La science infuse

[Source : FranceSoir]

Par Xavier Azalbert, directeur de la publication de FranceSoir

[Illustration : Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs.
 Pixabay]

ÉDITO — Serait-ce devenu certain ? Politiciens, hauts fonctionnaires, et autres experts qui nous dirigent, décident de tout pour nous, tant à l’échelle de la vie publique du pays qu’au sein des foyers et des entreprises. Pour eux, c’est certain : le doute ne subsiste pas. Ces messieurs et dames de Science Po, l’ENA, Normal Sup, Polytechnique et Cie — que Coluche regroupait sous l’appellation unique commune de « technocrates » — nos « élites », ont la science infuse.

Pourtant, alors que le moins qualifié des citoyens lambda (les « sans-dents », pour l’ex-président socialiste François Hollande), n’aurait probablement jamais l’idée complètement saugrenue de s’endetter personnellement sur quatre générations, nos élites, elles, ont réussi cet exploit. Et ceci à hauteur de 3 000 milliards d’euros. Une dette publique gigantesque à propos de laquelle personne ne semble s’être dit à un moment : « Là, ça commence à faire un peu beaucoup, non ? Trop, même. » Non. À aucun moment. Ni à compter de cent milliards. Ni à compter de cinq cents milliards. Ni à compter de mille milliards, de deux mille… Jamais.

« Faisant » cela, ces « bons à tout et surtout mauvais à rien » ont donné pleine et entière substantialité à la plus célèbre des formules du Papa des Restos du Cœur les concernant :

« Les technocrates, si on leur donnait le Sahara, dans trois semaines, faudrait qu’ils achètent du sable ailleurs. »(([1] comme depuis lors (la tirade est de 1977), ils ont passé la surmultipliée, je me suis donc permis de remplacer « cinq ans » par « trois semaines ».))

Et malheureusement pour nous, citoyens de base incapables de nous gérer par nous-mêmes (c’est ainsi ça que les technocrates nous perçoivent), ce n’est pas uniquement dans la gestion des deniers publics que nos « élites » savent se montrer totalement ridicules. Non. Il est de plus en plus apparent qu’elles s’emploient dans tous les domaines sans exception à marcher à l’opposé de la logique et du bon sens. Et ceci « avec une sérénité dans l’incompétence qui force le respect », pour citer cette fois Pierre Desproges.

Par exemple, vous autres chauffeurs de taxi, sages-femmes, instituteurs, infirmières, artisans, pères ou mères au foyer et autres, quels types de commerces auriez-vous décidé de fermer pour limiter la propagation du virus ? Auriez-vous fermé les petits commerces, ces lieux où très peu de personnes se côtoient ? Ou auriez-vous fermé les grandes surfaces, ces hauts lieux de promiscuité immédiate inévitables pour des milliers de personnes, des endroits clos encore plus bondés de monde dès lors qu’on y ajoute les clients habituels des petits commerces ?

Auriez-vous fermé les écoles, lieux où se trouvent pour l’essentiel des enfants, citoyens non ciblés par le virus ? Ou auriez-vous fermé les transports en commun, lieux où les adultes sont collés les uns aux autres deux fois par jour pendant des heures ?

Et d’après vous, pour lutter contre la propagation d’un virus, est-ce logique, normal, cartésien et davantage approprié, d’un côté, de fermer les boîtes de nuit (dancing), et de l’autre, de laisser ouvert les clubs libertins (spa) ?

Bon, évidemment, certaines mauvaises langues ne manqueront pas d’arguer à ce sujet que le virus en question n’est pas sexuellement transmissible, et que le slogan « tous vaccinés tous protégés », comme le dit la publicité émanant du ministère de la Santé, est forcément une vérité vraie. Cependant, la promiscuité paraît être bien plus à son maximum lors d’un coït que durant une simple danse, fût-ce la plus torride des lambadas.

Autre exemple : vous viendrait-il à l’idée de retirer de la vente un traitement (hydroxychloroquine) utilisé avec succès dans de nombreux pays (Inde, Chine, Sénégal), traitement ayant fait l’objet de nombreuses études scientifiques qui ont démontré son efficacité face au virus contre lequel, officiellement, vous êtes « en guerre » ?

Pareillement, vous serait-il apparu opportun d’autoriser un médicament toxique (Remdesivir), ainsi qu’un traitement comme le Rivotril, qui conduit immanquablement à la dégradation de la santé du patient ?

Et auriez-vous « questionné » les mérites de la vitamine D ?

Évidemment, non !

Eh bien nos « élites », elles, si !

Et c’est pareil dans les autres domaines.

Les médias, quant à eux, ne sont pas en reste. À défaut de questionner ces prises de position, ils les endossent, les cautionnent, et proposent un cadre pour les justifier.

Oui. C’est tout autant regrettable que triste, mais il en est ainsi.

Au lieu d’œuvrer pour un monde fonctionnel articulé autour du bon sens et de la raison, les technocrates nous imposent-ils un monde dysfonctionnel et antinomique du b.a.-ba de la logique la plus évidente ?

Sont-ils irresponsables ?

Si j’étais complotiste, je dirais qu’un tel degré de manque de bon sens (pour ne pas dire de bêtises) s’apparente à une volonté de nuire. Mais laissons à la justice la mission déterminer si cette volonté est délibérée ou pas.

Toutefois, ce constat apparaît manifeste.

Exactement comme si, bien qu’ayant vu au moins dix fois le film avant de prendre le commandement du navire, le capitaine du Titanic faisait tout son possible pour foncer droit sur l’iceberg (([2] ceci en nous expliquant qu’après avis pris auprès d’un comité d’experts en cocktails, il s’agit en fait d’une commande spéciale dont il doit absolument prendre livraison : le glaçon géant qui a été commandé par le barman en chef du navire, pour le carré V.I.P.)), les technocrates semblent s’employer à scier avec toujours plus de frénésie la branche sur laquelle nous sommes tous assis. C’est là ce que certains psychologues/psychiatres n’hésitent pas à qualifier, parfois à bas bruit, de « folie pathologique », « de folie collective. » Avant qu’ils ne se fassent eux-mêmes qualifier de complotistes.

Dès lors, le véritable problème ne serait-il pas l’irresponsabilité juridique des technocrates qui nous dirigent ?

La science ne s’occupe pas de la morale. La science, qui se fonde sur le doute et la recherche de la preuve, se régit elle-même, en corrigeant en temps utile ses erreurs. C’est pourquoi la morale doit s’occuper de la science. Le Petit Robert définit la Morale comme suit : « La science du bien et du mal, des principes de l’action humaine en tant qu’elle est soumise au devoir et a pour but le bien. » Pour nos « élites », se pose donc la question du relativisme moral, idée selon laquelle les valeurs morales seraient dépendantes du contexte historique et culturel. Pourquoi ? Parce que certains politiques n’hésitent pas à clamer « leur croyance dans la science ». Indépendamment du fait que science et croyance soient incompatibles puisque la méthodologie scientifique va de pair avec la remise en question, faire état de croyance dans la science dans une République qui prône la laïcité comme base de notre contrat social ne démontre-t-il pas un relativisme exacerbé ?

Pourtant, Voltaire, père des Lumières, le soulignait dans son Dictionnaire Philosophique : « Il n’y a qu’une morale comme il n’y a qu’une géométrie ». Une notion qui trouve son fondement dans le droit naturel. Dans son Traité sur la tolérance, le philosophe explique : « Le droit humain ne peut être fondé en aucun cas que sur ce droit de nature ; et le grand principe, le principe universel de l’un et de l’autre, est, dans toute la terre : “Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas qu’on te fît.” Or on ne voit pas comment, suivant ce principe, un homme pourrait dire à un autre : “Crois ce que je crois, et ce que tu ne peux croire, ou tu périras”. » C’est pourtant ce que font nos technocrates : ils imposent leur croyance et règlent le droit qui régit la société civile sur la base de leur dogme subjectif. Un dogme qui, ne leur en déplaise, n’est pas une science, mais une science infuse, le propre de la personne qui croit détenir la science… sans avoir étudié. En bref, une science qui n’est que croyance. Une croyance affirmée sans juste démonstration n’est que superstition. Or, écrit Voltaire, « la morale n’est point dans la superstition ».

En conséquence, si le droit ne doit pas être l’expression de la volonté superstitieuse de ceux qui détiennent le pouvoir, mais doit, au contraire, se fonder sur le droit naturel, c’est-à-dire la recherche du juste, alors les technocrates sont irresponsables juridiquement.





Les vilains mensonges Covid

[Source : lewrockwell.com]

Par  Ron Paul, MD

Après deux ans de tyrannie gouvernementale sans précédent au nom de la lutte contre un virus, les principaux instigateurs de cette infamie se promènent en liberté, écrivent des livres et prétendent ouvertement qu’ils n’ont jamais dit les choses qu’ils ont clairement dites encore et encore.

Prenez par exemple la coordinatrice à la Maison-Blanche de la réponse de Trump contre la Covid, Deborah Birx. Elle était, comme le souligne Jeffrey Tucker du Brownstone Institute dans un article récent, l’architecte principale de la désastreuse politique de « verrouillage » qui a détruit plus de vies que la Covid elle-même. Mme Birx savait que le verrouillage d’un pays en réponse à un virus était une mesure radicale qui ne serait jamais approuvée. Alors, comme elle l’admet dans son nouveau livre, elle a menti à ce sujet.

Elle a fait miroiter à la Maison-Blanche l’idée farfelue de « quinze jours pour ralentir la propagation », tout en sachant qu’il n’y avait aucune preuve que cela aurait un tel effet. Comme elle l’écrit dans son nouveau livre, Silent Invasion, « Je n’avais pas encore les chiffres sous les yeux pour justifier une prolongation, mais j’avais deux semaines pour les obtenir ».

Elle jouait la carte du temps sans aucune preuve. Il s’avère qu’elle détruisait également la vie de millions d’Américains. L’hystérie qu’elle a créée a entraîné la destruction d’innombrables entreprises, d’innombrables suicides, des dépressions majeures, des dépendances à la drogue et à l’alcool. Elle a conduit à d’innombrables décès dus à des retards dans le traitement d’autres maladies. Elle pourrait s’avérer être l’erreur la plus meurtrière de l’histoire de la médecine.

Comme elle le révèle dans son livre, elle voulait en fait isoler chaque personne aux États-Unis ! Écrivant sur le nombre de personnes qui seraient autorisées à se rassembler, elle a déclaré : « Si j’avais insisté pour qu’il y en ait zéro (ce qui était en fait ce que je voulais et ce qui était requis), cela aurait été interprété comme un “verrouillage” — la perception que nous travaillions tous si dur à éviter. »

Elle voulait empêcher les rencontres même entre seulement deux personnes. Comment est-il possible qu’une personne comme celle-ci ait pu acquérir autant de pouvoir sur nos vies ? Un virus et nous devenons soudainement la Chine communiste ?

La semaine dernière, dans une interview à Fox News, elle a de nouveau révélé l’étendue de sa traîtrise. Après avoir passé des mois à exiger sans relâche que tous les Américains reçoivent les vaccins Covid, elle a révélé que les « vaccins » n’étaient pas du tout des vaccins !

« Je savais que ces vaccins n’allaient pas protéger contre les infections », a-t-elle déclaré à Fox. « Et je pense que nous avons exagéré l’importance des vaccins. Et cela a fait que les gens se sont ensuite inquiétés du fait que cela ne va pas protéger contre les maladies graves et les hospitalisations. »

Alors quand l’a-t-elle su ? Le savait-elle lorsqu’elle a déclaré à ABC, fin 2020, que « c’est l’un des vaccins les plus efficaces que nous ayons dans notre arsenal contre les maladies infectieuses ? Et c’est donc la raison pour laquelle je suis très enthousiaste à propos de ce vaccin » ?

Si elle savait depuis le début que les « vaccins » n’étaient pas des vaccins, pourquoi ne nous l’a-t-elle pas dit ? Parce que, comme elle l’admet dans son livre, elle pense qu’il est normal de mentir aux gens pour leur faire faire ce qu’elle veut.

Elle admet avoir employé un « subterfuge » contre son patron — le président Donald Trump — pour mettre en œuvre les politiques de Covid auxquelles il s’opposait. Il ne faut donc pas s’étonner qu’elle ait menti au peuple américain sur l’efficacité des piqûres antiCovid.

La grande question maintenant, après ce qui semble être un tsunami de blessures liées aux vaccins, est de savoir si quelqu’un sera forcé à payer pour les mensonges et le subterfuge. Quelqu’un sera-t-il tenu de rendre compte des vies perdues à cause de l’arrogance des Birx et des Faucis de ce monde ?




Selon Apti Aronovich Alaudinov, commandant du détachement spécial « Akhmat », la Russie s’est engagée dans une « guerre sainte » contre l’armée de l’Antéchrist

[Source : guyboulianne.com]

Le commandant des forces tchétchènes russes est apparu à la télévision d’État russe pour affirmer que la Russie est engagée dans une « guerre sainte » en Ukraine. Apti Alaudinov, assistant du chef de la République tchétchène Ramzan Kadyrov et commandant de l’unité d’opérations spéciales Akhmat en Ukraine, a fait ses commentaires à l’animatrice de l’émission 60 minutes (60 минут) sur la chaîne Russie-1, Olga Skabeyeva, sur un segment du 15 juillet dernier et traduit par la chroniqueuse du Daily Beast Julia Davis, créatrice du « Russian Media Monitor ». Alaudinov, apparemment revenu des combats en Ukraine, a fait un certain nombre de revendications, appelant à l’unité islamo-chrétienne dans un conflit contre l’Occident « satanique ».

[…]

Les propos de Apti Alaudinov à l’émission 60 Minutes

[Apti Alaudinov] — Avant de parler de Oleksii Reznikov, j’espère que vous me permettrez de dire ce que je pense de ce qui se passe dans le monde aujourd’hui, en général. Reznikov est probablement le dernier « bug » en ligne qu’il nous reste à mettre à sa place. En grandissant, pendant toute ma jeunesse, je me suis préparé à cette guerre que nous voyons aujourd’hui. C’est la guerre sainte dont parlaient nos saints et nos anciens. J’ai grandi avec ça. Je vais vous dire une chose : je loue le Très-Haut que je vis en Russie aujourd’hui. Je loue le Très-Haut que ce pays soit dirigé par Vladimir Vladimirovitch Poutine, car c’est lui qui a refusé d’accepter les soi-disant valeurs européennes. En réalité, ce sont des valeurs satanistes qui s’imposent au monde entier. Je lui suis reconnaissant de rester cette personne qui adhère aux valeurs et cette nation avance sur le chemin du Très-Haut.

Nous ne sommes pas sous les drapeaux des LGBT et tant qu’il est vivant, nous ne serons pas sous ces drapeaux. Je crois que c’est la chose la plus importante à voir. Je suis reconnaissant au Très-Haut que le chef de notre République, le héros de la Russie, Ramzan Akhmadovich Kadyrov, soit l’allié le plus proche de Vladimir Vladimirovitch Poutine.

Permettez-moi de revenir sur les raisons pour lesquelles je crois qu’il s’agit d’une guerre sainte et pourquoi je crois que nous allons certainement gagner cette guerre. Tout ce qu’on voit aujourd’hui, ce bloc de l’OTAN et tout ça, quand je lisais les écritures islamiques, et les écritures chrétiennes, j’étudiais la Bible, le Coran et la Torah, j’étudiais tout ce qui pouvait être étudié. De toutes ces écritures, je sais que nous sommes confrontés à la guerre contre l’armée du diable contre l’armée d’Al-Dajjâl, l’Antéchrist. Appelez-le comme vous voulez. Quand on me demande : « Qu’est-ce qui te fait penser que tu es l’armée qui va affronter l’armée de l’Antéchrist ? », beaucoup ont été surpris quand j’ai dit que Spetsnaz Akhmat est l’armée d’Isa Alaihis Salam, l’armée de Jésus, parce que nous attendons la venue du Christ plus que quiconque. Spetsnaz Akhmat n’est pas la seule dans l’armée d’Isa Alaihis Salam. Toutes les forces et unités combattant aux côtés de la Russie sont l’armée de Jésus, Isa Alaihis Salam.

Nous luttons contre ces forces qui nous imposent tout ce qui est désagréable et détesté par Dieu. Tout ce qui n’est pas naturel pour un homme. Un homme devait épouser une femme pour qu’ils aient des enfants, pour que nous répandions sur la terre tout ce qui est divin. Sous cette démocratie de l’Amérique, principal ennemi de l’humanité, et de l’Europe, serviteur du bloc de l’OTAN, qui porte en elle tout ce qui est satanique. C’est l’armée d’Al-Dajjâl, l’Antéchrist. Nous affrontons cette armée.

Si quelqu’un dans ce pays doute que nous puissions perdre dans cette bataille, il doit s’asseoir et prier intensément. Si Dieu l’entend et qu’il entend Dieu, il viendra et dira : « Je suis désolé, j’ai eu tort ».

Nous avons gagné uniquement parce que ce pays est dirigé par Poutine. Nous avons gagné uniquement parce qu’il avait la volonté de se dresser contre ces gens. Nous avons gagné parce que nous nous sommes ralliés à Poutine et ce pays a lentement commencé à réaliser ce qui nous attend. C’est notre principale victoire que nous avons déjà remportée et qui nous attend dans le futur. [Oleksii Reznikov] peut dire ce qu’il veut, je vous le dis, soyez confiant, personne dans ce pays ne devrait douter. L’Europe tombera et l’Amérique tombera, mais la Russie se tiendra si fermement sur ses pieds qu’ils supplieront de nous rejoindre et demanderont notre pardon.

Ce sont eux qui ont froid, ils n’ont pas de gaz. Ces gens dans ce monde qui disent qu’ils ont froid sont ceux qui suivent les valeurs européennes. Le Très-Haut les réchauffera au jour du jugement, en enfer. Dans ce monde, jusqu’à ce qu’ils comprennent leur place, ils seront froids et affamés. Mais pas parce que nous sommes mauvais, la Russie n’est pas mauvaise, mais parce qu’ils se sont éloignés de Dieu. Ceci est ma réponse à Reznikov.

[Olga Skabeyeva] — Bref, succint et convaincant ! Vous avez peint les perspectives des personnes que nous avions l’habitude d’appeler nos partenaires pour une raison incroyable. Maintenant, nous pouvons les appeler nos ennemis en toute confiance. Indépendamment de ce qu’est un gars de bas niveau, Reznikov, puisque Zelensky est le gars de bas niveau le plus bas, qui est alors le ministre de la Défense d’un pays actuellement inexistant. Il y a une guerre de propagande grandiose, ils essaient de nous écraser avec des informations qui n’aboutiront pas.

[Apti Alaudinov] — Nous avons déjà gagné. La question est de savoir quand nous arriverons à Kiev, j’espère que nous ne serons pas arrêtés et que nous arriverons à Varsovie et au reste des villes, qui doivent être remises à leur place une fois tous les cent ans, à la place où elles sont censées être. S’il y aura un commandement de notre commandant en chef, les forces de notre nation pourront vaincre les forces de l’OTAN, qui ne sont que des théâtres de marionnettes appelés forces de l’OTAN. Laissez-moi vous dire pourquoi je suis reconnaissant envers Poutine. Il a fait ce que les pays islamiques auraient dû faire il y a longtemps. Les dirigeants des pays islamiques n’ont pas eu assez de courage pour s’unir et se battre contre l’Amérique et le bloc de l’OTAN. Mais Poutine a été capable de le faire, de prendre cette décision et d’affronter cette nation, et nous sommes fiers d’être ses compatriotes.

[Olga Skabeyeva] — Étonnamment, tout le monde islamique est de notre côté, pratiquement tout le monde islamique est de notre côté.

[Apti Alaudinov] — Ceux du monde islamique qui n’ont pas peur que leurs comptes bancaires soient saisis, tous disent aujourd’hui qu’ils sont pour la Russie, qu’ils soutiennent la Russie. J’ai une initiative à présenter à nos législateurs et au chef de notre pays, pour prendre une décision permettant aux étrangers qui veulent combattre aux côtés de nos forces, d’entrer dans notre pays.

[Olga Skabeyeva] — Y en a-t-il beaucoup qui veulent ?

[Apti Alaudinov] — Un grand nombre d’Arabes, de Grecs, de Serbes et beaucoup, beaucoup, beaucoup d’autres pays qui veulent se battre aux côtés de la Russie, mais la loi ne nous permet pas de les accepter. C’est aussi un indicateur que l’OTAN est forte, alors pourquoi ne veulent-ils pas les rejoindre ? Au lieu de cela, ils veulent nous rejoindre. Parce qu’ils ont encore Dieu dans leur cœur. Ils ne veulent pas vivre sous des drapeaux LGBT, ils ne veulent pas ça non plus. J’espère que le monde s’unira lentement autour de la Russie. Les Américains pensent qu’aujourd’hui nous sommes une minorité, mais demain nous serons la majorité. Ils regarderont en arrière, parce qu’il n’y aura personne derrière eux.




Multipolarité contre unipolarité, par une guerre proxy ukrainienne, pour une gouvernance mondiale ?

Par DJERRAD Amar

Cette campagne russe en Ukraine a été, en effet, surprenante et décisive surtout pour les atlantistes aveuglés par ce sentiment de supériorité et ankylosés par leurs suffisance et rassasiement. Le risque nucléaire est à poser aux atlantistes provocateurs de la Russie depuis au moins les 15 dernières années et non à la victime qui a le droit suprême inaliénable de se protéger ! Tout le problème vient bien des USA. 

Neutraliser la Russie et la Chine pour une gouvernance mondiale ? 

L’occasion de neutraliser la Russie, par une guerre hybride, a été planifiée en Ukraine. Planification erronée qui semble aboutir à un échec lamentable ! Il faudra bien que la Russie réponde par une stratégie pour se défendre d’une menace existentielle ! Si l’OTAN était certaine que c’était « gagnable », elle n’hésiterait pas à frapper directement, comme les USA l’avaient fait au Japon, assurés qu’il n’avait pas la même arme pour répliquer !

Si l’OTAN, avec ses 30 pays, se cache derrière un seul, l’Ukraine, contre la Russie, c’est que pour cette alliance il était très hasardeux, voire dangereux, de lui déclarer officiellement la guerre sachant qu’ils seront « vitrifiés » seulement avec les armes conventionnelles hors pair qu’ils ne possèdent pas !

Mobiliser l’Europe, dans l’hystérie (une trentaine de pays), pour faire la guerre à la Russie par proxy ukrainien, sans résultat tangible et oser gesticuler sur une capacité d’affronter aussi la Chine sur la question de Taiwan, ses projets économiques mondiaux et de sa « ceinture » et route, c’est funambulesque ! Faire deux guerres majeures en même temps ? C’est du bluff américain ! Nous recommandons, à l’occasion, deux livres collectifs, intéressants, intitulés « La Chine sans œillères » et « La Russie sans œillères » qui rétablissent la vérité, sur plusieurs sujets, concernant ces deux pays. Ils savent ce que cela coûtera et où cela mènera ! De plus, raisonnablement, il faut d’abord faire la liste des guerres gagnées (dans leurs objectifs et les pertes) directement contre des pays faibles ! Par des sanctions économiques aussi contre la Chine ? Trêve de plaisanterie ! Ce ne sera plus se tirer « une balle dans le pied », mais un « missile sur sa maison » ! « Qu’ils essaient », propose Sieur Poutine pour ce qui concerne son pays !

Leur néoconservatisme effréné et ravageur, en voulant ‘manger’ tout le monde pour assouvir les sales instincts avides de domination de ses géniteurs, se retrouve, par excès de cupidité, d’immoralité et de démesure, à se consumer graduellement, pris à revers par les contradictions de son propre système économique et idéologique à savoir le « mondialisme » qui vise à mettre en place une « gouvernance mondiale » selon une doctrine obligeant les autres états et peuples à ouvrir leurs marchés, leur commerce, à céder leurs matières premières, à bannir les barrières douanières et leur culture, suivant les « règles » édictées par le gouverneur autoproclamé à savoir les États-Unis !

Les USA savent qu’ils n’ont jamais gagné de guerres dans ses objectifs. Ils ont toujours surestimé leurs forces en négligeant avec dédain celle de leurs adversaires choisis toujours parmi les pays « faibles » les considérants inaptes à la réplique comme s’il s’agit une partie de chasse qui, en fin de compte, à chaque fois, s’avèrent être de redoutables défenseurs de leur patrie, réussissant à leur infliger des dégâts intenables et inattendus ! Cela rappelle une citation du Général de Gaulle : « La guerre, c’est comme la chasse, sauf qu’à la guerre les lapins tirent ». C’est parce qu’ils le savent qu’ils ont trouvé l’astuce des guerres par proxy afin de pouvoir s’en tirer à bon compte en cas d’ennuis.

Très souvent c’est parce qu’on est en manque d’une chose qu’on l’évoque de façon obsessionnelle contre un adversaire ou concurrent qui souvent nous dépasse dans cette chose ou la fait mieux que nous ! C’est le cas des prétextes « libertés », « démocratie », « droits de l’homme » que les Occidentaux évoquent cyniquement contre leurs rivaux pour cacher leurs tares et convoiter des intérêts illégitimes ou illicites. Réellement, ils souhaitent dans ces pays des dirigeants pantins, car les valeurs qu’ils prônent entravent leurs projets prédateurs. Ce sont des criminels qui s’habillent d’oripeaux élogieux pour mieux tromper les consciences, spolier et imposer leur diktat. Leurs prétentions les aveugles au point où ils perdent la raison.   

Imbus de leur personne, leur arrogance et leur sentiment d’infaillibilité et d’invincibilité — en voulant tout réguler, tout gagner, régenter le monde, tout changer en défaisant les autres, sans changer soi-même — ils se retrouvent poussés au-delà des limites du raisonnable au point qu’ils se permettent de décider d’abord, absurdement, d’actions ou de guerres, puis de réfléchir ensuite, mais une fois trop tard, lorsque les conséquences devenant irréversibles, les solutions caduques et l’échec certain ! « Les batailles perdues se résument en deux mots : trop tard. » dit Douglas MacArthur. Il reste toutefois, toujours, du temps pour décamper ! Kadyrov, le président de la Tchétchénie, pense que la réflexion avant l’action est « un luxe que certains dirigeants occidentaux ne peuvent pas se permettre » ; pour lui aucun « n’aurait pensé qu’un nombre sans précédent de sanctions contre la Russie ne ferait absolument rien ». Même à la 7e série de sanctions incluant notamment un embargo sur l’or russe, qui semble sans effet significatif, on a observé un relâchement sur certaines restrictions (transport, les denrées alimentaires, les engrais et même le pétrole et le gaz), car elles leur nuisaient dangereusement !

Multipolarité « dictatoriale » et unipolarité « démocratique »

L’heure des atlantistes ne paraît plus à la décence et au ridicule, mais à frapper perfidement « tout ce qui bouge » vers l’indépendance et le souverainisme, voies assurées par la multipolarité que soutient la Russie face à leur unipolarité (deux modes qu’ils présentent, curieusement, comme un affrontement entre « dictature » et « démocratie »). Comme si le multipartisme est une dictature et le parti unique une démocratie ! Le ridicule est même poussé au-delà du contre nature. Selon Sergueï Ryabkov (aux journalistes), les États-Unis auraient demandé à la Russie de reconnaître les mercenaires en Ukraine comme des « combattants au sens des Conventions de Genève » !

Les atlantistes, pris dans leur égoïsme, leur cupidité et leur démence, disent et font des choses et leurs contraires, menacent puis se rétractent, sanctionnent puis réajustent, lient amitié et désavouent, méprisent la charte de l’ONU et la revendiquent, aident et volent, engagent et renient, pratiquent l’injustice et le racisme tout en le condamnant, interdisent ce qu’ils s’autorisent, fomentent des « révolutions de couleurs » ; voir en particulier le livre du Dr Ahmed Bensaada « Arabesque américaine », etc., tout cela pour se garantir des intérêts exclusifs, quitte à menacer par leurs puissances militaires, économiques et financières !  

Une mentalité funeste et arrogante qui considère que la puissance militaire fait force de loi « internationale » (qui ne s’appliquent pas sur eux) qui peut rendre licite, l’illicite et vice versa, légal l’illégal et vice versa ; qui donne le droit de sanctionner arbitrairement quiconque, sans légitimité de riposte, qui donne aussi le droit de confisquer les biens des autres par la force, etc. ne peut conduire qu’à des conflits particulièrement violents et destructeurs ! Cela s’est vu contre des pays opprimés considérés « nains » militairement et économiquement, mais qui ont réussi à mettre ces « puissances » dans des situations d’échec insupportable ! Qu’en sera-t-il si une puissance opprimante et prédatrice se retrouve face à une autre puissance, sage et patiente, plusieurs fois humiliée, qui décide d’en découdre militairement au nom de la justice ? C’est le cas présentement des USA (avec leurs vassaux pseudo-puissances européennes) qui se retrouvent face à la puissance russe par Ukraine comme mandataire ! Sergueï Lavrov explique largement à Margarita Simonian (de Russia Today) l’opération militaire en Ukraine, la question des sanctions et de la crise énergétique ainsi que l’attitude des atlantistes dans une interview d’une heure environ. Nous recommandons aussi cette récente vidéo de Xavier Moreau qui fait sur ces évènements d’Ukraine, depuis le début, un travail remarquable d’information et d’analyse.

Leur crétinisme les pousse jusqu’à oser provoquer en même temps que la Russie, le mastodonte chinois tout en lançant des piques sur l’Inde ! Allez savoir quelle mouche les a piqués pour aller gratter les anus des ours ou des lions ! À ce jour, le courageux homme qui l’aurait fait n’est pas encore revenu pour nous raconter son aventure !

Dernière phase de l’impérialisme

En Ukraine, la Russie semble n’avoir donné qu’un grognement lointain et nous voyons les effets. Comme le fort honnête agit souvent raisonnablement, Poutine a bien prévenu les atlantistes en délire que « chacun doit savoir que nous n’avons pas encore commencé les choses sérieuses »… « qu’ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine… » suggérant ainsi que le monde impérialiste — avec son esclavagisme, son colonialisme et néo-colonialisme, ses actions prédatrices et ses génocides — est arrivé à la dernière phase de son évolution historique. Il ne nous semble pas qu’il s’agisse d’une « accélération de l’Histoire » avec cet évènement ukrainien ! Tous les Empires pillards, à travers l’Histoire, sont arrivés à cette fin par les contradictions qu’ils renferment. Celui de notre époque, avec ses absurdités et antagonismes, menées à leurs paroxysmes, ne fera pas exception ! C’est dans l’ordre de la nature où chaque cause entraîne un effet ! « Toutes les doctrines, toutes les écoles, toutes les révoltes n’ont qu’un temps. » selon le même De Gaulle. On peut ajouter « tous les empires ».

Si l’Ukraine, par son pantin de président, affiche un certain abattement et mécontentement chaque semaine et à chaque occasion en réclamant encore plus « d’aide », c’est que la demeure prend l’eau (ou feu), menaçant surtout par là qu’elle ne pourra plus faire jouer le patriotisme/nationalisme à ses formations armées engagées par « procuration » pour des intérêts qui sont loin d’être ukrainiens ! Cette attitude, ainsi que la réaction des USA, s’inscrit à notre sens plus dans l’objectif de tenir bon en attendant les effets attendus « dévastateurs » des sanctions sur la Russie que dans le but de gagner militairement, sachant que le temps joue indubitablement contre eux !

Au vu de l’évolution des choses sur le champ de bataille, on constate bien que l’armée russe avance sans empressement, délicatement avec méthode et modération sans pertes significatives tout en consolidant ses positions ! Ceci est bien reconnu par Scott Ritter (ancien officier du renseignement américain) dans une vidéo : « La Russie est en train de gagner sur tous les fronts… ». Entre-temps, elle paraît titiller l’OTAN en lui faisant apparemment préjuger une force/faiblesse de l’armée afin d’une part la dissuader d’aller trop loin et d’autre part l’inciter à dépenser davantage, à armer plus l’Ukraine, à concentrer plus d’armement et de troupes pour finalement sortir brièvement les armes furtives pour les détruire en quelques frappes avec un moindre coût, comparativement ! Comme c’est encore le cas de la frappe russe sur Odessa ayant détruit, entre autres, un navire de guerre ukrainien transportant des missiles antinavires fournis par l’OTAN. Le lien fait par la propagande Otanesque avec l’accord d’Istanbul concernant les exportations céréalières est un vulgaire mensonge. Et bis repetita ! À ce train, avec déjà 75 milliards de dollars de dépenses sans résultats probants (auxquels s’ajoutent les coûts colossaux du boomerang des sanctions), on se dirige droit vers un gouffre financier annonciateur d’un rétropédalage au risque d’une récession ruineuse économiquement et politiquement ! Si malgré tous les efforts les résultats pointent vers cet échec, alors les Ukrainiens seront discrètement autorisés à négocier, car ce sont les États-Unis les cobelligérants, les parrains, qui décident et financent tout depuis le début ; l’Ukraine n’étant qu’un faire-valoir. Dans ce cas, on verra qu’ils seront laissés à eux-mêmes et l’OTAN leur imputera l’échec tout en cherchant une autre voie !

A la réflexion, se peut-il que tout cela soit une stratégie russe élaborée (peut-être en concertation avec d’autres puissances) pour une guerre à un niveau bien plus élevé afin de mettre un terme définitivement à l’hégémonie funeste et insupportable, qui a trop durée, de la caste anglo-saxonne ? Possible, car des voix russes réclament cette option de guerre élargie aux décideurs !

Rupture, dernier souffle et situation kafkaïenne

Les atlantistes se retrouvent confrontés à quatre situations dont les effets sont plus ou moins pénibles : admettre l’échec, déclarer une guerre ouverte, poursuivre la même démarche ou fomenter des troubles internes à finalité séparatiste. Chacune supporte un coût qu’il leur appartient d’évaluer au vu d’un bilan sérieux et objectif de leurs actions passées. Ce qui est certain, c’est que chacune des quatre situations les place dans un affreux choix « bouillante d’un côté et brûlante de l’autre » (comme disent les Maghrébins). La corde tendue est à sa rupture !

 Au regard de la carte de l’opération spéciale des forces armées russes en Ukraine au 24.07.2022, le choix paraît évident : destruction de 16 aérodromes, 260 avions, 144 hélicoptères, 1 605 drones, 357 systèmes de missiles antiaériens, 763 systèmes de lance-roquettes multiples, 4 146 chars et autres véhicules blindés, 3 196 pièces d’artillerie de campagne et 4 457 unités de véhicules militaires spéciaux et ce, en 5 mois ! Pour remplacer ces engins militaires (et infrastructures), il faudra réunir des dizaines de milliards de dollars, les fabriquer, les acheminer et former les militaires, sans compter le fait qu’ils seront en grande partie détruits, lors de leur acheminement, par l’armée russe qui les guette, puisque le ministère russe de la Défense ne cesse d’avertir que « les dépôts d’armes deviendraient des cibles légitimes pour les forces aérospatiales » ! L’avertissement va encore plus loin si d’aventure l’Ukraine est destinataire d’armes à longue portée ! Dans ce cas les « objectifs géographiques de l’opération spéciale se déplaceront même plus loin de la ligne actuelle ».

Ils refusent, jusqu’au dernier souffle, d’admettre que le monde a totalement changé dans les relations politiques et économiques, dans les rapports de force, dans les alliances stratégiques à cause des crises, des contradictions, des spéculations et des injustices suscitant des conflits d’intérêts, voire d’existence. C’est donc sans compter, cette fois, sur le double défi russe et chinois soutenus par le BRICS que les menaces et complots en cours ou en préparation seront un coup d’épée dans l’eau et les changements irréversibles ! Leur dernier souffle paraît être qu’aujourd’hui, pour justifier leur déroute (militaire et sanctions) aux yeux de leurs peuples, voire au reste du monde, pour sauver leur face, ils s’emploient indignement à imputer à la Russie toutes les conséquences de leurs fourberies ; de l’inflation aux pénuries en passant par le gros risque d’instabilité sociale avec l’arrêt de leurs usines et l’accentuation du chômage ! Sur un autre volet, ils s’échinent, par leur mensonge et propagande, à l’accuser de « crimes de guerre » sur la base de mise en scène de scénarios montés de toute pièce comme les bombardements des quartiers résidentiels, etc. ! (« massacre » de Bucha, maternité de Marioupol, garnison de l’île aux serpents, missiles sur Donetsk et la gare de Kramatorsk, Supermarché de Krementchouk, etc.) et ce, paradoxalement, à des moments, où l’armée russe et en pause ou en position dominante ! En revanche, et en soutien à la Russie, la Chine demande des enquêtes sur les crimes de guerre et les violations des droits de l’homme commis par les États-Unis et le Royaume-Uni, au cours des 20 dernières années notamment en Afghanistan, l’Irak et la Syrie, faisant jusqu’à 48 000 morts civiles. Leur dernier souffle enfin est de montrer qu’ils ont encore la capacité et la marge de nuire à la Russie en décidant d’imposer, « comme ça », un prix d’achat plancher (égal ou inférieur au coût de production) au pétrole brut russe — qui représente 30 % du marché européen et 12 % du commerce mondial — uniquement pour ne pas l’enrichir sans se soucier du risque d’avoir une réponse économique simple : celle de ne pas vendre à ce prix aux pays qui l’imposent ! C’est bien la loi du marché !

Il faut rappeler que, globalement, les pays de l’UE ont acheté en 2021 à la Russie, 30% de pétrole brut, 15% de produits pétroliers et 45% du gaz naturel. Boycott ou pas, tous ces produits énergétiques ont déjà trouvé acheteurs ! Respectueuse des contrats signés (contrairement aux atlantistes), c’est plutôt l’Europe qui peut faire crouler sa propre économie si elle choisit de proscrire le pétrole et le gaz russe et non cette dernière qui pourrait décider « de couper l’approvisionnement » à l’Europe.

Vivre son destin avec un autre ordre mondial

Quelles que soient les intentions des Russes, ils sont dans leur droit de répondre comme ils l’entendent à une injustice ou à une provocation. Si les Européens trouvent, dans leur sens, légitime qu’ils « militarisent » les sanctions contre la Russie pour la priver d’argent, pourquoi s’offusquent-ils à l’idée (seulement) que la Russie pourrait, en réponse, « militariser » l’approvisionnement énergétique qu’ils jugent illégal dans l’autre sens ? Curieuse logique !

Au fil des développements, il est fortement prévisible que l’on s’attende à ce que l’UE se divise, l’OTAN de désagrège, parce que construites sur des bases irrationnelles et anachroniques, sans particularismes (pays baltes, région scandinave, zone d’Europe centrale, Hongrie, Turquie…)

En revanche, les états prônant le multilatéralisme et le souverainisme ont intérêt à ériger une alliance, hors Europe, fondée sur des valeurs plus sûres et plus sécurisantes. Ce processus semble en bonne voie ! C’est dans cette alliance décisive, exceptionnelle, historique et courageuse avec ce nouveau bloc souverainiste et multipolaire que sera assuré le nouvel ordre mondial basé sur d’autres règles plus équitables, d’autres principes, d’autres valeurs, d’autres ONG. C’est cela une « révolution » dans les relations internationales !

On ne peut s’empêcher de conclure en citant cet extrait de discours de Poutine devant les dirigeants de la Douma :

« … C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie, non pas sur des doubles standards hypocrites, mais sur le droit international, sur la véritable souveraineté des peuples et des civilisations, sur leur volonté de vivre leur destin historique, leurs valeurs et leurs traditions et de construire une coopération sur la base de la démocratie, de la justice et de l’égalité. Et nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté… »

Quel autre choix raisonnable reste-t-il ?

Amar Djerrad




Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ?

Par Dr Nicole Delépine

Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?

Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le pass en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !

Changements de mentalité, quand le réel revient au galop

Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :

« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ».(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :

« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…

À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »

TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?

Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.

Sauf le jour où…. Parfois semble — t-il un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent.. Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.

En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les double vaccinés pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés, l’avenir de l’Humanité dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.

Que ceux qui traitent les vaccino prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.

Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins) rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’étaient laissés sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?

Le Pr Montagnier lui aussi vilipendé avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.

Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace(([1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) )) et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.(([2] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — EudraVigilance
https://adrreports.eu/fr/eudravigilance.html))

Même sur le Site de L’ANSM ET EUDRAVIGILANCE

Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?

Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.

@YannBertin6 19 juil.

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres

19 juil.

Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » COVID19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !

rumble.com

Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help

From: https://www.vaxlonghaulers.com/
Testimonies from victims who need help because the medical community has turned their back on them.
https://healthimpactnews.com/2021/tens-of-thousands-of-covid-1

Yann Bertin — Anti-Fachos — Pro-humains

Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections

https://resistance-mondiale.com/plus-de-1000-etudes-et-ou-rapports-scientifiques-sur-les-dangers-associes-aux-injections-covid

ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniser au 6 juillet 2022

Et aussi l’évolutivité des myocardites

https://twitter.com/i/status/1547835472277254145

enfin une bonne conclusion d’un twittos :

Mercier @Art50Mercier20 juil.

Croire c’est pour les croyants
Devenez plutôt sachant
Allez creuser vérifier demander
Revérifier comparer…
Bref instruisez-vous 🧐
auprès des données officielles
VAERS CDC FDA Eudravigilance etc…
vous en êtes capable
La question étant 🤔
En avez-vous envie ?





LE GRAND JURY révèle l’agenda pour la domination mondiale

NOTE DE COPYRIGHT

Ce document [PDF. Voir plus bas] contient une sélection des informations les plus importantes présentées au cours de la deuxième journée de la procédure modèle du Grand Jury, dirigée par le comité d’enquête Corona de l’avocat, le Dr Reiner Fuellmich.

Il n’y a aucun droit d’auteur sur ces informations et, en fait, chaque lecteur est encouragé à diffuser ces informations à grande échelle sous la stricte condition qu’elles ne soient pas vendues à des fins lucratives.

Des copies imprimées de ce document peuvent être obtenues sur le site Web suivant :
StopWorldControl.com/jury

Ce document fait partie de la première des cinq sessions du grand jury.

Les autres sessions seront également disponibles en format imprimable.

Traduction française par Dawid E.R. et google translate, pour cogiito.com

CONTENU

GRAND JURY
Présentation des preuves pour crimes contre l’humanité
PAGE 3

LA CITY DE LONDRES
L’élite Britannique et leur agenda pour la domination mondiale
PAGE 6

MANIPULATION PSYCHOLOGIQUE
Contrôler les esprits de la population pour changer leur comportement
PAGE 33

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ
L’OMS a été mis en place pour fonctionner comme un gouvernement mondial unique
PAGE 54

CONCLUSION
Entités privées s’emparent du monde
PAGE 81

RESOURCES
More information about the criminal elite
PAGE 86

[Traduction de la page 86 :

Assurez-vous de consulter les ressources critiques suivantes qui en révèlent beaucoup plus sur les entités criminelles qui prévoient de réduire l’humanité en esclavage. Ces ressources fournissent plus d’informations, ce qui vous permet de résister à leurs plans et d’aider à construire un monde meilleur de liberté, de bonté et de vérité.

MONOPOLY

Le documentaire MONOPOLY – Who Owns the World (MONOPOLY – Qui possède le monde ?) est un documentaire brillant et éblouissant que tout le monde devrait regarder dans ce contexte. Ce film montre toutes les preuves de la façon dont pratiquement tout ce qui existe dans notre monde est détenu par un très petit groupe de personnes super riches. Nombreux sont ceux qui ont fait l’éloge de ce documentaire, le qualifiant d’incontournable pour toute l’humanité et d’un des meilleurs documentaires de tous les temps. Monopoly peut être visionné ici :
StopWorldControl.com/monopoly
[Version française :
Qui possède le monde ?]

LA CHUTE DE LA CABALE

Il s’agit de la meilleure ressource au monde pour en savoir plus sur l’identité de ces oligarques criminels et sur le type de crimes qu’ils commettent depuis des siècles. Il existe deux séries : la série originale Fall of the Cabal [La chute de la Cabale], qui expose les horreurs indicibles infligées à l’humanité – et en particulier aux enfants. La suite continue avec plus d’informations sur qui ils sont, quel genre d’organisations ils dirigent, et ainsi de suite. Ces séries changent la vie et doivent être vues par tous ceux qui veulent aider à mettre fin à ces crimes cruels et à construire un monde d’espoir pour nos enfants. Regardez The Fall of the Cabal ici :
StopWorldControl.com/cabal

RONALD BERNARD

Le témoignage de ce courageux dénonciateur est l’un des plus choquants et des plus révélateurs de tous les temps. Une fois que Ronald a accédé aux plus hauts niveaux du monde financier, il a été invité à participer au sacrifice d’enfants. Il a découvert que la plupart de ceux qui opèrent aux plus hauts niveaux, sont impliqués dans une religion appelée Luciférianisme. Ronald n’a pas pu le faire et s’en est éloigné. En conséquence, il a été physiquement torturé pour s’assurer qu’il ne révélerait aucun de leurs noms au monde. Dans la vidéo suivante, il confirme une grande partie de ce qui est dit par les dénonciateurs dans le résumé du Grand Jury. À voir absolument pour tous ceux qui veulent construire un monde meilleur.

Regardez Ronald Bernard ici :
StopWorldControl.com/bernard

RAPPORT SUR LA MORT PAR LES VACCINS

Le Vaccine Death Report est le rapport le plus complet et le plus détaillé au monde sur les destructions innommables causées par la thérapie génique expérimentale, faussement commercialisée sous forme de vaccins. Des millions de personnes sont déjà mortes, et des centaines de millions sont handicapées à vie. Et ce n’est que la première vague de dévastation à court terme. À long terme, les effets dépasseront toute imagination. Il s’agit véritablement de la pire attaque contre la race humaine de tous les temps. Téléchargez le rapport sur les décès dus aux vaccins ici :
StopWorldControl.com/report
[Version française :
Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !]

L’ÂGE DES CYBORGS

L’une des réalités les plus inquiétantes révélées au cours de ce Grand Jury est la manière dont les oligarques prévoient de soumettre l’ensemble de l’humanité à un système sans précédent de contrôle total de nos esprits et de nos émotions. Nous préparons un documentaire qui montrera des dizaines de ces criminels parlant ouvertement de ce programme d’éradication complète du libre arbitre, de la libre pensée et de la libre émotion. Il s’agira du plus important cri d’alarme de l’humanité, de notre époque. Si ces psychopathes parviennent à réaliser leur projet fou, tout le monde sera un esclave contrôlé, dans son esprit, son âme et son corps. La 5G joue un rôle clé à cet égard, ainsi que l’oxyde de graphène, qui est ajouté aux vaccins, à l’eau potable, aux chemtrails, à la nourriture, aux compléments alimentaires, aux produits pour femmes, aux couches, etc. Une fois que le public sera suffisamment saturé d’oxyde de graphène, il pourra être contrôlé par la 5G. Inscrivez-vous à nos courriels gratuits pour rester informé de ce documentaire à venir, et pour recevoir d’autres informations critiques qui vous aideront à défendre votre vie.

Inscrivez-vous ici : StopWorldControl.com]

[Voir aussi les 8 vidéos du Grand Jury :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]




L’Académie de médecine et la Haute Autorité de Santé ne se déshonorent-elles pas en mettent la santé des Français encore plus en danger en refusant la réintégration des soignants vaccino prudents ?

Par le Dr Gérard Delépine

Jadis ces deux institutions analysaient les faits avérés et se comportaient souvent en scientifiques. Mais depuis le covid, leurs avis(([1] https://www.academie-medecine.fr/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-contre-la-covid-19-serait-une-faute/)) sont manifestement dictés par le souci de ne pas déplaire et de justifier le crédo politique gouvernemental. Elles se comportent en grands inquisiteurs du dogme officiel. La dernière manifestation de cette dérive antiscientifique est leur refus de réintégrer les soignants vaccino prudents.

Si les membres de ces deux institutions avaient voulu répondre objectivement à la pertinence de la réintégration des soignants, ils auraient dû évaluer :

  • 1°) Le risque de contamination que représentent les soignants non vaccinés
  • 2°) L’efficacité des vaccins à prévenir la transmission et à diminuer le risque de formes graves et de morts
  • 3°) Les conséquences de l’exclusion des soignants sur leur déficit dramatique

Or curieusement leurs communiqués ne présentent aucune analyse argumentée des faits établis sur ces trois points cruciaux. Nous le ferons donc à leur place.

Les soignants sont-ils des vecteurs notables de contamination covid ? Non !

Les soignants seraient plus fréquemment atteints par la maladie que le reste de la population, mais comme ils se surveillent plus efficacement que les autres, qu’ils prennent davantage de précautions et qu’ils s’arrêtent précocement de travailler lorsqu’ils se sentent en phase d’incubation, ils ne représentent pas forcément un vecteur significatif de transmission de la maladie.

Le 23 juillet 2022, la base de documentation PubMed recensait 1242 articles répondant à « nosocomial covid ». L’analyse des articles recherchant l’origine de ces infections survenues à l’hôpital(([2] Grimalt JO, Vílchez H, Fraile-Ribot PA, Marco E, Campins A, Orfila J, van Drooge BL, Fanjul F. Spread of SARS-CoV-2 in hospital areas. Environ Res. 2022 Mar;204(Pt B):112074. doi: 10.1016/j.envres.2021.112074. Epub 2021 Sep 20. PMID : 34 547 251 ; PMCID : PMC8450143.)) montre que les causes les plus souvent retrouvées sont le non-respect des règles d’hygiène (lavage des mains) et le mauvais environnement des services (tout particulièrement le système de ventilation). Aucune de ces études n’incrimine les soignants comme source d’infection notable dans le monde réel.

Le cas d’un chirurgien infecté(([3] Gallo O, Peris A, Trotta M, Orlando P, Maggiore G, Cilona M, Trovati M, Locatello LG. Epidemiological analysis of a COVID-19 outbreak associated with an infected surgeon. Epidemiol Infect. 2021 Mar 25;149:e77. doi : 10.1017/S0950268821000650. PMID: 33762038; PMCID: PMC804238)) qui n’a infecté aucun de ses contacts alors qu’il était porteur du virus comme d’ailleurs celui d’un ophtalmologiste(([4] Saban O, Levy J, Chowers I. Risk of SARS-CoV-2 transmission to medical staff and patients from an exposure to a COVID-19-positive ophthalmologist. Graefes Arch Clin Exp Ophthalmol. 2020 Oct;258(10):2271-2274. doi: 10.1007/s00417-020-04790-w. Epub 2020 Jun 21. PMID : 32 567 041 ; PMCID : PMC7306185)) est assez démonstratif.

L’examen des infections nosocomiales d’un hôpital indien conclut ainsi :

« Malgré l’admission d’un grand nombre de patients COVID-19 et une proportion relativement importante de membres du personnel hospitalier testés positifs pour la maladie, la proportion de COVID-19 nosocomiale dans notre centre est restée faible. »

D’ailleurs avant l’apparition des pseudo vaccins, la prévention des infections covid par ces moyens traditionnels d’hygiène s’est révélée efficace que ce soit en Espagne(([5] Caro-Martínez E, Abad-Collado S, Escrivá-Cerrudo B, García-Almarza S, García-Ródenas MDM, Gómez-Merino E, Serrano-Mateo MI, Ramos-Rincón JM. Nosocomial COVID-19 Infection in a Long-Term Hospital in Spain: Retrospective Observational Study. Medicina (Kaunas). 2022 Apr 21;58(5):566. doi: 10.3390/medicina58050566. PMID : 35 629 983 ; PMCID : PMC9143631.)) ou à Hong Kong(([6] KL, Yuen KY. Multipronged infection control strategy to achieve zero nosocomial coronavirus disease 2019 (COVID-19) cases among Hong Kong healthcare workers in the first 300 days of the pandemic. Infect Control Hosp Epidemiol. 2022 Mar;43(3):334-343. doi: 10.1017/ice.2021.119. Epub 2021 Mar 19. PMID: 33736729; PMCID: PMC8060541.ôle des infections Hosp Epidemiol)). Mais la croyance que les pseudo vaccins pourraient prévenir les transmissions risque d’inciter au relâchement de l’hygiène et d’augmenter les contaminations.

Accuser les soignants non vaccinés de constituer un vecteur de transmission significatif du covid ne repose sur aucun fait réel rapporté dans la littérature et repose sur un simple a priori quasi religieux.

Les députés pouvaient espérer mieux de ces institutions entretenues à grands frais par nos impôts !

Les pseudo vaccins sont-ils capables d’empêcher les transmissions ? Non !

Pour répondre à cette question, il suffit de consulter les données de l’OMS qui montrent que les grandes campagnes d’injection n’ont pas ralenti l’épidémie, mais au contraire l’ont plutôt stimulée. Au 19 juillet 2022 après un total de 12 219 375 500 doses administrées à près de 60 % de la population mondiale le rythme des contaminations a été multiplié par 3 passant de 8 millions par mois pendant les 10 premiers mois de l’épidémie (avant les vaccins) à 26,7 millions de nouveaux cas mensuels pendant les 18 mois de l’ère vaccinale.

L’aggravation paradoxale du risque d’attraper le covid quand on est vacciné a été initialement observée au Royaume-Uni. En 2021, entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens de 60 ans ou plus. 89,7 % des contaminations sont survenues parmi les 89 821 Anglais complètement vaccinés contre seulement 3,4 % parmi les 3 395 non vaccinés.(([7] Agence britannique de sécurité sanitaire. Rapport de surveillance du vaccin COVID-19. Semaine 4328. Octobre 2021.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1029606/Vaccine-surveillance-report-week-43.))

Cette augmentation des contaminations après vaccination s’observe dans l’ensemble des 185 pays qui ont publié leurs taux de vaccination et de contamination et confirme que « plus on est vacciné moins on est protégé » !

En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient COVID-19 entièrement vacciné. Le taux de vaccination était de 96,2 % chez l’ensemble des personnes exposées (151 soignants et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont tombés gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie bénigne.(([8] Shitrit P, Zuckerman NS, Mor O, Gottesman BS, Chowers M. Épidémie nosocomiale causée par la variante SARS-CoV-2 Delta dans une population hautement vaccinée, Israël, juillet 2021. Euro Surveill. 2021 ; 26 (39) doi : 10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822.))

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont identifié comme des « comtés à transmission élevée » quatre des cinq comtés présentant les pourcentages les plus élevés de population entièrement vaccinée (99,9–84,3 %)(([9] Subramanian SV, Kumar A. Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States. Eur J Epidemiol. 2021 Dec;36(12):1237-1240. doi: 10.1007/s10654-021-00808-7. Epub 2021 Sep 30. PMID: 34591202; PMCID: PMC8481107))

Cette aggravation paradoxale du risque de contamination après vaccination a été soulignée par d’autres auteurs dans des revues médicales à comité de lecture(([10] Kampf G. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios-author’s reply. Lancet Reg Health Eur. 2022 Apr 4;16:100376. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100376. PMID: 35392451; PMCID: PMC8978700.
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2666-7762%2821%2900258-1))(([11] Bohnert JA, Ulm L, Hübner NO, Seifert U, Becker K, Kramer A. The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is decreasing after booster vaccination, as shown by incidence rate ratios. Lancet Reg Health Eur. 2022 May;16:100372. doi: 10.1016/j.lanepe.2022.100372. Epub 2022 Apr 11. PMID: 35434686; PMCID: PMC8995670.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35434686/))

En France on a observé aussi cette évolution paradoxale avec un nombre mensuel de contaminations multiplié par 6 depuis les injections :

L’obligation vaccinale des soignants est incapable de protéger les patients. Au lieu de diminuer le risque de contaminations des malades, l’obligation vaccinale des soignants paraît donc même susceptible de l’augmenter !

Les injections diminuent-elles le risque de forme grave et de mourir ? Non !

La consultation des données de l’OMS dément là encore totalement la propagande gouvernementale reprise par l’Académie de médecine et de la HAS qui prétendent, sans rapporter de faits avérés autres que les communiqués biaisés d’Epiphare que les injections protégeraient des formes graves.

Les formes graves sont celles susceptibles d’entraîner la mort et la mortalité observée en représente un témoin fiable. Or depuis les injections la mortalité globale n’a pas diminué dans les pays les plus vaccinés bien au contraire.

Cette courbe des mortalités au 23 juillet 2022 issue des données publiées par l’OMS les situe entre 2000 et 3000/million dans les pays champions des injections contre 183/million en Afrique très peu vaccinée, mais apôtre des traitements préventifs ou précoces par antipaludéens ou artémisine.

Cette aggravation de la mortalité Covid devient plus évidente quelques mois après l’injection. Initialement remarquée en Grande-Bretagne où, depuis avril 2022, d’après l’Office National des Statistiques plus de 90 % des morts covid touchent les multi vaccinés.

Elle s’observe maintenant aussi en France. Depuis juin 2022 la mortalité attribuée au Covid atteint 3/10 000 000 chez les non-vaccinés contre 4/10 000 000 chez les vaccinés.(([12] https://covidtracker.fr/vaximpact/))

Les soignants qui ont refusé les injections ne sont pas des antivax comme les qualifient mensongèrement le gouvernement et les médias. Avant la crise covid ils avaient tous accepté les vaccins prévus par leur fonction, les avaient conseillés et souvent injectés à leurs patients.

Mais mieux informés que la population, ils n’ont pas voulu se faire injecter un médicament expérimental de plus issu d’une technique jamais utilisée en pathologie infectieuse avant la publication complète des résultats des essais phase 3 (prévue pour février 2023). Leurs inquiétudes avaient d’ailleurs été ravivées par les complications post injections qu’ont subies leurs collègues vaccinés avant eux.

Ces soignants ont appliqué le principe de précaution : ce sont des vaccino prudents et les très mauvais résultats actuels des pseudo vaccins montrent qu’ils avaient malheureusement raison.

Sandra, infirmière anesthésiste suspendue(([13] https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/gard/nimes/violent-et-malveillant-des-soignants-non-vaccines-denoncent-la-maltraitance-institutionnelle-2475517.html)):

« Depuis le mois de septembre, nous sommes mis en marge de la société et précarisés pour avoir simplement fait un choix légitime qui est celui de préserver notre intégrité physique en refusant ces injections »

Les appels de certains à « punir les non injectés » sont donc médicalement stupides et éthiquement nauséabonds. Comme ils concernent des médicaments expérimentaux, il s’agit d’un essai non déclaré réalisé sans consentement libre et éclairé, ce qui réitère les pratiques des expériences vaccinales nazies qui ont justifié plusieurs condamnations à mort des médecins qui les ont pratiquées.(([14] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/afe85002278/proces-des-medecins-nazis))

Dans cette propagande pseudo vaccinale scientifiquement infondée se disputent l’ignorance et la corruption qui mettent la vie de la population crédule en danger comme le rappelait récemment le Lancet

Les avis infondés de l’Académie de médecine
et de la HAS aggravent le manque dramatique de soignants
et mettent en danger la vie des Français.

Actuellement plus de 120 services d’urgence ne peuvent plus fonctionner normalement(([15] https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/manque-de-personnel-16-des-services-d-urgence-en-grande-difficulte_AV-202205270139.html)) et de nombreuses interventions chirurgicales nécessaires sont retardées faute de personnel et les déserts médicaux se multiplient partout en France. Et la seule solution proposée par le ministre Braun est la fermeture des urgences la nuit !

Le manque chronique de soignants dû aux salaires insuffisants et à la gestion bureaucratique purement financière de plus en plus tatillonne n’est pas nouveau. Il a été dramatiquement aggravé par la gestion autoritaire de la crise Covid dévalorisant les médecins généralistes, leur interdisant de prescrire selon leur conscience, instaurant une censure sévère avec création d’un délit d’opinion.

La goutte d’eau responsable de la catastrophe actuelle est l’obligation « vaccinale » d’un médicament totalement expérimental issu d’une technique expérimentale en infectiologie. En plus des 15 000 soignants officiellement interdis d’exercer, de nombreux médecins ont préféré prendre une retraite anticipée, et certains soignants en formation ont interrompu leurs études aboutissant à un déficit réel proche de 50 000.

Il existe actuellement en France largement suffisamment de soignants diplômés (312 172 médecins), mais la densité des médecins en activité baisse et certains modes d’exercice sont boudés (urgentistes, anesthésistes, chirurgiens). La suppression de l’obligation « vaccinale » ne déciderait pas tous les soignants qui l’ont refusée à reprendre leur activité, car la discrimination ignoble dont ils sont encore victimes les a profondément marqués, mais le retour de même de seulement la moitié d’entre eux soulagerait le système sanitaire en rupture.

Le refus de l’Académie de médecine et de la HAS de réintégrer les soignants vaccino prudents pérennise le manque de soignants et mettent en danger la santé des Français. Cet été et à l’automne prochain, si vous trouvez les urgences de votre hôpital fermées et s’il n’y a plus de médecin dans votre région transformée en désert médical, vous pourrez en remercierles ayatollahs de l’Académie de médecine et de la Haute Autorité de Santé





Le producteur de cinéma Del Bigtree : « Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années »

[Source : lemediaen442.fr]

Del Bigtree, du média « The Highwire », lit la lettre d’une Australienne vaccinée qui admet qu’elle était gênée par le courage et les principes des non-vaccinés alors qu’ils tenaient bon face à la dictature sanitaire. 

Rappelons à nos lecteurs que le projet élyséen pour les non-vaccinés n’était pas un grand secret, puisque La Dépêche avait fait fuiter l’information : créer un système de QR-codes à scanner avant l’entrée dans les lieux publics pour identifier et suivre la personne. Le calcul politique est simple : les quelques récalcitrants, estimés à 20 % par la présidence, devront capituler de lassitude dans la guerre d’usure, sous peine d’être privés de restaurants, de vie culturelle, de vie sociale tout court.

« Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins covid. Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures de combat, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement. La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants. »

Lettre en entier :

Si Covid était un champ de bataille, il serait encore chaud des corps des non-vaccinés. Heureusement, les contraintes se relâchent et les belligérants des eux côtés reviennent à une nouvelle normalité.

Les non-vaccinés sont les héros des deux dernières années, car ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérimentation et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid.

Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures, car ce sont les personnes que l’on a essayé de briser mentalement, mais personne ne veut parler de ce que nous leur avons fait et de ce qu’ils ont obligé la science à dévoiler.

Nous savions que l’immunité décroissante des personnes entièrement vaccinées avait le même profil de risque que les autres membres de la société, comme la minorité des non-vaccinés, mais nous les avons ciblés pour une persécution spéciale.

Vous voyez, nous avons dit qu’ils n’avaient pas « fait ce qu’il fallait pour le bien de tous » en remettant leur corps et leur autonomie médicale à l’État.

De nombreux soi-disant experts de la santé et dirigeants politiques en Australie ont admis que l’objectif était de rendre la vie presque invivable aux non-vaccinés, ce qui a été multiplié plusieurs fois par la foule collective, avec un combat à mener dans les lieux de travail, les amitiés et les réunions de famille.

Aujourd’hui, la dure vérité est que rien de tout cela n’était justifié, alors que nous sommes passés rapidement de la droiture à la cruauté absolue. Nous pourrions rejeter la faute sur nos dirigeants et nos experts en santé pour cette incitation, mais chaque individu au sein de la société doit être tenu responsable d’être tombé dans le piège bien tendu.

Nous l’avons fait en sachant très bien que l’opposition de principe n’a pas de prix quand il s’agit de ce qui entre dans notre corps et nous nous sommes laissés tromper en croyant qu’entrer dans un autre verrouillage inefficace serait la faute des non-vaccinés et non la faute de la politique toxique de vaccins inefficaces.

Nous avons pris plaisir à faire des boucs émissaires des non-vaccinés parce qu’après des mois de confinements orchestrés par des dirigeants politiques aveuglés par le pouvoir, avoir quelqu’un à blâmer et à brûler sur le bûcher faisait du bien.

Nous pensions que nous avions la logique, l’amour et la vérité de notre côté, il était donc facile de souhaiter la mort aux non-vaccinés.

Ceux d’entre nous qui ont ridiculisé les non-conformistes et s’en sont moqués l’ont fait parce que nous étions gênés par leur courage et leurs principes et que nous ne pensions pas que les non-vaccinés s’en sortiraient indemnes et nous avons transformé les résistants en punching-balls. Bonnie Henry, Teresa Lam, Lori Wanamaker, Anthony Fauci, Trudeau et les autres centaines d’acteurs occupant des rôles de premier plan doivent être tenus responsables d’avoir vilipendé les non-vaccinés en public et d’avoir alimenté la colère des foules sur les réseaux sociaux.

Les foules, les nazis masqués et les disciples du vaccin ont été gênés de « parier contre » les non-vaccinés parce que les contraintes sanitaires n’avaient que le pouvoir que nous leur donnions.

Ce n’est pas le conformisme qui a mis fin à la domination des grandes sociétés pharmaceutiques, de Bill Gates et de ses nombreuses organisations, et du Forum économique mondial… C’est grâce aux personnes que nous avons essayé d’embarrasser, de ridiculiser, de moquer et de démolir.

Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort.

Donc, si jamais les contraintes sanitaires réapparaissent lors du Covid ou de tout autre maladie ou virus, espérons-le, davantage d’entre nous seront éveillés et verront l’autoritarisme croissant qui ne se soucie pas de notre bien-être et est plus une question de pouvoir et de contrôle.

La guerre contre les non-vaccinés a été perdue et nous devrions tous en être très reconnaissants.




REVUE DE PRESSE DU 23 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Immunité biologique versus immunité juridique

Si un vaccin est approuvé aux USA pour les enfants, son fabricant ne peut être poursuivi pour les effets indésirables qu’il provoque, qu’il s’agisse d’adultes ou d’enfants, et même si ce produit n’assure pas la protection avancée, d’où la course à l’approbation pour les laboratoires déjà en selle, tandis que Valneva voit ses contrats annulés en Europe et au Royaume-Uni, pour cause de retard à l’AMM : deux poids deux mesures.

L’immunité acquise avec Omicron reste forte contre les sous-variants, et les masques une fois de plus se révèlent inutiles et dangereux, comme en témoigne le désastre de leur utilisation en Nouvelle-Zélande.

Les vaccinés affichent une surmortalité toutes causes, y compris avec une explosion de la mort subite de l’adulte. Mais les caciques de la HAS et de l’Académie de médecine aux conflits d’intérêts bien connus ont conforté le gouvernement dans son refus de réintégrer les soignants suspendus, malgré un été sous tension dans tous les services d’urgence.

Quant à l’OTAN s’il considère l’esprit humain comme un nouveau domaine de guerre, la manipulation est visible pour les esprits éveillés et selon le Pr Perronne, le mensonge ne durera pas éternellement. Exemple au Royaume-Uni où l’on a découvert les morts cachés sous le tapis du groupe non vacciné alors qu’ils sont décédés après la première dose de « vaccin ».

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La HAS dit non à la réintégration des soignants suspendus

https://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-gouvernement-suit-lavis-de-la-has-et-dit-non-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines

Hélas, sur des arguments dont on sait qu’ils sont faux (l’efficacité n’est pas au rendez-vous, ni contre la contamination, ni contre les formes graves et décès).

Pour comprendre cette décision, il faut en connaître les auteurs et leurs conflits d’intérêts

Exemple, le Pr Aubier, membre de l’Académie de médecine

https://www.transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=45432

À ce niveau-là, tout s’explique.

France, le seul pays au monde, avec l’Italie, à maintenir la suspension des soignants et pompiers

https://pgibertie.com/2022/07/22/la-protection-vacxxxinale-a-disparu-meme-en-france-seul-pays-au-monde-avec-litalie-a-maintenir-lobligation-pour-soignants-et-pompiers/

Malgré l’absence de protection des injections contre les formes graves.

La forfaiture du gouvernement et de ses alliés

https://pgibertie.com/2022/07/23/non-reintegration-des-soignants-et-pompiers-non-vaccines-la-forfaiture-du-gouvernement-et-de-ses-allies-verifiez-vous-memes-les-stats-qui-le-prouvent/

Les non-vaccinés représentent le quart de la population française et « seulement » 15 % des cas et décès. « Affirmer, en juillet 2022 que les injections protègent les plus vulnérables, c’est du même ordre que présenter le Médiator comme l’invention médicale du siècle et le tabac comme un produit efficace contre le cancer ».

Les statistiques de la DREES parlent toutes seules

France — pour la première fois les statistiques officielles révèlent l’absence de protection vaccinale contre les formes graves

https://pgibertie.com/2022/07/22/pour-la-premiere-fois-en-france-les-statistiques-officielles-revelent-que-la-protection-vaccxxinale-contre-les-formes-graves-n-existe-pas/

et

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/rapport-vaccinesnon-vaccines

« 5 décès par 10 millions pour les vaccinés et 4 pour les non-vaccinés. » Pour autant on ne sait pas de quoi sont décédées ces personnes, dont le diagnostic est « avec Covid » et non « du Covid ».

Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

On souhaite qu’un jour prochain quand le bon sens aura réintégré les institutions, hôpitaux et facultés de médecine, cette jeune étudiante puisse reprendre ses études interrompues avec un courage moral qui force le respect.

ÉTRANGER

Les actions de l’OTAN pour le contrôle de l’opinion publique

https://fr.sott.net/article/40404-Propagande-operations-psychologiques-et-guerre-cognitive-Les-actions-de-l-OTAN-pour-le-controle-de-l-opinion-publique

« Elle a mis en place dès avril 2020 une structure dédiée à l’étude de ce qu’ils appellent “l’infodémie”, et lancé dès avril 2020 l’Information Network for Epidemics (EPI-WIN) » ; « En mai 2020 elle fait passer la résolution WHA73.1 qui affirme que le contrôle des infos non conformes est un point essentiel dans la lutte “contre le Covid”, impose aux États de produire des contenus conformes et prendre des mesures contre les infos non conformes. »

« L’esprit humain est désormais considéré comme un nouveau domaine de guerre ». « Les armées développent déjà des armes neurologiques qui visent le système nerveux et les capacités cognitives. Des expérimentations dans ce sens sont très certainement menées actuellement en Amérique latine avec la DARPA. »

L’UE abandonne Valneva

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/lue-abandonne-valneva/

Annulation quasi totale de la commande, car l’AMM a tardé à venir (l’appréciation de l’urgence n’est pas la même selon le laboratoire concerné).

ROYAUME-UNI — les morts cachés sous le tapis

https://pgibertie.com/2022/07/16/en-soulevant-le-tapis-on-a-retrouve-planques-des-milliers-de-morts-victimes-de-la-premiere-dose/

Ces morts survenues après la première injection avaient été comptabilisées dans le groupe des non-vaccinés.

ROYAUME-UNI — près de 19 millions de citoyens non vaccinés

Depuis avril 90 % des décès dus au Covid se trouvent chez les triple-vaccinés.

JUSTICE

Les sénateurs refusent la signification par huissier du courrier de l’association Bon Sens

Déni de considération des citoyens et refus d’entendre ce qu’ils ne veulent pas savoir.

ITALIE — décision historique contre la vaccination obligatoire

Décision largement argumentée autant juridiquement que scientifiquement.

USA — les familles s’unissent pour dénoncer les protocoles hospitaliers qui ont conduit à la mort de leurs proches

https://www.epochtimes.fr/nous-allons-obtenir-justice-les-familles-sunissent-pour-denoncer-les-protocoles-hospitaliers-douteux-qui-ont-conduit-a-la-mort-de-leurs-proches-2070225.html

« Les détails des récits présentés par les familles dont des proches sont décédés à l’hôpital en raison de ce qu’elles appellent les “protocoles mortels” sont étrangement similaires.Ils ont terrifié ces personnes en les maltraitant émotionnellement et psychologiquement” »

COVID

Immunité naturelle acquise avec Omicron forte contre les sous-variants

https://www.aubedigitale.com/limmunite-naturelle-acquise-avec-omicron-est-forte-contre-les-autres-sous-variants-etude/

« Des scientifiques du Qatar ont constaté que la protection conférée par la résistance au COVID-19 était forte contre les plus récents sous-variants du virus, y compris celui qui domine actuellement aux États-Unis. »

TRAITEMENTS ET MESURES

Les masques sont INUTILES et DANGEREUX, l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-masques-sont-inutiles-et-dangereux-lexperience-desastreuse-de-la-nouvelle-zelande/

Inutiles, car les virus sont 5000 fois plus petits que les trous des masques, dangereux, car ils augmentent la contamination au lieu de la diminuer et provoquent des troubles cutanés, respiratoires, psychologiques et neurodéveloppementaux chez les enfants.

INJECTIONS

La FDA approuve l’utilisation d’urgence de Novavax

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/19/la-fda-approuve-lutilisation-durgence-du-vaccin-de-novavax/

Pour les réticents aux vaccins à ARNmessager… mais pas de réelle étude de pharmacovigilance pour ce vaccin qui injecte la fameuse Spike, toxique.

Les vaccins anti-Covid sont inefficaces et toxiques pour les enfants

https://pgibertie.com/2022/07/18/la-biologiste-helene-banoun-accuseles-vaccins-covid-sont-inefficaces-et-toxiques-pour-les-enfants/

« L’efficacité a été mesurée uniquement selon la méthode de l’‘immunobridging », c’est-à-dire sur le taux d’anticorps observé après les injections et non sur la capacité du vaccin à empêcher une infection par le virus. Aucun enfant déjà naturellement immunisé par une infection antérieure n’a été infecté : ceci démontre l’efficacité à 100 % de l’immunité naturelle. »

Mais alors, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les enfants ?

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/22/que-cache-la-marche-forcee-de-la-vaccination-covid-des-enfants-par-laurent-aventin/

Selon l’avocat Robert Kennedy Jr, aux USA, “quand les ‘vaccins’ sont autorisés pour les enfants, les produits pharmaceutiques sont exempts de toute responsabilité et les producteurs ne peuvent être poursuivis en justice, ils sont de fait protégés par le gouvernement fédéral par une loi”.

EFFETS INDÉSIRABLES

La mort subite de l’adulte, bien pratique pour cacher les effets indésirables des injections

https://www.lavieensante.com/2022-07-07-syndrome-de-la-mort-subite-de-adulte/

« Les chiffres sont si inquiétants qu’en Australie, par exemple, le Melbourne Baker Heart and Diabetes Institute met en place un nouveau registre de MSA « pour obtenir davantage d’informations » sur ce phénomène. »

Surmortalité des personnes vaccinées contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/18/lavocat-todd-callender-associe-a-la-direction-dun-groupe-dassurance-denonce-la-surmortalite-des-personnes-vaccinees-contre-covid-par-laure/

Toutes les formes de maladies parmi ceux qui ont reçu les injections contre Covid montent en flèche.”

En Angleterre et au Pays de Galles, près de 10 000 décès excédents non covid au cours des 2 derniers mois, en grande partie dus à des troubles vasculaires et cardiaques

https://dailysceptic.org/2022/07/19/excess-non-covid-deaths-approach-9500-in-last-11-weeks/

Les personnes vaccinées et contaminées contagieuses plus longtemps que les non-vaccinées

https://www.israelnationalnews.com/news/356245

les données du ministère israélien de la santé montrent que dans la population plus âgée (plus de 60 ans), le fait d’avoir reçu un plus grand nombre de vaccins COVID est souvent lié à une plus grande probabilité d’être infecté par le COVID.”

BELGIQUE — le risque d’être hospitalisé pour le Covid est plus important pour les vaccinés que les non-vaccinés

Autrement dit “efficacité négative” !!

La 4e dose est la pire de toutes !

https://pgibertie.com/2022/07/20/on-sait-maintenant-que-la-quatrieme-dose-est-la-pire-de-toutes-deux-plus-plus-de-risques-detre-contamine-pour-100-000-habitants/

Comme le montrent les données canadiennes, 20 fois plus de décès par million de personnes pour les 4 doses et plus que pour les 0 dose.

RÉSISTANCES

Touche pas à mon Doc !

https://www.aimsib.org/2022/07/23/touche-pas-a-mon-doc-et-plus-de-qr-code-pour-decider-de-qui-ils-soignent/

“Les services de la Sécurité Sociale épluchent les ordonnances des médecins (Ivermectine, Azythromycine) et des centaines de médecins sont convoqués par les Conseils de l’Ordre pour répondre de ces prescriptions. Et demain, est-ce que les médecins seront encore indépendants ?”

CSI n° 63, 21 juillet 2022, avec Marc Girardot



Un regard différent sur les contre-vérités Covid”

Faut s’réveiller, chanson de Xavier Domingue

… “les droits d’l’homme aujourd’hui sont bien bafoués
le crédit social est planifié
on est manipulés…”

Le mensonge ne durera pas éternellement

https://www.profession-gendarme.com/exclu-360-le-professeur-perr0nne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/

Le Pr Perronne revient sur toutes les mesures absurdes, inutiles et dangereuses prises dans l’épidémie de Covid-19 et croit en l’éveil des consciences pour que cette folie cesse.

Un témoignage du nord de l’Inde

https://reinfocovid.fr/temoignage/nouvelles-du-nord-de-linde/

Je pourrais allonger la liste de choses impensables dont je fus pourtant témoin. J’arrête là, car le peu de personnes à qui je me confie restent incrédules quant à mes propos ; celles et ceux qui me croient sont comme nous : non vaccinés, voire non testés.”

USA, la vérité en train d’éclater

Jean-Dominique Michel, interviewé par Pierre Barnérias



Variole du Singe : ce qu’ils mijotent vraiment !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Patanjali Kambhampati : Mon « expérience vécue » me dit que la diversité, l’inclusion et l’équité sont contraires à la liberté humaine

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Patanjali Kambhampati

Diversité, inclusion et équité (DIE [Ndlr : pour Diversity, Inclusion et Equity en anglais, sachant que « Die » peut se traduire par « Meurs ! », autrement dit un symbole possible de mort de l’individu, noyé par la société.]) – ce sont tous des mots apparemment innocents ; adhérer à ces principes peut même améliorer l’humanité. Pourtant, une dévotion inconditionnelle à ces principes de la part de la foule de la justice sociale a transformé le mouvement d’une poussée pour être plus ouvert et inclusif à la véritable diversité de notre société, en une volonté contraire aux principes libéraux classiques.

Parce que la culture actuelle considère certaines opinions comme des vérités indéniables, tragiquement, il faut défendre le libéralisme classique et la tenue de points de vue différents. En effet, ceux qui remettent en question la religion moderne de DIE sont souvent annulés et bannis en tant que dinosaures racistes, sexistes et colonialistes.

De nos jours, « l’expérience vécue » des communautés marginalisées se présente comme un point inattaquable. Mais que se passe-t-il si mon expérience vécue me rend encore plus catégoriquement en faveur des principes libéraux classiques qui sont le fondement même de la démocratie ? Mes «expériences vécues» en tant qu’immigrant du tiers monde aux États-Unis m’ont en fait conduit à être un défenseur permanent des pratiques de mérite, d’équité et d’égalité – pratiques dérivées des principes libéraux classiques.

En tant qu’immigrant, je n’avais jamais réalisé que mes «expériences vécues» étaient quelque chose de dramatique ou d’inhabituel. C’était assez courant quand j’étais jeune de me faire battre par des gangs qui criaient “Meurs, n-ger, meurs”. Le fait que je sois indien n’avait apparemment aucune importance, peut-être parce que je refusais de me conformer à de nombreuses normes sociales. C’était en 1976 et le bicentenaire américain pesait lourd. Nous avons été obligés de prêter allégeance à diverses croyances qui, pour moi, semblaient arbitraires et ad hoc en tant qu’immigrant récent et en tant que personne ayant des antécédents familiaux de dissidence.

Tout comme nous entendons des histoires de William Wallace criant “liberté” tout en étant torturé, j’ai vécu ma propre version d’enfance de cela en raison de mon refus de prêter allégeance – à quoi que ce soit. Des années plus tard, nous avons entendu parler de Tiananmen Tank Man dans la Chine communiste. Des années plus tôt, nous avions August Landmesser dans l’Allemagne nazie. La bravoure de ces hommes était due à leur volonté de baisser les bras alors que la foule levait les siens dans l’obéissance au collectivisme.

De nos jours, je suis obligé de prêter allégeance à une croyance en DIE, comme le sont d’autres dans la science et le milieu universitaire. Ce qu’il faut, c’est plus de gens qui sont prêts à prendre position contre une idéologie qui leur est imposée dans ce qui est censé être des bastions de la libre pensée, des résultats fondés sur le mérite et de la curiosité intellectuelle.

La mentalité de troupeau est profondément ancrée en nous, les humains. Peut-on s’élever au-dessus ? Pour ma part, je ne peux rien faire d’autre. En tant que garçon, j’étais motivé par une volonté fondamentale d’équité – l’une des pratiques qui peuvent être liées au libéralisme classique.

Bien avant que je sois tourmenté par des enfants cherchant à imposer la mentalité de troupeau en 1976, mon grand-père a été torturé par le Raj britannique pendant la Marche du sel de 1930, pour avoir été parmi les premiers à faire en Inde ce que le Boston Tea Party a fait pour les États-Unis. Mon grand-père était un jeune homme qui a suivi le Mahatma Gandhi dans l’espoir d’accroître sa liberté.

La liberté est restée un sujet de grave préoccupation pour ma famille élargie en Inde pendant au moins un siècle. Ce que des hommes comme mon grand-père, Gandhi et Martin Luther King faisaient progresser, c’était l’égalité. L’égalité est une autre idée libérale classique, qui est mentionnée directement dans la devise française, « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Le métier de dissident n’est pas vraiment lucratif. Mon père est né pauvre du tiers-monde. Son seul espoir était d’obtenir un emploi de secrétaire ou de pouvoir passer un test dans la meilleure école d’ingénieurs en Inde, l’Indian Institute of Science. En étant admis dans cette école supérieure, mon père a pu amener sa famille en Amérique, où nous avons reçu une superbe éducation et d’énormes opportunités.

Dans le monde de mon père, c’est le mérite qui lui a permis d’avancer et sa famille de s’épanouir. Le mérite et la pratique de la méritocratie sont aussi des valeurs libérales classiques. Le mérite est également au cœur du rêve des immigrants et de l’essor de la société moderne.

Écrivant dans Newsweek l’année dernière, Dorian Abbot de l’Université de Chicago et Ivan Marinovic de l’Université de Stanford ont fait valoir que le cadre DIE devrait être remplacé par un cadre qui adhère aux valeurs de mérite, d’équité et d’égalité (MFE [Ndlr : pour Merit, Fairness et Equality en anglais]).

Il existe de nombreux arguments intellectuels pour soutenir l’humble pratique de la MFE qui sont dérivés des principes libéraux classiques, au lieu d’une croyance moraliste en DIE, qui est dérivée du post-modernisme académique et du marxisme culturel. Mais ce qu’il faut, ce n’est pas un autre argument intellectuel qui puisse être rejeté comme les griefs des «hommes blancs hétéros privilégiés», mais un argument qui fait appel à notre sens commun de la moralité, de l’éthique, de l’esthétique et de l’humanité.

À titre d’exemple récent de pratiques courantes en matière de financement des sciences en Amérique du Nord, les fondations scientifiques fédérales du Canada m’ont refusé à deux reprises des opportunités de financement, toutes deux détaillées dans ces pages, simplement parce que j’avais dit que j’embaucherais des assistants de recherche en fonction du mérite, quel que soit leur leur sexe ou leur origine ethnique ou culturelle.

Au cours de l’année écoulée, l’empiètement du culte de DIE dans le milieu universitaire n’a fait que croître. Il existe maintenant de nombreux postes qui sont tout simplement interdits aux hommes blancs hétéros qui ne sont pas handicapés. Il faut prêter allégeance à ces principes illibéraux pour être un scientifique en exercice en 2022.

Ce sont quelques-unes des raisons pour lesquelles j’écris sur DIE dans la science et dans la société en général. En tant que personne qui a traité de «l’expérience vécue» du racisme, je suis ici pour faire valoir que nous devons aller au-delà du racisme intellectuel désuet et de l’antiracisme moderne inepte, et nous diriger plutôt vers une approche plus individualiste.

Les moyens de progrès devraient provenir d’un examen et d’une promotion humbles des principes de la liberté humaine, plutôt que d’avoir et de défendre des croyances en la justice sociale. La seule façon de procéder est le libre échange d’idées, ce qui est actuellement impossible en raison du comportement quasi religieux de ceux qui visent à réduire les autres au silence. J’espère que mes expériences pourront jouer un rôle en permettant aux autres de parler et de penser librement et ajouter de la valeur à la quête sans fin du progrès humain et de la liberté.




Joe Rogan au sujet des Canadiens et de Trudeau : « Ils sont foutus. Ils doivent se débarrasser de ce gars-là »

[Source : quebecnouvelles.info]

Lors du 1844e épisode de son célèbre podcast, Joe Rogan, parlant à l’humoriste Tom Segura, s’est lancé dans une tirade assassine à l’encontre de Justin Trudeau et de ses actions illibérales dans la foulée de la crise sanitaire. Ce segment du populaire animateur — qui avait d’ailleurs fait les manchettes récemment en raison du boycott de Spotify par Neil Young — est devenu viral cette semaine dans tout le monde anglo-saxon.

D’entrée de jeu, Rogan y affirme que le Canada est devenu « communiste » sous l’emprise de Trudeau et que les Canadiens sont « foutus ». Il dit alors qu’il faut impérativement que ces derniers se débarrassent de ce Premier ministre.

Admettant leurs connaissances limitées du système électoral canadien, les deux Américains affirment alors que Trudeau semble être au pouvoir depuis assez longtemps… Et oublient probablement que les Canadiens l’ont en fait réélu il y a moins d’un an.

Rogan poursuit alors en admettant avoir été séduit par la figure de Trudeau dans ses premiers mandats, mais qu’il n’en revient pas de la tournure autoritaire du personnage depuis quelque temps. Sans mâcher ses mots, il dit :

[Trudeau] paraissait bien, était confiant et un bon orateur… Et puis pendant la pandémie, je suis comme, « Oh ! Tu es un putain de dictateur ! ».

Il enchaîne alors, expliquant son point de vue en référence à une phrase dite par Trudeau pendant les convois de la liberté :

« Tu essaies de faire taire la critique en disant que toutes les personnes qui te critiquent sont des misogynes et des racistes ».

Se moquant de la persistance de certaines mesures au Canada, Rogan se montre encore une fois très critique :

« Vous ne pouvez même pas aller au Canada si vous n’êtes pas vacciné… On est en 2022, pas en 2019… »

Pour écouter le segment en question :




Italie : Giorgia Meloni, une anti-islam bientôt présidente du Conseil?

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

Giorgia Meloni, un nom à retenir

Depuis la fin de 2020, elle est la personnalité politique préférée des Italiens. Peut-être parce qu’elle est la seule à dénoncer sans détours l’islamisation de l’Europe, et à se prononcer pour la fermeture des ports afin d’empêcher les navires d’ONG financées par Soros et sa clique de débarquer des clandestins. Avec raccompagnement des intrus au large, à la limite des eaux territoriales, par des navires de guerre.

[Note de Joseph : cette approche favorise néanmoins la division sociale d’une nation, à la grande joie probable de ceux qui aiment diviser pour mieux régner. Puisque l’Islam leur pose des problèmes, il serait plus sage et constructif d’une part de renforcer la religion chrétienne qui représente encore le socle de la culture européenne, ceci en retournant à son essence d’il y a deux mille ans puisque c’est à ce niveau que se situe la sève parcourant les racines de la civilisation européenne, sève qui pourrait réveiller l’arbre au printemps d’une nouvelle ère. Et d’autre part, il vaut toujours mieux offrir un choix aux clandestins (si l’on souhaite notamment éviter d’en faire des ennemis) plutôt que de les expulser manu militari : s’intégrer à la civilisation italienne et accepter ses valeurs chrétiennes (sans pour autant se convertir) ; ou bien repartir dans leur pays d’origine, en leur fournissant au besoin des moyens pour pouvoir y vivre sans crever de faim et sans être bombardés par nos armes. Et afin de diminuer le facteur diviseur des ghettos religieux (musulmans ou autres) dans les villes qui en comptent, il serait bon d’adopter une politique de dispersion et d’accueil basée sur l’assimilation dans tous les autres quartiers ou villages.]

En août 2019, alors que les autres partis italiens papotaient sur le nombre d’envahisseurs qu’on pourrait laisser passer depuis l’intrusion des navires de l’ONG Proactiva Open, elle a proposé de créer un blocus naval autour des côtes Nord- Africaines qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie.

Selon des sondages pourtant financés par les médias main stream, les deux tiers des Italiens approuvaient cette proposition.

Les pisse-copie en mal d’inspiration l’ont appelée « la Marine italienne ». Je changerais et intervertirais une voyelle. Pour que ça fasse « Marion ». Car à la différence de MLP, son éloquence et son sens de la répartie font merveille dans les médias et les débats. Elle ne se serait jamais aplatie devant un paltoquet inverti.

Les « pisse-copie » francarabiens atterrés la découvrent, depuis que son parti est en tête des sondages pour les prochaines législatives anticipées. Car cette fois, les Italiens ne veulent plus d’un technocrate non élu, imposé par l’Eurocrature, à la tête d’un gouvernement de figurants, de traîtres, de vendus et de profiteurs.

Brillante, courageuse, mais pas carriériste

Fille d’un communiste (!) elle crée à 15 ans la Coordination étudiante  de la Droite nationale, et milite au Front de la jeunesse du Mouvement social italien (MSI), que les pourritures gauchistes présentent comme les héritiers de Mussolini.

Un choix qu’elle ne reniera pas, bien que cette étiquette lui nuise par la suite dans sa carrière de journaliste.

À noter que, comme en France avec le FN, un « arc constitutionnel » fait copuler dans une joyeuse partouze tous les partis, des communistes aux monarchistes en passant par la démocratie chrétienne mafieuse, le parti socialiste corrompu et le parti libéral vendu au plus offrant, pour « en toutes circonstances exclure les élus du MSI de toute alliance électorale ou gouvernementale, à quelque niveau que ce soit. » Un ostracisme qui sera brisé par Berlusconi en 1994.

Députée, et plus jeune vice-présidente de la Chambre, puis ministre à 29 ans dans le premier gouvernement de Berlusconi, elle fonde en 2014 le parti national conservateur Fratelli d’Italia.  Rien à voir avec les frères trois points. Son emblème est une flamme semblable à celle du Front National, vert-blanc-rouge, conforme au drapeau de son pays.

En 2020, elle est élue présidente du parti des conservateurs européens. Et l’année suivante, elle évite de commettre l’erreur de Matteo Salvini en participant au gouvernement de l’imposteur Draghi, créature maléfique du mondialisme intrusif.

« On ne peut pas critiquer un gouvernement et en faire partie » dit-elle très justement.  La concurrence avec Matteo Salvini ne se joue pas sur le domaine des idées, très proches, mais sur le terrain du refus du compromis.

Elle sait qu’elle aura besoin des voix de « La Ligue du Nord » et de « Forza Italia » si elle veut constituer une majorité de patriotes, naturellement appelés à gouverner s’ils obtiennent une majorité à la Chambre.

Mais à la différence de ses alliés potentiels elle apparaît comme propre, honnête et désintéressée. Parce qu’elle n’est pas allée à la soupe. Malgré l’insistance du Président fantoche Matarella et les promesses de l’usurpateur Draghi, découvrant les mérites de l’unité nationale quand ça peut servir ses intérêts et ceux de ses sponsors du NWO.

Elle fait la course en tête et s’y maintient

Depuis plusieurs mois, cette femme de 45 ans, aussi affable qu’intraitable sur ses convictions, mère d’une petite fille de 5 ans, peut compter sur un socle électoral de l’ordre de 25 %, devant les berlusconistes à 22 % et la Ligue à 14 %. Mais le tout additionné, ça fait une belle majorité de 61 %. Surtout dans un pays où l’on vote à la proportionnelle pour les cinq huitièmes des circonscriptions et à l’uninominale à un seul tour pour les trois autres.

Fratelli d’Italia est perçu aujourd’hui comme le seul parti d’opposition réelle, sans compromissions, sur le plan politique et culturel.

Tous les partis se sont plus ou moins laissé tenter par des arrangements. Pas elle. Sa formation est la seule qui dézingue systématiquement toutes les décisions gouvernementales, au niveau économique, sanitaire et social. Les bien-pensants lui prédisaient l’échec et le rejet de ses méthodes. C’est le contraire qui se produit dans un pays qui, comme en France, a perdu toute confiance dans ses zélites traditionnelles.

Giorgia a parfaitement intégré les analyses du communiste Gramsci selon lesquelles la domination culturelle par la diffusion de nouvelles valeurs, antithèses de celles en vigueur, prépare l’accession au pouvoir.

Or dans une Italie déboussolée par l’invasion migratoire, la dictature sanitaire et une guerre contre la Russie dont la majorité ne veut pas, Giorgia apparaît comme le symbole le plus crédible de la révolte. Avec son parti et ses alliés, elle peut renverser la table, si on lui en donne les moyens.

La trouille des eurotocrates

Résumé du programme de Giorgia Meloni  : « Notre nation a un besoin désespéré de recouvrer sa conscience, sa fierté et sa liberté.»

Dommage qu’en France on n’ait pas une personnalité de ce calibre, aussi proche du pouvoir !

L’éventualité de sa victoire électorale contrarie vivement les gnomes de Bruxelles, les banksters cupides et la bande des parasites lobbyistes qui vampirisent les États.

Car sans prôner une sortie sèche de l’UE, ni jeter l’euro, Fratelli d’Italia propose une révision des traités et le remplacement de l’Eurocrature par une confédération d’États souverains. Grosso modo, retour à l’Europe des Nations d’antan.

Les distingués politologues, sondeurs et autres faiseurs d’opinion qui pontifient dans les médias étalent leur effarement parce qu’ils n’ont rien compris à l’électorat italien. Incapables d’interpréter le malaise de la population et de suggérer d’autres solutions que les faux-fuyants moisis des faux opposants tous d’accord pour ne rien changer.

Ils ont cru les Ritals soumis comme les Français devant les muselières, les restrictions de liberté et les faux vaccins. Terrorisés par les vaticinations des VRP de Pfizer & Co.

Ils les ont cru hébétés, tétanisés devant les hordes barbares qui déferlent chaque jour sur leurs côtes. Résignés au point d’accepter l’inacceptable. Se laisser dépouiller de leur patrie par des pouilleux, encouragés par des cafards collabos.

Ils se sont imaginés que les mouvement 5 étoiles fondé par le Coluche italien était d’extrême gauche. Alors qu’une majorité de ses électeurs ont des sympathies nationalistes. Surtout dans le Sud. Le concept d’anarchiste de droite est étranger à leurs structures mentales préformatées.

Que pourrait faire Giorgia Meloni au pouvoir ?

Salvini a raté son histoire d’amour avec le Sud car il a été trop critique envers les gens du Mezzogiorno qui ont la rancune tenace. Quant à la Ligue du Nord, comme son nom l’indique, le Sud ne l’intéresse guère. Pour Giorgia, la voie est libre. Et elle est aussi bien perçue au Nord que dans le centre de la botte.

Son principal atout : elle a les mains libres. Le clientélisme, les petits arrangements entre amis, les renvois d’ascenseur, ce n’est pas son truc. Même si on peut imaginer que les ordures mondialo-immigrationnistes doivent se creuser la tête pour lui coller des casseroles, elles ont peu de chances de produire des accusations crédibles.

Favorable au modèle familial traditionnel, elle milite contre le mariage homosexuel et l’adoption par des gays. Sans prétendre les interdire. Mais au moins mettre un frein à la publicité qui leur est faite auprès de la jeunesse. Et elle peut le dire sans être censurée ni condamnée. Car à la différence de la France, les médias et les juges ne sont pas tous la coupe de jaquettes flottantes islamo-gauchistes.

Quant aux mesures sociales, elle veut bien aider les plus défavorisés. À condition qu’ils soient Italiens. Fini l’assistanat et le logement pour les parasites exotiques !

Nobody is perfect

Le seul reproche que je lui ferai concerne son attitude face à la Russie. Après avoir tenu des propos louangeurs sur Poutine, déclarant que son pays « fait partie du système de valeurs européennes, défend l’identité chrétienne et combat le fondamentalisme islamique » elle a fini par approuver la livraison d’armes « uniquement défensives » au Zygomyr par Draghi.

Premier faux pas qu’on lui pardonnera. Car d’ici qu’elle exerce le pouvoir, on peut espérer que le Zygomyr et sa bande pourriront dans les poubelles de l’histoire.




Idriss Aberkane dans l’œil de la Secte S.H.A

Par Lucien SA Oulahbib

[Illustratiion : ©Astrid DI CROLLALANZA/opale.photo)]

Quand « l’Élu » s’approche trop de la Matrice imposée en guise de Réel, ses méga machines se mettent en branle, accompagnées d’une nuée d’Agents Smith : ainsi l’Express, méga broyeur d’infos à les transformer en « merdre » façon Ubu se déchaîne sur « Idriss Aberkane » et va lui chercher les noises sur ses analyses cognitivistes en lien avec le développement personnel pour le discréditer plus sournoisement quant à son soutien à ce qui fait encore office de science médicale en France avec le triptyque : expérience, vérification critique, proposition thérapeutique librement consentie.

Car « l’Ex-presse », loin de ses illustres plumes (JJSS Aron, Revel) mitraille au mortier mental mal dégrossi, aux antipodes de cette démarche réaliste, non réservée aux approches scientifiques, au journalisme tout aussi bien comme au temps de Zola, ce « complotiste » avant l’heure bien sûr Dreyfus ayant été accusé par mégarde comme chacun sait. C’est que ce « magazine de référence » aura basculé — comme la plupart des médias officiels dits aujourd’hui » de grand chemin » — dans l’incompétence généralisée s’auto-estampillant « vérificateurs » avec esbroufe et narcissisme, toute une congratulation si boursouflée qu’ils apparaissent plutôt comme des « nettoyeurs » à l’acide médiatique visant à effacer toute trace de rigueur, d’exactitude, adage précieux pourtant de tout prétendant au journalisme (d’un Jack London tout aussi bien).

Que nenni, ma bonne dame ! Voyez d’ailleurs comment au mépris de toute bienséance, avec un orgueil mal placé ils se vautrent encore dans de l’anti-Raoult/Perronne/Fouché/Tubiana primaire, osant encore vanter une injection qui non seulement ne soigne pas, mais détruit à petit feu les plus fragiles dans leur immunité (comme nombre d’études arrivent à l’indiquer, telle celle-ci, tandis que celles prônant des méthodes plus prudentes et vérifiées sont écartées).

Mais foin de « science Mère Ubu ! Pognon pognon et Légion d’honneur grand-croix (n’en jetez !), plus difficile de les épingler sur des beaux tee-shirts noirs à cagoules (le soir on est antifa).




Le dossier Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne

[Source : Kla.tv]

Des parlementaires européens demandent la démission de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Motif : elle ferait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande. En raison de ses activités et des importants conflits d’intérêts, elle devrait démissionner. Kla.tv examine d’un peu plus près les activités d’Ursula von der Leyen et arrive à des conclusions qui devraient faire la une de tous les journaux !



Transcription

Ursula von der Leyen, mère de sept enfants, a mené une carrière ressemblant à un compte de fées. D’abord ministre de la famille, puis ministre de la défense, elle est devenue commissaire européenne en 2019. L’ensemble de son parcours politique a été aussi surprenant que ses fréquents scandales tombés à l’eau.

En février dernier, lors d’une conférence de presse, un groupe de parlementaires européens réunis autour du député roumain CristianTerheș a exigé la démission immédiate de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. La raison :

« Ursula von der Leyen fait partie d’une gigantesque fraude scientifique Covid-19 et d’une campagne de propagande qui a causé et continuera de causer une violation massive des droits de l’homme et des libertés. Il s’agit d’une menace pour la démocratie en Europe. En raison de ses activités et des conflits d’intérêts majeurs, elle devrait démissionner de son poste de présidente de la Commission. »

Fraude Covid ? Violation des droits de l’homme et de la liberté ? Menace pour la démocratie ? Conflits d’intérêts ? Les accusations sont lourdes. Kla.TV examine dans quelle mesure elles doivent être prises au sérieux.

1) Des affaires peu transparentes

Ursula von der Leyen est une farouche partisane des vaccins et dispose d’un excellent réseau dans l’industrie des vaccins. Elle entretient ainsi une relation de grande confiance avec le chef du géant pharmaceutique américain Pfizer – Albert Bourla. Il a parlé au « New York Times » d’une « relation étroite » avec la présidente de la Commission, qui s’est établie par des appels téléphoniques et des messages écrits. L’entreprise de Bourla a réalisé un chiffre d’affaires de 14,6 milliards de dollars rien qu’au troisième trimestre de l’année dernière dans le secteur des vaccins.
Cette sorte de diplomatie personnelle d’Ursula von der Leyen a culminé en avril 2021 avec la conclusion du plus grand contrat pharmaceutique de l’histoire de l’UE : la Communauté a commandé 1,8 milliard de doses de vaccins à Pfizer. Le volume estimé du contrat : 35 milliards d’euros, financés par l’argent des contribuables – le tout par téléphone portable, sans passer par le Parlement.

Le journaliste autrichien Alexander Fanta de Netzpolitik.org souhaite examiner de plus près ce méga-deal et a demandé à consulter les messages textuels. Fanta s’exprime ainsi :

« Ce qu’Ursula von der Leyen tape dans son téléphone n’est, franchement, pas une affaire privée. Nous avons besoin d’un contrôle public des petits messages de l’UE s’ils sont utilisés pour faire des affaires de vaccins qui se chiffrent en milliards. »

La Commission européenne rechigne : les données des téléphones portables ne seraient pas soumises aux règles de transparence de l’UE.

Ce n’est pas le premier scandale de marchés troubles. Déjà en 2019, lorsqu’elle était ministre de la Défense, son ministère, selon le Tagesspiegel, avait dépensé des centaines de millions d’euros pour des conseillers externes. Des entreprises externes auraient également obtenu directement, c’est-à-dire sans appel d’offres, des contrats de plusieurs millions pour l’armée allemande. Une violation claire de la loi. Là également, les contrats avaient été conclus par téléphone portable.

Une commission d’enquête a déclaré que les messages écrits constituaient des preuves. Peu de temps après, ils ont toutefois été complètement effacés. Ursula von der Leyen n’est au courant de rien. Des conséquences dans les deux deals ? Aucune jusqu’à présent.

Ce n’est pas une nouveauté dans sa biographie. D’autres scandales se sont également miraculeusement calmés après un bref tollé médiatique.

2) Des anomalités dans sa biographie

En 1987, Ursula von der Leyen a passé son examen d’État de médecin, suivi quatre ans plus tard par un doctorat. Celui-ci n’a toutefois pas passé l’examen du chasseur de plagiat Martin Heidingsfelder de Vroniplag. Le reproche : 27 pages de sa thèse de 62 pages au total correspondaient à des contenus sciemment copiés.

Heidingsfelder s’exprime ainsi :

« Elle était extrêmement paresseuse et a copié sans pitié. Pour cette raison, la faculté de médecine devrait lui retirer son titre. La science ne se rend pas service en protégeant des politiciens renommés ».

Le résultat ? 7 des 9 membres du sénat de la faculté de médecine de Hanovre ont voté contre le retrait de son titre en 2016.

Un deuxième reproche consiste en ce que von der Leyen aurait enjolivé son CV. Ainsi, selon ses propres dires, elle aurait été auditrice invitée à la prestigieuse université de Stanford à partir de 1993 et aurait même réalisé une analyse de marché pour le StanfordHealth Services Hospital Administration en 1995. Un atout important si l’on veut jouer dans la cour des grands.

L’université de Stanford n’était au courant de rien et s’est défendue contre l’utilisation abusive de son nom. Il n’existe pas de travail de Mme von der Leyen. Elle n’était pas inscrite à cette université et l’université ne lui avait pas délivré de certificats pour des séminaires.

Quelque temps plus tard, en 2015, l’université a soudainement retiré ses accusations contre Mme von der Leyen. Y avait-il des mécènes dans l’ombre qui destinaient von der Leyen à de plus hautes fonctions ? Un autre fait le laisse supposer.

3) Record du Bilderberg et bond en avant dans la carrière

Avant qu’Ursula von der Leyen ne devienne commissaire européenne, elle a officiellement participé à quatre conférences Bilderberg – un record absolu. La conférence Bilderberg est une réunion exclusive de dirigeants mondiaux. Depuis 1954, elle a lieu une fois par an à huis clos, afin de permettre des réunions à l’abri des regards, dans une totale opacité. Des participants jusqu’alors peu connus se retrouvent souvent à des postes élevés peu après avoir participé aux conférences Bilderberg.

Ursula von der Leyen a participé pour la première fois à la réunion Bilderberg en 2015, puis l’année suivante, en 2016, alors que les accusations de doctorat illégal et d’usurpation de nom de l’université de Stanford avaient soudainement cessé et n’étaient plus suivies par les médias. Mme Von der Leyen a participé à deux autres réunions en 2018 et 2019, juste avant sa nomination particulièrement inhabituelle en tant que commissaire européenne en 2019. Cela a donné lieu à une brève protestation dans les médias en raison d’un scandale solide : la « ZEIT » a écrit le 16 juillet 2019 :

« Ceux qui votaient aux élections européennes pensaient aux têtes de file […], mais certainement pas à la ministre allemande de la Défense de l’époque. La manière dont Ursula von der Leyen est passée en quelques jours de la position de chef du département allemand de la Défense à la fonction la plus élevée de l’UE est donc un scandale. »

L’UE a trompé ses citoyens.

On a l’impression que des cercles invisibles ont sorti Ursula von der Leyen du second plan pour la placer exactement là où ils voulaient la voir. Les scandales s’estompent et les accusateurs se taisent… Reste la question : qui sert-elle ? Pour le savoir, nous allons nous concentrer sur l’affaire de la vaccination Covid.

4) Interrelations

Point 1 : Liens familiaux

Le père d’Ursula von der Leyen, Ernst Albrecht, était déjà un homme politique de haut rang. Il avait ainsi occupé différents postes dans les organisations qui ont précédé l’UE – la Communauté du charbon et de l’acier et la Communauté européenne (CE) – et a ensuite été ministre-président de Basse-Saxe. On peut supposer que cela a favorisé la carrière fulgurante de Ursula von der Leyen et la bienveillance des médias.

Son mari Heiko von der Leyen est devenu en 2020 directeur médical du groupe biopharmaceutique américain Orgenesis Inc., une entreprise qui travaille sur des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base de cellules, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident.

Point 2 : Interdépendance avec les profiteurs des dons de vaccins pour l’Afrique

Fin 2021, le vaccin de Johnson & Johnson était critiqué dans le monde entier en raison de ses effets secondaires. Le marché du fabricant de vaccins s’effondre. C’est ce qu’avait titré le journal télévisé : Des experts américains déconseillent Johnson & Johnson. Le journal FrankfurterRundschau :

Vaccination Covid avec Johnson & Johnson : des effets secondaires graves responsables de plusieurs décès.

Pas de problème pour la Commission européenne. Presque simultanément, la soi-disant « Team Europe » a annoncé le don de 100 millions de doses du vaccin discrédité à l’Afrique.

Ursula von der Leyen :

« Team Europe fait avancer les efforts de solidarité mondiale contre le COVID-19. Ce lot de près de 100 millions de doses de Johnson & Johnson, livré via COVAX [COVAX se concentre sur l’accès mondial aux vaccins], fait partie de notre engagement à distribuer au moins 500 millions de doses de vaccins aux pays les plus vulnérables dans les mois à venir. »

Là encore, ce n’est que le début. D’autres engagements ont été pris par un certain nombre de chefs de gouvernement pour faire don de plus de 1,3 milliard de doses de vaccins.

Mais qui est exactement « Team Europe »? « Team Europe » s’engage prétendument pour un « accès équitable aux vaccins » des pays à faibles revenus. Ses soutiens : la Commission européenne, sous la houlette de la commissaire européenne Ursula von der Leyen, le fabricant de vaccins Johnson & Johnson et l’alliance pour la vaccination GAVI [en abrégé Alliance pour la vaccination].

La GAVI a été fondée en 2000 par la plateforme d’entreprises FEM [Forum Economique Mondial] et est sponsorisée par Bill Gates. Le Dr Seth Berkley, membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI, se réjouit :

« Dès le début, nous avons travaillé main dans la main avec la présidente von der Leyen et son équipe, ainsi qu’avec la Banque européenne d’investissement et les États membres de l’UE, pour faire de COVAX un succès. »

COVAX a été créée en 2020 par l’OMS, la Commission européenne et la France, et vise à garantir l’accès universel aux vaccins. COVAX est étroitement liée aux fabricants de vaccins et à la Banque mondiale. Au cœur de l’action se trouve le Dr Seth Berkley – un proche allié de Mme von der Leyen. Selon le magazine Time de 2009, celui-ci fait partie des « 100 personnes les plus influentes du monde ». Par le passé, il a occupé, entre autres, de nombreux postes au sein de la Fondation Rockefeller.

Point 3 : Liens avec les « chuchoteurs politiques ».

Une analyse de réseau réalisée par un spécialiste informatique resté anonyme montre en détail l’énorme influence de la Fondation Bill & Melinda Gates et d’autres acteurs puissants. Une personne qui se distingue particulièrement est Peter Piot . Il exerce son influence par le biais de nombreux postes clés à des endroits décisifs tels que l’Institut Robert Koch, la Leopoldina [Académie nationale des sciences en Allemagne] et la Commission européenne, pour ne citer que quelques exemples. Piot est le conseiller personnel d’Ursula von der Leyen en ce qui concerne les événements Covid. Il occupe un poste de direction au sein de la fondation milliardaire Bill et Melinda Gates. Dans le cadre de son activité principale, Piot est directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine. Celle-ci a reçu 185 millions de dollars de dons de la Fondation Bill et Melinda Gates au cours des dix dernières années. Peter Piot siège également, entre autres, à la fondation de l’entreprise pharmaceutique Novartis.

Point 4 : Liens avec les tireurs de ficelles mondialistes

Ursula von der Leyen est le premier point de contact en Europe pour le puissant tireur de ficelles David M. Rubenstein. Rubenstein est un grand investisseur dont la fortune se chiffre en milliards et qui est membre de la Commission trilatérale [réunion des élites d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie de l’Est], l’un des think tanks les plus puissants du monde. Celui-ci, tout comme le FEM, a été fondé par de grands banquiers comme Rothschild et Rockefeller. Rubenstein est étroitement lié à des personnalités économiques et politiques de haut rang dans le monde. Il est également à la tête des réunions du Council on Foreign Relations. Le Council est l’un des plus importants think tanks américains, fondé par des banquiers comme les Warburg.

D’autres liens avec l’élite mondialiste apparaîtront en novembre 2021 lors de la célébration des 60 ans de l’Atlantic Council, un autre groupe de réflexion très influent. Alors que dans de nombreux pays, on a attisé la panique des Covid et que le port du masque était obligatoire, l’Atlantic Council a fait la fête en grande pompe et s’est couvert de prix – sans masque ni distance. Les plus grands honneurs ont été décernés à Ursula von der Leyen ainsi qu’aux directeurs de Biontech et de Pfizer. L’Atlantic Council est une autre confédération mondialiste de super-riches. Bien qu’aucune de ces personnes n’ait été directement élue par le peuple, ils prétendent s’engager pour la démocratie. Les sponsors de cet événement sont One American Bank, Goldmann Sachs, Bank of America, et d’autres…

Que veulent exactement ces élites ?

5) Objectifs des réseaux mondialistes

Ursula Von der Leyen est étroitement liée à Klaus Schwab, membre du groupe Bilderberg et chef de file du Forum Economique Mondial [FEM]. Le FEM est une plate-forme de dirigeants d’entreprises et de stratèges mondiaux, fondée par l’élite financière comme la Dynastie Rothschild et Rockefeller. Le FEM souhaite mettre en place une société technocratique. Ursula von der Leyen se déclare favorable à ce que l’on appelle le Great Reset, que le FEM fait avancer rapidement en profitant de la crise Covid.

Le FEM a déclaré les objectifs suivants d’ici 2030 :

  • la création d’un gouvernement mondial unique
  • une monnaie mondiale contrôlée, sans argent liquide
  • la fin de toute souveraineté nationale
  • la fin de toute propriété privée
  • l’abolition des transports privés
  • un système mondial de crédit social
  • dépopulation, contrôle de la croissance démographique
  • identité numérique de chaque être humain (ID 2020)
  • une souveraineté absolue des médias par la censure des médias indépendants
  • la création d’un nouvel homme par la fusion de l’homme et de l’IA [Intelligence Artificielle], c’est-à-dire le transhumanisme
  • instauration d’une technocratie
  • le « Green Deal » pour imposer une économie planifiée centralisée, semblable à la gestion étatique de tous les domaines sous le socialisme ; le changement climatique ne sert que de prétexte.

Veuillez consulter les émissions très instructives qui s’affichent à l’écran. Les choses mentionnées y sont bien documentées et expliquées de manière compréhensible. Vous trouverez également les liens à ce sujet sous l’émission.

www.kla.tv/18200 Une initiative de l’élite financière
www.kla.tv/19023 L’Agenda 2030, un étiquetage frauduleux
www.kla.tv/18851 (pas en français) Klaus Schwab : A propos du Great Reset dans la dictature totale mondiale
www.kla.tv/20436 « Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

Dans le générique de fin, vous trouverez en outre des sources originales, par exemple du FEM, qui étayent ces déclarations insaisissables. N’hésitez pas à télécharger les textes des émissions et à vérifier vous-même les sources indiquées.

6) Conclusion

Les faits mentionnés ne sont que la pointe de l’iceberg. Il est évident qu’il existe des réseaux créés par les plus riches et les plus puissants et qu’ils sont étroitement liés à des personnages clés comme Ursula von der Leyen. Ces organisations et ces liens doivent être révélés au grand public. C’est la seule façon d’éveiller une nouvelle conscience chez les gens et de mettre un terme à la réalisation des fantasmes de toute-puissance de quelques-uns. Si vous êtes d’avis que ces liens doivent être connus de tous, diffusez cette émission à un grand nombre de vos connaissances par e-mail, via WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Nous afficherons le lien vers cette émission ! Merci de votre aide !

de ag./str.

Sources / Liens :

Rücktrittsforderung https://transition-news.org/eu-parlamentarier-fordern-sofortigen-rucktritt-von-
kommissionsprasidentin https://t.me/DieWahrheitundnurdieWahrheit/59571
https://philosophia-perennis.com/2022/02/20/leyen-pfizer-skandal-eu-abgeordnete-fordern-sofortigen-ruecktritt-von-der-leyens/
https://www.youtube.com/watch?v=qhe20QRG_Rw
Intransparente Deals https://reitschuster.de/post/ursula-von-der-leyen-immer-aerger-mit-den-handydaten/
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-um-von-der-leyen-handydaten-
geloescht-obwohl-sie-als-beweise-dienen-sollten/25431484.html https://www.tagesschau.de/inland/vonderleyen-handydaten-101.html
https://www.tagesspiegel.de/politik/berateraffaere-der-bundeswehr-wuetende-
offiziere-millionen-fuer-mckinsey-und-ein-unschuldslamm/25540248.html https://www.welt.de/politik/deutschland/plus183268400/Ursula-von-der-Leyen-Eine-
Ministerin-verstrickt-im-Netzwerk-der-Berater.html Auffälligkeiten in der Biografie https://vroniplag.fandom.com/de/wiki/Ugv
https://portal.dnb.de/opac/showFullRecord?currentResultId=%22120285169%22%26
any¤tPosition=0 https://www.zeit.de/studium/hochschule/2015-10/ursula-von-der-leyen-stanford-lebenslauf-betrugsverdacht?sort=desc&page=3
https://www.sueddeutsche.de/karriere/hochschule-als-marke-meine-zeit-in-stanford-1.2688843
https://taz.de/Kommentar-Von-der-Leyens-Doktortitel/!5285935/
https://www.tagesspiegel.de/wissen/neue-vorwuerfe-gegen-verteidigungsministerin-
us-uni-stanford-wirft-von-der-leyen-missbrauch-des-namens-vor/12435316.html https://www.tagesspiegel.de/wissen/lebenslauf-der-verteidigungsministerin-stanford-zieht-vorwurf-gegen-von-der-leyen-zurueck/12438318.html
https://www.t-online.de/nachrichten/panorama/menschen-schicksale/id_75743922/
von-der-leyen-am-pranger-us-elite-uni-spricht-von-namensmissbrauch.html https://www.sueddeutsche.de/bildung/doktorarbeit-von-ministerin-von-der-leyen-
sie-war-extrem-faul-1.2668077 https://www.sueddeutsche.de/politik/plagiatsvorwuerfe-gegen-von-der-leyen-es-ist-
ernst-1.2666546 Bilderberger-Rekord und Karrieresprung https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_von_Teilnehmern_an_Bilderberg-Konferenzen
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
https://www.sueddeutsche.de/politik/von-der-leyen-eu-kritik-kommission-1.4509421
https://www.zeit.de/politik/ausland/2019-07/ursula-von-der-leyen-eu-kommissionspraesidentin-wahlsieg?utm_referrer=https%3A%2F%2Fwww.startpage.com%2F
Verflechtungen Familie Vater https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_Albrecht
Ehemann https://de.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen
https://orgenesis.com/team
https://d-nb.info/972645632/04
www.reuters.com/article/brief-orgenesis-announces-cell-based-vac-idUSFWN2CV0M4
Impfstoffprofiteure Afrika https://www.gavi.org/news/media-room/team-europe-vaccine-sharing-almost-100-
million-j-j-doses-be-donated-end-2021-first https://www.gavi.org/news/media-room/world-leaders-unite-commit-global-equitable-access-covid-19-vaccines
Seth Berkley https://www.weforum.org/agenda/authors/seth-berkley
Peter Piot https://transition-news.org/wie-bill-gates-die-gesundheitsbehorden-gekapert-hat
https://www.corodok.de/wie-coronafolgen-leugnern/
https://www.gatesfoundation.org/ideas/media-center/press-releases/2009/01/dr-peter-piot-joins-foundation-as-a-senior-fellow
Thomas Röper: Inside Corona J.K. Fischer Verlag S. 55-64 https://ec.europa.eu/transparency/expert-groups-register/screen/expert-groups/consult?lang=en&groupId=3719&fromMeetings=true&meetingId=20410
https://ec.europa.eu/research-and-innovation/en/events/upcoming-events/research-innovation-days/speakers/peter-piot
https://cepi.net/about/whoweare/
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/
peter-piot/ David Rubenstein https://de.wikipedia.org/wiki/David_Rubenstein
https://de.wikipedia.org/wiki/Carlyle_Group
https://www.cfr.org/event/conversation-president-ursula-von-der-leyen-european-commission
Preisverleihung Atlantic Council https://report24.news/bourla-sahin-von-der-leyen-pandemie-hintermaenner-ueberhaeufen-sich-mit-preisen/
Trilaterale Kommission, Atlantic Council, Council on Foreign Relation www.kla.tv/11585:
Fassadendemokratie: Vortrag von Hermann Ploppa www.kla.tv/19404:
Council on Foreign Relation – Geheime Weltregierung? Inhalt des Great Reset und Klaus Schwab www.kla.tv/18007:
The Great Reset – ein Schachzug der Finanzelite www.kla.tv/18739:
Etikettenschwindel Agenda 2030 www.kla.tv/18851:
Klaus Schwab: Über den Great Reset in die globale Total- Diktatur https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants#Germany
www.kla.tv/20291:
„Zwangsherrschaft“ – Das wahre Gesicht der Neuen Weltordnung www3.weforum.org/docs/WEF_The_Great_Reset_AM21_German.pdfhttps://dieunbestechlichen.com/2020/12/dystopischer-great-reset-nichts-besitzen-und-gluecklich-sein-mensch-sein-im-jahr-2030-video/ www.tagesschau.de/wirtschaft/das-wef-und-der-grosse-neustart-corona-krise-101.html
www.weforum.org/great-reset




LE MONDE SE RÉVOLTE : nous sommes des milliards contre quelques milliers ! courage !

Par Nicole Delépine

Manifestations dans le monde entier contre les mesures vaccinales et la fausse pandémie

Les chefs d’État partisans des sanctions contre la Russie tombent les uns après les autres, dont le symbolique et important banquier italien Mario Draghi.

  • ➡️27,06 Kiril Petkov Bulgarie
  • ➡️ 01.07 Naftali Bennett Israël
  • ➡️ 07.07 Boris Johnson Royaume-Uni
  • ➡️ 08.07 Kaya Kallas Estonie
  • ➡️ 09.07 R Wikremesinge SriLanka
  • ➡️ 14.07 Mario Draghi Italie

Dans la semaine du 11 au 17 juillet : Manifestations au Portugal, Chili, Canada, Australie, Autriche, France, Hollande, Allemagne, etc., sans compter les énormes manifestations italiennes qui ont abouti au départ du banquier non élu Mario Draghi ce 21 juillet à l’occasion du scandale Uberfiles après tant d’autres.

Informez vos amis, vos voisins, car ces très nombreuses manifestations pacifistes pour la levée de toutes les mesures sanitaires et des obligations vaccinales est occultée par les médias mainstream au service des milliardaires qui les possèdent.

Une énorme clameur monte du monde entier et singulièrement d’Allemagne dont les enfants et petits-enfants n’ont pas oublié le drame du nazisme et ne veulent absolument pas le revivre. Ils ont culpabilisé pendant des décennies alors qu’ils n’y étaient pour rien et les mondialistes voudraient les replonger dans l’horreur… Non merci.

« Remarquez surtout les raz de marée allemands ! »

Un ami belge médecin et historien de cette période m’envoie cette vidéo et ses réflexions réconfortantes à méditer.

« Dès le début de cette Troisième Guerre mondiale qui ne dit pas son nom, j’ai toujours eu l’intime conviction que l’Allemagne avait rendez-vous avec “son” Histoire !

Notez les slogans : la vérité, la liberté, mais aussi et surtout “Aus auf dem NATO” ! SORTIR DE L’OTAN.

C’est une vérité empirique depuis la (ré-) apparition dans le monde de “Pfizer”, petite-fille (…) de IG-Farben des Von der Leyen, Klaus Schwab et autres monstres apparentés : l’Allemagne nazie n’a jamais été totalement épurée en 1945. Il n’y a pas que l’élite militaro-industrielle (et pharmaceutique) nazie, sauvée par les Américains et les Russes qui a continué à prospérer : souvenez-vous des certificats dits “Persil” (qui lave plus blanc que blanc) de l’époque qui ont permis à des millions d’Allemands d’être absous de toute complicité avec le régime hitlérien à partir d’une déclaration sur l’honneur ».

Le plus rassurant et intéressant de son commentaire est la démonstration qu’à travers ces manifestations dans de très nombreuses villes et avec beaucoup de participants, les Allemands refusent de rentrer une nouvelle fois dans cette horreur du nazisme. Le réarmement prévu de l’Allemagne, qui d’après ses dirigeants actuels serait la plus importante de l’UE ne convient pas à la population qui changera bientôt ses puissants qui la trahissent. Comme les Italiens ont viré Draghi le banquier de la BCE et de Goldman Sachs.

« Les Allemands que nous voyons manifester passivement dans les rues aujourd’hui sont porteurs d’un message véritablement rédempteur. Un quitus à une période terrible de leur histoire en quelque sorte. Que leurs aïeux reposent en paix. C’est également rassurant de voir une telle masse humaine s’ériger en rempart contre les velléités belliqueuses de leurs dirigeants (?) souhaitant, par le biais de l’OTAN, remettre le couvert gravé aux initiales néonazies ».

B.

De nombreux articles témoignent de l’influence des anciens nazis dans l’Allemagne moderne et surtout dans la création de l’UE.(([1] Les racines de l’Union Européenne – AgoraVox le média citoyen))

« Des faits historiques vont également dans le sens du rapport. John J. McCloy : président de la Banque mondiale, de la Chase Manhattan Bank, président de la fondation Ford, administrateur de la fondation Rockfeller, président du Council on Foreign Relations, conseiller sous Kennedy, Johnson, Nixon, Carter, Reagan, et surtout Haut-commissaire de la zone occupée américaine de 1949 à 1952. En occupant cette fonction, il mena une campagne de pardon incluant quasiment tous les noms des industriels cités dans le rapport : Friedrich Flick, Alfried Krupp, IG Farben, … Juste avant la création de la CECA. »

Quand les nazis construisirent l’Union Européenne

« Dès 1944 des industriels nazis qui préparent l’après-guerre, qui évoquent le retour du Reich, et qui passent par des sociétés-écrans, et des banques suisses pour fuiter des capitaux, et qui blanchiront leur image après-guerre. Le futur empire allemand ne sera plus militaire, mais économique aux mains des industriels. »

« Il n’y eut pas seulement des ingénieurs, et des techniciens nazis qui continuèrent à sévir. Des politiciens, des industriels, et des économistes en firent tout autant. Et qu’il faut rester critique vis-à-vis de politiciens qui aujourd’hui veulent nous imposer un fédéralisme européen en nous menaçant avec la dette qu’ils ont créée. Je terminerai cet article par la citation du Dr Michael Pinto-Duschinsky, un conseiller de l’ancien parti ouvrier juif :

« Pour de nombreuses personnalités du monde industriel proche du régime nazi, l’Europe est devenue une sorte de couverture pour la poursuite des intérêts nationaux allemands après la défaite d’Hitler… La continuité entre l’économie de l’Allemagne et les économies européennes de l’après-guerre est frappante. Certaines des grandes figures de l’économie nazie sont devenues les principales bâtisseuses de l’Union européenne. »

Souvenons-nous de qui est Schwab le fondateur du forum économique et mondial.(([2] Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne, mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui espère infecter nos corps avec de la « Smart Dust » et dans laquelle la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux. Et lui et ses complices instrumentalisent la crise Covid-19 pour contourner la démocratie, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » ou le « Great Reset ».
D’origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d’un collaborateur nazi qui a utilisé le travail d’esclaves et aidé les efforts nazis pour obtenir la première bombe atomique — LES FAITS — Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant.))

On comprend pourquoi les jeunes et moins jeunes Allemands nés largement après la fin de la Deuxième Guerre mondiale veulent absolument sortir de ce système et de cet héritage morbide. La remilitarisation de l’Allemagne prévue par l’UE doit leur sembler dangereuse et nauséabonde.

MERCI À EUX DE LEURS MANIFESTATIONS NOMBREUSES ET RÉPÉTÉES

Puissent leurs échos arriver aux oreilles de nos journalistes.



Prenez le temps de visualiser ces manifestations d’une seule semaine dans le monde contre la folie, le cinéma et le film d’Horreur Covid.(([3] STOPPEZ LES INJECTIONS INUTILES ET DANGEREUSES – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Et aussi les manifestations géantes des dockers à Hambourg dont nos médias ne nous parlent pas non plus

ProRital
@Vatixan14
17 juil.

« Stopper le monstre de l’inflation » : manifestation géante des dockers à Hambourg en Allemagne. Depuis hier, des milliers de dockers sont en grève pour réclamer de meilleurs salaires et une compensation de l’inflation. De graves affrontements ont eu lieu avec la police..

Libertatem
@pasdhypocrisie
14 juil.

Impressionnant convoi d’agriculteurs allemands vers la frontière entre l’Allemagne et les Pays-Bas pour soutenir la manifestation des agriculteurs néerlandais.

Frex
15 juil.

#BREAKING: Appel video à une manifestation pour les agriculteurs néerlandais. Prévue le 23 juillet, elle demande le soutien des agriculteurs, des pêcheurs, des camionneurs en Angleterre, aux US, en France, en Italie, en Allemagne, en Australie, au Canada et partout ailleurs.

À SUIVRE …





Réponse d’Alexandre Juving-Brunet aux financiers de salon

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]




Un directeur de CNN surpris par une caméra cachée en train d’admettre que le changement climatique est la « prochaine pandémie » pour contrôler les masses

[Source : anguillesousroche.com]

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train d’admettre que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la « prochaine pandémie » parce que, selon lui, « la peur fait vendre ».

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN, le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses. Selon le directeur, les médias ont besoin d’une « histoire » avec « longévité ».

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à instiller la « peur ».

Lorsque le journaliste sous couverture a demandé à Chester de définir la propagande, il a répondu : 

« Par exemple, vous pouvez façonner la perception d’un peuple entier sur n’importe quoi, selon la façon dont vous le faites. Il suffit de forcer une histoire pour aider votre plateforme, vous savez ? »

« Une histoire de type pandémie que nous allons battre à mort, mais qui a une longévité, vous voyez ce que je veux dire ? Comme si c’était la fin définitive de la pandémie. Elle va se réduire à un point où elle ne sera plus un problème. Le changement climatique prendra des années, donc [CNN] pourra en faire une bonne promotion. »

[Voir aussi :
Une journaliste de NBC se lamente : « Les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas »
Comment les médias sont achetés et corrompus
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Médias français : que devient l’objectivité ?
Les médias au service de la dictature
La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021
La confiance dans les médias « mainstream » est en chute libre
Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public
et le dossier Climat]




La qualité comme quotidien




Accélération de l’Histoire et défaite de l’Occident

[Source : vududroit.com]

Par RÉGIS DE CASTELNAU 

L’intervention russe en Ukraine du 24 février a constitué une grande surprise en Occident. Y compris chez ceux qui, comme l’auteur de ces lignes, considéraient que la responsabilité de l’OTAN et de l’Union européenne était lourdement engagée. Cette surprise est finalement le symptôme de ce sentiment de supériorité occidentale si présent dans les têtes, y compris chez ceux qui tentent de ne pas trop s’éloigner du réel et assistent, consternés, au basculement des élites dirigeantes dans un délire inepte. À base de refus d’évidences, de décisions absurdes, de propagande imbécile, de racisme sommaire, de pulsions suicidaires, et pour tout dire d’aveuglement assez terrifiant.

Nous avions dit dans ces colonnes qu’il était possible que l’intervention militaire du 24 février 2022 enclenche un processus pouvant mettre fin à la domination multiséculaire de l’Occident sur le monde. Les événements qui se déroulent depuis quatre mois semblent confirmer cette hypothèse, et en tout cas c’est manifestement la voie que la Russie et les pays « du Sud » ont décidé d’emprunter.

L’Histoire change par bonds, et c’est irréversible

L’aspect militaire de la guerre en Ukraine, sans être secondaire, apparaît comme un élément parmi d’autres de cette soudaine accélération de l’Histoire. Nous assistons en parallèle de la conduite méthodique par la Russie de son « opération spéciale », à la recomposition géostratégique de la planète où l’Occident, isolé, affronte le reste du monde. Ce qui est impressionnant, c’est que l’enjeu de cet affrontement est très clair. Nous avons d’une part une puissance, les États-Unis, qui se considère exceptionnelle et destinée à conduire le monde en organisant sa globalisation comme forme moderne de sa domination. Son système économique est celui du néolibéralisme financier assis sur sa monnaie, son système politique (celui de la démocratie représentative abâtardie en oligarchie, voire aujourd’hui ploutocratie), son outil juridique (le fameux « ordre international fondé sur les règles » qu’il est le seul à connaître et produit en fonction de ses besoins), et son moyen principal, la violence militaire. En face, les pays qui représentent l’énorme majorité de la population mondiale, ne veulent plus de cette hégémonie, aspirent à une organisation multipolaire d’États-nations territoriaux, régulée par le droit international issu du dispositif juridique mis en place à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Et dont les économies rejettent le néolibéralisme au profit de schémas où l’État garde sa place.

Les deux systèmes sont incompatibles. Arrêtons-nous quelques instants sur une anecdote qui renvoie à cette différence fondamentale et à l’incompatibilité qui en découle. Deux événements se sont télescopés au début de l’année 2021. Dans le tumulte qui a suivi le scrutin présidentiel américain de novembre précédent, Donald Trump a mis en cause la légitimité démocratique de l’élection en invoquant des fraudes. Son compte Twitter rassemblant près de 90 millions « followers » a été, d’autorité, supprimé par Jack Dorsey, le milliardaire propriétaire du réseau et partisan de Joe Biden. Au même moment, Jack Ma, milliardaire chinois propriétaire du site de vente en ligne Alibaba s’est livré publiquement à une critique virulente du régime chinois. Il a été immédiatement « exfiltré » du monde des affaires, et prié, s’il souhaitait conserver une partie de son immense fortune, de bien vouloir se taire. Par conséquent, en Amérique, ce sont les milliardaires qui ont le pouvoir de retirer la parole au Président en exercice, en Chine, c’est le contraire… Cette anecdote montre la différence entre deux systèmes, avec deux protagonistes identiques, président et oligarque. Il ne s’agit pas d’un jugement moral ou qualitatif, mais simplement du constat d’une différence irréductible.

Il est manifeste aujourd’hui que la Russie, soutenue par la Chine, a décidé avec sa guerre en Ukraine d’initier le processus destiné à mettre fin à l’hégémonie américaine sur le monde. Le social-démocrate britannique Tony Blair, complice des crimes de guerre américains en Irak et quintessence de ce que l’Occident produit de plus cynique et corrompu, reconnaissait récemment : « Nous arrivons à la fin de la domination politique et économique de l’Occident. Le monde va être au moins bipolaire et peut-être multipolaire ». Eh oui…

Il est parfois possible d’importer des concepts de sciences dures dans les sciences dites molles, en l’occurrence les sciences humaines. Pour appréhender la révolution qui vient de commencer, et en particulier cette accélération de l’Histoire, on peut s’inspirer du concept introduit par Stephen Jay Gould dans la théorie de l’Évolution, celui « des équilibres ponctués ». Par opposition à une vision gradualiste lente, le savant américain considérait que l’Évolution progressait par bonds succédant à de longues périodes de stabilité. C’est un peu la même chose en Histoire, comme le démontre par exemple la Révolution française qui commença avec la première réunion des États généraux le 5 mai 1789. Sept jours plus tard, les institutions d’un royaume quasi millénaire étaient à terre et un bouleversement fulgurant allait secouer toute l’Europe.

L’invasion du 24 février en Ukraine a bien évidemment servi de catalyseur à la mise en mouvement d’éléments préexistants qui, finalement, ne demandaient qu’à bouger. L’Occident domine le monde depuis un demi-millénaire, il a conduit la deuxième mondialisation du XVe siècle avec la conquête de la planète, la troisième avec la Révolution industrielle et impériale du XIXe siècle, et la contemporaine comme la forme moderne de sa domination. Comme le dit Tony Blair — et pas seulement lui — il est possible et peut-être probable que cette phase se termine.

Juste un autre petit détour par les sciences dures avec le deuxième principe de la thermodynamique qui établit l’irréversibilité des phénomènes physiques. Il en est de même en Histoire, et il n’y aura pas de retour à la situation antérieure au 24 février 2022.

Le problème est que cette accélération et le principe d’irréversibilité sont contre-intuitifs, car pour les appréhender, il faut accepter la fin du monde ancien, renoncer à ses convictions rassurantes, et gérer l’anxiété de l’imprévisibilité de ce qui vient. Parce qu’il faut être clair, quiconque prétend savoir quel sera l’état de notre maison humaine dans trente ans est un charlatan. Y compris que parmi les hypothèses qui ont actuellement cours, celle de la destruction nucléaire n’est pas la moins probable. Mais on sait en tout cas que l’on ne reviendra pas au 23 février 2022.

Examinons trois domaines où l’impact de cette révolution et son étonnante rapidité se fait sentir. C’est tout d’abord la brutale inversion des rapports de force mondiaux, quand l’Occident bardé de son arrogance et de sa conviction d’incarner la « communauté internationale » ne mesure pas que c’est lui-même qui est désormais isolé. Il y a ensuite la « panique cognitive » qui a saisi les élites occidentales, panique qui se manifeste par un refus furieux du réel. Et enfin les conséquences sociales et politiques que ne vont pas manquer de provoquer les décisions économiques délirantes mises en œuvre pour provoquer « l’effondrement de l’économie russe », selon l’expression de Bruno Le Maire, l’incapable puéril qui sert malheureusement de ministre de l’Économie à la France.

Isolement de l’Occident

La réaction à l’invasion russe a été immédiate surtout dans l’Union européenne qui, sous l’égide d’Ursula von der Leyen s’attribuant des compétences qui n’étaient pas les siennes, a adopté un train complet de sanctions de toutes natures. Première erreur, puisqu’aucune modulation postérieure n’était possible qui n’apparaisse pas comme un recul, et qu’à l’évidence cette réaction ne pouvait que rebuter, même les pays du Sud favorables à l’Occident. La condamnation de l’invasion a été adoptée à l’ONU, mais sur la base du droit international, précisément celui que les États-Unis ne veulent plus appliquer au profit de leur conception de « l’ordre international selon les règles ». Concernant les sanctions, la grande majorité des pays a regardé ailleurs. Les dirigeants occidentaux ont pourtant multiplié les déplacements pour les amener à obéir. Ils se sont fait claquer la porte au nez plus ou moins poliment. Dernier exemple pathétique avec le désastre Biden en Arabie Saoudite. On peut aussi citer la liste absolument ridicule des 40 pays (sur 195) qui se sont prononcés pour des « poursuites pénales contre la Russie », où figurent triomphalement les principautés de Monaco, Andorre et San Marin. On imagine la terreur de Vladimir Poutine.

Le problème, c’est que le refus massif de la part de pays représentant près de 90 % de la population mondiale d’appliquer les sanctions se combine avec des réticences et des comportements à la carte de la part des pays occidentaux. Comme avec totale duplicité les États-Unis qui les ont levées sur les engrais russes considérés comme indispensables, ou le pétrole dont les importations ont été massivement augmentées…

Mais surtout, beaucoup de grands pays ont parfaitement vu l’ouverture que fournissait l’initiative russe. Et s’y sont engouffrés, comme l’a montré le parallèle — consternant pour les Occidentaux — des réunions du G7 et des BRICS. L’organisation qui rassemble la Russie, la Chine, l’Inde le Brésil et l’Afrique du Sud représente près de 3,5 milliards d’habitants, contre 750 millions pour les pays du G7. Dont les dirigeants ridicules (et pour certains en sursis) se sont comportés en bras de chemise comme des galopins de cour d’école devant les caméras. Pendant que ceux des BRICS manifestaient ostensiblement leur solidarité avec Vladimir Poutine. Avant de recevoir les candidatures empressées de plusieurs autres grands pays. Les médias du système français se sont par ailleurs bien gardés de faire écho à la catastrophe politique du « Sommet des Amériques » organisé en Californie par Biden. Sommet largement boycotté par l’Amérique latine et en particulier par le Mexique, grand voisin des USA. Que dire également du G20 organisé en Indonésie où les Occidentaux se sont fait en général sévèrement rembarrer, comme Anthony Blinken le secrétaire d’État américain par son homologue chinois ou le pitoyable Josep Borrell qui représentait l’UE ? On retiendra de ce dernier une extraordinaire réflexion : « Certains diplomates du G20 sont plus préoccupés par les conséquences de la guerre pour leur pays que par le fait de s’en prendre au coupable présumé. » Vous vous rendez compte, ces gens pensent à leur intérêt national au lieu de défendre le nôtre !

Il y a également quelque chose d’étrange c’est le silence en Occident sur la supériorité militaire stratégique de la Russie. Le contexte dans lequel se déroule « l’opération spéciale » est quand même celui où la Russie a fait la démonstration de sa maîtrise des missiles hypersoniques qui avec d’autres équipements lui ont conféré une supériorité nucléaire stratégique. Pendant que les États-Unis ont privilégié « la guerre contre le terrorisme » après le 11 septembre, et accepté de passer sous Les Fourches caudines d’un complexe militaro-industriel corrompu jusqu’à l’os. Il y a désormais et pour moi une dizaine d’années un déséquilibre stratégique entre les États-Unis et la Russie. Au profit de celle-ci…

La liste de tous ces exemples qui donnent une idée de la rapidité d’un monde qui change s’allonge tous les jours. On citera celui-là pour terminer qui raconte en creux le processus de la chute du dollar. D’ici novembre, les cinq plus grandes économies d’Asie du Sud-Est (les Philippines, la Malaisie, l’Indonésie, Singapour et la Thaïlande) signeront un accord sur l’intégration de leurs systèmes de paiement mobile. Cela rendra les transferts transfrontaliers beaucoup plus efficaces, et ce sans utiliser le dollar.

Panique cognitive

Plutôt que de psychiatriser Vladimir Poutine et de s’inventer un monde qui n’existe pas, il vaudrait mieux écouter ce qu’il dit et essayer de comprendre le basculement qui vient de s’opérer. Le problème est que les élites au pouvoir dans le bloc occidental sont devenues incapables d’appréhender le réel, et en sont réduites à tanguer sur un sol qui se dérobe sous leurs pieds. Parler du caractère suicidaire de la stratégie de l’UE vis-à-vis de la Russie est devenu un lieu commun banal. Nous sommes complètement à sa merci, elle qui pourrait tout à fait couper nos approvisionnements énergétiques au seuil de l’hiver. Provoquant instantanément l’effondrement économique de l’Europe. Sans parler bien sûr de l’arme alimentaire, et des autres matières premières indispensables. La seule chose qui nous en protégerait serait justement la construction de ce nouvel ordre international multipolaire dont la Russie est un des acteurs principaux. Ordre qu’elle entend préserver en ménageant ses grands partenaires. Jusqu’à présent, elle a respecté ses engagements internationaux, y compris vis-à-vis d’un Occident qui lui a pourtant déclaré la guerre. Pas pour des raisons morales évidemment, mais parce que c’est son intérêt. Et sûrement pas non plus par bienveillance vis-à-vis de l’Occident dont elle se moque désormais et dont elle sait que la rupture avec lui est irréversible.

Quant aux élites au pouvoir, il ne s’agit pas seulement de ces très médiocres dirigeants de rencontre qui sont à la tête des États, mais également de l’ensemble du dispositif institutionnel. Et en particulier l’alliance frauduleuse entre l’oligarchie et le système médiatique à base de journalistes dévoyés, d’experts stipendiés, et de gradés incompétents. On ne reviendra pas sur l’ineptie des « narratifs », en particulier militaires, qui nous ont été servis depuis cinq mois, si ce n’est pour préciser qu’il s’agit autant de propagande que d’auto-intoxication. Dans ce domaine, la France a été particulièrement lamentable, les médias se contentant de reproduire servilement et exclusivement les discours ukrainiens, même les plus grotesques. Mais, ce qui est tout à fait étonnant c’est le spectacle de cette presse-système que l’on sent de loin en loin fléchir et commencer, face à l’évidence du réel, à nuancer sa présentation. Pour se reprendre très rapidement et revenir au bout de quelques jours à un descriptif dont la principale, sinon essentielle motivation n’est pas de dire la vérité, ni même de poursuivre sa propagande, mais finalement de se rassurer. Malheureusement, la défaite de l’Occident commence à prendre tournure, et pas seulement sur le terrain militaire en Ukraine. C’est la raison pour laquelle le terme de « panique cognitive », semble s’imposer pour caractériser leur attitude. Et qui est le fruit de la difficulté à appréhender un changement majeur du monde qui leur est insupportable.

J’invite, sans qu’il faille y voir le moindre point Godwin, à la lecture du journal de Joseph Goebbels et en particulier la partie qui concerne la dernière année du IIIe Reich. Comme la majorité du peuple allemand, alors qu’il est un professionnel de la propagande et qu’il est aux premières loges pour accéder au réel, il refuse celui-ci de manière pathétique et suicidaire. Jusqu’à la catastrophe finale.

Veillée d’armes

La France a connu un épisode politique bizarre, avec une réélection d’Emmanuel Macron assez confortable, suivie d’une défaite de la Macronie aux législatives qui a pour effet de la ligoter. Ses marges de manœuvre sont très faibles, et la façon qu’a Emmanuel Macron de gouverner, si tant est que l’on puisse qualifier ainsi sa méthode consistant exclusivement à se mettre en scène, le conduit directement à l’impuissance. Il y a bien sûr la situation économique, due notamment à la crise du Covid, à la récession et à l’inflation, que l’effet boomerang des stupides sanctions anti-russes va considérablement aggraver. Une partie des versements Covid par la BCE est subordonnée à la mise en œuvre d’un train de réformes impopulaires comme celle des retraites ou la finalisation de la privatisation/destruction des services publics. La combinaison des crises économiques, politiques et financières peut, de ce point de vue, confronter Emmanuel Macron à une situation inextricable. Et cet été caniculaire commence à ressembler à une veillée d’armes politique et sociale.

Face à ces perspectives dangereuses, quand l’hypothèse d’un conflit nucléaire ne peut pas être écartée de façon désinvolte, répétons encore une fois, que plutôt que de traiter Vladimir Poutine de fou ou de prétendre qu’il développe une collection de cancers, il aurait mieux valu l’écouter. Par exemple ce qu’il dit à propos des « élites » occidentales :

« Ils auraient dû comprendre qu’ils ont déjà perdu dès le début de notre opération militaire spéciale, car son début signifie le début d’une rupture radicale de l’ordre mondial à l’américaine. C’est le début de la transition de l’égocentrisme américain libéral-mondialiste vers un monde véritablement multipolaire — un monde fondé non pas sur des règles égoïstes inventées par quelqu’un pour lui-même, derrière lesquelles il n’y a que le désir d’hégémonie — [……] Et nous, nous devons comprendre que ce processus ne peut plus être arrêté ».

La guerre en Ukraine n’est qu’un des aspects de l’affrontement « Occident contre reste du Monde ». La défaite de l’Ukraine bien sûr, mais en fait celle de l’OTAN est consommée. Ce sera probablement la « Bataille d’Andrinople » de l’empire américain.

Bienvenue dans le Nouveau Monde.




Protégeons les médecins poursuivis pour avoir soigné : Touche pas à mon doc

Nous relayons cet appel au bon sens et au partage de la pétition « Ne touche pas à mon doc »

Nicole Delépine

Citoyens comprenez bien que sans liberté de soigner, il n’y a pas de médecine. Vous le vivez au quotidien depuis deux ans et demi pour l’ensemble de la population.  Les petits et grands cancéreux ont été victimes depuis les années 2000 avec l’avènement des plans cancer des conséquences parfois dramatiques de la disparition du choix du traitement par le patient et par son médecin.  CETTE DICTATURE SANITAIRE DOIT CESSER. Nous cotisons tous à la sécurité sociale. Ce n’est pas pour enrichir big Pharma qui impose ses molécules chères et inefficaces à tous via les agences et les réunions multidisciplinaires. Si vous n’obéissez pas, votre structure n’aura plus le droit de soigner. Les « protocoles » sont le choix de la technostructure et non le meilleur traitement adapté à vous-même.

le même principe s’applique aux médecins de ville qui vous ont soigné et préféré les traitements précoces efficaces au non traitement via le 15, le doliprane toxique et le rivotril pour euthanasier les personnes âgées en EHPAD ou en hospitalisation à domicile.  Les vrais médecins fidèles à leur serment et à leurs patients sont poursuivis. Ils sont l’honneur de la médecine. Faites le savoir et sauvons-les ainsi que  les futurs patients.

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Dernièrement, les Directions régionales du Service médical (DRSM, service de la « sécu ») ont transmis au Conseil de l’Ordre des médecins la liste des médecins ayant prescrit des traitements ambulatoires dans le cadre de la Covid. Suite à ce signalement, l’Ordre convoque de nombreux médecins sur l’ensemble du territoire. Pour soutenir les « Docs » qui ont tenu bon au long de cette crise, qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ont continué à nous informer, à nous soigner. Pour protéger une médecine individualisée, adaptée à chaque patient, adaptée à chaque histoire, où chaque médecin peut agir en conscience au service du patient qui le lui demande.

Si les médecins qui ont soignés sont attaqués, qui sera là pour nous à la prochaine épidémie ?

Bienvenue sur l’espace « Touche pas à mon Doc ». Sur cet espace, vous pourrez déposer, lire et partager des témoignages de patients ou de professionnels face à la crise.

Le site : https://tpmd.fr/

Canal Télégram : https://t.me/TpmdFr

Bon Sens, [21/07/2022 16:04]

Leur Manifeste,

« Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM). En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ». Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé. Nous avons appris à connaitre cette maladie. Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales. Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie. Nous avons fait de notre mieux, en conscience. Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades. Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis. Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ». Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant. Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné. Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison. Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine. Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ? Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée. »

Disons aujourd’hui fermement, TOUCHE PAS À MON DOC ! Pour signer le manifeste :

https://tpmd.fr/manifeste/

Manifeste

Les Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins multiplient, sur l’ensemble du territoire, les convocations de médecins suite à « des signalements des Directions Régionales du Service Médical » (DRSM).

En pratique ces services de l’assurance maladie ont répertorié les prescriptions réalisées dans le cadre de la prise en charge en ville (hors hôpital) de la Covid.

À l’heure actuelle, l’épidémie reste un sujet de préoccupation, malgré les mesures déjà proposées par les Pouvoirs publiques (distanciation physique, masques, vaccins, traitements ciblés…). Il semble impensable au vu de l’évolution des connaissances sur le sujet qu’on puisse remettre en question une proposition thérapeutique supplémentaire : les traitements précoces associés au suivi rapproché et à la prévention des complications, la prise en charge des patients en ambulatoire, pour éviter au maximum les complications et les hospitalisations.

Nous sommes médecins, nous avons refusé de céder à la fatalité du « on ne peut rien faire ».

Nous avons cherché, nous nous sommes questionnés et avons beaucoup échangé.

Nous avons appris à connaitre cette maladie.

Nous avons continué à prendre soin de nos patients comme nous l’avions toujours fait dans les contextes d’épidémies virales.

Nous avons continué à accueillir tous les patients. Nous les avons examinés, nous les avons rassurés, leur avons enseigné les signes d’alerte, nous les avons accompagnés tout au long de la maladie.

Nous avons fait de notre mieux, en conscience.

Nous avons pris la responsabilité de leur proposer les traitements les plus adaptés en accord avec les données actualisées des recherches scientifiques.

Nous sommes de simples citoyens, nous ou nos proches avons été malades.

Face à la maladie, nous nous sommes sentis seuls et démunis.

Nous avons parfois entendu cette phrase « on ne peut rien faire, attendez, et si vraiment cela ne va pas, faites le 15 ».

Puis nous avons trouvé un médecin qui a accepté de nous soigner. Parfois lorsque nous étions déjà dans un état préoccupant.

Un médecin qui nous a accueilli, rassuré, accompagné.

Un médecin qui nous a permis de faire face à la maladie, qui nous a redonné de l’espoir, nous a progressivement accompagné vers la guérison.

Un médecin qui nous a permis de retrouver confiance dans la médecine.

Nous refusons que les médecins puissent se sentir intimidés.

Si les médecins sont privés de leur indépendance professionnelle, de leur liberté de prescription, quelle sera la médecine de demain ? Une médecine de protocole, dictée par qui ?

Nous serons présents aux côtés de ceux qui ont pris soin de nous, pour prendre soin d’une médecine individualisée.

Nous disons aujourd’hui fermement :

TOUCHE PAS À MON DOC !




UNE VIDÉO FUITÉE : « Nous ne connaissons tout simplement pas les effets secondaires à long terme de la modification fondamentale de l’ADN et de l’ARN des gens. » — Mark Zuckerberg

[Source : Guy Boulianne]

En juillet 2020, Mark Zuckerberg a déclaré qu’il s’inquiétait de l’impact qu’un vaccin COVID-19 aurait sur l’ADN et l’ARN d’un individu. En effet, le PDG de Facebook, Zuckerberg, a été surpris en train de critiquer et de commenter les vaccins Covid-19 au sein de son entourage, décrivant les vaccins comme étant « expérimentaux » et avertissant son personnel d’être très prudent quant à la « technologie génétique » non éprouvée. Indépendamment de ce que vous pensez des vaccins, ces images divulguées du siège de Facebook sont très pertinentes. Toute personne disant sur Facebook ce que Zuckerberg dit dans cette vidéo serait immédiatement censurée et/ou bannie du réseau. Mark Zuckerberg a déclaré dans les images divulguées d’une réunion interne sur Facebook :

« Mais je veux juste m’assurer que je partage une certaine mise en garde sur ce [vaccin] parce que nous ne connaissons tout simplement pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des gens pour encoder directement l’ADN et l’ARN d’une personne, essentiellement le capacité à produire ces anticorps et si cela provoque d’autres mutations ou d’autres risques en aval. Il y a donc du travail sur les deux voies de développement de vaccins. »

Quelques mois plus tard, en novembre, Zuckerberg a organisé une diffusion publique en direct avec le Dr Anthony Fauci et a contredit la déclaration qu’il avait faite lors d’une réunion privée au cours de l’été :

Mark Zuckerberg :

« Juste pour clarifier un point, je crois comprendre que ces vaccins ne modifient pas votre ADN ou ARN. C’est donc juste un point important à clarifier, si je me trompe ici, bien sûr, corrigez-moi, mais juste pour que ce soit clair… »

Dr Anthony Fauci :

« Non, tout d’abord l’ADN est inhérent à votre propre cellule nucléaire. Coller quoi que ce soit d’étranger sera finalement autorisé. »

Zuckerberg :

« Bien, eh bien, je suis content que nous ayons clarifié cela. »

C’est encore un autre cas de « une règle pour toi et une autre pour moi » que l’élite utilise pour contrôler les masses. Facebook avait annoncé qu’ils « étendaient [leurs] efforts pour supprimer les fausses allégations sur Facebook et Instagram concernant le COVID-19, les vaccins COVID-19 et les vaccins en général pendant la pandémie ». Dans cette nouvelle politique, Facebook a spécifiquement déclaré que toute affirmation selon laquelle le vaccin modifie l’ADN d’un individu serait supprimée.

Facebook affirme que la plate-forme permet aux utilisateurs de « discuter, débattre et partager leurs expériences, opinions et points de vue personnels » en ce qui concerne la pandémie, mais supprimera les préoccupations concernant les vaccins qui avaient autrefois été exprimées par leur propre PDG. On ne sait pas si Facebook soutient toujours les préoccupations de Zuckerberg et si la société interdirait ou non cette vidéo de Zuckerberg de ses plateformes en raison de violations de la politique vaccinale.

Alors que Zuckerberg s’est senti obligé d’avertir ses proches des dangers potentiels de la thérapie génique expérimentale imposée à l’humanité par le gouvernement et Big Pharma à la suite de la pandémie, les gens ordinaires comme vous et moi n’ont pas été autorisés à exprimer le moindre doute sur les vaccins sur les réseaux sociaux sans en payer le prix.

La liberté d’expression a été étranglée sur Facebook et les autres principales plateformes de médias sociaux ces dernières années. Au plus fort de la campagne de vaccination, notre droit à la liberté d’expression a été piétiné par les médias grand public et les vérificateurs de faits agissant au nom de Big Pharma pour semer la peur dans les masses.

Simplement en s’exprimant et en soulevant de véritables préoccupations, les diseurs de vérité dans notre société ont été punis et déformés. Robert F. Kennedy Jr. est devenu l’une des voix les plus influentes au début de la pandémie, sensibilisant Bill Gates et Big Pharma. Kennedy Jr., qui se décrit comme un défenseur de la sécurité des vaccins, n’est pas impressionné par les antécédents du fondateur de Microsoft en matière de promotion des vaccins sur les populations vulnérables et, dans certains cas, de graves problèmes de santé.

Mais exposer Gates sur les réseaux sociaux était trop pour Zuckerberg et les gardiens de la liberté d’expression. Ils ont censuré Kennedy Jr. et l’ont finalement banni d’Instagram pour avoir parlé de la sécurité des vaccins, au grand plaisir des médias grand public.

Kennedy Jr. n’était pas le seul. Joe Rogan a enduré une année d’enfer — ou un annis horribilis, comme le dirait la reine Elizabeth. Les médias grand public et les vérificateurs de faits sont venus après lui, employant de nombreuses tactiques de diffamation, toutes plus cyniques les unes que les autres, dans le but de détruire sa carrière. Son délit ? Inviter simplement des experts de différents horizons sur son podcast et oser leur poser des questions honnêtes sur les vaccins.

Kennedy Jr. et Rogan ne sont que la pointe de l’iceberg. Des millions et des millions de gens ordinaires se sont vu retirer leur voix par la trinité impie de Big Tech, Big Pharma et des médias grand public.

SOURCES :




Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens

Par Gérard Delépine

Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulation entre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.

Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :

  • 1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
  • 2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
  • 3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
  • 4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
  • 5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.

Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie

Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :

Même constatation en Roumanie en février 2022 :

Mais aussi en Suède :

Cette incapacité des passes à enrayer l’épidémie a été constatée dans tous les pays qui les ont instaurés comme le montre le graphique ci-après des évolutions de l’épidémie en Europe.

Les passes donnent un faux sentiment de sécurité favorisant l’abandon des précautions d’hygiène propice à la reprise des contaminations.

L’échec total des passes a motivé leur abandon dans la quasi-totalité des pays qui les ont utilisés. Cet échec résulte de l’inefficacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions.

La pseudo vaccination est inefficace contre les transmissions et paraît même les augmenter !

Soulignons que les pseudo vaccins qu’on tente de nous imposer ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent aucun antigène ni aucune anatoxine), mais des médicaments. Ils sont de plus expérimentaux, puisque leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023. Leur utilisation généralisée en population mal informée constitue un essai qui ne respecte pas les conditions de surveillance traditionnelles, ni le code de Nuremberg, ni la convention d’Oviedo (cf infra) que la France a signée et nous est opposable.

Fin octobre 2021, trois adultes sur quatre dans l’UE étaient complètement vaccinés. Or, dans le même temps, on observait une recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans de nombreux États membres. La comparaison avec l’Afrique et les USA suggère même qu’un taux élevé de vaccinations dans une population serait susceptible d’augmenter le risque de contaminations ainsi que le montre le graphique suivant :

L’Afrique, très peu vaccinée (10 %), mais qui utilise des traitements antipaludéens, comptabilise 60 fois moins de cas par million d’habitants (8000 cas/M) que la France (477 000 cas/M). Et on ne peut pas prétendre que c’est l’âge plus jeune des Africains qui explique telle différence, car si la gravité de la maladie est très dépendante de l’âge la contamination l’est beaucoup moins.

Un des buts du certificat covid européen est de contraindre les Européens à accepter les injections

En réalité le certificat Covid numérique de l’Union européenne ne veut qu’institutionnaliser le chantage « vacciné continuellement ou astreint à résidence dans son pays ». Pour ce faire elle recommande aux États membres de se mettent d’accord sur une durée de validité de neuf mois pour les certificats, pour forcer l’acceptation de doses de rappel itérative six mois après le schéma complet de vaccination.

Si son but était de faciliter la circulation, comme elle le prétend, elle exigerait la suppression de toutes les mesures de restrictions des libertés comme le font d’ailleurs progressivement presque tous les États européens (sauf la France, Malte et l’Italie)

Mais la commission a commandé 1,3 milliard de doses qu’elle veut nous injecter de force alors que pourtant elle ne peut plus ignorer que les pseudo vaccins sont inefficaces et dangereux. !

Ce contournement du consentement libre et éclairé pour tout acte médical sur l’être humain, contraire au serment d’Hippocrate de l’association médicale internationale.(([1] https://www.wma.net/fr/news-post/lassociation-medicale-mondiale-approuve-un-nouveau-serment-pour-les-medecins/))(([2] https://www.atousante.com/sante-travail/medecin-sante-travail/serment-du-medecin-association-medicale-mondiale/))

De plus comme les injections sont expérimentales, leur utilisation constitue un essai qui viole la convention d’Oviedo(([3] https://www.coe.int/en/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=195))(([4] https://rm.coe.int/168008372e)) signée par les pays européens et qui stipule entre autres :

« L’intérêt et le bien de l’être humain qui participe à une recherche doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »

Article 12 — Absence de pression :

« Aucune pression y compris d’ordre financier, ne sera exercée sur des personnes pour obtenir leur participation à une recherche »

Article 13 — Information à fournir aux personnes participant à une recherche :

« Les personnes sollicitées pour participer à un projet de recherche reçoivent une information adéquate, sous une forme compréhensible ».

Lors du procès des médecins à Nuremberg, huit des médecins accusés ont été condamnés à mort précisément parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux (dont plus de la moitié étaient des vaccins) sans demander le consentement libre et éclairé des participants.

Ce certificat européen crée une discrimination majeure, inefficace et nocive entre citoyens

Entre les vaccinés autorisés à voyager d’un pays à l’autre et les autres, devenus citoyens de seconde zone parce qu’ils n’acceptent pas l’injection expérimentale parfaitement inefficace contre la transmission virale. Une telle discrimination entre citoyens privant de travail de nombreux pompiers et soignants parce qu’ils sont vaccino prudents n’avait plus été instituée en Europe depuis celle des juifs par les nazis. Outre qu’elle est contraire à l’éthique, elle est totalement disproportionnée puisque totalement inefficace contre la propagation de la maladie.

Les conséquences délétères de cette discrimination sont considérables puisqu’elle prive les vieux des Ehpads et les hospitalisés de visites, les malades non vaccinés de consultations programmées et les hôpitaux d’un personnel devenu si rare que les urgences ferment et que les blocs opératoires rationnent les interventions pendant que le nombre de déserts médicaux augmente rapidement.

La commission européenne montre qu’elle est douée d’humour puisqu’elle proclame dans les attendus de son certificat covid : « toute mesure restreignant la libre circulation doit être non discriminatoire et proportionnée. »

Mais le but réel est peut-être le stockage informatique des données les plus personnelles des citoyens afin de les préparer à un « crédit social » à la chinoise ?

En France, nous avons l’expérience du provisoire qui dure longtemps. Le certificat sanitaire européen organise le stockage électronique de données médicales personnelles particulièrement sensibles qui avait d’ailleurs été refusé lors de la progression du Sida pourtant autrement plus mortifère.

La commission prétend que ces informations sont protégées et seulement détenues par chaque gouvernement, mais l’expérience du piratage de sites extrêmement protégés (pentagone, CIA…) et l’hébergement de nos données par des organismes américains rendent cette prétendue sécurisation très douteuse.

Alors pourquoi la commission s’obstine-t-elle à pérenniser sans date limite définitive un fichage inefficace contre une épidémie avec laquelle on nous dit « qu’il faut vivre avec ? »

On peut craindre que ce passe rebaptisé constitue l’amorce du fichage global de la population auquel la commission demandera d’ajouter bientôt le profil énergétique de chacun (pour sauver la planète !) puis ses informations financières (pour lutter contre les trafics de drogues !), et bancaires (pour imposer la suppression de l’argent liquide) puis fiscales… le but de ce fichage global de la population étant le contrôle total de la population à la chinoise.

Les vrais démocrates ne peuvent que refuser ce certificat qui n’a aucun intérêt sanitaire, qui instaure une discrimination majeure sous un prétexte sanitaire. Depuis 2 siècles nous avons toujours vaincu les pires épidémies modernes (peste, choléra, typhus, typhoïde, Hépatite A, poliomyélite, dysenterie…) par l’hygiène sans aucune restriction de nos libertés. Nous n’avons aucune raison scientifique d’en accepter pour cette mauvaise grippe appelée Covid, car lorsqu’on accepte une perte de liberté transitoire, on ne sait jamais si on pourra un jour la récupérer.

La liberté est le plus précieux des droits fondamentaux conquis par nos ancêtres. Ne laissons plus des gouvernants totalitaires nous en priver sous de vains prétextes !





Disparition de l’esprit objectif (la science)

Par Lucien SA Oulahbib

Lorsque la possibilité de douter est soupçonnée de « conspirationnisme », l’esprit objectif perd cette méthode même qui le fonde et se transforme alors en propagande habillée en « science » (comme naguère à Berlin et à Moscou) ou comment réitérer des lapalissades à foison jusqu’à ce qu’elles fassent « consensus ». C’est « notre » Réel officiel.

Les exemples pullulent : dernier communiqué de la dite « académie de médecine » parlant de « faute » au lieu de science (malgré quelques maigres chiffres — non sourcés — jetés en pâture) jusqu’à ce sénateur servile dit « républicain français » remplaçant le terme « passe sanitaire » par « certificat de déplacement » (néo-passeport soviétique) en passant par ce président fantoche prétendu « ukrainien » (il aurait sinon accepté les accords d’Istanbul en mars dernier malgré le refus anglo-américain), oligarque de plus en plus fortuné et de plus en plus tyrannique (sommant sans doute sa procureure, limogée, de fournir rapidement des preuves tronquées sur Boutcha) ; sans oublier le refus d’admettre que cette injection tant vantée s’est avérée devenir tout autre chose qu’un « vaccin », car celui-ci n’a pas besoin de quatre doses annuelles aux effets secondaires par ailleurs de plus en plus incalculables, et ce au sens littéral. Ces derniers s’effilochent ainsi en micro-infirmités pérennes, telles que ces difficultés à marcher, à souffler, donc à courir et faire du sport, cycles menstruels perturbés, résurgence de diverses maladies, corps et esprit détraqués somme toute. Mais les causes réelles sont niées. Tout un ensemble aboutissant donc à cet hallali qui somme les individus exclusivement d’origine occidentale de changer de sexe, de refuser la différence homme/femme (qui n’est pas seulement anatomique), de mépriser enfin leur couleur de peau puisqu’elle est blanche, leur culture aussi (honnir le ballet, dernier en date), toutes ces cerises sur le gâteau du nihilisme devenu désormais ordinaire.

Tous ces exemples montrent bel et bien que « nous » avons basculé (à nouveau) dans l’émasculation mentale amorcée par les totalitarismes du siècle dernier, s’officialisant ensuite dans son pendant physique qui en est toujours le prolongement obligé : extinction progressive des libertés, asphyxie de leur expression, mais rendues invisibles par des élections non représentatives (très fort taux d’abstention) et des débats édulcorés avec menaces physiques mortelles sur ces quelques rares esprits encore « libres » qui sont invités en trompe-l’œil, rares spécimens d’espèces intellectuelles en voie de disparition pour masquer leur disparition également quantitative.

L’esclavage politique commence donc ainsi : empêcher mentalement les individus et les groupes de voir le réel (tel le « fait » que le roi soit nu par exemple), ce qui les paralyse et les effondre en amas indifférencié d’excitations multiformes qui de temps à autre montent crescendo puis s’affaissent, un peu comme ces injections C19 qui excitent à la surface puis s’estompent amenuisant ainsi toutes les défenses qu’elles soient immunitaire et mentales. Celles-ci effondrées, leur support corporel suit, s’effiloche, soit en maladies communes, soit en maladies « auto-immunes », psychisme compris, que la prise de drogues y compris légales et de plus en plus en hausse exacerbe plutôt, le tout dans le silence des camisoles de force langagières et médiatiques mises de plus en plus souvent (in) volontairement. La muselière en est la pointe immergée, et dont le « retour » est aujourd’hui réclamé avec insistance par les kapos de circonstance comme signes affichés d’obédience.

Tout ceci est hélas bien connu, voire désormais banal, du moins par les esprits qui savent ne pas confondre ce mauvais universel que tentent de vendre encore les élites occidentales en perdition définitive (malgré quelques îlots ici et là) et l’esprit objectif du « bon » universel qui a toujours associé recherche de l’exact et sens de son utilisation ou le concept de vérité confirmée s’associant à celle de vérité révélée (les Dix Commandements) qui ne concerne pas seulement l’Orient proche comme il a été vu depuis maintenant 2000 ans (une paille néanmoins dans l’Histoire, a fortiori humaine : peut-être faut-il encore quelques centaines sinon des milliers d’années pour que non pas le déclin comme le pense Spengler, mais le zénith de sa forme aboutisse enfin, au-delà des creux, tel celui dans lequel nous nous trouvons depuis l’échec de la Renaissance : réduction de l’esprit objectif en subjectivité maquillée en science) ?…

En tout cas, cette Première Révélation (celle de Moïse et non pas d’Abraham : pour preuve les dix commandements ne lui ont pas été confiés) accessible à tous, s’est trouvée confirmée non certes dans son historicité stricte (la date du Déluge passé et à venir n’est pas spécifiée), mais dans cette nécessité en apparence contradictoire du Défi que le Créateur aura lancé à sa Créature : ne pas prendre le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal alors qu’Adam a pourtant été laissé libre de désigner comme il l’entend les animaux (Gen, 2, 19) ce qui est évidemment d’autant plus étrange qu’Adam a été fait à Son Image… D’où l’Idée que ce Fruit devait être mangé sous peine de les ravaler tous deux à n’être que des animaux comme les autres (ce que la pseudo-Modernité actuelle tente de faire…). La seconde preuve est la venue de Jésus apportant la Bonne Nouvelle sur la rémission de ce péché dit originel et spécifiant surtout que l’accès à cette connaissance n’a plus besoin de passer ni par la seule possession du Fruit ni par la seule attente de la mort terrestre.

Observons en passant et pour la petite histoire que ce Geste, radical, d’Eve et d’Adam aurait été bien sûr blâmé par les Académies d’aujourd’hui, stipulant que la teneur « objective » de ce Fruit ne serait pas « scientifiquement » vérifiée (nouveau terme pour casher ou halal) ; en conséquence les deux auteurs de cet Acte pourtant fondateur auraient non pas été seulement bannis, mais sacrifiés, dans cette sorte de surenchère poussant certains humains à se croire supérieurs au Créateur jusqu’à les tuer carrément, et ce en son nom bien sûr, comble de l’hypocrisie (ou comment de nos jours condamner les soignants non injectés pourtant négatifs et faire travailler les positifs, mais sanctifiés par l’Injonction). Ceci est bien là LE blasphème ultime, certes partagé par nombre de ses partisans, mais spécialement aujourd’hui par tous ces extrémistes scientistes et religieux qui, à la différence des juifs et des chrétiens (du moins dans leur majorité et hors institutions), refusent de reconnaître leur exubérance avec leur visage d’innocence, même s’il est vrai les descendants de ces derniers (juifs et chrétiens) vont dans l’excès inverse en se blâmant de tous les maux qui arrivent sur Terre jusqu’au moindre virus agressif et coup de chaleur intempestif.

Comme si l’Histoire devait être toujours fabriquée par les plus forts. Ainsi certains de leurs défroqués ou prétendus « athées » vont même jusqu’à la réécrire dans la tombe des hommes et femmes de naguère en sacralisant plus qu’il ne faut leur indifférenciation sexuée (s’expliquant génétiquement et non pas culturellement) dernier avatar s’il en est de ce nouvel impérialisme théopolitique, « stade suprême » du néo-léninisme qui veut emmener tout le monde dans sa perdition inexorable, continuant ainsi, mais à leur façon (celle de l’extension négativiste) la « lutte finale » de ceux qui l’ont précédé vers de plus en plus de lendemains qui déchantent, faute de pouvoir non pas retrouver Eden, mais d’en édifier un de raisonnable.




Résilience et Résistance pour la France

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Le Franc Libre

https://le-franc-libre.fr

[Note de Joseph : bien que vivant au Québec et ne disposant pas de gros moyens financiers, pour marquer ma totale confiance dans cette démarche d’Alexandre Juving-Brunet qui va dans le sens exposé notamment dans le Manifeste pour un nouveau monde présenté ci-après (voir en particulier à partir de la page 26), je viens de commander cette nouvelle monnaie française pour 100 euros :]

[Voir aussi :
Masse critique
Pourquoi s’unir est un devoir ?
Comment s’unir
et vidéos d’Alexandre Juving-Brunet :
La Ve République est morte, vive la France !
Au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron : que faire ?
Alexandre Juving-Brunet : « Je livre tout ce que je sais, et je prends des risques pour le faire »
Stop aux généraux va-t-en-guerre !
Le choix laissé aux Français : la soumission ou la mort sociale
Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs]




Une journaliste de NBC se lamente : « Les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas »

[Source : anguillesousroche.com]

Un moment choquant de conscience de soi.

Une journaliste de NBC a connu un rare moment de conscience de soi en admettant que « les gens ne nous font pas confiance, ils ne nous croient pas ».

Les commentaires ont été faits par Katy Tur lors d’une interview avec The Hill pour promouvoir son nouveau livre.

« La confiance dans les médias, dans les journaux et la télévision, atteint un niveau historiquement bas », a déclaré Katy Tur en prenant un air désespéré.

« Les gens ne nous font pas confiance. Ils ne nous croient pas, et cela me fait me demander si ce travail – tel que je le fais actuellement – est efficace, mais s’il ne fait pas plus de mal que de bien », a-t-elle ajouté.

Wow, enfin une journaliste qui a accepté l’état horrible de son industrie.

Tur a fait ces commentaires en réponse à un nouveau sondage Gallup qui révèle que « seulement 16 % des adultes américains disent avoir ‘beaucoup’ ou ‘assez’ de confiance dans les journaux et 11% dans les informations télévisées ».

« Écoutez-moi une seconde : avez-vous envisagé de ne pas mentir ? » a remarqué Chris Menahan. C’est une question rhétorique – bien sûr, la réponse est non. La seule préoccupation des médias est de trouver le meilleur moyen de présenter les mensonges du régime de manière « efficace ».

Le public faisant preuve d’un manque total de confiance dans les médias, le relais a été passé aux soi-disant « vérificateurs de faits », qui ne sont que des ramifications des médias traditionnels, pour essayer de contrôler le récit en « démystifiant » les opinions dissidentes.

Cependant, ils perdent maintenant aussi leur crédibilité, ce qui les conduit à faire pression sur les Big Tech pour qu’elles interdisent leur concurrence, les vérificateurs de faits déclarant explicitement que leur raison d’agir ainsi est que personne n’est intéressé par le contenu des « vérificateurs de faits » sur des plateformes comme YouTube.

Comme nous l’avons souligné le mois dernier, l’audience de CNN continue de s’effondrer, avec une baisse de 63 % par rapport à l’année dernière, et CNN+ est un échec cuisant.

Le nouveau directeur de la chaîne ordonne désormais aux journalistes hyperpartisans d’arrêter de donner leurs opinions partiales sur tout et de se concentrer sur la diffusion de véritables informations.

https://www.youtube.com/embed/Iu4Q_Pjs4dI

[Voir aussi :
Comment les médias sont achetés et corrompus
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Médias français : que devient l’objectivité ?
Les médias au service de la dictature
La chute des grands médias et les plus gros mensonges qu’ils ont racontés en 2021
La confiance dans les médias « mainstream » est en chute libre
Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Jordan Peterson prédit la mort des médias grand public]




Réenchanter le monde

Par Joseph Stroberg

[Illustration : ISTOCK]

En cette époque particulière traversée par l’Humanité, suite notamment à une crise covidienne de nature largement artificielle qui a augmenté l’angoisse existentielle, la névrose ou la déprime de nombreux êtres humains, certains envisagent ou proposent de réenchanter le monde, de lui faire retrouver une dimension merveilleuse, envoûtante, féerique, magique ou surnaturelle depuis longtemps perdue si jamais l’Humanité connut cela un jour, peut-être en des temps antédiluviens ou édéniques. Il paraît alors nécessaire de s’accorder sur la nature des enchantements à mettre en œuvre, ainsi que sur celle des enchanteurs potentiels, selon les moyens qu’ils utiliseraient et leur manière de le faire, car la frontière est floue et rapidement franchie entre un enchantement et un sortilège maléfique. L’Humanité et la planète pourraient-elles en effet et en particulier se trouver réenchantées sous la contrainte ?

Un des pièges sur le chemin de l’enchanteur et de ses œuvres est celui du pouvoir de faire ce que bon lui semble, alors même qu’il ne peut être certain de ce qui est effectivement bon pour les autres. Chacun perçoit et envisage la vie selon sa propre perspective et a rarement la capacité d’enfiler réellement les bottes de ses frères et de ses sœurs. Merlin le prétendu enchanteur a-t-il vraiment contribué à améliorer la condition humaine et terrestre ? Ou bien n’a-t-il pas seulement cherché à imposer sa propre vision des choses, de ce qu’il croyait bien et juste pour son roi comme pour le peuple de ce dernier, produisant davantage de conflits qu’il ne pouvait en résoudre, davantage de morts que de guérisons ?… Avant lui, il exista un bien plus grand magicien, pressenti par trois rois mages, celui qui sut non seulement transformer l’eau en vin, multiplier les poissons, marcher sur l’eau, guérir les aveugles et les lépreux, ressusciter des morts, mais aussi se sacrifier pour l’avenir du monde et incarner ainsi jusqu’au plus profond de sa chair son message d’amour inconditionnel pour les autres et pour l’Humanité. Il a finalement laissé sa marque sur un simple drap, un suaire qui porte encore la trace de ses dernières souffrances et de sa résurrection.

Si par la suite, le monde connut des guerres en son nom, ce ne fut nullement de son propre fait, mais à cause d’individus qui ont cherché à imposer leur interprétation de la vie de ce grand mage, de celui que certains ont élevé au rang de Dieu. Lui, de son vivant, a généralement prôné le pardon, la non-violence, la miséricorde, la charité et bien d’autres vertus, se posant lui-même par sa vie en exemple de telles pratiques. Du moins est-ce ainsi, semble-t-il, que le veut la légende.

La clef d’un enchantement futur et réussi du monde pourrait se révéler être le respect du libre arbitre et des perceptions de chacun, sans qu’aucun enchanteur n’impose de suivre son exemple ou son chemin. En astrologie, il est assez coutumier d’affirmer que les astres proposent et les êtres humains disposent. Un enchanteur devrait probablement s’en inspirer et se contenter de proposer une vision, ou simplement d’éclairer les divers chemins possibles par sa propre lumière. Libre alors aux individus et aux divers groupes de choisir quoi en faire, quoi suivre, quoi imiter, quoi dépasser !…

Un monde ne peut paraître à tous pleinement enchanteur si certains d’entre eux au moins n’y trouvent pas leur place. La trouver implique non seulement le lieu, mais aussi le rôle et bien sûr la liberté de choisir l’un et l’autre. Ceci nécessite l’absence de contraintes, et donc de règles, de lois, de règlements…, surtout gravés dans la pierre (fût-elle de marbre) ou inscrits sur le papier. Cependant, une telle absence universelle de limites pourrait facilement conduire au chaos, les diverses libertés individuelles s’entrechoquant plus ou moins violemment, jusqu’à éventuellement en faire un plasma brûlant ou un gaz explosif. Pour l’éviter, il convient alors de trouver un moyen de combiner liberté de choix (et notamment celui d’agir dans telle direction plutôt que telle autre) et nécessité de tenir compte des autres êtres et de la manière dont nos choix vont les impacter et potentiellement les faire réagir.

Anticiper les réactions d’autrui suite à nos propres actions ainsi que leurs effets sur l’environnement immédiat comme plus lointain dépend de notre degré de conscientisation en ce qui concerne la loi de causalité selon laquelle toute cause a des effets et tout effet est issu de causes. La conscience intime de son existence procure un sens proportionnel de notre responsabilité quant aux conséquences possibles de nos actions, paroles et choix. L’irresponsabilité représente au contraire l’incapacité à envisager sérieusement ces conséquences ou le fait de ne pas s’en préoccuper, ou encore d’en amoindrir l’importance.

Nous ne pouvons espérer voir se concrétiser un monde réenchanté sans manifestation suffisante du sens des responsabilités lors de nos choix individuels et collectifs. Et de ce point de vue, si certains individus n’ont cure des autres et se fichent de leur propre impact sur autrui, du fait par exemple de tendances psychopathes ou d’immaturité notable, la collectivité gagnera à leur retirer tout pouvoir de nuisance, ceci en ne leur reconnaissant plus la moindre autorité et en ne leur fournissant plus la moindre occasion de l’exercer abusivement sur les autres. Un tyran, par exemple, ne peut exercer sa tyrannie que parce qu’en face de lui existent des individus qui acceptent de se soumettre à son autorité ou à son pouvoir et de lui obéir sans discussion, même lorsque ce qu’il demande est contraire à leur intérêt ou s’oppose à leurs sens du bien, de la justice, de la beauté, de la vérité, etc..

Réenchanter le monde nécessitera probablement de n’offrir aucun poste et aucun rôle de responsabilité aux individus qui n’ont pas développé le sens correspondant ou qui ne l’utilisent pas parce qu’ils n’ont d’intérêt principal ou exclusif que pour eux-mêmes. En d’autres termes, il sera utile et pratiquement indispensable de retirer les psychopathes du pouvoir, des postes de direction, des positions qui les amènent à interagir avec un grand nombre d’individus, et de les cantonner tout au plus dans des rôles auxiliaires. Un monde enchanté existe quand chacun y trouve la place qui lui revient naturellement en fonction de sa capacité à y interagir avec les autres et avec l’environnement sans leur nuire. Il est incompatible avec la production intentionnelle de souffrances comme celles qui le sont généralement sous la prérogative des psychopathes et des sadiques.

La place et le rôle de chaque être souhaitant participer à la création d’un avenir enchanté dépendent de ses capacités, aptitudes et prédilections naturelles dans son interaction avec les choses et les êtres de ce monde. On peut regrouper ces dernières et ces derniers sous le terme générique de « formes » plus ou moins organisées, notion que l’on peut même étendre aux sphères émotionnelles et mentales dans la mesure où émotions et pensées font partie de ce que l’on crée et de ce avec quoi nous interagissons, certaines étant bien délimitées et structurées alors que d’autres sont bien davantage floues ou évanescentes, à l’image de gaz.

Une humanité réenchantée ne peut être que saine, équilibrée et harmonieuse, à l’image d’un corps en parfaite santé. Par analogie avec ce dernier, ses divers groupes et individus — qui représentent organes, tissus et cellules — assument avec maturité leurs fonctions librement choisies et respectent celles des autres. Certains jouent en quelque sorte le rôle du cerveau, d’autres du cœur, d’autres encore des poumons, ou du squelette, ou des mains, ou des jambes, ou des reins, etc. selon qu’ils guident ou dirigent, qu’ils distribuent, donnent et aiment, qu’ils stimulent la vie et le développement, qu’ils construisent, qu’ils se bougent ou encore qu’ils assainissent, pour ne donner que quelques exemples. Cependant, à la différence d’un corps, les rôles et fonctions peuvent varier au cours d’une vie, dépendant de l’évolution (notamment des goûts et des aptitudes) des individus (ou cellules) constituant le corps Humanité.

La civilisation actuelle a perdu tout enchantement pour se voir au contraire en quelque sorte maudite, envoûtée par des sortilèges mortifères, parce qu’elle s’est éloignée de la nature et de la Création, perdant de vue sa source divine au profit d’un attrait croissant pour l’artificiel, le monde des machines, de l’informatique et des robots… Elle s’est laissée corrompre par des marchands, aveuglée par des porteurs de fausse lumière, subjuguée par des joueurs de flûte ou de pipeau, dirigée par des chacals déguisés en bergers… On lui a fait miroiter le confort, la sécurité matérielle, puis sanitaire, pour mieux l’emprisonner. Pour se réenchanter, l’Humanité devra abandonner à la fois le confort et la sécurité matérielle au profit de l’inconnu et du risque. Elle devra retrouver sa source spirituelle de confiance, de force, de vie et de conscience. On ne peut pas à la fois vivre l’enchantement qui implique nécessairement une dimension paranormale ou métaphysique et une vie confortable et sécuritaire fournie par la pure matérialité déconnectée d’une telle dimension, mais connectée aux réseaux informatiques. Plus l’Humanité se relie aux machines, plus elle abandonne son potentiel enchanteur ainsi que les individus qui pourraient le raviver. Plus elle compte sur les premières, moins elle utilise son propre pouvoir.

La technologie moderne a beau avoir voulu en quelque sorte faire la compétition avec les mages d’antan, elle a beau avoir réalisé des miracles artificiels avec le vol d’avions plus lourd que l’air en guise de lévitation de saints, avec la réanimation cardiaque en guise de résurrection des morts, avec la transmutation permise par la fission nucléaire en guise de transformation de l’eau en vin, avec Internet en guise de communication télépathique, les Jedi de Star Wars et la baguette d’Harry Potter font toujours davantage rêver que la technologie de Star Treck. D’un côté nous avons la dépendance aux machines et aux structures complexes de pouvoir, d’industrie et de commerce. De l’autre, nous ouvrons la porte aux dimensions sacrées et divines de l’Homme et de l’Humanité. Toutefois, il reste un piège propice à ces dernières : celui de chercher le pouvoir sur les choses, sur la nature et sur les autres au lieu de l’harmonie avec eux. D’un côté nous avons Palpatine, Voldemor et Sauron (du Seigneur des anneaux). De l’autre Obi-Wan Kenobi (ou Skywalker, Yoda…), Dumbledore et Gandalf. Là où les premiers cherchent toujours plus d’emprise et de contrôle sur les foules (à l’image de ceux recherchés par les transhumanistes et les « élites » autoproclamées), les seconds se mettent à leur service. Les premiers accaparent les pouvoirs, alors que les seconds offrent leurs dons.

L’Humanité se trouve à la croisée des chemins. Elle devra choisir entre celui suivi depuis au moins quelques siècles et qui la conduit directement dans l’abîme de l’asservissement global à la matière, à la technologie et aux « élites » contrôlant cette dernière, et celui de traverse, qui mène à l’inconnu, mais comporte un grand potentiel de libération et d’épanouissement grâce au rêve, au réenchantement du monde, au retour vers les valeurs sacrées et éternelles… Ce chemin n’abandonnera probablement pas toute technologie, du moins dans un premier temps, mais elle n’en sera plus l’esclave. La technoscience se bornera peut-être simplement à faciliter le réenchantement du monde, ceci en diminuant la charge des corvées et la difficulté des défis sans pour autant diminuer la masse musculaire faute d’exercices physiques ni celle des neurones faute de stimulation mentale. De même, ce nouveau chemin ne produira probablement pas immédiatement de résultats spectaculaires ni même notables en ce qui concerne d’éventuelles capacités paranormales telles qu’on peut en voir dans les films évoqués plus haut ou d’autres moutures hollywoodiennes modernes. « À grand pouvoir, grandes responsabilités », évoquait fort justement l’une d’elles il y a quelques années. Et si l’on ne veut pas voir l’Humanité sombrer dans une nouvelle forme d’enfer, il lui vaudra mieux mûrir avant d’être dotée de dons parapsychiques extraordinaires.

Réenchanter le monde de manière suffisamment sage requiert certaines conditions préalables telles que le développement et la manifestation du sens des responsabilités, la découverte et l’acceptation de la place et du rôle de chacun dans un but d’harmonie et de symbiose, la stimulation de notre dimension spirituelle pour mieux nous engager sur un chemin collectif commun, mais aussi la reconnaissance de la psychopathie comme facteur largement perturbateur d’un tel engagement. Si certains êtres humains, en nombre croissant, tendent à considérer que nous vivons actuellement un cauchemar, ils détiennent pourtant le pouvoir de transformer ce dernier en rêve merveilleux. Cela commence généralement par un travail sur soi, sur sa manière de voir la vie, sur sa capacité à discerner le véridique du mensonge, la réalité de l’illusion… Pour réenchanter le monde, nous devons d’abord découvrir en nous-mêmes la source et la capacité de l’enchanteur.

[Voir aussi :
Il est temps de tout dévoiler !]




Le virage historique réussi du prince héritier Mohammed ben Salmane


Par Morad EL HATTAB, essayiste et géopolitologue. Entretien avec Khaled Saad ZAGHLOUL, journaliste et grand reporter.

[Photo : AFP/Bryan R. Smith]

Question : Bonjour Morad EL HATTAB. Vous êtes l’auteur français ayant le plus écrit de livres sur la crise économique depuis 2018.  Vous êtes aussi connu pour d’autres ouvrage, notamment sur la Libye,[1] et pour des articles très remarqués depuis 2020. Suite aux dernières actualités mondiales, nous avons voulu aujourd’hui vous demander votre point de vue quant à l’évolution de la situation, au Moyen-Orient et pour le reste du monde. Nous vous remercions d’avoir bien voulu nous faire l’honneur de vous exprimer dans notre magazine. Quel a donc été pour vous le fait le plus marquant de ces dernières années, pour le Moyen-Orient ?

Réponse : Sans aucun doute, à mon avis, il s’agit de la mise en échec de l’idéologie du « Choc des civilisations » depuis la guerre de Syrie. Le rôle de l’Arabie Saoudite et des choix stratégiques du Prince héritier Mohammed ben Salmane, ont été cruciaux en ce sens. C’est un virage historique qu’il nous faut comprendre ensemble.

En 2020, dans de précédents articles, j’avais en effet insisté sur l’importance des changements géopolitiques qui ont eu lieu depuis 2012-2015. À mon sens, il s’agissait de comprendre les deux versants d’une même idée, qui allait fonder une « nouvelle alliance » religieuse entre l’Islam et la Chrétienté. C’est une nouvelle réalité, encore largement sous-estimée, parce que depuis des décennies, nous nous sommes vus imposer un autre cadre idéologique dont il s’agit à présent de sortir. Parce qu’il est aujourd’hui caduc, tout simplement.

D’un côté, la Russie du Président Poutine a réussi à ne pas se tromper d’ennemi : ce n’est pas l’islam qui a été attaqué en Syrie par la Russie, mais au contraire, le terrorisme qui prenait l’Islam en otage. C’est une nouveauté historique, devenu évidente à partir de l’intervention russe en Syrie (septembre 2015), et cette intervention avait une autre signification : elle correspondait en effet à la mise en échec de l’idéologie du « Choc des civilisations », telle que conceptualisée par l’Israëlo-Américain Bernard Lewis (avant d’être seulement reprise par Samuel Huntington).[2]

De l’autre côté, j’expliquais en 2020 que ce changement nouveau devait être bien compris par les Musulmans du monde entier qui, à leur tour, ne devaient pas se tromper d’ennemi. En effet, il s’agissait de comprendre les luttes d’influences internes en Occident, plutôt que de considérer par exemple que les États-Unis étaient les ennemis, ou que les Chrétiens occidentaux étaient nécessairement des « méchants croisés ». Alors que la propagande américaine délirante de l’époque du 11 septembre 2001 et de la guerre d’Irak (2003) était conçue en ce sens : c’était une volonté délibérée de créer deux partis radicaux (musulmans et chrétiens, notamment les chrétiens évangéliques) pour façonner une guerre de civilisation massive. Une sorte de Troisième Guerre mondiale inavouée contre l’islam, qui aurait détruit à la fois l’Islam et la Chrétienté.

C’est seulement ainsi que nous pouvions réussir à mettre en échec l’idéologie du Choc des Civilisations. Rappelons passage qu’une idéologie est une construction d’idées artificielles, prétendant remplacer la réalité, et dont l’aboutissement amène ceux qui y croient à vouloir s’autodétruire.

Et contrairement à cette idéologie, l’Histoire réelle, depuis les croisades jusqu’à nos jours, est en vérité bien moins manichéenne, bien plus nuancée, avec des bons et des mauvais humains partout. C’est vrai en Occident, dans le monde musulman, dans le monde chrétien orthodoxe, en Israël et partout ailleurs. C’est en comprenant cette réalité que la nécessité d’une « alliance des hommes de bien » émerge naturellement aux yeux de l’observateur honnête : une Alliance au-delà des pays et des religions, une Alliance avant tout spirituelle, qui est nécessaire pour contrer une idéologie qui nous aurait tous conduits au chaos.

Question : mais cette Alliance que vous évoquez ici, doit également être compris en Occident, je suppose. Car dès qu’il y a un parti prêt à faire la guerre, il ne suffit pas que l’autre partie soit intelligent pour l’éviter, ne pensez-vous pas ?

Réponse : Certes. C’est la raison pour laquelle j’avais parlé en 2020 d’un changement majeur qui avait eu progressivement lieu aux États-Unis, à partir de la guerre de Libye et de l’affaire de Benghazi, entre 2012 et 2016. La conséquence, ce fut la victoire du Président Trump en 2016, soutenu par les véritables patriotes américains qui voulaient mettre un terme aux guerres américaines illégitimes au Moyen-Orient. Notamment, parce que ces guerres étaient livrées au nom d’une vision idéologique dangereuse qui jouait en réalité contre les intérêts stratégiques américains sur le long-terme. L’assassinat de l’ambassadeur américain Stevens à Benghazi (septembre 2012) fut à comprendre dans ce contexte. Et en réalité, il y eut des coopérations en sous-main entre la Russie et les États-Unis pour freiner ces guerres, notamment en Syrie.[3]

Dans ce contexte de 2020 et d’une vraisemblable réélection du Président Trump, beaucoup d’espoir était donc possible pour mettre un terme à ces cycles de guerres illégitimes qui avaient globalement trois causes : le pétrole, mais également le dollar, et les questions religieuses.[4]

J’avais détaillé ces idées dans plusieurs articles, en 2020. Pour moi, il s’agissait de l’émergence d’une sorte de nouvel ordre mondial « imprévu », différent et concurrent du « Nouvel Ordre Mondial » de George Bush Sr., que l’actuel Président Biden avait « appris à aimer ».[5] Or, dans ce « nouvel ordre mondial » imprévu, l’Arabie Saoudite était en train de retrouver un rôle crucial au Moyen-Orient grâce aux choix opportuns du Prince héritier Mohammed ben Salmane.[6]

Pour l’Arabie Saoudite, je n’insisterai jamais assez sur le fait que ce tournant était absolument crucial : il correspondait à la compréhension du fait que l’Arabie avait été poussée dans des choix dangereux par des intérêts qui voulaient détruire le Moyen-Orient, et surtout, que ces intérêts voulaient aussi détruire l’Arabie Saoudite dans ce processus. Le lien entre l’Arabie Saoudite et les États-Unis aurait détruit l’Arabie si le Prince héritier Mohammed ben Salmane n’avait pas su le comprendre à temps.[7]

Question : Mais pourquoi les États-Unis voudraient-ils ainsi détruire leur allié le plus fidèle du Moyen-Orient ?

Réponse : Mais parce que les États-Unis sont aujourd’hui largement détournés par des forces subversives, qui veulent les détruire mais qui veulent auparavant utiliser le bras armé américain dans des guerres illégitimes. L’aboutissement de cela, c’est le discrédit inévitable et définitif des États-Unis, à force de se prétendre être les soi-disant « gendarmes du monde », quand ils ne sont en réalité que les fauteurs de guerre et destructeurs du monde musulman. C’est cette réalité apparente, dans l’ambiance de l’idéologie du « Choc des civilisations », que les patriotes américains avaient voulu contrer en 2016.

Mais malheureusement, les élections présidentielles américaines de 2020 ont montré à quel point l’appareil d’État américain était pourri, et l’impuissance du Président Trump à le réformer est apparue évidente. Les élections américaines de 2020 ont été manifestement fraudées, et le Président Biden actuel est en réalité un usurpateur qui a été mis en place pour recommencer un nouveau cycle de bellicisme terroriste. Je vais bientôt publier un livre racontant tout cela, et un documentaire vient aussi de sortir dans le même sens.[8]

Cette réalité, la pourriture totale du système politique américain, est connue des initiés et des observateurs un tant soit peu lucides depuis des années. Les États-Unis ont été détournés lourdement depuis le 11 septembre 2001, mais en réalité bien plus tôt. C’est progressivement, dès avant la Première Guerre mondiale, qu’ils ont été détournés par le même internationalisme financier qui a financé la Révolution bolchevique et les soi-disant « Printemps arabes ». C’est une Histoire vieille de cinq siècles qui a convergé vers l’internationalisme financier, ou le « mondialisme » actuel, en tant que regroupement d’intérêts privés qui conspirent contre les Etats. Pourquoi ? Parce que les Etats protègent les peuples et les empêchent d’être vampirisés sans fin par ce même internationalisme financier. Dès le XIXe siècle, William Cobbett dénonçait ce système comme étant capable que de produire la « famine au sein de l’abondance ». Et donc, à terme, la « guerre de tous contre tous »…

L’aboutissement concret de ce Système est évident depuis la crise de 2008. Les économies occidentales ont étés « zombifiées » : elles sont totalement dominées par des mégabanques qui ne fonctionnent plus que pour elles-mêmes, ruinant les Etats et les peuples. Mais ce résultat n’est pas accidentel : de crises en crises, le système financier occidental aujourd’hui décadent génère structurellement ce qui est en fait une concentration des richesses absolument intenable. Tellement intenable, qu’elle ne peut fonctionner que sous la forme d’un soviétisme privatisé : du soviétisme, on garde le contrôle des masses, et de la privatisation, on garde bien sûr les profits. En un mot : le mondialisme, en tant qu’idéologie. Un mondialisme qui ne peut s’imposer que par la guerre, comme en témoigne le sort de la Libye ou de l’Irak.

Question : Et c’est donc ce mondialisme qui est promu depuis Davos ?

Réponse : Exact. Ce mondialisme en tant que nouvelle idéologie, c’est le Forum Economique Mondial de Davos qui en est le promoteur, présidé par Klaus Schwab et secondé par le très subversif historien israélien Yuval Noah Harari. C’est ce dernier qui est tourmenté par la question de savoir ce que nous devons faire avec les pauvres surnuméraires, appauvris en réalité par le système économique mondialiste. Il multiplie les déclarations allant dans le sens d’un contrôle ultime des prolétaires artificiellement appauvris, théorisant l’aspect « contrôle des masses » de ce nouveau soviétisme mondialisé : droguer et abrutir les peuples appauvris, et légitimer la surveillance biométrique totale sous prétexte de COVID.

« La plus grande question : que faire de toutes ces personnes INUTILES. Le problème est l’ennui et que faire d’eux… quand ils sont… SANS VALEUR. Ma meilleure supposition… est une combinaison de DROGUES ET DE JEUX INFORMATIQUES. »

« Le Covid est crucial car c’est ce qui convainc les gens d’accepter et de légitimer la surveillance biométrique totale. Nous ne devons pas seulement surveiller les gens, nous devons surveiller ce qui se passe sous leur peau »[9]

Harari est rejoint, sans surprise, par le PDG de Pfizer, Albert Bourla qui vante ses nouvelles technologies devant le FEM de Davos : des « pilules ingérables dotées d’une micropuce qui envoie un signal à distance aux autorités compétentes quand le médicament a été digéré. […] Imaginez les applications en termes de mise en conformité (obéissance). […] C’est fascinant. »[10] Il est difficile de ne pas comprendre que c’est un anti-humanisme qui se déploie ainsi sous nos yeux.

Et si on le combine avec la question des armes biologiques derrière la naissance vraisemblablement artificielle du COVID, mais présenté aux médias occidentaux comme un « virus chinois », et la fascination de personnages comme Bill Gates pour les nouvelles épidémies… Alors, il n’est pas interdit de penser que ces gens-là ne veulent le massacre de la plus grande partie de l’humanité pour pouvoir mieux contrôler les survivants. Les Russes et les Chinois ne sont pas dupes…[11]

C’est un futur cauchemardesque et réellement satanique que nous préparent ces gens-là… Et pourtant, les dirigeants occidentaux boivent leurs paroles et appliquent leurs ordres, comme s’ils en étaient les marionnettes. Ce qui de fait, est le cas : on le voit parfaitement avec Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron, par exemple. Quant aux médias occidentaux, ils sont totalement soumis à ces gens-là par le jeu des financements, et ils détruisent sur commande quiconque s’oppose à cette vision « mondialiste » du COVID et du monde.

Question : Y a-t’il une façon de ne pas subir la loi de ces gens-là ?

Réponse : En réalité, ils sont très peu nombreux. Ils ne sont puissants que par l’ignorance des gens, par les jeux de financement et par l’incrédulité du plus grand nombre face à des modes de pensées aussi déviants.

Quand Klaus Schwab se vante de construire le futur avec ses petits amis du FEM :

« Le futur ne se contente pas d’arriver, il est bâti par nous. Par une communauté puissante comme vous, dans la salle. Nous avons les moyens d’améliorer l’état du monde ». Le reste de son discours signifie en fait « imposer le sort du monde ».[12] 

C’est partiellement vrai, mais c’est aussi de l’auto-persuasion grotesque : il n’a plus les moyens d’imposer grand-chose au monde, sauf à confondre le monde avec l’Occident lourdement désinformé. En réalité, son mondialisme est gravement attaqué, et c’est ce qui le rend fébrile. Le mondialisme n’est plus rien d’autre qu’une tyrannie, que les élites financières occidentales exercent sur leurs populations.

Mais il faut rendre hommage à la Russie et à la Chine, qui sont en train de créer une autre réalité concurrente de cet ancien ordre mondial anglo-américain, devenu anglo-américano-israélien, mais en réalité « mondialiste ». C’est grâce à l’émergence de cette nouvelle réalité que l’Arabie Saoudite peut aujourd’hui prendre position pour assurer sa survie, et pour accompagner une nouvelle dynamique qui sera sans doute bien plus positive que l’ancien ordre pétrolier et financier anglo-américain. Et pourtant, Davos vante la « démocratie libérale » contre les méchants Etats autoritaires. Cette présentation manichéenne cache quelque chose d’autre…

Quand le « milliardaire philanthrope » George Soros nous explique depuis Davos, dans son discours du 24 mai 2022 que « notre civilisation pourrait ne pas survivre de l’invasion russe de l’Ukraine », il parle surtout « sa » survie et de « sa » vision de la civilisation : c’est-à-dire d’un monde n’existant que pour satisfaire son avidité.[13] Quand toujours depuis Davos, il prend soudain conscience que la Chine et la Russie sont en train de mettre en échec ses techniques de changement de régime et sa merveilleuse société ouverte, c’est un indice d’un monde qui peut échapper au mondialisme subversif.[14]

En fait, Soros est en train de découvrir ce que le grand spécialiste français de la subversion, Roger Mucchielli, avait théorisé : la façon dont la subversion radicalise les Etats, et la façon dont les Etats peuvent détruire la subversion s’ils résistent à la subversion médiatique qui protège la subversion réelle.[15] En tout cas, il y a une énorme lutte d’influence en cours, dans laquelle Davos ne représente que la partie la plus déviante d’une élite occidentale en plein délire.

Question : C’est-à-dire que la démocratie n’est qu’un argument de façade pour cacher un système de domination ?

Réponse : C’est la réalité de l’Histoire occidentale depuis cinq siècles. Mais que l’on soit bien clair sur quelque chose : il ne s’agit pas de méconnaître la nécessité d’un contrôle des populations. Au contraire, la démocratie « moderne » a historiquement été basée sur un mensonge : la soi-disant « lutte contre les tyrans » qui légitimait toutes les révolutions. Or, les révolutions étaient en fait des transferts de ressources au bénéfice des intérêts qui sont devenus « mondialistes ». C’était vrai de 1789, de 1917, des Printemps arabes ou de l’« Euromaïdan » en Ukraine, par exemple : des « changements de régimes » pour capter des flux de richesses.

Historiquement, la soi-disant « démocratie » a servi d’argument pour agiter le peuple contre les dirigeants en place, puis pour créer en réalité des systèmes « démocratique », dont la caractéristique est d’être très faciles à contrôler par l’argent. Très facile aussi à contrôler, à partir de nouvelles idéologies pour agiter toujours plus les gens désinformés contre telle ou telle soi-disant « menace ». Aujourd’hui la menace « russe » ou « chinoise », bien sûr, parce que ce système mondialiste se sent menacé. Et l’Arabie est aussi ciblée par le mondialisme : quand certaines sources libérales reprochent à la Chine de ne pas promouvoir la démocratie, de « garantir aux dictateurs leur longévité », c’est plutôt que la soi-disant lutte pour la démocratie, cache des intérêts qui veulent monopoliser les sources de richesses sans aucune concurrence. Ils veulent des dirigeants pauvres, donc corruptibles.[16]

Donc, après des décennies voire des siècles de manipulation, il est très facile aujourd’hui, surtout avec les nouvelles technologies, d’égarer toujours plus les peuples. L’idéologie mondialiste permet aux mondialistes de se représenter comme une « haute élite éclairée », alors qu’en réalité ils créent l’abêtissement des peuples pour espérer monopoliser et conserver les pouvoirs et les richesses. Ce sont des gens qui ont fait le choix du matérialisme, des serviteurs de Mamon. Mais c’est ça, le mondialisme.

En face, ce n’est pas tant de la démocratie, qu’il nous faut. Il faut des élites éclairées et compétentes qui ne soient pas séduite uniquement par les sirènes de la démocratie ou du matérialisme : tout simplement parce que la démocratie n’a jamais marché, contrairement aux systèmes de guildes qui existaient auparavant. Vous ne pouvez pas forcer tout le monde d’être spécialiste en tout et d’avoir voix sur tout. La démocratie, en ce sens, est aussi une idéologie. C’est uniquement de la démagogie que de faire croire, à n’importe qui, qu’il peut décider sur n’importe quoi.

Mais c’est une démagogie « utile » si vous voulez voler les richesses d’un peuple et remplacer ses classes dirigeantes : vous dites qu’elles ne sont « pas légitimes », « pas démocrates », qu’elles sont « corrompues ». Alors que, qui se soucie de la corruption, des trafics et des salaires mirobolants des grands dirigeants des banques occidentales, de tous les revenus annexes des grands patrons des fonds activistes et vautours de Wall Street ou de la City, et de la façon dont ils corrompent les dirigeants occidentaux ? On en a eu des aperçus saisissants durant la crise du COVID, pourtant… Le fait est que pour avoir la puissance de lutter contre les mondialistes, il ne faut pas être pauvres. C’est la raison pour laquelle ils ciblent les dirigeants qui ont encore la main sur les sources de richesse souveraine de leur pays : parce que s’ils ont des moyens, ils peuvent se défendre et penser par eux-mêmes, ils ne peuvent pas être achetés aussi facilement…

En réalité, la démocratie ou les soi-disant « injonctions à la démocratie », c’est une logique de prédateurs parasites. La Libye s’en souvient, l’Irak s’en souvient, et l’Arabie Saoudite se retrouve aujourd’hui soudainement sous le feu des critiques « occidentales » pour les mêmes raisons. En réalité, elle subit une série de déstabilisations…

Question : Des déstabilisations pour quelle raison ?

Réponse : Des déstabilisations qui sont la conséquence des luttes d’influence qui continuent aux États-Unis. L’Arabie Saoudite avait été poussée par les États-Unis dans le mauvais sens avant l’ère Trump, puis soudain, sous Trump, les États-Unis ont soudainement voulu freiner les guerres illégitimes du mondialisme. Mais ça n’a duré que quatre ans, puis l’usurpateur (pardon, le « Président ») Biden a recommencé sans surprise la politique d’Obama (dont il était le Vice- président).

Nous avions déjà vu sous Trump que d’un côté, l’Arabie Saoudite était encouragée de nouveau à une meilleure politique au Moyen-Orient. Notamment, par l’énorme opération anticorruption du Ritz-Carlton, qui était aussi une opération de concentration du pouvoir : pour limiter les fuites d’argent et renforcer ainsi l’État saoudien.[17] Mais aussi, en commençant à abandonner le wahhabisme, ce qui était une énorme évolution en soi.

Mais de l’autre côté, les sales réseaux de l’État profond aux États-Unis ont tout fait pour empêcher cette nouvelle politique saoudienne. C’est dans ce contexte qu’a eu l’affaire Jamal Khashoggi (2 octobre 2018). Les médias occidentaux se sont empressés de l’attribuer immédiatement à l’Arabie, alors qu’il aussi très probable que l’Arabie ait été piégée dans cette affaire, et le rôle de la Turquie fut pour le moins équivoque.[18] Difficile de ne pas envisager une connexion avec les États-Unis ou Israël. Rien que l’arrière-plan du nom Khashoggi, rappelant son oncle Adnan Khashoggi, rendait déjà cette affaire suspecte de bout en bout…[19]

Ce qui pose question, c’est la facilité d’incriminer l’Arabie Saoudite. La guerre de Libye, la guerre du Yémen, la guerre de Syrie ont été voulue avant tout depuis Washington, Londres et Tel-Aviv. Et pourtant, seule l’Arabie serait à blâmer? Il y a surtout que les efforts de rapprochement entre l’Arabie et l’Iran pour stabiliser l’Irak et la Syrie (notamment par l’entremise du général Soleimani), n’ont pas été appréciés par les fauteurs de guerre. C’est une raison importante pour laquelle on a voulu mettre l’Arabie sous pression…

Le problème de l’Etat Profond, aux Etats-Unis, c’est une vision faussée et politisée des intérêts américano-israéliens : une vision avant tout dangereuse pour Israël à terme, mais qui est propagé par des Juifs américains (souvent d’anciens juifs russes) qui se servent d’Israël pour augmenter leur pouvoir aux États-Unis.

L’ancien Premier ministre Benjamin Netanyahou a été grandement responsable de certains mauvais choix, et il y a en Israël la même lutte d’influence qu’aux États-Unis : une logique de patriotes serviteurs de l’État et du peuple, contre des logiques corruptrices et bellicistes, bien souvent voulues par des civils n’ayant jamais fait la guerre et ne connaissant pas le prix du sang. Il y avait un espoir pour Israël avec Benny Gantz, qui avait derrière lui des gens sérieux, des serviteurs de l’État bien plus lucides que certains idéologues qui voudraient pousser Israël à s’autodétruire. Mais le nouveau Premier ministre Naftali Bennet continue par certains égards une politique belliciste dangereuse, le conduisant à lutter indirectement contre la Russie. En conséquence, l’instrumentalisation de l’Azerbaïdjan ou de l’Ukraine pour gêner et affaiblir la Russie. En réponse, les Russes allongent le tir contre Israël, avec leurs alliés irano-chinois.[20]

C’est dans ce contexte que ces gens auraient voulu faire jouer à l’Arabie un mauvais rôle, et potentiellement, la sacrifier à terme. Les plans de morcellement de l’Arabie Saoudite avaient été clairement formulés par les fauteurs de guerre ![21] Mais pourtant, le Prince héritier Mohammed ben Salmane est en train de réussir à prendre le virage d’une nouvelle Histoire pour l’Arabie saoudite.

Question : C’est-à-dire que l’Arabie Saoudite est en train d’échapper à ceux qui voulaient la manipuler ?

Réponse : c’est exactement cela. De fait, l’Arabie Saoudite ne fait que tirer leçon du fait que l’appareil d’État américain est totalement corrompu. L’alliance américano-saoudienne n’a plus aucun sens à partir du moment où les États-Unis sont en train de dériver vers leur autodestruction, et voudraient emmener leurs alliés avec eux.

Et c’est ce qu’a dit le prince Turki al-Faiçal, l’ancien chef du Renseignement saoudien (entre 1979 et le 1er septembre 2001) : « Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis ».[22] En réalité, c’est totalement légitime, mais il faut avoir un arrière-plan historique pour comprendre cette ancienne alliance americano-saoudienne qui est aujourd’hui bafouée par Biden.

En effet, les camouflets répétés que l’usurpateur Biden a en effet prétendu infliger au royaume saoudien remettent structurellement en cause cette alliance. Par exemple lorsqu’il a déclaré, lors de sa campagne électorale, qu’il ferait de l’Arabie saoudite un paria ; puis en arrêtant les opérations conjointes au Yémen, en retirant les batteries de missiles anti-aériens du Royaume face aux armements iraniens, et en accumulant les manques d’égards qui deviennent évidents. Et surtout : en refusant de rencontrer le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, en déclarant publiquement qu’il ne le rencontrerait pas ! Turki al-Faiçal a fustigé les molles assurances de Biden non suivies d’effet, tout en estimant à raison Biden comme responsables d’une politique énergétique inepte qui met les États-Unis en péril. Turki al-Faiçal a aussi insisté sur le fait que l’Arabie saoudite ne voudrait pas être un bouc émissaire de l’instabilité des prix du pétrole, faisant le lien avec situation de 1973. Comme en 1973, l’OPEP refuse la destruction de l’Europe et subit une politique mondialiste dont elle sera elle aussi victime.

Question : n’est-ce pas là une allusion à un point que vous aviez détaillé dans un article précédent, au sujet de l’Histoire pétrolière ?

Réponse : C’est intéressant, en effet, car j’ai récemment écrit au sujet de cette injustice ayant consisté à attribuer exclusivement la responsabilité des chocs pétroliers de 1973 « aux Arabes »…[23]

De nouveau, aujourd’hui, il est en effet abusif que l’Arabie Saoudite soit incriminée par les États-Unis pour une politique énergétique décidée par les États-Unis, et pour les conséquences d’une guerre illégitime en Ukraine provoquée depuis des années par l’activisme des États-Unis… Le prince Turki l’a dit clairement. Il est encore plus significatif qu’il ait fustigé l’approche récemment avouée sans ambages par Hillary Clinton, l’ancienne secrétaire d’État américaine d’Obama. Elle préconisant et revendiquant une approche « de la carotte et du bâton » visant à forcer l’Arabie saoudite à accroître sa production de pétrole afin de réduire les prix…

La réponse du prince Turki, c’est sans doute ce que l’Arabie rêvait de dire depuis bien longtemps aux anglo-américains… 

« Nous ne sommes pas des écoliers que l’on traite avec une carotte et un bâton. Nous sommes un pays souverain et lorsque nous sommes traités de manière juste et équitable, nous répondons de la même manière. Il est donc regrettable que de telles déclarations soient faites par des politiciens, où qu’ils soient. Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que les relations entre le Royaume et les États-Unis ne s’articuleront pas autour de ce principe ou ne seront pas fondées sur celui-ci. »[24]

Question : il s’agit donc d’une crise diplomatique sérieuse entre les États-Unis et l’Arabie Saoudite ?

Réponse : c’est en effet la révélation soudaine d’un état d’esprit nouveau en Arabie Saoudite, face aux États-Unis.

De même, quand le prince Turki a tenté d’adopter une position médiane et un rôle potentiel de médiateur pour l’Arabie Saoudite, entre la Russie et l’Ukraine. Il a surtout laissé entendre que les relations entre l’Arabie et la Russie sont excellentes « depuis quelque temps »… Ce qui est l’aveu d’une nouveauté historique, depuis les nouveaux accords de défense entre la Russie et l’Arabie Saoudite, outre le raffermissement de ses liens commerciaux avec la Chine. C’est un nouvel équilibre du monde multipolaire qui se dévoile ainsi, plutôt qu’une logique de domination unilatérale américaine sur ses vassaux.

Surtout, indice d’un profond changement d’état d’esprit. L’Arabie Saoudite ne s’est pas gênée pour fustiger l’hypocrisie des Occidentaux : sur la question des réfugiés, mais surtout, sur la question israélo-palestinienne.

En effet, le prince Turki a osé émettre des déclarations impensables pour qui oublie l’Histoire : la question de l’hypocrisie et de l’asymétrie évidente des sanctions occidentales contre la Russie. 

« Le fait que l’ONU ait imposé des sanctions à la Russie pour avoir envahi l’Ukraine, mais qu’aucune sanction n’ait été imposée à Israël lorsqu’il a envahi les pays arabes il y a quelques années. Ce sont les deux poids deux mesures et les injustices qui, selon moi, ont eu lieu au fil des ans. […] Je ne vois pas quelle est la différence entre les deux. Une agression est une agression, qu’elle soit commise par la Russie ou par Israël. »[25]

Question : voir l’Arabie Saoudite n’est-il pas étonnant de voir l’Arabie Saoudite prendre ainsi indirectement parti contre Israël ? N’est-ce pas d’ordinaire un tabou ?

Réponse : il y a en effet une nouveauté historique ici, ou plutôt, l’Arabie renoue avec des positions anciennes et méconnues aujourd’hui.

Car le prince Turki a aussi réfuté hardiment les effets bénéfiques de la normalisation des relations avec Israël — la voie empruntée par plusieurs pays arabes, dont l’Égypte, la Jordanie, les EAU et Bahreïn.

« Je n’en ai pas vu la preuve. Le peuple Palestinien est toujours sous occupation et il est toujours emprisonné bon gré mal gré par le gouvernement israélien. Les attaques et les assassinats de Palestiniens ont lieu presque quotidiennement. Le pillage des terres palestiniennes par Israël se poursuit malgré les assurances données par Israël aux signataires de l’accord de paix entre les EAU et Israël. Il n’y a donc aucun signe qu’apaiser Israël va changer son attitude. »[26]

Ces déclarations ont une énorme importance historique. Elles correspondent en fait pour l’Arabie à un retour aux positions d’Ibn Séoud, le fondateur du royaume. En effet, on sait bien peu aujourd’hui que lors du pacte du Quincy (14 février 1945), le vieux Roi avait émis comme première préoccupation le sort des Palestiniens, face à une immigration juive qui préfigurait déjà la naissance d’Israël. Ce pacte du Quincy est un événement connu, fondant l’alliance entre la puissance américaine et le pétrole saoudien. Mais est bien moins connu le fait que lors de cette entrevue, le Président américain Roosevelt tenta d’obtenir le soutien d’Ibn Séoud à cette immigration juive en Palestine, ce qu’Ibn Séoud refusa catégoriquement :

–         « Je désire que vous mettiez fin à l’immigration juive en Palestine.

Roosevelt est interloqué. – Qu’est-ce que la Palestine a à voir avec l’Arabie Saoudite ?

–         Gardien des lieux saints de la Mecque, je suis le chef religieux de tous les Arabes et leur défenseur naturel.

Le Président change de sujet : – L’avenir de votre pays est extraordinaire. Nos techniciens vous aideront en vous apportant l’énergie électrique comme ils l’ont fait dans le cadre de la Tennessee Valley Authority. En peu d’années, vous vivrez dans un nouvel Éden.

Le Roi a écouté avec ravissement. Il conclut : – Tout cela sera merveilleux et se fera sûrement si immigration juive cesse en Palestine !

Roosevelt ne promet rien. […] Plus tard, il dira à son ami Bernard Baruch : – De tous les hommes que j’ai rencontrés, jamais je n’en ai vu un dont j’ai pu moins obtenir que ce monarque arabe à la volonté de fer ! »[27]

Pour la petite Histoire, Roosevelt ne fit part à Ibn Séoud que d’une « promesse écrite du gouvernement français (de Gaulle) que l’indépendance serait accordée à la Syrie et au Liban », assurant qu’il pouvait demander au gouvernement français d’honorer sa parole, et qu’il soutiendrait les libanais et les syriens « par tous les moyens sauf la force ».[28] C’est un témoignage ici du fait que l’hypocrisie américaine ne datait pas d’hier, pas plus que les guerres de Syrie…

Question : Donc, les États-Unis s’engageaient déjà pour Israël contre les palestiniens, mais promettaient d’extorquer à leurs alliés les plus faibles (la France en l’occurrence) des concessions qu’eux n’étaient pas prêts à donner ?

Réponse : C’est plus grave que ça. Car en réalité, les États-Unis usèrent bien de « tous les moyens », y compris le terrorisme, pour détruire l’Empire colonial français : du Maroc à l’Indochine via la Syrie… Y compris, en détruisant ses nombreuses réalisations qui honorent encore aujourd’hui la France, qui apportait une stabilité et de réels espoirs de développement en Afrique du Nord.

Mais les États-Unis ne faisaient qu’imiter les Britanniques, qui avaient déjà formé des terroristes dès après la Première Guerre mondiale, pour assurer leur domination pétrolière du Moyen-Orient contre la France, en Syrie… C’est à cause de cet activisme anglo-américain, et surtout à l’influence corruptrice anglo-américaine depuis Paris, que la France n’eut jamais de politique arabe et pétrolière vraiment stable. Aussi, parce qu’elle n’avait à l’époque aucun alliée fiable et puissant, comme pourrait l’être la Russie d’aujourd’hui si le Président Macron défendait vraiment les intérêts stratégiques français.

Cette Histoire n’est donc pas récente, et c’est en l’étudiant que l’on comprend mieux notre présent: qui crée donc des guerres illégitimes et des logiques terroristes ? L’Histoire du pétrole est riche d’enseignements à ce sujet. L’ancienne expertise française avait remarqué en fait il n’y avait rien de pire pour un pays que de trouver du pétrole sur son sol, car immédiatement de puissantes intrigues se conjuguaient contre lui, usant y compris de l’arme du terrorisme…[29] 

Question : ce sont donc les anglo-américains qui ont instrumentalisé le terrorisme ?

Réponse : historiquement, c’est parfaitement documenté. Mais il faut remettre certaines choses dans leur contexte.

Tout d’abord, ce que l’on ne dit pas non plus de cette Histoire, c’est le détournement des États-Unis qui fut opéré grâce à la présidence Roosevelt, notamment par l’entremise de son conseiller Bernard Baruch cité ici.[30] Un détournement des États-Unis qui s’opéra dans un sens anormalement pro-israélien, mais qui devint progressivement une mise en danger d’Israël par l’avidité globale de la communauté juive américaine aux États-Unis.[31]

Ces abus d’une partie de la communauté juive américaine, sont notamment dénoncés par de grands Juifs américains parfaitement honorables comme Steve Pieczenik ou Norman Finkelstein.[32] Et ce sont ces mêmes abus dans l’influence d’une partie de la communauté juive américaine aux États-Unis, qui orientent les États-Unis dans une logique de guerre contre la Russie en l’Ukraine : parce qu’une partie non négligeable de ces Juifs américains sont d’anciens Juifs russes n’ayant jamais digéré leur haine fanatique contre la Russie chrétienne. Soljenitsyne a tout écrit à ce sujet…[33]

C’est-à-dire que face à ces logiques bellicistes, il y a une convergence d’intérêts entre le monde arabe et la Russie.

Il n’est donc pas anodin de voir l’Arabie Saoudite ici prendre nettement position contre l’absence totale de réaction aux activités israéliennes au Moyen-Orient ces dernières années, en constatant combien cette bienveillance excessive a encouragé Israël à une avidité excessive. Or cette avidité expose Israël à un ressentiment durable qui menacera son existence tôt ou tard. Ce n’est pas sage, et soudain, l’Arabie Saoudite aligne donc ses positions sur ce qu’a fait la Russie depuis 2015 en Syrie : c’est le sort des armes, bien plus que l’hypocrisie, qui a tempéré les « ardeurs » d’Israël et qui a empêché le Moyen-Orient tout entier de devenir une zone de chaos sans fin.

Question : Donc, peut-on dire en réalité que l’Arabie est en train de se comporter comme un allié véritable des États-Unis, en disant des choses déplaisantes mais nécessaires pour l’intérêt des États-Unis ?

Réponse : En quelque sorte, oui. C’est comme un ami qui oserait vous donner un conseil déplaisant pour votre bien.

De fait, c’est un apaisement du Moyen-Orient qui semble possible, grâce à une entente russo-chinoise au soutien de l’Arabie. Ce qui permet à l’Arabie d’envoyer un message clair à Washington : la décadence du système politique américain ne pourra plus contaminer l’Arabie Saoudite, ni mettre le Moyen-Orient à feu et à sang.

Le prince Turki a aussi plaidé pour de meilleures relations avec la Turquie, et s’est montré optimiste quant à la possibilité d’un accord de paix durable au Yémen. Or, la Turquie, c’est l’alliance de revers d’Israël,[34] qui a été poussée au pire contre la Russie, malgré le fait qu’Erdogan ait été sauvé par les Russes et les Iraniens, à l’été 2016, d’un coup d’État fomenté par la CIA.[35] Au contraire, Erdogan est poussé vers des choix qui sont dangereux pour lui à terme, un peu comme Israël est poussé par la communauté juive américaine à des choix dangereux…

Mais ce qui est intéressant, ce sont les signaux qu’a envoyés depuis plusieurs mois le prince Turki, suite aux prises de position illisible de la part des États-Unis, contre l’Arabie Saoudite. Et derrière le prince Turki, il y a le Prince héritier Mohammed ben Salmane, sans aucun doute, dont il est le relais.

Question : c’est-à-dire que selon vous, le prince Turki est en quelque sorte le porte-voix de l’Arabie Saoudite et du Prince héritier Mohammed ben Salmane, chargé de sonder et de rappeler les États-Unis à la raison ?

Réponse : cela me semble évident. Turki al-Faisal sait beaucoup de choses, et il envoie beaucoup de messages. Il a eu raison de dire que les États-Unis ne pouvaient de toute façon pas rester en Afghanistan, qu’ils ont évacué à l’été 2021.[36] Le prince Turki al-Faisal a envoyé d’autres signaux en direction des États-Unis après ce retrait d’Afghanistan : sur Jamal Khashoggi, sur les attentats du 11 septembre 2001, sur le rôle des États-Unis au Moyen-Orient…[37] Des signaux de sagesse qui avaient plusieurs sens, tandis que les Etats-Unis faisaient entendre leur volonté de désengagement du Moyen-Orient.

Sur ces sujets, l’Arabie est de plus en plus incriminée et prise à partie, depuis les Etats-Unis, pour des raisons qui ne sont pas présentées avec toute l’honnêteté requise… Même durant l’ère Trump ! Notamment, la mise sous pression judiciaire à intervalles réguliers de l’Arabie (depuis l’époque Obama), qui se voit potentiellement menacée d’un gel de ses avoirs en dollars, sous prétexte de l’implication de pirates de l’air saoudien durant les attentats du 11 septembre 2001 : ce n’est absolument pas un comportement d’un allié envers un autre allié. C’est plutôt une logique d’encaisseur mafieux qui voudrait racketter l’Arabie Saoudite, au mépris des réelles responsabilités dans ces attentats.

Alors, je ne sais pas, moi, mais peut-être, qui sait, que l’Arabie Saoudite en a marre de se voir incriminée sans cesse pour tout et son contraire ? Alors que les initiés savent très bien ce qu’il convient d’en penser… Que disent, déjà, les patriotes américains, au sujet du 11 septembre 2001, de l’implication d’une certaine partie de la communauté juive américaine ou de l’establishment israélien, et de l’étonnante complicité des autorités américaines ?[38] Il me semble que le Dr. Steve Pieczenik, entre de nombreux autres, a déjà donné une version bien plus complète de la réalité, dès avril 2002. Et pourtant, depuis plusieurs années, on n’incrimine que l’Arabie et on fait pression contre elle seule ? C’est l’affaire des « 28 pages »[39] : le dossier ciblant l’Arabie Saoudite à l’occasion de ces attentats du 11 septembre 2001, mais uniquement l’Arabie ! Les initiés savent ce qu’il convient de penser de cette hypocrisie délirante…

Alors, quand par exemple la Russie est trop lourdement accrochée par les États-Unis et par Israël, en Syrie ou en Ukraine, elle laisse entendre qu’elle pourrait révéler certaines imageries satellites concernant le 11 septembre 2001… Vu de France, où la Communauté du renseignement fut à l’époque, avec le Renseignement russe, la plus lucide sur ces attentats du 11 septembre 2001, nous savons bien sûr ce qu’il convient d’en penser.[40] Mais la Russie brise ici un tabou et les Saoudiens menacent aussi de le briser. Les États-Unis et Israël savent parfaitement ce que cela signifie…

Question : c’est-à-dire que selon vous, l’Arabie Saoudite est en quelque sorte le bouc émissaire parfait, mais la Russie lui vient aujourd’hui en aide ? N’est-ce pas contradictoire avec les combats qu’a mené la Russie, au Moyen-Orient et en Asie centrale ?

Réponse : Certes, mais les circonstances ont changé. Du reste, il conviendrait être clair au sujet de ce dont nous parlons : il y a le terrorisme, et il y a les combattants mercenaires des guerres asymétriques. C’est bien sûr un sujet sensible, mais ce sont déjà deux choses différentes.

Il faut rappeler l’Histoire avec pragmatisme : l’alliance americano-saoudienne dans la guerre d’Afghanistan précédente est documentée (1979-1989).[41] Mais elle pouvait tout à fait se justifier dans le contexte de la Guerre froide, face à l’URSS dont le système était réellement un danger pour le reste du monde. Sauf que, pour être complet dans ce raisonnement, encore faudrait-il comprendre qu’historiquement, le système soviétique avait été mis en place depuis les États-Unis : par les mêmes intérêts financiers qui détruisent aujourd’hui les États-Unis et le reste de l’Occident, et qui voudraient aujourd’hui dominer l’Arabie.[42]

Ce qui veut dire que la lecture du tableau est tout à fait différente, si l’on considère que l’URSS était « la grande menace », ou bien que c’était en réalité l’internationalisme financier anglo-américain (en réalité celui de la City et de Wall Street) qui était la véritable grande menace. Une grande menace qui perdure, alors que le système soviétique n’existe plus. C’est ce qui nous impose de comprendre la réalité du système mondialiste actuel, et de ce qui va évoluer durant les années qui viennent.

Mais dans le contexte d’une Russie redevenue la Sainte Russie, luttant contre les « nouveaux bolchéviques » de notre époque, c’est-à-dire contre les combattants mercenaires utilisés pour détruire la Syrie, à l’initiative des Etats-Unis, du Royaume Uni et d’Israël,[43] l’Arabie peut tout à fait prendre acte de cette nouvelle réalité. Les initiés savent ce qu’il convient d’en penser, mais la diplomatie, c’est aussi le pragmatisme. Ce qui est aujourd’hui capital, c’est la façon dont la Russie est en train de sauver le Moyen-Orient, avec l’appui de la Chine, et c’est l’Arabie Saoudite qui devient de nouveau l’Etat-pivot du Moyen-Orient, grâce à la sagacité du Prince héritier Mohammed ben Salmane. De fait, même Israël est en train de comprendre que l’alliance américaine est en train de s’effondrer avec l’effondrement à venir du pétrodollar.[44]

Question : c’est-à-dire que l’évolution du Moyen-Orient, va permettre en fait à l’Arabie de s’émanciper de la tutelle américaine ?

Réponse : Plus précisément, je pense que la tutelle américaine anciennement fiable, est en train d’être sabotée délibérément par le mondialisme, afin de pouvoir dominer financièrement l’Arabie : capter les richesses, mais sans la protection des États-Unis.

Sauf qu’en face, un nouveau système financier sous protection russo-chinoise est en train d’émerger, comme concurrent du système financier mondialiste dérivé du pétrodollar, dont j’avais parlé dans mon article précédent.[45]

C’est dans ce contexte que les choix du Prince héritier Mohammed ben Salmane sont les meilleures que puisse faire aujourd’hui l’Arabie. C’est parce que la Russie et la Chine ont su créer un nouveau contexte, mais c’est l’intelligence de Mohammed ben Salmane qui lui permet de jouer honnêtement cette nouvelle opportunité historique. Et je pense, de faire passer d’excellents messages par l’entremise du Prince Turki al-Faiçal.

En fait, tout ceci est le renouveau d’une lutte aujourd’hui bien trop souvent oubliée par les Occidentaux, alors que les Russo-Chinois se sont nourris de cette expertise historique occidentale, aujourd’hui ironiquement « interdite » en Occident.

Ce sont cinq siècles de montée progressive d’un impérialisme financier internationaliste, c’est-à-dire déconnecté des Etats et vampirisant les Etats comme les peuples, qu’il nous faut comprendre. Cet internationalisme financier qui a été régulièrement dénoncé par des esprits puissants aux États-Unis, en Angleterre, en Occident ou dans le reste du monde. Et pourtant, cet internationalisme financier s’est imposé au monde grâce à deux guerres mondiales au XXe siècle, dont les causes réelles n’étaient pas du tout celle que l’on nous apprend aujourd’hui.

En effet, l’une des causes principales de la Première Guerre mondiale était un duel entre deux modèles économiques opposés. D’un côté, un modèle prédateur et colonialiste, le modèle abusivement considéré comme « britannique », en vérité mondialiste. De l’autre, le modèle économique dit « allemand », en réalité le vrai modèle économique européen qui était à l’époque adopté aussi par les États-Unis et la Russie. De la Première Guerre mondiale naquit la Révolution bolchevique contre la Russie en 1917, et c’est parce que la Russie était devenue l’URSS, propageant des troubles dans toute l’Europe, que la Seconde Guerre mondiale fut possible, à partir d’un clivage radical entre bolchevisme (puis soviétisme) et nazisme.

Entre-temps, les États-Unis furent convertis à ce modèle économique mondialiste, et ils en sont devenus le bras armé après la Seconde Guerre mondiale. Mais l’internationalisme financier les a également subvertis, malgré les résistances comme le maccarthysme, ou plus tard certaines prises de conscience de l’ère Reagan. Les eurodollars puis la guerre du Viêt-Nam avaient été conçus pour ruiner les Etats-Unis, en transférant massivement des richesses vers certains opérateurs privés et au final ver les mégabanques, comme la guerre d’Afghanistan récemment terminée. Ce n’est qu’aujourd’hui que les patriotes américains commencent réellement à comprendre ce qui leur est arrivé, c’est-à-dire comme dirait le général MacArthur : « trop peu, trop tard ». Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Question : donc, si je vous comprends bien, les États-Unis sont en danger et plutôt que de partager leur sort, l’Arabie Saoudite est en train de faire le meilleur choix pour sa survie ?

Réponse : Réponse duale. Dans le contexte des abus de Wall Street, des élections volées, le mondialisme veut délibérément sacrifier les États-Unis et tout l’Occident dans les années qui viennent, oui.

Le Président Charles de Gaulle avait averti au sujet des conséquences de ce genre de géopolitique américaine erratique, dès 1963 :

« La vérité, c’est que les Américains finiront par se faire détester par tout le monde. Même par leurs alliés les plus inconditionnels. Tous les trucages qu’imaginent les Américains sont démentis par les événements. »[46] 

Mais la France fustigeait ici, non pas les véritables États-Unis, mais en réalité le détournement des États-Unis par une finance vampire et mondialiste.

C’est dans ce contexte que les États-Unis de Joe Biden prétendent encore aujourd’hui jouer un rôle qui n’est plus positif, au Moyen-Orient mais aussi en Ukraine dans le reste du monde.[47] Mais en réalité, les États-Unis de Joe Biden sont en train de perdre l’Arabie Saoudite, et c’est une très bonne chose pour l’Arabie et pour la paix au Moyen-Orient. C’est dans ce contexte qu’enfin, l’Administration Biden a envoyé secrètement son directeur de la CIA pour rencontrer le prince héritier Mohammed ben Salmane, à la mi-avril 2022.[48] « Trop peu, trop tard »…

Il y a sans doute aussi une coopération occulte entre la Russie et les États-Unis dont j’ai déjà parlé, dans ce « nouvel ordre mondial à cinq » que j’avais évoqué en 2020.[49] Derrière la guerre de Syrie, il y avait déjà une coopération entre les patriotes américains et les patriotes (Siloviki) Russes. Derrière la guerre d’Ukraine, j’envisage tout autant une nouvelle coopération entre les patriotes russes et les patriotes américains : car l’Ukraine a servi de base de corruption majeure pour l’État profond américain. Assécher le Marais à Washington, suppose de fermer la vanne ukrainienne.[50] C’est assez drôle, car c’est l’inverse de ce que disent les « fondations » antirusses de Washington, comme la Free Russia Foundation, qui nous explique à qui veut bien entendre que c’est la Russie qui contamine le si vertueux monde occidental tout entier avec toute sa méchante corruption « russe »…

Je pense pourtant que les patriotes américains pourront restaurer leur République. Il est tout à fait possible que Donald Trump revienne dans l’Histoire, mais cela ne suffira pas pour autant. Les Etatsuniens ne pourront faire l’économie de certaines prises de conscience : ils devront comprendre d’où vient la subversion aux États-Unis[51] afin d’y mettre un terme. Et ceci, en écoutant notamment la Russie, mais aussi la France, à condition qu’elle ne soit plus gouvernée par Emmanuel Macron…


[1] EL HATTAB, Morad : Saïf al Islam Kadhafi. Un rêve d’avenir pour la Libye. Éd. Erick Bonnier, 2019

[2] HINDI, Youssef : Occident & Islam, t.I & II, éditions Sigest, 2015 & 2018.

[3] « Trump, Poutine, Xi Jinping, Boris Johnson et Mohammed ben Salmane : Un autre Ordre Mondial imprévu émerge. » (Saker / CVR, 22 mai 2020) https://lesakerfrancophone.fr/un-autre-ordre-mondial-imprevu-emerge

[4] « Le Prince héritier Mohammed ben Salmane : une vision d’avenir pour le Proche-Orient. » Marjalla, 2/8/2020 https://fr.majalla.com/node/97731/%C2%AB%C2%A0le-prince-h%C3%A9ritier-mohammed-ben-salmane%C2%A0-une-vision-d%E2%80%99avenir-pour-le-proche-orient%C2%A0%C2%BB

[5] Joe Biden : “how I learned to love the New World Order”  (Wall Street Journal, 23/4/1992)

[6] « Trump, Poutine, Xi Jinping, Boris Johnson et Mohammed ben Salmane… », ibid.

[7] « L’Arabie saoudite, prochaine victime du renversement du monde : Vers une guerre de mille ans pour la Mecque ? » Jean-Maxime Corneille, Académie de Géopolitique de Paris, 15/7/2015

Fabrice Balanche, « L’Etat au Proche-Orient arabe entre communautarisme, clientélisme, mondialisation et projet de Grand Moyen Orient », L’Espace Politique [En ligne], 11 | 2010-2, mis en ligne le 18 novembre 2010, consulté le 26 mai 2022. URL : http://journals.openedition.org/espacepolitique/1619 ; DOI : https://doi.org/10.4000/espacepolitique.1619

[8]« 2000 Mules », documentaire de Dinesh D’Souza, 2022.

[9] « Klaus Schwab Associate – Yuval Noah Hariri – Explains The Elites’ Next Steps » BitChute, 21/5/2022

https://www.bitchute.com/video/bnezYYi18aD6/ « World Economic Forum shill, Yuval Noah Hariri: « We need to not just monitor people, we need to monitor what’s happening under their skin” » Patriots, 22/5/22 https://patriots.win/p/15HvPlvWez/world-economic-forum-shill-yuval/c/

« Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés » » (Anguille sous Roche, 7 mars 2022. https://www.anguillesousroche.com/technologie/le-fem-de-klaus-schwab-en-2020-les-humains-sont-desormais-des-animaux-piratables-et-seront-reingenierises/

[10] « Pfizer CEO Albert Bourla explains Pfizer’s new tech to Davos crowd: « ingestible pills » – a pill with a tiny chip that send a wireless signal to relevant authorities when the pharmaceutical has been digested. « Imagine the compliance » ». « ‘Imagine The Compliance’: Pfizer CEO Pitched Davos Elites On WiFi Microchip Pills » Zerohedge, 22/5/2022 https://www.zerohedge.com/political/imagine-compliance-pfizer-ceo-pitches-davos-elites-wifi-microchip-pills VF : « « Imaginez la conformité » : Le PDG de Pfizer présente aux élites de Davos des pilules à micropuce WiFi » Anguille sous Roche, 22 mai 2022.

[11] « L’hypothèse chinoise sur les expériences biologiques militaires US » Réseau Voltaire | 25 mai 2022

[12] FEM, 2022. ‘The Future Is Built By Us’: Klaus Schwab Lays Out Vision For A New World Order » Daily Caller, 23/5/2022. 

[13] « Soros Says Civilization May Not Survive Russia’s Invasion » Bloomberg Quicktake: Now, 24 mai 2022.

[14] « Remarks Delivered at the 2022 World Economic Forum in Davos » George Soros, 24/5/2022. « George Soros on Russia, China and the Fight of Our Lives: Remarks Delivered at Davos » Open Society Foundations, 25 mai 2022. « « La civilisation pourrait ne pas survivre » – George Soros dit à Davos de « Vaincre Poutine (et Xi), sinon … »  Aube Digitale, 25/5/2022. George Soros estime que Xi Jinping est « la plus grande menace » actuelle contre les « sociétés ouvertes » RT, 1/2/22.

[15] MUCCHIELLI, Roger : La Subversion. Édition (initiale Bordas : 1971) C.L.C., Paris, 1976.

[16] « Au Moyen-Orient, la Chine garantit aux dictateurs la longévité » Institut Montaigne, 18/5/2021 https://www.institutmontaigne.org/blog/au-moyen-orient-la-chine-garantit-aux-dictateurs-la-longevite

[17] « Arabie Saoudite, un pays protégé ? Pierre Conesa [EN DIRECT] » Thinkerview, 2 juil. 2019. https://www.youtube.com/watch?v=5TbbV06LlP0

[18] « Khashoggi a-t-il vraiment été tué ? » F. William Engdahl Réseau International, 24/1/2019.

[19] SCOTT, Peter Dale : L’État Profond américain : La finance, le pétrole, et la guerre perpétuelle, Éditions Demi-Lune, 2015.

[20] « Double opération contre le Dôme de fer dans le nord et le sud » IRIB, 20/5/2022

https://french.presstv.ir/Detail/2022/05/20/682406/Drone-D%C3%B4me-de-fer-Isra%C3%ABl-Hezbollah-DCA-Palestine-Khan-Youn%C3%A8s-Rafah-Sir%C3%A8nes-d%E2%80%99alerte–

[21] Fabrice Balanche, « L’Etat au Proche-Orient arabe entre communautarisme… » précité.

[22] « «Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis», affirme le prince Turki al-Faisal » Arab News, 1/5/2022. https://www.arabnews.fr/node/235391/monde-arabe

[23] « Saudi Arabia is surviving financial liberation thanks to the realism of Mohammed bin Salman: Morad al-Hattab » (Mena, 30/3/22) https://www.leaders-mena.com/saudi-arabia-is-surviving-financial-liberation-thanks-to-the-realism-of-mohammed-bin-salman-morad-al-hattab/

[24] « Les Saoudiens se sentent trahis par les États-Unis», Ibid.

[25] Ibid.

[26] Ibid.

[27] E. Roosevelt, As he saw it. Duell, Sloan and Pearce, New York, 1946. Cité dans

CHARLIERJean-Michel ; LAUNAY (de), Jacques : Histoire secrète du Pétrole. Presses de la Cité, 1985, p.74.

[28] Ibid.

[29] HAUTECLOCQUE, Xavier (de) : Le Turban Vert, Nouvelle Revue Critique, 1930 (réédition Energéïa, 2013). FONTAINE Pierre ; Les secrets du pétrole, édit. Les 7 Couleurs, 1963 (réédition partielle sous le titre « La guerre secrète du pétrole« , Collection L.I.E.S.I, 2008).

[30] DALL, Curtis B. : Franklin D.Roosevelt ou comment mon beau-père a été manipulé. 1968. VF : Sigest, 2015.

[31] « Israël: Tsahal va simuler une frappe à grande échelle contre l’Iran, les États-Unis devraient participer à l’exercice »  i24NEWS, 17/5/2022

[32] « Dr. Steve Pieczenik, sur Benghazi, Israël, le 11 septembre 2001, Netanyahou, l’AIPAC, le Sionisme. » (Infowars/CVR, 16 Septembre 2012). « Steve Pieczenik – entrevue avec Alex Jones, Infowars, 4 mars 2015 concernant Netanyahou spécialement » (Steve Pieczenik/CVR, 4/3/2015). FINKELSTEIN, Norman G. : L’Industrie de l’Holocauste – Réflexion sur l’exploitation de la souffrance des Juifs. Éditions La Fabrique, 2001.

[33] SOLJENITSYNE, Alexandre : Deux siècles ensemble (tome 1 & 2, Fayard, 2002 & 2003). L’Erreur de l’Occident (1980). Réédition Cahiers Rouges, 2006.

[34] BERGMAN, Ronen : Lève-toi et tue le premier : l’histoire secrète des assassinats ciblés commandités par Israël, Paris, Grasset, 2018.

[35] « Washington a-t-il attiré Erdogan dans un piège ? » F. William Engdahl Réseau International, 1 mai 2021

https://reseauinternational.net/washington-a-t-il-attire-erdogan-dans-un-piege/ « La roulette russe d’Erdogan : était-ce uniquement une revanche pétrolière? » F. William Engdahl, 26/11/2015 http://www.williamengdahl.com/frenchNeo26Nov2015Full.php

[36] « Prince Turki Al Faisal Al-Saud: The American Withdrawal From Afghanistan ‘Was Inevitable’ » MSNBC, 17/11/2021. https://www.youtube.com/watch?v=fwvHB_RN-KY

[37] « Full Interview: Prince Turki Al-Faisal on 9/11, Afghanistan and America’s role in the Middle East » CNBC International, 8/9/2021.  https://www.youtube.com/watch?v=YVQ2iffcu90

[38] PIECZENIK, Steve : Steve Pieczenik TALKS : The Septembre of 2012 through The Septembre of 2014. Autoédité Pieczenik, 2014. Steve Pieczenik TALKS : Volume II : The Septembre of 2014 through The Septembre of 2015. Autoédité Pieczenik, 2015. PIECZENIK, Steve : American Warrior in Crises. Ed. Twelve Generations. 2019. PASIN, Patrick : LE FBI Complice du 11 septembre. Editions Talma, 2019.

[39] « 11 Septembre : ces 28 pages qui menacent l’axe Washington-Riyad » Figaro, 2/2/2015.

[40] La face cachée du 11 Septembre (Ed. Plon, 2004). BRISARD, Jean-Charles ; DASQUIE, Guillaume : Ben Laden la Vérité Interdite. Ed. Denoël Impact, 2001. « Un réseau d’espionnage israélien a été démantelé aux Etats-Unis », Le Monde.fr, 5 mars 2002.

[41] ENGDAHL, F. William : Le Charme discret du Djihad, éd. Demi-Lune, 2018.

[42] SUTTON, Anthony C. : Wall Street et la Révolution bolchévique. (1976). Éd. Le Retour aux Sources. 2012.

[43] CHAIX, Maxime : La guerre de l’ombre en Syrie : CIA, pétrodollars et djihad. Éd. Erick Bonnier, 2019

[44] « Israel Adds Yuan to $206 Billion Reserves in ‘Philosophy’ Change » Bloomberg, 20/4/22 https://www.dailymail.co.uk/news/article-10780583/George-Soros-Clinton-Obama-staffers-European-governments-anti-Musk-campaign.html

[45] « Saudi Arabia is surviving financial liberation… » (ibid).

[46] Charles de Gaulle, 6 novembre 1963. Cité par Alain Peyrefitte : C’était de Gaulle, Tome II.

[47] « Le dangereux plan de Washington au Moyen-Orient » F. William Engdahl, Saker Francophone, 17/6/2017. « Biden est il en train de perdre l’Arabie saoudite ? » F. William Engdahl, Saker – 6/9/2021

[48] « CIA Chief Met Saudi Crown Prince Last Month in Push to Mend Ties » Wall Street Journal, 3/5/22). « Le directeur de la CIA s’est rendu secrètement en Arabie saoudite pour rétablir les liens bilatéraux » (Atalayar, 4/5/2022).

[49] Article.

[50] COMMIITTEE for the REPUBLIC, John Mearsheimer, Ray McGovern, 2/3/22. : « Putin’s Invasion of Ukraine »» VF : John Mearsheimer explique l’intervention russe en Ukraine https://odysee.com/John-Mearsheimer-explique-l’intervention-russe-en-Ukraine:cf1432816bbf9215ba4390c4999c58d789a388e6

[51] Older Klaus Schwab: Yes, the World Economic Forum Annual Meeting is about Elites Advancing a Conspiracy Written by Adam Dick, Ron Paul institute Tuesday May 24, 2022.

http://www.ronpaulinstitute.org/archives/peace-and-prosperity/2022/may/24/klaus-schwab-yes-the-world-economic-forum-annual-meeting-is-about-elites-advancing-a-conspiracy/




L’État en bien mauvais état

(aménagement, sécurité, santé, économie, diplomatie…)

Par Lucien SA Oulahbib

[Photo : AFP/Eric CABANIS]

En été 1911, les fortes chaleurs durèrent plus de deux mois et demi et il y eut plus de quarante-six mille morts rappelle Epoch Times  dans un article résumant plusieurs sources. Par ailleurs, le fait qu’en ces périodes le feu fasse son apparition apparaît chose commune, en particulier pour les pyromanes et les accidents électriques. Un débroussaillage intempestif ne le préviendrait pas nécessairement, tant il s’agit d’entretenir la forêt avec discernement, analysent certains spécialistes hors salons médiatiques. Ceci implique ni de refuser d’en faire ni de l’effectuer de façon systématique d’après eux, tout en reboisant perpétuellement afin d’oxygéner les paysages, villes comprises. Et il y a bien sûr plus (et dans nos cordes) : le manque de préparation flagrant avec déjà [seulement] neuf canadairs [fonctionnels] sur vingt-deux à disposition, montrant en quoi la dégradation systématique désormais des services publics est devenue reine…

Comme si, à l’instar de ce qui se passe dans le nucléaire (une centrale sur deux en arrêt), à l’hôpital, dans la police, l’armée, l’enseignement — n’en jetez plus ! —, l’abandon était devenu la règle et la rustine l’exception. Ou comment passer d’un État dit « régalien » et prévoyant à un État assemblé en un tas d’expédients surplombés par un état d’exception perpétuel. Amin Dada en mode white face.

Tandis que la maison France flambe de ses impérities, nos gouvernants regardent ailleurs (pour reprendre et adapter une autre formule chiraquienne bien plus seyante que celle employée récemment par celui qui se dit Président), un « ailleurs » qui permet d’aller déverser des milliards jugés sans doute inutiles en France tant cela inciterait les Français à réclamer plus de sécurité et de confort, ce qu’il ne faut surtout plus avoir en « économie de guerre » et en « politique de sobriété » (pour les gueux). Sus, donc contre LE virus, LE Poutine et LE réchauffement climatique ma bonne Brigitte !…

« Nous » sommes non seulement gouvernés par des ânes, mais en plus ceux-ci masquent qu’ils sont d’abord des monstres froids de type néronien sachant cependant parfaitement l’effacer par leur poker face. Visages chirurgicaux façon docteur Folamour (retour du masque à l’Assemblée) et chiens de faïence pour les servir dans les médias (les lyres néroniennes) déversant sans honte bue et hormis quelques exceptions (C.News encore un peu et uniquement désormais. Même Sud Radio a basculé du Côté Obscur) ainsi que les réseaux de réinformation qui gênent de plus en plus d’ailleurs les incompétents recyclés dans la vérification propagandiste au sens de repérer ce qui reste encore de « vraies » nouvelles pour en dénoncer les sources, une sorte de brouillage (l’AFP en tête) tel celui effectué par les camionnettes de la Gestapo lorsqu’elles passaient dans les rues conspirationnistes (soupçonnées d’écouter radio Londres).

Ces spadassins de l’immatériel s’offusqueront bien sûr de les avoir comparés ainsi, mais il faut bien quelques analogies auxquelles d’ailleurs l’on pourrait ajouter les actions du KGB et de la Stasi sans oublier celles du régime maoïste qui profite des tensions actuelles pour avancer ses pions vers Taïwan visant à effacer jusqu’à l’image de la révolution démocratique de 1911 (encore cette année…) qui a vu Sun Yat-Sen proclamer la République, ses descendants s’étant par la suite réfugiés à Taïwan (ex-Formose) du fait du coup d’État maoïste de 1949 ayant cependant été rendu possible par l’incompétence des dirigeants du camp nationaliste.

Aussi est-il dommageable de voir la Russie actuelle se rapprocher faute de mieux de ce régime honni, alors qu’il serait bien plus profitable pour elle comme pour la France et l’Europe de revenir à l’application des accords de Minsk2, afin de pousser à la négociation avec une Russie qui par ailleurs s’avère plus efficace dans ses soutiens que les USA comme on le voit aujourd’hui au Mali (hier en Syrie) et également bien sûr à l’encontre du régime mis à la tête de Kiev et tenu à bout de bras par une OTAN conquérante (et si pro LGBTQ+ qu’il en a fait de plus en plus en sourdine un autre casus belli).

C’est sans doute ce qui a manqué à Zemmour et à Marine Le Pen (à moins de se contenter d’être derrière la Nupes ou d’être hypnotisé par le chiffre 7) : afficher clairement une politique nationaliste idoine et ferme permettant de montrer que l’on ne s’en laisse pas compter, pas plus sur ce point que sur l’abandon des soignants, et de la sécurité publique comme privée ; rétorquer a contrario que c’était là la ligne des Patriotes et qu’ils ont fait encore moins que Reconquête, ce propos rate le coche, car il ne s’agit pas de viser la part de gâteau du voisin, mais d’agrandir celui-ci en l’occurrence par cette désormais marée et manne humaine d’abstentionnistes qui vraisemblablement attendent un discours maîtrisé surtous ces problèmes et non pas seulement une maîtrise du discours (une sophistique) pour paraphraser Roland Barthes.




ARRÊTEZ LES INJECTIONS !

« Un film d’horreur » selon les démissionnaires des agences de santé américaines(([1] U.S. Public Health Agencies Aren’t “Following the Science,” Officials Say (commonsense.news)
Marty Makary M.D., M.P.H. and Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Jul 14 22
Dr. Marty Makary is a Johns Hopkins professor and public policy researcher. He is a member of the National Academy of Medicine, writes for the WSJ and the Washington Post, and is author of the NYT bestselling book, The Price We Pay.
Tracy Beth Høeg M.D., Ph.D.
Consultant epidemiologist with Florida Department of Health, PM&R physician in Northern California, mom of four and Danish-American dual citizen.))

Par Nicole Delépine

« Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. »

Les agences de santé publique des États-Unis ne « suivent pas la science », disent des responsables démissionnaires. « Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire. »

Voici en résumé ce que racontent les fonctionnaires des agences de santé des USA qui n’en peuvent plus de tant de mensonges depuis deux ans mettant en péril la vie de leurs concitoyens.

« Les appels et les SMS sont implacables. À l’autre extrémité se trouvent des médecins et des scientifiques aux plus hauts niveaux des NIH(([2] https://www.nih.gov

Official website of the National Institutes of Health (NIH). NIH is one of the world’s foremost medical research centers. An agency of the U.S. Department of Health and Human Services, …)), de la FDA et du CDC. Ils sont diversement frustrés, exaspérés et alarmés par l’orientation des agences auxquelles ils ont consacré leur carrière ».

Les hauts responsables conscients n’en peuvent plus ! « C’est comme un film d’horreur que je suis obligé de regarder et je ne peux pas fermer les yeux », a déploré un haut responsable de la FDA. »

Ils ont toléré longtemps, très longtemps, peut-être naïfs au début, mais vite conscients du rôle pervers qu’on leur faisait jouer. Mais pour comme nos pompiers suspendus sans salaire (alors que la France brûle, nos médecins et personnel soignant également écartés de leur fonction avec mépris, diffamation et sans salaire, ni RSA), démissionner est un acte difficile parfois quasiment impossible. Nos « malgré nous » injectés parce que devant continuer à payer la maison, nourrir les enfants et… de plus, faire cesser les drames avec le conjoint, la famille, d’un autre avis, pour ne pas divorcer, ne pas couper tout lien, comprennent bien ce qu’ont ressenti les fonctionnaires des agences américaines qui parlent aujourd’hui comme probablement voudraient le faire ceux des agences européennes qui se taisent encore par peur…

Ils ont tout toléré, mais l’attaque frontale des nourrissons en a fait exploser un certain nombre. Ces enfants et a fortiori nourrissons qui ne risquent RIEN du covid et qu’on voudrait nous forcer à injecter.

La goutte d’eau a fait craquer ce médecin de la FDA qui fait référence à deux développements récents au sein de l’agence :

— comment, en l’absence de données cliniques solides, l’agence a-t-elle autorisé les vaccins Covid pour les nourrissons et les tout-petits, y compris ceux qui avaient déjà le Covid ?

— deuxièmement, le fait que quelques mois auparavant, la FDA a contourné ses experts externes pour autoriser les injections de rappel pour les jeunes enfants.

« Ce médecin n’est pas seul. Au NIH, les médecins et les scientifiques se plaignent auprès de nous d’un moral bas et d’un manque de personnel : le Centre de recherche sur les vaccins des NIH a vu beaucoup de ses scientifiques principaux partir au cours de la dernière année, y compris le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef ».

Il semble bien que le bateau NIH n’ait plus de capitaine et que de très nombreux postes soient à pourvoir, y compris des emplois de haut niveau. Le CDC(([3] Center for disease control and prevention: officiel dans chaque état et un fédéral
Centers for Disease Control and Prevention (cdc.gov) )) a connu un exode similaire.

Bien que les bénéfices aient été élevés, « le moral est bas », selon un haut responsable du CDC. « Les choses sont devenues si politiques, pourquoi sommes-nous là ? » Un autre scientifique du CDC dit : « J’étais fier de dire aux gens que je travaille au CDC. Maintenant, je suis gêné. »

Pourquoi gênés ? Leur travail n’a plus rien à voir avec la science, la vraie, celle du doute légitime, celle des données non truquées au gré des ordres du ministère, etc.

Une réponse détaillée a été reçue par les auteurs. Les fonctionnaires ne supportent plus « que les dirigeants de leurs agences utilisent des données faibles ou erronées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale ».

« Que de telles décisions sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens à Washington ou pour l’administration Biden. Et qu’ils se concentrent comme des myopes sur un virus plutôt que sur la santé globale ».

LA LIMITE ENFIN DÉPASSÉE ?

Mais trop c’est trop et toucher aux enfants est peut-être enfin la limite qu’on ne peut franchir.

On l’a longtemps espéré en France comme aux USA devant le confinement invraisemblable d’enfants innocents du covid, devant le port du masque devant des nourrissons qui ne savent plus ce qu’est un nez une bouche après 18 mois d’adultes muselés devant eux, des petits en maternelle qui n’apprennent plus à parler, des enfants en élémentaire qui n’apprennent plus à lire, etc. On espérait que la population réagirait, enfin…

La politique officielle de santé publique concernant les enfants et le Covid a fait craquer les employés des agences. Voici ce qu’ils résument :

« Premièrement, ils ont exigé que les jeunes enfants soient masqués dans les écoles. Sur ce point, les agences se sont trompées. Des études convaincantes ont révélé plus tard que les écoles qui masquaient les enfants n’avaient pas de taux de transmission différents. Et pour le développement social et linguistique, les enfants ont besoin de voir les visages des autres.

Viennent ensuite les fermetures d’écoles. Les agences avaient tort — et de manière catastrophique. Les enfants pauvres et minoritaires ont subi une perte d’apprentissage avec une baisse de 11 points des scores en mathématiques et une baisse de 20 % des taux de réussite en mathématiques. Il existe des dizaines de statistiques de ce genre. »

« Ensuite, ils ont ignoré l’immunité naturelle. Encore une fois, c’est faux. La grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid, mais cela n’a fait aucune différence dans les obligations globales pour les injections infantiles.

« Et maintenant, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l’appui, ces agences ne font qu’éroder davantage la confiance du public ».

ET LA HONTE MONTA ENCORE ET ENCORE ET LE POUVOIR SE RETROUVA DE PLUS EN PLUS SEUL

Une scientifique du CDC :

« Le CDC n’a pas réussi à équilibrer les risques de Covid avec d’autres risques liés à la fermeture des écoles ». Les pertes d’apprentissage, les exacerbations de la santé mentale étaient évidentes dès le début et celles-ci se sont aggravées à mesure que les directives insistaient pour garder les écoles virtuelles. Les directives du CDC ont aggravé l’équité raciale pour les générations à venir. Il a SACRIFIE cette génération d’enfants. »

confirmant les données de notre livre « Les enfants sacrifiés du covid »(([4] Fauves éditions))

Un responsable de la FDA :

« Je ne peux pas vous dire combien de personnes à la FDA m’ont dit : “Je n’aime rien de tout cela, mais j’ai juste besoin de prendre ma retraite. »

LA POURSUITE DES MENSONGES POUR IMPOSER LE VAX AUX PETITS

Fin juin, le CDC a vigoureusement recommandé les vaccins Covid à ARNm pour 20 millions d’enfants de moins de cinq ans. Le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a déclaré que les vaccins Covid à ARNm devraient être administrés à tous les patients de six mois ou plus « parce qu’ils sont sûrs et efficaces. »

TERRIBLES MENSONGES DONT ELLE POURRAIT ÊTRE UN JOUR OBLIGÉE DE RÉPONDRE DEVANT LES TRIBUNAUX.

Cette recommandation radicale était basée sur des données « extrêmement faibles et peu concluantes » fournies par Pfizer et Moderna.

LES NOUVEAUX MENSONGES DE PFIZER ET MODERNA ET LA SOUMISSION COUPABLE DES AGENCES

« Commencez par Pfizer. En utilisant un vaccin à trois doses chez 992 enfants âgés de six mois à cinq ans, Pfizer n’a trouvé aucune preuve statistiquement significative de l’efficacité du vaccin. Dans le sous-groupe d’enfants âgés de six mois à deux ans, l’essai a révélé que le vaccin pourrait entraîner une réduction de 99 % du risque d’infection, mais qu’ils pourraient également avoir un risque accru de 370 % d’être infectés. En d’autres termes, Pfizer a rapporté une gamme d’efficacité vaccinale si large qu’aucune conclusion n’a pu être déduite. Aucune revue médicale réputée n’accepterait des résultats aussi bâclés et incomplets avec un échantillon aussi petit. Plus précisément, ces résultats auraient dû faire réfléchir ceux qui sont en charge de la santé publique. »

Avis d’un haut responsable du CDC — expert dans l’évaluation des données cliniques — il a plaisanté : « Vous pouvez leur en injecter ou le leur gicler au visage, et vous obtiendrez le même avantage. » parlant du vax Pfizer chez les jeunes enfants en bonne santé et de son efficacité supposée.

Pour Moderna — l’étude sur 6 388 enfants avec deux doses — n’étaient pas plus convaincante. Contre les infections asymptomatiques, ils ont revendiqué une très faible efficacité vaccinale de seulement 4 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans. Ils ont également affirmé une efficacité de 23 % chez les enfants âgés de deux à six ans, mais aucun des deux résultats n’était statistiquement significatif et aucun n’avait le moindre intérêt pour les enfants puisqu’ils ne souffraient de rien. Contre les infections symptomatiques, le vaccin de Moderna a montré une efficacité statistiquement significative, mais l’efficacité était faible : 50 % chez les enfants âgés de six mois à deux ans et 42 % chez les enfants âgés de deux à six ans.

UNE GIFLE À LA SCIENCE

Durée de la protection ? Inconnue « Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation de donner des vaccins Covid à ARNm aux bébés sans bonnes données. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors, pourquoi le pousser si fort ? » selon un médecin du CDC.

Un haut responsable de la FDA a ressenti la même chose : « Le public n’a aucune idée de la gravité de ces données. Il ne passerait pas la barre pour toute autre autorisation ».

Et pourtant, la FDA et le CDC l’ont fait passer.

Le bon sens existe encore, ce qui explique pourquoi seulement 2 % des parents américains d’enfants de moins de cinq ans ont choisi de se faire vacciner contre le Covid, et 40 % des parents des zones rurales disent que leurs pédiatres n’ont pas recommandé le vaccin Covid pour leur enfant.

ESPÉRONS QUE LES EUROPÉENS ET EN PARTICULIER LES FRANÇAIS NE SACRIFIERONT PAS LEURS ENFANTS AUX SIRÈNES DU PRÉSIDENT ET DE LEURS AFFIDÉS MÉDIATIQUES MERCENAIRES DE PFIZER

La propagande terrorisante des médias reprend avec vigueur appliquant l’injonction présidentielle(([5] https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-quon-dramatise-un-peu-emmanuel-macron-et-ses-ministres-jouent-le-tout-pour-le-tout_474389)) répétitive « Il faut qu’on dramatise un peu pour que tout le monde se vaccine ». Et pourtant l’épidémie est de fait terminée. Il faut absolument joindre nos députés, sénateurs pour leur dire qu’on ne veut pas de mauvaise surprise à la rentrée comme une injonction de vacciner les enfants innocents du covid et à risque de l’injection expérimentale.(([6] Appel aux Sénateurs — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Et sans hésiter informer aussi les médias dont le rôle est capital dans la manipulation des citoyens.(([7] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-juillet-2022/160722-lettre-ouverte-a-julien-dray-ex-elephant-socialiste-sur-les-dangers-et-linefficacite-des-injections-anticovid-dr-nicole-delepine/))

Les français commencent à comprendre, devant le nombre d’accidents vaccinaux graves, ou moins dramatiques, mais gênant la vie de tant de voisins, parents, amis ou collègues toujours absents, car fatigués infectés, sans endurance comme en témoignent les coureurs du Tour de France 22.

Les recommandations de vaccins Covid basées sur le peu de preuves transmises par ces agences.

En mai 2022, le manque de preuves cliniques pour les injections de rappel chez les jeunes a créé une tension à la FDA.

La Maison-Blanche l’a promu durement avant même que les régulateurs de la FDA n’aient vu des données. Une fois qu’ils ont vu les données, ils ont découvert qu’aucun bénéfice clair contre les maladies graves chez les personnes de moins de 40 ans n’a été démontré.

DES DÉMISSIONS OCCULTÉES EN FRANCE

Les deux principaux régulateurs des vaccins de la FDA — le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause — avaient quitté l’agence l’année dernière en raison de pressions politiques pour autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes.

Après leur départ, ils ont expliqué pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation de rappel, arguant dans le Washington Post que « la pression pour des boosters pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie », citant des préoccupations selon lesquelles le renforcement basé sur une variante obsolète pourrait être contre-productif.

Quel dommage que ces informations n’aient pas réussi à atteindre nos journaux télévisés !

« C’était comme si nous étions un outil politique » selon un scientifique du CDC. « Il y a un silence, une réticence pour les scientifiques de l’agence à dire quoi que ce soit. Même s’ils savent qu’une partie de ce qui est dit de l’agence est absurde. »

ON SE CROIRAIT EN URSS AU BON VIEUX TEMPS OU EN RDA SOUS LA STASI

Les gens avaient l’impression de ne pas pouvoir parler librement, même à l’interne au sein de leurs agences.

« Vous êtes étiqueté en fonction de ce que vous dites. Si vous en parlez, vous en souffrirez, j’en suis convaincu », selon un membre du personnel de la FDA. Une autre personne a ajouté : « Si vous parlez honnêtement, vous êtes traité différemment. »

Et ainsi ils restent silencieux, se parlant en privé ou en groupes de texte sur Signal.

Nos lecteurs français nous diront-ils combien d’entre eux dans leurs entreprises ne se parlent plus que par « signal » dont on voit chaque jour les correspondants augmenter….

L’IMMUNITÉ NATURELLE, GRAND SUJET TABOU AUX USA COMME EN EUROPE

Pourquoi vacciner les enfants déjà une certaine immunité contre la maladie en l’ayant rencontrée, et qui de toute façon sont innocents du covid, ne font pas de maladie grave et ne transmettent pas ?

En février 2022, 75 % des enfants aux États-Unis avaient déjà une immunité naturelle contre une infection antérieure. Cela pourrait représenter plus de 90 % des enfants aujourd’hui étant donné l’omniprésence d’Omicron depuis lors.

Les propres recherches du CDC montrent que l’immunité naturelle est meilleure que l’immunité vaccinée et une étude récente du New England Journal of Medicine en Israël a remis en question les avantages de la vaccination des personnes précédemment infectées.

La Suède n’a jamais offert la vaccination aux enfants de moins de 12 ans. La Finlande limite les vaccins Covid aux enfants de moins de 12 ans à haut risque. L’Institut norvégien de santé publique a déclaré « l’infection antérieure offre une protection aussi bonne que le vaccin contre la réinfection ». Le Danemark a annoncé le 22 juin que sa recommandation de vacciner tous les enfants de moins de 16 ans était une erreur. « Les vaccinations n’étaient pas principalement recommandées pour le bien de l’enfant, mais pour assurer le contrôle de la pandémie », a déclaré Søren Brostrøm, chef du ministère danois de la Santé.

La réponse officielle de la santé publique au Covid a sapé la croyance du public dans la parole publique elle-même aux USA, mais aussi dans les pays européens dont la France.

Les dirigeants du CDC, de la FDA et des NIH et des agences européennes et mondiales devraient accueillir favorablement les discussions internes — voire les dissensions — basées sur les preuves. La science naît de la confrontation entre ce que l’on croit (les hypothèses) et les faits avérés. Nier les faits au profit d’une croyance érigée en dogme relève d’une attitude religieuse anti-scientifique.

Faire taire les médecins, ce n’est pas « suivre la science ».





Fermeture des urgences, casse de l’hôpital public : la mise en danger de la vie des patients par manque de services public conduit à des morts – entretien avec Christophe Prudhomme, porte parole de l’association des médecins urgentistes de France

[Source : initiative-communiste.fr]

Entretien avec Christophe Prudhomme. Médecin au Samu de Seine Saint-Denis c’est un fin connaisseur de la réalité du terrain et de l’hôpital. Syndicaliste, c’est un spécialiste du système de santé ; il est porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (Amuf).

Initiative Communiste — Peux-tu nous présenter François Braun, le nouveau ministre de la Santé ? Se différencie-t-il de ses prédécesseurs, et notamment d’Olivier Véran ?

Christophe Prudhomme : Président du syndicat Samu-Urgences de France (de fait, un intérêt corporatiste), François Braun est le faire-valoir de la société civile dont se vante Macron. Mais en réalité, il a participé depuis 15 ans (donc, depuis Sarkozy) à toutes les négociations au sein des instances ministérielles. Sollicité pour préparer la prétendue loi dite d’accès aux soins pour tous, il a été le conseille Santé de Macron pendant la campagne présidentielle : connu de l’establishment, il représente le prototype du corps intermédiaire connaissant certes le terrain, mais servile et acceptant tout ordre ou décision de ses supérieurs.

Le choix de Braun est cependant un choix par défaut : d’abord pressenti, Philippe Juvin, chef des services d’urgence à l’hôpital Georges Pompidou à Paris et candidat LR à la primaire pour la présidentielle, avec une orientation clairement fascisante (quand il était vice-président des Hauts-de-Seine, il avait voulu attribuer le nom de Kléber Haedens, l’ancien secrétaire particulier de Charles Maurras, à un collège de la commune de La Garenne-Colombes, ville dont il est encore maire !), a refusé ; de même pour Frédéric Valletoux, président de la Fédération hospitalière de France, membre d’Agir (le mouvement de Pécresse), maire de Fontainebleau et député LREM. Je pensais alors que Nicolas Revel serait le mieux placé : directeur général de l’Assistance publique des hôpitaux de Paris (AP-HP), il a également été directeur de la Caisse nationale d’Assurance maladie (CNAM) et directeur de cabinet de Jean Castex à Matignon, et a même grenouillé à l’Élysée sous François Hollande ; mais il a lui aussi décliné.

Depuis qu’il est ministre, Braun ne cesse de multiplier les sorties contradictoires : alors qu’il défendait la réintégration des personnels soignants non-vaccinés il y a un an, il s’y oppose désormais farouchement. Ceci illustre une réalité plus profonde : le ministère de la Santé est un ministère sous la tutelle de la direction de la Sécurité sociale présente à Bercy, au sein du ministère de l’Économie. D’ailleurs, Braun conserve le même cabinet qu’Olivier Véran, cabinet mis en place directement par l’Élysée : de fait, le directeur de cabinet du ministère de la Santé est le vrai ministre.

Braun tente de s’appuyer sur les copains et les coquins : non pas les personnels soignants constamment sur le terrain, mais sur les médecins passant leur temps en réunion (et jamais au contact des malades et des soignants). Praticien hospitalier, Braun n’est respecté ni au niveau médical ni au niveau institutionnel : en réalité, les personnes qui impulsent réellement la ligne politique sont des médecins membres des LR, et notamment Pierre Carli, directeur du Samu de Paris.

La politique de long terme demeure la même depuis au moins Sarkozy, comme pour d’autres secteurs publics comme l’Éducation Nationale : appliquer les principes de l’école de Chicago en marchandisant tout, en prétextant des dysfonctionnements pour fermer des unités publiques et en transformant les hôpitaux en boîtes rentables – notamment en favorisant l’émergence des cliniques privées.

Initiative Communiste – Le nouveau ministre de la Santé vient de te répondre publiquement que, avec sa gestion hospitalière, aucun patient ne resterait à la porte des urgences. Qu’en est-il alors que la situation de l’hôpital public inquiète de nombreux malades en pleine remontée épidémique?

Christophe Prudhomme : Braun a lancé une Mission Flash, qui visait à empêcher que l’on parle de la situation des urgences pendant la campagne des élections législatives. Parmi les 41 mesures préconisées émerge l’idée que les urgences peuvent filtrer les patients la nuit : concrètement, cela signifie que les patients doivent appeler le 15 pour savoir s’ils ont le droit d’accéder aux urgences ! Et comme les citoyens et les travailleurs ont un vrai esprit civique, ils appliquent globalement cette préconisation en réalité mortifère, car elle aboutit tout simplement à la mise en danger de la vie des patients par manque de services publics. Récemment, à Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), un enfant victime d’un accident de la route n’a pas été immédiatement transporté aux urgences, sa situation n’étant pas jugée grave ; or le lendemain, le pédiatre a remarqué un gros hématome au niveau du foie : cet enfant aurait pu mourir dans la nuit !

 La préconisation de filtrer les urgences la nuit est déjà appliquée dans des métropoles : à Bordeaux, la municipalité multiplie les affiches « publicitaires » incitant à limiter l’accès aux urgences la nuit ; la situation est même pire à Grenoble, où cette préconisation vise aussi bien les hôpitaux publics que les cliniques privées ! En outre, plusieurs dizaines de services d’urgence ont déjà fermé la nuit, y compris dans des villes de taille importante comme Manosque, Draguignan (Var) ou Laval (Mayenne). Il en résulte une surmortalité, notamment pour les patients souffrant de maladies graves nécessitant une prise en charge immédiate, mais qui n’osent plus se rendre aux urgences ; à quoi s’ajoute un terrible manque de lits.

La situation est tellement grave que même Les Échos, à qui j’ai accordé un entretien, a titré « Il va y avoir des morts », du fait d’une véritable mise en danger de la population. Un autre élément illustrant la dramatique dégradation des services d’urgence tient au fait que ce ne sont plus des médecins qui organisent le protocole au Samu, mais des infirmières, souvent débordées et qui n’ont pas toujours les compétences nécessaires face à certaines situations urgentes et spécifiques.

Aujourd’hui, il n’y a plus de « dialogue social » de la part du ministre qui refuse d’aborder les problèmes de fond concernant les urgences. Il n’a d’ailleurs voulu rencontrer ni la CGT-Santé ni l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF), les deux organisations les plus représentatives des personnels soignants en souffrance, et ce alors que les démissions sont massives. C’est d’autant plus inquiétant face à la remontée des cas de Covid.

Initiative Communiste – Quelles sont les mesures d’urgence et de plus long terme qu’il faut prendre pour empêcher l’écroulement du service public de la Santé ?

Christophe Prudhomme :  Au-delà du fait qu’il est impossible d’échanger avec le ministre, ce dernier a proposé, dans le cadre de la Mission Flash, de faire appel aux médecins retraités pour suppléer au manque de personnel et de majorer les heures supplémentaires. Or ce que veulent les personnels soignants, ce sont des vacances (au moins pour se reposer) et de vraies augmentations de salaire !

Dans l’immédiat, deux mesures d’urgence peuvent être appliquées face à la situation catastrophique :

  1. Le rétablissement de l’obligation de garde pour tous les médecins, aussi bien généralistes que spécialistes (sauf pour des spécialistes aux caractéristiques très spécifiques) en ville, en clinique ou à l’hôpital. Cela permettrait de répartir la charge de travail afin que tout patient puisse accéder aux urgences de jour comme de nuit ; et c’est d’autant plus possible qu’il y a assez de médecins pour faire appliquer cette mesure.
  2. L’augmentation des moyens pour que les médecins effectuent des visites à domicile, car ces dernières, mal payées, se sont effondrées. Aujourd’hui, on stigmatise les patients qui viendraient aux urgences « pour pas grand-chose », moyen fourbe de faire silence sur le fait que 20 à 25 % des personnes hospitalisées aux urgences n’ont pas de lit ! Aussi, les visites des médecins, accompagnés d’une infirmière, au domicile propre du patient ou dans les EHPAD (où l’absence de médecins et d’infirmières est criante — et nous voyons le résultat avec le scandale Orpéa), peuvent permettre de résoudre en partie les problèmes des urgences. Et si les médecins estiment que cela leur revient cher, car il faut se déplacer, des solutions existent : à Libourne (Gironde), les médecins bénéficient d’une voiture avec chauffeur.

Au-delà de ces mesures d’urgence non mises en place par crainte du lobby médical désireux de démanteler la Sécurité sociale, nous portons trois grandes revendications depuis au moins 2019 – qui auraient d’ailleurs pu déboucher sur de premiers résultats assez rapidement si elles avaient été appliquées :

  1. Un grand plan de formation et d’embauche de personnel (100 000 à l’hôpital et 200 000 dans les EHPAD). La fin de non-recevoir arguait le fait qu’il faut une année pour former un(e) aide-soignant(e) et trois années pour une infirmière/un infirmier ; mais si cette mesure avait été adoptée dès 2019, nous aurions eu les premiers aides-soignants dès 2020 et une première cohorte d’infirmières en cette année 2022 !
  2. Une hausse des salaires, non par majoration des heures supplémentaires, mais par volonté politique. Cela est d’autant plus urgent qu’à l’heure actuelle, en parité de pouvoir d’achat, une infirmière française gagne moins qu’une infirmière mexicaine ! Et ce, alors que les cadences de travail ont explosé — et l’épuisement avec.
  3. L’arrêt des fermetures de lits d’hôpitaux et des « restructurations » qui débouchent sur la fermeture d’hôpitaux. Ainsi, en Île-de-France, Aurélien Rousseau, ancien directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) et désormais directeur de cabinet d’Élisabeth Borne, a fermé les hôpitaux Bichat (Paris 18e) et Beaujon (Clichy, Hauts-de-Seine) pour un projet d’hôpital Grand Paris Nord, entraînant la perte de 300 lits et 800 emplois ; parallèlement, il a autorisé une « restructuration » à Neuilly, à savoir le regroupement de trois cliniques privées en une seule unité comprenant 420 lits et 30 blocs opératoires — le tout, évidemment, avec un reste à charge aux patients croissant et de plus en plus inaccessible. Pendant ce temps, en Seine–Saint-Denis, le nombre de médecins traitants s’est effondré et les patients se rendent aux urgences saturées en cas d’évolution de la pathologie…

Il faut ajouter qu’il est fondamental de rétablir un principe constitutionnel : celui d’assurer des soins à tous les patients sur l’ensemble du territoire national au nom du principe d’égalité républicaine. Or ce principe nécessite de réguler l’installation des médecins, donc de mettre fin à la liberté d’installation pour officier là où il y a des besoins (et ainsi, mettre fin aux déserts médicaux) ; parallèlement, il est nécessaire de trouver un autre mode de rémunération pour les jeunes personnels soignants qui arrivent. C’est pourquoi nous appelons à la création de Pôles santé publics et collectifs au sein desquels travaillent des salariés : ce ne seraient pas forcément des fonctionnaires, car ils pourraient dépendre de l’Économie sociale et solidaire (ESS), des mutualités et des collectivités territoriales ; il est même possible d’élargir un système coopératif existant déjà depuis la loi Hamon de 2014.

L’enjeu de la Santé est aussi un enjeu politique : comme dans d’autres domaines comme l’Éducation nationale, Macron — véritable VRP d’Uber quand il était ministre de l’Économie sous Hollande — souhaite importer le modèle états-unien en France, alors que l’espérance de vie diminue depuis 2014 aux États-Unis, car les jeunes ne peuvent plus se faire soigner correctement. Pire : le combat des symptômes (et non de la maladie en tant que telle) par des antidouleurs provoque actuellement la mort de 60.000 personnes par an par overdose de produits morphiniques, soit deux fois plus de morts que par les armes à feu !

Le combat des urgences, c’est aussi un combat politique urgent !




Vaccins : la vérité entrain d’éclater aux USA

[Source : Citizen Light]

https://youtu.be/tKhrlllTLms



Jacques Baud : « Emmanuel Macron n’a pas lu les accords de Minsk ! »

[Source : Les Incorrectibles]




Macron est-il pétainiste ?

Par Lucien SA Oulahbib

Oui ou quasiment selon la porte-parole de LFI, qui s’empresse d’ajouter, d’additionner avec voracité les députés du RN dans la foulée, sous le prétexte que Macron aurait dit que durant la Première Guerre mondiale Pétain avait été un « grand soldat ». Ce que personne de sensé ne nie pourtant.

Ce lien fabriqué à la hâte par cette écervelée entre Macron, Pétain et le RN en dit cependant déjà long sur le degré de décomposition avancée d’une « gauche » au passé radsoc qui avait voté dans une écrasante majorité les pleins pouvoirs à Pétain, qui a collaboré dans sa version PCF avec l’occupant nazi (première mouture) jusqu’en 1941, qui a applaudi les massacres de Berlin en 1953, en 1956, en 1968 à Prague, tandis que ses opposants trotskistes dont est issue la LFI ont eux aussi soutenu le Cambodge de Pol Pot (avec la compréhension de Chomsky soutenant aujourd’hui l’actuelle politique prônant l’injection expérimentale…) ; bref, une « gauche », toutes tendances confondues, qui n’a absolument rien fait pour qu’il y ait enfin en France un Mémorial se souvenant de la « destruction » de millions de pourtant authentiques communistes durant les soixante-dix ans du règne sans partage de la dictature léniniste (dominant encore la scène en France).

Mais il y a plus qui expliquerait peut-être cette « sortie » sinistre (au pied gauche) : cette « gauche » qui s’évanouissait en 1986 devant l’apparition de quelques dizaines de députés FN tout en se promettant de faire tout pour que cela ne se reproduise plus (des bibliothèques entières sur le sujet des associations grassement payées pour lutter contre « le racisme et l’antisémitisme ») alors qu’elle en voit arriver presque quarante plus tard le triple. Sans se demander pourquoi. Non. Cette « gauche » va certes « analyser » quelques causes toujours quantitatives (SMIC pas assez haut, libéralisme ultra, néo, etc.), mais voyant que cela reste insuffisant pour ralentir le flux et l’érosion des gestes barrières anti « extrême droite », elle préfère se rallier « en dernière instance » à la tactique stalinienne de l’antifascisme, mettant dans le terme honni tout ce qui n’est pas estampillé « vraie gauche », une façon ultime d’appliquer à nouveau la dichotomie établie par Lénine (reprise par Schmitt) entre les amis de « la » Cause et ses ennemis.

Comme si aujourd’hui (et E. Macron s’y soumet aussi en contestant de façon gauche, plus que maladroite, des votes parlementaires) il était bien plus aisé de taxer le Réel d’extrême droite (parce qu’il ne correspond plus à l’Idée qu’ils s’en font) que de réellement prendre à bras-le-corps tous ces problèmes de plus en plus saillants de sécurité, de pouvoir d’achat, d’instruction scolaire (et non de propagande), de violences sociétales contre la civilisation judéo-chrétienne et gréco-romaine (pourtant en pleine évolution : nouveaux rôles des femmes, meilleure tolérance envers le désir des jeunes de vivre leur vie, du « métèque » lorsqu’il cherche à s’assimiler ; ce qui certes ne plaît cependant pas aux adeptes de l’ethnicité « pure »). (Ceci peut expliquer le ralliement du second Pétain à une partie des conceptions nazies comme désassimiler les juifs pourtant bien insérés mais suscitant l’envie…)

Toutes ces attaques contre notre civilisation de plus en plus aboutie associant ainsi innovation et tolérance seront niées ou mises sur le compte d’un refus abscons de « s’ouvrir », terme passe-partout qui se renverse dans son contraire puisque l’on pourra par exemple reprocher à certaines victimes (femmes, homosexuels, témoins d’injustices) de ne pas être assez compréhensives vis-à-vis des « déséquilibrés » (toujours) qui les attaquent, les violent, les tuent sans que l’on sache d’où viendrait cet « équilibre » qui empêcherait ces faits tout de suite classés de « divers » (ou étalés sur cinq cents ans) par cette même engeance prétendant aujourd’hui donner des leçons d’histoire et de morale politique.

Cet amalgame fait par cette politicienne LFI est au fond le long cri de désespoir d’une « gauche » en effet à l’agonie (comme l’explique bien Houellebecq) retranchée dans ses derniers bastions (médias, Université, fonction publique) et qui n’a comme seule issue que suivre platement la dérive nihiliste de la gauche anglo-saxonne qui n’a plus que la révolution permanente du changement de sexe à proposer : marchepied pour la transformation affairiste (et non pas « libérale » qui refuse toute « licence » chez Locke et Montesquieu mettant plutôt en avant la « vertu » mal comprise par Robespierre), celle du corps et de l’esprit humain manipulés en marchandises de plus en plus « gore », ceci toujours au nom d’un « progrès » qui ne veut plus rien dire sinon à admettre que la guillotine est plus maniable que la hache. Voilà, à peu près, l’apport de la gauche depuis 1789. Ceci est somme toute très peu. Dans la foulée de 1794 jusqu’à aujourd’hui, les privilèges sont revenus se répandre de manière indue, à l’instar de ces Légions d’honneur et autres subventions distribuées précisément par légions tandis que les libertés s’effacent peu à peu, surtout depuis la nuit du 5 août 2021…

Une gauche à la dérive, donc, qui tient en l’air uniquement parce qu’elle nie que le réel se soit dérobé sous ses pieds. Ceci fait l’affaire d’un E. Macron qui aura beau jeu de montrer qu’il est en effet l’anti-Pétain par excellence, puisqu’il a pour objet de détruire ce que précisément ce dernier prétendait accomplir (et qu’il n’a pas fait, voir Rhombe sur ce sujet), comme la défense de la famille et du peuple français.

Et sur ces deux questions, il y a bien de plus en plus une alliance non seulement objective, mais aussi subjective entre E. Macron (les LR) et la Nupes. Cependant, il leur reste peu de temps pour « finir le sale boulot » tant les exigences de plus en plus démentielles des responsables UE et US — en l’occurrence se servir de la guerre contre Poutine pour accomplir ce que le virus n’a pas su faire (propager la peur et la famine) — vont immanquablement créer des secousses salvatrices qui les balaieront. À moins que tout soit déjà joué et qu’il ne « nous » reste plus que les yeux pour pleurer devant un tel gâchis, alors qu’il y aurait tant à faire, du moins si le peuple français dans ses tréfonds savait qui sont ses réels amis au lieu de donner encore le pouvoir à ses ennemis affublés il est vrai de visages d’ange à l’instar de Dorian Gray.