Charte d’éthique professionnelle des journalistes (France)

[Source : snj.fr]

Il s’agit ici de la dernière version de la Charte de déontologie, fondatrice de la profession, adoptée par le Comité national en mars 2011, pour le 93e anniversaire du SNJ.

Télécharger la Charte de déontologie 1918/38/2011


Le droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste, rappelé dans la Déclaration des droits de l’homme et la Constitution française, guide le journaliste dans l’exercice de sa mission. Cette responsabilité vis-à-vis du citoyen prime sur toute autre.

Ces principes et les règles éthiques ci-après engagent chaque journaliste, quelles que soient sa fonction, sa responsabilité au sein de la chaîne éditoriale et la forme de presse dans laquelle il exerce.

Cependant, la responsabilité du journaliste ne peut être confondue avec celle de l’éditeur, ni dispenser ce dernier de ses propres obligations.

Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. Son exercice demande du temps et des moyens, quel que soit le support. Il ne peut y avoir de respect des règles déontologiques sans mise en œuvre des conditions d’exercice qu’elles nécessitent.

La notion d’urgence dans la diffusion d’une information ou d’exclusivité ne doit pas l’emporter sur le sérieux de l’enquête et la vérification des sources.

La sécurité matérielle et morale est la base de l’indépendance du journaliste. Elle doit être assurée, quel que soit le contrat de travail qui le lie à l’entreprise.

L’exercice du métier à la pige bénéficie des mêmes garanties que celles dont disposent les journalistes mensualisés.

Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte ou exprimer une opinion contraire à sa conviction ou sa conscience professionnelle, ni aux principes et règles de cette charte.

Le journaliste accomplit tous les actes de sa profession (enquête, investigations, prise d’images et de sons, etc…) librement, a accès à toutes les sources d’information concernant les faits qui conditionnent la vie publique et voit la protection du secret de ses sources garantie.

C’est dans ces conditions qu’un journaliste digne de ce nom :

  • • Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles, même anonymes ;
  • • Respecte la dignité des personnes et la présomption d’innocence ;
  • • Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles ;
  • • Exerce la plus grande vigilance avant de diffuser des informations d’où qu’elles viennent ;
  • • Dispose d’un droit de suite, qui est aussi un devoir, sur les informations qu’il diffuse et fait en sorte de rectifier rapidement toute information diffusée qui se révèlerait inexacte ;
  • • N’accepte en matière de déontologie et d’honneur professionnel que la juridiction de ses pairs ; répond devant la justice des délits prévus par la loi ;
  • • Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ;
  • • Proscrit tout moyen déloyal et vénal pour obtenir une information. Dans le cas où sa sécurité, celle de ses sources ou la gravité des faits l’obligent à taire sa qualité de journaliste, il prévient sa hiérarchie et en donne dès que possible explication au public ;
  • • Ne touche pas d’argent dans un service public, une institution ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations seraient susceptibles d’être exploitées ;
  • • N’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
  • • Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication ;
  • • Cite les confrères dont il utilise le travail, ne commet aucun plagiat ;
  • • Ne sollicite pas la place d’un confrère en offrant de travailler à des conditions inférieures ;
  • • Garde le secret professionnel et protège les sources de ses informations ;
  • • Ne confond pas son rôle avec celui du policier ou du juge.

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (article XI)  :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. »

Constitution de la France (article 34) : « La loi fixe les règles concernant les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques ; la liberté, le pluralisme et l’indépendance des médias. »

Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Munich, 1971) : le SNJ, qui fut à l’initiative de la création de la Fédération Internationale des Journalistes, en 1926 à Paris, est également l’un des inspirateurs de cette Déclaration qui réunit l’ensemble des syndicats de journalistes au niveau européen.




Cet eurodéputé belge dénonce le « deux poids, deux mesures » des Occidentaux concernant la guerre en Ukraine

[Source : dissidentofficiel.com]

L’eurodéputé Marc Botanga, du parti PTB en Belgique, a délivré un discours percutant et de qualité au Parlement Européen il y a 3 semaines. Il y dénonce l’arrogance des Occidentaux qui cherchent absolument à imposer leur vision de la guerre en Ukraine au reste du monde. Comme si les autres étaient des enfants et « n’avaient pas compris ». Or, certains ont des désaccords tout simplement, comme il l’explique très bien.

Plus encore, il démontre que le principal reproche des pays non-Occidentaux est le « deux poids deux mesures » permanent de l’Occident concernant ses propres guerres.






Toronto – Des cercueils pour enfants commandés en gros, « la première fois depuis plus de 30 ans »

[Source : anguillesousroche.com]

Un fabricant de cercueils de la région de Toronto a enregistré une hausse spectaculaire des commandes de cercueils de petite taille depuis le lancement des vaccins COVID-19. Des enfants meurent.

En fin de compte, tout dans la vie se résume à la mort.

Nous sommes élevés dans la croyance qu’il y a un temps pour vivre et un temps pour mourir. Le temps de la mort vient avec la maladie, les accidents et la vieillesse. Sauf que ce n’est plus le cas.

Dans une interview exclusive avec RAIR Foundation USA, Mick Haddock, fabricant de cercueils dans le nord de Toronto, affirme que les choses ont nettement changé dans l’industrie au cours des neuf derniers mois. « Les gens décèdent de plus en plus », dit-il. 

« C’est perceptible dans notre industrie. Pour la première fois depuis plus de 30 ans, nous recevons des commandes en gros pour des cercueils de plus petite taille. »


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En général, l’industrie des cercueils reste assez stable, et une commande de cercueils inhabituellement importante indique généralement un événement traumatisant, mais les ventes récentes indiquent que cela a changé. 

« Non seulement toutes les ventes sont en hausse, mais dans le passé, pour cinq cercueils de taille normale que nous vendions, nous vendions une taille jeune. Maintenant, pour cinq, c’est deux tailles jeunes. »

Selon M. Haddock, lui et ses collègues de l’industrie pensaient qu’ils verraient une hausse en 2020, lorsqu’on nous disait que le covid était mortel et qu’il tuait des gens sans discernement, par milliers. Mais cela ne s’est pas produit. 

« Ce n’est pas avant la fin de 2020 et le début de 2021 que nous avons vu les ventes augmenter. Nous n’avons pas vu d’augmentation des ventes avant que les vaccins ne soient introduits, et que les gens recommencent à voyager », dit Haddock. « Et je ne veux pas blâmer les voyages qui ont tué tout le monde parce que, en vérité, la plupart de ces endroits dans le monde sont encore légers sur ce que les voyageurs peuvent faire. Même les décès accidentels sont encore limités. »

En fait, en 2020, Haddock a constaté une baisse de 60 % des ventes. 

« Ce n’est qu’une fois que les vaccins ont été poussés vers des groupes démographiques de plus en plus jeunes que nous avons commencé à voir la hausse », dit-il. « Au début, il ne s’agissait que des personnes âgées et des personnes très fragiles. Deux mois après l’approbation du vaccin pour les 11-15 ans, nous avons constaté une augmentation de la demande pour les petites unités. »

Les ventes globales ont augmenté de 30 et 40 % par rapport à 2019. « C’est stupéfiant de voir à quel point il y en a plus », dit Haddock. « Cela a commencé à grimper à la mi-2021 ; en 2022, la croissance était mesurable. »

L’expérience d’Haddock reflète celle du directeur funéraire britannique John O’Looney de Milton Keynes Family Funeral Services, qui est devenu public en septembre 2021 pour expliquer un schéma similaire de décès. M. O’Looney a fait remarquer qu’il n’y a pas eu de recrudescence des décès pendant la vague initiale de covid, mais plutôt une diminution du nombre de décès. Mais après l’introduction du vaccin en janvier 2021, O’Looney a déclaré que les appels sont montés en flèche, augmentant de 300 pour cent. « Je n’ai jamais vu un tel taux de mortalité en 15 ans », a-t-il déclaré. « Au départ, [les décès étaient] tous exclusivement des foyers de soins », a déclaré O’Looney. Mais après le déploiement de l’injection d’ARNm, les décès ne provenaient plus exclusivement des maisons de soins, et l’âge des morts variait considérablement.

M. O’Looney a décrit une femme d’une cinquantaine d’années, en forme, adepte de la course à pied et sans problème de santé, qui a reçu une injection de rappel et est décédée d’une insuffisance hépatique la semaine suivante. M. Haddock confirme que cette augmentation mesurable s’est produite au Canada au cours des six ou sept derniers mois : « Au départ, le rythme n’était pas aussi élevé qu’aujourd’hui, mais c’est lorsque nous avons commencé à recevoir des rappels que nous avons commencé à recevoir plusieurs appels par semaine des mêmes distributeurs (de cercueils). Toutes les ventes de cercueils ont augmenté de façon spectaculaire », dit-il. C’est juste que les ventes de cercueils pour jeunes ont augmenté plus que toute autre catégorie.

Bien que M. Haddock et ses collègues aient constaté la plus forte augmentation des ventes dans la catégorie des produits de taille moyenne :

« Tout le monde est à risque avec ces vaccins », dit-il. « Il est difficile de le nier. À quoi peut-on le reprocher ? Qu’est-ce qui a changé ? Pourquoi le taux de mortalité dépasse-t-il celui d’avant la vaccination ? »

Les enfants âgés de six à douze ans sont des êtres humains robustes. « Maintenant, ce sont les tailles que nous vendons », dit Haddock. « Les enfants ne meurent pas comme ça. Cela ne se produit pas. Jamais dans l’histoire. »

Source : RAIR Foundation – Traduit par Anguille sous roche




Dans une interview à Algérie54, Anne Laure Bonnel raconte Dombass

[Source : algerie54.dz]

Par Mehdi Messaoudi

Elle fait partie de cette catégorie de reporters qui ne lésinent pas sur les moyens pour rapporter en toute objectivité les faits loin du diktat des lobbys et cercles politico-idéologiques. Il s’agit de la reporter et réalisatrice française Anne Laure Bonnel, qui contre toute forme de pressions, réussira à nous offrir une image objective de la situation dans le Dombass, à l’origine du conflit ukrainien. Algérie54 l’a interviewée sur son travail documentaire effectué dans cette région et cette campagne d’hostilité, de dénigrement et de censure à son égard, menée par les partisans des médias de la Mainstream, soutenus par le silence et la complaisance de certaines ONG dites de défense de liberté d’expression dont RSF.

Algérie54 : Suite à votre passage sur CNews, vous avez mis la lumière sur l’information à sens unique ou à vrai dire l’information sélective. 
Votre témoignage sur les crimes contre l’humanité commis par les forces ukrainiennes dans le Donbass a révélé au grand monde l’information orientée des multinationales des médias en faveur d’un monde préétabli. Qu’en pensez-vous ?

Anne Laure Bonnel : Je pense que le traitement médiatique a manqué de mise en perspective dès 2014. Je m’explique à travers un bref rappel des faits : le mouvement du Maïdan, fin 2013/début 2014 à Kiev a entraîné la destitution du gouvernement de Viktor Ianoukovitch qui était plutôt tourné vers la Russie et l’arrivée d’un gouvernement « pro-européen ». Très vite, dans l’est du pays, éclatent des manifestations pro-russes. En Crimée, un mouvement aboutit à un référendum le 16 mars 2014 qui entérine le rattachement de la Crimée à la Russie. Une insurrection éclate également dans la région du Donbass contre le gouvernement central. Sont proclamées deux républiques indépendantes : la République populaire de Donetsk et la République populaire de Lougansk. L’armée ukrainienne intervient alors dans l’est du pays, entraînant une guerre civile. Plusieurs accords de paix sont signés à Minsk (5 septembre 2014 puis 12 février 2015), mais ne sont pas respectés. Le conflit a fait plus de 6 000 morts en onze mois.

Certains aspects du conflit sont traités avec un regard très pro-occidental. Nombre d’articles soulignent — à juste titre — la volonté de propagande de la Russie sur ce sujet, mais dans le même temps, ces mêmes médias  ne sont pas exempts d’une certaine partialité, que ce soit en étant essentiellement «embedded » côté ukrainien , ou en prenant moins de distance avec les sources ukrainiennes qu’avec les sources russes. Ou tout simplement en médiatisant plus ou moins certains sujets. Quelques exemples :

Soutien de Washington versus soutien de la Russie 2014

Quelques rares articles dans la presse française ont rapporté courant avril que des troupes américaines s’apprêtent à entraîner des soldats ukrainiens. On trouve un article dans le Figaro et un sur le site de RFI, ainsi qu’une dépêche AFP, peu reprise par les autres médias. 

Ainsi, 300 soldats américains vont entraîner 900 soldats de la Garde nationale ukrainienne. Précisons qu’il ne s’agit donc pas de l’armée régulière ukrainienne, mais, selon l’article de RFI, de la garde «composée notamment de volontaires ayant fait partie des milices d’autodéfense lors de la révolution du Maïdan », placée sous l’autorité du ministère de l’Intérieur. Dans cette garde, se trouvent donc des membres de brigades d’extrême droite comme le bataillon Azov, responsable de plusieurs exactions (on y revient dans une autre partie). Alors que plusieurs articles dénonçaient l’intervention russe en Crimée et dans l’est de l’Ukraine, l’aide militaire de Washington n’est pas discutée ni interrogée, ni par les pouvoirs publics ni par les médias, qui y consacrent peu d’articles. 

Les États-Unis et la Russie ne sont probablement pas à mettre sur le même plan en termes de démocratie et de liberté de la presse notamment, mais on peut s’étonner tout de même que lorsque ces des deux puissances soutiennent un camp ou l’autre au sein d’un même pays, la réaction  médiatique est loin d’être la même. 

Traitement des exactions : difficulté à évoquer les victimes pro-russes et la responsabilité des pro-Maïdan.

Odessa :

Après plusieurs mois de médiatisation du mouvement Maïdan, on assiste à une forme de tournant, en mai 2014, avec l’incendie de la maison des syndicats, dans lequel une quarantaine de pro-russes sont morts.  Que s’est-il passé ? 

Au départ, un groupe de « pro-russe » affronte dans la rue un groupe de supporters de foot, « pro-Maidan ». Difficile, selon les articles, de dire qui a provoqué qui… Toujours est-il que les pro-russes ont dû se réfugier dans la maison des syndicats d’Odessa, mais très vite, celle-ci prend feu. Une quarantaine de « pro-russes » a  péri dans l’incendie.  Pour cet événement, dans les premières heures, on assiste à une information très partielle voir inverse de la réalité. Sur France 3, le Soir 3 du  2 mai évoque l’incendie, mais sans jamais dire qui sont les victimes. L’AFP, dans ses premières dépêches, ne précise pas qu’il s’agit de « pro russes » qui sont morts dans l’incendie. Il faut attendre le lendemain pour avoir la première dépêche qui le précise…

Or, puisque jusque-là les victimes étaient les pro-Maïdan, les téléspectateurs  logiquement perçoivent l’information par ce prisme et pensent que ce sont des pro-Maïdan qui sont une fois de plus attaqués par des pro-russes, alors qu’ici c’est l’inverse. Tout se passe comme s’il était difficile pour certains médias de dire que cette fois-ci ce sont des « pro-Maïdan » qui sont les bourreaux. On trouve peu de choses dans les médias français, mais ce reportage sur Channel 3 montre des exactions commises à Marioupol par le bataillon Azov et l’armée ukrainienne. Plusieurs civils sont touchés. La presse française l’évoque très peu. À titre de comparaison, à l’inverse, dans un reportage du JDD auprès du bataillon Azov en octobre 2014 à Marioupol, il n’est pas fait mention de ces exactions. Les exemples sont nombreux. Certainement le manque de temps au cœur des rédactions explique cette absence de traitement médiatique par mes confrères. 

Algérie54 : Pouvez-vous nous parler de votre documentaire sur le Donbass réalisé en 2016, et votre témoignage en tant que reporter bien aguerrie maîtrisant son sujet loin du diktat idéologique et politique ?

Anne Laure Bonnel : Alors que le mouvement du Maïdan entraîne à Kiev fin 2013 l’arrivée d’un nouveau gouvernement « pro-européen », une insurrection éclate dans la région du Donbass, à l’est du pays. Face à ce gouvernement qui les inquiète, les villes de Donetsk et de Lougansk, frontalières de la Russie, s’autoproclament Républiques autonomes. Quelques mois plus tard, le gouvernement de Kiev répond par la force et bombarde les deux régions. Le conflit a fait plus de 10 000 morts militaires et civils compris en onze mois.

Que savons-nous de cette guerre ? Peu de choses. Une guerre pour l’Europe, contre des pro-russes. Partout dans les journaux, on nous présente un gouvernement ukrainien acculé par des offensives russes, menées par des rebelles sans visages. Mais ces rebelles de l’Est, qui sont-ils ?

Mon film Donbass est une errance sur ces territoires en guerre, au cœur des régions autonomes, à la recherche de ces visages qu’on ne nous montre pas, ceux d’une population civile recluse dans des caves depuis des mois. Ici rien d’autre que des ruines, des maisons aux flans éventrés et des immeubles aux vitres brisées, transpercés par les obus, des villes infestées de zones minées. Nous sillonnons ce paysage lugubre pendant des heures sans croiser âme qui vive. Parfois une silhouette se dessine sur le bord de la route, des âmes en errance. Les banques et les mines sont fermées et les magasins vidés, les plus jeunes ont fui ou sont au front, ne laissant derrière eux que les personnes âgées qui ne touchent plus ni salaires ni retraites. Dans certaines villes, il n’y a plus de gaz ni d’électricité. Des chiens errants devenus fous lors des bombardements hurlent à la mort et aboient sans interruption. Partout la peur est palpable ; dans le Donbass les gens chuchotent, les paranoïas se créent. Chaque jour compte son nouveau lot de disparitions.

Cette guerre qui pour nous n’était jusqu’alors qu’un spectacle télévisé, lointain, crypté de messages politiques nous fouette en plein visage : notre arrivée se fait le deuxième jour de la reprise des bombardements de janvier 2015. Alors que nous traversons la ville de Pervomaisk, nous sommes braqués à la tempe par des militaires. Notre ami et traducteur Andreï se fait enlever sous nos yeux. Son corps est retrouvé le lendemain, criblé de balles dans le dos, à quelques mètres de la ligne de front. Ce jour-là, deux autres personnes, dont le commandant du bataillon armé de la région, sont enlevées et tuées.

Et qui sont ces hommes qui font la guerre et pourquoi la font-ils ? Qui sont ceux qui la subissent ?
Ce film est une interpellation aux internautes à s’intéresser de plus près à ce conflit et à se rappeler que derrière la vision lointaine que nous avons de chaque guerre, se cache à peine sa face humaine, dans sa cruauté quotidienne. Et si nous la regardions en face, pourrions-nous rester là, sans nous révolter ?

Je conçois mon travail de réalisatrice comme une passerelle entre le public et une zone filmée. Je donne à voir l’envers du décor médiatique. Et je suis fière de travailler ainsi. Libre. 

Donbass est là pour rééquilibrer le débat. Pour donner la parole à ceux qui sont au cœur du conflit et que pourtant l’on voit et entend peu. Pour que puisse exister une autre manière de concevoir ce conflit, à l’abri des discours propagandistes et des positionnements non assumés. Le film n’est pas là pour déterminer qui du gouvernement ukrainien ou du gouvernement russe est le plus coupable. Donbass ne cherche pas à démontrer une théorie ou à défendre un camp plutôt que l’autre. Son objectif est de donner à voir le quotidien des populations civiles de l’Est plongées dans le tourment de la guerre. De comprendre quels peuvent être les ressentis de ces habitants. De raconter les à-côtés de ces combats.

Donbass n’est pas un reportage d’investigation. Donbass ne se prétend pas objectif, neutre ou encore exhaustif. Donbass est un film documentaire, et c’est pourquoi Donbass se veut subjectif. Subjectif non pas au sens d’une partialité politique, mais au sens du point de vue d’un auteur, du regard singulier d’un artiste, qui fait le choix de creuser plus en profondeur telle question plutôt que telle autre, et d’expérimenter telle forme cinématographique plutôt que telle autre. Donbass est avant tout une balade poétique dans une région en ruine, où les images et les mots font figure, non pas de preuves, mais de témoins.

Algérie54 : Votre sortie médiatique courageuse vous a attiré certainement  beaucoup d’hostilités et même une campagne de dénigrement. Comment  avez-vous réagi à cette campagne et est-ce que vous avez bénéficié du soutien de certaines ONG comme RSF ?

Anne Laure Bonnel : Je n’ai reçu aucun soutien face aux pressions, dénigrements et attaques médiatiques infondées. Je patiente. 

Hormis le précieux soutien de mes confrères canadiens, que je remercie, ceux de Sud Radio, Valeurs actuelles, le Figaro et les internautes, que je remercie chaleureusement, aucune réaction d’ONG ou de RSF ne s’est fait entendre. Ça viendra, je l’espère. 

Algérie54 : RT France a été interdite sur recommandation de la commission de l’Union Européenne. Quelle est votre opinion ?

Anne Laure Bonnel : Je prône la liberté d’expression et la transparence. Cela me désole. Nous n’avons rien à gagner en muselant les voix.

Entretien réalisé par Mehdi Messaoudi




L’interview du capitaine !

[Source : LMDR]



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Francis Gilerry : « Mon documentaire sur la Bataclan a été passé sous silence dans les grands médias hormis quelques tentatives de désinformation »

[Source : putsch.media]

Francis Gillery est le réalisateur d’un documentaire explosif sur le Bataclan qui pose de nombreuses questions à ce jour restées sans réponse sur les terribles attentats du 13 novembre 2015. Plongez dans les coulisses d’une nuit d’horreur qui met en perspective les responsabilités du pouvoir et les failles des systèmes de renseignements dans ce grand entretien vidéo de François Gilerry.

Francis Gilerry était l’invité de Nicolas Vidal dans l’émission Putsch Live le 11 juillet dernier. Son document n’a eu aucun écho dans les grands médias malgré les révélations qu’il apporte aux attentats du 13 novembre 2015.

L’émission intégrale est à revoir ci-dessous. Au bas de cet article vous trouverez le lien pour visionner le documentaire « Les Ombres du Bataclan » réalisé par Françis Gillery.

Résumé :

« À la veille du procès des attentats du 13 novembre 2015, ce documentaire fouillé, coécrit avec le président de la commission d’enquête parlementaire Georges Fenech, revient sur les dysfonctionnements qui ont jalonné une nuit tragique. Comment, au cœur de Paris, un tel massacre (131 morts au total) a-t-il pu se produire aussi facilement ?

En lien avec son président Georges Fenech, alors député LR, le réalisateur Francis Gillery s’est penché sur les travaux méconnus de la commission d’enquête parlementaire qui a épluché en 2016 le dossier des attentats du 13 novembre 2015 et pointé des failles.

À l’aube du procès-fleuve qui s’ouvrira le 8 septembre, ce documentaire rappelle les faits, les ramifications des réseaux terroristes de l’époque, les initiatives individuelles qui ont permis de sauver des vies, comme la courageuse interposition des vigiles du Stade de France. Il enquête sur les zones d’ombre qui ont apparu une fois la sidération passée. Comment des attaques d’une telle ampleur n’ont-elles pu être évitées alors que le Premier ministre de l’époque, Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, l’ex-juge antiterroriste Marc Trévidic et les services de renseignements les redoutaient ? Pourquoi les forces de police ont-elles mis autant de temps à intervenir au Bataclan ? Manque de coopération.

Ce documentaire donne la parole à un nombre impressionnant de protagonistes du drame, notamment, outre les personnalités citées précédemment, des membres des services de renseignements et du GIGN, des experts internationaux, une journaliste d’investigation, l’avocate de victimes Samia Maktouf, le rapporteur de la commission d’enquête Sébastien Pietrasanta (PS) ou encore Georges Dallemagne, vice-président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats belges de 2016. Il ressort de leurs témoignages et du recoupement des faits l’échec patent de la coopération des services de renseignements européens, les ravages causés par les guerres de chapelles au sein des forces régaliennes et un protocole d’intervention inadapté aux nouvelles formes de terrorisme.

Habituée aux prises d’otages et à la négociation, la France n’était, entre autres, pas préparée à ces attaques disséminées, semant le trouble chez ses policiers et convergeant vers un assaut final. Éclairant pour saisir le contexte fragilisé qui a conduit à ce drame, ce film s’avère aussi inquiétant, car toutes les leçons ne semblent pas avoir été tirées, les pays européens ne présentant toujours pas de front uni face au terrorisme ».

Réalisateur : Francis Gillery




Après Johnson, Draghi démissionnaire… Les Italiens vont-ils enfin pouvoir voter à nouveau ?

[Source : resistancerepublicaine.com]

Par Christine Tasin

[Photo : Jakub Porzycki / Nurphoto /AFP]

Enfin ! Ça fait 4 ans qu’on attend ça. Depuis le départ de Salvini qui espérait des élections législatives anticipées qu’il aurait dû remporter avec ses alliés.  Et qu’il n’a jamais obtenues. Que le peuple italien n’a jamais obtenues, empêché de voter par les différentes coalitions qui se sont succédé à la Chambre. Un véritable scandale, un véritable déni de démocratie.

Grâce aux trahisons du Mouvement 5 Étoiles, les mondialistes se sont dépêchés de former une autre coalition, avec le mondialiste Draghi à sa tête. Draghi le peureux qui, conscient d’avoir contre lui nombre d’Italiens à la suite de l’épouvantable politique sanitaire menée par leur Macron italien, se déplaçait avec pas moins de 15 voitures bourrées d’agents de sécurité…

Le chef du gouvernement est affaibli notamment par la décision du Mouvement 5 Étoiles (M5S, antisystème), membre de la coalition au pouvoir, de boycotter un vote de confiance au Sénat. « La majorité d’unité nationale qui a soutenu ce gouvernement depuis sa création n’existe plus. Le pacte de confiance fondant l’action de ce gouvernement a disparu », a-t-il expliqué. La coalition soutenant Mario Draghi rassemblait jusqu’ici toutes les forces politiques représentées au parlement, à l’exception du parti d’extrême droite Fratelli d’Italia.

https://www.francetvinfo.fr/monde/italie/le-premier-ministre-italien-mario-draghi-annonce-qu-il-demissionnera-ce-soir_5256649.html

Alors, depuis 2019, la grogne monte, au profit cette fois non plus de Salvini qui est entré dans la coalition et a soutenu Draghi depuis 202, mais de Fratelli d’Italia considéré, bien évidemment, comme un parti d’extrême droite. Nous savons bien, nous aussi ce que cela signifie !

Et voilà que le fameux M5s fiche encore le bordel. Sentant qu’il perd de plus en plus de légitimité et d’assise électorale (tu m’étonnes, il bouffe à tous les râteliers), il essaie de se refaire la cerise en sortant de la coalition sous prétexte de demander ce que Draghi ne peut et ne veut lui accorder, des revendications sociales, notamment un « revenu citoyen » (le fameux « revenu universel » dont rêvent aussi Macron  et autres Insoumis ? ).

Le M5S s’oppose aux incinérateurs qu’il trouve coûteux, polluants, peu efficaces et n’incitant pas la population au tri sélectif. Il réclame aussi l’instauration d’un salaire minimum et d’un revenu citoyen. Mais le mouvement a aussi, voire surtout, des arrière-pensées électoralistes, selon les analystes. « Le M5S s’écroule dans les sondages et a besoin de récupérer de la visibilité (…). Il veut être au centre de l’attention », a expliqué Lorenzo Codogno, ancien économiste en chef du Trésor italien.

La coalition soutenant Draghi n’a donc plus la majorité absolue, même si elle peut encore gouverner. Alors comme les mondialistes ont une peur bleue, celle de voir apparaître un phénomène à la Zemmour qui prendrait le pouvoir, le Président de la République, le vieux madré Mattarella, refuse la démission de Draghi, espérant que, face au danger majeur, une autre coalition apparaisse…

Le Premier ministre italien Mario Draghi, confronté à l’effritement de sa coalition, a annoncé en Conseil des ministres qu’il remettrait sa démission ce jeudi 14 juillet au soir, a indiqué le gouvernement. Mais le président italien Sergio Mattarella a refusé cette démission. « Le président de la République n’a pas accepté la démission du président du Conseil et l’a invité à se présenter au parlement (…) afin qu’ait lieu une évaluation de la situation », a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.

Espère, Mattarella. Espère. Mais ni Draghi ni les marchés ne semblent persuadés que les salauds sauveront leur tête. Sauf retournement (toujours possible) de M5s il est bien possible que tout cela aboutisse, tôt ou tard, à de nouvelles élections…

Et là tout est possible. Si la Lega et Fratelli d’Italie faisaient le plein de voix, la face de l’Italie et peut-être de l’UE pourrait être changée.

À suivre.

[Note de Joseph : si les Italiens et les autres peuples veulent vraiment changer, il leur vaut mieux créer autre chose qu’un système prétendument démocratique via des élections et des partis politiques qui amènent presque toujours les mêmes familles au pouvoir et favorisent largement la corruption, avec généralement aucun contrôle populaire sur le service livré.]




Nous vivons une rupture avec l’histoire

Le monde dans lequel vous avez grandi n’existe plus

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Par Jurbin van Hooff

Source: https://reactionair.nl/artikelen/we-leven-in-eenbreuk-met-de-geschiedenis/

Nous vivons une rupture avec l’histoire et personne ne s’en rend compte. Un processus d’aliénation est en cours dans le monde ; les gens ne sont plus liés à leur région, leur famille et leur tradition, mais sont surtout occupés par eux-mêmes. Si peu de gens s’en rendent compte, c’est parce qu’il existe une croyance sociale selon laquelle nous sommes dans un état parfait ou, pour reprendre les mots de Fukuyama, nous sommes arrivés à la fameuse « fin de l’histoire ». Puisque Mark Fisher a bien décrit ce phénomène, et l’a certainement fait mieux que moi, je vais obligeamment le citer :

« La thèse de Fukuyama selon laquelle l’histoire a culminé avec le capitalisme libéral peut être largement tournée en dérision, mais elle est acceptée, voire assumée, au niveau du subconscient culturel. Il convient toutefois de rappeler que l’idée que l’histoire avait atteint un « point final », même lorsque Fukuyama l’a avancée, n’était pas simplement triomphaliste. Fukuyama a prévenu que sa ville brillante serait hantée, mais il pensait à des fantômes nietzschéens plutôt que marxistes. Certaines des pages les plus prémonitoires de Nietzsche sont celles dans lesquelles il décrit la « sursaturation d’une époque par l’histoire ». Cela met une époque dans une dangereuse humeur d’ironie envers elle-même », écrivait-il dans les Contemplations de l’infini, « puis dans une humeur encore plus dangereuse de cynisme », dans laquelle la « dextérité cosmopolite », un spectatorisme détaché, remplace l’engagement et l’implication. C’est la condition du Dernier Homme de Nietzsche, qui a tout vu, mais qui est décadent et affaibli, précisément à cause de cet excès de (auto-)conscience ».(([1] Mark Fisher, Réalisme capitaliste.))

Pourtant, je dois admettre que j’ai le sentiment que, ces dernières années, cette croyance sociale en une condition parfaite s’affaiblit de plus en plus. Nous voyons de plus en plus les défauts du néolibéralisme et du postmodernisme remonter à la surface, également parce que les gens réalisent de plus en plus que nous ne pouvons pas vivre dans un monde de croissance (économique) illimitée. Pourtant, nous voyons encore des politiciens s’accrocher avidement à l’idée du néolibéralisme et du postmodernisme, parce qu’ils ne connaissent pas d’autre idéologie.

La croissance économique signifie également que la consommation doit augmenter. Et cela montre aussi l’état actuel de notre société : nous sommes devenus une société de consommation. Tout tourne autour de la satisfaction du désir, mais les désirs d’une personne se trouvent également dans une fausse conscience. Les désirs d’une personne sont également guidés, surtout dans la société actuelle, par un besoin de reconnaissance de statut de la part de l’environnement. Cela signifie également qu’une personne ne peut pas déterminer de manière autonome le type de désirs qu’elle a, mais les laisse plutôt dépendre de la culture ou de la sous-culture populaire. Cette chasse aux faux désirs donne lieu à une existence sans âme, dans laquelle un sentiment de bonheur doit vous venir par la consommation et vous avez une envie constante de la nouvelle dose de dopamine (numérique).

Pourtant, il faut reconnaître que cette vie de rupture avec l’histoire n’est en aucun cas due aux seules attitudes économiques et culturelles. L’évolution de la technologie a également rendu le monde de plus en plus petit. Alors que mes grands-parents ont grandi à une époque où les gens étaient encore complètement liés et dépendants de leur région, les « Zoomers » ont grandi à une époque où le monde entier était à nos pieds via l’éther numérique. C’est là le cœur de la rupture avec l’histoire : grâce à la numérisation, entre autres, un processus d’homogénéisation globale, d’aliénation par rapport à sa propre région et d’individualisation a eu lieu.

En raison d’une aliénation vis-à-vis de la communauté, les gens se sont de plus en plus individualisés au cours des dernières décennies. L’évolution de la technologie a servi de catalyseur pour rompre les liens avec la région et la famille traditionnelle. Vous pouvez désormais vous divertir à tout moment et en tout lieu en utilisant votre téléphone portable. Dans VPRO Tegenlicht en 2003, le Néerlandais Ad Verbrugge a souligné comment cette aliénation avait déjà eu lieu avec une simple télévision dans une chambre à coucher(([2] VPRO Tegenlicht, In The Line : Trapped in Freedom.)). Là où vous pouviez auparavant vous amuser en regardant la télévision ensemble ou en jouant à un jeu de société, vous pouvez maintenant vous amuser individuellement en regardant la télévision ou en jouant tout seul.

Le monde s’homogénéise de plus en plus ; là où il y avait autrefois des accents régionaux, ceux-ci disparaissent. L’architecture nationale disparaît : un gratte-ciel à Dubaï pourrait tout aussi bien être à New York. Les chaînes de fast-food américaines fleurissent le long des autoroutes serbes. Ce rétrécissement du monde a pour effet de transformer « le » monde en une masse grise, provoquant une énorme érosion culturelle et consolidant la culture de consommation.

Grâce en partie à la technologie, une croyance dans l’ingénierie sociale, dans une société sans risque, peut également naître. Ces dernières années, la société a été prise en otage. En plaçant la société sous un mécanisme de contrôle, piloté par le tableau de bord corona, le citoyen a été transformé en une variable dans un modèle. Une variable qu’il faut garder sous contrôle pour ne pas voir de chiffres rouges sur le tableau de bord. Ce bourrage de la société dans des modèles et le fait de faire du citoyen une variable du modèle aboutissent à une existence sans âme où tout, en vue d’éviter les risques, doit venir au citoyen.

Le colosse de pierre appelé « ville mondiale » se trouve à la fin du cycle de vie de toute grande culture. L’homme de culture, dont la vie de l’âme a été façonnée par la terre, est pris en charge par sa propre création, la ville, possédée, transformée en sa créature, son organe exécutif et finalement sa victime. Cette masse de pierre est la ville « absolue ». Son image, telle qu’elle apparaît avec sa beauté grandiose dans le monde lumineux de l’œil humain, contient le sublime symbolisme de mort du « devenir » définitif. La pierre animée des bâtiments gothiques est finalement devenue, au cours d’une histoire de style millénaire, le matériau sans âme de ce désert de pierre démoniaque. Ces dernières villes sont « tout esprit ». Leurs maisons ne peuvent plus remonter – comme les villes ioniques et baroques peuvent encore le faire – jusqu’à l’ancienne ferme qui avait autrefois été le point de départ de la culture. Ce ne sont plus des maisons dans lesquelles Vesta et Janus, les pénates et les repaires ont leur place ; ce ne sont que des enclos, construits non pas avec du sang mais avec un but, non pas avec des sentiments mais avec une entreprise économique. Tant que le foyer, au sens pieux du terme, est le centre réel et significatif d’une famille, le dernier lien avec la terre n’a pas été coupé. Ce n’est que lorsque cela aussi est perdu et que la masse des locataires et des dormeurs de cette mer de maisons mène une existence errante d’un logement temporaire à un autre, comme les chasseurs et les bergers de la préhistoire, que le nomade intellectuel atteint sa pleine maturité. Cette ville est un monde, est « le » monde. Elle n’a « que dans son ensemble » la signification d’une habitation humaine. Les maisons ne sont que les atomes dont elle est composée.(([3] Oswald Spengler, Effondrement de l’Occident.))

Le fait que nous vivions dans une rupture avec l’histoire plutôt que dans une fin de l’histoire a tout à voir avec le fait que cette époque est si dramatique. C’est un monde sans âme, éloigné de tout sens, mû par la consommation individuelle de matière grise. Elle exige une intervention radicale. Et ne soyez pas effrayé par le mot radical, qui remonte au latin « radix », qui signifie origine. Qui pourrait être contre le fait d’attaquer la maladie à sa source ?

Notes




Brigades Rouges Antifa (BRA) du Pouvoir : comment s’en défaire

Par Lucien SA Oulahbib

Les jours passent et son lot de crapuleries s’accroît : ici on agresse quasi mortellement des militants, là on annule une cérémonie sous le prétexte de la présence d’un député RN, sans oublier les faux « faits divers » habituels qui relatent ce qui pourrait être nommé « le djihad social » provenant d’ailleurs souvent d’individus ne pouvant supporter la liberté d’autrui, et auquel désormais se rattache toute la racaille des B.R.A. (Brigades Rouges Antifa) forgée de petits bourgeois cossus et décervelés, rejetons perdus d’une lumpen-intelligentsia en mal de repères idéologiques et surtout de reconnaissance bourgeoise accaparée par ceux qui étaient mieux lotis côté réseau : Sartre, les Temps Modernes, Le Monde, France Observateur qui donnera le Nouvel Observateur, puis Libération dans les années 70 et toutes ses photocopies punk dont Ménard est devenue la caricature absolue, genre Retour raté vers le futur, la trame temporelle ayant été perturbée. Le défenseur de la liberté de presse est devenu dans la nouvelle terre son pire cauchemar… .

La sauvagerie néoléniniste bat donc son plein. Le retour au Léninisme pur et dur, à la gauche du PCF jugé trop béret et gros rouge selon BHL (dans l’Idéologie française) date d’Althusser (BHL en fut l’élève) entouré de ses petits gardes rouges : Sollers et Kristeva, Derrida, Deleuze, Badiou au fond de la classe, Foucault qui jugeait que pas assez de têtes n’avaient été coupées en 1792

Face à la montée en puissance de cette totale intolérance, cautionnée « made in Nupes », l » instauration d’un service d’ordre national de patriotes volants pourrait être une solution. Mais cela nécessiterait beaucoup de moyens, et il vaudrait donc mieux que cela reste décentralisé et organisé sous un mode défensif (expérience de Villepinte des Zouaves étant à éviter). Une solution intermédiaire et sans doute plus efficace consisterait à opérer des opérations spectaculaires pour attirer l’attention non pas des gros médias (aux ordres), mais des citoyens lambda (via les médias de la réinformation).

Il s’agirait, à l’instar des opérations anti-passe, de sensibiliser sur cette question de la Sécurité et de la Liberté en s’enchaînant à la Statue de la Liberté, aux grilles du Parlement, à une station d’essence, ce qui ne manquera pas de rameuter les B.R.A. et par là de montrer leur complicité avec le Pouvoir de la Secte en place dont elles sont le bras informel, nécessitant alors l’intervention, défensive, de patriotes…

Canne. Boxe, savate, française aussi… Mais l’aïkido et le contact de rue façon Gavroche tout aussi bien…

Au fur et à mesure que l’économie de guerre va faire son effet, les B.R.A. vont servir de milices à tout à faire surtout dans les manifs contre le passe devenu multiforme (C19, « sobriété »…). Il est clair qu’il faudra leur montrer que s’ils peuvent cramer comme à leur habitude des édifices publics et privés (remboursés par les assurances) ils ne doivent pas faire de même pour les manifs, librairies, clubs de discussion discutant des problèmes de l’heure.

Ces problèmes — la maturation de la crise arrivant enfin à maturation — deviennent de plus en plus cruciaux, tels ceux attachés aux fondamentaux comme la liberté d’expression, la sécurité au quotidien (en particulier envers les femmes, les personnes âgées, les paysans, les homosexuels), l’austérité pour le peuple, l’opulence pour la Secte S.H.A…

Nous assistons à une déliquescence accélérée de son Pouvoir personnifiée par cette diatribe insensée d’un Président dit de la République reprochant à l’opposition de… s’opposer, et ce au nom d’un « anti-baroquisme primaire », comme si voter contre une proposition de loi était désormais impossible puisque se « mêleraient » des votes supposés ne pas le faire, ce qui est non seulement absurde, mais illégal et grossièrement anticonstitutionnel. Une conférence de presse conjointe des principaux chefs d’opposition aurait dû se tenir sur le champ, mais il est vrai que la Nupes aurait refusé, tant elle roule en sous-main pour Macron, de même que les LR, tous deux ayant voté pour lui, mais sans le dire bien sûr, tandis que le RN aura raté une occasion d’affirmer son intégrité en votant la motion de censure déposée par LFI comme le proposait Philippot…

Mais qu’à cela ne tienne, devant le Tsunami qui vient, les Gilets Jaunes de la première heure en auront été la première secousse, celles qui viennent seront sans appel. Dans tous les sens du terme.




Appel aux Sénateurs

Par Karen Brandin

Mesdames, Messieurs les Sénateurs,

Le jeudi 14 juillet 2022, les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui sont le terreau de la démocratie ont de nouveau été bafouées, vidées de leur substance suite aux déclarations d’un président au ton invariablement autoritaire, chef d’État au regard d’acier et au sourire carnassier qui n’a que légèrement voilé l’avertissement qu’il entendait bien donner aux parlementaires, vous rappelant à votre esprit de responsabilité et laissant par là même deviner qu’il s’agissait de vous encourager fortement, non pas tant à statuer ou voter en conscience, mais bien plutôt en cohérence avec les exigences d’un gouvernement désormais affaibli.

L’an passé, le Sénat a eu l’occasion de nous prouver son indépendance et sa vigilance. Il y a de cela quelques jours, ce fut au tour de l’Assemblée Nationale, depuis trop longtemps réduite à une simple chambre d’enregistrement, de nous offrir enfin un débat éclairé ponctué d’interventions documentées qui se sont soldées par un rejet légitime de l’article 2 de cette nouvelle proposition de loi dite « sanitaire. » 

Ce retour tant attendu de la vie parlementaire a été balayé d’un revers de main par E. Macron qui a souhaité n’y voir qu’un « coup de chaud » nocturne, une contre-réaction bien légitime sans doute aux sueurs froides qui l’attendent décidément. 

Nous, simples citoyens, électeurs en puissance devons pouvoir compter sur vous Mesdames, Messieurs les sénateurs pour porter haut dans les jours à venir, pas tant nos convictions que la simple réalité.

À cet effet, deux points sur lesquels aucune négociation, aucun compromis ne sauraient être envisagés nous tiennent particulièrement à cœur. Nous serons, lors de la séance publique programmée, très attentifs à leur défense systématique.

Le cas des mineurs tout d’abord qui doivent désormais, et ce en toutes circonstances (variant centaure compris), être dispensés de toutes mesures liberticides. Ces jeunes, innocents du covid doivent être assurés de la liberté de paraître (avec l’arrêt définitif du port du masque) et de celle de circuler avec la garantie de la fin pour cette population en construction d’un pass, qu’il soit présenté comme « sanitaire » ou « frontière ». Bref, la fin du… pass partout.

On rappelle que les enfants, en plus de contribuer de manière anecdotique à la propagation du virus, ne font pas — sauf très rares exceptions du fait d’un terrain défavorable (lourdes comorbidités) — de formes graves, immunités croisées obligent, et constituent au contraire un rempart précieux en participant activement à l’immunité collective.

L’idée éthiquement inacceptable et scientifiquement aberrante d’une vaccination altruiste à partir d’une injection génique non immunisante dont le processus accéléré de mise sur le marché n’offre aucune garantie de sécurité doit être abandonnée au plus vite.

On déplore d’ores et déjà de très nombreux, et parfois de très graves, effets secondaires qui vont jusqu’à engager lourdement et durablement la qualité de vie de ces jeunes gens. En dehors de toute déontologie puisque la balance bénéfice/risque est largement en défaveur de la vaccination, on est venu corrompre une immunité naturelle et ce faisant, un parfait état initial de santé.

Cette hypothèque mise sur l’état de santé de vos enfants est inacceptable. Elle doit cesser.

Est-il utile de rappeler qu’en l’état, alors que la pratique d’un tatouage est interdite sur un mineur sans le consentement écrit d’une personne chargée de l’autorité parentale (parent ou tuteur), il est en revanche possible pour un adolescent à partir de 16 ans, d’accéder sans l’accord de ses parents, donc sans que l’on puisse s’assurer d’un quelconque consentement libre et éclairé, à un acte médical majeur tel qu’une vaccination.

De nombreux médecins de renom et d’expérience, dont la pédiatre/oncologue Nicole Delépine, nous alertent sur l’émergence de cancers fulgurants, agressifs et atypiques à de nombreux égards tant ils frappent une population jusqu’alors épargnée (éventuellement jeune) et réagissent mal aux thérapeutiques classiques.

Refusons la poursuite des injections anticovid qui favorisent l’augmentation des cancers | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Il est urgent d’invoquer le principe de précaution en stoppant cette vaccination de masse digne d’une médecine vétérinaire et d’exiger une étude objective, rigoureuse et indépendante des effets iatrogènes consécutifs à ces injections répétées.

Deuxième point sur lequel il est impératif d’avancer en obtenant des assurances datées : la réintégration des soignants (notamment, mais cela vaut pour l’ensemble des personnels injustement mis à pied).

Ces soignants « suspendus », car le mot n’a jamais été plus lucide en même temps que plus terrifiant.

La vie de ces femmes, de ces hommes de conviction a en effet été « suspendue » à un fil, à une décision butée, idéologique. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection ni de la transmission a été largement diffusé. Il est donc désormais impossible de trouver une justification scientifique, objective à cette situation inhumaine qui dure depuis plus de 10 mois.

Nous avons accepté par lâchetés successives de plonger nos semblables, des familles entières dans une précarité sociale comme morale ; cette honte, nous la portons donc collectivement. Il est urgent de rendre à ce personnel sa vie simplement. Ce n’est pas à nous de « passer l’éponge » comme on l’entend ces derniers jours, mais bien à eux d’essayer de nous excuser d’avoir tenté de porter atteinte à leur intégrité et de les avoir soumis à un chantage indigne d’une société éclairée. Nous ne leur serons jamais assez reconnaissants d’avoir su bien souvent conserver intacte leur vocation, leur goût de l’Autre et celui du soin. De manière plus prosaïque, il y a parmi ces personnes empêchées de travailler, des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent avoir la possibilité de pratiquer pour assurer leur art et affirmer leurs techniques de prise en charge. 

Souvenons-nous ; c’était hier seulement :

« France, c’est le F révolté de la Fraternité ; c’est le R, espérance de toutes les Résistances. C’est le A pour sceller les plus fortes Amitiés ; c’est le N, infini, d’une Nation unie. C’est le C qui présage de la force du Courage, c’est le E engagé de notre Égalité. »

Nous avons tous été émus d’entendre résonner la voix pour clore le défilé du 14 Juillet de Candice Parise dans son interprétation de la chanson originale F.R.A.N.C.E. Il ne tient qu’à vous que ces mots deviennent des actes.

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sentiments les plus respectueux.

K. Brandin
Enseignante/Docteure en Théorie algébrique des nombres

Quelques outils (non exhaustifs) pour aider à bâtir un argumentaire de qualité :

L’injection expérimentale doit être stoppée dans le monde entier selon le conseil mondial de la santé — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 2022 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

Il faut interdire la vaccination anticovid des enfants à la suite des révélations Pfizer : inefficacité et millions de complications | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation




Lettre ouverte à Julien Dray le « baron noir », éditorialiste à Cnews, ex-éléphant socialiste, sur les dangers et l’inefficacité des injections antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Julien Dray(([1] Toujours dans le combat il vient de créer un nouveau mouvement « réinventez » :
Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr)
INFLUENCEUR
L’ancien député socialiste souhaite « réécrire un projet de société » dont les idées pourront être utilisées par les autres partis.)) à Paris en 2016.
— JULIEN DE FONTENAY/JDD

Cher Julien Dray(([2] Selon WIKIPEDIA Julien Dray — Wikipédia (wikipedia.org) Julien Dray, né le 5 mars 1955 à Oran (Algérie française), est un homme politique français. D’abord militant trotskiste, à la Ligue communiste révolutionnaire, il rejoint en 1981 le Parti socialiste. Il est l’un des fondateurs de SOS Racisme. Député de la dixième circonscription de l’Essonne de 1988 à 2012, il a été conseiller régional d’Île-de-France de 1998 à 2021.)), homme politique, éditorialiste omniprésent sur Cnews, es-tu conscient de l’inefficacité et des risques du vaccin et du pass ? Le 14 juillet 2022, tu morigénais les quelques députés socialistes qui ont refusé prolonger la tyrannie sanitaire et les pass, car « tout de même le vaccin a été efficace contre les formes graves ».

Or tu aurais dû te féliciter qu’enfin des députés élus par le peuple aient le courage de les représenter et de faire jaillir dans l’hémicycle la réalité du terrain : l’inutilité du vax et des mesures liberticides qu’il a justifiées et surtout ses innombrables toxicités que les politiques de terrain constatent de plus en plus. Bravo à leur union bigarrée comme les Français ! Et que celle-ci résiste aux pressions sans nom qu’ils subissent sûrement (([3] Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) depuis quelques jours !(([4] Bravo aux députés qui ont refusé la prolongation du pass vaccinal ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Aide-les au lieu de les accabler !

L’importance des médias pour façonner l’opinion et singulièrement les personnes âgées privées des informations d’internet et scotchées à BFM ou CNews (qui comme par hasard auraient fait réélire E. Macron)nous conduit à revenir sur tes propos réitérés pour favoriser le pass et les vax, et à tenter d’attirer ton attention sur les faits réels : les dangers des passes couplés à l’inefficacité et à la toxicité du vaccin antiCovid.(([5] La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Si tu veux reconstruire une nouvelle génération, il ne faut pas l’emmener dans le mur via la perte d’esprit critique et des libertés et plus encore de la santé, vu les conséquences dramatiques des injections.

« J’ai assez fait pour les autres en croyant à chaque fois que j’allais les influencer. Je n’y crois plus et personne ne me donne plus envie de l’influencer », explique l’ex-député socialiste qui a inspiré la série Baron noir. « J’ai décidé de ne plus perdre mon temps dans les batailles internes du Parti socialiste, dans les refondations, dans les combinaisons », précise-t-il.

« J’ai passé l’âge de jouer aux Lego »(([6] Gauche : Julien Dray lance le mouvement « Réinventez ! » (20minutes.fr) ))

Alors cher Julien, si tu ne joues plus aux Lego, résiste aux manipulations du pouvoir et des affidés de Big Pharma. Aide la population à sortir ceux qui le peuvent encore des mesures liberticides inutiles et des effets toxiques des injections qui ne protègent de rien et même pas des formes graves ni de la mort.

NON LE VAX NE PROTÈGE PAS DES FORMES GRAVES

Mantra des éditorialistes depuis plusieurs mois sur toutes les chaînes progouvernementales et même les autres qui font semblant d’être indépendantes (…), la fausse idée de la prévention des formes graves par l’injection génique a pourtant été démentie régulièrement par les FAITS AVÉRÉS. Mais il est vrai que les OPINIONS PERSONNELLES ont depuis bien longtemps remplacé la réalité qui déplairait au pouvoir.

Non, les vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort et fragilisent les triple injectés

Covid-19 : les injections vaccinales multiples favoriseraient les infections. Un bilan. — Strategika

« Pénuries de main-d’œuvre

Par ailleurs, si, ces dernières semaines, les hôpitaux et les compagnies aériennes manquent cruellement de personnels, cela n’est pas dû à une pénurie salariale, mais à l’absentéisme massif occasionné par les arrêts maladie des salariés affectés par le Covid-19. Pourtant, dans ces deux secteurs sensibles, l’ensemble des salariés est multi-injecté, c’est-à-dire triplement vacciné.

Ce phénomène de l’arrêt de travail massif pour cause de maladie n’a jamais été observé auparavant. Tout se passe comme si la vaccination à base ARN-m était devenue un vecteur de pathologies, un agent pathogène. En particulier avec les injections vaccinales répétées, responsables de l’amenuisement du système immunitaire. »

Alors que Le tiers monde est protégé — par sa pauvreté et sa résistance du dogme vaccinal immunisé par ses expériences passées. Ils ont déjà beaucoup donné !

Que penses-tu, Julien Dray des appels répétés du conseil mondial de la santé ?(([7] Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé))

Une injection génique qui ne protège de rien et entraîne beaucoup de désastres : un nouveau témoignage, au hasard des milliers qui s’accumulent sur internet de tous pays :

Un guitariste a perdu huit de ses doigts(([8] https://childrenshealthdefense.org/defender/guitarist-jeff-diamond-jj-vaccine-rfk-jr-podcast/)) Il veut le faire savoir pour que cela cesse, enfin !

Un guitariste qui a perdu 8 doigts après le vaccin de J & J dit à RFK, Jr. : Les gens doivent être tenus responsables. Sur un épisode récent de « RFK Jr. The Defender Podcast », a décrit le guitariste Jeff Diamond qui a été amputé de huit doigts et qui a perdu sa voix chantante après avoir développé des caillots sanguins environ une semaine après avoir reçu le vaccin Johnson & Johnson contre la Covid-19.

Julien Dray, tu rappelais que le parti socialiste aurait décidé que « la seule solution au Covid était le vaccin ». Mais sur quelle planète vit-il et à qui se fit-il quand tant de grands professeurs dont D Raoult, C Perronne qui n’étaient pas des antivax ont donné tant d’informations sur les faits réels comme aussi les Prs Laurent Toubiana, Laurent Muchielli et tant d’autres ? Ton cher PS que tu as pourtant quitté regarde-t-il parfois les données de l’OMS ? INFORME-LES au lieu de leur faire confiance !

Nous rappelons ci-après les faits établis et publiés sur ce qui s’est vraiment passé dans le monde réel et sommes à ton entière disposition pour en discuter, camarade de longues décennies au cours desquels nos chemins ont dû se rencontrer, ne serait-ce qu’à l’UNEF(([9] Nos coordonnées sur notre site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer.
https://t.me/DrDelepine sur Telegram.)). Nous parions sur ton honnêteté.

Les chiffres de l’OMS montrent que les pass n’ont nulle part permis de ralentir l’épidémie

Que ce soit en France :

Ou en Roumanie :

Ou en Israël :

Ou dans l’ensemble des pays d’Europe dont la plupart (25/27) constatant cette inefficacité ont supprimé les pass nationaux :

Il n’y a guère que Malte et la France qui font encore semblant d’y croire et demandent encore le certificat numérique européen. Et bien sûr E. Macron pour « emmerder les Français », Braun, Olivier Veran et malheureusement toi-même, Julien Dray.

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de ralentir l’épidémie

Cela a d’abord été constaté en Israël champion des injections Pfizer :

Puis en Grande-Bretagne, championne des injections AstraZeneca :

Mais aussi en France :

Et dans le reste du monde :

Car ce sont les pays les plus vaccinés qui souffrent des recrudescences les plus vives de l’épidémie et des chiffres les plus élevés de contaminations cumulés :

Comment Julien, peux-tu encore publiquement prétendre que les pseudo vaccins seraient la solution au Covid ? Informe-toi aux sources indiscutables et ne répète pas la propagande du gouvernement dont les objectifs, contrairement à toi ne sont pas l’Homme, mais bien les bénéfices de Big Pharma et les ukases de Davos et Cie ?

Les chiffres de l’OMS montrent aussi que les vaccins n’ont pas permis de diminuer la mortalité

Ce sont les pays les plus vaccinés qui totalisent les plus fortes mortalités par million :

Les chiffres montrent aussi que l’interdiction des traitements précoces a été catastrophique

En 2020 d’après l’OCDE (https://data.oecd.org/fr/pop/population-agee.htm), les pourcentages de population à risque (plus de 65 ans) du Japon, de l’Italie, du Portugal et de la France s’élevaient respectivement à 29 %, 23 % 22 % et 20 % et celle des Algériens de plus de 60 ans à 26 %

(https://www.algerie-eco.com/2020/03/12/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/). L’âge ne représente donc pas un facteur de pronostic plus favorable du Japon ou de l’Algérie.

L’Italie, le Portugal et la France ont interdit les traitements précoces et imposé les vaccins ; le Japon a autorisé les traitements précoces et l’Algérie a utilisé le protocole Raoult. L’interdiction des traitements précoces a abouti à une mortalité 10 à 15 fois plus élevée soit en France à un excès de mortalité d’environ 120 000.

L’interdiction des traitements précoces pour imposer les pseudo vaccins et les prescriptions de Rivotril nous ont coûté 120 000 morts de trop !

Julien Dray, tu es un homme intelligent et cultivé, expérimenté. Alors pourquoi nies-tu les faits avérés que chacun peut vérifier par internet sur le site de l’OMS à https://Covid19.who.int/ ou celui de l’université John Hopkins https://OurWorldinData. Org/coronavirus ?

Quelles qu’en soient les raisons, tes « certitudes » et déclarations actuelles sont dignes d’un inquisiteur du moyen âge défendant la religion des pseudo vaccins et ressemblent trop à celles des services de communication de Pfizer. Comme tu n’es pas médecin, je n’ose pas croire que tu puisses avoir des liens avec l’industrie pharmaceutique contrairement à notre nouveau ministre de la Santé, F. Braun.(([10] François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé, par Éric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))(([11] Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

S’il te plaît, Julien Dray, réveille-toi, ouvre les yeux et considère les faits, rien que les faits. Rester négationniste, c’est faire injure à ton intelligence et à tes combats passés et tenaces, même si parfois erronés, mais toujours pour ce que tu pensais être le mieux pour l’avenir de l’Humanité.





14 juillet : Macron hué lors de son passage sur les Champs-Élysées

[Source : LeHuffPost]

Des sifflets émanant de gilets jaunes ont été entendus sur le passage du chef de l’État. Des tensions entre la police et des groupes de personnes venues exprimer leur mécontentement ont également eu lieu.






Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

crime contre lhumanitégrand juryhistoire et géopolitiquereiner fuellmichtribunal




Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




14 juillet : on fête la ripoublique maçonnique !

[Source : LMDR]



[Voir aussi :
La France revivra-t-elle?
et
France, relève-toi !]




Un législateur britannique propose d’attribuer aux citoyens un score de vérité sur les médias sociaux

[Source : aubedigitale.com]

Le législateur britannique John Penrose propose une idée dystopique pour donner aux citoyens un score de vérité sur les médias sociaux

Un dépassement massif des limites.

John Penrose, législateur du Parti conservateur britannique, a proposé un ajout au projet de loi controversé sur la censure d’Internet au Royaume-Uni, baptisé « The Online Safety Bill », qui devient de plus en plus orwellien à chaque nouvel amendement proposé.

Comme s’il sortait d’une fiction dystopique, M. Penrose, député de Weston-super-Mare, a proposé que le gouvernement oblige les plateformes en ligne à tenir à jour un score de la véracité d’une personne, déterminé par ses déclarations passées.

Voir les amendements proposés ici.

John Penrose
Pour faire avancer la clause suivante :
« Exactitude factuelle
(1) Le présent article a pour objet de réduire le risque de préjudice causé par la désinformation ou la mésinformation aux utilisateurs des services réglementés.
(2) Tout service réglementé doit fournir un index de l’exactitude factuelle historique du matériel publié par chaque utilisateur qui a…
    (a) produit un contenu généré par l’utilisateur,
    (b) un contenu d’éditeur de nouvelles, ou
    (c) des commentaires et des critiques sur le contact du fournisseur
   dont le contenu est visionné plus largement qu’un seuil minimum à définir et à fixer par l’OFCOM.
(3) L’indice visé au paragraphe (1) doit…
    (a) satisfaire à des critères de qualité minimum à définir par l’OFCOM, et
    (b) être affiché de manière à permettre à tout utilisateur de se faire facilement une opinion éclairée sur l’exactitude factuelle probable du contenu au moment même où il le rencontre. »

« L’objectif de cette section est de réduire le risque de préjudice pour les utilisateurs de services réglementés causé par (sic) la désinformation ou la mésinformation », indique la proposition, avec une coquille qui montre à quel point la formulation d’une législation qui supprime les libertés des citoyens est soignée.

La proposition prévoit que chaque utilisateur qui produit du contenu en ligne, y compris des « commentaires et des critiques », et qui reçoit un certain nombre de vues en ligne, qui doit être déterminé par le régulateur britannique des communications, devrait voir son contenu indexé et se voir attribuer un score de vérité.

Le discours de cette personne doit ensuite être « affiché d’une manière qui permette à tout utilisateur de se faire facilement une opinion éclairée sur l’exactitude factuelle probable du contenu au moment même où il le rencontre ».

Au cours des deux dernières années, la vitesse à laquelle l’idée de s’attaquer à la « mésinformation » a été utilisée comme un outil de censure et de suppression des opinions a été alarmante, et l’idée que les régulateurs suppriment la parole des citoyens s’est normalisée.

Le Royaume-Uni propose également une nouvelle législation qui obligera les entreprises de médias sociaux à s’attaquer à la désinformation par des adversaires étrangers comme la Russie.

En faisant cette annonce, la secrétaire d’État au numérique, Nadine Dorries, a déclaré que l’invasion russe en cours en Ukraine a prouvé comment la Russie utilise les médias sociaux pour diffuser des mensonges.

« Nous ne pouvons pas permettre à des États étrangers ou à leurs marionnettes d’utiliser l’internet pour mener sans entrave une guerre en ligne hostile », a-t-elle déclaré. « C’est pourquoi nous renforçons nos nouvelles protections en matière de sécurité sur Internet afin de garantir que les entreprises de médias sociaux identifient et éliminent la désinformation soutenue par les États. »

La loi, qui devrait être adoptée au cours de la session parlementaire actuelle, sera un amendement au projet de loi sur la sécurité en ligne et au projet de loi sur la sécurité nationale.

Elle obligera l’Ofcom, l’organisme de réglementation des médias, à créer des codes de pratique pour s’assurer que les plateformes de médias sociaux s’y conforment et à infliger des amendes en cas de non-respect.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale




7 minutes pour reprendre le pouvoir

[Source : Volte-Face]

Alors que l’argent liquide risque d’être complètement supprimé dans peu de temps au profit d’une monnaie numérisée, afin que le gouvernement puisse contrôler chaque dépense des citoyens et bloquer ce qui ne lui convient pas, agissons ensemble pour contrer ce projet et récupérer notre pouvoir sur les banques ! TOUS ENSEMBLE DES LE 4 MAI !

Pour plus d’informations, venez rejoindre la communauté sur le canal Télégram ! https://t.me/mista_case




REVUE DE PRESSE DU 13 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Entre péremption et incitation à un second rappel

L’UE encourage les plus de 60 ans à demander une deuxième dose de rappel tandis que la France va jeter plus de 3 millions de doses d’AstraZeneca, que les effets indésirables sont dénoncés largement et qu’un jugement d’annulation de suspension d’une soignante pourrait faire jurisprudence. Le ministère fait volte-face et demande l’avis des scientifiques pour une éventuelle réintégration des soignants suspendus. Dans la folle course aux nouveaux vaccins supposés agir sur de nouveaux variants, on renonce à tous les protocoles et les mathématiciens continuent de modéliser les morts à venir. Inversion accusatoire, restrictions et censures et pour couronner le tout, ces journalistes qui n’ont lu aucune des 1750 études sur les effets indésirables des vaccins anticovid. Mais l’AFNOR veille et dénonce l’escroquerie des masques, et l’on découvre des fraudes aux tests dans des officines pour la modique somme de 53 millions d’euros.


POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Un ministre sous contrôle et derrière, une caste de technocrates qui prendra les vraies décisions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/06/francois-braun-un-parfait-playmobil-sous-controle-au-ministere-de-la-sante/

Entre-soi et connivence.

Nomination de François Braun, une provocation

https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/remaniement-la-nomination-de-francois-braun-comme-ministre-de-la-sante-est-une-veritable-provocation-selon-l-association-des-medecins-urgentistes_5237065.html

« Les propositions qui sont faites par François Braun sont catastrophiques. C’est une rupture du service public. Il explique qu’on peut fermer les urgences la nuit. Monsieur Braun ne représente pas les urgentistes. »

(Dr Prudhomme, porte-parole des urgentistes de France)

Rentrée des classes, protocole sanitaire allégé

https://www.francesoir.fr/politique-france/covid-19-protocole-sanitaire-ecole

« alignement de l’école avec la population générale et contact tracing aboli »

Le bilan selon le Pr Perronne

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne

 « Tout cela était planifié. Je ne vois pas comment l’expliquer autrement/en avril 2020 le ministère savait que le Remdesivir était toxique pour le rein et pour le foie/L’Assistance Publique est à la dérive/la baisse du niveau de formation des étudiants en médecine est dramatique/le système est en train de s’écrouler »

Pr Raoult « êtes-vous complotiste » ?

« Je pense que le niveau de l’argent qui circule atteint un niveau auquel on n’était pas habitués et je pense qu’il faudra bien que la vigilance se mette en place. »

Lettre de BonSens aux députés et Sénateurs, le 5 juillet 2022

Alerte sur les effets indésirables des injections et l’urgence d’un moratoire

La réintégration des soignants suspendus, un sujet à 600 millions d’euros !

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/12/macron-refuse-de-payer-les-600-millionse-quil-doit-aux-soignants-suspendus/

« Pour 600 millions, mieux vaut mettre l’hôpital en danger, plutôt que réparer ses fautes et manger sa salive… »

MAIS, scoop au ministère !

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegration-des-soignants-non-vaccines-braun-lenvisage

« La protestation va-t-elle finir par porter ses fruits ? »

10 millions d’euros jetés par les fenêtres !

https://www.ladepeche.fr/2022/07/11/vaccins-contre-le-covid-19-la-france-va-jeter-36-millions-de-doses-astrazeneca-perimees-10429268.php

3,6 millions de doses d’AstraZeneca périmées, qui n’ont pas trouvé preneurs..

La folle course en avant des nouveaux vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/nouveaux-vaccins-de-rappels-automne-la-folle-course-en-avant

De nouveaux vaccins bivalents sans aucune étude clinique ni garantie d’efficacité, exit le protocole, seulement des extrapolations et la population devient le terrain d’expérimentation de tout nouveau vaccin anti-covid !

L’objectif d’un vaccin adapté à tout nouveau variant est une chimère, inatteignable !

« c’est un moratoire vaccinal qui devrait prévaloir de la part des autorités, et une réflexion éclairée dans le débat public au bénéfice de la population générale. »

Crise Covid, restrictions et censures

Mensonges des médias, censure des GAFA, procès du Conseil de l’Ordre, suspension des soignants vaccino-prudents, menaces contre la démocratie en France et dans l’UE.

L’inversion accusatoire des auteurs anti-conspirationnistes

https://www.francesoir.fr/entretien-essentiel/francois-belliot

« Le complotisme a servi à labelliser et diaboliser tous ceux qui critiquaient la gestion gouvernementale de la crise sanitaire »


ÉTRANGER

AUTRICHE
ce sont les médecins qui sont responsables en cas d’effets indésirables

https://www.wochenblick.at/corona/haftungshammer-gesundheitsminister-bestaetigt-aerzte-bei-impfschaeden-verantwortlich/

« La sanction pour violation de l’obligation de déclarer les effets secondaires ou le manque d’efficacité (selon la loi sur les médicaments) est de 7500 €, et jusqu’à 14 000 € en cas de récidive »

ITALIE
Flop total de la 4e dose

https://lemediaen442.fr/italie-flop-total-pour-la-4e-dose-du-vaccin-les-centres-de-vaccination-sont-vides/

« Le désintérêt des peuples du monde à la vaccination ne fait que s’amplifier. »

UE
2e dose de rappel pour les plus de 60 ans

https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-l-ue-recommande-une-deuxieme-dose-de-rappel-pour-les-plus-de-60-ans_AD-202207110253.html

Au lieu de la population des plus de 80 ans visée précédemment.

CHINE, HONG-KONG
quarantaine ET bracelet électronique pour les positifs au Covid

No comment.

PÉROU
catastrophe vaccinale, il faut stopper les injections

https://www.mondialisation.ca/la-catastrophe-vaccinale-du-perou-demontre-encore-quil-faut-stopper-ces-injections-experimentales/5669655

Au 15 juin 2022, taux de mortalité le plus élevé au monde dû au Covid ; dans les pays africains adeptes des traitements précoces, c’est 200 à 400 fois moins.

URUGUAY
Les vaccins ne sont plus disponibles pour les moins de 13 ans

https://en.mercopress.com/2022/07/07/a-judge-in-uruguay-has-prohibited-covid-vaccines-for-children-health-ministry-complies-with-the-ruling

Jusqu’à nouvel ordre.


JUSTICE

Annulation de la suspension d’une infirmière de Dijon, non vaccinée

https://m-epochtimes-fr.cdn.ampproject.org/c/s/m.epochtimes.fr/une-infirmiere-non-vaccinee-suspendue-gagne-son-proces-contre-lhopital-public-2059142.html/amp

et

https://www.youtube.com/embed/Jubmtzbx6J8

Ce jugement — sur le fond — pourrait faire jurisprudence.

« La décision n’était pas motivée/donc elle est nulle ».

Sans les avocats, les restrictions auraient été pires

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/me-tarek-koraitem

« Me Koraitem, avocat pénaliste a obtenu par voie de justice au cours de la crise sanitaire des décisions fondamentales pour le rétablissement des libertés des salariés aussi bien dans le secteur public que privé ».

Le point sur les démarches en cours de Réinfo Liberté

https://drive.infomaniak.com/app/share/417240/b34b30ca-403a-455c-8c43-8a424bcf103d/preview/pdf/3914

Médecins objets de plaintes en raison de leurs prises de position inacceptables, ou mesures gouvernementales assises sur des arguments fallacieux, la lutte se poursuit.


COVID

Preuves biochimiques que Moderna a créé le Covid 19 ?

https://perma.cc/PHY6-5MPN

« Il n’y a absolument aucun virus qui possède un doublet CGG dans un site de clivage de la furine (PRRAR), à l’exception de Covid-19 et des virus végétaux que Dow Agroscience, Monsanto ou autres ont modifiés ».

https://factuel.afp.com/doc.afp.com.327792X

L’immunité naturelle reste efficace à 97 % après 14 mois

https://www.epochtimes.fr/apres-14-mois-limmunite-naturelle-reste-efficace-a-97-contre-les-formes-graves-de-covid-revele-une-etude-2068571.html

« Ce pourcentage est supérieur à la protection conférée par les vaccins Covid — 19, selon d’autres études et données empiriques. »


TRAITEMENTS ET STRATÉGIES

L’AFNOR prouve que le masque est une escroquerie

https://nouveau-monde.ca/lafnor-prouve-que-le-masque-grand-public-recommande-par-le-gouvernement-est-une-veritable-escroquerie/

Le maillage des masques bleus chirurgicaux, les masques « maisons » et les masques en tissus est trop gros (trous de 0,3 micron) pour arrêter le coronavirus qui mesure entre 0,06 et 0,14 micron.

Rejet de prorogation du pass vaccinal

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/13/passe-vaccinal-quelles-options-pour-macron-apres-que-lopposition-a-depasse-la-borne/

« Pour autant, il ne faudrait pas sous-estimer le danger du texte tel qu’il a été adopté le 12 juillet. Son article premier proroge la collecte de données sanitaires individuelles sans le consentement des personnes jusqu’au 31 janvier 2023. »


TESTS

Fraude aux tests, 34 pharmaciens, 53 millions d’euros détournés

https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/info-rtl-fraude-aux-test-covid-34-pharmacies-accusees-d-avoir-detourne-53-millions-d-euros-7900171555

169 officines font toujours l’objet d’une procédure.


INJECTIONS

Rôle des vaccins dans une réduction et un contrôle des populations

https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/

« Le grand public commence à comprendre que quelque chose ne tourne pas rond dans le comportement des dirigeants politiques de la terre ».


EFFETS INDÉSIRABLES

C’est bien la vaccination et pas la Covid qui provoque les myocardites

https://pgibertie.com/2022/07/06/la-preuve-enfinles-myocardites-sont-des-effets-secondaires-des-injections-pas-de-la-covid/

La Spike vaccinale est plus dangereuse que la Spike virale.

Selon le VAERS (pharmacovigilance américaine), multiplication majeure des irrégularités menstruelles et malformations fœtales par les vaccins

https://www.epochtimes.fr/les-vaccins-covid-multiplient-par-mille-les-irregularites-menstruelles-et-par-cent-les-malformations-foetales-selon-une-analyse-du-vaers-2064256.html

« L’absence de données et de tests adéquats concernant l’innocuité pendant la grossesse a entraîné des toxicités reproductives et fœtales qui auraient pu être évitées », selon le Dr Malone, un des contributeurs de la technologie ARNm.

Les rappels favorisent les effets indésirables

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/12/la-toxicite-des-injections-covid-augmente-elle-avec-le-nombre-de-rappels-par-laurent-aventin/

Les femmes sont plus touchées que les hommes (71 % versus 29 %), et les données de l’ANSM ne permettent pas de différencier les effets selon le nombre de doses, quand c’est possible au Royaume-Uni.

Le vaccin tue de plus en plus de célébrités et d’anonymes

https://www.mondialisation.ca/le-vax-tue-de-plus-en-plus-de-celebrites-et-combien-danonymes-et-de-vies-brisees-stoppons-le-massacre/5669734

Des carrières et des vies brisées.

Effets des injections Covid, plus de 1750 études/rapports que les journalistes n’ont pas lus

https://pgibertie.com/2022/07/11/plus-de-1750-rapports-et-etudes-portant-sur-les-effets-des-injections-covid-ont-ete-publiees-et-les-journalistes-nen-ont-pas-lu-un-seul/

« Il y a un moment où la négation des faits devient un crime ».


RÉSISTANCES

CSI n° 62 du 7 juillet 2022

https://crowdbunker.com/v/PB9hobdK

Dr Erik Loridan, sur les fondements scientifiques du masque.

Plate-forme de témoignages de victimes des injections

https://effets-secondaires-vaccins-covid.org/

La liste est longue et douloureuse.

13 juillet 2022
300 jours sans ressources pour les soignants et pompiers suspendus




La viande artificielle, une révolution alimentaire pas si écologique

[Source : libremedia.ca]

[Photo : Des agriculteurs français manifestent contre la décision de la ville de Lyon d’interdire la viande dans les écoles pour respecter la distanciation sociale durant le service des repas, le 22 février 2022. Photo : Olivier Chassignole pour l’AFP.]

Financée par des conglomérats agro-industriels, la viande cellulaire promet un monde meilleur grâce à une consommation plus soucieuse de l’environnement. Mais pour l’instant, cette fausse viande semble poser plus de problèmes qu’elle n’en résout.

« L’idée est de prélever certaines cellules souches animales qui peuvent se reproduire toutes seules dès l’instant où elles baignent dans un liquide nourricier », résume Gilles Luneau, journaliste d’enquête spécialisé dans l’agriculture cellulaire.

«On isole ces cellules et on les cultive dans ce liquide nourricier pour former et récolter des fibres musculaires à la base de la viande qu’on consomme», ajoute-t-il auprès de Libre Média.

D’après les adeptes de cette révolution alimentaire, la magie de la viande cellulaire se trouve dans sa capacité à être produite à partir d’un seul animal. 

Par exemple, une seule vache donneuse de cellules souches pourrait nous permettre de produire 175 millions de burgers, l’équivalent de 440 000 animaux élevés et tués. 

Une production ultrarapide

Dans le jargon financier, le temps c’est de l’argent. C’est sur ce principe que la viande cellulaire arrive à séduire les conglomérats de l’agrobusiness. 

En effet, le temps réduit du cycle de production de viande de synthèse peut rapporter gros. 

Jocelyne Porcher, directrice de recherche de l’Institut national de recherche agronomique pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE), souligne que la «durée de production de viande cellulaire deviendra très courte». 

Selon Gilles Luneau, on parle d’une «quinzaine de jours» de production de viande cellulaire.

Ce raccourcissement du temps permettra au «profit de se multiplier,» observe la zootechnicienne.  

Un autre secret qui réduit le cycle de production: la fin du «temps improductif». 

«L’agroalimentaire a fait la guerre depuis le 20e siècle au temps improductif, par exemple lorsque le paysan regarde ses vaches pour bâtir une relation saine. Avec la viande cellulaire, en enlevant le paysan et l’animal, il n’y aura plus de temps improductif», explique Jocelyne Porcher, autrefois éleveuse de brebis. 

«Il n’y a pas de mort parce qu’il n’y a pas de vie»

La rupture de la viande cellulaire s’exprime à travers la fin de la «singularité de la viande», poursuit Gilles Luneau, auteur de Steak Barbare (L’aube, 2020). «La viande traditionnelle est produite de la vie de l’animal ; elle est attachée à des os et elle a des nerfs, des vaisseaux sanguins et vaisseaux lymphatiques».

Contrairement à la viande traditionnelle qui est le «résultat d’une vie unique», la viande cellulaire est le fruit d’une «production de cellules sans la structure et sans la vie vécue de l’animal», précise le journaliste d’enquête. 

Jocelyne Porcher est explicite: «il n’y a pas de mort parce qu’il n’y a pas de vie».

La viande cellulaire marque un tournant, voire une rupture anthropologique considérable, dans l’histoire de la civilisation humaine, notamment au niveau de notre relation avec les animaux. 

«C’est une rupture dramatique avec le néolithique, car tout à coup, on veut mettre fin à 10 000 années partagées avec les animaux domestiques», pointe Jocelyne Porcher, auteure du livre Cause Animale, Cause du Capital (Le Bord de l’eau, 2019).

Cette rupture se veut systémique, emportant avec elle l’élevage et ses paysans. 

L’agriculture cellulaire veut se «répandre partout, pour substituer les œufs, le lait, le fromage, le cuir avec des produits cultivés en laboratoire», alerte la directrice de recherche de l’INRAE. 

Bill Gates et des transhumanistes derrière le projet 

En revanche, une rupture politique et économique n’est pas au rendez-vous dans le monde de la viande cellulaire. 

«L’industrie derrière la viande cellulaire est la même qui nous nourrit et qui a détruit l’élevage au 20ème siècle», analyse notre interlocutrice. 

Selon Gilles Luneau, en rompant notre «lien avec la terre et ses paysans», ce sont «les multinationales de l’agroalimentaire qui vont s’accaparer le marché dans tous les pays» en investissant dans les «70 entreprises dédiées à la viande cellulaire».

Nestlé a confirmé l’année dernière de travailler avec la start-up israélienne Future Meat sur la production de viande in vitro

Cargill et Tyson Foods ont investi massivement dans le projet de boulette de viande cellulaire de Memphis Meat, levant plus de 200 millions de dollars. 

Chez les investisseurs de Memphis Meat, on retrouve aussi des milliardaires comme Bill Gates et Richard Branson. 

Peter Thiel, milliardaire, cofondateur de PayPal et figure du transhumanisme, a investi dans la jeune pousse de viande de labo, Modern Meadow. 

De plus, des États accélèrent le développement de la viande cellulaire en octroyant des subventions à ses concepteurs et promoteurs. 

Le Département de l’agriculture des États-Unis accordera 10 millions de dollars sur cinq ans à l’université Tufts pour créer la National Institute for Cellular Agriculture, un centre de recherche qui veut bâtir la prochaine génération de professionnels dans l’agriculture de synthèse.

Notre souveraineté alimentaire en danger ?

Si la viande cellulaire est amenée à dominer le marché mondial de la viande, la capacité de résilience de l’écosystème de production de viande sera fortement réduite.

«Les usines de bioréacteurs sont totalement dépendantes de l’informatique, et il suffit d’un groupe de hackers pour mettre à mal tout le système technique derrière cette production», ajoute Gilles Luneau. 

Le manque de résilience du système de viande cellulaire se trouve aussi dans le risque bactériologique des usines.

La viande cellulaire est plus à risque de contamination qu’une viande ordinaire car les cellules, contrairement aux animaux, n’ont pas un système immunitaire efficace contre les pathogènes et les bactéries. 

«Une simple erreur d’inattention chez les employés peut résulter en une contamination massive pour des millions de consommateurs», pointe Gilles Luneau.

«La consommation énergétique sera immense»

Plusieurs études font l’éloge du bilan écologique de la viande cellulaire, affirmant une baisse des émissions de gaz à effet de serre de 95 % et une baisse de la consommation d’énergie de 45 %. 

Le problème est que ces études ne prennent pas en considération les coûts énergétiques des infrastructures nécessaires à la culture cellulaire. 

«La consommation énergétique sera immense, car on doit garder la température à un certain niveau optimal pour la multiplication cellulaire», souligne Gilles Luneau. 

Une étude publiée par l’American Chemical Society révèle que la culture cellulaire nécessitera plus d’énergie que la production animale, avec des procédés industriels complexes et énergivores. 

L’utilisation des «terres rares» et l’installation des «centres de données» seront aussi au cœur du projet de la viande cellulaire, accentuant l’impact environnemental de cette viande cellulaire, confirme le journaliste breton.

Vers un retour aux sources?

Gilles Luneau estime qu’il est impossible de continuer avec notre système d’élevage» pour répondre aux exigences exponentielles du marché. Le système productiviste devant sans cesse s’adapter aux nouvelles technologies ne suffit déjà plus à la demande. 

L’élevage agroécologique peut être une réponse à apporter. Pour Jocelyne Porcher, dans un élevage à petite échelle, on donne une vie à l’animal qui est «nettement meilleure que dans l’élevage intensif et plus douce que dans la nature avec les prédateurs». 

«Il nous faut réformer l’enseignement agricole et inventer de nouveaux modes de relation avec les animaux qui s’appuient sur des savoirs anciens, en fusion avec nos outils agricoles modernes», imagine Jocelyne Porcher.

De plus, les éleveurs étant «dépossédés de la partie abattage du travail», il est urgent de repenser l’abattage pour en faire un «artisanat» selon la sociologue. 

Par contre, tout cela va devoir se faire en «réduisant notre consommation de viande et tout autre produit d’origine et de matière animale», avertit Jocelyne Porcher. 




Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales

[Source : mondialisation.ca]

Par Dr Gérard Delépine

Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.

La liberté d’expression

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrés depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Les médias et leurs prétendus « anti-fake news » 

Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnés par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limites la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,  en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !

Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non-chercheurs, visiblement incapables de comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogé le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste). 

Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une traînée de poudre, y compris à l’Éducation nationale. 

La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,  Google

Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous-même soigneusement vérifiés. 

Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.

Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions :

et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde) :

Ou en Inde :

Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles. 

Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.

Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins

Les plaintes contre les professeurs Raoult et Perronne(([1] Covid-19 : le conseil de l’Ordre des médecins porte plainte contre les professeurs Perronne et Raoult (lefigaro.fr)  le CNOM a décidé le 10 décembre de porter plainte contre six médecins, dont plusieurs ont été très présents dans les médias depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Il s’agit des professeurs Raoult, Perronne et Joyeux, ainsi que des docteurs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz. )), les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret(([2] INFO MIDI LIBRE Montpellier : trois ans d’interdiction d’exercer pour le médecin antivax Denis Agret – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) )) et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou le Conseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…

Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion(([3] https://nouveau-monde.ca/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion/ )) qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins

Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020 (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle(([4] https://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes/delit-de-blaspheme-medical-sous-controle-inquisiteur-du-conseil-de-lordre-des?__twitter_impression=true )) rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime :

« formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre. »

Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !

La création d’une commission de certification en juillet 2021

Apparemment inquiet des scrupules que pourraient avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,  car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.

La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents

L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.

Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.

Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital et le dégoût du management ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn-out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.

Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices.

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens

La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).

En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine», l’Élysée a fait un choix révélateur. 

Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux(([5] https://www.marianne.net/societe/sante/le-pr-guy-vallancien-lurologue-des-stars-sanctionne-par-lordre-des-medecins )), l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique(([6] Charnier de Descartes, révélations sur le business de l’innommable 7 juillet 2022
https://fr.news.yahoo.com/charnier-descartes-r%C3%A9v%C3%A9lations-business-linnommable-155237167.html ))».

La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.

Censure des citoyens européens à la demande de la commission

Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du Remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 2022 de fermer les télévisions et radios russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.

Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.

Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).

La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.

Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la Commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?

Les menaces contre la démocratie

C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.

En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales, dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.

Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.

Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.

Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré :

« Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19. »

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile ».

Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiétée des menaces contre la démocratie dans un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur a rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.  

« Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».

Des évêques nous donnent de l’espoir :

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas »

(Mt 16, 18)

« Le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » (Bertolt Brecht)

Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.

À la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants. 

7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.  Mais les médias recommencent  après les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire. 

Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens. « Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.

Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.

Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du Premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.

Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection

Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.

Dr Gérard Delépine

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Lettre d’une étudiante en médecine au Conseil de l’Ordre

Par Zoé B.

Zoé B.

Au Président et aux membres du
Conseil de l’Ordre des Médecins de l’Isère
Bât A, 1 BD de la Chantourne
38700 La Tronche

Objet

Demande d’un RDV pour échanger sur les raisons qui me font arrêter mes études de médecine.

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux,
Chers Professeurs, Chers Docteurs, Chers Maîtres,

Étudiante en 4e année de médecine à la rentrée 2021/2022, j’ai reçu récemment un courrier de la scolarité de la Faculté de Médecine de Grenoble relatif à la fin de ma période de césure (sollicitée suite à la promulgation de la Loi du 5 août 2021).

J’ai répondu au Doyen de la Faculté en le remerciant très sincèrement de m’avoir accordé ce temps de réflexion et pour la bienveillance dont il avait fait preuve à mon égard ; puis en lui annonçant, avec un profond regret, ma décision de ne pas poursuivre mes études de médecine, après ces 3 années et quelques mois, passés au sein de sa Faculté. Voici l’essentiel de mes propos.

C’est vraiment à contrecœur que je prends cette décision, mais en pleine conscience, et je l’espère avec bon sens, sagesse et rationalité :

Je m’étais en effet engagée en médecine avec pour ambition de soigner mon prochain, d’agir toujours en conscience, avec probité et honnêteté vis-à-vis de lui, sans jamais déroger au code d’honneur du serment d’Hippocrate, un serment sur lequel tout le monde jure sans toutefois, j’en ai le sentiment, en mesurer l’importance, les conséquences, et sans être prêt à en respecter tous les engagements, en toutes circonstances, et quoi qu’il en coûte.

J’aime profondément étudier, j’aime apprendre comment fonctionnent le corps et l’esprit humain, comprendre les pathologies, et aller chercher quelles sont les récentes avancées médicales, scientifiques et technologiques pour trouver celles qui vont pouvoir profiter à mon patient. J’aime me réjouir avec les patients qui guérissent, et écouter, accompagner tous ceux qui en ont besoin. J’étais prête à faire face aux difficultés qui jalonnent le parcours d’un médecin.

Malheureusement, aujourd’hui je ressens que soigner comme on me demandera de le faire ne sera pas en accord avec mes convictions, et que je ne serai pas en mesure de respecter le serment d’Hippocrate qu’on me demandera de prêter à l’issue de mes études.

Je croyais que la médecine avait avant tout pour ambition suprême de soigner toutes les personnes, coûte que coûte, et qu’en tant que médecin je serais libre d’agir dans le seul intérêt de mon patient, dans le respect du recueil de son consentement libre et éclairé, et guidée par mes connaissances, la sagesse acquise lors de mes formations et de mes expériences, et ma capacité de discernement.

Les deux ans qui viennent de s’écouler m’ont montré que la médecine telle qu’elle est pratiquée aujourd’hui (et le sera de plus en plus) n’est pas en phase avec l’idée que je m’en faisais.

J’ai toujours pensé pouvoir exercer ma vocation, sans pression d’aucune sorte et surtout en toute indépendance des lobbies financiers, croyant naïvement que la mission de soigner résistait à l’appât de l’argent, à l’appel du pouvoir et à la satisfaction de l’ego tel que le souligne notre serment : « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

Nous devons également jurer : « Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. » Comment comprendre alors le refus de soin imposé pendant ces deuxannées ? En effet, comment a-t-on pu déconseiller voire interdire à des gens qui avaient besoin de soins de se rendre chez leur médecin ? Comment a-t-on pu leur dire, sans prendre le temps de les ausculter, de rester ou de retourner chez eux juste avec du Doliprane ? Comment accepter tout cela lorsque l’on sait que le simple fait d’accueillir, écouter et accompagner avec compassion le patient participe significativement à sa guérison et à son mieux-être ?

Nous devons aussi prononcer « Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. » Mais commentconcilier cette promesse avec l’obligation faite aux patients de disposer d’un Pass sanitaire ou de s’être administré au préalable une molécule sur laquelle il y a peu de recul pour avoir le droit de se faire soigner ?

Dans l’état actuel des données scientifiques, est-il raisonnable d’exiger ce geste des patients, des professionnels de santé, a fortiori des étudiants des filières santé, dont le jeune âge aurait mérité que s’applique un élémentaire principe de précaution ?

J’ai aussi très mal vécu de voir en septembre 2021 des collègues soignants suspendus, sans aucune considération ni égard pour leurs états de service antérieurs, leur dévouement aux patients et leur loyauté à leur institution. Pouvons-nous supporter de les voir toujours sans aucun revenu pour avoir refusé d’aller à l’encontre de leurs convictions ou de leurs arguments médicaux ? Ces soignants étaient pourtant prêts à d’autres mesures de protection au contact des malades. De voir tous ces professionnels, qui se sont dévouées pendant tant d’années pour le bien de leurs prochains, perdre leur travail, leur statut social, parfois ne plus pouvoir subvenir aux besoins de leur famille voire manger à leur faim a été pour moi d’une grande violence. (J’ai personnellement vu des soignants se servir de la nourriture issue des poubelles.)

Comment proclamer encore « J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. » et, dans le mêmetemps, précipiter de force, sous l’influence de la peur, vers une thérapie expérimentale des millions de personnes, en abusant de la confiance aveugle qu’ils ont dans la médecine et la science représentée par certains experts. Quelle folie s’est emparée de la communauté médicale pour accepter tout ça sans sourciller, au mépris de tous les principes qui faisaient consensus avant 2020 ?

Comment prononcer les mots suivants « Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. » ou encore « Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. », alors que nous avons tous pu constater durant ces deux années à quel point le milieu politique et médical est parfois corrompu, et ce au plus haut niveau, par les laboratoires pharmaceutiques et les cabinets de conseil privés ?

Qu’il n’y ait pas de méprise : je ne doute pas de la probité et de l’honnêteté de la majorité des médecins et des soignants en France. En revanche, je doute désormais de la capacité du plus grand nombre à prendre du recul et à assumer avec courage le serment qu’ils ont prononcé dès lors que la situation devient un peu compliquée et que leurs intérêts personnels soient en jeu. Je crains, malheureusement, qu’une petite poignée de gens bien placés suffise à corrompre l’ensemble d’un système.

Comment a-t-il été rendu possible d’en venir à expliquer à nos patients que nous pouvions leur imposer des soins inutiles pour eux-mêmes (comme l’est le vaccin contre la covid pour les personnes non à risque de formes graves, notamment les enfants, les adolescents et les jeunes adultes) et inutiles pour protéger les autres (puisqu’avec ou sans vaccins il n’y a pas de différence dans la transmission), tout en laissant l’industrie qui les produit engranger 36,8 milliards d’euros sur ce seul et unique produit ?

Enfin comment pourrai-je oser jurer « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément » et accepter de laisser des gens sans soins, des personnes âgées mourir loin de leurs proches et dans la solitude la plus abjecte ?

Non, décidément, cette médecine qu’on nous propose d’exercer n’est vraiment pas celle que j’avais envisagée.

Des lits ferment, des services d’urgence ferment, des collègues souffrent, des patients meurent, de maladie ou d’abandon…
Ce n’est pas ma définition de la médecine.
Je n’ai pas signé pour cela.
Pas pour abandonner, tromper ou laisser mourir.
Pas pour être le bouc émissaire de décisions qui ne sont plus motivées par notre mission de soins et le respect de notre serment, mais on dirait bien par la seule ambition dévorante ou la folie de certains individus.

Alors ma décision je la prends avec regret, car j’aime profondément la médecine, c’est ma vocation, mais je la prends avec la sagesse que m’inspire l’Ecclésiaste :

« Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir ».

Je reste reconnaissante pour tous les enseignements reçus pendant ces trois belles années. Ils ont été intellectuellement riches et demeureront un bagage de connaissances et de principes utiles qui continueront de m’accompagner.

En vous remerciant de votre attention, et en espérant que ma lettre saura susciter en vous des interrogations ou des éclairages à m’apporter, je suis pour ma part à votre entière disposition pour un échange constructif et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les conseillers ordinaux, mes sincères et respectueuses salutations.

Zoé Bruder
Étudiante en 4e année à la Faculté de Médecine de Grenoble

Le 6 juin 2022




Pour résoudre le problème des urgences, François Braun veut les supprimer la nuit !

Enfin une solution définitive !

François Braun est le monsieur « mission flash » mandaté par le président Macron qui a mis beaucoup plus de 5 ans pour se rendre compte de l’état catastrophique de l’hôpital public et du système de santé globalement puisqu’il était au pouvoir depuis 2012, initialement comme secrétaire général adjoint de l’Élysée.

[Voir aussi :
François Braun, un parfait Playmobil sous contrôle au ministère de la Santé — Le courrier des stratèges]

La création des agences régionales de santé en 2008 par la loi Bachelot a aggravé la situation engendrée par les agences régionales d’hospitalisation qui datait de 1996 créée par A. Juppé. La mainmise de l’administration a été de plus en plus étouffante, transformant les médecins hospitaliers et libéraux en robots du management énarchique dont le but a été et est toujours de faire des économies(([1] Santé et argent magique. Le Hold up de la médecine par la bureaucratie au service de la finance. Le rôle des ARS — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([2] DÉGRADATION MAJEURE DE NOTRE SYSTÈME DE SANTÉ PUBLIC ET PRIVÉ : COMMENT ? POURQUOI ? QUE FAIRE ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([3] CRISE DE LA SANTÉ : SOIGNER OU OBÉIR ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )). Le pouvoir répondant ainsi au diktat répétitif de Bruxelles.

Donc, rentabiliser, limiter le nombre de personnels soignants et donc le nombre de lits.

La suppression de 17 500 lits durant le dernier quinquennat malgré les vives manifestations antérieures et la crise du covid n’a fait qu’aggraver la pénurie terrible établie depuis les années 2000.

Le privé a été sacrifié comme le public, puisque contrairement aux idées répandues, l’autorité de l’État — via son bras armé, les ARS — décide des ouvertures, fermetures de lits, voire d’établissements, et impose l’organisation liberticide de la médecine via les nombreux comités obligatoires dont le rôle est de diffuser et surveiller l’application des multiples normes et recommandations devenues rapidement injonctions. Cela concerne le choix des traitements qui, par exemple en cancérologie, vient d’en haut via l’institut national du cancer et la HAS (haute autorité de santé) qui imposent des protocoles. La surveillance du respect des ukases se fait grâce aux réunions multidisciplinaires obligatoires et aux audits réalisés par la HAS qui donne ou non l’autorisation d’exercice de la spécialité en accordant ou non « l’accréditation ». Bref ! méthodes bien connues des entreprises appliquées ici à un objet très particulier, l’humain. Et cela ne marche pas. Tant que la liberté de soigner et de prescrire (par le dialogue singulier médecin-patient) est bafouée, le métier médical s’effondrera.

Que ceux qui sont encore étonnés repensent à la période récente où l’on manquait soi-disant de lits pour les malades du covid, mais que les ARS interdisaient aux cliniques privées (sauf exception) de les recevoir. Et ce malgré le décret de mars 2020 d’Édouard Philippe qui imposait le plan blanc en privé et en public, interdisant de prendre en charge tout ce qui n’était pas covid, sauf grande urgence. Ainsi de nombreux personnels ont été licenciés ou mis au chômage faute de malades… Et pendant ce temps-là, les grands discours tragiques du croque-mort du soir.

À l’issue de la « mission flash », François Braun a affirmé qu’il « ne trouve pas opportun de réintégrer les 15 000 soignants suspendus » alors que l’hôpital manque dramatiquement de médecins et d’infirmières. Il faut savoir que ce chiffre de 15 000 soignants mis au chômage par cet ukase vaccinal est très largement sous-estimé en raison de la non-prise en compte des incessants arrêts de travail de soignants, des nombreuses démissions et des départs anticipés à la retraite depuis l’obligation vaccinale.

Selon Thierry Amouroux du Syndicat national des professionnels infirmiers(([4] Des départs massifs de soignants » : la commission d’enquête du Sénat face à la déliquescence de l’hôpital)):

« 7500 postes vacants d’infirmiers étaient recensés en juin 2020. En septembre 2020, ils étaient 34 000. Aujourd’hui, ce sont 60 000 postes qui manquent. Et l’enjeu va donc être de faire revenir au moins un tiers des 180 000 professionnels qui ont cessé d’exercer et qui ont changé de voie. »

Véronique Hentgen du Collectif Inter-Hôpitaux avait alerté(([5] https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/des-departs-massifs-de-soignants-la-commission-d-enquete-du-senat-face-a-la)) sur le fait que la sécurité même des patients est aujourd’hui mise en danger, ou du moins affectée par une perte de chances :

« Une étude scientifique a démontré que la mortalité des patients augmentait dès qu’une infirmière devait s’occuper de plus de 6 patients. Dans nos hôpitaux, il n’est pas rare qu’une infirmière doive s’occuper de 16 patients en journée, voire 24 la nuit »

Le nouveau ministre a inventé une solution miracle pour aider les soignants aux urgences : fermer les urgences la nuit ! Fallait y penser, François l’a fait !

« Le rapport Braun, commandé par le gouvernement, préconise tout bonnement de fermer partiellement les urgences la nuit. L’idée est géniale puisque, en fermant les urgences, les soignants vont enfin pouvoir se reposer et siroter un bon jus d’ananas en bronzant au bord de la piscine ».

Mais quand on ferme les urgences, on ne peut plus traiter les malades ; c’est mettre la poussière sous le tapis en niant son existence.

« Quand on sait qu’un enfant de 4 ans, grièvement blessé, a dû attendre trois heures qu’un CHU l’accepte, on sent que l’idée de génie de François n’est pas si géniale que ça… »

La prochaine fois il faudra qu’il patiente jusqu’à la réouverture du service au matin !

L’Association des médecins urgentistes de France (Amuf) dénonce « la fin du service public ouvert 24 heures sur 24 […] avec comme conséquence inévitable des morts qu’on aurait pu soigner ».

« Voilà, on sent que cette année va être mouvementée pour les soignants à qui on promet monts et merveilles, mais qui doivent toujours bosser 15 heures par jour, se faire vacciner à tour de bras et fermer leur gueule. Avec un peu de chance, les soignants verront peut-être arriver Brigitte Macron dans leurs hôpitaux pour inaugurer un canapé relaxant, afin de rêver de s’y asseoir un jour. On croise les doigts ! »

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.

La révolte de ses confrères urgentistes est unanime(([6] Remaniement : trois choses à savoir sur François Braun, le nouveau ministre de la Santé (msn.com) ))

« François Braun a toujours voulu faire marcher son service coûte que coûte, regrette Pascal Pannetier, ancien psychiatre aux urgences de Metz-Thionville, dans le même hebdomadaire. Il a répété partout dans les médias qu’il y avait un problème budgétaire à l’hôpital. Et en même temps, il a été le premier à faire fonctionner un service qui se désorganise, sans prendre en compte la souffrance de ses collègues, dont beaucoup ont été en arrêt maladie pour cause de surmenage, ou sont tout simplement partis. »

En tous cas il était bien présent dans le team du gouvernement souhaitant mettre en scène les transferts (inutiles et coûteux) de malades d’une région à l’autre selon les syndicats

fleur-Sandra @Sandra_Fleur_D 8 juillet.
En réponse à @alexandreDABAG2 et @PascalNocera

« Il n’était pas très présent sur le terrain », affirme Patricia Schneider, responsable locale du syndicat SUD-Santé, qui se souvient de l’avoir « surtout vu en période Covid, quand il a fallu organiser les transferts de malades et qu’il y avait les caméras ».

« Pour nous, cette nomination est une véritable provocation », a réagi Christophe Prudhomme(([7] Énorme coup de gueule de Christophe Prudhomme sur l’agonie de l’hôpital public et des urgences — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France (AMUF), sur France info :

« Comment pouvons-nous avoir confiance dans ce monsieur ? »

« Les propositions qui sont faites par François Braun sont catastrophiques. Il explique qu’on peut fermer les urgences la nuit. Il ne représente pas les urgentistes. »

Même son de cloche du côté de Patrick Pelloux. Le président de l’Association des médecins urgentistes de France est très opposé à la régulation d’accès aux urgences, une des conclusions de la « mission flash » de François Braun. Selon lui :

« en refusant l’accès aux urgences, on s’éloigne de notre mission de service public ».

On peut penser qu’il fait partie du projet du Great Reset, mais plus prosaïquement qu’il a subi l’influence de Big Pharma. Comme urgentiste, il a sûrement été plus exposé aux influences des grands labos plus que de l’énarchie.

Laurent Mucchielli sur twitter le 9 juillet 2022

Pour information, le nouveau ministre de la Santé, François Braun (RPPS : 10 002 361), a des liens d’intérêts (Pfizer, AstraZeneca, Novartis, Mundipharma) qui ne sont pas mentionnés dans sa DPI du 21 octobre 2021

https://transparence.sante.gouv.fr/pages/infosbeneficiaires/?refine.id_beneficiaire=137364

En réponse à

@LMucchielli et @odile_chardin Qui peut m’expliquer pourquoi certains montants versés au nouveau ministre de la Santé, François Braun (RPPS : 100 002 361) ne sont pas mentionnés : MUNDIPHARMA pages 2 à 5 + Novartis page 3
https://transparence.sante.gouv.fr/pages/infosben

Dans sa déclaration publique d’intérêts, on s’aperçoit que le nouveau ministre de la Santé François Braun est rémunéré depuis 2015 par… AstraZeneca en tant que board d’expert… Cela ressemble à un grave conflit d’intérêts, non ? Lui qui est pour la vaccination !!!

Alexandre DABAGHY @alexandreDABAG2

Quels sont ses rapports avec les laboratoires qui s’enrichissent à la vitesse grand V ?

Isidore Poireau
@Le_M_Poireau

Depuis 2014 et 2015, François Braun est rémunéré par Novartis et Astra Zeneca. Il vient d’être nommé ministre de la Santé malgré ce conflit d’intérêts. [Source https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dpi-dgs-dgs11-braun-francois-m-2015-06-01.pdf]

Mais il faut reconnaître que Mr Braun n’est pas le seul à être « soigné » par les labos : la quasi-totalité des médecins du conseil scientifique et ceux des experts mis en avant par les médias le sont aussi et parfois pour des montants dépassant des centaines de milliers d’euros :

Très peu de ces médecins-représentants de commerce des labos mentionnent ces liens d’intérêts comme le prévoit expressément la loi Transparence Santé. Et le Conseil de l’ordre, chargé par cette même loi de la faire respecter, n’entame presque jamais de procédures pour violation de la loi, alors qu’il poursuit immédiatement les médecins qui ont guéri leurs malades avec la chloroquine ou l’ivermectine ou qui expriment des doutes sur les mesures prétendument sanitaires ou les injections expérimentales.

François Braun pense-t-il comme l’une de ses prédécesseurs, A. Buzin, « Il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l’industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts ». » ou comme B. Dautzenberg champion des substituts nicotiniques : « Un bon expert sans lien d’intérêts, ça n’existe pas ! » ?(([8] https://www.unairneuf.org/2012/02/dautzenberg-lien-conflit-interets-tabacologie-industrie-pharmaceutique-big-pharma/comments/))

Si François Braun cultive des liens d’intérêts, c’est certainement pour prouver ses compétences !





L’emploi frauduleux des mots : populisme, conspi, extrêmes…

Par Lucien SA Oulahbib

Les faux-monnayeurs d’aujourd’hui, installés confortablement au pouvoir par les boomers et les hypocondriaques, n’utilisent pas seulement la planche à billets pour financer le vide abyssal de leur politique économique, ils fabriquent aussi une inflation de définitions qui pervertissent les mots jusqu’à les salir, à l’identique de ce qu’Orwell avait décrit dans 1984.

Ainsi le terme « populiste » qui s’apparentait naguère, mais gentiment à « démagogie » au sens grec de « beau parleur » est aujourd’hui plutôt immédiatement accolé à « extrémisme » (beurk) par les mêmes qui promeuvent pourtant des politiques précisément très dangereuses, voire irresponsables pour le Souverain en l’occurrence le supposé Peuple du moins en régime républicain démocratique.

Ces politiques (très) dangereuses sont aisément repérables aujourd’hui : elles ont pour objet d’aggraver les conditions d’accès à la santé en la corsetant dans son seul aspect chimique, d’empêcher d’appréhender l’idée que l’air que l’on respire s’avère bien moins pollué que naguère, de flouter de plus en plus la sécurité intérieure et extérieure, de détruire le système des salaires et des prix, d’amoindrir les retraites en refusant un mixte avec toute capitalisation « populaire » (rimant avec « néo-libéral », « réactionnaire », « égoïste égoïste ») à l’ère de l’injection et de la muselière dite « altruistes » et « recommandées ».

Concernant par exemple la manière dont il est question d’indexer les prix de l’énergie sur les rémunérations à partir de la rentrée 2023, cela voudrait dire que l’on continuerait à faire encore payer à la classe moyenne l’impéritie d’une politique qui a refusé de renforcer le nucléaire, de réduire drastiquement en amont les impôts de production, d’associer capital et travail par une participation dynamique, et enfin d’augmenter des droits de douane pour des produits ne répondant aux normes sociales et écologiques imposées pourtant en interne.

Au fond, la classe moyenne comme on le sait n’est pas (encore) assez pauvre pour être assistée, mais de moins en moins aisée pour bénéficier de ces ristournes fiscales et autres placements « aisés » permis par « notre » planche à billets (puisqu’elle est « publique »). Cette connivence non dite renforce plutôt les plus hauts revenus en leur permettant la spéculation multiforme, d’où la montée (en dents de scie) des actions risquées et de l’immobilier. Et le tout sera effectué en sermonnant cette même classe moyenne pourtant hors jeu, surtout dans ses strates supérieures, avec sa dite « sur-épargne » sur laquelle ces vautours (publics et privés) lorgnent alors qu’en France celle-ci sert surtout à compenser le faible montant des retraites puisque celles par capitalisation sont surtout accessibles, à revenu moyen, plutôt en complémentaire et si l’on est fonctionnaire (la Préfon).

C’est de plus en plus un réel marché de dupes : les mots changent de plus en plus vite de sens jusqu’à ce que par exemple le terme de « réussite » signifie seulement « domination » (blanche), accentuant ainsi l’erreur marxiste qui stipule que la richesse proviendrait non pas de la qualité d’un produit rencontrant précisément son marché, mais principalement de la compression du coût de revient. Celle-ci pourtant à elle seule ne veut rien dire s’il n’y a pas la qualité en premier lieu du moins pour les produits finis (d’où d’ailleurs l’idée que certains préfèrent payer plus cher leur côte d’agneau abattu localement que provenant de lointaines contrées), qualité par ailleurs protectrice de l’air que l’on respire alors que la manière dont est aujourd’hui construit le commerce mondial va de plus en plus à l’encontre de cette pratique, tout en se servant de la voiture, de l’avion et du cheptel comme boucs émissaires, le tout au nom d’un « pouvoir d’achat des plus défavorisés » dont ils se moquent éperdument (car autrement la politique économique serait précisément édifiée différemment en faisant en sorte de ne pas faire peser le poids du « social » uniquement sur les salaires et le capital investi — cette épargne déjà imposée en amont). Mais ces gens qui gouvernent en « notre » nom ne sont pas à une contradiction près : ils surfent même dessus et en rient sous cape dans les Salons made in Bergé.

Et c’est précisément pourquoi leurs sbires semblent si pointilleux sur toute critique pointant tous ces grands écarts. Cela rend si nerveux leurs maîtres, d’où cette valse des étiquettes : celles des mots et des couleurs, ou ce véritable jeu de bonneteau devenu mondial. Alors que le roi est nu ; et cela se voit (de plus en plus).




Près de 23 000 personnes en France étaient surveillées par l’État via des moyens techniques en 2021

[Source : lalettrepatriote.com]

Par Hugo Rouet

Le nombre de personnes faisant l’objet d’une surveillance par des moyens techniques en France a augmenté de 3 % par rapport à la période d’avant le covid-19, selon la Commission nationale de contrôle des techniques du renseignement (CNCTR). Un total de 22 958 personnes ont été visées en 2021 par ces techniques (écoutes, géolocalisation, etc.), dont la CNCTR, autorité administrative indépendante, s’assure du bon usage, selon son rapport annuel publié lundi.

Cette hausse limitée est notamment liée à la « reprise de l’activité des services en matière de prévention de la criminalité et de la délinquance organisées », estime le texte. Et ce même si la prévention du terrorisme représente quasiment la moitié des demandes de surveillance émises par les services à la commission.

Au-delà « on note besoin de renseignement, en tout cas un sentiment de besoin de renseignement » face à l’effet conjugué des tensions internationales, de la « sophistication de la criminalité organisée » et d’une « violence sociale latente », a estimé le président de la commission, Serge Lasvignes.

« On sait très bien que les activités de renseignement se font y compris entre alliés. Il n’y a plus d’amis qui renonceraient à vous surveiller », a-t-il souligné dans un point-presse lundi. « Il y a une guerre en Europe donc cela a forcément des conséquences sur l’intensité de l’activité du renseignement », a-t-il encore estimé, évoquant sans les nommer certains pays « qui mènent de véritables guerres d’influence ».

Sur le plan intérieur, le président de la commission a aussi évoqué la « prévention des violences collectives », notion regroupant les potentielles activités violentes de l’ultra droite, l’ultra gauche, mais aussi l’extrémisme écologiste.

La CNCTR revendique sa vigilance dans ce domaine, considérant que la prévention de ces violences « ne peut permettre la pénétration d’un milieu syndical ou politique » ou la limitation du droit « de manifester ses opinions, fussent -elles extrêmes ». À cet égard, la commission souligne à la fois ses bons rapports avec les services qu’elle est chargée de contrôler, et la marge de progression de ce contrôle.

« La CNCTR constate que les services de renseignement ont le souci de respecter la loi », estime le rapport. Mais elle estime « nécessaire un approfondissement de sa mission de contrôle a posteriori », notamment au regard de « la complexité croissante des moyens utilisés ». Elle réclame ainsi « la mise en place d’un accès direct à distance » aux contenus des contrôles effectués en particulier par les deux plus grands services, la DGSE (renseignement extérieur) et la DGSI (intérieur).

Une mesure que les services ont toujours refusée jusqu’à présent, mais qui, selon la CNCTR, apparaît nécessaire pour éviter « que l’effectivité du contrôle (…) ne dépende que de la bonne volonté de ceux-ci ».




La surveillance biométrique médicale commence à faire son chemin dans les voitures

[Source : aubedigitale.com]

Suivi massif des données, non seulement sur la localisation et les déplacements des véhicules, mais aussi sur les conducteurs eux-mêmes.

Nombreux sont ceux qui commencent à considérer cette tendance comme préoccupante en raison de son impact sur la sécurité des individus et des pays – un véhicule fortement dépendant d’une puce peut être piraté, voire militarisé, préviennent certains – mais le développement et le déploiement de ces technologies ne semblent pas ralentir.

Au contraire, le secteur des capteurs biométriques utilisés dans les véhicules est en pleine croissance et devrait représenter plus de 1,1 milliard de dollars dans trois ans, selon un récent rapport de Market Research Future.

Le coréen Hyundai est aujourd’hui un pionnier de la surveillance des soins de santé basée sur les données biométriques avec son prochain système de capteurs biométriques, commercialisé comme le premier contrôleur d’habitacle au monde axé sur les soins de santé, « capable d’intégrer et d’analyser de multiples signes biologiques ».

Source : Hyundai Mobis

Il vise essentiellement à transformer votre voiture en un centre de soins mobile qui surveille votre posture, votre rythme cardiaque et vos ondes cérébrales. L’objectif de ce système élaboré et intrusif est de détecter les conducteurs ivres et somnolents, tandis que les données biométriques qui seront constituées grâce à son utilisation permettront d’améliorer « l’habitacle intelligent » et de l’équiper pour résoudre des problèmes tels que le stress et le mal des transports – et même de bloquer la conduite en état d’ivresse, selon les médias coréens.

Source : Hyundai Mobis

À cette fin, quatre capteurs sont installés dans les voitures : un capteur qui recueille des données sur la température, l’humidité et le dioxyde de carbone, un autre qui se concentre sur la zone de l’oreille du conducteur pour mesurer les ondes cérébrales, un électrocardiogramme dans le volant et, enfin, une caméra 3D qui prend des photos de la posture du conducteur.

Si le système analyse toutes ces données et constate que quelque chose ne va pas, des avertissements sont affichés dans l’affichage tête haute ou dans le système de navigation. Hyundai semble particulièrement actif dans le domaine de la surveillance biométrique, puisque l’annonce du « centre d’examen de santé mobile » est intervenue juste après l’octroi d’un brevet à la société pour la vérification biométrique des conducteurs.

Il semble que Hyundai souhaite également utiliser la surveillance biométrique liée à la santé pour contribuer à la convergence avec les systèmes de conduite autonome.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale




Entretien avec le Professeur Christian Perronne

[Source : https://lecourrierdesstrateges.fr]

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

[Voir aussi :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/ils-m-attaquent-car-ils-ont-peur-pr-christian-perronne
et : https://planetes360.fr/exclu-360-le-professeur-perronne-balance-tout-c0vid-masque-vaxxin-bill-gates-la-verite-va-eclater/]

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pr Christian Perronne

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2ème, la 3ème, la 4ème et la 5ème vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.




Elisabeth Borne nominée pour la médaille d’or du Great Reset

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Eric Verhaeghe

Élisabeth Borne n’y est pas allée de main morte dans sa déclaration de politique générale. Elle a précisé les intentions de son gouvernement pour les cinq ans à venir. Le moins que l’on puisse dire, c’est que son programme n’a rien de très surprenant… puisqu’il est entièrement pompé dans le fameux Great Reset de Schwab. Depuis l’application scrupuleuse de la théorie monétaire moderne jusqu’à la subordination à l’Europe (qui, paraît-il, nous renforce), Élisabeth Borne a bien mérité du Great Reset.

Si l’on détache la déclaration de politique générale prononcée par Élisabeth Borne à l’Assemblée Nationale, hier, des polémiques superfétatoires qui l’entourent (la prétendue attaque antisémite de LFI, les maladresses de la Première Ministre devant les micros de LCI) pour se concentrer sur son contenu, on se rassure. On avait imaginé un temps que Macron changerait réellement de politique. Nous sommes désormais rassurés, les cinq ans qui viennent (si Macron parvient à finir son mandat) s’inscriront dans la continuité du précédent mandat. 

Pouvoir d’achat et Great Reset

L’ensemble des mesures proposées par Élisabeth Borne s’inspirent (sans le dire bien entendu) de la politique mondialisée prônée par le Great Reset, fondée sur la théorie monétaire moderne et une intervention exponentielle d’un État connivent avec les intérêts des plus puissants. 

Pour ceux qui sont effrayés par ces mots savants, voici une présentation plus pédagogique de ce que cela signifie :

  • en matière de logement, la ministre a bien pris garde à ne pas parler d’accession à la propriété. Elle s’est contentée de dire, vaguement : « Nous voulons qu’il soit abordable pour chacun. Nous avons décidé d’un plafonnement de la hausse des loyers. Et nous proposerons de nouvelles solutions pour que le logement soit accessible partout. » Traduction : nous allons encourager les gens à devenir locataires, et non propriétaires, et nous allons notamment favoriser leur installation en HLM… histoire de lutter contre l’artificialisation des sols et de tenir tout le monde en laisse dans des centres-ville pleins comme des œufs et faciles à confiner…
  • en matière d’alimentation (le seul fait que l’État s’occupe de cela est un indice sur le grand projet de domestication des populations), la Première Ministre n’a pas eu un mot pour l’encouragement à la production, mais a parlé de « chèque alimentation » qui serait fléché vers « une alimentation saine et de qualité ». L’État va donc commencer à dire aux citoyens ce qu’ils doivent manger ou non…
  • en matière d’emploi, Élisabeth Borne ne propose pas de réduire les contraintes grandissantes sur le recrutement, sur l’exécution du contrat de travail ou sur la création d’entreprise. Elle propose de nationaliser tous les dispositifs d’accompagnement des chômeurs dans un bidule appelé France Travail. Big is beautiful, comme dit Klaus Schwab. Étapes suivantes pour lutter contre le chômage : création d’une Europe travail, puis d’un Monde travail.
  • en matière de retraite, la Première Ministre a repris sans modification la recommandation de la Commission Européenne que nous avons déjà détaillée. Europe « Uber alles » pour une France plus forte !
  • en matière d’écologie, la Première Ministre a critiqué la décroissance et fait l’éloge de l’innovation (pile-poil ce que Schwab dit dans son livre…), en annonçant : « Nous engagerons des transformations radicales dans notre manière de produire, de nous loger, de nous déplacer, de consommer. » La mission de l’État serait donc d’assurer l’avénement d’un homme nouveau pour sauver la planète. Là encore, on a lu cela chez Schwab… Avec, comme toujours, le zéro carbone en 2050, à coups de plans d’action qui permettent de mobiliser l’impôt pour subventionner les entreprises dirigées par des copains amis de la planète, d’implantation d’éoliennes et autres primes en tous genres. 
  • en matière de politique industrielle, Borne confirme les dizaines de milliards d’investissements publics en faveur de l’écologie… exactement comme l’a proposé le Great Reset de Schwab ! On abandonne ici la thématique de la réindustrialisation pour défendre notre souveraineté.
  • en matière d’éducation, Borne confirme également la politique consistant à confier le plus possible les enfants à l’État en multipliant les places d’accueil dans les crèches et autres. 
  • en matière de santé, Borne annonce des investissements dans les équipements sanitaires, comme l’avait proposé Schwab. Là encore, face à la désorganisation du système du fait de sa bureaucratisation, la réponse consiste à continuer de forer droit pour que rien ne change, en mettant toujours plus d’argent public dans un système toujours plus centralisé et défaillant. 

On le voit, sur l’ensemble des politiques publiques, l’orientation est celle d’un étatisme et d’une dépense publique « en pluie » pour apaiser les tensions dans la société, rendre les gens dépendants financièrement et les encourager à consommer des biens qualifiés d’écologiques parce qu’ils constituent des marchés protégés pour engraisser la caste. Cette orientation est celle du Great Reset

La question de l’Europe et de l’OTAN : des marqueurs forts

Mais c’est surtout dans les orientations stratégiques internationales que le discours d’Élisabeth Borne trahit toute son orthodoxie Great-Resetienne. On notera deux phrases essentielles dans son discours. 

D’une part, Elisabeth Borne résume assez bien la doctrine officielle en matière d’Europe :

Une France plus forte dans une Europe plus indépendante, enfin, c’est notre souveraineté stratégique.

Nous restons ici dans la doctrine européiste habituelle, selon laquelle l’adhésion à l’Union nous renforce, surtout si l’Europe devient “plus indépendante”. Les mauvais esprits liront ici un aveu embarrassant sur la subordination de l’Europe aux États-Unis, qui pose problème pour notre “souveraineté stratégique”. 

Mais dans le même temps, Elisabeth Borne ajoute : 

Nous agirons en cohérence avec nos ambitions européennes et nos alliés de l’OTAN.

Comme d’habitude, on retrouve ici l’affichage d’une loyauté aux États-Unis et à tous les éléments de la mondialisation qui ont pourtant considérablement entamé la souveraineté française. D’une part, soumission à la logique multilatérale de l’Union et de la Commission européenne, d’autre part, intégration de l’armée française dans l’OTAN. 

Le programme qu’Elisabeth Borne a déroulé est donc bien celui du Great Reset, autant sur le plan des politiques publiques que sur celui de l’intégration de la France à la mondialisation. On reste toujours dans la doctrine fantasmée selon laquelle la France se renforce en disparaissant dans une grande entité multilatérale dominée par les Etats-Unis. 

Bref, rien de neuf sous le soleil. Le Great Reset continue. 




Révoltes au Sri Lanka et dans divers pays

[Source : lemediaen442.fr]

Entre la destruction de l’agriculture par un 100 % biologique imposé brutalement, la pénurie de devises étrangères et des importations de nourriture, carburants et autres produits essentiels, le Sri Lanka est pris dans une impasse. La colère populaire est énorme, manifestations et campement devant la résidence du président Gotabaya Rajapaksa durent depuis plus d’un mois. Aujourd’hui les manifestants ont renversé le clan au pouvoir. Le président s’est enfui. Vers quel avenir se dirige ce mouvement populaire, hors partis politiques ?

Le président du Sri Lanka, Gotabaya Rajapaksa, a fui samedi sa résidence officielle de Colombo quelques minutes avant qu’elle ne soit prise d’assaut par des milliers de manifestants en colère, a indiqué une source de la Défense. Les images que vous allez voir sont celles d’un peuple qui a faim… L’Europe de demain, avec l’écroulement de l’euro, peut ressembler à ça… Mais heureusement, il restera assez de carburants dans les hélicoptères pour fuir !


Mise à jour :
Révoltes, voire révolutions, ailleurs dans le monde

[Compilé par Nicole]

Devant le silence des médias, rassemblons quelques infos récupérées sur Twitter et Telegram :



Sri Lanka Pays-Bas, Italie, Bulgarie, Turquie, Mozambique, Espagne, Albanie, Libye, Équateur… 🔥✊🏽 Ça commence à péter de partout, ça chauffe même en Suisse, Angleterre… Les médias boycottent l’actualité internationale, faudrait pas que ça donne des idées au Français 😉 #AFP 7:45 PM · 9 juil. 2022·Twitter for Android

Oliberté @Olivonline



Après l’Italie, le Canada, l’Espagne, la Hollande : Manifs de ouf en #Albanie, et les petits medias français, en bons collaborateurs du régime 🇪🇺, font le sale boulot de désinformation.

« Je vais bien, tout va bien. »

Дима |Z|ападный 🇷🇺🇨🇵 @dima_Zapad29 albanie

Des manifestants profitant de la piscine du président en fuite du Sri Lanka ! Aucun dictateur ne devrait rester dans l’illusion que le pouvoir est pour toujours, et quand la fin arrive, c’est toujours violent et méchant.

https://twitter.com/i/status/1544757092506017794




La vaccination anticovid tue de plus en plus de célébrités. Et combien d’anonymes ? Exigeons son arrêt immédiat et définitif pour tous !

Et si l’abandon du concert de Mike Jaggers réveillait les plus âgés, et celui de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?

Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)(([1] Les enfants sacrifiés du covid : génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.

Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.

Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…

Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébrités. Plus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !

Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…



Autre source pour la vidéo ci-dessus :



Des concerts annulés

Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)(([2] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.

D’autres meurent…

Des compétitions interrompues

Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.

En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.

Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.

La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.

D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber

Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.

Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct

Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS

Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES

Ou sur Telegram : https://t.me/covidvaccineinjuriesdotcom

Et en français :

  • 💉 #29ans #ErranceMedicale #EffetsSecondaires #VaccinsCovid19 #Covid19 #Temoignage #VVC19 #Victime
  • 🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
  • « 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
  • 📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
  • Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
  • Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
  • 🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
  • 🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
  • Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
  • Ensemble nous sommes plus fort 💪

Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.




Pourquoi s’unir est un devoir ?

[Source : laminutedericardo.com]

[Voir aussi :
Comment s’unir
et vidéos d’Alexandre Juving-Brunet :
Au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron : que faire ?
Alexandre Juving-Brunet : « Je livre tout ce que je sais, et je prends des risques pour le faire »
Stop aux généraux va-t-en-guerre !
Le choix laissé aux Français : la soumission ou la mort sociale
Alexandre Juving-Brunet répond à ses détracteurs]






Rationner et immobiliser les citoyens européens pour mieux les soumettre

Par Lucien SA Oulahbib

Les évènements aux Pays-Bas, les accords dits de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande (en attendant le Chili et d’autres comme le Mexique et le Mercosur) ont en vue de détruire l’agriculture européenne afin de rendre dépendants les citoyens d’importations qui seront distribués à terme par « passe » à l’instar de ce qui se passe au Venezuela ou naguère dans l’ancienne URSS.

Quant à la récente annonce de vouloir nationaliser EDF il s’agit juste d’un gage donné à l’Allemagne pour qu’elle puisse continuer à fermer les yeux devant l’accroissement de la dette française puisque cette nationalisation implique que le déficit d’EDF sera financé par elle. L’Allemagne y gagne étant donné que cette entreprise va investir de plus en plus dans l’éolien, les minicentrales nucléaires « promises » servant à compenser son intermittence et d’éviter une dépendance au gaz et au charbon, alors que pour l’instant et depuis la fermeture de Fessenheim et le quasi-sabotage, de fait, de la moitié des centrales nucléaires la France devient de plus en plus dépendante du… charbon allemand…. Cherchez l’erreur (il n’y en a pas).

Par ailleurs, et comme l’a rappelé Christian Girondaux dans son dernier livre sur la voiture électrique il est clair que sur longue distance la plupart des gens seront forcés de prendre le train étant donné l’extrême difficulté de la recharge hormis pour les grosses cylindrées inabordables.

Ainsi s’esquisse durablement le monde qui vient : rationner peu à peu par des pénuries et l’inflation galopante les populations pour qu’elles se tiennent continuellement tranquilles ; en même temps leur faire peur par un énième virus fabriqué, les pousser ainsi peu à peu à moins se déplacer (« le » virus est partout) et à aller de plus en plus dans le Métaverse (au sens large : séries, porno, talk shows inutiles) pour « vivre » ses imaginaires, à l’identique au fond de ce qui était prévu dans Matrix…

Le monde réel est visiblement de plus en plus réservé à la Secte qui peut se transporter à sa guise en compagnie de ses esclaves SM made in Bergé, et de ses migrants lui servant de serviteurs « racisés » ; le monde hyperréel, lui, et déjà là, sert de plus en plus de réserves d’Indiens pour un peuple inutile sinon comme réservoir d’organes et de chair fraîche pour le renouvellement de la Secte en cadres « bi » idéologiquement (style Cohn-Bendit, Ménard, Roussel, Rousseau…), en esclaves « multi » en serviteurs « poly » (mais polis).

Par ailleurs, avec la disparition à terme de l’autonomie monétaire individuelle, tous les échanges devenant numériques, les « salaires » ne seront que des validations autorisées ou non distribuées par une sorte de blockchain globale interétatique, du moins en Occident et dans l’espoir que ce mécanisme deviendra seulement bicéphale (Occident lobotomisé, Orient sous contrôle maoïste, Russie défaite ou sous la dépendance de ce dernier : reste l’Inde, l’Afrique, le Brésil…). 

Et cette numérisation des relations interpersonnelles et collectives va de plus en plus de pair avec un marché noir autorisé pour les influenceurs/euses qui n’ont pas pu se vendre comme experts médicaux et/ou climatiques sur les médias de grand chemin.

Bien sûr, tout ceci se déroule avec le terme enchanteur à la bouche du moment : sauver la planète. Ce nouveau mantra (toujours aussi faux que lorsqu’il avait été prononcé dans les années 60) fait office de gong ou de nouveau chant du muezzin pour des populations avides d’être soumises.

Acculés dans nos « réserves » (de sens) le fait de savoir s’il « nous » faut un Cochise ou un Geronimo semble bien pour le coup superfétatoire… D’autant qu’il nous faut les deux, mais placés et gagnants façon Alexandre, Louis XIV, et surtout l’époque victorienne. Au lieu de ces querelles de clocher comme l’expression le précise si justement…




Mathilde Panot habille la borne pour l’hiver

[Source : Ma France]




Nice : le port obligatoire du masque dans les transports en commun suspendu par la justice

[Source : francais.rt.com]

Le tribunal administratif de Nice a suspendu l’arrêté municipal prévoyant le retour du masque dans les transports en commun à compter du 10 juillet. Le juge a pointé l’absence de «raison impérieuse» et l’atteinte grave à la liberté de circuler.

L’arrêté municipal du maire de Nice Christian Estrosi (ex-LR) imposant dès le 10 juillet le retour du masque dans les transports en commun de la métropole niçoise a été suspendu le 8 juillet par la justice.

Le tribunal administratif de Nice, saisi par quatre requérants, a estimé qu’aucune «raison impérieuse propre à la commune [ne rendait pas] indispensable l’édiction d’une telle mesure» qui, selon son ordonnance, porte donc une «atteinte grave et manifestement illégale [à la] liberté d’aller et venir» et «au droit de chacun au respect de sa liberté personnelle».

Dans son ordonnance, le juge des référés a souligné que le Premier ministre Elisabeth Borne avait expliqué, dans son allocution du 6 juillet devant le Parlement, que «le port du masque [était] fortement recommandé mais non obligatoire».

Si le maire dispose certes d’un pouvoir de police générale, «qui lui permet de prendre des mesures de lutte contre la crise sanitaire», le juge rappelle qu’il ne peut le faire qu’à «la double condition de démontrer l’existence de circonstances locales particulières et de ne pas compromettre la cohérence et l’efficacité des mesures prises dans ce but par les autorités compétentes de l’Etat».

Des conditions que le juge administratif considère ne pas être remplies à Nice où notamment le «taux de tension en réanimation» était au 7 juillet «de 14% dans le département des Alpes-Maritimes contre 20% au niveau national». En conséquence, «l’existence de raisons impérieuses propres à la commune rendant indispensable l’édiction de cette mesure, en dépit de la situation particulière liée au tourisme en période de vacances scolaires d’été, n’a pas été démontrée».

Le 4 juillet, le maire de Nice et les autres maires de la métropole niçoise avaient décidé d’aller plus loin que le gouvernement qui, pour l’instant, n’a fait que recommander le port du masque dans les transports publics, estimant que ce dernier «sera[it] obligé d’y venir» compte tenu de l’évolution sanitaire dans le pays.




Les agriculteurs néerlandais s’insurgent contre l’élite : « Ils fabriquent les pénuries alimentaires mondiales »

[Source : anguillesousroche.com]

Des dizaines de milliers d’agriculteurs se soulèvent contre le gouvernement pour protester contre les pénuries alimentaires délibérées qui, selon eux, sont fabriquées par l’élite.

Comme d’habitude, les médias grand public tentent de déformer la vérité sur les protestations en titrant des articles comme « Les agriculteurs néerlandais protestent contre les objectifs d’émissions ».

Bien que la politique du gouvernement consiste à investir 25 MILLIARDS d’euros dans la « réduction des niveaux de pollution par l’azote », son plan pour y parvenir consiste à « payer certains éleveurs néerlandais pour qu’ils quittent le secteur ».

Cela implique une réduction drastique du nombre d’exploitations agricoles dans le pays.

Regardez :

Bien que le programme vise apparemment à limiter les émissions d’azote et d’ammoniac provenant de l’urine et du fumier, le véritable objectif est bien plus sinistre lorsque l’on voit la destruction délibérée des industries alimentaires dans le monde entier.

Les Pays-Bas sont l’un des plus grands exportateurs de viande au monde. Réduire sa production d’un tiers dévastera l’approvisionnement alimentaire de l’Occident.

Le programme « payer les agriculteurs pour qu’ils ne cultivent pas » n’est pas seulement appliqué aux Pays-Bas, le Royaume-Uni et les États-Unis ont mis en place des programmes similaires dans le but déclaré de réduire la production de viande.




Le Nouvel Ordre Mondial se dérobera-t-il sous leurs pieds ?

[Source : bernardalex.com]

[Illustration : Crevards, vandales, finance (Détail N°2) collage techniques mixtes 100X130 – (2011-2013)]

Par Bernard-Alex, artiste plasti-cœur

Tout le système repose sur les épaules du plus grand nombre, qui en constitue la base, le socle ; l’assise en quelque sorte de la bête immonde qui nous chie sur la tête depuis plusieurs siècles. N’ayons pas peur des mots : ce qui est est. Ce système ne tient, ne fonctionne, ne s’engraisse, que grâce au collagène des populations vendues à la découpe, sur « le Marché » mondial des Vies volées (au sens propre comme au sens figuré, les deux défigurés de toute façon à l’arrivée). Des Vies volées, esclaves, servant aussi de pièces détachées, transplantées sur des crevards friqués, obsédés par l’éternité, quitte à manger des bébés cuits et des placentas frais. (Emportés sous le manteau dans des glacières par des types très nerveux pris sur le fait.) Oui, des bébés, pour la plupart arrachés à leurs mères par césariennes, pratiquées à la baïonnette ou au couteau, sur les champs de bataille, ou plutôt, sur les boucheries de batailles que la bête suscite un peu partout. Jamais rassasiée. Le Marché, la finance — Ils — cette main invisible, disent-ils eux-mêmes, pour enfumer la galerie avec force marketing, à coups de marteau sur la tête. Nul exagération ici, bien en dessous de la réalité qui nous est faite, au moyen de procédés immondes relevant de la Cour Pénale Internationale (C.P.I), pour ne pas dire d’un nouveau Nuremberg, qui cette fois-ci jugerait non seulement les lampistes et les idiots utiles, mais aussi et surtout ceux qui se cachent derrière.  

Non !!!

Le monde n’est pas voué à être dégueulasse, sordide, pavé de souffrances infligées gratuitement. Non, l’homme n’a pas toujours été le monstre qu’il est devenu aujourd’hui. Non, il n’y a pas de fatalité.

Oui !!!

Ils sont à notre portée, parce qu’identifiés clairement de nos jours. (Ce qui leur fout la trouille.) À la portée du plus grand nombre bientôt réconcilié, comme un continuum se dérobant sous leurs pieds sans coup férir. Il n’est que de leur faire faux bond, et boum, les voilà par terre. Il n’y a plus qu’à les ramasser et les juger, par camions entiers jusqu’au dernier, pour crime économique contre l’Humanité, crime d’empoisonnement de l’Humanité, crimes mortels contre l’Écosystème… Avec des exemples assez marquants pour contenir les fauves retournés dans leurs ménageries respectives, en lieu et place des animaux exotiques dont ils collectionnent les trophées.

Que les populations viennent à se dérober sous leurs pieds, et… Terminé !!!

Ce système est voué à s’effondrer (dans la minute, dans l’heure, l’année…). Ses jours sont comptés (1989 était l’annonce de sa mort prochaine, car il n’y avait plus rien pour le contenir, le limiter). Il finira tôt ou tard par s’écrouler sur lui-même, ravageant tout à la ronde sur des kilomètres. Crachant sa haine comme une bête ignoble à l’agonie. Un peu comme ces tours infernales, fameuses, fumeuses, s’effondrant à point nommé sur elles-mêmes à la vitesse de la chute libre, sans artificier, défiant par là toutes les lois de la physique universelle (si on s’en tient à la version officielle). Une version officielle empreinte de magie à en croire nombre d’architecte, d’ingénieurs et d’artificiers analysant les données disponibles. (La controverse suit son cours.) Ce système est voué à l’échec, car ceux qui en sont à l’origine sont incapables de se réfréner, la plupart étant des monstres infectés, de père en filsdepuis des siècles. À force de coucher avec leurs mères, leurs sœurs, leurs cousines, leurs enfants et maintenant leurs chiens de compagnie, peut-on s’en étonner ? Il nous revient de procéder à la destruction contrôlée de cet édifice, avant qu’il ne s’écrabouille sur sa base constituée par les peuples enrégimentés, à seule fin de le soutenir et de faire vivre cette Pyramide de Ponzi.

Que la base se dérobe et voilà la pyramide se fracassant sur elle-même, dans un nuage de poussières et de débris, hors de portée de la base qui se sera éloignée pour se mettre à l’abri. Un peu comme ces cornacs courant derrière leurs éléphants et nombre d’animaux partis se réfugier sur les hauteurs, avant le fameux tsunami, historique par le nombre de touristes blancs emportés. Le gratin des lumières obscurantistes et après moi le déluge pour l’éternité. Pchittt… Envolé ! La une dans le monde entier !!! Il reste que ces « animaux débiles » venaient de surpasser la crème de « l’espèce reine » autoproclamée, en un instant suprême, un instant T déterminant où il est question de Vie ou de Mort instantanée. Qui est supérieur à qui en la circonstance ? Un peu d’humilité aurait suffi pour se sauver la Vie.

La solution à nos problèmes se trouve en nous-mêmes.

[Voir aussi :
Résister à la dérive totalitaire
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
La clef de la libération
Comment s’unir
Masse critique]

Et les problèmes d’aujourd’hui ne sont rien à côté de ceux qui nous viennent à toute allure sur le coin de la… (j’hésite sur le mot à employer.) Pour ce qu’il en restera après me direz-vous. Se dérober sous leurs pieds, avant que l’édifice n’aplatisse tout, jusqu’au dernier. Se dérober, ne plus donner prise, d’abord de moins en moins jusqu’à plus rien ou presque rien. Se déconnecter soi-même, de soi-même, par « soi-m’aime », avant que cela ne soit exécuté par d’autres que soi-même, avec une violence extrême par-dessus le marché, gratuite, pathologique. Une méchanceté pour elle-même, sans état d’âme, et/ou avec délectation cynique, sadique, sous couvert de la science économique, de la finance, du marché.
 

Crevards, vendales, finance (Détail N°3)  collage techniques mixtes 100X130 - (2011-2013)
Crevards, vandales, finance (Détail N° 3) collage techniques mixtes 100X130 — (2011-2013)

Le Marché !!!

Aime que les individus soient logés à la même enseigne de charcuterie, dans des baraques en bois, en paille et en carton mouillé. Les maisons de briques étant réservées aux idiots utiles, pour leur donner l’illusion de la sécurité. Le marché est un chacal sans états d’âme pour les petits cochons, et un loup en germination pour lui-même, rendu aveugle par sa cupidité et sa méchanceté. (Enfin, ceux qui se cachent derrière Le Marché, la finance, les banquiers, les rentiers et le reste.) Le dernier petit cochon utile égorgé dans son lit (se croyant bien à l’abri derrière ses murs de briques), le Marché ne pourra s’empêcher de se retourner contre lui-même, s’attaquant à son propre ventre à pleines dents pour en arracher les boyaux, dans un jaillissement de merde et de hurlements.

Quelle horreur !!!

Ainsi donc se terminerait l’épopée humaine, qui se mesure en dizaines de milliers d’années aujourd’hui ?!!! Et non ces quelques milliers d’années, comme la secte millénaire a voulu le faire avaler au monde entier à coup de meurtres et d’assassinats. Manque de bol, tout finit par sortir. Ce qui explique cette hystérie à laquelle nous assistons. Cela respire la maladie à plein nez (il suffit de les regarder s’exprimer), une poignée de dégénérés, de déséquilibrés. Les derniers héritiers d’une longue lignée d’enfoirés, dépravés, débauchés, arriérés, sur la fin, et qui voudraient nous entraîner avec elle dans les pissotières puantes que sont devenues leurs têtes.

@ moins…

À moins de lever le pied au pied levé et de leur faire un pied de nez pour renouer avec l’essentiel. Ciel !!! Il y a une vie après la consommation, il y a : La Vie. Le contraire de la non-vie que l’on nous contraint à vivre toute « la vie ». Debout les gens !!! Ce n’est pas la Vie qui est moche mais ce qui en est fait.

Crevards, vendales, finance (Détail N°4)  collage techniques mixtes 100X130 - (2011-2013)
Crevards, vandale, finance (Détail N° 4) collage techniques mixtes 100X130 — (2011-2013)

Debout les gens !

Regroupez-vous, organisez-vous, préparez les canots et les gilets de sauvetage, rassemblez les provisions, récupérez votre argent contre de l’or trébuchant, avant que ne trébuchent les fous de pouvoir et d’argent factice, enivrés par leurs rêves d’ouragans – arrogants – cataclysmiques. Nul besoin de révolution ni d’affrontements, quand il suffirait de nous dérober sous leurs gros sabots.

Organisez des files d’attente devant les banques. N’achetez plus que ce dont vous avez véritablement besoin. Mettez vos téléviseurs sur le trottoir, éteignez la radio, n’achetez plus la presse écrite, elle est entre les mains des marchands d’armes et de la finance.

Discutez avec vos amis, la famille, les proches, mettez en commun vos forces et votre intelligence en vue de vous organiser. Renseignez-vous sur ce qui se fait déjà, ici et là, en France comme en Grèce et ailleurs. Agrégez différents corps de métier… Il n’y a pas de fatalité, tout ce que l’Homme rêve, il est en mesure de le réaliser.

Utopie ?!

Peut-être, sans doute, mais n’était-il pas utopique pour ceux qui nous ont précédés de croire qu’un jour nous nous élèverions dans le ciel ? Léonard de Vinci était-il un fou ou un génie ? Tout ce que l’Homme rêve peut par lui être réalisé. Debout les gens, ils ne représentent que 1 % de la population planétaire, largement répertoriés aujourd’hui, grâce à l’internet, avec noms, photos et adresses.