C’est terminé : Les CDC affirment que les personnes exposées au COVID n’ont plus besoin d’être mises en quarantaine

[Source : Aube Digitale]

Par Chris Martenson

Et, juste comme ça, c’est fini.

C’est une énorme nouvelle, les amis. Dans la langue des bureaucrates, c’est un échec quasi-complet devant les faits réels :

  • Aucun symptôme ? Pas de problème.
  • Vacciné ou non ? Même conseil.
  • Exposé ? Même pas besoin de quarantaine.
  • Les étudiants exposés ? Ils peuvent rester en classe, et puis zut, non ?

[Voir aussi :
Une plongée plus profonde dans le retournement des CDC (Anguille sous roche)]

Si vous avez réussi à maintenir votre intégrité pendant cette terrible période, félicitations ! Vous êtes l’une des rock stars de cette aventure. Vous êtes un individu solide qui a du courage et qui s’est tenu ferme et droit quand cela comptait le plus.

Quant à ceux qui ne l’ont pas fait, certains peuvent être pardonnés. Mais beaucoup ne le peuvent pas.

Ceux qui auraient pu et « dû » être mieux informés ? Les médecins qui n’ont pas utilisé les traitements précoces connus et éprouvés pour sauver des vies ? Les autorités de santé publique qui ont enfermé les gens et imposé des masques sur le visage des enfants sans la moindre preuve scientifique à l’appui de ces décisions ? Les administrateurs médicaux des hôpitaux qui ont mordu à l’hameçon monétaire et ont imposé aux patients des régimes toxiques et mortels de Remdesivir et de ventilateurs (encore une fois, sans aucune preuve à l’appui !). Le groupe d’experts en traitement des NIH qui, à ce jour, ne recommande toujours pas la vitamine D, ni aucun autre traitement précoce sûr et efficace ?

Désolé, pas désolé, ces personnes doivent subir des conséquences publiques réelles et durables. Certains médecins devraient perdre leur licence. Certains bureaucrates doivent perdre leur emploi tandis que d’autres doivent être jugés.

J’éprouve des sentiments très forts pour ceux qui se sont fait prendre et qui en ont terriblement souffert. Je me sens vraiment mal pour toutes les personnes qui n’ont pas pu assister au décès d’un être cher ou qui, pour pouvoir continuer à travailler, ont été contraintes de recevoir des injections anti-covid dont elles ne voulaient pas et dont elles n’avaient pas besoin.

Il y a beaucoup trop de cas tragiques. Beaucoup trop de jeunes vies ont été perdues et continuent de l’être. Je suis en colère que cela se soit produit et contre les bureaucrates mesquins et ignorants qui l’ont imposé. Le « syndrome de la mort subite de l’adulte » est une chose maintenant, et les tentatives de normalisation par la presse m’ont fait penser que les entreprises et les journalistes qui se sont engagés dans cette voie devraient être interdits à vie d’exercer à nouveau ce métier.

En voici quelques-uns parmi les nombreux candidats :

L’un des cas les plus marquants de tragédie évitable est celui de Sean Hartman, 17 ans :

Dan Hartman est certain que son fils, passionné de hockey, est décédé à la suite d’une vaccination anti COVID, mais on lui dit très peu de choses sur ce qui s’est passé. Ce père ontarien dit vouloir des réponses sur la mort soudaine de Sean, 17 ans.

« Je ne peux pas le pleurer correctement sans connaître la vérité. C’est différent si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, une maladie ou un suicide. Ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est une inconnue », a déclaré M. Hartman lors d’une interview diffusée le 30 juillet dans l’émission « The Nation Speaks » de NTD.

Selon l’hommage rendu à Sean par la Beeton Athletic Association Cash Draw, il a commencé à jouer au hockey à l’âge de 5 ans et a ensuite joué pour les TNT Tornadoes à New Tecumseth, en Ontario, pendant trois ans avant de revenir dans sa ville natale de Beeton lors de son année majeure Bantam.

En raison de la pandémie de COVID-19, l’Association de hockey mineur de l’Ontario a mis en place une politique qui exigeait que les joueurs âgés de 12 ans et plus soient vaccinés sous peine de ne pas pouvoir jouer.

Hartman a déclaré que Sean a décidé de se faire vacciner en août dernier afin de pouvoir continuer à jouer, le hockey étant sa passion. En Ontario, la Loi sur le consentement aux soins de santé ne prévoit pas d’âge minimum de consentement, ce qui signifie que les jeunes de l’âge de Sean peuvent se faire vacciner sans le consentement de leurs parents.

« Donc, le 25 août, il a reçu le vaccin de Pfizer. Et le 29 août, il s’est rendu aux urgences – il avait des cercles bruns autour des yeux, une éruption cutanée et il vomissait », a déclaré Hartman.

« Ils l’ont renvoyé chez lui avec seulement de l’Advil. Le médecin n’a pas fait deux tests sanguins qu’il aurait dû faire. Un autre médecin m’a dit qu’il aurait dû les faire. Et le matin du 27 septembre, il a été retrouvé mort sur le sol à côté de son lit. »

(Source : Epoch Times)

Il y a des milliers et des milliers de cas similaires et tragiques. Trop nombreux.

Depuis le début, je dis la même chose que les docteurs McCullough, Malone, Urso, Kory, Marik, Rose et Steve Kirsch, parmi tant d’autres : les vaccins anti-covid n’auraient jamais dû être administrés à toutes les personnes possibles.

Il aurait fallu adopter une approche de stratification de l’âge et du risque. Seules certaines personnes auraient dû être vaccinées, mais jamais des enfants en bonne santé. Jamais.

La diabolisation de questions même simples et tout à fait appropriées était horrible et se poursuit encore aujourd’hui, comme je l’ai souligné dans une vidéo récente sur « Fact Checkers » dans laquelle j’ai couvert un article vraiment horrible du New York Times par Sheera Frenkel. Dans cet article, Mme Frenkel s’est laissée emporter par un verbiage hyperbolique, chargé d’émotion, dans une tentative effrontée de déformer toute question posée par les parents en disant qu’elle était entièrement due à la mésinformation, à des théories du complot et à une position en noir et blanc d’ »antivax ».

Eh bien, si les parents hésitants sont des antivax, alors nous devons dire que ces gens sont dans la grande majorité (et à juste titre) tandis que c’est Mme Frenkel et le New York Times qui sont terriblement hors de l’alignement avec les données.

Loin d’être marginale, l’opinion selon laquelle les enfants n’ont pas besoin du vaccin anti covid-19 représente une minorité significative (pour les cohortes plus âgées) ou une majorité écrasante (pour les plus jeunes) de parents aux États-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs.

Les 95 % de parents américains qui ont refusé de faire vacciner leurs enfants de 0 à 5 ans contre le Covid-19 sont-ils « antivax » ? Qu’en est-il des 89 % de parents britanniques qui, à la fin du mois de juillet, avaient refusé de faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans ?

Bien sûr qu’ils ne le sont pas. Ils reconnaissent simplement que l’extrême discrimination par âge du Covid rend la vaccination inutile pour la grande majorité des enfants par ailleurs en bonne santé, tout comme l’immunité acquise par l’infection.

(Source – La diabolisation de la dissidence)

C’est aux psychologues et aux spécialistes des sciences sociales qu’il appartient de comprendre comment la « gauche » a pu devenir les plus grands défenseurs des sociétés pharmaceutiques corrompues dont la corruption a été prouvée par les tribunaux. Peut-être pourrions-nous également inclure des éthiciens et des procureurs.

Traitements précoces

Plus important et plus révélateur dans cette triste saga, des traitements précoces auraient dû être découverts et utilisés à bon escient, comme ils l’ont été dans de nombreux autres pays.

Le simple fait que les deux graphiques ci-dessous n’aient jamais fait l’objet d’un débat sain et vigoureux en dit long sur l’ampleur réelle de la corruption.

Depuis plus d’un an, l’Uttar Pradesh botte le c*l de tous les pays occidentaux dans la lutte contre le covid, et ce, grâce à des programmes de traitement précoce simples et efficaces qui ressemblent à ceci :

Le kit comprenait :

  • Ivermectine
  • Azithromycine (Z-pac)
  • Doxycycline
  • Zinc
  • Vitamines D et C

Il est évident que cette approche a fonctionné et a très bien fonctionné, non seulement en réduisant le nombre de décès, mais aussi de cas. Avec moins de cas moins graves, il y a fort à parier qu’ils ont également réussi à réduire les longues périodes du covid.

Le Dr Pierre Kory a récemment écrit un article d’une qualité exceptionnelle sur la manière dont l’Uttar Pradesh a accompli son étonnant exploit. Tout a commencé avec un dirigeant qui n’a pas eu peur de commencer par éradiquer la corruption :

Le miracle méconnu dans le monde entier : Le succès de l’Uttar Pradesh

L’Uttar Pradesh (UP) est un État du nord de l’Inde qui compte 231 millions d’habitants. C’est là que se trouve le Taj Mahal. Si c’était un pays, il serait le sixième plus grand du monde.

À mon avis, la réussite historique de l’UP repose sur l’intégrité de son ministre en chef (CM) Yogi Adityanath. Il est un moine hindou et est connu pour sa politique de tolérance zéro contre la corruption. On ne saurait trop insister sur l’importance de cette qualité, surtout au vu des corruptions incessantes de la science médicale et de la politique de santé publique qui se manifestent chaque jour depuis deux ans.

Depuis sa prise de fonction en tant que CM il y a plus de trois ans et demi, il a pris des mesures contre 775 fonctionnaires corrompus de l’UP issus du service administratif et du service de police indiens. Son leadership pendant le COVID devrait servir d’exemple d’inspiration historique aux politiciens. Ils devraient prendre note de la façon dont des politiques honnêtes et directes conçues dans le but singulier de servir et de protéger le bien public peuvent réussir en politique.

En mars 2020, Yogi Adityanath a convoqué (et présidé) un comité composé de 11 hauts fonctionnaires chargés de gérer différents aspects tels que la surveillance et la recherche des contacts, les tests et les traitements, l’assainissement, le confinement, l’application de la loi, la livraison à domicile, les problèmes des migrants, la stratégie de communication, etc.

Il est à noter que l’UP a commencé par être forte dès le début. Dès le début de la pandémie, en mars 2020, s’inspirant du protocole national de l’Inde, l’UP a immédiatement adopté l’hydroxychloroquine pour la prévention du COVID pour tous ses travailleurs de la santé ainsi que pour les contacts familiaux de tous les cas confirmés en laboratoire.

Rappelons que la promesse de traitement de l’HCQ était connue depuis la première pandémie de SRAS, un fait souligné depuis longtemps par Anthony Fauci. Pourtant, dans le COVID, lorsque sa menace pour l’industrie pharmaceutique en tant que traitement efficace est devenue réalité, Fauci a essentiellement mené la première campagne de désinformation contre un médicament reconverti dans la pandémie. Sa campagne est décrite dans le livre de RFK Jr, The Real Anthony Fauci, dans la première section du chapitre 1, intitulée « Killing Hydroxychloroquine ».

Puis, en août 2020, UP a rompu avec les fédéraux et a changé son protocole pour l’ivermectine après une « expérience » à Agra, une ville de 1,6 million d’habitants. Le chef des unités de l’équipe d’intervention rapide de l’État, le Dr Anshul Pareek, avait décidé de mener une étude sur l’ivermectine en tant qu’agent préventif sur la base du rapport d’un vétérinaire (pour être juste, il s’appuyait également sur d’autres rapports cliniques prometteurs chez l’homme).

L’UP a immédiatement commencé à administrer de l’ivermectine aux contacts proches des cas positifs dans le district et a constaté des résultats profondément positifs. Sur la base de ces observations, les autorités sanitaires de l’État ont donné le feu vert à l’utilisation non autorisée de l’ivermectine non seulement en prévention… mais aussi en traitement. C’était leur protocole d’utilisation de l’ivermectine :

  1. Les contacts proches des patients atteints de COVID-19
  2. Personnel soignant
  3. Soins généraux des patients atteints du COVID-19

Remarquez que le gouvernement de l’UP a fait ce que mes collègues et moi-même avions imploré depuis le début de la pandémie. Faire une analyse décisionnelle des risques et des avantages en cas d’urgence. Comme on le fait en temps de guerre. Même si le point de vue était que les preuves des essais cliniques pour le HCQ ou l’IVM étaient  » insuffisantes « , les preuves des dommages étaient presque nulles, alors que les preuves des dommages d’un COVID généralisé non traité étaient évidemment catastrophiques.

Source – Pierre Kory Substack

Alors, pourquoi les pays occidentaux n’ont-ils pas réussi à remarquer l’incroyable succès de l’Uttar Pradesh ? Je dis que c’est parce qu’ils ne le voulaient pas. C’était volontaire, malin et mauvais. Fauci (en tant que substitut de tout professionnel de la santé corrompu et en conflit) préférait le pouvoir, l’argent et la célébrité qui découlaient d’une longue crise. Ces personnes en conflit n’ont pas pensé à tuer et à blesser davantage de personnes, préférant maintenir la crise en jeu aussi longtemps que possible.

Nous avons souffert aussi longtemps, et tant de gens sont morts, parce que nos gouvernements ne se soucient pas de leur propre peuple. Parce que les grands médias ne se soucient pas de leurs concitoyens. Parce que les entreprises, et surtout les entreprises pharmaceutiques, ne se soucient pas des gens. Elles se soucient plus de l’argent, du contrôle et du pouvoir que de toute autre chose.

C’est ce que je pense fermement et sans ménagement. Ces gens ne peuvent pas être réformés. Ce sont des marchandises endommagées. Les institutions ne peuvent pas être réformées, elles doivent être démantelées et recommencées. Les sociétés ne peuvent être sauvées, elles doivent être dissoutes et leurs actionnaires et détenteurs d’obligations doivent subir de lourdes pertes afin que la prochaine fois, le capital se pose un peu plus de questions.

Le grand retour en arrière

Alors pourquoi les CDC reviennent-ils sur leurs « conseils » à ce stade ? Je ne sais pas, mais il n’y a pas de nouvelles études à ma connaissance qui auraient fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre.

Je pense plutôt que c’est le gouvernement danois qui a rendu illégale l’administration de vaccins aux mineurs (<18 ans) après avoir finalement constaté que le rapport risque-récompense n’était pas favorable.

Il va devenir très difficile pour les CDC de maintenir une quelconque intégrité si certaines agences sanitaires occidentales commencent à affirmer l’évidence alors que les CDC continuent à conseiller à leurs propres citoyens de sacrifier leurs enfants et eux-mêmes à la machine à vaccins anti-covid.

Si cela reste leur conseil – stupidement – cela ne durera pas longtemps, à mon avis. Les bureaucraties doivent faire marche arrière par étapes.

Et puis il y a un nombre croissant de pays qui remarquent ouvertement que leurs chiffres de mortalité toutes causes confondues sont beaucoup trop élevés et qui commencent à enquêter :

Quand environ 4 000 personnes de trop meurent en l’espace de trois semaines, c’est très inconfortable et les gens finissent par le remarquer. Et, quand ils le font, oh là là, attention !

Ou peut-être est-ce simplement que les CDC ont lu les derniers sondages, qu’ils ont compris que les démocrates allaient perdre leur majorité et qu’ils essaient d’anticiper les enquêtes que les républicains ne manqueront pas de lancer dès qu’ils le pourront ?

Quelle que soit la raison, c’est trop peu et trop tard. Les CDC ont perdu à jamais ma confiance et tous ceux qui y travaillent portent la responsabilité de ce qui s’est passé, certains plus que d’autres, bien sûr.

Conclusion

C’est fini, les amis. Rangez vos affaires ! La grande pandémie de Covid est terminée. Comme je l’avais prédit en décembre 2021, Omicron était la fin de Covid, mais il a fallu beaucoup trop de temps et beaucoup trop de vies supplémentaires pour que cette réalité se concrétise.

Je prédis qu’il faudra encore de nombreux mois avant que le Canada, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ne se réveillent enfin de leurs cauchemars autoritaires, mais cela arrivera aussi. Avec, je l’espère, des conséquences extrêmes pour Trudeau, Morrison, Arden, Andrews, Mme Freeland et d’innombrables autres minarets bureaucratiques.

Pour aider à guérir de ce désastre, nous devons être aussi accueillants que possible pour ceux qui se réveillent enfin et veulent être réintégrés comme membres à part entière du Remnant. Bien sûr, ils seront en probation pour toujours, mais ils seront les bienvenus.

Dans l’immédiat, je demande des excuses globales aux personnes blessées par le vaccin et à leurs proches qui ont été horriblement étouffés par l’establishment médical. Ils méritent notre soutien, et ils l’auront.

Et pour tous ceux qui ont tenu bon, vous êtes mes amis pour la vie et je salue chacun d’entre vous !

Traduction de PeakProsperity par Aube Digitale


À propos de l’auteur

Chris Martenson, PhD (Duke), MBA (Cornell), est un chercheur économique et un prospectiviste spécialisé dans l’énergie et l’épuisement des ressources, et fondateur de PeakProsperity.com. L’un des premiers écoblogueurs à avoir prédit l’effondrement du marché immobilier et la correction du marché boursier des années à l’avance, Chris a acquis une certaine notoriété avec le lancement de son séminaire vidéo fondamental : The Crash Course, qui a également été publié sous forme de livre (Wiley, mars 2011). The Crash Course est une distillation populaire et extrêmement appréciée des forces interconnectées de l’économie, de l’énergie et de l’environnement (les « trois E », comme Chris les appelle) qui façonnent l’avenir – un avenir qui sera défini par des défis croissants à la croissance telle que nous l’avons connue.




Retour bref sur les « Versets sataniques » et le pourquoi du silence mélenchonien

Par Lucien SA Oulahbib

Cette dénomination (qui n’est pas de Rushdie) fait référence à de réels versets (sourate 53) relatant la tentation qu’a pu avoir le leader islamique de poursuivre la politique tolérante de sa famille et des habitants de La Mecque, car ils vivaient pour une part du pèlerinage que faisaient certains dans l’enceinte nommée « Le Cube » bien avant l’islam et qui abritait plusieurs icônes de diverses religions. Certains parlent même d’une représentation de Marie mère de Christ. Mais Mahomet refusa que ce lieu fût partagé, aussi sa famille et les habitants le chassèrent (et non pas violemment comme l’historiographie le reconstruit). Et pour preuve, lorsqu’il revint en conquérant à la Mecque, il détruisit toutes les autres représentations religieuses, confirmant ainsi qu’il en avait fini avec la tentation de partage indiquée dans ladite sourate 53…

Aussi et sans revenir spécialement sur l’historique de la controverse (sanglante) autour du livre qu’écrivit Rushdie à partir de cette sourate (quelques paragraphes sur cinq cents pages), il est possible d’interpréter le geste de l’écrivain comme cet effort (désespéré) qui cherche à renouer précisément avec cette idée de tolérance gisant dans cette sourate 53 et qui semble provenir moins du “côté obscur de la Force” et plus de son versant “rationnel” qu’autrefois les mutazilites tentèrent de continuer à insuffler avant d’être détruits par les littéralistes intransigeants qui donnèrent un Ghazali (refus de la philosophie) puis un Wahab (refus de la séparation “moderne” entre politique et religion) et qui aujourd’hui dominent l’exégèse malgré les tentatives de l’islam dit “libéral”.

Or Rushdie semble bien réfléchir, quoiqu’en agnostique selon ses dires, à la lumière même de ce dernier courant de pensée qui fut appelé en France « islam des lumières », une texture en réalité introuvable ailleurs sinon en un Occident protégeant comme toujours ses futurs ennemis (il en fut de même pour le FNL vietnamien, le FLN algérien, Khomeiny, sous pression de Foucault sur Giscard, et diverses autres structures tiersmondistes…). Les principaux intellectuels du globalisme transnational (façon BHL et consorts) firent ainsi croire qu’il était possible de réitérer l’effort des mutazilites à vouloir « réformer » un texte classé pourtant d’emblée surnaturel, c’est-à-dire « incréé », sacré, donc intouchable, gravé dans le marbre et qu’il s’agit seulement de réciter, de s’y mouler tout en imitant dans chaque geste ledit « envoyé » y compris lorsqu’il égorge par exemple les Banu Qurayza et il fut imité en « Algérie », avant et après 62, mais aussi plus récemment par les combattants « français » d’Isis en Syrie et ailleurs…

Bien sûr, ce « littéralisme » est combattu, du moins sur le papier, par les représentants de l’islam « officiel », mais ce, pour des raisons tactiques, du moins en majorité. Pour preuve d’ailleurs, la façon dont leurs principaux recteurs refusent aujourd’hui l’expulsion de cet imam controversé (aux propos violemment antirépublicains sur les femmes et les homosexuels), expulsion exigée par le ministre de l’intérieur français, mais refusée par le tribunal… français également…

Certes, Saddam Rushdie ayant vécu depuis des années cette intolérance que défendent les assassins à ses trousses a bien vu au fur et à mesure l’impasse de son geste qui permit cependant à nombre d’hurluberlus de la lumpen intelligentsia (telle une Fourest, avant de se recycler dans la chasse aux dits « antivax ») de se faire un nom, brandissant bien sûr l’étiquette « extrême droite » à la moindre critique ou mise en lien de l’islam et de l’islamisme, oubliant que la « vraie » extrême droite admire l’islam et les Arabes, à commencer par le nazisme (tendance historique)

Nous en sommes donc là : l’assassin de Salam Rushdie plaide « non coupable » ce qui est parfaitement compréhensible, au-delà de sa consonance juridique US, il n’est pas coupable puisqu’il ne fait que son devoir imitant ainsi son Guide. Certes, et sans doute d’aucuns trouveront son geste « injustifié » alors qu’il se situe pourtant dans la droite ligne de ce que subissent nombre d’Occidentaux en l’occurrence français, et ce tous les jours, signant ainsi l’échec total de tout ce courant dit « tolérant » dont est issu Rushdie. Celui-ci est aujourd’hui désormais battu en brèche par le mélenchonisme — qui prône un aggiornamento avec l’islam (admiré par leur Guide) à l’instar de ses camarades trotskistes anglais (SWP) et français (Mediapart) — par ailleurs violemment antisioniste (subtilité linguistique pour les différencier de l’antisémitisme traditionnel façon Drumont plutôt que Bloy), jusqu’à fignoler récemment une proposition de loi en rapport (sur l’apartheid supposé en Israël) et surtout classer sans suite ou comme « faits divers » toute action maléfique opérée par l’un de leurs protégés, du moment qu’il se dit musulman. Pour preuve : la difficulté de trouver une occurrence sur Google concernant une réaction de Mélenchon envers la tentative d’assassinat à l’encontre de Rushdie, et ce pas plus sur son fil Twitter, pas plus sur celui de LFI, or qui ne dit mot consent ?… Selon l’adage… » français », il est vrai (donc d’« extrême droite »)




600 % de décès supplémentaires signalés au cours des 19 derniers mois par rapport aux 32 années d’existence de la base de données VAERS

[Source : profession-gendarme.com]

Depuis le début de la pandémie de COVID-19 il y a deux ans, le gouvernement américain a injecté des milliards de dollars de vos impôts dans le programme de vaccination. Plus de 9 milliards de dollars de vos impôts ont été versés aux fabricants de vaccins pour la recherche et 22 milliards de dollars de vos impôts ont ensuite été utilisés pour soutenir la distribution des vaccins. Les autorités fédérales ont également déboursé 10 milliards de dollars supplémentaires pour élargir l’accès aux vaccins et ont annoncé qu’elles allaient consacrer 3 milliards de dollars de plus à une campagne publicitaire visant à combattre l’hésitation à se faire vacciner.

Le gouvernement américain a dépensé bien plus de 130 dollars pour chaque homme, femme et enfant en Amérique pour promouvoir les vaccins COVID-19 et pourtant, plus d’un tiers du pays refuse toujours de se faire vacciner et près de 70 % refusent de prendre le rappel. Comment cela se fait-il ?

Périodiquement, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) publient les nouvelles informations sur les rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Le nombre de rapports atteint des niveaux historiques et le nombre de décès et d’événements indésirables signalés est plus élevé que jamais.

Avant d’aller plus loin, pour ne pas déclencher les « vérificateurs de faits », il est important de souligner que ce n’est pas parce que des données sont soumises au CDC par le biais du VAERS que ces réactions sont liées au vaccin COVID-19.

Selon le CDC :

L’une des principales limites des données VAERS est qu’elles ne permettent pas de déterminer si le vaccin a causé l’événement indésirable signalé. Cette limite a entraîné une confusion dans les données publiques du VAERS WONDER, notamment en ce qui concerne le nombre de décès signalés. Il est arrivé que des personnes interprètent à tort les rapports de décès consécutifs à une vaccination comme des décès causés par les vaccins, ce qui n’est pas exact. Le VAERS accepte tous les rapports d’événements sanitaires indésirables suite à des vaccinations sans juger si le vaccin a causé l’événement sanitaire indésirable. Certains rapports au VAERS représentent de véritables réactions aux vaccins et d’autres sont des événements sanitaires indésirables fortuits et non liés à la vaccination.

Cependant, toujours selon les CDC, « le VAERS est un système national d’alerte précoce permettant de détecter les éventuels problèmes de sécurité des vaccins homologués aux États-Unis. » Et, étant donné le volume des rapports, la sonnette d’alarme devrait être tirée partout. Pourtant, ce n’est pas le cas.

Bien que le CDC nous assure que sa base de données est inexacte, le volume des réclamations devrait suffire à déclencher de sérieux signaux d’alarme.

Les chiffres les plus récents du CDC sont sortis le 29 juillet 2022. Les chiffres les plus récents font état de 1 622 882 événements indésirables au total, dont 56 021 rapports d’invalidité permanente après la vaccination, 33 247 événements mettant la vie en danger, 170 749 hospitalisations, 1 134 anomalies congénitales et 29 981 décès signalés.

Bien que les responsables nous disent de ne pas nous préoccuper de ces données, si nous les comparons aux données précédentes, la recommandation de les ignorer devient tout à fait insensée. Avant l’autorisation d’utilisation d’urgence des vaccins COVID en décembre 2020, dans toute l’histoire du VAERS, il n’y avait eu que 930 953 événements indésirables signalés sur une période de 32 ans.

En 19 mois seulement, cependant, il y a eu plus de 1,5 million de rapports — un nombre qui éclipse tous les rapports précédents — et tous concernent les vaccins COVID.

Il y a eu 150 % de plus d’événements indésirables signalés pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que ce qui n’a jamais été signalé dans l’histoire du VAERS — pour TOUS les vaccins.

C’est encore pire. Depuis la création du VAERS en 1990, seuls 5 039 décès ont été signalés au système pour tous les vaccins avant l’approbation des vaccins COVID-19. Il y a eu près de 600 % de décès signalés en plus pour un seul vaccin au cours des 19 derniers mois que pour l’ensemble des vaccins dans toute l’histoire du système.

La base de données VAERS reçoit normalement entre 30 000 et 50 000 rapports par an, dont environ 8 à 13 % sont classés comme graves (c’est-à-dire associés à une invalidité, une hospitalisation, une maladie potentiellement mortelle ou un décès), selon l’outil de recherche principal VAERS des CDC.

En 2021, le VAERS a reçu une augmentation de plus de 3 000 % des rapports d’événements indésirables, et pourtant on nous dit de ne pas nous inquiéter. C’est peut-être pour cette raison que Pfizer – selon des documents récemment publiés par la FDA en février 2021 – a embauché 600 employés pour traiter les événements indésirables.

Selon le document non expurgé publié le 1er avril :

Pfizer a également pris de nombreuses mesures pour atténuer la forte augmentation du nombre de rapports d’événements indésirables. Ces mesures comprennent d’importantes améliorations technologiques, des solutions en matière de processus et de flux de travail, ainsi que l’augmentation du nombre de collègues chargés de la saisie des données et du traitement des cas.

« À ce jour, Pfizer a embauché environ 600 employés à temps plein (ETP) supplémentaires. »

« D’autres s’ajoutent chaque mois, pour un total attendu de plus de 1 800 ressources supplémentaires d’ici la fin juin 2021. »

Heureusement, l’augmentation du nombre de décès et de blessures signalés s’estompe à mesure que davantage de personnes se réveillent à ces données. Comme Alex Berenson l’a récemment déclaré :

L’échec des tirs d’ARNm, après le battage médiatique qui les a entourés lors de leur introduction en 2020, est profondément décevant.

Le développement de nouveaux médicaments ne peut être précipité, même si nous pouvons espérer qu’il le soit. Les régulateurs et les scientifiques soucieux de l’éthique doivent insister sur des essais cliniques correctement conçus et menés avant d’approuver tout nouveau médicament ou vaccin.

Mais l’échec des vaccins est en fait moins corrosif à ce stade que le refus sinistre des autorités de santé publique, des politiciens et des médias d’admettre cet échec.

Pratiquement tout le monde connaît la vérité. Comment puis-je en être aussi sûr ? De la manière la plus élémentaire. Plus personne ne se fait vacciner contre l’ARNm, ni pour lui-même, ni pour ses enfants. Plus d’un mois après que les autorités de réglementation ont enfreint toutes les directives dont elles disposaient pour approuver les vaccins pour les enfants de moins de 5 ans, plus de 97 % des enfants de cet âge ne sont toujours pas vaccinés.

C’est une excellente nouvelle pour l’avenir.

Sources : https://thefreethoughtproject.com
prepareforchange.net




Salman Rushdie entre « légèrement » et « gravement » blessé du jour au lendemain : quelles leçons en tirer ?

Par Lucien SA Oulahbib

Quelques heures à peine la tentative d’assassinat de Salman Rushdie (le 12/08/2022) la machine à relativiser se met en route : « Il est “vivant” et “reçoit les soins dont il a besoin”, a affirmé la gouverneure de New York, Kathy Hochul, citée par l’agence de presse américaine AP (en anglais) », se fend France info (dans la rubrique Culture), alors que le lendemain l’on apprend par Le Figaro qu’il va perdre un œil, un bras se trouve paralysé et il reste sous respirateur au vu de ses blessures dues au couteau dans le cou (afin de couper la veine jugulaire) et surtout l’abdomen, ce qui risque de toucher le foie (siège de l’âme également pour certains doctes musulmans).

Ce décalage n’est pas fortuit, lié seulement à l’absence d’informations dans le temps, car l’ambiance délétère du moment veut que tout assassinat touchant une personnalité soit » terroriste d’extrême droite » ou alors lorsque ce n’est pas possible et que l’assassin se réclame de l’Islam ou semble y être affilié, il s’agira automatiquement, mécaniquement, robotiquement de l’identifier uniquement comme étant l’acte d’un « déséquilibré ». Mais ceci, bien connu des résistants, n’est que la surface routinière de l’évènement en ces temps de guerre sournoise, celle dite de « basse intensité » déclarée par l’islam djihadiste…

Car, plus profondément, et il suffit de lire Salman Rushdie pour le comprendre. Lorsqu’il s’attaque à la « xénophobie de Modi — dernier paragraphe de l’interview » (le fait que le parti conservateur indien tienne à préserver le caractère hindou de l’Inde), il fait partie de ces gens qui semblent bien ne toujours pas saisir que cette question « d’identité » ne se résume pas à des « préjugés construits » comme le prétendent les queers « intersectionnels » qui donnent aujourd’hui le  en Occident, mais touche au cœur, voire ici au foie d’une culture, cette âme et colonne vertébrale dynamique, moelle épinière d’une Nation et de chacun de ses membres la composant.

Or, à force d’édulcorer la notion de culture en la rendant quasiment similaire à un folklore ou en à la réduisant à des recettes de vie au quotidien, ce côté certes chatoyant édulcore cependant la (« grande ») culture qui assemble mots et images en vue de la vivre en son souffle (pneuma, spirit), son « esprit » (cette notion étrange), par lequel l’âme (cette décision d’action) propre à chacun et à tous s’exprime. Ainsi un mot n’est pas seulement un assemblage de lettres, mais incarne la chose même, son imaginaire, et y toucher, surtout lorsqu’il est sacralisé, revient pour certains à commettre un crime ; et ce n’est pas l’apanage de l’islam puisque des mots employés en Occident même comme « peuple », « sécurité », « nation », « liberté » sont attaqués, vilipendés, désacralisés, aboutissant à l’exclusion, puis à la mort sociale. En islam c’est la mort tout court.

Mais il ne faut pas le dire, celui-ci étant, disons « absous » d’office de tout crime a fortiori « culturel », celui-ci étant d’origine uniquement occidentale (et aujourd’hui russe). Même les agressions, les viols sont, sinon excusés, du moins compris (dans le mauvais sens du terme), ou les circonstances atténuantes du « manque de » alors que sera écarté d’emblée le fait que l’islam, surtout en position hégémonique, n’est pas seulement du cultu(r)el, mais loi fondamentale constitutive, pas seulement « loi positive »…

Certes, certains néo-westphaliens isolationnistes diront qu’il ne fallait pas “attaquer” l’islam dans son livre sacré, même débat que pour les caricatures de leur “prophète”, sauf que cela se passe sur le sol occidental et surtout que l’emprisonnement et l’expulsion ne suffisent pas pour résoudre cette confrontation multimillénaire avec l’islam qui se veut la dernière révélation emportant toutes les autres avec et en elle. ceci ne se peut, quand bien même l’esprit (encore lui) œcuménique au sein du judaïsme du christianisme de la philosophie séculariste ferait l’effort pour deux de bâtir un esprit de tolérance, une “culture” du “vivre ensemble”. Il n’est pas possible de “laisser faire, laisser passer”, surtout avec des millions de gens imbibés par cette diatribe et que l’on n’expulsera pas tous, surtout lorsqu’ils ont la nationalité d’un des pays de l’UE et n’ont pas de casier judiciaire…

Que faire ? Dirait l’autre… Répétons-le pour la énième fois : il faut se réapproprier aussi l’Histoire du monde, dire la vérité sur la traite islamique, sur la conquête arabo-musulmane de l’Afrique du Nord et surtout de l’Inde avec ses centaines de milliers de massacres, arrêter cette fausse binarité entre un Occident porteur unique du Mal et un « Sud » mythifié porteur de « paix ». Et commençons déjà par l’instruction, arrêtons d’être subjugués par le discours lénifiant de l’orientalisme vulgaire qui n’est qu’une autre forme plus ouatée du mépris civilisationnel : l’islam est conquérant, l’Occident aussi et même continue à la faire avec son mauvais universalisme dénommé « science » qu’il veut imposer encore et encore, la confondant d’ailleurs en matière sanitaire avec l’hygiène (le tout-à-l’égout, l’eau courante et non stagnante) et la chirurgie, alors que le « bon » universalisme, lui, se diffuse au gré de la volonté des peuples à se l’approprier s’ils le veulent… De même pour la démocratie représentative, qui d’ailleurs ne veut rien dire dans un univers politique dominé par les tribus qui ne sont pas des « résurgences » suite à des « États faillis » comme le clame un Badie, mais l’ossature des sociétés traditionnelles non urbanisées à la manière grecque, romaine, européenne, c’est-à-dire non plus seulement basée sur des liens de sang, mais des systèmes d’alliance politique les surpassant…

Il “nous” faut donc accepter la confrontation eschatologique (fin dernière), téléologique (moyens), entéléchique (formes) avec l’islam au lieu de la nier, et ce malgré les risques et les cris d’orfraie à la fois des globalistes antipatriotes et des néo-westphaliens isolationnistes, ne serait-ce qu’en forçant, ici en l’occurrence l’Iran sous peine d’exclusion de l’ONU à renoncer par la bouche du Guide et non seulement celle du Président à la fatwa contre cet écrivain courageux, à renoncer également d’assassiner leurs opposants politiques, religieux (laïcs, Juifs) et sociétaux (homosexuels), idem pour l’Arabie en guerre perpétuelle également avec le séisme, etc..

Mais il ne faut pas rêver bien sûr, l’ONU se couchera (d’où la nécessité de quitter cette instance également et d’en fonder une autre avec d’autres pays « amis »), surtout aujourd’hui lorsque la confrontation insensée avec la Russie menée par la Secte (SHA) force Poutine à s’allier avec deux régimes totalitaires comme l’Iran khomeyniste et la Chine maoïste, Poutine, ce soi-disant « va-t-en-guerre » qui, en l’an 2000, voulait rallier l’OTAN… et qui compte dans son armée des musulmans tchétchènes…

Au fond, le plus navrant dans cette histoire (tragique) est d’entendre non seulement les naïfs sur l’islam (alors que la “paix” en Islam est la paix de l’Islam…) mais les hypocrites et les relativistes, sans parler de ces nouveaux inquisiteurs formant une véritable cinquième colonne allant traquer “l’islamophobie” alors qu’ils arment ce faisant les pourfendeurs de tout esprit laïque, de tout esprit de justice entre hommes et femmes, taxant de mots maudits comme “extrême droite” tout esprit, souffle, critique, démontrant par là en fait comme en droit que tous ces gens ne sont pas des démocrates au sens grec mais des usurpateurs sectaires servant bien leur Maître (à vous de deviner qui…).




INCENDIES : réintégrons en urgence nos pompiers suspendus

Par Nicole et Gérard Delépine

Les incendies se multiplient. Les 5000 pompiers français suspendus manquent tellement que nous acceptons des pompiers étrangers non vaccinés !

Le président Macron a élevé les pompiers (comme les soignants) au rang de « héros ». Mais en France il ne fait pas bon d’être un héros en période de folie covid. Les héros sont fatigués et sont exclus de leur activité s’ils ne se plient pas aux ukases du président, telle l’injection anticovid expérimentale.

Environ 5000 pompiers professionnels ont ainsi été exclus ou ont fui la profession et de nombreux sapeurs-pompiers volontaires en formation se sont dirigés vers d’autres professions.

Et ces pompiers manquent cruellement sur le front des incendies, comme les soignants eux aussi soumis à l’obligation d’injection manquent aux urgences et dans les blocs opératoires.

Car si nos gouvernants ont été incapables de consolider les services publics de sécurité intérieure (pompiers, hôpitaux, police), ils ont été très performants pour les démotiver en refusant de les écouter et en leur imposant des obligations inutiles et dangereuses.

Pour combler le déficit d’effectifs, le gouvernement mendie des pompiers étrangers non vaccinés d’Allemagne, d’Espagne, d’Autriche, de Pologne et de Roumanie ! Et nos voisins européens, considérant l’inefficacité des injections à empêcher les contaminations et les transmissions, n’ont pas émis d’obligation inutile et ne souffrent pas de pénurie de personnel comparable à la nôtre !

Reprenons la proposition de loi des sénateurs éclairés enregistrée à la Présidence du Sénat le 16 juin 2022.

PROPOSITION DE LOI visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

PRÉSENTÉE par :

Mmes Sylviane NOËL, Sabine DREXLER, Claudine THOMAS, M. Alain JOYANDET, Mmes Annick PETRUS, Laurence MULLER-BRONN, MM. Daniel LAURENT, Alain HOUPERT, Laurent DUPLOMB, Mme Kristina PLUCHET, M. Sébastien MEURANT, Mmes Sylvie GOY-CHAVENT, Christine BONFANTI-DOSSAT, MM. Jean-François LONGEOT, Cyril PELLEVAT et Mme Christine HERZOG, Sénatrices et Sénateurs

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs, il y a un peu plus de deux ans, l’épidémie de Covid-19 submergeait brutalement nos hôpitaux. Du jour au lendemain, les soignants ont dû faire preuve d’adaptabilité pour tenter de contrer cette vague épidémique sans précédent dans l’histoire de notre pays. Nos soignants, avec une grande conscience professionnelle, ont pendant cette période enchaîné les journées harassantes, renoncé à leurs congés et jours de repos, tout cela dans des conditions dignes du tiers-monde, sans sourciller. Parce que nous étions « en guerre » contre l’épidémie, ils ont dû faire face avec beaucoup d’ingéniosité et d’abnégation, au péril de leur propre santé. Sans gants, sans masques, ils ont été réduits à recourir au système D : en se fabriquant des blouses avec des sacs poubelles et en réutilisant, encore et encore, des masques usagés, faute de stocks suffisants. Un dévouement sans peu d’égal, qui avait ému les Français, qui chaque soir, étaient réunis à leurs fenêtres à 20 heures pour applaudir ces héros. Puis brutalement, le sort réservé aux soignants a changé : les héros d’hier sont devenus les parias d’aujourd’hui. Alors que l’obligation vaccinale a été rejetée par le Parlement français, laissant à chacun la liberté toute relative face à un pass sanitaire puis vaccinal très discriminant de recourir à la vaccination, les soignants et assimilés (pompiers par exemple) n’ont pas eu ce choix. Ordre leur a été donné d’obtenir un schéma vaccinal initial complet avant le 15 octobre 2021, faute de quoi ils seraient suspendus, sans revenu, sans statut. À compter du 30 janvier 2022, la dose de rappel a été intégrée dans l’obligation vaccinale pour tous les professionnels afin qu’ils puissent continuer à exercer leur activité. Alors que de multiples études montrent que la vaccination n’a que très peu d’incidence sur le portage et la transmission du virus, alors que l’immense majorité des pays ont abandonné cette obligation vaccinale, des milliers de soignants et de pompiers français ont été suspendus parce qu’ils ont choisi d’exercer, comme tous les autres français, leur libre choix à l’égard de ce vaccin. Des dizaines de milliers de héros du quotidien qui font cruellement défaut à notre hôpital déjà exsangue, ainsi qu’à notre chaîne de secours déjà éprouvée par deux années de crise sanitaire. Ainsi, le gouvernement s’est lui-même contraint à rappeler des soignants vaccinés, mais malades du Covid (positifs, donc) au lieu de faire appel à des personnels non vaccinés, mais négatifs et prêts à se faire tester chaque jour si nécessaire. Kafka en rêvait, le gouvernement l’a fait !

Alors que la saison estivale n’a même pas encore débuté et que la plupart des régions vont connaître un afflux de population touristique très important, l’ensemble de nos structures de santé, publiques comme privées, se trouvent aujourd’hui déjà dans une situation extrêmement critique en raison de cette pénurie de personnels soignants. Le maintien de cette mesure discriminatoire portera un coup fatal et irréversible à notre système de santé déjà terriblement éprouvé si nous ne réagissons pas très vite. Chaque jour, faute de personnel disponible, des établissements de santé déprogramment des interventions chirurgicales, des EHPAD gèlent des lits, des centres médico-psychologiques renvoient des patients lourdement handicapés dans leurs familles, des maires déplorent la multiplication des déserts médicaux, des services d’urgence ferment leur porte… Les situations de ce type se comptent par milliers, et plongent des malades et des familles entières dans la détresse. Bon nombre de ces soignants suspendus sans perspective ont d’ores et déjà opté pour une reconversion dans d’autres secteurs d’activité. Dans certaines régions frontalières comme la Haute-Savoie, ces personnels ont choisi d’aller exercer leur activité dans les pays voisins comme la Suisse, où cette obligation vaccinale n’est pas requise. En outre, les récentes mesures adoptées pour favoriser l’attractivité des métiers de la santé ne porteront leur fruit que dans plusieurs années. En attendant, il est absolument vital de ne pas fragiliser encore davantage les effectifs de notre personnel de santé. Cette crise a mis en lumière le malaise de nos soignants, les dysfonctionnements d’un hôpital sur-administré et sous-doté, les défaillances dans les chaînes de décisions.

Alors que nous avons désormais tous repris une vie quasiment normale face à ce virus, il est grand temps de tirer toutes les leçons de cette période moribonde et de remuscler sans tarder notre système de santé. Certains facteurs nécessiteront malheureusement du temps pour être corrigés : le déficit de personnel en fait partie. Il est donc absolument indispensable de supprimer le plus vite possible cette obligation vaccinale pour les soignants, de réhabiliter sans perdre une minute ces milliers d’hommes et de femmes indignement traités par l’État français et de leur accorder, enfin, respect et reconnaissance. Tel est l’objet de la présente proposition de loi qui propose dans son article 1er d’abroger les dispositions de l’article 12 de la loi du 5 août 2021 relative à l’obligation vaccinale des personnels soignants, en les réintégrant aux effectifs des établissements concernés, et dans son article 2 de permette aux agents du service public concernés de conserver l’état d’avancement d’échelon et de grade qu’ils possédaient avant leur suspension.

Proposition de loi visant à abroger l’obligation vaccinale des personnels soignants et des pompiers

Article 1er

La loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire est ainsi modifiée : 1° Le I de l’article 12 est abrogé ; 2° Les articles 13 à 19 sont abrogés.

Article 2

Les agents du service public mentionnés au I de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 précitée conservent l’état d’avancement qu’ils possédaient avant leur suspension.

Article 3

Les éventuelles pertes de recettes résultant pour l’État de l’application de la présente loi sont compensées, à due concurrence, par une taxe additionnelle, l’accise sur les tabacs prévue au chapitre IV du titre Ier du livre III du code des impositions sur les biens et services.

Merci à ces sénateurs courageux dont la clairvoyance se reflète dans un exposé clair et concis. Et regrettons que ce projet de loi soit resté lettre morte pour l’instant.

Alain Houpert

En 2020 les sénateurs ont alerté le gouvernement sur l’état alarmant du matériel aérien de lutte contre les incendies. Deux ans plus tard, rien n’a été fait.

Harold Bernat @bernathoustra

Si je comprends bien, n’hésitez pas à éclairer ma lanterne, on devrait se taper le cul par terre parce que 300 pompiers hors France viennent en renfort quand 5000 pompiers français sont suspendus simplement pour mater sans aucune raison sanitaire à l’été 2022.

#Invendies #Gironde

@EnModeMacaron

Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination, mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus ! 😡 La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle ! RT si tu soutiens cette demande !

@DIVIZIO

La France fait venir des pompiers d’ailleurs ! Dont acte ! La presse a donné les pays d’où viennent ces soldats du feu. Du coup demain, méthodiquement, @AssoJNSPUD

va examiner le statut de l’obligation vaccinale dans ceux-ci et si un seul n’est pas soumis à vaccination obligatoire

je ferai immédiatement un recours pour enjoindre au ministre de justifier que seuls des sapeurs-pompiers étrangers vaccinés sont au feu ! Au besoin j’enverrai un huissier directement au lieu où sont les pompiers et leur commandement pour avoir l’info et en tirer les conséquences.

@AssoJNSPU

Vous pouvez commencer : les pompiers allemands NON INJECTÉS… de quoi bien humilier nos pompiers suspendus encore un peu. COMMENT LEURS COLLÈGUES PEUVENT-ILS ACCEPTER ÇA ! ET LEUR SYNDICAT, IL SERT À QUOI à part encaisser le chèque !

@NiusMarco

Les pompiers allemands non vaccinés vont pouvoir éteindre les feux en France. Pas les Français #reintegrezlesPompiersSuspendus

En Pologne, la vaccination covid a été recommandée, mais non obligatoire pour les pompiers.

organic_lover1976

En Espagne la vaccination n’est obligatoire pour personne

ET LES MOYENS ?

Titiart

lorsqu’un #Canadair coûte environ 60 millions d’€, la France en a commandé 2 supplémentaires On est donc incapable de payer 10 ou 15 avions de plus Pendant ce temps les actionnaires du CAC40 se sont partagé 70 milliards d’€ en 2021 ET, SI, ÇA A TOUT À VOIR !

Il faut supprimer l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux qui ne sert à rien et réintégrer le plus vite possible pompiers et soignants vaccino-prudents.




L’Immonde et l’Ex-Presse ces torchons de grand chemin…

Par Lucien SA Oulahbib

Ne reculant devant aucune ignominie, le « journal-de-référence-paraissant-le-soir » se fend d’un publireportage fabriqué par un écrivaillon quelconque (au sens littéral) sur lesdits « crimes de guerre » russes à Boutcha et ailleurs, comme si cela allait de soi et qu’une juridiction criminelle internationale avait déjà tranché alors que nombre de témoignages des plus sérieux ont plutôt avancé qu’il s’agissait d’assassinats ciblés par les régiments de représailles type Safari à l’encontre de ceux soupçonnés de collaboration avec l’armée russe (qui n’a aucun intérêt à faire ce genre de choses).

Idem pour ce qui fut « l’Express » qui sans doute furieux d’avoir été ridiculisé via deux de ses journalistes par Idriss Aberkane en remet une couche en accusant pêle-mêle nombre de médias dont FranceSoir de « complotisme » sous le seul prétexte d’avoir rappelé aux dits journalistes non plus « mainstream » mais de grand chemin qu’ils ont des devoirs qu’énumèrent ladite « Charte de Munich » ce qui agacent visiblement les deux prothèses Ex-presse.

Ces deux « affaires » pourtant distinctes ne sont pas séparables tant elles participent du même effet délétère cherchant à insulter, salir, meurtrir non seulement les faits, mais la manière de les dire de façon journalistique au sens déontologique et non pas propagandiste. Voilà l’obscénité au sens propre : une absence de scène, l’observation faisant place à de la pornographie de sens lorsque le cœur de l’information est arraché et qu’à se place se trouve greffée une prothèse, celle de la fausse information se prétendant « vraie », telle celle in fine de ces pompiers européens venant à la rescousse, remarque aussi Philippot, pour agir sur plus de soixante-quinze feux partis simultanément en Gironde afin de promouvoir les « secours » européens au détriment des nationaux laissés à l’abandon (comme les treize à quatorze centrales nucléaires à l’arrêt), afin de signifier que la seule issue serait l’UE. La France devient ainsi, sans le dire, subrepticement une entité administrative de second plan, les fractions communautaires s’en remettant alors de plus en plus à la première en une espèce de Cour d’Appel si cela coince (de moins en moins) au niveau « local », tel l’achat de ces lots de « remdesivir » pourtant déconseillé par l’OMS. Nos deux médias de grand chemin se gardent bien de le signaler…

Au démembrement social sociétal politique sanitaire et culturel s’ajoute désormais l’effondrement de l’information et de “tout art de vivre à la française”, comme l’avait remarqué récemment Richard Millet.




Effets graves des vaccins Covid : l’heure de vérité ?

[Source : covidhub.ch]

Révélations, enquêtes publiques, procès, déclarations officielles se multiplient. Encore peu reprises dans les médias, les dénonciations d’experts et de politiciens perturbent Pharmas et gouvernements. Échantillon parmi de nombreux exemples dans le monde.

– Costa Rica : l’État mène une enquête sur les contrats de vaccins Pfizer et AstraZeneca

Encore une autre mauvaise nouvelle pour les Pharmas. Moins d’une semaine après la menace brandie par la justice baléare d’obtenir du gouvernement espagnol tous les contrats signés avec les laboratoires, c’est au tour d’un autre pays de menacer d’ouvrir une enquête sur l’achat de vaccins.

Ainsi, le nouveau président du Costa Rica Rodrigo Chaves, en place depuis le 8 mai, a déclaré : « Nous allons mener une enquête sur les raisons qui ont poussé (le gouvernement antérieur) à acheter autant de doses alors qu’il disposait des informations confirmant que le marché était saturé ». Le chef de l’État a déploré que son pays ait dépensé des millions de dollars en vaccins au moment où le taux de vaccination était en chute libre.

Dans la foulée, la ministre de la Santé Jocelyn Chacón a annoncé la suppression de l’obligation vaccinale imposée par le précédent gouvernement.

– article de FranceSoir

– article du Courrier du Soir

– Des assureurs américains prévoient d’attaquer les fabricants de vaccins Covid

Suite à une explosion des prestations pour décès en 2021 (1re année de la vaccination C0VlD), plusieurs assureurs seraient sur le point d’intenter une action en justice contre les fabricants de vaccins, indique la chaîne en ligne Just the News en citant un épidémiologiste réputé de l’Université de Yale, le Dr Harvey Risch

La compagnie OneAmerica a constaté en décembre 2021 une hausse de 40 % des décès parmi ses assurés en âge de travailler. La société Lincoln National rapporte avoir dû augmenter ses prestations de 163 % en 2021 : 1,4 milliard de dollars contre 548 millions en 2020.

Harvey Risch s’attend à ce que les assurances-vie demandent une compensation financière aux fabricants pour couvrir les « réclamations de mortalité précoce inattendue », car ils « ont un risque financier majeur qu’ils doivent trouver comment gérer ».

Les actuaires des assureurs avaient estimé que les vaccinés COVID « vivraient plus longtemps qu’ils ne l’ont fait » sur la base de fausses déclarations sur « la mortalité toutes causes confondues… selon les essais [cliniques] originaux », a déclaré Risch à l’émission télévisée « Just the News, Not Noise ».

– « Record d’effets graves et de décès », affirme un microbiologiste de l’Université de Bordeaux

Jean-Paul BOURDINEAUD, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie. Il est professeur de biochimie et toxicologie environnementales à l’Université de Bordeaux. Il est éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et de l’International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics. Il nous parle des injections anti-Covid: « Jamais un autre vaccin n’a provoqué autant de décès et d’effets secondaires graves en si peu de temps. En plus sa durée de protection est très courte. »

– Quatre jeunes médecins vaccinés meurent dans deux hôpitaux de Toronto

Trois jeunes docteurs de l’hôpital Trillum Health à Mississauga, près de Toronto (Canada) sont décédés à mi-juillet, quelques jours après que leur établissement a commencé à injecter au personnel une 4e injection « anti-Covid ». Un 4e médecin est mort dans les mêmes circonstances à l’hôpital North York General, également proche de la capitale de l’Ontario. Les hôpitaux ont confirmé ces décès tout en niant un lien quelconque avec les vaccins.
En haut: Dr Lorne Segall, Dr Jakub Sawicki. En bas, Dr Stephen McKenzie, Dr Paul Hannam (de g. à d.)

L’affaire a été révélée le 24 juillet par l’entrepreneur étasunien Steve Kirsch, qui diffuse des contre-informations sur les vaccins: « Quelle est la probabilité, demande-t-il, que 3 jeunes médecins ayant reçu leur 4e dose meurent à quelques jours d’intervalle dans le même hôpital. Sans compter le docteur décédé la même semaine au North York General. Combien d’autres “coïncidences” les gens voudront-ils encore accepter ? Il faut stopper ces injections ! »

C’est seulement 3 jours après la diffusion de cette alerte sur les réseaux sociaux que le quotidien Toronto Sun annonce que les deux hôpitaux ont confirmé ces décès, « tentant d’annuler les commérages et les spéculations sur les réseaux sociaux “. Le journal cite uniquement des responsables hospitaliers qui nient tout lien avec la vaccination. L’article n’expose aucun contre-argument ni investigation indépendante sur cette affaire.

– États-Unis: médecin militaire, elle témoigne sous serment qu’elle a reçu l’ordre de « dissimuler » les lésions causées par les vaccins

La Dre Theresa Long, chirurgienne de brigade pour la 1re brigade d’aviation, à Ft. Rucker, Alabama, a précisé devant un tribunal que cet ordre faisait suite à une directive de l’administration Biden.

Elle a présenté des données montrant que les décès de militaires dus aux vaccins dépassent ceux dus au COVID-19 lui-même.

Le moral est en baisse dans l’armée, a-t-elle témoigné, les soldats étant désespérés par la pression pour se faire vacciner, et certains ont même des pensées suicidaires. La Dre Long a déclaré qu’elle était au courant d’au moins deux personnes qui se sont suicidées à cause de la pression et de la menace de punition en cas de refus.

– La police néo-zélandaise envisage une enquête sur les décès liés aux vaccins

La convergence et la multiplication de ces études sur le rôle délétère des vaccins interrogent de nombreux professionnels de santé. C’est le cas en Nouvelle-Zélande où le collectif « New Zealand Doctors Speaking Out with Science » a adressé une lettre officielle à la police pour réclamer une telle enquête sur les décès liés au vaccin.

– Des États et des scientifiques américains exigent de l’État fédéral la lumière et la justice sur la gestion du Covid

Le Texas attaque Joe Biden et l’État fédéral pour la campagne de censure mise en place sur les réseaux sociaux, notamment contre des épidémiologistes et certains médias qui remettaient en cause les mesures sanitaires.

Le Missouri et la Louisiane viennent de gagner devant un juge fédéral le droit d’avoir un accès intégral aux données de l’État fédéral pour mettre en lumière la vérité sur la politique sanitaire américaine inhérente à la gestion de la « pandémie » de Covid-19.

Un certain nombre d’Etats ont rétabli l’autorisation de prescrire des traitements précoces comme l’ivermectine.

Le Dr Jayanta Bhattacharya, professeur de médecine réputé à l’université Stanford, avertit le New York Times qu’il devra prendre ses responsabilités pour avoir mené des « campagnes de désinformation » pour soutenir les confinements, les fermetures d’écoles et « l’hypocondrie covidiste institutionnelle » depuis plus de deux ans. Cette campagne incluait des diffamations de scientifiques en désaccord avec ces politiques, ajoute-t-il en précisant qu’il en a lui-même été victime.

Enfin, le Daily Mail nous révèle que les Américains assistent à une vague de démissions massive au sein des institutions de santé américaines (voir article de Covidhub à ce sujet)

– Suède: plus de gens hospitalisés pour effets du vaccin que pour le Covid

Il existe maintenant des données officielles de la Suède, à savoir de la « Medical Products Agency », l’autorité d’approbation et de surveillance des médicaments en Suède. Et cela confirme que les « vaccinations corona » ont provoqué une augmentation significative des effets secondaires, en particulier des cas graves et des décès. 
https://freie-impfentscheidung.de/schweden-krankenhaus-wegen-impfnebenwirkungen/

De même:

– Les enfants britanniques ont 52% de risques supplémentaires de mourir après une injection Covid

– Le Portugal champion de la vaccination et No 1 des cas de Covid

– 4e dose en Allemagne : désaccord entre le ministre et son M. Vaccin

Alors que le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach, vient de recommander une quatrième dose de vaccin Covid pour les moins de 60 ans, le chef de la Commission permanente des vaccinations Thomas Mertens s’y est opposé. De son côté, la Fédération allemande des hôpitaux demande le retrait de l’obligation vaccinale après la révélation d’effets secondaires massifs.

– Un tribunal italien ordonne l’analyse des vaccins ARN

Le tribunal de Pesaro, saisi par un enseignant réfractaire à l’obligation vaccinale, a commis un expert pour identifier le contenu des vaccins anti-Covid à ARN messager Moderna et Pfizer/BioNTech. Ces analyses seront réalisées en septembre, a précisé l’avocate Nicoletta Morante. Il s’agit selon elle « d’une première en Italie, et peut-être en Europe ».

– L’Argentine va indemniser les victimes d’effets indésirables

Fin juillet, sans résonance internationale, le gouvernement argentin a établi une procédure ‘d’indemnisation pour les personnes qui auraient souffert d’‘effets indésirables’ après s’être vues imposer le ‘vaccin destiné à générer l’immunité acquise contre le Covid-19, dans le cadre du Plan stratégique de santé approuvé le 29 décembre 2020’. L’article de FranceSoir.

Par ailleurs, l’avocat argentin Augusto German Roux, ayant participé en 2020 aux essais cliniques de Pfizer en Argentine, témoigne de ses mésaventures suite à sa propre vaccination. Entre effets secondaires, diagnostics médicaux erronés et Secret-Défense, il est catégorique : « C’est criminel ». Il n’a cessé d’interpeller les autorités sanitaires de son pays.




Aucun Mirabeau ou Lafayette encore prêt à rejoindre le camp dit « souverain »

Par Lucien SA Oulahbib

Alors que les mauvaises nouvelles et les fausses informations s’amoncellent (échecs de la politique des sanctions, de l’injection Covid-19, de la « contre-offensive » de Kiev, le tout non contrebalancé par ladite « maladie » de Poutine, de ses supposés « 80 000 » morts en Ukraine, de la « canicule » — ce nom hygiéniste pour l’été) force est de constater néanmoins que hormis des médecins de renom, quelques sociologues et intellectuels, il n’y a guère de défections parmi les instances académiques étatiques et privées régissant la vie intellectuelle culturelle et politique de l’Occident à la différence de ce qui s’est passé à l’aube des Révolutions américaines et françaises.

D’où les attaques narquoises des nettoyeurs (les « vérificateurs ») qui ont beau jeu de jouer de l’argument d’autorité tout en établissant des corrélations farfelues entre « complotistes » de tous bords, sur une base réelle cependant, celle de cette dichotomie de plus en plus manifeste entre ceux qui cherchent la vérité (au sens ici criminologique : il y a bel et bien eu crime et non pas seulement celui du « sentiment ») et ceux qui veulent la masquer dans tous les sens du terme désormais.

Aussi n’est-il pas étonnant d’observer que les menteurs, profiteurs, affairistes, scientistes, hygiénistes sont d’un côté et forment la Secte Scientiste-Hygiéniste-Affairiste de type néonazi (manip génétique et génitale, sélection — encore ourdie — par la couleur de peau) ; alors que de l’autre se rassemblent, non sans conflits et difficultés, d’authentiques démocrates au sens fort (au-delà des courants républicanistes et monarchistes), celui du pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, ce que les membres de la Secte (ploutocratique en son sein) nomment désormais « populisme »…

Ainsi parfois la binarité a du bon, car elle permet, à un certain moment crucial, celui de la guerre, de clarifier les positions : en 38 et en 40, il n’y avait pas de position intermédiaire entre Hitler et Churchill, même Staline a dû choisir après 1941. Certes Franco et la Suisse ne l’ont pas fait, le premier pour des raisons idéologiques et stratégiques (la guerre civile a laissé l’Espagne exsangue), la seconde par souci de ne pas imploser en chemin tant elle est formée de trois populations (germaine, italienne et francophone), antagonistes ailleurs. Mais cela n’empêche qu’à un moment donné il faut bien cataloguer, classer, créer des systèmes d’alliance, et même prévenir, rompant en effet avec le principe westphalien, comme aurait dû le faire la France en 1936 en empêchant Hitler de remilitariser la Rhénanie, comme l’a fait l’intervention de la Russie dans le Donbass alors qu’il s’agissait d’un conflit interne à l’Ukraine, mais qui allait devenir sanglant pour les populations russophones, comme enfin l’a fait Churchill en soutenant de Gaulle alors que sa mutinerie était une affaire franco-française. Par contre et en effet, les immiscions de services secrets US et UK (coup contre Mossadegh), français (Ben Barka), belges (Lumumba), mais aussi soviétiques (soutien aux brigades rouges et à l’OLP) et israéliens (ambiguïté contre-productive quant au conflit Hamas/Fatah et cela se voit de plus en plus depuis l’abandon non justifié militairement de Gaza), ces immiscions se retournent souvent contre les initiateurs… Les cas du Tibet et de Taïwan sont à part parce que tout simplement le régime maoïste n’incarne pas la Chine authentique, autant sinon fermer les yeux sur l’intervention soviétique à Berlin-Est à Budapest à Prague et ne pas empêcher la Corée du Nord d’envahir la Corée du Sud : la vision réaliste des relations internationales est nécessairement dynamique et non pas statique et isolationniste…

Et concernant ici notre sujet, l’on voit bien qu’un Mélenchon par exemple, malgré ses positions très « westphaliennes », n’a rien d’un Mirabeau soutenant la « Cause du Peuple », mais plutôt d’un Hoxha (que d’un Tito), appendice en fait de la Secte dont il est l’un des opposants « officiels » juste pour la galerie des Glaces (pour les assoiffés du Pouvoir « whatever it takes“…)

Au niveau académique et institutionnel, rien en effet ne surnage de consistant hormis Mucchielli sur les effets secondaires de la Covid-19 (quoique inopérant sur ses analyses « anti-sécuritaires » tant il ne voit pas le côté politique scissionniste de la délinquance djihadisée encouragée par un système scolaire à bout de souffle). De son côté, l’Institut de France soutient mordicus que l’injection agit au moins sur les formes « graves » (ce qui s’est déjà révélé faux puisque les injectés meurent bien plus que les non injectés), et il n’y en a guère chez les non injectés âgés (du moins lorsqu’ils sont pris à temps ils ne débouchent pas sur du « Covid long »).

Et comme ces institutions ont également la même position de soutien scientiste aux élucubrations sur ledit « réchauffement », elles alimentent également l’alarmisme et le catastrophisme qui mettent de plus en plus sur le dos du climat des proliférations virales dont les origines naturelles sont de plus de plus sujettes à caution tant les recherches légales et illégales sur les « gains de fonction » pullulent, n’évitant pas des fuites et des accidents (in)volontaires.

Nous sommes donc de plus en plus dans un séparatisme académique similaire à celui qui a frappé les académies allemandes et russes lorsque respectivement l’eugénisme et le lyssenkisme ont dominé ces structures, le premier revenant par la bande avec la PMA/GPA, ainsi que le second via les manipulations génétiques. D’où l’idée d’un néo-eugénisme lyssenkiste fer de lance académique de la Secte SHA néonazie prête à faire des expériences génitales et génétiques au nom du “trans” (humanisme) du panhumanisme, réalisant ainsi le projet des partisans déconstructionniste de la “mort de l’homme” en particulier occidental ce bras armé du néo-eugénisme lyssenkiste ossature eschatologique néonazie de la Secte SHA.

Comment secouer cette double prise scientiste-hygiéniste-affairiste, académique et institutionnelle, sinon en créant des contre “académies” au sens grec, ce qui prolifère d’ailleurs dans les structures scolaires “hors contrat” dans des cercles gréco-judéo-chrétiens, des médias de la réinformation objective au sens non pas de dire “la” vérité, mais de faire en sorte que par la diversité des analyses un consensus se dégage peu à peu pour classer “ce qui est” près de la vie et du peuple se séparant de ce qui veut seulement “la mort de l’homme” à commencer par son immunité biologique, sa libre pensée culturelle, pour toucher à son anatomie physio psychosociologique elle-même.




Le vent commence à tourner pour Zelinsky

[Source : by-jipp]






Arrêtez de subir ! Agissez pour reprendre votre liberté maintenant !

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Pourquoi les manifestations ne servent plus à rien :

[Voir aussi :
Réponse d’Alexandre Juving-Brunet aux financiers de salon]




Selon Rav Dynovisz, les dirigeants américains feront la guerre de Gog contre Israël en s’unissant à l’Iran

[Source : TORAH STUDIO via michelledastier.com]




Action de résistance citoyenne les 15, 16 et 17 août 2022

[Source : Jean-Dominique Michel]

Voici des précisions sur l’appel au boycott lancé par Jean-Dominique Michel pour les 15, 16 et 17 août prochains. Il est important que le plus grand nombre de personnes possible se mobilise autour de cette action. À cette fin, Olivier Soulier relaie auprès du Syndicat Liberté Santé.

La proposition est la suivante : durant ces 3 jours, essayons de restreindre notre consommation au maximum (pas d’utilisation de CB [Cartes bancaires ou de crédit], le moins de déplacements possible, pas de courses en grande surface, et pas de connexion à Internet – sauf impératif de santé ou professionnel, et surtout pas de connexion aux réseaux sociaux). L’idée est d’envoyer à ceux qui nous oppriment un « coup de semonce » en les tapant là où ça leur fait le plus mal : au portefeuille.

Pour ceux qui verraient des objections ou auraient le sentiment que ce sera une fois de plus un coup d’épée dans l’eau, écoutez les explications de Jean-Dominique Michel et Olivier Soulier dans cette vidéo (à partir de 05 minutes et 50 secondes) :

Ils sont très convaincants, notamment sur les retombées financières d’une telle opération, loin d’être négligeables !

Olivier Soulier : 

« Je pense que 5% à 10% de la population, très motivés, peuvent faire bouger les choses. »

Et, si vous le voulez bien, diffusez le plus possible autour de vous. Nous ne sommes pas conscients de notre puissance réelle. Or, nous avons réellement les moyens de « leur mettre une bonne baffe », comme dit Jean-Dominique Michel. Plus nous serons nombreux et plus cela portera. L’idée est d’envoyer un premier avertissement fort avant la rentrée, afin de faire passer le message suivant : si vous touchez à nos enfants, on passera à la vitesse supérieure.




« Le soutien populaire au Hamas et au Jihad islamique s’estompe », affirme une Palestinienne de Gaza

[Source : i24news.tv]

[Photo : MOHAMMED ABED / AFP
Des proches en larmes lors des funérailles de quatre adolescents palestiniens de la famille Najm à Jabalia, dans le nord de la bande de Gaza, le 8 août 2022]

46 Palestiniens dont 15 enfants ont été tués durant les trois jours de conflit

Dans une rare interview accordée à la Chaîne 12 lundi, une Palestinienne vivant dans la bande de Gaza a décrit sa terreur lors des frappes aériennes israéliennes de ces derniers jours dans le cadre de l’opération Aurore, et a également affirmé que le soutien des Gazaouis envers le Hamas et le Jihad islamique palestinien s’estompait.

S’exprimant en anglais et sous couvert d’anonymat par crainte de représailles du Hamas qui dirige le territoire côtier, cette Palestinienne a expliqué qu’il y avait un réel changement dans l’opinion publique.

« Le point de vue des habitants de Gaza a complètement changé. Dans les guerres précédentes, ils étaient avec la résistance, avec le Hamas et le Jihad, mais maintenant les gens appellent à l’arrêt de la guerre », a-t-elle déclaré.

« Les seuls à souffrir de la guerre et à voir leurs habitations détruites sont les habitants de Gaza, pas leurs dirigeants », a-t-elle souligné.  

Cette femme a par ailleurs raconté qu’elle mentait à ses enfants pendant les frappes aériennes israéliennes, leur disant que « c’était une fête, pas un bombardement ».

« Ils essaient de me croire, mais ils voient la peur sur mon visage », a-t-elle relaté. « Regardez mon visage et voyez à quel point j’ai peur et sachez que je ne dis pas la vérité », a-t-elle déclaré.

Durant l’opération Aurore dirigée contre le Jihad islamique dans la bande de Gaza, l’armée israélienne a effectué des frappes ciblées visant les dirigeants et les infrastructures du groupe terroriste. 46 Palestiniens dont 15 enfants ont été tués durant les trois jours de conflit, selon les autorités sanitaires de Gaza.

Tandis que le Jihad islamique a tiré 1 100 roquettes vers Israël, plusieurs Palestiniens dont 12 enfants ont été tués par des missiles retombés dans la bande de Gaza, selon Tsahal.  

En Israël, trois personnes ont été blessées et des dizaines de milliers ont été forcées à plusieurs reprises de se réfugier dans des abris antimissiles pour se protéger des salves de roquettes. 

Le cessez-le-feu entre Israël et le Jihad islamique négocié par l’Égypte est entré en vigueur dimanche soir.  




L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés. 

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek(([1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050)), Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)(([2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php)), Yannick Neuder, Patrick Pelloux(([3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois)), Antoine Flahault(([4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168)) pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.(([5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).(([6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020)) Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.(([7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle))

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion(([8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion)), poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC(([9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?)) ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages





Ce sont les enfants qui supportent le poids de la barbarie israélienne à Gaza

[Source : investigaction.net]

Par TAMARA NASSAR

Bilan de cette nouvelle agression militaire israélienne : 44 Palestiniens ont été tués, dont 15 enfants ; plus de 300 Palestiniens ont été blessés, dont près d’un tiers étaient des enfants.


Un cessez-le-feu entre Israël et l’organisation de résistance du Djihad islamique a pris effet dimanche avant minuit, mettant fin de la sorte à une offensive meurtrière d’Israël contre Gaza.

Durant les heures qui ont précédé la trêve négociée par l’Égypte, Israël a encore intensifié sa vague de tueries et d’assassinats pour la troisième journée consécutive.

Dimanche, en fin de soirée, le ministère de la Santé de Gaza a déclaré que 44 Palestiniens avaient été tués sur le territoire, dont 15 enfants, depuis qu’Israël avait entamé le bain de sang en assassinant un important dirigeant du Djihad islamique vendredi soir.

Plus de 300 Palestiniens ont été blessés, dont près d’un tiers étaient des enfants.

Personne n’a été tué en Israël et il n’y a pas eu non plus de rapports de blessures graves.



Al-Haq, une organisation palestinienne de défense des droits humains, a déclaré dimanche qu’Israël « avait sans discrimination ciblé des civils et des structures non militaires » et que cette attaque constituait « une grave infraction aux lois humanitaires internationales et pouvait équivaloir à des crimes de guerre et à des crimes contre l’humanité ».

Pendant six journées consécutives, Israël a fermé le seul passage commercial de Gaza ainsi que le seul passage pour les personnes entre Gaza et Israël.

Des négociations difficiles

Le cessez-le-feu de dimanche soir est venu après des négociations tendues arbitrées par Le Caire et qui ont calé à plusieurs reprises, attisant ainsi les craintes d’une escalade encore plus violente.

La pierre d’achoppement, explique le réseau Al Jazeera, résidait dans la demande adressée par le Djihad islamique à Israël afin qu’il relâche Bassam al-Saadi, l’un de ses chefs en Cisjordanie occupée, ainsi qu’un autre membre de l’organisation, Khalil Awawdeh.

Awawdeh est gravement malade, puisqu’il est en grève de la faim depuis mars afin de protester contre son arrestation par Israël sans accusation ni procès.

L’arrestation violente d’al-Saadi à son domicile de la ville cisjordanienne de Jénine, lundi dernier, a marqué le début de l’actuelle escalade.

Bien qu’Israël ait initialement rejeté les demandes du Djihad islamique, un accord a finalement été dégagé après que Tel-Aviv a concédé qu’il allait « discuter » de la libération des deux hommes à la suite d’un cessez-le-feu.

L’Égypte elle-même s’est engagée à assurer la libération des hommes le plus rapidement possible. Ziyad al-Nakhala, le secrétaire général du Djihad islamique, a annoncé dimanche soir qu’Awawdeh serait transféré — libre — à l’hôpital lundi et qu’il pourrait ensuite rentrer chez lui.

Israël n’a pas immédiatement confirmé la chose.

Un avion de combat d’origine américaine

Alors que le cessez-le-feu sera perçu comme un soulagement pas les Palestiniens de Gaza terrorisés par les assauts répétés d’Israël, la toute dernière agression de Tel-Aviv, finalement, aura prélevé un lourd tribut, surtout chez les enfants, qui constituent la moitié des 2,1 millions d’habitants de l’enclave.



Samedi soir, sans le moindre avertissement, un avion de combat fourni par les États-Unis a ciblé une habitation de trois étages dans un quartier densément peuple de Rafah, dans le sud de Gaza.

Au moins six missiles ont été tirés par des avions de combat israéliens au cours de cette attaque, tuant sept personnes et détruisant huit habitations, selon Defense for Children International — Palestine, qui mène des enquêtes sur le terrain.

Quelque 35 personnes ont été blessées, dont 18 enfants.

L’attaque ciblait apparemment un important dirigeant du Djihad islamique, Khalid Said Shehadeh Mansour, 46 ans. Six autres personnes, dont un enfant, ont été tuées dans cet assassinat collectif.

Elles ont été identifiées comme étant Raafat Saleh Ibrahim Sheikh al-Eid, 41 ans, Ziad Ahmad Khalil al-Mudallal, 35 ans, Alaa Saleh Abdulhamid al-Malahi, 30 ans, Ismail Abdulhamid Muhammad Salameh, 30 ans, et la mère de ce dernier, Hana Ismail Ali Dweik, 50 ans.

L’attaque a également coûté la vie à Muhammad Iyad Muhammad Hassoun, un adolescent de 13 ans. Muhammad « a subi de graves lacérations sur tout le corps, surtout sur la partie droite du tronc », a expliqué DCI-P.

Les EU, qui ont régulièrement soutenu la campagne meurtrière d’Israël contre Gaza ces trois derniers jours, fournissent à Tel-Aviv des milliards de dollars en armes chaque année, armes qui sont très fréquemment utilisées pour attaquer les civils palestiniens.

« Les États-Unis fournissent tous les avions de combat, les bombes et les armes nécessaires aux forces israéliennes afin de continuer systématiquement de tuer des Palestiniens »,

a déclaré Ayed Abu Eqtaish, directeur du programme de responsabilisation de DCI-P.

L’explosion de Jabaliya

Samedi soir, une explosion qui s’est produite à proximité d’une épicerie dans le camp de réfugiés de Jabaliya a tué sept Palestiniens, dont quatre enfants.

L’attaque a également blessé plus de 40 autres personnes, dont 26 enfants.

Al-Mezan, une organisation de défense des droits humains installée à Gaza, a déclaré que l’explosion avait été causée par une grenade propulsée par une fusée, mais n’en a pas précisé la source.

« Au moment de l’explosion, les avions de combat israéliens étaient visibles dans le ciel et les organisations armées palestiniennes étaient en train de tirer des roquettes »,

a déclaré DCI-P.

L’organisation a ajouté qu’elle était toujours en train d’enquêter sur la source de l’explosion, qui a eu lieu dans une zone où des gens étaient assis à l’extérieur en raison des coupures de courant à Gaza.

L’armée israélienne a dit que l’explosion avait été provoquée par une roquette du Djihad islamique défaillante. Mais, étant donné le palmarès de l’armée israélienne dans le mensonge et le ciblage des civils, ses affirmations ne peuvent en aucun cas être prises pour argent comptant.

Parmi les personnes tuées figurent : Hazim Muhammad Ali Salem, 9 ans, Ahmad Walid Ahmad al-Farram, 16 ans, Ahmad Muhammad Ahmad al-Nairab, 11 ans, et son petit frère de 5 ans, Mumin Muhammad Ahmad al-Nairab, comme l’ont confirmé les deux organisations de défense des droits humains.



L’explosion a également tué Khalil Iyad Mustafa Abu Hamada, 18 ans, Muhammad Muhammad Ibrahim Zaqout, 19 ans, et Nafid Muhammad Misbah Juma al-Khatib, 50 ans.

Samedi, dans le nord de Gaza, les avions de combat israéliens ont tiré sur un groupe de Palestiniens, blessant Nour al-Din Hussein Ali al-Zuwaidi, 18 ans.

Samedi, un missile israélien a frappé un groupe de Palestiniens à Jabaliya, blessant Abdulrahman Ali Hussein Ibrahim, 22 ans, qui est décédé de ses blessures quelques heures plus tard.

Une grenade propulsée par une fusée a touché une maison du camp de réfugiés de Jabaliya dimanche matin, tuant Dia Zuheir Ahmad al-Buri, 32 ans, et blessant d’autres personnes. Israël a nié la responsabilité de cette attaque.

Dimanche, au cours d’une attaque contre le camp de réfugiés d’al-Bureij, dans le centre de Gaza, Yaser Nimr Mahmoud al-Nabahin, 49 ans, membre des Brigades Qassam, l’aile armée du Hamas, a été tué en même temps que trois de ses enfants.

La fin des bombardements de Gaza par Israël — pour l’instant — signifie que la situation critique des Palestiniens va très rapidement quitter les gros titres. Mais ils ne retrouveront rien qui puisse ressembler à une existence normale.



Leur situation reste des plus pénibles et intolérable, suite au siège israélien en cours, une forme de violence silencieuse qui cible tout le monde — hommes, femmes et enfants — sur tout le territoire, et ce, 24 heures sur 24.

Israël est en mesure de perpétrer cette violence contre les Palestiniens grâce à son impunité au niveau international et au soutien dont il continue à profiter, spécialement de la part des États-Unis, du Canada et de l’Union européenne — les mêmes pays qui ne cessent jamais de débiter leurs sermons sur « les droits humains » et « les lois internationales ».

Source originale : The Electronic Intifada

Traduit de l’anglais par Jean-Marie Flémal, Charleroi pour la Palesine

Ali Abunimah a contribué au reportage et à l’analyse.

Photo : Ashraf Amra / APA images




Un rapport d’Amnesty International révèle les violations du droit international par l’Ukraine et l’utilisation délibérée de civils comme boucliers humains

[Source : wsws.org]

Par Clara Weiss

L’organisation de défense des droits humains Amnesty International a publié jeudi un rapport montrant que « les forces ukrainiennes ont mis des civils en danger en établissant des bases et en faisant fonctionner des systèmes d’armes dans des zones résidentielles peuplées, y compris dans des écoles et des hôpitaux ».

Les conclusions d’Amnesty International corroborent un rapport antérieur des Nations Unies (article en anglais) qui a également fourni des preuves que l’armée ukrainienne a utilisé des civils comme boucliers humains dans le conflit. Ces deux rapports récents viennent s’ajouter à une vaste documentation sur les crimes de guerre commis par l’armée ukrainienne et ses forces paramilitaires néo-fascistes, en particulier contre les prisonniers de guerre russes (article en anglais).

Le rapport d’Amnesty International, rédigé dans un langage circonspect, est une révélation accablante du caractère criminel de la guerre impérialiste par procuration en Ukraine, dans laquelle la population civile n’est qu’un pion pour les puissances impérialistes et leurs laquais de l’oligarchie et de l’armée ukrainiennes.

Comme l’a dit un habitant de la ville de Bakhmut à Amnesty International :

« Nous n’avons pas notre mot à dire sur ce que fait l’armée, mais nous en payons le prix. »

Le rapport a été compilé par des chercheurs enquêtant sur les frappes russes dans les régions de Kharkiv, du Donbass et de Mykolaïv, entre avril et juillet. Pour reprendre les mots de la secrétaire générale d’Amnesty International, Agnès Callamard,

« Nous avons documenté un modèle des forces ukrainiennes de mettre en danger les civils et de violer les lois de la guerre lorsqu’elles opèrent dans des zones peuplées. »

Ce modèle inclut l’utilisation des hôpitaux comme bases militaires de fait – une violation flagrante du droit international – ce qu’Amnesty International a confirmé pour cinq endroits. Selon le rapport,

« dans deux villes, des dizaines de soldats se reposaient, se promenaient et prenaient leurs repas dans les hôpitaux. Dans une autre ville, des soldats tiraient à proximité de l’hôpital. »

Le rapport a encore révélé que l’armée ukrainienne avait « régulièrement installé des bases dans les écoles des villes et villages du Donbass et de la région de Mykolaïv ». Bien que pas entièrement interdite par le droit international, l’utilisation d’écoles et d’immeubles d’habitation par l’armée n’est considérée légitime que lorsque celle-ci n’a pas d’autre choix. En outre, elle est tenue de faire tout ce qui est en son pouvoir pour minimiser les pertes civiles, notamment par des évacuations et des avertissements efficaces en cas d’attaques susceptibles de mettre en danger les civils.

Les enquêteurs ont trouvé des preuves que les forces ukrainiennes avaient lancé « des frappes à partir de zones résidentielles peuplées et mis leurs bases dans des bâtiments civils » qui étaient, dans la plupart des cas documentés, à des kilomètres des lignes de front réelles. Selon Amnesty, il existait « des alternatives viables […] ne mettant pas en danger les civils ». De plus, l’organisation n’avait «pas observé » que les forces armées aient demandé aux civils d’évacuer les bâtiments voisins ou aidé à le faire, ce qui constitue un manquement à prendre toutes les précautions possibles pour protéger les civils.

Le rapport note :

« Dans 22 des 29 écoles visitées, les enquêteurs d’Amnesty International ont soit trouvé des soldats utilisant les locaux, soit trouvé des preuves d’activités militaires actuelles ou antérieures, notamment la présence de treillis militaires, de munitions jetées, de rations militaires et de véhicules militaires. »

Le rapport dit encore :

« Dans une ville à l’est d’Odessa, Amnesty International a été témoin d’un modèle général de soldats ukrainiens utilisant des zones civiles pour se loger et comme zones de rassemblement, notamment en plaçant des véhicules blindés sous des arbres dans des quartiers uniquement d’habitation et se servant de deux écoles situées dans des zones densément peuplées. Les frappes russes près des écoles ont tué et blessé plusieurs civils entre avril et fin juin, dont un enfant et une femme âgée, tués lors d’une attaque à la roquette contre leur domicile le 28 juin. »

La réponse du gouvernement ukrainien à ce rapport a été carrément hystérique. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky l’a dénoncé dans un discours à la nation, affirmant qu’il transformait la « victime » en « agresseur ». Le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba , a fulminé sur Twitter que le rapport « déforme la réalité, établit une fausse équivalence morale entre l’agresseur et la victime et renforce les efforts de désinformation de la Russie ».

En réalité, Amnesty International a dénoncé l’invasion de l’Ukraine par la Russie dans le rapport, mais a insisté sur le fait que cela « ne dispense pas l’armée ukrainienne de respecter le droit international humanitaire ». Le rapport souligne également que les violations du droit international par l’armée ukrainienne « ne justifient en aucun cas les attaques aveugles de la Russie ».

Il convient également de noter que l’écrasante majorité des rapports d’Amnesty International sur la guerre jusqu’à présent se sont concentrés presque exclusivement sur les crimes de guerre commis par la Russie, et qu’elle n’est en aucun cas un observateur impartial. Plus notoirement, elle a rétabli le statut de « prisonnier d’opinion » pour le critique anti-Poutine russe de droite Alexei Navalny (article en anglais), un raciste déclaré, après avoir subi d’intenses pressions politiques l’année dernière.

Il est significatif que le bureau ukrainien de l’organisation s’est opposé avec véhémence à la publication du rapport. Sa responsable, Oksana Pokalchuk, a déclaré : « Nous avons tout fait pour empêcher que ce rapport ne soit rendu public. »

Le fait qu’Amnesty International ait fini par le publier malgré de sérieuses divisions internes et d’immenses pressions politiques indique que la situation réelle sur le terrain en Ukraine est, en fait, bien plus inquiétante que ce que ce rapport suggère. Il faut encore noter que le magazine d’information allemand Der Spiegel, qui a joué un rôle de premier plan dans la propagande de guerre contre la Russie en Europe, a admis dans un reportage vendredi, plutôt à contrecœur, que ses propres journalistes avaient tiré des conclusions similaires à celles d’Amnesty International et que la conduite de l’armée ukrainienne « soulève des questions légitimes ».

La réponse hystérique du gouvernement ukrainien montre une extrême nervosité de la part de l’oligarchie ukrainienne et de ses partisans impérialistes quant aux implications politiques du rapport. Les témoignages apportés par des civils ukrainiens indiquent qu’il existe une colère considérable à propos de la conduite militaire du pays et une opposition populaire croissante à la guerre en Ukraine même.

Mais surtout, le rapport met à nu le caractère criminel de la guerre et porte un coup majeur à la propagande de guerre incessante dans les médias.

Jour après jour, la classe ouvrière en Europe et aux États-Unis est bombardée d’informations sur des crimes de guerre russes présumés, tandis que des paramilitaires néo-fascistes comme le bataillon Azov sont salués par l’Associated Press et le New York Times pour leur « bravoure ». Tout l’édifice de cette propagande de guerre impérialiste a été basé sur le mensonge que l’invasion de l’Ukraine par la Russie n’était en aucun cas provoquée et que toutes les morts et destructions dans cette guerre doivent être entièrement imputées à Moscou.

Pourtant, le rapport d’Amnesty International ne laisse aucun doute sur le fait que, quels que soient les crimes de guerre commis par l’armée russe – et il ne fait aucun doute que de tels crimes ont été commis – un nombre important de victimes civiles de cette guerre, qui s’élève aujourd’hui à plus de 5 000 morts et plus 7 000 blessés, ont été causés par la conduite de l’armée ukrainienne.

De plus, quiconque lit ce rapport doit se poser la question: pourquoi l’armée ukrainienne se comporte-t-elle ainsi ? S’il y avait un tant soit peu de vérité dans l’affirmation que cette guerre vise à défendre la « démocratie » et les « droits » de la population ukrainienne, une telle conduite soit ne se produirait pas, soit elle serait immédiatement condamnée par le gouvernement ukrainien et son état-major.

La réalité est que les États-Unis, qui ont délibérément provoqué cette guerre après avoir dévasté une demi-douzaine de sociétés au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, et l’oligarchie ukrainienne se moquent bien des millions de vies actuellement détruites et des milliers de personnes tuées dans la guerre contre la Russie.

Dans un rare moment de vérité, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksii Reznikov, a récemment décrit son pays comme un « terrain d’essai » pour les fabricants d’armes occidentaux, qui ont fait d’énormes profits grâce aux dizaines de milliards de dollars en armes que l’OTAN a injectés dans l’armée ukrainienne.

Le véritable objectif de la guerre, délibérément provoquée par l’OTAN, est de saigner la Russie à blanc. La stratégie consiste à inonder l’Ukraine de missiles et d’armes de pointe afin de provoquer une défaite militaire avec des pertes horrifiantes dans l’espoir que cela précipiterait une crise intérieure majeure; ce qui pourrait faciliter l’opération de changement de régime menée par les puissances impérialistes.

Du point de vue de Washington et des autres puissances impérialistes, la guerre en Ukraine n’est que le coup d’envoi d’une nouvelle ruée vers le démantèlement de la Russie et de la Chine, dans un nouveau partage du monde. Avec la propagande de guerre anti-russe incessante et la glorification des martyrs prétendument héroïques de l’armée ukrainienne, on veut préparer l’opinion publique mondiale à une guerre bien plus grande qui menace de provoquer une catastrophe nucléaire. Le rapport d’Amnesty International a porté un coup dur à ce sinistre effort de propagande.

(Article paru en anglais le 6 août 2022)




Les autorités britanniques se comportent comme des gangsters face au journaliste indépendant Graham Phillips !

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Nous devons tous prendre la défense de Graham Phillips !

Par The Saker – Le 8 août 2022 – Source The Saker’s Blog

Chers amis, Après avoir vu puis posté cette vidéo de Graham Phillips, j’ai été tellement dégoûté par ce que lui faisaient subir les autorités britanniques que j’ai décidé de le contacter et de lui poser quelques questions très simples sur sa situation, dans l’espoir de le présenter à un public plus large, de donner de la visibilité à son cas et d’essayer de lui offrir autant de soutien que possible. J’ai donc envoyé un courriel à Graham qui a très gentiment pris le temps de répondre à mes questions. Voici l’intégralité de notre échange ci-dessous.

Je demande à tous ceux qui utilisent les médias sociaux de diffuser toutes les informations qu’ils peuvent sur Graham et les actions scandaleuses des autorités britanniques à son encontre. Graham lui-même a déclaré :

« Le soutien moral est une bonne chose, mais s’il vous plaît, contactez un politicien ou une personne publique pour attirer leur attention. Il s’agit d’une cause commune, d’un combat commun, et non seulement nous pouvons le gagner, mais nous devons le gagner ».

Je suis absolument d’accord avec lui et je demande à notre merveilleuse communauté Saker de défendre aussi fort que possible Graham et les valeurs fondamentales de liberté d’expression et d’État de droit que l’Occident a maintenant complètement abandonnées. Graham a raison, c’est une cause commune et nous devons l’emporter. Aidez-le autant que vous le pouvez !

Bien à vous

Andrei


Andrei : Pour ceux qui ne connaissent pas votre travail, pouvez-vous expliquer comment et pourquoi vous avez fini par faire des reportages dans le Donbass ?

Graham : Eh bien, pour être bref, j’ai déménagé à Kiev à l’approche de l’Euro 2012, en tant que fan de football, mais aussi pour relancer ma carrière de journaliste. J’ai travaillé là-bas, à Kiev, pour le magazine What’s On, j’ai écrit des articles en freelance pour plusieurs publications occidentales également, et j’ai généralement passé de bons moments. Mais, je remarquais aussi la montée de l’ultra-nationalisme en Ukraine, à Kiev en particulier, et je ne le supportais pas. J’ai donc quitté Kiev pour Odessa début 2013. Donc, quand tout a commencé, en novembre 2013, j’étais à Odessa. J’ai immédiatement dénoncé le Maidan, alors j’ai été mis sur la liste noire des médias occidentaux. J’ai donc commencé à écrire des blogs sur ce thème, l’un d’eux a attiré l’attention de Russia TodayRT, qui m’a demandé de faire une interview, ce que j’ai fait. Parti de là, j’ai développé une relation avec RT, au fil des mois, en faisant des interviews, etc. Puis, quand ils ne pouvaient plus envoyer leurs correspondants dans le Donbass, l’Ukraine ne laissant plus les Russes traverser la frontière, en avril 2014, ils m’ont contacté à Odessa, m’ont dit d’être devant la caméra à Donetsk le jour suivant, et d’y rester pour une semaine de travail. J’ai donc pris ma voiture, fait les 750 km de route, suis arrivé à Donetsk tôt le matin du 8 avril 2014. Pendant quelques mois, j’ai continué avec RT, en freelance, puis notre relation s’est terminée après ma deuxième déportation, à la mi-2014. En fait, j’ai le sentiment qu’ils m’ont mal traité à cette époque. J’ai été déporté d’Ukraine par le SBU, après 3 jours assez infernaux de captivité aux mains des forces ukrainiennes à l’aéroport de Donetsk, jeté à la frontière de la Pologne, interdit d’Ukraine pendant 3 ans. J’avais pratiquement tout perdu, y compris mon appartement à Odessa, et RT m’a également abandonné dans les rues de Pologne à cette époque, fin juillet/début août 2014. En fait, RT m’a dit à ce moment-là que j’avais « atteint mon objectif ». Je n’étais pas d’accord, j’ai continué, et j’ai continué pendant plus de 8 ans, à faire ce que j’aime, du reportage, de l’endroit que j’aime, le Donbass.

Andrei : Vous êtes maintenant clairement persécuté par les autorités britanniques, avez-vous envisagé d’intenter une action en justice au Royaume-Uni ou pensez-vous que les tribunaux britanniques sont sans espoir (comme le suggère le cas d’Assange) ?

Graham : Eh bien, les autorités britanniques ont essentiellement aboli la loi britannique pour me punir. En d’autres termes, elles ont créé un précédent selon lequel si le gouvernement n’aime pas votre travail, il peut vous punir comme un criminel. Ne vous méprenez pas, les sanctions sont une punition criminelle quand elles sont appliquées à vos propres citoyens – je suis dans le Donbass en ce moment, mais dites-moi, que faire quand je rentre au Royaume-Uni sans avoir accès à aucun de mes comptes bancaires, à rien ? Comment acheter de la nourriture ? Comment me défendre au tribunal contre toutes les dettes que je n’ai pas pu payer parce que mes comptes ont été gelés ? Comment me rendre au tribunal ? C’est le gouvernement britannique qui supprime tous les principes de la Magna Carta de 1215, selon lesquels chaque sujet britannique a le droit d’être jugé avant d’être puni et est présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. Ils viennent de me dire que je suis coupable de… faire des reportages qu’ils n’aiment pas, et pour cela, ils tentent de me démunir, de me détruire. En outre, ma désignation officielle comme « ennemi d’État » a suscité d’innombrables menaces de mort contre moi-même et ma famille.

En ce moment, mon appel contre ces sanctions illégales est en cours. Je recevrai bientôt la décision à ce sujet, et nous partirons de là, en étant sûrs que, quelle que soit cette décision, ce ne sera pas la fin. Je me sens comme n’importe qui lorsque quelqu’un, quelque chose, essaye de détruire sa vie, lance toutes les machinations d’une machine étatique totalitaire contre vous, pour essayer de vous détruire. Mais ils n’y sont pas parvenus, et les prochaines actions, en accord avec la loi britannique, seront les miennes.

Andrei : Et la Cour européenne des droits de l’homme ?  Est-ce une option que vous envisageriez ?

Graham : Sois sûr, mon ami, que je suis ouvert à toutes les options légales pour faire face aux actions illégales et totalitaires de l’État britannique. Et ce n’est pas tout, je m’occuperai également de toute la presse qui a publié des calomnies contre moi, pendant ce temps. Il faut peut-être s’attendre à ce que la presse britannique ne prenne pas en compte le fait que ce qui m’est arrivé crée un nouveau et dangereux précédent pour toute personne britannique – une punition sans procès, sans même de charges. Cependant, la russophobie de l’establishment et de la presse britannique signifie qu’ils sont trop aveuglés par cela pour voir les choses clairement, et de manière pertinente, pour le reste d’entre nous. Ils préfèrent soutenir les actions totalitaires de l’État britannique, sans comprendre que si un jour ils font quelque chose que l’État britannique n’aime pas, cela pourrait être eux [les prochains à subir ce type d’actions illégales et totalitaires]. Mais, ce n’est pas grave, je n’ai jamais rien attendu de la presse britannique, et comme je l’ai dit, ceux qui ont franchi la ligne de la diffamation, je m’en occuperai, toujours en accord avec la loi britannique.

Andrei : Pour finir, comment nos lecteurs peuvent-ils vous aider au mieux ?

Graham : Pour figurer sur ma liste de diffusion, envoyez-moi un courriel à cette adresse. Je ne collecte pas d’argent ou quoi que ce soit d’autre pour le moment parce que je n’ai tout simplement aucun moyen d’accéder à quoi que ce soit à partir de mon compte bancaire britannique, ni à des sites occidentaux tels que Patreon / Paypal. Donc, le soutien moral est suffisant. S’il vous plaît, contactez un politicien ou une personne publique pour attirer leur attention sur ce sujet. Il s’agit d’une cause commune, d’un combat commun, et non seulement nous pouvons le gagner, mais nous devons le gagner.

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




« Criminel de guerre » : le chanteur Roger Waters assure que Biden « alimente le feu » en Ukraine

[Source : francais.rt.com]

Le bassiste co-fondateur du groupe légendaire Pink Floyd accuse dans son dernier spectacle le président américain d’être un criminel de guerre en alimentant l’Ukraine en armes au lieu d’inciter à la négociation.

Connu pour ses nombreux engagements, le bassiste et chanteur Roger Waters a accordé un entretien à la chaîne américaine CNN diffusé le 6 août pour s’expliquer sur les nombreux messages contenus dans son spectacle « This is not a drill » (« Ce n’est pas un exercice »). 

Interrogé sur un passage du concert où le visage de Donald Trump et celui de Joe Biden se succèdent sur des écrans géants accompagnés de la mention « Criminel de guerre », le co-fondateur du groupe légendaire Pink Floyd a expliqué ce qu’il reprochait au président démocrate. 

« [Joe Biden] alimente le feu en Ukraine pour commencer. C’est un crime énorme. Pourquoi les États-Unis d’Amérique n’encouragent-ils pas [le président ukrainien Volodymyr] Zelensky à négocier, évitant ainsi la nécessité de cette guerre horrible, abominable, qui tue ? », a-t-il déclaré. 

« Regarder dans l’Histoire »

Relancé par son interlocuteur lui opposant que l’opération russe était une agression à l’initiative de la Russie, l’artiste britannique a tenu à recontextualiser les événements. « Toute guerre quand elle commence, ce que vous devez faire est de regarder dans l’Histoire […] Cette guerre concerne essentiellement l’action et la réaction de l’OTAN poussant jusqu’à la frontière russe, ce qu’ils ont promis de ne pas faire », a-t-il déclaré, évoquant les engagements pris auprès du dirigeant de l’URSS Mikhaïl Gorbatchev lors de l’effondrement de l’Union soviétique. Pour Roger Waters, les ramifications du conflit remontent à 2008, faisant apparemment référence au sommet de l’OTAN de Bucarest au cours duquel l’intégration de l’Ukraine et la Géorgie à l’alliance avait été évoquée.

Dans les mois et jours précédents l’intervention russe en Ukraine, le président Volodymyr Zelensky est devenu de plus en plus pressant sur cette intégration à l’OTAN ce qui a grandement accentué la tension avec Moscou. Cette version des faits est contraire à celle martelée par les dirigeants occidentaux — dont Emmanuel Macron et Joe Biden — qui ont dénoncé une « attaque non provoquée » sur l’Ukraine. 

En mars, dans une lettre ouverte à une fan ukrainienne, Roger Waters avait condamné l’opération russe en ces termes :

« J’ai lu votre lettre, je ressens votre douleur, je suis dégoûté par l’invasion de l’Ukraine par Poutine, c’est une erreur criminelle, à mon avis, l’acte d’un gangster, il doit y avoir un cessez-le-feu immédiat. ».

Également interrogé sur la récente crise taïwanaise, déclenchée par la visite de Nancy Pelosi, le chanteur a rappelé que le territoire était considéré comme partie intégrante de la Chine par la « communauté internationale ». 




Selon le Docteur Tess Lawrie, l’OMS n’est pas nécessaire, mais est une menace pour la souveraineté nationale

[Source : alcyonpleiades]






Des politiciens et des hauts fonctionnaires meurent après avoir été vaccinés

[Source : alcyonpleiades]






L’hystérie climatique remplacera-t-elle l’hystérie covid19 ?

Par Nicole Delépine

« Un pays n’est richesse que d’hommes ».

Jean Bodin, économiste du XVIe siècle.

REFUSONS LE PRINCIPE DU PASS ENVIRONNEMENTAL DÈS MAINTENANT

Il faut bien tenir le peuple en laisse, dans la grande peur, sinon il ne laisserait pas spolier les travailleurs, les vieux, les jeunes, par les milliardaires au pouvoir mondialiste comme durant ces deux dernières années. Mais leurs croquemitaines covid et variole du singe sont de moins en moins crédibles et ces puissants commencent à le comprendre.

Alors passons vite à autre chose en attendant le vaccin miracle antiCO2, antitabac ou ozone… Que sais-je encore ? Ils vont tenter d’instaurer une nouvelle panique qui terrorisera et anesthésiera les citoyens du monde pour leur permettre de poursuivre leurs forfaitures. Ils ont bien préparé le terrain… Le moneypox dit variole du singe aurait dû faire l’affaire, mais c’est mal parti tellement sont rares les patients atteints et tant la ressemblance avec les effets secondaires du covid est frappante. Ils essaient…

LA MISE EN CONDITION DE LA CLASSE BIBERON SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Bien des auteurs attirent notre attention sur cette nouvelle rengaine tellement enseignée aux enfants depuis plus de dix ans. Beaucoup ne savent pas lire, à la sortie de l’école, ni écrire comme en témoignent leurs tristes tweets et même parfois des remarques d’instit dans les cahiers des élèves.

Mais ils savent tous que l’Homme serait responsable du « réchauffement climatique » (mais il paraît qu’on aura froid en 2030, qui sait ?…) et qu’il faut fermer les centrales nucléaires (pourtant innocentes dans l’émission de CO2). En pratique les sectaires écolo qui ont éduqué nos jeunes rouvrent les centrales à charbon. Peu importe, il faut tout mélanger et bloquer toute réflexion via l’intoxication, les jeux, les écrans, la TV.

POURSUIVONS L’INFORMATION SUR LE COVID19 et LE CLIMAT : REMARQUONS LES PARALLÈLES DANS LA PROPAGANDE

Alors, continuons à mettre en garde contre le masque qui rend psychotique à force de le porter(([1] L’affligeante dépendance de certains Humains au Masque, outil d’enfermement : urgent de DÉMASQUER et l’imposture et le peuple ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), et contre le pseudo vaccin anticovid inefficace et dangereux, même si de bons signaux arrivent comme le renoncement apparent de A Fischer sur la vax des enfants et les aveux de Delfraissy.(([2] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Mais ils ne lâcheront pas prise si facilement.

Restons très vigilants, car son successeur pourrait bien nous proposer, voire imposer, un vax miracle contre la variole du singe dont vous ne risquez rien sauf si vous êtes un mâle homo (votre droit le plus entier). Cependant, comme pour le vaccin Gardasil de plus en plus fortement conseillé à tous les garçons, avec tous ses risques sous prétexte de ne pas « discriminer » les garçons homo (à risque pourtant bien faible de cancer anal), généraliser le vax contre la variole du singe — maladie bénigne qui ne touche que quelques groupes à risque — serait médicalement et éthiquement insupportable. Libre à eux de se faire vacciner s’ils le désirent.

LES MISES EN GARDE DES SCIENTIFIQUES SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES

Tentons de transmettre les appels à la raison de spécialistes du domaine qui crient dans le désert depuis plusieurs années dans le silence assourdissant des médias, comme pour le covid19 depuis deux ans. Le « changement climatique » sera la prochaine « hystérie pandémique » !?… nous dit Robert Bibeau.

 29 juillet 2022 Robert Bibeau 

Un directeur de CNN a été filmé en caméra cachée en train de reconnaître que la chaîne a décidé que le « changement climatique » serait la prochaine « hystérie pandémique » parce que « la peur fait vendre ».

28.29.07.2022.ToddCalender-GBad-Hysteria-climatico-English-Italiano-Spanish

Selon Charlie Chester, directeur technique de CNN :

« le public n’a plus peur du Covid-19 et les élites ne peuvent plus l’utiliser pour contrôler les masses… Les médias ont besoin d’une “histoire” avec “longévité”. »

Project Veritas a publié une série en trois parties exposant Charlie Chester admettant que CNN « inventait des histoires » pour destituer Trump.

Selon Project Veritas, ces enregistrements secrets ont été réalisés alors que Chester avait des rendez-vous sur Tinder avec un journaliste infiltré de Veritas.

Dans la vidéo, on peut entendre Chester dire que « l’histoire de Covid-19 » touche à sa fin et que CNN est prête à commencer à vendre l’histoire du « changement climatique » et à recommencer d’instiller la « peur ».

CLIQUEZ POUR VISIONNER :

Manipulation : Après le covid, le réchauffement climatique ! (lemediaen442.fr)

mise à jour le 03/08/22 place à la dictature climatique !

Quelques lanceurs d’alerte informent sur la manipulation des masses via le climat

Le physicien François Gervais s’oppose à cette manipulation que les médias diffusent. À la base de ses arguments scientifiques : le cycle de Milankovic.(([3] https://www.nice-provence.info/2020/12/07/co2-produit-par-homme-n-influence-pas-climat/)) Ses détracteurs ne paraissent pas l’innocence même en termes de conflits d’intérêts.(([4] Dans le Monde « Les contre-vérités du dernier pamphlet climatosceptique », le climatologue F-M Bréon critique le livre de F Gervais : « L’innocence du carbone ». Innocent de conflits d’intérêts ce climatologue à l’IPSL ? Financé par EDF et EIT Climate-KIC. L’européen EIT financé par Air Liquide, CEA, Danone, Engie, KLM, The Carbon Trust, Veolia, WWF, entre autres… Depuis oct 2020, FM Bréon est président de l’Afis.  Glyphosate et pesticides en tous genres, cf Elise Lucet dans Envoyé spécial, ont trouvé leur défenseur : l’Afis. Comme pour le covid19 et les précédents scandales sanitaires, les conflits d’intérêts sont au cœur du drame.))

[Transféré de LANAGR – Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation] sur Telegram

Sur Twitter, Telegram, et Cnews via Ivan Rioufol, également des appels au bon sens

#Climatocircus (https://t.me/climatocircustchat) —

Il y a des mois et des mois, voire des années que certains alerteurs, nous prévenaient qu’après le pass sanitaire et le pass vaccinal, les gouvernements vont tenter de nous imposer un projet de pass climatique ou pass carbone pour restreindre et contrôler toujours plus les populations.

Les médias nous faisaient passer pour des complotistes ! Voilà maintenant que des médias mainstream évoquent ouvertement un « pass climatique ». Qu’ont à dire les moutons naïfs et les pro-système qui ont traité les anti-pass et les anti-Nouvel Ordre Mondial de complotistes ?

LANAGR — Lutte anti-NOM et Grande Réinitialisation : https://t.me/lutteantinometgrandresetTchat et partage d’infos Mensonges d’États : https://t.me/mensongesdetatstchat

LES DOUZE MENSONGES DU GIEC

Grâce à Y Rioufol et son émission sur Cnews, nous avons découvert l’ingénieur polytechnicien Christian Gerondeau et son livre « religion écologique 2 » qui nous a permis d’obtenir des réponses sur les interrogations qui nous travaillent depuis longtemps, ayant une conscience diffuse de la supercherie ambiante.

Le scénario Greta Thunberg(([5] « Greta Thunberg, icône d’un écologisme naïf » (lefigaro.fr) )) nous avait éveillés aux mensonges mondialistes sur le sujet tant la mise en scène de cette enfant manipulée était énorme. Depuis lors, notre vigilance était éveillée et cette émission de Cnews et surtout la lecture du livre de C. Gerondeau ont confirmé nos doutes.

Dans son dernier livre, il revient sur le déroulement de la COP 26 de Glasgow en Novembre 2021, puis dénonce les agissements du GIEC (organisme politique qui prétend parler « au nom de la science »), les « douze contre-vérités majeures qui constituent le socle de la religion écologiste qui règne aujourd’hui en Occident.(([6] Les 12 mensonges du GIEC sur le climat (polemia.com) ))

La dernière « Conference of Parties » (COP) n’a pas entériné la « fin du charbon », les représentants indien et chinois ont obtenu la rédaction d’un texte non contraignant.

En conséquence, ces deux pays les plus peuplés du monde (et les USA) continueront à émettre sans limites réelles du CO2, contredisant définitivement les résolutions solennelles des 25 COP précédentes. On peut constater que depuis cette réunion, l’Allemagne en a profité en remettant en marche ses mines de charbon (qui nous envoie ses nuages de pollution) et que la France s’apprête à en faire de même au prétexte mensonger de punir la Russie !(([7] Centrale à charbon de Saint-Avold : une réouverture déjà prévue après trois mois de fermeture (la-croix.com) )) C’est dire la fiabilité de ces grands rounds cinématographiques qui mobilisent les médias pendant des semaines et régalent les participants de petits fours et champagne au minimum.

Le Giec, que nos médias appartenant aux milliardaires nous présentent en permanence comme une instance scientifique, n’est en réalité qu’un comité politique.

1) «  Le GIEC agirait pour le bien de l’humanité »

Ce mantra est vite démonté par l’auteur lorsque l’on découvre sa composition. Le GIEC Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a été créé en 1988, à la demande du G7 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il rassemble 195 États membres par l’Organisation Météorologique Mondiale et le Programme pour l’Environnement des Nations Unies.

Comme toutes les institutions onusiennes (l’OMS par exemple), le GIEC n’est pas une association de personnes physiques, mais une association de pays : ses membres sont des nations, non des personnes physiques. Aucun individu — et en particulier aucun chercheur — ne peut être membre du GIEC « en direct » : les personnes qui siègent aux assemblées du GIEC ne font que représenter des pays membres et sont bien souvent des politiques non scientifiques.

Tous les pays membres des Nations Unies sont membres du GIEC (deux exceptions, Taiwan et le Vatican –) Il ne s’agit donc pas d’un organisme de recherche, mais d’un groupe qui effectue une évaluation et une synthèse des travaux de recherche menés dans les laboratoires du monde entier. Le GIEC effectue une revue de presse : il examine et synthétise ce qui s’est publié dans la littérature scientifique sur la question de l’influence de l’homme sur le climat (et par voie de conséquence sur le fonctionnement du climat, avec ou sans hommes).(([8] Qu’est-ce que le GIEC ? — Jean-Marc Jancovici site intéressant à consulter pour connaître les méthodes de travail du Giec, mais qui est inquiétant quand il affirme que toutes les conclusions du Giec sont des certitudes : «  On peut donc considérer que tout ce qui fait l’objet d’un consensus dans les rapports du GIEC peut être tenu pour une certitude. Il en va ainsi, en particulier, des conclusions suivantes :
« la concentration de l’atmosphère en CO2 est plus élevée qu’elle ne l’a été sur les 800 000 dernières années, cette augmentation entraîne un changement climatique dont l’une des caractéristiques (mais pas la seule) est une augmentation de la température moyenne de la planète au niveau du sol. C’est l’ampleur de ce réchauffement qui demeure un objet de débat, mais pas le fait que globalement le climat va changer et en particulier la moyenne des températures va monter ».
Or en science qui peut oublier le « doute fertile » ?))

Seuls les revues scientifiques à comité de lecture ou les travaux en cours dans les laboratoires de recherche sont pris en compte). Mais chacun a pu constater pendant la crise du covid que les revues ne sont pas financièrement indépendantes et que, comme en médecine, elles publient ce qu’elles veulent ou plutôt ce que veulent leurs financeurs. Les opposants à la thèse du réchauffement climatique qui serait uniquement lié à l’activité humaine ont le plus grand mal à se faire publier et à obtenir, qui plus est, des crédits de recherche. Or l’argent est le nerf de la guerre…

En faisant croire qu’il serait possible de se passer des énergies fossiles, le GIEC entraîne tous les pays qui le suivent sur la voie de dépenses et de contraintes inutiles aux très lourdes conséquences. Les pauvres et les plus déshérités en sont les premières victimes.

Ainsi, l’électricité, indispensable pour de multiples usages clé de sortie de la pauvreté, mais cette énergie ne peut être produite en grande quantité que par le recours à des centrales hydroélectriques, nucléaires ou thermiques et non par des sources intermittentes peu efficaces et peu durables comme les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques.

Dans les pays en développement, les centrales à gaz ou à charbon demeurent les seules solutions réalistes. En préconisant à un pays comme l’Inde de ne pas émettre de CO2, le GIEC condamne à la famine une grande partie de sa population.

2) deuxième mensonge : le Giec et ses affidés veulent faire croire que les énergies renouvelables peuvent remplacer le pétrole et les autres énergies fossiles

Or les énergies renouvelables ne peuvent répondre au maximum qu’à 10 % des besoins énergétiques de l’humanité et non à 80 % comme l’affirme le GIEC.

En Allemagne, où plus de 300 milliards d’euros ont été dépensés pour couvrir le pays de plus de 30 000 éoliennes et de millions de panneaux photovoltaïques, ceux-ci ne lui procurent qu’un peu plus d’un tiers de son électricité, c’est à dire moins de 8 % de son énergie finale, les 92 % restants étant principalement fourni par le pétrole, le gaz naturel et le charbon.

Le but de l’UE et pays aux ordres de supprimer entièrement le recours aux énergies fossiles pour en finir avec les émissions de CO2, en 2050 ou en 2100, relève donc de l’utopie ou plutôt d’un mensonge absolu pour faire accepter au peuple ces énormes dépenses pour les éoliennes, par exemple dont on ne sait que faire trente ans plus tard et dont le démantèlement obligatoire coûte énormément d’argent. Et nous avons tous rencontré des éoliennes à l’arrêt qui défigurent la France ! Quant à leurs dangers, ils ont été bien cachés, mais les chutes et les feux deviennent visibles.(([9] Il aura fallu 4 camions de pompiers et 15 hommes pour éteindre une éolienne toute neuve ayant pris feu en Côtes-d’Armor
https://www.epochtimes.fr/cotes-darmor-eolienne-toute-neuve-feu-demande-lintervention-de-4-camions-de-pompiers-15-sapeurs-pompiers-a-bourbiac-2085354.html
👉 t.me/Epochtimesfrance
➡️ La mise en service de ce parc éolien est toute récente))(([10] 13/10/2019 « Les éoliennes, tout sauf écologique »
Découvrez ce que le lobby du vent vous cache sur les éoliennes
https://www.lanceurdalerte.info/2019/10/13/les-eoliennes-tout-sauf-ecologique/))(([11] https://arr.bzh/img/appel%20%C3%A0%20projet.pdf
NB : Le lieu d’implantation de ce projet d’éoliennes n’est pas le lieu de l’incendie, mais relativement proche.
L’actualité montre qu’ailleurs en France, des éoliennes sont implantées dans des zones Natura 2000 ou en pleine forêt, malgré les avis défavorables des conseils municipaux, des enquêtes publiques et de diverses associations locales de protection de la nature ou du patrimoine.
En effet, les éoliennes industrielles bénéficient d’une procédure spécifique pour leur implantation — dans laquelle les industriels peuvent par exemple obtenir une dérogation pour « destruction d’espèces protégées ». Et malgré les possibles recours, c’est finalement le préfet qui a le dernier mot.
‼️‼️ Plus d’infos et pétition à signer ici : https://arr.bzh/eoliennes/))

« Après la chute d’une éolienne à Plémet, c’est une éolienne de Bourbriac qui prend feu. Personne ne pourra désormais nous dire que l’énergie éolienne est sans danger. Bretagne

https://actu.fr/bretagne/bourbriac_22013/une-eolienne-en-feu-a-bourbriac-pres-de-guingamp_52957609.html »

3) un mensonge de plus pour faire peur serait le manque imminent de pétrole

Malgré les prévisions pessimistes des années 1970, les réserves connues représentent actuellement cinquante ans de consommation, sachant que les réserves réelles sont très largement supérieures.

4) le cinéma de la mer qui va nous submerger ne correspond pas à la réalité

Il s’agit d’une des peurs ancestrales de l’humanité déjà présentée dans la bible comme le « châtiment de dieu », mais les satellites constatent seulement une montée des eaux de 2 à 3 millimètres par an depuis une quarantaine d’années ; au rythme actuel il faudrait dix mille ans pour que Paris devienne enfin Paris sur mer. On va devoir attendre…

5) La température devrait s’élever dramatiquement

Cette peur, fondement central de la communication du GIEC n’est pas démontrée.

Au cours des 40 dernières années, les satellites ont relevé une croissance de l’ordre de 0,013 à 0,020° par an, ce qui conduirait à une hausse de l’ordre de 0,4 à 0,6° en 2050, si elle se poursuivait inchangée.

« De 1910 à 1940, le globe avait déjà connu pendant trente ans un rythme analogue de croissance de la température avant d’entrer dans une phase de décroissance jusqu’en 1975, à tel point que les médias unanimes et de nombreux climatologues de l’époque pronostiquaient l’arrivée imminente d’un nouvel âge glaciaire ! »

6) Les réfugiés climatiques vont-ils déferler ?

Depuis 1950, la hausse des températures dans les zones équatoriales et subtropicales a été d’environ un demi-degré Celsius !

Les migrations proviennent plutôt du vol des richesses par l’Occident, de leurs matières premières, de leurs semences, et des interventions inopportunes dans les pays africains qu’on devrait laisser libres au lieu de continuer à les pousser à suivre nos modes de vie et de raisonnement économique.

L’immigration majeure organisée par Soros et ses amis mondialistes n’a rien à voir avec le climat, mais bien avec la volonté de détruire l’Occident dont les populations sont trop réfractaires à leurs projets.

7) Le changement climatique serait responsable de toutes les catastrophes

Il n’y a qu’à tenter de regarder les abominables journaux TV lors d’une catastrophe climatique.

“Lors des nombreuses catastrophes naturelles qu’a connues l’humanité, dont beaucoup sont sorties de la mémoire collective, personne n’aurait eu l’idée de rendre responsable le « changement climatique » d’origine humaine comme le fit sans scrupules Angela Merkel au sujet des inondations en Allemagne survenues en 2021”.

En revanche silence contre la bétonisation à outrance dans les villes et les campagnes et l’assèchement des marais, qui compromettent le stockage naturel des eaux de pluie et aggravent les périodes de sécheresse.

8) Les ours blancs seraient en danger

Ces plantigrades carnivores ont failli disparaître il y a une cinquantaine d’années à cause des chasses incontrôlées auxquelles les autorités canadiennes ont mis fin en 1975 et la situation s’est normalisée. Les ours blancs existent depuis des centaines de milliers d’années et leur espèce a traversé des successions de phases glaciaires et interglaciaires.

Et peut-être n’ont-ils pas une bande à Bill Gates et Soros pour vouloir les faire disparaître par tous les moyens, famine, vax toxiques, guerre, etc.. La terre est immense et très vide dans de nombreux endroits et le mythe de la surpopulation qu’on ne pourrait pas nourrir est organisé par les milliardaires fous et psychotiques qui cherchent à faire disparaître tous les hommes qui ne leur sont pas « utiles » à leurs menus plaisirs ni adeptes de leurs coutumes.(([12] Le mythe de la surpopulation — Les Observateurs occasion de montrer, à l’aide, entre autres, de l’article consacré au malthusianisme par le « Dictionnaire du libéralisme »[1], que la surpopulation est un dogme d’une religion sans fondements.))(([13] Elon Musk déclare que « la plus grande menace » à laquelle l’humanité est actuellement confrontée est « l’effondrement de la population » (anguillesousroche.com)
Elon Musk : « La civilisation va s’effondrer » si les gens n’ont pas plus d’enfants (anguillesousroche.com) ))

9) Le CO2 serait un polluant(([14] Le grand mensonge écolo que presque tout le monde prétend croire — Aube Digitale L’affirmation fantaisiste selon laquelle le CO2 est un polluant a été inventée de toutes pièces.))

Affirmation pour le moins audacieuse et que leurs médias aux ordres ont réussi à passer dans la jeune génération élevée par les enseignants pour un bon nombre au biberon de la pseudo écologie. En conséquence des adolescents croient que les centrales nucléaires font du CO2…

Il y a trente ans, personne n’aurait osé qualifier le CO2 de polluant. Car le gaz carbonique est indispensable à la vie en tant qu’élément central de la photosynthèse. Sans CO2 les plantes n’auraient pas de feuilles qui leur permettent de respirer et de nous fournir l’oxygène qui nous est indispensable. Nous en émettons nous-mêmes à chaque respiration de même que les vaches, notre amie nourricière qu’ils voudraient faire disparaître comme ils ont commencé aux Pays-Bas suscitant la révolte des agriculteurs.

L’accroissement de la présence de CO2 dans l’atmosphère depuis les débuts de l’ère industrielle a eu deux conséquences bénéfiques, à savoir que la planète reverdit (lorsqu’on ne coupe pas tous les arbres, comme trop de maires se le permettent, dont celle de Paris) et que la productivité des récoltes est meilleure.

« Vérité n° 1 avant le pass climatique, foutre l’économie française en l’air, imposer des restrictions dans notre malheureux pays surendetté, désindustrialisé, fera plaisir aux Khmers verts, mais ne contribuera pas à la réduction des émissions de CO2…

Le monde émet 35 milliards de t de CO2, dont 10,7 pour la seule Chine et 4,7 pour les États-Unis. La France avec 0,26, représente 0,7 du total mondial, moins que le Qatar et les Émirats (dix fois moins peuplés)

Il y a 40 ans les émissions mondiales ne s’élevaient qu’à 19 milliards de t, dont 1,5 pour la Chine, 4,7 pour les États-Unis et 0,51 pour la France qui représentait alors presque 3 % du total mondial

Il n’est pas évident que les pets de nos vaches expliquent l’augmentation du gaz carbonique qui par ailleurs n’explique peut-être pas un réchauffement climatique qui lui-même n’est pas évident…

Mais tout çà c’est trop compliqué pour un journaliste, la France n’est pas responsable du CO2 pas plus que nos vaches »(([15] EN 40 ANS LA FRANCE A RÉDUIT DE MOITIÉ SES ÉMISSIONS DE CO2, la sobriété française ne sauvera pas la planète et en plus rien ne prouve que le CO2 impacte les températures… | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

10) L’écologie favoriserait l’emploi et la croissance

Énorme duperie qui a fait plier trop de communes grâce aux subventions énormes pour leur laisser installer les éoliennes qui massacrent le paysage et finalement leurs finances. Car en fin d’exploitation c’est à la commune ou au propriétaire du champ loué qui deviennent propriétaires de l’éolienne en fin de contrat, et responsables de son démontage horriblement coûteux :

« Une association du Massif central a obtenu un devis d’une société de démolition industrielle et de récupération de matériaux pour évaluer le coût du démantèlement d’une centrale éolienne. Cette société est agréée pour réaliser ce type de travaux, elle possède le certificat ISO 14 001 correspondant. Cette estimation est donc entièrement crédible. Le devis se monte à 900 000 € pour une éolienne de 3 MW »(([16] https://environnementdurable.net/documents/pdf/demantelementtotal-sn.pdf))

Arnaque grand A !

En réalité, les dépenses consenties au nom de l’illusion vaine de « sauver la planète » détruisent massivement des emplois dans le secteur industriel et n’aident jamais nos agriculteurs, surchargés de normes souvent inutiles, à survivre dignement.

11) Le GIEC serait un groupe d’experts

Le mot « expert » ne figure pas dans la dénomination anglaise (« Intergovernmental Panel on Climate Change ») du GIEC, organisme non scientifique, mais politique regroupant 195 pays dont les représentants n’ont pour la plupart aucune expertise en matière de climat.

« Depuis sa création en 1988, cet organisme a compté quatre présidents dont aucun n’était climatologue. Les deux premiers étaient météorologistes (ce qui est entièrement différent), le troisième ingénieur des chemins de fer, et le dernier économiste.

En 2021, le rapport de 4 000 pages de la co-présidente, la Française Valérie Masson-Delmotte, indique qu’il a été élaboré par 751 auteurs issus de 66 pays (existe-t-il tant d’experts qualifiés du climat répartis dans autant de pays ?), tout en citant 14 000 références et en mentionnant avoir fait l’objet de 78 007 commentaires ! En fait, les conclusions rendues publiques émanent d’un petit groupe de rédacteurs finaux qui n’ont fait que reproduire en l’aggravant le contenu des cinq rapports précédents. »

12) Les scientifiques seraient unanimes

Vous assistez depuis deux ans et demi à la pseudo-unanimité des scientifiques dans le domaine du Covid et vous en voyez les monstrueuses conséquences d’appauvrissement, et de mortalité à la suite des confinements et autres mesures restrictives de liberté et des complications des injections géniques appelées abusivement vaccins.(([17] Balance avantages/risques des injections anti-covid19, au 28 juin 2022 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
ARRÊTEZ LES INJECTIONS ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Ce sont les mêmes mondialistes eugénistes qui possèdent les médias et censurent tous les avis contradictoires sur les réseaux sociaux.

Nous devons boycotter Facebook et autres Instagram qui intoxiquent la jeunesse entre autres et font le black-out sur de sérieux scientifiques qui dénoncent les mensonges.

« Depuis la création du GIEC, de nombreux scientifiques ont dénoncé et continuent à dénoncer ses affirmations. Ainsi, en 2019, 500 scientifiques, parmi lesquels des titulaires de Prix Nobel, ont adressé au Secrétaire Général des Nations-Unies une déclaration restée sans réponse, intitulée “Il n’y a pas d’urgence climatique”. »

Les six paragraphes sont les suivants :

  • 1/ Le climat terrestre a toujours varié 
  • 2/ Le réchauffement actuel est beaucoup plus lent qu’annoncé 
  • 3/ La politique climatique repose sur des modèles inadaptés 
  • 4/ Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur terre
  • 5/ Le réchauffement climatique actuel n’a pas accru les désastres naturels
  • 6/ La politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

Le moment est venu de faire appel à la science, la vraie, celle qui repose sur des faits et non des hypothèses. D’après l’article de Johan Hardoy 07/06/2022(([18] Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

BATTONS NOUS CONTRE LE PASS CLIMATIQUE AUSSI FORTEMENT QUE CONTRE LE PASS SANITAIRE SON FRÈRE !

Nos libertés n’existent que tant que nous les défendons.
Si on accepte une restriction de celles-ci,
quel qu’en soit le prétexte,
nous ne savons pas si on les récupérera un jour.
Vive la liberté !

⁦@nstweetfr‬⁩

Aujourd’hui, on commence à parler de pass climatique, ce qui est complètement fou quand on sait que China Coal, une entreprise de charbon basée à Pékin, a émis à elle seule plus de 3,8 milliards de tonnes de CO2 en 2020, soit plus que l’ensemble des pays européens la même année. pic.twitter.com/74xZXP90ZL‬‬‬‬‬‬





Mr Delfraissy, nous nous reverrons bientôt !

[Source : DIVIZIONAIR]




« Il faut manipuler 2 émotions pour obtenir une soumission psychique » – Ariane Bilheran, Vincent. Pavan

[Source : epochtimes.fr]

Ariane Bilheran est docteur en psychopathologie, psychologue clinicienne et philosophe. Spécialiste de l’étude des manipulations, de la perversion, de la paranoïa et du harcèlement, elle a écrit de nombreux ouvrages et donné plusieurs conférences en lien avec ces sujets au cours de sa carrière.

 Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille, département Polytech. Ses recherches portent notamment sur la théorie cinétique et l’équation de Boltzmann.

Il y a quelques mois, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont publié « Le Débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme » aux éditions Guy Trédaniel.

Un ouvrage qui interroge la façon dont la langue, la logique et la science ont été dévoyées et perverties par le pouvoir politique, les médias ainsi que certains médecins et scientifiques pour exercer une contrainte psychique sur la population dans le cadre de la crise sanitaire.

 «  J’avais identifié que nous avions affaire à ce qu’on appelle un peu vulgairement une psychose de masse, c’est-à-dire un délire, une croyance totalement dénuée de rapport avec la réalité de l’expérience. Il fallait remonter aux premiers principes de ce délire paranoïaque, comprendre sur quoi il se fonde  », explique Ariane Bilheran.

 «  Il est très important de revenir aux racines du délire paranoïaque, que ce soit d’ailleurs pour l’individu ou pour le collectif, pour en saisir la nature et, surtout, le mensonge. C’est ce que nous avons fait en interrogeant les conditions d’exercice de la science. Nous avons fait un travail d’épistémologie et de condition philosophique, de philosophie des sciences. » Dès que l’on comprend qu’il y a eu une corruption de la science, et en particulier des mathématiques, une imposture frauduleuse dès le départ, on comprend aussi que toute la suite ne tient pas debout  », poursuit la philosophe.

Un constat que partage Vincent Pavan :

«  J’ai été bouleversé de me rendre compte que les mathématiques qui, normalement, sont une discipline très précise, très rigoureuse, ont été complètement dévoyées, qu’elles ne servaient pas à décrire le réel mais, au contraire, à créer l’illusion de façon totalement délirante.  »

 «  Ce discours mathématique dévoyé, ce discours scientiste, servait à la fois une idéologie politique et également un comportement psychique de nature sans doute paranoïaque ou pervers.  »

 «  Nous voulions comprendre l’articulation entre le discours scientiste et la façon dont il était récupéré par l’idéologie pour manipuler et faire en sorte que tout le monde avance dans le sens du délire  », observe le mathématicien.

 S’ils se sont attachés à mettre en lumière la façon dont les mathématiques et la science ont fait l’objet d’une instrumentalisation politique pendant la crise, Ariane Bilheran et Vincent Pavan ont également analysé la façon dont la langue et les discours ont été manipulés, corrompus et avilis afin de subjuguer la population et de justifier les mesures politiques prises dans le cadre de l’épidémie.

 «  Nous avons analysé la logique, la rationalité́ et, bien sûr, la question de l’utilisation de la langue pour créer le lavage de cerveau, ou, pour reprendre un terme de Mao, la rectification de la pensée  », souligne Ariane Bilheran.

 « Tous les phénomènes manipulateurs empruntent le chemin d’une imposture, d’une perversion au nom de la langue pour réussir à semer le doute, la confusion et entrainer l’autre dans sa propre histoire, c’est-à̀-dire dans une histoire où l’on voudrait qu’il soit prisonnier », ajoute-t-elle.

Dans le cadre de leur analyse de la corruption du langage, Ariane Bilheran et Vincent Pavan se sont notamment appuyés sur les travaux de Victor Klemperer, écrivain et philologue allemand victime des persécutions nazies qui a étudié les ressorts de la propagande du régime hitlérien et la façon dont la langue fut manipulée pour asseoir l’idéologie totalitaire du IIIe Reich.

 «  Dans le phénomène totalitaire, il y a la question de la censure de la liberté d’expression. Il y a des mots qui deviennent dangereux, que l’on n’a plus le droit de prononcer, et il y a des mots qui sont sanctifiés, que nous devons au contraire intégrer dans la nouvelle religion  », précise Ariane Bilheran

Pour les auteurs du « Débat interdit », les champs politique et médiatique n’ont d’ailleurs pas hésité à recourir à des mécanismes de manipulation bien connus en psychologie pendant l’épidémie liée au virus Sars-CoV-2, certaines méthodes employées s’apparentant, selon eux, à une forme de « torture psychologique ».

 «  Pour coloniser quelqu’un psychiquement, il faut rentrer chez lui. Pour rentrer chez lui, il faut créer un choc, il faut créer ce que l’on appelle une effraction psychique, une effraction traumatique, c’est-à̀-dire le sentiment d’une imminence de mort pour soi ou pour autrui. Cela a été́ largement agité dans les médias de masse  », explique Ariane Bilheran.

 «  Pour soumettre également quelqu’un, il faut réussir à créer ces chocs de façon répétée, sur la durée, en laissant des moments d’accalmie pour que la personne ait la sensation que c’est terminé. Ce sont des méthodes de torture psychologique  », ajoute-t-elle.

D’après Vincent Pavan, plusieurs médecins et scientifiques intervenus dans les médias ont joué un rôle néfaste en entretenant la peur à travers des prédictions alarmistes reposant sur des modèles et des données erronés :

 «  Il y a eu une manipulation de la parole scientifique, de la parole médicale qui s’apparente à une torture psychologique. En racontant des choses complétement fausses, en dehors de toutes les règles usuelles de prise de parole de la science ou de la médecine, on a plongé́ les gens dans une angoisse très importante.  »

 «  Tous les médecins de plateaux télé qui ont annoncé l’apocalypse ont participé à cette confusion mentale. Des personnes qui, normalement, doivent être dans la modération, dans la mesure, dans le soin, jamais dans le sensationnalisme, ont joué́ le rôle de prédicteurs d’apocalypse », poursuit le mathématicien.

Si les auteurs estiment que la gestion de la crise a mis en lumière la déconnexion entre la science et le réel, ils soulignent que les décisions prises et les discours tenus dans le cadre de l’épidémie révèlent aussi « un parti pris idéologique très puissant », la volonté de mettre en place une nouvelle organisation sociale dans laquelle l’homme serait privé de son humanité et de son identité propre afin d’être soumis à une logique techno-sanitaire.

 «  Ce qui est important, c’est de bien voir qu’il y a une véritable idéologie derrière. Elle s’impose de manière sournoise à travers la langue. L’étude de la langue dit souvent énormément de choses sur l’idéologie souterraine qui anime les décideurs, les idéologues, les propagandistes  », explique Vincent Pavan.

 «  On veut réduire l’individu à un QR code, le mettre dans des banques de données, le réduire à un flux d’informations. C’est comme cela que l’on voit l’individu de demain […]. Dans la société́ du futur, c’est l’algorithme optimal qui donnera le mode d’organisation de la société́, et si vous n’êtes pas d’accord, vous faites partie des gens qui n’auront vraisemblablement plus le droit de vivre en société.  »

Pour Vincent Pavan, cette idéologie sous-jacente est notamment caractérisée par l’hubris et le transhumanisme  :

 « Il y a cette idée que nous allons vers le futur homme-machine pour sauver l’individu, défini par son information et sa mémoire. L’augmentation de l’homme par la biotechnologie fait partie des moyens de le débarrasser des scories de son corps. »

 «  Le surhomme doit être créé pour aller vers une société́ optimale. Les mathématiques sont censées nous guider vers cette société optimale que seul l’ordinateur pourrait calculer en disposant de tous les paramètres. Dans les sociétés totalitaires, c’est toujours l’ensemble qui prime sur l’individu, et si la solution optimale pour l’ensemble nécessite que l’on se passe de certains, on le fera. Il y a cette idée des « inutiles », chère à Yuval Noah Harari(([1] « Le Covid est capital parce que c’est ce qui convainc les gens d’accepter, c’est ce qui légitime la surveillance biométrique totale », Yuval Noah Harari, conseiller principal de Klaus Schwab et leader du Forum économique mondial)), que l’on voit d’ailleurs à travers la suspension des personnels non vaccinés, qui sont considérés non essentiels alors que l’hôpital hurle du manque de moyens, que les pompiers se battent contre les incendies, etc… On les laisse en dehors car, refusant la biotechnologie que l’on veut leur imposer, ils ne peuvent prétendre au statut d’homme augmenté qui seul pourra, à l’avenir, permettre de constituer une société meilleure, optimale à tous les niveaux.  »

«  La division de la société́ entre des surhommes et des sous-hommes est aujourd’hui totalement assumée », ajoute Ariane Bilheran, « C’est quelque chose qui, à mon avis, doit poser question. La logique totalitaire est une logique de division, une logique de sacrifice de ceux qui, pour une raison ou pour une autre, ne peuvent pas accéder au nouveau stade du surhomme tel qu’il va être défini selon l’idéologie du moment.  »

 «  Dans la pensée paranoïaque, le corps humain est un objet inerte, une gestion statistique de corps infectés, non-infectés, l’individu est réduit à un cas. Il n’y a pas d’interactions complexes, les êtres humains sont réduits à des corps et à des chiffres, ce qui légitime l’utilisation de QR Codes et notre asservissement, voire une éventuelle éradication future, puisque s’il y a trop de chiffres dans l’équation, il faut bien les supprimer.  »

Pour Ariane Bilheran, la gestion de la crise sanitaire a ainsi consacré «  l’ambition de traiter les êtres humains comme des unités mathématiques  ».

 «  Cela traduit une société́ terrifiée par la vie, qui cherche à se maintenir dans la survie. La vie suppose des prises de risque et de l’aventure, c’est aussi de l’imprévu, de l’accident, du mouvement ; et c’est aussi la maladie et la mort.  »

Et la philosophe de conclure :

«  Je crois que la masse a rarement raison. Quand nous sommes témoins de phénomènes collectifs qui s’emballent, nous devons garder une certaine distance afin d’analyser ce qui se passe avant d’accepter d’y rentrer.  »

Epoch Times France


[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19]


À propos d’Ariane Bilheran :

Après avoir intégré l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Ariane Bilheran a choisi d’ajouter à sa formation initiale de lettres classiques un double cursus en troisième cycle de philosophie et de psychologie.

 Son doctorat de psychopathologie a porté sur la temporalité psychique dans la psychose.

 Ariane Bilheran exerce une activité de psychologue (consultations, formations, supervisions, diagnostics souffrance au travail) et enseigne la psychologie clinique à l’Université de Provence. Elle dirige également la société Sémiode, un cabinet de conseil et d’études de sémiologie et d’anthropologie culturelle.

 Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Titre, Diplôme :
Normalienne (Ulm), Master Lettres Classiques, Philosophie et Psychologie.

Fonction actuelle :
Psychologue, Dirigeante de la société Sémiode.

Pour suivre Epoch Times France :

 Voir notamment les autres articles d’Ariane Bilheran [+ Vidéos] :

Référence :




Idriss Aberkane, la science peut-elle être humaine ?

Par Alain Tortosa

Cher monsieur Aberkane, le battage sur les réseaux sociaux à propos de votre interview accordée à l’Express(([1] ExpressGate : l’entretien d’Idriss Aberkane avec l’Express en exclusivité sur FranceSoir
https://www.youtube.com/watch?v=0Bi_1-BzY88)) a excité ma curiosité et conduit à regarder(([2] Pour être honnête, je n’en ai regardé que 55 minutes, ce qui me semblait suffisant pour me forger une opinion.)) ce fameux entretien que vous avez eu avec deux de leurs journalistes.

Mon propos, monsieur Aberkane, s’articulera en deux temps, un premier sur la forme et un second sur le fond.

En préambule, vous ne me connaissez pas bien sûr, monsieur Aberkane (bon j’arrête le M. Aberkane dont vous avez largement usé pour déstabiliser les journalistes), mais si vous prenez le temps de lire quelques-uns de mes écrits(([3] Https://7milliards.fr)), vous constaterez que je ne suis certainement pas du côté de la caste journalistique.

Vous (je suppose) et moi savons que dans leur immense majorité ceux-ci sont des lâches qui préfèrent leur paye à leur dignité, des corrompus qui ont vendu leur âme au diable ou des débiles qui croient être des génies de l’Olympe.
Ceci pour préciser que je ne les porte pas dans mon cœur et ainsi ne pas me faire de procès d’intention.
Je précise aussi ne pas avoir lu l’article de l’Express.

La forme

Ce serait vous faire affront que de vous considérer naïf.
Nous connaissons le « travail » de l’Express depuis des années et encore plus depuis la crise Covid.

Faisant le reproche aux journalistes de ne pas avoir fait un minimum de recherches sur Google pour connaître leur sujet, il me semble évident que vous, à la différence, avez fait ce travail les concernant.

Alors une première question se pose :

« Pourquoi avoir accepté cette interview ? »

J’estime que ce serait vous faire offense de penser que vous auriez pu imaginer bénéficier d’un travail neutre, objectif ne trahissant aucune de vos pensées ou de vos travaux.

Qui pourrait imaginer un travail honnête et sérieux de leur part (je souligne une fois de plus, le mépris que j’ai à leur encontre).

Dès lors, accepter leur proposition d’interview indique un objectif « autre ».

D’entrée de jeux vous procédez à la mise en scène… je pourrais dire la scène du crime.

  • Vous savez que vous êtes largement plus intelligent que vos interlocuteurs.
  • Vous savez que leur bagage scientifique est plus que léger.
  • Vous savez qu’ils travaillent mal et se croient en mission.

Afin de les « détendre », vous leur expliquez que :

« Tout ce que vous allez dire sera utilisé contre vous. »

Ainsi que :

« Vous allez être enregistrés ET diffusés. »

Notons qu’à ce stade je ne comprends pas pourquoi les journalistes acceptent ou plutôt si, je comprends, ils sont idiots et inconscients du piège qui va se refermer sur eux.

Et ce que vous aviez certainement planifié se produit, un jeu de massacre…

D’aucuns pourraient y voir narcissisme, méchanceté, « vengeance » (ils l’ont bien mérité).
Nombre de vos propos sont d’une extrême violence à leur encontre, quand bien même ils ne sont que vérité objective.
J’ai été mal à l’aise à de très nombreuses reprises et ressenti une méchanceté gratuite.

Je pourrais vous imaginer alors « légitimement » narcissique, mais je pense que votre démarche était uniquement « scientifique ».
De la science, de la logique froide et sans émotions…

J’ai pu assister à une démonstration (facile), prouvant, si cela était encore nécessaire, que les journalistes étaient incompétents, de mauvaise foi, imbus d’eux-mêmes et surtout du côté du « bien ».
De fait je ne comprends pas vraiment l’intérêt de piétiner des fourmis.
Si d’aventure cette action avait un fond émotionnel alors la victoire n’eût pas été auréolée de gloire.

J’imagine mal Novak Djokovic se réjouir d’une victoire contre un enfant handicapé de 5 ans.

D’autre part, si l’objectif était une démonstration purement scientifique sans état d’âme alors ici aussi, il m’est difficile d’y voir autre chose qu’une banalité…
OK, l’eau chaude ça brûle, OK les glaçons sont froids, mais quel intérêt de le redémontrer ?

En fait il faut attendre la fin de l’interview pour que vous annonciez que vous faites une enquête sur l’Express et qu’effectivement ces journalistes en sont les cobayes.

Cette interview semble de fait un acte politique.

Mais le problème des débats politiques est qu’aucun des camps ne change d’opinion lors d’un débat.

  • Les « pour » Idris pourront se réjouir d’une mise à mort qui ne serait que « justice » au regard du mal qu’ils nous font. Une preuve de plus de leur malhonnêteté et absence de dignité.
  • Les « contre » verront en Idris un être froid narcissique qui fait des attaques personnelles gratuites pour « masquer son incompétence » (je vous rappelle que je n’ai pas lu la publication de l’Express qui ne m’apporterait rien).

Je reste sur ma faim, pourquoi vouloir enfoncer une porte ouverte ?

Le fond

La science serait au service de l’homme.

Comment ne pas bondir de sa chaise face à de tels propos ?
L’histoire du monde regorge d’exemples où la science est au service de la destruction, de la souffrance, de la suppression des libertés, du mal, et j’en passe…

Rappelez-moi….

  • C’est bien les scientifiques qui ont inventé des armes de plus en plus létales du lance-pierres à la bombe atomique ?
  • C’est bien les scientifiques qui ont dessiné les plans des chambres à gaz et mis au point le zyklon b dans les camps ou l’agent orange au Vietnam ?

Je pourrais bien évidemment en écrire des pages et des pages.

Aujourd’hui c’est la science, la 5G, la miniaturisation qui permet le contrôle facial, les QR codes et demain la dictature climatique.

Vous auriez beau jeu de me rappeler que sans la science, il n’y aurait pas de scanner ou d’IRM pour diagnostiquer des cancers…
Cancers fabriqués par la science avec la pollution, les additifs chimiques, la suppression des cycles naturels et l’enfermement des fourmis dans des gratte-ciel sans nature ?

Je serais personnellement plus modeste sur l’apport de la science à l’homme.

Oui la science m’apporte un confort matériel, je ne suis pas dans la savane à manger des baies ou chercher à tuer un mammouth.
Mais ce « confort » est-il un apport en termes de liberté et de bien-être ?

Je suis un esclave de la technologie, un esclave d’internet, du téléphone, de la télé, de l’ordinateur, de la voiture, de l’électricité, de l’eau chaude, des normes, des lois, etc.

Les monstres qui dominent ce monde ont bien compris qu’ils nous tenaient par les c… avec le crédit, l’endettement à vie, mais surtout la peur de perdre ce confort uniquement matérialiste et sans âme.

Dieu a été remplacé par Satan !

Selon vous un domaine de la neuroscience serait valide au prétexte que l’U.S. Air Force aurait dépensé un demi-milliard en recherche et développement pour des casques vendus 400 000 dollars l’unité.

En premier lieu, je vous sais gré d’avoir reconnu que si ce casque était efficace pour le pilote il l’était aussi contre les humains qu’il aide à tuer.
De ce fait, j’en reviens encore sur « la science est-elle bonne pour l’homme » ?

En second lieu, vous semblez déduire que ce casque bourré de neuroscience serait « bon » pour le pilote.

Ce raccourci me semble tout du moins audacieux.
Au mieux, il retarde l’insupportable.
Si grâce à celui-ci le pilote peut accomplir des actions ou des missions autrefois impossibles ou tenir deux heures au lieu d’une, je ne vois pas le bénéfice personnel.
En l’occurrence, le pilote n’est qu’une interface (à ce jour encore utile) et rien de plus.
Bref, ce casque est au service du Pentagone, des politiques, des va-t-en-guerre et certainement pas du pilote.

La démonstration affirmant que si l’on dépense des milliards dans un domaine c’est qu’il est efficace me semble fort étrange.

Rappelons une blague racontée par M Attali (cf. mon ouvrage(([4] 7 milliards d’esclaves et demain ?))) dans laquelle des juifs achètent puis revendent des pantalons à une jambe. Un catholique fait remarquer le problème en affirmant que ces pantalons sont invendables. Et le juif de répondre que ces pantalons ne sont pas faits pour être portés, mais pour être achetés et vendus.

Plus récemment on pourrait se référer aux injections contre le Covid pour lesquelles les fabricants savaient, avant même de commencer, qu’un vaccin à ARN messager sur un virus qui ne fait que muter, qui plus est avec une vaccination durant l’épidémie, ne pourrait qu’augmenter les mutations et rendre le produit inefficace.
Cela ne les a pas empêchés d’écouler des milliards de doses d’un produit inefficace et dangereux.

Les exemples ne manquent pas comme l’escroquerie freudienne ou pasteurienne.

Je m’étonne donc de cette affirmation :

« Si c’est étudié et vendu, c’est que ça marche ».

  • Le fabricant de casques n’en a que faire, il voit un marché fort juteux.
  • Les militaires qui soutiennent le projet y voient une étoile de plus sur leur uniforme.
  • Les politiques sont des héros pour protéger les Américains.
  • La corruption permet de soudoyer des scientifiques pour affirmer l’efficacité.

Ceci peut durer jusqu’à (concernant ce casque je n’ai pas d’infos) jusqu’à la mise au grand jour du scandale.
Non, le succès d’une méthode n’apporte en rien la preuve de son efficacité, la vérité ne se mesure pas en quantité.

Les neurosciences pourraient soulager au quotidien.

Selon le site techno-science(([5] https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Neurosciences.html)):

« Les neurosciences correspondent à l’ensemble de toutes les disciplines biologiques et médicales qui étudient tous les aspects, tant normaux que pathologiques, des neurones et du système nerveux.

Les neurosciences étudient le développement, la structure et le fonctionnement du système nerveux, du niveau moléculaire au niveau psychologique, avec les méthodes et les moyens des sciences biologiques (biologie, biochimie, pharmacologie, anatomie et physiologie) et sciences médicales (neurologie, neuropsychologie et psychiatrie) et des sciences psychologiques (psychologie cognitive). »

Nous voyons ici que le champ est très large.

Personnellement quand j’entends neuroscience, coaching, développement personnel, j’entends aussi manipulation des pensées et des cerveaux.

Le terme de « développement personnel » est fort étrange… pourquoi faudrait-il que les humains bénéficient d’un enseignement de développement personnel induit par autrui ?

Pourquoi faudrait-il que nous soyons plus « performants » ?

Vous avez cité un exemple concret (si j’ai bien compris) d’une personne ayant des difficultés à se lever le matin et se motiver pour aller au travail.
Personnellement si quelqu’un me dit ça j’en déduis qu’il n’est pas heureux, pas rempli dans sa vie et que ce travail factuellement nourricier ne nourrit pas son âme.

Mes propos suivants illustrent peut-être mon ignorance, mon incompréhension totale des neurosciences, mais je pense que nombreux sont ceux qui pourraient être dans mon cas.

J’ai compris, déduit, que les neurosciences pouvaient aider cette brave personne à trouver une motivation et peut-être même un plaisir à se lever le matin pour aller au travail.

Dans ce cas de figure, la neuroscience ne serait pas une forme de « guérison », mais un « antidouleur »…
« Tu as mal à la tête ? Prends une aspirine ! »

Pire encore si cette personne malheureuse au travail devenait heureuse alors la neuroscience serait vraiment de la manipulation mentale.

La douleur de cette personne au quotidien n’est-elle pas bonne pour lui ?
N’est-elle pas un signal émotionnel envoyé par son cerveau pour lui dire qu’il ne peut pas rester ainsi ?
A-t-il besoin d’un coaching pour accepter l’inacceptable ou d’une thérapie (qui relève aussi des neurosciences) pour se trouver lui-même et enfin partir faire bûcheron au Canada ?
Encore faut-il que ce désir de devenir bûcheron et de passage à l’acte ne soit pas induit par le thérapeute.

Attention, je ne nie pas l’existence de souffrances et de biais cognitifs. Une personne en relation avec un manipulateur sera moins encline à en être victime si elle a connaissance de leur existence, la capacité de les détecter et un amour propre/narcissisme suffisamment développé pour s’en protéger.

La société ne veut pas d’hommes libres, mais uniquement des esclaves dociles.
De fait, elle ne peut que valoriser des méthodes de manipulation mentale visant à les maintenir à l’état de moutons dociles et certainement pas de développement personnel.

D’autre part, a-t-on le droit moral de modifier le cerveau d’un individu quand bien même cette modification se traduirait par une diminution ou une suppression de ses souffrances ?

La neuroscience serait-elle l’héritage high-tech des électrochocs barbares du 20e siècle ?

Ici encore il est légitime de se reposer la question quant à savoir si la science est bonne pour l’homme ou pas.

C’est bien les neurosciences qui ont converti en mouton la population au point qu’elle demande à porter un masque, à être confinée, à réclamer un passeport pour aller au restaurant ou s’injecter une substance expérimentale douteuse y compris aux enfants et aux femmes enceintes !

Il est intéressant de voir à quel point la science a été enterrée, anéantie durant cette crise au profit de « neurosciences » et d’outils toujours plus performants de manipulation mentale des individus.

Cette destruction de l’humain n’eut pas été possible sans le concours de « scientifiques » délirants, mégalomanes ou corrompus.

Celui qui pense, qui doute, qui se pose des questions est devenu le « complotiste », le « fou », le « dangereux » et même « l’antisémite » que l’on sort de son chapeau comme le véhicule prioritaire au Mille-Bornes.

On est arrivé à faire croire au peuple en semaine n qu’il ne fallait surtout pas s’asseoir sur une plage au risque de répandre la mort et en semaine n+1 qu’il ne fallait surtout pas bouger sur une plage et rester statique.
Le drame est que des forces de l’ordre sont là pour obéir comme les soldats qui faisaient monter des juifs dans des trains.
Aujourd’hui encore les soignants sont suspendus sous prétexte qu’ils n’ont pas fait de faux pass comme leurs collègues alors même que preuve est faite depuis longtemps que l’injection vaccinale n’empêche pas les contaminations.

Le peuple est-il debout pour dire « non » alors même que l’on ferme des services faute de soignants ?
Les collègues prétendument vaccinés sont-ils debout pour réclamer leur réintégration ?
Bien sûr que non !

Peut-on oser parler de progrès de l’humanité grâce à la science ?

Ah, il est toujours possible de sortir le couplet sur « ce n’est pas l’outil qui est bon ou mauvais, mais son usage ».

Je suis bien d’accord qu’une puce RFID (ou mieux) implantée sur chaque humain pourrait rendre l’enlèvement d’enfants impossible et nous permettrait de ne plus perdre nos clefs.

Et encore, je suis bien naïf, les plus grands pédophiles de notre planète auront la possibilité de débrancher les liaisons vers les serveurs grâce à d’autres complices pédophiles et dans un silence assourdissant des médias.

Nos « bons » médias comme l’Express sont là pour nous rappeler que l’ennemi est le Covid, la variole du singe, Poutine ou le fameux réchauffement climatique causé par le méchant CO2 !
La suppression définitive de nos droits nous sauvera de l’apocalypse, amen !

Tout le reste n’est que délire, il ne faut surtout pas réveiller les moutons qui ne demandent qu’une chose, ne pas avaler la pilule rouge(([6] Cf. Matrix))!

Mais dans les faits, cette puce a pour unique vocation de nous espionner, nous tracer, nous contrôler et réduire encore plus nos libertés.
Il en est de même de la suppression de l’argent liquide si pratique au quotidien et si pratique pour nous contrôler.
Le scientifique ne peut pas se réfugier derrière « je ne suis pas responsable de l’usage liberticide de mon invention » de même que l’enseignant en neurosciences ne peut se dédouaner de l’usage qu’en fera un psychopathe qu’il aura formé.

Le narcissisme, la soif de pouvoir, la corruption mènent le monde et les scientifiques seront toujours les pions des forces du mal.
Il y aura toujours un scientifique corrompu, narcissique ou naïf pour concevoir le plus immonde et un enculé pour l’utiliser.

Les progrès de la science rendent l’homme de plus en plus « inutile » et les pourritures en sont bien conscientes.
Qu’elles sont les inventions qui auraient été créées si chaque scientifique s’était posé la question
« Est-ce bon pour l’humanité ou cette invention peut-elle (et donc va-t-elle) être utilisée contre l’homme ? »

Je crains qu’il ne fût pas resté grand-chose…

Demain l’intelligence artificielle sonnera-t-elle la fin de l’humanité ?
C’est plus que probable si elle n’est pas purement et simplement interdite et condamnée.

Je vous rappelle que les lois de la robotique d’Asimov qui devaient nous protéger ont été bafouées depuis bien longtemps par les militaires qui utilisent des robots avec une composante décisionnelle autonome pour tuer des humains !

Alors personnellement je veux croire en l’humain plus qu’en la science qui doit être sévèrement contrôlée et limitée.
La science est froide, logique, elle n’a pas d’états d’âme, pas d’émotions, ni conscience.

Cette mise à mort des journalistes dans l’interview me fait penser au personnage de Spock dans Star Trek.
Il est ultra intelligent (comme vous, en tous les cas largement plus que moi), il a une logique scientifique sans faille (probablement comme vous).

Mais Spock est double, sa partie vulcaine est dénuée d’émotions, purement logique, purement scientifique.
Pour autant l’intérêt du personnage est dans son humanité, son illogisme et les émotions qu’il ressent.
C’est cette part humaine qui lui permet de ne pas être un monstre (et parfois inversement en cas de troubles émotionnels).

Toutes les saloperies du monde commises avec la complicité des scientifiques ne sont possibles que par leur sang vulcain…
Si l’empathie était de ce monde, s’ils avaient accès à l’ensemble des émotions humaines, alors le monde serait moins pourri.

Merci.

Alain Tortosa

7 août 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220807-idriss-la-science-a-t-elle-une-ame.pdf





Injections, climat, insécurité, enseignement : place au pénal ?

Par Lucien SA Oulahbib

Les plaintes plurielles pleuvent, ploient les épaules des putrides au pouvoir. Une pluie de pleurs, ruisseau, torrent depuis, tout un réchauffement juridique que la Secte tente de contrer d’endiguer démentir avec ses milices de traqueurs anti-tsunami. Elle y arrive encore…

Puisque le tsunami de la vérité s’avère conspirationniste (car il n’y aurait pas de « vérité », juste l’ordonnance du jour et son menu à ânonner), la Secte fait feu de tout bois ou plutôt enflamme des nappes entières de pétrole de mots au sens détourné pour empêcher que l’eau de la vérité puisse éteindre les flammes graisseuses de son enfer fallacieux (de classe B).

Pourtant les plaintes s’amoncellent, pluie de pleurs qui suintent d’yeux autrefois rieurs croyant en la science, l’État, aujourd’hui la justice, quoique en vain tant ce dernier réussit pour l’instant à “débouter”, même si pour le sang contaminé et le Médiator, dix ans plus tard, le pénal a bien triomphé.

Combien de temps faudra-t-il pour que tous ces menteurs, falsificateurs, bonimenteurs vendeurs de poison et d’affirmations truquées puissent être condamnés et sévèrement ? Nul ne le sait. Certes, certains « scientifiques » commencent à passer aux aveux, quittent le navire, soucieux de l’avenir de leur page Wikipédia, mais en rejetant seulement la « faute » sur les autres : les politiques, les médias, alors que ces derniers s’appuyaient justement sur la modélisation des premiers pourtant erronée ou alarmiste.

Devant l’explosion des effets secondaires, un an à peine après l’injection dédiée à la Covid-19, qu’en sera-t-il l’année prochaine, dans deux ans, lorsque l’on sait que ces temps-ci pour certains médicaments les effets sont globalement en hausse et peuvent émerger malgré les expérimentations positives sur certains animaux, tels ces bébés sans bras ou jambes, ou atrophiés, après que leur mère ait pris de la thalidomide ?

Et de la même façon que le nuage atomique provenant de Tchernobyl se soit arrêté pile à la frontière, et que les particules fines provenant du charbon allemand n’existent pas, mais sont uniquement issues de la circulation automobile, et quand bien même certains pays tels l’Argentine et l’Australie acceptent enfin d’indemniser les victimes des effets secondaires de l’injection expérimentale contre la Covid-19, la France, elle, refuse de reconnaître ces états de fait et préfèrent toujours poursuivre ceux qui les dénoncent.

Soit. Passons donc au pénal. Et espérons qu’il en soit aussi de même pour lesdites catastrophes climatiques puisque l’on sait de plus en plus maintenant que c’est plutôt la mauvaise gestion des forêts et des répartitions d’eau qui s’avère coupable (et non le 0,2 d’augmentation en moyenne terrestre de la chaleur depuis vingt ans), alors qu’il manque des hydravions antiincendies, que des pompiers restent suspendus faute d’être injectés par une substance qui ne protège de rien (bien au contraire, elle le propage) et que hormis dans le privé aucune politique publique de création de centrales de dessalement n’a été prévue à large échelle alors qu’« ils » s’entêtent à faire émerger des éoliennes inutiles sans centrales à gaz ou à charbon connectées à elles.

Des procès en justice là aussi, donc. Et l’on pourrait multiplier les plaintes, en matière de sécurité également, lorsque dans certains endroits “la valise ou le cercueil” devient de plus en plus une alternative macabre, qu’il ne fait pas bon d’être blanc et juif.

Et que penser de l’instruction lorsque les programmes d’histoire, de sciences économiques, de SVT sont falsifiées manipulées au profit d’une propagande éhontée qui n’a pas sa place dans un service public d’enseignement ?…

Et que dire des médias financés par la manne publique alors qu’ils propagent mensonge sur mensonge, les derniers en date sur la politique de planque dans les écoles et les hôpitaux opérés aussi bien par le régime de Kiev (épinglé cette fois par Amnesty International) que par le Hamas (ce que le média en 442/et Marcel D ne voient bizarrement toujours pas) ?…

Mais est-ce que cette judiciarisation a bien de l’avenir lorsque l’on voit les capacités des États, en particulier en France, à bloquer en “appel” ou parfois dès la première instance des plaintes pourtant pleinement justifiées? Telle est la question. Ne vaut-il pas mieux plutôt, voire en parallèle, continuer à élargir la “riposte laïque” en faisant en sorte que se fédèrent des forces encore dispersées ou qui acceptent encore le diktat de l’ennemi par exemple en refusant d’inviter telle personne parce qu’elle se serait au préalable exprimée dans un organe dit “d’extrême droite” ?…

Il en effet bien étonnant d’observer que des médias dits alternatifs font toujours ce genre de tri imposé pourtant par ceux-là mêmes qui les traitent de toute façon de conspirationnistes, comme si couper ainsi la poire en deux permettrait de les rendre plus fréquentables alors que le contraire s’avère de plus en plus vraisemblable : ainsi puisque la vérité émerge de plus en plus, comme l’indique le directeur de FranceSoir, il va s’avérer que les médias et influenceurs qui ont été sinon collabos du moins mous du genou seront balayés, et plus dure sera la chute lorsque la colère populaire balayera tout sur son passage.




Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie. Prenez le temps de lire cet article, de le relire et de vous en imprégner, car il vous permettra d’argumenter et de convaincre tous ceux qui défendent l’hypothèse virale ou tous ceux qui sont encore des moutons abrutis par la propagande des merdias mainstream qui appartiennent aux laboratoires. Être un citoyen libre demande des efforts.

Jean Bitterlin

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux

Par le Dr Stefan LANKA

Résumé

La science et la scientificité sont des outils importants qui aident à identifier et à résoudre les défis. La science a des règles très claires : Celui qui fait des affirmations doit les prouver de manière claire, compréhensible et vérifiable. Seules les affirmations qui peuvent être vérifiées peuvent être qualifiées de scientifiques, tout le reste relève du domaine de la foi. Les questions de foi ne doivent pas être présentées comme des faits scientifiquement prouvés pour en déduire ou justifier des mesures étatiques.

Les affirmations scientifiques doivent être réfutables, falsifiables, pour pouvoir être affirmées comme des faits scientifiques. Le premier devoir de tout scientifique, prescrit par écrit, est de vérifier strictement ses propres affirmations, d’essayer de les réfuter. Ce n’est que dans le cas où cette réfutation échoue et que cet échec a été clairement documenté par des essais de contrôle qu’une affirmation peut être qualifiée de scientifique.

Toutes les mesures Corona édictées par les gouvernements et les autorités subordonnées (les nombreuses agences ou autorités sanitaires nationales — NDT) sont en fin de compte régies par des lois, en Allemagne par la loi sur la protection contre les infections (IfSG qui signifie Infektionsschutzgesetz – NDT)), mais de toute évidence ne sont ainsi légitimées qu’en apparence et ne sont justement pas justifiées. Avec le § 1 de l’IfSG, par exemple, la disposition théorique « scientifique » soumet tous les acteurs en Allemagne aux règles de la science. La règle la plus importante de la science est la tentative documentée et infructueuse de réfuter l’affirmation qui est présentée comme étant vraie et scientifique. Toutes les règles scientifiques sont précédées par le respect des lois de la pensée et de la logique. Si celles-ci sont ignorées ou violées, l’affirmation scientifique est réfutée de la même manière que par une expérience de contrôle réussie.

Le sens et le choix des mots utilisés dans toutes les publications sur tous les virus pathogènes prouvent que les virologues ne se contentent pas de violer les lois de la pensée, de la logique et les règles contraignantes de la science, mais qu’ils ont eux-mêmes réfuté les affirmations sur l’existence des virus pathogènes. Si l’on enlève les lunettes hypnotisantes de la peur et qu’on lit objectivement et avec raison ce que les auteurs font et écrivent, alors toute personne intéressée qui maîtrise l’anglais et a acquis des connaissances sur les méthodes utilisées constate que ces virologues (à l’exception de ceux qui travaillent avec des phages et des virus géants de type phagique) interprètent de manière erronée des séquences génétiques normales comme des composants viraux et ont ainsi réfuté toute leur spécialité. Cela est particulièrement facile à constater dans le cas des affirmations d’existence du prétendu virus du SRAS-CoV-2.

Étant donné que ces virologues ont clairement enfreint les lois de la pensée, de la logique et les règles du travail scientifique par leurs déclarations et leurs actes, ils doivent être qualifiés de fraudeurs scientifiques dans le langage courant. Mais comme la fraude scientifique n’existe pas en droit pénal et qu’il n’y a pas encore de précédent en la matière, je propose, et je le ferai moi-même, de faire constater par la justice et par le droit pénal la fraude à l’embauche des virologues — faire semblant d’être scientifiques, mais agir et argumenter de manière anti-scientifique. Les autorités publiques compétentes sont invitées à poursuivre ces fraudeurs à l’embauche anti-scientifiques afin de les empêcher d’agir de manière anti-scientifique et par conséquent asociale et dangereuse pour la collectivité. À partir du moment où un premier tribunal constatera les faits décrits ci-dessous et condamnera le premier virologue pour fraude à l’embauche, la fin de la crise de Corona sera annoncée et scellée par la justice, et la crise globale de Corona se révélera être une chance pour tous.

[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]

Introduction

L’humanité est confrontée à un défi majeur : la dynamique propre et les conséquences de la peur et de l’antibiose par la biologie enseignée et la médecine appliquée, perturbent et détruisent l’environnement, les plantes, les animaux, les hommes et l’économie. La crise de Corona n’est que la pointe visible d’un iceberg en collision avec tous et chacun. L’une des causes de ce défi est le matérialisme, la tentative d’expliquer la vie par des modèles purement matériels. Notre matérialisme actuel a été inventé dans l’Antiquité « post-socratique » comme contre-réaction explicite à la génération de peur et à l’abus de pouvoir par les religions. Il s’agit d’une action compréhensible, humaine et motivée par des raisons humanitaires, mais dont les conséquences sont dramatiques. Ce matérialisme a donné naissance à la biologie savante du bien et du mal, à l’« opinion dominante » en médecine qui en découle et à l’antibiose qui en résulte (antibiotiques, radiothérapie, chimiothérapie, désinfection, restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc. …). De plus en plus de personnes, l’environnement et l’économie sont mis à mal par cette idéologie. Sa théorie matérialiste du bien et du mal, qui n’a pas de fondement réel, mais se base sur des hypothèses réfutées, s’est développée à l’insu de tous pour devenir la plus puissante religion qui soit.

La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, mais pas de conscience, pas de forces spirituelles et pas d’agent moteur qui les aurait créés et mis en mouvement. Pour pouvoir expliquer le cosmos et la vie de manière purement matérielle, notre « science » se voit obligée d’affirmer qu’il y a eu une énorme explosion au cours de laquelle tous les atomes se sont dispersés à partir de rien. Certains atomes se seraient alors touchés par hasard et auraient formé des molécules. Ces molécules, en se réunissant par hasard, auraient formé une cellule originelle à partir de laquelle, par la lutte et la sélection, toute vie ultérieure serait née. Tout cela se serait passé en des temps immémoriaux, inimaginables, et n’est donc pas vérifiable scientifiquement.

Laissons ici de côté la « physique théorique » et ses théories quantiques, qui fantasment sur ce mode de pensée en investissant des sommes de plus en plus importantes dans des choses de plus en plus petites. Je renvoie à une vision meilleure, réelle et accessible à l’expérimentation simple de la vie, à la substance même qui compose la vie. Il s’agit de la substance élémentaire dont est constituée la membrane, la membrane dite de tension superficielle de l’eau, que l’eau forme partout où elle est en contact avec d’autres substances ou, en cas de mouvement et de tourbillon, avec elle-même. Aristote a qualifié cette substance d’éther et le Dr Peter Augustin l’a redécouverte sous la forme de la substance originelle. Les phytophysiologistes japonais ont appelé cette substance l’eau PI. Ces connaissances et cette vision résultant de la connaissance de l’éther/substance originelle permettent également de faire revivre le principe présocratique, de le rendre pensable et imaginable : Comme dans les grandes choses, dans les petites. Penser en termes de théorie atomique rend difficile ou empêche ce type de représentation et de monde imaginaire et oblige, si l’on ne connaît pas d’autres possibilités de pensée ou si celles-ci sont mal vues, à faire des suppositions erronées. C’est sur une telle hypothèse erronée que repose tout l’imaginaire académique de la biologie et de la médecine.

En 1848, alors que les effets constructifs de la Révolution française avaient une chance de se développer en Allemagne, les tentatives de bouleversement ont échoué et ont entraîné un durcissement et une détérioration dramatiques de la vie politique et sociale. Alors qu’en 1848, l’homme décisif responsable du développement actuel de la biologie et de la médecine s’engageait encore pour des mesures humaines, logiques et correctes de « prophylaxie des épidémies », il s’est adapté au cours des dix années suivantes aux conditions politiques de plus en plus extrêmes et qui se durcissaient. C’est Rudolf Virchow qui, en 1858, sans aucun fondement scientifique, mais en se basant exclusivement sur la théorie atomique de Démocrite et d’Épicure, a postulé la théorie cellulaire de la vie et de toutes les maladies : la pathologie cellulaire.

Durant toute sa vie, Rudolf Virchow a supprimé les « faits pertinents » de l’embryologie et de la théorie des tissus afin de pouvoir présenter et populariser sa nouvelle théorie cellulaire comme étant quelque chose de réel. Cette connaissance de l’embryologie et de la théorie des tissus, la théorie des gamètes de la vie, est pourtant une condition indispensable pour pouvoir comprendre la vie, son développement et surtout les maladies, les guérisons, les crises de guérison et les obstacles à la guérison.

Par analogie avec la théorie atomique, Rudolf Virchow affirmait que toute vie provenait d’une cellule. La cellule serait la plus petite unité indivisible de la vie, mais elle serait en même temps à l’origine de toutes les maladies par la formation de prétendues toxines pathogènes, le virus en latin. C’est ainsi qu’ont été posées les bases sur lesquelles les théories de la génétique, de l’infection, de l’immunité et du cancer ont dû se développer afin de pouvoir expliquer les processus de la vie, de la maladie et de la guérison dans le cadre de cette théorie. Si l’on croit, parce qu’on l’enseigne, que tous les processus ne sont provoqués que par des interactions matérielles et que toute vie naîtrait d’une cellule, les partisans de ce point de vue sont contraints de supposer un plan de construction et de fonctionnement de la vie, c’est-à-dire une substance héréditaire, et d’affirmer son existence.

La même logique de contrainte s’applique aux poisons pathogènes allégués. Si la cellule produit prétendument des virus=poisons pathogènes comme cause de maladie, afin de les distribuer à l’intérieur et à l’extérieur du corps, il faut désigner un endroit dans un individu où cette toxine pathogène, le virus, est apparue pour la première fois. Lorsque ce mode de pensée est érigé en dogme, à l’encontre duquel rien d’autre ne peut être enseigné et que les autres points de vue sont diffamés comme non scientifiques ou comme conspiration contre l’État, il exclut d’emblée d’autres possibilités de pensée et de représentation de l’origine des maladies au sein d’un corps ou d’un groupe d’individus. Cette logique coercitive cherche toujours les causes uniquement dans les catégories des défauts matériels ou de la malignité matérielle. En faisant cela, on passe sous silence le fait que l’idée du virus comme poison de la maladie a été élégamment et scientifiquement réfutée et abandonnée en 1951 et qu’il a donc fallu inventer une autre idée depuis 1952 : l’idée que les virus sont un ensemble de gènes dangereux. Ici à nouveau on dissimule le fait qu’il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique solide permettant d’accepter de tels agrégats de gènes, que l’on pourrait qualifier de virus. La bonne nouvelle est que la nouvelle virologie génétique, qui a pris son essor à partir de 1954, s’est réfutée elle-même par ses propres affirmations, de manière réellement scientifique, c’est-à-dire facilement compréhensible et vérifiable. Cette affirmation est à 100 % juste, prouvée, et je la défends en tant que virologue, en tant que scientifique, en tant que citoyen et en tant qu’être humain.

Le passage de la virologie des toxines à la virologie génétique actuelle

L’idée de poisons pathogènes est encore assez efficace, puisque l’on prétend encore que les toxines protéiques bactériennes sont dangereuses. Ou des bactéries, comme la prétendue dangereuse bactérie du tire-bouchon qui s’enfoncerait depuis le point d’entrée supposé jusqu’au cerveau en passant par les nerfs. Ce que les virologues, les médecins et les journalistes scientifiques passent sous silence, c’est que le fait que jusqu’en 1951 l’idée en vigueur, selon laquelle les virus étaient définis comme des toxines protéiques, a dû être abandonnée cette année-là. Afin de vérifier l’hypothèse et l’affirmation des virus à toxines et de pouvoir les revendiquer comme scientifiques, deux expériences de contrôle ont été réalisées :

  1. Des tissus sains ont été soumis à la décomposition et pas seulement des tissus supposés endommagés par des virus. On a pu constater que les protéines produites lors de la décomposition des tissus sains étaient les mêmes que celles produites lors de la décomposition des tissus « atteints de virus ». L’hypothèse virale était ainsi réfutée.
  2. L’hypothèse de la protéine-toxine-virus a en outre été réfutée par le fait qu’au microscope électronique, on n’a jamais pu trouver et photographier chez les personnes, les animaux et leurs fluides « malades du virus » autre chose que ce qui était également le cas chez les personnes saines. Ce qui est d’ailleurs resté vrai jusqu’à aujourd’hui.

La virologie clinique, c’est-à-dire médicale, se réfutait elle-même avec ces essais de contrôle réussis et se laissait aller à des mots de regret, ce que seuls les lecteurs attentifs des revues spécialisées ont remarqué. Les médias de masse ont occulté ce fait, car les hypnotiseurs du pouvoir célébraient les campagnes de vaccination en cours. Bien que les virus en tant que justification à la vaccination aient été perdus, les campagnes de vaccination n’ont pas été interrompues — notamment en raison du silence des autorités sanitaires et de la « science ». Après l’abandon de la virologie, la biologie et la médecine n’ont pas pu trouver d’autre explication, au sein de la théorie cellulaire purement matérielle, aux maladies définies comme virales et aux phénomènes d’apparition simultanée ou accrue de maladies. C’est ainsi que les participants ont été contraints d’inventer une nouvelle théorie sur ce que devraient donc être les virus à l’avenir. Ils se sont appuyés sur des structures existantes, appelées phages et qui sont formées de bactéries, lorsque celles-ci sont retirées de leur milieu et que l’échange avec d’autres bactéries et microbes, indispensable à leur survie, est empêché. Jeune étudiant, j’ai eu la chance d’isoler une structure provenant de la mer semblable à un phage, d’en étudier sa structure, sa composition et son interaction avec l’environnement. Cela m’a conduit directement dans le domaine de la virologie, car je pensais avoir découvert un virus inoffensif et une relation stable entre virus et hôte pour rechercher l’origine des virus. Trente ans plus tard, de nouvelles structures, désormais appelées « virus géants », ont été et sont constamment découvertes, dont entre-temps il est clairement établi qu’elles sont à l’origine des processus par lesquels la vie biologique commence ou devient visible pour nous. Les virologues français reconnaissent que ces structures constituent le quatrième règne de la vie, à côté des bactéries primitives, des bactéries et des eucaryotes.

Les structures appelées par erreur phages, c’est-à-dire mangeurs de bactéries et virus géants, peuvent également être décrites comme une sorte de spores que les bactéries et les êtres vivants simplement organisés forment lorsque leurs conditions de vie changent de telle sorte qu’ils ne peuvent plus se reproduire ou survivre de manière idéale. Ces structures utiles se composent toujours, selon l’espèce, d’un brin de la substance héréditaire appelé ADN, de longueur et d’assemblage exactement identiques. Ce type d’ADN est toujours entouré d’une enveloppe de cette substance dense qui est à l’origine de la vie biologique. C’est la raison pour laquelle les « phages » et les « virus géants » — appelons-les plutôt des bionotes — sont facilement isolables, c’est-à-dire qu’ils peuvent être enrichis et séparés de tous les autres composants de la vie. Sous cette forme isolée, ils peuvent être et sont régulièrement analysés biochimiquement. À cet égard chaque caractérisation biochimique révèle que l’acide nucléique d’un type de « phage » ou de « virus géant » a toujours exactement la même longueur et la même composition.

En fait, pendant des décennies, les phages ont été la seule source d’acide nucléique (ADN) pur dans les études biochimiques. Le processus d’absorption et de libération d’ADN dans et hors des bactéries, documenté par le microscope électronique, a été interprété comme une infection. On a affirmé, sans aucune preuve, que les phages envahissaient pratiquement les bactéries, leur faisaient violence, leur imposaient leur acide nucléique et que les bactéries en mouraient. En réalité, la situation est très différente. Seules les bactéries qui sont cultivées dans des conditions extrêmes, c’est-à-dire qui sont constamment multipliées sans avoir de contact avec d’autres bactéries ou microbes, se transforment en phages dans un acte de métamorphose. Cette transformation est interprétée à tort comme la mort des bactéries par les phages. En revanche, les bactéries fraîchement isolées de leur environnement ne se transforment jamais en phages et ne meurent pas non plus lorsque des phages leur sont appliqués, quelle que soit la quantité. C’est aussi la raison pour laquelle la thérapie par les phages, souvent citée comme substitut aux antibiotiques pour supprimer par exemple les douleurs et autres symptômes — comme par tout autre empoisonnement —, ne peut et ne pourra jamais fonctionner dans le sens et l’ampleur souhaités avec des « phages ».

Biologie des phages et des virus géants et la réfutation de la théorie cellulaire de la vie qui en résulte

Dans le cas de l’algue (Ectocarpus siliculosus), à partir de laquelle j’ai isolé ses « virus géants », cette situation se présente ainsi : Les formes mobiles de l’algue, les gamètes et les spores, recherchent les « virus géants » dans leur environnement à l’aide de leurs flagelles mobiles et absorbent ces « virus géants ». Ce faisant, les algues en croissance intègrent l’acide nucléique des « virus géants » dans leurs propres chromosomes. On a observé que les algues porteuses de « virus géants » se portent mieux que celles qui n’en ont pas. On n’a jamais observé que les algues avec des « virus géants » se portaient plus mal que celles qui n’en avaient pas. De nouveaux « virus géants » aux propriétés toujours plus étonnantes sont constamment découverts et de plus en plus de preuves sont établies pour démontrer que les bactéries et les micro-organismes, les amibes et les protozoaires sont issus de « virus géants » en lesquels ils se transforment à nouveau lorsque leurs conditions de vie ne sont plus réunies.

Les virus géants sont manifestement créés par et autour d’acides nucléiques qui déploient des activités catalytiques, c’est-à-dire que ceux-ci libèrent de l’énergie de manière autonome, synthétisent d’autres acides nucléiques, d’autres molécules et substances et génèrent ainsi constamment de nouvelles propriétés et capacités. Les formes d’acides nucléiques particulièrement réactives et variées de l’ARN, mot-clé « Le monde de l’ARN », qui peuvent se transformer et se retransformer facilement et en permanence en ADN, apparaissent également dans le processus d’auto-organisation de la vie, sans raison ni cause qui nous soient scientifiquement accessibles. Cela se matérialise manifestement hors de l’eau, la vie biologique visible pour nous. On trouve de plus en plus d’organismes cellulaires dont le génome est en majeure partie constitué d’acides nucléiques de « virus géants ». Avec la découverte de phages, qui n’apparaissent toujours que lors de la transformation de cultures bactériennes extrêmement consanguines (inceste), et de virus géants, qui se maintiennent, s’agrandissent et se métabolisent activement d’eux-mêmes, et la découverte de nouveaux organismes composés de virus géants, trois choses ont été prouvées jusqu’à présent :

  1. La théorie cellulaire selon laquelle la vie biologique n’existe que sous forme de cellules et ne se développe qu’à partir de cellules est réfutée.
  2. L’affirmation selon laquelle la vie biologique est apparue à la nuit des temps est réfutée. La vie se crée constamment et sous nos yeux, si nous considérons simplement la vie de manière objective et non limitée par des dogmes et des théories sans fondement. Il est prouvé que la vie biologique, telle que nous la connaissons actuellement, peut apparaître partout où il y a de l’eau et peut-être aussi des conditions identiques ou similaires à celles de notre planète mère, la Terre.
  3. L’interprétation négative selon laquelle l’absorption d’acides nucléiques de « phages » et de « virus géants » par d’autres organismes qui était interprétée comme une infection et comme nuisible a été réfutée. Mais cette observation a été l’occasion, à partir de 1952, de croire qu’il existait chez l’homme des virus génétiques qui, en transmettant leurs acides nucléiques « dangereux », pouvaient générer des maladies et être tenus pour responsables de la mort et de la destruction. En plus jusqu’à présent aucun virus n’a été vu ou isolé dans un être humain, un animal, une plante ou leurs fluides. Jusqu’à présent, il n’a même pas été possible d’isoler un acide nucléique qui correspondrait à la longueur et à la composition des brins du patrimoine génétique des virus prétendument responsables de maladies, bien que l’isolation, la représentation et l’analyse de la composition d’acides nucléiques de cette longueur soient depuis longtemps possibles grâce aux techniques standard les plus simples.

Un Prix Nobel et ses conséquences fatales

Sous forme isolée, les « phages » et les « virus géants » (bions) peuvent être photographiés rapidement et facilement en grand nombre au microscope électronique, ce qui permet à lui seul de documenter leur degré de pureté. Pour aucun des virus prétendument pathogènes, personne n’a réussi jusqu’à présent l’isolement et la photographie de structures isolées et caractérisées ! Les bions (alias phages et virus géants) sont régulièrement vus et photographiés au microscope électronique lors d’études scientifiques, en grand nombre, dans les organismes par lesquels ils sont produits ou qui les produisent (sic !). En revanche, la photographie au microscope électronique de structures revendiquées comme étant des virus pathogènes n’a pas été réussie et documentée à ce jour chez aucun homme, animal, plante ou dans des liquides en provenant, tels que le sang, le sperme, la salive, etc. pour aucun des virus considérés comme pathogènes ! Pourquoi cela n’est-il pas le cas ?

Les images au microscope électronique de prétendus virus ne montrent exclusivement que des structures qui sont toujours obtenues à partir de sources très différentes. Ces structures n’ont jamais été isolées, ni caractérisées biochimiquement, ni utilisées comme source pour les courts morceaux d’acides nucléiques à partir desquels les virologues construisent UNIQUEMENT PAR LA PENSÉE un long acide nucléique qui est présenté comme le prétendu brin de patrimoine génétique d’un virus.

Il est possible d’obtenir à chaque fois des acides nucléiques de longueur et de composition exactement identiques à partir de tous les types de « phages » et de « virus géants ». On n’a encore jamais réussi à isoler d’une structure ou d’un fluide un acide nucléique (ADN ou ARN) dont la longueur et la composition correspondraient à ce que les virologues font passer pour le brin de patrimoine génétique d’un virus pathogène.

La succession de ce qui s’est passé entre 1951 et le 10 décembre 1954 permet de comprendre pourquoi et pour quelle raison les virologues se sont enfermés dans une antiscience totalement déconnectée de la réalité et dangereuse. Après que la virologie médicale ait été achevée en 1951 par des essais de contrôle, les phages des bactéries sont devenus à partir de 1952 le modèle de l’idéologie persistante de ce à quoi doivent ressembler les « virus pathogènes » : Un acide nucléique d’une longueur et d’une composition déterminées, entouré d’une enveloppe composée d’un certain nombre de protéines déterminées.

Mais : Faute d’images au microscope électronique de « virus pathogènes » chez l’homme/l’animal/la plante, faute d’images au microscope électronique de « virus pathogènes » sous forme isolée, faute de caractérisation biochimique des composants des « virus pathogènes », faute d’avoir pu les isoler, les virologues ont été et sont encore aujourd’hui contraints d’assembler mentalement et graphiquement des composants individuels de tissus prétendument malades pour en faire des virus et de faire passer ces produits intellectuels pour des virus existants, pour eux-mêmes et pour le public !

Les virologues qui affirment l’existence de virus pathogènes se réfèrent essentiellement à une seule publication pour justifier leur action et la présenter comme scientifique. Pourtant, cette action est facilement reconnaissable comme étant insensée et anti-scientifique. Les auteurs qui ont publié ces réflexions le 1.6.1954 ont explicitement qualifié leurs observations de spéculations réfutées en elles-mêmes, qu’il faudrait encore vérifier à l’avenir. Cette vérification future n’a jusqu’à présent pas eu lieu, car le premier auteur de cette étude, le professeur John Franklin Enders, a reçu le prix Nobel de médecine le 10 décembre 1954. Il a reçu le prix Nobel pour une autre spéculation au sein de l’ancienne théorie « les virus sont de dangereuses toxines protéiques », réfutée en 1951. Le prix Nobel a eu un double effet : L’ancienne théorie réfutée des toxines et des virus a reçu une auréole pseudo-scientifique et la nouvelle virologie génétique a reçu le plus grand honneur d’apparence scientifique.

La nouvelle virologie génétique à partir de 1952 a deux fondements centraux : les virus pathogènes sont en principe structurés comme des phages et ils apparaîtraient lorsque des cellules meurent dans le tube à essai après l’ajout d’un échantillon prétendument infecté. Enders et ses collègues ont établi l’idée, dans leur unique publication du 1er juin 1954, que les cellules qui meurent dans le tube à essai après l’ajout de matériel prétendument infecté se transformeraient en virus. Cette mort est présentée à la fois comme l’isolement du virus — parce qu’il est supposé que quelque chose est apporté de l’extérieur dans le laboratoire —, comme la multiplication du virus supposé et comme l’utilisation de la masse cellulaire mourante comme vaccin. Ce faisant, Enders, ses collègues et tous les virologues ont négligé — parce qu’ils étaient aveuglés par le prix Nobel — le fait que la mort des cellules dans le laboratoire n’est pas provoquée par un virus, mais parce que les cellules sont tuées dans le laboratoire de manière involontaire et inaperçue, mais systématique. Par empoisonnement avec des antibiotiques toxiques pour les cellules, par une famine extrême par retrait de la solution nutritive et par l’ajout de protéines en décomposition, c’est-à-dire qui se décomposent et libèrent ainsi des produits métaboliques toxiques.

Les composants de ces cellules mourant en laboratoire sont aujourd’hui encore assemblés mentalement en un virus et présentés comme une réalité. La virologie des virus pathogènes est aussi simple que cela. Enders et les « virologues » n’ont jamais, jusqu’à aujourd’hui, effectué les essais de contrôle consistant à « infecter » les cellules en laboratoire avec du matériel stérile. Elles meurent dans l’expérience de contrôle exactement de la même manière qu’avec du matériel prétendument « viral ».

Réfutation brève, claire et facile à comprendre des affirmations de tous les virus pathogènes

L’erreur et l’aveuglement sont humains, compréhensibles et excusables. Ce qui n’est pas excusable, ce sont les affirmations permanentes des virologues selon lesquelles leurs déclarations et leurs actions sont scientifiques. C’est clairement faux, facilement démontrable et compréhensible par tout un chacun. C’est pourquoi les virologues qui affirment avoir des virus Corona ou d’autres virus pathogènes doivent être qualifiés de fraudeurs à l’emploi et poursuivis par les moyens de l’État de droit afin qu’ils reviennent sur leurs déclarations fausses, réfutées et dangereuses. Ainsi, la crise Corona et d’autres catastrophes « virales » aux conséquences mortelles telles que le « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » sans fondement peuvent et pourront non seulement être stoppées et évitées à l’avenir, mais aussi être transformées en une chance pour tous. (NdT : par « conséquences mortelles », Lanka entend les mauvais choix des autorités sanitaires)

La définition de ce qui peut être qualifié de déclaration scientifique et les obligations qui en découlent sont clairement définies. En résumé :

  1. Toute affirmation scientifique doit être vérifiable, compréhensible et réfutable.
  2. Une affirmation scientifique ne peut être qualifiée de scientifique que si elle n’a pas été réfutée par les lois de la pensée, de la logique et, le cas échéant, par des expériences de contrôle.
  3. Chaque scientifique est tenu de vérifier et de remettre en question lui-même ses affirmations.

Parce que les virologues n’ont jamais procédé eux-mêmes à cette vérification et qu’ils rechignent à le faire pour des raisons compréhensibles — qui voudrait se réfuter lui-même, réfuter son action, réfuter sa réputation ? — nous le faisons publiquement avec sept arguments. Chacun de ces arguments suffit à lui seul à réfuter les affirmations d’existence de tous les « virus pathogènes » et les activités de ce type de virologues (à l’exception des chercheurs qui s’occupent des « phages » et des « virus géants » existants). Dans les points suivants, le mot « virus » est utilisé à la place de la combinaison de mots « virus pathogène ».

  1. Le fait de l’alignement = Alignement

Les virologues n’ont jamais isolé un brin complet du patrimoine génétique d’un virus et ne l’ont jamais représenté directement dans toute sa longueur. Ils n’utilisent TOUJOURS que de très courts morceaux d’acides nucléiques, dont ils déterminent la succession à partir des quatre molécules qui composent les acides nucléiques et qu’ils appellent séquence. À partir d’une multitude de millions de séquences très courtes ainsi déterminées, les virologues assemblent mentalement, à l’aide de méthodes de calcul et de statistiques complexes, un long brin de patrimoine génétique fictif. Ils appellent ce processus « alignement ».

Le résultat de l’alignement complexe, le brin fictif et très long du patrimoine génétique, les virologues le font passer pour le cœur d’un virus et prétendent avoir ainsi prouvé l’existence d’un virus. Un tel brin complet n’apparaît cependant jamais dans la réalité et dans la littérature scientifique comme un tout, bien que les techniques standard les plus simples existent depuis longtemps pour déterminer facilement et directement la longueur et la composition des acides nucléiques. Par le fait de l’alignement ou de la mise en correspondance, au lieu de présenter directement un acide nucléique de longueur correspondante, les virologues se sont eux-mêmes réfutés.

  1. Le fait qu’il n’y ait pas d’expériences de contrôle sur l’alignement

Les virologues n’ont jamais effectué et documenté un alignement avec des acides nucléiques tout aussi courts issus d’essais de contrôle. Pour cela, ils DOIVENT isoler les acides nucléiques courts à partir d’exactement la même procédure de culture cellulaire, à la différence que l’« infection » présumée ne se produit pas par l’ajout d’échantillons prétendument « infectés », mais avec des matériaux stériles ou des échantillons stérilisés qui ont été « infectés lors du contrôle ». (NdT : Lanka met des guillemets puisqu’à l’analyse apparaîtront les mêmes séquences que dans la culture cellulaire soi-disant infectée)

Ces essais de contrôle logiques et obligatoires n’ont jamais été réalisés et documentés. Rien qu’avec cela, les virologues ont prouvé que leurs déclarations n’ont aucune valeur scientifique et ne doivent PAS être présentées comme des déclarations scientifiques.

  1. L’alignement se fait uniquement au moyen de constructions mentales

Pour pouvoir assembler mentalement/calculer les très courtes séquences des acides nucléiques utilisés en un long génome, les virologues ont besoin d’un modèle pour aligner les courtes séquences en un très long brin de patrimoine génétique prétendument viral. Sans une telle séquence prédéfinie et très longue, aucun virologue n’est en mesure de créer mentalement/par calcul un brin de patrimoine génétique viral. Les virologues argumentent que le brin de patrimoine génétique construit par la pensée ou par calcul provient d’un virus parce que l’alignement a été effectué au moyen d’un autre brin de patrimoine génétique viral prédéfini.

Cet argument des virologues est ainsi brièvement et clairement réfuté, car tous les modèles avec lesquels de nouveaux brins de patrimoine génétique ont été créés par la pensée/par calcul ont été eux-mêmes et exclusivement créés par la pensée/par calcul et ne proviennent pas d’un virus.

  1. Les virus n’ont jamais été vus chez un être humain, un animal, une plante ou dans leurs fluides

Les virologues affirment que des virus infectieux, donc intacts, se trouveraient en grand nombre dans le sang et la salive. C’est pourquoi, lors de la crise de Corona par exemple, toutes les personnes doivent porter un masque. Or, jusqu’à présent, aucun virus n’a été photographié dans la salive, le sang ou à d’autres endroits chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides, bien que les prises de vue au microscope électronique soient aujourd’hui une technique standard facile et pratiquée de manière routinière.

Ce fait clair et facilement vérifiable, à savoir qu’il n’existe pas de photos de virus chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides réfute à lui seul toutes les affirmations relatives aux virus. Ce qui n’a jamais été vu chez l’homme/l’animal/la plante ou dans leurs fluides ne peut pas être présenté comme un fait scientifiquement prouvé.

  1. La composition des structures que les virologues font passer pour des virus n’a jamais été caractérisée sur le plan biochimique

Les virologues utilisent deux techniques différentes pour produire des photos de prétendus virus. Pour la microscopie électronique à transparence (transmission), ils utilisent des cultures cellulaires qu’ils intègrent dans de la résine synthétique, grattent en fines couches et regardent par transparence. Les particules qu’ils montrent sur de telles images n’ont jamais été isolées et leur composition n’a jamais été déterminée biochimiquement. Il faudrait en effet trouver toutes les protéines et le long brin de patrimoine génétique attribué aux virus. Ni cela, ni l’isolation de telles particules encastrées et la caractérisation biochimique de leur composition n’apparaissent dans une seule publication de virologues. Cela réfute l’affirmation des virologues selon laquelle dans de telles images il s’agirait de virus.

L’autre méthode utilisée par les virologues pour photographier les virus au microscope électronique est la microscopie électronique à balayage, simple et rapide, appelée « negative staining ». Afin d’effectivement concentrer les structures existantes, telles que les « phages » et les « virus géants », et de les séparer de tous les autres composants, ce que l’on appelle alors « isolement », on utilise une technique standard à cet effet, la centrifugation à gradient de densité (dans une centrifugation, plus une particule est lourde et plus elle se retrouve au fond du tube — il est donc possible de séparer les différentes particules en fonction de leur poids — NDT). La présence, l’apparence et la pureté de ces structures isolées sont rendues visibles au microscope électronique en recouvrant ces particules d’une substance contenant du métal et en faisant apparaître les structures sous-jacentes sous forme d’ombres dans le faisceau d’électrons. L’autre partie des particules isolées, qui ont été rendues visibles par « negative staining », est caractérisée biochimiquement. Dans le cas de tous les phages et virus géants, on trouve toujours les acides nucléiques intacts, toujours identiques, toujours très longs et composés de la même manière, et le résultat de la caractérisation biochimique est documenté.

Dans le cas de tous les virus qui sont présentés comme des virus par cette technique, le « negative staining », voici ce qui s’est passé. Ces particules ne sont pas enrichies, purifiées et isolées par la centrifugation à gradient de densité prévue à cet effet, mais sédimentées au fond du tube de centrifugation par simple centrifugation, ce que l’on appelle la « pelletisation », et ensuite observées au microscope électronique. La composition de telles structures présentées comme des virus n’a jamais été déterminée biochimiquement jusqu’à présent. Avec cette affirmation facile à vérifier et à comprendre sur la base de toutes les publications de virologues dans lesquelles des structures sont présentées comme des virus en microscopie électronique de surveillance, les virologues ont également réfuté eux-mêmes, de manière simple et élégante — sans s’en rendre compte — cet argument de l’affirmation de l’existence des virus.

  1. Les images de microscopie électronique présentées comme des virus sont des artefacts typiques connus ou des structures propres à la cellule

Les virologues publient une multitude d’images au microscope électronique de structures qu’ils font passer pour des virus. Ce faisant, ils passent sous silence le fait que TOUTES ces images ne sont que des structures typiques de cultures cellulaires mourantes ou représentent des vésicules de protéines, de graisses et de savon fabriquées en laboratoire et qu’elles n’ont JAMAIS été photographiées chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides en provenant.

D’autres chercheurs que les virologues désignent les mêmes structures que les virologues font passer pour des virus soit comme des composants cellulaires typiques tels que les villosités (protubérances en forme d’amibes avec lesquelles les cellules s’accrochent au substrat et se déplacent), soit comme des exosomes ou des « particules ressemblant à des virus ». Il s’agit là d’une preuve supplémentaire et indépendante que les affirmations des virologues selon lesquelles on voit des virus au microscope électronique ont été scientifiquement réfutées.

  1. Les expérimentations animales des virologues réfutent les affirmations sur l’existence du virus

Les virologues effectuent des expériences sur les animaux afin de prouver que les substances avec lesquelles ils travaillent sont des virus et peuvent provoquer des maladies. Dans chacune des publications où de telles expériences ont été menées sur des animaux, il apparaît clairement que la manière dont les animaux sont traités produit exactement les symptômes que l’on prétend être l’effet du virus. Il ressort de chacune de ces publications qu’aucune expérience de contrôle n’a été réalisée dans laquelle les animaux auraient été traités de la même manière avec du matériel de base stérilisé.

Ces deux faits, qui ne sont pas cachés, contredisent les virologues qui prétendent avoir constaté la présence et l’effet des virus dans les expériences sur les animaux.

Remarque finale

Pour mettre fin à la crise de Corona et la transformer en une chance pour tous, il faut maintenant rendre publiques et efficaces ces réfutations claires, facilement compréhensibles et vérifiables de la virologie. Ces réfutations seront efficaces, par exemple, si les moyens juridiques appropriés sont utilisés contre les virologues devant la justice et si les résultats sont rendus publics. Nous vous informerons par le biais de notre liste de diffusion WissenschafftPlus (nom du site de Stefan Lanka — NDT) lorsque nous aurons des résultats prêts à être communiqués.

Je garantis en mon nom que toute personne souhaitant vérifier ces affirmations sur n’importe quel « virus pathogène » parviendra exactement aux mêmes conclusions si elle maîtrise l’anglais et s’est familiarisée avec les méthodes. Remarque préventive : tant que la crise Corona persistera, mes collègues et moi-même ne répondrons qu’aux questions concernant les prétendus virus Corona et rougeole. Pour les demandes concernant tous les autres « virus », je renvoie, pendant la période Corona, aux contributions publiées à ce sujet dans le magazine WissenschafftPlus depuis 2003.

S’il vous plaît gardez dans vos actions, et non seulement à l’esprit, que le jugement confirmé par la plus haute juridiction dans le procès sur le virus de la rougeole a privé l’ensemble de la virologie de son fondement. Il a été établi par la justice, et fait donc partie intégrante de la jurisprudence allemande, que la publication de la méthode centrale de la virologie du 1er juin 1954, dans laquelle a été publié comme preuve de l’existence de virus pathogènes le fait de tuer des cellules en laboratoire de manière involontaire et sans s’en rendre compte, ne constitue plus une preuve de l’existence d’un virus à partir de l’année 2016 !

La crise Corona a augmenté les chances que le seul verdict du procès du virus de la rougeole puisse provoquer un tournant par rapport à la pensée et à l’action du bien et du mal qui dominent aujourd’hui la biologie, la médecine, la société et l’État. Peut-être que l’application d’un, de plusieurs ou de l’ensemble des sept arguments présentés ci-dessus au SRAS-CoV-2 suffira à mettre fin à la dynamique propre, à mes yeux prévisible, de l’hystérie mondiale Corona et de l’affairisme qui l’alimente avec les procédures de test et les vaccins. Je renvoie, en ce qui concerne le processus du virus de la rougeole et en général, à la page Internet Corona_Fakten sur le portail Telegram. On y trouve un très bon résumé des processus sur la signification du procès du virus de la rougeole, ainsi que d’autres textes qui sont très bien.

Mon optimisme quant au fait que la crise de Corona se révélera être une chance pour tous se fonde sur l’article 1 de la loi sur la protection contre les infections, en abrégé IfSG. L’article 1 IfSG « Objectif de la loi » stipule dans la phrase (2) : « La collaboration et la coopération nécessaires des autorités fédérales, régionales et locales, des médecins, des vétérinaires, des hôpitaux, des institutions scientifiques et des autres parties prenantes doivent être organisées et soutenues conformément à l’état actuel de la science et de la technique médicale et épidémiologique. La responsabilité personnelle des responsables et des directeurs d’établissements communautaires, d’entreprises alimentaires, d’établissements de santé et des individus dans la prévention des maladies transmissibles doit être clarifiée et encouragée ».

Toutes les mesures et ordonnances Corona, entre-temps également les lois Corona, ont pour base exclusive et unique la loi sur la protection contre les infections (IfSG). Mais comme la « disposition théorique » du § 1 de l’IfSG « doit être conçue et soutenue conformément à l’état actuel de la science et de la technique médicale et épidémiologique » a été réfutée par les déclarations publiées des virologues eux-mêmes et prouvée comme anti-scientifique, toutes les mesures, ordonnances et lois Corona n’ont pas les bases juridiques nécessaires pour être appliquées.

Aucun des responsables et directeurs d’établissements collectifs, d’entreprises alimentaires, d’établissements de santé visés au § 1, phrase (2), ainsi que des individus, c’est-à-dire tout citoyen visé par les lois, ne peut exécuter et tolérer des mesures et des ordonnances Corona s’ils ont reconnu et peuvent prouver que les virologues n’ont pas de preuves scientifiques de l’existence de virus pathogènes, mais qu’ils se sont réfutés eux-mêmes, par leurs propres actions et publications.

Tant que l’obligation de scientificité du § 1 IfSG est maintenue, il est possible, en se référant au § 1 IfSG, de présenter avec succès devant les tribunaux les preuves de l’absence de fondement, de l’absence de droit, de la nocivité et de l’immoralité de toutes les mesures, ordonnances et lois Corona. La majorité des juges sont honnêtes et consciencieux, ils suivent le droit et la loi, sinon une dictature ouverte régnerait depuis longtemps dans ce pays, dictature qui cherche à se construire de manière de plus en plus visible au moyen d’arguments pseudo-scientifiques et réfutés issus de la virologie et de la médecine.

Dans vos actions, veuillez tenir compte des points suivants : La majorité de la population croit à l’existence, à l’action des virus pathogènes et à l’effet positif des vaccins. Exprimé de manière radicale : celui qui croit au cancer comme étant l’effet d’un principe du mal incompris, croit également aux métastases, croit aux « métastases volantes », alias les virus. La souffrance vécue directement et indirectement par presque chaque personne avec les conséquences négatives des diagnostics de cancer et de leurs traitements lourds est profonde et efficace. Dans votre travail d’information et dans vos actions, veuillez tenir compte du fait que cette souffrance directe et indirecte à elle seule a créé et renforcé chez les gens le sentiment et la certitude qu’il existe des maladies et des virus dangereux et mortels. Notez que de telles expériences, et d’autres encore, peuvent donner à penser que seul notre État et ses spécialistes sont en mesure de les gérer et d’avoir le droit de les gérer. Vous pouvez ainsi éviter que vos actions n’aient l’effet inverse. C’est particulièrement important lorsque vous traitez avec des médecins, dont nous avons tous besoin.

J’explique par exemple à toute personne qui me pose des questions qu’il existe un meilleur système de connaissance qui explique scientifiquement (dans le sens positif du terme) les processus qui mènent à la maladie et à la guérison et que des crises de guérison peuvent survenir et que des obstacles à la guérison peuvent agir. Mais pour pouvoir accepter cette nouvelle vision, il est souvent nécessaire de reconnaître que le système d’explication actuel, basé sur la théorie des cellules, est réfuté. La crise de Corona est à cet égard une chance unique et un appel clair à s’engager pour la vie et les trois idéaux humains universels de liberté, d’égalité et de fraternité, c’est-à-dire pour la tripartition sociale des communautés humaines. (Voir à ce sujet l’article de ce numéro de w+ 4/2020, « La tripartition sociale ».)

Cet article sera reproduit dans notre livre « Corona — Plus loin dans le Chaos ou Chance pour Tous ? » Voir la critique du livre à la page 46 de ce numéro de w+.

Cet article est disponible gratuitement sur notre site Internet www.wissenschafftplus.de


Les sources de cet article se trouvent dans :

« Mauvaise interprétation du Virus — partie I » dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2020 et « Mauvaise interprétation du Virus – partie II » dans le magazine WissenschafftPlus N° 2/2020

Cet article et l’article « Evolution de la médecine et de l’Humanité — quelle est la suite des événements ? » paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 6/2015, sont disponibles librement sur internet www. wissenschafftplus.de dans la rubrique « Textes importants ».

Introduction à une nouvelle vision de la vie, parties I à III. À retrouver dans les numéros 1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.

Comprendre l’eau, reconnaître la vie. L’eau PI : bien plus que de l’H2O énergétisé. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cet article peut être consulté librement sur notre site Internet www.wissenschafftplus.de dans la rubrique « Textes importants » (en Allemand « Wichtige Texte », à droite sous la photo – NDT)

Mise en forme et relecture Jean Bitterlin — 6 Août 2022




Le mépris néoléniniste et macroniste pour la souveraineté populaire

Par Lucien SA Oulahbib


En France comme en Chine, à Gaza, en Algérie, à Cuba, au Venezuela et ailleurs, la frange néoléniniste de la Secte SHA (scientiste, hygiéniste, affairiste) n’a que mépris pour la liberté, la justice, l’égalité des sexes, sinon elle ne soutiendrait pas des groupes factieux et des régimes fantoches qui au sein de ces pays non seulement les nient, mais les combattent.

Sa gesticulation actuelle de plus en plus centrale sur le changement de sexe ou le plus de droits « sociaux » ne sont (faute de mieux — son plan « pouvoir d’achat » n’étant qu’une galéjade hypocrite) que des paravents à la fois scientistes et technicistes. En effet, d’une part opter pour la manipulation génitale c’est renforcer l’emprise des Folamour et leur « blocage de puberté » ; d’autre part agiter le paravent de « l’égalité sociale » pour les sexes n’est qu’un cache-sexe existant depuis des lustres (les femmes russes soviétisées conduisaient des tracteurs dans les années 20), alors qu’en France même l’on soutient l’inégalité de fait entre les sexes en soutenant l’islam dans ses courants les plus rétrogrades qui textuellement (et le texte, sacralisé, fait office de loi-cadre constitutionnelle) refusent dans « l’intime » des foyers que s’applique dans les faits la loi française.

Quant à la frange macroniste de la Secte, elle ne fait comme d’habitude qu’accentuer l’agenda de plus en plus crapuleux et bien sûr mensonger manipulant santé et météo pour faire croire que nous vivons à l’époque de la peste et d’une fin de monde inéluctable si nous ne nous repentons pas alors qu’il fait moins chaud qu’en 1911 (la chaleur y était en continu et non pas en dents de scie) et que les morts actuels en santé — hors vieillesse et accidents — tiennent bien plus du refus d’observer qu’ils résultent surtout d’une syndémie aux causes et principes volontairement ignorés par les Autorités de plus en plus à la solde sordide de cette Secte cynique et sanguinaire.

Et plus les effets de la matière historique mise en mouvement accéléré par des apprentis sorciers ayant ainsi ouvert sa boîte de Pandore broient de plus en plus tout sur leur passage, plus l’incompétence, l’ignorance, la bêtise, l’avidité, mais aussi la malignité maléfique qui fait office d’intelligence (ainsi l’hypocrisie du “passe sanitaire” bientôt “climatique” en est le sommet), se dévoilent dans toute leur horreur.

Et pourtant le peuple, happé par ses phares idéologiques multiformes, accepte quoique passivement son joug, du moins la frange qui vote, une minorité en fait (38,5 % à la dernière élection présidentielle française) imposant au reste de la population une régression morale intellectuelle technique jamais vue.

En effet, la mise à l’écart d’une technologie comme le nucléaire dans sa forme la plus aboutie (les surgénérateurs), le refus d’admettre la complexité synergique du corps humain en symbiose avec son environnement, au profit d’une vision datée de la physique humaine (à l’exception des progrès faits en matière chirurgicale orthopédique et d’imagerie), et le refus également d’analyser la complexité des relations humaines sédimentés par des circuits claniques et culturels ancestraux en décalage conflictuel avec ceux d’aujourd’hui, ayant émergé dans les mégalopoles modernes, montrent déjà l’inanité fondamentale d’une pseudo-élite qui ne mérite même plus d’être nommée telle tant elle n’en est plus que l’ombre vorace.

Il est dommage que “nous” perdions encore du temps à les entendre débiter leur ineptie sur le sexe des anges (avec ambassadeur) alors que tout s’effondre, comme si la fascination animale pour la soumission était maintenant la valeur centrale de l’humain domestiqué. Mais la puissance brute fait jouir, y compris au moment même où on l’a dénonce – oxymore favori de la gauche qui dénonce le viol, mais le promeut lorsqu’il est fait par les “libérateurs” non blancs que l’on s’empressera d’ailleurs de protéger de mesures politiques “disproportionnées” mettant en danger “leur vie privée et familiale”, preuve du mépris incommensurable qu’ont ces gens se sachant intouchables au sens non pas hindou, mais sacral du terme.

Retour à la Barbarie.




Révolution sanitaire au Costa Rica ?

[Source : arianebilheran.com]

Interview de Marco au Costa Rica

Par Ariane Bilheran

Témoignage de Marco Albertazzi

Le nouveau gouvernement du Costa Rica vient de supprimer le caractère obligatoire des injections expérimentales contre le COVID, et d’exiger des investigations juridiques sur les contrats passés par le gouvernement antérieur avec les multinationales des vaccins.

Dans ce contexte, j’ai souhaité recueillir le témoignage de Marco Albertazzi, qui est une figure clé de la résistance costaricaine, un homme pugnace et inspirant, qui par sa foi soulève des montagnes.

Marco est administrateur d’entreprise.

Il termine son master en Business et Administration.

Il fut le premier à s’exposer publiquement, allant marcher devant la Maison Présidentielle, pour informer la population sur les mensonges, la corruption et les manipulations de masse. Muni de sa pancarte, il interpellait les passants : « Quelle pandémie ? Quelle pandémie ? Où avez-vous vu une pandémie ? ».

Tout le monde le prenait alors pour un Diogène fou…

En ce jour historique du 3 août 2022, la résistance qu’il a levée à lui tout seul au Costa Rica a emporté sa première grande victoire.

Propos recueillis par Ariane Bilheran, normalienne, philosophe, docteur en psychopathologie
https://www.arianebilheran.com


Pouvez-vous me décrire comment s’est formée la résistance au Costa Rica, avec quelles ambitions ? Je suppose qu’au début vous n’étiez pas nombreux à avoir le courage d’affronter la politique sur la « pandémie » ? Quels obstacles avez-vous rencontrés ? Vous m’aviez parlé de répression, comment cela s’est-il passé ?

Après des abus, des restrictions et des impositions de la part du gouvernement, des décisions absolument incongrues par rapport à ce que nous vivions, et face à l’inaction des dirigeants politiques pour protéger les personnes bafouées, le 13 juillet 2020, je suis sorti seul dans la rue pour dénoncer cette pandémie devant la Maison Présidentielle, en me fondant sur des données biostatistiques et épidémiologiques qui n’étaient tout simplement pas en accord avec le message donné par le gouvernement de la République.

Ensuite, j’ai cherché des gens qui avaient des pages Facebook, Twitter, Instagram, et qui manifestaient leur désaccord avec la politique menée. J’ai contacté des médecins, des avocats, des psychologues, des infirmiers, des biologistes, et d’autres professions pour organiser le Mouvement pour la Santé et la Liberté. Je m’y consacre sans pause depuis 2020.

Nous nous sommes réunis et nous avons organisé des actions, des manifestations, différentes modalités de protestation. Nous avons subi des représailles inouïes. Dès le 13 juillet 2020, les attaques commencèrent contre moi, puis contre ceux qui me rejoignaient : selon la presse et les fonctionnaires du gouvernement, nous étions des négationnistes, les théoriciens du complot, etc. Quant à eux, ils continuaient d’exiger les fermetures et les confinements, des mesures restreignant la liberté, et de violer les droits de l’homme tels que la dignité et la liberté des êtres humains, la liberté de parole, le travail, la vie, la sécurité, le droit de ne pas être traités comme des esclaves, cruellement ou de manière dégradante, entre autres. Nous avons subi des répressions policières très violentes.

Lorsque les substances expérimentales sont sorties, nous avons été informés des risques qu’elles pouvaient produire. Nous avons alors commencé à alerter la population, ce qui nous a valu le titre « d’antivaccins » auprès des médias alignés sur la politique du gouvernement. Cependant, nous n’avons jamais cessé de parler des bons traitements qui pourraient aider les gens à surmonter le COVID, et de mettre en garde contre les risques des injections.

Pour avoir dénoncé ces abus, j’ai même été assigné à résidence (en arrestation à mon domicile) durant trois mois après que nous nous fûmes rendus dans un hôpital exiger des explications, puisqu’un enfant était retenu en otage pour être vacciné, ce que le personnel de l’hôpital a fait par la force, en frappant même sa mère enceinte lorsqu’elle essaya de le protéger des infirmières de l’hôpital. Le jour où nous sommes allés à l’hôpital pour défendre cet enfant et soutenir sa mère, la répression policière a été terrible : les policiers ont frappé des enfants, des personnes âgées, des femmes, à des médecins, dont la docteur Jimena Campos. Le but était d’intimider et d’attaquer le mouvement.

Qu’est-ce qui vous a donné le désir et la force de résister ?

Mon indignation devant la violation des droits humains, les gens écrasés, piétinés par le gouvernement, la police, l’abus de pouvoir, les gens arrêtés pour réclamer le droit d’aller travailler et alimenter leur famille. Je suis chrétien, et la Bible nous enseigne que, comme fils de Dieu, je dois défendre la vérité et la justice, et simplement je ne pouvais pas me taire. J’ai pensé que si David avait vaincu Goliath, et si Moïse avait vaincu Pharaon, je pouvais moi aussi, avec l’aide de Dieu, vaincre ces fous qui ont causé tant de torts à la population du Costa Rica. Il fallait de la vaillance et de la bravoure, lever la voix pour réveiller les consciences, et ne pas se taire. Face aux attaques, il ne fallait pas non plus se laisser faire.

Désormais au Costa Rica, vous avez remporté une victoire : la vaccination n’est plus obligatoire. Pouvez-vous me dire comment vous avez obtenu ce grand succès, qui l’est non seulement pour le Costa Rica, mais aussi pour le monde entier ? Vous donnez un sacré exemple.

Le Président actuel a tenté de supprimer l’inoculation obligatoire, mais les membres de la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie ont refusé. Après enquête, nous avons découvert que les nominations de cette Commission avaient expiré et que, par conséquent, tous les accords conclus par elle depuis 2020 étaient illégaux ! De même, conformément à la loi, nous avons demandé une copie certifiée des procès-verbaux de la Commission, et nous avons vu les insanités qui avaient été décidées alors que les membres savaient pleinement qu’ils faisaient le mauvais choix. Ils ont agi avec malice contre le peuple. Cela a conduit à une plainte pénale déposée hier (le 3 août) contre tous les membres de la Commission.

Quel est votre conseil pour les défenseurs des libertés dans les autres pays, qui essaient d’obtenir le même résultat que vous au Costa Rica ?

Battez-vous ! Exposez personnellement les décideurs et les promoteurs corrompus de ces politiques liberticides (photo, numéro d’identification, poste qu’ils occupent, etc.) afin que les gens puissent les identifier… qu’ils ressentent la pression (cela a fait démissionner un membre de la Commission). Déposez des plaintes pénales avec des preuves ! Examinez les procès-verbaux des Commissions qui ont pris les décisions des enfermements, des inoculations obligatoires, et de toutes les mesures contre les droits de l’homme et les libertés fondamentales, afin de pouvoir engager des actions en justice sur la base de ces preuves.

Frappez à toutes les portes.

N’abandonnez surtout pas.

Ne cédez pas à la fatigue.

Quel est votre prochain objectif ?

Continuer maintenant à exposer au public les effets néfastes de ces inoculations, poursuivre en justice les personnes qui ont obligé les citoyens à recevoir ces substances, mais aussi les employeurs (entreprises) qui ont harcelé, contraint, discriminé, suspendu et licencié leurs employés parce qu’ils ne voulaient pas subir ces injections, afin que cela ne se reproduise plus jamais, et m’attaquer aux mensonges de la variole du singe.

Pour contacter Marco :

Marco Albertazzi
Coordinateur général
Movimiento Por La Salud Y La Libertad (Mouvement pour la santé et la liberté)

direccion@movlibertadcr.com |+ (506) 6050-9992

Rencontre entre Marco Albertazzi et Ariane Bilheran le 30 juin 2022 :




Journal des bonnes nouvelles (au 4 août 2022) : le monde se réveille

Par Nicole et Gérard Delépine

Le combat paye, mais lentement. Contre la dictature des milliardaires, on ne livre pas une guerre éclair, mais une longue guerre d’usure pendant laquelle il ne faut pas se décourager. Ce petit journal rappelle les petits pas en avant que nous avons obtenus avec quelques références pour vous convaincre que la situation s’améliore doucement, mais sûrement. Pour remonter le moral de ceux qui commençaient à craquer.

Mais attention ce sont des signes du début de la fin, mais pas la fin. Il ne faut surtout pas baisser la garde ! Le Nouvel ordre mondial est richissime et a plus d’un tour dans son sac. Poursuivons à tous niveaux en particulier sur le plan juridique : plainte pour accidents de vax, plainte pour défendre les soignants suspendus, plainte contre abus de pouvoir des hôpitaux qui continuent à exiger le pass contre la loi, etc.. Nous commençons à marquer des points qui doivent nous encourager à poursuivre, mais ne surtout pas nous endormir. Comme l’a dit B. B. (Bertold Brecht) à propos du fascisme du dernier siècle : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».

Les oppositions ont réussi à s’unir contre le renouvellement éternel de la loi d’urgence

France — Demi-victoire de la nouvelle Loi de sécurité sanitaire — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Avouez que l’on n’y croyait pas ou peu. Loi d’Urgence, encore un mot dévoyé pour nous voler nos libertés

Encourageons les citoyens à poursuivre le combat par l’information large de tous sur la mascarade covid19 que nous vivons encore. Un grand pas a été franchi par la fin de la loi d’exception grâce à la nouvelle assemblée dans laquelle E. M. n’a plus la majorité absolue. Les élections législatives, les multiples vidéos, les articles sur des centaines de supports variés et les manifestations ont réussi à éveiller un certain nombre de concitoyens et de parlementaires. Le combat paie. Il faut le poursuivre avec ténacité et assiduité.

En effet, la volonté des puissants de maintenir la population dans la peur du covid ou de son prochain variant ou autre cousin ou la variole du singe est manifeste, car les mondialistes veulent continuer à nous terroriser pour que nous ne défendions plus nos libertés et nous forcer à nous faire injecter. Les publicités mensongères à répétition du ministère de la Santé poussant à l’injection sur les écrans de télévision en témoignent. La prise de parole du directeur de l’OMS qui veut reproduire le scénario covid avec la variole du singe qui est une maladie généralement bénigne (même si son aspect cutané n’est pas ragoûtant) en témoigne. Nous ne laisserons pas faire ce terroriste des épidémies et y reviendrons.

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître devant des juges

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice alléguant qu’ils ont collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Fauci et de hauts responsables de Biden sont cités à comparaître dans le cadre d’une action en justice les accusant d’avoir incité et collaboré avec les médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression

Les hauts responsables de l’administration Biden — dont le Dr Anthony Fauci — et cinq géants des médias sociaux ont 30 jours pour répondre aux citations à comparaître et aux demandes de communication de pièces dans le cadre d’une plainte accusant le gouvernement Biden d’entente avec les sociétés de médias sociaux pour supprimer la liberté d’expression « sous couvert de lutte contre la désinformation. »

La présidente de la Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, qui est également l’avocate générale de la CHD, a salué la décision juridique d’instruire la plainte :

« La CHD salue l’annonce de cette décision révolutionnaire du juge Doughty du district occidental de la Louisiane, qui découvre si l’administration Biden a violé le premier amendement par la censure.

« Pendant deux ans, la CHD et de nombreux autres médias n’ont pas été en mesure de comprendre les mécanismes par lesquels nos principales plateformes médiatiques ont impitoyablement censuré, supprimé et déformé nos informations.

« Maintenant, grâce au processus de découverte que le juge a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mauvaise information”. C’est un nouveau jour. »

Fauci, les CDC, le secrétaire de presse de la Maison-Blanche et d’autres doivent remettre les documents demandés par les juges.

NorthShore University HealthSystem va indemniser les soignants vaccino prudents discriminés

Un règlement de 10,3 millions de dollars a été conclu dans le cadre du premier recours collectif contre le vaccin obligatoire COVID impliquant des travailleurs de la santé. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Pour clore le premier procès collectif intenté par des travailleurs de la santé discriminés pour leur refus de l’obligation vaccinale COVID, Liberty Counsel a accepté de régler, pour plus de 10,3 millions de dollars d’indemnisation.

Le règlement de l’action collective contre NorthShore University HealthSystem est au nom de plus de 500 travailleurs de la santé actuels et anciens qui ont été illégalement discriminés et se sont vus refuser des exemptions religieuses du mandat de vaccination COVID.

Le règlement convenu a été déposé aujourd’hui devant le tribunal fédéral du district nord de l’Illinois.

À la suite du règlement, NorthShore paiera 10 337 500 $ pour indemniser les 500 soignants (en moyenne 20 000 dollars par soignant) qui ont été punis pour leurs croyances religieuses contre la prise d’une injection associée à des cellules de fœtus avortés.

Il s’agit d’un règlement de recours collectif historique, le premier du genre, contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse pour les vaccins COVID-19. Le règlement doit être approuvé par le tribunal fédéral du district.

Espérons qu’il fera jurisprudence et qu’il sera suivi de beaucoup d’autres contre les employeurs américains abusifs

En Espagne : la justice donne 10 jours à l’État pour dévoiler tous les contrats signés avec Pfizer

Par Cheikh Dieng – 2 août 2022

La justice baléare a accordé à l’État espagnol un délai de dix (10) jours pour lui fournir tous les contrats signés avec Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca dont les vaccins anti-Covid ont été déployés sur le territoire espagnol durant la pandémie à Coronavirus. Une nouvelle qui déclenche l’immense joie de l’Association espagnole Liberum, laquelle n’a cessé d’exiger que ces contrats soient rendus publics par respect aux citoyens

« Un malheur ne vient jamais seul », dit l’adage. Et Pfizer semble l’avoir bien compris.

En tout cas, moins d’un mois seulement après la décision de la justice uruguayenne du 8 juillet 2022 d’obtenir des informations sur le contenu chimique du vaccin du labo américain,

mais Pfizer préfère ne pas distribuer son injection plutôt que de faire ce que la justice lui demande.

VOUS N’AVEZ PAS À PRÉSENTER DE TEST À L’ENTRÉE D’UN HÔPITAL OU D’UNE CLINIQUE

Fabrice Di Vizio alerte : « Ne faites plus de tests Covid-19 ! Cette histoire aussi c’est terminé ! » (Vidéo complète) — Dissident Officiel tweet du 2 aout 2022 Les hôpitaux n’ont plus le droit de demander de test Négatif ! C’est au surplus confirmé par une circulaire DGS 2022-69 que je mets sur le nouveau site de l’association qui sort demain matin dit Fabrice di Vizio

Voici le lien vers la circulaire (à imprimer et à présenter le cas échéant) :
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_n2022_69_evolution_esms_fin_eus.pdf

Si difficultés ET ABUS DE POUVOIR faire acter le refus et le communiquer à l’association de Fabrice Di Vizio

juriste@jenesuispasundanger.com adresse correcte vérifiée

Les victimes des complications des vaccin COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier

COVID Vaccine Injuries Quietly Being Compensated Around the World, Are You Eligible? + More • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

Les morts, myocardites, accidents vasculaires et les autres complications causées par le vaccin contre la COVID sont progressivement indemnisées dans le monde entier, y êtes-vous admissible ?

En Australie plus de 10 000 victimes des vaccins vont être indemnisées selon le « COVID-19 Vaccine Claims Scheme »(([1] https://www.health.gov.au/initiatives-and-programs/covid-19-vaccine-claims-scheme)) pour les effets secondaires, rapporte le Sydney Morning Herald. Si chacune de ces demandes est approuvée par les autorités, le gouvernement se retrouverait ainsi avec une facture à payer de 50 millions de dollars australiens, soit environ 32 millions d’euros.(([2] https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-11-16/australia-faces-compensation-bill-for-vaccine-side-effects-smh))

La Nouvelle-Zélande vient de créer un schéma d’indemnisation semblable(([3] https://catalogue.data.govt.nz/dataset/vaccine-injury-compensation)) et un collectif de médecins — nommé New Zeland Doctors Speaking Out with Science (NZDSOS) — s’est constitué pour demander l’ouverture d’une enquête par la police.(([4] https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-contre-la-covid-19-des-medecins-neozelandais-sonnent-alerte))

Mais aussi l’Argentine.(([5] https://www.francesoir.fr/politique-monde/vaccination-covid-largentine-indemnise-victimes-effets-indesirables))

Mais aussi le Canada.(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1887847/vaccin-covid-19-astra-zeneca-compensation-indemnisation-syndrome-guillain-barre))(([7] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1813105/compensations-reaction-vaccination-coronavirus))

Et en France ? Lorsque les victimes du vaccin Covid réaliseront, malgré le déni de nombreux médecins, la responsabilité des injections dans la genèse de leurs troubles, la note risque d’être élevée. Après avoir payé les vaccins, nos impôts devront indemniser les victimes, car Pfizer a obtenu par la Commission européenne de ne pas payer d’indemnisation aux victimes !

Une vraie bonne nouvelle : le nouveau livre de Robert F. Kennedy traduit en français — « Une lettre aux libéraux » possible en téléchargement.

L’ordre se réveille enfin et condamne des médecins de plateau qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts avec l’industrie

Par deux décisions rendues le 18 juillet 2022, la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins rappelle que le Code de Santé Publique doit être respecté, et notamment ses articles L 4113-13 et R 4113-110, le premier disposant que « les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé (…) sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits (…) dans la presse écrite ou audiovisuelle. »

Il sanctionne d’un avertissement le Professeur Robert COHEN et le Professeur Bruno LINA pour ne pas avoir fait état, lors d’interventions dans les médias sur les vaccins, de leurs liens d’intérêts avec certaines entreprises pharmaceutiques fabriquant ces produits.

L’association E3M a constaté 200 liens d’intérêts entre l’industrie et le Pr Cohen de 2012 à 2018 pour un montant total de 57 730 €, ainsi que 60 contrats sans montants déclarés. À cela, il convient d’ajouter l’existence de 58 déclarations de liens entre l’industrie et l’association ACTIV (association créée et dirigée par le Pr Cohen ayant pour objet la formation des professionnels de santé et la recherche, avec le soutien des laboratoires MSD, GSK, Pfizer, Sanofi, CGM) pour un montant total de 748 520 € (dont 601 920 € par Sanofi et 126 600 € par GSK) ainsi que 14 contrats sans montants déclarés.

Le Pr Lina, chef du laboratoire de virologie du CHU de Lyon, est quant à lui intervenu pour défendre le vaccin Gardasil, mis en cause dans la survenue de graves effets indésirables. Lui non plus n’a pas déclaré ses liens avec l’industrie pharmaceutique alors qu’il est depuis de nombreuses années Président du Conseil Scientifique du GEIG (Groupe d’Expertise et d’Information sur la Grippe), « financé par les 4 laboratoires qui distribuent des vaccins contre la grippe sur le territoire français (Abbott Products SAS, GSK, Novartis Vaccines et Sanofi Pasteur MSD) ».

Comme l’Ordre ne se saisit pas spontanément de ces faits délictueux (alors qu’il pourrait parfaitement le faire), il faut espérer que de nouvelles plaintes portées contre d’autres « experts » des médias vont obliger l’ordre à condamner ces leaders d’opinion qui agissent dans les médias comme avocat de l’industrie pharmaceutique sans mentionner leurs liens d’intérêts comme ceux qui nous ont abreuvés depuis plus de deux ans d’une propagande provax covid sans limites. Si l’ordre faisait enfin respecter la loi « transparence santé », le public saurait qui est réellement l’expert qui s’exprime et quels sont ses liens avec le monde économique et notamment les fabricants des produits dont il fait la promotion.

Le retournement de veste en série des « officiels pivots de la stratégie tout vaccin :

https://pgibertie.com/2022/07/30/delfraissy-veut-laver-son-honneur-et-annonce-lechec-des-futures-injections-qui-dereglent-le-systeme-immunitaire/

Le bal des “morts de trouille” ouvert par Delfraissy — Riposte Laique

IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI” dit J F. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique

UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains. Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnable, les Français l’ont compris”.

@UPR_Asselineau

“LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure.” et aussi sur la variole du singe, etc..

Fischer Alain s’y met aussi : “le vaccin à la rigueur pour les vieux”. Alors qu’en juin 2022 il voulait vacciner tous les enfants…

En retournant leur veste, ils espèrent probablement se faire pardonner de leurs méfaits ou alléger leur conscience pour ne pas finir par se suicider comme l’a fait le docteur autrichien Lisa-Maria Kellermayr, avocate zélée des pseudo vaccins contre le coronavirus, qui n’a pas assumé la responsabilité des dégâts et des morts que sa propagande mensongère a occasionnés.

Et les soignants suspendus : le gouvernement va devoir craquer

L’obligation vaccinale comme condition d’engagement des soignants aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) a été supprimée depuis le début du mois de mai.

Pourquoi le gouvernement, l’académie de médecine et la HAS s’obstinent contre l’évidence scientifique que cette mesure ne sert à rien contre l’épidémie ?

Le 20 juillet 2022, Antoine Flahault, épidémiologiste très provax dans les médias depuis mars 2020, a appelé sur Twitter à la réintégration des soignants non vaccinés arguant que leur suspension n’est plus fondée scientifiquement,(([8] https://www.tf1info.fr/sante/coronavirus-7e-vague-de-covid-19-l-obligation-vaccinale-des-soignants-n-a-plus-grand-sens-estime-le-pr-antoine-flahault-2227)) car le vaccin ne réduit pas suffisamment les contaminations.

Le professeur Y. Freund, urgentiste à l’AP-HP s’est prononcé lui aussi pour la réintégration des soignants non vaccinés, car on ne peut pas poser de conditions éthiques à l’embauche d’un soignant.

À l’heure où les urgences ferment les unes après les autres par manque de soignants, où de nombreuses interventions chirurgicales sont reportées faute de chirurgiens, d’anesthésistes ou d’infirmières de bloc et où on ne parle même plus des autres services (comme le service de greffes à Caen) en voie de fermeture ou déjà fermés, la population et les décideurs politiques doivent bien se rappeler que 15 000 soignants au moins sont suspendus sans salaire, que 150 000 infirmiers formés ne travaillent plus comme soignant en raison de la maltraitance managériale depuis trente ans et que beaucoup de soignants en poste et injectés sont en burn-out, démissionnaires et/ou en arrêt de travail.

Il faut abolir cette obligation infondée d’injection expérimentale, réintégrer les soignants injustement suspendus, mais aussi modifier le management pour qu’il retrouve son but ultime le soin, payer correctement les professionnels du soin et cesser le cirque des missions flash ou autre grenelle de la santé. Quant aux contes de Ségur, on a déjà donné.(([9] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir))

Il serait bien que l’ensemble des soignants, médecins, infirmiers aide-soignant, secrétaires, etc. décident enfin de sauver l’honneur de la profession soignante au sens large, en décrétant une grève illimitée de tous les acteurs des hôpitaux privés comme publics, maisons de soin, dispensaires, etc. tant que les suspendus ne seront pas réengagés.

Ce serait le minimum pour faire un peu oublier leur silence coupable depuis de longs mois. En septembre 2021, lors de leur suspension tout le monde savait déjà que le vaccin ne protégeait ni de la maladie ni de la transmission. Les médias mensongers surfaient encore sur les formes graves pour faire piquer la totalité de la population, mais cela ne justifiait en rien d’injecter de force les soignants ou les pompiers et d’interdire aux autres de soigner. Aucune excuse, même pas la peur ! Alors c’est le moment de se racheter.

NE FAIBLISSEZ PAS ! BATTONS-NOUS POUR QUE LA VÉRITÉ TRIOMPHE ENFIN ET POUR RÉTABLIR L’INTÉGRALITÉ DE NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES POUR LE SEUL BIEN d’UNE POIGNÉE DE MILLIARDAIRES.

Et ajoutons progressivement d’autres bonnes nouvelles à cette liste non exhaustive.





Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation

[Source : mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

« Nous sommes maintenant confrontés à une situation où un nombre énorme d’organisations et d’élites très puissantes aux niveaux international et national appellent à des politiques qui sont fondamentalement un pacte de suicide. Fondamentalement, un souhait de mort en quelque sorte. »

(Patrick Moore, ancien président de Greenpeace)

« Trois médecins de l’Ontario sont morts après que l’hôpital où ils travaillaient ait commencé à administrer la quatrième dose de rappel à son personnel. Où sont les autopsies ? S’agit-il d’une coïncidence ou sont-ils victimes de cette diabolique campagne de vaccination mondiale ? » .

(Mark Taliano, auteur renommé, associé de recherche du CRG)

« Cette campagne de vaccination restera comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine, … De plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. »

(MP Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022)

Tous ces décès peuvent être attribués à une « piqûre de poison » qui pousse implacablement la mortalité toutes causes confondues à la hausse tout en tuant des personnes de plus en plus jeunes.

(Mike Whitney, auteur renommé et chercheur associé du CRG, novembre 2021)

Introduction

Les deux piliers stratégiques de l’agenda Covid-19 sont :

  • Le verrouillage [confinement] : un acte de guerre économique et sociale qui a déclenché un processus mondial d’appauvrissement, de marginalisation sociale et de désespoir ;
  • Le « vaccin » ARNm Covid qui a entraîné une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Sans précédent dans l’histoire du monde, ces deux piliers stratégiques ont contribué à déclencher un processus de dépopulation qui témoigne de manière indéniable de crimes de grande ampleur contre l’humanité. Au moment où nous écrivons ces lignes, la quatrième injection du « vaccin » Covid-19 est en cours d’administration, entraînant une augmentation spectaculaire du nombre de victimes.

L’application du programme de dépopulation nécessite une structure de « gouvernance mondiale » socialement répressive et contrôlée par l’establishment financier.

Elle nécessite également un appareil de propagande cohésif en vue d’imposer l’acceptation sociale dans le monde entier. À son tour, ce processus exige la disparition des institutions de gouvernement représentatif et la criminalisation du système judiciaire.

La première partie de cet article se concentre sur la « tyrannie numérique », à savoir les structures de la « gouvernance mondiale ».

La deuxième partie de l’article se concentre sur le programme de dépopulation eugéniste, ses racines historiques et sa mise en œuvre mondiale par les mondialistes.

Vers un État policier mondial numérisé

Le projet de code de vérification QR mondial jette les bases de l’instauration d’un « État policier mondial numérisé » contrôlé par l’establishment financier. Il fait partie de ce que David Rockefeller (1915-2017) a intitulé « La marche vers un gouvernement mondial », basé sur une alliance de banquiers et d’intellectuels (voir Michel Chossudovsky, chapitre XII). Peter Kœnig décrit le Code QR comme :

« un identifiant entièrement électronique — reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Vers un système mondial de monnaie numérique (CBDC)

Des consultations sont également en cours entre le Forum économique mondial (WEF) et les banques centrales en vue de mettre en place un réseau dit de monnaie numérique de banque centrale (CBDC). Selon David Scripac

« Un système mondial d’identification numérique est en cours d’élaboration. … L’objectif du FEM [Forum économique mondial] et de toutes les banques centrales est de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC). »

Le logiciel de vérification du code QR

Début 2022, l’OMS a signé un contrat majeur avec Deutsche Telekom T Systems pour développer une application et un logiciel de vérification QR qui seront utilisés dans le monde entier.

La solution logicielle basée sur le code QR devrait être adoptée :

« pour d’autres vaccinations également, comme la polio ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué… ajoutant que l’OMS aiderait ses 194 États membres à mettre en place une technologie de vérification nationale et régionale. » (c’est nous qui soulignons)

Selon un communiqué de Deutsche Telekom I-T Systems, « le service de passerelle de l’OMS sert également un pont entre les systèmes régionaux » ce qui implique essentiellement une structure mondiale coordonnée de surveillance QR, qui supervise l’ensemble de la population de la planète Terre.

Et une fois établie : elle surveillera « tous les aspects de notre vie », où que nous soyons. « Il pourra également être utilisé dans le cadre des futures campagnes de vaccination et des enregistrements à domicile. »

Selon le PDG de Deutsche Telecom T Systems :

« Le Coronavirus a une emprise sur le monde. La numérisation fait que le monde est en perpétuel mouvement ».

Bill Gates a entretenu une relation de longue date avec l’ancien PDG de Deutsche Telekom, Ron Sommer, qui remonte à la fin des années 1990.

Traçage et suivi

T-Systems avait auparavant mis en place le European Federation Gateway Service (EFGS). Ce service veille à ce que les applications de traçage Corona des États membres fonctionnent au-delà des frontières.

L’application Telekom est considérée comme « l’une des applications de traçage les plus performantes au monde ».

Qui a l’emprise sur le monde ? Une gigantesque banque de données concernant les quelque 8 milliards d’habitants de la planète est contrôlée par « Big Money ».

Les gens sont marqués et étiquetés, leurs courriels, leurs téléphones portables sont surveillés, des données personnelles détaillées sont saisies dans une banque de données géante de « Big Brother ».

La « tyrannie numérique » consiste à réprimer toute forme de résistance politique et sociale.

Les êtres humains (individus) sont catégorisés comme des « numéros ». Une fois ces « numéros » insérés dans une banque de données numérique mondiale, l’humanité dans son ensemble est sous le contrôle des mondialistes, à savoir l’Establishment financier.

L’histoire, la culture et l’identité des États-nations sont verrouillées. Les personnes deviennent des numéros insérés dans une banque de données mondiale. A son tour, la formulation de projets de société aux niveaux national, local et communautaire est effacée.

Social-démocratie, socialisme, « libertarianisme » : Sous la gouvernance mondiale, toutes les formes de démocratie représentative et de lutte des classes sont précipitées dans les oubliettes de l’Histoire.

Les progressistes doivent comprendre qui est derrière ce projet hégémonique, il fait partie d’un agenda néolibéral, c’est une fin de partie qui détruit l’identité des personnes, elle détruit l’humanité.

Il est important d’organiser un vaste mouvement de résistance menant au démantèlement pur et simple de ce programme diabolique, qui est inscrit dans le traité de l’OMS sur la pandémie, parrainé par le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Gates.

Le scandaleux traité de l’OMS sur la pandémie

En mars 2022, l’OMS a lancé un organisme intergouvernemental de négociation (INB) ayant pour mandat de créer « Un traité sur la pandémie », c’est-à-dire une entité de gouvernance mondiale de la santé qui passerait outre l’autorité des États membres de l’OMS.

« Le traité mondial sur la préparation à la pandémie accorderait à l’OMS un pouvoir absolu sur la biosécurité mondiale, comme le pouvoir de mettre en œuvre des identités numériques/passeports vaccinaux, des vaccinations obligatoires, des restrictions de voyage, des verrouillages, des soins médicaux standardisés et plus encore.

Ce traité sur la pandémie, s’il est mis en œuvre, modifiera le paysage mondial et nous privera, vous et moi, de certains de nos droits et libertés les plus fondamentaux.

Ne vous trompez pas, le traité de pandémie de l’OMS est une attaque directe contre la souveraineté de ses États membres, ainsi qu’une attaque directe contre votre autonomie corporelle. » (Peter Kœnig, juin 2022)

Le traité contre la pandémie est lié au projet de code de vérification QR de l’OMS et au vaccin à ARNm Covid-19.

La légitimité du Traité sur la pandémie et du Code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie Covid-19 est réelle » et que le vaccin à ARNm constitue une SOLUTION pour enrayer la propagation du virus.

Quelle est la légitimité ainsi que la science derrière ce projet diabolique ? AUCUNE. Amplement confirmé : IL N’Y A PAS DE PANDÉMIE. La prétendue pandémie Covid-19 est basée sur une « fausse science » (voir Michel Chossudovsky, chapitre III).

[Voir aussi :
Le plus gros mensonge de l’histoire : La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.
VIRUS TUEUR ??
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le mythe de la contamination épidémique
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Démontage de la théorie virale
L’enterrement de la théorie virale
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
L’invention du SARS-CoV-2
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus]

Le cadre du certificat numérique COVID de l’UE et le code de vérification QR de l’OMS reposent tous deux sur des mensonges et des fabrications purs et simples.

Le traité sur la pandémie est la « porte arrière » vers la « gouvernance mondiale » et la tyrannie numérique. Il consiste à construire un réseau mondial de régimes mandataires contrôlés par une « souveraineté supranationale » (gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques.

Le scénario de la gouvernance mondiale tente d’imposer un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique.

Le gouvernement mondial envisagé par les mondialistes est fondé sur l’obéissance et l’acceptation. L’un de ses principaux objectifs est de mettre en œuvre un programme de dépopulation mondial.

La dépopulation et l’histoire de l’eugénisme

Le mouvement eugénique contemporain, parrainé par le Forum économique mondial (WEF) et les philanthropes milliardaires, repose sur deux piliers stratégiques : le verrouillage Covid et le vaccin ARNm, qui sont des instruments de réduction de la population mondiale.

Les guerres menées par les États-Unis et l’OTAN sont également des instruments de dépopulation.

Ce que nous vivons actuellement est sans précédent. L’agenda de la dépopulation d’aujourd’hui n’est en aucun cas comparable au mouvement eugéniste qui s’est développé aux États-Unis à partir du début du 20e siècle. Au départ, l’eugénisme reposait sur une législation dirigée contre des groupes de population spécifiques présentant ce que l’on appelle des « difficultés d’apprentissage ou des handicaps physiques » :

« La loi de 1907 interdisait l’entrée à toute personne jugée “mentalement ou physiquement déficiente, ces déficiences mentales ou physiques étant d’une nature susceptible d’affecter la capacité de cet étranger à gagner sa vie”. Elle a ajouté à cette liste les “imbéciles” et les “personnes faibles d’esprit”. »…

En 1938, 33 États américains autorisaient la stérilisation forcée des femmes souffrant de troubles de l’apprentissage et 29 États américains avaient adopté des lois de stérilisation obligatoire pour les personnes supposées souffrir de maladies génétiques. Les lois américaines restreignent également le droit de certaines personnes handicapées à se marier. Plus de 36 000 Américains ont subi une stérilisation obligatoire avant que cette législation ne soit finalement abrogée dans les années 1940. » (Victoria Brignell)

La dépopulation dirigée contre les pays du tiers monde

Inspirée par l’idéologie eugéniste, la dépopulation est devenue, après la Seconde Guerre mondiale, une partie intégrante de l’agenda néocolonial. Elle a été soigneusement intégrée dans les principes de la politique étrangère américaine, en grande partie dirigée contre les « pays en développement ».

Nous nous souvenons du mémorandum d’étude 200 sur la sécurité nationale du secrétaire d’État américain Henry Kissinger, intitulé « Implications of Worldwide Population Growth For U.S. Security and Overseas Interests« .

Selon Kissinger (NSSM 200, 1974) :

« Le dépeuplement devrait être la priorité absolue de la politique étrangère à l’égard du tiers monde, car l’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minerais provenant de l’étranger, en particulier des pays moins développés. »

La campagne de vaccination dirigée contre les pays du tiers monde

En ce qui concerne les pays du tiers monde, la dépopulation a été soigneusement instrumentée par le biais des vaccins. Le projet de « vaccins antitétaniques » mis en œuvre sous les auspices de l’OMS et de l’UNICEF était destiné à « stériliser secrètement les femmes des pays pauvres de la planète ».

« Les évêques catholiques du Kenya accusent deux organisations des Nations Unies d’avoir stérilisé des millions de jeunes filles et de femmes sous couvert d’un programme de vaccination antitétanique parrainé par le gouvernement kenyan. »

Bill Gates, qui est maintenant à l’avant-garde du programme de « vaccin » à ARNm des mondialistes, était étroitement impliqué. « La Fondation Gates a été poursuivie par des gouvernements du monde entier, le Kenya, l’Inde, les Philippines — et plus encore » (Peter Kœnig, avril 2020)

Le programme de dépopulation des mondialistes : « Que faire de tous ces gens inutiles ? »

Suivant les traces du Mémorandum national 200 de 1974 d’Henry Kissinger, les mondialistes du FEM considèrent que la planète Terre est surpeuplée. Ils ne reconnaissent pas formellement que les mandats Covid-19, y compris le « vaccin » à ARNm, constituent le moyen de réduire la population mondiale.

Le « vaccin » est présenté avec désinvolture comme un moyen de « sauver des vies ».

Le protégé de Klaus Schwab, le professeur Yuval Noah Harari, pose néanmoins la question suivante : « Que faire de toutes ces personnes inutiles?“.

Harari est un membre influent du Forum économique mondial (FEM) qui soutient l’idée de créer une société dystopique gérée par une poignée de mondialistes qui régneront sur tous les êtres humains dès le premier jour de leur naissance. (Timothy Alexander Guzman, juillet 2022)

Réunion secrète de 2009 du « The Good Club ». « Les milliardaires essaient de réduire la population mondiale ».

Flashback au 25 avril 2009 : l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dirigée par Margaret Chan a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) concernant la pandémie de grippe porcine H1N1, qui, à bien des égards, était une « répétition générale » de la pandémie de Covid. (Voir Michel Chossudovsky, chapitre IX). À peine deux semaines plus tard, début mai 2009, au plus fort de la « pandémie » de grippe H1N1, les milliardaires philanthropes se sont réunis à huis clos au domicile du président de l’Université Rockefeller à Manhattan.

Ce rassemblement secret était parrainé par Bill Gates. Ils se sont baptisés « The Good Club ». Parmi les participants figuraient le défunt David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey et bien d’autres :

« Certains des principaux milliardaires américains se sont réunis secrètement pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en matière de santé et d’éducation. » (Sunday Times, mai 2009)

L’accent n’est pas mis sur la croissance démographique (c’est-à-dire le planning familial), mais sur la « dépopulation », c’est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale.

Pour lire l’article complet du WSJ, cliquez ici.

Selon le rapport du Sunday Times :

Les philanthropes qui ont participé à un sommet organisé à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont discuté de la possibilité d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.

(…)

Stacy Palmer, rédactrice en chef de la Chronicle of Philanthropy, a déclaré que ce sommet était sans précédent. « Nous n’en avons appris l’existence qu’après coup, par accident. Normalement, ces personnes sont heureuses de parler de bonnes causes, mais c’est différent — peut-être parce qu’elles ne veulent pas être perçues comme une cabale mondiale », a-t-il déclaré.

Un autre invité a déclaré qu’il n’y avait « rien d’aussi grossier qu’un vote », mais qu’un consensus s’était dégagé pour soutenir une stratégie dans laquelle la croissance démographique serait abordée comme une menace environnementale, sociale et industrielle potentiellement désastreuse.

« C’est quelque chose de tellement cauchemardes que que tout le monde dans ce groupe a convenu qu’il fallait y apporter des réponses à gros cerveau [big-brain answers] », a déclaré l’invité. …

Pourquoi tant de secret ? « Ils voulaient parler entre riches sans s’inquiéter que tout ce qu’ils disaient finisse dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial alternatif », a-t-il déclaré. (Sunday Times)

La prise de décision est complexe et compliquée. Les rapports de cette réunion secrète de mai 2009 révèlent largement le projet de dépopulation. Il s’agissait d’une réunion parmi de nombreuses autres semblables (qui font rarement l’objet d’une couverture médiatique).

Ce qui est significatif, c’est l’intention criminelle de ces « philanthropes » milliardaires de dépeupler la planète Terre.

Déclaration de Bill Gates sur la dépopulation en 2010. Le rôle des « nouveaux vaccins ».

Une « réduction » absolue de la population mondiale était-elle envisagée lors de cette réunion secrète de mai 2009 ? Quelques mois plus tard, Bill Gates, dans sa présentation TED (février 2010) relative à la vaccination, a déclaré ce qui suit :

« Et si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire cela [la population mondiale] de 10 ou 15 % ».

(Voir la citation dans la vidéo à partir de 04:21. Voir également la capture d’écran de la transcription de la citation ci-dessous).

TED Talk à 04:21 :



La « réduction absolue » de la population mondiale selon Bill Gates

La population mondiale en 2022 est de l’ordre de 8,0 milliards d’habitants.

La proposition de Bill Gates de mettre en œuvre une « réduction absolue » de la population mondiale sur la base des données de 2022 en utilisant de « nouveaux vaccins » est la suivante :

  • Une réduction absolue de 10 % en 2022 serait de l’ordre de 800 millions.
  • Une réduction absolue de 15 % de la population mondiale en 2022 serait de l’ordre de 1,2 milliard.

Le même groupe de milliardaires, qui s’est réuni au « lieu secret » de mai 2009, a participé activement, dès le début de la crise du COVID, à la conception des politiques de confinement appliquées dans le monde entier, du vaccin à ARNm et de la « Grande réinitialisation », dont le but ultime est la dépopulation.

Les crimes contre l’humanité sont indescriptibles.

Nous avons affaire à une cabale criminelle qui doit être affrontée.

Michel Chossudovsky


La source originale de cet article est Global Research :

The COVID-19 Endgame: Global Governance, “Digital Tyranny” and the Depopulation Agenda

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 




Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »

[Source : profidecatholica.com]

« Nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps, nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants ».

Monseigneur Carlo Maria Vigano.

(LifeSiteNews) – Note de l’éditeur : Ce qui suit est la transcription d’une interview vidéo que l’archevêque Carlo Maria Viganò a donnée à Armando Manocchia de Byoblu TV.

Armando Manocchia : Votre Excellence, [ici en Italie] nous sommes maintenant en faillite économique et financière, où la dette publique dépasse maintenant 2,7 milliards d’euros. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie importante de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social qui inclut un sens éthique et moral ?

Mgr Viganò : La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire des nations individuelles à un organisme supranational tel que l’Union européenne. La Banque centrale européenne est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les forçant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque centrale européenne est officiellement détenue par les banques centrales des nations qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée, et agit comme telle.

Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui emprunte auprès d’elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, car l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.

Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union européenne, qui impose des prêts à intérêt en octroyant les fonds que les différentes nations ont préalablement versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve donc à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne perçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont rendus à usure comme s’ils n’étaient pas les siens.

Le quatrième facteur est dû aux politiques fiscales misérables des récentes administrations [italiennes], sur ordre péremptoire de la Troïka, à savoir le Fonds monétaire international, la Commission européenne et la Banque centrale européenne, qui sont les créanciers officiels des pays membres. L’importante exonération fiscale des grands groupes financiers et commerciaux et le harcèlement des petites entreprises sont à la base de l’appauvrissement progressif du pays et de l’échec de nombreuses activités, avec pour conséquence l’augmentation du chômage et la création d’une main-d’œuvre bon marché. Et n’oublions pas que c’est toujours l’Union européenne qui impose les soi-disant réformes, basées sur un faux récit — pensez au réchauffement climatique ou à la surpopulation — avec le chantage des prêts qu’elle a consentis aux pays membres : l’égalité des sexes et d’autres horreurs ont été introduites dans les législations nationales sans aucune consultation des citoyens, sachant même très bien qu’ils étaient contre.

Enfin, l’action subversive de l’Agenda 2030 de l’ONU — c’est-à-dire la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial — a pour objectif déclaré le transfert de la richesse des nations et des individus vers de grands fonds d’investissement gérés par la mafia mondialiste. Cette opération subversive doit être dénoncée et poursuivie par les magistrats, car elle constitue un véritable coup d’État silencieux contre la collectivité.

Je tiens cependant à préciser que l’aspect économique n’est qu’un moyen pour atteindre des objectifs bien plus inquiétants, comme le contrôle total de la population mondiale et son asservissement : si les citoyens sont privés de l’accès à la propriété ; si on les empêche d’avoir la liberté d’entreprendre ; si le chômage endémique est causé et augmenté par l’immigration incontrôlée et les urgences sanitaires, réduisant le coût du travail ; si les Italiens sont harcelés par des impôts exorbitants ; si on pénalise la famille traditionnelle en rendant pratiquement impossible à deux jeunes de se marier et d’avoir des enfants ; si l’on détruit l’éducation dès l’école primaire et que l’on crée un vide culturel en frustrant le talent des individus ; si l’on annule l’histoire de notre terre natale et que l’on nie le glorieux héritage qui a fait la grandeur de l’Italie au nom de l’inclusion et du renoncement à notre identité nationale, à quoi peut-on s’attendre, sinon à une société sans avenir, sans espoir, sans envie de se battre et de s’engager ?

Pour reconstruire le tissu social, il est d’abord essentiel d’avoir conscience du coup d’État en cours, réalisé avec la complicité des gouvernants et de toute la classe politique. Comprendre que nous avons été spoliés de nos droits inaliénables par une organisation criminelle internationale est le premier pas indispensable à faire. Une fois que cela sera compris, surtout par le côté sain des institutions et du pouvoir judiciaire, il sera possible de juger les traîtres qui ont rendu possible ce coup d’État silencieux, en les bannissant à jamais de la scène politique. Évidemment, l’Italie devra retrouver sa souveraineté, d’abord en quittant l’Union européenne.

A. Manocchia : Dans cette œuvre de reconstruction, dans laquelle l’Alliance antimondialiste que vous avez initiée jouera un rôle décisif, quelles seront les premières initiatives à lancer ?

Mgr Viganò : Il faudra mettre en œuvre un projet clairvoyant et de grande envergure, qui a pour but la formation intellectuelle, scientifique, culturelle, politique et même religieuse de la future classe dirigeante, en la dotant de la capacité de jugement critique et de solides références morales. Il faudra créer des écoles et des fondations d’où émergera une classe dirigeante de citoyens vertueux, de gouvernants honnêtes, d’entrepreneurs qui sauront concilier les exigences légitimes du profit avec les droits des travailleurs et la protection des consommateurs.

Ceux qui occupent des fonctions publiques, comme tout citoyen honnête, doivent être conscients qu’ils sont responsables devant Dieu de ce qu’ils font, et qu’ils doivent faire passer le bien commun avant l’intérêt personnel, s’ils veulent se sanctifier dans le rôle que le Seigneur leur a assigné et mériter le paradis. Nous devons éduquer les enfants et les jeunes à l’honnêteté, au sens du devoir et de la discipline, à la pratique des vertus cardinales comme conséquence cohérente des vertus théologales ; à la responsabilité de savoir que le bien et le mal existent, et que notre liberté consiste à nous mouvoir dans la sphère du Bien, parce que c’est ce que Dieu a voulu pour nous. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande, a dit Notre Seigneur (Jn 15,14). Et cela vaut également pour les affaires publiques, où la moralité a été remplacée par la corruption, la recherche du profit personnel, l’abus des lois, la trahison des citoyens et le lâche asservissement à des puissances hostiles. Prenons un exemple de l’allégorie du bon gouvernement, représentée par Ambrogio Lorenzetti dans les salles du Palazzo Comunale de Sienne : nous y retrouverons cette simplicité de principes qui inspirait et guidait les pouvoirs publics dans les communes italiennes [Comuni] du XVe siècle.

A. Manocchia : En Italie, la culture apolitique des 50 dernières années a produit une classe dirigeante corrompue, et maintenant, peut-être précisément à cause de cela, nous avons un régime totalitaire. Notre cher et merveilleux pays subit les effets les plus négatifs de son histoire. Il ne semble plus faire partie de l’Europe ou de l’Occident. Les citoyens, les personnes individuelles, ne comptent plus pour rien. Les politiciens d’abord, puis les gouvernements, et maintenant des nations entières sont soumis aux diktats de l’agenda mondialiste du Nouvel Ordre Mondial. En plus de la corruption mentionnée ci-dessus, y a-t-il une corrélation avec le fait que l’Italie a été historiquement le berceau du christianisme et le centre de l’Église catholique ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident ! La fureur mondialiste frappe surtout, de manière impitoyable et cruelle, les nations catholiques, contre lesquelles elle continue de sévir depuis des siècles pour effacer leur Foi, leur identité, leur culture et leurs traditions. Ce sont précisément les pays catholiques — l’Italie, l’Espagne, le Portugal, l’Irlande — qui ont le plus souffert de l’attaque de l’élite maçonnique, qui favorise en revanche les nations protestantes dans lesquelles la franc-maçonnerie a régné sans partage pendant des siècles. Avec la Révolution française, la monarchie capétienne a été détruite ; avec la Première Guerre mondiale, l’Empire austro-hongrois, également catholique, a été détruit, ainsi que l’Empire russe orthodoxe. La Seconde Guerre mondiale a détruit la monarchie de Savoie, qui a d’abord été complice du « Risorgimento », puis sa victime. Le changement de régime n’est pas une innovation récente, bien au contraire !

Il y a des pays qui ne tolèrent pas que des nations catholiques soient prospères et compétitives, indépendantes et en paix, parce que ce serait la preuve qu’il est possible d’être de bons chrétiens, d’avoir des lois bonnes et justes, des impôts équitables, des politiques pro-famille, la prospérité et la paix. Il ne doit y avoir aucun terme de comparaison. C’est pourquoi ils veulent non seulement la misère de la population, mais aussi sa corruption, la laideur des vices, l’égoïsme cynique du profit, l’asservissement aux passions les plus basses. Un peuple sain d’esprit et de corps, libre, indépendant et fier de son identité est redoutable, car il ne renonce pas facilement à ce qu’il est et ne se laisse pas subjuguer sans réagir. Un peuple qui honore le Christ comme son Roi sait que ses gouvernants se considèrent comme ses vicaires, et non comme des despotes obéissant à ceux qui les enrichissent ou leur donnent du pouvoir.

N’oublions pas que la Révolution française a arraché la couronne royale à Jésus-Christ, opposant les prétendus « droits de l’homme et du citoyen » aux droits souverains de Dieu. Des droits qui, libérés du respect de la loi morale naturelle, incluent aujourd’hui l’avortement, l’euthanasie (même des pauvres, comme c’est le cas aujourd’hui au Canada), le « mariage » avec des personnes du même sexe, le « mariage » avec des animaux, et même le « mariage » avec des choses inanimées (vous avez bien compris : il y a des propositions de lois approuvant ces choses faites par les 5 Stelle [parti politique italien]), la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ et tout le pire qu’une société sans principes et sans foi peut revendiquer. La laïcité de l’État n’est pas une conquête de la civilisation, mais plutôt un choix délibéré de barbarisation du corps social, auquel on impose la prétendue neutralité du gouvernement par rapport à la religion, qui est en fait un choix religieux d’athéisme militant et anticatholique. Et lorsque la manipulation des masses ne parvient pas à les forcer à faire certaines « réformes », le chantage des fonds européens prend le relais : [fonds] accordés uniquement à ceux qui obéissent aux diktats de l’UE. En substance, ils détruisent d’abord l’économie et suppriment la souveraineté monétaire nationale et l’autonomie de décision en matière fiscale et économique, puis lient l’aide à l’acceptation d’un modèle de société corrompu et égoïste dans lequel aucune personne honnête ne voudrait vivre. « L’Europe nous demande de le faire ! » – c’est-à-dire un lobby de technocrates qui n’est élu par personne et qui s’inspire de principes totalement inconciliables avec le droit naturel et avec la foi catholique.

Mais si l’État profond a entrepris d’effacer la religion catholique de la vie publique des nations et de la vie privée des citoyens, il faut reconnaître que l’Église profonde a également apporté sa propre contribution à cette sécularisation, depuis le Concile Vatican II, au point de cautionner le sécularisme pourtant condamné par le Bienheureux Pie IX et de reléguer la doctrine de la royauté sociale du Christ à une dimension symbolique et eschatologique. Après soixante ans de dialogue avec la mentalité du monde, Jésus-Christ n’est plus Roi même de l’Église catholique, tandis que Bergoglio renonce également au titre de son Vicaire et préfère passer son temps à jouer avec la Pachamama à Saint-Pierre.

A. Manocchia : La psychopandémie créée avec art a produit des psychoses, des paniques, des terreurs et des souffrances physiques et mentales qui ont laissé une trace indélébile, de graves troubles sociaux, ce qui ne s’était jamais produit de cette manière dans l’histoire de l’humanité. Ils ont réduit l’homme à l’état de zombie. Quel est le message que l’on peut transmettre face à cette conformation et ce formatage imposés de la population ?

Mgr Viganò : Vous avez utilisé à juste titre le terme de « formatage » qui, dans un certain sens, rappelle précisément la Grande Réinitialisation inaugurée par la psycho-pandémie et qui se poursuit aujourd’hui avec la guerre et l’urgence énergétique. Nous devons nous demander ce qui a pu conduire des nations entières à apostasier leur Foi, à effacer leur identité sans remords, à oublier leurs traditions, en se laissant façonner sur le modèle de l’idée anglo-saxonne du melting pot. Cette question s’applique tout particulièrement à notre chère Italie, défigurée par des décennies de subordination idéologique, d’une part à la gauche française ou au communisme soviétique, d’autre part au libéralisme américain « néo-con ». Aujourd’hui, nous constatons que le communisme chinois et le libéralisme mondialiste ont fusionné au Forum économique mondial de Davos, menaçant le monde entier et notre pays en particulier.

Bien sûr, la Seconde Guerre mondiale a créé les conditions de la colonisation de l’Italie, selon un modèle consolidé que nous voyons encore aujourd’hui adopté par l’OTAN : détruire, bombarder et raser les dictatures réelles ou présumées, afin de les remplacer par des régimes fantoches au service d’intérêts étrangers. Redécouvrir la fierté d’affirmer son identité et sa souveraineté est une étape essentielle pour la rédemption de l’Italie et la reconstruction de tout ce qui a été détruit. C’est pourquoi je considère que le modèle de la multipolarité est une perspective intéressante pour combattre le Léviathan mondialiste qui nous menace aujourd’hui dans tous les aspects de la vie quotidienne.

La défaite de l’État profond par les forces saines au sein des États-Unis d’Amérique sera la prémisse d’une coexistence pacifique des nations, sans qu’il y ait une nation qui se considère supérieure et légitimée à soumettre les autres. C’est pourquoi Donald Trump a été évincé par fraude électorale de la présidence des États-Unis, en le remplaçant – encore un changement de régime – par un personnage si corrompu qu’il est incapable de gouverner sans être manœuvré.

A. Manocchia : Peut-on dire que l’Occident est en crise parce qu’il rejette Dieu et la loi naturelle, et surtout parce qu’il sous-estime la valeur de la vie et a commis une énorme erreur d’un point de vue moral, économique et social qui a conduit à la dérive éthique actuelle et au déclin moral ?

Mgr Viganò : Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une « erreur » ; il s’agit plutôt d’une fraude, d’une trahison réalisée par ceux qui, en position de pouvoir, ont décidé, par culpabilité, de transformer l’Italie en une colonie en partie de l’Allemagne (en ce qui concerne l’économie), en partie de la France (en ce qui concerne la culture), en partie des États-Unis (en ce qui concerne la politique internationale) et en partie de toute l’Union européenne (en ce qui concerne la politique fiscale et les soi-disant réformes). Nous sommes toujours soumis à quelqu’un, alors que notre pays a montré à plusieurs reprises dans l’histoire – dans des périodes beaucoup plus difficiles et troublées – qu’il pouvait très bien rivaliser avec les grandes puissances étrangères.

Le problème fondamental est que les gouvernements que nous avons eus – depuis la monarchie savoyarde – ont été entièrement manœuvrés par la franc-maçonnerie, décidant des réformes, déclarant les guerres, traçant les frontières et stipulant les traités toujours et uniquement sur les ordres des Loges. Des parlementaires maçonniques notoires, des ministres francs-maçons, des professeurs d’université maçonniques, des francs-maçons primaires, des officiers supérieurs maçonniques, des éditeurs francs-maçons et des évêques francs-maçons ont obéi au serment d’allégeance à la Grande Loge et trahi les intérêts de la Nation italienne. Aujourd’hui, la franc-maçonnerie se sert de son « bras séculier », le Forum de Davos, qui établit l’ordre du jour des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé, de l’Union européenne, des diverses fondations « philanthropiques », des partis politiques et de l’église bergoglienne.

Mais le fait que ce coup d’État soit si vaste et ramifié n’implique pas qu’il soit moins réel ; en effet, la situation actuelle est très grave précisément parce qu’elle implique des centaines de nations qui sont en fait gouvernées par une seule élite de conspirateurs criminels. D’autre part, il n’est pas nécessaire de parler de « théories de la conspiration » : il suffit d’écouter ce que le principal architecte du Grand Reset, Klaus Schwab, a déclaré le 23 mai alors qu’il s’exprimait au Forum de Davos : « L’avenir ne se construit pas tout seul : c’est nous [du Forum économique mondial] qui allons construire l’avenir. Nous avons les moyens d’imposer le monde que nous voulons. Et nous pouvons le faire en agissant comme une “partie prenante” dans les communautés et en collaborant les uns avec les autres ».

La crise ukrainienne fait également partie de ce plan : « Avec le bon récit, nous utiliserons la guerre pour vous rendre vert ». Le conseiller de Schwab, Yuval Noah Harari – qui résume tous les « talents » de l’intellectuel woke en tant qu’Israélien, homosexuel, militant végétalien des droits des animaux, anti-Poutine et anti-Russie, ainsi que farouchement contre Trump – est allé jusqu’à déclarer sans vergogne : « Dans dix ans, tout le monde aura un implant cérébral et une vie éternelle dans le domaine numérique… Google et Microsoft décideront quel livre nous devons lire, qui épouser, où travailler et pour qui voter… ». Harari est l’auteur de divers essais, dont « Sapiens », « Des animaux aux dieux », « Une brève histoire de l’humanité (2011) « Homo Deus », « Une brève histoire du futur » (2015). C’est le délire absurde de l’homme transhumain qui pense pouvoir vaincre la mort et se transformer en dieu.

L’escroquerie réalisée contre le peuple italien a été celle de lui faire croire, à partir du XIXe siècle, que c’était sa volonté de se libérer du joug de la tyrannie des différents États italiens pré-unification, sous l’égide des souverains piémontais obéissant à la franc-maçonnerie ; que c’était sa volonté de se rebeller contre l’autorité des Souverains légitimes au nom de la  » liberté « sans comprendre qu’il serait soumis à des corrompus bien pires ; que c’était leur volonté de se débarrasser de la monarchie savoyarde dans l’immédiat après-guerre pour mettre en place à sa place la République italienne ; que c’était leur volonté d’adhérer à l’Union européenne avec le mirage de l’Eldorado [qu’elle conduirait à la richesse et à la prospérité], pour découvrir ensuite quelle supercherie tout cela représentait. Et qui se cachait derrière ces revendications de liberté, de démocratie, de progrès ? Toujours et uniquement la franc-maçonnerie, avec ses serviteurs infiltrés partout.

Le moment est peut-être venu pour les Italiens de commencer à décider de leur avenir sans qu’il soit dicté par de véritables traîtres, et pour que les traîtres soient jugés pour ce qu’ils sont – des conspirateurs criminels – en les excluant à jamais de la politique et de toute possibilité d’interférer dans la vie du pays. Que les magistrats et les policiers se souviennent que très bientôt ceux qui ont soutenu ce régime dictatorial seront considérés comme des collaborateurs et condamnés comme tels. Un sursaut de dignité et d’honneur de leur part dès maintenant serait encore crédible.

A. Manocchia : Pourquoi l’Occident, si riche en histoire et en culture, ne considère-t-il pas les effets de cette attitude qui contredit et nie la loi naturelle ? Comment est-il possible à l’homme rationnel de la nier ?

Mgr Viganò : L’homme est rationnel, oui. Mais il est aussi soumis aux passions, à la concupiscence, aux séductions du monde. Ce n’est que dans la vie de la grâce surnaturelle que l’homme est aidé par Dieu pour se conserver dans l’amitié avec Dieu et être capable d’agir dans le bien. Mais que nous a appris le mouvement tant célébré du romantisme, sinon que la raison doit céder au sentiment et que la volonté ne peut pas gouverner les passions, que « le cœur ne se commande pas », alors que c’est le contraire qui est vrai ? Là aussi, nous voyons comment, avec les opérations de manipulation des masses relativement banales – à partir de Giuseppe Verdi, de tous les opéras et romans – la perception du devoir moral dans le peuple et dans la bourgeoisie a été effacée, pour la remplacer par l’asservissement à l’irrationnel et à la passion momentanée, avec tous les dégâts qui en ont découlé.

À l’origine de la négation de la loi naturelle, il y a le relativisme, considérant toutes les idées comme acceptables et légitimes, niant l’existence d’un principe transcendant inscrit dans l’homme par le Créateur. L’histoire, la culture et l’art deviennent alors des phénomènes à analyser dans une clé sociologique ou psychologique et ne sont plus ce qui constitue une civilisation. Mais attention : ceux qui nient Dieu comme Créateur et Rédempteur ne le font pas pour permettre à ceux qui ne sont pas chrétiens de pratiquer leur religion, mais plutôt pour empêcher ceux qui sont chrétiens de façonner la société selon les principes de la doctrine sociale et du bien commun. Derrière tout cela, il y a des gens qui détestent Notre Seigneur.

La question que vous me posez, Dr Manocchia, devrait alors être : « Pourquoi les serviteurs de Satan devraient-ils cesser de détester tout ce qui ressemble de près ou de loin au Christ, puisqu’ils l’ont toujours fait ? ». Penser que nous pouvons dialoguer avec un ennemi qui veut nous détruire est soit irresponsable, soit criminel : il y a des ennemis qui doivent être vaincus sans aucun scrupule puisqu’ils sont dévoués au mal.

La faute de l’Occident est d’avoir cru les mensonges de la Révolution – qui était aussi une Grande Réinitialisation – de s’être laissé entraîner dans un tourbillon de rébellion et d’apostasie, de violence et de mort. Mais n’est-ce pas finalement ce qui est arrivé à Adam et Eve lorsqu’ils se sont laissés tenter par le Serpent ? Déjà à l’époque, la promesse de Satan était manifestement fausse et mensongère, mais Adam et Eve ont succombé aux paroles du tentateur – Vous serez comme des dieux ! – et ils ont découvert qu’ils avaient été trompés.

Qu’est-ce que nous, Occidentaux, pensions pouvoir obtenir en coupant la tête des rois, des nobles et des prélats ? Que pensions-nous pouvoir améliorer, avec des personnages comme Fouchet, Danton, Robespierre et tout le fatras d’assassins corrompus qui était censé remplacer ceux qui étaient guillotinés ? L’un d’entre nous a-t-il vraiment pensé qu’autoriser le divorce était un progrès ? Ou que donner à la mère le droit de tuer l’enfant qu’elle porte dans son ventre était une conquête de la liberté ? Ou que le fait d’empoisonner les personnes âgées dans leur sommeil ou les malades ou les pauvres est un signe de civilisation ? Y a-t-il quelqu’un qui soit honnêtement convaincu que l’ostentation des vices les plus abominables est un droit fondamental, ou qu’une personne peut changer de sexe, modifiant de façon grotesque ce que la Nature a déjà décidé ? Ceux qui acceptent ces horreurs le font uniquement parce que ces horreurs sont imposées comme un modèle de « civilisation » et de « progrès », et ceux qui les acceptent veulent suivre la masse sans se distinguer.

Le problème est que l’homme contemporain est le fils de la Révolution, inconsciemment endoctriné au « politiquement correct », au relativisme, à l’idée qu’il n’y a pas de vérité objective et que toutes les idées sont également acceptables. Cette maladie de la pensée est la première cause du succès des adversaires, car beaucoup de gens s’allient à l’acceptation de leurs principes sans comprendre que ce sont précisément ces idées qui ont permis de transformer notre société [de manière si destructrice].

L’asservissement à l’Union européenne — et à son idéologie infernale — n’a été qu’une des dernières étapes par lesquelles l’Italie a reçu le coup de grâce. C’est pourquoi, lorsque j’entends des éloges de la Révolution, de la Déclaration des droits de l’homme, des Lumières, du Risorgimento et de l’Expédition des Mille [un moment patriotique légendaire dans l’histoire de la réunification italienne en 1860], je frémis : le mondialisme est la métastase de toutes les erreurs modernes, que seule l’Église — depuis ses débuts — a su condamner avec clairvoyance. Et en effet, si le mondialisme a connu une accélération, nous le devons précisément au fait que, depuis Vatican II, la hiérarchie s’est transformée d’ennemi juré de la conspiration maçonnique en son allié zélé.

A. Manocchia : L’Occident subit un déclin démographique constant et irrépressible, avec toutes les conséquences que cela implique. La « Vulgate » actuelle soutient qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour l’Humanité, car il entraînera une plus grande pauvreté. Le déclin démographique serait-il la principale cause du déclin économique ? Ce phénomène ne semble pas préoccuper les gouvernements des pays occidentaux. Pourquoi en est-il ainsi, à votre avis ?

Mgr Viganò : Nous savons, de l’aveu explicite des mondialistes, que leur objectif principal est de réduire de façon drastique la population mondiale. Le ministre italien de la transition écologique Roberto Cingolani — qui, par coïncidence, vient de la société Leonardo [aérospatiale, défense et sécurité] — affirme que la planète est « conçue » pour pas plus de trois milliards de personnes. Qu’il ait la bonté de nous expliquer comment il propose d’éliminer la différence, et surtout qui ne l’a jamais autorisé — avec son gouvernement, l’Union européenne, l’ONU, l’OMS et toute la mafia mondialiste — à décider motu proprio de procéder dans cette direction avec l’avortement, l’euthanasie, les pandémies, les sérums expérimentaux, les guerres, les famines et l’homosexualité de masse. Qui les a nommés « cavaliers de l’Apocalypse » ? Qui a approuvé leur projet par un vote populaire, en supposant qu’un tel projet puisse jamais être proposé à l’approbation des citoyens d’une nation ?

Je ne suis donc pas surpris que les dirigeants occidentaux ne s’inquiètent pas de la baisse de la natalité, dont les données pour notre pays sont largement compensées par la présence de nombreux citoyens extracommunautaires, beaucoup plus prolifiques que les Italiens. La diminution de la population est le résultat des prémisses qui ont été fixées précisément dans ce but, tout comme les confinements ont servi à détruire l’économie déjà prostrée par la concurrence des multinationales et la fiscalité injuste. En bref, nous sommes gouvernés par les membres d’un lobby mondial de conspirateurs criminels qui nous disent directement que leur plan est de nous éliminer, et pendant tout ce temps nous sommes assis ici à nous demander pourquoi nous devons porter des masques dans les bus et pas dans les restaurants.

A. Manocchia : Ceux qui n’acceptent pas les théories nihilistes et néo-malthusiennes, peut-être parce qu’ils sont fidèles aux principes du christianisme, risquent-ils d’être écartés des postes de pouvoir ?

Mgr Viganò : Mais c’est évident : ceux qui ne soutiennent pas le récit psychopandémique, la théorie du genre, l’idéologie LGBTQ, le libéralisme collectiviste du Forum économique mondial, le Nouvel Ordre Mondial et la grande religion universelle sont ostracisés, délégitimés et passés pour des fous ou des criminels. Toute voix discordante est inconfortable lorsque le pouvoir est basé sur la violence psychologique et la manipulation de masse. Cela arrive au médecin qui n’accepte pas les protocoles de Speranza, à l’enseignant qui ne discrimine pas les non-vaccinés, au journaliste qui rapporte la vérité sur les néonazis ukrainiens, au curé qui ne veut pas se faire vacciner, au cardinal qui dénonce l’asservissement du Vatican à la dictature chinoise.

A. Manocchia : Parler de la vie et de la loi naturelle signifie aussi parler de la colonne vertébrale de la société, la famille. Outre la baisse de la natalité, quelles sont les conséquences de la crise économique sur la famille ?

Mgr Viganò : La famille est certainement au centre de l’attaque des mondialistes. La famille, c’est la tradition, l’identité, la foi, l’aide et le soutien mutuels, la transmission des principes et des valeurs. Famille signifie père et mère, chacun avec son rôle spécifique, irremplaçable et non interchangeable, aussi bien dans la relation mutuelle entre les époux que dans l’éducation des enfants, ainsi qu’envers la communauté. Famille signifie religion vécue, religion qui se communique à travers les petits gestes, les bonnes habitudes, la formation de la conscience et du sens moral.

Vous comprenez bien que frapper la famille conduit indéfectiblement à la dissolution du corps social, qui par nature est incapable de remplacer le rôle de la famille. C’est ainsi que nous avons : le divorce, l’avortement, le « mariage » homosexuel, l’adoption d’enfants par des célibataires ou des couples irréguliers, la déchéance de l’autorité parentale pour des raisons idéologiques, l’élimination des grands-parents et de la parenté de la vie domestique, les conditions de travail des mères qui ne leur permettent pas d’accomplir les tâches familiales, la pénalisation des femmes mariées ou ayant des enfants lorsqu’elles cherchent un emploi, l’endoctrinement des enfants dès l’école primaire. Dans ce domaine aussi, une action courageuse et déterminée est nécessaire pour la défense de la famille naturelle et pour la protection des droits des parents dans l’éducation de leurs enfants, qui ne sont pas la propriété de l’État.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque.

[Voir aussi :
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Life Site News : https://www.lifesitenews.com/opinion/abp-vigano-freemasonry-is-using-the-who-and-the-bergoglian-church-to-advance-its-global-coup/




Franck, pompier professionnel suspendu : « La soumission n’a jamais été et ne sera jamais la solution »

[Source : lemediaen442.fr]

Cinquième épisode de « Paroles de suspendus » avec Franck, pompier professionnel, qui préfère garder son anonymat. Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.


Le Média en 4-4-2 : Bonjour Franck, et merci d’avoir répondu à l’invitation du Média en 4-4-2. Pouvez-vous vous présenter en 4-4-2, c’est-à-dire de manière concise et efficace ?

Franck : Bonjour. OK, donc je me présente : je ne m’appelle pas Frank, c’est un pseudo. Je suis pompier depuis 1989, d’abord en tant que SPV (sapeur-pompier volontaire) et en 2001 en tant que SPP (sapeur-pompier professionnel).

Le Média en 4-4-2 : Cela fait un an, le 12 juillet 2021, que Macron a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants. Comment avez-vous appris cette nouvelle et quelle a été votre réaction ?

Franck : 
J’ai appris cette nouvelle par les réseaux sociaux (je n’ai pas la télé depuis au moins trente ans) et ma réaction a été un dégoût total et un torrent d’insultes envers Pinocchio Ier. Mais déjà que je ne portais pas ce gouvernement dans mon cœur, je me suis demandé très tôt pourquoi ils insistaient autant sur cette vaccination. J’ai donc tout de suite été sur la défensive…

Le Média en 4-4-2 : Le 15 septembre 2021, la « vaccination » a donc été rendue obligatoire pour votre profession. Et vous avez décidé de ne pas vous y soumettre. Comment cela s’est-il passé avec votre employeur ? Quand et comment avez-vous été suspendu ?

Franck : 
Comme je sentais le vent venir, j’ai anticipé. En août j’ai été voir un psychiatre qui figurait dans la liste « laissons les médecins prescrire », liste qui a disparu par la suite malheureusement. Il a compris mon état de détresse psychologique face à cette future agression sur notre liberté. Un mois après, il m’a arrêté et prescrit des médicaments : antidépresseurs, anxiolytiques, somnifère, la totale… le « kit » dépression dans laquelle je m’enfonçais jour après jour. Le 15 septembre a donc été effectif pour la suspension des soignants. Étant en maladie, ma hiérarchie m’a envoyé voir des experts (un docteur et un professeur en psychiatrie en quinze jours) et j’ai reçu par la suite des lettres m’indiquant que je n’étais pas à jour du « vaccin Covid ». À la deuxième lettre, je leur ai répondu que je n’étais pas en état de travailler, que cette injection est pour le personnel soignant actif et que je verrai lorsque je serai en état pour cette histoire de « vaccin ». À ce jour je ne suis donc pas suspendu, mais en arrêt maladie. Est-ce que c’est du cinéma ? Absolument pas ! J’estime que la soumission n’a jamais été la solution, que personne ne doit décider de ce que je dois faire de mon corps et je me fais énormément de soucis pour l’avenir, que ce soit pour les gosses mais aussi pour tous. Ce contexte de dictature sanitaire me donne envie de vomir.

Le Média en 4-4-2 : Cela fait donc presque un an que vous êtes suspendu : comment cela se passe-t-il au jour le jour, maintenant que vous n’avez plus de revenu et que vous ne pouvez pas travailler ailleurs ?

Franck : 
Étant en arrêt maladie, effectivement j’ai la moitié du salaire qui pour l’instant est versé par mon employeur. Pour être véritablement franc, je passe mes journées chez moi, le moral à zéro. Rien ne motive réellement ; j’aimais les randos, et quelques autres activités, mais je ne fais plus rien. Je suis aussi en deuil et tout cela réuni fait que j’ai l’impression d’être déjà mort. Mes opinions « antivax Covid » m’ont fait perdre beaucoup d’amis et mon moral dépressif fait battre de l’aile à mon couple. Je pense à ceux qui ont été suspendus sans salaire aucun, qui se suicident ; et tout cela pourquoi ? Parce que des gens corrompus jusqu’à l’os se permettent de décider de nos vies ; c’est inadmissible. En ce qui me concerne, trouver un autre travail, oui j’y ai pensé. Mais à vingt ans on peut trouver facilement et accepter d’être exploité plus qu’à cinquante et puis j’ai passé ma vie à faire des ambulances et des feux, je ne me vois pas servir des frites à Mac Do pour 1 000 euros par mois… Alors je me retrouve dans une impasse.

Le Média en 4-4-2 : Le gouvernement ne semble pas vouloir réintégrer les suspendus… Comment voyez-vous votre avenir, ainsi que celui de notre société ?

Franck : Nous avons vu qu’après avoir manifesté durant des mois, ce gouvernement de merde n’a pas réagi. Nous avons aussi vu que lorsque Pinocchio Ier a annoncé la dictature le 12 juillet, les gens au lieu de dire « non » se sont précipités sur Doctolib pour vite se faire injecter. Macron a également été réélu, cela me semble irréaliste. Élection truquée ou pas, de toute façon la solution ne viendra pas des politiques je pense. Faire un faux passe, comme certains ? On cautionne un système abject et on fausse les retours de cette injection : les faux injectés n’auront pas d’effets secondaires ! En ce qui concerne la suspension, je ne sais pas. Étant dans cette impasse, je me pose beaucoup de questions : « Et si je change de job et que deux mois après, ils rendent cette injection obligatoire pour tous ? j’aurais un salaire de misère avec un job de merde. » J’attends un miracle, mais je me dis que le réel rattrape le mensonge : les effets secondaires, même s’ils sont censurés, ils existent. Des gens sont handicapés à vie, ont de graves problèmes ou meurent à cause de cette injection : je me dis que tôt ou tard les morts parleront. Il arrivera un moment où trouver des excuses débiles ou nier ne sera plus suffisant. Mais même s’ils arrêtent cette suspension, restent quelques questions : suis je prêt à retravailler avec ceux qui sont resté sans rien faire, ces « collègues » qui étaient si virulents avant l’obligation et qui ont vite été se faire injecter ? Ai-je encore envie de porter assistance au peuple qui a permis la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui ?

Le Média en 4-4-2 : Merci Franck pour le temps que vous nous avez consacré ! Nous vous laissons le mot de la fin.

Franck : Merci à vous, vous faites du beau boulot ! Comme mot de la fin, je dirais que la soumission n’a jamais été et ne sera jamais la solution, que j’en veux beaucoup à ceux qui n’ont pas refusé ; si nous avions été nombreux à le faire, nous n’en serions pas là aujourd’hui. S’il n’y a pas une vraie prise de conscience, un avenir d’esclaves nous attend. Mais le bon sens est quand même resté chez quelques personnes lucides, il faut se raccrocher à cela. Merci au 4-4-2 !




Le bal des « morts de trouille » ouvert par Delfraissy. Mise à jour

[Voir aussi sur : RL]

Par Gérard Delépine

Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique(([1] Conseil qui disparaît ce 31 juillet 22 en même temps que la loi d’urgence.)) devenu complotiste, serait-il inquiet ?

@codePS17 

« Le bal des morts de trouille !! 
Ah ça voulait piquer tout le monde de gré ou de force et maintenant ils ont le trouillomètre à zéro de peur de se retrouver derrière les barreaux pour très longtemps »

«  IL FAUT ARRÊTER DE DIRE ET RACONTER TOUT ET N’IMPORTE QUOI », dit JF. Delfraissy résumant l’action du Conseil scientifique.

« UN ÉCHEC TOTAL, IL FAUT LE DIRE, en termes de mortalité, de morbidité et d’accès aux droits humains.  Zéro covid n’était pas la solution. Ce sont les médias qui poussent à cela. Il faut à un moment donné redevenir raisonnables, les Français l’ont compris ».

@UPR_Asselineau

« LE DOUBLE AVEU DU Pr DELFRAISSY  : Soulageant sa conscience, il dénonce en fait la DOUBLE SOUMISSION révélée par la covid-19, celle des États occidentaux à Big Pharma, celle de la classe dirigeante à la toute-puissance des médias, qui imposent leurs vues par intimidation et censure. »

ET sur la variole du singe

@MaxDelvallee

DELFRAISSY sur la variole du singe : 

« Elle est beaucoup mise en avant parce que les médias ne veulent pas rater le début d’une éventuelle nouvelle crise (…). Je ne crois pas à la gravité et à l’existence d’une pandémie de ce type. (…) C’est une maladie peu sévère dans 99 % des cas. »

LE PARCOURS DÉPLORABLE DE JF. DELFRAISSY ET DU CONSEIL DIT SCIENTIFIQUE

Dès mars 2020 nous avons dénoncé les mesures prétendument sanitaires (confinement et autres privations de liberté), comme inefficaces car contraires à la vérité scientifique(([2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([3] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Édition Fauves septembre 2020
https://docteur.nicoledelepine.fr/autopsie-dun-confinement-aveugle/))(([4]Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712))(([5] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-cette-mesure-d-223105)), les tests PCR chez les asymptomatiques comme une arnaque sans intérêt médical uniquement destinée à faire croire à des poussées de l’épidémie(([6] Vers le faire-part de décès des tests PCR
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vers-le-faire-part-de-deces-des-tests-pcr)) et l’objectif officiel du zéro covid comme un mirage de la propagande marchande provax.

Depuis la mise sur le marché des pseudo-vaccins et la propagande forcenée que martèlent les médias pour nous les imposer, nous répétons que les injections anti-covid ne sont pas des vaccins mais des médicaments, qu’elles sont totalement expérimentales et issues d’une technique jusqu’alors jamais utilisée en infectiologie, qu’elles ne protègent ni de la maladie, ni des transmissions, ni des formes graves, ni de la mort.

Ces constatations scientifiques des faits publiés par l’OMS ont été constamment traitées de fake news par de pseudo- journalistes peu scrupuleux qui nous qualifient de complotistes(([7] Le  Collectif citoyen Quand la démocratie devient un complot
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/quand-la-democratie-devient-un-complot)) en suggérant même que nous serions d’extrême droite, voire antisémites pour nous diffamer. Malheureusement pour ces mercenaires de la désinformation, la vérité est têtue et ce que nous proclamons depuis près de deux ans et demi est progressivement confirmé et reconnu même par les anciens avocats des mesures sanitaires dès qu’ils quittent le monde imaginaire des simulations biaisées pour examiner le monde réel…

Un très bel exemple d’un retour très tardif au monde réel est celui de JF Delfraissy.(([8] Jean-François Delfraissy, né le 19 mai 1948 à Paris, est un médecin et professeur de médecine français, spécialisé dans l’immunologie.
Il est nommé président du Comité consultatif national d’éthique en 2016. Il prend en 2020 la présidence du Conseil scientifique covid-19, institué par le ministre Olivier Véran pour conseiller le gouvernement dans la lutte contre la pandémie de covid-19.))

Confinement déclaré indispensable puis reconnu dévastateur

Début 2020 Jean-François Delfraissy avait prétendu que le confinement était indispensable malgré ses doutes qu’il a récemment confié au Parisien :

« Mais qu’est-ce qu’on a fait ?(([9] Capture BFM TV
« Mais qu’est-ce qu’on a fait ? » : Jean-François Delfraissy sans filtre sur la gestion de la covid-19))», avant de se rassurer rapidement : « Plusieurs autres membres du Conseil scientifique doutaient, eux aussi, et on s’est remonté le moral, se répétant qu’on n’avait pas d’autre choix. ». Attitude vraiment incroyable d’un prétendu scientifique censé analyser la balance avantage/risques d’une mesure avant de la conseiller.

Un an plus tard, malgré le bilan catastrophique avéré du premier confinement(([10] Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-aberration-humaine-sanitaire)), il récidivait avec Denis Malvy et Karine Lacombe, plaidant pour une nouvelle astreinte à résidence de la population « e confinement apparaît vraiment irrémédiable. » !

Mais l’inefficacité sanitaire et les conséquences dramatiques des confinements ont depuis été largement démontrées par tous les scientifiques indépendants des gouvernements et des organismes qui les ont imposés.(([11] https://ripostelaique.com/il-faut-mettre-fin-immediatement-a-ce-confinement-mortifere-pour-le-pays.html))(([12] Surjit S BhallaLockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID WinsNov 1, 2020
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69ca46b0b44118206a901b))(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic.
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([14] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ONCOVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([15] Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JPA. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. doi: 10.1111/eci.13484. Epub 2021 Feb 1. PMID: 33400268; PMCID: PMC7883103.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

En février 2021 dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)), J. Delfraissy reconnaissait enfin, avec 5 autres membres du Conseil scientifique, que le confinement avait été nocif et qu’il fallait changer de politique :

« il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire ».« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. » « Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Alors pourquoi a-t-il conseillé le premier confinement et persisté ensuite dans l’erreur plusieurs fois ?

Le scandale des passes inefficaces et discriminatoires

Le Conseil scientifique et son président ont présenté les passes comme des  mesures permettant de retrouver les libertés sans risque alors qu’ils ne constituaient que des chantages aux libertés pour forcer à l’injection les gens qui n’en avaient aucun besoin.

Lors de son audition au Sénat, à la question :

« Est-ce que le passe protège réellement ? »

La réponse de J. Delfraissy a été : 

« Non. »

Ce que confirme l’explosion des contaminations après leur instauration :

Alors pourquoi ont-ils menti aux Français en prétendant le contraire ? 

@dreslincourt   31 juil.

Dans le Parisien, le Pr Delfraissy reconnaît un traitement « inhumain » de nos anciens en Ehpad pendant le covid, et une mainmise des labos sur les stratégies vaccinales ! Quand nous informions les Français de ces choses, la presse nous qualifiait de « complotistes » ! Des excuses ? 

Le mirage du « Zéro Covid » reconnu un « échec total. »

Pendant près de deux ans le Conseil scientifique a fait croire que les mesures sanitaires et la vaccination allaient éradiquer le virus selon la stratégie du zéro covid inventée par les Chinois. Ils nous ont promis qu’on obtiendrait l’immunité collective après la vaccination de 60 % des Français, puis de 70 %, puis de 90 %. Mais tous les pays (sauf la Chine) qui nous avaient précédés dans cette stratégie ont reconnu qu’il s’agissait d’un mirage impossible à atteindre dans le monde réel.

Mais après deux ans d’atteintes majeures à nos libertés fondamentales cautionnées par son comité prétendument scientifique J. Delfraissy avoue :

« Le “Zéro Covid” est un échec total… Il faut vivre avec le virus ! »(([17] https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/mais-qu-est-ce-qu-on-a-fait-jean-fran%C3%A7ois-delfraissy-sans-filtre-sur-la-gestion-de-la-covid-19/ar-AA1086Uu))

Cette stratégie n’a jamais permis d’éradiquer une épidémie avec réservoir animalier connu comme l’est le covid. Alors pourquoi l’a-t-il conseillée sinon pour vendre des prétendus vaccins ?

Les  « vaccins sûrs et efficaces » devenus des « vax médicaments inefficaces »

Le Comité scientifique et son président ont validé tous les mensonges de Pfizer comme celui d’appeler vaccin un médicament expérimental ne contenant aucun antigène et celui « d’une efficacité de 95 % » pour inciter la population à se faire injecter. Plus tard, alors que l’échec contre la diffusion virale devenait évident, ils ont persisté :

 « Les vaccins sont efficaces contre le variant delta, si l’on a eu deux injections. Il faut se faire vacciner » 

Et quelques mois plus tard, ils ont persévéré en prétendant :

« le vaccin est toujours efficace contre le covid-19 (…) s’il a été administré trois fois ».

Encore plus choquantes ont été les déclarations de Delfraissy à Sciences-Po Lille conseillant la vaccination des plus jeunes qui ne risquent rien du covid et celle poussant à la vaccination des femmes enceintes, hérésie scientifique jusqu’ici toujours contre-indiquée.

Ce n’est qu’après la fin annoncée de son Comité anti-scientifique que J. Delfraissy avoue :

« Ce n’est pas le bon vaccin ! Il ne protège pas contre l’infection et la contagion ».

Alors pourquoi ne s’excuse-t-il pas d’avoir menti pendant au moins dix-huit mois et des complications et des morts que ces médicaments expérimentaux ont causé ?

Le Pr. Delfraissy a été en pointe dans la propagande alarmiste et les décisions portant atteinte à nos libertés fondamentales en leur donnant un alibi scientifique mensonger. Il a bafoué et décrédibilisé la science en trompant les Français pour qu’ils supportent l’inacceptable.

Espère-t-il par ces aveux se faire pardonner ?

Faute avouée est à demi pardonnée dit-on. Mais JF Delfraissy n’a avoué que la moitié de ses fautes. En particulier il n’a dénoncé ni l’inefficacité ni la toxicité des masques ni l’absence de toute justification scientifique des obligations vaccinales imposées aux soignants et pompiers ni l’ignominie des mesures sociales qui ont été imposées aux vaccino- prudents. Espérons qu’il complétera bientôt sa confession.

@Phil_7338

« Il sera jugé. Je ne lui pardonnerai jamais, port du #masque obligatoire pour nos enfants petits enfants quasiment H24. Ni les #Confinement #CouvreFeu 21h 19h 18h…ni les #Attestations débiles ni les 1km,10km…#dérogations #tests gratuits, payants, 72h…24h #coronacircus »

@PascalBurlot1

« Et à propos des mails échangés avec Fauci pour supprimer le traitement précoce HCQ, belle réussite pourtant Pr Delfraissy ! Ces aveux sont pitoyables après avoir conseillé les inconcevables lock-down, masques, couvre-feux, suspensions et injections. »

@verity_france     

Covid-19 : Jean-François Delfraissy a des « regrets » dans la gestion de la pandémie qui n’est « pas terminée »/ si c’est un honnête homme il dira tout devant un juge pour expliquer les pressions, et détailler l’instrumentalisation dont il a fait l’objet

« SCIENCE SANS CONSCIENCE N’EST QUE RUINE DE L’ÂME » (Pantagruel, RABELAIS)

Il reconnaît enfin que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui ont tout pouvoir sur les décisions prétendument scientifiques en rapport à ces pseudo-vaccins. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas dénoncé plus tôt et démissionné du Conseil scientifique comme l’a fait très rapidement le Pr D. Raoult ?

Le ministre proclame son désir de transparence. Pour nous en convaincre, il faudrait qu’il fasse lever  le secret défense ubuesque qui pèse sur les 300 réunions et les 80 avis ou notes rédigés en deux ans et quatre mois par ce Comité scientifique pour que chacun puisse en faire l’analyse.

À défaut, l’opposition parlementaire devrait l’exiger car qui peut croire que  la divulgation de ces  documents  jusqu’à présent classés secret défense(([18] Le secret défense a été créé pour protéger les informations militaires ou diplomatiques nécessaires à la sécurité militaire du pays. On ne comprend pas en quoi cela s’est appliqué à un virus, pas plus que le nouveau « commando » que veut mettre en place le ministre Braun.)) puisse  renforcer la virulence du Sars-CoV-2 ?

Les covidistes passent (tardivement) aux aveux !


Au passage, il pourrait rappeler qui nomme le collège des experts de la HAS soi-disant indépendante et qui maintient la suspension des soignants et pompiers non vaccinés ? les mêmes politiques trop proches de Big Pharma.

Quelques commentaires sur Twitter

Hélène Laporte 2 août

Après J-F #Delfraissy qui avoue que la stratégie « Zéro #COVID19 » est un échec total, c’est Alain #Fischer, « Monsieur Vaccin », qui ne recommande plus de rappel vaccinal… Visiblement les certitudes d’hier ne sont plus !

ladepeche.fr

EXCLUSIF. Covid-19 : le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale « arrête son travail »,…

Fin du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, nouveaux vaccins en cours d’élaboration pour lutter contre les variants, pas de généralisation de deuxième dose de rappel à toute la populati…

@Olivierfente 2 août

ALERTE GÉNÉRALE C’est la débandade complète pour les nofakemerdes Je pense que dans les mois ou les semaines à venir nous allons apprendre des choses complètement hallucinantes Delfraissy et Fischer ont ouvert le bal

L£ G£N£RAL 0fficiel©
@Le_General_0ff_ · 2 août

ALERTE INFO #Delfraissy  » Le Conseil scientifique avait réclamé la constitution d’un comité citoyen national, le Gvernement l’a refusé 3fois, c’est une vraie connerie une bêtise politique [..] On l’aurait pu le faire sur le vaccin  » #senat #NiOubliNiPardon #PassDeLaHonte #Raoult

@EdBernardelli  

« Il est plus facile de tromper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été trompés » M. Twain En ce 1er août, le passe et l’état d’urgence sont arrêtés. Stop aux manipulations ! Le combat continue pour réintégrer les soignants suspendus et éveiller les consciences !

@UnionPierre 31 O7 22

Des soignants Covid peuvent travailler alors que des soignants en bonne santé ne le peuvent pas, c’est tellement absurde! Nous demandons la réintégration immédiate avec des excuses! Soutenez notre collectif, suivez-nous   #JusticePourLesSuspendus #SoignantsSuspendus

@Sarah41659531  30 juil.

Le 1er août tous les Français pourront reprendre une vie normale sans PASSE à l’intérieur des frontières SAUF les soignants suspendus qui resteront  » punis  » (expression de @PatrickPelloux) et sans revenus pour se nourrir et nourrir leurs familles.  » Pays des droits de l’homme  »

@LucileFievet

26 juil.  Important et assez urgent Très Sérieux Pour les soignants et agents toujours suspendus au 1er août 2022

Selon l’avis de juristes, il est possible de considérer que l’obligation vaccinale prend fin au 31 juillet 2022, avec la fin de l’état d’urgence.

Piste à explorer d’urgence !

La démocratie nécessite une information impartiale relayant les faits et des commentaires honnêtes. Durant ces deux ans et demi, elle ne l’a pas jamais été. Le rôle particulièrement nocif des propagandistes de la désinformation, proclamés « fact-checkers », doit être souligné et on espère que les violations permanentes de l’éthique journalistique dont ils ont fait preuve en ne donnant jamais la parole aux personnes qu’ils accusaient ternira à jamais leur CV.

Nous avons gagné une grosse bataille avec la suppression du passe par le vote de l’assemblée (E. Macron avait prévu la prolongation de la loi d’urgence jusqu’en 2023), mais le combat doit se poursuivre par la suppression de l’obligation vaccinale des soignants et pompiers dans les faits, la suppression des tentatives de détournement de la loi votée par des arrêtes autorisant que l’Assistance Publique de Paris, des cliniques, pharmacies ou autres imposent le port du masque ou un passe alors qu’il est maintenant non seulement démontré par les faits établis, mais aussi reconnu par la quasi-totalité de leurs anciens avocats que ces mesures n’ont eu aucun effet démontré contre l’infection…

RÉAGISSONS PAR DES PLAINTES SUCCESSIVES À CES DÉTOURNEMENTS

@Steiner61421320   

Il est temps de remplacer les vigiles à l’entrée des hôpitaux par des soignants et en priorité les soignants suspendus (en les dédommageant) ! #JusticePourLesSuspendus #PassSanitaire

@DIVIZIO1

Ça commence : ce matin déjà des vigiles ont réclamé le passe à l’entrée d’une clinique ! Ça c’est cependant très bien passé en ce qu’alertés, ils ont appelé la direction qui leur a confirmé ne pas avoir à contrôler. Mais du coup : ils servent à quoi ? Ils sont payés pour quoi ?

1 août

Tiens j’y pense : le 27 septembre je vais être jugé par des avocats qui, pour parler de la crise et des libertés publiques ont invité en son temps : Alain Fischer et jean Paul Hamon ! On va devoir tout reprendre depuis le début hein! J’ai demandé la journée et la nuit





La censure à la rescousse des vaccins

[Source : infodujour.fr]

Par Emilien Lacombe

Pour avoir suggéré que l’épidémie de variole du singe était liée aux vaccins à ARNm le professeur Shmuel Shapira, ex-directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021, est censuré par Twitter.

Les médias sociaux sont devenus des machines de guerre au service de Big Pharma. Pas question, pour eux, de laisser s’exprimer librement les internautes qui dénigrent les vaccins. Même les plus grands médecins, même les meilleurs scientifiques de la planète n’ont pas le droit de remettre en cause l’efficacité vaccinale. Ils sont tout simplement censurés, bannis, excommuniés, comme au bon vieux temps de l’inquisition. Dernier exemple en date, celui du Pr Shmuel Shapira MD MPH (Colonel), qui a été directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021.

La variole du singe et les vaccins Covid

La revue Kanekoa reprise par Les DeQodeurs, rapporte que le célèbre professeur, auteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques, s’est vu retirer l’un de ses posts sur Twitter pour avoir affirmé : « Les cas de variole du singe ont été rares pendant des années. Ces dernières années, un seul cas a été documenté en Israël. Il est bien établi que les vaccins à ARNm affectent le système immunitaire naturel. Une épidémie de variole du singe après une vaccination massive de covidés : n’est pas une coïncidence. »

Le professeur Shapira, a dénoncé à plusieurs reprises les effets néfastes des vaccins. Quelques jours après avoir ouvert un compte Twitter, en janvier 2022, il conteste la remise du prix Genesis au PDG de Pfizer, Albert Bourla.
En février, il s’interroge : « Quelle note donneriez-vous à un vaccin avec lequel les gens sont vaccinés trois fois et tombent malades deux fois (à ce jour) ? Sans parler des effets secondaires importants […] »
En avril, il s’insurge : « Le PDG de la société, dont des millions de vaccins ont été utilisés en Israël pour la vaccination, a déclaré dans une interview avec NBC qu’Israël sert de laboratoire mondial. À ma connaissance, c’est le premier cas dans l’histoire où des cobayes expérimentaux ont payé un tarif exorbitant pour leur participation. »
En mai : « J’ai reçu 3 vaccins, j’ai été ‘’blessé physiquement’’ de manière très significative comme beaucoup d’autres personnes ont été blessées […] Et en outre, ma confiance dans la nature des décisions et dans les processus de prise de décision a été gravement érodée. Personne n’a demandé et vérifié. Je me battrai de toutes mes forces pour que des réponses véridiques concernant toutes les décisions, et pas seulement le vaccin, soient données […] »
En juin : « Je vais continuer et demander pourquoi donner un cinquième vaccin périmé qui ne prévient pas la maladie et qui apparemment provoque de nombreux effets secondaires communs importants. »
En juillet : « Selon les données officielles de l’Australie, plus on vous injecte de doses, plus vous risquez d’être malade, la quatrième injection faisant bondir le risque de façon spectaculaire. D’après cette étude, il s’agit soi-disant d’un antivaccin, du moins d’après ce qu’on m’a enseigné. » Il ajoute, quelques jours plus tard : « Je ne suis pas antivaccins, je suis anti-stupidité, anti-fausse science et anti-management incompétent ».

Tout cet argumentaire, toutes ces constatations sur les effets secondaires des vaccins, Jean-Marc Sabatier les a exposés ici depuis deux ans ! Lui aussi et infodujour sont régulièrement censurés par les inquisiteurs des temps modernes et les Torquemada à la petite semaine.

Myocardite, arythmies fatales, augmentation de 20 % des accidents vasculaires cérébraux, faciès, herpès zoster, acouphènes (bourdonnements d’oreilles), saignements excessifs gynécologiques, variole du singe, effets secondaires obscurs à long terme.
Ne vous inquiétez pas. Soyez heureux.