Covid-19 — L’art de raisonner juste sur des hypothèses fausses

[Source : https://micheldogna.fr]

[Illustration : des hypothèses fausses ne peuvent qu’entraîner des conclusions fausses.]

Par Michel Dogna

[Note de Joseph :

Syllogisme et sophisme

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». La théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable. (Voir aussi plus bas.)

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).]

Revenons début janvier 2020 à Wuhan : des gens tombent subitement morts en marchant dans la rue, d’autres meurent en quelques minutes d’une embolie pulmonaire, d’autres d’une crise cardiaque fatale… Panique !

Hypothèse officielle :

Un méchant coronavirus grippal nommé COV 19 échappé accidentellement du laboratoire P4 (haute sécurité expérimentale) de Wuhan — ceci agrémenté d’une histoire à dormir debout avec des pangolins et des chauves-souris…

Réalités associées :

  1. En décembre 2019 toute la population de Wuhan a reçu un vaccin obligatoire (déjà ARNmessager) contre la grippe, qui on le sait maintenant, a pour premier effet (confidentiellement classique) de faire chuter toutes les défenses immunitaires. Mais ce n’est pas tout, nous avons pu apprendre plus tard par la Dr Karen Kingston — ex-employée Pfizer, que ce vaccin avait été chargé d’oxyde de graphène nano – preuves à l’appui les factures du principal fabricant chinois qui attestent une très grosse vente aux grands labos à cette époque (revoir « Le grand secret de Pfizer » — news du 26 août 2021). On apprendra quelques mois plus tard par la Quinta Columna espagnole que tous les vaccins ARNm contiennent de l’oxyde de graphène qui génèrent des milliers de micro caillots sanguins. Ceux-ci ayant tendance à s’agglutiner occasionnent des thromboses subites, souvent fatales.
     
  2. 10 000 antennes relais 5G qui avaient été préalablement installées dans Wuhan ont été mises en service pile en même temps que l’alerte de l’hécatombe Corona Covid.
    Des études d’un laboratoire de recherche indépendant ont mis en évidence qu’une nouvelle fréquence porteuse 60 gigahertz de la 5G excite les atomes d’oxygène ambiant le rendant partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang — des pluies d’oiseaux et d’insectes morts en vol furent relatées à cette époque dans des journaux, ceci confirmant l’action asphyxiante du rayonnement 5G 60 gigahertz.
     
  3. On ne parle guère non plus de la protéine Spike des vaxx ARNm qui, à l’aide de l’hydrogel Darpa, s’invite à l’intérieur des cellules qu’elle rencontre, et embauche leur ARN pour la dupliquer à l’infini dans tout le corps — ceci endommageant gravement, voire mortellement, les réactions immunitaires face aux agressions des variants à venir. J’en reste là par souci de concision.

Arrêter de se tromper de cible

Nous avons là trois armes de destruction massive complémentaires et non répertoriées — puisqu’invisibles — qui ont permis de stigmatiser au départ le monde entier par des effets effrayants d’une soi-disant pandémie corona — car il fallait que personne ne comprenne l’origine top secret de la catastrophe. Oui il fallait un leurre, un faux drapeau pour détourner l’attention du public, et ce leurre a été le CoV 19 une simple grosse grippe que l’on a montée en mayonnaise, en interdisant tous les remèdes basiques efficaces.

Même la plupart des scientifiques s’y sont laissés prendre ! J’en suis aussi étonné que consterné, car je continue à voir encore maintenant au bout de deux ans, que parmi la plupart des « poids lourds » de la recherche et de la médecine, aucun, à part quelques rares « hors-pistes », ne relève la tête du guidon Covid/variants et ne prend en compte ce trio fatal « graphène/5G/spike ». Même chose dans la majorité des débats TV et vidéos !

On ne sort pas de ce mirage viral !!!

  • NOTA : savez-vous que tout vaxxé est sans le savoir porteur d’un identifiant détectable par un simple tél portable androïde ?

Quel est le rôle réel des 3, 4, 5e doses, dites « Boosters » ?

Nous avions vu que l’oxyde de graphène nano rend notre corps supraconducteur magnétique et électrique et en fait une excellente antenne. De son côté, la 5G sert de porteuse de télécommande pour programmer le corps (et éventuellement l’esprit) des vaxxés.
Mais nous avions vu aussi que le graphène rencontre des ennemis in situ, qui sont le L-Glutathion et possiblement les antidotes qui sont : la TM gemmo d’aiguille de pin et/ou le dioyde de chlore ClO²- – du Sanchlor. Donc, avec les semaines et les mois, les vaxxés s’appauvrissent en oxyde de graphène, ceci handicapant le contact radio de la 5G.

Considérez donc que les doses dites vaccinales anti-variants sont encore un joli mensonge — le seul but est de vous recharger en graphène pour entretenir le contact avec votre « maître » qu’est devenue la 5 G !

À titre de conclusion

  • Combien de temps va-t-on encore faire passer pour des vaccins, des soupes de Frankenstein qui ne sont faites que pour falsifier notre ARN puis notre ADN, ceci pour nous diminuer et non nous augmenter, nous blesser et non nous nous protéger, et faire des 10 % de survivants prévus « des robots » corvéables et jetables à souhait ?
     
  • Combien de temps va-t-on continuer à disserter à l’infini sur des chiffres et des statistiques contradictoires qui ne mènent qu’à des mesures de second ordre, autour d’un virus qui a vécu 70 jours comme tous les virus et qu’on n’a même jamais su isoler, ou de ses multiples variants aussi éphémères, vers un bourbier sans fin et sans solutions ?
     
  • Combien de millions de morts prématurées ou subites post vaccinales, combien de millions de grands-parents (les soi-disant inutiles), combien de millions de jeunes détruits physiquement et mentalement va-t-il falloir pour que le peuple sorte de sa torpeur disciplinée pour enfin, sans même avoir à se battre, DIRE ENSEMBLE NON A TOUT, ET ARRÊTER D’OBÉIR aux tyrans criminels ainsi qu’à leurs valets collabos profiteurs corrompus.
     
  • Rien ni personne ne peut faire quoique ce soit contre cela.
     
  • Nota : militaires, gendarmes et diverses forces de l’ordre n’attendent que cela pour se joindre au peuple et le soutenir.

[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


Articles liés à la thérie virale, la vaccination et la santé en général :

Quelques bons gros mensonges scientifiques
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
Coup de froid
Prendre sa santé en main
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Articles récents :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

Lire la suite]




Le député néerlandais Thierry Baudet évoque le rapport prophétique de la Fondation Rockefeller de 2010 qui déroule dans le détail le scénario de la pandémie actuelle

[Source : Le Libre Penseur]



[Voir aussi :
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]




Lettre ouverte à Macron, de Kaddour, auteur, compositeur, interprète de « Danser encore »

Par Kaddour

LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Monsieur l’« emmerdeur »,

J’espère que cette courte lettre arrivera jusqu’à vous. Je vous l’écris au moment où notre pays compte 300 000 contaminations par jour, ce qui représente 15 % des contaminations mondiales (2 millions par jour). 15 %, c’est incroyable ! Et cette réalité mathématique ne nous offre qu’une conclusion possible : votre pass sanitaire ne marche pas ! Depuis qu’il a été mis en place, le virus n’a jamais autant circulé dans notre pays. Et, en fin de compte, les seules choses auxquelles ce pass a porté atteinte, ce sont nos principes fondamentaux de liberté, d’égalité et de fraternité.

Vos interventions successives, le ton employé, les mots choisis, la logique du bouc émissaire pour tenter de vous exonérer de toute responsabilité, ont contribué à créer un climat de tension extrême, des divisions, des déchirures, de la rancœur, de la peur, de la haine entre les gens. Est-ce là ce que vous vouliez ? Vraiment ? Était-ce là votre objectif ? « Emmerder » ce que vous pensez être une minorité pour obtenir les faveurs d’une majorité ?

Je n’arrive pas à m’expliquer vos dérives sémantiques et comportementales, votre pensée serait-elle trop complexe pour le troubadour que je suis ? En tout état de cause, si je m’en tiens à ce qu’on m’a enseigné à l’école de la République : un Président ne devrait pas avoir envie d’emmerder ses concitoyens, il devrait avoir envie de les entendre, de les comprendre, de débattre honnêtement avec eux, de respecter leurs droits et leur dignité, même quand ils ne sont pas d’accord avec lui. Surtout quand ils n’ont enfreint aucune loi, dois-je vous le rappeler ?

Vous ne devriez pas insulter vos concitoyens, les dénigrer, les pointer du doigt, sans, qui plus est, leur offrir le moindre droit de réponse.

Il serait tellement plus simple et plus pratique pour vous, je le comprends bien, de pouvoir désigner des coupables sur mesure à cette épidémie sans fin. Ce qui permettrait, entre autres, de faire oublier que la France est un des seuls pays au monde qui a continué à fermer des lits d’hôpitaux ces deux dernières années. De livrer ces gens à la vindicte populaire, de leur ôter d’un mot, d’une formule, jusqu’à leur citoyenneté.

Mais la vie n’est pas ainsi faite Monsieur, il ne suffit pas de dire des choses infondées pour qu’elles deviennent d’un coup, comme par magie, réalités irréfutables. Quand bien même vos mots sont repris en boucle, vus et entendus des millions de fois, cela ne change rien à la réalité des choses : notre contrôle sur l’épidémie en cours est de fait très relatif et les gens sur qui vous jetez l’opprobre n’y sont pour rien. La seule chose que nous pouvons faire ensemble aujourd’hui, c’est de protéger les plus vulnérables d’entre nous, en continuant à vivre, le plus librement et le plus normalement possible ; en ne sacrifiant pas notre jeunesse, en ne sacrifiant pas nos espoirs de société unie et heureuse, raisonnable et vivante, solidaire et fraternelle. En ne sacrifiant pas ce qui fait de notre pays un pays libre et démocratique.

J’aurais aimé que nous traversions cette épreuve dans un climat de confiance, de bienveillance et d’honnêteté. Cela dépendait en premier lieu de vous, et le moins que l’on puisse dire c’est que par votre façon de faire et d’être, vous nous avez fait prendre un tout autre chemin.

Personnellement, je n’ai pas envie de vous « emmerder », d’ailleurs, je n’ai envie d’« emmerder » personne. Je me bats aujourd’hui, comme d’autres, pour ce que je considère essentiel, fondamental et précieux autant que noble : l’idée d’une société réellement démocratique, où l’invective et l’insulte ne font pas office d’arguments, et où la menace, l’intimidation et le chantage ne sont pas érigés en pratiques politiques courantes.

Pour ce qui nous concerne, nous allons dans les semaines qui viennent, continuer à essayer de maintenir du lien entre les gens, autant que possible. Je vous avoue que ce n’est pas une chose simple aujourd’hui, car on doit se battre contre un climat ambiant de profonde division que vous avez largement contribué à installer. Nous allons, à chaque fois que nous le pourrons, continuer à proposer des spectacles et des concerts pour toutes et tous sans exception, sans distinction et sans discrimination. Nous ne pensons pas qu’il y ait, dans notre public, des bons ou des mauvais citoyens, des sous-citoyens, des non-citoyens… Et vous pourrez, si vous le souhaitez, trouver une autre formule à notre sujet pour ajouter à une liste déjà longue : « fainéants », « non -essentiels », « irresponsables », « dangereux »…

Nous considérons pour notre part que ce que nous tâchons de faire dans ce moment particulier de notre histoire est d’utilité publique. Pour ne pas oublier qui nous sommes et qui nous voulons être en tant qu’individus, et en tant que société.




Les médecins en France ont reçu des consignes du gouvernement pour ne plus délivrer de certificat médical contre vaccination, car tous les enfants doivent être vaccinés…

[Ndlr : Information à confirmer.]

https://www.tiktok.com/@dimdim964/video/7050926645884112134



Un journal britannique publie les « chiffres officiels du scandale »

[Source : profession-gendarme.com]

Londres

Sur une page entière, un journal britannique publie les « chiffres officiels du scandale » des « blessés et morts » par vaccins !

Le journal anglais « The Cheltenham Post » publie le nombre de morts et de blessés, différenciés par diagnostic, région et marque du vaccin génocide !

Rapporte que 6 636 471 personnes ont subi des effets indésirables rien qu’au Royaume-Uni, dans l’Union Européenne et aux États-Unis :

  1. 636 471 personnes blessées et
    40 679 morts à cause du poison OGM.

C’est la conséquence :
que les « vaccins transgéniques » n’ont jamais été utilisés chez l’homme.
Qu’ils ne sont « pas approuvés », mais ont été « approuvés pour une utilisation d’urgence ».

[Ndlr : ceci avec seulement 1 à 10 % des effets indésirables et des décès rapportés, selon le journal.]

Georges Bernanos
“Le divin monstre de la littérature française”
1888 – 1948

« Je pense depuis longtemps déjà que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles de la vengeance qu’elle s’attire… mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. »

Georges Bernanos




Les Secrets du magazine « The Economist : The World ahead 2022 »

[Source : Éditions fractales]




François Asselineau : « Si je suis élu, je supprime le passe sanitaire et le passe vaccinal »

[Source : Sud Radio]




Soutien à Novak Djokovic

[Source : olivierdemeulenaere.wordpress.com]

« Novak est en prison ! Ils veulent l’humilier ! C’est un combat qui concerne le monde entier ! »

Par Olivier Demeulenaere

Cette affaire incroyable, qui a viré à l’affrontement diplomatique entre la Serbie et l’Australie, s’explique par au moins deux raisons :

  1. Novak Djokovic a exprimé dès le début son opposition à la “vaccination” obligatoire et dérange donc fortement la secte mondialiste.
  2. Il est chrétien orthodoxe et ne cache pas ses convictions religieuses. OD

[Source : @LeLibrePenseur.org]




[Source : lemediaen442.fr]

Réagissant à l’affaire Djokovic, le champion du monde de surf Kelly Slater dénonce la mort de 5 proches suite à l’injection

Les langues se délient ! Exempté de vaccination, «  Novak Djokovic participera à l’Open d’Australie et est en route pour l’Australie. Djokovic a demandé une exemption médicale qui a été accordée…  », avait écrit la Fédération australienne de tennis. Pourtant, depuis le 6 janvier, le numéro 1 mondial est à l’isolement dans un hôtel de Melbourne. Il est suspecté de ne pas remplir les obligations sanitaires exigées pour entrer dans le pays.

Il semble que Scott Morrison, Premier ministre australien, a reçu les mêmes consignes que Macron : emmerder les non-vaccinés. Une affaire qui prend des airs d’incident diplomatique. Le président serbe Alexsandar Vucic — qui accuse l’Australie de harcèlement — s’est entretenu avec le joueur.  Il a déclaré sur Instagram : « Je viens de terminer une conversation téléphonique avec Novak Djokovic. J’ai dit à notre Novak que toute la Serbie était avec lui et que nos autorités prenaient toutes les mesures pour arrêter le harcèlement du meilleur joueur de tennis du monde dans les plus brefs délais. Conformément à toutes les normes du droit international public, la Serbie se battra pour Novak Djokovic, pour la justice et la vérité. Soit dit en passant, Novak est fort, comme nous le connaissons tous. »

Novak Djokovic peut compter sur un soutien de taille avec le surfeur professionnel Kelly Slater, champion du monde à onze reprises. L’homme au plus gros palmarès de toute l’histoire du surf répondait sur Instagram sous la publication du New York Times concernant l’affaire Novak Djokovic : « Peut-être que le syndrome de Stockholm peut être renommé syndrome de Melbourne. C’est très triste de voir comment les vaccinés “vertueux” célèbrent la division. Si vous êtes vacciné, pourquoi vous souciez-vous du statut vaccinal des autres ? Le vaccin ne vous protège pas ? Peut-être avez-vous peur d’attraper le covid ou êtes-vous en colère de vous être vacciné ? Trop de lavage de cerveau et de haine dans le cœur des gens concernant la vaccination. »

Kelly Slater va beaucoup plus loin puisqu’il assure que « cinq connaissances sont décédées dans les deux semaines après l’injection du vaccin, deux ont été autopsiées et les familles en sont convaincues, mais les médecins disent que c’est pure coïncidence ». « J’ai le droit de remettre en question tout ce qui est relatif à mon corps, surtout avec quelque chose qui a touché plusieurs amis et qui en a même tué certains. »

Message de Kelly Slater sur Instagram

Une chose est certaine, face à l’attaque directe contre Novak Djokovic, une fronde s’organise, les esprits s’échauffent, le ras le bol devient insupportable. La colère bouillonne contre les mesures sanitaires que les peuples trouvent de plus en plus stupides et dictatoriales concernant un virus qui tue essentiellement les plus de 79 ans.

Le Média en 4-4-2




Réaction du peuple allemand à l’escroquerie vaccinale covidienne

[Source : Silvano Trotta Officiel]






Pfizer – La plus grande escroquerie mondiale détricotée !

[Source : @ExcaliburTraduction]

Voici les preuves implacables, dans une présentation brillante qui démontre, de façon très simple et accessible à tous, à quel point les études de Pfizer sont truquées du début à la fin, avec la complicité des autorités sanitaires, politiques et des médias.
Cet exposé doit devenir viral à l’heure des discussions sur le pass vaccinal. Le monde entier doit connaître la vérité !

Version PDF de la présentation :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/wp-content/uploads/2021/12/The-COVID-19-Inoculations-More-Harm-Than-Good-REV-Dec-16-2021.pdf

Vidéo originale sur le site de Canadian Covid Care Alliance :
https://www.canadiancovidcarealliance.org/

Vidéo sur les sportifs :
https://rumble.com/vpnxkr-are-these-side-effects-extremely-rare.html

Article sur les sportifs décédés ou malades suite aux injections :
https://report24.news/ab-13-jahren-lange-liste-ploetzlich-verstorbener-oder-schwerkranker-sportler/






Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés

[Source : Ciel Voilé]

Par Henri

Évidemment, c’est quelque chose d’énorme et qui devrait véritablement interpeller les gens, vaccinés ou pas. Mais il n’en n’est rien, les gens, dans leur majorité, même beaucoup de scientifiques, FUIENT ou se défaussent lorsque vous leur parlez de ça, alors qu’ils pourraient souvent le vérifier eux-mêmes. C’est donc bien une question de morale et non de capacité intellectuelle.

Attention ! Ça ne « marche pas » avec tous les vaccinés, seulement environ un sur deux selon mes observations personnelles. Ni avec tous les téléphones. L’un de ceux avec lesquels ça marche le mieux est le Xiaomi Redmi note 8 (150€) à condition d’activer l’affichage des périphériques BT sans nom. D’autres précisions sont données sur le site « de la dent bleue » indiqué plus bas.

De plus, comme l’expose plus ou moins clairement Me Brusa, les codes reçus changent tous les quarts d’heure environ. Ces codes ne sont PAS les adresses MAC des « périphériques-injectés », mais des adresses fictives qui masquent la véritable adresse du sujet, qui, elle, est fixe bien-sûr. Elle se déduit des adresses apparentes au moyen d’un décryptage dont la clé serait à demander à Big Brother. Ce système est classique et exposé dans une norme IEEE.

L’affaire a été relancée plusieurs fois ici-même et sur Profession Gendarme, mais ça ne « mord pas ». Il ne faut pas s’en étonner lorsque l’on pense que le simple constat visuel de la réalité des chemtrails donne lieu au même négationnisme, alors qu’il y a en plus ici une manipulation technique à effectuer.

Donnons une fois de plus les URL des sites clés sur le sujet, mais sans se faire d’illusions. Il est vrai que la rapidité de succession des thèmes abordés sur les blogs a pour effet de tout déclasser et d’enraciner les gens dans la culture de l’éphémère, plus encore lorsqu’ils regardent les sites sur un téléphone, instrument de l’éphémère par excellence puisqu’ils ne peuvent pas prendre de notes ni véritablement travailler sur les pages regardées (et non étudiées). Encore heureux s’ils ne font pas autre chose en même temps.

Le site de base est :

https://lmdb.ouvaton.org/doku.php?id=accueil

Il faut tout lire attentivement et ouvrir les liens. Les expériences relatées (et qui passent rapidement dans Hold On) ont été conduites par un pro, un expert en sécurité des réseaux, pas par un dilettante.

Le compte-rendu des expériences conduites tout-à-fait rigoureusement se trouve ici :

https://lmdb.ouvaton.org/lib/exe/fetch.php?media=2021_11_-_projet-bluetooth-experience-fr.pdf

Toutefois, on ne peut être véritablement convaincu que si l’on comprend ou du moins commence à comprendre comment, physiquement, ce phénomène inouï et inédit est possible. Disons tout de suite que les ingénieurs ayant fait leurs études il y a plus d’une quinzaine d’années et qui n’ont été en contact depuis leur sortie de l’école ni avec les nanoparticules ni avec le graphène, lesquels possèdent des propriétés totalement différentes des macro-matéraiux classiques, vont tomber de haut. Et pourtant …

Donc, pour savoir, au moins un peu, comment ça marche, c’est ici :

https://corona2inspect.blogspot.com/

Là encore, bien-entendu, il faut ouvrir les liens. On peut en général utiliser la traduction Google intégrée au site, mais elle se met en grève pour traduire les articles les plus explosifs (mais pas DeepL, procéder par copier-coller partiels successifs compte-tenu de la limitation de la version gratuite). Un minimum de connaissances en physique / électronique sont nécessaires pour suivre.

N.B. Depuis ce site espagnol, apparaissent des liens vers la Quinta Columna. Ils ne concernent pas directement le sujet abordé ici. Je le signale car si cette équipe de valeur a mené des recherches très fructueuses sur les éléments de graphène bizarres contenus dans les vaccins, à mon avis, elle est sorti de son domaine et s’est fourvoyée en affirmant l’inexistence d’un virus du covid. Je m’en désolidarise sur ce point mais c’est sans incidence sur le reste de leurs travaux (les « nageurs », etc.).

Voilà l’essentiel est dit. Celles et ceux qui veulent mordre peuvent partir des renseignements qui précèdent. Dans l’espoir que ça serve au moins à une personne !


[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants]




Un système d’esclavage à tous les étages

[Source : @quantumleaptraduction]



[Voir aussi :
Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »]




Les chroniqueurs de TPMP changent de position sur les vaccins

[Source : LLP]

Les chroniqueurs, qui étaient pour la vaccination notamment celles des enfants, sont en train de changer de position aujourd’hui à cause clairement de la faillite de la politique vaccinale et de l’explosion spectaculaire des cas positifs. De plus, que penser d’une chroniqueuse qui va se faire vacciner et qui est en pleurs, c’est contraire à toutes les bases de la déontologie, c’est du jamais vu dans l’histoire humaine. Comment un médecin peut-il vacciner une personne qui n’en veut pas et qui pleure face à lui, terrorisée par l’injection ?! Comment est-ce possible ! Une chose est certaine, aucun des chroniqueurs parents ne veut vacciner ses enfants, à l’instar du Dr Martin Blachier.






Pour rejoindre le paradis, en Allemagne il faut un schéma vaccinal complet

Par Nicole Delépine

Longue vie aux non-vaxx !

Comme dit Pascal Praud chaque soir maintenant sur CNews : « ils sont tous devenus fous ! ils sont cinglés, etc.. »

On est heureux de sa prise de conscience (un peu tardive, mais mieux que rien) parallèle à celle de son invité médical préféré, Martin Blachier. Tous deux nous saoulaient, en temps de croyance au scénario Covid, avec des « il faut sauver des vies ». Maintenant ils ont compris qu’il faut sauver des doses bientôt périmées et des bourses bien pleines de Big Pharma et affidés, et tiennent des discours plus logiques.

Mais attention prévenez-les, la Bourse baisse pour les marchands de vaccin (vilain Omicron)…

Mais là, avec le schéma vaccinal complet, plus un test éventuellement, pour obtenir l’euthanasie, le summum du ridicule, de la folie, de l’intoxication sur le danger de ce petit virus si sensible aux antipaludéens et aux macrolides, dépasse ce qu’on aurait pu imaginer.

Si vous ne croyez pas (je vous comprendrais) lisez quelques extraits hilarants de ce papier venu d’Allemagne dans un sujet pourtant habituellement délicat(([1] Publié le 3 Jan, 2022 Gènéthique magazine))

En Allemagne, l’association Verein Sterbehilfe pratiquant l’euthanasie est catégorique : elle ne recevra pas de clients non vaccinés contre le Covid.(([2] Depuis 2020, le suicide assisté est effectivement légal en Allemagne. Son interdit a été déclaré inconstitutionnel par le Tribunal constitutionnel fédéral. Il s’agirait de protéger le « droit à disposer librement de soi face à sa mort ». L’assistance au suicide est également légale. En mai 2021, deux propositions de loi allant en ce sens ont été déposées au Parlement. Elles ouvriraient l’euthanasie largement, sans se limiter aux personnes en fin de vie.))

Ainsi, pour être euthanasié, il faut présenter un schéma vaccinal complet. La raison (?) invoquée : le « contact humain » nécessaire lors de l’acte d’euthanasie entre les prestataires et le client. Un test devra être effectué avant la « rencontre rapprochée dans un espace confiné ». Donc, ils savent que le pseudovax ne protège pas de la contamination. À leur place, j’aurais plutôt peur de choper la protéine spike provenant des vaxxinés, mais ils ne doivent pas avoir lu les bons auteurs.

Évidemment des twittos ayant découvert le pass à l’allemande (Castex et Macron vont être jaloux) n’ont pas manqué de rivaliser d’imagination : « Pass vaccinal pour l’au-delà », « quand le ridicule ne tue plus », « vous pourriez avoir un peu de chance et éviter de payer pour l’euthanasie si vous mourez du vaccin lui-même ».

Exercez-vous, on doit trouver mieux et on reprendra vos propositions dans un autre article. Vu les temps qui courent, il ne faut pas bouder son plaisir et rire un peu, c’est bon pour l’immunité.

« Avec ses recommandations, Verein Sterbehilfe ne craint pas le paradoxe : mourir de façon choisie, en ayant pris soin de ne pas mourir d’autre chose. Disposer de son corps pour être euthanasié, mais se laisser imposer la vaccination. »

Décidément les psychiatres et tous professionnels du domaine ont du pain sur la planche pour des décennies.




La bénignité du variant Omicron inquiète la Bourse ! Omicron, le cadeau de Noël anti-covid pour l’Humanité

Par Gérard Delépine

Depuis l’apparition d’Omicron en Afrique du Sud, le nombre de cas journaliers a flambé touchant autant les vaccinés complets que les non-vaccinés démontrant ainsi que les pseudo vaccins actuels ne protègent pas d’Omicron.

Selon une étude pré publiée fin décembre dans The Lancet, seulement 5 % des personnes infectées ont été hospitalisées, dont 29 % pour des symptômes sévères. En même temps la mortalité quotidienne s’effondrait avec une moyenne de 0,84/million sur le dernier mois.

Le 31/12/2021 le ministre Mondli Gungubele a déclaré : « selon nos experts, Omicron a atteint son pic sans se traduire par un changement significatif ou alarmant concernant le nombre d’hospitalisations ». Le gouvernement sud-africain a levé le couvre-feu et les établissements de nuit ont repris un fonctionnement normal(([1] Omicron : South Africa says fourth wave peak has passed as it lifts curfew BMJ 2022; 376 doi: 07 https://doi.org/10.1136/bmj.o7)). Et cette évolution très favorable ne peut pas être attribuée aux pseudo-vaccins très peu utilisés ici (<30 %).

Même phénomène en Grande-Bretagne où l’explosion Omicron, avec près de 200 000 cas quotidiens remplace progressivement le variant delta.

Cette progression d’Omicron s’accompagne d’une baisse nette de la mortalité quotidienne attribuée au covid19 avec une moyenne de 110/J (1,62/million) en décembre 2021.

Philippe Froguel, professeur à l’Imperial College de Londres, explique qu’il n’y a « pas d’augmentation de nombre de morts et une très faible hausse des gens en réanimation». Le professeur David Livermore, microbiologiste de l’University East Anglia a d’ailleurs déclaré « nous devons accueillir avec bienveillance Omicron qui chasse les souches précédentes ».

Au Canada, dans l’état d’Ontario une étude(([2] Ulloa, A. C., Buchan, S. A., Daneman, N., & Brown, K. A. (2021). Early estimates of SARS-CoV-2 Omicron variant severity based on a matched cohort study, Ontario, Canada. medRxiv. doi:10.1101/2021.12.24.21268382. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.24.21268382v2.)) a récemment comparé l’évolution de 6,314 cas d’Omicron au même nombre d’infectés Delta comparables entre le 22 novembre et le 17 décembre 2021. Les 6,314 cas d’Omicron ont donné lieu à 21 hospitalisations (0,3 %) et aucun mort alors que les infectés delta ont nécessité 116 hospitalisations (2,2 %) aboutissant à 7 décès (0,3 %).

En Allemagne où plus de 73 % de la population a reçu des injections anti-covid, l’épidémie est repartie de plus belle confirmant l’inefficacité des pseudo vaccins qui pourraient même favoriser l’infection par Omicron d’après un relevé récent de l’institut Koch. Mais la progression d’Omicron est suivie d’une diminution de la mortalité quotidienne.

En France, les derniers chiffres de Santé publique France confirment la bénignité d’Omicron : sur 338 cas confirmés d’Omicron, seules cinq personnes issues de ce groupe de malades ont été hospitalisées, alors même que trois de ces patients n’étaient pas vaccinés, et aucun n’a nécessité de séjour en réanimation.

Au total, dans tous les pays qui ont été ou sont encore affectés par Omicron, les médecins soulignent qu’il est plus souvent asymptomatique ou très peu symptomatique, se manifestant comme un gros rhume, sans les atteintes bronchiques et pulmonaires des souches précédentes.

Et l’immunité naturelle obtenue après la guérison d’Omicron paraît être aussi efficace que celle obtenue avec les autres virus (immunité naturelle totale et définitive : on ne fait jamais deux fois les oreillons, ni la rougeole, ni la polio…).

Revenons aux origines de la vaccination

Le père de la vaccination est Edward Jenner, médecin de campagne anglais qui eut l’idée en 1796 d’inoculer des volontaires avec le virus de la vaccine. Cette maladie infectait les vaches et protégeait les vachères qui les trayaient de la variole, grave pandémie de l’époque qui tuait plus de 30 % des malades. Il a ainsi inventé et donné son nom à la vaccination.

Omicron qui n’est guère plus dangereux que la vaccine paraît pouvoir représenter la vaccine du Covid et sa dissémination rapide devoir sonner la fin de l’épidémie.

La Bourse ne s’y trompe pas et Omicron fait baisser le cours des entreprises des vaccins

Pour deviner les résultats non publiés d’un essai de nouveau médicament, nous avons souvent regardé l’évolution des cours de bourse ; lorsque les résultats de l’essai sont favorables, le cours du laboratoire fabricant s’envole, alors qu’il baisse si les résultats préliminaires, le contexte et les espoirs de vente sont médiocres.

La Bourse montre qu’elle pense que l’arrivée d’Omicron va diminuer le marché des vaccins anticovid et les cours de Pfizer, de Moderna et de Valneva chutent.

Valneva avait gagné plus de 200 % ces deux dernières années grâce aux espoirs qu’avaient suscités son candidat vaccin contre le COVID-19 en cours d’examen par l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Mais les études montrant la bénignité d’Omicron qui supplante actuellement les autres souches, font craindre aux investisseurs que le besoin en vaccins devienne moins important en 2022, avec l’arrêt de nouvelle campagne de vaccination et pousse à la baisse les cours de Pfizer et encore davantage ceux de Moderna.

Comme quoi le bonheur des populations peut faire le malheur des investisseurs !





La régression morale, politique et intellectuelle s’accentue

Par Lucien Oulahbib

Au fur et à mesure que la campagne hygiéniste échoue, elle dévoile, peut-être sans le vouloir et sous les coups de boutoir des variants fabriqués par l’injection, qu’il s’agit à la fois d’une mascarade affairiste (avec quatre shoots annuels et bientôt six…). Mais aussi, et surtout, un voile sans doute se déchire, celui d’une stratégie cynique (monstrueuse) de manipulation plastique des chairs humaines singulières pour en faire de la chair à canon expérimentale afin de calibrer la fabrication meccano de corps industriels standards : interchangeables, sans (cent) identité, nationalité, âme ni conscience.

Alors, le fait que la cohorte des non injectés devienne un groupe témoin gênant et doive donc être éliminée « quoiqu’il en coûte », comme l’analyse le Courrier des Stratèges, n’est pas à prendre à la légère. De même que cette volonté affichée par l’OMS de vouloir injecter la planète entière, puisque selon la même antienne portée par les éléments « français » VS (Vigilance Sécuritaire) ce serait aussi « à cause » des nations non injectées, en particulier les moins « développées », que « LE » virus prospérerait, se rechargerait, avant de foncer sur les contrées pourtant hyper injectées.

Ainsi, de même que les belles âmes léninistes excusaient la faillite du « socialisme réel » parce qu’il n’avait pas pu s’étendre sur la planète entière (Deleuze racontait cette curiosité théorique), de même les seconds couteaux de la Vulgate scientiste hygiéniste avalent — surtout lorsqu’ils sont de « gauche » — leur aversion originelle pour l’affairisme affiché afin de participer (tout en se pinçant le nez pour certains) à l’effacement feutré, ici brutal, là du réel antinomique. Le tout est réalisé au profit d’un trompe-l’œil digne des miniatures moyenâgeuses qui mettent minutieusement en scène la place de Grève sur laquelle divers instruments de torture étaient instruits au vu de tous qui les admiraient (sous injonction paradoxale) : mise au pilori, roue, écartèlement, chaux, décapitation, pendaison. Ceci se fait dans leurs versions « modernes », bien sûr, que sont le passage à tabac médiatique et la mort sociale, en amorce du stade supérieur déjà là en nuées de moins en moins lointaines : amendes, incarcérations (mentales, fiscales, sanitaires), en attendant pis…

Tout s’accélère. Et de plus en plus, alors que les chiffres montrent bien plus les dégâts des injections que le contraire, en particulier pour les plus jeunes, tandis que pour les anciens nombre d’exemples montrent que les traitements précoces et préventifs marchent de mieux en mieux.

Ce qui fait que les prothèses chargées de la propagande restent « sans voix » lors de « débats » ou tentent des plaisanteries de corps de garde ou de piliers de comptoir (« j’ai envie d’emmerder jusqu’au bout »), des propos de « tapettes » qui autrefois se faisait écrabouiller à la récré ou dans les guinguettes tant ils suintent le vice des tordus façon scorpion piquant tout de même la grenouille qui avait pourtant accepté de le sauver de la noyade, car telle est sa « nature ». Une tapette est cet entre-deux mauvais qui, petit, massacrait les fourmis ou arrachait les fleurs (mets un kleenex ou un chewing-gum dans les pissotières) et qui aujourd’hui veut piquer tout vivant afin de lui montrer « la Voie »…

Il s’agit de la plus grande expérimentation de manipulation génétique, mentale, morale, politique, économique qui n’ait jamais existé puisqu’il n’y a même plus un monde « libre » pour s’y opposer.

D’où la nécessité non seulement de se hisser à hauteur de jeu, mais d’être en avance de plusieurs coups façon échec et go réunis face à cette régression morale, politique, et intellectuelle inédite…




Prévisions 2022 – Un feu de poubelle à la frontière d’un âge sombre

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par James Howard Kunstler – Le 31 Décembre 2021 – Source kunstler.com

Si 2021 a été l’année de la corruption maximale, de la décadence politique et de la folie dans l’histoire des États-Unis, 2022 ressemblera à un retour convulsif aux rigueurs déchirantes de la réalité, avec des pertes choquantes, des comptes à rendre, et pas mal de châtiments pour les voyous et les réprouvés qui ont conduit notre pays dans le fossé. Les dilemmes abondent maintenant dans les décombres de l’économie, de la culture et de la politique. Les années où « tout va et rien ne compte » sont terminées – même si vous ne le savez peut-être pas encore, à l’aube du vingt-deuxième siècle. Bienvenue au banquet des conséquences. La soupe est servie !

Le peuple américain s’est fait avoir à l’envers et à l’endroit, à l’intérieur et à l’extérieur, en travers et de tout côté, et de haut en bas ; poussé au bord du suicide national par une combinaison d’ennemis à l’intérieur et à l’extérieur. Si le PCC de la Chine voulait tirer le maximum d’avantages d’une Amérique affaiblie et confuse, il n’aurait pas pu trouver de partenaires plus zélés que le séditieux Parti démocrate et le Dr. Anthony Fauci, les entreprises pharmaceutiques meurtrières, les médias malhonnêtes et imprudents, et une foule démoniaque d’agences fédérales, en particulier la « communauté des renseignements » avec ses trois zélateurs – la CIA (Moe), le DOJ (Larry), le FBI (Curley) – plus les nombreuses chambres d’horreur secrètes du Pentagone. Ajoutez à cela les tyrans de Big Tech, les mandarins marxistes des campus et les narcissiques sataniques d’Hollywood. Oh, et n’oublions pas la principauté maléfique de l’arnaque et de l’escroquerie qu’est Wall Street.

Nous ne savons toujours pas exactement quel rôle le PCC et son Armée de libération du peuple ont joué dans les origines de la Covid-19, et nous ne le savons pas parce que le gouvernement américain ne veut pas que nous le sachions – parce qu’il a joué un rôle dans cette affaire – et les médias d’information ne lèveront pas le petit doigt pour le découvrir non plus, parce qu’ils sont le bras propagandiste du régime au pouvoir. Nous en savons beaucoup sur les opérations du Dr Fauci et de ses collègues qui ont financé le développement du virus à Wuhan dans le but d’introduire une série de « vaccins » extrêmement rentables qui, en fait, ont prolongé et exacerbé la pandémie, et ont blessé ou tué des millions de personnes dans le monde entier.

Nous savons également que ce même groupe d’acteurs de la santé publique et de Big Pharma ont truqué les essais cliniques qui ont précédé les autorisations d’utilisation d’urgence qui ont permis de libérer les « vaccins » sur la population, et qu’il a délibérément entravé et supprimé des traitements éprouvés avec des médicaments bon marché et hors brevet qui auraient sauvé des centaines de milliers de vies s’ils avaient été autorisés dans le cadre des soi-disant normes de pratique qui régissent la médecine de nos jours. La même bande a truqué ses rapports statistiques chaque fois que cela était possible, notamment en ne réparant pas le site web VAERS du CDC, qui ne fonctionne pas bien, pour répertorier les réactions indésirables aux « vaccins », mais aussi en créant des conditions qui rendent impossible de distinguer les décès réels dus à la Covid-19 des décès dus aux « vaccins », et des décès causés par des comorbidités ou des événements extérieurs tels que des accidents de la route ou des meurtres par balle.

En 2021, une montagne de preuves a été accumulée sur tous ces méfaits criminels, couronnée par l’énorme livre de Robert F. Kennedy Jr. sur la carrière impie du Dr Fauci à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), un manuel d’accusation virtuel, méticuleusement annoté, qui sera utilisé dans d’innombrables procès contre le Dr Fauci, ses collègues qui lui survivent, et les nombreuses agences et ONG – et peut-être dans les procès criminels de ces criminels très connus.

Voilà où en sont les choses au tournant de la nouvelle année 2022. Qui ne veut pas savoir ce que ce jeu historique va devenir ? Beaucoup de scénarios changent rapidement. Il est évident que l’administration « Joe Biden » veut faire durer la pandémie au moins une année de plus, notamment pour maintenir en place l’arnaque des bulletins de vote par correspondance « d’urgence » qui a perverti les élections de 2020. Mais plus de la moitié du pays a compris cette escroquerie et je prédis que des règles de vote plus rigoureuses seront mises en place – ou, si ces réformes rencontrent une résistance, une bataille si féroce que les élections pourraient même ne pas avoir lieu à la date prévue.

À l’heure actuelle, trop d’Américains en ont déjà assez d’être bousculés par des fonctionnaires censés agir pour leur bien. Ils voient clair dans les méfaits du racket de la Covid-19. Ils ont assisté au viol de l’intérêt public. Ils comprennent que les « vaccins » sont une expérience désastreuse menée en toute illégalité. Ils ont été témoins des dommages causés à eux-mêmes et à leurs proches. Ils sont consternés par le détournement de la science par des gens aussi profanes sur le plan scientifique que les nécromanciens, les astrologues et les inquisiteurs d’antan.

Ils ne se soumettront plus à aucun confinement, à aucune tentative d’interférence et de destruction des petites entreprises. Ils en ont assez des manigances raciales et sexistes qui ont désorganisé la société, ruiné des villes déjà en difficulté, travesti le principe de base de la sécurité publique et forcé les gens à faire semblant autour d’une psychopathologie et d’une dépravation évidentes. Ils ne vont plus jouer le jeu. Ils vont résister et se battre – dans les conseils municipaux, dans les commissions scolaires, dans les tribunaux, et sur les champs de bataille, s’il faut en arriver là.

La pandémie du vieil homme

Il a continué à rouler. Le variant Omicron du coronavirus, moins létal mais plus infectieux, qui déchire actuellement les populations mondiales, semble indiquer que la fin de ce mélodrame vicieux est en vue. Prédisons que la phase de maladie proprement dite de la Covid-19 s’éteindra d’elle-même au plus tard au printemps, à moins que les acteurs malveillants ne disposent d’autres monstres cultivés en laboratoire qu’ils peuvent lâcher dans la population générale dès qu’ils en ont envie. Mais les effets néfastes installés par ces démons dans les vaccins continueront à tuer et à handicaper les gens pendant longtemps.

Nous savons que les protéines de pointe ont été observées cliniquement dans le corps humain jusqu’à quinze mois après une injection d’ARNm, et qu’elles provoquent de nombreux dommages aux vaisseaux sanguins, aux organes et au système immunitaire. Nous venons tout juste de célébrer le premier anniversaire des vaccins – sans compter que des millions de personnes ont reçu des injections supplémentaires et des rappels jusqu’à cette semaine – de sorte que ces protéines de pointe nocives continueront à exercer leur influence pendant toute l’année 2022 et au-delà.

Comme l’a récemment averti le médecin thaïlandais et allemand Sucharit Bhakdi, l’affaiblissement du système immunitaire des personnes vaccinées pourrait provoquer une résurgence à grande échelle de maladies mortelles ancestrales, comme la tuberculose, qui sont toujours présentes en petites quantités dans notre organisme et qui sont généralement supprimées. Les populations d’Asie et d’Afrique sont particulièrement vulnérables car l’assainissement public et l’eau potable y sont plus sommaires. Les vaccins provoqueraient également l’expression de cancers latents, notamment chez les personnes en rémission. La mortalité due aux vaccins pourrait finalement être plus importante que les décès dus au virus lui-même.

En arrière-plan de tout cela se cache cette prédiction inquiétante faite par la société d’analyse militaire Deagel il y a plusieurs années, qui estimait que la population des États-Unis s’effondrerait à 99 millions d’habitants en 2025, contre plus de 330 millions actuellement. Deagel n’a jamais expliqué cela, et ils ont retiré leur page web l’année dernière lorsque leurs prévisions alarmantes ont soudainement commencé à sembler plausibles. Je dis ça comme ça.

Quoi qu’il en soit, l’épisode Covid-19 va bouleverser la vie de plusieurs millions de personnes, en particulier dans les nations de la civilisation occidentale, qui ont été les plus durement touchées en termes de politique gouvernementale autodestructrice. La pandémie a accéléré l’effondrement des économies industrielles, un processus que j’appelle la longue urgence, et qui finira par affecter toutes les nations, même si l’Occident est le premier à sombrer. Les sociétés seront propulsées dans une période de désordre, sûrement plus longue et plus difficile dans certains endroits que d’autres, en fonction des ressources locales. La destination de ce voyage est un endroit où le projet humain est mené à une échelle et à un niveau bien inférieurs à ceux auxquels nous nous sommes habitués à notre époque, avec beaucoup moins de confort et de commodités « modernes », et des pertes choquantes en matière de connaissances et de sciences appliquées. Ce ne sera pas la première fois que cela se produit dans l’histoire de l’humanité, mais les dégâts seront beaucoup plus importants.

Économie, finances et argent

Notre économie est liée à nos ressources énergétiques. Le modèle économique qui consiste à fournir des combustibles fossiles à l’économie mondiale est brisé à bien des égards, et par conséquent, le modèle économique d’une économie de production industrielle de haute technologie est également brisé. L’industrie du pétrole de schiste a été lancée à la faveur d’une marée haute de financements à coûts quasi nuls et, depuis dix ans, elle a produit une énorme quantité de pétrole (bien qu’elle ne soit pas de première qualité, manquant de distillats lourds comme le diesel et le fioul domestique). Dans le processus, les producteurs de pétrole de schiste ont prouvé qu’ils ne pouvaient pas gagner de l’argent avec ces opérations très coûteuses, et nous entrons maintenant dans une période de pénurie de capital qui leur rendra plus difficile d’attirer de nouveaux investissements et de continuer à performer. En outre, ils sont en train d’épuiser les « points chauds » pour le forage et la fracturation.

Ce qui reste après avoir soustrait le pétrole de schiste, ce sont les champs conventionnels qui étaient en fort déclin en 2008, lorsque la campagne de schiste a commencé. En 2022, la production pétrolière américaine devrait tomber en dessous de 9 millions de barils par jour. Nous consommons un peu moins de 20 millions de barils par jour et importons la différence. Vous auriez toutes les raisons de penser qu’une scène mondiale plus désordonnée pourrait interférer avec nos importations de pétrole en 2022. Il faut s’attendre à ce que la consommation baisse également, à mesure que l’activité économique s’affaiblit. Prévoyons une baisse de la consommation à 15 millions de barils par jour. Les marchés pétroliers seront donc désordonnés, avec une oscillation des prix, car les pénuries et la destruction de la demande se poussent et se tirent mutuellement. Rappelez-vous l’équation de base : un pétrole supérieur à 75 dollars le baril affaiblit les économies ; un pétrole inférieur à 75 dollars le baril écrase les compagnies pétrolières.

L’espoir persiste que nous pouvons faire fonctionner les systèmes complexes de la vie moderne avec des sources d’énergie alternatives, mais ce souhait ne se concrétise pas. La prise de conscience de ce fait se répandra dans la société occidentale en 2022 et créera davantage d’anxiété, de pensées désordonnées, de comportements sectaires et d’effondrement des normes sociales. Pour l’instant, l’arène publique est entièrement occupée par la psychose collective qui a d’abord éclaté autour de Donald Trump, puis s’est déplacée vers la Covid-19. Le stress et la tension de ces dynamiques démoralisantes pourraient conduire en 2022 à l’éclatement d’une violence politique qui rendra encore plus difficile l’obtention d’un consensus sur une façon de sortir de nos dilemmes économiques.

Acceptons de comprimer notre histoire économique récente, puisque je l’ai répétée de nombreuses fois dans les articles hebdomadaires du blog Clusterfuck Nation : Nous avons remplacé nos activités de fabrication de biens sur le terrain par ce que l’on appelle la financiarisation, essentiellement la fabrication de dettes – emprunter à l’avenir pour faire fonctionner nos systèmes complexes aujourd’hui, afin de compenser les pertes accumulées par notre modèle économique énergétique défaillant. Tout cela n’était qu’une escroquerie, car on ne peut pas créer la prospérité par la simple gestion d’instruments censés représenter la richesse s’il n’y a pas de production réelle de richesse matérielle derrière. La dette n’est pas une richesse. Vous pouvez jouer avec elle sur les marchés financiers, l’acheter et la vendre, manipuler les taux d’intérêt et les prix pour donner l’impression que les choses fonctionnent. Mais cela ne va pas plus loin, jusqu’au moment où la réalité dépasse l’artifice, et c’est là où nous en sommes. Substituer la dette à la richesse a introduit des perversités dans l’économie. Désormais, il est impossible de connaître la valeur réelle de quoi que ce soit – la « découverte des prix » est désactivée – et cela se répercute également sur le comportement socio-économique. Aujourd’hui, de nombreuses activités commerciales, y compris les domaines de l’enseignement supérieur et de la médecine, censés être éthiques, sont devenues de redoutables rackets, c’est-à-dire des efforts pour gagner de l’argent de manière malhonnête. Nous ne pouvons plus prétendre que tout cela est correct. Nous nous retrouvons avec un gigantesque édifice de dettes qui ne seront jamais remboursées et tout un tas de mauvais comportements qui corrodent notre humanité.

Après avoir passé deux décennies à masquer notre incapacité à payer pour faire fonctionner notre société, la Réserve fédérale a finalement réussi à générer de l’inflation à l’ancienne – la destruction de l’argent lui-même – et pas seulement le gonflement du prix des actions, sa spécialité depuis tant d’années. Ils ont maintenu l’inflation à distance pendant tout ce temps en l’exportant vers d’autres pays qui nous ont envoyé des biens réels en échange de nos promesses en papier : bons du Trésor, billets de banque, obligations. Les confinements et la destruction des entreprises ont finalement tué cet équilibre, puis le malaise croissant entre les États-Unis et la Chine a commencé à tuer les chaînes d’approvisionnement. Maintenant, la mondialisation est sur la corde raide et avec elle, notre capacité à exporter de la monnaie papier du Trésor américain. Tout l’« argent jeté par hélicoptère » injecté dans le système pendant la crise Covid poursuit maintenant les marchandises qui ont un parcours plus difficile jusqu’à leurs points de vente. Les pièces de machines, les voitures et bien d’autres choses deviennent difficiles à obtenir. Les prix augmentent. Les systèmes tombent en panne et leurs défaillances se répercutent sur d’autres systèmes.

Avec une inflation qui tourne officiellement autour de 8 %, et officieusement plutôt autour de 15 %, le taux d’intérêt réel d’un bon du Trésor à dix ans est le taux nominal de 1,49 % moins la différence entre 8 et 15 %, un chiffre profondément négatif. Posséder ce papier est une perte sèche. Si le taux d’inflation continue à suivre le rythme de 2021 en 2022, la perte s’accentuera. Si l’inflation se poursuit à un rythme supérieur à celui de 2021, le papier du Trésor sera comme autant de couvertures contre la variole sur le marché obligataire mondial et l’Amérique frôlera l’inflation galopante à la Weimar. Nous ne pourrons plus offrir d’obligations en échange de marchandises. La Fed devra les manger. Nous importerons l’inflation, les prix des biens continueront d’augmenter. L’Amérique est dans un trou qu’elle a elle-même creusé. Que peut-on faire ?

La Fed a deux choix, tous deux peu prometteurs. 1) « Resserrement ». Par incréments mesurés, la Fed abandonne le QE (assouplissement quantitatif, achat d’obligations, alias « monétisation de la dette »), non seulement par l’achat de papiers du Trésor américain, mais aussi les obligations d’entreprises et les titres adossés à des créances hypothécaires. Il s’agit d’augmenter les taux d’intérêt pour qu’ils soient supérieurs aux taux d’inflation réels afin de redonner aux gens l’ancienne motivation réelle pour acheter des obligations, à savoir un flux d’intérêt fiable supérieur à l’inflation. La dernière fois que l’inflation a menacé l’Amérique, en 1981, le président de la Fed, Paul Volker, a fait grimper les taux des fonds fédéraux (à court terme) jusqu’à 20 %, ce qui a mis un terme aux emprunts pendant un certain temps, provoqué une récession, mais a permis d’y arriver. L’ennui, c’est que la dette nationale et le bilan de la Fed étaient minuscules à l’époque, comparés aux inimaginables milliers de milliards sur les bilans aujourd’hui. Et il restait encore beaucoup d’industries productives dans le pays.

La fin de l’assouplissement quantitatif, combinée à la hausse des taux d’intérêt, ramènerait les marchés à l’équilibre – ce qui revient à dire qu’ils s’effondreraient, car la fin des taux d’intérêt quasi nuls signifierait qu’il ne serait plus possible d’utiliser l’effet de levier (l’argent emprunté) pour acheter des actions, qui sont largement surévaluées après des années et des années de ces manigances. L’offre sur les actions prendrait fin. Pas assez d’acheteurs pour satisfaire les vendeurs. Les marchés baissent. Cela provoque plus de ventes… une ruée vers la sortie… attention à la suite…

Le resserrement des conditions de financement ferait également chuter la valeur des obligations, car la valeur des obligations est inversement proportionnelle aux taux d’intérêt : lorsque ceux-ci augmentent, le prix des obligations diminue. Les détenteurs d’obligations prendraient donc le bouillon. Le resserrement fait en fait disparaître l’argent – phhhtttt ! – car il provoque des défauts de paiement (les gens ne remboursent pas leurs dettes). Dans notre système, l’argent est prêté pour exister et les prêts non remboursés font disparaître l’argent. Les gens et les entreprises font faillite. Des taux d’intérêt plus élevés pousseront également les entreprises à ne pas pouvoir rembourser leurs obligations. Sans accès à plus de dettes, de nombreuses grandes entreprises pourraient être obligées de fermer, de faire faillite, peut-être pour toujours. Le gouvernement, croulant sous les dettes, s’étoufferait sous les paiements d’intérêts plus élevés. À mesure que l’argent disparaît, le capital se raréfie et les petites entreprises, qui dépendent désespérément du crédit renouvelable, font faillite. L’effet net de tous ces dommages sur les marchés financiers est une profonde dépression économique, dans ce cas, le cas d’urgence à long terme, probablement une dépression qui devient permanente puisque la base de cette économie particulière à haute énergie, l’industrie pétrolière, s’effondre avec tout le reste.

Le choix numéro 2) de la Réserve Fédérale est : Ne pas resserrer. Au contraire, continuez à imprimer de l’argent comme un fou, peut-être même plus qu’avant, et continuez à essayer de maintenir les taux d’intérêt bas. Continuer à acheter des obligations, des billets, n’importe quel papier de dette que le système vomit. Ce n’est qu’un vieux stratagème appelé « botter en touche ». Le problème est que nous sommes au bout de la route. L’inflation à l’ancienne a déjà commencé en 2021, suite à deux décennies d’assouplissement quantitatif, qui a ensuite été considérablement aggravée par les dépenses publiques massives pour atténuer la crise Covid. Il n’est plus question de jouer avec les achats d’obligations et les taux d’intérêt, de jouer à cache-cache avec les réserves bancaires, de planquer de l’argent dans des « véhicules à usage spécial » et autres cachettes bancaires qui permettront de maintenir la stabilité et le bonheur. À partir de maintenant, imprimer de l’argent comme un fou ne fait que détruire la valeur de notre argent. Vous aurez beaucoup d’argent, mais il perdra de plus en plus de valeur chaque jour – ce qui n’est qu’une autre façon de faire faillite.

Puis, comme le dollar achète de moins en moins de choses, les dollars détenus à l’étranger sont jetés en échange de tout ce qui est offert : minerais, céréales, produits finis, immobilier américain, métaux précieux, autres monnaies moins endommagées, et ainsi de suite. Mieux vaut posséder des objets de valeur réelle que des dollars qui perdent rapidement leur pouvoir d’achat. Les étrangers se débarrassent également des bons du Trésor américain, car l’inflation détruit leur valeur. Lorsque les étrangers font cela, les dollars retournent aux États-Unis, ce qui provoque encore plus d’inflation. Rapidement, l’Amérique est inondée de dollars et à court de biens que vous pouvez acheter avec ces dollars. Vous êtes riche en dollars mais en même temps fauché.

Le résultat est sensiblement le même dans les deux cas : le niveau de vie en Amérique baisse considérablement. Ce que je prédis pour 2022, c’est que la Réserve fédérale se lancera dans un programme de resserrement tant annoncé, puis l’abandonnera au premier signe de difficulté, l’inévitable baisse du marché boursier. La Réserve fédérale recommencera alors à acheter nos propres titres de créance et tentera de faire baisser les taux d’intérêt, si elle le peut, ce qui ne sera peut-être plus possible. La Fed perdra bientôt tout contrôle sur la monnaie américaine. Elle pourrait essayer de retirer les « vieux » dollars et de les remplacer par de « nouveaux » dollars garantis par quelque chose, l’or et l’argent étant les candidats évidents. Cela conduira à une forte réévaluation à la hausse des deux métaux. Prévoyons que l’or atteindra 5 000 dollars et l’argent 200 dollars d’ici la fin 2022.

Il se peut qu’il y ait une tentative timide d’établir une sorte de monnaie numérique américaine officielle (la rumeur court depuis des années). Les Américains résisteront à l’idée d’être parqués dans ce corral où chacune de leurs transactions financières est traçable, imposable et punissable. Ils auront appris leur leçon à ce sujet des tyrannies Covid-19. Ils en ont assez d’être bousculés. Ils ne font plus confiance aux autorités en matière d’argent, de gouvernement, de médecine, ou de quoi que ce soit d’autre. Quoi qu’il en soit, d’un point de vue pratique, trop d’Américains opèrent déjà en marge du système et dépendent de l’argent liquide pour faire toutes leurs affaires. Beaucoup d’entre eux sont ce qu’on appelle « non bancarisés ». Ils ne peuvent pas participer aux systèmes de paiement informatisés. Ils resteront en dehors de la boucle numérique et feront des affaires avec de l’argent, de l’or ou d’autres objets. Ils fonctionneront comme les Vénitiens du 14ème siècle.

Je doute que le bitcoin et ses imitateurs survivent encore longtemps après que le système financier a été forcé de se réajuster à la réalité. Ils ont prospéré uniquement en tant que cibles spéculatives. La chaîne de blocs est très intelligente, mais en fin de compte, le bitcoin et ses semblables ne représentent… rien… rien du tout. Ils ont attiré beaucoup d’argent qui circulait dans le système pendant les années de pseudo-prospérité artificielle, et c’est fini. Quoi qu’il en soit, ils dépendent totalement de la stabilité d’Internet et du réseau électrique pour fonctionner et vous seriez surpris de la fragilité de ces deux systèmes. Le début de l’année 2022 pourrait être votre dernière chance de sortir du bitcoin avec quelque chose à montrer pour témoigner de cette aventure.

Politique et société

La psychose collective décrite par Mattias Desmet de l’Université de Gand est à l’origine d’une grande partie de ce que nous observons dans la politique américaine depuis quelques années maintenant. Elle a apparemment été déclenchée par l’élection de Donald Trump. Mais il me semble que ce syndrome était préparé et cultivé par l’appareil de sécurité, de surveillance et de renseignement de l’« État profond » américain depuis des décennies. Les libéraux Démocrates n’ont pas eu besoin de Trump pour devenir fous à lier. Ils ont plutôt été manipulés par les agents de l’État profond dans les grands médias, en commençant par l’absurde psy-op de la collusion du RussiaGate et en poursuivant pendant quatre ans des plans infâmes pour désactiver et évincer M. Trump. Bien qu’il ait été présenté comme l’ennemi juré des animaux domestiques et des projets de la gauche – marxisme identitaire, ouverture des frontières – en tant que président, M. Trump était en réalité bien plus une menace pour l’État profond lui-même, et pour sa matrice de richesse, de pouvoir et de privilèges, et ils ont tout mis en œuvre, à l’exception de l’assassinat, pour l’écarter du plateau de jeu.

Sa persévérance et sa résilience face à tout cela furent remarquables. Mais au bout du compte, ses ennemis ont organisé des élections marquées par divers types de fraude et ont réussi à se débarrasser du Golem d’or de la grandeur. La façon dont « Joe Biden », l’enveloppe vide d’un politicien grincheux, a pu être désigné par le parti Démocrate est l’un des plus grands mystères des temps modernes. Sa victoire lors de la primaire du Super Tuesday, qui lui a valu l’investiture, a certainement été truquée par le DNC. Sa campagne, du début à la fin, a été un simulacre public. Si les électeurs avaient pu voir les documents sur son fils, Hunter, et la trace de pots-de-vin enregistrée dans des centaines d’e-mails, de contrats et d’autres documents sur l’« ordinateur portable de l’enfer »« Joe Biden » serait en prison fédérale plutôt qu’à la Maison-Blanche. Mais Facebook, Twitter et Google ont conspiré pour censurer toute mention de cela, et les gens n’ont jamais eu l’information. Alors, et maintenant ?

Eh bien, en ce début d’hiver 2022, les Américains découvrent à quel point ils se sont fait avoir sur la Covid-19, et à quel point « Joe Biden » & Co. ont mal géré les questions économiques et d’autres choses, comme l’invasion quotidienne à travers la frontière mexicaine, et à quel point « JB » & Co. ont mal géré nos relations étrangères – le fiasco du retrait afghan, etc – et généralement quelle figure pathétique « JB » présente au monde… et tout cela ressemble à la danse des fantômes du parti Démocrate. Prédisons que le parti ne survivra pas intact aux élections de mi-mandat de 2022 en tant que faction politique cohérente.

Je donne 70 / 30 chances que « Joe Biden » se retire « pour des raisons de santé » bien avant les élections de mi-mandat. Il est en train de s’effondrer sous nos yeux. Il peut à peine prononcer une phrase compréhensible. Il se ridiculise et ridiculise le pays tous les jours. Ses sondages sont au plus bas…. Donc, ok, il fait un plongeon et se retire de la scène. Kamala Harris prête serment. La présidente Harris nomme Barack Obama comme vice-président. Dites, quoi… !

M. Obama est de retour aux commandes – comme s’il n’avait jamais été aux commandes depuis le 20 janvier 2021, vraiment ? – allant jusqu’à occuper effrontément le Bureau ovale en tant que VIP pour les affaires courantes – reléguant Mme Harris dans un placard à balais. Les Démocrates réclament la démission de Mme Harris et la remise officielle des rênes à M. Obama. (Les présidents sont limités à deux mandats électifs, mais la constitution ne stipule pas une telle nomination circonstancielle au poste). Kamala s’efface gracieusement. Au nom de l’« unité » et de l’équilibre des sexes, M. Obama nomme Liz Cheney comme nouvelle vice-présidente. C’est un scénario possible. Réécrivez cette pièce avec Hillary Clinton à la place de Barack Obama. Les Démocrates vont devoir tenter un geste désespéré pour conserver le pouvoir.

Même ainsi, il est difficile d’imaginer des circonstances dans lesquelles le parti Démocrate conserverait le contrôle effectif du gouvernement. Si les élections de mi-mandat ont lieu, les Républicains reprendront le contrôle de la majorité de la Chambre et du Sénat, avec de nombreux nouveaux visages MAGA parmi eux. Les espoirs et les rêves des Démocrates pour un changement transformateur seront jetés aux toilettes. Le gouvernement au niveau national devient impuissant, inefficace, incapable de s’acquitter de ses fonctions ou de gérer quoi que ce soit – tout cela a été prédit explicitement, soit dit en passant, dans mon livre The Long Emergency (Grove-Atlantic, 2005). Nos adversaires étrangers profiteront-ils de la situation ? Les cinquante États pourront-ils gérer leurs affaires sans les subventions de Washington DC ? Les gouverneurs ont intérêt à se préparer à des temps étranges.

La droite politique s’est montrée prudente et circonspecte depuis la débâcle de la marche du 6 janvier 2021 sur le Capitole. Les pauvres boobs cajolés par les usines du FBI pour s’être introduit dans le bâtiment ont été traités de manière abominable par leur gouvernement, et probablement de manière extra-légale. Mais surtout, le coup du 6 janvier a mis un frein à toute nouvelle action de rue de la droite pendant l’année de mandat de « Joe Biden ». Cela pourrait changer en 2022. L’humeur des personnes politiquement motivées de part et d’autre du spectre doit être aggravée par l’effondrement de l’économie. Et au fur et à mesure que l’année avance, ce ne seront que des Américains affamés, en colère et de toutes sortes qui vont ouvrir les portes de l’enfer parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.

Toute l’anxiété qui alimente la psychose collective, qui s’est d’abord concentrée sur Trump, puis sur la Covid-19 (et les non-vaccinés), pourrait enfin déplacer son énergie vers la source réelle de nos malheurs et de nos chagrins : l’establishment de Washington. Le déclin et la chute de la Covid-19 vont laisser un grand trou dans l’âme anxieuse et perdue de la nation, et il faudra bien le remplir avec quelque chose. Nous sommes propulsés dans une scène qui ressemble à une guerre civile, mais il devient de plus en plus difficile de déterminer qui est de quel côté, ou même quels sont les côtés – ou comme Mick Jagger l’a célèbrement hurlé à Altamont en 69, « Who’s foit-ing an’ whut faw ? » C’est de la pure folie. La loi de Murphy rencontrera Zombieland pendant sept jours en mai.

Géopolitique

Bon sang, qui sait… ? Les Russes sont furieux parce qu’il y a trente ans, après l’effondrement du système soviétique et la tentative de Vlad Poutine de recoller une sorte de nation fonctionnelle à partir des débris, nous leur avions promis en termes clairs de ne pas étendre l’OTAN, puis, année après année, nous avons ajouté de nouveaux pays à l’OTAN, y compris d’anciennes républiques soviétiques s’étendant jusqu’aux frontières de la Russie. Ensuite, les États-Unis, sous la direction de M. Obama, ont mené la « révolution de couleur » en Ukraine, en essayant de forcer cet État pathétique, véritable punching-ball, à se ranger de notre côté… et, cela fait, nous menaçons maintenant de l’intégrer à l’OTAN, ce qui signifie que nous aimerions stationner des fusées, voire des troupes et toutes sortes d’autres équipements militaires sur ce qui a été le paillasson de toutes les tentatives d’invasion de la Russie dans l’histoire moderne. Êtes-vous surpris que la Russie ait tracé une ligne dans le sable à cet endroit ?

On ne peut pas faire confiance au département d’État d’Anthony Blinken ou à l’armée transsexuelle du général Milley pour croire que le fait de mettre la Russie au pied du mur pourrait être bénéfique pour les États-Unis. Si l’on considère à quel point nous sommes économiquement faibles, à quel point nous sommes tragiquement désunis, à quel point nous sommes devenus minces et mous, peut-être que déclencher une guerre pour l’Ukraine n’est pas une si bonne idée. On ne peut qu’espérer.

De l’autre côté, il y a la Chine, l’Empire du Milieu renaissant de l’oncle Xi, avec ses gratte-ciel étincelants, ses nouveaux aéroports et autoroutes éblouissants, son fabuleux système de crédit social pour contrôler son énorme population à la Orwell. La Chine a beaucoup d’atouts, mais ce qui lui nuit n’est pas si évident, à commencer par le fait qu’elle a du mal à s’approvisionner en combustibles fossiles à long terme. La Chine n’a tout simplement pas beaucoup de pétrole ou de gaz naturel, et elle utilise un charbon de qualité de plus en plus médiocre pour faire tourner son industrie. Ses importations de pétrole doivent passer par deux goulots d’étranglement mondiaux, le détroit d’Ormuz et le détroit de Malacca. En bref, malgré les grands progrès réalisés par la Chine pour passer du XIIe siècle à une modernité éblouissante, elle risque de se heurter au dilemme énergétique, comme toutes les autres nations « avancées ».

Ce n’est un secret pour personne que, sous la direction de l’ambitieux empereur marxiste Xi Jinping, la Chine veut occuper le rôle d’hégémon mondial que l’Amérique s’efforce de ne pas abandonner. Le rôle d’hégémon nécessite généralement une expansion géographique. Nous sommes certainement inquiets d’une prise de contrôle de Taïwan, qui est, en fait, l’installation de microprocesseurs offshore de l’Amérique. Il est concevable que la Chine puisse prendre le contrôle de Taïwan par mille petits pas sans tirer un coup de feu – le PCC ayant infiltré la politique, les médias et l’éducation aux États-Unis – ou par la force, ne serait-ce que pour marquer un point théâtral, mais pourquoi risquer un échange nucléaire ?

La Chine s’aventure dans de nombreuses régions reculées du monde depuis des années sans attirer l’attention de la communauté internationale, achetant des terres agricoles et des sites miniers dans toute l’Afrique de l’Est, et maintenant elle lorgne sur des ouvertures dans plusieurs nations sud-américaines riches en ressources qui ont récemment élu des présidents socialistes sympathiques. La Chine a obtenu des contrats pour exploiter les ports aux deux extrémités du canal de Panama, stratégiquement important, il y a plus de vingt ans, et le Panama a signé un protocole d’accord pour rejoindre l’initiative Belt-and-Road de la Chine en 2017. Cela a attiré l’attention de l’administration Trump, qui répondait à l’expansionnisme de la Chine par des tarifs douaniers et des sanctions. M. Trump a fait suspendre plusieurs projets d’infrastructure chinois concernant des ponts, des trains à grande vitesse et des améliorations portuaires dans la zone du canal. « Joe Biden », un important client chinois, regarde maintenant de l’autre côté.

La Chine peut-elle réellement contrôler les terres indisciplinées d’Asie centrale, vitales pour ses ambitions de Nouvelles routes de la soie. Par exemple, l’Afghanistan, où la Chine cherche à établir de gigantesques opérations minières, mais doit encore se frotter aux fougueux talibans. Prévoyons que la Chine de 2022 sera bloquée dans son expansion et paralysée par ses problèmes énergétiques. Ajoutons à cela les problèmes sur ses marchés d’exportation, les États-Unis et l’Europe, qui commencent à imploser financièrement et dont la demande de produits manufacturés chinois diminue.

Ensuite, il y a le marasme bancaire de la Chine, des milliards de prêts irrécouvrables, des entreprises géantes qui vacillent et des garanties sous la forme d’un millier de gratte-ciel construits avec un ciment de si mauvaise qualité que c’est un miracle que les bâtiments tiennent encore debout. Comment le fragile système bancaire chinois pourra-t-il faire face à la contagion des problèmes financiers des États-Unis et de l’Europe ? Prédisons que la Chine se trouve dans une situation économique suffisamment difficile pour que des troubles intérieurs éclatent, que le gouvernement réagisse de manière excessive et qu’elle soit trop paralysée par ses problèmes politiques internes pour faire des dégâts au-delà de ses frontières pour le moment.

Enfin, l’Europe. Oh, la belle Europe, le parc à thème touristique de ma vie avec ses belles villes, ses paysages soignés, ses cafés, ses cathédrales, ses filles à moto, sa fabuleuse culture profonde. On dirait que tout cela est en train de s’écrouler, avec des signes d’un retour aux bouleversements politiques du 20e siècle. D’une manière ou d’une autre, la Covid-19 a poussé l’Autriche et l’Allemagne à revenir à un comportement qui ressemble un peu à ce qui s’est passé pendant les années Hitler. Difficile à croire, je sais, mais regardez-les ! Des tactiques d’état policier ! Vaccinations forcées ! Confinements ! Des punitions sévères pour ceux qui résistent. C’est écœurant, et on dirait que c’est en train de s’installer.

L’économie de l’Euroland est un désastre. Ses problèmes énergétiques sont pires que ceux de la Chine. À l’exception de la Norvège, dont les gisements de pétrole de la mer du Nord s’épuisent, et de quelques mines de charbon épuisées, l’Europe n’a pratiquement rien pour les combustibles fossiles. Le projet « vert » de l’Allemagne en matière d’énergie éolienne et solaire n’a pas fonctionné. Elle est de plus en plus dépendante du pétrole et du gaz russes, et la position de l’Allemagne au sein de l’OTAN la soumet aux machinations des États-Unis contre la Russie, ce qui a entravé l’ouverture du gazoduc russe Nord Stream 2 passant par la mer Baltique. Ils pourraient finir par geler cet hiver et mourir de faim l’hiver suivant. Le système bancaire européen est une fraude risible, car l’UE n’a aucun contrôle sur les décisions fiscales prises par les gouvernements membres qui émettent des obligations de plus en plus sans valeur. L’année s’annonce difficile, avec des gouvernements qui se succèdent et qui trébuchent. La France aura peut-être un peu de chance. Le journaliste franc-tireur Éric Zemmour remporte l’élection présidentielle et fait renaître l’esprit national français. Il est toujours coincé par la pourriture des finances, mais au moins il remonte le moral du pays. Et contrairement aux Allemands, la France n’a pas choisi de fermer son industrie nucléaire, donc les lumières resteront allumées.

Et voilà, habitants de la Clusterfuck Nation. Je ne peux pas faire plus avec ça. Je vous souhaite à tous de la force dans les douze mois à venir, du courage, de la gentillesse et toutes les bonnes choses dont nous sommes capables. Nous en aurons besoin. Il y a encore beaucoup de choses à chérir dans ce pays qui est le nôtre, ces bons vieux États-Unis, et je crois que nous allons les redécouvrir lors de cette « Double-deuce » [Double 2, 22 soit 2022, NdT], ainsi qu’une certaine capacité à nous dire la vérité sur les choses qui comptent et à agir en conséquence ! Excelsior, braves cœurs !

James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




Exemple d’inefficacité des « vaccins » anti-covid

[Source : soirmag]

Par Pierre De Vuyst

La Station Princesse Elisabeth paralysée par le covid

Trois cas Covid ont été évacués, deux tiers du personnel de la base ont été contaminés. Tout le monde se trouve en quarantaine jusqu’au 12 janvier.

Elle a beau être située en Antarctique, l’endroit le plus reculé et isolé de la planète, la Station Polaire Princesse Elisabeth n’est pas épargnée par la pandémie de Covid-19 et ce malgré la mise en place de règles sanitaires très strictes. Sur le personnel actuellement présent dans la base scientifique belge, trois membres ont d’abord été déclarés positifs à la maladie, mais le virus a proliféré… Les informations du « Soir mag » ont été confirmées auprès du Secrétariat polaire belge.

Un cas positif au Covid a d’abord été détecté le 14 décembre parmi les membres de l’équipe arrivée sept jours plus tôt, lors du deuxième vol d’acheminement. La personne infectée a été immédiatement placée en isolement, mais malgré cela, les tests effectués sur le reste des voyageurs ont révélé que deux d’entre eux avaient également contracté le virus.

[Note de Joseph :
Les tests PCR généralement utilisés pour soi-disant détecter des personnes malades de la Covid représentent une véritable fraude scientifique et permettent d’étiqueter « malades de la Covid » ou « cas asymptomatiques » des personnes en bonne santé, ceci dans 97 % des cas avec le nombre de cycles d’amplification des débris génétiques contenus dans le nez des individus. Voir :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs.
Combien d’entre ces personnes étaient effectivement malades ? Et de quoi dans ce cas ? D’un rhume baptisé Omicron ? D’un mal de gorge ?]

Ces trois premières personnes concernées ont été évacuées le 23 décembre. Mais depuis lors, le virus est quand même parvenu à circuler dans la station. La Station polaire est en effet un bâtiment passif, donc particulièrement bien isolé. Elle a donc offert un environnement propice au coronavirus. Actuellement, 25 personnes sont présentes dans la station et 5 sont en expédition. Deux tiers de ces personnes ont été contaminées ! Aucune d’entre elles ne souffre toutefois actuellement de symptômes sévères. Par ailleurs, la station dispose de deux médecins urgentistes et de tout le matériel nécessaire tant pour les soins (y compris une intubation) que pour l’analyse des tests PCR.

Tous vaccinés

Entré en contact avec les autorités fédérales responsables du programme de la Station Polaire Princesse Elisabeth, l’explorateur Alain Hubert, opérateur exécutif de la station et responsable des mesures de sécurité, y compris sanitaires, a confié que tout le personnel présent avait reçu au préalable deux doses de vaccin, une personne a même bénéficié du booster. Il a aussi signalé que toutes les stations polaires ouvertes en Antarctique sont actuellement touchées par le fléau du Covid.

[Note de Joseph : même dans le cadre de la théorie virale, cette situation démontre l’inutilité de la « vaccination » anti-Covid.
Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et
L’effondrement de l’hypothèse virale,
ainsi que les liens annexes inclus.]

Réuni en urgence dans l’après-midi du 27 décembre, le Conseil stratégique du Secrétariat polaire a décidé de maintenir le personnel présent sur place (sous réserve d’une dégradation de la situation sanitaire). Il interdit aussi toute nouvelle entrée dans la station avant que le cluster ait disparu et, à tout le moins jusqu’au 12 janvier, la date d’arrivée initiale de deux nouvelles expéditions.

Enfin, le Conseil stratégique a choisi d’écourter au maximum la saison de recherche et de présence dans la station (qui se déroule pendant l’été arctique), d’annuler et de reporter l’une des deux campagnes prévues, la mission Météorites Bamm! (qui devait partir hier soir de Belgique à destination de la base). Le projet Recto est, lui, maintenu. Mais son personnel ne pourra accéder au site qu’après une période de quarantaine en Afrique du Sud, et lorsque les membres présents dans la station présenteront tous un test PCR négatif. L’annulation d’une des deux missions s’explique par le fait qu’en raison des événements, Alain Hubert est actuellement le seul guide disponible sur place, les deux autres n’ayant pu accéder au site. Il ne peut donc encadrer seul deux expéditions. Son état de santé et sa capacité à guider seront par ailleurs vérifiés par les deux médecins de la station.

Selon un virologue consulté par le Secrétariat polaire, la probabilité est grande que l’infection à la station soit le fait du variant Omicron, étant donné que celui-ci représente 99 % des cas en Afrique du Sud, qui est justement le pays de dernière escale avant l’Antarctique. Ce variant est moins dangereux que le variant Delta, mais plus contagieux. Sa période d’incubation est très réduite. Le cluster devrait être éteint dans les 15 jours.

Des mesures draconiennes

Cette contamination au Covid est pour le moins surprenante au regard des mesures de sécurité prévues. Tout le personnel en partance pour la station était sous le coup d’une obligation vaccinale et a dû passer un examen médical avant le départ. Tout le monde a reçu deux doses de vaccins (et une personne un booster). Chacun a dû subir un test PCR en Belgique deux heures avant le départ vers l’Afrique du Sud. Puis un test PCR cinq jours après l’arrivée à Cape Town, mais aussi dix jours de quarantaine. Un nouveau test au départ de Cape Town pour l’Antarctique et encore un test PCR cinq jours après l’arrivée. Malgré toutes ces précautions, le Covid a réussi à s’inviter dans la base ! Ce qui en dit long sur la dangerosité et l’efficacité de ce fléau…




L’image du jour




Nouvelles Découvertes sur les injections — Reiner Fuellmich, Dr Wodarg et Dr White

[Source : @FlowerPower]

[Ndlr : en toute rigueur, même si les données VAERS sur les effets secondaires démontrent que seuls 5 % des lots concentrent les effets secondaires graves et les décès observés suite à la « vaccination » anti-Covid et qu’il y a donc des essais menés plus localement au sein de la grande expérimentation mondiale actuelle, on ne peut pas pour autant conclure que l’intention est de tuer. Elle pourrait être par exemple de seulement déterminer la bonne combinaison d’ingrédients nanotechnologiques pour obtenir une réceptivité à la 5G tout en évitant au contraire de tuer l’individu ainsi transformé en transhumain.]






Le cynisme d’Anthony Fauci raconté par Steve Kirsch

[Source : stevekirsch-substack-com via etouffoir.blogspot.com]

Comment le jeu est vraiment joué

Pour mémoire, voici la note secrète que Tony Fauci a envoyée aux dirigeants mondiaux expliquant clairement les règles de base de la réponse à la pandémie. Révélé ici pour la première fois.

Par Steve Kirsch

6 859 Ground Rules Photos, Images & amp;  Images libres de droits - iStock

Ce n’est que ma supposition éclairée sur ce que Fauci a probablement dit aux dirigeants mondiaux sur la façon de faire face à la pandémie de COVID. Beaucoup de gens m’ont dit que c’était le meilleur morceau que j’aie jamais écrit.

REMARQUE
Pour ceux qui ont du mal à déterminer s’il s’agit d’un fait ou d’une fiction, la réponse est que le mémo n’a jamais existé, mais s’il y avait un mémo, et si Fauci disait la vérité, c’est ma supposition sur ce qu’il aurait écrit.

À : Dirigeants mondiaux
De : Tony Fauci
Objet : Règles de base pour la santé et la sécurité dans le monde

  1. NE JAMAIS permettre une autopsie appropriée par des personnes capables de déterminer un vaccin. Si une autopsie ne peut être évitée, assurez-vous que le coroner est en sous-effectif, n’a pas les compétences et les tests appropriés et n’a pas le temps de le faire correctement. Offrez également de payer les frais funéraires s’ils sautent l’autopsie. Cela fonctionne généralement. Quoi que vous fassiez, assurez-vous que personne ne lise ce guide pour savoir comment effectuer une autopsie efficace.
  2. Ne permettez jamais à quiconque de faire une analyse sur ce qu’il y a dans les flacons. Dans les rares cas où une analyse a lieu, nous sommes à vos côtés. Nous prétendrons que les personnes qui ont fait l’analyse sont des anti-vaccins qui ont volé des biens du gouvernement et ont délibérément contaminé les flacons avant qu’ils ne soient analysés. Nous avons toutes les bases couvertes.
  3. Assurez-vous que les compagnies pharmaceutiques jouissent d’une immunité totale contre les poursuites. Sinon, on est complètement foutus. Le Congrès est dans notre poche là-dessus. Nous les avons forcés à fournir l’immunité dans les années 1980. Il n’y avait alors que quatre fabricants, et nous nous sommes tous entendus illégalement pour nous assurer qu’à moins que le Congrès n’accepte notre demande ridicule, nous ne fabriquerions plus de vaccins.
  4. Étiquetez toute personne qui s’oppose à nous comme « anti-science ». Cela fonctionne vraiment bien. Même le sénateur Johnson n’aime pas ça.
  5. Assurez-vous que le programme de vaccination contre les blessures (le CCP) ne verse jamais un centime aux victimes du vaccin COVID. Même payer un centime serait une reconnaissance que les vaccins ne sont pas sûrs. Cela provoquerait une hésitation vaccinale. Nous ne pouvons pas avoir cela.
  6. Mandater les vaccins pour tout le monde (sauf le Congrès et la Cour suprême). Donnez-le-leur juste après la naissance. Nous ne voulons pas avoir un groupe de contrôle ici qui ne meurt pas. Si les gens font cette comparaison, nous sommes foutus. C’est pourquoi nous avons éliminé le groupe placebo dans tous les essais cliniques, afin que personne ne sache jamais à quel point ces vaccins sont dangereux. La mort d’un membre du Congrès ou de la Cour suprême sur nous n’aura pas l’air bien. Nous pouvons toujours l’appeler « sans rapport » si cela se produit.
  7. En cas d’incapacités qui surviennent au cours des essais cliniques, modifiez le symptôme lors de la rédaction du rapport d’étude pour la FDA. Donc « paralysie permanente » -> « douleur abdominale légère ». Croyez-moi, cela fonctionne. Maddie de Garay, est notre enfant d’affiche. La presse ne couvrira jamais sa blessure parce que nous leur avons dit de ne pas le faire. Nous pouvons faire de la fraude à la vue de tous et personne ne nous attrape là-dessus, c’est tellement bien contrôlé. C’est incroyable à quel point nous avons bien compris cela.
  8. Si quelqu’un meurt à cause du vaccin au cours d’un essai clinique de vaccin, ne paniquez pas. Écrivez simplement dans le rapport que le décès « n’est pas lié au vaccin ». La FDA ne vous demandera pas comment vous avez déterminé cela. Quiconque pose de telles questions stupides sera renvoyé de la FDA.
  9. Il y aura plus de rapports de décès toutes causes confondues dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, comme près de 25 % de plus (comme dans l’essai Pfizer), mais ne vous inquiétez pas. C’est parce que les vaccins sont super mortels, duh. Cependant, en 1) choisissant des cohortes très saines et 2) en limitant la taille des cohortes, nous pouvons affirmer que la différence de décès n’est « pas statistiquement significative ». Cela trompe tous les « vrais » scientifiques. Ils diront « oh ça a du sens » et ne creuseront pas plus profondément. Cela fonctionne à chaque fois. Les penseurs critiques comme Chris Martenson n’ont pas d’importance parce qu’ils n’ont pas assez d’adeptes pour avoir de l’importance. Et nous avons supprimé Bret Weinstein pour qu’il n’invite plus jamais Robert Malone dans son émission.
  10. La communauté médicale ne vérifiera jamais votre travail si vous travaillez au CDC. Ils subissent un lavage de cerveau dès le premier jour à la faculté de médecine pour toujours faire confiance aux autorités médicales. Nous les transformons essentiellement en moutons et enlevons leurs capacités de pensée critique. Et la médecine est si compliquée qu’ils doivent nous faire confiance parce qu’ils n’ont pas le temps, les compétences ou les outils pour faire des conneries comme regarder la base de données VAERS. C’est ainsi que nos fidèles employés, comme John Su, peuvent s’en tirer avec des présentations des données VAERS sans même mentionner le facteur de sous-déclaration. Personne ne lui pose de questions sur l’URF.
  11. Nous pouvons toujours faire approuver des choses, même si elles sont nocives pour la santé. C’est parce que nous avons demandé à tout le monde sur les panneaux extérieurs de ne jamais interroger les membres de notre personnel sur des choses comme celle-ci. Ils savent qu’on va les expulser du comité comme on l’a fait avec cet imbécile de Martin Kulldorff qui laisse les faits et la science entraver sa réflexion. Et si c’était un expert mondial de Harvard. Experts?!? Nous n’avons pas besoin d’experts. Nous n’avons pas à vous montrer d’experts puants. Nous avons besoin de gens qui suivent les ordres ici et ne remettent pas en cause le récit. Les membres externes du comité ont tous vu ce que nous avons fait à Kulldorff et cela leur envoie un message effrayant qu’ils comprennent tous : respectez nos règles ou faites-vous trancher la tête. Ils ne sont pas stupides. Le respect des règles s’applique également aux employés : nous vous expulserons si vous suivez réellement la science. Découvrez comment nous avons obtenu l’approbation du vaccin pour les adolescents. Rien ne peut m’arrêter. Pas le Congrès. Pas des employés renégats. Pas même les comités extérieurs. Je contrôle tout et ils sont impuissants à m’arrêter.
  12. Bien sûr, il y aura beaucoup d’arrêts cardiaques et les médecins des urgences verront tout cela, mais ils sont trop occupés pour suivre les statistiques et se rendre compte qu’il y a une légère augmentation. Et personne ne trouvera de signal même si les chiffres sont évidents.
« Il est difficile de faire comprendre quelque chose à un homme lorsque son salaire dépend de son incompréhension de cette chose. »
(Upton Sinclair)
  1. Poursuivre agressivement la révocation de la licence médicale de toute personne qui parle contre le récit. Même un seul tweet mettant en garde les gens contre le vaccin ou remettant en question le port du masque devrait être un motif de révocation de licence. Croyez-moi, toutes les commissions médicales le comprennent. Si un médecin prescrit de l’ivermectine pour COVID, il est grillé. Nous ne voulons pas que quiconque découvre que les choses fonctionnent.
  2. NE JAMAIS faire une enquête proactive pour découvrir le dénominateur des événements. En 1985, nous avons soigneusement conçu le système VAERS afin que personne ne connaisse jamais le vrai dénominateur afin que nous puissions affirmer que chaque vaccin est sûr, peu importe à quel point il est dangereux. Cela nous permet de prétendre que tous ces signaux sont rares. Il y a dix ans, nous avons tué le projet ESP-VAERS parce qu’il était trop précis. Bobby Kennedy nous a expliqué cela dans son livre, mais son livre est si long que personne ne le trouvera. C’est à la page 73 du livre (ou recherchez AHRQ si vous avez l’édition Kindle).
  3. Nous utilisons des masques pour surveiller notre niveau de contrôle. Les masques ne fonctionnent pas du tout. On vient d’inventer cette merde. Nous ne sommes pas stupides. Nous savons que les deux essais randomisés n’ont montré aucun effet. L’étude que le CDC cite pour justifier les masques dans les écoles était horriblement confuse, mais elle a montré les résultats que nous voulions voir. Et même quand on nous interpelle à ce sujet dans une superbe vidéo sur YouTube, ça n’a pas d’importance. Nous n’avons même pas eu besoin de YouTube pour extraire la vidéo. Donc ça marche. C’est pourquoi nous nous référons TOUJOURS à cette étude (plutôt qu’aux études randomisées plus définitives dont nous ne parlons pas du tout). Mais croyez-moi, le public ne sait pas que nous ne faisons que leur montrer les études de merde qui soutiennent notre programme. Ils nous font totalement confiance parce que nous sommes les autorités. Ils n’ont pas le temps de faire des recherches. Soyons honnêtes ici. Peu de gens vont acheter le livre « La vérité sur les masques » de Judy Mikovits sur Amazon. Regardez, seulement 82 notes sur un sujet qui touche 300 millions de personnes ! Les masques sont donc notre canari dans la mine de charbon. Si les gens ne se conforment pas à nos conseils ridicules de masquage, c’est un signe que nous perdons le contrôle, nous devons donc durcir l’application en faisant des choses comme criminaliser le fait de ne pas faire ce que nous disons. Ce contrôle sur l’esprit des gens est essentiel à notre succès. On peut même leur faire porter un double masque, ils sont tellement stupides. Ils ne peuvent pas comprendre que 2 x 0 = 0. Ces gens feront tout ce que nous disons.
  4. Nous menons une énorme campagne d’éducation pour faire croire aux gens qu’il s’agit d’une « pandémie de non vaccinés » plutôt que d’une « pandémie de personnes qui n’ont jamais reçu de traitement précoce ». Cela fonctionne totalement. Nous n’avons même pas eu à montrer une seule statistique d’un hôpital. La presse en mange.
  5. Nous disons aux gens « faites confiance à la science ». Cela fonctionne toujours car ils nous considèrent comme les autorités en matière de science. PERSONNE n’a vu le dessin animé Peanuts :
« Faites confiance à la science » est la déclaration la plus anti-science qui soit. Remettre la science en question, c’est comme ça qu’on fait de la science !
  1. Nous versons aux hôpitaux d’énormes primes pour classer les décès comme des décès dus au COVID afin de maintenir la peur en vie. Si quelqu’un meurt dans un accident de voiture, mais qu’il est testé positif pour COVID (en utilisant un seuil de cycle élevé, c’est généralement comme cela que cela se fait), alors le décès est un décès COVID. L’hôpital gagne de l’argent et nous utilisons les statistiques pour faire passer le COVID comme une urgence.
  2. Les chercheurs apprennent rapidement à réécrire leurs études à l’appui du récit. Considérez l’étude sur les masques danois. Cela montrait que les masques ne fonctionnaient pas. Personne ne le publierait. Ils ont donc rapidement «appris» à manipuler la science pour soutenir le récit. Le rédacteur en chef du BMJ a en fait dénoncé cela, mais heureusement, personne ne l’a lu. S’il fait encore quelque chose de stupide comme ça, on le fera retirer. Les scientifiques qui refusent de se conformer, comme Jessica Rose et Peter McCullough, découvrent que leur article est retiré de la revue par l’éditeur parce que nous avons dit à l’éditeur de le retirer. Ils se sont conformés. Nous contrôlons la science, pas les scientifiques.
  3. Assurez-vous que vos médecins ne sont PAS informés sur la façon de déclarer au VAERS ; n’aggravons pas un problème. Nous ne voulons pas que quelqu’un dénonce. C’est déjà assez grave. Nous allons corriger VAERS pour le faire planter davantage (comme juste avant d’appuyer sur soumettre) et rendre l’UX plus difficile à utiliser, juste au cas où.
  4. Les seuls traitements précoces autorisés sont ceux créés par nos grands sponsors pharmaceutiques. Tout le reste, nous devons poursuivre les médecins et leur retirer leur licence s’ils prescrivent de la merde qui fonctionne comme l’ivermectine. Nous veillerons à ce que personne ne découvre que l’ivermectine est ce que le Japon utilise pour atteindre zéro décès par COVID. On a fait virer Pierre Kory de son travail. D’autres le remarqueront. Cliff Lane est à la tête du comité des directives COVID. Il me rapporte et il est loyal. Il veillera à ce qu’aucun traitement précoce viable ne soit recommandé, à moins qu’il ne provienne de grandes sociétés pharmaceutiques. Avez-vous vu le travail à succès qu’il a fait sur la fluvoxamine? Il s’agit d’un médicament qui réduit de 12 fois le nombre de décès dus au COVID, mais Cliff et son équipe ont rédigé une brillante rédaction du FUD pour donner l’impression que le médicament n’a pas fonctionné. Ces gars sont brillants. L’écriture va tromper tout le monde. Parce que si quelqu’un s’y oppose, nous réduisons leur financement du NIH. C’est pourquoi aucun chercheur aux États-Unis ne va appeler notre bluff sur la cote de fluvoxamine. Ils ne vont jamais se prononcer contre nous ou ils se retrouveront sans financement et sans emploi.
  5. En commercialisant des antiviraux qui fonctionnent partiellement, cela signifie que nous pouvons augmenter notre prix de vente moyen. Maintenant, nous pouvons commercialiser les deux produits pour tout le monde : un vaccin qui ne fonctionne pas et une pilule qui ne fonctionne pas. Et lorsque les gens se plaignent d’être toujours infectés, nous leur disons simplement d’augmenter le dosage des pilules et de se faire booster plus fréquemment. Ces gens sont tellement stupides qu’ils ne comprendront jamais.
  6. Nous devons faire d’Omicron une menace sérieuse, même s’il n’y a que quelques morts. Ceci est nécessaire pour maintenir l’EUA sur les vaccins. Si la pandémie s’en va, on est foutus. Nous devons donc maintenir les États-Unis dans un état d’urgence avec de nouveaux variants plus dangereux. Étant donné que les gens meurent tout le temps avec Omicron (en fait, seulement 1 décès aux États-Unis jusqu’à présent, mais nous ne le mentionnons jamais), nous donnons l’impression qu’ils sont morts « de » Omicron pour maintenir le flux de revenus. Ils ne comprendront jamais cela. Nous disons simplement aux gens qu’ils doivent prendre des mesures désespérées pour éviter cette menace nouvelle et inconnue.
  7. Les médias grand public ont été formés pour ne jamais mentionner que le vaccin pourrait être une cause de décès, même si la personne est décédée dans les heures suivant le vaccin et qu’elle était auparavant en parfaite santé et n’avait aucun antécédent de maladie cardiaque. S’ils meurent dans leur sommeil moins de 24 heures après la vaccination, la presse ne fera que rapporter cela comme une « mort tragique inattendue » et il n’y aura aucune mention du vaccin. Même le NY Times ne dira rien lorsque son meilleur personnel mourra des suites de la vax. Lorsque le rédacteur en chef du NY Times, Carlos Tejada, est décédé à l’âge de 49 ans juste un jour après le coup, sa nécrologie n’en disait pas un mot. C’est exactement ce que nous leur avons dit : n’impliquez jamais le vaccin, peu importe à quel point les preuves sont incriminantes.
  8. Censurer/discréditer/ridiculer quiconque tente de remettre en question le récit, par exemple en faisant un lien entre le vaccin et la mort ou en disant que les masques ne fonctionnent pas ou en prétendant qu’ils sont blessés par le vaccin. C’est parce que vous n’avez pas les faits de votre côté, vous devez donc recourir à d’autres techniques. N’essayez jamais de gagner sur les faits ; c’est une proposition perdante. Remettez en question leur raison, leur motivation, trouvez les erreurs qu’ils ont commises dans le passé, appelez-les un « théoricien du complot », faites remarquer que leur famille pense qu’ils sont fous. Faites tout votre possible pour remettre en question leur crédibilité. Les gens oublieront rapidement les faits.
  9. N’acceptez JAMAIS un débat avec l’opposition. Ce serait dévastateur parce que nous perdrions. Vous devez donc complètement ignorer toute tentative. Même s’ils vous offrent 2 millions de dollars pour venir à la table des débats comme l’a fait le fauteur de troubles Kirsch. Affirmez que cela leur donnerait de la crédibilité. Donc, même pour quelqu’un comme RFK Jr. qui a un best-seller du NY Times, continuez à prétendre qu’il n’a aucune crédibilité comme l’a fait Jake Tapper. Vous ne voulez jamais donner de temps d’antenne aux « manivelles ». Jake est bien entraîné. Lisez cet éditorial du Wall St. Journal qui documente comment Francis Collins et moi contrôlons le récit. C’est ainsi que procèdent les professionnels. Même lorsque nous sommes interpellés par le Wall St. Journal sur nos tactiques d’intimidation, cela ne tient tout simplement pas. Nous sommes comme le Téflon. Nous ne pouvons rien faire de mal.
  10. Continuez à répéter « sûr et efficace ». Dites-le suffisamment de fois pour le croire et cela vous permettra d’ignorer tous les corps tombant comme des mouches autour de vous, y compris des trucs comme des enfants de 3 ans qui meurent d’un arrêt cardiaque moins d’un jour après avoir été vaccinés. Lorsque cela se produit, pensez « c’est juste un coup de chance ».
  11. Nous avons exempté les employés du CDC, d’autres agences et du Congrès de tout mandat. Sinon, nous ne serions pas en mesure de garder quelqu’un d’employé là-bas. Saviez-vous que presque aucun des employés du CDC ne fait vacciner ses enfants ? C’est incroyable que la presse grand public n’ait jamais découvert cela. Au CDC, la devise est « faites ce que nous disons, pas ce que nous faisons ». Les Américains sont si naïfs ; ils pensent que nous marquons le pas. Certainement pas. Nous ne sommes pas stupides.
  12. La grande technologie nous aidera à nous assurer que personne n’apprend la vérité. Comme nous le savons tous, afin de maintenir la formation de masse en place, la censure est requise. Mon bon ami Marc Zuckerberg fera tout ce que je dirai. Les autres PDG d’entreprises de haute technologie boivent également du Kool-Aid. Ils sont bien trop occupés à gérer leur entreprise pour se plonger dans la science. Ils ignorent donc totalement que les vaccins sont mauvais et que les médicaments comme l’ivermectine sont bons. Je leur ai dit à tous de ne pas écouter les gens répandre de fausses informations. Ainsi, aucun des principaux PDG de la Silicon Valley, comme la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, n’entendra jamais la vérité. Ces gens pensent tous qu’ils sont du bon côté de cette bataille et ils pensent qu’ils font ce qui est le mieux pour la société. Ce sont des imbéciles. Ils n’ont aucune idée de la façon dont ils sont utilisés et, mieux encore, ils ne le comprendront jamais. Nous avons tous les réseaux sociaux pour censurer quiconque remet en question le récit : Facebook, YouTube, Twitter, LinkedIn, Medium, etc. Les deux seuls gros que nous n’avons pas encore capturés sont Substack et Quora. Lorsque ceux-ci seront suffisamment importants pour nous en préoccuper, nous les rachèterons simplement et censurerons tout le contenu qui va à l’encontre du récit. Zuck est le meilleur. Supprimer les groupes de blessures vaccinales comptant 250 000 personnes est la bonne chose à faire. Personne ne pourra récupérer ces preuves puisqu’il n’y a pas de FOIA pour les entreprises privées. Ainsi, lorsque les gens posent des questions sur les effets indésirables des vaccins, nous pouvons dire : « Quel blessé ? Quels effets indésirables ? »
  13. J’ai financé le virus, mais personne ne va mettre 2 et 2 ensemble. S’il n’y avait pas eu un connard de sénateur (Rand Paul), personne ne saurait que j’ai financé le gain de la recherche fonctionnelle à Wuhan. Écoutez, je suis le gars qui a causé tout ce gâchis et qu’est-ce qu’ils font ? Ils m’ont chargé de le nettoyer ! Ces gens sont plus bêtes qu’un clou de porte. Je crée la plus grande catastrophe de la planète et on me donne ensuite de l’argent infini à dépenser pour « la nettoyer ». Hé, saviez-vous que n’importe quel président de comité démocrate peut demander mes e-mails non caviardés avec une simple lettre au NIH ? Mais ils ne le feront pas, car cela révélerait qu’ils ne faisaient pas leur travail de surveillance. Nous pouvons littéralement nous en tirer avec un meurtre et PERSONNE ne va nous défier. Ce type, Kirsch, a estimé que nous avons tué plus de 150 000 Américains avec le vaccin jusqu’à présent, mais le nombre réel est plus du double. En gros, nous pouvons nous en tirer avec un meurtre et personne n’est plus sage. Tout se passe à la vue de tous.
  14. Même si nous sommes exposés, personne ne le croira. John Stewart a exposé tout le schéma dans une interview sur The Late Show avec Stephen Colbert. Il a raconté toute l’histoire, jusqu’aux cartes de visite. Mais tout le monde pensait qu’il plaisantait. Juste avant sa mort, le comédien espagnol El Risitas a admis l’ensemble du projet dans une vidéo au monde entier. Tout le monde pensait qu’il plaisantait à l’époque. Regardez la vidéo.
  15. Ne vous inquiétez pas si ce mémo tombe entre de mauvaises mains. Si la presse reçoit ce mémo, elle ne le publiera pas. Et même si tout ce putain de mémo est publié, les gens sont maintenant tellement endoctrinés qu’ils ne le croiront jamais, même s’ils peuvent tout vérifier. Il n’y a donc rien à craindre.

Si vous avez des questions sur l’un de ces points, envoyez-moi un e-mail à tony@mail.nih.gov.

Errata:

  1. Le mandat du président s’applique à toutes les agences HHS. Cela ne s’applique pas au Congrès ou à la Cour suprême.



Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg

Par Ron Unz — 29 décembre 2021

Le mois dernier j’ai lu le nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr Le vrai Anthony Fauci qui est presque immédiatement devenu le best-seller n° 1 d’Amazon.

J’ai été très impressionné par la grande quantité de matériel présenté, qui critiquait vivement notre industrie pharmaceutique et ses alliés proches dans la bureaucratie de la santé publique. Mais ce qui m’a vraiment choqué c’est que pratiquement la moitié du texte — environ 200 pages — était consacrée à la présentation et à la promotion de l’affirmation étonnante que tout ce qu’on nous avait raconté sur le VIH/SIDA depuis plus de 35 ans constituait probablement un canular. Cette dernière question est devenue le point central de ma propre révision.

[Voir aussi :
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du sida
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Contestation du lien entre VIH et SIDA]

American Pravda : Vaccination, Anthony Fauci et le SIDA

Ron Unz — The Unz Review — 6 décembre 2021 – 6 100 mots

Pourtant, d’après les informations fournies dans le best-seller de Kennedy, n° 1 des ventes d’Amazon, cette image bien connue et solidement établie, que je n’avais jamais sérieusement remise en question, est presque entièrement fausse et frauduleuse, revenant essentiellement à un canular des médias médicaux. Au lieu d’être responsable du SIDA, le virus VIH est probablement inoffensif et n’avait rien à voir avec la maladie. Mais lorsque des personnes se sont révélées être infectées avec le VIH, elles ont été traitées par les premiers médicaments du SIDA extrêmement lucratifs, médicaments qui étaient en fait mortels et qui souvent les tuaient. Les premiers cas de SIDA avaient été causés principalement par une consommation élevée de certaines drogues illicites, et le virus VIH avait été diagnostiqué à tort comme étant responsable. Mais comme Fauci et les sociétés pharmaceutiques avides de profits ont rapidement construit d’énormes empires sur cette erreur de diagnostic, ils se sont farouchement battus pour la maintenir et la protéger, exerçant toute leur influence pour supprimer la vérité dans les médias tout en détruisant les carrières des chercheurs honnêtes qui contestaient cette fraude. Pendant ce temps le SIDA en Afrique était quelque chose de totalement différent, probablement causé principalement par la malnutrition et autres conditions locales.

J’ai trouvé le récit de Kennedy aussi choquant que tout ce que j’ai déjà rencontré.

Dans des circonstances normales, j’aurais été extrêmement réticent à faire miennes des affirmations apparemment aussi farfelues, mais la crédibilité de certains des partisans était difficile à ignorer.

Pourtant, le premier soutien sur la quatrième de couverture vient du Professeur Luc Montagnier, le chercheur en médecine qui a été lauréat du Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH en 1984, et il écrit : « Malheureusement pour l’Humanité, il y a de nombreuses, nombreuses contre-vérités émanant de Fauci et de ses sous-fifres. RFK Jr expose les décennies de mensonges ». De plus, on nous dit que dès la Conférence Internationale sur le SIDA de San Francisco de juin 1990, Montagnier avait publiquement déclaré « le virus VIH est inoffensif et passif, c’est un virus bénin ».

Il se peut que ce lauréat du Prix Nobel ait approuvé le livre pour d’autres raisons et peut-être que le sens de sa frappante déclaration de 1990 ait été mal interprété. Mais l’opinion d’un chercheur qui a remporté un Prix Nobel pour avoir découvert le virus VIH ne devrait certainement pas être totalement ignorée dans l’évaluation de son rôle possible.

Comme l’explique Kennedy, trois autres lauréats du Prix Nobel en sciences ont également exprimé un scepticisme public similaire pour le récit conventionnel VIH/SIDA, l’un d’entre eux étant Kary Mullis, le célèbre créateur du test PCR révolutionnaire (NdT : Kary Mullis a inventé la PCR, il n’a pas inventé le test PCR).

Malgré le formidable succès du livre, il a d’abord été ignoré par les médias grand public. Ce silence a finalement été brisé un mois après la publication lorsque l’Associated Press (Associated Press, une des plus importantes agences de presse du Monde — NdT) a publié un article de dénigrement de 4 000 mots qui attaquait durement l’auteur et son best-seller controversé.

How a Kennedy Built an Anti-Vaccine Juggernaut Amid COVID-19

(Comment un Kennedy a bâti un mastodonte Anti-Vaccin au milieu de la COVID-19) Michelle R. Smith et coll. – The Associated Press – 15 décembre 2021 – 4 000 mots

Cependant, comme je l’ai noté dans ma propre réponse, cette longue dénonciation avait entièrement évité le sujet VIH/SIDA, qui constituait certainement la partie la plus explosive du matériel de Kennedy. Six journalistes de l’AP et des chercheurs avaient passé au minimum dix jours à produire cet article, de sorte que leur silence total sur ce sujet m’est apparu extrêmement suspect. Si près de la moitié du livre de Kennedy soutenait que le VIH/SIDA était un canular médiatique médical et que ses critiques les plus sévères refusaient de le contester sur ce point, tout lecteur impartial doit certainement commencer à suspecter qu’au moins quelques-unes des remarquables affirmations de l’auteur étaient probablement exactes.

RFK Jr. as America’s #1 HIV/AIDS Denier and the Sounds of Media Silence
(RFK Jr en tant que négationniste n° 1 en Amérique de VIH/SIDA et le Silence Assourdissant des Médias)

Ron Unz – The Unz Review – 15 décembre 2021 – 1 500 mots

Avant la récente épidémie du Covid, le SIDA avait passé près de quatre décennies en tant que maladie la plus médiatisée au Monde, et j’ai commencé à me demander si je n’avais pas été complètement induit en erreur durant toutes ces années par mes journaux quotidiens. J’ai écouté les longues interviews de Kennedy par Tucker Carlson, Steve Bannon et Jimmy Dore, mais aucun des présentateurs n’a jamais abordé la question du SIDA, peut-être parce qu’ils la considéraient comme étant une diversion par rapport au sujet plus urgent des vaccins Covid et par rapport aux autres mesures de santé publique controversées. En fait, Kennedy lui-même n’avait jamais été associé auparavant au sujet VIH/SIDA et il a souligné que son reportage visait simplement à « exposer les voix dissidentes aux yeux de tous », de sorte qu’il me faudrait consulter d’autres sources pour des informations supplémentaires. Par chance, son livre a identifié clairement la plus importante figure du débat.

L’un des héros scientifiques les plus importants dans le récit de Kennedy est le Professeur Peter H. Duesberg de Berkeley (de l’université de Berkeley). Durant les années 1970 et 80, Duesberg avait été généralement considéré comme l’un des plus importants virologistes du Monde, élu à l’âge de 50 ans à la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, faisant de lui un de ses plus jeunes membres de l’histoire. Dès 1987, il a commencé à soulever de sérieux doutes sur l’hypothèse VIH/SIDA et à souligner les dangers de l’AZT, publiant finalement sur le sujet une série d’articles de revues qui ont progressivement convaincu de nombreuses autres personnes, parmi lesquelles Montagnier. En 1996 il a publié L’invention du Virus du SIDA un ouvrage massif de 712 pages exposant son cas, avec l’avant-propos fourni par Kary Mullis le lauréat du Prix Nobel, le célèbre inventeur de la technologie PCR et lui-même autre critique de premier plan de l’hypothèse VIH/SIDA. Duesberg alla jusqu’à souligner la confiance qu’il portait à son scepticisme à l’égard du VIH en proposant qu’on lui injecte du sang contaminé par le VIH.

Mais plutôt que de débattre ouvertement avec un opposant scientifique aussi solide, Fauci et ses alliés ont mis Duesberg sur la liste noire pour l’attribution de tout financement gouvernemental, détruisant ainsi sa carrière de chercheur, tout en le diffamant et en faisant pression sur d’autres pour qu’ils fassent de même. D’après des collègues chercheurs cités par Kennedy, Duesberg a été détruit en guise d’avertissement et d’exemple pour les autres. Pendant ce temps, Fauci a déployé son influence pour que ses critiques soient bannis des principaux médias nationaux, s’assurant que peu de personnes, en dehors d’un segment étroit de la communauté scientifique, puissent un jour prendre conscience de la controverse en cours.

Donc la théorie qu’il me fallait étudier revenait à l’hypothèse Duesberg, l’adversaire longtemps étouffé de notre orthodoxie VIH/SIDA régnante. Heureusement pour mes besoins les hérésies scientifiques dépourvues de financement et mises sur liste noire par les revues importantes ont tendance à produire un ensemble d’œuvres très gérable. Les milliards (de dollars — NdT) dépensé dans la recherche orthodoxe du SIDA ont donné naissance à bien plus de 100 000 articles de revues universitaires, plus ce qu’un lecteur diligent ne pouvait digérer en une douzaine de vies. Mais la plus récente publication académique que j’ai pu trouver provenant de l’autre bord était un long article de synthèse publié il y a 18 ans par Duesberg et deux de ses collaborateurs. En effet, selon leur épilogue, les auteurs avaient passé plusieurs années à se battre contre l’inlassable hostilité de l’establishment régnante du SIDA pour faire imprimer leur article, establishment qui avait réussi à faire pression sur deux précédentes revues pour qu’elles annulent la publication.

The chemical bases of the various AIDS epidemics: recreational drugs, anti-viral chemotherapy and malnutrition (PDF)

(Les bases chimiques des différentes épidémies de SIDA : drogues récréationnelles, chimiothérapie antivirale et malnutrition (PDF))

Peter Duesberg, Claus Koehnlein et David Raznick — Journal of Bioscience — juin 2003

Bien que j’aie une solide formation scientifique, il me manque l’expertise en médecine ou microbiologie nécessaire pour évaluer correctement leur article. Mais en le lisant attentivement en tant que profane, je l’ai trouvé solide et persuasif, certainement digne d’être publié. Et quand je l’ai transmis à quelqu’un avec une formation médicale professionnelle, il l’a considéré comme extrêmement impressionnant, un exposé convaincant de la thèse révolutionnaire des auteurs.

L’une des affirmations centrales de Duesberg était que la maladie connue sous le nom de SIDA en fait n’existait pas, mais n’était simplement que l’étiquette attachée à un groupe de plus de deux douzaines de maladies différentes, qui avaient toutes une variété de causes différentes, dont seulement certaines étaient des agents infectieux. En effet, la plupart de ces maladies étaient connues et traitées depuis des décennies, mais elles n’étaient désignées « SIDA » que si la victime était également testée positive au virus VIH, ce qui n’avait probablement rien à voir avec la maladie.

À l’appui de leur position contraire (à la thèse officielle — NdT), les auteurs ont noté que les différents groupes à haut risque de « SIDA » avaient tendance à n’être touchés que par des versions particulières de la maladie, le « SIDA » dont souffraient les hémophiles étant généralement très différent du « SIDA » des villageois africains et ne chevauchant que légèrement les maladies des homosexuels ou des toxicomanes par intraveineuse. En fait, le modèle du « SIDA » en Afrique semblait complètement différent de celui du Monde développé. Mais si toutes ces maladies différentes étaient réellement causées par un seul virus VIH, des syndromes aussi complètement différents sembleraient des anomalies déconcertantes, difficiles à expliquer d’un point de vue scientifique.

En 2009, 6 ans après la publication de ce long article, un cinéaste indépendant, de nom Brent Leung, a produit un documentaire de 90 minutes sur le SIDA, fortement sympathique à la thèse de Duesberg, et quelqu’un l’a récemment porté à mon attention. Il y a une grande pénurie de matériel pro Duesberg, donc bien que je ne trouve que rarement des sources d’information vidéo utiles, ce cas était une exception importante. Le film soulignait les énormes inconsistances de la position de l’orthodoxie scientifique, et comprenait également des interviews importantes de Duesberg, Mullis, Fauci et de nombreux autres chercheurs et journalistes clés provenant des deux côtés du débat. Le documentaire dans son entier est facilement disponible sur YouTube (pour la version avec sous-titre en français :

Le peu de personnes ayant visionné le film explique qu’il n’ait pas encore été censuré par YouTube — NdT), ceux qui sont intéressés peuvent donc le visionner et décider par eux-mêmes.

Le journaliste John Lauritsen avait couvert la controverse VIH/SIDA pendant des décennies, écrivant deux livres sur le sujet et servant comme importante source pour le propre travail de Kennedy. Il a récemment rejoint un des fils de discussion sur notre site web et il m’a suggéré de republier sa conférence de 2018, qui résumait de façon utile l’histoire et l’état actuel de la question. (Cette conférence a été organisée par un Américain, Martin Barnes, qui s’est établi dans le sud de la France dans le village Vers Pont du Gard)

Making Our Case In the Battle for Truth
(Plaider notre cause dans la Bataille pour la Vérité)

John Lauritsen — Conférence Vers pont du Gard — 16 juin 2018 – 2 500 mots

Bien que j’aie trouvé tout ce matériel pro Duesberg utile pour étoffer les arguments, la majeure partie chevauchait le contenu du livre de Kennedy, et l’analyse était nécessairement partiale. Sous la pression de l’establishment médical et son lobby du SIDA, les médias dominants ont presque entièrement fermé leurs portes à toute dissidence sur la question et refusent d’engager le dialogue avec les critiques, semblant plutôt avoir recours à la liste noire et au boycott. Cela suggérait la relative faiblesse du cas orthodoxe, mais n’ayant pas d’échanges d’arguments et contre-arguments, je ne pouvais facilement peser la puissance des deux côtés. Heureusement j’ai découvert que cette situation avait été très différente dans le passé.

J’ai passé la plus grande partie du début des années 2000 à créer un système d’archivage de contenu qui comprend des collections presque complètes de quelques centaines de nos principaux magazines d’opinion de ces 150 dernières années, ces publications influentes qui ont façonné notre compréhension du Monde. Le projet était pratiquement un échec total puisque très peu de personnes l’ont utilisé, et j’ai facilement trouvé une longue liste d’articles axés sur l’hypothèse de Duesberg, la plupart d’entre eux datant des années 1990. Durant cette période le rideau de fer de la censure n’était pas encore tombé, et le sujet avait été traité largement et avec respect dans les principales publications.

J’ai lu attentivement plus d’une douzaine d’articles de fond les plus conséquents qui avaient tous été publiés dans des périodiques libéraux, conservateurs et libertaires, tout ce qu’il y a de plus grand public et respectable. Une des surprises majeures a été de voir à quel point le débat semblait avoir peu changé. Les preuves et arguments que Duesberg et ses alliés scientifiques avaient avancés il y a trente ans semblaient remarquablement similaires à ce qui était présenté dans le livre de Kennedy publié à peine le mois dernier.

Le numéro d’été de Policy Review, une des revues spécialisées conservatrices les plus sobres et les plus influentes des États-Unis, avait offert à Duesberg et à un co-auteur une tribune pour la théorie controversée, et leur article en résultant comptait près de 9 000 mots. Selon l’éditeur, ce sujet a provoqué plus de lettres et réponses — positives et négatives — que tout ce qui avait paru dans l’histoire de la revue, et devint un de leurs articles les plus discutés. En conséquence, le numéro suivant du trimestriel a présenté certaines de ces réactions ainsi que les réponses des deux auteurs, l’ensemble de l’échange comptant presque 13 000 mots.

Is the AIDS Virus a Science Fiction? (PDF)

(Le Virus du SIDA est-il une Science-Fiction ?)

Des comportements Immunosuppressifs, et non le VIH, peuvent être la cause du SIDA

Peter H. Duesberg et Bryan J. Ellison — Policy Review — Été 1990 – 8 800 mots

Is HIV the Cause of AIDS? (PDF)
(le VIH est-il la Cause du SIDA ?)

Des critiques répondent — Policy Review — Automne 1990 – 12 700 mots

Plusieurs années plus tard, un développement semblable s’est déroulé chez Reason, le magazine de luxe phare du mouvement libertaire américain. Le magazine a publié un long article illustré par la couverture approuvant les affirmations de Duesberg et rédigé par trois de ses alliés scientifiques, l’un d’entre eux, un ancien professeur de la Faculté de Médecine de Harvard et un autre récent lauréat du Prix Nobel. Une fois de plus, le résultat a été un énorme déversement de réactions tant de soutien que critiques, et le long débat a été publié dans un numéro ultérieur.

What Causes AIDS? (PDF)

(Qu’est-ce qui cause le SIDA)

Nous ne savons toujours pas ce qui cause le SIDA

Charles A. Thomas, Kary B. Mullis et Phillip E. Johnson

Reason – Juin 1994 – 4 600 mots

What Causes AIDS? The Debate Continues (PDF)
Qu’est-ce qui cause le SIDA ? Le débat continue

Les critiques répondent — Reason — Décembre 1994 – 9 100 mots

Le Lancet est une des revues médicales les plus importantes du Monde et en 1996, l’année suivant sa nomination en tant que rédacteur en chef, Richard Horton a publié dans les pages de la prestigieuse, d’un point de vue intellectuel, New York Review of Books (revue bimensuelle qui traite des questions d’actualité en se basant sur une importante revue de presse — NdT) pour produire une discussion de 10 000 mots sur les théories de Duesberg telles qu’elles étaient exposées dans trois des livres et recueils du chercheur.

Horton était manifestement une des personnalités les plus respectables de l’establishment, mais bien qu’il se soit surtout prononcé en soutien du consensus orthodoxe VIH/SIDA, il a présenté la perspective totalement contraire de Duesberg en toute impartialité, avec respect, mais pas sans réserve.

Cependant, ce qui m’a le plus frappé dans le récit de Horton c’est à quel point il semblait atterré par le traitement de Duesberg par le complexe médico-industriel régnant en Amérique, tel que c’est suggéré par son titre « Vérité et Hérésie au sujet du SIDA ».

La toute première phrase de son long article de synthèse mentionnait la « vaste industrie universitaire et commerciale construite autour… du VIH » ainsi que le défi fondamental que Duesberg posait à son fondement scientifique. Avec pour conséquence que le « brillant virologue » était devenu le « scientifique vivant le plus vilipendé » et le sujet « d’attaques des plus condamnables ». Les principales revues scientifiques avaient fait preuve d’une « attitude partiale alarmante », ce qui a eu pour partie comme conséquence que d’autres dissidents potentiels avaient été dissuadés de poursuivre leurs théories alternatives.

Selon Horton, les considérations financières étaient devenues un élément central du processus scientifique, et il a noté avec horreur qu’une conférence de presse sur la recherche, qui remettait en question l’efficacité d’un médicament anti-SIDA particulier, était en fait bourrée de journalistes spécialisés dans la finance, focalisés sur les efforts des dirigeants d’entreprise à détruire la crédibilité d’une étude qu’ils avaient eux-mêmes aidée à concevoir, mais qui allait maintenant à l’encontre de leur propre produit.

Plus important encore, bien que Horton était dans l’ensemble sceptique par rapport aux conclusions de Duesberg, il était absolument cinglant envers les opposants au virologue dissident.

Un des aspects les plus troublants du différend entre Duesberg et l’establishment du SIDA était la façon dont on avait refusé à Duesberg la possibilité de tester son hypothèse. Dans une discipline régie par des affirmations empiriques de la vérité, les preuves expérimentales sembleraient la manière la plus évidente de confirmer ou de réfuter les affirmations de Duesberg. Mais Duesberg avait trouvé les portes de l’establishment scientifique closes à ses fréquents appels à des tests…

Duesberg mérite d’être entendu, et l’assassinat idéologique qu’il a subi restera un témoignage embarrassant des tendances réactionnaires de la science moderne… À une époque où les idées nouvelles et de nouvelles voies d’investigation sont si désespérément recherchées, comment la communauté du SIDA peut-elle se permettre de ne pas financer la recherche de Duesberg ? »

Cette dernière phrase retentissante clôturait toute la critique, parue il y a plus d’un quart de siècle dans une publication prestigieuse et influente. Pour autant que je sache, la critique sincère de Horton est tombée entièrement dans des oreilles de sourds, et l’establishment du SIDA a simplement ignoré toute la controverse tout en faisant progressivement pression sur les médias pour qu’ils mettent fin à toute couverture. Cela semble confirmer pleinement le récit fourni dans le best-seller actuel de Kennedy.

Truth and Heresy About AIDS

(Vérité et Hérésie au sujet du SIDA)

Richard Horton – The New York Review of Books – 23 mai 1996 – 10 100 mots

Pris ensemble, ces cinq articles comptent plus de 45 000 mots, la longueur d’un petit livre, et fournissent probablement un débat aussi bon et équilibré sur l’Hypothèse Duesberg que ce qu’on peut trouver où que ce soit.

D’après l’article de l’AP le livre de Kennedy s’est probablement vendu à 200 000 exemplaires dans les premières semaines suivant sa publication du 16 novembre. Le livre a ravi la place de n° 1 sur Amazon et a conservé cette position une bonne partie du mois de décembre, donc les ventes globales peuvent maintenant s’élever à plus du double de ce chiffre.

Mais même si le nombre total d’exemplaires imprimés devait éventuellement atteindre le million ou plus, de tels chiffres ne représentent tout au plus une minuscule fraction des dizaines de millions d’Américains qui sont submergés chaque jour par les messages fortement promus par nos médias électroniques et nos médias sociaux, organismes médiatiques qui mettent sur liste noire ou qui boycottent le matériel important que Kennedy présente. Donc à moins que le mur défensif des médias ne puisse être contourné avec succès, le message du livre de Kennedy se limitera probablement surtout à cette fraction de la population qui est déjà à l’écoute, renforçant peut-être leur détermination, mais gagnant relativement peu de nouveaux adhérents.

Il y a plusieurs années, j’ai exactement analysé ce problème, soulignant les difficultés à surmonter un tel blocus médiatique et la stratégie possible à poursuivre, et certaines de mes suggestions méritent d’être citées en larges extraits :

Les médias grand public (mainstream en anglais — NdT) existent en un tout homogène, de sorte que l’affaiblissement ou le discrédit dans un domaine particulier réduit automatiquement également son influence partout ailleurs.

Les éléments du récit médiatique auxquels est confronté un groupe anti-establishment particulier peuvent être trop forts et bien défendus pour les attaquer avec efficacité, et de telles attaques peuvent être écartées comme étant motivées par l’idéologie. Par conséquent, la stratégie la plus productive peut parfois être une stratégie indirecte, en attaquant le récit médiatique ailleurs, à des endroits où il est bien plus faible et bien moins défendu. En plus, gagner ces batailles plus faciles peut générer une plus grande crédibilité et impulsion, ce qui ensuite peut être appliqué à des attaques ultérieures sur des fronts plus difficiles.

Certaines portions de ce mur médiatique peuvent être solides et vigoureusement défendues par de puissants intérêts particuliers, ce qui rend les assauts difficiles. Mais d’autres portions, peut-être plus âgées et moins connues, ont décrépi avec le temps, leurs défenseurs s’en étant éloignés. Enfoncer le mur à ces endroits plus faibles peut être plus facile, et une fois que la barrière a été brisée en plusieurs endroits, la défendre en d’autres devient bien plus difficile.

Par exemple, considérez les conséquences si l’on démontre que le récit médiatique établi est complètement faux sur un événement individuel. Une fois ce résultat largement reconnu, la crédibilité des médias sur tous les autres sujets, même n’ayant aucun rapport serait quelque peu atténuée. Les gens ordinaires concluraient naturellement que si les médias se sont trompés si longtemps sur un point important, ils pourraient se tromper également sur d’autres points, et la puissante suspension de l’incrédulité qui fournit aux médias son influence deviendrait moins puissante. Même les individus qui forment collectivement le corpus des médias pourraient commencer à considérer de sérieux doutes sur eux-mêmes en ce qui concerne leurs certitudes antérieures.

Le point crucial c’est que de telles percées peuvent être les plus faciles à réaliser dans des sujets qui semblent être simplement d’importance historique, et qui sont totalement éloignés de toute conséquence pratique actuelle.

Selon les paramètres habituels du débat public, les défis à l’orthodoxie établie sont traités comme étant des « affirmations extraordinaires » qui doivent être justifiées par des preuves extraordinaires. Cette exigence peut être injuste, mais elle constitue la réalité dans de nombreux échanges publics, fondés sur le cadre fourni par les médias prétendument impartiaux.

Étant donné que la plupart de ces controverses impliquent un large éventail de questions complexes et de preuves ambiguës ou contestées, il est souvent extrêmement difficile d’établir de façon concluante une théorie non orthodoxe, disons à un niveau de confiance de 95 ou 98 %. Par conséquent, le verdict des médias est presque invariablement « Cas non prouvé » et les contestataires sont jugés vaincus et discrédités, même s’ils semblent réellement avoir la prépondérance des preuves de leur côté. Et s’ils contestent haut et fort l’injustice de leur situation, cette même réponse est alors citée par la suite par les médias comme preuve supplémentaire de leur fanatisme ou de leur paranoïa.

Cependant, supposons qu’une stratégie entièrement différente ait été adoptée. Au lieu d’essayer de monter un dossier « au-delà de tout doute raisonnable », les tenants fournissent simplement suffisamment de preuves et analyses pour suggérer qu’il y a 30 % ou 50 % ou 70 % de chances que la théorie non orthodoxe soit vraie. Le fait même qu’aucune affirmation de quasi-certitude ne soit avancée fournit une défense puissante contre toute accusation plausible de fanatisme ou de pensées délirantes. Mais si la question est d’importance énorme et — comme c’est habituellement le cas — la théorie non orthodoxe a été presque totalement ignorée par les médias, bien qu’elle ait apparemment au moins une chance raisonnable d’être vraie, alors les médias peuvent être attaqués de manière efficace et ridiculisés pour leur paresse et leur incompétence. Ces accusations sont très difficiles à réfuter et puisqu’aucune affirmation n’est faite que la théorie non orthodoxe s’est nécessairement avérée exacte, simplement qu’elle pourrait éventuellement être correcte, toute contre-accusation de tendance conspiratrice tomberait à plat.

En effet, les seuls moyens que les médias pourraient avoir pour réfuter efficacement ces accusations seraient d’explorer tous les détails complexes de la question (aidant en cela à porter eux-mêmes à une attention plus large différents faits controversés) et ensuite prétendre qu’il n’y a qu’une chance négligeable que la théorie soit correcte, peut-être 10 % ou moins. Ainsi, l’habituelle charge de la preuve est complètement inversée. Et comme il est peu probable que la plupart des membres des médias n’aient jamais accordé une attention sérieuse sur le sujet, il se pourrait que leur présentation, faite par des ignorants, soit assez faible et vulnérable face à une déconstruction bien informée. En effet, le scénario le plus probable est que les médias continueront à ignorer totalement toute la controverse, renforçant ainsi ces accusations plausibles de paresse et d’incompétence.

American Pravda: Breaching the Media Barrier

(Pravda Américaine : traverser la barrière médiatique)

Ron Unz – The Unz Review – 24 octobre 2016 – 2 500 mots

Le public principal du livre de Kennedy est la communauté anti-vaxx importante et mobilisée, et beaucoup de ces personnes peuvent ignorer sa longue discussion sur la controverse VIH/SIDA, ou même l’écarter au motif qu’elle détourne l’attention. Mais je pense que c’est une grave erreur stratégique. Au lieu de cela un accent majeur sur le récit douteux VIH/SIDA et l’hypothèse opposée de Duesberg peut constituer le meilleur moyen de discréditer l’establishment médical dominant de l’Amérique, et ainsi permettre une réévaluation de notre politique vaccinale. Comme je l’ai expliqué vers la fin de ma recension :

En tant qu’observateur extérieur sans expertise particulière dans ces domaines de la médecine, j’ai été impressionné par une grande partie du matériel que Kennedy a réuni en soutien à ses points de vue non orthodoxes sur les vaccins et les traitements Covid, mais j’ai trouvé que les preuves qu’il a fournies sur le VIH et le SIDA étaient beaucoup plus compréhensives et persuasives, tout en étant plus appuyées par des experts faisant bien plus autorité. Mais si, comme il l’affirme, la vérité au sujet du VIH et du SIDA a été supprimée avec succès pendant des décennies par l’ensemble de l’industrie médicale, alors nous devons nécessairement devenir très méfiants au sujet des autres allégations médicales, y compris celles concernant le Covid et les vaccinations.

Je me demande même si cela ne représente pas une partie du sous-entendu caché de l’âpre bataille actuelle au sujet de la vaccination et la réaction presque paranoïaque de tant d’opposants. Ceux qui ont contesté le dogme scientifique officiel sur le SIDA ont depuis longtemps été chassés de la place publique, de sorte que bien peu parmi ceux qui puisent leurs informations des médias grand public sont même au courant du conflit. Mais le genre de théories divergentes présentées par Kennedy a probablement circulé depuis des années à l’intérieur de segments particuliers de la population, et ces personnes sont devenues fermement convaincues qu’un grand nombre d’Américains sont morts parce que l’establishment médical a infligé le traitement mortel AZT pour lutter contre l’inoffensif virus VIH. Donc elles deviendraient alors extrêmement méfiantes si elles apprenaient qu’un virus Covid à faible mortalité était traité par l’utilisation généralisée de nouveaux vaccins expérimentaux qui ont complètement contourné le processus de test habituel grâce à un ensemble de dérogations d’urgence. Après avoir absorbé le contenu remarquable de l’important livre de Kennedy, je pense qu’il n’est pas déraisonnable d’avoir de telles préoccupations.

Lectures associées :

Traduction Jean Bitterlin, le 5 janvier 2022




Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique

Conférence de Peter Duesberg – Université de Californie à Berkeley

Académie Internationale de Médecine Buccale et de Toxicologie
Las Vegas, 12 Septembre 2015
Peter Duesberg – Université de Californie à Berkeley
Hôte : Dr Richard Fischer

Traduction : Jean Bitterlin – 2019

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du sida
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
et
Contestation du lien entre VIH et SIDA]

L’ascension et l’effondrement de l’hypothèse virus-SIDA

Est-ce déjà un chapitre de l’Histoire de la Science ?

Comme vous allez le voir maintenant – Je pense que la réponse est Oui.

L’origine de l’hypothèse Virus-SIDA en 1984

En mai 1984 le laboratoire du chercheur en virologie Robert Gallo de l’Institut National de la Santé (NIH) a publié une série sensationnelle de 4 articles dans le même n°du magazine Science qui promettait de mettre fin à la panique générale de ce qui était alors une mystérieuse épidémie de SIDA.

D’après ces articles, le laboratoire de Gallo avait trouvé que ‘la cause première du SIDA’ est un nouveau rétrovirus sexuellement transmissible.

L’hypothèse virus-SIDA de Gallo a été acceptée du jour au lendemain,

  • (1) parce que Science est le journal scientifique le plus prestigieux des Etats-Unis,
  • (2) parce que le NIH est l’institut de financement le plus puissant des Etats-Unis qui finance plus de 80% de la recherche médicale
  • et (3) parce que la presse publique, surtout le New York Times avait propagé l’histoire que la nouvelle épidémie était sexuellement transmissible – et que d’après Liz Taylor “Nous sommes tous concernés”.

Il y avait néanmoins deux défauts fondamentaux dans les articles sensationnels de Gallo qui remettent en question l’hypothèse de ‘cause première’.

Défaut 1 . Le ‘virus qui serait la cause’ n’a été trouvé que dans moins de 50% des malades du SIDA de Gallo (voir tableau 1). Donc le virus ne remplissait même pas le premier des classiques postulats de Koch – 100% de corrélation. (voir ci-après).

Défaut 2. A l’insu de Science, une vérification ultérieure du laboratoire de Gallo n’a pas confirmé ne serait-ce qu’une seule des isolations de virus de Gallo.

Tableau 1. Détection et isolation du HTLV-III chez des malades avec SIDA et pré-SIDA

(Gallo et al. Science, vol. 424, p500-503,1984)

Postulats de Koch définissant la cause d’une maladie microbienne

  1. Le microbe/virus est trouvé dans tous les cas (100%) de la maladie.
  2. Le microbe/virus peut être isolé de la maladie.
  3. Le microbe/virus isolé cause la maladie chez un hôte approprié, animal ou humain.

[Ndlr : d’autres versions de ces postulats en formulent 4 ou 5 et non seulement 3. Il s’agit probablement ici d’une version simplifiée pour les besoins de la conférence.]

Mais l’hypothèse Virus-SIDA a prévalu sur toutes les questions ‘techniques’.

Sous les ‘feux des projecteurs’ de l’hypothèse de Gallo et du NIH, le virus du SIDA nouvellement découvert a été considéré comme mettant fin au mystère de la nouvelle épidémie du SIDA – sans tenir compte de ‘questions techniques’.

Grâce à Gallo/NIH la nouvelle épidémie serait maintenant contrôlable par les protections conventionnelles contre les maladies vénériennes, et serait d’après Margaret Heckler Secrétaire à la Santé en 1984, bientôt complètement évitée, ‘en moins de deux ans’, par un nouveau vaccin antiviral.

En raison de ce soutien somptueux à l’hypothèse virus-SIDA par le NIH et de l’excitation publique au sujet de la découverte de ‘la cause du SIDA’ – le nouveau virus a été immédiatement baptisé ‘virus du SIDA’ dans les médias et a été nommé virus de l’Immunodéficience Humaine (VIH) dans la littérature professionnelle (Science, 1986).

L’Académie Nationale des Sciences et l’Institut de Médecine unissent leurs forces pour faire face à une épidémie de SIDA imminente.

Alarmés par le nouveau ‘virus du SIDA’ sexuellement transmissible et la perspective d’une épidémie nouvelle ‘de type syphilis’ – l’Académie Nationale des Sciences et l’Institut de Médecine ont uni leurs forces etnommé des experts dans un ‘comité du ruban bleu’ pour faire face à une menaçante épidémie de SIDA.

Le Prix Nobel pour les rétrovirus David Baltimore a été désigné pour diriger le comité d’experts qui a fait le brouillon d’un livre complet de stratégies pour défendre les Américains contre une épidémie de SIDA imminente.

Les stratégies du comité ont été publiées par l’Académie dans un nouveau livre ‘Affronter le SIDA’.

“Il y a actuellement de 1 à 1,5 millions d’Américains infectés avec le VIH.”

“Parmi eux on s’attend à ce que 20 à 30% développent le SIDA avant 1991.”

“Les cas de SIDA … acquis par contacts hétérosexuels vont passer de 1 100 en 1986 à presque 7 000 en 1991… “

“Les cas de SIDA pédiatriques vont presque décupler durant les 5 prochaines années à plus de 3 000 cas cumulés…”

(Affronter le SIDA, 1986).

Le comité suivait ainsi exactement les prédictions de la théorie microbienne classique des maladies

La théorie des germes prédit (depuis Koch et Pasteur) qu’une nouvelle maladie virale ou microbienne se répand dans une population de manière exponentielle jusqu’à ce que tous les sujets susceptibles ne soient infectés en l’espace de quelques semaines ou mois – tout juste comme lors de la grippe saisonnière.

La population infectée guérit ensuite en générant une immunité, mais quelques-uns peuvent périr de l’infection. En conséquence l’épidémie décline alors de manière exponentielle parce que les survivants sont immunisés contre lenouveau microbe (ou décédés).

Pour toutes les nouvelles épidémies infectieuses l’essor et le déclin exponentiels des infections forment des courbes en cloche classiques.

Dans la page suivante je montre l’exemple de la grippe mondiale après la Première Guerre Mondiale en 1918.

La courbe classique en cloche de l’épidémie de grippe aux Etats-Unis et en Europe en 1918.

Hausse et baisse exponentielles en quelques mois.

Notes :

  • Abscisse en mois.
  • La mortalité augmentée 6 fois.
  • Les virus se multiplient de manière exponentiel le en moins de 24 heures.

La propagande scientifique en faveur de l’hypothèse VIH-SIDA a atteint son apogée en 2000 avec la ‘Déclaration de Durban’ de Nature

En 2000 Nature a publié “Plus de 5 000 articles scientifiques, parmi lesquels des lauréats du Prix Nobel, “ont déclaré” que le VIH tuera 24 millions de personnes en Afrique.

Ils ont “déclaré” en outre, « Les preuves que le VIH est la cause du SIDA est tranchée, exhaustive et sans ambiguïté » – mais n’offraient comme preuve directe que leur seule ‘autorité’.

La déclaration désigne l’Afrique comme “épicentre du SIDA”, 24,5 millions des 30 millions de séropositifs du Monde sont Africains, bien que « le VIH ignore toute frontière ».

Mais la carte présentée dans leur déclaration montre des frontières très nettes :

“Le VIH ignore …les frontières’’ Déclaration de Durban (Nature 2000)

Page 1/2 de la déclaration signée par plus de 5 000 scientifiques dans Nature

Remarque : une image couleur avec de grands sourires , mais aucun espace pour les preuves.

Texte de la photo :

Titre : La Déclaration de Durban

Le VIH cause le SIDA. Freiner la propagation de ce virus doit rester la première étape en vue d’éliminer cette maladie dévastatrice.

17 ans après la découverte du virus à immunodéficience humaine, des milliers de personnes du monde entier se rassemblent à Durban en Afrique du Sud pou participer à la XIIIème conférence internationale du SIDA qui débute la semaine prochaine (9 juillet). Au tournant du millénaire les chiffres publiés la semaines dernière révèlent qu’environ 34,3 millions de personnes dans le Monde vivent avec le VIH ou le SIDA, 24,5 millions d’entre elles en Afrique subsaharienne. Rien que l’an passé 2,8 millions de personnes sont décédées du SIDA, le taux le plus élevé depuis le début de l’épidémie. Si la tendance actuelle se poursuit, le Sud et le Sud-Est de l’Asie, l’Amérique du Sud et les régions de l’ancienne Union Soviétique porteront également un lourd fardeau lors des deux prochaines décennies.

Le SIDA se répand par infection, comme de nombreuses autres maladies telles que la tuberculose et la malaria qui causent la maladie et la mort particulièrement dans les communautés défavorisées et appauvries. Le VIH-1 qui est responsable de la pandémie de SIDA, est un rétrovirus étroitement apparenté à un virus d’immunodéficience simienne (SIV) qui infecte les chimpanzés. Le VIH-2 qui est ‘prévalent’ en Afrique de l’Ouest et qui s’est répandu en Europe et en Inde, est presque indiscernable du SIV qui infecte les singes cercocèbes noirs. Bien que le VIH-1 et le VIH-2 sont d’abord apparus pour la première fois en tant que zoonoses – infections transmises d’animal à humain – les deux se répandent maintenant par contact sexuel, de mère à enfant, et via le sang contaminé.

Une source animale pour une infection n’est pas unique au VIH. La peste est venue par les rongeurs, la grippe par les oiseaux. Le virus Nipah par les cochons. Au Royaume Uni une variante de la maladie de Creutzfeld-Jacob est identique à la maladie de ‘la vache folle’. Une fois que le VIH s’est installé chez les humains, il a rapidement suivi les habitudes et les mouvements humains. Comme beaucoup d’autres virus, le VIH ne connaît pas de frontières sociales, politiques ou géographiques.

La preuve que le SIDA est causé par le VIH-1 ou le VIH-2 est tranchée, exhaustive et sans ambiguïté et répond aux normes les plus élevées de la science. Les données remplissent exactement les mêmes critères que celles des autres maladies virales, telles que la polio, la rougeole et la variole.

Les malades avec le syndrome d’immunodéficience acquise, peu importe où ils vivent sont infectés avec le VIH.

Légende de la photo : Si rien n’est fait le nombre de décès du SIDA en Afrique sera énorme.

Alors quels sont à ce jour, 31 ans plus tard et des milliards dépensés, les résultats de l’hypothèse VIH ?

Malgré 31 années d’efforts les prédictions suivantes de l’hypothèse du virus restent non confirmées (voir les preuves par la suite)

  1. Pas d’épidémie généralisée aux USA, en Europe – et même en Afrique.
  2. Pas de preuve que le SIDA soit contagieux.
  3. Pas de vaccin.
  4. Pas de médicaments curatifs : les traitements consistent en une chimiothérapie inévitablement toxique (par ex. le terminateur de chaîne AZT ; voir ci-dessous)
  5. Le NIH ne finance que la recherche associant le VIH au SIDA.

Prédiction non confirmée n°1 ‘Pas d’épidémie généralisée du SIDA …’

Commençons par la Déclaration de Durban de Nature que 24 millions d’Africains sont en train demourir du SIDA et que le continent africain sera très bientôt décimé par le SIDA.

Contrairement à la ‘Déclaration de Durban’ de Nature, la population de l’Afrique subsaharienne a triplé depuis qu’il y a le SIDA, passant de 400 millions en 1984 à 1,2 milliards maintenant.

Malgré la forte prévalence des anticorps contre le VIH (Déclaration de Durban), les statistiques de la Banque Mondiale et du Bureau de Recensement International US montrent que la population de l’Afrique subsaharienne dans son ensemble a doublé depuis le début de l’ère VIH-SIDA au début des années 1980 – passant de 400 millions à 800 millions en 2007 – et est maintenant sur le point de tripler à 1,2 milliards.

Même le New York Times le confirme – en passant – que la population a fortement augmenté malgré le VIH

Le 4 mai 2011, le New York Times publie que l’Afrique venait d’atteindre le milliard d’habitants et devrait être le continent de plus forte croissance démographique pour le siècle à venir.

L’article faisait remarquer en passant, ‘’l’épidémie de SIDA, aussi dévastatrice qu’elle ait pu être, n’a pas été le désastre démographique prédit autrefois’’. (New York Times du 4 mai 2011, p.A1 et A3)

Donc le VIH ne peut pas être le virus tueur tel qu’on l’avait décrit dans la ‘’Déclaration” de plus de 5 000 scientifiques dont des Prix Nobel.

Au lieu de cela, le VIH peut être crédité d’une explosion démographique.

Et qu’en est-il advenu de l’épidémie générale du SIDA en Amérique ‘prévue’ par le NIH/Gallo et par le Comité Affronter le SIDA de l’Académie?

L’épidémie de SIDA sexuellement transmissible prédite dans l’ensemble de la population des Etats-Unis n’a pas été confirmée depuis 1984.

Considérant le fait que nous, les 300 millions d’Américains, produisons environ 4 millions de bébés par an, et qu’il n’y a toujours pas de vaccin contre le virus sexuellement transmissible du SIDA, la théorie des germes prédirait une énorme épidémie générale de SIDA ‘hétérosexuel’ depuis 1984.

Exactement – ce que Gallo et le comité du ruban bleu de l’Académie et l’Institut de Médecine prédisaient également. Mais ceci n’arriva pas.

Au lieu de cela nous avons trouvé une microépidémie constante, non exponentielle (et donc non due à un nouveau virus!) de moins de 0,01% ou environ 20 000 ‘cas de SIDA’ pour 300 millions de personnes par an.

Et tous ces cas proviennent de groupes anormaux, communément appelés ‘groupes à risque’ – qui n’ont pas formé une courbe en forme de cloche qui est typique pour tout nouveau virus pathogène. Voir ci-après

Centres de Contrôle des Maladies : Rapport graduel, pas d’augmentation exponentielle du ‘SIDA’ au cours des années depuis 1984 début du dépistage. Puis une diminution constante et une stabilisation à 20 000 ‘cas de SIDA’ ou < 0,01 % sur 300 millions de 1997 à 2008 et à ce jour.

Remarque : le graphique cache plus qu’il ne montre. Il n’y a pas de courbe en forme de cloche en quelques mois comme c’est typique pour les épidémies [prétendument] dues à un nouveau virus..

La courbe classique en cloche de l’épidémie de grippe aux Etats-Unis et en Europe en 1918 :

Hausse et baisse exponentielles en quelques mois.

Notes :

  • Abscisse en mois.
  • La mortalité augmentée 6 fois.
  • Les virus se multiplient de manière exponentiel le en moins de 24 heures.

Résumé : le SIDA aux Etats-Unis depuis 1984 :

Pas d’augmentation exponentielle due à une épidémie de SIDA naissante, mais une micro-épidémie constante chez les ‘groupes à risque’ et existante depuis longtemps.

Donc au lieu de la grosse nouvelle épidémie de SIDA, il y a une micro-épidémie constante, qui affecte un groupe à risque, inférieure à 0,01% de la population américaine !

L’évolution constante dans le temps et la restriction aux ‘groupes à risque’ excluent tous deux une nouvelle épidémie virale.

Alors quels sont ces groupes à risque?

« Groupes à risque » aux USA :

Pas compatibles avec une ‘nouvelle maladie vénérienne’ généralisée

Total cumulé des cas de SIDA aux USA de 1984 à 2008 :

Homosexuels mâles 513 138
Toxicomanes par intraveineuse 341 456
“Hétérosexuels à risque” 188 584
(normalement drogues
récréatives)
Hémophiles, transfusés et 20 509
bébés de mères séropositives
Total 1 063 687
Moyenne par année 41,000

Donc le SIDA aux USA est restreint à des groupes à risque non aléatoires et non expansibles – contrairement à une nouvelle maladie sexuellement transmissible

Cette restriction constante à des groupes à risque est le schéma classique des maladies dues au mode de vie.

Exemples : cancers du poumon liés au tabagisme, cirrhose du foie liée à l’alcoolisme.

Mais si vous vous tracassez toujours encore si malgré tout le SIDA est contagieux, regardez l’image qui suit.

Aucune preuve que le SIDA soit contagieux

Depuis 2009 aucun médecin ou infirmière n’a jamais contracté le SIDA (non simplement le VIH) au contact des plus de 1 030 000 malades du SIDA aux USA. Et il n’y a pas de vaccin pour protéger les médecins !

Mais environ 1 000 médecins ou infirmières contractent chaque année l’hépatite des patients soignés.

Parmi les milliers de chercheurs du Monde entier travaillant sur le VIH aucun n’a contracté le SIDA.

Aucune épouse d’hémophile séropositif n’a contracté le SIDA de son mari.

Depuis 1984 aucune épidémie du SIDA chez les hétérosexuels n’a eu lieu aux USA, en Europe, en Asie et même en Afrique (voir précédemment)

Aucune épidémie de SIDA ne s’est produite chez les prostituées où que ce soit dans le Monde.

Aucune épidémie pédiatrique ne s’est produite parmi les bébés nés de millions de mères séropositives, particulièrement en Afrique.

Conclusion : le SIDA n’est pas contagieux.

Partie 2
Théorie alternative du SIDA

Afin d’expliquer,

  1. Pourquoi le VIH n’a pas provoqué de nouvelle épidémie sexuelle dans notre pays ni dans aucun autre pays,
  2. Pourquoi le SIDA n’est pas guéri ou évité par des anticorps contre

le VIH trouvé chez tous les malades du SIDA par les tests Gallo/NIH,

  1. Pourquoi le SIDA n’est pas contagieux,
  2. Pourquoi le SIDA est confiné dans des petits ‘groups à risque’ avec des risques anormaux de santé tels que la consommation de drogues récréatives, et de médicaments antiviraux inévitablement toxiques tel que le terminateur de chaîne AZT.

Nous avons avancé une théorie du SIDA alternative. Voir la suite

Nouvelle théorie du SIDA

Le SIDA est une épidémie chimique provoquée par :

  1. La consommation sur le long terme de drogues psychotropes récréatives et aphrodisiaques.
  2. Les ‘terminateurs de chaîne AND’ et les ‘inhibiteurs de protéase’ prescrits aux ‘positifs au VIH’ pour se prévenir du SIDA ou le guérir.

En conséquence le SIDA est une maladie chimique/de mode de vie largement évitable plutôt qu’une infection virale fatale inevitable !

Alors quelles sont les preuves ?

Drogues récréatives consommées par des homosexuels masculins d’après les CDC

Ainsi la consommation répandue de drogues récréatives/aphrodisiaques par une minorité d’homosexuels masculins explique la raison pour laquelle ils ont formé un ‘groupe à risque’ pour le SIDA.

Une raison supplémentaire en est la malheureuse et répandue prescription aux séropositifs de médicaments anti VIH inévitablement toxiques tel que le terminateur de chaîne AZT.

En France les poppers toujours en vente libre en juin 2019 !!

Les médicaments antiviraux prescrits aux séropositifs :

‘Le SIDA par prescription’ ?

L’AZT, terminateur de chaîne ADN, premier médicament antiviral utilisé depuis 1987

L’AZT avait été conçu en 1964 par Horwitz et al. pour la chimiothérapie afin de tuer les cellules cancéreuses mais en tuant également les cellules normales – particulièrement les cellules intestinales à croissance rapide – ce qui était le prix rationnel à payer.

Par conséquent l’AZT c’est ‘Le SIDA par prescription’ pour les séropositifs.

AZT = SIDA par prescription

L’AZT peut provoquer une anémie mortelle, une grave déficience immunitaire, le cancer, des dommages nerveux ainsi qu’au foie, la perte de masse musculaire, la démence, la diarrhée et d’autres maladies (Duesberg et al. (2003) J. Biosc.)

Sur l’étiquette on peut lire : Toxique

Toxique par inhalation, au contact de la peau et si avalé. Organes ciblés : sang, moëlle osseuse. Si vous vous sentez mal consultez un médecin (montrez l’étiquette si possible). Portez des habits protecteurs appropriés.

Les problèmes générés par les médicaments anti VIH/SIDA

Les médicaments anti VIH/SIDA sont des inhibiteurs de la synthèse de l’ADN conçus au départ pour la chimiothérapie cancéreuse.

Il y a 3 problèmes fondamentaux avec cette thérapie :

  1. L’AZT est inévitablement immunotoxique, c’est le ‘SIDA par prescription’.
  2. Le VIH ne se duplique même pas, ne fabrique pas d’ADN chez les malades ou chez les personnes ayant des anticorps contre le VIH.
  3. Le VIH ne cause pas le SIDA.

Le premier essai contrôlé confirme la toxicité prévisible de l’AZT

En 1987, le New England Journal of Medicine a publié le premier essai placebo contrôlé de l’AZT :

Il a montré des anémies mortelles chez 24% des sujets et la neutropénie chez 16% en moins de quelques semaines après traitement des 149 malades du SIDA (Fischl et al. New England Journal of Medicine, 1987).

En plus, ‘de graves réactions indésirables, particulièrement la myélosuppression’, ont été observées.

Nausées, myalgie, insomnies et de violents maux de tête ont été rapportés plus fréquemment chez les receveurs d’AZT.

Un essai contrôlé confirme la prévisible toxicité de l’AZT

‘La macrocytose s’est développée en quelques semaines chez la plupart des patients du groupe AZT’ (NEJM et Science, 1987)

30 des 149 receveurs d’AZT n’ont pu être maintenus en vie que par des transfusions sanguines.

Après 21 mois, 42% des malades du groupe sous AZT et 35% de du groupe de contrôle étaient décédés.

Il se peut que de nombreux malades du groupe de contrôle soient décédés non seulement du SIDA mais également parce qu’ils ont reçu de l’AZT par ‘compassion’.

Deuxième essai contrôlé : l’AZT n’évite pas le SIDA chez les séropositifs et augmente la mortalité de 25%

En 1994 l’étude Franco-britannique Concorde, la plus grande étude placébo contrôlée de sa sorte examine 1 749 sujets sans SIDA, la plupart d’entre eux étant des homosexuels masculins séropositifs.

Résultat : l’AZT ne peut éviter le SIDA et augmente la mortalité de 25%.

Les auteurs ont conclu, “Les résultats de Concorde n’encouragent pas au recours précoce à la zidovudine (AZT) chez les adultes infectés au VIH sans symptôme de maladie.”

Une autre facette des médicaments anti SIDA : mourir de maladies ‘non définies SIDA’ en étant sous médicaments anti VIH (!) ctd

Une fois que les médicaments antiviraux ont été approuvés, au début de 1987, les malades américains qui avaient le SIDA et qui étaient traités avec des cocktails de médicaments antiviraux commencèrent à développer des maladies non définies SIDA et à en mourir.

Par exemple, Reisler et al. ont publié en 2003 dans le J.AIDS

“Les effets les plus indésirables de grade 4 (“événements graves engageant le pronostic vital qui ne sont pas définis SIDA”) les plus courants étaient liés au foie (148 patients, 2,6% par personne et par an)

Les événements cardiovasculaires étaient associés avec un risque de décès plus élevé (rapport du risque = 8,64 ; 95% Cl :5,1 à 14,5)

Reisler et al. poursuivirent : « Le premier événement indésirable de grade 4 et le premier événement SIDA étaient associés avec des risques de décès similaires, respectivement 5,68 et 6,95. »

El-Sadr et al. déclarent dans le New England Journal of Medicine de 2006 « un paramètre secondaire important était la maladie cardiovasculaire, rénale et hépatique. »

Reisler et al. et Sadar et al. concluent qu’environ 50% des malades du SIDA traités avec des médicaments meurent de maladies non définies SIDA induites par les médicaments antiviraux.

Conclusion : Les médicaments antiviraux provoquent des maladies définies SIDA ainsi que des maladies non définies SIDA

La Névirapine pour éviter la transmission mère-enfant du VIH

L’inhibiteur de synthèse du VIH ‘Névirapine’ est désormais utilisée comme prophylaxie de la transmission du VIH de mère à enfant.

Néanmoins, les directives de traitement du NIH (National Institutes of Health – Institut National de la Santé) informent :

‘‘… le risque de plusieurs maladies non définies SIDA, parmi lesquelles les maladies cardiovasculaires, hépatiques, rénales et certaines malignités non SIDA est supérieur au risque du SIDA chez les personnes avec des taux de lymphocytes T CD4 >200 cellules/mm3. »

2012, San Francisco Chronicle:

UCSF AIDS researcher:

Gladstone is a UCSF AIDS department on Mission Bay.

Extrait d’un article titré publié par Erin Allday dans le journal San Francisco Chronicle du 25 septembre 2012 et titré “les malades du SIDA vieillissent prématurément”

“Tout comme nous vieillissons les animaux il sera également intéressant de voir comment leur système immunitaire vieillit. Nous pouvons examiner si l’effet du vieillissement est provoqué par le virus, par les médicaments VIH ou par une association ou quelque chose de tout-à fait nouveau” a dit Shomyseh Sanjabi, un assistant chercheur à Gladstone. “Vous pouvez vraiment aborder quelques-unes des questions que personne n’a été pour le moment capable d’aborder dans le champ”.

Gladstone est le département SIDA de l’Université de Californie et de San Francisco qui se trouve à Mission Bay en Californie.

2009, vieillissement prématuré sous médicaments anti-VIH

New York Magazine, Novembre 2009

Gauche : Russel Steinke , 56 ans, 23 ansde VIH. A souffert de perte de mémoire, de dommages nerveux aux pieds, de lipodystrophie, de fatigue.

Droite Enrico McLane, 52 ans, 17 ans de VIH. A souffert de perte de mémoire à court terme, pose de 2 prothèses aux hanches.

SF Chronicle, un homme sans VIH après 8 années sous médicaments anti-VIH.

Différence entre médications SIDA et VIH?

Pas d’affirmation dans l’article de 2004, XX.

Le diagnostic du médecin du patient atteint du SIDA sans VIH après 8 années sous médicaments anti-VIH.

D’après le médecin responsable, « le malade a présenté des symptômes qui pouvaient concorder avec un diagnostic VIH »

(Guthrie J., article du journal sur « Un faux diagnostic a été découvert après 8 ans » dans le San Francisco Chronicle, San Francisco pages B1, B7, 27 août 2004).

Conclusions

1. Toutes les preuves scientifiques disponibles indiquent que le VIH est, comme tous les autres rétrovirus, un rétrovirus inoffensif ; les rétrovirus n’ont jamais provoqué d’épidémie de quelque maladie que ce soit.

2. Compte tenu

  • Premièrement de l’inévitable toxicité des médicaments anti-VIH et
  • Deuxièmement des preuves épidémiologiques et virologiques que le VIH ne tue pas les lymphocytes T (Hoxie, Levy et al., 1984) il n’y a aucune justification pour quelque médicament anti-VIH que ce soit.

Néanmoins, des prescriptions à vie de l’AZT et d’autres médicaments anti-VIH sont le traitement standard des soins pour les séropositifs aux Etats-Unis et dans le reste du Monde.

Sommes-nous seuls ?
Apparemment plus

L’article de Goodson a été vu plus de 20 000 fois !

Interrogations sur l’hypothèse VIH-SIDA. 30 années de dissidence.

Patricia Goodson, Département de la Santé et de la Kinésiologie, Université Texas A&M.

Depuis 1984 lorsque l’hypothèse VIH provoque le SIDA fut annoncée, de nombreux chercheurs ont mis en doute la prémisse et proposé des explications alternatives. Trente ans plus tard des thèses divergentes tout comme des interrogations de l’hypothèse dominante persistent. Cet article synthétise les questions soulevées les plus pertinentes ainsi que les théories qui proposent des causes non virales du SIDA. La synthèse est organisée en fonction de quatre catégories de données qui semblent étayer l’hypothèse VIH-SIDA : les marqueurs moléculaires rétroviraux, la transmission d’images par microscopie électronique (ME) de particules rétrovirales; l’efficacité des médicaments antirétroviraux; et les données épidémiologiques. Malgré trois décennies d’investissements concertés dans l’hypothèse dominante, les questions et défis persistants synthétisés ici offrent aux professionnels de santé publique une occasion de réfléchir à leur présomptions et pratiques concernant l’hypothèse VIH/SIDA.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172096/

Y a-t-il de l’Espoir? Oui, VOUS êtes l’Espoir!

Et merci à vous tous de m’avoir invité pour cette si rare conférence ‘liberté de pensée’ et ‘liberté de parole’

FIN

(Appaudissements)




Lettre d’information aux élus, maires, députés, sénateurs et citoyens sur le risque du pass vaccinal pour notre démocratie, le 7 janvier 2022

Par Nicole Delépine

L’épidémie due au Covid-19 a provoqué au courant de l’année 2020 une situation considérée comme une urgence sanitaire majeure. Devant ce coronavirus inconnu, dont la première forme a été déclarée à Wuhan en 2019, les gouvernements se sont retrouvés face à une situation complexe.

La France a décidé d’appliquer des mesures plus sécuritaires que sanitaires, qui ont affecté une grande partie de nos citoyens : mesures barrières, confinement, couvre-feu, et masques y compris chez les enfants encore aujourd’hui, etc.

Puis, le Gouvernement a choisi d’appliquer une stratégie uniquement « vaccinale » s’appuyant sur des injections de médicaments préventifs géniques expérimentaux, promettant des effets rapides. Une stratégie du « tout vaccinal » s’est alors mise en place, réponse unique aux vagues successives de cas positifs, en interdisant les traitements précoces (pour des raisons qu’il restera à évaluer lors d’autres commissions d’enquête), pourtant utilisés avec succès dans de nombreux pays comme en Inde.

Pseudo-vaccins usant de nouvelles technologies

Ces « vaccins » ne reposent pas, dans leur conception et dans leur action, sur des méthodes traditionnelles d’élaboration des vaccins selon Pasteur. Ces médicaments préventifs géniques expérimentaux utilisent de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager et ADN recombinés, jamais utilisées chez l’homme pour lutter contre une infection.

Leur autorisation de mise sur le marché (AMM) a été donnée dans le cadre d’une procédure d’urgence, après étude accélérée de phase I et II dont les conditions d’exécution n’ont pas été transparentes. La phase III est toujours en cours, les premiers résultats sont attendus pour 2023 : il s’agit de substances expérimentales dont les effets bénéfiques, s’ils existent, semblent de très courte durée et dont les effets indésirables à long et moyen terme sont inconnus et, pour certains, inquiétants (modification du génome et de l’épigénétique ?).

Du fait de son ampleur même, cette campagne « vaccinale », réalisée en pleine épidémie et à un rythme très soutenu, devrait être suivie d’une campagne de surveillance et de gestion du risque, similaire aux procédés habituels de surveillance et d’évaluation des risques en population générale.

Incertitudes sur les effets secondaires

L’incertitude de sécurité de ces nouveaux « vaccins » utilisés en France s’est confirmée par le suivi des stratégies vaccinales mises en œuvre autant sur notre territoire que sur celui des pays européens voisins.

Le vaccin Astrazeneca, d’abord proposé sans contre-indication particulière à l’ensemble de notre population, a été remis en cause du fait de nombreux cas de thromboses dans de nombreux pays européens, constatant une balance bénéfice de la « vaccination » et risque du Covid, au moins incertaine, si ce n’est négative. Puis, un avis de la Haute Autorité de Santé du 9 juillet a demandé de vacciner par les autres vaccins disponibles. La France a d’ailleurs arrêté de commander ce vaccin.

Concernant le « vaccin » Moderna, après avoir été injecté sans restriction particulière concernant les catégories d’âge ou état de santé, il est maintenant remis en question par des pays voisins européens, en particulier scandinaves (Suède, Norvège, Danemark puis Finlande) et le Japon qui l’ont interdit aux hommes de moins de 30 ans.

Ces revirements dans les stratégies « vaccinales » confirment l’incertitude qui règne sur les effets secondaires de ces injections.

Cette incertitude, illustrée par ces deux revirements, interpelle, car les effets secondaires avérés touchent une population relativement jeune, peu ou pas sujette aux complications du Covid, mais risquant de développer un effet grave post-vaccinal.

Il convient de mettre ces deux faits en perspective des effets secondaires déclarés par différents organismes officiels dépendant des États.

Le VAERS (Vaccine Adverse Events Reports, base de données des effets secondaires des vaccins aux États-Unis) rapporte plus d’un million d’effets secondaires, dont 21 000 décès confirmés au 27 décembre 2021 et 20 560 myocardites. Selon le VAERS, les inoculas contre le Covid-19 ont accumulé, en 1 an, plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.

L’agence européenne du médicament (EMA) relève des effets secondaires suspectés d’être associés à cette campagne de vaccination, publiés sur EudraVigilance (base de données de l’EMA, de rapport d’effets indésirables de l’UE hors UK)(([1] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — Décharge de responsabilité (adrreports.eu) )):

les effets indésirables globaux retenus par EudraVigilance sont publiés pour un total de signalements de 1 327 876 observations, au 1er janvier 2022.

Pfizer : 668 442 ; Moderna : 188 082 ; Astra : 428 330 ; Janssen : 43 022.

Et, un total de 36 267 décès susceptibles d’être en rapport avec l’administration de l’injection.

(Pfizer : 16 481 décès ; Moderna : 10 170 décès ; AstraZeneca : 7 371 décès ; Janssen : 2 245 décès).

D’autres chiffres dans le monde interpellent, 50 % des myocardites et des péricardites sont survenues après l’injection de la seconde dose singulièrement chez les moins de 30 ans (chiffres VAERS confirmés en UE, en UK, en Israël) et touchent d’autant plus les plus jeunes (moins de 20 ans).

En France, selon les mots de la directrice générale de l’ANSM, elle-même, lors de son audition au Sénat, le 29 décembre 2021, « on le sait, il y a une sous-déclaration en pharmacovigilance ». Malgré tout, elle s’inquiète du taux élevé de déclarations, comparativement aux années précédentes :

« À mi-novembre 2021, nous avons 110 000 déclarations d’effets indésirables pour les 4 vaccins antiCovid. Dans une année normale, nous avons 45 000 déclarations tous médicaments confondus ».

Les effets secondaires déclarés à l’ANSM en moins d’un an en France s’élèvent à 121 486 cas dont 24 % graves. Thrombose, myocardite, péricardite, pancréatite aiguë, polyarthrite, troubles du rythme cardiaque, zona et maintenant encéphalites et maladie à prions (dite de la vache folle) sont des complications bien décrites. Plus de 1 100 décès, rien que pour le vaccin Pfizer, sont signalés sur le site de l’ANSM.

On estime habituellement que 10 % seulement des cas sont déclarés.

Cette absence dans le suivi de pharmacovigilance est constatée par nombre de travaux universitaires, soulignant le manque d’informations des soignants, leur temporalité restreinte pour exercer un suivi des patients. Ce déficit de moyens peut entraîner des dérives, comme un fort taux de non-prise en compte d’effets secondaires et l’autocensure des soignants sur les déclarations par méconnaissance du mécanisme compliqué de déclaration en pharmacovigilance.

De plus, les vaccinodromes n’ont pas assuré le service « après-vente », laissant les personnes en situation de détresse et sans réel recours possible.

L’incertitude sur les effets secondaires de ces vaccins doit être levée

Les effets secondaires des pseudo-vaccins ne sont pas pris en compte dans l’action gouvernementale, le ministre de la Santé s’obstinant à nier les décès, pourtant signalés par l’agence gouvernementale française.

Ces déclarations négationnistes sont suivies d’une forte incitation vaccinale de la part du Gouvernement, que ce soit par des discours, mais également par des mesures restrictives de liberté qui ont été votées au sein de l’hémicycle.

La loi n° 2021-1465 du 10 novembre 2021 prolonge l’obligation vaccinale pour les soignants et soumet les libertés fondamentales au pass sanitaire pour les citoyens à partir de 12 ans et risque d’être aggravée par le vote de la loi en cours d’examen en ce début janvier, transformant le pass sanitaire en vaccinal.

Actuellement, les autorités sanitaires poussent à la vaccination des enfants à partir de 5 ans, alors que les enfants de moins de 19 ans risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière ordinaire (zéro risque du Covid chez les enfants sans comorbidités) et que le pseudo-vaccin ne protège pas des contaminations : aucun intérêt individuel ni collectif, mais des effets indésirables qui pourraient se révéler catastrophiques pour notre pays dans un futur proche. Souvenons-nous notamment de la Dépakine et du Dengvaxia de SANOFI qui a causé la mort de centaines d’enfants aux Philippines.

L’action gouvernementale ne prend pas en compte les effets secondaires déclarés liés aux « vaccins » et poursuit une politique de quasi-obligation vaccinale, sans un système de pharmacovigilance proportionné à ces mesures.

Rôle de protection du Parlement

Le rôle du Parlement est de contrôler l’action gouvernementale. Il est aussi de faire le lien entre politiques et citoyens, indispensable à la vie démocratique de notre pays.

Depuis plusieurs mois, ce lien est distendu et une rupture de confiance s’observe entre une partie de la population et le pouvoir. Des manifestations citoyennes d’ampleur et à l’opposé, les mesures attentatoires aux libertés fondamentales du Gouvernement s’accentuent.

L’impératif est d’autant plus grand, au vu de l’échelle de « vaccination », avec pour rappel une troisième dose nécessaire pour la validité du passe sanitaire et bientôt une quatrième et l’élargissement de la vaccination des enfants à partir de 5 ans.

Devant le nombre de décès et d’accidents graves laissant des séquelles à long terme, un moratoire de la « vaccination » est urgent.

Afin d’éviter une catastrophe sanitaire d’ampleur nationale dans les prochaines années, le Sénat se doit, avant de laisser l’exécutif poursuivre sa stratégie d’obligation indirecte de participation à des essais cliniques d’injections géniques, de s’assurer que la pharmacovigilance est suffisante pour détecter des effets secondaires sur court, moyen et long terme.

Une pétition a été déposée sur le site des pétitions du Sénat, le 7 janvier 2022, par le Docteur Julien Devillerger, demandant un arrêt immédiat des injections et la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale chargée de faire un état des lieux des effets secondaires consécutifs à l’injection vaccinale contre le Covid-19, ainsi que du système de pharmacovigilance français. Elle devrait être ouverte à la signature d’ici une quinzaine de jours.





Néo-nazisme en phase 1

Par Lucien Oulahbib

  • Construction d’un groupe bouc émissaire (« anti/non/Vax= sous citoyens ») sur lequel le Guide (le « Président ») lâche les chiens :
  • Expérimentations médicales à raison de quatre doses par an pour un produit, de fait (vu le nombre de « rappels ») guère efficace :
  • Suspension d’activité, et radiation, sans indemnité pour les « soignants et assimilés » mis au banc, car refusant ces injections :
  • Constitution d’un PaSS dit « sanitaire » puis « vaccinal » : *
  • Durcissement de l’obtention du PaSS avec doses effectives d’injections + « concordances de documents prouvant l’identité » :
  • Élargissement du PaSS avec vérification d’identité pour l’alimentation de base : (en cours : Leclerc a commencé, certains restaurants également)
  • Réquisition de locaux désaffectés pour interner le groupe bouc émissaire : à faire (mais déjà en cours dans certains pays)
  • Subordination progressive de diverses activités dans le PaSS comme le nombre de voyages en avion et en voiture : en cours
  • Subordination des allocations diverses (et à terme l’allocation universelle dans les tuyaux) à la détention du PaSS : en cours
  • Pour ce faire, suppression à terme de l’argent liquide afin de pouvoir mieux bloquer les personnes récalcitrantes : en cours (Chine)
  • constitution d’une Secte globale : trans-courant, transnationale, « trans » en tant que telle (journaux, académies, institutions) :

On est environ en 1934 (1938 — nuit de cristal) donc (« p… encore ») 4 ans devant nous… Soit 4 fois 4 doses = 16 doses : bonjour les dégâts !

* Deux failles relevées :

  • l’on peut présenter si l’on est un homme le PaSS de sa sœur en prétextant la « dysphorie de genre »… : en cours
  • Un vigile d’origine étrangère censé vérifier la « concordance des documents d’identité » peut être lui-même en situation irrégulière…
  • L’on peut être donc bien plus considéré comme non-citoyen que l’irrégulier injecté (avec un bonus s’il fait partie d’une « minorité ») :



Au Québec en 1989, dénonciation des vaccins et de l’ordre des médecins comme faisant partie du business de Big Pharma, mais ne relevant pas de science. Mise à jour

[Source : OrandiaTV]

[À partir de la minute 46 :]

[Mise à jour :]

[image]

Créateur du « Vitalium » composé congelé à base de cellules souches

[image]

D’origine française, P.D.G du Laboratoire Cryolab en Suisse, le docteur Bontemps a débuté ses recherches en 1958 dans le service du Professeur Bordet à l’école vétérinaire de Maison Alfort à Paris et, jusqu’en 1967, a terminé la mise au point de sa technique en Mésenchymothérapie appliquée en médecine vétérinaire.

Il a collaboré avec de nombreuses sommités du monde scientifique dont le Dr. Rouif du service de santé des armées, Division de radio-Biologie Expérimentale, Professeur Debrot de Lausanne, Dr. P. Loron, Médecin des hôpitaux de Paris, Dr. Jean Valnet, autorité mondialement connue en phyto et aromathérapie. Le Docteur L. Rolland, vétérinaire, et un très grand nombre de professionnels médicaux qui ont collaboré avec lui. Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale, il met au point la ligne de soin esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché de la cosmétique.

Le Dr. Raymond Bontemps était un de nos plus grands biologistes contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcé une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes. Sa Mort est survenu le 20 mars, à l’âge de 81 ans. Décédé à Templeuve (7520, Belgique) le mercredi 1 février 2012.

[image]

VITALIUM ou cryoesthétique – du grec « cryo » : froid – est une technique de cosmétologie externe qui utilise le froid, de -18 à -20 °C, pour sa supraconductivité (stimulant de la microcirculation).

Elle a été mise au point et développée par le Professeur Raymond Bontemps.

Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, (technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale,) il a mis au point la ligne de soins esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché des cosmétiques.

Le Docteur Bontemps était un de nos plus grand biologiste contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcés une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes.

Cette technique simple, facile et agréable permet de nourrir les tissus SANS conservateur, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, de retarder le vieillissement de la peau et même d’effacer les traces de détérioration en lui donnant une nouvelle jeunesse.

(Source : orandia.com)




Lettre ouverte du Professeur Jean Gabriel Balique aux élus

Par Professeur Jean Gabriel Balique
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

À propos du projet de pass vaccinal
Lettre ouverte.
Le 30 décembre 2021

Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

L’objet de ma lettre est de vous alerter sur les risques de l’obligation du pass vaccinal qui n’est autre qu’une obligation vaccinale déguisée. Je ne peux pas en tant que médecin et citoyen accepter cette mesure injustifiée, inefficace, incohérente, injuste, liberticide et dangereuse pour la santé. Je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins.

MESURE INJUSTIFIÉE

I – IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION SANITAIRE :

en effet contrairement à la catastrophe sanitaire annoncée, le covid 19 n’est pas plus grave qu’une épidémie de grippe. Le covid 19 a entraîné 20 000 décès 2020 en France (loin des chiffres avancés). La mortalité est de 0,02 % (moyenne d’âge : 85 ans) et ne correspond qu’à des personnes à risques. Ces chiffres sont comparables à ceux de la grippe. Le taux des hospitalisations liées au covid a été de 2 % en 2020 (rapport AIHT).

Ce n’est donc pas la grippe espagnole, ni Ebola, ni la diphtérie.

COMME CHAQUE ANNÉE DEPUIS TOUJOURS les services hospitaliers et les réanimations sont débordés par des formes graves, pendant l’épisode aigu. Le taux d’absentéisme est élevé dans tous les secteurs : entreprises, établissements scolaires, commerces… Au bout de quelques jours, tout rentre spontanément dans l’ordre avec l’immunité naturelle. À aucun moment, le pays n’a été paralysé. Il n’y a jamais eu de plan blanc généralisé. Jamais la population n’a été terrorisée et culpabilisée. Mais la grande différence avec cette épidémie de covid c’est que, jusqu’à l’année dernière, ce sont les médecins qui ont toujours géré seuls ces crises en prescrivant suivant leurs connaissances. Il n’y avait jamais eu d’intervention du pouvoir politique ni du conseil de défense, ni d’interdiction de prescrire !

LA CRISE DE L’HÔPITAL DATE DE PLUS DE 30ANS. Les décisions prises : poursuite de fermeture de lits, traitement inhumain du personnel soignant parfois encensé puis rejeté, N ’ONT FAIT QU’AGGRAVER LA SITUATION. On n’a jamais vu autant de départs et si peu de candidatures. La démotivation est telle que les écoles d’infirmières et d’aides-soignants ne se remplissent plus. (voir P.-S. : la crise hospitalière)

Dans ces conditions, pour la grippe, il n’y a jamais eu d’obligation vaccinale ou de pass vaccinal, simplement une recommandation avec des vaccins éprouvés. Il n’y a jamais eu besoin de terroriser la population avec le décompte des cas quotidiens, des hospitalisations, des passages en réanimation et des décès, ni de tests permanents.

II- LE VARIANT OMICRON APPARAÎT TRÈS CONTAGIEUX, MAIS BÉNIN :

un simple rhume, une toux, voire aucun symptôme en cas de découverte par un test systématique. Les formes graves et les décès sont rares comme le montre l’expérience de l’Afrique du Sud. En France malgré l’augmentation vertigineuse des cas, le nombre de patients en soins critiques reste stationnaire autour de 4 000 soit seulement 20 % des 20 000 lits de soins.

POUR CES 2 RAISONS, IL N’Y A AUCUNE JUSTIFICATION À UNE OBLIGATION.

UNE MESURE INEFFICACE : FIASCO DES VACCINS

Le vaccin contre le covid 19 proposé en novembre 2020 qui devait nous protéger et nous permettre de reprendre une vie normale, se révèle un fiasco. Personne ne peut nier son inefficacité à protéger du variant Delta et à éviter les contaminations.
Au contraire, tous les pays qui ont largement vacciné ont vu une explosion de l’épidémie. À l’opposé, les pays faiblement ou pas vaccinés comme les pays d’Afrique, l’Inde ont une mortalité 10 fois moindre et l’épidémie est terminée, tout cela grâce aux traitements !
Les faits encore une fois ont contredit les prévisions alarmantes des gouvernants.
Au lieu d’accepter ce constat, on essaye de faire croire que le vaccin évite les rares formes graves.
Contrairement à ce qui est affirmé, il n’y a pas que des non-vaccinés à l’hôpital ou en réanimation. En Israël, en Angleterre, pays où le taux de vaccination est proche de 90 %, les hôpitaux et les réanimations sont remplis de patients vaccinés. Il n’y a qu’en France où il n’y a aucun vacciné ! Mais les dirigeants ne sont plus à un mensonge près. Tout est bon pour forcer la vaccination, comme la mise en scène de faux patients non vaccinés en réanimation qui auraient échappé à la mort et qui supplient de se faire vacciner !

LA TROISIÈME DOSE : UNE MESURE INCOHÉRENTE SANS AUCUN ARGUMENT SCIENTIFIQUE

Le gouvernement veut imposer une troisième dose d’un vaccin INEFFICACE sur le variant Delta et sans aucun argument pour savoir s’il protégera du variant Omicron.
DE PLUS, DE FAÇON INCOMPRÉHENSIBLE, SELON LE BON VOULOIR DU CONSEIL DE DÉFENSE LES DÉLAIS DE RE-INJECTION SONT ÉLASTIQUES SUIVANT LE TAUX DE CONTAMINATION, RÉGULIÈREMENT RÉDUITS : 5 mois, 4 mois et maintenant 3 mois. Quelle improvisation ? Jusqu’à combien d’injections ? Sur quels arguments ?

Le gouvernement propose des doses de rappel sans limite dans le temps, sur décision politique, LA VACCINATION DEVIENT DE FAIT UN TRAITEMENT. Ce qui est certain c’est que ces faits démontrent que L’ON EST BIEN EN PLEINE PHASE EXPÉRIMENTATION À l’ÉCHELLE MONDIALE. Le directeur de l’OMS, lui-même, vient de mettre en garde sur cette stratégie incompréhensible : la répétition des doses n’est pas une solution.

L’IMMUNITÉ NATURELLE, POURTANT LA PLUS EFFICACE ET PROLONGÉE, n’est pas prise en compte contre toute logique médicale ! Du jamais vu en médecine. Au minimum devrait être proposée une vérification du niveau de l’immunité naturelle avant toute proposition de vaccination.

UNE MESURE DISCRIMINANTE ET LIBERTICIDE

Il n’y a finalement plus de différence entre vaccinés et non vaccinés : les deux peuvent contaminer ! Il est donc inadmissible qu’un Premier ministre et un ministre de la Santé, et maintenant une partie de la population conditionnée stigmatisent les non-vaccinés de façon répétée pour leur faire endosser tous leurs échecs et diviser la société. Ils ne peuvent pas supporter qu’ils veuillent garder leur liberté de pensée.
Les personnes non vaccinées ont un esprit civique plus poussé que les vaccinés : en effet elles respectent plus rigoureusement les mesures de prévention en faisant régulièrement des tests.
C’est une discrimination. Le chantage au vaccin se multiplie et est inacceptable, comme par exemple lorsque certains oncologues obligent, alors que l’on ne connaît rien des effets de ces vaccins sur l’immunité, que leurs patients soient vaccinés pour poursuivre leur traitement ! C’est la première fois en médecine qu’il y a du chantage pour bénéficier d’un traitement. Les médecins ont toujours respecté le choix de leurs patients même s’ils refusaient le traitement bénéfique proposé.

UNE MESURE DANGEREUSE : UN «VACCIN » TOUJOURS EN PHASE D’EXPÉRIMENTATION, RESPONSABLE DE COMPLICATIONS ET DE DÉCÈS ANORMALEMENT ÉLEVÉS

Comme vous le savez, ce vaccin n’est qu’une thérapie génique en cours de phase d’expérimentation. Cette phase 3 de mise au point d’un médicament se terminera le 31 janvier 2023. Maintenant que l’on a du recul sur cette phase déclenchée au niveau mondial, les médecins de terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’Agence Européenne du Médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million de graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés.
En France, l’Agence Nationale du Médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. Sachant qu’un dixième des complications est rapporté, ce vaccin n’aurait jamais été mis sur le marché si les règles habituelles avaient été respectées.
TOUTES CES COMPLICATIONS SURVIENNENT PRÉCOCEMENT APRÈS LA VACCINATION CHEZ DES PERSONNES SANS ANTÉCÉDENTS AYANT JUSQUE LÀ UNE VIE NORMALE. De nombreuses complications sont rapportées : myocardites, AVC, maladie de Guillain barré, maladie auto-immune, sans compter des maladies exceptionnelles qui se déclarent et flambent : maladie de Charcot, maladie à prion, développement de cancers jusque-là contrôlés.

Je ne parlerai pas des effets induits : troubles psychologiques, suicides provoqués par les mesures prises, toutes les autres pathologies graves qui ne sont plus détectées ou traitées de façon optimale. Un Doctothon vu par 12 millions de personnes, évidemment occulté par les médias du pouvoir, a permis de voir l’ampleur de ces complications et des situations dramatiques engendrées. Ces complications n’épargnent pas les enfants et adolescents.

N’êtes-vous pas frappé par le nombre anormalement élevé, cette année, de mort subite de sportifs de haut niveau sur les terrains ? Ces sportifs ont tous été vaccinés pour pouvoir vivre leur passion !

Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du covid, seules sont exposées les personnes à risques, c’est pour cette seule population que le « vaccin » peut avoir une certaine protection. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêtée pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Aux USA, le Professeur Scot Youngblmood relève en moyenne 158 décès annuels associés à l’ensemble des vaccins classiques. Depuis l’introduction des vaccins covid 19 il y a plus de 17 000 morts signalés d’après le VAERS (Système de signalement d’effets indésirables des vaccins).

REJETER LE PROJET ET IMPOSER UN MORATOIRE

Dans ces conditions, on ne peut plus laisser la gestion de la crise au gouvernement et à son comité de défense. L’échec est patent. Il est donc urgent de rejeter cette proposition de pass vaccinal et proposer enfin un moratoire où tous les acteurs de la santé puissent être entendus, même s’ils ne font pas partie des ayatollahs scientifiques.
Faites comme au Royaume-Uni qui vient de renoncer à la vaccination obligatoire et à la vaccination des moins de 15 ans, malgré la flambée du variant Omicron. Au Texas, la vaccination des jeunes est interdite. Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques avec une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

EN ATTENDANT, il faut supprimer tous les pass et réintégrer toutes les personnes qui ont été rejetées de la société. Maintenir toutes les mesures de prévention que les Français connaissent bien maintenant : masques, lavage des mains, distanciation, aération des locaux.
L’Uttar Pradesh, état d’Inde de 320 millions d’habitants, a distribué massivement des kits « Ziverdo » à la population à titre préventif entraînant une baisse spectaculaire des contaminations par rapport à l’état voisin du Kerala où aucune mesure n’a été prise.
Tester largement et gratuitement. Renforcer l’immunité naturelle. Réserver ces vaccins aux seules personnes à risques. Respecter la liberté des citoyens sans contraintes.

En cas de contamination ou d’atteinte du Covid : il faut TRAITER. En cas de cas contact, il est possible de traiter préventivement. Pour les cas avérés, il existe des traitements à l’efficacité reconnue scientifiquement, comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine. Ces traitements ont été préconisés et appliqués avec succès par les Pr Perronne et Raoult et utilisés aussi dans de nombreux pays.
Ces professeurs, mondialement reconnus, ont du jour au lendemain été rejetés par quelques scientifiques et les médias aux ordres du pouvoir. De très nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Il est scandaleux qu’en deux ans il n’y ait eu aucune communication sur les traitements et encore plus scandaleux d’interdire aux médecins de les prescrire. Cette interdiction est à l’origine d’une surmortalité.

Il faut que le gouvernement, obnubilé par le nombre de contaminations quotidiennes et les prévisions alarmistes des statisticiens, arrête de terroriser la population comme il l’a fait l’année dernière où il n’y a pas eu la catastrophe annoncée. Spontanément l’épidémie s’éteindra d’elle-même grâce à l’immunité naturelle bien supérieure.

La multiplication des conseils de défense, proportionnelle à la croissance du taux de positivité doit être arrêtée, ainsi que la course inefficace, de plus en plus liberticide, à la prise de mesures souvent irréfléchies et désavouées souvent quelques jours après avoir été reconnues inapplicables.

Avec l’état de guerre, le gouvernement bafoue les libertés individuelles et les valeurs de la République : liberté, égalité et fraternité sans oublier le désastre économique provoqué.
La population commence sérieusement à se poser des questions sur leur compétence et ne supportera pas encore longtemps cette gouvernance. Sachez que vous aurez été informés, je ne suis pas le seul à le faire. Le moment venu, lorsque la vérité éclatera, probablement rapidement compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications et les conséquences sociales de ces décisions, votre responsabilité sera engagée.
Allez-vous encore longtemps accepter, comme l’ensemble de la population, de servir de « cible au jeu tragique de fléchettes » auquel se livrent les dirigeants. Ne votez qu’en votre âme et conscience, il n’y a plus de parti politique qui compte à ce stade, c’est une cause nationale de liberté individuelle et de société.

Je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus, en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

Dernière minute

L’Espagne vient de décider de laisser déferler la vague Omicron, ne propose pas de 3e dose et donne confiance à l’immunité personnelle.

P.-S. : La crise hospitalière n’est pas nouvelle. En 2000, j’ai démissionné de la fonction publique pour les raisons actuelles. Il y a deux mesures fondamentales à prendre :

  • 1 remettre les médecins au centre de la gouvernance de l’hôpital
  • 2 outre l’augmentation de salaire, il est indispensable de mieux considérer et respecter les soignants. Il faut reconstruire des unités à taille humaine où règne un esprit d’équipe, voir familial. L’exemple de l’hôpital de Valenciennes est à ce titre exemplaire. Un hôpital se gère avec le cœur et non avec des tableaux Excel.



Stop aux atteintes aux droits et aux libertés des Français !

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir

TRIBUNE — Alors que le projet de loi sur le pass vaccinal est en cours d’examen à l’Assemblée, 81 avocats appartenant à 27 barreaux en France lancent un cri d’alarme dans une tribune commune à destination de l’ensemble des Français qu’ils enjoignent à réagir contre la liquidation de leurs droits les plus fondamentaux. Ils dénoncent un processus de destruction de l’État de droit et des libertés publiques à l’œuvre depuis maintenant deux ans, qui trouve son expression emblématique dans les derniers propos prononcés par le président de la République lui-même : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder, on va continuer de le faire (…) Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »


Nous, avocats, appelons à un sursaut de conscience des Français face au piétinement, depuis bientôt deux ans, de leurs droits et de leurs libertés.

Nous alertons sur le projet de loi du gouvernement du 27 décembre dernier, qui fait à nouveau peser de lourdes menaces sur les droits et libertés des Français.

Nous, avocats, avons juré d’exercer nos fonctions avec « dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ».

Aujourd’hui, c’est au nom de la conscience et de l’humanité attachées à notre ministère que nous lançons cet appel.

Les dernières décisions du gouvernement, toujours aussi liberticides, nous ont révoltés, indignés, mais elles ne nous ont pas surpris.

C’est désormais devenu une habitude de la part de ce gouvernement, au prétexte de préserver la santé des Français, de les maltraiter, de leur manquer de respect, de les infantiliser, de les rudoyer, de les menacer, de leur faire du chantage.

La simple comptabilité de l’épidémie soulève déjà des interrogations. Depuis toujours, la gravité d’une pandémie se mesure au nombre de malades, c’est-à-dire de symptômes médicalement constatés, et au nombre de morts qu’elle provoque.

Il semblerait que désormais, seul le nombre de tests positifs suffit. Mais, comment comprendre que la gravité d’une épidémie se mesure avec comme seul critère le nombre de « cas », c’est-à-dire de simples tests, alors qu’il s’agit de personnes en bonne santé, qui, pour la plupart, ne seront jamais malades ? Ainsi, l’outil de communication choisi par le gouvernement, l’incidence de « cas », ne correspond pas à un nombre de malades, comme l’explique Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’IRSAN. Ceci, d’autant que le nombre de cas est établi au moyen de tests dont la fiabilité ne fait pas l’unanimité dans la communauté scientifique.

De même, l’expérience a montré que le Covid s’attaque, pour l’essentiel, aux personnes âgées et/ou fragiles. Ainsi, la moyenne d’âge des personnes décédées est de 82 ans et le taux de létalité de la maladie n’est que de 0,04%.

Dès lors, les mesures prises pour lutter contre ce virus apparaissent comme totalement disproportionnées et, ce, dès l’origine. Ainsi, immédiatement après le confinement, dont il est acquis qu’il n’a eu aucun effet en termes sanitaires, les mesures les plus absurdes se sont succédé : port du masque partout, tout le temps, notamment par les enfants, auto-autorisation de sortie, plages dynamiques, fermeture des rayons dits non-essentiels des magasins d’alimentation, ouvertures des stations de ski, mais fermeture des remontées mécaniques ou, désormais, obligation de consommer assis dans les bars et les restaurants, sans parler de la menace de devoir se munir d’un passe vaccinal, d’un masque et d’un test négatif pour entrer dans les lieux publics choisis à la discrétion du gouvernement.

Il serait vain de tenter d’établir une liste complète de ces mesures farfelues et sans aucun intérêt sanitaire, tant elle serait longue et tant elle semble vouloir s’allonger encore.

Une situation inédite et profondément intolérable qui ne semble, pourtant, pas avoir porté ses fruits en termes sanitaires puisque, s’il on en croit le gouvernement lui-même, la situation serait catastrophique.

Pourtant, les chiffres officiels aujourd’hui disponibles permettent un recul qui incite à relativiser les discours alarmistes et les mesures disproportionnées dont ils font le lit. Ainsi, pour ne prendre qu’un seul exemple, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation estime, elle-même, dans son rapport pour l’activité hospitalière de l’année 2020, à 2% les hospitalisations pour Covid sur le total des hospitalisations pendant l’année 2020.

À quoi bon tout cela, alors ?

Il n’empêche, obtus aux faits, le gouvernement poursuit son œuvre destructrice des droits et des libertés des Français à un point extrême.

Le chantage au vaccin s’intensifie, y compris sur les enfants de plus de douze ans que le projet de loi entend soumettre au passe vaccinal pour les activités autres que scolaires, ou encore nos données de santé qui seront accessibles au préfet, lequel voit ses pouvoirs de placement en psychiatrie élargis.

Pourtant, les dernières données de la science montrent, sans que le doute soit plus permis, une efficacité des « vaccins » qui diminue avec le temps, une transmissibilité du virus en dépit de la vaccination et d’aucuns préviennent que les rappels pourraient être inefficaces contre les variants qui circulent actuellement !

De prime abord, la cohorte de mesures absurdes et dommageables prises depuis bientôt deux ans semble avoir été acceptée avec une étonnante docilité par l’ensemble des citoyens. Mais, ce serait faire fi de la pression à la peur et au chantage qui s’exerce sur eux depuis des mois. Or, comme chacun sait, la peur a, de tout temps, été un excellent levier pour s’assurer de l’obéissance de la population. Elle l’est aujourd’hui encore.

Les Français, comme la plupart des citoyens européens, ont été domestiqués, au point d’accepter sans broncher les consignes les plus absurdes, convaincus par des médias « mainstream » ayant abandonné toute intégrité journalistique en se faisant l’écho de la seule voix du gouvernement, que leur survie dépend de leur obéissance.

Il est vrai que l’État a usé sans vergogne de tous les subterfuges : culpabilisation, menaces, chantages, mesures de rétorsion, mensonges, dénonciations, manipulation des chiffres et d’autres encore.

On ne peut que constater avec effroi que l’État a été aidé dans son entreprise par une justice qui, faisant preuve d’une fidélité sans faille, a purement et simplement avalisé les décisions les plus contraires aux principes de droit qui nous régissaient jusque-là. Une justice dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’a pas fait la preuve de l’indépendance que les justiciables sont en droit d’attendre d’elle.

Le Conseil d’État a ainsi approuvé et validé la quasi-totalité des décisions prises par l’exécutif, même les plus insensées, même les plus illégitimes, n’hésitant pas à se dédire à quelques semaines d’intervalle, revenant sans coup férir sur ses propres appréciations !

Du jamais vu !

On rappellera que, dans la mesure où le principe reste encore la liberté et l’interdiction, l’exception, il appartient à l’autorité qui pose une interdiction d’en démontrer, non seulement le bien-fondé, mais également la nécessité et le caractère indispensable.

Or, depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, ces principes, essentiels dans un État de droit, ont été balayés. Non seulement, l’État ne se donne pas la peine de fournir la moindre justification des restrictions inédites des libertés qu’il impose, mais, interrogé par la Commission nationale informatique et libertés, la CNIL, sur l’efficacité des mesures imposées, il reste étonnamment silencieux.

Pour autant, le Conseil d’État ne semble pas s’en offusquer…

Il ne fait aucun doute qu’une fois cette crise passée, certains auront des comptes à rendre, que ce soient les décideurs de ces mesures ou que ce soient ceux qui, par peur, par lâcheté, par indifférence, pour asseoir leur autorité ou par simple esprit moutonnier les auront publiquement défendues, appliquées ou fait appliquer. Ceci, sans aucune remise en cause, aucune distance, sans jamais s’interroger sur leur utilité ou sur leur légitimité. Il en ira de même de ceux qui auront stigmatisé, mis à l’écart, bannis leurs concitoyens pour avoir fait appel à la raison et au discernement ou pour avoir émis des critiques. N’hésitant pas à les faire passer, au mieux, pour des capricieux, au pire, pour des « complotistes », un terme bien vague, ou pour des malades mentaux.

Oui, au moment de faire le bilan, nous aurons la lourde obligation de nous interroger sur ce qui est arrivé et sur ce que nous n’avons pas su, pas pu ou pas voulu empêcher.

Aurait-on jamais pu imaginer que, dans un État démocratique comme le nôtre, de telles dérives puissent être admises ?

Pourtant, force est de constater que tel est le cas.

La majorité de nos concitoyens, tétanisée par la peur soigneusement entretenue par les canaux officiels, s’est laissé dépouiller, impuissante, de tous ses droits et ses libertés fondamentaux.

Il aurait été vain de compter sur la diligence du gouvernement pour ne jamais en arriver là. Bien au contraire. Peu importe le respect des libertés fondamentales, s’il s’agit de préserver la santé, a-t-il tenté de se justifier. Toute autre considération est nulle et non avenue. La détresse d’une part grandissante de la population, la fragilisation du tissu économique, l’abandon de la jeunesse et des personnes vulnérables n’entrent pas dans les savants calculs de ce gouvernement.

Pendant ce temps, au terme de l’adoption d’un nombre inouï de textes, les plus grands principes du droit et les règles qui régissent la vie quotidienne de tout un chacun, ont été invalidés et écartés.

Qu’il s’agisse du libre consentement, de la liberté de disposer de son corps, de l’intérêt supérieur de l’enfant, de l’autorité parentale, des libertés publiques, de la police administrative, des libertés individuelles et des droits fondamentaux, du droit du travail et de la fonction publique, du droit de la santé, du service public ou encore de la réparation des dommages causés aux victimes d’accidents médicaux.

Et la liste est loin d’être exhaustive.

Ces nouvelles règles infligent une violence sociale inouïe que traduit une multiplication sans précédent des actions en justice relatives à la crise. Et, nous assistons, depuis, dans nos cabinets et dans les prétoires, comme dans le reste de la société à une détresse économique, sociale et psychologique d’une profondeur insondable.

Aujourd’hui, des Français toujours plus nombreux réalisent que ces mesures ubuesques, où le ridicule le dispute à l’absurde, n’ont qu’un très lointain rapport avec la préservation de leur santé.

Ils comprennent enfin que l’on s’est joué d’eux, qu’on leur a menti, qu’on les a manipulés. L’intolérable chantage exercé sur eux leur apparaît maintenant pour ce qu’il est : odieux et illégitime. Et, il est d’autant plus illégitime que les Français ont perdu leurs libertés de citoyen et leurs droits parmi les plus fondamentaux.

Ainsi, la soumission à l’injonction est devenue la condition pour exercer ses libertés, la stigmatisation d’une partie de la population, la règle (aujourd’hui, ce sont les personnes non-vaccinées, mais qui seront les prochains ?). Peut-on l’accepter ?

Liberté, égalité, fraternité ? En est-on toujours aussi certain ?

Comme le dit Bellamy : « Le spectacle des reniements gouvernementaux donne le vertige ».

Ce à quoi les rédacteurs de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, une boussole précieuse en ces temps troublés, auraient pu répondre que

« l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements ».

Il faut à présent que les Français réagissent.

Il est temps !

SIGNATAIRES :

Me Martine BAHEUX, Avocat au Barreau de Nice
Me Laurent CHAVAL, Avocat au Barreau de Grenoble
Me Anne-Claire RIMET, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Anaïs LE FALHER, Avocat au barreau de Paris
Me Stéphanie POUSSARD, Avocat au Barreau de Toulon
Me Olivia MONTEIL, Avocat au Barreau de Paris
Me Viviane SOUET, Avocat au Barreau de Paris
Me Matthieu CORDELIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Paul-Antoine DEMANGE, Avocat au Barreau de Paris
Me Aurélie DUPUY-BOCAGE, Avocat au Barreau de
Me Lorène BOURDIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Shirley DEROO, Barreau de Paris
Me Sabah RAHMANI, Avocate au Barreau de Lyon
Me Amanda N’DOUBA, Avocate au Barreau de Paris
Me M.J Emilie IRIGOIN, Avocat au Barreau de Pau
Me Elisabeth SUISSA-DESSENNE, Avocat au Barreau de Lille
Me Chloé SCHMIDT-SARELS, Avocat au Barreau de Lille
Me François PALLIN, Avocat au Barreau de Paris
Me Grégory DEL REGNO, Avocat au Barreau de Pau
Me Christine CLAUDE-MAYSONNADE, Avocat au Barreau de Tarbes
Me Maïalen TROTTA, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina SETTEMBRE, Avocat au Barreau de Marseille
Me Delphine Ravon, Avocat au Barreau de Paris
Me Antoine LOUBIER, Avocat au Barreau de Paris
Me Maïa MONTLUÇON, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Bernard RINEAU, Avocat au Barreau de Nantes
Me Marc GOUDARZIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Stéphane VACCA, Avocat au Barreau de Paris
Me Catherine de VALLOMBREUSE, Avocate au Barreau de Versailles
Me Thibault MERCIER, Avocat au Barreau de Paris
Me François SOUCHON, Avocat au Barreau de Chartres
Me Raoudah M’HAMDI, Avocat au Barreau de Marseille
Me MH MORTON HAMILL, Avocat au barreau de Nice
Me Thibaut ADELINE-DELVOLVE, Avocat au Barreau de Versailles
Me Laure LAYDEVANT, Avocate au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Olivier ARNAUBEC, Avocat au Barreau de Nice
Me Sandrine REBOUL, Avocat au Barreau de Nice
Me Jean-Pierre JOSEPH, Avocat au barreau de Grenoble
Me Laetitia RIGAULT, Avocat au Barreau de Saint-Denis – LA REUNION
Me Dominique GANTELME, Avocat au Barreau de Paris
Me Jean-François REYNAUD, Avocat au Barreau de Montpellier
Me Anne-Victoria FARGEPALLET, Avocat au Barreau d’Avignon
Me Alexandra MANCHES, Avocat au Barreau de Paris
Me Maxellende de la Bouillerie, Avocate au Barreau de Paris
Me Nathalie NOEL, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Hakima SLIMANE, Avocat au Barreau de Paris
Me SPINELLA Marie-Noëlle, Avocate au Barreau de Paris
Me Valérie LEPAGE ROUSSEL, Avocate au Barreau de Paris
Me Marine GRINSZTAJN, Avocat au Barreau de Hauts-de-Seine
Me Camille DIRE, Avocat au Barreau de Nice
Me Romain GUERINOT – Avocat au Barreau de Nice
Me Hélène SEGURA, Avocate au Barreau de l’Eure
Me Karine SHEBABO, Avocat au Barreau de Paris
Me Christophe GUILLAND, Avocat au Barreau de CHAMBERY
Me Lou GODARD, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Philippe BERTHET, Avocat au Barreau de Toulon
Me Fabrice HONGRE-BOYELDIEU, Avocat au Barreau de Versailles
Me Nancy RISACHER, Avocat au Barreau d’Epinal
Me Virginie DE ARAUJO – RECCHIA, Avocat au Barreau de Paris
Me Claire GONIN, Avocat au Barreau de Lyon
Me Arthur de DIEULEVEULT, Avocat au Barreau de Paris
Me Sabrina BOUAOU, Avocat au Barreau de l’Essonne
Me Christine CHEVAL, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine LOISEAU, Avocat au Barreau de Paris
Me Samia BOURAHLI, Avocat au Barreau de Marseille
Me Asif ARIF, Avocat au Barreau de Paris
Me Delphine GUENIER, Avocat au barreau de Marseille
Me Hermine MKHITARIAN – SORRENTINO, Avocate au Barreau de Nice
Me Maud MARIAN, Avocat au Barreau de Paris
Me Marie BOISSEAUX, Avocat au Barreau de Bordeaux
Me Lauriane BUONOMANO, Avocat au Barreau d’Aix-en-Provence
Me Florian BECAM, Avocat au Barreau de Libourne
Me Blandine RUSSO, Avocat au barreau de Paris
Me Ludivine BOISSEAU, Avocate au Barreau de Lyon
Me Sihem LAOUBI, Avocat au Barreau de Paris
Me Nathalie BEURGAUD BONADA, Avocat au Barreau de Nice
Me Agnès TEISSEDRE, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
Me David Libeskind, Avocat au barreau de Paris
Me Vanessa HINDER, Avocat au Barreau de Lyon
Me Pauline RIVIERE, Avocat au Barreau de Chambéry
Me Joëlle Verbrugge, Avocat au Barreau de Bayonne

Auteur(s): Collectif d’avocats, pour FranceSoir




Lettre ouverte aux sénateurs pour qu’ils défendent nos libertés et refusent le passage à une société orwellienne

Par Docteur Nicole Delépine

Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur,

Le projet de loi n° 4857 relatif à « un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles », va être présenté dans les prochains jours devant votre assemblée.

Vous avez, dans le vote de ce texte, une responsabilité historique face aux Français.

Sur des prémisses incertaines, les effets du variant circulant débouchant plutôt sur une large immunité naturelle, les effets positifs de la « vaccination » étant manifestement limités (avec booster à trois mois nécessaire), et les premiers chiffres d’effets indésirables très inquiétants, il s’agirait pourtant de réduire dramatiquement nos droits et nos libertés et d’aggraver de façon inédite la répression contre les personnes non vaccinées (au sens très large puisque les personnes non à jour de leur schéma vaccinal — soit trois doses plus quinze jours à l’heure actuelle sont considérées non vaccinées).

Cette future loi inscrirait, dans le marbre de la loi, les pires des discriminations contraires aux Traités internationaux et Convention Internationales ratifiés par la France.

Que se passerait-il si la population découvrait, le temps passant, l’accumulation des effets dramatiques à court, moyen et long terme, aux produits injectés, en particulier sur nos enfants ?

Voudriez-vous prendre une telle responsabilité éventuellement pénale, si des victimes futures vous considéraient être responsables des catastrophes personnelles ?

Les Français comptent sur votre discernement et votre adhésion aux valeurs de la France pour ne pas autoriser ces graves atteintes à ce qui faisait l’essence de la France, et pour que vous rendiez pérennes et inviolables la liberté, l’égalité et la fraternité.

Aujourd’hui, les boucs émissaires sont les non-vaccinés (finalement plus de vingt-cinq millions de personnes au bas mot avec les définitions actuelles). Qui seront les prochains ?

Parlera-t-on d’isoler (comme le prévoirait le projet) les députés qui ne voteraient pas « bien » ? Qui d’autre ?

Madame la Sénatrice, Monsieur Sénateur, les Français suivront par millions les débats sur ce projet, dans lequel nous vous demandons solennellement de ne pas céder à la mise à mort de nos droits et libertés et de l’État de droit.

Il est urgent de revenir à la raison et à la modération que préconisait Descartes.

RENDEZ-NOUS NOS LIBERTÉS ET NOS DROITS FONDAMENTAUX : intégrité physique, liberté d’aller et venir, liberté d’expression, droit au travail.

Espérant que vous aurez entendu l’urgence et l’importance de notre requête, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre parfaite considération.

Docteur Nicole Delépine — pédiatre, cancérologue

P.S. : Nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas. (cf. art. 5 DDH 1789)




Comment l’État Profond cache les vaccinés morts du COVID

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Le Deep State, nous en avons tous la conviction intime, cache le véritable nombre de décès dus au COVID chez les vaccinés. Intuitivement, nous comprenons pourquoi : pour faire vivre le « narratif » génocidaire du « tout, c’est la faute des non-vaccinés », que des hiérarques paresseux répètent à l’envi, il faut des chiffres établissent sans conteste que le COVID tuent beaucoup plus les non-vaccinés que les vaccinés. Au fil des jours, les comparaisons rétrécissent. Un informateur proche du pouvoir a bien voulu nous fournir son analyse statistique sur la façon dont les services du gouvernement donnent une vision « favorable » des chiffres.

Selon un document interne, également transmis à France-Soir, les analyses de la DREES sont délibérément truquées ou “orientées” pour diminuer intentionnellement les chiffres sur la mortalité du COVID parmi les vaccinés, et pour les gonfler parmi les non-vaccinés. 

Augmenter la mortalité des non-vaccinés, un enjeu essentiel

Nous comprenons tous les raisons pour lesquelles les statistiques tentent de prouver qu’il y a beaucoup plus de non-vaccinés morts, ou malades, que de vaccinés. Tout le “narratif”, comme on dit désormais, sur l’efficacité du vaccin en dépend. 

Il n’en demeure pas moins que les vrais chiffres, c’est-à-dire les chiffres bruts en dehors des proportions et des taux, donnent une vision beaucoup plus nuancée de la réalité que les discours officiels. 

Selon les porte-voix de la caste, en effet, les services de réanimation sont à 80 ou 90% peuplés de non-vaccinés. 

C’est malheureusement (ou heureusement, tout dépend du point de vue) très faux. 

Des réanimations avec 90% de non-vaccinés ?

Dans la pratique, pour le seul mois de septembre/octobre, les vaccinés représentaient un très très gros tiers des lits en réanimation, et la même proportions de décès. 

À cette date, le schéma vaccinal était “tout frais” et les pertes de protection ne se faisaient pas encore sentir. 

Il faudrait reprendre les mêmes chiffres aujourd’hui. 

Toujours est-il que la présentation officielle, qui pondère ces chiffres en rapport avec la population estimée de personnes vaccinés ou non permet des biais “marketing” très différents. Il est en effet possible d’inférer que les vaccinés prennent douze fois moins de risques que les non-vaccinés, sans retenir les éléments extérieurs comme l’âge des personnes. 

Bref, “les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut”. 

Démonstration est faite dans ce document. 

Il n’en reste pas moins que, à la mi-octobre, il n’y avait sans doute pas 90% de non-vaccinés en réanimation, mais beaucoup moins, à un moment où la protection du vaccin était [prétendue, sur la base d’une théorie frauduleuse et d’une autre probable manipulation] la plus forte. 

On comprend mieux pourquoi l’équipe Castex s’efforce de citer des chiffres sans jamais permettre leur vérification. 




Monsieur le Premier Ministre, excusez-vous !

[Source : @vivi19591949]






Combien de milliards de « non vaccinés » au monde se sont-ils sentis insultés ?

Par Nicole Delépine

Alors que la presse internationale regarde de près la présidence française à l’UE depuis le 1er janvier 2022, le président E. Macron s’est permis une interview à haut risque dans un pays malmené, maltraité, angoissé, divisé, bref inflammable.

Déjà le courrier international titrait avant le choc du JDD du 4 janvier : « La présidence de trop ? »

« Des mesures comme le pass vaccinal aggravent les divisions dans nos sociétés », alerte Ana Navarro Pedro. Dans un entretien accordé à Courrier international, la journaliste portugaise basée en France regrette « qu’aucun des camps n’écoute plus l’autre ».

NOS SERVICES

Entretien réalisé avant les déclarations d’Emmanuel Macron publié par Le Parisien le 4 janvier dans lesquelles il dit vouloir faire peser la contrainte sur les non-vaccinés qu’il se dit prêt à « emmerder ».

Courrier international : Le gouvernement a opté pour une stratégie du tout vaccinal alors que le variant Omicron est devenu majoritaire en France. Qu’en pensez-vous ?

Ana Navarro Pedro : Dans des pays où Omicron est déjà majoritaire, on a pu observer que le vaccin n’est pas un rempart très efficace contre la contamination. En Espagne, la troisième dose n’est pas obligatoire. Israël a suspendu la quatrième. Alors que certains gouvernements marquent une pause, la France semble déterminée à avancer, notamment avec le pass vaccinal, une mesure très forte.

Quand la Tunisie a rendu le pass vaccinal obligatoire, Amnesty International a immédiatement interpellé le gouvernement pour atteinte à la liberté de travailler et de se déplacer. C’est un curieux deux poids, deux mesures. En Occident, les mesures qui sont prises pour combattre le virus sont considérées comme acceptables par les pouvoirs publics et la grande partie des médias. Hors de l’espace occidental, en revanche, ces mêmes stratégies font l’objet de critiques. »

Le JDD du 4 janvier en rajoute. Certes Aurore Bergé députée célèbre de LERM nous explique que cette interview ne devait paraître qu’après le vote de la loi du pass vaccinal prévue le 3 janvier.

Mais les députés « irresponsables » d’après le Premier ministre qui les a curieusement insultés le 4 janvier, ont souhaité approfondir un peu plus longuement ce texte fondamental susceptible de modifier notre société démocratique en orwellienne si la loi va au bout de son parcours législatif, ce qui n’est pas encore le cas. Et ils ont refusé de poursuivre l’examen de nuit, en ce premier jour de « débat ».

De nombreux députés de tous bords sentent le danger de cette loi, tant à titre collectif qu’à titre personnel, au moins pour ceux qui rêvent d’une réélection en juin. Il est clair que voter ce texte liberticide ou même s’abstenir de voter contre serait un lourd handicap pour une tentative de réélection. Car si des yeux sont encore fermés aujourd’hui, chaque jour de nouvelles personnes s’éveillent et dans six mois, elles seront plus nombreuses d’autant que les drames des complications des injections se poursuivent.

L’erreur de trop ?

Alors la sortie du président tombe comme une catastrophe supplémentaire de conséquences imprévisibles.

« Un irresponsable n’est plus un citoyen », déclare Emmanuel Macron dans son interview au Parisien. « Comment un Président, garant des institutions, peut-il dire ça ? Pourquoi jouer avec une matière si inflammable ? » Par lilianalemagna

Et la presse internationale s’empare vite du sujet.

En anglais cela donne ça : CNN : Le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’il « voulait vraiment faire chier » les non-vaccinés, dans une interview exclusive au journal Le Parisien le 4 janvier.

Mais l’ensemble du peuple se sent agressé, d’autant que de plus en plus ont compris qu’on est considéré comme vacciné que par de courtes périodes. « Il y a des non-vaccinés, des faux vaccinés et des futurs non-vaccinés » (c’est-à-dire non « boostés ») dans TOUTES les familles de France.

Les propos de Macron concernent potentiellement tous les Français : « tout vacciné est un futur non-vacciné, à trois mois près ! Tout dépend du nombre de doses qu’on accepte de faire et quand on décroche ! »

Nous devons tous être unis contre cette attaque ignoble, tweetent de nombreux twittos. « La réponse à cette nouvelle agression de Macron doit être l’union de tous les Français, vaccinés ou non, l’Union Sacrée ».

Autre journal :

President Macron says he really wants to “piss off” the unvaccinated #MACRON(([1] taype international @taypeinternat))

independent.co.uk

French president Macron says he really wants to ‘piss off’ the unvaccinated Government’s aim is to limit this group’s social life ‘as much as possible’.”

Et il y a de nombreux articles de divers endroits de la planète

« POUR L’ÉTRANGER CES PROPOS SONT UN OUTRAGE MONDIAL »(([2] CET ARTICLE VIENT DES USA… Le président français Macron stupéfie en déclarant que les non-vaxxés ne sont pas des citoyens. Le président français dit vouloir « faire chier » une petite minorité de ses compatriotes qui refusent les médicaments de Big Pharma….POUR L’ÉTRANGER CES PROPOS SONT UN OUTRAGE MONDIAL PAGE GAULLISTE DE RéINFORMATION.))

Ils font d’ailleurs remarquer que 45 % des terriens ne sont pas injectés et donc se sentent solidaires des non injectés français !

Et l’humour n’est pas absent !

La dernière saillie de #Manu va être l’occasion aussi de découvrir comment on dit « #emmerder » dans toutes les langues de la Terre, dans tous les médias de la Terre.

« #Macron donne une bonne image de la France à l’international ! »

#LaClasseInternationale

#TheWorldIsWatching(([3] Bassounov @Bassounov))

« Excellente lettre de Monsieur Charlelie Couture à Macron, Nous sommes en guerre

Lettre à E. Macron par Charlelie Couture…

“NOUS sommes en guerre, oui ! NOUS sommes en guerre, oui ! NOUS, les non-essentiels, NOUS, les inutiles, NOUS, les riens, NOUS, les Lumières plongées dans l’ombre, NOUS, les Gens de l’Esprit et de la Culture, NOUS, les restaurateurs, ceux des plaisirs de la bouche et du plaisir tout court,

Oui, NOUS sommes en guerre,

NOUS, les personnels et techniciens du spectacle, ceux des théâtres et des cinémas, NOUS, les Acteurs et les Comédiens mis aux arrêts forcés, NOUS, les Musiciens,

NOUS tous que vous considérez comme des paresseux, mais ne rêvons que de travailler.

Et tous ceux de la nuit, ce monde qui vit la nuit, cette nuit NOIRE que vous associez au Mal, cette peur médiévale qui accompagne la nuit quand le Diable revient, ce Mal qui grandit quand le soleil s’est couché, — désormais après 20 h —, ce Mal viral dont la définition change au gré de vos humeurs, cette menace invisible d’abord définie comme létale, mais dont la dangerosité s’estime désormais en termes de ‘cas’, (d’où la suggestion de recourir à des tests massifs afin d’obtenir des grands nombres impressionnants), dans l’intention de soumettre à se faire faire inoculer dans l’urgence, une opinion publique de plus en plus sceptique, malgré la pression permanente des médias, elles-mêmes sous surveillance. NOUS, que vous traitez avec un détachement scandaleux,

Oui, NOUS sommes en guerre contre VOUS ! Contre le Janus qui répète qu’il ‘assume’, lui qui se croit doué d’un super pouvoir de séduction absolu, qui lui permet d’envoûter et de berner comme un camelot tous ceux qu’il rencontre, lui le Petit Prince tellement condescendant vis-à-vis du Peuple et de la classe moyenne, Oui.

Nous sommes en guerre contre VOUS cet orphéon de sous-fifres opportunistes qui improvisent au jour le jour une chorale cacophonique, cette ribambelle de technocrates cyniques feignant d’ignorer froidement les drames dans lesquels plongent ceux qui sont concernés par ces décisions cyniques,

VOUS, dont les discours lénifiants et versatiles conjuguent à la fois l’ignorance et l’absurde, contre VOUS, dont les incohérences nous inondent comme des pluies acides sur notre forêt de rêves, contre vos fausses promesses et vos effets d’annonce comme un coup de bluff permanent, affirmant des choses un jour, et le contraire le lendemain avec le même aplomb !

Contre vos fanfaronnades ineptes et vos décisions inopinées, contre vos lois votées en catimini, nous sommes en guerre oui !

Contre les mafias milliardaires et autres géants de Big Pharma, contre votre déni effectif des menaces climatiques au profit d’une consommation capricieuse et sa pollution d’objets inutiles distribués par les géants de la distribution.

En guerre contre une économie de cavalerie et de course en avant qui ‘invente’ des milliards virtuels, et nous entraîne à court terme vers le grand délire d’une économie irréelle, comme une plongée dans un puits sans fond.

La France n’est pas sereine, noyée dans une sorte de chaos et d’écœurement causés entre autres par la surprotection d’une police répressive et les disputes intestines entre spécialistes illuminés aussi malsaines que des bagarres de rues entre bandes de supporteurs alcoolisés.

La France n’est pas en paix avec elle-même, quand les mêmes qui dénonçaient les lois du califat imposant le silence et le voile, oui, les mêmes interdisent de la même manière depuis des mois à la fois le théâtre, la musique, les musées, les rencontres populaires (sportives ou artistiques), et puis les restaurants, les rassemblements de fêtes joyeuses et conviviales, et maintenant Noël en famille et la Saint-Sylvestre…

Conscients que les enfants dans les écoles apprennent à devenir fous, oui, nous sommes en guerre, une guerre secrète, une guerre interne, pour l’heure encore en implosion, mais dont les conséquences seront graves. On devine la colère qui gronde et les gens désespérés sont prêts à exploser, prêts à se faire exploser, suicidaires.

Un pouvoir si puissant soit-il ne tient que par l’acceptation ou le refus du Peuple d’obéir. Désormais NOUS sommes en guerre, oui, pour défendre notre droit à continuer de vivre dignement, pour défendre notre Liberté légitime et notre droit de penser autrement !

Charlélie COUTURE

source : https://ns2017.wordpress.com »





Les malades imaginaires de Molière et la crise sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Vains et peu sages médecins ;
Vous ne pouvez guérir par vos grands mots latins
La douleur qui me désespère :
Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.

J’ai écrit ce texte il y a dix ans, bien avant cette crise sanitaire-totalitaire. Je ne faisais que méditer Molière. J’y parlais de masque sanitaire, de Boulgakov et j’oubliais de citer Watzlawyck, l’auteur du livre immortel : « faites vous-même votre malheur » à coups de dépenses de santé et de terrorisme médical façon Knock. Je recommanderai aussi le film The Road to Wellville d’Alan Parker. Mais citons-nous :

Je me suis levé au milieu de la nuit, j’avais comme un malaise. « Un vent frais m’éveilla, je sortis de mon rêve ». J’ai allumé la télé et au milieu d’autres horreurs je suis tombé sur une émission sur les centenaires. On fait pédaler des petits vieux avec des masques à oxygène, et on nous promet des merveilles. On ne nous promet jamais que des merveilles. Sans parler chiffres, comme toujours. Les gérontologues sont satisfaits et vont filer en première classe à un autre congrès. Dans cinquante ans j’aurai cent ans ! Et dans cent ?

Ce que je vois m’effare. Le monde entier crève comme Argan sous les dépenses de santé. Elles ont explosé en Chine et dans les pays du tiers-monde (j’ai été une fois hospitalisé, et très bien, pour six euros la nuit, en Bolivie !). Elles sont de mille milliards ici, de deux mille milliards là. N’importe quelle opération coûte dix ou cent mille euros, n’importe quelle chambre d’hôpital coûte deux mille euros, et je ne vous parle pas des ambulances ou du prochain forfait — c’est le cas de le dire ! Quant à la consultation à cent euros chez l’éminent spécialiste du coin, j’y ai renoncé.

 J’ai par ailleurs vu assez d’amis mourir et souffrir pour rien dans les chambres des hôpitaux les plus divers et les plus multiculturels pour daigner accorder de l’importance à la médecine d’aujourd’hui qui est en train de ruiner la planète comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV. Au train où cela va, grâce à la dette et tout le reste, nous serons deux milliards d’octogénaires en l’an 2100, bravo le monde moderne et tout son dynamisme ! L’historien chrétien Philippe Ariès nous prévenait déjà il y a quarante ans : on nous privera de notre mort. Et on aura siphonné la société. Le pronom indéfini « on » aura accompli cette énième merveille.

 J’en reviens à Molière, car on a oublié de quoi parle son malade imaginaire, qui a fasciné le grand Boulgakov dans son essai superbe : d’argent.

 Le monde de Molière est un monde bourgeois, et c’est déjà le nôtre : on n’y parle que d’argent, de manières branchées, mariage intéressé, et bien sûr de la santé. On ne croit plus en Dieu, mais on ne veut plus mourir ! On n’aime pas sa femme, mais on ne veut pas vivre seul ! On comprend pourquoi plus nous dégénérons plus nous nous reconnaissons dans ce théâtre de la Fin. Mais laissons parler le maître :

 « Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt. Trois et deux font cinq. “Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif, et rémollient, pour amollir, humecter, et rafraîchir les entrailles de Monsieur.” Ce qui me plaît de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c’est que ses parties sont toujours fort civiles : “les entrailles de Monsieur, trente sols.” Oui, mais, Monsieur Fleurant, ce n’est pas tout que d’être civil, il faut être aussi raisonnable, et ne pas écorcher les malades. »

 Argan n’oublie pas son pharmacien au passage. En attendant Homais… Parler de maladie et de santé, c’est parler chiffres et pognon. Il n’y a que l’argent qui les intéresse, et c’est bien vu de Molière. C’est pourquoi le glissement technologique de la médecine moderne, qui a succédé aux économes vaccins (les médecins aux pieds nus en Chine avaient fait tripler l’espérance de vie, et c’était une bonne espérance de vie, pas une espérance de géronte), a permis de multiplier par dix, parfois par cent, les dépenses de médecine. On ne va pas s’en plaindre, mais c’est comme ça !

 Argan est comme l’homme sans qualité, l’homme qui ne peut plus dormir parce qu’il a quelque chose à se reprocher : sa conscience. Il n’oublie pas d’être un peu scabreux au passage et poursuit son monologue festif et très technique.

 « Avec votre permission, dix sols. “Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif, et somnifère, composé pour faire dormir Monsieur, trente-cinq sols.” Je ne me plains pas de celui-là, car il me fit bien dormir. Dix, quinze, seize et dix-sept sols, six deniers. “Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse récente avec séné levantin, et autres, suivant l’ordonnance de Monsieur Purgon, pour expulser et évacuer la bile de Monsieur, quatre livres.”

 J’ignore jusqu’où ira la médecine et son humanité de vieilles carcasses retapées qui roule avec, et s’en fait tourner. On me parle d’opérations à 300 000 euros, de couvertures à quinze cents milliards… La limite comme toujours, ce sera l’argent, sauf si indéfiniment les as de Goldman Sachs aux commandes en Europe comme en Amérique arrivent à faire bonne impression et à financer nos bicentenaires, comme il est bientôt prévu de le faire. Dette publique à 2 ou 400 % ? En attendant 3000 ? Tout est de toute manière lié à de la bonne volonté mutuelle. Mais continuons, comme dirait l’autre, le génial début de cette pièce sans égale.

 “Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux, s’il vous plaît ; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade : contentez-vous de quatre francs. Vingt et quarante sols.”

 Il me semble que dans sa géniale exclamation Molière met le doigt sur la cible : nous jouons au malade, nous voulons être malades, nous voulons dépenser cet argent, nous doublons ou triplons des dépenses qui pourraient sans cela être maîtrisées. La maladie est un job à plein temps. C’est un hobby, une passion. Mais par ailleurs on sait très bien en plus qu’à part la réparation de garage avec les pièces détachées prélevées sur des morts, en attendant les clones, tout repose sur du vent dans la dépense de santé.

 “Je ne m’étonne pas si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l’autre. Je le dirai à Monsieur Purgon, afin qu’il mette ordre à cela. Allons, qu’on m’ôte tout ceci. Il n’y a personne : j’ai beau dire, on me laisse toujours seul ; il n’y a pas moyen de les arrêter ici.”

 90 % est dans le psychique. Les progrès de la médecine moderne sont les progrès de la dépense publique et donc les progrès de la bêtise humaine, celle qui se sert de la technologie comme de la télévision, parce qu’elle ne veut plus être seule et parce qu’elle a peur. L’homme n’a plus été capable de s’adresser à Dieu, il s’est déshumanisé et technicisé. Et grâce au diable, il est trop tard pour qu’il s’en rende compte. Il mourra inconscient, hagard, perclus de tubes partout, devant une webcam. On comprend pourquoi les zombis sont à la mode dans l’anticulture contemporaine.

 “Est-il possible qu’on laisse comme cela un pauvre malade tout seul ? Drelin, drelin, drelin : voilà qui est pitoyable ! Drelin, drelin, drelin : ah, mon Dieu ! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.”




La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde

[Source : Sott.net]

Entretien avec Richard Strohman

Par Celia Farber — Substack

Je savais que cette interview était importante, j’en ai régulièrement parlé au fil des années. Aujourd’hui, je considère Richard Strohman comme le George Orwell de la tyrannie génomique naissante.

[Photo : © Robert Holgren
Richard Strohman]

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité. Mon inquiétude à ce sujet correspond à celle exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Richard Strohman, Professeur émérite — Source

Pour ceux qui ont lu ce [précédent – NdT] article, dans lequel j’ai assimilé le Covid à la biologie luciférienne — vous vous souvenez peut-être que j’ai cité une interview du regretté professeur Richard Strohman, dont je n’avais à l’époque pas donné le lien. Eh bien, je l’ai retrouvée. En la lisant aujourd’hui, les mots et les mises en garde de Strohman sont bien plus saisissants que ce que j’ai été capable de comprendre à l’époque, il y a plus de vingt ans.

C’est toujours l’une des interviews que je chéris le plus.

En préambule à cette interview, je dois dire que j’avais compris, à l’époque, le quoi mais pas le pourquoi. Je savais que les choses étaient très bizarres, et malfaisantes, mais je ne comprenais pas de quelle dimension idéologique tout cela émergeait — à savoir quelle en était l’origine. J’ai fait une mise au point post-facto et ajouté quelques liens et mises à jour. J’espère que vous prendrez le temps de lire les avertissements prophétiques du Dr Strohman sur la génomique technocratique.

Il existe d’ailleurs des personnes qui revendiquent de grands domaines de pensée et qui ont le sens des relations publiques — trop pour citer les géants qui ont tracé les chemins permettant à leurs idées d’exister. C’est la raison pour laquelle je ressens un besoin impérieux de pénétrer dans ma forêt d’anciens géants — tous méconnus — et de leur donner la parole. J’ai été témoin du fait que Kary Mullis [inventeur du test PCR et dissident du VIH] et Peter Duesberg [formulateur de la théorie du cancer de l’aneuploïdie, père de la dissidence du VIH] sont devenus des noms familiers, en dépit de l’existence depuis trente ans d’un dispositif mondial consacré à immoler leur « crédibilité ». Je pense que Richard Strohman devrait être le prochain, tout comme le seront particulièrement des héros scientifiques plus connus tels que Barbara McClintock et Lynn Margulis — dont les travaux ont joué un rôle déterminant dans l’opposition au déterminisme génétique, au réductionnisme biologique et, in fine, au génocide qui ne dit pas son nom.

Une brève note, comme une luciole dans ma mémoire — authentique, mais me croirez-vous ?

En 1988, après avoir réalisé ma première interview avec Peter Duesberg, il m’a demandé de téléphoner à Barbara McClintock. J’avais peut-être 22 ans. Je ne savais pas qui elle était, mais je savais qu’elle était lauréate du prix Nobel. Tout ce dont je me souviens est ceci : une voix très faible au téléphone a dit : « Oui, Peter a raison ».

L’histoire exige des fouilles, du temps, de la patience et, dans certains cas, des miracles.

Je viens de découvrir que Richard Strohman était né le même jour que mon père Barry — le 5 mai — alors je me réjouis que ce soit la fête des pères aujourd’hui.

Bonne fête des pères, Pères, que vous soyez les pères de vos propres enfants, des enfants d’autres hommes ou, d’ailleurs, de formes de pensée, d’animaux, de champs, de tout ce qui exige un dévouement sacrificiel à la protection de la vie biologique [texte récupéré écrit par Celia Farber, 2009, The Truth Barrier, les parties du texte en gras sont de moi, pour l’emphase].

Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Californie à Berkeley, est décédé le 4 juillet 2009, à l’âge de 82 ans.

Je me suis sentie profondément reconnaissante du privilège qui m’a été donné d’avoir, à deux reprises, pu m’entretenir avec lui au cours de la dernière décennie de sa vie. Il incarnait l’une des anciennes voix scientifiques les plus poignantes que j’aie jamais rencontrées, dans ce que j’ai fini par nommer la tradition « éplorée » de la science, laquelle contraste avec celle plus révolutionnaire, zélée et lucrative.

Strohman, 2003, sur l’échec et le danger du déterminisme génétique.

De 1973 à 1976, Strohman avait été président du département de zoologie de Berkeley à l’université de Californie, et de 1976 à 1979, directeur du programme de santé et des sciences médicales, toujours à Berkeley. Il étudiait « […] la régulation de la croissance des cellules et des tissus et la différenciation cellulaire en utilisant des approches moléculaires et cellulaires ». Il fut l’un des premiers signataires du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse du VIH/Sida, et avait qualifié le paradigme du VIH/Sida de « désastreux ».

Après avoir pris sa retraite de Berkeley, il a parcouru le monde pour donner des conférences sur les dangers du déterminisme génétique et du réductionnisme biologique.

En 2000, dans le cadre d’une mission pour le TALK Magazine, j’ai pour la première fois interviewé le professeur Strohman. Le professeur Strohman m’avait été recommandé par Harvey Bialy, alors rédacteur en chef de Nature Bio/Technology, après avoir confié à ce dernier que j’avais été chargé d’une mission étrange, qui semblait exiger un article positif, voire euphorique, sur la « thérapie génique ». J’avais en effet été contacté par un rédacteur en chef pour m’informer du souhait de Tina Brown que j’écrive un article sur le sujet pour le magazine. J’ai décliné l’invitation, parce qu’il existait très peu sinon aucune chance que je puisse le présenter comme étant « de bon augure », mais le rédacteur en chef a insisté.

Pour vous donner une idée de l’engouement de l’époque, lisez cette présentation informative, qui date de 1999 :

Imaginez un monde où une personne pourrait modifier sa structure génétique et réorienter le cours futur de l’évolution chez son enfant et chez elle-même. Grâce à la thérapie génique, c’est une possibilité très réelle. À l’avenir, il pourrait être aussi facile de modifier sa santé physique ou mentale que de se faire vacciner contre la grippe aujourd’hui. Mais les effets de la thérapie génique sont durables et pourraient affecter votre future progéniture ainsi que votre propre santé.

Découverte au milieu des années 1970, la thérapie génique a permis aux chercheurs d’isoler certains gènes de l’ADN. Dans les années 1980, le terme thérapie génique a fait son entrée sur la scène scientifique et a fait avancer la recherche.

La définition de la thérapie génique est la suivante :

« technique dans laquelle les gènes responsables d’un défaut sont eux-mêmes remplacés par des gènes corrects chez le patient afin de guérir une maladie (Macer, 1990). »

[!]

Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

En raison de mon déni du VIH (définition de la maladie ici – Hyperlien en français – NdT]), je ne voulais rien avoir à faire avec la « thérapie génique », et ce, même avant d’avoir entendu parler de Jesse Gelsinger.

Qui était Jesse Gelsinger ?

Jesse GelsingerJesse Gelsinger avait 18 ans lorsqu’il s’est porté volontaire pour un essai clinique à Penn State [université en Pennsylvanie – NdT] afin de tester l’effet de la thérapie génique sur un trouble métabolique rare appelé déficience en OTC [le déficit en ornithine transcarbamylase est une maladie héréditaire qui entraîne une accumulation d’ammoniac dans le sang – NdT]. Quelques heures après avoir été perfusé avec des « gènes correcteurs » contenus dans un adénovirus affaibli, Jesse a souffert d’une défaillance de plusieurs organes, et quelques jours plus tard, son sang était presque totalement coagulé, il était boursouflé au point d’être méconnaissable et en état de mort cérébrale — avant d’être débranché.

Sa mort a provoqué un silencieux arrêt brutal des recherches alors en plein essor en thérapie génique. Quand je suis allé à Penn, première étape de ma tournée d’interviews pour l’article du TALK, le responsable des relations publiques m’a confié :

« Je ne sais pas trop quoi vous dire. Nous avons tué un jeune de 18 ans. »

Permettez-moi de souligner :

« Ces mots ont été prononcés par le responsable des relations publiques du centre médical où le meurtre a eu lieu. J’ai également interviewé de manière exhaustive le père endeuillé de Jesse, Paul. Il m’aura fallu attendre 20 ans pour apprendre que non, la thérapie génique ne s’est pas arrêté net, comme le veut le mythe. Au contraire, en 2000, le scientifique qui était chargé de l’essai clinique et qui a, dans son zèle inconsidéré, causé la mort de Jesse, a été discrètement et secrètement financé par une subvention de 29,4 millions de dollars versée par GlaxoSmithKline, pour continuer à travailler sur la thérapie génique — juste après le drame. Vous pouvez lire l’histoire de la « rédemption » du Dr James Wilson et l’histoire de GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres histoires de gros sous ici. »

Note du traducteur : Jesse Gelsinger est décédé le 17 septembre 1999. Voir ce lien pour comprendre ce qu’est et ce qu’implique un déficit en ornithine transcarbamylase.

Au fait, quand des gens sont tués dans leurs « essais cliniques », ils ont une expression très précise pour ça : « Leçons apprises ».

La troublante actualité d’alors concernant la thérapie génique auraient pu devenir le nouveau sujet de mon article pour TALK — mais non, ils n’en voulaient pas. Après de nombreuses réécritures et tentatives linguistiques pour ne pas faire de ce drame une chose sans importance, l’article a été enterré.

Lors de la conférence « Repenser le sida » qui s’est tenue à Oakland en 2009, j’ai rencontré le petit-fils de Richard Strohman, Josh Nicholson, et je lui ai dit que j’avais cette interview quelque part, que je la retrouverai, la transcrirai et la publierai. Je lui ai dit que son grand-père était un grand homme.

Je suis également redevable à Harvey Bialy pour m’avoir remis dans le droit chemin, alors que mes éditeurs m’envoyaient dans un abîme abject. Merci encore à Harvey. [La nouvelle m’est parvenue que Harvey Bialy est mort en 2020, mais personne dans mon entourage ne me l’a dit, je ne suis donc pas sûr que cela soit vrai].
© InconnuL’interview avec Richard Strohman, professeur émérite

[Entretien réalisé en 2000 ; l’original a été précédemment publié sur Truth Barrier, 2009].

Q :Je crois savoir que la thérapie génique, en tant que domaine, a connu une crise après la mort de Jesse Gelsinger, mais qu’elle reprend de l’élan…

R : Oui. Le drame a vite été oublié. Notre mémoire de ces choses est si vite dépassée par le battage médiatique suivant sur le tout nouveau gène et le tout nouveau traitement potentiel. Le monde est plein de remèdes potentiels qui n’arrivent jamais.

Q :Vous donnez des conférences sur les interprétations erronées de la médecine génétique, c’est bien cela ?

R : Ma perspective sur ce sujet est un peu plus large. C’est ma nouvelle vocation, examiner les limites du déterminisme génétique, examiner les lacunes de la science que j’ai moi-même pratiquée pendant 30 ans.

J’ai beaucoup travaillé sur la sclérose en plaques, qui est une véritable maladie génétique. Mon point de vue est qu’il existe des maladies génétiques. La thérapie génique est en théorie quelque chose à examiner, mais en même temps nous devons dire qu‘il n’existe pas un seul cas de thérapie génétique qui ait jamais fonctionné avec succès. Pas un seul.

Q :Mais l’autre camp revendique des succès en France, etc.

R : Je ne sais pas où se trouvent les données. Dans les journaux ? Tous ces gens à Penn se sont totalement laissés emportés par leur propre battage médiatique. Il y a toujours, dans ces centres médicaux, un bio-éthicien attitré qui n’est rien d’autre qu’un manipulateur, et dont le rôle est de reconnaître les difficultés et de les expliquer.

Mais ces personnes supposent que la génétique moléculaire peut réellement faire ce qu’elle dit pouvoir faire. Ils nous préparent à ce qu’ils pensent être inévitable. Puis ils affutent leurs patins pour que tout cela avance plus vite.

J’ai été interviewé par la télévision suédoise au sujet de Gelsinger.

La critique qui en est habituellement faite est que si l’on prend un cas simple, l’introduction de gènes dans des plantes, des plantes génétiquement modifiées, où les tests peuvent être effectués sur un grand nombre de personnes sans avoir à se soucier de l’éthique, ce que l’on voit c’est la chose suivante : si on introduit le gène à l’aide d’un vecteur viral et que le vecteur est là parce qu’il — et nous revenons ici à notre vieil ami Peter Duesberg — constitue un puissant facteur, le gène sélectionné sera exprimé à des niveaux qu’il n’atteint jamais dans la Nature, donc… ce robinet d’expression génétique qui est ouvert en permanence pour exprimer la protéine en question est en lui-même un phénomène totalement anormal. Il y a un autre problème. En laboratoire, on constate que le gène est activé [pour rendre la] plante résistante au pesticide. Dans le cadre de cette étroite analyse du succès attendu, on constate que le transfert de gène a réussi, qu’il a été incorporé dans le génome de l’hôte, qu’il est stable, qu’il peut être hérité, et enfin que la protéine pour laquelle le gène code est bien présente, qu’elle est exprimée. Le caractère non naturel tend à disparaître. Les questions qui ne sont pas posées sont les suivantes : Quels sont les autres effets secondaires de ce transfert de gènes ? C’est comme si l’on entrait dans une pièce remplie de gens et que l’on y insérait une opinion qu’ils n’ont jamais entendue auparavant, et que l’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse comme si elle n’avait jamais été prononcée. À New York, par exemple. Cela n’arrive jamais. Et ça n’arrive jamais dans ces cellules non plus.

Monsanto sait que tout cela est bien réel. Toutes ces entreprises de technologies agricoles sont conscientes du processus, mais elles choisissent délibérément — et c’est là le profond problème éthique que la science devrait examiner et [qu’elle ignore] — elle choisit en toute connaissance de cause les limites les plus étroites pour estimer qu’il s’agit d’un succès. Il s’agit d’un acte criminel. Et je pense que la FDA y adhère.

Lorsque l’on doit utiliser ces méthodes en laboratoire, et appliquer vos critères de réussite, puis prendre ces mêmes critères de réussite et les appliquer aux biens et services qui sortent du laboratoire et qui se retrouvent sur des milliers d’hectares de terres cultivées ou dans les organismes des jeunes hommes hospitalisés à Philadelphie, ces critères étroits sont dépassés par les réalités du monde réelCe qui se produit ici est un acte criminel entièrement imputable à l’impudence de ces scientifiques et à leur ignorance de la complexité biologique. Pour eux, rien de mieux ne peut en être dit, en raison du fait que la majorité d’entre eux sont conscients des mesures qui pourraient être effectuées pour vérifier tout cela, mais qui sont trop coûteuses à réaliser.

Ces personnes ne veulent pas que la FDA approuve un quelconque inventaire de ces produits. Nous avons beaucoup à apprendre des aliments génétiquement modifiés que nous pouvons transposer dans les cas très rares de modifications génétiques chez l’homme.

La biologie de l’ADN comporte toute une palette de nouvelles connaissances dont ces personnes ne sont pas conscientes. C’est en cela que dans le processus de transfert de gènes, la moindre perturbation environnementale des caractères liquide et fluide du génome lui-même change tout.

C’est la métaphore de la machine appliquée à la biologie. La biologie est dominée par un point de vue mécaniste. Et c’est l’une des plus grandes erreurs. Les êtres vivants [rires] ne sont pas des machines. Ils peuvent agir comme des machines, mais ils n’en sont pas.

La science, à laquelle nous devons attribuer une certaine qualité, a complètement capitulé devant les intérêts des entreprises, et comment s’en sortir ? Il s’agit d’un sujet très difficile.

Q :Comment pouvons-nous retracer le fil de cette histoire ? Où cela commence-t-il ?

R : Tout a commencé lorsque Barbara McClintock [dans les années 1940 et 1950] a montré que les gènes pouvaient être transférés de manière transversale entre les organismes, et même entre les espèces, mais lorsque la technologie s’est améliorée, il est devenu évident que l’on pouvait manipuler les gènes en laboratoire et transférer des gènes normaux. Nous participions à ces recherches dans le cadre de la sclérose en plaques ; nous avions des modèles animaux et nous pouvions réaliser des expériences très simples et transférer des gènes normaux dans des cellules qui contenaient la mutation. C’est ce qui a alimenté ce battage médiatique selon lequel on pouvait guérir des êtres humains ou des organismes entiers, et que l’on pouvait faire des choses très intéressantes avec des cellules individuelles, mais c’était en culture et donc dans des conditions limitées.

Donc, oui, il y avait beaucoup d’excitation autour de tout cela, mais ce n’était pas très élaboré. Nous ne savions pas grand-chose de ce que nous saurions cinq ans plus tard sur la complexité du génome et sa capacité à être déstabilisé lorsque ce genre de choses était réalisé. On pouvait obtenir un effet positif en introduisant un bon gène, mais on n’était pas capable de mesurer le revers de la médaille. Quelle était la réponse de la cellule, que se passerait-il si cela concernait le corps entier, et quelle serait les interactions avec cet énorme éventail de possibilités computationnels.

C’est la raison pour laquelle les entreprises ne veulent pas s’y intéresser, car c’est trop complexe. La quantité d’argent et d’efforts qu’il faudrait investir dans cette technologie revient à la rendre impossible. Vous ne pouvez pas vous le permettre ; vous devez prendre ces raccourcis.

[Ces choses sont] transcalculatives [au-delà de la capacité humaine à configurer un ordinateur pour le calculer – NdT].

Tout le concept relatif à la capacité de l’organisme vivant le plus simple qui soit à résister à notre interprétation scientifique de manière complète est, je pense, bien acceptée.

Ce sont des interactions qui atteignent ce que l’on appelle une catastrophe de calcul. Les informaticiens disent qu’il n’y a pas d’ordinateur qui pourrait faire le calcul et qu’il n’y en aura jamais.

Q :Mais la thérapie génique repose sur le fait que ce n’est pas le cas, n’est-ce pas ?

R : Oui, il y a deux choses. Premièrement, il ne faut pas s’attendre à ce que nous puissions déterminer ce qu’est l’organisme à partir du génome, parce que l’organisme lui-même ne le fait pas.

L’organisme se détermine lui-même à partir d’une vaste gamme de données, y compris les données génétiques. L’idée du succès de la thérapie génique est qu’en plaçant un seul gène, il sera exprimé et que l’insertion et l’adaptation à l’insertion seront normales à tous les autres égards. Il s’agit d’une hypothèse et c’est une énorme supposition.

Q :Mais c’est pourtant ce sur quoi tout repose.

R : C’est en effet là-dessus que tout repose ! Et ils évitent tous les autres [aspects].

La seule avancée que j’ai vue, c’était le comité AAA sur la thérapie de la lignée germinale qui a publié un rapport la semaine dernière dans lequel ils déclarent que c’est trop dangereux, que cela ne devrait pas être fait avec des œufs et des cellules. Il y a trop de choses que nous ignorons et que nous ne pouvons probablement pas savoir.

Le transfert de gènes d’une manière telle qu’ils ne peuvent être hérités.

Le transfert de gènes ne devrait pas se faire dans les cellules de la lignée germinale, dans les œufs et les spermatozoïdes. C’est la première fois que le comité a donné des signes de contrainte aux intérêts des entreprises en leur disant qu’elles doivent ralentir. Que les chercheurs doivent ralentir.

Q :Pourquoi leur alarmisme s’est-il limité à la thérapie génique de la lignée germinale ?

R : C’est une bonne question. Je n’en sais rien.

Si l’on comprend l’hypothèse qui est faite, il n’existe pas pour autant de réponse scientifique qui soit appropriée. Il n’existe aucun moyen pour eux de dire « Ne vous inquiétez pas, nous allons arranger ça ».

Et s’ils le disent, on peut alors leur poser cette question : « Voulez-vous dire que vous ne savez vraiment pas ce que vous faites ? ».

Ils ne savent pas ce qu’ils font.

Ils se sont mis à penser que ce que nous devons savoir, c’est qu’il existe des programmes génétiques responsables des traits les plus complexes des êtres humains et d’autres organismes, et que si nous pouvions vraiment comprendre le génome humain dans sa totalité, si nous pouvions savoir ce qu’est le génome humain juste en l’imprimant sur papier, alors tout à coup, d’une manière ou d’une autre nous aurions, grâce à cette version imprimée, une sorte d’illumination. C’était presque comme si on en attendait une sorte d’expérience religieuse.Une certaine épiphanie viendrait une fois que cette image d’ensemble serait publiée. Il y a dix ans, nous en étions tous béats, ou du moins la plupart d’entre nous l’étaient, mais pas dans les classes d’étude, pas dans la formation des étudiants, ces laboratoires moléculaires sont allés de l’avant avec toute cette notion que d’une manière ou d’une autre, tout serait compris et qu’il fallait attendre et voir, et ne pas sous-estimer la science et toute l’importance de la patience, et bla bla bla et c’était ça, et c’est toujours ça, et ces gars sont là avec leurs gros ordinateurs et ils ne comprennent pas les limites comme le font les physiciens. Et les physiciens semblent rester silencieux sur tout cela, vous l’avez remarqué. C’est ainsi que le Projet génome humain cherche maintenant désespérément un moyen d’expliquer ce qu’il va faire avec les données qu’il a collectées et l’humiliation qui s’annonce est presque du même ordre que le phénomène du VIH/SIDA. Ces gens-là ne savent pas comment passer du génome à l’organisme, point final. Ils ne peuvent rien faire et la raison pour laquelle ils ne peuvent rien faire est la raison que Tom Kuhn a expliquée : Si vous avez un paradigme qui s’essouffle, vous ne pouvez pas le remplacer par un nouveau tant que ce dernier n’est pas opérationnel. Nous n’avons pas de nouveau paradigme opérationnel, et nous sommes donc coincés et il est très difficile de s’en sortir.

Étant donné le pouvoir et l’argent des multinationales intéressées, cette affaire se réglera d’elle-même. Tout se joue autour des applications. Le Projet génome humain est financé — et il l’a été dès le début — afin de guérir les maladies humaines et de fournir les moyens d’augmenter l’espérance de vie.

Les Japonais vont bientôt vivre jusqu’à 90 ans, les gènes ne sont même pas mentionnés.

C’est un autre problème : l’espérance de vie n’a rien à voir avec la génétique.

Toute l’excitation est venue du fait qu’il y a quinze ans, certains parmi les biologistes s’accrochaient à l’idée qu’il existait quelque chose appelé « programmes génétiques ».

La seule chose qui leur restait à découvrir était cette thérapie génique, en utilisant les résultats du Projet génome humain et les outils moléculaires pour alimenter ce battage médiatique et tenter de devenir une industrie majeure. Il s’agit là de servir la recherche fondamentale.

Ils n’ont tout simplement pas anticipé cette réalité. En fait, ils l’ont fait mais… ils ont décidé d’ignorer les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir. Il y avait d’autres patients qui montraient des signes de sensibilité. Il y avait des signaux d’alarme qui clignotaient. Ce qui a tué Jesse Gelsinger, c’est cette insistance du laboratoire à vouloir se concentrer sur la computation.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé !

Il existe beaucoup de rapports sur toutes les différentes choses qui peuvent se produire lorsque l’on introduit de l’ADN étranger dans une cellule, mais ils sont tous ignorés. Il existe des articles qui montrent que quand on prend des cellules en culture et qu’on y introduit de l’ADN pour les mettre dans l’organisme d’un animal, des choses bizarres se produisent.

Q :Quelles genres de choses ?

A :Les cellules deviennent sensibles, elles présentent une réponse d’hypersensibilité, toute séquence d’ADN aussi petite que 25 paires de bases environ va générer des réactions vraiment imprévisibles de la part des cellules. Le simple fait de mettre des cellules en culture afin de procéder à cette manipulation crée des instabilités génétiques, qui sont héritées. On le voit très clairement dans les cellules végétales. Le fait que l’expérience ne génère rien et que c’est dû à l’énorme quantité de variabilité dont vous ne savez rien est… tout cela est négligé au grand péril de tout le monde.

Q :Une industrie naît grâce à un quelconque moment d’eurêka, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q :Comment expliquer les raisons pour lesquelles ils ont pensé que cela fonctionnerait ?

R : C’est tellement simple, c’est comme pour le VIH, on ne peut pas à y croire.

Ils ont fait toutes leurs expériences dans des conditions contrôlées en laboratoire, ce qui les a fait fonctionner, les résultats étaient visibles. Tout a changé d’une manière prévisible. Bien sûr, ce qu’ils n’ont pas montré, ce sont les choses qui se sont produites et qui n’était pas prévisibles. Mais toutes ces données sont justement celles qu’ils ont jetées à la poubelle. Et on continue à faire les expériences de différentes manières jusqu’à trouver la méthode qui donne la réponse souhaitée.

Q :Puis le filon a commencé à être exploité ?

R : Oui. Autrefois, la science aurait pu trouver une solution, mais elle a tellement été accaparée par les relations avec les entreprises et la hâte de transposer au marché les résultats obtenus en laboratoire qu’elle a créé tout cela. Donc la [vraie] méthode de la science est ancienne.

[Par le passé], nous n’avons jamais eu cette pression incessante pour produire quelque chose d’utile — utile dans le sens rentable. Et dans ces circonstances, tout le monde est pris dans l’engrenage. Tout le monde s’y laisse prendre, et les subventions et les millions de dollars affluent dans les laboratoires, et des carrières se créent.

Q :Le battage médiatique autour de la thérapie génique n’est-il pas venu du sida et du cancer ?

R : Oh oui, tout est dû aux gènes, que ce soit un gène humain, un gène normal ou un gène viral. Toute causalité commence par le gène.

Q :Et d’où vient cette croyance ?

R : Cela vient, ma chère, de Gregor Mendel. Une ligne droite et une ligne droite simple, c’est absurdement, grotesquement simple. Passer de Mendel aux centres médicaux est la chose la plus absurde du monde.

Note du traducteur : Gregor Johann Mendel était un météorologue, mathématicien, biologiste, frère augustin et abbé de l’abbaye Saint-Thomas de Brno, dans le Margraviat de Moravie. Né dans une famille germanophone de la partie silésienne de l’Empire autrichien (l’actuelle République tchèque), il a été reconnu à titre posthume comme le fondateur de la science moderne de la génétique.

Q :Pourquoi ?

R : Parce que Mendel a décrit des caractéristiques très simples chez les plantes.

C’est ce que j’ai publié il y a un an, les données sont qu’il y a ces maladies chez les humains auxquelles on peut attribuer une causalité à un seul gène, et on peut avoir un certain espoir de faire quelque chose contre ces maladies. Mais si l’on cherche dans l’almanach mondial dans quelle mesure l’une de ces maladies génétiques ou toutes ces maladies génétiques combinées entrent en jeu dans l’espérance de vie ou les taux de mortalité, on ne trouverez rien. Il existe des milliers de maladies génétiques, mais elles ne représentent que moins de 2 pour cent de notre charge de morbidité. Maintenant, on prend cette même logique infructueuse et on l’applique aux maladies complexes, on parle maintenant des maladies cardiaques et du cancer, et c’est totalement étrange — c’est une science bizarre et terrible. Quiconque dit que ça ne fonctionnera pas est un Luddite, un anti-intellectuel et un anti-scientifique.

Note du traducteur : Un Luddite était, à l’époque de la révolution industrielle, un membre d’une des bandes d’ouvriers du textile anglais, menés par Ned Ludd, qui, de 1811 à 1813 et en 1816, s’organisèrent dans un mouvement clandestin pour détruire les machines, accusées de provoquer le chômage.

Ils pensent qu’ils font de la science pour le plaisir de la science. Ils pensent que si leurs travaux nous mènent dans un tunnel obscur, ils trouveront la sortie et la lumière, etc. La question est de savoir ce que nous faisons dans le monde réel en attendant que tout le monde découvre où se trouve la lumière. Il s’agit d’une autre question éthique à laquelle la science n’a pas de réponse et nous devons envisager la question du point de vue de l’élaboration de lignes directrices pour la science, ce qui suscite également une forte résistance. C’est comme un déni du premier amendement ou quelque chose comme ça. J’appelle cette technologie une invitation au diable. Un des phénomènes les plus destructeurs de l’histoire du monde.

Q :Le paradigme dans lequel nous nous trouvons actuellement s’appelle comment ?

R :Le modèle machine de la biologie. La vie est une machine, les éléments de la machine sont les gènes et les protéines, et nous pouvons réduire la machine à ses parties. C’est l’idée que nous pouvons contrôler la vie.

Q :Et quel est le paradigme qui a été remplacé par ce modèle ?

R : C’est une question intéressante. Il n’y a jamais eu de paradigme monolithique autre que l’évolution, qui fait ces temps-ci l’objet de nombreuses critiques. Je pense que nous sommes en pleine révolution. Lilly Kay, du MIT, a écrit un livre à ce sujet il y a quelques années.

Il y a 50 ou 60 ans, il existait un pluralisme dans les sciences de la vie, nous pouvions avoir un paradigme évolutionniste ou un paradigme holistique… mais les pouvoirs en place, même avant la Seconde Guerre mondiale, ont décidé que la direction que nous allions prendre serait la biologie moléculaire et une voie déterministe. Que la vie était contrôlée par ces structures que nous pouvions maîtriser et donc que nous pouvions de cette façon contrôler la vie.

Je ne sais pas s’ils étaient assez machiavéliques pour se dire « voilà comment nous pourrions tous nous enrichir ». Mais [dans le passé], il existait un pluralisme au sein de la science, et de nombreuses directions différentes, [cela a disparu]. Aujourd’hui, rien n’est scientifique en biologie à moins qu’il ne s’agisse de génétique. C’est ce qui s’est produit. On le voit dans l’évolution structurelle de l’université. Il y a 50 ans, nous avions des départements dédiés aux organismes, zoologie et botanique. Dans la plupart des grandes universités, ces départements ont été supprimés. J’étais le président du département de zoologie ; maintenant, il a disparu. J’appelle cela le programme de rénovation urbaine intellectuelle, ils ont démoli les quartiers et construit tous ces gratte-ciel et personne ne se parle.

Toutes ces directions de recherche sont peut-être encore là, mais elles suivent néanmoins la même musique. Les anciennes idées métaphysiques, selon lesquelles la vie n’était que partiellement matérialiste et qu’il fallait quelque chose appelé force vitale pour expliquer complètement la vie… C’était obscur à bien des égards, et la biologie tentait depuis longtemps de s’en libérer lorsque Mendel est arrivé avec les particules héréditaires. Au début du XXe siècle, nous avons commencé à associer les particules conceptuelles de Mendel à des éléments appelés chromosomes, puis aux gènes, d’une manière qui a permis à l’ensemble de la structure de la biologie de se rapporter à la grande question cosmologique de l’évolution. C’était la fin de toute forme d’étroitesse d’esprit. Un passage en force vers le matérialisme et le déterminisme.

Dick Rowan a déclaré dans un de ses articles publiés dans la New York Review of Books :

« Vous devez comprendre que la biologie moderne est matérialiste. Nous sommes acquis au matérialisme. Et nous n’allons pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie. »

Au nom de ne pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie, nous ne faisons pas face à la réalité. Ce que l’on pourrait considérer comme mystique est simplement quelque chose que d’autres personnes appellent complexité et la complexité est scientifique, elle ne coïncide tout simplement pas avec cette pensée linéaire qui caractérise la majeure partie de la génétique.

L’épigenèse est tout ce qui concerne le génome et qui n’est pas le gène. C’est un vieux mot. La forme moderne de l’épigenèse est la découverte scientifique dont ne parlent pas ces sociétés… si vous perturbez une cellule en culture, le génome répondra à ce changement de façon très spécifique, une partie de la réponse d’une cellule aux stimuli, beaucoup de choses changeront dans la façon dont les gènes sont exprimés. Les gènes qui étaient silencieux avant que vous ne leur donniez un stimulus sont maintenant amenés à s’exprimer selon un schéma différent de celui que vous veniez d’utiliser. Et ce n’est pas tout, les gènes seront marqués par des voies chimiques que désormais nous connaissons mais dont nous ne comprenons pas le schéma.

On change les structures organisationnelles des gènes sans changer les gènes eux-mêmes, car l’idée que l’on puisse changer les gènes autrement que par mutation aléatoire serait hérétique [en référence au néo-darwinisme – NdT].

Tous ces changements compliqués [se produisent] lors de l’exposition du génome de la cellule à un certain nombre de stimuli, et particulièrement par l’intervention d’un ADN étranger.Les gènes fabriquent des protéines, les protéines interagissent les unes avec les autres. Ils forment des réseaux et ces réseaux acquièrent une vie qui leur est propre. Ils ont une logique qui fait défaut au génome. Ils n’existent que dans le monde réel de l’expression. [C’est le] phénomène épigénétique, et l'[immense] complexité n’apparaît nulle part dans cette impulsion des entreprises qui veulent tout soigner par le biais de l’interventionnisme.

Q :Quels sont vos motifs d’inquiétude ? Quel est le scénario le plus dangereux qui peut découler de tout cela ?

R :Je crains que nous ne contaminions la planète entière avec des plantes génétiquement modifiées. Et que cela soit irréversible. Et nous n’avons même pas la moindre idée de ce qui pourrait s’en suivre.

Le PDG de Sun Microsystems, Bill Joy, a publié un article important dans Wired, en mars de cette année. Bill Joy appelle à un ralentissement de la technologie. Le co-fondateur de Sun Microsystems. Vous savez de quoi il a peur ? Il a peur que ce que nous allons faire… ça fait déjà partie de toute cette affaire de manipulation génétique des humains, des embryons… Joy a peur que nous commencions à créer des hybrides, entre les êtres humains et les circuits nanotechnologiques fabriqués dans des endroits comme Sun Microsystems, et que ces hybrides prennent le dessus. C’est le dirigeant, il parle sérieusement. C’est un gars sérieux. Et nous, les biologistes… Je crains qu’avant de fabriquer les robots, nous ayons déjà créé les conditions qui exigeront les robots, car il n’y aura plus rien d’appelé agriculture.

[Mention d’un bulletin d’information sur l’eugénisme technocratique.]

Q : Est-ce la perte potentielle de la vie organique sur notre planète Terre ?

R :Oui.

Q : Qu’est-ce qui vous inquiète le plus quand vous pensez à la soi-disant thérapie génique ?

R : Ce qui m’inquiète, c’est l’inquiétude exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 juin 2021 : celiafarber.substack.com
Traduction et emphases : Sott.net