Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité

04/02/2022 (2022-02-04)

Par le Dr G Delépine

[Photo : PAUL CHILDS/REUTERS]

La Grande-Bretagne a été la pionnière des injections, initialement par Astra Zeneca dès décembre 2020. Quel bilan peut-on tirer 14 mois plus tard ?

Du point de vue vente de « vaccins », c’est un franc succès : au 25 janvier 2022, un total de 137 372 778 doses de « vaccin » a été administré à environ 68 millions d’habitants. Mais du point de vue sanitaire, c’est un échec sévère, tant sur la progression de l’épidémie, que sur la mortalité attribuée au Covid.

Échec total de la vaccination sur l’épidémie

Les injections n’ont pas du tout arrêté l’épidémie. Les deux mois qui ont suivi la campagne éclair d’inoculation ont été au contraire suivis d’une franche poussée d’infection passant de 15 000 cas quotidiens le 7 décembre 2020 à près de 60 000 cas le 10 janvier 2021.

Avant les injections Astra Zeneca, le 7/12/2020, après dix mois d’épidémie, la Grande-Bretagne recensait 1,74 million de contaminés. Deux mois plus tard, ce chiffre avait plus que doublé (3,95 millions).

L’incapacité des injections Astra Zeneca à protéger de la maladie et des contaminations a été spectaculairement illustrée par l’épidémie survenue à bord du Queen Elizabeth alors que la totalité des marins à bord était « vaccinée ».

Elle a été confirmée sur l’ensemble du pays et, en février 2022 le nombre de Britanniques contaminés atteint 16,37 millions, douze fois plus qu’avant les injections, comme le montre cette courbe des contaminations quotidiennes publiée par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Dans l’histoire de la médecine, aucun « vaccin » n’a connu un pareil échec. Mais il est vrai qu’il ne s’agit pas d’un vaccin selon la définition de Pasteur (composé d’antigènes provenant du virus tué ou inactivé), mais d’un médicament génique expérimental (comportant un ARN messager conduisant nos cellules à produire la protéine spike).

Devant ces faits indiscutables, comment les propagandistes de la pseudo vaccination peuvent-ils oser encore prétendre qu’être injecté protège les autres ? Il s’agit d’une publicité totalement mensongère.

Des injections incapables de diminuer, ni le risque de formes graves ni la mortalité

Constatant qu’il n’est plus crédible de dire que les pseudo vaccins protègent des contaminations, les propagandistes des laboratoires, les agences françaises et les médias prétendent qu’ils protégeraient des formes graves et diminueraient le risque d’être hospitalisé ou de mourir du Covid.

Mais les chiffres officiels de l’Office National des Statistiques anglais et israélien montrent que ce n’est pas vrai.

Fin décembre 2021, les hospitalisations en réanimation en Angleterre comptent un pourcentage de vaccinés égal à celui de la population générale.

Même phénomène en Écosse où la pseudo vaccination n’a pas diminué le nombre des hospitalisations, bien au contraire :

Les injections géniques ne diminuent donc pas le risque d’être hospitalisé ni celui d’être hospitalisé en réanimation.

Elles ne diminuent pas non plus le risque de mourir du Covid.

Du 1er février 2021 au 12 septembre 2021, en Angleterre, les non-vaccinés ne comptaient que pour 28 % des décès dus au covid, alors que les vaccinés regroupaient 72 % des décès.

Public Health Scotland confirme le même schéma d’échec vaccinal incapable de diminuer la mortalité Covid.

Du 14 août 2020 au 12 septembre 2020, avant toute injection, l’Écosse n’avait comptabilisé que sept décès liés au covid-19. Après avoir contraint une grande partie de la population à se faire vacciner, elle a enregistré 222 décès, au cours de la même période un an plus tard.

En Écosse, comme en Angleterre 80 % de ces décès surviennent chez les vaccinés.

Contrairement à ce que répète la propagande quotidienne que l’on subit en France, alimentée par des organismes dépendant de l’état qui cachent les données brutes, et les délibérations du conseil de défense, les données britanniques prouvent que la pseudo vaccination ne protège ni des formes graves ni de la mort attribuée au Covid19.

Qui sont les plus irresponsables ? Les vaccino prudents qui attendent de disposer des résultats définitifs des essais avant de prendre une décision ou ceux qui se flattent de les « emmerder » pour les forcer à accepter des injections expérimentales qui se sont révélées inefficaces sur la transmission de la maladie et ont généré beaucoup d’effets délétères ?

image_pdfPDF A4image_printImprimer

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

Un commentaire

  1. Une étude israélienne prouve le pouvoir de la vitamine D contre le COVID.

    S’appuyant sur des recherches antérieures, des scientifiques montrent un lien entre la carence en vitamine D, courante en Israël, et une forme grave de la maladie ou un décès.

     

    Des scientifiques israéliens affirment avoir réuni les preuves les plus convaincantes à ce jour qu’une augmentation des niveaux de vitamine D peut aider les patients atteints du COVID-19 à réduire le risque de contracter une forme grave de la maladie, ainsi que les risques de décès. 

    Le manque de vitamine D augmente de manière significative les niveaux de danger, ont-ils conclu dans une recherche récemment examinée par des pairs et publiée jeudi dans la revue PLOS One. [1]

    https://fr.timesofisrael.com/une-etude-israelienne-prouve-le-pouvoir-de-la-vitamine-d-contre-le-covid/

    The Times of Israël, le 04 février 2022.

    [1] Pre-infection 25-hydroxyvitamin D3 levels and association with severity of COVID-19 illness.

    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0263069

    PLOS One. Published: February 3, 2022.

     

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *