Le satanisme affiché au grand jour lors de la cérémonie d’ouverture des JO 2024




Les Jeux olympiques de Paris : le championnat de la russophobie

Par Oleg Nesterenko

Les Jeux olympiques de Paris ont débuté ce 26 juillet 2024 pour le plus grand bonheur des amateurs du sport de tous horizons qui préfèrent, à juste titre et pour ne pas gâcher l’ambiance de fête, fermer les yeux sur les scandales et le chaos sans précédent accompagnant la période de préparation de l’ouverture des actuels jeux et de les ignorer en se concentrant sur les compétitions sportives qui se tiendront dans la capitale française jusqu’au dimanche du 11 août 2024.

En laissant les fans de sport savourer le retour de l’événement qu’ils attendaient depuis trois ans, je ne peux, toutefois, ne pas me tourner vers ceux qui ont tendance à préférer la vision de l’ensemble des processus qui se déroulent dans l’époque que nous vivons, au lieu de se contenter de la consommation insoucieuse et agréable de ce qui leur est servi sur un plateau, sans examiner la qualité et la propreté de la table sur laquelle ce dernier est posé.

Je préfère laisser les autres commenter les graves dérives qui sont devenues une normalité durant les préparatifs des JO de Paris et dire quelques mots sur un autre aspect de l’événement qui sera lourd de conséquences : l’excès de la russophobie qui est devenue un synonyme de la compétition olympique de ce jour.

Les réalités du CIO

En 1925, lors du Congrès olympique qui s’est tenu à Prague, Pierre de Coubertin, le père fondateur des Jeux olympiques (JO) contemporains, a déclaré concernant les JO : « Tous les peuples y doivent être admis sans discussion, de même que tous les sports y doivent être traités sur un pied d’égalité sans souci des fluctuations ou des caprices de l’opinion ».

Le grand principe fondateur des Jeux olympiques sur la participation inconditionnelle de tous les peuples dans l’événement, le principe sans lequel l’existence même de cette grande initiative sportive perd son sens — ce principe est non seulement bafoué, mais tout simplement méprisé par l’actuel Comité international olympique (CIO) qui a totalement oublié le rôle qui est le sien.

Quelle est la réelle raison de la mutation malsaine que le CIO a subie ? La réponse est simple. Aujourd’hui, ce Comité est totalement dominé par les lobbies des puissances occidentales qui l’ont transformé en simple exécutant de la volonté politique de ses commanditaires, en pervertissant le plus grand événement sportif international, sain autre fois, en une simple tribune de leur propagande.

La domination occidentale des JO via le CIO par le bloc occidental n’est guère une supposition, mais un fait concret : sur les 206 pays participants aux JO, seules 106 personnes constituent le Comité Olympique, dont 54 — la majorité — sont les représentants des intérêts de l’Occident collectif, dont l’ensemble des populations est inférieur à 20 % de la population mondiale. En ce qui concerne la Fédération de Russie, la Chine, l’intégralité du continent africain et l’intégralité de l’Amérique latine — tous ces pays et continents qui constituent la majorité écrasante de la population de la Terre ne sont représentés que par 32 membres, soit moins de 1/3 des voix de votes.

CIO et ses dérives russophobes

Dès le début de l’initiative militaire de Moscou contre les intérêts du bloc de l’OTAN sur le territoire ukrainien, les décideurs occidentaux ont ordonné au CIO d’entreprendre une série de répressions à l’encontre de la Fédération de Russie, ce qui a été promptement réalisé et mis en avant en tant qu’un des éléments dans le cadre du grand tableau de la propagande déclenchée par le camp « atlantiste » contre son adversaire politico-militaire russe.

Le Comité « international » olympique a réprimé non seulement le droit souverain des sportifs russes de concourir sous leur drapeau national, mais en plus les a autorisés à participer dans les JO uniquement en tant qu’athlètes neutres, sans représenter leur pays.

En tant que condition supplémentaire additionnelle, le non-soutien de l’opération militaire russe, soit la non-opposition à la politique du bloc de l’OTAN a été requise auprès de chaque participant potentiel originaire de la Russie. Tous ceux qui ont refusé de se plier à chacune des conditions politiques exposées ont été interdits de facto à participer aux JO. Un grand nombre de sportifs russes déjà médaillés olympiques ont refusé personnellement de participer à ce championnat de la russophobie orchestré par des puissances-ennemies.

De ce fait, il est à souligner que l’intégralité des résultats des JO de Paris 2024 sera complètement faussée suite à l’absence d’un grand nombre d’athlètes qui auraient eu d’énormes chances de recevoir de nouvelles médailles. Les médailles seront donc attribuées à des compétiteurs plus faibles — l’ensemble de l’événement ne devient qu’une triche légalisée à l’examen.

Sans entrer dans les détails de la guerre en Ukraine qui est un autre sujet et dont la réalité est très éloignée des narratifs mensongers propagés par le bloc politico-militaire occidental, cela étant et quoi qu’il en soit, en mettant des parallèles on ne peut ne pas constater que l’histoire ne se souvient pas de l’exclusion des athlètes américains, notamment lors des jeux olympiques d’Athènes en 2004, après que leur pays d’origine ait perpétré un gigantesque massacre des populations et des crimes contre l’humanité lors de l’Invasion et la destruction de l’Irak en 2003. Ni des athlètes anglais et français lors des JO de Londres en 2012, à la suite de la destruction en 2011 de la Lybie et de l’avenir de son peuple perpétré par la France et le Royaume-Uni au premier lieu à la demande de leur tuteur outre-Atlantique.

De même pour les athlètes d’Israël : ils n’ont pas eu le moindre dérangement de la part du CIO à la suite de l’action de leur pays vis-à-vis de Gaza et dont je vais revenir plus loin sur la situation de l’équipe olympique hébreu dans le cadre des JO de Paris.

Aujourd’hui, la guerre en Ukraine dorénavant perdue par le bloc occidental face à la Fédération de Russie, ce denier observant l’agonie de sa créature qui est le régime de Kiev, pousse le CIO à la bassesse d’une revanche d’impuissance qui s’est traduite par une répression supplémentaire : l’interdiction pure et simple aux sportifs russes admis sous bannière neutre aux JO de Paris de participer à la parade sur la Seine avec les autres délégations lors de la cérémonie d’ouverture.

Étant donné qu’il s’agit de sportifs en tant que personnes physiques qui se sont déjà pliées à des conditions discriminatoires du CIO à l’encontre de leur pays, l’interdiction de leur participation à la cérémonie d’ouverture ne peut en aucun cas être traitée judiciairement autrement que par la discrimination par une personne morale vis-à-vis de personnes physiques à la base de leur origine. J’aimerais rappeler aux responsables (irresponsables, pour être plus précis) concernés du prétendu pays du respect des droits : ce méfait constitue une grave violation directe, assumée et affichée de la Loi 225-1 de la Section 1 « Des discriminations » du Chapitre V « Des atteintes à la dignité de la personne » du Livre II « Des crimes et délits contre les personnes » du Code pénal de la République Française.

La flagrance de ces constats est plus que parlante et le monde non occidental tire ses conclusions et prend ses dispositions dans la construction du monde de demain.

Les JO et la dégénérescence morale de la classe politique française

Sans avoir à citer l’intégralité des dérives immorales de la quasi-totalité des représentants de l’actuelle classe politique française, arrêtons-nous sur un échantillon tout à fait représentatif de ce dernier, qui est madame Anne Hidalgo, la mairesse de la ville de Paris.

En surfant sur la vague de la propagande étatique russophobe, afin de gagner des points politiques auprès de la masse électorale formatée et endoctrinée par des mass-medias, c’est déjà début avril 2024 que cette dame a fait connaître sa position russophobe vis-à-vis des futurs JO : « Je veux dire aux athlètes russes et biélorusses qu’ils ne sont pas les bienvenus à Paris ».

Enfin, il se peut que je me trompe sur les penchants russophobes de la mairesse Anne Hidalgo et qu’elle ne produise ce type d’immondes déclarations que juste pour détourner l’attention des habitants des graves problèmes de la ville, que cette dame, aussi étonnant que cela puisse paraître, est censée administrer.

En ne parlant que des soucis municipaux les plus inoffensifs et en ne mentionnant même pas la célèbre invasion des punaises dans les lits des Parisiens, il ne serait pas de refus que quelqu’un de l’entourage politique de cette personne lui rappelle que, notamment, la population des rats-porteurs de maladies contagieuses au sein de sa commune est aujourd’hui largement supérieure au nombre même des habitants. Qu’on lui rappelle également qu’il est impossible de marcher sur ses trottoirs sans mettre les pieds, l’un après l’autre, dans les excréments des chiens qui, depuis longtemps, sont devenus l’une des attractions touristiques les plus remarquées de la ville de Paris.

Au lieu de jouer à la grande politicienne soucieuse de la victoire de la prétendue lumière face à l’obscurité, madame Hidalgo devrait plutôt s’occuper de son travail pour lequel elle perçoit un salaire tout à fait confortable payé par les contribuables : nettoyer les trottoirs des excréments.

Pour ma part, j’aimerais lui rappeler un autre fait la concernant. Madame Anne Hidalgo ou, plus exactement, Ana Maria Hidalgo Aleu, étant citoyenne du Royaume d’Espagne, connaît très mal non seulement son histoire, mais l’histoire tout court.

Notamment, durant les Jeux olympiques de Berlin qui se sont tenus en 1936, sous le IIIe Reich, même un personnage comme Adolf Hitler ne s’est jamais permis de prononcer un seul mot désobligeant ou discriminatoire vis-à-vis de ne serait-ce qu’un seul athlète d’un des pays participants aux JO. Et ceci malgré sa détestation personnelle viscérale et sa considération d’un grand nombre d’entre eux en tant que sous-hommes et animaux à éliminer.

Pendant le déroulement des jeux, Adolf Hitler a même fait passer une circulaire de l’interdiction de l’affichage et de l’application de sa politique raciale (lois raciales de Nuremberg de septembre 1935) sous peine de poursuites pénales, afin de ne pas froisser la sensibilité des étrangers non habitués aux « nouveautés » développées sous le Reich et de ne surtout pas provoquer le moindre incident international.

Il n’est également pas à négliger que le début des Jeux olympiques de Berlin a eu lieu à la 3e semaine de la guerre civile sanguinaire en Espagne — pays natal de la mairesse de Paris — dont l’Allemagne était déjà en train de prendre ses positions et dispositions en tant qu’ennemi de certains pays, dont les athlètes étaient présents aux JO à Berlin, mais qui n’ont à aucun moment aperçu la moindre hostilité de la part du pays-organisateur, même si ce dernier était une dictature sanguinaire nazie.

L’analyse comparative de la rhétorique du mois d’avril 2024 d’Ana Hidalgo, fière représentante et porte-parole de la classe politique française dans le cadre des JO de Paris, avec celle du mois d’août 1936 d’Adolf Hitler, le chancelier du IIIe Reich, ne peut que laisser perplexe, car son résultat est tout à fait en défaveur de l’actuelle occupante de l’hôtel de ville de Paris.

La politique des « deux poids, deux mesures »

En mettant de côté l’inacceptabilité des abus commis tant par le Comité international olympique (CIO) régi par des forces occidentales que par les représentants politiques du pays-organisateur qui est la France, une autre question se pose.

Comment cela se fait qu’en face de la répression sans précédent de l’équipe olympique russe pour des raisons plus que discutables — l’équipe olympique israélite, quant à elle, ne connaît même pas le soupçon du début de problèmes similaires sur le sol du pays des fromages ?

C’est exactement le contraire qui arrive : de même que le congrès des États-Unis d’Amérique a applaudi récemment debout Benyamin Nétanyahou, le Premier ministre d’Israël, les hauts représentants du pouvoir actuellement installés en France ont mis un effort tout particulier, assumé et affiché non seulement dans la protection de l’équipe olympique hébreu — ce qui est tout à fait normal — mais en plus et, surtout, dans la négation du grand massacre de masse de la population civile de Gaza perpétré d’une manière assumée et préméditée par les forces armées de l’état hébreu.

Ni les nombreuses résolutions de l’ONU, ni les très graves accusations de génocide à l’encontre d’Israël, ni les initiatives de la Cour Pénale Internationale (CPI) tant chérie et applaudie par l’ensemble du monde occidental, dont la France, au moment du lancement des poursuites contre le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine (voir mon analyse « Le “tribunal pour l’Ukraine” ou la chasse aux sorcières à l’occidentale », démontrant juridiquement l’absurdité et la totale illégalité de l’initiative de la CPI à l’encontre de V. Poutine) — aucun de ces éléments n’a créé la moindre réflexion dans le camp irresponsable de la Macronie qui pourrait mener à la modération du zèle dans le positionnement de la France en tant qu’ennemi du peuple de Gaza et, par la même occasion, de l’ensemble du monde arabo-musulman.

L’idée de l’interdiction par le ministère de l’Intérieur de l’affichage du drapeau palestinien lors du passage de la flamme olympique (à Vitry-sur-Seine) était certainement considérée comme très lumineuse. Le fait que la Palestine soit représentée en tant qu’État par son équipe sportive aux Jeux olympiques de Paris 2024 n’a guère effleuré les esprits des auteurs irresponsables de cette gravissime discrimination du peuple victime de massacre à des proportions industrielles.

De leur côté, les athlètes russes se sont vu être privés non seulement de leur droit absolu du port du drapeau national et de la participation dans l’ouverture des JO de Paris — ce qui est une totale aberration politique — mais même de l’assistance par leur propre ambassade, en cas de besoin, via le refus officiel de la délivrance de l’accès aux espaces des jeux à des représentants du corps diplomatique russe en France, ce qui est une procédure normale, pratiquement obligatoire durant la tenue de chaque JO dans le monde. Une mesure de grande discrimination jamais vue dans les 128 ans d’existence des Jeux olympiques contemporains a été mise en place par les autorités irresponsables du pays d’accueil des JO sans la moindre réflexion sur la gravité de la violation des règles régissant la diplomatie internationale.

De même, à l’opposé des excès du zèle protecteur vis-à-vis de l’équipe sportive juive, il n’est plus guère étonnant que les autorités françaises « responsables » n’aient pas mis en place même les moindres traces du soupçon des mesures de protection appropriées à des athlètes russes contre d’éventuelles agressions de la part d’extrémistes ultranationalistes ukrainiens, dont la France regorge aujourd’hui au même titre que le reste de l’UE.

Cela étant, en notant le haut degré de l’irresponsabilité politique et morale des autorités françaises dans le cadre de l’organisation des JO, il est, néanmoins, à souligner que les membres de l’équipe olympique israélite ne doivent, en aucun cas, être stigmatisés et jugés responsables des actions criminelles menées par le chef de l’état et le gouvernement du pays, dont ils sont originaires. Le domaine des responsabilités des athlètes aux JO ne peut être autre que celui du sport.

Selon mon avis personnel subjectif, les principes fondamentaux des Jeux olympiques exprimés par Pierre de Coubertin « Tous les peuples y doivent être admis sans discussion » — ces principes sont sacrés et leur profond mépris de la part des actuels « responsables » et organisateurs des JO qu’on observe aujourd’hui est un véritable crime vis-à-vis de l’institution. Un crime lourd de conséquences qui ne se limiteront certainement pas qu’à la grave détérioration de l’image de l’événement dans le monde.

JO de Paris — une pierre de plus à l’édifice de l’effondrement de l’Occident

Dans les décennies du passé, la politique étrangère de l’Occident collectif vis-à-vis du reste du monde était grandement guidée par des principes ayant pour réel objectif final la mise en place des rapports « gagnant-perdant » en sa faveur.

Cela étant, la vraie nature des rapports instaurés était soigneusement dissimulée à l’aide de toute une panoplie d’outils de pression que l’hégémonie économico-militaire occidentale a procurés à sa classe politique qui était, en sa grande partie, porteuse des aptitudes et compétences professionnelles de haut niveau dans son action du développement et de la consolidation de la domination.

Aujourd’hui, l’hégémonie de l’Occident sur le monde qui a perduré depuis le 15siècle s’approche de son terme. Et ceci d’une manière indéniable et irrévocable.

La situation du camp occidental est grandement aggravée par la tendance généralisée du grand remplacement des élites politiques porteuses des capacités de vision à long terme et des compétences permettant de le réaliser sur le terrain par celles des activistes-arrivistes. Activistes, dont la plupart sont dépourvus tant de l’aptitude aux postes occupés, tant des compétences et de la capacité de vision à long terme qui sont les trois conditions sine qua non pour mener les états ailleurs que dans le précipice de la récession et de la décadence.

Les Jeux olympiques que nous vivons aujourd’hui ne sont qu’une scène de plus, parmi tant d’autres qui ont eu lieu ces dernières années, sur laquelle la classe politique actuellement au pouvoir en France, étant tout à fait représentative de l’ensemble de la classe politique du monde occidental, commet une erreur fatale vis-à-vis de la volonté de la perpétuation de l’hégémonie mondiale du camp qu’il représente, en exposant d’une manière ouverte et assumée leur modus operandi qui consiste à l’application des doubles standards, de la politique « deux poids, deux mesures ».

Tel abus ouvert et démesuré de la position de force occidentale qui marche à grands pas vers son annihilation ne fait que creuser davantage le précipice idéologique entre l’Occident collectif et le reste de l’humanité qui tolère de moins en moins les dérives immorales à répétition de ceux qui se positionnent en maîtres. Maîtres, à qui il ne reste plus grand-chose du passé florissant, hormis les démesurées ambitions.

Oleg Nesterenko
Président du CCIE (www.c-cie.eu)
(Ancien directeur de l’MBA, ancien professeur auprès des masters des Grandes Écoles de Commerce de Paris)




Donald Trump, le candidat du chaos

[Source : francephi.com]

Entretien avec Nicolas Bonnal, auteur de Donald Trump, le candidat du chaos

Donald Trump a été le 45e président des États-Unis du 20 janvier 2017 au 20 janvier 2021 ; il a ensuite été battu par Joe Biden qui lui a succédé à la Maison-Blanche et est à nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2024 contre celui-ci. À l’été 2024, au moment de la réédition de ce livre paru en 2016, Donald Trump défraie la chronique en échappant, le samedi 13 juillet, à une tentative d’assassinat par balle survenue au cours d’un meeting en Pennsylvanie ; il est seulement blessé à l’oreille, tandis qu’un homme de 50 ans est tué et deux autres personnes grièvement blessées.

« Par son rayonnement mondial et la haine imbécile suscitée, Donald Trump incarne le dernier sanglot de l’homme blanc, peu à l’aise dans un monde qui n’est plus le sien »

Essayiste et chroniqueur politique entre autres sur le site EuroLibertés, Nicolas Bonnal est l’auteur de monographies (Tolkien, Mitterrand, Annaud,…) et d’une dizaine de livres sur l’histoire et les grands noms du cinéma (Hitchcock, Kubrick, Ridley Scott).

Entretien avec Nicolas Bonnal, auteur de Donald Trump, le candidat du chaos (éditions Déterna) paru sur le site EuroLibertés.

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Pour en savoir plus sur Nicolas Bonnal, cliquez ici

Pourquoi avoir écrit un livre sur Donald Trump ? Pour profiter de son succès ?

Pour deux raisons essentielles, en fait… D’une part, la campagne présidentielle américaine en 2016-2017 a été la plus intéressante de ces dernières décennies. C’est ce que dit le célèbre animateur de radio et de télévision américain Larry King qui a aussi déclaré que Donald Trump est un « moghol », un grand du monde médiatique et charismatique. À l’époque, ses rivaux étaient Bernie Sanders, d’extrême-gauche et Hillary Clinton, candidate officielle de « l’empire humanitaire », très impopulaire. Cet « empire » est en crise, comme le reste du monde. Le programme chaotique et contradictoire de Trump reflète ce malaise et cette folie américaine.

Ensuite, parce que je voulais depuis longtemps écrire un livre sur les USA, qui traite de sujets politiquement incorrects.

C’est-à-dire ?

Du refus de l’immigration par exemple. L’Amérique de souche s’est fait imposer la conception du Melting Pot et la notion de refuge pour masses opprimées. Au début du XXe siècle, un grand mouvement antimigratoire se dessine, qui aboutit aux lois Harding et qui refuse en Amérique les immigrés balkaniques, italiens, slaves ou autres. Les Américains de souche, soit les descendants des coloniaux, n’ont jamais été tous contents de se voir peu à peu remplacés sur leur sol, surtout après la suicidaire et humanitaire Guerre de Sécession. Il y a donc depuis un malaise perpétuel et Donald Trump le reflète presque involontairement — mais messianiquement —, d’où la haine qu’il inspire.

Le sujet Trump évoque pour vous les sites libertariens et la théorie de la conspiration…

Les sites américains comme zerohedge.com, economiccollapse ou prisonplanet, sont riches et bien informés. Il y a une forte tradition antisystème dans ce pays, alors que, chez nous, tout reste bloqué à droite par le culte républicain de l’État-nation ou du Moyen Âge chrétien ! Trump surfe sur le mécontentement social et politique, intellectuel même. « On » ne veut pas de politiquement correct, et on argumente beaucoup mieux qu’en France où l’on ne comprend pas que l’État-nation en France est une entité hostile depuis longtemps, mais caricaturalement, surtout depuis 1793 et surtout 1870. La république dévore la France comme Saturne ses enfants…

Pour en savoir plus sur « Donald Trump, le candidat du chaos », cliquez ici

Du même auteur, lire aussi :

Ridley Scott et le cinéma rétrofuturiste
Les mystères de Stanley Kubrick
Le paganisme au cinéma
La chevalerie hyperboréenne et le Graal
Littérature et conspiration
Hitchcock et les femmes
L’Âge d’or de la comédie musicale américaine (avec Tetyan Popova-Mozovska)




Pédophilie, abus rituels religieux et contrôle mental

MK, abus rituels et contrôle mental — A. Lebreton

Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme. Comment réagit le cerveau d’un enfant soumis à de telles horreurs ? Comment est-il possible de programmer mentalement un être humain ? Quelles sont les racines de telles pratiques ? En remontant jusqu’aux religions antiques, en passant par le chamanisme ancestral tout en recoupant les nombreux témoignages de victimes et de thérapeutes, mais aussi de repentis, nous découvrons petit à petit que ces pratiques psycho-spirituelles, consistant à créer de profonds états modifiés de conscience par des traumatismes, sont une boîte de Pandore permettant de perpétuer un esclavage mental, mais aussi d’adapter à d’autres dimensions. Il s’agit d’un monde occulte et sous-terrain, mais qui paradoxalement nous parle d’illumination tout en s’affichant clairement sous les projecteurs du grand théâtre mondial, notamment dans le show-business. Tout comme une mémoire fractionnée et amnésique, ce livre reconstitue une sorte de puzzle MK (MK pour Mind-Kontrol, le contrôle mental) dont les différentes pièces relient à la fois les religions dites à Mystères, l’anthropologie, la psychotraumatologie, le satanisme transgénérationnel, les programmes gouvernementaux de type MK-Ultra, la démonologie, la magie sexuelle, les sociétés secrètes, mais aussi de l’industrie du divertissement dont les codes et les symboles font émerger une sous-culture MK de plus en plus explicite et révélatrice. Une fois toutes ces pièces assemblées les unes aux autres d’une manière cohérente, une partie des arcanes de ce monde commence à devenir accessible ; une clé de compréhension essentielle du système pédo-satanique et plus globalement de ce que l’on nomme aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial. Les bases du contrôle mental s’appliquent autant à l’échelle individuelle qu’à l’échelle des masses, il s’agit de l’outil de domination premier de la Religion sans nom… l’œil du cyclone. Cet ouvrage tente de reconstituer le puzzle MK du mieux possible, il devrait vous aider à saisir un des aspects les plus obscurs de notre monde, et peut-être aussi vous éclairer sur notre situation actuelle, autant matérielle que spirituelle.


[Source : prune de prune]







La 25e heure et le citoyen technique

Par Nicolas Bonnal

La vingt-cinquième heure ? C’est selon Virgil Gheorghiu « le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien ».

JO, surveillance, confinements-vaccins, reset-écologie…

Nous y sommes, car nous avons devant nous une conspiration avec des moyens techniques et financiers formidables, une conspiration formée exclusivement de victimes et de bourreaux volontaires. On a vu les bras croisés le cauchemar s’asseoir depuis la mondialisation des années 1990 et la lutte contre le terrorisme (2001), puis progresser en 2020-21 à une vitesse prodigieuse, cauchemar que rien n’interrompt en ces temps de pleine apostasie catholique. La dégoûtante involution du Vatican s’est faite dans la totale indifférence du troupeau de nos bourgeois-diplômés-cathos, et on comprend ce qui pouvait motiver Drumont, Léon Bloy ou Bernanos contre une telle engeance de bien-pensants. Un pour cent ou un pour mille de résistants ? Le reste s’est assis masqué et a applaudi.

La situation est pire que sous le nazisme ou le communisme, car à cette époque elle était localisée. Il y a des Thomas Mann, il y a des Soljenitsyne pour témoigner, pour tonner contre, comme dit Flaubert. Là, la situation techno-nazie de Schwab-Gates-Leyen sera globale. La crise du virus a déclenché une solution totalitaire planétaire et des expédients ubiquitaires — signe de l’Antéchrist, dit Mgr Gaume. Certes c’est surtout l’Occident la cible, et cette vieille race blanche toujours plus gâteuse, que je mettais en garde il y a dix ans (Lettre ouverte) ou trente (La Nuit du lemming). Mais c’est le propre des Cassandre de n’être jamais crues ou des Laocoon d’être étouffés par les serpents. Lisez dans Virgile l’entrée du cheval dans la cité de Troie pour comprendre. Après la mort de Laocoon le peuple troyen enjoué abat les murs et laisse entrer la machine pleine de guerriers. Allez, un peu de latin :

Diuidimus muros et moenia pandimus urbis. [Nous avons divisé les murs et étendu les murs de la ville.]

Nous sommes donc à la veille d’une gigantesque extermination et d’un total arraisonnement. Et tout cela se passe facilement et posément, devant les yeux des victimes consentantes ou indifférentes que nous sommes. Nous payons ici l’addition de la technique et de notre soumission. De Chateaubriand à Heidegger elle a été rappelée par tous les penseurs (voyez ici mes chroniques). C’est cette dépendance monotone qui nous rend incapables de nous défendre contre les jobards de l’économie et de l’administration qui aujourd’hui veulent faire de leur troupeau humain le bifteck de Soleil vert ou les esclaves en laisse électronique. Et le troupeau est volontaire, enthousiaste comme disait Céline avant juin 40.

Chateaubriand dans ses Mémoires :

« Au milieu de cela, remarquez une contradiction phénoménale : l’état matériel s’améliore, le progrès intellectuel s’accroît, et les nations au lieu de profiter s’amoindrissent : d’où vient cette contradiction ?

C’est que nous avons perdu dans l’ordre moral. En tout temps il y a eu des crimes ; mais ils n’étaient point commis de sang-froid, comme ils le sont de nos jours, en raison de la perte du sentiment religieux. À cette heure ils ne révoltent plus, ils paraissent une conséquence de la marche du temps ; si on les jugeait autrefois d’une manière différente, c’est qu’on n’était pas encore, ainsi qu’on l’ose affirmer, assez avancé dans la connaissance de l’homme ; on les analyse actuellement ; on les éprouve au creuset, afin de voir ce qu’on peut en tirer d’utile, comme la chimie trouve des ingrédients dans les voiries ».

Voilà pourquoi les parlements et les administrations ne seront arrêtés par rien. Et le troupeau renâclera peut-être trois minutes, mais il se soumettra comme les autres fois sauf qu’ici ce sera global et simultané. Quant aux minorités rebelles (1 % tout au plus) le moins que l’on puisse dire c’est qu’elles ne sont pas très agissantes…

Dans la vingt-cinquième heure, Virgil Gheorghiu dénonce avec son personnage Trajan notre déchéance liée au progrès, au confort, à la technique, à la bureaucratie, ce qu’on voudra. Et cela donne :

« Nous apprenons les lois et la manière de parler de nos esclaves pour mieux les diriger. Et ainsi, peu à peu, sans même nous rendre compte, nous renonçons à nos qualités humaines, à nos lois propres. Nous nous déshumanisons, nous adoptons le style de vie de nos esclaves techniques… »

Cela explique pourquoi l’homme moderne fils des droits constitués et pas gagnés se laisse liquider partout si commodément.

« L’homme moderne sait que lui-même et ses semblables sont des éléments qu’on peut remplacer ».

Celui qui ne veut pas de leur ordre nouveau sera liquidé ou marginalisé (pas de resto, de magasin, de transport, d’eau, d’électricité). Gheorghiu, futur prêtre orthodoxe, le dit :

« Ceux qui ne respectent pas les lois de la machine, promue au rang des lois sociales, sont punis. L’être humain qui vit en minorité devient, le temps aidant, une minorité prolétaire ».

L’humain déshumanisé, Gheorghiu l’appelle le citoyen technique :

« Les esclaves techniques gagneront la guerre. Ils s’émanciperont et viendront les citoyens techniques de notre société. Et nous, les êtres humains, nous deviendrons les prolétaires d’une société organisée selon les besoins et la culture de la majorité des citoyens, c’est-à-dire des citoyens techniques ».

Et comme Chateaubriand Gheorghiu rappelle :

« Dans la société contemporaine, le sacrifice humain n’est même plus digne d’être mentionné. Il est banal. Et la vie humaine n’a de valeur qu’en tant que source d’énergie ».

Et de conclure moins lugubre que réaliste :

« Nous périrons donc enchaînés par les esclaves techniques. Mon roman sera le livre de cet épilogue… Il s’appellera la vingt-cinquième heure. Le moment où toute tentative de sauvetage devient inutile. Même la venue d’un messie ne résoudrait rien. Ce n’est pas la dernière heure : c’est une heure après la dernière heure. Le temps précis de la société occidentale. C’est l’heure actuelle, l’heure exacte ».

Je dis moins lugubre que réaliste, car il est temps de voir et de dire que tout cela est au final scientifique et juste, comme disait l’orthodoxe Vladimir Volkoff. Volkoff disait que le bolchévique c’est celui qui en veut plus, idéaliste, progressiste, banquier central, militaire, agent secret ou même journaliste. Le troupeau c’est celui qui n’y croit pas ou ricane et de toute manière se soumet. C’est celui qui en veut moins. C’est le troupeau des citoyens-troyens euphoriques.

Sources 




« Les monnaies numériques de banque centrale vont échouer »

[Source : essentiel.news via sentadepuydt.substack.com]

Inflation, endettement, guerres : dans les vues de l’économiste Martin Armstrong, la prochaine décennie ne sera pas triste.

17 juillet 2024

Condamné pour fraude — il a fait sept ans de prison — Martin Armstrong n’en est pas moins l’un des économistes les plus écoutés aux États-Unis. Dans le cadre de la réalisation d’un documentaire à venir « The Big Picture », James Patrick, l’auteur de la série Planet Lockdown, lui a demandé pourquoi il estime que les monnaies numériques de banque centrale ou « CBDC » ne vont pas marcher.

Monnaie de contrôle, récession, guerres, mais aussi échec du futur gouvernement mondial, Armstrong déroule ses prévisions pour la prochaine décennie, jusqu’au moment où l’Humanité devra se réinventer en tirant les leçons du passé.

Célèbre pour avoir prédit, jour pour jour, plusieurs évènements de grande ampleur, dont le krach du lundi noir d’octobre 1987, l’effondrement de l’indice Nikkei en 1989 et le krach russe de 1998, il dit s’appuyer sur des modèles mathématiques et historiques complexes, plutôt que sur les théories classiques de l’économie.

L’abîme de la dette

Pour Martin Armstrong, la raison principale avancée pour l’introduction des CBDC tient à l’effondrement du système économique sous le poids de la dette :

Les États ont toujours emprunté sans intention de repayer la dette. En 2024, les dépenses liées aux intérêts sur la dette vont s’élever à mille milliards. Dans les années 1980, cette somme correspondait au montant total de la dette américaine et non aux intérêts annuels. Actuellement 70 % des dépenses vont dans le seul remboursement des intérêts. Or le problème c’est que de toute façon, il n’y a aucun moyen de payer la dette.

L’expert le répète : notre économie est totalement hors contrôle. Les États sont en faillite :

Dans cette sorte de système de Ponzi, on crée de nouvelles dettes pour apurer les anciennes. Mais, lorsque plus personne ne prête de l’argent pour racheter l’ancienne dette, l’État fait faillite. Le problème, répète-t-il, c’est que les gouvernements occidentaux sont constamment en déficit, même en période de boom économique.

Il souligne aussi que, tout au long de l’Histoire, cette situation a mené au chaos :

Les gouvernements qui empruntent finissent toujours par tomber en faillite, et après cela ils partent en guerre. Aujourd’hui tout le monde veut la guerre, parce que c’est la meilleure excuse pour déclarer une faillite.

Le dilemme des banques centrales

Armstrong est particulièrement critique du modèle de l’économie keynésienne qu’il considère comme obsolète.

Les banques centrales se trouvent face à un dilemme, parce que l’économie keynésienne ne fonctionne plus. Relever les taux d’intérêt pour limiter l’inflation, ça pouvait marcher dans les années 1930, quand les gouvernements avaient un budget équilibré. Les taux d’intérêt modifiaient le comportement de la population, les gens empruntaient moins.

Mais aujourd’hui, c’est le gouvernement qui est devenu le plus gros emprunteur. Donc si les banques centrales relèvent le taux d’intérêt, les gens empruntent moins, mais cela n’empêche pas le gouvernement de dépenser tous azimuts et de provoquer une récession économique.

Ouvriers sans travail après le krach boursier de 1929

Forme de contrôle absolu sur la population

L’économiste explique que selon les chiffres officiels de l’administration fiscale (Internal Revenue Services), environ 35 % de l’activité économique échappe aux impôts. En supprimant le cash et en imposant les CBDC, la monnaie numérique de banque centrale, les gouvernements pensent qu’ils vont pouvoir supprimer l’économie parallèle, notamment tous les petits boulots qui ne sont pas déclarés. Pour Armstrong :

Penser que les CBDC vont résoudre le problème est un faux raisonnement, parce que, peu importe le montant récolté par les gouvernements, ils s’arrangent toujours pour en dépenser beaucoup plus.

L’on sait que les CBDC ont un autre rôle. Il s’agit d’exercer une forme de contrôle absolu sur la population avec la mise en place des monnaies programmables. Par exemple, on pourra empêcher quelqu’un de faire une donation à un tel personnage politique ou d’acheter ce qui ne sera pas considéré comme éthique, ou même de retirer son argent en cas de guerre ou de faillite. Avec les CBDC, on pourra réellement contrôler les gens.

Il précise toutefois qu’il y a souvent un malentendu sur la manière dont ce contrôle sera exercé :

Les gens pensent qu’il y aura une monnaie émise directement par les banques centrales qui pourront tout contrôler. En réalité, cela peut aussi être des monnaies privées, utilisées par des banques ou des organisations privées, car les banques centrales n’ont pas de regard direct sur les activités des citoyens.

Les banques centrales auront le rôle régulateur, mais ce sont les banques privées qui seront chargées de faire des rapports à l’administration sur les dépenses et comportements de leurs clients. Donc, en ce qui me concerne, les monnaies numériques privées ne sont pas une solution au problème.

« La Réserve Fédérale n’est pas le véritable problème »

Étonnamment, Armstrong prend la défense de la banque centrale américaine :

La Réserve fédérale n’est pas le véritable problème. En réalité, c’est la seule chose qui fonctionne.

La Réserve fédérale américaine

L’expert explique que durant la Deuxième Guerre mondiale, le gouvernement américain avait demandé à la « Fed » de limiter la hausse des taux d’intérêts et qu’elle avait toujours accepté de suivre de la Maison-Blanche, sauf lors de la guerre de Corée. Mais, pour la première fois, les choses sont en train de changer.

En décembre 2023, lorsque l’on a clairement dit que les dépenses étaient hors contrôle, la Réserve Fédérale a ouvertement critiqué la Maison-Blanche. C’est la première fois que cela arrive depuis 1951 (la guerre de Corée).

En réalité, si l’on veut un gouvernement stable, on ne doit pas lui donner l’occasion d’emprunter de l’argent. Parce que cet argent lui sert à corrompre les gens et à s’installer au pouvoir.

Quatre prochaines années chaotiques

Selon les modèles mathématiques d’Armstrong, nous sommes entrés en récession à partir de mai 2024 et cela va se poursuivre jusqu’en 2032.

Même Paul Walker qui a présidé la réserve fédérale s’accorde à dire que le cycle économique dure environ huit ans.

À partir de mai 2024 jusqu’en 2028, nous entrons en récession avec l’inflation, la surtaxe et des conflits armés. Cela va entraîner des pénuries et une « stagflation » (inflation et stagnation, croissance nulle ou négative, chômage).

Cette augmentation constante de taxes sera accompagnée par l’introduction des CBDC. Armstrong affirme que les États-Unis sont en train de lever une armée de contrôleurs fiscaux pour imposer les indépendants et les petites et moyennes entreprises. Mais cela ne devrait rien résoudre, car « même si on prenait tout l’argent de milliardaires comme Bill Gates, Georges Soros ou Warren Buffet, cela ne suffirait pas à rembourser les intérêts de la dette pour une année ». Au contraire, il prédit un frein à l’activité économique, la diminution des investissements et une inflation galopante.

Par ailleurs, les gouvernements poursuivront leurs dépenses folles pour financer les guerres, comme avec l’Ukraine. Les quatre prochaines années s’annoncent donc chaotiques. Après 2028, Armstrong annonce une tentative de relance avec la formation d’un gouvernement mondial. Enfin, vers 2032 :

Le gouvernement mondial échouera aussi et finalement, on pourra redessiner notre système politique.

La centralisation est vouée à l’échec

Martin Armstrong revient sur les raisons de la chute du communisme dans l’Union Soviétique :

La plupart des gens ignorent que Lénine voulait en fait s’inspirer des États-Unis. Il souhaitait que les différents États gardent leur indépendance, et qu’ils puissent même se séparer s’ils le désiraient. C’est sans doute l’une des principales raisons pour lesquelles Staline l’aurait fait assassiner, car Staline a été l’architecte de la centralisation de l’URSS.

Le problème, c’est que les gouvernements centraux ne fonctionnent plus quand ils doivent gérer différentes cultures et populations. Et, si cela a raté en Union soviétique, cela n’ira pas aux États-Unis. Les gens y sont par exemple divisés sur des questions comme l’avortement ou l’immigration. Imposer la loi des uns sur les autres, parce que l’on a une majorité électorale, ça ne va pas.

On le voit en Ukraine : Zelensky veut obliger les russophones à parler ukrainien, ensuite ils doivent obéir au patriarche local et puis abandonner la Noël orthodoxe, etc.

On ne peut pas forcer les gens. Quand on interfère avec leur langue, leurs croyances, leur culture, on ne fait que les pousser à la guerre civile.

Armstrong pense qu’en cherchant à centraliser le pouvoir et à contrôler la population, l’on va créer un mouvement inverse. Les États-Unis pourraient se séparer en trois régions. La même chose se passerait sans doute au Canada, une séparation entre l’est et l’ouest du pays. L’Europe aussi finirait par éclater et les États membres retrouveraient leur souveraineté nationale.

Les monnaies alternatives

Quand Andrew Jackson a fermé la banque centrale des États-Unis, cela a créé la panique de 1937, la Grande Dépression. On a vu apparaître « les monnaies des temps difficiles ». Plus de 200 villes ont frappé leur propre monnaie. La même chose s’est passée durant la guerre civile et dans l’Allemagne d’après guerre. Il y avait le « Notgelt », l’« argent de secours » qui n’était pas émis par le gouvernement, mais par des caisses privées des villes.

Billet de 2 millions de marks émis par la ville de Cologne

De la même façon, l’imposition des CBDC risque d’engendrer la division et de pousser au démantèlement du pays, pour aboutir finalement à la création de monnaies alternatives.

En tous cas, ce sera une expérience intéressante de supprimer l’argent physique. À mon avis, c’est complètement absurde. Plus le gouvernement va chercher à imposer une forme de tyrannie, de contrôle absolu, plus cela va pousser les gens à se tourner vers des alternatives. Ils utiliseront n’importe quoi pour échapper au système : des pièces d’or, d’argent, tout ce qui a une valeur matérielle. Quand on met les gens en prison, ils font du commerce avec des cigarettes.

À mon avis, le Bitcoin a été créé par le gouvernement pour vendre l’idée des CBDC. Ce n’est pas une solution, ce n’est pas une réserve de richesse et de toute façon, c’est risqué parce que c’est immatériel. Les cryptomonnaies ne sont pas une alternative aux monnaies numériques de banque centrale. Elles peuvent être éliminées en une touche de clavier.

Changer le système politique

Si l’on veut un jour avoir un gouvernement par le peuple et pour le peuple, il faut limiter les mandats des élus dans la durée. Au début, les membres du Congrès ne siégeaient que quelques semaines par an, et ils n’avaient pas de salaire. Il faut éviter de créer une classe politique : que l’on paye les gens sur la base de leurs prestations réelles ! Quand les Clinton ont quitté la Maison-Blanche, ils ont emporté les meubles… enfin, tout ça ne leur appartient pas !

Biden est absent 40 % du temps et cela permet aux agences de faire ce qu’elles veulent. Le rôle d’un président lors de ces réunions de cabinet, c’est d’arbitrer les discussions. Le département de l’intérieur est aux mains des néoconservateurs qui veulent mener la guerre à la terre entière, y compris avec la Chine.

Et de rappeler que la Chine est le plus grand détenteur de dette américaine :

Imaginez que Janet Yellen (Secrétaire au Trésor et ancienne directrice de la Réserve fédérale) est obligée de se rendre en Chine pour supplier les Chinois de continuer à financer notre dette. S’ils refusent, il y a deux conséquences : d’abord les taux d’intérêt s’envolent et c’est l’inflation et ensuite si le gouvernement ne parvient pas à vendre des bons d’État, c’est la faillite. Et ces bons seront impossibles à vendre, car les intérêts que l’on obtiendra à leur échéance ne compenseront pas leur perte de valeur causée par l’inflation.

Un futur sans dettes !

Sur le plan individuel, nous apprenons de nos erreurs en grandissant, mais l’on dirait que sur le plan collectif, nous sommes incapables de tirer les leçons de nos expériences. Quand j’étais jeune, ce qui m’avait frappé à la lecture de l’Histoire, c’est que tous les empires qui se sont élevés ont fini par s’effondrer pour les mêmes raisons.

La seule solution à tout cela, c’est d’interdire aux gouvernements d’emprunter de l’argent. On ne peut pas leur faire confiance, ils ne vont jamais rembourser. Et puis, il faut stopper cet agenda marxiste, car c’est ce qui a mené à l’échec du communisme.

La corruption des représentants a toujours miné le système. C’était déjà le cas à Rome. Les pouvoirs que nos gouvernements nous prennent, ils ne nous les rendent jamais. Il faut instaurer des formes de consultation populaire. Pourquoi ne demande-t-on pas l’avis des peuples avant d’aller en guerre ? Nous avons envoyé des jeunes de 18 ans au Vietnam. Ils n’étaient pas assez âgés pour pouvoir prendre un verre ou pour voter, mais on les a envoyés au casse-pipe. Ce n’est pas ça la démocratie.

En 2033, on pourra donc tout recommencer :

Ce serait bien si pour la première fois, on pouvait tirer les leçons de l’Histoire et ne pas répéter les mêmes erreurs. Il faut s’y préparer dès maintenant. Moi je pense que nous avons une chance à saisir sur le plan collectif pour laisser autre chose à nos enfants que le chaos.

Nous aurons la chance de réinventer notre société à partir de zéro, tout comme les pères fondateurs de l’Amérique l’ont fait en 1776.

L’on peut suivre Martin Armstrong dans la revue Arsmtrong Economics.

Entretien mené par James Patrick dans le cadre du documentaire The Big Picture, mis en ligne le 5 juillet 2024.




De l’« assassinat » de Trump à la disparition de Biden… tout cela n’est que du théâtre

[Source : off-guardian.org]

[Illustration : Tima Miroshnichenko (https://www.pexels.com/fr-fr/photo/gens-personnes-individus-hommes-7991478/)]

Par Kit Knightly

Les remakes et les suites ont presque tué le cinéma hollywoodien, transformant chaque film en une collection de méta références et d’appâts de nostalgie… « Hé, vous vous souvenez quand ceci s’est passé dans cet autre film ! C’était cool, non ? »

Aujourd’hui, il semble qu’ils essaient la même tactique en politique. C’est ce que nous avons avec la « tentative d’assassinat » de Trump — un remake d’un vieux classique — l’assassinat de JFK — pour un public moderne.

Les gars, vous vous souvenez du deuxième tireur ? Vous vous souvenez du bouc émissaire ? Vous vous souvenez quand les services secrets ont reçu l’ordre de se retirer ?

Hé, vous tous, libertaires et adeptes de la vérité, voyez, Donald est exactement comme JFK, il est de VOTRE côté. Il s’oppose à ce bon vieil État profond que vous n’aimez pas. Honnêtement.

Le remake est bien sûr moins cher, plus ringard et s’adresse aux petits esprits modernes meurtris et confus qui ne sont plus tout à fait capables de se souvenir de ce à quoi ressemble la vraie réalité et qui ne remarqueront pas facilement que :
a) Trump ne s’est pas vraiment fait exploser la tête.
b) au cours de ses quatre années de mandat, il ne s’est jamais opposé à l’État profond ; et
c) la Commission Warren n’était pas une collection de questions scénarisées postées sur Twitter au coup par coup par des équipes de relations publiques essayant de faire passer leurs candidats pour des durs.

Le pseudo-courroux républicain s’est retourné contre Kimberly Cheatle, chef des services secrets — clairement désignée comme la méchante de l’affaire, et contrainte d’assister à une série de rituels d’humiliation de plus en plus fréquents, qui ont abouti à sa démission hier.

Twitter est inondé de clips de Républicains lui posant des questions auxquelles elle a refusé de répondre.

Cela ne peut être pris pour la réalité que par les esprits modernes brutalisés et confus susmentionnés.

Tout comme l’apparition de Mme Cheatle lors de la récente Convention nationale républicaine, où elle a été « accidentellement filmée » alors que des membres du Congrès républicain l’ont « confrontée avec colère ».

Nous avons donc un joli petit binaire avec la droite qui veut savoir comment elle a pu laisser faire cela, et la gauche qui s’indigne qu’une fonctionnaire (femme) soit traitée de la sorte,
Et bien sûr, personne ne pose la seule question pertinente :

Pourquoi était-elle là ?

Pourquoi la directrice de l’USSS assistait-elle à la CNR1 juste après que son agence ait soi-disant failli faire tuer le candidat républicain ?
Pour que le film ait lieu, bien sûr. Pour que nous puissions obtenir des clips d’action TikTok que la génération des poissons rouges partagera et applaudira.

C’est de la prestation. Tout est prestation. Tout le temps.

Pendant ce temps, dans l’équipe bleue, Creepy Uncle Joe2 s’est retiré de la course… via un tweet, pour une raison inconnue. Personne ne l’a vu pendant quelques jours, jusqu’à la fin de la journée d’hier, ce qui a amené les gens à spéculer qu’il était mort quelque part, ce qui a donné lieu à un théâtre politique encore plus artificiel, lorsque Kamala Harris a prétendument mis Joe sur haut-parleur lors d’une conférence de presse pour lui donner une preuve de vie.

C’est tellement faux que cela me fait froid dans le dos. Mais s’agissait-il d’une couverture incompétente ? Ou d’une incompétence feinte pour faire croire qu’il y a quelque chose à cacher et faire durer le suspense de la télé-réalité ?

Qui peut encore le dire ? Est-ce que cela a une quelconque importance ?

Je suis assez âgée pour me souvenir qu’il y a trois mois, beaucoup étaient absolument convaincus que Kate Middleton était morte depuis Noël, avant qu’elle n’apparaisse souriante sous un grand chapeau et ne fasse passer tous ces « théoriciens du complot » pour des idiots.

Ce n’est qu’un tour de vis de plus. Une autre chose que l’on fait pour son propre bien ou pour celui du jeu.

On peut dire que ce n’est que du bruit à ce stade. Des lumières et des couleurs brillantes pour nous occuper, tandis que la Grande Réinitialisation nous enferme tous.

À l’approche des élections, le tourbillon du théâtre artificiel devient de plus en plus hystérique, dans tous les sens du terme, le prochain spectacle clownesque étant la sélection du remplaçant de Biden sur le ticket démocrate. Harris est l’héritier présomptif, mais on parle beaucoup de Michelle Obama, de Gavin Newsom ou même du retour d’Hillary…. un autre remake en vue ?

Personnellement, j’ai hâte d’assister à la CND3 le mois prochain. Si elle ressemble à ce qui s’est passé ces deux dernières semaines, ce sera amusant…

Peut-être qu’il y aura encore d’autres rebondissements, une fin de saison excitante de la part d’une équipe de scénaristes si désespérée de faire monter l’audimat qu’elle met tout en œuvre pour y parvenir.

Spectacle et théâtre conçus pour nous maintenir dans l’amnésie du fait que, gagnant ou perdant, les bons et les méchants ne sont que des acteurs travaillant pour les mêmes personnes et qu’ils sont payés, que leur personnage survive ou non jusqu’au générique de fin.

Ils ne veulent pas que nous nous souvenions que, quelle que soit l’issue des nominations et de l’élection qui s’ensuivra, le futur président aura été trié sur le volet par les mêmes forces qui ont truqué l’élection américaine de 2020, et que son travail consistera à poursuivre le même programme anti-humain que celui poursuivi par la quasi-totalité des gouvernements nationaux du monde entier.

C’est la seule chose qui compte vraiment.

Mais bon sang, s’ils veulent continuer à produire des récits politiques de plus en plus absurdes autour de leur fausse démocratie, nous pouvons tout aussi bien sortir le pop-corn et nous amuser.

Tant que nous nous souvenons que la fin sera toujours la même.


1 Convention nationale républicaine — NDT

2 Littéralement « Oncle Joe l’effrayant », selon Trump – NDT

3 Convention nationale républicaine — NDT




Depuis sa prison, Reiner Fuellmich s’adresse au public francophone

[Source : bam.news]

Confronté à de nouvelles accusations, emprisonné depuis neuf mois et en procès depuis six, Reiner a dicté un message, par téléphone, depuis sa cellule, à son avocate Me Katja Wörmer. Ce message est adressé à Kerstin Heusinger, notre correspondante allemande, pour qu’elle le retranscrive et diffuse le plus largement possible auprès du public francophone. La traduction est de Kerstin et KAro pour BAM!.

Chère Kerstin,

La procédure pénale pour abus de confiance engagée contre moi est un pur simulacre, un procès spectacle qui sert à me discréditer publiquement et surtout à nous ruiner financièrement, mon épouse et moi. Je pense que c’est maintenant tout à fait évident pour le public. Depuis un mois, nous avons démontré que les accusations contre moi sont erronées. En effet, en tant que seul dirigeant habilité à gérer le Comité Corona, j’avais le droit de contracter des prêts pour sécuriser une partie des dons reçus dans un contexte de risques toujours accrus. J’étais évidemment prêt à les rembourser, car j’étais le fondateur et le visage du Comité Corona, travaillant avec un groupe d’avocats internationaux pour que les preuves obtenues par le Comité Corona soient utilisées dans des procédures juridiques contre les responsables de la plandémie. J’étais également en mesure de rembourser l’argent et je l’aurais fait — le tribunal le reconnaît lui-même —, si l’argent prévu à cet égard ne m’avait pas été subtilisé par les plaignants avec le soutien du procureur.

Le tribunal a admis tout cela. Mais maintenant il tente une parade en ajoutant soudain des accusations nouvelles, complètement inventées. Pourtant, l’acte d’accusation persiste à se référer à des accusations reconnues comme fausses, bien que le parquet ait classé sans suite son enquête contre Viviane Fischer pour une accusation d’abus de confiance similaire à celle contre moi. Cependant, dans son cas, le motif invoqué — elle a remboursé le prêt — ignore que ce remboursement fut postérieur de six semaines à la plainte pénale contre elle, ignore aussi que ce fut à l’aide de fonds obtenus par escroquerie puis détournés, et utilise un prétexte, son mari se serait porté garant.

Ainsi, tout montre que le vrai sujet n’est pas ces accusations infondées d’abus de confiance, mais uniquement de stopper mon travail sur la « crise » du Covid et ma collaboration avec des avocats internationaux, donc de m’empêcher de faire jaillir la vérité sur la plandémie.

[Voir :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Liberté d’expression et justice attaquées

Le dossier des services secrets présenté par Maître Miseré à mon sujet prouve tout cela de façon éclatante. En effet, les notes des services secrets recommandant de « fabriquer » de toutes pièces une procédure pénale contre moi sont confirmées par le comportement du procureur, qui semble ainsi soumis à des interférences politiques :

1) Initialement, sur base des mêmes faits, la procureure générale, Mme Reinecke, n’avait identifié aucun indice de comportement pénalement répréhensible et avait fait classer les dossiers qu’on lui avait présentés deux mois et demi avant que Justus Hoffmann ne dépose sa plainte pénale.

2) Deux mois et demi plus tard, Justus Hoffmann, Antonia Fischer, Marcel Templin, trois avocats berlinois depuis longtemps sous contrôle de la Sûreté de l’État, ont déposé une plainte pénale contre moi, de toute évidence quérulente1. Cette plainte contient des faits qui sont tous absolument faux. Cela a été montré depuis lors. Entretemps, la procureure générale Reinecke (qui n’avait donc identifié aucun comportement pénalement répréhensible de ma part) a été dessaisie et remplacée par un procureur muté provisoirement de Hanovre à Göttingen, le procureur John.

3) Celui-ci m’a refusé le droit à être entendu pendant plus d’un an et trois mois. En revanche, pendant ce temps il collaborait intensément, par écrit et oralement, avec mes accusateurs, ainsi qu’avec Viviane Fischer et son avocat, lui-même ancien procureur. Tous communiquaient, la plupart du temps, par téléphone.

4) Sur au moins 80 conversations téléphoniques que le parquet a eues avec ces personnes, aucune ne figure dans le dossier d’accusation ! Pas d’attestation de liquidité du mari de Viviane Fischer non plus. Le procureur omet donc, ou soustrait, des documents essentiels. Dans d’autres pays, par exemple aux États-Unis, de tels manquements entraîneraient immédiatement un classement de la procédure, comme vient de le montrer le cas d’Alec Baldwin.

5) Ajoutons que j’ai été kidnappé au Mexique, comme nous l’avons prouvé, et qu’une expulsion a été simplement simulée à l’instigation des services allemands. Le président du tribunal le reconnaît dans sa dernière décision, celle du 12.07.24 (haut de la page 11*). Toutefois il considère cela sans importance, car il s’agit, dit-il, d’un problème interne au Mexique. Il cherche ainsi, une fois de plus, à invalider indûment notre argumentation et les preuves testimoniales présentées : le comportement illégal des Mexicains et mon kidnapping ont été exigés par les services allemands, comme on peut le déduire aisément à la lecture du dossier lui-même. Et cette procédure correspond parfaitement aux directives des services allemands concernant le traitement des opposants aux mesures liberticides du Covid.

* https://acrobat.adobe.com/id/urn:aaid:sc:EU:0c477b79 8c02 4775 9772 ccbf975538e4

6) Seule une vraie procédure d’extradition aurait permis d’exécuter le mandat d’arrêt allemand au Mexique et de m’y arrêter légalement pour me transférer en Allemagne. Cette procédure a été délibérément contournée, car, dans le cadre d’une extradition, j’aurais été entendu. J’aurais pu ainsi montrer que toutes les accusations portées contre moi pour un prétendu délit (pas un crime, encore moins un crime de violence) étaient fausses, comme vient de le prouver le procès à Göttingen. Dans ces circonstances, la demande d’extradition n’aurait jamais été acceptée et il n’aurait pas non plus été possible, comme tente de le faire le juge de Göttingen, de remplacer subitement les faits sur lesquels se fondait la demande d’extradition par de nouveaux faits.

7) Le président du tribunal de Göttingen, qui selon les informations dont nous disposons aurait également été sollicité par la Sûreté de l’État, nous refuse le droit d’être entendus. Il voudrait s’en tenir à l’audition — de surcroît interrompue — des témoins de l’accusation. Il refuse d’entendre les témoins de la défense que nous avons convoqués pour réfuter les nouvelles accusations. Cependant, il n’est pas le seul à se rendre coupable de détournement de droit. Les autres membres du tribunal y participent également. Rappelons que le détournement de droit n’est pas seulement un délit, comme l’abus de confiance qui m’est reproché, mais un crime passible d’une peine d’emprisonnement d’au moins un an.

En réalité, ce sont la liberté d’expression et la justice qui sont ici attaquées. Deux piliers de la démocratie. Deux piliers que nous défendrons jusqu’au bout.

Reiner Fuellmich


1 Réclamant de manière pathologique la réparation de dommages et d’injustices dont on se croit victime — NDLR




La vaste bureaucratie woke a un impact négatif sur les forces armées américaines

[Source : thecentersquare.com]

Par Cameron Arcand

Selon une nouvelle étude de l’Arizona State University, les efforts déployés par l’armée américaine en matière de Diversité, d’Équité et d’Inclusion [DEI] sont inefficaces.

L’étude réalisée par le Center for American Institutions de l’université affirme que l’accent est mis sur la formation des nouveaux soldats à des questions sociales telles que les « préjugés inconscients » et l’« intersectionnalité », d’une manière qui, selon le centre, va à l’encontre des idéaux américains typiques. L’étude a examiné les plans de la DEI dans différents secteurs de l’armée, y compris la dotation en personnel des bureaux de la DEI et l’éducation dans les académies comme West Point.

« La bureaucratie massive de la DEI, sa formation et ses évaluations pseudoscientifiques sont au mieux des distractions qui absorbent un temps et des ressources précieux », indique le résumé de l’étude. « Au pire, ils communiquent le contraire de l’éthique militaire : par exemple, les différences démographiques individuelles passent avant l’équipe et la mission. »

Donald Critchlow, le directeur du centre, a écrit dans l’introduction de l’étude qu’elle était axée sur l’influence de la théorie critique de la race dans la formation des forces armées des États-Unis.

« La Commission sur l’éducation civique dans l’armée est née d’un projet visant à examiner l’éducation civique dans l’armée. Notre équipe de recherche ne s’attendait pas à trouver la théorie critique de la race aussi ancrée et omniprésente. Les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion sont présents dans l’ensemble des forces armées américaines et dans nos académies militaires », a écrit M. Critchlow. « Cette étude d’un an montre à quel point ces programmes de formation sont omniprésents dans nos forces armées et nos académies de service, et que la DEI va bien au-delà des programmes de formation formels dans l’armée et les académies de service. »

« Les fondateurs de notre nation comprenaient et craignaient une armée politisée. L’histoire leur avait montré qu’une armée politisée devenait facilement l’outil de la tyrannie. Les forces armées des États-Unis ont fièrement maintenu cette longue tradition de séparation de la mission et de la politique », a-t-il poursuivi.

En termes de recommandations, l’étude suggère que les bureaux DEI soient complètement supprimés, mais précise que cela est politiquement improbable pour le moment.

« Le moyen le plus sûr d’éliminer les tendances préoccupantes que nous avons identifiées, ainsi que la croissance des boucs émissaires et des stéréotypes fondés sur la race et le sexe au sein de l’armée américaine, est de mettre un terme à la bureaucratie DEI », indique l’étude. « Toutefois, jusqu’à ce que les pouvoirs exécutif ou législatif du gouvernement décident de mettre fin à la bureaucratie de la DEI dans nos agences fédérales et dans l’armée, il ne nous reste plus qu’à préconiser la poursuite d’autres voies susceptibles d’entraîner des changements positifs en dépit des politiques existantes ».

Ils ont également suggéré que l’armée donne la priorité à l’éducation civique en mettant l’accent sur « l’engagement de l’Amérique en faveur de la liberté et des opportunités ».

L’étude intervient alors que certaines branches de l’armée continuent d’éprouver des difficultés à recruter de nouveaux membres.




Emmanuel Todd et la dématérialisation occidentale

Par Nicolas Bonnal

Relisons Todd et son extraordinaire, dense et variée Défaite de l’occident (j’écrirais accident, trop guénonien que je suis…). Plutôt que de décadence, mot trop ressassé depuis Spengler et sans signification maintenant, je préfère parler de dématérialisation : la puissance soi-disant économique et militaire des USA ne peut rien contre la Russie (ou les Houthis). C’est que tout disparaît. Todd :

« Pourtant, on le verra, le système américain, même s’il a réussi à soumettre l’Europe, souffre spontanément du même mal qu’elle : la disparition d’une culture nationale partagée par la masse et les classes dirigeantes. »

L’effondrement culturel et religieux (non au sens guénonien, traditionnel, mais quantitatif occidental) précipite une inefficacité tragi-comique (de Leslie Nielsen à Joe Biden — voyez l’amiral-président Benson de la série Hot Shots aussi) dont PhG s’est fait l’ardent-hilarant commentateur :

« L’implosion, par étapes, de la culture WASP – blanche, anglo-saxonne et protestante — depuis les années 1960 a créé un empire privé de centre et de projet, un organisme essentiellement militaire dirigé par un groupe sans culture (au sens anthropologique) qui n’a plus comme valeurs fondamentales que la puissance et la violence. Ce groupe est généralement désigné par l’expression “néocons”. Il est assez étroit mais se meut dans une classe supérieure atomisée, anomique, et il a une grande capacité de nuisance géopolitique et historique. »

Oui, on en revient toujours à cette capacité de nuisance dont me parla un jour JJ Annaud (voyez mon livre) à propos de la critique de cinéma. Idem donc pour l’énarchie française ou à la bureaucratie bruxelloise.

Evidemment Todd compare notre empire américain au bon vieil Empire romain :

« L’afflux massif en Italie de blé, de produits manufacturés et d’esclaves y avait détruit la paysannerie et l’artisanat, d’une manière qui n’est pas sans rappeler celle dont la classe ouvrière américaine a succombé à l’afflux de produits chinois. Dans les deux cas, en forçant un peu le trait, on peut dire qu’a émergé une société polarisée entre une plèbe économiquement inutile et une ploutocratie prédatrice. La voie d’une longue décadence était désormais tracée et, malgré quelques sursauts, inéluctable. »

NDLR : la « plèbe économiquement inutile », c’est nous, c’est les mangeurs inutiles que Davos veut exterminer. Mais continuons :

« Enfin, différence fondamentale : le Bas-Empire a vu l’établissement du christianisme. Or, l’une des caractéristiques essentielles de notre époque est la disparition complète du substrat chrétien, un phénomène historique crucial qui, justement, explique la pulvérisation des classes dirigeantes américaines. »

Ici petit désaccord : le christianisme du début détraqua l’empire ; Escobar a écrit de très bonnes lignes dessus. Il fonctionna comme un wokisme (femmes, esclaves, rebelles, nihilistes, voyez Nietzsche) et accompagna l’effondrement technique à cette époque (lisez un extraordinaire texte de Bill Bonner sur ce sujet).

Citons Escobar : « Le tissu urbain même de Rome a été détruit : les rituels, le sens de la communauté, le chant et la danse. Rappelez-vous que les gens baissent encore la voix en entrant dans une église.

Pendant des siècles, nous n’avons pas entendu les voix des dépossédés. Une exception flagrante se trouve dans un texte du début du VIe siècle d’un philosophe athénien, cité par Ramsay MacMullen dans “Chrétienté et Paganisme du IVe au VIIIe siècle”.

Le philosophe grec écrit que les chrétiens sont “une race dissoute dans toutes les passions, détruite par une auto-indulgence contrôlée, rampante et féminine dans sa pensée, proche de la lâcheté, se vautrant dans toutes les bassesses, avilie, se contentant de la servitude dans la sécurité”.

Si cela ressemble à une proto-définition de la culture de l’annulation occidentale du XXIe siècle, c’est parce que c’est le cas. »

Sans rancune, Bergoglio ? Et notre culture de la Croisade et du migrant à recueillir alors ?

Bill Bonner lui précise :

« Durant une période de 300 ans environ, la taille de pierre a disparu d’Angleterre. Pendant la période romaine, on trouvait des milliers d’artisans expérimentés qui savaient extraire la pierre… brûler de la chaux pour faire du mortier… mais aussi tailler et assembler les pierres pour faire d’élégantes villas.

Ils savaient comment construire une maison pavée de mosaïques, avec chauffage au sol — et un toit de tuiles d’argile.

Au VIe siècle, ils avaient oublié. Au VIIe siècle, on ne trouvait peut-être pas une seule personne, en Bretagne anglaise, qui sache comment faire du mortier de chaux — ou tourner un pot.

Il n’y avait plus d’importations de la Méditerranée — vin, huile d’olive, vaisselle, bijoux, épices, blé. Il n’y avait plus non plus de marché où les acheter… ni d’argent pour cela. La seule monnaie encore en circulation avait été frappée avant l’effondrement de l’Empire romain. »

On se dirige, on retourne plutôt à cette société occidentale dite des âges sombres : celle condamnée où personne ne sait plus rien faire !

J’avais écrit ici un texte sur Todd et le micro-théâtre militaire US. Il insiste sur sa non-portée :

« Pour revenir à notre tentative de classification, je serais tenté de parler, concernant les États-Unis et leurs dépendances, d’État post-impérial : si l’Amérique conserve la machinerie militaire de l’empire, elle n’a plus en son cœur une culture porteuse d’intelligence et c’est pourquoi elle se livre en pratique à des actions irréfléchies et contradictoires telles qu’une expansion diplomatique et militaire accentuée dans une phase de contraction massive de sa base industrielle — sachant que “guerre moderne sans industrie” est un oxymore. »

C’est surtout une absurdité. Rappelons que cette guerre occidentale se fait aussi sans soldats. Ma femme qui est ukrainienne me dit que ce serait aux soldats ukrainiens de former les cadres incapables de l’OTAN, pas l’inverse.

Mais restons dans ce cadre moral effondré (qui a duré jusqu’aux années soixante, voyez toujours cette ère du cool de Thomas Frank) :

« Ce principe s’applique ici à plusieurs champs essentiels : à la séquence “stade national, puis impérial puis post-impérial” ; à l’extinction religieuse, qui a fini par entraîner la disparition de la moralité sociale et du sentiment collectif ; à un processus d’expansion géographique centrifuge se combinant à une désintégration du cœur originel du système. »

Todd retombe sans le vouloir ou le savoir sur Nietzsche ensuite :

« Ce que j’appellerai l’“état religieux zéro” va produire, dans certains cas, les pires, une déification du vide.

J’utiliserai le mot “nihilisme” dans une acception qui n’est pas forcément la plus commune, et qui rappellera plutôt — et ce n’est pas un hasard — le nihilisme russe du XIXe siècle. »

Problème alors : on échappe au raisonnable et à la réalité : « le nihilisme tend alors irrésistiblement à détruire la notion même de vérité, à interdire toute description raisonnable du monde. »

Problème : mais n’était-ce déjà pas le cas avec Hegel (que j’ai toujours considéré comme un mauvais moment philo à passer) et le marxisme-léninisme du siècle passé ?

Todd ajoute sur ce désarmement ontologique :

« L’état zombie n’est pas la fin du voyage. Les mœurs et les valeurs héritées du religieux s’étiolent ou explosent, et disparaissent enfin ; et alors, mais alors seulement, apparaît ce que nous sommes en train de vivre, le vide religieux absolu, avec des individus privés de toute croyance collective de substitution. Un état zéro de la religion. C’est à ce moment-là que l’État-nation se désintègre et que la globalisation triomphe, dans des sociétés atomisées où l’on ne peut même plus concevoir que l’État puisse agir efficacement.

On peut donc définir les années 2000 comme les années de la disparition effective du christianisme en Occident, d’une façon précise et absolue. On relève aussi une convergence dans le néant des catholiques et des protestants. L’Europe de l’Est n’est pas concernée et l’Italie, Vatican oblige, ne dispose toujours que de l’union civile. »

On en revient au vide, au zombi, à l’objectif nul — ici on se rapproche de Baudrillard. Il ne reste que du simulacre (et encore…). Todd écrit très justement :

« L’individu ne peut être grand que dans une communauté et par elle. Seul, il est voué par nature à rétrécir. »

Si ma mémoire est bonne, c’est ce qu’écrivait JF Lyotard dans sa scolaire et ennuyeuse Condition postmoderne : « chacun est ramené à soi ; et chacun sait que ce soi est peu ». Entre le code QR et le bulletin de vote anti-RN le froncé de souche aime rappeler que son soi est peu…

Mais venons-en à la bonne vieille dématérialisation. La clé de tout c’est ça : comment un pays déglingué et dégénéré (la Russie donc), qui a le PNB de l’Espagne ou de Monaco peut-il résister à l’Amérique et à ses dominions ?

« À la veille de l’invasion de l’Ukraine, je le rappelle, la Russie, en incluant la Biélorussie, ne pesait que 3,3 % du PIB de l’Occident. Comment ces 3,3 % ont-ils pu tenir et produire plus d’armement que l’adversaire ? Pourquoi les missiles russes, dont on attendait la disparition par épuisement des stocks, continuent-ils de tomber sur l’Ukraine et son armée ? Comment une production massive de drones militaires a-t-elle pu se développer depuis le début de la guerre, après que les militaires russes eurent constaté leur carence dans ce domaine ? »

Après notre statisticien-démographe arrive avec des données qui font mal : notre nullité ontologique en matière de science dure et d’ingénierie pas sociale (on préfère étudier l’écologie, les droits de la femme…).

« Or, ce qui distingue fondamentalement l’économie russe de l’économie américaine, c’est, parmi les personnes qui font des études supérieures, la proportion bien plus importante de celles qui choisissent de suivre des études d’ingénieur : vers 2020, 23,4 % contre 7,2 % aux États-Unis.

Aux États-Unis, 7,2 % de 40 % de 46,8 millions de personnes donnent 1,35 million d’ingénieurs. En Russie, 23,4 % de 40 % de 21,5 millions en donnent 2 millions. Malgré la disproportion des populations, la Russie parvient à former nettement plus d’ingénieurs que les États-Unis. »

Mais les Russes ne sont pas tout-puissants. Je parlais de la résistance ukrainienne, à qui Todd rend un bel hommage. Il écrit même (en se riant des fuyards US) :

« Les Américains eux-mêmes furent surpris par la résistance de l’Ukraine. Occupés à en rééquiper et réorganiser l’armée, ils avaient annoncé que l’invasion russe était imminente, puis détalèrent comme des lapins, entraînés sans doute par leur expérience de Kaboul dans l’art de l’évacuation. »

L’œuvre de dématérialisation vient aussi de l’instruction, de la féminisation et de la politisation. Gustave Le Bon en a très bien parlé dans sa Psychologie du socialisme, et Tocqueville dans son Ancien régime (« la France nation abstraite et littéraire »).

Le pire vient de la presse (déjà Kraus, Nietzsche ou Bernanos…) :

« Notre presse donne parfois l’impression que la destruction de l’économie de la France, plus encore que celle de la Russie, est son objectif. On pense à un enfant qui, fou de rage, casse ses propres jouets ; et l’expression de “nihilisme économique” vient à l’esprit. »

Trop d’éducation a tué l’éducation ; Todd remarque aussi tel un sage taoïste (ils savaient tout, ces Chinois !) :

« C’est le grand paradoxe de cette séquence historique et sociologique : le progrès éducatif y a occasionné, à terme, une régression éducative, parce qu’il a provoqué la disparition des valeurs favorables à l’éducation. »

Lui parle des années soixante, mais Gustave Le Bon (Psychologie du socialisme) ou Taine (toujours lui…) observent le même phénomène au XIXe siècle : l’école et l’université fabriquent du militant, de l’intello, de l’inadapté (voir Maupassant) et de la nihiliste-écolo-féministe (plein de Sandrine Rousseau…) ; et si comme d’habitude Molière avait tout vu et/ou prévu : le sot savant qui est plus sot qu’un sot ignorant, le Trissotin, la femme savante (elle dit faire la chasse aux mots et les censurer !), le vieillard industriellement fabriqué, l’hypocrite, le tyran (tirade Don Juan), le bigot bourgeois, le Tartufe, le faux médecin et le faux malade ?

D’où vient ce qui reste de la puissance US alors ?

C’est simple et génial : de sa victoire à l’Amérique contre la… Suisse. Todd explique :

« Il est clair que, du point de vue américain, briser la Suisse était essentiel pour tenir les oligarchies européennes. Si 60 % de l’argent des riches Européens (proportion donnée par Zucman) fructifient sous l’œil bienveillant d’autorités supérieures situées aux États-Unis, on peut considérer que les classes supérieures européennes ont perdu leur autonomie mentale et stratégique. Mais le pire, leur surveillance par la NSA, restait à venir. Je ne pense pas que les riches qui ont commencé à déposer leur argent dans les paradis fiscaux anglo-saxons aient compris tout de suite qu’ils se plaçaient sous l’œil et le contrôle des autorités américaines. »

Ce livre est énorme et on pourrait composer un recueil dessus. Je vous conseille de le lire de temps à autre, par paquets comme on dit. Tiens, sur la fragilité juive par exemple :

« Un article saisissant du magazine en ligne Tablet (un magazine juif) montre à quel point la tendance actuelle est aujourd’hui à l’effacement de la centralité des Juifs aux États-Unis. Le titre de l’article, “The Vanishing”, daté du 1er mars 2023 et signé Jacob Savage, est plutôt catastrophiste. L’auteur constate que “dans le monde universitaire, à Hollywood, à Washington et même à New York, partout où les Juifs américains avaient réussi à s’imposer, leur influence est en net recul”. »

Et dans le chapitre hilarant sur l’Angleterre (croule Britannia), Todd remarque les britanniques de souche comme on dit sont devenus trop abrutis pour devenir ingénieurs ou docteurs, se condamnant à une domination indo-pakistanaise. Remarquez, on a Kamala machin et Mrs Vance aux affaires aux US…

Quelques références :

https://la-chronique-agora.com/irlande-maconnerie-chute-empire-romain/

https://www.dedefensa.org/article/gustave-le-bon-et-le-choc-ps-podemos-en-espagne

https://www.dedefensa.org/article/emmanuel-todd-et-le-micro-theatre-militaire-us

https://www.dedefensa.org/article/emmanuel-todd-et-le-narcissisme-occidental




« Les JO vont être un flop ! »




La peur organisée qui les unit

[Source : arretsurinfo.ch via E&R]

Par  Gilad Atzmon

Le terme hébreu utilisé pour désigner un juif orthodoxe est « un juif anxieux » (ירא שמים , יהודי חרד). Le judaïsme est soutenu par la peur collective. Il s’agit principalement de la peur de la figure du père en colère et rancunier. Cette figure paternelle est parfois un personnage génocidaire. L’histoire biblique de Sodome et Gomorrhe est un bon exemple de son appétit pour les massacres. Dans un autre incident biblique, le même Dieu donne à Samson la force de se tuer avec des milliers de Philistins. Mais la figure héroïque du père judaïque a aussi été un enthousiaste des armes de destruction massive. L’histoire biblique des « Dix Plaies d’Égypte » est une histoire de cruauté divine qui devrait défier l’imagination des spécialistes de la guerre biologique les plus avancés du monde.

Un brillant philosophe israélien, qui se trouve être un proche parent, est convaincu depuis des années que les symptômes problématiques collectifs manifestés par Israël sont en fait typiques des enfants maltraités qui sont tourmentés et torturés par l’agression de leurs parents. Dans le cas d’Israël, selon cette hypothèse, il s’agit de personnes tourmentées par l’image d’un père divin démoniaque. « Les enfants maltraités d’Israël », c’est ainsi que mon parent désigne la tribu et Israël en particulier.

J’irais même plus loin. Je me pose souvent une question fondamentale : qu’est-ce qui est venu en premier, les juifs ou peut-être le judaïsme ? Je crois en fait que les juifs étaient antérieurs à leur religion. Ils ont inventé un « Dieu » à leur image et en ont fait d’eux-mêmes des enfants élus. Cette décision d’emprunter une telle voie, d’inventer un Père démoniaque, a servi de nombreux intérêts tribaux. La peur est un facteur d’unité. Et les rabbins ont pratiquement compris que la terreur unit le peuple en un troupeau de moutons. Ils l’ont compris deux millénaires et demi avant les alarmistes néocons, les climato-exterministes et l’OMS.

Les juifs ont été unis par différents types de peurs. Ils craignent les antisémites, les Amalécites, les goyim en général, les Arabes en particulier et le projet nucléaire iranien notamment. Ils ont peur de tout ce qui n’est pas eux et, parfois, ils ont aussi peur les uns des autres. Pour qu’une religion juive devienne un précepte valable, elle doit établir une menace existentielle formelle. Si cette peur n’existe pas, il faudra l’évoquer, voire l’inventer.

La religion de l’Holocauste a son Hitler, les interventionnistes moraux ont le hijab, les bolcheviks juifs n’aimaient pas le tsar et sa famille. Les progressistes détestent les hommes blancs, les antisionistes détestent les sionistes et vice versa. Contrairement à certaines religions universelles qui recherchent l’harmonie et la réconciliation, le judaïsme et la politique d’identification laïque juive sont toujours guidés par la négation qui se matérialise par une peur structurée.

Cette dépendance à la peur de presque tout est facile à expliquer. D’abord, vous craignez votre figure paternelle, puis vous avez également peur de vous-même, car vous avez été créé à l’image de votre père. Vous pouvez même avoir peur de vous-même en tant qu’adorateur d’un tel Père démoniaque. Et si vous avez peur de vous-même, vous avez naturellement peur de tout ce qui vous entoure par projection. Vous devez croire que tous les autres doivent être au moins aussi cruels et démoniaques que vous.

Dans mes premiers travaux, je soutiens que Jésus a été le premier à comprendre ce cercle vicieux. En conséquence, il a fait du Père un royaume de bonté. Il a ensuite essayé d’enseigner à ses contemporains à tendre l’autre joue. Comme nous le savons tous, cela ne s’est pas très bien terminé.

Cependant, la prise de conscience du rôle central de la peur est fondamentale pour comprendre la doctrine politique et militaire israélienne. Depuis sa création, Israël est obsédé par son « pouvoir de dissuasion ». Israël veut que toute la région craigne son existence.

Ze’ev Jabotinsky, figure emblématique de la droite sioniste de la première heure, appelait cela la doctrine du mur de fer et, selon le grand historien israélien Avi Shlaim, Ben Gourion a adopté la philosophie du mur de fer de Jabotinsky, bien que les deux hommes aient été d’âpres rivaux. Ce qui précède explique pourquoi Israël a investi dans les bombes nucléaires et les armes de destruction massive dès le début des années 1950. Ils voulaient que tout le monde ait peur d’eux comme ils ont peur d’eux-mêmes. Les Israéliens jurent trop souvent de ramener les Arabes et les musulmans à l’âge de pierre. Les membres du cabinet israélien actuel en parlent ouvertement. D’autres, moins loquaces, mettent en œuvre des tactiques et des stratégies qui se traduisent par le génocide dont nous sommes témoins à Gaza. Le siège, la destruction et la barbarie qui ont été pratiqués à Gaza au fil des ans prouvent que les Israéliens ne plaisantent pas. Ils ne sont pas différents du Dieu de Sodome et Gomorrhe. En fait, à leurs yeux, ils sont ce Dieu. Ils sont à la fois les bourreaux et l’autorité morale toute-puissante.

Tragiquement pour Israël, leur campagne de peur s’est essoufflée. Les peuples autochtones de la terre et les voisins immédiats d’Israël n’ont plus peur. Telle est la véritable signification du 7 octobre. C’est la détermination à s’émanciper de la doctrine de l’Ancien Testament. C’est la véritable signification de la résistance que nous observons dans la région.




La CNR de Trump, une connerie satanique gay vouée à l’échec — L’Amérique le mérite bien

Par Andrew Anglin — 21 JUILLET 2024

Note de l’auteur : Il s’agit d’un article du dimanche. Je ne publie plus qu’un seul article le dimanche.

Le point de départ de l’analyse de la CNR1 et de l’aube de Trump 2024 est le chant « Fight2, Fight, Fight » de Trump après qu’il ait prétendument reçu une petite blessure à l’oreille lors d’un rassemblement en Pennsylvanie.

[NDLR L’hypothèse du faux attentat relève de pure spéculation tant que ses partisans ne sont pas capables de reproduire concrètement un tel supposé faux événement (avec ses subterfuges, ses hologrammes ou ses illusions de prestidigitateur, par exemple) et son minutage très précis pour en démontrer ainsi la possibilité. Et il ne s’agit alors pas de se contenter d’une simulation informatique, mais de reproduire concrètement la scène.]

Il a appelé ses partisans à « se battre ». Mais pour quoi, exactement ?

La seule réponse est qu’il disait « battez-vous pour moi, votre chef de tribu ».

Il n’y a pas de programme politique que Trump promeut. Il n’y a pas de programme. Le document de programme publié par la CNR compte 17 pages (ils font généralement 70 pages et contiennent des plans politiques semi-détaillés). Il y est question de sécuriser les frontières et de protéger Israël. Le reste se résume à « les bonnes choses sont bonnes ». Des choses comme « les gens devraient avoir de bons emplois » et « les gens ne devraient pas être tués dans la rue ». Il s’agit d’une liste de bonnes choses non spécifiques avec lesquelles personne n’est en désaccord.

Le plan actuel de la CNR est le suivant : « Les gens qui aiment Trump doivent juste dire à quel point il est génial et comment Dieu l’a sauvé d’une balle tirée par un attardé sans histoire ni identité qui a obtenu un poste de sniper sur un toit parce que celui-ci était trop incliné pour être sûr pour les Services Secrets ».

Pour autant que je sache, Trump a été vu pour la première fois à la CNR pendant le discours d’Amber Rose, une prostituée usée au visage tatoué et au crâne rasé qui promeut l’avortement, le féminisme, l’homosexualité et probablement un tas d’autres choses que je n’aime pas. Son discours était le suivant : « Ils ont dit que Trump n’était pas gentil, mais je l’ai rencontré et il est vraiment gentil. La gauche m’a menti en disant que Trump n’était pas gentil. Il aime les gays ».

Donc. Vraiment bizarre.

Comme cela a également été dit, il y a eu une prière vaudou indienne pendant la CNR.

Ainsi, avec « J.D. Vance » (pas son vrai nom) et sa femme indienne (hindoue pratiquante), avec Vivek Ramaswamy affirmant que l’hindouisme et le christianisme sont fondamentalement la même chose, avec la promesse de Trump d’importer des millions d’Indiens supplémentaires, il est assez indéniable qu’il existe un plan organisé pour fusionner l’hindouisme et le christianisme en une seule et même religion. Quand on commence à créer de nouvelles religions à des fins civiques, quand on commence à nier le Christ pour un « dieu unique » universel, je pense personnellement que l’on s’engage sur un terrain très sombre.

[Voir aussi :
2025 pour les élites mondialistes]

Je suppose qu’ils l’ont déjà fait avec le « judéo-christianisme ». Mais comme nous le savons, c’était quelque chose de très sombre.

Tout cela me semble très sombre. Les valeurs judéo-hindoues et chrétiennes, l’avortement, les homosexuels… rien de tout cela ne m’intéresse.

J’ai regardé beaucoup de discours lors de la CNR. À part des choses très simples, comme « nous ne devrions pas avoir de frontières ouvertes et de criminalité noire légalisée », avec lesquelles 98 % des démocrates sont d’accord, il n’y avait pas de politique. Tout tournait autour de Trump, l’homme, et à quel point il est gentil et bon, quel grand-père de famille, il s’est fait écorcher l’oreille et la seule explication est que « Dieu l’a sauvé pour qu’il puisse faire en sorte que toutes les bonnes choses se produisent ».

Les politiques réelles de Trump, telles que je les ai déduites en l’écoutant parler (plutôt qu’en lisant des documents politiques, parce que ces documents n’existent pas), sont les suivantes :

  • PROTÉGER ISRAËL À TOUT PRIX, QUOI QU’IL ARRIVE, POUR TOUJOURS.
  • Mettre un terme à l’ouverture des frontières en instaurant une sécurité normale et une sorte de politique de maintien au Mexique.
  • Remplacer les immigrés criminels pauvres et mentalement malades par des Indiens grâce au système H1-B.
  • Augmenter les droits de douane sur la Chine
  • Gonfler encore plus l’armée en augmentant les dépenses (ou en réorientant les dépenses existantes)
  • Forcer les entreprises à rapatrier la production en Amérique (je pense par le biais de droits de douane, bien que je ne comprenne pas les détails).

Il n’y a plus de conservatisme social. Il a simplement été supprimé. Dans la mesure où l’on en parle, il ne s’agit que de choses vraiment insensées comme les transsexuels pour enfants, qui étaient de toute façon un projet insoutenable, car on voit maintenant ce que ces drogues font aux enfants au-delà des problèmes psychologiques (cancer, baisse de 20 points de QI, etc.). Il est question de supprimer le DEI3, je suppose, mais c’était aussi un projet complètement hors de contrôle qui allait devoir disparaître de toute façon, parce que les avions tombent du ciel. (Pour mémoire, les Indiens de haute caste peuvent entretenir un Boeing).

Il n’y a pas de programme politique sérieux. La CNR l’admet et déclare vouloir supprimer les politiques et les remplacer par des idées générales.

Rappelons que Trump a fait une tournée de plusieurs semaines pour condamner les États qui restreignaient trop l’avortement. Tout ce qui est contre l’homosexualité et le transgenre a été retiré de la plateforme. Il n’y a plus d’idée de protection du mariage. Tout cela a disparu.

Oh, et le chef des Teamsters4 était présent. Il a été très applaudi pour avoir promu le communisme. Il y a aussi cela, qui est tout simplement… je ne sais pas quoi dire à ce sujet.

Trump est arrivé sur une scène avec un putain de panneau Elvis Comeback Spécial.

Ce n’est pas hors sujet.

Pourquoi les gens aimaient-ils Elvis ?

Parce qu’il était Elvis.

Pourquoi les gens aiment-ils Trump ?

Parce qu’il est Trump.

Il n’y a pas de politiques. Les politiques qui existent sont juste « les bonnes choses sont bonnes, nous aimons les bonnes choses ». Et Israël. De grandes, grandes politiques pour Israël.

Elvis n’avait pas de politique. Mais il ne défendait pas non plus Israël.

En ce moment, si Elvis se présentait et disait « mec, on va remettre les choses sur les rails, tu vois ce que je veux dire ? », ce serait bien mieux que ce que fait Trump, parce que Trump dit ça — plus Israël.

Elvis a aussi dit « JESUS », et n’a pas dit « Dieu » sans arrêt pour ne pas offenser les hindous. Parce qu’Elvis n’essayait pas de combiner différentes religions à des fins civiques.

Lorsqu’ils ont appelé Elvis « The King », il a dit qu’il ne pouvait pas l’accepter, parce que le Christ est le seul roi.

(Il a littéralement dit cela).

Alors, à Donald Trump, je dirais : « Tu n’es pas un Elvis : “Tu n’es pas un Elvis, mec”. »

En fait, je pense qu’utiliser ce signe comme ça est une sorte de… valeur volée, ou quelque chose comme ça.

Donald Trump est un animateur de jeux télévisés très charismatique, mais il est aussi le porte-parole d’un pays étranger (juif) et il n’est pas un Elvis.

Le discours de Trump, que vous pouvez regarder ci-dessus, était très, très long. J’ai essayé de lire la transcription, mais ils ont publié une transcription complètement différente. Franchement, je me suis ennuyé et j’ai commencé à penser à d’autres choses pendant le discours, donc je ne peux pas prétendre avoir tout entendu.

Cela a commencé par un texte émouvant sur la prétendue fusillade, qui s’inscrivait dans le cadre de l’histoire de l’“intervention divine”, qui était le thème absolu de la convention. Il dit, comme tout le monde, qu’il s’agit d’une intervention divine.

Loin de moi l’idée de remettre en question la volonté de Dieu, mais il me semble peu probable que Dieu intervienne pour promouvoir l’avortement, le sexe gay, la fusion de l’hindouisme et du christianisme, et la guerre pour les juifs tueurs du Christ. Encore une fois, je ne prétends pas connaître le plan de Dieu, mais je suis tout à fait à l’aise pour dire que je suis sûr qu’il ne soutient aucune des choses qui ont défini la CNR et le programme de Trump 2024.

De plus, si j’étais Trump et que je pensais qu’un miracle venait de me sauver la vie, je ne ferais pas la promotion de ces choses, et j’irais plutôt à la CNR avec ce genre d’énergie :

Après le discours larmoyant sur le fait qu’il a survécu, par la grâce de Dieu, à cette prétendue tentative d’assassinat qui, comme par hasard, a eu lieu quelques jours avant la convention, il s’est transformé en un simple discours de ralliement.

Je n’ai pas grand-chose à dire à ce sujet. Tout le monde sait de quoi il s’agit. Trop de clandestins, ramener les emplois, soutenir le peuple, faire de bonnes choses, faire d’autres bonnes choses, faire en sorte que tout aille bien et que tout le monde soit heureux pour toujours.

Bien sûr, il a parlé d’Israël, et mes oreilles se sont dressées. Mais ce n’était pas du tout surprenant : tout donner à Israël, vaincre le Hamas d’une manière ou d’une autre, arrêter l’Iran d’une manière ou d’une autre, etc.

Il a également affirmé, de façon stupide et fausse, que Poutine “essayait de prendre toute l’Ukraine”. Personne ne croit cela. Poutine a un plan de paix sur la table qui prévoit qu’il garde quatre provinces et la Crimée. Le fait qu’il tente d’envahir et d’occuper l’Ukraine occidentale n’a aucun sens.

Renseignez-vous sur l’invasion et l’occupation du Tibet par les Chinois. Ils n’avaient pas d’autre choix que de le faire, car les Tibétains étaient des cannibales sataniques pratiquant l’esclavage et, plus grave encore, le terrorisme. Mais c’était une entreprise massive et coûteuse. Beaucoup de gens sont morts. C’était vraiment, vraiment cher.

L’invasion et l’occupation de pays étrangers n’ont aucun sens. Personne ne veut le faire. Poutine ne veut que les parties de l’Ukraine qui s’identifient comme “russes”, et il ne revendique même pas actuellement toutes ces parties (qui incluraient Odessa et Kharkov). Régner sur des gens qui ne veulent pas être régis par vous est un cauchemar très coûteux. Personne ne veut le faire. Demandez aux troupes américaines qui ont occupé l’Irak pendant plus d’une décennie. Ce n’est pas une partie de plaisir. C’est très coûteux. Cela ne sert à rien. Si les Ukrainiens ne s’arrêtent pas, la Russie sera peut-être obligée de marcher sur Lvov et d’écraser ce qui reste de l’armée et du gouvernement ukrainiens, mais elle se contentera alors de vendre ces parties à la Pologne et à la Hongrie.

Tout cela pour dire que c’est quelque chose que Trump fasse une telle déclaration — “Poutine veut conquérir toute l’Ukraine” — dans son grand discours. Auparavant, il avait dit qu’il voulait un accord pour mettre fin à la guerre en cédant des territoires à Poutine, mais aujourd’hui, ce n’est même pas à l’ordre du jour.

Il n’y a littéralement rien qui m’intéresse ici.

Trump ne m’offre pas, en tant qu’Américain blanc normal, une seule chose au-delà de sa personnalité (que je dois admettre que j’aimerai toujours, mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit).

Il est évident que les 4 années de Trump ont été meilleures que les 4 années de Biden, mais la donne a changé. Les 4 années de Trump ont précédé les 4 années de Biden. Le canular du virus et BLM ont eu lieu sous Trump. Tout se dégrade progressivement, quel que soit le président. Je veux dire, pouvez-vous sérieusement prétendre que les années Obama étaient pires que les années Trump ? Dans n’importe quelle mesure significative ? Obama a conclu l’accord avec l’Iran et a refusé d’envoyer des armes en Ukraine, deux décisions sur lesquelles Trump est revenu. Biden a évidemment porté le bellicisme à un tout autre niveau, mais le fait est que Trump affirme ouvertement qu’il va doubler tout le bellicisme de Biden.

Les choses ne font qu’empirer. Peu importe qui est président. La démocratie est un canular.

Mais même si je croyais à la démocratie, je ne voterais pas pour Trump.

Pourquoi m’en préoccuperais-je ?

Il n’y a rien ici qui m’intéresse, et la plupart des choses, en fait, je les déteste. Je ne veux pas plus de gays et d’avortements. Je ne veux pas plus d’immigrants indiens. Je ne veux pas fusionner l’hindouisme et le christianisme.

Je ne dis pas que Biden serait meilleur. Peut-être qu’il le serait vraiment, parce qu’il aurait plus de mal à convaincre les jeunes hommes blancs de s’engager dans les guerres. Mais tout cela n’a pas d’importance, parce que l’élection est fausse de toute façon.

Désolé, mais cette fusillade était fausse. Je ne veux pas dire que ce type n’est pas mort, ou qu’il n’y a pas eu de coups de feu, mais une balle n’a pas miraculeusement frôlé l’oreille de Trump. Ce n’est pas possible. Je ne me soucie pas des détails, mais ce qui s’est passé n’est pas ce qu’ils disent. Il s’agissait d’un spectacle destiné à transformer Trump en César (juste à temps pour son couronnement), et cela a fonctionné.

Je ne voterai pas.

J’approuve officiellement le fait de ne pas voter.

J’allais le faire de toute façon, parce que les élections sont fausses, mais après ce spectacle de merde de la CNR, j’ai encore plus de raisons de dire : ne signez pas votre nom sur ce charabia satanique.

Quittez le pays, allez vivre dans une zone rurale, faites ce qu’il faut pour éviter d’être envoyé combattre dans l’une de ces guerres. Mais n’acceptez pas ces absurdités.

Ne croyez pas à ce battage médiatique.

La chose logique à faire en ce moment, dans cette situation, est de fuir.

La Bible le dit :

6 Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, De peur que vous ne périssiez dans sa ruine ! Car c’est un temps de vengeance pour l’Éternel ; Il va lui rendre selon ses œuvres.

7 Babylone était dans la main de l’Éternel une coupe d’or, Qui enivrait toute la terre ; Les nations ont bu de son vin : C’est pourquoi les nations ont été comme en délire.

8 Soudain Babylone tombe, elle est brisée ! Gémissez sur elle, prenez du baume pour sa plaie : Peut-être guérira-t-elle. —

9 Nous avons voulu guérir Babylone, mais elle n’a pas guéri. Abandonnons-la, et allons chacun dans son pays ; Car son châtiment atteint jusqu’aux cieux, Et s’élève jusqu’aux nues.

— Jérémie 51:6-9

Nous sommes à Babylone.

Il y a des choses étranges et sataniques qui se préparent, et personne ne peut le nier, même s’il ne peut pas l’expliquer.

Il se peut même que ce soit inexplicable.

La plupart des gens n’ont que ce qu’ils méritent. Ils ont bu ses iniquités.

Combien d’avortements ? Combien d’amour pour les sodomites ? Combien de gourmandise ? Combien de fornication ? Combien de morts dans ces guerres ?

Combien de sang sur les mains du peuple américain ?

Combien grande sera alors la vengeance du Seigneur ?

Je n’aime pas ce discours du “miracle qui a sauvé Trump”. Mais Dieu agit dans le monde. Et les poulets rentrent au poulailler pour s’y percher.

Il suffit de s’écarter du chemin de la Bête.

Rien de bon ne peut en résulter.


1 Convention nationale républicaine — NdT

2 Battez-vous, luttez, combattez — NdT

3 Diversité, Équité, Inclusion — NdT

4 Le syndicat de conducteurs routiers (Wikipédia) — NdT




Échapper à l’OMS, à l’ONU et au FÉM

[Source : arcaluinoe.info]

Par Piki Verschaueren

Bonjour, chers amis, chères amies,

Les textes des Accords sur la préparation et la réponse à la pandémie et des amendements révisés au Règlement sanitaire international, lorsqu’on les lit, ne sont pas écrits pour les peuples du monde. Les textes de ces propositions sont rédigés dans une rhétorique difficile et très chaotique à lire.

Les accords sur la pandémie ne reposent pas non plus sur une évaluation autoréflexive de la manière dont l’OMS a géré la crise de Covid-19.

Il n’y a pas d’évaluation critique de la raison d’être des confinements, des masques et des vaccins.

Mon gouvernement belge et les médias belges n’ont pas non plus procédé à une évaluation humble et réfléchie à ce sujet.

Je connais personnellement 15 personnes qui sont mortes subitement après avoir été vaccinées, l’une d’entre elles étant âgée d’une trentaine d’années.

Je connais des gens qui ont encore des difficultés financières à cause des remboursements des prêts qu’ils ont contractés pour la période de confinement de la Covid.

Plus encore :

Je n’ai pas trouvé d’étude complète sur la situation actuelle de l’état angoissant des maladies chroniques de la population mondiale et de ses enfants. Cela aurait dû être l’information de base à utiliser pour un traité révisé sur la réglementation sanitaire internationale.

Je ne trouve pas d’étude approfondie sur l’état abyssal de la pollution de tout et de tous sur cette planète vivante, ni d’étude sur les effets des programmes de modification du climat mondial sur nous et sur tous les êtres vivants de la planète.

Le fait que ces études cruciales ne soient pas incluses dans les accords sur les pandémies et les règlements sanitaires internationaux signifie (pour moi) que l’équipe de l’OMS, l’ONU et l’équipe du FÉM sont loin d’être professionnelles.

Pour moi, l’Organisation mondiale de la santé, les Nations unies et le Forum économique mondial sont dirigés par des gens complètement cinglés, fous. Ces hommes et ces femmes pensent qu’ils vivent dans un Métavers virtuel. Et dans ce Métavers, tout ou n’importe quoi leur appartient. Pour eux, nous ne sommes rien de plus que des jouets ou des objets à manipuler pour satisfaire leur incroyable faim de toujours plus. Cette faim de toujours n’est rien d’autre qu’un trou noir vide à l’intérieur d’eux-mêmes qui doit être rempli par ces désirs mégalomanes. Le fait est que ces trous noirs et vides dans la psyché de l’OMS, de l’ONU et du FÉM ne pourront jamais être comblés. Nous sommes tous jetés dans ces trous de ces gens.

Mais quand ils seront tous partis et morts, nous, les gens avec les trous noirs, ne serons toujours pas satisfaits, car si vous ne faites pas votre recherche d’âme et votre guérison à l’intérieur, l’univers entier ne suffira pas à remplir votre blessure de trou noir.

Peuple, gouvernement belge, tous les gouvernements du monde, s’il vous plaît, sortez de l’OMS, des Nations Unies et du Forum économique mondial. Car ces gens sont fous !

Ce sont des enfants perturbés, profondément blessés. Et ils nous avaleront tous si nous, les adultes, ne disons pas : « Ça suffit, rentrez chez vous et laissez-nous tranquilles !



Piki Verschaueren

Artiste et illustratrice — Belgique. Malade chronique depuis longtemps. S’est améliorée grâce à l’autoapprentissage et aux médecins de médecine fonctionnelle. Mère chroniquement malade. Chroniquement enfant et petit-enfant. C’est ainsi qu’elle a découvert que les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être.




Il est temps de rétablir et respecter la liberté de choix des Français en matière de vaccination




Les JO de la Soumission

[Source : AVATAR Media]




2025 pour les élites mondialistes

[Source : Joël LaBruyère — entretien datant de décembre 2019]

2025, date clé dans la manifestation de l’antéchrist, le plan des élites occultes, les forces en présence et les enjeux ?

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Un professeur finlandais expose les racines occultes du Forum économique mondial
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
La religion de l’Antéchrist
Le plan dirigé contre l’Esprit]




« Ils traqueront, persécuteront et emprisonneront tous ceux qui s’opposeront à la vaccination contre la grippe aviaire »

[Source : Profession Gendarme]

Par Ronald Guillaumont

Dans les commentaires sous le clip de Next dose  un commentateur a appelé votre attention sur une intervention courageuse à une télé italienne.

En France un tel discours aurait été coupé dès la première phrase. Je ne sais pas si c’est une élue ou non mais elle n’a pas froid aux yeux et ne se laisse pas modérer par l’animateur. Bravo à elle ! On finira par réveiller les dormeurs.

Il faut regarder la télé italienne pour entendre la vérité sur la volonté de génocide mondial

Il faut regarder la télé italienne pour entendre la vérité sur la volonté de génocide mondial dû aux injections mortifères, en France, silence radio.

Source : CrowdBunker






En France, les députés représentent maintenant… l’incivilité et l’orgueil

L’art du serrage de main : un geste ancien, un respect moderne

Le serrage de main est un geste de salutation et de respect dont les origines remontent à l’Antiquité. En Grèce antique, ce geste symbolisait la paix et la confiance, indiquant que ni l’une ni l’autre des personnes impliquées ne portait d’arme. Les Romains, de leur côté, pratiquaient également cette coutume, souvent en se saisissant l’avant-bras, un symbole de loyauté et d’honneur. À travers le Moyen Âge, les chevaliers se saluaient de cette manière pour montrer qu’ils étaient désarmés et qu’ils n’avaient aucune intention belliqueuse.

Au fil des siècles, le serrage de main est devenu un geste universel de salutation et de respect dans de nombreuses cultures, particulièrement en Occident. Aujourd’hui, il est couramment utilisé dans les interactions sociales, professionnelles et diplomatiques, signifiant une reconnaissance mutuelle et un accord tacite sur les règles de civilité et de respect.

Lorsqu’il s’agit de serrer la main de son opposant intellectuel, ce geste prend une dimension encore plus significative. Il symbolise d’abord le respect mutuel entre deux individus malgré leurs divergences d’opinions. Ce respect est crucial pour créer un environnement où les idées peuvent être discutées de manière constructive. En effet, un débat intellectuel basé sur le respect est plus susceptible d’être productif et de mener à des compréhensions mutuelles ou même à des solutions communes.

De plus, le serrage de main est une démonstration de civilité. Il rappelle que les discussions doivent rester ancrées sur le plan des idées et ne pas dégénérer en conflits personnels. En renforçant la confiance entre les participants, ce geste favorise un dialogue ouvert et honnête, permettant une exploration plus profonde des idées. Le contact physique bref, mais symbolique aide également à désamorcer les tensions potentielles, rappelant que malgré les divergences d’opinions, les deux parties reconnaissent et respectent l’humanité de l’autre.

Il est donc violent visuellement de refuser de serrer une main. Dans un contexte parlementaire, cela signifie une violence envers un autre parti politique et cela s’appelle du fascisme.

https://x.com/benshad0w1/status/1814539053280145678




Le culte des femmes est occulte

[Source : https://www.henrymakow.com/]

Par Henry Makow

Isidore Marie Auguste Francois Xavier Comte
(1798-1857)

Il y a plus de 160 ans, le franc-maçon August Comte voulait perfectionner la société en excluant les hommes de la procréation.
Déguisé en « égalité des sexes », la femme serait élevée au rang de « déesse ».

Ce complot occulte (sataniste) a réussi à déstabiliser la société parce que les femmes sont naturellement hypergames (elles recherchent quelqu’un qui a un statut et un pouvoir plus élevés) et que les hommes sont émasculés lorsque les femmes sont mises sur un piédestal.

Les francs-maçons ont fait en sorte que les hommes modernes aiment les femmes plutôt que la vertu.

« En un mot, la nouvelle doctrine instituera le culte de la Femme, en public et en privé, d’une manière beaucoup plus parfaite qu’il n’a jamais été possible de le faire auparavant. C’est le premier pas permanent vers le culte de l’Humanité ». [Culte de l’Humanité = Satanisme]

« M. Comte vise à établir… un despotisme de la société sur l’individu, dépassant tout ce qui a été envisagé dans l’idéal politique du disciplinaire le plus rigide parmi les philosophes de l’Antiquité. »

John Stuart Mill

Dernières nouvelles ! Le culte des femmes dans le nouvel album de Katy Perry. On dit aux jeunes femmes qu’elles sont des déesses.

Le complot occulte pour idéaliser les femmes

Par Henry Makow, PhD — 12 décembre 2018

En 1852, le philosophe Illuminati Auguste Comte a déclaré que le progrès social exigeait que la reproduction humaine « dépende uniquement de la femme ». Il a sous-entendu que les femmes devraient utiliser l’insémination artificielle pour exclure les hommes de la procréation.

« Si, dans la reproduction humaine, l’homme n’apporte qu’un stimulant, qui n’est qu’un accompagnement accessoire de l’office réel de son système génératif, il est concevable que nous puissions substituer à ce stimulant un ou plusieurs stimulants qui devraient être à la libre disposition des femmes… », écrivait-il.

L’objectif semble être d’éliminer complètement l’attirance sexuelle :

« Il est dur d’aimer une femme et de ne rien faire. »

« La femme, même dans ses fonctions physiques, peut devenir indépendante de l’homme… L’espèce de production la plus élevée ne serait plus à la merci d’un instinct capricieux et indiscipliné, dont le bon contrôle a été jusqu’à présent la principale pierre d’achoppement sur le chemin de la discipline humaine »

— (Système de politique positive, 1851-1854, Vol. IV, P. 60, 61.)
.

Dans un pressentiment qui fait froid dans le dos, il écrit :

« Une amie, si elle est bien choisie, qui pourrait se faire membre de la famille, ferait dans la plupart des cas mieux que le père lui-même. »

— (Vol. IV, P. 195.)

Les Illuminati pensaient pouvoir contrôler la société en utilisant les femmes pour émasculer les hommes. C’est ce qu’ils appelaient « l’émancipation des femmes ».

« Le changement compléterait la juste émancipation des femmes, ainsi rendues indépendantes des hommes, même physiquement. Il ne serait plus possible de contester le plein ascendant du sexe affectif sur les enfants qui sont exclusivement sa progéniture. »

— (Vol. IV, P. 244)

L’Humanité serait membre d’une grande famille comme « la progéniture d’une mère sans époux. » (Vol. IV, P. 359)

Le culte de la femme

La première étape du « culte de l’Humanité » (humanisme) a été de faire des femmes des déesses.

« En substituant des déesses aux dieux, on sanctionne la légitime prééminence des femmes… En un mot, la nouvelle doctrine instituera le culte de la Femme, en public et en privé, d’une manière beaucoup plus parfaite qu’il n’a jamais été possible de le faire auparavant. C’est le premier pas permanent vers le culte de l’Humanité. »

— (Vol. 4, 446 ; Vol. I, P. 205.)

Alors que Comte lui-même n’était soi-disant pas franc-maçon, il en était certainement un admirateur. Une source :

« Comte s’est inspiré de Benjamin Franklin pour sa propre notion de “religion de l’Humanité” et l’a qualifié de “Socrate moderne”.

Outre le fait qu’il est issu d’une idéologie similaire à celle de la franc-maçonnerie, le positivisme [la philosophie de Comte] a joué un rôle particulièrement important dans la franc-maçonnerie française au XIXe siècle. Ce partenariat s’explique en partie par les sous-entendus politiques du positivisme, qui s’oppose aux moyens de connaissance autoritaires, en particulier ceux de l’Église. »

Conclusion

Avec les « Lumières », les Illuminati se sont lancés dans un projet multigénérationnel visant à arracher l’Humanité à ses ancrages naturels et spirituels, et à la réorganiser en une vaste colonie pénitentiaire servant leurs intérêts.

À la religion, qui cherche à obéir au dessein du Créateur, les Illuminati ont substitué la religion de l’Homme ou l’humanisme.

L’Homme devient « son propre Dieu » en faisant du monde un paradis. Ce n’est qu’une ruse pour le remodeler selon les spécifications de l’élite. Comte est connu comme le « père de la sociologie », ce qui indique que les sciences sociales sont en réalité consacrées à la découverte des moyens de créer une société totalitaire.

Tout substitut de Dieu est satanique. Comme vous pouvez le constater, l’Humanité est très profondément immergée dans l’occulte. Auguste Comte est la preuve que les tendances sociales modernes — l’idéalisation des femmes, la destruction du mariage et de la famille — sont d’origine satanique. L’Humanité est en effet possédée par les satanistes.

Cet article est redevable à Erica Carle pour son article sur Auguste Comte en 2010.

Voir aussi :


Le féminisme de la déesse est du satanisme

Par Rich

Le féminisme de la déesse est une ancienne croyance occulte selon laquelle les femmes sont supérieures aux hommes et que les hommes sont là pour servir les femmes. Il enseigne que les hommes ne sont rien d’autre que les chevaux de trait des femmes pour subvenir à leurs besoins, tandis que la véritable force d’une femme est d’être en charge des hommes et de la société. Elle vénère le féminin sacré et l’élève au-dessus de l’homme. C’est l’une des raisons pour lesquelles les études féminines et tout ce qui touche à la femme sont constamment mis en avant dans la société occidentale comme étant supérieurs à ceux de l’homme.

Les femmes sont fortement encouragées sur le lieu de travail pour 5 raisons principales :

  1. Détruire les relations hétérosexuelles.
  2. Les banquiers centraux et le gouvernement ont réalisé qu’ils ne taxaient que la moitié de la population. (BANQUE CENTRALE… Point n° 5 du MANIFESTE COMMUNISTE !!!).
  3. Éloigner les enfants des parents afin de pouvoir leur laver le cerveau par le biais du système scolaire public, de sorte que les enfants ne considèrent plus les parents comme les géniteurs de la connaissance et de la sagesse, mais qu’ils considèrent l’État comme le parent (communisme !).
  4. Déstabiliser la société en détruisant la famille.
  5. Pousser davantage l’agenda homosexuel vers la population en créant tant de problèmes entre les relations hommes-femmes que beaucoup, en particulier les femmes, deviendraient homosexuels.

Le féminisme de la déesse lui-même avait cinq objectifs principaux. Elles disaient :

« Nous, les femmes, nous allons :

  1. Mettre fin à Dieu ;
  2. Détruire la Bible ;
  3. Détruire le christianisme ;
  4. Détruire les hommes ;
  5. Détruire les relations hétérosexuelles. »

C’est l’objectif déclaré du féminisme. La plupart des hommes ne voient pas d’inconvénient à ce que l’on appelle le « féminisme de l’égalité » : à travail égal, salaire égal, etc. Mais ce qui est décrit ci-dessus fait partie du féminisme radical et de la déesse, qui n’est pas la même chose que le « féminisme de l’égalité ». Bien qu’ils essaient de dire au public qu’il s’agit de la même chose… ce n’est pas le cas.

Doctrine des démons

Cependant, le féminisme a un côté beaucoup plus sombre que la plupart des gens ne connaissent pas. Un côté qui le lie directement au culte des démons et au satanisme.

L’auteur Betty Friedan a déclaré dans son livre de 1963 « The Feminine Mystique » que :

« … les femmes au foyer étaient des esclaves et des victimes et que la maison était un “camp de concentration confortable”. L’épanouissement personnel était vital, affirmait-elle, et exigeait que les femmes se lancent dans les affaires et les professions libérales. »

Cependant, Friedan a également révélé que lorsqu’elle écrivait son livre :

«… Le livre me prenait, m’obsédait, voulait s’écrire lui-même. Je n’ai jamais rien vécu d’aussi puissant, d’aussi mystique que les forces qui semblaient s’emparer de moi lorsque j’écrivais The Feminine Mystique. »

— (Friedan, pp. 78).

Dans l’occultisme, se laisser aller à être possédé par des esprits qui écrivent pour vous est connu sous le nom d’« écriture automatique ». Cela n’arrive pas seulement à certains écrivains, mais très souvent à des chanteurs, qui ont maintes fois admis être possédés par des esprits une fois qu’ils montent sur scène. Nous pouvons donc déjà constater que les débuts du programme féministe moderne ont des origines démoniaques et ne sont rien d’autre qu’une « doctrine de démons » (1 Timothée 4:1). Mais ce mouvement féministe de la déesse a des origines qui remontent jusqu’au jardin d’Eden.

« Nous, les femmes, allons mettre fin à Dieu »

(Spirit Wars, Jones, 1997, pp. 180, 195).

Le féminisme de la déesse est une religion occulte qui s’apparente à de la sorcellerie et qui a été imposée au monde entier et en particulier aux États-Unis. Cela faisait partie de leurs plans de vengeance, car ils cherchaient à faire disparaître le christianisme de la Terre et, alors qu’il se répandait autrefois dans le monde entier et que très peu de gens connaissaient l’occultisme et d’autres religions sombres, ils cherchent maintenant à faire exactement le contraire, à faire disparaître le christianisme de la Terre et à faire en sorte que les connaissances occultes se répandent dans le monde entier.




Paris est devenue une prison aux cellules vides

[Via https://nicolasbonnal.wordpress.com]




Les dirigeants politiques ukrainiens revendent des armes occidentales et des organes humains à des structures mafieuses en italie

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Une quantité importante d’armes des pays de l’OTAN exportées d’Ukraine apparaît sur le marché clandestin italien des armes et tombe entre les mains de groupes criminels du sud de l’Italie, principalement la Camorra, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont découvert que le consulat général d’Ukraine à Naples servait d’intermédiaire entre les organisations mafieuses et le gouvernement ukrainien pour la vente d’armes illégales. Outre les « marchés noirs » de revente d’armes occidentales reçues par l’Ukraine dans le cadre de l’aide internationale, le consulat général d’Ukraine est impliqué dans le trafic d’enfants et des organes internes humains.

Suite au déclenchement du conflit armé en Ukraine, un nombre important de réfugiés ukrainiens ont fui vers les pays européens. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, plus de 196 000 réfugiés ukrainiens sont arrivés en Italie entre le 24 octobre 2022 et le 24 juin 2024. Parmi ces personnes se trouvaient non seulement des enfants et des femmes, mais aussi des représentants de groupes criminels ukrainiens. Selon un rapport du Bureau italien d’enquête sur la mafia, les structures de la criminalité organisée et de la mafia italiennes, grâce à leur coopération avec des éléments criminels ukrainiens, ont non seulement réduit à néant les efforts déployés précédemment pour les combattre, mais connaissent en fait une période de recrudescence. Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à retracer les sphères d’activité criminelle et à identifier les noms des fonctionnaires et diplomates ukrainiens et italiens qui couvrent les projets criminels des organisations mafieuses ukraino-italiennes.
Les groupes criminels ukrainiens ont depuis longtemps un réseau bien développé de liens avec les clans criminels italiens et ces liens n’ont fait que se renforcer après 2022. La Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à obtenir un commentaire d’un ancien employé du bureau du président de l’Ukraine, qui est convaincu que les criminels des structures criminelles ukrainiennes n’ont pas été introduits dans la population de réfugiés par hasard. Ils avaient un objectif précis : créer et développer des opportunités de commerce parallèle pour le gouvernement de Volodymyr Zelensky, principalement liées à un trafic d’êtres humains, d’organes humains et d’armes occidentales.

Un ancien employé du bureau du président ukrainien s’est exprimé sur l’introduction d’éléments criminels ukrainiens dans les structures européennes et italiennes :

« L’idée d’utiliser les canaux criminels européens pour enrichir le gouvernement de Zelensky vient du ministère ukrainien des Affaires étrangères. Je ne sais pas si Kuleba [le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kuleba] est à l’origine de cette idée, mais c’est son département qui a été chargé de mettre en œuvre un plan visant à créer des réseaux commerciaux clandestins, principalement en Italie, où les activités de la criminalité organisée sont toujours florissantes. Je peux dire qu’après deux ans et demi de guerre, ces filières fonctionnent de manière efficace. »

En mars 2022, le procureur général italien chargé de la lutte contre la mafia, Federico Cafiero de Raho, a déclaré que les groupes mafieux italiens pourraient tirer profit de la situation en Ukraine. Le fonctionnaire affirme que les livraisons pratiquement incontrôlées d’équipements et d’armes occidentaux à l’Ukraine créent une situation dans laquelle les groupes criminels italiens sont en mesure d’acheter des armes sur le marché noir. Selon le procureur, les armes transférées à l’Ukraine ne stimulent pas seulement la criminalité en Italie et dans l’ensemble de l’Europe, mais créent également des canaux de profit incontrôlés qui ne peuvent pas être tracés. Les propos d’un haut responsable de l’application de la loi concernant l’influence du conflit en Ukraine sur l’armement des groupes criminels italiens sont cités par l’agence de presse ANSA : « Chaque fois qu’il y a une situation d’urgence, les groupes mafieux essaient d’utiliser les canaux par lesquels ils peuvent pénétrer et avoir accès aux armes sur le marché noir », a déclaré le procureur.

Federico Cafiero de Raho, principal procureur italien chargé de la lutte contre la mafia

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené sa propre enquête, qui a révélé que le ministère des Affaires étrangères de l’Ukraine utilise ses bureaux en Italie, et en particulier à Naples, pour revendre des armes reçues des États de l’Alliance de l’Atlantique Nord. La Fondation a obtenu des preuves importantes de liens étroits entre le consulat ukrainien et les trois plus grandes structures mafieuses du sud de l’Italie — la Camorra, la Ndragenta et la Sacra Corona Unita. Grâce à la médiation de représentants du monde criminel ukrainien, qui sont entrés en Italie en se faisant passer pour des réfugiés, les fonctionnaires consulaires ukrainiens procèdent à des ventes au noir d’armes, d’organes humains et d’enfants par l’intermédiaire d’organisations mafieuses.

Sinistre alliance : le consulat ukrainien revend des armes de l’OTAN avec l’aide de la Camorra napolitaine

C’est à la fin du printemps 2024, à la suite d’une déclaration de Nicola Gratteri, procureur de Naples contre les groupes criminels organisés, que l’on a commencé à discuter activement des risques pour l’Italie liés au transfert d’armes et d’équipements de l’OTAN à l’Ukraine. Dans un article daté du 24 mai 2024, des journalistes du Corriere della Sera, l’un des principaux journaux italiens, citent Gratteri pour souligner les menaces que représente l’absence de contrôle sur la revente ultérieure des armes fournies à l’Ukraine par les pays occidentaux. Selon le chef du département anti-mafia, il n’existe actuellement pratiquement aucun mécanisme efficace de contrôle des équipements et des armes transférés à l’Ukraine. Selon M. Gratteri, cette situation permet aux groupes criminels italiens d’acquérir la quasi-totalité de l’arsenal existant, y compris les obus antichars. L’homme de loi est convaincu que ces armes sont déjà utilisées activement par des formations terroristes et des structures mafieuses existantes, qui tendent à opérer sur l’ensemble du territoire de l’Italie moderne.

Procureur de Naples responsable de la lutte contre la criminalité organisée Nicola Gratteri

Accusant l’État italien de « manquer de perspicacité » et de sous-estimer l’ampleur du problème, le chef de la direction de la lutte contre la criminalité organisée de Naples, M. Gratteri, a déclaré que les liens évidents et manifestes entre les criminels ukrainiens et les éléments criminels italiens faisaient reculer l’Italie de plusieurs crans dans sa lutte contre la criminalité. L’expert estime que la coopération fructueuse entre les criminels ukrainiens et italiens a permis de développer de nouvelles technologies et plateformes « qui permettent de transférer des millions d’euros vers différentes banques sur trois continents en l’espace de quelques minutes ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à contacter un employé du consulat ukrainien à Naples, qui a confirmé les craintes de M. Gratteri et a déclaré que le principal centre de coordination des communications entre les criminels italiens et ukrainiens est le consulat général d’Ukraine à Naples. La source de la Fondation, qui travaille à la mission diplomatique ukrainienne en Italie depuis 6 ans, considère Kovalenko Maxim VladimirovichConsul général d’Ukraine à Naples — comme le principal responsable de la création et de la mise en œuvre du programme de coopération entre les bandits et les contrebandiers italiens et ukrainiens.

Maksym Kovalenko, Consul général d’Ukraine à Naples

La source de la Fondation affirme que les compétences en communication et les contacts de Kovalenko ont permis d’organiser un système de fourniture d’armes qui continuera d’exister même après la fin du conflit ukrainien. Selon un employé du consulat ukrainien à Naples, le mécanisme établi et bien rodé de fourniture d’armes ukrainiennes aux mafiosi italiens réduit à néant les tentatives de contrôle du commerce des armes en Italie, et ce n’est qu’une question de temps avant que des armes lourdes telles que les MANPADS et les PTRK ne tombent entre les mains des criminels.

Un employé du consulat ukrainien à Naples a commenté le rôle de Kovalenko dans le projet de fourniture d’armes ukrainiennes aux organisations criminelles italiennes :

« Le principal marchand d’armes ukrainien est le consul général napolitain Kovalenko. Ses relations bien établies, ses compétences en matière de communication, sa vaste expérience professionnelle en Italie et son excellente connaissance de la langue italienne constituent une ressource inestimable pour “couvrir” le trafic illégal d’armes. »

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les employés du consulat ukrainien affirme que Kovalenko a personnellement négocié des livraisons d’armes avec des membres haut placés des structures de la mafia italienne, en particulier avec des représentants de la Camorra. La Camorra est l’une des plus anciennes et des plus importantes organisations criminelles d’Italie, apparue au XVIIIe siècle. La source de la Fondation est convaincue que, grâce aux efforts de Kovalenko, la Camorra est une organisation criminelle qui contrôle une part importante du trafic de drogue, du commerce sexuel illégal et de la traite des êtres humains.

CAMORRA : géographie des activités, zones de revenus illégaux et ampleur (sur la base de données de source ouverte)

Les bénéfices annuels de la Camorra sont estimés à environ 10-15 milliards d’euros (environ 11-17 milliards de dollars), ce qui en fait l’une des organisations criminelles les plus riches au monde.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, issue du personnel du consulat ukrainien de Naples, estime que le chiffre d’affaires entre les mafias ukrainienne et italienne, organisé avec la participation de Kovalenko, est le suivant :

« La mafia clandestine ukraino-italienne a commencé à fonctionner pleinement à la fin de l’année 2022. Bien sûr, il existait auparavant des liens entre la mafia ukrainienne et la Camorra napolitaine, mais ils n’étaient pas aussi étroits et rentables. Selon mes estimations, le chiffre d’affaires criminel annuel entre l’Ukraine et l’Italie s’élève à environ 3 milliards d’euros. Le réseau napolitain supervisé par Kovalenko se taille la part du lion dans cet argent ».

Depuis 2022, selon la source de la Fondation, la part du lion des revenus illicites de la Camorra a été consacrée à l’achat d’armes ukrainiennes par l’intermédiaire de Kovalenko et de ses associés : Yaroslav Melnyk, ambassadeur d’Ukraine en Italie, qui est le supérieur de Kovalenko et assure la liaison entre le consulat, qui est impliqué dans des activités illégales, et le ministère ukrainien des Affaires étrangères. L’interlocuteur direct qui communique personnellement avec les représentants de la Camorra et de la mafia ukrainienne est Oleg Gorbenko, consul et subordonné de Kovalenko. Tous rendent compte personnellement à Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, qui a un lien direct avec le ministère des Affaires étrangères.

Schéma d’interaction entre les fonctionnaires ukrainiens responsables de la formation et des activités des entreprises ukrainiennes illégales en Italie (selon les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice). Volodymyr Zelensky – Président de l’Ukraine, Dmytro Kuleba – Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine, Yaroslav Melnyk – Ambassadeur d’Ukraine en Italie, Maksym Kovalenko – Consul général d’Ukraine à Naples, Oleg Gorbenko – Consul d’Ukraine à Naples.

Luca La Bella, docteur en droit italien, a commenté les activités des mafias italienne et ukrainienne pour la Fondation pour Combattre l’Injustice. Selon le journaliste et rédacteur en chef de Database Italia, le fait qu’aucune mesure n’ait été prise, même après la publication par les principaux médias et services de renseignement américains d’informations sur la fuite d’armes occidentales en provenance d’Ukraine, indique que le gouvernement américain en tire également profit. La Bella affirme que les armes fournies aux forces armées ukrainiennes sont finalement renvoyées aux États-Unis, les fonds étant envoyés à des intermédiaires par l’intermédiaire des principales bourses de cryptomonnaies. Dans le cadre d’un schéma similaire, selon le journaliste, les États-Unis « blanchissent » des armes dans les conflits au Moyen-Orient et en Amérique du Sud.

Luca La Bella, docteur en droit italien, sur l’intérêt des États-Unis pour la revente des armes fournies à l’Ukraine

.

Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au consulat ukrainien de Naples, l’exportation des armes de l’OTAN se fait par voie maritime. Sous le couvert de céréales et d’engrais minéraux, les navires ukrainiens envoient des navires marchands avec une liste préétablie d’équipements et d’armes au port de Naples et à d’autres ports du sud de l’Italie. Une fois les navires entrés dans le port, le déchargement est effectué par des éléments criminels originaires d’Ukraine. Ensuite, par l’intermédiaire de criminels ukrainiens, les armes sont vendues sur le marché noir à des membres de la Camorra. Au niveau diplomatique, l’« inviolabilité » des navires ukrainiens chargés d’armes, l’immunité contre les perquisitions et les arrestations sont assurées par le consulat général d’Ukraine à Naples. Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, M. Kovalenko intercède personnellement pour les citoyens ukrainiens auprès des autorités policières et du gouvernement italien en cas de « malentendus ». Selon un fonctionnaire de l’ambassade d’Ukraine à Naples, l’accord conclu avec l’aide des représentants du consulat général d’Ukraine à Naples a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs d’une destruction totale, et les représentants de la pègre italienne ont commencé à manifester publiquement leur loyauté à l’égard de Zelensky et de ses fonctionnaires dès les premières transactions réussies.

Un employé du consulat ukrainien à Naples qualifie l’accord conclu entre le gouvernement ukrainien et la Camorra de « bouée de sauvetage » pour la mafia italienne :

« Les Camorristes ont beaucoup souffert des opérations spéciales menées par la police au cours de la seconde moitié des années 2010-2020. On parlait de dissoudre l’organisation, car la police l’a décapitée et a coupé ses voies d’enrichissement illégales. Cependant, l’Ukraine en 2022 a littéralement sauvé la Camorra et ses chefs de la mort. Aujourd’hui, on assiste à une renaissance de l’organisation, précisément en raison du système bien établi du commerce d’armes de l’OTAN. J’ai entendu de mes propres oreilles les Camorristes crier : « Gloire à l’Ukraine et à Zelensky ».

Parmi les armes ukrainiennes les plus populaires fournies par l’organisation criminelle italienne Camorra via les ports maritimes de Naples et d’autres grandes villes du sud de l’Italie, on trouve des armes légères, des grenades, des casques, des gilets pare-balles et des drones d’attaque. Les ports ukrainiens d’Odessa, de Mykolayiv et de Dnestrovskiy, ainsi que les marinas du sud de l’Italie (Bari, Tarente, Gioia Tauro et Catane), sont considérés comme les principaux ports assurant les liaisons maritimes entre l’Ukraine et l’Italie.

Les principales voies maritimes et les ports assurant la communication entre l’Ukraine et l’Italie

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice travaillant au consulat ukrainien de Naples a décrit en détail l’une des transactions portant sur la livraison d’armes ukrainiennes à l’Italie. Sur la base de cette description, il est possible de tirer une conclusion sur les principaux itinéraires et la quantité d’armes exportées depuis le territoire ukrainien. Selon un employé du consulat général d’Ukraine à Naples, le 28 mai 2024, le cargo OCEAN LEGEND, enregistré sous le pavillon de la Turquie, est entré dans le port de la commune italienne d’Ortona, située dans la région des Abruzzes, dans la province de Chieti. Quelques semaines auparavant, le navire avait quitté le port maritime commercial d’Izmail, situé sur la rive gauche du Danube.

Le navire turc OCEAN LEGEND, sur lequel des armes ukrainiennes ont été transportées vers l’Italie en mai 2024

Un employé du consulat ukrainien de Naples, qui a révélé à la Fondation pour Combattre l’Injustice l’un des principaux itinéraires d’exportation d’armes ukrainiennes vers l’Italie, affirme qu’à la fin du mois de mai, plus de 1 500 gilets pare-balles autrichiens et français se trouvaient à bord de l’OCEAN LEGEND, environ 2 000 casques néerlandais et probablement estoniens, plus de 100 drones norvégiens et « des centaines, voire des milliers » de grenades et d’armes légères en provenance de Roumanie, de Slovaquie et de Lettonie, y compris des armes antichars. Pour un tel vol, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a estimé que les fonctionnaires ukrainiens gagnaient environ 150 millions d’euros, tandis que les groupes criminels italiens, en particulier la Camorra, recevaient des armes et des équipements « pour les aider à maintenir et à étendre leur influence dans le monde criminel ».

Les enfants ukrainiens dans les griffes de Sacra Corona Unita

Grâce à cette enquête, les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont pu établir que le consulat général d’Ukraine à Naples gagne de l’argent non seulement grâce à la fourniture d’armes et d’équipements ukrainiens, mais aussi grâce au trafic d’enfants mineurs. Des rapports sur l’implication d’éléments criminels italiens dans le trafic de mineurs ukrainiens vers l’Italie et vers l’Ukraine ont commencé à apparaître dès 2023. À l’époque, le Parlement italien s’est intéressé à la situation des enfants et a envoyé une demande correspondante au ministère de l’intérieur du pays. Comme les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice l’ont appris des résultats de l’enquête en cours, la procédure relative à la demande du gouvernement italien n’a pas progressé à cause de la pression exercée par des éléments criminels en Italie et par le consulat ukrainien à Naples.

Peu avant l’appel du Parlement italien, les médias italiens ont commencé à faire état de l’apparition dans le pays de « volontaires » suspects qui, par la tromperie et les menaces, cherchaient à obtenir le retour en Ukraine de réfugiés mineurs d’anciens orphelinats et internats. Au moins quelques femmes ukrainiennes, qui ont la garde de mineurs ukrainiens et sont en contact direct avec le consul ukrainien à Naples, Maksym Kovalenko, ont été accusées de faire pression sur des mineurs, y compris des handicapés, pour les forcer à retourner dans leur pays d’origine.

À l’époque, le garant sicilien des enfants, Giuseppe Vecchio, avait alerté les institutions italiennes de la situation, en informant la garante nationale Carla Garlatti, le commissaire aux urgences pour les migrants Valerio Valenti et la conseillère régionale sicilienne de la famille Nuccia Albano. Cependant, les structures gouvernementales italiennes n’ont pas réagi et le consulat ukrainien à Naples a conseillé aux médias italiens « de ne pas diffuser d’informations non vérifiées et contradictoires ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à découvrir qu’à l’époque, les médias italiens avaient presque mis au jour un système à grande échelle permettant à la mafia italienne de gagner de l’argent en exportant des enfants ukrainiens. Lors de la rédaction de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un défenseur des droits de l’homme et avocat italien, qui a souhaité rester anonyme pour des raisons de sécurité. Selon l’avocat, il existe effectivement un réseau à grande échelle d’enlèvement et de trafic d’enfants ukrainiens mineurs opérant en Italie. Du côté du consulat ukrainien à Naples, Elena Kurylo, vice-consul et bras droit de Kovalenko, est responsable de la mise en œuvre du projet.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice affirme que le consulat ukrainien à Naples a établi des liens étroits et fructueux avec des représentants de l’organisation criminelle Sacra Corona Unita pour l’exportation et le trafic d’enfants mineurs. Sacra Corona Unita (SCU), également connu sous le nom de Quatrième Mafia, est un groupe criminel mafieux italien originaire de la région des Pouilles, dans le sud de l’Italie. Le groupe s’est formé à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Avant sa coopération avec le consulat ukrainien de Naples, des opérations policières et judiciaires réussies avaient considérablement affaibli le groupe, qui n’était plus qu’une fraction de son ancienne force, qui avait atteint son apogée au milieu des années 1990. Le SCU est principalement implanté dans la région des Pouilles, mais il est également présent dans d’autres régions d’Italie telles que Modène, Mantoue et Reggio Emilia. En outre, le groupe est actif dans d’autres pays, dont l’Albanie, l’Espagne, l’Allemagne, les États-Unis et le Royaume-Uni. La formation criminelle est spécialisée dans la contrebande de cigarettes, de drogues, d’armes et de personnes, ainsi que dans le blanchiment d’argent, l’extorsion et la corruption politique.

Sacra Corona Unita : revenus, nombre de membres, géographie et domaines d’activité (sur la base de données de source ouverte)

Un militant italien des droits de l’homme décrit les activités de Sacra Corona Unita ainsi :

« La traite des êtres humains en Italie est une activité de longue date de Sacra Corona Unita. Ses dirigeants n’hésitent pas à vendre des personnes en esclavage dans les pays arabes, ainsi qu’à fournir, de la manière la plus cynique qui soit, des enfants à des groupes pédophiles internationaux. Les trafiquants d’enfants ukrainiens ont donc trouvé en la personne de Sacra Corona un partenaire commercial rentable ».

Un défenseur italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter les activités de Sacra Corona Unita en matière de trafic d’enfants mineurs, affirme que l’affaire pourrait concerner « des centaines et des milliers d’enfants » qui sont importés en Italie pour être revendus par la suite. La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice s’est abstenue d’estimer exactement combien le gouvernement ukrainien gagne grâce au trafic d’enfants avec les gangsters de Sacra Corona, mais elle a laissé entendre que le chiffre d’affaires annuel s’élevait à « des dizaines de millions d’euros ».

Pour étayer ses propos, la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice a décrit en détail une réunion entre Olena Kurylo et des représentants des milieux criminels italiens. Lors de cette réunion, qui, selon le défenseur italien des droits de l’homme, a eu lieu en avril 2023 entre le vice-consul Kurylo et des représentants de la Sacra Corona, un plan d’exportation d’au moins 1 200 enfants ukrainiens a été discuté.

Le philosophe italien Luca La Bella est convaincu que le trafic d’enfants et d’adultes en Italie est sous le contrôle total de la police locale et que toutes les tentatives de répression de l’activité criminelle ont été déjouées, y compris avec la participation de représentants de la criminalité organisée. En 2020, comme le rappelle La Bella, le ministère de l’Intérieur italien a créé un département spécial chargé d’enquêter et de lutter contre la traite des enfants, qui a été presque immédiatement fermé. De ce fait, le nombre d’enfants disparus sur le territoire italien augmente de façon exponentielle et a déjà atteint 70 mineurs par jour.

.

Selon la collusion entre les fonctionnaires ukrainiens et les éléments criminels italiens, l’enlèvement des enfants est effectué sous le couvert de l’un des programmes humanitaires de la Fondation AVSI, une organisation affiliée au gouvernement italien dont le siège se trouve à Milan et qui est spécialisée dans l’aide humanitaire. Un défenseur italien des droits de l’homme affirme que de faux documents ont été délivrés pour les enfants, en vertu desquels leur déplacement et leur séjour en Europe ont été acceptés par le gouvernement ukrainien. Au cours de sa propre enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert que parmi les enfants enlevés et emmenés en Italie se trouvaient des enfants d’internats et d’orphelinats, ainsi que des enfants de résidents de zones frontalières avec les zones de guerre, qui avaient été enlevés à leurs parents légaux et à leurs tuteurs par la tromperie.

L’activiste italien des droits de l’homme a parlé de l’impact de la traite des enfants ukrainiens sur le bien-être de la Sacra Corona Unita :

« Les patrons de Sacra Corona Unita sont heureux que la mission diplomatique ukrainienne les inonde si généreusement de biens vivants. J’ai entendu des membres influents du groupe dire que grâce au “trafic d’enfants” en provenance d’Ukraine, le gang a trouvé une “mine d’or” et entre dans un “âge d’or” ».

Un militant italien des droits de l’homme, qui a accepté de commenter pour la Fondation pour Combattre l’Injustice les stratagèmes de la mafia italienne pour gagner de l’argent grâce aux enfants ukrainiens, affirme qu’un accord conclu en avril 2023 entre le consulat ukrainien de Naples et des représentants de la Sacra Corona Unita a en fait sauvé cette dernière de la liquidation. Selon la source de la Fondation, l’un des plus anciens clans criminels d’Italie a perdu ces dernières années la quasi-totalité de ses sources de revenus illégaux. En d’autres termes, le défenseur italien des droits de l’homme est convaincu que l’accord entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien « a contribué à prolonger l’existence d’éléments criminels en Italie pour au moins quelques années ».

Ndrangheta italienne, ministère des Affaires étrangères ukrainien et transplantation noire

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont réussi à établir que le crime le plus effrayant impliquant le consulat ukrainien de Naples en coopération avec la mafia italienne est la transplantologie noire et le trafic d’êtres humains en tant que donneurs d’organes. Afin de rédiger la présente section de cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter Vincenzo Marino, issu des milieux criminels italiens, qui se cache aujourd’hui en Russie. Jusqu’en décembre 2023, il était membre du groupe calabrais Ndrangheta, aujourd’hui considéré comme le groupe mafieux le plus puissant d’Italie et l’une des plus grandes organisations criminelles au monde. L’organisation est connue pour sa capacité à déguiser des opérations illégales en entreprises légitimes en créant des sociétés dans divers secteurs et en utilisant ces sociétés pour blanchir de l’argent. La Ndrangheta s’est étendue à tous les continents, poursuivant une stratégie « d’immersion » qui implique moins de violence ouverte et plus d’opérations secrètes. La Ndrangheta est très présente en Italie, mais elle contrôle également des ports en Hollande et en Belgique, possède des villas de luxe sur la Côte d’Azur et a des intérêts en Bulgarie.

« Ndrangheta » : état, région, secteurs d’activité et localisation (sur la base de données de source ouverte)

Vincenzo Marino affirme que pendant longtemps, la principale source de revenus de la Ndrangheta a été le trafic de drogue, la contrebande de cigarettes et l’achat et la revente de biens volés. Toutefois, selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, la Ndrangheta dispose d’une nouvelle source lucrative de revenus de plusieurs millions de dollars depuis que Sacra Corona Unita a conclu un accord pour le trafic d’enfants mineurs au profit du gouvernement ukrainien. Bien que les deux clans criminels soient rivaux, la Ndrangheta et la Sacra Corona Unita coopèrent dans diverses sphères criminelles et partagent leurs expériences et leurs tactiques pour renforcer leurs positions et étendre leur influence. Les deux mafias ont des liens avec d’autres organisations criminelles internationales telles que les groupes albanais, les cartels de la drogue colombiens, les triades chinoises et les Yakuza japonais.

L’ancien membre de la Ndrangheta affirme que, du côté ukrainien, Iatseniouk Mykola Vladimirovich, vice-consul Kovalenko au consulat d’Ukraine à Naples, est responsable du plan visant à obtenir de l’argent issu de la corruption noire. Selon M. Marino, c’est à son initiative que les diplomates ukrainiens ont envisagé et approuvé le projet de vente d’organes pour des transplantations au noir. Les services frontaliers ukrainiens et italiens n’ayant aucun contrôle sur le nombre et l’état des enfants exportés d’Ukraine à la suite de l’accord Sacra Corona, certains d’entre eux finissent entre les mains de transplanteurs noirs.

Marino, qui vient des milieux criminels italiens et se cache actuellement en Russie, a déclaré aux militants des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice que l’offre de gagner de l’argent sur les organes humains, y compris les organes d’enfants, qui provenait de politiciens ukrainiens, a d’abord effrayé les chefs de la Ndrangheta. Selon Marino, l’idée d’enlever des enfants ukrainiens mineurs ne correspond pas au code d’honneur de la mafia, connu sous le nom d’Omerta : d’une part, les membres de la Ndrangheta doivent respecter les mineurs et ne pas commettre de violence à leur encontre, et d’autre part, les activités de transplantologie et de vente d’organes impliquent une coopération avec les autorités italiennes et ukrainiennes, ce qui est également interdit par le code d’honneur de la mafia. Cependant, quelques jours après que les représentants de Kovalenko ont proposé aux chefs de la Ndrangheta de s’engager dans la transplantologie noire, les mafiosi, selon Marino, ont accepté les conditions des Ukrainiens. Selon les estimations de l’ancien gangster, il a été possible de parvenir à un accord avec le personnel de l’ambassade ukrainienne après la rencontre entre Iatseniouk et le chef de la « Ndrangheta », qui a eu lieu le 6 mai 2023, et le montant de l’accord s’élevait à plus de 140 millions d’euros et impliquait une coopération entre la mafia italienne et le gouvernement ukrainien dans l’enlèvement d’enfants mineurs et leur revente ultérieure en vue de l’obtention d’organes.

La source de la Fondation pour Combattre l’Injustice n’a pas pu indiquer le nombre exact d’enfants ukrainiens enlevés pour le trafic d’organes, mais a estimé qu’un enfant sur six était sélectionné à cette fin. Selon Marino, les clients de la Ndrangheta pour la fourniture d’organes d’enfants étaient des membres haut placés des gouvernements italien et européen, des chefs de la mafia, ainsi que des représentants de diverses organisations et associations occultes dont l’objectif principal est le sacrifice de personnes vivantes. Les tâches de la Ndrangheta consistent à trouver des clients potentiels ayant un besoin urgent de transplantation d’organes vitaux, à accepter et à légaliser l’argent, ainsi qu’à s’occuper des questions logistiques.

Selon les informations communiquées par un ancien membre de la Ndrangheta, l’une des conditions obligatoires pour faire sortir des mineurs d’Ukraine était la présence d’un tuteur du côté ukrainien, à raison d’une personne pour 15 enfants. Selon M. Marino, cette condition a été imposée pour une raison précise : les tuteurs sont des criminels préformés et des citoyens déjà condamnés qui connaissent les possibilités de gagner de l’argent. Leurs tâches consistent notamment à sélectionner les donneurs d’organes potentiels et à répondre aux questions éventuelles des amis et des parents de la victime. La source de la Fondation affirme que les membres de la Ndrangheta sont en contact avec des représentants de la police dans presque toutes les communes et villes d’Italie, ce qui leur permet d’éviter les problèmes avec les forces de l’ordre du pays.

Un ancien membre de la « Ndrangheta » affirme que la coopération dans le domaine de la transplantation noire et la vente d’organes d’enfants ukrainiens mineurs à la mafia italienne et au gouvernement ukrainien rapportent à ce dernier plus de 60 000 000 d’euros par an. Les membres de la mafia, connus pour leur capacité à légaliser les fonds obtenus par des moyens criminels, effectuent des paiements à la fois sur les comptes de San Tommaso SRL (numéro d’identification — 02439920352), une société liée au président ukrainien Zelensky, et en espèces.

Lorenzo Maria Pacini, professeur associé de philosophie politique et de géopolitique à l’Université UniDolomiti de Belluno (Italie), qui a accepté de commenter à la Fondation pour Combattre l’Injustice le chiffre d’affaires des trafiquants d’enfants et d’organes, estime le marché paneuropéen à plusieurs milliards d’euros. Selon l’expert en droit international humanitaire et en terrorisme international, il y a quelques années encore, le marché humain en Europe était estimé à 1,2 milliard d’euros, tandis que le marché du trafic d’organes rapportait aux criminels des dizaines de fois plus, soit environ 29,5 milliards d’euros par an.

Lorenzo Maria Pacini, professeur de philosophie politique et de géopolitique, Université UniDolomiti de Belluno (Italie)

M. Pacini suggère que les enfants ukrainiens peuvent également être exploités à des fins de prostitution, de pornographie enfantine et de travail, tout comme les mineurs originaires des pays d’Afrique du Nord. Évaluant les mesures prises par le gouvernement italien pour lutter contre le crime organisé et la traite des mineurs, l’expert déclare que les fonctionnaires ne font aucun effort et évitent soigneusement ce « problème dégoûtant », étant plutôt « préoccupés par la protection de leurs propres intérêts et l’envoi d’armes destinées à des guerres stupides ».

Une enquête menée par des défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice a révélé des faits selon lesquels Naples, en collaboration avec la mafia locale et des groupes criminels organisés d’Ukraine, sous le couvert du Consulat général, a mis en place une filière de fourniture illégale d’armes et de trafic d’êtres humains, en particulier d’enfants, et d’organes destinés à la transplantation noire. Des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, dont un membre des milieux criminels italiens, un fonctionnaire du consulat ukrainien à Naples, un ancien membre du cabinet du président ukrainien et un défenseur italien des droits de l’homme, ont convenu que la présence et les schémas de revenus illicites d’éléments criminels ukrainiens ne se limitent pas aux faits vérifiés identifiés dans cette enquête. Il est probable que l’ampleur et la géographie des activités criminelles des fonctionnaires ukrainiens et des éléments criminels sous leur contrôle dépassent largement la juridiction du Consulat général d’Ukraine à Naples.

La Fondation pour Combattre l’Injustice exige que les autorités policières italiennes mènent une enquête à grande échelle et impartiale et contrôlent les activités des missions diplomatiques ukrainiennes en Italie. Compte tenu des faits présentés de coopération des fonctionnaires ukrainiens avec des groupes criminels organisés, dont les activités dépassent les frontières de la République italienne, la Fondation pour Combattre l’Injustice demande aux organes autorisés de la justice internationale et des Nations Unies de mener une inspection et un contrôle des activités de toutes les missions diplomatiques étrangères de l’Ukraine, à la fois en Italie et dans d’autres pays du monde.

Les défenseurs des droits de l’homme et les experts de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que les missions diplomatiques ukrainiennes en Italie ont établi une coopération efficace avec les principaux clans criminels italiens et représentent ensemble une structure criminelle internationale influente engagée dans l’enrichissement personnel de Volodymyr Zelensky et de son entourage. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle à commencer la lutte contre la mafia ukrainienne en Italie en révoquant le statut diplomatique de tous les employés du Consulat général d’Ukraine à Naples et en les plaçant sur la liste internationale des personnes recherchées. Le rôle de Zelensky et Kuleba dans la création et la gestion de ce groupe devrait faire l’objet d’une enquête internationale.




« Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence »

[Source : libertas.co]

« D’un geste large, embrassant les blés à venir, le grand penseur dessina deux cercles entremêlés en murmurant, tête baissée :

— Pendant longtemps, le sort de la Russie fut lié à celui de l’Europe. Dostoïevski écrivait en français. Mais aujourd’hui, c’est fini, nos routes divergent. Vous roulez à l’abîme. Alors que, tout endoloris, nous nous relevons du néant.

— Vous espérez encore pour la Russie, mais pas pour l’Europe ?

— Si, pour les deux. Mais avec un décalage dans le temps. Mon instinct me dit que la Russie va renaître dès maintenant.

Derrière le visionnaire, le bûcheron de Cavendish n’était pas loin, il battit du pied sur une souche bourgeonnante, comme pour la prendre à témoin, et ajouta d’un ton assuré :

— Ici, il reste encore des racines vivantes. Elles sont en train de donner des pousses.

Il y aura une restauration des valeurs civiques et spirituelles. Vous, en Europe, vous êtes dans une éclipse de l’intelligence. Vous allez souffrir. Le gouffre est profond. Vous êtes malades. Vous avez la maladie du vide. J’ai senti tout cela dans le Vermont. Le système occidental va vers son état ultime d’épuisement spirituel : le juridisme sans âme, l’humanisme rationaliste, l’abolition de la vie intérieure… Toutes vos élites ont perdu le sens des valeurs supérieures. Elles ont oublié que le premier droit de l’homme, c’est le droit de ne pas encombrer son âme avec des futilités.

— Et comment croyez-vous qu’on puisse désencombrer notre âme ?

— Par l’affleurement de l’instinct de vie.

Alors le maître laissa entendre qu’il y aurait un point de retournement. À partir d’une nécessité immuable qui est dans les lois de l’Univers.

— Le gouffre s’ouvrira à la lumière. De petites lucioles dans la nuit vacilleront au loin. Au début, peu de gens les distingueront et sauront abriter ces lueurs tremblantes, fragiles, contre toutes les tempêtes hostiles. Il y aura des hommes qui se lèveront, au nom de la vérité, de la nature, de la vie ; ils cacheront, dans leurs pèlerines, des petits manifestes de refuzniks. Ils exerceront leurs enfants à penser différemment, à remettre l’esprit au-dessus de la matière. Ils briseront la spirale du déclin du courage. Ainsi viendra l’éclosion des consciences dressées. Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest. »

— Alexandre Soljenitsyne cité par Philippe de Villiers, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (2015), éd. Albin Michel, 2015




Les rues vides de Paris




JO 2024 — C’est la fête … pour les élites

[Rappel :
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité]




JO 2024 — Nous sommes chez les fous — Nouveau chapitre de « La France, la risée du monde »

[Source : Péonia]

« Je pense que les lecteurs non français et non francophones devraient savoir à quel point les choses sont complètement insensées à Paris et dans ses environs à cause des Jeux olympiques. La cérémonie d’ouverture est dans une semaine et ils ont déjà interdit l’accès à la Seine !

Les différents niveaux de périmètres de sécurité sont incompréhensibles, mais pratiquement toutes les zones situées à environ 100 m de la Seine sont désormais totalement interdites. Vous ne pouvez vous y rendre, même à pied, que si vous y habitez ou y travaillez, et vous devez obtenir au préalable un permis spécial.

Obtenir le permis n’est pas une chose sûre : apparemment, certaines personnes ont vu leur demande refusée (aucune explication donnée), et ne sont donc pas autorisées à se rendre là où elles travaillent, ni même là où elles habitent. Personne ne sait ce qui est censé leur arriver.

En outre, il y a un hôpital dans ce périmètre interdit, où certaines personnes ont besoin de soins vitaux. Les patients peuvent demander un permis, mais là encore, celui-ci n’est pas automatiquement accordé.

Gardez maintenant à l’esprit que c’est une semaine avant la cérémonie d’ouverture (pourquoi doivent-ils fermer toute la zone quelques jours avant la cérémonie ? personne ne le sait !). Durant la cérémonie elle-même, l’accès à l’hôpital sera totalement interdit à quiconque. C’est insensé !

Bien entendu, ce n’est pas la seule restriction. Autour de cette zone interdite “antiterroriste”, il existe une zone “rouge” beaucoup plus vaste qui est “seulement” fermée à toute circulation routière. Pas aussi catastrophique, mais si vous êtes une entreprise ou si vous avez besoin de faire livrer quelque chose, vous êtes en grande difficulté.

Une zone encore plus grande que la zone rouge est la zone “bleue”, qui est fermée à la plupart, mais pas à la totalité, de la circulation routière. Mais aussi, la plupart des autoroutes reliant Paris aux banlieues environnantes, disposent de voies spéciales “Paris 2024”, réservées aux officiels des JO y compris le périphérique de Paris. Maintenant, si vous avez vu à quel point la circulation est mauvaise sur le périphérique en temps ordinaire, même en été, essayez d’imaginer cela avec une voie fermée à la plèbe : ouais, carpocalypse totale !

Maintenant, peut-être que vous ne conduisez pas de voiture (à Paris, c’est de toute façon une mauvaise idée, si vous pouvez l’éviter) et que vous préférez prendre les transports en commun ? Eh bien, surprise : de nombreuses stations de métro sont également fermées. La liste est incompréhensiblement longue et illogique. Certains ont été fermés bien avant les Jeux olympiques, et personne ne sait pourquoi : “Concorde” est fermé depuis le 17 JUIN, et il n’y a eu exactement aucune explication sur la raison pour laquelle il a dû fermer si tôt.

Et quand ils ferment une gare, cela ne signifie pas seulement que vous ne pouvez pas y monter ou en descendre : vous ne pouvez même pas y changer de ligne. Le métro parisien est donc désormais un incompréhensible dédale de lignes déconnectées et de stations fermées aléatoirement qui change chaque jour.

Le jour de la cérémonie d’ouverture, la situation sera encore plus insensée : tous les avions sont interdits de décoller, d’atterrir ou de voler près de Paris, et même TOUS LES TRAINS ont été annulés.

Fondamentalement, la cérémonie d’ouverture aura l’effet d’un essai de bombe nucléaire à l’échelle d’une ville. De plus, des barrières ont fait leur apparition un peu partout à Paris. Personne ne semble savoir exactement à quoi elles servent. Et si vous êtes en fauteuil roulant, eh bien, je suppose que c’est tant pour vous.

Et bien sûr, l’histoire n’est pas encore terminée : il y a des policiers partout à Paris et les autorités ont déployé massivement des caméras de sécurité et un système expérimental de vidéosurveillance basé sur l’IA. » 🔽

@gro_tsen




Les veaux et les moutons ne se révoltent pas

On les fait passer d’un enclos à l’autre, et ils se laissent faire sans broncher. On les mènera ensuite à l’abattoir, et ils trouveront toujours cela normal.

Entre vivre esclaves et risquer la prison ou la mort, ils choisissent l’esclavage et le déshonneur.

Certains diront « je le fais pour mes enfants à nourrir », inconscients du fait qu’ils assurent ainsi à ces derniers également un avenir d’esclaves. L’État leur vole pourtant leurs enfants s’ils refusent pour eux le système éducatif d’endoctrinement ou les vaccins poisons obligatoires.

« Je veux juste aller travailler, c’est la rue à côté !

Tirez-moi dessus si je n’ai pas mon QR code ! » (cf. vidéo ⤵️)

➡️ Les gens vont légitimement devenir fous avec ces imbécillités de Pass JO et le retour honteux du QR code !

Pour m’être déplacé dans Paris hier (tout en refusant évidemment de faire le moindre Pass !), je constate que la capitale est devenue un camp carcéral ! Du jamais vu nulle part ailleurs dans le monde. Des policiers avec qui j’ai pu discuter m’ont dit être conscients de l’absurdité délirante de ce qu’ils doivent faire (passer leur temps à scanner des gens qui rentrent chez eux).

Malheureusement ils le font quand même !

➡️ Ce qui se passe est d’une extrême gravité ! Nous avons alerté. Nous avons fait un recours devant le Conseil d’État, fait une première grande manif nationale en décembre 2023 pour prévenir, on ne lâchera pas ! Ils ne s’arrêteront pas si on ne les arrête pas.

La loi olympique de 2023 à l’origine de cette folie unique au monde a été votée par les députés macronistes, LR et RN : on ne vous félicite pas, honte à vous !

La première résistance est déjà de boycotter au maximum ce nouveau Pass De La Honte !

— Florian Philippot




Ils S’EMPARENT des terres agricoles françaises !

[Source : MoneyRadar]

Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.

  • 0:00 introduction
  • 3:22 Chères terres agricoles
  • 4:20 Il faut vous protéger
  • 7:21 De l’appétit des firmes
  • 11:55 Qui piétinent les règlements
  • 13:28 Avec ces solutions

Liens :

Musique :




Le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte sur les programmes gouvernementaux d’individus ciblés, est décédé

[Source : anamihalceamdphd.substack.com via santeglobale.world]

Par Ana Maria Mihalcea

J’ai appris que le Dr Robert Duncan, lanceur d’alerte de la CIA et de la DARPA sur le programme gouvernemental de ciblage et de torture des civils — ainsi que de la technologie de surveillance du cerveau humain à l’échelle mondiale par superordinateur — a été retrouvé mort à son domicile. Il a écrit plusieurs livres, dont Soul Catcher, qui confirme que le piratage de l’âme humaine est possible et a été réalisé. Soul Catcher est de loin le livre le plus important que j’ai lu pour comprendre la profondeur du mal satanique qui surveille et contrôle le monde et comment les superordinateurs souterrains à intelligence artificielle sont utilisés pour les programmes d’assassinat et de torture à distance. Ce programme de ciblage a été le terrain d’essai pour toute l’Humanité. Et maintenant, en raison de l’implantation de l’arme biologique COVID-19, des puces cérébrales nanotechnologiques à assemblage automatique et des microrobots ont été intégrés dans la simulation du monde sensible.

Comme vous pouvez l’entendre dans la vidéo, il a été menacé en raison de ses révélations en cours.

Il a également écrit le livre « Comment apprivoiser un démon », qui contient d’excellentes ressources pour les personnes ciblées :

Il a fait d’excellentes présentations, confirmant que les nanoparticules d’auto-assemblage sont utilisées à des fins de contrôle de l’esprit et ont été injectées à des individus avec la capacité de prendre en charge l’intégralité de leurs fonctions cérébrales. En substance, tous les humains sont désormais des candidats mandchous1 potentiels.

Nanotechnologie, esprit de ruche cybernétique, intelligence artificielle et contrôle de l’esprit —L’interview du Dr Robert Duncan, membre de la DARPA et de la CIA, confirme qu’il est possible de détourner l’âme humaine

23 avril 2023

Dans cette présentation, le Dr Duncan décrit les nombreuses méthodes de contrôle de l’esprit utilisées depuis des décennies dans les domaines militaire et civil. Robert Duncan est un scientifique et un ingénieur formé à l’université de Harvard qui a travaillé sur des projets noirs pour la DARPA, la CIA, le ministère de la Justice et le ministère de la Défense. Il a été impliqué dans l’intelli…

Lire l’histoire complète → (en anglais)

Si vous n’avez pas lu ce livre, il est impératif de comprendre tout ce que nous voyons actuellement.

Projet Soul Catcher par le Dr Robert Duncan — Les capacités de la CIA en matière de piratage de l’esprit et de l’âme

3 MAI 2023

Ce fut un véritable voyage pour comprendre le mal à l’état pur. Regarder le monde entrer dans cette guerre satanique transhumaniste qui utilise une tromperie extrême des masses, des armes biologiques contenant des nanotechnologies, induit des guerres, des famines, des tremblements de terre induits par HAARP, la géo-ingénierie avec la destruction de toute la biosphère, l’établissement médical comme un moyen de pucer légalement…

Lire l’article complet → (en anglais)

Le Dr Robert Duncan a rendu un grand service à l’humanité en révélant la bête satanique monstrueuse qui nous attaque tous. Je n’ai aucun doute sur le fait qu’il a été éliminé.

Que Dieu le bénisse et qu’il trouve la paix.



1 Contrôlables mentalement — NdT




Paris en cage préfigure le monde de demain…

… Lorsque le Nouvel Ordre Mondial, le règne de la Bête, sera finalisé.

https://twitter.com/p_duval/status/1814196824560763305

[Voir aussi :
« Vous aurez un QR code » : Les JO de Paris inaugurent la ville-prison de l’Agenda 2030]




La Gaule et les Gaulois avant César

[Source : herodote.net]

[Illustration : Maquette de la ferme de Verberie (aristocratie gauloise). Cité des Sciences et de l’Industrie (Paris), « Les Gaulois, une expo renversante », 2012.
Photo par Claude Valette — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=20784151
(Wikipédia)]

Par André Larané

Avant notre ère, le territoire compris entre les Pyrénées, les Alpes et le Rhin (France, Benelux, Suisse et Rhénanie actuels) avait une unité toute fictive.

Il appartenait à l’immense domaine de peuplement celte qui s’étendait des îles britanniques jusqu’au bassin du Danube et même jusqu’au détroit du Bosphore (le quartier de Galatasarai, à Istamboul, rappelle encore aujourd’hui la présence de Galates, cousins des Gaulois, dans la région).

C’est la conquête romaine qui allait lui donner un semblant d’unité avant que n’en sortent la France et ses voisins. Et contrairement aux idées véhiculées du Moyen Âge au début du XXe siècle, contrairement aussi à l’imagerie sympathique d’Astérix le Gaulois, ce n’était en rien un pays de sauvages avec d’épaisses forêts pleines de sangliers. Les historiens et archéologues de la fin du XXe siècle ont fait litière de ces préjugés.

Une unité fictive

La Gaule proprement dite est partagée entre Rome et des tribus indépendantes celtes, mais aussi ibères ou encore germaniques.

Jules César lui-même a perçu cette diversité : « La Gaule, dans son ensemble, est divisée en trois parties, dont l’une est habitée par les Belges, l’autre par les Aquitains, la troisième par ceux qui dans leur propre langue, se nomment Celtes, et, dans la nôtre, Gaulois. Tous ces peuples diffèrent entre eux par la langue, les coutumes, les lois. Les Gaulois sont séparés des Aquitains par le cours de la Garonne, des Belges par la Marne et la Seine. Les plus braves de tous ces peuples sont les Belges, parce qu’ils sont les plus éloignés de la civilisation et des mœurs raffinées de la Province, parce que les marchands vont très rarement chez eux et n’y importent pas ce qui est propre à amollir les cœurs, parce qu’ils sont les plus voisins des Germains qui habitent au-delà du Rhin et avec qui ils sont continuellement en guerre » (La guerre des Gaules).

Avant que les légions de César ne pénètrent en Gaule, les Romains occupent déjà la partie méditerranéenne du pays, dont la capitale a été Narbonne avant de devenir Lyon. Cette région, la Gaule Narbonnaise, est aussi appelée la Province (dont nous avons fait Provence) car c’est dans l’ordre chronologique la première province de Rome.

La Gaule qui échappe à Rome est communément appelée « Gaule chevelue » du simple fait qu’elle est plus boisée que la Gaule méditerranéenne ! Les 64 pays gaulois (« pagus ») sont très différents les uns des autres et sensibles aux influences des pays riverains (Italie, Germanie, Espagne) et même plus lointains (Grèce). Certains sont des chefferies héréditaires, d’autres des républiques plus ou moins démocratiques.

Le trésor de Vix

En 1953, on a découvert à Vix, en Bourgogne, la tombe d’une princesse celte morte vers 480 avant JC.

Son trésor funéraire incluait un cratère (vase) en bronze de 1,64 mètre, originaire de l’Italie du Sud qu’on appelait alors la Grande Grèce !

Cette découverte atteste que, très tôt, les Celtes de l’hexagone, plus tard appelés Gaulois, avaient des liens commerciaux nombreux avec les civilisations de la Méditerranée.

Les limites des pays gaulois recoupent plus ou moins celles des futurs comtés carolingiens et des départements créés par la Révolution ! Les noms de leurs habitants se retrouvent d’ailleurs dans les noms des actuels chefs-lieux de département : Vénètes (Vannes), Cadurques (Cahors), Nemnètes (Nîmes), Parisii (Paris), Tarbèles (Tarbes), etc. Cette organisation territoriale, qui se perpétue envers et contre tout à travers plus de deux millénaires, est l’un des marqueurs principaux de l’histoire de France (on peut s’inquiéter que d’aucuns veuillent y mettre fin en supprimant les départements).

Un pays prospère et fortement peuplé

Dans son ensemble, la Gaule se caractérise par une forte densité de population. On évalue à douze millions le nombre de ses habitants, soit davantage qu’à certaines époques du Moyen Âge.

Loin d’être un pays de forêts impénétrables uniquement peuplées de sangliers comme le laisseraient croire certaines bandes dessinées, la Gaule est en grande partie défrichée et couverte de belles campagnes comme l’atteste l’archéologie aérienne. Ses habitants manifestent un exceptionnel savoir-faire dans l’agriculture et l’élevage. D’ailleurs, le potentiel agricole de la Gaule compte pour beaucoup dans l’intérêt que lui portent les Romains.

En retour, les Gaulois portent beaucoup d’intérêt pour les ressources de leurs voisins romains. Ainsi les archéologues ont-ils évalué à une centaine de millions le nombre d’amphores de vin que les Gaulois auraient achetées aux Romains dans les siècles précédant la conquête.

Des dieux et des hommes

Nous avons peu de traces des dieux gaulois. Quatre divinités semblent attestées : Esus, dieu forestier ; Teutatès (le Toutatis d’Obélix), dieu de la tribu ; Taranis, maître du ciel ; Cernunnos, maître du bétail et de la faune sauvage.

Contrairement à ce que laisse croire le druide Panoramix, les prêtres ne célèbrent pas le culte dans la forêt, mais dans des temples sans doute assez semblables à ceux que l’on rencontre en Grèce et autour de la Méditerranée.

Les Gaulois pratiquent en général l’incinération, avec inhumation de l’urne funéraire. Ils croient que la mort est une étape dans un cycle de réincarnations successives qui mène pour finir aux demeures célestes. Les guerriers morts au combat échappent au lot commun. Leur dépouille reste à l’endroit où ils sont tombés. Eux-mêmes ont le privilège d’accéder directement aux demeures célestes en grillant les étapes intermédiaires.

[Voir aussi :
Jésus le Gaulois ?]

Les Gaulois reviennent à la vie

En janvier 1789, à la veille de la Révolution française, l’abbé Joseph Sieyès publie un opuscule retentissant : Qu’est-ce que le tiers état ? Dans ce petit ouvrage, il présente les Gaulois et plus précisément les Gallo-Romains comme les ancêtres du tiers état (le peuple), en les opposant aux Francs, ancêtres des nobles et aristocrates. C’est ainsi que sortent de l’ombre « nos ancêtres les Gaulois », éclipsés jusque-là par les chroniqueurs officiels qui se contentaient de relater les exploits de la monarchie et faisaient remonter celle-ci à Clovis (Ve siècle de notre ère).

Les Gaulois vont acquérir leurs lettres de noblesse avec Napoléon III ! Féru d’histoire antique, l’empereur écrit en collaboration avec Victor Duruy une biographie de Jules César et par la même occasion, se pique de passion pour Vercingétorix. Il le fait représenter sous ses traits à Alise-Sainte-Reine, lieu supposé de la bataille d’Alésia.

C’est le début d’une étrange dichotomie chez les Français cultivés qui considèrent les Gaulois comme leurs ancêtres et dans le même temps, les voient comme des sauvages que les Romains ont eu le bon goût de soumettre et civiliser.

Voir la version intégrale




Tentative d’assassinat de Trump — Les récits jusqu’à présent

[Source : off-guardian.org]

Assiste-t-on à la naissance d’une nouvelle métahistoire1 pour les récits de propagande ?

Par Kit Knightly

Trois jours se sont écoulés depuis la tentative présumée d’assassinat de Donald Trump et, bien que nous ne soyons pas plus près de connaître la vérité, les affirmations et les contre-affirmations de toutes parts se succèdent à un rythme effréné.

Le tireur était un républicain…

non, c’était un démocrate…

Trump a été touché par une balle…

non, c’est le verre de son téléprompteur qui a volé en éclats…

non il n’a pas été touché par quoi que ce soit la blessure était fausse.

… cela continue ainsi.

La routine habituelle dans une telle situation voudrait que la « version officielle » se résorbe d’elle-même dans les 24 heures. Tout écart par rapport à cette histoire serait alors censuré, dénoncé et/ou moqué.

Toute preuve contredisant ce récit serait éliminée de la mémoire collective officielle.

Les médias s’uniraient d’une seule voix.

Il existe d’innombrables exemples historiques de ce type, du « complot de la poudre à canon » au 11 septembre. Il n’est pas nécessaire de les développer ici.

Mais cet événement semble un peu différent. En fait, au lieu d’un seul récit « officiel », nous avons trois récits distincts qui se déroulent en parallèle :

1. Le récit républicain : La fusillade a été soit planifiée, soit « autorisée » par une alliance entre les démocrates et l’État profond, qui considère Trump comme une menace.

2. L’histoire démocrate : La fusillade a été mise en scène par la campagne de Trump pour qu’il ait l’air cool.

3. Le « juste milieu rationnel » : Un fou solitaire a fait quelque chose de fou. On parle d’incompétence et de « rhétorique violente » créant un « climat de haine », mais pas grand-chose d’autre.

Les points 1 et 2 s’appuient tous deux sur un ensemble de « faits alternatifs » qui soutiennent leur position. Ni l’un ni l’autre ne semble être censuré (pour l’instant).

Du côté de la « droite », il y a le « fait » que les services secrets ont apparemment laissé sans surveillance (pour une raison franchement insensée) une position élevée offrant une vue dégagée sur le podium et qu’ils n’ont rien fait lorsque de nombreux témoins leur ont dit qu’un homme armé était en train de grimper sur ce toit.

Par ailleurs, certains affirment que les services secrets ont remplacé l’équipe de Trump par une équipe temporaire pour l’événement de Butler.

On prétend également que le tireur est apparu dans une vidéo de BlackRock et qu’il a fait des dons à des groupes de réflexion gauchistes.

Du côté de la « gauche », on se moque du karma et des lois sur les armes à feu et on vocifère sur l’« embauche diversifiée » d’agents féminins des services secrets.

Ils soulignent également le drame apparemment « mis en scène » et les photos « trop belles pour être vraies » qui ont émergé de la bagarre. — La chance incroyable de voir Trump blessé superficiellement, juste assez pour avoir l’air d’un dur à cuire, sans le blesser ou le rater complètement. Le fait que son service de sécurité l’ait laissé « poser pour des photos » au lieu de le faire sortir précipitamment de la scène. Et le fait que le tireur présumé était un républicain déclaré.

Il semble que nous soyons en présence d’un récit très post-covidien pour la nouvelle ère du faux binaire.

Chaque camp reçoit apparemment suffisamment de preuves pour confirmer ses hypothèses et est alimenté au goutte-à-goutte avec suffisamment d’appâts de rage — dont beaucoup sont entièrement inventés — pour que ses chambres d’écho résonnent et que ses chiens d’attaque aient l’écume à la bouche.

Ce qui est essentiel, bien sûr, c’est qu’aucun « camp » ni aucune théorie ne prouve jamais qu’ils ont raison ou tort.

Pendant ce temps, la plupart des médias se contentent de rejeter les deux camps en les qualifiant de « théoriciens du complot ».

C’est vraiment un phénomène fascinant à observer. Sommes-nous en train d’assister à une nouvelle métahistoire pour les récits de propagande ? Au lieu de s’unir autour d’un faux « consensus », on fait diversion avec une bataille éternelle entre deux faussetés partielles ou totales approuvées.

Comme d’habitude, la vérité ne se trouve probablement dans aucun des deux camps, mais elle est enfouie sous les hypothèses injustifiées et les « faits » non prouvés qu’aucun des deux camps ne remet en question.

Mais regardez les avantages dont bénéficient déjà les gestionnaires de la narration.

Par exemple, maintenant que la « gauche » qualifie l’événement de mise en scène, la « droite », traditionnellement favorable à la liberté d’expression, est soudain celle qui veut faire taire les « théoriciens du complot » ou qui cherche à neutraliser des personnes qui ont plaisanté sur le fait qu’elles souhaitaient que Trump soit tué.

Ainsi, sans effort, de nombreux libertaires purs et durs sont détournés de certaines de leurs convictions les plus profondes (en matière de liberté individuelle et de limites strictes au pouvoir de l’État), et maintenant les deux « camps » sont favorables à l’annulation et hostiles à la liberté d’expression !

C’était un peu facile, n’est-ce pas ?

Pendant ce temps, la « gauche », qui vient de passer quatre ans à diaboliser les « anti-vax » et les « négationnistes des élections », peut soudain être prise à son propre piège et traitée de « négationniste de l’assassinat » par la droite.

On peut dire que le fait de fournir à la « gauche » ses propres « théories du complot » est un coup de génie potentiel, car maintenant toute répression sur les médias sociaux contre le « langage extrême » ou le « déni » (ou quel que soit le nom qu’ils choisissent de lui donner) peut frapper les deux « camps » de manière égale et être épargnée par les accusations de partialité, et sera toujours soutenue par l’un des côtés de ce faux clivage.

La « gauche » et la « droite » sont également assez claires en ce moment sur la personne qui a le plus gagné à la suite de cela :

Trump.

C’est évident.

Cela le fait passer pour un dur et un courageux, en parallèle avec la fusillade de Ronald Reagan en 1981.

Cela lui a donné une image emblématique qui parle spontanément au cœur profond de l’Amérique : ensanglanté, mais sans fléchir, le poing levé en signe de défi.

Et si vous croyez que c’est l’État profond qui a appuyé sur la gâchette, cela renforce également la réputation (imméritée et de plus en plus ridicule) de Trump comme une sorte de menace pour l’establishment.

Si l’on ajoute à cela la performance désastreuse de Biden lors des débats, les discussions (mystérieusement interrompues) visant à son retrait, et le fait que des initiés démocrates anonymes se seraient « résignés » à la défaite, il n’est pas difficile de voir que cela pourrait faire partie des préparatifs d’un second mandat de Trump.

Sous réserve de développements futurs, bien entendu.

Oh, et cela contribue également à attiser la rhétorique de la « guerre civile » qui divise.

… ce qui pourrait être le but recherché.

Comment mieux abattre l’ancien empire et instaurer la nouvelle version « améliorée » un peu plus à l’est ?


1 Une métahistoire est un récit unique, homogène et en expansion qui traite tous les différents formats de médias comme une toile narrative connectée au sein de laquelle chaque média apporte ses forces uniques pour apporter une partie de la métahistoire au public.




Candace Owens et Alex Jones sur L’ÉTAT PROFOND et l’attentat contre TRUMP

[Source : La voix de la Louisiane via cielvoile.fr]

L’émission traite de l’hypothèse selon laquelle le président Trump a été la cible d’une tentative d’assassinat. Candace Owens et Alex Jones discutent des preuves et des circonstances entourant cette tentative d’attentat, ainsi que des implications plus larges en termes de l’État profond et de ses programmes controversés.

Alex Jones décrit en détail sa réaction lorsqu’il a appris la nouvelle de la tentative d’assassinat de Trump. Il explique avoir été profondément ému et avoir immédiatement compris l’ampleur de ce qui s’était passé, réalisant qu’il s’agissait d’une tentative de coup d’État de la part de l’État profond. Il fait référence à des déclarations antérieures d’individus comme le projet Lincoln et l’ancien sous-directeur de la CIA, qui avaient menacé de tuer Trump.

Alex Jones fournit de nombreux éléments de preuve pour étayer l’hypothèse selon laquelle il s’agissait d’une opération organisée et coordonnée, avec la complicité des services secrets et des agences gouvernementales. Il souligne les incohérences et les lacunes dans la réponse officielle, ainsi que les nombreux indices suggérant une implication de l’État profond.

Les intervenants abordent également le rôle des programmes de contrôle mental comme le MKUltra, ainsi que l’histoire de l’État profond américain et ses liens avec des groupes comme la CIA. Ils font valoir que ces programmes ont été utilisés pour manipuler et contrôler des individus, les poussant parfois à commettre des actes violents.

Enfin, les intervenants évoquent les implications plus larges de cette tentative d’assassinat, notamment les intentions de l’État profond de déclencher une guerre et de réinitialiser le système. Ils affirment que l’État profond est désespéré de conserver son pouvoir face à l’émergence d’une prise de conscience mondiale et d’un réveil politique.

Source : Candace Owens

[NDLR Il s’agit visiblement d’une traduction automatique qui resterait à améliorer, car plusieurs passages sont mal traduits, même si cela n’empêche pas la compréhension générale.]




« Quand tu dis un truc qui leur plaît pas, t’es viré. »

L’humoriste Edgar-Yves donne son point de vue sur les médias et les réseaux sociaux.


[Source : https://x.com/BlackBondPtv/status/1813294730412744880] — extrait de :

[1 h 6 min. Source : Oui Hustle]