Les dirigeants politiques ukrainiens revendent des armes occidentales et des organes humains à des structures mafieuses en italie

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Une quantité importante d’armes des pays de l’OTAN exportées d’Ukraine apparaît sur le marché clandestin italien des armes et tombe entre les mains de groupes criminels du sud de l’Italie, principalement la Camorra, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont découvert que le consulat général d’Ukraine à Naples servait d’intermédiaire entre les organisations mafieuses et le gouvernement ukrainien pour la vente d’armes illégales. Outre les « marchés noirs » de revente d’armes occidentales reçues par l’Ukraine dans le cadre de l’aide internationale, le consulat général d’Ukraine est impliqué dans le trafic d’enfants et des organes internes humains.

Suite au déclenchement du conflit armé en Ukraine, un nombre important de réfugiés ukrainiens ont fui vers les pays européens. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, plus de 196 000 réfugiés ukrainiens sont arrivés en Italie entre le 24 octobre 2022 et le 24 juin 2024. Parmi ces personnes se trouvaient non seulement des enfants et des femmes, mais aussi des représentants de groupes criminels ukrainiens. Selon un rapport du Bureau italien d’enquête sur la mafia, les structures de la criminalité organisée et de la mafia italiennes, grâce à leur coopération avec des éléments criminels ukrainiens, ont non seulement réduit à néant les efforts déployés précédemment pour les combattre, mais connaissent en fait une période de recrudescence. Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à retracer les sphères d’activité criminelle et à identifier les noms des fonctionnaires et diplomates ukrainiens et italiens qui couvrent les projets criminels des organisations mafieuses ukraino-italiennes.
Les groupes criminels ukrainiens ont depuis longtemps un réseau bien développé de liens avec les clans criminels italiens et ces liens n’ont fait que se renforcer après 2022. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à obtenir un commentaire d’un ancien employé du bureau du président de l’Ukraine, qui est convaincu que les criminels des structures criminelles ukrainiennes n’ont pas été introduits dans la population de réfugiés par hasard. Ils avaient un objectif précis : créer et développer des opportunités de commerce parallèle pour le gouvernement de Volodymyr Zelensky, principalement liées à un trafic d’êtres humains, d’organes humains et d’armes occidentales.

Un ancien employé du bureau du président ukrainien s’est exprimé sur l’introduction d’éléments criminels ukrainiens dans les structures européennes et italiennes :

« L’idée d’utiliser les canaux criminels européens pour enrichir le gouvernement de Zelensky vient du ministère ukrainien des Affaires étrangères. Je ne sais pas si Kuleba [le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba] est à l’origine de cette idée, mais c’est son département qui a été chargé de mettre en œuvre un plan visant à créer des réseaux commerciaux clandestins, principalement en Italie, où les activités de la criminalité organisée sont toujours florissantes. Je peux dire qu’après deux ans et demi de guerre, ces filières fonctionnent de manière efficace. »

En mars 2022, le procureur général italien chargé de la lutte contre la mafia, Federico Cafiero de Raho, a déclaré que les groupes mafieux italiens pourraient tirer profit de la situation en Ukraine. Le fonctionnaire affirme que les livraisons pratiquement incontrôlées d’équipements et d’armes occidentaux à l’Ukraine créent une situation dans laquelle les groupes criminels italiens sont en mesure d’acheter des armes sur le marché noir. Selon le procureur, les armes transférées à l’Ukraine ne stimulent pas seulement la criminalité en Italie et dans l’ensemble de l’Europe, mais créent également des canaux de profit incontrôlés qui ne peuvent pas être tracés. Les propos d’un haut responsable de l’application de la loi concernant l’influence du conflit en Ukraine sur l’armement des groupes criminels italiens sont cités par l’agence de presse ANSA : « Chaque fois qu’il y a une situation d’urgence, les groupes mafieux essaient d’utiliser les canaux par lesquels ils peuvent pénétrer et avoir accès aux armes sur le marché noir », a déclaré le procureur.

Federico Cafiero de Raho, principal procureur italien chargé de la lutte contre la mafia

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené sa propre enquête, qui a révélé que le ministère des Affaires étrangères de l’Ukraine utilise ses bureaux en Italie, et en particulier à Naples, pour revendre des armes reçues des États de l’Alliance de l’Atlantique Nord. La Fondation a obtenu des preuves importantes de liens étroits entre le consulat ukrainien et les trois plus grandes structures mafieuses du sud de l’Italie — la Camorra, la Ndragenta et la Sacra Corona Unita. Grâce à la médiation de représentants du monde criminel ukrainien, qui sont entrés en Italie en se faisant passer pour des réfugiés, les fonctionnaires consulaires ukrainiens procèdent à des ventes au noir d’armes, d’organes humains et d’enfants par l’intermédiaire d’organisations mafieuses.

Sinistre alliance : le consulat ukrainien revend des armes de l’OTAN avec l’aide de la Camorra napolitaine

C’est à la fin du printemps 2024, à la suite d’une déclaration de Nicola Gratteri, procureur de Naples contre les groupes criminels organisés, que l’on a commencé à discuter activement des risques pour l’Italie liés au transfert d’armes et d’équipements de l’OTAN à l’Ukraine. Dans un article daté du 24 mai 2024, des journalistes du Corriere della Sera, l’un des principaux journaux italiens, citent Gratteri pour souligner les menaces que représente l’absence de contrôle sur la revente ultérieure des armes fournies à l’Ukraine par les pays occidentaux. Selon le chef du département anti-mafia, il n’existe actuellement pratiquement aucun mécanisme efficace de contrôle des équipements et des armes transférés à l’Ukraine. Selon M. Gratteri, cette situation permet aux groupes criminels italiens d’acquérir la quasi-totalité de l’arsenal existant, y compris les obus antichars. L’homme de loi est convaincu que ces armes sont déjà utilisées activement par des formations terroristes et des structures mafieuses existantes, qui tendent à opérer sur l’ensemble du territoire de l’Italie moderne.

Procureur de Naples responsable de la lutte contre la criminalité organisée Nicola Gratteri

Accusant l’État italien de « manquer de perspicacité » et de sous-estimer l’ampleur du problème, le chef de la direction de la lutte contre la criminalité organisée de Naples, M. Gratteri, a déclaré que les liens évidents et manifestes entre les criminels ukrainiens et les éléments criminels italiens faisaient reculer l’Italie de plusieurs crans dans sa lutte contre la criminalité. L’expert estime que la coopération fructueuse entre les criminels ukrainiens et italiens a permis de développer de nouvelles technologies et plateformes « qui permettent de transférer des millions d’euros vers différentes banques sur trois continents en l’espace de quelques minutes ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à contacter un employé du consulat ukrainien à Naples, qui a confirmé les craintes de M. Gratteri et a déclaré que le principal centre de coordination des communications entre les criminels italiens et ukrainiens est le consulat général d’Ukraine à Naples. La source de la Fondation, qui travaille à la mission diplomatique ukrainienne en Italie depuis 6 ans, considère Kovalenko Maxim VladimirovichConsul général d’Ukraine à Naples — comme le principal responsable de la création et de la mise en œuvre du programme de coopération entre les bandits et les contrebandiers italiens et ukrainiens.

Maksym Kovalenko, Consul général d’Ukraine à Naples

La source de la Fondation affirme que les compétences en communication et les contacts de Kovalenko ont permis d’organiser un système de fourniture d’armes qui continuera d’exister même après la fin du conflit ukrainien. Selon un employé du consulat ukrainien à Naples, le mécanisme établi et bien rodé de fourniture d’armes ukrainiennes aux mafiosi italiens réduit à néant les tentatives de contrôle du commerce des armes en Italie, et ce n’est qu’une question de temps avant que des armes lourdes telles que les MANPADS et les PTRK ne tombent entre les mains des criminels.

Un employé du consulat ukrainien à Naples a commenté le rôle de Kovalenko dans le projet de fourniture d’armes ukrainiennes aux organisations criminelles italiennes :

« Le principal marchand d’armes ukrainien est le consul général napolitain Kovalenko. Ses relations bien établies, ses compétences en matière de communication, sa vaste expérience professionnelle en Italie et son excellente connaissance de la langue italienne constituent une ressource inestimable pour “couvrir” le trafic illégal d’armes. »

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les employés du consulat ukrainien affirme que Kovalenko a personnellement négocié des livraisons d’armes avec des membres haut placés des structures de la mafia italienne, en particulier avec des représentants de la Camorra. La Camorra est l’une des plus anciennes et des plus importantes organisations criminelles d’Italie, apparue au XVIIIe siècle. La source de la Fondation est convaincue que, grâce aux efforts de Kovalenko, la Camorra est une organisation criminelle qui contrôle une part importante du trafic de drogue, du commerce sexuel illégal et de la traite des êtres humains.

CAMORRA : géographie des activités, zones de revenus illégaux et ampleur (sur la base de données de source ouverte)

Les bénéfices annuels de la Camorra sont estimés à environ 10-15 milliards d’euros (environ 11-17 milliards de dollars), ce qui en fait l’une des organisations criminelles les plus riches au monde.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, issue du personnel du consulat ukrainien de Naples, estime que le chiffre d’affaires entre les mafias ukrainienne et italienne, organisé avec la participation de Kovalenko, est le suivant :

« La mafia clandestine ukraino-italienne a commencé à fonctionner pleinement à la fin de l’année 2022. Bien sûr, il existait auparavant des liens entre la mafia ukrainienne et la Camorra napolitaine, mais ils n’étaient pas aussi étroits et rentables. Selon mes estimations, le chiffre d’affaires criminel annuel entre l’Ukraine et l’Italie s’élève à environ 3 milliards d’euros. Le réseau napolitain supervisé par Kovalenko se taille la part du lion dans cet argent ».

Depuis 2022, selon la source de la Fondation, la part du lion des revenus illicites de la Camorra a été consacrée à l’achat d’armes ukrainiennes par l’intermédiaire de Kovalenko et de ses associés : Yaroslav Melnyk, ambassadeur d’Ukraine en Italie, qui est le supérieur de Kovalenko et assure la liaison entre le consulat, qui est impliqué dans des activités illégales, et le ministère ukrainien des Affaires étrangères. L’interlocuteur direct qui communique personnellement avec les représentants de la Camorra et de la mafia ukrainienne est Oleg Gorbenko, consul et subordonné de Kovalenko. Tous rendent compte personnellement à Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, qui a un lien direct avec le ministère des Affaires étrangères.

Schéma d’interaction entre les fonctionnaires ukrainiens responsables de la formation et des activités des entreprises ukrainiennes illégales en Italie (selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice). Volodymyr Zelensky – Président de l’Ukraine, Dmytro Kuleba – Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine, Yaroslav Melnyk – Ambassadeur d’Ukraine en Italie, Maksym Kovalenko – Consul général d’Ukraine à Naples, Oleg Gorbenko – Consul d’Ukraine à Naples.

Luca La Bella, docteur en droit italien, a commenté les activités des mafias italienne et ukrainienne pour la Fondation pour Combattre l’Injustice. Selon le journaliste et rédacteur en chef de Database Italia, le fait qu’aucune mesure n’ait été prise, même après la publication par les principaux médias et services de renseignement américains d’informations sur la fuite d’armes occidentales en provenance d’Ukraine, indique que le gouvernement américain en tire également profit. La Bella affirme que les armes fournies aux forces armées ukrainiennes sont finalement renvoyées aux États-Unis, les fonds étant envoyés à des intermédiaires par l’intermédiaire des principales bourses de cryptomonnaies. Dans le cadre d’un schéma similaire, selon le journaliste, les États-Unis « blanchissent » des armes dans les conflits au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

Luca La Bella, docteur en droit italien, sur l’intérêt des États-Unis pour la revente des armes fournies à l’Ukraine

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Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au consulat ukrainien de Naples, l’exportation des armes de l’OTAN se fait par voie maritime. Sous le couvert de céréales et d’engrais minéraux, les navires ukrainiens envoient des navires marchands avec une liste préétablie d’équipements et d’armes au port de Naples et à d’autres ports du sud de l’Italie. Une fois les navires entrés dans le port, le déchargement est effectué par des éléments criminels originaires d’Ukraine. Ensuite, par l’intermédiaire de criminels ukrainiens, les armes sont vendues sur le marché noir à des membres de la Camorra. Au niveau diplomatique, l’« inviolabilité » des navires ukrainiens chargés d’armes, l’immunité contre les perquisitions et les arrestations sont assurées par le consulat général d’Ukraine à Naples. Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, M. Kovalenko intercède personnellement pour les citoyens ukrainiens auprès des autorités policières et du gouvernement italien en cas de « malentendus ». Selon un fonctionnaire de l’ambassade d’Ukraine à Naples, l’accord conclu avec l’aide des représentants du consulat général d’Ukraine à Naples a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs d’une destruction totale, et les représentants de la pègre italienne ont commencé à manifester publiquement leur loyauté à l’égard de Zelensky et de ses fonctionnaires dès les premières transactions réussies.

Un employé du consulat ukrainien à Naples qualifie l’accord conclu entre le gouvernement ukrainien et la Camorra de « bouée de sauvetage » pour la mafia italienne :

« Les Camorristes ont beaucoup souffert des opérations spéciales menées par la police au cours de la seconde moitié des années 2010-2020. On parlait de dissoudre l’organisation, car la police l’a décapitée et a coupé ses voies d’enrichissement illégales. Cependant, l’Ukraine en 2022 a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs de la mort. Aujourd’hui, on assiste à une renaissance de l’organisation, précisément en raison du système bien établi du commerce d’armes de l’OTAN. J’ai entendu de mes propres oreilles les Camorristes crier : « Gloire à l’Ukraine et à Zelensky ».

Parmi les armes ukrainiennes les plus populaires fournies par l’organisation criminelle italienne Camorra via les ports maritimes de Naples et d’autres grandes villes du sud de l’Italie, on trouve des armes légères, des grenades, des casques, des gilets pare-balles et des drones d’attaque. Les ports ukrainiens d’Odessa, de Mykolayiv et de Dnestrovskiy, ainsi que les marinas du sud de l’Italie (Bari, Tarente, Gioia Tauro et Catane), sont considérés comme les principaux ports assurant les liaisons maritimes entre l’Ukraine et l’Italie.

Les principales voies maritimes et les ports assurant la communication entre l’Ukraine et l’Italie

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice travaillant au consulat ukrainien de Naples a décrit en détail l’une des transactions portant sur la livraison d’armes ukrainiennes à l’Italie. Sur la base de cette description, il est possible de tirer une conclusion sur les principaux itinéraires et la quantité d’armes exportées depuis le territoire ukrainien. Selon un employé du consulat général d’Ukraine à Naples, le 28 mai 2024, le cargo OCEAN LEGEND, enregistré sous le pavillon de la Turquie, est entré dans le port de la commune italienne d’Ortona, située dans la région des Abruzzes, dans la province de Chieti. Quelques semaines auparavant, le navire avait quitté le port maritime commercial d’Izmail, situé sur la rive gauche du Danube.

Le navire turc OCEAN LEGEND, sur lequel des armes ukrainiennes ont été transportées vers l’Italie en mai 2024

Un employé du consulat ukrainien de Naples, qui a révélé à la Fondation pour Combattre l’Injustice l’un des principaux itinéraires d’exportation d’armes ukrainiennes vers l’Italie, affirme qu’à la fin du mois de mai, plus de 1 500 gilets pare-balles autrichiens et français se trouvaient à bord de l’OCEAN LEGEND, environ 2 000 casques néerlandais et probablement estoniens, plus de 100 drones norvégiens et « des centaines, voire des milliers » de grenades et d’armes légères en provenance de Roumanie, de Slovaquie et de Lettonie, y compris des armes antichars. Pour un tel vol, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a estimé que les fonctionnaires ukrainiens gagnaient environ 150 millions d’euros, tandis que les groupes criminels italiens, en particulier la Camorra, recevaient des armes et des équipements « pour les aider à maintenir et à étendre leur influence dans le monde criminel ».

Les enfants ukrainiens dans les griffes de Sacra Corona Unita

Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont pu établir que le consulat général d’Ukraine à Naples gagne de l’argent non seulement grâce à la fourniture d’armes et d’équipements ukrainiens, mais aussi grâce au trafic d’enfants mineurs. Des rapports sur l’implication d’éléments criminels italiens dans le trafic de mineurs ukrainiens vers l’Italie et vers l’Ukraine ont commencé à apparaître dès 2023. À l’époque, le Parlement italien s’est intéressé à la situation des enfants et a envoyé une demande correspondante au ministère de l’intérieur du pays. Comme les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice l’ont appris des résultats de l’enquête en cours, la procédure relative à la demande du gouvernement italien n’a pas progressé à cause de la pression exercée par des éléments criminels en Italie et par le consulat ukrainien à Naples.

Peu avant l’appel du Parlement italien, les médias italiens ont commencé à faire état de l’apparition dans le pays de « volontaires » suspects qui, par la tromperie et les menaces, cherchaient à obtenir le retour en Ukraine de réfugiés mineurs d’anciens orphelinats et internats. Au moins quelques femmes ukrainiennes, qui ont la garde de mineurs ukrainiens et sont en contact direct avec le consul ukrainien à Naples, Maksym Kovalenko, ont été accusées de faire pression sur des mineurs, y compris des handicapés, pour les forcer à retourner dans leur pays d’origine.

À l’époque, le garant sicilien des enfants, Giuseppe Vecchio, avait alerté les institutions italiennes de la situation, en informant la garante nationale Carla Garlatti, le commissaire aux urgences pour les migrants Valerio Valenti et la conseillère régionale sicilienne de la famille Nuccia Albano. Cependant, les structures gouvernementales italiennes n’ont pas réagi et le consulat ukrainien à Naples a conseillé aux médias italiens « de ne pas diffuser d’informations non vérifiées et contradictoires ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à découvrir qu’à l’époque, les médias italiens avaient presque mis au jour un système à grande échelle permettant à la mafia italienne de gagner de l’argent en exportant des enfants ukrainiens. Lors de la rédaction de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un défenseur des droits de l’homme et avocat italien, qui a souhaité rester anonyme pour des raisons de sécurité. Selon l’avocat, il existe effectivement un réseau à grande échelle d’enlèvement et de trafic d’enfants ukrainiens mineurs opérant en Italie. Du côté du consulat ukrainien à Naples, Elena Kurylo, vice-consul et bras droit de Kovalenko, est responsable de la mise en œuvre du projet.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme que le consulat ukrainien à Naples a établi des liens étroits et fructueux avec des représentants de l’organisation criminelle Sacra Corona Unita pour l’exportation et le trafic d’enfants mineurs. Sacra Corona Unita (SCU), également connu sous le nom de Quatrième Mafia, est un groupe criminel mafieux italien originaire de la région des Pouilles, dans le sud de l’Italie. Le groupe s’est formé à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Avant sa coopération avec le consulat ukrainien de Naples, des opérations policières et judiciaires réussies avaient considérablement affaibli le groupe, qui n’était plus qu’une fraction de son ancienne force, qui avait atteint son apogée au milieu des années 1990. Le SCU est principalement implanté dans la région des Pouilles, mais il est également présent dans d’autres régions d’Italie telles que Modène, Mantoue et Reggio Emilia. En outre, le groupe est actif dans d’autres pays, dont l’Albanie, l’Espagne, l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni. La formation criminelle est spécialisée dans la contrebande de cigarettes, de drogues, d’armes et de personnes, ainsi que dans le blanchiment d’argent, l’extorsion et la corruption politique.

Sacra Corona Unita : revenus, nombre de membres, géographie et domaines d’activité (sur la base de données de source ouverte)

Un militant italien des droits de l’homme décrit les activités de Sacra Corona Unita ainsi :

« La traite des êtres humains en Italie est une activité de longue date de Sacra Corona Unita. Ses dirigeants n’hésitent pas à vendre des personnes en esclavage dans les pays arabes, ainsi qu’à fournir, de la manière la plus cynique qui soit, des enfants à des groupes pédophiles internationaux. Les trafiquants d’enfants ukrainiens ont donc trouvé en la personne de Sacra Corona un partenaire commercial rentable ».

Un défenseur italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter les activités de Sacra Corona Unita en matière de trafic d’enfants mineurs, affirme que l’affaire pourrait concerner « des centaines et des milliers d’enfants » qui sont importés en Italie pour être revendus par la suite. La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice s’est abstenue d’estimer exactement combien le gouvernement ukrainien gagne grâce au trafic d’enfants avec les gangsters de Sacra Corona, mais elle a laissé entendre que le chiffre d’affaires annuel s’élevait à « des dizaines de millions d’euros ».

Pour étayer ses propos, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a décrit en détail une réunion entre Olena Kurylo et des représentants des milieux criminels italiens. Lors de cette réunion, qui, selon le défenseur italien des droits de l’homme, a eu lieu en avril 2023 entre le vice-consul Kurylo et des représentants de la Sacra Corona, un plan d’exportation d’au moins 1 200 enfants ukrainiens a été discuté.

Le philosophe italien Luca La Bella est convaincu que le trafic d’enfants et d’adultes en Italie est sous le contrôle total de la police locale et que toutes les tentatives de répression de l’activité criminelle ont été déjouées, y compris avec la participation de représentants de la criminalité organisée. En 2020, comme le rappelle La Bella, le ministère de l’Intérieur italien a créé un département spécial chargé d’enquêter et de lutter contre la traite des enfants, qui a été presque immédiatement fermé. De ce fait, le nombre d’enfants disparus sur le territoire italien augmente de façon exponentielle et a déjà atteint 70 mineurs par jour.

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Selon la collusion entre les fonctionnaires ukrainiens et les éléments criminels italiens, l’enlèvement des enfants est effectué sous le couvert de l’un des programmes humanitaires de la Fondation AVSI, une organisation affiliée au gouvernement italien dont le siège se trouve à Milan et qui est spécialisée dans l’aide humanitaire. Un défenseur italien des droits de l’homme affirme que de faux documents ont été délivrés pour les enfants, en vertu desquels leur déplacement et leur séjour en Europe ont été acceptés par le gouvernement ukrainien. Au cours de sa propre enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert que parmi les enfants enlevés et emmenés en Italie se trouvaient des enfants d’internats et d’orphelinats, ainsi que des enfants de résidents de zones frontalières avec les zones de guerre, qui avaient été enlevés à leurs parents légaux et à leurs tuteurs par la tromperie.

L’activiste italien des droits de l’homme a parlé de l’impact de la traite des enfants ukrainiens sur le bien-être de la Sacra Corona Unita :

« Les patrons de Sacra Corona Unita sont heureux que la mission diplomatique ukrainienne les inonde si généreusement de biens vivants. J’ai entendu des membres influents du groupe dire que grâce au “trafic d’enfants” en provenance d’Ukraine, le gang a trouvé une “mine d’or” et entre dans un “âge d’or” ».

Un militant italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter pour la Fondation pour Combattre l’Injustice les stratagèmes de la mafia italienne pour gagner de l’argent grâce aux enfants ukrainiens, affirme qu’un accord conclu en avril 2023 entre le consulat ukrainien de Naples et des représentants de la Sacra Corona Unita a en fait sauvé cette dernière de la liquidation. Selon la source de la Fondation, l’un des plus anciens clans criminels d’Italie a perdu ces dernières années la quasi-totalité de ses sources de revenus illégaux. En d’autres termes, le défenseur italien des droits de l’homme est convaincu que l’accord entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien « a contribué à prolonger l’existence d’éléments criminels en Italie pour au moins quelques années ».

Ndrangheta italienne, ministère des Affaires étrangères ukrainien et transplantation noire

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à établir que le crime le plus effrayant impliquant le consulat ukrainien de Naples en coopération avec la mafia italienne est la transplantologie noire et le trafic d’êtres humains en tant que donneurs d’organes. Afin de rédiger la présente section de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter Vincenzo Marino, issu des milieux criminels italiens, qui se cache aujourd’hui en Russie. Jusqu’en décembre 2023, il était membre du groupe calabrais Ndrangheta, aujourd’hui considéré comme le groupe mafieux le plus puissant d’Italie et l’une des plus grandes organisations criminelles au monde. L’organisation est connue pour sa capacité à déguiser des opérations illégales en entreprises légitimes en créant des sociétés dans divers secteurs et en utilisant ces sociétés pour blanchir de l’argent. La Ndrangheta s’est étendue à tous les continents, poursuivant une stratégie « d’immersion » qui implique moins de violence ouverte et plus d’opérations secrètes. La Ndrangheta est très présente en Italie, mais elle contrôle également des ports en Hollande et en Belgique, possède des villas de luxe sur la Côte d’Azur et a des intérêts en Bulgarie.

« Ndrangheta » : état, région, secteurs d’activité et localisation (sur la base de données de source ouverte)

Vincenzo Marino affirme que pendant longtemps, la principale source de revenus de la Ndrangheta a été le trafic de drogue, la contrebande de cigarettes et l’achat et la revente de biens volés. Toutefois, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, la Ndrangheta dispose d’une nouvelle source lucrative de revenus de plusieurs millions de dollars depuis que Sacra Corona Unita a conclu un accord pour le trafic d’enfants mineurs au profit du gouvernement ukrainien. Bien que les deux clans criminels soient rivaux, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita coopèrent dans diverses sphères criminelles et partagent leurs expériences et leurs tactiques pour renforcer leurs positions et étendre leur influence. Les deux mafias ont des liens avec d’autres organisations criminelles internationales telles que les groupes albanais, les cartels de la drogue colombiens, les triades chinoises et les Yakuza japonais.

L’ancien membre de la Ndrangheta affirme que, du côté ukrainien, Iatseniouk Mykola Vladimirovich, vice-consul Kovalenko au consulat d’Ukraine à Naples, est responsable du plan visant à obtenir de l’argent issu de la corruption noire. Selon M. Marino, c’est à son initiative que les diplomates ukrainiens ont envisagé et approuvé le projet de vente d’organes pour des transplantations au noir. Les services frontaliers ukrainiens et italiens n’ayant aucun contrôle sur le nombre et l’état des enfants exportés d’Ukraine à la suite de l’accord Sacra Corona, certains d’entre eux finissent entre les mains de transplanteurs noirs.

Marino, qui vient des milieux criminels italiens et se cache actuellement en Russie, a déclaré aux militants des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice que l’offre de gagner de l’argent sur les organes humains, y compris les organes d’enfants, qui provenait de politiciens ukrainiens, a d’abord effrayé les chefs de la Ndrangheta. Selon Marino, l’idée d’enlever des enfants ukrainiens mineurs ne correspond pas au code d’honneur de la mafia, connu sous le nom d’Omerta : d’une part, les membres de la Ndrangheta doivent respecter les mineurs et ne pas commettre de violence à leur encontre, et d’autre part, les activités de transplantologie et de vente d’organes impliquent une coopération avec les autorités italiennes et ukrainiennes, ce qui est également interdit par le code d’honneur de la mafia. Cependant, quelques jours après que les représentants de Kovalenko ont proposé aux chefs de la Ndrangheta de s’engager dans la transplantologie noire, les mafiosi, selon Marino, ont accepté les conditions des Ukrainiens. Selon les estimations de l’ancien gangster, il a été possible de parvenir à un accord avec le personnel de l’ambassade ukrainienne après la rencontre entre Iatseniouk et le chef de la « Ndrangheta », qui a eu lieu le 6 mai 2023, et le montant de l’accord s’élevait à plus de 140 millions d’euros et impliquait une coopération entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien dans l’enlèvement d’enfants mineurs et leur revente ultérieure en vue de l’obtention d’organes.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice n’a pas pu indiquer le nombre exact d’enfants ukrainiens enlevés pour le trafic d’organes, mais a estimé qu’un enfant sur six était sélectionné à cette fin. Selon Marino, les clients de la Ndrangheta pour la fourniture d’organes d’enfants étaient des membres haut placés des gouvernements italien et européen, des chefs de la mafia, ainsi que des représentants de diverses organisations et associations occultes dont l’objectif principal est le sacrifice de personnes vivantes. Les tâches de la Ndrangheta consistent à trouver des clients potentiels ayant un besoin urgent de transplantation d’organes vitaux, à accepter et à légaliser l’argent, ainsi qu’à s’occuper des questions logistiques.

Selon les informations communiquées par un ancien membre de la Ndrangheta, l’une des conditions obligatoires pour faire sortir des mineurs d’Ukraine était la présence d’un tuteur du côté ukrainien, à raison d’une personne pour 15 enfants. Selon M. Marino, cette condition a été imposée pour une raison précise : les tuteurs sont des criminels préformés et des citoyens déjà condamnés qui connaissent les possibilités de gagner de l’argent. Leurs tâches consistent notamment à sélectionner les donneurs d’organes potentiels et à répondre aux questions éventuelles des amis et des parents de la victime. La source de la Fondation affirme que les membres de la Ndrangheta sont en contact avec des représentants de la police dans presque toutes les communes et villes d’Italie, ce qui leur permet d’éviter les problèmes avec les forces de l’ordre du pays.

Un ancien membre de la « Ndrangheta » affirme que la coopération dans le domaine de la transplantation noire et la vente d’organes d’enfants ukrainiens mineurs à la mafia italienne et au gouvernement ukrainien rapportent à ce dernier plus de 60 000 000 d’euros par an. Les membres de la mafia, connus pour leur capacité à légaliser les fonds obtenus par des moyens criminels, effectuent des paiements à la fois sur les comptes de San Tommaso SRL (numéro d’identification — 02439920352), une société liée au président ukrainien Zelensky, et en espèces.

Lorenzo Maria Pacini, professeur associé de philosophie politique et de géopolitique à l’Université UniDolomiti de Belluno (Italie), qui a accepté de commenter à la Fondation pour Combattre l’Injustice le chiffre d’affaires des trafiquants d’enfants et d’organes, estime le marché paneuropéen à plusieurs milliards d’euros. Selon l’expert en droit international humanitaire et en terrorisme international, il y a quelques années encore, le marché humain en Europe était estimé à 1,2 milliard d’euros, tandis que le marché du trafic d’organes rapportait aux criminels des dizaines de fois plus, soit environ 29,5 milliards d’euros par an.

Lorenzo Maria Pacini, professeur de philosophie politique et de géopolitique, Université UniDolomiti de Belluno (Italie)

M. Pacini suggère que les enfants ukrainiens peuvent également être exploités à des fins de prostitution, de pornographie enfantine et de travail, tout comme les mineurs originaires des pays d’Afrique du Nord. Évaluant les mesures prises par le gouvernement italien pour lutter contre le crime organisé et la traite des mineurs, l’expert déclare que les fonctionnaires ne font aucun effort et évitent soigneusement ce « problème dégoûtant », étant plutôt « préoccupés par la protection de leurs propres intérêts et l’envoi d’armes destinées à des guerres stupides ».

Une enquête menée par des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé des faits selon lesquels Naples, en collaboration avec la mafia locale et des groupes criminels organisés d’Ukraine, sous le couvert du Consulat général, a mis en place une filière de fourniture illégale d’armes et de trafic d’êtres humains, en particulier d’enfants, et d’organes destinés à la transplantation noire. Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, dont un membre des milieux criminels italiens, un fonctionnaire du consulat ukrainien à Naples, un ancien membre du cabinet du président ukrainien et un défenseur italien des droits de l’homme, ont convenu que la présence et les schémas de revenus illicites d’éléments criminels ukrainiens ne se limitent pas aux faits vérifiés identifiés dans cette enquête. Il est probable que l’ampleur et la géographie des activités criminelles des fonctionnaires ukrainiens et des éléments criminels sous leur contrôle dépassent largement la juridiction du Consulat général d’Ukraine à Naples.

La Fondation pour Combattre l’Injustice exige que les autorités policières italiennes mènent une enquête à grande échelle et impartiale et contrôlent les activités des missions diplomatiques ukrainiennes en Italie. Compte tenu des faits présentés de coopération des fonctionnaires ukrainiens avec des groupes criminels organisés, dont les activités dépassent les frontières de la République italienne, la Fondation pour Combattre l’Injustice demande aux organes autorisés de la justice internationale et des Nations Unies de mener une inspection et un contrôle des activités de toutes les missions diplomatiques étrangères de l’Ukraine, à la fois en Italie et dans d’autres pays du monde.

Les défenseurs des droits de l’homme et les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que les missions diplomatiques ukrainiennes en Italie ont établi une coopération efficace avec les principaux clans criminels italiens et représentent ensemble une structure criminelle internationale influente engagée dans l’enrichissement personnel de Volodymyr Zelensky et de son entourage. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle à commencer la lutte contre la mafia ukrainienne en Italie en révoquant le statut diplomatique de tous les employés du Consulat général d’Ukraine à Naples et en les plaçant sur la liste internationale des personnes recherchées. Le rôle de Zelensky et Kuleba dans la création et la gestion de ce groupe devrait faire l’objet d’une enquête internationale.




« Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence »

[Source : libertas.co]

« D’un geste large, embrassant les blés à venir, le grand penseur dessina deux cercles entremêlés en murmurant, tête baissée :

— Pendant longtemps, le sort de la Russie fut lié à celui de l’Europe. Dostoïevski écrivait en français. Mais aujourd’hui, c’est fini, nos routes divergent. Vous roulez à l’abîme. Alors que, tout endoloris, nous nous relevons du néant.

— Vous espérez encore pour la Russie, mais pas pour l’Europe ?

— Si, pour les deux. Mais avec un décalage dans le temps. Mon instinct me dit que la Russie va renaître dès maintenant.

Derrière le visionnaire, le bûcheron de Cavendish n’était pas loin, il battit du pied sur une souche bourgeonnante, comme pour la prendre à témoin, et ajouta d’un ton assuré :

— Ici, il reste encore des racines vivantes. Elles sont en train de donner des pousses.

Il y aura une restauration des valeurs civiques et spirituelles. Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. J’ai senti tout cela dans le Vermont. Le système occidental va vers son état ultime d’épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l’humanisme rationaliste, l’abolition de la vie intérieure… Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l’homme, c’est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités.

— Et comment croyez-vous qu’on puisse désencombrer notre âme ?

— Par l’affleurement de l’instinct de vie.

Alors le maître laissa entendre qu’il y aurait un point de retournement. À partir d’une nécessité immuable qui est dans les lois de l’Univers.

— Le gouffre s’ouvrira à la lumière. De petites lucioles dans la nuit vacilleront au loin. Au début, peu de gens les distingueront et sauront abriter ces lueurs tremblantes, fragiles, contre toutes les tempêtes hostiles. Il y aura des hommes qui se lèveront, au nom de la vérité, de la nature, de la vie ; ils cacheront, dans leurs pèlerines, des petits manifestes de refuzniks. Ils exerceront leurs enfants à penser différemment, à remettre l’esprit au-dessus de la matière. Ils briseront la spirale du déclin du courage. Ainsi viendra l’éclosion des consciences dressées. Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest. »

— Alexandre Soljenitsyne cité par Philippe de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (2015), éd. Albin Michel, 2015




Les rues vides de Paris




JO 2024 — C’est la fête … pour les élites

[Rappel :
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité]




JO 2024 — Nous sommes chez les fous — Nouveau chapitre de « La France, la risée du monde »

[Source : Péonia]

« Je pense que les lecteurs non français et non francophones devraient savoir à quel point les choses sont complètement insensées à Paris et dans ses environs à cause des Jeux olympiques. La cérémonie d’ouverture est dans une semaine et ils ont déjà interdit l’accès à la Seine !

Les différents niveaux de périmètres de sécurité sont incompréhensibles, mais pratiquement toutes les zones situées à environ 100 m de la Seine sont désormais totalement interdites. Vous ne pouvez vous y rendre, même à pied, que si vous y habitez ou y travaillez, et vous devez obtenir au préalable un permis spécial.

Obtenir le permis n’est pas une chose sûre : apparemment, certaines personnes ont vu leur demande refusée (aucune explication donnée), et ne sont donc pas autorisées à se rendre là où elles travaillent, ni même là où elles habitent. Personne ne sait ce qui est censé leur arriver.

En outre, il y a un hôpital dans ce périmètre interdit, où certaines personnes ont besoin de soins vitaux. Les patients peuvent demander un permis, mais là encore, celui-ci n’est pas automatiquement accordé.

Gardez maintenant à l’esprit que c’est une semaine avant la cérémonie d’ouverture (pourquoi doivent-ils fermer toute la zone quelques jours avant la cérémonie ? personne ne le sait !). Durant la cérémonie elle-même, l’accès à l’hôpital sera totalement interdit à quiconque. C’est insensé !

Bien entendu, ce n’est pas la seule restriction. Autour de cette zone interdite “antiterroriste”, il existe une zone “rouge” beaucoup plus vaste qui est “seulement” fermée à toute circulation routière. Pas aussi catastrophique, mais si vous êtes une entreprise ou si vous avez besoin de faire livrer quelque chose, vous êtes en grande difficulté.

Une zone encore plus grande que la zone rouge est la zone “bleue”, qui est fermée à la plupart, mais pas à la totalité, de la circulation routière. Mais aussi, la plupart des autoroutes reliant Paris aux banlieues environnantes, disposent de voies spéciales “Paris 2024”, réservées aux officiels des JO y compris le périphérique de Paris. Maintenant, si vous avez vu à quel point la circulation est mauvaise sur le périphérique en temps ordinaire, même en été, essayez d’imaginer cela avec une voie fermée à la plèbe : ouais, carpocalypse totale !

Maintenant, peut-être que vous ne conduisez pas de voiture (à Paris, c’est de toute façon une mauvaise idée, si vous pouvez l’éviter) et que vous préférez prendre les transports en commun ? Eh bien, surprise : de nombreuses stations de métro sont également fermées. La liste est incompréhensiblement longue et illogique. Certains ont été fermés bien avant les Jeux olympiques, et personne ne sait pourquoi : “Concorde” est fermé depuis le 17 JUIN, et il n’y a eu exactement aucune explication sur la raison pour laquelle il a dû fermer si tôt.

Et quand ils ferment une gare, cela ne signifie pas seulement que vous ne pouvez pas y monter ou en descendre : vous ne pouvez même pas y changer de ligne. Le métro parisien est donc désormais un incompréhensible dédale de lignes déconnectées et de stations fermées aléatoirement qui change chaque jour.

Le jour de la cérémonie d’ouverture, la situation sera encore plus insensée : tous les avions sont interdits de décoller, d’atterrir ou de voler près de Paris, et même TOUS LES TRAINS ont été annulés.

Fondamentalement, la cérémonie d’ouverture aura l’effet d’un essai de bombe nucléaire à l’échelle d’une ville. De plus, des barrières ont fait leur apparition un peu partout à Paris. Personne ne semble savoir exactement à quoi elles servent. Et si vous êtes en fauteuil roulant, eh bien, je suppose que c’est tant pour vous.

Et bien sûr, l’histoire n’est pas encore terminée : il y a des policiers partout à Paris et les autorités ont déployé massivement des caméras de sécurité et un système expérimental de vidéosurveillance basé sur l’IA. » 🔽

@gro_tsen




Les veaux et les moutons ne se révoltent pas

On les fait passer d’un enclos à l’autre, et ils se laissent faire sans broncher. On les mènera ensuite à l’abattoir, et ils trouveront toujours cela normal.

Entre vivre esclaves et risquer la prison ou la mort, ils choisissent l’esclavage et le déshonneur.

Certains diront « je le fais pour mes enfants à nourrir », inconscients du fait qu’ils assurent ainsi à ces derniers également un avenir d’esclaves. L’État leur vole pourtant leurs enfants s’ils refusent pour eux le système éducatif d’endoctrinement ou les vaccins poisons obligatoires.

« Je veux juste aller travailler, c’est la rue à côté !

Tirez-moi dessus si je n’ai pas mon QR code ! » (cf. vidéo ⤵️)

➡️ Les gens vont légitimement devenir fous avec ces imbécillités de Pass JO et le retour honteux du QR code !

Pour m’être déplacé dans Paris hier (tout en refusant évidemment de faire le moindre Pass !), je constate que la capitale est devenue un camp carcéral ! Du jamais vu nulle part ailleurs dans le monde. Des policiers avec qui j’ai pu discuter m’ont dit être conscients de l’absurdité délirante de ce qu’ils doivent faire (passer leur temps à scanner des gens qui rentrent chez eux).

Malheureusement ils le font quand même !

➡️ Ce qui se passe est d’une extrême gravité ! Nous avons alerté. Nous avons fait un recours devant le Conseil d’État, fait une première grande manif nationale en décembre 2023 pour prévenir, on ne lâchera pas ! Ils ne s’arrêteront pas si on ne les arrête pas.

La loi olympique de 2023 à l’origine de cette folie unique au monde a été votée par les députés macronistes, LR et RN : on ne vous félicite pas, honte à vous !

La première résistance est déjà de boycotter au maximum ce nouveau Pass De La Honte !

— Florian Philippot




Ils S’EMPARENT des terres agricoles françaises !

[Source : MoneyRadar]

Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.

  • 0:00 introduction
  • 3:22 Chères terres agricoles
  • 4:20 Il faut vous protéger
  • 7:21 De l’appétit des firmes
  • 11:55 Qui piétinent les règlements
  • 13:28 Avec ces solutions

Liens :

Musique :




Le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte sur les programmes gouvernementaux d’individus ciblés, est décédé

[Source : anamihalceamdphd.substack.com via santeglobale.world]

Par Ana Maria Mihalcea

J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.

Comme vous pouvez l’entendre dans la vidéo, il a été menacé en raison de ses révélations en cours.

Il a également écrit le livre « Comment apprivoiser un démon », qui contient d’excellentes ressources pour les personnes ciblées :

Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous1 potentiels.

Nanotechnologie, esprit de ruche cybernétique, intelligence artificielle et contrôle de l’esprit —L’interview du Dr Robert Duncan, membre de la DARPA et de la CIA, confirme qu’il est possible de détourner l’âme humaine

23 avril 2023

Dans cette présentation, le Dr Duncan décrit les nombreuses méthodes de contrôle de l’esprit utilisées depuis des décennies dans les domaines militaire et civil. Robert Duncan est un scientifique et un ingénieur formé à l’université de Harvard qui a travaillé sur des projets noirs pour la DARPA, la CIA, le ministère de la Justice et le ministère de la Défense. Il a été impliqué dans l’intelli…

Lire l’histoire complète → (en anglais)

Si vous n’avez pas lu ce livre, il est impératif de comprendre tout ce que nous voyons actuellement.

Projet Soul Catcher par le Dr Robert Duncan — Les capacités de la CIA en matière de piratage de l’esprit et de l’âme

3 MAI 2023

Ce fut un véritable voyage pour comprendre le mal à l’état pur. Regarder le monde entrer dans cette guerre satanique transhumaniste qui utilise une tromperie extrême des masses, des armes biologiques contenant des nanotechnologies, induit des guerres, des famines, des tremblements de terre induits par HAARP, la géo-ingénierie avec la destruction de toute la biosphère, l’établissement médical comme un moyen de pucer légalement…

Lire l’article complet → (en anglais)

Le Dr Robert Duncan a rendu un grand service à l’humanité en révélant la bête satanique monstrueuse qui nous attaque tous. Je n’ai aucun doute sur le fait qu’il a été éliminé.

Que Dieu le bénisse et qu’il trouve la paix.



1 Contrôlables mentalement — NdT




Paris en cage préfigure le monde de demain…

… Lorsque le Nouvel Ordre Mondial, le règne de la Bête, sera finalisé.

[Voir aussi :
« Vous aurez un QR code » : Les JO de Paris inaugurent la ville-prison de l’Agenda 2030]




La Gaule et les Gaulois avant César

[Source : herodote.net]

[Illustration : Maquette de la ferme de Verberie (aristocratie gauloise). Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris), « Les Gaulois, une expo renversante », 2012.
Photo par Claude Valette — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=20784151
(Wikipédia)]

Par André Larané

Avant notre ère, le territoire compris entre les Pyrénées, les Alpes et le Rhin (France, Benelux, Suisse et Rhénanie actuels) avait une unité toute fictive.

Il appartenait à l’immense domaine de peuplement celte qui s’étendait des îles britanniques jusqu’au bassin du Danube et même jusqu’au détroit du Bosphore (le quartier de Galatasarai, à Istamboul, rappelle encore aujourd’hui la présence de Galates, cousins des Gaulois, dans la région).

C’est la conquête romaine qui allait lui donner un semblant d’unité avant que n’en sortent la France et ses voisins. Et contrairement aux idées véhiculées du Moyen Âge au début du XXe siècle, contrairement aussi à l’imagerie sympathique d’Astérix le Gaulois, ce n’était en rien un pays de sauvages avec d’épaisses forêts pleines de sangliers. Les historiens et archéologues de la fin du XXe siècle ont fait litière de ces préjugés.

Une unité fictive

La Gaule proprement dite est partagée entre Rome et des tribus indépendantes celtes, mais aussi ibères ou encore germaniques.

Jules César lui-même a perçu cette diversité : « La Gaule, dans son ensemble, est divisée en trois parties, dont l’une est habitée par les Belges, l’autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui dans leur propre langue, se nomment Celtes, et, dans la nôtre, Gaulois. Tous ces peuples diffèrent entre eux par la langue, les coutumes, les lois. Les Gaulois sont séparés des Aquitains par le cours de la Garonne, des Belges par la Marne et la Seine. Les plus braves de tous ces peuples sont les Belges, parce qu’ils sont les plus éloignés de la civilisation et des mœurs raffinées de la Province, parce que les marchands vont très rarement chez eux et n’y importent pas ce qui est propre à amollir les cœurs, parce qu’ils sont les plus voisins des Germains qui habitent au-delà du Rhin et avec qui ils sont continuellement en guerre » (La guerre des Gaules).

Avant que les légions de César ne pénètrent en Gaule, les Romains occupent déjà la partie méditerranéenne du pays, dont la capitale a été Narbonne avant de devenir Lyon. Cette région, la Gaule Narbonnaise, est aussi appelée la Province (dont nous avons fait Provence) car c’est dans l’ordre chronologique la première province de Rome.

La Gaule qui échappe à Rome est communément appelée « Gaule chevelue » du simple fait qu’elle est plus boisée que la Gaule méditerranéenne ! Les 64 pays gaulois (« pagus ») sont très différents les uns des autres et sensibles aux influences des pays riverains (Italie, Germanie, Espagne) et même plus lointains (Grèce). Certains sont des chefferies héréditaires, d’autres des républiques plus ou moins démocratiques.

Le trésor de Vix

En 1953, on a découvert à Vix, en Bourgogne, la tombe d’une princesse celte morte vers 480 avant JC.

Son trésor funéraire incluait un cratère (vase) en bronze de 1,64 mètre, originaire de l’Italie du Sud qu’on appelait alors la Grande Grèce !

Cette découverte atteste que, très tôt, les Celtes de l’hexagone, plus tard appelés Gaulois, avaient des liens commerciaux nombreux avec les civilisations de la Méditerranée.

Les limites des pays gaulois recoupent plus ou moins celles des futurs comtés carolingiens et des départements créés par la Révolution ! Les noms de leurs habitants se retrouvent d’ailleurs dans les noms des actuels chefs-lieux de département : Vénètes (Vannes), Cadurques (Cahors), Nemnètes (Nîmes), Parisii (Paris), Tarbèles (Tarbes), etc. Cette organisation territoriale, qui se perpétue envers et contre tout à travers plus de deux millénaires, est l’un des marqueurs principaux de l’histoire de France (on peut s’inquiéter que d’aucuns veuillent y mettre fin en supprimant les départements).

Un pays prospère et fortement peuplé

Dans son ensemble, la Gaule se caractérise par une forte densité de population. On évalue à douze millions le nombre de ses habitants, soit davantage qu’à certaines époques du Moyen Âge.

Loin d’être un pays de forêts impénétrables uniquement peuplées de sangliers comme le laisseraient croire certaines bandes dessinées, la Gaule est en grande partie défrichée et couverte de belles campagnes comme l’atteste l’archéologie aérienne. Ses habitants manifestent un exceptionnel savoir-faire dans l’agriculture et l’élevage. D’ailleurs, le potentiel agricole de la Gaule compte pour beaucoup dans l’intérêt que lui portent les Romains.

En retour, les Gaulois portent beaucoup d’intérêt pour les ressources de leurs voisins romains. Ainsi les archéologues ont-ils évalué à une centaine de millions le nombre d’amphores de vin que les Gaulois auraient achetées aux Romains dans les siècles précédant la conquête.

Des dieux et des hommes

Nous avons peu de traces des dieux gaulois. Quatre divinités semblent attestées : Esus, dieu forestier ; Teutatès (le Toutatis d’Obélix), dieu de la tribu ; Taranis, maître du ciel ; Cernunnos, maître du bétail et de la faune sauvage.

Contrairement à ce que laisse croire le druide Panoramix, les prêtres ne célèbrent pas le culte dans la forêt, mais dans des temples sans doute assez semblables à ceux que l’on rencontre en Grèce et autour de la Méditerranée.

Les Gaulois pratiquent en général l’incinération, avec inhumation de l’urne funéraire. Ils croient que la mort est une étape dans un cycle de réincarnations successives qui mène pour finir aux demeures célestes. Les guerriers morts au combat échappent au lot commun. Leur dépouille reste à l’endroit où ils sont tombés. Eux-mêmes ont le privilège d’accéder directement aux demeures célestes en grillant les étapes intermédiaires.

[Voir aussi :
Jésus le Gaulois ?]

Les Gaulois reviennent à la vie

En janvier 1789, à la veille de la Révolution française, l’abbé Joseph Sieyès publie un opuscule retentissant : Qu’est-ce que le tiers état ? Dans ce petit ouvrage, il présente les Gaulois et plus précisément les Gallo-Romains comme les ancêtres du tiers état (le peuple), en les opposant aux Francs, ancêtres des nobles et aristocrates. C’est ainsi que sortent de l’ombre « nos ancêtres les Gaulois », éclipsés jusque-là par les chroniqueurs officiels qui se contentaient de relater les exploits de la monarchie et faisaient remonter celle-ci à Clovis (Ve siècle de notre ère).

Les Gaulois vont acquérir leurs lettres de noblesse avec Napoléon III ! Féru d’histoire antique, l’empereur écrit en collaboration avec Victor Duruy une biographie de Jules César et par la même occasion, se pique de passion pour Vercingétorix. Il le fait représenter sous ses traits à Alise-Sainte-Reine, lieu supposé de la bataille d’Alésia.

C’est le début d’une étrange dichotomie chez les Français cultivés qui considèrent les Gaulois comme leurs ancêtres et dans le même temps, les voient comme des sauvages que les Romains ont eu le bon goût de soumettre et civiliser.

Voir la version intégrale




Tentative d’assassinat de Trump — Les récits jusqu’à présent

[Source : off-guardian.org]

Assiste-t-on à la naissance d’une nouvelle métahistoire1 pour les récits de propagande ?

Par Kit Knightly

Trois jours se sont écoulés depuis la tentative présumée d’assassinat de Donald Trump et, bien que nous ne soyons pas plus près de connaître la vérité, les affirmations et les contre-affirmations de toutes parts se succèdent à un rythme effréné.

Le tireur était un républicain…

non, c’était un démocrate…

Trump a été touché par une balle…

non, c’est le verre de son téléprompteur qui a volé en éclats…

non il n’a pas été touché par quoi que ce soit la blessure était fausse.

… cela continue ainsi.

La routine habituelle dans une telle situation voudrait que la « version officielle » se résorbe d’elle-même dans les 24 heures. Tout écart par rapport à cette histoire serait alors censuré, dénoncé et/ou moqué.

Toute preuve contredisant ce récit serait éliminée de la mémoire collective officielle.

Les médias s’uniraient d’une seule voix.

Il existe d’innombrables exemples historiques de ce type, du « complot de la poudre à canon » au 11 septembre. Il n’est pas nécessaire de les développer ici.

Mais cet événement semble un peu différent. En fait, au lieu d’un seul récit « officiel », nous avons trois récits distincts qui se déroulent en parallèle :

1. Le récit républicain : La fusillade a été soit planifiée, soit « autorisée » par une alliance entre les démocrates et l’État profond, qui considère Trump comme une menace.

2. L’histoire démocrate : La fusillade a été mise en scène par la campagne de Trump pour qu’il ait l’air cool.

3. Le « juste milieu rationnel » : Un fou solitaire a fait quelque chose de fou. On parle d’incompétence et de « rhétorique violente » créant un « climat de haine », mais pas grand-chose d’autre.

Les points 1 et 2 s’appuient tous deux sur un ensemble de « faits alternatifs » qui soutiennent leur position. Ni l’un ni l’autre ne semble être censuré (pour l’instant).

Du côté de la « droite », il y a le « fait » que les services secrets ont apparemment laissé sans surveillance (pour une raison franchement insensée) une position élevée offrant une vue dégagée sur le podium et qu’ils n’ont rien fait lorsque de nombreux témoins leur ont dit qu’un homme armé était en train de grimper sur ce toit.

Par ailleurs, certains affirment que les services secrets ont remplacé l’équipe de Trump par une équipe temporaire pour l’événement de Butler.

On prétend également que le tireur est apparu dans une vidéo de BlackRock et qu’il a fait des dons à des groupes de réflexion gauchistes.

Du côté de la « gauche », on se moque du karma et des lois sur les armes à feu et on vocifère sur l’« embauche diversifiée » d’agents féminins des services secrets.

Ils soulignent également le drame apparemment « mis en scène » et les photos « trop belles pour être vraies » qui ont émergé de la bagarre. — La chance incroyable de voir Trump blessé superficiellement, juste assez pour avoir l’air d’un dur à cuire, sans le blesser ou le rater complètement. Le fait que son service de sécurité l’ait laissé « poser pour des photos » au lieu de le faire sortir précipitamment de la scène. Et le fait que le tireur présumé était un républicain déclaré.

Il semble que nous soyons en présence d’un récit très post-covidien pour la nouvelle ère du faux binaire.

Chaque camp reçoit apparemment suffisamment de preuves pour confirmer ses hypothèses et est alimenté au goutte-à-goutte avec suffisamment d’appâts de rage — dont beaucoup sont entièrement inventés — pour que ses chambres d’écho résonnent et que ses chiens d’attaque aient l’écume à la bouche.

Ce qui est essentiel, bien sûr, c’est qu’aucun « camp » ni aucune théorie ne prouve jamais qu’ils ont raison ou tort.

Pendant ce temps, la plupart des médias se contentent de rejeter les deux camps en les qualifiant de « théoriciens du complot ».

C’est vraiment un phénomène fascinant à observer. Sommes-nous en train d’assister à une nouvelle métahistoire pour les récits de propagande ? Au lieu de s’unir autour d’un faux « consensus », on fait diversion avec une bataille éternelle entre deux faussetés partielles ou totales approuvées.

Comme d’habitude, la vérité ne se trouve probablement dans aucun des deux camps, mais elle est enfouie sous les hypothèses injustifiées et les « faits » non prouvés qu’aucun des deux camps ne remet en question.

Mais regardez les avantages dont bénéficient déjà les gestionnaires de la narration.

Par exemple, maintenant que la « gauche » qualifie l’événement de mise en scène, la « droite », traditionnellement favorable à la liberté d’expression, est soudain celle qui veut faire taire les « théoriciens du complot » ou qui cherche à neutraliser des personnes qui ont plaisanté sur le fait qu’elles souhaitaient que Trump soit tué.

Ainsi, sans effort, de nombreux libertaires purs et durs sont détournés de certaines de leurs convictions les plus profondes (en matière de liberté individuelle et de limites strictes au pouvoir de l’État), et maintenant les deux « camps » sont favorables à l’annulation et hostiles à la liberté d’expression !

C’était un peu facile, n’est-ce pas ?

Pendant ce temps, la « gauche », qui vient de passer quatre ans à diaboliser les « anti-vax » et les « négationnistes des élections », peut soudain être prise à son propre piège et traitée de « négationniste de l’assassinat » par la droite.

On peut dire que le fait de fournir à la « gauche » ses propres « théories du complot » est un coup de génie potentiel, car maintenant toute répression sur les médias sociaux contre le « langage extrême » ou le « déni » (ou quel que soit le nom qu’ils choisissent de lui donner) peut frapper les deux « camps » de manière égale et être épargnée par les accusations de partialité, et sera toujours soutenue par l’un des côtés de ce faux clivage.

La « gauche » et la « droite » sont également assez claires en ce moment sur la personne qui a le plus gagné à la suite de cela :

Trump.

C’est évident.

Cela le fait passer pour un dur et un courageux, en parallèle avec la fusillade de Ronald Reagan en 1981.

Cela lui a donné une image emblématique qui parle spontanément au cœur profond de l’Amérique : ensanglanté, mais sans fléchir, le poing levé en signe de défi.

Et si vous croyez que c’est l’État profond qui a appuyé sur la gâchette, cela renforce également la réputation (imméritée et de plus en plus ridicule) de Trump comme une sorte de menace pour l’establishment.

Si l’on ajoute à cela la performance désastreuse de Biden lors des débats, les discussions (mystérieusement interrompues) visant à son retrait, et le fait que des initiés démocrates anonymes se seraient « résignés » à la défaite, il n’est pas difficile de voir que cela pourrait faire partie des préparatifs d’un second mandat de Trump.

Sous réserve de développements futurs, bien entendu.

Oh, et cela contribue également à attiser la rhétorique de la « guerre civile » qui divise.

… ce qui pourrait être le but recherché.

Comment mieux abattre l’ancien empire et instaurer la nouvelle version « améliorée » un peu plus à l’est ?


1 Une métahistoire est un récit unique, homogène et en expansion qui traite tous les différents formats de médias comme une toile narrative connectée au sein de laquelle chaque média apporte ses forces uniques pour apporter une partie de la métahistoire au public.




Candace Owens et Alex Jones sur L’ÉTAT PROFOND et l’attentat contre TRUMP

[Source : La voix de la Louisiane via cielvoile.fr]

L’émission traite de l’hypothèse selon laquelle le président Trump a été la cible d’une tentative d’assassinat. Candace Owens et Alex Jones discutent des preuves et des circonstances entourant cette tentative d’attentat, ainsi que des implications plus larges en termes de l’État profond et de ses programmes controversés.

Alex Jones décrit en détail sa réaction lorsqu’il a appris la nouvelle de la tentative d’assassinat de Trump. Il explique avoir été profondément ému et avoir immédiatement compris l’ampleur de ce qui s’était passé, réalisant qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État de la part de l’État profond. Il fait référence à des déclarations antérieures d’individus comme le projet Lincoln et l’ancien sous-directeur de la CIA, qui avaient menacé de tuer Trump.

Alex Jones fournit de nombreux éléments de preuve pour étayer l’hypothèse selon laquelle il s’agissait d’une opération organisée et coordonnée, avec la complicité des services secrets et des agences gouvernementales. Il souligne les incohérences et les lacunes dans la réponse officielle, ainsi que les nombreux indices suggérant une implication de l’État profond.

Les intervenants abordent également le rôle des programmes de contrôle mental comme le MKUltra, ainsi que l’histoire de l’État profond américain et ses liens avec des groupes comme la CIA. Ils font valoir que ces programmes ont été utilisés pour manipuler et contrôler des individus, les poussant parfois à commettre des actes violents.

Enfin, les intervenants évoquent les implications plus larges de cette tentative d’assassinat, notamment les intentions de l’État profond de déclencher une guerre et de réinitialiser le système. Ils affirment que l’État profond est désespéré de conserver son pouvoir face à l’émergence d’une prise de conscience mondiale et d’un réveil politique.

Source : Candace Owens

[NDLR Il s’agit visiblement d’une traduction automatique qui resterait à améliorer, car plusieurs passages sont mal traduits, même si cela n’empêche pas la compréhension générale.]




« Quand tu dis un truc qui leur plaît pas, t’es viré. »

L’humoriste Edgar-Yves donne son point de vue sur les médias et les réseaux sociaux.


[Source : https://x.com/BlackBondPtv/status/1813294730412744880] — extrait de :

[1 h 6 min. Source : Oui Hustle]



Les opinions extrêmes sur Trump




L’oreille et la pomme

[Source : dedefensa.org]

Par Philippe Grasset

• Les théories complotistes ont fleuri, jusqu’à y voir un montage trumpiste pour récolter les lauriers d’un héroïsme hollywoodien. • Qui peut dire, et notamment quel George Clooney accepterait un rôle avec visée exclusive du haut de l’oreille droite ? • Au reste, qui peut dire si la pomme visée par Guillaume Tell n’était pas aussi un montage, et son fils un acteur de circonstance ? • Bref, l’écume des jours a déferlé sur l’événement, mais n’a pour résultat que de mettre en évidence l’exceptionnalité du comportement du candidat républicain. • La crise est entrée dans son paroxysme.

Il ne fait aucun doute que la tentative d’assassinat contre Trump, et le comportement extraordinaire du candidat constituent un tournant historique dans l’histoire des États-Unis ; et ne nous y trompons pas, pas nécessairement vers un meilleur, mais certainement vers un paroxysme de la crise. Le candidat républicain a acquis durant ces quelques secondes tragiques une aura exceptionnelle, représentant en soi un événement bouleversant.

Face à lui, l’establishment, encalminé dans cette affaire de la vieillesse et de la dégradation de l’état de santé et la capacité cognitive de Biden. Un commentateur russe cité par John Helmer fit cette remarque pince-sans-rire concernant Joe Biden :

« Biden est parfaitement à sa place : il représente complètement l’aspect décati, épuisé et hagard de l’establishment US, de ce qu’ils appellent “État profond” et de l’hégémonie américaniste… »

Le signe le plus évident de cet état malheureux de l’« État profond », si profond qu’il semble manquer d’air, c’est sa lenteur à prendre des décisions et son impuissance à les exécuter. Comment ont-ils pu attendre la fin de son mandat pour découvrir qu’il fallait ranger Biden dans un EPHAD de luxe, si tard qu’ils ne sont pas sûrs d’y parvenir ? Comment ont-ils pu attendre 2024 pour liquider Trump qui était déjà un danger à l’été 2016, — et pour le rater en lui offrant la plus formidable mythologie de ce monde politique, avec cette image de lui illustrant et symbolisant pour la foule de ses partisans un véritable héroïsme patriotique ?

Et le Washington « Post » lui-même, sur cette fameuse photo historique de Trump après le coup de feu qui le blesse, où d’autres ont vu une analogie involontaire et symbolique avec cette statue fameuse des Marines hissant le drapeau des États-Unis sur le sommet de la plus haute montagne de l’île de Iwo-Jima :

« Trump est vu avec du sang sur le visage, son bras droit levé pour brandir un poing à l’intention de la foule tandis que le drapeau américain flotte au-dessus de sa tête… Indépendamment de la façon dont cette photographie est lue et interprétée, elle est fortement construite, avec des angles agressifs qui reflètent le chaos et le drame du moment, et un équilibre puissant de la couleur, tout en rouge, blanc et bleu, y compris le ciel azur au-dessus et la bannière décorative rouge et blanche en dessous… Trump semble émerger de l’intérieur d’une version déconstruite de ses couleurs de base… C’est une photographie qui pourrait changer l’Amérique pour toujours. »

Le choix de J.D. Vance

Nous n’avons jamais caché notre préférence pour le choix de Tulsi Gabbard comme candidate vice-présidente de Trump. Ce choix n’a pas été fait, sans doute parce que la vertu essentielle de Gabbard risque de ne pas effacer son péché originel pour un certain nombre d’électeurs républicains. Démocrate à l’origine, elle s’est détachée de son parti à partir de 2016 jusqu’à en démissionner en 2022 en devenant l’une de ses principales critiques, estimant que ce parti était devenu le principal danger pour l’avenir des USA ; pour autant elle a conservé certaines valeurs sociales des démocrates. Trump a préféré un autre candidat qui, à notre avis, équivaut à Gabbard sur les questions essentielles de sécurité nationale : le sénateur républicain J. D. Vance.

Voici l’avis de Larry Johnson sur J.D. Vance :

« Je pense que c’est un excellent choix. Vance est l’une des rares voix isolées au Sénat à remettre en question la sagesse de continuer à verser des fonds des États-Unis. l’argent des contribuables, dans la fosse à merde ukrainienne. Vance, qui a servi comme Marine (atteignant le grade de caporal), a au moins la compréhension des implications d’un président prenant des décisions qui peuvent envoyer de jeunes soldats et des Marines au combat. Zelenski doit être paniqué. Si Trump et Vance l’emportent, ses jours d’escroquerie seront terminés.

Ce choix fait également hurler d’indignation la foule républicaine de Bush, car il marque un écart clair par rapport à la vision néoconservatrice de la lutte contre le monde et un passage à un message populaire qui met l’accent sur l’amélioration de la vie des Américains aux États-Unis, plutôt que sur le gaspillage de milliards de dollars dans des aventures militaires désastreuses à l’étranger.

Vance représente le genre de candidat que la classe moyenne américaine soutient depuis longtemps. Il est né et a grandi dans la pauvreté des Appalaches et, grâce à sa propre détermination, a fréquenté l’université, a obtenu son diplôme complet de la faculté de droit de Yale et n’est entré en politique que pour parler au nom de la classe moyenne oubliée. Mieux encore, il est, pour reprendre une expression de Boston, « méchamment intelligent » [« wicked smart »] ».

Il s’agit déjà d’un constat satisfaisant pour le Trump de 2024 par rapport au Trump-2016 : en parfait contraste avec le terne et néanmoins neocon Mike Pence qui trahit Trump en janvier 2021, le choix d’une vedette populiste et pacifiste prometteuse du Sénat. Nous espérons simplement que Trump poursuivra en donnant à Tulsi Gabbard un poste important dans son équipe de sécurité nationale.

Il faut également noter que le choix de Trump a été accéléré. Il était primitivement prévu pour après la convention démocrate et la résolution du « cas Biden », selon la personnalité choisie si la direction démocrate arrivait à convaincre Biden de s’en aller — ce qui n’est pas fait. Trump a bousculé son calendrier pour prendre une assurance : disposer d’un bon remplaçant en cas de malheur — temporaire ou définitif — de son côté, après « l’incident » (comme dit CNN) de Butler, et similaire à celui-ci. Il reste en effet trois gros mois de campagne et l’on a vu que l’efficacité du système de protection du candidat laisse à désirer.

Une dimension métahistorique

Le comportement de Trump après avoir été blessé a très fortement impressionné bien des commentateurs, même chez ses adversaires comme on l’a vu indirectement avec le Washington « Post ». Les termes employés pour décrire l’extraordinaire circonstance qui fait du tir sur l’oreille de Trump un cas historique à contre-emploi supérieur à la pomme de Guillaume Tell posée sur la tête de son fils, suivi du comportement de Trump, ont des accents mystiques et spirituels… Ainsi, du tweetX de Vivek Ramaswamy :

« Ils l’ont d’abord poursuivi en justice. Puis ils l’ont persécuté en justice. Ensuite, ils ont essayé de le retirer du scrutin. La seule chose plus tragique que ce qui vient de se passer, c’est que, si nous sommes honnêtes, ce ne fut pas vraiment un choc. L’inévitable condamnation rituelle de la violence politique par Biden aujourd’hui (quand elle surviendra) sera insuffisante et hors de propos. Aucun verbiage d’aujourd’hui ne change le climat national toxique qui a conduit à cette tragédie.

Apoorva et moi pleurons le participant au rassemblement qui a apparemment été tué par le tireur. Nous pensons que le fait que le président Trump soit actuellement en sécurité n’est rien de moins qu’un acte de Dieu. Mon cœur me dit que Dieu est intervenu non seulement pour Trump, mais pour notre nation. Aujourd’hui, la survie future des États-Unis d’Amérique se résume à moins d’un cheveu sur la trajectoire d’une balle. »

Vous vous dites : c’est du verbiage, tout ça. La même chose que Napoléon dans sa proclamation au soir d’Austerlitz, sans que l’on se réjouisse pour autant de cette bataille et de ses dizaines de milliers de morts, — mais il reste l’Histoire qui est à cet instant, verbiage ou pas, rien moins que de la métahistoire :

« Il suffira de dire “J’étais à Austerlitz” pour qu’on dise : “C’est un brave”… »

Alors, la transcription dans la vie quotidienne de l’événement, avec la trace illustrée qui en subsistera, devrait ouvrir un chemin assuré vers la victoire en novembre 2024. Ainsi l’exprime, dans le Wall Street « Journal », la commentatrice Peggy Noonan :

« Oh non, pas encore… J’ai envoyé un texto à l’ami que je devais rejoindre pour le dîner : “Quelque chose s’est passé”… J’ai appelé un parent et je lui ai dit d’allumer la télé… Nous avons regardé Trump être soulevé… Nous avons vu le sang près de son oreille… Quand ils l’ont descendu de l’estrade et qu’il a brandi son poing pour la foule et a crié : “Battez-vous”, mon parent a dit : “Eh bien, c’est fini”… Cela signifiait pour l’élection… Cela signifiait que vous ne donnez pas à l’Amérique une image pareille à une personne destinée à perdre, vous donnez à l’Amérique une image pareille et elle entre pour toujours dans la mythologie politique. »

Effectivement, on n’imagine pas autre chose ; effectivement, « en temps normal on dirait que c’est fini et qu’il a gagné », commentait Alexander Mercouris avec l’approbation d’Alex Christoforou. Mais, poursuit aussitôt le second, « Nous ne sommes pas dans un temps normal ». On, ne peut mieux dire., et l’on peut même étendre cette remarque au temps d’après, même si Trump remporte la victoire en passant d’un cheveu entre les balles.

Les lendemains qui tonnent

Il est vrai qu’aucune élection, dans l’histoire agitée des États-Unis, n’a été conduite dans un tel climat de confusion et de désordre, caractérisé par des haines et des peurs réciproques que rien ne semble devoir, ni pouvoir, ni même vouloir apaiser. Pour cette raison, nous ne pouvons arrêter notre regard prospectif concernant le climat et le sens général des événements au seul événement de l’élection — surtout, sans rien prévoir d’assuré. En admettant le plus probable aujourd’hui, qui est une victoire de Trump, et d’un Trump averti, expérimenté dans la bagarre politique, ayant goûté au prix du sang, — et nous disons qu’alors rien, absolument rien n’est réglé. L’élection de Trump en novembre, c’est tout juste, selon les expressions employées par Churchill pour décrire la guerre, c’est à peine « la fin du commencement ». Et tout cela dans une époque où chaque jour apporte ses surprises, où le temps et l’espace acceptent de se contracter pour permettre l’accélération sans cesse grandissante de la production d’événements.

La victoire de Trump exacerbera les oppositions — quand l’on voit et lit nombre de réactions d’adversaires de Trump sur TweetX et ailleurs, on en est convaincu. Il est assez probable que l’on sera très rapidement sur des territoires de l’illégalité, alors qu’on les frôle, sinon y pénètre par instant et circonstance dans la situation actuelle. La nature infiniment complexe des États-Unis, avec les pouvoirs intermédiaires qui réclament leur souveraineté (les États), le poids des richesses et leur action transgressant la politique d’une façon ouverte et admise par tous, la disposition universelle d’armes jusqu’aux plus puissantes par les citoyens eux-mêmes, enfin les circonstances actuelles de polarisation, tout conduit à l’impossibilité de conclure à la possibilité d’un transfert apaisé d’autorité, — d’une autorité qui n’existe même pas, qui est à « reconquérir ». (Bien entendu dans le cas inverse, celui d’une défaite de Trump, la situation serait pire encore, dans le sens de la signification, et dans tous les sens des événements.)

Alors peut commencer à se déployer la splendeur admirable des hypothèses sans nombre ni la moindre restriction sur l’avenir de cette puissance anciennement exceptionnelle, et désormais puisque l’Amérique est en train justement de perdre cette aura auquel elle prétendait avoir droit. On connaît nos convictions à cet égard — savoir que les USA se déferont de la même manière qu’ils se sont faits, mais à l’inverse : en défaisant les liens rattachant les États les uns aux autres. En un mot, un « retour à la normale », avec une Amérique chargée de toutes les illusions de son ancienne puissance acceptant de rentrer dans le rang qu’elle est habituée à commander et à orienter, nous paraît infiniment improbable.

L’attentat contre Trump et le doigt de Dieu poussant légèrement son visage pour remplacer son crane par une oreille, est un événement sans aucun doute métahistorique en même temps qu’anatomiquement habile. Reste à voir ce qu’il célèbre du destin de l’Amérique, avec le véritable rôle de Trump dont nous avons toujours pensé qu’il était destiné à jouer le déconstructeur du Système, c’est-à-dire le déconstructeur d’un système lui-même déconstructeur, c’est-à-dire un opposant direct et frontal du globalisme déconstructeur. Bref, notre religion est faite parce qu’avec Trump auréolé de son comportement à Butler et cette élection de novembre 2024, les véritables enjeux sont sur la table et chassent les vieux classements hérités du XIXe siècle (la « gauche » et la « droite » dont se repaissent les Français jusqu’à plus soif pour faire durer le plaisir de l’effondrement d’un système bricolé par des amateurs). Chacun sait désormais pour quoi il se bat et contre qui il se bat.




La tentative d’assassinat était-elle réelle ?

[Source : henrymakow.com]

Pour Mike Stone, le verdict n’est pas encore tombé. Je pense qu’il s’agit d’une véritable tentative d’assassinat par les démocrates, en particulier Hillary pour qui le meurtre est un modus operandi. A rapprocher des tentatives d’assassinat de Poutine et de Fico.

Henry Makow

Par Mike Stone

Que s’est-il réellement passé en Pennsylvanie samedi soir dernier ? Un soy boy1 gauchiste a-t-il tenté d’assassiner Donald Trump ? Le tireur a-t-il ensuite été tué ? Tout s’est-il déroulé comme on nous l’a dit ?

Rappelez-vous ce que nous avons déjà dit à maintes reprises, à savoir que la meilleure façon d’analyser un événement est de commencer par savoir que tout ce que vous voyez à la télévision ou entendez à la radio est un mensonge. Ce n’est qu’ensuite que l’on peut commencer à assembler les pièces du puzzle et à raconter la véritable histoire de ce qui s’est réellement passé.

Si vous n’avez pas vu la fusillade présumée, voici un bon extrait de trois minutes de NBC News :

Voici une femme blanche libérale déséquilibrée, parlant au nom de millions d’autres femmes blanches libérales déséquilibrées, qui hurle littéralement parce que le tireur l’a manquée :

Partout dans les médias libéraux et dans les forums de discussion libéraux, les gens rient et font des blagues sur l’apparence sanglante de Trump, tout en déplorant la piètre adresse du tireur présumé.

Que s’est-il donc passé samedi soir ? Une fusillade a-t-elle réellement eu lieu ? Contrairement à ce que nous avons vu avec le lycée de Parkland, Sandy Crook, l’attentat de Boston et d’autres, où la supercherie est évidente, celle-ci est un peu plus difficile. La seule chose à laquelle nous pouvons la comparer est la tentative d’assassinat de Ronald Reagan en 1981.

Si vous regardez ce qui s’est passé à l’époque, vous constaterez des différences flagrantes entre la façon dont les services secrets ont agi à l’époque et la façon dont ils ont agi en Pennsylvanie. Voici quelques extraits de la tentative d’assassinat de Reagan :

Tout d’abord, regardez la rapidité avec laquelle les services secrets ont fait monter Reagan dans la limousine et la rapidité avec laquelle la limousine a décollé. C’est exactement le contraire de ce que nous avons vu l’autre soir en Pennsylvanie. Non seulement les services secrets n’ont pas réussi à mettre Trump à l’abri le plus rapidement possible, mais ils ne l’ont pas suffisamment couvert de leurs corps.

Et puis, que Trump dise « Attendez, attendez, attendez ! » et que tout le monde fasse une pause pour qu’il puisse lever le poing en l’air — et s’exposer à d’autres coups de feu — est complètement absurde. Que pensez-vous que les services secrets de Reagan auraient fait s’il leur avait demandé d’attendre ? Je vais vous dire ce qu’ils auraient fait : ils l’auraient ignoré.

Pourtant, regardez ce que Trump a fait et comment ses actions ont créé un fossé évident entre les deux candidats. Tout d’abord, vous avez Biden, un vieil homme sénile, dodelinant et incohérent ; et ensuite vous avez Trump, posant avec du sang sur le visage, le poing en l’air et le drapeau américain flottant en arrière-plan. C’est la photo la plus emblématique depuis que les Marines ont hissé le drapeau à Iwo Jima ; une photo qui est absolument garantie de le faire élire en novembre.

Et regardez le moment choisi, à quelques jours seulement de la convention nationale du parti républicain. Je peux d’ores et déjà vous dire quelle musique jouera lorsque Trump fera sa grande entrée pour accepter l’investiture : Bad to the Bone

La DEI a-t-elle détruit les services secrets ?

Une autre différence entre la tentative d’assassinat de Reagan et celle-ci est la façon dont les membres des services secrets de Reagan ont immédiatement sorti leurs armes. L’un d’eux a sorti une mitraillette de sous sa veste de costume. Je me souviens très bien avoir vu sa photo placardée dans le journal le lendemain, parce qu’un gamin avec qui j’allais à l’école l’avait montrée du doigt, les yeux exorbités, en disant : « Regardez les armes de ces gars-là ! »

En Pennsylvanie, aucun des agents qui se sont précipités sur Trump sur le podium n’a sorti son arme. Pourquoi ? Comment pouvaient-ils savoir que la menace était écartée ?

On pourrait dire que ces échecs des services secrets sont dus à l’IED. Vous pourriez dire que les hommes blancs compétents ont été progressivement éliminés et remplacés par des personnes incompétentes issues de la diversité. Ces arguments sont légitimes.

L’assassin solitaire

Il convient également de garder à l’esprit que jamais, dans l’histoire des assassinats politiques, il n’y a eu d’assassin solitaire. Dans tous les cas, le prétendu fou solitaire était soit un pigeon qui n’avait jamais tiré, soit quelqu’un qui avait été formé, financé et mis en position d’exécuter son travail par d’autres. S’il s’agit d’une véritable tentative d’assassinat, elle n’est pas le fait d’un petit soy boy agissant seul. Après tout, comment est-il arrivé là ? Comment a-t-il réussi à monter sur un toit avec un fusil sans se faire arrêter ?

biden-bulls-eye.jpg

Du sang sur les mains de Biden

Un témoin affirme avoir vu un homme armé d’un fusil sur un toit et l’avoir dit à la police, qui n’a rien fait :

https://twitter.com/i/web/status/1812292459105272316

https://twitter.com/i/web/status/1812292459105272316

Bien sûr, le tireur présumé est maintenant désigné par trois noms : Thomas Matthew Crooks. Pourquoi tous les assassins solitaires présumés sont-ils identifiés dans la presse par trois noms ? Il ne manque plus qu’un manifeste. Ou bien un exemplaire de L’Attrape-cœurs.

Voici Thomas Matthew Crooks dans une publicité pour Black Rock. Il apparaît au bout de 19 secondes.

https://twitter.com/i/web/status/1812524582999646285

La seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que Thomas Matthew Crooks n’a pas agi seul. Nous savons également qu’il y a eu une défaillance totale dans la protection des services secrets. Cette défaillance peut avoir été causée par l’incompétence ou avoir été intentionnelle. Nous savons que les chances de Trump de devenir le prochain président sont passées de 180 avant la fusillade à 3802 après, et qu’elles continuent de grimper.

Et malheureusement, nous savons aussi que s’il s’agit bien d’une tentative d’assassinat de Donald Trump, il y en aura probablement d’autres.


1 NDT Soy boy (litt. « garçon -soja »), ou parfois homme-soja, est un terme péjoratif ou ironique, souvent utilisé en ligne, notamment par l’extrême droite 1, pour qualifier les hommes qui présentent des traits physiques, affectifs, ou comportementaux attribués d’accoutumée à la gent féminine 2,3. (Wikipédia)

2 NDT Pour être élu président, un candidat doit obtenir les suffrages de 270 grands électeurs parmi les 538.




Effondrement de la jeunesse — L’automutilation numérique

[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Vous ne connaissez pas l’automutilation numérique ?

Et bien moi non plus.

C’est un camarade lecteur qui m’a envoyé cet article et ce nouveau concept, que dis-je cette nouvelle dérive qui touche nos enfants, nos jeunes.

On refuse de nommer et de faire des différences de fragilités entre les différentes typologies d’individus, pourtant… de manière purement observationnelle ce que dit cette étude et ce que je constate dans la vraie vie pour ceux qui ont le plus de difficultés à se positionner et à trouver un ancrage solide ce qui ne constitue pas une critique ou un jugement de ma part. C’est même l’inverse. Pour aider, pour accompagner, il faut dire, nommer et ne pas considérer que tout se vaut.

Qu’est-ce que l’automutilation numérique, cette pratique inquiétante qui touche de plus en plus de jeunes ? (Source ici)

C’est le fait que « sous couvert d’anonymat, certains adolescents s’en prennent à eux-mêmes sur les réseaux sociaux ».

« Selon une étude américaine, un nombre croissant d’adolescents pratiquent l’automutilation numérique, une pratique qui consiste à s’envoyer soi-même, anonymement, des messages haineux. Cette démarche comparable à l’automutilation physique affecte particulièrement les filles, les jeunes non hétérosexuels et ceux issus de minorités raciales ».

« Contrairement au cyberharcèlement, où l’abus est dirigé vers autrui, l’automutilation numérique implique des adolescents qui s’envoient eux-mêmes du contenu nuisible sur les réseaux sociaux. Les résultats de leur travail montrent qu’une forme de violence autodirigée, facilitée par l’anonymat en ligne, ne cesse de croître. »

« Ce phénomène, apparu en 2010, touche de plus en plus de jeunes : entre 2019 et 2021, 9 à 12 % des adolescents américains s’y sont livrés, contre 6,3 % en 2016, soit une augmentation de plus de 88 %. » « Cette trajectoire ascendante, en particulier au sein de groupes démographiques spécifiques, souligne la nécessité d’interventions ciblées et de systèmes de soutien, d’autant plus que la recherche a montré une forte association entre l’automutilation numérique et l’automutilation traditionnelle, ainsi qu’entre l’automutilation numérique et la suicidalité », expliquent les chercheurs.

« Par ailleurs, les données récoltées montrent que certains groupes d’adolescents sont plus vulnérables : ceux issus de minorités raciales, les jeunes femmes et les jeunes non hétérosexuels sont plus susceptibles de s’automutiler en ligne. »

« Il est essentiel de comprendre pourquoi les jeunes se livrent à l’automutilation numérique et de les aider à développer des mécanismes d’adaptation plus sains », a déclaré Sameer Hinduja. « En outre, il est essentiel que les parents, les éducateurs et les professionnels de la santé mentale qui travaillent avec les jeunes apportent leur soutien à toutes les cibles d’abus en ligne, que ce soit dans un cadre informel et conversationnel ou dans un cadre formel et clinique », conclut-il.

Nous en sommes au début d’un nouveau phénomène qui va sans doute prendre de l’ampleur et rendre parfois complexe et difficile la recherche de la vérité dans certaines affaires.

Nos jeunes vont très mal.

La société doit aider à stabiliser et à ancrer, et je pense que nous faisons l’inverse en détruisant l’équilibre du plus grand nombre avec des politiques dites inclusives qui en réalité font plus de mal que de bien. L’objectif de départ est tout à fait louable. Mais la manière de procéder est à mon sens un échec complet et les stratégies utilisées ont un bénéfice/risque négatif. Il faudra sans doute des années et des drames répétés avant que ce débat soit lancé et que nous fassions marche arrière sur certaines manières de faire.

Protégez vos enfants des excès.

Charles SANNAT

« Ceci est un article “presslib”, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Procès Reiner Fuellmich – Interview de Me Katja Wörmer – « Reiner est très combatif, le vent est en train de tourner »

[Source : francesoir.fr]

Mercredi 10 et vendredi 12 juillet se tenait la 19ème journée d’audience dans le cadre du procès opposant l’avocat Reiner Fuellmich à ses anciens associés du Comité Corona. Une histoire abracadabrante que Kerstin Heusinger journaliste citoyenne, a suivie pour France-Soir. En sortie d’audience, elle a interviewé Me Katja Wörmer l’avocate de Reiner Fuellmich.

Pour rappel, Reiner Fuellmich, avocat de grande renommée internationale pour, avoir pris la défense des droits des citoyens et pour ses victoires face à Volkswagen et Deutsche Bank, avait créé le Comité Corona avec 3 autres associés. Ces derniers l’ont accusé de détournement de fonds. Il est en détention depuis le mois d’octobre 2023 suite à sa « déportation » depuis le Mexique vers l’Allemagne où il a été arrêté.

Pour quelques centaines de milliers d’euros, dont la preuve du détournement n’a pas réellement été apportée, Reiner Fuellmich est maintenu en détention à la prison de Göttingen en Allemagne. Les demandes de mise en liberté conditionnelle faite par Me Wörmer et Me Misère ont été refusées au motif que Reiner Fuellmich pourrait être tenté de se soustraire à la justice.

Après une période difficile, le tribunal semble avoir pris la mesure des choses et les demandes de preuve de Me Wörmer et Me Misere sont nombreuses.  Ils ont déposé une nouvelle demande de mise en liberté conditionnelle. Reiner Fuellmich a indiqué qu’il voulait que le procès se tienne.

Les conditions de détention de Reiner Fuellmich sont dures, car il a été isolé des autres codétenus et doit faire ses promenades seul. Reiner a été mis à l’isolement car il donnait des conseils juridiques !  « Il ne peut pas s’en empêcher, Reiner est comme cela, à un moment, il y avait la queue pour ses conseils » indique Me Wörmer.

Il semble que ce soit un mal pour un bien. En effet, les conditions de détention dures ont alerté plusieurs personnes. Et, certains des codétenus et employés de la prison ont pris la mesure de cette procédure bâillon, en se rapprochant de lui. Certains exprimant leur regret sur le fait d’avoir pris l’injection covid. Un des codétenus criant même « Libérez Reiner ».

Le vent tourne et Reiner Fuellmich est déterminé à ce que le procès se tienne pour faire la lumière sur cette affaire.

Pendant ce temps-là, l’audit et la procédure sur la gestion de la crise mis en place par Reiner Fuellmich s’est arrêtée.  Doit-on voir une relation de cause à effet entre les actions de Fuellmich et la position du tribunal ? Il n’y a qu’un pas à franchir.




Le monde non libéré des « plandémies »

Par Joseph Stroberg

1)- Retour du masque en France

Face au Covid, le Tour de France rend le port du masque obligatoire pour les suiveurs avant et après les étapes :
https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Face-au-covid-le-tour-de-france-rend-le-port-du-masque-obligatoire-pour-les-suiveurs-avant-et-apres-les-etapes/1482446

2)- La grippe aviaire

Les surprises de la H5N1 bovine :
https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2024-07-14/les-surprises-de-la-h5n1-bovine.php

Influenza aviaire : la situation en France :
https://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-la-situation-en-france

Rappel :
Mise à jour sur la grippe aviaire : signes avant-coureurs de la « propagation » à venir
Comment (et pourquoi) la grippe aviaire est sur le point d’entrer dans la phase des tests de masse
Et la grippe aviaire continue de sévir…
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
Le but : vous enlever vos poulets

3)- Le contrôle pétrochimique sur la médecine depuis un siècle

Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Dr Olivier Soulier : « La médecine de demain va devoir se débarrasser de l’industrie pharmaceutique »

4)- Les contes de fées effrayants

Qu’il s’agisse de la Covid-19 ou d’une probable prochaine prétendue pandémie qui pourrait être un nouvel avatar covidien aussi bien qu’une mutation du récit aviaire, ces crises et le contrôle « sanitaire » qu’elles permettent reposent essentiellement sur deux contes de fées que l’on fait passer pour des théories scientifiques : l’hypothèse des « virus » pathogènes et l’hypothèse mère des germes malicieux selon lesquelles la plupart des maladies seraient dues à des méchants virus ou à des méchantes bactéries. À force d’être entrées de force dans le crâne des futurs médecins lors de leur (dé)formation universitaire, sans être le moindrement analysées et encore moins critiquées, elles ont fini par envahir l’ensemble de la population mondiale, et à être crues comme parole d’évangile. Presque tout le monde croit maintenant par exemple que la grippe (alias Covid) est contagieuse et provoquée par un virus mutant et malin qui ne cesserait de déjouer les pronostics vaccinaux d’une année sur l’autre pour mieux survivre.

Continuer à croire à de tels contes permet l’élaboration de prochaines plandémies qui permettront d’imposer des mesures « sanitaires » de plus en plus draconiennes.

5)- Un nouveau paradigme médical

Le seul moyen de se débarrasser de futures plandémies est de cesser d’inverser les causes et les conséquences et de comprendre la nature réelle de la maladie.

Comme je l’ai déjà mentionné maintes fois ici ou ailleurs sous différentes formes pour tenter de contrebalancer l’influence néfaste de ces croyances quasi religieuses négatives sur la vie humaine individuelle et collective, la maladie est due à un déséquilibre (par excès et/ou déficiences) sur un ou plusieurs plans.

Si votre corps physique, votre univers émotionnel, votre univers mental, etc. ne sont plus en équilibre, vous en ressentez un mal-être ou des malaises, qui peuvent conduire ensuite à des effets physiques plus ou moins aigus (des symptômes) si la ou les causes du (ou des) déséquilibre(s) ne sont pas corrigées rapidement. Si la cause persiste, les symptômes tendent à s’aggraver, la maladie pouvant évoluer vers un stade pire de la désorganisation de votre corps ou de votre être.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par déficience sont notamment :

  • — sur le plan physique, la malnutrition (avec notamment des carences en vitamines, en sels minéraux et/ou en protéines), le manque d’exposition au Soleil, le manque de sommeil… ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, l’isolement, le manque de contact avec les autres, les animaux, les végétaux, la nature… ainsi probablement qu’avec la dimension divine ;
  • — sur le plan mental, le manque de stimulation (par la lecture, des exercices mentaux, la méditation, la réflexion, etc.) ;
  • — sur le plan spirituel, le matérialisme.

Les facteurs pouvant produire un déséquilibre par excès (se traduisant par des empoisonnements ou des intoxications) sont par exemple :

  • — sur le plan physique, les additifs alimentaires, les pesticides, les herbicides, les polluants atmosphériques, les microplastiques dans l’eau et la nourriture, les substances pétrochimiques dans les cosmétiques, les détergents, les édulcorants, les médicaments issus de la pétrochimie, les vaccins, etc. ;
  • — sur les plans affectif et émotionnel, la recherche de sensations extrêmes, l’absence de pondération par le mental, la conscience ou la spiritualité, etc. ;
  • — sur le plan mental : le surmenage intellectuel…

Les bactéries qui sont hébergées en permanence dans votre organisme (constituant ainsi votre microbiome) y participent normalement de manière symbiotique à l’assimilation des nutriments aussi bien qu’à l’élimination de diverses toxines et de déchets divers (notamment des cellules mortes).

Les prétendus virus pathogènes ne sont eux-mêmes que le résultat de la mort de cellules ou de leur agression par diverses causes (dont les ondes électromagnétiques artificielles — les ondes radio, TV, Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G et 5G, radar, etc.). Ce sont de simples déchets cellulaires de divers ordres, dont des bouts d’ADN ou d’ARN, déchets éventuellement entourés d’une enveloppe lipidique pour les faire sortir de la cellule mal en point ou simplement en mode entretien (elle se débarrasse notamment des brins d’ARN périmés après leur production de protéines). Ces déchets sont multiples et leur code génétique dépend bien sûr de celui des cellules, et donc de l’individu (humain, animal ou végétal) dont les cellules sont affectées ou se nettoient. Ce sont des molécules mortes qui n’ont aucun pouvoir de réplication ni la moindre forme d’intelligence. Elles ne mutent pas. Les prétendus « variants » ne le doivent qu’à la spécificité génétique des individus.

(Pour en savoir plus, consulter les nombreux articles du dossier Vaccins et virus.)

6)- Le choix

A)- Continuer à croire Big Pharma et ses médecins. Cela permettra la justification et la mise en place de nouvelles plandémies que l’on dira causées par de nouveaux méchants virus, éventuellement fabriqués en labo P4, pour effrayer encore plus les gens.

B)- Étudier le nouveau paradigme, prendre sa santé en main. Si un nombre suffisant de personnes choisissent cette voie, plus aucune plandémie ne sera possible.




Bill Gates investit 4 millions de dollars dans la promotion de l’identification numérique des citoyens

[Source : aubedigitale.com]

Par Jade

Bill Gates, cofondateur de Microsoft, vient d’investir des millions de dollars dans un projet visant à faire progresser le déploiement mondial des cartes d’identité numériques pour le grand public.

La Fondation Gates du milliardaire continue de financer diverses initiatives visant à introduire l’identification et les paiements numériques d’ici la fin de la décennie.

Gates a augmenté le financement d’un projet connu sous le nom d’infrastructure publique numérique (IPN).

L’IPN vise à remplacer l’argent liquide par une monnaie numérique unique de la banque centrale (CBDC), directement liée à la carte d’identité de chaque individu.

Bien que les partisans de l’IPN insistent sur le fait qu’elle ne sera pas obligatoire, les individus du monde entier devront utiliser des CBDC et des identifiants numériques pour accéder aux services de base.

Parmi les partisans de l’IPN figurent des groupes d’intérêt privés ou d’entreprises tels que la Fondation Gates et le Forum économique mondial (FEM).

Le projet est également soutenu par les gouvernements des États-Unis et du Royaume-Uni, tout en étant fortement encouragé par l’organisation mondialiste non élue qu’est l’Organisation des Nations unies.

Pour faire avancer rapidement ce programme, la Fondation Gates a injecté 4 millions de dollars dans le groupe de recherche sur l’IA et la science des données Alan Turing Institute, basé au Royaume-Uni.

La nouvelle subvention de Gates a été annoncée comme un financement initial pour l’initiative de l’Institut visant à garantir une mise en œuvre « responsable » des services d’identification numérique.

L’institut Turing présente ses travaux qui seront financés par Gates.

La subvention de Gates couvrira le financement d’un projet pluridisciplinaire pour les trois prochaines années.

L’institut utilisera l’injection de fonds de Gates pour accélérer le processus réglementaire nécessaire au déploiement du système d’identification numérique pour le public à l’échelle mondiale.

Pour obtenir l’approbation, Gates et l’Institut Turing veilleront à ce que le lancement mondial des éléments de l’IPN, tels que la CBDC et l’identification numérique, se fasse en tenant compte des préoccupations en matière de protection de la vie privée et de sécurité.

Toutefois, compte tenu des activités passées et pluriannuelles de la Fondation Gates, personne ne devrait être blâmé d’interpréter cela comme une tentative de blanchir ces questions clés de la protection de la vie privée et de la sécurité.

Les experts ont fréquemment mis en garde contre la centralisation des identités et des informations financières des personnes par le biais de systèmes d’identification numérique.

En annonçant le renouvellement de la subvention, l’Institut Turing a clairement indiqué qu’il considérait la mise en œuvre de « services d’identification » comme une orientation positive.

Selon l’organisation, l’IPN est vitale pour « l’inclusion », l’accès aux services, et prétendument pour les droits de l’homme.

Cependant, Bill Gates et ses alliés estiment qu’il est nécessaire de modifier les niveaux de confidentialité et de sécurité actuellement acceptés par le public.

C’est pourquoi Gates a financé cette nouvelle initiative.

« Le projet vise à améliorer la confidentialité et la sécurité des systèmes nationaux d’identité numérique, dans le but ultime de maximiser la valeur pour les bénéficiaires, tout en limitant les risques connus et inconnus pour ces constituants et en maintenant l’intégrité de l’ensemble du système », a déclaré l’Institut.

Bien que l’institut propose un grand nombre de mots à la mode et de sentiments apparemment positifs, il n’explique pas comment ces objectifs seront atteints.

Au lieu de cela, il promet simplement de couvrir toutes les bases, comme par magie, afin de promouvoir les avantages et d’effacer les inconvénients.

La Fondation Gates a toutefois donné une information intéressante.

« Chaque année, des milliards de dollars sont investis pour développer des systèmes d’identité (numérique) plus sûrs, plus évolutifs et plus conviviaux », révèle l’annonce.




Nous sommes le 14 juillet, l’occasion de rappeler la gigantesque escroquerie que fut la Révolution « française »


Histoire secrète de la Révolution française

[Source : Omnia Veritas]

« Le propre de la Révolution, c’est d’inverser le vocabulaire. »

Jean-François Laharpe (https://librairiehistoireetsociete.com/2020/07/28/laharpe-du-fanatisme-dans-la-langue-revolutionnaire-paris-1797-ledition-originale-le-propre-de-la-langue-revolutionnaire-est-demployer-des-mots-connus-mais-toujours-en-sens-inverse/)

Le site d’Alain Pascal : http://alainpascal.com/




Sur la tentative d’assassinat de Trump

[Source : jonrappoport.substack.com]

Par Jon Rappoport

UN : L’insanité flagrante, bien sûr, est de savoir comment le tireur a pu accéder au toit. À 150 mètres du podium. Il y avait plusieurs façons de le couvrir. La meilleure : Les tireurs des SS [services secrets] sont là sur le toit. Sinon, des drones. Des hélicoptères en circulation.

Un échec total. Total.

Je ne crois pas à l’excuse selon laquelle les SS étaient en sous-effectif. Ils l’étaient, mais ce bâtiment aurait dû être une priorité A-1. (Et oui, les gens de Trump ont été déboutés dans leurs demandes pour plus de protection de la part des SS. Le chef des SS est-il plus enclin à faire passer la DEI1 par la porte (il semble que ce soit le cas) ?)

Un participant convaincant au rassemblement a déclaré à la presse que lui et d’autres personnes ont vu le tireur monter sur le toit avec une arme et ont crié aux flics et aux agents SS à proximité, les avertissant, et n’ont reçu aucune réponse. C’est stupéfiant.

Les personnes qui veulent démontrer que l’assassinat a été planifié de l’intérieur disposent de munitions grâce au témoignage de ce participant.

DEUX : Les agents SS ont maintenu Trump à terre derrière le podium pendant près d’une minute. Pourquoi ? Le podium était fait d’acier épais ? Si le tireur était encore actif, il aurait pu tirer de nombreuses balles sur la partie inférieure du podium. Cela n’a aucun sens.

Les agents SS auraient dû placer des corps autour de Trump de tous les côtés et le transporter immédiatement hors de l’estrade et dans le fourgon sécurisé. Sans interruption. Aucun arrêt n’aurait été permis pour un geste du poing de la part de Trump.

Un autre échec total.

Et il n’y avait qu’un seul de ces fourgons sécurisés garé juste à côté de la plate-forme ? J’en aurais attendu au moins 6. Avec des agents.

TROIS : À ce jour, je ne vois aucune déclaration de la part du principal agent chargé de l’application de la loi aux États-Unis, le procureur général Merrick Garland. Il est aussi silencieux qu’une souris. Il n’a pas pris l’initiative.

QUATRE : Je répète que le tir depuis le toit était facile. Il n’y avait pas besoin d’un expert. D’après ce que j’ai vu, il y avait une ligne de mire directe vers le podium. Raison de plus pour y placer deux agents SS dès le début.

CINQ : Quelqu’un a-t-il vu des agents aller sur le toit et retirer le corps du tireur ? Je n’ai rien entendu à ce sujet. On aurait pu penser que, dans toute la couverture médiatique, quelqu’un aurait dit qu’il avait vu cela. On aurait pu penser qu’il y aurait des images vidéo de cela. Mais il n’y a rien.

Au lieu de cela, on nous dit que les contre-tireurs SS ont pointé leurs armes sur le tireur AVANT (?) qu’il ne tire sur Trump. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

SIX : Autre chose : les quelques personnes dans la foule qui ont été blessées ou tuées… étaient-elles censées obstruer la ligne de mire du tireur ? Parce que je ne vois pas comment c’est possible. Le tireur était sur un toit. Il avait donc une vue dégagée sur le podium. Dans le même ordre d’idées, est-ce que quelqu’un dans le groupe derrière Trump a été touché par un tir ? On pourrait le penser, si le tireur a tiré 7 à 10 coups rapides. Les tirs frôlant la cible auraient touché ces personnes. Pourtant, je n’entends pas dire que quelqu’un derrière Trump ait été blessé. Au contraire, il semble que les personnes blessées ou tuées dans la foule se trouvaient à une certaine distance de Trump. Cela indique-t-il un autre tireur ? Et cela jette-t-il un doute sur le fait que l’assassin sur le toit soit bien celui qui a tiré sur Trump ? Il y a là quelque chose qui ne colle pas. Et aucun des experts présents à la télévision — ancien membre du FBI, ancien contre-tireur — ne soulève ces questions.

Mise à jour : un délégué à la convention du RNC, qui était assis derrière Trump et à sa droite, a déclaré à FOX qu’un homme derrière lui avait été tué par une balle. Je m’attendais néanmoins à ce qu’il y ait plus de blessés et/ou de morts parmi les personnes qui se trouvaient derrière Trump.

Par ailleurs, un médecin des urgences a expliqué à la presse qu’il avait tenté de sauver la vie d’un homme sans y parvenir. Il semble évident que l’homme qui est mort n’était pas derrière Trump. Cela fait donc deux personnes tuées par coup de feu parmi les participants. Jusqu’à présent, la presse ne parle que d’une seule personne.

Oui, il y a plusieurs raisons de fond, en dehors des raisons politiques évidentes, de penser qu’il s’agit d’un travail interne ou d’une tromperie quelconque.

Comme je l’ai appris il y a longtemps lors de mon enquête sur l’attentat à la bombe d’OKC2 en 1995, il faut commencer par les faits initiaux sur le terrain. Examinez-en le plus grand nombre possible, y compris ceux qui ont été omis dans la couverture médiatique. Les motifs politiques sont essentiels, bien sûr. Mais ne vous y attardez pas au point d’ignorer les anomalies qui se trouvent sous votre nez et qui n’ont aucun sens. Elles n’ont pas de sens parce qu’elles couvrent des faits non signalés.

En développement…





JO 2024 : Paris mis en cage par 44 000 barrières métalliques

[Source : www.epochtimes.fr]

[Illustration : DIMITAR DILKOFF/AFP via Getty Images (avec contrastes renforcés)]

Par Germain de Lupiac

Environ 44 000 barrières prennent d’assaut le cœur de Paris, à moins de trois semaines des Jeux olympiques. Elles doivent permettre de matérialiser les périmètres gris et rouge pendant la cérémonie d’ouverture et sur les sites des épreuves des Jeux. Les Parisiens se retrouvent pour plusieurs semaines dans de grands périmètres grillagés prévus pour sécuriser le public et filtrer la foule.

Plusieurs « tas de ferraille » étaient déjà visibles à plusieurs endroits de la capitale aux abords de la Seine. La Préfecture prévoit de fermer complètement ces périmètres à partir du 18 juillet. Une ambiance de camp retranché s’installe, limitant drastiquement les déplacements des riverains, et qui sera complétée pendant les Jeux par une présence marquée des forces de l’ordre, l’application d’un QR Code et la vidéosurveillance gérée par l’IA.

44 000 barrières fermant les trottoirs 

Depuis début juillet, le long de la Seine, les trottoirs et certaines pistes cyclables sont devenus inaccessibles ou difficiles d’accès. Des Parisiens commencent à s’agacer contre les 44 000 barrières que la préfecture de Paris commence à déployer pour sécuriser les épreuves et la cérémonie d’ouverture.

(…)

Pour voir la suite :
https://www.epochtimes.fr/jo-2024-paris-mis-en-cage-par-44-000-barrieres-metalliques-2672347.html




« Si la Russie tombe ou échoue, le monde est fini »

[Source : https://x.com/DravenNoctis via https://x.com/camille_moscow]

Par Noctis Draven, vétéran de l’armée américaine

À de NOMBREUSES reprises, j’ai dit au fil des ans que la Russie était le dernier pays au monde qui s’interposait entre l’Occident et sa domination totale, mais qu’est-ce que cela signifie ? Est-ce que je dis cela parce que je déteste un camp plutôt que l’autre ? Non, je le dis parce que c’est le bien contre le mal. Maintenant, avant que ceux d’entre vous qui vivent à l’Ouest ne se mettent en colère, comprenez que je parle surtout des gouvernements et de ceux qui contribuent au mal, tous les Occidentaux ne sont pas mauvais bien sûr et la plupart de ceux qui contribuent au mal croient sincèrement qu’ils mènent le bon combat.

Mais il reste le fait que si la Russie tombe ou échoue, le monde est fini. Si vous examinez les valeurs de l’Occident, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de la Suède, de l’Australie, du Canada, etc. Ce sont des pays qui renoncent de plus en plus à leur identité, des endroits où les migrants affluent, où la culture est dissoute et l’histoire effacée. Les populations sont remplacées, tuées, violées et finalement oubliées. Ce Forum économique mondial et l’agenda des mondialistes cherchent à rendre le monde sans frontières, sans culture ni identité, une foule de gens sans loyauté envers leur terre ou leur héritage et plus facilement contrôlables. Pour n’être rien de plus qu’une classe de consommateurs sans fierté, du bétail qui ne sera jamais inspiré pour NE PAS suivre les ordres.

L’Occident partage également une haine commune pour la tradition, la famille, les enfants et les valeurs traditionnelles. Ils veulent des foyers monoparentaux, ou mieux encore, pas de parents. Ils ne veulent pas d’enfants, pour promouvoir la peur du climat et pour soutenir et vénérer l’idéologie LGBTQ. Un monde où l’idéologie « Si ça fait du bien, faites-le » ne tient pas compte de la moralité ou des limites. Chaque nation qui « rejoint » l’Occident finit par devenir ce genre de choses. Promenez-vous dans Paris, en Suède ou dans n’importe quel pays européen qui a plié le genou devant les mondialistes.

Vous ne trouverez pas les Français à Paris, vous ne trouverez pas les Anglais en Angleterre, vous ne trouverez pas les Allemands en Allemagne, etc. La démographie est méconnaissable, la culture est détruite, en fait la seule idéologie sur laquelle ils semblent tous s’accorder est celle des LGBTQ.

La Russie n’est pas tombée dans ce piège, elle est tout le contraire et constitue une menace pour l’Occident. Non pas parce que la Russie veut conquérir ou changer l’Occident, non pas parce qu’elle cherche la guerre, mais simplement parce qu’elle existe et qu’elle est forte. La Russie est forte et ils ne peuvent pas la forcer à se soumettre à leurs méthodes, de sorte que l’existence même d’une puissance qui ne se soumettra pas est offensante et effrayante pour l’Occident. C’est pourquoi ils ont toujours cherché et continuent de chercher à provoquer, à susciter et à pousser à la provocation pour détruire la Russie.

Pire encore, la Russie résiste à l’Occident et incite les autres à faire de même, montrant par l’exemple que l’Occident peut être vaincu et qu’il existe une autre voie, une voie multipolaire. Une voie dans laquelle le monde peut commercer, faire des affaires et exister sans plier le genou ou succomber à l’idéologie satanique des mondialistes occidentaux. L’Occident ne peut tolérer cela et cherche donc à détruire la Russie. Bien sûr, l’axe de la résistance est constitué de la Russie, de l’Iran, de la Chine et de quelques autres, mais il y a une raison pour laquelle les tensions avec la Russie sont si fortes. L’Occident sait que si les autres résistent, si la Russie tombe et devient un exemple, les autres se mettront au pas.

Tout comme il n’est pas nécessaire d’être architecte pour comprendre l’importance d’un pilier de soutien, il n’est pas non plus nécessaire d’en savoir beaucoup sur la Russie pour comprendre ou apprécier cela, il n’est pas nécessaire d’avoir voyagé ou d’être un expert de la Russie pour voir les schémas et comprendre pourquoi nous ne devons JAMAIS permettre à la Russie de tomber. Elle représente non seulement la Russie, mais le tout dernier bastion de la liberté dans le monde. Il n’y a pas d’autre endroit où les gens libres peuvent s’échapper, nulle part où fuir. Nous nous tenons aux côtés de la Russie ou nous nous préparons tous à vivre à genoux face à l’ordre mondial mondialiste qui est dangereusement proche de tout prendre.




C’est officiel : l’État génocidaire a massacré ses propres citoyens le 7 octobre

[Source : chroniquepalestine.com via fr.sott.net]

[Illustration : Des véhicules sont empilés près de la ville de Netivot, dans le sud d’Israël, près de Gaza, en novembre 2023. Ils ont été détruits peu après que les combattants palestiniens ont commencé à faire des prisonniers le 7 octobre. Une nouvelle enquête menée par des journalistes israéliens a conclu que 70 de ces véhicules ont été détruits par des tirs israéliens – Photo : Jim Hollander, via The Electronic Intifada]

Par James North

Israël a ordonné l’application de la « directive Hannibal » le 7 octobre, décidant ainsi du meurtre de soldats et de civils israéliens captifs. Mais les médias américains continuent de cacher la vérité.

Il y a trois jours, le principal journal israélien, Haaretz, a publié les résultats de son enquête approfondie et complète sur ce qui s’est réellement passé lors de l’attaque du Hamas le 7 octobre.

Jusqu’à présent, les grands médias américains n’ont pas dit un mot sur les résultats choquants de cette enquête.

Les critiques utilisent parfois l’expression « faute professionnelle des médias » pour décrire l’incapacité des grands médias américains à rendre compte avec précision de la situation en Israël/Palestine. Cette fois-ci, cependant, ce qui se passe est encore pire ; il s’agit d’une autocensure délibérée, destinée à cacher la vérité au public américain.

Le long rapport de Haaretz a révélé que l’armée israélienne avait appliqué la « directive Hannibal » le 7 octobre. Cette directive est une politique israélienne qui ordonne à l’armée d’ouvrir le feu sur ses propres soldats pour les empêcher d’être faits prisonniers.

Bien entendu, ce site, ainsi que d’autres sources de médias alternatifs, a été l’un des premiers à souligner le rôle possible de la directive Hannibal dans les décès israéliens du 7 octobre.

Mais le rapport de Haaretz est significatif par le nombre de sources militaires qu’il a interrogées et qui ont confirmé qu’il y avait des ordres directs pour mettre en œuvre la directive.

Haaretz explique que cette politique a pour but de « déjouer les enlèvements, même au détriment de la vie des personnes kidnappées ». Dans un premier temps, l’armée a commencé à déployer des « Ziks », des drones d’assaut sans pilote. Plus tard, elle a tiré des obus de mortiers, puis des obus d’artillerie.

Haaretz a également confirmé que l’armée savait que des civils israéliens avaient également été pris en otage, mais l’ordre a tout de même été donné à 11 h 22 : « Pas un seul véhicule ne peut retourner à Gaza. »

Le rapport de Haaretz est prudent, mais il conclut tout de même : « [Le message de 11 h 22] a été compris par tout le monde… À ce moment-là, les FDI ne connaissaient pas l’ampleur des enlèvements le long de la clôture de Gaza, mais elles savaient que de nombreuses personnes étaient impliquées. La signification du message et le sort réservé à certaines des personnes enlevées étaient donc parfaitement clairs ».

En d’autres termes, une partie — voire une grande partie — des morts israéliens ce jour-là, y compris des civils, a été délibérément causée par l’armée israélienne elle-même. Il est incompréhensible que cela ne soit pas une nouvelle. Mais, trois jours plus tard, dans le New York Times : pas un mot. Le Washington Post : rien. CNN : rien. National Public Radio : rien.

Au lieu de cela, si vous tapez « Hannibal » dans les moteurs de recherche de ces sites médiatiques, les résultats ne mentionnent que « Hannibal Lecter », le tueur en série fictif qui a fait l’objet d’un livre et d’un film populaire.

La directive Hannibal de l’armée israélienne n’a pourtant rien de nouveau. (Cette doctrine tire probablement son nom du général carthaginois qui a combattu Rome en 200 avant J.-C. et qui a déclaré qu’il avalerait du poison plutôt que de se rendre. Certaines sources israéliennes ont affirmé que le nom avait été généré de manière aléatoire, une affirmation qui suscite le scepticisme).

Le 22 octobre dernier, ce site rapportait ce qui suit :

« Un nombre croissant de rapports indiquent que les forces israéliennes sont responsables de la mort de civils et de militaires israéliens à la suite de l’attaque du 7 octobre. »

Puis, en mars dernier, l’estimable Jonathan Ofir a également publié sur ce site qu’un soldat israélien, le capitaine Bar Zonshein, avait admis avoir « tiré des obus de char sur des véhicules transportant des civils israéliens ».

L’enquête encore plus complète du Haaretz aurait dû susciter une réaction de la part des principaux reporters américains en poste en Israël. Les journalistes américains auraient dû cultiver leurs propres sources depuis le 7 octobre et être prêts à au moins égaler l’article du Haaretz. Au lieu de cela, la seule réponse apportée jusqu’à présent a été un panel organisé par Piers Morgan et un podcast Mehdi Hasan/Bassem Youssef.

Cela fait maintenant plus de dix ans que je suis de près la couverture médiatique américaine d’Israël et de la Palestine. Continuer à cacher le déploiement par Israël de la directive Hannibal le 7 octobre est l’un des exemples les plus choquants d’autocensure dont je me souvienne.

La malhonnêteté des grands médias n’est qu’un exemple de plus de la raison pour laquelle les sites web alternatifs sont indispensables.

Auteur : James North

James North est rédacteur en chef de Mondoweiss et a réalisé des reportages en Afrique, en Amérique latine et en Asie pendant quarante ans.
Il vit à New York. Suivez-le sur Twitter/X.

10 juillet 2024 — Mondoweiss – Traduction : Chronique de Palestine




Héritage de « l’esclavage » et de la « ségrégation » : les Canadiens sont-ils désormais des Américains ?

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : Trudeau portant un visage noir lors d’une fête costumée des Mille et une nuits en 2001.
PHOTO PAR CANADA PROUD/TWITTER]

Héritage de « l’esclavage » et de la « ségrégation » : sommes-nous désormais des Américains selon le gouvernement canadien ?

Par Anthony Tremblay

Il ne se passe pas une semaine sans que le gouvernement de Justin Trudeau annonce de nouvelles mesures pour satisfaire son électorat. La plus récente en date, c’est ce rapport sur la réforme du système de justice pour favoriser les personnes noires. En quoi cela démontre-t-il une américanisation de la société canadienne ? C’est ce que nous allons voir.

Justin Trudeau est un Premier ministre en sursis. Les sondages depuis des années montrent une tendance lourde : il sera battu à plates coutures par Pierre Poilievre. On parle même de défaite historique pour le fils de Pierre Elliott Trudeau. La défaite serait si cuisante que le Bloc Québécois pourrait même hériter de l’opposition officielle.

Mais qu’à cela tienne. Justin Trudeau est motivé à pousser le délire progressiste toujours plus loin. Comme récemment, lorsque son gouvernement a publié un rapport détaillant plusieurs dizaines de mesures pour combattre le « racisme systémique » dont seraient victimes les personnes noires avec la Justice. On parle de réduire les peines et les conditions de remise en liberté pour les personnes uniquement, car elles sont noires.

Dans le rapport, disponible sur le site du ministère de la Justice, on explique que « cette situation trouve son origine dans l’histoire du Canada marquée par le colonialisme, l’esclavage et la ségrégation. » Dans le cas qui nous intéresse, nous aimerions bien connaître en quoi l’esclavage et la ségrégation structurent la société canadienne. Dans le cas des États-Unis, cela est débattable.

Mais au Canada ? En Nouvelle-France, il n’y aurait eu que 4000 esclaves, dont le deux tiers étaient autochtones. Les autochtones mis en esclavage étaient des « cadeaux » de nations alliées des Français. L’esclavage existait même avant l’arrivée des Français en Louisiane (où les esclaves étaient les plus nombreux) ou au Canada.

De plus, le préambule du rapport mentionne Georges Floyd. Voilà une problématique typique des antiracistes en dehors des États-Unis. Ils essaient toujours de tout justifier par rapport à cette tragédie qui s’est déroulée aux États-Unis. Ils tentent de trouver leur « moment » Georges Floyd. Au Québec, ils ont essayé avec quelques tristes faits divers. Mais cela ne sert à rien. La pilule ne passe pas.

En quoi le Canada devrait légiférer en fonction de l’actualité sociale et politique des États-Unis ? Les gens se braquent lorsque nous parlons d’américanisation. Ou quand nous reprochons aux médias de chez nous d’être obsédés par le cas Donald Trump. Mais pour plusieurs, nous devons toujours répondre aux conservateurs américains par de nouvelles mesures radicales chez nous.

La France a répondu au recul de l’accès à l’avortement aux États-Unis par une sacralisation de celui-ci désormais inscrit dans sa constitution. Au Canada, le gouvernement de Justin Trudeau calque son discours sur celui de Black Lives Matter aux États-Unis pour réformer le système judiciaire. Mais comme nous nous tuons à le dire, nous ne sommes pas des Américains.

Ni le Québec ni le Canada n’ont l’histoire des États-Unis. La ségrégation, si elle a existé, n’était pas aussi formelle et profondément ancrée dans les provinces maritimes que dans le sud des États-Unis. Au Québec, elle n’a jamais existé. Et la grande majorité des personnes noires sont venues ici depuis les années 60, des Caraïbes ou d’Afrique. Il sera difficile, voire impossible, de trouver le descendant d’un esclave noir en Nouvelle-France.

Les noirs étaient même considérés comme plus « riches » que les Canadiens français lors de la publication du rapport Laurendeau-Dunton sur le bilinguisme et le biculturalisme. Seules deux « ethnies » étaient considérées plus pauvres [que les Canadiens français] : les Italiens et les autochtones. Historiquement, ce sont même les Canadiens français qui ont été discriminés par le gouvernement fédéral. Mais personne ne parlera de ceci en effet. C’est trop politiquement incorrect.

Trudeau est au bout de son règne. Il ne sait plus où donner de la tête pour grappiller quelques votes parmi son bassin d’électeurs issus des communautés culturelles. Non, le Canada n’est pas un pays où l’esclavage et la ségrégation structurent le système politique actuel. Et non, la mort de Georges Floyd ne doit pas influencer les politiques de gouvernements extérieurs à ceux des États-Unis. Cela est fatigant de le rappeler, mais nous ne sommes pas des Américains. C’est tout. Et Trump n’est pas notre président.




La montée en puissance des FAUX faux drapeaux

Par Kit Knightly

Dans mon article précédent, Pourquoi il ne faut JAMAIS croire ses yeux, nous avons parlé des nouvelles technologies qui rendent la création de « fake news » plus possible que jamais. Dans cet article de suivi, nous allons examiner les avantages potentiels de la création de fausses nouvelles par rapport à la création de nouvelles.

Une opération sous fausse bannière est généralement définie comme « un acte commis dans l’intention de dissimuler la source réelle de responsabilité et de rejeter la faute sur une autre partie. »

L’expression trouve son origine dans la guerre navale, lorsque les navires battaient littéralement pavillon de la marine d’un autre pays.

Historiquement, il s’agit d’opérations militaires secrètes menées dans le but de créer un casus belli, d’initier, de justifier ou de perpétuer une guerre.

L’attaque est bien réelle, seul le drapeau est faux.

Mais ces dernières années ont vu l’émergence d’une nouvelle idée : le faux faux drapeau. Il s’agit d’« événements » entièrement faux qui n’ont qu’un rapport très ténu avec la réalité objective. Des acteurs à blanc et des acteurs de crise, de fausses victimes et de faux tireurs.

Ce concept a récemment fait l’objet de discussions, avec le procès civil intenté à Alex Jones pour avoir qualifié Sandy Hook de « canular » et le procès en cours du journaliste Richard D Hall au Royaume-Uni pour avoir suggéré que l’attentat à la bombe de Manchester Arena était un faux. Des suggestions similaires ont également été faites au sujet de l’attentat de Boston en 2013. D’autres, dont Riley Waggaman, ont également soulevé des questions sur la récente « attaque terroriste » à Moscou.

Je ne prétends pas que tous ces événements ont été falsifiés, même s’il est possible qu’ils l’aient été. Ce que je souligne, c’est l’évolution de la discussion.

Mais il n’est pas nécessaire de chercher bien loin pour trouver le plus grand « événement truqué » de l’histoire récente : « Covid », qui n’était qu’une construction d’un battage médiatique et d’une science corrompue créant une pandémie entièrement fausse.

Une fois que l’on a pris connaissance de tous les faits, c’est la seule interprétation qui résiste à l’examen.

En fait, l’infestation de faux était telle qu’elle a engendré des mini-faux. Il ne s’agissait pas tant d’un faux événement que d’une flopée de faux de différentes tailles.

Le Covid prouve à lui seul que le pouvoir en place se livre bel et bien à des mises en scène ou à des simulacres d’événements. Et, comme nous l’avons souligné dans la première partie de cette série, on sait depuis des décennies que les informations sont régulièrement truquées, à petite comme à grande échelle.

Pourtant, la question que l’on se pose à chaque fois que l’on évoque la possibilité d’une falsification est « pourquoi ? ».

Pourquoi un appareil d’État ayant le pouvoir de faire réellement quelque chose choisirait-il de faire semblant de le faire ?

Il s’agit là d’un argument classique contre l’idée d’une falsification parrainée par l’État et, bien qu’il soit logiquement erroné, car il s’agit purement d’un argument d’incrédulité, il s’agit d’une question à laquelle nous pouvons et devons probablement tenter de répondre.

Pourquoi l’État, ou des acteurs puissants au sein de l’État, choisiraient-ils de falsifier quelque chose plutôt que de le faire tout simplement ?

Il est clair que nous pouvons exclure les considérations morales ou éthiques. Cela ne devrait pas nécessiter d’explications supplémentaires. L’État n’a aucune objection à causer de la souffrance, cela a été démontré à maintes reprises. Il ne reculerait pas devant le parrainage d’un véritable événement terroriste simplement parce que de vraies personnes finiraient par mourir.

En fait, un « faux événement » n’exclut même pas nécessairement une mort réelle — comme nous l’a montré (une fois de plus) le « covid ».

La « pandémie » était entièrement fausse, mais les personnes que l’on a laissé mourir par inaction ou qui ont été directement tuées par des DNR1, des refus de soins ou des abus de ventilateurs étaient bien réelles.

De même que les retombées très réelles et souvent très fatales du confinement et d’autres mesures « anti-Covid ».

Mais, s’il n’y a pas d’objection morale à infliger une mort et/ou une souffrance réelles, alors pourquoi un faux événement serait-il perçu comme une meilleure option ? Quels sont les avantages du faux par rapport au vrai ?

Voici quelques pistes de réflexion :

  1. On ne peut pas prouver une chose négative. Curieusement, un faux événement est plus difficile à réfuter qu’un vrai événement. Il est assez facile de montrer que l’explication officielle d’un événement réel est fausse (pensez au 11 septembre). Mais s’il n’y a pas d’événement réel, seulement une histoire, alors il n’y aura pas de faits gênants pour vous mettre au défi. Et bien sûr, il est virtuellement impossible de prouver un négatif — une absence d’existence.
  2. L’absence de preuves matérielles. Il s’agit d’une extension du point 1, mais un faux événement ne peut pas être légalement retracé jusqu’aux vrais coupables. La poudre à canon et les explosifs réels sont traçables et laissent de vrais résidus chimiques. Les faux événements n’ont rien de tout cela.
  3. Il vous permet de garder vos options ouvertes. Un événement réel est lié aux réalités physiques de la situation. Votre histoire doit essayer de s’adapter à ces faits. Un faux événement est ouvert et peut changer de manière fluide en fonction des besoins de l’histoire. C’est ce que nous avons constaté avec le Covid.
  4. Pas de vraies victimes. Une vraie fusillade ou un vrai attentat à la bombe fait de vraies victimes et laisse de vraies familles endeuillées qui peuvent exiger des enquêtes et poser des questions embarrassantes (voir les familles des victimes du 11 septembre). Un faux événement ne fait que de fausses victimes qui sont à votre solde. Non seulement elles ne poseront jamais de questions embarrassantes, mais elles sont incitées à dissimuler la vérité.
  5. Moins de culpabilité ou de regrets. Les institutions et les agences n’ont pas de conscience, mais les individus en ont une. Il est généralement plus facile de persuader des « fantassins » (au sens propre et au sens figuré) de faire semblant de blesser des gens que de les blesser réellement. Il s’agit d’une extension de l’unique balle blanche du peloton d’exécution.
  6. Plus facile à contrôler. Un événement entièrement mis en scène est plus facile à contrôler qu’un événement réel. Par exemple, une véritable pandémie pourrait s’éteindre trop rapidement ou ne pas être assez mortelle. Pire encore, elle pourrait tuer les mauvaises personnes — vous ou votre famille. Une fausse maladie tue exactement les personnes que vous dites qu’elle a tuées et personne d’autre, et peut disparaître ou réapparaître en fonction de vos besoins.

Il ne s’agit là que de considérations pratiques, bien entendu. Nous n’avons même pas abordé le monde plus inconnu, les motivations psychosociales potentielles de ce que nous appelons l’État profond mondial.

Quelles pourraient être les conditions de la victoire dans cette guerre psychologique que « l’élite » mène contre les peuples du monde ?

Comme je l’ai noté dans mon article The Perfidious Unreality of the New Normal (L’irréalité perfide de la nouvelle normalité), l’observation suggère un programme délibéré visant à saper l’idée même de réalité objective. Nos contrôleurs cherchent à s’interposer comme un filtre entre chaque personne sur la planète et le monde dont elle fait l’expérience.

L’objectif final étant que tout — tout — le tissu entier de notre réalité partagée — soit inventé ?

Parce que c’est la démonstration ultime d’un contrôle total ?

C’est ici que nous devons aborder la différence essentielle entre un événement mis en scène et un événement réel : la cible.

Si vous voulez qu’un président meure, vous ne pouvez pas faire semblant de lui tirer dessus. Si vous avez besoin d’une assurance contre le terrorisme, vous ne pouvez pas faire semblant que les bâtiments se sont effondrés.

Un faux événement ne peut être une possibilité privilégiée que lorsque votre objectif est purement optique.

En d’autres termes, la véritable cible d’un faux événement est toujours le public.

Il s’agit toujours d’une attaque psychologique visant notre perception du monde ou de certains groupes humains, ou de certains dangers supposés.

Avec l’avènement de la technologie générative de l’IA, des « deep fakes », des synthétiseurs de voix et autres, le fait est que nous pouvons probablement nous attendre à un grand flot de « fake news » que l’on nous vend comme étant réelles — parce que pourquoi pas ? Pourquoi cette option ne serait-elle pas utilisée au moins parfois ?

Les questions qui se posent à l’avenir sont les suivantes : jusqu’où cela est-il allé ou ira-t-il ? Et sommes-nous suffisamment préparés psychologiquement pour pouvoir faire la différence ?


1 Do-Not-Resuscitate (Ne-Pas-Ressusciter, ne pas réanimer) — NdT




Lettre à l’ARCOM sur la censure des journalistes à propos du réchauffement anthropique

[Source : p-plum.fr]

Par Frédéric Boutet

[Note de Joseph : l’auteur aurait peut-être pu raccourcir son argumentation et sa lettre (fort valable par ailleurs) en considérant seulement que la science ne repose pas sur l’accord entre personnes (quelle que soit la largeur de cet accord entre simple « majorité » et « unanimité »), mais sur le doute, la remise en question, l’observation, l’expérimentation et la possibilité de réfuter les hypothèses.

Tout le monde peut être d’accord à un moment donné sur quelque chose, par exemple sur l’idée que la Terre serait plate, comme on le croyait au Moyen-âge. Mais tous peuvent être en réalité dans l’erreur. Même l’unanimité sur une idée (comme celle d’un réchauffement climatique qui serait essentiellement dû à l’Homme) ne présente aucun caractère de démonstration scientifique. Ce n’est pas un argument recevable pour valider scientifiquement l’idée. Celle-ci ne peut l’être qu’en suivant scrupuleusement la méthode scientifique.

Si une hypothèse devient irréfutable, elle sort du cadre de la science pour entrer soit dans celui des mathématiques1 (comme la démonstration du théorème de Pythagore évoquée par l’auteur), soit dans celui des religions et autres systèmes de croyances (en empêchant toute contestation par la répression ou bien par la construction d’un monstre conceptuel comme ce qu’est devenue l’hypothèse virale : chaque fois que ses adversaires lui trouvent une faille, un virologue y ajoute une rustine pour combler la fuite, mais chaque fois cela augmente le nombre de contradictions internes ; les croyants en la virologie font comme pour la lecture de la Bible — ils trouvent toujours un passage, un élément du texte ou de la construction intellectuelle pour justifier le point particulier sur lequel ils sont attaqués, sans plus regarder les contradictions internes ou les interprétations différentes possibles).]


1 Les mathématiques ne sont techniquement pas de la science (sauf à élargir le domaine de la science au non-expérimental), mais un outil mental rigoureux, du même ordre que la philosophie. En mathématiques, il y a juste à suivre les règles du raisonnement logique et de la démonstration. En sciences expérimentales, il faut se confronter au réel et vérifier l’hypothèse à chaque étape de la démonstration, par l’observation ou l’expérimentation, en suivant la méthode scientifique pour séparer adéquatement les variables et démontrer ou réfuter les causalités envisagées.




De citoyen à intouchable, le jour où je n’ai PAS reçu ma lettre de désynchronisation

Par Alain Tortosa

Reconnaissons que la violence de la réalité est implacable. Quand bien même je serais lu par des millions de personnes, mon texte ne pourrait être « décodé » et compris que par des « complotistes », autrement dit par des « désynchronisés », des « déphasés ». Même s’il flirtait avec une forme de génie, rassurez-vous ma lucidité me permet de garder les pieds sur terre, il demeurerait totalement incompréhensible et même délirant pour les gens « normaux », les normies.

Certains de mes congénères déphasés et désynchronisés tout comme moi, mais naïfs ou optimistes appelez-les comme vous le désirez, n’ont pas baissé les bras. Ils continuent de vouloir communiquer avec les normies, à vouloir leur ouvrir les yeux sur une réalité qu’ils ne peuvent appréhender avec leur formatage. Le besoin d’espérance de mes camarades de lutte est tel que lorsqu’ils croient enfin arriver à établir une communication c’est, hélas, la preuve que leur interlocuteur était lui-même déjà désynchronisé et non un simple normie.

Ne voyez pas malice ou toute forme de condamnation dans mes propos. J’ai moi-même longuement et vainement tenté d’ouvrir les yeux à ces moutons. Et même si cela devient exceptionnel il m’arrive encore d’essayer avec un insuccès à la clef.

La parabole du film Matrix avec sa pilule rouge et sa pilule bleue relève du mythe. Elle présuppose que tout un chacun disposerait d’un libre arbitre afin de décider en toute conscience s’il préfère demeurer dans l’illusion de la doxa ou basculer dans un monde réel ô combien plus horrible et menaçant. Or le seul fait de se retrouver face à ce prétendu choix constitue une preuve de la croyance en l’existence possible de deux « réalités » que l’on présuppose diamétralement opposées.

Pour le normie, il ne saurait exister un monde dans lequel les complotistes seraient autre chose que des fous et encore moins un monde dirigé par des forces du mal. Pour eux, même s’il existe des dirigeants plus ou moins avides d’argent ou de pouvoir, ils sont globalement « bons ». Imaginer qu’il n’y a strictement aucune bonne intention, aucune volonté de soulager les souffrances ou augmenter l’espérance de vie chez les dirigeants de l’industrie pharmaceutique n’est pas une hypothèse envisageable.

Bref celui qui « déciderait » de prendre la pilule rouge l’a de fait déjà avalée. Le normie qui basculerait dans le complotisme suite à nos arguments relève encore une fois du mythe.

Mais qui dit compréhension ou acceptation de son impuissance à ouvrir des yeux et « changer le monde » ne dit pas pour autant absence de souffrance. Être face à un mouton, un aveuglé, un pigeon, être conscient d’une autre réalité, être effacé, désynchronisé et savoir que quoique l’on fasse, quoique l’on dise, quoique l’on argumente, nos propos demeureront totalement inintelligibles pour autrui s’apparente à de la torture.

Le langage du déphasé, notre langage, est basé sur la réflexion, la logique, le raisonnement, le fait, l’histoire, la critique, la démonstration, des heures de recherche et j’en passe. Nous n’hésitons pas à remplacer nos croyances quand l’évidence s’impose. Tandis que le « raisonnement », si on peut l’appeler ainsi, du normie est basé sur l’émotion, la peur, une impossibilité totale de lier les sujets ou les événements, une absence totale de mémoire et bien entendu une croyance en une « volonté » farouche de ne rien interroger ou remettre en question la sainte doxa. Il a été programmé pour croire qu’il est le contraire de ce qu’il est. Il se pense logique, informé, les pieds sur terre, capable de raisonnement, capable de remettre en question ses croyances et bien entendu plus intelligent que nous alors même que son discours est totalement calqué sur les médias ou BFM. Si vous lui demandez d’exprimer sa pensée, il se contentera de dérouler le discours médiatique. En fait il se pense exactement le contraire de l’image qu’il projette du complotiste.

C’est ainsi que le normal a participé aux dernières élections législatives en France, luttant pour ou contre tel camp et ignorant qu’ils ne sont que les faces d’une même pièce, ce que nous savons que trop. Celui-ci croit que nous sommes en démocratie, que le peuple peut décider de son destin, qu’il y a des institutions, un parlement, des droits et j’en passe.

Cela fait 40 ans que les maîtres du monde font monter la fameuse « extrême droite » au premier tour des scrutins, celle qui pourrait « anéantir la démocratie et les libertés » au 2e tour. Je vous rappelle que la vérité du normie n’est pas basée sur le fait, mais sur le discours instillé par les médias… Il ne sait plus qu’en France et dans les pays occidentaux la liberté est un lointain souvenir et pense sincèrement que la prise de pouvoir des prétendus extrêmes sonnerait le glas de la démocratie et des droits de l’homme.

Ceci c’est pour le premier tour des élections tandis qu’au deuxième tour les « forces du bien font barrage »… Nous aurions pu imaginer qu’au fil des décennies le normie eut pu comprendre que l’on se foutait de sa gueule, qu’il n’y avait plus de France, plus de défense, plus de monnaie, plus de souveraineté, plus de marge de manœuvre. Qu’il sache que les décisions sont prises à Bruxelles, pardon sont transmises par Bruxelles. Mais non, il croit encore qu’il y a des lois, des orientations qui peuvent être hexagonales. Depuis 40 ans on lui prouve que le RN n’a pas le droit d’être au pouvoir alors même qu’il est le parti qui remporte le plus de voix au premier tour et il continue à tomber dans le piège du « pacte républicain ».

Tout ceci n’est que farce, un vaste théâtre d’ombres, tout parti qui parvient au pouvoir fera la même politique autorisée par les financeurs maîtres du monde. Changer le système de l’intérieur obligerait à faire semblant d’être un enculé corrompu pendant 20 ans tout en gardant ses valeurs afin d’avoir le droit d’être élu Président pour ensuite révéler sa vraie nature et faire s’effondrer le château de cartes.

Ces normies de base croient sincèrement que leur avenir sera forcément différent s’ils votent Front Populaire (prétendu de gauche) ou Rassemblement National (prétendu de droite).

Le normie version 2.0 qui a un peu de culture croira quant à lui que les élections européennes sont décisives, car « tout se joue à Bruxelles ». Ignorant que le Parlement européen n’a strictement aucun pouvoir et que les décisions sont entérinées par la Commission qui, de bien entendu, n’a aucun membre élu. Membres qui ne sont que des pions placés pour leur capacité à être corrompus et leur absence totale de conscience comme la Hyène qui s’accroche à son pouvoir.

Je pourrais poursuivre pendant des pages, mais ce faisant je me parle à moi-même. Le normie « sait » que nous sommes en démocratie parce qu’on le lui répète inlassablement depuis sa naissance. Il ne manque pas de nous dire :

« Allez vivre en Russie ou en Corée du Nord pour que vous puissiez enfin toucher du doigt ce qu’est une dictature ! »

Cela pourrait faire rire quand on pense à l’assignation à résidence sans procès que nous avons subi pour le confinement ou le passe sanitaire, l’injection obligatoire pour pouvoir continuer à avoir une vie « normale ». Ces mêmes moutons ne manqueront pas de vous parler de la Chine :

« Cette horrible dictature dans laquelle les citoyens doivent présenter un QR-Code pour quitter leur quartier. »

Un QR-Code pour se rendre chez soi pendant les épreuves des JO 2024 et de la reconnaissance faciale ne relève donc absolument pas de la dictature selon ce même normie, mais d’une « évidente mesure de sécurité ». Aucun terroriste ne saurait contourner cette règle du QR-code pour accomplir ses méfaits.

C’est uniquement dans les dictatures qu’il y a censure, pas chez nous. Dans nos belles démocraties, il n’y a rien d’étonnant à voir que 2 % des électeurs ont voté pour un parti pro-Frexit aux dernières élections européennes alors même que 55 % des électeurs avaient voté contre la constitution européenne en 2005 !

« Les censures sur les réseaux sociaux, la mise au ban des résistants, l’interdiction de médias comme RT-France ne sont que des mesures de bon sens et protection qui visent à protéger la démocratie et les droits, pas comme en Chine ! »

Je dois me rendre à cette évidence, je, nous ne pouvons pas communiquer, argumenter avec ces gens « sains et normaux », nous avons été désynchronisés, eux et nous sommes totalement déphasés. Ils ne pourront rien comprendre de ce qui sort de notre bouche dès lors que c’est en contradiction profonde avec leur programmation.

Il est à noter que le système a pensé à tout pour nous occuper, nous les parias. Il a inventé les réseaux sociaux, une prison dans laquelle nous sommes enfermés et ne pouvons sortir et où règne un « espace de liberté virtuel où nous pouvons communiquer librement ».

Lors des manifestations contre le passe-sanitaire, nous étions tous les samedis autorisés par la dictature à faire notre petite promenade hebdomadaire sous la surveillance bienveillante de nos geôliers qui ne manquaient pas de nous montrer le parcours autorisé. Mais attention à 17 heures il fallait rejoindre nos quartiers et quiconque bravait le couvre-feu s’exposait à la violence des milices de Vichy.

Ici encore afin de nous faire croire que nous avons une forme d’efficacité les forces du mal n’hésitent pas à censurer des publications trop décalées.

Mais n’imaginez pas que vos délires complotistes puissent être lus (je dis juste lus, car étant normé, il ne peut pas comprendre les propos d’un désynchronisé) sur un réseau social par un normie, les algorithmes se chargent du partage de « l’information ».

Ces réseaux dits « sociaux » ne sont qu’un entre-soi, les normies ont le leur, nous avons le nôtre et chacun reste à sa place pour le meilleur des mondes.

Tel un gentil organisateur, la dictature a aussi mis en place un programme d’activité afin de pouvoir occuper nos esprits malades. Le fact-checker n’a pas été mis en œuvre pour protéger les normies de la contamination des déphasés. Je vous rappelle que le normal ne peut pas comprendre les mots délirants qui sortent de la bouche d’un déphasé. Il n’y a strictement aucune chance que celui-ci soit ainsi contaminé par un fou.

Non, le fact-checker a uniquement été mis en place pour faire croire aux désynchronisés qu’ils constituaient une menace, qu’ils ont un pouvoir de nuisance. Ainsi le déphasé peut encore se dire :

« Le pouvoir a peur de nous, c’est pourquoi il met en place une milice de la pensée ! »

Foutaise ! Tout ceci n’est qu’os à ronger pour nous occuper et nous éviter de fomenter une révolution !

Précisons que pour ce travail totalement inutile d’un point de vue de protection des normies, les forces du mal ont recruté parmi les plus débiles.

Si le déphasé peut tomber dans le piège et croire qu’il a un pouvoir, le fact-checker peut quant à lui se croire « en mission pour le saigneur1 » et imaginer que son action permettra de protéger les normies de la contamination. Le plus dingue est qu’il imagine même faire revenir dans le droit chemin un complotiste égaré. C’est dire à quel point ils sont vraiment cons, car la désynchronisation est une sentence à perpétuité.

À la décharge de mes collègues qui « continuent la lutte », notez que j’ai bien précisé dans mon titre :

« Le jour où je n’ai PAS reçu ma lettre de désynchronisation. »

Car ne croyez pas que la dictature va vous fournir un acte d’accusation ou la possibilité de vous défendre. Ne croyez pas que vous aurez droit à un procès. C’est là le fonctionnement standard d’une dictature sans morale.

La condamnation et l’exécution de la sentence tombent comme un couperet sans vous en informer !

La veille vous êtes considéré par les normies de votre entourage comme une personne avec qui l’on peut échanger, discuter. Certains même peuvent penser que vous avez une logique, une capacité de raisonnement et un certain niveau intellectuel.

Et du jour au lendemain la communication n’est plus possible avec ces mêmes personnes que vous pensiez avoir un bagage intellectuel, une « intelligence ». La sentence est tombée, vous avez été désynchronisé !

La communication est ainsi totalement interrompue. Oubliées toutes les qualités ou l’honnêteté que l’on vous prêtait la veille, tout ceci relève du passé voir même du mythe. Vous ne pouvez plus avoir le moindre échange, discussion ou communication avec le normie. Le semblant de communication s’apparente à un dîner de cons dans lequel chaque camp peut penser que le con c’est l’autre.

Seules les fonctions de base demeurent pour des conversations sans le moindre fond. Il n’est même plus possible de parler de météo, « réchauffement climatique » oblige.

Certains déphasés mettent plus ou moins longtemps pour comprendre qu’ils l’ont été, que leurs mots ne peuvent plus être compris par les normies et qui plus est, que leur langage est perçu comme une menace, le charabia d’un fou délirant et menaçant.

Plus le déphasé va chercher à forcer la communication, à utiliser la logique et le raisonnement, le fait, la science, la preuve, le bon sens et plus le normie va avoir peur, se braquer, vous rappeler le « consensus scientifique » et devenir violent face à ce « fou dont les mots sont dénués de sens ».

Et puis comment nous, normies, pouvons garder notre calme face à un tel déferlement d’illogisme, d’affirmations non prouvées, de refus de penser par soi-même, etc.

Il n’y a donc de solution que dans le divorce, la rupture et le deuil comme nous le ferions suite à l’entrée d’un proche dans une secte.

Et c’est là que le désynchronisé, le déphasé, risque de basculer dans la folie voyant son isolement social, son incapacité à communiquer, son bannissement à vie de la société des normies.

Notons qu’à ce stade les associations, collectifs, réseaux sociaux sont vitaux surtout dans les premières semaines du déphasage afin d’apporter soutien au nouveau complotiste et voir qu’il n’est pas seul. Si le gouvernement se garde bien de dire notre nombre, sachez que nous sommes quand même plusieurs millions ne serait-ce qu’en France et que cela ne peut qu’augmenter inexorablement.

Bien entendu la peine n’est pas prononcée pour une durée déterminée, mais une condamnation à perpétuité sans perspective de retour à la normale.

Il est une réalité physique instaurée par celui qui vous a condamné, c’est l’impossibilité d’être resynchronisé. Si un jour vous croisez un ancien complotiste qui vous dit :

« Qu’est-ce que j’ai été stupide de ne pas me vacciner, j’ai pris rendez-vous pour 6 doses d’un coup afin de rattraper le temps perdu, me protéger et protéger les autres. »

Surtout, n’hésitez pas à me fournir les informations.

C’est donc la dictature qui s’autocondamne avec un processus dans lequel le nombre de déphasés ne peut que croître et non l’inverse. Toute la question est de savoir quand le point de bascule se produira, quand le grand remplacement des normies par les déphasés deviendra la réalité.

Nous déphasés ne pouvons que survivre en attendant et laisser faire le temps.

Je vous le répète, notre statut de désynchronisé ne nous permet absolument pas de pouvoir ouvrir les yeux des normaux qui ne peuvent nous comprendre. Nous n’avons pas plus de langage commun avec un normie qu’avec une fourmi ou une huître, c’est un fait.

La seule chose que nous pouvons faire c’est de préparer l’avenir et l’accueil des nouveaux arrivants, des nouveaux déphasés, leur apporter connaissance, soutien, amour et sens.

Nous pouvons préparer le monde de demain lorsque les forces du mal n’auront plus suffisamment de moutons pour pouvoir poursuivre leur plan machiavélique ou qu’elles se seront auto-effondrées.

La lueur d’espoir se situe dans le fait que ce n’est pas nous qui pouvons fabriquer des déphasés, mais le système lui-même qui les génère.

C’est par ses contradictions, son illogisme, ses délires et son ego surdimensionné que le système allume la petite lumière du complotisme chez le normie. La dictature n’a alors d’autre choix que de le déphaser sur le champ pour éviter toute contamination, car elle ne sait pas faire autre chose.

Plus les « pandémies » engendrent de délires comme le droit de manger assis, mais pas debout ou vous interdit de marcher sur une plage déserte alors que vous pouvez être entassé dans le métro.

Qu’elle vous dit que plus vous serez vacciné et plus vous serez libre, plus le « Covid » disparaîtra et que vous vous retrouvez avec des effets secondaires suite à vos « injections sures et efficaces ».

Qu’elle vous affirme détruire l’économie russe conduite au désastre par un dictateur fou et sanguinaire assez con pour ne pas penser à couper le gaz et préférant saboter son propre gazoduc.

Qu’elle vous affirme depuis 20 ans que l’on va tous crever dans 10 ans à cause du réchauffement climatique causé par le méchant CO2, qu’il n’y aura plus jamais de neige, que ce sera la sécheresse généralisée.

Qu’elle retarde année après année notre « retour » sur la Lune en nous expliquant que nous n’avons plus la technologie des années 60.

Qu’elle vous explique que deux avions sont en capacité de faire effondrer trois tours.

Je pourrais développer d’autres exemples, mais vous avez bien compris le sens. C’est par cette stupidité, cet illogisme, ce mépris de l’humain, le foutage de gueule et nous la mettre profonde que la dictature fabrique du déphasé.

Vous pourrez observer que plus le temps passe et plus le temple de Satan accroît sa pression.

Nous pouvons imaginer que la peur augmente chez eux d’autant plus que ces monstres sont de plus en plus grabataires et proches de la mort avec une descendance consanguine et débile. Ils sentent peut-être que leur plan mortifère risque d’échouer du fait du nombre croissant de désynchronisés.

Le problème est qu’il ne faut pas confondre vitesse et précipitation.

Plus ils agissent dans l’urgence et plus ils réveillent de normies qui sont à leur tour désynchronisés. La plandémie, les injections mortelles, le prétendu réchauffement climatique, le méchant Poutine et maintenant le génocide en Palestine avec l’éternel deux poids deux mesures, ne peut qu’ouvrir les yeux de normies et les condamner à la désynchronisation immédiate.

La folie est devenue telle que celui qui parle de paix en Ukraine et encore plus de paix en Palestine occupée est désormais considéré comme un traître, un fou, un monstre, un pourvoyeur de haine et bien entendu un antisémite notoire. Le système ne manquant pas de soutenir les nazis en Ukraine et de bien faire l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme.

Les élites travaillent activement contre leur camp !

Il n’y a donc qu’à attendre que les déphasés nous rejoignent de plus en plus, nous ne pouvons ni n’avons besoin de leur ouvrir les yeux, le système s’en charge pour nous.

En attendant, vivons, car s’il y a bien une chose que la richesse et le pouvoir n’apporte pas à ces monstres en quête de Messie, c’est la capacité de vivre et être heureux. Ils redoutent la mort au point de vouloir devenir immortels alors même qu’ils n’ont pas la recette de la vie. Tel le paniqué du Covid qui a arrêté de vivre de peur de mourir.

Les nouveaux déphasés verront que la tolérance, la paix, l’amour, la liberté et l’espoir sont de notre côté et certainement pas du côté de la dictature.

Ce disant je ne sais pas si je suis en train de vous mentir ou de me mentir le plus. Le fait est que je ne possède pas vraiment la recette. Comment vivre, être heureux en ayant conscience de toutes les horreurs du monde et de l’indicible. Comment ne pas hurler ou imaginer prendre des armes lorsque l’on sait que ces satanistes prennent leur pied en torturant, violant, démembrant des enfants et même des bébés le tout avec la complicité des médias !

Le type même de pensée qui me ferait regretter de ne pas être un normie qui ne peut comprendre le délire de déphasé comme nous. Je sais bien que je me mens à moi-même, plutôt crever que d’être comme eux !

Le chemin n’est pas de tout repos, continuer à vivre, car il n’y aurait rien de rédempteur à s’autoflageller et qui ne soulagerait en rien toutes ces victimes. Il me faut essayer d’évoluer entre bonheur et conscience de l’horreur du monde ce qui est un travail à plein temps.

Merci

Alain Tortosa.
11 juillet 2024 https://7milliards.fr/tortosa20240711-condamnation-desynchronisation.pdf


1 Ce n’est pas une faute d’orthographe.




L’alliance traitresse entre nazis et sionistes

[Source : Investig’Action via lesakerfrancophone.fr]

[Illustration :
Adolf Hitler, à une fenêtre de la Chancellerie du Reich, reçoit une ovation le soir de son investiture comme chancelier, le 30 janvier 1933.
(Robert Sennecke, Archives fédérales allemandes, Wikimedia Commons, domaine public)]

En collaborant avec les nazis, un petit groupe de sionistes a affaibli la résistance antifasciste et contribué au génocide des Juifs d’Europe, écrit Stéphane Moore.

Par Stéphane Moore

Même si d’aucuns auront du mal à l’admettre, les politiques d’apartheid de l’Israël d’aujourd’hui trouvent leurs racines dans la période qui a précédé l’Holocauste, lorsque l’Allemagne nazie et un petit groupe de sionistes bien placés ont conclu une alliance pour développer leurs états ethnonationalistes.

Le 25 août 1933, les sionistes allemands et le gouvernement nazi ont apposé leur signature sur un accord qui permettait à quelques riches juifs d’émigrer vers Israël en échange de leur engagement à acheter des produits allemands pour les importer et les écouler dans la communauté juive en Palestine.

L’accord ne s’arrêtait pas là. Les sionistes promettaient également d’influencer la communauté juive mondiale pour qu’elle renonce au boycott des produits allemands initié avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir.

On lit dans un mémo de 1933, adressé par la Fédération sioniste d’Allemagne au parti nazi que : « si les Allemands acceptent la collaboration des sionistes, eux (sic) essayeront de convaincre les juifs de l’étranger de ne pas soutenir le boycott anti-allemand ».

L’accord, baptisé du nom d’accord « de transfert » ou « de Haavara » (du nom de la société de Tel-Aviv par laquelle transitaient les fonds) a été avalisé par les plus hauts responsables nazis y compris Adolph Eichmann et Hitler, ainsi que par plusieurs futurs premiers ministres israéliens, David Ben Gourion, Moshe Shertok et Golda Meir.

Pour les sionistes, l’accord était bénéfique en ce qu’il permettait à l’élite des juifs allemands de rester en possession d’une partie de leur capital et de s’établir en Palestine. Pour les nazis, l’accord ne permettait pas seulement de se débarrasser d’une petite partie de sa population juive (60 000 émigrants entre 1933 et 1939) mais surtout, il condamnait le mouvement de boycott à l’échec et ouvrait les marchés extérieurs mondiaux aux produits allemands, pour le plus grand bénéfice de son économie.

Étiquette de boîte d’allumettes diffusée par la Non-Sectarian Anti-Nazi League to Champion Human Rights pour promouvoir le boycott antinazi en 1933.
(Ephemeral New York, Wikimedia Commons, domaine public)

Pour la majorité des juifs dans le monde qui se définissaient comme non sionistes, voire antisionistes, il s’agissait d’un coup de poignard dans le dos qui les privait d’une des rares armes à leur disposition pour combattre le nazisme. Cette trahison fut symbolisée par l’étrange image d’un cargo de la Haavara qui portait son nom, Tel-Aviv, écrit en hébreu à la proue et arborait un drapeau frappé du swastika sur le pont.

Au cours des décades précédant la signature de l’accord, la progression des sionistes vers la création d’un état juif en Palestine avait été plutôt lente. Même après la déclaration Balfour, qui promettait une patrie juive en Palestine, les autorités britanniques continuaient à limiter l’immigration juive et les juifs peinaient à acquérir suffisamment de terres pour déplacer la population indigène arabe. En 1920, les juifs ne possédaient que moins de 2 % des terres de Palestine.

L’ascension d’Hitler a procuré aux sionistes une opportunité historique pour décupler l’immigration juive en Palestine. Ben Gourion, le futur leader d’Israël, l’a exprimé ainsi : « le désastre a permis de faire en un jour ce que la propagande sioniste avait échoué à faire pendant des années ». À quoi Hannah Arendt ajoute que « l’antisémitisme a été une force incroyable : il ne restait aux juifs qu’à l’utiliser ou se faire dévorer par lui. Pour des politiciens de talent (comme David Ben Gourion & Co) cette “force motrice” pouvait facilement être utilisée comme l’eau bouillante est utilisée pour produire de la vapeur »

Sauver qui ?

En réalité, ce projet sioniste restait totalement indifférent au sort de la vaste majorité de Juifs européens confrontés à la marginalisation, aux agressions et aux assassinats.

Dans son histoire du Mandat britannique « Une Palestine entière », Tom Segey, journaliste israélien, écrit que « le sauvetage des Juifs européens n’était pas la priorité de la classe dirigeante [sioniste] ». Pour eux, « c’est la fondation de l’État qui était primordiale ».

Lors d’une conférence du Parti Travailliste sioniste en 1938, Ben Gourion expose sa philosophie au sujet de qui devrait être sauvé en réponse à l’offre britannique d’exfiltrer des milliers d’enfants juifs d’Europe :

« S’il était possible de sauver tous les enfants en Allemagne en les ramenant en Angleterre ou de sauver seulement la moitié d’entre eux en les emmenant en Eretz Israël, je choisirais la deuxième solution. Car nous devons prendre en compte non seulement la vie de ces enfants, mais l’intérêt historique du peuple d’Israël ».

Ben Gourion fait un discours lors de la cérémonie de la pose de la première pierre du bâtiment du syndicat Histadrut à Jérusalem, en 1924
(Collection nationale des Photos d’Israël, Wikimedia Commons)

Mais en réalité, ce n’était pas n’importe quels enfants que les sionistes voulaient voir en Palestine, et en particulier pas les enfants des shtelts d’Europe de l’Est ou de Russie. Chaim Weizman, qui deviendra le premier président d’Israël, s’en explique lors de la conférence mondiale du sionisme à Zurich en 1937 : « nous ne voulons voir venir à nous que le meilleur de la jeunesse juive, que n’entrent que ceux qui ont de l’instruction » « les autres Juifs devront rester là où ils sont et confronter les destins qui les attendent. Ces millions de Juifs ne sont que de la poussière sur la roue de l’histoire et il faudra peut-être qu’ils soient balayés par le vent. Nous ne voulons pas les voir se déverser en Palestine. Nous ne voulons pas que Tel-Aviv devienne un autre ghetto mal famé. »

Les sionistes et les nazis étaient en fait très proches idéologiquement : tous les deux cherchaient à créer un état ethnonationaliste basé sur la pureté raciale — un concept qui avait alors le vent en poupe — et tous les deux s’opposaient avec force à l’assimilation des Juifs en Europe.

Le journaliste Klaus Polkhen, dans Contacts Secrets écrit : « l’attitude des sionistes devant la menace grandissante de la domination fasciste en Allemagne était déterminée par des assomptions idéologiques communes : comme les fascistes, les sionistes croyaient en des théories raciales a-scientifiques et ils partageaient une foi dans des généralisations mystiques telles que “le caractère national (Volkstum)” ou “l’exclusivité de la race” »

Communauté de pensée avec les fascistes

Un mémo envoyé au parti nazi par la fédération sioniste d’Allemagne le 21 juin 1933 les assure de leur proximité idéologique : « Notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d’établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales… car nous aussi, nous sommes contre les mariages mixtes et pour la préservation de la pureté du groupe juif ».

Chaim Weizman en 1900
(Bain News Services, Librairie du Congrès, Wikimédia Commons)

Arthur Ruppin, un sociologue à la tête de l’Exécutif sioniste en Palestine1, tirait son inspiration directement des théories nazies de la race des maîtres. Selon lui, le sionisme se fondait sur la « pureté raciale » et seuls les « “pur races” pouvaient rejoindre la Terre [promise, NdT] ». Inspiré par les travaux des scientifiques nazis, il s’appuyait sur des mesures crâniennes pour démontrer que les Juifs ashkénazes étaient supérieurs aux Juifs yéménites et se prononçait contre l’immigration des Juifs éthiopiens à cause de l’absence de « liens du sang ».

Paradoxalement, certains sionistes se réjouissaient de l’antisémitisme nazi. Lors d’un meeting avec Adolf Eichmann en 1937, Feivel Polkes, un membre de l’armée sioniste clandestine (la Haganah, NdTencensait la terreur en Allemagne : « Les cercles juifs nationalistes sont très contents des politiques radicales mises en place en Allemagne en direction des Juifs, politiques qui résulteront dans l’accroissement de la population juive en Palestine et, on peut le penser, dans la réalisation d’une majorité juive sur les Arabes en Palestine ».

L’admiration de Polkes était reflétée dans celle d’Eichmann qui rajoute : « si j’étais Juif, je serais un fanatique sioniste. En réalité, je serais le plus ardent parmi les sionistes ».

Cette similitude de vue sur la race et la formation de la nation explique pourquoi les nazis ont octroyé un traitement de faveur aux sionistes dans presque tous les domaines. Jusqu’en 1939, c’était le seul groupe non nazi à avoir le droit de porter leur propre uniforme, arborer leur propre drapeau et développer leur propre philosophie politique. Alors que le ministre allemand de la propagande avait interdit tous les journaux publiés par les communistes, les sociaux-démocrates, les syndicats et autres organisations progressistes, le journal sioniste Judische Rundschau a continué à publier sa propagande sans restrictions de 1933 à 1939.

À l’opposé des sionistes allemands, la plupart des Juifs européens résistaient contre les fascistes. Ils se battaient contre eux en Espagne, où 30 % de la brigade américaine Lincoln étaient juifs, et en Pologne, c’était la moitié de la brigade Dombrowski qui était juive. Leur contrebande alimentait en armes les ghettos d’Europe de l’Est. Ils s’activaient à pousser les autres pays à leur venir en aide. Pendant ce temps, les sionistes faisaient leur possible pour contrecarrer ces efforts.

En 1938, lors d’une conférence réunissant 32 pays organisée à Évian-les-Bains autour du problème des Juifs allemands et autrichiens fuyant les persécutions nazies, seule la République dominicaine s’est offerte à leur porter secours, proposant à 100 000 réfugiés juifs « des espaces de terres fertiles inoccupées, avec un excellent réseau routier et une force de police capable de maintenir la loi et l’ordre ».2 Mais, selon S.B. Bzit Zvi, chercheur sur l’Holocauste, « l’hostilité des sionistes [à cette offre généreuse] était claire et sans concessions » : « les sionistes s’opposaient à quoique ce fût qui pût compromettre leur base de récolte de fonds. Si les Juifs américains aidaient la colonie en République dominicaine, ils donneraient probablement moins au Fonds National juif ou au Keren Hayesod [Appel unitaire pour Israël].


Source originale : Consortium News
Traduit de l’anglais par J-L Picker pour Investig’Action


1 NdT : en réalité, seulement un millier de Juifs est-européens réussirent à atteindre la République dominicaine. Incidemment, l’offre du dictateur Trujillo visait surtout à augmenter la population non-noire de la république, dans une perspective de domination coloniale.

2 NdT : L’Exécutif sioniste en Palestine (1922-1929) était un organisme créé sous l’égide de l’Organisation sioniste mondiale. Comme son nom l’indique, il avait un rôle d’administration et de représentation de la communauté juive en Palestine. Ses fonctions seront reprises en 1929 par la tristement célèbre Agence Juive




Mobiliser, ou perdre

[Source : boriskarpov.tvs24.ru]

Par Boris Guenadevitch Karpov

Alors que les forces de l’OTAN amassent du matériel à nos frontières, alors que les usines d’armement des pays occidentaux ont multiplié leur production, alors que des appels de plus en plus pressants se font pour envoyer des troupes en Ukraine contre la Russie, alors donc que la guerre totale se fait de plus en plus proche, force est de constater que beaucoup de Russes vivent encore sur la planète des poneys roses. La majorité. Les seuls à prendre pleine conscience de la réalité sont les proches des combattants et la frange la plus « patriote » de la population.

Pour les autres, la guerre c’est loin. Restaurants et théâtres sont pleins, on s’amuse dans les rues, on va dépenser son argent dans les pays ennemis de l’Union Européenne. Bien sûr quand quelques obus tombent sur une plage russe, on réalise que oui, nous sommes en guerre. Mais quelques heures plus tard, hormis les proches des victimes, restaurants et théâtres sont de nouveau pleins et on s’amuse dans les rues et on continue de dépenser son argent dans les pays ennemis de l’Union Européenne.

La Russie est pleine de ces faux patriotes, mais vrais traîtres qui depuis leur plage de Larnaca ou Marbella pondent des articles de « soutien à la Russie », dépensant en quelques jours dans un pays ennemi de quoi équiper un de nos bataillons en matériel radio par exemple.

Il est inutile de se leurrer, l’élection éventuelle de Trump ne changera rien. Ou disons que ça pourrait changer, mais dans le mauvais sens pour nous. Il y a quelques mois les « stratèges » prévoyaient la fin des livraisons d’armes à l’Ukraine, on voit ce qu’il en est. Les mêmes « stratèges » disent qu’il faut attendre l’élection de Trump. Pendant ce temps l’OTAN fabrique des centaines de milliers de munitions, les F-16 s’envolent pour l’Ukraine, les légionnaires français se positionnent à Odessa, les frontières ouest de la Russie font face à d’énormes concentrations de matériel et d’hommes.

Et restaurants et théâtres sont pleins, on s’amuse dans les rues, on va dépenser son argent dans les pays ennemis de l’Union Européenne.

Continuons comme ça et nous courons à la catastrophe. Quand les missiles pleuvront sur Chystie Prudy (un quartier de Moscou, centre de la « vie nocturne »), les bobos moscovites comprendront, mais il sera trop tard.

Il faut une vraie mobilisation, totale, du pays et des Russes.

Mais mobilisation totale ne veut pas dire, comme les Ukrainiens le font, envoyer tout le monde au front ! Mobilisation totale signifie faire participer l’ensemble des Russes à leur devoir de défense. Le devoir de défense c’est, au lieu d’aller se dorer le cul sur une plage, aller travailler dans une usine d’armement, de confection d’uniformes ou autres matériels, pendant ses temps libres. On n’arrête pas l’économie, chacun garde son emploi, mais donne une grande partie de son temps libre à la Patrie !

Mobilisation totale c’est aussi organiser des groupes d’autodéfense sous le contrôle des structures officielles, MVD ou Rosguard, car n’en doutons pas un instant, l’offensive de l » OTAN en Ukraine sera accompagnée d’opérations de déstabilisation internes en Russie. Là aussi, les citoyens aptes à cette tâche donnent une partie de leur temps libre.

Le Président Valdimir Poutine l’a dit lui-même, nous nous sommes fait avoir par les pays occidentaux, et nul n’a prévu l’évolution actuelle des choses.

Mais maintenant, l’évolution on la voit, on la comprend ! L’heure n’est plus à larmoyer sur ces faits passés, mais à prendre les seules mesures qui nous permettront de gagner.

Continuons à remplir restaurants et théâtres, continuons à nous amuser dans les rues, continuons à aller dépenser son argent dans les pays ennemis de l’Union Européenne, et la Russie telle que nous l’aimons sera détruite.




L’OMS s’attaque à nos enfants

[Source : Cercle Aristote – Pierre Yves Rougeyron]




Marx, la république et son règne des banquiers

[Publication initiale : dedefensa.org]

Par Nicolas Bonnal

Oh, ce présent permanent : alors que l’élite mondialisée écrase en France le peuple sous son talon de fer au nom de la république, du libéralisme et des banquiers — surtout des banquiers —, j’invite à relire le bel essai de Marx sur la Lutte des classes en France, qui réconciliera un peu plus populistes de droite et de gauche. La scène se passe dans les années 1840 puis sous la Seconde République. On commence :

« Après la révolution de Juillet, lorsque le banquier libéral Laffitte conduisit en triomphe son compère le duc d’Orléans à l’Hôtel de Ville, il laissa échapper ces mots : “Maintenant, le règne des banquiers va commencer.” Laffitte venait de trahir le secret de la révolution. »

Et c’était en 1830… Après, c’est le règne prototypique de Louis-Philippe… Marx :

« Ce n’est pas la bourgeoisie française qui régnait sous Louis-Philippe, mais une fraction de celle-ci : banquiers, rois de la Bourse, rois des chemins de fer, propriétaires de mines de charbon et de fer, propriétaires de forêts et la partie de la propriété foncière ralliée à eux, ce que l’on appelle l’aristocratie financière. Installée sur le trône, elle dictait les lois aux Chambres, distribuait les charges publiques, depuis les ministères jusqu’aux bureaux de tabac. »

On se croirait sous Jospin-DSK, Sarkozy-Juppé, au moment des grandes privatisations qui marquèrent cette Restauration dont a parlé Pierre Bourdieu. On continue sur les innombrables malversations de cette époque qui inspira ses Misérables à Victor Hugo :

« En outre, les sommes énormes passant ainsi entre les mains de l’État laissaient place à des contrats de livraison frauduleux, à des corruptions, à des malversations et à des escroqueries de toute espèce. Le pillage de l’État en grand, tel qu’il se pratiquait au moyen des emprunts, se renouvelait en détail dans les travaux publics. Les relations entre la Chambre et le gouvernement se trouvaient multipliées sous forme de relations entre les différentes administrations et les différents entrepreneurs.

De même que les dépenses publiques en général et les emprunts publics, la classe dominante exploitait aussi les constructions de lignes de chemin de fer. »

On comprend nos travaux et infrastructures… Tiens, Karl Marx parle de Rothschild, ce compte fait baron :

« Par contre, la moindre réforme financière échouait devant l’influence des banquiers, telle, par exemple, la réforme postale. Rothschild protesta, l’État avait-il le droit d’amoindrir des sources de revenu qui lui servaient à payer les intérêts de sa dette sans cesse croissante ? »

On parle souvent des 1 % qui contrôlent ce pays. Du temps de Marx ils sont déjà là :

« La monarchie de Juillet n’était qu’une société par actions fondée pour l’exploitation de la richesse nationale française dont les dividendes étaient partagés entre les ministres, les Chambres, 240 000 électeurs et leur séquelle. Louis-Philippe était le directeur de cette société : Robert Macaire sur le trône. Le commerce, l’industrie, l’agriculture, la navigation, les intérêts de la bourgeoisie industrielle ne pouvaient être que menacés et lésés sans cesse par ce système. Aussi, celle-ci avait-elle inscrit sur son drapeau, pendant les journées de Juillet : Gouvernement à bon marché. »

La crapulerie immorale se déchaîne, c’est la bohème double V et le lumpenprolétariat aux commandes, toute la descente aux affaires (on ne citera pas nos scandales…) :

« C’est notamment aux sommets de la société bourgeoise que l’assouvissement des convoitises les plus malsaines et les plus déréglées se déchaînait, et entrait à chaque instant en conflit avec les lois bourgeoises elles-mêmes, car c’est là où la jouissance devient crapuleuse, là où l’or, la boue et le sang s’entremêlent que tout naturellement la richesse provenant du jeu cherche sa satisfaction. L’aristocratie financière, dans son mode de gain comme dans ses jouissances, n’est pas autre chose que la résurrection du lumpenprolétariat dans les sommets de la société bourgeoise. »

Depuis la « crise » de 2008 nous sommes recouverts de dette, comme tous nos voisins européens — et du coup bien soumis. La dette est la base de ce type de gouvernement. Marx :

« L’endettement de l’État était, bien au contraire, d’un intérêt direct pour la fraction de la bourgeoisie qui gouvernait et légiférait au moyen des Chambres. C’était précisément le déficit de l’État, qui était l’objet même de ses spéculations et le poste principal de son enrichissement. À la fin de chaque année, nouveau déficit. Au bout de quatre ou cinq ans, nouvel emprunt. Or, chaque nouvel emprunt fournissait à l’aristocratie une nouvelle occasion de rançonner l’État, qui, maintenu artificiellement au bord de la banqueroute, était obligé de traiter avec les banquiers dans les conditions les plus défavorables. Chaque nouvel emprunt était une nouvelle occasion, de dévaliser le public qui place ses capitaux en rentes sur l’État, au moyen d’opérations de Bourse, au secret desquelles gouvernement et majorité de la Chambre étaient initiés. »

Puis Marx se défoule d’une manière qui le mènerait légitimement en prison de nos jours :

« La bourgeoisie industrielle voyait ses intérêts menacés, la petite bourgeoisie était moralement indignée, l’imagination populaire s’insurgeait, Paris était inondé de pamphlets : “La dynastie Rothschild” “Les Juifs, rois de l’époque”, etc., où l’on dénonçait, flétrissait avec plus ou moins d’esprit, la domination de l’aristocratie financière. »

L’auteur ajoute :

« Rien pour la gloire ! La paix partout et toujours. La guerre fait baisser le cours du 3 et du 4 %. Voilà ce qu’avait écrit sur son drapeau la France des Juifs de la Bourse.Aussi, sa politique étrangère sombra-t-elle dans une série d’humiliations du sentiment national français… »

Oui, la diplomatie de Louis-Philippe fut une honte. Mais ne parlons pas de celle du successeur Bonaparte (Crimée et châtiment, Chine-Indochine, puis Mexique et enfin Sedan)…

Le pouvoir aux abois invoque toujours la république en France. Mais pour Marx la république est surtout un gouvernement de bourgeois au profit des plus riches ; il note :

« La République ne rencontra aucune résistance pas plus au dehors qu’au dedans. C’est ce qui la désarma. Sa tâche ne fut plus de transformer révolutionnairement le monde ; elle ne consista plus qu’à s’adapter aux conditions de la société bourgeoise. Rien ne témoigne plus éloquemment du fanatisme avec lequel le Gouvernement provisoire s’employa à cette tâche que les mesures financières prises par lui. »

La république aurait dû réagir contre les banquiers et les financiers. Marx :

« Le crédit public et le crédit privé étaient naturellement ébranlés. Le crédit public repose sur la croyance que l’État se laisse exploiter par les Juifs de la Finance. Mais l’ancien État avait disparu et la révolution était dirigée avant tout contre l’aristocratie financière. Les oscillations de la dernière crise commerciale en Europe n’avaient pas encore cessé. Les banqueroutes succédaient encore aux banqueroutes. »

Bien entendu l’épargnant de cette époque est destiné à être plumé :

« Le petit bourgeois, déjà bien assez réduit à la misère, en fut irrité contre la République. Ayant reçu à la place de son livret de caisse d’épargne, des bons du Trésor, il fut contraint d’aller les vendre à la Bourse et de se livrer ainsi directement aux mains des Juifs de la Bourse contre lesquels il avait fait la révolution de Février. »

L’argent est divinisé (ce que Céline arrivé à New York remarquera) :

« L’aristocratie financière qui régnait sous la monarchie de Juillet avait dans la Banque son Église épiscopale. De même que la Bourse régit le crédit public, la Banque gouverne le crédit commercial. Directement menacée par la révolution de Février, non seulement dans sa domination, mais dans son existence, la Banque s’appliqua, dès le début, à discréditer la République en généralisant la fermeture du crédit. »

Le gouvernement républicain loin de soumettre la banque s’y soumet gentiment (comme en 2008 — voyez Lucien Cerise) :

« Le Gouvernement provisoire pouvait, sans recourir à la violence de façon légale, acculer la Banque à la banqueroute ; il n’avait qu’à observer une attitude passive et à abandonner la Banque à son propre sort. La banqueroute de la Banque, c’était le déluge balayant en un clin d’œil du sol français l’aristocratie financière, le plus puissant et le plus dangereux ennemi de la République, le piédestal d’or de la monarchie de Juillet. Une fois la Banque en faillite, la bourgeoisie était obligée de considérer elle-même comme une dernière tentative de sauvetage désespérée la création par le gouvernement d’une Banque Nationale et la subordination du crédit national au contrôle de la nation. »

Mais le gouvernement provisoire dirigé par l’ânon Lamartine choisit la voie contraire. On commence à brader la France :

« Le Gouvernement provisoire, au contraire, donna cours forcé aux billets de banque. Il fit mieux. Il transforma toutes les banques de province en succursales de la Banque de France, lui permettant de jeter son réseau sur le pays tout entier. Plus tard, il engagea auprès d’elle les forêts domaniales en garantie de l’emprunt qu’il contracta envers elle. C’est ainsi que la révolution de Février consolida et élargit directement la bancocratie qu’elle devait renverser. »

Puis on choisira Fould comme ministre des Finances :

« Louis-Philippe n’avait jamais osé faire d’un véritable loup-cervier un ministre des Finances. De même que sa royauté était le nom idéal pour la domination de la haute bourgeoisie, les intérêts privilégiés devaient dans ses ministères porter des noms d’une idéologie désintéressée. La République bourgeoise poussa partout au premier plan ce que les diverses monarchies, légitimiste comme orléaniste, tenaient caché à l’arrière-plan. Elle fit descendre sur la terre ce que celles-ci avaient divinisé. Elle mit les noms propres bourgeois des intérêts de classe dominants à la place de leurs noms de saints. »

Conclusion à graver dans les cœurs quand on vous parle de révérer, diviniser et protéger la république dans la guerre et le sang :

« Toute notre exposition a montré que la République, dès le premier jour de son existence, n’a pas renversé, mais, au contraire, constitué l’aristocratie financière. Mais les concessions qu’on lui faisait étaient un destin auquel on se soumettait sans qu’on veuille le faire naître. Avec Fould, l’initiative gouvernementale revint à l’aristocratie financière. »

Avec ces gars de la bourse, la dette explose. Marx encore :

« Donc, sans bouleversement complet de l’État français, pas de bouleversement du budget public français. Avec ce budget public, nécessité de l’endettement de l’État, et, avec l’endettement de l’État, nécessité de la domination du commerce, des dettes publiques, des créanciers de l’État, des banquiers, des marchands d’argent, des loups-cerviers. Une fraction seulement du parti de l’ordre participait directement au renversement de l’aristocratie financière : les fabricants. »

Les bonnes vieilles méthodes de notre présent permanent :

« Sous Fould, l’aristocratie financière, à côté des autres fractions bourgeoises qui la jalousaient, n’étala point, naturellement, autant de corruption cynique que sous Louis-Philippe. Mais, d’abord, le système restait le même, augmentation constante des dettes, dissimulation du déficit. Puis, avec le temps, l’escroquerie boursière d’autrefois se manifesta avec plus de cynisme. »

Mais Marx parle aussi du peuple écrabouillé d’impôts alors que le riche passe au travers :

« Le paysan, lorsqu’il évoque le diable, lui donne les traits du porteur de contrainte. Dès le moment où Montalembert fit de l’impôt un dieu, le paysan devint impie, athée et se jeta dans les bras du diable, du socialisme. La religion de l’ordre s’était moquée de lui, les jésuites s’étaient moqués de lui, Bonaparte s’était moqué de lui. »

Marx ajoute encore sur le fisc français :

« La haine populaire contre l’impôt sur les boissons s’explique par le fait qu’il réunit en lui tous les côtés odieux du système fiscal français. Son mode de perception est odieux, son mode de répartition est aristocratique, car, les pourcentages d’impôt étant les mêmes pour les vins les plus ordinaires et pour les plus fins, il augmente donc en proportion géométrique dans la mesure où diminue la fortune des consommateurs, c’est un impôt progressif à rebours. »

Et que faire pour calmer tous ces mécontents ? Les mitrailler, car, comme dit Flaubert dans son Dictionnaire des idées reçues, c’est le seul moyen de faire taire des ouvriers…

Sources

Marx, Luttes des classes en France




« La seule porte de sortie pour la France est spirituelle »

https://twitter.com/RicardoMinute/status/1810691367779156376