“L’homme le plus intelligent du monde” analyse le programme de vaccination de l’élite mondiale

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’une des personnes les plus intelligentes au monde s’élève contre la vaccination Covid-19, affirmant que l’élite mondiale à l’origine de la campagne de vaccination n’a probablement pas à cœur les intérêts de l’humanité.

La plupart des gens ignorent tout de l’éleveur de chevaux du Missouri Christopher Langan, 69 ans, qui a travaillé comme ouvrier du bâtiment et videur dans un bar pendant près de 20 ans.

Cependant, un article paru dans Esquire en 1999 a rendu Langan célèbre, en le décrivant à l’époque comme “l’homme le plus intelligent d’Amérique”, avec un QI d’environ 200.

Une interview de Lagan réalisée en 2019 par “Spike Jonze” (Adam Spiegel) vous permettra de comprendre à quel niveau se situe cet homme.



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Depuis, M. Langan a fait l’objet d’un reportage dans l’émission “20/20” d’ABC, et son intelligence a été largement documentée compte tenu de son passé inhabituel.

Actuellement, il s’est lancé dans un projet baptisé “Modèle cognitivo-théorique de l’univers (CTMU)”, qui tente de mettre en évidence le “lien entre l’esprit et la réalité” et d’expliquer l’existence de Dieu par les mathématiques.

C’est dans un groupe Facebook consacré au CTMU que M. Langan a démoli la semaine dernière la campagne mondiale de vaccination contre le virus Covid-19 comme seul un génie pouvait le faire.

Selon Langan, le plan de vaccination de l’élite mondiale n’est probablement pas une élimination (immédiate), mais une stérilisation progressive de la population afin de maintenir la supériorité de la classe dirigeante sur les masses abruties.

Lisez la discussion de Langan avec les membres du groupe CTMU ci-dessous, transcrite à partir de captures d’écran Facebook :

Commentaire : “Je me suis demandé s’il n’y avait pas une motivation négative derrière le V@x. Si j’étais un oligarque sociopathe et que je pensais que l’humanité devait être réduite massivement pour protéger la Terre, est-ce que j’utiliserais le vax pour provoquer une mort massive ou une stérilisation massive ? L’une ou l’autre de ces approches provoquerait d’énormes bouleversements, mais la stérilisation de masse serait celle qui causerait le moins de perturbations.”

Réponse : Premièrement, selon la définition habituelle du terme “vaccin”, les injections actuelles ne sont pas des “vaccins”. Elles ne sont qu’une autre souche de technologie dangereuse que la superclasse parasitaire finance et utilise dans le but de dominer et de contrôler le monde.

Une extinction massive de la population humaine serait traumatisante et menacerait le statu quo. Si la population humaine s’effondre et que l’économie suit le mouvement, l’élite n’aura rien, aucune supériorité innée ou capacité d’adaptation, qui pourrait la protéger et contribuer à sa survie. C’est pourquoi elle préfère la stérilisation de masse et un déclin démographique plus lent (mais toujours rapide).

Évidemment, la superclasse parasitaire s’inquiète de la destruction de son environnement par la surpopulation humaine. Malheureusement, elle a raison sur ce point : alors que la Terre et ses ressources sont limitées, la croissance démographique est exponentielle. Mais il y a au moins trois problèmes majeurs dans leur approche.

(1) Au lieu d’aborder le contrôle de la population de la bonne manière, en améliorant la population par l’éducation et l’hygiène génétique, en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans l’espèce humaine et en la convainquant de contrôler son propre comportement reproductif pour son propre bien et celui de la Terre, ils préfèrent mentir et se faufiler dans le dos de tout le monde, en nous escroquant et en nous menaçant de nous faire “vacciner” sous de faux prétextes. D’où leur négligence flagrante du Logos. Au lieu d’améliorer l’humanité, ils la dégradent, en s’appuyant sur une combinaison d’ignorance publique, de confiance mal placée, et d’idées et d’idéologies sans issue comme l’athéisme, le matérialisme, le communisme, le multiculturalisme et la “diversification” ethnique forcée, la “gouvernance mondiale” tyrannique pour amener l’humanité à se conformer.

(2) Alors que l’élite mondiale veut désespérément le contrôle total de la planète et de sa population humaine, elle n’est ni assez intelligente ni assez bonne moralement pour le mériter, et n’a aucune idée de la manière de l’utiliser correctement à l’avantage de l’espèce humaine et de la planète dans son ensemble.

(3) Cela se reflète dans le fait que leur programme de contrôle se limite au contrôle de la quantité et exclut totalement le contrôle de la qualité. Ils supposent que toute la véritable richesse génétique de l’humanité réside en eux, malgré leur manque flagrant de mérite (génie, rectitude morale). Souscrivant à une idée dépassée appelée “darwinisme social”, ils supposent simplement que tous les autres, même s’ils sont meilleurs et plus intelligents, sont inférieurs et remplaçables et devraient être soit éliminés, soit stérilisés, soit descendus, déracinés et fondus dans une vaste race d’esclaves de couleur moka pour la commodité de l’élite.

En bref, en se remplissant les poches et en bousculant tout le monde, l’élite se considère comme une “race maîtresse”, une sorte d’association mondiale d’élevage pour laquelle le reste de l’espèce n’est rien d’autre qu’un troupeau de bovins dociles à élever pour la servilité et tout juste assez d’intelligence pour suivre les ordres. Cela a été clairement et irréfutablement documenté, par exemple, par le programme de “génocide des Blancs” décrit il y a un siècle par R.N. Coudenhove-Kalergi, financé à l’origine par les Rothschild, les Warburg et d’autres banquiers internationaux, et qui fait maintenant l’objet d’une politique internationale dans tout le monde occidental.

Il est facile de voir où cela mène, et ce n’est bon nulle part. Personnellement, je suis prêt, si nécessaire, à infliger des blessures physiques graves à toute personne qui tenterait de me faire subir une de ces injections, et il devrait en être de même pour toute autre personne qui se respecte.

Q : “Pourquoi les propriétaires de la Plantation Mondiale voudraient-ils tuer ou réduire la fertilité de leurs sujets les plus soumis et les plus obéissants ?”

R : Vous ne comprenez peut-être pas tout à fait. Résister au “vaccin” permet à l’élite de vous identifier comme quelqu’un qu’il vaut mieux tuer et qui est donc éligible à la “vaccination prioritaire.” 😉

De plus, ils pensent qu’ils peuvent forcer tout le monde à prendre le “vaccin”, donc c’est discutable. Prenez-le maintenant, et vous pourrez être zombifié et asservi en tant que cyborg chimique ; ne le prenez pas, et vous serez prêt à être abattu, sans avoir besoin de “vaccin”. Tous les esclaves “valables” qui meurent immédiatement sont des dommages collatéraux acceptables ; de plus, chaque mort sert l’agenda de la dépopulation. (Ne supposez jamais que ces accros du contrôle n’ont pas calculé chaque mouvement qu’ils font pour sa valeur “pile nous gagnons, face vous perdez”. Même lorsqu’ils ne savent pas distinguer leur cul de leur coude, ce qui est assez souvent le cas, c’est leur principal critère politique).

Rappelez-vous, l’élite suppose qu’elle est la crème-de-la-crème génétique, et suppose que tous les autres sont des déchets génétiquement inférieurs et donc finalement sensibles à leurs techniques de contrôle mental. Il s’agit d’une opération de masse dans laquelle l’erreur humaine rend impossible une sélection efficace de la “qualité”, que celle-ci soit définie par le mérite objectif ou par la possibilité de servir la classe supérieure parasitaire.

Dans la vision élitaire du monde, seule l’élite est “élite”. Tous les autres sont de la merde et donc sacrifiables.

Le “darwinisme social” est leur justification absolue de leur propre pouvoir, et ils croient nécessairement qu’aucune personne assez stupide pour prendre ce faux vaccin contre le coronavirus ne peut être digne d’être préservée, tandis qu’ils pensent également que toute personne qui refuse le vaccin mérite d’être raflée et tuée.

Pile, je gagne, face tu perds.


Sources
https://www.newswars.com/smartest-man-in-america-breaks-down-global-elites-vaccine-sterilization-agenda/
https://www.youtube.com/watch?v=sKB4wAqMKRQ

Traduction et sous-titres : https://cv19.fr


[Voir aussi :
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard et liens annexes]




STOP TESTS INUTILES ET RUINEUX : COÛT DIRECT ESTIME À 6,4 MILLIARDS D’EUROS (le point au 14 juin 2021)

Par Gérard Delépine

Qui dit mieux ?

En tenant compte des arrêts de travail liés aux quarantaines inutiles de deux millions d’asymptomatiques,(([1] https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409)) de leur indemnisation par la sécurité sociale et de la désorganisation des entreprises liée à ces absences imprévues, le coût réel global des tests inutiles atteint 20 à 30 milliards d’euros.

On aggrave actuellement la gabegie en poursuivant la propagande pour des tests inutiles chez les asymptomatiques, alors que les soignants, et internes en médecine manifestent de plus belle et que le cinéma du manque de lits de réanimation continue à animer les émissions de pseudo-informations pour servir de prétexte aux confinements catastrophiques qu’ils veulent nous imposer à la rentrée.

Jusqu’à quand ? Que le peuple se fâche en plus de bouder les urnes, tellement il lui semble que les décisions sont prises tout à fait indépendamment de la volonté populaire et de ce qui se passe dans le monde réel ?

Dépister les asymptomatiques ne sert à rien

Sinon à entretenir la panique dans la population en confondant cas et malades. Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est/ou sera malade, ni contagieuse.

La littérature internationale l’a démontré largement.(([2] Ou dans la quasi-totalité des états américains, les mesures sanitaires ont été abolies depuis plusieurs mois sans reprise de l’épidémie qui a commencé sa disparition progressive dès janvier 2021 alors que moins de 5 % de la population était vaccinée.))

L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([3] Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de DIV 2020/05 Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) et rappelé récemment.

Aucune étude médicale publiée n’a pu démontrer que le dépistage des asymptomatiques ait pu ralentir l’épidémie.

Isoler les asymptomatiques ne sert à rien

Une personne sans signe clinique dont le test PCR est positif n’est pas infectée et a extrêmement peu de risque d’être contaminante. L’isoler ne permet donc pas de diminuer les transmissions.

La cour d’appel de Lisbonne(([4] Le test PCR va au tribunal au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) l’a affirmé dans un arrêt exposant au grand jour les ratés et l’imposture du test PCR et de son utilisation à grande échelle sans examen clinique et a condamnant le ministère de la santé portugais à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Que valent les tests PCR ?

Depuis l’été 2020, les articles sérieux référencés(([5] A N. Cohen, B Kesse False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2))(([6] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491)) se sont multipliés dans la presse internationale et française, permettant à ceux qui voulaient savoir de s’informer.

Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique également expert en hypnose, dans un article « PCR ou comment enfumer toute l’humanité»(([7] Mondialisation.ca et COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré) — Éloge de la raison dure (aitia.fr)
https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143)) expose l’utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays :

« en se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de transe hypnotique induit par les mesures autoritaires liées à la crise “sanitaire”.(([8] Tests PCR l’arnaque des cas positifs avec le Dr Pascal Sacré (lapressedupeuple. quebec)
Source de la Vidéo Jérémie Mercier :
https://Youtube/i5taO2_QDQc
https://www.jeremie-mercier.com/))

Il faut stopper les tests pour les bien portants abusivement appelés asymptomatiques :

ils ruinent la sécurité sociale et entretiennent la peur, et c’est probablement la raison pour laquelle contre toute évidence médicale ou scientifique, le ministre de la Santé essaie par tous les moyens de pousser la population à accepter les tests et à les multiplier encore et encore : un million de tests prévus à l’école depuis la dernière rentrée scolaire d’avril et rebelote, autotests tous azimuts sur les plages de l’été !

Le coût des dépistages est considérable : financier, mais aussi psychologique, voire psychiatrique trop souvent

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Depuis près de 18 mois, la politique sanitaire repose sur le crédo “dépister par les tests, masquer, distancier (entre autres en fermant les écoles), confiner jusqu’à vacciner”. Cette politique, qui a coûté des dizaines de milliards d’euros, ne repose sur aucune preuve scientifique et n’a jamais été évaluée ni médicalement ni financièrement et a oublié malheureusement le crédo habituel des vrais médecins fidèles à Hippocrate, SOIGNER ! Et ce ne sont pas les médicaments efficaces qui manquaient de l’hydroxychloroquine à l’ivermectine, zinc, vitamines D et C et macrolides entre autres.

Mais leur usage aurait gêné l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins pendant les essais cliniques, qui nécessite l’absence de traitement efficace connu.

La publication de Wuhan sur le dépistage de dix millions de Chinois(([9] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2003717))

La pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection.

Le plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), de Wuhan,(([10] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) )) est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi ensuite des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague conclut : “les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable.”

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête-t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de les traiter précocement, et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport. Mais qui voulait stopper l’épidémie ?

Il fallait attiser la peur et au passage ruiner la sécurité sociale qu’on nous imposera bientôt de privatiser après avoir jeté l’argent par les fenêtres.

Tromperie internationale

Il s’agit d’une erreur et/ou d’une tromperie internationale orchestrée par l’OMS et Drosten. La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le docteur Drosten, conseiller de Mme Merkel.

La démonstration en a été faite par la cour d’appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s’en emparer, et les ARS qui ont imposé encore le 7 décembre des fermetures d’écoles injustifiées et pire encore des isolements des aînés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires et mortifères basées sur l’utilisation inadaptée des tests PCR.

Le PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permet pas de diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.

Sensibilité et spécificité de la technique PCR

Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d’erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaître un sujet malade (faux négatif) ; et l’erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l’est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.

Cette technique consiste à “amplifier (multiplier)” les petits segments d’ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.(([11] Pascal Sacré COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? 30 août 2020))

Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en août 2019) lui-même avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.

Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.

Le diagnostic d’une infection doit donc être posé par un médecin et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

Le diagnostic posé uniquement sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée, car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes. »

Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.

Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.

Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà).

UTILISATION ABUSIVE DES TESTS PCR DANS LE MONDE SOUMIS À L’OMS ET À FAUCI

Le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS — et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID/NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu’une limite maximale du nombre de cycles d’amplification ne soit clairement spécifiée.

La croyance aveugle en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.(([12] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr) )) Son coût direct est considérable.

La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 et devrait croître chaque année de 3,1 % d’ici 2027, si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.

LA GRATUITÉ DES TESTS SANS PRESCRIPTION EN FRANCE A FAVORISÉ LA GABEGIE ET LA PEUR

En France, la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100 % ont coûté plus de 6 milliards d’euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maîtrisable.

Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds

Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l’attente des résultats d’un test qu’on leur a imposé à l’entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient être indiqués médicalement qu’en cas de suspicion clinique de Covid19).

D’autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu’ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d’hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.

RESPONSABILITÉ DES MÉDECINS DE PLATEAU ET GÉNÉRALISTES ET DES POLITIQUES ET DES ADMINISTRATIFS DES ARS

Au lieu d’examiner une personne, ces responsables conseillent de faire un test PCR et malheur à lui s’il est négatif alors qu’il est cliniquement malade et abandonné sous Doliprane sans utilisation précoce d’ivermectine ou de chloroquine ou d’antibiotique.

Il arrivera trop tard à l’hôpital et sera inclus dans un essai thérapeutique le plus souvent sans consentement éclairé. Comment est-ce supportable en juin 2021 alors que l’on connaît les traitements précoces efficaces ?

Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big Pharma ?

Ils feraient bien en tous cas d’être prudents, car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d’alerte comme le Dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le Pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés et entendus.

Les pensionnaires des EHPAD ont été séparés de longs mois sans raison valable, de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l’épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.

Et le coronacircus continue en juin 2021 alors que l’épidémie a disparu et que de nombreux états comme le Texas ou la Floride ont repris une vie normale et oublié le covid.

La maltraitance de nos aînés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n’a pas demandé leurs choix constitue une violation de leurs droits fondamentaux et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les plaintes s’accumulent. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation.

Le panic Paper

Un rapport allemand classé, mais divulgué (volontairement semble-t-il) a mis en exergue l’utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne.

Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l’OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l’OMS elle — même déclare l’existence en modifiant les critères antérieurs).

Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmentent considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d’hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d’antidépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d’aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue a été également une catastrophe non seulement pour l’enseignement — la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique — mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.

La peur choisie comme mode de gouvernance

entraîne la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à Big Pharma via l’OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.

L’exemple de l’interdiction de l’ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski françaises ouvertes sans restaurants ni bars témoigne de l’ampleur de la manipulation. L’interdiction aux Français d’aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières relève aussi de l’absurde, ou d’une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive. La stupidité de ces interdictions françaises a depuis été largement confirmée par l’absence de toute poussée épidémique en Suisse et en Autriche qui ont laissé leurs stations fonctionner normalement.


L’acceptation de la soumission ne fait qu’encourager les bourreaux et ne conduit qu’à une soumission de plus en plus intense.

L’expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire. Une femme qui accepte une gifle en croyant que son conjoint l’aime entre dans le cercle vicieux qui peut l’entraîner vers la mort. Un peuple qui se soumet aussi.

Coûts économiques et sociaux

Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d’éloignement d’un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur.

Il suffisait de se faire tester de manière répétitive jusqu’au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d’attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui a cru initialement en bénéficier, mais sombre peu à peu dans l’isolement, l’illogisme, l’incompréhension.

Manipulation psychologique et corruption

Lors d’une interview récente d’un journaliste anglais par l’avocat Fuellmich(([13] Ont-ils décidé de sacrifier Fauci pour mieux accélérer la vaccination mondiale ? — (ripostelaique.com) ))(([14] Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain — Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) )) Brian Gerrish raconte sa vue des choses à Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, avocats du Comité Corona créé en juillet 2020, et nous exposent la manipulation psychologique organisée par la programmation neuropsychique et son application lors la plandémie du coronacircus.

Brian s’étend en particulier sur la manipulation dont est victime le peuple britannique :

« le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement. L’homme clé concerné par cette question est Dr David Halpern. Une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion, datée du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus ».

Un éditorial du British Medical Journal une des plus prestigieuses revues médicales britanniques précise :

« la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite dans la presse force la transparence

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, mais en réalité la science est supprimée à des fins politiques et financières.(([15] Kamran Abbasi, rédacteur en chef Editorial du BMJ Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science BMJ 13/11/2020 ; 371 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Publié le 13 novembre 2020) BMJ 2020 ;371 :m4425))

Le Covid-19 a déclenché une corruption d’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique.

Les politiques et l’industrie sont responsables de ces malversations opportunistes. Il en va de même pour les scientifiques et les experts de la santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de protéger la science. »

L’avocat Reiner Fuellmich fait le parallèle avec le « Panic Paper » allemand dont nous avons déjà parlé dans les premiers articles sur le Nuremberg 2.

Conclusion : NE VOUS FAITES PAS TESTER !

Osez remettre en question l’intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles alors que l’épidémie est terminée et que même certains médias aux ordres se sentent obligés de l’avouer.

Les Corona terroristes recourent au mythe de la vague suivante continuant à oublier que ces vagues et ces morts n’auraient pas existé sans l’interdiction invraisemblable de soigner les patients sur leurs signes cliniques et précocement.

La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

LA DICTATURE SANITAIRE DE VERAN RENOUVELÉE LE 20 JUIN

La fin de l’épidémie démontrée par les nouveaux cas en nombre minime malgré la folie des tests et le réseau sentinelle qui montre la disparition de pathologies covid doit poser un problème à notre ministre.

Il lui faut tenir le peuple s’il veut imposer le nouveau confinement prévu à la rentrée par Ferguson et le plan Davos. Malgré l’évidence d’un échec de leur plan en particulier devant les échecs et drames accumulés des vaccins, il accélère autant que faire se peut pour tenter de tenir asservi ce peuple qu’il sent de plus en plus rétif et éveillé.

Course de vitesse. Ce sont toujours les peuples qui gagnent, la question est combien de victimes jusqu’à la libération.

« L’objectif gouvernemental ne change pas : il consiste toujours à “tester-alerter-protéger”, mais la méthode, elle, évolue. Cette méthode s’adapte d’abord à quelques bonnes nouvelles. “Avec 2000 à 3000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, mais nous qui le traquons” », assure le ministre de la Santé dans les colonnes du JDD.(([16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-autotests-partout-mediateurs-mesures-coercitives-veran-annonce-son-plan-pour-lete-20-06-2021-5))»Manifestement il se complaît dans le négationniste et refuse encore aux médecins de traiter et aux malades de choisir leur traitement, le b a ba de la médecine depuis ses origines.

Rappelons tout de même que nous sommes plus de 67 millions d’habitants et que les laboratoires ne fournissent toujours pas le nombre de CT utilisé qui permettrait de se faire une idée de la fiabilité de ces données.

Olivier Véran revendique un été « différent du précédent », enrichi de « plus d’outils » susceptibles d’aider à lutter contre le coronavirus.

Des autotests sur les plages et dans les campings

« Parmi ces outils, les autotests devraient figurer en bonne place d’un été serein, certes, mais placé également sous le signe de la prudence. Ces tests à réaliser soi-même devraient “être distribués gratuitement sur les plages, dans les campings, les hôtels ou les salles de sport », détaille Le Journal du dimanche.

Au total, plus de 8 millions d’autotests vont être distribués à compter de ces prochains jours et pour les deux mois à venir. Ces tests n’ont pas vocation à remplacer les tests PCR et antigéniques, mais à ajouter “une maille supplémentaire” au dispositif.

Ces tests particulièrement peu sensibles pour les personnes sans symptôme sont toujours aussi inutiles que les autres tests, mais ont au moins l’avantage d’être nettement moins chers et de ne pas être remboursés (sauf exception professionnelle). Ils alourdiront donc peu la facture pour la sécurité sociale. Mais fuyez-les absolument, ils vous feront entrer dans un cercle vicieux de chasse au contact !

Médiateurs et contact-tracing

Vous pensiez oublier le covid qui a quasiment disparu de France depuis début avril pendant vos vacances ? Le ministre ne veut pas que vous vous croyez à Miami ou au Texas. Il veut raviver la peur qui risquerait de vous quitter avec la suppression du port de la muselière à l’extérieur.

Olivier Véran annonce le déploiement de médiateurs antiCovid, chargés de conseiller les estivants sur le dépistage, l’isolement ou la vaccination. “Ils seront présents absolument partout : sur les lieux de vacances, dans les campings, les colonies”, assure Olivier Véran.

2 000 d’entre eux seront “capables de réaliser des tests, des enquêtes sanitaires ou de fournir une aide à l’isolement à domicile” en renfort des brigades de l’Assurance maladie !

Créer ces emplois inutiles est-il en réalité une mesure pour lutter contre le chômage ?

Liberté chérie où es-tu passée ?

Ça ne suffisait pas dans l’horreur, alors une nouvelle méthode de contact tracing, “à la japonaise”, devrait être expérimentée “à partir de début juillet” : enquête approfondie » visant à déterminer qui a infecté une personne positive et dans quelles circonstances.

Les chiens renifleurs au secours de Veran : rien ne nous sera épargné !

Le dépistage collectif rendu possible via des chiens renifleurs va être expérimenté « dans un port » et « dans un aéroport ».

« On a désormais la preuve que ça marche dans la vraie vie grâce aux résultats très prometteurs obtenus par les équipes de recherche et l’APHP », fait valoir Olivier Véran, qui signale « un déploiement plus large durant l’été » en cas de succès des expérimentations. Vu les succès de l’aphp dans le traitement du covid, la publicité choisie n’est pas forcément la meilleure.

Ces pauvres chiens risquent de s’épuiser à la tâche, car compte tenu de l’incidence actuelle du covid en France (3/100 000 d’après le réseau sentinelle

(([17] Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s23), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0 %, 11 % et 11 %, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [1 ; 4]), ce qui représente 1 758 [959 ; 2 557] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à celui de la semaine dernière (données consolidées pour 2021s22 : 3 [2 ; 4], soit 2 199 [1 445 ; 2 953] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).))) il leur faudra renifler 33333 personnes pour retrouver un malade du covid ! Mais que fait la SPA pour protéger ces pauvres bêtes ?

La dictature sanitaire en marche pour une épidémie disparue…

Depuis avril 2021(bien avant que le vaccin y soit pour quelque chose) l’épidémie a quitté peu à peu le territoire Français. Mais O. Veran ne l’annonce pas et préfère continuer à instiller la peur en agitant la possibilité d’une quatrième vague. Si nous étions en véritable « guerre », un tel défaitisme serait passible de lourdes condamnations.

Le ministre de la Santé annonce un plan « plus coercitif » face à un variant Delta « très, très contagieux ».

« Si une personne contaminée par le variant indien refuse de répondre aux équipes de l’Assurance maladie ou de respecter les consignes de mise à l’abri, une alerte est faite aux préfets, indique-t-il. Ces derniers peuvent prendre des mesures d’isolement. (…) Nous n’hésiterons pas à le faire, car nous ne pouvons pas prendre le risque de départ d’une nouvelle vague épidémique. »

Les Français échaudés se laisseront-ils convaincre que l’épidémie ne continue qu’en France alors que les autres pays sont libérés et que les chiffres de l’OMS de Santé Publique France prouvent le contraire ?

Une première prudence pour vous protéger et pour protéger vos proches est de REFUSER TOUT TEST dont on a vu l’absence de fiabilité et d’utilité en l’absence de signes cliniques. La France est — elle sur une autre planète ?





L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

[Source anglophone : mercola.com]

Analyse du Dr Joseph Mercola

RÉSUMÉ

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.

►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.

►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Les données indiquent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.

►Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés présentent un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.

►Les injections de COVID-19 n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence, qui ne peut être accordée que s’il n’existe pas de remèdes sûrs et efficaces. De tels remèdes existent, mais ils ont été activement censurés et supprimés.

Dans la vidéo ci-dessus [Voir ici], l’animateur du podcast Dark Horse, Bret Weinstein, docteur en biologie évolutionniste, s’entretient avec le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN,(([1] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) et Steve Kirsch, un entrepreneur qui a mené des recherches sur les effets indésirables des thérapies géniques COVID-19.

Je me rends compte qu’il s’agit d’une interview de trois heures absolument épique, mais si vous attachez de l’importance à ce que j’ai enseigné, vous devez au minimum lire très attentivement l’intégralité de cet article.

M. Malone est le scientifique qui a inventé la technologie permettant de réaliser le test COVID et il révèle comment cette introduction a été compromise sur le plan éthique pour rendre le consentement éclairé absolument impossible pour le citoyen moyen. Regardez l’interview si votre emploi du temps le permet, mais lisez attentivement cet article à coup sûr.

Kirsch a récemment publié l’article « Should You Get Vaccinated ? » dans lequel il explique comment et pourquoi il a changé d’avis sur les « vaccins » COVID-19. Et ce, après avoir reçu les deux doses du vaccin Moderna, comme l’ont fait ses trois filles.

Si vous ou l’un de vos proches avez des doutes sur le test COVID, alors vous devez absolument lire l’article de Kirsh, car il s’agit clairement de l’un des meilleurs articles sur le sujet et il présente l’autre côté de l’histoire, qui n’est JAMAIS présenté dans les médias grand public.

N’oubliez pas que sans une divulgation complète des risques liés au vaccin, il est impossible d’obtenir un consentement éclairé.(([2] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) Si vous lisez l’article de Kirsch, vous obtiendrez, de manière très détaillée, l’autre côté que les médias conventionnels refusent de partager. Il écrit :

« J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 Américains (ce que j’ai confirmé de 3 façons différentes) et handicapé au moins 1 000 000 d’autres. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée. Nous devons suspendre ces vaccins MAINTENANT avant que d’autres personnes ne soient tuées.

Sur la base de ce que je sais aujourd’hui des avantages minuscules des vaccins (environ 0,3 % de réduction du risque absolu), des effets secondaires (y compris la mort), des taux actuels de COVID et du taux de réussite des protocoles de traitement précoce, la réponse que je donnerais aujourd’hui à toute personne me demandant conseil sur l’opportunité de prendre l’un des vaccins actuels serait : « Dites simplement NON ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez déjà été infecté par le COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes, je dirais « NON ! NON ! NON ! »

Dans cet article, je vais vous expliquer ce que j’ai appris depuis que je suis vacciné et qui m’a totalement fait changer d’avis. Vous apprendrez comment ces vaccins fonctionnent et les raccourcis qui ont conduit aux erreurs commises.

Vous comprendrez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, pourquoi ils sont si variés et pourquoi ils surviennent généralement dans les 30 jours suivant la vaccination. Vous comprendrez pourquoi les enfants ont des problèmes cardiaques (pour lesquels il n’existe aucun traitement), perdent temporairement la vue et la capacité de parler. Vous comprendrez pourquoi jusqu’à 3 % d’entre eux peuvent être gravement handicapés par le vaccin. »

La protéine Spike est une cytotoxine bioactive

Comme l’explique Malone, il y a plusieurs mois, il a averti la Food and Drug Administration américaine que la protéine Spike — que les « vaccins » COVID-19 demandent à vos cellules de fabriquer — pouvait être dangereuse. La FDA a rejeté ses inquiétudes, affirmant qu’elle ne pensait pas que la protéine Spike était biologiquement active. En outre, les fabricants de vaccins ont spécifiquement conçu les injections de manière à ce que la protéine Spike soit collée et ne flotte pas librement.

Eh bien, ils avaient tort sur les deux points. Il a depuis été bien établi qu’en effet, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se libère, qu’elle est biologiquement active et qu’elle cause de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés chez COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.

Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre stupéfiant de personnes ayant reçu une ou deux injections du « vaccin » COVID-19. Pour des informations plus approfondies sur la façon dont la protéine Spike cause ces problèmes, veuillez consulter mon interview avec Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D.

L’utilisation du mot « vaccin » n’est pas vraiment appropriée ici, et je ne veux pas contribuer à l’utilisation abusive de ce mot. Ces injections ne sont clairement pas des vaccins. Elles ne fonctionnent pas comme les vaccins conventionnels précédents. Comme le dit clairement l’inventeur des vaccins à ARNm dans l’interview, il s’agit de thérapie génique. Comprenez donc que lorsque je parle de vaccin ou de vaccination, je parle en réalité de thérapie génique.

La protéine de pointe se dissémine dans tout votre corps

Dans un récent entretien(([3] Newzworldtoday.com 2 juin 2021)) avec Alex Pierson, Byram Bridle, docteur en immunologie et chercheur canadien sur les vaccins, a parlé de recherches inédites obtenues auprès de l’organisme de réglementation japonais grâce à une demande de loi sur la liberté d’information.

Il s’agissait d’une étude de biodistribution réalisée par Pfizer, qui a montré que l’ARNm du vaccin ne reste pas dans et autour du site de vaccination, mais est largement distribué dans le corps, tout comme la protéine de pointe.(([4] Nouvelles du site du procès 6 juin 2021))

Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine de pointe est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Dans ce cas, elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et/ou provoquer des saignements anormaux. J’ai détaillé ces résultats et d’autres dans « Chercheur : ‘Nous avons fait une grosse erreur’ sur le vaccin COVID-19 ».

On a arrondi les angles*

[Ndlr : *Pour éviter d’exposer des données problématiques]

La protéine Spike est également toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Kirsch cite des données suggérant que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.(([5] Lettre au rédacteur, commentaire sur la sécurité du vaccin ARNm COVID-19 chez les femmes en ceintes (PDF) )) Le taux normal est de 10 %, il ne s’agit donc pas d’une hausse mineure. Kirsch écrit(([6] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)):

« Il est déconcertant que le CDC affirme que le vaccin est sûr pour les femmes enceintes alors qu’il est si clair que ce n’est pas le cas. Par exemple, l’une de nos amies de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines… Elle a reçu sa première injection il y a 7 semaines, et sa deuxième il y a 4 semaines.

Le bébé présentait une grave hémorragie cérébrale et d’autres défigurations. Son gynécologue n’avait jamais vu une telle chose de sa vie. Ils ont fait appel à un spécialiste qui a dit qu’il s’agissait probablement d’un défaut génétique (parce que tout le monde croit au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible).

Pas de rapport VAERS. Pas de rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j’ai parlé disent qu’il est certain à plus de 99 % que c’était le vaccin. La famille ne veut pas d’autopsie de peur que leur fille ne découvre que c’était le vaccin. C’est un exemple parfait de la façon dont ces effets secondaires horribles ne sont jamais signalés nulle part. »

Il est inquiétant de constater que les données de biodistribution de Pfizer révèlent que l’on a pris des raccourcis dans l’intérêt de la rapidité, et que l’un des aspects de la recherche qui a été ignoré est la toxicologie de la reproduction. Pourtant, malgré l’absence d’une enquête initiale sur la toxicologie de la reproduction et un nombre croissant de rapports de fausses couches (qui est probablement un sous-dénombrement important), les Centers for Disease Control and Prevention continuent d’exhorter les femmes enceintes à se faire vacciner. Pourquoi cela ?

Y a-t-il une suppression intentionnelle des données VAERS ?

De plus, comme nous l’avons évoqué dans l’interview, il semble que les données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) soient manipulées, car des rapports qui avaient été déposés ont disparu. Pourquoi ont-ils été supprimés ? Et sans le consentement des déclarants ?

« Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois plus élevé que la normale. »

Même avec cette manipulation, le nombre de décès signalés après la vaccination contre le COVID-19 dépasse tout ce que nous avons jamais vu. D’après Kirsch, le taux de mortalité lié aux injections de COVID-19 dépasse celui de plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière (([7] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) qui a toujours été le plus dangereux.

D’autres effets graves sont également hors normes. Par exemple, des données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux 25 fois plus élevé de myocardite (inflammation du cœur) que la normale.(([8] Ottawa Citizen 4 juin 2021)) De plus, de nombreux jeunes gens meurent actuellement des suites de cette myocardite.(([9] Le Défenseur 15 juin 2021))

M. Malone souligne qu’en relisant la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de COVID, il a découvert que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait toute latitude pour le faire.

Comme l’a noté Weinstein, il s’agit d’une autre anomalie qui nécessite une réponse. Pourquoi ont-ils opté pour une saisie de données aussi laxiste, car sans elle, il n’y a aucun moyen d’évaluer la sécurité de ces produits. Vous ne pouvez pas identifier les signaux de danger si vous n’avez pas de processus pour capturer les données sur les effets et les évaluer toutes.

« Toute la logique de l’EUA consiste à substituer la saisie en temps réel d’informations clés à la saisie prospective de ces mêmes informations », explique M. Malone. « Mais pour ce faire, vous devez obtenir les informations et elles doivent être rigoureuses. »

Autres anomalies

En outre, comme l’a fait remarquer M. Weinstein, si vous diffusez un vaccin dans le cadre d’une utilisation d’urgence — parce que vous dites qu’il y a une urgence sanitaire sans précédent et qu’il n’y a pas d’autres options, et qu’il vaut donc la peine de prendre un risque supérieur à la normale — vous ne le donnerez toujours pas aux personnes qui ne courent aucun risque ou un risque faible de contracter la maladie en question.

Cela inclut les enfants, les adolescents et les personnes en bonne santé de moins de 40 ans, au strict minimum. Les enfants semblent naturellement immunisés contre le COVID-19(([10] Science 14 mai 2021 ; 372(6543) :738-741)) et il a été démontré qu’ils ne sont pas des vecteurs de la maladie,(([11] Archives of Disease in Childhood 2020;105:618-619)) et les personnes de moins de 40 ans ont un taux de létalité de l’infection de seulement 0,01 %.(([12] Annals of Internal Medicine 2 septembre 2020 DOI:10.7326/M20-5352)) Cela signifie que leurs chances de survie sont de 99,99 %, ce qui est aussi bon que possible.

Les femmes enceintes seraient également exclues, car elles constituent une catégorie à haut risque pour toute expérimentation, et toute personne ayant guéri du COVID serait exclue, car elle possède désormais une immunité naturelle et n’a pas besoin d’un quelconque vaccin. En fait, une récente

Une étude de la Cleveland Clinic(([13] medRxiv 5 juin 2021 DOI :10.1101/2021.06.01.21258176))(([14] Nouvelles médicales Sciences de la vie 8 juin 2021)) a révélé que les personnes dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 avait été positif au moins 42 jours avant la vaccination ne tiraient aucun bénéfice supplémentaire des vaccins.

Pourtant, tous ces groupes à risque incroyablement faible sont exhortés et même incités de manière inappropriée à se faire vacciner, ce qui constitue également un comportement anormal. L’analyse des risques et des avantages ne tient pas seulement compte du risque d’effets graves et de décès liés à la maladie, mais aussi de la disponibilité de traitements alternatifs, ce qui constitue une troisième anomalie majeure.

Nous avons assisté à une suppression claire des informations montrant qu’il n’existe pas un seul, mais plusieurs remèdes efficaces qui pourraient réduire à pratiquement zéro le risque de COVID-19 pour un certain nombre de groupes de personnes. Les exemples incluent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont tous deux utilisés en toute sécurité depuis des décennies par des millions de personnes dans le monde.

Le principe de précaution veut que tant qu’un médicament ou une stratégie de traitement n’est pas nuisible, même si l’effet positif peut être faible, il doit être utilisé jusqu’à ce que de meilleures données ou de meilleurs traitements soient disponibles. C’est la logique qu’ils ont utilisée pour les masques (même si les données n’ont montré aucun avantage statistique et qu’il existe un certain nombre d’inconvénients potentiels).

Mais lorsqu’il s’agit d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, ils ont supprimé l’utilisation de ces médicaments alors qu’ils sont extrêmement sûrs lorsqu’ils sont utilisés aux doses appropriées et qu’il a été démontré qu’ils fonctionnent vraiment bien dans plusieurs dizaines d’études. Comme le note Kirsch dans son article :(([15] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))

« Les médicaments reproposés [comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine] sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec un protocole efficace réduit de plus de 100 fois le risque de décès. Ainsi, au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et ce chiffre ne concerne que le vaccin (et ne tient pas compte des décès dus à une percée). »

Les médecins sont également muselés et leurs avertissements supprimés et censurés. Le Dr Charles Hoffe a administré le « vaccin » COVID-19 de Moderna à 900 de ses patients.

Trois d’entre eux sont désormais handicapés à vie et un est décédé. Après avoir écrit une lettre ouverte au Dr Bonnie Henry, responsable provincial de la santé en Colombie-Britannique, dans laquelle il déclarait être « très alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement « ,(([16] Lettre ouverte du Dr Charles Hoffe 5 avril 2021)) ses privilèges hospitaliers lui ont été retirés.

Les lois de bioéthique sont manifestement violées

Dans un essai du 30 mai 2021,(([17] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) Malone a examiné l’importance du consentement éclairé, concluant à juste titre que la censure fait en sorte que le consentement éclairé ne peut tout simplement pas être donné. Le consentement éclairé n’est pas seulement une belle idée ou un idéal. C’est la loi, tant au niveau national qu’international. L’actuelle campagne de vaccination viole également les principes bioéthiques en général.

« À titre d’information, sachez que je suis un spécialiste et un défenseur des vaccins, ainsi que l’inventeur original de la plate-forme technologique du vaccin à ARNm (et du vaccin à ADN). Mais j’ai également reçu une formation approfondie en bioéthique de l’Université du Maryland, du Walter Reed Army Institute of Research et de la Harvard Medical School, et le développement clinique avancé et les affaires réglementaires sont des compétences essentielles pour moi », écrit M. Malone.

« Pourquoi est-il nécessaire de supprimer la discussion et la divulgation complète des informations concernant la réactogénicité et les risques de sécurité des ARNm ? Analysons rigoureusement les données sur les événements indésirables liés aux vaccins. Peut-on trouver des informations ou des schémas, comme la découverte récente des signaux de cardiomyopathie, ou les signaux de réactivation du virus latent ?

Nous devrions faire appel aux meilleurs experts en biostatistique et en apprentissage automatique pour examiner ces données, et les résultats devraient — non doivent — être mis à la disposition du public rapidement. Suivez-moi et prenez un moment pour examiner avec moi la bioéthique sous-jacente à cette situation…

La suppression de l’information, la discussion et la censure pure et simple concernant les vaccins actuels de COVID, qui sont basés sur les technologies de thérapie génique, jettent une mauvaise lumière sur l’ensemble de l’entreprise des vaccins. Je pense que le public adulte peut gérer l’information et les discussions ouvertes. En outre, nous devons divulguer entièrement tous les risques associés à ces produits de recherche expérimentale.

Dans ce contexte, le public adulte est essentiellement un sujet de recherche qui n’est pas tenu de signer un consentement éclairé en raison de la dérogation de l’EUA. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne méritent pas la divulgation complète des risques que l’on exige normalement dans un document de consentement éclairé pour un essai clinique.

Et maintenant, certaines autorités nationales demandent le déploiement des vaccins EUA chez les adolescents et les jeunes, qui, par définition, ne sont pas en mesure de fournir directement un consentement éclairé pour participer à une recherche clinique — écrit ou non.

Le point essentiel ici est que ce qui est fait en supprimant la divulgation et le débat ouverts concernant le profil des effets indésirables associés à ces vaccins viole les principes bioéthiques fondamentaux de la recherche clinique. Cela remonte à la convention de Genève et à la déclaration d’Helsinki.(([18] Association médicale mondiale AMM Déclaration d’Helsinki)) Il doit y avoir un consentement éclairé pour l’expérimentation sur des sujets humains ».

L’expérimentation sans consentement éclairé approprié viole également le Code de Nuremberg,(([19] Code de Nuremberg de 1947)) qui énonce un ensemble de principes d’éthique de la recherche pour l’expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été élaboré pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

Des lignes ont été franchies qui ne doivent jamais l’être

Aux États-Unis, nous avons également le rapport Belmont,(([20] HHS.gov Le rapport Belmont)) cité dans l’essai de Malone, qui énonce les principes éthiques et les lignes directrices pour la protection des sujets humains de la recherche, couverts par le Code of Federal Regulations 45 CFR 46 (sous-partie A). Le rapport Belmont décrit le consentement éclairé comme suit :

« Le respect des personnes exige que les sujets, dans la mesure de leurs capacités, aient la possibilité de choisir ce qui doit ou ne doit pas leur arriver. Cette possibilité est offerte lorsque les normes adéquates de consentement éclairé sont respectées.

Si l’importance du consentement éclairé est incontestable, la nature et la possibilité d’un tel consentement font l’objet de controverses. Néanmoins, il est largement admis que le processus de consentement peut être analysé comme contenant trois éléments : l’information, la compréhension et le caractère volontaire. »

Les Américains, et même les peuples de la terre entière, sont empêchés d’accéder librement à l’information sur ces thérapies géniques et de la partager. Pire encore, nous sommes induits en erreur par les vérificateurs de faits et les plates-formes Big Tech qui interdisent ou apposent des étiquettes de désinformation sur toute personne et tout ce qui en discute de manière critique ou interrogative. Cette même censure empêche également la compréhension des risques.

Enfin, le gouvernement et un grand nombre d’acteurs du secteur des vaccins encouragent les entreprises et les écoles à rendre ces injections expérimentales obligatoires, ce qui viole la règle du volontariat. Le gouvernement et les entreprises privées créent également des incitations massives à participer à cette expérience, notamment des loteries d’un million de dollars et des bourses universitaires complètes. Rien de tout cela n’est éthique ni même légal. Comme l’a noté Malone:(([21] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021))

« … comme ces vaccins ne sont pas encore autorisés sur le marché (homologués), il est spécifiquement interdit de contraindre des sujets humains à participer à une expérimentation médicale. Par conséquent, les politiques de santé publique qui répondent aux critères généralement admis de coercition pour participer à la recherche clinique sont interdites.

Par exemple, si je proposais un essai clinique impliquant des enfants et que j’incitais la participation en distribuant des glaces à ceux qui étaient prêts à participer, n’importe quel comité de sécurité des sujets humains (IRB) institutionnel aux États-Unis rejetterait ce protocole.

Si je devais proposer un protocole de recherche clinique dans lequel la population d’une région géographique perdrait ses libertés individuelles à moins que 70 % de la population ne participe à mon étude, une fois encore, ce protocole serait rejeté par n’importe quel IRB américain pour cause de coercition à la participation des sujets. Aucune coercition pour participer à l’étude n’est autorisée.

Dans la recherche clinique sur les sujets humains, dans la plupart des pays du monde, cette exigence est considérée comme une ligne de démarcation à ne pas franchir. Et maintenant, on nous dit de renoncer à cette exigence sans même qu’une discussion publique ouverte soit autorisée ? En conclusion, j’espère que vous vous joindrez à moi, que vous prendrez un moment pour réfléchir par vous-même à ce qui se passe. La logique me semble claire.

1. Un produit médical non autorisé déployé dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) reste un produit expérimental en cours de développement de recherche clinique.
2. L’AUE autorisée par les autorités nationales accorde essentiellement un droit à court terme d’administrer le produit de la recherche à des sujets humains sans consentement éclairé écrit.
3. La Convention de Genève, la déclaration d’Helsinki et l’ensemble de la structure qui soutient la recherche éthique sur les sujets humains exigent que les sujets de recherche soient pleinement informés des risques et qu’ils consentent à participer sans contrainte. »

Encore une fois, si votre emploi du temps le permet, j’espère sincèrement que vous prendrez le temps d’écouter l’interview de Weinstein avec Malone et Kirsch. Oui, c’est très long — environ 3 ½ heures — mais ils sont tous astucieux dans leurs observations, ce qui rend la conversation éclairante. Et n’oubliez pas de lire et de partager largement l’article de Kirsch, « Should You Get Vaccinated ? ”(([22] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))


[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé. En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award. Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.

Le Dr Robert Malone a inventé la technologie de thérapie génique par ARNm et a averti la FDA que les vaccins sont dangereux. La FDA l’a-t-elle écouté ? Non. Au lieu de cela, il a été censuré par Big Pharma et la FDA a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence qui a entraîné des centaines de milliers de blessures. Lisez l’intégralité de cet article et — si vous le pouvez — écoutez attentivement l’entrevue vidéo.


Sources et références




Origine du virus : FAUCI passe aux aveux et ça éclabousse tout le monde !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective

[Source : Sott.net]

[Illustration : © Sott.net]

Par Ariane Bilheran — L’Antipresse

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la paranoïa, de la perversion, du harcèlement et du totalitarisme.

[Voir aussi :
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
“Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Alexandre Soljenitsyne : «Les hommes ont oublié Dieu»]

Épisode 1 — La structure totalitaire : le délire paranoïaque

« Bien des gens affirment qu’on ne saurait combattre le totalitarisme sans le comprendre. Ce n’est heureusement pas vrai car, autrement, notre situation serait sans espoir. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

En 2020, je suis intervenue trois fois pour alerter sur l’émergence du totalitarisme actuel, au prétexte sanitaire : le 13 mai, avec « Totalitarisme sanitaire : « C’est pour ton bien… Le mal radical »[1], le 30 août, avec « Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave »[2], et le 30 décembre, à Radio Canada[3], entrevue au cours de laquelle j’ai affirmé que ce que nous vivions n’était pas autoritaire, mais totalitaire, en examinant la certitude délirante de la psychose paranoïaque. Ces interventions m’ont valu railleries, quolibets et insultes en tout genre, de la part de ceux qui ne peuvent pas entendre ce qui se passe (ou n’y ont pas intérêt), prétendant que j’exagère ou que je souffrirais moi-même de paranoïa.

Pourtant, en un an, nos libertés, conquises de haute lutte durant des siècles, au prix du sang de nos ancêtres, se sont évaporées en fumée, jusqu’à la survenue de ce « passeport sanitaire », jugé impensable par la majorité des gens il y a quelques mois encore. Afin d’élaborer un tel diagnostic précoce de délire collectif, je me suis appuyée sur ma longue expérience professionnelle d’observations des groupes, des institutions et des entreprises, lorsqu’ils se transforment en îlots totalitaires. En avril 2020, bien que certains signes eussent pu paraître insignifiants aux yeux du plus grand nombre, ils étaient suffisants pour caractériser l’entrée dans une psychose paranoïaque collective, en particulier le déni de réalité, le mensonge, le clivage, la projection[4], l’interprétation, la persécution (ici, d’un virus, ennemi invisible, qui autorise la persécution des individus en tant qu’organismes porteurs d’une multiplicité de virus), la manipulation des masses (terreur, culpabilité et chantage), l’idéologie sanitaire (et la propagande qui la soutient), mais aussi la survenue d’une nouvelle langue pour décrire une « nouvelle normalité » ou une « nouvelle réalité » faisant table rase de l’ancien. Rappelons les critères politiques du totalitarisme, qui ne saurait se réduire à une dictature, un despotisme, ou encore, une tyrannie : monopole des médias de masse et du corps policier, direction centrale de l’économie, persécution des opposants et de toute critique, système de surveillance d’individus, encouragement aux délations, logique concentrationnaire orchestrée sur la terreur, politique de la table rase, idéologie mouvante construite sur le clivage entre bons citoyens et mauvais citoyens, sur l’ennemi — visible ou invisible — et la pureté.

Les individus s’organisent selon des structures psychiques (certains préfèreront le terme organisation, moins rigide), qui traduisent leur rapport à la réalité, à l’expérience, à l’autre, à la Loi, aux pulsions, à la rationalité. Ces structures sont évolutives à la faveur des événements, en particulier des charges traumatiques lourdes, et c’est ce qui explique qu’en temps « normal », des individus respectant des tabous moraux fondamentaux (notamment, ne pas transgresser ni tuer), se désinhibent en temps totalitaire (ou plutôt régressent psychiquement), l’idéologie de masse permettant de justifier la levée des interdits anthropologiques du meurtre et de l’inceste — et de leurs dérivés — qui fondent une civilisation. Ce que l’on sait moins, c’est que ces structures psychiques concernent aussi les collectifs. Il existe des personnalités psychiques au niveau des groupes, des institutions, des entreprises… J’ai longuement étudié la nature des groupes que j’ai appelés « régressés », lorsqu’ils basculent sur un mode pervers ou pire, paranoïaque. Les pathologies narcissiques graves ont en effet ce talent de créer une unité pathologique dans les groupes, avec des interactions inconscientes. C’est dire à quel point l’individu est pris dans un système, où le tout est d’une autre nature que la somme de ses parties. Ce système contraint le psychisme individuel, qui en retour nourrira le délire collectif. Voilà expliqué en peu de mots le phénomène sectaire et fanatique.

Le totalitarisme correspond à un délire psychotique, celui de la paranoïa. Il s’agit d’une psychose, qui s’articule sur le déni de réalité (la réalité et l’expérience n’existent pas, ne servent pas de boucles de rétroaction pour qualifier la pensée délirante dogmatique), un délire interprétatif (un ennemi extérieur ou intérieur, visible ou invisible, nous veut du mal) avec des idéologies dédiés (mégalomanie, pseudo-idéaux humanitaires, hypocondrie, persécution…), la projection, la méfiance, le clivage, l’hyper-contrôle. Cette folie présente l’apparence de la raison, du discours argumenté, tout en s’organisant sur un délire de persécution justifiant la persécution d’autrui. Elle ne nie pas la Loi, elle l’interprète à son avantage et, si elle en a le pouvoir, elle l’instrumentalise pour persécuter les individus, et non plus les protéger. « Para » (παρά), dans le grec ancien παράνοια, est un préfixe qui signifie tout à la fois « à côté », « en parallèle », comme dans « parapharmacie », ou « contre », comme dans « parapluie ». De même que le parapluie agit contre la pluie, le paranoïaque agit contre l’esprit (νοῦς), contre l’intelligence, contre la logique. Et, pour ce faire, il subvertit l’esprit, l’intelligence, la logique, et leur fait la guerre.

Peu importe le contenu du délire, à savoir son décor théâtralisé, car la paranoïa, « folie raisonnante » comme l’ont nommé les psychiatres Sérieux et Capgras, obéit toujours à une même structuration des processus psychiques. Nourrie par la haine et la manipulation érotisée des institutions, elle peut être dangereusement collective et psychiquement contagieuse, « pour notre bien ». Il convient d’accuser l’ennemi désigné comme persécuteur, et si possible, de le personnifier. Un virus « pris en tenailles » — cf. discours d’E. Macron du 31 mars 2021 — est l’ennemi parfait, car il est invisible, en perpétuelle transformation — « variants ». L’interprétation — déduction à partir d’une opinion subjective — est au centre du dispositif : ce virus est si dangereux qu’il en va de la survie de l’espèce humaine — postulat implicite, qui permet de justifier la destruction de l’économie, des libertés et du droit fondamental) ; l’interprétation est à la fois exogène — le virus tueur est à l’extérieur de nous — et endogène — à l’intérieur de nous.

Osons une question blasphématoire : un virus aurait-il l’intention de nous tuer ? Les virus sont inscrits dans notre ADN ; nous en touchons des centaines de millions chaque jour. Curtis Suttle, virologue à l’université de la Colombie-Britannique au Canada, indique dans une étude de 2018, que plus de 800 millions de virus se déposent sur chaque mètre carré de terre chaque jour. Dans une cuillère à soupe d’eau de mer, il y a plus de virus que d’habitants en Europe !

« Nous avalons plus d’un milliard de virus chaque fois que nous allons nager […]. Nous sommes inondés de virus. »

Un article de 2011 publié dans Nature Microbiology estime qu’il y a plus d’un quintillion (1 suivi de 30 zéros) de virus sur Terre !!! Environ 8 pour cent du génome humain est d’origine virale, et les virus ont été présents bien avant l’espèce humaine sur Terre, ils ont contribué à donner naissance à la vie cellulaire[5]. Partir en guerre[6] contre un virus, est-on sérieux ? C’est pourtant ce que propose l’hypocondrie délirante de la paranoïa collective, dans laquelle le corps devient étranger à soi-même et persécuteur. Il faut donc persécuter le corps, dans un Syndrome de Münchhausen de masse, qui consiste à surmédicaliser de façon inadaptée — interdiction de remèdes, couplée à des vaccins expérimentaux, dont les études qui visent à prouver la qualité, la sécurité et l’efficacité ne sont pas achevées[7] — une maladie virale commune (qui mériterait des soins appropriés et précoces), et dont ceux qui en sont gravement atteints — entre autres, décideurs politiques, des lobbies et leurs relais médiatiques — dénient la tempérance et l’expérience des experts, et créent davantage de problèmes et de souffrances qu’ils n’en résolvent.

L’idéalisation est un mécanisme de défense très puissant, de l’ordre du fanatisme de l’idéal inatteignable. Cet idéal en soi devient persécuteur, car nul ne peut jamais être à la hauteur. La suggestion de l’idéal sanitaire tyrannique est forte depuis le départ : la santé est conçue comme absence de maladie potentielle (d’où la confusion entre les cas et les malades), et il faut éradiquer le virus. Avec ce chantage de fond : pas de retour aux temps anciens avant l’éradication du virus. La sophistique change selon les circonstances. Car le « vaccin », présenté dès le départ comme objet fétiche et talisman magique contre le virus, semble ne pas fonctionner à la mesure des ambitions initiales, voire présenter de graves et sérieux problèmes. Insuffisant (il faudrait continuer les mesures sanitaires contraignantes[8]), insatisfaisant (il n’empêche pas les contaminations[9], et serait même à l’origine des variants[10]), éventuellement dangereux[11] — cf. des effets secondaires graves, que certaines compagnies d’assurance ne prendront pas en charge[12], et pour d’autres, il sera fort compliqué de démontrer le lien de cause à effet !.

Devant cet échec vaccinal, l’on peut s’attendre à ce que la persécution se renforce : il faudra, pour répondre à l’idéal inatteignable d’éradication du virus, éliminer les individus qui sont supposés potentiellement porteurs du virus — en puissance, toute l’espèce humaine est visée. D’ores et déjà, des troupeaux entiers d’animaux ont été disséminés selon la même logique nazie d’un virus étranger qu’il convient d’éradiquer. Goebbels notait dans son Journal :

« Dans le ghetto de Varsovie, on a noté une certaine montée du typhus. Mais on a pris des mesures pour qu’on ne les fasse pas sortir du ghetto. Après tout, les Juifs ont toujours été des vecteurs de maladies contagieuses. Il faut ou bien les entasser dans un ghetto et les abandonner à eux-mêmes, ou bien les liquider ; sinon, ils contamineront toujours la population saine des États civilisés. »

Les non-vaccinés seront-ils persécutés puis éliminés pour camoufler l’échec vaccinal à répondre à l’idéal inatteignable ? Abdiquer l’idéal tyrannique serait renoncer au délire, et signifierait l’effondrement, la chute devant l’ennemi, la mort, la plongée dans le trou noir. La réalité de l’expérience doit donc être tordue et asservie, pour coïncider avec l’idéal archaïque et sadique, qui la disqualifie.

« La scientificité de la propagande totalitaire se caractérise par l’accent qu’elle met presque exclusivement sur la prophétie scientifique, par opposition à la référence plus traditionnelle au passé »[13], et je renvoie aux travaux du mathématicien Vincent Pavan. La confusion entre la fiction et la réalité de l’expérience règne, appuyée sur un déni des experts, et la certitude délirante, niant toute objection et doute. Il est même hérétique d’avoir une opinion sur la propagande totalitaire ; elle « n’est plus un problème objectif à propos duquel les gens peuvent avoir une opinion, mais est devenue dans leur vie un élément aussi réel et intangible que les règles de l’arithmétique. »[14] Elle place l’atteinte de ses buts dans un futur qui est toujours lointain, une sorte de promesse finale, un paradis, la fin du calvaire, la pureté de la race, le territoire purifié de la maladie, le retour au monde d’avant etc. Il s’agit de fédérer la masse contre un ennemi commun, censé incarner l’opposition à la réalisation de ce but. L’ennemi, autant extérieur qu’intérieur, sera susceptible de changer, suivant l’interprétation à l’instant T, pourvu que demeure ce que je nomme « la xénophobie dans la pensée », à savoir la notion d’un « étranger organique qui serait un « non-soi » menaçant le soi, au lieu que le « soi » soit « capable de se reconnaître porteur du « non-soi » et donc de pouvoir l’assimiler. »[15] Pour faire vivre cette xénophobie sanitaire, il faut opérer une « gigantesque opération de falsification de la vérité »[16], traduisant tout à la fois une confusion mentale et un défaut d’intégrité. La scientificité idéologique et sa technique prédictive ne cessent de se mouvoir ; leur dimension « caméléon » les fait perdurer au pouvoir.

Conclusion

La psychose paranoïaque est un délire d’enfermement collectif menant à un destin concentrationnaire, un projet destructeur de « la vie nue » — cf. Giorgio Agamben — , du « simple fait de vivre », et dont le rôle des Humanités nous rappelle qu’il est sacré. La paranoïa pose une relation d’objet narcissique paradoxale : « vivre ensemble tue et se séparer est mortel »[17] est bien le leitmotiv de l’idéologie sanitaire actuelle qui, si elle est menacée dans sa subsistance hypnotique, conduira inévitablement à des passages à l’acte meurtriers et transgressifs sur les peuples désobéissants, ce que l’on voit d’ailleurs poindre à différents endroits de la planète. Dans les deux prochains billets consacrés à la psychopathologie du totalitarisme, j’analyserai les méthodes, les étapes et l’objectif, puis la contagion délirante, les alliances psychiques et les conditions de sortie du délire collectif.

Épisode 2 — Méthodes, étapes, objectif du projet totalitaire

« Pour combattre le totalitarisme, il suffit de comprendre ceci : il représente la négation la plus absolue de la liberté. »

Hannah Arendt, La nature du totalitarisme, 1953

« Celui qui n’est pas intérieurement préparé à la violence est toujours plus faible que celui qui l’exerce. »

Alexandre I. Soljenitsyne, L’archipel du goulag, 1973

Le régime totalitaire vise « la domination totale » — cf. H. Arendt — , c’est-à-dire s’immisce dans la totalité des sphères sociales, privées et intimes, jusqu’au psychisme des individus. Pour y voir clair, il me semble impératif là encore de convoquer la psychopathologie. Un individu, ou un groupe d’individus, peut représenter et cristalliser l’expression de la paranoïa collective, dont l’essence est contagieuse, comme dans les sectes[18].

« Vaccination-évacuation », vaccinodrome d’Annecy et quais de Paris.

L’instrument clé de la mise en place du pouvoir totalitaire est d’abord le harcèlement des esprits qui doivent devenir perméables à l’idéologie. Il faut que la propagande médiatique obtienne la division du collectif, des clans traditionnels — familles, classes sociales, clans politiques — selon le clivage paranoïaque entre les « bons » et les « méchants » ; la ligne de désignation peut évoluer selon l’idéologie caméléon. Intervient rapidement la terreur, par la désignation de l’ennemi — ici, au départ, l’ennemi est un virus affreux qui entend décimer l’espèce humaine, et contre lequel « nous sommes en guerre », puis les ennemis deviennent les désobéissants qui ne veulent pas respecter les mesures dites sanitaires imposées par le champ politique. La propagande, souvent masquée derrière de subtiles manipulations (« c’est pour votre bien »), jubile à créer des chocs traumatiques collectifs (par exemple, la comptabilité mortifère répétée quotidiennement), qui lui permettront ensuite d’étendre tout son contrôle sur la population sidérée et terrorisée, laquelle, sous l’effet des injonctions paradoxales et de l’usure, appellera le pouvoir tortionnaire en sauveur, ignorant, pour son plus grand malheur, que ce prétendu sauveur est dans le même temps le persécuteur. La propagande se fera le reflet de l’ambition de « l’homme nouveau », niant le passé, les origines, les anciens repères, et toute forme d’altérité, par d’innombrables mensonges, paradoxes, incohérences et absurdités. L’idéologie, origine et principe de l’action totalitaire, doit annihiler l’existence du réel et les retours d’expérience. Hannah Arendt note que, dans le régime stalinien,

« tous les faits qui ne concordaient pas ou qui étaient susceptibles de ne pas concorder, avec la fiction officielle — données sur les révoltes, la criminalité, les véritables incidences des activités « contre-révolutionnaires » par opposition aux ultérieures conspirations fictives — étaient traités comme irréels. » — p. 18

C’est exactement ce qui se passe aujourd’hui, et je renvoie aux travaux de Vincent Pavan[19], ou encore aux alertes régulières de Jean-Dominique Michelpour mesurer le grand écart entre la réalité de l’expérience et de l’analyse, et le narratif officiel.

La terreur glisse rapidement sur les opposants qu’il s’agit de persécuter, à savoir ceux qui ne croient pas à l’idéologie, la mettent en doute, ou encore dénoncent les manipulations de masse. C’est la première phase, celle de la mise au pas par l’élimination des opposants. Mais le déferlement totalitaire se déchaîne bien davantage ensuite : la décompensation paranoïaque devient aveugle, et se cherche des ennemis potentiels (coupables en puissance, et non en acte), puisqu’il n’y a plus d’opposants réels. Pour soumettre les masses, tous les moyens sont permis, en particulier celui de la terreur par l’arbitraire. Tout allait « bien », en effet, lorsque les masses pouvaient se rassurer quant au harcèlement des opposants visibles, finalement, ils l’avaient bien cherché puisqu’ils n’obéissaient pas ! Il est indispensable ensuite que les représailles du pouvoir totalitaire tombent au hasard, afin d’assurer le contrôle total. L’arbitraire suscite l’incompréhension et la sidération — paralysie du psychisme et de la pensée. Croyant ainsi se couvrir, beaucoup deviennent délateurs, et sont encouragés à l’être par le délire de persécution paranoïaque : il s’agit de reconnaître l’ennemi, « si bien masqué soit-il »[20].

Le modus operandi du totalitarisme est le harcèlement. Il s’agit moins de détruire que de conduire à l’autodestruction[21], jusqu’au suicide, par les traumatismes réitérés sur la durée, engendrés dans la terreur et la violence. Les régimes politiques fonctionnant à l’idéologie utilisent la violence extrême, car il s’agit de transformer l’expérience du réel, de gré ou de force, pour faire régner l’idéologie, quoi qu’il en coûte. Ceux qui diffusent l’idéologie et l’organisent savent-ils que l’idéologie est fausse ? Ce n’est pas sûr, si l’on continue l’analyse sous l’angle de la psychopathologie. Ils peuvent y croire, et sont sans doute d’autant plus dangereux qu’ils y croient, d’une croyance religieuse transformée en fanatisme du dogme. Certains d’entre eux sont sans doute plus cyniques ; nous le voyons aujourd’hui avec les scandales d’hommes riches et/ou politiques, qui s’exonèrent des mesures sanitaires qu’ils imposent au peuple. Dans ce cas, l’illusion idéologique, elle est pour les autres, et non pour eux. D’ailleurs, pour H. Arendt, la force de l’idéologie ne tient pas à son contenu — lutte des classes, lutte des races, vaccinés contre non vaccinés, comploteurs contre « complotistes » etc. — mais à sa forme logique. Pour manipuler au mieux les individus, il faut les isoler. Le pervers ne fait pas autrement, lorsqu’il entend exercer son emprise sur sa proie : il l’isole. N’est-ce pas de ce tour de passe-passe dont il s’agit en prônant la nécessité des multiples confinements, dont le grand expert mondial en épidémiologie, John Ioannidis, récuse les bienfaits ? Le totalitarisme enlève aux individus les rapports sociaux, ou plutôt, il ne leur tolérera que certains rapports sociaux, ceux qui seront politisés par l’idéologie — par exemple, s’entasser dans le métro pour aller travailler, ne pouvoir voyager que pour des « motifs impérieux » dont le travail fait partie, mais pas la maladie d’un proche, ni la naissance d’un petit-fils etc. Les liens familiaux sont attaqués, par la désunion que crée le fanatisme idéologique.

Le totalitarisme exige une loyauté « à la vie, à la mort » de l’individu, jusqu’à son sacrifice ultime. Pour cela, il faut capturer l’individu par une série de gestes obsessionnels aliénant le psychisme, comme dans les clans mafieux ou encore les sociétés secrètes : quiconque n’est pas inclus, est exclu ; le pouvoir totalitaire convoque l’utilisation de rituels, l’absence de factions, la suppression des opinions dissidentes, la centralisation absolue du commandement, l’exigence d’une loyauté totale, la promesse d’une protection et de davantage de quelque chose — bonheur, pouvoir, argent, liberté de mouvement, loisirs… — qui ferait de l’initié un privilégié. N’est-ce pas exactement ce dont il s’agit à propos du passeport sanitaire, qui est en tout point similaire au passeport aryen de 1933 quant aux prérogatives conférées (musées, théâtres etc.) : une communauté de privilégiés ? L’écrivain hongrois, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, Imre Kertész, dans son livre L’Holocauste comme culture indique que le totalitarisme ne peut exister sans la stigmatisation de certaines populations qu’il se donne pour mission idéologique de persécuter :

« Au procès de Jérusalem, Eichmann affirmait n’avoir jamais été antisémite et, bien que la salle ait alors éclaté de rire, je ne trouve pas impossible qu’il ait dit vrai. […] Nous devons nous dire clairement qu’aucun totalitarisme de parti ou d’État n’est possible sans discrimination, or la forme totalitaire de la discrimination est nécessairement le massacre, la tuerie de masse. »

Ajoutons que la logique concentrationnaire est indissociable du totalitarisme, car elle est inséparable de l’enfermement psychique de la paranoïa. Depuis quelques mois, j’entends des murmures sur la création ou l’existence des camps de mises en quarantaine, dans différents pays[22]. Si l’idéologie n’est pas stoppée net (et elle ne le sera pas), par une incrédulité de masse, la logique concentrationnaire se déploiera, car elle est l’aboutissement du projet totalitaire : dans le camp, la liberté n’est qu’un lointain souvenir, la liberté de se mouvoir, d’entreprendre, et la Loi comme protection de l’individu n’est plus opérante. Il faut nous souvenir que, pour le paranoïaque, la Loi c’est lui, selon son bon vouloir ; elle n’est plus l’expression de ce qui fait tiers entre les individus, pour protéger leur intégrité, mais devient un instrument de persécution des opposants et des plus vulnérables. Dans le camp, l’on perd son nom, son identité (l’on devient au mieux un numéro), ses racines, ses liens, voire toute forme de socialisation ; l’on perd toute représentation du temps ; c’est la négation de l’humain, le corps est soumis aux agressions, à la faim, au froid, aux maladies, aux maltraitances sexuelles, à la déshumanisation — par exemple, les femmes sont tondues, les hommes rasés, on récupère des bouts de corps… L’objectif totalitaire de la domination totale est atteint par les camps de concentration. Dans la psychose paranoïaque, le sujet est psychiquement enfermé, et s’enferme sans cesse toujours davantage ; il existe une fuite en avant pour toujours davantage de contrôle, avant d’aboutir à l’extermination.

Pour Hannah Arendt, « le prisonnier d’un camp n’a pas de prix puisqu’on peut le remplacer »[23]. La logique concentrationnaire du totalitarisme en ce sens est pire que l’esclavage, parce que l’esclave possède une valeur marchande : il peut être vendu au marché aux esclaves. La valeur marchande sur le corps humain relève de la perversion : instrumentaliser à outrance ce qui en saurait l’être. Rappelons-nous que la perversion est l’instrument du déploiement du totalitarisme, mais elle n’en est pas le but : le but n’est plus l’aliénation (soumission) mais l’annihilation (la réduction au rien) du sujet humain, c’est un cap supplémentaire qui est franchi. La valeur marchande sur le corps humain peut encore conférer un statut de personnalité juridique mineure, bien sûr sous un mode pervers. Mais dans l’apogée du totalitarisme les corps sont remplaçables, interchangeables, n’ont plus aucune valeur sacrée, et plus aucune valeur, tout court, même matérielle ou marchande. La personne morale est détruite. Hannah Arendt appelle cela « l’assassinat de l’individualité ». Elle ajoute[24] :

« Le dessein des idéologies totalitaires n’est donc pas de transformer le monde extérieur, ni d’opérer une transmutation révolutionnaire de la société, mais de transformer la nature humaine elle-même. »

Et poursuite :

« Les États totalitaires s’efforcent sans cesse de démontrer que l’homme est superflu. »

Le totalitarisme est quant à lui et par essence génocidaire : il n’a plus besoin de l’humain, ou plutôt, il prétend le créer de nouveau, à partir de zéro. C’est le projet de « l’homme nouveau » ; il faut à la fois supprimer la liberté humaine, et l’humain dans toutes ses aspérités, pour faire régner la notion de pureté. N’est-ce pas là le projet en cours du Grand Reset, et du transhumanisme qui l’accompagne ? Les privilégiés auront une « valeur marchande » et pourront continuer de vivre dans le monde marchand — voyager, consommer etc. Quant aux autres ? La paranoïa fonctionne sur un mode binaire : les purs et les impurs, les forts et les faibles, les utiles et les inutiles, les essentiels et les non-essentiels… Et c’est cette notion de pureté qui la fait parquer dans des camps les éléments jugés indésirables car ces dits impurs ne sauraient venir souiller « l’espace vital ». La pureté est déjà présente dans l’idéologie sanitaire, où l’on fumige à tout va, y compris au Leclerc d’Ajaccio[25], comme si nous étions des cafards. Les populations nomades, apatrides, marginales, et pauvres sont toujours visées, car elles ne se laissent pas assujettir au contrôle. Il est fort à parier que c’est ce qui guette une partie de la population ; attendons de voir qui sera l’ennemi désigné : pour l’instant, l’on suppose qu’il s’agira des non-vaccinés, mais cela peut tout aussi bien s’étendre aux « islamo-gauchistes » (néologisme flou), à toute population désignée comme « terroriste » (sur quels critères ?), mais aussi pourquoi pas aux vaccinés estimés porteurs de variants, car l’ennemi désigné peut mouvoir, au gré de l’idéologie caméléon.

Conclusion

Le totalitarisme est international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, et planétaire dans ses aspirations politiques. Il poursuit « l’expérience de domination totale. »[26]Le but est la disparition totale de toute spontanéité. Pour y parvenir, il faut à la fois l’endoctrinement idéologique — nous y sommes déjà —, la terreur arbitraire et l’ambition concentrationnaire — c’est en route — pour briser ce que hait la paranoïa : toute forme de spontanéité. Les camps sont le lieu d’achèvement du processus de déshumanisation et de spoliation de la personne, par la soumission des corps incarnés, après la brisure des esprits. Hannah Arendt parle de désolation pour nommer cette épreuve d’une perte radicale des moyens de faire l’expérience du monde. Le mal est radical : à la racine. Dans un prochain et dernier épisode, j’analyserai la contagion délirante et les alliances psychiques inconscientes dans le collectif et les issues envisageables.

Épisode 3 — Contagion délirante et alliances psychiques, sortie du délire

« La liberté est ce qu’il y a de plus intime, et c’est à partir d’elle que s’élève tout l’édifice du monde de l’Esprit ».

Hegel, Principes de la philosophie du droit, « Cours de philosophie du droit de 1831 »

Pour entrevoir une issue au totalitarisme, il nous faut comprendre comment les esprits ont été emprisonnés dans la folie paranoïaque. Cela suppose de rendre intelligible le phénomène de contagion délirante[27], et de mettre en lumière les interactions psychiques inconscientes qui s’allient pour promouvoir l’idéologie.

La paranoïa est une pathologie contagieuse, qui érode les liens traditionnels[28] pour soumettre les psychismes à de nouveaux liens, ceux de l’idéologie[29].

Il faut d’abord comprendre — et je ne pourrai rentrer ici dans le détail d’un processus psychique fort complexe — que le psychisme tend à se défendre face à la violence du harcèlement, de la propagande médiatique et de la terreur. Pour cela, il érige des remparts qui lui permettent de tolérer une réalité insoutenable, parmi lesquels : le déni, le refoulement, la banalisation, l’idéalisation, le clivage, la projection, la radicalisation, l’interprétation, l’isolation, la décharge dans le passage à l’acte, l’automatisation des faits et des gestes, l’anesthésie affective, le désinvestissement[30]… Ces « mécanismes de défense » érodent la lucidité de l’individu. En particulier, le déni est une impossibilité absolue de se représenter la violence de ce qui se passe, jusqu’à rendre hermétique à toute argumentation ou évidence des faits. Je précise que ce processus psychique n’a rien à voir avec l’intelligence, mais concerne les « plus fragiles » psychologiquement, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas les ressources internes suffisantes pour résister à une telle distorsion interprétative du monde : la majorité des êtres humains. Car il faut une force psychique hors du commun pour parvenir à garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, la vérité travestie en mensonge, et les innocents désignés comme coupables, tandis que les coupables exercent une terreur indécente, au nom du bien du peuple, et de jolis idéaux tels que « la santé pour tous » ou « la protection de nos aînés. » La contagion délirante opère à partir de ces remparts, rendant l’individu perméable à l’idéologie, et désormais adepte inconditionnel de la secte totalitaire.

Il existe une hiérarchie des profils psychiques dans l’accès aux fonctions structurantes de civilisation que sont la symbolisation et la sublimation[31]. Nous pouvons déjà distinguer ceux qui ont structurellement intégré les tabous fondamentaux de l’interdit du meurtre et de l’inceste (et leurs dérivés : calomnie, envie, transgressions sexuelles etc.), et les autres. Ces derniers, qui ne sont plus tenus par une structure extérieure, sont alors « activés » par le délire paranoïaque, qui les autorise désormais à passer à l’acte, sans plus aucune répression légale, pourvu que l’action mortifère et transgressive s’inscrive dans la lignée dogmatique de l’idéologie. C’est ainsi que, sous propagande, des profils pervers peuvent torturer impunément — cf. Klaus Barbie —, des profils paranoïaques peuvent disséminer la terreur[32], et des psychopathes, être utilisés comme des mercenaires du régime.

Les névroses ordinaires[33] sont fragilisées, c’est-à-dire qu’en temps « normal », des personnes se comportant de façon respectueuse des interdits fondamentaux, peuvent, à la faveur d’une idéologie totalitaire, régresser, et notamment sur un mode pervers. En clair, le système totalitaire, par sa dimension délirante massive, fait décompenser des pervers en paranoïa, et régresser des profils névrosés, en perversion, la perversion étant une sorte d’ultime digue psychique pour ne pas sombrer dans le délire — cf. Racamier. Le déploiement du système totalitaire entraîne donc la survenue de nombreux abus de pouvoir et actes sadiques, commis par des chefaillons qui se révèlent. Et l’on se demande alors comment ce bon père de famille, d’ordinaire si agréable, et connu depuis si longtemps, est devenu capable de tant d’atrocités… Je rappelle que la perversion[34] est l’exécutante consciencieuse et habile de la folie paranoïaque.

Le paranoïaque définit la stratégie, quand le pervers déploie la tactique.

Les autres profils névrosés, plus rares, sont tout de même fragilisés, jusqu’à nourrir des dépressions et des idées suicidaires, ou encore convertir leur angoisse en névrose obsessionnelle grave : l’individu fonctionne sur un mode automatisé, par des attitudes ritualisées, qui l’empêchent de penser sa fonction dans l’ensemble du système, comme Eichmann qui ne faisait que s’occuper de ce que les trains arrivent à l’heure. L’individu préfère en effet être entraîné dans la régression psychique collective, plutôt que d’affronter l’épreuve de la solitude, de la perte et de la séparation — épreuve à laquelle le philosophe traditionnel est généralement aguerri. Ainsi, dans des situations incitatives, hors normes, les auteurs d’actes barbares sont aussi des « honnêtes gens », aux profils obéissants.

Seuls trois types de profils résistent au déferlement totalitaire :

  • Des « anti-sociaux », déjà habitués à ne pas se soumettre aux règles du monde qu’ils interrogent toujours avec une grande vitalité ;
  • Des personnes ancrées sur Terre avec un bon sens paysan qui les vaccine contre toute idéologie hors sol ;
  • Quelques intellectuels et artistes.

Tous disposent d’une profondeur émotionnelle intérieure, d’une autonomie interne, et de références morales à l’autorité transcendante, suffisantes pour arrimer l’affirmation d’eux-mêmes dans une filiation temporelle verticale (anciens maîtres, généalogie, ancêtres…), ce qui les affranchit de l’adhésion horizontale au groupe et du collage à l’idéologie. Parmi ces profils, l’on peut trouver (mais pas obligatoirement), des personnes aux hautes valeurs morales, d’une grande intégrité, et d’autres (ou les mêmes), avec une forte sensibilité aux processus liberticides

Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure.

Ils appellent à la désobéissance face à l’abus de pouvoir, et invoquent un idéal humain de liberté, contre le règne absolu de la contrainte. Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence : la fuite d’une réalité vécue comme désagréable. La propagande totalitaire fonctionne, car elle promet de transformer radicalement un monde dont les masses ne veulent plus, parce qu’elles n’y trouvent plus leur place. Bien entendu, ce sentiment d’être perdu, sans racine, le totalitarisme a pu lui-même en être à l’origine, avant d’en tirer profit. La globalisation offerte par l’idéologie totalitaire rassure ; elle donne l’illusion de la prise en charge totale, peu importe que cette prise en charge soit le fruit d’une mère omnipotente qui peut changer d’humeur à n’importe quel moment, jusqu’à tuer sa progéniture si cela lui chante.

Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion.

Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux. Il est donc essentiel que cette alliance provisoire entre les propagateurs politiques de l’idéologie — décideurs politiques et économiques/propagandistes et intellectuels collaborant à l’idéologie — et une grande partie du peuple cesse. La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses.

Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi.

« L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique. La persécution systématique de toutes les formes supérieures d’activité intellectuelle par les nouveaux dirigeants de masse a des raisons plus profondes que leur ressentiment naturel pour tout ce qu’ils ne peuvent comprendre. La domination totale ne tolère la libre initiative dans aucun domaine de l’existence ; elle ne tolère aucune activité qui ne soit pas entièrement prévisible. Le totalitarisme, une fois au pouvoir, remplace invariablement tous les vrais talents, quelles que soient leurs sympathies, par ces illuminés et ces imbéciles dont le manque d’intelligence et de créativité reste la meilleure garantie de leur loyauté. »[35]

Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance. Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »[36]

Que nous reste-t-il lorsque tout est perdu ? Devenir, pour reprendre le titre du livre d’Imre Kertész, un « être sans destin ».

Cet auteur, déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, et libéré du camp de Buchenwald en 1945, pose la question de savoir ce qu’il advient, lorsqu’un homme est privé de tout destin :

« S’il y a un destin, la liberté n’est pas possible ; […] si la liberté existe, alors il n’y a pas de destin […], c’est-à-dire qu’alors nous sommes nous-mêmes le destin. »

Peut-être devons-nous simplement accepter d’être dans la non-maîtrise des événements, et reprendre à l’inverse la devise de l’Abbaye de Thélème : « fais ce que dois ». Accomplir notre devoir humain, jusqu’au bout de ce dont nous avons la maîtrise, et au-delà, embrasser les affres de notre expérience humaine. Le ballon du délire paranoïaque collectif se dégonfle lorsque le langage trafiqué de l’idéologie perd de son charme envoûtant. C’est pourquoi notre liberté se conquiert dans le Verbe, qui nomme avec justesse l’expérience humaine, et ce fut depuis toujours le rôle des Humanités. Le « philosophe-médecin »[37] doit diagnostiquer, nommer le délire, et le caractériser.

Irrespectueux des lois du vivant, qui sont immuables, destructeur des lois transcendantes régissant la condition humaine, le système totalitaire est par essence voué à l’effondrement[38]. Il s’engraisse et survit par la collaboration de nombreux individus, la compromission des esprits et du langage, un renoncement à la vérité, et donc à la justice, le primat de la peur, donc de la haine. Je clôturerai ces trois épisodes avec Kertész :

« […] je ne pense pas me leurrer en le disant, je me suis efforcé d’effectuer le travail existentiel, la tâche que m’a imposée le fait d’avoir survécu à Auschwitz. Je sais très bien à quel point j’ai été privilégié : j’ai vu le véritable visage de ce siècle monstrueux, j’ai regardé la Gorgone dans les yeux et j’ai survécu. Mais j’ai su dès lors que je ne me libèrerais jamais de ce spectacle, j’ai su que ce visage me garderait éternellement sous son emprise. […] Et, si vous me demandez maintenant ce qui me maintient en vie sur cette Terre, je vous répondrai sans hésiter : l’amour. »[39]

Notes [regroupées – NdE]

Commentaire : Voici quelques ouvrages en lien avec le sujet développé dans l’article :

  • La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, Pierre Hillard
  • Neuro-esclaves — Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse, Marco Della Luna & Paolo Cioni
  • Un si fragile vernis d’humanité — Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
  • La ponérologie politique, Andrew Lobaczewski
  • Propagandes, Jacques Ellul
  • Les origines du totalitarisme, Hannah Arendt
  • La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux
  • Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), Sebastian Haffner

Et toujours en lien avec l’article, nos Focus suivants :

Sources de l’article initialement publié en trois parties dans le magazine L’Antipresse — accès réservé aux abonnés — et reprises sur le site personnel d’Ariane Bilheran :




Les témoignages des drames post-vaccination s’accumulent chaque heure

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

HALTE A LA VACCINATION COVID DES ENFANTS ! STOP DESINFORMATION  MEDIATIQUE(([1] Un groupe de médecins accuse la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants – Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) ))

Un nouveau cri d’alarme !

En attendant que les médias fassent leur travail comme cela commence en Allemagne avec le journal Bild(([2] https://youtu.be/dgvmHdttEEc)) qui fait son mea culpa ou en Irlande où un grand journal titre sur les morts de la vaccination,(([3] https://twitter.com/i/status/1405256231778926599)) combien faudra-t-il d’articles, de vidéos pour informer nos concitoyens de l’horreur de cette substance génique appelée vaccin, sans en avoir les caractéristiques, à l’intérêt nul pour les enfants qui ne risquent rien du covid et ne transmettent pas le virus, dont les risques sont loin d’être négligeables, en particulier cardiaques ?

Même l’agence du médicament français ANSM enquête sur le lien entre myocardites et thérapie génique. Quand on connait leur lenteur à la détente, il y a de quoi être inquiet…(([4] Cas de myocardite : l’ANSM retient un “rôle possible” du vaccin Pfizer (europe1.fr) ))

La litanie quotidienne du frère ou du copain moqueur fier de se vacciner et mort six semaines plus tard, des personnalités qui ont vanté le pseudo-vaccin à la télé italienne américaine anglaise ou française qui disparaissent brutalement d’une crise cardiaque… Deux présentateurs de la télévision britannique, un espoir du tennis de 12 ans, un mannequin et une célèbre youtubeur handicapé féru de sport et suivi par 260.000 personnes qui avait fait la pub du vaccin il y a quelques semaines, meurent brutalement de crise cardiaque et même un footballeur de l’Inter de Milan, danois qui s’écroule sur le stade et s’en tire avec un défibrillateur. Quel sera son avenir sportif, et les assurances vont -elles l’indemniser à hauteur de ses pertes financières ?  Ce jour une infirmière argentine meurt brutalement quelques jours après le vaccin et presque toujours le même scénario brutal.

Hasard ? Coincidence me dira-t-on ? Ça commence à faire beaucoup et s’additionne aux chiffres des agences comme le Vaers aux USA, l’EMA, l’ANSM, ou anglaise.(([5] How can the UK Gov. make these mandatory ? – 20th update on Adverse Reactions to the Covid Vaccines shows 949,287 Adverse Reactions & 1,332 Deaths – Daily Expose))

LA PROPAGANDE DE LA BBC MISE EN CAUSE

Le cri d’alerte du jour succédant aux appels de collègues américains en particulier est celui d’un groupe de médecins britanniques accusant  la BBC de diffuser des déclarations simplistes et biaisées sur la vaccination des enfants (juin 17, 2021). Ils demandent à tous de diffuser largement leur lettre ouverte.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette lettre ouverte  au Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de BBC Newsround (7 juin 2021) faisant la promotion de la vaccination Covid pour les enfants.

La UK Medical Freedom Alliance a envoyé cette  lettre de plainte au professeur Sridhar en réponse aux déclarations qu’elle a faites dans l’émission BBC Newsround, diffusée dans la plupart des écoles britanniques, qui comprenait plusieurs affirmations fausses ou trompeuses. Par exemple, les vaccins Covid-19 seraient sûrs à 100 %,  les enfants devraient se faire vacciner pour protéger leurs parents et  les avantages pour les enfants seraient supérieurs aux risques.

INVRAISEMBLABLE TRIPLE MENSONGE : les pseudo-vaccins sont dangereux, incapables d’empêcher les transmissions et les enfants ne transmettent pas le covid.

L’injection ne protègerait pas leurs parents, si même il était éthique de leur demander cela, mettre leur vie en péril pour un risque mineur de maladie pour leurs parents jeunes à risque infiniment faible de mourir du covid.

« Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable, relève de la propagande et a un impact négatif sur le processus de consentement pleinement éclairé. Nous avons demandé au professeur Sridhar de retirer immédiatement l’intégralité de son message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants. »

Veuillez partager cette lettre aussi largement que possible sur vos canaux de médias sociaux et avec les journalistes, les médias, les célébrités et autres. Merci pour tous et en particulier les enfants.

Lettre ouverte de l’Alliance britannique pour la liberté médicale adressée à :
Professeur Devi Sridhar concernant l’épisode de 
BBC Newsround (7 juin 2021) sur les vaccins anti-covid pour les enfants.

“Nous aimerions partager avec vous notre lettre ouverte à la MHRA datée du 7 juin 2021 concernant les vaccins Covid-19 pour les enfants.(([6] UKMFA Urgent Open Letter to the MHRA re Emergency Authorisation of the Pfizer Covid-19 vaccine for Children (ukmedfreedom.org)
60c886afa15a510c85059d51_UKMFA_Open_Letter_Devi_Sridhar.pdf (childrenshealthdefense.eu) ))

Cette lettre est une réponse à votre récente apparition sur BBC Newsround, où vous avez fait plusieurs déclarations qui ne sont absolument pas soutenues par des preuves scientifiques.

Les préoccupations sont principalement liées, mais pas limitées, aux points suivants :

« Vous déclarez que l’avantage du vaccin pour les enfants serait qu’ils n’auraient alors « pas à s’inquiéter de Covid-19 ». Les enfants sont déjà dans une position où ils n’ont pas à s’inquiéter du Covid-19, car le risque pour eux est proche de zéro.

Vous affirmez qu’un autre avantage serait qu’ils sont alors susceptibles de ne pas infecter leurs parents.

Les enfants ne jouent pas un rôle majeur dans la transmission, et les essais réglementaires ne prouvent pas non plus que les vaccins empêchent la transmission.

Il s’agit clairement d’une déclaration destinée à provoquer une réaction émotionnelle de culpabilité suivie d’un sentiment de devoir, et en tant que telle, il s’agit de propagande plutôt que de conseils factuels.

Vous affirmez que le principal inconvénient du vaccin est qu’il s’agit d’une « autre injection dans votre bras ».

Il s’agit d’une déformation grossière des risques connus et inconnus d’effets indésirables graves potentiels des vaccins Covid-19 pour les enfants.

Nous sommes sûrs que vous savez que le CDC aux Etats-Unis a convoqué une réunion d’urgence, spécifiquement pour discuter des centaines de cas de myocardite survenus chez des jeunes après la vaccination(([7] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9672233/The-Latest-WHO-warns-delta-variant-hold-Europe.html))

Des effets potentiellement mortels et des décès ont été signalés chez de jeunes adultes et des enfants aux Etats-Unis et en Israël, ce à quoi vous ne faites pas du tout référence.

Vous trouverez les références pertinentes à tous ces points dans notre lettre ouverte.

Dans la situation actuelle, marquée par l’incertitude et la peur, le public se tourne vers les professionnels pour obtenir des conseils équilibrés.

Présenter un message aussi simplifié et biaisé est, à notre avis, profondément irresponsable. Lorsqu’il s’adresse spécifiquement à un groupe d’enfants vulnérables, il est impardonnable.

Nous notons que la version actuellement accessible de votre déclaration sur Newsround a déjà été expurgée, car vous avez initialement affirmé que le vaccin Pfizer-BioNTech était sûr à 100 %.

Vous deviez être conscient que le fait de déclarer toute intervention médicale sûre à 100 % sape la crédibilité de quiconque.

Modifier un article après qu’il a déjà été diffusé et visionné par un très grand nombre de personnes et d’enfants, sans explication ni excuses publiques, est très irrégulier. Le commentaire à la fin de la transcription écrite, se contentant de noter une correction, ne touchera pas la majorité du public qui a entendu et assimilé votre affirmation initiale.

Nous vous demandons donc de retirer immédiatement l’intégralité de votre message et de présenter des excuses publiques claires pour avoir déformé les faits relatifs aux problèmes de sécurité des vaccins Covid-19 chez les enfants”.

14 juin 2021

« Nous demandons que votre rétractation et vos excuses soient diffusées aussi largement que votre message initial, et plus particulièrement à toutes les écoles où ce matériel a pu être montré à des enfants.

Nous attendons une réponse confirmant que vous avez pris les mesures appropriées, ou justifiant les raisons pour lesquelles vous ne l’avez pas fait.

Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées.
Alliance britannique pour la liberté médicale www.ukmedfreedom.org

Cc : BBC
Rt. Hon. Gavin Williamson – Secrétaire d’Etat à l’Education
Rt. Hon. Oliver Dowden – Secrétaire d’État au numérique, à la culture, aux médias et aux sports Shirley-Anne Somerville – Secrétaire d’État écossaise à l’éducation et aux compétences » 

En conclusion

Les témoignages de drames post vaccination y compris chez des enfants s’accumulent chaque heure… Il suffit d’ouvrir Tweeter ou Telegram pour trouver une nouvelle histoire tragique de parents ayant perdu leur fils de 32 ans pour rien et qui veulent alerter sur les réseaux sociaux faute de pouvoir s’exprimer sur les grandes chaines de télévision.

Tous ceux qui participent à la désinformation auprès des enfants et de leurs familles porteront le poids de ces décès, mais aussi de ces enfants devenus invalides à vie, pour RIEN, pour soutenir inconsciemment le projet funeste de quelques milliardaires contre l’Humanité.  Tous  ceux qui par leur silence contribuent à l’accumulation de nouvelles victimes.

Les responsables commencent à être mis en cause comme le Dr Fauci dont le Sénat américain demande le licenciement dans une nouvelle conférence de presse.(([8] https://youtu.be/UYVAZkXcYOg)) Nous y reviendrons, mais personne ne peut être sûr de son impunité. Tous les tyrans tombent un jour. Tâchons de limiter le nombre de victimes dans cette attente.

Nicole Delépine





Macron impose le pass sanitaire aux discothèques dans un grand flash totalitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

L’accès aux discothèques sera donc subordonné, cet été, à la présentation d’un pass sanitaire, ce qui est probablement contraire à la loi de gestion de sortie de crise et relève donc du flash totalitaire. Cette décision est absurde, puisque la majorité de la clientèle des discothèques est composée de jeunes qui n’ont aucun intérêt à bénéficier d’une vaccination dont les bienfaits collectifs sont encore discutables. Cette annonce à quelques jours de l’échéance risque de faire monter en température une jeunesse qui commence à contester l’ordre ambiant.

Les ministres de la Culture et de PME ont annoncé hier que l’accès aux discothèques qui pourront rouvrir le 9 juillet sera subordonné à la présentation d’un pass sanitaire. Cette décision semble avoir été prise en parfait accord avec les représentants de la profession, en l’espèce l’UMIH. Mais il n’est pas sûr qu’elle satisfasse complètement les jeunes qui fréquentent ces établissements. 

Le pass sanitaire pour les discothèques est-il légal ?

Les amateurs de droit auront évidemment la tentation de contester la décision ministérielle prise s’agissant des discothèques, qui n’avait jamais été évoquée jusqu’ici. Rappelons que la loi limite l’usage de ce pass, puisqu’elle permet seulement de :

Subordonner l’accès des personnes à certains lieux, établissements ou événements impliquant de grands rassemblements de personnes pour des activités de loisirs ou des foires ou salons professionnels à la présentation soit du résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19, soit d’un justificatif de statut vaccinal concernant la covid-19, soit d’un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19. Cette réglementation est appliquée en prenant en compte une densité adaptée aux caractéristiques des lieux, établissements ou événements concernés, y compris à l’extérieur, pour permettre de garantir la mise en œuvre de mesures de nature à prévenir les risques de propagation du virus.

Autrement dit, l’introduction du pass sanitaire s’apprécie au vu de la caractéristique des lieux et des établissements. Peut-on, dans ce cas, imposer des règles générales ? Nous avons un sérieux doute, et quelques référés liberté pourraient bien avoir raison de la décision. 

Nous pensons en tout cas que cette décision au forceps ne correspond pas absolument à l’esprit dans lequel les parlementaires ont voté le texte, et relève purement et simplement de l’un de ces flash totalitaires où le pouvoir viole la loi. 

Vers des fêtes hors les murs ?

Les jeunes obéiront-ils tous docilement à cette décision ? ou bien l’obligation de présenter un pass sanitaire conduira-t-elle au boycott des établissements qui le demandent et à la mise en place de fêtes sauvages ?

Les Parisiens ont eu un premier aperçu de phénomène de « compensation » que les restrictions imposées à une jeunesse qui a subi le COVID sans en être malade, peuvent produire. Ainsi, après l’indigne dispersion de la Fête de la Musique place de la République à coups de gaz lacrymogènes, la Fête a repris sauvagement sur les quais de Seine, dans des conditions de sécurité très douteuses :

Mais laissez-les faire la fête !

On notera que, fait du hasard ? Après avoir massivement déserté les urnes, les jeunes se sont massé le lendemain du scrutin dans les rues pour faire la fête. Mal inspirées, le Préfet de police a parfois ordonné de violentes dispersions des rassemblements. Mais pas qu’à Paris

Ci-dessus, vous pouvez voir l’évacuation de la place de la République. Mais place de l’Hôtel de Ville, l’ambiance était aussi tendue :

Et que dire de ces scènes d’émeute à Annecy ?

Est-ce bien raisonnable de traiter ainsi les forces vives d’un pays, après un an de confinement ? Il faut parfois savoir jusqu’où ne pas trop tirer sur la corde. 




Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ?

Par Gérard Delépine

Depuis près de deux mois, les médias se moquent de la politique sanitaire de l’Inde, et décrivent cet immense pays comme celui où on entasse les morts dans les rues pour les brûler, et le creuset de naissance de variants qui vont nous anéantir lors de la quatrième vague. Cette présentation dramatique est contraire à la vérité.

Mais revenons aux faits, aux faits authentifiés et publiés par l’OMS et les agences sanitaires officielles.

L’Inde a affronté le covid avec au total six fois moins de victimes que nous

Au 16/6/21 la France recensait 1678 décès attribués au covid par million d’habitants contre 290 en Inde.

La comparaison de ces deux chiffres devrait interpeller des médias objectifs.

Compte tenu de l’insuffisance de l’appareil sanitaire indien, l’obtention de ce résultat étonnement favorable justifie l’analyse de la recette indienne du succès anti covid19 qui réside dans la jeunesse de sa population, mais surtout dans les traitements préventifs (avant toute contamination) et les traitements précoces (dès les premiers signes).

Le traitement préventif par hydroxychloroquine a contrôlé la première vague

Lors de la première vague le 22/3/2020, le conseil indien pour le covid a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet, et retirée depuis qu’a été dévoilé son caractère totalement fallacieux.

Rappelons que le ministre français s’est précipité pour interdire l’HCQ à la sortie de cet article mensonger et faire stopper les essais où l’HCQ était testée, mais n’a toujours pas pris le temps de rétablir la vérité et de libérer les médecins de l’angoisse de prescrire ce médicament pas cher et sûr, honni par le pouvoir, par crainte de poursuites par le conseil de l’ordre, comme d’autres collègues auxquels on reproche d’avoir guéri leurs patients avec des médicaments refusés par le ministre !

L’Indian covid19 Task force a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant(([1] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine durant 7 semaines)) et des membres des familles âgés de plus de 15 ans(([2] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine pendant 3 semaines)) au contact de malades covid19.

Ce traitement a considérablement amoindri la diffusion de la maladie dans la population avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072 (quatorze fois plus).

Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !

Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Elle est d’autant plus remarquable que l’Inde se singularise par la grande promiscuité de sa population dans les nombreuses mégapoles, Bombay

(12 478 447 d’habitants), Delhi (11 007 835), Bangalore (8 425 970), Hyderabad (6 809 970), Ahmedabad (5 570 585), Madras (4 681 087) Calcutta (4 486 679).

Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde ne comptait que 118 morts/M (154 147 morts) contre 1156/M (75466 morts) en France, soit dix fois plus.

La catastrophe post vaccinale de la deuxième vague stoppée par l’Ivermectine

En février 2021, en Inde, l’épidémie paraissait contrôlée avec une moyenne quotidienne de 7,7 nouveaux cas/million (10000 nouveaux cas) et avec le début de la vaccination le 16 janvier 2021, les traitements préventifs ont été délaissés.

Pourquoi les Indiens ont-ils cédé à la propagande de la vaccination ?

Un mois et demi après le début de la campagne de vaccination, une deuxième vague a déferlé sur l’Inde avec une augmentation exponentielle des nouveaux cas pendant 6 semaines et un pic de contaminations journalières atteignant 418 cas/Million (cependant deux fois et demie moindre que le pic français de novembre 2020).

Cette augmentation post vaccinale brutale des cas, cohérente avec les prédictions du Dr Tenpenny et du Professeur Cahill, avait été déjà observée dans de nombreux pays.(([3] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde 2021-05-24))(([4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Elle a été suivie d’une augmentation de la mortalité qui a été très médiatisée en Occident afin de relancer la panique du covid qui commençait à s’estomper.

LE BON SENS REVIENT AVEC LE TRAITEMENT PRÉCOCE

Les autorités ont réagi en rassurant la population. Le président de Medanta,(([5] Medanta est une chaîne indienne d’hôpitaux basée dans la région de la capitale nationale de l’Inde)) le Dr Trehan, a déclaré

« 90 % des patients atteints de COVID peuvent récupérer à la maison s’ils reçoivent les médicaments appropriés à temps. Dès que votre test RT-PCR est positif, mon conseil serait de consulter votre médecin local avec qui vous êtes en contact. Tous les médecins connaissent le protocole et commenceront votre traitement en conséquence ».

Ce protocole a été publié le 22 avril 2021 en une série de recommandations officielles comportant, pour les formes modérées de covid, de l’hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine per os sous la surveillance des médecins traitants, complétées, si besoin, par de la Budésonide inhalée.

Et dix jours plus tard, le nombre de nouvelles contaminations s’est effondré passant de 319 cas/Million (414 188 cas) le 7 mai à 47/Million (61 471 cas) le 14 juin. Si nos dirigeants souhaitaient vraiment éviter une éventuelle quatrième vague, il suffirait qu’ils suivent la méthode indienne, ou marseillaise préconisée dès mars 2020. Que cherchent-ils vraiment ?

La vague post vaccinale a été vaincue par les traitements précoces, mais au prix d’une augmentation de la mortalité globale passée à 295/Million le 20 juin 2021 (contre 1681/M en France avec 109743 morts depuis le début de l’épidémie). Que de vies perdues par ce fameux pseudovaccin !

Quelles leçons peut-on tirer de l’évolution de l’épidémie en Inde ?

1°) Un pays pauvre peut faire nettement mieux que les pays occidentaux

2°) Les traitements préventifs par hydroxychloroquine, ciblés sur les personnes à risque, ont fortement réduit les contaminations lors de la première vague

3°) La campagne de vaccination a été suivie d’une forte augmentation de la maladie et donc qu’il faut abandonner en urgence ces substances géniques en essai thérapeutique.

L’accumulation des effets secondaires graves et des décès post vaccinaux reconnue par les agences officielles tant aux USA(([6] https://www.fda.gov/media/150054/download… Les effets indésirables systémiques (fatigue, céphalées, fièvre…) peuvent être qualifiés de fréquents à très fréquents chez les 16-25 ans (fatigue 30-40 %, céphalées 25-30 %) pour le vaccin Pfizer))(([7] USA WARNING : 7 décès chez les 12-17 ans selon VAERS ! Réfléchissez bien avant de faire vacciner vos enfants… (businessbourse.com) )) qu’en UE(([8] #EudraVigilance : 13 867 morts et 1 354 336 blessés dans la base de données européenne des effets indésirables des médicaments pour #COVID -19 coups | Kathy Vittetoe 12/06/21)) et en Grande-Bretagne, combinée à l’absence d’efficacité démontrée par les vagues de contamination dans tous les pays vaccinés, devrait faire renoncer le monde à cette escroquerie contre une maladie peu mortelle et curable, si tant est qu’on accepte de la traiter.

4°) Les traitements précoces par HCQ et Ivermectine peuvent stopper l’épidémie, ce que confirment de nombreux articles accumulés en 18 mois dont une nouvelle méta-analyse sur l’ivermectine parue récemment et commentée ce jour dans France soir.(([9] Ivermectine : une nouvelle méta-analyse conclut à son efficacité (francesoir.fr) ))

Conclusion

Espérons que les médias et nos gouvernants soient finalement capables de l’entendre et libèrent les prescriptions médicales, devant la révolte populaire encore silencieuse, mais dont l’attitude électorale rejetant tous ceux qui ont soutenu la dictature sanitaire imposée par le gouvernement est un signal fort de la conscience du peuple et de l’absence de résignation.

Il n’est jamais trop tard.





Les conflits d’intérêts dans les recommandations de l’OMS dénoncés

[Source : ]

Auteur(s): Andrew Bannister, traduit par FranceSoir

Toutes les maladies dangereuses sont mieux traitées quand elles sont prises en charge tôt. Un des grands défauts de notre stratégie sur le Covid-19 a été d’attendre une semaine que la maladie devienne dangereuse, quand respirer devient un problème.

Article original paru sur TrialsiteNews et traduit par France Soir.

Un traitement précoce du COVID, même pour ceux qui présentent des symptômes légers, empêche une hospitalisation ultérieure. Il existe plusieurs médicaments de traitement précoce prometteurs, mais l’ivermectine est en tête du peloton en ce qui concerne la sécurité, l’efficacité et le prix. Malheureusement, les plus grands acteurs des médias grand public occidentaux sont membres de la Trusted News Initiative (TNI). Le TNI est une histoire pour un autre jour, mais il est remarquable que les grands médias aient à peine rapporté qu’ils avaient accepté de promouvoir la vaccination mondiale et que tout « mythe de désinformation est stoppé net ». Malheureusement, le traitement précoce semble être considéré comme un mythe de la désinformation et n’est pas mentionné. Un traitement précoce est vital pour traiter les maladies graves et le COVID-19 ne fait pas exception.

Compte tenu du coût humain et économique, cet évitement d’un traitement précoce avec un médicament très sûr, efficace et hors brevet, est une tragédie criminelle aux proportions immenses et un billet de loterie gagnant pour certaines sociétés pharmaceutiques qui conçoivent et vendent de nouveaux médicaments brevetés qui ne pourraient pas concurrencer l’ivermectine sur un marché libre. Merks thérapeutique, le molnupiravir cherche une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), « Merck recevra environ 1,2 milliard de dollars pour fournir environ 1,7 million de cycles de molnupiravir au gouvernement des États-Unis. en 1986. Il suffit de le recommander pour traiter le COVID-19, mais s’il était officiellement reconnu comme un traitement efficace, il empêcherait légalement l’autorisation d’urgence du molnupiravir jusqu’à ce qu’il réussisse les essais et retarderait l’accord de 1,2 milliard de dollars.

Voir aussi : Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

L’OMS, en tant que plus grande organisation mondiale de santé à but non lucratif, prend des décisions que d’autres suivent généralement, confiante dans le fait que l’OMS est libre d’intérêts commerciaux. À l’origine entièrement financée par les États membres, l’organisation reçoit désormais moins de 20 % de son budget des États membres et le reste de donateurs avec leurs propres intentions de donateurs ainsi que des intérêts financiers et stratégiques spécifiques. Margret Chan, l’ancienne directrice générale de l’OMS, a déclaré en 2015 « Je dois prendre mon chapeau et faire le tour du monde pour mendier de l’argent et quand ils nous donnent de l’argent, ils sont fortement liés à leurs préférences, à ce qu’ils aiment. Ce n’est peut-être pas la priorité de l’OMS, donc si nous ne résolvons pas ce problème, nous ne serons pas aussi bons que nous l’étions ».

Journaliste chevronné, Robert Parsons explique que « le programme d’éradication de la variole a été entièrement financé par des donateurs, ce qui a peut-être causé le problème, que pour des projets spéciaux, il faille lever des fonds, mais que le secteur privé est peu susceptible montre des bénéfices… Par conséquent, il y a peu de recherche indépendante en santé publique ». Depuis, l’influence financière indue des acteurs privés s’est plutôt accrue à l’OMS. Les dons sont assortis de mises en garde, si bien que l’organisation est compromise sur un certain nombre de questions qui impliquent les intérêts des donateurs.

En 2010, par exemple, après la pandémie de grippe H1N1, une enquête menée par le British Medical Journal (BMJ) et le Bureau of Investigative Journalism a révélé que les principaux scientifiques à l’origine de la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé sur le stockage de médicaments contre la grippe pandémique avaient des liens financiers avec des entreprises qui avaient un profit à en tirer. Ces conseillers ont réussi à convaincre le gouvernement britannique de dépenser des milliards pour un vaccin qui n’a jamais été nécessaire.

Bill Gates a relancé l’industrie de la vaccination autrefois défaillante en plaçant la vaccination à l’ordre du jour mondial depuis 2012. La puissance du financement de la fondation Gates a dicté l’évolution vers les vaccinations plutôt que les traitements. Gates pense que le capitalisme est plus efficace que les services de santé publique pour soigner les gens et, sans aucun doute, considère ses investissements dans plusieurs sociétés pharmaceutiques, dont Merck, Pfizer, Johnson & Johnson, comme des investissements éthiques, rendant le monde meilleur. Le capitalisme, c’est. généralement plus efficace que le gouvernement, mais il valorise les profits avant les gens. Morgan Stanley estime que Pfizer pourrait gagner 100 milliards de dollars grâce aux vaccins au cours des cinq prochaines années.

La fondation Gates est le deuxième bailleur de fonds de l’OMS après les États-Unis. Gates a pourtant fondé aussi, et financé The Vaccine Alliance (GAVI) et le Fonds mondial. En 2018-19, leur contribution combinée était de 27 % supérieure à celle des États-Unis, ce qui rend l’influence de Gates plus puissante que n’importe quel gouvernement. Comme les fonds sont affectés à des projets spécifiques, l’OMS ne décide pas de la manière dont l’argent de la fondation est dépensé, contrairement à Gates. Les priorités de Gates sont devenues celles de l’OMS, et cette priorité est la vaccination mondiale contre le COVID-19, et non les systèmes de santé publique fournissant un traitement précoce. Tedros Adhanom, l’actuel directeur général de l’OMS, a déjà travaillé pour Gates lorsqu’il a siégé au conseil d’administration de GAVI et à la présidence du Fonds mondial. Il est vraisemblablement toujours influencé par l’idéologie et le pouvoir financier de son ancien employeur.

Dans la recommandation de l’OMS sur l’ivermectine, ils montrent une réduction des décès de 80 % mais avec une « faible certitude » et pourtant, ils recommandent de manière déconcertante de ne pas l’utiliser. Le document de recommandations  de l’OMS est « basé sur une revue systématique vivante et une méta-analyse en réseau réalisée par des chercheurs de l’Université McMaster ». L’Université McMaster (y compris l’un de ses affiliés directs) aurait dû s’excuser de mener la ligne directrice, étant donné qu’elle a plusieurs conflits d’intérêts objectifs en ce qui concerne l’ivermectine.

McMaster conçoit et produit des vaccins COVID-19 de deuxième génération. Il est probable que les gens hésiteront davantage à se faire vacciner s’il existe une option prophylactique et thérapeutique viable et sûre pour COVID-19. Deuxièmement, l’Université McMaster reçoit des millions de dollars de financement de la Fondation Gates qui sont investis dans des entreprises axées sur le marché, dont certains produits concurrenceraient l’ivermectine sur le marché libre, sauf que l’ivermectine est très bon marché. De plus, non seulement McMaster reçoit des millions de dollars de financement de la Fondation Gates, mais il partage du personnel tel qu’Edward Mills, professeur agrégé de McMaster et conseiller en essais cliniques pour la Fondation Gates. Edward Mills est l’investigateur principal de l’essai Together évaluant l’ivermectine.

Mills, dans une interview de McMasters en 2020, déclaire : « nous manquons rapidement d’options sur les médicaments réutilisés, nous devons donc faire des essais de nouveaux médicaments » Peut-être, mais avec les Gates possédant des actions dans plusieurs grands producteurs de vaccins et de médicaments concurrents, il y a un conflit d’intérêts manifeste.

Dans une récente interview, Mills semblait minimiser l’effet de l’ivermectine. « Les preuves sur l’utilisation prophylactique de l’ivermectine ne sont pas très convaincantes ». Mills doute étonnamment que la prophylaxie, où les données montrent clairement que l’ivermectine est la plus efficace, « n’est pas convaincante ». S’il y a un domaine où l’ivermectine est particulièrement efficace, c’est en prophylaxie. Il y a eu plusieurs études qui montrent que le moment de la dose prophylactique est important. L’essai Carvallo de 1200 soignants santé de première ligne a révélé que 12 mg d’ivermectine par semaine entraînaient zéro cas contre 58% de cas positifs dans le groupe témoin sur une période de dix semaines. Vous pouvez laisser l’essai de côté, mais à la fin, vous restez avec un résultat remarquable qui est renforcé par l’étude AIIMS de 3500 hospitaliers utilisant la même dose mais seulement deux fois par mois, a montré une réduction de 74% (?) dans certains cas, et pourtant Edward Mills ne trouve curieusement pas les preuves de prophylaxie intéressantes. Le gros de l’argent n’est pas dans la conduite d’essais de médicaments génériques réutilisés mais dans les essais de sociétés pharmaceutiques luttant pour des parts de marché.

L’OMS n’aurait pas dû accepter la participation de McMasters aux lignes directrices ou à l’essai sur l’ivermectine en raison de leur conflit d’intérêts. Je crois que l’OMS n’a pas commandé l’analyse qu’elle a utilisée dans ses directives actuelles, mais elle lui a été proposée par la fondation Gates, car c’est évidemment ainsi que l’OMS fonctionne maintenant. L’OMS attend maintenant les résultats de la piste Together financée par Gates pour éclairer son opinion sur l’ivermectine. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer?

Les questions envoyées au bureau d’éthique de l’OMS, demandant des éclaircissements sur sa recommandation contre l’utilisation de l’ivermectine, ont reçu une réponse indiquant qu’ils refusaient de fournir le procès-verbal de la réunion, aucun vote n’était nécessaire, aucun entretien ne sera accordé, ils « n’envisagent pas une évaluation de l’ivermectine pour que l’utilisation prophylactique dans le COVID-19 soit justifiée », aucun membre du personnel d’une société pharmaceutique n’était impliqué, ils ne considèrent pas les essais des sociétés pharmaceutiques comme « biaisés en soi » et il y avait une clause de confidentialité intimidante dans leur correspondance.

La méta-analyse de l’OMS a montré que l’ivermectine avait trois fois plus d’effets indésirables. Le Dr Tess Lawrie, d’Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, dit que « l’estimation de l’effet est très imprécise. Par conséquent, ce que montrent ces preuves de l’OMS, c’est qu’il n’y a pas de différence claire dans les événements indésirables graves entre les personnes qui ont reçu de l’ivermectine et celles qui n’en ont pas reçu. Cela montre également qu’il y a eu très peu d’événements dans la méta-analyse – ils ne rapportent pas combien d’événements, mais cela peut-être environ 7 au total pour les groupes Ivermectine et contrôle combinés. L’équipe des recommandations de l’OMS/McMasters a interprété de manière inappropriée cette constatation en disant que « l’ivermectine peut augmenter le risque d’événements indésirables graves ». Toute personne à l’OMS impliquée dans l’élaboration de recommandations serait en mesure de vous le dire. »

Le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, a récemment averti sur Twitter les ressortissants indiens de ne pas prendre d’ivermectine, citant du matériel marketing de Merck. Dr Swaminathan et a reçu un avis juridique pour avoir diffusé de la désinformation et causé de nombreux décès par l’Association du barreau indien. Le tweet a depuis été supprimé.

L’idée autrefois noble d’un système de santé publique mondial travaillant pour nos meilleurs intérêts est plutôt devenue motivée par des intérêts financiers privés. S’il ne génère aucun profit, il est peu probable qu’un médicament ou un traitement soit testé dans le cadre d’un essai important et coûteux. Les fabricants de médicaments ont convaincu l’OMS que seuls les essais coûteux sont acceptables, de sorte que seuls leurs médicaments, avec leur soutien financier, sont testés selon cette norme. Et pourtant, l’essai largement salué « l’ivermectine ne fonctionne pas », Lopez-Media a eu plusieurs problèmes extrêmement graves, en plus d’être financé par les fabricants de vaccins, mais malgré ces problèmes, a été le seul essai sur l’ivermectine à être accepté par JAMA.

L’OMS a été financièrement persuadée que les seules pistes qui valent la peine d’être examinées sont celles qui sont finançables par les bailleurs de fonds. Comme l’ont montré les essais sur le cancer financés par le tabac, les essais sur l’ivermectine ne sont pas mieux réalisés par toute personne ayant un conflit d’intérêts financier et idéologique dans les investissements dans les vaccins. L’OMS ne devrait pas fonder son opinion sur l’ivermectine sur des essais menés par la fondation Gates. GAVI a récemment diffusé sur Google des annonces « pourquoi l’ivermectine n’est pas recommandée » Le traitement précoce est une menace scientifique pour l’industrie mondiale de la vaccination.

L’OMS doit prouver qu’elle a suivi un processus scientifique et éthique dans sa recommandation contre l’utilisation de l’ivermectine. La confiance du public est cruciale pour vaincre la pandémie. Le procès-verbal de la réunion, où la recommandation contre l’ivermectine a été prise, doit être rendu public. Sans cela, la recommandation reste embourbée dans des soupçons de dépassement des entreprises. On doit nous dire, et nous montrer les factures, qui a payé pour l’étude McMaster qui a informé la recommandation de l’OMS contre l’ivermectine et tout conflit d’intérêts.

Le procès Together nécessite des contrôles publics et une surveillance indépendante. Nous ne pouvons pas permettre qu’un autre essai dictant une politique de santé mondiale soit accepté comme « gold standard » par l’OMS, sans avoir répondu aux questions et examiné les conflits commerciaux et idéologiques des bailleurs de fonds.

De nombreux ECR ont prouvé l’efficacité de l’ivermectine et réaffirmé sa sécurité. Les essais sur l’ivermectine nécessaires portent sur le dosage, à divers stades de la maladie, y compris la prophylaxie. Nous devrions commencer à l’utiliser immédiatement.
 

Notez que les opinions exprimées dans cet article d’opinion sont les opinions personnelles de l’auteur et pas nécessairement celles de TrialSite.

Auteur(s): Andrew Bannister, traduit par FranceSoir




Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




Douze morts du Covid en Belgique : tous étaient vaccinés

[Source : infodujour.fr]

[Photo : © Google]

Par Infodujour

Intrigante épidémie de Covid au sein de la maison de repos « Nos Tayons » à Nivelles en Belgique. Qui interroge les scientifiques.

Jean-Michel Wendling
Dr Jean-Michel Wendling (DR)

Par Jean-Michel Wendling

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L’établissement belge a vu une vague de résidents infectés malgré une vaccination complète conduite avec double dose en janvier de cette année. Selon la directrice Anne-Catherine Roobaert que nous avons contactée, « la phase critique est derrière nous ».

La moitié des résidents vaccinés ont été infectés et 12 décès

« A ce jour, le bilan est le suivant : près de la moitié des 117 résidents complètement vaccinés en janvier (vaccin Pfizer) ont été infectés entre mai et juin, explique la directrice. Ce sont 55 résidents qui ont été touchés dont 52 des 117 vaccinés (44%). Malheureusement, nous avons 12 personnes vaccinées qui sont décédées et encore 2 personnes diabétiques en situation instable actuellement hospitalisées. Le bilan est donc très sérieux et interroge »
On sait bien que la vaccination n’est jamais protectrice à 100% mais dans le cas de cet établissement, on est loin de ce qui est annoncé. L’expérience de Nivelles en est la preuve. C’est le variant indien qui a été identifié majoritairement chez ces personnes âgées.

Les soignants aussi

Trois des quatre personnes non vaccinées (75%) ont été touchées mais sans conséquences graves pour elles : l’une d’entre elles est asymptomatique et une autre est actuellement sous oxygène, mais va bien.
Les visites des familles avaient repris et un bon nombre de résidents se sentaient en sécurité et se retrouvaient dans les salles communes et en salle de repas collectif : dès les premiers cas, le 17 mai, ces mesures ont été suspendues et un confinement a été mis en place précise Anne-Catherine Roobaert.
Du côté des soignants, 20 personnes environ ont également été contaminées parmi les 135 personnels de l’établissement dont 60 % d’entre elles étaient également majoritairement vaccinées par le vaccin Pfizer et Astra Zeneca pour quelques-unes.

Questions sur les vaccins

Une couverture vaccinale de 60% des soignants au contact avec les résidents était obtenue, ce qui peut paraître insuffisant. L’insuffisante couverture vaccinale du personnel soignant est sans doute le premier « trou dans la raquette ».
Les gestes barrières comme le lavage des mains très perfectible dans la population générale et chez les visiteurs et le port du masque restent également des axes forts de la protection des vulnérables.
Concrètement, les experts s’intéressent maintenant aux conditions dans lesquelles les vaccins ont été conservés et administrés. Des analyses de la qualité de l’air sont également réalisées en coordination avec le Professeur Emmanuel André : des équipements ont été installés à cet effet et les résultats vont être bientôt révélés.

Résultats encourageants

« Un traçage plus approfondi va être réalisé pour savoir d’où peut provenir le patient zéro, ajoute Anne-Catherine Roobaert. De plus, nous continuons à tester. Les résidents et le personnel subiront un test sérologique aujourd’hui et nous effectuerons deux tests PCR par semaine jusqu’à ce que nous n’ayons plus de nouveaux cas. »
Les derniers tests PCR réalisés la semaine dernière ont donné des résultats encourageants. Parmi les résidents qui ont été négatifs jusqu’à présent, seuls deux ont cette fois-ci été testés positifs (avec des symptômes légers) et isolés. Parmi le staff, c’est encore mieux, plus personne n’est positif.
« Ce foyer survenu dans une maison de retraite représente une alerte qu’il faut donc prendre très au sérieux. Nous ne pouvons pas miser entièrement l’ensemble de notre stratégie de lutte contre la pandémie sur la seule vaccination » explique le professeur Antoine Flahaut à nos confrères du journal Atlantico. « La vaccination est bien sûr un allié très précieux dans la lutte, mais on constate qu’elle nécessite un très haut niveau de couverture pour être efficace ».

Une enquête épidémiologique

Les essais cliniques ont pourtant montré une très grande efficacité des vaccins y compris chez les personnes âgées et toutes les données que ce soit de l’expérience acquise en Israël, au Royaume-Uni ont montré une très bonne protection contre le virus : les variants vont-ils remettre en question ces résultats ? On n’a pas encore un recul suffisant sur la durée de l’immunité conférée par les vaccins, mais dans ce cas précis, la vaccination complète date de 4 mois et demi.
Pourquoi la Covid-19 a-t-il infecté autant de personnes vaccinées et pourquoi a-t-il causé autant de morts, alors que la maison de retraite a été épargnée jusqu’à présent ? Pourquoi un tel impact alors que le taux de vaccination est proche de 100 % chez les résidents et de près de 70 % chez le personnel ? L’enquête épidémiologique doit répondre à ces questions. « Tout sera vraiment scruté, explique Lara Kotlar, porte-parole d’AVIQ, l’Agence wallonne pour la qualité de vie. Nous voulons vraiment une enquête à 360° pour comprendre ce qui a pu se passer là-bas. Il s’agit encore d’un cas isolé et nous espérons qu’il le restera…  »

*Le Dr Jean-Michel Wendling, spécialiste prévention santé au travail à Strasbourg, est consultant scientifique pour infodujour.fr

[Voir aussi : Douze morts du Covid à la résidence Nos Tayons à Nivelles: une enquête épidémiologique pour tenter de comprendre ce qui s’est passé (rtbf.be)]




Le variant Delta est six fois plus mortel parmi les vaccinés anti-Covid, selon le rapport de santé publique britannique

[Source : medias-presse.info]

par Pierre-Alain Depauw

Le taux de mortalité du variant Delta du COVID est six fois plus élevé parmi ceux qui ont été complètement vaccinés que parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccin anti-Covid, selon les données publiées par Public Santé Angleterre vendredi. 

Vingt-six personnes sont décédées parmi les 4 087 qui ont été complètement vaccinées 14 jours ou plus avant d’être testées positives au variant Delta du COVID. Cela équivaut à un taux de mortalité de 0,00636%, ce qui est 6,6 fois plus élevé que le taux de 0,000957 décès – ou 34 décès parmi 35 521 cas Delta positifs parmi les non vaccinés, selon les données publiées dans un rapport du 18 juin intitulé «SARS-CoV-2 variants préoccupants et variants faisant l’objet d’une enquête en Angleterre, Briefing technique 16. ». Les taux de mortalité parmi les non vaccinés et vaccinés sont extrêmement faibles (moins d’un pour cent de tous les tests positifs) pour une variante que Public Health England décrit comme la “variante dominante” au Royaume-Uni, comprenant “91 pour cent des cas séquencés”.

Une évaluation des risques du variant Delta du coronavirus pandémique publiée vendredi la décrit comme se propageant plus facilement entre les personnes, mais elle est également décrite comme un variant à «faible gravité de l’infection».   

Les médias grand public se sont penchés sur la possibilité que le variant Delta produise des taux d’hospitalisation plus élevés dans certaines parties de l’ Écosse et de l’Angleterre que la “première vague” du variant Alpha, mais selon le rapport de santé publique britannique, ces données sont basées sur des “premières preuves » et « une compréhension limitée de l’évolution clinique de la maladie ». Hospitalisation plus élevée chez les vaccinés 

Étant donné que les hospitalisations sont préoccupantes, les personnes entièrement vaccinées sont hospitalisées au Royaume-Uni à un taux plus élevé que les personnes non vaccinées. Selon le rapport d’information technique le plus récent, les données de santé publique montrent que 2,0% des personnes vaccinées (84 sur 4 087) qui ont été testées positives pour le variant Delta ont été admises à l’hôpital (y compris celles testées à leur entrée à l’hôpital pour toute autre raison) contre 1,48. pour cent des personnes non vaccinées (527 sur 35 521). 

Les données actuelles sont conformes aux données publiées la semaine dernière par l’agence de santé publique d’Angleterre qui ont également montré un taux de mortalité six fois plus élevé chez les personnes entièrement vaccinées que chez les non vaccinés et un taux d’admission à l’hôpital de 2,3% chez les personnes complètement vaccinées au moins deux semaines plus tôt. contre seulement 1,2 pour cent chez les non vaccinés. Amélioration dépendante des anticorps ? 

« Cela rappelle le phénomène ADE (amélioration dépendante des anticorps) qui a été observé pour d’autres vaccins et qui a été exprimé comme un sujet de préoccupation parmi de nombreux scientifiques pour les vaccins COVID », a déclaré Stephanie Seneff, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology’s, laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle. 

L’ADE a gâché les tentatives précédentes de vaccins contre les coronavirus et a souvent entraîné une  augmentation des maladies pulmonaires chez les animaux de laboratoire vaccinés. Cela a conduit les chercheurs en 2012 à conseiller aux scientifiques de procéder avec « la prudence » pour tout vaccin contre le coronavirus humain qui pourrait entraîner une maladie pulmonaire accrue. 

Stephanie Seneff a déclaré que des recherches ont montré que les vaccins contre les coronavirus modifient la façon dont le système immunitaire répond à l’infection et peuvent activer d’autres infections en sommeil chez la personne vaccinée, telles que le virus de l’herpès, créant des symptômes de paralysie de Bell ou de zona.  

“Il est concevable pour moi que la spécificité du faisceau laser des anticorps induits soit compensée par un affaiblissement général de l’immunité innée”, a déclaré la chercheuse Stephanie Seneff.  

“Je soupçonne également que des campagnes de vaccination massives peuvent accélérer la vitesse à laquelle les souches mutantes résistantes au vaccin deviennent dominantes parmi toutes les souches du SRAS-Co-V2 [coronavirus].” 




Arrêt des essais hydroxychloroquine : ce que révèlent les archives

[Source : francesoir.fr]

Quand on apprend que la souveraineté sanitaire des Français repose sur une étude britannique qui n’a pas été vérifiée ni validée par les autorités sanitaires…

L’accès aux documents administratifs : un parcours du combattant

Alors qu’aux Etats-Unis, plus de 5000 pages d’emails du Pr Fauci ont été obtenus et publiés sur Internet au travers d’une demande FOIA (Freedom of Information Act), en France, obtenir les documents administratifs est un parcours du combattant. Les demandes d’un citoyen et de l’association BonSens.org auprès de l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) sur les échanges sur les essais cliniques de l’hydroxychloroquine n’avaient pas été suivie d’effets. L’association et le citoyen qui en est membre ont donc décidé de faire une action devant le tribunal administratif de Montreuil par l’intermédiaire de Me Jean-Charles Teissedre.

En France la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) permet à toute personne d’obtenir les échanges et documents administratifs. Une simple demande sur internet suffit. Cependant, il arrive que les administrations ne répondent pas. Dans ce cas là, une procédure au tribunal administratif peut être initiée – c’est ce qu’ont fait le citoyen et l’association afin d’obtenir des documents sur les échanges administratifs ayant mené à la suspension puis à l’interruption des essais avec l’hydroxychloroquine. Un an pour obtenir ces documents. Un processus long et douloureux qui ne les a pas rebutés.


 

Des documents sont caviardés de manière partielle

Suite à la publication de l’étude Mehra dans le Lancet le 22 mai 2020, le ministre de la Santé, comme il l’annonçait dans un tweet le samedi 23 mai 2020, avait saisi les autorités compétentes pour évaluer l’impact de cette étude – qui fut retractée quelques jours après. Il est donc fort intéressant de comprendre ce qui s’est passé et comment les diverses administrations ont interprété cette étude.

Les 27 documents obtenus retracent principalement des échanges inter administration (Inserm, DGS et les investigateurs en chef des diverses études). Au-delà du fait que certains noms ont été enlevé alors que d’autres subsistent visuellement, il est ici difficile d’établir la règle de caviardage utilisée. Un point que pourrait soulever Me Teissedre lors de l’audience au tribunal administratif.

Un échange a attiré notre attention : celui en date du 9 juin 2020, qui retrace l’historique de la suspension de l’hydroxychloroquine des divers essais. Rappelons que de nombreux médecins ont déclaré que l’hydroxychloroquine était suspendue des essais suite à sa non-performance dans l’étude Solidarity qui regroupait l’étude Discovery – Discovery est la grande étude francaise dont les mérites avaient été vantés par le président de la République qui s’était avancé à dire que des résultats viendraient début mai 2020. En octobre, toujours rien.

Un rapide historique permet de rappeler que l’hydoxychloroquine a été suspendue des essais cliniques Solidarity, Hycovid, Covidoc, tout d’abord suite à l’étude du lancet vers le 25 mai 2020, avant d’étre réintégrée et d’être de nouveau suspendue à la lumière des résultats de l’étude britannique Recovery dont de nombreux chercheurs et FranceSoir contestent les résultats. Les résultats sont contestés du fait du surdosage en hydroxychloroquine (quatre fois la dose préconisée par le Pr Raoult) et de l’administration à des patients hospitalisés dans un état grave alors que le Pr Raoult l’utilise en traitement précoce pour prévenir l’hospitalisation.

Le 18 juin 2020, on pouvait lire dans le journal Ouest-France :

Depuis cette suspension, fin mai, la revue The Lancet, à l’origine de l’interruption d’essais cliniques dans le monde entier, avait pris ses distances avec son étude désormais controversée sur l’hydroxychloroquine, finalement rétractée. Face aux critiques, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait finalement décidé d’arrêter les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Dans les documents de l’ANSM au sujet des essais cliniques hydroxychloroquine, tout semblait aller bien en France avec des signaux d’efficacité.

Cependant dans les documents on perçoit un intense lobbying de Reacting et de Jerome Salomon, le directeur général de la santé (DGS). Dès le 8 juin 2020, Reacting, Bichat et Discovery avaient décidé la non reprise des essais avec l’hydroxychloroquine. Tout allait bien, comme en atteste le résumé extrait d’un courrier non signé (nom caviardé) du 9 juin au directeur de l’ANSM Dominique Martin.

Document dont la signature et le nom du signataire ont été enlevés alors que subsistent les noms des personnes en copie.

Le DSMB (Data safery monitoring board), controleur de l’étude écrivait encore que le 3 juin 2020 que l’on pouvait continuer les inclusions et ce malgré l’étude frauduleuse du Lancet.

Pour les autres études comme Hycovid à son arrêt, elle comptabilisait 4,72% de décès dans le bras HCQ et 7,14% dans le bras placebo. L’écart était non significatif à ce stade, cependant l’essai a été arrêté après l’inclusion de 250 patients alors qu’il devait en compter 1300. En faisant l’hypothèse que l’on garde les même ratios de décès dans le bras HCQ et le bras placebo sur la base de 1300 patients, on a une différence significative. 

De plus les résultats de cette étude doivent être pris avec beaucoup de circonspection car la pratique du « cherry picking » (selection des données ou des résultats) est tel que le collectif citoyen avait publié un article expliquant les biais de cette étude. « Avec azithromycine: des résultats tellement bons qu’ils sont omis. » Et avait écrit :

Il est primordial de réinformer les français sur l’état des recherches sur l’hydroxychloroquine et l’azithromycine : car si un traitement efficace existe, il n’y a  besoin ni de reconfinement, ni de masques ni de vaccin…

Les résultats de l’étude Discovery tarderont à venir avant d’être intégrés dans l’étude solidarity avec des problèmes de différences de dosages et de type de patients.

Ce qui attire l’attention est le paragraphe 2 du courrier qui indique que le 5 juin 2020, l’étude britannique Recovery montrait aucun bénéfice de l’hydroxychloroquine pour les patients hospitalisés, entrainant ainsi la continuité de la suspension de l’hydroxychloroquine, puisqu’en conséquence au résultat de cette étude, le 5 juin, le comité de contrôle de Discovery décide malgré les avis précédents positifs de « maintenir la suspension temporaire du bras hydroxychloroquine »

Il n’y a pas d’autres explication ni analyse qui sont détaillées. Le surdosage en hydroxychloroquine dans l’étude Recovery n’est pas évoqué (2400mg le premier jour vs 800mg pour Discovery). Pas plus que l’état des patients ni les autres biais éventuels de l’étude. C’est donc une erreur importante de la recherche française que de se précipiter et d’utiliser le résultat de l’étude Recovery sans tout d’abord en tirer la quintessence ou d’en analyser l’applicabilité à la recherche française. Les ratios de risques ou taux de mortalités bien différents (plus de 25% de décès dans le bras HCQ de Recovery et pareil dans le bras placebo). Ce simple élément aurait du attirer l’attention des contrôleurs ou des autorités scientifiques avant de se prononcer sur la continuité d’une suspension. Surtout que dans les échanges on peut aussi noter que les investigateurs de Hycovid avait écrit pour faire des suggestions sur l’inclusion d’autres patients par exemple des patients des ephads. Ces derniers ont eu un fin de non-recevoir pour des raisons de sécurité – qui ne sont toujours pas justifiées par des faits.

L’Inserm qui se targue de mettre en place une recherche et une médecine « basée sur les preuves » commet donc de nombreuses erreurs ici pour la souveraineté sanitaire des Français, et surtout aucune preuve n’est apportée sur l’applicabilité de l’étude Recovery aux Français. Ils ont tout simplement pris pour argent comptant les résultats. Une véritable faute qui demande explication complète et indépendante. Comme pour Recovery, il serait utile qu’une commission d’experts indépendants reprennent les résultats pour les analyser en détail. Un peu tard pour les personnes décédées mais il n’est jamais trop tard pour apprendre afin d’éviter de nouveaux impairs nocifs. Sans oublier que les essais randomisés mal utilisés sont la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques car seuls eux ont les moyens de financer ces études forts onéreuses.

Force est de constater qu’un excès d’éthique scientifique mal maîtrisée finit par nuire à l’éthique médicale.

Pour conclure, une courte vidéo du Docteur Gérard Guillaume apporte un éclairage sur la crise. « Il y a quelques années nous étions la meilleure médecine française ».

Auteur(s): FranceSoir




Pr Christian Vélot : « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants »

[Source : Collectif VRAI ou sur VK ou Internet Archive]

Christian Vélot est docteur en sciences médicales et biologie, spécialisé en génétique moléculaire, généticien moléculaire et Professeur à l’université de Paris-Saclay, Président du conseil scientifique du CRIGEN.

Dans cet entretien, le collectif V.R.A.I. [Vaccination Réinformation Action Israël] interroge Christian Vélot sur la question spécifique de la vaccination des enfants contre la COVID :

  • quel rôle particulier jouent les enfants au plan épidémique en ce qui concerne la protection contre l’apparition de variants potentiellement plus dangereux ?
  • quels sont les risques de génotoxicité et d’immunotoxicité des vaccins contre la COVID ? quels sont les risques de vacciner en pleine pandémie sur le plan de l’apparition de variants plus dangereux ?
  • quelle est la balance bénéfice/risque des vaccins contre la COVID pour les enfants ?
  • qu’est-ce que la recherche récente nous apprend des effets de la protéine spike (que le vaccin nous fait produire) sur l’organisme?
  • comment peuvent s’expliquer les effets secondaires déjà constatés sur les populations jeunes vaccinées (myocardites, déréglements menstruels…) ?
  • pourquoi faut-il attendre plusieurs années avant de connaître les effets à long terme d’un vaccin ?
  • quelles stratégies alternatives à la vaccination de masse pour sortir de la crise ?
  • quel grave problème sanitaire des nations occidentales a révélé la crise actuelle ?

Liens vers les articles et vidéos évoqués dans l’entretien :

La Tribune de Delfraissy ( + 4 autres personnes) :
Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract – The Lancet Public Health

Expertise écrite du Dr VÉLOT : (09/2020)
Covid-19 : Rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (criigen.org)

L’étude scientifique démontrant la toxicité de Spike à elle seule sur des aspects cardio-vasculaires :
SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2 | Circulation Research (ahajournals.org)

L’article tout récemment publié sur l’action de la polymerase theta capable de transformer l’ARN en ADN :
New discovery shows human cells can write RNA sequences into DNA — ScienceDaily

Vidéo Vaccins (20/12/2020 – 48mn)
https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/

DVD CRIIGEN (2 autres Conférences du Dr VÉLOT / L’une sur les « Techniques de manipulation génétique » et l’autre sur les « Perturbateurs endocriniens et l’épigénétique ») :
Les DVD du CRIIGEN – CRIIGEN

Conférence Direct Zoom + Youtube : « Vaccins anti-Covid-19 • Quelles technologies ? – Quels risques ? (Approfondissements et Actualités) » (22/04/2021 – 2H44)
https://youtu.be/MG0AOKssJII




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Vacciner les adolescents contre le covid : stupidité mathématique, médicale, éthique

Par Gérard Delépine

Alors que l’hystérie vaccinale prospère encore en France malgré les alertes multiples sur les décès entraînés par la vaccination et de graves accidents invalidants, il faut avertir une nouvelle fois que vacciner les enfants et adolescents contre le covid19 est une grave faute éthique, médicale, scientifique. N’embarquez pas vos enfants dans cette galère.

Au 12 juin 2021, l’agence européenne du médicament rapporte(([1] 13,867 dead and 1,354,336 injuries in European database of adverse drug reactions for COVID-19 shots | The BL)) 13 867 décès en rapport avec l’injection et 1 354 336 incidents graves.(([2] Total reactions for the experimental mRNA vaccine Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) from BioNTech/Pfizer:
6,732 deaths and 502,162 injuries.
14,819 Blood and lymphatic system disorders incl. 74 deaths
11,018 Cardiac disorders incl. 843 deaths
90 Congenital, familial and genetic disorders incl. 5 deaths
6,146 Ear and labyrinth disorders incl. 3 deaths
216 Endocrine disorders
7,119 Eye disorders incl. 17 deaths
45,616 Gastrointestinal disorders incl. 332 deaths
140,516 General disorders and administration site conditions incl. 2,079 deaths
387 Hepatobiliary disorders incl. 28 deaths
5,436 Immune system disorders incl. 32 deaths
15,632 Infections and infestations incl. 711 deaths
5,552 Injury, poisoning and procedural complications incl. 94 deaths
11,782 Investigations incl. 260 deaths
3,730 Metabolism and nutrition disorders incl. 129 deaths
71,816 Musculoskeletal and connective tissue disorders incl. 84 deaths
295 Neoplasms benign, malignant and unspecified (incl cysts and polyps) incl. 21 deaths
90,427 Nervous system disorders incl. 692 deaths
330 Pregnancy, puerperium and perinatal conditions incl. 11 deaths
100 Product issues
8,902 Psychiatric disorders incl. 99 deaths
1,547 Renal and urinary disorders incl. 103 deaths
2,052 Reproductive system and breast disorders incl. 3 deaths
21,055 Respiratory, thoracic and mediastinal disorders incl. 777 deaths
23,678 Skin and subcutaneous tissue disorders incl. 60 deaths
750 Social circumstances incl. 9 deaths
222 Surgical and medical procedures incl. 15 deaths
12,929 Vascular disorders incl. 251 deaths))

Et ce ne sont que les effets indésirables précoces reconnus par l’agence, faisant évidemment l’impasse sur les effets secondaires à moyen terme, probables (fausses couches à répétition en Israël et Grande–Bretagne) et à long terme inconnus, mais craints par les généticiens (augmentation des cancers, des maladies auto-immunes, stérilité ?). Bref, de tels points d’interrogation devraient rendre les plus raisonnables prudents et on s’étonne de l’attitude de militants bio anti-OGM qui n’hésitent pas à s’injecter des thérapies géniques non testées.

Efficacité de la propagande. Comment réagiront les journalistes devant l’évidence des complications niées consciencieusement dans leurs émissions. Les vaccins H1N1 et contre la grippe aviaire avaient été interdits par la FDA après quelques dizaines de décès en rapport avec l’injection. Pourquoi ce silence après de milliers de morts ?

Et en parallèle, rappelons que le covid19 n’a pas touché les enfants sans maladies préalables potentiellement léthales.

Depuis le début du #covid19 :

  • de 0 à 9 ans : 5 décès avec des comorbidités graves ;
  • de 10 à 19 ans : 9 décès causés par des comorbidités graves.

Alors, comment accepter le pseudo-impératif arithmétique ?
Maths que de délires commet-on en ton nom ?

Stupidité arithmétique

Tout récemment(([3] Interview au Journal du dimanche daté du 13 juin. Rapportée par Le Monde et l’AFP)) Mr Fischer,(([4] Vice-président du conseil d’administration de l’Institut Pasteur (2005-2011) et Membre du conseil de gouvernance de la Fondation Edmond de Rothschild.)) professeur de génétique médicale et de recherche en thérapie génique, en charge de la stratégie vaccinale du gouvernement(([5] dans une interview au Journal du dimanche)) prétendait : « la vaccination des mineurs de plus de 12 ans est un impératif arithmétique pour se rapprocher de l’immunité de groupe contre le Covid-19 » après avoir précisé : qu’il fallait « vacciner 90 % des 12 à 100 ans » pour parvenir à l’immunité de groupe.

Comment peut-il arriver à ce chiffre ?

Rappelons tout de même que ce professeur, lié à la fondation Rothschild est responsable de la vaccination obligatoire des nourrissons depuis 2018 imposée par Mme Buzyn mise à l’abri des poursuites judiciaires par son statut international à Genève, en marchant allégrement sur les rapports des professionnels de santé et du panel de la société civile qui s’étaient déclarés opposés à l’obligation pure et simple.(([6] « Pour être honnête, on voit mal où s’est glissée la démocratie sanitaire dans cette concertation. Comme si la notion de débat était perçue comme une contrainte ou un mal nécessaire, et non comme un passage obligé. Même les jurys citoyens se sont plaints que l’on n’ait pas fait état de leurs conclusions. Questionnés ainsi par l’Agence de presse médicale, il ressort que les avis des jurys divergeaient des propositions du comité sur plusieurs points. Par exemple, les avis des jurys relatifs à la sécurité des vaccins n’ont pas été pris en compte. Le jury de professionnels de santé souhaitait, pour sa part, que le ministère de la Santé soutienne les recherches sur les effets de la vaccination à moyen et long terme et il proposait de saisir une commission parlementaire sur les adjuvants. Cela n’a pas été retenu, ni même évoqué. Et lors de la présentation, Alain Fischer a balayé toutes ces réticences, bien rapidement. »
Vaccination, le rendez-vous manqué de la concertation – Libération (liberation.fr) ))

Alors l’impératif arithmétique pour le vaccin anticovid des ados du Pr Fischer fait grincer des dents

Dans aucun des grands pays démocratiques occidentaux, la couverture vaccinale anticovid partielle (au moins une dose) n’a dépassé les 64 %, même lorsqu’une propagande mensongère intense, associée à une censure féroce des opposants et des menaces d’obligation ou de pass vaccinaux ont été utilisées (comme en Israël et en Grande-Bretagne).

Au 14 juin 2021, le pourcentage de vaccinés (à au moins une dose) n’atteint que 64 % au Canada, 62 % en Israël et en Grande-Bretagne et ne progresse plus guère. De plus, ces chiffres ne concernant que ceux qui ont reçu une dose, les vaccinés complets (à deux doses) sont partout inférieurs à 50 %.

Dans ces pays, les moins de 18 ans représentent moins de 25 % de la population et ceux de 12 à 18 ans environ 8 % de la population globale. Comme il est totalement illusoire d’espérer vacciner plus d’un tiers d’entre eux, leur vaccination augmenterait de moins de 3 % la couverture vaccinale globale dans la population, restant bien loin des 90 % considérés comme nécessaires, d’après les laudateurs de la prétendue immunité vaccinale de groupe.

Monsieur Fischer, brillant professeur, ne saurait-il plus compter ? Ou bien cette apparente aberration arithmétique, qui met en colère les vrais mathématiciens qui se sentent manipulés, ne constitue-t-elle qu’un argument de propagande vaccinale marchande de plus ? Pourquoi ce choix de décevoir tant de ses admirateurs ?

Aberration médicale ou manipulation : proposer la vaccination aux ados comme antidépresseur !

Dans cette interview, le professeur Fischer, après avoir reconnu que les mineurs « n’ont qu’un risque sanitaire minime face au Covid-19 » et que « l’idée de vacciner les ados à la place des adultes réticents est éthiquement inacceptable », prétend aussi qu’ils pourraient « tirer un bénéfice individuel au sens social et psychologique », car « ils paient un trop lourd tribut à la pandémie avec des décrochages scolaires et des impacts psychologiques très lourds pour les jeunes privés de collège ou de lycée, car la vaccination va réduire le risque de fermeture d’établissements à la rentrée ».

Son aplomb n’est pas digne de sa réputation et de son passé et rappelle plutôt celui de racketteurs ou de violeurs qui expliquent à leur victime qu’elles ne seront pas battues si elles se plient à leurs exigences. Le covid et sa gestion depuis 18 mois rend fous trop de compatriotes. Il faut en sortir.

Les troubles psychiques considérables(([7] dont des suicides d’enfants très jeunes)) et le massacre éducatif, sportif et social dont souffrent actuellement les jeunes ne sont absolument pas dus au covid qui ne les a quasiment pas atteints, mais uniquement aux mesures sanitaires inutiles coercitives et humiliantes dont ils ont été victimes.(([8] Et qui se poursuivent via la répression des manifestations festives post bac !))

Pour faire disparaître ces complications, il suffirait de reconnaître que l’épidémie est quasiment finie en France(([9] D’après le réseau sentinelle, l’incidence actuelle du covid en France est inférieure à 5/100000 et moins de 5000 nouvelles contaminations quotidiennes y sont recensées contre plus de 8000 en Grande-Bretagne championne européenne de la vaccination)), que les jeunes n’en ont jamais été responsables(([10] La fête de la musique, le carnaval de Marseille, les fêtes de Bordeaux et les rave parties qui ont été sanctionnées par de très nombreuses amendes, dispersions policières musclées, plaintes préfectorales, de garde à vue pour « mise en danger de la vie d’autrui » n’ont jamais été à l’origine de clusters prouvés.)) et de supprimer immédiatement toutes les mesures dictatoriales, sans aucun fondement scientifique, qui leur nuisent gravement.

Une affirmation contraire à la vérité scientifique

Dans son interview, Monsieur Fischer affirme : « on sait que les ados participent autant que les adultes à la circulation du virus, donc il faut y aller ». Cette affirmation est totalement contraire aux données actuelles de la science.

En effet, toutes les études épidémiologiques publiées depuis 18 mois montrent que les enfants ne participent pas à la transmission virale. De même la persistance ou la reprise des activités scolaires ne se sont accompagnées nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 18 mois d’épidémie et plus de 175 millions d’infectés, aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré selon l’analyse des publications PubMed internationales (plus de onze mille sur covid et enfant).

Les enquêtes sur les cas identifiés en milieu scolaire suggèrent que la transmission d’enfant à enfant à l’école est rarissime (si elle existe)(([11] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug; 109(8):1525-1530. doi: 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.))(([12] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

  • L’étude de l’INSERM(([13] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.
  • L’étude de l’institut Pasteur(([14] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
  • L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »(([15] Anne Jouan Exclusif Covid-19 : les enfants accusés… et innocentés Paris Match 09/05/2020))
  • Aux Pays-Bas,(([16] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
    https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
  • En Irlande,(([17] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903.)) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
  • En Australie,(([18] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel. Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance
  • En Suisse(([19] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020; 146(2):
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
  • En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
  • En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

En Israël, une poussée de covid est apparue dix jours après la réouverture des écoles et des universités. Le rôle d’un employé super contaminateur a été clairement mis en évidence, mais aucun cas de contamination certaine à partir d’un enfant n’a été établi.

Et Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine(([20] Benjamin Lee and William V. Raszka COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879; DOI:
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « dans la transmission du COVID-19, l’enfant n’est pas à blâmer. »

Les conclusions du centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont également claires :

« les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire.

« Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du COVID-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère COVID-19. »

Ceux qui culpabilisent les enfants en les accusant de transmettre le virus(([21] Dont les responsables d’un spot télévisuel mensonger qui montrent un enfant qui vient embrasser sa grand-mère à domicile et que l’on accuse d’être responsable de son hospitalisation trois semaines plus tard)) ne citent que de vagues études de laboratoire, ou des simulations reposant sur des hypothèses fausses, ou la découverte de foyers scolaires dus aux adultes à leur contact, mais jamais d’études épidémiologiques sérieuses dans le monde réel.

La médecine, c’est d’abord la clinique et ceux qui ont osé accuser les enfants de risquer de tuer leurs grands-parents à travers des clips télévisés émotionnels, sans aucune preuve scientifique de ces accusations, seront à l’origine de multiples dégâts à court, moyen, voire long terme, et en particulier des épidémies de suicide, y compris chez les très jeunes enfants. Le journal Bild allemand, un des plus grands en Allemagne vient de s’excuser auprès de la population des mensonges diffusés à la demande du gouvernement et en particulier de la maltraitance des enfants.

Stupidité médicale : dans le monde réel, les vaccins covid actuels sont incapables d’assurer une immunité de groupe

Les avocats de la vaccination prétendent qu’il serait nécessaire d’atteindre le plus haut taux de vaccination (70 %-90 %) pour stopper l’épidémie.

Mais cette fausse affirmation ne repose, une fois de plus, que sur des simulations mathématiques qui se sont très lourdement trompées tout au long de cette crise sanitaire.

Dans la vie réelle, tous les pays qui ont atteint de très hauts pourcentages de vaccination antiCovid, loin d’être protégés, sont ceux qui souffrent des plus hauts taux de propagation du virus et de mortalité pendant au moins 6 à 12 semaines. Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Gibraltar (34 000 habitants)

Dans ce micro-État la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une multiplication par 4 des contaminations et par 19 de la mortalité (de 10 à 95)

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Elles avaient été relativement épargnées par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 mille doses, le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et approche les 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2500 %) et 42 morts, et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination. Et les Seychelles ont depuis la vaccination subi un confinement.

Une poussée post vaccinale de nouvelles contaminations comparable a été observée sur l’Île de Man

Et de pareilles évolutions post vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays.

L’exemple démonstratif de la Grande-Bretagne

Ce pays est partout cité comme exemple de l’efficacité de la vaccination par les médias et son gouvernement qui ne parlent jamais ni de l’hécatombe post vaccinale précoce qui a suivi les vaccinations ni des résultats globaux attestés par l’OMS et très peu de la reprise actuelle de l’épidémie que la vaccination était censée empêcher. Examinons les faits, les chiffres officiels de l’OMS.

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination. La campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020 et a touché plus de 62 % de la population. Mais, un mois après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de mortalité mensuelle totalisant à eux seuls près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie.

Après cette hécatombe post vaccinale, les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais se sont flattés du faible taux de contamination qui a suivi en même temps que l’épidémie régressait également en Europe (-85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

Mais depuis mai 2021, malgré son taux record de vaccinés, une augmentation des contaminations journalières (+ 300 %) est observée en Grande-Bretagne prouvant qu’un très haut taux de couverture vaccinale ne protège pas la population de l’épidémie.

Le 18 juin2021 la Grande-Bretagne très vaccinée comptait 10 809 nouvelles contaminations quotidiennes, soit quatre fois plus qu’en France (2775) deux fois moins vaccinée.

Heureusement, l’épidémie disparaît de France depuis avril, bien avant qu’un hypothétique effet de la vaccination puisse l’expliquer

AUCUN ARGUMENT RATIONNEL NE JUSTIFIE LA VACCINATION DES ADOS À MARCHE FORCÉE

Alors, pourquoi prendre le risque de vacciner les adolescents, alors que cette vaccination ne peut leur apporter aucun bénéfice personnel, et que les résultats cliniques dans les pays les plus vaccinés sont très inquiétants ?

Essais en cours sur les enfants aux États-Unis

La revue du 2 juin de Laure Gonlézamar pour France Soir(([22] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) )) fait le point de la situation des éléments connus sur les essais en cours sur les enfants aux États-Unis.

« Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés.

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources.

Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées.

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent rapidement, comme par magie ; notamment sur YouTube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés.

On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées », car seule compte la propagande vaccinale.

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6 % de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants, car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés ».

Pas de risque du covid pour les enfants et ados, risque des vaccins non négligeables et inconnus. Pourquoi vacciner ? Pour un voyage ? Mais le pass vaccinal est en train de sauter et vous pourrez bientôt voyager librement.

Vous avez la vie devant vous, ne prenez pas le risque de la gâcher !





Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans

[Source : Réaction19]

Dans le cadre de l’extension récente de l’indication du« vaccin» contre la COVID-19 aux jeunes de 12 à 18 ans, le présent guide a été mis en ligne pour que les élèves puissent se construire par eux-mêmes une opinion éclairée sur ses avantages et ses inconvénients.

Aux termes de ce guide :

  1. Les risques énoncés concernant le vaccin chez les 12-18 ans sont les suivants:
    • Les données concernant la tolérance du vaccin (obtenues chez les 2260 adolescents âgés de 12 à 15 ans) sont globalement satisfaisantes.
    • La plupart des effets indésirables rapportés chez les adolescents étaient les mêmes que chez les adultes et consistaient en des manifestations locales (douleur au point d’injection) ou des symptômes généraux (fatigue, céphalée, frissons, douleurs musculaires, fièvre, d’intensité légère à modérée.
    • Aucun effet indésirable considéré comme grave en rapport avec le vaccin n’a été rapporté.
  2. Les bénéfices directs énoncés concernant la vaccination contre la COVID-19 sur le plan individuel sont les suivants
    • Bien qu’elles soient rares, des formes sévères de COVID-19 peuvent survenir chez les enfants et adolescents, notamment en cas de comorbidité. La vaccination aurait donc un bénéfice individuel direct sur cette population. Le vaccin Comimaty [Ndlr : de Pfizer] a prouvé dans les essais cliniques qu’il était efficace sur les cas de COVID-19 symptomatiques et confirmés par PCR à 100 % à partir du 7e jour après la fin de la vaccination.
    • La vaccination des adolescents aurait un bénéfice individuel évident sur le plan psychologique et social.
  3. Les seules contre-indications énoncées concernant les vaccins sont les suivants :
    • L’utilisation de Comirnaty est contre-indiquée uniquement en cas d’antécédents d’allergie immédiate à l’un des composants du vaccin.
    • Il n’y a pas de données concernant l’exploration de l’efficacité du vaccin chez les 12-18 ans sur la transmission virale.
    • Il n’y a pas encore de données disponibles concernant l’efficacité sur les formes graves de COVID-19 chez les enfants, notamment le « syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique» (MIS-Cou PIMS).
    • L’efficacité du vaccin Comirnaty pour les 12-15 ans sur les différents variants circulants actuellement n’a pas encore pu être évaluée.

Et ce alors que le site eudravigilance fournit des données différentes

  • Sur Pfizer BioNtech :

569 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre 0 et 17 ans, dont 408 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve 62 rapports qui dévoilent des effets indésirables associés au cœur, notamment : crise cardiaque, myocardite, péricardite, rnyopericardite et tachycardie.

On y trouve également des effets associés au système sanguin, notamment la thrombose (veineuse et artérielle) et la thrornbocytopénie.

Dans la majorité des cas, les résultats restent en attente puisque le site ne précise pas la suite (‘inconnu’) ou mentionne qu’ils sont en progrès (‘en voie de guérison’) .

  • Sur Moderna :

59 rapports qui signalent les effets secondaires subis par les enfants entre O et 17 ans, dont 29 qui touchent aux enfants de 12 à 17 ans.

Parmi eux, on trouve deux crises cardiaques, une défaillance cardiaque chronique, un cas de tachycardie.

On y trouve également un cas de thrombose.

Dans l’ensemble, on peut apprécier de nombreux effets indésirables associés à l’injection, tels que : cécité, surdité, saignements menstruels abondants, perte de conscience, mydriase, douleur au site d’injection, frissons, malaise, myalgie, fièvre, douleurs articulaires généralisées, nausées, maux de tête, fatigue, douleur thoracique, paresthésie.

Dans la plupart des cas, les résultats demeurent en attente puisque le site ne précise pas la suite (« inconnu ») ou indique qu’ils sont en progrès (« en voie de guérison »).

Rapport complet : ici




La propagande vacciniste en roue libre

Par Lucien Samir Oulahbib

La boucle obsessionnelle de l’idée fixe propre au psychotique codiviste (le «MAXcin» sinon rien et sus aux contestataires!) fait que ce type de syllogisme fixiste s’auto-nourrit de ses prémisses, même si elles sont fausses, le vrai le faux ne devenant qu’une affaire d’ami/ennemi : ainsi puisqu’il n’y a pas de traitement qui marche (ce qui est faux) et comme cette maladie est inconnue et qu’elle peut tuer de façon exponentielle (c’est faux également, surtout après plus de 18 mois d’expérience), alors il faut vite vite vite trouver un palliatif — la thérapie génique, censée en quelques mois répondre à la question alors que d’une part cette maladie est très soignable y compris chez les personnes dites « âgées » et ce pour pas très cher, d’autre part la prudence doit prévaloir surtout lorsqu’il s’agit d’autorisations provisoires et alors que d’aucuns faisaient des pieds et des mains contre les OGM qui étaient (qui sont toujours) accusés de « modifier » le génome humain ; mais « vérité en deçà [des Pyrénées], mensonge au-delà », selon l’adage…

Tout le spectre politico-intello-médiatique et les « scientifiques » aux ordres prennent ainsi pour argent comptant le fait que la médecine « mécaniste » (physico-chimiste) serait une science « dure », ils jouent de plus en plus violemment cet air, du Wagner quasiment, nous entraînant bon gré mal gré vers la falaise de l’absurde (une maladie soignable à plus de 99 % pourtant) et observe que la chute s’avère impeccable il n’y a guère « d’effets secondaires » en effet, la trajectoire du plongeon dans l’inconnu est très belle à regarder, les moutons se jettent en plus « volontairement », le vol est parfait, certes un peu à gauche à droite, extrême gauche, extrême droite, extrême centre, mais « l’essentiel » est là : « flop » le corps s’enfonce dans l’eau du Gange « vaccinal » ; baptême et fin de partie.

Mais une pensée surnage au-dessus de ce naufrage : tout ça pour ça ?… Alors que les milliards dépensés auraient pu servir à mettre sur pied un système sanitaire digne de ce nom permettant ainsi aux malades d’être soignés avec des traitements qui marchent tandis que la grande majorité de la société vaquerait à ses occupations permettant de payer la bonne qualité d’ensemble du système de soins sans en passer par la dette (qui va peut-être inciter les gouvernants français à reculer l’âge de la retraite à 67 ans pour rembourser).

Eh bien non, l’idée fixe du tout physico-chimique visant à la réduction du corps humain à un automatisme (alors que l’idée de « machine » est bien plus complexe chez Descartes) non seulement s’avère toute puissante, mais s’acoquine avec tout un calcul ourdi multifactoriel qui ne peut que susciter la suspicion comme les emails de Fauci le révèlent ainsi que la classification soudaine des traitements qui marchent comme étant en fait des « substances venimeuses » alors que le nombre d’effets secondaires des essais géniques actuels se comptent, eux, par dizaines de milliers en France (en ajoutant qu’une infime partie reste relatée, tant il est fastidieux de retrouver le numéro du flacon faire la démarche, etc., sans oublier le manque de temps…) et que les effets peuvent se voir à moyen et long terme (rendez-vous dans quelques mois : rappel, un vaccin digne de ce nom met des années avant d’être autorisé…).

COVID-19 MRNA VACCINE MODERNA (CX-024414)
COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH (TOZINAMERAN)
COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
COVID-19 VACCINE JANSSEN (AD26.COV2.S)

Mais cependant, et il faut le reconnaître si c’est exact, cette expérimentation pourrait montrer quelques effets positifs pour les plus de 81 ans en déficience immunitaire (car l’ARN fragmenté du virus injecté leur excite le système lymphocyte) c’est du moins ce qu’indiquent ces deux chercheurs israéliens interviewés par FranceSoir, tout en soulignant cependant qu’il n’en est rien pour les plus jeunes, bien au contraire, et que c’est inutile puisque les traitements adéquats marchent et sont là en suffisance désormais…

Ce qui fait que le tableau s’éclaircit par touches successives :

  • la pédanterie scientiste mécaniste (productiviste quantitativiste) écarte de façon méprisante tout repositionnement de médicaments antiparasitaires alors que l’expérimentation à doses adéquates prouve leur efficacité;
  • à cela se conjugue l’idée qu’une thérapie génique pourrait rapporter (très) gros, d’où l’idée de classer comme substances vénéneuses ces médicaments « remastérisés » au nom d’effets secondaires imaginaires (tout en minimisant ceux produits par la thérapie générique promise);
  • et, enfin, à ces deux facteurs (à savoir donc l’outrecuidance pédante d’une épistémologie modale désuète et l’affairisme se conjuguant à la jouissance narcissique d’être et de se voir agir au faîte de divers pouvoirs) se conjuguent à diverses fenêtres d’opportunité comme la numérisation à marche forcée des liens humains permettant une marchandisation supplémentaire alors que les biens dits « classiques » sont diabolisés, telle la voiture, de plus en plus propre pourtant, et que se trouve confondus exprès pollution, déchets nucléaires, CO2, alors que l’un dans l’autre le CO2 ne doit pas être confondu avec le CO et que le nucléaire ne peut être réduit à ses déchets de plus en plus miniaturisés et recyclés.

Il y a donc une conjonction conflictuelle de plusieurs facteurs qui peuvent faire croire en effet à un « complot systémique » par certains aspects, alors qu’il peut s’agir aussi d’une rencontre « opportune » entre plusieurs courants de faits (façon Cournot et sa théorie du « hasard ») tels que le mépris scientiste (le corps humain n’est qu’un magma physico-chimique manipulable par « gain de fonction » ou le « trans » et « post » humanisme, au sens littéral), l’affairisme avide et jouisseur (empêcher le repositionnement de médicaments peu coûteux, profiter de l’occasion pour étendre l’étatisme tentaculaire au détriment de la société civile), la bêtise, l’envie (comme l’acharnement anti-Raoult opéré par des ignares en plus : oui il y a plus de jeunes accidentés par trottinettes électriques que par la C-19), enfin le calcul politicien de bas étage et toute sa libido virale ouvrant aux psychotiques narcissiques la fente du donjuanisme à bon compte démultiplié par l’effet chatoiement des grands écrans plasma intrusifs permettant à l’onanisme y compris mobile de s’ériger au moment où tout implose façon plutôt passive, et soumission ou l’« horizon indépassable » d’un Occident en débandade généralisée.

Mais « la » vie humaine en a vu d’autres… « Chaque génération est un nouveau peuple », disait Tocqueville. Et comme tout s’accélère, rira bien, non pas le dernier, mais qui pourra rire…




Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010

[Source : Pro Fide Catholica]

[Vidéo orignelle en anglais : ‘Ingraham Angle’ on Democrat leaders, COVID origins | Fox News]

Par brianajane

LAURA INGRAHAM DE FOX NEWS DÉVOILE À LA TÉLÉ AMÉRICAINE LES DOCUMENTS MONTRANT QUE LES ROCKEFELLER AVAIENT PRÉVU LE SCÉNARIO DE LA PANDÉMIE EN 2010

Fox News aux Etats-Unis, c’est TF1, France 2, France 3, BFM TV, CNEWS, LCI… en France. C’est une Chaîne de Grande écoute et surtout une chaîne qui a moulte fois crié « Au Complotisme » !

[Ndlr : cette chaîne est néanmoins dénigrée par la plupart des autres médias dominants américains en raison de son orientation plutôt pro républicaine.]

Donc, Laura Ingraham, la présentatrice Vedette de la Chaîne annonce très clairement qu’il existe bien un rapport ROCKEFELLER de 2010 annonçant la Pandémie et la manière dont le pouvoir en place ne laissera JAMAIS cette crise imaginaire prendre fin avec un contrôle total et absolu des Peuples qui ont auront été ainsi privés de Libertés.

Nous vous avions fait part de ce rapport Rockefeller le 1er Mai 2020 :

https://profidecatholica.com/2020/05/01/le-rapport-de-la-fondation-rockefeller-de-2010-qui-annoncait-la-pandemie-et-le-confinement/
[Voir aussi : La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]



Les « Choses » bougent énormément aux Etats-Unis et nous espérons un changement radical de Cap pour bientôt.

Vous avez LA PREUVE, avec cette vidéo de FOX-NEWS, que le COVID-19 est bel et bien UN COMPLOT CONTRE L’HUMANITE car quand une pandémie sugit, elle ne se signale pas 21 ans en avance.

De Plus c’est ROCKEFELLER qui signe, c’est pour ainsi dire DOUBLEMENT SIGNE.


[Voir aussi :
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19
Le bon virus au bon moment
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]




Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






Comment votre cerveau est contrôlé !

[Source : La Minute de Ricardo]

[Illustration : ©shutterstock.com/13Smile]



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Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




Lettre à un ami qui n’est plus… accessible

Par Alain Tortosa

Hier j’ai perdu un ami qui m’a été « volé » par le Covid…

Hier tu m’as signifié à quel point mon existence te met dans l’embarras.

[Illustration : indiatimes.com]

Ne croyez pas que mon ami soit décédé du « fléau », son corps est bien vivant et il est bel et bien en bonne santé… mais que dire de son âme, de son esprit, de ses valeurs ou de son esprit critique ?

Ne croyez pas que j’accuse ce virus, jusqu’à présent plutôt gentil au demeurant, mais uniquement la dictature sanitaire et les médias à sa botte.

« Ce texte est pour toi et tous les autres qui ne pourront pas me lire et encore moins adhérer… »

Mon cœur pleure, car tu es mon ami depuis 30 ans et tu ne peux plus me parler. Il ne nous est plus possible de communiquer, d’échanger, d’argumenter… alors que c’est une des richesses de l’humanité…

Le problème couvait depuis des mois et je préférais me taire, ne pas te faire parvenir les informations en ma possession, ne pas te perturber dans tes certitudes fragiles… que de te heurter.

Il était évident que tu ne pouvais pas (et non voulais pas) entendre, même si j’imagine que tu penses demeurer dans un libre arbitre et des pensées propres.

Tu as donc ressenti le besoin de m’écrire que…

  • Tu es heureux d’être vacciné.
  • Tu es heureux que toute ta famille soit vaccinée.
  • Tu es heureux de savoir que ton petit fils de douze ans et en pleine santé sera lui aussi bientôt vacciné.

Tu es donc vacciné. Ton bonheur de l’être ne me dérangerait pas s’il été issu d’un choix libre et éclairé, mais…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », respecter encore les confinements ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter les couvre-feux ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », porter encore un masque ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter la distanciation ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », te laver les mains au gel hydroalcoolique ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », être prudent et te méfier des non-vaccinés comme moi, mais aussi des vaccinés ?(([1] Interrogé sur BFM le 16 juin par un journaliste demandant si deux vaccinés double dose pouvaient se serrer la main, un médecin a répondu qu’il « valait mieux éviter et rester prudent »…))

Et incroyable…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » et « protecteur » présenter un test PCR négatif, comme les non-vaccinés, avant de te rendre en Corse ?

Sans doute pas… parce que les médias t’ont dit que c’était à la fois logique et transitoire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait une telle vaccination légitime…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Je cherche à comprendre ce que t’apporte ton vaccin.

En effet, que t’apporte-t-il au quotidien que tu n’avais pas lorsque tu n’étais pas vacciné ?

  • Le fait d’être membre à part entière de notre « merveilleuse » société devenue soudainement « solidaire » en 2020 ?
  • Le fait d’être un « bon » citoyen ?
  • Le fait d’être « comme tout le monde » ?
  • Le fait de pouvoir répondre à ta marchande de légumes « oui ! » lorsqu’elle te demande si tu t’es injecté ?
  • Le fait d’être enfin rassuré par un « vaccin » qui n’empêche pas de tomber malade, ne protège pas autrui et permet, au mieux, de ne pas faire de formes graves si l’on ignore les risques d’anticorps facilitants ?

Trouves-tu légitime et moral de demander aux enfants, jeunes et moins jeunes, de se vacciner pour officiellement protéger des personnes âgées, malades ou en fin de vie ?(([2] Les autorités sanitaires ne cachent plus que les enfants ne risquent rien et le Dr Fischer, « m.vaccin » a même dit que la décision de les vacciner n’était qu’arithmétique.))

Trouves-tu légitime et moral de demander à TON petit-fils de porter un masque toute la journée, d’être confiné, de renoncer à l’insouciance de l’enfance, et maintenant lui demander (ou l’avoir manipulé pour…) de se vacciner pour protéger qui ? Ses grands-parents ?

Les médias t’ont dit que c’était normal, l’unique voie « altruiste »…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait ces mesures légitimes et morales…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Pourquoi tant de peurs, tant d’acceptations, tant de renoncements ?

En toute sincérité…

  • Crois-tu vraiment que cette maladie ne se soigne pas ?
  • Crois-tu vraiment qu’il n’existe aucun traitement efficace ?
  • Crois-tu vraiment que tous les experts mondiaux (au-delà de tout soupçon et sans conflit d’intérêts, eux) qui ont un discours diamétralement opposé à la doxa sont, du jour au lendemain, devenus délirants ou complotistes ?
  • Crois-tu que l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont inefficaces et, qui plus est, devenus soudainement dangereux en 2020, après des dizaines d’années de commercialisation ?

Les médias, les incompétents ou les corrompus le répètent tous les jours, toute la journée…

Ils osent même parler de « bon sens » !

Ce petit club d’imbéciles et de corrompus qui peut accéder aux médias mainstream, ne peut parler que de « consensus » et tu ne peux que les croire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans…

  • Si je lui avais dit qu’il trouverait logique ou raisonnable que le seul traitement possible contre un virus respiratoire soit le paracétamol.
  • Qu’il ne fallait pas consulter son médecin avant d’être à l’article de la mort.
  • Que des molécules inoffensives utilisées depuis plus de 70 ans devaient être interdites.
  • Que le droit de prescription devrait être retiré aux médecins et que certains seraient poursuivis devant leur Conseil de l’Ordre de Vichy.
  • Et que la vaccination serait, comme par « hasard », l’unique voie…

Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Tu vois, mon texte est long, très long…, mon ami, plus long que tes quelques lignes pour condamner notre amitié.

Il est tellement plus facile de répéter en boucle le discours de France Info sans réfléchir que d’analyser et chercher à comprendre…

Les vaccins sont-ils pour toi, un tout petit peu, source d’inquiétudes ou ne serait-ce que de questionnements ?

Sais-tu que :

  • Les premiers essais sur l’homme ont eu lieu en avril 2020 ! Non-événement !
  • Des pans entiers de sécurités ont été volontairement ignorés « à cause de l’urgence » ! Non-événement !
  • La commercialisation a débuté en phase III avant la fin des essais ! Non-événement !
  • Une technologie ARN messager expérimentale jamais déployée ! Non-événement !
  • Des effets secondaires à moyen et long terme totalement inconnus ! Non-événement !
  • Le risque de variants induits par la vaccination ! FakeNews !
  • Le risque d’anticorps facilitants qui rendraient une nouvelle infection plus dangereuse pour les vaccinés ! Délire complotiste !

Ces thérapies géniques vaccinales sont autorisées, elles sont recommandées par tous les « médecins » médiatiques, toutes les autorités de santé, tous les gouvernements et même l’OMS…

Elle est vendue toute la journée par tous les médias mainstream… « C’est bien parce qu’ils sont sans danger et efficaces », non ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal de s’injecter à lui-même et sa famille des substances expérimentales à base d’ARNm jamais utilisées sur l’homme hormis pour des cancers en phase terminale.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Qu’as-tu fait du principe de précaution qui te semblait un préambule indispensable à toute action ?

Selon toi, le masque doit-il aussi être porté « au nom du principe de précaution » ?

  • Aucune étude n’a jamais prouvé l’efficacité du port du masque dans une population générale. Même l’OMS le disait ainsi que les autorités françaises avant la grande mystification.
  • Tu es bien conscient qu’il ne peut pas être anodin de porter un masque toute la journée pendant des mois et d’autant plus pour des enfants.
  • Tu es bien conscient que si le dispositif avait une efficacité, il perturberait les échanges gazeux et que plus il filtrerait les virus et plus il gênerait la respiration.
  • Tu es bien conscient que tu réingères notamment une partie de ton CO2 et que tu respires les produits chimiques toxiques du masque et/ou de ta lessive ?
  • Tu es bien conscient que tu détruis la relation à autrui, les interactions humaines et les émotions avec cette muselière faite pour rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et que nous aurions pris comme une simple grippe…
  • Tu es bien conscient que tu perturbes gravement l’apprentissage des émotions et du langage chez les tout petits…

Ah, mais la Pravda t’a répété qu’il n’y avait pas d’alternative, que le masque était sans aucun danger et qu’il sauvait des vies.

Il fallait même le porter, seul, en montagne ou à la plage, au nom du « principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique de faire porter un masque en toute circonstance à une population en bonne santé.
Il aurait aussi trouvé étrange l’invention de l’asymptomatique contagieux et dangereux !
Il m’aurait rappelé que lorsque qu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires négatifs certains d’une mesure et de nombreux indices ou études passées montrant que la mesure est non seulement dangereuse et sans doute inefficace, alors on s’abstenait !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Selon toi, les confinements doivent-ils aussi être mis en place au nom du principe de précaution ?

  • Cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines ne fonctionnent pas à grande échelle et qu’il suffit d’un seul individu pour faire effondrer l’édifice.
  • Tu es bien sûr au fait que par le passé on confinait les malades… pas les bien portants…
  • Tu sais que les conséquences économiques et psychologiques ne peuvent qu’être désastreuses…
  • Tu entends même désormais que les suicides explosent notamment chez les jeunes.
  • Veux-tu ignorer le fait que des pays qui n’ont pas confiné ont eu de meilleurs résultats ?
  • Veux-tu ignorer que les pays qui ont le moins détruit les droits de l’homme ont eu moins de morts ?
  • Veux-tu ignorer que les pays les plus pauvres ont le moins souffert ?
  • Veux-tu ignorer que la courbe ne s’est jamais aplanie en France durant le confinement et qu’il n’y a eu aucun rebond au déconfinement malgré les prévisions catastrophiques des oracles ?

Ah, mais la Pravda t’a dit qu’il n’y avait pas d’alternative et que le confinement avait sauvé au moins 80 000 vies en France. Il fallait confiner « au nom du principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’enfermer ensemble les malades, interdits de traitements, et les bien portants notamment dans les maisons de retraite.
Il m’aurait rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires certains négatifs et de nombreux indices ou preuves montrant que la mesure pourrait être inefficace, alors on s’abstient !
Il m’aurait dit que c’est ça le principe de précaution !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Alors tu te vaccines et il faut désormais vacciner toute la population mondiale au nom du « principe de précaution » ?

  • Jamais personne n’a réussi à mettre au point des vaccins contre les coronavirus.
  • Tout scientifique sait que les coronavirus mutent en permanence pour survivre.
  • Les faux vaccins mis au point en quelques semaines ne ciblent que la protéine Spike les rendant vulnérables à toutes mutations.
  • La vaccination durant une épidémie augmente naturellement le risque de création de variants et d’autant plus que les vaccins ne sont pas de vrais vaccins, des virus atténués et qu’ils sont imparfaits.(([3] La prétendue efficacité de 90 % n’est pas sur l’impossibilité de tomber malade, ni sur le blocage de la transmission, mais sur l’absence de formes graves. Bref les études elles-mêmes précisent que ce n’est pas des vaccins.))
  • La technologie ARN messager ou des adénovirus modifiés génétiquement est totalement expérimentale et n’a jamais été déployée à grande échelle sur l’homme et encore moins sur des enfants ou des femmes enceintes.

Mais suis-bête mon ami, nos « gentilles » autorités nous ont expliqué que la vaccination de la population générale était l’unique option et qu’il fallait la généraliser, même sur les enfants, « au nom du principe de précaution » !

  • Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’utiliser une technologie expérimentale sur l’ensemble des humains pour espérer, peut-être, mettre fin à une pandémie pour laquelle plus de 99 % des Français ont survécu malgré l’interdiction de traitement et toutes les mesures contre-productives.
  • Le risque de modification de notre ADN ? Jeté aux oubliettes.
  • Le rapport bénéfice versus risque obligatoirement défavorable pour des personnes en bonne santé qui ne risquent RIEN de ce virus ? Jeté aux oubliettes.
  • Le risque de maladies auto-immunes ou de cancers à long terme ? Jeté aux oubliettes !
  • Le risque sur la fertilité ? Jeté aux oubliettes. Il m’aurait aussi rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques, les effets secondaires et de nombreux indices montrant que la mesure pourrait être inefficace,voire même dangereuse, notamment du fait des mutations du virus, alors on s’abstient ! Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Ta pensée cartésienne a disparu petit à petit pour se transformer en foi !
Ta foi, car il ne peut s’agir maintenant que de foi, est devenue inébranlable.
Ta pensée actuelle ne peut plus être ta pensée, mais uniquement le reflet des tables de la loi de l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs…

Mais toi, toi qui te disait (ou pourrait peut-être encore dire que tu es) mon ami…

… Pourquoi ne m’aides-tu pas à ouvrir les yeux sur ma « folie » et ta « réalité », toi qui es convaincu de toutes ces « vérités » répétées sans cesse depuis des mois ?

Pourquoi ne pas essayer de me convaincre que :

  • « Le Covid est un fléau. »
  • « Le masque protège avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Le confinement sauve des vies avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Il n’y a pas de traitements hormis le paracétamol et il faut absolument interdire aux médecins de prescrire. »
  • « Le vaccin est l’unique voie avec un rapport bénéfice vs risque favorable même pour les populations qui ne risquent strictement rien ! »
  • etc.

Pourquoi as-tu de fait renoncé avant même d’essayer de me « sauver » ?

Te penses-tu incapable d’y parvenir ou est-ce parce que les médias t’ont répété jour après jour de ne surtout pas me parler à moi le « complotiste », de ne pas essayer de me raisonner ?

Les médias te l’ont dit…

  • Ma raison a « vacillé ».
  • Je suis devenu un « complotiste ».
  • Je mets en doute le « consensus » scientifique édicté par le Ministère de l’Unique Vérité.
  • Mon esprit de contradiction va jusqu’à remettre en question les « évidences ».
  • Je suis prisonnier de mon « délire », incapable de penser et me remettre en question.
  • Sans doute suis-je un « adolescent cinquantenaire »…
  • Suis-je à ce point « aveuglé » que je vais finir par affirmer que la Terre est plate ?

Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans procès, sans avoir cherché à me comprendre ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans savoir ce que j’avais à dire ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans chercher à discuter ?

Notre amitié ne valait pas de…

  • Chercher à m’expliquer ? Non.
  • Lire mes dizaines de textes, mes milliers de pages que j’ai écrites sur le sujet depuis le mois de mars 2020 ? Non.
  • Chercher à savoir d’où venaient mes « croyances délirantes » ? Non.

Et toi ?

  • As-tu pensé à vérifier et me demander si mes affirmations étaient sourcées ?
  • As-tu fait tes propres recherches ou t’es-tu contenté d’ingérer le discours officiel comme on gave une oie ?

Peux-tu au moins m’accorder le bénéfice d’un travail délirant auquel s’ajoute le travail titanesque de mes amis scientifiques, juristes ou simples « humains » qui cherchent à comprendre ?

Mon ami l’aurait pu…

Toi qui as tant travaillé et étudié dans ta vie, as-tu oublié la valeur du travail ?

  • Sais-tu que j’ai passé des milliers d’heures, si si, des milliers d’heures à étudier le sujet ?
  • Sais-tu que j’ai lu des centaines d’études scientifiques ?
  • Sais-tu que j’ai étudié des statistiques nationales et mondiales ?
  • Sais-tu que je suis entouré de spécialistes qui font de moi un être insignifiant face à des puits de science ?
  • Sais-tu que je doute et que je me remets en question tous les jours et que je m’interroge depuis le mois de mars et même en t’écrivant cette lettre ?

Bien sûr que non, tu ne peux pas l’imaginer…

Car si c’était le cas, je serais « obligatoirement » arrivé aux mêmes conclusions que toi, toi qui détiens une « vérité prémâchée » par les autorités.

Je serais donc arrivé aux mêmes conclusions que toi et les médias. Je serais sorti de mon délire et j’adhérerais pleinement à la doxa que nous subissons depuis plus d’un an…

Mon ami, celui qui avait ses propres pensées aurait pu m’accorder le bénéfice du doute et surtout le bénéfice du travail accompli…

Tu juges donc que mon temps n’a aucune valeur, que j’ai perdu tout sens commun alors même que tu me pensais plutôt intelligent.

Tes valeurs ne te poussent-elles pas à m’aider au même titre que les miennes me poussent à informer et aider autrui à ouvrir les yeux autant que faire se peut.

Les médias t’ont répété que j’ai évidemment perdu toute capacité de raisonnement, que je suis dans le délire, que je suis dans une secte et que nul ne peut m’aider à en sortir…
Pire encore, je serais devenu « dangereux » au point qu’il ne faut plus me parler, plus discuter avec moi ou mes amis.

À moins que… à moins que tu ne sois toi, en état de sujétion, et que ce soit toi qui te trouves hypnotisé et dans une secte.

Mais le couperet est tombé et tu m’as proposé par écrit (sans doute moins contagieux) ta « solution » :

Voici la proposition de mon « ami ».

« Pourrais-tu supprimer ma photo (et celles de ma famille) sur le site ou tu exposes tes convictions sur ce sujet ? Dans la mesure où je ne partage pas ton analyse de la situation, cette proximité me met dans l’embarras. »

Sommes-nous encore amis ?

Pouvons-nous encore nous rencontrer dans une cave ou le sous-sol d’un parking souterrain qui serait dépourvu de caméras de surveillance ?

Adhères-tu à ce monde et est-ce que tu vis bien de ne surtout pas t’afficher à côté d’un « complotiste », de celui qui ne pense pas « comme tout le monde » ?

Mais de quoi as-tu si peur ?

Que l’on imagine que tu pourrais toi aussi avoir ou soutenir des pensées « déviantes » ?

Et si on m’obligeait à porter une étoile sur le torse ou me parquer dans un camp, cela pourrait-il être de nature à te soulager ?

Le plus simple, le plus rassurant pour toi est, de toute évidence, que je n’existe pas, ni moi ni mes amis.

Sommes-nous si anxiogènes à :

  • Répéter que cette maladie n’est pas si grave.
  • Répéter que cette maladie se traite.
  • Répéter qu’elle ne tue qu’exceptionnellement et qu’en général elle ne fait qu’accompagner des personnes en fin de vie.
  • Répéter qu’elle ne tue pas plus que les infections respiratoires des autres années ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces propos.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre et personne ne doit savoir que nous étions amis…

Et quelle angoisse pour toi d’entendre que nous ne pouvons pas contrôler un virus, que nous n’avons jamais contrôlé la moindre épidémie, que le mieux est de laisser circuler le virus au maximum parmi la population en bonne santé afin de parvenir à une immunité naturelle de masse, et ce afin qu’il disparaisse de lui-même…

La dictature sanitaire a ainsi réussi le tour de force de rendre anxiogène celui qui, comme moi, avec des centaines de preuves à l’appui te dit qu’il n’y a pas à s’inquiéter et que les choses s’arrangeront naturellement avec le temps.

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces évidences.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Hélas :

  • Tout a été volontairement mis en œuvre pour perturber le processus naturel et l’immunité naturelle de masse.
  • Tout a été fait pour affaiblir et traumatiser la population.
  • Tout a été fait pour dénigrer et interdire les traitements efficaces.
  • Tout a été fait pour rendre indispensable des vaccins qui, par leur nature, ne pourront pas enrayer la maladie.

Mais rien de neuf sous le soleil.

Cela fait des dizaines d’années que l’industrie pharmaceutique a arrêté de fabriquer des médicaments qui guérissent pour se consacrer quasi exclusivement à des médicaments qui traitent le malade à vie en faisant tout pour que le patient ne guérisse jamais.

Et cette année serait l’année de l’industrie pharmaceutique qui deviendrait au service de l’humanité ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait confirmé 1000 fois ces affirmations !
Mais tout ceci je ne peux plus te le dire, tu ne peux plus l’entendre…

Je suis triste, les médias ont eu (provisoirement ?) raison de notre amitié, car je ne conçois pas une amitié dans laquelle un des deux « amis » ne peut exposer son amitié au grand jour…

J’espère qu’une fois sorti de ta léthargie, de ta sidération, que les vérités seront sorties dans les médias nationaux (elles sortent dans la plupart des pays sauf en France pour l’instant), tu pourras rouvrir ton esprit.

Ce jour-là tu te rendras d’abord sur le site de mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? » et tu pourras lire que tout ce que j’affirme depuis le mois de mars 2020 ne relève pas de théories du complot ou de fakenews, mais de faits scientifiques avérés.

En attendant, même si je pleure, je poursuis mon chemin avec mes nouveaux amis de grande valeur avec qui j’ai tant à partager…

Alain Tortosa.

Le 14 juin 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210614-hier-jai-perdu-un-ami.pdf





Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide

[Source anglophone : https://www.henrymakow.com]

[Traduction : Bouddhanar]

Le 9 juin, Ano Turtiainen, membre du Parlement finlandais, a mis en garde contre un possible génocide provoqué par le vaccin COVID en Finlande.
Voici la traduction de son intervention au Parlement de son pays :

« Honorable Président, le rapport de la commission mentionne un large éventail de défis réels pour la sécurité de la Finlande.

Ce rapport omet cependant un défi très sérieux pour la sécurité de la Finlande et des Finlandais… Je fais référence à ces soi-disant vaccins COVID qui ont également divisé notre population en deux, les éveillés et les égarés.

Vous ne pourrez plus jamais plaider l’ignorance du risque auquel les citoyens finlandais sont exposés.

La Finlande injecte actuellement à ses citoyens des substances toxiques déguisées en vaccins COVID.

Écoutez attentivement : Aucun de ces poisons injectés déguisés en vaccins COVID n’a d’autorisation de mise sur le marché en Finlande, mais seulement une autorisation de mise sur le marché conditionnelle de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Les termes d’une licence conditionnelle stipulent que l’autorisation est conditionnelle : « Les informations disponibles doivent démontrer que les avantages du produit médical l’emportent sur ses risques ».

Deuxièmement, chers collègues, malgré le discours des médias, nous n’avons jusqu’à présent officiellement aucun décès par COVID en Finlande. Selon THL (équivalent du CDC – centres de contrôle et prévention des maladies), les causes officielles de décès à partir de l’année 2020 ne seront pas publiées avant 2022. Cependant, selon Fimea (équivalent au VAERS – Le Vaccine Adverse Event Reporting System est un programme américain de sécurité des vaccins), 78 personnes sont décédées des vaccins COVID en Finlande et il y a 1 306 rapports d’effets indésirables graves. Et 3 630 rapports non traités. On estime qu’environ 57 % des déclarations traitées ont des effets indésirables graves. La source est Fimea (www.fimea.fi).

Troisièmement, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour ces toxiques… dit également : « Le demandeur doit être en mesure de fournir des informations cliniques complètes à long terme. » …

En violation du Code de Nuremberg, les Finlandais n’ont pas été informés qu’il s’agissait d’une d’expérimentation pratiquée sur l’être humain.

Maintenant, après ce discours, je vous ai tous fait prendre conscience, ainsi qu’aux médias, qu’il s’agit d’une expérimentation pratiquée sur l’être humain et que ses résultats sont terribles. En comparaison, l’expérimentation du vaccin Pandemrix, qui avait échoué auparavant, a été arrêtée avec 32 fois moins d’effets secondaires que ce que nous avons actuellement. Alors, maintenant je vous demande à tous : combien de personnes devront encore mourir ou être gravement malades avant que nous n’interrompions ce massacre ?
Chers collègues, vous êtes maintenant conscients de cette menace sécuritaire extrêmement grave à laquelle notre nation est confrontée et que les inconvénients des injections l’emportent sur les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation.

Enfin, si vous continuez à tromper nos concitoyens en leur racontant des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation, vous êtes intentionnellement impliqué dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux étant le génocide. Encore une fois, je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause.
Maintenant, vous êtes tous au courant. Merci. » 

Le député finlandais, Ano Turtiainen






Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




« Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe Guillemant

[Source : PLANETES360]

https://youtu.be/oOpwc8c_oAY

Philippe Guillemant est ingénieur physicien, diplômé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Docteur en Physique, il travaille au CNRS sur le site de l’université d’Aix-Marseille en tant qu’ingénieur de recherche hors classe.




Comment la démocratie a été détournée de son but

Comment la démocratie a été détournée de son but par des salopards (en étant gentil)

Par Alain Nicolaï

En république, les élections présidentielles donnent l’occasion au peuple d’élire le chef de l’état pour une période déterminée. En théorie, celui-ci doit en retour œuvrer pour le bien de tous. Le coronacircus a démontré aux yeux des personnes sensées, des personnes qui réfléchissent en mettant les faits en connexion rationnellement que ce n’était malheureusement pas le cas.

Voici ce que dit à ce propos Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer :



Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement. Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose. Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Voir aussi :

▪ Mike Yeadon sonne l’alerte du pass sanitaire : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonSenta:d
▪ « Si j’ai raison, nous sommes en pleine 3ème guerre mondiale » : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonFS:a
▪ L’ancien vice-président de Pfizer déclare à RFK Jr. que les jeunes gens en bonne santé ne devraient pas être contraints de prendre des vaccins  » expérimentaux  » : 
https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-mike-yeadon-rfk-jr-the-defender-podcast-safety-mrna-vaccine-technology/

Nous sommes face à une attaque d’une ampleur inégalée, nous avons donné le pouvoir à des personnes qui nous trahissent pour des intérêts privés. Nous avons donné le pouvoir à des personnes qui préfèrent œuvrer pour les profits des multinationales et de la finance : nous nourrissons en notre sein des vipères.

[Illustration : Allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)]




Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses

[Source : Neuf de cœur]



[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




AstraZeneca annonce que son traitement anti-Covid est inefficace

[Source : LCI via qactus.fr]

[Illustration : Vue générale des bureaux du laboratoire anglo-suédois AstraZeneca à Macclesfield, au nord-ouest de l’Angleterre. − Andrew YATES / AFP]

Par La rédaction de LCI

Nouveau revers pour AstraZeneca. Après que de nombreux pays se sont partiellement ou totalement détournés de son vaccin anti-covid, le groupe pharmaceutique anglo-suédois a annoncé ce mardi que le traitement contre le coronavirus qu’il développe actuellement n’a pas prouvé son efficacité sur les personnes exposées au virus.

« L’essai n’a pas atteint le but principal de prévenir les cas de Covid-19 symptomatique après exposition » au virus, explique AstraZeneca dans un communiqué.

Une réduction des symptômes de seulement 33%

Le traitement par anticorps, dont le nom de code est AZD7442, devait permettre à la fois de prévenir et de traiter la maladie. Il était en phase 3 de développement, c’est-à-dire en essais cliniques de grande ampleur afin de mesurer sa sûreté et son efficacité.

Les 1121 participants étaient des adultes de plus de 18 ans qui n’étaient pas vaccinés et qui ont été exposés à une personne contaminée au cours des huit jours précédents. Le traitement n’a permis de réduire le risque de développer un Covid-19 avec symptômes que de 33%. Des essais se poursuivent pour évaluer le remède sur des patients avant exposition au virus, et pour ceux qui ont développé des formes sévères.

L’important investissement des États-Unis

Le développement de ce traitement est financé par le gouvernement américain, qui en retour avait conclu des accords avec AstraZeneca pour recevoir jusqu’à 700.000 doses cette année. Au total, la valeur des accords avec les États-Unis pour le développement du traitement et les doses en 2021 atteint 726 millions de dollars.

Dans son communiqué, AstraZeneca indique que des discussions sont en cours « concernant les prochaines étapes avec le gouvernement américain ».

Si les espoirs vis-à-vis du traitement développé par AstraZeneca sont douchés, les regards se tournent désormais vers l’Institut Pasteur de Lille. Il vient d’obtenir le feu vert de l’Agence nationale de sécurité du médicament pour tester sur des patients un traitement par suppositoires contre le Covid-19. En octobre, l’Institut avait annoncé avoir reçu un don de cinq millions d’euros du géant du luxe LVMH pour financer l’essai clinique d’une molécule qui, testée in vitro, s’avérait « particulièrement efficace face au virus SARS-Cov-2 ».




Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm

[Source anglophone : redvoicemedia.com via https://qactus.fr/]

Le magnétisme ajouté intentionnellement au  » vaccin  » lui permet de forcer sa diffusion dans l’ensemble du corps (et donc dans tous les organes).

Partout, dans le monde, sont évoqués ces champs magnétiques « SPION » liés aux vaccins anticovid (au moins à certains d’entre eux, dont Moderna et Pfizer, semble-t-il).

Dans la vidéo suivante, en anglais, la Dre Jane Ruby révèle que les vidéos montrant des personnes se collant des objets métalliques (dont des cuillères) à l’emplacement de l’injection vaccinale correspondent à des faits réels.

La Dre Ruby affirme que le CDC ment lorsqu’il prétend le contraire, et elle fournit des preuves de ses dires.



ACTUALITÉ ! Le Dr Jane Ruby a rejoint Stew Peters avec une révélation concernant les vidéos de « magnétisme » qui circulent dans le monde des médias sociaux dans des vidéos auto-enregistrées de personnes se collant des objets métalliques.




La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE

Source : NaturalNews.com

[Traduction : numidia-liberum.blogspot.com]

Par : Mike Adams

Le culte mondial du suicide par vaccin est bien réel, et c’est un produit de l’hypnose de masse combinée à un désir généralisé d’auto-annihilation. Poussés jusqu’à la folie par la culture folle et le terrorisme psychologique des médias grand public, de nombreuses personnes cherchent maintenant, consciemment ou inconsciemment, à mettre fin à leurs propres vies — les suicides dans le monde ont monté en flèche depuis le début des blocages de covid — et maintenant ils sont tombés sur leur solution finale : Le vaccin covid.

Heaven’s Gate était une secte californienne qui a pris fin dans les années 1990 lorsque presque tous ses membres se sont suicidés après avoir cru que leur chef — un homme nommé Applewhite — les amènerait au salut.

De la même manière que les membres de la secte de Heaven’s Gate pensaient qu’ils pourraient atteindre l’ascension et s’élever au-dessus de l’humanité en consommant du poison qui, selon eux, les téléporterait vers un « vaisseau mère extraterrestre » qui les attendait de l’autre côté de la comète de Haley, les sectateurs du vaccin-suicide d’aujourd’hui croient qu’ils peuvent atteindre l’ascension en s’injectant une arme biologique mortelle qui les transformera en un être humain « libre » et leur donnera un statut VIP dans la société (grâce à leurs passeports vaccinaux).

De la même manière que les cultistes de Heaven’s Gate se sont suicidés à la recherche d’une ascension vers un faux dieu, les adorateurs des vaccins d’aujourd’hui se tuent en rendant hommage au faux dieu de la « science ». Et le résultat sera le même : mort de masse et illusions brisées.

Je crois que la plupart des gens qui prennent le vaccin, à un certain niveau, savent qu’il est potentiellement mortel, mais ils accueillent favorablement la possibilité d’auto-annihilation parce que c’est bien mieux que l’alternative, qui est d’être ostracisé par la société et rejeté par leurs pairs. La plupart des gens préfèrent mourir que d’être rejetés, et les propagandistes du vaccin paient donc les « influenceurs » des médias sociaux, les célébrités et les fausses figures d’autorité pour tenter d’assimiler l’obéissance au vaccin à l’acceptation sociale.

Cela s’attaque aux faibles qui définissent leur propre valeur par la façon dont les autres les voient (ou les acceptent). Rejeter le vaccin aujourd’hui, au milieu de toute la propagande et de la coercition, demande un acte de réelle réalisation de soi, de courage.

Ainsi, ceux qui prennent le vaccin participent littéralement à un grand culte mondial du suicide qui se déroule avec l’hypnose de masse, le lavage de cerveau et l’ingénierie sociale. Tout comme les cultistes de Heaven’s Gate, ces personnes sont plus qu’heureuses de prendre le poison et de mettre fin à leurs propres vies tant que cela signifie qu’elles ont été « acceptées » par la société dans le processus.

La raison pour laquelle je mentionne tout cela est que nous devons comprendre la psychologie tordue de ces sectateurs afin de survivre à leur suicide de masse, ce qui aura un impact même sur ceux d’entre nous qui évitent les injections d’armes biologiques. Alors que la mort massive balaie les économies et les nations, elle aura des conséquences horribles sur le fonctionnement de la société, notamment l’effondrement des lignes d’approvisionnement et des perturbations extrêmes du personnel dans des secteurs comme la finance, l’énergie, les télécommunications et l’agriculture.

Regardez cette courte vidéo [en anglais] choquante d’un professionnel des ressources humaines du secteur de l’énergie, mettant en garde contre la façon dont les grandes entreprises pétrolières envisagent déjà des stratégies de « remplacement » pour remplacer leurs propres cadres qui ont été vaccinés. « Planification de la relève » est ce qu’on appelle, et selon cette femme, les dirigeants du secteur pétrolier s’attendent à ce qu’environ la moitié de ceux qui ont pris le vaccin meurent dans les années à venir.




[Voir aussi :
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie]




« Vaccin » anti-C-19 : maintenant castrer les (très) jeunes

Par Lucien Samir Oulahbib


À écouter ces deux docteurs/chercheurs israéliens interviewés par France Soir expliquant certains effets (très) nocifs de cette espèce de camisole chimique appliquée aux jeunes afin de « protéger les plus de 84 ans » il s’agit bel et bien d’amenuiser leur capacité de transmettre (alors que rien ne prouve qu’ils le fassent) ce qui n’est pas sans penser à une sorte de castration — mais nommée « médicament expérimental avec autorisation provisoire » qui fait suite au fait de masquer le visage, ce qui n’est pas également sans rappeler ces esclaves castrés et ces femmes voilées de la domination arabo-musulmane (voir le génocide voilé de Tidiane N’Diaye à ce sujet).

Le propos, encore une fois, peut paraître excessif, mais il n’empêche qu’au-delà des mots cela revient bien à cela : sous le prétexte de vouloir atteindre une « immunité collective » de 80 à 90 % (un chiffre sorti de nulle part sinon d’amener « 80 % » d’une classe d’âge au « bac ») il s’agit d’amener le « jeune » à l’aiguille, de shooter la très grande majorité de la population pour protéger une infime minorité de « vieux » alors que ces derniers pourraient être soignés par les traitements adéquats comme l’indiquent et le prouvent Didier Raoult et d’autres de plus en plus nombreux, mais il vaut mieux traîner ce dernier dans la boue quitte à lui envoyer la police, ce qui, au 20 h des médias aux ordres, incitera les « vieux » à ne pas le prendre au sérieux et à sagement servir de cobayes tout en acquiesçant à cette volonté de placer les jeunes sous camisole chimique.

Cette soumission sanitaire fait ainsi pendant à la soumission mentale et politique en marche.

Pourtant, de plus en plus d’effets secondaires sont relatés ici et là, même si la majorité d’entre eux se révéleront sans doute bien plus tard (d’où la prudence naguère d’étaler sur dix ans la fabrication d’un médicament vaccinal) ou alors et heureusement n’apparaîtront pas parce que le corps aura « digéré » cette camisole, qu’il la prendra comme un « placebo » étatiste de plus, même si cela peut l’affaiblir voire plus comme l’expliquent ces deux docteurs/chercheurs israéliens (l’un d’entre-eux expliquant qu’il n’en a pas dormi de la nuit lorsqu’il a remarqué diverses anomalies qu’il s’agira évidemment de confirmer par d’autres études comme l’indique le directeur de France Soir l’interviewant).

En tout cas, et comme il a été déjà souligné, nous régressons à nouveau vers une société renversée dans laquelle les jeunes sont sommés de servir de chair fraîche (de nouveau, chair à canon chimique miniaturisé) pour ces vieux baby-boomers avides de tenir de s’accrocher à leur monde (refusant leur destin Rolling Stones) sans morale ni pitié, piètre pâture si attentive à la prescription de ses crimes (familia grande).


Dernier livre paru : 
https://www.librairie-de-paris.fr/livre/9782343233161-rhombe-les-nouvelles-eve-marie-mrianne-les-nouveaux-adam-moise-jacob-lucien-samir-oulahbib/




Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




Échappatoire immunitaire : vaccination de masse & confinements, des remèdes bien pires que le mal selon le conseil scientifique covid-19 français

[Source : Association Victimes Coronavirus Covid-19 France
(association-victimes-coronavirus-france.org)]

Immunité collective vaccinale, confinements et couvre-feux sont devenus les maîtres-mots des stratégies de la plupart des gouvernements et de nombreux scientifiques médiatiques. MAIS une nouvelle donne remet en question ces approches présentées comme des solutions incontournables à l’épidémie Covid-19 : l’échappatoire immunitaire.

[Ndlr : cette notion d’échappatoire immunitaire représente une nouvelle rustine sur la théorie branlante (aux fondements jamais réellement démontrés), comparable à une chambre à air pleine de trous, qu’est la théorie virale. Une approche basée sur le « terrain » fournit une tout autre explication à l’absence relative d’efficacité de certaines méthodes de protection face à une contagion.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Voici ce que nous apprend un papier publié le 18 février dans The Lancet et co-écrit par les membres du Comité Scientifique Covid-19 français : Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy (Copyright © 2021 The Author(s). Publié par Elsevier Ltd., article en accès libre sous la licence CC BY-NC-ND 4.0)

Vaccination de masse : terrain propice à l’émergence de variants résistants rendant impossible l’immunité collective

La quête de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, pourrait être remise en question à cause d’un phénomène propre aux virus mutants et adaptables : l’échappatoire immunitaire.

Le SRAS-Cov2 semble bénéficier de cette caractéristique d’adaptation aux réponses immunitaires des organismes infectés. Cela nécessite une réévaluation urgente des stratégies de santé publique. Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS Cov2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste suite :

  • aux premières expositions aux virus antérieurs (naturels)
  • à la vaccination de masse

La dynamique de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, dans les régions où ces variants sont apparus semble même exercer une pression considérable sur l’écosystème viral, facilitant ainsi l’émergence de variants à transmissibilité accrue et résistants à l’immunité naturelle et vaccinale. La vaccination de masse contre le SRAS-Cov2 pourrait induire une sélection virale et être même à l’origine de l’échappatoire immunitaire rendant ainsi impossible l’obtention d’une immunité collective.

Il faut ABANDONNER les stratégies de la PEUR, les confinements et CIBLER les mesures.

Selon le Conseil scientifique Covid-19 français, il est grand temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, les confinements généralisés et aléatoires comme principales réponses à la pandémie.

Il faut arrêter de compter sur la patience des citoyens qui attendent que les capacités en réanimation/soins intensifs soient renforcées, que la vaccination soit complète et que l’immunité collective soit atteinte.

Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles et les mouvements de protestation de plus en nombreux dans plusieurs pays.

L’impact de l’isolement général sur des économies entières a été dévastateur, et les niveaux de chômage et d’endettement national sont encore pires. Les conséquences sociales et sanitaires (physiques et psychiques) sont colossales, en particulier pour les jeunes générations qui pourtant présentent peu de facteurs de risques et chez qui la Covid-19 a très peu sévi.

Les gouvernements doivent appliquer des mesures beaucoup plus ciblées et adaptées aux différentes catégories de la population. En effet, toutes les générations n’ont pas été touchées de la même façon : entre mars et juin 2020, 96% des patients étaient âgés de plus de 70 ans.

Il n’est plus possible d’utiliser l’isolement général en mode stop & go comme principale réponse à la pandémie de Covid-19. Considérée séduisante par de nombreux scientifiques et dirigeants politiques, qui en font une mesure par défaut craignant de voir leur responsabilité légale engagée en cas d’hésitations et réponses tardives, cette solution doit être remise en question et utilisée qu’en tout dernier recours.

Les scientifiques qui travaillent contre le COVID-19 doivent avoir le courage de s’adresser aux dirigeants au pouvoir responsables ultimes des choix politiques et de leurs conséquences. Rester dans le déni aura de très lourdes conséquences. Nous ferons inévitablement les comptes et ils seront alors terribles.

NDLR : A noter que si le Comité scientifique Covid-19 français relève des points d’une importance capitale, déjà signalées par le Pr Raoult, il omet toujours un point crucial : TRAITER au plus vite. Le nerf de la guerre est de soigner et détruire les charges virales au plus tôt. Nous reviendrons plus en détail sur cette essentielle question du traitement.

ARRÊTONS D’AVOIR PEUR, RÉCLAMONS DES MESURES CIBLÉES, DES TRAITEMENTS ADAPTÉS ET REFUSONS LE « TOUT VACCIN » AINSI QUE CONFINEMENTS ET COUVRE-FEU

SOURCE : https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0