09/02/2023 (2023-02-06)
Du confort des croyances au choc de la vérité
Par Jamila BURET, ingénieure, docteure en physique, professeure universitaire
« Vous ne réalisez pas à quel point il est difficile d’exposer la vérité dans un monde rempli de gens qui ne sont pas conscients de vivre dans le mensonge ».
Edward Snowden
Cet article propose un survol de la « crise Covid », avec trois ans de recul et une masse énorme de données diffusées sur les canaux alternatifs d’information alors que dans les médias mainstream les journalistes-perroquets se contentent de répéter la même antienne.
Avec pour but de trouver un fil conducteur qui apporte une cohérence à une suite d’événements inhabituels, à des mesures liberticides sans fondement et souvent absurdes, au déchaînement d’un matraquage médiatique sans précédent, qui ont débouché sur une situation sanitaire, sociale, économique et psychologique catastrophique.
Et à l’arrière-plan, le désir de contribuer à ouvrir les yeux de ceux qui refusent encore de regarder la réalité en face.
La crise Covid que nous venons de vivre a eu des répercussions tous azimuts.
Mesures liberticides inédites (masques, tests PCR, confinements, couvre-feux, pass vaccinal…), peur diffusée par les médias grand public, choc de la perte de proches emportés par la maladie, souvent par manque de soins puisque, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a interdit aux médecins de soigner leurs patients, et, pire encore, on a administré aux malades des substances nocives ou mortelles (Rivotril, Remdesivir, paracétamol).
Tout cela a induit un profond bouleversement auquel est venu s’ajouter le forcing de la vaccination et ses conséquences pour les récalcitrants qui ont perdu leur emploi, et pour les vaccinés dont certains en sont morts ou subissent des effets indésirables multiples parfois terriblement handicapants.
Malgré toutes ces vicissitudes, la majeure partie de la population continue à faire confiance aux autorités et aux informations mensongères qu’elles diffusent sur les médias mainstream ; parce qu’elle ne peut pas ou qu’elle ne veut pas voir le tableau d’ensemble : la manipulation et la prise de contrôle de la population.
Ce refus de voir ce qui nous dérange et nous sort de notre confort est inhérent aux humains qui ne veulent surtout pas renoncer à leurs croyances sous peine de crise existentielle trop douloureuse.
Il existe cependant une petite minorité, dotée d’un esprit critique et d’analyse plus développé que la moyenne, qui, au gré des événements, se pose des questions et se met en quête de vérité. Ces chercheurs de vérité (scientifiques, anthropologues, médecins, statisticiens, etc.) ont produit continûment, depuis le début de la « crise sanitaire », une masse impressionnante d’informations alternatives, diffusées et mises à la disposition du public à travers des canaux alternatifs d’information créés par des militants (« gardiens de l’humanité ») pour contourner la censure pratiquée par les réseaux sociaux traditionnels (YouTube, Facebook, Twitter).
Et c’est un aspect positif très important de la crise Covid : le dévoilement progressif des mensonges distillés par les autorités, les institutions et leurs représentants ; mensonges relayés et diffusés par les médias mainstream financés par les États et par quelques milliardaires.
Étapes de la prise de conscience
« Une révolution est toujours l’aboutissement d’une lente évolution ».
Cette parole très juste d’un sage indien s’applique parfaitement au dévoilement des mensonges relatifs à la crise Covid.
C’est la succession d’événements anormaux apparus dès le début de la crise sanitaire qui a semé le doute dans certains esprits :
- — Virus nouveau, maladie encore inconnue, et d’emblée on l’annonce comme très contagieuse et mortelle.
- — À peine une quarantaine de cas déclarés et l’OMS annonce officiellement une pandémie de Covid-19.
- — Matraquage immédiat et inouï des médias : décompte quotidien des décès, des « cas »,
- — Apparition de nouveaux concepts (cas positif, cas asymptomatique, cas contact, cluster, gestes barrière, distanciation sociale, confinement).
- — Application des mesures coercitives avec un contrôle policier sans précédent.
La peur se propage et s’amplifie au sein de la population ; mais les chercheurs se mobilisent et débusquent les événements antérieurs destinés à lancer « l’opération Covid » (Agenda 21, Event 201, Jeux militaires de Wuhan, dépôts de brevet bien avant 2019, test raté de la grippe H1N1…).
En quelques mois, grâce au travail bénévole acharné de nombreux médecins, scientifiques, lanceurs d’alerte, les remises en cause se succèdent :
- de la gravité de la maladie (analogue à une grippe)
- de la non-existence de traitements efficaces
- de l’origine du virus
- de l’efficacité des masques et des confinements
- de l’utilité des tests PCR
- des statistiques officielles
Puis la propagande vaccinale se met en branle, orchestrée par les médias : des vaccins nouveaux, produits à la va-vite, jamais expérimentés sur les humains ; mais dont on déclare d’emblée une efficacité supérieure à 90 %. Présentés comme une grande innovation technique, puisque l’antigène destiné à provoquer la production d’anticorps n’est pas injecté directement comme dans les vaccins classiques, mais fabriqué par les cellules du corps des vaccinés.
Ce vaccin « exceptionnel » est annoncé comme l’unique solution pour enrayer la pandémie et retrouver « la vie d’avant ».
D’énormes moyens sont mis en place pour vacciner le plus grand nombre, en un temps record.
Mais, au vu du grand nombre de récalcitrants, on passe au forcing à grand renfort de pass vaccinal : plus d’accès au travail, aux commerces, aux loisirs, si l’on n’est pas vacciné !
Balayé, le consentement libre et éclairé du citoyen avant tout acte médical, pourtant clairement établi par divers traités et conventions (Nuremberg, Helsinki, Oviedo…).
Le plan d’ensemble de « l’opération Covid » devient plus clair : l’interdiction de traitements éprouvés et efficaces n’avait d’autre but que de justifier la vaccination, tout comme le gonflement artificiel des « cas » à grand renfort de tests PCR sans signification.
En effet, un vaccin ne se justifie que dans le cas d’une maladie à forte mortalité, pour laquelle n’existe aucun traitement efficace, et le vaccin doit avoir prouvé son efficacité et son innocuité.
Or, aucune de ces conditions n’est remplie dans le cas du Covid !
Mais alors, pourquoi un tel acharnement à vacciner le plus grand nombre, avec un maximum de doses et de boosters, en un temps record, alors que les vaccins étaient encore en phase 3 d’expérimentation ?
À grand renfort de mensonges et de chantages !
Car on peut désormais faire le bilan de cette opération « vaccination » de masse :
- Elle n’a pas arrêté la pandémie ni empêché les cas graves et les décès ;
- Elle n’a pas renforcé l’immunité des vaccinés ;
- Elle a causé des effets indésirables multiples et souvent très graves dans des proportions jamais atteintes avec les vaccins classiques.
Les populations vaccinées ont servi de cobayes aux fabricants de vaccins pour la phase 3 des essais cliniques ; plus tard, on découvrira que les phases 1 et2 ont été bâclées et leurs résultats falsifiés !
Effets des vaccins
La majorité des médecins ne pense même pas à chercher un lien éventuel entre le tableau clinique des patients et le vaccin anti-Covid ; d’où une très grande sous-estimation des effets indésirables (EI).
Étant donnés le nombre et la diversité actuels des EI, tout médecin sérieux devrait inclure dans le questionnaire préalable du patient, des questions sur la vaccination : nombre et date des doses, marque du vaccin, effets ressentis après les injections, immédiats et différés.
Morts subites d’adultes
Elles sont en général déclarées d’origine inconnue quand elles ne se produisent pas immédiatement après l’injection. Pourtant, de nombreuses études statistiques ont établi une surmortalité évidente en 2021 et 2022 dans les pays à fort taux de vaccination. En Allemagne, on signale dix fois plus de morts subites qu’en 2021 ; aux États-Unis, 40 fois plus de fausses couches et de mort-nés (les fœtus ont des crises cardiaques dans l’utérus) !
https://www.Covidhub.ch/10-fois-plus-de-morts/
https://www.Covidhub.ch/40-fois-plus-de-morts-nes/
Des vidéos montrant l’effondrement subit de personnes en pleine action affluent sur le Net : présentateurs télé, athlètes, mais aussi jeunes lycéens et sportifs. Au point qu’un documentaire « Died suddenly » a été consacré à ce phénomène !
Et il y a aussi toutes les morts différées, survenues quelques semaines ou plus après les injections. Les compagnies d’assurance américaines ont d’ailleurs alerté sur une augmentation du nombre des décès en 2021 et 2022, jamais enregistrée auparavant.
https://www.kairospresse.be/morts-dans-les-ecoles/
https://expose-news.com/2023/02/03/8x-increase-child-excess-deaths-europe-c19-vaccine/
Effets indésirables
Depuis que des médicaments et des vaccins sont utilisés à grande échelle dans le monde, jamais on n’a relevé une telle proportion et une telle variété d’effets indésirables qu’avec les injections anti-Covid. La liste en est très longue : cécité, surdité, éruptions cutanées, paralysies, thromboses, atteintes cardiaques, AVC, cancers, maladies auto-immunes, fausses couches, troubles du cycle menstruel…
Dans des pays à très fort taux de vaccination comme la Finlande, on enregistre des records d’infertilité.
Malgré la sous-estimation des EI, de nouveaux ne cessent d’apparaître : ainsi, des fœtus et des nourrissons, dont les mères enceintes ont été injectées, sont victimes d’AVC hémorragiques !
Découvertes sur les injections antiCovid
Le nombre et la gravité des EI, la diffusion des résultats d’autopsies et le témoignage de thanatopracteurs
effarés par la longueur (plusieurs dizaines de centimètres) et la consistance fibreuse inhabituelles des caillots retirés des artères et des veines des cadavres, tout cela ne pouvait qu’inciter les scientifiques à chercher à comprendre ces effets.
En fait, dès le début de la maladie Covid, les symptômes inhabituels présentés par les malades, totalement différents de ceux des autres maladies à coronavirus et dépassant largement la sphère ORL et les voies respiratoires, ont fortement intrigué les médecins.
Très vite, des chercheurs ont explicité le mécanisme d’action de la protéine spike qui permet au virus de pénétrer la cellule pour l’infecter et qui induit une hyperinflammation pouvant conduire au fameux « orage de cytokines » et au syndrome de détresse respiratoire aiguë (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.
Ainsi, les effets pathogènes du virus SARS-Cov2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface qui, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov2 ou seule, est capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.
Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !
On injecte donc, sous le nom rassurant de vaccin, un produit dangereux, qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le Covid.
Et les fabricants de vaccins ne peuvent prétendre ignorer les effets de la protéine spike puisque, en 2004 et 2005, des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient déjà montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes ; pendant que d’autres études concluaient qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.
Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a donc été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coïncidence…
https://www.francesoir.fr/societe-sante/Covid-et-spike-syndrome-ne-pas-confondre
Analyses d’échantillons de vaccins
Des témoignages troublants, dans des vidéos circulant sur le Net, montrent des effets magnétiques étranges chez les personnes vaccinées : des objets métalliques divers restent accrochés sur le bras au niveau du site de l’injection ou sur le torse ; des adresses MAC (Media Access Control) apparaissent sur Bluetooth en présence de personnes vaccinées.
Cela a incité des équipes de scientifiques à entreprendre l’analyse au microscope d’échantillons des différents vaccins anti-Covid. Les résultats obtenus sont si inattendus et déroutants que l’on se croirait en pleine science-fiction et la première réaction est de mettre en doute leur authenticité et l’honnêteté des chercheurs.
Cependant, de plus en plus d’études bien documentées apparaissent en provenance de plusieurs pays, présentant des images et des vidéos réalisées avec des microscopes très sophistiqués, avec des détails précis sur le mode opératoire, au point qu’il est impossible de continuer à rejeter en bloc tous ces résultats.
Les premiers à publier leurs résultats furent les scientifiques de la Quinta Columna, un groupe de scientifiques hispanophones dont « l’objectif est de montrer la réalité aussi inconfortable que soit la Vérité… sans préjugés ni conflits ».
Leur découverte principale est la présence dans les vaccins anti-Covid d’oxyde de graphène toxique pour les humains. Sur leur site (laquintacolumna.net), on peut télécharger leurs rapports techniques sur le sujet, ainsi qu’un recueil de plus de 60 publications scientifiques sur les propriétés et la toxicité de l’oxyde de graphène en biologie humaine. Leur dernière vidéo, mise en ligne sur la chaîne Odysee le 19 janvier 2023, « Nouvelles images de l’injection Pfizer », montre des structures quadrangulaires, du graphène et des nanotubes de carbone.
Un autre groupe, le COMUSAV (Coalition Mondiale pour la Santé et la Vie ; site : comusav.com), a réalisé un documentaire, « Bluetruth », qui présente les résultats de leurs recherches : présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés ; adresses MAC détectées dans différentes expériences, dont une dans un cimetière.
Pour eux, il est évident que les vaccinés émettent des ondes et ils l’expliquent par l’autoassemblage des particules de graphène à l’intérieur du corps, pour former des circuits électroniques nanométriques.
Ils relient leurs découvertes à un ensemble de projets existant depuis des décennies (Intra body Nano-Network ; carbon nanotubes linking neurones ; …) ayant pour objectifs le contrôle neuronal, la stimulation de la sécrétion des neurotransmetteurs, la modulation neuronale.
Une vidéo postée sur la chaîne Odysee.com, en janvier 2023, présente les travaux du Dr David Nixon de Melbourne sur les « Structures d’autoassemblage présentes dans les injections Covid-19 vues au microscope ». Disposant d’un matériel très sophistiqué, il a obtenu des images d’une qualité exceptionnelle.
Le Dr Nixon a filmé en continu pendant tout un week-end un échantillon de « vaccin » Pfizer et, en accélérant le film, a découvert l’autoassemblage et le désassemblage de cristaux carrés semblables à des puces électroniques reliées par des rubans, sensibles au rayonnement électromagnétique.
Son interprétation est que l’on est en présence d’une technologie très avancée ; que l’hydrogel des « vaccins », qui est une matière programmable et intelligente, contient les matériaux et le plan d’assemblage des structures observées.
https://www.laprensa.com.ar/523511-Vacunas-Covid-estado-actual-de-los-conocimientos.note.aspx
Plusieurs autres vidéos vont dans le même sens, mais l’une d’entre elles présente une nouvelle démarche encore plus étonnante. Un producteur américain de télé et de films, Del Bigtree, a donné son sang de non vacciné au laboratoire du Dr Ryan Cole qui l’a observé au microscope après y avoir ajouté une goutte de l’un des vaccins anti-Covid à ARNm. Dans le cas du produit Pfizer, le sang s’est décoloré et les globules rouges ont involué et sont devenus flasques donc probablement incapables de transporter l’oxygène.
On peut en conclure que des composants inconnus des « vaccins » agissent directement sur le sang des vaccinés, provoquant les EI, essentiellement coagulation du sang et inflammation. La protéine spike n’existant pas dans le « vaccin », elle ne peut pas être à l’origine de ces réactions !
Ce qui est frappant dans toutes ces analyses, c’est que les « vaccins » semblent contenir des produits dont les fabricants n’ont jamais signalé l’existence et qui n’ont pas leur place dans un vaccin !
Il n’est plus question d’ARNm ni de protéine spike. D’ailleurs, certains chercheurs ont signalé l’absence d’ARNm dans les échantillons qu’ils ont analysés.
Même si ces découvertes sont étranges et difficiles à accepter, il s’agit d’expériences réelles photographiées et filmées. Que l’on puisse ou non les expliquer pour le moment n’est pas le problème. Le problème est que ces « ingrédients », s’ils existent, ne devraient pas être injectés à un être humain à son insu.
Or les autorités sanitaires ont accordé une AMM conditionnelle à ces « produits » géniques et autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Ce qui déjà pose problème !
Du fait de leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ces produits ne devraient même pas porter le nom de vaccin !
Pire que cela, ils devraient être retirés immédiatement du marché vu les dégâts à court, moyen et long terme qu’ils ont causés ou vont causer. Et ceux qui les ont conçus, fabriqués, qui se sont enrichis grâce à leur vente, ceux qui en ont fait la promotion, qui les ont injectés de force, tous devraient être jugés et condamnés !
Pourtant, la grande majorité de la population qui n’est informée que par les médias officiels est tenue dans l’ignorance totale de l’inefficacité des « vaccins » et de la gravité de leurs EI. Elle continue donc à y croire ainsi qu’à la bienveillance des gouvernants !
« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des évidences qui ne sont pas à leur goût et préfèrent glorifier l’erreur si celle-ci les séduit. Celui qui peut apporter l’illusion est facilement leur maitre ; celui qui tente de détruire l’illusion est toujours leur victime ».
Gustave Le Bon
Vaccins anti-Covid ou arme biotechnologique ?
Le choix de faire fabriquer la protéine spike toxique par les cellules du corps des vaccinés témoigne déjà d’une intention malveillante !
Remarquons toutefois qu’un nombre toujours croissant de scientifiques remet en cause la présence d’ARNm dans les « vaccins » donc la production de la spike dans le corps des vaccinés, ainsi que l’existence même du SARS-CoV-2 (voir Note en bas de l’article).
De toute façon, les découvertes de plus en plus nombreuses et convaincantes d’oxyde de graphène, de puces électroniques et de nano-objets non identifiés, dans les échantillons de « vaccins », sont largement suffisantes pour accréditer l’hypothèse d’une arme biotechnologique.
Une toute récente information semble étayer cette hypothèse. Lors d’une conférence de presse sur le déploiement militaire en cours d’armes biologiques, tenue le 24 janvier 2023 aux USA, l’une des participantes, Katherine Watt (assistante juridique de Pennsylvanie et chercheuse en droit) a partagé ses récentes découvertes. Elle a rapporté entre autres que Pfizer, en avril 2022, a déposé une motion pour rejeter la plainte d’une lanceuse d’alerte, Brooke Jackson, au titre de la loi sur les fausses allégations : « Ce n’est pas un vaccin, mais un prototype du ministère de la Défense (DoD) ; nous n’étions aucunement obligés de procéder à des essais cliniques valides ni de prouver l’efficacité ou la sécurité du produit à qui que ce soit. »
En octobre 2022, le gouvernement US a approuvé ce point de vue, disant que les essais cliniques n’ont jamais été nécessaires pour que le DoD paie les contractants pour la production et la distribution des armes biologiques sous le nom Covid-19.
https://www.Covidhub.ch/le-pentagone/
Si l’on continue à penser qu’il s’agit d’un vrai vaccin, le fil conducteur des événements de cette crise pourrait être l’appât du gain des grands groupes pharmaceutiques. Cependant, les pressions énormes exercées sur les populations, l’implication des gouvernements, des agences de santé, de l’OMS, des médias, de même que la similitude et la simultanéité étonnantes des mesures à l’échelle mondiale, ne peuvent qu’inciter à chercher des instances situées très au-dessus de Big Pharma et ayant des intentions bien plus vastes que la soi-disant protection contre un virus par la « vaccination ».
Le Nouvel Ordre Mondial (NOM)
L’un des dévoilements de « l’opération Covid » est celui de l’oligarchie mondiale à l’œuvre depuis des siècles. (Oligarchie : régime politique dans lequel la souveraineté appartient à une classe restreinte et privilégiée).
Une caste « d’élus » qui considère qu’elle a le droit divin de gouverner la planète et dont l’objectif est d’établir une gouvernance mondiale de nature totalitaire et technocratique.
Pour y parvenir, au milieu du 20e siècle, cette oligarchie s’est organisée à travers la création de différents groupes restés longtemps très peu connus sauf de quelques initiés : Groupe Bilderberg (créé en 1954) ; Club de Rome (1968) ; Trilatérale (1973) ; Forum Economique Mondial (1971) ; Dolder club. Elle contrôle également l’Organisation des Nations Unies, l’OMS, la Banque Mondiale, le FMI, la CIA, etc.
Agissant d’abord dans le plus grand secret, entourée d’un luxe de précautions, elle œuvre désormais au grand jour et annonce clairement son jeu dans des publications (Agendas 21 et 2030, livres de Karl Schwab), sur les sites web et dans les vidéos diffusées de réunions du FEM à Davos.
Le site du FEM est particulièrement riche en informations sur ses objectifs, son organisation, ses moyens humains. Son thème officiel est d’améliorer l’état du monde !
La réunion annuelle tenue à Davos regroupe des oligarques, de grands banquiers, des patrons de multinationales, de puissants responsables politiques, des intellectuels influents.
Fondée en 2005, la communauté des Young Global Leaders regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de quarante ans.
En 2007, à la Harvard Kennedy School, Klaus Schwab, le « gourou » de Davos, a affirmé : » Avec mes Young Leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète » !
Corruption des élites, subversion des institutions, manipulation et infantilisation des populations, mainmise sur les médias mainstream, omniprésence des cabinets-conseils, tout est fait pour que son agenda se déploie.
Agenda clairement détaillé dans les livres de Klaus Schwab : ‘’Covid19 : The great reset’’ ; « La 4e révolution industrielle ».
Dépopulation, transhumanisme, contrôle de la population, monnaie numérique, accumulation des richesses par élimination des PME et des artisans, tels sont quelques-uns des axes principaux de cet agenda ; et les « crises » programmées, tout comme les guerres, ne sont que les outils pour y parvenir !
https://www.foxnews.com/video/6319623313112
Le choix criminel de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid ainsi que les nanotechnologies insérées subrepticement dans ces produits (et cela se confirme chaquejourdavantage), la surmortalité et la baisse drastique de la natalité dans les pays à fort taux de vaccination, tout cela s’inscrit dans l’axe dépopulation de l’agenda des mondialistes.
Une info de dernière minute concerne Hexa-X, le projet 6G de l’Union européenne (la technologie LED au service du contrôle social), dans lequel sont engagées 22 entreprises dirigées par Nokia.
Le président de Nokia, à la dernière réunion du FEM à Davos, a affirmé que, d’ici 8 ans, les smartphones seraient intégrés au corps des humains. Grâce à la 6G, définie comme un réseau neuronal, l’homme fusionné avec l’ordinateur pourra être contrôlé et manipulé !
Autres sources
Site « nouveaumonde.ca » : très riche en articles (voir dans la rubrique « Dossiers ») :
https://nouveau-monde.ca/implants-numeriques/
https://nouveau-monde.ca/vaccins/
Nouvelles images de graphène dans le vaccin antigrippe « Chiromas » de GSK 26/01/2023 :
https://www.flickr.com/photos/196008055@N06/albums/72177720304513633/
Note (⮬)
Tout comme pour les nanotechnologies découvertes dans les vaccins anti-covid, nous ne pouvons plus continuer à ignorer et rejeter les travaux et publications d’un grand nombre de chercheurs sérieux et compétents qui contestent l’isolement et la caractérisation des virus, mettant en cause la méthodologie utilisée par les virologues qui n’a rien d’une démarche scientifique. Le rôle pathogène attribué aux virus est à revoir complètement car on a inversé la cause et l’effet.
À quel point les virus sont-ils morts ?
Démontage de la théorie virale
Ce que les virologues, les infectiologues et autres microbiologistes prennent pour des virus pathogènes est naturellement produit par les cellules ou les tissus vivants lorsqu’ils sont agressés par exemple par des toxines chimiques, par des champs électriques artificiels ou par des ondes électromagnétiques pulsées comme celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G.
Ajoutons que d’autres scientifiques incriminent la présence de micro parasites, naturels ou artificiels, aussi bien dans la maladie covid que dans les effets indésirables des vaccins. Cela expliquerait l’efficacité de plusieurs traitements antiparasitaires pour soigner les malades : ivermectine, hydroxychloroquine, artemisia.
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