Le recours aux forêts pour rester libre

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Le recours aux forêts

Par Roberto Pecchioli 

Source : Ereticamente & https://www.ariannaeditrice.it/articoli/passare-al-bosco

Les ivrognes accusent le dernier verre : avant, ils étaient encore sobres. Ce n’est pas vrai, mais il y a toujours une goutte qui fait déborder le vase lorsqu’un changement, une idée, une adhésion ou un refus radical se matérialisent et deviennent soudainement réalité. L’écrivain a décidé d' »aller dans les forêts », d’entrer dans la clandestinité.

Admirateurs d’Ernst Jünger, nous entendons suivre les indications du Traité du Rebelle, celui qui va dans les forêts, chassé corps et âme par un ordre qui exige avant tout un contrôle capillaire. Le Rebelle sent qu’il n’appartient plus à rien et « franchit le méridien zéro par ses propres forces ». C’est le geste extrême de défiance au nom de la liberté la plus précieuse, celle de dire non.

Ces deux dernières années, les occasions de dissidence radicale se sont multipliées, et nous ressentons maintenant une accélération à laquelle nous ne pouvons échapper qu’en opposant un refus total, une distance existentielle, morale, voire physique. Nous pourrions énumérer une longue série de faits qui nous incitent à « recourir aux forêts », c’est-à-dire à franchir la frontière de la dissidence et à entrer dans le territoire de la rébellion. Citons-en quelques-uns : par exemple, les propos impromptus du président français Macron, le banquier de la galaxie Rothschild placé à la tête d’une grande nation. En inaugurant la présidence semestrielle de l’Union européenne, le jeune homme a demandé que l’avortement soit inclus comme un droit fondamental dans la Charte des droits de l’UE.

Nous ne voulons pas nous laisser entraîner dans un débat insidieux sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG, acronyme bureaucratique neutre). Cependant, imaginer que se débarrasser des enfants à naître – c’est-à-dire des futurs membres de la communauté destinés à la perpétuer – puisse être un droit fondamental, c’est-à-dire quelque chose d’indiscutable, la pierre angulaire d’une société, est un signe de folie criminelle. Ce prétendu droit condamne une civilisation à la mort par extinction, foulant aux pieds le premier des « droits », le droit à la vie. De plus, ce serait un droit accordé à seulement la moitié de l’humanité, puisque – jusqu’à ce que les oligarques en décident autrement – les grossesses sont l’apanage des mammifères femelles. Nous utilisons le langage zoologique parce que c’est le seul langage compris par la culture post-humaine. Les pères – ou plutôt les fournisseurs de sperme – ne comptent pour rien, bien que cinquante pour cent du matériel génétique leur appartienne. A l’heure des droits inhumains et de la culture de l’effacement, le rôle des élites se confirme : fossoyeurs de la civilisation dont ils sont les enfants privilégiés.

Il ne reste que la forêt, ou l’image situationniste du petit homme derrière la grille de l’asile qui demande à un passant extérieur : comment c’est « là-dedans » ? Mauvais, merci. Pendant ce temps, le passeport sanitaire vert imposé aux Italiens sous sa super forme avance de manière menaçante. Mme Von der Leyen, l’angélique Ursula europoïde, prévient que la numérisation de l’existence doit se faire par étapes forcées. Frau Blue Eyes nous informe clairement que tous nos faits – compte bancaire, paiements, données de santé – deviendront numériques (une séquence de chiffres d’identification) insérés dans une sorte de carte d’identité universelle.

Qu’est-ce que le passeport vaccin si ce n’est le système d’exploitation, l’application matricielle dans laquelle nous pouvons insérer nos vies personnelles, intimes, économiques et relationnelles ? Même l’un des virologues vedettes de la télévision, Matteo Bassetti, commence à prendre ses distances, affirmant que ce pass n’a pas de réelle signification sanitaire et devient un instrument de division sociale. Bienvenue parmi nous, professeur. La preuve la plus éclatante en est le traitement réservé à une députée en exercice, Sara Cunial, qui n’est pas vaccinée et qui est empêchée de voter pour le président de la république. La presse en a peu parlé, sauf pour ridiculiser ou offenser la députée. Nous ne connaissons pas ses opinions politiques, mais nous sommes convaincus qu’elle a rendu un immense service à l’interprétation de ce qui se passe.

Récapitulons, pour que nous ayons le temps de réfléchir dans la forêt : le corps électoral qui vote pour le chef de l’État est composé de tous les députés et sénateurs, plus les représentants des régions. C’est ce que nous dit l’Article 83 de la Constitution (la plus belle du monde, hein !). En droit – c’est ce que nous ont appris ceux qui savaient, à l’époque de l’éducation civique – la forme est le fond. A tel point que les services parlementaires ont mis en place des formes de vote pour permettre au bureau de vote (le parlement en session commune) de ne pas exclure les malades, les personnes atteintes de la maladie de Covid et les positifs asymptomatiques. Un député étant décédé, ils se sont empressés, à juste titre, de proclamer élu son remplaçant afin de ne pas priver le corps électoral de son intégralité.

En revanche, Sara Cunial (photo), qui n’est pas vaccinée et ne dispose pas du sauf-conduit magique, ne peut pas voter bien qu’elle soit en parfaite santé. L’Italien moyen est indifférent aux questions de droit (en fait, il est constamment trompé par la loi) et tout au plus conseillerait-il au député vénitien de faire un tampon et d’exercer son droit sans faire d’histoires. Elle fait bien de ne pas s’incliner : elle va perdre sa bataille, mais elle a montré que la constitution ne compte pour rien, puisqu’un document administratif (le laissez-passer vert) vaut plus que le droit de vote. Dans quelques mois, il y aura des élections municipales : voulez-vous parier que vous ne pourrez pas voter sans laissez-passer vert, au mépris de l’article 48 de cet autre papier-là, dorénavant assimilé à des déchets à recycler ?

De cette façon, le système aura préétabli sa victoire, puisque les dissidents – ceux qui n’ont pas de laissez-passer et ceux qui ne veulent pas le montrer comme un signe de liberté – ne pourront pas exprimer leurs opinions. Pendant ce temps, celui qui possède la technologie qui a permis le laissez-passer vert et celui qui a le pouvoir de surveillance devient notre maître, mais qui s’en soucie. Nous ne nous plaindrons que lorsqu’ils nous empêcheront de retirer notre argent. Un puissant appareil de pouvoir privatisé (les géants de la technologie qui possèdent le savoir et les moyens de communication informatique ; les patrons de la finance qui créent de l’argent à partir de rien et nous le prêtent à titre gracieux, créant ainsi l’illusion de la dette ; les multinationales de la santé) fournit aux États – préalablement vidés de leur souveraineté et de leur pouvoir réel – l’arme du contrôle, devenu pouvoir sur la vie. Les peuples reculent devant la peur de la contagion et de la mort, devant la désinformation et la privation des outils de jugement.

Alexandre Soljenitsyne, qui comprenait la tyrannie, implorait ceux qui n’avaient pas le courage de la rébellion ouverte de ne pas devenir au moins complices du mal ; le message tombe dans l’indifférence. La tyrannie, écrit Jünger, n’est possible que si la liberté a été domestiquée, réduite à un concept vide. Tout a un prix et la condition de l’animal domestiqué entraîne celle de la bête de boucherie. Le système du politiquement correct et son extrême – la sous-culture des « réveillés » – est une expérience à grande échelle de domestication contrôlée. Il n’y a pas d’autre choix que de vivre en tant qu’immigrant illégal en essayant d’échapper à la Mégamachine et de maintenir la flamme de la liberté.

À une époque où la stupidité et l’ignorance sont élevées au rang de drapeau, rares sont ceux qui reconnaissent la grande portée symbolique et la tension morale d’un monument à Prague (photo, ci-dessous). Dédié à la mémoire de la violence communiste, il consiste en une série de figures humaines en bronze. Dans la première, on peut voir le corps intact ; dans la dernière, il ne reste que des lambeaux épars. Il s’agit d’un hommage aux victimes du communisme réel qui montre parfaitement comment la personne humaine est progressivement détruite afin de la soumettre jusqu’à sa disparition. Cela vaut pour tous les totalitarismes, même ceux qui avancent sur les ailes de la technologie et de la privatisation oligarchique de tout, insatiables dans leur volonté de dominer et d’annihiler l’autonomie intellectuelle et spirituelle.

Au début, il y a l’homme libre ; ensuite, la personne est conditionnée par le pouvoir de l’appareil de propagande et de répression. Au final, il reste une « entité » humaine, vouée à la seule survie biologique, privée de la volonté nécessaire pour penser, dans un contexte de démotivation, de désespoir et d’apathie.

Le vingtième siècle a changé la qualité de l’attaque contre la liberté, qui est devenue une science, assistée par de nouvelles connaissances appliquées contre l’homme, malgré les prémisses et les avertissements. Pensez au « conditionnement opérant » inventé par le psychologue comportementaliste Burrhus Skinner.  Nous vivons enfermés dans la « cage » de Skinner. Le psychologue a placé une souris – ou un pigeon – dans une cage munie de deux leviers. L’un a transmis un choc électrique, l’autre de la nourriture. Après plusieurs essais, l’animal a compris quel levier délivrait la nourriture (renforcement positif) et a compris qu’il ne fallait pas appuyer sur celui qui donnait le choc (renforcement négatif).

Le conditionnement opérant, récompense et punition, est né. Pour l’homme zoologique, la récompense est le droit à la pulsion libidinale ; la punition est la solitude, la dérision, la discrimination envers ceux qui n’appuient pas sur le bon levier. Le résultat est le conformisme plombé du troupeau.

L’université britannique de Northampton a récemment atteint la perfection, une autre goutte qui fait déborder le vase de la tolérance, un exemple brutal de conditionnement opératoire. Les professeurs de l’université – la classe dirigeante de la culture – ont décidé de mettre en garde les étudiants contre le contenu du roman 1984 de George Orwell, l’une des œuvres dans lesquelles la dénonciation du totalitarisme et l’aspiration à la liberté personnelle et communautaire sont les plus fortes. Le message transmis aux élèves est appelé « trigged warning », un avertissement psychologique qui rappelle une expérience traumatisante. « La lecture de 1984 peut aborder des sujets difficiles liés à la violence, au genre, à la sexualité, à la classe sociale, à la race, à la maltraitance, aux abus sexuels, aux idées politiques et au langage offensant. »

Un travail sur l’absence de liberté est fortement déconseillé car il est le vecteur de déclenchements – de traumatismes psychologiques – au nom de la prudence, de la peur, du silence. Dans le monde sensible, craintif et hypersensible du politiquement correct, il vaut mieux éviter ce qui pourrait déranger, c’est-à-dire faire réfléchir et prendre parti. Tout cela non pas au détriment des analphabètes, mais des jeunes universitaires. La conséquence est que la future classe dirigeante ne connaîtra rien – sous peine de souffrir sous la forme traumatique du déclenchement – des vices des dictatures et de la censure. L’avertissement détournera d’une œuvre qui pose des questions inconfortables et deviendra une aide puissante pour ceux qui s’arrogent une supériorité morale si grande qu’ils effacent tout ce qui ne coïncide pas avec leurs vues.

Dans le roman 1984, les étudiants britanniques pourraient découvrir l’autocensure qui les entoure et les restrictions à la liberté d’expression (deux processus qui marchent ensemble), des indications que le totem et le tabou démocratiques sont faux, du moins estompés, et que les groupes de pression progressistes ont pris le contrôle de l’opinion publique, alternant habilement renforcements positifs et négatifs, récompenses et punitions. Un exemple très clair est lié aux mots, à savoir le néo-langage mentionné par le « dangereux » Orwell. Il y a quelques années encore, on parlait de réchauffement de la planète ; plus tard, l’expression « changement climatique » s’est imposée. La situation est désormais qualifiée d' »urgence climatique ». Qu’est-ce qui a changé en quelques années? La réalité climatique planétaire s’est-elle soudainement précipitée ou le récit dominant a-t-il changé pour des raisons économiques et idéologiques ?

Décourager la lecture d’ouvrages qui obligent à la réflexion critique revient à s’enfermer dans la cage de Skinner. Des chocs électriques pour tout ce qui n’est pas un renforcement positif, la nourriture décidée par le pouvoir. Dans l’empire des Illuminati et des Eveillés, la déesse Raison se couche, dévorée par ses enfants. Laquelle des statues de Prague correspond à l’état de notre société ? Il est significatif que le monument se trouve dans la ville de Franz Kafka, qui a décrit avec lucidité la fragmentation de l’individu face à des structures sociales tellement plus fortes que lui.

Ce n’est qu’en passant par les forêts, exilés et clandestins, que nous pouvons rester semblables à la statue en position verticale, l’homme libre. Sans l’autonomie de lire et de tirer nos propres conclusions d’un livre, comme les étudiants de Northampton, nous sommes au bout du rouleau, la figure humaine brisée, sans bras, avec la moitié de la poitrine cassée, boiteuse. Les inquisiteurs sont au pouvoir, nous dirigeant vers un néo-monde qui cache la lumière comme dangereuse pour les yeux. Dans les forêts résonne l’admonition d’Augustin d’Hippone : « tant que nous vivons, nous luttons, et tant que nous luttons, c’est un signe que nous ne sommes pas encore vaincus et que l’Esprit vit en nous. Et si la mort ne vient pas à toi comme un vainqueur, qu’elle vienne à toi comme un guerrier. »




Les résultats de la pseudovaccination en Israël, le point en janvier 2022

Par Gérard Delépine

En décembre 2020, Benjamin Netanyahu lançait une campagne massive et éclair de « vaccination » censée éradiquer le virus SarsCov2.

Un an après si la campagne de « vaccination » a été un succès sur les ventes de vaccins, le bilan sanitaire est des plus mitigés.

L’épidémie a fortement progressé malgré la pseudovaccination

D’après les chiffres de l’OMS traduits en courbes par OurWorldinData, le nombre de contaminations quotidiennes n’a pas diminué après les injections Pfizer.

Au contraire les vagues successives de l’épidémie ont à chaque fois établi de nouveaux records de cas quotidiens.

Ainsi, les injections successives ont été suivies à chaque fois d’une augmentation des contaminations, démontrant que les injections Pfizer sont incapables de prévenir la transmission de la maladie ni de protéger les injectés. Exactement le contraire de ce qui avait été espéré et promis (« tous vaccinés, tous protégés »).

Le 25 janvier 2022, le nombre de cas quotidiens a dépassé les 100000, soit plus de 1 % de la population totale ; à ce rythme la population pourrait être bientôt naturellement immunisée.

La « vaccination » n’a pas diminué le nombre d’hospitalisations ni la mortalité

Devant l’échec évident de la pseudo vaccination à limiter la transmission de la maladie, la propagande marchande s’est repliée sur la prétendue prévention des formes graves. Mais les faits avérés ne soutiennent guère cette hypothèse.

D’après les données de l’OMS traduites en courbes par OurWorldinData, le nombre d’hospitalisations n’a pas diminué depuis les injections.

En janvier 2022 le nombre quotidien des hospitalisations covid dépassait les records d’hospitalisations établis depuis le début de l’épidémie.

Les médias et les gouvernements répètent aussi que les injections diminuent le nombre de décès attribués au Covid. Pourtant les chiffres officiels de l’OMS montrent le contraire. En janvier 2022, la mortalité journalière attribuée au Covid a dépassé les records atteints lors de la précédente vague.

Globalement, avant les injections Israël recensait un peu plus de 3100 morts attribuées au Covid. En janvier 2022, le pays en compte plus de 8400.

Comparaison Israël-Palestine

Israël et la Palestine partagent le même climat et des populations très proches. Israël a tout misé sur les injections Pfizer alors que les Palestiniens sont peu vaccinés.

La comparaison des évolutions de l’épidémie dans ces deux pays frères ennemis n’objective aucun effet favorable de la vaccination ni sur les contaminations ni sur la mortalité :

Ni de la mortalité :

Au total, les données officielles de l’OMS montrent que les pseudo vaccins Pfizer ont été incapables :

  • d’arrêter l’épidémie
  • de diminuer les hospitalisations
  • de réduire la mortalité

Comme elles ont été à l’origine de complications graves, en particulier chez l’enfant (péricardite et myocardite) leur bilan global est négatif.

Alors pourquoi notre président veut-il encore forcer les Français à subir ces traitements expérimentaux ?




Contre le Passe vaccinal, les maires s’agacent : « On a décidé de ne plus se taire, ça suffit ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

La réalité de terrain est toujours très loin de ce que nous livrent les médias mainstream. C’est souvent en écoutant les petites radios ou les chaînes régionales que surgit le pays réel. Invités dans le studio de Thonon Alpes Radio (voir la vidéo ci-dessous qui a dépassé les 200 000 vues) face à Damien Demenus, le maire de Marcellaz, Luc Patois et Sabrina Ancel, maire de Saint-de-Tholome nous ont livré un récit fort intéressant.


Tous ces élus un peu isolés chacun dans son coin ont décidé de s’unir contre le passe vaccinal, soutenus par les trois sénateurs de Haute-Savoie, Loïc Hervé, Sylviane Noël et Cyril Pellevat. Le groupe s’est constitué totalement par hasard puisque le maire Luc Patois s’est retrouvé à une réunion de la communauté de communes du pays de Cruseilles, réunion où le passe sanitaire était obligatoire. Sauf que, sur les neuf élus, seuls trois avaient le fameux sésame, les six autres élus n’étaient pas vaccinés et ne pouvaient montrer patte blanche. Le groupe majoritaire de six s’est donc fédéré. Une tribune dans Le Figaro « Nous, élus locaux, demandons l’abandon du passe sanitaire » a été signée par plus de 280 élus de Haute-Savoie.

Pour Luc Patois, le constat est clair concernant le passe vaccinal :

« Il ne se justifie plus et tous les pays voisins le montrent, puisque, les uns après les autres, ils annulent toutes les mesures. Donc aujourd’hui quand est-ce qu’il va être annulé ? Je pense qu’il faut poser la question soit à Emmanuel Macron, soit à Jean Castex, parce que c’est vraiment une décision politique. En tout cas nous, on fait tout ce qui est en notre pouvoir pour alerter des méfaits de ce passe vaccinal qui divise vraiment la population et on va continuer. »

Le maire de Marcellaz comprend très bien la situation et la mainmise du pouvoir profond, que ce soit dans les médias qu’au niveau politique :

« On s’aperçoit qu’on est dans un système très cadré de la pensée unique où tous les journaux nous disent tous les matins la même chose et les politiques nationaux que l’on peut entendre, c’est pareil, il n’y a pas beaucoup de voix dissonantes. »

Sabrina Ancel, maire de Saint-Jean-de-Tholome, a le sentiment qu’elle ne peut pas s’exprimer par rapport aux mesures sanitaires, tout comme la population ne peut pas s’exprimer.

« Ça fait un an et demi qu’on est élus. On nous demande de mettre en place des protocoles, de mettre en œuvre des mesures. On voit l’incohérence de tous ces protocoles et on peut rien dire. Donc là maintenant on a décidé de ne plus se taire parce, ça suffit. On voit les enfants qui souffrent dans les écoles, on voit les gens qui se divisent, on voit les associations qui galèrent, on voit tout et ça fait un paquet de temps qu’on ne dit rien et le plus important c’est vraiment d’arriver à s’exprimer. »

Loin de vouloir s’arrêter en route, les élus comptent bien ramener à leur cause les brebis isolées à travers la France :

« On va essayer de se rapprocher de tous ces maires qui peuvent peut-être se sentir isolés, essayer de fédérer, d’avoir des actions en commun, notamment par rapport à l’école, au port du masque pour les enfants, c’est vraiment une catastrophe. »

« Il faut essayer de faire en sorte que nos libertés puissent être maintenues, puissent être conservées. C’est vraiment ce qu’on essaye de faire par notre mouvement. Alerter, quand les libertés fondamentales sont mises en cause et c’est le cas aujourd’hui. »

Aux médias qui voudraient inviter nos élus, afin d’avoir un point de vue de la réalité du terrain, Luc Patois et Sabrina Ancel seront ravis de venir donner un avis éclairé.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2




Le prépuce des bébés est utilisé dans la fabrication des vaccins

[Source : vactruth.com]

Traduction : Jean Bitterlin

Avertissement : Certaines personnes pourront trouver choquante l’information contenue dans cet article et ses images bouleversantes.

Chaque année des enfants sont circoncis. Pendant cette procédure chirurgicale, une partie du tissu pénien protecteur est enlevée. Ce tissu enlevé de son pénis peut être vendu à des sociétés et institutions en recherche du grand nombre de cellules fibroblastes humaines et d’autres cellules qu’il contient. La plupart des personnes ne sont pas au courant que depuis des décennies, les fabricants de vaccins ont utilisé ces prépuces dans la recherche, la culture et la mise au point des vaccins.

Certains microorganismes utilisés par les fabricants de vaccin ont besoin de cellules humaines vivantes afin qu’ils puissent se reproduire. Les cellules du prépuce sont utilisées à cet effet. Les cellules du prépuce peuvent être utilisées pour changer un microorganisme sauvage trouvé dans la nature en un microorganisme génétiquement modifié dans le but de l’utiliser dans les vaccins.

Les prépuces des bébés sont utilisés pour la recherche pour la rubéole, la varicelle et le papillomavirus humain (HPV). Ils sont utilisés dans la fabrication des vaccins à cytomégalovirus sur lesquels les compagnies pharmaceutiques travaillent depuis quelques décennies. Ce vaccin utilisant les cellules du prépuce a déjà été créé et les essais cliniques ont déjà commencé. L’ADN de l’enfant dont le prépuce a été utilisé dans la fabrication du vaccin ne peut pas être entièrement enlevé des vaccins avant l’administration. Les chercheurs utilisent également le prépuce pour créer des lignées cellulaires immortalisées de télomérase transcriptase inverse pour être utilisées dans les vaccins.

Des cellules isolées du prépuce de l’enfant sont préférées parce que les cellules de l’enfant ont une durée de vie supérieure à celles isolées du prépuce d’un adulte. Le problème en cours avec les compagnies qui utilisent le prépuce des enfants pour mettre au point des vaccins et d’autres produits est immense ; seule une petite partie peut être abordée ici pour en discuter. Il est important de rechercher comment les vaccins sont fabriqués avant de les recevoir, si vous voulez éviter des contaminants indésirables dans votre corps.

Les hôpitaux et cliniques peuvent vendre des prépuces prélevés sur des nouveau-nés

Ce que nous appelons prépuce est en fait une partie d’un système entier de peau aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Chez l’homme durant l’opération de circoncision, de vingt à cinquante pour cent de la peau qui protège le pénis est enlevée chirurgicalement, avec ou sans analgésique. Il y a des fois où des accidents chirurgicaux se produisent et on en enlève davantage.

Si un hôpital ou une clinique obtenait le consentement pour utiliser le prépuce à des fins qu’ils pensaient être désirés, le prépuce pouvait alors être vendu à ce moment-là, même si le bébé ne survivait pas.

Prépuce en train d’être enlevé durant une opération de circoncision.

L’ablation chirurgicale du prépuce tue au moins un nouveau-né garçon tous les deux jours aux États-Unis. Avant d’être circoncis, ces nouveau-nés sont déjà en train d’essayer de débarrasser leur corps des produits chimiques toxiques qu’on leur a injectés, piqûre de vitamine K de synthèse et vaccin Hépatite B qu’on leur a donné peu de temps après la naissance. Ces décès lors de circoncision se produisent généralement suite à une infection qui se produit, à un traumatisme profond, à une perte de sang, ou parce que leurs petits poumons explosent suite à leurs pleurs intenses. Ceci est une estimation prudente, puisque les décès suite à la circoncision ne sont habituellement pas signalés aux États-Unis ou ailleurs.[1][2]

Chaque hôpital ou clinique détermine ce qu’il advient du morceau de peau excise. Il peut être jeté en tant que déchet biologique, donné aux parents qui veulent le garder, ou il peut devenir la propriété de l’hôpital ou de la clinique pour un usage ultérieur qui leur semble nécessaire, si un formulaire de consentement a été signé dans ce sens.

Comment les cellules de prépuce sont isolées

Après la circoncision du bébé, si le but est de vendre le prépuce dans un but lucratif, il peut être conservé et vendu d’une manière légale. Les prépuces peuvent également faire l’objet de don.

Une fois que le prépuce a été obtenu par les chercheurs dans un laboratoire il subit de nouveaux traitements. Le prépuce est posé sur une coupelle puis coupé en lamelles. Il est ensuite trempé dans une solution enzymatique pour favoriser la séparation des couches de tissus. Lorsque cette séparation a eu lieu, chaque lamelle de prépuce est enlevée afin de séparer la couche épidermique extérieure de la couche cutanée qui se trouve dessous. Les deux sortes de couches sont mises dans des coupelles séparées. Ceci afin d’isoler les cellules spécifiques de chaque couche.

La couche épidermique du dessus contient des cellules qui produisent la kératine, appelées kératinocytes. La couche du derme du dessous contient les cellules fibroblastes. Ce sont ces kératinocytes et les cellules fibroblastes qui sont utilisés pour la recherche, la culture et la mise au point de vaccins.

Une liste qui donne toutes les étapes de cette opération est exposée sur la page Internet de Thermo Fisher Scientific, titrée Isolation, Culture Primaire et Cryoconservation des Fibroblastes Néonataux humains.[3]

Tiré de la publication :
« Isolation et culture des kératocytes humains obtenus de la peau ou de cheveux fraîchement prélevés en vue de la production de cellules souches pluripotentes induites.
Figure 2 : Isolation enzymatique de l’épiderme et du derme. (a) L’échantillon de prépuce ou d’une autre peau est placé de telle sorte que le côté épiderme soit placé en dessous (dans le cas présenté épiderme à pigmentation foncée) et le tissu conjonctif détaché est gratté à l’aide d’un scalpel. (b) Le tissu est coupé en plus petits morceaux de 4 à 5 mm de largeur et placé dans une solution de dispase (enzyme — NdT)durant une nuit à 4°C. (c) Le jour suivant, l’épiderme est décollé et placé dans une deuxième coupelle dans le milieu. (d) Le résultat final est une coupelle avec le derme qui peut être utilisé pour l’isolation de fibroblastes et l’autre coupelle peut être utilisée pour l’isolation de kératocyne. »[4]

Il y a d’autres méthodes pour arriver à ce que le prépuce se sépare en deux.[5]

Une fois que les cellules spécifiques du prépuce sont isolées, le prépuce a été dégradé et n’est plus reconnaissable. L’image ci-dessous montre des cellules isolées de fibroblaste du prépuce d’un bébé après qu’elles aient été nourries par une mixture de croissance dans laquelle il y avait du sérum fœtal de bovin.

Crédit Image : Primcells.com
Vue microscopique de cellules fibroblastes altérées de prépuce, utilisées pour la recherche
« Les fibroblastes de la peau sont des cellules qui se trouvent sous la couche de derme de la peau et qui sont responsables de la fabrication de la matrice extracellulaire et du tissu conjonctif de la peau. Ces cellules jouent un rôle important dans la guérison de blessure et dans la régénération de la peau. Les fibroblastes de peau humaine néonatale issus de cellules souches sont préparés avec les standards les plus élevés à partir de tissu de prépuce. Ils gardent une très grande capacité de prolifération et peuvent être cultivés avec au moins 20 duplications. Ces cellules sont le choix idéal pour toutes les recherches liées à la peau. »[6]

Les cellules de prépuce de nouveau-né sont alors cryoconservées et prêtes pour une commande

Après d’autres manipulations, les cellules sont habituellement gardées dans un tube et cryoconservées dans de l’azote liquide jusqu’à ce qu’elles soient vendues et utilisées pour de nouvelles recherches.[7]

« Le Dr Tinari estime qu’entre l’opération et la valeur de revente du prépuce, chacun prépuce vaut environ 100 000 dollars. »[8]

Des tubes de cellules fibroblaste qui proviennent de prépuce de nouveau-né valent beaucoup d’argent. Un tube de ces cellules fibroblaste d’un prépuce de nouveau-né âgé de 2 semaines ou moins est vendu des centaines de dollars par tube.[9][10]

Des kératocytes isolés et cryogénisés provenant de prépuce humain néonatal et contenant des séquences d’ADN viral du singe SV40 cancérigènes sont vendus pour un montant de près de mille dollars par commande, provenant d’un prépuce prélevé sur un nouveau-né.[11]

Les compagnies pharmaceutiques achètent ces cellules. Elles peuvent prendre des microorganismes et les faire pénétrer dans les cellules du prépuce en se servant de substrats de culture issus de sang de veau et d’autres produits chimiques afin qu’elles puissent cultiver des souches vaccinales génétiquement modifiées. Ceci est fait pour fabriquer de nouveaux vaccins et pour la recherche de ceux qui existent déjà.[12][13]

Mise en vente de cellules fibroblastes de prépuce humain néonatal.
Crédit Photo : Advancedbimatrix.com

La mise au point de vaccin à cytomégalovirus utilisant du prépuce est en cours

En fait il y a des centaines de vaccins qui sont actuellement mis au point ; quelques-uns sont fabriqués en utilisant les cellules fibroblastes de prépuce.[14]

Pendant plusieurs décennies il y a eu des tentatives de créer un vaccin contre une infection d’un cytomégalovirus congénital qui peut passer de la mère à son futur bébé pendant la grossesse si la mère a été infectée. Bien qu’il n’ait pas été prouvé qu’un virus est la cause de l’infection — il est plus probable qu’elle soit causée par le régime alimentaire, la pollution environnementale, les vaccins, les pesticides et d’autres produits chimiques de synthèse qui ont été au contact de la personne — les chercheurs, d’une façon ou d’une autre, supposent que cette infection est causée par un virus et ils veulent un vaccin pour cela.

Un vaccin à cytomégalovirus (VCM) élaboré à partir de prépuces humains est déjà entré en phase d’essais cliniques. Le prépuce est utilisé pour atténuer la souche vaccinale, ce qui signifie que la souche du vaccin lui-même a été affaiblie par rapport à son état originel pour la rendre moins virulente dans le vaccin. L’ADN du nouveau-né mâle dont provient le prépuce finit par se trouver dans le vaccin parce que cet ADN ne peut être complètement enlevé.[15]

Méthode d’atténuation du cytomégalovirus et information sur le brevet US 4058598 A du vaccin

« L’atténuation de la souche du VCM nécessite un nombre considérable de passages dans des cultures de tissus, particulièrement dans des cellules fibroblastes humaines, pour réduire fortement sa pathogénicité, mais sans qu’elle perde une immunogénicité et une infectiosité suffisantes. »

« Les cultures de cellules susceptibles de convenir pour des passages en série de la présente invention comprennent des cultures de cellules humaines, de préférence exemptes de virus contaminants ou autres microorganismes tels que le mycoplasme… Des cellules primaires et secondaires de fibroblastes humains sont spécialement appropriées pour ce but, telles que le célèbre fibroblaste embryonnaire (M.A.F.), les fibroblastes de fœtus et les cellules diploïdes de fibroblastes de poumon embryonnaire… »

« Les cellules humaines se sont révélées indispensables pour les VCM parce que le virus a une grande spécificité d’espèces et ne se cultive bien que dans les cellules humaines. Les cellules à fibroblastes sont préférées dans ce but… »

« Il est préférable de multiplier le virus dans plus qu’une de ces cellules à fibroblastes. Un historique de passages qui comprend au moins 8 passages dans chacun des types de cultures mentionnées plus haut, par exemple, le M.A.F., les fibroblastes de prépuce humain, H.E.L., les cellules M.R.C. 5 a été retenu. »[16]

Vaccins à cytomégalovirus et information sur le brevet WO 2009049138 A1 des méthodes de production

« Il a été prouvé conformément avec la présente invention que les souches de VCM de laboratoire qui ont subi des passages répétés sur des fibroblastes peuvent être traitées avec succès par multiplication sur la lignée cellulaire choisie. »

« Par exemple une souche VCM peut être passée de multiples fois dans des fibroblastes puis amplifiée dans des cellules épithéliales pour être ensuite utilisée pour produire un vaccin. Il serait souhaitable que les VCM puissent être amplifiées/multipliées sur une ou plusieurs séries dans le type de cellules sélectionné. »[17]

Vaccins à cytomégalovirus et information sur le brevet US 20100285059 A1 des méthodes de production

« Des méthodes pour faire croître la diversité des vaccins à cytomégalovirus par la sélection des types de cellules dans lesquelles le virus se propage et l’utilisation des cytomégalovirus produits par ces méthodes dans la mise au point des compositions du vaccin ont été publiées. Les compositions des vaccins y compris le VCM isolé provenant de cellules épithéliales ont également été publiées »

« L’invention concerne généralement le champ de la mise au point de vaccins. Plus spécifiquement l’invention concerne les méthodes pour augmenter la diversité des vaccins à cytomégalovirus au travers de la sélection d’un type de cellule dans lequel le virus est multiplié et l’utilisation des cytomégalovirus produits par ces méthodes dans la mise au point des compositions des vaccins.[18]

Lignées cellulaires immortalisées de transcriptase inverse de télomérase humaine (hTERT) pour l’utilisation de l’information des vaccins

« Les lignées cellulaires immortalisées ATCC de transcriptase inverse de télomérase humaine représentent une rupture dans la recherche en biologie cellulaire qui combine la nature in vivo des cellules souches avec la capacité classique des lignées cellulaires de survivre en continu in vitro »[19]

Lignées cellulaires immortalisées Htert, leur préparation et l’utilisation de l’information donnée par le brevet WO 20020116555 A2

« Une lignée cellulaire immortalisée est fournie ce qui est adapté pour son utilisation dans la production de vaccins … »

« Comme décrit ci-dessus, les souches de fibroblastes humains ont une durée de vie limitée. Ce qui est par conséquent un problème spécifique pour les chercheurs qui travaillent sur le HCMV. Des variations expérimentales sont causées parce que les différents laboratoires se servent de différentes souches cellulaires et, comme ils accroissent les doublements de population, les fibroblastes changent. Les stocks de fibroblastes s’épuisent et des agents contaminants (par ex le mycoplasme) peuvent être introduits en utilisant de nouvelles cellules (ce qui arrive typiquement avec les fibroblastes de prépuce humain). »

« Il a aussi été démontré que des cellules fibroblastes de prépuce humain immortalisées étaient capables avec des papillomavirus humains de type 16 E6 et E7 oncogènes de rendre efficace la réplication de virus »[20]

Le prépuce utilisé pour la recherche d’information du vaccin de la rubéole

Un extrait tiré d’une étude de 1979 dont le titre était Immunodépression et isolation du virus de la rubéole à partir de lymphocytes humains après vaccination avec deux vaccins de la rubéole explique comment les souches vaccinales créées pour la rubéole ont subi des passages par le prépuce pour la recherche.

« La stimulation par PHA des lymphocytes infectés in vitro avec des vaccins du virus de la rubéole. Les lymphocytes de 4 personnes vulnérables ont été infectés avec des doses différentes de vaccins du virus de la rubéole, deux d’entre eux avec le RA27/3, les autres avec le HPV77. Les virus des vaccins avaient subi deux passages dans des cultures tissulaires : RA27/3 dans des cellules fibroblastes de prépuce humain et HPV77 dans des cellules Véro. »[21]

Le prépuce utilisé dans la recherche d’information pour le vaccin HPV

Une étude explicite, L’utilisation de cultures de cellules de prépuce humain pour l’isolation du groupe de virus de l’herpès dans le laboratoire de recherche, explique commentdivers prépuces ont été utilisés pour développer les vaccins HPV, se servant de types spécifiques de souris qui étaient sérieusement mutilées durant cette expérience.

« Les cultures cellulaires provenant de tissus de prépuce humain ont été utilisées pour l’isolation de virus des spécimens diagnostiqués. Les prépuces ont été recueillis dans une solution équilibrée de Hank et ensuite traités le même jour en les dispersant dans de la trypsine. Une semaine après le traitement des tissus à la trypsine, les premières cultures cellulaires étaient prêtes à l’emploi. Des sous-cultures en continu in vitro ont engendré une colonie de cellules qui se multipliaient librement in vitro et ont encouragé la croissance de virus du groupe des herpès. Dans trois cas testés dans notre laboratoire ces six derniers mois, des virus du groupe des herpès ont été isolés sur le HES. Les changements cytopathogènes des cellules HFS (Human Foreskin—prépuce humain—NdT) ont été observés 5 à 8 jours après l’infection. Ces changements n’ont pas été constatés sur deux autres cultures de cellules d’origine humaine (WI-38et Hep2) ou sur des cellules primaires de rein de singe. Les virus isolés de ces trois cas étaient des cytomégalovirus (CMV) de l’urine d’un nouveau-né de 2 semaines, un second CMV d’une lésion cutanée d’un patient ayant subi une greffe rénale et un troisième un virus herpès simplex d’un frottis de l’œil d’une jeune fille. Après quelques sous-cultures sur les cellules HFS, les trois virus ont produit du CPE sur d’autres cellules humaines prédisposées. La préparation des cellules HFS est aisée, la disponibilité du tissu est élevée et la valeur diagnostique est incontestable. Il serait souhaitable que ce tissu et ses cultures cellulaires soient utilisés plus souvent pour les diagnostics et dans les laboratoires de recherche. »[22][23]

Le prépuce utilisé dans la recherche d’information du vaccin de la varicelle

Les études sur le virus varicelle-zona (VZV) ont également été faites en utilisant du prépuce de nouveau-né. HFF signifie human foreskin fibroblasts (Fibroblastes de prépuce humain).

Une étude, Résultats de l’expression atypique des cyclines et de l’activité de la kinase dépendant de la cycline lors de l’infection de fibroblastes de prépuce humain par le virus varicelle-zona, indique :

« La réplication du VZV est limitée aux cellules humaines et aux cellules de singe et beaucoup de lignées cellulaires utilisées pour multiplier le virus proviennent de carcinomes dans lesquels le cycle de la cellule est perturbé. Par conséquent, les cellules primaires HFF ont été retenues pour ces études, car elles s’inhibent au contact lorsqu’elles atteignent une densité élevée, ce qui imite leur état de repos dans le derme et le mécanisme de leur cycle cellulaire est régulé d’une manière habituelle. »[24]

Autres usages du prépuce de nouveau-né

Les chercheurs ont également trouvé des moyens de modifier les cellules d’un prépuce de nouveau-né pour arriver à cultiver une surface de 250 000 pieds carrés de peau afin d’en faire des greffes pour les grands brûlés et les patients diabétiques.

Le prépuce est utilisé à des fins de recherche sur cellules souches, pour fabriquer des cosmétiques, même des cosmétiques injectables. Ils sont utilisés pour renouveler les paupières et utilisés par des chirurgiens stomatologistes pour remodeler la bouche. Et la liste continue. Tout simplement ce n’est pas parce que les chercheurs ont trouvé de nombreux usages pour le prépuce que cela rende tout ceci acceptable. Il est important d’avoir conscience que les hôpitaux et cliniques ont chacun leur propre formulaire de consentement en ce qui concerne le prépuce. Ce qui est écrit en petit caractère peut aider à déterminer ce qu’il advient du prépuce lorsqu’il est prélevé.

Il faut que les parents fassent les recherches et apprennent ce qui passe dans ces aiguilles des vaccins.[25][26]

La population vaccinée est génétiquement modifiée

Les vaccins obtenus par culture cellulaire sont contaminés, y compris ceux fabriqués à partir de prépuce humain. Ces cultures cellulaires sont considérées comme hasardeuses et peuvent répandre des maladies infectieuses. Par conséquent ils ne devraient pas être injectés ou administrés par voie orale si le but est de garder la population en bonne santé. Des cellules utilisées pour fabriquer ces vaccins, et qui proviennent de toute source biologique issue d’organismes vivants, peuvent se retrouver dans le produit final qui finit dans la population vaccinée.[27]

Conclusion

Les laboratoires qui fabriquent les vaccins ont souvent utilisé du sang et des parties du corps de vaches, chiens, vers, souris, poulets, nouveau-nés humains, singes, cochons d’Inde, lapins, rats, etc., pour faire ces vaccins donc l’utilisation de prépuces de nouveau-nés ne surprendra pas tout le monde. Pour bon nombre c’est quelque chose d’effroyable.[28]

Les circoncisions alimentent des industries multimilliardaires. Si vous voyez du prépuce néonatal à vendre, ce qu’on trouve très facilement sur Internet, rappelez-vous que ces enfants nouveau-nés n’ont pas donné leur accord pour être circoncis ni leur accord pour que leur prépuce soit vendu, utilisé à des fins de recherche ou injectés dans des personnes par le biais des vaccins.[29]

De nos jours de plus en plus de parents cherchent à connaître le dessein du prépuce et des vaccins, et veulent laisser leurs nouveau-nés tels qu’ils sont nés, intacts et exempts de vaccins.

Références

  1. http://www.drmomma.org/2010/05/death-from-circumcision.html
  2. http://www.cirp.org/library/death/
  3. https://www.thermofisher.com…neonatal-fibroblasts.html
  4. https://pdfs.semanticscholar.org…pdf
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4467300/
  6. http://www.primcells.com…Human-SF-neonatal.pdf
  7. https://www.systembio.com/downloads…pdf
  8. https://thetyee.ca/News/2006/07/25/Circumcision/
  9. http://www.foreskin.org/f4sale.htm
  10. https://www.thermofisher.com/order/catalog/product/C0045C
  11. https://www.atcc.org/Products..Foreskin_Keratinocytes/CRL-4048.aspx
  12. http://vaxxter.com/the_disgusting_cow_stuff_in_vaccines/
  13. https://vactruth.com/2013/10/28/7-disgusting-ingredients/
  14. http://phrma-docs…development-drug-list-vaccines.pdf
  15. http://www.clinicalmicrobiologyandinfection.com…
  16. http://www.google.sr/patents/US4058598
  17. http://www.google.sr/patents/WO2009049138A1?cl=en
  18. https://www.google.com/patents/US20100285059
  19. https://www.atcc.org/en/Products/Cells…
  20. https://www.google.com/patents/WO2002016555A2?cl=en
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles…pdf
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/180793
  23. http://jvi.asm.org/content/69/4/2716.full.pdf
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1472175/
  25. http://vaccinechoicecanada.com/vaccine-ingredients…
  26. https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads…pdf
  27. http://www.cellprolabs.com/sites/default/files/downloads…pdf
  28. https://www.fda.gov/ohrms/dockets…pdf
  29. https://www.atcc.org/products/all/SCRC-1041.aspx



La nouvelle prière Bergoglienne

[Source : nicolasbonnal.wordpress.com]

Antoine récite la prière Bergoglio du dimanche :

« Notre Pfizer qui êtes aux cieux, que tes doses soient sanctifiées, que tes actionnaires prospèrent, donne-nous tes trois doses de ce jour, vaccine-nous comme nous vaccinons ceux qui refusent de se vacciner, ne nous laisse pas entrer en réanimation, mais délivre nous du covid, au nom du pèze, du fric, et du simple d’esprit… ». 




AUTRICHE — Coup de théâtre — La fin de la plandémie le 19 février ? Relâchements et Cour Constitutionnelle

Transmis par Christine Côte

Aujourd’hui le ministre du covid Mückstein (VERT) a annoncé, de façon totalement imprévisible, les relâchements suivants. L’explication se trouve plus bas. Ils ont une liste de question de la part de la cour constitutionnelle auxquelles ils doivent répondre avant le 18 février.

Traduction par Christine Côte

https://www.sozialministerium.at/Informationen-zum-Coronavirus/Coronavirus—Aktuelle-Ma%C3%9Fnahmen.html

À partir du 5 février 2022, l’heure de fermeture des bars et restaurants sera repoussée de deux heures (de 22 h à 24 h) et la limite du nombre de personnes pour les rassemblements sans places assises attribuées passera de 25 à 50 personnes. Lors des manifestations, seules la règle des 2G et une obligation de FFP2 seront applicables à partir de cette date (au lieu des règles actuelles « 2G+ »* + Rappel).

À partir du 12 février 2022, la règle des 2G sera supprimée dans les commerces. L’obligation de porter un masque FFP2 s’appliquera alors sans interruption dans tous les magasins.

À partir du 19 février 2022, la règle 2G sera étendue à la règle 3G** dans le secteur de la restauration. La validité des tests PCR sera réduite à 48 heures pour le secteur de la restauration — pour tous les autres secteurs, la validité des tests PCR restera de 72 heures comme auparavant. Si les tests PCR ne sont pas disponibles, les tests antigènes sont également valables pour une durée de 24 heures. La règle des 3G s’appliquera également aux manifestations à partir de ce moment-là (au lieu de la règle précédente des 2G).

* 2G : « Genesen oder Geimpft » c.-à-d. rétabli ou injecté.
** 3G : entièrement injecté (2 injections, à condition qu’elles ne soient pas périmées !), ou rétabli, ou testé négatif.


https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/

Game Over ?
Les juges constitutionnels de Vienne mettent-ils le gouvernement en échec ?
Des questions explosives jusqu’ici taboues

PUBLIÉE LE 29 janv. 2022

Une tribune de Chris Veber [Ancien Vert]

C’est terminé. Le 26 janvier 2022, la Cour constitutionnelle autrichienne (VfGH) a lancé une procédure de contrôle des décrets et a transmis au ministre autrichien de la Santé un ensemble de questions. Des questions qui étaient jusqu’à présent absolument taboues, qui ébranlent les fondements de la « pandémie ». Le ministre de la Santé a jusqu’au 18 février 2022 pour répondre, ce qui correspond également à la date de fin de la « pandémie » en Autriche.

Plus précisément, la Cour constitutionnelle veut savoir si les chiffres d’hospitalisation et de décès englobent toutes les personnes infectées. L’ancienne question an ou avec Covid. Si toutes les personnes testées positives ont été comptabilisées, la Cour constitutionnelle aimerait en connaître la raison.

En outre, la Cour constitutionnelle souhaite obtenir le détail de la répartition des cas de décès et d’hospitalisation liés au Covid. Où Corona était-il en cause ? Où est-ce seulement un test « positif » sans signification ? Elle demande même l’âge des personnes décédées et hospitalisées !

Le ministre de la Santé doit également apporter des preuves de la pertinence de l’obligation de porter un masque FFP2.

C’est alors que les choses se gâtent (pour la mafia pharmaceutique). La Cour constitutionnelle évalue le risque de décès par Covid à 0,15 %. Elle demande comment il faut comprendre la réduction absolue et relative du risque d’une vaccination. La VfGH veut savoir quelle est la réduction absolue du risque après une, deux ou trois vaccinations. Le mensonge de l’efficacité à 95 % est à bout de souffle.

Il y a encore mieux. La « pandémie des non vaccinés » est remise en question. Le ministre de la Santé doit répondre dans quelle mesure la « vaccination préventive » réduit le risque d’infection, de maladie et de transmission. Puisque « l’état des connaissances scientifiques semble indiquer que même les personnes vaccinées contre le Covid peuvent être infectées par le SRAS-CoV-2, contracter le Covid et transmettre le SRAS-CoV-2 ».

Ensuite, on entre dans des domaines dangereux pour le ministre de la Santé. La Cour constitutionnelle veut connaître le risque d’hospitalisation après une maladie et après une vaccination, ventilé par cohorte d’âges et par nombre de vaccinations. C’est là qu’interviennent les effets secondaires des vaccins, jusqu’ici si nonchalamment ignorés.

Même le « confinement des non-vaccinés » ne reste pas sans réponse. La Cour constitutionnelle demande de combien le taux d’occupation des lits serait plus élevé sans ce confinement.

La question la plus mortelle pour le gouvernement arrive à la fin. La Cour constitutionnelle demande à savoir s’il est exact qu’il y aura moins de décès Covid en 2021, mais qu’il y aura tout de même une surmortalité hebdomadaire à trois chiffres. Il veut savoir comment s’explique cette surmortalité.

Toutes ces questions ont été posées par des extrémistes de droite et des complotistes, depuis le début de la « pandémie ». Le gouvernement les a balayées avec la complicité active de médias achetés et d’experts dociles. C’est maintenant terminé. Le gouvernement doit répondre aux questions de la Cour constitutionnelle.

Je pense que la réponse à ces questions mettra fin à la « pandémie ». Elle met également fin au gouvernement.

Il semble que nous nous en soyons sortis une fois de plus avec les honneurs. N’oublions pas cette leçon. La liberté ne meurt jamais de manière dramatique. Elle meurt par tranches. Nous ne devons jamais la prendre pour acquise. Nous devons nous battre pour elle ! Et ce, jusqu’à ce ce que les dirigeants soient emmenés menottes aux poignets et virés de leurs fonctions.

Vous trouverez la lettre complète de la Cour constitutionnelle ici :

https://chrisveber.blogspot.com/2022/01/game-over.html#:~:text=Ich%20glaube%2C%20die,%C3%84mtern%20entfernt%20wurden.

Les contributions des auteurs externes reflètent toujours l’opinion de l’auteur, et non la mienne. Et je suis d’avis que ce sont justement les contributions d’auteurs controversés qui sont particulièrement précieuses pour la discussion et la démocratie. J’estime mes lecteurs en tant qu’adultes et je veux leur offrir différents points de vue pour qu’ils puissent se faire leur propre opinion.

Chris Veber est un ex-Vert, ex-philosophe, entrepreneur, journaliste indépendant.

Image : Shutterstock

Texte : br

https://reitschuster.de/post/game-over-setzen-wiens-verfassungsrichter-die-regierung-matt/




Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

[Source : RL]

Propos recueillis par Pierre Cassen

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

Riposte Laïque : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

Riposte Laïque : Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

Riposte Laïque : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

Riposte Laïque : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

Nicole Delépine : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

Riposte Laïque : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

Nicole Delépine : Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

Riposte Laïque : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

Riposte Laïque : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

Nicole Delépine : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram




États-Unis — Le scandale vaccinal affecte aussi les militaires

[Source : ici]

[Voir aussi :
Révélations de la DARPA sur Fauci : le troublant mutisme de la presse]




Risque civil et pénal pour le parent qui ferait injecter son enfant sans accord de l’autre parent !

Par Nicole Delépine

POURRAIT-ON SANS RISQUE FAIRE INJECTER SON ENFANT SANS L’ACCORD DE L’AUTRE PARENT ? 
Non ! RISQUE DE PLAINTE CIVILE ET PÉNALE

Le parent non consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

Les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Sur le consentement DU ou DES parents à l’injection des enfants

Par Maître X — https://t.me/maitreXOFFICIEL — Avocate dans un barreau français

En vertu des dispositions combinées des différents textes de loi adoptés depuis mai 2021, le législateur prétend que le consentement d’un seul des deux parents serait suffisant tant pour faire pratiquer un test de dépistage que pour faire « vacciner » un mineur.

La succession des dispositions, organisée comme toujours sous forme de jeu de piste, les dispositions récentes modifiant ou complétant les dispositions plus anciennes, découle des sources suivantes :

. Loi 2021-689 du 31 mai 2021, Art. 1 § II
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000043567200/2022-01-28/

. Cette loi fut dans un premier temps mise à jour par la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021, art. 1er :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043909676

. Une nouvelle mise à jour découle de la loi n° 2022-46 du 22 janvier 2022.
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045062855

À l’issue de ce parcours législatif, l’article qui nous intéresse aujourd’hui est donc rédigé de la façon suivante :

« G.-Lorsque le Premier ministre prend les mesures mentionnées au A du présent II, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’un dépistage ou l’injection du vaccin contre la covid-19, sans préjudice de l’appréciation des éventuelles contre-indications médicales.

Il en est de même lorsque le ministre chargé de la santé prend les mesures mentionnées aux articles L. 3131-1 et L. 3131-16 du code de la santé publique pour autoriser la vaccination des mineurs âgés d’au moins cinq ans. »

Or, la conformité de cette disposition pose différentes questions légales.

  • AU REGARD DE L’ARTICLE 372 DU CODE CIVIL

Le principe posé par le Code civil (Art. 372) est celui de l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale. En d’autres termes, les décisions relatives aux enfants se prennent conjointement par les deux titulaires de l’autorité parentale.

De son côté, l’article 372-2 du Code civil autorise dans certains cas les parents à agir seuls, en étant « réputés agir avec l’accord de l’autre » à l’égard des tiers, mais uniquement lorsqu’il s’agit d’actes « usuels » de l’autorité parentale relativement à la personne de l’enfant.

Deux éléments, dans cette disposition, sont à relever :

  • Il ne vise que les actes « usuels » relatifs à la personne de l’enfant. L’administration d’un traitement médical, quel qu’il soit, et moins encore lorsqu’il s’agit d’un traitement en phase d’essai thérapeutique, fût-il nommé « vaccin » par les pouvoirs publics, n’est assurément PAS un « acte usuel » relatif à la personne de l’enfant.
  • En outre, cette disposition du Code civil est en réalité une protection accordée aux tiers avec qui l’un des parents serait en contact, et permettant à ce tiers de présumer l’accord de l’autre parent pour ces actes « usuels ».

Lorsque, comme c’est le cas dans l’hypothèse que nous étudions aujourd’hui, l’autre parent n’est PAS d’accord, et qu’il l’a expressément notifié, la responsabilité du parent qui tente de procéder malgré tout à cet acte me paraît déjà engagée sur le plan civil.

Ainsi il a été décidé qu’en cas de désaccord des parents, un établissement scolaire qui a connaissance de ce désaccord DOIT recueillir l’accord des deux parents pour chaque décision à prendre relativement à l’enfant (CAA Paris, 13/11/2020, 20PA01156).

En d’autres termes, cette possibilité d’agir SEUL n’est ouverte à l’un des parents que s’il est de bonne foi, et l’article 372-2 ne protège que les tiers, et seulement s’il s’agit d’actes « usuels ».

On voit dès lors mal à quel titre les lois prises depuis mai 2021 permettraient, sans violer le Code civil, à l’un des deux parents de décider seul et de faire procéder seul à une injection de matériel de thérapie génique sur l’un de ses enfants, lorsqu’il sait ne pas être en accord avec l’autre titulaire de l’autorité parentale.

Le parent non consentant est en mesure d’engager la responsabilité civile TANT du parent qui prend l’initiative sans son accord que celle des tiers qui y procéderaient. Ceux-ci ne me paraissent pas pouvoir se retrancher derrière la présomption de l’article 372-2 puisqu’il ne s’agit PAS d’un « acte usuel ».

En admettant même — quod non — qu’une loi puisse, sans le mentionner expressément, modifier une disposition du Code civil, les difficultés ne s’arrêtent pas là, comme nous allons le voir.

  • AU REGARD DU DROIT EUROPÉEN

Dans la hiérarchie des normes, le droit européen est supérieur au droit national.

Dans son règlement n° 536/2014 du Parlement et du Conseil, l’Union européenne a édicté de nombreuses règles relatives « aux essais cliniques de médicaments à usage humain ».

Le texte complet de ce règlement est accessible ici : https://bit.ly/3r7bVjl

En vertu de l’article 32 de ce règlement, et outre les conditions déjà prévues de façon générale pour l’ensemble des participants, il est obligatoire de recueillir le consentement éclairé du « représentant désigné légalement ».

J’ajoute à cela que si, comme nous venons de le voir, le droit du mineur prévoit l’exercice CONJOINT de l’autorité parentale, c’est donc logiquement l’accord des DEUX parents qui doit être recueilli, et, mieux encore, l’accord « éclairé », c’est-à-dire suffisamment informé ».

Le même article 32 prévoit en outre que pour être légal, l’essai clinique doit « se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Les informations scientifiques à cet égard ne manquent pas pour démontrer que les enfants ne meurent quasiment pas du Covid, et que, la vaccination n’empêchant pas la transmission du virus, rien ne justifie qu’ils soient injectés, même pas la recherche d’une « immunité collective » qui ne sera manifestement pas atteinte grâce à ces injections. Les injections dites « vaccinales » contre le Covid-19 ne se rapportent donc absolument pas « à une condition médicale touchant le mineur » et ne sont pas « d’une nature telle qu’elles ne peuvent être réalisées que sur des mineurs ». C’est tout le contraire !

D’un autre côté, l’importance des effets secondaires remontés dans le monde entier et notamment les affections cardiaques (péricardites et myocardites) touchant des mineurs doit faire écarter la participation de ceux-ci aux essais thérapeutiques.

  • Au regard du droit pénal

Enfin, les dispositions des lois votées depuis mai 2021 dans le cadre de la crise Covid ne sont en AUCUN CAS exclusives de la responsabilité pénale de chacun des intervenants.

Les informations remontées dans le cadre de la pharmacovigilance démontrent la grande nocivité des injections.

Pour cette raison, différentes plaintes ont été déposées, notamment sur des incriminations d’empoisonnement et de complicité d’empoisonnement. Je me réfère, entre autres, à la plainte des associations Bons Sens, AIMSIB et Collectif des Maires Résistants, lancée contre les députés ayant participé à la commission mixte paritaire de la loi du 5 août 2021 (voir ici :

Plusieurs infractions pénales me semblent pouvoir être envisagées, en partant bien sûr du postulat que les injections sont potentiellement dangereuses, ce que nous démontrent les données de pharmacovigilance.

  • 223-1 du Code pénal : Mise en danger délibérée de la vie d’autrui

« Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. »

  • 221-5 du Code pénal :

« Le fait d’attenter à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement.

L’empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis dans l’une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

Les deux premiers alinéas de l’article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l’infraction prévue par le présent article. »

  • Article 222-19 al 1er du Code pénal :

« Le fait de causer à autrui, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, une incapacité totale de travail pendant plus de trois mois est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. »

Tout ceci étant posé, il me reste à vous proposer un outil pratique.

Si vous êtes dans la situation du parent NON-consentant et que l’autre parent insiste pour procéder à cette injection sur vos enfants mineurs, voici un modèle de courrier que je vous suggère de lui envoyer en recommandé avec AR si possible.

Vous pouvez envisager l’envoi de cette lettre par email, mais il vous faudra prouver qu’il l’a bien reçu, et en cas de litige cela peut poser de réelles difficultés. ! Si vous envoyez cela par email et que vous n’avez pas de réponse du destinataire (ce qui vous permettrait de démontrer qu’il a bien reçu le mail auquel il répond), je vous conseille de doubler alors l’envoi par un courrier recommandé ensuite.

Adaptez bien sûr en fonction de votre situation lorsque deux variantes sont proposées, séparées par un «  / »

« Cher/chère…

Je suis contraint(e) de t’adresser ce message par écrit vu les circonstances.

Tu as manifesté l’intention/le souhait de faire vacciner notre/nos enfant(s) contre la Covid-19 malgré mon désaccord sur ce point.

Pour appuyer les droits que tu estimes avoir à ce niveau, tu invoques les communications gouvernementales et télévisées expliquant que l’accord d’un seul des deux parents peut suffire pour autoriser une telle injection.

Or, il apparaît que la situation est, juridiquement, bien plus complexe.

  • Sur le plan civil, tout d’abord, le Code civil prévoit que l’autorité parentale doit s’exercer de façon CONJOINTE, ce qui implique un accord des DEUX titulaires de cette autorité (Art. 372 C.c.). Il n’a pas été expressément dérogé à cette disposition par la loi. En outre, soumettre un mineur à une injection de produit thérapeutique en phase d’essai clinique n’est PAS un acte “usuel” au sens de ce même Code civil, de telle sorte qu’un tiers ne pourrait pas présumer de mon consentement si tu te présentes seul.
  • Au niveau européen, soit à un niveau qui prime sur le droit interne, des dispositions sont également prévues. En vertu de l’article 32 du Règlement n+536/2014 du Parlement et du Conseil de l’Union européenne, il est obligatoire de recueillir le consentement de la personne qui, légalement, représente l’enfant. Ceci renvoie donc, pour le droit français, à l’article 372 du Code civil qui prévoit, par principe, une autorité conjointe.

Ce même article 32 du règlement européen indique que pour être légale, la participation du mineur à l’essai clinique doit se rapporter directement à une condition médicale touchant le mineur OU être d’une nature telle qu’il ne peut être réalisé que sur des mineurs » (Art. 32.1.f du règlement).

Or, et comme tu le sais, les enfants ne courent aucun risque face à cette maladie, et en toute hypothèse moins de risques que ceux liés à l’injection elle-même.

Il va de soi que les obstacles et discriminations posées actuellement par les gouvernements, et restreignant notamment la liberté de voyager, de participer à des activités, etc. ne sont PAS considérés comme des risques liés à la maladie elle-même, et qu’il n’est pas acceptable que notre/nos enfant(s) soi (en)t soumis à un essai clinique uniquement pour des raisons de confort liées à un voyage/une inscription à une activité/ etc. (complétez vous-même selon les motivations du parent concerné).

  • Enfin, sur le plan pénal, je t’informe que si tu devais exposer notre/nos enfant(s) à ce risque, une plainte serait immédiatement déposée sur base de l’article 223-1 du Code pénal (mise en danger délibérée de la vie d’autrui).

À cela s’ajoutent deux autres dispositions du Code pénal que je n’hésiterai pas à invoquer dans une plainte en cas de besoin :

. Art. 221-5 du Code pénal (atteinte à la vie d’autrui par l’emploi ou l’administration de substances de nature à causer la mort)

. Art. 222-19 al 1er (visant tout acte de nature à causer une ITT pendant plus de 3 mois, par maladresse, imprudence, inattention ou négligence).

Il est dès lors INDISPENSABLE, tant en vertu de la loi française que du droit européen que nous agissions DE COMMUN ACCORD quant à toute décision relative à la santé de notre/nos enfant(s). Je t’exprime dès lors, de façon formelle, MON DÉSACCORD COMPLET pour toute « vaccination » en l’état actuel des choses.

Merci d’en prendre note.

(Il vous reste à terminer la lettre comme vous le souhaitez).

Gardez toujours une copie exacte de ce qui a été envoyé, et ce au format papier (en plus de l’éventuelle copie du mail dans votre ordinateur.


Merci à Maître X de son aide pour vous proposer un modèle de lettre si malheureusement vous êtes dans cette situation dramatique qui manipule familles et enfants.

et pour les informations sur les risques de cette injection appelée abusivement « vaccin » notre synthèse vient de paraître :

Voir aussi :

Les enfants sacrifiés du Covid

et :

Les enfants sacrifiés du Covid — Morceaux choisis

Des extraits significatifs du dernier livre des docteurs Nicole et Gérard Delépine.




Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Par Christine Anne Massey

Traduction : Jean Bitterlin

À l ’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
et tous les membres des Services de Police de l’Ontario

LETTRE OUVERTE ET COMMUNICATION D’URGENCE

Dossier de Preuves et Exposé de Faits :
ON N’A JAMAIS PROUVÉ L’EXISTENCE DU « VIRUS COVID-19 »
« LE COVID-19 » EST UN MENSONGE MONDIAL

Avis : Atteinte et Responsabilité

CESSEZ ET ABANDONNEZ TOUTE INGÉRENCE « COVID-19 »

Agissez selon vos serments solennels qui exigent de protéger et de servir
Nous le Peuple

Enquêtez, Portez plainte, Procédez à des Arrestations ou Démissionnez

Déposé au Service de Police de Peterborough
500 Water St, Peterborough, ON K9H 3M3
Le 18 décembre 2021

À l’attention immédiate de :
Sylvia Jones (Solliciteur Général de l’Ontario)
Et à tous les membres des services de Police de l’Ontario
En service ou hors service, parmi lesquels mais pas seulement :

  • Sylvia Jones (a woman who sometimes ACTS as: Solicitor General of Ontario)
  • Gary Conn (a man who sometimes ACTS as: President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Chatham-Kent Police Service)
  • Antje McNeely (a man who sometimes ACTS as: Immediate Past President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Kingston Police)
  • Nishan Duraiappah (a man who sometimes ACTS as: First Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Peel Regional Police)
  • Daryl Longworth (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Woodstock Police Service)
  • Jim MacSween (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, York Regional Police)
  • Roger Wilkie (a man who sometimes ACTS as: Vice President, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Halton Regional Police Service)
  • Scott Tod (a man who sometimes ACTS as: Secretary-Treasurer, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, North Bay Police Service)
  • Jeff McGuire (a man who sometimes ACTS as: Executive Director, Ontario Association of Chiefs of Police)
  • Thomas Carrique (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • Jodie Boudreau (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Assistant Commissioner, Ontario Provincial Police)
  • James Ramer (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Interim Chief, Toronto Police Service)
  • Jeff Skye (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy Chief, Treaty Three Police Service)
  • Sylvie Hauth (a woman who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Thunder Bay Police Service)
  • Hugh Stevenson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Sault Ste. Marie Police Service)
  • Mark MacGillivray (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Smiths Falls Police Service)
  • Tim Farquharson (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Deputy, Peterborough Police Services)
  • Frank Bergen (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police, Chief, Hamilton Police Service)
  • Craig Ambrose (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Owen Sound Police Service)
  • Mark Campbell (a man who sometimes ACTS as: Director, Ontario Association of Chiefs of Police; Chief, Strathroy-Caradoc Police Service)
  • Paul Pedersen (a man who sometimes ACTS as: Director, Canadian Association of Chiefs of Police; Chief, Greater Sudbury Police Service)
  • Bob Hall (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Les Kariunas (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Diane Therrien (a woman who sometimes ACTS as: Member, Peterborough Police Services Board; Mayor, Corporation of the City of Peterborough)
  • Gary Baldwin (a man who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board) Mary ten Doeschate (a woman who sometimes ACTS as Member, Peterborough Police Services Board)
  • Scott Gilbert (a man who sometimes ACTS as a Chief, Peterborough Police Services)

Avis : Atteinte à la personne, Responsabilité, Mise en Demeure

Chers Sylvia, Gary, Antje, Nishan, Daryl, Jim, Roger, Scott, Jeff, Thomas, Jodie, James, Jeff, Sylvie, Hugh, Mark, Tim, Frank, Craig, Mark, Paul, Bob, Les, Diane, Gary, Mary, Scott, etc… :

Moi, Christine Anne de la famille Massey, présente une procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough », ce samedi 18 décembre 2021.

Les mêmes preuves ont déjà été présentées à :

  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier OPP : 2545021-0051) le 13 septembre 2021 à la POLICE PROVINCIALE DE L’ONTARIO. (OPP signifie Ontario Provincial Police — NdT)
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SM 21028560) le 12 novembre 2021 à la commission des services de police de SAULT STE MARIE.
  • Avis : Atteinte à la personne (N° de fichier : SU 21084581) le 30 novembre 2021 à la commission des services de police de SUDBURY.

Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :

  1. Un présumé « virus » doit être purifié (c’est-à-dire isolé) avant de pouvoir être séquencé, caractérisé et doit être étudié à l’aide d’expériences de contrôle.
  2. Le séquençage et la caractérisation sont nécessaires pour l’identification d’un « virus » spécifique.
  3. Des expériences répétées de contrôle sont nécessaires pour la détermination de la cause, par un « virus », de la maladie.
  4. La purification d’un présumé « virus » prélevé sur de nombreux échantillons de malades, et ensuite la caractérisation, le séquençage et les expériences répétées de contrôle sont nécessaires avant de l’on puisse logiquement et scientifiquement conclure que ce « virus » circule dans les humains et est la cause d’une présumée nouvelle maladie.
  5. Il est impossible de valider un « test » sans référence absolue (en anglais « gold standard » — NdT)
  6. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » la présence d’un « virus » (ou une « infection virale ») avant qu’il n’ait été prouvé que le « virus » existe.
  7. Il est impossible de valider un « test » dont on affirme qu’il « confirme » une « maladie virale » avant qu’il n’ait été prouvé que le présumé virus 1) existe et 2) cause la maladie.
  8. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et « séquencé » le présumé « virus COVID-19’ (c’est-à-dire le “SARS-CoV-2’) (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’isolation/purification d’un présumé virus à partir d’échantillons de malades (ou de quoi que ce soit d’autre).
  9. Les études publiées dans lesquelles les auteurs affirment avoir « isolé » et séquencé le “présumé “SARS-CoV-2’ (ou tout autre présumé virus, y compris le SARS-CoV-1) ne décrivent pas l’extraction du matériel génétique à partir d’un échantillon purifié du ‘virus’ ou ne décrivent pas la découverte/détermination d’un ‘génome viral’.
  10. Les réponses d’accès à l’information (fondée sur le principe du droit à l’information, la FOI — Freedom of Information, liberté d’accès à l’information — oblige les agences fédérales américaines à transmettre leurs documents à quiconque en fait la demande, quelle que soit sa nationalité sous peine d’être condamnées — NdT) de 41 institutions (parmi lesquelles l’Agence de Santé Publique du Canada, Santé Canada et toutes les 5 institutions canadiennes qui ont affirmé avoir ‘isolé le virus’) et les réponses d’accès à l’information et les documents judiciaires de 100 autres institutions de plus de 25 autres pays montrent que les gouvernements et les institutions de santé/science du Monde entier ont de manière uniforme échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un rapport décrivant la purification du présumé ‘SARS-CoV-2’ (ou de tout autre présumé ‘variant’) provenant d’un échantillon de malade, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  11. Les réponses FOI provenant du Centre du Contrôle de Maladies et de la Prévention US (le ou les célèbres CDC — NdT) ou d’ailleurs n’ont produit aucun rapport décrivant la purification du présumé ‘virus SRAS’ de 2003 ou d’aucun ‘coronavirus’ du rhume, par quiconque, où que ce soit sur Terre.
  12. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver l’existence du présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé).
  13. Les gouvernements et établissements de santé/science du Monde entier ont démontré qu’ils n’étaient pas en mesure de prouver que le présumé ‘SARS-CoV-2 (ou de tout ‘variant’ présumé) est la cause de quelque maladie que ce soit, nouvelle ou ancienne.
  14. Toutes les réponses FOI mentionnées ci-dessus et documents du tribunal sont accessibles au public à l’adresse URL suivante :
    https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-aroundthe-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/
    et en compilation PDF dans des unités de stockage aux adresses URL suivantes :
    https://tinyurl.com/IsolationFOIs ;
    http://bit.ly/awcevidence.
  15. Tous les tests, diagnostics, statistiques, projections, modélisations et injections ‘COVID-19’ quelle que soit leur nature ne sont pas valides et en fin de compte basés sur des illusions, des idées fausses, de mauvaises interprétations, de l’ignorance, de l’incompétence, une information incomplète et/ou des fraudes intentionnelles.
  16. Toutes les ingérences dans les vies et corps d’hommes, de femmes ou d’enfants (y compris les enfants à naître) associées au ‘COVID-19 ont été des abus illégaux ; parmi celles-ci (mais non limitées à) tous les ordres, les intimidations, les menaces, les amendes, les contraventions, les arrestations, les incarcérations, les saisies, les fermetures, les restrictions publiques de toute sorte (parmi lesquelles les hôpitaux, les écoles, les tribunaux, les commissariats, les magasins, les parcs, les centres de loisirs, etc.), les refus de fournir des services et les refus de fournir des emplois rémunérés, imposés et/ou appliqués par des responsables politiques, les personnels médicaux, les employeurs et les directions et membres des corporations des services de police de l’Ontario, etc.
  17. Tout homme ou toute femme qui illégalement agit contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’ils causent.

J’appose mon sceau ci-dessous, et déclare que les ‘faits COVID-19’ ci-dessus sont vrais, sous peine de mort.

Christopher James de la famille Pritchard, Gabriel Gilles de la famille Proulx (OPP) (OPP pour Ontario Provincial Police — NdT), Liam James de la famille Brechin, et Timothy Miles de la famille Calhoun (Chef adjoint à la retraite/31 ans de service chez les pompiers) apposent également leurs sceaux et font la même déclaration.

D’autres preuves irréfutables vérifiables concernant la fraude et les transgressions COVID-19 sont disponibles sur un disque de stockage à l’adresse URL suivante : bit.ly/awcevidence

Cela inclut :

LA FRAUDE COVID-19 & LA GUERRE CONTRE L’HUMANITÉ
(preuve avérée à cette affirmation déposée)
par le Dr Mark Bailey et le Dr John Bevan-Smith :
https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/

[Voir aussi, en français :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité]

UN MEURTRE SE DÉROULE, SOUS VOTRE SURVEILLANCE :

Les dispositions éthiques d’une intervention médicale exigent la divulgation complète et un consentement réellement volontaire. Le Code de Nuremberg est reconnu dans le Monde entier, parce que l’expérimentation médicale sans consentement légal était censée ne PLUS JAMAIS se produire à l’encontre de l’Humanité. Toutes les personnes chargées de l’application de la loi sont tenues de faire respecter cela.

Notez également que dans le domaine juridique, à l’intérieur duquel opère habituellement la Police Canadienne, l’article 245 du Code Criminel du Canada déclare : ‘Quiconque administre ou fait administrer à toute personne ou fait en sorte qu’une personne prenne un poison ou toute autre chose destructrice ou nocive est coupable…’

Et pourtant, sans exagération aucune, les preuves telles que déposées factuellement prouvent sans doute possible que :

  • « Le COVID-19 » est un mensonge mondial,
  • On n’a jamais pu prouver l’existence du présumé virus et des présumés variants ou qu’ils soient la cause de quelque maladie que ce soit,
  • Il n’y a aucune raison d’introduire les tests « COVID-19″’, les injections ou les « mesures » de quelque nature que ce soit,
  • Il n’y a aucun fondement même pour les termes « 2019-nCoV », « SARS-CoV-2 » ou « COVID-19 »,
  • Les hommes, femmes, enfants et enfants à naître du Monde entier ont été terrorisés et soumis à un empoisonnement atroce et illégal, à une expérimentation médicale, et à des fautes professionnelles médicales ;

Abus : Terrorisme, méfait et crimes contre l’Humanité se produisent ici en Ontario. L’administration d’interventions médicales inutiles, toxiques et invasives qui sont ‘acceptées’ sans pleine divulgation et suite à des propos alarmistes sans fondement, des menaces, du harcèlement, de la coercition, de la manipulation et de la désinformation provenant d’hommes et de femmes se faisant passer pour des ‘experts en santé publique’ et des ‘fonctionnaires’ est infâme, ne sera pas tolérée et ne restera pas sans conséquences pour les coupables et les complices.

Un meurtre est un meurtre, que le décès soit instantané ou lent.

UN EXPOSE DES FAITS GÉNÉRAUX :

  1. Tout homme ou femme qui agit illégalement contre un homme, une femme ou un enfant est responsable de tout préjudice ou dommage qu’il cause.
  2. À moins que vous ne puissiez établir avec des preuves vérifiables écrites un ou plusieurs des points suivants, alors aucun d’entre vous n’a de droit sur moi (nous le peuple) et il en va de même pour les autres hommes/femmes/personnes qui sont sous vos ordres ou de tout autre organisme de fonction publique qui tente de contrôler les gens :
  • Qui prétend que moi (nous le peuple) suis la propriété de tout homme ou femme qui agit en étant au service d’une corporation.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur de tout homme ou femme.
  • Qui présente un contrat où je renonce à mes droits inaliénables en faveur des organismes de fonction publique que vous représentez.
  • Qui produit une preuve vérifiable que le Canada ne reconnaît pas la Loi de Dieu sur ce pays.

CESSEZ ET RENONCEZ

Nous exigeons de toutes les personnes qui agissent en tant que fonctionnaires de cesser et de renoncer à toute ingérence ‘COVID-19’, et à toutes les autres ingérences illégales de toute nature, parmi lesquelles le refus d’exercer votre mission auprès d’hommes, femmes et enfants qui n’ont pas eu l’injection COVID-19, et de renoncer, pour les agents de police de l’Ontario, d’avoir à choisir entre les exigences de port du masque et le refus d’un emploi rémunéré.

ENTRAVE À LA JUSTICE DANS NOS TRIBUNAUX PUBLICS

De plus, l’homme, Christopher James de la famille Pritchard, dont le sceau est apposé sur ce document et sur tous les trois dépôts antérieurs mentionnés ci-dessus, vous offre une aide immédiate à vous et à vos organismes afin de répondre à ces faits horribles qui demandent votre intervention immédiate. Cet homme et d’autres sont privés du droit d’accéder à nos tribunaux publics à Milton et Barrie par des fonctionnaires et des membres du barreau. Ceci exige votre intervention immédiate.

Il est prouvé, vérifié sur les registres publics que « les règles de procédure civile » ne s’appliquent PAS à nous le peuple.

Nous avons de nombreuses communications avec des élites agissant en tant que « hauts magistrats » dont AUCUN n’a réussi à produire les preuves requises disant que les règles s’appliquent à nous le peuple pour avoir accès à un tribunal public et de présenter nos demandes et saisir la justice. Ces personnes agissant aux dits tribunaux commettent une obstruction massive et cautionnent le terrorisme même qui est vérifié, ce qui nécessite que le tribunal des réclamations doit aller de l’avant à l’extérieur d’une société privée (BAR) qui n’a AUCUN droit, sur tout homme ou femme, de leur refuser de solliciter l’administration de la justice dans nos tribunaux PUBLICS. Ils BLOQUENT l’accès requis sans en avoir le droit.

Réglez cela immédiatement. Christopher James a toutes les preuves et communications prouvant cette affirmation.

POUR L’AVENIR

La fraude et la manipulation ont été commises à l’encontre de nous tous et de nos proches, et toutes les personnes citées dans cette communication (la liste des officiers de police destinataires de la lettre qui est au début — NdT) continuent à se dresser contre nous le peuple, à cause du manque de connaissances.

Il n’y a plus d’excuse maintenant. Le temps est venu pour être une lumière dans ce Monde. Vos serments de protéger et de servir doivent tous vous guider tel un phare lorsque nous arrêterons ensemble cette attaque menée par des entités nationales et étrangères, conçues pour détruire notre pays et pour détruire, en fin de compte, le Monde. C’est notre heure… protégez la population !!!

Choisir la recherche de la vérité et s’y tenir exige du courage. Nous demandons que vous trouviez ce courage, enquêtez sur cette affaire le plus vite possible et apportez des preuves qui vont à l’encontre de nos revendications, sinon accomplissez votre devoir envers la population qui est d’AGIR et de mettre un terme à la fraude COVID-19, au meurtre et au terrorisme qui se produit dans nos communautés. Si vous ne voulez pas remplir votre devoir envers vos semblables, démissionnez.

Une fois que l’un d’entre vous, à l’intérieur de l’un de vos organismes de la fonction publique, est prêt à prendre position… des millions d’honorables hommes et femmes attendent et sont prêts à passer à l’action afin d’être debout avec vous, épaule contre épaule, pour combattre ce mal.

Maintenant notre heure est venue de passer à l’action et d’affronter ensemble ce mal. Que Dieu soit avec nous tous. Que la grâce surabonde.

CONTACT — INFORMATION :

Christine Anne de la famille Massey 580 Fagan Avenue Peterborough, ON K9J 4J1
cmssyc@brigitteChristopher
James de la famille Pritchard awarriorcalls@outlook.co

Traduction Jean Bitterlin le 23 janvier 2022

[Voir aussi, en plus de l’article mentionné plus haut par l’auteure :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
L’interprétation erronée du virus — 2e partie]




Si la tendance se maintient, les vaccins Covid-19 devraient causer 62,3 millions de décès cardiovasculaires en 2022 dans le monde

[Source : numidia-liberum]

Une enquête sur les tendances actuelles a révélé que les vaccins Covid-19 devraient causer plus de 62,3 millions de décès cardiovasculaires dans le monde en 2022, après avoir déjà fait doubler les décès cardiovasculaires chez les athlètes professionnels tous les trois mois tout au long de 2021.

Le récent discours du Dr Steven Gundry à l’American Heart Association à Boston du 12 au 14 novembre a révélé que les vaccins à ARNm Covid-19 font plus que doubler vos chances de subir une crise cardiaque sur 5 ans, mesurées par divers marqueurs à 2 mois après la 2e dose.

Nous avons également constaté que les incidences cardiaques mortelles des footballeurs sur le terrain ont doublé chaque trimestre en 2021.

Soyons clairs sur ce que cela signifie. Ces footballeurs sont le canari dans la mine de charbon de la vaccination. Ne permettons pas que leur mort ne serve à rien. Ils l’obtiennent en premier parce qu’ils poussent leur cœur le plus fort. C’était tellement émouvant pour moi de voir Sergio Aguero, le joueur de Manchester City totalement en forme, s’effondrer, puis lutter pour se relever en saisissant son cœur, avec ses collègues autour de lui. Il a survécu, mais n’est plus en mesure de jouer au football professionnel. C’est totalement absurde pour un jeune homme aussi en forme [auparavant]. Il faut voir ces jeunes footballeurs morts (31 d’infarctus l’an dernier). Nous devons en tirer la leçon que la mine de charbon de la vaccination est pleine de poison et nous devons en sortir immédiatement.

Donc, assemblons le puzzle. Nous savons que le risque de crise cardiaque est doublé chez les personnes sédentaires, 2 mois et demi après la 2e dose, et nous savons que le risque de crise cardiaque lié au terrain chez les footballeurs professionnels était 4xfois supérieur à la normale en 2021 et que le mois de décembre 2021 tout seul, avec 7 décès, a presque égalé la moyenne des 12 années précédentes de 7,8 décès par an.

Nous pouvons en déduire que le risque pour les footballeurs est environ le double du risque pour les sédentaires (non sportifs). Mais le risque pour les footballeurs double chaque trimestre. Par conséquent, le risque pour les sédentaires doublera également chaque trimestre, car ils ont tous pris le même vaccin et ils contiennent tous les mêmes protéines de pointe.

C’est juste que les footballeurs poussent leur cœur plus fort que les « patates de canapé ». Nous prenons donc le risque du quatrième trimestre pour les personnes sédentaires comme étant 2xfois supérieur à la normale et extrapolons de manière exponentielle à partir de là en doublant le risque chaque trimestre. Cela donne des risques T1/2/3/4 en 2022 [respectivement] de 4x/8x/16x/32x la normale.

Il y a déjà eu 6 décès de footballeurs sur la première quinzaine de janvier 2022 parmi les joueurs de club lors de matchs ou d’entraînements.

  • 11 janv. 22 – Amir Abou Aiana – 18 ans – S’effondre au sol suite à un arrêt cardiaque sur le terrain de football de l’oratoire de via Cellini à Cesano Boscone (arrière-pays ouest de Milan). Une réanimation a été tentée et une ambulance a été appelée. Il est décédé peu de temps après son arrivée à l’hôpital.
  • 11 janv. 22 – Mateo Hernandez – 18 ans – Le gardien de Dimurol Salesianos Tenerife Football est décédé subitement et de façon inattendue.  Nouvelles histoires 
  • 11 janv. 22 – Isaías – 17 ans – Flamengo de Piauí Le footballeur de Teresina a dit à ses coéquipiers pendant qu’ils couraient qu’il ressentait une gêne. Il ralentit, puis se dirigea vers le banc, où il s’effondra. Les médecins ont tenté de le réanimer, mais il est décédé. C’était la troisième fois qu’il s’entraînait avec l’équipe.  Article d’actualité Article    d’actualité2
  • 10 janv. 22 – Filip Turk – 22 ans – Un autre jeune footballeur croate est décédé subitement, il n’avait que 22 ans   News Story   News Story2
  • 6 janvier 22 – Herbert Afayo – 21 ans – S’est effondré suite à un arrêt cardiaque sur le terrain du Geregere Safi à Lugazi, district de Buikwe. Il a été réanimé et emmené à l’hôpital local mais est décédé avant d’atteindre l’hôpital. Une autopsie a conclu que la cause était un arrêt cardiaque.   Nouvelles histoires
  • 5 janvier 22 – Oisin Fields – 30 ans – S’est effondré et est décédé alors qu’il jouait au football avec ses amis et sa mort a envoyé des ondes de choc dans sa communauté locale.  Histoire de nouvelles .
  • 3 janvier 22 – Marcos Menaldo – 25 ans – Le défenseur central vedette guatémaltèque du Deportivo Marquense s’est effondré avec un arrêt cardiaque à l’entraînement au stade Marquesa de la Ensenada de San Marcos lundi peu après s’être plaint de difficultés respiratoires. Il  a été transféré à l’hôpital de Especialidades où il est décédé.  Nouvelles Story2

Les décès cardiovasculaires continueront d’augmenter de façon exponentielle si et seulement si la production de protéines de pointe se poursuit chez les patients complètement vaxxés. Nous ne savons pas si le système immunitaire finira par vaincre les vaccinations et éliminera avec succès chaque usine de protéines de pointe du corps.

Il semble , d’après les données sur le nombre de cas, que les personnes vaccinées une seule fois pourraient gagner cette bataille. À l’heure actuelle, nous n’avons aucune preuve que les personnes doublement vaccinées l’emporteront, car leur nombre de cas continue de s’aggraver par rapport aux personnes non vaccinées, et les personnes vaccinées ont moins de chances qu’elles.

Donc en supposant que la hausse exponentielle à laquelle nous avons assisté en 2021 se poursuivra tout au long de 2022. Voici l’avenir de la mortalité cardiaque.

Les derniers chiffres ourworldindata (John’s Hopkins University) pour les personnes entièrement vaccinées dans le monde sont de 51,6 % (22 janvier). Donc, pour simplifier, en supposant que personne n’est assez téméraire pour prendre une nouvelle vaccination après avoir lu cet article, nous supposerons un ratio de 50:50 non vaccinés à entièrement vaccinés tout au long de 2022.

La plupart des gens ne sont pas des footballeurs professionnels et même les footballeurs eux-mêmes ne passent qu’une petite partie de leur vie à jouer sur le terrain. Ainsi, la projection des décès cardiaques en 2022 n’utilise que les chiffres des sédentaires entièrement vaxxés, en se rappelant que le taux de mortalité cardiaque normal dans le monde est de 8,9 millions par an ou 2,225 millions par trimestre.

Cela se traduit par 1,1125 million par trimestre pour les 50 % qui ne sont pas vaccinés et 2,225 par trimestre pour les 50 % qui sont entièrement vaccinés au quatrième trimestre 2021. Nous extrapolons ensuite de manière exponentielle à partir de là sur la base de l’augmentation exponentielle des décès de footballeurs observés et catalogués dans 2021 qui double chaque trimestre.

Ainsi, en 2022, plutôt que de voir les 8,9 millions de décès cardiovasculaires normaux , nous verrons 71,2 millions, soit une augmentation de 62,3 millions de décès.

À ce moment-là, les vaccins auront tué plus de personnes que le SIDA – simplement à cause de crises cardiaques. Cela exclut les décès dus au SIDAV et à la dégénérescence neurologique médiée par le vaccin. Nous sommes près de 8 milliards. Donc 62,3 millions, c’est moins de 1% de l’humanité. Mais ce sera le plus grand génocide jamais commis sur nous par nos propres gouvernements, si la production de protéines de pointe continue au rythme actuel chez les personnes entièrement vaccinées.

Source  L’Exposé

Voir aussi




Canada : le milliardaire Elon Musk soutient les camionneurs ; Trudeau se planque à l’arrivée des routiers

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

Le milliardaire Elon Musk, l’un des trois hommes les plus riches au monde, vient d’apporter son soutien au mouvement des routiers contre le pass vaccinal, baptisé Freedom Convoy 2022 (le convoi pour la liberté 2022).

Dans un tweet du 27 janvier 2022, Elon Musk écrit :

« Les camionneurs canadiens dominent »
« Les radios CB (citizen-band) sont libres de tout contrôle gouvernemental/média ».


Le PDG de Tesla va beaucoup plus loin dans ses propos concernant la mortalité mondiale et la tyrannie qui règne sous le covidisme :

« Il semble étrange que l’ONU n’ait toujours pas publié les taux de mortalité mondiaux de 2020. »  
« Si vous effrayez suffisamment les gens, ils exigeront la suppression de la liberté. C’est la voie de la tyrannie. »

Loin d’être un soutien invétéré de la vaccination, Elon Musk avait répondu au rédacteur en chef du magazine Time, Edward Felsenthal, concernant la vaccination :

« Je suis contre le fait de forcer les gens à se faire vacciner. » 
« Rendez aux gens leur putain de liberté ».

Pendant ce temps-là, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, pense que les routiers contre le pass vaccinal sont une « petite frange » de la société et ne « représentent pas le point de vue des Canadiens ». C’est dans ces conditions que le courageux Premier ministre triplement vacciné a annoncé aujourd’hui être en isolement pendant cinq jours alors que des milliers de Canadiens sont sur le point d’arriver à Ottawa pour protester contre les mandats de vaccination. Le timing est parfait pour se mettre en sécurité face à la « petite frange » (sic). On n’est jamais trop prudent !

En attendant que Trudeau sorte de son terrier, voici un aperçu de ce à quoi ressemble une « petite frange » qui s’étend du Manitoba à l’Ontario :

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2




Camionneurs : au tour de l’Europe ?

[Transmis par Christine Côte]

https://t.me/FreedomEuro




Les camionneurs australiens organisent à leur tour un convoi vers leur capitale

[Sous réserve de confirmation.]




Le député européen Cristian TERHEŞ explique la suite du programme

[Source : cv19.fr]

Le député européen roumain Cristian TERHEŞ explique la manière dont la Commission européenne est en train de progressivement mettre en place une forme de crédit social à la chinoise à travers un identifiant digital unique.






Selon la journaliste Sharyl Attkisson, les vérificateurs de faits sont employés pour embrouiller le public

[Source : aubedigitale]

Sharyl Attkisson, journaliste récompensée par cinq Emmy Awards, a déclaré qu’elle avait constaté un effort accru pour manipuler le public afin qu’il apprécie la censure et désapprouve le journalisme. L’une des stratégies employées est le recours à des vérificateurs de faits tiers, a-t-elle déclaré.

« Presque tous les modes d’information ont été cooptés, s’ils peuvent l’être par un groupe quelconque, et les vérificateurs de faits ne sont pas différents », a déclaré Mme Attkisson à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV.

« Soit ils ont été cooptés, dans de nombreux cas, soit ils ont été créés dans le but de diffuser des récits et de la propagande », a déclaré Attkisson.

« Tout cela fait partie d’un paysage très bien financé et bien organisé qui dicte et oriente les informations qu’ils veulent que nous ayons. »

Mme Attkisson dit qu’elle a commencé à remarquer que les informations étaient contrôlées au début des années 2000, lorsque l’entreprise de médias pour laquelle elle travaillait essayait activement de supprimer certains reportages.

« Le mouvement de repli s’est orienté vers la volonté d’empêcher la diffusion d’un reportage ou d’empêcher une étude d’être rapportée dans les nouvelles, et pas seulement de présenter l’autre côté, ni de s’assurer qu’elle était rapportée avec exactitude », a-t-elle déclaré à propos des histoires de l’industrie pharmaceutique qu’elle couvrait à l’époque.

En 2016, Attkisson a entendu l’ancien président Barack Obama dire que les actualités devaient être filtrées, après quoi les médias grand public ont commencé à utiliser systématiquement le terme « fake news » pour décrire des nouvelles principalement conservatrices qu’ils jugeaient fausses.

« Et je me souviens avoir pensé que c’était une chose tellement étrange à dire, parce qu’il n’y avait pas de grand mouvement parmi le public, que les gens avaient besoin que leurs informations soient filtrées, que quelqu’un devait intervenir et nous dire quoi penser, filtrer ce qui était en ligne. Mais … après cela, si vous regardez les médias, jour après jour, il y avait des gros titres sur les fake news et le filtrage de ce qui devrait et ne devrait pas être rapporté.  »

Attkisson faisait référence au commentaire d’Obama lors de la conférence Frontières de la Maison Blanche à Pittsburgh, en Pennsylvanie, en octobre 2016.

« C’est pertinent pour notre démocratie, la citoyenneté. Nous allons devoir reconstruire, au sein de ce far west sauvage du flux d’informations, une sorte de fonction de contrôle à laquelle les gens adhèrent », a déclaré Obama.

Parce qu’Attkisson était curieuse de cette idée de gestion des informations, elle a fait des recherches sur le sujet de la mésinformation, ce qui l’a conduite à un organisme à but non lucratif appelé First Draft, financé par l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

Le président Barack Obama et la candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton saluent les délégués après le discours d’Obama lors de la troisième journée de la Convention nationale démocrate à Philadelphie, le 27 juillet 2016. (J. Scott Applewhite/AP Photo)

« Et si vous regardiez le site web de l’association à but non lucratif quand ils disaient fake news, ils voulaient dire des fake news entièrement basées sur le conservatisme et leur point de vue ; il n’y avait pas de version libérale des fake news. Et puis, en l’espace de quelques semaines, le président Obama prononce le discours, les médias s’en emparent et courent avec. »

Attkisson a déclaré que l’expression « fake news » a en fait été lancée par la gauche, mais qu’elle a été effectivement détournée par l’ex président Donald Trump et que maintenant la plupart des gens pensent qu’il a inventé l’expression.

« Mais il est en fait bien documenté qu’il s’agit d’une invention des militants politiques gauchistes pendant la période que j’ai décrite », a déclaré Mme Attkisson.

Pour son livre « Smear », elle a interviewé des personnes qui travaillent à la diffusion de la mésinformation et de la propagande dans le but de confondre le public.

« Et ils m’ont expliqué que, s’ils ne font rien de plus que de brouiller le paysage de l’information, peut-être que vous ne croyez pas totalement ce qu’ils disent, mais ils en ont fait assez pour que vous ne soyez plus sûr de rien. »

La censure pendant la pandémie

Mme Attkisson a reproché aux grands organes d’information d’être les « porte-parole » du gouvernement ou d’autres groupes d’intérêt au lieu de les contester ou de leur demander des comptes, notamment en ce qui concerne la pandémie.

Elle a déclaré que peu de temps après le début de la pandémie, elle a parlé à de nombreux scientifiques, gouvernementaux et privés, au sujet du virus et de son évolution avant de se faire une opinion. Elle a demandé à certains de ces scientifiques de s’exprimer, mais ils ont eu peur.

« Ils ont dit qu’ils n’osaient pas s’exprimer de peur d’être controversés, et de peur d’être traités de négationnistes du coronavirus, car cette expression commençait à être utilisée dans les médias. Et deuxièmement, ils craignaient de contredire le Dr Fauci, qui, selon eux, avait été en quelque sorte adoubé ou canonisé dans la presse pour des raisons qu’ils ne comprenaient pas. »

Le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, témoigne lors d’une audience de la commission sénatoriale de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions au Capitole, le 11 janvier 2022. (Shawn Thew/Getty Images)

Le Dr Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis 1984, ce qui lui a permis de conseiller sept présidents sur des questions de santé publique, dont le COVID-19. Il a été accusé d’avoir trompé le public sur le financement de la recherche de gains de fonctions en Chine.

Selon Mme Attkisson, les National Institutes of Health ont utilisé l’argent des contribuables pour financer des recherches sur le gain de fonction en partenariat avec la Chine, mais les médias ont affirmé le contraire.

« Et puis le récit est géré d’une autre manière Je me souviens après avoir examiné les subventions elles-mêmes à ma satisfaction, parce que je ne savais pas ce qui était vrai jusqu’à ce que je trouve la documentation et puis encore entendre, non seulement des personnalités de la santé publique, mais les journalistes prétendent comme s’ils connaissaient la vérité, que rien de tout cela n’était arrivé. »

Elle a ajouté qu’une autre façon d’embrouiller le public au sujet de la vérité est de qualifier quelque chose de conspiration, comme la théorie de la fuite en laboratoire liée au nouveau coronavirus.

« Et pourtant, quand vous entendez les gens parler de « théorie du complot », c’est conçu pour saisir cette petite partie de votre cerveau qui dit, eh bien, cette chose n’est pas vraie », a déclaré Attkisson.

« Et moi, je garde toujours l’esprit ouvert et je me dis que cette chose folle qu’ils disent être une théorie du complot peut très bien contenir une part de vérité ».

Attkisson pense que la raison pour laquelle certaines personnes peuvent être manipulées pour croire le récit présenté par les médias corporatifs est qu’elles vivent dans « une boîte », ce qui signifie qu’Internet est leur seule source d’information.

« Et les personnes qui veulent contrôler l’information comprennent que si elles ne peuvent contrôler que quelques sources de base – nous parlons de Google, Twitter, Facebook et Wikipedia – elles ont la mainmise sur l’information, car nous avons tous été dirigés vers ces quelques sources ».

Selon elle, leur objectif est de vous faire croire que vous êtes en minorité et de vous faire craindre de soulever des objections au récit. 

« On peut vous faire croire que si vous vivez dans la boîte, alors je dis constamment aux gens, vivez en dehors de la boîte. Oui, vous pouvez obtenir des informations là-bas et faire ce que vous faites en ligne. Mais certainement, faites confiance à votre dissonance cognitive. Parlez aux gens qui vous entourent. »

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Reiner Fuellmich : « Le procès du Comité Corona contre Bill Gates, Fauci, BlackRock… devrait commencer le 5 février »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Dans ce debriefing exclusif, nous avons de nouveau reçu l’avocat allemand Reiner Fuellmich pour qu’il nous fasse part de l’avancée des travaux entrepris par le Comité Corona. Co-fondé avec sa collègue, Viviana Fisher, dans l’intention de faire la lumière sur les réalités de la pandémie Covid-19, sa conclusion suite à une série d’entretiens avec plus de 100 éminents experts dans le monde, est sans appel : il n’y a pas de pandémie, seulement une fausse pandémie de cas positifs, rendue possible par le dépistage intempestif au moyen des tests RT-PCR, détournés de leur fonction d’origine et peu fiables. En créant une armada de malades qui s’ignorent, les politiques à la tête des États occidentaux, avec l’appui des médias grand public, ont ainsi pu réunir la condition indispensable pour instiller dans les populations la croyance qu’il était nécessaire de s’injecter une substance expérimentale, nocive et dangereuse pour se protéger d’un virus, somme toute pas plus dangereux qu’une grippe.



Traduction et doublage : Jeanne Traduction – Version originale : English version

Reiner Fuellmich, qui s’est fait connaître grâce à ses victoires lors de procès retentissants contre le géant automobile Volkswagen et la Deutsche Bank, nous annonce que le procès public très attendu contre les individus « qui tirent les ficelles » (Bill Gates, le Dr Anthony Fauci, le Dr Drosten, le gestionnaire d’actifs BlackRock, le laboratoire Pfizer…) s’ouvrira le week-end des 5 et 6 février. Confiant dans le fait que les accusés seront reconnus coupables, le Comité Corona intente cette procédure judiciaire avec un groupe d’avocats à l’international.

Celle-ci se tiendra dans des conditions particulières, hors du cadre judiciaire existant en Europe, celui-ci étant corrompu et n’étant pas de nature à instaurer une pleine confiance dans la tenue d’un procès équitable, nous confie-t-il. La procédure se déroulera donc dans une cour du peuple avec de vrais juges, avocats, experts et témoins.

Il précise que cette procédure publique est conçue de telle sorte que celle-ci bénéficie d’un puissant écho auprès des populations. Elle sera retransmise en direct et enregistrée, pour ceux qui souhaiteraient visionner le procès en rediffusion. La majorité, si ce n’est l’intégralité, des médias alternatifs relaieront le procès, puisque, sans surprise, il ne sera pas possible de le diffuser sur la plateforme YouTube ou dans les médias grand public, nous explique l’avocat.

Cela étant, il n’est pas impossible de s’attendre à ce que les médias mainstream soient dans l’impossibilité d’ignorer cet évènement hors du commun et soient donc amenés à le couvrir. Pour autant, pour ne pas prêter le flanc à cette tactique de la presse qui consiste à déformer et nazifier toute forme d’opposition, méthode dont elle use ad nauseam, M. Fuellmich précise d’avance qu’il n’acceptera aucune interview pendant le procès.

Dans ce debriefing, l’avocat allemand est aussi revenu sur les causes de cette « fausse pandémie ». Il estime que cette opération a été lancée par l’industrie financière dans l’intention de masquer ses crimes au cours des trente dernières années, devenus trop voyants. Comme aujourd’hui, au moment de la crise dite des subprimes, l’oligarchie financière aurait tenté une première fois de détourner l’attention du public de ses malversations au moyen de la grippe H1N1 en 2009.

Ils auraient dû être évincés à cette époque : ces banquiers, sauvés grâce aux impôts du contribuable, récidivent cette fois, en pire. Selon Me Fuellmich, la raison pour laquelle ils ne l’ont pas été, c’est parce que nous avons cru nos gouvernements respectifs lorsqu’ils ont annoncé prendre des mesures visant à lutter contre la mafia financière. À tort, puisque, insiste-t-il, nos gouvernements, en raison de leur corruption, ne sont pas nos gouvernements. Et de conclure : comme nous ne pouvons compter ni sur nos gouvernements pour agir, ni sur nos médias pour nous informer, cette fois-ci, il est temps que les peuples prennent eux-mêmes le taureau par les cornes.

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

Auteur(s): FranceSoir




L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Par Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka

[Voir la première partie :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple]

La définition du SARS et Corona ou Covid-19 indique qu’une pneumonie atypique est considérée comme le tableau clinique qui caractérise la maladie. Si des germes pathogènes de la pneumonie connus peuvent être détectés, la pneumonie est considérée comme une pneumonie typique, si ce n’est pas le cas, elle est atypique. Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus.

Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale parce qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccins pour cette supposée nouvelle maladie.

À partir du moment où une procédure de test pour le supposé nouveau virus est offerte, ce qui est caché par ceux qui sont impliqués, des personnes en bonne santé testent également « positif », le nombre de cas augmente automatiquement. Au début les personnes avec une pneumonie typique sont également incluses, puis de plus en plus de personnes avec d’autres maladies. Ceci est considéré comme une preuve pratique de la propagation du virus. Automatiquement de plus en plus d’autres maladies sont ajoutées à la maladie initiale « pneumonie atypique » et ce « syndrome » est affiché comme étant « la maladie du nouveau virus ».

L’autre fait décisif, et pas seulement pour le SARS et la crise corona, est que, pour des raisons compréhensibles, les virologues, qui affirment que les virus causent la maladie, étouffent une situation ouvertement étalée. La procédure de test proposée est une méthode de détection génique. Les séquences géniques qu’ils utilisent pour le test de détection n’ont pas été isolées d’un virus. Ils isolent des séquences de gènes typiques qui sont libérées en quantités accrues lorsque le tissu et les cellules meurent. Ces séquences géniques généralement courtes sont des composants du métabolisme humain et sont la base sur laquelle s’appuie le travail ultérieur du laboratoire. Avec l’aide de programmes informatiques, les virologues ne sont que capables de construire mentalement de longs brins de matériaux génétiques à partir de courtes séquences de gènes. On fait ensuite passer ceux-ci comme étant de vrais génomes viraux. Ceci est la raison pour laquelle les résultats positifs de tests sont obtenus de manière répétée même chez les personnes en bonne santé.

Afin d’éviter d’avoir à se réfuter eux-mêmes, ces virologues, systématiquement, ne tiennent pas compte de deux lois prescrites par la science. L’une est de vérifier systématiquement toutes leurs propres affirmations. L’autre est de tester toutes leurs hypothèses et méthodes utilisées au moyen d’expériences de contrôle (appelées aussi contre-expériences ou encore expériences témoin). S’ils effectuaient les expériences de contrôle, ils trouveraient que TOUTES les séquences géniques courtes, qu’ils ne font que lier mentalement à un brin de génome de virus, proviennent du métabolisme humain et non de l’extérieur, d’un virus allégué.

La dynamique propre de la crise corona a été déclenchée le 30 décembre 2019 par le communiqué sur Internet d’un jeune ophtalmologiste, communiqué qui s’est immédiatement et très rapidement répandu. Il a informé des amis que dans son hôpital plusieurs personnes étaient placées en quarantaine, que sept cas de SARS (en français SRAS pour Syndrome Respiratoire Aigu Sévère – NdT) étaient confirmés, qu’ils (les amis – NdT) devaient être prudents et devaient se protéger. Le Professer Christian Drosten de (l’hôpital universitaire – NdT) de la Charité à Berlin en a entendu parler, a commencé immédiatement le développement d’un procédé de test pour virus SARS, avant même qu’il ne soit absolument clair ou puisse être clair, si le rapport provenant de Chine était vrai et prouvé, et par-dessus tout avant que les virologues chinois ne publient leurs résultats.

Les virologues concernés de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (en anglais CCDC pour Chinese Disease Control Commission, l’équivalent du CDC américain — NdT) ont publié leurs résultats les 24 janvier 2020 et 3 février 2020. Ils font état dans leur rapport de l’isolation de nombreuses séquences de gènes qui, intellectuellement assemblées les unes aux autres, pourraient représenter un brin génétique d’un nouveau type de virus. Les auteurs indiquent de manière explicite — comme tous les autres virologues impliqués à ce jour — que les expériences impérativement nécessaires qui permettraient d’affirmer qu’il s’agit vraiment d’un brin génétique d’un virus pathogène n’ont pas encore été menées. Au contraire : les virologues chinois ont indiqué de manière explicite que le brin génétique construit avait 90 % de similitudes avec un allégué virus corona de chauve-souris, inoffensif et connu depuis des décennies.

Le 21 janvier 2020 (3 jours avant la première publication du CCDC !) l’OMS a recommandé à toutes les nations d’utiliser la procédure de test mise au point par le Professeur Drosten. En affirmant qu’il avait mis au point une procédure de test fiable pour le virus qui se propageait rapidement en Chine, le Professeur Drosten, au mépris de toutes les règles clairement définies du travail scientifique, règles qui font partie de son contrat de travail, et en violant les lois de la pensée et de la logique de la virologie, a déclenché et entraîné l’accroissement et la mondialisation de la panique chinoise de l’épidémie.

1. Début de la crise Corona

Lorsque le 30 décembre 2019 le jeune ophtalmologue Li Wenliang a informé sept de ses amis médecins de Wuhan via WhatsApp que dans son hôpital plusieurs personnes étaient mises en quarantaine, que sept cas de SARS avaient été confirmés, qu’ils devaient être prudents et se protéger, il n’avait pas l’intention de semer la panique. Si cela avait été le cas, il aurait mis cette communication sur Internet et averti le public. Un des sept destinataires de cette communication WhatsApp privée a publié sur Internet, sans se rendre compte des conséquences possibles, une « copie d’écran », donc une photo de cette communication. Naturellement, cette information s’est répandue très rapidement en Chine et ensuite dans le Monde entier.

Cette communication, à cause de la panique causée par la crise SARS, que l’Organisation Mondiale de la Santé avait classifiée le 12 mars 2003 comme « menace mondiale », a déclenché une vague de peur, de panique et d’enquêtes auprès des autorités de santé et du gouvernement chinois. Suite à cela, le 31 décembre 2019 le gouvernement de Pékin a envoyé à Wuhan une « équipe d’intervention » constituée d’épidémiologistes et de virologues de la Commission Chinoise de Contrôle des Maladies (CCDC) afin de soutenir les autorités de santé de la ville et celles de la province environnante de Hubei. Il s’agissait d’examiner et de vérifier les allégations au sujet du déclenchement d’une épidémie. Au cas où une épidémie s’était vraiment déclenchée, alors la situation devait être contrôlée de façon appropriée.

Dans les premières publications pertinentes des auteurs du CCDC sur les résultats de leur recherche, « Un nouveau coronavirus chez des patients avec une pneumonie en Chine, 2019 »1 il n’est pas fait mention d’une accumulation de cas de pneumonies atypiques (« patients with pneumonia of unknown cause »). Ils écrivent dans le rapport que les patients constatés pouvaient être regroupés dans un « cluster », dans un groupe à caractéristiques communes. La caractéristique commune était la visite plus ou moins fréquente à un marché de gros de poissons (seafood wholesale market) de Wuhan. On peut juger à quel point le groupe de patients avec une pneumonie atypique était vraiment faible par le fait que le CCDC n’a prélevé des écouvillons et des fluides des voies respiratoires inférieures que sur quatre patients afin de rechercher des agents pathogènes connus et inconnus.

Entre-temps la panique à Wuhan et dans les environs progressait de manière extrême. Même les mesures prises par la police, mettant en demeure le 3 janvier 2020 l’ophtalmologue Li Wenliang, de s’engager par écrit en signant une déclaration avec une clause d’infraction à la loi, déclaration par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser au sujet d’une possible épidémie de SARS, ne put plus ralentir la dynamique d’une panique qui s’aggravait dangereusement. Le 10 janvier 2020 Wenliang, et ses parents peu de temps, développèrent les symptômes d’une pneumonie. Li Wenliang s’isola de lui-même parce qu’il était persuadé qu’il avait été infecté la veille avec le virus SARS par une de ses patientes. Et cela aussi augmenta la panique.

Les médecins traitants ont effectué un grand nombre de tests différents, qui se sont tous révélés négatifs. Comme son état de santé se détériorait et que de plus en plus de personnes faisaient ouvertement état de leur sympathie envers son sort, il a continué à être testé jusqu’à ce qu’un premier test SARS soit, le 30 janvier 2020, évalué comme étant « positif ». Le désastre de la panique SARS croissante, qui mutait en une crise corona mondiale, a suivi son cours.

Li Wenliang a diffusé ce résultat sur Internet avec les mots suivants : « Today nucleic acid testing came back with a positive result, the dust has settled, finally diagnosed ». « Aujourd’hui le résultat du test génétique est revenu avec un résultat positif, la poussière est retombée, finalement diagnostiqué. »

Cette annonce a augmenté la panique déjà existante. Tout devint hors de contrôle lorsqu’il a publié sur Internet sa déclaration du 3 janvier 2020 qui lui avait été imposée par laquelle il s’engageait à ne plus rien diffuser. Cette diffusion, qui était dangereuse pour lui, était et est encore considérée comme étant une preuve pour toutes les personnes paniquées qu’il y avait une nouvelle épidémie de SARS, parce que le médecin, qui était lui-même touché, malgré la menace de sanctions, continuait à informer et à avertir l’opinion publique. La panique continuait à grandir parce que l’état de santé de Li Wenliang se détériorait malgré le recours intensif à de nombreuses substances antibiotiques, et que l’opinion publique y prenait régulièrement part. La situation était sur le point de dégénérer parce que l’information de sa mort avait été plus que chaotique et contradictoire. Ceci était et est encore la raison principale pour laquelle l’opinion publique chinoise et mondiale a accepté qu’à Wuhan une épidémie d’un nouveau SARS était apparue, qui cependant fut redéfinie en une nouvelle épidémie, une pandémie avec un nouveau nom, Covid-19.

2. Une des deux causes possibles de la peur de Li Wenliang

La peur de l’ophtalmologue Li Wenliang reposait sur des événements de 2003 en Chine, lorsque des scientifiques occidentaux affirmèrent qu’en Chine du Sud était apparu un grand nombre de pneumonies atypiques. Deux jours après l’élaboration intellectuelle du brin génomique du soi-disant nouveau virus (SARS-CoV-1) dans laquelle le Professeur Drosten était considérablement impliqué2, ce dernier a proposé un procédé de test pour ce prétendu nouveau virus3. Environ 800 personnes avec une pneumonie atypique, c’est-à-dire une pneumonie où l’on n’a pas pu démontrer la présence d’un agent pathogène connu, mais qui avec le test du Professeur Drosten avaient été testés positifs, sont décédées par conséquent — peut-être par sous ou surtraitement — avec le diagnostic SARS au lieu de « pneumonie atypique ».

Le fondement, que la peur du SARS s’était maintenue et avait augmenté jusqu’en 2019, ce sont deux publications de 2013 et 2017, les spéculations sur la possibilité de l’apparition d’un nouveau virus corona SARS. Les auteurs des deux publications ont indiqué qu’il y avait des indices de l’existence de séquences géniques courtes chez les chauves-souris saines qui pouvaient être interprétées comme étant des constituants d’un virus. Ces courtes séquences génomiques avaient des similitudes avec celles des courtes séquences génomiques qui en 2003 avaient été déclarées comme étant des composants du soi-disant Coronavirus SARS 1 (SARS-CoV-1). SARS (SRAS en français — NdT) signifie Syndrome Respiratoire Aigu Sévère ce qui est une autre description pour les symptômes d’une pneumonie atypique.

Au sujet de ces élaborations intellectuelles (fictives reformulées en réalité) de brins génétiques, il est affirmé qu’il est possible qu’ils se forment aussi en réalité et pourraient former un virus réel. Un tel prétendu virus, mais encore inoffensif chez les chauves-souris et chez d’autres animaux sauvages, pourrait par morsure, contact ou par consommation passer sur l’Homme (le fameux franchissement de la barrière d’espèce — NdT) pour devenir un virus tueur. Chez les Humains, ce virus inoffensif, par des changements (des mutations), pourrait effectivement se transformer en un nouveau coronavirus SARS qui cause une maladie. Il faut s’attendre à tout moment à un tel événement et à la vague de maladies en résultant, comme par exemple la pneumonie atypique.

À ce jour les virologues n’ont pas été capables d’isoler un virus SARS à partir d’un patient, d’une chauve-souris, d’un autre animal ou dans un laboratoire et ainsi prouver l’existence d’un brin de virus SARS intact et complet. La supposition des virologues qu’il existe également dans la réalité des brins génomiques viraux, qui sont construits de la même manière que les brins qui ont été assemblés intellectuellement à partir de courtes séquences génomiques n’a pas pu, à ce jour, être confirmée. Bien qu’il existe des techniques standards simples pour la détermination de la longueur des séquences géniques, on n’a pas réussi à prouver, d’une manière ou d’une autre, l’existence et la présence d’un brin génomique de virus SARS.

Les peurs massivement alimentées par de telles fausses affirmations étaient le fondement des craintes de l’ophtalmologue Li Wenliang tout comme chez les autres médecins et infectiologues et pas seulement à Wuhan. Ces affirmations sont la raison pour laquelle, à partir du 31 décembre 2019, les épidémiologistes et virologues du CCDC se sont focalisés sur la découverte de séquences génomiques similaires qui en 2003 avaient été définies comme composantes des coronavirus SARS (davantage sur ce propos plus bas).

3. La 2e des causes possibles de la peur de Li Wenliang

La crise SARS et Corona a débuté avec l’affirmation dans les médias qu’il y avait une prolifération de patients avec une pneumonie atypique. Cette affirmation n’a jamais été étayée. La seule chose qui ait été affirmée c’est que les pneumonies atypiques qui étaient survenues pouvaient être expliquées par l’acceptation de l’émergence d’un nouveau virus, parce que quelques-unes de ces personnes avec une pneumonie atypique avaient eu un contact avec des marchés d’animaux. Afin de pouvoir confirmer cette supposition qu’un virus inconnu puisse être à l’origine d’une pneumonie atypique, des faits connus et décrits dans la littérature scientifique médicale ont été supprimés. Il y a en effet un large spectre de causes non infectieuses pour les pneumonies atypiques. Ces pneumonies atypiques, pour différentes raisons, sont plus souvent mortelles que ce n’est le cas pour les pneumonies typiques.

Parmi les causes, il y a l’inhalation de gaz d’échappements, de solvants et de produits chimiques. L’introduction d’aliments, de boissons ou de contenu de l’estomac, lors de troubles de la déglutition ou de perte de connaissance, qui pénètrent dans les poumons peuvent également causer les pneumonies les plus graves (pneumonie d’aspiration). Rien que l’eau est suffisante et peut provoquer une grave pneumonie atypique lorsqu’elle parvient dans les poumons des noyés. Comme autre cause, il y a le spectre des dysfonctionnements immunologiques, tels que les allergies et les réactions auto-immunes. Il est également connu que les radiations dans le traitement du cancer peuvent également déclencher une pneumonie qui ne peut pas être distinguée d’une pneumonie typique. Les pneumonies hypostatiques (pneumonies qui évoluent sans symptômes permettant d’alerter — NdT) sont connues chez les personnes âgées. Celles-ci apparaissent suite à des rétentions d’eau (œdème) lors d’alitement prolongé, suite à des faiblesses cardiaques et rénales, ce qui peut entraîner une ventilation et une circulation sanguine insuffisantes dans le poumon, qui résulte directement en une inflammation du poumon et peut donc conduire à une pneumonie atypique.

De manière logique, une combinaison de causes qui par ailleurs sont à seuil bas agit également dans la pneumonie atypique. Une pneumonie atypique peut très rapidement se transformer en pneumonie typique, au cas où se produit une colonisation secondaire du poumon enflammé. C’est la raison pour laquelle la proportion de pneumonies atypiques est probablement plus élevée que les 20 à 30 % estimés.

Dans les études des cinq personnes qui sont documentées dans les deux publications pertinentes concernant la crise corona6, il n’y a pas eu de recherches sur la présence ou les antécédents possibles de signes, de mécanismes et d’effets de ces causes connues de la pneumonie atypique. De toute façon la plupart du temps les virologues ne font pas cela et, vu les circonstances entourant la panique, cela n’était pas non plus possible pour les membres du CCDC. L’exclusion de la mention de pneumonie atypique est la preuve d’une faute professionnelle médicale et empêche le bon traitement des patients. Les personnes affectées courent alors le danger d’être soumises à un mauvais traitement à base de cocktails d’antibiotiques avec de nombreux effets secondaires, surtout dans le cas de surdosage, qui est en lui-même en mesure d’aboutir aux décès des patients7. Il doit être bien clair que la panique extrême, surtout dans les problèmes respiratoires, peut, indépendamment de tout le reste, provoquer le décès. La panique peut tuer en très peu de temps, et pas seulement dans les problèmes cardiovasculaires.

La réponse à la question essentielle, si effectivement un nouveau virus a été détecté ou si de petites parties de matériel génétique provenant du corps ont été considérées ou mal interprétées comme étant des composants d’un virus, cette réponse est essentielle pour que la crise Corona puisse se terminer rapidement ou non. Comme pour le H1N1 les auteurs de la crise Corona disent que celle-ci ne peut se terminer que grâce à la vaccination. Mais l’idée de la vaccination peut également être réfutée, comme celle des virus.

Le souvenir de la pandémie de grippe porcine de 2009, qui entre temps a été oubliée, peut être très utile pour l’analyse et la qualification des événements entourant le déclenchement et le maintien de la crise Corona. La volonté majoritaire dans la population était alors de se laisser vacciner contre les virus allégués de la grippe porcine. Puis il y eut un retard dans les livraisons annoncées de vaccins. Les vaccins ne pouvaient pas être conditionnés dans des seringues prêtes à l’emploi, car les nouveaux stimulants qui étaient utilisés pour la première fois endommageaient le mélange du vaccin et le rendaient inutilisable. En conséquence, le vaccin a été conditionné dans des ampoules pour 10 personnes et le stimulant ne pouvait être rajouté que juste avant l’acte vaccinal.

À cette époque, on a appris que les stimulants, appelés adjuvants, sans lesquels le vaccin ne pourrait pas déployer son effet, sont nouveaux et non testés. On a appris que ces nouveaux adjuvants comportaient des nanoparticules. On sait que les nanoparticules, en raison de leur taille minuscule, sont très réactives, et utilisées à cause de cela comme catalyseurs dans de nombreuses réactions chimiques, par exemple elles agissent lors de processus techniques de telle manière que les surfaces se comportent de façon complètement différente par rapport à ce que l’on peut atteindre par des méthodes habituelles. Puis on apprit que la Chancelière Fédérale Angela Merkel et l’Armée Allemande devaient recevoir ce vaccin, mais sans le nouvel adjuvant à nanoparticules, contrairement à la Police et à la population qui elles recevraient le vaccin avec les nanoparticules non testées.

Le résultat fut que 93 % de la population a refusé le vaccin qui avait été produit pour elle. Seuls 7 % des Allemands se sont laissés administrer le vaccin. Le métabolisme humain ne peut pas métaboliser et extraire les nanoparticules. À cause de ce refus de la part de la presque totalité de la population, la grippe porcine disparut effectivement du jour au lendemain, comme par enchantement, hors des médias dans un naufrage et les vaccins dans un haut-fourneau. (On s’autorise une petite polémique : de manière étonnante le virus de la grippe porcine H1N1 a pris au grand galop la poudre d’escampette, n’a plus infecté d’autres personnes, n’a pas rendu malades les infectés, et a arrêté immédiatement sa présence dans les médias. Peut-être le virus de la grippe porcine s’est-il transformé en virus de la grippe halieutique, pour remonter les cours d’eau dans le corps des saumons et pour frapper à nouveau avec une force groupée sur le marché de Wuhan.)

Les épidémiologistes, infectiologues et virologues ont appris de l’échec de la planification de la pandémie qui n’a pas atteint l’apogée de la vaccination. Ils ont analysé les causes et publié leurs connaissances et recommandations pour le futur dans le n°12 de décembre 2010 du Bulletin de Santé Fédéral (en allemand : Bundesgesundheitsblatt — NdT). Le titre révélateur de ce numéro « Pandemien, Lessons learned » (Pandémies, leçons retenues — NdT) ce qui revient à dire : Les enseignements que nous avons tirés de la débâcle de la grippe porcine H1N1.

Quelques-unes des contributions de ce n° sont visibles sur Internet8, toutefois pas les plus importantes. Les recommandations clés pour la gestion de la pandémie sont :

  • S’assurer que les experts ne se contredisent pas lors de discussions publiques.
  • Implication précoce dans les médias dominants et les médias sociaux.
  • Contrôle d’Internet. Ceci pour éviter que des affirmations et des critiques du consensus et de ne pas mettre en danger l’acceptation des mesures politiques et sociales.

Ces recommandations ont maintenant été mises en œuvre avec succès ! Internet est censuré, les opposants critiques sont exclus avec, entre autres, des insultes. Les arguments irréfutables de l’acceptation de la pandémie qui ont réussi à pénétrer dans le débat public ne sont tout simplement pas abordés. Dans les médias et le personnel politique, on n’écoute qu’un seul expert, le professeur Drosten. La seule « critique » qui lui a été adressée, prononcée par un virologue VIH, avait pour but de renforcer l’affirmation centrale de l’existence d’une nouvelle sorte de virus, le SARS-CoV-2.

4. La mondialisation de la panique chinoise du virus SARS et la réorientation en crise corona par le Professeur Drosten

Le Professeur Christian Drosten de la Charité à Berlin (rappel la Charité est l’hôpital universitaire de Berlin — NdT) affirme qu’il a à partir du 1er janvier 2020 mis au point une méthode de détection génique avec laquelle il peut démontrer la présence du nouveau coronavirus chez les humains8. Le 21 janvier 2020, l’OMS a recommandé à la Chine et à toutes les autres nations le test fiable qu’il avait mis au point afin de pouvoir déterminer la propagation du prétendu nouveau coronavirus10.

Afin a) de pouvoir comprendre quelles hypothèses et quels faits sont à la base des affirmations du Professeur Drosten et b) pour vérifier si ses conclusions sur sa mise au point du test pour le nouveau coronavirus sont de manière logique et scientifiquement prouvées ou non, ou même réfutées, il est nécessaire d’expliquer les termes, techniques et représentations utilisés dans son argumentation et d’analyser les deux publications cruciales auxquelles se réfère le Professeur Drosten.

  • Comment sont définis un virus et un coronavirus ?
  • Comment dans ce contexte sont définies les séquences ?
  • Comment fonctionnent les détections de séquences désignées comme PCR, comme RT-PCR et comme « temps réel » PCR ?
  • À quel moment la détection de la présence de séquences chez les humains peut-elle être annoncée comme preuve de la présence d’un virus ?
  • Comment l’existence d’un virus est-elle démontrée scientifiquement ?

Terminologie

  • En science un virus est défini par son matériel génétique propre, qui n’appartient qu’à ce seul virus.
  • Le matériel génétique d’un virus est également désigné brin de matériel génétique, molécule génétique virale ou génome.
  • Le matériel génétique viral d’un virus contient successivement les différentes séquences génétiques pour la formation des différentes protéines virales, qui sont désignées comme étant des gènes viraux.
  • Le matériel génétique d’un virus peut être composé de l’une ou de l’autre des espèces moléculaires génétiques ADN ou ARN.
  • Les coronavirus sont ainsi définis qu’ils sont composés d’une molécule ARN spécifique qui est entourée d’une enveloppe.
  • Le matériel génétique d’un virus particulier est défini par sa longueur particulière précise et par la disposition exacte de la structure du brin génomique viral.
  • La composition du matériel génétique d’un virus résulte de la détermination exacte du nombre et de la succession spécifique des quatre éléments constitutifs (les 4 bases azotées appelées adénine, thymine, cytosine et guanine — NdT) dont se compose le matériel génétique. Les quatre éléments constitutifs sont appelés nucléotides.
  • Le processus de détermination de la succession (séquence— NdT) des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquençage.
  • Le résultat de la détermination de la succession des éléments constitutifs d’un matériel génétique est appelé séquence ou séquence génétique.
  • Les virus pathogènes sont caractérisés par le fait que leur séquence est unique et n’apparaît pas dans des corps en bonne santé.
  • Afin de pouvoir démontrer et de déterminer la présence de matériel génétique d’un virus, selon les règles de la pensée et de la logique qui précèdent chaque science en tant que règle fondamentale, ce virus doit être isolé et être présenté sous forme pure, afin que les séquences géniques qui ne sont pas spécifiques ne soient pas mal interprétées comme étant des éléments du virus.
  • La disposition de la séquence d’un matériel génétique n’est possible que si elle se présente sous forme d’ADN.
  • Afin de pouvoir déterminer la séquence d’un matériel génétique, qui se présente sous forme d’ARN, il faut qu’elle soit auparavant transformée par voie biochimique en ADN.
  • Le processus de transformation d’un matériel génétique d’ARN en ADN est désigné par « Transcription Inverse » (en anglais « Reverse Transcription » ou RT — NdT) et abrégé en RT.

Les techniques utilisées par le Professeur Drosten et premières conclusions.

  • La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées par le fait qu’il est séparé selon sa longueur grâce à un champ électrique. Les petits morceaux migrent plus vite, les plus longs migrent plus lentement. En même temps sont ajoutées, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique étudié, différentes longueurs de matériel génétique de longueurs connues. Cette technique standard fiable pour la détection et la détermination de la longueur d’un matériel génétique est appelée « électrophorèse sur gel ».
  • Si la concentration d’un matériel génétique donné est trop faible pour qu’elle soit détectable par « l’électrophorèse sur gel », alors elle peut être augmentée à volonté grâce à une technique de duplication illimitée d’ADN appelée Réaction de Polymérisation en Chaîne (en anglais Polymerase Chain Reaction d’où son nom de PCR — NdT). C’est ainsi que de l’ADN non détectable par électrophorèse peut être rendu visible. Ceci est un prérequis pour que du matériel génétique puisse subir des examens plus approfondis, surtout pour la cruciale détermination subséquente de sa longueur et séquence.

L’inventeur de cette technique PCR, Kary Mullis, qui en 1993 s’est vu décerner le Prix Nobel de Chimie (pour cette invention — NdT), a signalé très tôt que sa méthode qu’il avait développée pour l’analyse de la pureté de l’air dans les usines de fabrication de puces électroniques pour ordinateur était très sujette aux erreurs. Dans son discours à Stockholm, qui est sur la page du Comité du Prix Nobel, il a également souligné, qu’il n’y avait pas de preuve vérifiable, vraiment scientifique, que la substance génétique, qui est appelée génome du VIH, déclenche vraiment une faiblesse immunitaire ou une des différentes maladies qui, de manière inadmissible, sont résumées sous le terme « SIDA » et qui sont traitées avec une chimiothérapie hautement toxique. Il a souligné que le consensus « que le VIH déclenchait une déficience immunitaire » n’existait que chez les scientifiques impliqués (ayant des intérêts — NdT)

Afin de pouvoir multiplier un ADN avec la technique PCR, il est nécessaire d’en connaître la composition, la séquence de l’ADN. Parce qu’un ADN ne peut être multiplié avec la PCR que si au début et à la fin de l’ADN, se lient de petits fragments de gènes produits artificiellement qui correspondent aux séquences du début et de la fin de l’ADN à multiplier. Ces petits morceaux d’ADN artificiellement produits sont appelés pour cela « molécules amorces » de la PCR, ou Primer. Ils ont en général de 24 à 30 nucléotides (éléments constitutifs de la substance génétique).

Avec la PCR ne peuvent donc pas être détectés des séquences inconnues ou des virus inconnus. Ce n’est que la détermination de la séquence d’un virus qui rend possible la mise au point d’un test PCR pour la détection d’une séquence génique qui provient d’un virus.

  • Au tout début de la PCR, il n’était que possible de déterminer, au moyen de l’électrophorèse sur gel, la quantité d’ADN amplifié après l’arrêt de la réaction d’amplification PCR. Entre-temps ont été ajoutés certains colorants aux enzymes et substances nécessaires à la PCR. La détection de ces colorants lors du déroulement de la PCR indique à peu près quelles concentrations artificiellement amplifiées d’ADN sont apparues et environ quelle quantité d’ADN était réellement présente au début de la PCR. Puisque la détermination de la quantité d’ADN générée artificiellement peut être déterminée à peu près pendant le déroulement de la technique PCR, cette extension de la technique PCR est appelée « PCR temps réel » (RT-PCR en anglais – NdT). Comme un autre pas avait précédé la « PCR temps réel », la conversion d’ARN en ADN au moyen de la « Transcription Inverse » (en anglais Reverse Transcription ou RT – NdT), la « PCR temps réel » est appelée « RT-PCR temps réel » (en anglais « real time RT-PCR » – NdT).
  • Le Professeur Drosten utilise dans le test qu’il a mis au point pour la détection du nouveau coronavirus la technique « RT-PCR temps réel ». À cet effet, au premier janvier 2020 il a choisi dans une base de données de courtes séquences géniques proposées qui sont attribuées au virus SARS. Sur la base de ces séquences de petits fragments géniques qui ont été interprétés comme possibles composants des coronavirus, il a conçu les séquences PCR amorces (rappel : en anglais Primer — NdT) cruciales pour la PCR, afin de détecter avec sa « RT-PCR temps réel » le virus « encore » inconnu en Chine.

Lorsque les 10 et 12 janvier 2020 sont apparues sur Internet les compositions préliminaires de séquences qui ultérieurement ont été modifiées et qui ont été publiées11 les 24 janvier et 3 février 2020, cela représentait le résultat des deux premiers essais pour identifier le virus qui était encore inconnu. Les virologues du CCDC ont à cet effet réuni théoriquement, au moyen de programmes informatiques, les séquences des petits fragments géniques en un possible génome. Les virologues du CCDC déclarent dans les deux publications qu’il n’existe encore aucune preuve au sujet de ces propositions de séquence, qu’elles puissent effectivement déclencher des maladies. Les 10 et 12 janvier, les propositions chinoises de séquences étaient encore provisoires et n’avaient pas encore été soumises au processus strict, scientifiquement requis, de la vérification.

Par le fait que le 21 janvier 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ait recommandé le test de détection PCR mis au point par le Professeur Drosten pour la détection du nouveau virus avant même la publication des deux premières propositions chinoises de séquences est un premier fait prouvé : le Professeur Drosten a utilisé des données non vérifiées pour son test PCR du 2019-nCoV rapidement mondialisé, qui le 7 février 202012 avec le concours du Professeur Drosten a été rebaptisé en SARS-CoV-2.

Avec le changement de dénomination de « nCoV » en « SARS-CoV-2’ au 7 février 2020 une simple hypothèse d’un virus défectueux ou inoffensif en un agent pathogène dangereux a donné l’impression à l’opinion publique qu’un virus SARS avait été découvert en Chine, qui déclenche une maladie dangereuse, à savoir le SARS et qui avait tué la nouvelle idole de Chine, Li Wenliang qui avait éclipsé la direction du parti (communiste chinois — NdT). En faisant cela, le Professeur Drosten et ses collègues du Groupe de Nomenclature des Virus ont répondu à l’attente d’une population effrayée jusqu’à la moelle : « Finally diagnosed », « Finalement diagnostiqué ». Cette attente a été réveillée par une dynamique propre de panique de masse déclenchée par le docteur en médecine Li Wenliang et apparemment remplie par le Professeur Drosten. Ce qui est important dans l’évaluation de ce fait est la réalité qu’à cette date tous les virologues directement impliqués ont témoigné — et jusqu’à ce jour témoignent —, qu’il n’y a pas de preuve que ce nouveau virus déclenche effectivement des maladies. Ou bien n’apparaît-il qu’en parallèle dans les maladies, lors des traitements des maladies, après les traitements, chez quelques personnes en bonne santé, chez de nombreuses personnes en bonne santé ou chez tout le monde ?

Rien que cela prouve que le Professeur Drosten a dépassé les frontières claires et visibles des pratiques scientifiques déloyales pour aller vers d’importantes et reconnaissables fraudes. Il ne pourra pas non plus avancer l’excuse d’avoir utilisé la publication au 23 janvier 202013 de sa procédure de test dans un journal, dans lequel les affirmations avancées n’ont pas été vérifiées avant la mise sous presse.

5. Les questions cruciales pour une fin rapide de la crise corona

La question centrale et décisive si le Professeur Drosten a respecté son devoir scientifique, qui fait partie de son contrat de travail14, de vérifier lui-même et de manière approfondie toutes les affirmations qui sont dans sa publication sur le procédé de détection qu’il a mis au point et sur ses déclarations publiques basées à ce sujet.

En raison de ce devoir scientifique central, il y a trois questions cruciales qui en découlent :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques, qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont effectivement des séquences qui proviennent d’un virus ?
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus ? A-t-il réalisé ces expériences de contrôle, si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, en réalité qui ne sont pas des séquences, qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
  3. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique et qui constituent 50 % de la masse des gènes de nos chromosomes ?

Les réponses proviennent, à ce jour, des faits documentés du Professeur Drosten lors de la mise au point du procédé de test et de non-faits documentés du Professeur Drosten. Le virologue Professeur Drosten, qui a mis au point la détection du nouveau coronavirus (appelé d’abord 2019-nCoV puis à partir du 7 février 2020 SARS-CoV-2), décrit la mise au point du procédé de test dans une publication publiée le 23 janvier 202016. Dans la page 3 de cet article, dans la colonne de gauche, 8 lignes du bas, il nous décrit le premier et décisif pas de sa démarche :

“Avant l’annonce publique de séquences de virus provenant de cas avec 2019-nCoV, nous nous sommes reposés sur les médias sociaux qui annonçaient la détection d’un virus similaire au SARS. C’est pour cela que nous avons supposé qu’un CoV relié au SARS est impliqué dans le déclenchement (de l’épidémie — NdT).”

Ce qui signifie que le Professeur Drosten et ses collaborateurs, sur la base d’annonces dans les médias sociaux, ont accepté que dans l’épidémie alléguée d’une pneumonie atypique un coronavirus en rapport avec le SARS pourrait être impliqué. À ce moment-là aucune donnée clinique n’était disponible qui aurait pu servir de base à une telle hypothèse. Quel était le pas suivant ?

“Nous avons téléchargé toutes les séquences de virus complètes et partielles (longueur moyenne > à 400 nucléotides) reliées au SARS qui, au 1er janvier 2020, étaient disponibles dans la GenBank (banque de gènes— NdT).” Ça continue dans la colonne de droite de la page 3, 3e ligne à partir du haut :

“Ces séquences nous les avons (Remarque de moi-même, Stefan Lanka : à partir d’une séquence standard de virus SARS prédéfinie) alignées et l’alignement a été utilisé pour la conception de l’essai (Figure supplémentaire S1 dans le supplément de cette publication).”

“Après la publication de la première séquence 2019-nCoV sur virological.org, nous avons choisi 3 tests avec comme base dans quelle mesure elles correspondaient au génome du 2019-nCoV (Figure 1).”

À partir de ces propos découlent des réponses, des conclusions et des conséquences claires :

  1. Le Professeur Drosten a-t-il vérifié si les séquences géniques qui sont la base de son procédé de test et qui ont été mises à sa disposition par les virologues chinois sont véritablement des séquences qui proviennent d’un virus ? La réponse est non ! Il ne pouvait pas vérifier si les séquences proposées provenaient d’un virus, parce que dans les deux publications décisives décrivant l’obtention des séquences géniques qu’il avait utilisées ces séquences n’étaient pas disponibles avant la mise sur le marché de son test.
  2. Le Professeur Drosten a-t-il réalisé les expériences de contrôle qui en science sont impératives et qui prouvent si les séquences qu’il a utilisées proviennent effectivement d’un virus. A-t-il réalisé les expériences de contrôle pour savoir si les séquences qu’il a utilisées, qu’il attribue au nouveau virus, ne sont pas en réalité des séquences qui apparaissent dans n’importe quel métabolisme, peut-être même dans des plantes, comme par exemple dans la papaye de Tanzanie15 ou dans les métabolismes lors de maladies ?
    La réponse est : Non ! Ni lui, ni les virologues du CCDC ou d’autres n’ont à ce jour de manière prouvée réalisé ces contrôles impératifs et dans le cas où ils les auraient réalisés alors ils ne les ont pas publiés. Pour ces expériences de contrôle cruciales, il faut utiliser de courtes séquences génétiques provenant du métabolisme de personnes en bonne santé afin de les séquencer. Ces courtes séquences géniques doivent, comme celles provenant de personnes malades, être assemblées en un long génome d’un virus, à l’aide des mêmes programmes informatiques. Cet essai n’a soit jamais été effectué ou n’a jamais été publié. Il n’est même pas fait mention de ce contrôle obligatoire et résultant des règles de la logique de la virologie — de contrôler ses propres résultats de manière approfondie. Au moment où cet essai est effectué et publié, la crise corona est instantanément terminée.
    L’autre test de contrôle, basé sur la logique scientifique, est le dépistage intensif, au moyen du procédé PCR (RT-PCR temps réel), d’échantillons cliniques de personnes avec d’autres maladies que celles qui sont décrites comme attribuées au virus et à partir d’échantillons provenant de personnes en bonne santé, d’animaux et de plantes, pour voir si ces échantillons ne sont pas également testés « positif ». Ces expériences de contrôle supplémentaires, qui logiquement sont obligatoirement nécessaires afin de valider un procédé de test, à savoir vérifier s’il est valable et a une signification, n’ont à ce jour jamais été effectuées et on n’a même pas affirmé qu’elles ont été effectuées. C’est la raison pour laquelle l’inventeur et les producteurs de ce procédé de test se sont couverts, par les renseignements correspondant sur la notice d’information, par exemple que le test n’est à utiliser qu’à fins d’études et n’est pas adapté à des fins de diagnostic.

Je peux prédire avec certitude que des personnes qui libèrent des séquences géniques d’un type de tissu de l’épithélium squameux, par exemple les patients insuffisants rénaux, seront testées positives à 100 % avec le test PCR développé par le Professeur Drosten, si la quantité de frottis prélevée sur elles est un peu multipliée et concentrée. Très vraisemblablement tous les organismes peuvent être testés positifs.

J’en appelle aux biochimistes, bio informaticiens, virologues et spécialistes de cultures cellulaires de réaliser ces essais de contrôle, de les diffuser et de m’en informer. J’ai conçu une expérience de contrôle où l’excuse que le matériau échantillon ait été contaminé avec le virus SARS-CoV-2 avant ou pendant l’essai de contrôle est exclue à l’avance.

Les coûts pour la réalisation des expériences de contrôle seront couverts si moi-même et d’autres observateurs neutres avons le droit d’être présents lors des expériences de contrôle et que chaque pas (de l’expérience — NdT) est décrit. Veuillez, pour la prise de contact, vous adresser à l’éditeur. Cela ne sert à rien s’il n’y a que moi à présenter les résultats des essais de contrôle.

  1. Sur la base de quels hypothèses, expériences et contrôles le Professeur Drosten peut-il affirmer qu’avec son procédé de test, pour lequel il ne prouve que des zones partielles de 2 gènes du génome sur un total de 10 gènes du coronavirus, qu’il prouve la présence d’un virus entier, actif et causant des maladies ? Et pas seulement des fragments d’un virus après un supposé combat victorieux du système immunitaire, ou bien la présence de virus « défectueux » ou « incomplets » ou « inoffensifs » qui sont typiques dans notre matériel génétique ?

Le Professeur Drosten n’a pas pris en considération ces questions logiques, car elles n’apparaissent nulle part dans ses publications et affirmations. La détection de seules quelques petites séquences de gènes d’un génome ne pourra jamais prouver la présence d’un virus intact et donc capable de se reproduire. Pour pouvoir qualifier de valide un tel test PCR, il faudrait d’abord entreprendre des études, dont les résultats montrent que la détection de petites séquences de gènes prouve automatiquement la présence d’un génome entier et intact d’un virus. De telles études logiques et impératives n’ont pas été menées ou signalées à ce jour.

La Professeure Karin Mölling, virologue de pointe dans le domaine des virus associés aux cellules, des virus décrits comme endogènes, incomplets ou défectueux, a qualifié les mesures adoptées comme étant injustifiées, et ce dès le début de la crise corona. Elle a démontré dans des publications et dans son livre17 que la moitié des génomes de l’être humain, par conséquent la moitié des séquences dont sont constitués nos chromosomes, proviennent de séquences géniques inactives et défectueuses. Ce qu’elle ne sait pas, ou cache, est la réalité que le métabolisme génère constamment une grande quantité de séquences géniques ARN de composition quelconque, qui n’apparaissent pas sous forme d’ADN dans les chromosomes. Cette réalité remet en question l’existence affirmée de tous les virus ARN, comme par exemple les coronavirus, les virus Ebola, le VIH, le virus de la Rougeole, et les virus SRAS. Ce fait est également le fondement de la raison pour laquelle, avec les expériences de contrôle, non seulement la crise Corona touchera à sa fin, mais également la peur et les traitements inadaptés dus à toute la virologie des présumés virus responsables de maladies. Je peux assurer que les vraies causes et phénomènes de l’infection, qui sont attribuées aux virus, sont prouvées au sens « positif » du mot « Science ». Je fais référence à cette fin aux contributions passées « Mauvaise interprétation du virus » du magazine WissenschafftPlus n°1/2020 qui peut aussi être obtenu en fichier PDF. Et naturellement les nombreuses contributions antérieures autour de cette problématique.

La suite « Mauvaise interprétation du virus III » suivra.

Sources :

  1. A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019. N Engl J Med 2020; 382: 727-33. DOI : 10.1056/NEJ- Moa2001017. Veröffentlicht am 24.1.2020.
  2. Von der Verantwortung eines Virologen. Ist Christian Drosten Opfer oder Täter? Veröffentlicht im Blog des Friedensaktivisten Peter Frey, peds-ansichten.de am 26.5.2020.
  3. SARS, Wikipedia. https://de.wikipedia.org/wiki/Schweres_akutes_Atemwegssyndrom (Eintrag vom 29.5.2020);
  4. Xing-Yi Ge et al., Isolation and characterization of a bat SARS-like coronavirus that uses the ACE2 receptor. Nature. Band 503, 2013, S. 535–538, doi:10.1038/nature12711;
  5. Discovery of a rich gene pool of bat SARS-related coronaviruses provides new insights into the origin of SARS coronavirus. Ben Hu, Lei-Ping Zeng, Xing-Lou Yang et al., PLoS Pathogens. 13(11): e1006698, doi:10.1371/journal.ppat.1006698;
  6. Siehe Quelle 1 und : A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature | Vol 579 | 12 March 2020 | 265-269.
    https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3. Veröffentlicht am 3.2.2020.;
  7. Pathological findings of COVID-19 associated with acute respiratory distress syndrome. Lancet Respir Med 2020; 8: 420–22.
    Published Online February 17, 2020.
    https://doi.org/10.1016/ S2213-2600(20)30076-X;
  8. Bundesgesundheitsblatt, Ausgabe Nr. 12, Dezember 2010. Pandemien. Lessons learned https://link.springer.com/journal/103/53/12;
  9. Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR. Prof. Christian Drosten und Mitarbeiter. Euro Surveill. 2020;25(3):pii=2000045.
    https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045. Veröffentlicht am 23.1.2020.
  10. Diagnostika: Erster Test für neuartiges Coronavirus entwickelt. Medica Magazin vom 21.1.2020. https://www.medica.de/de/News/Archiv/Diagnostika;
  11. Siehe 6;
  12. Severe acute respiratory syndrome-related coronavirus: The species and its viruses — a statement of the Coronavirus Study Group. bioRxiv preprint doi: https://doi. org/10.1101/2020.02.07.937862;
  13. Siehe 9;
  14. §2 Grundsätze Guter Wissenschaftlicher Praxis: (1) u.a. „alle Ergebnisse konsequent selbst anzuzweifeln“ und „die anerkannten Grundsätze wissenschaftlicher Arbeit in den einzelnen Disziplinen einzuhalten.“ In: Neufassung der Satzung der Charité – Universitätsmedizin Berlin zur Sicherung Guter Wissenschaftlicher Praxis vom 20.06.2012 (AMB Charité Nr. 092, S. 658) Zu finden unter: https://www.charite.de/fileadmin/ user_upload/portal/charite/presse/publikationen/amtl-mittei lungsblatt/2016/AMB_208.pdf;
  15. Wie mit den Befunden in der Öffentlichkeit umgegangen wird, dass auch Früchte „positiv“ auf „SARS-Cov-2“ getestet werden ist, finden Sie beispielhaft hier: https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/coronavirus-papaya-ziege-tansania-test-100. html
  16. Siehe 9;
  17. Siehe das Buch von Karin Mölling mit dem interessanten Titel „Viruses: More Friends Than Foes“, 420 Seiten, das 2016 auch auf Deutsch erschienen ist.

Traduction Jean Bitterlin 30 octobre 2020




Les enfants sacrifiés du Covid — Morceaux choisis

Par Joseph Stroberg

Afin de donner une idée assez fidèle du contenu du dernier livre des docteurs Nicole et Gérard Delépine, Les enfants sacrifiés du Covid, en voici quelques extraits significatifs :

Depuis bientôt deux ans, le monde est soumis à une tentative coordonnée et brutale de transformer la société humaine occidentale en une réplique de la société chinoise imposant un contrôle social fondé sur l’obéissance au sein d’un totalitarisme revendiqué.

La propagande Covid instillant la peur a permis de soumettre les masses populaires par le matraquage quotidien d’un message unique et omniprésent sur tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger ». L’unicité du message a engendré l’hypnose de la majorité des gens et conduit à la situation catastrophique d’aujourd’hui avec dislocation des rapports humains, y compris familiaux.

(Extrait du prologue)

Depuis près de 21 mois, de très nombreuses publications françaises et internationales1 démontrent que les enfants (non gravement malades par cancers, immunodépression, etc.) sont innocents du Covid, à risque zéro d’en mourir, et de surcroît ne transmettent pas le virus SARS-CoV-2, ni aux autres enfants, ni aux adultes.

(Extrait p. 9)

Mais il est bien vite apparu que l’objectif de la « plandémie » mise au point par quelques milliardaires au forum de Davos, annoncé et répété par l’évènement Event 201 et mis en œuvre par la majorité des 194 pays signataires du conseil mondial de l’OMS3, n’était pas médical, mais politique.

(Extrait p. 9-10)

Après le confinement, les mesures inutiles de distanciation à l’école, l’obligation de port de masques inefficaces et toxiques encore à l’heure actuelle.

(Extrait p. 10)

Les adolescents, poussés à l’injection sans le consentement de leurs parents dès 16 ans, et pour les plus jeunes avec seulement celui d’un parent, ont déjà cédé au chantage pour pouvoir continuer à sortir, danser ou boire une bière avec les copains sans entrave. On leur disait que ce pseudo vaccin était inoffensif et qu’il fallait « faire confiance à la science ». Laquelle ? À la véritable science qui cultive le doute et progresse grâce aux controverses, ou bien au scientisme des marchands du temple vaccinal qui interdit tout débat démocratique ? À la science des vrais docteurs au chevet des malades, diffamés, vilipendés, ou à celle des marchands de tapis qui s’expriment en permanence sur tous les médias, propriétés des milliardaires actionnaires des Big Pharmas producteurs des injections miracles ?

(Extrait p. 10-11)

Et comme les dégâts ne sont pas suffisants, on s’apprête à imposer quasiment de force l’injection des petits de 1 à 6 ans, en attendant celles des bébés qui suivra logiquement, si on n’arrête pas cette folie meurtrière.

(Extrait p. 11)

D’abord, y a-t-il eu maladie : quels sont les symptômes, l’évolution et les risques éventuels de l’infection par SARS-CoV-2 chez l’enfant ?
« Nous pensons fortement que les enfants sont les victimes du management du Covid et non de la maladie appelée Covid. »

(Extrait p. 13)

Toutes les études sur le sujet soulignent que la susceptibilité d’un enfant à la contamination est largement inférieure à celle des adultes, sans qu’on en ait formellement démontré les raisons.

(Extrait p. 14)

[La plupart du temps,] les enfants n’éprouvent aucun symptôme, ne sont pas malades, ce sont éventuellement des porteurs sains.
Lorsqu’ils sont cliniquement malades, les symptômes sont habituellement bénins (…)

(Extrait p. 14-15)

Le Covid-19 tue très exceptionnellement les enfants, environ trois fois moins que la grippe (…)

(Extrait p. 22)

Les parents doivent pouvoir prendre des décisions sur la vaccination en toute connaissance de cause, et tout particulièrement de cette absence de risque chez l’enfant sain.

(Extrait p. 22)

L’enfant ne participe qu’infiniment peu, ou pas, à la transmission du Covid.

(Extrait p. 23)

La contamination quasi exclusive des enfants par des contacts familiaux suggère que l’activité scolaire, diminuant le temps passé à domicile, est ainsi susceptible de diminuer le risque de contamination des enfants.

(Extrait p. 26)

Les enfants ne contaminent pas les autres, ni adultes ni enfants !

(Extrait p. 27)

Par rapport aux adultes, l’incidence et la gravité de la maladie Covid-19 sont très faibles chez les enfants, et leur rôle dans la propagation de la maladie est infime. Par conséquent, les pseudo vaccins géniques anti-Covid 19 devraient avoir une sécurité et une efficacité pleinement démontrées dans la prévention, non seulement des complications, mais de la transmission pour justifier l’injection des enfants. Ce qui est loin d’être le cas en décembre 2021.

(Extrait p. 32)

La fermeture inutile des écoles a gravement nui aux enfants.

(Extrait p. 33)

Les conclusions du Centre européen de contrôle des maladies infectieuses sont claires : « Les preuves issues de la recherche des contacts dans les écoles et les données d’observation d’un certain nombre de pays de l’UE montrent que la réouverture des écoles n’a pas été associée à une augmentation de la transmission communautaire. Les données disponibles indiquent également que les fermetures d’établissements de garde d’enfants et d’enseignement ne constituent pas une mesure de contrôle efficace pour la transmission communautaire du Covid-19 et que de telles fermetures ne fourniraient probablement pas une protection supplémentaire significative de la santé des enfants, car la plupart développent une forme très légère Covid-19. »

(Extrait p. 41)

Une étude récente de l’UNESCO montre que plus de 100 millions d’enfants tomberont en dessous du niveau de compétence minimum en lecture en raison de l’impact des fermetures d’écoles.

(Extrait p. 44)

Avec la pandémie, les anxiétés, dépressions, troubles alimentaires ont augmenté chez les moins de 18 ans de 30 à 60 % selon les études.

(Extrait p. 47)

Selon une étude de l’Observatoire national de la Santé (Onaps), réalisée en 2019 et 2020,
« après le confinement, les enfants de CE2 ont perdu 20 % de leurs capacités physiques et 40 % de leurs fonctions cognitives ».

La catastrophe de l’enseignement atteint tous les enfants et adolescents de l’école des tout-petits à l’université.

« Pendant le confinement, enfants, ados, adultes, nous avons été comme en prison. Nous n’avons pas eu le droit de voir nos amis… » Témoignages de tant d’ados…

(Extrait p. 48)

Bien pratique ce sujet unique télévisé sur le nombre de morts ou de lits d’hôpitaux disponibles, et ces messages falsifiés. Qu’importe si on sacrifie nos enfants sur tous les plans !

(Extrait p. 52)

Le port du masque chez les enfants sains à risque zéro de formes graves (et qui ne contaminent ni les adultes ni les autres enfants) est une ineptie démontrée par toutes les études scientifiques qui ont analysé le sujet. Mais les nombreux articles parus dans des revues internationales et cités par des auteurs sérieux n’ont pas été entendus ni même probablement lus par nos dirigeants.

(Extrait p. 56)

Mesure politique de conditionnement des masses physiquement et psychologiquement bloquante, la muselière est de plus extrêmement toxique sur le plan anatomique, infectieux, et scolaire. Elle saborde l’apprentissage et les rapports humains en désignant l’autre comme le danger.

(Extrait p. 56-57)

« L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

(Extrait p. 58)

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience. Comme les symptômes apparaissent plus rapidement avec l’effort physique, le port du masque est fortement déconseillé en courant, à vélo, ou toute autre activité sportive. »

(Extrait p. 59)

Le dentiste de Vendée insiste : « Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses. »

(Extrait p. 60)

La liste des inconvénients du port du masque est longue, très longue.

(Extrait p. 62)

Les bébés recueillis par des loups parlent le langage du loup. Que parlera le bébé d’une femme sans visage ?

(Extrait p. 69)

Qu’est-ce que le pass sanitaire ?
Un rappel nauséabond de l’Occupation [pendant la Seconde Guerre mondiale]. Pour ceux qui y auraient échappé, se terrant dans leurs pénates et sortant le moins possible, évitant les lieux exigeant ce document honteux, quelques indices.

(Extrait p. 73)

Les preuves innombrables, reconnues par tous, dé-montrent qu’un « vacciné », quel que soit le nombre de doses reçues, peut contaminer autrui (injecté ou non injecté).

(Extrait p. 75)

« Les parents boivent, les enfants trinquent. »
L’avocat D. Guyon souligne fort justement les implications particulièrement graves pour les enfants des décisions parentales, quant au pass sanitaire.

(Extrait p. 78)

L’incitation à l’injection mise en œuvre à travers un martelage systématique, comme « sésame pour retrouver la liberté », ajouté à la pression sociale d’être une personne non vaccinée, conduira les enfants sacrifiés à accepter l’inacceptable, de la mise en condition par le port du masque puis du pass enfin à la vaccination et ensuite à la banalisation de toutes les mesures coercitives, élargissant la notion de pass à de nombreuses situations non sanitaires, comme la surveillance de leur respect de mesures dites environnementales, ou du paiement de vos amendes. Le projet en cours de réalisation est maintenant clair. Aux peuples de choisir s’ils se soumettent ou non.

(Extrait p. 82)

La santé mentale des enfants est fortement perturbée par la crise sanitaire à court terme et le sera à long terme.

(Extrait p. 83)

Depuis le début de la pandémie, les hospitalisations en psychiatrie d’enfants de moins de 15 ans ont augmenté de 80 % et le nombre de tentatives de suicide a doublé en France (…)

(Extrait p. 86)

La crise sanitaire a agi, de plus, comme un amplificateur des inégalités sociales et frappé plus durement les familles les moins privilégiées, plus vulnérables (jeunes, femmes, familles monoparentales, précaires, etc.) davantage exposés au risque de dégradation de leur situation financière, voire de basculement dans la précarité, et en conséquence à l’augmentation des troubles psychiques.

(Extrait p. 87)

Priver les enfants de câlins entre eux et avec les adultes, imposer des distances relèvent de la psychiatrie lourde du prescripteur, mais aussi de complices soumis à ces ordres ineptes, privés de bon sens et de sensibilité, réduits à l’état végétatif de robot obéissant et de capos dignes d’une autre époque.
Ce vécu relationnel perturbé va engendrer des drames à long terme.

(Extrait p. 92)

Le réseau neuronal se construit dans les cinq premières années de vie. Être élevé en crèche par des éducateurs et des auxiliaires de puériculture masqués et qui évitent tous les contacts physiques (car terrorisés comme le reste de la société) risque d’avoir des effets très négatifs.

(Extrait p. 93)

Il ne s’agit pourtant pas de vrais vaccins comme ceux de Pasteur. (…) Ce sont en réalité des thérapies géniques (d’ailleurs définies ainsi dans le contrat avec la FDA). Elles sont toujours expérimentales : les résultats définitifs des essais phase 3 ne seront pas connus avant 2023.

(Extrait p. 96)

La fable de l’épidémie de Covid chez l’enfant résulte seulement de la multiplication des tests PCR fallacieux153 imposée par le pouvoir. Il s’agit d’une épidémie de cas créée par la multiplication de tests (inutiles du point de vue sanitaire), mais pas de malades.

(Extrait p. 107-108)

Les atteintes cardiaques ont été les plus rapidement identifiées même aux yeux des pro- vaccins, car les chutes inopinées parfois mortelles de sportifs de haut niveau jeunes en pleine forme physique, ou de politiciens, artistes en train d’être filmés sont difficiles à cacher. Évidemment, les médias ont tenté de faire passer pour coïncidences ces drames, mais jamais une telle « série de coïncidences » n’avait été observée spontanément ou après un vrai vaccin.

Une nouvelle fois, les médias diffusent d’énormes mensonges. Non, les crises cardiaques ne sont pas habituelles chez les jeunes non vaccinés qui jouent au foot dans la cour. Vous avez tous des enfants à l’école ou des petits enfants. Combien de fois avant les pseudos vaccins avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique ? Jamais ! Revenez sur terre et cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus et/ou rendus fous via la coronafolie.

(Extrait p. 111)

Les effets secondaires neurologiques associés aux injections anti-SARS-CoV-2 sont nombreux, divers, et parfois très invalidants. Parmi eux, le plus fréquent et le plus bénin est le mal de tête, suivi du syndrome de Guillain-Barré, de la thrombose des sinus veineux et de la myélite transverse et plus récemment on a observé en France des maladies proches de la maladie à prions appelée Creutzfeld-Jakob (maladie de la vache folle).

(Extrait p. 122)

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe.

(Extrait p. 123)

L’argument le plus fréquemment utilisé pour justifier la politique sanitaire qui, sans nous protéger, nous empêche de vivre libre est :
« Tous les pays pratiquent la même politique d’interdiction des traitements précoces en attendant les vaccins. »
Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces permettant des comparaisons avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire.

(Extrait p. 133-134)

Depuis le début du coronacircus, nous avons subi des mensonges gouvernementaux permanents pour justifier des décisions médicalement illogiques, disproportionnées, brutales et contre-productives. Leur caractère tyrannique nous a convaincus qu’il ne s’agissait pas d’une crise médicale, mais bien d’une guerre contre la démocratie utilisant un prétexte sanitaire.

(Extrait p. 145)

Il faudra étudier le comportement manipulateur et destructeur des mondialistes, pour mieux comprendre ce qui nous est arrivé. Mais c’est un autre sujet, scénario de manipulation destructrice appliqué à la société.

(Extrait p. 151)

L’OMS a transformé une épidémie de grippe sévère en une pandémie virale, par un simple changement de définition orchestrée depuis de nombreuses années après une tentative ratée en 2009 avec le H1N1.

(Extrait p. 152)

L’ouvrage comporte de nombreuses références et des exemples en provenance de divers pays dont la Grande-Bretagne, les États-Unis, Israël et la France.

Table des matières

Prologue
Les enfants sacrifiés de la mascarade Covid 7
Introduction
Le massacre des innocents 9
1. L’histoire de la maladie liée au coronavirus SARS-CoV-2 chez l’enfant, et ses particularités 13
2. Les enfants sont innocents du Covid 23
3. Les enfants et les adolescents n’ont rien gagné de la fermeture des écoles 33
4. La torture prolongée des enfants par le port du masque pour leur apprendre la soumission 56
5. Le drame du pass sanitaire chez l’enfant et ses conséquences psychologiques et humaines à long terme 73
6. Les conséquences psychiques des mesures liberticides imposées sous prétexte de Covid 83
7. L’échec des pseudos vaccins, injections géniques expérimentales 95
8. Les dangers géniques chez l’enfant 106
9. On pouvait faire autrement, en d’autres termes : traiter précocement 133
Conclusion
Refusons le totalitarisme et protégeons l’avenir de nos enfants 145

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine sur telegram




20 % des Français envisagent de se suicider

[Source : bvoltaire.fr]

Un chiffre qui fait froid dans le dos, et qui a dû être au cœur de ce cinquième Comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie, le vendredi 21 janvier, en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d’État au Handicap, et d’Olivier Véran, ministre de la Santé. Une nécessité, quand on observe la pandémie psychologique des deux dernières années : ainsi, d’après les chiffres dévoilés par Santé publique France, en septembre 2021, 63 % des Français déclarent des problèmes de sommeil (14 points de plus qu’avant la crise sanitaire), 15 % des Français montrent des signes d’un état dépressif, 23 % d’un état anxieux et 10 % ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année (5 points de plus qu’avant la crise sanitaire). Si pandémie Covid il y a eu, on peut être sûr que la pandémie psychologique est une réalité.

À l’heure où, pendant le premier confinement de 2020, le gouvernement et les médias lançaient l’alerte sur les violences faites aux femmes, est-ce que le problème de l’isolement, de l’enfermement et de la déscolarisation avec les conséquences psychologiques à craindre attirait autant l’attention ?

Notons que les autorités s’étaient penchées sur la question. Dès le 23 mars 2020, c’est-à-dire à peine quelques jours après le début du premier confinement, Santé publique France lançait CoviPrev : une enquête visant à suivre les comportements des Français et leur santé mentale. C’était en effet judicieux d’y penser. SOS Amitié, une association de bénévoles épaulant des personnes en détresse psychologique, a recensé 102.644 appels du 15 mars au 10 mai 2020, contre 77.722 sur la même période en 2019. Il était effectivement utile que les autorités se penchent sur la question.

Pour quels résultats ? En novembre 2020, 20 % des Français ont pensé sérieusement au suicide, ce qui, d’après la fondation Jean-Jaurès, est un chiffre à peu près équivalent à celui de l’année 2016 ; la différence étant que le nombre de tentatives augmente : 27 % en 2020, contre 22 % d’entre elles en 2016.

L’augmentation des tentatives de suicide chez les jeunes, le reflet d’une génération sacrifiée ?

Il n’est guère besoin d’être un grand spécialiste de la petite enfance pour être affligé à l’idée des conséquences que peuvent avoir, sur le long terme, les mesures sanitaires sur des élèves de primaire et de collège : déstructuration de la scolarité au moment où ils apprennent les fondamentaux, désocialisation au moment où ils apprennent à vivre en société. Comment vont-ils se tourner vers l’avenir ?

Les conséquences sur le court terme ont déjà de quoi effrayer. En octobre 2021, l’hôpital Robert-Debré, à Paris (XIXe), faisait état d’une augmentation de 299 % des admissions aux urgences pour tentatives de suicide chez les moins de 15 ans, entre juillet-août 2019 et mars-avril 2021.

« Il faut se méfier d’une vision centrée sur un seul hôpital », fait remarquer Vincent Jardon, responsable dans les Hauts-de-France de VigilanS, un dispositif de suivi des personnes ayant tenté de se suicider. Mais cela étant dit, il note que « le constat général semble assez partagé sur le territoire national ».




Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs. Mise à jour 4

Mise à jour 4 :


https://twitter.com/karimamarkhodj1/status/1486488336613232645?s=11

Ils en parlent même en Russie :









Covid : La stratégie des Amish a payé

[Source : cruciforme]

[Photo : © Shutterstock]

Parce qu’ils n’ont pas la télévision, les Amish n’ont pas eu peur du covid. Pendant que le reste du monde se confinait, ils ont payé le prix de l’immunité et même prospéré économiquement.

Ils sont près de 350.000 aux USA, dont 30.000 dans le seul comté de Lancaster. C’est là que l’équipe de Full Measure, le pendant Américain de notre émission « 7 à 8 », a enquêté cet automne, remettant la célèbre communauté chrétienne sur le devant de la scène. Alors que le pays connaissait un confinement généralisé, les Amish ont continué leur vie comme si de rien n’était et ils ont même prospéré.

Outre leur aversion pour le progrès technique, les Amish se méfient de 3 choses, explique Steven Nolt, sociologue et lui-même membre d’une branche moins rigoriste, le mennonisme : le Gouvernement, le système scolaire et le système de santé publique. Pas question de cesser de se réunir et de changer leurs habitudes, ni de supprimer la « Sainte Cène » (la communion dominicale), où tout le monde trempe les lèvres dans le même verre. Contrairement aux autres communautés, la surmortalité n’a pas été aussi forte qu’ailleurs au pire moment de l’épidémie.

Pionniers de l’immunité collective

Selon Nolt, 90% des Amish ont alors contracté le covid. L’essentiel étant pour eux de rester en famille, pas question pour les malades d’aller dans les hôpitaux. L’isolement extrême était alors la règle et les visites y étaient interdites. Pendant que le monde entier était à l’arrêt, la communauté a redoublé d’efforts au travail et même prospéré économiquement, raconte l’un d’entre eux.

Dès mars 2021, ils furent la première communauté à avoir atteint l’immunité collective. Depuis toujours réfractaires aux vaccins, ils ont préféré faire confiance à leur système immunitaire, prouvant par là que le seul vrai moyen de vaincre le virus est encore de laisser faire la Nature…


[Source : @LeLibrePenseur.org]






Théorie du complot : Jesse Ventura était informé du plan « vaccinal » génocidaire en 2009 par Alex Jones

[Source : @Stéphane ou Anonymous]

[Note de Joseph : à l’époque, la tentative H1N1 a raté, de même que la Covid-19 actuelle n’a pas tué les 65 millions de personnes comme prévu lors de l’Event 201, car même ces élites croient à la théorie virale, mais celle-ci est scientifiquement invalide, erronée, fausse (voir le dossier Vaccins et virus). Donc, la principale chose qui peut stériliser ou tuer du monde en masse est effectivement les vaccins — comme évoqués dans la vidéo suivante. Ils le peuvent à cause des produits toxiques qu’ils contiennent et sont injectés sciemment, en toute connaissance de cause par les psychopathes élitistes.]

(Voir à partir de la minute 28)






Démocratie, fin de partie

Par Karen Brandin

Notes de lecture autour de l’ouvrage : « Adieu la liberté » de Mathieu Slama (éditions : La Cité)

On pourrait se dire qu’il s’agit là d’un essai bien ingrat finalement tant il ne semble pas tenir compte du fait notable qu’à partir du 16/02/2022, les citoyens responsables auront de nouveau la possibilité de consommer debout le petit coup de « pression » par exemple, si cher à notre ministre de l’Intérieur (et ce, sans condition de stature, notez bien).

Comment ne pas sentir alors sur notre nuque, la promesse de cette brise de liberté, la brise après « la vague » ou la chronique maritime sans fin d’une balade au bord d’une mer noire de mensonges ?

À l’annonce de mesures d’une telle audace quand le virus est pourtant le maître du temps, on se serait attendu à un « hourra » général et ému de la part d’une population en transe, pétrie de reconnaissance. Finalement, l’accueil, l’enthousiasme ont été timides, pudiques presque. Heureusement, sur les ondes le 24 janvier, France-Info d’un ton guilleret annonçait l’arrivée (je cite) « d’un petit nouveau » : le pass vaccinal comme on annoncerait l’arrivée du Beaujolais (après le pass culture, le pass dégustation et à Bordeaux d’ici quelques jours, le pass Braderie pour 3 euros ; bref, le pass… partout !).

Avec un registre sémantique tout aussi surprenant, nous apprendrons quelques minutes plus tard d’une intervenante que les Français auront jusqu’au 15 février pour « régulariser » leur situation. Fin des soldes vaccinales ensuite, faute de stock. En attendant, tout doit disparaître ; qu’on se le dise. Rappelons-nous de cette phrase du gouvernement :

« Nous voulons protéger les Français, même contre eux-mêmes. »

Frissons garantis face à cette mise sous tutelle qui ne se cache même plus.

Humour mis à part, l’intention annoncée par Mathieu Slama en écrivant ce texte était de nous soulager et c’est une complète réussite. Cet essai, à lire sans modération, est écrit sans concession. Il est lucide, sobre et donc parfois sombre, mais comme l’est la période que nous tentons de traverser. Ni plus ni moins.

Il nous donne à entrevoir le cheminement qui a pu nous conduire à cet état d’acceptation, de passivité parfois ; de résignation, trop souvent. Il nous emmène aux origines du mal, à ce besoin toujours renouvelé de contentions, ce goût pour l’État-nounou, l’État-care [« Care » en anglais = « Soin »]. Nous le peuple revendiqué des « Lumières » ; un peuple si facile à aveugler finalement.

Rousseau disait : « On vit tranquille aussi dans les cachots ; en est-ce assez pour s’y trouver bien ? »

Apparemment oui. C’est l’histoire d’une déshumanisation ordinaire, aussi progressive qu’inéluctable si l’on ne sort pas rapidement de ce coma émotionnel.

Comme l’explique précisément l’auteur, nous étions prédisposés à accepter une politique disciplinaire avec cette nouvelle, mais envahissante obsession du » coaching » ou l’imposture du développement personnel à tout prix, démasquée par Julia de Funès par exemple.

Alors que nous avons à bien des égards failli durant cette période, nous enseignants de tous horizons, aurions dû anticiper ce glissement. Depuis quelques années, on sent chez les lycéens, les étudiants un vertige, une résistance, lorsque l’on souhaite les guider vers une autonomie de penser et d’agir ; bref, lorsque l’on souhaite créer les conditions d’une émancipation

À un âge où tout est possible, nos élèves sont demandeurs de protocoles, de rédaction type et sont saisis de terreur lorsqu’on les encourage à emprunter des chemins de traverse pour construire leur propre cheminement de réflexion. Ils ne souhaitent plus créer, s’aventurer, s’égarer, ni même raisonner, mais seulement reproduire. Par manque de confiance en eux bien sûr ; par paresse aussi ou lassitude. En ce sens, nous avons collectivement manqué de vigilance et de responsabilité souvent par confort ; à moins que ce ne soit par vanité. Reste que c’est collectivement que nous devons refuser d’être le relais d’un quelconque conditionnement. 

Concernant les plus petits, deux ans plus tard, il y a désormais pour les parents et plus que jamais la nécessité d’une désobéissance aussi civile que solidaire, car elle est devenue un devoir pour les préserver.

Les enfants, les jeunes sont finalement les seuls absents de cet ouvrage pourtant très dense ; on aura donc tout intérêt à lire en complément une parution tout aussi récente des docteurs Nicole et Gérard Delépine : « Les enfants sacrifiés du Covid » (paru chez Fauves)

https://www.fauves-editions.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=72231

qui propose une étude exhaustive, très soignée, rigoureuse et profondément humaine de l’impact de cette crise sur la jeunesse ; sur l’avenir donc. Des enfants offerts en sacrifice sur l’autel de nos peurs, pour lesquels on se devait pourtant d’être un havre de sécurité et de protection et qui ont finalement été les dépositaires de nos angoisses en plus d’en être les témoins.

J’ai sans doute un seul point, non pas de divergence, mais d’appréhension, car Mathieu Slama, qui s’appuie volontiers sur les écrits de Deleuze et de Foucault, évoque longuement la biopolitique, l’éloge ou la défense de la vie nue.

On aurait presque de ce fait le sentiment que la crise a été gérée de manière rationnelle et/ou scientifique quand il est rigoureusement impossible de se draper derrière ce paravent. Non, il n’y a pas selon moi de loi mathématique du virus (p141). Si la gestion a été, ne serait-ce qu’une fois scientifique, que la honte s’abatte sur nous, coutumiers des sciences dures.

Ce concept finalement d’une vie dépouillée d’affects, régie par des capteurs, des constantes à surveiller, des seuils à contrôler pouvait se défendre après tout. On peut aussi imaginer une médecine réduite au contrôle strictement numérique d’un équilibre physico-chimique type « acide-base ». Une médecine « objective » par opposition (alors qu’elles sont complémentaires) à une médecine sensible, de terrain ; celle du regard, de l’écoute, bref de l’examen clinique et du patient appréhendé dans sa globalité. Cette médecine, art médical avant tout, qui ne tourne le dos ni à l’empathie ni au serment d’Hippocrate.

Mais à aucun moment durant cette gestion calamiteuse et tâtonnante, il n’a été question de préserver la vie même bassement organique sans quoi comment expliquer le refus autoritaire des traitements précoces, l’oxygénothérapie en ambulatoire, le traitement terrible réservé aux personnes âgées dont la fin de vie a été parfois précipitée (on pense aux injections de Rivotril), le refus buté d’autoriser des vaccins non ARNm ? Même la vie nue, celle dans sa plus simple expression donc, n’aura pas été épargnée.

Ce que l’on a vu en revanche, c’est une vénération quasi mystique des journalistes, des éditorialistes et autres politiques, pour une science [ou plus exactement un « scientisme »] érigée au rang de religion, avec des médecins de plateau télé rien de moins qu’en pâmoison, recevant bien volontiers ces bouffées délirantes d’adoration.

Nous avons croulé sous les formulations absurdes : « je crois en la science ; je suis pour le vaccin. » Ou encore : « vous ne trouvez pas formidable qu’un vaccin ait été conçu en quelques mois. » Une fascination complètement irrationnelle qui confond, assimile, innovation et progrès.

Ce à quoi l’on a assisté, c’est au naufrage de l’esprit critique, mais aussi de la démarche scientifique avec un vaccin non immunisant dont on a changé les conditions de conservation, la durée entre deux doses ; dont on a prétendu une efficacité décuplée si l’on couplait Pfizer/Moderna avant de se raviser. Quant à la détermination de doses pédiatriques, elle n’a jamais été clairement justifiée, tout ceci avec comme point d’orgue cette notion éthiquement inacceptable de « vaccination altruiste ».

Ce que l’on a entendu, ce sont des phrases absurdes dont on n’a d’autres choix que d’en sourire pour ne plus en avoir honte :

« Tous vaccinés, tous (infectés ; non, on blague) protégés ».

« Ce variant est certes beaucoup plus dangereux, mais nettement moins sévère que ses prédécesseurs »

(le message était-il subliminal ? Le Premier ministre évoquait-il le président en exercice ? Nul ne le sait)

« Le virus circule moins vite, mais plus rapidement. »

Alors bien sûr, on connaît le concept de croissance ralentie associée à une fonction concave et croissante, mais cela reste malgré tout difficile de tirer le soldat Véran de ce marais d’approximations.

Les ministres se sont bien sûr quotidiennement ou presque, relayés tous autour d’une même idée devenue mantra et qui semble avoir leur préférence : « on apprend en marchant » croyant ainsi justifier leurs errements. Si tel est le cas, on ne peut que les encourager à se mettre d’urgence à la randonnée et surtout à changer de GPS, un GPS [actuellement] paramétré par les soins des grands laboratoires pharmaceutiques visiblement.

Parce qu’il y a beaucoup à dire et à comprendre, on ressort apaisés d’« Adieu la liberté » ; on en sort un peu plus libres aussi ou tout au moins, « libérés » et pour cela, merci infiniment à l’auteur. La mission cathartique de cet ouvrage est largement remplie. Ces pages sont en outre soutenues par une très belle plume, ce qui ne gâche rien. Acérée parfois, mais toujours juste.

En complément, ne pas hésiter à lire « Faire face : le visage de la crise sanitaire » (aux éditions Point de Bascule 2021) de Martin Steffens et Pierre Dulau et, pour les enseignants notamment, à se replonger dans l’écrit visionnaire de Michéa : « L’enseignement de l’ignorance » (aux éditions Climats).

Karen Brandin




Manifestations monstres en Allemagne contre l’obligation vaccinale. Mise à jour 2

Mise à jour 2 :

[Source : businessbourse.com]

Le gouvernement est extrêmement préoccupé par l’ampleur des manifestations qui ont été organisées contre La Pass Vaccinal ainsi que toutes les restrictions sanitaires ! Le vent tourne !!!

Le gouvernement allemand est sérieusement « préoccupé » par le grand nombre de protestations contre les restrictions COVID ces dernières semaines, qui sont les plus répandues dans l’histoire du pays.

Le grand journal allemand influent « Die Welt » révèle que le même jour, des manifestations ont eu lieu dans plus de 1 000 endroits à travers le pays.

« Le gouvernement est préoccupé par les actions décentralisées », rapporte le journal, une source qui affirme qu’il s’agit d’un phénomène « l’immense » et qualifie les manifestations d’impressionnantes ».

« Jamais auparavant dans l’histoire de la République fédérale il n’y a eu de manifestations aussi étendues que ces dernières semaines », indique le rapport, le gouvernement comptant 1 046 manifestations distinctes impliquant environ 188 000 participants.

Au lieu de décrire de tels développements comme « impressionnants », on pourrait penser que les autorités allemandes envisageraient peut-être d’écouter la volonté de leur peuple.

Un scandale à Hambourg où le maire a faussement affirmé que les non vaccinés représentaient 95% des cas de COVID, n’a rien fait pour rétablir la confiance du peuple.

Une enquête du Sénat a révélé que le nombre réel était de 14,3 %.

L’Allemagne poursuit son projet de rendre le vaccin COVID obligatoire, avec un débat parlementaire sur la question, prévu la semaine prochaine.

L’année dernière, le rédacteur en chef du principal journal allemand « Das Bild » s’est excusé d’avoir transmis des horreurs sur la couverture de son journal en mettant en avant la peur du COVID, en ayant exagéré la notion selon laquelle certains enfants seraient susceptibles d’assassiner leur grand-mère s’ils étaient atteints du virus ».

Comme nous l’avons souligné précédemment, la République tchèque a abandonné son projet de rendre le vaccin COVID obligatoire pour certains groupes après de nombreuses manifestations importantes à Prague.

Ce qu’il faut bien retenir concernant le nouveau variant Omicron qui n’est pas plus grave qu’une simple grippe, c’est que la plupart des pays européens ont commencé à lever progressivement un certain nombre de restrictions sanitaires bien que des pays comme l’Autriche ou la France envisagent toujours de rendre la vaccination obligatoire.

Source: zerohedge


https://twitter.com/mary13869985/status/1484441486427140102?s=11

https://twitter.com/danielpilotte1/status/1484287252738068480?s=11

https://twitter.com/blf_tv/status/1483496083275800587?s=11



Emplacement des manifestations :

https://spaziergang.app




USA — Des lanceurs d’alerte partagent des données médicales du ministère de la Défense qui font exploser le débat sur la sécurité des vaccins

[Source : actuintel]

Données, transparence et surveillance. C’est ce qui a manqué à la plus grande expérience sur les humains de tous les temps tout au long de cette pandémie. Aujourd’hui, des lanceurs d’alerte médicaux militaires ont présenté ce qu’ils prétendent être l’ensemble de données le plus précis et le plus révélateur sur la sécurité des vaccins que l’on puisse trouver.

Les politiciens et les médias pro-pharma affirment que l’outil de pharmacosurveillance du CDC, le VAERS, n’est pas assez performant pour déclencher des enquêtes sur les vaccins, car n’importe qui peut soi-disant soumettre une entrée d’événement indésirable lié à un vaccin. Ainsi, tous les signaux de sécurité inquiétants émis par le VAERS sont ignorés, même si ce système a été mis en place pour consoler le public en exonérant les fabricants de vaccins de toute responsabilité. Aujourd’hui, des dénonciateurs militaires présentent des données qui, si elles sont vérifiées, signalent des problèmes de sécurité extrêmement inquiétants concernant le vaccin, qui font passer les données du VAERS pour un jeu d’enfant.

Lundi, au cours de l’audition de cinq heures du sénateur Ron Johnson sur un « COVID-19 : Second Opinion », l’avocat de l’Ohio Thomas Renz, qui représente des clients poursuivant les mandats de vaccination, a présenté des données de facturation médicale du DOD provenant de la base de données d’épidémiologie médicale de la défense (DMED) qui brosse un tableau choquant et inquiétant de la santé des membres de notre service en 2021.

https://twitter.com/TheChiefNerd/status/1485695818996854788

Selon l’armée, DMED est l’outil Web de la Direction de la surveillance de la santé des forces armées (AFHSB) qui permet d’interroger à distance les données anonymisées sur le personnel et les événements médicaux des composantes actives contenues dans le système de surveillance médicale de la défense (DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code de facturation médicale CIM pour tout diagnostic médical dans l’armée soumis à la facturation de l’assurance médicale pendant une période donnée. Trois médecins militaires ont présenté à Renz des données interrogées qui montrent un pic choquant et soudain dans presque tous les codes CIM pour les blessures courantes liées aux vaccins en 2021.

Dans une déclaration sous peine de parjure (NDLR : donc sous serment) que Renz prévoit d’utiliser devant un tribunal fédéral, les docteurs Samuel Sigoloff, Peter Chambers et Theresa Long – trois médecins militaires – ont révélé qu’il y a eu une augmentation de 300% des codes DMED enregistrés pour des fausses couches dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq ans. La moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour des fausses couches par an. Au cours des 10 premiers mois de 2021, elle était de 4 182. Comme Renz me l’a expliqué dans une interview avec TheBlaze, ces médecins ont interrogé les chiffres de centaines de codes de 2016 à 2020 pour établir une moyenne de base sur cinq ans. Ces codes concernaient généralement des affections et des blessures que la littérature médicale a établies comme étant des effets indésirables potentiels des vaccins.

M. Renz m’a dit que les chiffres tendaient à être remarquablement similaires pour toutes ces années précédentes, y compris en 2020, qui était la première année de la pandémie mais avant la distribution des vaccins. Mais en 2021, les chiffres sont montés en flèche, et les données de 2021 ne comprennent même pas les mois de novembre et décembre. Ainsi, certains responsables de la santé publique supposent que le COVID lui-même expose les femmes à un risque plus élevé de fausses couches. Mais le nombre de codes de fausses couches enregistrés en 2020 était en fait légèrement inférieur à la moyenne sur cinq ans (1 477). Cependant, ils n’étaient pas radicalement inférieurs à la moyenne dans une catégorie quelconque, au point que l’on puisse suggérer qu’il s’agit d’un reflet de la diminution des consultations médicales liée au confinement, qui a en quelque sorte conduit à une augmentation des diagnostics en 2021.

La base de données contient tous les codes CIM pour les visites à l’hôpital militaire et les visites ambulatoires. Les données présentées par Renz jusqu’à présent proviennent toutes de l’interrogation des données de diagnostic ambulatoire.

Outre le pic des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres qu’il n’a pas mentionnés lors de l’audition mais qu’il m’a donnés lors de l’interview :

  • infarctus du myocarde : 269 % d’augmentation
  • paralysie de Bell : 291 % d’augmentation
  • malformations congénitales (pour les enfants de militaires) : 156 % d’augmentation
  • infertilité féminine : augmentation de 471 %
  • embolies pulmonaires : augmentation de 467 %

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci :

« C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19 ».

Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci :

« C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19 ».

Selon Renz, c’est l’expérience clinique réelle des trois médecins cités et de plusieurs médecins anonymes qui les a conduits à enquêter sur DMED, et leurs découvertes reflétaient leur expérience du traitement de patients atteints de maladies extrêmement inhabituelles chez de jeunes soldats en bonne santé depuis le lancement des vaccins.

J’ai parlé à l’un des dénonciateurs qui affirme être gravement préoccupé par le fait de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. « Ces médecins ont été motivés à explorer les données DMED en raison du nombre d’augmentations de cas qu’ils constataient de manière empirique », a déclaré le dénonciateur, qui a servi dans l’armée pendant de nombreuses années.

« Certains médecins de l’ensemble de la force (toutes branches confondues) ont été intimidés par les ordres de ne pas effectuer l’ensemble des tests et de ne pas adhérer aux règlements, qui ordonnent implicitement des bilans complets pour les effets indésirables des vaccins EUA. Il faudra que d’autres médecins militaires se manifestent et partagent leurs expériences pour que l’énormité de ces allégations soit pleinement établie et qu’une enquête soit menée dans toute son ampleur. »

Renz affirme qu’il dispose d’une vidéo avec deux témoins montrant l’ensemble du processus de téléchargement de ces données depuis la base de données et qu’il est prêt à la présenter au tribunal. Il m’a également dit que ce n’était que « la partie émergée de l’iceberg », car les codes ont augmenté de façon exponentielle dans de nombreuses autres catégories de diagnostics. M. Renz a déclaré que sa feuille de calcul, qui comprend plus de 100 catégories de diagnostics médicaux, a été communiquée au sénateur Johnson et à son personnel avant l’audience de lundi.

Il est important de noter que ces chiffres ne représentent pas le nombre de personnes individuelles diagnostiquées pour diverses affections, mais le nombre de codes de diagnostic utilisés dans leur totalité à un moment donné. Par exemple, une personne victime d’un accident vasculaire cérébral va évidemment accumuler de nombreux codes CIM neurologiques au cours d’une année, avec de multiples visites ambulatoires et hospitalières. Toutefois, la comparaison entre les pommes et les pommes des cinq années précédentes montre clairement un pic incontestable des affections.

Si ces chiffres sont vérifiés dans les procès à venir, alors, en l’absence d’une fraude massive à l’assurance militaire ou d’un problème bizarre dans le système, cela pourrait donner une image choquante des problèmes de sécurité des vaccins qui indiquerait que non seulement les signaux de sécurité du VAERS auraient dû être immédiatement suivis, mais qu’ils sont en proie à une terrible sous-déclaration. L’armée est une population définie, limitée, et étroitement contrôlée et surveillée. Ils sont également très majoritairement jeunes et en bonne santé. Si les allégations de problèmes neurologiques, cardiaques et de cancer liés aux vaccins sont effectivement vraies, l’armée serait l’endroit le plus révélateur pour le découvrir, et ses données sont les plus fiables et les plus incontestables.

Le DMED est littéralement un programme de surveillance épidémiologique conçu dans le but exprès de détecter les poussées de maladies et de blessures afin de s’assurer que l’armée est prête au combat. Il s’agit de sécurité nationale encore plus que de santé publique. Pourquoi l’armée n’aurait-elle pas tiré la sonnette d’alarme et prévenu immédiatement le CDC au sujet de ces données ? Sur le site Web du système de santé militaire, la Division de surveillance de la santé des forces armées (AFHSD) est décrite comme :

« la ressource épidémiologique centrale pour les forces armées des États-Unis, menant une surveillance médicale pour protéger ceux qui servent notre nation en uniforme et les alliés qui sont essentiels à nos intérêts de sécurité nationale ».

Comment l’Agence sanitaire de la défense (DHA) a-t-elle pu ignorer les signaux de surveillance criants et flagrants d’une vie entière, et comment cela n’a-t-il pas été communiqué au grand public ? La question est de savoir pourquoi les analystes de la santé publique militaire n’ont pas communiqué avec les médecins militaires au sujet des pics choquants de diagnostics cette année et pourquoi ils n’ont pas publié d’analyse pour l’expliquer.

Pour sa part, le sénateur Ron Johnson a déclaré lors de l’audience de lundi qu’il avait mis le ministère de la Défense en demeure de ne pas supprimer les données. « Le ministère de la Défense, l’administration Biden sont avertis qu’ils doivent préserver ces dossiers et que cela doit faire l’objet d’une enquête », a déclaré Johnson. M. Renz a déclaré lors de l’audience que certaines des données relatives à la myocardite avaient glissé vers l’arrière depuis que les médecins les avaient téléchargées l’année dernière.

Même si, d’une manière ou d’une autre, ces augmentations fracassantes n’ont rien à voir avec les vaccins, n’est-il pas important que notre gouvernement enquête sur ce qui semble être un déclin catastrophique de la santé de notre force de combat en service actif ? Après tout, les données du DMED ont été conçues dans ce but précis. « Une personne peut faire un travail de recherche rien qu’avec ces données », a déclaré l’un des dénonciateurs à qui j’ai parlé.

« Elles ont été conçues dans ce but précis. La quantité de points de données que vous pouvez interroger est presque illimitée. »

L’essentiel, selon Renz, est que la charge de la preuve incombe au gouvernement, et non aux militaires et aux citoyens contraints de prendre les clichés. Si les fabricants sont exonérés de toute responsabilité en cas de coercition gouvernementale pour l’utilisation de leur produit, et que les seules données de sécurité pharmacologique dont nous disposons sont complètement ignorées, alors quel est le recours de la population pour remédier aux problèmes de sécurité ? Selon l’avocat de l’Ohio, si les injections sont sûres et efficaces, alors le Pentagone ne devrait avoir aucun problème à expliquer la source de ces augmentations gargantuesques de cas de nombreuses maladies. La transparence est le remède le plus efficace contre une pandémie de secret.




La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :

    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.

  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020




Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal

[Source : lemediaen442.fr]

Il faudra bien que les médias français en parlent un jour car ils ne pourront pas cacher ce qu’il se passe au Canada encore bien longtemps ! Le mouvement des routiers contre le pass vaccinal, baptisé Freedom Convoy 2022 (le convoi pour la liberté 2022), prend de l’ampleur chaque jour. Surtout qu’un convoi de 70 kilomètres de long, ça doit se voir non ?
Arrivée prévue dans la capitale Ottawa le 29 janvier… ça va faire du bruit non, 70 000 camions  ? Cet article évoque même le chiffre plausible de 150 000 véhicules !



À ce jour le financement participatif de leur mouvement, débuté il y a seulement 10 jours, a atteint les 3 millions d’euros de plus de 28 500 donateurs (le plus gros donateur a donné à lui — ou elle — tout seul la somme de 11 000 $CAD). L’argent récolté sera utilisé pour aider les chauffeurs à couvrir les frais de carburant, de nourriture et d’hébergement.

➤ Suivez les chauffeurs routiers sur cette page Facebook.

Freedom Convoy 2022

[Voir des tweets sur lemediaen442.fr]




100.000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada

[Source : cruciforme.net]

Les médias les diabolisent, leur mouvement risque faire boule de neige : le vent du réveil des peuples se lève dans le pays où les restrictions anti-covid sont les plus délirantes du monde. Enquête.

Tamara Lich, qui a lancé la collecte GoFundMe, accusée de racisme : ça tombe mal, c’est une amérindienne « mate » de l’Alberta // Le convoi de la liberté fait 70km de long, dix fois plus long que le record précédent. Il entre au Guiness des records. // Tout l’argent GoFundMe ira bien aux routiers et reste acquis à la cause (avocats) // L’armée s’apprêterait à fermer les accès à la ville d’Ottawa. Blackout des médias // Suivez en direct le hashtag Twitter en bas de page

C’est l’événement de la décennie que les médias mainstream s’évertuent à minimiser. Justin Trudeau aura réussi ce que personne auparavant n’était parvenu à faire : unir les routiers canadiens en un grand mouvement national. Et même au delà puisque leurs collègues transfrontaliers rejoignent le Freedom Convoy, le « Convoi de la Liberté ». Leur mot d’ordre : « reprendre les libertés qu’ils n’auraient jamais du céder ».

Les camionneurs sont vent-debout contre le pouvoir central d’Ottawa, capitale du Canada, qui leur impose des restrictions délirantes, ainsi qu’en témoigne un français sur Sud Radio ce mardi. Plus de 100.000 d’entre eux (le nombre d’inscriptions serait en croissance exponentielle, 200.000 à l’heure où j’écris ces mots) se seraient enrôlés pour rejoindre la capitale et la bloquer à partir de samedi 29 janvier, pour une durée indéterminée.

Qui organise ce convoi ?

Les médias ont fait un choix : celui de diaboliser un adversaire idéologique. Pas difficile pourtant de connaître les motivations légitimes de ceux qui se tiennent derrière cette manifestation monstre. Il suffit d’écouter Tamara Lich, l’amérindienne de la tribu « mate » (Alberta) dont l’appel sincère a permis de récolter 4,5 millions de dollars en moins de 10 jours via la plateforme GoFundMe. Routière, canadienne, elle fait parti de Maverick, un mouvement patriote qui prônait quelques années en arrière l’indépendance de plusieurs provinces et le rattachement à l’Amérique de Trump.

On comprend dès lors l’inquiétude de la presse et de la classe politique qui dérivent dans l’indifférence générale vers le socialisme et la tyrannie, comme le démontrait cette semaine le québécois pro-vie Jean Tardy sur la chaîne youtube de Theovox, qui échappe pour l’instant à la censure.

Un risque sérieux de pénurie ?

Pour les lanceurs d’alerte, une pénurie intentionnelle se préparerait pour mettre le peuple à genoux et imposer une Grande Réinitialisation. Le covid servirait de prétexte à une forme de « crédit social environnementaliste » mondial. C’est le projet selon ce député européen. Pour les autres, ceux qui ont fait le choix de croire les médias mainstream, c’est l’absentéisme dû à omicron qui explique les rayonnages quasiment vides dans les supermarchés de toute l’Amérique du Nord.

Peu importe : les gigantesques files de camions qui convergent vers la capitale du Canada vont paralyser le pays et fermer le robinet du pétrole dans la plus pure tradition des mouvements sociaux nord-américains. Dans le Nouveau monde, on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs : les canadiens le savent, puisque le transport routier rapporte 1 milliard de dollars par jour à leur pays.

Un « câlin d’ours »

Rien ne les arrêtera désormais, et pas même la tentative de suspension de leur cagnotte GoFundMe plus tôt cet après-midi (leurs avocats rassurent : l’argent ira bien aux ayant droit). C’est par dizaines de milliers qu’ils s’apprêtent à faire un Bear Hug, un « câlin d’ours » (selon l’expression québécoise imagée qui cache une intention aussi redoutable qu’une OPA économique) à la capitale administrative du Canada. Il suffira au journaliste pas trop fainéant d’écouter un live Facebook ou deux pour comprendre que les routiers réunis envisagent ensuite de faire de même dans leurs provinces respectives, puisque là-bas chaque province est autonome.

Ce « gel » du transport pourrait ensuite s’étendre aux Etats-Unis, où le pouvoir en place n’a plus aucune légitimité pour une partie de la population. C’est à un réveil des consciences endormies par un cover up des médias que veulent procéder les camionneurs empêchés de travailler : on leur impose depuis mi-janvier un isolement de 14 jours s’ils ne sont pas vaccinés. Selon les autorités, dont on connaît désormais le parti-pris, 26.000 routiers canadiens (15% de l’effectif global) refuseraient l’injonction vaccinale. Selon les routiers eux-mêmes, ces chiffres pourraient par endroits être 2 à 3 fois plus importants. Et aux USA, le taux de vaccinés serait encore plus faible, les restrictions faisant par surcroît exploser les prix des fruits et légumes.

Un soutien de l’opinion et des forces de l’ordre ?

On les accuse de sédition, d’être des Gilets Jaunes. Ils sont pourtant parmi les plus respectueux des lois. Concernés par l’avenir de leurs enfants, ils ont souffert en silence en 2020. Populaires, ils ont lancé le programme « Adopt a trucker » : les habitants d’Ottawa qui le souhaitent pourront accueillir chez eux un routier et lui offrir un lit, une douche ou même… une salle de gym privée, puisque là-bas tout est interdit. L’essence et la nourriture sera pourvue par la cagnotte qui ne cessait de gonfler d’heure en heure, jusqu’à ce qu’elle soit censurée par un pouvoir aux abois.

Le compte à rebours est lancé avec l’approbation, murmure-t-on, d’une partie de l’armée et de la police, ulcérée également par les « mandats » vaccinaux. L’opération, qui démarre le 28 janvier au soir, pourrait faire des émules dans d’autres pays et initier une « giletjaunisation » généralisée. Les médias ne vous en parleront pas. Nous, à Cruciforme, nous serons là pour couvrir ce bras de fer et ce combat pour la Liberté avec un grand L. Celle de vivre une vie digne de ce nom loin des folies de quelques milliardaires hallucinés qui ne rêvent que de lendemains dystopiens.

(Crédit photo / vidéo : Cameron Hildebrand, Marie Oakes, Twitter)

Plus d’info

Message de soutien d’une policière d’Ottawa

Une policière se déclare honorée d’être dans la ville qui va accueillir le convoi. Elle affirme que l’ensemble de ses collègues soutient le combat des routiers « qui se battent pour nos libertés à tous ». Sa hiérarchie vient d’ouvrir une enquête pour la harceler.

https://twitter.com/erinhoward0118/status/1485596574126424065

Québec, USA : déni médiatique autour de la levée des restrictions liées au Covid

Olivier De Senailhac, résident au Québec, est au micro d’André Bercoff pour aborder les restrictions liées au Covid au Québec et aux Etats-Unis (Sud Radio, 25/01/2022)https://www.youtube.com/embed/8tLyH-AhF1w?feature=oembed

Un routier rectifie les mensonges des médias

  • Les routiers ne sont PAS contre la vaccination. Nombre d’entre eux sont vaccinés. Ils croient juste que chaque canadien devrait avoir la liberté de choisir sans subir de discriminations ou de restrictions en conséquence de ses choix.
  • L’Alliance des Routiers Canadiens est une organisation privée qui ne parle pas de la part de l’action actuelle.
  • Plus de confinements. Pas de vaccination forcée (et OUI, c’est forcer les gens quand tu dois CHOISIR entre une injection dont tu ne veux pas, et le fait de devoir nourrir ta famille).
  • Les routiers ne bloqueront PAS les véhicules d’urgence et assisteront toute personne dans le besoin. Ils ont mis en place un service de sécurité identifié. Les chauffeurs ont été brieffés et ont signé des décharges à leurs points de ralliement respectifs.
  • L’argent collecté (4,5millions de $) sera distribué selon une procédure stricte. Les routiers enregistrés doivent se rapporter à leurs chefs de groupes respectifs et fournir des justificatifs pour pouvoir être remboursés. Tout l’argent en surplus sera reversé à l’Association des Vétérans du Canada. Un avocat et des comptables en sont garants.

En direct #FreedomConvoyCanada

[Suite sur cruciforme.net]




Témoignage d’un pilote « vacciné »

[Source : @chavrounette]




Covid — et si la vaccination n’était pas la seule voie ?

Par Alain Tortosa

Il est évident que la vaccination de masse a sauvé des vies, peut-être même des milliards à travers le monde…

La question n’est pas là, seul un crétin décérébré pourrait ignorer que le dicton gouvernemental est vrai « tous vaccinés, tous protégés »… des formes graves, dans certains cas avec un peu de chance.

Pour autant demeurait une question primordiale :

« Comment ma famille et moi-même avons-nous échappé à ces formes graves alors même que nous ne sommes pas vaccinés ? »

Ma première idée fut la suivante :

« Si les non-vaccinés menacent les vaccinés protégés par un vaccin efficace, peut-être que les vaccinés au contraire, protègent les non-vaccinés. »

Cette idée ô combien séduisante se heurte quand même à la dure réalité rappelée par le gouvernement :

« Nous devons empêcher les non-vaccinés de manger dans un restaurant pour les protéger des vaccinés ! »

D’autre part, si j’entends que les vaccinés pourraient empêcher les non-vaccinés d’attraper le Covid, ce dont nul être doué d’un cerveau ne peut douter au regard de l’évolution des courbes de vaccinations et de contagions, j’ai quand même un peu de mal à comprendre comment les vaccinés pourraient m’empêcher de faire une forme grave !

La théorie faisant que mes voisins me protègent des formes graves me semble donc une impasse bien qu’elle fût séduisante et logique…

D’aucuns pourraient penser que ceci n’est que pur hasard, que ma survie ne soit due qu’à la chance… Pour autant ce « hasard » semble souvent se réaliser si j’en crois mes fréquentations ou mes lectures.

C’est alors que j’ai eu un éclair de génie… Ils sont si rares que je ne me prive pas de les souligner !

« Et si la raison de notre survie familiale était la conséquence de la présence de panneaux photovoltaïques sur le toit de la maison ? »

Je ressens bien que la piste, évidemment fort intéressante, ne doit pas être prise à la légère, et je dois suivre mon intuition…

Les scientifiques pourront probablement déduire que le champ électrique nous protège et augmente notre immunité comme l’électricité statique bloque les virus qui sortent de mon corps et sont arrêtés par le masque alors que les virus entrants ne sont pas bloqués.

(Je vous rappelle que le masque est là pour protéger autrui, mais pas soi-même.)

Si cette théorie convaincante se confirme on pourra alors affirmer que ;

« Les panneaux photovoltaïques nous protègent des formes graves du Covid ! »

J’avais d’ailleurs par le passé exposé ma théorie sur l’efficacité d’une plume dans le cul afin de bloquer nos flatulences fatales pour nos aînés, quand bien même nous ne mangions que du tofu.

Il ne s’agit pas de dire n’importe quoi, mais de science dure au même titre que c’est bien « le vaccin qui protège des formes graves ».

J’avoue humblement ne pas être le premier homme à avoir des idées aussi géniales…

Rappelez-vous des sociétés primitives qui sacrifiaient des humains pour faire tomber la pluie ou avoir de bonnes récoltes.

Plus récemment, en l’an 2000, les guignols de l’information sur Canal+ nous avaient alertés sur le bug de l’an 2000, je vous rappelle que tous les ordinateurs devaient planter et revenir en 1900 et ainsi engendrer le chaos sur la planète

La World Company présidée par M Sylvestre avait trouvé une parade « mettre un jouet, Sophie la girafe, offert à de nombreux bébés, sur son bureau »

L’an 2000 fut, les ordinateurs ne plantèrent pas, et la World Company de déclarer : « vous voyez bien que la girafe a fonctionné ».

C’est donc en se nourrissant de millénaires d’expériences scientifiques qu’il a été décidé de confiner, mettre des masques, avoir une distanciation, avoir un passe sanitaire, se vacciner, etc. pour se protéger de l’horrible fléau.

Les « spécialistes » médiatiques et le gouvernement n’ont pas manqué de nous rappeler dans leur grande sagesse que des milliers, voire des millions de vies avaient été épargnées par ces mesures de bon sens que nul ne pourrait remettre en question aujourd’hui sans être d’une mauvaise foi coupable.

C’est donc avec fierté que je vous redis, c’est certain, ma famille a été protégée des formes graves par nos panneaux photovoltaïques qui sont désormais à la fois écologiques (qui pourrait en douter), mais aussi un puissant élément de protection contre les coronavirus…

Je me voyais ainsi tel le futur prix Nobel à côté de Pfizer, la compagnie ayant aussi des actions dans le photovoltaïque et les énergies dites « vertes »…. comme la couleur des dollars.

Mais ma fille m’a fait remarquer, n’ayez pas d’enfants, je vous le conseille…

Elle m’a donc fait justement remarquer que sa voisine avait fait un Covid, mais sans la moindre forme grave alors que leur logement n’avait pas de panneaux photovoltaïques et qu’ils n’étaient pas vaccinés.

Était-ce le fruit du hasard ?

Était-ce la fin de ma brillante découverte ?

Non, bien entendu… !

2022 est l’année de la Science (avec un grand S) et après analyse et enquête rigoureuse nous avons appris qu’ils possédaient des bougies parfumées au gingembre.

Rendez-vous compte des implications que cela entraîne : non seulement le vaccin, le masque et les gestes barrières nous protègent efficacement des formes graves, non seulement les panneaux photovoltaïques nous protègent… mais aussi les bougies parfumées au gingembre !

Mais attention, gardons raison ! Il ne s’agit pas de penser ou faire n’importe quoi…

Je vous signale que des malades mentaux pensent que la Terre est ronde et qu’elle tournerait autour du soleil, c’est dire le degré de folie qui habite certains humains.

Ces mêmes malades mentaux vont jusqu’à dire que des traitements précoces comme l’HCQ, des antibiotiques combinées à de l’Ivermectine pourraient empêcher les formes graves de Covid et même de tomber malade !

Ne basculons pas en plein délire, la folie ne doit pas céder la place à la raison et à la science.

Mais réjouissons-nous mes frères, cette crise a permis de faire sortir le meilleur de l’humain.

Jamais planète entière n’avait connu un tel élan de solidarité, d’amour et d’entraide entre les peuples face à cet odieux fléau.

Et sans parler des progrès inouïs dans la médecine et en épidémiologie !

En l’espace de quelques mois, nous en avons appris plus sur les virus que durant les dix dernières décennies et c’est bien là le miracle de l’amour et de la tolérance…

Enfin l’obscurantisme est derrière nous et la lumière, de la vérité révélée, nous aveugle !

Je ne résiste pas au plaisir de vous fournir quelques exemples prouvant les progrès extraordinaires accomplis en quelques mois…

  • Les asymptomatiques : Nous savons désormais (ce que nous ignorions totalement depuis des siècles) que les asymptomatiques, des personnes en bonne santé positives à un test sont extrêmement dangereuses pour autrui et des tueurs potentiels de grands-parents. Grâce à cette découverte extraordinaire, des personnes qui se croient en bonne santé savent désormais qu’elles sont malades et en danger de mort. La méthodologie est à ce point innovante qu’il est nécessaire de chercher des traces de virus par un test nasopharyngé, le test salivaire étant bien entendu inefficace ou dangereux. Rendez-vous compte que nous avons découvert que des personnes qui n’avaient aucun symptôme, qui ne toussaient pas, ne crachaient pas, n’expectoraient pas et dont le virus était indétectable dans la salive ou le bout du nez pouvaient transmettre un virus mortel… Qui s’en serait douté ? Nous ne pouvons que bénir l’inventeur du test PCR et surtout les scientifiques, grâce à ce test 100 % efficace qui prouve sans le moindre doute l’existence d’un virus de type sars-cov2 vivant et en quantité suffisante pour entraîner une contagion.
  • Les confinements : Par le passé nous croyions bêtement que pour se protéger d’un fléau il fallait faire un blocus hermétique de la ville et empêcher quiconque qui fût malade de pénétrer, au risque de contaminer le reste de la population. Nous étions à ce point idiots que nous mettions les bateaux qui provenaient de l’étranger en quarantaine afin de s’assurer qu’aucun passager n’était malade ou en train de couver une maladie. Quels sots nous étions ! En 2020 nous avons enfin compris qu’il n’était pas nécessaire de boucler une ville, une population ou un pays entier avant l’arrivée du premier malade. Quelle avancée pour la science ! Nous pouvions attendre que le virus circule depuis des semaines (voir des mois) dans tout le pays avant de le boucler… Nous avons enfin compris qu’en enfermant dans un même lieu les biens portants et les malades, et en permettant aussi le déplacement de millions de personnes, qu’il était possible de contenir un virus et prévenir les contaminations. Petit bémol cependant, chaque personne qui sortait devait se faire une autoattestation de sortie afin de garantir l’absence de contaminations, point essentiel s’il en est…. Et ça a fonctionné ! L’épidémie a reculé après le pic épidémique, preuve en est de l’efficacité des confinements.
  • Les masques : Mais là ne sont pas les seules avancées… Nous avons appris que des masques souillés, portés sur le menton, manipulés 50 fois par jour, humides, dont la notice précise qu’ils n’arrêtent pas les virus et dont l’orifice est comparable à un filet de pêche utilisé pour ramasser du sable, bloquent efficacement la propagation du virus. Prouvant par la même que toutes les études des années précédentes n’avaient aucune valeur et n’avaient aucun fondement scientifique.
  • Et que dire des connaissances inouïes acquises sur ce virus Le fait que selon les saisons ils s’attaquaient aux personnes assises ou aux personnes en mouvement. Qu’il était plus dangereux l’été, car nous sortions, mais qu’il était plus dangereux l’hiver parce que nous restions à l’intérieur. Que nous devions si possible dîner pour Noël dans le jardin, nous basant sur les excellentes conditions de santé des personnes sans domicile vivant dans la rue. Qu’il était plus dangereux quand nous étions debout qu’assis et inversement. Qu’il détestait le supermarché et les grands magasins ainsi que le métro, mais adorait les restaurants ou les cinémas. Je pourrais en écrire des pages, tant nous en avons appris… et nous en apprenons encore !

Nous ne le dirons jamais assez, et même si le bilan est à ce point terrible que les statistiques nationales semblent ignorer l’existence d’une surmortalité significative, les moins de 60 ans étant plutôt en sous-mortalité, le fait est que nous avons appris du virus et des humains…

Alors certaines mauvaises langues s’offusquent des milliards gagnés par Pfizer alors même qu’il faut bien qu’ils amortissent les frais de recherches subventionnés et financés si justement par les États et les dons !

Il faut dire que BioNTech a travaillé d’arrache-pied pour saisir les données chinoises du Sars-cov2 et sorti en l’espace de 3 heures le premier « vaccin » à ARNm.

Et quand on pense qu’il coûte environ 1 dollar à la production, il n’est que justice qu’il fût revendu 10 ou 20 dollars pièce…

À noter que la politique commerciale de Pfizer est écologique !

Vous connaissez le principe de « plus tu consommes, plus tu payes » et bien ici ils ont fait pareil… Les premières commandes étaient facturées moins cher que les suivantes à l’Union Européenne.

Mais refermons cette parenthèse sur cette polémique immonde, je vous rappelle que nous risquions l’extinction de la race humaine sans ce don du Seigneur qu’est le vaccin à ARN-messager dont nul ne peut douter de l’innocuité et de l’efficacité.

Pensez à tous ces petits Africains obligés de prendre ce médicament expérimental qui date de 40 ans appelé Ivermectine et dont nous ne connaissons pas les effets à long terme.

Ici, point de risque, et comme l’a dit un célèbre médecin médiatique, le docteur Marty « On n’a jamais eu autant de recul sur un vaccin que sur celui-là […] Il y a trois milliards de personnes vaccinées sur la Terre, ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels ».

Comment imaginer ensuite des risques sur 10 ou 20 ans ? Ridicule !

Donc si nous avons désormais toutes les preuves qu’il existe plusieurs méthodes efficaces pour se protéger des formes graves comme les panneaux photovoltaïques,

il me semble opportun que le tribunal de l’Inquisition juge de la crédibilité de remèdes et de filtres magiques pour lutter contre le fléau.

Merci

Alain Tortosa

Le 25 janvier 1422
https://7milliards.fr/tortosa20220125-espoir-remedes-virus.pdf




Coup de gueule de la journaliste Myriam Palomba face à Laurent Alexandre, au sujet des non-vaccinés, du vaccin et du pass vaccinal

[Source : Nexus]

Depuis quelque temps, les langues dénigrent régulièrement non-vaccinés sur les plateaux des chaînes télé, très souvent sans avocat ni garde-fou . Heureusement, d’autres prennent leur défense et mettent en lumière la discrimination et la violence dont ils sont victimes, qui deviennent de plus en plus criantes.

Le 10 janvier 2022, dans « Touche pas à mon poste », Myriam Palomba, directrice déléguée du magazine Public, s’est lâchée face au chirurgien Laurent Alexandre, cofondateur de Doctissimo et directeur de DNAVision, spécialisée dans le décryptage du génome. Coupée plusieurs fois par Cyril Hanouna au moment où elle tentait de citer des données officielles, elle ne s’est pas démontée pour autant. Pour elle, le pass vaccinal est « une honte ». Sans commenter ses propos, nous nous contenterons d’en retranscrire une partie, car ils parlent d’eux-mêmes.

◆ Stop à l’inhumanité et à la méchanceté

« J’ai décidé de prendre la parole car je vois tout un tas d’inhumanités de chaque côté, je trouve ça insupportable. Je trouve insupportable qu’on traite les gens d’antivax. Moi, je ne suis pas antivax à la base, j’ai fait tous mes vaccins à la base, mais je ne suis pas pour ce vaccin. Et quand j’entends des trucs immondes, où on doit dire que “les antivax doivent crever en réanimation”, que “c’est bien fait s’ils ne peuvent plus aller au restaurant”, que ça donne le droit de priver des libertés, qu’on est là pour les “emmerder”, ça m’a révoltée. »

◆ Stop à la propagande et à l’autoritarisme

« J’ai deux fils, je vois qu’on fait du forcing pour faire vacciner les gamins. Moi, j’suis journaliste, j’suis mère de famille, je regarde les chiffres d’EudraVigilance, les chiffres de Vaers qui est la pharmacovigilance aux États-Unis. […] Je sais très bien l’argument du docteur Alexandre, qui va me dire que j’y connais rien en ARN messager, mais voilà, je me suis renseignée. 

« Pour moi, le vaccin, non seulement c’est un échec, mais en plus, pour moi, le tout-vaccinal, ce n’est pas la solution. Aujourd’hui, il y a 3 800 personnes en réanimation, la majorité sont des gens vaccinés. […] Plus de 80 % des personnes ont plus de 85 ans. 45 % sont des gens qui souffrent malheureusement d’obésité. 

« Moi, je suis pour la liberté vaccinale. Vous avez décidé en votre âme et conscience de vous faire vacciner malgré tous les effets secondaires qui ont été listés. »

◆ Stop à la maltraitance et à l’insulte

« Je vois des trucs sur les réseaux sociaux qui me font bouillir, bouillir, bouillir, mais d’une inhumanité horrible. Franchement, je vous le dis honnêtement, j’en ai chialé.

« Moi, mes gosses, ça fait deux ans qu’ils portent le masque sur la tronche. Là, on me demande de les tester tous les deux jours avec un truc dans le nez alors qu’ils ne sont même pas malades et qu’ils ne risquent strictement rien, pour moi c’est de la maltraitance !

« Faut quand même relativiser : le taux de létalité du Covid, il est quand même beaucoup moins important que d’autres maladies, et ça vous ne pourrez pas dire le contraire ! Donc à un moment donné, arrêtez ! Et en quoi ça justifie qu’on prive de libertés tout un tas de gens, qu’on les traite comme de la merde ?

« Moi, je suis pas une folle, […]  je crois en la médecine. Moi s’il n’y avait pas eu la médecine, je n’aurais pas eu mes enfants. 

« Moi, j’ai voulu aller dans ces manifestations, pour voir si effectivement, c’était des fachos, si c’était des débiles, si c’était des machins. Y’a pas de ça en manifestation. »

Vidéo source :




Témoignage d’une « vaccinée ». Mise à jour

Mise à jour

Voir :

https://lemediaen442.fr/temoignage-de-laurenne-nocq-par-naivete-je-me-suis-fait-vacciner-et-me-voila-paralysee/




Jour sombre pour la France

[Source : businessbourse.com]

Franck Ferrand : 

« Jour sombre au pays de la Liberté, de l’Égalité, de la Fraternité. Les gouvernants qui instaurent une telle discrimination entre citoyens en règle seront, j’en suis persuadé, jugés sévèrement par l’histoire. Quant au peuple qui les aura laissé commettre cela sans broncher… »