La nanotechnologie dans les vaccins

[Source : La vérité]

Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.



[Voir aussi :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

[Source : cv19.fr]

Dr. Stefan Lanka sur la 3ème phase des expériences témoins du SARS-CoV-2.

Au cours de la première phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues attribuent à la présence d’un virus pathogène – la mort des cellules en éprouvette – peut être obtenu sans l’utilisation d’un quelconque matériel infectieux, car la technique qu’ils utilisent tue les cellules d’elle-même. Une vidéo très détaillée et simple qui explique la première phase des expériences de contrôle peut être trouvée ici (VF disponible et vidéo sur le même sujet en VOSTFR)
Dans la deuxième phase, le Dr Lanka a montré que ce que les virologues appellent un “matériel génétique viral” peut provenir d’un tissu humain sain.
Vous trouverez plus de détails sur la 2e phase ici.

[Voir aussi :
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
et au besoin tous les liens inclus dans les articles ci-dessus et ceux proposés dans le dossier Vaccins et virus
ou sur le site Recherches Covid-19.
En anglais, voir aussi les vidéos du Dr Kaufman.]

Dans la troisième phase, il montrera qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ».



Vidéo originale (en anglais) : https://odysee.com/@katie.su:7/Stefan-phase-3-english:3

Transcription :

Stefan, tu as déjà terminé avec succès deux phases des expériences témoins pour le SARS-CoV-2. Au cours de ces deux phases, tu as prouvé scientifiquement qu’aucun virologue n’a jamais isolé le virus du SRAS-CoV-2 et séquencé son génome. Et tu as également prouvé que cela n’a jamais été fait dans toute l’histoire de la virologie avec aucun virus. Peux-tu nous dire ce que tu fais maintenant dans cette troisième phase ?

Merci beaucoup pour cette question.
Dans la troisième phase, nous faisons exactement la même chose que les virologues, mais nous utilisons du matériel génétique, non seulement des humains sains, mais aussi des animaux, des plantes. Et nous allons utiliser des acides nucléiques synthétiques, qui contiennent des séquences non spécifiques juste pour montrer que la façon dont les virologues amplifient l’acide nucléique à partir d’un écouvillon nasal, par exemple, que cette technique en elle-même produit de nouvelles séquences, qui n’existaient pas auparavant.

Et sur cette base, ils construisent quelque chose qu’ils ne trouvent pas dans la réalité. Et qu’avec ces séquences que nous créons, nous sommes alors capables de créer tous les génomes viraux que nous voulons.

Cela va donc montrer que les virologues se sont trompés et ont trompé le public. Parce qu’ils n’ont jamais effectué d’expériences témoins, ils ne les ont jamais, jamais documentées.

Et c’est très facile et c’est encore plus important que ce que nous faisons, que nous essayons maintenant de faire publier dans un journal scientifique. Et s’il n’est pas possible de le publier dans une revue scientifique, nous allons le publier dans notre propre revue et nous la publierons librement sur Internet.

Ce qui est probablement beaucoup plus puissant parce que tout le monde peut y avoir accès et pas seulement dans un journal scientifique.

Mais une partie de l’expérience témoin est l’analyse très spécifique, ce que font les virologues lorsqu’ils ont créé le génome du SRAS-CoV-2. Et cela a été fait, et c’est beaucoup plus important que nos propres expériences témoins, parce que les analyses de ce que font les virologues se réfutent d’elles-mêmes.

Cela montre, en les citant, exactement ce qu’ils font étape par étape, que dans ce qu’ils prélèvent d’un être humain, ils ne trouvent pas d’acide nucléique qui va correspondre au modèle du virus.

Alors ils font deux séries de PCR très peu spécifiques.

Et après le premier tour, ils n’ont que 10% de ce dont ils avaient besoin pour construire le génome, et ils l’écrivent. Ils écrivent, oh, on ne trouve aucune séquence, on amplifie, très peu spécifique, alors on a 10%.

Et ce qu’ils font alors, c’est une seconde phase d’amplification par PCR, ce qui est techniquement appelé un séquençage métagénomique profond. Ils utilisent des morceaux synthétiques d’acide nucléique appelés amorces et ces amorces ont été utilisées pour le deuxième cycle, ce qui leur donne assez de matériel pour construire le génome.

Mais à la fin, ce qu’ils n’ont jamais vérifié, leurs propres amorces, définies pour être spécifiques, ne correspondent pas à leur résultat, ce qu’ils ont présenté à eux-mêmes et au public comme le génome viral.

Et ce n’est qu’une seule contradiction absolument stupéfiante de ce qu’ils font et qu’ils se réfutent eux-mêmes. Outre le fait qu’ils se révèlent eux-mêmes être complètement anti-scientifiques. Et cette partie de notre expérience témoin est publiée séparément par un mathématicien.

Et c’est la plus importante des expériences de contrôle pratiques parce que c’est la réfutation de la virologie sur la base même de ce qu’ils ont publié eux-mêmes.

Donc personne ne peut dire « regardez, vous avez un peu manipulé », ou que ça n’a pas été fait scientifiquement, dans nos labos, bla, bla. Et ils peuvent débattre du travail que nous faisons et de l’expérience témoin. Mais ils ne peuvent pas débattre de ce qu’ils font par eux-mêmes.

Nous avons juste éclairé et c’est le point le plus important de l’expérience témoin. Et ça, nous allons le publier très bientôt. Si ce n’est pas dans un journal scientifique, alors nous le mettrons en ligne, dans notre magazine et vous allez être les premiers à l’avoir et à le diffuser.

Et c’est la fin de la virologie bien sûr, parce que cela prouve qu’ils sont complètement anti-scientifiques, qu’ils n’ont jamais, jamais fait d’expériences témoins. Cela signifie qu’il n’y a pas de science, il y a un comportement anti-scientifique. Ce qui signifie que la loi sur les maladies infectieuses est violée, elle est invalide.

Parce que cela demande une base scientifique pour tout ce qui est fait et cette base scientifique n’est pas donnée. Cela signifie que la loi sur les mesures Covid n’est plus valable, et cela signifie que toutes les mesures Covid sont illégales. C’est le résultat direct de ces expériences témoins.

La phase trois, la troisième phase pratique, et bien sûr, les analyses de ce qu’ils font en détail. C’est le sens de la phase 3.

Et c’est tellement puissant, je veux dire, la réfutation de la virologie par la virologie à elle seule. Un argument plus fort, une argumentation plus claire, ce n’est pas possible. Oui, c’est sûr, et je veux te remercier du plus profond de mon cœur pour ce que tu fais et ton travail est très important en ce moment pour toute l’humanité et le fait que tu expliques ces choses compliquées d’une manière simple à tout le monde, pour qu’ils puissent naviguer eux-mêmes dans la science et lire les articles, cela n’a pas de prix car c’est à ce moment-là que tout commence à changer.

Quand les gens se sentiront en confiance pour lire ce qu’ils font réellement, la science qui leur dicte comment ils doivent vivre.

Donc cela se terminera quand cela arrivera.

Oui, les gens ont pris conscience qu’il n’y a pas d’empereur, ce n’est pas un habit neuf, non, il n’y a pas d’empereur.

C’est la nouveauté et c’est le sens des résultats que nous avons obtenus et de ce que nous faisons.

Oui, merci beaucoup Stefan.

Sous-titres FR : https://cv19.fr




Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




Covid-19 — Crimes contre l’Humanité : l’enquête internationale est en cours. Mise à jour

[Source : @quantumleaptraduction]

[Mise à jour : la vidéo suivante aborde le même sujet.]

Ci-dessous, il s’agit d’une demande d’intervention déposée par une femme dans un commissariat anglais au motif que les campagnes d’injections Covid mettent en danger la vie des récipiendaires et qu’il est du devoir de la police d’intervenir pour faire cesser ces injections. En effet, s’il devait s’avérer qu’effectivement ces injections sont dangereuses (ce qu’elles sont au moins pour certains lots !) alors la police, payée de surcroît par les impôts des contribuables, pourrait être poursuivie pour non-assistance à personne en danger.



[Voir aussi :
Nicole Delépine : « Le danger actuel n’est pas le virus mais bien le vaccin ! »
Covid-19 : Pourquoi et comment les initiateurs du confinement mondial pourraient être poursuivis pour Crimes contre l’Humanité
Nouvelles Découvertes sur les injections — Reiner Fuellmich, Dr Wodarg et Dr White
Reiner Fuellmich : « nous avons affaire à des psychopathes et des sociopathes »
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité (et liens annexes)
Covid-19 : des voix dissimulées de spécialistes (Rétrospective 2021)
L’interview du Dr Martin par Reiner Fuellmich
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
L’heure de la justice
Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid
Reiner Fuellmich : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire »]




Sans argent liquide = le seuil de l’enfer

[Source : Kla.tv]

Par Ivo Sasek



Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 1977, et si ce que vous allez entendre ne se produit pas exactement de cette manière, comme je vais le dire maintenant, alors on peut me traiter de faux prophète.

J’esquisse ici encore une fois sans ambiguïté la destination vers laquelle toute cette pandémie de Covid veut nous pousser.

Enfin, il ne faut pas oublier de proposer une issue réalisable. Mais passons directement au point essentiel : quelles sont les instructions que l’on nous martèle depuis des mois dans presque tous les grands magasins d’alimentation ? « Payez sans contact ».

Oui, c’est ça : « Payez sans contact ». Je l’entends tout le temps. Et les médias, ces infatigables porte-parole de quelque mystérieux commanditaire, évoquent l’utilisation de l’application « Contact-Tracing ». Bien sûr, tout cela en anglais dans l’espace germanophone. En d’autres termes, nous devons nous rendre de plus en plus traçables partout et à tout moment. Oui, j’ai délibérément choisi ce terme de « traçable », car son ambiguïté nous met déjà dans l’ambiance de la thématique centrale dont il est question ici.

Vous savez, la destination de la plandémie n’est pas seulement la surveillance totale, mais plutôt le contrôle total, la domination totale de chaque citoyen de la Terre !

Tant que c’est possible, ils veulent atteindre cet objectif au moyen du Covid.

La santé à tout prix, telle est la devise politique. Les privations de liberté imposées par les confinements ne peuvent déjà plus être rachetées que par le biais d’indulgences de toutes sortes – et le commerce de billions de dollars est florissant : tout a commencé avec le commerce des indulgences des masques, bien que les experts qui ont donné le ton aient ouvertement souligné au préalable que les masques n’apportaient absolument rien ; cette constatation a toutefois fourni le prétexte idéal pour pouvoir imposer les premiers pas vers la surveillance totale souhaitée du monde entier. Vous comprenez cela ? Cette démarche forcée s’est bien sûr accompagnée depuis d’un commerce toujours plus florissant d’indulgences d’autotest, d’indulgences de tests PCR, puis d’indulgences de vaccins, d’indulgences de passes sanitaires, etc. Mais que ce soit clair : ce ne sera jamais la liberté promise que vous achèterez avec toutes ces indulgences mentionnées et à venir. Vous achetez ainsi uniquement votre état d’esclave total. Et chaque jour, dans les magasins, vous entendez dans les haut-parleurs la manière dont vous achetez votre esclavage : Payez sans contact ! Ecoutez comme ils disent ça : « Payez sans contact ! » « Payez sans contact ! » Bien avant le Covid, d’innombrables lanceurs d’alerte avaient déjà révélé comment la suppression de l’argent liquide constituait une base stratégique pour les dirigeants mondiaux auto-proclamés.

À ce moment-là, nous ne savions encore rien sur le Covid.

Malgré cela, même la plupart des médecins de ce monde essaient d’acheter leur liberté par le biais du commerce des indulgences de certificats et des indulgences de vaccins. Ecoutez-moi, vous tous les médecins qui faites de telles choses : Vous savez très bien qu’avec le Covid, on a jeté aux orties tout, mais vraiment tout ce que vous avez appris sur le sujet dans vos universités. Mais au lieu de vous unir et de vous lever contre ce scandale pour défendre votre savoir chèrement acquis, vous vous taisez, tout simplement ! Et je vais vous dire pourquoi : par pure peur de perdre vos droits d’exercer. Et ce faisant, vous soutenez le plan directeur qui se cache derrière toute cette propagande épidémique et cette terreur des peuples – et vous suivez même l’ordre stratégique du paiement sans contact. Alors que si vous mainteniez fermement et proclamiez haut et fort vos premières leçons de pathologie, de virologie, de biologie ou de quoi que ce soit d’autre, cela pourrait conduire à la mise en échec immédiate de cette stratégie sans argent liquide. Mais même toute personne ayant reçu une formation moyenne dans les domaines de l’anatomie médicale devrait encore avoir en tête ces connaissances de base empiriquement prouvées. Toute infirmière ou par exemple toute sage-femme a appris lors de sa formation de base que les virus ne peuvent pas subsister tout seuls mais qu’ils ont besoin d’un hôte vivant. Alors comment les virus pourraient-ils survivre sur de la matière morte comme des billets de banque ?

Mais venons-en maintenant au point le plus important : la suppression de l’argent liquide rendra chaque citoyen de la Terre vulnérable au chantage jusqu’au bout. Réfléchissez bien à ce que je vais dire ! Les extorsions actuelles ne sont qu’un petit avant-goût de ce qui se passera lorsque nous perdrons l’argent liquide. Ça c’est mon pronostic ! Déjà maintenant, tous ceux qui ne se conforment pas exactement aux diktats sanitaires sont exclus de toutes sortes de commerces, de divertissements, de locaux, de services, de professions, etc. Le rachat de libertés partielles ne peut se faire que par des soumissions ainsi forcées. Une fois l’argent liquide supprimé, les mêmes dictateurs bloqueront les comptes des personnes peu dociles jusqu’à ce qu’elles fassent exactement ce qu’ils veulent. Vous comprenez ? Et, voyez-vous, c’est là que les choses deviennent vraiment difficiles pour nous tous. Aujourd’hui déjà, ces despotes forcent les gens à participer à leur « expérience de vaccination ». Malgré les mises en garde de milliers de spécialistes éminents, qui les avertissent qu’il s’agit de « faux vaccins » dangereux. Ces gens s’en fichent totalement.

Reconnaissez donc que les hommes qui tiennent actuellement les leviers de commande du monde ne peuvent en aucun cas être issus du véritable système de santé. Ils viennent des âmes extrêmement morbides du complexe financier numérique mondial ou, comme l’a prouvé le nouveau chancelier allemand, ils sont au moins mêlés aux cercles financiers les plus influents. Mais les leviers de la domination mondiale sont également détenus par les parties corrompues de Big Pharma et leurs associés, par diverses sociétés secrètes de haut niveau et leurs vassaux souvent ignorants, etc. On en a déjà souvent parlé. Leurs véritables intérêts résident uniquement dans l’assouvissement de leurs désirs de pouvoir anormaux, qu’ils souhaitent pousser à l’extrême sur la voie de l’hyper-maximisation des profits, jusqu’à la domination ultime du monde.

Et l’humanité arrivera à cette destination, à moins que nous n’arrêtions enfin cette guerre hybride ! Mais si la communauté mondiale ne met pas un terme à cette évolution anormale par une décision mondiale claire ou par des décisions mondiales, ces dirigeants malades de l’argent numérique ne tarderont pas à émettre des décrets qui nous semblent aujourd’hui encore totalement impensables.

Alors rien de plus abject, de plus malsain ou de plus pervers ne sera impossible. Je vous le garantis ! Et que personne ne dise que je ne fais que fantasmer. Rappelez-vous la phrase que j’ai dite au début. Si tout ne va pas dans cette direction, avec ou sans le Covid, je serai un faux prophète.

Le Covid n’est qu’un des nombreux fléaux qui nous poussent vers le but ultime que je viens d’évoquer. Aujourd’hui déjà, ces fous, je ne peux pas les appeler autrement, nous obligent à commettre les actes les plus insensés, tu le sais de par ta propre expérience, et nous en avons expliqué des centaines dans nos émissions kla.tv ; mais demain, ces mêmes manipulateurs te couperont les vivres au moindre refus d’obéissance. Ce qui est malheureusement inconcevable pour la plupart des gens de ce monde, c’est le fait que ces maîtres de la contrainte exigeront toutes les perversions encore impensables aujourd’hui. N’oubliez pas à quel point il aurait été impensable, il y a vingt ans encore, que la théorie du genre fasse partie du programme politique mondial, ou que rien qu’en Allemagne, des centaines de milliers d’enfants soient arrachés à leurs parents chaque année, ou que le monde entier soit réduit à la plus stricte nécessité s’il ne se soumet pas à une expérience de vaccination massivement contestée, etc. Et pourtant, toutes ces choses et bien d’autres sont devenues des évidences depuis longtemps. Mais dès que l’argent liquide sera supprimé, tu pourras rapidement subir des prélèvements automatiques, voire des blocages de compte, pour tout écart par rapport au « politiquement correct » à venir. Je dis cela en tant que personne à qui les élites financières dénient depuis de nombreuses années, sans explication, toute solvabilité, bien que je n’aie jamais rien eu à me reprocher. Mais revenons à notre situation : il se pourrait aussi que les dirigeants mondiaux qui viennent d’apparaître trouvent bientôt préférable que tu te fasses vacciner encore plus, puis tester à nouveau, pour protéger la collectivité ; ou que tu changes volontairement de sexe au risque qu’on te bloque ton argent, afin de mieux t’intégrer dans leur image globale ; tu comprends ? Ou alors que tu cèdes tes enfants ou ton partenaire aux dirigeants pour le bien de l’État, sinon ton argent sera bloqué. Suis bien ce que je suis en train de dire.

Si tu commences à douter de moi, demande à ton dictionnaire ce que signifie « Jus Primae Noctis » (c’est-à-dire « droit de cuissage »).

Croyez-le ou non, c’était le droit légal des seigneurs médiévaux de passer la première nuit avec la femme d’un serf, d’un sujet, etc. qui venait de se marier. Oui, la première nuit ! Malgré toutes les moqueries sur les dérives médiévales, nous ne nous rendons même pas compte qu’actuellement, leurs coutumes inhumaines et le commerce des indulgences sont en train d’être décuplés.

Les maîtres de l’argent numérique pourraient aussi trouver tout à coup plus utile que tu partages ta maison avec des immigrés pour renforcer le sens de la communauté, sinon ton argent sera bloqué ; que tu travailles dans une autre profession pour mieux t’intégrer, sinon ton argent sera bloqué ! Ou que tu vives avec un partenaire plus approprié pour te ménager, sinon ton argent sera bloqué ! Vous comprenez de quoi je parle ? Ou que tu n’aies pas de partenaire du tout afin de te protéger. On peut tout décider pour toi, sinon ton argent sera bloqué !

Chacun peut continuer cette énumération à sa guise. Et, croyez-le bien, quoi que vous imaginiez d’impossible, ça pourrait toujours être pire. C’est ce que j’affirme avec conviction à ce stade !

Mais cela ne se produira que si la communauté mondiale n’entreprend pas très rapidement des démarches communes et ne prend pas de décisions à caractère obligatoire.

Je ne peux pas inclure dans cette partie la question de savoir par quels moyens et sous quelle bannière ces décisions mondiales sont prises. Que chacun se saisisse de ce qu’il peut. Que chacun agisse selon ses talents. Pour conclure, je vais juste esquisser trois des décisions mondiales les plus importantes parmi toutes celles que nous devrions prendre. Le premier point est le plus urgent :

  1. Prenons la décision mondiale de ne plus tirer aucun profit des crises, épidémies, pandémies, catastrophes et autres.
    Vous avez bien compris ? Cette décision mondiale de temps de crise doit s’appliquer aussi bien aux individus qu’à tous les types d’entreprises qui profitent de la crise, comme les banques, les entreprises pharmaceutiques, les assurances, les spéculateurs de toutes sortes, les associations, les gouvernements, les organisations caritatives, etc.
    Il est désormais inacceptable qu’une seule et même crise provoque d’un côté d’innombrables victimes tandis que de l’autre, une quantité vraiment infime de profiteurs cupides s’enrichissent sans mesure grâce à ces victimes. Ce n’est tout simplement pas possible. Ce premier point me semble donc, comme je l’ai dit, le plus urgent et le plus nécessaire, c’est la décision mondiale.
  2. Une deuxième décision mondiale doit être la préservation absolue de notre argent liquide pour les raisons susmentionnées et bien d’autres encore. Paye autant que tu le peux en espèces et témoigne partout que l’argent liquide est synonyme de liberté.
  3. Une troisième décision mondiale doit être prise pour y parvenir – il doit donc également y avoir une décision mondiale qui exige l’arrêt inconditionnel de la production de toute technologie de surveillance numérique. Avant tout, il faut empêcher et interdire la technologie 5G qui sert à cela. Elle est de toute façon extrêmement dangereuse pour notre santé, tout comme les générations précédentes d’ondes électromagnétiques.
    Enfin, il faut refuser à tous les médias à redevances obligatoires le droit d’être payés tant qu’ils refusent, comme ils le font depuis longtemps, de publier les contre-arguments et censurent les voix alternatives importantes de la vérité.
    Une fois de plus, il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg. Je qualifierais la première décision mondiale – c’est-à-dire l’interdiction absolue de « tirer du profit de la crise » – d’obligatoire et les trois autres sont des options possibles.
    Encore un pronostic pour la fin : la prétendue pandémie se terminera du jour au lendemain si personne ne peut plus en tirer profit. Toute crise provoquée par les hommes se terminera exactement de la même façon.
    S’il vous plaît, diffusez si possible ces avertissements et ces appels sur vos canaux. Informez constamment ceux qui ne sont pas encore au courant. Prenez les choses en main et connectez-vous avec les personnes activement réveillées, partout où c’est possible et avec qui c’est possible.
    Je m’appelle Ivo Sasek, vous connaissez la suite…



Reiner Fuellmich à la Minute de Ricardo

[Source : laminutedericardo.com]






2021 — Liste de sportifs professionnels et amateurs victimes des injections

[Source : etouffoir via Nicolas Bonnal]

[Photo : Daniel Aakervik]

« VACCINS » anticovid : des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur santé ou leur vie, par annexion tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Cette liste, fantastique travail de mémoire en hommage aux sportifs sacrifiés de ce système, a été établie par un internaute du forum covid-factuel.fr

A

Aakervik Daniel : 17 ans (skieur de fond norvégien professionnel) Saison suspendue après une réaction grave à l’injection. Novembre 2021. 

Abgrall Mathieu : 36 ans pompier volontaire, sportif. L’homme fait un malaise à la caserne de Camaret-sur-Mer et après tentative de réanimation par ses collègues, il décède. Décembre 2021.

Abdel-Rahman Atef : 20 ans (footballeur professionnel égyptien de club de G.Mahalla) Mort en plein match. Mars 2021. 

Abriska Whitnée : 19 ans (handballeuse réunionnaise, équipe belge, club du Fémina Visé) Décède subitement alors qu’elle s’apprête à prendre l’avion pour revenir de La Réunion. Juillet 2021.

Aguero Sergio : 33ans (footballeur argentin professionnel, joueur star du F.C Barcelone, Espagne) En octobre 2021, il fait un malaise en plein match contre le Deportivo Alavés. Les médecins lui diagnostiquent une arythmie cardiaque. En décembre 2021, Aguero annonce mettre un terme à sa carrière pour raisons de santé.

Aukuso Lavea Sulamai : 48 ans (ex-joueur professionnel de rugby néo-zélandais, équipe des Manly Sea Eagles, Australie) Il décède d’une crise cardiaque pendant un entraînement. Décembre 2021.

Al Raqadi Mukhaled : 29 ans (footballeur omanais professionnel, club de Muscat, Oman) Victime d’une crise cardiaque pendant l’échauffement de son équipe, avant le match contre Swabik en championnat. Il est transporté à l’hôpital, mais malheureusement il décède. Décembre 2021.

Ali Abou : 22 ans (footballeur professionnel, joueur du club danois de deuxième division Vendyssel) Fait un malaise en plein match contre le club de Lyngby. Septembre 2021.

Alfasi Arik : 49 ans (entraîneur de la Premier League israélienne de basket) Malgré deux doses d’injection, l’homme jusqu’ici en bonne santé décède du covid, ses proches suspectant qu’il soit mort à cause des injections. Septembre 2021.

Alkhatib Jack : 18 ans (joueur d’une équipe de football américain du lycée Dutch Fork High School, South Carolina, USA) S’effondre après un entraînement et décède. Août 2021.

Allen Imogen : 22 ans (cavalière anglaise, championne de saut d’obstacles) Hospitalisée pour une réaction grave à la première injection Moderna en Juillet 2021, avec deux caillots de sang massifs sur ses poumons. Ne pourra plus jamais monter à cheval.

Amin Ahmed : 24 ans (gardien de but, équipe de troisième division égyptienne Al-Rebat & Al-Anwar SC, Port Saïd) Le joueur meurt d’une crise cardiaque juste après un entraînement. Décembre 2021.

Amoroso Jérémy : 37 ans (militaire français, caporal-chef 1ère classe du 13e Bataillon de chasseurs alpins) Victime d’un malaise après une « marche section » à l’île de La Réunion, il est évacué au centre hospitalier de Bellepierre avec un pronostic vital engagé. Malheureusement il décède deux jours plus tard. Décembre 2021.

Anchan Devaraj : 33 ans (joueur de volley-ball indien de niveau national)  S’effondre alors qu’il participait à un tournoi. Mort sur le chemin de l’hôpital. Mars 2021.

Antwi Emmanuel : 18 ans (Joueur de football américain du club Kennedy High School) Mort après malaise pendant un match. Mars 2021.

Apolinário Alex : 24 ans (footballeur professionnel brésilien, club portugais FC Alverca) Mort  après arrêt cardiaque en plein match. Janvier 2021. 

Archibald Josh : 28 ans (Joueur professionnel américano-canadien de hockey sur glace, équipe de des Oilers d’Edmonton, Canada) En congé indéfini en raison d’une myocardite. Octobre 2021.

Arias Guillermo : 31 ans (footballeur vénézuélien, club du Camaguán FC, troisième division) Meurt en plein match d’un arrêt cardiaque lors d’un tournoi régional. Septembre 2021. 

Armando Montiel Diego : 25 ans (footballeur professionnel argentin, club Atlético de Rafaela, division 2 d’Argentine) En Août 2021, le joueur confie ne plus jamais vouloir recevoir de vaccins, laissant entendre qu’il souffrait de symptômes après avoir reçu l’injection Covid. Il décède d’une méningite en Décembre 2021. 

Arney Moira Claire : 15 ans (jeune footballeuse américaine, club de Toros Academy) Morte pendant un match. Août 2021.

Astolfi Andrea : 45 ans (directeur sportif du Calcio Orsago, Italie) victime d’une crise cardiaque au retour d’un entraînement et décéde sans antécédents médicaux. Septembre 2021.

Azzopardi Ava : 14 ans (adolescente australienne, footballeuse du Runaway Bay Soccer Club, Queensland, Australie) La jeune fille s’effondre après être entrée sur le terrain de foot en Octobre 2021. Dans un état critique, elle est plongée dans un coma artificiel. Revient à la vie et passe plusieurs semaines en unité de soins intensifs pédiatriques. Porte désormais un défibrillateur.

B

Badara Wade Alioune : 28 ans (footballeur amateur sénégalais, équipe du Dakar University Club, Sénégal) Le joueur s’effondre lors d’un entraînement et décède d’un arrêt cardiaque. Décembre 2021 

Banks Isaiah : 16 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : Norcross High School, Georgia, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Barklage Blake : 17 ans (lycéen américain et joueur d’une équipe de football américain : La Salle College High School, Wyndmoor, Pennsylvania, USA) L’adolescent décède d’un arrêt cardiaque après un match de football. Novembre 2021.

Barot Avi : 29 ans (joueur de cricket professionnel indien, club de Saurashtra) Mort d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Bartee Kimera : 49 ans (entraîneur et ex-joueur américain d’une équipe de baseball : les Detroit Tigers, USA) L’homme s’effondre et  décède alors qu’il rend visite à son père. Décembre 2021. 

Bayumi Imad : 45 ans (footballeur égyptien, ancien joueur de l’équipe de la République de Shebin) S’effondre sur le terrain et décède lors d’un match amical en Égypte. Juillet 2021. 

Bedodi simone : 40 ans (Joueur italien de baseball et entraîneur de l’équipe des Carega Park Rangers, Italie) Fait un malaise chez lui et décède. Octobre 2021.

Bell Amish : 20 ans (joueur de rugby du Blairgowrie RFC et étudiant de l’université d’Aberdeen, Écosse) Il fait un arrêt cardiaque pendant un entraînement et est ramené à la vie. Juin 2021. 

Berrier Franck : 37 ans (ex joueur footballeur professionnel français, entraîneur du club KV Ostende) Mort d’un arrêt cardiaque en faisant du sport. Août 2021.

Best Dale : 34 ans (rugbyman australien, équipe des Swans de Maroochydore, Queensland, Australie) Malaise cardiaque pendant un match. Décédé une fois arrivé à l’hôpital. Février 2021.

Betjes Wouter : 14 ans (joueur hollandais de hockey sur gazon) L’élève de l’école de Beverwijk s’effondre sur le terrain pendant un match avec ses copains de classe. Malgré une réanimation cardiaque, il décède plus tard à l’hôpital. Décembre 2021.

Biglione Ronald : 32 ans (footballeur professionnel argentin, équipe du Deportivo Club Independencia, Division 1 Argentine) Décède une semaine après avoir été diagnostiqué avec des caillots sanguins. Octobre 2021.

Binet Gaëtan : 27 ans (sportif et gendarme à la brigade de Port-Jérôme, Seine-Maritime, France) Alors qu’il fait un footing, il est victime d’un arrêt cardiaque et décède . Octobre 2021.

Bitktimirova  Arina : 19 ans ( Championne d’Europe de Taekwon-Do ITFArina Biktimirova) La jeune femme russe est décédée de morte subite. Novembre 2021.

Bitner Mélanie : 47 ans (femme d’affaires et sportive canadienne) La femme fait une réaction grave à sa première injection en Avril 2021 et est admise en urgence à l’hôpital général de Vancouver pour de multiples caillots sanguins. Aujourd’hui malade d’une thrombocytopénie immunitaire, elle a dû arrêter de travailler.

Bizu Borislav : 24 ans (canoé-kayakiste ukrainien, triple champion d’Europe et du monde) Mort d’une septicémie. Décembre 2021.

Blandini Christian : 20 ans (Jeune italien, une « étoile montante » du volley-ball de l’Université de Catane, Italie) Décède d’un arrêt cardiaque foudroyant . Septembre 2021.

Bommer Lucas : 25 ans (gardien de but de handball de l’équipe du HC TuRa Bergkamen, Allemagne) Mort subite. Octobre 2021.

Bos Sebastiaan : 19 ans (joueur de hockey sur gazon, équipe de Laren, Pays-Bas) Mort subite. Septembre 2021.

Böttcher Elly : 17 ans (Footballeuse allemande, club semi-professionnel de Rostocker FC, Allemagne) S’effondre sur le terrain de lors d’un match à Brandenburg et est évacuée à l’hôpital. Octobre 2021.

Bounds Adam : 41 ans (footballeur anglais amateur du Devon, Angleterre) Il fait une réaction grave à l’injection AstraZeneca et décède onze jours plus tard d’une hémorragie cérébrale à l’hôpital de Plymouth. Mai 2021.

Bowman Ryan : 29 ans (footballeur professionnel anglais, joueur de l ‘équipe de Shrewsbury, 3 ième division anglaise) Il est transporté d’urgence à l’hôpital après avoir souffert de palpitations cardiaques lors du match de League One contre Ipswich. Le médecin de l’équipe a constaté que son rythme cardiaque était de « 250 battements par minute » Octobre 2021.

Bozinovski Marko : 20 ans (joueur professionnel de handball du club RK Butel, Macédoine du Nord) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Juin 2021.

Bradshaw Joe : 19 ans (joueur de football américain à l’université Charleston Southern) Fait un arrêt cardiaque et décède hors match. Mars 2021.

Braun Tim : 27 ans (footballeur amateur allemand, club du SV Hamberge, Schleswig-Holstein, Allemagne) Le joueur s’effondre pendant un match. Il sort du terrain et insiste pour pouvoir rentrer chez lui se reposer. Il va s’allonger mais malheureusement décède dans son sommeil. Juillet 2021.

Bruers Keanu : 19 ans (footballeur belge, club régional de Svelta Melsele, Flandres) Mort subite. 

Bristot Davide : 18 ans (joueur de voleyball amateur italien) Vacciné première dose Pfizer le 17 Juin 2021, il souffre de terribles maux de tête la deuxième semaine de Juillet, suivis de vomissements. Le 14 Juillet, sa mère le trouve mort au pied de son lit le matin. 

Brito Daniel : 23 ans (joueur vénézuélien de baseball, équipe des Phillies, Philadephia, USA) S’effondre sur le terrain pendant un match et doit subir une opération d’urgence. Juillet 2021.

Bruce Alex : 20 ans (rugbyman anglais, club de deuxième division des Batley Bulldogs) Le jeune homme est retrouvé mort dans une chambre d’hôtel française le lendemain de ses débuts en première division contre l’équipe de Toulouse. Août 2021.

Bryce Tevita : 28 ans (joueur de rugby tonguien, équipe de Montclair Rugby Football Club, USA) Arrêt cardiaque pendant un match de demi-finale de la ligue masculine du New Jersey. À environ 15 minutes de la fin du match, Tevita a donné un coup de pied dans le ballon et s’est effondré. Il a subi une crise d’épilepsie, une attaque cérébrale et une crise cardiaque majeure. Miraculeusement réanimé. Octobre 2021.

Bulu Charles : 34 ans (arbitre de foot ghanéen professionnel) S’effondre alors qu’il officie le match de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations 2021 entre la Côte d’Ivoire et l’Ethiopie. Emmené en urgence à un hôpital d’Abidjan. Mars 2021.

Butler Roy : 23 ans (footballeur professionnel irlandais, club anglais de Watford) Le 13 Août, après avoir reçu l’injection J&J, il souffre de graves maux de tête. Malaise général dans l’heure qui suit. Le samedi 14 août, il vomit et a des convulsions. Coma artificiel le 16. Décédé le 17.

C

Cabrera Óscar : 26 ans (basketteur dominicain, équipe de la quatrième division de la Liga EBA espagnole) À la fin du premier quart-temps, apparemment confus ou dans une sorte de transe pendant une seconde ou deux, le joueur reste statique, lâche le ballon de basket et s’effondre sur le sol. Transporté à l’hôpital. Décembre 2021.


Cabrera Roider : 30 ans (basketteur philippin professionnel, club de Terrafirma Dyip) Arrêt cardiaque juste après un match. Novembre 2021.

Čačic Marin : 23 ans (footballeur croate, troisième division de Croatie, club de Nehaj) Après s’être effondré pendant un entraînement, il est immédiatement transporté d’urgence à l’hôpital où il décède. Décembre 2021.

Cairns Chris : 51 ans (Joueur de cricket néo-zélandais, anciennement de l’équipe australienne Black Caps) En Août 2021, il fait une crise cardiaque massive et une rupture de l’aorte. Après de multiples opérations à cœur ouvert, il est aujourd’hui (Décembre 2021) paralysé et ne pourra peut-être plus remarcher.

Campo Alessandro : 25 ans. Frère de Vittoria Campo, trouvé mort chez lui deux jours après l’injection Pfizer. Septembre 2021.

Campo Vittoria : 23 ans (Footballeuse italienne du club de Palerme. Sœur d’Alessandro Campo) Morte après arrêt cardiaque. Octobre 2021

Campus Antonello : 53 ans (entraîneur de foot italien d’une équipe de jeunes de Sardaigne) S’effondre et meurt sur le terrain alors qu’il entraînait son équipe. Septembre 2021.

Canaday Sage : 35 ans (Coureur tchèque d’ultra-marathon) Après une chute sur l’Ultra Trail du Mont Blanc, il s’est avéré que le coureur est mort d’une embolie pulmonaire bilatérale et de caillots sanguins. Il était doublement vacciné et a commencé à avoir des problèmes en Mai au retour d’un vol. Après le rappel injection Pfizer, dans une vidéo il avait témoigné à ses fans avoir subi des effets secondaires sévères, notamment des difficultés à respirer. Juin 2021.

Cattigan Siobhan : 26 ans (joueuse de rugby professionnelle écossaise) Mort subite en novembre 2021.

Chabrera Dani : 29 (ex-footballeur professionnel espagnol du Villareal FC. Entraîneur des gardiens de but du Lokomotiv Tashkent en Ouzbékistan) L’homme est rentré en Espagne plusieurs jours après s’être senti mal et est décédé dans le pays. Décembre 2021

Chardy Jeremy : 34 ans (tennisman professionnel français) « Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les Jeux olympiques et l’US Open, ndlr), j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer», a-t-il dit en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique. Septembre 2021.

Chedean Nation et Chinelle Henry : les deux jamaïcaines de 35 et 26 ans sont des joueuses de cricket professionnelles, de l’équipe Cricket West Indies. Les deux femmes s’effondrent à 10 minutes d’intervalle en plein match contre le Pakistan. Juillet 2021.

Chiazari Dean : 31 ans (champion de canoë-kayak sud-africain) Décède d’une crise cardiaque lors du marathon de canoë de Fish River, Afrique du Sud. Octobre 2021.

Coghe Rune : 18 ans (footballeur belge, club du KFC Eendracht Hooglede) Réanimé sur le terrain après arrêt cardiaque en plein match. Août 2021

Coman Kingsley : 25 ans (footballeur français professionnel, club du Bayern de Munich) Arythmie cardiaque. Septembre 2021.  

D

D’Arendonk Joppe Erpels, Verhagen Xander, Van Herck Yarno : (Trois cyclistes néerlandais, catégorie junior. Club de Campine) Les trois ados récemment injectés contre le Covid développent des problèmes cardiaques après une course. Direction l’hôpital, dont l’un des trois en soins intensifs. Août 2021.

Dagoury Florian : 34 ans (sportif français, recordman du monde en apnée statique) Myocardite, péricardite et régurgitation mitrale triviale suite vaccin Pfizer. Novembre 2021.
Dale Cameron : 29 ans (Navigateur australien) Décédé six semaines après un avc foudroyant. Août 2021.

Dalibor Nicky : 36 ans (footballeur allemand, Landesliga. Club de SV Olympia Schlanstedt) Le joueur fait un arrêt cardiaque en plein match lors de de la Bruch-Cup en Juillet 2021. Il est réanimé sur le terrain.

De Angelis Romina : 43 ans (volleyeuse italienne) S’effondre pendant un match avec des amis et décède d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021.

Dejan Oršuš : 24 ans (Footballeur professionnel croate, club d’Osk Otok) Décède après un match contre Radničkog en deuxième ligue de comté. Les médias croates ont rapporté que le jeune homme s’est effondré pendant le match. Il a été transporté à l’hôpital de Čakovec et les médecins n’ont pas pu l’aider. Cause du décès due à une crise cardiaque. Avril 2021.

De Jesus Moreira Fellipe : 18 ans (footballeur professionnel brésilien, équipe de l’Atlético-GO, Goiânia, Division 1 du Brésil) Le joueur fait un arrêt cardiaque à l’entraînement, est réanimé puis fait un deuxième arrêt cardiaque dans l’ambulance. Octobre 2021.

Dembélé Moussa : 25 ans (joueur professionnel franco-malien de l’Atlético Madrid. Malaise à l’entraînement, quitte le terrain pour recevoir des soins médicaux. Mars 2021.

De Lorenzo Luciano : 15 ans (jeune cycliste italien) Alors qu’il fait du vélo avec son père, l’adolescent fait un malaise et décède. Novembre 2021.

De Oliveira Faustino Riuler : 23 ans (footballeur professionnel brésilien, joueur du club japonais Shonan Bellmare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

De siano Domenico : 25 ans (basketteur italien et masseur de l’équipe Forio Basket, Campania, Italie) Le jeune homme décède après un mois à l’hôpital La Schiana de Pozzuoli, suite à une ischémie cérébrale dûe à des caillots de sang dans le cerveau. Décembre 2021.

De Smet Jens : 27 ans (footballeur amateur belge, club de FCC Filosoof) S’effondre et meurt en plein match. Septembre 2021.

De Vecchi Michele : 25 ans (étudiant et coureur de trail) Le jeune homme fait son jogging avec un ami dans les collines de Proseccoen Italie, et décède d’un arrêt cardiaque sur le sentier. Novembre 2021.

De wolff Niels : 27 ans (footballeur amateur belge, équipe des White Star Sombeke,Waasmunster, Belgique) Le joueur est victime d’un arrêt cardiaque après un match contre l’équipe de Warbrook. Réanimé par RCP et défibrillateur. Décédé à l’hôpital trois jours plus tard. Octobre 2021. 

Del Carmen Alvarado Ceylin : 23 ans (cycliste professionnelle néerlandaise, championne d’Europe de l’équipe Alpecin-Fenix) Carrière interrompue suite « perturbation de la numération sanguine » Octobre 2021.

Dimattina Paul :  47 ans (football australien, ex pro des Western Bulldogs) Se retrouve en soins intensifs après la troisième injection Pfizer (booster.) Novembre 2021. 

Dixon Bobby : (footballeur anglais, équipe de Cumbria, Angleterre) Le joueur s’effondre au début du match de Cumberland County League contre Gosforth à Gillford Park. Le staff utilise un défibrillateur pour le ramener à la vie. Décembre 2021.

Dixon Harriet : 15 ans (jeune anglaise sportive de Manchester, en bonne santé et qui avait l’ambition de devenir institutrice) La demoiselle a des migraines très fortes et soudain son état de santé se dégrade. Elle fait un arrêt cardiaque au domicile de ses parents et décède. Juin 2021.

Donadrian Robinson : 17 ans (étudiant, joueur d’une équipe de football américain : la Keenan High Scholl, Columbia, USA) Mort subite. Septembre 2021.

Dorozhkin Vladimir : 38 ans (entraîneur russe et athlète) Il est mort le jour même où il a reçu l’injection Spoutnik. Vacciné juste après midi, mort à minuit. Cardiomyopathie. Juillet 2021.

Dos Reis José : 29 ans (footballeur professionnel, club luxembourgeois Red-Black-Egalité 07)Arrêt cardiaque pendant match, miraculeusement réanimé sur le terrain. Août 2021.

Downey Jacob : 18 ans (Joueur de Hockey, étudiant canadien à l’Université Queen’s de Kingston) Mort subite. 29 septembre.

Downie Josh : 24 ans (joueur professionnel de cricket anglais, de la Nottinghamshire Cricket Board Premier League) mort après arrêt cardiaque à l’entraînement. Mai 2021.

Doyle Conor : 17 ans (étudiant américain et joueur de baseball de la Mustang High School, Oklahoma, USA) L’adolescent s’effondre à la suite d’un arrêt cardiaque pendant une séance d’entraînement matinale. Il est réanimé par les entraîneurs et emmené à l’hôpital. Novembre 2021. 

Dubrovolski Maxim : 17 ans (Footballeur russe amateur) S’effondre et décède pendant un match de la Ligue du Sud-Ouest de Moscou. Juin 2021.

DuHart Devon : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Tigers de Little Rock Central High School, Arkansas) Se plaint de sa santé après un entraînement et se rend à l’hôpital. Décède dans la foulée dans son sommeil. Juillet 2021.

Dumervil-Jean Dejmi : 22 ans (joueur d’une équipe de football américain : St. Thomas Aquinas Raiders, l’Université de Louisville, USA) Décède subitement en Novembre 2021.

Duran Ferran : 27 ans (footballeur espagnol, équipe de Maia CE, 4ième Division Catalogne, Espagne) En plein match l’équipe de contre Bescanó B, le joueur fait un arrêt cardiaque. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, nouvel arrêt cardiaque sur le terrain, puis deux autres à l’hôpital de Girona à son arrivée en hélicoptère. Miraculeusement ramené à la vie. Octobre 2021.  

E

Edwards Helen : Arbitre de foot professionnel anglaise. La jeune femme fait une crise cardiaque en plein match de qualification à la World Cup. Septembre 2021.

Elhard Mike : 39 ans (marathonien amateur américain de Minneapolis, USA) L’homme sort s’entraîner en vue du marathon de Chicago, s’effondre et décède peu de temps après le début de son footing. Septembre 2021. 

Elijah Hicks Antonio : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Citrus High School, à Inverness, en Floride, USA) L’adolescent fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’entraîne avec l’équipe de football de son école. Il est transporté d’urgence au Citrus Memorial Hospital, situé à côté de l’école, mais décède un peu plus tard. Septembre 2021.

Elitok Halil : 25 ans (footballeur amateur turque, équipe de SG Gahmen, Allemagne) S’effondre juste avant un match au sommet de la Kreisliga A2 de football de Dortmund contre Eving Selimiye Spor. Plongé dans le coma artificiel à l’hôpital. Octobre 2021.

Englebert Michaël : 37 ans (footballeur amateur luxembourgeois, club d’Ortho, Belgique) Fait un malaise cardiaque dans le vestiaires après un match. Il est réanimé à l’aide d’un défibrillateur et transporté à l’hôpital de Bastogne, puis Liège. Décède le lendemain. Octobre 2021.

Eriksen Christian : 29 ans (footballeur danois professionnel, joueur star de l’Inter Milan) P.S : les sources sont contradictoires car certaines affirment que le joueur n’était pas vacciné, d’autres au contraire stipulent que son arrêt cardiaque – en Juin 2021, en plein match de l’Euro – a eu lieu 12 jours avoir reçu une injection Pfizer. Toujours est-il que Eriksen est un miraculé, réanimé in extremis à l’aide d’un défibrillateur. Il aura besoin d’un stimulateur cardiaque pour le reste de sa vie.

Eubank Sebastian : 29 ans (boxeur professionnel, fils du célèbre boxeur Sebastian Eubank)
Décède  d’une crise cardiaque pendant une séance de natation. Juillet 2021.

Esparza Nathan : 16 ans (Jeune joueur de football américain, lycée de Castaic High School, Californie, USA) Appelés au domicile de ses parents, les secours de Los Angeles n’ont pas pu réanimer le garçon qui est décédé d’un arrêt cardiaque. Juillet 2021.

Evans Alex : 31 ans (joueur amateur de rugby de l’équipe de Cwmllynfell RFC, pays de Galles) L’homme fait un arrêt cardiaque en plein match du championnat du pays de Galles. Malgré l’intervention des secours, qui tentent de le réanimer à l’aide d’un défibrillateur, il décède quelques instants plus tard. Août 2021.

F

Fathallah Haitem Jabeur : 32 ans (basketteur tunisien, équipe de troisième division italienne : Fortitudo Messina) Le joueur est décédé dans un hôpital de Reggio Calabria, après avoir été victime d’une crise cardiaque pendant le match de son équipe contre Reggio Calabria. Octobre 2021.

Faye Doudou : 35 ans (ex-basketteur professionnel sénégalais du Stade sportif sfaxien en Tunisie) Décède d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

Felton Tom : 34 ans (Golfeur et acteur britannique, star de la série de films Harry Potter) S’effondre durant une partie de golf. Septembre 2021.

Ferchaud Diego : 16 ans (footballeur français amateur, ASPPT Caen) Malaise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Fleck John : 30 ans (footballeur professionnel écossais, joueur de l’équipe des Blades, Sheffield United Football) S’effondre en plein match contre Reading et est évacué en urgence du terrain sous oxygène, direction l’hôpital. Novembre 2021.

Follmer Greyson : 19 ans (étudiant américain de l’Ohio, USA. Athlète d’élite, membre des ROTC –   programme de formation des forces armées américaines dans les collèges et universités pour le recrutement et la formation d’officiers) Après sa deuxième injection Pfizer en mai 2021, le jeune homme développe en très peu de temps de graves complications cardiaques : myocardite aiguë.

Forstenlechner Leo : 12 ans (Jeune joueur autrichien de hockey sur glace qui a joué avec l’équipe des Gunners, Oberwart, Autriche) Le gamin décède après avoir été hospitalisé pendant quelques jours à la suite d’un arrêt respiratoire à son domicile.

Fraser Ewan : 30 ans (joueur de hockey sur gazon de Glasgow, équipe de Clydesdale HC) Le joueur est un miraculeusement réanimé par un ami après avoir fait un arrêt cardiaque pendant un match. Dix minutes après s’être effondré, il revient à la vie. Octobre 2021.

Frei Stefan : 36 ans (joueur d’une équipe de football américain : les Seatlle Sounders, USA) À cause de caillots sanguins en Mai 2021, le joueur doit être soigné avec des anticoagulants et ne reprend les matchs qu’en septembre. 

Freitas Vinicius : 20 ans (footballeur amateur du club Macaé Esporte FC, Brésil) Ancien athlète des catégories jeunes du club qui rêvait de jouer au football en tant que professionnel, le joueur est victime d’une crise cardiaque et décède. Décembre 2021. 



G

Gabriel 16 ans (jeune français de Haute-Garonne passionné de basket) Myocardite suite première injection) Septembre 2021

Gallucci Orlando : 49 ans (culturiste italien, entraîneur personnel et athlète décédé d’un arrêt cardiaque après une séance d’entraînement lors des Championnats Européens) Août 2021.

Gard Stéphanie : 19 ans (cavalière australienne) Tombe gravement malade après avoir reçu l’injection Pfizer. Neuropathie périphérique et péricardite. Novembre 2021.

Gare Lanny : 43 ans (joueur de hockey sur glace, équipe des Selber Wölfe, Allemagne)  Après un match contre l’équipe des Lausitzer Füchse, il fait une attaque cérébrale. Décembre 2021.

Garissone Innocent : 20 ans (Un des gardiens de but de l’équipe du P.S.G) Problème cardiaque. S’effondre et perd connaissance lors d’un match contre Chambly. Janvier 2021

Gavazzi Giani Chloe : 12ans (jeune joueuse de tennis italienne, membre de l’Académie Golarsa à Milan) Décédée subitement. Retrouvée morte à domicile par sa mère. Juin 2021

Georgiev Ivo : 49 ans (ex footballeur professionnel bulgare) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Gérard Joachim : 32 ans (tennisman professionnel belge, handisport) Malaise cardiaque, jeux paralympiques de Tokyo. Septembre 2021.

Gigante Sarah : 21 ans (cycliste olympique et champion australienne en titre du contre-la-montre) La jeune femme fait une réaction grave à l’injection : fortes douleurs thoraciques la contraignant à des hospitalisations répétées après les Jeux olympiques de Tokyo. On lui diagnostique une myopéricardite. Novembre 2021.

Giuliano Santo : 33 ans (Danseur professionnel italien) Victime d’une crise cardiaque cinq jours après avoir reçu la première injection Pfizer et est réanimé par le personnel hospitalier à l’aide d’un défibrillateur. Juillet 2021.

Glenn Jordan : 16 ans (jeune basketteur américain de la Wisconsin Lutheran High School) S’effondre lors d’une pause au début de la mi-temps d’un match. Malaise cardiaque, réanimation avec un défibrillateur, transféré à l’hôpital par ambulance. Janvier 2021.

Gomes Ricardo : 30 ans (footballeur professionnel cap-verdien, joueur de l’équipe du Partizan Belgrade, Serbie) Moins de six semaines après avoir reçu l’injection covid, le joueur s’effondre à l’entraînement. Graves séquelles. Saison de foot à priori finie. Décembre 2021. 

Goodwin Brandon : 26 ans (Joueur américain professionnel NBA, club d’Atlanta Hawks) Souffre de caillots sanguins peu après l’injection de COVID-19 en octobre 2021. Fin de carrière possible, toujours sur la touche 7 mois plus tard.

Goszko Michelle : 44 ans (joueuse de cricket australienne, directrice des North Sydney Bears cricket ) Fait une attaque cérébrale foudroyante et est transportée en urgence à l’hôpital. Novembre 2021.

Gourdon Kevin : 31 ans (rugbyman professionnel, membre du XV de France et de l’équipe de La Rochelle) Il doit mettre un terme à sa carrière suite à un problème cardiaque. Décembre 2021.

Gouveia Jenn : 38 ans (amatrice canadienne, fan de course à pieds) Arrêt cardiaque alors qu’elle faisait son footing à High Park, Toronto. Transportée en urgence à l’hôpital. Décédée. Juillet 2021. 

Graham Sofia : 27 ans (bodybuilder américaine, décède pendant une préparation à la NPC North Americans. Août 2021.

Graham Hansen Caroline : 26 ans (footballeuse professionnelle norvégienne, joueuse du club de Barcelone. Malaise cardiaque pendant la mi-temps d’un match de championnat contre la Real Sociedad. Octobre 2021.

Greb Lukas : 34 ans (entraîneur et footballeur amateur allemand, club du SV Mardorf, Allemagne) Il fait un arrêt cardiaque alors qu’il s’apprête à prendre la parole devant son équipe, pendant la mi-temps d’un match contre le SV Schönstadt. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il placé en soins intensifs et dans un coma artificiel. Il s’en réveille trois jours plus tard. Novembre 2021.

Greenway Tom : 38 ans (ex-jockey professionnel anglais) Mort subite. Novembre 2021

Gross Jalen : 18 ans (jeune américain de Milwaukee, basketteur de la Marshall High School ) Il meurt d’un arrêt cardiaque en plein match lors d’un tournoi de basket : le All-American Showcase à Chicago. Juin 2021.

Guedez Alexaida : 30 ans (marathonienne vénézuélienne) Décède d’une crise cardiaque lors d’une course dans l’état de Carabobo, Vénézuela. Août 2021.

Gurajdowski Michal : 40 ans (arbitre polonais de la Ligue de football de la WL et parkrunner) Mort subite. Décembre 2021.

Gut-Behrami Lara : 30 ans (coureuse suisse de Coupe du monde de ski alpin) Depuis son injection  en octobre 2021, elle a eu des difficultés respiratoires extrêmes et se plaint d’effets secondaires sévères. Malgré les deux injections, elle tombe malade du Covid courant Décembre.

H

Hagler Marvin : 66 ans (ancienne star de la boxe professionnelle, champion mondial incontesté des poids moyens entre 1980 et 1987) Effets secondaires sévères après l’injection : il est transporté d’urgence à l’hôpital pour des douleurs à la poitrine et des difficultés à respirer avant de mourir quatre heures plus tard selon son fils, James. Mars 2021.

Hall Jamarcus : 16 ans (lycéen et joueur d’une équipe de football américain : les Hilltoppers de la Houston High School, USA) L’adolescent décède le jour où son équipe doit jouer les éliminatoires d’une compétition. Novembre 2021.  

Haman Andy : 54 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Mars 2021.

Hamilton Jamie : 19 ans (footballeur professionnel écossais, équipe The Accies, Écosse)  Le joueur s’écroule lors d’un match contre le club de Arbroath. Il doit être sorti du terrain alors qu’il se tient la poitrine. Novembre 2021.

Hans Aurélie : 21 ans (ex-footballeuse française amatrice du FC Vendenheim, Alsace, France) L’étudiante en sciences sociales à l’université Strasbourg succombe à un arrêt cardiaque foudroyant. Décembre 2021.

Haralson Parys : 37 ans (ex star de football américain de plusieurs équipes professionnelles de la National Football League, USA) Décédé de mort subite, hors match. Septembre 2021.

Harrison Maxwell : 21 ans (danseur de salon international anglais) Douleurs thoraciques et  difficultés respiratoires cinq jours après la deuxième injection Pfizer. Hospitalisé, on lui diagnostique une péricardite. Carrière de danseur compromise pour au moins un an. Décembre 2021. Touché par ce qui lui arrive, le jeune homme a pris la parole à la télé, sur Britain’s news channel : « Je suis pro-vaccins et je pense que les gens doivent faire leur devoir en protégeant les autres! Mais nous avons besoin d’une conversation nationale sur les implications potentielles du vaccin sur la santé. Plus de mensonges! »

Hatvani Kosinová Alena : 46 ans (culturiste tchèque) Sur le point de participer au NPC/Pro
League Europa Pro 2021, elle décède après avoir été transportée à l’hôpital à Alicante. Août 2021.

Harward Richard : 24 ans (basketteur professionnel américain, équipe des BYU, USA) S’effondre sur le terrain lors d’un match d’exhibition contre Colorado Christian le 4 novembre. En Décembre 2021, Le joueur annonce qu’il se retire du basket-ball en raison de problèmes cardiaques.

Hayes Jimmy : 31 ans (Joueur professionnel Hockey sur glace. Club américain Les Devils du New Jersay) Décédé, Hors match. Août 2021.

Hegedüs Viktor Marcell : 18 ans (footballeur professionnel hongrois, Tarr Andráshida)
Le jeune homme s’effondre et décède pendant un échauffement à l’entraînement. Juin 2021.

Henderson Laura : 42 ans (amatrice écossaise de cross) Arrêt cardiaque pendant un entraînement.
Morte quelques jours plus tard. Mars 2021.

Ho Baek Sang : 20 ans (joueur de baseball d’origine coréenne, élève de l’université George Mason, Virginie, USA) Le jeune homme développe des caillots de sang après une opération bénigne et décède. Juin 2021.

Hoffman Jedd : 15 ans (lycéen et footballeur d’une équipe de football américain : Park City High School, Montana, USA) L’adolescent décède une semaine après avoir fait un arrêt cardiaque lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Hicks Ivan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, la Philadelphia High School, USA) Meurt en plein match pendant une mêlée. Crise cardiaque. Juin 2021.

Hirata Ryōsuke : 33 ans (joueur japonais professionnel de baseball, club des Chuchini Dragons. Développe une angine atypique (maladie cardiaque) Juillet 2021.

Holman Hayden : 22 ans (Marathonien américain de Sugar City, Idaho, USA) S’est effondré pendant le marathon de St. George dans l’Utah. Réanimé dans un premier temps. Décédé à l’hôpital. Octobre 2021.

Hueter Florian : 33 ans (entraîneur autrichien d’une équipe de football américain : les Swarco Raiders Tirol, Innsbruck, Autriche) Mort subite. Décembre 2021. 

Hyde Dave : 29 ans (rugbyman, club du Henley Football Club, Australie) S’effondre et meurt après un match, après avoir subi deux arrêts cardiaques. Septembre 2021.

I

Ibushi Kōta : 39 ans (catcheur star internationale japonais de la fédération de catch New Japan Pro Wrestling) En juillet 2021 il développe des problèmes respiratoires suite à l’injection. Plusieurs mois plus tard, il ne peut toujours pas remonter sur un ring la presse soutient que son état de santé ne s’est pas dégradé à cause de l’injection. Vrai ou faux?

Icenogle Zachary : 19 ans (basketteur et volleyeur au Carthage College de Kenosha, Wisconcin, USA) Mort subite dans son sommeil.

Ingebrigtsen Filip : 28 ans (coureur norvégien professionnel du 1500m) Souffre d’un manque d’énergie pendant plusieurs mois et n’a pu terminer qu’une seule séance d’entraînement après avoir reçu l’injection en Mars 2021.

Ishkeldin Maxim : 31 ans (champion du monde de hockey sur gazon, joueur professionnel de l’équipe russe SKA-Neftyanik) Décède subitement à Novossibirsk, à la suite un problème de coagulation sanguine. Juin 2021. 

Islam Mohammad : 30 ans (footballeur, club de Raziq, Pakistan) S’effondre pendant un match de la coupe du Balochistan Deputy Commissioner, dans la ville de Chaman. Octobre 2021. Décède à l’hôpital.

Ivory Joshua : 15 ans (footballeur américain, élève de la Southwest High School de Macon, Géorgie, USA) S’effondre et meurt pendant un entraînement. Juillet 2021.



J

Jajov Adenan : 30 ans (footballeur amateur macédonien) Trois jours après la deuxième injection Pfizer, l’homme – qui vivait avec des connaissances à Piansano en Italie – jouait au football à cinq sur le terrain du village. Lors d’une pause, il s’effondre sur un banc d’une hémorragie cérébrale et décède. Novembre 2021.

Jelagat Morwa Yvonne : 27 ans (athlète kényane, membre du Volare Sports Running Club, basé à Iten, Kenya) La jeune femme en pleine santé décède peu après une course, à la surprise de ses proches sous le choc. Août 2021.

Jelovac Stevan : 32 ans (basketteur professionnel serbe, équipe de AEK Athens, Grèce) S’effondre en plein match d’une attaque cérébrale. Décède trois semaines plus tard en Décembre 2021.

Jenkins David : 31 ans (Entraîneur de plongeon acrobatique de la Grande-Bretagne pour les Jeux olympiques de Tokyo 2020 et entraîneur principal du Dive London et London Aquatics Center) Mort subite. Octobre 2020.

Joao Kisonga Alexandre : 37 ans (basketteur professionnel, d’origine angolo-congolaise, équipe de   Corsico Basket, Lombardie, Italie) Il développe une périmyocardite aiguë après l’injection Moderna et doit être hospitalisé. Six mois plus tard, il ne peut toujours pas jouer. Juin 2021

John Matty : 33 ans (bodybuilder australien) Péricardite suite injection Pfizer. Décembre 2021.

Johnson Joshua : 16 ans (joueur de football américain, lycée William Monroe de Stanardsville, Virginie, USA) En vacances  avec sa famille,alors qu’il pêche avec son père, il décède subitement. Juin 2021.

Jones Craig : 29 ans (Ceinture noire et champion du monde australien de jiu-jitsu brésilien) ne peut plus s’entraîner ni combattre après une injection Covid. Avril 2021.

Jovani Trejo Ethan : 16 ans (joueur d’une équipe de football américain, lycée de Princeton High School, New Jersey, USA) Lors d’un entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède un peu après son arrivée à l’hôpital. Juin 2021

K

Kalu Samuel : 24 ans (footballeur professionnel nigérian, club des Girondins de Bordeaux) Malaise en plein match. Août 2021. 

Kamaruddin Haziq : 27 ans (archer olympique malaisien) Le double champion olympique est mort d’une maladie coronarienne, dix jours après la deuxième injection Pfizer en Mai 2021 . 

Karlsson Erik : 23 ans (athlète suédois de l’équipe Högby IF, Suède) Il fait un arrêt cardiaque dans le dernier kilomètre de la course Sylvesterloppet à Kalmar. Transporté à l’hôpital en ambulance, il décède quelques jours plus tard.  Décembre 2021. 

Kazmarek Jake : 28 ans (culturiste américain) Décède 4 jours après avoir reçu sa deuxième dose de l’injection Moderna. Octobre 2021.

Khambikova Aliya : 21 ans (Joueuse de volley-ball russe, club de deuxième division d’Ufimochka-Ugntu, Russie) Des rumeurs dans la presse annoncent que la jeune femme est décédée du Covid, mais l’entraîneur de l’équipe révèle que c’est d’une maladie grave et foudroyante. Novembre 2021.

Kyeong-Bo Kim : 20 ans (star e-sport américaine des jeux vidéos, équipe des Fusion de Philadelphie, USA) Mort subite. Novembre 2021.

Kidd Jayson : 12 ans. L’enfant s’effondre et décède en jouant au basket à l’école de Chartiers Valley, Pittsburgh, USA. Octobre 2021.

Kido Markis : 36 ans (star indonésienne du Badminton, médaillé or olympique en double) Décède d’une crise cardiaque alors qu’il jouait dans un complexe sportif à Tangerang, Indonésie. Juin 2021.

King Branson : 23 ans (joueur de hockey sur glace américain de l’Université de Pennsylvanie, USA) Mort subite.

Kinoshita Yusuke : 27 ans (joueur japonais de base-ball professionnel, club de Chunichi Dragons) Fait un malaise alors qu’il jouait au base-ball en Juin 2021. Décède à l’hôpital en Août 2021.

Kirsch Benedikt : 25 ans (footballeur allemand, capitaine de l’équipe du SpVgg Bayreuth, 4ième division allemande) S’effondre en plein match et est transporté à l’hôpital. Octobre 2021. 

Klose Miroslav : 42 ans (ancien footballeur professionnel allemand et entraîneur adjoint du Bayern Munich) Souffre de caillots de sang dans la jambe suite injection Covid en Mai 2021. Il a dû arrêter d’entraîner. Il attend que le traitement médical aide à son rétablissement avant une éventuelle reprise

Knowles Cienna : 19 ans (Cavalière australienne) Hospitalisée pour caillots sanguins suite injection Pfizer. Octobre 2021.

Khosh Hava Navid : 30 ans (footballeur iranien, ancien défenseur de l’équipe de football U23 d’Iran) L’homme décède des suites d’une crise cardiaque. Décembre 2021.

Kozek Krystian : 17 ans  (footballeur amateur polonais, équipe de Wisłok Strzyżów, Division 3 Pologne) Le jeune homme décède de mort subite. 

Krsić Aleksandar : 30 ans (football professionnel serbe, équipe du FK Radnicki, Division 1 Serbie) Le joueur fait un arrêt cardiaque pendant l’entraînement. Il meurt dans l’ambulance en route vers le centre clinique de Novi Sad. Novembre 2021.

Kruglova Anna : 27 ans (championne de l’équipe nationale russe de taekwondo) Le site de réseau social Vkontakte stipule que la jeune femme est décédée deux jours après l’injection. Octobre 2021.

Kuhn Shawn : 21 ans (étudiant en Sport Management de l’Université de Géorgie, USA) Après une deuxième injection Pfizer en Mai 2021, il réagit mal. Il développe une pneumonie sévère en plein mois d’Août et sa santé se détériore rapidement. Il décède en Octobre 2021.

Kwemoi Soet Gilbert : 23 ans (athlète kényan professionnel, ancien médaillé or olympique 1500m) S’effondre à son domicile de Kitale et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.  

L

Laksour Badr : 41 ans (footballeur amateur, club de Rasteau, France) Lors de la Coupe Grand Vaucluse, alors que son équipe affronte Avignon, le joueur s’écroule quelques minutes après être entré en jeu. Malgré la prise en charge des secours, il décède. Octobre 2021.

Lartillot Frédéric : 49 ans (footballeur français amateur, association des vétérans du football de Nurieux-Volognat) Mort dans les vestiaires, après un match. Septembre 2021.

Lawrinas Nickolas : 17 ans (étudiant américain footballeur, équipe des Tigres du MCHS) Mort subite. Mai 2021.

Leavey Jalen : 19 ans (étudiant et joueur d’une équipe de football américain : Philadelphia High School, USA) Le jeune homme décède en rentrant sur le campus après un match.

Lebel-Farrell Kamila : 19 ans (étudiante canadienne, joueuse de l’équipe de basketball de l’Université Queen’s) Décédée. Elle s’effondre en s’étirant avant son jogging matinal. Juin 2021.

Lefèvre Simon : 21 ans (footballeur belge, Ligue de la Coupe, équipe de Mons Nord) Malaise cardiaque en plein match. Décembre 2021.

Lefèvre Martin : 16 ans (footballeur français d’Agneaux) Malaise en plein match de coupe Gambardella. Octobre 2021. Le gamin tombe subitement sur le terrain, paralysé de tout le côté droit, il perd la parole mais reste conscient) Diagnostic à l’hôpital : AVC ou inflammation d’une artère du cerveau.

Leite Costa Marilio : 48 ans (coureur de fond professionnel portugais) Disparaît lors d’un cross country à Marco de Canaveses, au Portugal. Un autre coureur dit l’avoir vu à 3 km de la ligne d’arrivée, assis et se reposant. Interrogé sur le fait de savoir s’il avait besoin d’aide Leite Costa répond qu’il ne fait que récupérer l’effort et qu’il va bientôt reprendre sa course. On le retrouve dans une ravine 2 jours plus tard. Décédé. Sa famille affirme « que l’injection Pfizer contre le Covid-19 deux jours avant la course pourrait être la cause. Juillet 2021. 

Lemaître Christophe : 31 ans (sprinter français) Il doit renoncer aux J.O suite réaction à l’injection. Juin 2021.

Lever Jake : 25 ans (Joueur de football australien de l’équipe des Demons, Melbourne F.C, Australie) Il s’effondre sur la pelouse en plein entraînement. Décembre 2021.

Liénard Dimitri : 33 ans (footballeur français professionnel, club de Strasbourg) Malaise sur le terrain. Septembre 2021.

Lima Robert : 49 ans (Ancien footballeur professionnel de l’Olympia, originaire d’Uruguay) Mort d’un arrêt cardiaque alors qu’il jouait au football avec des amis. Juin 2021.

Lindelöf Victor : 27 ans (footballeur suédois professionnel, jouant à Manchester United) Obligé de quitter le terrain pendant un match contre Norwich car ne se sent pas bien (douleurs thoraciques, du mal à respirer) Décembre 2021.

Lodhgar Murtaza : 45 ans (entraîneur de l’équipe de cricket de Mizoram, Inde) Lors d’un déplacement sportif avec son équipe, l’homme meurt d’une crise cardiaque après un dîner. Septembre 2021. 

Lokar Soufiane : 30 ans (footballeur professionnel et capitaine de l’équipe d’Algérie Mouloudia Saida) S’effondre et décède en plein match de ligue 2 algérienne suite à une crise cardiaque. Décembre 2021.

Lombard Andréa : 21 ans (jeune française, gendarme et passionnée de rugby) La gendarme mobile était basée en Ariège, et appartenait à l’escadron 33/6 de Pamiers. Elle décède à l’hôpital après un accident vasculaire cérébral. Octobre 2021.

López Antonio : 32 ans (footballeur professionnel espagnol de l’équipe Real Murcia, Division 2 Espagne) Le joueur souffre d’une cardiomyopathie qui, inévitablement, l’oblige à prendre sa retraite du football. Octobre 2021.

López Jony : 16 ans (footballeur amateur, club Sol del Este, de la ville de Ciudad del Este, Paraguay) L’adolescent s’effondre et décède lors d’un entraînement. Novembre 2021.

Loth Frédéric : 40 ans (footballeur amateur français, équipe de Salouël RC) Il fait un arrêt cardiaque après un entraînement de football à Salouel. Sauvé par un massage cardiaque et un défibrillateur. Juin 2021.

Lucchu Clément : 25 ans (basketteur camerounais, ex joueur du club universitaire philippin de Manille, le College of Saint Benilde Blazersen) Mort d’un arrêt cardiaque. Février 2021.

Lugo Antonio Miguel : 17 ans (étudiant joueur de football américain, club de Wallkill High School’s) Mort suite à un malaise, juste après entraînement. Mars 2021. 

Lugo Julio : 45 ans (ancien joueur dominicain professionnel de baseball – 20001-2011 – vainqueur des World Series avec son équipe des Red Sox, Boston, USA) Décédé d’une crise cardiaque. Novembre 2021.

Luker Logan : 17 ans (Capitaine de l’équipe galloise de rugby du Penygraig, Pays de Galles) Mort subite. Novembre 2021.

Luyssen Greg : 22 ans (cycliste belge professionnel) Annonce qu’il met un terme à sa carrière suite à des lésions cardiaques induits par l’injection Pfizer. Novembre 2021. 

M

Macedo Bruno : 22 ans (footballeur français du FC Nueil-les-Aubiers, en équipe réserve) mort subitement à son domicile. Novembre 2021.

Magden Ben : 36 ans (ex basketteur australien professionnel) Péricardite. Décembre 2021.

Maqsood Anwar : 44 ans (joueur de cricket gallois, équipe de Sully Centurions, à Glamorgan, Pays de Galles) Décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021. Dead

Marcon Francesca : 38 ans (volleyeuse professionnelle italienne, club de Bergame) La joueuse développe une péricardite. Août 2021.

Marques Edgar : 20 ans (footballeur amateur portugais, équipe de Pedrógão de São Pedro, Beira Baixa, Portugal) Le jeune homme s’effondre au milieu de la deuxième mi-temps d’un match. Il est transporté en urgence à l’hôpital Amato Lusitano de Castelo Branco. Décembre 2021.

Martínez Canosa Ezequiel : 20 ans (footballeur amateur du club de Fisterra, Espagne) Alors que son équipe joue contre le club de Puebla, le joueur fait un malaise et s’effondre sur le terrain. Il dit avoir ressenti un pincement très fort au niveau du cœur et ne plus pouvoir respirer. Novembre 2021.

Matos Ian : 32 ans (plongeur acrobatique brésilien qui a participé aux Jeux olympiques de 2016) Il décède après avoir été hospitalisé pendant deux mois d’une infection de la gorge, qui s’est finalement propagée à son estomac et à ses poumons. Décembre 2021.

McGonagle Meaghan : 41 ans (Femme professeur et entraîneur de volley-ball des garçons et des filles de la Cranston High School East, Rhode Island, USA) Décès suite maladie foudroyante.

McKee Dimitri : 17 ans (joueur de l’équipe de football américain Lee-Montgomery, Alabama, USA) Le jeune homme perd connaissance après un entraînement et est transporté à l’hôpital où il décède. Août 2021. 

Meadows John : 49 ans (culturiste américain) Mort d’une embolie pulmonaire. Août 2021.

Mears Dave : 58 ans (ancien champion d’arts martiaux anglais) L’homme est sur un long chemin de guérison et d’adaptation après une réaction indésirable suite à l’injection AstraZeneca le 4 mars 2021. En Avril, alors que son état de santé se dégrade, il fait une thrombose veineuse profonde et doit être amputé d’une jambe.

Méchin Antoine : 31 ans (triathlète français professionnel) Suite à une première injection Moderna le 28 juin 2021, le triathlète ressent une oppression et un manque de souffle, le 17 juillet lors d’une course trail, toujours cette sensation d’oppression très présente, douleur au bras gauche.
Le lendemain 18 juillet, après un examen à l’hôpital de Saintes, pas d’inquiétude selon le médecin, rien à signaler, le stress et la fatigue sont sûrement les causes des symptômes. Le 16 août, il fait sa deuxième injection Moderna — pour pouvoir nager en piscine, c’est obligatoire. Le 13 septembre les mêmes symptômes persistent (impression d’oppression, de souffle court, de poids sur le sternum).,
 Rendez-vous à la clinique du sport à Bordeaux le 21 septembre avec le médecin cardiologue qui annule tout de suite les tests d’effort, soupçonnant une embolie. Le médecin et ses collègues lui expliqueront que « depuis quelque temps nous avons un nombre croissant de patients sportifs dans le même cas ! » Le médecin décide de lui donner rendez-vous en urgence pour une scintigraphie pulmonaire. Comprenant l’arnaque vaccinale, Antoine Méchin dira : « Je suis désormais sous traitement et j’espère retrouver mes capacités pulmonaires (dans 3-6-9-12 mois ?) En attendant : repos et basse intensité pendant plusieurs mois. » « Abîmer la santé des personnes en pleine forme pour préserver la santé des plus faibles, un choix d’une logique implacable. »

Melandez Andres : 20 ans (joueur de baseball américain, équipe des Guardians, Cleveland, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Mendoza Manuel Hector : 16 ans (Athlète de l’Institut municipal des sports et loisirs d’Ensenada, Mexique. Club d’athlétisme des Halcones Zinnia Garayar) L’adolescent meurt d’une crise cardiaque lors d’un entraînement. Octobre 2021.

Mirosavljević Nemanja : 25 ans (ex-footballeur professionnel serbe, club de de Grafičar, division 2 Serbie, et entraîneur équipe de jeunes) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède après 7 jours de coma. Décembre 2021.

Moa Taniela : 36 ans (ancien joueur tongien international de rugby à XV des Tonga, qui a joué principalement en Nouvelle-Zélande et en France) Mort subite. Décembre 2021.

Moira Claire Arney : 15 ans (Joueuse de football américaine du lycée de McAllen, au Texas) S’effondre et décède pendant l’entraînement.

Morando Filippo : 37 ans (joueur amateur italien de football, Padoue, Italie) Il s’effondre pendant un jogging. Réanimé par d’autres personnes présentes, il est transporté à l’hôpital puis est renvoyé chez lui. Décède 5 jours plus tard. Octobre 2021.

Moscon Giani : 27 ans (cycliste professionnel italien, club de Ineos Grenadiers) Le 4ième du Paris-Roubaix 2021 doit subir des investigations médicales après des anomalies du rythme cardiaque. Octobre 2021.

Mosheur Raman : 16 ans (Jeune homme sportif originaire du Bangladesh) Vacciné fin Août 2021 avec l’injection Moderna, il développe de multiples symptômes tels qu’une forte fièvre et des maux de tête sévères. Décède quelques jours plus tard en Octobre à l’hôpital de Venise, Italie.

Moses Lee : 29 ans (footballeur néo-zélandais, club des Maristes de Palmerston North) Il décède d’une crise cardiaque au cours d’une séance d’entraînement. Août 2021.

Mould-Leonard Sammy : 19 ans (étudiant anglais et footballeur, équipe de Texas A&M International University men’s soccer, USA) Deux jours après deuxième injection Moderna, caillot de sang dans les poumons, altération de la capacité à parler, marcher et respirer. Décembre 2021.

N

Nair James Rory : 26 ans (jeune néo-zélandais, en bonne santé et sportif amateur) Ville de Dunedin, New-Zealand. Palpitations cardiaques pendant plusieurs jours suite à l’injection PfizerDécède douze jours après la piqûre. Novembre 2021.

Ni Heldhin Daire : 29 ans (joueuse irlandaise de football gaélique de la Young Ireland GAA de Dundalk, Irelande) Elle fait un malaise et décède pendant ses vacances à Prague. Novembre 2021.

Nikoličová Julija : 38 ans (ex-volleyeuse professionnelle macédonienne d’origine ukrainienne, 60 sélections en équipe nationale de Macédoine et championne de France avec l’Arvor 29 en 2012) Décédée d’une crise cardiaque. Octobre 2021.

N’Sakala Fabrice : 31 ans (footballeur professionnel congolais, club de Besiktas Istanbul) Malaise en plein match. Août 2021.

Nsofor Chinoyelum Cayetano : 13 ans. (Le garçon est un adepte du football américain, lycée Legacy High School, Las Vegas, USA) Il décède pendant un entraînement. Juin 2021. 

Nuis Kjeld : 31 ans (patineur de vitesse professionnel néerlandais, double médaillé or olympique) Péricardite une semaine après 1ère injection Pfizer. Juillet 2021. 

Núñez Martín Juan Manuel : 17 ans (jeune basketteur espagnol, équipe de Málaga, Espagne) Mort subite. Juillet 2021.


O

Obiang Pedro : 29 ans (footballeur professionnel équato-guinéen, joueur de l’équipe italienne Sassuolo) Hospitalisé suite myocardite. Août 2021. 

O’Donnell Tim : 41 ans (Triathlète professionnel, 22 fois victorieux dont 2 Ironman) Crise cardiaque pendant une compétition. Mars 2021

Ojeda Suárez Luis : 20 ans (footballeur argentin professionnel, ex-titulaire du club espagnol UD Las Palmas. Mort subite. Avril 2021.

Olguin Alberto : (Jeune caddie mexicain de golf PGA pour Manuel Torres) S’effondre et décède d’une crise cardiaque sur le parcours lors d’un événement du Tour Latinoamerica au Mexique. Octobre 2021.

Oršuš Dejan : 24 ans (footballeur professionnel croate du NK Otok) Crise cardiaque en plein match. Décède un peu plus tard à l’hôpital du comté de Čakovec. Avril 2021.

P

Pálsson Emil : 28 ans (footballeur professionnel islandais, joueur de l’équipe de Sogndal, deuxième division norvégienne) Il fait un arrêt cardiaque foudroyant lors d’un match contre Stjordals-Blink. Réanimé par l’équipe médicale présente sur place, il est transporté à l’hôpital. Novembre 2021.

Paollaci Teddy : 42 ans (footballeur amateur, club de Ourville-en-Caux) Malaise cardiaque dans les vestiaires après le match. Octobre 2021.

Parks Keaton : 24 ans (footballeur professionnel américain (soccer), club de New York) Doit interrompre ponctuellement sa saison en raison de caillots sanguins. Novembre 2021.

Payton Carmyne : 15 ans (élève d’une école de Long Island, New York, USA) Il s’effondre pendant l’entraînement d’un stage de basket-ball scolaire et décède d’un arrêt cardiaque. Novembre 2021. 

Pedretti Fabio : 24 ans (traileur italien) Arrêt cardiaque pendant une course. Décédé peu après à l’hôpital. Décembre 2021.

Peeters Daouda : 22 ans (footballeur professionnel belge, milieu de terrain de la Juventus de Turin, Italie) En Novembre 2021, on lui diagnostique avec une neuropathie, des troubles sensoriels et des difficultés motrices. 1 mois plus tard, il ne peut toujours reprendre le foot pense à une fin de carrière

Pérez Francisco : 35 ans ( sportif espagnol et militaire de la caserne d’Aizoáin, Navarre, Espagne) 17 jours après l’injection AztraZeneca, il fait une thrombose du sinus cérébral avec thrombocytopénie et hémorragie cérébrale et décède. Mai 2021.

Perrier Michaël : 32 ans (footballeur suisse professionnel, équipe de Stade Lausanne Ouchy, deuxième division suisse) Suite à la première dose de l’injection Moderna en Avril 2021, lors d’un entraînement le joueur est victime d’un grave arrêt cardiaque. Reçoit 5 chocs d’un défibrillateur, puis reste 3 jours dans un coma artificiel. Après 5 mois de repos, une arythmie cardiaque et une légère inflammation sont encore présentes. Fin de carrière.

Perrino Giuseppe : 29 ans (footballeur italien, ex-pro du Parma Calcio) Mort après arrêt cardiaque en plein match. Juin 2021.

Perron Francis : 25 ans (football américain. Club universitaire canadien d’Ottawa.) Mort après un match. Septembre 2021. 
Petterson George : 37 ans (culturiste américain) Retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel avant la compétition Mr Olympia. Rupture d’anévrisme. Octobre 2021.

Pietro : 13 ans (footballeur italien. Club Janus Nova de Saccolongo) Malaise cardiaque pendant match. Le gamin est ramené à la vie grâce à un défibrillateur. Septembre 2021.

Plakhuta Victor : 35 ans  (champion russe de Power Lifting) Contrairement à ce qu’annonce le ministère de la Santé du Primorsky Krai, les amis du sportif annoncent qu’il est mort deux semaines après avoir été injecté contre le coronavirus. Décédé d’une pneumonie bilatérale. Novembre 2021.

Ploner Florian : 22 ans (handballeur de l’équipe SC Ferlach, Autriche) Le joueur fait arrêt cardiaque pendant un match. Septembre 2021.

Portjanko Julija : 38 ans ( Joueuse de handball macédonienne d’origine ukrainienne, son dernier club était le WHC Vardar) Succombe à une crise cardiaque. Octobre 2021.

Preciado Jose Edgar : (Golf, caddie colombien) Victime d’une crise cardiaque fatale à son hôtel après le deuxième tour du Holcim Colombia Classic à Bucaramanga, en Colombie. Juin 2021

Q

Quandarius Wilburn  : 19 ans (footballeur américain,  club de l’université Virginia Union, USA) Le joueur fait un malaise pendant un entraînement et décède un peu plus tard à l’hôpital. Août 2021.

Quintana Alfredo : 32 ans (Handballeur professionnel cubain, club de FC Porto) Lors d’une séance d’entraînement, il fait un arrêt cardiaque et décède. Février 2021

R

Raducanu Emma : 19 ans (tenniswoman professionnel canadienne) En détresse respiratoire, la joueuse doit interrompre un mach contre Ajla Tomljanovic lors du tournoi de Wimbledon, Angleterre. Abandon de la compétition. Juillet 2021.

Ramassamy Christophe : 54 ans (footballeur français senior, club de AS Saint Yves, La Réunion) S’effondre et décède d’une crise cardiaque en plein match. Juillet 2021.

Ramirez Ernesto : 16 ans (jeune basketteur américain du Texas) Alors qu’il joue avec des copains au basket, il s’effondre sur le terrain et meurt, cinq jours après l’injection Pfizer. Une autopsie montre que son cœur était deux fois plus gros que la normale. Avril 2021.

Rhoden Shawn : 46 ans (culturiste jamaïcain, Mr Olympia 2018) Mort d’une crise cardiaque. Novembre 2021. 

Rico Gonzalez Leticia : 51 ans (triathlète mexicaine) Décède subitement lors du triathlon de Cozumel au Mexique. Septembre 2021.

Riggles Lexi : 16 ans (Collégienne américaine du Hanover College et diplômée en 2018 du Danville High School) L’adolescente jouait au basket pour l’équipe des Danville Warriors. Mort subite. Octobre 2021.

Ritch Dylan : 17 ans (Footballeur anglais, club des West Bridgford Colts, fédération du Nottinghamshire ) Lors d’un match de FA Youth Cup contre le Boston United, Dylan Ritch fait un arrêt cardiaque. Traité à l’aide d’un défibrillateur sur le terrain, il est transporté au Queen’s Medical Centre et subit un second arrêt cardiaque dans l’ambulance. Décède par la suite. Septembre 2021.

Robinson Donadrian : 17 ans (footballeur d’une équipe de football américain du lycée W.J. Keenan de Columbia, South Carolina, USA) Mort subite. Août 2021.

Rokicki Michael : 37 ans (ex nageur professionnel polonais) Mort subite. Décembre 2021.

Romney Everest : 17 ans (Joueur de basket du lycée de l’Utah) Hospitalisé après avoir souffert de migraines sévères et d’un gonflement dans son cou suite à la vaccination. Dans les 24 heures après avoir reçu l’injection Pfizer en Mai 2021, Everest a commencé à ressentir une « quantité exorbitante » de douleur et de gonflement dans le cou qui provenait du même côté qu’il a reçu l’injection. Une radiographie a révélé qu’il avait plus de 100 caillots de sang dans ses poumons.

Ros José Javier : 22 ans (footballeur espagnol, équipe de UCAM Murcia B) Doit arrêter la saison de foot suite péricardite. Décembre 2021.

Roseman Andrew : 17 ans (lycéen américain et joueur de baseball, équipe des Red Land Patriots en Pennsylvanie) Mort subite. Juillet 2021.

Rossi Marco : 19 ans (Joueur de hockey professionnel autrichien, joueur du club de Minnesota Wild, USA) Myocardite diagnostiquée suite injection. Avril 2021.

Roth Meghan : 34 ans (marathonienne américaine et entraîneur de course à pied dans le Minnesota, USA) La femme fait une crise cardiaque pendant le marathon de Boston) Octobre 2021.

Rud Jensen Benjamin : 25 ans (footballeur amateur danois, équipe de Vordingborg, île de Seeland, Danemark) Le joueur s’effondre sur le terrain à la fin du match contre le FC Nakskov. Réanimé, il est transporté à l’hôpital de Nykøbing Falster pour des examens complémentaires. Novembre 2021. 



S

Sabard Benoit : 49 ans (footballeur senior français, Sporting Club de Massay) s’effondre et décède en plein match. Octobre 2021.

Sádecký Boris : 24 ans (Star slovaque du hockey sur glace, équipe des Bratislava Capitals, Slovaquie) Il fait un arrêt cardiaque en plein match contre les Dornbirn Bulldogs et décède quelques jours plus tard. Novembre 2021.

Salase Mike : 39 ans (rugbyman, joueur de la Northland rugby league, Nouvelle-Zélande. Membre de plusieurs équipes masculines seniors de Northern Swords, y compris l’équipe 2020 qui a remporté le championnat national) S’effondre et décède lors d’un match. Juillet 2021  

Sandjo Adrien : 18 ans (footballeur amateur camerounais, équipe régionale des moins de 19 ans Piémont et Vallée d’Aoste, Italie) S’effondre et décède en plein match. Décembre 2021.

Santos Alencar Adans João : 38 ans (ancien footballeur professionnel de l’équipe brésilienne Brusque) Décède après avoir subi une crise cardiaque fulgurante pendant un match de footvolley. Octobre 2021.

Saracevic Zlatko : 59 ans (légendaire handballeur arrière droit yougoslave des années 80, 90, entraîneur ces dernières années du club RK Podravka, Croatie) Il décède d’une crise cardiaque juste après la victoire de son équipe dans le derby contre le RK Lokomotiva. Février 2021.

Sarpong Owusu Albert : 20 ans (Sportif étudiant à l’université du Ghana) Décède en Décembre 20021, deux jours après avoir été injecté. Un de ses amis, anéanti, confie : « Pourquoi encourageons-nous, forçons-nous les gens prendre ce vaccin alors que nous ne sommes pas totalement sûrs qu’il fonctionne pleinement, et maintenant qui tenons-nous pour responsable de sa mort ? Une jeune vie fauchée. Il aurait vécu s’il n’avait pas pris le vaccin. »

Sauret Pablo : 21 ans (élève gardien de la paix) Le jeune homme est victime d’un arrêt cardiaque au cours d’une séance d’entraînement, dans le cadre de sa formation réalisée à l’école nationale de police de Nîmes, 263ème promotion. Transporté par les médecins du SMUR aux urgences de l’hôpital local, il est malheureusement déclaré décédé à son admission. Décembre 2021.

Schneider Michael : 38 ans (pongiste allemand professionnel) Mort subite. Juin 2021.

Schulz Kwabenaboye :  23 ans (footballeur allemand, équipe régionale, club Berliner AK) Le joueur s’effondre à la fin du match. Problèmes cardiaques. Évacué sous oxygène à l’hôpital. Juste après, un autre joueur Ugur Ogulcan Tezel s’effondre à son tour. Décembre 2021.

Scorteccia Lorenzo: 23 ans (gardien de but amateur de l’équipe de  Campitello, Italie) Meurt d’un arrêt cardiaque 15 jours après l’injection Pfizer. Juin 2021.

Shabbaz Fatimah : 22 ans (joueuse américaine du club de volley-ball A&T de Caroline du Nord) Mort subite d’un anévrisme. Novembre 2021.

Sharanovich Aidan : 45 ans (ancien footballeur professionnel, club slovène de Primorja) Décède des suites d’une crise cardiaque. Août 2021.

Shelby Grace Allen : 17 ans (Adolescente de l’équipe de bowling du comté de Dyer, Tennessee, USA) Hospitalisée en raison d’une réaction grave à l’injection Covid-19, la demoiselle a commencé à souffrir de douleurs dorsales alors qu’elle jouait au bowling, en lançant la boule elle ne sentait plus ses bras et ses jambes. On lui diagnostique un syndrome de Guillain-Barré. Octobre 2021.

Scherer Matt : 38 ans (athlète, sprinter américain originaire de l’Oregon, réputé pour ses chronos aux USA) Mort subite. Décembre 2021.

Sidorov Nikita : 18 ans (footballeur russe, joueur de l’équipe de jeunes de Znamya Truda, Russie) Décède d’un anévrisme cérébral pendant un match de foot. Avril 2021.

Siegfried Alexander : 42 ans (footballeur amateur allemand, club de VfB Moschendorf,
Allemagne) S’effondre et décède pendant un match. Octobre 2021.

Setniewski Karol : 14 ans (jeune footballeur du club de Znicz Pruszków en Pologne) Il se plaint d’un mal de tête le lendemain d’un match de football et est emmené à l’hôpital. Victime d’une inflammation du cerveau il tombe dans le coma et malgré une opération décède. Décembre 2021.

Simpson Mark : (footballeur de la ligue semi-professionnelle Northern Counties Est League, Angleterre) Suite à des palpitations cardiaques, le joueur s’effondre dans le vestiaire à la mi-temps. Décembre 2021.

Singh Luther : 24 ans (footballeur professionnel sud-africain, joueur de l’équipe du FC Copenhague, Danemark) Il est admis à l’hôpital pour observation et tests après être tombé malade lors d’un match. Il n’est pas état de rejouer au moins jusqu’à la fin de l’année. Novembre 2021. 

Smith Bert : 56 ans (arbitre américain de basket-ball universitaire, NCAA) Malaise pendant un match. Diagnostic hôpital : caillots de sang dans les poumons. Avril 2021

Solano Nelson : 21 ans (footballeur amateur paraguayen, équipe de 1º de Marzo F.C, San Antonio, Paraguay) Décède d’une crise cardiaque à la fin d’un match. Novembre 2021. 

Somanna Thottiyanda : 23 ans (joueur indien de hockey sur gazon) Le jeune homme fait un arrêt cardiaque et décède lors d’un match du championnat de hockey Chowrira. Décembre 2021. 

Soravilla sabrina : 25 ans (footballeuse professionnelle de l’équipe nationale uruguayenne) Suite à un problème cardiaque, elle est contrainte de stopper sa carrière. Novembre 2021. 

Spiltsteser Dirk : 50 ans (entraîneur et président du SG Traktor de Divitz, près de Barth, Allemagne) Meurt d’une crise cardiaque en plein match. Septembre 2021.

Stalock Alex : 34 ans (joueur professionnel américain de hockey sur glace, équipe des Oilers d’Edmonton, Canada) Saison à l’arrêt suite diagnostic myocardite. Mars 2021.

Stein Bruno : 15 ans (Jeune gardien de but belge, club allemand du FC An der Fahner Höhe) Mort subite. Septembre 2021.

Stevenson Carly : Adolescente américaine (athlète de lancer de poids et de disque du Wartburg College, Colorado, USA) S’effondre et est transportée d’urgence à l’hôpital avec des caillots de sang dans les poumons et le cœur. Revient à la vie après trois arrêts cardiaques mais garde de graves séquelles. Juillet 2021.

Stewart Tremaine : 32 ans (Footballeur professionnel jamaïcain du FC Dunbeholden) S’effondre et est décède pendant un match. Avril 2021. 

Stokes John : 21 ans (étudiant américain, athlète de l’université du Tennessee) Il développe une Myocardite quatre jours après sa seconde injection Pfizer. Septembre 2021.

Surek Lucas : 24 ans (footballeur professionnel allemand, club BSG Chemie Leipzig) Le jeune homme développe une myocardite. Septembre 2021.

Sylvester Stephen : 15 ans (footballeur américain, Detroit Central Catholic High School, USA) S’effondre et  décède lors d’une séance d’entraînement. Août 2021.

T

Taft Benjamin : 33 ans (entraîneur-joueur allemand de football, club de SV Unterferrieden, Bavière. Allemagne) Fait un arrêt cardiaque après le match de son équipe. Décède quelques jours plus tard à l’hôpital. Octobre 2021. 

Tampwo Marco : 19 ans (footballeur professionnel, club italien de l’Atletico Fiuggi de Rome) Il meurt d’une crise cardiaque à son domicile. Août 2021. 

Tatum Azorean : 13 ans (jeune footballeur d’un lycée de Memphis, Tennessee, USA) Ayant reçu l’injection contre le Covid, il tombe peu à peu malade, jusqu’à s’effondrer en plein cours et devoir être transporté à l’hôpital. Un test Covid signale qu’il est positif au virus. L’état de santé du gamin ne s’améliore pas, au contraire il décède une semaine plus tard. Août 2021. 

Taylor Leah : 22 ans (étudiante en doctorat dans l’Iowa, USA, et promotrice de fitness) La jeune femme est hospitalisée pour myocardite après une injection Pfizer en Juillet 2021. Plusieurs mois après, elle est incapable de faire de l’exercice et fait face à un avenir précaire après avoir succombé à la pression de son université de se faire injecter le vaccin expérimental.

Taylor Leon : 34 ans (footballer anglais, équipe semi-professionnelle de Darlaston Town 1874, Walsall, Angleterre) Mort subite. Novembre 2021.

Teare Cooper : 22 ans (athlète américain de cross-country) Le jeune homme s’effondre dans les derniers mètres des championnats de cross-country D1 de la NCAA, USA) Novembre 2021.

Terrier Martin : 24 ans (footballeur français professionnel, club de Lyon) S’effondre sur le terrain en plein match contre Toulouse, victime d’un malaise. Direction l’hôpital pour des examens. Décembre 2021.

Timoucin Sen :  (footballeur turque, membre du club régional de Großkrotzenburg, Allemagne) Après dix minutes de jeu, le joueur s’effondre en plein match contre l’équipe du Spvgg Oberrad et est transporté dans une clinique de Gelnhausen. Octobre 2021.

Torp carl-Erik : 27 ans (footballeur professionnel du club norvégien de Brann Bergen) Crise cardiaque en plein match. Septembre 2021. 

Tounkara Guimbala : 34 ans (footballeur professionnel malien, club de l’AS Police, Mali) Après un entraînement, le joueur fait un malaise cardiaque et décède. Novembre 2021.

Traoré Adama : 26 ans (footballeur professionnel malien, club du Fc Sheriff Tiraspol, Transnistrie) Malaise en plein match de ligue des Champions contre le Real Madrid. Novembre 2021

Trejo Jovani Ethan : 16 ans. Le jeune footballeur américain fait un malaise et décède sur un terrain de sport du lycée de Princeton. Juin 2021.

Tretola Pompéo : 18 ans (footballeur italien, équipe de Matese évoluant en Série D) S’effondre dans un match joué à domicile contre Vastese. Transporté à l’hopital. Octobre 2021.

Trotta Antonio : 34 ans (commissaire de police italien, ville de Catanzaro, Calabre, Italie) L’homme fait un avc alors qu’il contrôle l’entrée des supporters de Foggia pour le match de Serie C contre Catanzaro. Puis il fait une crise cardiaque et est transporté d’urgence au service de soins intensifs de l’hôpital de Cosenza, où il décède. Décembre 2021.

Tucker Jordan : 20 ans (footballeur semi-pro de la North West Counties Football League, Lancashire, Angleterre) Décédé de mort subite. Novembre 2021. 

Turner Eric : 41 ans (mannequin de fitness et culturiste américain de Salt Lake City, Utah, USA) Suite à l’injection, le sportif fait une dissection spontanée de l’artère coronaire. Novembre 2021. 

Uğur Ogulcan Tezel : 24 ans (footballeur tunisien, équipe régionale club Berliner AK) Le joueur s’effondre juste après son collègue de la même équipe, Schulz Kwabenaboye. Des problèmes cardiaques nécessitent un transfert à l’hôpital sous oxygène. Décembre 2021. 

Usta Anil : (footballeur amateur turque, club du VfB Schwelm, Allemagne) Le joueur fait un malaise cardiaque pendant un match. Septembre 2021.  

V

Valastro Roberto : 42 ans (policier italien de Siderno, Calabre, Italie) l’homme fait un jogging sur la plage de Locri lorsqu’il s’effondre. Il succombe à un anévrisme cérébral. Décembre 2021.  

Van Avermaet Greg : 36 ans (cycliste professionnel belge, équipe AG2R Citroën) Suite à l’injection Pfizer en Juin 2021, sa carrière est à l’arrêt. Des tests sanguins révèlent que son système immunitaire est déréglé.

Van Barneveld Raynomd : 54 ans (joueur néerlandais professionnel de fléchettes, quintuple champion du monde) Il s’effondre et reçoit des soins paramédicaux lors de l’événement PDC Darts’ Player Championship. Mars 2021.

Van Dierman Kane : joueur de rugby, équipe des Sydney Convicts, Australia) Mort subite. Décembre 2021. 

Van Genechten Jente : 25 ans (footballeur professionnel belge, club de Het Belang van Limburg) Arrêt cardiaque pendant un match. Août 2021.

Vasquez Aaron : 14 ans (adolescent du New Jersey, école de Dumont) Le gamin fait un arrêt cardiaque et décède alors qu’il joue au basket avec des amis à l’école) Novembre 2021.

Verdú Morales Juan Carlos : 27 ans (footballeur amateur espagnol, équipe du quartier de Numancia, ville de Elda en Espagne.) Lors d’un match, il demande à sortir du terrain car il ne sent pas bien. Après la partie, il commence à se sentir mal, à avoir des convulsions et perd connaissance. Il est rapidement transporté à l’hôpital général universitaire d’Elda, où il décède. Décembre 2021

Vidal Lise : 43 ans (ex championne planche à voile, deux titres de championne d’Europe) Décédée d’une hémorragie cérébrale. Juillet 2021.

Vilellas Soros Héctor : 27 ans (athlète amateur espagnol) Fait un arrêt cardiaque et décède lors du semi-marathon Behobia-San Sebastián. Novembre 2021.

Vinny Curry : 33 ans (joueur d’une équipe de football américain professionnel, les New York Jets, USA)  Le joueur a été diagnostiqué avec un trouble sanguin rare en juillet 2021 qui a nécessité l’ablation de sa rate.

W

Wakefield David : 27 ans (joueur de cricket néo-zélandais, capitaine de l’équipe du Old Boys Collegians Cricket Club) S’effondre pendant l’entraînement à cause d’une myocardite. Ramené à la vie grâce à un défibrillateur, il est hospitalisé trois semaines en soins intensifs et doit suivre une rééducation intensive avant de pouvoir marcher et parler. Mars 2021.

Walker Simon : 42 ans (entraîneur de football et athlète anglais de la ville d’Oswestry) Moins d’une semaine après sa première injection AstraZeneca en Mai 2021, il est hospitalisé pour des des caillots sanguins massifs et des dommages cardiaques permanents. Aujourd’hui, son cœur ne fonctionne qu’à 20 % de son niveau de fonctionnement normal.

Wandão : 33 ans (ex footballeur professionnel brésilien, équipe de São Mateus, de la première division d’Espírito Santo) Victime d’une crise cardiaque alors qu’il joutait un match avec des amis, le joueur est transporté à l’hôpital mais y décède. Mars 2021.

Warner Kyle : 29 ans (vététiste professionnel) Fin de carrière suite à injection Pfizer: péricardite, syndrome de tachycardie orthostatique posturale et arthrite. Juillet 2021.

Wendland Brad : 48 ans (entraîneur d’une équipe de football américain, les Bluejays de Waseca, Minnesota, USA) L’homme fait un arrêt cardiaque sur la touche lors d’un match. Septembre 2021.

Williams Tirrel : 19 ans (footballeur américain, club de Fort Scott community college, Kansas, USA) Décède après s’être effondré sur le terrain pendant un entraînement. Août 2021. Dead

Willson Luke : 31 ans (joueur professionnel d’une équipe de football américain, né au Canada. Vainqueur du super Bowl avec son équipe en 2014, les Seahawks de Seattle) Péricardique grave, il doit mettre un terme à sa carrière en Août 2021.

Wingate Major : 37 ans (basketteur américain, ancien capitaine de l’équipe de basket du Tennessee) Meurt subitement. Octobre 2021.

Wolfe Lewis John : 20 ans (étudiant américain et joueur de tennis amateur, champion d’Alabama, USA) Mort subite. Décembre 2021.

Woodward Rob : 36 ans (entraîneur anglais de football, équipe junior amateur du club Stonydelph) Décédé suite crise cardiaque. Décembre 2021.

Wyke Charlie : 28 ans (footballeur professionnel anglais, équipe des Wigans) hospitalisé après un malaise à l’entraînement. Novembre 2021.

XY

Young Jordan : 27 ans (combattant de MMA originaire de Urbandale, USA) mort subite. Décembre 2021. 

Yu-bin Lee : 20 ans (étudiante coréenne, sportive amatrice) S’effondre quatre jours après sa première dose de l’injection Moderna et est transportée d’urgence à l’hôpital où elle subit une opération du cerveau. La jeune femme de 20 ans décède une semaine plus tard. 




Z

Zemmouri Damien : 37 ans (ancien boxeur de la JS Fleury full-contact, Caen, France) Le sportif meurt subitement d’une rupture d’anévrisme. Décembre 2021. 

Zey Jascha : 16 ans (jeune footballeur allemand, club de  d’Eisbachtaler Sportfreunde (Rhénanie-Palatinat) Malaise. Décède à l’hôpital. Juillet 2021.

Zielinski Piotr : 27 ans (footballeur professionnel polonais, joueur du club SSC Naples) Obligé de sortir du terrain en plein match contre Empoli après 20 minutes de jeu. Douleur dans la poitrine, du mal à respirer. Décembre 2021.

Zisper Paul : 27 ans (basketteur du Bayern Munich, Allemagne) Après l’injection J&J, le jeune homme développe une hémorragie cérébrale spontanée qui nécessite une opération d’urgence. Septembre 2021.

Zucolini Arthur : 29 ans (ancien basketteur professionnel monégasque, joueur de l’équipe La Chorale en France et Charleroi en Belgique) Mort arrêt cardiaque pendant le sommeil. Juillet 2021.

JANVIER    2022

Angola Braian : 27 ans (joueur de basket-ball professionnel colombien de l’AEK Athènes) Le sportif a subi des scans détaillés après avoir signalé un malaise, révélant une myocardite. Il est exclu du jeu pour une durée indéterminée. 16 janvier.
 

Atcho Sarah : 26 ans (sprinteuse suisse, détentrice avec ses coéquipières du record suisse du relais 4 * 100m) Suite à sa troisième injection (booster) la jeune athlète souffre d’une péricardite. Saison à l’arrêt. 18 Janvier. 

Astudillo Aaron : 21 ans (footballeur amateur chilien, équipe de Deportes Melipilla) Le jeune homme fait un malaise cardiaque pendant un match amical. 12 Janvier. 

Aubameyang Pierre-Emerick : 32 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club d’ Arsenal, Division 1 Angleterre) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Basilashvili Nikoloz : 29 ans (tennisman professionnel géorgien) En détresse respiratoire sévère, le joueur doit interrompre un mach contre Stefanos Tsitsipas lors de la coupe ATP de Sydney, Australie. Abandon du tournoi. 05 Janvier.

Bastías Fischer Renato : 38 ans (triathlète chilien de haut niveau) Il fait un arrêt cardiaque et décède lors du triathlon Ironman de Pucόn au Chili. 13 Janvier

Cann Robin : 19 ans (cycliste amateur francais de l’UC Briochine, National 3) Le jeune homme a commencé à souffrir d’arythmies cardiaques qui le rendent mal à l’aise pendant l’effort. Les médecins lui ont conseillé de subir une opération cardiaque. 12 Janvier.

Cavichioli Mateus : 34 ans (footballeur professionnel de l’équipe América Futebol Clube, Brésil)
Le 15 janvier 2022, un examen médical de routine du club a détecté un problème cardiaque, ce qui n’était pas le cas des examens médicaux précédents. Diagnostic d’une artère obstruée. A reçu son premier vaccin covid-19 en septembre 2021.

Coulibaly Ousmane : 32 ans (footballeur professionnel, équipe de Al-Wakrah, Qatar Stars League) Le joueur fait un malaise cardiaque durant un match du championnat du Qatar contre l’équipe de Al-Rayyan. Il est réanimé sur le terrain et transporté en urgence à l’hôpital. 08 Janvier.

Davis Alphonso : 21 ans (footballeur canadien professionnel, club du Bayern Munich, Division 1 Allemagne) Suite à la troisième injection Pfizer (booster) il développe une myocardite, sa saison de foot est à l’arrêt. 14 Janvier.

Da Graca Marco : 19 ans (footballeur professionnel de la Juventus de Turin, Division 1 Italienne) Le joueur a développé une arythmie cardiaque diagnostiquée le 17/01. Doublement injecté, le 28 Décembre il est testé positif au COVID-19. En Janvier 2022, il doit être opéré en raisons de ses problèmes cardiaques. Saison à l’arrêt.

Ferreira Fernando : 26 ans (triathlète brésilien et policier militaire de Pernambuco, État du Brésil) Alors qu’il fait du sport, le jeune homme s’effondre et décède. 13 Janvier.

Fields Oisin : 30 ans (footballeur amateur irlandais, équipe de Navan Harps) L’homme décède subitement alors qu’il joue au foot avec des amis. 05 Janvier

Henrique Oliveira da Silva Souza Pedro : 15 ans. Le jeune footballeur décède à la suite du tournoi de la Coupe nationale de football de Goianésia, une municipalité de l’État de Goiás, au Brésil. 11 Janvier.

Isaías : 17 ans (jeune footballeur brésilien amateur, club de Flamengo de Piauí) Lors d’un entraînement, il se dirige vers le banc de touche, où il s’est effondré et décède. 11 Janvier.

Janaína Piske Monique : 32 ans (combattante de MMA) Elle fait un arrêt cardiaque chez elle à Santa Catarina au Brésil, où elle est retrouvée morte par ses parents. 02 Janvier.

Jakupovic Dalila : 30 ans (tenniswoman professionnelle slovène) Durant l’Open d’Australie, elle est contrainte d’abandonner son match contre Stefanie Vögele après être tombée au sol. Alors que la presse met son abandon sur le dos des fumées provoquées par les incendies du pays, elle déclare au média The Western Australian : « J’avais vraiment peur de m’effondrer. C’est pourquoi je suis tombée par terre parce que je ne pouvais plus marcher. Je n’ai pas d’asthme et je n’ai jamais eu de problèmes respiratoires. En fait, j’aime la chaleur. J’ai déjà joué en Chine et la pollution ne m’a jamais fait un pareil effet. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais c’est angoissant. » 13 Janvier.

Kondilios James : 23 ans (scientifique et sportif – champion de dynamophilie – reconnu dans son pays, l’Australie) La mort de ce jeune homme LE 04 Janvier 2022 a fait beaucoup de bruit du côté de Canberra. Officiellement il est mort du Covid alors qu’il était double vacciné et en bonne santé. Des voix se sont élevées : soulevant cette première question à propos de l’innocuité des piqûres, dont certains n’hésitent pas à dire qu’elles sont mortelles ; soulevant également cette deuxième question : si ce jeune homme était protégé contre le COVID-19 parce qu’il était doublement vacciné et qu’il n’avait pas de problème de santé sous-jacent, que s’est-il passé ? Cela remet en cause l’argument selon lequel l’injection vous protège du virus.

Lemina Mario : 28 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de l’OGC Nice, Division 1 France) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier. 

Menaldo Marcos : 25 ans (footballeur guatémaltèque professionnel, club du DeportivoMarquense, Division 1 ; Guatemala)  Le joueur s’effondre à l’entraînement et a décède suite à une crise cardiaque. 03 Janvier. 

Merlo Nascimento Mariano : 27 ans (championne brésilienne de Moutain Bike) Alors qu’elle est en famille, la jeune femme se sent mal et s’effondre. Malgré l’arrivée des secours et son transport à l’hôpital, elle décède. 14 Janvier.

Meyé Axel : 26 ans (footballeur professionnel gabonais, jouant au club de Ittihad Tanger, Division 1 Maroc) Après un diagnostic de lésions cardiaques, sa saison est à l’arrêt. 14 Janvier.

Santana Lucas :18 ans (footballeur brésilien, équipe de São Bento) Il s’effondre sur le terrain à la 17e minute de la deuxième mi-temps du match de la Copa São Paulo contre EC São 

Bernardo au stade Baetão. Transporté à l’hôpital en ambulance pour examens. 05 Janvier. 

Schlumpf Fabienne : 31 ans (marathonienne suisse, détentrice du record suisse du marathon) Depuis sa troisième dose (booster), l’athlète souffre d’une myocardite qui lui interdit la pratique du sport. Elle ne pourra sans doute plus jamais faire de compétitions. 07 Janvier.

Strbak Miroslav : 32 ans (combattant polonais d’arts martiaux mixtes) L’homme fait un arrêt cardiaque à l’entraînement. 07 Janvier.




Dans presque tous les pays, le coronacircus est en train de se terminer

Par Nicole Delépine

Quelques informations glanées sur les RS et tues par les médias

La Norvège, l’Allemagne, l’Espagne, la Croatie, la Grande-Bretagne, l’Irlande du Nord, l’Écosse et beaucoup d’autres pays allègent, ou suppriment les restrictions sanitaires. Comment leurs habitants vont-ils faire en venant en France ?

Emmanuel Macron va-t-il leur infliger les mêmes restrictions qu’aux Français au risque de les faire fuir ?

Selon Emmanuel de Villiers :

« Arrêt du délire Covid un peu partout, en Angleterre, Israël, Espagne, Suède… Avec l’application du ridicule pass vaccinal totalement à contretemps le Président Macron aurait glissé à son chauffeur en arrivant à Bruxelles : “Ernest, je suis très emmerdé !” »

Pr Christian Perronne

Je pense que c’est en train de craquer de partout, l’OMS fait machine arrière… la Roumanie a supprimé l’obligation vaccinale… Aux États-Unis ça commence à craquer, on a vu que la Cour suprême a censuré la loi de Joe Biden qui voulait imposer le vaccin.

ROYAUME-UNI

Westminster développe maintenant une « stratégie à long terme pour vivre avec Covid-19 »

La fin des restrictions au Royaume-Uni annoncée par Boris Johnson au parlement ; voyez à 46 s quand BoJo annonce la fin du port du masque en faisant un clin d’œil. Ce cri de liberté en dit long

[Qtime Network ⭐️⭐️⭐️ / 19/01/2022 / EN]

La Grande-Bretagne va « traiter le coronavirus comme un rhume » : Bojo se prépare à mettre fin à toutes les restrictions sur les médicaments.

Boris Johnson annonce la levée des principales restrictions en Angleterre, dès la semaine prochaine :

– Fin du port du masque obligatoire
– Suppression du Pass Sanitaire
– Fin du télétravail recommandé
– Abandon du pass sanitaire pour les discothèques et les grands événements
– Travail à domicile — Abandonné
– L’auto-isolation expire le 24 mars

Par suite d’une requête officielle, Nigel Farage a obtenu le nombre exact de personnes qui sont mortes « uniquement » du Covid au Royaume-Uni : 17 371. Sachant que 153 000 personnes ont été déclarées comme « morts Covid »…

TCHÉQUIE

Le gouvernement tchèque abandonne l’Obligation Vaccinale pour les plus de 60 ans et le personnel soignant

JAPON

Zéro obligation et moins de 10 morts quotidiennes depuis novembre 2021 dans ce pays de 125 millions d’habitants

ESPAGNE

« Pourquoi je libère le Peuple ? Parce que ce que je vois en France ou en Australie me donne la Nausée ! Je dis NON à la Malveillance d’État »

Pedro Sánchez, 1er Ministre espagnol en DIRECT de l’entretien du 10/01/2022.

L’Espagne va revivre normalement et stopper toutes les restrictions

Décisions :

– Terminés les tests massifs
– Ne plus tracer les contacts
– Arrêter les isolements
– Laisser totalement tomber le masque.

#PasseVaccinal #BruleTonPass

La ministre de la Santé souhaite engager le débat avec les autres pays européens.

ÉCOSSE

La Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé la fin des restrictions restantes, tout en appelant la population à la prudence. 

La plupart des restrictions restantes liées au Covid-19 en Écosse seront assouplies à partir de lundi, a annoncé mardi 18 janvier le gouvernement écossais après une « chute importante » du nombre de nouveaux cas.

Les discothèques rouvrent, le télétravail reste recommandé

À partir de lundi, les discothèques pourront rouvrir et les jauges dans les salles de spectacle seront levées. Jusqu’à présent, seuls trois ménages pouvaient se réunir à l’intérieur, une limite qui sera également levée. Nicola Sturgeon a cependant souligné que « malgré l’amélioration de la situation, le niveau de contaminations au Covid dans la population est toujours élevé. Donc, pour minimiser le risque d’attraper le virus, il serait judicieux que nous restions tous prudents dans nos interactions sociales à ce stade. » Le télétravail continuera d’être recommandé lorsque c’est possible et les masques resteront obligatoires dans les lieux publics intérieurs et dans les transports en commun.

ALLEMAGNE

14.01.2022 : Deutscher Bundesrat Berlin –

Le ministre-président Reiner Haseloff annonce au nom du Bundestag allemand et selon la conférence ministérielle que la situation pandémique d’ampleur nationale est « terminée » !

Cela signifie logiquement que : * toute loi d’urgence est abrogée * toute obligation de vaccination est définitivement écartée * l’autorisation d’urgence des vaccins est nulle et non avenue * toute restriction COVID est nulle et non avenue…

7 h 52 · 20 janv. 2022·Twitter

toute obligation de port de masque est nulle et non avenue * toute restriction d’accès aux commerces et aux emplois est nulle et non avenue ! Est-ce la raison pour laquelle les médias ne rapportent pas cette décision ? Les gars, c’est fini…

NORVÈGE

Dès septembre 2021

« L’Institut norvégien de santé publique (FHI) classe la maladie de Covid-19 comme respiratoire, aussi dangereuse que la grippe ordinaire. En revanche, il précise que la pandémie n’est pas terminée, mais est entrée dans une nouvelle phase — le Covid-19 est désormais l’équivalent d’une maladie respiratoire courante, comme la grippe ou une infection respiratoire — due à plusieurs facteurs : les mutations qu’ils souffraient du SRAS-CoV-2, ce qui le rend moins dangereux, l’immunité naturelle et induite par le vaccin que la société norvégienne a obtenue.

Bien que le virus continue de circuler, il ne provoque pas d’augmentation du nombre d’hospitalisations, ce qui signifie que le SRAS-CoV-2 ne fait plus pression sur le système médical norvégien. FHI évalue désormais le coronavirus comme similaire à d’autres virus respiratoires, tels que ceux qui causent le rhume ou la grippe saisonnière ».

Dans des études menées par FHI, il a été constaté que les personnes partiellement et complètement vaccinées avec Covid-19 ont un faible risque d’hospitalisation, mais qu’il en va de même pour les personnes en bonne santé qui n’appartiennent pas à des groupes à risque.

Selon les dernières statistiques de FHI, 67 nouveaux patients ont été hospitalisés avec Covid-19 comme cause principale au cours de la semaine 37, ce qui représente une diminution par rapport aux 95 cas de la semaine précédente. Parmi les nouveaux cas à la semaine 37, seuls 9 patients ont eu besoin de soins intensifs, une diminution par rapport aux 22 semaines précédentes.

La Norvège ne recommande pas le vaccin pour les 5-11 ans mais table sur l’immunité naturelle pour cette tranche d’âge. Il y a encore des pays où l’état réfléchit intelligemment. Battons-nous pour que ce soit le cas en France

ISRAËL, NOTRE MODÈLE

L’explosion des cas plus nombreux à chaque vague affirme l’échec de « la stratégie tout vaccin, tout pass »

20 Janvier 2021 « Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire » affirme le ministre des Finances Avigdor Lieberman qui a appelé à mettre fin à l’utilisation généralisée du « passeport vert »

Le ministre des Finances Avigdor Lieberman n’est pas n’importe qui ! Car c’est de sa rupture avec Netanyahou qu’il a fait chuter ce dernier !
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1642516691-israel-covid-19-le-ministre-des-finances-demande-l-annulation-du-passeport-vert

il travaille avec « toutes les autorités » afin de mettre fin au pass sanitaire et de « maintenir une routine de vie normale pour tous. »

QUÉBEC

Québec renonce à l’obligation vaccinale des soignants devant les résistances ! « Le réseau ne peut se passer des personnels non vaccinés » dit leur ministre de la Santé. Bravo pour cette remarque de bon sens ! Que Véran qui pleure qu’il n’a « pas de soignants en réserve » en prenne de la graine !

BRÉSIL

20 Janvier Jair Bolsonaro : « Aucun gouverneur ou maire ne pourra imposer la vaccination enfants. En outre, aucune amende ou autre sanction ne sera appliquée aux parents ! »

BOLIVIE

Grand Bravo à nos amis Résistants Boliviens ! Le gouvernement de Luis Arce a cédé aux mobilisations antivaccins des secteurs sociaux du parti au pouvoir lui-même et a suspendu en Bolivie l’exigence à partir du 26 janvier dans les institutions publiques et privées de la carte de vaccination contre le Covid-19 ou des tests PCR négatifs. Belle victoire !

La THAILANDE reconnait que le vaccin blesse et tue

Les médias thaïs présentent cette information de manière très anodine.

Et pourtant, elle est explosive !

« Une compensation financière d’un milliard de bahts a été accordée par le Bureau de la sécurité nationale (NHSO) aux personnes ayant subi des effets négatifs après avoir été vaccinées contre le Covid-19.

Une compensation de 400 000 bahts a été accordée à 2 264 familles de patients décédés ou de personnes souffrant d’un handicap permanent qui aurait pu être attribué aux effets secondaires de l’inoculation ».

2264 décès ou blessures graves (handicaps à vie) ont donc été reconnus par les autorités comme causés par les vaccins… Une compensation de 10 000 euros a été versée à chaque famille…

À ce jour, 45,4 millions de Thaïlandais sont « totalement vaccinés » (2 ou 3 doses). Un rapide calcul démontre donc que 1 personne « vaccinée » sur 20 000… est tuée ou soufre de séquelles à vie après ces injections. Une sur vingt mille…

En Australie

Pays qui a toujours proclamé que les vaccins étaient surs et efficaces : pourtant plus de dix mille victimes des vaccins demandent des indemnisations qui pourraient atteindre 30 millions d’euros.

Au total, ce petit survol montre qu’en janvier 2022 partout dans le monde les gouvernements abandonnent les restrictions prétendument sanitaires pour traiter le covid comme une grippe.

Macron veut-il paraphraser Victor Hugo en proclamant « S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là »…?




La destruction de la Médecine et du Savoir s’accentue

Par Lucien SA Oulahbib

Lu sur FigaroVox : 

« (…) Il s’agit d’un réel scandale que tout le monde fait semblant d’ignorer. Alors que chaque jour les médias constatent la pénurie de médecins, cette « brillante » réforme nous conduit à des aberrations majeures. Ainsi, dans la note finale d’admission en 2e année, deux oraux de dix minutes chacun comptent à égalité ou plus que 15 heures d’examens écrits. Vous avez bien lu ! D’un côté, 15 heures d’examens écrits (12 matières, 240 h de cours) et de l’autre, 2 oraux de 10 min. (sans formation spécifique) qui comptent plus que les écrits. La palme revient à l’Université de Paris où l’oral compte pour 72 % contre 28 % pour les écrits !

Avez-vous une idée des sujets de ces oraux qui permettent d’évaluer les compétences transversales des étudiants à l’Université de Paris ?

Voici un exemple de sujet délirant de l’épreuve de « mise en situation » de l’université de Paris : « Dans un musée, on voit une enseigne d’une ancienne chocolaterie du XVIIIe siècle avec un domestique noir qui sert sa maîtresse blanche. Le nom de la chocolaterie est “le nègre joyeux”. Qu’en pensez-vous ? ». Il s’agit pourtant bien d’un sujet censé évaluer si les étudiants « disposent des compétences nécessaires pour accéder aux formations de médecine », selon le décret. (…) »

Tout y est dit. Puisque la médecine est désormais caduque, remplacée par un peu de Doliprane et des injections expérimentales, le bétail humain du zoo urbain global doit se soumettre ou se démettre en ânonnant les mantras serviles à l’instar de ce qui se passait en URSS et encore en Chine ou dans les pays dominés par le djihadisme systémique. Il n’est plus jugé sur des critères de compétence, mais d’allégeance à la Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste au néonazisme « éclairé » par le Guide [Führer en allemand].

Il s’agit en effet de domination négative à l’état pur. La domination positive est plutôt celle qui maîtrise la spécialité dédiée et qui donc « domine » légitimement le « champ » incriminé, alors que la domination négative, elle, réduit la notion de « pouvoir » à celle de puissance, décidant par exemple de l’état d’exception (cher à Schmitt), mais elle oublie que le pouvoir est aussi fait d’autorité et de compétence (comme l’indique Weber) en ce sens où si le citoyen accepte d’obéir, c’est bien parce qu’il a confiance dans les institutions qui organisent la société du fait de leurs compétences respectives. Ce n’est à l’évidence plus le cas.

À lire ce qui est demandé plus haut aux futurs médecins obligés ainsi d’acquiescer à une remarque anachronique qui bien entendu ne sied plus aujourd’hui, nous en sommes en effet visiblement bien loin.

Au fond, les médecins ne sont plus que des distributeurs en parapharmacie, au même titre que les profs devenus des animateurs de classes déréglées par l’anomie et réglées par des valeurs qui annihilent toute possibilité de transmettre un savoir objectif en ce sens où il ne trie pas les faits en fonction de priorités politiques, mais laïques ou comment former des esprits libres à même de créer le monde de demain au lieu de le subir ?

Dommage (encore une fois) qu’aucun candidat ne prenne réellement la mesure de cette destruction de la médecine (et du Savoir en général) alors qu’il serait possible de servir de la crise médicale actuelle pour repenser la notion de santé en y intégrant les nouvelles avancées de la médecine dite « intégrative » au sens d’articuler une connaissance d’ensemble de l’être humain et aussi du citoyen : certains n’ont-ils pas dit : « j’ai mal à ma France » ? Ils seraient aujourd’hui traités de « factieux », surtout s’ils se mettent à applaudir les mains hautes…

Ainsi va le monde global du Bâtir inversé : la déconstruction intégrale.




De la crise financière et monétaire à la terreur Étatique de la pandémie COVID

[Source : les7duquebec.net]

Tout commence par la crise financière et monétaire

Connaissez-vous les récits de vos grands-parents au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des mesures monétaires très douloureuses ont été mises en œuvre dans le contexte de l’inflation galopante, des dettes de guerre et des personnes qui avaient tout perdu ? Je voudrais évoquer très brièvement ce qui s’est passé à l’époque, puis faire le lien avec notre époque actuelle.

Tout d’abord, la réforme monétaire [1] a eu lieu en 1948, lorsque le Reichsmark est devenu le Deutsche Mark. Toutefois, le nouvel État en a profité pour se débarrasser d’une grande partie de ses dettes en ne donnant que 6,50 marks pour 100 reichsmarks. Cela s’appliquait à tout ce qui se trouvait sur les comptes bancaires, aux emprunts d’État, aux obligations, aux crédits d’épargne-logement et également aux crédits d’assurance-vie et d’assurance retraite. Les dettes, c’est-à-dire les crédits, et les paiements courants (loyers, primes, etc.) ont en revanche été convertis 1:1 et ont donc été maintenus dans leur intégralité. Dans le cadre de la réforme monétaire de 1948, les actifs financiers ont donc été massivement dévalorisés.

Comme la réforme monétaire avait particulièrement touché les épargnants et épargné les propriétaires de biens immobiliers, la compensation des charges [2] a été mise en œuvre en août 1952 pour les citoyens possédant des biens matériels, notamment des biens immobiliers. Une compensation des charges de 50% a été versée à l’État sur tous les biens. Cette énorme charge financière a ensuite été payée à l’État sur 30 ans par tranches d’un quart d’année. En 1982, la loi sur la compensation des charges a pris fin avec les derniers versements.

Le système financier, avec ses intérêts composés, ne cesse de tomber dans un piège qu’il s’est lui-même tendu. Au fil des années, le capital se concentre (s’accumule) entre les mains d’un groupe extrêmement riche et  restreint de capitalistes (plus de 2000 multimilliardaires). Les autres personnes doivent rémunérer cette fortune des super-riches par le biais de leur force de travail salarié (la plus-value), mais cela devient de plus en plus difficile, car le capital à rémunérer ne cesse d’augmenter alors que la part des salaires tend à diminuer dans la richesse collective. C’est pourquoi ce système a besoin d’une remise à zéro de temps en temps.

Autrefois, les guerres étaient très appréciées à cet effet (remettre la comptabilité sociale à jour en faisant payer les travailleurs). Sous le mode de production capitaliste on acceptait des morts et des souffrances pour préserver et développer la richesse sociale collective que les riches accumulaient pour leur bénéfice personnel. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale (compte tenu des immenses arsenaux nucléaires, cela serait dangereux pour les «élites» et les milliardaires eux-mêmes), mais le problème du système financier en faillite subsiste…comment le résoudre?

Depuis les années 1980, la dérégulation des marchés financiers et l’apparition de marchés de produits dérivés très spéculatifs sont venues aggraver la situation, faisant perdre encore plus de terrain à la formation de capital réel (capital mobilier et immobilier ou capital constant et variable).

C’est ainsi qu’est survenue la crise financière de 2008. Les banques et les investisseurs ont été « sauvés » par les États. Mais à un prix très élevé. Outre l’endettement extrême de l’État (dont les contribuables devront finalement s’acquitter), de larges couches de la population, en particulier en Allemagne, ont été quasiment partiellement dépossédées de leurs biens par des taux d’intérêt négatifs et des hausses extrêmes des prix des biens patrimoniaux dues à l’afflux d’argent des banques centrales. Les prix élevés de l’immobilier ne signifient pas qu’ils ont pris de la valeur. Les monnaies (notamment l’euro et le dollar américain) ont simplement perdu de leur valeur en raison de l’abondance d’argent. Cela doit tôt ou tard conduire à un crash. Le plus tard sera le pire.

En 2019, nous y sommes presque arrivés. En septembre, les marchés financiers ont failli connaître une nouvelle crise qui aurait éclipsé la crise financière de 2008. Le marché dit « repo » (il s’agit de la partie du marché monétaire par laquelle les banques et les hedge funds se prêtent de l’argent entre eux), qui représente un volume mondial d’environ 15 000 milliards d’euros !!!, a dû être sauvé par la banque centrale américaine, la Fed, à hauteur de centaines de milliards de dollars américains. Après le sauvetage des banques en 2008 et l’endettement extrême des États qui s’en est suivi, une nouvelle crise aurait conduit au chaos par le biais d’effets dominos mondiaux. Le public ne s’en est toutefois pas rendu compte. [3]

Le terrorisme Étatique sanitaire comme tactique pour imposer le «Grand reset»,  pour le bénéfice des riches

De mon point de vue, cela a déclenché la « pandémie » dont les «élites» parlent depuis longtemps, afin de remettre le système financier et économique mondial sur pieds et de protéger et d’accroître encore la fortune des super-riches…ce que l’élite aime appeler le «Great Reset» c’est-à-dire, faire payer les travailleurs pour les dettes des riches.

L’OMS a été mise au pas depuis longtemps à grand renfort d’argent, notamment en provenance de Chine et d’investisseurs privés [4], et les États membres sont tenus, par le biais du Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) contraignant en droit international, de suivre les instructions de l’OMS, notamment en cas de pandémie. Ce traité a été amendé en 2005 en vue de la mondialisation croissante et de la propagation internationale de maladies infectieuses telles que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et est entré en vigueur le 15 juin 2007 [5].

En avril 2009 (donc peu après le début de la crise financière), la définition d’une pandémie a été nettement édulcorée par l’OMS [6]. Alors qu’il fallait auparavant un « très grand nombre » de morts dans le monde pour qu’une pandémie se déclare, il ne suffit depuis lors que de résultats de tests positifs. Ainsi, la pandémie de grippe porcine a pu être déclarée dès le 11 juin 2009. Heureusement, cette pandémie a pu être démasquée comme étant totalement exagérée. A l’époque, le test PCR avait déjà joué un rôle peu glorieux. Le 31 octobre 2020, l’OMS a encore modifié la définition de l’immunité de groupe, qui ne pourra plus être atteinte à l’avenir par l’immunité naturelle, mais uniquement par la vaccination [7].

Par ailleurs, avez-vous remarqué que le CDC américain n’autorise plus le test PCR pour la détection de la maladie de Corona à partir du début de l’année? Celui-ci ne peut pas faire la différence de manière fiable entre les virus Influenza et Corona [8]. Peut-être une des raisons pour lesquelles l’influenza semble avoir disparu ? Ceci n’est qu’une parenthèse.

En 2010, la fondation Rockefeller avait déjà décrit dans son rapport «Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international» [9] le scénario du « lockstep », c’est-à-dire du «pas de géant», en cas de pandémie de grippe. Il s’agissait de réfléchir aux possibilités et aux défis politiques et sociaux qui résulteraient de cette pandémie anxiogène. Il en est ressorti qu’une synchronisation mondiale associée à des mesures répressives serait prometteuse pour l’installation d’États totalitaires de surveillance et de contrôle à la suite de la pandémie.

D’autres éléments de notre vie actuelle ont également été préparés avant Corona, comme par exemple un certificat de vaccination numérique dans l’UE depuis 2018 [10] [11]. Le Global Vaccination Summit qui s’est tenu à Bruxelles le 12.09.2019 sous l’égide de la Commission européenne et de l’OMS est également très instructif à ce sujet [12].

Le 19.10.2019 a ensuite eu lieu à New York l’«Event 201» (traduit : événement de janvier [20]) sous l’égide du Johns Hopkins Center for Health Security (créé par la fondation Rockefeller) et avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates et du Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF) [13]. L’exercice portait sur le cas fictif d’une pandémie mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. Outre le lockdown et les restrictions de voyage, il a été question de la communication en cas de pandémie et de la gestion des fake news.

Dans la « pandémie » qui a ensuite effectivement eu lieu à partir de janvier 20, l’université Johns-Hopkins fournit dans le monde entier, via le Corona Dash-Board, les chiffres qui justifient l’abolition des droits fondamentaux dans le monde entier, la fondation Bill et Melinda Gates fournit les vaccins via ses investissements (entre autres, depuis l’automne 2019, elle investit dans BioNTech) [14] et le Forum économique mondial, avec son fondateur Klaus Schwab et son livre « Covid-19 – The Great Reset » [15], fournit le cadre idéologique.

Toutefois, deux modifications législatives du Bundestag allemand à l’automne 2019, donc également avant la soi-disant pandémie de Corona (SARS-CoV-2), sont décisives: Modification de l’article 21 de la loi sur la réglementation du droit d’indemnisation sociale (loi sur la compensation des charges) du 12.12.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

Dans cette modification, l’objectif de «l’assistance aux victimes de guerre» pour lequel la loi sur la compensation des charges a été créée est remplacé par le terme «indemnisation sociale» et il est fait référence au livre quatorzième du code social, qui a également été modifié. Modification du Code social quatorzième livre (SGB XIV) du 07.11.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

« Le nouveau livre 14 du Code social (SGB XIV) règle l’indemnisation des besoins liés aux dommages subis par … les personnes qui ont subi un préjudice de santé suite à une vaccination préventive ou à d’autres mesures de prophylaxie spécifique selon la loi sur la protection contre les infections».

Résumons donc brièvement la situation : L’État pourra, à partir du 01.01.2024, procéder à une compensation des charges (un joli mot pour expropriation) dans les actifs de l’ensemble de la population pour l’indemnisation des victimes de la vaccination.

Les contrats divulgués avec les fabricants de vaccins expliquent que ceux-ci n’assument aucune responsabilité [16]. Cela incombe aux candidats à la vaccination qui, en acceptant « la vaccination proposée », assument eux-mêmes le risque de participer à cette expérience médicale. Pourquoi pensez-vous que les vaccins Covid, qui n’ont que des autorisations conditionnelles, sont les seuls vaccins où il faut signer un document de consentement? [17]. En fin de compte, on participe à une étude médicale pour laquelle le fabricant n’assume aucune responsabilité. La victime d’une vaccination ne peut que se tourner vers l’État et espérer une indemnisation.

Une obligation générale de vaccination est importante pour l’État, car c’est la seule façon de justifier une répartition des charges sur tous les citoyens. Sinon, tous ceux qui ne se sont pas fait vacciner pourraient à juste titre se demander pourquoi ils devraient être responsables des dommages subis par les autres, qui ont volontairement pris le risque de la vaccination expérimentale. De plus, il s’agit bien sûr aussi de ne plus avoir de groupe de contrôle non vacciné, ce qui est en fait obligatoire pour une étude médicale, mais qui pourrait soulever des questions sur la responsabilité personnelle de certains protagonistes.

Pour obtenir une autorisation régulière sans obligations spécifiques, les fabricants de vaccins doivent obtenir d’autres résultats d’études et remplir d’autres obligations spécifiques dans un certain délai [18]. En attendant, les autorisations conditionnelles sont prolongées sur une base annuelle, ce qui a été fait récemment par l’EMA dans le cas de BioNTech/Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

La vaccination et le pass-saitaire comme moyen de surveillance

D’ici fin 2023 (en supposant un cycle de 6 mois), chaque sujet/citoyen aura reçu 7 injections de ces vaccins expérimentaux basés sur le génie génétique. Cela correspond d’ailleurs aux quantités incroyables de doses de vaccins commandées par l’UE. Dès le lancement de la campagne de vaccination, 2,3 milliards de doses de vaccins ont été commandées, pour seulement 450 millions d’habitants environ [19], soit 5 vaccins par habitant de tout âge. Entre-temps, encore plus de doses ont été commandées, notamment en mai 1,8 milliard de doses supplémentaires de BioNTech [20]. Ceux qui pensent que les rappels actuels sont suffisants, croient aussi au malade asymptomatique et au test PCR.

Si l’on tient compte des graves effets secondaires des vaccins jusqu’à présent, y compris les décès, qui dépassent toutes les échelles des vaccins actuels (voir graphique sur la base de la banque de données américaine VAERS), il faut s’attendre à un nombre extrêmement élevé de victimes et de dommages liés aux vaccins dans les années à venir.

Le 23 septembre 2021, une demande a déjà été déposée au Parlement européen pour la création d’un fonds pour les victimes de la vaccination. Dans cette demande, les chiffres de l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les effets secondaires, qui étaient déjà près d’un million à cette date, sont révélateurs [21]. Entre-temps, ces chiffres sont encore nettement plus élevés et le nombre de cas non déclarés devrait être très important [22].

Il faut donc s’attendre à un nombre énorme de victimes et de décès dus à la vaccination d’ici 2024, ce qui rend très probable l’appel à un partage des charges.

Il se pourrait toutefois que les indemnisations ne soient qu’un prétexte et que l’on perçoive nettement plus d’argent par le biais d’une compensation des charges que ce qui serait en fait nécessaire.

Réforme monétaire et remise à zéro (Great reset) du système économique en faillite

L’État a également besoin de la fortune de ses citoyens pour une nouvelle monnaie, l’euro numérique, sur lequel la BCE travaille officiellement depuis cette année [23]. Les États européens (comme d’autres États occidentaux, notamment les États-Unis) sont fortement endettés et majoritairement en faillite. En revanche, le patrimoine appartient aux citoyens. Pour que l’euro numérique ait une valeur, la BCE et les États de la zone euro doivent être désendettés. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la présidente de la Commission européenne, Ursula von-der-Leyen, exige désormais une vaccination obligatoire à l’échelle européenne [24]. Cela pourrait donc être utilisé dans toute l’Europe comme prétexte à des expropriations.

En outre, la Chine va déjà introduire en 2022 une nouvelle monnaie numérique adossée à des actifs, qui est déjà en phase de test et devrait être lancée dans tout le pays pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022 [25]. Cependant, la Chine possède désormais beaucoup plus d’actifs que les pays industrialisés occidentaux, ce qui rendra la monnaie très forte et mettra les autres sous pression. Selon la volonté des dirigeants chinois, l’e-yuan doit remplacer le dollar comme monnaie de référence.

Les citoyens de l’UE et d’autres pays occidentaux seront bientôt prêts eux aussi pour une réforme monétaire. L’inflation actuellement alimentée artificiellement (générée entre autres par des retards de livraison et des pénuries de microprocesseurs) va encore s’accélérer [26] et faire en sorte que les citoyens qui s’appauvrissent peu à peu réclament des compensations, des «aides» de l’État.

La nouvelle monnaie sera probablement une monnaie purement numérique, sans argent liquide, basée sur la technologie blockchain ou similaire. Elle devrait alors être reliée, sous forme de portefeuille, à une identité numérique au sens de l’ID2020 [27], dont les carnets numériques de vaccination feront également partie ou constitueront la base. En tant que monnaie de banque centrale, elle ne sera, comme on peut s’y attendre, plus liée à un compte bancaire. Chaque citoyen aura son propre compte de banque centrale auprès de la BCE. Les publications de Norbert Häring à ce sujet sont d’ailleurs très instructives [28].

Jusqu’à présent, il n’est pas encore question de réforme monétaire avec le projet d’euro numérique de la BCE. En outre, il est toujours souligné que l’on ne veut pas abolir l’argent liquide avec l’euro numérique, mais ne disait-on pas aussi jusqu’à récemment qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire en Allemagne ?

Puce d’identité numérique comme système de contrôle de masse

Grâce à la carte d’identité numérique, les droits fondamentaux peuvent en outre être liés à la réalisation de prescriptions étatiques, comme en Chine avec son système de scoring social. Aujourd’hui, il faut se faire vacciner pour avoir accès à la vie publique. Qu’en sera-t-il demain ? D’autres expériences médicales pour Big Pharma, des mesures médicales contre la surpopulation, le blocage du porte-monnaie numérique pour les produits et services qui consomment trop de CO2, comme la viande ou les voyages ? Le citoyen devient ainsi totalement vulnérable au chantage. Pas d’argent et pas de droits fondamentaux en cas de «mauvais comportement». Et qui manifestera encore si on lui coupe ensuite les vivres en guise de punition?

Cela laisse présager le pire pour notre liberté et notre prospérité. Selon le tableau dressé par le Forum économique mondial pour l’année 2030 : «Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux» [29].

Encore quelques mots pour conclure à l’attention des citoyens, des élus, des journalistes ou des juges qui pensent que cela ne les concerne pas, parce qu’ils peuvent peut-être, grâce à leurs relations avec des médecins ou à leur position actuelle, obtenir le carnet de vaccination tant convoité, même sans piqûre. C’est encore possible, car on veut faire entrer le plus de gens possible dans le système du passeport Covid sans grande résistance. Mais il existe déjà des brevets pour des vaccins biométriques infalsifiables, comme le Microneedle Tattoo du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a été présenté le 18 décembre 2019 [30] [31]. L’étau se resserre de plus en plus pour tout le monde. Est-ce ce que vous voulez pour vos enfants et vos familles ? Tous ceux qui participent se rendent complices.

Les droits fondamentaux inaliénables et le code de Nuremberg [32] ont été créés en tant que leçon suite au troisième Reich, selon lequel aucun être humain ne peut être contraint de participer à une expérience médicale contre sa volonté :

« …le consentement volontaire du sujet de recherche (est) absolument nécessaire. Cela signifie que la personne concernée doit être capable, au sens juridique du terme, de donner son consentement ; qu’elle doit être en mesure d’exercer son jugement sans être influencée par la violence, la fraude, la ruse, la pression, la simulation ou toute autre forme de persuasion ou de contrainte ; qu’elle doit connaître et comprendre suffisamment le domaine concerné dans ses détails pour être en mesure de prendre une décision raisonnable et éclairée ». Il est évident que cette obligation a déjà été violée de manière flagrante par la pression (2G et autres). Qu’est-ce qui va suivre ?

Traduit de l’Allemand

https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/


Sources

VERSION ORIGINALE ALLEMANDE

Source : https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/




Appel à affamer les non-vaccinés : je fais citer le docteur Masson en correctionnelle !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Chacun se souvient que, au mois de décembre, le médecin radiologue Jean-Philippe Masson, avait appelé à affamer les non-vaccinés sur la boucle WhatsApp lancée par l’Institut Santé de Frédéric Bizard, qui compte 90 membres éminents (dont moi-même, exclu depuis cette date). J’ai décidé de le poursuivre en justice pour incitation publique à la haine. L’audience, qui aura lieu le 21 mars, sera l’occasion de connaître le point de vue des juges sur le discours très macroniste du « j’emmerde les non-vaccinés ».


Plainte contre Jean-Philippe Masson, radiologue, président de la FNMR pour incitation à la haine from Société Tripalio

Je vous avais parlé, au mois de décembre, de cette boucle WhatsApp de l‘Institut Santé de Frédéric Bizard, qui prône “l’autonomie solidaire en santé”. Autonomie, on veut bien croire. Solidaire, on comprend un peu trop ce que cela signifie : solidaire entre certains, mais pas entre d’autres. 

Le docteur Jean-Philippe Masson se lâche sur WhatsApp

Pour promouvoir son obscur institut, énième structure de lobbying dans le domaine de la santé, Frédéric Bizard avait lancé une boucle WhatsApp avec des personnalités diverses (dont votre serviteur). Dans la pratique, cette boucle a surtout servi de caisses de résonance à des médecins en mal de reconnaissance.

Dans ce cadre, plusieurs figures de la santé, comme le docteur Jean-Philippe Masson, radiologue à Carcassonne et président (réélu, donc expérimenté) de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (FNMR) ont échangé sur la meilleure façon de convaincre les non-vaccinés de se faire vacciner. 

Nous étions en décembre, en pleine campagne orchestrée par Mc Kinsey et par le gouvernement, de persuasion sur le danger que les non-vaccinés représentent (prétendument) pour les vaccinés. 

Cette ambiance très guerrière a suscité des vocations. Nous vous l’avions raconté : le docteur Masson, avec quelques autres, a trouvé l’idée du siècle, interdire aux non-vaccinés de se ravitailler. Condamnés à la faim, ils seraient bien obligés de subir l’injection. 

Voilà une belle morale chez quelqu’un qui a prêté le serment d’Hippocrate. Et voilà une logique citoyenne empreinte de “solidarité”, preuve que l’Institut Santé véhicule pleinement les idées dont il se revendique. 

On rappellera ici que, même aux pires moments de la Shoah, le régime nazi n’a jamais endossé l’appel à la privation de nourriture pour ses victimes. 

La justice doit prendre position sur les appels à la haine des médecins pro-vax

Ceux qui suivent nos colonnes savent que je ne suis pas un grand ami des procédures – procédures judiciaires comprises. Mais là, trop c’est trop !

Sans cibler particulièrement le docteur Masson, dont je pense que, à l’image de son collègue Marty, ce n’est pas par l’intelligence qu’il brille le plus, il est important que la justice de la République prenne clairement position sur ses propos tenus contre l’égalité de tous les citoyens. 

Est-il répréhensible d’appeler publiquement à affamer les non-vaccinés, surtout lorsqu’on préside une fédération de médecins. Je le crois profondément. 

Il me paraît nécessaire que le public soit clairement informé de ce que recouvre la phrase d’Emmanuel Macron “je veux emmerder les non-vaccinés”

Il ne s’agit pas de mots en l’air. Il y a, dans les beaux quartiers, dans la caste mondialisée, des gens éduqués, diplômés, qui appellent clairement au génocide de ceux qui ne pensent pas comme eux. 

Le 21 mars, je souhaite que la justice dise clairement Stop ! et qu’elle sanctionne durement ceux qui, sous couvert de leur prétendue science, revendiquent le pire de l’obscurantisme. 

Si vous souhaitez participer à la campagne de shaming de Rester libre ! sur le sujet, rejoignez-la

Et surtout, le 21 mars, soyez au Palais de Justice avec nous. 




Les enfants sacrifiés du Covid

Par Nicole et Gérard Delépine

FAUVES

Le 24 janvier 2022

160 pages – 16 €

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintesaux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

FAUVES

mairot.sophie@gmail.com 06 70 89 52 89

www.fauves-editions.fr

4e de couverture

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnosegénérale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les me-nace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirur-gien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.




Décision du Conseil Constitutionnel : la fin des illusions ?

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas sûr que soit évaluée dans son importance gravissime pour les libertés cette avalisation absolument inique, celle d’une telle loi scélérate, en l’occurrence le fait de rendre « comme » obligatoire ce qui ne l’est pas déjà légalement à savoir l’injonction d’une injection censée éviter « des formes graves », alors qu’il suffisait de laisser les médecins prescrire les traitements précoces qui marchent. Rappelons d’ailleurs qu’interdire ces derniers est criminel et sera sans aucun doute durement châtié lorsque la Raison retrouvera ses droits ; mais quand ? Car il n’est cependant pas sûr, répétons-le, que soit encore saisi à sa juste mesure le piétinement faramineux actuel de nos libertés, et ce au moment même où la Grande-Bretagne et l’Espagne décident de classer cette pandémie (une syndémie en réalité) comme « endémique » ce qui implique de plutôt soigner les personnes fragiles et laisser vivre normalement la grande majorité de la population en particulier les enfants qui ne sont ni à risque ni dangereux.

Mais pour les fanatiques de la secte hygiéniste, la Grande-Bretagne ne compte pas, parce qu’elle a quitté l’UE, un crime de lèse-majesté pour les jusqu’au-boutistes de la solution injectable. Ceux-ci se sont « enkystés » dans un « long tunnel » de déni (pour paraphraser leurs propres dires lorsqu’ils parlent et montrent du doigt les non-injectés comme source du mal, car autrement tout aurait été bien sûr accompli), alors que — et ce comme prévu par les spécialistes (et non les charlatans de la lumpen intelligentsia, qu’ils soient médecins, politiques, journalistes, ou pseudo-philosophes) — l’accélération des contaminations (avec bien moins de létalité) est objectivement liée au fait que ces injections initialement structurées pour répondre (provisoirement) à la souche initiale ont un spectre bien trop spécifique (à la différence de l’immunité naturelle et acquise) et donc laissent passer les nouvelles variations.

À quoi bon de toute façon s’entacher ainsi puisque de tels arguments sont inécoutables pour des sectaires ? Rappelons-nous ce ministre de la santé qui dès qu’il entend le mot « hydroxychloroquine » sort son revolver clownesque en répondant à Martine Wonner que cela ne se « fume » pas, lui qui à sa troisième injection s’en est trouvé alité.

Sans doute [à cause de] un de ses enfants, peut-être à l’instar du Premier Ministre qui a accusé sa fille de 11 ans et dont la célérité à définir le terme de « dangereux » devrait être citée comme exemple type et symbole monstre d’une narration absurde frisant non pas la démence (dépassée depuis longtemps), mais la monstruosité.

Car nous en sommes là. Ce sont des monstres (comme il a été déjà dit dans plusieurs textes), au sens de recombinés synthétiques qui associent des bribes d’un peu de toutes les idéologies et que j’ai proposé de nommer soit Secte Scientiste hygiéniste affairiste (la SSHA), soit la Secte néonazie plus synthétiquement parlant, car il s’agit d’un projet à la fois racialiste et génétique. Il est racialiste au sens de créer une nouvelle « race » tout en dénonçant le racisme. Et pour ce faire il emploie les manipulations génétiques géniques génitales multiformes, le tout dans une ambiance idéologique de manipulation mentale à haute dose en injectant des séries comportementalistes via les réseaux fictionnels que des « influenceurs » patentés ou « miroirs mimétiques » doivent à la fois initier et entretenir (entertainment [ce terme anglais signifie « divertissement »]).

La tératologie politique dont j’essaye d’esquisser les contours dans plusieurs ouvrages et articles tente alors déjà de comprendre la genèse de ce processus idéologique qui a produit de tels mutants (ou « variants ») tout en sachant bien sûr qu’il est sans doute très inconfortable déjà de penser que des (prétendus) partisans de l’antifascisme et de la démocratie se soient ainsi transformés, et ce peu à peu, en leur contraire, comme l’engendrement (et non l’enfantement) d’Aliens  à l’instar du film bien connu ou encore du Portrait de Dorian Gray.

Mais c’est ainsi : l’incrédulité entoure toujours la force prégnante d’une nouvelle argumentation comme le prophétisait déjà Marshall Mac Luhan lorsque dans son livre » La galaxie Gutenberg » (précédant le suivant — « Medium is the message » — qui a tant influencé la pensée de Jean Baudrillard cité aujourd’hui de plus en plus par… Didier Raoult dans ses vidéos) Mac Luhan indiquait que lorsque la nouveauté conceptuelle dépassait les 20 %, le public moyen des influenceurs était perdu ou rebuté parce qu’ils ont été formés dans l’ancienne blockchain conceptuelle ce qui fait qu’ils ne peuvent adouber une pensée qui les remet en cause même indirectement ; aussi préfèrent-ils l’ignorer, voire l’effacer, et ainsi croient-ils, pensent-ils « protéger » le « grand » public de pensées « complotistes », un peu comme autrefois où la lecture des Écritures ne pouvait se faire que par l’intermédiaire des Clercs.

Mais quand ceux-ci « trahissent » (transition aisée, mais opportune…), faut-il attendre que de 20 nous passions à 30, 40, puis 50, enfin 80 % d’une argumentation recevable alors qu’il n’est pas sûr que cedit « grand » public que l’on prétend préserver ne soit pas à même d’appréhender lui-même la nouveauté ? La mode fonctionne ainsi : une nouvelle forme apparaît et se répand partout parce qu’elle rend visible ce qui se tramait comme esprit du temps.

[Note de Joseph : une certaine vision des choses, d’ordre métaphysique, ésotérique ou religieux, considère que les nouvelles idées proviennent d’un ensemencement du plan mental commun à l’Humanité et tout individu suffisamment sensible à ce plan peut alors les capter. Les plus réceptifs sont souvent des penseurs, des inventeurs ou des artistes. Ils s’en emparent puis les transmettent alors sous une forme ou une autre : textes, paroles, inventions, expressions artistiques… les rendant alors plus accessibles à ceux qui ne sont pas autant réceptifs ou mentalement outillés. Cependant, il peut exister une fraction des penseurs et autres capteurs d’idées qui préfèrent conserver pour eux-mêmes les nouveautés de peur de perdre leurs privilèges. Et dans le même temps, ceux parmi les privilégiés qui ne sont pas eux-mêmes des récepteurs d’idées nouvelles tendent à lutter contre ces dernières pour le même motif ou pour éviter de chambouler ce qui justifiait jusqu’à présent leur vie. Ils peuvent entraîner derrière eux tous ceux qui ont peur de perdre leurs repères, leurs habitudes ou leur confort physique, moral ou psychique…]

Espérons qu’il en soit bientôt ainsi : que l’illusion d’un « État de droit » inamovible se dissolve, que les « civilisations sont des êtres mortels » et que sans un Appel, un Sursaut, une Révélation enfin (ou le travail séculaire des Prophètes, aujourd’hui des Précurseurs) il soit enfin possible de prévenir la fin si l’on ne fait rien.

Mais, à l’inverse, et après tout, la Terre en a vu d’autres sur quatre milliards et quelques années de son émergence, les dinosaures ont bien disparu, l’espèce humaine serait donc en train de se détruire, à une vitesse sans doute plus lente que celle des premiers, du moins en apparence…

Et puis comme nous sommes encore dans une période interglaciaire, celle-ci touche peut-être à sa fin ou le retour vers le grand froid (« Anéantir » clame justement le Prophète à la mode) : spirituellement c’est fait, politiquement aussi, économiquement en cours.




L’Autriche devient le premier pays de l’UE à imposer la vaccination obligatoire à tous les adultes

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Le 20 janvier, l’Autriche est devenue le premier État du vieux continent à adopter la vaccination obligatoire contre le Covid-19. En octobre 2021, ils avaient essayé le confinement des non-vaccinés, mais avaient abandonné quelques semaines plus tard. Et voilà que, malgré l’ampleur et la régularité des manifestations populaires, le gouvernement autrichien fait une fois de plus le choix de l’autoritarisme en imposant la vaccination.

Lire aussi : Confiner seulement les non-vaccinés ? Une idée venue d’Autriche qui pourrait devenir virale

Pendant ce temps, hors de l’Union européenne, le Royaume-Uni annonce mettre fin aux quelques restrictions qui restaient encore en place d’ici à la fin du mois de janvier.

Un projet de loi auquel seule l’extrême-droite s’est opposée

Le projet de loi sur la vaccination obligatoire annoncé en novembre a été adopté au Parlement autrichien par une large part de la classe politique (137 pour, 33 contre sur 183 sièges). La mesure prendra effet le 4 février. Outre les Verts, partenaires de coalition des conservateurs, les chefs des partis social-démocrate et libéral se sont prononcés en faveur du texte.

Seule l’extrême-droite s’y est opposée en vertu de la nécessité de protéger les libertés individuelles. Le chef du parti anti-immigration FPÖ, virulent opposant à la politique sanitaire du gouvernement, a dénoncé lors des débats « un projet ouvrant la voie au totalitarisme en Autriche ». « Nous n’avons pas la majorité aujourd’hui au Parlement, mais nous l’avons à l’extérieur », a lancé Herbert Kickl, assurant qu’il défierait la loi.

À l’inverse, le chancelier conservateur (OVP) Karl Nehammer a déclaré devant la presse avant l’ouverture de session que « la vaccination est la chance pour notre société d’atteindre une liberté durable et continue, sans que le virus nous restreigne ».

Suite à l’adoption de cette mesure, le gouvernement ne cache pas sa crainte d’une réaction violente des Autrichiens. Il a donc décidé d’instaurer des « périmètres de protection » aux abords des établissements de santé, des centres de vaccination et de tests.

Une amende allant jusqu’à 3 600 euros en cas de non-vaccination

En vertu de la nouvelle loi, les non-vaccinés pourront écoper d’une amende pouvant aller de 600 à 3 600 euros. Elles seront levées si le contrevenant se fait vacciner dans les deux semaines.

À ce stade, environ 72 % de la population de 8,9 millions d’habitants est entièrement vaccinée, un pourcentage inférieur à la France. Pour laisser du temps aux non-vaccinés, qui se verront tous adressés une lettre de convocation, les contrôles ne seront lancés qu’à partir de la mi-mars.

Le 20 janvier au matin, une petite foule s’était réunie aux abords du Parlement. D’après Kerstin, enseignante de profession et contactée par l’AFP, qui a souhaité garder son nom de famille confidentiel, la loi est contraire à la Constitution et « bafoue les droits fondamentaux ». Avec elle, d’autres opposants à la vaccination ont exprimé leurs inquiétudes sur « les effets à long terme » des vaccins, assurant d’une même voix qu’ils ne paieraient de toute façon pas l’amende. Le gouvernement autrichien enverra-t-il en prison les non-vaccinés qui ne s’affranchiront pas de la sanction financière ?

Sur Twitter, la commentatrice politique Eva Vlaardingerbroek a annoncé : « L’Autriche est tombée. L’Europe ne fait officiellement plus partie de l’Occident libre. »

Un peu plus tôt sur la chaine Fox News, elle dénonçait la mise en place en Europe « d’un régime de contrôle et de surveillance de masse tyrannique » et appelait à un sursaut en Autriche, de sorte que le continent ne connaisse le même sort que la Chine sous contrôle communiste. 

Auteur(s): FranceSoir




Covid, notre victoire est en marche !!

[Source : @Vivresainement]






Les humains bien moins respectés que les animaux domestiques ?

Par Lucien SA Oulahbib


C’est un fait pourtant. Et cela s’appelle même un « assassinat social », précise un avocat alors qu’il est contraire selon lui au principe de conventionnalité. Celui-ci, en haut de la hiérarchie des normes, lie toute loi au respect des libertés fondamentales garanties par la Convention européenne des droits de l’Homme, en l’occurrence : le consentement éclairé, la non-discrimination, et l’objection de conscience — « vaccinale » ici — ce qui fait d’ailleurs que rendre « obligatoire » cette injection s’avère déjà illégal du point de vue de ce principe même de conventionnalité. Mais les magistrats ne l’appliquent pas ou la « souveraineté » est détournée, pervertie.

Les animaux domestiques n’ont pas ce souci : ils peuvent aller et venir, sans masque en plus. Par contre les humains, surtout s’ils se veulent citoyens et donc osent, exigent en rappelant qu’ils ont des « droits », sont montrés du doigt, invectivés, méprisés, insultés, puis traqués, pourchassés, en leur faisant perdre leur emploi et en les empêchant de se défendre, de parler même, par la mise en place de tout un maillage permettant de filtrer, isoler, annihiler non pas le virus, mais le nuisible dit « non-vacciné », alors que les injectés contaminent à qui mieux mieux et c’est d’ailleurs tant mieux du point de vue de l’immunisation de groupe à partir du moment où les médecins ont la liberté de prescrire réellement (même l’Azithromycine a été mise à l’Index alors qu’elle a prouvé son efficacité).

Voilà pourquoi il est nécessaire que l’Union sacrée s’élargisse (et donc Zemmour autant que Mélenchon et Marine Le Pen devraient venir parler le samedi à la tribune proposée par Philippot), car il s’agit de défendre les principes universaux qui ont fait la France et tant d’autres nations également qui étaient là bien avant l’avènement de cette république jacobine (qui empêche de chérir un Molière, un Montesquieu) : liberté de cueillir le Fruit de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal malgré l’interdiction (transgressive en réalité : le défi du Créateur à sa Créature faite à son « image ») ; chasser les marchands du Temple lorsqu’ils abusent de la foi ; savoir partager, pardonner (« que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre »), défendre la veuve et l’orphelin, chérir ses aïeux, les femmes et les enfants d’abord, le capitaine quitte toujours le bateau en dernier…

Autant de principes universaux qui n’ont pas attendu l’avènement des « Lumières », celles-ci se vautrant désormais dans un scientisme hygiéniste qui a fait tant de morts au XXe siècle (et cela continue), doublé aujourd’hui d’un affairisme nihiliste paganisé puisque les humains sont considérés à nouveau comme de la matière première brute (du « rien » dit Macron) et non plus comme de la « force de travail ». C’est donc bel et bien une régression totale (et non pas un progrès en butte à la « réaction ») qui instrumentalise « la » science et « la » technique pour charrier les corps humains dont les désirs et passions sont pressés, éviscérés, avortés, telles des vaches à lait ou à viande ou des poules pondeuses encagées (programmées), jusqu’à les réduire à l’état de bétail « qrcodé », bien en deçà de l’animal domestique dont d’aucuns cherchent à lui donner désormais un statut de citoyenneté à part entière.

« Nous » en sommes .




Le scandale financier et sanitaire des tests PCR anticovid répétitifs

Par Gérard Delépine

Tests PCR anticovid répétitifs :
coût faramineux pour efficacité sanitaire nulle

Depuis mai-juin 2020, la propagande gouvernementale nous rabâche :

« testez-vous, pour vous protéger et protéger les autres ».

Cette propagande a reçu un accueil enthousiaste et populaire bien conditionné par des médias aux ordres diffusant un message unique. Certains anxieux se sont fait tester plusieurs fois par jour aboutissant à réaliser plus de 2 millions de tests en un seul jour début janvier 2022, et à une dépense de plus d’un milliard d’euros pour le seul mois de décembre 2021.

Pourtant l’intérêt des dépistages chez les asymptomatiques n’a pas été démontré.

Le rôle d’un gouvernement est de gérer l’argent public au mieux, en attribuant les ressources là où elles sont utiles, en se guidant sur des bilans réguliers coût/efficacité, mais pour les tests (qui ont été élevés au niveau d’un tabou), cela n’a jamais été fait. Toute critique semble quasiment blasphématoire.

Le dépistage massif au moment des fêtes de Noël 2021 a-t-il été utile ?

Le but des tests est officiellement de dépister les asymptomatiques supposés contaminants pour les isoler et casser ainsi la chaîne des contaminations. Si cela était efficace, on devrait observer, une à deux semaines après un dépistage massif, une baisse franche des nouveaux cas quotidiens. Les chiffres et les courbes publiés par l’Organisation Mondiale de la Santé permettent de vérifier l’évolution inverse.

L’« épidémie de tests » a commencé début novembre 2021 et s’est accélérée depuis cette période, depuis que le gouvernement veut maintenir la peur et convaincre la population de vacciner les jeunes et les enfants.

Cette augmentation massive du nombre de nouveaux cas journaliers ne résulte pas seulement de l’augmentation forte du nombre de tests réalisés (le pourcentage de tests positifs a également augmenté durant cette période).

Durant ces derniers mois, le dépistage massif n’a donc pas permis de limiter la progression de l’épidémie.

Pourquoi le dépistage des asymptomatiques est inutile

Le dépistage anticovid par tests PCR mis au point par Drosten, le conseiller d’Angela Merkel, et imposé par l’OMS dès janvier 2020 repose sur deux hypothèses : la supposée spécificité des tests et le caractère soi-disant contaminant des personnes testées positives. Or aucune de ces deux hypothèses n’est vraie.

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre.

Ces constatations ont initialement été faites dès septembre 2020 sur 3790 cas positifs.(([1] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère — Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491))

De même aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR dépistés autour de Wuhan (10 millions de personnes testées)(([2] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez dix millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars — lundi 9 août 2020)) ne s’est révélé porteur de virus cultivable, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.

La spécificité du test PCR Covid est très incertaine(([3] Covid : La PCR nasale peut-elle mentir ? Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020))

En septembre 2020 un article du Lancet(([4] Elena Surkova Vladyslav, Nikolayevskyy, Francis Drobniewski False-positive COVID-19 results: hidden problems and costs Lancet: September 29, 2020)) soulignait le manque de spécificité du test et le danger de ne pas le confronter aux éléments cliniques.

«Tout résultat de test de diagnostic doit être interprété dans le contexte de la probabilité de maladie avant le test. Pour COVID 19, l’évaluation de la probabilité pré-test inclut les symptômes, les antécédents médicaux de COVID-19 ou la présence d’anticorps, toute exposition potentielle à COVID-19 et la probabilité d’un autre diagnostic. Lorsque la probabilité de pré-test est faible, les résultats positifs doivent être interprétés avec prudence…

L’excrétion prolongée d’ARN viral, dont on sait qu’elle dure des semaines après la guérison, peut-être une raison potentielle de résultats positifs aux tests par écouvillonnage chez les personnes précédemment exposées au CoV-2 du SRAS. Toutefois, et c’est important, aucune donnée ne suggère que la détection de faibles niveaux d’ARN viral par RT-PCR équivaut à une infectiosité, à moins que la présence de particules virales infectieuses n’ait été confirmée par des méthodes de culture en laboratoire. » 

Dès novembre 2020, la chambre d’appel du tribunal de Lisbonne avait jugé(([5] http://c-politix.lescigales.org/La-Cour-d-Appel-de-Lisbonne-condamne-les-tests-PCR-et-les-decisions-administratives-qui-en-decoulent.html)) que ce test manquait trop de fiabilité pour affirmer le diagnostic de Covid chez un asymptomatique et décider de son isolement.

La FDA a admis dans un document récent(([6] Centers for Disease Control and Prevention Division of Viral Diseases 1600 Clifton Rd NE Atlanta GA 30329 CDC-006-00019, Revision: 07 CDC/DDID/NCIRD/ Division of Viral Diseases Effective: 07/21/2021)) que le test PCR « Covid » a été développé sans échantillon viral spécifique isolé pour l’étalonnage des tests, reconnaissant qu’il teste quelques séquences d’ARN insuffisamment spécifiques du virus.

Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR. Il n’existe aucun test légitime permettant d’identifier avec précision la présence du SRAS-CoV-2.

Extraits choisis du document de la FDA de janvier 2020 et réactualisé régulièrement (dernier en juillet 2021)

« Since no quantified virus isolates of the 2019-nCoV were available for CDC use at the time the test was developed and this study conducted, assays designed for detection of the 2019-nCoV RNA were tested with characterized stocks of in vitro transcribed full length RNA (N gene; GenBank accession : MN908947.2)… »

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel

« Les résultats concernent l’identification de l’ARN du SRAS-CoV-2.

L’ARN du SRAS-CoV-2 est généralement détectable dans les échantillons des voies respiratoires supérieures et inférieures pendant l’infection. Les résultats positifs sont révélateurs d’une infection active par le SRAS-CoV-2, mais n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus. L’agent détecté peut ne pas être la cause définitive de la maladie. Les laboratoires aux États-Unis et dans leurs territoires sont tenus de rapporter tous les résultats aux autorités de santé publique compétentes.

Les résultats négatifs n’excluent pas l’infection par le SRAS-CoV-2 et ne doivent pas être utilisés comme seule base pour le traitement ou d’autres décisions de prise en charge des patients. Les résultats négatifs doivent être combinés avec des observations cliniques, des antécédents du patient et des informations épidémiologiques. »

« Mea Culpa de l’OMS »

L’OMS en avril 2021 avait attiré l’attention de l’invalidité de trop des tests PCR, surtout lorsque les laboratoires utilisent un nombre de séquences d’amplification du signal trop élevées. Aucun compte n’a été tenu de cette mise en garde, du moins dans la plupart des labos français.(([7] Le Pr Prof Michel Chossudovsky mentionne qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :
The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset (Chapitre II)
ou La crise mondiale du Corona de 2020 de Michel Chossudovsky))

Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS :

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence. La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente.

Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. »

Ces mises au point officielles confirment que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie ».

Les coûts financiers et humains colossaux de ces tests inutiles et trompeurs

En 2021, le seul coût direct des tests avoisine les 12 milliards d’€. Mais il faut aussi tenir compte des coûts indirects résultant des mesures sanitaires inutiles qui en résultent (quarantaines injustifiées). Avec près de 300 000 cas quotidiens et le double ou triple de cas contacts, le nombre total de victimes de ces tests dépasse plusieurs millions de personnes, aboutissant à la désorganisation de l’hôpital, des entreprises et des familles, de l’école (l’isolement d’un enfant testé positif entraîne souvent l’arrêt de travail d’un des parents) et la facture de ces coûts indirects dépasse les 50 milliards €.

Sans compter les angoisses injustifiées créées par ces tests qui aggravent les problèmes psychologiques de la population et entravent la reprise économique via arrêts de travail pour dépression, etc.

Tout ça pour aucun bénéfice sanitaire mesurable !

Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer des épidémies, le comptage des malades et celui des morts de la maladie et abandonnent leur stratégie du gouvernement par la peur qui saborde l’économie. Le réseau sentinelle existe et est parlant. Il n’y a qu’à le consulter pour faire cesser cette comédie des faux malades.





Covid-19 : Remettez tout en question – Restez sains d’esprit – Vivez libres

[Source : dailysceptic.org]

Par Sally Beck 

Traduction : Jean Bitterlin

Pourquoi ne publient-ils pas les données sur les décès d’enfants après la vaccination contre le Covid ?

Les parents d’enfants âgés de 12 à 17 ans veulent que les responsables du Gouvernement publient les données de sécurité en temps réel pour les vaccins Covid. Une mère est tellement inquiète sur la possibilité que ses trois enfants pourraient souffrir d’événements indésirables graves qu’elle a demandé en leur nom à la Haute Cour la divulgation publique complète (de ces données — NdT).

Le Bureau National des Statistiques (en anglais ONS pour Office for National Statistics — NdT) admet qu’il détient les chiffres, mais ne les a pas révélés publiquement, donc jeudi dernier, la mère EF, qui ne peut être nommée pour des raisons juridiques, a fait part de son inquiétude au juge Jonathan Swift et lui a demandé d’ordonner à l’ONS de divulguer les données. Sa requête a été refusée.

Elle a déclaré :

« Je ne suis pas surprise. J’ai l’impression que le juge avait déjà pris sa décision ».

Pour ceux d’entre nous qui sont devant les tribunaux, c’était certainement comme s’il avait pris sa décision et que personne n’osait remettre en cause les décisions du Secrétaire à la Santé Sajid Javid.

La présentatrice de télévision et de radio Beverley Turner, qui a aidé à collecter plus de 100 000 £ pour financer l’action et qui a été vilipendée pour avoir posé des questions sur la sécurité des vaccins, était également présente. Elle a déclaré :

« Il semblait que le juge avait déjà décidé de l’issue. Il était hostile aux demandeurs et chaleureux envers les accusés. Tout ce que nous faisons c’est de nous battre pour la transparence et pour cela, nous avons eu une réponse hostile ».

On sait que les vaccins Covid à ARNm de Pfizer et Moderna peuvent causer les maladies inflammatoires cardiaques myocardite et péricardite, le plus souvent chez les jeunes gens, alors que l’Oxford/AstraZeneca peut provoquer des caillots sanguins et des accidents vasculaires cérébraux. Nous ne savons pas dans quelle mesure, et si les enfants sont décédés ou ont été handicapés de manière permanente à la suite d’une vaccination Covid.

Les enfants d’EF, AB et CD, ont saisi les tribunaux en septembre dernier pour arrêter le déploiement du vaccin pour les 12 à 17 ans (for 12-17-year-olds) et ont demandé un réexamen de la décision de justice. Ils disent qu’il leur faut les chiffres de l’ONS afin d’étayer un appel puisque la demande a été rejetée.

Leur mère EF, qui est leur représentante dans la procédure, a déclaré :

« La cour a été informée que seuls deux enfants sans maladies sous-jacentes sont décédés jusqu’à présent. Il est clair que la Covid n’est pas un problème pour les jeunes, mais le vaccin peut en être un. Tout ce que nous voulons c’est une divulgation honnête des chiffres afin que les parents puissent prendre une décision éclairée. Aucun d’entre nous n’est anti-vaccin, mais nous sommes inquiets par le manque de données de sécurité pour les injections Covid.

Nous savons que les vaccins à ARNm (ARN messager — NdT) sont expérimentaux et qu’ils sont proposés au titre de la procédure d’urgence. Nous savons également que les essais ne se terminent officiellement qu’en 2023. De nombreux parents ne veulent pas que leurs enfants soient des cobayes ».

Après avoir examiné les preuves, la Commission Mixte sur la Vaccination et l’Immunisation (en anglais JCVI pour Joint Committee on Vaccination and Immmunisation — NdT) a recommandé de ne pas vacciner les 12 à 15 ans (recommended against vaccinating 12-15-year-olds), mais les quatre médecins en chef du Royaume-Uni ont passé outre à cet avis.

Au 22 décembre (2021 — NdT) l’Organisme de Réglementation des Médicaments et des Soins de Santé (en anglais : MHRA pour Medicines and Healthcare products Regulatory Agency — NdT) qui évalue l’innocuité des nouveaux médicaments a reçu 2 546 rapports d’événements indésirables (ce qui représente vraisemblablement 10 % du total réel — 10% of the true total) pour les moins de 18 ans par le biais de leur système d’auto déclaration Carte Jaune (Yellow Card) mais qui ne donnent des détails qu’au sujet d’inflammation cardiaque.

Un communiqué a dit :

« Au 17 novembre 2021, il y a eu 432 signalements de myocardites et 332 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Pfizer. Il y a eu 101 signalements de myocardites et 57 signalements de péricardites suite à l’utilisation du vaccin Moderna. Il s’agit là d’un risque potentiel avec le vaccin COVID-19 Pfizer BioNTech et le vaccin COVID-19 de Moderna et le MHRA (voir ci-dessus — NdT) surveille de près ces événements ».

Nous savons que 2,9 millions d’enfants ont reçu leurs premières doses Pfizer et 20 550 ont eu leurs premières doses Moderna alors que 11 600 enfants ont reçu leurs premières doses Oxford/AstraZeneca (encore qu’il ne soit plus recommandé pour les moins de 40 ans parce que ce groupe d’âge est plus sensible aux caillots sanguins potentiellement mortels). Près d’un million de moins de 18 ans ont reçu une deuxième injection.

L’action en justice a été engagée par l’avocat Stephen Jackson du cabinet Jackson Osborne et a été plaidée par l’avocat plaidant Francis Hoar, qui a subi des interruptions constantes de la part du juge Swift. Il a présenté à la cour les preuves de la pathologiste consultante Clare Craig.

Le Dr Craig a déclaré que les chiffres de l’ONS (rappel Bureau national des Statistiques — NdT) disponibles concernant le nombre de décès dans le groupe des 15-19 ans montraient :

« une tendance d’un excès de décès non-Covid chez les garçons de cet âge qui dépassait les décès des années précédentes ».

Du 1er mai 2021 au 30 décembre 2021, 402 décès masculins avaient été enregistrés, 34,6 % de plus que la moyenne des cinq ans entre 2015 et 2009. Le nombre pour les femmes sur la même période était de 163, une diminution comparée à la moyenne sur cinq ans de 175.

L’avocat plaidant Heather Emmerson, représentant l’ONS, qui ne s’est pas attiré la colère du juge Swift, a déclaré :

« Nous n’acceptons pas une augmentation significative des décès de garçons comparés avec les années précédentes. Ceci parce qu’il est difficile d’un point de vue statistique de calculer un taux de mortalité moyen ».

Elle a néanmoins reconnu :

« qu’il y avait une augmentation marginale de la mortalité sur cette période, mais les chiffres devraient être traités avec prudence. Les différences sont suffisamment faibles qu’elles pourraient être causées par un retard dans l’enregistrement du décès ».

Le Dr Vahé Nafilyan, statisticien de la santé à l’ONS, a déclaré dans un communiqué qu’ils ne possédaient que 62 % des données demandées, car 38 % des décès devaient encore être enregistrés. Potentiellement, la marge de mortalité pourrait augmenter jusqu’à 38 % ou décroître d’autant ou quelque part entre les deux.

Une enquête est exigée lorsqu’un médecin légiste pense qu’un décès a été dû à autre chose qu’une mort naturelle. Le décès ne peut pas être enregistré tant que le médecin légiste n’a pas procédé à l’autopsie et examiné les autres preuves et qu’il a décidé de la cause. Il y a actuellement un délai de 12 mois pour les enquêtes.

Mme Emmerson (l’avocate représentant l’ONS — NdT) a déclaré qu’elle n’était pas convaincue que si l’ONS publiait les données disponibles que les destinataires (les personnes qui demandent les données à l’ONS – NdT) les interpréteraient correctement — une déclaration que les plaignants ont trouvée condescendante. « Nous devons être extrêmement prudents au sujet de ces données et sur les conclusions qui peuvent en être tirées », a-t-elle déclaré à la cour.

Elle était également préoccupée que bien que les données soient anonymes sans publication des noms, dates de naissance ou régions, les identités des enfants pourraient être découvertes, citant des articles de journaux faisant état de morts subites d’enfants qui pourraient être liées aux données.

Le juge Swift a déclaré :

« La corrélation n’équivaut pas à la causalité et les informations de l’ONS ne sont pas nécessaires pour se prononcer sur cette revendication ».

Rien de tout cela n’aide les parents qui sont également inquiets par le fait qu’en posant des questions raisonnables ils sont étiquetés anti-vaxx. La mère des trois enfants, Bev Turner, a déclaré :

« Je n’ai jamais entendu le terme avant 2021. Tout ce que les parents veulent ce sont les dernières données de sécurité qui ne sont tout simplement pas disponibles, de sorte que nous ne savons pas si les vaccins peuvent causer des problèmes neurologiques, des problèmes de fertilité ou d’autres problèmes physiologiques ».

Le parent EF (la maman — NdT), qui a deux filles âgées de 13 et 16 ans admissibles à la vaccination, et un fils de sept ans, actuellement trop jeune pour recevoir l’injection, dit qu’à cause de cette incertitude ses enfants étaient anxieux à l’idée de la recevoir.

« Aucun d’entre eux ne veut se faire vacciner » a-t-elle déclaré, « et l’une d’entre elles a une amie qui s’est évanouie immédiatement après avoir reçu le vaccin et a ensuite manqué l’école pendant deux semaines. Nous n’avons pas d’autre détail sur ce sujet, mais elle était clairement souffrante sinon elle aurait été à l’école. Nous n’avons pas d’information. Ils ne peuvent pas nous dire si les injections causent le cancer ou la cécité et jusqu’à ce que nous le sachions, comment pouvons-nous prendre une décision en parfaite connaissance de cause ? »

Sally Beck est une journaliste freelance (qui travaille à son compte et qui propose ses articles aux médias — NdT) qui a 30 ans d’expérience dans la rédaction d’articles dans les journaux et magazines nationaux. Cet article a été publié pour la première fois dans TCW Défendre la Liberté (first published in TCW Defending Freedom) par Sally Beck / le 17 janvier 2022.




Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

[Source : Sott.net]

[Illustration : « Covid, je suis rentré à la maison ! »]

Par Kit Knightly — Off Guardian

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans – NdT] ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie,a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vaccinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News :

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vacciné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vaccins COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédéesavecle Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vaccinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vaccins », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publiétrois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Voxa publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloombergannonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Posttitrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Todayposait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid »sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vaccins et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vaccination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net




Exorcisme et « vaccins » anti-Covid

[Extrait de : Qactus]



Cette vidéo concerne deux jeunes filles injectées par ce poison et soumises à un exorcisme, voyez ce qu’elles disent et voyez leur regard noir qui en dit long, mais seul compte leurs paroles dans cet acte.

Il s’agit de possession filmée sur deux filles distinctes. Leur âme ne voulait pas du faux vaccin. Ces filles ne voulaient pas être injectées, d’où ce travail sur elle.

Nous tenons à vous dire que cette vidéo a été soumise à une personne bien connue sur le sujet avant de la passer, qui a elle-même effectué des dizaines d’exorcismes auparavant. Voici sa réponse :

« Je tiens à préciser que pour avoir effectué moi-même des dizaines d’exorcismes, mon feeling est que nous avons réellement affaire à des cas de possession dans la vidéo et non un fake comme certains pourront le dire. Si vous croyez que c’est fake, je vous invite à pratiquer votre canalisation ».

[Voir aussi :
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]


Pourquoi les exorcistes insistent-ils pour que les démons dévoilent leur nom ?

[Source : Aletia]

Dans cette interview, un exorciste suisse conseille de ne pas voir le Mal partout mais de rester prudent malgré tout.

La possession démoniaque et l’exorcisme inspirent souvent des sentiments partagés, entre fascination et scepticisme. Beaucoup d’entre nous pensent que cela n’existe que dans les films. Mais les comportements malins dont font preuve certains individus donnent tout de même à réfléchir. Au sein de l’Église catholique, l’exorcisme est soumis à des règles très strictes, qui sont réunies dans le texte le Rite d’exorcisme et de prières (De exorcismis et supplicationibus quibusdam), dont la dernière version date de 1988.

L’origine de ces règles se trouve dans les Écritures saintes et la théologie. Seuls les prêtres les plus pieux sont en droit de pratiquer l’exorcisme, avec la plus grande prudence et à l’unique condition d’y avoir été expressément autorisé par l’évêque. Aleteia a échangé avec César Truqui, exorciste du diocèse de Chur en Suisse.

Aleteia : Quel genre de démon un exorciste peut-il être amené à combattre ?
Père Truqui : Le Mal incarné. La « fumée de Satan », pour reprendre les mots de Paul VI. Il ne s’agit pas simplement d’un « privatio bonis », c’est à dire d’une privation du bien. C’est un mal puissant et réel qui ne peut pas être expliqué par la science. Seule la foi chrétienne nous enseigne l’existence d’êtres spirituels : les bons sont des anges, et les mauvais sont des démons.

[Ndlr : l’existence d’êtres spirituels est également connue dans d’autres traditions religieuses et c’est même plutôt universel. Par contre, ceux-ci peuvent y avoir d’autres dénominations qu’anges et démons.]

N’est-ce pas un peu difficile d’accepter l’existence d’un être maléfique qui puisse physiquement s’emparer du corps de quelqu’un ?
Si, c’est très difficile à concevoir. Mais la pratique nous met devant l’évidence qu’il existe bien des êtres possédés.

Comment avez-vous été amené à pratiquer l’exorcisme ?
Par un hasard divin. Lorsque l’on m’a ordonné prêtre il y a douze ans, j’ai participé à un cours aux côtés de prêtres qui étaient exorcistes. Parmi eux, les pères Bamonte et Amorth. Un jour, un homme français de 40 ans possédé par Satan s’est présenté à nous. Les pères Bamonte et Amorth, ne parlant ni anglais ni français, m’ont demandé de faire l’intermédiaire. C’est comme cela que j’ai assisté à mon premier exorcisme.

Qu’avez-vous ressenti face à cette manifestation directe du Mal ?
Le ressenti évolue avec le temps. Les premiers exorcismes auxquels j’ai participé m’ont particulièrement marqué car je réalisais pour la première fois que ce que j’avais lu dans les Évangiles était vrai. Jésus se bat sans cesse contre les démons « Légion » « Satan », « Asmodeus »; des noms que j’ai entendu à plusieurs reprises lors de sessions d’exorcisme. Sur le plan spirituel, c’est une expérience extrêmement riche.

Est-ce que les manifestations  du mal sont visibles ?
Lors de ce premier exorcisme avec le Français, le démon s’est manifesté sous la forme d’une fumée, d’un brouillard qui remplissait la pièce. L’exorciste a demandé son nom au démon qui a répondu : « Je suis Rex ». Mais aucun démon ne porte ce nom. L’exorciste a insisté : « Dis-moi ton nom ». Il a finalement répondu : « Je suis Satan, le prince de ce monde ».

Pourquoi demander le nom du démon ?
Dans un but précis. Nommer quelque chose nous permet d’en avoir le contrôle. Lorsque le démon révèle son nom, c’est une preuve de faiblesse. S’il refuse de le dire, il a encore le pouvoir.

Y a-t-il des signes qui permettent d’identifier un homme possédé ?
Il y a quatre signes : une aversion pour toutes choses sacrées, un langage inconnu, une force inhumaine, la connaissance de choses cachées ou scellées.

Cela peut-il être dangereux ?
Oui. Tout ce qui touche à la magie, l’occulte, la sorcellerie et la cartomancie peut potentiellement l’être. Tout comme la messe, la prière et la confession nous rapprochent de Dieu, les messes noires et les rites sataniques nous rapprochent du démon. Un jour, j’ai eu affaire à une femme qui pratiquait la cartomancie. Beaucoup le font pour se divertir, mais cette femme avait de réels dons de voyance. Elle avait beaucoup de succès mais avait fini par comprendre qu’elle devait ses capacités au démon. Et quand elle décida d’arrêter, il était déjà trop tard : son corps était possédé.

Comment est-ce possible de jeter un sort à quelqu’un ?
Tout comme je pourrais demander à n’importe qui de tuer quelqu’un, je peux demander au démon d’étendre son Mal. Mais ne vous y trompez pas : la plupart des sorts jetés par de supposés sorciers sont des impostures et n’ont aucun effet.

Un seul exorcisme suffit-il à déposséder quelqu’un ?
C’est un rituel très complexe. Il faut généralement s’y prendre à plusieurs reprises.

Cela s’apparente-t-il à une thérapie ?
Oui. L’exorcisme est un sacramental et non un sacrement. Si j’absous les péchés de quelqu’un après une confession, ils sont immédiatement pardonnés. Au contraire, l’efficacité de  l’exorcisme dépend de la sainteté de la prière et de la foi de la personne exorcisée.

Quelle est la différence entre exorcisme et prière de libération ?
Les deux ont un objectif commun : libérer quelqu’un de l’influence du démon. L’exorcisme est un ministère à part entière au sein de l’Église. Les prêtres qui exercent cette fonction sont directement nommés par l’évêque. Eux seuls peuvent le pratiquer. Une prière de libération peut être pratiquée par tout le monde, homme, femme, prêtre, laïc. Il suffit d’être chrétien : « Tous ceux qui croient en moi peuvent chasser les démons », dit Jésus. Un exorcisme est un ordre donné au démon. Une prière de libération est une prière sollicitant l’intervention de la Vierge Marie et de Jésus.

Parmi toutes les personnes qui se sont tournées vers vous, combien étaient réellement possédées ?
Très peu.

Alors pourquoi les gens ont-ils si peur ?
Je peux distinguer trois types de personnes : les possédés, ceux qui ne le sont pas, et des cas ambigus. Les deux premiers sont simples à traiter : lorsqu’une personne est réellement possédée, elle manifeste les quatre signes dont nous avons parlé. Au moment de réciter les prières pour chasser le démon, cette personne entre en transe. C’est très difficile defeindre. Le deuxième cas fait appel à mon expérience de prêtre et de confesseur : les personnes ayant des problèmes spirituels ou psychologiques se repèrent très vite. Mais certains cas sont plus compliqués. Par exemple, lorsqu’une personne a le comportement d’un être possédé, sans l’être vraiment. Un jour une jeune femme est venue me voir. Elle avait été droguée puis sexuellement agressée par un sorcier latino-américain. La jeune femme se sentait comme possédée, à cause de la violence dont elle avait été victime et de la drogue qui lui avait été administrée. Elle me semblait vraiment possédée. Pourtant, au moment de l’exorcisme, elle n’est pas entrée en transe et aucun autre phénomène ne s’est manifesté. J’ai alors compris qu’il s’agissait d’une autre forme de possession. L’exorcisme est parfois un moyen de diagnostiquer certaines maladies psychologiques.

Comment vivent les personnes possédées ?
Elles vivent tout à fait normalement. Le démon ne se manifeste pas tout le temps. Il prend possession du corps de quelqu’un quand bon lui semble.

Quand devient-il nécessaire d’aller voir un exorciste ?
Quand ce qui vous arrive devient incontrôlable. À Rome, j’ai rencontré une femme catholique, baptisée mais non pratiquante. Le démon l’a possédée. Elle a commencé à entendre des voix lui disant de tuer son mari et son fils puis de se suicider. Elle pensait avoir un problème psychologique et a donc consulté des psychiatres, mais aucun ne lui a diagnostiqué une maladie quelconque. Ils la trouvaient au contraire tout à fait cohérente et intelligente. Un jour, la jeune femme s’aperçut que des mites avaient dévoré tous ses vêtements, sans toucher à ceux de son mari et de son fils, pourtant dans le même placard. Une de ses amies lui a alors recommandé d’aller voir le père Amorth, qui comprit tout de suite qu’elle était possédée. Elle ne croyait pourtant ni aux anges ni aux démons. Elle est aujourd’hui pratiquante. Il y a toujours une raison à ce qui nous arrive.

Avez-vous eu l’occasion de demander à vos patients ce qu’ils ont ressenti pendant l’exorcisme ?
L’homme français dont nous avons parlé avait l’impression qu’une bataille se jouait à l’intérieur de son corps. Il sentait le démon se débattre. Lorsque le prêtre a récité la prière, il a senti la lumière de Dieu entrer en lui.

Quelle histoire vous a le plus impressionné ?
Celle d’un démon muet. Jésus en parle dans l’Évangile. Il affirme que ce sont les démons les plus difficiles à chasser. Ils ne partent qu’à force de prière et de jeûne. Ce type de démon est très rare. En douze ans d’exorcisme, je n’en ai rencontré qu’un seul.

Vous arrive-t-il d’avoir peur ?
J’avais peur au début. Mais on finit par s’habituer à tous les comportements étranges d’un corps possédé. Il ne faut cependant pas voir le Mal partout. Cela ne doit pas devenir une obsession. L’exorcisme est avant tout un acte miséricordieux : c’est un acte d’amour envers une personne souffrante.




Qui est Bill Gates ?

[Source : @JeanneTraduction via lezarceleurs]

Bill Gates ou la domestication du monde – The Corbett Report

PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ? de 00:00 à 23:28
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde de 23:28 à 50:45
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population de 50:45 à 1:27:02
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin



[Voir aussi :
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Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
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sur Sott.net :

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Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive]




L’histoire sans fin des pandémies et de l’embrigadement total de la population mondiale selon l’épidémiologiste Alice Desbiolles

Par Claude Janvier

Étoile montante de l’OMS, elle bénéficie de plus en plus d’une large couverture médiatique. Intrigué par cette sémillante doctoresse, j’ai voulu en savoir plus.

Le 5 janvier 2022, au micro de Sonia Mabrouk, Europe 1,(([1] https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/bien-etre/%C2%ABnous-sommes-rentr%C3%A9s-dans-l%C3%A8re-des-pand%C3%A9mies%C2%BB-alerte-alice-desbiolles/ar-AASrJsX
https://les7duquebec.net/archives/269544)) l’épidémiologiste, s’exprime ainsi : « Selon elle, le coronavirus n’est qu’un “amuse-gueule” de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… ». La messe est dite ! L’évangile selon « Saint OMS ».

Médecin de santé publique, la dame a écrit et publié un livre dans lequel elle décrit qu’une « biodiversité riche et variée protège les humains du risque de pandémie ». Et de continuer :

« Tout simplement grâce à l’effet de dilution, qui fait que les agents pathogènes vont être dilués dans une très grande quantité, avec une grande variabilité génétique ».

Rien de tel que la dilution, c’est bien connu. Surtout celle des glaçons dans le Pastis… Si seulement, la stupidité pouvait se diluer dans l’atmosphère… Rêve pieux… Mais revenons dans la réalité. Ce genre de consigne diluée peut satisfaire une grande partie de la population, déjà complètement anesthésiée par l’hystérie sanitaire ambiante, mais pas moi. En effet, rien de nouveau sous le soleil. Il est évident que moins de pollution amène de facto une meilleure santé physique et mentale. L’art et la manière d’enfoncer une porte ouverte.

En revanche, elle ne dénonce pas les grands pollueurs (l’industrie pétrolière et chimique), ni la pollution engendrée par les portes-containers sillonnant les océans, ni l’inutilité des éoliennes inondant le paysage avec des composants non recyclables, etc. Elle surfe, comme beaucoup d’autres, sur une écologie de pacotille, culpabilisant les citoyens plutôt que les magnats de l’industrie pétrolière et chimique. Tout ce cirque est amplement relayé grâce aux écologistes extrêmes surnommés à juste titre « Khmers verts », prônant une vie de plus en plus minimaliste. En perspective, un magnifique futur où chacun possédera son studio aux murs végétalisés, avec un balcon où trois plants de tomates rachitiques essaieront de survivre, et un vélo électrique pour aller faire les courses dont la batterie est non recyclable.

Elle pointe du doigt l’élevage industriel. Sur ce point, je ne peux qu’être en accord avec elle. Les élevages industriels sont à bannir, tant sur le plan du bien-être des animaux que sur le plan nutritionnel.

Mais une grande partie de ses références se trouve être dans un rapport de l’IPBES*. Quésaco ? Encore une usine à gaz, dotée de moyens financiers énormes, dont le but est de pondre des rapports, qui ne changent pas grand-chose aux dégâts irréversibles des grands pollueurs internationaux, et au manque d’éducation d’une grande partie de la population mondiale sur le fait qu’il faudrait s’abstenir de jeter des emballages plastiques le long des routes et dans les rivières.

Elle continue avec l’OMS, une liste « blueprint »(([2] https://www.who.int/teams/blueprint/covid-19
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_l%27OMS_des_maladies_prioritaires)) des pathologies émergentes qu’il convient de surveiller de par leur fort risque potentiel pandémique : Covid-19, Ebola, Marburg, Zika, et la maladie X(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_X)) — ajoutée par l’OMS en 2018 donc bien avant l’apparition de la « Covid-19 ». La maladie X est donc une maladie encore inconnue — diantre — mais que l’OMS pointe comme étant une maladie qui un jour, très probablement, émergera et qui sera potentiellement très grave avec un risque pandémique majeur.

L’OMS, « l’Organisation Morbide de la Santé », ose donc épouvanter la population avec une prospective terrifiante qu’une maladie inconnue déferlera sur la planète. Pareille déclaration non scientifiquement démontrée et totalement infondée, relève d’une grande perversité et d’une totale escroquerie. L’OMS est bel et bien une organisation corrompue, aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.(([4] https://www.magazine-decideurs.com/news/qui-finance-l-oms)) La liste des bienfaiteurs de l’organisation dépendante de l’ONU pour l’année 2018 est longue. Et pour n’en citer que quelques-uns, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance : où siègent en permanence Bill & Mélinda Gates, Baxter international inc., la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef. Que du « beau » monde !

[Voir aussi :

Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Nouvelle plandémie en vue ?

Des indices convergents vers une possible prochaine « plandémie » autour d’un nouveau « virus » (Marburg ?). (Vidéo 23 min)

]

Il est surprenant que ce genre de déclaration totalement spécieuse trouve un écho en la personne d’Alice Desbiolles. Alice au pays des merveilles ? Pas du tout. Alice au service d’une OMS et d’une industrie pharmaceutique totalement infectées.

Il est plus que temps de faire le ménage dans ce cloaque pseudo-scientifique et de supprimer un bon nombre d’organisations mondiales qui ne font que le jeu de l’oligarchie mondiale financière apatride.

Claude Janvier

Écrivain polémiste, enquêteur. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition(([5] https://www.facebook.com/isedition/posts/3828261610600344))

Notes :

IPBES *La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) est un organe intergouvernemental créé en 2012. Il est placé sous l’égide du Programme des Nations unies pour l’environnement, du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Il siège à Bonn, en Allemagne, et compte aujourd’hui 132 États membres.





Ebola : briser les mensonges et la supercherie

[Source : nomorefakenews.com indiquée par lezarceleurs]

Par Jon Rappoport

Encore une fois, le virus fait la couverture

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre.

Dans ce cas, le hameçon de peur est le symptôme de saignement. Cela fait trembler les gens dans le noir. Ô mon Dieu, regarde le SANG. C’est… LE VIRUS.

Yahoo News, 26/02/21(([1] https://www.yahoo.com/now/exclusive-white-house-preparing-order-for-enhanced-airport-screenings-for-ebola-203354978.html)):

« … l’Organisation mondiale de la santé a signalé un groupe de cas d’Ebola en Guinée… L’administration Biden va de l’avant avec des plans pour dépister les passagers des compagnies aériennes de deux pays africains arrivant aux États-Unis pour Ebola… ”

Parce que je fais le travail que les autres ne feront pas… et parce que j’ai couvert l’histoire d’Ebola en 2017 et 2014, voici des citations essentielles de mes articles pendant cette période.

Il y a un résultat prévisible : dans les cliniques et les hôpitaux du Congo, les personnes effrayées qui arrivent avec ce que l’on appelle les « premiers signes » d’Ebola seront diagnostiquées comme des cas probables. Quels sont ces symptômes ? Fièvre, frissons, mal de gorge, toux, maux de tête, douleurs articulaires. Semble familier? Normalement, cela s’appellerait simplement la grippe.

La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie.

Les gens se bousculent pour faire monter le niveau d’hystérie.

Et cela empêche de porter un regard attentif sur le Libéria, la Sierra Leone et la République de Guinée, trois pays africains où la pauvreté et la maladie font partie de la vie quotidienne d’un nombre écrasant de personnes.

La structure de commandement dans ces zones a un seul dicton : ne résolvez pas le problème humain.

Ne nettoyez pas les approvisionnements en eau contaminé. Ne rendez pas les terres volées aux gens afin qu’ils puissent prospérer et cultiver de la nourriture et enfin atteindre la santé nutritionnelle. Ne résolvez pas le surpeuplement. N’installez pas d’assainissement de base. Ne renforcez pas les systèmes immunitaires. Ne laissez pas les gens avoir le pouvoir, car ils se débarrasseraient alors des mastodontes que sont les entreprises locales et mondiales qui aspirent la terre de toutes ses ressources.

Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Un virus pour servir de couverture

Tout tourne autour du virus. Le démon. L’étrange agresseur.

Oubliez tout le reste. Le virus est l’ennemi unique.

Oubliez par exemple le fait qu’une étude récente portant sur 15 pharmacies et 5 dispensaires de médicaments hospitaliers en Sierra Leone a découvert l’utilisation généralisée et déraisonnable des antibiotiques bêta-lactamines.

Ces médicaments sont hautement toxiques. Un de leurs effets ? Saignement excessif.

Ce qui se trouve justement être l’effrayant « effet Ebola » qui est claironné dans la presse mondiale.

(J Clin Microbiol, juillet 2013, 51(7), 2435-2438) et Annals of Internal Medicine déc. 1986, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines »)

Oubliez le fait que les entreprises de pesticides sont connues pour expédier des pesticides toxiques interdits en Afrique. Un effet des produits chimiques ? Saignement.

Oubliez ça. Tout tourne autour du virus et rien que du virus.

Oubliez le fait que, pendant des décennies, l’une des principales causes de décès dans le tiers monde a été la diarrhée incontrôléeLes électrolytes sont évacués du corps et l’adulte ou le bébé meurt(La diarrhée est également répertoriée comme un symptôme « Ebola ».)

Tout médecin sensé ferait de son premier ordre du jour de remplacer les électrolytes par une simple supplémentation, mais non, la ligne médicale standard va dans ce sens :

La diarrhée est causée par des germes dans le tractus intestinal, nous devons donc accumuler des quantités massives d’antibiotiques pour tuer les germes.

Les médicaments tuent toutes les bactéries de l’intestin, y compris celles qui sont nécessaires et bénéfiques, et le patient ne peut pas absorber le peu de nourriture à laquelle il a accès et il meurt.

En cours de route, il peut aussi saigner.

Mais non, tous les saignements viennent d’Ebola. C’est le virus. Ne pense à rien d’autre.

Oubliez le fait que les vaccins à adénovirus, qui ont été utilisés au Libéria, en Guinée et au Libéria (l’épicentre d’Ebola), ont, selon vaccines.gov, les effets indésirables suivants : sang dans les urines ou les selles et diarrhée.

Le journaliste Charles Yates a découvert un scandale au Libéria autour de la plantation de caoutchouc Firestone – déversement de produits chimiques, eau empoisonnée.

Et maladie de peau.

«Rash» est répertorié comme l’un des symptômes d’Ebola.

Ensuite, il y a l’usine d’embouteillage Liberia Coca Cola : un liquide noir immonde qui s’infiltre dans l’environnement – des animaux qui meurent.

La malnutrition chronique et la famine – des conditions endémiques au Libéria, en Sierra Leone et en Guinée – sont la première cause de déplétion des lymphocytes T (c’est-à-dire la suppression du système immunitaire) dans le monde.

Vous voyez le tableau ?

Dans une correspondance par e-mail avec moi, David Rasnick, PhD, a annoncé cette découverte choquante :

« J’ai examiné en détail la littérature sur l’isolement et l’Ems [EM : images au microscope électronique] des virus Ebola et Marburg. Je n’ai trouvé aucune preuve convaincante que le virus Ebola (et d’ailleurs Marburg) ait été isolé chez l’homme. Il n’y a certainement aucune preuve confirmative de l’isolement humain.

En d’autres termes, rien ne prouve que le virus Ebola existe réellement.

Rasnick a obtenu son doctorat au Georgia Institute of Technology et a passé 25 ans à travailler avec des protéases (une classe d’enzymes) et des inhibiteurs de protéase. Il est l’auteur du livre The Chromosomal Imbalance Theory of Cancer [La théorie du déséquilibre chromosomique du cancer]. Il a été membre du Comité consultatif présidentiel sur le sida d’Afrique du Sud.

Les vraies raisons de « l’épidémie d’Ebola » incluent, mais ne sont pas limitées à :
►la pollution industrielle ; 
►les pesticides organophosphorés (provoque des saignements)
►la vaste surutilisation d’antibiotiques (provoque des saignements); carences nutritionnelles graves et débilitantes (pouvant provoquer des saignements)
►famine; perte drastique d’électrolyte; 
►diarrhée chronique; 
►misère; guerre; 
►terres agricoles volées ; 
►les campagnes de vaccination (chez les personnes dont le système immunitaire est compromis, les vaccins peuvent facilement anéantir leurs derniers lambeaux de santé).

Qu’en est-il des médecins et des infirmières en Afrique de l’Ouest, qui traitent les patients atteints d’Ebola ? Ces agents de santé tombent malades de « la maladie redoutée ».

Le sont-ils?

Ils travaillent à des températures très élevées, dans des salles de clinique probablement aspergées de pesticides organophosphorés extrêmement toxiques. Ils sont enfermés dans des combinaisons de matières dangereuses, où les températures augmentent encore plus, entraînant la perte de jusqu’à cinq litres de fluides corporels pendant un quart de travail d’une heure. Ensuite, en convalescence, ils ont besoin d’une réhydratation par voie intraveineuse et sont aspergés de produits chimiques désinfectants toxiques. Ils retournent dans les combinaisons pour un autre tour de service. Un médecin a rapporté que, à l’intérieur de sa combinaison, il y avait du chlore (toxique). Ces facteurs à eux seuls pourraient causer une maladie dangereuse et même la mort, et, bien sûr, les symptômes de base de « Ebola ».

Les experts exprimaient de sérieux doutes sur Ebola, depuis 1977. Dès le début de l’hystérie.

La référence de 1977 ici est : « Ebola Virus Haemorrhagic Fever : Actes d’un colloque international sur l’infection par le virus Ebola et autres fièvres hémorragiques tenu à Anvers, Belgique, du 6 au 8 décembre 1977 ».

Ce rapport fait 280 pages. Cela vaut la peine d’être lu et étudié, pour voir comment les experts hésitent, couvrent leurs paris, et pourtant font des aveux préjudiciables :

Par exemple, « Il est impossible de considérer le diagnostic virologique de l’infection à virus Ebola indépendamment du diagnostic des fièvres hémorragiques en général. Le tableau clinique de la maladie est en effet trop peu spécifique pour permettre une quelconque hypothèse quant au virus qui pourrait être responsable d’un cas donné. »

Boom !

Pour ceux qui soulignent qu’il y a des antécédents de fièvres hémorragiques (hémorragiques) dans certaines parties de l’Afrique, il y a des antécédents de malnutrition horrible, dont un aspect est le scorbut, qui provoque des saignements de toutes les muqueuses.

Conclusion : pas besoin de virus pour expliquer le saignement.

Ensuite, nous avons des pesticides

La référence ici est « Mesurer les risques écologiques et sanitaires des pesticides dans l’agriculture ouest-africaine… » 17 février 2014, publié dans Philosophical Transactions of The Royal Society, par PC Jepson et al.

« L’enquête a été menée sur 19 sites dans cinq pays et a obtenu des informations auprès de 1704 personnes qui cultivaient 22 cultures différentes. Au cours des 2 années d’enquête, les agriculteurs ont déclaré avoir utilisé 31 pesticides…

… certains composés représentaient un risque élevé dans de multiples compartiments environnementaux et de santé humaine, notamment le carbofuran, le chlorpyrifos, le diméthoate, l’endosulfan et le méthamidophos.

Les effets sur la santé comprenaient l’inhibition de la cholinestérase, la toxicité pour le développement, l’altération de la fonction thyroïdienne et la diminution du nombre de globules rouges… »

L’étude note également que « les importations de pesticides en Afrique de l’Ouest ont augmenté d’environ 19 % par an dans les années 1990… bien avant la croissance de la production agricole de 2,5 %… » En d’autres termes, les pesticides ont inondé l’Afrique de l’Ouest.

Voici une autre observation essentielle faite dans l’étude :

« La distribution et la vente de pesticides en Afrique de l’Ouest ne sont pas efficacement réglementées. Les multiples canaux d’approvisionnement incluent généralement le reconditionnement de stocks obsolètes ou illégaux [extrêmement toxiques] et la correspondance entre le contenu des conteneurs et ce qui est indiqué sur l’étiquette est médiocre… »

Les fournisseurs de pesticides dissimulent des pesticides interdits – sur lesquels ils subissent une perte, car ils ne peuvent pas les vendre – et les placent dans des conteneurs étiquetés avec les noms des pesticides légaux

Considérons les pesticides spécifiquement mentionnés dans l’étude.

Carborfuran – Selon la fiche d’information sur les substances dangereuses du ministère de la Santé et des Services aux personnes âgées du New Jersey, l’exposition au carbofuran « peut causer de la faiblesse, de la transpiration, des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales et une vision floue. Des niveaux plus élevés peuvent provoquer des contractions musculaires, une perte de coordination et peuvent provoquer un arrêt de la respiration [mort imminente].

Le chloropyrifos, le diméthoate et le méthamidophos sont des organophosphates. Le Pesticide Action Network décrit les organophosphorés comme « parmi les pesticides les plus toxiques de tous… ils désactivent une enzyme, la cholinestérase, qui est essentielle au bon fonctionnement des nerfs ».

L’endosulfan est progressivement éliminé à l’échelle mondiale, car il est extrêmement toxique et perturbe le système endocrinien.

Ces pesticides peuvent produire et produisent un certain nombre de symptômes appelés « Ebola » :

Saignements, nausées, vomissements, diarrhée, éruption cutanée, douleurs à l’estomac, coma.

Mais tout cela est balayé par l’hystérie autour du Virus.

Voici une citation d’une étude, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines« , Ann Intern Med décembre 1986 ; 105(6):924-31 :

« Plusieurs nouveaux antibiotiques bêta-lactamines altèrent l’hémostase normale [processus corporels qui arrêtent le saignement]… Ces antibiotiques provoquent souvent une prolongation marquée du temps de saignement du modèle (plus de 20 minutes)… un saignement dangereux dû à une agrégation plaquettaire altérée nécessite un traitement avec des concentrés plaquettaires. ”

Voici un résumé de MedlinePlus :

« La bactérie Clostridium difficile vit normalement dans l’intestin. Cependant, trop de ces bactéries peuvent se développer lorsque vous prenez des antibiotiquesLa bactérie dégage une forte toxine qui provoque une inflammation et des saignements dans la muqueuse du côlonTout antibiotique peut causer cette maladie. Les médicaments responsables du problème sont la plupart du temps l’ampicilline, la clindamycine, les fluoroquinolones et les céphalosporines… »

Examinons donc le niveau d’utilisation des antibiotiques en Afrique de l’Ouest et dans le tiers monde.

Voice of America, 26 février 2014, « … les antibiotiques sont devenus le choix automatique pour traiter un enfant fiévreux.

AAPS (Association américaine des scientifiques pharmaceutiques) :

« Par exemple, dans la plupart des régions d’Afrique de l’Ouest, les antibiotiques sont couramment vendus comme médicaments en vente libre. »

TWN (Third World Network):

« … une enquête menée en 1999 a montré que près d’un produit antidiarrhéique sur deux dans les pays du Tiers-Monde contenait un antibiotique inutile… » [et la diarrhée chronique dans le Tiers-Monde est une cause majeure de décès, donc vous pouvez être sûr que ces médicaments antidiarrhéiques sont consommés en grande quantité].

« … 75 produits (dont certains antibiotiques) qui avaient été retirés ou interdits dans un ou plusieurs pays européens ont été identifiés dans le tiers monde en 1991. »

Bien sûr, les antibiotiques interdits seraient exceptionnellement toxiques.

En Afrique de l’Ouest, l’utilisation d’antibiotiques atteint des sommets… et les antibiotiques provoquent des saignements.

Saigner où ? Dans le tube digestif.

À la lumière de cela, considérez l’extrait suivant de l’article de healthgrades.com, « Qu’est-ce que le vomissement de sang? »

« Les vomissements de sang indiquent la présence d’un saignement dans le tube digestif…

« Les vomissements de sang peuvent être causés par de nombreuses conditions différentes, et la gravité varie selon les individus. La matière vomie peut être rouge vif ou de couleur foncée comme du marc de café… »

Oui, il s’avère que toute source d’hémorragie interne dans le tube digestif, comme la surconsommation d’antibiotiques, peut amener une personne à vomir du sang.

« Le caractère unique » de « Ebola-blood-vomiting » est un conte de fées.

Quoi d’autre pourrait causer le symptôme de saignement « Ebola » en Afrique de l’Ouest ?

Nous avons le fait que les insecticides organophosphorés sont largement utilisés pour la pulvérisation intérieure, dans les maisons ouest-africaines et, sûrement, dans les cliniques, pour tuer les moustiques. Une étude rapporte : « Avec une résistance élevée au DDT présente dans une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, les carbamates et les organophosphates sont des alternatives de plus en plus importantes aux pyréthrinoïdes pour la pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent (IRS). »

Parmi les effets, d’une exposition sévère aux organophosphorés : diarrhée, tremblements, démarche chancelante, troubles sanguins, décès, tous décrits en référence à Ebola.

Et puis il y a ceci : « Chez neuf patients souffrant d’intoxication aux organophosphorés, la fonction plaquettaire et les paramètres de coagulation sanguine ont été étudiés… Chez cinq des neuf patients, une tendance hémorragique marquée a été observée. La tendance hémorragique dans l’intoxication aux organophosphorés est probablement principalement causée par la fonction plaquettaire défectueuse. (Klin Wochenschur, 3 septembre 1984;62 (17):814-20, auteur : m. Zieman)

Du saignement. Mais pas d’un virus.

Et les vaccins ? Plusieurs campagnes de vaccination ont été menées en Afrique de l’Ouest. Je n’ai trouvé aucune enquête indépendante approfondie sur les ingrédients de ces vaccins. Mais par exemple, un simple vaccin contre la grippe, Fluvirin, comporte un risque «d’hémorragie».

Plusieurs autres vaccins de routine peuvent provoquer des vomissements. Le HiB, par exemple.

Nous avons ce rapport terrifiant – du Daily Observer (libérien), 14 octobre, « Breaking : Formaldéhyde dans l’eau causant prétendument des symptômes semblables à ceux d’Ebola » :

« Un homme de Schieffelin, une communauté située dans le comté de Margibi sur l’autoroute Robertsfield, a été arrêté pour avoir tenté de mettre du formaldéhyde dans un puits utilisé par la communauté. »

« Les rapports indiquent que vers 10 heures du matin, il s’est approché du puits avec de la poudre dans une bouteille. Assailli par la communauté, il a avoué qu’il avait été payé pour mettre du formaldéhyde dans le puits, et qu’il n’était pas le seul. Il aurait dit aux habitants de la communauté : « Nous sommes nombreux ». Il y a des agents à Harbel, Dolostown, Cotton Tree et d’autres communautés à travers le pays, a-t-il dit.

« La radio d’État, ELBC, rapporte qu’au moins 10 personnes dans la communauté de Dolostown sont mortes après avoir bu de l’eau provenant de puits empoisonnés. »

L’ATSDR (Agence américaine pour les substances toxiques et le registre des maladies) dans ses lignes directrices pour la prise en charge médicale de l’empoisonnement au formaldéhyde, énumère ces symptômes : « nausées, vomissements, douleurs, saignements, dépression du SNC, coma…« 

Il existe d’autres sources d’empoisonnement en Afrique de l’Ouest. Leurs composants et leurs effets nécessitent une étude plus approfondie.

Par exemple : Firestone.

Depuis près d’un siècle, l’entreprise exploite une immense plantation de caoutchouc au Libéria. Selon une estimation, Firestone contrôle 10 % des terres arables du pays.

Outre les conditions de vie et de travail misérables des habitants, qui saignent les arbres pour le caoutchouc et amènent leurs jeunes enfants au travail afin de respecter les quotas quotidiens de Firestone, il y a le problème de la pollution massive.

D’irinnews : « LIBERIA : la communauté exige des réponses sur la pollution par le caoutchouc » :

« MONROVIA, 4 juin 2009 (IRIN) – Les personnes vivant à côté de la plantation de Firestone Natural Rubber Company à Harbel, à 45 km de Monrovia, la capitale du Libéria, affirment que la pollution de la concession détruit leur santé, ruine leurs moyens de subsistance et tue même des habitants.

« La concession de caoutchouc de Firestone au Libéria est le deuxième plus grand producteur de caoutchouc en Afrique et emploie quelque 14 000 Libériens.

« Les habitants de la ville de Kpanyarh, juste à côté de la plantation de caoutchouc de Firestone à Harbel, disent que le ruisseau dans lequel ils pêchent et boivent leur eau pendant la saison sèche a été contaminé par des toxines. »

« ‘Nous avions l’habitude de pêcher et de boire l’eau’, a dit à IRIN John Powell, un habitant de Kpanyarh âgé de 67 ans, lors d’une visite au ruisseau qui coule juste à l’extérieur de la ville. Il a déclaré que l’eau était devenue toxique en octobre 2008. « Nous ne pouvons plus la boire. Certains de nos gens en sont déjà morts. Nous avons attiré l’attention de Firestone sur notre sort, mais ils l’ont ignoré.

« À la mi-mai, lors d’une visite d’IRIN dans la région, des vapeurs acides émanant du ruisseau ont fait couler les yeux des gens et ont rendu la respiration difficile.

D’après BBC News : « L’enquête de trois mois a révélé qu’une usine au sud-est de la capitale Monrovia était responsable de niveaux [toxiques] élevés d’orthophosphate dans les ruisseaux. »

De laborrights.org : En raison du manque d’eau potable sur la plantation, « cette situation fait que les entailleurs et autres employés non qualifiés et leurs familles n’ont d’autre choix que de boire dans des puits peu profonds et des ruisseaux ».

Et bien sûr, ces ruisseaux sont fortement pollués.

Qui sait combien et quels produits chimiques toxiques ont été rejetés de la plantation Firestone dans les ruisseaux et les rivières environnantes ?

Une enquête plus approfondie en Afrique de l’Ouest pourrait bien révéler encore plus de raisons de saignement, dont aucune n’a rien à voir avec un virus. La région regorge d’activités industrielles qui produisent des polluants majeurs – exploitation minière, exploration et forage pétroliers en mer, exploitation du caoutchouc, etc.

Ensuite, nous arrivons aux articles de presse effrayants sur les médecins et les agents de santé « frappés par Ebola, qui s’effondrent », qui traitent des patients dans les cliniques Ebola en Afrique de l’Ouest.

Ces agents de santé portaient des combinaisons de matières dangereuses. Isolés du monde extérieur, travaillant par quarts à l’intérieur de ces combinaisons bouillantes, où ils perdent 5 litres de liquide corporel par heure, ils sortent pour se réhydrater, s’aspergent de produits chimiques toxiques pour se désinfecter, puis rentrent à nouveau.

Un médecin a déclaré au Daily Mail qu’il pouvait sentir d’intenses vapeurs de chlore pendant qu’il travaillait dans son costume. Cela signifie que le produit chimique toxique était en fait avec lui.

Pas étonnant que certains agents de santé s’effondrent et meurent. Aucun virus n’est nécessaire.

Extrait du Daily Mail du 5 août 2014, un article intitulé « Dans des combinaisons chaudes bouillantes… » :

« Le docteur Hannah Spencer a révélé comment elle s’oblige à se sentir en sécurité à l’intérieur d’une combinaison Hazmat scellée à l’air chaud… »

« Ébullition : les médecins et les infirmières perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant une heure de travail en combinaison et doivent passer deux heures à se réhydrater après… »

« Pour minimiser le risque d’infection, ils doivent porter des bottes en caoutchouc épaisses qui arrivent jusqu’aux genoux, une combinaison imperméable, des gants, un masque facial, une cagoule et des lunettes pour s’assurer qu’aucun air ne puisse toucher leur peau. »

« Dr. Spencer, 27 ans, et ses collègues perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant un quart de travail traitant des victimes et doivent ensuite passer deux heures à se réhydrater.

« Dans leur camp, ils subissent de multiples décontaminations, notamment la pulvérisation de chlore sur leurs chaussures. »

« Dr. Spencer : « Nous aimerions maintenir une visite [du patient] entre 45 minutes et une heure, mais maintenant, nous l’étirons à près de deux heures. Nous nous soumettons à un stress physiologique très fort lorsque nous utilisons des équipements de protection individuelle.

« Nous transpirons, nous perdons de l’eau. Nous devenons plus chauds et cela fait des ravages sur le corps. Notre propre endurance commence à s’épuiser.

Dans un autre article du Daily Mail (« Ce qui est choquant, c’est à quoi ressemblent les patients atteints d’Ebola avant de mourir… »), le Dr Oliver Johnson décrit le travail en tenue de protection : « La chaleur des combinaisons est rapidement écrasante, car vos lunettes s’embuent et vous sentez le sueur dégoulinant en dessous. Et l’odeur de chlore est intense.

Vous voyez le tableau ? Imaginez perdre cinq litres d’eau de votre corps en une heure. Pendant que vous êtes pris au piège dans une combinaison de matières dangereuses encombrante. Pendant que vous traitez un patient qui, par exemple, pourrait vouloir s’échapper de la clinique parce qu’il a peur de vous et de votre médecine occidentale.

Imaginez avoir besoin de deux heures après être sorti de votre combinaison pour vous réhydrater. Ensuite, vous revenez pour plus. Bien sûr, vous vous décontaminez également avec des produits chimiques toxiques, notamment du chlore.

Mais cela n’a absolument rien à voir avec la raison pour laquelle vous pourriez tomber malade. Non. Si vous tombez malade, si vous vous effondrez ou si vous mourez subitement, c’est Ebola. Le virus.

Bien sûr que ça l’est. [Dans le discours officiel.]

Pas besoin de se demander. Ne posez pas de questions. Croyez l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control. Ils disent toujours la vérité.

Coda : L’enquêteuse canadienne, Christine Massey, a fait un travail époustouflant en remplissant des demandes en vertu de la Loi sur la liberté d’information pour obtenir la preuve que divers virus ont déjà été isolés et purifiés (c’est-à-dire découverts). Le 15 mars 2021, elle a reçu une réponse du CDC concernant le virus Ebola(([2] https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-Ebola-FOIA-request-response-No-Records.pdf)). Le CDC l’a informée qu’ils n’avaient trouvé aucun enregistrement indiquant que le virus avait jamais été isolé et purifié, à partir d’un échantillon de patient.

Massey et ses collègues ont déposé sept autres demandes FOIA auprès de diverses agences gouvernementales – à la recherche de preuves que le virus Ebola a déjà été isolé et purifié – et la réponse a toujours été la même : aucun document de ce type n’existe.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey]

En plus d’exposer l’horrible vérité sur « Ebola » et ce qui s’est réellement passé en Afrique de l’Ouest, j’ai une autre raison d’écrire cet article. Je recommande vivement cette méthode d’investigation aux chercheurs indépendants.

Vous commencez par la cause médicale supposée de la maladie et du décès. Vous examinez cette cause et voyez si elle existe réellement. Dans le même temps, vous effectuez une plongée profonde parallèle, afin de savoir si des causes non virales expliquent les symptômes de la maladie et de la mort.

Tout cela vise à « découvrir l’histoire qui sert de couverture » qui est promue pour cacher les crimes des entreprises et des gouvernements.

En 1987, alors que j’écrivais mon premier livre, AIDS INC. , j’ai sondé une grande quantité de données et j’ai trouvé ma voie dans cette approche. Cela a fonctionné à l’époque, et au cours des années qui ont suivi, cela a fonctionné à maintes reprises.

Comme je ne me lasse pas de le dire : « le virus » est la plus grande couverture jamais inventée.

[Voir aussi Nouvelle plandémie en vue ?
et ses liens annexes.]

(Dans ma collection Power Outside The Matrix , j’entre dans les détails de cette approche du journalisme d’investigation dont vous pouvez énormément bénéficier.)


SOURCES




Doctothon Spécial Enfants : Nicole DELÉPINE Pédiatre et cancérologue à la retraite

Par Nicole Delépine



https://www.doctothon.org/doctothon-spécial-enfants




Nouvelle plandémie en vue ?

[Source : profession-gendarme.com]

ALERTE ❗ Marburg Arnaque Totale



[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagion
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]




Le jour où Jake Tapper (de CNN) a vendu son âme à Big Pharma

[Source : lewrockwell.com]

Par Robert F. Kennedy Jr.Children’s Health Defense — 8 janvier 2022

Traduction : Jean Bitterlin

Il y a une raison pour laquelle Jake Tapper de CNN à l’intention de me désigner comme étant une « menace » et un « menteur » et pourquoi il refuse de débattre avec moi sur le contrôle de la matérialité des faits et des preuves scientifiques. Voici le fond de l’histoire.

Apparemment, consterné par les solides ventes de mon best-seller « The Real Anthony Fauci », le présentateur de CNN Jake Tapper — au lieu d’examiner l’œuvre de manière critique — s’est servi de son compte Twitter pour déverser contre moi un déluge d’insultes ad hominem.

Rompant avec la traditionnelle retenue de neutralité journalistique, de rectitude professionnelle et de rigueur intellectuelle, il m’a désigné de « dangereux », d’être « une menace », « un menteur », « un escroc », « un fraudeur », « un déséquilibré » et autres.

Mais les diffamations de Tapper flottent dans l’atmosphère, sans fondements ni citations. Si je suis un menteur, alors quel était mon mensonge ? Si je suis un escroc, alors quel est mon profit ou avantage personnel ? Si je suis un fraudeur, alors où est ma déclaration inexacte ?

Je reconnais que je suis une menace dangereuse, mais seulement pour l’industrie pharmaceutique, pour ses technocrates captifs et pour ses flagorneurs médiatiques.

Alors que j’ai répondu à sa calomnie par un tweet respectueux l’invitant à débattre avec moi, Tapper a refusé, expliquant qu’il ne débattrait pas avec un « théoricien du complot ». De manière caractéristique, il a négligé de citer une seule théorie du complot dont il croit que j’ai fait la promotion.

Et est-il crédible de m’écarter comme étant un théoricien du complot indigne d’un débat ? Après tout, je suis le fondateur et ancien président de la plus grande association de protection de l’eau et fondateur et président en exercice de l’une des plus grandes associations de défense de la santé des enfants.

J’ai gagné des centaines de procès, parmi lesquels des victoires historiques contre MonsantoDuPontExxonSmithfield Foods et les principaux pollueurs des industries chimiques, du carbone, pharmaceutiques et agricoles. (Dont bon nombre me traitaient également de « théoricien du complot »).

Mon dernier livre, « le véritable Anthony Fauci » (The Real Anthony Fauci) est sans doute le livre comportant le plus de références à avoir jamais figuré au sommet des listes mondiales de best-sellers durant six semaines consécutives. Avec 500 000 exemplaires vendus, il a attiré le nombre spectaculaire de plus de 5 500 critiques cinq étoiles (92 %).

Malgré l’extrême hostilité envers ce livre de la part des médias mainstream et du cartel médical, jusqu’à présent personne n’a encore identifié une seule inexactitude factuelle dans ses 250 000 mots.

Si mon livre n’est que théories du complot sans fondement, alors M. Tapper ne devrait-il pas se réjouir de l’opportunité qui lui est donnée de me corriger avec des faits ou des arguments qui vont au-delà des injures ?

Permettez-moi, alors, de vous proposer ma propre théorie pour l’apoplexie de M. Tapper.

De nombreuses personnes font, au cours de leur vie, des pactes faustiens, échangeant leur intégrité personnelle contre des avantages matériels. Bien souvent la métamorphose se produit comme une érosion graduelle de la fibre morale. De temps en temps cela se produit en un instant ; un homme se trouve à la croisée des chemins moraux et choisit le côté sombre.

Il se trouve que j’étais aux premières loges lorsque Jake Tapper a eu son moment de crise morale. Je suppose que sa féroce attaque au vitriol envers moi est une réaction à son embarras dont j’étais le témoin au moment même où M. Tapper a choisi la carrière plutôt que la moralité.

En juillet 2005, Jake Tapper était le producteur principal d’ABC lorsque le réseau lui a ordonné de tirer un long exposé à partir de la conférence secrète de Simpsonwood en 2000 organisée par les Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention (les fameux CDC — NdT).

En voici le contexte :

En 1999, en réponse à l’explosion des épidémies d’autisme et autres troubles neurologiques, le CDC a décidé d’étudier son vaste Datalink de Sécurité des Vaccins — le dossier médical et de vaccination de millions d’Américains, archivé par les principaux HMO (Health Maintenance Organization — organisme de gestion des dépenses de santé — NdT) pour savoir si l’escalade spectaculaire du calendrier vaccinal, à partir de 1989, était le coupable. L’épidémiologiste interne du CDC, Thomas Verstraeten, a dirigé l’effort.

Les graphes des données initiales de Vertraeten suggéraient que les vaccins Hépatite B qui contiennent du mercure — administrés au cours de premiers mois de vie — étaient associés à un large éventail de blessures neurologiques parmi lesquelles une augmentation spectaculaire de 1 135 % des risques d’autisme [soit 11 fois plus] chez les enfants vaccinés.

Les résultats de Verstraeten ont propulsé le CDC en DEFCON 1 (mesure militaire de menace, le DEFCON 1 correspondant à la menace la plus grave commandant une réponse immédiate aux menaces ou attaques — NdT). Les plus hauts responsables de l’agence ont convoqué, pour une réunion secrète de deux jours dans le centre de retraite isolé de Simpsonwood à Norcross en Géorgie, 52 représentants de l’industrie pharmaceutique, les plus éminents vaccinologues du milieu universitaire et de l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) et des fonctionnaires régulateurs de santé publique de l’Institut National de la Santé, de l’Administration des Denrées Alimentaires et des Médicaments (FDA), du CDC, de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’Agence Européenne du Médicament pour élaborer une stratégie pour cacher au public ces terribles révélations.

En 2005 j’ai obtenu la transcription explosive de cette réunion et j’étais sur le point d’en publier des extraits dans Rolling Stones (Deadly Immunity, 18 juillet 2005). Ces enregistrements, de manière ironique, dépeignaient ces principaux caïds du cartel des vaccins en équilibre au bord de leur propre précipice moral, et racontaient leur effondrement dans la corruption durant deux jours écœurants de débat.

La plupart de ces personnes étaient des médecins et des responsables chargés de la réglementation qui avaient consacré leur vie par idéalisme et par profonde préoccupation pour les enfants. Les données de Verstraeten les confrontaient avec le fait que les niveaux cumulés de mercure dans tous ces nouveaux vaccins qu’ils avaient recommandés avaient surdosé une génération d’enfants américains avec des concentrations de mercure plus de cent fois supérieures aux expositions que l’Agence de Protection de l’Environnement considérait comme sûres.

En recommandant une très grande batterie de nouveaux vaccins pour les enfants, les organismes de régulation de santé publique avaient en quelque sorte négligé de calculer les charges cumulatives de mercure et d’aluminium dans toutes les nouvelles injections.

Le Dr Peter Patriarca, qui était alors le directeur à la FDA du Bureau de la Recherche et de l’Examen sur les Vaccins, a exprimé le sentiment général d’horreur lorsqu’il a demandé pour quelle raison personne n’avait calculé l’exposition cumulée au mercure des enfants alors que les décideurs ajoutaient cette cascade de nouveaux vaccins au calendrier de vaccination des enfants :

« La conversion du pourcentage de thimérosal en microgrammes réels de mercure implique une algèbre de niveau 3e (donc de collégien — NdT). Qu’est-ce qui a pris autant de temps à la FDA pour faire les calculs ? »

Dans les jours tendus qui ont précédé le conclave de Simpsonwood, le défenseur de la santé des enfants, le Dr Ruth Etzel de la EPA (Environmental Protection Agency — NdT) a plaidé avec ses collègues responsables de la santé publique d’admettre publiquement qu’ils avaient fait une terrible erreur en empoisonnant par inadvertance les enfants américains et de réparer les dégâts.

Le Dr Etzel a exhorté l’AAP (American Academy of Pediatrics — NdT) et les organismes de réglementation gouvernementaux de gérer la crise avec la même honnêteté et le même remords public dont avait fait preuve Johnson & Johnson en découvrant des produits chimiques toxiques dans la préparation de son Tylénol :

« Nous devons suivre trois règles de base : (1) agir rapidement pour informer les pédiatres que les produits ont plus de mercure que ce que nous pensions ; (2) être francs avec les consommateurs sur le pourquoi nous n’avons pas trouvé cela plus tôt ; (3) faire preuve de contrition. Si le public perd confiance dans les recommandations des Services de Santé Publique, alors la bataille de la vaccination va se briser. Pour garder la confiance, nous devons être francs et honnêtes et aller rapidement de l’avant pour remplacer ces produits ».

Confrontée aux preuves scientifiques de leur rôle dans la calamité des maladies chroniques, la cabale fit exactement l’inverse. Les transcriptions choquantes de Simpsonwood montrent le Dr Patriarca et d’autres caciques de la santé publique s’avertissant les uns les autres de leurs responsabilités quant à leurs réputations, à leur vulnérabilité face aux avocats des plaignants et des dommages potentiels au programme de vaccination.

Le Dr Patriarca a prévenu que la divulgation publique des découvertes explosives du CDC donnerait aux Américains le sentiment que la FDA, le CDC et les décideurs en matière de vaccination dormaient aux commandes pendant des décennies en permettant au Thimérosal de rester dans les vaccins destinés aux enfants.

Après plus de deux jours de discussions intenses, ces agents de Big Pharma et ces technocrates gouvernementaux se sont persuadés les uns les autres afin de transformer leur désastreuse erreur en infamie — en doublant la mise et en cachant leur erreur au public.

Tapper a vu une première ébauche de mon histoire (destinée à être publiée dans — NdT) Rolling Stones et a proposé qu’en échange de l’exclusivité, il fasse un documentaire d’accompagnement pour ABC programmé pour être diffusé le jour de la publication du magazine.

Tapper a passé plusieurs semaines à travailler sur l’histoire avec moi et une équipe de journalistes et de techniciens enthousiastes. Au cours de ses fréquentes conversations avec moi lors de cette période, il était brûlant d’indignation sur les révélations Simpsonwood. Il a agi comme un journaliste qui espère gagner un Emmy (les Emmy Awards sont des récompenses décernées aux meilleures émissions et meilleurs professionnels de la télévision — NdT).

La veille de la diffusion de l’article, c’est un Tapper exaspéré qui m’a appelé pour me dire que les responsables d’ABC lui avaient ordonné de retirer l’histoire. Le réseau des annonceurs publicitaires de l’industrie pharmaceutique menaçait d’annuler ses publicités.

« L’entreprise nous a dit de la fermer », fulminait Tapper. Il m’a dit que c’était la première fois dans sa carrière que les responsables lui ordonnaient d’étouffer une histoire.

ABC avait annoncé l’exposé Simpsonwood, et son annulation soudaine a déçu une armée de défenseurs de la sécurité des vaccins et de parents d’enfants blessés (par un vaccin — NdT) qui ont inondé le réseau (ABC – NdT) par un maelström de mails de colère.

En réponse, ABC changea de tactique et promit publiquement de publier l’article. Au lieu de cela, après un retard d’une semaine, le réseau a diffusé de manière trompeuse un reportage assemblé à la hâte qui faisait la promotion des vaccins et assurant les auditeurs que les vaccins contenant du mercure étaient sûrs.

Le nouveau débat « bait and switch » (émission d’ABC qui dénonce la méthode consistant à appâter les gens avec un produit bon marché pour ensuite leur vendre autre chose — NdT) suivait exactement les points de discussion de Pharma (Big Pharma — NdT). « Je fais confiance à l’institut de Médecine », a déclaré en conclusion l’obséquieux rédacteur médical d’ABC, le Dr Tim Johnson. Le débat était précédé et suivi par une annonce publicitaire pharmaceutique.

Après la publication de l’article (l’article a finalement été publié par le magazine Rolling Stone — NdT) j’ai appelé Jake pour me plaindre. Il ne m’a ni répondu ni rappelé.

Durant les 16 années qui ont suivi, Big Pharma a renvoyé l’ascenseur à M. Tapper en promouvant de manière agressive sa carrière. Pfizer sponsorise sans vergogne le journal télévisé de Tapper sur CNN, annonçant sa propriété sur l’espace — et le servage sous contrat de M. Tapper — avant chaque épisode avec la phrase chargée de sens : « Pfizer vous présente ».

Sous le terme apparent de ce parrainage, CNN et Tapper fournissent à Pfizer une plate-forme pour commercialiser ses produits et permettre à la société pharmaceutique — un criminel en série — de dicter le contenu à CNN.

Cet arrangement a transformé The Lead with Jake Tapper  (nom du journal télévisé présenté par Jake Tapper sur CNN — NdT) en un véhicule de propagande pour Big Pharma et a effectivement réduit le rôle de M. Tapper à celui de représentant pharmaceutique — promouvant sans vergogne la peur pornographique, la confusion et la phobie des germes, et guidant son public vers des produits pharmaceutiques brevetés à haut rendement (financier — NdT).

L’objectif principal de Tapper durant la pandémie a été de promouvoir des niveaux de terreur suffisants pour compenser tous les mensonges officiels à l’encontre de la pensée critique.

Tout cet argent provenant de Big Pharma exige naturellement que M. Tapper fasse des courbettes au Dr Fauci, et l’esclavage du présentateur de CNN a contribué à faire de l’émission de Tapper la tribune du directeur de l’Institut National de l’Allergie et des Maladies Infectieuses (le NIAID dont le Dr Fauci est le directeur depuis 1984 ! – NdT).

C’est un endroit sûr pour le Dr Fauci pour obtenir de Jake des résultats fiables.

« La compétition de léchage de bottes à CNN est assez nauséabonde », a observé la journaliste d’investigation Celia Farber qui a relaté la mauvaise gestion du Dr Fauci au NIAID durant plus de 25 ans. « C’est à la fois ruineux pour la démocratie et pour la santé publique ».

Un autre journaliste a comparé la servilité horriblement gênante de Tapper envers le Dr Fauci à l’adulation d’un chien loyal et obéissant. « C’est comme un chien qui regarde une partie d’échecs », dit l’ancien journaliste du New York Times Alex Berenson. « Tellement d’intensité et si peu de compréhension ».

Tapper a passé deux ans sans poser une seule question difficile au Dr Fauci. Il a dissimulé l’implication de Fauci (le NIH aurait financé à Wuhan des expériences de gain de fonction sur des virus — NdT), supprimé les nouvelles de blessures vaccinales, a manipulé psychologiquement les blessés, et défendu toutes les orthodoxies officielles sur le port du masque, les confinements, la distanciation sociale, les vaccins, le Remdesivir, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine.

Il n’a jamais posé de questions sur la santé publique, la santé mentale et les coûts économiques liés aux confinements, sur les fardeaux disproportionnés des politiques du Dr Fauci sur les minorités, la classe ouvrière et les pauvres du Monde.

Il n’a jamais demandé au Dr Fauci d’expliquer pour quelle raison les pays et États qui ont refusé les prescriptions du Dr Fauci ont systématiquement eu de meilleurs résultats en matière de santé. Par exemple, pour quelle raison les taux de mortalité américains sont-ils 1 000 fois supérieurs aux taux de mortalité des pays africains tels que le Nigéria et des États indiens qui utilisent largement l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine ? M. Tapper n’autorise tout simplement jamais des points de vue contraires dans son émission.

Il continue à chanter les louanges des vaccins contre la COVID comme étant une technologie miracle que les personnes peuvent prendre quatre fois et qui peuvent malgré cela contracter et propager la maladie.

« Il n’appelle jamais le Dr Fauci sur ses déclarations hésitantes dénuées de science », a dit Farber. « Le Dr Fauci semble capable de paralyser les traits de curiosité du cerveau de Tapper ».

Il faut que Tapper demande au Dr Fauci pour quelles raisons, sous sa direction, l’Amérique a souffert du plus grand décompte de décès au Monde. Avec 4,2 % de la population mondiale, notre nation a subi 15 % des décès COVID.

Au lieu de cela, il opère tel un grand prêtre de toute l’orthodoxie officielle, travaillant à déifier le Dr Fauci et à oindre toutes ses déclarations absurdes, hésitantes et contradictoires avec une infaillibilité papale. Le meilleur moyen de susciter l’indignation de Tapper c’est de critiquer le Dr Fauci.

Voici quelques exemples de tromperies éhontées de M. Tapper :

Le 2 février 2021, Tapper a réfuté les affirmations que le grand joueur de baseball Hank Aaron ait pu décéder suite à une vaccination COVID. Le roi du home run (coup de maître au baseball lorsque le joueur envoie la balle au-delà des limites du terrain — NdT) s’était présenté à une conférence de presse organisée par le CDC 17 jours plus tôt. Tapper a affirmé à son auditoire que le médecin légiste du comté de Fulton avait déterminé qu’Aaron était décédé de « causes naturelles ».

Lorsque le médecin légiste du comté de Fulton a nié par la suite avoir jamais vu le corps d’Aaron, et encore moins avoir effectué une autopsie, Tapper a refusé de corriger son histoire.

En août 2021, Tapper a donné au Dr Fauci une tribune pour répandre la rumeur que des Américains qui s’étaient fait berner étaient en train de s’empoisonner avec un « remède pour cheval » appelé Ivermectine.

Dans une interview du 29 août 2021, le Dr Fauci a dit à Tapper « Il n’y a absolument aucune preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement avoir de la toxicité… avec des gens qui sont allés dans des centres antipoison parce qu’ils ont pris le médicament à une dose ridicule et finissent par tomber malades. Il n’y a aucune preuve clinique qui indique que cela fonctionne ».

Tapper n’a jamais corrigé le Dr Fauci. Il n’a jamais souligné qu’il y avait alors 70 études révisées par des pairs démontrant l’efficacité miraculeuse de l’Ivermectine contre la COVID.

Il n’a pas contesté la qualification de remède pour cheval faite par le Dr Fauci au sujet de l’Ivermectine en faisant remarquer que le médicament avait remporté à la fois un Prix Nobel et été mis dans la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS pour son efficacité miraculeuse contre les maladies humaines, et que les gens en ont consommé des milliards de doses sans aucun signalement significatif au niveau de la sécurité.

M. Tapper n’a jamais pensé à demander au Dr Fauci s’il essayait de décourager l’utilisation d’un médicament bon marché et efficace qui pourrait concurrencer ses vaccins expérimentaux.

Au lieu de cela, Tapper a de manière abjecte répété comme un perroquet les points de discussion :

« Les centres antipoison signalent que leurs appels explosent dans des endroits comme le Mississippi et l’Oklahoma, parce que certains Américains essaient, pour traiter et éviter de contracter le coronavirus, d’utiliser un médicament antiparasite pour chevaux appelé Ivermectine ».

Peu importait à Tapper que les responsables du Mississippi tout comme ceux de l’Oklahoma aient rapidement nié que quiconque dans leur état ait été hospitalisé pour un empoisonnement à l’Ivermectine. Tapper n’a jamais corrigé son histoire fausse.

Le 14 septembre 2021, Tapper a obligeamment donné au Dr Fauci une tribune pour contester l’inquiétude de la rappeuse Nicki Minaj que les vaccins COVID puissent affecter la fertilité. Le Dr Fauci a simplement déclaré :

« La réponse à cela, Jake, est un non catégorique ».

Comme d’habitude, Tapper n’a pas demandé au Dr Fauci de citer une étude pour soutenir son affirmation. Il n’a jamais souligné que tous les fabricants de vaccins COVID reconnaissent que leurs produits ne sont pas testés pour les effets sur la fertilité, ou que des données récentes ont montré des augmentations spectaculaires de fausses couches et de prééclampsies chez les femmes vaccinées. (La prééclampsie est une complication de grossesse qui se caractérise par une pression sanguine élevée et des signes de dommages au foie et aux reins — NdT).

Néanmoins, sur la base de la seule parole du Dr Fauci, CNN s’est précipitée pour diffamer et discréditer la rappeuse et pour assurer au public que Minaj avait tort. Après tout, le Dr Fauci avait parlé !

Il est facile de voir comment deux années d’une telle déférence obséquieuse ont encouragé le Dr Fauci, en novembre 2021 à déclarer :

« Je représente la science ».

Il y a beaucoup trop d’autres exemples de la promotion non critique par Tapper de mensonges du gouvernement et de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que pour les résumer. Il ne s’agit pas de mensonges inoffensifs. Chacun d’entre eux a de potentielles conséquences pour la santé publique.

Le terme de « projection psychologique » décrit l’extraordinaire précision avec laquelle un certain type de personnes applique aux autres des termes péjoratifs, ces termes mêmes qui décrivent avec le plus de précision leurs propres défauts.

Lorsque M. Tapper me traite de « déséquilibré », de « menace pour la santé publique », d’« escroc », de « menteur », n’est-il pas victime de projection ?

Dans une démocratie, les fonctions essentielles du journalisme sont de dire la vérité au pouvoir, d’exposer sans relâche la corruption et de toujours maintenir une posture de scepticisme envers les centres de pouvoir du gouvernement et des entreprises.

Ce que fait Jake Tapper est à l’opposé du journalisme. Tapper, au lieu de cela, s’aligne sur le pouvoir et se fait propagandiste des narratifs officiels et un agent publicitaire servile pour les élites puissantes et les technocrates gouvernementaux.

Sa fureur à l’encontre de ceux qui contestent leurs récits n’est donc pas étonnante.




Le ministre des finances israélien demande la fin du Pass sanitaire

[Source : i24news.tv via philippot]

Le ministre des Finances Avigdor Lieberman a appelé mardi à mettre fin à l’utilisation généralisée du « passeport vert » prouvant la vaccination contre le coronavirus pour entrer dans certains lieux.

« Il n’y a aucune logique médicale ou épidémiologique dans le pass sanitaire et de nombreux experts s’accordent à le dire », a-t-il déclaré. 

« Il y a cependant un préjudice direct à l’économie, aux opérations quotidiennes et une contribution non négligeable à la panique quotidienne au sein du public », a-t-il affirmé.

M. Lieberman a indiqué qu’il travaille avec « toutes les autorités » afin de mettre fin au pass sanitaire et de « maintenir une routine de vie normale pour tous. »

[Voir la suite sur i24news.tv]




Au Luxembourg, une pétition contre la vaccination des enfants parvient au Parlement

[Source : FranceSoir]

[Photo : Les intervenants entendus à la Chambre des Députés. LG]

Mercredi 12 janvier dernier, un débat public sur la vaccination des enfants était organisé à la Chambre des Députés du Luxembourg. Plusieurs scientifiques reconnus tels que Christian Perronne ou Luc Montagnier, y ont été invités. Cette discussion a eu lieu grâce à la pétition publique « Stop aux vaccins de type thérapie génétique (COVID-19) à nos enfants », qui a passé le seuil requis des 4 500 signatures pendant les 42 jours réglementaires, entre septembre et octobre 2021.

Une balance bénéfice-risque qui contre-indique la vaccination des enfants

M. David Georgiu, auteur de la pétition, demande à ce que le « déploiement de nouvelles thérapies génétiques » ne se fasse que sous conditions : d’abord, que la balance bénéfices-risques soit avantageuse, et qu’il n’y ait « pas de traitement actif. » Il ne s’agit donc pas d’une demande d’interdiction totale, mais avant tout d’une réclamation de preuves solides.

Voir aussi : Rodolphe Bacquet a déposé sa pétition contre le passe vaccinal à l’Assemblée nationale et au Sénat

Pour défendre leur position, des médecins et scientifiques issus de divers domaines de la recherche ont pris la parole. Parmi eux, des noms bien connus de la lutte contre la gestion de crise sanitaire : Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude, ou encore Luc Montagnier.

Des victimes d’effets secondaires graves, ou des proches de personnes décédées, sont également intervenus pour nourrir le débat. Nous avons pu recueillir quelques réactions à la sortie des débats :



Auteur(s): FranceSoir




Le Pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Transmis par Nicolas Bonnal]

Par Edouard Husson

Le Pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican: telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en « acte d’amour ». La parution de cette information malgré la crainte qu’inspire le pape jésuite révèle que l’Eglise est à la veille d’une remise en cause profonde du pontificat de Jorge Maria Bergoglio.

Selon des sources vaticanes, qui se sont confiées au National Catholic Register, le Saint-Père a rencontré à deux reprises le PDG de Pfizer, Albert Bourla, au Vatican, bien que les détails précis de ces rencontres qui ont eu lieu en 2021, ne soient pas connus.

Contrairement à la plupart des audiences privées du pape, ces rencontres n’ont pas été annoncées par le bureau de presse du Saint-Siège, qui n’a pas répondu aux demandes répétées de confirmation de ces rencontres.

Un porte-parole de Pfizer a déclaré : “Nous ne pouvons ni confirmer ni démentir car, selon notre politique, les mouvements de nos cadres sont considérés comme confidentiels.”

Les rencontres d’Albert Bourla avec le pape ne seraient pas la première rencontre papale secrète de ce type ces dernières années. En novembre 2019,  le pape a reçu en privé Melinda Gates. La rencontre, bien connue au Vatican,  n’a jamais été reconnue officiellement.

En mai dernier, Bourla a pris part à une conférence en ligne du Vatican sur la santé intitulée “Unite to Prevent & Unite to Cure” à l’occasion de laquelle il a pu – et d’autres participants avec lui, faire l’éloge de la vaccination dans la lutte contre le COVID-19. 

Se vacciner contre le COVID, un acte d’amour?

Prenez le temps d’écouter ce passage d’Albert Bourla à la télévision française. Il y explique que la seule façon de surmonter la peur de se faire injecter le vaccin, c’est “l’amour” (sic!). Pour lui, la vaccination n’a pas seulement une valeur individuelle mais sociale: il faut le faire pour nos proches et le reste de la société. 

ça ne vous rappelle rien? Le pape François déclarant à l’été 2021: “La vaccination est un moyen simple, mais profond de promouvoir le bien commun et de prendre soin les uns des autres, en particulier des plus vulnérables. Je prie Dieu pour que chacun puisse apporter son petit grain de sable, son petit geste d’amour”

Impossible de dire lequel des deux hommes a le plus influencé l’autre. Mais force est de constater que le pape qui a pris le nom du “Pauvre d’Assise” se trouve de connivence avec le PDG d’une entreprise pharmaceutique qui a gagné des milliards grâce aux vaccins contre le COVID. Une entreprise représentative des dérives du capitalisme contemporain que le Pape aime par ailleurs fustiger. 

Le Pape parle du capitalisme inclusif; mais en l’occurrence il fraye avec un représentant du capitalisme de connivence, l‘une des entreprises les plus condamnées au monde. Où seraient les profits de Pfizer sans l’argent public qui sert à financer la recherche puis l’achat des vaccins? 

Comment ne pas être profondément gêné par le fait que le Pape ait pu recevoir deux fois le PDG de Pfizer puis choisir cette entreprise pour la vaccination au Vatican? Une vaccination rendue obligatoire!  

Comment expliquer qu’un pape qui dit lutter pour un ordre plus juste accepte le petit jeu d’un capitalisme de connivence qui a fait écarter médicaments existants (tombés dans le domaine public) au profit d’un produit nouveau, fabriqué trop vite et vendu très cher? Comment comprendre quue le pape de l’encyclique Laudato Si fasse aussi peu attention aux dégâts causés par les effets secondaire du vaccin. Ou bien l’écologie humaine est-elle sans importance? 

Evidemment, en homme de pouvoir, François a cessé de parler “d’amour” en évoquant la vaccination dans son discours de voeux 2022 aux ambassadeurs. Il sent le vent tourner et se contente de parler d’un choix raisonnable en attendant d’autres médicaments. Mais cela ne peut pas dissiper la désagréable impression que le Pape sert de caution religieuse à la gouvernance internationale

L’Église a besoin d’un « Père Elijah »

Si vous ne l’avez jamais lu, plongez-vous dans l’extraordinaire roman de Michael D. O’BrienPère Elihjah. Le héros est un frère carme qui fut David Schäfer, rescapé de la Shoah puis promis à devenir Premier ministre d’Israël; mais il avait tout lâcher pour se convertir et entrer en religion. Un pape qui est un mélange de Jean-Paul II et de Benoît XVI demande au Père Elijah d’aller affronter spirituellement le “Président de la Fédération des Etats européens”, qui tenait à la fois (prophétiquement, quand le roman a été écrit à la fin des années 1990) de Mario Draghi et d’Emmanuel Macron. Ce président d’une Europe devenue fédérale est immensément populaire car il agit au nom d’une religion de l’Amour, destinée à devenir une religion mondiale.  Et le Père Elijah doit aller l’affronter car l’homme fait pression sur le Saint-Siège, pour que ce dernier se joigne au nouveau syncrétisme. 

Ce morceau central d’une trilogie romanesque commencée dans Varsovie occupée et se finissant à Jérusalem a le souffle d’un roman de Chesterton ou de C.S. Lewis

La différence entre le roman et la réalité d’aujourd’hui, c’est que François se juge assez fort pour ne pas avoir besoin d’un “Père Elijah”. Il pense pouvoir frayer avec les hommes de la gouvernance mondiale sans faire courir de danger à l’Eglise. Il accompagne en partie le syncrétisme ambiant et s’engage pour une “Maison d’Abraham” à Abu Dhabi ou joue avec l’idée d’une version “amazonienne” du christianisme. François décrit la vaccination comme un “acte d’amour” et il approuve la censure sur les réseaux sociaux. Il pactise avec la Chine communiste au risque de sacrifier l’Eglise clandestine chinoise. Et il adhère à un “Pacte mondial pour l’Education” en faisant entrer à l’Académie des Sciences un économiste aussi controversé que Jeffrey Sachs, ancien néolibéral converti à l’écologie et dont le fil directeur a toujours été l’adhésion sans fard au malthusianisme le plus radical. 

La fuite concernant les entrevues avec Albert Bourla est le signe qu’au Saint-Siège on commence à juger contre-productive la façon de faire de l’actuel Souverain Pontife. Il est certes redouté; mais on le dit malade ; et les grandes manœuvres ont commencé pour sa succession

Ce qui est sûr, c’est que le renouveau dont aura besoin l’Eglise se trouve plutôt dans les romans de Michael D. O’Brien que dans les liaisons dangereuses du Pape François avec les puissants de ce monde, d’Albert Bourla à Bill Gates. 




Refusons les tests chez les enfants innocents du covid

Par Nicole Delépine

LES MILLIONS DE TESTS IMPOSÉS AUX ENFANTS EN L’ABSENCE DE GRAVITÉ ET DE MORTALITÉ DU VARIANT OMICRON SONT UNE ARME POUR ALIMENTER LA PEUR ET CONDUIRE LES PARENTS À L INJECTION GÉNIQUE DANGEREUSE ET INUTILE

Refusons les tests PCR et le pseudovax inutiles et dangereux




À propos de l’audition du professeur Perronne au parlement du Luxembourg

Par John Hunter

Qu’en a-t-il résulté exactement puisque quelques jours après son exposition la police réprimait durement les manifestants ? (Qactus)

Ceci rappelle en France le grand débat national suite au mouvement des gilets jaunes bien avant la pandémie des pseudo vaccins. Donc là-bas comme ici il faut laisser les gens s’exprimer pour que la vapeur s’échappe du pot et ensuite on fait comme si rien ne s’était passé, parce qu’on n’a rien retenu.

C’est systématique que les gouvernements n’aient rien à faire des débats tenus par des scientifiques. On écoute poliment comme un divertissement raffiné et on continue la routine du parlementaire : Ne jamais contester et toujours obéir aux consignes de vote pour obtenir son avancement de carrière.

L’Angleterre, la mère des parlements depuis surtout 1688, Leur glorieuse révolution contre le despotisme de Jacques II qu’ils ont contraint à l’exil, donne un titre plaisant à celui chargé de la discipline du parti. C’est le « chief whip ». L’homme au fouet. Malheur à celui qui désobéit !

Les parlements européens ont tous cette manie d’écouter religieuse- ment le père Fouettard du parti. Ne serait-il pas temps de briser ce moule pervers et que chaque représentant vote selon sa conviction personnelle et non plus la conviction du parti ?

Pour revenir au Luxembourg, patrie de Jean Claude Juncker, ce pays est le plus conservateur de l’Europe. Ils tiennent leur pouvoir de leur imbrication totale avec les grands groupes multinationaux à qui ils concèdent des conditions exceptionnelles, les fameux « sweet heart deals ». Les taux fiscaux les plus bas et les ingérences les plus légères qui soient. Donc les capitaux affluent. Junker était l’artisan de ce mécanisme. Mais il a échappé au blâme de par sa fonction. Architecte, mais pas responsable. On ne fait pas plus fort dans l’hypocrisie.

Donc vous avez un État qui concurrence à mort les autres. Un peu comme l Irlande avec ses taux d’imposition de 2 à 3 %, mais en pire et dans l’esprit de confidentialité le plus total. Leur rôle de laquais du Capital international, ils l’assument sans vague à l’âme.

Par conséquent les propos du Pr Perronne n’allaient rien changer. Quand on fait son beurre avec les multinationales, il faut surtout la stabilité politique et aucune dissidence. Par conséquent la police a frappé les protestataires du vaccin à ARN et conduit plusieurs en prison. l ’obligation vaccinale pour ceux qui travaillent est passée comme lettre à la poste.

La prestation Perronne a eu un effet nul. Quand on sait que le professeur a compilé soigneusement toutes les errances sanitaires en France, on voit bien qu’il n’a pas eu un jugement favorable sur la gouvernance du pays. Il en a écrit un livre, ne revenant pas de l’incapacité à gérer la crise, de l’obstruction aux soins ni de la corruption des hôpitaux arrosés par GILEAD avec le funeste Remdesivir qui en a echarpé plus d’un.

Les Luxembourgeois n’ont rien appris et tout oublié de ce discours. Ils vont faire comme leurs confrères européens, tourner le dos à la Science et asseoir le Nouvel Ordre Mondial au pas de charge.




Comment et pourquoi devenir objecteur de conscience vaccinale ?

[Source : resterlibre.org]

Par Éric Verhaeghe

Nous vous proposons aujourd’hui le kit express de l’objecteur de conscience vaccinale. Nous vous expliquons à quoi il sert… et comment s’en servir. Mobilisez-vous… tenez-nous au courant de vos initiatives pour transformer cet outil en arme de guerre contre le passe vaccinal…



Nous vous expliquons ici comment vous servir du kit d’objection de conscience vaccinale.

  1. Télécharger et remplissez le formulaire de déclaration de conscience vaccinale. Vous le trouverez ici :

Nous publions intentionnellement ce document à télécharger sur Slideshare, qui nous permet de mesurer le nombre de téléchargements, qui donne un aperçu sur l’impact réel du document. Si vous voulez disposer du document en fichier PDF envoyé par mail, vous devez adhérer à l’association et formuler votre demande d’envoi en PDF à l’adresse :

objectiondeconscience@protonmail.com

2. Présentez ce document aux commerçants ou aux fonctionnaires qui vous demandent un passe vaccinal. S’ils vous refusent l’accès aux lieux que vous souhaitez fréquenter, saisissez le juge judiciaire de cette discrimination.

3. Pour être plus efficaces pour instaurer un rapport de force, constituez un groupe d’au moins 5 personnes qui ciblent les commerces ou les administrations les moins fraternels de votre région. Présentez-vous à l’entrée de ces commerces et de ces administrations avec votre déclaration, et filmez la scène. Demander à chaque membre de rédiger un témoignage et intentez une action judiciaire pour discrimination avec le soutien des avocats que nous vous indiquerons.

Au besoin, consultez le forum de Rester libre ! sous l’onglet « Actions d’objection de conscience » pour vous organiser localement.

4. Faites-nous systématiquement remonter l’information.

Souvenez-vous d’une règle : l’action ne fonctionnera que si elle est pacifique. Nous nous désolidarisons par avance de toute provocation qui serait réalisée sous notre bannière.




Révélations de la DARPA sur Fauci : le troublant mutisme de la presse

[Source : h16free.com]

Il y a une semaine, le projet Veritas publiait différents documents dont le contenu, s’il était vérifié, pourrait largement remettre en question nombre d’affirmations colportées par les médias, les experts et les politiciens sur la pandémie, son origine et son déroulement, et éclairerait l’histoire de ce virus d’une lumière nouvelle, particulièrement incriminante pour une partie de l’administration américaine…

Si vous vous en tenez à la presse et aux médias grand public français, il est assez peu probable que vous ayez entendu parler du Projet Veritas, ni de ses dernières révélations.

Les rares articles évoquant cette association remontent à plusieurs mois, lorsqu’elle avait publié différentes vidéos montrant, en caméra cachée, ce que pensaient vraiment différents scientifiques et personnages haut placés dans différents groupes pharmaceutiques comme Pfizer : les allégations obtenues dans ces vidéos, jamais démenties ni par ces sociétés, ni par les personnes enregistrées, sont relatées dans une ou deux notules dans les médias français qui, bons soldats, ont fait le minimum syndical afin de bien faire comprendre à leurs (moins en moins nombreux) lecteurs que Project Veritas est avant tout une organisation ultra-conservatrice (lire « ultra-beurk ») et que peu importent les informations qu’elle a pu récolter, étant dans le Camp du Mal, elle ne peut être crédité d’absolument rien.

Au-delà de ces éléments, rien n’a donc transpiré depuis dans la presse française des allégations rassemblées et publiées lundi dernier. De rares journaux américains s’y sont intéressés, mais on constate essentiellement une distance gênée face aux révélations accumulées qui méritent cependant un peu plus d’intérêt.

En effet, selon Project Veritas, un responsable militaire, le Major du Corps des Marines Joseph Murphy, aurait affirmé dans un rapport adressé à l’Inspecteur Général de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) – une agence américaine chargée de recherches et développements militaires – que le virus SARS-CoV2 serait le résultat d’une manipulation génétique humaine dirigée par les Américains, cherchant essentiellement à combiner la viralité d’un coronavirus commun à la létalité de précédents virus SARS-CoV1 et MERS.

Mieux encore : ces documents incriminent directement Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis, Institut qui aurait ainsi subventionné l’ONG EcoHealth Alliance dans ces dangereuses recherches alors que la DARPA les aurait refusées précisément en raison de la nature même de ces expériences et de l’interdiction qui frappait alors (et continuent de courir) sur de telles manipulations (dites « gain de fonction« ), et ce alors même que Fauci a déposé plusieurs fois sous serment, devant des commissions d’enquêtes du Sénat américain, qu’il n’en avait rien été.

À ces éléments déjà sulfureux qui viennent s’ajouter aux nombreuses et insistantes rumeurs sur l’évasion du virus du laboratoire de Wuhan ainsi qu’aux précédentes révélations provenant de la publication des emails détaillés de Fauci montrant des comportements étonnants (et très peu éthiques) de sa part, sans même évoquer les expériences de torture sur des chiens menées par le NIH et révélées en octobre dernier, on comprend que l’actuel conseiller de Joe Biden pour la gestion de l’actuelle pandémie soit mis sur la sellette…

Ce qui pose évidemment quelques soucis à l’ensemble des médias américains et européens qui n’ont eu de cesse de suivre assez scrupuleusement (et encenser un peu trop ouvertement) les orientations et diktats plus ou moins grotesques qu’il a empilés depuis le début de la crise.

Et pendant que les rumeurs et allégations s’empilent sur Fauci, la DARPA n’a pas confirmé mais pas plus infirmé l’exactitude des documents fuités. Cependant, s’ils sont confirmés exacts, ils sont particulièrement lourds de conséquences puisqu’ils indiqueraient notamment que les actuels vaccins sont d’assez mauvaise qualité et de sûreté douteuse et que des traitements curatifs auraient été identifiés très tôt, ce qui, là encore, jetterait une lumière crue sur les agissements de certains afin de cacher cette information.

Rassurez-vous, tous ces éléments ne vous seront pas fournis par les canaux habituels tant est grand l’écart avec le discours officiel. Vous pourrez cependant vous faire votre propre opinion en allant voir les éléments publiés et les vidéos qui les accompagnent :

https://twitter.com/VigilantFox/status/1480740626161414145

Avant une possible disparition inopinée, la vidéo complète est ici :

À la suite de cette publication, certains élus américains ont cependant décidé d’agir : six députés (membres de la Chambre des représentants), à savoir Madison Cawthorn, Bill Posey, Diana Harshbarger, Lisa McClain, Randy Weber et Matt Gaetz, ont ainsi envoyé une lettre (consultable ici) au secrétaire à la Défense, au secrétaire à la Santé, aux Services sociaux ainsi qu’au directeur du CDC, Rochelle Walensky, avec une liste de questions auxquelles ils aimeraient obtenir des réponses.

De la même façon, le sénateur Ron Johnson (un Républicain du Wisconsin) exige également des réponses. Il a lui aussi envoyé une lettre au Secrétaire à la Défense Lloyd Austin avec une liste de questions et quelques demandes, notamment celle de connaître ce qui fut fait du rapport une fois celui-ci remis…

Même si l’on ne peut guère être optimiste quant à ces demandes – dont l’aspect politique n’est évidemment pas à écarter – gageons cependant que certains citoyens (américains et européens, en réalité) attendent ces réponses avec obstination, ne serait-ce que pour déterminer à quel point ces allégations sont exactes ou non. Si elles sont fausses, on s’étonnera du mutisme des institutions concernées. Si elles sont vraies, les conséquences devraient, dans un monde normal, être particulièrement dévastatrices.

Pourtant et jusqu’à présent, malgré l’enjeu évident, aucun journal grand public, aucune chaîne de télévision, aucune Elise Glucet sur la brèche toujours dans les bons coups fumants, ne semblent vouloir enquêter sérieusement. Du côté des GAFAM, on note même le déploiement des techniques habituelles lorsqu’une information gênante sort, puisque sur Twitter, différents membres du projet Veritas ont déjà été bannis, et que Google rivalise d’inventivité dans ses algorithmes pour camoufler ces informations (des recherches à ce sujet sur Google puis sur DuckDuckGo mettent bien en lumière le décalage qui existe entre les deux moteurs de recherche).

Si le passé est un indicateur en matière de comportement de ces firmes et de ces médias, on peut raisonnablement imaginer que ces allégations pour le moment sulfureuses seront admises du bout des lèvres dans six mois, le temps moyen qui sépare le complotisme de la froide réalité…




Les Français sont trahis par une propagande dont les effets sont pénalement condamnables

[Source : Dr_Astrid_Stuckelberger]



Les Français sont trahis par une propagande
dont les effets sont pénalement condamnables

La propagande est un concept désignant un ensemble de techniques de persuasion mises en œuvre pour propager, par tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine et pour stimuler l’adoption de comportements au sein d’un public cible.

Les Français subissent la propagande d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse.

Article 132-71 CP :

« Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d’une ou de plusieurs infractions »

INFRACTIONS AUX OBLIGATIONS RÉGALIENNES DE L’ÉTAT

L’une des fonctions régaliennes de l’Etat est d’assurer la sécurité des citoyens. Allant contre le principe régalien de la protection des Français cette bande organisée qui en usurpe les fonctions, n’hésite pas à mettre en danger les citoyens en dépit des codes internationaux. Par exemple le règlement européen du 14 juin 2021 interdit les discriminations à l’encontre des personnes ne souhaitant pas participer (pour raison de santé parfois) à une expérimentation clinique de phase 3 en dépit des recommandations des fabricants des dits produits expérimentaux. Cette mise en danger fait suite à des pressions psychologiques, et pour certains Français, c’est fatal ! Les actes de décès l’attestent ! Ceci, alors que le code de Nuremberg précise que « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

En infraction avec l’article 313-1 du Code Pénal, cette bande organisée n’hésite pas à escroquer le citoyen français par l’usage de faux, par l’abus d’une qualité vraie et par l’emploi de manœuvres frauduleuses et elle l’escroque au profit d’intérêts qui ne sont pas d’intérêt général mais des intérêts d’entreprises privés ! Cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes trompe nos concitoyens et les détermine ainsi, à leur préjudice à consentir un acte opérant obligation de renoncer au droit d’inviolabilité de leur corps.

Pour arriver à ces desseins délinquants et criminels, voire ses actes terroristes, cette bande organisée utilise la propagande, qui elle-même à l’endoctrinement.

Et cela parce que la très grande majorité des journalistes ont oublié (volontairement ou du fait de pressions) la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes, Munich, 1971

Le préambule de cette déclaration commence ainsi :

« Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain. Ce droit du public de connaître les faits et les opinions procède l’ensemble des devoirs et des droits des journalistes.

La responsabilité des journalistes vis-à-vis du public prime toute autre responsabilité, en particulier à l’égard de leurs employeurs et des pouvoirs publics »

Parmi les devoirs essentiels du journaliste, dans la recherche, la rédaction et le commentaire des événements :

« 1) respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître ; 2) défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique ;

3) publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents ;

6) rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte ;

8) s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information ;

9) ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs ;

10) refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.

Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d’observer strictement les principes énoncés ci-dessus ; reconnaissant le droit en vigueur dans chaque pays, le journaliste n’accepte, en matière d’honneur professionnel, que la juridiction de ses pairs, à l’exclusion de toute ingérence gouvernementale ou autre. »

Nous Français, nous subissons tous des violences psychologiques, également appelées harcèlement moral, du fait de la répétition quotidienne et cela plusieurs fois par jour, car tous les médias quel qu’ils soient (TV, radio, presse, internet) répètent le discours de cette bande organisée, sans aucun esprit critique, poussant les citoyens français à se faire injecter un produit en phase expérimental.

VOLONTÉ MANIFESTE DE HARCÈLEMENT ET D’ENDOCTRINEMENT

Article 222-33-2-2 du Code Pénal

« Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail

L’infraction est également constituée :

1. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l’instigation de l’une d’elles, alors même que chacune de ces personnes n’a pas agi de façon répétée ;

2. Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime, successivement, par plusieurs personnes qui, même en l’absence de concertation, savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende :

1° Lorsqu’ils ont causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ;

2° Lorsqu’ils ont été commis sur un mineur de quinze ans ;

3° Lorsqu’ils ont été commis sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficiencephysique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ;

4° Lorsqu’ils ont été commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne ou par le biais d’un support numérique ou électronique ;

5° Lorsqu’un mineur était présent et y a assisté.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’ils sont commis dans 2 des circonstances mentionnées aux 1° à 5°. »

En relayant en boucle les informations de cette bande organisée, les médias de masse se rendent complices de celle-ci par fourniture de moyens.

Article 121-7 CP :

« Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation »

Les médias, en relayant à longueur de journée les décisions d’une bande organisée usurpant des fonctions régaliennes, se rendent aussi complices d’abus de faiblesse, en mettant le peuple français dans un état de sujétion psychologique, en usant de chantage au pass sanitaire, puis vaccinal pour que les Français aillent se faire injecter un produit encore expérimental.

Article 223-15-2 CP :

« Est puni de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende l’abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de la situation de faiblesse … d’une personne en état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement, pour conduire … cette personne à un acte … qui lui est gravement préjudiciable.

Lorsque l’infraction est commise par le dirigeant de fait ou de droit d’un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, les peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 750 000 euros d’amende »

De pressions graves, réitérées exercées par les médias de masse, de ces techniques propres à altérer le jugement des citoyens, il en résulte une mise en danger de la vie d’autrui

Article 223-1 CP :

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

LA RESPONSABILITÉ DE TOUS LES ÉLUS ET FONCTIONNAIRES DE LA RÉPUBLIQUE :
EMPÊCHER LES INFRACTIONS

Cette mise en danger délibérée peut également être le fait de maires, de préfets, n’exerçant pas leur devoir de discernement, de désobéissance

Les fonctionnaires qui obéissent à des ordres illégaux peuvent être poursuivis au titre des articles mentionnés au titre 2 du livre premier du Code Pénal

Cette mise en danger des citoyens est également en infraction avec l’article 40 du Code de Procédure Pénal

« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs »

Maires et Préfets se rendre tout autant coupables de la mise en danger des citoyens par leur manquement ou négligence à une obligation légale à l’article 121-3 CP :

«… Il y a délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les diligences normales compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait. »

« les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer »

De cette mise en danger et ces violences psychologiques peuvent en résulter des décès et des infirmités permanentes :

Article 222-14-3 CP :

« Les violences … sont réprimées quelle que soit leur nature, y compris s’il s’agit de violences psychologiques »

Article 222-7 CP :

« Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de 15 ans de réclusion criminelle. »

Article 222-8 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-7 est punie de 20 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Article 222-9 CP :

« Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de 10 ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende. »

Article 222-10 CP :

« L’infraction définie à l’article 222-9 est punie de 15 ans de réclusion criminelle lorsqu’elle est commise :

1° Sur un mineur de quinze ans ;

8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteur ou de complice »

Il est à constater, actuellement, de nombreux effets secondaires à la suite des injections de produits expérimentaux contre le Covid19,ce sont des informations publiques, et ces dommages corporels sont recensés à travers le monde.

Tel qu’en atteste la base de données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)

VigiAccess a été lancé par l’OMS en 2015 pour permettre au public d’accéder aux informations contenues dans VigiBase, la base de données mondiale de l’OMS sur les effets secondaires potentiels signalés des médicaments. Les effets secondaires – connus techniquement sous le nom d’effets indésirables des médicaments (EIM) et d’effets indésirables suivant la vaccination (EIAS) – sont signalés par les centres nationaux de pharmacovigilance ou les autorités nationales de réglementation des médicaments qui sont membres du Programme international de surveillance des médicaments (PIDM) de l’OMS. Le PIDM de l’OMS a été créé en 1968 pour assurer une utilisation plus sûre et plus efficace des médicaments.

http://www.vigiaccess.org/

À la date du 15/01/2022, le nombre total d’enregistrements recueillis : 2 961 255

MISE EN DANGER PAR PRESSIONS PSYCHOLOGIQUES

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison des violences psychologiques.

Les personnes ayant eu recours à ces injections, l’ont faites en raison de la propagande produite par cette bande organisée usurpant des fonctions régaliennes et abusant de l’auditoire des médias de masse, usant de peur, allant jusqu’à terroriser la population, et cette bande tente d’imposer son Ordre discriminatoire en effectuant notamment un chantage via le pass sanitaire et pass vaccinal nécessaire pour accéder aux loisirs (restaurant, cinéma, sport, etc).

Le mode opératoire de cette bande organisée est pénalement condamnable : Article 132-71 CP :

Le fait de gouverner par le terreur est par définition du terrorisme.

« Recours à la terreur et à la violence pour imposer ses idées politiques ou son autorité »

https://www.linternaute.fr/dictionnaire/fr/definition/terrorisme/

Là encore, vous penserez en premier lieu en entendant le mot « terrorisme », que ce n’est pas le cas. Mais cela est une nouvelle fois dû à la dialectique utilisée par les gouvernants.

La définition du terrorisme donnée par les gouvernants est une définition politique donc restreinte :

« Ensemble d’actes de violence (attentats, prises d’otages, etc.) commis par une organisation ou un individu pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système »

https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/terrorisme/77478

LA VOLONTÉ MANIFESTE DE NUIRE AUX CITOYENS FRANÇAIS

Cette bande organisée (usurpant des fonctions régalienne, abusant de l’auditoire des médias de masse) fait suite à des directives de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), mais ne considère pas les messages d’alerte de cette même organisation sur l’injection à répétition de produits expérimentaux sur les Français. La volonté de nuire de cette bande organisée est manifeste.

La France définit le terrorisme, dans son Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013, comme des actions auxquelles « ont recours des adversaires qui s’affranchissent des règles de guerre conventionnelle pour compenser l’insuffisance de leurs moyens et atteindre leurs objectifs politiques. »

Le Système des Nations Unies, qui est aussi souvent appelé officieusement la « famille des Nations Unies », est composé de l’Organisation des Nations Unies et de nombreux programmes, fonds et institutions spécialisées. Chacune de ces entités a sa propre direction, son propre budget et ses propres États Membres. Les programmes et fonds sont financés par des contributions volontaires plutôt que statutaires. Les institutions spécialisées sont quant à elles des organisations indépendantes financées par des contributions volontaires et statutaires.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est l’une de ces organisations indépendantes.

L’OMS est l’autorité directrice et de coordination des efforts visant à amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible. Son but est d’améliorer les perspectives d’avenir et la santé future pour toutes les populations du monde. La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité, comme le stipule la Constitution de l’OMS.

L’OMS obtient son financement de deux sources principales : les contributions fixées des États Membres (les cotisations des pays) et les contributions volontaires d’États Membres et d’autres partenaires.

Les contributions volontaires proviennent en grande partie d’États Membres, d’autres organisations des Nations Unies, d’organisations intergouvernementales, de fondations philanthropiques, du secteur privé et d’autres sources.

Parmi les fondations philanthropiques se trouvent notamment la Fondation Bill & Melinda Gates, qui , pour l’année 2021, tous sujets de subventions confondus, a donné 299.172.879 $

Alors que, par exemple, la France a donné pour l’exercice 2018/2019 : 0,9 million de dollars

Il apparaît donc que l’OMS reçoit en grande partie des financements privés.

D’autre part, si l’on consulte le site de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP), il apparaît que la Fondation Bill & Melinda Gates y figure depuis 2018.

Et notamment en 2020, pour « Promouvoir le rôle de l’aide publique au développement française vers les fonds multilatéraux de sante notamment dans le cadre de la réponse globale à la crise COVID » :

  • Type d’actions de représentation d’intérêts
  • Organiser des discussions informelles ou des réunions en tête-à-tête
  • Transmettre aux décideurs publics des informations, expertises dans un objectif de conviction Etablir une correspondance régulière (par courriel, par courrier…)
  • Catégorie de responsables publics
  • Collaborateur du Président de la République
  • Membre du Gouvernement ou membre de cabinet ministériel – Affaires sociales et santé, Economie et finances, Affaires étrangères et développement international

De ce fait, des membres du gouvernement français qui se soumettent en dépit de leur fonction régalienne à cette bande organisée qui terrorise les Français, les affaiblit psychologiquement et physiquement et mène des actes d’hostilité et des actes d’agression contre la France, doivent faire l’objet de plaintes pour intelligence avec l’ennemi.

Article 411-4 CP :

  • Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.

Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France. »

PDF de l’article

(qui n’inclut pas les PDF intermédiaires)