Législatives : des candidats ont répondu FORMELLEMENT OUI à la réintégration des soignants

Trop peu de candidats dénoncent le martyre des soignants suspendus. Il nous semble possible, si chaque citoyen envoie ce questionnaire aux candidats de sa circonscription, de préciser quels sont les candidats susceptibles d’améliorer la situation de l’hôpital et d’embarrasser la majorité présidentielle et ses alliés félons responsables de son état catastrophique ! 

Ce questionnaire est tiré de l’article de Nicole Delépine :

https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juin-2022/020622-programme-sante-et-reintegration-des-soignants-au-coeur-des-preoccupations-des-francais-dr-nicole-delepine/

https://nouveau-monde.ca/appel-aux-candidats-deputes-sur-les-mesures-urgentes-a-prendre-en-matiere-de-sante/

Quelques candidats ont répondu positivement et méritent d’être soutenus :


Comme Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Karine Dubarry <karine.dubarry.01@orange.fr>

« Candidate sur la 3e circonscription de l’Ain je réponds à votre questionnaire ci-dessous : mes réponses les plus sincères (oui à chaque question).

J’ai rencontré des collectifs anti pass, anti vacc, solidarité et vendredi les infirmières en colères à bourg

Je suis très préoccupée par tous ces sujets, je suis contre l’obligation vaccinale, contre le pass sanitaire et vaccinal, je ne suis pas vaccinée moi-même et trouve intolérable la façon dont a été traité le personnel hospitalier. Des sacs poubelles quand ça arrange et dehors quand ça répond plus à leurs demandes

J’ai vu avec beaucoup d’inquiétudes passer la porte de mon agence de travail temporaire, des infirmières qui ne pouvaient plus exercer et qui me demandaient de travailler à l’usine. Une catastrophe la gestion de notre gouvernement et l’obligation de vacciner nos enfants.

Bref, mes réponses ci-dessous. Merci pour ce contact. Bien à vous

Karine DUBARRY Circonscription : 3E DE L’AIN

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI INADMISSIBLE

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI et avec une augmentation d’ailleurs

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

Question n° 10

Paierez-vous à la hauteur de leur investissement les médecins et les soignants en général ? OUI

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI plus de moyens !!! plutôt que des économies


Naoual Hamzaoui

Envoyé le : mercredi 8 juin 2022 20:58
Objet : réponses Questions

« Reconquête vient de me faire parvenir votre mail. Je suis à 200 % pour le soutien du personnel soignant.

Malheureusement Madame Borne qui se présente dans ma circonscription 6, dans le Calvados va gagner pour laisser sa place à son suppléant. Bien évidemment je ferai tout pour l’hôpital. Cordialement » V Dupont 0683875815

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“Madame,

Je suis Naoual Hamzaoui, candidate pour le Mouvement de la Ruralité. LMR

Sur la 3ème circonscription du Val-de-Marne (94), nous avons le grand hôpital de Villeneuve-Saint-Georges. J’ai pu visiter les urgences de l’hôpital et en effet le constat est lourd de sens. L’hôpital est malade ! Nous manquons cruellement de soignants. Les services d’urgence sont saturés. Le personnel hospitalier est fatigué. Tout ça, au détriment des patients. 

Le Mouvement de la Ruralité vous soutient et sachez que nous sommes proches de vous et de la réalité du terrain. Je souhaite un aboutissement positif dans vos requêtes ! Le 12 juin prochain, je compte sur vous pour faire entendre nos voix”

Bien cordialement Naoual Hamzaoui

La réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

2 juin 2022 Nicole Delépine DICTATURE SANITAIRE 4

02/06/2022 (2022-06-02)

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à 
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ


Mickael Guettier, candidat dans le calvados et ses réponses


Nicolas Dupont-Aignan

Objet : Questionnaire législatives politique sanitaire — NDA

Chère Madame,  Veuillez trouver ci-joint les réponses de M. DUPONT-AIGNAN à votre questionnaire. Bien cordialement.

Questionnaire 

 Nom et prénom du candidat : DUPONT-AIGNAN Nicolas

Circonscription : 8ème de l’Essonne

 Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ? OUI

 Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? OUI

 Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? OUI

 Question n° 4 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? OUI

 Question n° 5 Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ? OUI

 Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire et l’obligation du test PCR à l’entrée des hôpitaux ? OUI

 Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? OUI

 Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? OUI 

Question n° 9 Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? OUI

 Question n° 10 Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? OUI

 Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la santé ? OUI

 Question n° 12 Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? OUI


Je vous relaie l’initiative de Caroline Fiat de FI. C’est une option possible.

Quoi qu’il en soit, votez pour ceux-là ou d’autres pour empêcher la marche forcée qui nous attend si on les laisse rassembler une majorité. Force et courage. E.R.


Bonjour, 

ci-joint le questionnaire aux candidats 

Je suis directement concernée en tant que médecin « suspendue » ..cordialement  Dr Véronique Rogez  06 87 24 47 65 


Christine PASTOR

Bonjour Madame,

Je suis candidate pour Le Mouvement de la Ruralité dans la 3ème circonscription du Doubs et on m’a fait suivre votre article. Je réponds à la suite à vos questions et vous assure de tout mon soutien aux soignants suspendus (cf la première mesure de mon projet : https://www.christinepastor.fr/

Je suis par ailleurs signataire de la Charte de l’Élu ReCiProC (https://reciproc.org/).1

Je vous souhaite une excellente fin de journée. Bien à vous,

Christine PASTOR

Question n° 1 Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?OUI

Question n° 2 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ?OUI

Question n° 3 Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ?OUI

Question n° 4  Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ?OUI

Question n° 5  Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?OUI

Question n° 6 Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ?OUI

Question n° 7 Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ?OUI

Question n° 8 Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ?OUI

Question n° 9  Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ?OUI

Question n° 10  Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ?OUI

Question n° 11 Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ?OUI

Question n° 12  Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ?OUI

CONCLUSION PROVISOIRE

Voici les réponses reçues à ce jour (omettant peut-être quelques spams ou blocages)

Ces réponses sont encourageantes, mais il faut en susciter davantage en informant directement les candidats et en leur faisant comprendre que les électeurs veulent des réponses claires et positives pour retrouver confiance dans les politiques.

Mais le mieux, le plus humain est de contacter vous-même vos candidats pour leur demander leur position, et le cas échéant les informer directement de la situation tragique dans laquelle nous sommes et tenter de faire sortir les citoyens et leurs futurs représentants de l’indifférence.

Sortons de la résignation, de l’impression que nous ne pouvons rien faire. LES SOLUTIONS SONT DANS NOS MAINS. Nous sommes des millions, les tyrans ne sont que quelques milliers.

Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice.

Georges Orwell

Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

1 Charte de l’élu — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Par ReCiProC

« Nous faisons aujourd’hui face à une profonde crise de la représentativité qui génère une défiance et met dangereusement en cause aussi bien notre démocratie que la cohésion de notre pays.

Afin d’éviter que cette crise de confiance ne s’aggrave, il est urgent de redonner confiance aux Français en leurs institutions et particulièrement en leurs députés. Pour y parvenir, les députés doivent impérativement retrouver leur indépendance et remplir trois rôles majeurs qui relèvent leur fonction, soit :

Contrôler l’action du gouvernement et non lui obéir de façon intolérable, comme nous l’avons vécu ces 5 dernières années,

S’assurer que les lois votées sont conformes à notre Constitution et aux engagements internationaux de la France en matière de droits de l’Homme et de protection de la personne et, notamment, la Convention d’Oviedo,

Voter des lois visant à améliorer la vie des Français et non à obéir aux ordres d’E. Macron et de cabinets de conseil mondialistes.

À cette fin, ReCiProC propose pour les élections législatives à venir une solution simple et pragmatique, sous la forme d’une démarche citoyenne et apartisane traduite dans une Charte intitulée “Charte pour la protection des citoyens et pour le respect de la Constitution” ou, plus simplement, “Charte de l’élu”.




La « vérité révélée », la Terre est plate et j’en aurais la preuve ?

Comment se forge-t-on SA vérité ?
Suis-je libre de mes vérités ?

Par Alain Tortosa

Je/nous sommes les premiers à critiquer les covidistes, les bouffeurs de médias mainstream en leur reprochant de gober n’importe quoi.

Notre principal reproche est de ne voir en eux aucune remise en question, aucun sens critique, aucun doute et de ne pas se forger leur propre opinion.

Une question me taraude :

« Pourquoi n’avons-nous pas gobé le roman du Covid ou de l’Ukraine pour ne parler que d’eux ? »

Sommes-nous si différents de celles et ceux que nous voyons comme des moutons incapables de penser par eux-mêmes ?

S’ils peuvent être qualifiés de boussoles qui pointent uniquement vers le nord, ne serions-nous pas nous aussi des boussoles, mais qui pointent uniquement vers le sud ?

Nous suffit-il d’être face à une théorie du complot pour « gober » et en faire « notre vérité » alors même que notre pensée serait modelée par une vérité proposée et complotiste ?

À titre personnel, je passe suffisamment pour un dingue auprès des esprits lobotomisés par les médias, pour ne pas énumérer quelques théories du complot auxquelles j’aurais pu adhérer depuis quelques mois.

Bien entendu, je ne manque pas de raisonnements, d’arguments scientifiques ou factuels pour penser que mon opinion n’a rien de farfelue et qu’elle repose sur des bases extrêmement solides.

Mais les autres, en face, ne manquent-ils pas aussi d’arguments qu’ils croient leurs ?

Quand on les entend parler, cela me fait penser à une secte. Tous répètent le même discours au point que j’ai l’impression d’entendre BFM TV lorsqu’ils ouvrent la bouche.

Ici encore ne pourrait-on pas nous faire le même reproche ?

« Les complotistes n’auraient-ils pas aussi un discours tout aussi formaté bien que diamétralement opposé ? »

Je me rassure en pensant que je ne manque pas de preuves qui me permettent de penser que je ne suis pas dans une croyance, une religion, mais dans une démarche scientifique rigoureuse.

Pour ne parler que du Covid, nous ne manquons pas de preuves de mensonges et de dissimulations :

  • Le nombre de morts volontairement faussé par des directives de l’OMS et autres autorités.
  • Une nouveauté du 21e siècle, l’épidémie de non-malades avec les PCR bidons qui n’ont ni valeur diagnostique ni pronostique.
  • Les chiffres du réseau Sentinelle qui n’a jamais vu de pandémie.
  • Les mensonges sur sa prétendue dangerosité pour la population générale.
  • La supposée absence de traitements efficaces.
  • L’interdiction de prescrire des molécules de plus de 40 ans inoffensives et efficaces.
  • Le Rivotril pour terminer des patients interdits de soins, pour ne pas saturer des hôpitaux prétendument saturés pour pouvoir les sauver.
  • Fauci qui finance le P4 de Wuhan sur des gains de fonction.
  • L’inefficacité du masque et des confinements prouvés par des siècles d’expériences.
  • Les pourcentages de saturation des réanimations qui sont des faux.
  • L’inefficacité totale du « vaccin ».
  • Une population injectée pour une souche disparue depuis plus de deux ans.
  • La prétendue « innocuité » des injections alors que les données officielles sont terrifiantes.
  • Des injections prétendument sures pour les grossesses 4 mois après les premières doses sur des femmes n’ayant pas encore accouché.
  • L’autorisation pour des soignants vaccinés et positifs au Sars-cov2 d’aller au travail tandis que les non-vaccinés négatifs n’ont pas le droit.
  • L’interdiction de télétravail et donc de consultation à distance pour les médecins non vaccinés.
  • Les manifestations massives passées sous silence ou totalement minorées.
  • La corruption de l’OMS.
  • Les médecins médiatiques avec conflits d’intérêts.
  • La censure et des campagnes de terreur pour ceux qui osaient et osent l’ouvrir.
  • La création du ministère de la Vérité et des fact-checkeurs.
  • Les lois bafouées.
  • La déontologie médicale réduite à néant.
  • Mac Kinsley.
  • Le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel.
  • Etc., etc.

Je pourrais sans doute en faire des pages…

Je peux affirmer sans risque que dans le cas du Covid nous ne manquons pas d’arguments factuels sur cette escroquerie mondiale.

Quant à la variole du singe, nous disposons déjà, alors même que nous n’en sommes qu’au début, de tous les éléments qui prouvent la manipulation. Les mainstream ont même ressorti des Karine Lacombe et autres alors même que nous avons les preuves de leurs mensonges passés et de leurs conflits d’intérêts.

Pour autant, sommes-nous, suis-je, à l’abri d’une forme de malhonnêteté intellectuelle ou de manipulation inversée à chercher du complot partout ?

Et ce d’autant plus que mon monde qui n’était pas joli joli avant la crise (cf mon livre(([1] 7milliards d’esclaves et demain ? Vers un capitalisme de l’humain
https://7milliards.fr))
) est devenu carrément pourri depuis quelques mois.

Lucifer est au pouvoir, les réseaux pédophiles sont visibles, le nombre de personnalités éclaboussées ne fait que croître, l’avortement à 9 mois est devenu « moral » comme l’achat d’enfants en Ukraine ainsi que le changement de sexe dès 3 ans, etc.

Nous vivons en plein Sodome et Gomorrhe au point que « notre » « Président » déclarait en 2020 :

« La bête de l’Événement est là !(([2] https://www.youtube.com/watch?v=k5IclzvoiZI))(([3] https://josue-caleb.com/apocalypse-13-avenement-de-la-bete/))(([4] https://www.youtube.com/watch?v=XsDIMS9ec5c))(([5] https://www.youtube.com/watch?v=e0fU5cnliY0))».

Si la planète entière n’avait pas disjoncté, le gars aurait été viré le lendemain de l’interview, mais dans les faits ce fut un non-événement !

Bref, nous ne manquons pas d’éléments objectifs pour soutenir notre esprit critique.

J’écris depuis des mois qu’il faudrait être irresponsable pour prendre comme vérité n’importe quelle « information » issue des médias.

Le traitement totalement délirant et mensonger apporté sur la guerre en Ukraine ne peut que nourrir ces convictions sans parler du prétendu réchauffement climatique causé par le CO2 et une fin du monde inéluctable si on ne passe pas au tout électrique avec des éoliennes et que l’on ne supprime pas toute liberté aux gueux. Je ne résiste donc pas au plaisir de citer une fois de plus cette phrase que l’on attribue à Coluche :

« dans le journal, la seule chose qui est vraie est la date ! ».

Mais suis-je vraiment objectif, ai-je la capacité de me faire MA vérité ou suis-je autant une éponge que les paniqués de la grippe de la tomate(([6] https://www.watson.ch/fr/international/maladie/428308574-grippe-de-la-tomate-qu-est-ce-que-cette-etrange-maladie-d-inde)) qui nous menace !?

Ceux-ci ont beau jeu de voir en moi un parano, celui qui aime vautrer son esprit dans des bas-fonds, celui qui, par jouissance et perversion, voit le mal partout !

Même si le mal est partout, cela ne prouve en rien ma liberté de pensée.

Mise à l’épreuve

C’est pourquoi j’ai décidé de me mettre à l’épreuve.

Pour ce faire, je vais m’attaquer à la théorie de la Terre plate !

Typiquement le type d’affirmation qui peut faire rire de prime abord, mais quel covidiste pourrait ne pas rire si on lui disait que le Covid est un complot contre les peuples, que l’OTAN et les USA sont principalement responsables de la situation en Ukraine, que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté par la CIA ou je ne sais qui, etc.

J’ai donc décidé de me pencher sérieusement sur le sujet et certainement pas comme les « vérificateurs » de l’information. Je pourrais vous citer un article lamentable sur la Terre plate publié dans le Nouvel obs(([7] https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-sciences/20160820.RUE3638/j-ai-essaye-d-interviewer-quelqu-un-qui-croit-que-la-terre-est-plate.html?gclid=EAIaIQobChMI67u05I-Z-AIVytvVCh0dqgjtEAMYASAAEgJNR_D_BwE)) dans lequel le gardien de la vériténe manquait pas de préciser les accointances entre un défenseur de la théorie et les thèses négationnistes. Vous voyez typiquement une forme de « journalisme » qui pourrait me donner envie de croire en cette théorie.

Mais non, si je m’y mets, je le fais sérieusement !

Je me placerai dans un état d’esprit « pourquoi pas » associé à « mais il va me falloir des preuves solides » avant de me ridiculiser.

Expérience non sans danger

Étant donné que je vais l’aborder comme tous les autres sujets qui ont guidé mes recherches et que de nombreuses « vérités » se sont effondrées par le passé, je vous avoue mon appréhension.

J’ai vraiment peur, si, si, de finir par y croire. Avant de débuter l’enquête, je n’ai strictement aucun doute que la Terre est sphérique en rotation sur elle-même et en orbite autour d’une étoile nommée Soleil. Je dirais que cela fait partie de mes (rares ?) certitudes, de mes croyances fortes.

Mais comme je vais jouer le jeu, comme je ne vais pas m’interdire de changer d’avis et que je ne vais pas dire des phrases vides de sens comme « c’est n’importe quoi », j’ai vraiment la trouille.

Rendez-vous compte que si à la fin de ce texte j’ai acquis, non pas forcément la conviction, mais des doutes sur la forme de la planète, que va-t-il rester de mon monde ?

Soit ce changement sera la preuve que je suis incapable d’avoir une pensée propre ni la capacité de résister aux sirènes du complotisme, soit que rien n’est vrai de ce qui m’a été inculqué depuis ma naissance. Je n’aurai alors plus rien de solide sur quoi m’appuyer.

Sans compter la solitude… Je ne me vois guère dire à autrui que je pense que la Terre est plate ou que les dinosaures n’ont jamais existé. Adieu tout reste de crédibilité ébréchée par les années Covid !

Mes propos peuvent faire sourire, mais j’ai réellement la trouille de basculer, car ceux qui y croient vraiment et qui se penchent sur le sujet depuis des dizaines d’années disposent d’arguments qui ne sont pas totalement ridicules. Il faudrait être stupide ou de mauvaise foi pour penser ces platistes simplement allumés…

L’épreuve du feu, la Terre est plate

Carte de la Terre plate(([8] http://1.bp.blogspot.com/-Rs8wjZYIEEg/VinyzHEsnAI/AAAAAAAAB4s/oRXi1JJ-kow/s1600/Azimuthal%2BEquidistant%2BProjection.jpg)):

On peut voir sur la carte que l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont extrêmement éloignées de l’Amérique du Sud ou de l’Afrique du Sud.

Méthodologie :

Pour ce faire je me suis appuyé principalement sur 2 documentaires :

Bien entendu, je le répète, il me faut sortir du « c’est complètement con », car toutes les théories du complot peuvent être qualifiées ainsi.

Voici pêle-mêle quelques arguments platistes qui peuvent faire écho et dont je n’aborde pas dans mon texte principal les raisons scientifiques pouvant les contrer.

  • En premier lieu, nous vivons dans le mensonge permanent. Le complot est mondial(([12] Sur ce point-là je ne peux que les suivre, les complots ne manquent pas, mais même si cela plaide en leur faveur, ce n’est pas pour autant une preuve.)).
  • Comment est-il possible de voir depuis un point du globe un autre point qui ne pourrait être visible du fait de la courbure de la Terre(([13] Il est possible de voir au-delà de l’horizon en fonction de certaines conditions atmosphériques grâce à la réfraction de la lumière. C’est pourquoi on peut observer le bas d’un mur ou d’un immeuble au bout d’un lac alors même qu’il devrait être invisible du fait de la courbure de la Terre. Cela fonctionne aussi avec les ondes radio. Dans une autre vie, je pouvais capter en été la télé de Catalogne avec une antenne râteau alors que j’étais à plus de 300 km de l’émetteur terrestre. En revanche l’opération était impossible en hiver.))?
  • Pourquoi ne sommes-nous pas éjectés à l’équateur alors qu’il y a une vitesse de 1600 km/h. Les plus anciens d’entre-nous se rappellent avoir posé un petit objet au bord d’un 33 tours pour le voir s’envoler(([14] C’est une notion de vitesse relative. Si nous lâchons une gomme à 1 mètre du sol à bord d’un TGV à 300 km/h, elle devrait se fracasser à l’arrière du wagon ou du moins tomber en arrière. Si la gomme était à l’arrêt au moment où on la lâche, elle mettrait 0,5 seconde à chuter d’une hauteur d’un mètre. À 300 km/h le TGV parcourt 83 mètres par seconde. Ainsi la gomme tomberait 37 mètres en arrière. En réalité la gomme tombe à la verticale, car elle se déplace aussi à 300 km/h. L’air dans le train se déplace aussi à 300 km/h sinon nous aurions une sensation de vent. Ainsi une mouche peut voler dans un TGV sans être contrainte de voler aussi vite que la vitesse du train.)).
  • Pourquoi ne sommes-nous pas réduits en poussière si l’on tient compte de la vitesse supposée de la Terre autour du soleil, de la vitesse du système solaire dans la galaxie, de la vitesse de la galaxie dans l’univers, etc. soit des millions de km/h(([15] Comme pour le TGV, ce qui compte c’est l’accélération et la vitesse relative. Si la Terre s’arrêtait de tourner d’un coup nous serions éjectés. Dans un TGV nous ne sentons pas l’air dans le wagon, ni la moindre sensation d’accélération ou de freinage lorsqu’il est à vitesse constante. Ainsi, que l’on soit à 5 km/h ou 1 million de kilomètres par heure si tout ce qui nous entoure est à la même vitesse il n’y a aucune vitesse relative entre nous et notre environnement direct.))!
  • Lors d’un vol en avion à 10000 m d’altitude, l’horizon demeure rectiligne(([16] Le diamètre de la Terre est tel qu’un petit segment semble rectiligne. Il faut s’élever à environ 30 km pour que la courbure de la Terre devienne vraiment visible avec un angle de 5 degrés. Voir la simulation sur
  • https://www.youtube.com/watch?v=xpUcZXiKtfU&t=592s)).
  • Il n’y aurait aucune photo de la Terre, seules des photos assemblées et photoshopées(([17] Ici on est contraint de basculer dans de la conspiration à très grande échelle. Pas de stations orbitales, pas d’humains en orbite, pas de sondes envoyées sur mars ou autres qui ont pu prendre la Terre en photo.)). (Et si nous ne sommes jamais allés sur la lune, impossible de photographier la Terre dans son intégralité. J’imagine qu’il n’y aurait aussi aucune sonde comme Voyager et autres).
  • Les GPS(([18] Je n’ai pas de réponses à apporter. Vrai ? Pas vrai ? Pourquoi ? Aucune idée !)) ne fonctionneraient pas en antarctique. « preuve » qu’ils ne tournent pas sur une sphère.
    [Note de Joseph : la trentaine de satellites GPS ne couvre approximativement que la zone située entre les cercles polaires nord et sud, mais pas ce qui se trouve plus près des pôles, comme on peut le voir notamment à partir du site https://satmap.space qui permet de visualiser en temps réel la position des satellites par rapport à la surface de la Terre. Voir la carte pour le 9 juin 2022 à 11 heures 30, heure du Québec : ici. Il y a peu de satellites qui adoptent une orbite passant près des pôles.]
  • Il n’y aurait aucun vol direct(([19] Je suis en train de suivre un vol entre Santiago du Chili et Auckland en Nouvelle-Zélande et il est bien direct au-dessus du pacifique. La durée du vol constituant une preuve.
    https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) via l’océan Pacifique et les avions feraient un énorme détour. Avec une terre plate, pas le choix.

Ils proposent aussi des réponses à de nombreuses questions comme par exemple :

  • Comment ne tombons-nous pas au bord et comment les océans ne se vident pas dans l’espace ? Tous les continents seraient autour du centre du disque et il y aurait un gigantesque océan circulaire bordé de glace(([20] Si cette vision est réelle, nous sommes dans un complot mondial qui implique des millions de complices. Aviateurs, marins, astronautes, satellites, météorologues et j’en passe.))
    [Note de Joseph : la théorie de la gravitation qui est validée par de nombreuses expériences et observations répond simplement à cette question et n’implique aucun complot : la masse de la Terre retient aussi bien l’eau que l’atmosphère].
    La dimension du cercle serait inconnue, peut-être même quasi infinie. Je ne vous dis pas comme on est dans la merde s’il y a un réchauffement climatique et que les glaces fondent !
  • Comment peut-il y avoir des saisons alors qu’il n’y a pas d’hémisphères(([21] https://www.youtube.com/watch?v=R52_PdZlSq8))? En fait la Terre et la Lune seraient des petits spots qui tournent au-dessus du disque et qui selon leur position feraient les saisons.
    [Note de Joseph : ceci ne fournit aucune explication pour justifier la rotation de ces spots et qui plus est sur des cercles de taille variable selon les saisons. De plus, s’imaginer que le Soleil serait juste un spot tantôt lumineux et tantôt éteint — éventuellement accroché sur un dôme invisible ou transparent — est incompatible avec le fait que les habitants de la France voient le Soleil lumineux et haut dans le ciel quand il fait encore nuit au même moment au Québec et qu’il est encore sous l’horizon. Un même spot ne peut pas être simultanément éteint et allumé.]
  • Et les éclipses(([22] https://www.youtube.com/watch?v=dtHuTVXZGFw))? Il y a plusieurs théories, soit le soleil et la lune se retrouveraient au même endroit du fait de leur rotation en escargot, soit, comme dans le Truman Show, il y aurait un dôme gigantesque au-dessus du disque. Nous serions alors dans une expérience. L’histoire ne dit pas ce qu’il y aurait au-delà du dôme ni ses dimensions.
    [Note de Joseph : jusqu’à preuve du contraire ces « théories » sont incapables de prédire la position et le moment exact des éclipses, ni d’ailleurs des heures de lever et de coucher des différents astres, ni de leur passage au méridien du lieu… contrairement à la mécanique céleste basée sur la théorie de la gravitation.]
  • Le mouvement relatif des planètes. Si on regarde le mouvement de Mars(([23] http://wheresthecurve.org/2019/02/flat-earth-mars-retrograde-is-impossible)), à certaines périodes on peut avoir le sentiment que la planète recule. C’est logique si la Terre et Mars tournent autour du Soleil du fait des vitesses relatives, mais assez délirant si on pense que Mars tourne autour de la Terre. Quand bien même Mars tournerait autour du soleil, cela n’expliquerait pas le mouvement. Certains platistes ne trouvent pas gênant qu’une planète puisse faire demi-tour quant à ceux qui croient qu’il y a un dôme, ceci ne pose aucun problème étant donné que l’on peut projeter ce que l’on veut sur celui-ci. Les techniciens du dôme ne manquant pas d’humour en faisant reculer Mars…
  • Si la lune était en orbite autour de la Terre, elle serait éjectée ! Cela pose un problème parce que nous avons observé que les lunes de Jupiter tournaient autour de la planète, or Jupiter se déplace encore plus vite que la Terre. Pourquoi ne sont-elles pas éjectées ? Il existe des théories que je n’ai pas comprises sinon il y a le dôme dans lequel on peut projeter ce que l’on veut. Ici encore nous sommes dans la conservation du mouvement, aussi bien la Terre que la lune se déplacent à la même vitesse et il y a les phénomènes de gravité.

Toutes ces théories et explications peuvent sembler tordues ou même très tordues, mais ne prouvent ni que la Terre est une sphère en rotation, ni qu’elle est un disque(([24] Disons que je suis gentil.)).

Quelques questions sans réponse !

  • Le pendule de Foucault. Expérience assez simple. Vous attachez un poids (ici 30 kg) sur un câble de 60 mètres. Vous tirez le poids et le lâchez. Si la Terre ne tourne pas alors le pendule va osciller sur le même plan (pendant quelques heures du fait des frottements). Mais si elle est en rotation (et sphérique) alors le plan va se modifier au fil des heures, la Terre n’étant plus au même endroit. A priori les platistes ne disposent d’aucune théorie qui tienne la route pour expliquer ce phénomène observable.
  • Le gyroscope(([25] https://www.youtube.com/watch?v=WUHH32sQVx4)) C’est une toupie alimentée qui tourne sans s’arrêter. Elle se positionne par défaut perpendiculairement au sol et résiste à tout changement de position. Si la Terre ne tourne pas, alors la position ne change jamais. Mais hélas pour les platistes, il y a un décalage de 15 degrés par heure. C’est pourquoi les avions disposent d’un système de correction et un gyroscope non rigide, mais sensible à la gravité. Ici encore je n’ai pas eu accès à une explication des platistes qui puisse me convaincre.
  • L’interféromètre Ligo(([26] https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/lisa-pathfinder-feu-vert-ondes-gravitationnelles/)) aux USA. Pour son fonctionnement il est indispensable de disposer de 4 km de ligne droite. Comme les ondes vont tout droit, si la Terre était un disque, il suffirait de fabriquer un support rectiligne. Mais si elle est sphérique, alors l’onde générée va se retrouver dans l’espace au bout d’une certaine distance. C’est pourquoi ils ont dû construire un support dont l’extrémité était un mètre plus haut pour compenser la courbe de la Terre. Cette expérience est relativement facile à reproduire au bord d’un lac si on dispose d’un laser assez fin.
  • Les dépressions(([27] https://meteocentre.com/intermet/pression/pression8.htm)). Dans l’hémisphère nord, les dépressions tournent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre et dans l’hémisphère sud dans le sens des aiguilles d’une montre. Pourquoi en serait-il ainsi sur une Terre plate ?
  • Les Satellites(([28] https://flatearthfacts.com/flat-earth-model/proof-the-earth-is-flat/satelliets-dont-exist/))(([29] https://www.youtube.com/watch?v=8_SYJIPPq-8&t=9s)) Difficile de mettre des satellites au-dessus d’un disque immobile sans qu’ils tombent. Il n’y aurait donc aucun satellite et tous seraient des fakes, uniquement des tours d’émission (que personne n’a vue). À se demander comment les GPS pourraient fonctionner sur l’océan. À titre personnel j’ai bien pointé des antennes satellites et il fallait une sacrée précision pour récupérer le signal. Comment cela pourrait-il fonctionner à l’équateur alors que les antennes satellites sont positionnées à 90° vers le ciel ? Mystère.
  • La preuve par le Chili et la Nouvelle-Zélande. À 5 h 14 GMT un avion(([30] https://fr.flightaware.com/live/flight/LAN801)) a décollé ce jour de Santiago(([31] https://latitude.to/map/cl/chile/cities/santiago)) du Chili à destination d’Auckland(([32] https://latitude.to/map/nz/new-zealand/cities/auckland/articles/page/1)) en Nouvelle-Zélande. Quand bien même on nous ment, son atterrissage est prévu à 17 h 42 GMT soit un temps de vol de 12 h 28 (auquel il faudrait rajouter 30 minutes de taxi au sol). La distance(([33] http://walter.bislins.ch/bloge/index.asp?page=Distances+on+Globe+and+Flat+Earth)) entre Santiago et Auckland est de 8 932 km sur une Terre sphérique, soit une vitesse moyenne de 673 km/h. Le problème, et de taille, est que la distance entre ces deux villes est de 21 952 km sur une Terre plate !!! La distance n’est pas discutable, la durée du vol n’est pas discutable et vérifiable par les passagers, il n’y a aucun raccourci possible entre ces deux villes, ce qui fait que la vitesse moyenne de l’avion était donc de 1 760 km/h !

    Quand on regarde un Boeing 787-9 Dreamliner dont le rayon d’action officiel est de moins de 16 000 km, on ne peut pas dire qu’il ressemble à un avion supersonique comme le Concorde. Hors ce vol « extraordinaire » s’est fait à une vitesse moyenne de Mach 1,4. Non seulement l’avion disposait de capacité supersonique, mais de plus avec un rayon d’action de 20 000 km avec 250 passagers à bord ! Rappelons que le rayon d’action du Concorde était d’environ 6 200 km (3x moins) à Mach 2 pour 3 fois moins de passagers !

    Si d’aventure on nous avait aussi menti sur les lois de la physique et sur la résistance de l’air, pouvez-vous me dire pourquoi le vol Miami-Madrid du même jour a mis quant à lui 8 h 25 de vol pour 7 100 km soit du 840 km/h alors qu’il aurait pu mettre 4 heures en vitesse supersonique ? Bref voici une preuve, difficilement discutable, que la Terre n’est pas plate, mais sphérique.

Conclusion

Les tenants de la théorie qui sont si nombreux pourraient facilement se cotiser pour louer un cargo et partir faire le tour du monde (comme Christophe Colomb) ou aller vers les glaces du bord du disque dans la zone que nous appelons équateur. S’ils sont si sûrs d’eux, pourquoi ne pas le faire ?

Je crains que nous ayons la réponse. C’est comme pour Jean-Michel, il serait si simple de mettre fin à la rumeur…

Je ne crois donc pas que la Terre est un disque plat.

  • Non pas parce que je suis baigné depuis ma naissance par l’image d’une planète sphérique.
  • Non pas parce que l’idée serait ridicule au point de la balayer d’un revers de main.

Mais parce qu’il existe des preuves scientifiques solides qui montrent que la Terre est sphérique et que les théoriciens de la Terre plate ne peuvent expliquer.

Je viens donc de me prouver que j’ai la capacité intellectuelle d’adhérer ou pas à une théorie complotiste (et aussi la liberté de me tromper).

Je ne suis pas, comme pourraient l’affirmer les prétendus « vérificateurs », aveuglé par mon désir de voir des complots partout.

Suis-je rassuré de ne pas croire en la Terre plate ?

Oui, mais je suis en partie presque déçu. C’eût été sympa que ce soit vrai.

En revanche, là où ma colère ne tarit pas c’est à propos de ceux qui cherchent à discréditer systématiquement tous ceux qui doutent et adhèrent à une théorie autre dite « du complot ». Pour eux, dès lors que nous pensons que l’on nous ment au niveau mondial sur tel ou tel sujet, c’est la preuve de notre déviance et de notre folie.

Si je pense qu’il y a complot sur un des sujets suivants comme le Covid, le 11 septembre, l’homme sur la lune, la Terre plate, l’Ukraine, la variole du singe, la grippe de la tomate, le réchauffement climatique, les chemtrails, les ovnis ou les reptiliens, etc. c’est que j’ai abandonné tout bon sens, que je suis dans la foi, que je ne raisonne plus scientifiquement.

Il faut de fait obligatoirement me dénigrer, me faire taire ou me ridiculiser. Les médias et les vérificateurs de l’information sont unanimes à ce sujet :

« Il ne faut surtout pas discuter avec un complotiste, il va chercher à vous manipuler et biaisera la vérité pour ne pas changer de croyances. Les non-complotistes étant de bonne foi comme il se doit »

Il est là le fanatisme qui refuse le dialogue et fait que des scientifiques comme Toubiana, Perronne, Toussaint,… n’ont pas pu avoir un libre accès aux médias mainstream ni participer à des débats contradictoires.

Cette omerta, ce ministère de la Vérité étant de nature à alimenter toutes les théories complotistes.

Honnêteté ?

Alors suis-je scientifiquement et intellectuellement honnête ?

Si je n’adhère pas à la théorie de la Terre plate (qui a le droit d’exister) et que j’adhère à la théorie de la plandémie sur le Covid, est-ce une preuve que je serais dans l’erreur dès lors que je suis convaincu par l’existence d’une ou plusieurs théories dites complotistes ?

En voyant ces différents documentaires et en écoutant certains « sages » qui ne voient que pathologie psychiatrique ou absence totale de culture scientifique dans cette défiance, j’ai quand même été un peu écorné et contraint de me poser à nouveau la question « et s’ils avaient raison ? ».

Ne vous inquiéter pas cela n’a guère duré. Tous ces vérificateurs se sabordent eux-mêmes en disant qu’il y a consensus, en ne donnant pas la parole aux contradicteurs, en associant une pathologie mentale, en approuvant la censure, en dénigrant l’auteur qui sera quasi toujours « révisionniste, antisémite ou d’extrême droite ».

Ces censeurs qui nous reprochent de ne pas nous demander si nous sommes dans l’erreur ne se remettent jamais en question et ne mènent pas une enquête afin de découvrir leur vérité. Ils « enquêtent », mais uniquement à charge avec pour objectif unique de prouver que l’autre à tort.
Bref le contraire d’une démarche scientifique ouverte et d’une recherche de vérité.

J’ai de fait 1 000 fois plus de respect pour une personne qui doute, qui étudie et adhère à la théorie de la Terre plate qu’à ces gardiens de la Foi qui n’ont qu’une Vérité, aucune éthique, morale ou honnêteté intellectuelle.

Même si je le savais sur un plan théorique grâce au nombre délirant d’heures passées à me demander si je n’avais pas tort dans mes diverses croyances, j’ai désormais une preuve de plus de ma capacité à me faire MA propre opinion et résister à des théories « complotistes ».

Prouvez et je changerai d’avis !

Je sais aussi, comme je le savais déjà, que je suis prêt à croire que la crise du Covid n’est pas une plandémie, que Poutine est l’unique enculé, que Zelenski et les Américains sont des saints, que le réchauffement climatique est causé par l’activité humaine et le CO2, que le 11 septembre est un attentat terroriste, etc., mais à l’unique condition que vous m’ameniez des preuves solides et non des théories fumeuses.

Jamais un covidiste convaincu ne prendra le risque de voir s’effondrer son faux Dieu.

merci
Alain Tortosa
9 juin 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220609-terre-plate-verite-propre.pdf





Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par le Dr Gérard Delépine, le 8 juin 2022  

L’échec des politiques sanitaires des 20 dernières années

D’après l’OCDE la France est l’un des pays qui consacre le plus de richesse aux dépenses de santé en pourcentage du PIB avec 12,4 %(([1] https://www.vie-publique.fr/fiches/37910-depenses-de-sante-par-rapport-au-pib)) derrière les USA (17 %), avec la Suisse et l’Allemagne. Mais alors qu’en 2000 nous figurions à la première place du classement OMS(([2] https://www.universalis.fr/encyclopedie/sante-le-systeme-de-sante-francais/2-le-parcours-de-soins/)), celui de 2021 nous a rétrogradé en 16e position, juste avant l’Italie.(([3] https://international-leader.com/classement-2021-des-6-pays-ayant-le-meilleur-systeme-de-sante-au-monde/)) Ce déclassement hospitalier de la France a été abondamment illustré par des attentes devenues interminables aux urgences se terminant parfois par la mort. Les très nombreuses grèves et manifestations d’appel au secours de soignants pendant plusieurs mois ont a été méprisées par le gouvernement Macron et n’ont reçu comme réponse que gaz lacrymogène et flash balls.  

Le Ségur de la santé de juillet 2020 n’a été qu’une parodie de discussion sans aucune décision permettant de remotiver les personnels et deux organisations syndicales ont signalé :

« l’absence de mesures efficaces pour les médecins en début de carrière et plus largement pour tous ceux qui assurent des gardes. »  

La dictature sanitaire de ces deux dernières années

Lors de cette crise Covid, le gouvernement craignait que l’incapacité de l’hôpital de répondre aux besoins prévus de la population ne démontre à celle-ci la gravité des dégâts occasionnés par sa politique sanitaire passée.  

Au lieu de remettre en question celle-ci, le ministère en a profité pour imposer des mesures de coercition inefficaces et au total infiniment plus coûteuses qu’une remise en état du système sanitaire.  

La maltraitance accrue des médecins a atteint des sommets incroyables avec la négation gouvernementale du rôle de l’examen clinique par les médecins de ville (n’allez pas voir votre docteur !), l’interdiction de prescrire les médicaments qu’ils estimeraient utiles (tels que la chloroquine, les antibiotiques, l’Ivermectine, la vitamine D etc..), la recommandation du Doliprane, l’incitation au meurtre par le décret Rivotril, la propagande officielle pour le Remdesevir et ses invraisemblables achats par la Commission européenne et dans une moindre proportion par l’État français (achats liés apparemment aux conflits d’intérêts de certains membres du comité scientifique, et alors que ce remdesevir a été déclaré médicament inefficace et dangereux par l’OMS), l’établissement d’une censure généralisée dans les médias et Internet et le rétablissement du délit d’opinion pour les médecins(([4] Avec poursuites intentées par l’ordre des médecins contre les docteurs dont les propos s’opposent à la propagande officielle comme Raoult, Perrone et les autres lanceurs d ‘alerte.)), la propagande sans limite et les chantages permanents aux libertés élémentaires pour forcer la population à se faire injecter des médicaments expérimentaux mensongèrement qualifiés de vaccin, culminant avec l’obligation pour les soignants et de nombreux autres professionnels de se faire injecter ces produits incapables de protéger de la maladie ni de la transmission et potentiellement dangereux.  

Comme le souligne le rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/seances/s202102/s20210210/s20210210005.html#Niv1_SOM4)):

« Doit être aussi questionné l’hyper-présidentialisme, qui voit se concentrer autour d’un seul un conseil de défense, un conseil scientifique, un comité d’analyse et de recherche, puis un autre conseil scientifique sur les vaccins épaulé par trois cabinets de conseil privés, …et dont le fonctionnement reste opaque, sans contrôle public du Parlement et des acteurs du territoire ».  

En période de pénurie avérée, exclure des soignants sous un prétexte fallacieux est criminel !  

Désormais incapables d’exercer leur métier en respectant le serment d’Hippocrate auquel ils sont viscéralement attachés, beaucoup de confrères ont préféré démissionner, se faire exclure de la profession ou prendre une retraite anticipée. Ils sont en réalité beaucoup plus nombreux que les 15000 exclus que reconnaît le ministre de la Santé qui fait semblant d’ignorer les démissions, les retraites anticipées et les changements de carrière vers les métiers non soignants (de la recherche, de la fonction publique ou des laboratoires pharmaceutiques) ou même étrangers au secteur médical.  

Ces soignants ne sont pas des antivax comme le gouvernement le répète en permanence car la plupart ont, au cours de leur carrière, largement conseillé et vacciné leurs patients et se sont fait injecter de vrais vaccins : ce sont des vaccino prudents. La prudence s’impose en effet devant une mise sur le marché totalement précipitée de ces substances en essai thérapeutique, en moins d’un an, avant la fin des essais phase 3 alors qu’il faut en moyenne 10 à 15 ans pour de vrais vaccins.  

Le bienfondé de cette prudence a été malheureusement rapidement confirmé par les complications (officiellement imprévues)(([6] Mais dont les documents Pfizer cachés ont démontré que les premières semaines d’essai avaient révélé toutes ces complications rapides et parfois mortelles. Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais.
Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DECES PARMI LES VACCINES que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)  ))(([7] Pfizer’s Documents – Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org)  )) qu’ont subies les premiers soignants à se faire injecter, au point que la HAS pourtant très favorable à la pseudo-vaccination a dû recommander de « NE PAS « VACCINER » EN MEME TEMPS TOUS LES SOIGNANTS D’UN SERVICE » pour éviter les fermetures provisoires des dits services.  

La liste colossale des complications recensées en Europe par Eudravigilance, aux USA par le VAERS mais aussi en Grande-Bretagne, en Israël, et la divulgation grâce à la justice américaine du dossier Pfizer de la FDA montrent que ces injections ont été suivies en 16 mois de plus de morts et de séquelles graves que toutes les vaccinations depuis 30 ans.

De plus ces complications ont été imposées sans aucun bénéfice autre que celui des laboratoires pharmaceutiques qui avaient prétendu que leurs vaccins étaient efficaces à 97 %, alors que les données publiées par l’OMS montrent que depuis les grandes campagnes de « vaccination » le nombre des contaminations mondiales a été multiplié par 6,5 (de 83 millions le 31/12/2020 à 532 millions le 6/6/22) et celui des morts attribuées au Covid19 par 3,5 (de 1,8 million au 31/12/2020 à 6,28 au 6/6/2022).  

Eliminer des soignants pour des injections qu’ils refusent car elles ne les protègeraient pas plus que leurs contacts de la maladie tout en leur faisant courir des risques, est éthiquement et médicalement incompréhensible.  

Ces soignants exclus sont aussi victimes de leur honnêteté : du fait de leur profession il leur était particulièrement facile de faire semblant de se faire vacciner comme beaucoup de politiques et de journalistes, mais leur éthique leur a interdit de faire ou d’utiliser de faux certificats.(([8] Espagne : Vaccinés pour de faux : la liste de tous les chanteurs, sportifs et hommes d’affaires ayant fait l’objet d’une enquête dans le cadre de l’ »opération Jenner ». – Résistance (resistance-mondiale.com)  )) Mais ces mêmes politiques osent prétendre qu’ils manqueraient d’éthique !  

Pour l’urgentiste Christophe Prudhomme suspendre les soignants, « c’est catastrophique au niveau sanitaire ». Le Dr Patrick Pelloux, président de l’Association des Médecins Urgentistes de France (AMUF a lui, plaidé pour un retour des non-vaccinés dans les hôpitaux jugeant que la situation est « catastrophique ». « Il y a le feu au lac ! La crise que vit l’hôpital est historique. Dans ce contexte, on ne peut pas se passer des 15 000 personnes suspendues » mais manifestement le ministère de la santé les considère comme de simples médecins ignorants des réalités virtuelles dans lesquelles vit le gouvernement.  

Début juin 2022, au moins 120 services d’urgence sont incapables d’assurer une continuité de service avec des difficulté majeures à boucler les listes de garde, une pénurie permanente d’effectifs médicaux et paramédicaux, un absentéisme fortement augmenté…  

Même choses pour les services de psychiatrie et d’obstétrique et de nombreux autres services.  

Les blocs opératoires ont dû réduire leurs activités retardant d’autant des interventions urgentes et encore davantage les opérations courantes.  

En même temps, en médecine de ville, les déserts médicaux se multiplient et les revendications ont pris de l’ampleur.

Et l’été approche avec les absences dues aux vacances qui aggraveront la situation.  

La qualité de la médecine et son attractivité nécessitent la liberté.  

Ayant exercé la médecine puis la chirurgie pendant près de cinquante ans j’ai vécu une période heureuse où je pouvais prescrire et opérer librement sous ma responsabilité directe. Je pouvais respecter le serment d’Hippocrate et assurer les meilleurs soins aux malades selon l’état de la science, mon expérience et mon imagination.  

Certes je m’exposais aux foudres d’un Conseil de l’Ordre peu ouvert aux progrès(([9] Ainsi en 1986 on me reprocha de ne pas amputer les malades atteints de cancer des membres car il s’agissait «d’une  méthode non validée par la science » alors qu’elle s’est depuis imposée dans tous les pays riches. ))(([10] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre…
https://ripostelaique.com/plainte-contre-le-pr-raoult-moi-aussi-jai-eu-affaire-au-conseil-de-lordre.html )), mais jamais l’administration ne s’immisçait dans mes indications. Et les malades témoignaient leur reconnaissance avec des sourires, des remerciements, des petits cadeaux souvenirs ; comme fromage ou vin de leur production familial. C’était le bonheur d’être utile, passionné et libre.  

Mais dans les années 1990 l’exercice médical est devenu plus difficile, car le coût à court terme est devenu la priorité absolue des gestionnaires hospitaliers.

Un jour, je n’ai obtenu la prise en charge d’une prothèse nécessaire pour éviter l’amputation d’un malade qu’en menaçant le directeur de l’hôpital (qui la refusait) d’organiser une quête nationale avec exposé des motifs dans les journaux !

Le malade a pu conserver sa jambe, mais mon dossier administratif en a fortement souffert.  

Quelques années plus tard, lors de la retraite de mon épouse, son service de Garches a été fermé alors qu’il pouvait parfaitement(([11] Durant son fonctionnement ce service n’a jamais été l’objet d’une plainte de malades ou de leur famille mais la bureaucratie et ceux que nous dérangions nous ont gratifié d’une dizaine d’audits. Les familles enchainaient manifestations devant le siège de l’aphp ou du ministère et ont même fait une grève de la faim en juin2014 ; la direction fit évacuer ces parents par des CRS…lire « neuf petits lits sur le trottoir » N Delepine ed fauves 2014. )) continuer à traiter les petits malades cancéreux grâce aux compétences reconnues de ses membres plus jeunes. Le directeur de l’APHP avait décidé de dédier ses établissements à la « Recherche », (celle des subsides de l’industrie pharmaceutique qui rémunère les établissements et les médecins) au lieu de se consacrer à remplir en premier lieu la mission de l’hôpital, les soins.  

Les dangers immédiats exigent un changement de méthode  !  

Deux ans après la pseudo concertation du Ségur de la santé(([12] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir  )), c’est la totalité des soignants – des étudiants aux médecins et autres soignants en exercice, des prestataires de santé à domicile aux EHPAD – qui se demandent s’ils pourront enfin traiter leurs malades dans des conditions décentes de liberté et de qualité.  

La « perte de repères » qu’ils vivent vient d’être illustrée par l’enquête Odoxa pour la MNH(([13] Perception des Français et des professionnels de santé sur l’hôpital, le système de santé et l’attractivité des métiers de la santé
http://www.odoxa.fr/wp-content/uploads/2022/05/CP-MNH.pdf  )), montrant aussi qu’une forte majorité d’hospitaliers subissent un niveau de stress « inacceptable »..  

Mais au lieu de traiter les vraies causes de cette désaffection croissance des médecins, les solutions autoritaires faciles que proposent les élus mal informés (telles que forcer les praticiens de ville qui restent et qui travaillent souvent 60 heures par semaine à prendre des gardes de nuit, ou obliger les nouveaux praticiens à s’installer dans les déserts médicaux) vont l’aggraver. En voulant rajouter des mesures contraignantes, ils risquent de faire fuir encore davantage les soignants. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre !  

Emmanuel Macron a promis 50 000 nouveaux postes d’infirmières et d’aides-soignants sur cinq ans, une promesse qu’il sera bien en peine de réaliser même en titularisant les soignants et tous les médecins étrangers vivants en France alors que les candidats font défaut, à moins de supprimer l’inutile obligation d’injection des soignants et de supprimer le poids administratif qui pèse sur leur exercice quotidien via les cadres de santé, le temps passé sur l’écran pour rien d’efficace et les plannings délirants.  

D’autant que la préparation du projet de loi de financement de la Sécu (PLFSS 2023) se profile avec un parcours d’équilibriste très incertain : le redressement de la Sécu, exsangue (24,6 milliards d’euros de déficit l’an passé) alors que les revendications du secteur n’ont jamais été aussi fortes avec l’inflation approchant les 5 %.  

Dans ce contexte la réintégration immédiate des soignants ignominieusement démis et la suppression de toutes les mesures coercitives inutiles (masques, pass) qui persistent toujours à l’hôpital y compris pour les visiteurs (ce qui rend la vie des soignants encore plus difficile, par honte de cette maltraitance) et les EHPADs sont des mesures peu coûteuses qui pourraient faire immédiatement réapparaitre au moins 20000-30000 soignants et éviter de nombreuses démissions ou arrêts maladies supplémentaires.  

Élisabeth Borne affirme vouloir « des mesures efficaces pour l’été ».  

Mais ces mesures supposent que la ministre rompe définitivement avec son autoritarisme passé qui lui a fait supprimer le contrat de travail des salariés des entreprises recevant du public pour cause de non-vaccination, le tout sans droit au chômage ni au RSA, les transformant de fait en sdf en l’absence de gros soutiens des familles.  

Tout laisse craindre que le dogmatisme, l’autoritarisme et la corruption l’emporteront sur le pragmatisme et que l’été sanitaire sera chaud.  

Et la nouvelle ministre Mme Bourguignon a été formée par O. Véran, ce qui laisse craindre la suite.  

Espérons que nous nous trompons.  


Une injection acceptée, deux, des ennuis, combien en faudra-t-il ? d’autant qu’ils ne tiennent pas compte des « ennuis ». Une collègue injectée pour poursuivre son job a fait une myocardite sévère. On la force à se réinjecter. Comment survivre à une telle violence physique et morale ?

Et si le peuple ne se réveille pas pour soutenir les soignants … :  


Notes et références :  




Comment la Russie pourrait déOTANiser l’Europe (et le fera-t-elle ?)

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Moon of Alabama – le 6 juin 2022

Dans une vidéo publiée hier, Gonzalo Lira, actuellement en résidence surveillée à Karkov, pose une question très intéressante : Qu’arrivera-t-il à l’Europe quand la Russie gagnera ?

Lira affirme, et je suis d’accord avec lui, que la Russie gagnera la guerre en Ukraine, prendra le sud et l’est pour probablement créer un nouveau pays et laissera le reste du cadavre à la Pologne, la Hongrie, la Roumanie, la Lituanie et d’autres pour qu’ils s’en régalent.

Mais alors ensuite ?

L’OTAN contrôlée par les États-Unis sera toujours là. Il est pratiquement garanti que les États-Unis l’utiliseront pour se venger de la perte de l’Ukraine. Cela se fera par un renforcement constant des troupes et des capacités de missiles à longue portée le long des frontières nordiques et baltiques de la Russie et par des menaces navales supplémentaires dans le nord de l’Arctique ainsi que dans le sud de la mer Noire. Dans une dizaine d’années, les États-Unis pourront à nouveau tenter de mener une grande guerre (par procuration) contre la Russie. Avec une chance décente de la gagner.

Aucune négociation ou accord de paix ne pourra empêcher cela. Les États-Unis sont réputés pour leur incapacité à tenir leurs accords (недоговороспособны en russe). Ils ont rompu TOUTES les promesses et tous les accords qu’ils ont conclus avec la Russie.

Des dizaines de sommités américaines et européennes avaient promis à la Russie que l’OTAN ne s’étendrait « pas d’un pouce » vers la Russie. Regardez où se trouvent maintenant ses frontières. Les États-Unis et l’UE ont confisqué d’énormes quantités d’argent appartenant à l’État russe. Ils ont même pris, en contradiction avec leurs propres constitutions, les propriétés privés de citoyens russes, simplement parce que ces personnes se trouvent être russes.

En 2014, l’Allemagne et la France s’étaient engagées à garantir les élections pour un changement de régime pacifique à Kiev. Le lendemain, les fascistes prenaient d’assaut le parlement ukrainien et ces garanties se sont avérées donc être totalement sans valeur. Les États-Unis ont tout simplement dit : « Fuck the UE ». Ils n’en ont rien à faire des intérêts européens. L’Allemagne et la France ont ensuite négocié et signé les accords de Minsk-1 et Minsk-2. Elles ont continué à injecter des milliards de dollars européens en Ukraine, alors même que le gouvernement ukrainien, contrôlé par les États-Unis, ne faisait rien pour les respecter. Oui, ils ont été totalement stupides.

Les États-Unis ont installé des systèmes de « défense antimissile » en Pologne et en Roumanie, qui sont en fait conçus pour lancer des missiles balistiques à portée intermédiaire (IRBM) sur Moscou. Cela représente un grave danger pour la Russie.

Même après la fin de l’Ukraine, l’OTAN et ses mandataires de l’UE continueront à représenter un danger pour la Russie. Les deux organisations ont prouvé qu’elles étaient incapables de tenir leurs promesses. Par conséquent, la Russie devra changer cette situation.

Elle pourrait le faire par la force. Mais il n’y aura pas de marche vers Riga, Varsovie, Berlin ou Paris. (Rappelez-vous que la Russie y a déjà été et l’a fait, ce qui a entraîné à chaque fois des changements majeurs en Europe).

La Russie a déjà annoncé ses objectifs stratégiques. En décembre 2021, la Russie a présenté deux accords avec les États-Unis et l’OTAN. Ils comprenaient des demandes pour un futur arrangement en Europe qui garantirait une sécurité indivisible pour tous. Le 21 janvier 2022, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, devait rencontrer le secrétaire d’État Anthony Blinken à Genève pour parler des propositions de la Russie. Quelques minutes avant cette rencontre, le ministère russe des Affaires étrangères a tenu une conférence de presse pour répondre aux questions des médias :

Question : Que signifiera pour la Bulgarie et la Roumanie l’exigence de la Russie de voir l’OTAN revenir au cadre de 1997 ? Devront-elles quitter l’OTAN, retirer les bases américaines de leur territoire, ou autre chose ?

Réponse : Vous avez mentionné l’une des pierres angulaires des initiatives de la Russie. Elle a été délibérément énoncée avec la plus grande clarté pour éviter toute ambiguïté. Nous parlons du retrait des forces, des équipements et des armes étrangers, ainsi que d’autres mesures visant à revenir à la situation de 1997 dans les pays non membres de l’OTAN. Cela inclut la Bulgarie et la Roumanie.

Rapporté par Reuters :

MOSCOU (Reuters) – Les garanties de sécurité que la Russie demande à l’Occident comprennent des dispositions exigeant que les forces de l’OTAN quittent la Roumanie et la Bulgarie, a déclaré vendredi le ministère russe des Affaires étrangères.

Moscou a exigé de l’OTAN des garanties juridiquement contraignantes selon lesquelles le bloc cessera son expansion et reviendra à ses frontières de 1997.

Répondant à une question sur ce que cela signifierait pour la Bulgarie et la Roumanie, qui ont rejoint l’OTAN après 1997, le ministère a déclaré que la Russie voulait que toutes les troupes étrangères, les armes et autres matériels militaires soient retirés de ces pays.

Après avoir observé Lavrov et Poutine pendant plus de 20 ans, tout le monde devrait savoir qu’ils ne fixent pas publiquement des objectifs s’ils n’ont aucun moyen de les atteindre. Ils ont toujours des plans bien pensés avant d’annoncer leurs objectifs.

Alors comment la Russie peut-elle réellement obtenir un retrait de l’OTAN vers ses frontières de 1997 ?

Sanctions. Les États-Unis ont utilisé leurs pouvoirs économiques et militaires pour sanctionner tel ou tel pays qui ne faisait pas ce que Washington lui demandait de faire. À moins d’être adoptées par le Conseil de sécurité des Nations unies, ces sanctions n’ont aucun fondement dans le droit international. Malgré cela, les États-Unis ont même utilisé des sanctions secondaires. Ils ont menacé de sanctions l’Europe, et tous les autres pays, en leur ordonnant de ne pas traiter avec l’Iran ou le Venezuela.

Alan MacLeod @AlanRMacLeod – 22:45 UTC – Jun 5, 2022

Les États-Unis envisagent de « permettre » à l’Europe et au Venezuela de commercer ensemble. Pensez à ce que cette histoire nous dit sur les relations de pouvoir mondiales et qui est aux commandes.

 

Bloomberg @business – 12:13 UTC – 5 juin 2022

Les États-Unis pourraient autoriser Eni et Repsol à expédier du pétrole vénézuélien vers l’Europe dès juillet pour compenser le brut russe, rapporte Reuters trib.al/fQ10QlX.

La Russie peut faire de même. Mais comme elle suit toujours le droit international, elle devra le faire d’une manière légèrement différente.

La Russie est une superpuissance dans la mesure où elle produit toutes sortes de matières premières dont le monde, et surtout l’Occident, a besoin. L’Europe, et en particulier l’Allemagne, dépend du gaz naturel et du pétrole venant de Russie. Les prix de l’énergie en Allemagne vont au moins tripler si le pays est complètement coupé des approvisionnements russes.

Les leaders de l’industrie allemande ont annoncé haut et fort qu’ils devront fermer boutique si la politique européenne actuelle de restriction des approvisionnements énergétiques russes se poursuit. Les géants de la chimie BASF et Bayer devront s’installer dans un autre pays. Volkswagen, Mercedes, BMW devront arrêter toute production en Europe. La production d’acier tombera à zéro. Le manque d’engrais entraînera une dépendance à l’égard de l’agriculture étrangère.

Le chômage de masse s’ensuivra. Des millions de personnes seront dans la rue pour protester contre les coupures de courant, le gel dans les appartements et l’hyperinflation.

La Russie peut réaliser cela à tout moment. Il lui suffit de cesser de fournir du gaz et du pétrole à l’Europe.

Malgré six « paquets de sanctions » européens contre la Russie, la Russie n’a toujours pas réagi en retour. Celle-ci doit encore espérer que les dirigeants européens reconnaîtront le jeu mortel auquel les États-Unis se livrent avec eux.

Malheureusement, les dirigeants européens sont stupides et compromis. Le ministre allemand « vert olive » de la destruction économique, Robert Habeck, rêve toujours de mettre l’économie russe à genoux, alors même que le rouble augmente et que l’économie allemande s’effondre. Le chancelier Olaf Scholz n’a jamais été la plus brillante des ampoules dans la pièce. Il est profondément compromis par son implication dans le scandale Wireguard. Il était ministre des finances lorsque les rapports sur une fraude d’une valeur d’un milliard de dollars de la société ont été supprimés par son ministère. Et ne me parlez pas d’Ursula van der Leyen, dont la corruption et l’incompétence ont été démontrées dès qu’elle a accédé à sa première fonction publique. Les services secrets américains connaissent surement de nombreux autres crimes dans lesquels ces personnes ont été impliquées.

Les dirigeants idéologiques actuels de l’Europe devront être remplacés par des personnes propres qui suivent la tradition allemande de Realpolitik :

La Realpolitik (allemand : [ʁeˈaːlpoliˌtiːk] ; de l’allemand real « réaliste, pratique, réel », et Politik « politique »), désigne l’adoption ou l’engagement de politiques diplomatiques ou politiques basées principalement sur des considérations de circonstances et de facteurs donnés, plutôt que de se lier strictement à des notions idéologiques explicites ou à des prémisses morales et éthiques. À cet égard, elle partage certains aspects de son approche philosophique avec celles du réalisme et du pragmatisme. En politique, elle est souvent appelée simplement « pragmatisme », par exemple « mener des politiques pragmatiques » ou « politiques réalistes ».

L’Europe ne reviendra à la raison qu’avec de nouveaux dirigeants décents.

La Russie peut y contribuer tout en résolvant son problème avec l’OTAN.

Elle peut déclarer publiquement que :

IL N’Y AURA PLUS DE FOURNITURES RUSSES D’AUCUNE SORTE À L’EUROPE JUSQU’À CE QU’ELLE ROMPE AVEC WASHINGTON.

Que se passerait-il ensuite ?

Des millions de discussions à la lueur de bougies se tiendraient dans des foyers européens glacés et affamés. Les opinions politiques changeraient. Les gouvernements seraient remplacés par des gouvernements plus pragmatiques.

La France et l’Allemagne devront soit quitter l’OTAN, soit s’appauvrir et devenir insignifiantes. Les troupes américaines présentes sur le sol européen seraient priées de partir ou seraient attaquées et jetées dehors par une population enragée. L’Allemagne interdirait à l’armée américaine d’utiliser son espace aérien. Les États-Unis perdraient leur emprise sur le continent.

Cela ne peut pas arriver ? Eh bien, Gonzalo Lira n’est pas d’accord et moi non plus. Début février, avant l’intervention russe en Ukraine, j’avais mis en garde contre les conséquences des politiques « occidentales » actuelles :

La stratégie américaine visant à « contraindre » la Russie dans ses relations avec l’Europe en lui imposant des « sanctions écrasantes » pour ensuite attaquer la Chine est en train d’échouer. C’est parce qu’elle a été complètement mal conçue.

La Russie est le pays le plus autarcique du monde. Elle produit presque tout ce dont elle a besoin et possède des produits hautement désirables qui font l’objet d’une demande mondiale et dont l’Europe a particulièrement besoin. La Russie dispose également d’énormes réserves financières. Une stratégie de sanctions contre la Russie ne peut pas fonctionner.

Les conséquences pour l’Europe sont évidentes :

Les États-Unis et leurs mandataires dans l’UE et ailleurs ont imposé des sanctions très sévères à la Russie pour nuire à son économie.

L’objectif final de cette guerre économique est un changement de régime en Russie. La conséquence probable sera un changement de régime dans de nombreux autres pays. …

Toute la consommation d’énergie aux États-Unis et dans l’Union européenne se fera désormais à un prix élevé. Cela poussera l’UE et les États-Unis dans une récession. Comme la Russie augmentera les prix des exportations de biens pour lesquels elle a un pouvoir de marché – gaz, pétrole, blé, potassium, titane, aluminium, palladium, néon, etc – la hausse de l’inflation dans le monde entier deviendra significative. …

[La Russie et la Chine] ont consacré plus de temps de réflexion à cette question que les États-Unis.

Les Européens auraient dû le reconnaître au lieu d’aider les États-Unis à conserver l’image d’une puissance unipolaire.

Il faudra un certain temps pour que les nouvelles réalités économiques s’installent. Elles changeront probablement la vision actuelle des véritables intérêts stratégiques de l’Europe.

L’Europe a la chance que la Russie, même avant de revenir en Ukraine, ait offert une alternative très décente à l’hégémonie américaine en Europe :

Un homme qui a l’oreille de Poutine, le professeur Sergey Karaganov, président honoraire du Conseil de la politique étrangère et de la défense de Russie, a écrit un article d’opinion qui présente une alternative.

L’article a été demandé par le Financial Times et était censé être publié, ce qui signifie qu’il s’adresse aux dirigeants européens. Mais le FT l’a rejeté pour des raisons non précisées. Il a ensuite été publié dans la revue Russia in Global Affairs et a maintenant été republié par RT. …

 

[Karaganov] déclare :

Le système de sécurité en Europe, construit en grande partie par l’Occident après les années 1990, sans qu’un traité de paix ait été signé après la fin de la précédente guerre froide, est dangereusement insoutenable.

Il existe quelques moyens de résoudre l’étroit problème ukrainien, comme le retour à la neutralité permanente, ou des garanties légales de plusieurs pays clés de l’OTAN de ne jamais voter pour une nouvelle expansion du bloc. Les diplomates, je suppose, en ont quelques autres dans leurs manches. Nous ne voulons pas humilier Bruxelles en insistant pour répudier son plaidoyer erroné en faveur d’une expansion illimitée de l’OTAN. Nous connaissons tous la fin de l’humiliation de Versailles. Et, bien sûr, l’application des accords de Minsk.

Mais la tâche est plus vaste : construire un système viable sur les ruines du présent. Et sans recourir aux armes, bien sûr. Probablement dans le cadre plus large de la Grande Eurasie. La Russie a besoin d’un flanc occidental sûr et amical dans sa compétition pour l’avenir. L’Europe sans la Russie ou même contre elle a rapidement perdu son poids international. De nombreuses personnes l’avaient prédit dans les années 1990, lorsque la Russie a proposé de s’intégrer aux systèmes du continent, et non d’en faire partie. Nous sommes trop grands et trop fiers pour être absorbés. Notre proposition a été rejetée à l’époque, mais il y a toujours une chance qu’elle ne le soit pas cette fois-ci.

Ce dernier paragraphe est l’essentiel des véritables objectifs stratégiques de la Russie. Ils exigent de détruire le système actuel d’hégémonie américaine sur l’Europe. L’Europe devra être déOTANisée. Des changements de régime dans les pays européens seront probablement nécessaires pour y parvenir.

Les dirigeants russes ont maintenant une chance unique d’atteindre ces objectifs. Ils seront condamnés par leurs compatriotes s’ils s’abstiennent de le faire. Les États-Unis n’ont aucun moyen d’empêcher ou de contrer un boycott des ventes russes et ses conséquences.

Quand les politiciens européens, ou ceux qui les soutiennent, vont-ils enfin se rendre compte de ces faits ?

Mise à jour :

Un extrait d’une conférence de presse que Lavrov tient actuellement :

Ambassade de Russie, Royaume-Uni @RussianEmbassy – 11:41 UTC – Jun 6, 2022

FM #Lavrov : Selon toutes les apparences, personne ne réformera l’#OTAN. Ils vont transformer cette « alliance défensive » en une alliance mondiale qui revendique la domination militaire mondiale. C’est une voie dangereuse qui est définitivement vouée à l’échec.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

[Voir aussi :
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
Great reset : c’est pour bientôt !
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




L’enquête sur la Loi sur les mesures d’urgence ne s’annonce pas bonne pour Justin Trudeau

[Source : Guy Boulianne]

Un article écrit par le journaliste Antoine Furey : L’enquête sur la Loi sur les mesures d’urgence ne s’annonce pas bonne pour Justin Trudeau

Dans le cadre du dossier sur le « Convoi de la Liberté », je partage avec vous un article du journaliste Antoine Furey qui fut publié le 4 juin dernier dans le journal Toronto Sun, intitulé « The Emergencies Act inquiry isn’t looking good for Trudeau ». Cet article de M. Furey constitue en quelque sorte une suite logique aux différents articles qui furent publiés sur mon site internet, datés du 15 mai, du 8 mai et du 20 février 2022.

Guy Boulianne


PAR ANTOINE FUREY : Les choses semblent difficiles pour le premier ministre Justin Trudeau en ce qui concerne le déroulement de l’enquête sur la Loi sur les mesures d’urgence. Le mois dernier, ou environ, a apporté un certain nombre de clarifications sur ce qui s’est exactement passé pendant le convoi de la liberté de cet hiver et sur ce qui s’est passé dans les coulisses avant et pendant l’invocation controversée de la loi. Et bon nombre d’entre eux révèlent qu’une grande partie de ce que le gouvernement libéral fédéral faisait croire aux gens n’était que des mensonges éhontés.

Les libéraux ont insisté sur le fait qu’ils n’ont introduit la loi qu’après que la police l’ait demandée (mon collègue Lorne Gunter a trouvé au moins six exemples du ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, faisant cette affirmation). Cependant, au comité, les chefs de la police d’Ottawa et de la GRC ont dit qu’ils n’avaient jamais fait une telle demande. Ensuite, il y a l’affirmation du ministre de la Justice David Lametti selon laquelle des étrangers malveillants finançaient le convoi. Mais des témoignages ont révélé qu’aucun niveau des forces de l’ordre ne leur avait jamais dit cela. Finances Canada a même témoigné que le convoi était principalement soutenu par de petits dons de milliers de Canadiens moyens.

Il y a aussi des rumeurs plus incendiaires que certains politiciens fédéraux se sont fait un plaisir d’amplifier – comme des affirmations selon lesquelles des participants au convoi auraient tenté d’incendier un immeuble résidentiel. Ils ont été pour la plupart démystifiés maintenant. Mais voici le problème : toutes ces révélations accablantes se sont produites avant même que l’enquête ne commence. Il y a eu une certaine confusion à ce sujet, mais les gros titres sur les nouvelles provenant des audiences sur la loi proviennent en fait d’un comité de la Chambre des communes qui se penche sur la question.

Ce n’est que l’échauffement. L’événement principal n’a même pas commencé. Pourtant, les arguments du gouvernement libéral sont déjà en lambeaux.

C’est quelque chose, car ce premier comité est sans doute celui qui a été truqué en faveur de Trudeau. Au cours de certaines des réunions, les députés libéraux du comité sont intervenus pour essayer d’empêcher que des questions difficiles soient posées et ont posé des questions simples aux ministres qui témoignaient. Ces cascades partisanes seront beaucoup plus difficiles à réaliser sous le juge Paul Rouleau, commissaire d’enquête.

Trudeau a déjà tenté de s’immiscer politiquement dans l’enquête en essayant de définir le mandat – affirmant que le but de l’enquête est de sonder des choses comme le financement et la prétendue désinformation. Les libéraux refusent de reconnaître qu’une grande partie – sans doute la partie principale – consiste à sonder leur décision même d’invoquer la loi.

Cela n’a pas d’importance cependant. Car ce n’est pas à Trudeau de définir la portée de l’enquête. C’est au juge Rouleau, qui est sûrement conscient de la façon dont le comité parlementaire a déjà affaibli les arguments du gouvernement avant le début de ses travaux.

Les choses semblent si difficiles en ce moment que s’il s’agissait d’une affaire judiciaire, l’avocat de la défense de Trudeau pousserait son client à rechercher un accord de plaidoyer plutôt que de risquer l’humiliation colossale potentielle d’un procès.

Il n’y a vraiment aucun moyen que le premier ministre Justin Trudeau sorte bien dans le rapport final. Il apparaîtra comme un leader qui a eu une crise de sifflement autoritaire parce que pour la première fois de son mandat, il avait fait face à de sérieuses protestations contre son leadership et avait donc menti sur ce qui se passait réellement pour tenter de justifier une réaction excessive extrême. Ce type de recul démocratique n’est pas de bon augure pour un pays du G7.

Quelles en seront les véritables répercussions ? Probablement très peu et les fédéraux le savent. Comme lorsque Trudeau a été reconnu coupable d’avoir enfreint la Loi sur les conflits d’intérêts (plus d’une fois), il y a très peu de sanctions qui l’accompagnent. En fait, lorsque le rapport d’enquête sera finalement publié, Trudeau pourrait faire ce qu’il fait souvent lorsqu’il est reconnu coupable : essayer de le retourner et de prétendre que c’est un moment propice à l’apprentissage pour tout le monde sauf lui.

Cela fonctionnera-t-il à nouveau ? Y a-t-il une limite au nombre de fois où les Canadiens se laisseront duper ? Nous verrons.


Consultez le dossier du Convoi de la Liberté


[Voir aussi :
Trudeau fait l’objet d’une enquête « sans précédent » sur l’utilisation de pouvoirs d’urgence contre des manifestants pour la défense des libertés civiles,
Canada : la loi des mesures d’urgence utilisée pour réprimer le mouvement de la liberté et geler le compte en banque des manifestants, avant même qu’elle soit votée
et
Inversion accusatoire de Trudeau envers le mouvement de la liberté – Appel unifié avec les Premières Nations pour rétablir l’ordre constitutionnel canadien]




Le grand écart du pouvoir et l’indifférence citoyenne

Par Nicole Delépine

Pourtant c’est leur peau, votre peau qui sera en jeu, en cas d’occlusion, de fracture, d’avc, d’infarctus… Et là, brutalement, après des heures aux urgences vous comprendrez la gravité de l’arnaque. Ce ne sont pas simplement des chiffres ces lits fermés, ces accidents post vaccinaux, ces suicides de désespoir de soignants, pompiers ou jeunes perdus après le confinement, etc.. Ce sont des gens, votre voisin, votre papa, votre enfant demain… Mais les soignants ne sont qu’une centaine devant le ministère de la Santé pour alerter. Comment est-ce possible ?

Où sont passés les citoyens ? Manifs vides, mais aussi marchés vides et commerçants désespérés, rues désertes… Où sont passés les gens ?

Améliorer les conditions d’exercice pour les soignants ? 45 000 démissions après le 1er confinement 15 000 suspensions par E. Borne en septembre 2021. Exils des soignants en Suisse, en Belgique où les salaires sont nettement supérieurs.

Pénurie de soignants à l’approche de l’été

Alors que la pénurie de soignants oblige les établissements à fermer des lits — à l’hôpital gériatrique La Collégiale à Paris, aux CHU de Rennes et Bordeaux ou encore au sein des services des urgences de quatre centres hospitaliers en Sarthe, les syndicats tirent la sonnette d’alarme.

INDIFFÉRENCE, MAIS AUSSI IRRESPONSABILITÉ GÉNÉRALE

Et pourtant si on réagissait, les soignants, les citoyens et pas seulement quelques-uns… Ils sont quelques milliers ; nous sommes des millions, mais si nous nous soumettons, quel avenir pour nos petits ?

@agnesunivers

voilà ce qui se passe en Belgique : « Sinon, je ne suis pas suspendue, ils ont fait pression, mais comme très peu de soignants ont suivi par peur, ils ont laissé tomber, le nombre de soignants non vax est trop élevé. Ils menacent toujours, mais rien ne bouge 8 h 42 · 7 juin 2022·Twitter

Être informé du risque de manque cruel de personnel soignant dans les hôpitaux, avouer à la population qu’on le sait en inventant une nième MISSION et EN MÊME TEMPS suspendre encore et encore des soignants pourtant injectés, mais non à jour… en d’autres termes pour x raisons ils ont dû refuser la troisième injection.

Si le gouvernement impose la quatrième dose (si E.Macron obtient sa chambre obéissante) combien de personnel restera-t-il dans les hôpitaux et in fine quel est le but de ce délire vaccinatoire ?

Si on peut admettre (et encore) qu’en juillet 2021 quelques-uns pouvaient encore avoir des illusions sur l’efficacité du pseudovaccin, le mythe de l’efficacité et de la protection des contaminations ne tient plus et la liste des effets secondaires graves s’allonge chaque jour. Qui peut l’ignorer ?

Mais la réponse d’E.M. est sidérante : 31 mai “Depuis 5 ans, nous agissons pour améliorer l’accès aux soins et les conditions d’exercice de nos soignants à qui nous devons tant. Il faut aller plus loin, notre système de santé a aujourd’hui besoin d’une révolution. Elle sera collective”.

Et ce soir la ministre annonce qu’elle pourrait donner autorisation de soigner plus vite à des élèves infirmières…. Ça vous inspire et pour les malades et pour elles ! quelles responsabilités !

COMBIEN DE LITS FERMES EN CINQ ANS ? 17 000 Lits

Et ça continue

Une manifestation contre la suspension de 60 agents “pour schéma vaccinal incomplet” prévue mardi à l’hôpital de Montauban | FranceSoir

Mais le plus étonnant n’est pas l’attitude claire des dirigeants aux ordres de Bruxelles et de Big Pharma, mais bien la passivité des citoyens qui permet toutes ces horreurs.

Les soignants de Montauban protestent contre la suspension de collègues injectés mais pas à jour… Peu importe les effets secondaires qu’ils ont subis, peu importe l’inefficacité démontrée et les dangers majeurs de ces pseudovaccins, il faut foncer dans le mur. Les directions qui appliquent sans état d’âme (avoué en tous cas) l’obligation vaccinale imaginent-elles la responsabilité pénale qu’ils prennent aujourd’hui ? Se cacher sous les “ordres d’en haut” ne les protégera pas toujours…

Mais combien de citoyens dans la rue pour soutenir ces nouvelles victimes de l’arbitraire au service de Big Pharma ? Combien de candidats députés hurlent-ils au scandale ?

Regardez la manifestation parisienne : quelques personnes, mais il devrait être des milliers…

De même les collègues qui interdisent d’autres médecins pour avoir soigné, guéri, informé supporteront-ils le poids de leur trahison d’Hippocrate quand un jour ou l’autre ils ouvriront les yeux ?

Luxembourg

Aujourd’hui à la sortie du du conseil supérieur de discipline du collège médical au Luxembourg Dr Benoit Ochs condamné à 1 AN d’interdiction d’exercice de la médecine on lui reproche d’avoir soigné des patients pendant la crise de covid et avoir dénoncé les effets sec. du vax ⬇️

Belgique

La gynécologue Docteur Laurence Kayser dénonce les effets secondaires du vaccin Covid haut et fort devant l’Ordre des médecins à Mons ! (Belgique) — PLANETES360

France




Ukraine : quiproquos, méprises et incompréhensions

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

La guerre d’Ukraine n’a lieu qu’en raison d’abord de l’ignorance des Occidentaux de ce qui se passait en Ukraine et d’autre part d’une série de quiproquos et de méprises. Les Occidentaux, centrés sur eux-mêmes, incapables de penser comme leurs interlocuteurs, n’ont cessé de se tromper. Finalement, lorsque les opérations militaires prendront fin et que les Russes auront atteint leurs objectifs publiquement énoncés dès le premier jour, ils pourront même se persuader d’avoir gagné. En définitive, la seule chose qui compte pour les Occidentaux, ce n’est pas d’épargner des vies humaines, mais d’avoir la conviction de se tenir du bon côté de l’Histoire.

Les soldats de l’opération militaire russe en Ukraine poursuivent la lutte de leurs ainés contre les nazis. Les bandéristes ne cachent pas en effet leur volonté d’anéantir les « Moscovites », femmes et enfants compris.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10 « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13 « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
 18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
 19. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », 24 mai 2022.
 20. « Les programmes militaires secrets ukrainiens », 31 mai 2022.

La guerre en Ukraine est interprétée très différemment selon que l’on est Occidental ou Russe. L’expérience précédente de chacun conditionne son interprétation des mots et des événements. De fait, nul ne réagit aux mêmes choses et recherche pas les mêmes informations que les autres. En définitive, les deux camps n’ont plus du tout la même perception de la réalité. Cette succession de quiproquos et de méprises enclenche une incompréhension qui peut favoriser involontairement un conflit majeur.

Selon les services de communication britanniques, ces tatouages sont uniquement décoratifs.

LES BANDÉRISTES

Les deux camps, qui ont combattu côte à côte face au nazisme, n’ont pas du tout vécu la même chose durant cette période et par conséquent n’en ont pas le même souvenir.

La presse russe ne distingue pas les bandéristes des nazis. Il s’agit pour elle de réveiller le souvenir de la « Grande Guerre patriotique » (dite en Occident : « Seconde Guerre mondiale »). Lorsque l’Allemagne attaqua la Russie, en juin 1941, celle-ci n’était pas du tout prête. Le choc fut désastreux. Staline ne parvint à unir son peuple qu’en s’alliant avec l’Église orthodoxe qu’il avait jusque-là combattue et en libérant ses opposants politiques condamnés au Goulag. Évoquer aujourd’hui cette période, c’est prendre l’engagement de reconnaître à chacun sa place pourvu qu’il défende la Nation.

Les Russes perçoivent les bandéristes/nazis contemporains comme des dangers existentiels contre leur peuple. Ce faisant, ils ont raison car les nationalistes ukrainiens considèrent qu’ils sont « nés pour éradiquer les Moscovites ».

Par conséquent, toutes les attaques occidentales contre la personne de Vladimir Poutine sont décalées et inopérantes. Pour les opposants russes, ce n’est plus le sujet. Qu’ils l’apprécient ou le combattent, Poutine est leur chef comme Staline l’avait été à partir de juin 1941.

La presse occidentale, quant à elle, assimile aussi les bandéristes aux nazis, mais c’est pour en relativiser plus facilement l’importance. Dans le souvenir des populations d’Europe de l’Ouest, le nazisme ne menaçait que des minorités. Les malades mentaux et les vieillards malades incurables d’abord, puis les juifs et les tsiganes ont été séparés du lot pour disparaître à jamais. Au contraire, les Slaves se souviennent d’armées qui avançaient en rasant un à un tous les villages qu’elles prenaient. Nul ne pouvait survivre. Non seulement le nazisme fait moins peur aux Européens de l’Ouest, mais les Anglo-Saxons suppriment discrètement les symboles qui pourraient raviver cette mémoire. Par exemple, les conseillers en communication britanniques ont modifié fin mai l’écusson du régiment Azov. Ils ont substitué au crochet du loup (Wolfsangel) associé à la division SS Das Reich, trois épées en trident évoquant la République nationale ukrainienne (1917-20). Ce faisant, ils ont fait disparaître un insigne nazi pour le remplacer par un insigne anti-bolchévique. Or, dans l’imaginaire ouest-européen, on assimile l’Union soviétique à la Russie, ignorant que la majorité des dirigeants soviétiques n’étaient pas russes.

Les conseillers en communication britanniques assurent que les bandéristes/nazis ukrainiens sont comparables aux nazis occidentaux actuels : des groupuscules marginaux d’enragés. Ils ne nient pas leur existence, mais laissent à penser qu’ils n’ont aucune importance. Aussi font-ils disparaître à la fois les traces de leur activité parlementaire et gouvernementale depuis l’indépendance de 1991 et les images des monuments qui leur ont été élevés depuis un peu partout dans le pays.

De 1991 à 2014, les journaux du monde entier ont ignoré la lente reformation des bandéristes en Ukraine. Cependant en février 2014, lors du renversement du président élu Viktor Ianoukovytch tous les journalistes qui couvraient la « Révolution de la dignité » ont été frappés par le rôle central de milices d’extrême-droite dans les manifestations. Les médias du monde entier ont produit des reportages sur ces étranges « nationalistes » arborant des croix gammées. Mais la presse occidentale a brusquement cessé ses investigations, un mois plus tard, lorsque la Crimée, refusant l’arrivée au pouvoir de ces extrémistes, proclama son indépendance. Continuer à rendre compte de la dérive de l’Ukraine aurait été donner raison à la Fédération de Russie qui avait accepté son rattachement. À partir de là et durant 8 ans, aucun média occidental n’a enquêté par exemple sur les accusations d’enlèvement et de torture à grande échelle qui ont parcouru le pays. Parce qu’ils ont délibérément ignoré les bandéristes durant cette période, ils ne sont plus capables d’estimer leur rôle politique et militaire aujourd’hui.

Cet aveuglement se poursuit avec l’évolution du pouvoir ukrainien durant la guerre. La presse occidentale ignore tout de la dictature mise en place : confiscation par l’État de tous les médias, arrestation des personnalités d’opposition, confiscation des biens des personnes évoquant les crimes historiques des bandéristes et des nazis, etc. Au contraire, la presse russe ne manque rien de cette soudaine évolution et se morfond d’avoir fermé les yeux durant des années.

Pour notre part, nous avons écrit —avec retard— l’histoire des bandéristes ; un sujet auquel aucun livre n’a été consacré, signe que l’Ukraine sous cet angle ne passionnait personne. Notre travail, traduit en une dizaine de langues, a fini par toucher de nombreux responsables militaires et diplomates occidentaux. Ces derniers font désormais pression sur leurs gouvernements pour qu’ils ne soutiennent plus ces ennemis de l’humanité.

Les Etats-Unis ont menti effrontément au Conseil de Sécurité des Nations unies pour pouvoir envahir l’Iraq. Ils ne se sont jamais excusés.

LA CRÉDIBILITÉ DES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX ET RUSSES

Il y a deux manières d’évaluer la crédibilité d’un dirigeant : on examine soit ses bonnes intentions, soit son bilan. Les Européens de l’Ouest, qui se sont placés sous la protection des États-Unis, ont la conviction de ne plus faire l’Histoire, mais de la subir. Ils n’ont donc plus besoin de dirigeants politiques comme au siècle dernier. De fait, ils n’élisent plus que des gestionnaires se présentant comme pétris de bonnes intentions. Au contraire, les Russes, après l’effondrement de leur pays durant les années Eltsine, ont voulu restaurer leur indépendance et finalement couper avec le libéralisme US auquel ils avaient cru une décennie. Pour cela, ils ont élu et réélu Vladimir Poutine, dont ils vérifient l’efficacité. Leur pays s’est ouvert à l’étranger tout en devenant auto-suffisant en de nombreux domaines, y compris alimentaire. Ils interprètent les sanctions de l’Otan non pas comme des punitions, mais, sachant que l’Alliance atlantique ne représente que 12 % de la population mondiale, comme une fermeture de l’Occident au reste du monde.

Indépendamment des régimes politiques, les dirigeants civils qui cherchent à rassembler leur peuple le plus largement possible s’interdisent de mentir pour conserver la confiance de leurs concitoyens, au contraire ceux qui sont au service d’une minorité pour exploiter la majorité sont tenus de mentir pour ne pas être renversés. Par ailleurs, les dirigeants militaires s’ils ont tendance à prendre leurs rêves pour des réalités, donc à mentir, en temps de paix, sont tenus de coller au plus près des réalités en temps de guerre pour vaincre.

Les Occidentaux sont marqués par un très fort traumatisme vécu lors des attentats du 11 septembre 2001 et de la prestation du secrétaire d’État états-unien, le général Colin Powell, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, le 5 février 2003. Ils ont d’abord tremblé durant les attentats de New York, en voyant les gens qui se jetaient par les fenêtres, puis les tours qui s’effondraient avant de réaliser que les explications qu’on leur donnait ne tenaient pas la route. Une défiance s’est installée entre eux et les dirigeants qui faisaient mine de croire à ces fariboles(([1] L’auteur de cet article, Thierry Meyssan, est l’auteur de L’Effroyable imposture, le livre qui révéla les mensonges du 11-Septembre. [NdlR].)). Puis ils ont cru ce que leur disait un général parce qu’un militaire ne pouvait pas mentir à propos d’une très grave menace sécuritaire. Enfin, ils sont devenus dépressifs lorsqu’ils ont constaté que toute cette mise en scène n’était qu’une excuse pour renverser un gouvernement qui résistait aux USA et s’emparer des richesses pétrolières et financières de son pays. C’est que le discours du général Powell(([2] “Colin Powell Speech at the UN Security Council”, by Colin L. Powell, Voltaire Network.)) avait été écrit par des politiciens civils, les Straussiens de l’Office of Strategic Influence (OSI) comme, honteux, il l’avoua plus tard. Cette confiance mal placée à coûté la vie à plus d’un million de personnes(([3] « Plus d’un million d’Irakiens tués sous l’occupation US », par Dahr Jamail, Michael Schwartz, Joshua Holland, Luke Baker, Maki al-Nazzal, Réseau Voltaire, 9 février 2010.)). Depuis 2003, les Occidentaux n’ont plus confiance dans la parole donnée par leurs dirigeants ; un phénomène un peu moins marqué en France dans la mesure où ce pays fut le seul à contredire publiquement le général Powell.

Au contraire, les Russes font la distinction entre ceux de leurs dirigeants qui tiennent le même discours que les autres et ceux qui défendent l’intérêt collectif. Ils ont d’abord cru, dans les années 2000, au discours occidental et espéré connaître eux aussi la liberté et la prospérité. Mais ils ont vécu un effroyable effondrement tout en observant quelques voyous s’approprier leur richesse collective. Ils se sont alors tournés vers des valeurs sûres : des concitoyens soucieux de l’intérêt général et formés par le KGB. Ils vivent aujourd’hui en espérant être délivrés de ce qui reste de cette période d’égarement : des oligarques installés à l’étranger et une certaine bourgeoisie mondialiste à Moscou et à Saint-Petersbourg. Ils perçoivent les premiers comme des voleurs et se félicitent que leur biens, déjà perdus pour le pays, soient saisis par les Occidentaux. Quant aux seconds, ils savent qu’il n’en existe pas seulement chez eux, mais partout dans le monde globalisé. Ils voient sans regret partir certains d’entre eux. Pour les Russes, le président Poutine et son équipe sont parvenus à résoudre le problème alimentaire et à leur redonner du travail. Ils ont restauré leur armée et les protègent de la résurgence du nazisme. Bien sûr, tout n’est pas rose, mais c’est beaucoup mieux depuis qu’ils sont aux manettes.

Les trente chefs d’Etat et de gouvernement de l’Otan. Ils prétendent décider pour l’humanité.

L’OTAN EST-ELLE LA PLUS GRANDE ALLIANCE MILITAIRE DU MONDE OU UNE MENACE CONTRE LA RUSSIE ?

Pour les Européens de l’Ouest, qui sont nés et ont été élevés dans une région sous protectorat US, l’organisation unipolaire du monde semblait couler de source. N’ayant jamais connu la guerre chez eux depuis une soixantaine d’années (les Français ont oublié les attentats à Paris durant la guerre d’Algérie), ils ne comprennent pas pourquoi le reste du monde ne veut plus de la Pax Americana.

Au contraire, les Russes ont éprouvé une brutale baisse de leur espérance de vie de 20 ans lorsqu’ils ont élu Boris Eltsine et ses conseillers US. En outre, ils ont vécu deux guerres dans leur province de Tchétchénie avec les attentats islamistes qui les accompagnèrent de Beslan à Moscou. Les bandéristes ukrainiens étaient venus prêter main forte aux jihadistes de l’Émirat islamique d’Itchkérie.

Pour les Européens de l’Ouest peu importe que l’Otan ait tenté d’éliminer Charles De Gaulle en France, fait assassiner Aldo Moro en Italie ou organisé le coup d’État des colonels en Grèce(([4] Les Armées Secrètes de l’OTAN, Danielle Ganser, Demi-Lune (2007).)). Ces événements ne sont connus que des spécialistes et ne sont pas enseignés dans les manuels scolaires. L’Otan est la plus grande alliance militaire de l’Histoire et sa taille lui garantit théoriquement la victoire.

Or, l’Otan a refusé l’adhésion de la Russie dans les années 1990. Elle s’est redéfinie non pas comme une force stabilisant le continent, mais comme une organisation anti-Russe, au risque de provoquer la guerre en Europe. Les Occidentaux récrivent l’Histoire en affirmant n’avoir jamais pris la décision de ne pas étendre leur alliance à l’Est. Or, lors de la réunification allemande, le président français François Mitterrand et le chancelier allemand Helmut Köhl firent inscrire dans le Traité portant règlement définitif concernant l’Allemagne (13 octobre 1990) que les quatre puissances vainqueurs du nazisme établiraient des mesures de confiance en matière d’armement et de désarmement pour garantir la paix sur le continent conformément aux principes de l’Acte final d’Helsinki (1er août 1975). Ces principes furent réaffirmés dans les Déclarations d’Istanbul (Charte de sécurité européenne, 19 novembre 1990) et d’Astana (2 décembre 2010). Ils posent :
 le droit de chaque État à conclure les alliances militaires de son choix
 et, comme corolaire, le devoir de chaque État de ne pas prendre de disposition de sécurité menaçant ses voisins.

C’est pourquoi la Russie n’a jamais contesté l’adhésion des États d’Europe centrale et orientale au Traité de l’Atlantique-Nord, mais a toujours dénoncé l’installation de forces états-uniennes sur leur sol. En d’autres termes, elle ne conteste pas l’existence de l’Otan, mais son fonctionnement au sein du Commandement intégré. Soyons précis : aujourd’hui, elle n’a aucune objection à ce que l’Ukraine, la Finlande ou la Suède fassent alliance avec les États-Unis et soient protégées par l’article 5 du Traité de l’Atlantique-Nord, mais refuse que cela implique l’installation de troupes US et d’armes US sur son sol.

Il ne s’agit pas de prévenir des tirs de missiles depuis sa frontière terrestre, car des sous-marins pourraient toujours s’approcher de sa frontière maritime. La préoccupation de Moscou est ailleurs. À la différence de la plupart des États, la Fédération de Russie a une faible population par rapport à l’étendue de son territoire. Elle ne peut donc pas défendre ses frontières. Depuis son invasion par Napoléon en 1812, elle a appris à se protéger en misant sur son immensité : couper l’envahisseur de ses lignes d’approvisionnement et le laisser mourir de froid l’hiver venu. C’est la « stratégie de la terre brûlée » qui conduisit à l’abandon de Moscou et au déplacement de toute sa population vers l’Est. Or, cette stratégie suppose que l’envahisseur ne puisse pas bénéficier de bases arrières dans un pays proche.

Cette stratégie est aussi source de quiproquos. La Russie ne cherche pas à disposer d’une zone d’influence en Europe comme l’avait fait Union soviétique de l’Ukrainien Léonid Brejnev. Elle n’a pas non plus de visée impérialistes comme la Russie tsariste. Elle cherche uniquement à ce qu’aucune grande armée ne s’approche pas d’elle. Une attitude que les Kremlinologues les mieux informés qualifient à tort de « paranoïaque », alors qu’elle est mûrement réfléchie.

Faisant mentir les adeptes du « choc des civilisations », les soldats tchétchènes ont écrasé les nazis ukrainiens au cri d’« Allah Akbar ! »

L’ART OPÉRATIF

Alors que les films de guerre hollywoodiens mettent en scène des initiatives héroïques de quelques hommes faisant basculer le sort d’une bataille, les films de guerre russe ne parlent que de héros qui se sacrifient pour retarder l’avancée ennemie et permettre à la population de se replier. Les Russes n’éprouvent aucune honte à fuir si cela peut éviter un bain de sang.

Cette différence a conduit les militaires slaves à imaginer l’« art opératif », à mi-chemin entre la stratégie et la tactique. Il ne s’agit ni de penser le déploiement des armées, ni la conduite d’une bataille, mais ce qui pourrait être fait pour retarder l’armée ennemie et prévenir la bataille. Les armées occidentales ont elles aussi tenté d’imaginer un « art opératif », mais elles n’y sont pas parvenues parce qu’elles n’en ont aucun besoin.

Au plan militaire, la guerre en Ukraine peut être résumée ainsi : l’objectif, fixé publiquement par le président Vladimir Poutine, était « de désarmer et de dénazifier » l’Ukraine. Sa mise en œuvre par son état-major a d’abord consisté à semer la confusion chez les adversaires, puis à réaliser l’objectif une fois l’armée ukrainienne désorganisée.

L’état-major russe a attaqué par toutes les frontières possibles ; depuis la Crimée, depuis Rostov, depuis Belgorod, depuis Koursk et depuis la Biélorussie. De la sorte, les armées ukrainiennes ne savaient où elles devaient se concentrer. Dans cet apparent désordre, les armées russes ont détruit les défenses aériennes ukrainiennes et foncé sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, dont elles ont récupéré les réserves illégales d’uranium et de plutonium, et sur plusieurs laboratoires militaires où elles ont détruit des containers de virus et autres armes biologiques(([5] « Les programmes militaires secrets ukrainiens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 31 mai 2022.)). Elles ont détruit les chemins de fer lorsque les Occidentaux se sont proposé d’envoyer des armes sur le front. Puis elles ont combattu le régiment bandériste Azov dans son fief de Marioupol. Enfin, elles nettoient les parties des oblasts de Donetsk et Lougansk qui étaient occupées par les Ukrainiens.

Pendant ce temps, les Occidentaux ont cru que les Russes voulaient prendre Kiev et arrêter le président Volodymyr Zelensky, qui n’ont jamais fait partie de leurs cibles, puis qu’ils allaient occuper l’ensemble du pays, ce qu’ils ne veulent surtout pas. Il y a donc eu méprise sur la Blitzkieg. Les États-Unis croyaient qu’ils devaient prévenir une chute rapide du régime, tandis qu’ils auraient dû défendre les réserves de Zaporijjia. Puis ils ont cru qu’ils devaient protéger Odessa et Lviv, tandis que Marioupol tombait. L’« art opératif » des Russes s’est exercé en atteignant les objectifs annoncés en un temps record tandis que les Occidentaux se félicitaient d’empêcher la prise d’objectifs imaginaires.

Les Occidentaux en général sont tellement nombrilistes qu’ils n’ont pas été capables de penser comme leurs adversaires. Le Pentagone s’est d’autant plus facilement trompé que la plupart des officiers ignoraient le travail des Straussiens : la structuration des bandéristes, leurs liens avec les éléments d’extrême droite de nombreuses armées occidentales (l’ordre secret Centuria (([6] « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 avril 2022.))), et leurs programmes secrets d’armement(([7] Ibid. « Les programmes militaires secrets ukrainiens ».)).

Thierry Meyssan





ENFANTS EN DANGER ! STOP À L’INDIFFÉRENCE !

Par Nicole Delépine

Les regards se détournent, « Parlez-moi d’autre chose », « Encore un article sur les complications des vax », etc.. « Oui on a compris » et ils sont de moins en moins lus  ! Eh bien non ! Le danger encore plus important guette à court terme si nous laissons faire la Commission européenne et nos dirigeants aux ordres qui veulent injecter dès la rentrée scolaire tous les enfants qui y ont échappé pour l’instant.

Et la phrase terrifiante du chef de l’état en ce début juin : « Il faut vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu’on évite les virus, on va continuer d’agir sur ce volet ».

Au-delà du mensonge arrogant de ce président qui paraît ignorer que les pseudo vaccins sont incapables de nous faire éviter le virus et du mépris intrinsèque à la formulation « ce qui peut être vacciné », les humains, les poulets, les vaches, ou les hamsters (posons-lui la question), l’intention est clairement avouée = on ne réintégrera pas les soignants, car on veut vacciner tout ce qui traîne…

Il fallait oser quelques jours avant des élections.

Et pourtant l’absence d’obligation pour les députés et sénateurs et plus encore la révélation de ce qu’on soupçonnait depuis longtemps : « Les faux certificats de vaccination pour l’Élite, à eux seuls sont un aveu que ce vaccin est un poison » et qu’ils le savent.
https://www.elmundo.es/madrid/2022/05/25/628df993e4d4d8b1038b456e.html

L’AVENIR INCONNU DES ENFANTS VACCINÉS

Nombre d’enfants de moins de 12 ans vaccinés contre le Covid-19 en France, par classe d’âge, au 18 novembre 2021 :

Et en plus des effets secondaires graves, mais encore rares à court terme, leurs complications d’ici quelques années et le suspense de leur fertilité est évidemment mis en cause. La clique de Davos ne s’en cache pas, elle veut diminuer la population mondiale et se débarrasser des riens, des inutiles, des râleurs, grévistes et autres « déchets » de l’humanité selon eux. Et nous rêvons à un monde nouveau pendant qu’ils injectent… comme nous avons détourné les yeux des scandales de la pédophilie dénoncés par Serge Garde et Laurence Beneux(([1] Au printemps 2000, Serge Garde dans L’Humanité, puis Laurence Beneux dans Le Figaro, révèlent l’existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8 500 documents pédosexuels, et d’un fichier établi par la police hollandaise à partir du CD-Rom, avec 472 photos de mineurs. Qui sont ces enfants en danger ? Des journalistes, des parents, des associations et des professionnels de l’enfance, faute d’obtenir des enquêtes adaptées, vont rechercher et identifier une vingtaine des enfants du fichier. Du côté des institutions, police et justice, c’est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers. Le Livre de la honte : Les réseaux pédophiles — 12 octobre 2001)), et Carl Zéro(([2] Karl Zéro balance tout 12 décembre 2019 de Karl ZÉRO, Éditions Télémaque/Plon)). Que sont devenus des enfants dont nous n’avons pas voulu connaître le martyr ? Plus de 20 ans déjà.

La majorité de la population y compris les « militants pour un monde meilleur » et de « il faut sauver la planète » se taisent, ignorent ou veulent ignorer le danger majeur des injections à répétition, qui guette nos enfants et petits-enfants. En même temps pourrait-on dire, qu’elle ignore l’euthanasie des vieux, et des malades déclarés incurables (pour leur bien évidemment). Et en même temps la population ignore le sacrifice des nouveau-nés, des fœtus, largement facilité par les modifications de la loi bioéthique.(([3] L’infanticide au cœur de l’eugénisme de la Nouvelle Société. — Pro Fide Catholica
(https://profidecatholica.com/2022/06/06/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/?amp=1)
On impose masques et vaccins de la manière la plus intrusive possible et simultanément, on défend le droit d’euthanasier des bébés dans la période périnatale au nom des droits de disposer de son c…))

Avant même d’imposer à tous cette piqûre toxique(([4] http://videos.senat.fr/video.2908931_628cbfd4c67cf.declaration-analyse-et-communication-autour-des-effets-indesirables-des-vaccins-contre-la-covid-19)) (et comment l’ignorer après les enquêtes au Sénat, etc.),(([5] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) ils ont osé piquer des enfants depuis des mois avant toute autorisation.(([6] Les enfants vaccinés ont-ils été recrutés à travers cette plateforme dès juillet 2021 ?
https://www.covireivac.fr/actualites/actualites-de-la-plateforme-covireivac/lancement-de-la-plateforme-covireivac-enfant-et-adolescent/))

ENFANTS COBAYES ILLÉGAUX EN TOUTE IMPUNITÉ ?

Le courrier des stratèges détaille ici le scandale de 22 500 enfants « vaccinés » en France avant toute autorisation des autorités.(([7] Véran a-t-il couvert des milliers de vaccinations illégales de jeunes enfants ? Par Isabelle Hock — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) O. Véran et A. Fischer ont-ils couvert la vaccination illégale de plusieurs milliers de jeunes enfants, l’an dernier, en dehors de tout protocole médical et toute autorisation scientifique en bonne et due forme ? Ces vaccinations illégales et sans aucun encadrement posologique sont-elles à l’origine des hépatites aiguës qui frappent mystérieusement des enfants ? Ce sont les questions qu’Isabelle Hock pose au vu des informations récentes qui ont commencé à percer… dans le silence des autorités sanitaires françaises.))

En décembre 2021, alors que PFIZER BIONTECH ne disposait encore d’aucun vaccin pour les enfants de moins de 5 ans, 4 512 enfants de cette tranche d’âge avaient déjà reçu une première dose de vaccin à ARNm !

Et selon le journal « le Monde » dans un article publié le 23 novembre 2021, au moins de 22 490 enfants français âgés de 0 à 11 ans avaient déjà été injectés avec l’ARNm.(([8] « Au 18 novembre, ils sont 17 199 à être complètement vaccinés et 110 à avoir bénéficié d’un rappel. Le fichier “Vaccin Covid”, qui permet de suivre la progression de la vaccination, recense deux premières injections sur des tout-petits dès le 27 décembre 2020. »))

Or la vaccination pour ces enfants n’a été proposée par la Haute Autorité de Santé (HAS), et ce sans aucune obligation, qu’à partir… du 20 décembre 2021.

Autrement dit, ces enfants ont été vaccinés en dehors de toute proposition de la HAS et sans aucune procédure d’essai scientifique déclarée. Et bien entendu ni les ARS ni l’état ne se sont saisis de cette violation des lois alors que des professeurs célèbres et compétents, mais mal vus du pouvoir (dont D Raoult et H Joyeux) sont arbitrairement accusés sous ce motif. Au royaume républicain de France, peu a changé depuis La Fontaine « Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

DES ENFANTS FRANÇAIS ONT DONC BEL ET BIEN SERVI DE COBAYE À UNE EXPÉRIMENTATION DU VACCIN ARNM À GRANDE ÉCHELLE.

Le chiffre de 17 199 enfants complètement vaccinés et de 22 490 enfants ayant reçu une première dose doit être comparé aux 1 250 enfants de 5 à 11 ans ayant participé aux essais cliniques de PFIZER dans le courant de la même année 2021, selon les données statistiques officielles de Santé Publique France, et ce depuis le mois d’avril 2021, reprises dans l’article du « Monde ».(([9] Vaccination contre le Covid-19 : qui sont les 17 000 enfants de moins de 12 ans déjà vaccinés en France ? (lemonde.fr) ))

Le journal avance même la date du 27 décembre 2020 pour les deux premières injections sur des tout-petits.

D’où sont sortis ces petits, avec quel accord de familles nécessairement non informées en l’absence de tout dossier d’essai autorisé ?

Une internaute commente :

« Ces vaccinations d’enfants avant autorisation du vaccin en pédiatrie n’ont pourtant jamais été cachées, les médias classiques en ont parlé ouvertement : il s’agit pour un petit nombre des enfants ayant une pathologie, et pour le plus grand nombre il s’agit d’enfants dont les parents ont une pathologie les rendant “à risque” de formes graves du covid. Il me semble que la HAS ou une autre instance avait validé ces vaccinations pour protéger les adultes, ce qui avait fait hurler dans le désert un certain nombre de personnes encore attachées aux valeurs morales. une civilisation qui sacrifie ses enfants pour éviter un risque à des vieillards et des malades ne mérite plus le nom de civilisation ».

Il me semble que cela était même présenté à l’époque comme une faveur faite à ces enfants handicapés ou immunodéprimés… !(([10] « Les sociétés savantes de pédiatrie se sont concertées pour identifier les patients à protéger en priorité. Parmi eux, des enfants souffrant de pathologies sous-jacentes très sévères, des déficits immunitaires primitifs, mais aussi des transplantés comme les greffés cardiaques, ou encore des patients en dialyse » écrit le Monde. concertation sans aucune preuve scientifique évidemment.)) Comme le Rivotril injecté aux vieillards simplement suspects de Covid comme « une faveur pour leur éviter de souffrir » sans même les informer ni leur famille.

Cependant en mai 2021, A Fischer avait déclaré que vacciner des enfants de moins de 12 ans n’était pas envisageable avant le début de 2022.

Le 21 juin 2021, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE), présidé par le Professeur DELFRAISSY déclarait « inacceptable de vacciner des enfants de moins de 12 ans avec ces produits. »

Le courrier des stratèges fait remarquer l’absence de suivi de ces enfants, ce que finalement on ne sait pas (numéros de lots décelables par Pfizer BioNTech ?)(([11] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/11/vaccination-et-affichage-sur-les.html?m=1)). En tous cas, tous les vaccinés en France n’ont été l’objet d’aucun suivi particulier connu, cela évitant d’enregistrer les effets indésirables officiellement.

Les effets toxiques ont commencé à apparaître doucement sur Eudravigilance avant le début officiel des injections et se multiplient depuis l’été. Jusqu’à quand les familles laisseront-elles faire ?

AU 29 MAI 22 :

ET AVANT DE LAISSER INJECTER VOTRE ENFANT, PARCOUREZ LES DOCUMENTS SECRETS PFIZER

Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DÉCÈS PARMI LES VACCINÉS que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE

https://pgibertie.com/2022/06/03/les-documents-secrets-des-essais-pfizer-revelent-deux-fois-plus-de-deces-parmi-les-vaccines-que-les-non-injectes/

COMMENT AGITER LA PEUR POUR DUPER LES PARENTS

Enfin, rappelons les craintes pour la future campagne de vaccination. Depuis quelques mois déjà les Anglais d’abord ont publié des observations d’hépatite grave d’enfants très jeunes dont environ 10 % des patients ont dû être transplantés. Des observations similaires ont aussi été notifiées dans plusieurs pays européens, aux États-Unis, en Israël et au Japon(([12] https://www.vidal.fr/actualites/29175-augmentation-des-hepatites-graves-de-l-enfant-d-origine-indeterminee-enquete-en-cours.html)). En France, plusieurs cas ont été signalés. La polémique a vite surgi, car ces cas sont survenus uniquement dans les pays vaccinés et après que les injections aient commencé chez les enfants. Le statut vaccinal des enfants touchés était peu ou pas précisé, car il ne fallait surtout pas accuser le vax. De toute façon rien n’empêcherait de penser qu’ils auraient récupéré la protéine spike des bisous de leur maman vaccinée.
Mais l’occasion était trop belle. Bien qu’il n’y ait pas eu de covid infantiles et encore moins mortels, on les voit venir avec des séquelles à long terme de covid passé inaperçu…

Leurs décisions : « plus de 12 millions de doses pédiatriques du PFIZER-BIONTECH ont été livrées à la France, pays qui compte moins de 6 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans. »

Par ailleurs, dans un document officiel de la Commission UE, on peut lire qu’« avant le début de l’année scolaire 2022-2023, il y a lieu de “considérer des stratégies pour accroître le taux de couverture vaccinale chez les jeunes enfants, par exemple en se coordonnant avec les pédiatres et d’autres professionnels de santé qui sont des sources d’information fiables pour les parents”.

La protéine spike est toxique pour le foie

Pour le “Journal of Hepatology”, la protéine spike est susceptible d’engendrer de graves lésions au foie.(([13] « Our case demonstrates conclusive evidence of vaccine-induced immune-mediated hepatitis with a rapid onset of liver injury after the first Moderna dose, which on re-exposure led to acute severe autoimmune hepatitis »
[« Notre cas démontre de manière concluante l’existence d’une hépatite à médiation immunitaire induite par un vaccin, avec une apparition rapide de lésions hépatiques après la première dose de Moderna, qui, lors d’une nouvelle exposition, a entraîné une hépatite auto-immune aiguë sévère. »]))

Jean-Marc Sabatier, Directeur de Recherches au CNRS, a expliqué que la protéine Spike du coronavirus peut engendrer ces effets toxiques hépatiques : « ces hépatites aiguës correspondent à une maladie de la Covid-19 et sont induites par un variant ou sous-variant émergent du SARS-CoV-2 (Omicron, XD, XE ou autres) ».

Ceci suggère ‘qu’il existe un risque qu’avec les nouveaux vaccins basés sur la protéine Spike d’Omicron, le même phénomène inflammatoire du foie puisse survenir chez les jeunes enfants vaccinés avec les nouveaux vaccins’.

Depuis plusieurs semaines, le narratif selon lequel la vaccination des enfants les protégerait contre l’Hépatite infantile se répand dans la presse aux ordres (subventionnée par nos impôts et Bill Gates).

On ne cherche pas du côté du vaccin vu que les enfants ne sont pas censés être vaccinés. C’est sans compter les 22 490 enfants vaccinés, certains selon un schéma complet, depuis 2021…

En mars 2021, la Société française de Pédiatrie affirmait que le COVID n’était pas une maladie pédiatrique, tout en autorisant l’injection d’un vaccin ARNm sur des enfants de 6 à 11 ans…’

Il est reconnu dans toute la littérature internationale que le COVID n’affecte les enfants que de manière très mineure. En deux ans d’épidémie Santé Publique France n’a recensé que 13 enfants de moins de 15 ans morts avec un test Covid positif, dont un seul d’entre eux ne souffrait pas d’autre maladie mortelle tandis que la grippe saisonnière tue en moyenne chaque année entre 7 et 10 enfants de cet âge. Le COVID perd en virulence au fil de ses mutations. Omicron s’est révélé plus contagieux, mais beaucoup moins virulent que les souches précédentes. Le prochain variant, s’il en émerge un, sera certainement encore moins toxique.

Il faut refuser ces vax qui n’ont aucune justification médicale chez l’enfant, car ils sont dangereux à court terme (myocardite, hépatite, etc.) et parce qu’on en ignore l’ensemble des effets à moyen et long terme.





Tour de Babel de la modernité, quel ordre après le chaos ?

[Source : nice-provence.info ou bvoltaire.fr]

Par Jean-Michel Lavoizard

Il y a deux ans exactement, en cette fête de l’esprit de Pentecôte censé souffler dans le cœur de tous les hommes, je déplorais une société française désassemblée car déspiritualisée(([1] https://www.bvoltaire.fr/de-babylone-a-la-france-nouvelle-tour-de-babel/)). Atteinte de babélisme, confusion causée par l’orgueil démesuré qui prétend construire une tour aussi haute que le Ciel. Qu’en est-il aujourd’hui ?

L’hystérie politico-sanitaire du Covid-19 avait causé une panique généralisée, suscitée par un ennemi fabriqué de dimension planétaire, face auquel le président Macron s’était érigé en « chef de guerre ». Or, c’est sur le seul champ de bataille de la déconstruction nationale qu’il méritait le titre de « chef de guerre », statut auquel il semblait tant tenir pour se tailler une illusoire étoffe sur mesure d’homme d’État capable d’écrire, quitte à la réécrire, l’Histoire.

Si Macron a atteint ce pouvoir, est-ce pour le Bien Commun ?

Je m’alarmais de ce que la confusion des décisions publiques depuis le début d’une crise sanitaire instrumentalisée, par son inefficacité aussi contre-productive que couteuse, se montre, sous son vrai jour, redoutablement efficace dans le domaine du contrôle social. L’étau de l’État s’est-il relâché, ou au contraire renforcé ?

Je déplorais que pour parvenir à ses fins, le progressisme égalitariste avait semé la discorde entre les communautés et en leur sein, arasé la société en prétendant l’égaliser. Il avait atomisé et massifié la société jusqu’à en faire d’un tout, un tas ; de chaque personne, personne, indivisible individu sans valeur. La cohésion nationale est-elle revenue, ou s’est-elle encore délitée ?

Je citais le philosophe écrivain suisse Henri-Frédéric Amiel dans son Journal intime, en 1866, d’une actualité troublante : « On ne sait bientôt plus où découvrir le terrain commun entre les doctrines en conflit. C’est décourageant et effrayant, car la conséquence est l’atomisme solitaire des individus et le babélisme des intelligences. Cette dissolution de l’autorité, des traditions, des croyances, des volontés collectives, tend à ramener au chaos spirituel et favorise singulièrement le despotisme brutal de la force et du nombre. ». L’autorité est-elle maintenant mieux respectée, ou plus que jamais piétinée ?

Je dénonçais alors ces stratégies de communication d’influence qui visent la conversion des esprits par adhérence forcée plutôt que par adhésion spontanée ; si besoin, par la crainte d’une notation sociale en construction ; en dernier recours, par la force légale, avec relégation sociale et exclusion professionnelle. La liberté de conscience et d’expression est-elle mieux respectée, ou la pression sociale est-elle plus que jamais pesante au point d’amener des adultes à cacher leur attachement à des valeurs nationales, par crainte des conséquences personnelles ?

Le bâtiment du Parlement européen à Strasbourg : ressemblance troublante avec la Tour de Babel modélisée par le peintre Pieter Brueghel en 1563 (notre illustration à la une)

Nul doute que la Tour de Babel qu’est devenue notre société mondialisée, plus haute et vaine que jamais, s’effondrera inévitablement et avec fracas, tant ses fondations sont construites sur le sable instable d’une modernité insensée. Ce gratte-ciel de l’hubris à l’échelle d’une humanité mondialisée a été construit depuis une dizaine de générations par déchristianisation forcée, accélérée par les nouvelles idées insignifiantes et inconsistantes en vogue, qu’une vague de saine réaction conservatrice et responsable viendra un jour balayer.

Mais quel ordre viendra après ce chaos programmé ?

Celui d’une société nouvelle et transhumaine, inhumaine, portée par des courants de pensée délirants, ou le retour à une saine normalité de valeurs transcendantales et traditionnelles où l’Homme retrouve sa place naturelle dans la Création, au sommet de laquelle il exerce pleinement sa liberté mesurée à sa responsabilité ? N’est-ce pas à chacun d’entre nous de le décider et de le construire, plutôt que de le nier et de le subir ?

Jean-Michel Lavoizard




La fabrication des perceptions

[Voir aussi sur Dogma #19]

Par Joseph Stroberg

La perception de la réalité par les êtres humains représente un processus relativement complexe initié lors de la réception d’informations par les organes et les dispositifs sensoriels du corps. Elle présente au moins deux points de vulnérabilité qui offrent à des êtres malintentionnés des possibilités de manipulation de la perception : le premier est sa fragilité proportionnelle à sa complexité, de la même manière qu’une chaîne se brise d’autant plus facilement — par son maillon le plus faible — qu’elle est longue ; et le second provient de son caractère partiel et subjectif. Et si l’on cherche à pallier l’insuffisance, l’incomplétude et la subjectivité perceptive par des artifices technologiques, on ne fait souvent qu’accroître le degré de complexité et donc proportionnellement celui de fragilité, rendant l’individu encore plus vulnérable à la manipulation de ses perceptions par différents moyens. Or, il existe des individus ou des entités qui semblent avoir développé une spécialité : celle de remplacer la perception naturelle du réel par un récit artificiel, fallacieux ou factice qui peut au contraire s’en écarter plus ou moins drastiquement et dramatiquement.

Les moyens de perception offerts aux êtres humains sont actuellement de deux ordres : les naturels et les artificiels. Les premiers proviennent de son système sensoriel et les seconds ont été inventés à différentes époques comme autant d’instruments purement mécaniques dans certains cas, ou chargés d’électronique dans d’autres, généralement plus récents.

Parallèlement aux cinq sens classiques et bien connus, l’être humain dispose aussi de sens qui lui permettent de s’orienter dans l’espace, de trouver son équilibre, de ressentir les émotions (voire les pensées) d’autres individus à distance, d’anticiper des événements, etc. Par différents capteurs plus ou moins efficaces, précis, sélectifs…, ayant une plus ou moins longue portée et large couverture, il peut ainsi percevoir la position et le mouvement d’un objet ou d’un sujet d’observation, et d’autres caractéristiques perçues conventionnellement comme étant sa couleur, sa forme, sa texture, sa matière, etc., mais que la science a tendance de nos jours à considérer comme des assemblages dynamiques d’atomes ou de molécules. Cependant, ses capteurs et organes sensoriels ne représentent que la première étape du dispositif de perception des informations relatives aussi bien à lui-même qu’aux autres entités de l’Univers. Ces dernières sont ensuite transmises au cerveau, par le biais du système nerveux.

Le cerveau joue un rôle capital dans le traitement des perceptions, en les rendant intelligibles. Il renverse notamment l’image reçue du dehors par l’œil sur la rétine. Il transforme en couleurs les signaux reçus par les trois types de capteurs rétiniens. Il transforme en bruits, cris ou paroles les vibrations sonores captées au niveau de l’oreille. Il traduit en saveurs les substances chimiques perçues par les papilles gustatives. Il interprète sans cesse l’information reçue sous différentes formes et par de multiples capteurs sensoriels, tendant plus ou moins automatiquement à écarter ce qui ne cadre pas avec l’image du monde qu’il s’est déjà fabriquée grâce non seulement à ses sens naturels, mais aussi à ses moyens artificiels de perception.

Pour pallier ses handicaps sensoriels naturels ou accidentels ainsi que la limitation de ses sens de manière générale, par exemple par rapport à certains animaux, l’être humain a inventé au cours des âges divers moyens. Les plus anciens instruments qu’il a pu ainsi fabriquer à de telles fins sont probablement le monocle et la paire de lunettes. L’équivalent pour l’ouïe a pris d’abord la forme d’un cornet acoustique, puis plus récemment de prothèses auditives. De multiples dispositifs ont été créés pour nous permettre d’augmenter nos moyens de perception. Le microscope, le télescope optique, le radiotélescope, mais aussi le télégraphe, la radio, la télévision, les satellites de communication ou d’espionnage, et Internet font partie de ceux-ci. Nous percevons en effet le monde à travers eux.

Avec ou sans moyens artificiels pour augmenter ses sens ou pallier leur manque ou leurs limitations, les perceptions qui en découlent sont plus ou moins fortement tributaires du travail effectué au niveau du cerveau pour traiter les informations reçues. La grande majorité des individus, neurotypiques, tendent à ainsi à la « dissonance cognitive » quand de nouvelles données ne cadrent pas avec l’image du monde, la représentation interne qu’ils s’en fabriquent au fur et à mesure de leur évolution depuis le plus jeune âge. Ils le font d’autant plus que les réactions émotionnelles induites par ces données perçues sont négatives (par exemple sous forme de peur, de colère ou de haine). Dans un tel cas, la dissonance avec l’acquis est trop forte et ces dernières sont alors simplement rejetées. Lorsque les données plaisent ou laissent émotionnellement indifférent, mais sont en contradiction avec le schéma déjà construit, elles sont déformées par le cerveau pour pouvoir s’y intégrer.

L’image du monde que se fabrique un individu donné peut être plus ou moins déformée ou faussée par rapport à la réalité objective selon son fonctionnement neuronal (découlant notamment de ses habitudes de pensées) et selon ses capacités mentales d’analyse et de logique, mais aussi selon son degré d’humilité (ou au contraire d’orgueil) face aux champs de connaissance, ceux qu’il pense déjà connaître ou avoir suffisamment explorés, comme ceux qu’il ignore encore plus ou moins totalement. La vanité et la suffisance engendrées par un savoir acquis acceptent en effet mal la remise en question de ce dernier lorsque de nouvelles données tendraient à en détruire les fondations.

Une bonne maîtrise de la logique est pratiquement indispensable pour effectuer une analyse cohérente et relativement impartiale non seulement de la représentation du monde déjà élaborée (incluant théories et croyances diverses) que des nouvelles observations toujours susceptibles, d’ailleurs, d’entrer en contradiction avec celle-ci. La logique permet de séparer plus facilement la vérité de la fausseté et du mensonge.

Une bonne dose de réelle humilité est également indispensable, cette fois pour être capable d’accepter les erreurs, invraisemblances et incohérences du modèle du monde déjà construit en interne face aux nouvelles perceptions ou à un afflux de « lumière » qui les mettent en évidence. Quand nous avons basé notre vie sur une erreur (comme l’est par exemple assez probablement la théorie virale.(([1]Voir L’enterrement de la théorie virale, dans Dogma #18,
ou https://nouveau-monde.ca/lenterrement-de-la-theorie-virale/)))
, l’orgueil favorisé par la notoriété (individuelle aussi bien que collective), le consensus (voire l’unanimité) et l’intelligence(([2] https://nouveau-monde.ca/le-defi-de-lintelligence/)) représente un puissant obstacle à la remise en question des connaissances acquises, combien même celles-ci seraient plus ou moins complètement fausses et frauduleuses.

D’autres obstacles à la remise en question de l’acquis s’avèrent de nos jours être l’intérêt financier, la volonté de contrôle social ou politique, et la peur de l’inconnu. Des individus ou des groupes principalement motivés par le maintien ou l’augmentation de leurs privilèges ont ainsi tout bénéfice et intérêt à maintenir l’Humanité dans l’état qui leur a permis d’arriver où ils en sont. À cette fin, ils peuvent jouer sur l’orgueil des « experts », l’abrutissement des masses par une éducation déficiente leur interdisant tout sens véritable de logique et esprit d’analyse élaboré, le contrôle de ces mêmes masses par l’émotionnel en lui offrant des loisirs stimulant ce dernier au détriment du mental et en la plongeant dans un état quasi perpétuel de peur (par une stimulation médiatique appropriée). Connaissant la psychologie humaine et la manière dont l’individu perçoit et imagine le monde, ils peuvent alors dicter à la masse humaine la manière dont elle doit désormais percevoir le réel. Ils obtiennent des résultats d’autant plus rapides et spectaculaires qu’ils interviennent à tous les stades du mécanisme perceptif.

En offrant à l’Humanité des capteurs et instruments d’analyse de plus en plus sophistiqués et démultipliés, si possible sur un seul support (comme le « smartphone »), on la détourne de l’usage de ses propres ressources naturelles. L’individu assujetti aux téléphones et autres instruments prétendument « intelligents » leur remet ses propres capacités d’observation, de mémorisation, d’analyse et de réflexion. Il abandonne son naturel pour l’artificiel et devient dépendant de la technologie pour assurer une partie croissante de ses besoins journaliers. Sans ces artifices, il est perdu, en état de manque, voire en véritable panique. Il ne sait plus mémoriser, calculer, réfléchir… analyser par lui-même. Il existe ainsi une différence fondamentale entre par exemple une simple paire de lunettes et un téléphone dit intelligent. Là où la première se contente de rectifier le trajet de la lumière reçue pour améliorer la vision, le second court-circuite le processus perceptif et l’empêche donc de fonctionner normalement en prétendant offrir mieux à l’individu. Or, un organe ou une fonction qui ne sont pas utilisés périclitent.

Après la phase de réception initiale de l’information, les individus mal intentionnés peuvent intervenir de nos jours au niveau cérébral lui-même, et ceci en de multiples zones ou phases du traitement de l’information. En particulier, par l’utilisation d’ondes sonores ou d’ondes électromagnétiques, selon la technologie utilisée(([3] https://nouveau-monde.ca/armes-electromagnetiques-interfaces-cerveau-machine-controle-mental-et-harcelement-electromagnetique-la-realite-a-t-elle-rejoint-la-science-fiction/
et https://nouveau-monde.ca/le-controle-des-emotions-et-des-pensees-par-la-technologie/)), on peut maintenant créer des pensées artificielles, faire entendre des voix dans la tête, induire des émotions, du stress « flottant » (d’origine indéfinissable par l’individu), produire des hallucinations sensorielles, etc.. Dans le cas d’ondes électromagnétiques pulsées (4G, 5G, Wi-Fi, etc.), ces altérations de la perception et des fonctions cérébrales s’accompagnent de symptômes divers(([4] https://nouveau-monde.ca/effets-nocifs-des-ondes-pulsees-wi-fi-cellulaires-compteurs-intelligents/
[et https://nouveau-monde.ca/plus-de-2-000-etudes-documentaient-les-effets-nocifs-des-ondes-avant-1972/])), variables selon les individus, mais dont la cause électromagnétique est alors assez rarement reconnue par la médecine et les médecins.

Cependant, il existe aussi et depuis plus longtemps des techniques plus douces et/ou « naturelles » (dans le sens de non technologiques), mais relativement efficaces qui relèvent davantage de la psychologie elle-même : hypnose, induction de « psychose de formation de masse »(([5] https://nouveau-monde.ca/dr-robert-malone-psychose-de-formation-de-masse-covid-19-pourquoi-tant-de-gens-croient-au-mensonge-du-vaccin/
et https://nouveau-monde.ca/le-meurtre-de-l-esprit-ou-comment-la-peur-mene-a-la-psychose-de-masse/)), messages subliminaux auditifs ou visuels, manipulation(([6] https://nouveau-monde.ca/comment-on-manipule-pour-avoir-le-consentement/
et https://nouveau-monde.ca/quand-le-conte-de-fees-se-transforme-en-cauchemar/) )), propagande et désinformation(([7] https://nouveau-monde.ca/propagande-histoire-et-techniques-de-ses-maitres/
et https://nouveau-monde.ca/une-breve-histoire-de-la-propagande/)), conditionnement psychologique(([8] https://nouveau-monde.ca/william-sargant-mk-ultra-conditionnement-le-detournement-cognitif-ou-la-psychologie-qui-consiste-a-faconner-la-realite-dautrui/)), bien que dans ce dernier cas, elles puissent être plus violentes lorsqu’elles s’accompagnent de privations, de stress, voire de torture physique ou psychologique, jusqu’à engendrer ce que l’on appelle classiquement un « lavage de cerveau » ou encore une dissociation de personnalité suite à des traumatismes multiples(([9] http://multiples-pages.net/mp03-dissociation-traumatisme.html
et https://www.psychologue.net/articles/quest-ce-que-la-dissociation-et-comment-se-manifeste-t-elle)).

Plus leur connaissance relative aux êtres humains est poussée, plus des êtres mal intentionnés peuvent en tirer profit pour manipuler ces derniers et leur faire réaliser, dire ou être n’importe quoi, jusqu’à des actions, paroles et états qui sont pourtant contre nature. Et plus ils maintiendront l’Humanité dans les sphères de conscience matérielle et émotionnelle au détriment des sphères mentales, intuitives, psychiques et spirituelles, spécialement en stimulant les instincts animaux (de survie, de reproduction…) et l’émotionnel (en jouant par exemple sur la peur ou en utilisant la loi d’attraction et de répulsion), plus il leur sera facile de l’asservir et de lui imposer une fausse réalité. Les instincts et les émotions représentent la porte de la manipulation et du contrôle sur les individus lorsque ces derniers y sont déjà, par nature ou habitude, assujettis au détriment des sphères plus élevées. Et ce n’est pas pour rien notamment que les gourous de sectes tendent presque systématiquement à dénigrer le « mental » comme leur ennemi ou plutôt comme celui que leurs ouailles doivent combattre ou fuir. La raison et le discernement représentent en effet des obstacles à une bonne manipulation, alors que celle-ci gagnera à jouer sur la peur et l’instinct de survie pour placer le corps et le cerveau en mode approprié, celui du « fuis ou combat, mais surtout ne prends pas le temps de réfléchir à ce que tu fais ni à ce que tu perçois ».

Une lumière d’alerte ou de vigilance devrait s’allumer en chaque individu qui se voit proposer de rejeter son mental, son cerveau, la raison ou la logique, de revenir aux instincts primordiaux, de miser ou compter seulement sur ses sensations, d’assouvir ses envies, désirs ou passions sans retenue (et sans se préoccuper des conséquences pour soi et pour les autres)… Elle devrait aussi s’allumer lorsqu’on lui indique des ennemis à combattre, réels ou imaginaires, matériels ou idéologiques, visibles ou invisibles (comme des virus)… Dans une perspective évolutive ou spirituelle, le seul véritable combat à mener réside en soi-même, contre ses propres démons, ses propres illusions, ses fantasmes qui se font passer pour réels, ses mensonges sur soi-même, son orgueil, son étroitesse de vue, d’esprit et de cœur…

Plus nous saurons élever et maintenir notre conscience dans les sphères mentales, intuitives, psychiques et spirituelles, plus notre discernement, nos intuitions, notre âme et notre esprit nous permettrons de déceler les tentatives d’altérer notre perception libre et naturelle du monde, des autres et de nous-mêmes, quitte à nous tromper et à nous fabriquer notre propre perception ou image illusoire de la réalité. Nous gagnons à demeurer libres de nous tromper, de choisir notre voie, même si celle-ci se révélait temporairement sans issue (les demi-tours existent pour ceux qui ont l’humilité de les effectuer). Les conflits naissent dès que l’un de nous cherche à imposer sa propre perception ou vision du monde aux autres, d’autant plus facilement que cette perception prosélyte provient elle-même d’une manipulation. Face à la complexité et l’immensité infinie de l’Univers, en comparaison de moyens sensoriels limités, l’ultime Vérité ne peut provenir que du partage des multiples perceptions individuelles combinées (communément considérées comme des « vérités »), quand ainsi les multiples angles de vue et perspectives finissent par se chevaucher de proche en proche et par faire le tour de l’horizon, puis de la voûte céleste aussi bien que celle de l’inframonde.




Dogma #19. Printemps

[Source : dogma.lu]

Par Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

LA MAÎTRISE DU RÉEL IMAGINAIRE COMME ENJEU HUMAIN ET CITOYEN

« Les secrets des phénomènes sociaux ne sont pas dissimulés dans des caves improbables de l’édifice social ou dans les coulisses de la scène politique, mais sont directement observables dans les manifestations les plus immédiates de la vie quotidienne. Si les observateurs ne les voient pas, c’est essentiellement parce qu’ils ne veulent pas les reconnaître. » (Alexandre Zinoviev. L’occidentisme, essai sur le triomphe d’une idéologie. Paris, éditions Plon, 1995, p. 12.)

Il semble bien que contrairement aux apparences (et comme il avait déjà été vu bien sûr par certains) l’action conjointe de l’image fixe et animée, aujourd’hui surmultipliée par sa modélisation numérique, peut appauvrir « notre » réel imaginaire de telle sorte que sa trame rétrécisse tel un bas résille effilé.

Il ne s’agit cependant pas de réitérer la querelle (permanente) entre idolâtres de l’image et ses ennemis, mais de se demander si notre actuelle « soumission volontaire » ne va pas acquiescer à « l’effacement » de la distance entre divers sortes de « réels ». Ainsi l’intimité de plus en plus « ciblée » se verra à nouveau habitée par des séries d’éléments fantomatiques qui, parce qu’ils pourront partager ainsi notre « secret », nous feront seulement croire que nous les avons vécus et de façon réciproque.

Mais il y a aussi un autre danger. Le fait de se voir dicter en plus « la » perception « corrigée » par exemple en amour et en politique, sa santé, ses voyages, en un mot sa liberté qu’il faudra à chaque fois justifier puisqu’elle serait, livrée à elle-même, « liberticide » paraît-il. Ou le paradoxe du Menteur, constamment renouvelé comme il sera vu ici en divers textes et dessins…

INFORMATION : dorénavant (depuis le numéro 16, été 21…) et suite à de nombreuses demandes, DOGMA est enfin disponible en version papier, mais, pour le moment, uniquement sur le site d’Amazon.

CONTENU :

LA MAÎTRISE DU RÉEL IMAGINAIRE COMME ENJEU HUMAIN ET CITOYEN
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

RELATION ENTRE L’ART ET LA CONSCIENCE
Par Monique Gelly

HINDU NONDUAL PHILOSOPHY, SPINOZA, AND THE MIND-BODY PROBLEM
by James H. Cumming

LA FABRICATION DES PERCEPTIONS
Par Joseph Stroberg

HOW DID THE WORLD’S MOST PROMINENT PUBLICATIONS TURN
INTO “TABLOID PRESS”?
by Dr. Oleg Maltsev

SUR QUELQUES FONDEMENTS DOCTRINAUX DES DESTRUCTEURS
Par Lucien Samir Oulahbib

LA PENSÉE COMPLEXE : SON ORIGINE ET SA FONCTION DE PIVOT UNIQUE
D’UNE MULTIPLICITÉ
Par Abdelkader Bachta

POURQUOI UN TEL DÉNI DES EFFETS GRAVES DES « VAX » ANTICOVID CHEZ
LES FEMMES ENCEINTES ?
Par le docteur Nicole Delépine 

LA DISPARITION
Par Rachel Viviane

LE  « PRÉCIS DE FOUTRIQUET » DE PIERRE BOUTANG
Par Lucien Samir Oulahbib

UN ENTRETIEN AVEC MARCEL LEROUX
L’ÉCHEC AVÉRÉ DES VACCINS COVID
Par le docteur Gérard Delépine

LE CHANT DE LA KUNDALINI (WILLIAM NÉRIA)
Par Lucien Samir Oulahbib

FLEEING EVIL: FRANCESCA, ULYSSES, MOHAMMED AND OTHER RIDDLES IN DANTE’S COMEDY
By Marco Antonio Andreacchio and Irena Elster

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Macron : une interview complètement dingue !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Le feu couve-t-il encore chez les Gilets Jaunes ?

[extrait de publicsenat/video]




Le rapport qui démontre la corruption des institutions supra-gouvernementales. Droits de l’homme dévoyés

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam



Je vous invite à prendre connaissance du discours prononcé par le Dr Grégor Puppinck, Directeur de l’ECLJ [Centre Européen pour la Loi et la Justice] au 4e Sommet transatlantique de Budapest le 27 mai 2022. Vous y découvrirez comment la corruption est la sève des institutions supranationales et sert l’agenda des eugénistes et autres défenseurs de programmes inavoués. Le problème soulevé par le Dr Puppinck est que finalement le principe des Droits de l’homme a été dévoyé de sa mission première pour servir les philanthropes qui détiennent Planète finance.

La transcription en français de la vidéo :

https://eclj.org/geopolitics/un/stop-au-financement-opaque-des-experts-de-lonu-

Discours prononcé par le Dr Grégor Puppinck, Directeur de l’ECLJ au 4e Sommet transatlantique de Budapest le 27 mai 2022.

Chers membres de gouvernements,

Chers membres de parlements,

Chers amis, collègues,

Mesdames et Messieurs,

Nous devons le reconnaître : les droits de l’homme posent de nombreux problèmes. Bien plus que ne le croyaient les générations précédentes de chrétiens-démocrates.

La plupart de ces problèmes ont une racine théorique, mais aujourd’hui je veux en dénoncer une très pratique.

Aujourd’hui, le but principal des droits de l’homme n’est plus de protéger la liberté de mener une vie décente, mais de servir d’instrument pour imposer la révolution gauchiste aux pays qui la refusent. Malheureusement, elle est devenue un instrument de domination idéologique – plutôt que de protection – sur des pays comme la Hongrie et la Pologne, ainsi que sur de nombreux autres pays du Sud.

Et pourquoi en est-il ainsi ? Que s’est-il passé ?

L’une des raisons est la corruption. Pas seulement la corruption des concepts, mais la corruption du système des droits de l’homme par des militants de la gauche radicale qui ont infiltré les institutions, et par des acteurs privés mondiaux tels que les fondations Gates, Soros ou Ford.

C’est ce que le Centre européen pour le droit et la justice a révélé dans ses récents rapports.

Entrons dans les détails.

Quelques fondations et entreprises privées exercent un contrôle croissant sur les institutions internationales. Par exemple, rien qu’en 2020, elles ont versé près d’un milliard et demi de dollars à l’UNICEF, plus d’un milliard de dollars à l’OMS, un demi-milliard de dollars au Haut-Commissariat aux réfugiés, etc. Même la Cour pénale internationale a reçu des financements de l’Open Society, tout comme le Conseil de l’Europe ou la Commission interaméricaine des droits de l’homme.

Simultanément à ces financements, ces fondations privées contribuent à définir les politiques des organisations internationales qu’elles financent. Il y a une raison à cela : Les institutions internationales ont un pouvoir mondial, mais cherchent de l’argent, tandis que les grandes fondations ont de l’argent mais cherchent un pouvoir mondial.

Je vais maintenant vous montrer comment fonctionne cette corruption à l’aide de quelques exemples.

À la Cour européenne des droits de l’homme, à Strasbourg, nous avons révélé qu’au cours des dix dernières années, au moins 22 des 100 juges étaient d’anciens employés ou responsables de sept ONG et fondations de gauche qui sont également actives devant la Cour en tant que requérants ou tierces parties, comme l’Open Society, Human Rights Watch, Amnesty International ou la Commission internationale des juristes. Parmi ces 22 juges, 12 sont d’anciens employés ou membres du conseil d’administration de l’Open Society de George Soros. De plus, les six autres ONG sont également financées par l’Open Society. Ceci démontre l’emprise de l’Open Society de George Soros sur la Cour.

Mais ce n’est pas tout !

Au moins 88 fois au cours de ces dix années, ces juges ont jugé des affaires introduites ou soutenues par leur propre ancienne fondation ou ONG, agissant à la fois comme juge et partie. Il s’agit de conflits d’intérêts flagrants.

Vous pouvez trouver tous les détails, et bien plus encore, dans notre rapport : Les ONG et les juges de la CEDH. À la suite de notre rapport, nous avons bien sûr subi de nombreuses attaques, mais la CEDH a fini par modifier ses règles éthiques et, pour la première fois, un membre du conseil d’administration de l’Open Society n’a pas été nommé juge.

La situation n’est pas meilleure à l’ONU, comme nous l’avons montré dans un autre rapport publié l’année dernière.

Nous avons révélé qu’une grande partie des rapporteurs spéciaux des Nations unies sont d’anciens salariés et dirigeants de fondations et d’ONG gauchistes, et qu’ils acceptent même des millions de dollars de ces fondations – notamment des fondations Ford et Open Society -, en dehors de tout contrôle des États et de l’ONU et en violation des règles éthiques de l’ONU.

Les rapporteurs spéciaux de l’ONU sont censés être des « experts indépendants », ayant une compétence mondiale sur des questions spécifiques. Ils sont au sommet de la machine des droits de l’homme et ont une influence considérable sur le droit mou des droits de l’homme.

Nous avons exploré tous les dossiers financiers disponibles et interviewé 27 rapporteurs spéciaux. Certains d’entre eux ont qualifié la situation de « corruption ». Dans notre rapport, nous avons décrit en détail comment les fondations paient et influencent l’agenda des experts de l’ONU. Mais pour être complet, je dois ajouter que plusieurs États – principalement des États occidentaux – ne se comportent pas mieux que les fondations et tentent également d' »acheter » des rapporteurs par des financements directs.

Je vais vous donner un exemple.

La fondation Open Society a versé 100 000 dollars en 2017 à un groupe féministe radical du New Jersey, dans le but explicite de, je cite « influencer un rapporteur spécial de l’ONU » pour qu’il écrive un rapport spécifique. Et c’est ce qu’il a fait. L’année suivante, Mme Fionnuala Ní Aoláin, la responsable de l’Open Society Women’s Program qui a donné l’argent est devenue elle-même Rapporteuse spéciale. Pendant ce temps, la directrice du lobbying du groupe féministe qui a reçu l’argent, Mme Melissa Upreti, est également devenue une experte des Nations Unies. Aujourd’hui, Mme Upreti est à la fois la présidente du groupe de travail des Nations Unies sur les droits des femmes et une lobbyiste privée qui cherche à influencer les Nations Unies sur les droits des femmes et l’avortement. Une fois de plus, il s’agit d’un conflit d’intérêts flagrant.

Le problème n’est pas seulement la corruption financière, mais aussi la corruption intellectuelle. Un autre exemple est l’actuel rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à la santé, Mme Mofokeng. En tant que médecin, elle a elle-même pratiqué des avortements, qu’elle a présentés comme « un acte radical d’amour de soi ». En plus de promouvoir l’avortement, elle milite également pour la légalisation de la prostitution, qu’elle décrit comme une forme ultime de féminisme.

Ce n’est pas seulement stupide, c’est diabolique. Parce que de telles personnes ruinent le système des droits de l’homme. C’est une honte.

Vous pouvez trouver les détails sur notre site web, dans le rapport intitulé Le financement des experts de l’ONU.

Mais l’Organisation mondiale de la santé est encore pire

Vous avez peut-être entendu parler de ses récentes lignes directrices sur l’avortement. Et devinez quoi ? Lorsque nous avons vérifié ses auteurs et son financement, une fois de plus, nous avons trouvé les mêmes groupes radicaux. Ces lignes directrices sur l’avortement ont été principalement rédigées par le lobby de l’avortement : par l’IPPF, le Center for Reproductive Rights et le Population Council. Et sans surprise, ces directives recommandent de légaliser l’avortement à la demande jusqu’à la naissance, et d’affaiblir les droits des parents et la liberté de conscience des médecins. Ces lignes directrices sont publiées en tant que document officiel de l’OMS, mais elles n’ont été approuvées par aucun État, mais seulement par un comité de soi-disant « experts indépendants » rempli d’activistes. Et devinez quoi ? Ce processus a été largement financé par la fondation de Warren Buffet qui a donné des millions de dollars au département de l’OMS qui a publié ces directives.

Ce n’est pas surprenant quand on sait que le directeur de ce département à l’OMS est Ian Askew, qui était auparavant directeur pour les questions d’avortement au Population Council, une organisation privée dont le but est de promouvoir l’eugénisme et le contrôle de la population dans le monde entier.

Ce n’est qu’un aperçu de la façon dont le système des droits de l’homme est corrompu.

Le système des droits de l’homme a été capturé par la gauche radicale et mondiale ; il est devenu leur instrument de domination. Nous devons le dénoncer et nous en libérer.

Nous ne devons pas accepter pas de nous soumettre à ces idéologues. Ils abusent de leurs mandats et des droits de l’homme.

Nous, chers conservateurs, sommes les seuls à pouvoir sauver les droits de l’homme de l’autodestruction. Parce que nous acceptons que Dieu existe, et qu’il a établi une loi naturelle en nous et au-dessus de nous qui est véritablement universelle et bonne.

Alors, s’il vous plaît, rejoignez-nous dans ce combat pour la justice.

Je vous remercie.

Pétition en faveur de l’arrêt du financement opaque de l’ONU :

https://eclj.org/philosophy/eu/the-corruption-of-human-rights—transatlantic-summit-iv-puppincks-speech

À l’attention de la Présidente du Haut-Commissariat aux droits de l’homme, Mme Michèle Bachelet.

Madame la Présidente,

Après une année de recherches, l’ECLJ a publié un rapport sur « Le financement des experts de l’ONU au titre des Procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme ».

Au terme de cette enquête, qui couvre la période 2015-2019, il apparaît que :

  • de nombreux titulaires de mandats se plaignent de ne pas recevoir un soutien suffisant de la part du Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) ;
  • 40 % de leur budget provient de financements extrabudgétaires précaires ;
  • les financements extra-budgétaires affectés à un mandat spécifique ont presque doublé depuis 2015 ;
  • 37 experts ont reçu directement près de 11 millions de dollars, en dehors de tout contrôle des Nations unies, principalement de la part des fondations Ford et Open Society, et de sources anonymes ;
  • Ces financements directs ne font l’objet d’aucun contrôle du HCDH ;
  • Ces financements ne sont pas systématiquement déclarés ou le sont parfois de façon incomplète par les titulaires de mandats ;
  • Certains titulaires de mandat s’avèrent être en situation de conflit d’intérêts, étant rémunérés par des institutions privées ayant un agenda spécifique lié à leur mandat.

Il est urgent d’accroître la transparence financière des Procédures spéciales, afin de préserver leur indépendance et l’intégrité du système.

Sur la base de 28 entretiens tenus avec des experts, et au regard des problèmes causés par les financements extrabudgétaires spécifiques et par les financements directs du système des Procédures spéciales, il paraît raisonnable et utile de recommander :

  • L’obligation pour le HCDH de rendre compte annuellement aux titulaires de mandat de sa gestion du budget affecté à chaque Procédure spéciale ;
  • L’obligation de verser au HCDH tout financement extrabudgétaire des Procédures spéciales, et l’interdiction corrélative de tout financement direct des titulaires de mandat ;
  • L’obligation de publier les accords de financements ;
  • L’obligation de déclarer, dans chaque rapport, les soutiens et financements reçus pour sa réalisation ;
  • L’attribution d’une indemnité aux titulaires de mandats ;
  • L’augmentation du budget des Procédures spéciales.

Madame la Présidente, les signataires de cette lettre vous invitent instamment à consulter le rapport de l’ECLJ et à mettre à l’ordre du jour une réforme des financements des procédures spéciales, afin de garantir pleinement leur indépendance et de les préserver de toute influence illégitime.

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos respectueuses salutations.

Le rapport auquel se réfère l’intervenant :

Corrompus jusqu’au cou, certains responsables de l’ONU, mais surtout de l’OMS, acceptent de mettre en place les exigences eugénistes en tant que thèmes prioritaires. Or, des dirigeants d’Etat, notamment les Occidentaux. sont favorables au transfert de leur souveraineté nationale en matière sanitaire vers cet organisme qui cache de moins en moins bien ses tireurs de ficelles. Chemin faisant, l’autorité de l’OMS bénéficierait alors d’un pouvoir souverain global, total et parfait sur la vie de l’humanité. Au nom bien sûr de l’égalité et des droits de l’homme.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/05/31/monkeypox-le-vaccin-rien-que-le-vaccin-retour-des-mesures-antisociales-a-prevoir/

Cet eugénisme qui tenaille les tripes des détenteurs de la puissance de feu monétaire et financière. Le rêve de bricoler ces 80% qui sucent les 20%…

Récemment, nous présentions l’infanticide comme outil formidable de l’eugénisme et éventuellement de la récupération de tissus humains utilisables dans le cadre des « travaux scientifiques » de Planète finance.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/06/06/voyage-au-bout-de-lenfer-des-vaccins-et-de-lusage-de-foetus-vendus-lhk/comment-page-1/

L’intérêt pour l’eugénisme est une vieille histoire

Eugénisme. Un mot qui représente le mal absolu qui a accompagné l’histoire de l’humanité depuis des milliers d’années. Cependant, grâce à la montée en puissance de la technologie (bio, nano, etc.), l’eugénisme a gagné en puissance au 19ème siècle où il fut porté par un certain Charles Darwin… Plus tard, son cousin Galton va structurer le mouvement et le faire gagner en ampleur des deux côtés de l’Atlantique.

Grâce à sa popularité au sein de l’élite anglo-saxonne, l’eugénisme va particulièrement obnubiler les dirigeants de toutes disciplines de deux régimes qui ont brillé par leur haine de l’humain: le nazisme et le soviétisme.

Ces deux systèmes que l’on voit renaître de leurs cendres, en ce 21ème siècle, étaient obsédés par la création d’un Homme nouveau, fruit d’une sélection génétique. Mais il faut aussi dire que les eugénistes cherchent à se débarrasser de tout groupe qui ne leur convient pas. Trop vieux, trop pauvres, trop malades, trop blancs, trop noirs, trop croyants, trop chrétiens, trop juifs, etc.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/02/22/leugenisme-linavouable-projet-scientiste-des-philanthropes-de-la-finance-la-wellcome-trust-foundation/

Il est très important de préciser que cette doctrine de l’Homme nouveau n’a été développée ni par les nazis, ni par l’URSS qui n’ont fait que la mettre en pratique. Elle vient en ligne droite de la célèbre Eugenics Education Society, fondée en 1907, puis développée par Francis Galton, cousin direct de Charles Darwin. Elle deviendra par la suite Eugenics Society en 1924, puis Galton Institute. Regardez qui en étaient les membres.

Vous y voyez des noms d’éminents influenceurs des décisions de la Communauté internationale de l’époque (Keynes un des architectes de Bretton Woods et du Bancor). Se trouve aussi en bonne position Margaret Sanger dont les oeuvres sont défendues par des générations de la famille Gates. L’argent de cette famille coule à flot depuis de nombreuses décennies en direction de Planned Parenthood de Margaret Sanger. Regardez ce qu’elle avait osé écrire:

https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/17/une-pierre-angulaire-de-larchitecture-du-nouveau-monde-a-ete-retiree-lempire-gates-a-perdu-son-capitaine-lhk/

Arrive par la suite la création de l’American Eugenics Society. voici quelques-uns de ses fondateurs:

https://eugenicsarchive.ca/discover/tree/5233e53d5c2ec500000000e2

On retrouve dans la société américaine certains membres fondateurs de la grande soeur britannique. Sans surprise, apparaît le nom de JP Morgan, la banque qui tient les pays de la planète par la création monétaire contre dettes publiques.

A noter la présence de l’économiste Irving Fisher, le père du revenu universel… Vous comprenez immédiatement les liens entre eugénisme, monnaie, dettes, revenu universel et crédit social…

https://lilianeheldkhawam.com/2018/04/13/monnaie-pleine-qui-est-le-pere-de-ce-concept-lhk/

Le musée et les archives de ces sociétés sont soigneusement gardés par la Wellcome Trust, alliée indéfectible de Gates dans leur croisade vaccinale planétaire. Oui, ces philanthropes de BigPharma s’intéressent à la santé de l’humanité.

https://lilianeheldkhawam.com/2022/02/22/leugenisme-linavouable-projet-scientiste-des-philanthropes-de-la-finance-la-wellcome-trust-foundation/

Au vu de ce qui précède et au vu de la monstruosité du projet qui nous est imposé au quotidien, je me permets de rappeler ici 2 anciennes publications:

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/23/le-chef-de-loms-a-t-il-ete-un-des-acteurs-cles-qui-se-seraient-livres-a-des-meurtres-et-auraient-autorise-la-detention-arbitraire-et-la-torture-dethiopiens/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Je finirai avec deux réflexion:

  • l’opinion publique est essentielle dans le Nouveau Monde. Votre opinion compte.
  • que vous soyez dans ou hors du système, vos enfants/petits-enfants ont besoin de votre intervention dès aujourd’hui.

Un grand merci au Dr Grégor Puppinck qui porte à bout de bras les dérives des Droits de l’homme.

LHK

Les parlementaires pointaient du doigt un risque de conflits d’intérêts parmi les juges de la Cour européenne des droits de l’homme, reprenant à leur compte
 les conclusions d’un rapport du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) montrant que sur la centaine de juges qui ont siégé à la CEDH depuis dix ans, vingt-deux d’entre eux émanaient directement d’une même ONG ou d’associations financées par cette ONG, l’Open Society. Ce rapport recensait surtout 88 affaires dans lesquelles l’une des ONG affiliées à l’Open Society était impliquée, et où l’un au moins des juges saisis émanait de la même association. Depuis 2009, «on observe seulement douze cas de déports dans lesquels un juge s’est retiré d’une affaire en raison, semble-t-il, d’un lien avec une ONG impliquée dans l’affaire» notait encore l’ECLJ.
 https://www.lefigaro.fr/international/le-conseil-de-l-europe-se-penche-sur-l-independance-de-la-cour-europeenne-des-droits-de-l-homme-20210422



Trudeau veut utiliser l’identification numérique par reconnaissance faciale pour les voyages dès l’année prochaine

[Source : etresouverain.com]

Le gouvernement Trudeau a collaboré avec les principales compagnies aériennes canadiennes pour introduire officiellement l’identification numérique, la reconnaissance faciale et les documents de voyage biométriques dans le transport aérien d’ici 2023.

Selon un article de la Gazette du Canada, le point de vente du gouvernement, « Conformément au Plan de réglementation prospectif 2021-2023 de SP, la nécessité de mettre à jour le [Règlement sur la sécurité des voyages aériens] afin d’offrir plus d’options aux voyageurs et à l’industrie pour répondre aux exigences de vérification de l’identité avant l’embarquement à bord des avions par l’innovation a également été prise en compte lors des exercices de consultation des intervenants. »

 « Cela comprend les documents d’identification numérisés, les documents d’identité numériques et les documents de voyage biométriques. Bien que quatre transporteurs aériens aient confirmé leur intention de mettre en œuvre des solutions innovantes de gestion de l’identité à court ou moyen terme, aucun changement immédiat spécifique n’a été identifié pour le SATR. »

Le gouvernement clarifie ce qu’il entend par documents d’identité numériques et documents de voyage biométriques vers le bas de l’article :

« Aux fins de la présente proposition, les documents numérisés, numériques et biométriques désignent respectivement les copies numériques de documents d’identification physiques qui sont scannées ou mises à jour, les documents d’identification numériques délivrés par une autorité gouvernementale et les documents d’identification électroniques qui utilisent des identifiants biométriques (tels que la reconnaissance faciale). »

La proposition a été présentée sous le couvert de la protection du Canada contre les terroristes en améliorant le Programme de protection des passagers (PPP).

Selon le gouvernement, les Canadiens pourraient se voir attribuer un numéro de voyage du Canada (NTC) lié à toutes leurs informations personnelles, qui est recoupé avec les listes de la Loi sur la sécurité des transports aériens (SATA) afin de déterminer si une personne présente un risque pour la sécurité nationale.

Ils ajoutent que l’établissement d’un CTN « évitera les retards ».

Pour confirmer qu’un voyageur est bien celui qui est attaché à son ID numérique CTN, le gouvernement propose d’utiliser la collecte de données biométriques, y compris la reconnaissance faciale, comme exigence possible de présélection.

Le gouvernement propose également de centraliser davantage les données sur les voyages aériens en envoyant toutes les données recueillies par les compagnies aériennes directement au gouvernement du Canada, par l’intermédiaire de l’Agence des services frontaliers du Canada, pour examen.

« Le système de contrôle centralisé transfère la responsabilité du contrôle des passagers par rapport à la liste SATA des transporteurs aériens au GC, à savoir le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, avec l’aide de TC et de l’ASFC. »

« Pour que le ministre puisse s’acquitter de cette responsabilité, le système SATA exige des transporteurs aériens qu’ils fournissent au ministre (en pratique à l’ASFC, le destinataire centralisé de tous les manifestes électroniques de passagers) les données prescrites (nom, date de naissance, sexe et, s’il est fourni, le CTN) sur chaque personne qui se trouve ou est censée se trouver à bord d’un aéronef pour tout vol saisi dans le cadre du SATR, si cette information est sous le contrôle du transporteur aérien, dans un délai et selon des modalités prescrits. »

Le Parlement européen dénonce les violations flagrantes des droits de l’homme commises par Trudeau : Vous êtes une honte ! Un dictateur !

L’introduction d’une identité numérique permanente pour les voyages intervient après que le gouvernement Trudeau a adhéré au programme d’identité numérique du Forum économique mondial, appelé « Known Traveller Digital Identity » (KTDI), qui prévoit un système de crédit social pour les voyages.

« Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport Schiphol d’Amsterdam », écrit le WEF sur son site web. »

L’initiative KTDI est présentée comme un moyen de « promouvoir des voyages sécurisés et transparents pour les passagers, en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, de la nécessité impérieuse de renforcer la sécurité transfrontalière et de la forte augmentation du nombre de passagers prévue au cours de la prochaine décennie ».

Le site web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de la citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique d’une personne, celle-ci est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

« Ces attestations sont l’épine dorsale de la confiance et la base de la réputation et, en fin de compte, la façon dont les décisions de sécurité sont prises par chaque organisation participante. Plus un voyageur recueille d’attestations, plus il peut devenir connu », peut-on lire.

« Il est important de noter que pour être autorisé à voyager, le voyageur doit partager toutes les informations requises par l’entité concernée (telle qu’une agence frontalière). »

Par Keean Bexte, TheCounterSignal.com




Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité

[Source : anguillesousroche.com]

Dans le passé, si vous osiez suggérer que le monde était contrôlé par des « élites » psychopathes maléfiques, déterminées à asservir la race humaine, vous étiez considéré comme un « théoricien du complot » portant un chapeau en aluminium et on vous disait probablement que vous deviez sortir davantage. Comme les temps changent. Avance rapide jusqu’en 2022 et les élites psychopathes maléfiques n’essaient même pas de prétendre qu’elles ne sont pas déterminées à détruire nos vies.

Par le biais de ses sommets annuels de Davos, le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab tente de légitimer et de normaliser son influence sur le monde en faisant en sorte qu’un panel de leaders mondiaux participent et s’expriment lors de l’événement.

Un rapide coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Selon les médias grand public, les réunions de Davos rassemblent les grands et les petits pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM sont bien plus profonds et plus sombres que les « inégalités ».

Rapport de Vigilant Citizen : Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très inquiétants, qui n’ont jamais retenu l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème dominant émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Lorsque l’on parle de « l’élite mondiale », on fait généralement référence à un petit groupe d’individus riches et puissants qui opèrent au-delà des frontières nationales. Par le biais de diverses organisations, ces personnes non élues se réunissent dans le plus grand secret pour décider des politiques qu’elles souhaitent voir appliquées au niveau mondial.

Le Forum économique mondial (FEM) se trouve en plein milieu de tout cela. En effet, par le biais de ses réunions annuelles de Davos, le FEM tente de légitimer et de normaliser son influence sur les nations démocratiques du monde en invitant un panel de leaders mondiaux à participer et à s’exprimer lors de l’événement.

Un simple coup d’œil à la liste des participants à ces réunions révèle l’incroyable portée et influence de l’organisation. Les plus grands noms des médias, de la politique, des affaires, de la science, de la technologie et de la finance sont représentés au FEM.

Page 34 (sur 58) de la liste des participants à la réunion de Davos de 2022. Grands noms, grandes entreprises, grande influence.

Selon les médias, les réunions de Davos rassemblent des personnes pour discuter de questions telles que « l’inégalité, le changement climatique et la coopération internationale ». Cette description simpliste semble faite sur mesure pour provoquer un bâillement d’ennui chez le citoyen moyen. Mais les sujets abordés au FEM vont bien au-delà des « inégalités ».

Au fil des ans, les participants au FEM ont tenu des propos très dérangeants, qui n’ont pas suscité l’attention des médias. En fait, lorsque l’on rassemble les sujets défendus par le FEM, un thème primordial émerge : Le contrôle total de l’humanité en utilisant les médias, la science et la technologie, tout en remodelant les démocraties pour former un gouvernement mondial.

Si cela ressemble à une théorie du complot tirée par les cheveux, continuez à lire. Voici les 10 choses les plus dystopiques qui sont poussées par le FEM en ce moment. Cette liste triée n’est pas dans un ordre particulier. Parce qu’elles sont toutes aussi folles les unes que les autres.

[Voir aussi :
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
Great reset : c’est pour bientôt !
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

#10 Infiltrer les gouvernements

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Klaus Schwab, le fondateur et le chef du FEM, n’est pas un fan de la démocratie. En fait, il la perçoit comme un obstacle à un monde entièrement globalisé.

Dans le rapport 2010 du FEM intitulé « Global Redesign », Schwab postule qu’un monde globalisé est mieux géré par une « coalition auto-sélectionnée de sociétés multinationales, de gouvernements (y compris par le biais du système des Nations unies) et d’organisations de la société civile (OSC) sélectionnées ». C’est exactement le contraire d’une démocratie.

Il a fait valoir que les gouvernements ne sont plus « les acteurs dominants sur la scène mondiale » et que « le temps est venu d’un nouveau paradigme de gouvernance internationale ». Pour cette raison, le Transnational Institute (TNI) a décrit le FEM comme « un coup d’État mondial silencieux » pour s’emparer de la gouvernance.

En 2017, à la John F. Kennedy School of Government de Harvard, Schwab a admis sans ambages ce qui est continuellement rejeté comme une « théorie du complot » par les médias de masse : Le FEM « infiltre » les gouvernements du monde entier.

Head of the World Economic Forum Klaus Schwab at Harvard’s John F. Kennedy School of Government in 2017:

“What we are very proud of, is that we penetrate the global cabinets of countries with our WEF Young Global Leaders… like Trudeau”pic.twitter.com/D6odR5mqI6

— Maajid أبو عمّار (@MaajidNawaz) January 25, 2022

Schwab a déclaré :

« Je dois dire que lorsque je cite des noms, comme celui de Mme (Angela) Merkel et même celui de Vladimir Poutine, etc., ils ont tous été des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération, comme le premier ministre [Justin] Trudeau, le président de l’Argentine, etc.

Nous infiltrons les cabinets. Ainsi, hier, j’étais à une réception pour le Premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, ou même plus de la moitié de son cabinet, sont en fait des Young Global Leaders du Forum économique mondial. (…) C’est vrai en Argentine et c’est vrai en France, avec le président – un Young Global Leader. »

Dans cet exposé exceptionnel, Schwab a déclaré sans ambages qu’Angela Merkel d’Allemagne, Vladimir Poutine de Russie, Justin Trudeau du Canada et Emmanuel Macron de France ont été « préparés » par le FEM. Il ajoute même qu’au moins la moitié du cabinet canadien est composée de représentants vendus à l’agenda du FEM. Il ne s’agit pas d’une théorie du complot. C’est la vérité absolue, confirmée par le chef du FEM lui-même.

#9 Contrôler les esprits à l’aide d’ondes sonores

En 2018, l’un des sujets de discussion du FEM était « Le contrôle des esprits à l’aide d’ondes sonores » (lisez mon article complet à ce sujet ici). Je n’ai pas modifié ce titre pour faire du sensationnalisme, ce sont exactement les mots utilisés par le FEM.

C’est le titre d’un article réel publié sur le site officiel du FEM. Il a été supprimé pour des raisons obscures, mais il est toujours consultable dans les archives du site.

Dans cet article, la technologie est présentée comme un traitement possible des maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Toutefois, l’article indique également qu’« elle peut vous guérir, vous rendre dépendant et vous tuer ». Elle peut également être utilisée pour contrôler complètement l’esprit d’une personne, à distance. L’article précise :

« Je vois venir le jour où un scientifique sera capable de contrôler ce qu’une personne voit dans son esprit, en envoyant les bonnes ondes au bon endroit dans son cerveau. Je pense que la plupart des objections seront semblables à celles que nous entendons aujourd’hui à propos des messages subliminaux dans les publicités, mais beaucoup plus véhémentes.

Cette technologie n’est pas sans risque de mauvaise utilisation. Il pourrait s’agir d’une technologie de soins de santé révolutionnaire pour les malades, ou d’un outil de contrôle parfait permettant aux impitoyables de contrôler les faibles. Mais cette fois, le contrôle serait littéral. »

La conclusion de l’article : Personne ne peut empêcher les scientifiques de développer cette technologie. Pour éviter toute utilisation abusive, elle devrait être réglementée par des organisations telles que … le FEM. C’est pratique car certaines entreprises développant cette technologie font partie du FEM. Vous voyez où cela nous mène ?

#8 Des pilules qui contiennent des micro-puces

Une fois de plus, ce titre ressemble à une théorie du complot farfelue, habilement formulée pour faire du sensationnel. Ce n’est pas le cas. Voici une vidéo de la réunion 2018 du FEM où Albert Bourla, le PDG de Pfizer, parle de pilules contenant des micropuces.

https://www.youtube.com/embed/1NR1b2NmD4A

Bourla a dit :

« La FDA a approuvé la première ‘pilule électronique’, si je peux l’appeler ainsi. Il s’agit essentiellement d’une puce biologique qui se trouve dans le comprimé et, une fois que vous avez pris le comprimé et qu’il s’est dissous dans votre estomac, elle envoie un signal indiquant que vous avez pris le comprimé. Imaginez donc les applications de ce système, la conformité. Les compagnies d’assurance sauraient que les médicaments que les patients doivent prendre, ils les prennent effectivement. C’est fascinant ce qui se passe dans ce domaine. »

Ce domaine est-il vraiment fascinant ? Ou tout à fait dystopique ? Comme l’a dit Bourla lui-même : Imaginez la conformité. Ce type de technologie pourrait facilement ouvrir la porte à toutes sortes d’applications néfastes. Depuis lors, COVID a placé Pfizer dans une position de pouvoir jamais vue pour une entreprise pharmaceutique.

Tout comme Pfizer, le FEM utilise le COVID pour faire avancer son agenda.

#7 Faire l’éloge des confinements brutaux

En 2020 et 2021, des villes du monde entier ont été soumises à des confinements massifs et drastiques, provoquant des pertes d’emplois, des suicides, des overdoses de drogues, l’isolement, des problèmes de santé mentale, des violences domestiques, des faillites et des sans-abris. Pendant cette période horrible, les enfants n’ont pas pu aller à l’école pendant des mois et n’ont pas pu interagir avec d’autres enfants. Un grand nombre de petites et moyennes entreprises ont été détruites alors que les grandes sociétés se démenaient.

Malgré tout cela, le FEM n’a pas pu cacher son amour pour les fermetures drastiques et destructrices de vies. En fait, il a publié une vidéo intitulée de façon surréaliste « Les confinements améliorent tranquillement les villes du monde entier ». Voici ce morceau de folie totale.

https://www.youtube.com/embed/fb6U8xkn8jM

La vidéo indique que « Les confinements ont considérablement réduit l’activité humaine … conduisant à la période la plus calme de la Terre depuis des décennies », tout en montrant des images dystopiques de villes vides et d’avions bloqués au sol.

Ignorant complètement l’immense souffrance humaine causée par ces confinements, le FEM a considéré que tout cela en valait la peine car « les émissions de carbone ont diminué de 7% en 2020 ».

Lorsque cette vidéo a été publiée pour la première fois, elle a suscité de vives réactions. Le FEM a donc supprimé la vidéo ci-dessus et posté ce tweet.

Comme vous pouvez le voir, malgré la suppression de la vidéo, le FEM a continué à faire l’éloge des confinements. C’est parce que le FEM aimerait voir la vie « covidienne » devenir permanente.

#6 « Jetez un coup d’œil à l’avenir »

À en juger par les commentaires sur YouTube et les médias sociaux, les gens détestent absolument les vidéos créées par le FEM. Mais ils continuent à venir. Parce qu’ils ne se soucient pas de ce que vous pensez. Ils veulent juste planter leur graine d’insanité dans votre esprit. Dans une vidéo intitulée « How our lives could soon look » (lisez mon article complet à ce sujet ici), le FEM invite les spectateurs à « jeter un coup d’œil au futur ». Et il est BRUTAL. Il s’agit de rendre la vie du COVID permanente.

La vidéo est remplie de personnes masquées, de distributeurs de gel et de QR codes. C’est le futur qu’ils veulent. Ensuite, il y a cette pépite de folie.

Non. Allez-vous en.

La vidéo dit fièrement :

« La NASA a inventé un système qui peut vous identifier à partir des battements de votre cœur en utilisant un laser. »

Comme si cela ne suffisait pas, la vidéo montre des enfants coincés à la maison et scolarisés à travers des écrans. La vidéo se termine en montrant des personnes portant des masques à l’extérieur, comme des fous.

AUCUN. Allez-vous en.

#5 Pousser à une Grande Réinitialisation

Comme indiqué ci-dessus, le FEM perçoit la pandémie comme une « opportunité ». Il ne s’agit pas seulement d’une opportunité de remodeler notre existence personnelle mais de restructurer la structure mondiale entière selon ses principes. Le FEM l’appelle « la Grande Réinitialisation ». Pour promouvoir cette réinitialisation (dont absolument personne ne veut), le FEM a publié une vidéo de propagande (elle correspond vraiment à la définition de « propagande »). La voici dans toute sa folie.

https://www.youtube.com/embed/uPYx12xJFUQ

Cette courte vidéo parvient à contenir une quantité incroyable de messages subversifs. Elle ridiculise même les « théories du complot » tout en les confirmant, de manière stupéfiante.

Une capture d’écran de la vidéo. Vous êtes sérieux ?

La vidéo annonce également la « mort du capitalisme ».

Une autre capture d’écran surréaliste de la vidéo.

Alors que le capitalisme est basé sur un système d’autorégulation de l’offre et de la demande, le Great Reset cherche à redéfinir la manière dont les entreprises sont évaluées à travers de nouveaux paramètres. Le principal d’entre eux : La conformité avec les agendas sociaux et politiques de l’élite.

Vers la fin, le narrateur prononce cette phrase énigmatique :

« Et il s’agit de mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment. »

Bien que la vidéo n’explique pas vraiment ce que cette phrase signifie dans des situations réelles, ses implications sont plutôt effrayantes. Au lieu de permettre aux individus et aux entreprises qui réussissent de se développer organiquement, le système de l’élite s’ingénierait à « mettre les bonnes personnes au bon endroit au bon moment », conformément à son programme. En d’autres termes, le système serait truqué et la conformité à un agenda plus large serait obligatoire dans une nouvelle économie.

La vidéo se termine par un appel aux téléspectateurs à s’impliquer. Cependant, bien sûr, vous n’êtes pas réellement invité au FEM. En fait, ils cherchent à « recalibrer » votre liberté d’expression.

#4 « Recalibrer » la liberté d’expression

Un moyen facile d’identifier les leaders mondiaux qui sont préparés par le FEM est de les voir s’élever sans cesse contre la liberté d’expression. Ils la détestent absolument et demandent constamment qu’Internet soit censuré et fortement réglementé. Lors de la réunion de Davos en 2022, la « commissaire à l’e-sécurité » australienne Julie Inman Grant a déclaré que nous avions besoin d’un « recalibrage de la liberté d’expression ».

Grant a déclaré :

« Nous nous trouvons dans une situation où la polarisation augmente partout et où tout semble binaire alors que ce n’est pas nécessaire. Je pense donc que nous allons devoir réfléchir à un recalibrage de toute une série de droits de l’homme qui se jouent en ligne. Vous savez, de la liberté d’expression à la liberté d’être libre de la violence en ligne. »

Ici, Grant appelle essentiellement à la censure. Elle croit même que la liberté d’expression en tant que droit de l’homme devrait être « recalibrée » en utilisant la « violence en ligne » comme excuse. La « violence en ligne » n’existe pas. Ils adorent assimiler la parole à la violence. C’est une façon extrêmement manipulatrice de justifier la censure à la chinoise.

La liberté d’expression est, en fait, binaire. Soit elle existe, soit elle n’existe pas. Et ils ne veulent clairement pas qu’elle existe.

#3 Le suivi de vos vêtements

Le FEM veut contrôler vos vêtements. Et ils ont fait une vidéo à ce sujet. Ai-je mentionné que les gens détestent absolument les vidéos du FEM ? En voici une autre qui a fait bouillir le sang des gens.

https://www.youtube.com/embed/h8SWY6_b67A

Utilisant l’environnement comme excuse (comme d’habitude), le FEM a annoncé l’arrivée de vêtements dotés de « passeports numériques » pouvant être tracés à tout moment. Soutenus par Microsoft (bien sûr), ces vêtements vont apparemment inonder le marché d’ici 2025.

Ils veulent vraiment des puces RFID et des QR codes partout.

Selon le FEM, ces puces permettront aux marques de mode de revendre leurs vêtements. Je n’ai aucune idée de comment cela pourrait fonctionner. La vidéo s’assure de ne PAS mentionner que cette technologie serait un excellent moyen de suivre ceux qui ont abandonné leurs smartphones.

Mais se débarrasser de son smartphone pourrait devenir… impossible.

#2 « Les smartphones seront dans votre corps d’ici 2030 »

Lors de la réunion de Davos 2022, la PDG de Nokia, Pekka Lundmark, a affirmé que, d’ici 2030, « les smartphones seront implantés directement dans le corps ». Cela coïnciderait avec l’arrivée de la technologie 6G, qui devrait être lancée à la fin de la décennie.

https://www.youtube.com/embed/LJpBJAHqY0M

Depuis des années, ce site documente la poussée incessante de l’élite vers le transhumanisme, qui consiste à fusionner les humains avec les machines. Ils cherchent à accélérer cette transition en rendant les choses dont les gens ne peuvent se passer (comme les smartphones) disponibles sous une forme transhumaniste.

Avez-vous remarqué leur empressement effrayant à insérer des objets dans nos corps ?

#1 « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux. »

C’est probablement le moment le plus dystopique de l’histoire du FEM. En 2016, Ida Auken, membre du Parlement danois, a déclaré :

« Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée, et la vie n’a jamais été aussi belle. »

Le FEM a tellement aimé cette citation qu’il l’a reprise sur Twitter.

Le FEM a également créé une vidéo (que tout le monde a absolument détestée) intitulée « 8 prédictions pour le monde en 2030 ». Voici une capture d’écran.

Le FEM adore formuler ses « prédictions » sous une forme inconditionnelle, comme si elles étaient inévitables. Mais regardez ce type souriant. Il est clairement heureux. Merci au FEM !

Un article sur le site du FEM explique :

« Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun appareil électroménager ni aucun vêtement », écrit la députée danoise Ida Auken. Le shopping est un lointain souvenir dans la ville de 2030, dont les habitants ont craqué l’énergie propre et empruntent ce dont ils ont besoin à la demande. Tout cela semble utopique, jusqu’à ce qu’elle mentionne que le moindre de ses mouvements est suivi et qu’à l’extérieur de la ville vivent des nuées de mécontents, vision ultime d’une société coupée en deux.

Dans ce futur dystopique, il n’y a pas de produits que l’on peut posséder. Seulement des « services » qui sont loués et livrés par des drones. Ce système rendrait tous les humains complètement dépendants des entreprises contrôlées par le FEM pour chaque besoin fondamental. Il n’y aurait absolument aucune autonomie, aucune liberté, et aucune vie privée. Et vous serez heureux.

Mention honorable : Suivi individuel de l’empreinte carbone

Lors de la réunion de Davos 2022, le président d’Alibaba Group, J. Michael Evans, a annoncé le développement d’un « tracker individuel de carbone ».

Une fois de plus, le FEM utilise l’environnement pour promouvoir la micro-gestion du comportement humain. Evans affirme que le tracker peut surveiller « où ils voyagent, comment ils voyagent, ce qu’ils mangent et ce qu’ils consomment sur la plateforme ».

Notez qu’il a utilisé le pronom « ils » et non « nous » parce qu’il n’y a aucune chance qu’il utilise cette chose. Moi non plus.

En conclusion

En examinant cette liste, deux thèmes communs deviennent évidents. Le premier thème est « l’infiltration ». Le FEM veut infiltrer les gouvernements en utilisant les « Global Leaders » (alias les candidats mandchous). Il veut également infiltrer nos corps par le biais de pilules, de micropuces et de vaccins. Il veut aussi infiltrer nos esprits en utilisant les ondes sonores, la censure et la propagande.

L’autre thème est le « contrôle ». Ils veulent contrôler ce que nous pensons, où nous allons, ce que nous disons, ce que nous mangeons et ce que nous portons.

Savez-vous qui est d’accord avec le FEM ? La Chine. La censure est répandue, un système de crédit social contrôle les comportements des gens et le COVID est toujours utilisé comme excuse pour des confinements massifs et un contrôle total de la population. Sans parler des camps de concentration au sens propre. Malgré tout cela, les officiels chinois sont constamment présents aux réunions du FEM. Pourquoi ? Parce que la Chine est en fait un laboratoire pour les politiques du FEM.

Tout cela étant dit, comment pouvons-nous contrer la folie du FEM ? Comment pouvons-nous les chasser s’ils n’ont jamais été élus ? Une première étape serait d’élire – à tous les niveaux du gouvernement – des représentants qui ne veulent rien avoir à faire avec le FEM. Si nos élus traitaient le FEM comme l’organisation illégitime et voyou qu’il est, son influence serait grandement réduite.

Deuxièmement, nous pouvons boycotter toutes les entreprises qui font partie du FEM. Je réalise que c’est plus facile à dire qu’à faire car beaucoup de ces entreprises sont des monopoles virtuels. Cependant, si nous cessons de leur donner notre argent, elles cesseront d’utiliser notre argent pour empoisonner nos vies.

Alors, elles ne posséderont plus rien. Et nous serons tous heureux.




Sans soignants ni médecins, pas de soins

Par Nicole Delépine

Exigeons la réintégration IMMÉDIATE ET DÉFINITIVE des soignants et l’arrêt de l’injection dangereuse

En déplacement le 29 avril dernier dans les Hautes-Pyrénées, Emmanuel Macron avait été interpellé. « Si ça continue de baisser dans les prochaines semaines, on ira dans cette direction ». Ce mardi : « J’attendrai que le Conseil scientifique dise que l’on est rentré dans une phase qui permet sans difficulté ce retour. Mais plus largement, moi je veux que dans notre pays, on aille au bout de cette logique par la pédagogie et la conviction du rapport à la vaccination chez les soignants ».

Ça deviendrait drôle si ce n’était pas si tragique !! Comment pourrait-on convaincre qui que ce soit de l’intérêt d’une injection qui ne protège pas des contaminations ni des formes graves.

Les données officielles de l’OMS montrent en effet que la généralisation des injections n’a pas du tout ralenti l’épidémie, bien au contraire :

De plus l’aggravation du nombre des contaminations a touché surtout les pays les plus vaccinés :

Cette augmentation des contaminations dans les pays les plus vaccinés a entraîné une surmortalité Covid dans les pays adeptes des injections, montrant qu’elles ne protègent pas des formes graves :

De plus, contrairement à ce qu’affirment en chœur médias et gouvernements, les complications post vaccinales sont nombreuses et graves. Elles ont déjà entraîné plus de 70 000 morts directs dans le monde et des centaines de milliers d’accidents dont certains graves et avec handicaps définitifs ? Certain qu’avec la matraque et la privation de tous revenus (même du RSA !) dans une société qui prône quotidiennement la non-discrimination et l’égalité il est plus facile d’accepter l’injection même quand on est vaccino prudent.

“Alors que, depuis la suspension des soignants non vaccinés, l’hôpital public implose, Macron vient de proférer une nouvelle cascade de mensonges sur la question des soignants non vaccinés, affirmant péremptoirement que 95 % des soignants sont vaccinés et qu’une « infime minorité » a un problème de déontologie. C’est une façon bien curieuse de passer sous silence les méthodes comminatoires utilisées par le pouvoir pour convaincre les 40 % de réticents, à l’été 2021, de subir une injection dangereuse [et inefficace].”

Pourquoi Macron ne peut pas réintégrer les soignants non vaccinés suspendus (Par Éric Verhaeghe 1er juin 2022)

Il est bien évident que la majorité des soignants, des pompiers et bien d’autres a cédé à la pression pour la vaccination pour différentes raisons, mais certainement pas pour des raisons déontologiques. Ce sont des « malgré nous » comme les Français nés en Alsace-Lorraine avant 1939 et qui étaient enrôlés de force dans la Wehrmacht s’ils ne parvenaient pas à rejoindre le maquis.

Tous connaissent le serment d’Hippocrate, la déclaration d’Helsinki à la suite du code de Nuremberg et la convention d’Oviedo que la France a signés et qui stipulent  : un médicament, un essai ne peuvent être imposés et nécessitent le CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ DU PATIENT. C’EST UN IMPÉRATIF CATÉGORIQUE DE NOTRE EXERCICE.

Les soignants ont rapidement découvert les effets secondaires des injections chez leurs patients même si la censure a été imposée à tous pour éviter les ennuis professionnels. Et comme progressivement la découverte de l’inefficacité sur les contaminations et maintenant sur les formes graves en décourage beaucoup à accepter la troisième ou quatrième dose.

Il est probable que le président va tout faire pour imposer une vaccination obligatoire y compris aux enfants en septembre, mais il est douteux qu’il y parvienne. En attendant il est évident que réintégrer les soignants suspendus ne lui faciliterait pas la tâche assignée par l’ordre mondial et l’UE, vacciner, vacciner encore et encore, tenter d’injecter les doses avant leur péremption et surtout de rendre encore plus soumis le peuple déjà injecté.

Déclarations de la commissaire européenne :

Une fiche d’information intitulée « COVID-19 — Sustaining EU Preparedness and Response: Looking ahead », qui a été publiée par la Commission européenne le même jour, le 27 avril, réitère le point de vue de Mme von der Leyen. La première section s’intitule “Accroître le recours à la vaccination contre le COVID-19” et le premier point se lit comme suit :

Les États membres doivent augmenter le taux de vaccination et l’administration des rappels et des quatrièmes doses pour ceux qui sont éligibles. Ils devraient également augmenter la vaccination des enfants.

L’accent est mis ici sur l’original. Le deuxième point continue :

Les États membres devraient préparer des stratégies de vaccination contre le COVID-19 pour les mois à venir en tenant compte de la circulation simultanée de la grippe saisonnière et intégrer la vaccination contre le COVID-19 dans les programmes de vaccination nationaux.

Le 12 mai, la commission spéciale du Parlement européen sur la pandémie de COVID-19 (COVI), récemment créée, a organisé une séance de questions-réponses avec la commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides.”

Il est difficile envers soi-même de s’avouer une erreur potentielle sans se mettre en dissonance cognitive et aussi de s’opposer à la logique de groupe. Dans les deux cas, il est plus facile de suivre le courant apparemment majoritaire.

SAUVER L’HÔPITAL N’EST PAS L’OBJECTIF DU GOUVERNEMENT

Personne ne peut penser que ce gouvernement voudrait régler la crise des urgences et de l’Hôpital public, alors qu’il a continué à fermer des lits depuis cinq ans et qu’il ne desserre pas le carcan bureaucratique qui l’étouffe ? Durant son premier mandat il n’a pas réévalué les salaires des soignants, il n’a pas supprimé pas le harcèlement administratif qu’ils subissent des cadres de soins et des directions.

La crise des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg même si elle touche plus de 120 services et que la catastrophe s’approche avec les vacances. C’est l’ensemble du système de santé qui est en passe de disparaître, public comme privé, car globalement sous le joug de l’État via les agences régionales de santé et les nombreux observatoires, et chacun impose ses directives souvent contradictoires et toujours autoritaires. La partie privée du système n’est pas épargnée : les normes, les structures imposées, comme comité du médicament, de la douleur, des maladies nosocomiales, etc. relèvent de l’administration imposée, et consomment temps et argent inutilement.

LE VRAI PRIVÉ INDÉPENDANT N’EXISTE PLUS

L’exemple qui sera démonstratif pour tous est l’interdiction faite aux cliniques privées de recevoir les patients covid dans les lits libérés pour les malades covid (à l’exception de quelques cliniques de la région parisienne), alors que les hôpitaux publics étaient soi-disant débordés et que le pouvoir mettait en scène des transferts lourds et coûteux à des centaines de Kms du lieu de résidence du patient, et ce malgré des lits vides à proximité.

Les lits privés avaient été fermés par les ARS par un décret signé par le Premier ministre Édouard Philippe dans le cadre du Plan Blanc en mars 2020. Les chirurgiens ne pouvaient opérer que les urgences considérées comme telles par l’ARS locale, le patient comme le chirurgien ne pouvant décider du degré d’urgence. Nous avons atteint des sommets de délire pendant cette période qui démontre bien l’absence de liberté de soigner et d’être soigné en France en public comme en pseudo privé.

Les services privés comme publics doivent remplir les critères décidés par la haute autorité de santé et les ars pour obtenir leur accréditation : en cancérologie par exemple, il faut entrer un grand nombre de patients dans les essais thérapeutiques pour continuer à avoir l’autorisation de soigner les patients relevant de la spécialité. En chirurgie, il existe des quotas : un nombre d’opérés dans l’année pour cancer de la prostate par exemple, etc.. En hématologie, il faut démontrer que l’on reçoit un nombre suffisant de patients pour rester ouverts.

Il ne faut pas entrer dans le combat privé-public, tel que présenté. Le pouvoir veut effectivement fermer toutes les petites structures privées, au bénéfice des grands groupes dans lesquels comme dans les hôpitaux publics, les médecins n’ont plus rien à voir dans l’organisation des soins, ni des choix thérapeutiques. L’évolution des EHPAD offerts à Orpea ou Korian a démontré et présagé l’avenir des établissements hospitaliers si on laisse faire le mondialisme.

Les défenseurs de l’hôpital public devraient envisager la globalité du problème pour reconstruire sans se faire manipuler par des mesurettes censées nous calmer.

DIVISER POUR RÉGNER ?

DES MILLIERS D’EUROS DE TROP-PERÇUS ET LAISSÉS EN CADEAU PAR LA CPAM AUX CHANCEUX « Vous l’avez bien mérité ». Le scandale des soignants surpayés pendant la campagne de vaccination relève-t-il de la mauvaise gestion ou bien de la manipulation. Rappelons les faits.(([1] https://actu.fr/societe/vaccin-contre-le-covid-19-ces-soignants-revelent-avoir-ete-surpayes-par-l-assurance-maladie_50509574.html ))

Ces soignants révèlent avoir été surpayés par l’Assurance Maladie.

Des soignants libéraux auraient touché des milliers d’eurosde trop-perçu durant la crise du Covid-19 pour leur participation aux campagnes de vaccination. « J’ai reçu plus de 6 500 euros de la CPAM(([2] Caisse primaire d’assurance maladie)) en un an, et rien de tout cela ne m’est dû », révèle à actu.fr Éric*, infirmier libéral.

Il dénonce un vide administratif sur lequel la CPAM aurait fermé les yeux. Un vide qui participerait à la dette de l’Assurance Maladie. Éric ne souhaite pas conserver cet argent, mais il indique se heurter à l’inaction de l’administration. La faille : l’enregistrement des patients dans les centres de vaccination contre le Covid-19”.

En août 2021, Éric voit apparaître sur son compte la somme de 3 000 euros, versée par la CPAM. « Je les ai appelés, et on m’a dit que c’était lié aux actes d’enregistrement dans les centres », raconte l’infirmier. Pendant un an, Éric a prêté sa carte professionnelle de santé (CPS) à des bénévoles, qui s’occupaient d’enregistrer les patients sur l’ordinateur.

L’acte d’enregistrement d’un patient est rémunéré automatiquement, à raison de 5,40 euros. Les infirmiers libéraux sont généralement payés à l’acte. Or, en centre de vaccination, ils étaient salariés. Les deux modes de rémunération n’auraient pas dû se cumuler. 

La Caisse Nationale d’Assurance Maladie affirme que cette rémunération était voulue !

« Cette rémunération forfaitaire de 5,40 euros, pour chaque patient renseigné, a été établie dans le souci de valoriser ce travail essentiel tant sur le plan administratif que médical. »

« 6 500 euros, ce n’est rien comparé à d’autres », indique cette source de la CPAM. D’après elle, certains libéraux dans la même situation qu’Éric auraient reçu plus de 10 000 euros par mois.

« Cette rémunération forfaitaire était toutefois plafonnée, qu’il s’agisse des sommes perçues par mois (3 000 euros) ou par jour (270 euros) ». Il ne précise toutefois pas à partir de quand ces plafonds ont été mis en place. »

Des trop-perçus difficiles à évaluer

Avec le défenseur des droits de son département, Éric a calculé les trop-perçus versés par l’Assurance Maladie. Dans son centre de vaccination, jusqu’à 1000 injections par jour étaient réalisées. Multiplié par le nombre de centres en France, le montant pourrait atteindre des millions d’euros. Mais ce calcul n’est qu’une ébauche, car tous les centres de vaccination n’avaient pas le même fonctionnement.

Dans celui où travaillait Valérie*, une infirmière retraitée, des jeunes en recherche d’emploi s’occupaient des tâches administratives — et non des bénévoles. L’argent touché pour les actes d’enregistrement par les détenteurs de carte CPS était reversé directement à ces jeunes, à raison de 40 euros par jour. “Les infirmières libérales laissaient un chèque chaque jour aux jeunes, pour leur reverser cet argent”, précise-t-elle.

« Dans mon centre, c’était considéré comme une prime, comme un gain supplémentaire. Le poste d’enregistrement était très prisé ! Je n’ai d’ailleurs réussi à passer ma carte CPS qu’une seule fois. Les gens venaient tôt le matin pour être sûrs d’être au poste d’administrateur.

Quand il a vu les premières sommes versées sur son compte, Éric a appelé la CPAM.

Quand j’ai dit que cette somme ne m’était pas due, mon interlocuteur m’a répondu qu’ils me la devaient bien, que c’était le robot qui faisait ça. On m’a dit que si c’était lié à ma carte, c’était ma responsabilité ».

Par la suite, voyant les versements se poursuivre, Éric a envoyé deux mails à l’Assurance Maladie et rappelé leur standard. Il a alors parlé à une cheffe comptable qui lui a conseillé « de le signaler autrement, par d’autres moyens ».

Éric ne sait que faire de l’argent qu’il a reçu. Il n’ose pas y toucher, de peur que la CPAM le lui réclame un jour (…).

L’infirmier s’apprête à travailler dans un centre de vaccination ponctuel, en Occitanie. Sa responsable lui a confirmé qu’il continuerait à être rémunéré à la fois à l’heure et à l’acte.

Actu.fr a tenté de contacter les autres acteurs concernés. Jusqu’ici, l’ARS, l’Ordre National des médecins et des infirmiers n’ont pas donné suite à nos sollicitations ».

Santé | Marseille : suspendus, car non vaccinés, ils vont manifester devant les locaux de l’ARS | La Provence

@CTM_Martinique

#PlénièreCTM La Plénière s’est terminée par le vote à l’unanimité d’une motion demandant la réintégration des personnels soignants & médico-sociaux non vaccinés suspendus. L’Assemblée de Martinique appelle à la mise en œuvre immédiate d’une procédure de leur réintégration.

Pour sauver l’hôpital et réduire le nombre des déserts médicaux, il faut libérer la médecine

Il faut redonner aux médecins le plaisir d’exercer la médecine, la liberté de prescriptions qui a été détruite à l’occasion du Covid. Ce n’est pas au gouvernement d’écrire les ordonnances de nos malades. Il faut supprimer toutes les tâches administratives qui consomment souvent la moitié du temps de travail des soignants et qui ne servent à rien pour nos malades.

La tentation est grande pour des politiques qui ignorent souvent ce qu’est un acte médical d’imposer des fausses solutions. Certains veulent imposer des gardes à des confrères qui travaillent déjà trop. D’autres veulent les obliger à s’installer dans un village que la poste, les impôts, le tribunal et l’école ont déserté sur ordre de ces mêmes politiques !

L’obligation vaccinale des soignants est la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Les soignants non vaccinés ne sont pas des antivax comme le répètent en permanence le gouvernement et les médias. Avant le covid, ils étaient tous vaccinés et conseillaient et administraient les vaccins à leurs patients. Ce sont des vaccino prudents qui attendent les vrais résultats des essais en cours avant de se décider et qui ont été échaudés par les nombreuses complications qu’ils ont observées après les pseudo-vaccinations de leurs collègues et de leurs patients et de l’inefficacité maintenant évidente des injections. Ce sont des personnes respectables et honnêtes, car comme soignant il leur était particulièrement facile d’imiter de nombreux politiques et journalistes, stars et de vacciner le mur pour avoir leur pass vaccinal.(([3] Scandale espagnol récent))

La poursuite de la tyrannie vaccinale empêchera de résoudre le manque de personnel soignant et le problème des hôpitaux comme des déserts médicaux. Sans réintégration des soignants vaccino prudents, il n’y a aucune chance de sauver notre système de soins jadis l’un des meilleurs du monde. Les démissions des soignants encore en poste se multiplieront comme c’est le cas actuel à l’APHP de Paris.

E. Macron et son gouvernement devraient méditer la sage remarque de Charles Maurice de Talleyrand « On peut tout faire avec les baïonnettes sauf s’asseoir dessus » explicitée quelques années plus tard par le futur Napoléon III : « on peut tout faire avec le despotisme, excepter le faire durer. »

Sauvons nos enfants, sauvons nos soignants vaccino prudents




Halte aux mensonges de l’AFP et des médias subventionnés à propos des vaccins expérimentaux Covid19

Par le DR G Delépine

Comme encore aux USA, les médias français continuent de désinformer. Mais les Américains commencent à faire leur mea culpa.

9 exemples de désinformation des autorités de la santé sur la COVID | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

« Le chef de la santé publique aux États-Unis, Dr Vivek Murthy, a lancé une campagne au mois de mars pour récolter des exemples de désinformation sur la santé et de leur impact sur le système de santé étasunien : #HealthMisinformation.

L’initiative un eu un effet boomerang.

Le ministre de la Justice de l’Indiana, Todd Rokita, et le Dr Jay Bhattacharya, co-auteur de la déclaration de Great Barrington et témoin expert dans la demande de jugement déclaratoire d’Entrepreneurs en action du Québec, lui ont transmis une liste de 9 exemples de désinformation du Centres for Disease Control (CDC) tout en exprimant leur accord sur les dommages causés par la désinformation :

Nous sommes d’accord sur le fait que la désinformation a été un problème majeur pendant la pandémie. La propagation d’information scientifique inexacte a compliqué les prises de décision du public [et] entraîné des conséquences graves sur la vie et les moyens de subsistance des Américains. Nous vous soumettons les exemples suivants de désinformation de la part du CDC et d’autres organismes de santé qui ont ébranlé la confiance du public dans la science et la santé publique, et prendront des décennies à réparer.”

Dr Jay Bhattacharya

Les 9 exemples de désinformation sont :

  1. Sur dénombrement de la COVID-19
  2. Remise en question de l’immunité naturelle
  3. Les vaccins contre la COVID-19 préviennent la transmission
  4. Les fermetures d’école ont été efficaces et n’ont rien coûté
  5. Tout le monde court le même risque d’être hospitalisé et de mourir d’une infection à la COVID-19
  6. Il n’y avait pas d’alternative raisonnable au confinement
  7. Les politiques de masque obligatoire sont efficaces pour réduire la propagation des maladies infectieuses virales
  8. Le dépistage de masse des personnes asymptomatiques et la recherche des contacts des cas positifs sont efficaces pour réduire la propagation de la maladie
  9. L’éradication de la COVID-19 est un objectif réalisable

Nos autorités ont elles aussi véhiculé une grande partie de cette désinformation. Voilà pourquoi l’auteure considère utile de partager ces informations qui seront probablement utiles à la défense des nombreux contrevenants pro-science qui ont osé défier les mesures antiscientifiques de la CAQ ».

Des médias allemands et anglais ont également fait mea culpa sur la désinformation des deux dernières années, et ce depuis plusieurs mois déjà.

« MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande(([1] https://lesbelgessereveillent.be » mea-culpa-du-journal-bild-a-la
MEA CULPA – du journal Bild à la population allemande | Les Belges se réveillent (lesbelgessereveillent.be) ))

28/05/2021 — “Bild” affirme avoir indirectement collaboré au terrorisme sanitaire

Julian Reichelt, rédacteur en chef de la presse numéro 1 en Allemagne, le journal BILD, a présenté officiellement ses excuses à la population allemande et ses enfants, pour avoir infligé des violences, des négligences, de la solitude, de l’isolement et qu’à travers les médias, on leur a inculqué le sentiment qu’ils représentaient un danger pour la société.

Je voudrais dire à des millions d’enfants de ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons de nous pardonner. Nous vous demandons pardon pour un an et demi de politiques qui ont fait de vous des victimes.–Victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Pour une politique et une couverture médiatique qui, aujourd’hui encore, comme un poison, vous donnent le sentiment d’être un danger mortel pour notre société.”–Version originale : Corona — BILD entschuldigt sich bei Kindern

À quel moment nos journaux et médias vont-ils enfin cesser ce jeu morbide qui de plus les dévalorise ?

À quand une AFP objective ?

En France, ceux qui prétendent corriger les fausses nouvelles propagées sur les réseaux sociaux en sont très souvent les pires propagateurs. L’AFP et Juliette Mansour sont particulièrement actives dans la diffusion de fausses nouvelles pour la propagande vaccinale en dépit des multiples informations qui circulent sur les effets secondaires des injections basées sur les agences officielles de santé (VAERS, EMA Eudravigilance MHRA, etc.).(([2] Le « vaccin » anti-covid doit être immédiatement retiré du marché dans le monde entier | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

En voici malheureusement un nouvel exemple.

Dans un “désinfox” du 27 avril 2022 l’AFP et Juliette Mansour prétendent ainsi : “les vaccins ne sont plus en phase expérimentale”, “les vaccins mis sur le marché ont été testés correctement” et citent à l’appui de leurs dires l’Agence nationale du médicament prétendant que “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients”.

Leurs affirmations, comme celles de l’ANSM sont tout simplement mensongères.

N’ont-ils pas comme nombre de leurs confrères étrangers consulter les documents Pfizer finalement publiés sur injonction d’un tribunal américain(([3] Welcome to Daily Clout! What’s our story?)). Lourd, mais très instructif travail :

Les WarRoom/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers, un groupe de 3 000 médecins, infirmières, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs scientifiques hautement qualifiés, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce que contiennent les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans.

Par décision de justice, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts rendent service à l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Vous pouvez trouver tous les rapports des volontaires sur DailyClout.io.

Les mensonges révélés sont stupéfiants.

Les Volontaires du WarRoom/DailyClout ont confirmé :

que Pfizer (et donc la FDA) savait dès décembre 2020 que les vaccins ARNm ne fonctionnaient pas — qu’ils” perdaient de leur efficacité » et présentaient un » échec vaccinal « . L’un des effets secondaires de la vaccination, comme ils le savaient un mois après le lancement massif de 2020, était la « COVID ».

Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 jeunes avait été endommagé une semaine après l’injection d’ARNm — mais la FDA a quand même lancé la vaccination pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n’ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques avant août 2021, après que des milliers d’adolescents aient été vaccinés. [[Voir ceci]

Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents portent la mention « FDA: CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole grassement payés et les médecins achetés assuraient aux gens, les nanoparticules d’ARNm, de protéine de pointe et de lipide ne restaient pas dans le site d’injection dans le deltoïde, mais passaient, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.»

(([4] Chers amis, désolée d’annoncer un génocide. Naomi Wolf sur le « rapport confidentiel » de Pfizer | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation ou Chers amis, désolée d’annoncer un génocide))

Mais aussi entre autres découvertes :

“Les bénévoles ont examiné en profondeur les rapports des documents de Pfizer concernant la grossesse et ont découvert que l’assurance que le vaccin est « sûr et efficace » pour les femmes enceintes était basée sur une étude portant sur 44 rats français, suivis pendant 42 jours (les scientifiques qui ont mené l’étude sont des actionnaires ou des employés de BioNTech).

Les volontaires ont découvert que, bien que les femmes enceintes avaient été exclues des études internes, et donc de l’EUA [Emergency Use Authorization: Autorisation d’utilisation en cas d’urgence] sur la base de laquelle toutes les femmes enceintes ont été assurées que le vaccin était “sûr et efficace”, environ 270 femmes sont néanmoins tombées enceintes pendant l’étude. Plus de 230 d’entre elles ont été oubliées dans cette étude. Mais sur les 36 femmes enceintes dont l’évolution a été suivie, 28 ont perdu leur bébé.

Les volontaires ont découvert qu’un bébé est mort après avoir été allaité par une mère vaccinée, et qu’il souffrait d’une inflammation du foie.” “etc.

Prenez le temps de lire, pour vous-même, pour les autres, pour vos lecteurs.

Madame Mansour, les pseudo vaccins sont toujours expérimentaux !

Un médicament ou un vaccin n’est plus expérimental lorsque son essai phase 3 est terminé et a été examiné par les agences du médicament. Or actuellement aucun essai de ces pseudo vaccins n’a atteint ce stade. La preuve indiscutable est apportée par le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais en cours et précise leur niveau d’avancement. Si Juliette Mansour avait pris le temps de le consulter, elle aurait pu vérifier qu’aucune étude phase 3 n’a été terminée au 1/6/2022. Chacun peut vérifier facilement.

Ce qui confirme d’ailleurs ce que nous avions observé pour l’essai Pfizer.

Il est vraiment triste de constater que l’AFP et une de ses journalistes ne respectent pas l’éthique de leurs métiers et ne prennent pas le temps, ni de consulter le site officiel des essais, ni d’interroger les médecins qu’elles critiquent, pour se comporter comme des propagandistes niant les faits établis même lorsqu’ils sont facilement vérifiables.

Non, MadameMansour, les pseudo vaccins actuels n’ont pas été testés correctement !

Avant le Covid, la mise au point et les essais des vaccins utilisant des techniques pourtant parfaitement rodées de stérilisation ou d’atténuation de virus pathogène nécessitait en moyenne 10 à 15 ans dont la majeure partie consistait dans les essais destinés à vérifier leur efficacité et leur tolérance. Il a fallu 16 ans pour les vaccins contre les HPV ou les rotavirus(([5] https://www.ledevoir.com/societe/science/579612/combien-de-temps-faudra-t-il-pour-elaborer-un-vaccin-contre-la-covid-19)), 20 ans de recherche pour le Dengvaxia, plus de 30 ans pour le vaccin Mosquirix contre le paludisme, peut-être 50 ans pour le vaccin contre le sida. Le vaccin développé le plus rapidement dans l’histoire des vaccinations, celui contre l’Ebola, a exigé cinq ans d’efforts et paraît moins efficace que les vaccins antivarioliques ou anti-fièvre jaune aux dires des praticiens africains qui insistent sur la nécessité de poursuivre les mesures d’hygiène qui avaient été utilisées avec succès lors des épidémies précédentes.

Entre chacune des phases des essais nécessaires pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (animaux, phase 1, phase 2, phase 3), on marquait habituellement une pause pour permettre aux scientifiques d’analyser leurs résultats avant de passer à la phase suivante.

Comment peut-on croire qu’un vaccin autorisé seulement 10 mois après l’apparition d’une maladie nouvelle au lieu des 10 à 20 ans habituels ait suivi le protocole normal et complet de mise au point et de vérification ? Ce médicament qui n’est pas un vaccin selon la définition de Pasteur (car il ne contient aucun antigène) n’a absolument pas suivi le processus normal de validation.

Lorsqu’on analyse le calendrier du développement, on remarque les considérables manquements au processus habituel des essais. Il n’y a pas eu d’extraction d’antigène à partir du virus, ni de tentative d’atténuation de celui-ci. Les essais de toxicité sur les animaux(([6] Particulièrement important ici, car les précédents vaccins contre les autres coronavirus ont été abandonnés après des essais sur l’animal montrant qu’ils aggravaient la maladie avec de nombreux décès.)) ont été abandonnés ou tronqués sous prétexte qu’on ne disposait pas assez d’animaux adaptés à l’étude, alors que c’est à ce stade que les candidats vaccins anti-coronavirus précédents ont été abandonnés, car ils augmentaient la gravité de la maladie !

Les phases 1, 2, 3 des essais ont été entremêlées au lieu de se succéder, empêchant toute analyse détaillée qui aurait permis d’utiliser les données de la phase 1 pour concevoir la phase 2, et celle de la phase 2, pour planifier la phase 3.

Les sujets sélectionnés pour l’essai phase 3 ne représentaient pas ceux auxquels les produits ont ensuite été administrés avec, en particulier, très peu de personnes très âgées, ou souffrant de comorbidité, elles qui ont ensuite été vaccinées en priorité. L’essai ne comportait ni femmes enceintes, ni enfants. Ces biais visaient à minimiser au maximum la toxicité apparente des injections.

Les critères de jugement de l’essai ne sont pas pertinents. Ce qui importe pour juger de l’efficacité d’un vaccin est de mesurer la protection qu’il apporte au vacciné contre le risque de contracter la maladie, d’en mourir et sa capacité d’empêcher définitivement la transmission de la maladie aux autres. Or ces critères ont été totalement abandonnés au profit de la mesure du taux des anticorps et du pourcentage de “cas” définis par un test diagnostique non spécifique.

Ces essais trop brefs ont été conçus uniquement pour dissimuler les effets secondaires possibles et surestimer l’efficacité des injections et les agences chargées de notre sécurité sanitaire ont été complices de cette manipulation qui a exposé la population à des complications multiples et continue de l’exposer.

Il est étonnant que les médias ne se soient toujours pas intéressés à la somme faramineuse de documents sur les essais que la justice américaine a forcé Pfizer à publier

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti sur l’efficacité des vaccins.

Ils ont prétendu que le vaccin était efficace à 97 %(([7] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-vaccin-pfizer-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques-20210311))(([8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/03/11/covid-19-dans-le-monde-le-vaccin-de-pfizer-biontech-efficace-a-97-contre-les-cas-symptomatiques_6072790_3244.html))(([9] https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-le-vaccin-pfizer-biontech-serait-efficace-a-97-pour-les-cas-symptomatiques-11-03-2021-2417384_40.php)) sur la foi d’essais biaisés et répétés en boucle “tous vaccinés tous protégés”, alors que dès le mois de mai 2021 de nombreuses observations prouvaient que c’était faux comme l’épidémie apparue sur le porte-avions Queen Elizabeth dont tous les marins avaient été complètement vaccinés. L’examen des chiffres officiels de l’OMS retraçant évolution de la maladie montre qu’il n’y a pas eu de ralentissement de l’épidémie après les injections, mais au contraire un accroissement comme en Grande-Bretagne champion européen des injections.

Ou plus globalement dans le monde où les pays peu vaccinés ont été presque épargnés par la vague Omicron alors que cette vague a été particulièrement virulente dans les pays adeptes du tout vaccin.

La comparaison de l’évolution épidémique des deux pays frères ennemis, Israël champion de Pfizer et Palestine peu injectée montre que les injections ne diminuent pas le nombre de contaminations et paraissent même susceptibles de favoriser Omicron

Une constatation semblable peut être tirée de la comparaison entre les 2 îles africaines de l’océan Indien (Seychelles vaccinées à plus de 90 % et Madagascar et ses 2 % de vaccinés) pourtant semblables par les facteurs de risques de leurs populations et leur mode de vie.

Dans le monde réel, les injections anti-covid ne protègent donc pas des contaminations et paraissent même parfois les favoriser ! Le slogan gouvernemental “tous vaccinés tous protégés” est une contrevérité flagrante !

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont également menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves

Ne pouvant plus dire que les injections protégeaient de l’infection, leurs propagandistes ont enclenché une propagande massive pour faire croire qu’elles pourraient diminuer le risque de faire des formes graves. Tous les médias ont été mobilisés pour diffuser les communiqués fallacieux de la Drees(([10] https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/)) qui a toujours refusé de fournir des chiffres bruts vérifiables par des statisticiens indépendants.

Mais les chiffres de l’OMS et les exemples de pays étrangers plus transparents démontrent que les pseudo vaccins ne protègent pas plus des formes graves que des Covids ordinaires.

Les formes graves sont susceptibles d’entraîner la mort. Pour évaluer la fréquence des formes graves, il suffit de mesurer la mortalité. Pour apprécier l’effet des injections sur la fréquence des formes graves, on compare la mortalité avant et après les campagnes massives de vaccination.

Les courbes de l’OMS sont très démonstratives : au niveau mondial les campagnes de vaccination ont été suivies d’une augmentation franche de la mortalité qui a globalement plus que triplé !

L’incapacité des injections Pfizer à protéger des formes graves est évidente en Israël qui comptait 3000 décès covid avant les campagnes d’injections et qui, après l’injection de 15 018 677 doses de vaccin, en recense trois fois plus (10 860 au 2 juin 2022). De plus, la comparaison des mortalités en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine très peu vaccinée confirme que les pseudo vaccins ne diminuent pas la fréquence des formes graves.

Même constatation dans les îles africaines de l’océan Indien :

Plus globalement, dans le monde, les pays champions des vaccins sont ceux qui présentent les plus hauts taux de mortalité :

Comment pourrait-on croire à un miracle français qui permettrait aux vaccins de nous protéger des formes graves et de la mort alors qu’ils en sont incapables partout ailleurs dans le monde ?

Les agences, l’AFP, les médias et le gouvernement ont menti en prétendant que les pseudo vaccins protégeaient des formes graves. Cette désinformation systématique par l’appareil d’état est responsable de la crise de confiance croissante de la population.

Il est grand temps que ceux qui se présentent comme journalistes retrouvent leur éthique (enquête à charge et à décharge) ; analysent les faits avérés publiés par des sources fiables (OMS, université John Hopkins) et cessent de se comporter en propagandistes permanents des mensonges d’état.




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

confinement

Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

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Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

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C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

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Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

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La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

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Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

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Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

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En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

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On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

2022-05-31 20_45_28-Bill Gates, médecin du monde - Opera

La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

2022-06-02 19_55_55-Bill Gates_ ‘Vaccines are a miracle

D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

11 vaccins

On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

dictature sanitaure 2

Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

Lacombe enfants

On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




L’agenda de la réunion du Groupe Bilderberg 2022 : Désinformation, démondialisation et perturbation du système financier mondial

[Source : aubedigitale.com]

[Illustration : source ici]

Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.

La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.

Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.

Le Groupe Bilderberg est fier d’appliquer la règle de Chatham House, selon laquelle les participants sont libres d’utiliser toutes les précieuses informations qu’ils souhaitent, car ceux qui assistent à ces réunions sont tenus de ne pas divulguer la source d’une quelconque information sensible ni ce qui a été dit exactement. Cette règle contribue à garantir le secret légendaire du groupe Bilderberg, à l’origine d’une myriade de théories du complot. Mais, comme le fait remarquer Pepe Escobarcela ne signifie pas que le secret le plus étrange ne sera pas révélé.

Selon le groupe, voici la liste des sujets qui seront abordés :

  1. Les réalignements géopolitiques
  2. Les défis de l’OTAN
  3. La Chine
  4. Le réalignement indo-pacifique
  5. La compétition technologique sino-américaine
  6. La Russie
  7. La continuité du gouvernement et de l’économie
  8. La perturbation du système financier mondial
  9. La désinformation
  10. La sécurité énergétique et le développement durable
  11. La santé post-pandémique
  12. La fragmentation des sociétés démocratiques
  13. Le commerce et la démondialisation
  14. L’Ukraine

Comme on peut le constater, les membres (deux tiers des participants sont originaires d’Europe et le reste d’Amérique du Nord) discuteront (comploteront ?) des moyens de gérer l’émergence d’un monde bipolaire. L’ordre du jour semble également s’éloigner de la liberté puisque le groupe discutera de plans pour combattre la « désinformation », c’est-à-dire le fait que les élites réduisent au silence leurs opposants.

Le thème principal du week-end sera « Les réalignements géopolitiques » suite à l’invasion russe en Ukraine. Le deuxième est « Les défis de l’OTAN » et la manière dont les membres européens vont probablement dissuader l’agression russe. Et le troisième est la Chine, alors que Pékin menace d’envahir Taïwan.

En fin de compte, les décisions prises ne verront jamais la lumière du jour, mais elles deviendront des politiques officielles au service de l’élite des Bilderberg. Et si l’histoire est un indicateur, cela ne fera qu’empirer la situation mondiale actuelle.

« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne ».

– C. Gordon Tether, un écrivain du Financial Times, a déclaré en mai 1975.

Et voici comment le groupe Bilderberg contrôle le monde.

En attendant…

Le PDG de Pfizer, le chef de la CIA, le directeur du NSC, le vice-président de Facebook, le roi de Hollande et le secrétaire général de l’OTAN se réunissent en ce moment même à huis clos à Washington.

Cela s’appelle le Groupe Bilderberg, et pas un seul grand média n’en a fait état.

Comme ce groupe d’élites se réunit régulièrement depuis des décennies, nous sommes sûrs que les événements de ces dernières années n’ont rien à voir avec eux.

Enfin, nous notons la conviction d’Alastair Crooke que le début de la fin de la vision Bilderberg/Soros est en vue.

Le Vieil Ordre tiendra bon, même jusqu’au bout de ses ongles. La vision du Groupe Bilderberg est la notion d’un cosmopolitisme multiculturel et international qui surpasse le nationalisme d’antan, annonçant la fin des frontières et menant à une gouvernance économique et politique mondiale « technocratique » dirigée par les États-Unis.

Ses origines remontent à des personnalités telles que James Burnham, un anti-stalinien, ancien trotskiste, qui, dès 1941, a plaidé pour que les leviers du pouvoir financier et économique soient placés entre les mains d’une classe dirigeante : une élite – qui seule serait capable de diriger l’État contemporain – grâce à son savoir-faire technique en matière de marché et de finance. Il s’agit, en clair, d’un appel à une oligarchie experte et technocratique.

Burnham a renoncé à son allégeance à Trotsky et au marxisme, sous toutes ses formes, en 1940, mais il a emporté avec lui les tactiques et les stratégies d’infiltration et de subversion (apprises en tant que membre du cercle intime de Léon Trotsky), et a élevé la gestion trotskiste de la « politique identitaire » au rang de « dispositif » de fragmentation prêt à faire exploser la culture nationale sur une nouvelle scène, dans la sphère occidentale. Son livre de 1941, « The Managerial Revolution », a attiré l’attention de Frank Wisner, devenu par la suite une figure légendaire de la CIA, qui a vu dans les travaux de Burnham et de son collègue trotskyste, Sidney Hook, la perspective de forger une alliance efficace d’anciens trotskistes contre le stalinisme.

Mais, en outre, Wisner a perçu ses mérites comme le plan d’un ordre mondial pseudo-libéral, dirigé par la CIA et les États-Unis. (« Pseudo », parce que, comme Burnham l’a clairement exprimé, dans The Machiavellians, Defenders of Freedom, sa version de la liberté signifiait tout sauf la liberté intellectuelle ou les libertés définies par la Constitution américaine. « Ce que cela signifiait vraiment, c’était la conformité et la soumission »).

En bref, (comme l’ont noté Paul Fitzgerald et Elizabeth Gould), « en 1947, la transformation de James Burnham de radical communiste à conservateur américain du Nouvel Ordre Mondial était complète. Son Struggle for the World [converti en un mémo pour l’Office of Strategic Services (OSS, l’ancêtre de la CIA)], avait fait un « tour Français » sur la révolution communiste permanente de Trotsky, et l’avait transformée en un plan de bataille permanent pour un empire américain mondial. Tout ce qui était nécessaire pour compléter la dialectique de Burnham était un ennemi permanent, et cela nécessiterait une campagne psychologique sophistiquée pour maintenir la haine de la Russie vivante, « pour des générations ».

Pourtant, comme Charlie Skelton l’a écrit précédemment, la plus grande question éthique à laquelle est confronté le sommet n’est pas de savoir s’il faut exploiter la folie de la guerre à des fins lucratives. Bombarder et reconstruire des pays, des missiles et de la dette, c’est très bien : c’est ainsi que fonctionne le néolibéralisme. Ce qui est plus difficile à justifier, dans un cadre démocratique, c’est le processus pratique par lequel les conflits sont débattus, à huis clos, par des décideurs politiques de haut rang, de concert avec des industriels milliardaires et des profiteurs du secteur privé. Le premier ministre des Pays-Bas discute des points chauds mondiaux dans une luxueuse intimité avec le PDG de Royal Dutch Shell et le président de Goldman Sachs International. C’est optique horrible horrible.




Le cycliste à casque militaire

Par Lucien SA Oulahbib

N’avez-vous pas remarqué ?

Le casque traditionnel du cycliste faisant sans doute trop « coureur » (de jupons ?) a été abandonné par les nouveaux militants de la cause anti-automobile.

Au sens fort : auto mobile, même si elles sont cent fois moins polluantes.

Bientôt, seuls seront autorisés les fauteuils de handicapés, des « personnes à mobilité réduite ».

Le casque genre militaire, onusien au mieux, se dresse donc fièrement sur le crâne surtout ancien.

Et depuis que l’aliment principal des plantes, le CO2, a été déclaré persona non grata, cela empire.

Quand bien même nous respirons bien mieux qu’il y a vingt ans tant les moteurs sont moins voraces.

Et leurs pots catalytiques bien plus performants. Les particules restantes provenant des centrales à charbon allemandes.

Légende urbaine ! S’empressent de contrer les nouveaux censeurs chassant l’hérétique (le « complotiste »).

Pensez ! Croire que la Technique pourrait mieux nous tirer d’affaire que la coercition « douce » est un blasphème.

À quoi ? Envers cette idée annonçant le caractère maudit définitif de l’espèce humaine (surtout non augmentée).

Son enfer ? La Chine. Purgatoire ? L’Union Européenne. Paradis ? On cherche encore.

Qui « on » ? C’est secret. Vous le dire exposerait à de sanglantes représailles des GAFAM… Et des « supporters anglais »….




Les terribles conclusions d’une folle politique sanitaire. Mise à jour

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

[Voir aussi :
Covid-19 — Le bilan en 40 questions
et
Le virus et le président]

[Source : AKINA | Le Front Médiatique]






Mathématiques au lycée  : un sauvetage en trompe-l’œil

Par Karen Brandin

L’objectif de cette tribune est triple. Il s’agit tout d’abord d’une bouteille à la mer comme un encouragement solidaire à l’attention, puisqu’ils existent même s’ils semblent en voie d’extinction, de la poignée d’enseignants de l’éducation nationale que l’on pourrait qualifier de « résistants ». Ces profs exigeants, rigoureux et sincères qui aspirent simplement à pouvoir dispenser un enseignement digne, de qualité, celui dont ils ont parfois eu la chance de bénéficier ou tout simplement, celui dont ils rêvaient. Que mon statut d’indépendante, sa précarité sans doute, mais aussi la liberté de parole qu’il autorise comme celle de transmettre suivant mes convictions, permette de traduire tout haut ces souffrances qui s’expriment tout bas, trop bas.

Je veux parler « de » et « à » ces profs ordinaires, jeunes ou vieux, mais devenus extraordinaires par la force des choses, car ils ont su conserver chevillés au corps, le devoir, la passion et le désir de transmettre « à leur tour » ou » en retour ».

Ces mêmes profs qui, ces dernières années (décennies), ont été consciencieusement empêchés dans leur mission, voire dissuadés tant ils ont été stigmatisés, parfois même accusés d’être élitistes ou bien encore réactionnaires.

Des profs bien conscients que leur métier ne consiste pas à élever des enfants entre les murs d’une école, mais seulement à les instruire, c.-à-d. à leur donner le goût de l’étude, du doute. Le goût des mots aussi et avec lui, la possibilité de la contradiction, de l’argumentation en même temps qu’une forme d’audace, une indépendance, une impertinence conjuguées à une autonomie de réflexion salvatrice. Autant de garanties pour l’avenir de décisions libres et éclairées. Sans compter, bien sûr, une certaine culture de la résistance à l’effort, fût-il ingrat.

Bref, affûter les curiosités, armer les esprits pour mieux, à terme, désarmer les corps.

À ce personnel dévoué, on a envie de dire : « peu importe l’effet moisson du pédagogisme, gardez la tête haute, au risque qu’elle dépasse et continuez de porter haut vos valeurs. »

Ce texte est ensuite un relais offert aux parents impliqués et lucides qui nous sollicitent de plus en plus fréquemment, car découragés, inquiets face à l’effondrement de la qualité de l’enseignement dans le cadre du lycée notamment (le lycée au sens le plus large, car privés comme publics, désormais tous les établissements sont gangrenés. À ce titre, on tend donc bien vers cette égalité fantasmée : l’égalité des… malchances ou bien encore celle face à une médiocrité rampante.).

Lorsque les familles sont nombreuses, le gouffre d’exigence qui sépare l’aîné des plus jeunes interpelle à juste titre des parents démunis si bien que même la clémence du climat du Sud-Ouest n’est plus de taille à les dissuader de tenter de rejoindre la capitale et ses établissements d’excellence.

Le fait est que la période est propice aux bilans et c’est là le troisième objectif de cette tribune, puisque nous disposons à titre « confidentiel » (mais la tendance semble se confirmer), des toutes premières remontées concernant les notes de l’épreuve de la spécialité Maths pour la session 2022.

Je ne peux légitimement me prononcer que sur la destruction méthodique de cette discipline contre laquelle je lutte, tente de mobiliser, d’interpeller en vain depuis des années, et ceci, en dépit de tous les effets d’annonce relayés en boucle ces dernières heures par des médias décidément trop prompts à l’enthousiasme.

Je pense notamment à ces idées parachutées sans l’ombre d’une concertation, qui sont la marque de fabrique d’Emmanuel Macron, le sceau de son amateurisme. Il faut clairement méconnaître l’ambition du programme de maths complémentaires pour imaginer que 1 h 30 de saupoudrage de maths dites « citoyennes » en première serait la solution au délitement de cette discipline par trop souvent écartelée (un concept bien étrange à définir d’ailleurs et qui nécessiterait que l’on précise par voie de conséquence ce que l’on entend par maths non citoyennes, dissidentes. On nous a bien rapporté d’outre-Atlantique que les maths étaient racistes, que c’était une discipline « suprémaciste. » Rien ne nous sera décidément épargné. On pourra se reporter par exemple à :
https://lesobservateurs.ch/2021/02/21/delire-anti-blancs-les-mathematiques-sont-racistes-et-doivent-devenir-equitables/ ou bien encore,
https://www.lesoleil.com/2022/05/15/quand-des-livres-de-maths-sont-juges-trop-politiques-916571aced8131de55dad6088b223171).

Je crains fort en réalité un effet pervers de cette vraie mauvaise idée, à savoir que des élèves initialement prêts à s’engager en spécialité maths risquent d’être tentés de reculer en se contentant de l’option qui sera jugée « moins risquée », car on en est bien là malheureusement, dans une gestion du risque au regard du juge de l’absolu, de l’arbitre suprême des compétences, un arbitre redouté, redoutable : l’insondable ParcourSup.

Si le discours du président peut parfois sembler profond, ne nous y trompons pas ; c’est toujours au sens de « creux. »

Parce que c’est un prédateur avant tout, il joue avec les mots comme avec autant de proies avant de se lasser, de les laisser pourrir dans un coin en oubliant qu’ils avaient un sens, une portée. Heureusement tous les vernis finissent fatalement par s’écailler.

« Ne touchez pas aux idoles, la dorure en reste aux mains », nous avait avertis Flaubert.

Les moyennes concernant l’épreuve de spécialité maths au bac (ou plutôt ce qu’il en reste) semblent pour le moment stratosphériques quand, dans le même temps, les élèves n’ont jamais été plus faibles parvenant tout juste en terminale à définir la notion de médiatrice. Elles sembleraient avoisiner les 14, voire les 16/20.

Il paraît donc urgent de revenir sur les conditions et les modalités de cette épreuve bâclée avant que le gouvernement ne se saisisse, s’ils devaient se confirmer, de ces résultats exceptionnels et n’en détourne la pertinence pour y voir la démonstration fallacieuse de l’intérêt de la funeste réforme Blanquer, le bien nommé fossoyeur de l’enseignement secondaire, qu’il s’agisse d’ailleurs des connaissances brutes comme du rapport prof-élève lourdement dégradé, pour ne pas dire corrompu, car désormais plus proche du « client satisfait ou remboursé. »

On sent d’ailleurs la tentation à peine voilée dans l’enseignement, de la tarification à l’acte. L’enseignement, lui aussi, doit devenir rentable. Je ne cache pas ma tristesse devant l’adhésion trop facilement acquise de ces jeunes gens face à cette destruction méthodique des savoirs. Ils comprennent mal à quoi conduisent parfois ces lâchetés, ces renoncements d’apparence ordinaires, de confort.

Description de l’épreuve :

Comme tant d’autres, je m’astreins chaque année depuis 16 ans à résoudre l’ensemble des problèmes du bac (S jusqu’en 2019, l’année 2020 ayant un statut à part) proposés dans les lycées français à travers le monde. Les sujets du Liban ont toujours eu ma préférence, parce que plus exigeants, mais moralement je consacrais en moyenne 1 h 30 à résoudre, dans les conditions de l’examen, les 4 exercices imposés au candidat.

Je précise qu’à cette époque pourtant pas si lointaine, pour les élèves inscrits en spé maths (l’actuelle option « maths expertes » ou présentée comme telle), un des exercices portait invariablement sur cette partie spécifique du programme ce qui supposait un investissement réel et sincère tout au long de l’année. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, les maths expertes étant évaluées seulement dans le cadre du contrôle continu (coeff 2, contre un coeff 5 pour l’EPS par exemple).

En 2022, des ajustements ont été consentis du fait de la prédominance du variant Omicron courant janvier sur notre sol et des absences à répétition qui ont été constatées. Il y a eu des ajustements temporels tout d’abord puisque les épreuves ont été décalées de deux mois et des ajustements de forme ensuite puisqu’en maths, l’élève avait cette année la possibilité de choisir 3 exercices sur 7 points chacun parmi les 4 proposés (c’est inédit, car en physique par exemple, l’un des exercices était imposé comme en SVT). En dépit du nombre restreint de chapitres impliqués, nous avons quand même été témoins d’impasses revendiquées par les élèves !

À la résolution et à la rédaction complète des 4 énoncés (et donc pas seulement les 3 exigés), j’ai consacré en tout et pour tout 47 min.

Le candidat disposait quant à lui de 4 h (une éternité donc) sachant que l’un des exercices au choix (jour 1 comme jour 2 puisqu’il faut aussi compter avec cette absurdité supplémentaire des épreuves décalées) était un QCM pour lequel aucune justification n’était demandée (QCM que j’ai justifié de mon côté lors de la correction).

Il faut bien comprendre que c’est dans une épreuve de mathématiques, c.-à-d. une discipline dont la raison d’être est la preuve, la démonstration (en plus de la consistance, de la non-contradiction des arguments) que l’on vous demande clairement de ne pas argumenter. C’est donc une autorisation implicite, pour ne pas dire un encouragement, à résoudre (mot impropre puisque c’est plutôt dans l’expérimentation) les questions qui s’y prêtent à l’aide de la calculatrice, un réflexe désormais bien rodé chez cette jeunesse avide de réponses immédiates et visuelles.

Le QCM du jour 1 se prêtait parfaitement à ce type de manipulation. Plus grave, un élève pouvait ne pas identifier une forme indéterminée dans une limite par exemple (je pense à l’épreuve de Polynésie jour 2), appliquer une règle opératoire fausse, mais avoir une conclusion correcte sans rien soupçonner. Le correcteur ne sera pas davantage, de fait, témoin de la faute de raisonnement.

Quant au jour 2, on pouvait compter sur la chance ou le hasard. Certains élèves d’une de mes collègues avaient cru remarquer que lorsque les questions étaient un peu plus délicates, c’était souvent la réponse b qu’il fallait sélectionner. Qu’à cela ne tienne …. Bien leur en a pris pour les 3 dernières questions de l’épreuve du jeudi 12 mai, car il fallait en effet répondre « b » ! Gagné.

Je me souviens dans le même ordre d’idée, que l’année précédente, des élèves soucieux de gérer efficacement les « vrai ou faux » m’avaient présentée : la gomme de la vérité. Il s’agissait de lancer la gomme dûment tatouée « V » ou « F » et elle « répondait » apparemment sans erreur ou presque. Forcément, cela prête à sourire sauf que…

Moralement, lorsque vous répondiez au QCM et que vous traitiez l’exercice de probabilités qui était vraiment très classique, vous aviez 14/20 !!!! Il vous restait alors toute latitude pour gagner quelques points pour la gloire sur le dernier exercice choisi. C’est inimaginable. Mes très bons élèves de première auraient facilement eu 10 à cette épreuve. À l’époque de la terminale S, c’était inconcevable de la leur soumettre.

Ce qu’il faut intégrer, c’est qu’un lycéen (et ils seront très nombreux) qui va avoir 20 et qui se sentira en confiance (comment le lui reprocher ?) n’aura absolument aucune certitude de pouvoir affronter, résister, à la rentrée 2022 à un enseignement supérieur de qualité.

Le lycée ne peut décemment plus prétendre jouer en mathématiques un quelconque rôle de tremplin quand c’est pourtant là l’une de ses principales missions ; c’est extrêmement grave au point qu’il faudrait envisager une année 0 de remise à niveau avant de débuter un cursus universitaire.

C’est donc une colère légitime qui prend la relève du simple constat lorsque l’on a entendu il y a quelques mois les témoignages de messieurs Torossian ou Villani évoquant la terminale C comme une forme de torture élitiste dont on nous aurait heureusement libérés. N’est-ce pas cette même terminale exigeante, cet apprentissage de la rigueur équilibré et progressif sur les 3 années du lycée, qui leur a pourtant permis de surmonter l’épreuve des classes prépas et d’intégrer une ENS ?

Oseraient-ils prétendre qu’il est possible avec le bagage fourni désormais en terminale d’accéder à ce type de formation d’exception sans suer sang et eau ? À ce compte, où est la maltraitance ? Quant à l’égalité des chances, laissez-moi rire. Relisons plutôt : « L’enseignement de l’ignorance » de J. C. Michéa. 

Et s’il n’y avait encore que cette épreuve aux allures de formalité, mais le bouleversement du calendrier que suppose cette terrible réforme a conduit à une fin d’année sacrifiée, des chapitres fondamentaux trop souvent bâclés avec des élèves démobilisés, démotivés (je pense au calcul intégral notamment ou encore aux équations différentielles), pris en otage entre l’imminence des résultats de ParcourSup et cette imposture du Grand Oral, la soi-disant épreuve d’éloquence.

Il est plus urgent que jamais de s’opposer fermement et définitivement au maintien de cette réforme, urgent de s’opposer à cette école du futur au sein de laquelle trôneront des copies stupidement numérisées qui finiront à court terme par être corrigées sans plus aucune intervention humaine. Car il y a fort à parier que quelques années seulement nous séparent d’une épreuve de maths entièrement rédigée sous forme de QCM.

Cela sonnera alors définitivement le glas de cette discipline sous les « hourra » sans doute d’une majorité d’élèves, ne soyons pas naïfs. Les mathématiques, si foisonnantes, si vivantes, seront devenues une langue morte, perçue comme austère. Elles qui ne l’ont pourtant jamais été ne nécessitant qu’un papier, un crayon et beaucoup de détermination, vont devenir si l’on n’y prend pas garde, l’apanage d’une élite (dans un sens à définir) comme la philosophie sans doute.

Je vous engage à prendre connaissance du funeste destin de l’épreuve de maths en section STI 2d, une section technologique ; d’initialement une épreuve indépendante et souvent ambitieuse notée sur 20, elle a été convertie suite à la réforme, en une épreuve mixte maths/physique où les maths, sous forme de questions indépendantes, sont artificiellement évaluées sur seulement 4 points sur les 20 alloués.

Mais alors, peut-on réellement compter sur le nouveau ministre de l’Éducation nationale pour mettre fin à cette entreprise de destruction massive ? Je l’ignore, mais cela semble mal engagé.

Ce qui est certain et qui est de nature à inquiéter, c’est que Mr Pap N’Diaye n’a pas l’expérience du secondaire et ce qui nous a été donné à voir (plutôt qu’à entendre) à Marseille n’est pas pour rassurer.

Ce mutisme laisse perplexe, avec bien peu d’espoir concernant une éventuelle autonomie de décision. On était mal à l’aise pour lui en réalité, exhibé devant les journalistes comme un trophée. On avait presque le sentiment d’un Macron père de famille qui venait vanter au proviseur les mérites du petit dernier ; on était vraiment « au-delà » ou « à côté » de la hiérarchie, dans quelque chose de plus proche de l’ascendant parental et qui dérange forcément dans ce contexte tant cette attitude semble déplacée. Il ne manquait plus que la petite tape « amicale » sur la nuque dont le président est coutumier pour que le tableau infantilisant soit complet. Décidément, ce président philosophe, Mozart de la finance, se voit en bon petit père des peuples. Dieu nous en garde.

Comme on a conduit, poussé à l’agonie le corps médical, comme on s’est accoutumé à son râle sans être capable de faire « société » en bloquant le pays (était-ce si difficile ?) pour exiger sans délai la réintégration des soignants suspendus (suspendus ou plutôt « désintégrés »), on semble avoir convaincu d’immobilisme le corps enseignant qui tarde décidément à se révolter. Dans le même temps et suivant la même implacable logique puisque l’on ne change pas une équipe qui perd, on vient de faire exploser le corps diplomatique.

« Au suivant », comme disait Jacques Brel dans cette prostitution organisée de toutes nos valeurs.

Mais il faut être honnêtes, ils nous avaient prévenus : « on va vous emmerder jusqu’au bout ; c’est ça la stratégie, parce que c’est notre projet. »

Ils nous avaient prévenus et nous les avons reconduits.

Et un et deux, et cinq ans de plus.

Karen Brandin

Enseignante en structure indépendante

Docteur en théorie algébrique des nombres

N. B : illustration extraite de « Super pédago, la ruine de l’école a son héros. » (éditions : SOS éducation)

PS : Pour les nostalgiques et se convaincre que rien ne change jamais vraiment…




Invisible et silencieuse, la révolution des consciences est en marche

[Source : libremedia.ca]

[Illustration : à Budapest, des femmes ont revêtu des tenues traditionnelles à l’occasion d’une manifestation contre le passeport vaccinal en Roumanie, événement coïncidant avec la Fête nationale, le 1er décembre 2021.
Photo : Daniel Mihailescu pour l’AFP.]

Par Alain Bezançon

En réaction à la gestion de la crise sanitaire, des milliers d’initiatives citoyennes voient le jour partout dans le monde, portées par cette révolution silencieuse et invisible.

Ils ne sont pas présents dans les médias de masse, ils n’ont ni candidats ni partis politiques, ils n’ont pas de porte-parole ni de slogans, ils ne représentent pas d’intérêts financiers et ne font pas de prosélytisme idéologique ou religieux.

Pourtant, ils sont des millions d’hommes et de femmes à travers le monde à porter cette révolution des consciences.

Une pandémie révélatrice 

Pour nombre d’entre eux, la crise de la Covid et sa gestion par les institutions ont été les éléments déclencheurs d’une transformation intérieure. 

Plus ou moins rapidement, le récit officiel, les mesures sanitaires et les limitations des libertés et des droits fondamentaux sont entrés en contradiction avec leur sens de l’éthique, leurs valeurs personnelles ou tout simplement leur discernement.

Ceux qui ont tenté de faire valoir une analyse différente du discours dominant se sont heurtés à l’omerta, au conformisme et à la bien-pensance généralisée avant d’être ostracisés et poursuivis devant les tribunaux ou exclus par leurs ordres professionnels.

L’instrumentalisation de la peur et la polarisation de la société ont rapidement provoqué la division dans les sphères publiques et privées, conduisant à un isolement des «récalcitrants», devenus ainsi des citoyens de seconde zone.

Face à la violence du rejet d’une minorité armée de bon sens et d’esprit critique, cherchant simplement à exercer ses droits constitutionnels et à faire preuve d’une prudence élémentaire, l’incompréhension, l’angoisse et la colère sont encore pour beaucoup les seules réactions possibles.

Pour d’autres, cette crise sociale existentielle est devenue une opportunité de changement marquée par une transformation intérieure avant de devenir une volonté de construire une autre réalité.

C’est dans cette transformation intérieure que prend racine la révolution des consciences. 

Lorsque nos repères disparaissent et que nos univers professionnels et personnels s’effondrent, c’est un processus de mort à soi-même qu’il faut traverser. 

Une révolution silencieuse et invisible

Il faut prendre conscience de ses conditionnements et de ses croyances et être capables de lâcher-prise pour s’en détacher. Il faut laisser mourir ce qui doit disparaître afin de donner de l’espace à la croissance d’une vie nouvelle.

Cette transformation intérieure change notre regard sur nous-mêmes, les autres et l’univers. Nous sommes alors capables de renaître en bénéficiant d’une conscience plus vaste qui nous permet d’appréhender la réalité différemment, le plus souvent en étant moins dominés par les caprices de notre ego et par nos désirs de plaisirs matériels et éphémères. 

Bien sûr, nous cheminons tous à des vitesses différentes en fonction de nos histoires personnelles, mais pour certains, le passage à l’action devient alors une étape naturelle de la transformation intérieure: agir ou plutôt se laisser traverser par le non-agir en exprimant l’unicité de nos talents pour une évolution qui dépasse l’échelle de notre individualité.

Et nous sommes là au cœur de la puissance de la révolution des consciences quand elle conduit à l’action juste, fruit de l’alignement de la pensée et de la parole.

Il s’agit alors de placer son action dans un élan universel de préservation et de développement du vivant.

Il s’agit de servir, de partager et de collaborer, plutôt que de dominer, de prendre et de diviser.

En réaction à ce nouveau régime fait de biopouvoir et de contrôle social, des milliers d’initiatives citoyennes voient le jour, portées par cette révolution silencieuse et invisible.




Requiem pour l’Europe

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

L’Europe est morte. Et l’on ne peut même pas ajouter « Vive l’Europe ! » car elle ne renaîtra pas de sitôt. En fait, l’Europe a existé entre les traités de Westphalie et la fin du XXe siècle. Et la Russie a été un élément majeur de sa construction. Car l’Europe n’était pas une construction naturelle : elle est née de la volonté des peuples européens de construire une façon de coexister, de créer, de produire, de rêver à un monde meilleur, après que les guerres de religion avaient fait éclater la Chrétienté médiévale. L’Europe est née avec les traités de Westphalie, elle avait été engloutie apparemment par les deux guerres mondiales, mais elle semblait renaître de ses cendres en 1990. Elle s’est finalement brisée sur quatre écueils : sa soumission au modèle américain, le dogmatisme de l’Union Européenne, les guerres de Yougoslavie et, pour finir, le rejet de la Russie. Requiem.

Il n’y a pas d’Europe sans la Russie

L’Europe est morte. Car il n’y a pas d’Europe sans la Russie. C’est ce que le vieux Henry Kissinger a voulu dire, entre autres choses, quand il a demandé, à Davos, que la diplomatie reprenne ses droits dans la guerre d’Ukraine. 

Kissinger a créé avec Nixon la puissance américaine des cinquante dernières années, mais il n’oublie pas ce qu’il doit à l’Europe et à son équilibre des puissances. 

La Russie n’était pas signataire des traités (Münster, Osnabrück) qui ont mis fin à la guerre de Trente Ans ainsi qu’à l’affrontement franco-espagnol (Paix des Pyrénées en 1660) et qui fondent une Europe des États. Mais elle rejoint le système au début du XVIIIe siècle. Et elle en est une pièce maîtresse, aussi bien pour mettre fin à la démesure napoléonienne que pour abattre la plus terrible menace que l’Europe ait suscitée en son sein : l’Allemagne national-socialiste. 

À tel point que, lorsque la Russie est absente, comme entre 1917 et 1922, entre la révolution de février et le traité de Rapallo, l’Europe se défait. 

L’Europe, cette réalité née au XVIIe siècle

Entendons-nous, d’abord, sur ce qu’on appelle « Europe ». Ce n’est pas d’abord une entité géographique. Si de Gaulle la place entre l’Atlantique et l’Oural, c’est d’abord parce qu’elle est une réalité historique et politique. 

Au commencement, il y eut l’Empire romain d’Occident et celui d’Orient. Puis il y eut la Chrétienté et Byzance. Quelques décennies après la chute de Byzance, l’unité de l’Europe catholique se brise. Après un siècle et demi ou presque de guerres de religions (1517-1648), l’Europe naît de la volonté de séparer les querelles religieuses et les querelles politiques, d’appuyer l’appartenance collective des individus sur la souveraineté des États. 

C’est le modèle d’organisation de la « post-chrétienté », sorti du cerveau génial du Cardinal de Richelieu et mis en œuvre par le cardinal Mazarin dans les traités de Münster, d’Osnabrück (1648) puis des Pyrénées (1660). À partir du milieu du XVIIe siècle, l’Europe, ce sont : 

  • des congrès de paix, qui sont capables de mettre fin aux conflits : Nimègue (1679), Ryswick (1697), Utrecht (1713) sous Louis XIV ; Aix-La-Chapelle (1748) et Paris (1763) sous Louis XV ; le second traité de Paris par lequel Louis XVI met fin à la Guerre d’Amérique (1783) ; le congrès de Vienne qui met fin aux guerres napoléoniennes, etc.
  • l’Europe c’est aussi une culture avec la prolifération des cours royales et des villes qui cherchent à attirer les talents ; c’est un prodigieux développement scientifique, un véritable feu d’artifice qui dure au moins jusqu’en 1914 ; ce sont les deux premières révolutions industrielles (1770 et 1870). 
  • L’Europe, c’est le triomphe de la laïcité, fille de l’Évangile ; c’est la liberté de l’esprit, la tolérance, l’invention de la liberté politique moderne, le parlementarisme. 
  • L’Europe c’est bien entendu aussi l’État moderne, avec sa rationalité exacerbée, c’est la modernisation constante de l’art de la guerre, au point de déboucher sur les deux guerres mondiales. 

À toute cette aventure, la Russie a participé, par la volonté modernisatrice de la dynastie des Romanov. De la tournée en Europe occidentale de Pierre le Grand en 1717 à la révolution russe de 1917 ; la Russie a été un facteur de l’équilibre des puissances ; elle a participé à nombre de guerres ; elle a apporté sa contribution au débat d’idées, au développement des arts. Elle est devenue une puissance industrielle. 

Même après la révolution bolchevique, la Russie devenue soviétique n’a eu de cesse de rentrer dans le dialogue européen. D’abord parce que le marxisme était sorti du cerveau (fumeux) d’un philosophe allemand ; mais surtout parce qu’elle voulait participer à l’aventure européenne. On notera que c’est la Russie de Staline et les peuples de l’Union Soviétique avec elle qui écrasent cette négation absolue de l’esprit européen qu’était le nazisme (avec son rejet de l’héritage judéo-chrétien et de l’humanisme et sa fascination à la fois pour une ère précivilisationnelle et pour le gigantisme américain moderne). 

Cette éphémère renaissance de l’esprit européen qui a mis fin à la Guerre froide

Après 1945, ce sont des forces européennes qui ont mis fin à la Guerre froide. Face aux États-Unis pour qui les frontières des autres doivent s’abolir pour faire place à leurs idées et leurs marchandises, Charles de Gaulle, Willy Brandt, Margaret Thatcher, Jean-Paul II, Mikhaïl Gorbatchev ont réinventé l’Europe. Ils ont trouvé les moyens de mettre fin à la Guerre froide. 

Ils ont réappris à distinguer entre les querelles idéologiques et les intérêts politiques ; ils se sont souvenus que, si l’Europe rejetait toute théocratie, elle faisait toute sa place au christianisme ; ils ont réappris la culture de la négociation diplomatique qui avait fait le concert des nations. 

Il semblait, en 1990, que malgré les deux guerres mondiales, l’Europe renaissait. L’Europe avait su faire passer la politique avant l’idéologie ; elle avait retrouvé le sens de la paix, elle avait reconstruit son économie, le sens du tragique d’un Soljenitsyne ou des écrivains d’Europe centrale pouvait la ramener à l’inspiration littéraire et artistique. Mais l’illusion d’une renaissance européenne s’est très vite dissipée. Il est apparu que la fin de la Guerre froide avait été le chant du cygne d’une civilisation qui avait duré un peu moins de quatre siècles. 

Le naufrage définitif de l’Europe

  1. Nos milieux dirigeants se sont prosternés devant le modèle américain. Or, par leur messianisme politique, par leur manque de profondeur historique, par leur absence de sens du compromis, les États-Unis sont étrangers à l’Europe. Michel Albert l’avait montré dans un livre célèbre (Capitalisme contre capitalisme, 1991), le capitalisme européen contrariait son génie en se financiarisant à l’américaine. Surtout, l’Amérique nous a entraînés dans des guerres sans fin, en particulier au Proche-Orient, et nous a exposés à leur effet en boomerang, à commencer par les vagues migratoires. 
  2. Comme si un dogmatisme ne suffisait pas, les Européens en ont ajouté un second, celui du fédéralisme européen. L’esprit de réconciliation des années 1950 avait créé des institutions pour la coopération. Ce qui se passe à partir de 1990, c’est cependant une profonde idéologisation du projet : depuis 30 ans, l’Union Européenne se construit comme une immense machine bureaucratique, pour qui la production de normes devient une fin en soi. L’économie européenne est bien moins performante que ce qu’elle pourrait être ; elle a raté le tournant de la troisième révolution industrielle (même si Klaus Schwab beugle qu’il en est lui à la « quatrième »). Et, surtout, l’UE est impuissante à imposer les intérêts de ses membres dans les relations internationales. 
  3. Dès le début des années 1990, les guerres de Yougoslavie ont montré la disparition de la volonté européenne. S’il y avait eu une véritable renaissance de l’esprit européen, ces petits conflits étaient faciles à empêcher avec une force d’interposition et une conférence diplomatique. Mais nos intellectuels, nos médias et, finalement, nos politiques sont si américanisés qu’ils ont transformé l’éclatement de la Yougoslavie en un affrontement entre les méchants Serbes et les gentils autres. Aucune notion, dans les chancelleries des années 1990, de ce que l’Europe est ce lieu capable de surmonter les différends entre catholiques et orthodoxes hérités de la vieille chrétienté ; aucune reconnaissance envers la Serbie, ce grain de sable dans la machinerie guerrière hitlérienne au printemps 1941. Non, rien que la n-ième pitrerie du cancre Cohn-Bendit déclarant que la guerre du Kosovo était la « guerre d’unification de l’Europe ». Alors qu’elle était le signe que son agonie avait commencé. 
  4. Au moment où se déroulaient les guerres de Yougoslavie, la Russie sortait trop affaiblie du communisme pour pouvoir participer à un règlement du conflit. À partir de l’arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir, la Russie a refait ses forces. Toute l’Europe aurait dû s’en réjouir. En particulier parce qu’un nouveau rayonnement russe permettait de contrebalancer l’influence américaine. Mais ce qui l’a emporté, c’est une russophobie de plus en plus affirmée, qui culmine avec l’attitude de nos pays dans la guerre d’Ukraine. Rien ne montre de façon plus terrible la mort de l’esprit européen. 

Cette visite de réconciliation qu’Helmut Kohl n’a pas faite à Saint-Pétersbourg pour honorer les victimes du siège de Leningrad

L’Allemagne avait marqué, par la visite d’Adenauer à Reims, sa volonté de retrouver une vision « carolingienne » — composante indéniable de l’identité européenne. Lorsque Willy Brandt s’est agenouillé au ghetto de Varsovie, il a approfondi la réconciliation de l’Allemagne avec son héritage européen : les Juifs n’ont-ils pas joué un rôle essentiel dans l’essor de l’Europe à partir du XVIIIe siècle. Et, plus profondément, notre civilisation européenne n’est-elle pas la recherche permanente d’un point d’équilibre entre les héritages de Jérusalem, d’Athènes et de Rome ? Quelques années avant Brandt, les évêques catholiques allemands avaient demandé pardon à leurs frères polonais pour les crimes allemands en Pologne. 

Après ces gestes magnifiques, il en restait un à accomplir. Il n’est jamais venu.

Imaginez ce qu’aurait signifié une visite commune d’Helmut Kohl et Mikhaïl Gorbatchev à Saint-Pétersbourg, pour honorer la mémoire des victimes soviétiques du siège de Leningrad — l’un des épisodes les plus atroces de la guerre d’extermination déclenchée par l’Allemagne nazie contre la Russie et les autres peuples d’URSS. Après un tel geste, « la Maison Commune européenne » aurait été définitivement refondée.

Au récit simpliste d’une victoire américaine dans la Guerre froide se serait substitué celui d’une renaissance de l’Europe. 

Helmut Kohl n’avait pas assez d’imagination pour un tel geste. Et sa société ne l’y a pas poussé. Et pourtant tout aurait dû y pousser les Allemands, de l’admiration réciproque des deux cultures l’une pour l’autre à la vieille sagesse diplomatique de Bismarck, Stresemann et Brandt, qui savaient que tant que l’Allemagne et la Russie s’entendent, échangent leurs ingénieurs, coopèrent dans la vie de l’esprit, l’Europe est en paix. 

Requiem pour l’Europe

Il n’y a pas d’Europe sans la Russie. Or l’Union Européenne actuelle s’évertue à couper tous les liens avec la Russie. Nos médias, nos dirigeants se lancent dans des rondes puériles et endiablées en hurlant des slogans russophobes tandis que nos industriels déplorent la destruction consécutive de notre prospérité, mais sans avoir le courage de s’y opposer. Le comble du grotesque est atteint quand on met une étiquette « ukrainien » sur un concert de Tchaïkovski ou quand on veut débaptiser un lycée Soljenitsyne. 

La Russie se tourne de plus en plus vers l’Asie et l’Afrique. Voulons-nous la sanctionner encore et encore ? Elle ira jusqu’au bout, mettra fin à ce qui la reliait encore à nous en termes de dépendance technologique, d’échanges académiques, de liens culturels. Et notre Europe-croupion, qui ne sera bientôt plus qu’un beau musée, régulièrement tagué par des hordes de racailles, notre Europe sans influence sur le présent et l’avenir du monde, vivra comme un zombie, sans savoir ce qu’elle a perdu. 

L’Europe est morte. On ne peut que la pleurer en évoquant tant de grandeurs et d’obstacles surmontés. Requiem pour une civilisation défunte. 




Ces « élites » qui veulent réduire la population en euthanasiant les vieux et les « inutiles »

[Source : aulnaycap.com]

Par Catherine Medioni

Que tous ceux qui ont dépassé les 60 ans se portent volontaires pour se faire euthanasier, conformément aux souhaits de mort de ces fausses élites dévouées au diable et non à Dieu ! Les gros, les débiles mentaux, les individus au faible QI, les chômeurs, les handicapés, les » inutiles » devront-ils eux aussi accepter d’être euthanasiés pour laisser prospérer une société eugéniste qui n’a plus rien d’humaine ? Les propagateurs de cette doctrine immonde et véritablement diabolique sont les Bill Gates, les Klaus Schwab, les Jacques Attali, les Rothschild, les Rockefeller, les Warren Buffett, les Kissinger, les Yuval Noah Harari, les Christine Lagarde, etc. qui font passer les profits et l’économie avant les humains !

Les interviews et les écrits de Jacques Attali, entre autres, ne trompent pas sur les objectifs poursuivis de dépopulation mondiale. Il est clair que la pandémie de Covid (crée en laboratoire) vient accélérer l’agenda morbide destiné aux populations et que son faux remède achèvera le travail que le Covid n’a pas fait ! Allez-vous enfin regarder en face le sort qui nous est déjà réservé ou bien continuerez-vous à croire que tous ceux qui possèdent des pouvoirs sont bienveillants envers l’humanité ?

[NDLR : l’extrait présenté ci-dessus ne semble pas se trouver dans au moins une édition du livre en question. Par contre, les extraits dans le PDF suivant sont édifiants. Voir notamment à la page 24 du document.

]

Il est plus que temps que les millions d’humains qui ont confié des pouvoirs à de grands malades mentaux malveillants et diaboliques les leur retirent en urgence, et qu’ils s’opposent fermement à cet agenda mortifère et criminel qui va les assassiner !




Le projet de biopouvoir de l’OMS, une vieille lune scientiste. Mise à jour

[Source : RĿ]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les deux dernières années ont montré que la communauté médicale pesait d’un poids considérable sur la destinée des peuples et les décisions politiques des États. Les confinements ont été onéreux et à l’évidence préjudiciables. Or, les nouvelles thérapies sont à évaluer avec prudence après un enthousiasme et une pression exercés en faveur d’un tout vaccinal très discutable. Pourtant, des médecins ont commandé, dirigé jusqu’à faire taire leurs opposants sur les plateaux de télévision. Et la prudence n’est toujours pas de mise.

En ce moment même, l’OMS organise un coup d’État mondial pour concentrer tous les pouvoirs en ses mains. À l’instar de la déclaration récente du docteur Fauci réclamant tous les pouvoirs, sans avoir à se justifier devant aucune assemblée, l’OMS poursuit sa conquête du pouvoir en toute impunité. Ces dernières propositions concernant son pouvoir de prescription aux États des conduites à suivre est clair, à tel point que la Pologne conteste cette atteinte à la souveraineté des États : « Traité de l’OMS sur la prévention des pandémies : des chercheurs polonais sonnent l’alerte » (francesoir.fr) L’institution déciderait et les États s’exécuteraient. Le biopouvoir mondial s’installe donc au nom de la prévention sanitaire des pandémies. Isoler, vacciner, imposer une thérapie préventive, dicter les conduites, organiser des camps d’isolement, etc.

Seulement, tout cela n’est pas le fruit d’une opportunité. C’est le résultat d’une réflexion ancienne. Le projet du biopouvoir est connu depuis 1935. Nous avons trop oublié cette prévision et ses motivations. Alexis Carrel (1873-1944), prix Nobel de médecine en 1912 pour ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes, publie : L’homme, cet inconnu, qui remporta un succès considérable dès sa parution en 1935, publié en de nombreuses langues jusque dans les années cinquante. C’est dans le dernier chapitre de cet ouvrage qu’on trouve déjà toute la description du projet de biopouvoir.

Alexis Carrel affirme que la médecine a besoin des institutions qui lui permettront de mener à bien ses projets. Ce n’est pas anecdotique de signaler que la recherche médicale vise autre chose que de simples progrès scientifiques, mais bien la maîtrise d’un ensemble de savoirs à des fins politiques. Il écrit :

« L’Institut Rockefeller a entrepris l’exploration d’un champ plus vaste. En même temps que les agents producteurs des maladies et leurs effets sur les animaux et les hommes, on y analyse les activités physiques, chimiques, physico-chimiques et physiologiques manifestées par le corps. Dans les laboratoires de l’avenir, ces recherches s’avanceront beaucoup plus loin. L’homme tout entier appartient au domaine de la recherche biologique. Certes, chaque spécialiste doit continuer librement l’exploration de son district propre. Mais il importe qu’aucun aspect important de l’être humain ne soit ignoré. La méthode employée par Simon Flexner dans la direction de l’Institut Rockefeller pourrait être étendue avec profit aux instituts biologiques et médicaux de demain. À l’Institut Rockefeller, la matière vivante est étudiée de façon très compréhensive depuis la structure de ses molécules jusqu’à celle du corps humain. Cependant, dans l’organisation de ces vastes recherches, Flexner n’imposa aucun programme aux membres de son Institut. Il se contenta de choisir des savants qui avaient un goût naturel pour l’exploration de ces différents territoires. On pourrait par un procédé analogue organiser des laboratoires destinés à l’étude de toutes les activités psychologiques et sociales de l’homme, aussi bien que de ses fonctions chimiques et organiques. » 

(230, IV)

Au-delà de cette institution, il appelle de ses vœux le haut conseil, qui trônerait au-dessus de toutes les autres institutions pour les inspirer, les commander. En légitimant la puissance potentielle de la médecine et des progrès qu’elle peut accomplir :

« La création d’une telle institution constituerait un événement de grande importance sociale. Ce foyer de pensée serait composé, comme la Cour Suprême des États-Unis, d’un très petit nombre d’hommes. Il se perpétuerait lui-même indéfiniment, et ses idées resteraient toujours jeunes. Les chefs démocratiques, aussi bien que les dictateurs, pourraient puiser à cette source de vérité scientifique les informations dont ils ont besoin pour développer une civilisation réellement humaine. » 

(231, IV)

Il explicite que la vie humaine est à diriger au nom du gouvernement des corps et des esprits. Le politique n’en a pas la compétence, le médecin oui. Il va plus loin dans l’expression de l’ambition d’un pouvoir exercé par ces savants qui dirigeraient le monde. Il imagine l’institution d’un pouvoir médical légitime à commander l’avenir de l’humanité :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Le biopouvoir se fait potentiellement dictature légitime aux yeux de son inspirateur. Cette légitimité tient à une conception du politique où il s’agit de régner avant tout sur les humains, bien plus que sur des territoires. Là, le messianisme du docteur Carrel est manifeste. Il écrit :

« Une minorité ascétique et mystique acquerrait rapidement un pouvoir irrésistible sur la majorité jouisseuse et aveulie. Elle serait capable, par la persuasion ou peut-être par la force, de lui imposer d’autres formes de vie. » 

(234, V)

Il revendique déjà l’impunité de l’exercice de ce pouvoir s’exerçant sans limite au nom de son savoir détenteur de la vérité sur la vie, la bonne vie et la mort. À cet égard, le docteur Fauci est l’héritier direct de cette revendication de toute-puissance, n’ayant de compte à rendre à personne :

« À ces savants il faudrait donner une position aussi élevée, aussi libre des intrigues politiques et de la publicité que celle des membres de la Cour Suprême. À la vérité, leur importance serait beaucoup plus grande encore que celle des juristes chargés de veiller sur la Constitution. Car ils auraient la garde du corps et de l’âme d’une grande race dans sa lutte tragique contre les sciences aveugles de la matière. » 

(232, IV)

Ces médecins-tyrans n’écouteraient donc plus le patient, n’entendraient rien à ce qui contredirait leur décision. Un monde sans plainte, sans remise en cause. Comment peut-on au troisième millénaire fantasmer un tel pouvoir alors que la connaissance scientifique n’a rien à voir avec la vérité ou la liberté. La science ne sait pas ce qui est bon ou mauvais, là est sa limite. Elle est temporaire, falsifiable. Qui a oublié que la gravité de Newton, efficace dans les sciences de l’ingénieur, est bien fausse au regard de la relativité qui sera elle aussi contestée, falsifiée, même si elle permet d’interagir avec les phénomènes. Entre ce que nous savons des limites de la science depuis la crise des mathématiques et de la physique contemporaine, comment peut-on soutenir raisonnablement ce délire scientiste ? De plus, la médecine est encore moins une science, mais un art au carrefour de plusieurs sciences. Ces médecins spéculent donc sur les angoisses, la peur de la mort et de la souffrance jusqu’à vouloir gouverner les corps, décider de qui doit naître et mourir, voire comment produire des hommes nouveaux, greffés, pucés, etc. Il est temps de mettre l’esprit scientifique à sa place sauf à verser dans l’idéologie scientiste. Ce fut le trait de caractère du communisme et du nazisme que de prétendre dire la vérité au nom d’une théorie de l’histoire ou d’une théorie des races réputées indéfectiblement vraies.

Il est simplement urgent d’enseigner la philosophie des sciences, l’esprit critique et de développer le sens de la liberté par l’ouverture à d’autres dimensions que le seul savoir scientifique et technicien.


[Source : guyboulianne.com]

L’archevêque Viganò met en garde les nations contre la prise de pouvoir du traité pandémique de l’OMS : « La cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison »

L’Assemblée mondiale de la santé s’est réunie à Genève, en Suisse, du 22 au 28 mai 2022 pour discuter de la mise en œuvre du traité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la pandémie par 194 nations. L’archevêque Carlo Maria Viganò a publié le 22 mai dernier une note avertissant les nations qui envisagent d’adhérer au Traité sur la pandémie de l’OMS que la remise de la souveraineté à l’organisme mondial constitue un “crime de haute trahison” : « Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS », a écrit Viganò. « Ces résolutions transféreront la souveraineté concernant la santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. »

Le Canada ne doit pas renoncer à sa souveraineté en matière de soins de santé, mais c’est exactement ce que certains dirigeants canadiens essaient de faire. Et il y a une pression énorme de partout dans le monde pour que nous le fassions. Le Traité international sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (Traité de l’OMS en cas de pandémie) doit être signé en mai 2024. Une réunion des membres de l’OMC s’est tenue en décembre 2021 et une deuxième réunion est prévue au plus tard le 1er août 2022, lorsque le libellé du traité sera rédigé.

Le traité comprend 190 pays et serait juridiquement contraignant. Le traité définit et classe ce qui est considéré comme une pandémie et cela pourrait consister en de larges classifications comprenant une augmentation des cancers, des maladies cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, etc. Si une pandémie est déclarée, l’OMS prend en charge la gestion sanitaire mondiale de la pandémie.

Ce traité a des implications très graves pour notre souveraineté nationale en matière de santé. En vertu de ce traité, le Canada céderait essentiellement sa souveraineté nationale en matière de santé à l’OMS lorsqu’il s’agit de répondre aux pandémies. Plus préoccupant encore, si ce traité est inscrit, l’OMS aurait le plein contrôle sur ce qu’on appelle une pandémie. Ils pourraient dicter comment nos médecins peuvent réagir, quels médicaments peuvent et ne peuvent pas être utilisés, ou quels vaccins sont approuvés. Nous aboutirions à une approche unique pour le monde entier. Le Canada est un pays vaste et diversifié avec des différences régionales. Une réponse unique à une crise sanitaire ne fonctionne même pas partout au Canada, et encore moins dans le monde entier.

Nous devons également émettre de sérieuses réserves quant à l’évolution du rôle de l’OMS. L’objectif initial était que les nations souveraines mettent en commun leurs ressources pour aider à lutter contre le paludisme, Ebola et d’autres problèmes de santé qui nuisent en grande partie aux pays en développement. Au lieu de cela, l’accent a non seulement changé pour inclure les réponses à la pandémie dans des pays souverains comme le nôtre, mais une grande partie de leurs fonds proviennent désormais de donateurs privés, comme la Fondation Gates. Il n’est pas controversé de dire que les donateurs privés viennent avec des intérêts privés.

Nous devons être vigilants pour protéger notre système de santé des intérêts privés potentiels, et nous devons maintenir notre souveraineté sur notre réponse à la pandémie.


DÉCLARATION relative à la cession de souveraineté
à l’OMS pour la gestion des urgences sanitaires

Dans les prochains jours, les nations qui adhèrent à l’Organisation mondiale de la santé voteront des résolutions concernant la gestion des pandémies par l’OMS. Ces résolutions transféreront la souveraineté en matière de santé des citoyens à un organisme supranational largement financé par l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill & Melinda Gates. Si ces résolutions sont approuvées à la majorité, l’OMS aura l’autorité internationale exclusive en cas de pandémie pour imposer toutes les règles, y compris les quarantaines, les confinements, les vaccinations obligatoires et les passeports vaccinaux. Il convient également de garder à l’esprit que cette organisation jouit de l’immunité et que ses membres ne peuvent donc être ni jugés ni condamnés s’ils commettent des crimes.

Etant donné que la cession de souveraineté est considérée comme un crime de haute trahison par les lois de chaque nation, et que les Parlements ne peuvent légiférer contre les intérêts de la Nation, encore moins violer les libertés naturelles et les droits fondamentaux des citoyens qu’ils représentent, je crois qu’il n’échappera à personne que cette tentative de l’OMS de s’approprier un pouvoir qui appartient en propre aux nations individuelles vise à empêcher toute forme d’opposition à l’Agenda 2030, qui dans le domaine de la santé vise également à accomplir la réduction drastique des services médicaux et hospitaliers, la privatisation de l’industrie de la santé et la prévention des maladies grâce aux vaccins.

La psycho-pandémie a démontré l’asservissement des dirigeants, du système politique, des médias, de la justice, de toute l’industrie médicale et même du Saint-Siège lui-même aux diktats d’un groupe de fonctionnaires d’une entité supranationale qui a un conflit d’intérêts flagrant. Les effets néfastes désastreux du sérum d’ARNm expérimental ne sont reconnus que maintenant, alors que nombreux sont ceux qui s’attendent à juste titre à ce que les responsables de ces décisions soient tenus responsables devant un tribunal indépendant.

Il semble donc pour le moins absurde que l’on veuille désormais donner un pouvoir de décision contraignant à l’OMS, alors que dans sa gestion de la récente urgence pandémique et de la campagne de vaccination, le plus grand mal a été fait en termes de nombre de décès et de patients dont la santé a subi des dommages permanents. Outre l’impunité dont elle jouit pour les crimes qu’elle a commis grâce au silence des grands médias, l’OMS a également une discrétion totale sur la manière de répondre aux urgences à venir qui sont manifestement planifiées par le lobby pharmaceutique. La marginalisation des personnels de santé qui font appel au serment d’Hippocrate risque de devenir la norme par laquelle éliminer toute voix dissidente.

À cet égard, il est significatif que les Nations qui s’opposent au Nouvel Ordre Mondial – comme la Russie et le Brésil – soient conscientes des conséquences très graves que la ratification de ces résolutions entraînerait, et pour cette raison, elles s’opposent à leur approbation. Au cours de son mandat, le président Trump a également envoyé un signal sans équivoque en arrêtant le financement du Trésor américain à l’OMS. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’État profond a bloqué sa réélection en 2020, soutenant un individu compromis et corrompu dont le fils Hunter est impliqué dans le financement de biolabs américains en Ukraine.

J’exprime donc tout mon soutien aux citoyens — en particulier scientifiques, médecins et juristes — qui dénoncent cette menace à la souveraineté nationale des Nations adhérentes, et qui demandent que la lumière soit faite sur les événements passés et sur les conséquences que les décisions de l’OMS ont causé pour la santé de la population mondiale. J’exhorte les chefs d’État et de gouvernement qui seront appelés à s’exprimer sur la ratification de ces résolutions à les rejeter, car elles sont contraires au bien commun et destinées à réaliser le coup d’État mondial que l’OMS et le FEM ont planifié depuis des années sous les noms de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation. La gouvernance mondiale de la santé est l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial, comme l’ont clairement indiqué des experts faisant autorité qui ne sont pas compromis avec le système, et en tant que telle, elle doit être rejetée et combattue. La logique de contrôle, de profit et de pathologisation de masse doit être remplacée par une politique de santé publique qui a pour objectif premier la santé des citoyens et la protection de leurs droits inaliénables.

Le Saint-Siège — qui est Observateur permanent auprès des Nations Unies et également de l’OMS depuis un an maintenant — a le devoir de réaffirmer le droit des individus d’accepter ou de refuser des traitements de santé, en particulier face au danger concret d’effets indésirables, encore en partie inconnues, de ce traitement génétique expérimental. Et si jusqu’à présent Bergoglio et sa cabale se sont livrés aux délires de Gates, Schwab et Soros, le moment est venu pour l’Église catholique de défendre les plus faibles, les enfants à naître, les enfants et les personnes âgées sans défense, ainsi que ceux qui ont ont été victimes de chantage par le cynisme d’hommes d’affaires et de conspirateurs afin de les forcer à être inoculés avec un sérum contaminé par des lignées cellulaires de fœtus avortés. Le silence conspirateur actuel du Vatican, après les déclarations hâtives qu’il a faites au début de la pandémie et ses approbations honteuses de BigPharma, sera imputé à la condamnation du Sanhédrin romain, qui s’est rendu complice d’un crime contre Dieu et homme. Jamais dans toute l’histoire la Hiérarchie ne s’est prostituée au pouvoir temporel d’une manière aussi servile et abjecte. Prions pour que certains évêques trouvent le courage de se distancer de la ligne collaborationniste de Bergoglio et trouvent les mots pour ouvrir les yeux de ces braves gens qui ont jusqu’à présent été trompés par la propagande mondialiste.

Mgr Carlo Maria Viganò (signature)

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

21 mai 2022




Stade de France : comment la gauche néonazie au Pouvoir tente de manipuler l’extrême gauche. Mise à jour

Par Lucien SA Oulahbib

[Photo : Les abords du Stade de France le 28 mai 2022
Crédit : Maryam EL HAMOUCHI / AFP]

Le Pouvoir est en pleine manœuvre électoraliste et cela se voit, non pas seulement à l’Opéra (c’est le quotidien), mais surtout ici à Saint-Denis (l’événementiel). Là où règnent en permanence (et de plus en plus) le mensonge et le passe-droit clientéliste et sectaire. Est-ce pour autant suffisant comme analyse ?…

Certes, au premier abord, il semblerait que l’on aurait affaire d’une part à de la vulgaire discrimination dégueulasse issue du racisme idéologique systémique de gauche (Opéra : « on ne se sent pas travailler avec des gens de droite ») ou encore d’autre part à ce racisme identitaire crasseux qui suinte d’un gouvernement de bric et de broc, voire de bras cassés (les incidents du Stade de France seraient dus aux étrangers nommés « supporters anglais » ou aux « dysfonctionnements » sécuritaires). Le tout se vautre bien sûr et de plus en plus dans la tartuferie du type « chassez ce cutter que je ne saurais voir » menaçant pourtant les touristes de toutes nationalités (espagnole surtout, selon les témoignages).

Mais, à y regarder de plus près (et en se tenant maintenant seulement aux graves incidents liés à l’événement du Stade de France), n’est-ce pas là le coup du 6 janvier 2021 au Capitole des USA (en plus petit) ou comment désorganiser exprès les services de sécurité pour organiser le chaos et en bénéficier dans une partie de billard politique aussi indigne (mais futé) que le fût l’obligation du passe dit « vaccinal » ?…

En effet, E.Macron ne veut-il pas donner un coup de pouce au RN face à la Nupes au 1er tour (quitte à ce que cette dernière se couche au second) ? Comment ? En mettant en évidence ce que tout le monde sait, mais se refuse à admettre : la situation sécuritaire des personnes est de plus en plus hors contrôle à la façon d’une corrida dans laquelle le torero (ici la racaille djihadisée faisant office de S.A.) saigne la bête (« les gens » du moment qu’ils soient blancs ou Asiatiques ou « de service » — arabes, juifs) jusqu’à ce que, faute de sang (de sens), elle s’effondre. Cependant, les blessés ont encore la force de mettre un bulletin de vote « contre l’extrême droite » au second tour. Nous assistons ainsi au triomphe absolu du sadisme élevé au rang d’œuvre d’art : bravo l’artiste !

Est-ce tiré par les cheveux ? Un amoncellement de « bêtises » ? Peut-être, puisque, paraît-il, la « connerie » étant la chose au monde la plus partagée, la gabegie du Stade de France serait surtout le symptôme d’un délitement plutôt lié au « manque de moyens » et à la mauvaise organisation de la « chaîne de commandement ». Sauf que comme l’indiquait un spécialiste (chez Berkoff) il y avait plutôt des policiers issus de commissariats locaux et non pas de brigades dédiées au maintien de l’ordre, ce qui est bizarre, un peu similaire à ce qui s’était passé au Capitole lorsque deux à trois jours avant le 6 janvier Trump avait demandé à Pelosi (la Présidente « démocrate » du Congrès) de faire appel à la Garde Nationale, ce qu’elle refusa, et l’on vit alors des policiers locaux aller jusqu’à déplacer des barrières métalliques pour mieux faire entrer le flux des manifestants…

Au Stade de France, le fait que le service d’ordre ait semblé être en sous-effectif et très désorganisé, y compris en privé, alors qu’un événement par exemple comme celui du Trocadéro organisé par E. Zemmour fut au contraire très bien encadré par un service d’ordre policier et privé, dénote bien qu’il y a anguille sous roche.

Le Pouvoir macronien, encore une fois, organise une belle « manip » pour au final rafler la mise au second tour. Mélenchon, complice, ira à Canossa comme d’habitude. Par peur de « l’extrême droite » ? Mais elle est déjà au pouvoir, sous une autre forme, plus télévisuelle (le néonazisme chic de « seigneurs » parvenus) et lui-même en fait partie.


[NDLR : c’est à se demander si la désorganisation n’a pas été intentionnelle pour mieux imposer ensuite la vidéosurveillance avec reconnaissance faciale.]

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Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »

[Source : Epoch Times France]

Ariane Bilheran est diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), psychologue clinicienne, Docteur en psychopathologie et philosophe.

Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité.

[Voir aussi :
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Quand le conte de fées se transforme en cauchemar…]

Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

Au cours de sa carrière, Ariane Bilheran est intervenue en tant que consultante et a dispensé des formations dans différentes entreprises ou institutions. Elle a aussi été amenée à produire des expertises judiciaires dans le cadre de procès portant sur des cas de harcèlement ou d’emprise devant les juridictions civiles et pénales.

Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Nous [Epoch Times France] l’avons interrogée à l’occasion de la parution de son dernier ouvrage Chroniques du totalitarisme 2021.

Un livre qui rassemble les chroniques publiées par Ariane Bilheran l’année dernière ainsi que plusieurs textes qui traitent du phénomène totalitaire, notamment sous le prisme de la crise sanitaire.

En quoi notre société faisait-elle déjà l’expérience d’une forme de « dégénérescence » avant l’irruption de la crise sanitaire ?

L’émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ?

Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ?

En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ?

Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ?

En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ?

Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ?

En quoi vivons-nous « le prolongement de notre fermeture de cœur » ? Pourquoi la charité est-elle “le remède au totalitarisme” ?

Crédit musique : Heroic Feat by RomanSenykMusic. https://youtu.be/hvv8VLOKnsI

Retrouvez les articles, ateliers et conférences d’Ariane Bilheran sur son site :
https://www.arianebilheran.com/

Depuis avril 2020, Ariane Bilheran et les bénévoles de la Fondation La Posada de Paco mènent une action caritative en Colombie afin de venir en aide aux populations locales, notamment sur le plan alimentaire et en venant en aide aux animaux abandonnés.

Vous pouvez soutenir leurs actions ici : https://www.gofundme.com/f/urgence-al…




Les accusations de viol contre les troupes russes en Ukraine étaient fausses

[Source : lesakerfrancophone.fr via arretsurinfo.ch]

[Illustration : Lyudmyla Denisova, prise en flagrant délit de mensonge]

Par Moon of Alabama – Le 31 mai 2022

Un premier signal, encore très faible, indique que le régime de Zelenski à Kiev est en train de s’effondrer.

Il y a six semaines, de nombreuses accusations de viols commis par des soldats russes en Ukraine ont soudainement vu le jour.

Le Time titrait :

Les Ukrainiennes qui ont été violées par les troupes russes refusent de garder le silence.

La médiatrice ukrainienne pour les droits de l’homme, Lyudmyla Denisova, a déclaré que 25 adolescentes avaient été enfermées dans une cave à Bucha et violées collectivement ; neuf d’entre elles sont maintenant enceintes. Des femmes âgées ont raconté devant les caméras avoir été violées par des soldats russes. Des corps d’enfants ont été retrouvés nus, les mains attachées dans le dos, les organes génitaux mutilés. Ces victimes étaient aussi bien des filles que des garçons, et des hommes et des garçons ukrainiens ont été agressés sexuellement lors d’autres incidents. Un groupe de prisonnières de guerre ukrainiennes ont eu la tête rasée en captivité en Russie, où elles ont également été déshabillées et forcées de s’accroupir.

Des militants anti-russes enthousiastes ont répandu ces douteuses accusations :

Julia Ioffe @juliaioffe – 23:21 UTC – 20 Avr. 2022

« 25 adolescentes ont été violées collectivement ; 9 sont maintenant enceintes. Des femmes âgées ont parlé d’avoir été violées par des soldats russes. Les corps d’enfants ont été retrouvés nus, les mains attachées derrière le dos, les organes génitaux mutilés. » Une lecture déchirante, par @Amie_FR. Lien vers l’article du Time

En citant le tweet de Julia Joffe, j’ai immédiatement rejeté ces affirmations :

Moon of Alabama @MoonofA – 8:44 UTC – Apr 21, 2022

De telles accusations de viols massifs par l’ennemi du jour sont faites dans chaque guerre (Libye, Syrie). Elles se révèlent rarement vraies.

https://en.wikipedia.org/wiki/2011_Libyan_rape_allegations

Il s’avère que mon intuition était juste :

Christopher Miller @ChristopherJM – 15:17 UTC – 31 mai 2022

Le parlement ukrainien vient de renvoyer la médiatrice des droits de l’homme Lyudmila Denisova. Les députés ont affirmé que son travail axé sur le viol d’Ukrainiens par les troupes russes, qui « n’a pas pu être confirmé par des preuves […], n’a fait que nuire à l’Ukraine et détourner l’attention des médias mondiaux des besoins réels de l’Ukraine. »

238 députés ont voté en sa défaveur. D’autres plaintes portaient sur le fait que Mme Denisova n’avait pas réussi à organiser des couloirs humanitaires et des échanges de prisonniers de guerre, et qu’elle avait passé du temps dans la « chaude Europe occidentale » pendant l’invasion « mais pas en Russie ou au Belarus, où son statut et ses pouvoirs pourraient aider les prisonniers. »

Des ukrainiens dénoncent les viols comme crimes de guerre pour s’assurer que le monde en tienne la Russie responsable

Lyudmila Denisova avait fait de nombreuses déclarations sensationnelles contre les soldats russes :

La commissaire ukrainienne aux droits de l’homme a déclaré mardi que les enquêteurs avaient entendu plus de 400 allégations de violences sexuelles, y compris des viols, sur des Ukrainiens par des soldats russes en l’espace de deux semaines. …

« Il y a deux caractéristiques », a déclaré Mme Denisova.

Premièrement, a-t-elle dit, les allégations concernent généralement de jeunes soldats âgés de 20 à 25 ans. « C’est-à-dire ceux qui viennent de grandir sous le règne de Poutine, sous sa propagande », a-t-elle ajouté.

Deuxièmement, les soldats sont généralement accusés de commettre des viols en public ou sous le regard d’autres personnes, a-t-elle ajouté. Elle a donné l’exemple d’une femme de 25 ans qui a déclaré avoir été obligée d’assister au viol de sa sœur de 16 ans et les a suppliés de la violer à sa place.

« Nous avons besoin d’aide pour les deux », a déclaré Mme Denisova. Elle a poursuivi en décrivant les viols présumés de deux enfants de 11 ans, une fille et un garçon, et d’un adolescent de 14 ans.

Elle a indiqué qu’elle avait reçu un rapport selon lequel la fillette de 11 ans avait été violée après être sortie en cachette pour cueillir des fleurs à Gostomel, une ville située au nord-ouest de Kiev qui a fait l’objet de nombreuses attaques. Elle a déclaré que la jeune fille « ne se souvient que du début, puis ne se souvient plus de rien, seulement du moment où elle a été renversée au sol. »

À l’époque, les accusations de viol faisaient partie de la campagne de propagande ukrainienne :

Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a déclaré vendredi que des soldats russes avaient commis des viols dans des villes ukrainiennes.

Kuleba n’a fourni aucune preuve de ses dires. Reuters n’a pas été en mesure de vérifier cette affirmation de manière indépendante.

« Quand les bombes tombent sur vos villes, quand les soldats violent les femmes dans les villes occupées, et nous avons de nombreux cas, malheureusement, de soldats russes violant les femmes dans les villes ukrainiennes, il est difficile, bien sûr, de parler de l’efficacité du droit international », a déclaré Kuleba lors d’un événement à Chatham House à Londres.

Cependant, un groupe d’ONG enthousiastes en Ukraine, espérant de l’argent frais « occidental » pour de nouveaux projets de « consultation sur les viols et de récupération », a essayé de trouver de vrais cas de viols. Ces ONG ont été déçues de constater qu’il n’y avait aucune preuve qu’un quelconque viol ait eu lieu (traduction automatique) :

Le 25 mai, un certain nombre de médias et d’ONG ont publié un appel ouvert à Lyudmila Denisova demandant une meilleure communication sur les crimes sexuels pendant la guerre.

Les signataires insistent pour que Lyudmila Denisova ne divulgue que les informations pour lesquelles il existe des preuves suffisantes, évite le sensationnalisme et les détails excessifs dans ses reportages, utilise une terminologie correcte et veille à la confidentialité et à la sécurité des victimes.

« Les crimes sexuels pendant la guerre sont des tragédies familiales, un sujet traumatique difficile, pas un sujet de publication dans l’esprit de la ‘chronique scandaleuse’. Nous devons garder à l’esprit le but recherché : attirer l’attention sur les faits de crimes », peut-on lire dans l’appel.

Les autres raisons invoquées pour le renvoi de Mme Denisova sont ses longs séjours en Europe occidentale pendant la guerre et le fait qu’elle ait négligé les négociations avec la Russie concernant les échanges de prisonniers et d’autres questions humanitaires :

[Le vice-président du comité permanent de la Verkhovna Rada, Pavlo] Frolov, a également noté que depuis le début de la guerre et les grandes souffrances des Ukrainiens, Mme Denisova n’a pratiquement pas exercé son autorité pour organiser des couloirs humanitaires, protéger et échanger des prisonniers, s’opposer à la déportation de personnes et d’enfants des territoires occupés, ainsi que d’autres activités liées aux droits de l’homme.

La concentration incompréhensible du travail médiatique de la médiatrice sur de nombreux détails de « crimes sexuels contre nature » et de « viols d’enfants » dans les territoires occupés, qui n’ont pas pu être confirmés par des preuves, n’a fait que nuire à l’Ukraine et détourner les médias mondiaux des besoins réels de l’Ukraine.

Après le 24 février, l’actuelle commissaire aux droits de l’homme de la Verkhovna Rada a séjourné à l’étranger, mais pas en Russie ou en Biélorussie, où son statut et ses pouvoirs pouvaient aider les prisonniers, les déportés et les victimes de l’occupation de Kherson, et à Davos, Vienne, Varsovie et d’autres endroits chaleureux d’Europe occidentale.

Denisova était devenue trop gênante. Son licenciement semble faire partie d’un remake de la campagne de propagande de l’Ukraine. Voici une autre donnée du London Times qui va dans ce sens :

Le bataillon Azov abandonne le symbole néo-nazi exploité par les propagandistes russes (ce n’est pas une satire)

Le bataillon Azov a supprimé de son insigne un symbole néo-nazi qui contribuait à perpétuer la propagande russe disant que l’Ukraine serait en proie au nationalisme d’extrême droite.

Lors de l’inauguration d’une nouvelle unité de forces spéciales à Kharkiv, les patches remis aux soldats ne comportaient pas le wolfsangel, un symbole allemand médiéval adopté par les nazis et utilisé par le bataillon depuis 2014.

Cela rappelle Al-Qaïda en Syrie, qui a été rebaptisé Jabhat al-Nusra avant de s’appeler Jabhat Fatah al-Cham et de finir par s’appeler Hayat Tahrir al-Cham. Les noms et les symboles ont changé. Mais la direction, l’idéologie et le comportement du groupe sont toujours restés les mêmes.

Le changement d’image des groupes radicaux pour les rendre plus acceptables dans les médias « occidentaux » se produit constamment. Voici deux autres titres de Moon of Alabama sur des changements de nom de produits similaires :

Pour résumer :

  • Les accusations de viols contre les soldats russes en Ukraine ont été inventées et fausses.
  • La propagandiste ukrainienne qui en est responsable vient d’être licenciée.
  • L’Ukraine et ses troupes de choc nazis du bataillon Azov corrigent leur apparence pour devenir plus acceptables pour le public « occidental ».

Rien de ce qui précède ne changera le fait que l’Ukraine et l’« Occident » sont en train de perdre leur guerre contre la Russie.

Moon of Alabama

Note du Saker Francophone

Comme le fait judicieusement remarquer Cailtlin Johnstone dans son dernier article portant sur le même sujet : 

« Cette info montre que même le gouvernement ukrainien est plus sceptique à l’égard des affirmations du gouvernement ukrainien que la presse occidentale grand public. »

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Programme santé et réintégration des soignants au cœur des préoccupations des Français

Par Nicole Delépine

Qu’en est-il des candidats aux législatives ?

La non-réintégration des #SoignantsSuspendus dans un système hospitalier à l’agonie est au-delà de la faute politique. En l’état de la science sur les vaccins Covid et de leur incapacité à protéger de la maladie, il s’agit d’un crime organisé !

11:57 PM · 31 mai 2022·Twitter @medicalfollower

Questionnaire aux candidats. Les mettre au pied du mur pour savoir de quel côté ils seront : soignants-soignés ou gouvernement ?

La santé dont on nous rebat les oreilles pour dire que l’été sera chaud dans les hôpitaux publics en l’absence d’un nombre suffisant de soignants et de médecins est cruellement absente des législatives. L’exigence de réintégration des soignants abusivement suspendus sans justification scientifique devrait être au premier plan de tous les programmes.

Notons que la Martinique a voté à l’unanimité la réintégration des soignants.

Un candidat en Essonne aux législatives nous informe que sur douze candidats il serait le seul à mettre la santé au cœur de son programme dans sa circonscription.

www.listecitoyenne-essonne.fr

Malheureusement nous craignons que ce soit le cas général

Nous vous proposons donc sur suggestion d’un correspondant motivé J H. des questions à poser à vos candidats dont certaines sont capitales comme la réintégration des soignants. Une réponse à chaque question par oui ou non est intéressante, mais libre à vous de demander en direct à l’occasion d’une rencontre un développement justifiant leurs réponses.

Voici les questions proposées :

12 questions aux candidats aux élections législatives sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé.
Merci d’y répondre et de renvoyer les réponses à
nicole.delepine1@gmail.com OU AU SITE DE PUBLICATION DE L’ARTICLE à votre choix ou de publier un article vous-même sur ce sujet

Si les réponses sont suffisamment nombreuses, nous vous en ferons un compte-rendu.

Question n° 1

Rendrez-vous aux médecins leur liberté de soigner conforme au serment d’Hippocrate ?

OUI — NON

Question n° 2

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre la vaccination obligatoire ? 

OUI — NON

Question n° 3

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de rendre les tests obligatoires ? 

OUI — NON

Question n° 4

Vous opposerez-vous à toute décision de l’exécutif de remettre en place un confinement ? 

OUI — NON

Question n° 5

Exigerez-vous le retrait immédiat de l’arrêté du 25 mai 2022 qui interdit le traitement de la variole du singe ?

OUI — NON

Question n° 6

Supprimerez-vous immédiatement le passe sanitaire à l’entrée des hôpitaux ? 

OUI — NON

Question n° 7

Abolirez-vous l’obligation du masque à l’hôpital pour les soignants et les soignés ? 

OUI — NON

Question n° 8

Réintégrerez-vous les soignants suspendus immédiatement et en leur versant tous les salaires en retard qui leur sont dus ? 

OUI — NON

Question n° 9

Libérerez-vous les soignants en général et les infirmières en particulier de la « persécution » des cadres qui les empêche de se consacrer pleinement aux malades ? 

OUI — NON

Question n° 10

Paierez-vous décemment les médecins et les soignants en général ? 

OUI — NON

Question n° 11

Redirigerez-vous vers les soins plutôt que vers la bureaucratie les 11,2 % du PIB actuellement utilisés pour la Santé ? 

OUI — NON

Question n° 12

Mettrez-vous un terme à la gestion « entrepreneuriale » et à l’obsession des « économies » dans les hôpitaux publics et privés ? 

OUI — NON

IL EST URGENT D’INFORMER NOTRE NOUVELLE MINISTRE DE LA SANTÉ SUR LES VRAIES RAISONS DE LA CHUTE DU SYSTÈME DE SANTÉ

Nous réinsistons sur les points principaux déjà évoqués :

Appel aux candidats députés sur les mesures urgentes à prendre en matière de santé

Par Nicole Delépine

« À partir d’une certaine masse critique, une bureaucratie tend à croître de façon automatique, sans rapport avec le réel, échappant à toute autorité. »[1]

Mmes, Mrs, vous prenez la décision de devenir nos représentants si les citoyens vous élisent.

Nous voulons attirer votre attention sur la tragique situation du système de santé français détruit en moins de 20 ans par la bureaucratie galopante ayant évincé les professionnels de santé dans l’organisation, et sur les décisions à rendre rapidement pour le sortir du gouffre.

Il est impossible en quelques lignes de tout détailler, mais quelques points sont fondamentaux à expliquer aux Français que vous rencontrerez qui n’ont pas toujours compris ce qui se passe et mettent la cause sur « l’argent ».

L’argent existe : 11,2 % du PIB utilisé pour la santé

Il faut rediriger l’argent vers les soins en dégraissant la bureaucratie énergivore, coûteuse, et paralysante : trop d’agences de santé doublons, 18 ARS dictatoriales et doublant le rôle des directions hospitalières, trop d’observatoires et autres. Tout cela est connu, détaillé dans rapports sénatoriaux, articles, livres multiples depuis deux décennies.[2]

Il faut le courage politique coupant ces structures inutiles et toxiques et répartir le personnel administratif dans d’autres secteurs (juridique par exemple) et remettre les nombreux soignants égarés dans les agences[3][4][5] auprès des patients.

Rendre la liberté de soigner

Pour les médecins la liberté de prescription est capitale.

2020. C’est la première fois dans l’Histoire qu’un politique se permet d’interdire une ordonnance d’un médicament (en plus connu depuis 70 ans) et en même temps d’imposer un pseudo vaccin en essai thérapeutique sans recul. Tout laisse penser que les documents PFIZER (enfin disponibles) étaient connus d’emblée par la FDA, l’EMA et probablement l’ANSM et donc par nos chefs d’État. Ces documents établissaient dès 2020 qu’ils étaient trop peu efficaces et dangereux.

Ils savaient d’emblée que le vax était toxique (1200 morts dans les premiers mois de l’essai initial) et inefficace.[6][7]

La vraie médecine a été violée par nos gouvernants suivant les directives de l’OMS contraires à la science.[8][9]

Pour les soignants en général et les infirmières en particulier il faut supprimer la persécution des cadres qui empêchent de se consacrer aux malades. Ces cadres qui gèrent les plannings de façon insupportable, etc., perdent leur temps utile en multiples réunions sans intérêt, et les contrôles permanents des « traceurs » qui conduisent les infirmiers par ex à passer 4 h par jour sur l’écran. Cocher un médicament sur un tableau ne prouve pas qu’on l’a donné et n’a donc aucun intérêt sinon de perdre du temps de soin au lit du malade et d’humilier le soignant.

En ville, il faut de même supprimer la persécution des contrôles permanents par les ARS et la CNAM qui désorganisent le travail du médecin, kiné, psychologue ou autre.

Il faut bien sûr compléter cette liberté retrouvée par des salaires décents qu’il suffit d’aligner sur les moyennes des pays de l’ouest de l’UE qui les attirent, et ne pas compter sur de petites augmentations ou primes à la suite d’un scénario Ségur répétitif[10][11] qui n’a rien résolu.

Pour embaucher, il faut des volontaires !

Les politiques qui croient pouvoir embaucher X soignants n’ont pas compris qu’ils ne les trouveront pas sans leur rendre leur liberté de soigner et de s’organiser tant en ville qu’à l’hôpital : les postes vacants se multiplient de jour en jour et les mesures discriminatoires récentes contre les non-vaccinés n’ont fait qu’aggraver largement la situation.

Il n’existe plus de médecine libérale en France, les ukases, accréditations, normes sont les mêmes dans tous les secteurs, public comme privé. Croire, comme l’a dit le président de la FHF, qu’obliger les médecins libéraux à prendre des gardes de nuit pourrait être efficace montre qu’ils n’ont rien compris à l’état d’épuisement et d’exaspération de tous les soignants.

Démission ou expatriation sont des solutions déjà utilisées par de nombreux soignants exclus du système sans revenu par la honteuse « pseudo vax obligatoire » en essai thérapeutique, en violation de tous les traités signés par la France[12]. De plus, ils sont beaucoup mieux rémunérés en Suisse, Allemagne, Canada ou Belgique qui les ont accueillis avec joie.

Médecins étrangers esclaves, combien de volontaires peut-on espérer, Mme la ministre ?

Les espoirs du gouvernement sur l’embauche de médecins étrangers pour faire fonctionner les hôpitaux cet été laissent pantois. À la recherche d’esclaves modernes qui accepteraient les ukases des ARS, cadres de santé, sécurité sociale, etc.. Ils ne restent jamais longtemps en France que ce soit dans les hôpitaux ou les maisons de santé que bien des maires tentent de remplir en promettant logement, prime, etc..

L’exercice médical en France est devenu insupportable par son manque de liberté chèrement acquis après dix ans d’études et les médecins étrangers trompés s’en rendent vite compte. La solution n’est pas là, mais à la liberté de soigner.

Réintégrer les soignants injustement mis à l’écart et sans rémunération, pour refus d’injection d’un produit expérimental en phase 3 et dont les accidents s’accumulent.[13]

15 000 à 30 000 soignants ont été écartés par une décision politique injustifiée (le vax ne protège ni le soignant, ni ses contacts des contaminations, ni des formes graves). Un bon nombre ne reviendra pas, parti à l’étranger, ou reconverti. Si on veut récupérer les autres, il faut faire vite, reconnaître qu’on s’est trompé (le vax ne protège pas) et leur rendre leurs salaires gelés depuis le 15 septembre 2021.

Sans ces mesures et un minimum de mea-culpa, il est peu probable qu’ils reviennent et que les écoles d’infirmiers se remplissent à nouveau. Qui voudrait entrer dans ce noble métier défiguré et dans l’impossibilité de l’exercer ?

Supprimer le pass et le masque à l’entrée des hôpitaux[14]

Pour ceux qui pourraient revenir, il faut absolument supprimer toute mesure discriminatoire à l’entrée de l’hôpital tant pour eux que pour les patients qu’ils refusent de discriminer !

Il faut supprimer les contrôles de pass sanitaires : 60 millions € par mois de contrôle par des vigiles, pass qui sont abandonnés par la majorité des pays qui les ont utilisés ! il faut supprimer le masque, mesure autoritaire inutile qui empêche les rapports humains normaux, en particulier entre malade et soignant. Manifestement les autorités qui ont imposé ce port du masque n’avaient aucune idée des conséquences multiples engendrées physiques, psychologiques, etc. Ce masque est un symbole d’autorité sans utilité médicale, sauf pour les malades aigus récents et les soignants à leur contact.[15]

Dans les hôpitaux publics et privés, cesser la gestion entrepreneuriale d’économies

Une organisation basée sur le taylorisme !

Ce mode de gestion a tout cassé depuis les années 80, transformé nos hôpitaux publics puis privés, nos cabinets de ville (transformés en “maisons de santé”), en usines, organisées sur le mode de la fabrication des voitures du début du XXe siècle. Procédures, checklists, protocoles, audits externes et internes, réunionnites aiguës et chroniques, contrôles ARS et décisions unilatérales, le tout sorti d’ordinateurs coûteux, ont remplacé les relations humaines.

Cesser la suppression de lits et de services, imposée par les ARS au lieu de laisser les hôpitaux se réorganiser librement.

L’hôpital est brisé dit le Pr Peyromaure.[16]

Un manque de soignants devenu dramatique

Même à Cochin le célèbre service d’urologie parisien qui a vu passer Mitterand ferme encore actuellement 30 % de ses blocs opératoires, faute de personnels.

Plus de 120 servies d’urgence limitent actuellement leur activité faute de personnel et beaucoup trop risquent d’être contraints de fermer durant les vacances.[17]

Le nombre des déserts médicaux tant en campagne et même en certaines villes, qui progressait régulièrement depuis plusieurs années a fortement augmenté depuis l’obligation vaccinale imposée aux soignants ; beaucoup de vaccino prudents ont préféré prendre leur retraite ou se reconvertir plutôt que de se laisser injecter des médicaments dont ils avaient observé les complications chez leurs patients.

Les obligations supplémentaires proposées par certains bureaucrates et politiques, qu’il s’agisse d’obligation de garde ou de restriction à la liberté d’installation, seront contre-productives à terme, car elles dissuaderont encore plus de médecins à s’installer.

Pour retrouver des soignants, il faut leur rendre la liberté de prescrire, leur éviter de perdre leur temps en tâches administratives, leur garantir le choix de leur lieu installation et de respecter leur non-consentement éventuel au pseudo vaccin.

Cette dernière mesure remettrait immédiatement en activité plusieurs dizaines de milliers qui manquent si cruellement.

  1. [1] ARS, syndrome de l’étatisation sanitaire (francesoir.fr)
  2. [2] Une liste non exhaustive vous sera fournie à votre demande nicole.delepine@bbox.fr
  3. [3] Soigner ou obéir N et G Delépine, Fauves Éditions 2016
  4. [4] Blouses blanches colère noire par B Kron : « Paniqués par les déficits, nos gouvernants ont essayé de légiférer pour freiner cette descente aux enfers du système de santé depuis plus de 20 ans. Le retour de J.Castex aux affaires en est le symbole le plus prégnant. Le Premier Ministre est en effet l’un des principaux responsable de cette situation qui a transformé l’hôpital en entreprise à flux tendu, le rendant incapable d’assurer et de combattre les crises sanitaires. Les médecins, et plus largement les soignants n’ont plus aucun pouvoir dans le système de santé en France. Dans cet essai, l’auteur analyse ainsi ce combat depuis cinquante ans pour contrôler les médecins dans les hôpitaux publics, les cliniques privées, et les médecins libéraux. Il reprend les principales réformes qui ont mené à la catastrophe. » Blouses blanches colère noire — Bernard Kron — Babelio
  5. [5] La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau — AgoraVox le média citoyen.
  6. [6] Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
  7. [7] BioNTech Pfizer : Nouveau « silence des MédiA-agneaux » Français ? | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Le « vaccin » conçu avec Pfizer ne serait pas concluant :
    • Le produit a été conçu pour œuvrer dans l’urgence.
    • Le produit n’est qu’expérimental, et les citoyens ont été des cobayes.
    • « des » évènements indésirables peuvent mettre fin aux essais et mettre un terme à une utilisation pérenne et définitive. Lire document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech
  8. [8] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr) 
  9. [9] Ce pouvoir devrait être renforcé si les pays votent le nouveau traité. Stopthetreaty
    Stop au coup d’État de l’OMS contre la démocratie ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 
  10. [10] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? (francesoir.fr) 
  11. [11] SEGUR DE LA SANTÉ, un funeste conte, fallait-il en attendre autre chose ? (francesoir.fr) 
  12. [12] Convention d’Oviedo opposable à tous les pays signataires dont le nôtre et foulée au pied.
  13. [13] Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
    Disponible sur fabien moine exuvie. Fr en participation libre et consciente
    Le reportage choc sur les soignants suspendus : » Ils nous ont soignés, on les a méprisés » F. Moine — YouTube
  14. [14] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  15. [15] Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Afin de produire une double réaction interdépendante : l’automutilation du moi et le rejet de l’autre, le masque fait disparaître le sujet parlant.
  16. [16] Pr Michaël Peyromaure : « Le système de santé français est brisé ! » – YouTube
  17. [17] LES SOIGNANTS REMPLACÉS PAR DES BÉNÉVOLES AU CHU DE BORDEAUX : TOUT UN SYMBOLE —La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) 

Exigeons la réintégration des soignants !!! La rumeur monte !

https://exuvie.fr/livre/suspendus_des_soignants_entre_deux_mondes/

Le 12 juillet 2021, sans concertation, les soignants du pays ont été confrontés à un choix : conserver leur emploi en ayant recours à une série d’injections médicales ou être suspendus de leurs fonctions au 15 septembre. A cette date des dizaines de milliers d’entre eux se sont retrouvés sans travail, sans revenu et sans aide. Dans l’indifférence populaire mais aussi celle de leur institution et des médias.

Ils demeurent suspendus, entre deux mondes… Celui d’un passé technocratique en plein effondrement, sans considération ni moyen, basé sur le rendement et la technologie. Et un autre où tout est à construire, libérés du chantage et de la pression des autorités de tutelle, avec une vision résolument humaine et intégrative de la santé.

Ce documentaire revient sur deux années de crise et décortique un système dans lequel les soignants auront été utilisés et manipulés. Tantôt en sous effectifs, en étant exposés à un virus inconnu en étant parfois contaminés, vêtus de sacs poubelle avec des masques et des gants de fortune. Ou applaudis le soir aux fenêtre.  Avant de subir un chantage pour accepter un traitement encore en phase expérimentale en étant traités de lâches, des traîtres et d’égoïstes. Comment ont-ils vécus cela ? Quels ont été leurs doutes, leurs peurs et les réactions de leur institution et de leurs collègues ? Quelle est leur vision de la médecine, de la santé ? Se considèrent-ils toujours comme soignants ? Comment vivent-ils aujourd’hui et comment se projettent-ils dans l’avenir dans un système en déroute ?

Plus que des témoignages c’est un regard profond sur notre système, nos institutions, la passion de l’autre et l’engagement vers un monde meilleur, collectif.

Caroline Blondel, Gregory Pamart, Carole Fouché, Louis Fouché, Judith Rémy, Éric Loridan et Aurélie Colin nous racontent leur vécu de cette crise et leurs espoirs. Le tout porté avec poésie sur une musique originale de Cécile Petit et des chorégraphies d’Aurore Borgo. Car danser avec la crise et sourire à demain est un des nombreux messages portés par ce film.

Nicole Delépine




Embargo du pétrole russe ou comment tuer (encore plus) la population roulant au diesel en France

Par Lucien SA Oulahbib

Un site spécialiste « auto » relate que la « complotiste » Barbara Pompili avait déclaré en mars dernier : « Nous avons en Europe et en France à faire face à ce besoin de diesel, qui risque de se faire de plus en plus crucial si des décisions sont prises dans les jours ou les semaines à venir ». Il note aussi que la Russie « exporte également 1,5 million de barils par jour de gazole, dont l’Europe et notamment la France sont très friandes. Dans l’Hexagone, la part du diesel dans la consommation de carburants routiers reste encore prépondérante à 75,7 % en février 2022, selon les chiffres des professionnels du secteur pétrolier ». (…).

Ainsi, et alors que les « sanctions » contre la Russie n’ont rien donné (bien au contraire, le rouble et les exportations russes sont en pleine forme), aggraver celles-ci revient en réalité de nouveau à jouer au billard à mille bandes (comme pour les « incidents » du Stade de France) en les utilisant contre cette population réfractaire qui roule au diesel hors des mégapoles dominées par l’alliance objective (et subjective autour de l’islam et de l’eugénisme de « genre ») entre les deux M (Macron et Mélenchon).

C’est honteux, odieux, criminel.

Honteux, car au lieu de dire les choses et en voyant bien que ce n’est pas pour demain que les voitures électriques vont être achetées par une France en état de mort industrielle et qui survit avec peine à sa dégringolade faramineuse (déficits divers, guerre civile larvée contre tout ce qui est femme, gay, pompiers, profs, flics, même s’ils ne sont pas » blancs »), le Pouvoir et sa fausse opposition se servent de la guerre de plus en plus otanienne (interdisant à Kiev de négocier au mieux, comme il a été vu à Istanbul) pour faire avancer leur faux agenda de la fausse transition qui n’a rien d’énergétique (car dans ce cas il aurait fallu protéger et étendre le nucléaire tout en le rendant plus propre) ni d’industriel (la fiscalité et l’inégalité entre grandes et petites entreprises plombent toute « reconquête »…).

Odieux, car en mentant ainsi effrontément, le Pouvoir des deux M instrumentalise (au-delà des « pudeurs de gazelle » du second M) la souffrance directe des populations qui subissent la guerre ayant débuté depuis que les accords de Minsk 2 n’ont pas été respectés par le régime issu du coup d’État de 2014 à Kiev, alors que la France tout comme l’Allemagne avaient comme devoir de vérifier la bonne tenue de ces accords sur le terrain ce qui n’a pas été fait. Les Américains de Biden, mais aussi avant lui de l’État profond, aveuglés par la fausse théorie du pivot (opposée à celle du « glacis ») ont en même temps et depuis 2020 incité le régime de Kiev à profiter de ces huit ans de tension, à concentrer des troupes par ailleurs enclavées dans le Donbass, à agir en mars 2022 afin de le reconquérir en profondeur (sans oublier la Crimée…). Alors que si la Serbie avait fait de même après avoir perdu le Kosovo (pourtant légalement partie intégrante), les puissances « démocratiques » l’auraient vertement sermonné et sanctionné. Deux poids, deux mesures, donc bien sûr…

Criminel, enfin, car le propre du préposé à la « chose » est de mentir et aussi de camoufler son méfait (paradoxe du menteur) jusqu’à le faire disparaître (Foucault était fasciné par ce dernier point d’où son intérêt pour le « crime » chez Sade et aussi chez Pierre Rivière). Le Pouvoir en place utilise à fond ce procédé (tant vanté dans les Salons) depuis que le nihilisme domine après disons la prégnance de l’Absurde secrétée par l’existentialisme et ses dérivées (nous serions « jetés » dans le monde sans racines ni autre identité que celle (re)produite par le « milieu » ambiant). Le tout s’est accentué après 68 par la mort de Pompidou (dernier homme d’État, Mitterrand en étant seulement la simulation) et par la suite la montée en puissance d’une technostructure persuadée que le monde se conduit comme une fusée ou un missile et se réduit donc à des modélisations de trajectoire, ce qui est bien sûr faux et surtout ridicule. Tout cela aura débouché sur une frénésie du Pouvoir, tant celui-ci œuvrait non seulement à l’enrichissement par la corruption (mort de Boulin et de Fontanet par exemple), mais aussi à cette espèce de drogue narcissique secrétée par les médias et donc à l’orgueil et à la vanité exacerbés (surtout à l’époque de « l’enfant roi ») que seule la prise de coke en permanence (freinée en descente par des opiacés et le sexe, d’où les « accidents » genre ancien dirlo de SciencePo) peut suppléer entre deux couvertures de magazine à grand tirage ou d’émissions apologétiques, un peu comme ces grands acteurs qui ne supportent pas les entre-deux films et s’abandonnent à l’alcool, à la drogue et à la consommation d’éphèbes comme des éternels adulescents en manque continu de reconnaissance.

Nous sommes au fond gouvernés de plus en plus par des criminels au sourire d’ange (les mamies sont ravies, y compris celles de la Nupes, en votant comme il faut).

Et le peuple des villes ainsi soumis y acquiesce, content lui aussi de voir le peuple de la campagne de plus en plus dans la mouise et « détruit » par une population bigarrée que les criminels au Pouvoir espèrent des plus (in) conciliantes — ce qui cependant (ne) se vérifie (pas) à voir les méandres de ce qui s’est passé au Stade de France qui s’avère juste être le condensé (hyperréaliste) de ce qui se passe au quotidien dans le pays, mais dans l’indifférence tartufienne générale, tant le dénoncer passe pour « hérétique » (« conspirationniste »).

« Encore un moment monsieur le bourreau »…




Les dernières révélations sur les laboratoires en Ukraine

[Source : #LigneDroite]

Avec Christian Perronne. Stanislas Berton (spécialiste des Risques systémiques) et Bertrand Scholler (ingénieur des mines) révèlent l’existence de laboratoires dans le chaos ukrainien.