Interview de Zach Bush par Robert F. Kennedy, Jr. : « Nous devons nous éloigner du paradigme Santé de Big Pharma »

[Source : Miss Red Pill — InfoVF]

Dans le dernier épisode de la deuxième saison de « TRUTH » avec Robert F. Kennedy Jr, ce dernier a interviewé le Dr Zach Bush, de renommée internationale. https://childrenshealthdefense.eu/?lang=…

Kennedy et Bush abordent un large éventail de sujets, notamment :

– le rôle crucial de l’inflammation dans la maladie ;
– comment le glyphosate perturbe le microbiome intestinal ;
– l’histoire largement incomprise du virus de la polio ;
– la prise de contrôle par l’industrie pharmaceutique du système de réglementation de la santé ;
– Bill Gates et ses amis scientifiques qui jouent sur un échiquier en 2 dimensions alors que notre microbiome est un système tridimensionnel ;
– la Covid-19.

Zach Bush MD est un médecin spécialisé en médecine interne, en endocrinologie et en soins palliatifs. C’est un éducateur de renommée internationale et un leader d’opinion sur le microbiome en relation avec la santé, la maladie et les systèmes alimentaires. Le Dr Zach Bush a fondé le *Seraphic Group et l’organisation à but non lucratif Farmer’s Footprint afin de développer des solutions pour la santé humaine et écologique.

◾Vidéo Originale : https://youtu.be/r6oQwNx65os

◾A voir aussi sur le site Children’s Health Defense EU : https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_…






Michel Onfray compare les non-vaccinés à des contaminateurs du Sida et des violeurs de jeunes filles

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l’ont rejoint sur Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t’as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t’es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te menti : oui, et bien profond. T’aurais mieux fait d’mettre tes billes chez moi, elles n’auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d’la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud. 

Le philosophe s’est mis du jour au lendemain avec le camp d’en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant des capricieux « d’enfants rois ».

Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s’est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien —, c’est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose, quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d’la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t’auras beau t’laver les mains quinze fois à l’hydroalcoolique, y’aura toujours cet arrière goût d’pisse.

Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d’un seul coup d’œil… tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd’hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !

https://twitter.com/Apolline095/status/1397290511359221772?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1397290783385006081%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es2_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmichel-onfray-compare-les-non-vaccines-a-des-contaminateurs-du-sida-et-violeurs-de-jeunes-filles%2F

Point Godwin atteint.

Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m’avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l’équipe d’Onfray et le joli casting en devanture — le p’tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c’est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j’avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel, allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s’est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c’est clairement de la merde, c’est la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n’est pas d’avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.

Marcel D.




Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé

[Source : anguillesousroche.com]

La plus grande entreprise alimentaire du monde, Nestlé, a reconnu dans un document interne que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que « certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations ».

Une présentation diffusée auprès des cadres supérieurs au début de l’année, consultée par le Financial Times, indique que seuls 37 % des produits alimentaires et des boissons de Nestlé en termes de revenus, à l’exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 selon le système australien d’évaluation par étoiles de la santé.

Ce système, qui note les aliments sur cinq étoiles, est utilisé dans les recherches menées par des groupes internationaux tels que Access to Nutrition Foundation.

Nestlé, le fabricant des KitKats, des nouilles Maggi et de Nescafe, décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une « définition reconnue de la santé ».

Dans son portefeuille global d’aliments et de boissons, quelque 70 % des produits alimentaires de Nestlé n’ont pas atteint ce seuil, selon la présentation, ainsi que 96 % des boissons – à l’exception du café pur – et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces de Nestlé.

L’eau et les produits laitiers ont obtenu de meilleurs résultats, 82 % des eaux et 60 % des produits laitiers atteignant le seuil.

« Nous avons apporté des améliorations significatives à nos produits, mais notre portefeuille ne répond toujours pas aux définitions externes de la santé dans un contexte où la pression réglementaire et les exigences des consommateurs montent en flèche », indique la présentation.

Les données excluent les préparations pour nourrissons, les aliments pour animaux de compagnie, le café et la division des sciences de la santé, qui fabrique des aliments pour les personnes souffrant de problèmes médicaux spécifiques. Cela signifie que les données représentent environ la moitié des 92,6 milliards de francs suisses (84,35 milliards d’euros) de revenus annuels totaux de Nestlé.

Ces conclusions interviennent alors que les fabricants d’aliments doivent faire face à une pression mondiale pour combattre l’obésité et promouvoir une alimentation plus saine. Les dirigeants de Nestlé réfléchissent aux nouveaux engagements à prendre en matière de nutrition et comptent dévoiler leurs plans cette année.

Le groupe met également à jour ses normes nutritionnelles internes, connues sous le nom de Nestlé Nutritional Foundation, qui ont été introduites sous l’ancien directeur général Peter Brabeck-Letmathe, qui caractérisait Nestlé comme une « entreprise de nutrition, de santé et de bien-être ».

Une option pourrait consister à abandonner ou à remplacer ces normes pour les produits considérés comme des friandises, comme les confiseries, selon une personne au fait de la situation.

Mark Schneider, directeur général, a reconnu que les consommateurs souhaitaient une alimentation plus saine mais a rejeté les affirmations selon lesquelles les aliments « transformés », y compris ceux fabriqués par Nestlé et d’autres multinationales, ont tendance à être mauvais pour la santé.

Cependant, la présentation met en avant des produits Nestlé tels qu’une pizza DiGiorno à croûte de croissant aux trois viandes, qui contient environ 40 % de l’apport journalier recommandé en sodium, et une pizza Hot Pockets pepperoni qui en contient 48 %.

Un autre produit, une boisson San Pellegrino à l’orange, obtient un “E” – la pire note disponible dans le cadre d’un système de notation différent, Nutri-Score – avec plus de 7,1 g de sucre par 100 ml, indique la présentation, qui pose la question suivante : « Une marque de santé doit-elle porter une note E ? »

Par ailleurs, le Nesquik à la fraise de Nestlé, vendu aux États-Unis, contient 14 g de sucre dans une portion de 14 g, ainsi que de petites quantités de colorants et d’arômes, bien qu’il soit conçu pour être mélangé à du lait. Il est décrit comme « parfait au petit-déjeuner pour que les enfants soient prêts pour la journée ».

Nestlé a déclaré qu’elle « travaille sur un projet à l’échelle de l’entreprise pour mettre à jour sa stratégie pionnière en matière de nutrition et de santé. Nous examinons l’ensemble de notre portefeuille à travers les différentes phases de la vie des gens pour nous assurer que nos produits contribuent à répondre à leurs besoins nutritionnels et à soutenir une alimentation équilibrée ».

Une base solide

« Nos efforts s’appuient sur une base solide, fruit d’un travail de plusieurs décennies…. Par exemple, nous avons réduit de manière significative les sucres et le sodium dans nos produits au cours des deux dernières décennies, environ 14 à 15 % rien qu’au cours des sept dernières années. »

Marion Nestle (aucun lien de parenté), professeur invité de sciences nutritionnelles à l’université Cornell, a déclaré que Nestlé et ses rivaux auraient du mal à rendre leurs portefeuilles globalement sains.

« Le travail des entreprises alimentaires est de générer de l’argent pour les actionnaires, et de le générer aussi rapidement et en aussi grande quantité que possible. Elles vont vendre des produits qui touchent un public de masse et sont achetés par le plus grand nombre de personnes possible, que les gens veulent acheter, et c’est la malbouffe », a-t-elle déclaré.

« Nestlé est une entreprise très intelligente, du moins d’après les rencontres que j’ai eues avec des personnes travaillant dans leurs départements scientifiques… mais elle a un réel problème…. Les scientifiques travaillent depuis des années pour essayer de trouver comment réduire la teneur en sel et en sucre sans modifier le profil de saveur et, devinez quoi, c’est difficile à faire. »

Certains produits perçus comme sains, tels que les substituts de viande à base de plantes, sont des domaines de forte croissance pour les fabricants de produits alimentaires. Nestlé a vendu certaines de ses divisions qui fabriquaient des produits moins sains, comme une participation de 60 % dans la branche charcuterie de Herta en 2019.

Nestlé a été classé en tête des grands fabricants mondiaux d’aliments et de boissons dans un indice 2018 des efforts déployés pour encourager une meilleure alimentation, compilé par la Fondation pour l’accès à la nutrition, bien que la fondation ait averti que « toutes les entreprises doivent faire beaucoup plus ».

Nestlé a déclaré : « Ces dernières années, nous avons lancé des milliers de produits pour les enfants et les familles qui répondent à des critères de nutrition externes. Nous avons également distribué des milliards de doses de micronutriments via nos produits abordables et nutritifs. »

Et d’ajouter : « Nous pensons qu’une alimentation saine implique de trouver un équilibre entre bien-être et plaisir. Cela inclut d’avoir un peu de place pour les aliments indulgents, consommés avec modération. Notre direction n’a pas changé et est claire : nous continuerons à rendre notre portefeuille plus savoureux et plus sain. »

Source : The Irish Times – Traduit par Anguille sous roche




L’arnaque des courbes sur les mesures sanitaires

[Source : REINFOCOVID]

Exemple de l’incidence du SARS-Cov-2 en France et dans les Alpes-Maritimes depuis juin 2020

Figure 1 : Evolution de l’incidence du SARS-Cov2 depuis juin 2020. Source SPF
Figure 2 : Influence de parapluies durant un épisode pluvieux

Interprétation officielle

30 octobre 2020 : le confinement fait baisser les contaminations avec un court plateau observé dès le 30 octobre

26 février 2021 : le couvre-feu imposé en Alpes-Maritimes fait baisser la courbe des contaminations

4 avril 2021 : le confinement fait chuter la courbe des contaminations

Interprétation après vérification

Chaque point de la courbe correspond à la moyenne des mesures de la semaine précédente. Ainsi :

  • Le plateau de contaminations observé après le 30 octobre est déjà amorcé 1 semaine avant
  • La chute du 26 février est déjà largement amorcée bien avant le couvre-feu
  • La chute du 4 avril dans le département des Alpes-Maritimes correspond à la semaine précédant le confinement national

Avant la fin du confinement le 15 décembre 2020, la courbe est déjà en faible croissance au niveau national et même en croissance forte dans les Alpes-Maritimes.

La mesure sanitaire cesse-t-elle de fonctionner ?

Un confinement est imposé à Nice le 20 mars 2021. Le taux des contaminations remonte.

La mesure sanitaire est-elle inefficace ?

Un fort biais d’analyse

D’un point de vue scientifique, ces courbes ne permettent donc pas de confirmer  l’interprétation officielle. Celle-ci est soumise à un très fort biais de croyance bien connu des psychologues et des chercheurs en psychologie :

« (a) Les éléphants sont des mangeurs de foin, (b) les mangeurs de foin ne sont pas lourds. Est-ce que cela veut dire que (c) les éléphants sont lourds ? Les enfants répondent que oui. […] [Comme eux], les individus […] examinent la crédibilité sémantique avant la validité logique. Autrement dit, si la conclusion est crédible, ils l’acceptent sans examen – c’est l’heuristique de croyance ; si elle est non crédible, ils cherchent alors (et alors seulement) si elle découle validement des prémisses (en appliquant l’algorithme de vérification logique du syllogisme) »

Dès lors qu’un algorithme de vérification logique est appliqué, il en ressort deux hypothèses :

  • soit les courbes baissent grâce aux mesures non médicamenteuses (figure 1)
  • soit elles finissent toujours par baisser et les mesures donnent l’illusion d’y être pour quelque chose. Ainsi le même raisonnement appliqué à l’ouverture de parapluies indiquerait que c’est grâce aux parapluies que la pluie finit par s’arrêter (figure 2).

En logique, le principe de parcimonie peut être énoncé ainsi :

Si un phénomène se répète à l’identique (les pics épidémiques), et qu’une seule variable change à sa dernière occurrence (les mesures sanitaires), alors il est bien plus probable que cette variable soit indépendante du phénomène, et beaucoup moins probable qu’elle ait solutionné en même temps une variation du phénomène.

L’interprétation officielle est donc à la fois biaisée (c’est une croyance) et moins probable que la seconde (illustrée par la figure 2). L’efficacité du confinement n’est d’ailleurs toujours pas démontrée à ce jour.

Références

Olivier Houdé, L’intelligence Humaine n’est pas un algorithme. Ed Odile Jacob. 2019. 256 pp.

Ewers., J.P.A. Ioannidis., N. Plesnila. Access to data from clinical trials in the COVID-19 crisis: open, flexible, and time-sensitive. Journal of Clinical Epidemiology 130 (2021) 143-146.

https://www.santepubliquefrance.fr

Pour aller plus loin




Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus

[Sources : Blux Motivation et Babelio]

Bruce Harold Lipton est un biologiste du développement américain connu pour promouvoir l’idée que les gènes et l’ADN peuvent être manipulés par les croyances de la personne, proposant une conception non-académique de l’épigénétique.

En 1966, il a obtenu une licence de biologie à l’Université de Long Island. Puis un doctorat en biologie du développement à l’Université de Virginie en 1971. En 1973, il enseigne l’anatomie comme maître-assistant à l’école de médecine de l’Université du Wisconsin, avant de rejoindre l’Université américaine de l’école de médecine des Caraïbes, où il est professeur d’anatomie pendant trois ans.

De 1987 à 1992, Lipton a travaillé comme chercheur à l’Université Penn State et au Centre Médical de l’université Stanford. Depuis 1993, il est professeur vacataire dans différentes universités.

Ses recherches, menées à l’École de médecine de l’Université de Stanford, ont joué un rôle précurseur dans le développement de l’épigénétique, la discipline scientifique qui explore l’influence de l’environnement sur l’ADN.

Le Dr Bruce Lipton est un leader mondialement reconnu dans l’unification de la science et de l’esprit et l’une des voix les plus écoutées dans la nouvelle biologie. Pionnier dans les domaines de l’éducation alternative et de la littérature holistique.

[Voir aussi : Modifier notre ADN via notre conscience !]




La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Michael Whitney
Mondialisation.ca, 30 mai 2021
MERCOLA 21 mai 2021


Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

*

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que YouTube ne la supprime.1)
Pourquoi cela se produit-il ?

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Comment cela peut-il être ainsi ? Et pourquoi huit membres « entièrement vaccinés » des Yankees de New York [équipe de hockey] ont-ils obtenu un résultat positif au test COVID ? Voici l’histoire de l’Associated Press :3

« L’arrêt-court des Yankees de New York, Gleyber Torres, a été testé positif pour la Covid-19 malgré sa vaccination complète et son avoir précédemment contracté le coronavirus pendant la période de repos. Torres fait partie des huit soi-disant positifs de la percée parmi les Yankees – des personnes qui ont obtenu un résultat positif malgré leur vaccination complète. »

Et si cela ne prête pas assez à confusion, découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

Vaccinations et décès du COVID-19 Cambodge

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. »

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVIDPour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccin. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

Michael Whitney, analyste géopolitique et social renommé basé dans l’État de Washington, USA. Il a commencé sa carrière de journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un engagement en faveur d’un journalisme honnête et de la paix mondiale.

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

Article original en anglais :

Mass Vaccination Triggers Spike in Cases, Deaths, publié le 27 mai 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

L’image en vedette est de Children’s Health Defense

Notes

YouTube 13 mai 2021

Forbes 11 mai 2021

NBC News 14 mai 2021

Twitter, Joel Smalley

5, 6, Informer l’Écosse 6 avril 2021

8, La femme conservatrice 3 mai 2021

10 Salk News 30 avril 2021

La source originale de cet article est MERCOLA
Copyright © Michael Whitney
MERCOLA, 2021




6 mois après la sortie du documentaire Hold-Up, interview du Pr Perronne sur la situation Covid-19

[Source : @waq-up2.21]






Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Nous pouvons nous demander à ce stade si la « Covid », entrée dans sa saison 2, n’est pas une fiction dystopique produite par un quarteron de scénaristes sociopathes !

Alors que l’efficacité des traitements précoces ne cesse de se confirmer, alors que la volumétrie de l’épidémie ne cessent de se confirmer rassurantes, la pression narrative ne se relâche point : des résurgences dans certains contextes sanitairement précaires (comme hier au Brésil et aujourd’hui en Inde) sont brandies par les médias comme de nouvelle évidences de la nature apocalyptique du virus.

Alors que rapportées à leurs populations et mis en perspectives des problèmes sanitaires endémiques qui s’y constatent, ces épisodes,  tout tragiques qu’ils soient dans la réalité de ceux qui les subissent, n’ont hélas rien d’exceptionnel.

Et alors que la campagne « vaccinale » confirme être hasardeuse, dangereuse même, ainsi que parfaitement contraire aux règles et aux principes éthiques devant prévaloir en la matière, l’emballement conduit maintenant à ce qu’il faut bien appeler de nouvelles monstruosités.

Comme l’ouverture dans le canton de Vaud de l’expérimentation génique aux femmes enceintes (malgré l’augmentation constatées des fausses-couches chez les « vaccinées »…), la marche en avant vers la « vaccination » absurde des enfants et adolescents, qui sacrifiera inévitablement un certain nombre d’entre eux qui n’auraient aucunement été à risque ni de faire une forme grave de la maladie ni de la transmettre.

Cette danse de Saint-Guy semblant pour l’instant inarrêtable, il nous restera donc à continuer à en énoncer la tragique et meurtrière absurdité, en soulignant au passage combien la presse (sorry les gars) continue de ne pas faire son travail.

En taisant par exemple les falsifications des études produites par l’industrie, la complicité crapuleuse au tout-vaccinal de certaines autorités de santé (les scandales de corruption se multiplient à l’échelon de l’Union européenne) ainsi que la réalité préoccupante du taux d’effets indésirables et des décès dus à la « vaccination » dans un contexte de reporting défaillant du nombre réel d’accidents.

Bref, le bon peuple-marionnette n’est pas près de cesser de danser au bout de son fil et bien malin qui peut prédire la fin de cette « psycho-pandémie » collective comme l’appelle si à propos Michel Maffesoli.

Restent donc, encore et toujours, quelques sources et ressources pour  raison garder et ne pas être dupes.

Parmi icelles, relevons le travail d’information remarquable produit par quelques collectifs ou médias indépendants -comme bien sûr Réinfo-Covid. Saluons par la même occasion (avec un lien d’intérêt que je m’empresse d’annoncer puisque j’ai l’honneur de participer à cette aventure !) la création en Suisse romande de la plateforme d’information CovidHub.ch. Dont la mission est de donner l’information manquante (parce que filtrée, occultée ou censurée par les médias grand public) qui permettrait à tout un chacun de se forger ses opinions et prendre ses décision en toute connaissance de cause.

Le rôle de la presse, traditionnellement, était de présenter l’information de manière neutre, documentée et nuancée, en évitant de prendre partie dans les querelles idéologiques ou de participer aux humaines magouilles. Depuis qu’elle a été instrumentalisée à cette fin -renonçant au passage à son travail d’investigation sur les questions embarrassantes- , non seulement laisse-t-elle nos démocraties orphelines d’un contre-pouvoir essentiel à leur santé mais participe-t-elle activement comme générateur principal à la psycho-pandémie.

Reste aussi heureusement l’apport salvifique de voix expertes ne cédant pas aux pressions et à la répression de l’omerta, qu’il s’agisse de scientifiques, de penseurs et philosophes, ou de professionnels détenant des pièces du puzzle essentielles à une compréhension restaurée de la relativité et de la complexité des choses.

Parmi celles-ci (je l’ai souvent affirmé, ayant eu l’honneur de recevoir et de re-publier de nombreux textes de qualité) figurent des voix de médecins-psychiatres.

Nous vivons un temps où se multiplient hélas les impacts destructeurs des politiques sanitaires imbéciles qui nous ont été infligées depuis quinze mois, que j’avais prévus et annoncés de longue date. C’est sans doute le pire pour moi dans cette affaire : ne pas être entendu, me voir attaqué voire harcelé par certains suppôts de la dérive en cours ou devenir (temporairement) objet de scandale n’est rien face à ces montagnes de drames qui apparaissent.

Désormais donc, outre une flambée de la détresse psychosociale et des hospitalisations en psychiatrie, outre les faillites à la pelle d’honnêtes travailleurs étranglés puis conduits à la ruine par nos autorités, outre les morts inutiles de dizaines de milliers de personnes qu’il aurait été possible et impératif de soigner, apparaissent des réalités terribles et terrifiantes comme des suicides de jeunes enfants.

A Toulouse, les services de pédopsychiatrie alertent ainsi sur des pendaisons ou des défenestrations d’enfants âgés de six ans et les larmes -que les cyniques se fassent plaisir et se moquent- coulent en l’écrivant.

Comment la population, les familles, les parents, comment des corps de métier entiers comme les médecins et les enseignants, ont-ils pu ne pas voir que nous étions en train de générer une réalité mortifère, morbide, destructrice en particulier pour les groupes les plus vulnérable de la population ?

Notre Constitution -désormais piétinée, abusée, trahie et violentée par ceux qui auraient la charge d’en être les garants- énonce que c’est à la manière dont une société traite les plus vulnérable de ses membres que se reconnaît sa valeur et ses qualités.

Les yeux de ces enfants suicidés nous regardent depuis le fond de leurs tombes.

Et que leur regard puisse enfin collectivement nous hanter à l’heure où les crapuleries continuent à exploiter les lâchetés pour poursuivre envers et contre tout une entreprise de destruction massive des fondements de notre humanité.

C’est avec gratitude et fierté que je publie ici deux textes proposés par des habitués de cette page, les Dr Frédéric Badel et Frédérique Giacomoni. Ces deux médecin-psychiatres font partie des braves qui ne sont pas résignés au silence et à la complicité passive des dérives en cours conduisant à ces réalités terribles qui commencent seulement à nous exploser au visage.

Qu’ils soient remerciés de leur engagement et de leur courage, comme de la confiance qu’ils m’accordent en m’autorisant à re-publier leurs textes sur cette modeste page…

Et puissions-nous enfin, enfin, trouver le chemin de retour vers l’intelligence, le bon sens et le socle même minimal de notre humanité.


COVID-19 : VERS UNE SOCIÉTÉ DU SANS CONTACT ?

Par Dr Frédéric Badel

Quelques paroles de patients, recueillies au cours des consultations, doivent être rapportées en guise d’introduction. Le premier patient avait été hospitalisé pendant plus d’un mois, le second traité en soins externes, mais leurs récits se rejoignent. L’un et l’autre témoignent de la transformation rapide et profonde qu’a subie notre idée du soin, dans une société devenue monomaniaque, soucieuse avant tout de se préserver du Covid.

Le premier patient résume en quelques mots le vécu de bien des malades obligés de séjourner pour un temps plus ou moins long dans des cliniques ou des hôpitaux : « Si je sors pour le week-end, je suis en quarantaine pour une semaine en revenant dans l’établissement… si mes enfants viennent me visiter, ils doivent porter le masque, et je ne peux pas les embrasser… ils doivent rester à deux mètres… on ne peut pas sortir, on est en prison. Si j’avais été mieux, je ne serais pas resté dans ces conditions, ce n’est pas digne, surtout avec les PCR à répétition, on ne peut pas refuser, nos droits ne sont pas respectés ».

Le second, en l’occurrence une patiente, questionne directement notre humanité. Elle se rend à l’hôpital pour quelques heures, pour se voir administrer une chimiothérapie. Les cures antérieures ont affecté sa motricité car le produit a attaqué les nerfs de ses jambes. « Je ne peux pas me déplacer sans aide. Mon mari n’a pas été admis dans l’hôpital à cause du Covid ; il a dû m’attendre à l’entrée. Une patiente qui voulait m’aider à me déplacer s’est fait reprendre par une soignante qui lui a demandé de ne pas me toucher car c’est la règle de distanciation. Vous parlez de soins… on est traités pire que des chiens. Heureusement la patiente ne l’a pas écoutée et m’a aidée. Déjà qu’on est malade, comment voulez-vous qu’on aille bien dans ces conditions ?  C’est inhumain ».

Si la qualité technique des soins n’est généralement pas remise en cause, les conditions de l’accueil et de l’hébergement, régies par les règles nouvelles, interrogent nécessairement car elles déclenchent des réactions d’hostilité, de défiance, voire de violence de la part de patients, peu habituelles en temps normal.

Les mesures d’hygiène prises dans certains établissements de soins, parfois drastiques, font oublier que la santé se définit par un état de bien-être physique, psychologique et social. Deux des trois épithètes ont pâti de la crise, jusqu’à parfois être effacés. Certains patients préfèrent renoncer aux soins non urgents tant ils jugent que les conditions de vie sont dépourvues d’humanité et manquent au respect le plus élémentaire de leur personne qu’ils sont en droit d’attendre en ces lieux, tant ils estiment que les mesures sanitaires sont disproportionnées. Le soin, synonyme de lutte contre le virus, a en effet été diminué de plusieurs de ses dimensions fondamentales comme le souci de l’Autre et de son bien-être, ou la bienveillance envers les malades.

Le propos de ces personnes, souvent devenues dépendantes et vulnérables du fait de la maladie, invite à s’interroger sur le type de gestion de crise que proposent les autorités. Jusqu’où est-il raisonnable d’aller dans la traque d’un virus ? Quel modèle de société point à l’horizon quand la priorité retenue par une certaine science, érigée en guide, est d’éradiquer un virus ou de prévenir toute épidémie, quitte à piétiner un des éléments qui nous fonde de façon ontologique et qui nous situe dans l’humanité commune, à savoir le contact sous toutes ses formes ?

Mesures et démesures

Les mesures « sanitaires » prises pour lutter contre l’épidémie ont essentiellement consisté dans l’instauration de gestes barrière (lavage des mains, port du masque, distanciation sociale) et la réduction des droits des personnes (interdiction de regroupement, jauges multiples, atteinte au droit de travailler et de se déplacer). Si certaines de ces mesures peuvent sembler classiques et de bon sens, comme le lavage des mains ou le port du masque dans des situations précises, d’autres, si elles devaient durer, pourraient rapidement se révéler préjudiciables. L’histoire de l’humanité le montre.

La phylogénèse nous apprend en effet que les animaux les plus anciens, de type reptilien, n’ont que peu voire pas de contacts avec leur descendance. Leur progéniture naît autonome et nombreuse, ce qui permet de pallier les lourdes pertes qui se produisent dès la naissance. Elle n’a pas besoin de l’assistance de ses parents, lesquels ne s’en préoccupent pas. Par exemple les petites tortues naissent en grand nombre sur les plages, sans aide aucune et, malgré les multiples dangers qui les guettent dès la sortie de leur coquille, leur nombre permet le renouvellement de l’espèce. Elles sont d’emblée équipées, sans apprentissage nécessaire, pour tout ce qui est indispensable à leur vie, à savoir se nourrir, se reproduire, se diriger. Leur cerveau est centré sur l’auto-protection pour faire face à la menace. On estime cependant que 98 % d’entre elles n’atteignent pas l’âge adulte.

Cet exemple, édifiant, permet d’illustrer la vulnérabilité de l’espèce quand ses membres n’interagissent pas et quand les rapports entre les vivants n’intègrent pas la dimension du soin, ce qui a été la règle pendant des millions d’années. Or, le passage de la survie à la conservation des espèces s’est réalisé en partie grâce à l’émergence du soin.

Il y a environ 120 millions d’années, les femelles mammifères ont commencé à prendre soin de leur progéniture. Ce phénomène, qui s’est accompagné de la réduction du nombre des naissances pour que la mère puisse investir les petits, se double d’un changement dans le cerveau, lequel permet au petit de se tourner vers sa mère, de chercher sa proximité plutôt que de la fuir, et à la mère de lui assurer soins et protection. Cette interaction va bien au-delà de la préservation de la vie physique. Par les soins prodigués et le contact, le parent stimule en effet le système d’apaisement du petit qui calme à son tour son système de menace. Il suffit de regarder les images fabuleuses filmées par le naturaliste britannique D. Attenborough pour constater la magie du soin dans le monde naturel.

Parce qu’ils naissent avec des capacités d’apprentissage, les petits restent un temps variable avec leurs parents avant de les quitter. L’environnement joue un rôle dans l’épanouissement de ces espèces pour lesquelles l’existence dans son entièreté ne se résume pas au matériel génétique qu’ils détiennent à la naissance.

Ce phénomène s’est poursuivi jusqu’à l’homme avec, comme corollaire, le développement extraordinaire du cerveau ces trois derniers millions d’années. À sa naissance, le petit d’homme est très incomplet et entièrement dépendant de son environnement. À ce stade, certaines zones de son cerveau sont déjà spécialisées et répondent à la gentillesse et à l’affection. Les gènes qui y correspondent sont activés ou désactivés en fonction de la quantité et du type d’affection qu’il reçoit, tout particulièrement au début de sa vie. Ainsi, des modifications du cerveau sont visibles en cas de carences de soins ou d’abus sévères alors qu’elles ne sont pas observées si les soins sont correctement assurés.

Le soin a par ailleurs des effets sur la production d’ocytocine, une hormone importante liée à nos sentiments de sécurité et d’affiliation et qui joue un rôle social majeur. L’ocytocine est en particulier stimulée quand des soins sont prodigués par les parents ou leurs substituts, et il a été établi que le contact physique augmente son taux (câlins, bisous, caresses). Cette hormone intervient dans la capacité à faire confiance, à aimer les gens, à nourrir un sentiment de sécurité. Elle diminue également le stress. Plus largement, il est démontré que les animaux chez qui cette hormone est éliminée ne développent pas d’attachement à leur progéniture.

Le cerveau humain est donc conçu dans son ensemble pour être sensible aux marques d’affection et aux soins issus de l’environnement à travers toute une série de systèmes spécialisés capables de ramener le calme et le sentiment de sécurité.

Pour contrôler les systèmes d’activation des conduites ou ceux de la peur, un système antagoniste est capable de ramener le calme. Il comprend le système parasympathique et certaines zones cérébrales correspondant aux sentiments de bienveillance, d’affiliation et de compassion, la compassion pouvant être comprise comme la capacité qu’a la mère (principalement) à repérer la souffrance de son enfant et à lui venir en aide.

Ces systèmes sont stimulés par le regard, la parole et l’étreinte. L’enfant peut être rassuré ou consolé par un simple contact ou une parole gentille (en thérapie, l’auto-compassion passe par le contact avec son propre corps, par exemple le fait de s’étreindre, et procure de l’apaisement).

Les parties de notre cerveau qui soutiennent et permettent l’attachement et plus largement l’affiliation sont liées à des sentiments d’empathie et d’amitié. Ces sentiments nous permettent d’appréhender le milieu extérieur et nos semblables, de nous sentir dans un même flux d’humanité, de nous considérer comme des humains au milieu d’autres humains, préoccupés, quelles que soient leurs différences, par le souhait d’être heureux et ne pas souffrir. Ce sentiment d’affiliation se développe différemment selon que l’on grandit dans un milieu bienveillant ou dans un milieu plus hostile. L’affiliation est donc étroitement liée au sentiment communautaire.

Ces systèmes codant pour l’apaisement, la bienveillance, la compassion nécessitent une stimulation suffisante, régulière et permanente, pour que l’individu se porte bien, pour qu’il soit en bonne santé.

Cela explique que certaines personnes âgées, isolées, privées de leurs seuls repères affectifs – les visites de leurs proches le plus souvent – se laissent mourir ou développent des troubles cérébraux dégénératifs irréversibles. Pour elles, la vie sans affection n’a peut-être plus de sens et les systèmes neuro-hormonaux perdent leur équilibre, favorisant l’apoptose.

Cet équilibre fragile risque de subir de graves dommages lors chocs importants et/ou prolongés comme le montre l’exemple des personnes qui ont vécu des traumatismes. Ces victimes présentent en effet des modifications de leur fonctionnement cérébral avec une hyperactivation des zones correspondant à la peur et une sous-activation des zones correspondant à l’apaisement. Ces états font suite à des épisodes de peur intense, d’incompréhension ou de sidération plus ou moins durables. Les modifications immunitaires liées au stress peuvent également laisser émerger des maladies auto-immunes, des cancers ou d’autres pathologies somatiques (ulcères, infarctus etc.)

Des mesures délétères

Les mesures prises à partir de mars 2020 et surtout du mois d’octobre de la même année concernent toute la population. Elles ont mis un terme aux rassemblements, à la fréquentation des lieux d’échanges et de socialisation – bars, restaurants, salles de sport et de spectacles-. Nombre d’associations ont également fermé, une part des salariés a été obligée de travailler à domicile en télé travail. Les cours en distanciel ont réduit les échanges également chez les étudiants et les élèves. Les rares échanges qui subsistent se réalisent avec des normes « sanitaires » impliquant une distanciation, le port du masque et une limitation du nombre des personnes qui se regroupent.

Cette nouvelle façon de vivre modifie notre système hormonal, immunologique et cérébral. Il se pourrait même, si ces habitudes devenaient pérennes, que des modifications adaptatives de nature épigénétique (mode de lecture de notre code génétique) apparaissent. Ceci est d’autant plus grave que les études menées sur les personnes ayant subi des traumatismes montrent une transmission de ces traumatismes aux générations suivantes. La nature épigénétique de cette transmission a été mise en évidence.

Les mesures prises pour lutter contre le virus vont donc à l’encontre de ce que sont les humains, des êtres de communication et de contact. Elles sont délétères et nous mettent face à un défi, celui de préserver notre santé. Nous constatons qu’en diminuant la convivialité et les loisirs, la quantité et la qualité des contacts, notre dynamisme et notre joie de vivre s’altèrent. Nous tendons au repli et à l’aboulie. Notre pulsion de vie s’épuise.

Nous pouvons prendre conscience de cette réalité nouvelle pour réagir au mieux et prendre soin de nous. Des modifications de nos habitudes peuvent se révéler salvatrices pour rétablir ou maintenir l’équilibre entre les systèmes activateurs et les systèmes de détente. La source de stress la plus présente réside dans le réseau d’informations qui relaie presque exclusivement des nouvelles qui activent les systèmes de menace.

S’apaiser

Par exemple, il est possible de réduire ces sources de stress en regardant les informations peu de temps, en se limitant aux titres, en faisant des pauses d’informations de plusieurs jours, en s’informant de façon indirecte (réseaux sociaux) pour éviter de subir les chocs émotionnels créés par les annonces.

La réduction du stress peut aussi passer par une alimentation équilibrée, laquelle participe à une bonne digestion et à l’entretien du microbiote (le microbiote comprend des milliards de bactéries, champignons et virus dont le métagénome joue un rôle encore peu connu).

Activer les systèmes d’apaisement constitue égale une cible majeure et plusieurs propositions peuvent être faites en ce sens :

  • Rencontrer les personnes/amis, échanger sur ses expériences actuelles pour aider à trouver du sens et du réconfort et augmenter le sentiment d’affiliation. S’inscrire dans des associations peut être utile et permettre de rencontrer de nouvelles personnes habitant à proximité.
  • Éviter le repli en sortant, utiliser le plus possible les attestations tant qu’elles sont obligatoires. Le repli peut faire le lit de la dépression. Préférer les sorties aux écrans.
  • Pratiquer de l’exercice physique régulièrement (production d’endorphines apaisantes). La marche constitue une activité physique à part entière.
  • Favoriser les pratiques de détente (respiration, yoga, méditation, qi gong, etc), pratiquer des exercices de pleine conscience pour s’extraire des ruminations et apprendre à mieux observer le moment présent pour en profiter. Les anxieux sont très souvent en hyperventilation et la respiration abdominale, comme les exercices de cohérence cardiaque, sont rapidement efficaces pour la diminuer.
    La méditation tournée vers la bienveillance l’émerveillement et la compassion permet de lutter contre les poisons mentaux que sont la colère, la haine, la peur, émotions négatives qui altèrent la qualité de vie. Des études menées récemment auraient montré que la pratique de la méditation diminuerait la vitesse d’érosion des télomères, ces parties distales a priori non codantes des chromosomes qui, avec le temps, se rétracteraient et détermineraient les modifications biologiques du vieillissement.
  • Développer des activités créatrices ou plaisantes: bricolage, dessin, chant, danse, lecture etc.
  • Préserver son sommeil.
  • La prière est également un moyen de se recentrer, de prendre du recul, de donner du sens, de faire corps avec le monde et l’univers.
  • Faire des câlins, caresses, pratiquer la méditation, l’écoute des autres, l’exercice physique et l’activité sexuelle, faire des cadeaux, faire plaisir, rire, garder de l’humour, sont cités pour augmenter le taux d’ocytocine.
  • Avoir des activités agréables, voir les autres et échanger avec eux, les toucher, les embrasser, les étreindre, contribue grandement à maintenir une bonne santé physique et mentale. Toute atteinte prolongée à ces activités fondamentales peut détériorer gravement et durablement ce capital. C’est pourquoi l’isolement social et les privations sensorielles sont classées dans les tortures.

Heurts de fond

La société du sans contact, qui a été imposée de façon irresponsable et arbitraire, sans aucune référence aux pratiques de gestion passée des épidémies, se heurtera toujours à ce que nous sommes de façon pérenne et profonde, des êtres sensibles à la gentillesse, aux marques d’affection et aux contacts. Sa mise en place sera obligatoirement un échec.

La richesse et la diversité des liens sociaux étant un gage de santé, une transgression brutale, forcée et durable de cette humanité ne pourrait se réaliser qu’au prix d’une réduction de population sélectionnant progressivement les mutants de demain, qui auraient par exemple désactivé la production d’ocytocine ou d’autres hormones régissant le lien à l’autre et l’affectivité. Des mutants capables de vivre dans un référentiel totalement différent où l’individualisme règnerait et où tout échange avec l’autre serait devenu inutile. Un monde d’écrans et de machines, de consommation, de travail, dans lequel les notions de loisir, de partage, de convivialité, de contacts, auraient disparu.

Quand bien même ce système oppressant mis en place depuis plus d’un an serait levé, il aura été le moyen de dissoudre les libertés individuelles et d’instaurer un apartheid sanitaire. Les lieux d’échanges et de convivialité ouvriront comme dans le monde d’avant, mais dans un référentiel différent intégrant les barrières sanitaires et l’obsession de la maladie. Le chemin est désormais tracé pour que cette obsession de la maladie et sa hantise nourrissent les prochaines crises sanitaires, lesquelles induiront les mêmes réactions irrationnelles de peur et ouvriront les portes à de nouvelles modifications dans nos relations sociales, nous isolant toujours un peu plus les uns des autres, acceptant d’avantage de réductions de nos droits.

Dr Frédéric BADEL

Mai 2021


« Au fond de moi, je le savais ! »

Par Dre Frédérique Giacomoni

Combien de fois avez-vous pensé ou prononcé cette phrase?
Où situez-vous ce « fond de moi »?
Dans votre tête, dans vos pensées ou bien plutôt quelque part dans vos tripes?

La plupart d’entre nous situons clairement ce « fond de moi » dans les tripes, dans un espace sous le diaphragme et derrière l’estomac. C’est probablement là que se situent l’intuition et les pensées qui jaillissent dans le corps.

L’être humain a cette particularité de pouvoir déplacer son attention là où il le veut. Il peut choisir de la mettre dans sa tête, de suivre toutes ses pensées voire même de s’y accrocher ou de mettre son attention dans son corps par exemple dans cette zone sous le diaphragme et ainsi se connecter directement avec son intuition.

Beaucoup d’entre nous ne ressentent plus ni leur corps, ni leur instinct ou leur intuition et se sentent plus ou moins complètement coupés de leur corps. Cette dissociation totale ou plus souvent partielle selon les personnes provient d’expériences traumatiques répétées. Les traumatismes qui la provoquent sont physiques, bien évidemment, et aussi psychologiques.

Peu importe la nature des trauma psychologiques, le résultat sera toujours le même : maintenir les peurs à un haut niveau, peurs qui empêcheront l’Etre d’évoluer et de grandir en autonomie et en liberté. Les peurs maintiennent l’Etre dans un état de soumission voire d’esclavagisme. Les peurs sont un produit du mental et chacune d’entre elles forme les barreaux de notre prison.  Le mental est une prison. D’ailleurs la technique utilisée par les sectes pour maintenir leurs adeptes dans la dépendance consiste pour le gourou  à créer  ou s’appuyer sur une peur terrible : celle de la mort sous toutes ses formes – peur de la fin du monde, peur d’être banni, peur de l’opinion des autres, peur du rejet du groupe, peur de sortir du rang, peur de la maladie, peur du jugement, peur du regard des autres…-  pour provoquer chez ses adeptes une émotion forte et propose alors LA solution que lui seul détient. Il utilise également d’autres techniques issues de l’ingéniérie sociale qui lui permettent d’empêcher ses adeptes de réfléchir par eux-mêmes. Les adeptes consentent donc à cesser leur réflexion et à s’en remettre au gourou. Ils sont soulagés de ne plus avoir à réfléchir et n’ont plus besoin de tenir compte de leurs ressentis, il suffit de suivre les préceptes du « sauveur, celui qui connaît la solution ». C’est plus confortable pour eux de suivre sans réflexion que de remettre en question leurs propres croyances. Il faut réfléchir à cette phrase de Machiavel : « Celui qui contrôle la peur, contrôle les âmes ».

Lorsque les trauma psychologiques sont répétés, l’être humain se dissocie pour se protéger dans un réflexe de survie. Il se coupe, sans intention consciente de le faire, de son ressenti douloureux et pense ainsi avoir réglé le problème. Or plus il se coupe de ses ressentis et plus il sera amené à le faire. A tel point que la coupure, cette dissociation peut devenir une manière d’être au monde. Dans ce cas terrible, la personne est coupée dans son incarnation et ne peut plus ressentir son intuition. C’est comme si elle avait perdu sa boussole. Certains nomment d’ailleurs cette intuition : la partie divine en soi. Peu importe que l’on croit ou non en Dieu. C’est en se reliant à son corps et à ses tripes que l’être humain peut ressentir sa « pleine conscience ». C’est -à-dire la totalité de sa conscience et pas seulement celle contenue dans sa tête. Devenir conscient c’est sortir de la prison. Le mental réalise alors qu’il pensait être en prison et que ce n’était qu’une illusion.

La totalité de sa conscience nécessite donc de pouvoir relier le mental – les pensées qui viennent de la tête – à l’intuition dans le corps : aux pensées et ressentis qui viennent du corps. Or si la personne est dissociée, elle ne peut plus réaliser cette connexion pourtant essentielle à sa réflexion. Une personne dissociée est donc la candidate idéale pour subir l’influence d’une personne ou de toute autre entité comme un état qui aurait intérêt à la maintenir dans la peur pour mieux la manipuler et la soumettre. Par exemple, beaucoup d’entre nous ont eu des parents qui utilisaient la peur ou la honte pour faire tenir les enfants tranquilles : « tu n’as pas honte? » ;  « Attention, ne fais pas ça, sinon tu vas voir ce que tu vas voir. »…Ce modèle éducatif remonte souvent sur plusieurs générations. A telle enseigne que certains définissent le « mental » comme la somme des peurs de l’humanité!

Si la personne est dissociée, même partiellement, son attention est donc tout le temps captivée par les peurs et cela génère évidemment des tas de troubles, de confusion, de difficultés de tout ordre dont l’incapacité à ressentir ce qui est bon pour soi, ce qui est juste pour soi et ce qui fait sens pour soi.

Je reprends là, comme un exemple, les paroles du Père Kalka qui fût aumônier  dans l’armée française et qui écrit ceci :
« …Mais il y a deux catégories de chef et deux sortes de solitude. Le premier est pendu au câble du téléphone et attend les directives venant d’en haut. Quelles que soient ces directives, il les accepte sans broncher, car il ne pense qu’à son avancement. Le second se met devant Dieu et sa conscience, et décide. Oui, je sais, ce n’est pas évident de prendre ce genre de décision, c’est même très dur d’assumer ainsi cette volonté qui pourrait être, et en général, elle est celle du Ciel. Elle vient toujours du Ciel, d’ailleurs, dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. »

Il décrit très bien la nécessité de se connecter à sa pleine conscience dès qu’il est question de vérité, de courage et d’honneur. C’est donc essentiel de pouvoir reconnecter le mental, la tête avec le corps et ses ressentis profonds. Il faut aider chacun d’entre nous à se reconnecter avec son intuition. Il faut rétablir la ligne!

Depuis la découverte de l’importance du rôle du microbiote dans la gestion émotionnelle certains n’hésitent pas à parler du tube digestif comme étant notre premier cerveau ! Premier ou deuxième, ce qui compte est de relier ces deux cerveaux et que cette connexion ne puisse pas être interrompue à tout bout de champ.

Une manière de restaurer cette connexion essentielle entre nos deux cerveaux est sans conteste la méditation. Le Dalaï-Lama postule d’ailleurs que si l’on enseignait la méditation dans une classe d’âge à des enfants de 8 ans, la paix dans le monde serait obtenue en une seule génération. Le pouvoir de la méditation de masse créatrice de paix pour réduire la guerre et le terrorisme a été testé à plusieurs reprises, notamment sur la guerre civile au Liban avec une réduction de 70% des décès liés à la guerre. http://www.permanentpeace.org/evidence/war.html

La pratique de la méditation comme outil de développement personnel est depuis longtemps théorisée et relayée par nombre d’auteurs, ouvrages, congrès, théories, recherches…Cette pratique est essentielle et utile comme préalable pour rétablir la connexion en soi tout d’abord. En revanche elle ne doit pas en rester à ce stade car se sentir mieux, se développer, grandir en soi n’est pas une fin en soi! Ce n’est que le début du travail qui n’a de sens que si cette meilleure connexion à SOI permet d’améliorer sa connexion aux autres et à l’AUTRE plus généralement. Cet Autre, ce Tout Autre plus grand que soi. On pourrait aussi le nommer l’intelligence collective ou inconscient collectif. A ce titre j’estime même que le terme de 3ème cerveau serait intéressant. On pourrait ainsi postuler que la pratique régulière de la méditation est l’outil nécessaire, simple gratuit et facilement accessible, puisqu’il s’agit d’un travail sur le souffle, outil nécessaire et indispensable pour connecter les trois cerveaux dont nous avons besoin pour vivre sainement. Lorsque l’être humain parvient à se connecter à plus grand que lui, il apprend à laisser son ego à sa juste place et peut développer sa conscience ou plutôt la totalité de sa conscience en lui et autour de lui.

En étant correctement « aligné » c’est-à-dire en maintenant cette ligne fonctionnelle entre les trois cerveaux  : spirituel (intelligence collective) , organique (mental) et digestif (émotionnel) nous aurons beaucoup moins tendance à utiliser la violence sous toutes ses formes et pourrons améliorer le respect  et la compassion pour toute forme de vie humaine ou non humaine. Le mot compassion est très beau bien qu’il soit difficile d’en trouver une définition parfaitement consensuelle. La définition qui me paraît la plus juste est celle qui fait de la compassion la forme la plus élevée, la plus pure de l’Amour. Les travaux se multiplient pour montrer l’intérêt de la pratique méditative et spirituelle pour aller vers une transformation collective. La crise que nous traversons actuellement est essentiellement spirituelle. Seule une reconnexion de l’être à des valeurs hautes telles que compassion, miséricorde, pardon, amour inconditionnel, beauté, bonté, vérité…peut nous aider à sortir de cette crise qui emprisonne les humains dans leur seule volonté-nécessité  de survivre. La méditation en est un des vecteurs.

Laissons-nous inspirer par cette phrase de Gandhi «  Sois le changement que tu veux voir dans le monde ».

Dre Frédérique Giacomoni

Mai 2021




Covid-19 : témoignages de travailleurs de la santé

[Source : Games N Roses]

Des travailleurs de la santé qui jusqu’à maintenant étaient restés dans l’ombre, mettent enfin un terme à l’omerta du silence imposée sous peine de licenciement. Ces témoignages tant attendus exposent ce qu’elles ont vu en coulisse derrière le rideau du Covid Show. Ce documentaire révèle les incohérences en milieu hospitalier dont elles ont été témoins. Ces témoignages inespérés jusqu’à présent, viennent montrer l’envers de la médaille. Les mensonges propagés par les médias quant à la réalité de ce qu’elles voyaient, seront clarifiés et ce, grâce à ces anges qui étaient en première ligne durant cette « plandémie ». Vous serez aux premières loges également de ce que nos ainés ont subi comme fin de vie…

https://youtu.be/dD4WAMtI8gA



Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid »)

Par Nicole Delépine

Rappel des conventions signées par la France

Une aberration médicale, morale, éthique, légale

Chacun sent bien la précipitation et l’impatience du pouvoir à faire accepter le vaccin à tous les âges de la vie, même les plus incongrus comme les enfants qui sont à risque zéro du covid et ne transmettent le virus ni aux enfants ni aux adultes,(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) (même l’Institut Pasteur ne le conteste plus) et ne pourraient même pas, si ce but isolément était acceptable, participer à une éventuelle immunité collective.

La « vaccination » forcée par des substances géniques

Les populations du monde entier reconnaissent dans la « vaccination » incitée par tous les moyens même les plus incongrus (de la glace offerte au cobaye à la place gratuite pour visiter un parc de loisirs ou le château de Dracula) comme une entreprise mystérieuse et louche. Si un médicament était efficace et sans danger pourquoi faudrait-il utiliser tous les moyens pour l’imposer : du charme et des petits cadeaux à la coercition ?(([2] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les citoyens du monde découvrent en cette année 2021 que le coronavirus a beaucoup moins tué que l’on a voulu le faire croire et que par ailleurs des traitements précoces anodins et peu chers existent, enfin que ce pseudo vaccin dont on ne voit pas l’utilité est de fait une substance génique capable possiblement de modifier le génome. Et ils se demandent la finalité de cette gigantesque entreprise de manipulation des foules bien décrite par de nombreux auteurs.

Le Faust du XXIe siècle, Bill Gates (aidé d’Attali ou autres Laurent Alexandre), aurait-il réussi à imposer son projet de dépopulation qu’il peaufine depuis plus de 20 ans dans de nombreuses conférences et vidéos, avec l’aide logistique des adeptes du forum de Davos ? Bien sûr, il est difficile pour la plupart des gens – normaux – d’imaginer de tels projets totalitaires tant ils sont incroyables, sans les traiter de complotistes, et pourtant nous n’avons qu’à lire leurs ouvrages et réagir s’il en est encore temps.

La liberté individuelle protégée par les lois et conventions internationales(([3] À l’étranger aussi des protestations s’élèvent contre l’obligation pour une substance en essai thérapeutique
Un tribunal néo-zélandais déclare que le déploiement du vaccin Pfizer est illégal (odysee.com) ))

Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel

Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.

Les élus ou commentateurs qui donnent comme argument l’intérêt pour la collectivité de vacciner les enfants, sans l’ombre d’un bénéfice pour eux feraient bien de relire l’histoire de l’eugénisme(([4] Les idées eugénistes remontent à l’Antiquité, où elles furent parfois appliquées (ainsi en Grèce, et plus spécialement à Sparte, où l’on abandonnait à la mort les nouveau-nés anormaux). Elles ne disparurent jamais complètement, resurgissant à diverses époques sous différentes formes, mais sans avoir d’applications, sinon très marginales.

C’est seulement à la fin du XIXe siècle qu’il y eut une véritable théorisation de l’eugénisme. C’est à cette époque, en 1883, que le mot eugenics fut inventé par Francis Galton, à partir du grec ἔυγενης, qui signifie « bien né ». Étymologiquement, l’eugénisme (ou eugénique) se voulait donc la science des bonnes naissances. EUGÉNISME – Encyclopædia Universalis)) et de ses monstrueuses conséquences.

Nous pouvons nous inquiéter sur les effets pervers sur les cerveaux du tragique scénario covid-19 depuis un an et demi, quand nos « philosophes » de plateau comme Onfray ou Enthoven se rangent du côté de l’obligation vaccinale et qu’une « grande historienne » âgée traite le Pr Raoult de criminel dans une émission à large écoute, sans commentaire des journalistes… Comment sortir de la secte covid19 devrait devenir leurs sujets d’étude et les nôtres.

Rappelons ici la tragique doctrine nazie

bien étudiée par René Capitant, ministre de De Gaulle(([5] René Capitant et sa critique de l’idéologie nazie (1933-1939) ,Olivier Beaud dans Revue Française d’Histoire des Idées Politiques 2001/2 (N° 14), pages 351 à 378)) et historien de la montée du nazisme : « la conférence d’Otto Dietrich, chef du service de presse du NSDAP, citée par Capitant :

« La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »(([6]  Conférence de Cologne du 15 nov. 1934))

« La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance  prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».

Les expériences de Milgram, après-guerre, viendront tristement confirmer que les exécutants nazis étaient tragiquement « comme les autres » et que personne ne peut affirmer échapper à sa part sombre, comme Hannah Arendt le démontre si bien.

Le code de Nuremberg

La prise de conscience des peuples du monde entier, à la suite de la découverte des camps d’extermination nazis et de la « banalité du mal » bien décrite par la philosophe Hannah Arendt, du fait que l’horreur pouvait être le produit de gens « comme tout le monde » a conduit à l’idée d’élaborer des garde-fous juridiques. La naturelle obsession du « plus jamais ça » a conduit à la suite du procès des nazis à l’élaboration de règles intangibles d’abord résumées dans le code de Nuremberg.

Mais 70 ans ont passé et manifestement les enseignements tirés des procès de Nuremberg se sont estompés de la mémoire collective comme en témoigne la banalisation de l’euthanasie compassionnelle facile à des enfants atteints de cancer certes incurable. Cette euthanasie compassionnelle d’être « vivants » imposée à l’hôpital par des médecins ailleurs n’y voyant pas mal, nous a montré depuis les années 90 et 2000 qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que la bête immonde resurgisse. Qui peut décider qu’une vie ne vaut pas la peine d’être vécue ?(([7] NicoleDelepine – Soins palliatifs et oncopédiatrie))

L’avenir de l’Humanité après injection large de substances géniques est inconnu

Le projet de vaccination d’enfants par des substances géniques en essai thérapeutique de plus en plus évoqué sur les médias, comme une préparation à son acceptation inéluctable, pour « retrouver les libertés » (ironie de la présentation) fait craindre une des pires attaques contre l’Humanité, ses libertés, son avenir. Le risque d’atteintes des organes reproducteurs souligné par de nombreux chercheurs et spécialistes de l’ARN messager permet de craindre un retentissement sur la fertilité. Le fait que les essais soient loin d’être terminés rend impossible de rassurer les citoyens comme se permettent de le faire trop de médecins et trop de médias. Le doute fertile était jusqu’à 2020 une caractéristique de toute démarche scientifique.

Les garde-fous installés après les horreurs nazies permettront-ils de garder la raison, en attendant les procès que préparent les avocats du corona comité depuis bientôt un an et qui devraient se tenir d’ici quelques semaines, selon les informations de leur créateur et coordinateur Reiner Fuellmich.

Il est temps de rappeler l’état du Droit qui doit nous permettre rapidement de faire sombrer ce projet catastrophique aux risques majeurs en fonction des données théoriques et malheureusement des essais déjà en cours.(([8] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

La référence des provaccins et de Mr Tout le Monde qui assène : tu as bien reçu le DTpolio sans tant d’histoires nécessite deux remarques majeures :

« les vaccins anticovid ne sont pas des vaccins au sens de la définition du dictionnaire ».(([9] NOM MASCULIN Culture d’un microbe qui, sous forme atténuée, est inoculé à une personne afin de la préserver de la maladie correspondante. « Un vaccin contre la rougeole, la méningite. »))
« ces substances sont expérimentales, car aucun de leur essai phase 3 n’est terminé »

CADRE JURIDIQUE DIFFÉRENT DE CELUI DES VRAIS VACCINS(([10] comme le tétanos, etc. ))

Les mal nommés vaccins contre le Covid ne sont pas des vaccins au sens pastorien du terme : ils ne contiennent pas d’antigènes. Ce sont des produits génétiques ARN messagers (Pfizer Bion Tech et Moderna) et ADN recombiné (Astra Zeneca et Johnson) … Le fait que ces pseudovaccins sont des produits génétiques les change de cadre juridique par rapport à un vaccin classique.

LES SUBSTANCES GÉNIQUES INJECTÉES COMME VACCINS SONT EN ESSAI THÉRAPEUTIQUE

Sous AMM conditionnelle. Elles n’ont qu’une homologation provisoire tant à la FDA qu’à l’EMA sous forme de mise sur le marché conditionnelle valable seulement en cas d’urgence pandémique (actuellement en fin de course).(([11]  https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/vaxzevria-previously-covid-19-vaccine-astrazeneca

https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use))

D’après les études de plus en plus nombreuses, les produits à base d’ARN messager semblent pouvoir modifier l’ADN du patient et/ ou l’épigénétique.

En conséquence : comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental susceptible de modifier le génome d’un patient violant ainsi les dispositions de la convention d’Oviedo que la France a ratifié ?

CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ ET CONVENTION D’OVIEDO JURIDIQUEMENT OPPOSABLE(([12] suite à la déclaration d’Helsinki et juridiquement opposable))

« Art. L. 1111-4. – Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé. »
« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. »

« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

EN FRANCE, LA LOI KOUCHNER S’OPPOSE À LA VACCINATION OBLIGATOIRE QUI IMPOSE LIBRE CHOIX ET CONSENTEMENT VÉRITABLEMENT ÉCLAIRÉ

Ainsi comment peut-on rendre obligatoire l’injection d’un produit génétique expérimental en respectant les dispositions de la loi Kouchner, donc en donnant au patient des informations précises sur l’efficacité et l’assurance de l’innocuité alors que les fabricants eux-mêmes ne s’engagent pas sur ces points-là dans les contrats ?

Voici les contrats Pfizer BioNTech et Moderna signés avec la Commission Européenne. Par exemple dans le contrat Pfizer : page 48-4 et 48-5, ainsi que 53-6

« L’État Membre Participant reconnaît que le vaccin et le matériau lié au vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constituants, sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie COVID 19 et continueront d’être étudiés après la fourniture après la fourniture aux états membres participants dans le cadre de l’APA (Advance Purchase Agreements).

L’état membre participant reconnaît en outre, QUE LES EFFETS À LONG TERME, ET L’EFFICACITÉ DU VACCIN NE SONT PAS CONNUS ACTUELLEMENT ET QU’IL PEUT Y AVOIR DES EFFETS INDÉSIRABLES DU VACCIN NON CONNUS À L’HEURE ACTUELLE.

En outre, dans la mesure du possible, l’état membre participant reconnaît que le vaccin ne doit pas être sérialisé. »

PAGE 48-4

« Les états membres participants déclarent et garantissent que toutes les autorisations et approbations nécessaires ont été ou seront obtenues avant l’exécution de toutes les obligations contenues dans le présent document. »

PAGE 48-5

(RESPONSABILITÉ) Les États membres participants qui acquièrent un vaccin sont responsables du déploiement et de l’utilisation des vaccins dans le cadre de leur stratégie nationale de vaccination et assument toute responsabilité associée à cette utilisation et à ce déploiement.
LES TERMES ET CONDITIONS DE L’APA, DÉSENGAGENT LA RESPONSABILITÉ DES FABRICANTS DE VACCINS. »

PAGE 53-6

LE CODE DE LA CONSOMMATION S’OPPOSE À L’OBLIGATION DE LA SUBSTANCE GÉNÉTIQUE EN ESSAI

Les substances en essai thérapeutique ne peuvent pas être rendues obligatoires : violation du code de la consommation. il n’existe aucune garantie sur l’aspect sécuritaire des produits

fondement, en autres : article l121-6 Abrogé par Ordonnance n°2016-301 du 14 mars 2016 – art. 34 (V)Modifié par LOI n°2014-344 du 17 mars 2014 – art. 130

« Les pratiques commerciales trompeuses sont punies d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 €. Le montant de l’amende peut être porté, de manière proportionnée aux avantages tirés du manquement, à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel, calculé sur les trois derniers chiffres d’affaires annuels connus à la date des faits, ou à 50 % des dépenses engagées pour la réalisation de la publicité ou de la pratique constituant le délit.

Les personnes physiques déclarées coupables encourent également à titre de peines complémentaires l’interdiction, suivant les modalités prévues à l’article 131-27 du Code pénal, soit d’exercer une fonction publique ou d’exercer l’activité professionnelle ou sociale dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise, soit d’exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d’administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour leur propre compte ou pour le compte d’autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d’exercice ne peuvent excéder une durée de cinq ans. Elles peuvent être prononcées cumulativement.

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l’article 121-2 du même code, de l’infraction définie au présent article encourent, outre l’amende suivant les modalités prévues à l’article 131-38 dudit code, les peines prévues aux 2° à 9° de l’article 131-39 du même code. L’interdiction mentionnée au 2° du même article 131-39 porte sur l’activité dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de laquelle l’infraction a été commise. Les peines prévues aux 2° à 7° dudit article ne peuvent être prononcées que pour une durée de cinq ans au plus. »

Le code de Nuremberg de 1947, la déclaration d’Helsinki qui en a découlé et les réunions régulières de l’AMM (Association Médicale Mondiale)(([13] Détaillés dans notre article récent sur nouveau-monde.ca avec le code de Nuremberg in extenso
« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([14] L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS. (infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».))(([15] DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle. En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net) ))(([16] Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.)) s’opposent à l’obligation vaccinale

Si on reprend l’analyse des faits reprochés aux nazis durant NUREMBERG, on est dans les mêmes caractérisations en obligeant les gens à se faire injecter un produit en essai clinique sans consentement éclairé ! Nous avons souligné ailleurs que les principales expériences reprochées aux médecins nazis condamnés à Nuremberg étaient justement des essais de vaccins.(([17] L’obligation vaccinale pour les soignants est-elle justifiée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Obliger sans consentement libre à être traité par un vaccin expérimental reprend l’attitude de certains médecins nazis

Xavier Bioy, professeur d’université à Toulouse-1, s’insurge à l’AFP de cette comparaison. « C’est très fort : on compare des scientifiques avec des médecins nazis qui mettaient de l’acide dans les plaies des pauvres détenus qui se faisaient torturer dans les camps ».

Il a manifestement oublié que les médecins nazis ont pratiqué de très nombreux essais de vaccins sur les déportés :

vaccination contre le paludisme (février 1942 à avril 1945 à Dachau : 1100 cobayes humains et nombre inconnu de victimes).

Vaccination contre le typhus par Eugen Haagen au Camp de Natzwiller.

Vaccinations contre le typhus exanthématique, le paludisme, la fièvre jaune (485 cobayes humains), la gangrène gazeuse (15 victimes), la dysenterie, l’hépatite, la tuberculose, menées par Erwin Ding-Schuler et Waldemar Hoven au camp de Buchenwald.

Comment un universitaire spécialiste de l’éthique ou des philosophes comme Onfray peuvent-ils avoir oublié ces faits historiques qui ont précisément conduit à l’élaboration du code de Nuremberg ?

En 1947, les médecins nazis plaidaient pour leur défense « dans un État totalitaire en temps de guerre, il n’y a pas de responsabilité personnelle ; c’est la nécessité d’État qui se substitue à la volonté individuelle, et il n’y a pas de consentement qui vaille : ni des médecins expérimentateurs ni des sujets ; dans ces circonstances, l’intérêt de la science au service de la défense de la Nation prime sur celui de l’individu. »

L’absence de consentement éclairé des vaccinés a valu à ces scientifiques nazis la condamnation à mort. Mais l’oubli est venu.

Entendra-t-on à nouveau cette sordide chanson macabre contre un virus peu létal utilisé comme leurre pour mettre en soumission à la chinoise les peuples qui l’accepteront ?

Depuis mars 2020, nous sommes, paraît-il, en état de guerre, dans un état de plus en plus totalitaire et cette défense de médecin injectant un vaccin expérimental sans consentement éclairé n’est pas plus recevable aujourd’hui qu’hier et ne le sera pas plus demain quand viendra l’heure des procès.

Comment peut-on envisager de rendre obligatoire un vaccin expérimental, inutile pour le vacciné, dont on n’a pas démontré qu’il pouvait protéger les autres alors qu’il entraîne des complications ?

Vacciner par un vaccin validé par des essais rigoureux les volontaires après une information loyale, oui. Obliger les autres, quels qu’ils soient est criminel et inacceptable !

LE SERMENT D’HIPPOCRATE ET LE SERMENT DE GENÈVE(([18] « Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.[5]

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

  • LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
  • LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
  • LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste. (…)

Est-ce acceptable ? Les politiques de tous bords nous laisseront-ils retomber dans la folie totalitaire quand ils auront en main ces éléments remis en exergue ?

L’idée d’obligation vaccinale revient comme un serpent de mer dans le monde et nous n’avons malheureusement pas échappé aux onze vaccins obligatoires et sans fondement sanitaire imposés par Mme Buzyn, la même qui a interdit l’usage libre de la chloroquine en janvier 2020 et est maintenant protégée des poursuites dans un poste de l’OMS. Pourquoi revenir aujourd’hui pour une maladie à risque zéro pour les enfants :(([19] Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.)) pour Big Pharma doublé d’une mise en soumission de la population ?

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants qui ne risquent rien du Covid nous horrifie.

Rappelons le discours de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsqu’une ministre de la santé puis des membres du Conseil de l’Ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas »(([20] déclaration de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, vendredi 29 mai 2015)) et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, institution fondée sous Vichy pour obliger les médecins à appliquer les directives de nazis français ?

La vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination, comme tout acte médical, relève du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, Américaine, qui en parle le mieux.

Le professeur M Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le discours du Pr M Holland devant l’assemblée générale de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondée sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations. »

En conclusion

RAPPELONS À NOS ÉLUS QUE LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE

pour les états. Sommes-nous prêts à violenter toutes nos lois, notre éthique, mais aussi les traités internationaux ?

La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne.(([1] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.

Il s’agit, dans le domaine biomédical, du seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme. La Convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration des Droits de l’Homme. Elle établit les principes fondamentaux relatifs à la pratique de la médecine quotidienne, à la recherche biomédicale, à la génétique et à la transplantation d’organes et de tissus, au consentement éclairé, au droit au respect de la vie privée et au droit à l’information.





« Littéralement criminel » : Pierre Kory accuse la suppression des données sur l’ivermectine d’avoir coûté « un demi-million de vies »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir

Lors d’une récente conférence Zoom, le Dr Pierre Kory, de l’Alliance Front Line COVID-19 Critical Care, a exposé de nombreux détails montrant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a sciemment supprimé les données sur l’efficacité de l’ivermectine contre le virus afin de favoriser les intérêts de Big Pharma en matière de vaccins.

Article initialement paru sur worldtribune.com et traduit par France Soir, cet article faisant écho à l’analyse du Collectif citoyen publiée le 23 décembre dernier :
Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel

« C’est criminel », a déclaré Kory. « C’est littéralement criminel ». Le médicament « aurait pu sauver un demi-million de vies cette année s’il avait été approuvé ».

Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».

Il se compose de cinq parties :

L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.

Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. Le participant institutionnel le plus flagrant, cependant, reste l’OMS.

Pierre Kory est l’auteur principal d’une revue scientifique des études sur l’ivermectine dans le monde, qui a été publiée dans l’édition de mai-juin de The American Journal of Therapeutics.

Comme indiqué sur le site web du FlCCC, il y a eu au total 56 essais impliquant 469 scientifiques et 18 447 patients. Parmi ceux-ci, 28 étaient des essais contrôlés randomisés (ECR), le type d’essai considéré comme faisant autorité dans la communauté médicale.

Ensemble, ces essais ont montré une amélioration de 85 % en tant que mesure préventive contre la maladie lorsqu’elle est prise avant l’exposition. On a constaté une amélioration de 78 % chez les patients lorsqu’il est administré tôt et de 46 % lorsqu’il est administré tard. Une amélioration de 74 % de la mortalité a été constatée et une amélioration de 66 % sur plusieurs domaines dans les 28 essais contrôlés randomisés.

Dix jours seulement après sa publication, l’article sur l’ivermectine a été classé numéro 13 des articles les plus lus parmi plus de 200 000 autres publications scientifiques parues dans le même temps, rapporte Kory. Sur les 17,7 millions d’articles suivis par la source de notation depuis sa création, l’étude sur l’ivermectine est déjà classée 246e.

Pierre Kory estime que l’accueil réservé à l’article est un bon signe et qu’il voit « un changement se produire ».

Par ailleurs, il note que son équipe est loin d’être seule. « Le docteur [Tess] Lawrie est l’un des experts mondiaux en matière d’élaboration de lignes directrices et d’examens systématiques. Son groupe seul, ainsi que son initiative indépendante, le consortium BIRD (British Ivermectin Recommendation Development), sont parvenus à la conclusion que l’ivermectine devrait être la norme de soins. Notre article est également arrivé à cette même conclusion. Nous ne sommes pas les seuls. Le professeur [Satoshi] Omura, lauréat du prix Nobel, et son groupe du Japon, ont publié un article concluant la même chose. Un autre groupe indépendant d’Espagne et d’Italie » a fait de même.

Plus important encore, a-t-il ajouté, « l’élément clé de tous ces groupes… est que nous sommes des groupes d’experts indépendants. Aucun d’entre nous n’est en conflit. Aucun d’entre nous n’a d’autres intérêts que le serment que nous avons prêté en tant que médecins, à savoir le soin de nos patients ».

Une partie du problème est que les entreprises donatrices de l’OMS ne se contentent pas de fournir des fonds, elles déterminent tous les aspects de la recherche et fournissent même les équipes de recherche.

« Regardez d’où vient l’argent. Maintenant, l’argent est assorti de conditions », a déclaré M. Kory. « Les gens donnent de l’argent à l’OMS, mais ils disent ‘nous voulons que vous fassiez ceci ou étudiez cela. Nous voulons que vous fassiez appel à nos consultants, à nos experts et à nos scientifiques ». Beaucoup d’entre eux viennent de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière a presque complètement infiltré cette organisation ».

Lorsque « vous examinez le médicament d’un œil critique, surtout en cas de pandémie, vous ne pouvez qu’arriver à la conclusion objective qu’il s’agit de la norme de soins », a déclaré M. Kory. « Et il a vraiment un impact phénoménal dans le monde entier ». Au Mexique et en Inde, par exemple, « les taux de mortalité et d’hospitalisation ont absolument chuté » là où l’ivermectine était utilisée.

Selon Pierre Kory, le véritable problème de ce médicament est qu’en plus d’être efficace, sûr et facilement disponible, il est très bon marché. L’ivermectine ne coûte que quelques dollars par dose. Cela oppose le médicament aux intérêts financiers de plus de 100 milliards de dollars à tirer des vaccins.

« Je ne peux pas imaginer dans l’histoire des produits pharmaceutiques, un intérêt concurrent aussi profond et aussi vaste que celui qui est déployé contre la petite ivermectine », a déclaré Kory. « L’intérêt contre elle est vraiment presque incalculable ».

Des organismes de santé autrefois fiables, comme l’OMS, sont devenus les principaux défenseurs des intérêts de leurs bailleurs de fonds, Big Pharma et les vaccins. En conséquence, selon Pierre Kory, l’OMS, avec d’autres organismes, supprime activement les nombreuses preuves de l’efficacité de l’ivermectine afin de les soustraire à la vue du public. Les preuves de cette affirmation sont étonnantes. En examinant le rapport du groupe d’experts de l’OMS sur l’ivermectine, il a déclaré :

« Ce qu’ils font n’est pas subtil. Il est évident que celui qui était en charge de ce panel avait un objectif non scientifique. »

« Numéro un, il n’y avait pas de protocole pour exclure les données. Ils étaient donc libres de rejeter tout essai qu’ils jugeaient inapproprié à leur objectif », a noté Pierre Kory. « Et devinez quoi ? Ils l’ont fait. Ils ont jeté un grand nombre d’essais que leur propre équipe Unitaid avait découverts et rassemblés au cours des derniers mois. »

L’énormité la plus importante, selon M. Kory, est une phrase du rapport de l’OMS que leurs chercheurs n’ont même pas pris la peine de défendre, « elle dit simplement : ‘Nous n’avons pas examiné les essais contrôlés randomisés et la prévention du COVID-19’. Aucune raison de le faire, aucune raison de ne pas le faire. Nous ne l’avons tout simplement pas fait ».

L’un des indicateurs les plus importants de l’efficacité d’un médicament sont les données sur la relation dose-effet, explique  Pierre Kory. « Ils ont délibérément évité de mentionner » les données sur la relation dose-effet. « Ils ont complètement omis des données vraiment importantes, car si elles sont là, c’est un énorme pilier scientifique qui montre l’efficacité. »

Ils n’ont pas non plus inclus les études épidémiologiques, comme celle de Juan Chamie, qui dure depuis un an et a été présentée à l’OMS. Cette étude montre « que partout où l’on fait de la distribution et de l’adoption à grande échelle, on voit le nombre de cas et de décès chuter ».

« Quand j’ai lu ça, je connaissais ces données. J’avais la tête entre les mains et je me suis dit que ces gens étaient des criminels. Ils sont littéralement des criminels », a déclaré Pierre Kory. Lorsque le rapport examine si l’ivermectine est sûre ou non, il fait remarquer que « c’est tout simplement comique ».

Voir aussi le debriefing de Pierre Kory : « Ivermectine : nous avons un traitement qui marche ! »

S’agissant d’un médicament utilisé depuis plus de 40 ans, avec des milliards de doses administrées et un meilleur bilan de sécurité que l’aspirine ou le Tylenol, dit-il, l’OMS a trouvé trois études qui contiennent une suggestion d’effets indésirables. Le groupe d’experts a alors déterminé, selon Pierre Kory, « que cela ne fonctionne pas, car nous avons rejeté toutes les données montrant que cela fonctionne. Mais vous savez quoi, nous voyons que cela pourrait être nocif. Je veux dire, [c’est] absolument ridicule ce qu’ils font ».

En revanche, l’OMS a autorisé le remdesivir pour le COVID-19, qui coûte entre 2340 et 3120 dollars, sur la base d’une seule étude réalisée auprès de 800 patients. Cette étude a révélé que le remdesivir ne réduit pas la mortalité, et réduit la durée d’hospitalisation des survivants de deux jours en moyenne.

En 2018, l’OMS a recommandé l’ivermectine pour le traitement de la gale sur la base de 10 essais contrôlés randomisés portant sur seulement 852 patients. Elle a fait de même pour l’ivermectine comme traitement des strongyloïdes, une infection parasitaire, sur la base de cinq essais contrôlés randomisés et de 591 patients.

Cependant, 28 essais contrôlés randomisés portant sur près de 3 000 patients n’ont pas suffi à l’OMS pour approuver cette thérapie salvatrice pour le COVID-19.

« L’OMS a effectivement commis une action criminelle », a déclaré M. Kory.

« Ce qu’on voit là, ce n’est clairement pas de la science« .

M. Kory

Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir


[Complément : études médicales sur l’efficacité de l’Ivermectine pour traiter la Covid-19 :]






Révolution de 1789 : le détail qui tue…

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : « ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent… »

Nom de Dieu de nom de Dieu !! Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

Si vous n’avez pas de la merde à la place du cerveau, vous parviendrez très rapidement à identifier ceux qui ont conçu ce plan criminel. Et c’est facile !!!
Qui sont ceux qui rêvent de nous réduire en esclavage ? Qui sont ceux qui prétendent qu’ils sont nés pour dominer le monde ? Qui sont ceux qui nous décrivent comme étant du bétail né pour les servir ?

Il faut vous faire un dessin ?

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

Nathan Rothschild a déclaré :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Project Veritas : Mark Zuckerberg s’inquiète de la « modification de l’ADN et de l’ARN »

[Source : anguillesousroche.com]

Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Facebook, a exprimé à un moment donné son inquiétude quant aux « effets secondaires à long terme » de « la modification fondamentale de l’ADN et de l’ARN des gens » dans une vidéo divulguée à Project Veritas.

Selon Project Veritas, le PDG de Facebook a fait ces commentaires lors d’un appel vidéo avec les employés le 16 juillet 2020.

« Je partage une certaine prudence à ce sujet, parce que nous ne connaissons pas les effets secondaires à long terme de la modification de l’ADN et de l’ARN des gens », a déclaré M. Zuckerberg dans le clip.

[Traduction en français de la déclaration enregistrée en vidéo : Peter EL Baze
« Je ne sais pas si Facebook France m’autorise à publier une vidéo de Mark Zuckerberg, leur grand patron, qui s’adresse à ses employés pour leur donner son avis sur les vax seins ?
VOUS ALLEZ AUSSI CENSURER VOTRE PATRON ? ? ?
NB : Cette vidéo date du 16 Juillet 2020, à cette époque il n’y avait pas encore de vaccin disponible, ils étaient en test
Je ne sais pas si c’est un fake ?
Mais il semble que non, voir : https://fr.theepochtimes.com/le-pdg-de-facebook-mark-zu…/amp »]

Dans une interview vidéo publique réalisée plusieurs mois plus tard avec le Dr Anthony Fauci, M. Zuckerberg déclare que « ces vaccins ne modifient pas votre ADN ou votre ARN », ce que confirme M. Fauci.

« Tout d’abord, l’ADN est inhérent à votre propre noyau de cellule – quelque chose d’étranger sera finalement éliminé », a déclaré Fauci.

Bien que Zuckerberg ne précise pas s’il parle des vaccins COVID dans la vidéo divulguée, l’idée que les vaccins puissent altérer ou modifier l’ADN et l’ARN des gens est l’une des préoccupations publiques identifiées par Facebook comme de la « désinformation ».

La version la plus récente de la liste des contenus COVID-19 interdits sur Facebook inclut « des affirmations selon lesquelles le vaccin COVID-19 modifie l’ADN des gens ».

Commentant la fuite, James O’Keefe, fondateur de Project Veritas, a déclaré que Mark Zuckerberg imposait à ses utilisateurs des normes qu’il ne respectait pas.

« N’est-il pas intéressant que Zuckerberg puisse vaciller et faire évoluer sa réflexion sur le sujet des vaccins. Mais dès qu’il a pris une décision, ou semble avoir pris une décision sur un sujet, il interdit aux quelque 3 milliards d’utilisateurs de Facebook de faire de même », a déclaré O’Keefe.

« Des règles pour toi, mais pas pour moi. »

Lire aussi : Les vaccins COVID-19 à ARNm sont en fait une « thérapie génique » et non des vaccins : éthicien

Source : Breitbart – Traduit par Anguille sous roche




Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !

Par Alain Tortosa

Lisa Shaw, 44 ans, est décédée, assassinée par la propagande !
Elle avait 7 fois plus de risque de décéder de l’AstraZeneca que du Covid et 10 fois plus si elle s’était faite injecter le Pfizer !
La thérapie génique Pfizer BioNTech est encore plus dangereuse que l’AstraZeneca !

Cette jeune femme de 44 ans, célèbre présentatrice à la BBC(([1] https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-57267169)) est décédée d’une thrombophlébite cérébrale (thrombose des sinus veineux cérébraux)quelques jours après avoir été injectée du médicament expérimental OGM d’AstraZeneca.

Une victime de plus de la propagande odieuse pratiquée par les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices politiques, médiatiques et autres médecins corrompus ou débiles.

Elle est morte à cause de la cupidité, de la corruption ou de desseins encore plus sombres…

Combien d’innocents vont encore succomber après elle pour « retrouver leur liberté » ou assister à un concert ou partir en voyage ?

À la différence des victimes anonymes, la mort de Lisa a pu bénéficier d’une certaine « publicité ».

Alors que la BBC, le Guardian, ou Sky-News, pour ne citer qu’eux, ont précisé qu’elle avait été injectée par l’AstraZeneca, le magazine Métro(([2] https://metro.co.uk/2021/05/23/lisa-shaw-dead-bbc-radio-newcastle-presenter-dies-aged-44-14630262/)) a quant à lui indiqué dans un premier temps, avant de rectifier, qu’elle était décédée d’une « courte maladie » en omettant de parler de son injection.

Bien que le décès remonte à plus d’une semaine, les médias français ne se sont pas précipités pour nous faire parvenir cette triste nouvelle.

Seul le magazine Voici,(([3] https://www.voici.fr/news-people/actu-people/astrazeneca-mort-de-lisa-shaw-journaliste-de-la-bbc-a-lage-de-44-ans-704745)) reprenant les données de la BBC, a publié un article.

Sans doute suis-je un peu nul pour chercher sur Internet, mais je n’ai vu aucune dépêche AFP, rien sur BFM, LCI, France Info ou autres Cnews… Pas plus que dans le journal Le Monde, Libération ou Le Parisien, pour ne citer qu’eux…

Si les résistants s’emparent de cette affaire, il est probable que les vautours et charognards dits « décodeurs » vont intervenir pour « éclairer » à leur manière le public.

Nous allons certainement assister une fois de plus au bal des escrocs et autres corrompus, ou pire, au bal des débiles, qui vont s’empresser de nous dire qu’il n’y a aucune preuve de lien entre l’injection et le décès. Une fois de plus, ils vont nous rappeler que la chose est exceptionnelle et que le rapport bénéfice risque des thérapies expérimentales vaccinales demeure hautement favorable et souhaitable.

Je vais donc répondre à ces menteurs, vendeurs de propagande mortelle, en me basant UNIQUEMENT sur les données (erronées, car partielles) fournies par nos autorités de santé.

Je voudrais préciser que la sous-déclaration des effets secondaires est un secret de polichinelle.
L’ANSM nous dit :

« Ces informations, si l’on prend en compte la sous-déclaration des effets indésirables, habituelle, et probablement accentuée dans cette période de forte tension dans les services hospitaliers, constituent un signal important(([4] https://ansm.sante.fr/actualites/medicaments-utilises-chez-les-patients-atteints-de-la-covid-19-une-surveillance-renforcee-des-effets-indesirables))»

Un rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/rap/r14-266/r14-266.pdf)) de 2015 précisait déjà :

« Des progrès ont été faits dans la déclaration des effets des vaccins, même si je crois que tout le monde a été d’accord pour dire, tout à l’heure, que la sous-déclaration reste problématique. »

Bref nous savons que les chiffres actuels sont faux et fortement optimistes. Nous disposons aussi de nombreux témoignages de personnels hospitaliers qui n’osent parler au grand jour de l’énorme difficulté à faire remonter les informations.

Avant le vaccin, de nombreux décès ont été imputés au Covid même pour des accidentés de la route qui avaient le tort d’être positifs au PCR, et aujourd’hui dès lors que vous êtes vacciné, un décès ne peut plus être causé ni par le Covid, ni par le vaccin…

Il est estimé qu’il faudrait multiplier au moins par 10 les chiffres pour s’approcher de la réalité.

Je vais, quant à moi, me borner à n’utiliser QUE des données officielles.

Regardons donc le risque que courait officiellement Lisa :

Lisa était une jeune femme de 44 ans en bonne santé et n’était pas dans le groupe des personnes à risque (sinon nous aurions basculé dans le meurtre prémédité).

Si l’on se réfère au dernier bulletin épidémiologique du 20 mai de Santé Publique France,(([6] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-20-mai-2021)) le nombre total de personnes décédées du Covid entre 15 et 44 ans est de 103 sur une population de 23 369 649 personnes (selon l’INSEE).

Le risque de décès pour Lisa du Covid (rappelons qu’il a été probablement gonflé par les « faux » morts ») était donc de 0,44 pour 100 000 personnes de son âge.

Regardons maintenant le risque de décéder du « vaccin » AstraZeneca. Les dernières données françaises disponibles(([7] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/17/rapport-n11-covid-19-vaccine-astrazeneca-12-05-2021-vfa.pdf)) remontent au 6 mai 2021. 3 996 867 personnes avaient reçu une première dose à cette date et 120 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un vacciné AstraZeneca à 3 pour 100 000 soit 7 fois plus (6,81) que de la maladie !

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 279 personnes. Le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection d’AstraZeneca est 16 fois supérieur (15,83) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Et ils osent parler d’un rapport bénéfice risque positif alors que l’on a 16 fois de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et ce ne sont que les données officielles qu’il faudrait multiplier par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de mort pour les vaccinés multiplié par 160 !!!

Alors j’entends les menteurs malhonnêtes nous dire qu’en France, AstraZeneca est réservé aux personnes de plus de 50 ans et que la thérapie expérimentale Pfizer BioNTech est extrêmement sûre, au point que la campagne criminelle de vaccination des enfants va bientôt débuter en France.

Pour Pfizer, les dernières données disponibles(([8] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/05/21/20210521-covid-19-vaccins-rapport-hebdomadaire-15-pfizer-2.pdf)) remontent au 15 mai 2021.

À cette date 13 520 434 personnes ont reçu une première dose de Pfizer et il y a 580 décès officiels.

Ce qui porte le risque de décès d’un « vacciné » Pfizer à 4,3 pour 100 000.

Le risque de mourir du Pfizer est donc 1,4 fois supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca pourtant réputé plus dangereux que le Pfizer !

Le risque de décéder pour Lisa, si elle avait été injectée par la thérapie génique expérimentale de Pfizer BioNTech aurait été 10 fois (9,73) supérieur au risque de mourir de la maladie.

Le risque de mourir pour une personne en bonne santé entre 15 et 44 ans est donc bien multiplié par 10 avec le Pfizer !!!

Si on ajoute le nombre de personnes dont le pronostic vital est engagé (fort risque de mourir) alors nous passons à 866 personnes et le risque de mourir ou d’être à l’article de la mort suite à l’injection de la thérapie génique est alors 15 fois supérieur (14,5) à celui de décéder d’un Covid pour une personne en bonne santé de l’âge de Lisa.

Je me répète, mais ils osent parler d’un rapport bénéfice vs risque positif alors que l’on a 15 fois plus de risque de mourir ou d’être à l’article de la mort en étant vacciné !!!

Et il faudrait en théorie multiplier ces chiffres par 10 pour s’approcher de la réalité… nous passerions alors à un risque de décès multiplié par 150 !!!

Et pendant ce temps, zéro enfant de moins de 15 ans et en bonne santé est officiellement mort du coronavirus.

En résumé :

  • Contrairement au mensonge véhiculé sciemment, le risque de mourir du Pfizer est supérieur à celui de mourir de l’AstraZeneca (x1,4).
  • Le risque de décéder du Pfizer est 10 fois plus important, selon les données officielles partielles, que de mourir du Covid si vous êtes en bonne santé et avez moins de 45 ans.

Et les autorités s’apprêtent à tuer sciemment des enfants en bonne santé chez qui le risque de décès du Covid est nul !

Allez-vous être complice de ces crimes pour pouvoir partir en vacances cet été ?

Merci.

Alain Tortosa
Le 28 mai 2021
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210528-victime-propagande-criminelle.pdf





Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients. Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE(([1] Massacre: More than 10,000 Europeans KILLED by COVID-19 Vaccines According to Official EU Data ))

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données(([2] Oracle BI Interactive Dashboards – DAP (europa.eu) )) :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021(([3] https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/vaccins-covid-19-environ-4-000-declarations-d-effets-secondaires-en-limousin_13956157/?fbclid=IwAR1-FlTfK41S7ymHS8aWGZ2Zhcd7qbREeBgVabffgz3Flw67x9FbN7WzHDs)) : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.(([4] Covid-19 : le vaccin aurait un effet secondaire sur les règles (aufeminin.com) ))

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA(([5] Latest CDC Data Show Reports of Adverse Events After COVID Vaccines Surpass 200,000, Including 943 Among 12- to 17-Year-Olds • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021(([6] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/))).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats : 

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA(([7] Occupational Safety and Health Administration — Wikipédia (wikipedia.org)
L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) est une agence gouvernementale fédérale des États-Unis dont la mission est la prévention des blessures, maladies et décès dans le cadre du travail. Pour ce faire, elle émet des règlements pour la sécurité et la santé au travail. L’OSHA a été établie par l’Occupational Safety and Health Act (en) de 1970, l’une des lois majeures sur la sécurité au travail aux États-Unis. OSHA a développé la Norme 29 CFR de Gestion de la Sécurité des procédés (PSM), « Gestion de la Sécurité des procédés de produits chimiques à très haute dangerosité ».)) a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.(([8] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :



Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique

Nicole Delépine





Courrier adressé par Réaction 19 à l’Académie de médecine en réponse à sa recommandation de l’obligation vaccinale

[Source : profession-gendarme.com]

Par Maitre Carlo Alberto Brusa




Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




USA : le recul du COVID-19 n’est absolument pas dû à la vaccination

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Par Gérard Delépine

Ne pouvant plus nier le succès des États-Unis contre le Covid depuis maintenant près de six mois, les médias et des experts proches des laboratoires tentent de nous faire croire qu’il serait dû à la vaccination pour nous inciter à accepter ces traitements expérimentaux inutiles et dangereux.

Il s’agit d’une contre-vérité totale : la décrue des infections aux USA a commencé en janvier 21, alors que personne n’avait reçu deux doses et le taux actuel de vaccinés est trop faible pour atteindre l’immunité collective.

La baisse des contaminations se confirme chaque jour depuis 6 mois

La courbe des contaminations publiée par l’OMS est démonstrative : la chute des contaminations a commencé début janvier 2021

La chute des contaminations a précédé la vaccination

Début janvier 2021, moins de 2% des Américains avait été vacciné et aucun n’avait reçu une vaccination complète. La vaccination ne pouvait donc exercer aucune action efficace. Le recul de l’épidémie est vraisemblablement spontané, lié à la saisonnalité comme la grippe ou à d’autres facteurs environnementaux.

La couverture vaccinale faible ne peut expliquer le recul de l’infection

Pour inciter les Français à se vacciner, les apôtres de ces traitements expérimentaux nous répètent à chaque instant qu’il faut atteindre une couverture vaccinale d’au moins 70% pour obtenir l’immunité collective.

Actuellement aux USA, le taux de vaccinés plafonne autour de 40%. Les vaccinolâtres cohérents avec leurs croyances ne peuvent donc pas prétendre que la vaccination a joué un rôle dans l’évolution épidémique favorable des USA.

Les prétendues mesures sanitaires ne servaient à rien

Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a supprimé début mars, par décret, toutes les restrictions prétendument sanitaires.(([1] dont l’obligation emblématique du port de masque))

Greg Abbott s’est ainsi attiré les foudres des experts dont Fauci qui lui a prédit une catastrophe sanitaire et les injures des covido-terroristes dont le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, affirmant que cette décision était « absolument irresponsable », de Beto O’Rourke qualifiant le parti républicain « parti du « culte de la mort », de Joe Biden estimant la décision de « pensée néanderthalienne », et de Keith Olbermann répétant que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus ».

Depuis l’évolution favorable dans cet état a démontré qu’elles ne servaient à rien et que tous ces covidoterroristes se sont trompés.

Au Texas, la vie est redevenue normale sans aucune restriction, et l’usage du pass sanitaire est interdit et passible d’amende.

L’exemple du Texas a fait tache d’huile. Les restrictions prétendument sanitaires ont été abolies dans une large majorité d’états dont l’obligation des masques à l’intérieur sans que l’épidémie ne reparte.

La vie a donc repris presque normalement aux USA sauf dans quelques états gouvernés par des démocrates têtus qui ne parviennent pas à d’admettre leurs erreurs. Mais l’opinion publique s’en désolidarise de plus en plus comme à New York.

Quelles conséquences pour la France ?

L’épidémie régresse depuis début avril 21 comme chez nos amis américains, mais avec 3 mois de retard.

En France, comme aux USA, cette régression ne peut pas être en relation avec la vaccination puisque chez nous, le taux de couverture vaccinale complète ne dépasse pas 16%.

Après deux mois de régression continue de l’épidémie, nous sommes exactement dans la situation du Texas lorsque son gouverneur Greg Abbott a libéré son état avec succès.

Au lieu de continuer à baser leur politique sur une propagande mensongère terrorisante et des mesures coercitives antidémocratiques pour nous imposer des pseudo-vaccins expérimentaux dangereux et inefficaces, nos gouvernants devraient suivre l’exemple des USA pour que les Français puissent enfin revivre, nos enfants apprendre et la France pouvoir retravailler.

Gérard Delépine





Canada : un médecin de la Colombie-Britannique se fait retirer son poste après avoir soulevé la question des effets secondaires des vaccins anticovid

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Cosmin Dzsurdzsa

Un médecin de famille de la Colombie-Britannique affirme avoir été réprimandé par des responsables de la santé après avoir fait part de prétendues complications liées au vaccin Moderna lors de l’administration du médicament aux patients.

Selon le Dr Charles Hoffe, de Lytton, en Colombie-Britannique, il a été suspendu de l’équipe d’urgence du centre de santé de Saint-Barthélemy en raison de la prétendue “hésitation à se faire vacciner” que ses affirmations ont provoquée.

“Le 29 avril 2021, l’Autorité sanitaire de l’intérieur a suspendu mes privilèges cliniques pour avoir causé une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients blessés par un vaccin. Je ne suis donc plus autorisé à travailler aux urgences “, a déclaré le Dr Hoffe à True North.

“Je suis toujours autorisé à voir des patients dans mon cabinet privé, qui n’est pas sous la juridiction de l’autorité sanitaire intérieure, mais j’ai effectivement perdu environ 50 % de mes revenus. C’est le prix à payer pour défendre la sécurité de mes patients. “

En avril, Hoffe a publié une lettre ouverte adressée à la responsable provinciale de la santé de la Colombie-Britannique, le Dr Bonnie Henry, affirmant avoir vu “de nombreuses réactions allergiques”, un “décès soudain” et quelques cas de “déficits neurologiques continus et invalidants” après avoir administré 900 doses du vaccin COVID-19 de Moderna aux membres de la communauté des Premières Nations voisine.

“En bref, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans”, affirme M. Hoffe dans sa lettre.

Ses allégations ont été rejetées par le Dr Carol Fenton, médecin hygiéniste de Interior Health à Kamloops, qui a déclaré qu’il n’y avait eu “aucun décès ou effet indésirable durable” lié à un quelconque vaccin COVID-19 en Colombie-Britannique, et encore moins dans la région de Interior Health.

Un avis communautaire daté du 4 mai et affiché à la clinique allègue que le retrait du Dr Hoffe ” laisserait un vide important dans le personnel médical ” de l’hôpital. Cependant, le Dr Hoffe continue de voir ses patients en privé à son cabinet qui est rattaché à Saint-Barthélémy.

L’avis a été affiché à l’extérieur de la Lytton Medical Clinic, où le Dr Hoffe exerce.

“Le Dr Hoffe est habituellement en service en tant que médecin des urgences à Lytton pendant deux semaines par mois. Sa suspension par l’Interior Health Authority risque donc de signifier que la salle d’urgence de Lytton sera fermée au moins deux semaines par mois”, affirme l’avis.

“Ces problèmes sont encore exacerbés par le fait que l’Interior Health Authority a également décidé de réduire les services de laboratoire à Lytton à deux jours par semaine. Outre l’impact négatif sur la qualité des soins de santé à Lytton, cela rendra le recrutement de tout nouveau médecin extrêmement difficile.”

Ni l’Interior Health Authority ni le ministre de la Santé de la Colombie-Britannique, Adrian Dix, n’ont répondu aux demandes de renseignements de True North pour savoir si le Dr Hoffe fait l’objet d’une enquête.

Récemment, le College of Physicians and Surgeons of British Columbia a émis un avertissement selon lequel tout médecin dont on découvrirait qu’il ” contredit les ordres et les directives en matière de santé publique ” ferait l’objet d’une enquête et pourrait être soumis à des mesures réglementaires.

Selon le site officiel du collège, les lois sur la protection de la vie privée empêchent l’organisation de révéler si une enquête est en cours concernant l’un de ses membres.




Le code de Nuremberg pour LES NULS (mise à jour)

Par Jean-Michel Grau

Mise à jour 26/05/2021

Deux mois après sa volonté de rendre la vaccination Covid obligatoire pour les personnels soignants, l’Académie de médecine revient maintenant à la charge pour rendre obligatoire cette fois-ci, la vaccination pour tout le monde !(([1] francais.rt.com/france/87120-covid-19-obligation-vaccinale-doit-maintenant-etre-envisagee-estime-academie-medecine))Qui peut le plus peut le moins !

Il faut vraiment que cette académie soit aux abois pour en arriver à une telle mesure de coercition en voulant imposer des piqûres géniques de 7 à 77 ans, alors que, rappelons-le encore, ce ne sont pas des vaccins, mais des expérimentations médicales OGM en phase de tests (phase 3), n’ayant reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché par l’Agence européenne du médicament.

En conséquence, la vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au code de Nuremberg, comme l’a expliqué en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Qu’à cela ne tienne ! Cela n’empêche apparemment pas l’Académie de médecine de s’asseoir sur ce code qui régit les expériences médicales depuis 1947, l’appât du gain restant apparemment le plus fort. Car on ne peut imaginer un seul instant que tous les aimables représentants de cette auguste académie ne soient pas tous plus ou moins liés par des conflits d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques. Sinon, pourquoi autant d’insistance à vouloir vacciner tout le monde ?

Le prétexte de l’immunité collective est un argument qui ne tient pas : le Covid 19 générant des variants à l’infini ne pourra jamais être éradiqué par des vaccins qui n’ont jamais entraîné une immunité collective contre les coronavirus. La preuve par la grippe. On est donc bien en présence ici d’un sophisme éhonté, uniquement guidé par la cupidité et l’appât du gain. Car qui dit vaccin pour tous ces médecins, dit gros pots-de-vin dans leur escarcelle. Doit-on encore rappeler ici que Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et Cie font partie des plus grosses cotations boursières ?

Alors que la contamination du Covid continue de diminuer drastiquement de par le monde,(([2] breizh-info.com/2021/05/24/164831/covid-19-les-nombres-hebdomadaires-de-contamination-et-de-deces-ne-cessent-de-baisser-au-niveau-planetaire/)) on comprend aisément que cette académie corrompue par l’argent commence à paniquer sévère, car dans ces conditions, les différents pays concernés se retrouvant maintenant avec des stocks de doses sur les bras, les labos risquent fort d’arrêter bientôt les injections vaccinales en même temps que les injections financières de ceux qui les promeuvent, au profit de traitements plus rentables.(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/25/un-traitement-melant-ivermectine-et-hydroxychloroquine-qui-pourrait-detroner-le-vaccin-anti-covid-19/))

L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème : « La vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg », expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins à ARN messager Covid-19 dont l’estampille « programme de santé approuvé par le gouvernement » n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ILS SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.

Ils sont donc à ce jour encore expérimentaux et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une « pandémie mortelle » présentant une « grave menace pour la santé publique mondiale ».

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins à ARN messagers : voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,(([4] youtube.com/watch?v=5rxeNg7zLzg)) psychosociologue, le 2 décembre 2020 :

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :

Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. .L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination avec l’un des vaccins anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.

En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.

La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.

Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.

En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces vaccins à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC « DE FACTO » EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTE POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.





Témoignage d’un pompier sur les AVC suite aux vaccins covid

[Source : La minute de Ricardo]






Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé. 
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses ?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

À ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il. 

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. »

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’ »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiquesil est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » 

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérativeLes troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.

magneuron : Télécharger

https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.




« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki

Par Nicole Delépine

« Vaccination en anneaux » triste relent du totalitarisme contraire à la Déclaration d’Helsinki(([1] signée par la France))

Ce projet de « vaccination en anneaux »(([2] https://m.facebook.com/holduplefilm/videos/316294543200951/?refsrc=https%3A%2F%2Fm.facebook.com%2Fwatch%2F&_rdr ou https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) est sorti, en cette période discrète du week-end de Pentecôte, du chapeau du gouvernement déçu de trop de vaccino-sceptiques et du plafond de verre des vaccinations, malgré l’invraisemblable propagande, sur toutes les chaînes, qui peut-être en fait trop et met la puce à l’oreille aux plus soumis.

Il est soutenu par le Pr Alain Fischer, pédiatre, père des premières thérapies géniques pour enfants nés sans défense immunitaire (dits enfants bulles), avec un succès mitigé depuis leur début dans les années 2000. Il est surnommé Mr Vaccin et est membre du conseil d’administration de Rothschild(([3] Alain Fischer, le « Monsieur Vaccin » du gouvernement, siège au Conseil d’administration de la Fondation Edmond de Rothschild — information nationaliste)) en bonne compagnie de Mr Y Levy ancien patron de l’INSERM.

Cette technique de vaccinations en anneaux évoque la sinistre méthode des « liquidations en anneaux » de Staline. Tout dissident était abattu, sa famille et ses contacts étaient abattus à leur tour, et les contacts de ces derniers étaient ensuite liquidés.

Méthode du « nettoyage par le vide » en somme. Le Parti Communiste Chinois procède encore de la sorte, semble-t-il. Peut-être a-t-il soufflé ces directives à notre ministre de la Santé, qui serait Young leader France-Chine comme son épouse députée…

[Note de Joseph : plus on avance dans la « gestion » de la crise sanitaire (artificiellement gonflée), et plus on constate une utilisation croissante des méthodes totalitaires des régimes nazis et soviétiques au nom d’idéologies qui ne servaient que les élites au pouvoir. À ces anciennes idéologies se sont ajoutés notamment l’antiracisme (qui dans les faits ne fait qu’accroître le racisme), la théorie du genre, le véganisme, le malthusianisme, et l’idéologie du réchauffement climatique anthropique.]

De fait comme le mentionne un de nos correspondants vigilants :

« 1) L’identification des “cas contacts” et des “contacts des cas contacts”, sera très compliquée à réaliser et saturera très vite le système… À condition évidemment que les gens n’aillent pas stupidement collaborer avec leurs persécuteurs ! Mais comme il y aura probablement une troisième crise en octobre 2021, ils auront quand même le temps de développer leur machination à l’occasion de cette prétendue “troisième vague pandémique”.

    2) Comme je l’ai déjà préconisé, évitez coûte que coûte dans le cadre du passeport sanitaire de télécharger quoi que ce soit sur votre iPhone ou utilisez un vieux téléphone sans internet. N’utilisez que des attestations papier…

Dans les restaurants où l’on vous demandera d’inscrire votre nom et votre adresse pour vous prévenir d’un cas contact, utiliser un nom d’emprunt et une adresse différente de la vôtre… Avec le numéro de téléphone par exemple du ministère de la Santé… Ou de votre meilleur ennemi…

Enfin, je ne saurais trop vous recommander de diffuser massivement à vos correspondants les mêmes recommandations. O. »

LA FRANCE EST SIGNATAIRE DE CONVENTIONS INTERNATIONALES QUI DEVRAIENT NOUS PROTÉGER DE TELLES DÉVIANCES

La révélation des horreurs de la Seconde Guerre mondiale et plus largement de l’eugénisme qui s’était développé depuis la fin du XIXe siècle a conduit le monde de l’après-guerre au rêve du « plus jamais cela » et à la création de l’ONU et de nombreuses structures qui vont en dériver.

Le célèbre CODE DE NUREMBERG rédigé en 1947 à la suite du procès du même nom des médecins nazis semble inconnu d’un certain nombre de collègues y compris ceux travaillant en réanimation ou encore en cancérologie, où la pratique des essais thérapeutiques s’est pourtant répandue comme des petits pains. Il nous semble intéressant, au moment où une gigantesque propagande pour la plus grande expérimentation de médicaments peu testés et aux résultats des essais officiels attendus pour 2023 dans le meilleur des cas, de rappeler les conventions internationales qui depuis 70 ans tentent de limiter les dérives humaines qui avaient souillé la médecine des années trente.

L’ASSOCIATION MÉDICALE MONDIALE (AMM) EST UNE ORGANISATION INTERNATIONALE DE MÉDECINS.(([4] À propos de l’AMM — WMA — The World Medical Association))

(infos extraites du site de l’AMM)

« Fondée le 17 septembre 1947, alors que des médecins de 27 pays se réunissaient en première assemblée générale à Paris avec pour “objectif d’assurer l’indépendance des médecins et les plus hautes normes possibles en matière d’éthique et de soins” — mesures particulièrement importantes pour les médecins après la Seconde Guerre mondiale.

L’AMM est une confédération d’associations professionnelles libres. Elle est financée par les contributions annuelles de ses membres dont le nombre s’élève aujourd’hui à 115 et constitue pour ses associations membres un forum de libre communication et de coopération active dont le but est de parvenir à un consensus sur les plus hautes normes d’éthique médicale et de compétence professionnelle et de promouvoir l’indépendance professionnelle des médecins.

L’AMM a pour objectif de servir l’humanité en s’efforçant d’atteindre les plus hautes normes internationales en matière d’enseignement médical, de science médicale, d’art médical, d’éthique médicale et de soins de santé pour tous les peuples du monde.

L’organisation élabore, sous la forme de déclarations, de résolutions ou de prises de position, des recommandations éthiques pour les médecins, directives utiles pour les associations médicales nationales, les gouvernements et les organisations internationales du monde entier. Ces textes traitent une multitude de questions, notamment les droits du patient, la recherche sur les sujets humains, les soins en temps de conflit armé, la torture des prisonniers, l’utilisation et l’abus des médicaments, le planning familial et la pollution.

Autres domaines d’activité : droits de l’homme en relation avec la santé – promotion et défense des droits fondamentaux du patient et du médecin, enseignement médical — soutien des médecins pour une amélioration continuelle de leurs connaissances et de leurs compétences, planification des ressources humaines pour les services de santé, sécurité du patient (…).

L’AMM entretient des relations officielles avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La collaboration avec les associations professionnelles de santé, les agences gouvernementales et non gouvernementales et les associations médicales régionales renforce sa capacité à fournir les meilleurs soins possibles aux patients du monde entier. En particulier, l’Alliance mondiale des professions de santé (www.whpa.org) combine les forces des associations professionnelles de médecins, d’infirmières et de pharmaciens pour défendre les plus hautes normes de santé possible pour tous les peuples du monde ».

L’histoire de l’AMM : contexte et organisation préliminaire (extrait du site de l’AMM)

En juillet 1945, se déroula à Londres une conférence informelle de médecins de plusieurs pays afin d’établir les bases d’une future organisation médicale internationale destinée à remplacer l’« Association Professionnelle Internationale des Médecins », créée en 1926, qui avait, à son apogée, réuni plus de 23 pays et qui cessa ses activités au moment de la Seconde Guerre mondiale.

Une deuxième conférence eut lieu à Londres en septembre 1946. C’est au cours de cette rencontre qu’il fut décidé que cette organisation porterait le nom de « Association Médicale Mondiale » et qu’elle devrait élargir ses activités et le nombre de ses membres par rapport à la précédente Association Professionnelle Internationale des Médecins.

Le projet final de la Constitution et des Statuts fut approuvé lors de la troisième réunion du Comité Organisateur à Londres en avril 1947.

La Constitution telle qu’elle fut adoptée permettait, entre autres, aux associations médicales nationales de devenir membres de l’AMM et ces associations étaient totalement représentatives de la profession médicale dans leurs pays ou territoires, mais une seule association membre par pays était autorisée. L’Assemblée générale était investie d’une mission de contrôle général des politiques et des affaires de l’association et devait siéger chaque année dans un pays différent.

« En 1948, le bureau exécutif, connu sous le nom de Conseil, établit le secrétariat de l’AMM à New York afin d’être à proximité des Nations Unies et de ses diverses agences. Le Secrétariat de l’AMM resta à New York jusqu’en 1974 quand, pour des motifs économiques et afin de travailler dans le voisinage des organisations internationales basées à Genève (OMS, ILO, ICN, ISSA, etc.), il fut transféré à Ferney-Voltaire, France, son siège encore aujourd’hui.

En juillet 1964, l’AMM fut enregistrée comme organisation à but non lucratif pour l’éducation et la science sous les lois de l’État de New York, États-Unis

Siège social de l’AMM depuis sa fondation jusqu’en 1974 : NEW YORK, ÉTATS-UNIS. De 1975 à ce jour : FERNEY-VOLTAIRE, France »

L’AMM – une plateforme de création d’un consensus mondial sur l’éthique médicale

Après la Seconde Guerre mondiale et juste après sa création, l’AMM se préoccupa de la situation de l’éthique médicale en général dans le monde entier. L’AMM endossa la responsabilité d’établir des directives éthiques pour les médecins dans le monde.

Elle remarqua qu’à l’époque, la coutume des écoles de médecine de faire prêter serment par ses élèves médecins une fois diplômés ou de leur attribuer une autorisation de pratiquer la médecine n’était plus respectée ou devenue une simple formalité. L’AMM a lors jugé souhaitable que les médecins fraîchement diplômés prêtent serment lors de la cérémonie de remise du diplôme afin de les sensibiliser aux fondements éthiques de la médecine et afin de faire progresser les normes de conduite professionnelle.

Le serment médical fut adopté par l’Assemblée et baptisé « Déclaration de Genève ». Les associations membres furent invitées à en recommander l’usage aux écoles et facultés de médecine de leurs pays.

« Un rapport sur les “Crimes de guerre et la Médecine” réceptionné lors de la IIe Assemblée générale décida le Conseil à nommer un autre Comité d’Étude pour préparer un Code International d’Éthique Médicale.

Avec l’adoption de ces deux documents, l’AMM était prête à s’attaquer à d’autres problèmes éthiques auxquels était confrontée la profession médicale. De 1949 à 1952, des violations de l’éthique médicale et des crimes commis par des médecins en temps de guerre furent dénoncés à l’AMM ».

On attira l’attention de l’AMM sur la nécessité de mettre en place des mesures de protection contre l’expérimentation sur les êtres humains. À la même époque, l’AMM fut mise au courant des diverses activités menées par des organisations incompétentes dans le domaine de l’éthique et de la législation médicales. Ces informations amenèrent le Conseil à créer un Comité permanent d’Éthique Médicale (1952).

« Depuis sa création en 1952, le Comité Permanent d’Éthique Médicale a effectué un travail considérable, en réceptionnant, étudiant, discutant, acceptant ou refusant des douzaines de dossiers relatifs à l’éthique portés à son attention. Certains ont été adoptés en tant que Déclarations ou Prises de position de l’AMM et la plupart ont été actualisées en fonction des évolutions rapides de la science médicale. Certaines sont en cours d’étude et nul doute que d’autres suivront en temps voulu après une mûre réflexion si de nouvelles situations l’exigent.

Ces documents ont tous été diffusés dans le monde entier et mis en pratique. Du fait de ce qu’elle a accompli dans le domaine de l’éthique médicale, l’AMM a gagné le droit de se désigner voix internationale de la médecine organisée. L’éthique médicale n’est pas pour autant une simple question de déclarations ou de codes. L’AMM doit rester attentive à toute violation des codes et prête à réagir rapidement face à de telles violations. Ainsi l’AMM a apporté et continue d’assister et d’agir pour le compte des médecins que l’on empêche d’exercer dans un contexte éthique. »

DÉCLARATION DE GENÈVE : le « Serment d’Hippocrate moderne »

La Déclaration de Genève a été adoptée par la 2e Assemblée générale à Genève en 1947, rapidement reconnue comme étant la version moderne du Serment d’Hippocrate.

Le serment demeure l’un des documents les plus constants de l’AMM. Ayant subi très peu de révisions en cours des décennies passées, il préserve les principes éthiques de la profession et n’est relativement que peu influencé par l’esprit du temps et le modernisme.

Le Serment ne doit pas être lu seul, mais parallèlement aux politiques plus spécifiques de l’AMM, notamment le Code International d’Éthique Médicale, faisant suite à la Déclaration de Genève dès 1948.(([5] Adopté par la 3e Assemblée générale de l’AMM Londres, Grande-Bretagne, octobre 1949 et amendé par les 22e Assemblée Médicale Mondiale Sydney, Australie, Août 1968 et 35e Assemblée Médicale Mondiale Venise, Italie, octobre 1983 et la 57e Assemblée générale de l’AMM, Pilanesberg, Afrique du Sud, octobre 2006))

DEVOIRS GÉNÉRAUX DES MÉDECINS

LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.
LE MÉDECIN DEVRA se consacrer en toute indépendance professionnelle et morale à la prestation de soins compétents avec compassion et respect pour la dignité humaine.
LE MÉDECIN DEVRA être honnête avec ses patients et ses collègues et signaler aux autorités compétentes les médecins dont la pratique est dépourvue d’éthique et de compétences ou qui ont recours à la fraude et à la tromperie.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS profiter d’avantages financiers ou autres uniquement pour avoir adressé des patients ou prescrit des produits spécifiques.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les droits et préférences des patients, des confrères et des autres professionnels de santé.
LE MÉDECIN DEVRA être conscient de son rôle important en matière d’éducation du public, mais devra faire preuve de la prudence requise lorsqu’il divulguera des découvertes, des nouvelles techniques ou de nouveaux traitements par un canal non professionnel.
LE MÉDECIN DEVRA certifier uniquement ce qu’il a personnellement vérifié.
LE MÉDECIN DEVRA s’efforcer d’utiliser de la meilleure façon possible les ressources de santé afin d’en faire bénéficier les patients et leurs communautés.
LE MÉDECIN DEVRA chercher à se faire soigner correctement s’il souffre de maladie mentale ou physique.
LE MÉDECIN DEVRA respecter les codes d’éthique régionaux et nationaux.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES PATIENTS

LE MÉDECIN DEVRA toujours avoir à l’esprit son obligation de respecter la vie humaine.
LE MÉDECIN DEVRA agir dans le meilleur intérêt du patient lorsqu’il délivrera des soins.
LE MÉDECIN DEVRA faire preuve de la plus complète loyauté envers ses patients et leur faire profiter de toutes les ressources scientifiques dont il dispose. Lorsqu’un examen ou un traitement dépasse ses capacités, le médecin devrait consulter ou adresser le patient à un autre médecin disposant des compétences nécessaires.
LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit du patient à la confidentialité. Il est conforme à l’éthique de divulguer des informations confidentielles lorsque le patient y consent ou lorsqu’il existe une menace dangereuse réelle et imminente pour le patient ou les autres et que cette menace ne peut être éliminée e qu’en rompant la confidentialité.
LE MÉDECIN DEVRA considérer les soins d’urgence comme un devoir humanitaire à moins d’avoir la certitude que d’autres sont prêts et capables d’apporter ces soins.
LE MÉDECIN DEVRA dans les situations où il agit pour une tierce partie, s’assurer que le patient est totalement informé de la situation.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS avoir de relations sexuelles avec un patient qu’il traite ou une relation de nature abusive ou manipulatrice.

DEVOIRS DU MÉDECIN ENVERS SES COLLÈGUES

LE MÉDECIN DEVRA avoir envers ses collègues le même comportement que celui qu’il attend d’eux envers lui.
LE MÉDECIN NE DEVRA PAS saper la relation patient-médecin des confrères afin d’attirer des patients.
LE MÉDECIN DEVRA lorsque cela s’avère médicalement nécessaire, communiquer avec ses collègues impliqués dans les soins du même patient. Cette communication doit respecter la confidentialité concernant le patient et se limiter aux informations nécessaires.

DÉCLARATION D’HELSINKI : recherche médicale impliquant des sujets humains

La Déclaration d’Helsinki est le document politique le plus connu de l’AMM. La première version adoptée en 1964 a été révisée sept fois, la dernière révision datant de l’Assemblée générale d’octobre 2013. La version actuelle (2013) est la seule version officielle.(([6] Nouvelle version publiée sur le site internet du Journal of American Medical Association (JAMA) (disponible en PDF).))

En 2014, l’AMM a édité une publication pour commémorer le 50e anniversaire de l’adoption de la Déclaration d’Helsinki. « La Déclaration d’Helsinki de L’association Médicale Mondiale : 1964-2014 50 ans d’évolution de l’éthique dans la recherche médicale ». untitled (wma.net)

Depuis 2016, la Déclaration d’Helsinki est complétée par la Déclaration de Taipei sur les Considérations éthiques concernant les bases de données de santé et les biobanques.

« PRÉAMBULE

« 1. La Déclaration d’Helsinki énonce les principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains y compris l’importance de protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et la confidentialité des sujets de recherche, ainsi que d’obtenir leur consentement éclairé pour l’utilisation de données et de matériels biologiques humains identifiables.

2. Dans le cadre des soins de santé, des informations de santé sont collectées par les médecins ou d’autres membres de l’équipe médicale afin d’enregistrer les évènements de santé et d’aider les médecins dans la prise en charge continue de leurs patients.

3. Cette Déclaration a pour objectif de traiter de la collecte, du stockage et de l’utilisation de données et de matériels biologiques identifiables, au-delà des soins individuels prodigués aux patients. En concordance avec la Déclaration d’Helsinki, elle énonce des principes éthiques complémentaires relatifs à leur utilisation dans les bases de données de santé et les biobanques.

La Déclaration doit être lue dans son ensemble et chacun de ses paragraphes doit être appliqué en tenant compte de tous les autres paragraphes pertinents.

4. Une base de données de santé est un système visant à collecter, organiser et stocker des informations de santé. Une biobanque est une collection de matériel biologique avec des données s’y rapportant. Le matériel biologique fait référence à un échantillon prélevé sur un être humain, vivant ou décédé, pouvant fournir des informations biologiques, y compris génétiques, sur cet individu. Les bases de données de santé et les biobanques sont toutes deux des collections qui concernent des individus et une population. Elles suscitent des préoccupations similaires en termes de dignité, d’autonomie, de vie privée, de confidentialité et de discrimination.

5. La recherche, faisant appel aux bases de données de santé et aux biobanques, peut souvent accélérer significativement une meilleure compréhension de la santé et des maladies, ainsi que de l’efficacité, de l’efficience, de la sécurité et de la qualité des interventions de prévention, de diagnostic et de traitement. La recherche dans le domaine de la santé représente un bien commun au service des patients individuels ainsi que de la population et de la société.

6. Les médecins doivent tenir compte des normes et standards éthiques, juridiques et réglementaires concernant les bases de données de santé et les biobanques de leur propre pays ainsi que des normes et standards internationaux. Aucune disposition nationale ou internationale de nature éthique, juridique ou réglementaire ne devrait réduire ou supprimer la protection des personnes et des populations telle qu’énoncée dans cette Déclaration.

Lorsqu’autorisées par une loi nationale adoptée selon un processus démocratique dans le respect des droits humains, d’autres procédures peuvent être adoptées afin de protéger la dignité, l’autonomie et la vie privée des personnes. De telles procédures sont acceptables uniquement si des règles strictes en matière de protection des données sont mises en œuvre.

7. Conformément au mandat de l’AMM, la Déclaration s’adresse en priorité aux médecins. L’AMM encourage les autres personnes utilisant des données ou du matériel biologique figurant dans les bases de données de santé et les biobanques à adopter ces principes.

PRINCIPES ÉTHIQUES

8. La recherche et les autres activités en lien avec les bases de données de santé et les biobanques doivent contribuer au bénéfice de la société, en particulier aux objectifs de santé publique.

9. Dans le cadre du respect de la dignité, de l’autonomie, de la vie privée et de la confidentialité des personnes, les médecins ont des obligations spécifiques, à la fois éthiques et juridiques, en tant que responsables de la protection des informations fournies par leurs patients. Les droits à l’autonomie, à la vie privée et à la confidentialité habilitent aussi les individus à exercer un contrôle sur l’utilisation de leurs données personnelles et de leur matériel biologique.

10. La confidentialité est primordiale afin de préserver la confiance dans les bases de données de santé et les biobanques et leur intégrité. Savoir que leur vie privée sera respectée donne aux patients et aux donneurs la confiance nécessaire afin de partager des données personnelles sensibles. Leur vie privée est protégée par le devoir de confidentialité de tous ceux impliqués dans le traitement des données et du matériel biologique.

11. La collecte, le stockage et l’utilisation des données et du matériel biologique de personnes capables de donner un consentement éclairé doivent être volontaires. Si les données et le matériel biologique sont collectés pour un projet de recherche donné, le consentement spécifique, libre et éclairé des participants doit être obtenu en conformité avec la Déclaration d’Helsinki.

12. Si les données ou le matériel biologique sont collectés et stockés dans une base de données de santé ou une biobanque pour des utilisations multiples et indéfinies, le consentement est valable uniquement si les personnes concernées ont été informées de manière adéquate sur :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • Les risques et contraintes associés à la collecte, au stockage et à l’utilisation des données et du matériel ;
  • La nature des données ou du matériel à collecter ;
  • Les procédures de retour des résultats y compris des découvertes fortuites ;
  • Les règles d’accès à la base de données de santé ou à la biobanque ;
  • La manière dont la vie privée est protégée ;
  • Les dispositifs de gouvernance tels que stipulés dans le paragraphe 22 ;
  • Le fait que dans les cas où les données et le matériel sont rendus non identifiables, la personne n’est plus en mesure de savoir ce qui est fait de ses données/matériel et ne peut plus retirer son consentement.
  • Leurs droits fondamentaux et les mesures de sauvegarde énoncées dans cette Déclaration ; et le cas échéant, l’utilisation commerciale et le partage des bénéfices, la propriété intellectuelle et le transfert de données ou de matériel à d’autres institutions ou à des pays tiers.

13. En plus des dispositions énoncées dans la Déclaration d’Helsinki, lorsque les personnes qui n’ont pas été en mesure de donner leur consentement, mais dont les données et le matériel biologique ont été stockés pour de futures recherches, acquièrent ou récupèrent leur capacité de consentir, des efforts raisonnables doivent être déployés afin d’obtenir leur consentement pour poursuivre le stockage et l’utilisation à des fins de recherche de leurs données et de leur matériel biologique.

14. Les personnes ont le droit de demander et d’obtenir des informations sur leurs données et leur utilisation ainsi que de faire corriger les erreurs ou omissions. Les bases de données de santé et les biobanques devraient adopter des mesures adéquates pour informer les personnes concernées sur leurs activités.

15. Les personnes ont le droit à tout moment et sans crainte de représailles de modifier leur consentement ou de demander le retrait de leurs données identifiables d’une base de données de santé et de leur matériel biologique d’une biobanque. Ceci s’applique à l’utilisation future des données et du matériel biologique.

16. Dans l’éventualité d’une menace sérieuse, immédiate et clairement identifiée et lorsque des données anonymes ne suffisent pas, les exigences en matière de consentement peuvent éventuellement être levées afin de protéger la santé de la population. Un comité d’éthique indépendant devrait confirmer que chaque cas exceptionnel se justifie.

17. Les intérêts et les droits des communautés concernées, en particulier lorsqu’elles sont vulnérables, doivent être protégés, spécialement en termes de partage des bénéfices.

18. Des considérations spéciales doivent être accordées à l’exploitation éventuelle de la propriété intellectuelle. Les protections concernant la propriété des matériels, les droits et les privilèges doivent être prises en considération et réglées contractuellement avant de prélever et de partager le matériel. Les questions de propriété intellectuelle devraient être traitées dans une politique couvrant les droits de toutes les parties intéressées et communiquée en toute transparence.

19. Un comité d’éthique indépendant doit approuver la création des bases de données de santé et des biobanques utilisées à des fins de recherche et à d’autres fins. Le comité d’éthique doit aussi approuver l’utilisation des données et du matériel biologique, et vérifier si le consentement donné au moment de la collecte est suffisant pour l’utilisation prévue ou si d’autres mesures doivent être prises pour protéger le donneur. Le comité doit avoir le droit de contrôler les activités en cours. D’autres mécanismes d’évaluation éthique, conformes au paragraphe 6, peuvent être mis en place.

GOUVERNANCE

20. Afin de favoriser la confiance, les bases de données de santé et les biobanques doivent être gérées par des mécanismes internes et externes, basés sur les principes suivants :

  • Protection des personnes : la gouvernance devrait être conçue de telle manière que les droits des individus prévalent sur les intérêts des autres parties intéressées et de la science
  • Transparence : toute information pertinente sur les bases de données de santé et les biobanques doit être mise à la disposition du public ;
  • Participation et inclusion : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent consulter et se mettre en relation avec les personnes et leurs communautés.
  • Responsabilité : les responsables des bases de données de santé et des biobanques doivent être accessibles et réceptifs aux demandes des parties intéressées.

21. Les dispositions de gouvernance doivent inclure les éléments suivants :

  • L’objet de la base de données de santé ou de la biobanque ;
  • La nature des données de santé et du matériel biologique qui seront contenus dans la base de données de santé ou la biobanque ;
  • Les dispositions relatives à la durée de stockage des données ou du matériel ;
  • Les dispositions réglementaires pour l’élimination et la destruction des données et du matériel ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront documentés et traçables conformément au consentement des personnes concernées ;
  • Les dispositions sur la manière dont les données et le matériel seront traités dans le cas d’un changement de propriétaire ou de fermeture ;
  • Les dispositions relatives à l’obtention d’un consentement adéquat ou les autres bases légales pour la collecte des données ou du matériel ;
  • Les dispositions pour protéger la dignité, l’autonomie, la vie privée et pour prévenir les discriminations ;
  • Les critères et procédures concernant l’accès et le partage des données de santé ou du matériel biologique, y compris, si nécessaire, l’utilisation systématique d’un accord de transfert de matériel (MTA) ;
  • La ou les personnes responsables de la gouvernance ;
  • Les mesures de sécurité afin de prévenir les accès non autorisés ou les partages inappropriés ;
  • Les procédures pour reprendre, si nécessaire, contact avec les participants ;
  • Les procédures d’enregistrement et de traitement des demandes et des réclamations.

22. Les professionnels de santé qui contribuent ou travaillent avec les bases de données de santé et les biobanques doivent se conformer aux dispositions pertinentes relatives à la gouvernance.

23. Les bases de données de santé et les biobanques doivent fonctionner sous la responsabilité d’un professionnel dûment qualifié qui veillera au respect de la présente Déclaration.

24. L’AMM exhorte les autorités concernées à formuler des politiques et des lois protégeant les données de santé et le matériel biologique sur la base des principes énoncés dans ce document. »

État actuel de l’éthique quotidienne

Ainsi la pratique de la médecine fut parfaitement encadrée après la Seconde Guerre mondiale, mais manifestement l’oubli progressif a transformé notre quotidien. En France, en tous cas, le serment d’Hippocrate dit de Genève n’est pratiquement plus prêté par chaque étudiant présentant leur thèse. L’un d’entre eux lit le fameux serment pour tous (un raccourci) et à la fin les étudiants présents disent prêter serment.

Le consentement éclairé est trop souvent dévoyé depuis déjà deux décennies au moins en oncologie et particulièrement en pédiatrie.(([7] Éthique et essais cliniques en cancérologie (nicoledelepine.fr) )) (([8] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen.))

« Les patients cancéreux et leurs familles comprennent bien ce que veut dire ce monopole via les « protocoles » dont il est difficile de sortir. Nous avons détaillé ces dérives dans de nombreux ouvrages et articles. Nous avons expliqué la dérive éthique et la violation des droits du patient dans le cadre du traitement du cancer en l’absence d’information de fond sur le fameux « protocole » et de droit à un autre schéma.

Ainsi, le « Servir la science » est la justification alléguée du changement de paradigme imposé aux cancérologues depuis le début du siècle, avec les conséquences délétères : perte de chance de survie par abandon des schémas de traitement éprouvés, et relégation trop fréquence de la chirurgie au bénéfice des nouvelles drogues, comme si l’innovation était forcément un progrès. Le « servir la science » a été complété par « sauver des vies », tout aussi mensonger depuis plus d’un an.

Or servir la science était l’argument massue de défense des médecins obéissant au totalitarisme hitlérien : celui-ci donnait l’absolue priorité au collectif, la personnalité individuelle devant lui être soumise.

Karl Brand, médecin personnel d’Hitler, avait déclaré que « lorsque la personnalité est dissoute au sein du corps collectif, toute demande qui lui est soumise doit être dissoute au sein du concept de système collectif ; les besoins de la société sont maintenant des besoins individuels, et l’être humain, ce complexe individuel, sert uniquement à l’intérêt de la société »

Le train-train de la soumission

Malheureusement ces années de dévoiement progressif du consentement éclairé et du secret médical ont doucement habitué les citoyens à obéir plus qu’à choisir et aux médecins à se couler dans le train de l’obéissance aux recommandations devenues progressivement injonctions, puis opposables, c’est-à-dire obligatoires.

Ainsi l’obéissance aux ordres de la sécurité sociale qui n’en a plus que le nom, à l’ordre des médecins, aux agences régionales de santé est devenue la posture la plus simple des médecins. Ceci explique en partie leur soumission depuis mars 2020 devant l’interdiction de soigner tout simplement leurs patients et actuellement leur jeu pervers dans la chasse au non-vacciné, oubliant pour nombre d’entre eux d’exposer avant la piqûre les effets secondaires nombreux (pour les Américains, c’est autant en trois mois qu’en vingt ans pour l’ensemble des complications vaccinales). Le médecin est devenu un robot aux ordres avant même que la machine adéquate ne fût conçue.

Les vaccins étant en essai thérapeutique (au moins jusqu’en 2023), le gouvernement ne peut pas le rendre officiellement obligatoire, mais contourne le problème par la propagande éhontée, et la tentative d’imposer un pass vaccinal. Le chantage aux voyages est bien plus efficace que l’argument sanitaire qui a disparu ou presque. Mais les malheureux pour un certain nombre ne feront pas ce voyage comme cette jeune mannequin anglais qui rêvait tant de Chypre, plus de 10 000 morts en UE et plus de cent mille effets secondaires invalidants.

Le consentement éclairé est violé chaque jour (vacciner en voiture et vacci drive ?) et la volonté affichée du ministre de la Santé et de Mr Fischer membre d’administration de Rothschild, de vacciner les enfants nous horrifie.

Les enfants ne risquent rien du Covid et ne transmettent pas ni aux adultes ni aux enfants.(([9] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps de rappeler ce que disait Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU en 2016 au moment de la discussion sur les vaccinations obligatoires des nourrissons malheureusement imposées par Mme Buzyn depuis lors démissionnaire, recasée à Genève.

Ne doit-on pas réfléchir aujourd’hui aux discours que tiennent certains médecins aux patients effondrés sur l’intérêt pour la société d’accepter de signer « ces papiers » pour une expérience d’une nouvelle molécule peu ou pas testée, qui permettront à leur traitement de servir à la « science », oubliant le consentement véritablement éclairé ?

Ne doit-on pas réfléchir aux implications éthiques d’une obligation vaccinale ?

Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’ordre ou des médecins connus se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ?

Or la vaccination est un acte médical qui relève du soin comme de la recherche, des responsabilités médicolégales et de l’éthique médicale. La vaccination comme tout acte médical relèvent du code de Nuremberg et c’est un professeur de droit, américaine qui en parle le mieux. On peut s’étonner que sa prise de position à la tribune de l’ONU soit apparemment passée inaperçue en France, nous qui pourtant suivons (quand cela nous arrange) les avis de nos amis américains.

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux personnels » et à cette occasion, la genèse du code de Nuremberg pour protéger les individus contre l’intrusion des gouvernements et des abus médicaux.

Citons le Pr Holland :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination.

Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….).

Comment pouvoir concilier les droits individuels avec les droits du collectif ?

En 2005, l’UNESCO (…) a adopté la Déclaration Universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays (…), elle stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que “le seul intérêt de la science ou de la société” ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.

Sous forme abrégée “D’abord ne pas nuire”, ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du “troupeau”. Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

La relation médecin-patient doit être d’abord et avant tout basée sur la confiance, alors que la coercition la mine. Lorsque la relation médecin-patient est basée sur la coercition, c’est la confiance qui en fait les frais. Les médecins servent alors l’état et par extension la société, avant l’intérêt de leurs patients. Nous nous trouvons ici sur une pente glissante où la médecine civilisée a trop souvent déraillé dans le passé.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’étaient déjà produit “ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste” avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Selon le principe de précaution médicale, le principe, par défaut, de la vaccination doit relever de recommandations et non d’obligations.

Les politiques de vaccination de nombreux pays développés incarnent ce principe des recommandations de vaccination des enfants, y compris la conférence qui a réuni l’Ukraine, l’Allemagne et le Japon. D’autres pays développés permettent d’atteindre d’excellents résultats en santé publique sans avoir recours à la contrainte. Citons : le Royaume-Uni, l’Australie, l’Autriche, le Danemark, l’Islande, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Suède, la Norvège, la Finlande, la Corée du Sud, et l’Espagne entre autres. »

Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme “médico-industriel” aux paroles du président parce que je crois que ce “complexe médico-industriel” présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 “Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique”. »

Tout est dit dans ce discours d’un professeur de droit à l’ONU ni anti ni provaccin, mais respecte les droits de l’homme et du citoyen.

Il serait tellement important que nos députés, sénateurs, élus et chaque citoyen prennent le temps de lire ces déclarations ou d’écouter son discours à l’ONU en se rappelant peut-être la phrase majeure de son exposé :

C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées.”

 Ne l’oublions jamais.





Chiffre des décès Covid-19 : canular, charlatanisme et contre-vérité

Par Claude Janvier

[Photo : Chip Somodevilla/Getty Images]

La courte prestation récente en vidéo de Pierre Barnérias — [réalisateur et metteur en scène du documentaire Hold-Up(([1] https://odysee.com/@Tony%D8%B7%D9%88%D9%86%D9%8A:8/hold-up-Le-Coup-de-gueule-de-Pierre-Barn%C3%A9rias:1)) — m’a fait l’effet d’un électrochoc. En effet, Pierre Barnérias montre un document émanant de Santé publique France*(([2] organisme officiel)) où est indiqué un total de 41 502 décès Covid-19, dont 14 471 décès sans comorbidités et 27 031 décès avec comorbidités.

En clair, 14 471 personnes sont réellement décédées du virus depuis mars 2020. Diantre ! Si les chiffres des autres pays sont aussi faibles, on peut se demander légitimement pourquoi avoir paralysé une planète entière. Pourquoi avoir fait tant d’efforts pour faire s’écrouler un pan entier de l’économie mondiale ? Pourquoi avoir précipité dans la détresse et le chagrin un bon nombre de personnes ?

Si la vente des vaccins afin d’engraisser les laboratoires pharmaceutiques est une des réponses et l’imposition d’un pass sanitaire liberticide à une population en majorité tétanisée par le bourrage de crâne coronavirus en est une autre, il n’empêche que lire une des preuves énoncées par Santé publique France — le Saint Graal en matière d’informations statistiques de la santé — laisse rêveur et ne peut qu’interpeller.

Qu’en est-il exactement ?

* Santé publique France : Covid-19 : Point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021. Page 47, tableau 10 :

Description des décès certifiés par voie électronique avec une mention de COVID-19 dans les causes médicales de décès, du 1er mars 2020 au 29 mars 2021, France (données au 30 mars 2021)

Sexe Nombre Pourcentage
Hommes 22 677 55 %
Femmes 18 824 45 %
Cas selon la classe d’âge Sans comorbidité ou non renseigné Avec comorbidités Total
  nombre % nombre % nombre %
0-14 ans 1 20 4 80 5 0
15-44 ans 78 33 162 68 240 1
45-64 ans 771 28 1 978 72 2 749 7
65-74 ans 1 808 30 4 260 70 6 068 15
75 ans et plus 11 813 36 20 627 64 32 440 78
Tous âges 14 471 35 27 031 65 41 502 100
Description des comorbidités nombre %
Pathologie cardiaque 9 554 35
Hypertension artérielle 5 990 22
Diabète 4 335 16
Pathologie respiratoire 3 571 13
Pathologie rénale 3 565 13
Pathologies neurologiques(([3] Ce groupe inclut les pathologies neurovasculaires et neuromusculaires. 1 % présentés en ligne ; 2 % présentés en colonne [?])) 2 341 9
Obésité 1 561 6
Immunodéficience 609 2

Plus loin dans ce rapport :

SURVEILLANCE DE LA MORTALITÉ
► Mortalité lors d’une hospitalisation et en ESMS — établissements sociaux et médico-sociaux (page 41)

  • Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021, 95 364 décès de patients COVID-19 ont été rapportés à Santé publique France : 69 320 décès sont survenus au cours d’une hospitalisation et 26 044 décès en établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) et autres établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) (données au 28 mars 2021).
  • 93 % des cas de COVID-19 décédés étaient âgés de 65 ans ou plus.

Ça se complique.

Entre ces deux pages du même rapport, nous avons une différence de 53 862 personnes décédées et potentiellement égarées. Pourtant Santé publique France, avec ses 3,831 milliards d’euros pour 2021 (oui vous lisez bien) (([4] Tec hopital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » (de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là) )) devrait avoir les moyens de ne pas se tromper. (déjà en 2020, Santé publique France, 625 agents, avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros…)

Poursuivons dans le même rapport.

► Mortalité issue de la certification électronique des décès (page 42)

  • Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID-19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).
  • L’âge médian au décès était de 85 ans et 92,7 % des personnes avaient 65 ans et plus.

Quittons le rapport de Santé publique France et regardons un extrait d’un rapport du CEPIDC(([5] Le Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de Décès (CépiDc) est le laboratoire de l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) en charge de la production de la statistique sur les causes médicales de décès))

« Les données sont issues de la partie médicale du certificat de décès certifié par voie électronique. Les décès peuvent être enregistrés dans tous les types de lieu de décès (établissements publics ou privés de santé, EHPAD/maison de retraite, domicile, ou dans autres lieux non précisés). Toutefois, un établissement de santé n’utilise pas forcément la certification électronique de décès dans l’ensemble de ces services. »

Donc la différence provient des données de certification électronique des décès associés au Covid-19 (CEPIDC) ?

En 2021, à l’ère électronique et de la 5G, où le personnel administratif est plus important que le personnel technique, et où les e-mails s’échangent instantanément, il y a encore des certificats de décès papier non envoyé électroniquement. On croit rêver. Mais quand on y réfléchit, c’est impossible, car même un certificat papier va être envoyé tôt ou tard par voie électronique.

Plus loin dans ce rapport :

« Les décès associés au Covid-19 sont identifiés à partir des mentions exprimées par les médecins dans les causes médicales de décès. L’infection au Covid-19 peut être une suspicion ou avoir été confirmée biologiquement. »

Pour conclure, voici un extrait d’un rapport du 27 août 2020 :

Les modalités du certificat de décès électronique. La rédaction et la transmission du certificat de décès par Marie-Emilie Pétigny, Juriste MACSF

« Le décret du 27 juillet 2006 a institué, à l’article R. 2213-1-2 du Code général des collectivités territoriales, le certificat de décès établi sur support électronique.

Le médecin doit tout d’abord s’identifier au moyen d’une carte de professionnel de santé ou d’un dispositif équivalent d’authentification.

Le certificat établi par le médecin, l’étudiant ou le praticien comporte deux volets ou trois suivant le cas :

Le volet administratif

Ce volet comporte les rubriques habituelles auxquelles on pourrait s’attendre en matière administrative.

Il mentionne la commune du décès, la date et l’heure du décès, les noms, prénoms, la date de naissance, le sexe et le domicile du défunt ainsi que les informations nécessaires à la délivrance de l’autorisation de fermeture du cercueil et à la réalisation des opérations funéraires.

Ce document est établi en 4 exemplaires, signés par le médecin et transmis par voie électronique à la mairie du lieu de décès, au service chargé des funérailles et à la mairie du lieu de dépôt du corps et au gestionnaire de la chambre funéraire en cas de transport du corps.

Le volet médical

Le certificat de décès comporte également un volet médical relatif aux causes du décès. Soucieux de la protection du secret médical, le législateur a entendu faire mention d’un volet médical ne comportant ni le nom ni le prénom de la personne décédée.

Les données du volet médical sont transmises par voie électronique à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

Le médecin qui atteste du décès peut procéder à des modifications des informations médicales pendant les 96 heures qui suivent l’établissement du certificat et doit opérer une nouvelle transmission à l’Institut de la Santé et de la recherche biomédicale.

L’accès aux informations du volet médical du certificat de décès est instantané, ce qui facilite l’exercice des missions de veille sanitaire.

Le volet médical complémentaire

Quand le médecin qui remplit le volet médical sur les causes du décès constate un obstacle médico-légal, le corps fait l’objet d’une recherche médicale ou scientifique des causes du décès ou d’une autopsie. Le volet médical complémentaire est alors établi par le médecin qui procède à la recherche médicale ou scientifique des causes de décès ou à l’autopsie.

Et la version papier ?

Bien que la version électronique du certificat de décès soit en vigueur depuis 2006, la version papier existe toujours et peut être fournie par l’ARS.

Celle-ci ne doit être utilisée qu’en cas de dysfonctionnement des moyens électroniques et d’impossibilité de transmettre le certificat de décès par voie électronique dans des délais raisonnables. »

Donc, cela laisse entrevoir que chez les instances administratives de santé il n’y a que des dysfonctionnements électroniques ? Curieux, car au Ministère des Finances, section Trésor Public, l’électronique semble fonctionner remarquablement…

Trop d’incohérences tuent la crédibilité. Les décès imputés au seul Covid-19 sont minimes. Depuis 2006 — 15 ans quand même — il est certain que les certificats de décès sont pratiquement tous en version électronique. C’est vraiment très très peu probable qu’il y ait eu 53 862 certificats de décès en version papier qui se soient égarés… Ou alors, nous sommes revenus à l’âge de pierre !

Les chiffres ont été faussés et instrumentalisés sciemment afin de tromper la population, de permettre la fabrication de vaccins « salvateurs » vendus à prix d’or et enfin d’imposer un passeport vaccinal international. Répugnant.

Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président », IS édition (www.is-edition.com)





Le vaccin Moderna contient bel et bien un ingrédient douteux

[Source : reseauinternational.net]

par Philippe Huysmans.

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la polémique qui fait rage autour d’un des ingrédients listés par le fabricant Moderna pour l’élaboration de son vaccin à ARNm. Tout débute lorsque, sur les réseaux sociaux, un internaute curieux à cherché à savoir à quoi correspondait l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102.

Ceci faisait suite à la publication, sur le site officiel de l’État du Connecticut de la liste des substances intervenant dans la fabrication du vaccin de Pfizer et celui de Moderna.

Tout d’abord il faut savoir que le produit SM-102 est une dénomination commerciale, un peu comme les fraises Tagada sont un produit du catalogue de la société Haribo.

En l’occurence, le SM-102 est un produit de la société Cayman Chemical

Vous pouvez trouver sa fiche technique ici.  Il s’agit d’un amino lipide ionisable (corps gras, donc), dont la description stipule :

« Le SM-102 est un lipide aminé ionisable qui a été utilisé en combinaison avec d’autres lipides dans la formation de nanoparticules lipidiques. L’administration d’ARNm de luciférase dans des nanoparticules lipidiques contenant du SM-102 induit l’expression de la luciférase hépatique chez la souris. Des formulations contenant du SM-102 ont été utilisées dans le développement de nanoparticules lipidiques pour l’administration de vaccin à base d’ARNm ».

Le problème ? Sur la page de description du produit on trouve l’avertissement suivant :

AVERTISSEMENT : Ce produit n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire.(([1] WARNING This product is not for human or veterinary use.))

Ce que les internautes pointaient du doigt c’est que le SM-102, le fameux lipide est stabilisé en le diluant dans du chloroforme qui s’avère pour l’homme un poison violent. Le produit final contient 90% de chloroforme pour 10% de lipide.

Sentant le désastre arriver, les représentants de la ligue du beau, du bon et de la vérité vraie (les débunkeurs à gages) se sont aussitôt attelés à la tâche qui consistait à désamorcer ce qui est dans le fond, une bombe.

C’est précisément quand j’ai lu ces débunkages d’une maladresse crasse que j’ai commencé à croire sérieusement qu’il y avait anguille sous roche, et nous le verrons, c’est une belle bête.

Petit florilège des arguments des débunkeurs
  1. Le vaccin Moderna ne contient pas de chloroforme mais utilise du SM-102, qui fait partie du lipide utilisé pour délivrer le code génétique, ou ARNm de la protéine de pointe qui recouvre le coronavirus, dans nos cellules. Source : AP
  2. Les messages ignorent les informations sur Cayman Chemical qui répertorie le chloroforme comme « composant dangereux » sur la fiche de données de sécurité du produit et répertorie le SM-102 séparément sous « autres ingrédients ». Source : AP
  3. Le chloroforme est utilisé comme milieu stabilisant pour transporter les lipides, a déclaré le Dr Nicholas Davidson, médecin et biologiste lipidique. « Ils ne sont certainement pas injectés avec du chloroforme », a déclaré Davidson à propos des vaccins. Source : AP
  4. Le vaccin Moderna contient des lipides comme le SM-102, et ils sont sans danger pour l’homme. Les lipides permettent à l’ARNm utilisé dans le vaccin de se glisser dans une cellule en recouvrant la molécule d’une enveloppe grasse. Les sociétés de biotechnologie vendent des versions du lipide en suspension dans une solution de chloroforme aux sociétés pharmaceutiques à des fins de recherche. Le chloroforme est toxique, mais pas le lipide lui-même. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19. Source : Politifact
  5. Le vaccin COVID-19 de Moderna est-il toxique ? S’adressant au Newsweek, Al Edwards, responsable de l’impact pour la division de recherche en pharmacie de l’Université de Reading, a déclaré que certains solvants sont souvent utilisés pour préparer des choses comme les lipides, mais sont éliminés après utilisation. « Je ne connais pas le processus exact utilisé pour fabriquer le vaccin Moderna, mais même s’il s’agissait de dissoudre le lipide dans un solvant tel que le chloroforme, toute quantité résiduelle de solvant laissée dans le vaccin – si elle n’est pas complètement éliminée – serait mesurée très précisément et répertorié comme un ingrédient. Il ne serait également autorisé que s’il était connu pour être sûr », a ajouté Edwards.
Quelques éléments de réflexions sur ces arguments
  1. Ne contient pas de chloroforme ? Ah, ils ont donc retiré totalement le chloroforme pour ne garder que le lipide SM-102 sans casser la fragile molécule. Ils ont utilisé quel solvant, du coup ? Se souvenir que ce produit a bel et bien été utilisé tel quel pour l’expérimentation de vaccins ARNm sur des primates.
  2. Eh bien c’est là qu’est l’os, en fait, nous y reviendrons.
  3. Idem que pour le point 1. Reste à nous expliquer par quel solvant ils ont remplacé le chloroforme sans détruire le lipide.
  4. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19 : est un complet mensonge c’est bien le produit qu’ils ont utilisé, indiqué par sa dénomination commerciale, et Cayman ne produit pas d’autre version (API) de ce lipide.
  5. Du grand n’importe quoi, il vaut mieux garder en tête que ces vaccins restent des produits expérimentaux et n’ont jamais fait l’objet d’une procédure d’agréation FDA autre qu’une Autorisation de Mises sur le Marché Conditionnelle (AMMC).

De fait, vous pouvez être bien sûr qu’il y a comme qui dirait un problème puisque presque immédiatement après le début de cette polémique, Cayman Chemical s’était fendu d’un communiqué précisant notamment :

SM-102 pour la recherche uniquement (RUO)

Les produits de qualité RUO, tels que le Cayman’s SM-102 (article n°33474), sont destinés uniquement à une utilisation in vitro ou animale (exploratoire ou préclinique).[…] Les API utilisées pour la fabrication pharmaceutique commerciale adhèrent à des directives strictes en vertu des protocoles de bonnes pratiques de fabrication (GMP) réglementés par la FDA afin de garantir leur sécurité pour un usage humain et vétérinaire.[..] Les FDS sont nécessaires pour présenter le contenu et les dangers de chaque ingrédient d’un produit chimique expédié. La FDS du Cayman’s SM-102 (article n°33474) indique avec précision que le mélange de produits chimiques dans le produit est composé de 90% de chloroforme (un solvant courant) et de 10% de SM-102. Bien qu’il s’agisse d’un solvant courant, le chloroforme présente plusieurs dangers graves connus, qui ont été inclus dans la FDS de Cayman.

Dans lequel on comprend que Cayman Chemical a décidé de sortir immédiatement le parapluie (format familial) pour ne pas risquer d’être éclaboussée par le scandale qu’ils ont bien vu venir.

Parce que le fondement du problème n’est pas de savoir si le vaccin contient ou pas du chloroforme,(([2] Ce qui reste quand même à établir, or pour l’instant, c’est le silence radio du côté de Moderna qui n’a pas souhaité répondre aux demande des débunkeurs à gage.)) mais que le produit n’est tout simplement pas destiné à l’usage pharmaceutique. Pour produire des substances destinées à l’usage médical, les fabricants doivent suivre des règles draconiennes, qu’on appelle les règles GMP (Good Manufacturing Practices). Ce sont les fameux API mentionnés par Cayman. Chaque ingrédient rentrant dans la composition du produit fait l’objet d’une évaluation permanente, il doit respecter des critères de pureté très stricts, chaque lot est libéré par le pharmacien, et s’accompagne du dossier complet de production, qui peut être audité ultérieurement par la FDA ou des mandataires du client. La moindre déviation fait l’objet d’un rapport et la traçabilité doit être totale.

Rien de tout ça ici, le SM-102 est fabriqué comme n’importe quel produit qui n’est pas destiné à l’usage humain ou même vétérinaire. Je vous laisse imaginer l’écart de prix entre une version RUO et une version API d’une même substance, on arrive aisément à un prix multiplié par mille.Ce SM-102 n’a pas sa place dans l’élaboration d’un vaccin, c’est un produit chimique lambda fabriqué sans aucun respect des procédures en vigueur dans l’industrie pharmaceutique. À cette aune, à quand les poils de chauve-souris dignes de figurer dans les potions concoctées dans le chaudron de Gargamel ? Une petite goutte de sang de pangolin tué à la pleine lune, peut-être ? Il est là le scandale, et les débunkages bidons ne changent rien à ce simple fait.





L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde

Par Gérard Delépine

Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne(([1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) )) qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.(([2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.(([3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

Rappel des faits avérés publiés par l’OMS

Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).

ASIE

Au Népal, pays de 28 millions d’habitants

La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.

Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants

La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants

En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants

Amérique du Sud

En Colombie, pays de 50 millions d’habitants

pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.

Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

Chili, pays de 18 millions d’habitants

La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …

Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants

La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

Moyen-Orient

Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants

Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants

EUROPE

En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants

La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie

En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants

La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

Monaco, pays de 38000 habitants

comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

Gibraltar, 34000 habitants

: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

Les victoires à la Pyrrhus(([4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.)) israélienne et britannique

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

Le « moissonnage » vaccinal

Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.

Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.

En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

La régression naturelle de l’épidémie

Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.

La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?

La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.(([5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252))

Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.

ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES

Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.

L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.(([6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne))

LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE

La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ

Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.

MORATOIRE INDISPENSABLE

Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.





La vertu ostentatoire des vaccins et le culte de l’Éveil

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 13 mai 2021 − Source Alt-Market

Tous les systèmes tyranniques ont besoin d’un important contingent de pom-pom girls pour survivre et prospérer ; un groupe d’acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses avec l’idéologie du contrôle. Sans ce pourcentage agressif de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

Ils ont soutenu et défendu vicieusement presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites des entreprises ont adoptées ces dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés par les grandes entreprises technologiques. Ils ont soutenu les confinements nationaux qui ont détruit des centaines de milliers de petites entreprises et violé les droits constitutionnels de millions d’Américains. Ils continuent à soutenir des règles de masquage non scientifiques dont il a été prouvé qu’elles n’apportent rien de tangible en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent l’utilisation de « passeports vaccinaux » qui auraient pour effet d’exclure les personnes non vaccinées de l’économie et de la société normales et de les plonger dans la pauvreté. Et maintenant, ils sont partout sur le web à essayer de faire de la propagande pour le vaccin.

Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux noms, notamment guerriers de la justice sociale, flocons de neige, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, globalistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, ce sont les pires personnes de la planète, et alors qu’elles parlent généralement de « racisme institutionnel » qui n’existe pas, de culture du viol qui n’existe pas, ou de patriarcat qui n’existe pas (bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un), elles ont maintenant trouvé un nouvel amour dans la « crise » de la Covid-19.

Mais avant de parler de la secte des Éveillés et de sa relation perverse avec l’establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin » que personne dans les médias dominants ne semble poser :

Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

Cette seule question fait généralement exploser la tête des adeptes du vaccin. La plupart d’entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité de la Covid-19 est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je tiens à souligner que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité de la Covid-19 ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des choses qu’ils ont entendues dans le passé de la part d’entités comme l’Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l’OMS en janvier 2020, avant que le virus n’ait atteint les États-Unis, ainsi que d’une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l’Imperial College de Londres, une institution globaliste qui a créé les modèles complexes de mandat et de confinement que les nations du monde entier utilisent maintenant pour contrôler le public. Leurs modèles étaient si complètement faux qu’ils sont déconcertants pour quiconque connaît la théorie statistique ou la gestion médicale.

Il s’avère que le taux de mortalité lié à la Covid-19 est de seulement 0,26% des personnes infectées (il n’a jamais été de 3%) et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations du à la Covid-19 étaient dues à des complications liées à une obésité sévère.

Donc, si vous n’avez pas plus de 65 ans et que vous n’êtes pas un gros tas de graisse dégoûtant, vous n’avez pas grand-chose à craindre des statistiques sur la Covid-19. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, vous avez environ 0,26 % de chances de mourir si vous êtes infecté. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

En résumé, le virus de la Covid-19 ne constitue pas une menace pour la grande majorité des gens, mais il existe un grand groupe d’obsessionnels qui semblent vouloir en avoir peur de toute façon, ou qui veulent simplement que nous ayons peur.

La vertu ostentatoire  autour des vaccins est de plus en plus bizarre. On trouve de nombreuses vidéos sur YouTube, des vidéos sur TikTok, des articles et des messages sur les médias sociaux de personnes qui proclament avec suffisance leur statut de « jab« , comme si elles venaient d’être touchées par la main de Dieu en tant qu’élues. En outre, l’idolâtrie de fraudeurs médicaux comme le Dr Anthony Fauci est digne d’intérêt. Si vous ne me croyez pas, vous pouvez voir quelques exemples ci-dessous :

https://www.youtube.com/embed/RAbPBW8vqN0?feature=oembed

Il semble que les SJWs essaient vraiment de normaliser les vaccins Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde le fait, vous risquez d’être exclu et isolé de la foule, et c’est une idée effrayante, non ?

Peut-être que je lis trop d’informations dans cette affaire, mais je détecte un sérieux désespoir derrière ce mouvement d’astro-turfing contre les « anti-vaccins ». Personne n’écoute le culte de l’Éveil, personne ne les aime et personne ne leur fait confiance pour être informés ou honnêtes dans leur agenda. Pourtant, ils exercent un pouvoir considérable dans notre société parce qu’ils sont soutenus par les gouvernements et les grandes entreprises. Leur relation avec l’establishment est symbiotique.

Cela ne veut pas dire qu’aucune de ces personnes n’est consciente de l’agenda sous-jacent. L’état d’esprit qui se cache derrière les signaux de vertu des vaccins peut être attribué à certaines fragilités de base dont souffre le gauchiste moyen :

Premièrement, ils ont l’habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d’autres termes, ils vénèrent le vaccin Covid en partie parce qu’ils le considèrent comme leur ticket pour apaiser le gouvernement et avoir accès à certains conforts. Malheureusement, ils ne réalisent pas que ces conforts peuvent être conquis à tout moment s’ils n’étaient pas aussi lâches.

Dans mon comté, les résidents ont ignoré les mandats Covid pendant la majeure partie de l’année dernière. Personne ne porte de masque. Personne n’utilise la distanciation sociale. Et plus de 70 % de la population n’est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l’année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et nous avons été libres tout ce temps parce que nous avons choisi de l’être.

Deuxièmement, les gauchistes argumentent toujours à partir de la position de « la majorité », même lorsqu’ils ne sont pas la majorité. La Covid-19 est un outil, comme un pied de biche psychologique utilisé pour faire levier sur la conformité, parce que la présomption est que c’est une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croque-mitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croque-mitaine ensemble, dans l’unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

« Nous vivons dans une société », crachent et ricanent les gauchistes avec arrogance, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS disons être le mieux pour tout le monde ».

Comme je l’ai déjà expliqué en détail ci-dessus, la Covid-19 n’est pas une menace pour tout le monde. Ce n’est même pas une menace pour plus de 0,26% des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou sous leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c’est juste l’excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle est ce qu’ils désirent le plus.

Comment puis-je le savoir ? Regardez l’effervescence qui entoure l’existence même des militants anti-confinements et des « anti-vaccins ». Regardez combien ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s’en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous prenons ou non le vaccin ? S’il fonctionne réellement, alors ils sont parfaitement à l’abri de nous, et lorsque nous mourrons tous d’une mort horrible à cause de la Covid-19, ils pourront dire « nous vous l’avions dit ».

Ce qu’ils craignent vraiment, c’est que nous ayons raison et qu’ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l’a été pendant toute la durée de la pandémie. L’OMS avait tort, le CDC avait tort, l’Imperial College of London avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques étaient inutiles. Il a été prouvé que les confinements étaient inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et, maintenant, la nécessité même des vaccins est remise en question.

En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions : Tout d’abord, le déploiement des vaccins ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d’articles sur « l’hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Cela me fait dire que beaucoup trop d’Américains refusent de se faire vacciner et que la propagande est donc poussée à son paroxysme.

Je soupçonne que la vertu ostentatoire du vaccin fait partie de cette campagne, ou du moins qu’il est encouragé par l’establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l’histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des gens » ? Ou voulez-vous être du « côté égoïste », du côté qui veut tuer la grand-mère, du côté qui est raciste, sexiste, méchant et répugnant ?

Une autre conclusion facile que nous pouvons tirer des médias est que ce problème ne va pas disparaître et que l’establishment a l’intention d’insister si nous continuons à le défier. Par le passé, j’ai vu la suggestion de la « force » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « force » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu’en vertu de cette loi, l’établissement pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

Nous savons tous que cela finira par une guerre, mais les élites ont besoin d’une proportion énorme de personnes favorables au mandat pour soumettre efficacement les individus épris de liberté. Ils ne l’ont pas et ça se voit.

Les adhérents à l’Éveil voient toute cette même propagande tous les jours ; ils entendent le message haut et fort : le système indique que les vaccins seront obligatoires, que ce soit par mandat gouvernemental ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour montrer leur allégeance à leur dieu (l’État), et ils agissent comme de bons petits fantassins pour gagner des points de vertu supplémentaires.

Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un vaccin expérimental, certaines d’entre elles étant scientifiques et d’autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur la sécurité de ces vaccins, y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les vaccins à ARNm tant que des tests supplémentaires n’ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d’effets à long terme sur la santé, notamment des troubles auto-immunes et d’infertilité.

La promotion de la thérapie génique à ARNm est essentiellement un essai expérimental géant utilisant les masses comme sujets d’essai involontaires. Nous n’avons vraiment aucune idée de ce que seront les conséquences au bout du compte, mais j’ai le sentiment que d’ici quelques années, nous verrons les résultats et qu’ils ne seront pas beaux à voir. Ce n’est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu’il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

Au-delà des nombreux problèmes de santé, il y a le problème de l’incrémentalisme. Une seule vaccination ne représente peut-être pas une grande menace. C’est peut-être un pari qui ne se termine pas si mal pour la plupart des gens. Mais qu’en est-il de la prochaine ? Et la suivante ? Qu’en est-il des 20 prochains vaccins ? Il y a maintenant une demi-douzaine de mutations différentes du virus de la Covid-19 qui sont mentionnées par le gouvernement et les médias comme étant potentiellement résistantes aux vaccins actuels et plus dangereuses que la première itération du virus.

Il s’agit sûrement d’un mensonge, mais cela montre bien que les mandats sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, ils ne prendront jamais fin. Ce n’est pas parce que vous êtes vacciné aujourd’hui que vous serez libre demain.

Et, avec chaque nouveau vaccin, surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d’une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire vacciner, mais le système va s’assurer que vous en souffriez jusqu’à ce que vous ne puissiez plus survivre sans le vaccin. Le vaccin est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

Le culte de l’Éveil adore ce genre d’environnement, cependant. C’est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ils aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle trouvent une justification et ont le champ libre. L’ironie frappante ici est que ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Elles trouvent confort et sécurité dans leurs chaînes. Le monde est un endroit effrayant, et pour y être indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d’apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

Les platitudes et les pontificats de la foule gauchiste sont une tentative d’éviter les tribulations de la vie réelle ; leur soumission à l’État, aussi douteux ou mauvais soit-il, est une tentative de se sentir à l’abri de leurs propres peurs irrationnelles, de leurs faiblesses et de leurs insuffisances. Comme l’a dit un jour l’auteur Robert Anton Wilson :

Les obéissants se considèrent toujours comme des vertueux plutôt que des lâches.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Tests PCR : la fraude méthodologique continue et s’aggrave

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les « infections de rupture » chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le CDC modifie les cycles d’amplification des tests de détection du Covid selon que la personne est vaccinée ou pas! Les normes varient donc à la tête du client.

Le but de la manœuvre est triple :

  • réduire le nombre de personnes infectées au Covid chez les vaccinés ;
  • continuer de stigmatiser les non-vaccinés pour les pousser à courir se faire injecter ;
  • montrer une amélioration de la situation grâce aux mesures totalitaires que l’ensemble des États ont adoptées sous l’égide de l’OMS, elle-même financée par la haute finance dont le délégué connu est Bill Gates.

Nous étions depuis des paquets d’années les otages de ces individus par la création monétaire contre dettes. Le problème est que depuis, ils ont fait des progrès en mettant la main sur notre santé.

Je rappelle que ces gens de la Planète finance accueillent dans leur haut lieu la mafia globalisée. Je vous remets ce passage de Dépossession pour tenter de susciter quelque chose en vous :

« Le problème est que ceux qui parlent d’un monde meilleur, où tout individu recevrait un revenu de base universel, où la propriété privée serait abolie, où la vie intime de l’humanité serait aussi transparente que celle du poisson rouge dans son bocal, omettent d’analyser le contexte global.  Celui-ci est celui d’une planète qui aura été privatisée à un niveau global. Certes peu tangible au niveau local, mais cela ne change rien au fait qu’elle serait aux mains de propriétaires et de leurs gestionnaires totalement inconnus, car cachés derrière des sociétés-écrans. 

Personne ne sait quel rôle y joueraient les membres de la mafia, par exemple.

Dans pareil environnement, l’humain pourrait bien être exploité à l’envi et le mot « servir » pourrait parfaitement laisser la place à « asservir ». La chose serait facile à implémenter grâce à la connexion permanente aux systèmes informationnels. L’arrivée subite de la technologie blockchain au lendemain de la crise des subprimes, la surveillance permanente par les entreprises de la technologie de la Silicon Valley, et la promotion du post-humanisme, sont des concepts clés qui nous indiquent la vision des nouveaux maîtres des lieux.À un journaliste de Science & Vie qui lui demande : « Quelle sera l’utilité des humains dans un tel monde ? Que ferons-nous de milliards d’humains sans valeur économique ? », Harari, professeur tout de même à l’Université hébraïque de Jérusalem, répond : 

« Nous ne savons pas. Nous n’avons pas de modèle économique pour une telle situation. Ce pourrait bien être la plus grande question économique et politique du 21e siècle. »

Dépossession-2018

Ces gens ont actuellement tous les pouvoirs et ils se rient des miséreux, des sans dents et autres bénéficiaires de l’aide sociale. Ils usent et abusent de la propagande bien sûr, mais aussi d’une manipulation méthodologique et scientifique crasse indigne de l’Occident. Il est temps que les intellectuels et les scientifiques de bonne volonté se démarquent de cette mascarade qui est en train de faire chavirer l’humanité.

Quand la revue Science jette un pavé dans la mare en admettant la probabilité que le virus a été fabriqué en labo, avez-vous vu quelqu’un réclamer une enquête? Est-ce qu’un média grand public a relayé l’information de manière massive?

Pourtant nous sommes concernés par sa genèse et son devenir! Or, on nous dit qu’il va devenir endémique et on nous en promet d’autres à venir. Tant qu’à faire!

Nous voyons bien aujourd’hui que l’humanité n’est plus au bord de la rupture, mais elle est en rupture. Le harcèlement quotidien est autorisé par des autorités intégrées au consensus supranational, dont l’OMS est un des représentants. Ami lecteur, nos autorités sont d’accord pour que nous soyons harcelés en permanence par des tricheurs qui s’en prennent à notre santé et surtout à celle de nos enfants.

Pour le moment, je vous laisse avec le CDC et ses tours de passe-passe méthodologique qui varient en fonction du citoyen.

Bref, le mot science n’est plus de mise. Otage est plus adéquat.

LHK

Merci à gmtmistral pour ce texte de zerohedge.com

Le CDC modifie les seuils de test pour éliminer virtuellement les nouveaux cas de COVID chez les vaccinés (Trad automatique Google)

Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,

Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections de rupture» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non-vaccinés.

Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d’enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l’impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.

Ils n’ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril/début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).

L’astuce consiste à signaler ce qu’ils appellent des «infections par rupture» — c’est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l’infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.

Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 — à ceux qui sont prêts à y prêter attention — était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:

  1. Tests faussement positifs.  Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
  2. Nombre de cas gonflé.  La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n’a jamais éprouvé de symptômes.

Sans ces deux politiques, il n’y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu’ils ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées.

Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu’ils testent des échantillons provenant d’«infections par rupture» présumées.

Extrait des instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l’État sur la gestion des «infections de percée possibles» (téléchargées sur leur site Web à la fin du mois d’avril):Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, 

ne soumettre

que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n’est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)

Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier allant jusqu’à 40.

[50 en Suisse, RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.]

Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n’avait aucun sens).Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n’acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu’une décision délibérée afin de réduire le nombre d’«infections par rupture» officiellement enregistrées.

Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».

C’est exact. Même si un échantillon collecté à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registres des infections par rupture qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.

Depuis leur site Web :À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l’identification et l’enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu’en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l’avenir.

Juste comme ça, être asymptomatique — ou n’avoir que des symptômes mineurs — ne comptera plus comme un «cas de Covid»  mais seulement si vous avez été vacciné.

Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu’à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.

Considérer…

La personne A n’a

pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l’absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».

La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu’ils ne sont jamais allés à l’hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.

La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d’hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, il ne s’agit donc pas non plus officiellement d’un cas Covid.

Le CDC démontre la beauté d’avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.

Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l’approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n’y aurait jamais eu de pandémie du tout.

Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non-vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.

Il s’agit d’une politique conçue pour gonfler continuellement   un chiffre et minimiser systématiquement   l’autre.

Qu’est-ce que c’est sinon un acte de tromperie évident et délibéré? (…)

Traduction automatique Google

Lire la suite ici : https://www.zerohedge.com/covid-19/caught-red-handed-cdc-changes-test-thresholds-virtually-eliminate-new-covid-cases-among

Rappel

RT-PCR, le professeur Greub du CHUV de Lausanne répond à nos questions. Interview.




Le compte est bon ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

Par Pierre Chazal

Depuis que la planète Terre s’est transformée, à la faveur d’une campagne de promotion vaccinale à faire rosir d’envie Apple©, Levi’s© et Coca-Cola©, en salle de shoot à ciel ouvert pour toxicos du monde entier, il se dit aux quatre coins de la galaxie chez nos amis extra-terrestres que le moment est peut-être venu d’aller nous rendre une petite visite. Eux aussi, si ça se trouve, ont quelques gadgets à nous refourguer dont ils n’ont plus l’utilité. Une crème magique contre les coups de lune ? Un aspirateur à poussière d’étoiles ? Si sept milliards d’êtres humains sont aussi pressés de s’injecter un produit expérimental pour un virus respiratoire dont personne ne sait ce qu’il deviendra d’ici six mois, c’est que la came doit être d’une qualité interstellaire.

La sensation d’euphorie, le rush et/ou les hallucinations n’apparaissent pourtant pas dans la liste des effets secondaires déclarés jusqu’à présent. Lou Reed nous a quittés trop tôt pour nous livrer son sentiment. Eric Clapton, lui, est déjà passé à confesse et s’est même fendu d’une chanson. Il a récemment écrit dans une lettre reprise dans tous les aucun média mainstream : « J’ai pris la première piqûre d’AZ et j’ai tout de suite eu de graves réactions qui ont duré dix jours. J’ai fini par me rétablir et on m’a dit qu’il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième injection… Environ six semaines plus tard, on m’a proposé et j’ai pris la deuxième injection d’AZ, mais avec un peu plus de connaissance des dangers. Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis, pratiquement inutiles pendant deux semaines, je craignais de ne plus jamais jouer. Je souffre de neuropathie périphérique et je n’aurais jamais dû m’approcher de l’aiguille. Mais la propagande disait que le vaccin était sûr pour tout le monde… »

La pureté et l’innocuité du produit étant encore à l’étude jusqu’à la fin des essais cliniques (21 février 2023 pour AstraZeneca, 27 janvier 2023 pour Pfizer BioNTech), on attendra la confirmation de Dave Gahan et Keith Richards pour se prononcer sur la question. Tout ce qu’on sait, pour l’instant, c’est qu’on ne sait rien, pour paraphraser l’ami Montaigne. « Le monde est une branloire pérenne », écrivait-il dans ses Essais. Au vu des évènements de l’année écoulée, on ne s’amusera pas à le contredire.

Guérir, c’est prédire

Qu’adviendra-t-il, première question, du virus de Wuhan et de ses multiples rejetons dans les années à venir ? Un, deux, trois petits tours et puis s’en vont ? Dans l’éventail de prophéties à qui l’on fait faire la danse du paon sur tous les plateaux télé, c’est de loin l’hypothèse la moins souvent envisagée. Ce fut pourtant le destin des H1N1, H2N2 (grippe asiatique) H3N2 (grippe de Hong Kong), MERS et autres SRAS qui, il est vrai, n’étaient pas suspectés d’avoir foutu le camp d’un laboratoire. Rien ne permet pour autant d’établir avec certitude que la petite bête sévira pour les siècles à venir ni qu’elle fauchera tout sur son passage sous forme de variant chilien ou javanais dopé aux amphétamines.

Autre question – et non des moindres, quelle sera l’efficacité réelle des vaccins quand, à l’automne et l’hiver prochains, le temps des promos, des spots de pub, des écrans géants, des vaccinodromes et des injections en musique aura cédé la place au temps de la vraie compète, celle qui envoie irrémédiablement au tapis les malfichus et les malchanceux de ce monde sans égards particuliers pour leur passeport sanitaire ou leur foi inébranlable en Notre-Dame-du-Vaccin ? Selon Santé Publique France, les épisodes de grippe saisonnière ont causé en 2015, 2017, 2018 et 2019 respectivement 18 300, 14 400, 13 000 et 8 100 décès, pour des taux de couverture vaccinale de 46,1%, 50%, 49,7% et 51%. Difficile donc, en vérité, d’établir le prélude d’un début d’amorce de lien de causalité entre létalité et vaccination dans le cas particulier de l’influenza.

Notre Sars-Cov-2 est très différent, nous dit-on, ce que même Saint-Thomas ne demanderait qu’à croire. Le problème, c’est qu’après nous avoir foutu sur la gueule à H24 des masques complètement inutiles, vendu des confinements et des couvre-feux contreproductifs sur bien des points, un simple d’esprit serait tenté de ne pas cosigner des deux pieds la fable journalistique selon laquelle la campagne de vaccination massive aurait brisé net la dernière vague épidémique. Les courbes de décès et de contaminations se cassent la gueule aux quatre coins de l’Europe et de l’Amérique du nord avec des taux de vaccination pour le moins très disparates d’un pays à l’autre (32% de primo-vaccinés en France, 56% au Royaume-Uni, 9% en Macédoine, 3% en Biélorussie, 48% aux USA, 22% en Lituanie…), et la situation épidémique ressemble, presque au jour près, à celle d’il y a un an quand tout avait rouvert sans restrictions et sans vaccin. Il est vrai qu’il est difficile de vendre ce qu’on n’a pas encore en stock, et que ce qui valait hier pour les masques et les tests vaut aussi bien, aujourd’hui, pour les vaccins. Dans ce monde étrange qu’est devenu le nôtre, la ligne de démarcation extrêmement ténue entre inutile et essentiel tient tout autant – si ce n’est davantage – à l’état de l’offre qu’à celui de la demande.

Jackpot et courts-circuits

Ce qu’on sait tout de même, d’ores et déjà, c’est que Pfizer, Moderna et AstraZeneca vont se faire des couilles en or massif. 900 millions de dollars pour Pfizer au premier trimestre 2021, c’est un bon début pour une entreprise dont la réputation n’est plus à faire en matière de scandales sanitaires. Moderna a vendu sur la même période pour 1,7 milliard de son élixir de jouvence, contre « seulement » 275 millions de dollars pour AstraZeneca. Dans le même temps, par un pur hasard du calendrier, le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre en France en 2021 le record historique de 38,5 milliards d’euros. « Cette dégradation brutale et sans précédent, conséquence de la crise sanitaire et économique, conduit au déficit le plus élevé jamais enregistré dans l’histoire de la sécurité sociale », a fait savoir mi-mars le ministère de la Santé. Il est vrai qu’on ne remplit pas de verres sans vider la carafe et qu’il serait dommage de gaspiller du fric en impulsant une véritable politique de santé publique, pérenne et plurivertueuse, quand il suffit, à chaque épidémie, de sortir le stylo et le carnet de chèques pour faire mine d’affronter l’orage devant les caméras de France 2.

En 2009, déjà, notre Roselyne Bachelot nationale, dame patronnesse de la culture confinée, des sports interdits et de la santé chancelante, avait acheté pour deux milliards d’euros de vaccins H1N1 à… AstraZeneca, qui a dû trouver comique de la retrouver sur sa route puisqu’elle avait été, entre 1969 et 1976, déléguée médicale d’ICI Pharma dont la branche pharmaceutique deviendra autonome en 1993 sous le nom de… Zeneca avant de fusionner six ans plus tard avec le suédois Astra. La France recensera au final, officiellement, 349 décès attribués au virus A-H1N1 et quelque 200 cas de narcolepsie-cataplexie induits par la vaccination dont certaines victimes, onze ans après, attendent toujours l’indemnisation promise par les autorités sanitaires en cas d’effets secondaires. La même année (loi Bachelot de 2009), rappelons-le, la divine Roselyne érigeait en mode de gouvernance l’association du mercantilisme et du bureaucratisme qui consacrait la main mise des ARS sur le système de soins hospitaliers. André Grimaldi, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, regrettait amèrement dans une tribune du 3 avril 2012 les conséquences déjà visibles de ce petit meurtre entre amis, lui pour qui les directeurs des agences régionales de santé avaient toute l’étoffe pour devenir « de véritables préfets sanitaires aux ordres du gouvernement. »

L’avantage de cette approche (on ferme des lits pour les malades, on centralise à mort et on vaccine tous les bien-portants) est qu’elle correspond exactement à l’idée de la médecine que se font Bill Gates et ses copains de l’Amicale de la Seringue. Dans un rapport fleuve datant de 2015 intitulé Philanthropic power and development. Who shapes the agenda ?, voilà-t-il pas que l’on apprend :

« Le fait que la fondation Gates priorise les solutions vaccinales pour les divers problèmes de santé publique reflète sa préférence pour les interventions courtes, mesurables et avec une forte visibilité. L’un des représentants de la GAVI a rapporté que Bill Gates lui confiait souvent dans des conversations privées qu’il était fermement opposé aux systèmes de santé. Il est même allé jusqu’à dire que c’était du complet gaspillage, qu’il n’y a aucune preuve que cela fonctionne, et que donc il ne dépenserait pas un centime pour le renforcement des systèmes de soins. »

En termes marketing, on appelle ça la top-down approach, et on ne trouvera pas étonnant de la voir relayée quasi telle quelle dans un article d’Hervé Morin paru dans le journal Le Monde (financé copieusement par Bill Gates) intitulé crânement : « Covid-19 : La France a-t-elle trop de lits de réanimation ? » Quand on en est à écrire ça, c’est vraiment qu’on est au-delà du foutage de gueule et qu’on considère la population si crétine et analphabète qu’on pourrait tout aussi bien lui intimer l’ordre d’acheter des tubas et des bouteilles à oxygène chez Decathlon pour s’intuber à la maison.

La théorie du hold-up

Ceci étant posé, pour réussir son coup et imposer son juteux modèle aux quatre coins de la planète, Big Pharma a dû composer avec un paramètre qui souvent cause la perte des brigands trop présomptueux : le temps. Dans tous les films de braqueurs (Heat, Point Break, Ocean 11…), les interventions sont minutées et calibrées au détail près pour que le butin soit sécurisé avant l’arrivée de la police. Quand ça tourne mal, que le temps vient à manquer, c’est le carnage assuré.

Dans son livre joliment nommé La société du Hold-up (2012), Paul Vacca décrit un monde financiarisé à outrance, basé sur la quête ultra-rapide du profit, où « l’homme est devenu un braqueur pour l’homme » et se révèle prêt à tout pour s’enrichir en un temps record. Le génie disruptif d’Apple, Google ou Facebook repose, écrit-il, sur une logique de coup qui bouleverse la donne et réinvente de nouveaux codes pour créer ex-nihilo un marché tout beau, tout neuf qu’ils n’ont plus qu’à inonder de leurs joujoux ultra-modernes. Les fabricants de vaccins du nouveau Big 4 de la médecine quantique (Pfizer, Moderna, AstraZena, Johnson & Johnson) sont en passe de réaliser le même tour de force, à l’aide de produits résolument innovants et d’une force de frappe médiatique sans équivalent dans l’histoire de la publicité et du merchandising. Encore faut-il que leur stratégie se montre à la hauteur des enjeux.

L’accélération fulgurante de la campagne d’injections de masse en Europe et en Amérique du Nord répond, à ce qu’on en observe pour le moment, à la logique des Blockbusters, qui visent à faire main basse sur l’audience avant même que la critique ou le bouche à oreille n’aient eu le temps de s’exercer. Une variante du Hit & Run qui fait sens dans un environnement hautement instable susceptible d’altérer du jour au lendemain la perception du produit, de son utilité comme de son efficacité. Face à une situation de fléchissement épidémique généralisé qui aurait pu se révéler fatale à Big Pharma, conditionner à la vaccination le fait que les gens puissent partir bouffer des tapas en Espagne constitue la stratégie gagnante pour une industrie qui sait qu’elle ne dispose que d’une fenêtre de tir réduite pour écouler sa marchandise. Créer l’urgence là où il n’y en a pas, c’est tout le génie marketing de ceux qui savent depuis que le dollar existe que tordre le réel et réinventer l’avenir conditionnent le besoin et commandent au désir. Laisser le train passer, en revanche, c’est prendre le risque de rester à quai avec ses bagages sans certitude d’en voir arriver un autre avant des lustres.

Sur la chaîne très covid-friendly CNN, une experte en vaccination lâchait ainsi en direct au mois d’avril : « Nous devons expliquer clairement aux gens que le vaccin est le ticket de retour à leur vie d’avant la pandémie. La fenêtre de vaccination est très étroite, avec tous ces états qui rouvrent tout à 100%, pour conditionner les réouvertures au statut vaccinal. Sinon, si tout rouvre librement, qu’est-ce qu’on va avoir comme carotte à offrir aux gens ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ? C’est pourquoi le CDC doit adopter une position plus ferme et dire : ‘Si vous êtes vacciné, vous pouvez faire ce que vous voulez. Toutes ces libertés que vous aviez, vous pourrez les retrouver.’ Sinon, les gens vont commencer à sortir et profiter de la vie sans être vaccinés. »

Un avenir incertain. Un produit en phase expérimentale. Une fenêtre de tir réduite. Un paquet de pognon à sa faire à condition de bien jouer le coup. On reconnaîtra peu ou prou le destin marketing du film Les Dents de la mer (sorti en1975) ainsi décrit dans le livre de Paul Vacca :

« Tout s’annonçait pour le mieux. Pourtant, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Une grande malédiction s’abat sur le film : Bruce, le requin mécanique confectionné à grands frais pour le film, ne veut pas fonctionner, manquant même d’estropier un technicien ; la météo s’y met aussi ; le retard s’accumule, le tournage déborde sur la période estivale. Le budget explose : il est multiplié par trois. Et pour arranger le tout, les plans tournés avec le requin sont inexploitables. De plus, comme le film s’est fait au jour le jour, de nombreuses séquences sont quasiment impossibles à monter. Au visionnage des rushs, les patrons d’Universal Pictures s’arrachent les cheveux : ‘C’est ça le film qui est censé faire peur à tous ? !?’

Spielberg humilié tente ce qu’il peut pour sauver le film au montage. Mais la panique s’est définitivement emparée des dirigeants de la major. C’est alors qu’ils ont l’idée d’un stratagème pour limiter la casse : tâcher de faire au moins un premier week-end honorable. Ils décident alors – fait inédit pour un film – d’acheter de l’espace publicitaire dans les networks américains pour 700 000 dollars, ce qui à l’époque représente une somme hallucinante. Ils distribuent d’emblée le film sur une très large combinaison de salles alors que l’habitude voulait que l’on fasse monter le nombre de salles en puissance. Leur but : récolter le maximum d’entrées durant le premier week-end avant que le bouche-à-oreille, qu’ils présagent désastreux, ne décourage tout le monde. Ce sera toujours ça de gagné… »

L’avenir leur donnera en partie raison (énorme succès à sa sortie) et en partie tort : le savoir-faire de Spielberg assurera au film une solide postérité. Mais ils avaient compris qu’avec des cycles de plus en plus courts de présence des films à l’affiche, le gigantisme avait de l’avenir, ce que nos professionnels de la vaccination planétaire ont compris également. Avancer moins vite qu’ils ne le font sur le calendrier vaccinal, ce serait méconnaitre la durée de vie limitée de l’effet d’appétence, surtout pour les plus jeunes sans aucune comorbidité et qui ont dû sans le savoir rencontrer dix ou quinze fois le virus sans éprouver autre chose qu’un mal de tête ou une fatigue passagère. Sur son fil Twitter, l’avocat Fabrice Di Vizio s’extasiait le 19 mai de la clairvoyance de sa fille avec ce message admiratif : « Ma fille de 17 ans : la vaccination, c’est comme la mode, tu payes des influenceurs pour faire acheter des trucs que personne n’aurait jamais acheté ! Ça donne l’impression d’être cool. Quand t’es vacciné, on te fait croire que t’es cool, t’es pour la science. » De là à basculer dans le monde des produits dérivés, des pin’s et tee-shirts « je suis vacciné.e » au concours de selfies manches retroussées sur Instagram, il n’y a qu’un pas que Pfizer & co auraient tort de ne pas franchir, histoire de surfer tout l’été sur la vague de solidarité universelle née au printemps dernier.

Lequel d’entre nous, parmi les plus réfractaires au Smartphone, à Facebook ou Google, n’a pas fini par se mettre à la page et succomber parfois malgré lui, d’une façon ou d’une autre, aux sirènes de la modernité ? Qui n’avance pas recule, au 19ème siècle comme aujourd’hui, et la pression de l’environnement technologique et sociologique est souvent une force irrésistible qui broie les résistances des plus têtus objecteurs de progrès, pour reprendre le bon mot de Pierre-Yves Rougeyron.

Un pont trop loin ?

La question qui demeure, néanmoins, dans le cas de ces vaccins expérimentaux à l’efficacité et aux effets secondaires inconnus sur le long terme, c’est de savoir quand nos joueurs de poker bienfaiteurs de l’humanité vont considérer qu’il est temps de se lever de table et d’encaisser leurs jetons avant que le casino sonne l’alarme générale. Il commence à se dire, ici ou là, que des vaccinés se contamineraient aussi bien que les autres tandis que certains mourraient du vaccin comme d’autres étaient morts auparavant du virus – c’est-à-dire sans pouvoir en apporter formellement la preuve. Les certificats de décès, en ces temps de contrebande, font l’objet d’une attention inédite de la part des diverses parties en présence. Des plaintes commencent à remonter, des doutes germent ici ou là sur la véracité des chiffres avancés par les autorités pour justifier leur politique d’injections à la chaîne. Bref, si le temps se gâte au propre comme au figuré et que la météo sanitaire en vient à contredire les prédictions autoréalisatrices des caïds en blouse blanche envoyés par les cartels du médicament, il pourrait être plus prudent pour eux de remballer la marchandise avant que les vrais problèmes ne commencent.

La courbe de vaccination d’Israël, pays pilote de l’expérience vaccinale, tendrait ces dernières semaines à plafonner autour des 62% de primo-injectés. Il n’est pas impossible que l’asymptote soit proche d’avoir été atteinte, et menacer les récalcitrants de les attacher aux roues d’un char pour aller faire la guerre au Hamas dans la bande de Gaza risque d’être mal perçu même par Gérard Leclerc, Christophe Barbier ou Brigitte Milhau. Si le même phénomène s’observe au Royaume-Uni, aux USA ou en Allemagne, il serait risqué de tenter le passage en force par le biais, par exemple, de la vaccination des enfants. Des psychopathes comme Karine Latombe ou Arnaud Fontanet, en France, ont déjà franchi le Rubicon histoire de tâter le terrain, et d’autres voix se sont déjà fait entendre en Amérique et en Europe pour murmurer cette éventualité. C’est un terrain si glissant que même Angela Merkel – qui n’a jamais approché un enfant de sa vie – ferait mieux de s’en tenir, pour éviter le faux pas, à ce qui est actuellement écrit noir sur blanc sur le site du gouvernement fédéral allemand :

« Aucun vaccin n’est actuellement approuvé pour les enfants et adolescents jusqu’à l’âge de 16 ans. Le vaccin de Biontech / Pfizer peut généralement être utilisé chez les jeunes de 16 ans et plus. L’approbation des vaccins pour les enfants est extrêmement délicate. Par exemple, il faut d’abord clarifier suffisamment que les vaccins sont sans danger pour les adultes. Ce n’est qu’alors que des études pourront être menées sur l’applicabilité chez les enfants. »

Tout porte raisonnablement à croire que Big Pharma saura retenir ses chiens et les rappeler à la niche face une fronde généralisée des mères de famille du monde entier. L’instinct de survie de l’espèce et l’amour maternel restent encore aujourd’hui des forces trop prodigieuses pour succomber aux coups de boutoir de la corruption, de l’hystérie de contrôle et de l’ubris des Dr Frankenstein et Folamour qui ont ouvert la boîte de Pandore sans plus trop savoir comment la refermer. Il faut dire qu’avec une moyenne annuelle de quatre millions de morts par infections respiratoires, nos bons docteurs auront du mal à nous revendre chaque hiver la même dystopie prométhéenne. On ne se baigne jamais deux fois, disait Héraclite, dans les eaux du même fleuve. La meilleure chose à faire, pour recréer une panique à la hauteur de nos attentes, serait plutôt de sortir un deuxième remake de l’Invasion des Profanateurs (1956 puis 1979). Des plantes extra-terrestres venues nous cloner pendant notre sommeil et remplacer l’humanité entière par des créatures dépourvues d’émotion et changées en automates, voilà un script qu’une année de confinements, d’évitements, de défiance et de déshumanisation nous aura préparés à accueillir dans la joie de nos vies retrouvées. Et si la prochaine dystopie, d’ailleurs, pouvait venir des extra-terrestres, elle ne pourra jamais être plus hideuse que les rictus de Bill Gates ou les mimiques de Karine Latombe.


https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-19/covid-19-pourquoi-lhypothese-dune-fuite-du-virus-dun-laboratoire-nest-pas-ecartee-a3fc216b-1dbb-4731-891f-de9f5b501c55

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/a-colmar-la-vaccination-contre-le-covid-19-se-deroule-en-musique_4614615.html

https://fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/

https://www.grandforksherald.com/newsmd/coronavirus/6824462-North-Dakota-got-a-mask-mandate-South-Dakota-didnt.-COVID-19-cases-have-plummeted-in-both

https://www.sortiraparis.com/news/coronavirus/articles/240384-vaccine-in-the-world-as-of-datadatestodayfrlatest-the-percentage-of-people-vacci/lang/en

https://www.courrierinternational.com/article/le-chiffre-du-jour-pfizer-gagne-900-millions-de-dollars-au-premier-trimestre-2021

https://www.msf.fr/actualites/les-fausses-accusations-de-pfizer

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/le-cytotec-medicament-de-pfizer-retire-du-marche-et-nouveau-scandale-sanitaire_507478

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/coronavirus-moderna-releve-sa-prevision-annuelle-de-ventes-de-son-vaccin-1961771.php

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/astrazeneca-les-ventes-du-vaccin-atteignent-275-millions-de-dollars-au-1er-trimestre_762794

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/covid-19-demissions-en-serie-des-infirmieres-a-l-hopital-apres-la-crise-sanitaire-on-va-affronter-une-crise-sociale-2034976.html

https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html

https://pharmacritique.com/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-au-moins-12-ans-au-service-de-lindustrie-pharmaceutique-source-de-conflits-dinterets-par-exemple-dans-la-vaccination-massive-contre-la-grippe-a-h1n1/

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

https://destinationsante.com/grippe-pandemique-combien-de-morts-en-france.html

https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/517294-la-loi-bachelot-a-fait-de-l-hopital-une-entreprise.html

https://archive.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Philanthropic_Power_online.pdf

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/11/covid-19-la-france-a-t-elle-trop-de-lits-de-reanimation_6079812_3232.html

https://www.youtube.com/watch?v=kYyejHNRWyw

https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

https://www.healthline.com/health-news/when-will-covid-19-vaccines-be-available-to-children-under-12

https://www.lci.fr/societe/covid-19-la-vaccination-des-enfants-et-ados-devient-elle-incontournable-2185469.html

https://www.bundesregierung.de/breg-de/suche/corona-gefaehrlich-fuer-kinder-1882974

https://www.lexpress.fr/actualites/2/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_934943.html

https://www.allmovie.com/movie/invasion-of-the-body-snatchers-v25289




La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ?

Par Nicole Delépine

Une armée de grandes entreprises biotechnologiques utilise des tactiques psychologiques pour « créer une demande de vaccins(([1] https://www.lifesitenews.com/news/an-army-of-big-biotech-companies-is-using-psych-tactics-to-create-vaccine-demand 7 MAI 2021)) », analyse Céleste McGovern dans son article du 7 mai 2021. Nous l’avons lu avec intérêt et reconnu ce que nous vivons en France quasiment à la lettre. Nous vous en livrons ici les principaux extraits pour nous aider à comprendre ce qui arrive à notre entourage privé et/ou professionnel.

Nous sommes nombreux à nous demander quelle folie furieuse pousse tant de gens apparemment censés à se ruer vers des pseudo vaccins expérimentaux, aux effets — à court et surtout à long terme — inconnus pour une maladie en voie de disparition et qui surtout tue peu(([2] En tous cas moins que la grippe asiatique qui n’a pas été utilisée pour créer la panique et imposer des mesures antidémocratiques)) en dehors des personnes très âgées ayant déjà dépassé l’espérance de vie moyenne.

Non, vos amis, vos relations, nous-mêmes… ne sommes pas fous, mais victimes d’une monstrueuse entreprise de manipulation bien rodée et efficace. Pour notre malheur à tous, si nous n’arrivons pas à nous réveiller et nous faire revenir à la réalité des faits avérés.

Pauvre Sidonie

Ainsi comment expliquer que notre amie Sidonie qui vient de perdre son père brutalement trois jours après sa première injection de Pfizer se fasse vacciner quand même, alors qu’elle n’a que trente ans et donc aucun risque de mourir du covid, en tous cas beaucoup moins que lorsqu’elle traverse la rue ?

Bien sûr, le médecin de Sidonie appliquant les recommandations du conseil de l’ordre fidèle à ses antécédents vichyssois lui a affirmé que rien ne prouvait que le vaccin soit responsable. Simple coïncidence temporelle ! Dormons tranquille, sans signalement d’effet secondaire par le médecin (dissuadé par les démarches administratives et sa peur de passer pour un antivax(([3] Car comme l’a rappelé une ministre de la santé aux députés « en France la vaccination ne se discute pas »))) ni par la famille (qui ignore qu’elle pouvait le faire directement à l’agence française, et/ou européenne). La fréquence importante des non-signalements fait supposer que les 10 000 décès recensés par l’EMA et publiés sur Eudravigilance sont très sous-estimés parce que beaucoup de Sidonie sont crédules et se taisent et ne croient pas à ces documents pourtant très officiels.

Bref, Sidonie est une fille intelligente, mais aveuglée par la propagande mondiale massive. Et puisqu’on le préconise partout, n’est-ce pas ? Que s’est-il passé ?

LE DÉBUT DE LA MANIPULATION AUX USA

Les USA sont inondés par un excédent de vaccins contre le coronavirus, car l’épidémie est en forte régression depuis janvier 2021, bien avant que la vaccination qui touchait à cette époque moins de 5 % de la population puisse infléchir l’évolution de la maladie. Le nombre hebdomadaire de contaminations est passé de 1 745 361 dans la semaine du 4 janvier à 235 638 dans la semaine du 11 mai entraînant la suppression des mesures sanitaires dans la majorité des États, le refus du pass vaccinal et une baisse soudaine de la demande vaccinale.

Pour éviter la perte brutale d’un marché si prometteur, une armée d’agences de communication a été mobilisée pour combattre « l’hésitation vaccinale ». Elle utilise un marketing de masse pour « créer de la demande » en utilisant la surveillance, l’analyse rapide des données, le contrôle des médias, et une foule de stratégies de contrôle du comportement décrites dans leurs livres de jeux comportementaux.

LES CENTRES DE VACCINATION LARGEMENT DÉLAISSÉS

Aux USA, la demande chute après une phase de vaccination importante : 40 % de la population adulte aurait été entièrement vaccinée, selon les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC). La demande a chuté de 25 % après un pic à la mi-avril, et que 56,4 % des adultes aient reçu au moins une dose. Mais cinq millions de personnes — environ huit pour cent de ceux qui ont pris une première dose — ont boudé leurs rendez-vous de deuxième dose, selon les CDC.

Le stock excédentaire de vaccins s’accumule partout au pays. Chaises vides dans un site de vaccination de masse de Philadelphie où 4 000 doses inutilisées de vaccins devaient expirer. Un million de doses, représentant le quart des doses envoyées en Louisiane par le gouvernement fédéral, étaient en attente de volontaires.

Un comté du Wyoming a demandé à l’État d’arrêter l’expédition des vaccins. La Caroline du Nord a fermé ses cliniques de vaccination faute de demande.

« Pour la première fois, nous avons eu des rendez-vous dans de nombreux sites de vaccination non remplis », a déclaré pour le comté de Los Angeles, le directeur de la santé publique Barbara Ferrer lors d’un point de presse début mai. « Il y a beaucoup de gens ici qui ne veulent plus recevoir le vaccin », a dit Ralph Merrill, un ingénieur qui siège à un conseil d’administration du comté de l’Alabama.

LA PEUR DU VACCIN DÉPASSE LA PEUR DU VIRUS

Beaucoup d’États américains républicains ont utilisé les traitements précoces efficaces(([4] Harvey Risch Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis Am J Epidemiol. 2020 27 mai)) et cet élément, jamais évoqué, contribue sûrement au rejet du vaccin perçu comme inutile aux citoyens informés.

« De nombreux médias traditionnels s’inquiétaient de “l’hésitation vaccinale”, blâmant « le négationnisme covid-19« , les « théories du complot » et les partisans de QAnon, les partisans de Trump et la méfiance des minorités à l’égard du gouvernement avec son histoire brutale d’eugénisme raciste. » 

Bien d’autres explications pourraient être à l’origine de ce scepticisme par rapport au vaccin : beaucoup ne croient plus à l’efficacité du vaccin et surtout depuis que Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à Yale a révélé que d’après de nombreux médecins la majorité des personnes atteintes récemment du covid-19 avaient déjà été vaccinées(([5] https://www.lifesitenews.com/news/yale-public-health-professor-suggests-60-of-new-covid-19-patients-have-received-vaccine))!

La connaissance progressive des effets secondaires dissuasifs

Oubliée aussi la principale raison du refus de vaccin citée par 45 % des sondés en mars par le Groupe Delphi pour les chercheurs de Facebook, la crainte d’effets secondaires.

Les effets indésirables signalés fin avril 2021, 118 746 au total rien que pour les États-Unis, dont 3 410 décès et 1 595 incapacités permanentes, sont un moyen de dissuasion légitime.

L’arrêt brutal en Afrique du Sud et dans plusieurs états européens du vaccin d’AstraZeneca pour son taux élevé de complications graves et la pause du Johnson and Johnson n’a rien fait pour rassurer.

« Beaucoup de gens craignent simplement le nouveau vaccin plus que le nouveau virus qui, selon les CDC, a un taux global de survie de 99,4 % pour les personnes âgées de 50-65 ans qui attrapent l’infection.

Les risques augmentent à mesure que les gens vieillissent, mais diminuent si les gens sont plus jeunes. Pour les moins de 18 ans, le taux de létalité du coronavirus estimé par les CDC est de 0,000 02, ce qui se traduit par un taux de survie covid de 99,98 %.

En fait, pour les moins de 18 ans, les chances à vie d’être frappés par la foudre sont plus élevées que les chances de mourir du virus. »

LE FORCING DE L’ADMINISTRATION BIDEN

Pourtant l’administration Biden comme l’UE fait le forcing pour vacciner. Biden  veut que 70 % de tous les Américains obtiennent leur première dose d’ici le 4 juillet. Il vise particulièrement les jeunes alors que ce vaccin n’a aucun intérêt pour eux.Il n’hésite pas à mentir en prétendant « se faire vacciner non seulement vous protège, mais réduit le risque de donner le virus à quelqu’un d’autre », ligne classique de « marketing social », script d’une industrie mondiale des experts du changement de comportement obligeant les gens à plier.

Observatoire de la demande de vaccination(([6] Vaccination Demand Observatory)) (([7] « Together with UNICEF, the Vaccination Demand Observatory unites experts from multiple sectors to support global communities with increased vaccine demand and reduce the impact of misinformation »))

« L’Observatoire a été créé avec un groupe appelé “projets de bien public” (PGP) qui “conçoit et met en œuvre des programmes de changement de comportement à grande échelle pour le bien public”, en association avec l’UNICEF — qui a reçu 86,6 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates depuis 2020 — et l’Institut Yale pour la santé mondiale, subventionné aussi par Gates.

PGP (public good projects) a été fondée par Joe Smyser, universitaire en santé publique ayant suivi une formation au CDC et associé à Google et Facebook. Des membres du conseil d’administration comprennent des dirigeants de Merck Pharmaceuticals, Pepsi, Lévi-Strauss, le Advertising Council, Sesame Street, Campbell’s et TikTok. »

L’Observatoire gère un « tableau de bord bêta » de données et de ressources « destiné à certains professionnels de la santé publique mondiale ». Le site Web de PGP indique que grâce à « la surveillance des médias et les bots, l’organisation des médias sociaux de base ou le leadership de la pensée, nous déployons des ressources considérables et connexions à la communication pour le changement ».

Les bots — ou robots Internet, également connus sous le nom de robots d’exploration — peuvent numériser du contenu sur des pages Web partout sur Internet et créer des conversations et des commentaires automatisés.

« PGP surveille les conversations avec les médias liés au coronavirus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, afin de fournir aux organisations une expertise en temps réel en matière de santé publique et des conseils en matière de messagerie. »

« Le danger supposé de la maladie doit être souligné, car « si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter covid-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »

Ce groupe avait déjà fait la promotion de vaccins et avait développé la campagne #StopFlu, recrutant 120 influenceurs de médias sociaux dans les « communautés afro-américaines et latines à travers huit États », leur donnant des incitations à vendre à leur public les idées que la grippe est un problème grave et que les personnes en bonne santé ont besoin de vaccins contre la grippe.

L’Observatoire PGP vise à « atténuer la méfiance à l’égard de tous les vaccins ».

Vous reconnaissez à travers cette description les messages rabâchés 24 h/24 à la télé, sur les radios habituelles et même sur vos magazines y compris les messages subliminaux en haut d’écran sur n’importe quel programme. L’information équilibrée, factuelle, a disparu complètement au profit d’une propagande permanente, organisée et financée par les milliardaires au service de la Bourse et Big Pharma et de leurs intérêts.

Les « trois piliers » du programme de manipulation sont :

  • l’analyse de l’écoute sociale,
  • un programme de formation
  • un « laboratoire d’intervention d’acceptation des vaccins » (VAIL) pour « tirer parti de la recherche comportementale et sociale et des idées de l’écoute sociale » et développer des « messages d’incitation pour vacciner les gens contre ladite désinformation vaccinale ». Ceux-ci seraient « testés rapidement sur le terrain pour l’impact du ton, du format et du changement de comportement avant d’être mis en œuvre ».

L’INFODÉMIOLOGIE

En 2020, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a créé un nouveau domaine de santé publique appelé « infodémiologie » — la « science de la gestion de l’infodémocratie ».

Le PGP et l’UNICEF dirigent le « Programme de formation des infodémiologistes sur le terrain » basé dans les bureaux des pays de l’UNICEF, les bureaux gouvernementaux, et les bureaux d’autres « partenaires multilatéraux » afin de former des « gestionnaires infodémocratiques sur le terrain » afin de mener une « surveillance de la santé publique contre la désinformation » et de fournir ‘un soutien communautaire dans les « flambées de désinformation ».

LA PRÉTENDUE DÉSINFORMATION APPELÉE COMPLOTISME

Bien sûr, vous aurez compris qu’est qualifié de « désinformation » tout ce qui n’est pas le message décidé par les dealers de vaccins et leurs soutiens. Donc toutes les informations sur les faits avérés, les résultats réels concernant l’efficacité des vaccins et la réalité des effets secondaires sont considérées et nommées désinformation, complotisme, etc.

Vous avez tous su que Facebook a supprimé officiellement les posts et les comptes informant sur des effets secondaires des vaccins par exemple. Twitter a bloqué quelques jours des comptes ayant seulement rapporté l’information donnée par le ministre de la Santé français disant que le vaccin ne protège pas de nouvelles contaminations ni du Covid. Le ministre n’était pourtant pas devenu complotiste et il répondait à une demande du Conseil d’État fin mars.

Le réseau mondial de Big Biotech et la Normalisation de la Vérité tels qu’Orwell l’avait décrit

Parmi l’énorme réseau d’organisations et de programmes impliqués dans la commercialisation massive de la demande de vaccins — outre l’OMS, les CDC, l’UNICEF, le PGP et Yale — les principaux orchestrateurs reposent sur une nouvelle campagne internationale formée par un « nombre sans cesse croissant de partenaires des secteurs public et privé », y compris PGP, Google et BIO.

« Qu’il s’agisse de désinformation vaccinale ou de déni du changement climatique, nous assistons à une dangereuse souche de rhétorique anti-scientifique qui s’accroît en ligne », peut-on lire sur leur site Web. « Notre but est de couper les rumeurs et normaliser la vérité. »

Nous pouvons évidemment écrire rigoureusement le contraire, mais le monde d’Orwell est celui de l’inversion des valeurs (rappelez-vous la paix, c’est la guerre, etc..). Et la campagne provaccin covid n’y échappe pas. Examinons les acteurs de cette vaste manipulation mondiale en faveur de la vaccination anticovid par des médicaments en essai thérapeutique en cours (première évaluation 2023).

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Une énorme « association » de multinationales

  • BIO – Biotechnology Innovation Organisation (BIO), est la plus grande association de défense des biotechnologies au monde représentant des entreprises membres, y compris les fabricants de vaccins Pfizer Inc., Moderna Therapeutics Inc., Johnson & Johnson, Janssen Biotech et GlaxoSmithKline, ainsi que de grandes entreprises agricoles comme Monsanto et des institutions universitaires et des « organisations connexes ».
  • Le projet RCAID créé par PGP pour « Rapid Collection Analysis Interpretation and Dissemination » — fournit « un suivi médiatique en temps réel avec des analyses quotidiennes d’experts en santé publique ».
  • Zignal Labs une « plate-forme d’intelligence des médias » pour « concevoir des messages » et « prendre le contrôle de récits menaçants avant qu’ils n’émergent ».
  • Family Health International ou FHI 360(([8] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world.)) :

« organisation qui utilise la psychologie sociale, l’anthropologie, l’économie comportementale, le marketing social et d’autres sciences comportementales » pour effectuer des changements de comportement chez les populations.

Elle a reçu des dizaines de millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates pour « créer une demande de contraceptifs à action longue » dans les pays pauvres. Ses donateurs comprennent également les CDC, la Banque mondiale et le fabricant de vaccins Johnson & Johnson. Il est maintenant associé à créer une demande de vaccins covid-19. »

Nous constatons l’énorme réseau d’entreprises plus riches les unes que les autres, organisé pour manipuler nos cerveaux à travers une ingénierie sociale très élaborée.

LA GESTION INFODÉMOCRATIQUE

Jeff French, professeur à l’Université de Brighton et auteur de Strategic Social Marketing : For Behaviour and Social Change,(([9] Strategic Social Marketing: For Behaviour and Social Change Second Edition by Jeff French and Ross Gordon )) dont le texte est mentionné dans la plupart des guides de marketing de masse des vaccins, domine le sujet. Ses conseils ont inspiré une grande partie de la vente standard du vaccin pandémique :

« Une campagne efficace contre l’hésitation vaccinale devrait se concentrer sur les dangers de la maladie » et « s’appuyer sur le puissant facteur de motivation de la peur de la perte ainsi que sur la possibilité d’un gain de santé positif »

Faire appel aux émotions puisque les données seules ne suffiront pas.

Ne placez pas les événements indésirables au centre des « efforts de création de la demande », mais « assurez-vous de les contextualiser » et aidez le public à comprendre que « la plupart seront rares et de durée limitée ».

« Toute stratégie de gestion et d’engagement des médias qui est élaborée devra inclure des points de presse proactifs et roulants, la génération d’histoires, les flux éditoriaux… et devra également inclure des systèmes de surveillance des médias 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et des systèmes de réfutation et de correction. »

PROPAGANDE MONDIALE COORDONNÉE : GOEBBELS EN SERAIT JALOUX

Ces messages américains correspondent complètement au schéma de propagande suivi par les médias français et rien ne doit vous surprendre dans cet exposé, en dehors du fait qu’ils sont tellement bien préparés et bien organisés, qu’ils démontrent, si besoin en était, qu’il n’y a aucun rapport dans ces arguments avec un quelconque problème sanitaire, mais bien uniquement un projet marketing.

Les citoyens qui travaillent dans le commerce auraient dû pouvoir s’en rendre compte plus rapidement que la personne lambda qui ne connaît rien à la stratégie de vente de Nutella ou d’aspirateurs.

Mais ici l’entreprise de conditionnement de la population mondiale est telle qu’ils n’en ont peut-être pas vu le lien… Probablement trop énorme, trop monstrueux, pour que nos cerveaux normaux, non pervers, puissent l’accepter. Vraiment incroyable.

Le programme d’intoxication mondiale se poursuit par les conseils suivants :

  • « Les autorités devraient avoir des « accords » sur “comment et quand les informations considérées comme trompeuses et les défenseurs de ces informations devraient être supprimés et signalés comme étant problématiques sur les médias sociaux” ».
  • « Répéter un message positif qui met l’accent sur les avantages protecteurs (individuels, familiaux et communautaires) du vaccin et sur la perte associée au fait de ne pas être vacciné (décès, mauvaise santé, perte de liberté et de solidarité sociale, incapacité de voyager », etc.)
  • « Être partenaire » avec l’industrie pharmaceutique, et d’autres organismes à but lucratif, et les ONG pour promouvoir les vaccins.
  • « Rechercher des interventions » auprès des principaux dirigeants de la communauté anti-vaccination et « chercher à transformer ces informateurs en défenseurs de la vaccination ».
  • « Continuez à promouvoir d’autres comportements protecteurs tels que le lavage des mains et la distanciation physique. »
  • « Intégrer les incitations financières et non financières… » ainsi que des sanctions en cas de non-conformité en imposant des restrictions aux voyages, à l’éducation ou à l’emploi.

Rien ne vous surprend

Nous avons déjà signalé comment les promoteurs des vaccins se comportent comme s’ils vendaient du coca cola ou du mac do. Les petits cadeaux, les chèques bons d’achat, ou les entrées gratuites pour visite de parc d’attractions. Ces méthodes de promotion typiquement américaines ont envahi nos tristes plaines avec la mise au point par certaines municipalités de « vacci drives » qui en sont fières…

AUTRE CONSEIL MALVEILLANT APPLIQUÉ DANS NOS CONTRÉES

« Les gouvernements devront fournir et communiquer la combinaison d’incitations et d’interventions de pénalité qui seront utilisées pour promouvoir la demande. »

TOUT CELA NE DATE PAS DE 2020

Un document publié en 2014 pour le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies sur l’adoption des vaccins disait que « les interventions comportementales devraient chercher à récompenser les comportements souhaités et, le cas échéant, à pénaliser les comportements inappropriés ».

L’Organisation mondiale de la Santé a publié en octobre un « avis technique » dans la foulée des lignes directrices de Jeff French  intitulées Behavioral Considerations for Acceptance and Uptake of COVID-19 Vaccines, deux mois avant même qu’un vaccin ne soit disponible.

Certains de ces conseils souvent mensongers nous semblent très familiers maintenant :

  • « Tirer parti des regrets anticipés dans les communications. » Par exemple, en « demandant aux gens ce qu’ils ressentiraient s’ils ne se font pas vacciner et finissent par contracter covid-19 ou le transmettre à leurs proches ».
  • « Mettre l’accent sur les prestations sociales. » Dites aux gens que « la vaccination profite non seulement à l’individu », mais qu’elle renforce « le nombre de personnes » ou « l’immunité de la population ».
  • « Mettre l’accent sur les avantages économiques, comme le fait de pouvoir rester sur le marché du travail et subvenir aux soins de sa famille, pourrait également encourager la vaccination. »
  • « Gérer les attentes. »
  • Mettre l’accent sur le danger de maladie. « Si les gens perçoivent qu’ils sont à faible risque de contracter le COVID-19, ou que les conséquences de l’infection ne seront pas graves, ils seront moins disposés à se faire vacciner. »
  • « Minimiser les dangers de la vaccination et des effets indésirables s. « Certaines personnes peuvent essayer de comparer le risque d’infection à celui de prendre un nouveau vaccin et de déterminer qu’entre les deux, le risque de COVID-19 est plus faible. »

« Guide de terrain »

Le Guide de terrain sur la gestion de l’information vaccinale de l’UNICEF et du PGP conseille aux promoteurs de vaccins d’envisager de mettre la vaccination dans une “image de gain” :

  • « Montrez des gens heureux, en bonne santé et productifs dans les graphiques, et si vous devez montrer l’acte de vaccination essayez d’éviter les aiguilles et les larmes. »
  • Une des tactiques de Jeff French est de harceler les gens pour accepter la vaccination comme une « norme sociale ».
  • Expliquez que « la majorité des gens adoptent certains comportements et c’est ce que d’autres s’attendent à ce que vous fassiez pour atteindre un bien commun ».

Nous reconnaissons à chaque ligne de ce guide pratique ce que nous subissons depuis plusieurs semaines en France à travers les SMS répétitifs, associés à des appels téléphoniques itératifs et à des lettres de l’assurance maladie proposant des rendez-vous. Les mensonges quotidiens télévisés concernant l’absence de mortalité en France des vaccins alors même que l’agence du médicament les publie sur son site. Les mensonges sur la protection de l’autre apportés par le vaccin sont les plus pervers, car les gens se croient protégés alors qu’ils deviennent dangereux pour les autres particulièrement dans les premières semaines suivant la vaccination. Retournement des choses improbables a priori, mais bien réelle dans les faits avérés.

FHI 360 a publié son propre « guide rapide » sur « la création de la demande et le plaidoyer pour l’acceptation et l’adoption des vaccins COVID-19 »

Il conseille aux gouvernements de « mettre sur pied un groupe de travail sur la création et le plaidoyer en matière de demande » — ce que Biden a fait en mars, par une campagne éclair publicitaire sur les vaccins.

FHI 360(([10] FHI 360 is an international nonprofit working to improve the health and well-being of people in the United States and around the world) )) conseille également :

  • de décomposer les gens en « segments d’audience » de « vente facile » qui ont « une grande confiance dans les fournisseurs de soins de santé, et ne questionnent pas les vaccins » et en « hésitants en matière de vaccins » qui ont « de grandes préoccupations au sujet de l’innocuité et une « faible confiance dans les institutions qui font la promotion du vaccin ».
  • Créez ensuite des « messages ciblés », en faisant des « fiches de référence pour les dirigeants culturels et religieux ».
  • « Carotte et bâton » méthodes de marketing de la psychologie opérante du Professeur Jeff French.

Un total de 26 % des Américains ont dit qu’ils ne se feraient pas vacciner, et 44 % des républicains résistent. « Sans une carotte plus grande ou un plus gros bâton », de nombreux Américains ne seront pas vaccinés et nous allons subir plus de décès et de dislocation, prétendent les communicants mensongers.

POURTANT UNE OPPOSITION À LA DÉSINFORMATION MONDIALE S’EST LEVÉE

Citons la Déclaration de Great Barrington, signée par plus de 43 000 médecins et 14 000 scientifiques et médecins de la santé publique. Elle propose de permettre la propagation de l’immunité naturelle, tout en protégeant les personnes les plus vulnérables à l’infection par le COVID qui serait moins nocive que les confinements.

« À mesure que l’immunité augmente dans la population, le risque d’infection pour tous, y compris les personnes vulnérables, diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le moment où le taux de nouvelles infections est stable — et que cela peut être aidé par (mais ne dépend pas) d’un vaccin. Notre objectif devrait donc être de minimiser la mortalité et les préjudices sociaux jusqu’à ce que nous atteignions l’immunité collective », peut-on lire dans la déclaration.

MAIS LES DIRIGEANTS CENSURENT AUTANT QUE POSSIBLE TOUTE INFORMATION OBJECTIVE BASÉE SUR LES FAITS

Suivant les directives infodémocratiques, la politique de désinformation médicale de YouTube interdit expressément toute discussion sur les risques des vaccins, leur efficacité réelle ou l’immunité naturelle, sur sa plate-forme.

ET LA PRATIQUE DE LA PEUR EST DÉVELOPPÉE PAR LES COLLABOS DE LA MYSTIFICATION COVID

Mettre l’accent sur la peur est une stratégie fréquemment utilisée par le personnel de santé publique.

L’ancien directeur des CDC Tom Frieden a employé une dérivée de la tactique de la « norme sociale » et conseille de « mettre l’accent sur le danger de la maladie » dans un tweet récent qui a peint les personnes non vaccinées comme des épars « infectés » de variantes supposées mortelles.

Des recherches comme une étude récente de la Cleveland Clinic et de la Case Western Reserve University qui ont révélé que les nouvelles variantes du coronavirus sont en fait plus faibles que la souche virale originale de Wuhan doivent être ignorées ou traitées comme de la « désinformation ».

RECRUTEMENT DE LEADERS RELIGIEUX

Les programmes de commercialisation pour recruter des leaders religieux ont également connu du succès, car les campagnes de vaccination se sont même déplacées à l’intérieur des mosquées pour convaincre les musulmans sceptiques de se retrousser les manches.

Et le pape François a adopté avec enthousiasme la mission infodémocratique de changement de comportement et organise cette semaine une conférence mondiale sur la promotion des vaccins de santé publique où il reçoit naturellement les grands de ce monde, de leur monde…

Un groupe de médecins écrivant dans “USA Today” a suggéré que le gouvernement impose des taxes spéciales (c’est-à-dire des amendes) aux personnes qui refusent la vaccination et que les entreprises refusent tout simplement de les servir.(([11] https://www.lifesitenews.com/news/doctors-lay-out-plan-to-punish-people-who-refuse-coronavirus-vaccine-there-is-no-alternative)) Un autre médecin a suggéré que les personnes qui refusent un vaccin devraient recevoir un médicament psychoactif pour induire la conformité.(([12] https://www.lifesitenews.com/news/us-professor-ensure-lockdown-compliance-by-drugging-dissenters-with-psychoactive-pill)) Tout est permis dans la manipulation.

L’auteur de l’article cité se révolte :

« Nous ne pouvons plus accepter sans broncher les diktats des pouvoirs exécutifs, d’autant plus que, statistiquement parlant, le poids initial de la crise du COVID est passé.

Nous ne pouvons pas non plus accepter les diktats de médecins qui semblent détachés de la réalité et de la science, et qui ne semblent être attachés qu’à l’idée de promouvoir des idées qui contribuent à l’augmentation du pouvoir et du contrôle des intérêts politiques, et à la richesse de ceux qui peuvent faire beaucoup d’argent de la vente d’un vaccin COVID. »


[Voir aussi :
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]LA PROPAGANDE
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Une brève histoire de la propagande
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Un chercheur suggère qu’une campagne de propagande chinoise délibérée a forcé le monde à se confiner
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Le quatrième pouvoir ou propagande ?
[wpfa icon= »hand-point-right » color= »darkred »]Québec : exemple de désinformation et de foi aveugle en la «vaccination» par un «journaliste» de média mainstream]


Notes




L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo

[Source : via https://numidia-liberum.blogspot.com via reseauinternational.net]

[Mise à jour : vidéo en traduction française de Michael Yeadon sur le Pass sanitaire, ajoutée en fin d’article.]

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics) un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existantl’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport aux premiers [les vaccins à dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson)] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que les personnes atteintes de coronavirus ont un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19.

« Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.


source anglaise : https://christiansfortruth.com







Hier était un jour « comme les autres »… hier tu t’es « vacciné ». Mise à jour : vidéo

Par Alain Tortosa

[Texte sous forme vidéo, en fin d’article.]

Tu t’es fait injecter :

  • Un « vaccin » avec un « rapport bénéfice vs risque positif »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « testé »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « sans danger »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « efficace »… comme les autres.
  • Un « vaccin » « solidaire »… comme les autres.
  • Un « vaccin » qui « permettra de sortir la crise »… comme les autres.

… Un « vaccin » qui « permettra de retrouver les libertés »… oui, mais avec un passeport !

Tu as fait confiance :

  • Aux laboratoires pharmaceutiques qui, tu le reconnais, sont là pour faire de l’argent… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • À l’OMS qui, tu le reconnais, est financée majoritairement par Bill Gates et dans les mains des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux agences de santé qui, tu le reconnais, sont chapeautées par des lobbies… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux politiques qui, tu le reconnais, sont corrompus… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres.
  • Aux médecins médiatiques qui, tu le reconnais, ont des conflits d’intérêts… mais ils ont quand même une éthique, ils ne sont pas des monstres…

Ta vaccination est pour toi un non-événement, comme si tu m’avais dit que tu t’étais lavé les dents hier soir ou que tu avais fait la vidange de ta voiture.

Tu peux même croire que c’est ton choix, TA décision…

  • Alors même que l’on te confine depuis des mois.
  • Alors même que tu subis une pression sociale et un chantage à la liberté depuis des mois,
  • alors même que tu es maintenu dans la peur et l’incertitude depuis des mois.
  • Alors même que l’on te ment sur la dangerosité de la maladie, le nombre de cas, les hospitalisations ou les décès.
  • Alors même que l’on te dit qu’il n’y a pas de traitements contre cette maladie.
  • Alors même que tu ne disposes que d’informations positives sur ces « vaccins ».
  • Alors même que l’on te répète jour après jour que le « vaccin » est l’UNIQUE voie.

Et tu appelles cela du « libre arbitre » ?

Mon monde n’est pas le même…

Hier était un jour noir, tu as demandé que l’on t’injecte un « poison ».

  • Un « poison » au rapport bénéfice vs risque obligatoirement négatif, car tu es en bonne santé, que ton risque de mourir du Covid est nul, que ton risque de faire une forme grave est quasi nul et donc que le rapport bénéfice risque ne pouvait être QUE défavorable.
  • Un « poison » mis au point en quelques semaines et testé sur l’homme au mois de mai 2020 ! Un « poison » qui a bénéficié de dérogations et fait sauter des sécurités élémentaires pour bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché provisoire. Un « poison » qui est encore en phase III, phase qui dure d’habitude des années avant la commercialisation dont tu es le cobaye, un simple sujet d’expérimentation.
  • Un « poison » aux effets secondaires immédiats inédits dans l’histoire de la vaccination. Seulement 1 % des effets secondaires seraient remontés. Un « poison » qui tue, de façon statistiquement significative des personnes jeunes et en bonne santé alors même qu’elles ne mourraient pas du Covid. Un « poison » expérimental, jamais testé sur des personnes en bonne santé et dont la technologie était jusque là réservée à des malades en phase terminale. Un « poison » dont la protéine Spike artificielle pourrait (peut) entraîner des problèmes de fausses couches ou de stérilité. Un « poison » dont on ignore totalement les effets à long terme pour soi-même ou pour sa descendance. Un « poison » qui favorise les variants (Afrique du Sud, Brésil, Inde, Royaume-Uni…). Un « poison » qui pourrait contaminer, voir même « vacciner » les personnes non vaccinées.
  • Un « poison » dont l’efficacité théorique officielle se borne à empêcher de faire des formes graves pour des personnes en bonne santé qui n’en font pas. Un « poison » qui ne prétend pas diminuer la mortalité au regard des données. Un « poison » qui pourrait engendrer des formes plus graves de maladies chez les personnes vaccinées du fait des anticorps facilitants, apanage des coronavirus.
  • Un « poison » qui ne bloque pas l’épidémie. Un « poison » qui n’empêche pas de tomber malade et le nombre de malades vaccinés qui ne fait que croître. Un « poison » qui ne protège pas son entourage et n’empêche pas de propager le virus, comme cela a été confirmé par les autorités et le Conseil d’État. Un « poison » qui n’a RIEN de « solidaire ». qui
  • Un « poison » qui n’empêchera pas de sortir de la crise. L’épidémie explose dans des pays qui n’avaient pas connu de première vague comme par exemple les Seychelles depuis qu’ils ont lancé une campagne de vaccination massive chez les personnes jeunes, au point qu’ils se confinent désormais. Une immunité collective vaccinale de masse qui ne sera JAMAIS atteinte, information qui est de plus en plus reconnue et avouée par les médecins mainstream.

Les « poisons » favorisent les variants, ils obligent la commercialisation de nouveaux « poisons » qui eux-mêmes fabriqueront de nouveaux variants obligeant de nouveaux « poisons »…

Ils ne permettront pas de supprimer les gestes barrières, les masques et de retrouver ses libertés.

Ils ne permettront que de produire de nouveaux poisons et de pérenniser la suppression des libertés.

Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards d’amende pour échapper à un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.

Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts et sont grassement arrosés par les laboratoires.

Les agences de santé sont gangrenées. Les passerelles entre le privé et le public sont permanentes.

Les « poisons » ont été autorisés sur les SEULES données fournies par l’industrie !

Une commissaire européenne ayant négocié l’achat des « poisons » est en prise à une affaire de corruption dans son pays pour 4 millions d’euros…

L’OMS est totalement dans les mains des lobbies et de la fondation Gates.

Les bénéfices de l’industrie pharmaceutique dépassent ceux de l’industrie du pétrole et le coût de la recherche et développement est peanuts au regard de leur chiffre d’affaires…

Les politiques ne peuvent pas accéder au pouvoir sans la générosité des maîtres du monde.

Et il faudrait leur faire confiance ?!

Alors, comment parler de « libre arbitre », de vaccination « volontaire » dès lors que toutes les informations fournies dans les médias sont fausses ?!

  • En premier lieu, sur la dangerosité du Covid qui n’est pas plus importante que la grippe dès lors que des traitements précoces sont mis en œuvre pour les personnes à risque, Covid qui ne tue que des personnes en fin de vie ou avec de fortes comorbidités et qui épargne totalement les enfants en bonne santé.
  • Les confinements, les gestes barrières et le port du masque relèvent de la patte de lapin.
  • Il existe de plus en plus de traitements dont l’efficacité a été prouvée.
  • Ces « poisons » appelés « vaccins » sont, au mieux, générateurs de variants et, au pire, des armes de destruction massive.
  • Ces « poisons » ont des effets secondaires inédits dans toute l’histoire de la vaccination.
  • Au mieux, ils n’aggraveront pas l’épidémie, au pire ils la rendront de plus en plus dangereuse.
  • Les personnes injectées ne protègent pas les autres, cela a été confirmé par le Conseil d’État.
  • Le retour des libertés qui serait corrélé à la vaccination de masse est un leurre ou une escroquerie visant à généraliser un passeport sanitaire et mettre en œuvre un crédit social.

Alors ?

Veux-tu savoir si ce que je viens d’écrire et pour lesquels je dispose d’un nombre hallucinant d’informations vérifiées ou d’études est une réalité ou un délire ?

Es-tu prêt à prendre le risque d’être pointé du doigt, d’être à la marge, et ne pas être « comme tout le monde », dans le moule ?

Ou…

Préfères-tu fermer les yeux et jeter définitivement aux oubliettes le principe de précaution ?

Mettre en danger ta santé, celle de ta famille, de tes enfants pour juste avoir la possibilité de prendre un avion ou d’aller voir un match de tennis à Roland Garros ?

Car je te le redis encore, le Sars-cov2 était jusqu’à présent inoffensif pour les personnes en bonne santé, mais plus il y aura de vaccinés comme toi et plus il risque de muter et de devenir dangereux !

Tandis que les victimes manipulées comme toi se sentent rassurées par une injection expérimentale pour se protéger d’un gentil virus diabolisé par une industrie toute puissante…

… Moi je bascule petit à petit dans le camp de l’angoisse.

Le nombre de données s’accumule pour dire que te fréquenter, toi et les autres vaccinés, peut potentiellement me mettre en danger, moi et les miens…

Je voudrais m’en garder, je voudrais me raisonner, me dire que tout ceci est bien anodin… mais plus les jours passent, plus les informations scientifiques sortent, plus je vois les drames qui se jouent, plus je pense que cette menace n’est plus du délire mais bien réelle.

Moi qui n’ait jamais porté de masque, moi qui n’ait jamais respecté de gestes barrières suis désormais mal à l’aise en présence d’une personne vaccinée et d’autant plus que je sais que toutes ces précautions relèvent de la patte de lapin.

Fasse que tu ne prennes jamais la 2e dose, fasse que tu épargnes les autres membres de ta famille et tes enfants en te rappelant ce qu’est le principe de précaution.

Je reste évidemment à ta disposition pour t’éclairer et te fournir toutes les informations dont je dispose…

Alain

18 mai 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210518-un-vaccin-anodin-comme-les-autres.pdf


[Mise à jour : le texte a été repris dans la vidéo suivante sur le site tvs24.ru :]






Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19

Par Nicole et Gérard Delépine

L’indication de tout traitement doit reposer sur l’évaluation de la balance avantages / risques pour les sujets auxquels on le propose, afin de respecter une des règles fondatrices de la médecine « d’abord ne pas nuire ». De plus, un vaccin et a fortiori une thérapie génique nouvelle est un médicament à visée préventive et non curative.

Chez l’enfant, il y a actuellement beaucoup de risques à craindre et aucun avantage à espérer.

Les enfants ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des vaccins covid-19

L’ensemble de la littérature internationale(([1] Plus de 11000 articles référencés sur PubMed)) (([2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020)) (([3] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.)) (([4] Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020)) (([5] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198)) (([6] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9)) (([7] Ludvigsson JF. Un examen systématique du COVID-19 chez les enfants montre des cas plus bénins et un meilleur pronostic que les adultes. Acta Paediatr. 2020 ; 109 : 1088 – 1095.)) et les données de Santé Publique France montrent que la maladie est rare(([8] D’après les données de Public Health England, sur plus d’un million d’enfants présents en milieu préscolaire et scolaire en juin, seuls 70 cas d’infection étaient détectés)) et bénigne chez l’enfant.(([9] FR 24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.)) En France, après 15 mois d’épidémie et sur près de 8 millions d’enfants de moins de 15 ans, il n’a été recensé que 3 décès attribués au Covid (ces enfants souffraient déjà de maladies graves), alors que la grippe saisonnière en tue entre 7 et 10 chaque année.

Personne ne propose la vaccination antigrippale, pourtant ancienne et bien connue, aux enfants. Mais aujourd’hui des médecins qui ne mentionnent jamais leurs liens d’intérêts avec les firmes pharmaceutiques font campagne pour leur imposer un pseudovaccin totalement expérimental dont l’efficacité n’est pas prouvée ni chez eux ni chez les adultes, l’expérimentation devant obtenir ses premiers résultats à partir de 2023), et dont les risques n’ont pas été évalués, et ce pour une maladie trois fois moins grave que la grippe dans cette tranche d’âge.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette vaccination.

La proposer et/ou tenter de leur imposer par le pass vaccinal est contraire à l’éthique médicale détaillée par l’Association Médicale Mondiale(([10] Depuis sa fondation en 1947 l’AMM a pour objectif essentiel d’établir et de promouvoir les plus hautes normes possibles de comportement éthique et de soins par les médecins. Dans cette optique l’AMM a adopté des politiques mondiales sur une série de questions éthiques relatives au professionnalisme médical, aux soins des patients, à la recherche sur les sujets humains et sur la santé publique.  Le Conseil de l’AMM et ses comités permanents révisent régulièrement les politiques existantes pour les actualiser. Il rédige aussi de nouvelles politiques sur les questions éthiques émergentes. https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique)) et confirmée dans sa dernière assemblée générale à Cordoue en 2020, et qui stipule : « un traitement ne doit être proposé qu’à ceux qui peuvent en espérer un bénéfice personnel »,(([11] Déclaration de Cordoue de l’AMM sur la relation entre médecin et patient — WMA — The World Medical Association)) (([12] Code International d’Éthique Médicale de l’AMM — WMA — The World Medical Association : Le code a été adopté pour la première fois en 1949, modifié trois fois, dont la dernière en 2006. La refonte proposée fait apparaître de nouvelles dispositions, qui portent sur les éventuels conflits d’intérêts des médecins, la télémédecine et l’environnement. On lit en particulier :
►LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
►LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
►LE MÉDECIN NE DEVRA pas se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.)) fidèle aux conclusions du code de Nuremberg de 1947.

Il n’y a aucun avantage sociétal à espérer de la vaccination covid des enfants.

En dehors du fait qu’il est inacceptable d’imposer un traitement expérimental à des enfants qui ne peuvent en tirer aucun bénéfice, il est de plus contraire à l’état actuel la science de prétendre que cette vaccination des enfants pourrait diminuer la transmission,
car la maladie n’est pas transmise par les enfants,
la vaccination n’empêche pas les transmissions et favorise l’émergence des variants.

Les enfants ne sont pas responsables de la transmission de la maladie

20 à 30% des transmissions du virus grippal se réalisent à l’école, mais ce n’est pas du tout le cas pour le Covid-19.

Après plus de 160 millions de cas comptabilisés par l’OMS le 20/5/2021, et plus de 11000 articles consacrés au Covid-19 chez l’enfant, recensés par PubMed,(([13] Base de données internationale des articles universitaires recensés dans le monde accessible à tous gratuitement : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/)) il n’existe aucune description démontrée d’une contamination par un enfant(([14] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879 ;
DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)) ni à un autre enfant, ni à un adulte.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie, lorsque la faible fréquence de la maladie permettait de suivre avec certitude la voie des contaminations, ont montré que les enfants sont contaminés par des adultes proches et ne transmettent pas la maladie. C’est en particulier le cas des trois études françaises, celle de l’INSERM sur le premier cas pédiatrique français aux Contamines(([15] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America)) celle de l’Institut Pasteur(([16] A Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles de Creil et celle des pédiatres parisiens.(([17] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-n’est-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) Cette absence de dissémination par les enfants a été confirmée par une dizaine d’études étrangères en Irlande,(([18] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.)) aux Pays-Bas,(([19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available : https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) en Australie,(([20] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) en Suède,(([21] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)) en Estonie,(([22] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf)) en Corée du Sud.(([23] Young Joon Park Contact Tracing during Coronavirus Disease Outbreak, South Korea, 20201. EID Journal Volume 26 Number 10—October 2020))

De plus, la réouverture des écoles dans de nombreux pays n’a jamais été suivie par une recrudescence des contaminations(([24] FR 24 Pas de masques, pas de distanciation : les écoles au Danemark défient COVID-19 — avec succès jusqu’à présent 13 septembre 2020
https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/pas-de-masques-pas-de-distanciation-les-ecoles-au-danemark-defient-covid-19-avec-succes-jusqua-present.html)) dans la population générale, les foyers de contaminations apparus étant constamment liés à la présence d’adultes contaminés parfois super contaminateurs.(([25] Chen Stein-Zamir A large COVID-19 outbreak in a high school 10 days after schools’ reopening, Israel, May Euro Surveill 2020 Jul ;25(29) :2001352. doi : 10.2807/1560-7917.ES.2020.25.29.2001352.))

Toutes ces analyses des faits avérés indiquent que les enfants ne participeraient (s’ils y participent ?) qu’exceptionnellement à la chaîne de transmission du SARS-CoV-2.

Même si les vaccins permettaient d’empêcher toute transmission, la vaccination des enfants ne pourrait donc pas aider à contrôler l’épidémie.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la contagion

Les vaccinés restent contagieux. Les campagnes massives de vaccination réalisées à l’étranger ont même été suivies d’une exacerbation des contaminations durant plusieurs semaines.(([26] Et surgit une hécatombe post vaccinale ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Quelques exemples les plus démonstratifs sont ceux des Seychelles, de l’île de Man, des Émirats Arabes Unis ou de Gibraltar, dont les courbes publiées par l’OMS(([27] Sur le site OMS Covid19 Dashboard)) montrent que l’épidémie a flambé malgré l’obtention d’une couverture vaccinale très élevée.(([28] Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ? (francesoir.fr) ))

C’est encore plus frappant à Gibraltar où la couverture vaccinale de la population dépasse les 100% (car la vaccination a été élargie aux visiteurs espagnols)

Ou dans l’île de Man

Ou encore dans les Émirats arabes Unis

Cette incapacité des vaccins d’empêcher la transmission de la maladie a été évoquée dès décembre 2020 par le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan.

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc de ne plus être en mesure de la transmettre ».

Elle a depuis été confirmée par le ministre de la Santé français, O. Veran, devant le Conseil d’État.

« La vaccination n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus et soient contagieuses ». 

Les vaccins Covid actuels exposent à de très nombreuses complications

Comme tout traitement actif, les vaccins exposent à des effets secondaires. Mais les cas de complications rapportées après vaccination anti Covid19 sont beaucoup plus nombreux que pour les autres vaccins.

En France, la vaccination des soignants dans les hôpitaux a été suivie de si nombreuses complications entraînant des arrêts de travail que la Haute Autorité de Santé a recommandé de ne pas vacciner tous les membres d’un service en même temps pour ne pas risquer la fermeture du service.

Des épidémies de mortalité post vaccinale chez les pensionnaires d’EHPAD ont justifié une alerte de l’agence sanitaire norvégienne et sa recommandation de ne plus vacciner les personnes très âgées et très fragiles chez lesquelles « des effets secondaires mineurs pourraient entraîner la mort ».

Il est de plus rapporté des morts survenues chez des jeunes en bonne santé vaccinés, alors qu’ils ne risquaient rien du covid comme cet interne en médecine de Nantes, un médecin de Miami, une infirmière espagnole entre nombreux autres.(([29] Brighteon appel urgent au réveil vidéo de la chaîne allemande KLA.tv))

Le recul actuel insuffisant ne permet pas d’estimer précisément le risque vaccinal antiCovid, mais il est déjà largement supérieur à ce qui est tolérable pour une maladie peu mortifère. Après quelques mois de vaccination, le site Eudravigilance de l’agence européenne du médicament comptabilise plus de 10000 morts post vaccination Covid, chiffre qui dépasse par un facteur 100 le nombre des morts recensées après des vaccinations pourtant bien plus fréquentes comme les vaccinations obligatoires.(([30] European database of suspected adverse drug reaction reports—Background (adrreports.eu) )) Rappelons que jusqu’à une période récente, le principe de précaution faisait interrompre tout essai thérapeutique après un certain nombre de morts suspectes évalué en dizaines. La vaccination contre la grippe porcine en 1976 avait été ainsi interrompue après 53 décès suspects et le vaccin anti H1N1 après 56 décès plus récemment. Aux USA où plus de 3000 décès rapides sont rapportés à la suite du vaccin anticovid, les chercheurs estiment que ce chiffre est l’équivalent des morts dénombrés en plus de 21 ans, tous vaccins confondus aux USA.(([31] https://vaers.hhs.gov/))

Vacciner les enfants contre le covid les expose à des risques sans bénéfice personnel

Dans son Avis du 30 avril 2021, même le Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale totalement pro vaccin reconnaît :

« pour initier la vaccination des enfants, il est indispensable que la balance bénéfice-risque soit fermement établie, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. »

La prise en compte des faits actuellement avérés fait pourtant dès maintenant fortement pencher la balance avantage/risque du côté des risques sans bénéfice.

En Grande-Bretagne, des dizaines de scientifiques et médecins(([32] Dont le Dr Ros Jones (photo), pédiatre à la retraite. Incroyablement, la lettre met en garde la MHRA contre les dangers des vaccins qui sont « précipités sur le marché ». Il a été signé par plus de 40 médecins, scientifiques et médecins, dont le professeur Karol Sikora, doyen de la médecine à l’Université de Buckingham, et Lord Moonie, un ancien consultant en médecine de santé publique)) ont écrit à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), pour dire qu’il est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » de vacciner les enfants contre le covid-19.

« Nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par une hâte et une peur, inutiles, mettent en danger la santé des enfants. Toutes les interventions médicales comportent un risque de préjudice, nous avons donc le devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

 C’est particulièrement le cas lorsqu’on envisage une intervention de masse dans une population en bonne santé, dans laquelle il doit y avoir des preuves solides de bénéfices bien supérieurs aux préjudices. »

Le 14 mai le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus a appelé les pays à renoncer à vacciner les enfants et les adolescents contre la COVID.(([33] et faire don des doses ainsi libérées au système Covax pour les redistribuer aux pays défavorisés.
AFP vendredi, 14 mai 2021 10 :18))

Arrêtons d’écouter les représentants de commerce des marchands de vaccin qui entretiennent la panique dans tous les médias ; examinons les faits avérés.

Vacciner les enfants contre le Covid19 les exposerait à des risques importants sans aucun espoir de bénéfice ni personnel ni sociétal, sauf pour les actionnaires et patrons des firmes pharmaceutiques. Le patron de Moderna est ainsi devenu un des nouveaux milliardaires français en 2020.

Risques du complexe médico-industriel

Répétons sans nous lasser les avertissements du Professeur de droit international Mary Holland devant l’assemblée de l’ONU en 2016. « Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé sont explicites(([34] https://lesbrindherbes.org/2016/12/25/mary-holland-vaccination-obligatoire-viole-code-de-nuremberg/)) (([35] Vidéos : https://healthimpactnews.com/2016/n-y-law-professor-addresses-u-n-on-government-vaccine-policies-violating-the-nuremberg Professor Mary Holland addressing the U.N. regarding civil rights related to government vaccine policies.)) (([36] initiativecitoyenne.be/2016/05/mary-holland-prof-de-droit-a-l-universite-de-new-york-interpelle-les-nations-unies-sur-les-politiques-vaccinales-qui-violent-le-code))

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du président parce que je crois que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique.

Nous ne devons rien prendre pour acquis.

Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

ET la phrase capitale :

 « c’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées. »(([37] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen))