’augmentation de l’incidence du mélanome en Suède est le résultat d’une augmentation des lésions tissulaires par radiofréquence41. Aux Pays-Bas, il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre de cancers de la peau, de type carcinome basal, au cours des dernières années, en particulier dans la région de la tête et du cou42. C’est entièrement spéculatif, mais peut-il y avoir une connexion avec une exposition excessive des patients aux champs des téléphones cellulaires 4G? À quoi faut-il alors s’attendre des fortes densités des ondes 5G?

Des études biologiques fondamentales sur la perturbation des processus physiologiques sont indispensables, mais des études épidémiologiques bien conçues sont également nécessaires. Un rapport du Parlement européen soutient15 ce besoin. Malgré le fait que l’Union européenne ait accepté le principe de précaution38, rien n’indique que des initiatives pour de nouvelles recherches sont annoncées.

Références

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  2. US Senator Richard Blumenthal 2019, US Senator Blumenthal Raises Concerns on 5G Wireless Technology Health Risks at Senate Hearing. https://tinyurl.com/y3mmlg3p
  3. 5G Appeal 2020 – Scientists warn of potential serious health effects of 5G http://www.5gappeal.eu/the-5g-appeal/
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  5. Hedendahl L. et al. 2015. Electromagnetic hypersensitivity – an increasing challenge to the medical profession. Environ Health 30/4: 7 pp. https://tinyurl.com/y7nxhd5v
  6. Schooneveld H. 2014. Elektrostress Handboek 􏰀 Leren omgaan met ziekmakende elektromagnetische velden. https://tinyurl.com/y739n4po
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  8. Virnich, Martin H. 2020a. Audio-Analyse von Funksignalen (interaktive DVD) https://tinyurl.com/y4bqkqj6
  9. Virnich, Martin H. 2020b. Volle Beschleunigung mit 5G. https://tinyurl.com/yxdq3nql
  10. ICNIRP Guidelines 2020 for limiting exposures to electromagnetic fields (100 kHz – 300 GHz). https://tinyurl.com/y29uhtru
  11. Croft, R. 2020. PP-presentatie: ICNIRP, 5G, Guidelines & Health. https://tinyurl.com/y43am7u4
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  26. Di Ciaula, Agostino 2018 􏰀 Towards 5G communication systems: Are there health implications? J. Hyg. Environ Health. 221: 367-375. https://tinyurl.com/yaglbd3j
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  32. Rojavin M.A. & M.C. Ziskin 1998. Medical application of millimeter waves. J. Med. 91: 57-66. https://tinyurl.com/y3x3dxfe
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Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Source : Anthropo-logiques]

À n’en pas douter, c’est envers et contre tout Noël !

Après le texte remarquable du Dr Frédéric Badel, qu’il m’a donné à publier hier sur ce blog, c’est aujourd’hui la contribution de mon confrère anthropologue Jacques Pollini, chercheur associé à l’Université Mc Gill de Montréal, que je reçois.

Un texte franc, honnête, parlant, la parole d’un homme et d’un scientifique qui ne cède pas sur la nécessité de voir les choses comme elles sont.

Comme cette question risque de se poser pour chacun d’entre nous, les avis autorisés (les vrais, pas ceux qui sont achetés ou le reflet d’un simple conformisme idéologique, fût-il « scientifique ») comptent.

Je partage donc avec vous sans modération cet énoncé de raison, de valeurs et de bon sens.

(source image en-tête : Center for Disease Control, 19 décembre 2020).

Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19

[Auteur : Jacques Pollini]

Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s’ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l’on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l’impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l’efficacité et l’innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.

Pour la première question, seules quelques poignées d’individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c’est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.

Cette question se pose de manière particulièrement aiguë car la technologie utilisée dans ces vaccins est nouvelle. Il s’agit de vaccins à ARN, c’est-à-dire que des fragments de code génétique seront injectés dans notre organisme, l’objectif étant que les protéines virales codées par cet ARN soient produites par les cellules de notre organisme, déclenchant ainsi une réponse immunitaire (Ulmer et al. 2012).

Cette technologie soulève de nombreuses interrogations, notamment concernant le risque que des fragments d’ARN contenus dans les vaccins soient transcrits en ADN et s’intègrent à notre génome (Velot 2020). L’intégration de code génétique étranger à l’ADN de cellules hôtes est un phénomène qui se produit couramment, comme le montre le fait que l’ADN humain contient des séquences héritées de virus. Des chercheurs ont d’ailleurs déjà découvert des ARN chimériques humains/SARS-CoV-2, laissant penser que des fragments d’ARN de SARS-CoV-2 (le virus qui transmet la COVID-19) auraient été transcrits et intégrés à l’ADN de cellules humaines (Zhang et al. 2020). Ce risque associé aux vaccins à ARN n’est donc pas quelque chose de nouveau.

Une chose est nouvelle, toutefois. Dans la nature, l’intégration de fragments de codes génétiques étrangers au génome humain n’est pas liée à une intention humaine. Elle est le fruit du hasard ou de nécessités naturelles, tandis qu’avec la vaccination, il devient possible de choisir quel code injecter et sur quelle population l’injecter. Le vaccin à ARN, et les thérapies géniques de manière plus générale, rendent donc possible de modifier intentionnellement le code génétique humain. L’ingénierie entre dans une ère nouvelle dans laquelle elle ne porte plus seulement sur la transformation de l’environnement humain, mais peut porter sur la nature humaine, sur notre identité génétique. C’est là que se trouve le virage fondamental et il soulève des questions éthiques qui sont négligées dans les débats en cours sur les vaccins.

Bien sûr, cela ne signifie pas que les vaccins COVID-19 modifieront notre génome ou que ceux qui les ont conçus ont cette intention. Mais presque personne n’a la compétence technique ou le pouvoir juridique permettant de vérifier ces deux points. Nous n’avons donc que la confiance, accordée ou pas aux décideurs, et a ceux qui ont développés ces vaccins, pour guider notre décision.

D’autre part, l’impact sur notre génome n’est qu’un des problèmes possibles. La facilitation de l’infection par les anticorps après la vaccination (Lee et al. 2020), phénomène déjà observé dans le cas d’un vaccin contre la dengue (Normile 2017) et qui peut conduire à des formes plus graves de la maladie, est souvent discutée. A noter que si une telle facilitation d’infection avait lieu, l’opprobre serait sans doute jeté sur les non vaccinés puisqu’ils faciliteraient la circulation du virus et donc les réinfections. Un autre risque serait le développement de pathologies immunitaires en cas de réinfection par le virus après vaccination, phénomène observé sur les souris (Tseng et al. 2012). Le risque de réaction auto-immunes vis-à-vis de protéines placentaires, qui pourrait causer des stérilités, a également été évoqué, du fait de la similitude entre certaines protéines virales et placentaires. La liste des risques possibles est sans doute plus longue et certains médecins considèrent que les garanties apportées par les études réalisées par les fabriquant de vaccins ne sont pas suffisantes.

Enfin, nous n’en sommes pas à la première controverse sur les vaccins. La question des liens entre autisme et vaccins n’a toujours pas été clarifiée et aussi longtemps que le lanceur d’alerte Thompson, qui a dévoilé le masquage de ce problème par des autorités en charge de la santé aux USA, ne sera pas convoqué au Congrès américain pour témoigner sous serment, la confiance envers les vaccins et les firmes qui les fabriquent ne pourra pas être établie. Une autre affaire non élucidée concerne des vaccins contre la polio, administrés en Inde avec l’appui de la fondation Bill Gates, qui pourraient avoir causé des paralysies chez près de 500,000 enfants (Dhiman et al. 2018). Un vaccin contre la dengue développé par SANOFI et l’Institut Pasteur a également provoqué des décès aux Philippines, du fait d’une facilitation de l’infection pas les anticorps, phénomène évoqué ci-dessus.

Tout argument en faveur des vaccins COVID-19, entendu dans les médias, les instances de décisions, ou les réseaux sociaux, qui consisterait à invoquer des arguments techniques ou scientifiques pour nous convaincre que ces vaccins sont sûrs, est donc hors sujet car la question centrale est celle de la confiance, qui est perdue et pour de bonnes raisons. Sans cette confiance, ces arguments techniques ne peuvent conduire qu’à des polémiques stériles d’autant plus que pratiquement personne, voire personne, ne peut réellement trancher. Personnellement, comme beaucoup de citoyens, je n’ai pas cette confiance. Donc je ne me ferai pas vacciner. Pourquoi je n’ai pas cette confiance ? Pour les raisons mentionnées si dessus, mais aussi parce que depuis 10 mois, notre gouvernement a fait preuve d’une incompétence totale dans cette épidémie, son conseil scientifique se montrant anti-scientifique en niant ou ignorant les acquis de la science. Et parce que les algorithmes des réseaux sociaux et les « fact-checkers » sont devenus des instruments de censure et de propagande qui maintiennent nos administrations et nos médias dans le déni des faits rapportés par la science.

Pour illustrer ce déni des faits scientifiques, j’aborderai la question des traitements précoces, que j’ai suivie de près. A ce jour, plusieurs traitements précoces contre la COVID ont montré leur efficacité. Il y a eu d’abord l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine et au zinc ; puis l’azithromycine seule ou d’autre antibiothérapies ; puis l’ivermectine associée à la doxycycline ; puis la prévention par la vitamine D voire le zinc ; et enfin d’autres molécules révélées récemment comme la fluvoxamine (Lenze et al 2020) ou la bromhexine (Ansarin et al 2020). Le point commun de ces approches est qu’elles consistent à repositionner des molécules peu couteuses et déjà connues, non protégées par des brevets, et que les traitements doivent être apportés très tôt, dès la déclaration des premiers symptômes, pour avoir leur maximum d’efficacité. Des centaines de publications, dont la liste est disponible sur ce site, ont montré l’efficacité de ces traitements, les plus prometteurs étant la combinaison azithromycine/hydroxychloroquine (Risch 2020), et l’ivermectine (Kory et al. 2020), éventuellement associée à la doxycycline, traitement dont on n’entend parler ni au niveau des autorités de santé ni au niveau des médias. D’après ces publications, l’efficacité de ces traitements est telle que s’ils étaient utilisés, il n’y aurait besoin ni de confinement généralisé, ni de vaccination généralisée. La gravité de la pandémie COVID-19 deviendrait celle d’une épidémie de grippe. Malheureusement, la censure par les algorithmes des réseaux sociaux et le discrédit par les médias et les « fact-checkers  » ont rendu ces résultats quasiment inaudibles, malgré des tentatives de « fact-checking » des « fact-checkers » !

Comment a-t-on pu en arriver là ? Ne soyons pas naïfs. Le repositionnement de molécules ne génère pas de profits élevés pour l’industrie pharmaceutique, contrairement aux molécules nouvelles telles le remdesivir qu’elle a réussi à nous vendre malgré l’absence de preuves de son efficacité, et contrairement aux vaccins. Cette logique mercantile, qui a été à l’œuvre dans la pandémie et qui nous a privé de traitements, débouchant sur des centaines de millier de morts inutiles, est un crime contre l’humanité et les responsables devront être jugés. Je ne vois pas pourquoi la même logique n’agirait pas dans le cas des vaccins. Je ne vois pas pourquoi l’industrie pharmaceutique ne ferait pas passer ses profits avant l’intérêt des patients. Je ne vois pas comment je pourrais lui faire confiance quant à l’innocuité de ses produits, d’autant plus que les vaccins ont été développés très rapidement, et que leurs effets secondaires dans le long terme n’ont pas été évalués puisque les tests ont démarré il n’y a que quelques mois. L’industrie pharmaceutique est en outre exemptée d’indemnisation des patients en cas d’effets secondaires aux USA, ou cela était déjà la norme, et devra être indemnisée par les états membres en Europe si certains types de problèmes, non spécifiés, apparaissent, dans le cadre d’accords spéciaux et en dérogation aux règles habituelles.

Ainsi, à toute personne qui tenterait de me convaincre de me faire vacciner contre la COVID-19, je répondrai, clairement et simplement :

« Si c’est ma santé qui vous préoccupe, donnez-moi de l’azithromycine et de l’hydroxychloroquine, ou de l’ivermectine et de la doxycycline, ainsi que de la vitamine D et du zinc, car je sais, publications scientifiques et témoignages de médecins de renommée internationale à l’appui, que ces traitements fonctionnerons si j’attrape la COVID-19, et je n’ai donc pas besoin d’être vacciné. Si vous n’êtes pas convaincu par ce que je dis, voici la liste des publications sur le sujet : https://c19study.com/. Si vous n’êtes toujours pas convaincu, lancez des essais randomisés testant ces traitements en médecine ambulatoire. Et si vous voulez que les gens fassent à nouveau confiance aux vaccins, mobilisez des commissions d’enquêtes indépendantes pour mesurer leurs liens possibles avec l’autisme et permettre aux lanceurs d’alerte de témoigner sous serment. Et dans la foulée, demandez la mise en œuvre d’une vaste enquête internationale sur les liens et conflits d’intérêt entre industrie pharmaceutique et pouvoirs publics ».

Il y aurait beaucoup à dire sur les vaccins contre la COVID-19 mais je m’arrêterais la, car ces arguments, aussi simples soient-ils, me paraissent irréfutables et suffisants pour justifier un refus de se faire vacciner. Sans doute nos gouvernants ne voudront pas les entendre, car choisir l’ivermectine et la doxycycline plutôt que les vaccins, c’est supprimer, dans la fraction de seconde où se fait ce choix, les centaines de milliards de dollars de profits que l’industrie pharmaceutique et ses actionnaires se préparent à recevoir. Ces gens feront bien évidement tout ce qu’ils peuvent pour empêcher toute décision en défaveur des vaccins. J’espère donc que nous serons nombreux à partager cette résistance non pas aux vaccins (je ne suis absolument pas un anti-vaccin) mais a ce vaccin dans ce contexte. Nous devons faire entendre raison à nos gouvernants afin de rendre enfin disponible, massivement, les traitements contre la COVID-19, ce qui rendrait la vaccination inutile ou quasiment-inutile, pour une prise en charge précoce des patients COVID-19, notamment dans les maisons de retraite ou ils continuent de mourir non pas de la COVID-19, mais des erreurs de décideurs et Comités qui n’ont pas pris le temps de lire la littérature scientifique.




Peut-on renverser le NOM sans actions ?

[Source : Rémy Daillet-Wiedemann]

Rémy Daillet-Wiedemann ne le pense pas :

https://youtu.be/OhDBSMAnUgo

[Voir aussi :




Le Complot pour Voler l’Amérique

[Source : ALEX COGITE]

« 2020 a été une année comme aucune autre. Tout ce que nous savons, tout ce en quoi nous avons confiance et tout ce sur quoi nous avons appris à compter, a changé. Comment pourrait-on s’attendre à ce que les élections américaines soient en elles-mêmes différentes ? Restez avec moi, et vous verrez ce qui se passe dans les coulisses de cette élection ; et pourquoi la plus grande menace à laquelle nous sommes confrontés en ce moment, n’est pas un ennemi invisible qui envahit nos corps, mais plutôt [un ennemi invisible qui envahit] notre pays et nos esprits. »

https://youtu.be/p4F3__wkp90

Traduction : Merci à Digitrad (trad.pub) pour sa contribution !
Doublage : ALEX COGITE

Regarder sur Odyssée
Le-Complot-pour-Voler-l’Amérique-Man-In-America (odysee.com)

Vidéo source : The Plot to Steal America de Man In America
https://youtu.be/rXtGItm1bvQ [plus d’un million de vues].




Le Défi de la vérité : Jean-Bernard Fourtillan

[Source : FranceSoir]

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan a relevé le Défi de la vérité, notre nouvelle émission FranceSoir.

Son internement forcé avait causé beaucoup d’émoi et nourri de nombreuses rumeurs, interprétations, craintes et théories. Le voilà libre, et c’est tout naturellement qu’il a répondu à l’invitation de FranceSoir de livrer sa vérité. Au micro de Richard Boutry, qui lui offre l’occasion de raconter ce qu’il lui est arrivé, de s’exprimer, mais le confronte aussi sans complaisance aux questions qui fâchent et entourent son action, le pharmacologue, persécuté injustement pour les uns, simplement confronté aux garde-fous institutionnels qui protègent patients et citoyens, pour les autres, relève « le Défi de la vérité ».

Poursuivi pour avoir révélé des vérités dérangeantes, ou victime d’un état psychique réellement perturbé ? « Exalté » ou martyrisé ?

Alors que Noël approche et que les cabales vont faire trêve quelques jours, il nous a paru légitime de lui offrir l’opportunité de s’expliquer, en exclusivité pour FranceSoir, afin que chacun se fasse son avis.

https://www.youtube.com/embed/J6DE0yREIFc

Ordonnance d’expertise


A propos des Défis de la vérité

Devant la multitude de questions des Français sur la crise sans précédent que traverse le pays, FranceSoir a développé une nouvelle émission : le Défi de la vérité.  Elle vient compléter les Debriefings développés récemment avec des personnalités scientifiques, des médecins, des avocats, des citoyens… afin d’apporter un éclairage et des réponses à diverses questions sur les traitements, la gestion de la crise par le gouvernement, les menaces sur les libertés.

Auteur(s): FranceSoir




Le « reset » des globalistes est-il un échec ?

[Source : Le Saker Francophone]


Les élites ont peut-être surjoué leur main


Par Brandon Smith − Le 9 décembre 2020 − Source Alt-Market

Un aspect des narcissopathes (sociopathes narcissiques) qu’il est important de rappeler est qu’ils vivent dans leur propre petit monde dans lequel leurs désirs et leurs dysfonctionnements bizarres sont normalisés. Ils se croient supérieurs à la plupart des gens parce qu’ils sont des prédateurs, et ne souffrent pas de blocages gênants comme l’empathie et la conscience. La plupart du temps, ils ont tendance à croire qu’ils ont réussi à tromper tout le monde. Ils pensent que vous êtes un idiot soumis, et que lorsqu’ils aboient un ordre, vous allez sauter simplement au garde-à-vous parce que vous « croyez ».

Presque tous les aspects des globalistes et de leur comportement indiquent qu’ils sont un club ou un culte de narcissopathes. Leur besoin obsessionnel de contrôler, de corrompre et de détruire pour obtenir ce qu’ils veulent n’est pas le prolongement d’une simple cupidité, c’est un aspect profondément ancré de ce qu’ils sont en tant qu’êtres [humains ?]. C’est un mécanisme au cœur de leur caractère. Ce sont des monstres du monde réel, comme des vampires qui tentent de se fondre dans une population qui ne se doute de rien.

Dans leur arrogance, ils ont alors tendance à penser qu’ils peuvent vampiriser le public à volonté sans qu’on leur résiste ou qu’on les expose. Le problème, c’est que dès qu’ils commencent à se nourrir et à détruire, ils attirent l’attention sur eux. Ils finiront par attirer les soupçons du public, ainsi que de certains chasseurs de vampires. À moins qu’ils ne trouvent un moyen de se cacher, ils finiront un pieu dans le cœur, c’est inévitable.

J’écris sur les menaces du globalisme et du « reset » depuis de nombreuses années maintenant, et j’ai noté depuis un certain temps deux dilemmes distincts ; l’un touchant le mouvement pour la liberté et l’autre les globalistes :

1) Premièrement, les criminels ont tendance à se vanter de leurs crimes lorsqu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit à leur sujet. J’ai prédit que les globalistes seraient très ouverts pour révéler leur programme au moment où ils se croiraient « intouchables ». Pour le public épris de liberté, cela signifie qu’en 2020, à l’horizon 2021, les élites doivent penser qu’il n’y a rien à faire pour arrêter la machine ; elles sont si flagrantes dans leurs appels au « reset » global, à une société sans cash, à des verrouillages totalitaires et à un état de surveillance que personne sain d’esprit ne peut plus prétendre que ces notions sont « une théorie du complot ».

Le fait est que les « théoriciens de la conspiration » avaient raison depuis le début, et maintenant plus rien n’est ignoré par des quidams à ce sujet.

2) Deuxièmement, j’ai également fait valoir dans le passé que la poussée globaliste en faveur d’un « nouvel ordre mondial » est une arme à double tranchant qui pourrait très bien finir par les anéantir. Alors qu’ils tentent de lancer leur programme de reset, ils sont de plus en plus exposés ; ils ne peuvent plus se cacher dans la sécurité de l’ombre et il n’y a pas de retour en arrière une fois le processus lancé. Une fois que les globalistes se sont fait connaître, ils doivent soit prendre rapidement le contrôle par un chaos artificiel et un effondrement, soit faire face à un châtiment qui pourrait éliminer une cabale qu’ils ont mis des siècles à construire. Les vampires doivent faire du reste du monde un endroit sombre avant de quitter l’ombre, sinon ils risquent de mourir à la lumière du jour.

Il existe deux écoles de pensée dans le mouvement pour la liberté ; l’une suggère que l’agenda globaliste est fixe et imparable et que le mieux que l’on puisse faire est de survivre. La seconde suggère que le reset peut être arrêté et que les globalistes peuvent être traduits en justice. Je suis dans les deux camps.

Certains aspects du reset sont en effet fixes et ne peuvent pas être annulés. Par exemple, de nombreuses économies nationales, dont les États-Unis, sont en plein effondrement de type stagflation et rien ne peut être fait pour y remédier. Il y a dix ans, nous aurions peut-être pu changer de cap, mais aujourd’hui, il est trop tard. La douleur peut être réduite si les gens mettent rapidement fin à leur dépendance vis-à-vis du système et créent leurs propres réseaux commerciaux localisés, mais l’économie telle que nous la connaissons actuellement est morte et ne reviendra pas de sitôt.

Je ne vois cependant pas cela comme une victoire pour les élites. Faire s’effondrer l’économie est une chose, la reconstruire dans une dystopie collectiviste qu’ils souhaitent désespérément en est une autre. Tout dépend de ceux qui reconstruisent ; peut-être que ce sera eux, peut-être que ce sera nous.

Je vois ces jours-ci des signes encourageants qui montrent que le reset des globalistes n’est pas une chose sûre, et ceux qui connaissent mon travail savent que je n’ai jamais été d’un optimisme mal placé. Plus précisément, l’exploitation de la réponse à la pandémie comme moyen d’imposer de nombreuses restrictions draconiennes ne semble pas se dérouler exactement comme les élites l’avaient prévu.

Je dois me pencher sur l’Event 201 pour vraiment évaluer l’état du jeu, car ce que les élites ont prévu et ce qui s’est passé ne correspond pas complètement. Pour ceux qui ne le savent pas, l’Event 201 était une sorte de « jeu de guerre«  organisé par les globalistes du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates. Le scénario ? Une pandémie d’un coronavirus qui se propagerait comme un feu de forêt et tuerait 65 millions de personnes, selon les prévisions. La simulation s’est déroulée quelques mois seulement avant que la réalité ne se produise au début de l’année 2020.

Dans l’année qui a suivi l’épidémie, les globalistes ont tenté d’appliquer presque tous les plans qui ont été exposés lors de l’Event 201, y compris l’utilisation des médias sociaux pour censurer ou restreindre toute nouvelle, ou information, en dehors du récit approuvé par l’establishment (oui, le contrôle du récit a été discuté en détail à l’occasion). Klaus Schwab, du Forum économique mondial, a constamment et avec enthousiasme applaudi la crise pandémique comme une « parfaite opportunité » d’instituer le « reset » dont les globalistes parlent depuis des années.

Malheureusement pour eux, le virus n’a pas été aussi meurtrier qu’ils semblaient l’espérer. Avec un taux de mortalité bien inférieur à 1% pour toute personne en dehors d’une maison de retraite avec des conditions morbides préexistantes, l’establishment a maintenant été forcé de gonfler les chiffres de l’infection comme moyen de terroriser la population, car les chiffres de la mortalité ne sont pas suffisants pour convaincre les gens de céder volontairement leurs libertés. Le taux de mortalité par infection (IFR) pour la Covid-19, sans compter les décès dans les maisons de retraite avec des conditions préexistantes, n’est que de 0,26% des personnes infectées.

Un mémo de propagande est diffusé ces jours-ci, qui tente d’exagérer le danger de décès dû à la maladie de la Covid, et il se présente un peu comme suit :

La Covid-19 a tué plus de gens que la guerre du Vietnam et les guerres du Golfe réunies en une seule année, c’est pourquoi vos libertés sont suspendues…

C’est un sujet de discussion idiot, mais heureusement, personne n’y croit. Plus de 40 % des décès dus à la maladie de la Covid-19 sont des personnes qui sont déjà malades et sur le point de mourir de toute façon. Et non, refuser de porter un masque n’est pas la même chose que d’approuver les « sélections de la mort », car un panel de la mort, ce sont les socialistes qui refusent de traiter les personnes à risque en raison de leur âge. Personne ne suggère de refuser un traitement aux personnes âgées, et elles ont toujours la possibilité de rester en quarantaine si elles craignent d’être infectées. Elles sont déjà à la retraite et bénéficient de la sécurité sociale. Peut-être que si nous voulons stimuler, l’argent du renflouement devrait aller aux personnes les plus à risque afin que le reste d’entre nous puisse continuer à mener une vie normale ?

Des centaines de milliers de personnes meurent chaque année de maladies et d’affections telles que la grippe, le rhume et la pneumonie. Pourtant, la perspective d’abandonner la Déclaration des droits, de se soumettre à des fermetures économiques et de porter une muselière sur le visage, où que nous allions, n’a jamais été évoquée auparavant.

Pourquoi devrions-nous demander à 99,7% des Américains ou du monde d’accepter la tyrannie médicale juste pour que 0,26% de la population se sente en sécurité ? Les personnes qui remettent en question les obligations sont qualifiées d’« égoïstes », mais même si je faisais partie des personnes susceptibles d’être contaminées par le virus, je n’exigerais jamais que 99% de la population s’incline devant le totalitarisme pour me permettre de vivre encore un peu. Ce serait égoïste.

Alors que de plus en plus d’études et de données sont publiées, l’exigence des masques est également remise en question. Bien que les multinationales de la Big Tech aient cherché à supprimer ou à censurer les études qui vont à l’encontre du discours dominant, cela n’a fait qu’amener davantage de personnes à s’interroger sur les motivations des gouvernements qui font pression sur les obligations. Après tout, les grands médias continuent de dire que nous devrions « écouter la science », mais ils ignorent ou censurent la science. Ainsi, si la réponse à la pandémie n’est pas basée sur la science, alors il ne peut s’agir que de contrôle des populations.

Beaucoup d’Américains ne sont pas aussi stupides que les élites le pensent. Ils voient les incohérences dans la rhétorique et les données et ils sont de plus en plus enclins à refuser de s’y conformer. C’est peut-être la raison pour laquelle l’establishment se précipite soudainement sur au moins deux vaccins Covid en l’espace de six mois ; ils doivent mettre en route la phase de vaccination du Reset avant que trop de gens ne sautent du train de la panique en marche.

La ruée vers le vaccin et les allégations d’efficacité de 94% à 95% de Pfizer et de Moderna sont suspectes. L’efficacité moyenne de la plupart des vaccins est d’environ 50 % ou moins, et il s’agit de vaccins ayant fait l’objet de centaines d’essais et ayant été utilisés pendant des années. D’une manière ou d’une autre, Pfizer et Moderna ont tous deux réussi à produire un vaccin contre un virus de type SRAS alors que plusieurs gouvernements ont essayé pendant plus d’une décennie de produire des vaccins contre le SRAS en Chine sans succès, et qu’ils ont pu atteindre une efficacité de 95% ?

Beaucoup de gens ne croient pas à l’histoire du vaccin, et c’est peut-être la raison pour laquelle les élites se lancent si rapidement dans la vaccination. Considérez ce fait :

De nombreux sondages indiquent qu’au moins un Américain sur trois prévoit de refuser le vaccin Covid lorsqu’il sera mis à la disposition du grand public. 60% des Américains ont déclaré dans les sondages qu’ils ne prendront pas le vaccin à moins qu’il soit prouvé qu’il est efficace à 75% au moins.

Je pense que nous avons ici notre explication de la manne vaccinale. Les élites savent qu’un tiers des Américains (et probablement des Européens) ne prendront pas le vaccin, quelle que soit la propagande qu’ils diffusent. Elles savent également que 60 % des Américains ne prendront probablement pas le vaccin s’ils ne peuvent pas démontrer un taux d’efficacité d’au moins 75 %. Ni Moderna ni Pfizer n’ont en fait produit de preuve que leurs vaccins sont capables d’empêcher une maladie grave ou la mort de la Covid-19, de sorte que leur taux d’efficacité est basé sur des « projections » de succès selon leurs essais minimaux. En d’autres termes, le taux d’efficacité de 95% est totalement arbitraire et fantaisiste.

Pourquoi ont-ils choisi un chiffre aussi élevé au lieu d’un taux plus réaliste de 50 à 60% ? Parce que les sondages disent qu’ils ont besoin d’un taux d’efficacité épique pour convaincre les Américains de prendre le vaccin. Je pense que c’est vraiment aussi simple que cela.

Les Américains sont sceptiques à l’égard des vaccins pour un certain nombre de raisons. Le fait qu’ils soient testés de façon minimale et qu’ils soient distribués à la hâte en moins d’un an est l’une des raisons. Le fait que le gouvernement et les médias ont été pris à censurer ou à mentir sur les données de Covid est une autre raison. Les gens ne font tout simplement pas confiance aux élites, et qui peut les blâmer ? Qui ferait confiance à une cabale de psychopathes pour leur injecter un cocktail viral inconnu ? Peut-être que leurs intentions ne sont pas aussi pures ?

Le public a raison de se méfier. Un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, parmi d’autres professionnels de la santé, a récemment averti que les vaccins n’ont pas été correctement testés et qu’il existe un risque de « stérilité indéfinie » pour les femmes qui prennent le vaccin Covid actuel en raison d’une réponse auto-immune dommageable. En d’autres termes, le vaccin pourrait rendre de nombreuses femmes stériles et incapables d’avoir des enfants.

C’est peut-être ce que Bill Gates voulait dire lorsqu’il a déclaré dans son Ted Talk que « les vaccins et les services de reproduction » pourraient contribuer à réduire la population de la Terre de 10 à 15 % afin de « stopper le réchauffement climatique ».

https://youtu.be/Gc16H3uHKOA

Pourquoi Bill Gates mentionnerait-il les vaccins en même temps que les « services de reproduction » en référence à la réduction de la population ? Les vaccins ne sont-ils pas censés aider les gens à vivre plus longtemps ? Eh bien, l’avertissement du vice-président de Pfizer concernant le vaccin Covid me rappelle quelque chose. Peut-être que le vaccin Covid ne vous rendra pas malade, ou ne vous tuera pas. Peut-être que vous vivrez longtemps sans coronavirus, mais vous découvrirez quelques années après avoir pris le vaccin que vous ne pourrez jamais avoir d’enfants.

Regardez le film « Children Of Men » pour avoir une idée de ce que sera l’avenir si les globalistes obtiennent ce qu’ils veulent.

En attendant, les élites essaient par tous les moyens de convaincre le public qu’il doit abandonner les notions de libertés civiles au nom de la survie et du « bien commun ». Elles parlent déjà du fait que les choses ne reviendront jamais à la normale et que les changements apportés aujourd’hui resteront en place pendant de nombreuses années.

Les gouvernements sont actuellement dans les médias en train de déclarer que les vaccins « ne seront pas obligatoires ». C’est un mensonge. Dans le même temps, ils mettent en place des mandats pour vous obliger à prouver que vous êtes vacciné afin de pouvoir vous rendre dans des lieux publics et même d’aller travailler. En gros, vous vous faites vacciner ou vous mourez de faim. Ce n’est pas un choix.

Mais je vois des millions d’Américains s’opposer à ce programme. Je vois des shérifs et des policiers dans tout le pays qui refusent d’appliquer ce programme, même dans les États Démocrates comme la Californie. Je vois des protestations dans des États où l’on verrouille tout, comme le Michigan, la Californie et New-York. Je vois des protestations de masse en Europe. Je vois que le programme du Reset est exposé et que la vérité s’impose au grand public. Je vois quelque chose remonter à la surface et je sens l’odeur de poudre de la rébellion, et j’aime ça.

Je ne suis pas pessimiste quant à l’avenir. Je sais qu’un accident est en train de se produire. Je sais qu’un combat est à venir. Mais pour l’instant, je vois un combat qui peut être, et sera, gagné par ceux qui respectent les principes de la liberté. Les globalistes ont peut-être surjoué leur main.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par jj pour le Saker Francophone




Covid-19 – Preuves de fraude mondiale

[Source : Réseau International]

par Iain Davis.

La COVID-19, et les réponses gouvernementales subséquentes, semblent faire partie d’une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu’il n’y ait aucune preuve qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19.

Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis susceptible d’être corrigé. Toutefois, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-DiscoveryLeur conseil consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.

Les amorces et les sondes génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le SRAS-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J’ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l’exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l’Organisation Mondiale de la Santé. Vous pouvez faire de même.

D-Salud-Discovery déclare qu’il n’existe pas de tests capables d’identifier le SRAS-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l’impact présumé de la COVID-19 sur la santé de la population sont sans fondement.

L’ensemble du récit officiel de la COVID-19 est une tromperie. Apparemment, il n’y a aucun fondement scientifique pour aucune partie de ce récit.

Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons affirmer qu’il n’y a aucune preuve de pandémie, mais seulement l’illusion d’une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n’est les ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l’économie mondiale et notre société pour répondre à leurs objectifs.

Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d’innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l’objet d’une enquête et de poursuites devant un tribunal.

Identification de quoi exactement ?

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classifié la maladie COVID-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de COVID-19 le 11 mars 2019.

Le guide de l’OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :

« L’agent étiologique [causalité de la maladie] responsable de l’ensemble des cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le SRAS-CoV et le MERS-CoV) par séquençage de nouvelle génération (NGS) à partir de virus cultivés ou directement à partir d’échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie ».

L’OMS affirme que le virus SRAS-CoV-2 est à l’origine de la maladie appelée COVID-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.

Dans le rapport de l’OMS intitulé « Nouveau Coronavirus 2019-nCov Rapport de Situation 1 », ils affirment :

« Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020… Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l’utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques ».

Ces deux déclarations de l’OMS suggèrent clairement que le virus SRAS-CoV-2 a été isolé (c’est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l’échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les communautés du monde entier. Selon l’OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause la COVID-19.

Pourtant, l’OMS déclare également :

« Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l’équipe a mis au point une série de tests d’amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires ».

Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d’amplification génétique à partir des « informations sur les séquences » parce qu’il n’y avait pas d’échantillon isolé et purifié du fameux virus SRAS-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines avec des pics contenant l’ARN viral).

Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d’autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.

Les virologistes affirment qu’il n’est pas possible « d’isoler » un virus parce qu’il ne se réplique qu’à l’intérieur des cellules hôtes. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s’appliquent pas parce qu’ils concernent les bactéries (qui sont des organismes vivants). Les virologistes observent plutôt les effets cytopathogènes (ECP) du virus, qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules, dans des cultures cellulaires.

[NdNM : voir aussi Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

Lorsque les chercheurs chinois ont séquencé le génome complet du SRAS-CoV-2 pour la première fois, ils ont observé des ECP dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire immortalisée de singe et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu’elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.

Au cœur de l’histoire officielle du SRAS-CoV-2 se trouve l’idée qu’il s’agit d’un virus zoonotique, capable de passer de l’animal à l’homme. Lorsque les scientifiques du CDC américain ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :

« Nous avons examiné la capacité du SRAS-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d’humains, notamment les cellules d’adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0) et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules de singe] … Aucun effet cytopathique n’a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules de singe] … Les cellules HUH7.0 et 293T n’ont montré qu’une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

Le CDC n’a observé aucun ECP dans les cellules humaines. Ils n’ont vu aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n’a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu’une infection d’homme à homme serait impossible.

Constatant ce problème, une équipe de scientifiques polonais a introduit ce « virus » séquencé dans des cellules d’épithélium humain (voies aériennes). Ils ont observé les effets sur ces cultures d’épithélium humain pendant 5 jours. Ils ont noté une réplication beaucoup plus importante que les scientifiques du CDC, mais ont finalement déclaré :

« Nous n’avons observé aucune libération du virus du côté basolatéral de la culture d’épithélium humain ».

Ce qui signifie qu’ils n’ont vu aucune preuve que les virions supposés aient rompu la membrane de la paroi cellulaire. Ce qui suggère à nouveau que ce soi-disant virus n’est pas infectieux chez les êtres humains.

Il n’est pas certain que le SRAS-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie. Il se peut même qu’il n’existe pas physiquement. N’est-ce rien d’autre qu’un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?

Voyage de Discovery

Le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies de Wuhan et le Centre Clinique de Santé Publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du SRAS-CoV-2 (MN908947.1). Celui-ci a été mis à jour à de nombreuses reprises. Cependant, MN908947.1 a été la première séquence génétique décrivant le prétendu agent étiologique de la COVID-19 (SARS-CoV-2).

Toutes les revendications, tests, traitements, statistiques, développement de vaccins et politiques qui en découlent sont basés sur cette séquence. Si les tests de ce nouveau virus n’identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit de la COVID-19 n’est qu’une mascarade.

Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu’ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du SRAS-CoV-2 en faisant correspondre des fragments trouvés dans des échantillons avec d’autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1% avec le coronavirus du SRAS (SARS-Cov). Ils ont utilisé l’assemblage de novo [NdNM : l’assemblage de novo est une méthode de construction de génomes à partir d’un grand nombre de fragments d’ADN (courts ou longs), sans connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. En d’autres termes, le prétendu virus ainsi étudié n’est qu’une reconstitution à partir de fragments d’ADN, comme un puzzle reconstitué dont on n’est même pas sûr de disposer de tous les fragments.] et le PCR ciblé et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6% au SRAS-CoV.

Ils ont dû utiliser l’assemblage de novo parce qu’ils n’avaient aucune connaissance a priori de la séquence ou de l’ordre corrects de ces fragments. Tout simplement, la déclaration de l’OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.

L’équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d’amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d’ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d’ARN échantillonnés) avec le génome publié du coronavirus du SRAS (SARS-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du SRAS n’est pas claire non plus.

En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié 50 patients atteints du Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS). Ils ont prélevé des échantillons sur 2 de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.

Ils ont créé 30 clones du matériel génétique qu’ils ont trouvé. Incapables de trouver des preuves d’un autre virus connu, ils ont trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques « d’origine inconnue ».

En examinant ces séquences d’ARN inconnues, ils ont trouvé 57% de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l’hépatite murine et en ont déduit qu’il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggèrent un virus du SRAS-CoV récemment découvert (les nouvelles découvertes étant l’ambroisie pour les scientifiques), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :

« Les amorces pour la détection du nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du SRAS, 22 présentaient des traces d’ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie ».

La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs pour ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l’autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus du SRAS-CoV. La question n’a pas été posée.

Ce prétendu virus n’avait qu’une séquence correspondant à 57% à un coronavirus prétendument connu. Les 43% restants étaient juste « là ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées comme un nouveau génome sous le numéro d’accession à la GenBank AY274119.

Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une correspondance de séquence de 79,6% avec AY274119 et l’ont donc appelée une nouvelle souche de SRAS-CoV (2019-nCoV – finalement rebaptisée SARS-CoV-2). À aucun moment de ce processus, on avait produit d’échantillon isolé et purifié d’un quelconque virus. Tout ce qu’ils avaient, c’était des pourcentages de concordance de séquences avec d’autres pourcentages de concordance de séquences.

Isoler rien

Les scientifiques sont très ennuyés parce qu’ils n’arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. C’est parce que, jusqu’à présent, personne n’a fourni un seul échantillon purifié du virus SRAS-CoV-2. Ce que nous avons à la place, c’est un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, ce n’est pas particulièrement convaincant.

Les journalistes d’investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du SRAS-CoV-2 de confirmer qu’il s’agissait bien d’images d’un virus isolé et purifié. Aucun d’entre eux n’a pu le faire.

En Australie, des scientifiques de l’Institut Doherty ont annoncé qu’ils avaient isolé le virus SRAS-CoV-2. Lorsqu’on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré :

« Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic ».

Cela explique pourquoi le gouvernement australien déclare :

« La fiabilité des tests de la COVID-19 est incertaine en raison du peu de preuves disponibles … Il existe peu de preuves pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests de la COVID-19 disponibles ».

Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d’universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier Ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :

« Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus de la COVID-19 a été isolé ».

À ce jour, ils n’ont pas reçu de réponse.

De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a adressé une requête en vertu de la Liberté d’Information à Public Health England (PHE). Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant l’isolement d’un virus SRAS-COV-2. Ce à quoi ils ont répondu :

« PHE peut confirmer qu’il ne détient pas d’informations de la manière suggérée par votre demande ».

La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d’accès à l’information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :

« Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n’avons pu trouver aucun document répondant à votre demande ».

Aux États-Unis, le panel de diagnostic RT-PCR du CDC indique :

« … Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’est actuellement disponible … La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent responsable des symptômes cliniques ».

Dernière mise à jour le 13 juillet 2020, les CDC n’ont pas encore obtenu d’échantillon viral pur d’un patient dit atteint de la maladie de la COVID-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le SRAS-CoV-2 est présent ou cause la COVID-19.

On nous dit que rien de tout cela n’a d’importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons accepter des images de choses dont nous savons qu’elles pourraient être autre chose et des séquences génétiques (qui pourraient être n’importe quoi d’autre) comme preuve concluante que ce virus, et la maladie qu’il est censé causer, sont réels.

Des tests pour rien

L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, les groupes de réflexion, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l’exposé officiel de la COVID-19, affirment que le SRAS-CoV-2 provoque la COVID-19.

Alors que personne n’a jamais produit d’échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du SRAS-CoV-2 a été publié. Il est dans le domaine public.

Des séquences génétiques clés, dans le génome du SRAS-CoV-2, auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s’agit notamment de :

  • Le gène de l’ARN-polymérase (Rd-Rp) – Il permet à l’ARN du SRAS-CoV-2 de se répliquer dans le cytoplasme des cellules épithéliales malades de la COVID-19.
  • Le gène S (Orf2) – cette glycoprotéine forme le pic à la surface du virion du SRAS-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du SRAS-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l’ARN situé à l’intérieur de l’enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée.
  • Le Gène E (Orf1ab) – petite protéine membranaire utilisée dans l’assemblage du virus.
  • Le Gène N (Orf9a) – le gène de la nucléocapside qui se lie à l’ARN lors de la formation de la capside.

L’OMS tient un registre public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le SRAS-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s’annulent) aux brins antisens et sensoriels de l’ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).

Les brins d’ADNc se séparent lorsqu’ils sont chauffés et se reforment lorsqu’ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s’hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral suspecté. Au cours de l’amplification, lorsque les régions entre les amorces s’allongent, lorsqu’une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.

C’est par l’identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du SRAS-CoV-2 dans un échantillon.

Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST). Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc BLASTER les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles revendiquées pour le SRAS-CoV-2.

Les protocoles de l’OMS concernant les amorces et les sondes avant et arrière, pour le génome viral présumé du SRAS-CoV-2, sont basés sur les profils des gènes RdRp, Orf1, N et E. N’importe qui peut les passer dans BLAST pour voir ce que nous trouvons.

La séquence nucléotidique RdRP vitale, utilisée comme amorce avant, est – ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous passons un nucléotide dans BLAST, il est enregistré comme un isolat complet du SRAS-CoV-2 avec une identité de séquence correspondant à 100%. De même, la séquence d’amorce du gène E arrière – ATATTGCAGCAGTACGCACACA – révèle la présence de la séquence Orf1ab qui identifie également le SRAS-CoV-2.

Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence RdRp du SRAS-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100%. L’Orf1ab (gène E) en renvoie 90 avec une identité de séquence de 100% avec les chromosomes humains.

En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes avec une correspondance de 100% au gène E du SRAS-CoV-2 et 100 microbes avec une identité de séquence de 100% au gène vital RdRp du SRAS-CoV-2.

Chaque fois que nous vérifions les marqueurs génétiques uniques du SRAS-CoV-2, enregistrés dans les protocoles de l’OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le SRAS-CoV-2, ne sont pas uniques. Elles pourraient être n’importe quoi, des séquences microbiennes aux fragments de chromosomes humains.

Les soi-disant vérificateurs de faits, comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les affirmations de ceux qui ont remarqué le manque apparent de spécificité du supposé génome du SRAS-CoV-2.

En utilisant une série d’arguments de paillasson comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n’est pas le cas), leur tentative de démystification aboutit à quelque chose comme cela :

« Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L’amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l’amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n’est donc pas présent dans le virus SRAS-CoV-2. En outre, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence cDMA entre les amorces est unique au virus.

Cela semble déformer délibérément la signification de ces résultats en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs de faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches menées par BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au SRAS-CoV-2. Il n’est pas non plus nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu’un résultat soit jugé positif.

Des chercheurs marocains ont étudié l’épidémiologie des cas marocains présumés de SRAS-CoV-2. 9% des cas étaient positifs pour trois gènes, 18% pour deux gènes et 73% pour un seul. Comme nous venons de l’évoquer, beaucoup d’entre eux n’étaient peut-être positifs pour aucun.

Cela est tout à fait conforme aux directives de l’OMS en matière de tests. Elles stipulent que :

« Un diagnostic optimal consiste en un test d’amplification de l’acide nucléique (NAAT) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du SRAS-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé (…). Un ou plusieurs résultats négatifs n’excluent pas nécessairement l’infection par le SRAS-CoV-2 ».

L’argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l’ARN est fallacieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d’ADN) se produit pendant l’expression des gènes. Personne ne dit que des chromosomes ou des microbes entiers sont séquencés dans le prétendu génome du SRAS-CoV-2. Quoiqu’il en soit, pour autant que nous sachions. Ils disent que les prétendus marqueurs, utilisés pour tester ce supposé virus, ne sont pas adaptés à l’objectif.

Les tests RT-PCR ne séquencent pas l’intégralité du génome. Ils recherchent des incidents de floraison de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences dites existantes. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d’ARN extraites d’ADN non codant, parfois appelé « junk » (ADNc).

Par exemple, le gène S du SRAS-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus SRAS-CoV-2. La séquence cible est – TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d’identité de 100%. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95%. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100% avec 86 fragments de chromosomes humains.

Peu importe où vous regardez dans le génome supposé du SRAS-CoV-2, il n’y a rien dans les protocoles de test de l’OMS qui identifie clairement de quoi il s’agit. L’ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l’existence du SRAS-CoV-2. Tout ce qu’ils révèlent, c’est une soupe de matériel génétique non spécifié.

Si tel est le cas, comme il n’y a pas d’isolats ou d’échantillons purifiés du virus, sans test viable, il n’y a aucune preuve de l’existence du SRAS-CoV-2. Par conséquent, il n’y a pas non plus de preuve de l’existence d’une maladie appelée COVID-19.

Cela signifie qu’il n’y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de COVID-19, les admissions à l’hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.

Fraude concluante

La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :

« Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l’intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d’une manière ou d’une autre ».

La définition légale d’une conspiration est la suivante :

« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel ».

Il semble que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n’ont pas fourni de preuves montrant qu’un virus appelé SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée COVID-19. Toutes les informations suggérant fortement cette possibilité sont facilement disponibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.

Pour qu’il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L’intention doit être de priver délibérément d’autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d’une manière ou d’une autre. S’il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations pour commettre une fraude, il s’agit alors d’une conspiration (dans les juridictions de droit commun) ou d’une Entreprise Criminelle Commune (ECC) en vertu du droit international.

Il semble que la COVID-19 ait été délibérément utilisée comme casus belli pour faire la guerre à l’humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de circuler a été restreinte, la liberté de parole et d’expression a été érodée, le droit de protester a été réduit, nous avons été séparés de nos proches, nos entreprises ont été détruites, nous avons été bombardés psychologiquement, muselés et terrorisés.

Pire encore, alors qu’il n’existe aucune preuve que la mortalité toutes causes confondues soit sans précédent, il y a eu des pics de mortalité hors saison. Ces chiffres correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont vu le retrait des services de santé que nous payons et une réorientation des services de santé publique pour traiter une maladie présumée à l’exclusion de toutes les autres.

En outre, ceux qui ont transmis l’histoire de la COVID-19 proposent que cette maladie présumée justifie la restructuration complète de l’économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l’humanité elle-même.

Pour être autorisés à participer à ce qu’on appelle leur « nouvelle normalité », qui est la transformation complète de toute notre société sans notre consentement, ils insistent pour que nous nous soumettions à leurs conditions.

Celles-ci comprennent, sans s’y limiter, la surveillance biométrique de chacun, le contrôle et la surveillance centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives et une demande effective que nous n’ayons pas droit à la souveraineté sur nos propres corps. Ceci constitue la condition de l’esclavage.

Il ne fait aucun doute que nous avons été privés de nos droits et blessés. Dans les juridictions de droit commun, l’innocence est présumée, mais les preuves qu’un préjudice a été délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, ont clairement trouvé leur origine dans les groupes de réflexion mondialistes et les institutions supranationales bien avant l’émergence de cette pandémie inexistante.

Dans les juridictions du Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils doivent montrer que, malgré leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d’accéder ou de comprendre les preuves librement disponibles suggérant que la COVID-19 est un mythe.

Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S’ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d’entre nous s’efforce de réparer les dommages qu’ils ont déjà causés.

source [en anglais] : https://off-guardian.org

traduit par Réseau International




Le Grand Reset pour les nuls

[Source : Le Saker Francophone]

Où allons-nous ?


Par Tessa Lena − Source Tessa SubStack

Les paysans s’engraissent, et ils se reproduisent ! Oh non.

Qu’est-ce que le « Grand Reset » ? Le « Grand Reset«  est un projet massivement financé, désespérément ambitieux, coordonné au niveau international, mené par certaines des plus grandes multinationales et [des plus importants] acteurs financiers de la planète et réalisé par des organismes publics et des ONG coopérants. Son âme est une combinaison de science-fiction du début du XXe siècle, d’affiches soviétiques idylliques, de l’obsession d’un comptable dérangé avec une dépendance au jeu, et d’une version numérique améliorée de la « Destinée Manifeste ».

La raison mathématique du « Grand Reset » est que grâce à la technologie, la planète est devenue petite, et le modèle économique d’expansion infinie est foutu – mais de toute évidence, les super riches veulent continuer à rester super riches, et ils ont donc besoin d’un miracle, d’une autre bulle, plus un système chirurgicalement précis pour gérer ce qu’ils perçoivent comme « leurs ressources limitées ». Ainsi, ils veulent désespérément une bulle qui leur apporte une nouvelle croissance sortant littéralement de nulle part, tout en cherchant à serrer la ceinture des paysans, un effort qui commence par une « modification du comportement », c’est-à-dire le « reset » du sentiment des paysans occidentaux qu’ils ont droit à un niveau de vie élevé et à des libertés (ces horribles « privilèges »).

La raison psychologique du « Grand Reset » est la peur de perdre le contrôle de leur propriété, la planète. Je suppose que si vous possédez des milliards et que vous en déplacez des milliers de milliards, votre perception de la réalité devient étrange, et ce qu’il y a tout en bas ressemble à une fourmilière qui n’existe que pour vous servir. Juste des fourmis et des chiffres… votre patrimoine.

Ainsi, l’objectif pratique du « Grand Reset » est de restructurer fondamentalement l’économie mondiale et les relations géopolitiques en se basant sur deux hypothèses : premièrement, que chaque élément de la nature et chaque forme de vie fait partie de l’inventaire global (géré par l’État prétendument bienveillant, qui, à son tour, est détenu par plusieurs personnes riches devenues soudainement bienveillantes, via la technologie) – et deuxièmement, que tout l’inventaire doit être strictement comptabilisé : être enregistré dans une base de données centrale, être lisible par un scanner et facilement identifiable, et être géré par l’IA, en utilisant la « science » la plus récente. L’objectif est de compter puis de gérer et de contrôler efficacement toutes les ressources, y compris les personnes, à une échelle sans précédent, avec une anxiété et une précision numériques sans précédent – tout cela pendant que les maîtres continuent de s’adonner à leurs loisirs, profitant de vastes étendues de nature préservée, à l’abri des paysans souverains inutiles et de leur imprévisibilité. Le monde du roi se sent beaucoup plus prévisible et détendu lorsque le chaos de la subjectivité humaine est contenu pour de bon.

De plus, en guise de parenthèse potentiellement lucrative, une partie de ces « actifs » étroitement gérés peut également être transformés en de nouveaux instruments financiers et vendus. Le jeu continue !

En d’autres termes, c’est un féodalisme mondial « efficace » qui va bien plus loin que son frère médiéval puisque le scanner est un système de vision globale : chaque personne, chaque pierre et chaque baie est étiquetée et suivi numériquement. Dans ce cadre, chaque paysan a une fonction qui découle non pas du mystère de la vie, et non pas de sa vocation intérieure, mais de l’IA, le maître de l’efficacité et le serviteur du roi. Idéalement, les paysans peuvent être convaincus que c’est bon pour eux (ou nécessaire pour être en sécurité, voir « traçage des contacts ») et que c’est à cela que ressemblent le progrès et le bonheur – mais sinon, il y a d’autres moyens, de la violence classique aux prisons virtuelles en passant par les « pilules de la moralité« .

La réforme en question est censée bouleverser tous les domaines de la vie, à l’échelle planétaire : gouvernement, relations internationales, finances, énergie, alimentation, médecine, emploi, urbanisme, immobilier, application de la loi et interactions humaines – et elle commence par changer la façon dont nous nous considérons et dont nous entretenons notre relation avec le monde. En particulier, la vie privée est une énorme épine dans le pied de nos « grands resetters » – et au moment où je tape ces lignes, ils insistent sur le fait que la vie privée est un concept vraiment dépassé – en particulier lorsqu’il s’agit des données médicales des personnes, par exemple – et que nous ne pouvons tout simplement pas aller de l’avant vers un avenir radieux si des personnes stupides continuent à s’accrocher à leur vie privée.

Je passerai brièvement en revue les différents éléments de cette réforme glissante dans une seconde – mais pour résumer, le résultat final souhaité est un gigantesque convoyeur mondial, sans joie, hautement contrôlé, de tout et de tous, où la vie privée est extrêmement coûteuse, la dissidence est impensable et la soumission spirituelle est obligatoire. C’est comme une réalité médicamenteuse 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sauf que les médicaments sont à la fois chimiques et numériques, et qu’ils vous signalent au vaisseau-mère, qui peut alors vous punir pour mauvais comportement en bloquant, par exemple, votre accès à certains endroits ou en bloquant votre compte bancaire numérique – peut-être sans aucune intervention humaine.

Ainsi, sur le plan sensoriel – en ce qui concerne l’argent et le pouvoir – ce convoyeur est une tentative des super riches d’organiser et de monétiser leurs « actifs », y compris les personnes, plus efficacement que jamais auparavant. Sur le plan théologique, l’initiative est façonnée par le transhumanisme, un système de croyance formel enraciné dans un sentiment pathologique d’être repoussé par tout ce qui est naturel – et une vision résultante des formes biologiques comme des robots défectueux, qui sont rendus parfaits, des tueurs en série parfaits, en se fusionnant avec les machines d’une manière qui redéfinit le sens de la vie et défie la mort elle-même.

Je voudrais souligner que nous ne devrions jamais sous-estimer l’importance des sentiments subjectifs et de la théologie dans la formation des événements historiques. Toute notre histoire est une somme de choix subjectifs – où les choix des plus puissants et des plus motivés pèsent plus lourd. Et la réforme religieuse, qui découle généralement de la préférence subjective de divers individus puissants pour ce à quoi devrait ressembler l’ensemble du tableau, a été un moteur de changements sociaux, économiques et culturels à grande échelle sur cette planète pendant des siècles. Ce que nous voyons ici, c’est une nouvelle religion – et même si je veux croire à la propreté et à la rationalité générales du système – à un niveau plus élevé, nous n’avons pas affaire à une tentative rationnelle, scientifique, honnête, bienveillante – ou même malavisée – d’améliorer les choses. Lorsqu’il s’agit des cerveaux du « Grand Reset », nous avons affaire à une combinaison d’avidité standard et de pathologie émotionnelle de fous agités et pourris qui paniquent devant la sauvegarde de leurs biens dans cette nouvelle ère, et qui en veulent à leur nature biologique en tant que telle et veulent être des dieux. Malheureusement, les fous sont riches et ont de bonnes relations, et ils peuvent engager un million de sous-fifres pour faire une présentation extérieure convaincante et rationnelle de leur nouvelle religion. Et pour soudoyer les médias. Et les politiciens. Et les universitaires. Et les organisateurs de campagne. Et les organisations à but non lucratif. Et n’oublions pas mes frères, les artistes, qui, par faim et par indignité, créeront alors de belles publicités artistiques et émouvantes pour tout ce qui rapporte. Et lorsque la boucle est bouclée, nous avons une toute nouvelle opinion publique et, techniquement, toujours une « démocratie » ! Si seulement ces théoriciens de la conspiration s’en allaient…

Alors, qui sont les personnes à la tête de cet effort et comment cet effort est-il coordonné ?

À première vue, ce sont les suspects habituels : les principaux capitalistes du monde, les dynasties historiquement riches de différentes parties de la Terre, les membres de la royauté laïque et religieuse, les milliardaires, etc. – en d’autres termes, ce sont les gens qui ont assez d’argent pour sentir que ce monde leur appartient, les 0,0001% – et peut-être aussi les gens qui se trouvent immédiatement en dessous d’eux qui cherchent à gravir les échelons. Certains visages familiers, d’autres que nous n’avons jamais vus.

De toute évidence, ils ne constituent pas une masse monolithique, et je suis sûr qu’ils ne sont pas d’accord entre eux sur tout et qu’ils se disputent probablement le droit de manger plus de paysans. Il y a certainement une rivalité entre les élites américaines et chinoises, par exemple, ou entre les élites américaines et russes – ainsi qu’entre les différents super requins à titre individuels. Mais dans l’ensemble, même s’ils sont en compétition, ils ont des intérêts et des messages communs, et il y a plus de camaraderie stratégique et de terrain d’entente entre eux qu’entre eux et les paysans. Par exemple, aucun d’entre eux n’est susceptible de refuser l’idée de créer une nouvelle classe d’actifs financiers pour gagner de l’argent ! En outre, ils ont aussi des conseillers qui, à leur tour, sont en concurrence les uns avec les autres pour obtenir le meilleur salaire, en essayant de faire passer leurs idées. Tous ces conseillers sont subjectifs, mais ils sont aussi largement et coûteusement coordonnés dans les domaines où ils partagent des intérêts communs.

Et actuellement, le concept « gagnant » du jour semble être un monde rempli d’abréviations : IA, 5G, IoT, et ainsi de suite. Un monde où l’argent est numérique, la nourriture cultivée en laboratoire, où tout est compté et contrôlé par des monopoles géants, et où les gens sont largement privés de leur libre arbitre. Un monde où chaque élément de la nature et chaque être vivant est soit un producteur de données, soit une source d’énergie – ou les deux. Un monde où le flux quotidien des paysans est micro-géré par une IA qui enregistre les pensées et les sentiments avant même que les gens n’aient la possibilité de les faire leurs. Un monde où la vie elle-même est sous-traitée à la machine, et où l’être humain est essentiellement un costume de viande.

Maintenant, je ne pense pas que cette vision exacte se réalisera jamais complètement. Il est probable qu’elle implose avant d’arriver à mi-chemin – et une partie de ce que je viens de décrire n’est rien d’autre que le rêve éveillé d’un esprit malade. Mais les puissants fous font de leur mieux pour que ce cauchemar devienne réalité. Ainsi, le danger n’est pas d’être dépassé par une IA prenant soudainement conscience d’elle même, mais de perturber la vie normale et de provoquer la misère totale que les fous peuvent causer à nos esprits et à nos corps alors qu’ils se précipitent pour découper le monde en morceaux, en utilisant diverses expressions pratiques telles que « crise sanitaire mondiale » ou « changement climatique ».

Et oui, il y a bien une coordination et une continuité, comme il y a une continuité dans les dynasties et les courants philosophiques. Certaines sont plus éphémères, d’autres plus concrètes. Du côté éphémère, la vision des « resetters » est liée aux idées futuristes qui étaient populaires au début du 20e siècle, au rêve d’un monopole mondial des entreprises qui a soutenu la révolution bolchevique de 1917, et à la volonté générale de contrôler le monde avec la technologie, ce qui a été tenté et a échoué en Union soviétique dans les années 60 – en utilisant un langage très similaire à celui d’aujourd’hui. Sur le plan concret, le « Grand Reset » (qui, soit dit en passant, est très bien coordonnée, dans la mesure où Biden et Johnson utilisent les mêmes mots codés proposés par le WEF) est issue des efforts déployés après la Seconde Guerre mondiale pour maintenir un équilibre des pouvoirs « acceptable » dans le monde, et une récolte les bénéfices « acceptable » des intérêts financiers.

Le langage de la « durabilité », qui est un pilier important du kit de marketing du « Grand Reset », a été initialement créé dans le cadre de divers programmes des Nations unies, tels que l’« Agenda 21«  et l’« Agenda 2030« , et je suis sûr que lors de la production de ces programmes, les deux éléments – conspiration et bienveillance – étaient présents. Ce sont tous deux des ensembles de documents extrêmement secs et ennuyeux sur la gestion des ressources et la justice, qui se lisent comme quelque chose écrit par un professeur soviétique fatigué et formaté, maîtrisant bien les termes bureaucratiques, écrit surtout pour justifier le salaire des bureaucrates et l’existence des Nations unies. Ce qui est intéressant dans ce dernier cas, c’est qu’en général, les Nations unies sont plutôt inutiles, ce qui signifie que les gens se réunissent, discutent, produisent de longs documents bureaucratiques et des résolutions non contraignantes – et qu’ensuite, il ne se passe rien d’essentiel. Mais pas cette fois-ci. Pas maintenant. Le programme est lancé ! Il doit donc être important pour quelqu’un qui paie. Et oui, je suis cynique. Dans tout ce qui se passe, il y a toujours une combinaison de bonnes intentions, d’avidité, d’ambition, de relations personnelles, d’intérêts financiers, d’illusions, etc. Les politiciens parlent aux financiers, les généraux parlent aux politiciens, quelqu’un est l’oncle de quelqu’un d’autre, et c’est ainsi que les choses se font. Malheureusement, moins le message est direct et plus la propagande est abondante, moins les bonnes intentions ont de valeur et plus il est facile pour les méchants de réaliser des absurdités.

Et bien sûr, des initiatives d’une telle ampleur peuvent passer par de très longues et tranquilles « phases de planification », au cours desquelles les idées souhaitées sont plantées dans la tête des personnes désirées par le biais de conversations privées, de petites réunions, de recherches financées, de conventions industrielles, etc. Ainsi, au moment où l’on appuie sur le bouton « action », on a l’impression qu’une tendance est déjà là. Et permettez-moi de répéter encore une fois qu’absolument tout dans l’histoire est le résultat de choix subjectifs faits par des personnes subjectives. La façon dont tout se passe dans l’histoire est que les gens se réunissent, décident de ce qu’ils veulent faire et le font. Lorsque des personnes importantes agissent, l’impact est plus visible. Donc, d’une certaine manière, tout est une « conspiration », parce que tout vient de l’action humaine. Et souvent, les personnes importantes dissimulent leurs actes. Cela ne devrait pas être une idée radicale.

Et oui, à l’heure actuelle, les principaux détenteurs du pouvoir en Occident ont compris qu’il est plus rentable et moins laborieux pour eux de simplement soudoyer les médias « officiels », les scientifiques, les universitaires, les politiciens et même l’« opposition contrôlée » – de convaincre les paysans à leur place – que de contrôler tout et tout le monde par la force. Et d’ailleurs, si le sommet de cette tour est une conspiration sérieuse, dans un sens où il s’agit d’un effort coordonné où les cerveaux agissent en général en alignement les uns avec les autres, sans révéler leurs véritables objectifs à long terme aux paysans, le reste de la tour est probablement l’affaire habituelle des humains, multipliée par le manque de sens des responsabilités morales, à l’ancienne. Plus on se rapproche du fond, plus l’ignorance et les intentions sont bonnes – car la plupart des gens croient qu’ils font le bien – mais cela ne change rien à la trajectoire tragique de la cavalcade du « reset ».

D’accord, mais attendez, il y a une vraie crise, et les riches se sont réveillés parce qu’ils veulent vivre ? Et s’il n’y avait pas de conspiration en soi, et qu’ils avaient simplement réalisé que la planète était en désordre, et qu’ils voulaient maintenant s’attaquer aux problèmes de la surpopulation et de la pollution parce qu’il y a vraiment trop de gens sur la planète qui consomment et polluent à l’excès ? Que répondez-vous à cela ?

Je suis heureux que vous posiez la question, alors parlons-en.

Il est absolument vrai que l’approche sans âme et utilitaire de la nature, de la vie et des autres êtres vivants a été extrêmement destructrice – la destruction la plus immédiate et la plus visible étant externalisée vers les « pays du tiers monde » et les personnes les moins fortunées financièrement en Occident. (Voyez les décharges, les allées du cancer, et les aliments non biologiques malsains et empoisonnés). Il est vrai que le consumérisme massif et l’utilisation de produits jetables (apportés par plus ou moins les mêmes partis qui réprimandent maintenant les gens pour leur consumérisme) ont créé beaucoup de désordre. Il est vrai que nos océans et nos poumons sont remplis de plastique, que le nombre de maladies chroniques monte en flèche et que de nombreuses espèces meurent. Il est vrai que notre sol, notre nourriture et notre corps sont contaminés par du glyphosate hautement toxique. Il est vrai qu’il s’écoule généralement des décennies entre le moment où les fabricants réalisent la toxicité de leur produit et celui où le dire dans une conversation cesse d’être une théorie du complot. Tout cela est vrai. Cependant, il est également vrai que les personnes qui pointent du doigt les maux sociaux et nous disent que nous avons besoin d’un « Grand Reset » sont issues des mêmes camps et lignées qui en sont à l’origine. Il est vrai que sous le langage de leurs brochures de marketing, il y a une toxicité et des ravages qui dépassent largement ce que nous avons aujourd’hui. Ainsi, ils sont soit des idiots, soit des menteurs – et je crains que ce soit le dernier cas. Aussi riches soient-ils, ils ne sont même pas moralement qualifiés pour réparer quoi que ce soit dans ce monde. Et quoi que nous choisissions de faire pour soigner notre relation avec la nature et entre nous, ça ne sera certainement pas le « Grand Reset » techno-fasciste et néo-féodal.

Une métaphore : Si le chef du Parti des violeurs proposait une plate-forme contre le viol qui n’arrêterait pas le viol mais qui donnerait une nouvelle image à l’acte même en disant que si l’on utilise un gode rose en plastique recyclé pour pénétrer, alors ce n’est pas un viol… penseriez-vous que c’est une plate-forme contre le viol pour de vrai ?

Alors non, ce ne sont pas eux qui doivent montrer la voie (regardez cette idée de poubelle dans l’espace). Si nous suivons, nous finirons par avoir un monde qui ressemble à ça :

En parlant de solutions, il y a beaucoup d’activistes et de leaders locaux, comme Vandana Shiva, par exemple, qui trouvent des moyens de guérir notre relation avec la nature. Il y a des lanceurs d’alerte. Il y a des avocats qui se battent contre les géants des entreprises et qui gagnent parfois. Il y a des médecins qui risquent leur carrière pour protéger leurs patients. Il y a des agriculteurs locaux. Il y a des artistes qui mettent leur âme à nu. Il y a des diseurs de vérité. Il y a de la dignité, et il y a du respect si nous insistons sur eux. Je crois que les bonnes solutions à long terme viennent de l’honnêteté et de la paix intérieure, et que chacun d’entre nous possède le génie unique qui nous aide à trouver la pièce du puzzle qui, en fin de compte, guérit le monde.

En ce qui concerne le fait qu’il y ait trop de gens sur la planète, je pense que même cela est une erreur. En fait, Vandana Shiva a produit une analyse de l’agriculture industrielle par rapport à l’agriculture locale traditionnelle en termes de chiffres, et il semble que « Big Agro » nous ait également menti sur leur importance. De plus, le plus grand « problème démographique » de l’Occident en ce moment est le nombre croissant de personnes âgées par rapport aux jeunes [un problème qui se règle tout seul et naturellement, NdT]. Et même dans le « monde en développement », les tendances semblent être différentes de ce que l’on nous apprend à penser. De plus, la planète en a assez pour tout le monde, et la raison pour laquelle nous sommes confrontés à la pénurie est que 0,0001% des gens contrôlent beaucoup de choses. Ironiquement, ce sont ces mêmes personnes qui s’inquiètent du fait qu’il n’y en a pas assez, qui poussent l’idée de surpopulation – souvent en se reproduisant avec enthousiasme – et qui infectent les jeunes cerveaux avec l’idée de surpopulation, au point que maintenant, certains jeunes de la classe moyenne ne veulent pas avoir d’enfants, « pour sauver la planète ». C’est vraiment la pagaille ?

Et oui, l’idée de surpopulation inquiète les dirigeants depuis quelques décennies. Je dirais qu’à certains moments, leurs pensées ont eu des connotations eugéniques (voir, par exemple, ce rapport Kissinger de 1974 qui se vante d’« inciter » les hommes en Inde à subir des vasectomies). Et non, il ne serait pas complètement fou d’affirmer que l’eugénisme n’a pas tout à fait disparu depuis qu’Hitler a ruiné la marque, et que quiconque se croit propriétaire du monde ne serait probablement pas contre une gestion un peu plus chirurgicale des tendances démographiques. Puis-je lire dans leurs pensées ? Non. Je ne peux pas dire qui pense quoi exactement, et heureusement pour moi, je ne suis pas invité à leurs réunions – mais de temps en temps, des personnalités comme Gates ou le Prince Charles disent des choses qui semblent tout à fait hitlériennes, et cela me fait réfléchir. D’un autre côté, je ne trouve pas cela particulièrement choquant parce que la nature humaine n’a pas changé depuis l’époque où l’eugénisme était socialement acceptable dans la « société respectable ». Ainsi, ma théorie est que certaines personnes puissantes du monde sont vraiment mauvaises et qu’elles tripotent probablement l’eugénisme – et certaines sont probablement simplement indifférentes aux désirs des paysans – mais de mon côté, je ne me soucie pas vraiment de savoir de quel côté ils penchent. Méchants ou indifférents, je ne veux pas qu’ils détruisent mon monde. Est-ce trop demander ?

Mon travail est de distribuer des poisons.
Ma condition est
La haine des formes biologiques.
On me traite de dérangé
Mais je suis le plus sain de tous.
On me traite de tueur impitoyable,
Un sadique, un robot, un roi.
Mais je ne suis qu’un perfectionniste.

Mon métier est distributeur de poisons.
Ma religion est
La haine des formes imprévisibles.
Mon poison vous trouvera
Dans les mots,
Dans l’eau que vous buvez,
Dans l’alimentation,
Dans l’air que vous respirez,
De cette façon ou d’une autre,
Il vous trouvera.

Mon travail est distributeur de poisons.
Un travail très concret.
Vous êtes le bienvenu.

Maintenant, examinons rapidement les zones qui, selon le plan du « Grand Reset », doivent être perturbées et complètement réaménagées. C’est un sujet gigantesque en soi, et je ne l’aborderai qu’en surface, en me concentrant particulièrement sur le langage utilisé et sur la manière dont il recoupe la « réponse à la pandémie ». Je vous encourage vivement à vous rendre sur le site du Forum économique mondial et à y jeter un coup d’œil.

État et gouvernance

Dans le nouveau monde, les pays existent toujours, mais ils obéissent tous à un ordre central. C’est « coopératif ». De nombreuses fonctions gouvernementales sont automatisées et déléguées à l’IA. Les décisions sont basées sur des données et des algorithmes. Il n’y a pas de vie privée, et il y a beaucoup plus de fluidité en ce qui concerne les migrations (donc malheureusement, le sentiment très humain d’être gentil avec les migrants qui est promu dans les médias n’est peut-être pas une question de gentillesse, ce qui est une déception pour moi personnellement). Il y a aussi une possibilité de remplacer les gouvernements humains par l’IA, mais pas immédiatement. Le raisonnement est simple : Pour que les super riches puissent gérer l’inventaire mondial, les gouvernements individuels doivent agir davantage comme des gestionnaires de niveau intermédiaire responsables devant les autorités internationales que comme des gouvernements fédéraux indépendants.

Vous vous rappelez comment les « magasins familiaux » ont été écartés du marché et remplacés par des chaînes de magasins ? Même chose ici, sauf que dans ce cas, ces « magasins du coin » sont des pays.

L’Amérique traditionnelle, aujourd’hui, s’y oppose fortement. Son habitude de la consommation généreuse et de la libre expression, sa politique étrangère égocentrique, son sentiment de droit et ses grandes maisons de banlieue sont une évidence. Une Amérique traditionnelle, indépendante et forte est un obstacle. Dans cette optique – et avec une mise en garde selon laquelle je ne pense pas qu’il existe un empire juste – j’ai le sentiment qu’il y a un effort actif pour « réduire l’Amérique », pour coopter son gouvernement, pour détruire les fermes et les petites entreprises – en particulier celles qui ne sont pas compatibles avec cet avenir entièrement numérique – et pour déchoir la classe moyenne qui y a droit, en particulier dans les carrières « dépassées ». On a l’impression que nous sommes actuellement en pleine « révolution colorée », un coup d’État en douceur. Habituellement, les élites américaines le font à d’autres nations, mais maintenant, cela se passe sur le sol national. On a l’impression que le programme du « Grand Reset », par ses messagers et par son argent, façonne à la fois la « réponse au Covid-19 » schizophrène et le mouvement « justice sociale / climat » soudainement généralisé et bien financé des super-entreprises, qui sont tous à ce stade entremêlés en termes de messages.

Tous deux prétendent promouvoir le bien public, et tous deux utilisent habilement des armes pour régler de vrais problèmes et faire monter en puissance des gens qui ont un réel amour de l’équité dans leur cœur – tout cela pour ouvrir la voie aux objectifs financiers des « grands resetters », tels que l’érosion complète de la vie privée (avec le traçage des contacts), le déplacement de toutes les activités humaines en ligne (eh bien, tout), l’application de la loi et la précriminalité basées sur l’IA (voir « définancer la police »), et ainsi de suite. Et oui, l’Amérique a de nombreux vrais problèmes. Mais ce n’est pas comme si les structures actuelles étaient remplacées par un conseil d’anciens indigènes sages et spirituellement ancrés qui sont profondément connectés à la Terre et qui ne blesseront aucune vie innocente. Ce que l’on tente – même si l’on dissimule mal le marketing – est bien pire, bien moins humain et bien plus destructeur que ce que nous avons aujourd’hui. Je n’aime pas cela.

La finance

C’est de la monnaie numérique, de la cryptographie et des paiements par téléphone portable tout le temps. Les citoyens doivent être totalement transparents et laisser une trace de tout ce qu’ils font, vous vous souvenez ?

La nourriture

Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que vous aimez la viande de cafard, parce que ça vient.

Remarques cyniques mises à part, le « futur de la nourriture » est un désastre. Les menteurs sur les chaises hautes ont le culot d’utiliser de bons mots comme « développement durable » mais il n’y a rien de durable dans cette chose. C’est du « Big Agro » sous stéroïdes, très toxique. Et, accessoirement, c’est aussi consommateur d’énergie car tous ces robots, capteurs et centres de données ne sont pas gratuits, mais qui compte.

De plus, les fermes d’aujourd’hui doivent disparaître. Non seulement les fâcheux fermiers traditionnels locaux sont en concurrence avec les aliments cultivés en laboratoire et les OGM brevetés, ainsi qu’avec les sols brevetés, mais ils prennent également la place nécessaire aux aires de loisirs de nos seigneurs, ainsi qu’aux parcs d’éoliennes et de panneaux solaires (qui prennent tous beaucoup de place, d’ailleurs). Et que savez-vous, peut-être que les rois veulent vraiment « conserver » certaines parcelles de la nature en la gardant libre de toute présence humaine. C’est leur inventaire, après tout, il est logique de bien l’entretenir.

Pas étonnant que la « réponse Covid-19 » frappe si durement les fermes, les obligeant à faire faillite…

Agriculture

Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya, montre que derrière la bonne image de la Fondation Gates se cache une philosophie toxique de philanthro-capitalisme qui repose sur le rachat par les entreprises de nos semences, de notre agriculture, de notre alimentation, de nos connaissances et de la santé mondiale.

La cupidité de Bill Gates est l’une des personnes les plus riches de la planète et le fondateur de la plus grande organisation philanthropique au monde, la Fondation Bill et Melinda Gates. Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya International, montre que derrière l’image de bon augure de la Fondation Gates se cache une entreprise toxique …

organicconsumers.org

L’éducation

En ligne.

Médecine

Télé-

Jusqu’à présent, tant en terme médecine qu’en terme d’éducation, nous sommes sur la bonne voie, grâce à la pandémie mondiale …

L’énergie

Celui-ci est intéressant. Parce que les combustibles fossiles, le diable du marketing actuel, sont vraiment mauvais. Il est vrai que l’extraction du pétrole est abusive pour la planète. Les déversements créent beaucoup de dégâts, et ils se produisent tout le temps. Les barons du pétrole sont des bandits. Les gens qui vivent à proximité des raffineries tombent malades. Le plastique, qui provient du pétrole, pollue tout, des océans à nos estomacs et à nos poumons. Cependant, les combustibles fossiles sont également la seule source d’énergie – en dehors du nucléaire – qui soit actuellement capable de soutenir les niveaux de consommation de la population mondiale. De plus, si vous regardez sous le capot du « vert », ce n’est pas si vert que ça, à moins que nous parlions de la couleur de l’argent. Les panneaux solaires prennent beaucoup d’espace, ils se dégradent rapidement et se transforment en amas toxiques.

solar power

Retour à la nature @backt0nature

Une ferme solaire étonnante

Les éoliennes prennent également beaucoup de place et ont leurs propres problèmes. Elles sont toutes deux très dépendantes du temps et ne fournissent pas suffisamment d’énergie. Il est également à noter que le récent film de Michael Moore, « Planète des Humains », qui explorait certains des aspects pas si verts de l’« énergie verte » et faisait la lumière sur une partie de la corruption du mouvement environnemental, a été attaqué par les leaders écologistes de manière vicieuse et si uniforme que le film a été retiré des principales plateformes et a en quelque sorte disparu de l’attention du public.

Quoi qu’il en soit, que se passera-t-il si les combustibles fossiles disparaissent ? Au fait – et c’est un point important – je ne suis pas convaincu que les « resetters » aient l’intention de faire disparaître les combustibles fossiles. Je pense que nous pourrions envisager un acte de repositionnement de l’image de marque. Jusqu’à récemment, je pensais qu’ils voulaient vraiment « démanteler » les combustibles fossiles, mais j’ai ensuite examiné la « technologie climatique » et maintenant je pense que les choses sont plus complexes, que cela pourrait être une manœuvre géopolitique stratégique. Je ne sais pas. Il existe des chevauchements technologiques particuliers entre les combustibles fossiles et l’énergie « verte », mais le temps nous le dira. En tout cas, s’ils disparaissent ou font semblant de disparaître, nous découvrirons rapidement que l’éolien et le solaire ne sont pas à la hauteur – et nous rencontrerons alors notre nouveau roi de l’énergie « verte », la fusion nucléaire, oui !!.

Quand cela arrivera, notre ami, le célèbre philanthro-capitaliste, viendra à notre secours. Il est très investi dans les réacteurs à fusion nucléaire – en fait, son projet préféré, selon lui. (En fait, il se trouve qu’il est très impliqué dans à peu près tous les points de la liste « Grand Reset », quel génie des affaires il est). Mais attendez, pour rendre l’intrigue encore plus intéressante, l’OMS, qui bénéficie bien sûr de son généreux financement, s’est donné beaucoup de mal dans le passé pour minimiser le bilan sanitaire d’incidents nucléaires tels que Tchernobyl et Fukushima.

Parlant d’énergie et de finances, parlons de « capital humain ». Dans le nouveau monde, le « capital humain » n’est pas seulement une métaphore pour les ressources humaines ou le travail. Microsoft, par exemple, a déposé un brevet pour une méthode permettant de transformer le comportement humain en crypto-monnaie, ce qui se fait grâce à un dispositif non spécifié couplé à un serveur qui enregistre l’activité du corps et « mine » la crypto. Puisque dans le cadre de la Nouvelle Normalité, le numérique et la cryptographie sont censés devenir courants, cela ressemble étrangement à un outil qui peut être utilisé à la fois pour contrôler étroitement le comportement des pauvres qui peuvent en dépendre pour leurs revenus et pour miner littéralement les corps des personnes dépendantes de l’aide sociale / recevant un revenu de base pour l’énergie (qui, soit dit en passant, est une chose réelle, croyez-le ou non).

En outre, ce brevet pourrait potentiellement être utilisé pour créer un nouvel instrument financier car, si elles sont exploitées pour l’énergie, ces personnes deviennent des « actifs » qui pourraient éventuellement être regroupés dans des portefeuilles virtuels et échangés virtuellement. Vous voyez comme c’est peaufiné ? Maintenant, nous parlons de véritable servage ! Et oui, cela fait très science-fiction, mais n’oublions pas que certains « visionnaires » milliardaires ne pensent pas comme les gens normaux, ou alors les travailleurs des entrepôts d’Amazon ne porteraient pas des couches pour sauter les pauses toilettes. N’oublions pas non plus qu’aujourd’hui, il y a des échanges d’objets très théoriques ainsi que des paris sur la météo. Beaucoup d’argent dans ce monde est gagné sur des choses étranges et arbitraires !

En parlant de la météo, le « Grand Reset » légitime également l’atrocité dangereuse et envahissante de la géo-ingénierie, et la rend potentiellement « cool » et « salvatrice », tout comme le font certains livres blancs sur le « mouvement pour le changement climatique ». J’ai remarqué cela et j’ai fait le deuil de ce fait il y a quelques années, en criant sur tous les toits à quel point c’était le bordel. Pulvériser de la merde toxique dans l’air, c’est cool et « vert » ? Quel acte de tromperie linguistique.

Un mot aussi sur le carbone. Je ne vais pas entrer dans le vif du sujet parce que l’article est déjà long, mais il semble que, quelle que soit l’histoire du carbone à sa naissance, elle s’est transformée en un outil permettant de créer un marché à partir de rien, et un tas d’instruments financiers permettant de gagner de l’argent, également à partir de rien. Prenez par exemple ce plan, soutenue par Gates et quelques géants du pétrole. Ce que je préfère, c’est qu’une fois le dioxyde de carbone éliminé de l’atmosphère à l’aide d’un cocktail de produits chimiques, l’une des façons de stocker le butin est de brûler un bouquet d’arbres (pardon, « biomasse »). Oui, c’est tout à fait logique, car qui peut gagner de l’argent en laissant simplement les arbres tranquilles et en les laissant faire le travail, gratuitement ? Quel genre d’idiot permettrait cela ?

Je voudrais également souligner le fait que lorsqu’il est stocké, il l’est en profondeur, comme jamais auparavant. (Que font les processus internes de la planète ? Quelqu’un a-t-il bien réfléchi à la question ?) Il faut aussi construire des pipelines pour transporter le dioxyde de carbone d’un endroit à l’autre, un peu comme on transporte du pétrole. Et enfin, le captage et le stockage du carbone sont incroyablement gourmands en énergie, et cette énergie provient de… combustibles fossiles ? Du nucléaire ? D’éoliennes qui doivent alors occuper la moitié de la surface de la planète ? Oh je ne sais pas… Et en parlant de langage, l’objectif n’est pas « Zero Carbon Emissions », mais « Net Zero Carbon Emissions », ce qui signifie que nous pouvons continuer à polluer, et ensuite construire une nouvelle industrie lucrative par-dessus, tout en créant un nouveau type de pollution. En d’autres termes, les affaires comme d’habitude…

Par ailleurs, alors que nous sommes sur le thème du « développement durable vert », la construction de technologies et d’infrastructures de surveillance – qui sont toutes extrêmement consommatrices d’énergie, sans parler des déchets – ne va-t-elle pas à l’encontre de l’idée écologique ? J’y ai pensé il y a quelque temps lorsque j’ai lu, avec beaucoup d’enthousiasme au début, le texte de la proposition de loi sur le Green New Deal.  justice oui !! … droits des indigènes, oui !! … attendez … des réseaux électriques « intelligents » ? N’est-ce pas exactement ce que veut la Big Tech, et cela n’implique-t-il pas un besoin de capteurs intelligents qui viennent avec plus d’infrastructures et de satellites, plus de tours, une perte de vie privée, et un nouveau type de pollution sans fil produisant des effets non testés sur la santé ? Cela m’a empêché d’avancer et m’a obligé à me pencher sur diverses initiatives « vertes » et, par conséquent, à découvrir divers squelettes dans le placard. Et puis je suis tombé par hasard sur le travail de Cory Morningstar, et je me suis dit : « ouahh ! Mon instinct était bon, ce n’est pas exactement ce qu’il semble ! »

Voilà une belle transition vers la façon dont le récit de la « crise sanitaire mondiale » s’inscrit dans le « Grand Reset ».

Tout d’abord, quelques notes de ménage.

Comme je l’ai déjà dit, le « Grand Reset » est un plan extrêmement ambitieux de restructuration de l’économie mondiale – et de la notion même de ce que signifie être en vie. (Est-ce qu’un zombie poussé par l’IA dont la prise de décision est externalisée est vraiment vivant ?) Sans une population qui coopère, cette réforme économique et religieuse ambitieuse ne peut pas réussir.

Quelle est la meilleure façon de faire coopérer la population à cette très étrange réforme ? C’est la peur, car les promesses de plaisir ne suffisent pas pour réaliser un changement aussi massif et bizarre. Il faut donc que ce soit la peur et le stress, que ce soit à cause d’un ennemi extérieur, d’une perspective de catastrophe naturelle ou d’une maladie.

N’oublions pas qu’avant 2020, il y a déjà eu un récit de la peur très coûteux, soutenu par plus ou moins les mêmes acteurs qui font maintenant pression pour le « Grand Reset ». Je parle bien sûr du récit militarisé du « changement climatique ». Et alors qu’il y a de nombreux problèmes environnementaux qui doivent être résolus dès que possible, le mouvement des entreprises en faveur du « changement climatique » s’est étrangement concentré sur des messages qui coïncident grosso modo avec ceux de la campagne pour le « Grand Reset », servant leurs objectifs financiers – et les trajectoires de financement se chevauchent également. Il semble donc que les intérêts financiers derrière la campagne du « Grand Reset » aient d’abord essayé d’utiliser le « mouvement climatique », mais cela n’a pas généré les niveaux de peur souhaités assez rapidement. Les gens ne s’en sont pas suffisamment souciés. J’ai personnellement suivi une formation et je connais bien l’« organisation » et les astuces de programmation neurolinguistique qui sont censées rendre le public très inquiet au sujet du climat. Le message est très bien pensé et bénéficie d’un généreux soutien financier, ce n’est pas un mouvement hippie de base – même si beaucoup de personnes y mettent sincèrement du leur. Tout comme les témoins de Jéhovah de la base qui frappent à votre porte peuvent être extrêmement sincères.

En tant qu’être humain, je ne fais confiance à aucune entité qui, froidement et de manière calculée, essaie de me faire peur et de déclencher une réaction de stress. Les personnes que j’ai écoutées ne semblaient pas elles-mêmes très effrayées. Ils étaient bien nourris, de classe moyenne, et pas sous-employés. Ils n’avaient pas peur d’être arrêtés lors d’une manifestation – et en fait ils ont cherché à être arrêtés, sans aucune crainte pour leur futur emploi. Après avoir vu cela, j’ai commencé à poser des questions sur les raisons pour lesquelles ils voulaient que j’aie peur, et sur ce qu’ils voulaient que je fasse. Lorsque j’ai commencé à poser des questions et à faire des recherches, il s’est avéré que la trajectoire des « solutions » comprenait des choses comme les réseaux intelligents, les voitures électriques (qui ne sont pas écologiques à distance) et la géo-ingénierie. Cela, pour moi, n’était pas acceptable. Cela signifiait également qu’ils ne respectaient pas vraiment la planète, car s’ils le faisaient, ils ne voudraient pas coller des tours partout ou pulvériser des saletés dans l’atmosphère pour bloquer le soleil. Maintenant, il est très possible que le mouvement environnemental ait été bon et honnête lorsqu’il a commencé – mais une grande partie a été détournée depuis, d’une manière très furtive où les gens sur le terrain ne se rendent même pas compte qui ils servent. Et encore une fois, permettez-moi de répéter : il y a un besoin énorme de vraie durabilité, c’est juste que les mesures pratiques qu’implique le langage codé du marketing ne sont pas du tout durables !

En tout cas, le fait d’effrayer les gens avec le récit officiel de l’urgence climatique a certainement créé une vague dans la conscience des gens et un certain degré d’anxiété environnementale, en particulier dans la Génération Z – mais cela n’a pas suffi à paralyser ou à mobiliser. Mais lorsque le virus est apparu, comme par magie, les choses ont commencé à se mettre en place rapidement – ce qui était impensable auparavant. Non, je ne dis pas que le virus n’est pas réel. Et je ne fais aucune déclaration définitive sur son origine ou sur la façon dont il est apparu. J’ai mes théories, mais il y a des choses que je ne peux pas savoir et que je ne peux pas changer. Mais ce que je sais, c’est que la réaction a été absurde, sans précédent, et étrangement conforme aux mesures qui étaient déjà à l’ordre du jour. En parlant d’urgence, Woodstock s’est produit pendant une grande pandémie…

Voyons donc

Avons-nous déplacé avec force la plupart des activités – telles que l’éducation, la médecine, le shopping, le sexe et les loisirs – en ligne pour l’instant, alors que nous travaillons à « numériser » le monde physique, pour faciliter le suivi et la surveillance ?

Validé.

Avons-nous, malgré le confinement des paysans en col blanc, poursuivi les travaux de construction, y compris la construction très robuste de nouvelles structures de télécommunications et d’antennes cellulaires, nécessaires pour soutenir l’Internet des Objets ?

Validé.

Avons-nous réussi à presque détruire les moyens de subsistance de nombreux agriculteurs indépendants qui étaient en concurrence avec nos nouveaux produits « comestibles », et aussi à perturber les chaînes d’approvisionnement alimentaire traditionnelles ?

Validé.

Avons-nous également réussi à détruire un bon nombre de petites entreprises locales ?

Bien sûr !

Les salles de concert et les théâtres ?

C’est certain.

Travaillons-nous à remplacer les services répressifs par l’IA ?

Bien sûr ! Définancez ! Définancez ! Définancez !

Essayons-nous de légitimer l’érosion complète de la vie privée et l’accès facile aux données de santé privées ?

Oui ! Parce qu’il y a urgence sanitaire.

Sommes-nous sur la bonne voie lorsqu’il s’agit de suivre chaque mouvement de chaque personne ?

Traçage des contacts, oui ! Mais certains pays sont encore à la traîne.

Une carte d’identité médicale numérique est-elle désormais exigée pour les voyages internationaux ?

Oui, le Common Pass est en ligne !

Avons-nous réussi à perturber les procédures politiques et juridiques et à créer le chaos ?

Oui, Monsieur !

Plus important encore, avons-nous réussi à perturber la pensée et les relations humaines au point que nous, le robot, l’agresseur, sommes maintenant le seul ami de tout le monde ?

Nous y travaillons encore, mais nous sommes proches.

Sommes-nous en bonne voie de préparer les gens à un large déploiement de vêtements intelligents ?

Oui. Portez votre masque.

Contrôlons-nous légalement la vie sexuelle des gens ?

Oui !

En parlant de cela, le contrôle par l’État du corps et de la sexualité des gens est un signe classique de réforme religieuse. Chaque fois que cela se produit, faites attention.

Ou alors, prenons des mesures d’enfermement, par exemple. Le confinement et les restrictions de mouvement et de contact physique sont d’excellents outils de modification du comportement – et la modification du comportement, également connue sous le nom d’ingénierie sociale, est certainement une forme d’art très respectée parmi les puissants. Un ingénieur social qui se respecte planifie dix étapes à l’avance et crée des situations dans lesquelles les cibles demandent les changements souhaités ! Je postule qu’actuellement, nous sommes soumis à une danse Sado&Maso involontaire. Nous sommes au milieu d’un rituel destiné à créer un sentiment de confusion, d’insécurité et de dépendance – qui sera finalement résolu par nos maîtres, ce dont nous serons très reconnaissants car nous voudrons juste que la tension insupportable soit résolue. Déjà, beaucoup ont développé le syndrome de Stockholm, se mettant du côté de l’agresseur. Les mesures sont totalement arbitraires – mais peu importe, on attend de nous que nous nous y pliions et que nous acceptions que nos souffrances et nos privations soient pour notre propre bien. Cela fait de nous une « meilleure personne ».

Aux yeux d’un psychopathe, il n’y a pas de joie.

Aux yeux d’un esclave, il y a acceptation d’un étrange sentiment d’engourdissement là où l’âme se trouvait auparavant.

Où allons-nous à partir de là ?

Pour ma part, je ne pense pas que nous devrions accepter l’obscurité. Je pense que notre meilleure option est d’insister sur la dignité et de trouver notre cœur. Nos cœurs nous diront quoi faire ensuite.

Tessa Lena

Liens et références

Histoire
Finance
Gouvernance
Modification du comportement
Alimentation et agriculture

https://ieep.eu/news/how-to-deliver-on-the-eu-farm-to-fork-s-protein-transition-objectiveshttps://interestingengineering.com/the-explosion-of-insect-proteinhttps://www.cnbc.com/2020/02/14/bug-protein-how-entrepreneurs-are-persuading-americans-to-eat-insects.htmlhttps://www.ibm.com/blockchain/solutions/food-trust

Éducation

Énergie et environnement
Reconstruire en mieux

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Pour ceux qui se demandent ce qui va se passer maintenant que la « pandémie » de Covid19 a pratiquement paralysé toute l’économie mondiale, propageant la pire dépression depuis les années 1930, les dirigeants de la plus grande ONG mondialiste, le Forum Économique Mondial de Davos, viennent de dévoiler les grandes lignes de ce à quoi nous pouvons nous attendre. Ces personnes ont décidé d’utiliser cette crise comme une opportunité.

Le 3 juin dernier, le Forum Économique Mondial de Davos (FEM) a dévoilé, via son site web, les grandes lignes de son prochain forum qui se tiendra en janvier 2021. Ils l’appellent « La Grande Rréinitialisation ». Il s’agit de profiter de l’impact stupéfiant du coronavirus pour faire avancer un agenda très spécifique. Il est à noter que cet agenda s’inscrit parfaitement dans un autre agenda bien précis, à savoir l’Agenda 2030 des Nations Unies de 2015. Le paradoxe du plus important forum mondial de grandes entreprises, celui qui a fait avancer l’agenda de mondialisation des entreprises depuis les années 1990 et qui adopte maintenant ce qu’ils appellent le développement durable, est énorme. Cela nous donne un indice que cet agenda ne correspond pas tout à fait à ce que le FEM et ses partenaires affirment.

La Grande Réinitialisation

Le 3 juin, le Président du FEM, Klaus Schwab, a publié une vidéo annonçant le thème annuel pour 2021, « La Grande Réinitialisation ». Il semble qu’il ne s’agisse de rien de moins que de promouvoir un programme global de restructuration de l’économie mondiale selon des lignes très spécifiques, qui ne ressemblent étonnamment pas à celles préconisées par le GIEC, par la Suédoise Greta et ses amis du monde des affaires comme Al Gore ou Larry Fink de Blackwater.

Il est intéressant de noter que les porte-parole du FEM situent la « réinitialisation » de l’économie mondiale dans le contexte du coronavirus et de l’effondrement de l’économie industrielle mondiale qui en découle. Le site web du FEM déclare : « Il y a de nombreuses raisons de poursuivre une grande réinitialisation, mais la plus urgente est le COVID-19 ». La Grande Réinitialisation de l’économie mondiale découle donc du covid19 et de « l’opportunité » qu’il représente.

En annonçant le thème de 2021, le fondateur du FEM, Schwab, a ensuite déclaré, en changeant habilement l’ordre du jour : « Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale avec des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité« . Le sous-entendu est que le changement climatique est la raison sous-jacente de la catastrophe de la pandémie de coronavirus.

Pour souligner son programme vert « durable », le FEM accueille ensuite le futur roi d’Angleterre, le prince Charles. Se référant à la catastrophe mondiale du covid19, le prince de Galles déclare : « S’il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c’est que nous devons placer la nature au cœur de notre fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps ». Aux côtés de Schwab et du Prince se trouve le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres. Il déclare : « Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, qui soient plus résistantes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres changements mondiaux auxquels nous sommes confrontés ». Notez son discours sur les « économies et sociétés durables » – nous y reviendrons plus tard. La nouvelle Directrice du FMI, Kristalina Georgieva, a également approuvé « La Grande Réinitialisation ». Parmi les autres reinitialisateurs du FEM, citons Ma Jun, Président du Comité des Finances Vertes de la Société Chinoise de Finance et de Banque et membre du Comité de Politique Monétaire de la Banque Populaire de Chine ; Bernard Looney, PDG de BP ; Ajay Banga, PDG de Mastercard ; Bradford Smith, Président de Microsoft.

Ne vous y trompez pas, la Grande Réinitialisation n’est pas une idée impulsive de Schwab et ses amis. Le site web du FEM déclare : « Les confinements du COVID-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’anxiété concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable ». Les promoteurs du FEM ont de grands projets : « Le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une « Grande Réinitialisation » du capitalisme« . C’est énorme.

Des changements radicaux

Schwab nous en dit plus sur l’agenda à venir : « Un des points positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvons apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a forcé les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, depuis les voyages aériens fréquents jusqu’au travail au bureau ». Ce sont censés être des points positifs ?

Il suggère que ces changements radicaux soient prolongés : « L’agenda de la Grande Réinitialisation aurait trois axes principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination… et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes… » Elle comprendrait « des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence« .

Le deuxième volet de l’Agenda de la Grande Réinitialisation garantirait que « les investissements fassent progresser les objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité ». Ici, le chef du FEM déclare que les récents budgets de relance économique énormes de l’UE, des États-Unis, de la Chine et d’ailleurs doivent être utilisés pour créer une nouvelle économie, « plus résistante, équitable et durable à long terme ». Cela signifie, par exemple, la construction d’infrastructures urbaines « vertes » et la création d’incitations pour les industries afin d’améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance« .

Enfin, la troisième étape de cette Grande Réinitialisation consistera à mettre en œuvre l’un des projets favoris de Schwab, la quatrième révolution industrielle : « La troisième et dernière priorité de l’Agenda de la Grande Réinitialisation est d’exploiter les innovations de la quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du COVID-19, des entreprises, des universités et d’autres ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs« . La quatrième révolution industrielle comprend les biotechnologies d’édition de gènes, les télécommunications 5G, l’intelligence artificielle, etc.

L’Agenda 2030 des Nations unies et la Grande Réinitialisation

Si nous comparons les détails de l’Agenda 2030 de l’ONU de 2015 avec la Grande Réinitialisation du FEM, nous constatons que les deux s’accordent très bien. Le thème de l’Agenda 2030 est un « monde durable », c’est-à-dire un monde où règnent l’égalité des revenus, l’égalité des sexes, les vaccins pour tous, sous l’égide de l’OMS et de la Coalition pour les Innovations en matière de Préparation aux Épidémies (CEPI), qui a été lancée en 2017 par le FEM en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2015, les Nations Unies ont publié un document intitulé « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le Développement Durable ». L’administration Obama ne l’a jamais soumis au Sénat pour ratification, sachant que ce serait un échec. Pourtant, il est en train d’être mis en œuvre à l’échelle mondiale. Il comprend 17 objectifs de développement durable, prolongeant ainsi un Agenda21 antérieur. Les 17 objectifs incluent « mettre fin à la pauvreté et à la faim, sous toutes leurs formes et dimensions… protéger la planète de la dégradation, notamment par une consommation et une production durables, en gérant de manière durable ses ressources naturelles et en prenant des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique… Il appelle à une croissance économique durable, à une agriculture durable (OGM), à une énergie durable et moderne (éolienne, solaire), à des villes durables, à une industrialisation durable… Le mot durable est le mot clé. Si nous creusons un peu plus, il est clair qu’il s’agit d’un mot de code pour une réorganisation de la richesse mondiale par des moyens tels que des taxes punitives sur le carbone qui réduiront considérablement les voyages en avion et en voiture. Le monde moins développé ne s’élèvera pas au niveau des pays développés, mais à l’inverse, les civilisations avancées doivent voir leur niveau de vie baisser pour devenir « durables ».

Maurice Strong

Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations Unies pour l’Environnement et, en 1988, le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) pour étudier exclusivement l’émission de CO2 provoquée par les humains.

En 1992, Strong a déclaré : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio, Strong a ajouté la même année : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, d’air conditionné et de logements de banlieue – ne sont pas durables« .

La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le Professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT, « le CO2 a des attraits différents pour chaque personne. Après tout, qu’est-ce que c’est ? – Ce n’est pas un polluant, c’est le produit de la respiration de chaque créature vivante, c’est le produit de la respiration de toutes les plantes, c’est essentiel pour la vie des plantes et la photosynthèse, c’est le produit de toutes les combustions industrielles, c’est le produit de la conduite automobile – je veux dire, si jamais vous vouliez un point de levier pour tout contrôler, de l’expiration à la conduite automobile, ce serait un rêve. C’est donc une sorte d’attrait fondamental pour la mentalité bureaucratique« .

N’oublions pas que l’exercice de New York sur les pandémies, l’événement 201 du 18 octobre 2019, a été curieusement bien planifié et coparrainé par le Forum Économique Mondial et la Fondation Gates. Il était basé sur l’idée que « ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. Une pandémie grave, qui devient « l’Evénement 201″, nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés ». Le scénario de l’Événement 201 prévoyait « l’apparition d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, qui finit par se transmettre efficacement d’homme à homme, entraînant une grave pandémie ». L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins« .

La déclaration du Forum Économique Mondial de faire une Grande Réinitialisation est à tout point de vue une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, un « New Deal vert » mondial dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de Covid19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations Unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de Covid19.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




La « Réinitialisation mondiale » (« Global Reset ») – Désactivée. « L’État profond ».

[Source : Mondialisation.ca]

Par Peter Koenig

Imaginez, vous vivez dans un monde dans lequel on vous dit qu’il est une démocratie – et vous pouvez même le croire – mais en fait votre vie et votre destin sont entre les mains de quelques oligarques ultra-riches, ultra-puissants et ultra-inhumains. Ils peuvent être appelés État profond, ou simplement « la Bête », ou n’importe quoi d’autre d’obscur ou d’introuvable – peu importe. Ils sont inférieurs à 0,0001%.

Faute d’une meilleure expression, appelons-les pour l’instant les « individus obscurs » (“obscure individuals”).

Ces « individus obscurs » qui prétendent diriger notre monde n’ont jamais été élus. Nous n’avons pas besoin de les nommer. Vous découvrirez qui ils sont, et pourquoi ils sont célèbres, et certains d’entre eux totalement invisibles. Ils ont créé des structures, ou des organismes sans aucun format légal. Ils agissent totalement hors de la légalité internationale. Ils sont à l’avant-garde de « la Bête ». Il y a peut-être plusieurs « bêtes » en concurrence. Mais elles ont le même objectif : Un nouvel ordre mondial ou un seul ordre mondial (NWO, ou OWO).

Ces « individus obscurs » dirigent, par exemple, le Forum économique mondial (FEM – représentant la Grande industrie, la Grande finance et de Grande renommée), le Groupe des 7 – G7, le Groupe des 20 – G20 (les dirigeants des nations les plus « fortes » économiquement). Il existe également quelques entités de moindre importance, appelées la Société Bilderberg, le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations, CFR), Chatham House et d’autres encore.

Les membres de toutes ces entités se chevauchent. Et même ce front élargi représente moins de 0,001 %. Ils se sont tous superposés à des gouvernements nationaux souverains élus et constitutionnels, et à LA multinationale mondiale, les Nations unies, l’ONU.

En fait, ils ont coopté l’ONU pour faire leur travail. Les directeurs généraux de l’ONU, ainsi que les directeurs généraux des multiples sous-organisations de l’ONU, sont choisis pour la plupart par les États-Unis, avec le consentement de leurs vassaux européens – en fonction du profil politique et psychologique du candidat. Si sa « performance » à la tête de l’ONU ou de l’une de ses sous-organisations échoue, ses jours sont comptés. L’Union européenne, les organisations de Bretton Woods, la Banque mondiale et le FMI, ainsi que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) – et – ne vous y méprenez pas – la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, ont également été cooptés ou créés par la ou les « Bête(s) ». Elle n’a pas de pouvoir réel. Uniquement pour s’assurer que la loi est toujours du côté des hors-la-loi.

Outre les principales institutions financières internationales, la Banque mondiale et le FMI, il existe ce que l’on appelle les banques régionales de développement et autres institutions financières similaires, qui contrôlent les pays de leurs régions respectives.

 En fin de compte, c’est l’économie financière ou de la dette qui contrôle tout. Le banditisme néolibéral occidental a créé un système dans lequel la désobéissance politique peut être punie par l’oppression économique ou le vol pur et simple des biens nationaux dans les territoires internationaux. Le dénominateur commun de ce système est le dollar US (toujours) omniprésent.

Les « individus non élus »

La suprématie de ces « individus obscurs » non élus est de plus en plus évidente. Nous, « le Peuple », considérons qu’il est « normal » qu’ils prennent les décisions, et non pas ce que nous appelons – ou étions autrefois fiers d’appeler – nos nations souveraines et nos gouvernements souverainement élus. Ils sont devenus un troupeau de moutons obéissants. « La Bête » a progressivement et tranquillement pris le dessus. Nous n’avons pas remarqué. C’est la tactique du salami : vous le coupez tranche par tranche et quand le salami a disparu, vous vous rendez compte qu’il ne vous reste plus rien, que votre liberté, vos droits civils et humains ont disparu. À ce moment-là, il est trop tard. Le Patriot Act étasunien en est un bon exemple. Il a été préparé bien avant le 11 septembre. Une fois le 11 septembre « arrivé », le Patriot Act a été adopté par le Congrès en un rien de temps – pour la protection future du peuple – les gens l’ont réclamé par peur – et – bingo, le Patriot Act a privé environ 90% de la population étasunienne de sa liberté et de ses droits civils. Pour de bon.

Nous sommes devenus esclaves de « la Bête ». « La Bête » décide de l’essor ou de l’effondrement de nos économies, de qui devrait être endetté, quand et où une pandémie devrait éclater, et des conditions de survie à la pandémie, par exemple le confinement social. Et pour couronner le tout, les instruments que « la Bête » utilise, très astucieusement, sont un minuscule ennemi invisible, appelé virus, et un monstre énorme mais aussi invisible, appelé LA PEUR. Cela nous empêche d’aller dans la rue, de retrouver nos amis, d’aller au théâtre, de faire du sport ou de pique-niquer dans le parc.

Bientôt, « la Bête » décidera qui vivra et qui mourra, littéralement – si nous la laissons faire. Ce n’est peut-être pas si loin. Une autre vague de pandémie et les gens pourraient ainsi supplier, crier et hurler pour obtenir un vaccin, pour sonner le glas et pour le super profit des grandes sociétés pharmaceutiques – et pour atteindre les objectifs des eugénistes qui parcourent ouvertement le monde – voyez ceci. Il est encore temps de dire NON collectivement. Collectivement et solidairement.

Prenez le dernier cas d’imposture flagrante. Comme par hasard, après le passage de la première vague de Covid-19, au moins dans le « Nord global », où se prennent les grandes décisions mondiales, au début du mois de juin 2020, le président non élu du FEM, Klaus Schwab, a annoncé « La grande Réinitialisation » (“The Great Reset”). Profitant de l’effondrement économique – le choc de la crise, comme dans « La doctrine du choc » – M. Schwab, un des leaders de « la Bête », annonce ouvertement ce que le FEM va discuter et décider pour le monde à venir lors de son prochain Forum de Davos en janvier 2021. Pour plus de détails, voir ceci.

Nous, le peuple, accepterons-nous l’ordre du jour des individus du FEM non élus ?

Le FEM se concentrera de manière opportune sur la protection de ce qui reste de la Terre Mère ; évidemment, au centre se trouvera le « Réchauffement climatique », basé sur le CO2 produit par l’humain. L’instrument de cette protection de la nature et de l’humanité sera l’Agenda 2030 des Nations unies – qui équivaut aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Il sera axé sur la manière de reconstruire l’économie mondiale délibérément détruite, tout en respectant les principes (« verts ») des 17 ODD.

Mais attention, tout est relié. Il n’y a pas de coïncidences. Le tristement célèbre Agenda 2021, qui coïncide avec et complète le soi-disant Agenda 2030 des Nations unies, sera dûment inauguré par la déclaration officielle du FEM de « The Great Reset », en janvier 2021. De même, la mise en œuvre de l’agenda de « The Great Reset » a commencé en janvier 2020, avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus – prévue depuis des décennies, les derniers événements visibles étant le rapport Rockefeller de 2010 avec son « Lockstep Scenario » (le Scénario du verrouillage), et l’événement 201, du 18 octobre à New York qui a simulé par ordinateur une pandémie de coronavirus, laissant en 18 mois 65 millions de morts et une économie en ruine. Cela a été programmée quelques semaines seulement avant le lancement de la véritable pandémie de COVID-19.
Voir COVID-19, We Are Now Living the « Lock Step Scenario »,
voir en français La farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel» 
et ceci et ceci (et en français ceci).

Les émeutes raciales

Des émeutes raciales, initiées par le mouvement Black Lives Matter (financé par la Fondation Ford et l’Open Society Foundation de Soros), à la suite de l’assassinat brutal de l’Afro-Américain George Floyd par une bande de policiers de Minneapolis se sont répandues comme un feu de brousse en un rien de temps dans plus de 160 villes dans le monde, d’abord aux États-Unis, puis en Europe. Ces émeutes ne sont pas seulement liées à l’agenda de « la Bête », mais elles constituent une déviation bien commode de la catastrophe humaine provoquée par la  pandémie Covid-19. Voir aussi ceci.

Le plan infâme de « la Bête » pour mettre en œuvre ce qui se cache réellement derrière l’Agenda 2030 des Nations unies est l’Agenda ID2020 qui demeure méconnue du grand public. Voir La pandémie du coronavirus COVID-19 : Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». Cet agenda a été créé et financé par le gourou de la vaccination Bill Gates, tout comme la GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunizations), l’association des grandes entreprises pharmaceutiques – qui a participé à la création des vaccins coronavirus et qui finance avec la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) une part importante du budget de l’OMS

La « Grande réinitialisation » (« Great Reset »), telle qu’annoncée par Klaus Schwab du FEM, est censée être mise en œuvre par l’Agenda ID2020. C’est plus que ce que l’on pourrait croire. L’Agenda ID2020 est même intégré aux SDG, puisque la SDG 16.9 « d’ici 2030, fournira une identité légale [numérique] pour tous, y compris l’enregistrement gratuit des naissances« . Cela s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de la SDG 16 : « Promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives pour un développement durable, fournir un accès à la justice pour tous et mettre en place des institutions efficaces, responsables et inclusives à tous les niveaux ».

Suivant la voie officielle de l’Agenda 2030 des Nations unies pour la réalisation des SDG, l’Agenda ID2020 « mise en oeuvre » – qui est actuellement testé sur des écoliers au Bangladesh – fournira des cartes d’identité numérisées, éventuellement sous la forme de nanopuces implantées en même temps que les programmes de vaccination obligatoires, encouragera la numérisation de l’argent et le déploiement des 5G – qui seraient nécessaires pour télécharger et contrôler les données personnelles sur les nanopuces et pour contrôler la population. L’Agenda ID2020 inclura très probablement aussi des « programmes » – par la vaccination ? – de réduction significative de la population mondiale. L’eugénisme est une composante importante du contrôle de la population mondiale future dans le cadre d’un NOW / OWO – voir aussi Georgia Guidestones, mystérieusement construit en 1980.

L’élite dirigeante a utilisé le confinement comme instrument pour mener à bien ce programme. Sa mise en œuvre se heurterait naturellement à des protestations massives, organisées et financées selon les mêmes modalités que les protestations et manifestations du BLM. Il se peut qu’elles ne soient pas pacifiques – et qu’elles ne soient pas planifiées comme telles. En effet, pour contrôler la population aux États-Unis et en Europe, où l’on s’attendrait à la plupart des manifestations de la société civile, une militarisation totale de la population est nécessaire. Cela est en cours de préparation.

Dans son essai « The Big Plantation« , John Steppling rapporte, à partir d’un article de NYT, que

« Depuis 2006, un minimum de 93 763 mitrailleuses, 180 718 cartouches de chargeur, des centaines de silencieux et un nombre inconnu de lance-grenades ont été fournis aux services de police d’État et locaux aux États-Unis. Cela s’ajoute à au moins 533 avions et hélicoptères, et 432 MRAP – véhicules blindés de 9 pieds de haut, de 30 tonnes, protégés contre les embuscades et dotés de tourelles à canon et de plus de 44 900 pièces d’équipement de vision nocturne, régulièrement utilisés lors de raids nocturnes en Afghanistan et en Irak ».

Il ajoute que cette militarisation s’inscrit dans une plus vaste tendance. Depuis la fin des années 1990, environ 89 % des services de police étasuniens desservant des populations de 50 000 personnes ou plus disposaient d’une PPU (unité paramilitaire de police), soit près du double de ce qui existait au milieu des années 1980. Il appelle ces polices militarisées la nouvelle Gestapo.

Même avant la pandémie COVID-19, environ 15 à 20 % de la population se trouvait sur ou sous le seuil de pauvreté aux États-Unis. L’anéantissement économique post-covidien va au moins doubler ce pourcentage – et augmenter proportionnellement le risque de révoltes civiles et d’affrontements avec les autorités – ce qui renforce encore le raisonnement en faveur d’une force de police militarisée.

Le Crypto RMB chinois

Bien entendu, aucun de ces scénarios ne sera présenté au public par le FEM en janvier 2021. Il s’agit de décisions prises à huis clos par les acteurs clés de « la Bête ». Cependant, ce plan grandiose de la « Grande Réinitialisation » (« Great Reset ») ne va pas nécessairement se réaliser. La moitié au moins de la population mondiale et certains des pays les plus puissants, économiquement et militairement – comme la Chine et la Russie – y sont opposés. « Reset » peut-être oui, mais pas dans ces termes occidentaux. En fait, une réinitialisation de ce type est déjà en cours, la Chine étant sur le point de lancer une nouvelle monnaie cryptographique basée sur une chaîne de blocs, le RMB cryptographique, ou yuan. Il ne s’agit pas seulement d’une monnaie forte basée sur une économie solide, elle est également soutenue par l’or.

Alors que le président Trump continue de fustiger la Chine pour ses pratiques commerciales déloyales, pour sa mauvaise gestion de la pandémie de grippe (COVID-19), pour avoir volé des droits de propriété – une campagne sans fin contre la Chine -, pour avoir affirmé que la Chine dépend des États-Unis et que ces derniers vont couper les liens commerciaux avec la Chine – ou les couper complètement – la Chine appelle cela du bluff. La Chine se réoriente discrètement vers les pays de l’ANASE plus le Japon (oui, le Japon !) et la Corée du Sud, où le commerce représente déjà aujourd’hui environ 15 % de l’ensemble des échanges commerciaux de la Chine et devrait doubler au cours des cinq prochaines années.

Malgré le verrouillage et la perturbation des échanges commerciaux, les exportations globales de la Chine se sont rétablies avec une augmentation de 3,2 % en avril (par rapport à avril 2019). Cette performance globale des exportations chinoises s’est néanmoins accompagnée d’une baisse spectaculaire des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine. Les exportations chinoises vers les États-Unis ont diminué de 7,9 % en avril (par rapport à avril 2019).

Il est clair que la grande majorité des industries étasuniennes ne pourraient pas survivre sans les chaînes d’approvisionnement chinoises. La dépendance occidentale à l’égard des fournitures médicales chinoises est particulièrement importante. Sans parler de la dépendance de la Chine à l’égard des consommateurs étasuniens. En 2019, la consommation totale des États-Unis, soit environ 70 % du PIB, s’élevait à 13,3 billions de dollars, dont une bonne partie est directement importée de Chine ou dépend des ingrédients provenant de Chine.

Les maîtres du FEM sont confrontés à un véritable dilemme. Leur plan dépend beaucoup de la suprématie du dollar qui continuerait à permettre l’application de sanctions et la confiscation des actifs des pays qui s’opposent à la domination des États-Unis ; une hégémonie du dollar qui permettrait d’imposer les composantes du programme « The Great Reset » (la Grande réinitialisation), comme décrit ci-dessus.

À l’heure actuelle, le dollar est une monnaie fiduciaire, une dette créée de toutes pièces. Il ne bénéficie d’aucun soutien. Par conséquent, sa valeur en tant que monnaie de réserve se dégrade de plus en plus, en particulier vis-à-vis du nouveau crypto-yuan de Chine. Afin de concurrencer le yuan chinois, le gouvernement étasunien devrait s’éloigner de son système monétaire Ponzi, en se séparant du Federal Reserve Act de 1913 et en imprimant sa propre monnaie de l’économie étasunienne et éventuellement de l’or (crypto) – et non pas de la monnaie fiduciaire de la FED, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela impliquerait de couper les liens plus que centenaires avec la FED, propriété du clan Rothschild et Cie, et de créer une véritable banque centrale appartenant aux citoyens. Ce n’est pas impossible, mais grandement improbable. Ici, deux « bêtes » pourraient s’affronter, car une puissance mondiale est en jeu.

Pendant ce temps, la Chine, avec sa philosophie de création sans fin, continuerait d’avancer de façon imparable avec son gigantesque plan de développement socio-économique du 21e siècle, l’Initiative ceinture et route (la Nouvelle route de la soie) reliant la Chine au reste du monde avec des infrastructures de transport terrestre et maritime, avec des projets de recherche et industriels communs, des échanges culturels – et surtout, un commerce multinational (multinational trade) avec des caractéristiques « gagnant-gagnant », l’égalité pour tous les partenaires – vers un monde multipolaire, vers un monde avec un avenir commun pour l’humanité.

Aujourd’hui déjà, plus de 120 pays sont associés à l’ICR – et le projet en chantier est libre pour que d’autres pays s’y joignent – et pour défier, démasquer et « désactiver » la Grande réinitialisation (Great Reset) de l’Occident.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Conspiracy Theory

The Global Reset – Unplugged. “The Deep State”, publié le 17 juin 2020.

Traduit par Maya pour Mondialisation

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[À propos de l’auteur]

Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO), RT, Countercurrents, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance.
Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2020




Preuves que la pandémie a été planifiée ?

[Source en anglais : Stop World Control]


FAITS 100% VÉRIFIÉS

Notre objectif est de présenter des informations exactes. Chaque fait peut être vérifié dans les références en bas de page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, veuillez nous en informer [let us know].


Des médecins déclarent que la pandémie était planifiée

planned pandemic germany

Un groupe de plus de 500 médecins en Allemagne, appelé « Médecins pour informer », a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale: (1)

« La panique Corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque, une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal médical à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour informer le public de la désinformation massive dans les médias grand public. « Médecins pour informer » est soutenu par plus de 6 000 professionnels. Ils organisent des manifestations de masse en Europe, comme celle du 29 août 2020, où 12 millions de personnes se sont inscrites et environ un million se sont réellement présentées.

Pourquoi ces plus de 500 médecins disent-ils que la pandémie est un crime mondial ?

Que savent-ils que nous ignorons ?

planned pandemic protest berlin

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie est planifiée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

doctors for truth spain pandemic planned

« Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. » (2)

L’Allemagne et l’Espagne ne sont que deux exemples. De grands groupes similaires de centaines d’experts médicaux existent dans des pays du monde entier.

Aux États-Unis, un documentaire appelé PLANDEMIC [Plandémie, pour pandémie planifiée], qui expose le COVID-19 comme une opération criminelle, est soutenu par plus de 27 000 médecins !

Pourquoi ces milliers de professionnels de la santé dans le monde disent-ils que la pandémie est un crime ? À quelles informations ont-ils accès, que nous n’obtenons pas des médias grand public ? 

Je vous invite à regarder les faits suivants avec un esprit ouvert et à tirer ensuite vos propres conclusions…


Des millions de kits de test COVID-19 vendus en 2017 et 2018

Comme nous le savons, la nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. Par conséquent, elle a été nommée COVID-19 qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019 [Maladie à Coronavirus de 2019]. Les données de la World Integrated Trade Solution [Solution intégrée de commerce mondial] montrent cependant quelque chose d’étonnant :

en 2017 et 2018 — deux ans avant COVID-19 — des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19 ont été distribués dans le monde.

screenshot covid test kits 2017
Kits de tests Covid-19 (300215) importés par pays en 2017

Vite ! Cachez-le !!

Ces données déroutantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les réseaux sociaux. Le lendemain, il est devenu viral dans le monde entier. Le 6 septembre, le WITS a soudainement changé la désignation originale « COVID-19 » en le terme vague « Kits de tests médicaux ».

L’utilisation de termes généraux n’est pas autorisée dans le commerce, vous devez toujours être précis. Il existe de nombreux types de kits de test pour différentes maladies.

Le fait qu’ils aient supprimé la spécification « COVID-19 », après que ces données soient devenues connues dans le monde entier, prouve qu’ils ne veulent pas que quiconque le sache. Ils ont cependant oublié de supprimer un détail: le bas de la page Web montre toujours le code produit de ces « kits de test médicaux » est 300215, ce qui signifie: « Kits de test COVID-19 »

covid19 product code
Code HS 300215 : Kits de test Covid-19

Leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde. Vous pouvez télécharger un PDF contenant les données originales de ce site Web.


Deux ans avant l’épidémie de COVID-19, des pays du monde entier ont commencé à exporter des centaines de millions d’instruments de test de diagnostic pour … COVID-19.

Un argument utilisé pour nier ces données est que l’étiquette COVID-19 n’a été ajoutée qu’en 2020. Mais pourquoi utiliseraient-ils d’abord un terme non spécifique comme « Kit de test médical », puis des années plus tard, le changeraient en « Kit de Test COVID-19 » (qui est exactement ce que c’est), puis le remplacer par l’ancien et vague « Kit de test médical »? Ces types sont-ils confus, ou quoi ? Je ne crains pas ce genre de tentatives pour nier quelque chose de si évident.

À propos, ces kits de test COVID-19 sont en fait les fameux tests PCR qui sont en effet utilisés partout dans le monde pour tester les gens pour la [maladie] COVID-19.

Même s’il était vrai qu’ils ont joué avec cette étiquette [relative à la désignation du Kit de test] (ce qui est hautement improbable car ce serait ridiculement non professionnel), cela ne change pas le fait que deux ans avant la pandémie, toutes les nations du monde ont soudainement commencé à distribuer des CENTAINES DE MILLIONS de tests PCR. Donc, le cœur du problème ne change pas.

planned pandemic plandemic

La question est : pourquoi la distribution de tests PCR a-t-elle explosé dans le monde entier avec la distribution de centaines de millions d’entre eux, qui sont spécifiquement utilisés pour tester la COVID-19 ?

À quoi se préparaient-ils ?


Rothschild a breveté une méthode de test COVID-19 en 2015

Un site Web du gouvernement néerlandais consacré au brevetage des inventions montre également quelque chose d’intéressant. Richard A. Rothschild du Royaume-Uni a breveté un système de test du COVID-19 en 2015.

pandemic planned patent rothschild covid

Ceux qui connaissent la dynastie Rothschild comprennent que ce sont eux qui contrôlent le monde depuis des siècles et qu’ils possèdent la plupart des banques centrales dans presque tous les pays du monde. (2D) Les Rothschild sont connus pour avoir organisé de nombreuses guerres, manipulé les gouvernements et provoqué des épidémies.

Un Rothschild brevetant une méthode de test spécifiquement pour COVID-19 est donc très intéressant… c’est le moins qu’on puisse dire !


Le « projet » COVID-19 est prévu jusqu’en 2025

La Banque mondiale montre que COVID-19 est un projet qui devrait se poursuivre jusqu’à… la fin mars 2025 ! L’intention est donc de continuer pendant CINQ AUTRES ANNÉES. (2C)

covid planned program 2025
Monde | Programme de préparation et de réponse stratégique à la covid-19
Date prévue de cloture du projet : 31 mars 2025

Fauci a garanti une pandémie dans les deux prochaines années

anthony fauci predicting pandemic

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a annoncé qu’au cours du premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit : (3)

Il n’y a AUCUNE QUESTION, il va y avoir un défi pour l’administration à venir dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.
Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de personne à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise au cours du premier mandat de l’administration Trump ? Que savait-il, que nous ne savons pas ?


Bill et Melinda Gates garantissent une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route et pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie. (4)

Melinda Gates a ajouté qu’un virus fabriqué est la plus grande menace pour les sciences humaines et a également assuré que cela toucherait l’humanité dans les prochaines années. (5)

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment …

Ils affirment que la population dense du monde garantit cette pandémie mondiale imminente. Mais soyons honnêtes : la majeure partie de la terre est inhabitée. Survolez l’Amérique dans un avion et regardez par la fenêtre. Vous voyez un espace vide la plupart du temps, avec quelques villes ici et là. La plupart du territoire des États-Unis est encore un espace ouvert et vide. Il en va de même pour le reste du monde : Australie, Russie, Inde, Chine, Amérique, Afrique… c’est en grande partie la nature sauvage. Notre planète n’est pas aussi peuplée que Bill Gates veut nous le faire croire. Cette carte du monde le montre clairement…

La plus grande partie de la terre est totalement dépourvue de toute présence humaine. Ainsi, l’idée que le monde est largement surpeuplé et ne peut que donner lieu à une pandémie mondiale imminente est un mensonge.

Les Gates ont également affirmé que le transport aérien était sûr de créer une pandémie mondiale. Mais d’innombrables personnes ont voyagé en avion au cours du siècle dernier. Cela a-t-il donné lieu à des flambées constantes de pandémies mondiales ? Bien sûr que non !

Leurs arguments pour lesquels ils ont garanti une pandémie mondiale dans les prochaines années sont des mensonges. Alors, quelle est leur véritable base pour faire de telles prédictions garanties ?


S’exercer pour une pandémie

 Event201 planned pandemic exercise

Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates — le premier revendeur de vaccins au monde — a organisé un événement à New York. Devinez de quoi il s’agissait ? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ». Oui, vous l’avez bien lu :

Bill Gates a organisé un exercice de pandémie de coronavirus, juste avant que cela ne se produise en vrai !

Sur le grand écran de l’auditorium, vous voyez le texte imprimé : « Nous devons nous préparer à l’éventualité d’une pandémie ». Cet exercice de pandémie s’appelait Event201 et a eu lieu en octobre 2019, littéralement juste avant l’épidémie.

Leur conclusion était que toute l’humanité devait être vaccinée…


Excitation à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine

Peu de temps après cet « exercice de pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats de la santé mondiale : les vaccins.

tweet bill gates vaccines

Pensez-y : le premier revendeur de vaccins au monde garantit qu’une pandémie mondiale se produira dans les prochaines années, et son épouse a déclaré que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Ensuite, Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.


La pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante car elle montre la quantité d’informations disponibles, pour ceux qui osent faire des recherches. En 2013, un artiste musical avec le nom particulier de Dr Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC [Pandémie]. Rien de spécial à ce sujet, si ce n’était qu’une de ses paroles disait : (6)

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard ?

La chanson a également prédit les émeutes qui font maintenant rage dans toute l’Amérique :

« L’État est en émeute, utilisant la rue à l’extérieur. Il arrive à vos fenêtres. »

panned pandemic riots 2020

Encore une fois : comment un vague artiste pouvait-il savoir en 2013 qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, des pandémies devaient survenir dans la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson « Pandemic » à ce sujet. »

Vous pigez ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément des « théories du complot », des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme « absurdes ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car elles ont prédit avec précision que cette pandémie et les émeutes se produiraient exactement en 2020.

Que peut-on découvrir d’autre une fois que les gens commencent à chercher un peu plus loin que les histoires de base que nous présentent les médias grand public ? Qu’est-ce qui se cache d’autre sous l’étiquette négative de « théorie du complot » ?

Continuons à lire pour en savoir plus…


« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 — également juste avant l’épidémie — le Global Preparedness Monitoring Board [Conseil mondial de suivi de la préparation] a publié un rapport intitulé « Un monde en péril ».

Il a souligné la nécessité de se préparer à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve l’image d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous lisons le paragraphe intéressant suivant :

« L’Organisation des Nations Unies (y compris l’OMS) organise au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un pour couvrir la dissémination délibérée d’un pathogène respiratoire mortel. »

Avez-vous compris cela ? Ils ont effectué un exercice pour une libération délibérée d’un pathogène respiratoire mortel.


Une épidémie annoncée en provenance de Chine



[Voir l’animation sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

En 2018, l’Institute for Disease Modeling [Institut pour la modélisation des maladies] a réalisé une vidéo dans laquelle est montré un virus de la grippe originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est produit, deux ans plus tard. Pourquoi ont-ils dit que cela viendrait de Chine ? Pourquoi pas l’Afrique, où les maladies sont bien plus nombreuses ? Ou pourquoi pas l’Amérique du Sud ? Ou l’Inde ?

Comment pourraient-ils savoir qu’il y aurait un virus de la grippe venant de Chine et même montrer Wuhan comme la région d’origine, qui infecterait le monde entier ?


Ce coronavirus a-t-il été fabriqué?

wuhan virology lab

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en matière d’armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan, le Bio Safety Lab de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… coronavirus!

Ils prennent les virus existants et les «militarisent», ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour les utiliser comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes qui suit, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle et le président Trump expliquer comment ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Maintenant vient la partie intéressante : en 2015, Anthony Fauci a donné 3,7 millions de dollars à ce même laboratoire.

Figurez-vous ceci : le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]


Selon un virologue chinois, le virus a pu se propager

En avril 2020, la virologue et immunologiste chinoise Li-Meng Yan a fui la Chine et a demandé l’asile politique en Amérique. Pourquoi ? Elle voulait révéler la vérité sur la Covid-19. Yan prétend être l’un des premiers scientifiques à travailler sur ce nouveau coronavirus. Lorsqu’on a appris que ce virus causait de graves maladies à l’intérieur de la Chine, Yan a reçu l’ordre de faire des recherches.

Elle a découvert quelque chose de grave : ce virus a été transmis par contact humain. Lorsqu’elle a fait connaître cette information inquiétante à son surveillant, elle a reçu l’ordre de garder le silence à ce sujet.

Peu de temps après, l’Organisation Mondiale de la Santé a annoncé qu’il y avait un nouveau virus dangereux en Chine… mais qu’il n’était PAS transmis par contact humain et qu’il n’y avait donc aucun danger pour la population mondiale.

Après cette fausse déclaration de l’OMS, elle a remarqué que le ton de tous les scientifiques à qui elle avait parlé du virus était passé d’amical à distant. Son superviseur a déclaré :

Reste calme et prudente. Ne franchis pas la ligne rouge ! Sinon, nous aurons des ennuis et disparaîtrons …

Li-Meng Yan a décidé de fuir en Amérique et a raconté son histoire à Fox News et au FBI. Selon Yan, le gouvernement chinois savait que ce virus se propageait entre les gens et ils ont attendu d’informer le monde parce qu’ils voulaient qu’il se propage à l’échelle mondiale.

L’Organisation Mondiale de la Santé a collaboré avec le Parti communiste chinois, affirmant que ce nouveau virus n’était pas transmissible entre les humains. En conséquence, il pouvait se répandre dans le monde entier.

Bien sûr, ses déclarations sont démenties par l’OMS et le gouvernement chinois. Cependant, le fait est qu’au début de janvier 2020, l’OMS a déclaré que le nouveau coronavirus n’était pas transmissible d’homme à homme, donc aucune mesure n’a été prise… et le monde entier en a été infecté.

La virologue Yan vit désormais cachée et est protégée par le gouvernement américain.


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Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive consiste à informer la population des événements qui vont bientôt se produire. Ces dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits, sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague » [peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde avec la distanciation sociale, les masques faciaux, le verrouillage, le lavage des mains, etc.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.


Une bande dessinée de l’Union européenne visualise une pandémie mondiale

infected comic book european union

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour la distribution parmi leurs employés seulement. (2B) Le titre de la bande dessinée est « INFECTÉ » et montre un nouveau virus provenant d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan mondial de santé. Ça signifie :

Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux employés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit :

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

pandemic strip eu

Pandémie représentée lors des jeux olympiques d’été en 2012

pandemic olympics summergames 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été en 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpitaux, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort rôde, un géant démoniaque s’élevant dans le monde entier, et tout le théâtre était éclairé de telle manière que vu du ciel, cela ressemblait à un coronavirus .

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur émission d’ouverture ?


Verrouillage mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un verrouillage mondial.

Il a dit que le but de ceci serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été republié.


Des journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. Les quarantaines et les couvre-feux sont l’une des choses qui manquaient à leur boîte à outils. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(7)


« Scénario pour l’avenir »

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail : la pandémie mondiale, les verrouillages, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise!

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ». (9) Cela dit tout : un scénario pour l’avenir. Il contient un chapitre appelé « LockStep » dans lequel une pandémie mondiale est signalée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement conçue comme une répétition pour [préparer] l’avenir.



La pandémie de 2020 est décrite avec des détails horribles dans le « Scénario pour l’avenir » de la Fondation Rockefeller écrit en 2010.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit en comparant deux réponses différentes à leur pandémie prévue : les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les gens de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un verrouillage suffocant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire :

Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs comme les gares et les supermarchés.

Il est clair que le durcissement des autorités est la réponse souhaitée. Mais cela empire, selon ce « scénario du futur » :

« Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes : des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »


Selon la Fondation Rockefeller, une pandémie mondiale doit entraîner un contrôle accru, où les gens abandonnent volontiers leur liberté, afin de se sentir à nouveau en sécurité.


Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a proposé la deuxième étape : un manuel sur la mise en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis seront en place que le monde pourra s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Premièrement, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent à quoi cela devrait conduire : un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la confidentialité devraient être largement utilisés pour permettre un suivi des contacts plus complet. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population chaque semaine. »

Selon leur « Scénario du futur », toute la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, concerts, églises, transports publics, etc. sera refusé.

Aujourd’hui, en 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.


Les contacts de tout le monde doivent être vérifiés

Dans une vidéo gouvernementale divulguée (10), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la manière de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la manière de constituer une armée pour mettre en œuvre ce système de contrôle.

« Des centaines et des centaines d’agents de contrôle doivent être nommés. Ils testent tout le monde, puis vérifient tous leurs contacts. Cela n’a jamais été fait auparavant à cette échelle. C’est une armée d’interrogateurs qui vérifieront les contacts de tout le monde. »

ANDREW CUOMO,
GOVERNOR OF NEW YORK


Un tout nouveau niveau de contrôle global

world control

Bill Gates a également précisé que seules les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler. (11) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement (12) et Gates a un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie est appelée WO2020-060606 (13). De plus, Gates souhaite mettre en place un réseau de surveillance mondial, qui suivra toutes les personnes qui sont entrées en contact avec la Covid-19 (14).


Le plan : injecter à l’humanité un vaccin modifiant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde, au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’un entretien en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit:

« Ils vont libérer un coronavirus artificiel. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera une troisième souche d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, son ADN subit presque immédiatement une transformation. Ce changement génétique amènera les gens à perdre la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils s’en rendent compte. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir les esclaves de l’élite. »

Bien sûr, cela semble insensé et c’est vraiment insensé. Pourtant, nous devons être conscients que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a fait des années de recherche et c’est ce qu’il a découvert au fil des ans.

Nous devons veiller à ne pas rejeter des connaissances solides, fondées sur des années de recherche, simplement à cause de notre propre manque de compréhension de ces sujets.


20 ans de recherche disent :
le vaccin changera notre ADN

La docteure Carrie Madej a dirigé deux grandes cliniques en Géorgie, avant de se rendre en République dominicaine pour faire du travail humanitaire. Elle a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années et a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre la Covid-19. Le but de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à un identifiant numérique de vaccin, qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient dans les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.


Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

Le Dr John Coleman était un officier du renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Il y explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre se trouve sur le site Web de la CIA. (15)

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes, qui contrôlent les gouvernements et les médias, est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit à propos de leur stratégie :

« Au moins 4 milliards de mangeurs inutiles doivent être éliminés d’ici à 2050 au moyen de guerres limitées et d’épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide. »

DR. JOHN COLEMAN, CIA INTELLIGENCE OFFICER


Maintenir l’humanité sous 500 millions d’habitants

En 1980, un monument de granit a été érigé en Géorgie, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices [NdNM : Les 10 commandements de la nouvelle religion mondiale basée sur la science-technologie, l’humanisme et le New Age ?] est inscrit sur la structure en huit langues modernes et un message plus court est inscrit en haut de la structure dans quatre scripts de langues anciennes. La première directive est la suivante:

1. Maintenez l’humanité sous 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.


Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, quand il a dit littéralement que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15% ! (16)

« Il y a maintenant 6,7 milliards de personnes sur terre et bientôt il y en aura 9 milliards. Cependant, nous pouvons réduire ce nombre de dix à quinze pour cent si nous faisons du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et le contrôle des naissances ».

BILL GATES, TRAFICANT de VACCINS


Vaccin Covid19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique alimentaire publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics [Médecine légale des aliments] et fondateur de CWC Labs accréditée ISO. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique fabriquée sera libérée dans les centres de population. Il y aura des appels pour un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin afin de proposer un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.



[Voir la vidéo sur le site d’origine https://www.stopworldcontrol.com/planned/]

Il y a en effet une libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est mis au point en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions, voire des milliards, de personnes en quelques années. Ce sera un vaccin kill-switch [NdNM : coupe-circuit ou commutateur qui une fois en position ouverte pourrait libérer un genre de toxine ou d’agent mortel], conçu pour réduire la population mondiale.


RÉSUMÉ :
LA PANDÉMIE A-T-ELLE ÉTÉ PRÉVUE ?

Des milliers de médecins du monde entier appellent la pandémie un crime mondial, une dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Quelques années avant la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour COVID-19.

En 2015, Richard A. Rothschild a breveté une méthode de test médical pour COVID-19.

La Banque mondiale montre comment le projet Covid-19 devrait durer jusqu’en mars 2025.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait grâce à une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event201.

Également peu avant l’épidémie, le Conseil mondial de surveillance de la préparation a dit au monde qu’il était prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a annoncé une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 a peut-être été créé dans le Bio Safety Lab P4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Une virologue chinois de premier plan, Li-Meng Yan, s’est enfuie aux États-Unis pour exposer comment le Parti communiste chinois a conspiré avec l’Organisation Mondiale de la Santé pour publier une fausse déclaration sur le virus, ce qui a permis à ce dernier de se propager dans le monde entier.

Plusieurs films ont décrit la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails, et mentionnent même l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne décrit un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont joué une pandémie de coronavirus lors de leur émission d’ouverture.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait provoquée, de sorte que la « classe dirigeante » pourrait mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel, qui serait utilisé pour forcer un vaccin modifiant l’ADN de l’humanité.

La Dre Carrie Madej a étudié l’ADN et les vaccins pendant des décennies et dit que le plan est d’utiliser le vaccin COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié les sociétés secrètes et affirme que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité, en huit langues. Le premier de ces « dix commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Le « gardien de la santé » Mike Adams a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire maintenant : la libération d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccin, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie du vaccin et d’un vaccin qui est développé en un temps record. Il a également prédit que ce vaccin tuera d’innombrables personnes au cours de quelques années.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir… » dans lequel elle décrit une pandémie mondiale à venir, qui devrait aboutir à la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur les populations, qui s’intensifiera ensuite après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller publie un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils disent que la vie ne peut pas revenir à la normale, tant que le monde n’est pas devenu «verrouillé» avec ce contrôle provenant des gouvernements autoritaires.

Nous voyons en effet que Bill Gates et bien d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle d’une manière sans précédent, avec des identifiants de vaccins, des micropuces qui seront implantées dans les personnes, rendant obligatoire le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les verrouillages forcés, la recherche extrême des contacts. , etc.

Une partie de ce contrôle descendant consiste en une censure extrême de chaque voix des médecins, des scientifiques ou d’autres experts qui critiquent ce qui se passe.


Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

predictions
C’est maintenant

Notez que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années, voire des mois avant qu’elle ne se produise. C’est important. Gates et Fauci mentent quand ils disent que « l’histoire nous dit que cela va arriver », car il n’existe aucune base historique pour garantir qu’une pandémie mondiale de coronavirus se produira dans quelques mois ou quelques années.

Jamais dans l’histoire rien de tel ne s’est produit, à une telle échelle mondiale.

Le fait qu’un événement aussi unique sur le plan historique ait été prédit avec beaucoup de détails — par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards grâce à ces pandémies, ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. — montre que c’était prévu.


Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

pandemic planned covid19

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications selon lesquelles la pandémie avait été planifiée à l’avance. S’il est effectivement orchestré, cela devrait également être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est également une pandémie contrôlée. Observons-nous en effet que la pandémie est manipulée ? Absolument. Les autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point chaque voix médicale, scientifique, gouvernementale, éducative et journalistique qui diffère de la propagande médiatique est censurée de manière agressive. Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y avait eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

Big Tech (Google, Facebook, Twitter, Apple, etc.) collabore avec Big Pharma (les industries pharmaceutiques de plusieurs milliards de dollars) pour supprimer tous les sons qui défient leur propagande.

En plus de cela, il y a une démonstration sans précédent de fraude mondiale avec des numéros covid. Littéralement, chaque information sur COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions et même carrément ordonné d’enregistrer chaque patient en tant que patient covid et chaque décès — quelle qu’en soit la cause — comme un décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cet exposé choquant de la plus grande fraude de l’histoire du monde.


Qui est derrière le plan de contrôle du monde?

world control

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle des « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents du monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés : soins de santé, industries alimentaires, médias, gouvernements, religion, tout.

La domination mondiale totale a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants à travers l’histoire du monde. Pensez simplement aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a pas quitté le cœur corrompu de l’humanité, mais les moyens pour atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent désormais l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la «solution». Cette solution signifie cependant nous retirer notre liberté et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade, pour cacher les vrais pouvoirs, que sont les nombreuses « sociétés secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis lors d’un événement appelé DAVOS, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites: (18)

« C’est le moment historique dans le temps, non seulement de combattre le virus, mais de FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour REVAMPER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et économies, des contacts éducatifs aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum Économique Mondial a créé un « rouet » avec tous leurs objectifs. On y voit les trois « projets » suivants : Covid19 suivi de Gouvernance mondiale et Gouvernance d’Internet.

global reset


COVID-19 est un projet critique qui ouvre la voie à la prochaine étape : LA GOUVERNANCE GLOBALE. Un peu plus loin dans le futur, ils prévoient de créer une censure complète d’Internet : la GOUVERNANCE D’INTERNET.


Personne ne veut de ces organisations

Pas un seul humain sur terre n’a voté pour que ces organisations existent, et encore moins prennent le contrôle total de nos vies, familles, communautés, emplois, santé, industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation Mondiale de la Santé s’est positionnée comme le chef de file de notre santé, sans qu’aucun de nous n’ait choisi pour eux.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier, par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi ? Parce que ces géants des médias sociaux affirment que SEUL ce que dit l’Organisation Mondiale de la Santé est vrai. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » — qui n’ont aucune autorité sur chacun de nous — mais simplement parce qu’ils se disent leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.


L’humanité dans son ensemble doit se soumettre à l’Organisation « Mondiale » de la Santé, sans jamais demander notre avis ni même consulter d’autres experts médicaux. En fait, chaque expert médical qui dénonce ses décisions est censuré.


Cela signifie la perte totale de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus dont personne ne voulait et pourtant ils s’approprient simplement notre monde.

Ils sont le gros et méchant tyran sur le terrain de jeu, qui joue le patron sur tout le monde.


L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un violent parti communiste révolutionnaire en Éthiopie, le Front de libération du peuple du Tigré. (19) Le Département de la Sécurité Intérieure [aux États-Unis] déclare clairement :

«Le TPLF est considéré comme une organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes…»

Laissons cela passer à vous : l’homme qui dirige l’Organisation Mondiale de la Santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme à l’Éthiopie. Ce même homme harcèle maintenant le monde entier, nous disant à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censurant chaque professionnel de la santé qui a une opinion différente, exigeant une obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats pour être vaccinés par leur sponsor financier numéro un : Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre désormais ?


De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas la « grande réinitialisation » maintenant. (18)

Bill Gates appelle déjà cette « pandémie une » et parle de « pandémies deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies en 2020-2030.

Cette décennie est le calendrier choisi pour transformer le monde en une grande république bananière, dirigée par des fous avides de pouvoir, qui dépeuplent la terre et asservissent le reste de l’humanité.

Ils prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire, afin de briser le dos de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à leur contrôle mondial. Les vaccins obligatoires sont la clé de leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 500 médecins allemands, 600 médecins espagnols, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde appellent cette pandémie un « crime mondial » ?


Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

Un archevêque et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert du COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier. (20)

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie par rapport au nombre de décès, qu’il existe des puissances intéressées à semer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôler les personnes et de suivre leurs mouvements. L’imposition de ces mesures tyranniques est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial indépendant de tout contrôle.


Y a-t-il de l’espoir ? Que pouvons-nous faire ?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus radieux qu’on ne peut même l’imaginer!

Ce n’est pas un scénario funeste et sombre, mais un appel au réveil pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les mafia-médias et les politiciens pervers, et se lève pour un avenir de liberté. Je vous invite à rejoindre un mouvement unique et historique de combattants de la liberté mondiale, qui conduira l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de renouveau et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.


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En plus de le partager avec votre famille et vos amis, je vous encourage fortement à aller plus loin et à vraiment changer le monde. Partagez ce site Web avec ceux qui influencent notre société. Tous ne sont pas corrompus. De nombreux dirigeants sont tout simplement trompés, car ils ont été formés à ne jamais remettre en question le récit. C’est à nous de les informer.

Recherchez sur Internet les adresses e-mail des dirigeants du gouvernement, de l’éducation, de la santé, de l’application de la loi, etc.


Références

1: German group of Doctors For Information

2: Spanish group of Doctors For Truth

2B:EU comic strip depicts global pandemic

2C: World Bank shows planned end date of project COVID-19

2D: Rothschild owning central banks around the world

3: Fauci guarantees an outbreak with the next two years.

4: Bill Gates announced a global pandemic

5: Melinda Gates says humanities greatest threat is an engineered virus

6: Lyrics of 2013 song that predicted coronavirus pandemic in 2020

7: Harry Vox predicted the global pandemic

8: Robin de Ruiter predicted lockdowns

9: Scenario for the future described global pandemic

10: Andrew Cuomo talks with Bill Clinton about authoritarian control

11: Bill Gates talks about a digital ID to control people

12: Linking vaccines to a digital ID

13: Gates has pattent on technology to trace a body anywhere

14: Gates wants a global monitoring system

15: Download the book of CIA officer Coleman

16: Gates talks about reducing world population using vaccines

17: Tens of millions of Covid-19 test kist were exported by the EU, USA, China etc in 2017 and 2018

18: DAVOS and the gathering of the globalists

19: The head of the World Health Organization is member of violent terorrist group

20: Letter from archbishop and cardinals to humanity




2020 : Le règne des marchands du Temple…

[Source : MédiaZOne]

Il est clair que dans les semaines et mois qui viennent, savoir dire quelques prières, avoir sous la main de l’or, de l’argent métal, des armes de défenses, des outils et des équipements à forte valeur d’usage, seront des avantages importants dans la situation de résistance dans laquelle nous allons être contraints d’entrer. Mais ne nous leurrons pas, sans sursaut collectif à l’échelle d’une nation, nous ne pourrons que gagner du temps. D’ailleurs, le temps n’est pas loin ou l’establishment s’en prendra définitivement à la petite propriété individuelle et aux individus eux-mêmes.
Eric Montana


[Auteur : Marc Gabriel Draghi]

Nous sommes désormais sous le règne des marchands du Temple – Le gouvernement des banquiers…

​Éternel reconfinement

Ce mercredi 28 octobre 2020, nous sommes entrés définitivement dans une nouvelle phase.

Le pouvoir politique oligarchique représenté par notre Emmanuel (Goldstein) Macron national, a validé l’effondrement contrôlé des économies du monde occidental. En effet, par l’annonce d’un nouveau confinement en réponse à la « pandémie » du coronavirus, le Président de la République vient d’instaurer une véritable dictature sanitaire.

Il n’est désormais plus utile de « gloser » sur la dangerosité de ce virus, les faits sont là : un peu plus de 35 000 morts depuis le début de l’année, la très grosse majorité ayant plus de 85 ans et ayant des causes de comorbidité (cancer, obésité, anomalie génétique).

Même sans évoquer le fait que les chiffres ont probablement été « gonflés » en ratissant très large au niveau des causes de décès. La réalité est que le taux de mortalité du Coronavirus ne dépasse pas les 0.05%, ce qui est remarquablement ridicule pour une « pandémie » que l’on traite comme la catastrophe du siècle.

D’ailleurs pour ceux qui réfléchissent un peu, ce deuxième confinement est révélateur, car nos « experts » et dirigeants considèrent que la plupart des travailleurs des secteurs essentiels (usines, BTP, services publics, etc.) sont désormais immunisés quand ils sont au travail… Quelle chance !

À l’inverse, les travailleurs indépendants ont, eux à priori, un système immunitaire déficient… Il leur est donc tout simplement interdit de travailler. Le travail indépendant et les petits commerces sont donc devenus (comme les réunions de famille, notamment avec les grands-parents) des symboles de contaminations gigantesques et des périls terribles pour notre Nation.

Décidément, cette « pandémie » du Coronavirus est une opportunité idéale pour inaugurer une nouvelle ère et pour faire avaler aux cerveaux malléables tout et n’importe quoi.

Le grand reset est annoncé

En effet, quelques semaines après le premier confinement du monde occidental, au mois de juin, le président du Forum Économique Mondial de Davos, un certain Klaus Schwab, n’a pas hésité à déclarer que « cette pandémie offrait une fenêtre rare et étroite pour ré-imaginer et réinitialiser notre monde. » La Directrice du Fonds Monétaire International Kristalina Georgieva, avait, elle aussi, emboîté le pas de Schwab en évoquant cette grande réinitialisation dans une de ses conférences, intitulée sobrement « The Great Reset ».

Dans celle-ci, elle fit un parallèle avec la conférence de Bretton Woods de 1944, qui avait fixé les règles monétaires après la Seconde Guerre Mondiale et s’empressa-t-elle aussi, de déclarer que cette épidémie du Coronavirus était une opportunité pour « changer le Monde« .

Ainsi par l’intermédiaire de l’annonce du reconfinement en France (et bientôt partout dans le monde occidental), cette Grande Réinitialisation est désormais lancée.

Face à une dette mondiale abyssale, l’hyperclasse propulse sans vergogne son projet politique de restructuration du système financier mondial.

Effondrement et guerres civiles

Il est très peu probable que l’élection présidentielle américaine du 3 novembre prochain, sur fond de guerre entre Trump et l’État profond représenté par Joe Biden, impacte réellement ce mouvement de fond qui se dessine devant nous. L’effondrement contrôlé du système monétaire international tel que nous le connaissons depuis 1944/1971, c’est-à-dire celui du Roi Dollar (Dollar as good as gold/Pétrodollar) va donc laisser la place à autre chose.

Pour des experts comme James Turk, John Rubino ou encore Stephen Roach (universitaires, financiers et économistes), il est évident que le monde va désormais se dédollariser massivement, le billet vert perdant sa place dominante dans les réserves des banques centrales et dans le panier de monnaies du Fonds Monétaire International.

En réalité, désormais tout le monde s’attend à ce que le dollar s’effondre (et très certainement l’Euro avec ou après lui). Même des journaux comme Capital ou encore Les Échos en parlent depuis plusieurs semaines. Ce constat vient en grande partie du comportement de la Réserve fédérale américaine.

En effet, les politiques de QE (Quantitative Easing) pratiquée depuis la crise de 2008, mais surtout le tournant soviétique adopté par la banque centrale américaine en mars 2020 (chapeautée par BlackRock) ont amorcé la mort prochaine du système financier international reposant sur le billet vert.

N’en déplaise aux Qanonistes, l’éventuelle réélection de Trump ne pourra malheureusement pas inverser cette tendance. L’hyperclasse a fait son choix et elle est en train de déployer tous les moyens gigantesques qu’elle a en sa possession, pour nous imposer son projet de Nouvel Ordre Mondial.

En vérité, la seule vraie question pour les États-Unis à court et moyen terme, sera de savoir si ces derniers ne vont pas tout simplement, basculer vers une nouvelle guerre civile.

Évidement la question se pose aussi dans ses termes en Europe, mais l’establishment semble avoir une plus grande marge de manœuvre sur les peuples européens : les peuples étant vieillissants, les populations civiles désarmées (pour la plupart), les vagues de migrations clandestines étant elles toujours plus importantes.

En Europe, malgré de rares cas de révoltes en Serbie ou en Italie, l’oligarchie semble davantage contrôler la situation. Le fait étant aussi que dans le cas des États-Unis, on assiste également à la fin d’un Empire et il n’est pas certain que cette chute programmée soit du goût de certaines classes dirigeantes américaines. En résumé, cela veut dire que les patriotes américains n’ont pas dit leur dernier mot.

À l’inverse, l’Europe continentale est, elle, dans une soumission plus naturelle, se confortant dans cette position depuis les 1ère et 2ème Guerre Mondiale. Cette docilité est notamment symbolisée par l’Euro qui malgré son échec politique et le projet régressif que porte cette monnaie, va continuer à nous être imposé (à nous les peuples européens continentaux), mais sous une autre forme.

En effet, comme il y aura bientôt un nouveau dollar, il va y avoir un nouvel Euro. L’hyperclasse l’a déjà murmuré par l’intermédiaire de Christine Lagarde directrice de la BCE. L’effondrement qui vient va entraîner une véritable destruction de la monnaie, entraînant avec elle, le peu de richesses que l’Europe continentale est encore capable de produire.

La solution de l’establishment pour pallier à cet effondrement (social, économique et politique) sera donc la mise en place d’un Euro numérique. Mais vous l’imaginez bien, nous ne serons pas les seuls à nous voir imposer une monnaie numérique (CBC : Central Bank Currency), d’autres ont même déjà presque franchi le pas.

C’est notamment le cas de la Chine : avec son yuan numérique qui avance à grands pas.

Et malgré les analyses bancales de vieux idéologues libéraux incohérents, la Chine est bien LE pays du socialisme corporatif voulu et porté actuellement par l’establishment financier transnational.

Certes, les Chinois produisent une véritable richesse concrète avec des investissements productifs, mais une grande partie de la population a été réduite en esclavage pour arriver à ce résultat. Ce qui se passe aux États-Unis avec la fusion de la banque centrale et du Trésor (chapeauté par des intérêts privés) s’est même déjà passé en Chine, il y a plusieurs décennies maintenant.

L’ère du socialisme corporatif et de la dictature mondiale

En réalité, nous sommes dans une phase finale d’hybridation de nos sociétés. Nous glissons progressivement vers un système capitalo-communiste alliant des phénomènes néo-libéraux et des phases de soviétisation.

Les secteurs privés et publics sont concrètement en train de fusionner au profit d’une toute petite caste apatride. La société du futur qui va nous être proposée repose sur des principes assez simples : travail, salariat, discipline, consommation, surveillance et censure généralisée.

Pour les peuples les moins soumis, un phénomène de « balkanisation » « libanisation » ou « africanisation » est déjà en cours. Des guerres internes liées à la race, la confession, la tribu, le genre, etc. traverseront ces sociétés pour les épuiser et finalement les faire accepter ce nouveau modèle de société matérialiste portée par le Nouvel Ordre Mondial.

Concrètement que pouvons-nous faire ? Collectivement, entre manipulations de certains (terrorisme), acculturation et corruption, il apparaît peu probable que les peuples européens vieillissants se réveillent.

Individuellement, aussi, le futur s’annonce difficile. La tentation survivaliste est intéressante, mais utopique. L’État sous le contrôle de cette petite caste composée d’apatrides et d’usuriers est déjà en train de s’attaquer à nos libertés individuelles.

Il est clair que dans les semaines et mois qui viennent, savoir dire quelques prières, avoir sous la main de l’or, de l’argent métal, des armes de défenses, des outils et des équipements à forte valeur d’usage, seront des avantages importants dans la situation de résistance dans laquelle nous allons être contraints d’entrer.

Mais ne nous leurrons pas, sans sursaut collectif à l’échelle d’une nation, nous ne pourrons que gagner du temps. D’ailleurs, le temps n’est pas loin ou l’establishment s’en prendra définitivement à la petite propriété individuelle et aux individus eux-mêmes.

Cette crise du Covid-19(84) le démontre, les cibles prioritaires de l’hyperclasse sont les petits producteurs. Ces vaches à lait qui engraissent ce système parasitaire vont finalement être conduites à l’abattoir. Le système d’exploitation va muter et ces ultimes sacrifices vont être faits pour satisfaire les projets des hypernomades qui nous dirigent.

Actuellement, les TPE-PME sont en train de mourir, elles sont endormies à coup de subventions (faux argent), mais à la fin c’est bien elles (principalement) qui paieront la facture…

Depuis plusieurs mois., les faillites guettent le tissu économique indépendant pourtant fondamental dans la vie d’une nation prospère.

Nos cafés, restaurants, commerces, usines ne bougent pas, ils attendent la mort qui vient comme un bon chien obéissant en fin de vie.

Demain nous serons tous les locataires et les salariés (ou pire les assistés) du Système. Voilà notre avenir proche. Nous serons tous collectivement dans la main de nos maîtres.

Les firmes transnationales en salivent déjà d’avance, le monde du travail indépendant, la petite propriété privée et les libertés individuelles sous-jacentes vont enfin disparaître après l’offensive pandémique.

Le Monde a donc définitivement changé en cette année 2020 et au final Emmanuel Goldstein Macron l’a dit : « toutes ces mesures (liées au Covid-19) vont nous permettre de tenir jusqu’au vaccin »…

Mais pour éradiquer quelle maladie ce vaccin va-t-il être utilisé ?

Serait-ce l’humanité libre ?


Marc Gabriel Draghi




Covid-19, élections américaines, confinement…et après, le Great Reset ?

[Source : Breizh-Info]

Si vous ne deviez actuellement vous renseigner que sur un sujet pour comprendre les enjeux autour du traitement de la question du Covid-19, des confinements à travers le monde, mais aussi des élections américaines et des conséquences qui en découleront, alors intéressez vous à la question du Great Reset, le grand Reset, donc nous avons déjà évoqué quelques concours ici.

Car le monde que certains appellent de leurs voeux est plutôt terrifiant, ne découle d’aucun complot mais de convergences d’intérêts entre des individus, des groupes, des entreprises, hauts placés, et doit absolument être décrypté.

C’est d’ailleurs ce que propose l’excellente lettre confidentielle Faits et Documents, dans ses trois derniers numéros que nous jugeons indispensables de posséder, de lire et de diffuser pour quiconque entend comprendre le monde qui vient.

La lettre confidentielle, fondée par Emmanuel Ratier et reprise avec brio par Xavier Poussard, est lue, y compris en très haut lieu, et sert de base de renseignements à de nombreux journalistes y compris de la presse mainstream, tant elle est précise, factuelle, incontestable.

Voici pour vous « mettre en appétit » ci-dessous, au sujet du Grand reset, le début du premier dossier que la lettre lui a consacré.

Qu’est ce que The Great Reset ?

Le 3 juin dernier, Klaus Schwab et le prince Charles annonçaient en grande pompe le lancement du Great Reset (« Grande Réinitialisation »), l’occasion pour le président du Forum économique mondial de présenter le Covid-19 comme « une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde »

https://twitter.com/GaumontRene/status/1314304253696057349

S’affichaient, le 3 juin, aux côtés de l’héritier du trône britannique et du président du Forum économique mondial :

  • Antonio Guterres, ancien président de l’Internationale socialiste, ancien Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, actuel secrétaire général de l’ONU. L’ONU est étroitement associée au Great Reset via les Objectifs du développement durable rassemblés en 2015 dans l’Agenda 2030.
  • Kristalina Georgieva, la directrice générale du FMI.
  • L’« économiste du climat » Nicholas Stern, membre de la commission économique installée par Emmanuel Macron à l’Élysée, membre du Conseil économique sur la santé de la planète de la Fondation Rockefeller. La famille Rockefeller a en effet joué un rôle primordial dans la réduction de l’écologie à la « décarbonation » et à la voiture électrique et ce, depuis le premier Sommet de la Terre et la publication du Rapport Meadows : les limites à la croissance (1972), jusqu’à l’accord de Paris sur le climat (2015) en passant par la création du GIEC (1988). C’est encore la Fondation Rockefeller, qui, dès 2010, a établi le « scénario narratif » de l’« étape verrouillage ».
  •  Ajaypal Singh Banga, PDG de Mastercard, membre du Council on Foreign Relations et de l’International Business Council du Forum économique mondial.
  • Bernard Looney, directeur général de BP.
  • Brad Smith qui représente Bill Gates, dont il est le successeur à la tête de Microsoft. Rappelons que le Forum économique mondial et la fondation Bill & Melinda Gates avaient coorganisé, en octobre 2019, Event 201, une étrange simulation autoréalisatrice de pandémie mondiale au coronavirus avant de lancer, dès le 23 janvier 2020, à l’occasion du forum de Davos, le programme mondial de vaccination (ARN messager). Coordonné par la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI), ce programme est présidé par Richard Hatchett, qui se trouve être celui qui, au début des années 2000, a théorisé pour la première fois le confinement (lockdown) et la distanciation sociale (social distancing), alors qu’il officiait au sein de l’administration Bush Junior.
  • Le démocrate « nobélisé » Al Gore et l’ancien secrétaire d’État John Kerry, qui copréside le groupe de travail sur le changement climatique de Joe Biden, ont également soutenu publiquement cet agenda, appuyé par l’OCDE via un rapport intitulé Reconstruire en mieux : une reprise durable et résiliente après le COVID-19.
  • Représentée par son ministre des Finances Mohammed Al-Jadaan, l’Arabie saoudite, qui assure cette année la présidence du G20, participe également au Great Reset, via le projet Saoudi Vision 2030.
  • La Chine est représentée par Ma Jun, président du Comité de la finance verte et membre du Comité de la politique monétaire de la Banque populaire de Chine.

Intitulé COVID-19 : The Great Reset, ce plan de « réinitialisation du monde » a été publié au début de l’été 2020 par le Forum économique mondial chez Forum Publishing.

Il est cosigné par Klaus Schwab, par ailleurs membre du conseil international du Centre Peres pour la paix (sionisme) et ancien membre du comité de pilotage du Groupe Bilderberg (mondialisme), et par son bras droit, le consultant Thierry Malleret. Également connu sous le pseudonyme de Milton Peel, marié à l’ancienne assistante du prince Charles, Thierry Malleret est un consultant financier (The Monthly Barometer, IJ Partners, Rainbow Insight), spécialiste de la Russie qui a officié successivement au cabinet militaire de Jacques Chirac à Matignon, à la BERD auprès de Jacques Attali, puis comme principal conseiller de l’oligarque russo-israélien Mikhaïl Fridman en qualité de chef économiste d’Alfa Bank.

Sur le plan de la communication, le Great Reset repose avant tout sur la peur, puis sur les injonctions sanitaires et climatiques qui permettent d’obtenir un assujettissement de la population par le chantage compassionnel à « sauver des vies » et à « sauver le climat ». La lecture du Great Reset et l’analyse des forces en présence permettent d’établir un parallèle avec 1917. Avec une destruction contrôlée de l’économie réelle et de la classe moyenne occidentale, se dessine en effet un « bolchevisme 2.0 », où le vert a remplacé le rouge, le « social » s’est muté en « durable » et où le rôle de la Tchéka est occupé par la combinaison de l’intelligence artificielle (IA) et de la 5G. Au sommet du monde cauchemardesque du Great Reset, BlackRock, le plus gros gestionnaire d’actifs au monde détenant des intérêts majeurs dans les mégabanques, les gros médias, le Big Pharma et les géants du Web. Dictant leurs politiques aux banques centrales et aux États, ce pouvoir « fantôme » entend régner, grâce à son contrôle de l’intelligence artificielle (IA), sur une humanité drastiquement réduite en nombre, largement métissée et composée d’esclaves de la dette assignés à résidence.

D’une manière générale, le niveau d’adhésion des gouvernements au projet est strictement indexé sur leur acceptation du récit de la « pandémie de Covid-19 » imposée par les gros médias. Appliqué à la virgule près par la Commission européenne (via le Green Deal) et dans les pays du Commonwealth, le Great Reset constitue ce qu’Emmanuel Macron a pudiquement appelé « le jour d’après ». Il forme, outre-Atlantique, la colonne vertébrale du programme de Joe Biden. Une fois que l’on a pris connaissance de ce plan et qu’on l’a compris, l’action gouvernementale et les mesures Covid-19 que l’on croyait absurdes deviennent tout à fait cohérentes. Une cohérence impossible à assumer politiquement auprès du grand public.

Voici, sans commentaires, quelques citations tirées de COVID-19 : The Great Reset :

« La gouvernance mondiale est au cœur de toutes les autres questions. »

« L’hypothèse fondamentale est que la pandémie pourrait continuer à nous affecter jusqu’en 2022. […] Un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible. »

« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais. […] Il y aura une ère « avant le coronavirus » (av. C) et « après le coronavirus » (apr. C). »

« Lorsqu’ils y sont confrontés, certains dirigeants de l’industrie et certains cadres supérieurs peuvent être tentés d’assimiler la réinitialisation à un redémarrage. […] . Cela n’arrivera pas parce que cela ne peut pas arriver ».

« Les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. »

« Il est loin d’être certain que la crise du COVID-19 fasse pencher la balance en faveur du travail contre le capital. Politiquement et socialement, cela serait possible, mais la technologie change la donne. »

« Jusqu’à 86 % des emplois dans la restauration, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le divertissement pourraient être automatisés d’ici à 2035. »

« Jusqu’à 75 % des restaurants indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale ultérieures. »

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. »

« La « tyrannie de la croissance du PIB » prendra fin. »

« La fiscalité augmentera. Comme par le passé, la logique sociale et la justification politique qui sous-tendent les augmentations seront basées sur le récit des « pays en guerre » (mais cette fois contre un ennemi invisible). »

« Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

« Les entreprises n’adhéreront pas nécessairement à ces mesures parce qu’elles les considèrent comme « bonnes », mais plutôt parce que le « prix » à payer pour ne pas s’y soumettre sera trop élevé en termes de colère des militants. »

« L’activisme des jeunes s’accroît dans le monde, étant révolutionné par les réseaux sociaux qui accentuent la mobilisation à un niveau qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’élan critique pour le Great Reset. »

« Avec le confinement, notre attachement à nos proches s’est renforcé, avec un sentiment renouvelé d’appréciation pour tous ceux que nous aimons : la famille et les amis. Mais le côté sombre à cela est le déclenchement d’une montée des sentiments patriotiques et nationalistes, avec des considérations religieuses et ethniques troublantes. En fin de compte, ce mélange toxique a fait ressortir le pire de nous-mêmes en tant que groupe social. »

« Vu en ces termes, le coronavirus a renforcé et non réinitialisé les problèmes liés à la santé mentale. […] Dans l’ère post-pandémique, ces questions peuvent désormais recevoir la priorité qu’elles méritent. Cela constituera une réinitialisation vitale. »

« La combinaison de l’intelligence artificielle (IA), de l’Internet des objets (IoT) et des capteurs et de la technologie portable produira de nouvelles perspectives sur le bien-être personnel. Ils surveilleront ce que nous sommes et ce que nous ressentons, et brouilleront progressivement les frontières entre les systèmes de santé publics et les systèmes de création de santé personnalisés – une distinction qui finira par s’effondrer. »

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient qu’il n’y a plus de blocage. »

« Au fur et à mesure que la distanciation sociale et physique persistera, s’appuyer davantage sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander des conseils ou commander quelque chose gagnera peu à peu du terrain sur des habitudes autrefois enracinées […]. Si les considérations de santé deviennent primordiales, nous pouvons décider, par exemple, qu’un cours de cyclisme devant un écran à la maison ne correspond pas à la convivialité et au plaisir de le faire avec un groupe dans un cours en direct, mais est en fait plus sûr (et moins cher !). Le même raisonnement s’applique à de nombreux domaines différents comme prendre l’avion pour une réunion (Zoom est plus sûr, moins cher, plus vert et beaucoup plus pratique), se rendre à une réunion de famille éloignée pour le week-end (le groupe familial WhatsApp n’est pas aussi amusant mais, encore une fois, plus sûr, moins cher et plus écologique) ou même suivre un cours académique (pas aussi enrichissant, mais moins cher et plus pratique) ».

« L’endiguement de la pandémie de coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondial. »

« La recherche des contacts a une capacité inégalée et une place quasi essentielle dans l’arsenal de lutte contre le COVID-19, tout en étant en même temps positionnée pour devenir un catalyseur de la surveillance de masse. »

« Au cours des mois et des années à venir, le compromis entre les avantages pour la santé publique et la perte de la vie privée sera soigneusement pesé, devenant le sujet de nombreuses conversations et de débats animés. La plupart des gens, craignant le danger du COVID-19, se demanderont : n’est-il pas insensé de ne pas tirer parti de la puissance de la technologie pour venir à notre secours lorsque nous sommes victimes d’une épidémie et que nous sommes confrontés à une sorte de situation de vie ou de mort ? Ils seront alors disposés à renoncer à une grande partie de leur vie privée et conviendront que dans de telles circonstances, le pouvoir public peut légitimement passer outre les droits individuels. »

« À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense. […] Ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que d’une manière coordonnée au niveau mondial. »

« Plus la croissance démographique est élevée, plus nous perturbons l’environnement, plus le risque de nouvelles pandémies est élevé. »

« La fragilité des États reste l’un des défis mondiaux les plus critiques, particulièrement répandu en Afrique. […] La rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement causée par la pandémie provoquera une dévastation immédiate. »

« L’un des effets les plus évidents pour les parties les plus riches du monde de la misère économique, du mécontentement et de la faim dans les États les plus fragiles et les plus pauvres consistera en une nouvelle vague de migration de masse dans sa direction, comme celles qui ont eu lieu en Europe en 2016. »

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Great reset : c’est pour bientôt !

[Source : Nice Provence Info]

Le Forum Économique Mondial (en anglais World Economic Forum), souvent appelé Forum de Davos, est une fondation à but non lucratif dont le siège est à Genève. Ce forum est connu pour sa réunion annuelle à Davos, en Suisse, qui réunit des dirigeants d’entreprise, des responsables politiques du monde entier ainsi que des intellectuels et des journalistes, afin de débattre des problèmes les plus urgents de la planète, y compris dans les domaines de la santé et de l’environnement (selon Wikipédia).

Juste après le premier déconfinement, le 3 juin 2020, le Forum Économique Mondial faisait paraître publiquement le communiqué suivant :

• La « Grande Réinitialisation » (« Great Reset ») sera le thème d’un sommet unique qui aura lieu en janvier 2021, et qui sera convoqué par le Forum Économique Mondial.
• La « Grande Réinitialisation » est un engagement à construire conjointement et de manière urgente les bases de notre système économique et social pour un avenir plus juste, plus durable et plus résistant.
• Elle exige un nouveau contrat social centré sur la dignité humaine et la justice sociale, et dans lequel le développement économique n’empiète pas sur le progrès de la société.
 • La crise sanitaire mondiale a mis à nu des ruptures de longue date dans nos économies et nos sociétés, et a créé une crise sociale qui nécessite de toute urgence la création d’emplois décents et significatifs.
• Le sommet se tiendra à la fois en présentiel et virtuellement, et mettra en relation les principaux dirigeants gouvernementaux et les chefs d’entreprises à Davos avec un réseau mondial de participants présent dans 400 villes du monde entier pour un dialogue tourné vers l’avenir et animé par la jeune génération.
• L’annonce de la « Grande Réinitialisation » a été faite par SAR le Prince de Galles et Klaus Schwab lors d’une réunion virtuelle le 3 juin 2020 à 14h30, heure d’été d’Europe centrale.

Klaus Schwab

Que sera donc cette « Grande Réinitialisation » que les grands argentiers d’en haut nous promettent ? Voici quelques précisions explicitement formulées par le fondateur de ce raout très prisé, Klaus Schwag, 82 ans, qui se hâte de changer le monde avant de le quitter :

Genève, Suisse, 3 juin 2020 – La « Grande Réinitialisation » sera le thème d’un sommet unique qui sera convoqué par le Forum économique mondial en janvier 2021. La 51e réunion annuelle du Forum Économique Mondial réunira des dirigeants de gouvernements, d’entreprises et de la société civile, ainsi que différents acteurs du monde entier dans une configuration sans précédent qui comprendra des dialogues en personne et virtuels.

« Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale ayant des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité. Nous devons décarboniser l’économie dans la courte fenêtre d’action qui nous reste et mettre à nouveau notre pensée et notre comportement en harmonie avec la nature »,

a déclaré Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum Économique Mondial.

« Afin d’assurer notre avenir et de prospérer, nous devons faire évoluer notre modèle économique et placer les humains et la planète au cœur d’une création de valeur mondiale. S’il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c’est que nous devons placer la nature au cœur de notre mode de fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps »,

a déclaré S.A.R. le Prince de Galles.

« La Grande Réinitialisation est la confirmation que nous devons considérer cette tragédie humaine comme un signal d’alarme. Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, qui soient plus résistantes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres défis auxquels nous sommes confrontés au niveau global »,

a déclaré António Guterres, secrétaire général des Nations unies à New York.

« Une Grande Réinitialisation est nécessaire pour construire un nouveau contrat social qui honore la dignité de chaque être humain », a ajouté M. Schwab. « La crise sanitaire mondiale a mis à nu la non-durabilité de notre ancien système en termes de cohésion sociale, d’absence d’égalité des chances et d’inclusion. De plus, nous ne pouvons pas non plus tourner le dos aux maux causés par le racisme et la discrimination. Nous devons intégrer dans ce nouveau contrat social notre responsabilité intergénérationnelle pour nous assurer que nous sommes à la hauteur des attentes des jeunes ». Et il poursuit : « La COVID-19 a accéléré notre transition vers l’ère de la quatrième révolution industrielle. Nous devons nous assurer que les nouvelles technologies dans le monde numérique, biologique et physique restent centrées sur l’homme et servent la société dans son ensemble, en offrant à chacun un accès équitable. Cette pandémie mondiale a également démontré une fois de plus à quel point nous sommes interconnectés. Il est de notre devoir de rétablir un système fonctionnel de coopération mondiale intelligente, structuré pour relever les défis des 50 prochaines années. La Grande Réinitialisation exigera que nous intégrions tous les acteurs de la société mondiale dans une communauté d’intérêt, d’objectif et d’action communs »
Tout en précisant : « Nous devons changer de mentalité, passer d’une réflexion à court terme à une réflexion à long terme, passer du capitalisme actionnarial à la responsabilité des parties prenantes. La gouvernance environnementale et sociale et la bonne gouvernance doivent être des éléments mesurés de la responsabilité des entreprises et des gouvernements. »

Ce sommet innovant sera une réunion annuelle très différente, reflétant l’esprit de la « Grande Réinitialisation ». Il offrira une occasion unique, au début de l’année 2021, de réunir à Davos les principaux dirigeants gouvernementaux et commerciaux du monde entier, tout en s’inscrivant dans le cadre d’un sommet mondial animé par la jeune génération, afin de garantir que le dialogue sur la « Grande Réinitialisation » dépasse les limites de la pensée traditionnelle et soit véritablement tourné vers l’avenir.

Pour ce faire, le Forum Économique Mondial s’appuiera sur des milliers de jeunes dans plus de 400 villes du monde entier, la communauté des « Global Shapers » (comprenez les idiots utiles du Système), qui seront reliés à un puissant réseau virtuel pour interagir avec les dirigeants de Davos. Chacun de ces hubs appliquera une politique de portes ouvertes pour intégrer tous les citoyens intéressés dans ce dialogue, ce qui rendra la Réunion Annuelle ouverte à tous. En outre, les médias mondiaux et les réseaux de médias sociaux mobiliseront des millions de personnes en leur permettant de partager leurs contributions tout en leur donnant accès aux discussions de la Réunion Annuelle de Davos.

C’est donc un travail de grande ampleur qui s’apprête à être effectué à Davos en janvier prochain, dans la perspective permanente d’une gouvernance mondiale comme on peut le lire entre les lignes.

Maintenant vous savez pourquoi vous êtes muselés et confinés.

Patrice LEMAÎTRE


[Voir aussi :

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576



Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard. MàJ 26/11/2020

[Source : noach.es]

Pierre Hillard, qui dénonce depuis 20 ans les arcanes technocratiques abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial, est de retour. Sa dernière vidéo « Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset » dans laquelle il rappelle les enjeux messianiques, vient de franchir les 700 000 vues. Le pays retrouverait-il la mémoire ?

1. Bonjour Pierre, peux-tu brosser un tour d’horizon de la situation actuelle STP ?

Depuis l’apparition de la Covid-19 avec ses conséquences sanitaires, sociétales et économiques, nous pouvons affirmer que le processus de concrétisation de la gouvernance mondiale est lancé. La politique de confinement imposée aux Français du 17 mars au 11 mai 2020 a ébranlé les structures économiques du pays. Nous retrouvons des phénomènes similaires dans tous les pays du monde, en particulier l’Europe et l’Amérique du Nord. Comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire en conférence ou de l’écrire dans mes livres, la finalité du mondialisme est d’aboutir à un système politique, économique et spirituel déjà exposé dans Utopia de Thomas MoreLa Nouvelle Atlantide de Francis Bacon1984 de George Orwell ou encore dans la série télévisée anglaise en 17 épisodes du Prisonnier de Patrick Mcgoohan. Régime totalitaire, collectiviste et imprégné d’un idéal spirituel issu du monde talmudo-kabbilistique, le système régentant l’humanité et présenté dans ces ouvrages et/ou films semble irréel, impensable en raison de son caractère implacable et inhumain. Et pourtant, nous y sommes ou, plus exactement, nous nous engageons dans cette voie préparée en haut lieu. On peut relever les préparatifs de cette surveillance orwellienne dans la vie de tous les jours. Ainsi, lors du déconfinement progressif de mai à juin 2020, le gouvernement français avait instauré une mesure permettant aux Français de se déplacer dans un rayon de moins de 100 km à partir de leur domicile sans l’obligation de présenter leurs papiers. Or, ironie de l’histoire, nous trouvons cette caractéristique dans le 1984 d’Orwell :

« Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètre, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers (…) » 

1984 – George Orwell (page 158, édition de poche, Folio, 2006).

Parallèlement à cette bascule, nous constatons des tensions multiples s’amplifiant en raison de cette affaire de Covid-19. En effet, l’arrêt de l’activité économique a bouleversé les États en profondeur, ces derniers étant déjà minés par l’endettement public et privé et un chômage déguisé. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Licenciements massifs et pauvreté en hausse sonnent l’hallali des pays développés. Nous entrons dans une nouvelle ère : l’économie verte (sous-entendu la fin de la consommation de masse) et la numérisation dans tous les domaines permettant le contrôle absolu des citoyens. Pour la réédition de Chroniques du Mondialisme L-5 aux Éditions Culture et Racines, j’ai fait une longue conclusion. Celle-ci est une sorte de bilan d’un monde né en 1945 en train de disparaître. Il y est évoqué et expliqué le rôle de nombreux acteurs comme l’Agenda 2030 et l’action du Forum Économique Mondial de Davos sous la direction de Klaus Schwab pour instaurer un nouveau monde liberticide dans le cadre de la grande réinitialisation. Son promoteur n’hésite pas à affirmer dans son dernier livre intitulé Covid-19 : the Great Reset (Covid-19 : la grande réinitialisation) que les objectifs ainsi que celui des élites mondialistes sont le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). Ce Forum de Davos, initialement prévu en janvier 2021, se réunit l’été prochain afin de lancer officiellement une politique qui est celle conduisant à notre asservissement. 

L’alignement des « trois 6 » est chose récurrente sur les logos des instances ou compagnies mondialistes.
Klauss Schwab
M « Great Reset » en tenue para-maçonnique sans masque de Darth Vader
à la Kaunas University of Technology

La devise gnostique « Scientia Ingenium Virtus » sur le blason, mot à mot « Science Intelligence Puissance » avec cerf blanc et non un agneau (cornes obligent) est à prendre comme « Pouvoir de la Connaissance ».

[NdNM : (Source : Guy Boulianne. Extraits.)

Bien que la robe que porte Klaus Schwab puisse paraître étrange au premier abord, elle ne cache aucun grand mystère. Il s’agit simplement de la tenue officielle alors qu’il recevait les insignes de docteur honoris causa de l’Université de technologie de Kaunas (KTU), en Lituanie, le 13 octobre 2017. [5] C’est la même chose concernant le blason de l’établissement d’enseignement supérieur et de recherche. La robe cérémonielle et ce blason se composent de plusieurs éléments qui peuvent être assimilés à l’occultisme mais, dans le cas qui nous occupe présentement, cela ne pourrait pas être attribué à Klaus Schwab.

Tous les insignes et attributs académiques de l’Université sont marqués par les armoiries de la KTU. Composé selon les exigences héraldiques strictes, le blason est divisé en trois champs spéciaux : Il est fabriqué à partir de couleurs héraldiques (dites teintures), de leurs combinaisons et de symboles distincts. La partie supérieure gauche des armoiries du KTU est le blason de la ville de Kaunas, qui symbolise l’emplacement de l’université. [6] La partie supérieure droite représente le symbole de la matière, qui incarne la lumière de la science. Un livre ouvert dans la partie inférieure des armoiries porte la devise de l’Université en latin Scientia, ingenium, virtus! (« Science, créativité, vertu! »). [7]

Références
  1. KTU News : Honorary Doctor of KTU Klaus Schwab: Industry 4.0 Must be Followed by Education 4.0. Kaunas University of Technology, October 16, 2017.
  2. Le blason de la ville de Kaunas : Le 30 juin 1993, les armoiries historiques de la ville de Kaunas ont été rétablies par un décret présidentiel spécial. Le blason présente un auroch blanc avec une croix dorée entre ses cornes, sur un fond rouge foncé. Les aurochs étaient le symbole héraldique original de la ville, établi en 1400. Le sceau héraldique de Kaunas, introduit au début du XVe siècle sous le règne du grand-duc Vytautas, est le plus ancien sceau héraldique de la ville connu sur le territoire du Grand-Duché de Lituanie. L’emblème actuel est le résultat de nombreuses études et discussions de la part de la Commission de l’héraldique lituanienne, et réalisé par l’artiste Raimondas Miknevičius. Un aurochs a remplacé un bison d’Europe, qui était représenté dans l’emblème de l’ère soviétique utilisé depuis 1969.
    • À propos du blason : « De gueules, à un aurochs passant gardien d’argent ensigné d’une croix d’or entre ses cornes ».
    • Kaunas a également un plus grand blason, qui est principalement utilisé à des fins de représentation de la ville de Kaunas. Le navire, les trois boules d’or et le texte latin « Diligite justitiam qui judicatis terram » (Chérissez la justice, vous qui jugez la terre) dans le plus grand blason font référence à Saint Nicolas, saint patron des marchands et des marins, qui était considéré en tant que gardien céleste de Kaunas par la reine Bona Sforza.
  3. Brand resources : « Logo and style guide embody KTU identity and ensure that a particular publication is associated with the University ». Kaunas University of Technology.

2. Cela fait un peu plus de 20 ans que tu dénonces les boisseaux technocratiques (UE, Alena, TAFTA…) abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial messianique dont on voit aujourd’hui l’aube pointée derrière le Grand Reset. Ordo ab Chao ?

En effet, l’architecture qui se présente a été annoncée il y a bien longtemps. On peut l’illustrer avec le cas de Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) dont l’objectif est de gérer les villes et communes à l’échelle planétaire dans le cadre de sept sections régionales :
1) Afrique ;
2) Asie-Pacifique ;
3) Eurasie ;
4) Europe ;
5) Moyen-Orient et Asie d’Ouest ;
6) Amérique latine et
7) Amérique du Nord.
Le principe d’une collaboration entre différentes cités n’est pas mauvais en soi en particulier pour trouver des moyens pour lutter contre la pollution ou encore apprendre à mieux gérer l’eau potable par exemple. Mais, comme on peut le constater, l’organisation planétaire se construit à partir de 7 sections régionales au sein desquelles les communautés urbaines s’émancipent peu à peu de l’autorité nationale. Tout cela se construit dans le cadre d’une gouvernance mondiale. Créées en 2004, CGLU est le résultat d’une combinaison d’instituts chargés de s’occuper de la gestion des villes. Il faut rappeler que le plus ancien de ces instituts s’appelle l’Union Internationale des Villes créée en … 1913 1. Avec cet exemple, on se rend compte que cet idéal de gouvernance mondiale et sa mise en pratique est une idée ancienne d’un point de vue matériel. On trouve aussi l’ensemble du programme « merveilleusement » exposé dans les écrits du révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dont les écrits, plus exactement les originaux de 1792 et 1793, ont été réunis en un seul livre (sans caviardage comme c’est le cas des versions officielles) La République du Genre Humain P-8 aux Éditions Omnia Veritas avec une préface de votre serviteur. Tout y est annoncé : la gouvernance mondiale appelée « République universelle », la technostructure planétaire divisée politiquement en « mille cases départementales », la disparition du catholicisme au profit de la « République Universelle » etc. Cependant, dans la mystique mondialiste, le passage à une étape supérieure repose toujours sur une transition violente. C’est le fameux principe Ordo ab Chao ou encore le Solve et Coagula avec un principe messianique et mystique en arrière-fond lié à l’esprit de la Kabbale. Quand Christine Lagarde, présidente du FMI en 2014, fait l’apologie du chiffre « 7 » dans une vidéo que tout le monde peut consulter 2, cela devrait interpeller plus d’une personne sur cet étrange discours.

En 1988, la monnaie mondiale était prévue pour 2018.
Octobre 2020 le Great Reset est annoncé pour 2021.

La grande réinitialisation ou Great Reset chère à Klaus Schwab, président du Forum Économique de Davos, n’est que l’allume-gaz pour parvenir à un stade supérieur. Nous sommes désormais devant l’immense bascule en cours de réalisation. L’exemple des tensions durant les élections américaines est révélateur d’une situation voulue pour tenter de déstabiliser ce pays dans l’espoir, pour certains, d’aboutir à une guerre civile qui aurait des répercussions planétaires dans tous les domaines. Signalons l’existence du Transition Integrity Project (TIP) mis en forme en juin 2020 dont le but est de prévenir une contestation des résultats électoraux par le président Trump 3. Ce phénomène révèle qu’il n’existe pas « un » État profond mais « des » États profonds rivaux entre eux. Il faut bien comprendre que deux formes de mondialisme s’affrontent : celui de la City de Londres voulant imposer un modèle unique planétaire où les États sont fracassés au profit d’une gouvernance mondiale tandis qu’une frange du monde anglo-saxon américain, de tendance patriote (d’où la fameuse formule : Make America great again), tient à défendre les intérêts politico-économiques mais aussi l’intégrité territoriale du pays. Pour cette frange anglo-saxonne représentée par Trump, les intérêts américains préservés doivent constituer un pilier et pouvoir s’agencer dans le cadre d’une gouvernance et/ou directoire mondial sans pour autant s’évaporer sur l’autel d’une unité planétaire et du libre-échange à tout crin. Concernant la galaxie mondialiste, il faut ajouter l’imprégnation d’un idéal messianique virulent chez certains dirigeants, absent chez d’autres tandis qu’une faction en accepte le principe mais … pas tout de suite (« neutralisation du messianisme » pour reprendre une expression de Gershom Scholem). L’enfer est divers et, surtout, divisé contre lui-même. Mais d’abord et avant tout, le point essentiel à retenir de l’esprit du mondialisme, c’est la volonté d’éradiquer le caractère messianique du Christ, c’est-à-dire l’Incarnation au profit d’un autre messianisme ; celui de la synagogue aveugle en attente de son « Messie » devant rendre sa gloire à Israël au dépens des nations.

​3. Tu présentes souvent les oeuvres de Science-Fiction comme les parties du programme d’« Après ». Outre l’orgueil, comment expliques-tu que l’élite balance ce genre d’infos ?

Des livres comme Utopia ou des films comme Elysium sont des instantanés du monde « idéal » voulus par les thuriféraires du mondialisme. Ce sont des puzzles de vérité qui permettent aussi d’imprégner les esprits d’une manière de penser et de réagir. Fort de cette imprégnation, il y a possibilité pour la partie adverse de connaître le trait psychologique de millions de personnes au mental structuré par ces livres et surtout par ces films puisque maintenant peu de personnes lisent. C’est une manière pour les adeptes du contrôle mental d’avoir un coup d’avance.

Pierre Hillard nous parle entre autres d’Elysium, de Mars Attacks et du Prisonnier (détails).
4. Ton dernier livre Sionisme et Mondialisme L-8 sous-titré « Le sionisme de ses origines au IIIè Reich, 1898-1941 » explique comment l’idéologie nazie a servi la cause sioniste. Comment, avant de l’écrire, as-tu pu imaginer cette improbable entente ?

Concernant la civilisation occidentale et ses caractéristiques, le point clef qu’il faut retenir est celui de l’Incarnation. Le Christ reconnu comme le Fils de Dieu incarné parachève les annonces messianiques de la Bible hébraïque devenue l’Ancien Testament pour les chrétiens. De nombreux Juifs n’ont pas reconnu ce fait et attendent toujours leur « Messie » au service de la seule gloire d’Israël et au dépens des nations. Un nouveau judaïsme, le Talmud, a été élaboré entre 100 et 500 ap. J-C. violemment anti-catholique, il sert de matrice à un idéal messianique juif en attente de son « Messie » en liaison avec la Kabbale, celle-ci étant l’interprétation ésotérique propre à ce milieu. Il s’agit pour les thuriféraires de ce monde révolté de maintenir une unité de pensée via une unité de sang. On est juif par la mère. À l’origine, cette affirmation raciale fut solennellement affichée dans les prescriptions données par Dieu dans le cadre de l’Ancien Testament. En effet, on peut lire dans le Deutéronome VII, 1-5 :

« (…) Tu ne contracteras point de mariage avec elles (ndla : femmes non-israélites), tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils ; car elles détourneraient de marcher après moi tes fils qui serviraient d’autres dieux (…). »

Ces injonctions matrimoniales, choquantes pour des lecteurs du XXIè siècle, doivent se comprendre dans le contexte de l’époque à finalité spirituelle. Selon ces textes religieux, le Messie devait naître du peuple hébreu, plus précisément, au sein de la tribu de Juda, celle-ci devant donner naissance au Messie issu de la famille royale de David. Cet idéal ne pouvait se faire que dans le cadre du mosaïsme débarrassé de toutes influences païennes sous-entendu d’essence satanique. Dans le cas contraire, une altération d’essence démoniaque aurait flétri ce mosaïsme interdisant la concrétisation physique du Messie à la fois Homme et Dieu … sous-entendu l’Incarnation. Ce principe, capital à saisir, fut à nouveau et solennellement proclamé lors du retour de la captivité des Juifs de Babylone (Vè siècle av. J-C). Le représentant religieux Esdras, au nom de ces exigences mosaïques (1er Livre d’Esdras, IX, 3-12 et X, 1-11), exigea le renvoi des femmes étrangères, mariées à des Israélites, et de leurs enfants … chose qui se fit.  Comme nous l’avons écrit dans Archives du Mondialisme L-7 (p. 71):

« (…) Ces mesures propres à l’Ancien Testament avaient pour but de maintenir les Hébreux loin de la contamination païenne d’essence démoniaque afin de permettre l’arrivée du Messie au sein d’un peuple spirituellement débarrassé de toute forme de corruption (le nazisme était aux antipodes de cet idéal). »

La non-reconnaissance de la divinité du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à conserver ces référents raciaux devenus obsolètes pour les chrétiens. La Révélation, s’adressant à tous les peuples de la terre, n’avait plus besoin de cette protection raciale et ciblée à finalité spirituelle. Ce n’est pas le cas des Juifs rebelles au messianisme christique qui, conservant depuis 2000 ans ce concept et en attente de leur Messie afin d’assurer la seule gloire d’Israël sur les nations, ont imprégné certains peuples d’un tour d’esprit naturaliste pour les détourner du christianisme au profit d’un horizon purement terrestre et racialiste. Il y avait entre nazis et sionistes un fond commun de réflexions reposant sur l’idée de pureté de sang et de supériorité raciale. Le rejet des mariages mixtes caractérisait aussi ces deux mondes. D’une certaine manière, un terrain d’entente était temporairement possible entre ces théoriciens et, en même temps, frères ennemis. Il faut rappeler que le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, du 17 septembre 1935 a approuvé les lois de Nuremberg en particulier en condamnant les mariages mixtes. J’ai publié l’article de ce journal avec sa traduction complète en français.

L’Etoile de David au recto avec l’inscription « Un nazi se rend en Palestine », la Croix Gammée au verso ajoutant « et le raconte dans l’Angriff » (journal du ministre de la propagande Joseph Goebbels).
5. Ne peut-on pas expliquer l’Accord de la Haavara par le fait que les autorités nazies y voyaient là un moyen d’exiler les Juifs d’Allemagne avec leur consentement ?

En effet, l’Accord de la Haavara (« Transfert » en hébreu) d’août 1933 ou décret 54/33 est le fruit d’une convergence racialiste entre ces deux mondes reposant sur le principe du miroir inversé. Ce document émanant des autorités nazies fut intégralement publié dans le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, le 5 septembre 1933. Les sionistes estimaient que les Juifs allemands étaient étrangers au monde germanique et qu’ils devaient s’installer sur l’antique terre d’Israël. En contre-partie, les nazis considéraient l’élément juif comme un corps étranger à la nation allemande. Chacun était prêt à faire un pas vers l’autre afin de parachever son idéal de pureté raciale à partir d’un territoire bien établi. C’est donc à partir de cet accord qu’une collaboration entre ces deux milieux a perduré jusqu’en avril 1941. C’est à cette date que l’Agence Juive de Berlin, plaque tournante du flux migratoire juif vers la Palestine, a été définitivement fermée. Cependant, comme j’ai pu le montrer dans mon livre, les discussions lançant cette entreprise n’ont pas été entamées par les nazis mais par la République de Weimar au cours de l’année 1932. 

Soleil Noir au château de Wewelsburg
Le Sabbat des Sorcières (1798) de Goya

Sabbat et Soleil Noir renvoient à Pan et à Saturne ; les cornes et anneaux caractisant ce « Lord of the Ring ».

6. Si le Christ est le premier adversaire à la fois des empires sioniste et nazi (et de tout autre…) cela n’invalide t’il pas la thèse d’un Hitler animé par une foi chrétienne ?

Avant même de citer Hitler, il faut rappeler le point suivant. Les carnets complets de Theodor Herzl, fondateur du sionisme, sont très clairs à ce sujet. Il n’y a qu’un seul ennemi pour ce milieu : le catholicisme. Il n’y pas une seule remarque négative contre l’islam, le bouddhisme et même le protestantisme. Au cours d’une discussion avec l’ambassadeur ottoman à Vienne, Mahmud Nedim, ce dernier rappela à Herzl que les Juifs et les musulmans étaient en accord sur un point essentiel en matière religieuse : « Nous ne reconnaissons pas le Christ comme le Fils de Dieu. » Pour le judaïsme talmudo-kabbalistique rebelle à l’Incarnation, la préservation du sang juif se doit d’être maintenu dans le cadre d’une lignée messianique attendue et espérée depuis 2000 ans. Le nazisme, ce « Reich de 1000 ans », était lui aussi adepte d’une vue totalement anti-chrétienne. Ce fait fut dénoncé avec l’encyclique Mit brennender Sorge en 1937. Rédigée exceptionnellement en allemand et non en latin sous l’égide du futur Pie XII, le cardinal Pacelli, cette encyclique soulignait le caractère violemment anti-catholique de cette idéologie. Précisons que la vie d’Adolf Hitler était aux antipodes du catholicisme. Il n’allais pas à la messe et ne communiait pas. Vivant en concubinage avec Eva Braun pour finalement se suicider, son mode de vie était à l’opposé des préceptes de l’Église. Comme chef d’État chrétien, nous préférons l’Équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875). Afin de mieux saisir le caractère anti-chrétien du nazisme, nous présentons les passages clefs de cette encyclique condamnant le national-socialisme sans le citer … pour des raisons propres à la diplomatie vaticane dans le contexte tendu de cette époque. Nous avons mis en gras [surligné] des passages que nous jugeons importants :

« C’est avec une vive inquiétude et un étonnement croissant que, depuis longtemps, Nous suivons des yeux les douloureuses épreuves de l’Église et les vexations de plus en plus graves dont souffrent ceux et celles qui lui restent fidèles (…). Cette inquiétude n’a pas été diminuée par ce que les représentants du vénérable Épiscopat (…) Nous ont fait connaître. (…) Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat [conclu le 20 juillet 1933], que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, (…) Nous étions guidé par le souci que Notre devoir Nous impose d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église (…). Si l’arbre de la paix, planté par Nous en toute pureté d’intention dans la terre allemande, n’a pas produit les fruits (…) que Nous désirions ardemment, personne au monde,(…) ne pourra dire aujourd’hui que la faute en est à l’Église ou à son ChefLes expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière ; elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination (…), l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église. Eux, et eux seuls, avec leurs silencieux ou leurs bruyants complices, sont aujourd’hui responsables si, au lieu de l’arc-en-ciel de la paix, c’est l’orage des funestes luttes religieuses qui se montre à l’horizon de l’Allemagne. [concernant la politique du IIIè Reich à l’égard du Concordat de 1933] (…) une interprétation qui faussait le contrat ou le détournait de son but, ou le vidait de son contenu et aboutissait finalement à sa violation plus ou moins officielle, devint la loi inavouée (…). Aujourd’hui encore, où la lutte ouverte contre l’école confessionnelle, protégée par le Concordat, où la suppression du libre suffrage à ceux des catholiques qui ont le droit de veiller à l’éducation de la jeunesse, manifestent sur un terrain essentiel de la vie de l’Église la gravité impressionnante de la situation et l’angoisse sans exemple des consciences chrétiennes (…). Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu n’est pas de ceux qui croient en Dieu (…). Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ‒ toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable ‒ quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu (…). Prenez garde, (…), à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens (…).

Swastika et Etoile de David s’entrelaçaient déjà dans la synagogue de Capharnaüm.

Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu (…) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race. (…) Nous remercions vos prêtres et tous vos fidèles, qui, dans la défense des droits de la Divine Majesté contre un nouveau paganisme agressif et favorisé, hélas, de bien des matières par des hommes influents, ont rempli et continuent à remplir leur devoir de chrétien(…)Personne ne peut donc dire : je crois en Dieu, cela me suffit en fait de religion (…). [Ne pas mépriser et ne pas rejeter l’Ancien Testament et les Hébreux, peuple élu à l’origine, même s’il est devenu déicide, selon la Tradition de l’Église, par la suite] Dieu a parlé à nos pères par les prophètes. (…)Les Livres sacrés de l’Ancien Testament sont entièrement Parole de Dieu et forment une partie substantielle de Sa Révélation. (…) Ils nous décrivent aussi le peuple choisi (ndla : le peuple hébreu), porteur de la Révélation et de la Promesse, s’égarant sans cesse loin de son Dieu pour se tourner vers le monde. (…) C’est précisément sur ce fond souvent obscur que ressort dans de plus frappantes perspectives la pédagogie de salut de l’Éternel, tour à tour avertissant, admonestant, frappant, relevant et béatifiant ses élus. Seuls l’aveuglement et l’orgueil peuvent fermer les yeux devant les trésors d’enseignement sauveur que recèle l’Ancien Testament. (…) Cette Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires  »révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race. (…) Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église. Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État aujourd’hui. Par des mesures de contraintes cachées ou apparentes, (…) l’attachement des catholiques à leur foi (…) est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine. (…) Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christviennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ (…). [Concernant la grâce] Rejeter cette élévation gratuite et surnaturelle au nom d’un prétendu caractère allemand, est une erreur : c’est combattre ouvertement une vérité fondamentale du christianisme. (…) Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions  que donne la foi en Dieu et au Christ. [Concernant la famille et la jeunesse] Si l’État fonde une jeunesse nationale, cette organisation obligatoire doit être ouverte à tous, et c’est alors ‒ sans préjudice des droits des associations religieuses ‒ pour les jeunes gens eux-mêmes et pour les parents qui en répondent devant Dieu, un droit incontestable et inaliénable d’exiger que cette organisation d’État soit purgée de toutes les manifestations d’un esprit ennemi du christianisme et de l’Église, manifestations qui, tout récemment encore et aujourd’hui même, mettent la conscience des parents chrétiens dans une insoluble alternative, puisqu’ils ne peuvent pas donner à l’État ce qu’il exige qu’en dérobant à Dieu ce qui est à Dieu. (…) Et plus les ennemis s’efforcent de déguiser sous de beaux semblants leurs sombres desseins, plus il y a lieu d’y opposer une méfiance vigilante, une vigilance provoquée à la méfiance par une expérience trop amère. (…) Nous avons pesé chacun des mots de Cette lettre à la balance de la vérité (…). »

7. Sionisme et Mondialisme L-8 clôt la trilogie commencée en 2017 par Atlas du Mondialisme L-6 et poursuivie en 2019 par Archives du Mondialisme L-7. En quoi, ces trois livres forment-ils un ensemble ?

Ces trois ouvrages se complètent de la manière suivante. Atlas du Mondialisme L-6 avait pour objectif de présenter des points essentiels de géopolitique comme la construction européenne ou encore l’évolution politique des États-Unis dans le cadre du mondialisme parallèlement à la mise en place d’institutions pour parachever la gouvernance mondiale. Cependant, afin de bien saisir l’esprit du mondialisme, j’ai étudié le messianisme juif, ses caractéristiques et ses différents avatars (Shimon Bar Kokhba, Sabbataï TseviJacob Frank, …). La compréhension de ce milieu déchiré en interne par des factions rivales est absolument indispensable à cerner. Par exemple, il est absolument capital de comprendre les préceptes du rabbin Isaac Louria du XVIè siècle et son impact sur certaines communautés judaïques d’essence messianique. Dans le deuxième volume, Archives du Mondialisme L-7, j’ai traité de l’importance de l’Ancien Testament à ne pas rejeter comme le font de nombreuses personnes mêmes chrétiennes. En effet, le fil directeur de ces textes, qu’ils soient, selon les convictions de chacun, d’inspiration divine ou non, est d’annoncer l’Incarnation en la personne du Christ dans le cadre d’un monde païen âpre et dure. Or la non-reconnaissance de celui-ci par les Juifs a conduit ces derniers à élaborer un nouveau judaïsme violemment anti-catholique entre 100 et 500 ap. J-C, le Talmud, code civil et religieux de la synagogue rebelle. C’est ce milieu hostile qui a irrigué les bouleversements spirituels et politiques en Europe voulant mettre à bas la Révélation. C’est d’ailleurs ce que j’ai pu prouver, toujours dans ce livre, avec l’influence du milieu talmudo-kabbalistique dans la Révolution de 1789 conduisant, par la suite, aux préparatifs menant à l’émergence du sionisme ; c’est-à-dire à la volonté de créer un foyer juif en Palestine prélude à la création de l’État juif. C’est justement cette recherche qui m’a poussé à la rédaction du troisième tome Sionisme et Mondialisme L-8. J’ai eu la chance de mettre la main sur les carnets complets de Theodor Herzl mais aussi sur de nombreuses pièces d’archives expliquant les relations entre nazis et sionistes à partir d’un accord conclu entre ces deux mondes, l’accord de la Haavara. Il m’a été possible de prouver qu’une entente, certes souvent tendue, s’est concrétisée permettant de former environ 80 000 Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles et artisanales dans 42 camps en Allemagne pour les expédier ensuite vers la Palestine sous mandat britannique. Ces Juifs germanophones formés ont constitué le substrat de la toute jeune économie israélienne à la création du pays en 1948.

8. Par ailleurs, tu es très sollicité pour écrire des préfaces de livres s’opposant au mondialisme avec des angles différents. Quelle en serait l’origine commune ?

Effectivement, j’ai eu l’occasion d’écrire de multiples préfaces pour des livres apparemment divers : L’Esprit Révolutionnaire Juif P-9 de Michael Jones, Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine P-1 de Carroll Quigley, Le Réseau Rampolla P-5 d’Henri Barbier, La République Universelle du Genre Humain P-8 d’Anacharsis Cloots, De la Salette à Diana Vaughan P-4 de Paul-Étienne Pierrecourt, Le Nouvel Ordre Mondial P-3 de H. G. Wells ou encore Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville P-10. Les sujets traités par ces livres sont variés. Néanmoins, par des chemins différents, ces ouvrages révèlent que la finalité du sujet traité consiste à aboutir à la mise à mort de la Révélation directement ou par étape. Comme je l’ai déjà indiqué, pour cerner un sujet, il faut toujours saisir le fil directeur à partir d’une masse de documents. L’Incarnation annoncée dans la Bible hébraïque, avec ses conséquences spirituelles et temporelles, représente le point incontournable de la haine talmudo-kabbalistique depuis 2000 ans. Dans cette révolte, on relève cette volonté d’établir une gouvernance mondiale régie par une élite opposée à la Révélation régentant une humanité soumise aux directives du Temple rénové.

9. Justement, cette mystique mondialiste se retrouvant dans le noachisme, le sabbatéo-frankisme ou la gnose est protéiforme. A quels indices peut-on la reconnaître ?

Tout d’abord, s’il fallait résumer la finalité de la mystique mondialiste, nous dirions, en nous référant au spécialiste israélien Gershom Scholem, qu’il s’agit de faire du peuple juif, le peuple prêtre, intermédiaire unique entre le Dieu un et le reste de l’humanité non-juive régie par les lois noachides, cette dernière se trouvant comme simple prosélyte de la Porte au seuil du Temple rétabli pour la plus grande gloire d’Israël. La compréhension du noachisme pour les non-Juifs est essentielle. Nous en avons l’explication dans le livre du rabbin Élie BenamozeghIsraël et l’Humanité, dont j’ai synthétisé les propos dans Atlas du Mondialisme L-6. Régi par sept lois, le noachisme a pour but essentiel de détruire trois points clefs : l’Incarnation, la Sainte Trinité et le sacerdoce catholique.

« Un Maçon est obligé, de par sa Tenure, d’observer la Loi morale, en tant que vrai noachite… »

Article Premier des Constitutions d’Anderson de 1738

Les outils qui rendent possible cet « idéal » se trouvent dans l’esprit de la gnose issue du monde antique (Égypte, Mésopotamie, …) sublimant l’idée que l’homme, parcelle du divin, peut par sa seule intelligence et sa volonté rejoindre ce même divin. Cette gnose, reposant sur la magie et l’évocation des esprits, avait été déjà condamné par le prophète Isaïe (Is. VIII, 19 dans la Bible Hébraïque) sous l’appellation « oboth » et « Iidonime ». Le phénomène est donc ancien. Dès le début de l’ère chrétienne, nous relevons la présence de ce courant cherchant à pervertir l’Église et son enseignement. En effet, sous le règne du pape saint Pierre, Simon le Magicien se présenta à lui pour connaître ses « pouvoirs magiques » moyennant une rétribution financière d’où le mot simonie. Rabroué par l’apôtre, il se convertit faussement au catholicisme afin d’en découvrir les secrets et subvertir la toute jeune Église. Historiquement, nous avons affaire au premier marrane (Juif faussement converti). Par la suite, nous observons une pléthore d’hérésies (arianisme, catharisme, bogomiles, hussisme, protestantisme etc) qui, toutes, reposaient sur des principes remettant en cause les dogmes catholiques pour se rapprocher peu ou prou de l’idéal opposé de la synagogue aveugle. En s’intéressant aux causes profondes de ces mouvements, nous retrouvons toujours par des chemins détournés l’influence du monde juif talmudo-kabbalistique comme c’est le cas avec les cathares acquis au principe du Dieu bon et du Dieu mauvais (le démiurge) et à la migration des âmes ou gilgoul dans le langage kabbalistique. Le siège de la Kabbale au XIIè siècle était, comme par hasard, situé dans le sud de la France. Nous pouvons relever aussi Pic de la Mirandole, auteur de l’ouvrage Neuf Cents Conclusions, qui fut condamné par les autorités de l’Église en 1487 car ses travaux mettaient « la magie et la Kabbale au-dessus des Évangiles »Comme par hasard, Pic de la Mirandole était très lié aux milieux ésotériques, en particulier à un Juif sicilien faussement converti et devenu prêtre qui s’appelait Abu’l Faradj. Par la suite, nous pouvons relever dans ces multiples influences l’expression « Être suprême », terme cher à la Kabbale pour désigner un Dieu infini, dont nous retrouvons l’emploi dans le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1789. Signalons l’existence d’un livre au titre à peine provocateur de l’universitaire juif américain Yuri Slezkine qui, pour définir le XXè siècle, n’a pas hésité à le nommer « Le siècle juif ». Il n’a pas tort.

« Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des états-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. »

 Connaissez-vous le noachisme ? – Pierre Hillard

« 1920 – Before the Storm » de Jakub Różalski
10. Merci pour cet entretien. Dernière question quant à l’actualité. Penses-tu que la dictature sanitaire qui vient n’est-elle pas, par ses excès, une fantastique opportunité de réveiller les peuples avant le « Grand Reset ».

Il est vrai que de nombreuses personnes sentent que quelque chose ne va pas. L’instinct de survie se fait sentir et, peu importe l’origine sociale et le niveau d’étude, certains commencent à se poser les vraies questions. Cependant, je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage d’autant plus que des millions d’extra-Européens ne bénéficiant plus des allocations et autres subsides financiers sauront montrer un vif ressentiment à l’égard du pays d’accueil. Le peuple français est pris en étau entre un système politique, la République d’essence talmudo-kabbalistique, et la présence sur son sol de populations allogènes désireuses de conserver leur propre culture. Tout cela se terminera en guerre totale. Les civilisations sont mortelles. Concernant la France, espérons que la Providence saura faire surgir le chef capable de rétablir une civilisation française née du baptême de Clovis. Mais en attendant, que de souffrances en perspectives !

L’élite nous avait pourtant prévenu lors de la cérémonie des Jeux Olympiques de Londres de 2012 : masques, virus, 5G et enfants malades…
[NOTES]

1 – Cf. https://www.uclg.org/fr/centenaire.

2 – Cf. Christine Lagarde, patronne du FMI, annonce-t-elle en 2014 la venue du Grand Reset pour 2021 ?

3 – Cf. http://transitionintegrityproject.net.

4 – Sources composant la vidéo :
1) Nouvel Ordre Mondial -Pierre Hillard sur Fréquence Evasion ;
2) Intervention de Pierre Hillard – La France à l’épreuve de l’Union Européenne (pour en savoir ;
3) Conférence Pierre Hillard et Piero San Giorgio – Comprendre le Mondialisme et y survivre 2/2 ;
4) Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme… origines, découvertes et terrifiantes perspectives ;
5) Songbird | Official Trailer [HD] | Coming Soon.
Cf. articles sur COVID-1984 et précisions complémentaires sur Golden Dawn.

LIVRES DE PIERRE HILLARD

1 – Minorités et Régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (2001) – Editions François-Xavier de Guibert

2 – La Décomposition des Nations Européennes: de l’Union Euro-Atlantique à l’État Mondial (2005) – Editions François-Xavier de Guibert

3 – La Marche Irrésistible du Nouvel Ordre Mondial : Destination Babel (2007) – Editions François-Xavier de Guibert

4 – La Fondation Bertelsmann et la Gouvernance Mondiale (2009) – Editions François-Xavier de Guibert

5 – Chroniques du Mondialisme (2014) – Editions Culture & Racines

6 – Atlas du Mondialisme (2017) – Editions Culture & Racines

7 – Archives du Mondialisme (2019) – Editions Nouvelle Terre

8 – Sionisme et Mondialisme (2020) – Editions Nouvelle Terre

LIVRES PRÉFACÉS PAR PIERRE HILLARD

1 – Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine de Carroll Quigley (2015) – Editions Culture & Racines

2 – La Guerre Secrète Contre les Peuples de Claire Severac (2015) – Editions Kontre Kulture

3 – Le Nouvel Ordre Mondial d’H.G. Wells (2018) – Editions du Rubicon

4 – De la Salette à Diana Vaughan de Paul-Étienne Pierrecourt (2018) – Editions Saint-Rémi

5 – Le Réseau Rampolla d’Henri Barbier (2018) – Editions Saint-Rémi

6 – De la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ à la Passion de l’Église de Louis-Hubert Remy (2018) – Editions ACRF

7 – Le Monde Occulte des Comic Book de DC Comics à Marvel de Jérémy Lehut (2019) – Editions Omnia Veritas

8 – La République Universelle du Genre Humain d’Anacharsis Cloots (2019) – Editions Omnia Veritas

9 – L’Esprit Révolutionnaire Juif d’Eugene Michael Jones (2019) – Editions Saint-Rémi

10 – Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville (2020) – Editions du Verbe Haut




Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR

[Source : FranceSoir]

Par Nicole Delépine

Les principales conclusions juridiques sont :

Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

La justice n’a pas vocation à poser un diagnostic en lieu et place d’un médecin.

Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.

Le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes.

Nous avons informé les lecteurs de France Soir[1] de l’aventure portugaise de quatre touristes allemands isolés sous contrainte dans un hôtel sous le fallacieux prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’arrivée de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été très utile à l’ensemble des populations de la planète soumise à cette hégémonie d’un test que son inventeur H Mullis[2] estimait lui-même absolument inadapté pour poser un diagnostic d’une infection virale.

La justice a donc statué sur l’enfermement des plaignants, l’a jugé illégal et ordonné leur libération[3]. Curieusement l’agence de santé, imbue de ses pouvoirs inquisitoriaux comme les françaises, a fait appel. Nous vous résumons ici les principaux enseignements à retenir de ce jugement qui pourrait bien faire jurisprudence au bénéfice de tous et à  terme faire cesser cette pratique injustifiée médicalement et extrêmement coûteuse, (plus de deux milliards d’€ imputés au budget de la sécurité sociale) pour des tests inutiles, dangereux pour la vie quotidienne interrompue et pour le moral et l’angoisse des personnes auxquelles on a beau répété depuis cet été que ces tests dans leur très grande majorité sont faux, le doute entretenu par les médias persiste.

Mister Bean, notre cher (très cher de fait) remboursera -t-il ces milliards indus à la sécurité sociale ?  En tous cas comment pourra-t-il réparer les dégâts psychiques des étudiants etc… Rappelons s’il en est besoin que les mesures liberticides qui entrainent fermetures et faillites des restaurants, des bars, des petits commerçants des discothèques, des artisans sans salariés et sans aide etc.,  reposent sur la publication emphatique de ces résultats de tests fallacieux par le ministre, le directeur général de la santé, le premier ministre (qui met les grands parents à la cuisine pour la bûche de Noel) et in fine le président.

Combien de complices dits scientifiques à Mister Bean et quand répondront-ils de leurs crimes contre le peuple ? Probablement jamais … Comme d’habitude …

A lire aussi : Vers le faire part de décès des tests PCR

La décision portugaise de première instance du 26 aout stipule :

 « La demande d’habeas corpus a été accordée, car il était illégal de les détenir, déterminant la restitution immédiate de la liberté des demandeurs ».

Dires de la cour d’appel de Lisbonne

L’ARS [Autorité Régionale de la Santé] locale digne des nôtres dans sa volonté hégémonique a fait appel, et le 11 novembre 2020, la décision de la 3ème chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne est tombée.

Nous vous en donnons ici les extraits les plus informatifs pour le grand public, renvoyant les experts juridiques à la totalité du document disponible en portugais sur le web[4].

Première affirmation : l ’agence régionale de santé n’est pas habilitée à faire appel d’une décision d’habeas corpus pour n’avoir aucune légitimité à agir

L’extrait 2 concerne l’absence de valeurs du test PCR indépendamment de la détention des plaignants

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2, par plusieurs raisons, dont nous en soulignons deux (à laquelle s’ajoute la question de l’étalon-or que, en raison de sa spécificité, nous n’aborderons même pas) :

  • Pour cette fiabilité dépendent du nombre de cycles qui composent le test;
  • Pour cette fiabilité dépendent de la quantité de charge virale présente. « 

Extrait 3 (extrait spécifique) 

Il est très important que la cour portugaise rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic[5].

Poser un diagnostic sans un acte médical réalisé par un médecin inscrit à l’ordre viole également la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins (portugais), article 358 al. B (Usurpation de fonctions) du code Pénal.

Poser ce diagnostic sans médecin, « viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier ».

Dans l’Extrait 4 (extrait spécifique) la cour revient sur l’absence de fiabilité des tests PCR

 » la fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés dépend, d’emblée, du seuil de cycles d’amplification qu’ils contiennent, de telle sorte que :

  • jusqu’à la limite de 25 cycles, la fiabilité du test sera d’environ 70% ;
  • si 30 cycles sont effectués, le degré de fiabilité tombe à 20% ;
  • si 35 cycles sont atteints, le degré de fiabilité sera de 3%. « 

Extrait 5 (extrait global) la cour portugaise s’étonne que l’agence de santé fasse appel en justice d’une affaire médicale, alors que c’est son job.

 « Depuis quand revient-il à un tribunal de poser des diagnostics cliniques, de sa propre initiative et sur la base d’éventuels résultats de tests ? Ou l’ARS ? Depuis quand le diagnostic d’une maladie est-il posé par décret ou par loi ? »  Et insiste sur le fait que poser un diagnostic est un acte médical et rappelle le règlement portugais : règlement n ° 698/2019, du 5.9 (règlement qui définit les actes propres des médecins),

Et rappelle que :

« Les médecins actuellement enregistrés auprès de l’Association médicale portugaise sont les seuls professionnels qui peuvent pratiquer les actes des médecins, conformément aux dispositions du statut de l’Association médicale portugaise, approuvé par le décret-loi n ° 282/77 du 5 juillet, avec les modifications introduites par la loi 117/2015 du 31 août et le présent règlement ».  Et la cour précise que l’internement obligatoire ne peut être effectué que par des médecins [6]

Il est fort réconfortant de lire que « tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’Ordre des Médecins qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement, ainsi que la disposition de l’article 97 du Statut de l’Ordre des médecins.

Il viole également n ° 1 de l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, que le Portugal a souscrit et est tenu de respecter en interne et en externe, car aucun document prouvant que le consentement éclairé qu’impose cette Déclaration n’a été présenté dans le dossier.

Donc la justice n’est pas là pour remplacer le médecin qui lui, en particulier obtiendra selon son serment et les conventions signées par le Portugal (et aussi par la France) son consentement éclairé. Un acte et un diagnostic médical ne peuvent qu’être posés que par un médecin inscrit à l’ordre, enlevant tout caractère légal aux décisions prises arbitrairement par des médecins « virtuels » de nos ARS imposant isolement, arrêt de travail, information sur cas contacts et persécution de ceux-ci pour qu’ils passent ce fameux test.

Regardez le paragraphe suivant de conséquences capitales :

« Il est donc clair que la prescription de méthodes diagnostiques auxiliaires (comme c’est le cas des tests de détection d’une infection virale), ainsi que le diagnostic de l’existence d’une maladie, vis-à-vis de chaque personne, est une question qui ne peut être effectuer par la loi, la résolution, le décret, le règlement ou toute autre voie normative, car ce sont des actes que notre système juridique réserve à la compétence exclusive d’un médecin, étant sûr que, en conseillant son patient, il doit toujours essayer d’obtenir son consentement éclairé. »

Revenant sur l’enfermement des allemands, la cour s’étonne qu’aucun médecin ne les ait seulement rencontrés !

« En effet, ce qui découle des faits tenus pour acquis, ce n’est qu’aucun des requérants n’a même été vu par un médecin, ce qui est franchement inexplicable compte tenu de la gravité alléguée de l’infection ».

Et la cour revient sur le fait que seul un test PCR par ailleurs non fiable a été réalisé !

« Cependant, au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2. »

Suivent ensuite les explications basées sur les connaissances scientifiques des tests PCR et la pratique courante de ces tests ne respectant pas le nombre faible d’amplifications des débris de virus détectés et aboutissant à des surdiagnostics innombrables comme en France avec les conséquences sanitaires dramatiques et arbitraires prises par les autorités.

C’est le résultat, entre autres, de l’étude de corrélation très récente et complète entre 3790 échantillons positifs de PCR et cultures de cellules positives dont 1941 isolats de SRAS-CoV-2 [7]

Cette étude conclut « A un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70% des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) : dans un ct de 30, 20% des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35, 3% des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme).

« Si une personne a un test PCR positif à un seuil de cycle de 35 ou plus (comme dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe), les chances qu’une personne soit infectée sont inférieures à 3%. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97% ou plus ».

[NdNM : au Québec, le nombre de cycles est de 45 ! Voir : Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs]

Or en France comme au Portugal, y compris aux Açores et à Madère le nombre de cycles d’amplification avec lesquels les tests PCR sont effectués, est inconnu, car nous n’avons pas pu trouver de recommandation ou de limite à cet égard et l’état n’autorise pas les laboratoires à afficher les taux d’amplification.

Insistons sur le fait que cette étude est parue en septembre et que nos gouvernants qui ont continué à nous terroriser, isoler, avec arrêt de travail, fermetures d’écoles, d’atelier, de chaines de production etc. ne pouvaient pas ne pas connaitre ces études et leur bonne foi ne peut être en aucun cas alléguée. La cour rapporte une autre publication importante : [8]

« Tout test de diagnostic doit être interprété dans le contexte de la possibilité réelle de la maladie, existant avant sa réalisation.

Pour Covid-19, cette décision d’effectuer le test dépend de l’évaluation préalable de l’existence des symptômes, des antécédents médicaux de Covid 19 ou de la présence d’anticorps, de toute exposition potentielle à cette maladie et de l’absence d’un autre diagnostic possible. »

« L’une des raisons potentielles de présenter des résultats positifs peut résider dans l’excrétion prolongée d’ARN viral, qui est connue pour se prolonger pendant des semaines après la guérison, chez ceux qui ont déjà été exposés au SRAS-CoV-2.

Cependant, et ce qui est plus pertinent, il n’existe aucune donnée scientifique suggérant que de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivalent à une infection, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire » 

TOUT Y EST et aucune justification à la poursuite de la pratique des tests PCR, aveugle et multiple n’est acceptable depuis ces publications. Les décisions politiques qui en ont découlé sont criminelles et devront être jugées.

Ainsi, au vu de ces informations scientifiques solides et en l’absence de tout acte médical, le recours formé est jugé irrecevable, faute de légitimité et de désintérêt à agir de la part du requérant, ainsi que manifestement non fondé, il devra être rejeté,[9]  le recours formé par l’Autorité Régionale de la Santé , représentée par la Direction régionale de la santé de la région autonome des Açores , est rejeté .
 
Ces conclusions de la cour d’appel de Lisbonne contre l’enfermement abusif de quatre personnes n’ayant pas vu un médecin alors que la propagande médiatique plaide pour ces mesures en raison d’une maladie qui serait grave, sont majeures et serviront, nous l’espérons à étoffer, par sa jurisprudence, les nombreux procès qui s’élèvent de par le monde contre la pratique de ces tests. Et particulièrement par l’utilisation qui en est faite par les gouvernants qui adoptent ces ukases pour priver les populations des pays, de leurs droits fondamentaux, de leur liberté et d’humanité (distanciation, limite du nombre de convives à Noel etc.).

Il est évidement que toutes ces mesures plus aberrantes les unes que les autres reposent vis-à-vis du peuple sur l’existence de ces clusters qui menaceraient notre santé. Pourtant la létalité du covid19 est faible, comparable aux autres grippes et ne concerne pas plus de 0,05% de la population, toutes dans l’âge où l’on va quitter ce monde. Bloquer les universités, les stations de ski pourtant innocentées par l’étude de l’INSERM aux Contamines[10], ruiner les restaurants, les bars, les spectacles etc. ne relèvent pas d’une politique sanitaire mais d’une volonté totalitaire, dont les sources sont à étudier à Davos et dans le livre de klaus Schwab en juillet 2020 (covid19 la grande réinitialisation). Il est grand temps que le peuple si prompt à aller se faire gratter le nez malgré toutes les mises en garde sur le caractère fallacieux du test PCR, se réveille avant que la situation ne soit irréversible ou au prix de monstrueux dégâts.

La prise de conscience semble arriver, en témoigne ce reportage de Paris Match pourtant très fidèle au pouvoir : Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)   Dr Philippe Gorny

« L’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts

Ce test requiert de grandes quantités de réactifs, des équipements de laboratoire coûteux, des professionnels hautement qualifiés travaillant avec des masques, une double paire de gants, des surchaussures et mille autres précautions. Les possibles biais techniques sont légion et une source importante de résultats erronés : mauvais prélèvement, erreurs d’étiquetage, contamination d’un réactif, mauvais pipetage, faute d’interprétation, etc. Un laboratoire bostonien a suspendu ses tests de dépistage après la découverte de 400 faux positifs en une seule journée. Des écouvillons n’ayant jamais servi envoyés à des laboratoires pour analyse sont revenus positifs (signifiant qu’ils y furent contaminés). Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a fait savoir à la terre entière qu’il avait secrètement envoyé des échantillons provenant d’une papaye, d’un mouton et d’une chèvre à un laboratoire de dépistage du Covid. Tous sont revenus positifs ! Doit-on en rire ? Pas vraiment. Le fait est que l’usage à grande échelle d’un test aussi sensible génère un grand nombre de résultats inexacts ».

On sait tout cela depuis plusieurs mois, mais question à cent sous, les gens et en particulier les jeunes ont continué à jouer à la roulette du test PCR y retournant quatre à cinq fois (toujours test gratuit pour eux mais payé par notre sécu et nos impôts) afin d’avoir enfin un test positif et là l’ARS s’en donne à cœur joie pour persécuter les contacts dénoncés leur faisant croire qu’ls sont « obligés » de subir un test. Quelle soumission de notre jeune génération, comme celle de jupe trop courte, etc.

Le docteur Mike Yeadon, ex-directeur scientifique de Pfizer pendant seize ans, a récemment déclaré : « Plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être des faux, voire potentiellement tous. » Eh oui ! Ce que la PCR détecte réellement n’est que la présence de séquences partielles de l’ARN du virus intact. Elles peuvent être un morceau de virus mort ou d’un virus non viable. Leurs porteurs n’ont alors aucun symptôme, ne sont pas contaminants, mais néanmoins dits positifs.     ALORS STOP TESTS !

« On imagine les conséquences que le confinement inutile de telles personnes faussement positives peut avoir sur l’économie et leur vie professionnelle ou sociale » … conclut le journaliste de Paris Match.

 Même le célèbre docteur Anthony Fauci, [11] directeur de l’Institut national américain des allergies et maladies infectieuses a expliqué qu’au-delà de 35 cycles d’amplification, tous les PCR sont des faux positifs, liés à des débris viraux, non cultivables en laboratoire et non contagieux.

Pour le siège des Centers for Disease Control and Prevention, à Atlanta, il est rarissime de détecter du virus vivant au-delà de 33 cycles. Aux Etats-Unis, pourtant, la routine pousse souvent l’amplification au-delà de 40 cycles, et c’est la même chose en France ! Dans son avis du 18 septembre 2020 notre Haute Autorité de santé a recommandé de rester entre 35 et 40 cycles, c’est-à-dire au-dessus du seuil de 35.

Autrement dit, la stratégie sanitaire actuelle a pour base des résultats qui ne reflètent pas la réalité ! Certains experts s’en inquiètent : « la PCR serait-elle intentionnellement utilisée pour multiplier le nombre de cas ? Et si oui, dans quel but ? » conclue le dr Gorny.

 « Avec la pratique des tests actuels, il se peut que le Covid-19 ne disparaisse jamais. C’est de l’humour anglais. Les Français apprécieront » conclue Gorny.

Surtout si leur premier ministre reste en place et empêche les étudiants de retourner à la fac et de profiter de leur jeunesse.

De quel droit priver les sportifs de leur sport préféré dont la dernière trouvaille est d’ouvrir les stations de ski, mais pas les remonte pentes. Ces énarques ont peut-être une belle carrière sur le papier mais cela ne les rend pas gai…. Bûche de Noel dans la cuisine… Elle va rester célèbre, celle-ci. Plus que sa tragique mise en place de la tarification à l’activité dont Mr Castex fut l’artisan et qui a fini de ruiner les hôpitaux et l’organisation du système de santé. Il se plaint maintenant du manque de lits…

[Notes]

  • [1] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
  • [2] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » (laveritesansmasque.blogspot.com)
  • [3] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés
  • [4] http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30
  • [5]  » Ainsi, tout diagnostic ou tout acte de surveillance de la santé (comme c’est le cas pour la détermination de l’existence d’une infection virale et d’un risque élevé d’exposition, qui se révèlent couverts par ces concepts) posé sans observation médicale préalable des demandeurs, sans l’intervention d’un médecin inscrit à l’OM (qui a procédé à l’évaluation de ses signes et symptômes, ainsi qu’aux examens qu’elle jugeait appropriés à son état), viole ce règlement »
  • [6]« Même en vertu de la loi sur la santé mentale, loi n ° 36/98 du 24 juillet, le diagnostic de la pathologie pouvant conduire à l’internement obligatoire est obligatoirement effectué par des médecins spécialistes et leur jugement technique et scientifique – inhérent à l’évaluation clinique-psychiatrique – est exclue de l’évaluation gratuite du juge (voir articles 13, 3, 16 et 17 de ladite loi). »
  • [7] Par Rita Jaafar, Sarah Aherfi, Nathalie Wurtz, Clio Grimaldier, Van Thuan Hoang, Philippe Colson, Didier Raoult, Bernard La Scola, Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491,em https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093 / cid / ciaa1491 / 5912603, publié fin septembre de cette année, par Oxford Academic, réalisé par un groupe qui rassemble certains des plus grands experts européens et mondiaux dans le domaine.
  • [8] Elena Surkova et al  https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext The Lancet, Respiratory Medicine
  • [9] Aux termes de la dans les articles 401 nº1 al. A), 417 nº6 al. b) et artº420 nº1 als. a) et b), tous les CP pénaux. Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés – décision. Compte tenu de ce qui précède et conformément aux dispositions de l’article 417, paragraphe 6, al. b) et 420 nº1 als. a) et b), tous deux du Code de procédure pénale,
  • [10] L’enfant positif revenant de Singapour n’a contaminé aucune des personnes avec lesquelles il était en contact, même pas ses frères et sœurs. 
  • [11] Le 30 octobre dernier, lors d’une interview

Auteur(s): Nicole Delépine pour FranceSoir




Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

[Auteur : Alain Nicolaï]

[Avec la participation de Nouveau Monde]

[Voir : Le Choc en Retour sur Nice-Provence Info]


Alain Nicolaï est l’auteur de Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence). Il a publié dans nos colonnes Décomposition 322 (3 + 2 + 2 = 7) (en date du 16 juillet 2020) et le 24 août 2020 Le Choc en Retour ou la décomposition de la mondialisation.


En métaphysique, un chat est un chat.

« Qui connaît les noms connaît les choses. »

Cratyle, Platon, citation de la page 8 du Livre des Sept Sceaux — Le Retour à l’Évidence.

« Rien n’est plus dangereux que la confusion des concepts. En particulier de ceux qui visent à désigner ce à quoi on s’oppose. En général, une telle confusion est un préalable au désordre des esprits et à la violence des actes. »

Jacques Attali, Le Soir du 6 avril 2018.

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparait dès l’origine
[source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs…

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein :

« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. »

(Tractacus logico-philosophicus,
Ludwig Wittgenstein, Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple »
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens.
[Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté –Égalité – Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : Macron en Place sur son siège… éjectable.

Les trois premières séquences de ce texte ont été publiées le 24 août 2020, et depuis cette date, Macron est intervenu à tout bout de champs pour bien montrer à tous, que c’est bien lui le « chef de guerre » contre la pandémie. Selon lui, Il ne fait que suivre les préconisations de son Conseil Scientifique. L’ennui, c’est qu’il est prouvé que nombre des membres de ce Conseil ont des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique (cf. Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêts). C’est pour cette raison que le Pr Didier Raoult, qui en faisait parti, n’a pas voulu y participer.

Le premier confinement fut décidé dans l’urgence sans que les décisions prises alors, furent approuvées par la suite par le Parlement (http://www.profession-gendarme.com/lassemblee-nationale-face-a-ses-responsabilites).

Cet été, il fallait suivre toutes les consignes du gouvernement, car d’après lui une énorme deuxième vague, pire que la première, allait arriver à l’automne. Puis il fut recommandé de se faire tester au moyen des tests PCR. Ces tests ont ainsi fait grimper artificiellement la courbe des positifs covid, faisant ainsi monter un peu plus la peur dans la population. Artificiellement, car ce test inventé en 2014 ne détecte pas le virus du covid : il signale simplement que les sujets testés ont dans leur organisme des bactéries ou des virus. (FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux) Ce sujet a été l’objet d’un article publié tardivement par Paris Match à la fin novembre (Covid-19 : les tests PCR contestés)

Dans son discours du 28 octobre qui annonçait le deuxième confinement, Macron disait :

« Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option (Ne rien faire). Elles sont implacables : à très court terme cela signifie le tri entre les patients à l’hôpital. Et d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Puis, le 14 novembre (voir Loi 14 novembre 2020 prolongation état urgence sanitaire 16 février 2021 | Vie publique.fr), l’Assemblée Nationale fut bâillonnée, et dans la foulée l’état d’urgence fut prolongé jusqu’au 1 avril 2021. Le pouvoir trouva alors le moyen de fonder un Comité de Défense restreint, composé en parti de militaires, pour soit disant mieux gérer la situation.

Devant la baisse incontestable des contaminations il fut décidé en haut lieu de diminuer un peu la pression. À la date où est rédigé cet article, le 1er décembre 2020, rien ne justifie plus le confinement et la privation de nos libertés. Il faut, ici, insister lourdement sur ce fait : la liberté est le premier fondement de notre République.  (Covid-19 : maladie mortelle, mais à quel point ?)

Cependant, il est fort à parier que maintenant Macron et ses sbires attendent tranquillement le début de l’année prochaine pour nous donner le coup de grâce, quand fatalement arrivera la grippe saisonnière qui bloque chaque année, au moins depuis 2015, notre système hospitalier (https://www.youtube.com/watch?v=oywOkAWwKWE). Ceci est dû en grande partie aux 70000 suppressions de lits qui ont été faite depuis Sarkozy (« Expliquez-nous »: qui a détruit le système de santé en France?)

Mais si notre jeune président est très prolixe devant les téléspectateurs et les citoyens pour prendre la posture du bon samaritain, en se faisant passer pour celui qui privilégie votre santé, il se garde bien de vous dire en face ce qui se trame en coulisses.

Attention, asseyez-vous, vous risquez de vous trouver mal !

Avez-vous entendu parler du Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun (FICS) » que Macron a prononcé le 12 novembre 2020 ? Ce discours est à mettre en relation avec « The Great Reset » annoncé par le Forum Economique Mondial (Le Forum de Davos) et son président et fondateur Klaus Schwab (voir La Grande Réinitialisation, Couverture du Times, Le projet diabolique du Forum économique mondial et D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux)

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576

Voici l’intégralité du discours de Macron. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent. Ils comprendront très facilement que Macron est en train de nous vendre à la finance.

Télécharger DISCOURS D’OUVERTURE DU SOMMET « FINANCE EN COMMUN (FICS) »PDF 314 Ko

Mesdames et messieurs,

Je suis très heureux de participer aujourd’hui, même par ce truchement d’une visioconférence, à la première réunion jamais organisée réunissant toutes les banques publiques de développement du monde et tous leurs partenaires.

Parce que nous avons tous compris qu’il nous faut changer en profondeur et reconstruire, c’est une initiative forte et utile. J’en félicite les organisateurs et tous les partenaires du Sommet Finance en commun. En particulier la Fédération mondiale des institutions financières de développement (WFDFI). Les banques multilatérales partenaires. Et l’International Development Finance Club (IDFC) que préside l’Agence Française de Développement, à l’origine de ce Sommet.

Nous venons, avec plusieurs autres chefs d’Etat, avec le Secrétaire Général des Nations Unies, la Directrice Générale du Fonds Monétaire Internationale, la Présidente de la Commission européenne, de débattre et de dégager les principes d’une action internationale renouvelée et renforcée pour dépasser cette crise, et changer ce qui doit l’être dans nos façons de produire, de consommer et de coopérer, pour que les liens sociaux et l’environnement soient préservés, protégés, reconstruits.

Dans la continuité de cet échange sur les principes qui doivent refonder le multilatéralisme, nous avons tenu à participer au Sommet Finance en Commun, pour passer à l’action en mobilisant le plus fortement possible nos banques publiques.

Ce sommet est une preuve. Une preuve que notre transformation est possible. En vous réunissant aujourd’hui, en faisant émerger une coalition inédite par son ampleur, sa diversité et son rôle de plateforme entre tous les acteurs financiers, vous venez nous rappeler qu’il est possible de construire des réponses communes, cohérentes, concertées, aux grands défis globaux. Votre présence à tous l’atteste : un consensus profond existe sur l’urgence de combattre le dérèglement climatique et sur la nécessité de construire un monde plus juste, équitable et durable. Mais aussi sur la nécessaire complémentarité de ces agendas. Nous ne pouvons plus parler désormais de trajectoires de développement sans prendre en compte les impacts du changement climatique. Nous ne pouvons plus agir pour le climat sans prendre en compte les inégalités sociales.  

Il y a quelques jours, les Etats unis sont sortis officiellement de l’accord de Paris sur le climat. Le résultat des élections ouvre la voie à un retour au premier jour. Nous l’avons souhaité, dès les premières heures vous le savez, nous nous sommes battus pour cela, et c’est la preuve qu’il fallait tenir bon face à tous les vents mauvais. Je me souviens des One Planet Summit, du G7 de Biarritz, du sommet Action Climat de New York en septembre 2019, et de tant d’autres réunions internationales organisées depuis trois ans pour sauver notre capacité d’action collective. Nous y sommes parvenus.

Il y a quelques semaines la Chine a confirmé sa disposition à avancer conformément aux engagements pris. L’Union européenne prendra dans les jours et semaines à venir des décisions structurantes pour elle-même. Le 12 décembre, jour du cinquième anniversaire de l’accord de Paris, sera le temps de la clarification. Des engagements tenus et à venir.

Soyons collectivement au rendez-vous. Maintenant. Plus que jamais. Make our planet great again est une possibilité. Pas seulement dans les mots. Dans la réalité.

Ici, il ne s’agit plus de rechercher un accord international – nous l’avons trouvé il y a cinq ans déjà avec l’accord de Paris sur le climat, celui de New York sur les Objectifs de Développement Durable et à Addis Abeba sur le financement du développement. Non, il s’agit de passer à l’acte, de passer à l’échelle et d’entrainer avec nous tous les acteurs de bonne volonté.

Je suis donc heureux de voir qu’aujourd’hui, à ce moment très précis de notre vie internationale, vous venez vers nous avec la volonté de « financer en commun » nos politiques et notre transformation. Avec la capacité d’agir à tous les niveaux, multilatéral, international, régional, national et local, puisqu’il existe des banques publiques de développement dans chacun des pays du monde. Avec la volonté de répondre en même temps, dans chacun des projets que vous financez, aux enjeux environnementaux et sociaux. Et avec l’ambition de démultiplier les 2 300 milliards de dollars que vous investissez déjà chaque année, en agissant comme des plateformes dans chacun des pays, comme le G20 l’a appelé de ses vœux.

Ce que vous êtes en train de créer, c’est une nouvelle infrastructure financière publique globale, qui n’avait jamais été conçue à cette échelle et dont nous avons tellement besoin, aux côtés des budgets des gouvernements et des outils des banques centrales. Une nouvelle infrastructure capable de relancer l’investissement public, de façon contra-cyclique pendant les crises, et d’accélérer la mobilisation de la finance privée au service de l’Accord de Paris et des ODD. Une architecture capable de mobiliser l’épargne partout où elle se trouve dans le monde et de l’orienter plus efficacement là où sont les opportunités d’investissement les plus prometteuses, au Sud, en particulier. Une architecture capable de stimuler les investissements de développement durable.

Je vous invite à faire entendre votre voix plus fortement, distinctement dans les débats internationaux. Une voix concrète, constructive, entrant en dialogue avec celles, tout aussi essentielles, des collectivités locales, des financiers privés, des entreprises, de la société civile, des philanthropes.

J’y suis particulièrement sensible car les banques publiques de développement ont joué un rôle majeur dans l’histoire économique de la France. Et elles sont aujourd’hui aux avant-postes face à la crise de la COVID19 et pour la transformation que j’ai engagée depuis plus de trois ans.

C’est en France qu’est née en 1816 la plus ancienne banque publique de développement du monde, devenue le groupe Caisse des Dépôts et Consignations. Et dans la crise que nous traversons, ce groupe s’est immédiatement mis au service de la relance et consacre une part importante de ses fonds propres, à hauteur de 26 Mds € pour que la reprise économique soit la plus rapide, la plus responsable, la plus durable possible, dans de nombreux domaines comme le logement ou le soutien aux entreprises et à l’économie, le renforcement de la cohésion sociale et bien sûr de la transition écologique et énergétique. Avec la Banque des Territoires et Bpifrance, ce sont plus de 40 Mds d’euros consacrés à la lutte contre le changement climatique d’ici à 2024, en changeant d’échelle sur de nombreux sujets qui permettront de réduire nos émissions de CO2. Il n’y a donc aucune fatalité, et ce groupe aide un écosystème d’innovation en matière de développement durable pour qu’il se structure, et pour avancer aussi en matière de prêts et de fonds propres.

C’est au service de la France et de l’Afrique qu’est née également, à Londres en 1941 fondée par le Général de Gaulle pour être la Caisse de la France libre, la plus ancienne banque publique internationale du monde : le groupe Agence Française de Développement. Au service du climat, de la biodiversité et des ODD, en Afrique, dans le monde émergent et dans nos outremers, ce groupe œuvre pour un monde en commun, et atteint 14 Md€ de financement annuel en 2019. L’AFD ira plus loin dans l’appui aux politiques publiques de nos partenaires avec l’entrée d’Expertise France dans le groupe AFD. Je remercie aussi l’AFD d’aider à faire de Paris une capitale des solutions pour le développement durable, avec toutes les institutions internationales qui y résident, et avec notre Place financière, à la pointe du combat pour la finance verte et durable.

Je veux enfin souligner le rôle important des banques publiques de développement dans la nouvelle étape de la construction de l’Union Européenne. Je sais que la BEI, la BERD, la Banque de développement du Conseil de l’Europe et les banques publiques de différents Etats d’Europe ont participé très activement à vos travaux. Elles sont engagées avec force pour soutenir le Green New Deal européen et dans la coopération internationale, en particulier avec l’Afrique. Avec nos partenaires européens, nous allons transformer, renforcer la BEI pour en faire une véritable « Banque européenne du climat », renforcer la force de frappe des banques européennes de développement en structurant un système d’action plus lisible, plus articulé, plus coordonné.  

Vous l’avez compris, nos banques publiques proposent aujourd’hui, de contribuer à engager une nouvelle étape du développement de nos sociétés. Faite de respect, de coopération internationale, d’engagement de chacun de nos Etats, le local, le national, le régional, du productif au social. Nos banques nous proposent au fond de relier, de réconcilier, comme jamais, les échelles d’espace, de temps, et la cohérence d’une action pour aider au développement durable. En insistant sur notre devoir de solidarité et le souci des plus pauvres, dans le monde comme dans chacune de nos sociétés.

Alors je souhaite vraiment longue vie au mouvement « finance en commun », que vous lancez tous aujourd’hui. J’accueille très positivement la force de vos engagements collectifs et ferai en sorte que vos travaux soient reconnus et encouragés au plan international, à l’occasion des grands sommets de 2021 sur la biodiversité, le climat, le financement des économies africaines, l’égalité femme-homme et sur la sécurité alimentaire. Je souhaite en tout cas que vos travaux puissent nous éclairer au G7, au G20, et puissent surtout changer concrètement la vie de toutes celles et ceux à qui elles se destinent. Changer la vie de chacun, permettre de la rendre meilleure, c’est notre objectif à tous.

Je vous remercie.

12 NOVEMBRE 2020 – SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI
DISCOURS D’OUVERTURE DU SOMMET « FINANCE EN COMMUN (FICS) »

Avec la mise en lumière de ce discours révélateur, il est bien évident que notre jeune président, de prince charmant, se transforme instantanément en Machiavel perfide. 

Nous ne pouvons que constater que nous avons à notre tête un authentique entrepreneur de démolition. 

Quand vous le verrez en face, pensez à sa duplicité.

 

Ici commence la traque des fascistes

 

Alain Nicolaï

avec la participation de Nouveau Monde

Par delà les lignes politiques partisanes, nous disons, nous les démocrates, nous les républicains, que cette crise est l’occasion unique de réformer entièrement nos sociétés, car elle met en Lumière la séparation franche entre la subjectivité et l’objectivité, entre les personnes qui ont l’esprit scientifique et celles qui ne l’ont pas (dont la plupart des hommes politiques). Elle révèle les failles de notre système prétendument démocratique. Elle montre à tous la voracité de certains prédateurs…

 




Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, rejette le projet de la Grande Réinitialisation (Great Reset) du Forum économique mondial

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Le 3 décembre 2020, le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a répondu à une question d’un téléspectateur lors d’une diffusion en direct sur Facebook (à partir de 28:19 minutes) concernant le projet de la Grande Réinitialisation (Great Reset) qui est promu par des politiciens du monde entier, comme le premier ministre Justin Trudeau. Il explique en quoi cela consiste et pourquoi il le rejette.

J’ai déjà publié plusieurs articles concernant le projet funeste du machiavélique et ténébreux Klaus Schwab. Vous pouvez en consulter la liste ci-dessous :

https://youtu.be/dcKSsEO_yjw

À propos de Jason Kenney

Jason Kenney, né le 30 mai 1968 à Oakville (Ontario), est un homme politique canadien. Il est chef du Parti conservateur uni depuis 2018 et Premier ministre de l’Alberta depuis le 30 avril 2019.

Kenney est membre du Parti libéral de la Saskatchewan jusqu’en 1997, puis du Parti réformiste du Canada entre 1997 et 2000. Il rejoint l’Alliance canadienne entre 2000 et 2003 et est étiquetté conservateur depuis cette date. Député à la Chambre des communes du Canada, représentant les circonscriptions de Calgary-Sud-Est puis de Calgary Midnapore (Alberta) entre 1997 et 2015.

Il est élu à la Chambre des communes pour la première fois lors de l’élection de 1997, sous la bannière du Parti réformiste du Canada. Il est ensuite réélu lors de l’élection de 2000 sous la bannière de l’Alliance canadienne, le parti qui a succédé au Parti réformiste, et enfin sous la bannière du Parti conservateur aux élections de 2004, 2006, 2008, 2011 et 2015.

Il intègre le cabinet du Premier ministre Stephen Harper en tant que ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration, en fonction du 30 octobre 2008 au 15 juillet 2013. Il devient à cette date ministre des Ressources humaines et du Développement social et acquiert le portefeuille de ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration le 16 août 2013. Il quitte ses deux fonctions aux Ressources humaines pour devenir ministre de la Défense nationale le 9 février 2015 tout en conservant le poste de la Citoyenneté ; il quitte le gouvernement fédéral le 4 novembre suivant au profit du libéral Harjit Sajjan.

Lors de la guerre du Donbass, le gouvernement canadien envoie des troupes sous l’impulsion de Kenney pour entraîner l’armée ukrainienne mais refuse de former le régiment Azov à cause des sympathies de ce dernier envers le néonazisme. Jason Kenney précise alors que le Canada ne doit « pas permettre qu’un petit nombre de pommes pourries dans un bataillon définisse la nouvelle Ukraine ».

Carrière provinciale

Il annonce en juillet 2016 sa candidature au poste de chef de l’Association progressiste-conservatrice de l’Alberta, dans le cadre de la course à la chefferie prévue pour 2017. Il a démissionné de son siège de député à la Chambre des communes en septembre 2016, et est élu chef des progressistes-conservateurs albertains le 18 mars 2017 avec plus de 75 % des voix. Il défend alors la fusion avec le Parti Wildrose, autre parti conservateur d’Alberta, critiquant la division des votes de droite ayant permis au NPD de prendre le contrôle de la province. La fusion est opérée le 24 juillet à plus de 95 % et le Parti conservateur uni est créé. Kenney annonce alors sa candidature à la chefferie du nouveau parti. Le 28 octobre, il se lance dans cette nouvelle course à la chefferie et est largement élu (61,1 %) le 28 octobre, devançant Brian Jean, ancien leader du Wildrose (31,5 %), et Doug Schweitze (7,3 %).

Quelques jours plus tard suivant Dave Rodney, député sortant de Calgary-Lougheed, annonce sa démission afin de permettre à Kenney de se présenter et d’obtenir un siège à la chambre avec les élections générales de 2019. La partielle a lieu de 14 décembre et il est largement élu, avec plus de 71 % des suffrages.

Premier Ministre de l’Alberta

Suite aux élections générales albertaines le 16 avril 2019, il est assermenté Premier ministre de l’Alberta le 30 avril.

Jugeant sa province lésée par le système de péréquation, il menace de déclencher un référendum pour le 17 octobre 2021 si ce système n’est pas renégocié. François Legault, Premier ministre du Québec, refuse toute renégociation de ce système lors du congrès de la Commission de la Relève de la Coalition Avenir Québec, jugeant que ce dernier constitue « un droit ».

En conflit avec les associations écologistes, il crée une « cellule de guerre » disposant d’un budget de 30 millions de dollars canadiens pour « répondre aux mensonges et à la désinformation qui circulent sur l’énergie albertaine. Nous contesterons chaque affirmation à l’aide de faits et de preuves ».

Considéré comme un proche des compagnies pétrolières, il donne son soutien à la construction de l’oléoduc Keystone XL par l’entreprise TC Énergie, auquel il octroie 7,5 milliards de dollars canadiens de fonds publics. Il profite par ailleurs de l’état d’urgence sanitaire provoqué par la pandémie de Covid-19 en 2020 pour exempter les compagnies pétrolières de leur obligation de déposer périodiquement des rapports environnementaux.

D’après l’économiste Éric Pineault, « c’est une décision plus politique qu’économique. TC Energy prend très peu de risques. Pour moi, le gouvernement de l’Alberta essaie d’envoyer un signal au gouvernement fédéral : “Le secteur a de l’avenir, il y a des investissements, soutenez-nous.” »


[Voir aussi les articles du blogue sur La Grande Réinitialisation]




La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19

[Source : Guy Boulianne]

Voici un texte du Dr Igor Shepherd et de son épouse June. Le Dr Shepherd a travaillé pendant plusieurs années dans l’ex-Union soviétique en tant que professionnel de la santé spécialisé dans le développement d’armes biologiques mortelles. Il savait que ce programme top secret était consacré à l’avancement du communisme mondial et serait utilisé pour détruire les États-Unis.
Le Dr Shepherd a occupé pendant environ sept ans un poste de direction au sein du ministère de la Santé publique de l’État du Wyoming, mais a récemment été démis de ses fonctions en attendant une enquête sur le discours qu’il a prononcé lors d’une réunion du “Keep Colorado Free & Open”, dans une église de Loveland, Colorado, le 10 novembre 2020.

« Les gens qui essaient d’être des dieux échouent misérablement à chaque fois parce que leurs actes sont mauvais. »


Dès que le gouverneur de notre État a annoncé le verrouillage et les fermetures d’entreprises pour notre État (d’autres gouverneurs faisaient de même), mon mari et moi nous sommes regardés avec une extrême inquiétude. « L’Amérique est attaquée par l’ennemi », ai-je laissé échapper, effrayée, mes mots lourds et roulant à peine de ma langue. Mon mari, les yeux écarquillés, secoua la tête en accord. En tant que médecin, il savait que le Covid-19 était un virus de type bénin, semblable à la grippe saisonnière, et que le protocole de réponse extrême des gouverneurs était anormal et erroné. Nous savions tous les deux que quelque chose de sinistre se passait, et nous attendions pleinement que les Américains voient la même chose, se lèvent dans l’unité et arrêtent la prise de contrôle forcée de nos entreprises et libertés civiles. Comme nous avions tort !

Malgré quelques protestations au début (qui ont cessé depuis lors), la majorité des Américains ont adhéré sans conteste à la propagande pandémique et ont volontairement permis que leurs libertés soient détournées par un groupe de voyous dont les objectifs n’avaient rien à voir avec la santé de la population, mais tout à voir avec la restructuration et la réinitialisation du gouvernement, de l’économie et de la société américains. Nos soupçons ont été confirmés lorsque le 22 octobre 2020, Time Magazine a publié le premier article anticapitaliste ouvertement flagrant, intitulé « The Great Reset », faisant la promotion du nouveau gouvernement mondial communiste post-Covid 19 qui est prévu pour toutes les nations.

Agenda 21/Agenda 2030

La grande réinitialisation (Great Reset) est un gouvernement mondial planifié de style régime communiste, actuellement en cours (par la force) via la pandémie Covid-19 pré-planifiée et canularisée. C’est un programme mondial totalitaire qui est devenu populaire en 1987 grâce aux Nations Unies. Il s’intitulait Agenda 21, car l’objectif était de réinitialiser complètement tous les gouvernements et économies du monde d’ici 2021. Puisqu’ils ne sont pas en mesure de finaliser cet objectif d’ici 2021 et qu’ils devaient prolonger leur calendrier (bien qu’ils aient fait des progrès massifs cette année, en 2020, en utilisant cette pandémie), l’Agenda 21 a été mis à jour à l’Agenda 2030. Cela leur donne dix ans supplémentaires pour achever la prise de contrôle mondiale.

La plupart des Américains sont aveugles à cette invasion, car ils font confiance à des politiciens corrompus qui sont des traîtres à nos lois et libertés, et dont le seul dessein est de mettre en place un gouvernement communiste mondial. Et ce n’est pas seulement un avenir malheureux pour l’Amérique; toutes les nations seront soumises à l’emprise maléfique de ce nouveau gouvernement chimérique. Ses lois vont dévaster et dominer tous les aspects de notre vie quotidienne. En lisant la liste ci-dessous, vous pouvez commencer à voir pourquoi cette pandémie est un excellent outil pour les mondialistes. Voici les changements draconiens de style de vie que nous vivrons dans quelques années si les citoyens de notre nation ne repoussent pas rapidement :

En 1992, lors de la réunion du Sommet de la Terre de l’ONU, dirigée par le Secrétaire général Maurice Strong, l’Agenda 21 a été établi en tant que force mondiale (un rapport et une brochure de 1000 pages intitulé Agenda 21 ont été distribués avec les détails de l’agenda mondial communiste). Il est important de mentionner que Maurice Strong était un partisan dévoué et un résident de la Chine communiste. L’Agenda 21/2030 est fondé sur le communisme. Et pourtant, le président républicain George Bush, avec 177 autres dirigeants mondiaux, a embrassé et soutenu ce « Nouvel Ordre Mondial » communiste, et a signé sur l’Agenda 21. Le propre discours de Bush en 1991 a confirmé son objectif de remettre l’Amérique sous un Nouvel Ordre Mondial.


« Faire renoncer chacun à son droit de respirer de l’air frais est absolument diabolique et insensé. Et pourtant, ces fous qui dirigent notre pays s’en tirent avec toutes ces violations des droits civils parce que les citoyens permettent la parodie sans un regard de défi. »

Dr Igor Shepherd


Le développement durable

Le logo et le slogan du Sommet de la Terre qui se tint à Rio de Janeiro, et qui conduisit à l’adoption de l’Agenda 21, symbolisent bien le plan occulte de l’élite: « Le monde est entre nos mains ».

Afin de convaincre le public de monter à bord de cette “réinitialisation” communiste des gouvernements, l’Agenda 21/2030 est colporté dans le cadre d’un programme de « sauvegarde de l’environnement » fondé par les Nations Unies et appelé Développement durable. L’organisation partenaire, l’Institut international du développement durable (IIDD), expose et définit le développement durable comme : « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Le mot le plus simple pour définir le développement durable est le communisme.

Pour être encore plus précis, le développement durable est le mot « code » du communisme. Partout où vous voyez une organisation promouvoir le développement durable, ou utiliser les termes durable ou durabilité (et presque toutes les grandes entreprises et universités le font), elles promeuvent en fait l’Agenda 21/2030 mondial communiste. L’Agenda 21 ou l’Agenda 2030 n’est généralement pas mentionné aussi ouvertement parce que les partisans préfèrent cacher leur véritable objectif pour le communisme mondial sous un thème « sauver l’environnement ». Ils savent que les populations n’accepteront pas un style de vie communiste, mais s’engageront sans réserve pour sauver la planète. C’est pourquoi, par exemple, les croyances du « passage au vert » et du gaz vert et du changement climatique ont été imposées à la population et largement commercialisées.

Le terme de développement durable est devenu populaire après qu’un rapport de l’ONU de 1987 intitulé, « Notre avenir commun », a été publié par la Commission Brundtland. Cette commission porte le nom de sa présidente, Gro Brundtland, ancienne directrice de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et première femme vice-présidente de l’Internationale socialiste. Les mondialistes promouvant l’Agenda 21 (maintenant l’Agenda 2030) utilisent le terme Développement Durable pour infiltrer efficacement leur agenda communiste dans les villes, comtés et États américains; et d’autres nations. Cette pandémie est maintenant utilisée pour mettre en œuvre les changements.

George Bush Sr n’était pas le seul loup qui avait infiltré le gouvernement américain avec ses vues communistes, trompant ses électeurs. En 1993, le président Clinton a signé le décret 12852, qui a formé le « Conseil présidentiel du développement durable ».

En 2011, le président Obama est allé plus loin pour ancrer les Américains sous l’Agenda 21. (Bien sûr, contrairement à Bush et Clinton, la campagne et la présidence d’Obama ont ouvertement affiché son dévouement envers le communisme). Il a signé le décret 13575, qui a mis en place le « Conseil rural de la Maison Blanche ». Son ordre était sournois. La première section dit :

« Seize pour cent de la population américaine vit dans des comtés ruraux. Des communautés rurales fortes et durables sont essentielles pour gagner l’avenir et assurer la compétitivité américaine dans les années à venir. Ces communautés fournissent notre nourriture, nos fibres et notre énergie, préservent nos ressources naturelles et sont essentielles au développement de la science et de l’innovation. Bien que les communautés rurales soient confrontées à de nombreux défis, elles présentent également un énorme potentiel économique. Le gouvernement fédéral a un rôle important à jouer pour élargir l’accès au capital nécessaire à la croissance économique, promouvoir l’innovation, améliorer l’accès aux soins de santé et à l’éducation et développer les activités récréatives de plein air sur les terres publiques. »

Les communautés rurales durables dans la première section indiquent que le « Conseil rural de la Maison Blanche » nouvellement formé par Obama a été conçu pour promouvoir le plan Agenda 21 des Nations Unies. L’objectif d’Obama à travers ce décret était de transformer fondamentalement l’Amérique.

Presque tous les dirigeants du monde, y compris le président Donald Trump, sont derrière la mise en œuvre de l’Agenda 21/2030 du Développement durable en tant que nouveau mode de vie, ou en clair, en tant que nouveau mode de vie tyrannique dans le cadre de leur nouvel ordre mondial technocratique. Le site internet de la Maison Blanche révèle la vérité que Trump est d’accord avec les politiciens libéraux d’hier et d’aujourd’hui, et à 100% derrière l’agenda communiste du développement durable. Le 17 mai 2018, Trump a signé le décret 13834, intitulé « Opérations fédérales efficaces ». Dans cet ordre, il a le pouvoir de déléguer un dirigeant fédéral en chef de la durabilité (veuillez consulter le document “Implementing Instructions for Executive Order 13834 Efficient Federal Operations, du Conseil sur la qualité de l’environnement, Office fédéral de la durabilité),

En 2018, Trump a fait progresser les objectifs du Programme mondial unique à l’horizon 2030 en signant l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (USMCA). Il a violé la feuille de route légale des lois américaines et a signé cet accord sans ratification du Congrès ou du Sénat. Trump est allé plus loin avec les objectifs de l’Agenda 2030 et, le 24 août 2019, a signé avec ses alliés « mondialistes » du G7 (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon et Royaume-Uni) pour diriger spécifiquement le développement durable et d’autres questions relatives à la mondialisation des nations.

La Maison Blanche est à 100% derrière la grande réinitialisation (Great Reset), et ce pdf.doc 2015, page 18, sur l’Agence américaine pour le développement international (USAID) déclare clairement que les dirigeants du monde ont adopté l’Agenda 2030 pour le développement durable. Leur vision d’un “gouvernement ouvert pour soutenir le développement durable mondial” est établie sur une période de 15 ans (achèvement d’ici 2030), l’administration de la Maison-Blanche s’est engagée à faire en sorte que les efforts visant à mettre en œuvre les objectifs de développement durable (ODD) soient ouverts et transparent en consultation avec la société civile.

C’est pourquoi l’association de l’Agenda 21/2030 appelée Conseil international pour les initiatives écologiques locales (ICLEI), montre plus de 250 villes et comtés américains qui sont membres de ce mouvement pour restructurer le gouvernement, l’économie et la société américains. Elle compte également plus de 1 000 dirigeants municipaux dans 86 pays. Mais vous pouvez parier que l’adhésion dépasse désormais 250 villes américaines. Toutes les universités d’État de la côte ouest que j’ai recherchées sur Google sont liées aux objectifs de développement durable des Nations Unies, comme le montre par exemple l’Université d’État de l’Oregon. Je suis sûr que les universités des États du Midwest et de la côte Est ont les mêmes liens. Tous les fabricants de vaccins Covid-19, y compris AstraZeneca, font la promotion du développement durable sur leurs sites internet. C’est un objectif mondial déjà en place dans le monde entier.

Comment pouvons-nous faire confiance aux entreprises fabriquant les vaccins Covid-19 lorsqu’elles soutiennent un programme mondial qui approuve le dépeuplement ? Comment pouvons-nous être sûrs que leurs vaccins développés sont réellement sans danger pour nous et ne doivent pas être utilisés à des fins de stérilité, de génocide à long terme ou d’altération de l’ADN pour un contrôle mental massif des populations ? La modification génétique fait partie de la technologie sur les vaccins Covid-19, et donc qu’est-ce qui les empêchera de nous injecter des vaccins qui sont génétiquement modifiés pour provoquer le cancer, des mutations génétiques ou des maladies chroniques systémiques afin de faire progresser leur état d’esprit tordu pour atténuer le populations de nations ? Les sites Internet des différents fabricants de vaccins indiquent qu’ils travaillent en étroite collaboration avec la BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority) et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), deux agences militaires impliquées dans des projets d’armes biologiques pour les États-Unis. Les objectifs de former un nouveau gouvernement ont été infiltrés aux plus hauts niveaux à l’échelle mondiale, et c’est pourquoi les citoyens de chaque pays devraient interroger chaque politicien, organisation et société de vaccins liés au développement durable.


« Seuls les tyrans et les personnes qui haïssent l’humanité forceraient les jeunes enfants et les personnes âgées à être privés de l’oxygène vital nécessaire pour assurer une bonne santé. »

Dr Igor Shepherd

https://youtu.be/fUv9rBqtaJs
Film promotionnel de la DARPA pour son 50e anniversaire en 2008.

Forum économique mondial

Aujourd’hui, la principale organisation qui promeut l’Agenda 21/2030 du Développement durable est le Forum économique mondial (FEM). Le fondateur et président est le professeur milliardaire Klaus Schwab. Il est un idéologue et innovateur communiste qui est au centre des affaires mondiales depuis plus de quatre décennies. Il est convaincu que nous sommes au début d’une révolution qui changera fondamentalement notre façon de vivre, de travailler et de nous relier les uns aux autres. Et cette pandémie pré-planifiée a effectivement relancé sa révolution folle, alors qu’il avance avec ses plans tyranniques pour remodeler le monde sous une nouvelle utopie de type « zone crépusculaire » post-Covid 19. Le site internet du FEM explique en détail ce que le monde post Covid-19 ressemblera à d’ici 2030, une fois que les mondialistes auront atteint leurs objectifs.

La page sur le leadership et la gouvernance sur le site internet du FEM et la page de leurs membres et partenaires est informative. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que Schwab a récemment publié un autre livre intitulé : “COVID-19: La Grande Réinitialisation”. Ce livre détaille ce qui attend l’Amérique et le monde après que la pandémie planifiée ait atteint ses objectifs de contrôle humain complet grâce à l’Agenda 2030. Le livre déclare :

« “COVID-19: La Grande Réinitialisation” est un guide pour quiconque veut comprendre comment le Covid-19 a perturbé nos systèmes sociaux et économiques, et quels changements seront nécessaires pour créer un monde plus inclusif, résilient et durable à l’avenir. »

Klaus Schwab est une force à craindre car son culte « orwellien » a pris racine dans le monde entier. Des dirigeants du monde entier, y compris le président Trump, soutiennent ouvertement l’Agenda 2030 de Schwab. Des articles de presse apparaissent partout approuvant la Great Reset de Schwab, tout comme le Time Magazine. Trump lui-même fait la promotion du FEM et de Klaus Schwab sur le site internet de la Maison Blanche : whitehouse.gov.

Les Américains sont naïfs de penser qu’il existe encore un système bipartite et que nos votes comptent. Ce programme mondial pour contrôler tous les aspects de nos vies est mis en branle depuis des décennies, et ces politiciens infiltrés ont fait des pas de géant en trompant le public avec des promesses hogwash [ineptes]. Le président Trump, par exemple, prétend être un patriote conservateur, mais il est loin d’être fidèle à ce pays. Il suit la structure de gouvernance de l’Agenda 2030 et autorise illégalement les juridictions locales (comté, ville, état — comme les gouverneurs, les maires et les départements de la santé) à contourner le processus législatif et à créer leurs propres décrets exécutifs tyranniques et absurdes (sans la science médicale). Le Forum économique mondial, qui est à l’origine de l’Agenda 2030, le déclare sur son site Web :

« Peut-être que des centres de pouvoir alternatifs — au niveau local ou municipal — peuvent offrir une assurance et un moyen plus rapide de faire avancer les choses… Tous les gouvernements pourraient faire mieux en équilibrant l’autonomie et l’agilité au niveau local avec une coordination au niveau national. »

Cette déclaration est la raison pour laquelle le président Trump a renoncé à son autorité sur la réponse de Covid-19 et a délégué son pouvoir aux gouverneurs des États, qui à leur tour ont renoncé à une partie de leur autorité en la confiant aux maires et aux commissaires de comté. Chacun de ces gouverneurs et maires, etc., a rédigé ses propres règles et règlements différents, ce qui a créé la division et le chaos (le chaos affaiblit un gouvernement). Par exemple, certains gouverneurs imposaient des restrictions de voyage, des couvre-feux ou des restrictions folles sur les armes à feu. Certains n’autoriseraient pas les citoyens à se rendre dans leur propre propriété s’ils possédaient une deuxième maison dans l’État, à acheter de la peinture ou ne permettaient pas aux voyageurs de entrer dans leurs États sans mesures de quarantaine de 14 jours. Le maire de Los Angeles a établi une règle selon laquelle il couperait l’électricité et l’eau des maisons où se déroulaient de grands rassemblements. D’où ce maire tire-t-il son autorité pour des mesures aussi draconiennes ? Du président Trump. Trump a participé aux verrouillages, aux distanciations et aux violations des droits civils en ignorant la loi suprême de notre pays. Il a plutôt suivi les règles de gouvernance de l’Agenda 2030 qui confèrent plus de pouvoir de gouvernance aux juridictions locales. C’était un plan brillant pour démanteler notre nation. Une autre preuve de l’allégeance de Trump à l’ordre mondial est qu’il n’a rien fait pour arrêter les ordres illégaux de l’un de ces gouverneurs ou maires. Bien que nous l’entendions parler de l’iniquité, nous ne le verrons jamais arrêter l’injustice. C’est parce qu’il est à bord avec le Forum économique mondial et Klaus Schwab et d’autres dirigeants mondiaux dans la promotion d’un Nouvel Ordre mondial (qui comprend l’application de vaccinations dangereuses à la population par la force militaire).

La trahison n’est pas seulement dans notre gouvernement. L’armée américaine est le moteur de cette grande réinitialisation du communisme mondial. Les communistes ont infiltré l’Amérique de toutes les manières possibles. Les sites internet militaires soutiennent les Objectifs de développement durable et c’est pourquoi ils ont financé et établi des partenariats avec tous les fabricants de vaccins Covid-19. Les vaccins n’ont rien à voir avec notre santé, mais tout à voir avec le contrôle de notre esprit et de notre corps. Ils font partie de la pandémie de canular pré-planifiée qui sape notre mode de vie dans tous les aspects que nous pouvons imaginer. Ils contrôleront ce que nous mangeons, où nous allons, ce que nous faisons et comment nous pensons si nous ne nous élevons pas ensemble dans l’unité et ne les repoussons pas. Ils savent qu’en continuant à priver les Américains de plus de libertés, il y aura éventuellement une énorme opposition d’Américains armés qui se lèvera. Au lieu de créer une guerre sanglante dans les rues et de risquer de perdre beaucoup de leurs propres soldats, il leur est beaucoup plus facile de désarmer le peuple avant qu’une guerre ne puisse s’ensuivre en utilisant une méthode de mise à mort douce, mieux connue sous le nom d’arme biologique. Vacciner rapidement la population (Operaton Warp Speed ​​qui utilise l’armée pour dispenser les vaccins à la population) est une tactique brillante pour éliminer des centaines de milliers de citoyens sans tirer un seul coup. Leur injecter des vaccins toxiques ou altérant l’ADN paralyserait lentement la nation et permettrait l’achèvement de la grande réinitialisation du Nouvel Ordre Mondial.

Pendant ce temps, les ordonnances illégales et constamment contraires à la Constitution sont une jauge pour les mondialistes. Ils sont capables d’analyser la profondeur avec lesquelles ils peuvent manipuler les masses. Une fois qu’ils seront convaincus que les gens ne résisteront pas à leur tyrannie, ils poursuivront la prise de contrôle jusqu’à ce que leur Agenda 2030 soit pleinement mis en œuvre. Une chose est certaine, l’Agenda 2030 n’aurait pas pu accomplir cela rapidement sans la pandémie Covid-19. Cette pandémie était pré-planifiée afin d’ouvrir la porte à l’objectif de plusieurs décennies des élites mondiales de gouverner le monde d’une main de fer. Il existe un document fédéral allemand de réponse à la pandémie (à partir de la page 55) publié en 2012 qui décrit presque exactement un scénario de pandémie comme nous le voyons aujourd’hui. Le virus dans leur scénario est nommé « modi-sars » (coronavirus modifié), ce qui est beaucoup trop proche dans les similitudes avec le virus actuel Covid-19. Le document est étrange car il prédit que la pandémie durera 2 à 3 ans, avec des « vagues » de retour du virus, des réponses strictes, des pénuries alimentaires, des troubles civils et des changements sociétaux. C’est un modèle pour le Covid-19 actuel et les actions et réponses mondiales. L’événement 201 (Event 201), un exercice de pandémie mondiale organisé par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial et la Bill & Melinda Gates Foundation (qui soutiennent tous The Great Reset), s’est produit de manière suspecte le 18 octobre 2019, à New York, juste avant que la pandémie de Covid-19 commence. Il est également important de noter que le CDC chinois a participé à cet exercice. Le scénario pandémique de l’événement 201, comme le document allemand, a également utilisé un nouveau coronavirus simulé et prédit que des millions de personnes mourraient. Ce n’est pas un hasard si les gouvernances et les plaisirs politiques, économiques, religieux et sociétaux de l’Amérique et d’autres pays sont rapidement déstabilisés par cette pandémie, comme cela avait été planifié il y a des années.

Bon travail, les gens ! Depuis le confinement, tout est en train de devenir vert. Continuez !

Cette pandémie se poursuivra pendant 3 ans ou plus jusqu’à ce que les mondialistes aient complètement restructuré l’Amérique (et les autres nations). Ils conditionnent nos esprits à accepter les changements sociétaux à venir grâce à des verrouillages et au port forcé de masques. Les entreprises privées sont obligées de faire faillite car on leur ordonne de fermer ou de servir à un niveau de capacité réduit de 50%. Les mandats de port de masque dangereux montrent également la profondeur du mal auquel nous pouvons nous attendre sous ce nouveau gouvernement mondial. Seuls les tyrans et les personnes qui haïssent l’humanité forceraient les jeunes enfants et les personnes âgées à être privés de l’oxygène vital nécessaire pour assurer une bonne santé. Faire renoncer chacun à son droit de respirer de l’air frais est absolument diabolique et insensé. Et pourtant, ces fous qui dirigent notre pays s’en tirent avec toutes ces violations des droits civils parce que les citoyens permettent la parodie sans un regard de défi.

Chacune des réponses à la pandémie a été mise en œuvre pour « réinitialiser » l’Amérique et les nations. Les verrouillages et les distanciations sont une préparation à une vie d’isolement, car dans le cadre de l’Agenda 2030, la plupart des achats et des ventes se feront en ligne. Il n’y aura pas de magasinage, pas de rassemblement entre amis et pas de sorties dans les parcs. Ils sépareront les masses afin de les contrôler efficacement pour le style de vie isolé qu’ils ont prévu. Fermer des entreprises et les qualifier de « non essentielles » est un excellent plan pour éliminer la propriété privée. Seules les grandes entreprises qui font partie du Great Reset seront considérées comme « essentielles ». La vidéo sur le site internet du Great Reset indique très clairement que seul ce qui est « essentiel » sera nécessaire. Cette vidéo explique pourquoi les termes « essentiel » et « non essentiel » ont été adoptés. C’est la terminologie de la transformation gouvernementale, économique et sociétale de l’Agenda 2030. Les voyages, les avions, les voitures, la consommation de viande, la possession de maisons, de terrains ou d’appareils de luxe comme les climatiseurs seront tous considérés comme non essentiels, selon les règles du Great Reset. Et sur ce site Web, ils visent à reprogrammer les lecteurs pour qu’ils acceptent les changements mondiaux en louant les verrouillages et en nous traitant tous de « héros du changement climatique » parce que, comme ils le vantent fièrement, « tout devient maintenant vert » (comme pour isoler les gens les uns des autres c’est une bonne chose). Ils propagent le mensonge que moins de conduite, moins de vol, et moins de déplacements est ce qui est le mieux pour nous dans le cadre de cette nouvelle réinitialisation mondiale. En d’autres termes, nous sommes tous des héros si nous sommes prêts à vivre une vie d’isolement total et à renoncer à toutes nos libertés civiles afin de sauver l’environnement de la planète. Cette PsyOp [NdNM : « Opération Psychologique » – lien ajouté] du Nouvel Ordre Mondial est au-delà du diabolique.

Et une fois que les vaccinations Covid-19 seront dispensées, et que nos gènes humains d’origine seront corrompus par le génie génétique, et que nous perdons notre originalité et notre pureté naturelle en tant qu’êtres humains, ils auront réussi non seulement à nous asservir mais à contrôler nos esprits, nos pensées, nos comportements. et nos humeurs.

Technocratie

L’Agenda 2030 sera une nouvelle forme de totalitarisme étroitement liée à la technocratie. La technocratie est un système idéologique de gouvernance dans lequel ceux qui sont au pouvoir (les technocrates) contrôlent les masses et dirigent les nations grâce à des connaissances techniques avancées. C’est l’une des raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G était importante et s’est déployée, malgré la preuve scientifique de ses dangers pour la santé. Les verrouillages, fermetures d’entreprises et distanciations font partie d’un conditionnement pour préparer les masses à ce type de mode de vie sévèrement réglementé. Dans son livre, « Between Two Ages: Americas Role in the Technetronic Era », l’ancien gourou politique et mondialiste Zbigniew Brzezinski affirme que la souveraineté est une fiction et que « l’ère technétronique implique une société plus contrôlée et dirigée, dominée par une élite dont la revendication du pouvoir politique reposerait sur un savoir-faire scientifique prétendument supérieur utilisant les dernières techniques modernes pour influencer le comportement public et maintenir la société sous étroite surveillance et contrôle. »

La grande réinitialisation de Klaus Schwab est tout à propos de l’âge de la technocratie. Il a écrit un livre sur cette nouvelle ère en 2016 intitulé « The Fourth Industrial Revolution [NdNM: lien ajouté] ». Les critiques décrivent son livre comme suit : « Super informatique mobile omniprésente. Robots intelligents. Voitures autonomes. Améliorations neuro-technologiques du cerveau. Édition génétique. La preuve d’un changement dramatique est partout autour de nous et cela se produit à une vitesse exponentielle. » Klaus, bien sûr, veut que la technocratie soit utilisée comme un moyen de contrôler la population mondiale au profit de ceux qui sont au pouvoir.

Cette page du FEM de Schwab sur la mondialisation et ce qu’elle signifie pour le monde et l’Amérique coïncide avec son livre sur l’ère technocratique. En voici un extrait : 

« Le rythme sans précédent du changement technologique signifie que nos systèmes de santé, de transport, de communication, de production, de distribution et d’énergie — pour n’en nommer que quelques-uns — seront complètement transformés. La gestion de ce changement exigera non seulement de nouveaux cadres de coopération nationale et multinationale, mais aussi un nouveau modèle d’éducation, assorti de programmes ciblés pour enseigner de nouvelles compétences aux travailleurs. Avec les progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle dans le contexte des sociétés vieillissantes, nous devrons passer d’un récit de production et de consommation à un récit de partage et de bienveillance. »

Bill Gates, le fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill et Melinda Gates, le milliardaire excentrique qui a financé la pression pour le dépeuplement et les nouvelles vaccinations « ARN » Covid-19, a également le nez dans l’avancée de l’ère de la technocratie. Il a investi dans une nouvelle technologie satellitaire, investi 85 millions de dollars dans la société Kymeta Satellite, et a un brevet Microsoft en instance appelé Cryptocurrency System Using Body Activity Data (WO/2020/060606). Le brevet est créé pour fonctionner dans un système numérique sans numéraire en reliant les personnes à un serveur où des tâches réelles sont données et où l’énergie et les ondes cérébrales du corps sont générées et utilisées pour extraire la crypto-monnaie. Tel est bien sûr l’objectif de l’Agenda 2030 : contrôler nos finances grâce à une technologie de pointe. Une fois qu’un gouvernement contrôle nos comptes bancaires, il contrôle nos vies. Et cette forme d’achat et de vente sans numéraire n’est pas loin. Ceux qui ont créé cette pandémie ont provoqué des lock-out [fermetures] et des ordres de mise à distance pour conditionner la population à accepter cette nouvelle structure bancaire isolée. C’est pourquoi les démocrates de la Chambre ont ajouté un libellé dans le plan original de la loi CARES de 2 milliards de dollars qui appelait à la création d’un dollar numérique américain mandaté, par le biais de ce qu’ils ont appelé le portefeuille numérique. Cela n’a pas fait partie du projet de loi final, mais il le sera finalement, à mesure que le nouveau gouvernement technocratique ira de l’avant avec ses plans mondiaux.

L’entrepreneur milliardaire Elon Musk, qui est la force derrière les voitures électriques Tesla, est en phase avec l’idéologie technocratique inquiétante de Klaus Schwab. Musk a récemment dévoilé un implant cerveau-ordinateur sans fil pour les neurosciences qu’il appelle Neuralink. Neuralink vise à implanter des interfaces cerveau-ordinateur sans fil comprenant des milliers d’électrodes dans le cerveau pour aider à guérir les affections neurologiques et les lésions de la moelle épinière. Il a déjà fait implanter cette puce informatique de la taille d’une pièce dans le cerveau d’un porc pour des études. Cela peut sembler plausible et être une grande avancée pour la science médicale, mais ce n’est pas le cas. Le but ultime de Musk, comme Bill Gates, est de fusionner l’humanité avec l’intelligence artificielle et de créer le transhumain parfait. Musk est sur la même voie que Gates et est également investi dans les satellites. Ne pensez pas une seule minute que l’élite mondiale, les technocrates pesant actuellement leur pouvoir sur l’humanité, n’ont pas le même objectif en tête concernant le vaccin Covid-19 et leur nouvelle « édition génétique » révolutionnaire.


« Voler nos esprits par la tromperie est exactement leur plan d’action. Par conséquent, battons ce Nouvel Ordre Mondial et résistons à la tyrannie, et une partie de l’arrêt du Great Reset consiste à arrêter le vaccin ! »

Dr Igor Shepherd

Transhumanisme

Logo du mouvement transhumaniste

La technocratie ne peut être accomplie tant que chaque personne n’est pas vaccinée. Leurs plans vont au-delà de forcer les masses à rester à la maison devant leurs ordinateurs pour le reste de leur vie. Ils ont déjà mis en place un programme beaucoup plus néfaste et sinistre, et c’est le transhumanisme, qui est le contrôle du corps humain et de l’esprit humain en fusionnant l’humanité avec la machine. Pour ce faire, les mondialistes doivent modifier notre ADN avec de l’ADN artificiel. Le transhumanisme est leur but ultime pour contrôler le monde parce que les globalistes auront les capacités de contrôler la volonté du peuple. Ils ne nous diront certainement pas qu’ils vont altérer notre ADN et faire de nous des zombies parce que la plupart des gens (j’espère) lutteraient contre ce vol de notre esprit.

La pandémie de Covid-19 était l’outil parfait pour instiller la peur et la panique, et amener la population à accepter les vaccinations obligatoires qui contiennent de l’ADN artificiel qui peut changer de manière irréversible notre génome humain pour toujours. Cela semble-t-il absurde? Peut-être il y a 50 ans, mais dans le monde d’aujourd’hui, cette technologie est déjà développée. Les objectifs pour le contrôle mondial des nations n’ont rien de nouveau, et nous ne devons pas être naïfs en pensant que cette forme d’esclavage n’est pas le «sommet» ultime pour les dirigeants fous et avides de pouvoir.

En mai 2010, la Fondation Rockefeller, en lien avec le Global Business Network du futurologue Peter Schwartz, a publié un rapport prophétique (plus de preuves que la pandémie de Covid-19 était pré-planifiée) intitulé : “Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international” [NdNM : voir La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]. Ce rapport contient différents scénarios de type futur. Un scénario semble être un modèle exact pour les réponses et les actions actuelles de la pandémie Covid. Il porte le sous-titre intrigant : « LOCK STEP : Un monde de contrôle gouvernemental plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une répulsion croissante des citoyens ». Cette section indique :

« En 2012, la pandémie que le monde prévoyait depuis des années a finalement frappé. Contrairement à la grippe H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe — provenant d’oies sauvages — était extrêmement virulente et mortelle. Même les pays les plus préparés à la pandémie ont été rapidement submergés lorsque le virus sévit dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois … La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des marchandises s’est arrêtée, ce qui a affaibli des industries comme le tourisme et briser les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

L’extrait continue et est assez effrayant : 

« Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées aux espaces communs comme les gares et supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus mondiaux — des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la pauvreté croissante — partout dans le monde ont pris une emprise plus ferme sur le pouvoir. »

Il ne fait aucun doute que cette pandémie était un outil pré-planifié pour mettre en œuvre un nouvel ordre mondial et réinitialiser la vie de chaque être humain [NdNM : voir Preuves que la pandémie a été planifiée ?]. Cette réinitialisation des nations et de l’Amérique est en cours et il est trop tard pour voter. Chaque nouveau président mettra en œuvre ce qui est déjà en place dans le cadre des objectifs de développement durable. Les racines de l’Agenda 21 ont commencé sous l’égide de l’ONU, par des communistes de Chine. Et maintenant, le gouvernement et l’armée américains sont à genoux dans des partenariats avec la Chine afin de développer les mauvais vaccins Covid-19. C’est une trahison contre les valeurs et les libertés américaines. La société de vaccins Pfizer Covid-19 est associée à Fosun, la société chinoise de vaccins de Shanghai, et tout comme Pfizer, Fosun est au lit avec les objectifs de développement durable. Pfizer est également en partenariat avec la société pharmaceutique chinoise CanSinoBIO. Une simple recherche sur Google montrera combien de Chinois ont été et sont actuellement liés à des entreprises américaines et européennes. Ce n’est pas une simple coïncidence si cette pandémie a commencé en Chine, ou que nos dirigeants suivent les réponses draconiennes de la Chine à la pandémie et nous privent de nos droits. La Chine fait déjà partie de notre gouvernement. Et ne pensez pas que la Russie est parfaitement propre. Ils ne font qu’un avec la Chine et cette réinitialisation mondiale, et tout aussi ravis de voir leur vision du communisme surpasser le monde libre.

Biden, un communiste avoué, sera bientôt le nouveau président, ce qui signifie des problèmes plus profonds pour l’Amérique. Nous avons une chance de repousser et de contrecarrer les plans mondiaux en résistant et en refusant de prendre le vaccin Covid-19. Ils ont besoin de nous tous vaccinés pour accomplir et finaliser ce nouveau gouvernement technocratique dictatorial extrême. Ils ne peuvent pas obtenir le contrôle total des masses tant qu’ils n’ont pas injecté ces vaccins génétiquement modifiés dans notre corps et modifié notre génome humain avec leurs matériaux synthétiques. Une fois vaccinés, nous devenons transhumains et nous mettons du mastic entre leurs mains pour un contrôle total de nos humeurs, comportements et pensées. Voler nos esprits par la tromperie est exactement leur plan d’action. Par conséquent, battons ce Nouvel Ordre Mondial et résistons à la tyrannie, et une partie de l’arrêt de la Grande Réinitialisation consiste à arrêter le vaccin !

https://youtu.be/TjlJekdfHI8

[Voir aussi : articles sur la Grande Réinitialisation ou Great Reset.]




Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste

[Source : Leviathan]

Traduction de l’article “Klaus Schwab and his great fascist reset”, par Winter Oak

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecterait nos corps avec les nanotechnologies et dans lequel la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et pour l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation ».

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du XXIe siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base : de remodeler l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens manifestement autoritaires.

Ce nouveau fascisme est aujourd’hui avancé sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

La fusion de l’État et des entreprises était au centre du projet fasciste original, en Italie et en Allemagne.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des affaires et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme consistait à utiliser l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite riche.

Schwab poursuivait cette approche dans un contexte dénazifié d’après-guerre, lorsqu’en 1971 il fonda le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il faisait la promotion de son idéologie du capitalisme stakeholder (un capitalisme des intéressés ou des parties prenantes) dans lequel les entreprises étaient amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement.

Le capitalisme stakeholder est décrit par le magazine d’affaires Forbes comme « l’idée qu’une entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de toutes ses stakeholders : clients, employés, partenaires, la communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie, simplement, que les entreprises puissent « continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de stakeholder est encore plus néfaste, rejetant toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, en faveur du gouvernement par le business.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne en génie mécanique), où son utilisation du terme stakeholders a effectivement redéfini les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres des communautés, mais en tant que participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était « d’assurer la croissance et la prospérité à long terme » de cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum comme Le Forum Économique Mondial ou World Economic Forum.

Le FEM/WEF se décrit sur son propre site Web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé » et ses admirateurs décrivent comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres dirigeants de la société pour “définir, discuter et faire avancer les questions clés sur l’agenda mondial” ».

Les « partenariats » que crée le WEF visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus non élus triés sur le volet, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais de lui imposer la domination du 1% avec aussi peu d’interférence que possible de la part de nous autres.

Dans les livres qu’écrit Schwab pour le grand public, il s’exprime dans les clichés hypocrites du marketing et de l’écoblanchiment.

Les mêmes termes creux se répètent en boucle. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des stakeholders et de la répartition des avantages » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous à « un avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière ces fanfaronnades, la véritable motivation qui anime son capitalisme stakeholder, qu’il promouvait toujours sans relâche à la conférence de Davos du WEF en 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son livre de 2016, The Fourth Industrial Revolution, Schwab écrit sur l’ubérisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, en particulier les start-ups à croissance rapide dans l’économie numérique : « Puisque les plates-formes “human cloud” classent les travailleurs comme indépendants, ils sont – pour le moment – libres de l’obligation de payer le salaire minimum, les impôts des employeurs et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude envers les personnes qui approchent de la fin de leur vie professionnelle et qui ont besoin d’un repos bien mérité : « Le vieillissement est un défi économique car à moins que l’âge de la retraite ne soit considérablement augmenté pour que les membres plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage des personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde est réduit aux défis économiques, aux impératifs économiques et aux avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies destinées à nous exploiter et à nous contrôler et Schwab joue là-dessus lorsqu’il déclare que

« la quatrième révolution industrielle [4eRI] représente une source importante d’espoir pour accompagner la montée en puissance du développement humain qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme :

« Bien que cela puisse ne pas sembler capital pour ceux d’entre nous qui vivent quotidiennement une série d’ajustements mineurs mais significatifs de la vie, ce n’est pas un changement mineur – la quatrième révolution industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, à égalité avec les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et encore une fois motivée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas neutre sur le plan idéologique, comme certains aiment le prétendre. Les technologies et les sociétés se façonnent, dit-il.

« Après tout, les technologies sont liées à la façon dont nous savons les choses, comment nous prenons des décisions et comment nous pensons à nous-mêmes et les uns aux autres. Ils sont liés à nos identités, nos visions du monde et nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course spatiale, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation “développée” repose implicitement sur l’adoption des technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui la sous-tendent, n’a jamais été une question de bien social mais uniquement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa quatrième révolution industrielle.

Il explique :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle sont vraiment perturbatrices – elles bouleversent les façons existantes de détecter, calculer, organiser, agir et fournir. Ils représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où la signification de « créer de la valeur » n’était pas claire, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employé qui travaille parmi nous, qui réduit les coûts et qui effectue des tâches qui impliquaient autrefois de vraies personnes » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus performants étend rapidement la productivité des employés – par exemple, en utilisant des robots de discussion pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) le support “live chat” pour les interactions avec les clients ». (9)

Dans The Fourth Industrial Revolution, Schwab nous précise en détail comment son “Meilleur des mondes” va réduire les coûts et augmenter les profits.

Il explique :

« Plus tôt que prévu, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les assureurs ou les bibliothécaires peut être partiellement ou totalement automatisé… »

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération de récits automatisés, prévoit qu’au milieu des années 2020, 90% des infos pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui alimente l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons ». (11)

Schwab est lyrique à propos de la quatrième révolution industrielle, qui, selon lui, est « différent de tout ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il clame :

« Considérez les possibilités illimitées d’avoir des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, des capacités de stockage et un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante de percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage d’énergie et l’informatique quantique, pour n’en nommer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations en sont à leurs balbutiements, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement alors qu’elles se renforcent et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique ». (13)

Il attend avec impatience plus d’éducation en ligne, qui impliquerait « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires ». (14) Schwab espère également voir des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et accessoires, les villes, les transports et les réseaux d’énergie » (15 ) et des villes intelligentes, avec leurs « plates-formes de données » essentielles. (16)

« Tout sera intelligent et connecté à Internet», dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « des capteurs câblés dans le bétail peuvent communiquer entre eux par un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il adore l’idée d’ « usines de cellules intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies du big data ». (19)

Celles-ci, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de nos vies personnelles.

« L’établissement de la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions sera vital », insiste Schwab. « Les préoccupations des citoyens concernant la vie privée et l’établissement de la responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements de réflexion ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette excitation technologique tourne uniquement autour du profit, ou de la « valeur », comme Schwab préfère l’appeler dans sa novlangue capitaliste du XXIe siècle.

Ainsi, la technologie blockchain sera formidable et provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie des registres distribués, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui peuvent rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

En général, l’intérêt de la 4eRI ​​pour l’élite dirigeante du business est qu’il « créera des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donnera naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer avec un état d’esprit coincé dans la troisième révolution industrielle ». (25)

Les technologies de la quatrième révolution industrielle, déployées par la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab : « Les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec un certain plaisir comment ces technologies « peuvent pénétrer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit :

« À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation augmentera pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il y a des moments où le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un avenir de science-fiction dans lequel « les voyages humains à longue distance et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et où « le prochain business model » pourrait donner à un consommateur la possibilité d’ « échanger l’accès à ses pensées contre l’option qui permet d’économiser du temps de taper une publication sur les réseaux sociaux par la seule pensée ». (31)

Parler de « tourisme spatial » sous le titre « la quatrième révolution industrielle et la dernière frontière » (32) est presque drôle, tout comme sa suggestion qu’un « monde plein de drones offre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde décrit dans les livres de Schwab, moins tout cela semble faire rire.

La vérité est que cette figure très influente, au centre du nouvel ordre mondial en cours de création, est un transhumaniste qui rêve de priver l’humanité d’une vie naturelle et de communautés saines.

Schwab répète ce message à maintes reprises, comme pour être sûr que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir mettra au défi notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle [4eRI] ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles feront partie de nous. En effet, certains d’entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront probablement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous deviendrons plus capables de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces développements soulèvent des questions profondes : où tracer la ligne entre l’homme et la machine ? Que signifie être humain ? » (37)

Une section entière de ce livre est consacré au thème « Modifier l’être humain ». Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit :

« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ». (39)

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure ». (40)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », (41) que « le Smart Dust [une poussière dite intelligente], des tableaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de la 4eRI de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau, suffit à rendre certains d’entre nous un peu malades, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la RV via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

Il est peu réconfortant d’apprendre que c’est tout – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste car cela « annonce de nouvelles industries et systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer dans la quatrième révolution industrielle des systèmes de valeur tout à fait inédits ». (45)

Et qu’en est-il de « la bio-impression des tissus organiques » (46) ou de la suggestion selon laquelle « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Objections éthiques ?

Tout cela est évidemment bon pour Schwab, qui est heureux d’annoncer : « Le jour où les vaches seront conçues pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles manquent, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier les génomes des porcs dans le but de cultiver des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Cela devient encore plus inquiétant. Depuis le sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans lequel Schwab est né, cette science a été jugée hors de propos par l’ humanité.

Mais maintenant, il pense manifestement que l’eugénisme est dû à un renouveau et il annonce à propos de l’édition génétique : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans I, Cyborg, le tristement fameux traité transhumaniste de 2002, Kevin Warwick prédit :

« Les humains pourront évoluer en exploitant la super-intelligence et les capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en se joignant à eux. Tout cela indique le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de “cyborgs”. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre état d’humain, qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais soyez averti – tout comme nous, les humains, nous nous sommes séparés de nos cousins ​​chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront effectivement les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine artificielle et « supérieure » se séparant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution : « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui oblige les êtres humains à s’adapter sans arrêt. En conséquence, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite plus haut. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens des mots. Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine radicale générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements au-delà de tout ce que nous avons vu auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une « grande transformation » en 2016 (52) et il est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de l’artifice, de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.

Mais, comme l’a révélé sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il est préoccupé par la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et par la manière d’avancer « si les technologies reçoivent beaucoup de résistance du public ». (54)

Les fiestas annuelles WEF de Schwab à Davos ont longtemps fait l’objet de manifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité que l’opposition à son projet se renouvelle et peut-être s’élargisse, avec le risque de « ressentiment, peur et répercussions politiques ». (55)

Dans son livre le plus récent, il fournit un contexte historique, notant que « l’anti-mondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins dans les années 1920, mais elle a repris dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression » . (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le contrecoup politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer » (57), affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue à travers le monde ces deux dernières années, citant les Gilets Jaunes en France parmi d’autres mouvements, et invoque le « sombre scénario » selon lequel « la même chose pourrait se reproduire ». (58)

Alors, comment un technocrate honnête est-il censé déployer son avenir choisi pour le monde sans l’accord du public mondial ? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous ?

Une solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable produite par les grandes médias et les intellectuels pour l’élite du 1% – ce qu’ils aiment appeler « un récit ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à sauter à bord de sa 4eRI express reflète la tragédie selon laquelle « le monde manque d’un récit cohérent, positif et commun qui décrit les opportunités et les défis de la quatrième révolution industrielle, un récit qui est essentiel si nous allons responsabiliser un ensemble diversifié d’individus et de communautés et éviter une réaction populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute : « Il est donc essentiel que nous investissions attention et énergie dans la coopération multipartite au-delà des frontières académiques, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des récits positifs, communs et pleins d’espoir, permettant aux individus et aux groupes de toutes les régions du monde de participer et de profiter des transformations en cours ». (60)

L’un de ces « récits » blanchit les raisons pour lesquelles la technologie de la 4eRI doit être installée partout dans le monde dès que possible.

Schwab se sent frustré que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – ne puisse toujours pas accéder à Internet », (61) 85% de la population des pays en développement restant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans le monde développé.

Le but réel de la 4eRI ​​est d’exploiter ces populations à des fins lucratives via le techno-impérialisme mondial, mais bien sûr cela ne peut pas être déclaré dans le « récit » de propagande nécessaire pour vendre le plan.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme le fait Schwab lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, l’opportunité et la liberté à toutes les stakeholders ». (62)

Il se présente pieusement comme le gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant :

« Penser inclusivement va au-delà de penser à la pauvreté ou aux communautés marginalisées simplement comme une aberration – quelque chose que nous pouvons résoudre. Cela nous oblige à nous rendre compte que “nos privilèges se situent sur la même carte que leurs souffrances”. Il va au-delà du revenu et des droits, bien que ceux-ci restent importants. Au lieu de cela, l’inclusion des stakeholders et la répartition des avantages élargissent les libertés pour tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « récit » conçu pour inciter les citoyens bien pensants à soutenir un schéma capitaliste impérialiste, a été largement utilisée en ce qui concerne le changement climatique.

Schwab est, bien sûr, un grand fan de Greta Thunberg, qui s’était à peine levée du trottoir après sa manifestation solitaire à Stockholm avant d’être emmenée pour s’adresser au WEF à Davos.

Il soutient également le projet mondial d’un Nouveau Deal pour la Nature, en particulier par Voice for the Planet, qui a été lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de jeunesse créée par Schwab en 2011 et bien décrite par la journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « une démonstration grotesque de malversations d’entreprise déguisées en bonnes actions ».

Dans son livre de 2020, Schwab décrit en fait la manière dont le faux « militantisme des jeunes » est utilisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une franchise remarquable :

« Le militantisme des jeunes augmente dans le monde entier, étant révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation à un point qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’il sera le catalyseur du changement et une source d’élan très importante pour la grande réinitialisation ». (64)

En fait, bien sûr, l’avenir ultra-industriel proposé par Schwab est autre chose que vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à investir dans les marchés verts et sociaux ». (65)

La pollution génère du profit et la crise environnementale n’est qu’une autre opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution : « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone se transforme d’un polluant à effet de serre en un actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone – un puits de pollution coûteux – implique plutôt des installations rentables de captage du carbone et d’utilisation-production. Plus important encore, il aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à devenir plus conscients et à s’engager dans des stratégies de régénération active du capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et permettre à la biodiversité de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages déchirants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel empirent la situation.

La géo-ingénierie est l’un de ses favoris : « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’ensemencement chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Et il ajoute : « De nouvelles approches sont actuellement imaginées à travers la combinaison des technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que les nanoparticules et d’autres matériaux avancés ». (68)

Comme toutes les entreprises et ONG pro-capitalistes qui soutiennent le Nouveau Deal pour la nature, Schwab est totalement et profondément non vert.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’énergie « propre » et « durable » comprend la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter plus de 4 milliards de personnes toujours en manque d’accès en ligne ». (70)

Schwab regrette également toutes les formalités administratives qui empêchent la marche en avant sans entrave des aliments génétiquement modifiés, nous avertissant que :

« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte, cependant, que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que l’édition génique offre une méthode précise, efficace et sûre d’amélioration des cultures ». (71)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab s’étendra au monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le répète à plusieurs reprises.

Son avenir préféré « ne se réalisera que grâce à une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une certaine forme de gouvernance mondiale efficace » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un éventuel « déficit d’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant improbablement que l’Organisation mondiale de la santé « est accablée de ressources limitées et en baisse ». (75)

Ce qu’il raconte en réalité, c’est que sa société de 4eRI / Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle s’impose simultanément partout sur la planète, sinon « nous deviendrons paralysés dans nos tentatives pour relever et répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet : « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres questions ». (77)

Cet empire englobant fronce beaucoup les sourcils à l’idée que des populations particulières décident démocratiquement de prendre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui expose ces nations au risque de devenir les retardataires de la nouvelle économie numérique » (78), prévient Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance populaire est considéré comme une menace du point de vue impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4eRI.

Il écrit :

« Les individus identifiaient le plus étroitement leur vie avec un lieu, un groupe ethnique, une culture particulière ou même une langue. L’avènement de l’engagement en ligne et une plus grande exposition aux idées d’autres cultures signifie que les identités sont désormais plus interchangeables qu’auparavant… Grâce à la combinaison de modèles de migration historiques et d’une connectivité à faible coût, les structures familiales sont redéfinies ». (79)

La vraie démocratie tombe essentiellement dans la même catégorie pour Schwab. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas volontiers des plans visant à détruire leur vie et à les asservir à un système mondial d’exploitation techno-fasciste, alors leur donner leur mot à dire n’est tout simplement pas une option.

C’est pourquoi le concept du stakeholder a été si important pour le projet de Schwab. Comme discuté ci-dessus, il s’agit de la négation de la démocratie, qui propose plutôt de « tendre la main à tous les groupes de parties prenantes pour trouver des solutions ». (80)

Si le public, le peuple, est inclus dans ce processus, ce n’est qu’à un niveau superficiel. L’ordre du jour a déjà été pré-supposé et les décisions pré-prises dans les coulisses.

Schwab l’admet effectivement lorsqu’il écrit : « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les stakeholders pour assurer une compréhension mutuelle qui renforce davantage une culture de confiance entre les régulateurs, les organisations non gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer au façonnement démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être considéré, après coup. Pas même directement consulté, juste « pris en compte » ! Et le rôle du peuple, le demos, sera simplement de « participer » au « façonnement » des développements biotechnologiques. La possibilité pour le public de rejeter l’idée même des développements biotechnologiques a été entièrement supprimée grâce à la formule des stakeholders et ses suppositions délibérément intégrées.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de son livre Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution : « Ce que vous pouvez faire pour façonner la quatrième révolution industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être contestée ou arrêtée, simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme anglais « systems leadership » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont le 1% nous impose à tous son programme, sans nous donner la chance de dire « non ».

Il écrit : « Le systems leadership consiste à cultiver une vision partagée du changement – en travaillant avec toutes les stakeholders de la société mondiale – puis à agir en conséquence pour changer la manière dont le système offre ses avantages, et à qui. Le systems leadership nécessite une action de toutes les stakeholders, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant à spectre complet de « système de gestion de l’existence humaine » (84), bien que d’autres préfèrent le terme « totalitarisme ».

L’une des caractéristiques distinctives du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience face aux contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » en langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela a dû être balayé pour permettre un Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons le même esprit resurgir dans les appels de Schwab à une « gouvernance agile » dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent les cycles et processus d’élaboration des politiques précédents inadéquats ». (85)

Il écrit : « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à égaler l’agilité, la fluidité, la flexibilité et l’adaptabilité des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » met vraiment à nu ses idées. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées de manière à s’adapter aux exigences du capitalisme et de ses technologies à but lucratif.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de soi-disant laboratoires de politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite d’expérimenter de nouvelles méthodes d’élaboration de politiques en utilisant des principes agiles » – et « d’encourager les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des “bacs à sable de développement” et des “bancs d’essai expérimentaux” pour élaborer des réglementations utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire progresser les objectifs capitalistes et non de les soumettre à une quelconque forme de contrôle. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État pour permettre une prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins attaché à sa fonction de régulation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans des mains privées, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab discute du problème des réglementations embêtantes et de la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la confidentialité.

Il propose « des accords de partage de données public-privé qui “brisent la vitre en cas d’urgence”. Ceux-ci ne se réalisent que dans des circonstances d’urgence préalablement convenues (comme une pandémie) et peuvent aider à réduire les retards et à améliorer la coordination des premiers intervenants, permettant temporairement le partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu effectivement une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence préalablement convenues » sont devenues une réalité.

Cela n’aurait pas dû être trop surprenant pour Schwab, puisque son Forum avait co-organisé en octobre 2019 la tristement célèbre conférence Event 201, qui a modélisé une pandémie de coronavirus fictive.

Et il n’a pas perdu de temps à sortir un nouveau livre, Covid-19 : The Great Reset, co-écrit avec Thierry Malleret, qui dirige quelque chose qui s’appelle The Monthly Barometer, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs et faiseurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et devrait peut-être ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes » . (92)

Ils continuent : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’excuse d’un changement social sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » !

Et bien qu’ils déclarent explicitement que Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs utilisent à plusieurs reprises le même terme pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret placent Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale :

« La Seconde Guerre mondiale a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre mondial et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux en ce qui concerne les politiques et les dispositions du contrat social (comme les femmes qui rejoignent le marché du travail avant de devenir électrices). Il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons plus en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables ». (94)

Ils se joignent également à de nombreux « complotistes » contemporains pour faire une comparaison directe entre Covid-19 et le 11 septembre : « C’est ce qui s’est passé après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité comme l’utilisation généralisées de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des arrivées et des départs de salariés ou de visiteurs sont devenu la norme. A l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme “normales” ». (95)

Lorsqu’un tyran déclare le droit de régner sans tenir compte du point de vue de la population, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement en droit de le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la grande tyrannie de Schwab, alimentée par Covid, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant : « certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir prendre avantage du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus larges. En effet, ils feront “bon usage” de la pandémie en ne laissant pas la crise se gâter ». (96)

L’élite dirigeante du capitalisme mondial a certainement fait de son mieux pour « profiter du choc infligé par la panique », nous assurant depuis les tout premiers jours de l’épidémie que, pour une raison insondable, rien dans nos vies ne pouvait rester pareil.

Schwab et Malleret sont, inévitablement, enthousiastes dans leur utilisation du cadrage New Normal, bien qu’ils admettent que le virus n’a jamais été que « bénigne ».

« C’est notre moment décisif », pavoisent-ils. « Beaucoup de choses changeront à jamais ». « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent :

« Des changements radicaux d’une telle ampleur sont à venir que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » (BC) et « après le coronavirus » (AC). Nous continuerons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements – à mesure qu’ils s’amalgament, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront une “nouvelle normalité” radicalement différente de celle que nous abandonnerons progressivement. Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler seront brisées au cours du processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait de « nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prévoyait : « L’échelle de la révolution technologique en cours entraînera des changements économiques, sociaux et culturels d’une telle ampleur phénoménale qu’ils sont presque impossibles à envisager ». (101)

Une manière dont il avait espéré que son programme technocratique serait avancé était, comme nous l’avons noté, par les fausses « solutions » au changement climatique proposées par de faux verts capitalistes.

Sous le titre « réinitialisation de l’environnement », Schwab et Malleret déclarent : « À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins ​​éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatiques et virales ont été utilisées par le WEF et leurs semblables pour faire avancer leur programme de gouvernance mondiale. Comme l’ont dit Schwab et son co-auteur, « ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la façon dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) impliquent des profits massifs pour, en grande partie, les mêmes secteurs du big business.

Covid-19 a évidemment été une excellente nouvelle pour les capitalistes qui espéraient tirer profit de la destruction de l’environnement. Schwab et Malleret écrivent : « La conviction que les stratégies ESG [Environmental, Social and Corporate Governance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du soi-disant « secteur de la durabilité » se frottent les mains avec joie à la perspective de tout l’argent qu’ils ont à gagner grâce à la grande réinitialisation fasciste prétextée par Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leur rapacité hypocrite.

Remarque Schwab et Malleret : « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum économique mondial estime que la construction d’une économie favorable à la nature pourrait représenter plus de 10 000 milliards de dollars par an d’ici à 2030… La réinitialisation de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Compte tenu de l’imbrication des crises climatique et de Covid énoncées par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation de la nouvelle normalité sur le dos de la crise climatique.

Mais, manifestement, toute cette publicité pour Greta Thunberg et Extinction Rebellion (mouvement soutenu par les grandes entreprises) n’a pas suscité suffisamment de panique publique pour justifier de telles mesures.

Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer et de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux.

« Cette différence cruciale entre l’horizon temporel respectif d’une pandémie et celui du changement climatique et de la perte de la nature signifie qu’un risque de pandémie nécessite une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la perte de la nature nécessitent également une action immédiate, mais le résultat (ou “récompense future”, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils veulent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent : « Il est clair que la pandémie approfondit et accélère des tendances géopolitiques qui étaient déjà apparentes avant que la crise n’éclate ». (109)

« La pandémie marquera un tournant, en accélérant cette transition. Il a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils peuvent à peine cacher leur joie face à la direction que prend désormais la société :

« La pandémie accélérera encore plus l’innovation : elle catalyse les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et elle “suralimente” toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la “transformation numérique” à laquelle tant d’analystes se réfèrent depuis des années, sans savoir exactement ce qu’elle voulait dire, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur du confinement sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente. »

« En avril 2020, plusieurs leaders technologiques ont observé à quelle vitesse et de quelle manière radicale les besoins créés par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois à peine, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption de la technologie, avaient progressé rapidement de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit évidemment à Klaus Schwab, car cette crise de Covid-19 a heureusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects de l’agenda qu’il a promu au fil des décennies.

Ainsi, Malleret et lui rapportent avec satisfaction que « la pandémie accélérera l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements à travers le monde ont, il va sans dire, fourni un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent :

« Les consommateurs ont besoin de produits et s’ils ne peuvent pas acheter, ils auront inévitablement recours à les acheter en ligne. Au fur et à mesure que cette habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais acheté en ligne auparavant seront à l’aise de le faire, tandis que les personnes qui étaient des acheteurs en ligne à temps partiel auparavant en deviendront plus dépendants. Cela a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché au total 250 000 travailleurs pour répondre à l’augmentation de la demande et ont construit une infrastructure massive pour les commandes en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du commerce en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient à l’époque pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent :

« Alors que de plus en plus de choses et de services nous sont apportés par nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises dans des secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront… Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnants” des confinements ». (115)

En corollaire, on pourrait suggérer que « ce n’est pas par hasard » que les gouvernements qui ont été capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des acteurs comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

La bonne nouvelle inspirée de Covid ne s’arrête jamais pour tous les secteurs d’activité qui devraient bénéficier de la quatrième répression industrielle.

« La pandémie peut s’avérer être une aubaine pour l’éducation en ligne », constatent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation beaucoup plus élevée pour les entreprises d’enseignement en ligne et plus de capital disponible pour les start-ups “ed-tech”… À l’été 2020 , la direction de la tendance semble claire : le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur envol :

« Pendant un certain temps, la distanciation sociale peut contraindre la pratique de certains sports, ce qui profitera à son tour à l’expansion toujours plus puis puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Il y a des nouvelles similaires du secteur bancaire : « Les interactions bancaires en ligne sont passées à 90% pendant la crise, contre 10%, sans baisse de qualité et augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré de Covid profite évidemment aux GAFAM, qui font d’énormes profits de la crise, comme les auteurs le disent :

« La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a battu record après record pendant les confinements, remontant même au-dessus des niveaux avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de si tôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises impliquées, qui n’ont plus à payer des êtres humains pour travailler pour elles. L’automatisation consiste, comme toujours, à réduire les coûts et donc à augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture fasciste de la Nouvelle Normalité offrira également des retombées lucratives à des secteurs d’activité particuliers, tels que l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie renforcera certainement notre attention sur l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher aux produits que nous achetons. Les plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront désapprouvés et peuvent même devenir une chose du passé ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique lié au profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent :

« Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. Après un certain temps, les préoccupations persistantes concernant le chômage technologique disparaîtront à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à minimiser les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre peur persistante et peut-être durable d’être infectée par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera ainsi la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à l’automatisation ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab a longtemps été frustré par toutes ces réglementations nuisibles qui empêchent les capitalistes de gagner autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise Covid a fourni l’excuse parfaite pour éliminer de grands pans de ces vieux obstacles à la prospérité et à la croissance.

La santé est un domaine dans lequel les formalités administratives fastidieuses sont abandonnées. Pourquoi un stakeholder sensé imaginerait-il qu’une obligation particulière de soin et de diligence devrait être autorisée à empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité particulier ?

Schwab et Malleret sont ravis de constater que la télémédecine « bénéficiera considérablement » de l’urgence Covid : « La nécessité de faire face à la pandémie par tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les agents de santé en leur permettant de travailler à distance) a éliminé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

L’abandon des réglementations est un phénomène général sous le régime mondial de la New Normal, comme le signalent Schwab et Malleret :

« À ce jour, les gouvernements ont souvent ralenti le rythme de l’adoption des nouvelles technologies en réfléchissant longuement à ce à quoi le meilleur cadre réglementaire devrait ressembler, mais, comme le montre maintenant l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire forcée par la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-global des réglementations qui avait auparavant entravé les progrès dans les domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de choix meilleur ou autre disponible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… De nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent :

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient que l’on est sans tabou ». (124)

« Sans tabou ». Ne vous y trompez pas : c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne sa prétention à la démocratie libérale et passe en mode complètement fasciste.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces derniers, sous-tend leur grande réinitialisation.

Des sommes d’argent phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bombées du 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent :

« En avril 2020, alors que la pandémie commençait à engloutir le monde, les gouvernements du globe avaient annoncé des programmes de relance s’élevant à plusieurs billions de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent : « Le COVID-19 a réécrit de nombreuses règles du jeu entre les secteurs public et privé. […] La plus grande intrusion bienveillante (ou non) des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra du pays et de l’industrie, prenant donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier alors que les gouvernements tentent d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique. »

« De plus en plus, des appels seront lancés au gouvernement pour qu’il agisse en tant que “payeur de dernier recours” pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destructions d’entreprises déclenchées par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du “jeu” de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son collègue se félicitent de la perspective que des pouvoirs étatiques accrus soient utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent :

« L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec la pandémie COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent :

« En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec différents degrés d’intensité, qu’il est dans l’intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître en permanence leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu rappelle encore une fois le langage fasciste, tout comme l’idée d’augmenter en permanence le rôle de l’État dans l’aide au secteur privé.

En effet, il vaut la peine de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui a répondu à la crise économique en 1931 en lançant un organisme spécial d’urgence, L’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il a déclaré que c’était « un moyen pour conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privée, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les animer ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la grande réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures policières qui ont été déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » de Covid.

La pure force brute qui ne se trouve jamais loin sous la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible quand il entre dans la phase fasciste et cela est très en évidence dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est déployé à maintes reprises dans le contexte de Covid-19. Parfois, c’est dans un contexte commercial, comme avec les déclarations selon lesquelles « le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique qui est maintenant là pour durer » ou que « la micro-réinitialisation obligera chaque entreprise de chaque secteur à expérimenter de nouvelles manières de faire des affaires, de travailler et de fonctionner ». (131)

Mais parfois elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables préfèrent nous représenter.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs auparavant réticents à s’appuyer trop lourdement sur les applications et services numériques ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain : regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en chair et en os, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller au gymnase, etc. »

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persistent, l’appui plutôt sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ». (132)

Dans un système fasciste, les individus ne se voient pas offrir le choix de se conformer ou non à ses demandes, comme Schwab et Malleret le disent clairement à propos de ce que l’on appelle la recherche des contacts :

« Aucune application volontaire de recherche des contacts ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc de ne pas divulguer des informations sur une éventuelle infection, des mouvements et des contacts), tout le monde sera affecté ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale qui aurait pu être utilisée pour imposer leur nouvelle norme :

« Alors que pour une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront aux politiques contraignantes en cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », qu’on nous impose, impliqueront bien entendu des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent :

« Le mouvement de l’entreprise sera vers une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les vaccins Covid en cours de préparation.

Schwab est profondément connecté à ce monde, allant jusqu’à tutoyer Bill Gates et ayant été décrit par Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble » .

On ne s’étonne donc pas qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu’ « un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible ». (136)

Il ajoute :

« Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». (137)

Les « anti-vaccins » rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous ceux qui sont engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative actionnaire, sa « gouvernance agile », son management totalitaire de l’existence humaine.

Mais comment envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation newnormaliste et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, mais s’est effondrée 988 ans avant l’objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en était ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à marcher, muselés et soumis, directement dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda ! Refuser leur récit ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme !

Klaus Schwab n’est pas un dieu, mais un être humain. Juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, sont peu nombreux. Leurs objectifs ne sont pas les objectifs de la grande majorité de l’humanité. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas le consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous le forcer sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification « d’urgence », nous n’allions jamais accepter leur plan déformé.

Ils ont peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons. Nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré.

Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons retirer notre liberté des mâchoires mortelles de la machine fasciste !

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Ibid.
8. Ibid.
9. Ibid.
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Ibid.
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
16. Ibid.
17. Ibid.
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
20. Ibid.
21. Ibid.
22. Ibid.
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
24. Ibid.
25. Ibid.
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
28. Ibid.
29. Ibid.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Ibid.
39. Ibid.
40. Ibid.
41. Ibid.
42. Ibid.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
48. Ibid.
49. Ibid.
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London : Century, 2002), p. 4. Lire aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
52. Ibid.
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
54. Ibid.
55. Ibid.
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19 : The Great Reset (Genève : WEF, 2020), e-book. Edition 1.0.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
60. Ibid.
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
62. Ibid.
63. Ibid.
64. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
65. Ibid.
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
68. Ibid.
69. Ibid.
70. Ibid.
71. Ibid.
72. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
73. Ibid.
74. Ibid.
75. Ibid.
76. Ibid.
77. Ibid.
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
79. Ibid.
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
81. Ibid.
82. Ibid.
83. Ibid.
84. Ibid.
85. Ibid.
86. Ibid.
87. Ibid.
88. Ibid.
89. Ibid.
90. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
91. Ibid.
92. Ibid.
93. Ibid.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Ibid.
97. Ibid.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
101. Ibid.
102. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
103. Ibid.
104. Ibid.
105. Ibid.
108. Ibid.
107. Ibid.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Ibid.
111. Ibid.
112. Ibid.
113. Ibid.
114. Ibid.
115. Ibid.
116. Ibid.
117. Ibid.
118. Ibid.
119. Ibid.
120. Ibid.
121. Ibid.
122. Ibid.
123. Ibid.
124. Ibid.
125. Ibid.
126. Ibid.
127. Ibid.
128. Ibid.
129. Ibid.
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris : Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
132. Ibid.
133. Ibid.
134. Ibid.
135. Ibid.
136. Ibid.
137. Ibid.


[Voir aussi :

https://twitter.com/robinmonotti/status/1325552744623640576
  • Le cerveau du “Grand Reset” suggère de “scanner les esprits” pour évaluer les risques avant d’autoriser à voyager
  • Tucker Carlson : Les élites insistent sur les confinements du Covid pour inaugurer le “Grand Reset”
  • Le NYTimes déclare que le “Grand Reset” est une “théorie du complot” le même jour où le Forum économique mondial le célèbre
  • John Kerry déclare qu’un “Grand Reset” est nécessaire pour stopper la montée du populisme
  • Donc, c’est quoi le “Grand Reset” ?
  • Great reset : c’est pour bientôt !




Le Conseil de l’Ordre rétablit le délit d’opinion

[Source : FranceSoir]

Auteur :  Gérard Delépine

[Photo : Déclaration des droits de l’homme]

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

(ONU décembre 1948)

La plainte déposée contre le professeur Raoult rappelle une fois de plus que l’Ordre des médecins est pourvu de tribunaux d’exception qui ne devraient plus exister dans un pays démocratique. La justice doit être rendue en public, devant et au nom du peuple français par des juges professionnels, selon les lois communes et non pas en catimini par des médecins dont les liens professionnels, politiques et/ou d’intérêts divers brident la liberté de jugement ! J’ai déjà expliqué mon attaque par le conseil de l’ordre dans une précédente tribune dans des circonstances comparables.[1]

L’Ordre des médecins

Est un organisme privé chargé d’une mission de service public créé pour la première fois par Vichy pour exclure de la profession les médecins juifs. Il a ensuite demandé aux médecins de dénoncer aux autorités les blessés par balles (les résistants). Dissous à la libération pour collaboration active avec l’occupant, il a été recréé en 1945 pour veiller au respect, par les médecins, de la déontologie ainsi qu’à l’honneur et l’indépendance de la profession en lui interdisant d’empiéter sur les missions des syndicats.

L’adhésion à l’ordre est obligatoire ainsi que le paiement de la cotisation (335 € en 2019). Avec plus de 300 000 médecins inscrits, l’ordre dispose d’un budget annuel d’environ 85 M€. Son rôle est de veiller au respect des principes de moralité, probité, compétence et dévouement indispensables à l’exercice de la médecine. Il n’a aucune fonction scientifique et n’est guère représentatif des médecins en exercice. L’ordre compte en effet 3 311 conseillers ordinaux, mais moins d’un tiers sont des femmes (et seulement 9 % au CNOM) alors qu’elles représentent près de la moitié du corps médical et près de 60 % des médecins nouvellement inscrits à l’ordre. L’âge moyen des membres du Conseil national est de 68 ans contre 51 ans pour les médecins actifs. Le taux d’abstention aux scrutins ordinaux (75 %) est important et les cumuls de mandats fréquents.

De grosses casseroles qui devraient le rendre discret

Encore un organisme et des gestionnaires qui se croient intouchables. Les choses peuvent changer.

En décembre 2019, un rapport de la cour des comptes constatait avec amertume : « en dépit des contrôles de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) en 2000, de la Cour des comptes en 2011 et de la mission d’inspection des juridictions administratives (MIJA) en 2013, la gestion de l’ordre reste caractérisée par des dérives, préoccupantes, tandis que des missions importantes qui justifient son existence sont peu ou mal exercées »

Des fonctions bénévoles parfois très généreusement indemnisées[2]

Les fonctions ordinales sont théoriquement bénévoles, mais l’esprit de bénévolat réputé animer les fonctions ordinales n’est pas toujours présent ; si certains conseillers perçoivent des indemnités modestes, d’autres au contraire et en particulier le président du CNOM et ses proches bénéficient d’indemnités confortables (près de 120 000 euros annuels), souvent cumulées avec des remboursements de frais, dont les justifications sont parfois incertaines, voire inexistantes.

Des comptes souvent incomplets et insincères

Les ressources de l’ordre sont tirées, pour l’essentiel, des cotisations dont s’acquittent les médecins. Chaque cotisation est ventilée entre Conseil départemental, Conseil régional et Conseil national.

Les ressources du Conseil national ont crû nettement plus vite que celles de l’ordre : + 40 % sur la période 2014- 2017, contre + 24 % pour l’ordre dans son ensemble. La comptabilité de plusieurs départements n’a pas été tenue pendant plusieurs années et l’une d’entre elles avait été détruite avant le passage de la Cour.

 Les cotisations des médecins font l’objet d’une comptabilisation irrégulière et incomplète, ce qui participe de l’insincérité des comptesLes écritures comptables sont souvent approximatives et peuvent être entachées d’erreurs, voire délibérément faussées comme la Cour a pu le relever parfois.

 Cette absence de contrôle, dans les départements comme au niveau national, a permis que soient tolérés de grands désordres comptables et de gestion, outre des achats coûteux effectués sans mise en concurrence, de fréquentes dépenses étrangères aux missions de l’ordre. 

 « L’Ordre se caractérise par une gestion peu rigoureuse et en partie opaque des fonds qui lui sont confiés par les médecins cotisants, alors même qu’il s’investit insuffisamment dans ses missions les plus essentielles ».

Un contrôle incomplet des contrats entre médecins et avec l’industrie

Le contrôle du respect par les médecins des règles déontologiques de la profession « qui est la raison d’être de l’ordre, n’est pas exercé de manière satisfaisante les conventions que les médecins concluent avec l’industrie pharmaceutique et qui doivent être obligatoirement transmises aux conseils départementaux de l’ordre ne sont pas examinées par ces derniers ».

« Elles ne sont pas non plus utilisées à des fins statistiques ou de contrôle, tandis que le cumul des montants perçus par un praticien au titre des conventions qu’il a conclues n’est pas calculé et donc jamais vérifié ».

 À titre illustratif, entre 2016 et 2018, 82 conventions ont été transmises à l’ordre pour des prestations assurées par le Pr X, chef de service à temps complet dans un CHU, pour un montant de 726 000 €, tandis qu’un pneumologue a participé à onze congrès internationaux, invité par des sociétés spécialisées dans des dispositifs médicaux respiratoires. Ces exemples montrent combien l’absence de vision globale des avantages reçus par un praticien est problématique pour apprécier les risques de perte d’indépendance encourus par les médecins.

Un manque de rigueur dans le traitement des plaintes et une justice disciplinaire marquée par des dysfonctionnements

« Les conditions d’indépendance et d’impartialité des juridictions ordinales ne sont qu’imparfaitement réunies » : une hétérogénéité de traitement des litiges suivant les conseils départementaux, le manque de rigueur dans la gestion des conflits d’intérêts des médecins chargés de juger leurs pairs et les atteintes à l’impartialité témoignent des limites de l’activité juridictionnelle de l’ordre.

Quelques recommandations 2019 de la cour des comptes 

« Limiter à deux le nombre de mandats successifs au sein d’une même instance (réitérée). Vérifier les déclarations d’intérêt des élus ordinaux et les publier sur les sites internet des conseils de l’ordre (CNOM). Revoir le règlement intérieur de l’ordre pour rendre obligatoire le dépaysement de l’examen des contrats d’un élu ordinal y compris avec l’industrie (CNOM) ».

Les dérives du CNOM sont devenues évidentes lors de la crise du Covid19

Dans la crise du Covid19, au lieu de défendre la liberté de prescription et l’éthique résumées dans le serment d’Hippocrate, le Conseil de l’Ordre s’est comporté en mercenaire du pouvoir et des Big Pharma.

Il n’a pas protesté lors de la publication du décret Rivotril organisant l’euthanasie de nos aïeux suspects de Covid s’opposant ainsi ouvertement à la loi Leonetti qui a rejeté l’euthanasie dans une xième discussion à l’assemblée, à la loi Kouchner et son consentement éclairé.

Il n’a rien dit lorsque le ministère a dicté aux médecins « l’ordonnance » en cas de Covid19 (Doliprane), alors que le Conseil de l’Ordre aurait dû défendre la liberté du médecin dans l’exercice de son art, principe d’indépendance, base de la déontologie médicale et du serment d’Hippocrate.

Il s’est tu lorsque le ministre a interdit l’usage de l’hydroxychloroquine sur une toxicité alléguée frauduleusement dans un article du Lancet célèbre par ses inspirateurs, actrice porno etc., puis l’azithromycine, antibiotique à visée pulmonaire utilisée depuis des années chez les vieillards des EHPAD, alors que le choix des traitements fait partie des prérogatives exclusives des médecins.

L’ordre n’a pas poursuivi les médecins qui se sont exprimés et se répandent encore partout dans les médias, sans mentionner leurs liens d’intérêts avec les entreprises du médicament, violant ainsi la loi transparence santé et le code de la santé publique. C’est pourtant une mission prioritaire que lui a assignée la loi ! Les médecins des plateaux télé devraient le remercier.

Pire, il a poursuivi les médecins qui ont eu le courage de traiter leurs malades efficacement et ceux qui ont contredit les mensonges du gouvernement, rétablissant ainsi le délit d’opinion condamné par la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789[3] dans ses articles 10 et 11, 10.

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, » et réitéré par celle de l’ONU en décembre 1948 dans son article 19 : 

« tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit » n’ont plus osé prescrire au patient qui consulte « le meilleur traitement en fonction des données actuelles de la science »[4].

Certains ont craqué, démissionné comme cette collègue du centre de la France, mais trop ont opté pour la soumission, malgré les évidences de l’absence de toxicité de la chloroquine en vente libre depuis 70 ans.

Et le président de l’Ordre, Patrick Bouet s’est battu contre la réouverture des écoles[5] pourtant nécessaire aux enfants, alors que toute la littérature internationale et les enquêtes de l’Inserm, de l’institut Pasteur et d’Activ, association des pédiatres pro-vaccins montraient que l’enfant ne contamine personne. Et ce n’est pas le rôle de l’Ordre et encore moins de son président dont ce n’est pas la compétence !

L’infâme plainte contre les médecins qui résistent

La récente plainte contre les professeur Raoult et le professeur Perronne, et quelques autres, a été portée, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par un Conseil de l’Ordre National, grand défenseur de la Pensée Unique.

Une société subventionnée par Big pharma dont certains membres reçoivent des honoraires de l’industrie pharmaceutique a également porté plainte à Marseille contre le professeur Raoult. Les français auront découvert ce qui existe depuis au moins 40 ans, l’ordre ne défend pas les malades, mais bien l’ORDRE ETABLI.

Les accusations portées contre le professeur Raoult sont très semblables à celles qui furent portées contre moi il y a 40 ans. Il ne fait pas bon être honnête et pire, novateur en France, surtout si vous risquez de porter préjudice aux intérêts financiers de grandes entreprises mondialisées.

La réputation internationale de longue date du Pr Raoult, la qualité de son équipe qui donne vie à l’IHU qu’il a créé, ne peuvent que rendre jaloux, aigris et pitoyables certains de nos confrères qui, pour envahir les plateaux télé, n’ont jamais rien inventé et n’ont peut-être dû leur titre de professeur qu’à leurs qualités de porte-valise. Le relevé de leurs publications tend à le faire craindre.

Par cette plainte et d’autres comme celle portée contre le Professeur Perronne qui scandalise ses patients et collaborateurs, et qui ont la faveur des journaux soumis, le Conseil de l’Ordre a renoué avec les crimes de sa naissance, lorsque ses premières mesures ont été d’interdire aux médecins juifs d’exercer, puis de demander aux médecins de dénoncer aux autorités les blessés par balle (les Résistants) !

Soutenez le professeur Raoult dans cette épreuve ignoble par tous les moyens en votre possession, soutenez le professeur Perronne et plus globalement tous les médecins poursuivis, par mail et lettres au Conseil de l’Ordre, rendez-vous avec les représentants locaux de cet Ordre indigne qui ne protège pas les malades, mais bien les intérêts financiers de Big Pharma et affidés du Conseil scientifique, et ne remplit pas sa mission de poursuivre les médecins qui ne déclarent pas leurs liens d’intérêt avec les entreprises du médicament lorsqu’ils s’expriment en public.

Que ce procès inique devienne celui du Conseil de l’Ordre

 Qu’il rappelle à tous ses origines fascistes et la nécessité de supprimer cette juridiction d’exception qui n’a pas sa place dans un système démocratique et brime les novateurs et bien d’autres collègues qui tentent tout simplement de respecter le serment d’Hippocrate plus que l’ordre établi.

Le président Mitterrand avait promis dans son programme de le supprimer en 1981… 40 ans d’attente !


[Notes]

[1] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre… – Riposte Laïque (ripostelaique.com)

[2] Les faits rapportés dans ce chapitre sont détaillés dans « L’ORDRE DES MÉDECINS » Rapport public thématique de la cour des comptes Décembre 2019

[3] https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/droit-national-en-vigueur/constitution/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

[4] Selon l’arrêt Mercier de 1936

[5] Le Conseil de l’Ordre a tort : il faut rouvrir les écoles au plus vite ! – Riposte Laïque (ripostelaique.com) [6] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre… – Riposte Laïque (ripostelaique.com)

Auteur(s): Gérard Delépine pour FranceSoir