Dr Sam Bailey — Virologie en fuite — Marvin gagne au tribunal

[Source : Vidéos du net]

La dernière fois que j’ai interviewé Marvin Haberland, c’était en octobre 2022, alors qu’il contestait une amende infligée par un tribunal allemand. Il avait délibérément enfreint la législation « corona » pour dénoncer la nature frauduleuse de la virologie. Il a fait valoir que, la virologie ne suivant pas la méthode scientifique, les amendes imposées en vertu de la législation allemande sur les maladies infectieuses étaient illégales.

Marvin est finalement passé devant le tribunal le 26 avril 2023. Écoutez ce qui s’est passé et ce qui pourrait se passer ensuite, alors que la virologie déraille…

Sam Bailey







Michael Yeadon : « refusez l’identité numérique ! »

[Source : Ciel Voilé]






« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3

[Sources : Kairos Presse et sentadepuydt.substack.com]

« Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » réalisée par Vera Sharav, rescapée de l’Holocauste qui a vécu 3 ans dans les camps.
5 épisodes qui montrent les parallèles entre la montée du nazisme et le retour du totalitarisme lors de la « gestion » du Covid.
32 témoignages, des survivants ou leurs descendants nous expliquent à quel point les mécanismes de prise de pouvoir par la peur, la propagande et l’exclusion sont similaires.
Cette série est dédicacée au Dr Vladimir Zelenko dont Vera a recueilli les messages pour la postérité.


PLUS JAMAIS épisode 1. « Plus jamais ça » revient à toute vitesse. Des survivants dénoncent le retour de l’impensable…

Des rescapés de l’Holocauste alertent le monde sur les dérives totalitaires actuelles.

Vera Sharav, survivante née en Roumanie, a survécu a trois années dans les camps de concentration.

Mon nom de naissance est Vera Roll. Je suis née en Roumanie. En avril 1937. Et en 1941, nous avons été déportés et enfermés dans un camp de concentration en Ukraine. Mon père y est mort avant mon cinquième anniversaire. Ce n’était pas un camp de la mort, mais un camp de transit. On y mourait de faim. Et la peur d’être sur une liste pour être envoyé dans un camp d’extermination régnait sans cesse et terrorisait tout le monde…

À l’âge de 6 ans, en pleine opération d’évacuation, un acte de défiance fruit de son intuition, lui sauve la vie…

On ne peut pas nier sa propre expérience. J’aimerais que les gens aujourd’hui fassent confiance à leur expérience et à leur intuition, plutôt que d’écouter les autorités…

Sa vie durant, elle luttera contre l’aveuglement et l’indifférence face aux abus des puissants.

J’ai atterri ici en Amérique le 8 janvier 1948. J’ai eu du mal à m’adapter à l’Amérique. En regardant autour de moi ici à New York, tout était beau, tout était glamour. Les gens avaient une bonne vie. Et je me suis demandée : où étaient- ils tous [quand nous avions besoin d’eux] ? Qu’ont-ils fait [pour nous aider] ?

Avec le temps, j’ai appris qu’il y a souvent des événements terribles – y compris des génocides – qui se déroulent en divers endroits du monde, alors que le reste de la planète s’en désintéresse complètement.

Sarah Gross, survivante de l’Holocauste née en Hongrie, dont les deux parents sont morts dans les camps :

Je ne crois pas au Covid. Je n’y crois pas.

J’ai le droit de dire ce que je veux. Oui je perds des amis qui ne le supportent pas. Que puis-je y faire ? C’est comme ça que l’on découvre qui sont nos amis.

Je ne veux pas mourir avec les mêmes sentiments que ceux que j’ai éprouvés sous la botte des nazis. Comment en sommes-nous à nouveau arrivés là? Les gens n’ont-ils rien appris?

Je suis tellement en colère de cette situation !

Dr Vladimir Zelenko, petit-fils de survivants :

Même le concept de traitement précoce était vilipendé. Tout médecin qui s’élevait contre les diktats du gouvernement était immédiatement censuré. J’ai compris que le débat et la vérité n’avait plus d’importance. La seule chose qui comptait c’était le récit officiel que le gouvernement voulait imposer.

Ce qui était important c’était d’administer le bon traitement, au bon moment aux patients. Une méta-analyse a montré une réduction de 85% des hospitalisations et des décès en faisant cela. Pour vous donner une échelle de ce dont on parle: sur 900 000 américains décédés du Covid, on aurait pu éviter à 760 000 d’entre eux, d’aller à l’hôpital et de mourir….

Michael Green, rabbin, Chabad de Westoborough, petit-fils de survivants :

Lorsque la crise Corona, la prétendue pandémie, a commencé, j’ai estimé qu’il était de mon devoir de protester contre chaque aspect des mesures Corona et des politiques de santé publique qui n’étaient pas fondées sur la science, car c’était la justification de l’Holocauste. La science, c’était la justification de la persécution des Juifs par les staliniens, et cela a toujours été une justification du meurtre de masse et de l’exclusion des minorités. C’est pourquoi je voyais la politique du COVID comme une répétition, une sorte de répétition de l’histoire dont nous n’avons jamais tiré de leçon.

Hervé Seligmann, petit-fils de survivants :

Je suis un scientifique qui fait de la recherche biomédicale et qui s’est heurté par hasard à cette question des vaccins Covid…

Au niveau des parallèles, il y a d’abord cette lente succession de lois et d’obligations. C’est de cela que mes grands-parents m’ont parlé…

Cette progression lente à laquelle on assiste …Tout le monde se dit que cela ne peut pas être la même chose, parce qu’il n’y a pas de chambres à gaz. D’abord c’est faux, parce que les injections peuvent être comparables à une chambre à gaz, sous forme de bombe à retardement. Ensuite, il ne faut pas attendre d’en arriver là. Il faut avertir les gens, avant cela, quand les choses sont mises en marche. Quand on dit aux gens de ne pas sortir, de rester à la maison, de ne pas aller dans les bars, ni ici ou là…

Mon grand-père me disait toujours: “Tu verras, ça va revenir”. Il a vraiment vu que dans la société toutes les racines, tous les ingrédients étaient là pour que cela se reproduise.

Une des choses qu’ils avaient testées et pratiquées sur les gens c’est l’euthanasie. Et c’est un dénominateur commun, non seulement l’euthanasie, mais aussi l’eugénisme. On voit ça dans ces deux périodes de l’histoire.

Les gens disaient : “Il y a trop de monde sur la terre”. Cela signifie quoi qu’il y a trop de monde sur la planète? C’est ce qu’ils disent tous aujourd’hui, beaucoup de gens le répètent. Eh bien, c’est exactement l’idée du ‘Lebensraum’, de l’espace vital nécessaire qui était si chère aux nazis…Les Allemands justifiaient leurs conquêtes de nouveaux territoires et l’extermination de leurs habitants par cette idée qu’il leur fallait assurer leur ‘espace vital’.

Les gens me disent : “Tu supposes que les injections vont tuer autant de gens, mais pour l’instant, ce n’est pas ce que l’on voit”. Mais moi je connais des chercheurs qui disent qu’il y a différents lots de production dans les vaccins. Et même si je ne peux le confirmer par moi-même, j’observe par contre des changements périodiques dans le taux de mortalité des injections ou dans le nombre de gens qui meurent.

On en revient à la question des chambres à gaz…Non ce n’est pas la même chose, parce que les chambres à gaz, c’était la solution finale. Mais on peut extrapoler à partir de toutes les choses que l’on voit maintenant, tous les parallèles comme par exemple la surveillance et le contrôle que l’on voit aujourd’hui et qui d’une certaine manière est bien pire qu’à l’époque. Peut-être que ce n’est pas pire dans le niveau de cruauté avec lequel on a tué les gens, mais ce contrôle absolu dépasse l’entendement.

Henny Fischler, survivante née en Belgique, dont les parents sont morts à Auschwitz :

Mon nom est Henny Fischler, je vis en Israël. Je suis née en Belgique, en 1938. Quand j’avais 4 ans, les Allemands sont arrivés en Belgique. Mon père, ma mère, mon frère et moi avons tenté de fuir. Nous avons été attrapés à la frontière française et envoyés à Drancy….

Mes parents sont morts à Auschwitz. Je ne les ai pas connus. Tout ce que j’ai d’eux, c’est cette photo, prise en cellule à Drancy…

Je me suis battue avec mes enfants et mes petits-enfants pour les alerter. Ils ne veulent pas m’écouter. Ils ont peur de la vérité. Je n’arrive pas à expliquer pourquoi ils sont si obstinés à ne pas m’écouter. Ni même à poser des questions, à chercher à comprendre quand je leur envoie des informations de médecins, d’avocats, du Dr Zelenko par exemple. Que dois-je dire ? Vraiment, je ne comprends pas.

Martineke Grossman-Boermeester, petite fille de survivants :

Ces gens doivent être tenus responsables pour ce qu’ils ont fait aux autres. Cela été terrifiant pour beaucoup de monde. C’est très difficile de se dire ‘: “Je me suis trompé” ou “Pourquoi n’ai-je pas posé de questions ?”

Mon grand-père m’a raconté que de ‘bonnes personnes’ ont fait des choses terribles, des personnes dont il n’aurait jamais imaginé qu’elles puissent écouter les Allemands ou plutôt les nazis. C’est terrible de se dire que les gens font des choses atroces en pensant que c’est ok, c’est pour le bien commun.

Il n’y a pas de bien commun.

Edwin Black, historien, chercheur, auteur de “The War Against the Weak” (la guerre contre les faibles) :

On a beaucoup parlé de l’antisémitisme, on a beaucoup parlé des souffrances que les Juifs ont endurées, mais tout cela aurait n’aurait pas eu d’ampleur, sans l’apport d’énergie fourni par cinq corporations.

La première était la Ford Motor Company et son patron, Henry Ford, qui ont répandu cet extraordinaire mensonge selon lequel les Juifs contrôlaient le monde et que les Juifs prévoyaient de s’emparer des militaires, de contrôler les médias et les gouvernements. Il l’a fait bien sûr par le biais de son journal « The Dearborn Independent », et ses idées ont effectivement été diffusées par la Ford Motor Company via ses concessionnaires. Les informations étaient traduites dans de nombreuses langues, y compris en allemand, et Hitler les étudiait intensivement. Grâce à Ford, l’antisémitisme [d’Hitler] a pris une nouvelle dimension. Et cette dimension ne consistait pas seulement à dire que les Juifs étaient différents, et mauvais, mais qu’ils étaient un ennemi qui tentait de détruire la planète et l’humanité.

La deuxième de ces entreprises était General Motors, car bien sûr General Motors a donné aux nazis le moyen à tout faire pour faire la guerre : Le camion OPEL-Blitz a été fabriqué par General Motors pour la Blitzkrieg. Avant cela, l’Allemagne était essentiellement non motorisée. Oui, ils avaient beaucoup de très jolies voitures à l’aspect antique qui circulaient, mais ils n’avaient pas de production de masse. General Motors produisait également des composants indispensables pour les bombardiers JU-88, des moteurs pour les chars, des explosifs pour les mines terrestres et des têtes de torpilles. Sur terre, sur mer et [dans les airs], General Motors a donc été l’arsenal du fascisme et du nazisme, avant d’être celui de la démocratie pour les Alliés. Cela nous oblige à nous confronter au fait qu’il n’y aurait jamais eu d’Holocauste à cheval.

La troisième et la quatrième de ces sociétés étaient, d’une part, la Carnegie Institution, une société de capitaux basée sur la fortune d’Andrew Carnegie, et, d’autre part, la Rockefeller Foundation, qui, ensemble, ont inventé toutes ces absurdités eugénistes selon lesquelles les Juifs étaient une tare génétique, que les Juifs étaient une sorte de bactérie organique qui devait être combattue pour ne pas infecter les générations futures. En fait, la fondation Rockefeller a financé l’assistant qui est finalement allé à Auschwitz pour mener les expériences sur les jumeaux : Josef Mengele.

Adolf Hitler et le chef d’IBM Thomas Watson

Il ne s’agissait pas seulement de ‘promouvoir la science’. Ils ont mis en place les instituts et financé les bourses. Ils étaient là jusqu’au début de la guerre et même après, et ne se sont retirés que lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en décembre 1941. Mais à ce moment-là, il était déjà trop tard. Mais le coupable encore plus central à tout cela était International Business Machines, IBM, « l’entreprise de toutes les solutions », qui a offert à Hitler toutes les solutions qu’il souhaitait pour atteindre ses objectifs, même la solution finale, depuis le premier moment le 30 janvier 1933 jusqu’au dernier souffle du Troisième Reich en mai 1945.

Et c’est donc IBM qui a mis au point les cartes perforées personnalisées, les précurseurs de l’ordinateur, et qui a ainsi été en mesure de planifier. IBM a effectivement planifié les six phases de l’holocauste. Car le Troisième Reich ne pouvait marcher qu’aussi vite que la technique le permettait. Et ces phases étaient: 1. l’identification des Juifs, 2. leur exclusion de la société, 3. la confiscation de leurs biens, 4. la ghettoïsation des Juifs, 5 la déportation dans des camps et même 6. l’extermination des Juifs.

C’est IBM qui a développé et créé le programme « Vernichtung durch Arbeit » (extermination par le travail), dans lequel toutes les capacités des Juifs étaient identifiées et comparées aux besoins en main-d’œuvre, et ensuite, bien sûr, il y avait une liste de transfert établie par eux, et les Juifs étaient expédiés dans tous les sens via la liste d’IBM, connue en Allemagne sous le nom de liste Hollerith. S’il n’y avait pas eu ces cinq entreprises, la taille et l’ampleur de l’Holocauste auraient eu un quotient numérique qui n’aurait pas approché les six millions que nous connaissons aujourd’hui. Il existe des musées aux États-Unis qui ne veulent pas aborder le sujet de l’implication des entreprises américaines dans le nazisme.

On le voit, cette série documentaire à beaucoup, beaucoup de choses à nous rappeler…




Plus Jamais, Épisode 2 : La propagande hier et aujourd’hui, les mêmes objectifs et les mêmes stratégies…

Dans ce second épisode, Zelenko y va franco ! Il dénonce les plans d’asservissement, les parallèles entre l’eugénisme, le surhomme et les théories transhumanistes des acteurs du grand reset.

‘Le gouvernement finit le boulot d’Hitler !’ La preuve c’est qu’Israël a l’un des taux de mortalité les plus élevés soi-disant dû au variant Omicron…. Personne d’autre n’est mort d’Omicron, ce variant est contagieux, mais moins dangereux…mais Israël est le pays le plus vacciné, spécialement en terme de nombre de doses par personnes. C’est le pays où il y a le plus de gens ayant reçu 4 doses. Il y a plus de 30 études qui montrent à présent que ces vaccins endommagent le système immunitaire.

Il y a une explosion de cancers atypiques et de gens qui meurent d’infections opportunistes.

Albert Bourla, le CEO de Pfizer, a reçu le prix Genesis, c’est l’équivalent du prix Nobel juif. Il a appelé Israël ‘le laboratoire test du monde’. En réalité, ce qu’il a fait c’est de donner le sida au peuple juif. Ils ont détruit le système immunitaire de la moitié du peuple d’Israël.

Pour avoir dénoncé les mensonges et les malversations de l’industrie pharmaceutique depuis des décennies, Vera nous explique comment elle a immédiatement repéré les différentes fraudes et manipulations exercées sous couvert de réponse à la pandémie. L’utilisation de la peur et de la propagande, les mesures qui ont mené au meurtre par injection (Midazolam, même famille que le Rivotril) de 15 000 personnes âgées dans les maison de repos new yorkaises, les pass sanitaires ou la vaccination des enfants ont été pour elle une confirmation du « retour de l’impensable ».

Vera revient sur le rôle de la « médecine » et de la science dans les premiers meurtres médicalisés des nazis: le programme T4 d’élimination des enfants « inadaptés », et plus tard des handicapés, et des veillards, toutes ces « bouches inutiles à nourrir. »

Juive d’origine hollandaise en Israël, Shirley Maymon se désole face au déni de la population devant le retour des mesures totalitaires. Pourquoi Israël a-t-elle été « le laboratoire » du monde, les premiers cobayes à expérimenter le vaccin? Pourquoi personne n’ose parler des effets secondaires ? Comment le gouvernement qui a pour mission de protéger le peuple juif comme « un père et une mère », a-t-il pu trahir sa population?

Joshua Stylman, petit-fils de survivants qui a grandi dans un cercle de rescapés de l’Holocauste à New York s’est progressivement éveillé à l’idée que les mesures de réponse à la pandémie sortaient du cadre de la démocratie et de la bienveillance, et rappelaient plutôt les débuts du nazisme. En dépit de ses propos mesurés et modérés, il a été victime d’un piège médiatique tendu par un journal mainstream visant à le faire passer pour un extrémiste, négationniste, antisémite. Son récit illustre parfaitement les procédés auxquels se livre la presse de propagande afin d’éliminer tout espace de pensée critique et d’instiguer la haine et la violence.

Dans une école de son quartier les enfants ont du faire un spectacle en chantant « t’es pas vacciné, t’es pas mon ami »…

Une grand-mère partisane qui se battait dans la résistance, un père qui a dû se cacher dans les forêts et la campagne belge, d’autres parents moins fortunés qui ont péri dans les campsc’est en pensant à la bravoure de ses ancêtres que Revital Florman a trouvé le courage de sortir manifester dans les rues en Israël. Une dame qui n’a pas froid aux yeux et qui garde le sourire…

Ce n’est pas un hasard si Mathias Koie Levi Palsvig est psychologue. Son histoire familiale est d’une richesse incroyable, l’histoire de son grand-père est un récit de survie digne d’un film où l’amour et la cruauté se côtoient au pire de l’horreur.

Danois, Russe et Juif, Mathias jeune homme était aux avant-postes de la résistance en novembre 2020 lorsque tout était fermé et que les vikings harcelaient leurs parlementaires jour et nuit pour stopper le vote d’une « loi pandémie ».

Marion Schmidt raconte sa détresse et sa révolte lorsque les camps de concentration ont été interdits aux visiteurs non-vaccinés et lorsqu’on a empêché les travailleurs de ces lieux de mémoire de participer à des manifestations contre les pertes de libertés imposées par le gouvernement allemand. Fidèle à ses convictions et à ce qu’elle estime être un devoir de mémoire, elle s’est néanmoins rebellée!

C’est à nouveau des paroles et une réalité très crues qui nous sont présentées ici, avec une froide lucidité, mais sans pathos. Mais il est par contre réconfortant de se dire que toutes ces personnes gardent espoir en l’humanité, leur engagement en témoigne.




Plus Jamais. Épisode 3 « Lever le voile sur les vrais conspirateurs ».

Comment la dérive génocidaire a-t-elle eu lieu ? Y a-t-il une continuité dans ses acteurs ? Des récits poignants et des réflexions percutantes

Au fur et à mesure que les modèles et les parallèles sont identifiés, nous commençons à voir la continuité des opérations génocidaires par des idéologies utilitaristes et déshumanisantes déguisées en « pseudo-sciences ». L’on retrouve les mêmes puissantes dynasties familiales et les mêmes entreprises derrière les évènements de la seconde Guerre Mondiale et la tentative totalitaire du Grand Reset. Hier comme aujourd’hui, leur manipulation mentale a fait appel aux mêmes techniques de propagande, utilisant des slogans identiques, tels que « c’était nécessaire » ou « il a fallu répondre à l’urgence »…

Un témoignage particulièrement intéressant dans ce 3ème épisode, est celui de d’Isyyes Keidar, un Juif d’origine hongroise qui a grandi en Israël, et dont la grand-mère Myriam Kerpel Nierenstein, a vécu des moments particulièrement difficiles. Au cours de leurs nombreuses conversations, elle a tenté de lui expliquer « comment » les choses ont dérivé. « Pourquoi avez-vous collaboré, pourquoi avez-vous obéi? » Cette question le hantait. Face à son incompréhension, elle cherchait à identifier des éléments de réponse en lui faisant promettre qu’il ne se laisserait jamais duper à son tour.

Voici une réponse intéressante de ma grand-mère…Je ne sais pas si beaucoup de gens le savent, mais les nazis ne se sont jamais présentés comme des personnes négatives, destructrices. Ils se sont présentés comme des gens, comme un parti qui essayait d’améliorer les choses, et c’est ce qu’ils ont enseigné aux gens. Ainsi, lorsque vous étiez emmené dans un ghetto, c’était pour votre propre protection. Quand on vous emmenait dans un camp, on vous disait : « Ah, nous avons du travail pour vous là-bas, de la nourriture et un abri. » Il s’agissait toujours de dire : « Non, en fait, nous vous aidons. Nous voulons vous aider. » Ainsi, tous les Juifs qui sont montés dans les trains, et peu de gens le savent, ont bénéficié d’une fameuse propagande de la part des gens qui les ont convaincus que c’était bon pour eux. Et cela s’est poursuivi jusqu’à la fin. Car ce n’est qu’à la toute fin que les nazis sont devenus vraiment insupportables, ouvertement sadiques.

Au fur et à mesure que des conditions horribles étaient imposées, chaque changement était présenté comme un espoir d’amélioration, alors qu’en réalité il menait au pire. Keidar évoque les heures les plus sombres qu’elle a connues dans le ghetto :

La véritable obscurité, c’est lorsque vous rampez pendant des heures dans les eaux usées des égouts, comme elle le faisait chaque jour, pour aller chercher un demi-pain dans une poubelle à l’extérieur du ghetto.

Dans de telles conditions, la promesse d’un morceau de pain quotidien était facile à accepter…

Jeune femme en bonne santé, sa grand-mère avait participé à de nombreuses « sélections » supervisées par le Dr Mengele, avant d’être envoyée dans différents camps de travail. De quoi avait-il l’air ? Selon les mots de cette femme qui avait échappé à la mort de nombreuses fois :

Il était plutôt ennuyeux. C’était une personne froide, calculatrice, grise. On pourrait dire qu’il était très scientifique. Il se voyait comme un scientifique et on ne pouvait pas dire, quand on le voyait, qu’il ressemblait à cet horrible monstre que tout le monde a voulu dépeindre.

En fait, comme le rappelle Isyyes Keidar il avait juste l’air « neutre », comme tous les scientifiques et experts qui dirigent ces opérations aujourd’hui.

Une anecdote récente illustre aussi comme des notions présentées comme « neutres » et des décisions désignées comme nécessaires ont permis de manipuler l’esprit des gens.

J’étais près de Fribourg, je me promenais dans un village appelé Ebringen. J’ai rencontré ce type, un Allemand, qui s’appelait Claudius. Au fil de la conversation, il s’est passé quelque chose de très étrange. Il a commencé à défendre les raisons de l’Holocauste. Et les mots qu’il a utilisés, que tout le monde doit entendre, la phrase qu’il a utilisée et qu’il a répétée encore et encore, c’est « C’était nécessaire ». Cette phrase magique : « C’est nécessaire. C’est nécessaire. » C’est aussi, d’une certaine manière, ce qui est utilisé en ce moment, sauf qu’il y a un gros virus en cours pour justifier qu’ ‘il faut faire ceci et cela. »

Et donc, pour que tout le monde le sache, cette rhétorique a déjà été utilisée auparavant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, on a expliqué à la population locale que tout ce qui se passait était absolument nécessaire parce que les choses devenaient trop importantes, qu’il y avait trop de monde, qu’il y avait toutes sortes de problèmes d’hygiène, etc. Cette attitude n’a donc rien de nouveau. De « c’est nécessaire », on passe à « c’est urgent », puis à « l’état d’urgence » et la force majeure. Telle est la progression. Mais cela commence par « Oh, c’est nécessaire ».

Vera Sharav et Vladimir Zelenko s’en prennent à Klaus Schwab, le vilain caricatural à qui il ne manque qu’un chat pour figurer dans un James Bond. Faut-il s’étonner du fait que le fondateur et président du Forum économique mondial provienne d’une famille d’industriels ayant collaboré avec le régime nazi ? La succursale allemande de l’entreprise Escher-Wyss à Ravensburg, alors dirigée par son père Eugen, avait même été désignée comme une « entreprise modèle du régime national socialiste » par le régime d’Hitler. Après la guerre, la famille a également été impliquée dans le développement d’armes nucléaires.

De toute évidence, les liens entre l’idéologie du surhomme des nazis et l’homme augmenté du transhumanisme prôné par Klaus Schwab dans son « Grand Reset » sont manifestes.

Fils de nazi convaincu, fondateur du forum de Davos et auteur du « Grand reset »

En 2016 Schwab annonçait que dans la prochaine décennie, les implants cérébraux ou cutanés mèneraient à une fusion entre « l’identité physique, numérique et biologique » de l’être humain.

Pour le Dr Zelenko, il faut donc prendre ses « prévisions » au sérieux et par conséquent poser la question qui fâche : comment et pourquoi 7 milliards d’êtres humains se soumettraient-ils spontanément à ce genre de procédure? Ou cela passerait-il par la vaccination?

Les familles eugénistes, toujours à la manœuvre depuis la montée du nazisme.

Un eugénisme « démoniaque » d’une élite délirante auto-proclamée, plutôt que de l’antisémitisme…

Pour le Dr Zelenko :

Le mal de la Seconde Guerre mondiale, qui s’est cristallisé dans la dépravation des massacres nazis, était enraciné dans un concept d’eugénisme. Il était ancré dans le concept de hiérarchie au sein de l’humanité. Il y avait l’übermensch, le mensch et l’üntermensch. Le surhomme, l’humain et le sous-homme. Pourquoi les nazis étaient-ils des surhommes ? Parce qu’ils étaient les descendants d’une sorte de dieu aryen. Qui étaient les humains ? Les Anglo-Saxons. Ils étaient destinés à être réduits en esclavage pour servir les surhommes supérieurs. Et les sous-hommes, dont vous et moi faisons partie, ainsi que les Slaves, les Tziganes, les handicapés et les prisonniers politiques, étaient destinés à être éliminés. Cela n’a pas fonctionné comme ils le souhaitaient, même s’ils ont tué au moins six millions d’entre nous. Mais le concept n’a pas disparu. Il est resté en sommeil pendant quelques décennies et il refait surface aujourd’hui.

Pour être honnête, cette fois, ce n’est pas de l’antisémitisme. Je ne le crois pas – et d’ailleurs beaucoup d’auteurs de ces crimes sont juifs. Ce n’est pas un programme antisémite. Il s’agit d’autre chose. C’est démoniaque, c’est comme le produit de la distillation du mal. Par contre, l’on retrouve aussi qu’il y a une classe de ‘surhommes’, la soi-disant élite auto-proclamée ; disons des personnes qui pensent évoluer à des niveaux de conscience supérieurs – c’est ce qu’elles croient. Moi, je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit d’évolué chez eux.

Le nouvel ordre mondial n’est pas une évolution de l’humanité. C’est un retour au paganisme, à l’idolâtrie et aux sacrifices d’enfants. Il n’y a rien de nouveau ici. Ils ont juste relooké le concept pour donner un emballage new-age au nouvel ordre mondial. Ils reviennent à un paganisme primitif . Cela vient de refaire surface avec ces dégénérés, je suis à court d’adjectifs pour les qualifier à ce stade, mais ils se sont démasqués et sont prêts à nous sauter dessus.

Fort heureusement, Ina-Maria Raschen a eu la chance d’avoir des parents éveillés qui ont vu la réalité et écrit des pamphlets pour dénoncer le totalitarisme en marche, avant de fuir à temps. Son père avait lu « Mein Kampf » d’Hitler en 1933 et l’avait pris au sérieux. Mais malheureusement, les gens pensent souvent « qu’ils n’iront pas si loin ».

C’est pourquoi, il faut continuer à alerter :

Je ne peux pas me taire et attendre en me disant que je n’agis pas. Je dois dénoncer ce qui se passe. Les Allemands sont tellement… Je ne peux plus les entendre. Ils n’ont rien appris. Et maintenant, la vérité se fait jour. Elle est difficile à accepter. C’est difficile à digérer, mais il est nécessaire que la vérité apparaisse pour que la vie soit meilleure. La guérison a donc commencé. Nous nous battons pour la vérité et nous restons positifs.

L’épisode ce termine avec une note spirituelle venant de Johanna Findeisen, dont le père qui avait perdu toute foi en Dieu et en l’humanité au sortir des camps de concentration, avait finalement pu retrouver la lumière peu avant de mourir.






Réexamen du Covid au Parlement européen — pour la liberté et la justice

[Source : Kla.tv]

Liberté et vérité sont les maîtres-mots du Sommet international Covid qui s’est tenu début mai au Parlement européen. Des médecins et des experts internationaux ont enfin pu, en coopération avec des parlementaires européens, présenter les faits effrayants à un public mondial. Mais un nouveau danger menace avec le traité de l’OMS sur les pandémies qui devra être négocié ces jours-ci. Découvrez ici comment vous pouvez vous-même agir contre cette situation !

Autres émissions sur ce thème :

OMS – Échec total sur toute la ligne ?
www.kla.tv/25901

75 ans de l’OMS – Le traité de l’OMS sur les pandémies dicte TOUS les domaines de la vie
www.kla.tv/25686

Le génocide du Covid-19 appelle à la création d’une Cour mondiale indépendante
www.kla.tv/25447

L’avocat Philipp Kruse révèle les projets de pouvoir de l’OMS
www.kla.tv/25220

18ème AZK – Dr. Astrid Stuckelberger « L’OMS, l’ONU et leur projet de coup d’État mondial contre nos libertés »
www.kla.tv/24768

[Voir aussi :

L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.
(Vidéo 1 h 57)
]

« Il est de notre devoir de dire au monde que nous devons nous battre pour la liberté, que nous devons nous battre pour refuser la coercition et que de plus nous devons nous battre pour la vérité. »

Chant :

« Nous serons libres jusqu’au jour de notre mort. »
Cette ode à notre liberté
Atteindra les cieux lointains !
Notre liberté est un droit
Pour lequel nous nous levons et combattons
Et marchons hardiment vers l’enfer,
pour briser ce mauvais sort. »

Sous le signe de la liberté et de la vérité, le Sommet international du Covid s’est tenu pour la troisième fois au Parlement européen à Bruxelles du 2 au 4 mai, avec des professionnels et des experts du monde entier.

Grâce à la coopération avec des membres du Parlement européen, cet événement a permis un échange scientifique approfondi entre les membres du Parlement et ces mêmes voix spécialisées. Les thèmes suivants étaient particulièrement intéressants :

Toute la vérité sur le Covid-19 : des premiers débuts à l’état actuel des connaissances

Ce que les dernières données sur la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19 peuvent nous dire

Les dernières connaissances scientifiques sur les réactions indésirables, les dommages et les effets secondaires causés par les vaccins

L’impact des restrictions, la suppression d’un traitement précoce et le rôle des médias

Ainsi que les aspects juridiques de la lutte contre la pandémie

Des médecins, chercheurs et experts renommés du monde entier ont présenté les résultats de leurs recherches et de leurs analyses de recherche. Parmi les orateurs figuraient notamment le Dr Robert Malone (États-Unis), le Dr Ryan Cole (États-Unis), le Dr Meryl Nass (États-Unis) et le professeur Arne Burkhardt (Allemagne).

Kla.tv a assisté pour vous à la conférence de presse qui s’en est suivie à Bruxelles et résume ci-dessous le résumé des coorganisateurs du Parlement européen :

Prof. Byram Bridle (États-Unis, immunologue)

Ce que j’ai le plus apprécié dans mon expérience d’hier, c’est le fait que ces députés européens ici présents sont pour moi des héros, et vous ne devriez pas seulement être fiers d’eux ici en Europe, mais ce sont des leaders politiques dans le monde entier. Dans le pays d’où je viens, un débat ouvert sur la science concernant le Covid-19 n’est pas autorisée. Mais hier, un débat non censuré, ouvert et honnête a été possible sur les données dures et objectives concernant la politique du Covid. Je remercie ces députés d’avoir rendu cela possible.

Christine Anderson (Allemagne, Parlement européen)

Nous sommes devenus une famille. C’est une famille de voix en plein essor tout autour du globe et je suis particulièrement reconnaissante d’être devenue une partie, un membre de cette famille, dont je suis très fière. Et, comme je l’ai dit, des gens merveilleux… et nous continuerons à être la voix montante. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour renverser les élites mondialisées.

Dr Robert Malone (États-Unis, virologue)

J’aimerais souligner l’une des principales conclusions qui a traversé toutes les présentations. Il s’agit du fait qu’il y a effectivement des personnes qui ont été endommagées par les vaccins. C’est une chose qui a été supprimée par toutes les chaînes des — pardonnez-moi — médias corporatifs et des gouvernements, à savoir qu’il y a effectivement des personnes qui ont été endommagées par les vaccins et qu’elles n’ont pas été autorisées à parler. On a supprimé leur expérience. Ils ont été rabaissés. Et ils ont été lésés. Je demande instamment que nous voyions ces personnes. Nous devrions travailler ensemble, et l’UE devrait jouer un rôle moteur dans la découverte et l’identification de traitements et de thérapies possibles, afin que ces personnes puissent être soignées. Et qu’elles soient indemnisées pour les dommages qu’elles ont subis du fait des politiques mises en œuvre dans l’UE, aux États-Unis, au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Australie et dans le monde entier.

Nous avons également pris connaissance des dommages qui étaient liés à cela. Non seulement avec le virus lui-même, dont il a été prouvé qu’il n’était pas d’origine naturelle, mais aussi avec de nombreuses inventions et surtout avec les politiques publiques liées aux interdictions, aux effets néfastes sur les enfants de l’obligation de porter un masque, jusqu’aux conséquences juridiques en termes de Règlement sanitaire international, qui sont activement promues. Nous pensons — et je pense que la plupart de mes collègues seront d’accord avec moi — que l’OMS a échoué dans la gestion de cette épidémie. Mais maintenant, elle réclame plus de capitaux, plus de pouvoir, plus de contrôle et plus de compétences pour réellement porter atteinte à la souveraineté des individus dans l’UE, aux États-Unis et dans le reste du monde.

Cristian Terheș (Roumanie, Parlement européen)

Hier, nous avons permis à chaque expert, à chaque médecin, à chaque professeur de nous présenter, et de présenter au monde, les résultats de leurs recherches professionnelles. Il est important qu’en tant que députés et représentants élus du Parlement européen, nous écoutions de vrais experts, eu égard à la fonction que nous occupons. Car malheureusement, durant toutes ces années, nous avons davantage entendu parler de bureaucrates et d’ONG qui n’ont aucune connaissance spécialisée dans ce domaine, mais nous n’avons guère entendu parler de véritables experts.

Ivan Vilibor Sinčić (Croatie, Parlement européen)

La volonté politique est là en Europe, tant dans ce Parlement que dans les parlements nationaux, pour faire les bonnes choses, mettre en place de grandes directives pour l’avenir. Nous allons envoyer les conclusions de chaque professeur, de chaque médecin à l’EMA, à la Commission, à notre commission. Et nous exigerons d’eux qu’ils tiennent compte de ces conclusions. S’ils refusent, nous leur martèlerons les données scientifiques.

Christine Anderson (Allemagne, Parlement européen)

Le Covid était un ballon d’essai, et ils ont tiré des leçons de comment et où ils ont échoué à amener les gens à faire ce qu’on leur a dit de faire et à se conformer. Et ils vont faire passer cela au niveau supérieur. Nous parlons ici de la carte d’identité numérique. Elle est en préparation et le Parlement s’est trahi lui-même en décidant à une large majorité de ne même pas impliquer le Parlement, mais de négocier directement à huis clos sur le n* d’identification numérique. La prochaine chose que nous verrons est bien sûr la monnaie d’État numérique. Ce serait le coup ultime porté à la liberté de notre vie privée. Nous ne parlons pas de projets futurs dans 40 ou 50 ans. Nous parlons de MAINTENANT. Nous avons besoin des gens de notre côté pour lutter contre cela, pour sensibiliser les gens et pour faire savoir à leurs gouvernements nationaux qu’ils ne se résigneront pas et qu’ils ne l’accepteront pas. Nous avons besoin des gens pour cela. Je vous remercie.

Mislav Kolakušić (Croatie, Parlement européen)

L’OMS veut que tous les pays signent un accord qui lui donne le pouvoir de déclarer une pandémie et de fournir des vaccins et des médicaments. Il serait plus sain et plus sûr pour l’humanité de signer un accord avec le cartel colombien de la drogue. En tout cas, celui-ci s’y connaît en matière de drogue. Mais pendant la pandémie de Covid, l’OMS n’a fait que mentir sur tout. Elle devrait être déclarée organisation terroriste. Mettre la vie de millions de personnes entre ses mains est extrêmement dangereux ! Elle a menti en disant qu’il existait un virus nouveau et inconnu, qu’il était possible de fabriquer un vaccin efficace, que le vaccin était efficace à 82 %, qu’il protégeait contre des maladies graves et contre la mort. Tout cela n’était que stupidités et mensonges !

Cristian Terheș (Roumanie, Parlement européen)

Nous faisons tout ce que nous pouvons. Nous voulons offrir une plateforme, une opportunité. Ce que nous avons organisé hier avec le sommet Covid, on ne l’a pas vu dans ce bâtiment depuis des années. Mais la lutte commence au niveau national. Car après tout, nous sommes tous des nations souveraines. Nous devons défendre notre souveraineté au niveau national et à partir de celui-ci. C’est pourquoi vous devriez contacter vos représentants élus dans les Parlements. Et assurez-vous que vous aiguisez les consciences sur ce problème. Il est très important que dans chaque pays membre de l’UE, vous demandiez à vos représentants élus dans votre Parlement national de ne pas approuver ce traité. Ce n’est qu’alors que ce traité nous parviendra au Parlement européen pour y être débattu. Mais le combat commence au niveau national. C’est pourquoi je vous appelle tous à vous engager au niveau national. Assurez-vous que vous demandez à vos représentants élus au Parlement national d’y mettre un terme avant qu’il ne devienne un traité reconnu en droit international.

Joignez-vous à l’appel commun pour la liberté !

Le temps presse, car la semaine prochaine, notre liberté pourrait, être encore plus restreinte, et de manière considérable.

Du 21 au 28 mai 2023, le nouveau règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS doit être négocié à Genève, à la demande des États-Unis. Celui-ci anticipe déjà les principaux dépassements du dénommé traité sur les pandémies avec des modifications drastiques des nouvelles obligations de droit international pour tous les Etats membres.

Le traité sur les pandémies, qui doit être adopté en mai 2024 et qui est actuellement à l’état de projet, doit ainsi être consolidé en mai 2023. Pour l’Allemagne, seule une petite délégation dirigée par le ministre de la Santé Lauterbach négocie cette question importante sans débat politique et publique préalable, sans consultation du Parlement, sans mandat direct du peuple et sans aucune consultation populaire.

C’est la dictature des groupes pharmaceutiques qui menace ! Car ce sont eux qui, en tant que principaux bailleurs de fonds, déterminent la politique de santé de l’OMS depuis de nombreuses années.

En Allemagne, agissez et téléchargez les lettres-types en dessous de cette émission et adressez-les au chancelier Scholz et aux députés du Bundestag. Ainsi, vous pouvez vous aussi faire pencher la balance avec un minimum d’efforts !

Les e-mails sont plutôt effacés à la chancellerie. Les LETTRES, en revanche, sont une masse de papier qui est perçue et comptée. Chaque lettre compte autant que 1 000 voix d’électeurs !

de paz.

Sources/Liens :




Les abolitionnistes de frontières sont des nihilistes néonazis

Par Lucien SA Oulahbib

Pour injecter mortellement votre chien dites qu’il a la rage. Pour masquer votre nihilisme et votre adoration paganisée du chaos en défendant mordicus l’abolition des frontières au profit (voilé) du Reich Global, dites que « les racistes de l’extrême droite instrumentalisent l’immigration ». Vous aurez alors toute l’attention de la propagande nihiliste néonazie au pouvoir visant à détruire nations et individualités en ce sens où ce néonazisme en absorbant le léninisme et le néoléninisme (le queerisme déconstructiviste des feus soixante-huitards) est devenu non plus « national » mais « international », celui du socialisme étatiste sans frontiéristes dirigé par une technocratie globaliste nihiliste sans foi ni loi (tout en affichant un visage d’ange, celui de « la Bête de l’événement ») à la solde d’une Secte richissime et activiste (Soros, Gates, et consorts…). Celle-ci a mis sur pied une machine de guerre pire que l’Inquisition (qui était modératrice en réalité, tant les dénonciations pullulaient…), celle d’une traque implacable et tragique contre les nouveaux hérétiques (nommés « complotistes », parce qu’ils la dénoncent justement). Elle cherche ainsi à épurer le « sang impur » en vue de rebâtir enfin une nouvelle stratification pyramidale planétaire (les « rien » et « sans dents » en bas et les « éveillés » en haut), tout en le niant bien sûr farouchement avec des mines de vierge effarouchée : ainsi en France telle animatrice sur France-Inter ou telle dirigeante de la NUPES ; aux USA telle dirigeante démocrate niant les dernières révélations du rapport Durham lui-même édulcoré par ailleurs

Cette propagande nihiliste néonazie va par exemple monter en épingle, d’un côté, telle mise en exergue d’un assassinat crapuleux, celui de la très jeune Lola en France, effectuée pourtant par une personne non française et illégalement installée en France qui avait de ce fait bel et bien eu une injonction, formelle, de quitter le territoire, tandis que, de l’autre côté, cette propagande, putride, mettra en avant tel incendie comme l’habitation d’un maire qui voulait se substituer à l’ONU en installant sans en demander la permission aux habitants un centre de migrants alors que ces deux faits, l’incendie et l’installation, ont des causes distinctes, quand bien même existerait-il une corrélation que l’enquête n’a cependant pas encore établie d’ailleurs…

Or, en amalgamant, d’entrée de jeu, de manière vulgaire même, la stupeur horrifiée envers un assassinat tellement sordide, et l’incendie en effet inqualifiable d’un élu comme « preuves » ultimes de la « montée de l’extrême droite » cela revient seulement à détourner l’attention pour mieux noyer le fait que la meurtrière de Lola (assassinée avec préméditation) n’avait rien à faire en France depuis longtemps d’une part, et que l’incendie en question, d’autre part, n’enlève rien au fait que certains militent bel et bien pour une abolition des frontières, ce qui est également criminel même insidieusement opéré.

Ce qui fait que ce sont des créatures obscènes en ce sens où elles mettent en scène ce qui n’a pas lieu d’être, détruisant la scène constitutionnelle de la souveraineté nationale française garantie pourtant par les articles, irréfragables, du Bloc de constitutionnalité, en niant de fait l’existence de frontières et de lois sommant au départ lorsqu’il y a lieu, noyant ainsi le poisson en tentant de faire croire qu’au fond l’assassinat de Lola et l’installation forcée de centres à migration (véritables têtes de pont sans frontiéristes) seraient principalement des « inventions de l’extrême droite »…

« Cachez ce sein que je ne saurais voir ». Le meurtre odieux et sordide de Lola violée et découpée ne serait plus qu’un fait divers (ou d’été) et l’installation de centres à migrants ferait seulement preuve de générosité envers une population ayant été « dominée » autrefois, d’où la nécessité d’une repentance… permanente, alors que tout ceci est faux après plus de soixante ans de décolonisation. Il suffit d’ailleurs de comparer deux pays ayant eu des conditions bien difficiles au départ (et pour une part liée à des déchirures internes multiformes et toujours vivaces), la Corée du Sud et l’Algérie, pour bien comprendre que d’autres facteurs sont bien plus en jeu que « la » seule colonisation quant au développement de l’une et la régression avancée de l’autre…

Toute cette propagande, déjà nihiliste à la base (avec le queerisme comme seul mode d’accès à tout désir possible) s’avère être à la solde des affairistes de la Secte globaliste néonazie (SHAA) avides d’une main-d’œuvre bon marché et sexuellement exploitable (jeunes éphèbes et autres nymphes colorés) sans parler de la prostitution et du trafic d’organes, alors que cette question migratoire EST une affaire d’abord mondiale qui ne peut donc être traitée qu’au niveau des institutions onusiennes et même pas au sein de l’UE…

D’où la confirmation de plus en plus affirmée, démontrée par les faits, qu’il ne sert somme toute à rien de se mettre sur une position défensive avec un ton quelque peu justificatif et teinté d’agressivité blessée comme le font certains dont Éric Zemmour (récemment sur RTL le 21/05/23) alors qu’il s’agit surtout, d’abord, de souligner que la France ne peut pas résoudre la question à elle seule de « la misère du monde » et qu’il faut donc instamment, quitte à opérer la politique dite de « la chaise vide », sommer TOUTES les instances mondiales de prendre en charge cette question, jusqu’à exclure de l’ONU les États qui refuseraient d’opérer les réformes adéquates permettant que leur population reste dans le pays pour le développer au lieu de s’enfuir ainsi…

Et la fuite en avant visant à les « aider » en permanence, tout en effaçant leurs dettes au fur et à mesure ne sert à rien sinon à reculer comme mieux sauter, à l’instar de cette monumentale dette publique et privée qui un jour ou l’autre va exploser, au fur et à mesure que nous allons entrer dans la quatrième guerre mondiale (la 3e ayant été la guerre froide). Celle-ci a d’ailleurs déjà entamé son amorce avec l’injonction sanitaire, puis les préliminaires de la guerre contre ces anti-queeristes que sont devenus les Russes et derrière eux le reste du monde, avec en arrière fond l’injonction climatique visant à forcer les individus à ne plus être aussi autonomes, aussi mobiles, à les drainer peu à peu et de plus en plus vers le seul monde de la virtualité (déjà par la drogue des séries déconstructivistes), tandis que l’élite de la Secte peut vaquer avec morgue à ses occupations globales, le tout « au nom » de la « Transition » (ou le triomphe sur le tard de Trotski avec son « Programme de Transition »).

Le plus regrettable dans cette histoire de plus en plus sordide est que les réels défenseurs de la souveraineté nationale à la française (la Nation comme communauté de sol et non pas seulement de sang) sont bien loin de s’unir, au-delà de leur singularité, pour empêcher que puisse continuer à nuire ainsi cette absolue infamie de type hygiéniste, eugéniste, racialiste, affairiste ou le réel néonazisme en marche (décrit également par Arièle Bilheran) qui n’a plus rien à voir avec le pseudo néonazisme des adorateurs actuels du feu palefrenier wagnérien paganisé qui ne savent quoi faire d’ailleurs de l’épée de Charlemagne tant il n’a pas compris ce qu’elle signifie.

Seulement, face à cela, seule la division prévaut, et aussi l’opportunisme confondant surface médiatique et profondeur analytique, et qui découvre ici et là le nihilisme, là-bas l’affairisme (appelé faussement « néo-libéralisme » alors que la financiarisation a toujours été présente, lire le 18 Brumaire… de Marx), plus loin le scientisme hygiéniste, et le tout appelé pompeusement « wokisme » alors que cela fait depuis des décennies qu’une poignée de penseurs (dont je suis) tentent (vainement) d’alerter sur les racines idéologiques multiformes de ce « tout » et son instrumentalisation accélérée par la technostructure standardisée et élevée désormais en secte globale ayant comme visée la reconstitution d’une ligue dissoute, celle du retour vers la barbarie assumée ou la servitude comme structure sociale, colonne vertébrale, quand bien même l’adhésion à son émergence serait-elle « volontaire », effaçant ainsi des siècles d’humanisme, comme le désirait Foucault, leur maître en queerisme, lorsqu’il disait dans les Mots et les choses que le visage de l’Homme s’effacera sur le sable de l’Histoire comme s’il n’avait jamais existé (admirez d’ailleurs la tentative de voiler cet aveu)

Mais celui-ci sera défendu par un Finkielkraut, une Hélène Banoun, un Vincent Pavan (du CSI) sans se rendre compte des conséquences pour la « cause » qu’ils mettent en avant, alourdissant encore plus, s’il en est, la division (mais un pas positif a été franchi à Saintes récemment lors d’une réunion importante des dénonciateurs de la Secte qui ont pu s’expliquer longuement sur son injonction hygiéniste)…




Covid : Radio-Canada aurait censuré des journalistes

[Source : libre-media.com]

[Illustration : La nouvelle Maison de Radio-Canada, à Montréal. Photo: Simon-Marc Charron/page Facebook du diffuseur public.]

Par Laurie Smith

Une ex-journaliste de Radio-Canada a déclaré devant la Commission d’Enquête Nationale Citoyenne que le diffuseur public avait interdit à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin.

Ce 18 mai se poursuivaient à Ottawa les audiences de la Commission d’Enquête Nationale Citoyenne consacrée à faire la lumière sur la gestion de la pandémie.

Dans ce cadre, Marianne Klowak, une ex-journaliste de la CBC basée au Manitoba et à l’emploi de ce média depuis 34 ans, a déclaré que le réseau d’État avait failli à sa mission en interdisant à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin, mais aussi sur l’opposition d’une partie de la population aux mesures sanitaires contraignantes et obligatoires.

« Les règles avaient changé du jour au lendemain »

« Je sais qu’en tant que radiodiffuseur public, vous vous attendez à ce que nous vous disions la vérité, et c’est ce que nous avons cessé de faire », a souligné Mme Klowak durant son témoignage devant les commissaires de la National Citizen’s Inquiry, une « initiative dirigée et financée par les citoyens et totalement indépendante du gouvernement ».

Information biaisée

« Il s’agit d’un certain nombre d’articles que j’ai présentés et qui ont été bloqués, mais il m’a semblé, en tant que journaliste en poste depuis 34 ans, que les règles avaient changé du jour au lendemain. Et cela s’est produit si rapidement que j’en ai été étourdie », a poursuivi celle qui a quitté la CBC en décembre 2021.

À lire aussi : Wokisme et censure: les universités auront-elles le courage d’agir?

Selon elle, le diffuseur public l’a empêchée de rédiger plusieurs articles sur la pandémie, mais surtout sur sa gestion par les gouvernements, articles qu’elle avait présentés à ses rédacteurs en chef avant de voir son travail censuré.

Marianne Klowak estime que la CBC a trahi la confiance du public canadien en privilégiant systématiquement les experts favorables aux mesures sanitaires, tout en qualifiant de «dangereux et de diffuseurs de fausses informations» ceux qui mettaient en doute l’efficacité et le bienfait de ces mesures et de la vaccination de masse.




Michael Yeadon : « Ne vous soumettez pas ! »

[Source : Ciel Voilé]

[Voir aussi :
Le Dr Michael Yeadon sur la crise Covid : Le message le plus important que j’aie jamais écrit
Après des révélations militaires sur les effets du vaccin anti-Covid sur la fécondité, l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, demande des excuses aux médias pour leurs « mensonges »
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo
Le Dr Mike Yeadon conclut : « Il n’y a pas de virus respiratoires ! »
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?
Le grand mensonge : pénurie d’énergie mondiale et crises multiples — toutes fabriquées — destinées à la destruction de la civilisation occidentale
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Un Plan Pour Le Monde
Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial
Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?
DU GRAND RÉVEIL
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
L’épée, le bon grain et l’ivraie
Réenchanter le monde]






Des personnalités connues ont refusé l’injection

[Source : Ciel Voilé]






Le Dr Gérard Delépine rappelle les effets nocifs des mesures covidiennes et le manque de résistance des médecins




Infertilité : un agenda diabolique — un film d’Andrew Wakefield et Robert F. Kennedy

[Source : kla.tv]

« Diriger la procréation avec sagesse — pour améliorer l’adaptabilité et la diversité », tel est [était. Voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial et Les Georgia Guidestones explosées] le deuxième commandement des Georgia Guidestones depuis 1980, juste après le premier qui vise à réduire la population mondiale. Mais qui s’arroge le droit de décider de l’une des décisions les plus fondamentales des jeunes femmes, celle d’avoir un enfant ? Le documentaire suivant, « Infertilité : un agenda diabolique », une coproduction du cinéaste Andrew Wakefield, de Robert F. Kennedy et de Children’s Health Defense, donne un aperçu effrayant du travail de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pendant 20 ans, des recherches ont été menées sur un vaccin qui, en supprimant l’hormone de grossesse, devait entraîner des fausses couches. L’administration du vaccin a eu lieu au Kenya dans le cadre d’une vaccination contre le tétanos, à laquelle a été ajoutée la substance active nuisible à la grossesse. Ce n’est que grâce à l’engagement inlassable de médecins courageux que ce crime a été mis à la lumière.

Regardez et écoutez maintenant directement de la part des personnes concernées des faits et des preuves évidentes de l’approche criminelle de l’OMS. Étant donné que sa politique internationale de santé est jusqu’à présent dirigée par des donateurs privés comme Bill Gates — un partisan de l’eugénisme et du contrôle de la population — le temps est venu de changer cette mauvaise pratique.

C’est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir contribuer à la diffusion de ce documentaire dans le monde entier.

de jmr/nm

Sources/Liens :




La Marche de la Fierté Française a été interdite

[Source : Esprits Français – NTD]

Le 12 mai 2023, la veille de l’événement, la préfecture a averti Place d’Armes de l’interdiction de La Marche de la Fierté Française, qui devait réunir entre 5000 et 10 000 personnes le 13 mai à Paris pour témoigner le déclassement général de la France.

[Voir :
Marche de la Fierté Française]


Le drapeau français bientôt interdit sur les manifestations !
Je me demande si le policier a agi de lui-même ou s’il a obéi à des ordres ?
J’ai été scandalisé par l’interdiction de la marche de la Fierté Française et d’autres manifestations ; au dernier moment, la veille du 13 mai, pour ne laisser aucune possibilité de recours.
Manifestement nous dérivons rapidement vers une dictature.

Jacques Amiot

[Source : place-armes.fr]

Drapeau français censuré

lorsqu’il y a dans une manifestation des drapeaux palestiniens, algériens ou marocains, pensez-vous qu’un policier oserait dire à la personne qui le tient : cachez votre drapeau ? En France aujourd’hui c’est le drapeau français qu’il faut cacher !

Regardez la vidéo ci-dessous en mettant le son :

[Extrait de la première vidéo]



Macron : 50 nuances de pipeau en 1 an

[Source : BLAST]




Dr Tess Laurie: « L’OMS veut introduire 500 nouvelles injections d’ici 2030 »

[Source : Ciel Voilé]






Où va la France ?

La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties « illibérales » juge Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID, pour qui Emmanuel Macron vit dans une réalité parallèle et joue avec le feu.

Des policiers armés gardent le Conseil constitutionnel, peu avant sa décision de rejeter un référendum sur la réforme des retraites. Paris, 3 mai 2023 — © YOAN VALAT/keystone-sda.ch

Par Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID (Genève), chaire Yves Oltramare « Religion et politique dans le monde contemporain »

Où va la France ? se demande la Suisse. La mauvaise réponse serait de s’arrêter à la raillerie culturaliste des Gaulois éternels mécontents. La crise est politique. Emmanuel Macron se réclame de l’« extrême centre » qu’incarnèrent successivement, dans l’Histoire, le Directoire, le Premier et le Second Empire, et différents courants technocratiques saint-simoniens. Il est le dernier avatar en date de ce que l’historien Pierre Serna nomme le « poison français » : la propension au réformisme étatique et anti-démocratique par la voie de l’exercice caméral et centralisé du pouvoir.

Le conflit des retraites est le symptôme de l’épuisement de ce gouvernement de l’extrême centre. Depuis trente ans, les avertissements n’ont pas manqué, que les majorités successives ont balayés d’un revers de main en criant aux corporatismes, à la paresse, à l’infantilisme du peuple. Administrée de manière autoritaire et souvent grotesque, la pandémie de Covid-19 a servi de crash test auquel n’ont pas résisté les services publics dont s’enorgueillissait le pays et qui lui fournissaient, au-delà de leurs prestations, une part de ses repères.

Lire aussi : La déprime française se radicalise

Emmanuel Macron, tout à son style « jupitérien », aggrave l’aporie dans laquelle est tombée la France. Il n’a jamais rien eu de « nouveau », et sa posture d’homme « providentiel » est une figure éculée du répertoire bonapartiste. Il n’imagine pas autre chose que le modèle néolibéral dont il est le pur produit, quitte à le combiner avec une conception ringarde du roman national, quelque part entre le culte de Jeanne d’Arc et la fantaisie réactionnaire du Puy-du-Fou. Son exercice du pouvoir est celui d’un enfant immature, narcissique, arrogant, sourd à autrui, plutôt incompétent, notamment sur le plan diplomatique, dont les caprices ont force de loi au mépris de la Loi ou des réalités internationales.

Ce pourrait être drôle si ce n’était pas dangereux. L’interdiction de l’« usage de dispositifs sonores portatifs » pour éviter les casserolades des opposants, le bouclage policier des lieux où se rend le chef de l’État, le lancement de campagnes de rectification idéologique contre le « wokisme », la « théorie du genre », l’« islamo-gauchisme », l’« écoterrorisme » ou l’« ultra-gauche » sont autant de petits indices, parmi beaucoup d’autres, qui ne trompent pas le spécialiste des régimes autoritaires que je suis. La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties « illibérales ».

Un arsenal répressif à disposition des pouvoirs suivants

D’aucuns crieront à l’exagération polémique. Je leur demande d’y regarder à deux fois en ayant à l’esprit, d’une part, l’érosion des libertés publiques, au nom de la lutte contre le terrorisme et l’immigration, depuis au moins trois décennies, d’autre part, les dangers que revêtent de ce point de vue les innovations technologiques en matière de contrôle politique et l’imminence de l’arrivée au pouvoir du Rassemblement national auquel les gouvernements précédents auront fourbi un arsenal répressif rendant superflues de nouvelles lois liberticides.

Il n’est pas question, ici, de « bonnes » ou de « mauvaises » intentions de la part du chef de l’État, mais d’une logique de situation à laquelle il se prête et qu’il favorise sans nécessairement la comprendre. Macron n’est ni Poutine ni Modi. Mais il prépare l’avènement de leur clone hexagonal. Au mieux sa politique est celle de Viktor Orban : appliquer le programme de l’extrême droite pour éviter son accession au pouvoir.

Sur fond d’évidement des partis de gouvernement, un « flibustier » — pour reprendre le qualificatif de Marx à propos du futur Napoléon III — s’est emparé du butin électoral à la faveur de la sortie de route de Nicolas Sarkozy, François Hollande, Alain Juppé, François Fillon, Manuel Valls. Il a cru « astucieux », pour continuer à citer Marx, de détruire « en même temps » la gauche et la droite pour s’installer dans le confort d’un face-à-face avec Marine Le Pen. Mais Emmanuel Macron n’a été élu et réélu que grâce au concours des voix de la gauche, soucieuse de conjurer la victoire du Rassemblement national. Son programme, libéral et pro-européen, n’a jamais correspondu aux préférences idéologiques que du quart du corps électoral, hormis même la part croissante des non-inscrits et des abstentionnistes qui sape la légitimité des institutions.

Un président aveugle et méprisant

Nonobstant cette évidence, Emmanuel Macron, ignorant de par son éducation et son itinéraire professionnel les réalités du pays profond, primo-élu à la magistrature suprême sans jamais avoir exercé le moindre mandat local ou national, a entendu faire prévaloir la combinaison schmittienne d’un « État fort » et d’une « économie saine » en promulguant ses réformes néolibérales par voie d’ordonnances, en court-circuitant les corps intermédiaires et ce qu’il nomme l’« État profond » de la fonction publique, en s’en remettant à des cabinets privés de conseil ou à des conseils a-constitutionnels tels que le Conseil de défense, en réduisant la France au statut de « start-up nation » et en la gérant comme un patron méprisant ses employés, « Gaulois réfractaires ».

Une chronique : Les casseroles de Macron, un totem de plus dans la cocotte-minute

Le résultat ne se fit pas attendre. Lui qui voulait apaiser la France provoqua le plus grave mouvement social depuis Mai 68, celui des Gilets jaunes dont le spectre continue de hanter la Macronie. La main sur le cœur, Emmanuel Macron assura, au début de la pandémie de Covid-19, avoir compris que tout ne pouvait être remis aux lois du marché. À plusieurs reprises, il promit avoir changé pour désamorcer l’indignation que provoquait sa morgue. De nouvelles petites phrases assassines prouvèrent aussitôt qu’il en était incapable. Il maintint son cap néolibéral et fit alliance avec Nicolas Sarkozy en 2022 pour imposer une réforme financière de la retraite en dépit de l’opposition persistante de l’opinion et de l’ensemble des forces syndicales, non sans faire fi de leurs contre-propositions.

Face au nouveau mouvement social massif qui s’est ensuivi, Emmanuel Macron s’est enfermé dans le déni et le sarcasme. Il argue de la légitimité démocratique en répétant que la réforme figurait dans son programme et qu’elle a été adoptée selon une voie institutionnelle validée par le Conseil constitutionnel.

Une réalité parallèle

Sauf que :

  • 1) Emmanuel Macron n’a été réélu que grâce aux voix de la gauche, hostile au report de l’âge de la retraite ;
  • 2) le peuple ne lui a pas donné de majorité parlementaire lors des législatives qui ont suivi le scrutin présidentiel ;
  • 3) le projet portait sur les « principes fondamentaux de la Sécurité sociale », lesquels relèvent de la loi ordinaire, et non d’une loi de « financement de la Sécurité sociale » (article 34 de la Constitution), cavalier législatif qui a rendu possible le recours à l’article 49.3 pour imposer le texte ;
  • 4) le gouvernement s’est résigné à cette procédure parce qu’il ne disposait pas de majorité positive, mais de l’absence de majorité pour le renverser au terme d’une motion de censure ;
  • 5) le Conseil constitutionnel est composé de personnalités politiques et de hauts fonctionnaires, non de juristes, et se préoccupe moins du respect de l’État de droit que de la stabilité du système comme l’avait déjà démontré son approbation des comptes frauduleux de la campagne électorale de Jacques Chirac, en 1995 ;
  • 6) le détournement de la procédure parlementaire a suscité la désapprobation de nombre de constitutionnalistes et s’est accompagné du refus de toute négociation sociale.

Comme en 2018, Emmanuel Macron répond à la colère populaire par la violence policière. Atteintes à la liberté constitutionnelle de manifester, utilisation de techniques conflictuelles de maintien de l’ordre, usage d’un armement de catégorie militaire qui cause des blessures irréversibles telles que des éborgnages ou des mutilations ont entraîné la condamnation de la France par les organisations de défense des droits de l’homme, le Conseil de l’Europe, la Cour européenne de justice, les Nations unies.

Face à ces accusations, Emmanuel Macron s’enfonce dans une réalité parallèle et radicalise son discours politique. À peine réélu grâce aux voix de la gauche, dont celles de La France insoumise, il place celle-ci hors de l’« arc républicain » dont il s’arroge le monopole de la délimitation. Il voit la main de l’« ultragauche » dans la contestation de sa réforme. Il justifie les violences policières par la nécessité de lutter contre celles de certains manifestants.

Sauf que, à nouveau :

  • 1) le refus, récurrent depuis l’apport des suffrages de la gauche à Jacques Chirac en 2002 et le contournement parlementaire du non au référendum de 2005, de prendre en considération le vote des électeurs quand celui-ci déplaît ou provient d’une autre famille politique que la sienne discrédite la démocratie représentative, nourrit un abstentionnisme délétère et pousse à l’action directe pour faire valoir ses vues, non sans succès pour ce qui fut des Gilets jaunes et des jeunes émeutiers nationalistes corses auxquels il fut accordé ce qui avait été refusé aux syndicats et aux élus ;
  • 2) le non-respect des décisions de justice par l’État lorsque des intérêts agro-industriels sont en jeu amène les écologistes à occuper les sites des projets litigieux, au risque d’affrontements ;
  • 3) la stigmatisation d’une ultragauche dont l’importance reste à démontrer va de pair avec le silence du gouvernement à propos des voies de fait de l’ultradroite identitariste et des agriculteurs productivistes qui multiplient les agressions contre les écologistes.

« Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police »

Ce n’est pas être un « amish » et vouloir retourner « à la bougie » que de s’interroger sur la 5G ou sur l’inconsistance du gouvernement quand il défend à grand renfort de grenades les méga-bassines alors que se tarissent les nappes phréatiques du pays. Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police. Ce n’est pas être un gauchiste que de diagnostiquer la surexploitation croissante des travailleurs au fil de la précarisation des emplois et au nom de logiques financières, de repérer le siphonnage du bien public au profit d’intérêts privés, ou de déplorer le « pognon de dingue » distribué aux entreprises et aux contribuables les plus riches. Point besoin non plus d’être grand clerc pour comprendre que la Macronie n’aime pas les pauvres. Elle n’a plus d’autre réponse que la criminalisation des protestations. Elle souhaite maintenant dissoudre la nébuleuse des Soulèvements de la terre que parrainent l’anthropologue Philippe Descola, le philosophe Baptiste Morizot, le romancier Alain Damasio ! Quand Gérald Darmanin entend le mot culture il sort son LBD.

Dans cette fuite en avant, un pas décisif a été franchi lorsque le gouvernement s’en est pris à la Ligue des droits de l’homme. Ce faisant, la Macronie s’est de son propre chef placée en dehors de l’« arc républicain ». Cette association, née, faut-il le rappeler, de l’affaire Dreyfus, est indissociable de l’idée républicaine. Seul le régime de Pétain avait osé l’attaquer. Sur la planète, ce sont bien les Poutine et les Orban, les Erdogan et les Modi, les Kaïs Saïed ou les Xi Jinping qui tiennent de tels propos. Oui, la France bascule.




Projet totalitaire et psychose collective

[Source : Anthropo-logiques]






Urgence climatique ?

[Source : reinfoquebec.ca]

Par Patrick Vesin et Christian Leray

La question de l’évolution du climat n’est pas nouvelle. Déjà en 1990, elle faisait partie des préoccupations importantes. Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Changement climatique : état des lieux

En 2007 était annoncée la publication du quatrième rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) intitulé « Changements Climatiques 2007 ». Trois rapports l’avaient précédé en 1990, 1995 et 2001. Ce quatrième rapport, présentant un résumé de recherches des six années précédentes, était destiné spécifiquement aux décideurs, et contenait les résultats des travaux de plus de 450 grands auteurs, 800 contributeurs et 2 500 scientifiques originaires de plus de 130 pays.

Dans ce rapport, il est écrit : « Les activités humaines sont à l’origine de l’émission des gaz à effet de serre. La concentration de tous ces gaz s’est fortement accrue pendant l’ère industrielle et elle est entièrement imputable aux activités humaines. ». On y indique en particulier que le niveau de la mer monte, que la quantité de neige et de glace est en train de diminuer et qu’il est très improbable que le réchauffement du XXe siècle puisse s’expliquer par des causes naturelles.

[Voir aussi :
dossier Climat]

Récemment les Nations Unies ont approuvé le sixième rapport du GIEC. « Au début de la réunion, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé les délégués à fournir des “faits bruts et concrets” pour affirmer clairement qu’il reste peu de temps pour que le monde limite le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius par rapport à l’époque préindustrielle. »

En fait la peur a été installée auprès de la population, à savoir que ce sont les dernières chances de l’humanité. Des études montrent par exemple que 60 % des jeunes se disent « très inquiets » des changements climatiques. Ils jugent même leur futur « effrayant », au point où 40 % d’entre eux déclarent qu’ils « ne veulent pas d’enfant par peur du dérèglement climatique ».

Quand on constate l’ampleur des recherches, il ne viendrait certainement pas à l’idée de la population en général de contester ces rapports. Et il serait donc légitime de dire : le sujet est clos et urgent. La population est très inquiète : passons à l’action afin de protéger les générations futures.

Quelques questions

Cependant, pour un esprit critique, Il y a tout de même lieu de se questionner.

1— D’abord sur les affirmations de l’ancien vice-président américain Al Gore, prix Nobel de la paix sur le sujet du réchauffement climatique, qui avait affirmé en 2009 qu’à brève échéance (2013) l’Arctique serait libre de glace en été.

Plus globalement, cette Une de La Presse (mais on peut en trouver facilement des dizaines d’autres) montre que derrière leur catastrophisme, aucune des prédictions apocalyptiques annoncées ne s’est réalisée. Peut-on alors continuer de les croire ?

2— Ce catastrophisme doit nous mener à nous interroger sur ce que publient les médias subventionnés en ce qui concerne le climat. On ne parle que d’urgence et de réchauffement climatique et on nous affirme que les spécialistes dans le domaine sont d’accord. Ce qui devrait déjà nous donner la puce à l’oreille : un consensus en science, cela n’existe pas !

3— Le propre de la science est de débattre, de remettre en question. Cependant, force est de constater que les débats publics sur la question se font rares. En fait, c’est même à se demander s’ils existent, tellement il semble que seuls les tenants d’un réchauffement climatique dû à l’activité humaine ont le droit à la parole. L’invisibilisation des chercheurs en désaccord empêche tout débat de fond, censure la pensée et interdit le raisonnement.

4— Dès que l’on s’interroge sur le sujet, l’expression théorie du complot réapparaît, expression qu’on appelait auparavant esprit critique, considéré comme salutaire pour une démocratie.

5— À cet égard, il est important de se rappeler la parole du sociologue Edgar Morin : « Toute contestation d’une affirmation officielle ou d’une croyance largement répandue peut être désormais considérée comme complotiste. »

6— Dans les faits, tous les experts dans le domaine ne sont pas d’accord avec cette affirmation du réchauffement climatique. Mais comme on l’a vu, ceux qui remettent en doute le discours officiel sont invisibilisés. Et encore seraient-ils sans doute beaucoup plus nombreux s’il n’y avait pas des menaces sur leurs carrières ou leurs financements s’ils osent s’exprimer.

On remarque aussi que de nombreux « experts » du GIEC ne sont pas des scientifiques. Par exemple, son président, Hoesung Lee, est un économiste… tout comme le 3e auteur du dernier rapport de l’organisme, M. Dipak Dasgupta. Cela est un peu gênant.

Que penser alors quand le climatologue français Marcel Leroux affirme de son côté qu’il y a en fait des régions qui se réchauffent et d’autres qui se refroidissent et qu’on ne sait pas si la terre se réchauffe ?

Toujours selon lui, dire que le changement climatique est dû à l’effet de serre est une nouveauté ! Les causes sont déjà connues : les paramètres de Milanković (paramètres astronomiques qui engendrent des variations cycliques du climat terrestre), les variations de l’activité solaire (qui auraient pour conséquence « un réchauffement global de notre système solaire »), le géomagnétisme, le rayonnement cosmique, le volcanisme. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau qui agit à 95 % sur ce qu’on appelle l’effet de serre et non le gaz carbonique.

Source : https://pgibertie.com/2023/05/09/pour-le-dernier-prix-nobel-de-physique-2022-john-clauser-il-ny-a-pas-de-crise-climatique-les-temperatures-mondiales-sont-a-leur-niveau-de-1998/

Ce que l’on constate dans les faits, c’est que contrairement à une opinion pourtant largement répandue, c’est la hausse des températures, due aux cycles de Milanković, qui provoque l’augmentation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (cela est dû au fait que « si l’océan se réchauffe, il dégage du CO2 et augmente donc la concentration atmosphérique. C’est l’application de la Loi de Henry sur la solubilité des gaz dans l’eau ») et non l’inverse (Caillon & al, 2003). Comment alors le taux de CO2, qui suit la hausse des températures, pourrait-il expliquer la hausse des températures ?

Selon certains scientifiques, il n’y a pas d’urgence climatique

Tout cela conduit le dernier prix Nobel de Physique (2022), John Clauser, à déclarer qu’« il n’y a pas de crise climatique ». D’après lui, les températures mondiales sont à leur niveau de 1998.

Cela est confirmé par des scientifiques qui ont analysé des carottes de glace en Antarctique et qui montrent qu’il faisait par exemple plus chaud en l’an 1 000 qu’aujourd’hui. Ils notent que les températures les plus basses au cours des 8 000 dernières années ont eu lieu vers 1875… date à laquelle ont débuté les relevés météo et de température, ce qui explique que la hausse nous semble anormale.

Source : https://odysee.com/@vcuendet:1/Carottes-de-glace-et-climat:c?r=GfgcXMkyNuAXMxwiKBa54SiaXQBebDMP

Prises dans un contexte historique s’étalant sur les 800 000 dernières années, les températures actuelles sont certes élevées mais s’inscrivent dans des cycles « normaux » d’élévation puis de baisse des températures. Alors peut-être la hausse actuelle est-elle accélérée par l’activité humaine. Mais doit-on pour autant paniquer ?

Ainsi, Steven Koonin, l’ancien conseiller climat du président Obama, affirme qu’il faudrait stopper l’hystérie autour de la « crise climatique » et de tout ce qui va avec : nouvelles taxes, nouveaux impôts, nouvelles réglementations.

De son côté, tout en ne niant pas les problèmes écologiques, l’ancien PDG de Greenpeace, Patrick Albert Moore, avoue que le changement climatique sert à effrayer les gens et à les contrôler.

Et ce sont plus de mille experts qui ont publié un rapport et qui affirment qu’il n’y a pas d’urgence climatique, que ce soit d’origine humaine ou autre ! Les conclusions du rapport vont à l’encontre des efforts déployés pour se débarrasser des combustibles fossiles, déployer le plus rapidement possible des véhicules électriques et dépenser des milliards de dollars dans des projets d’énergie verte à court terme, etc.

À ce sujet, il est fascinant de constater à quel point le mirage de la « transition écologique » est un dogme… qui n’a pas de sens. Ainsi, Aurore Stéphant, ingénieure géologue minière, explique que tous les minerais de la terre seront largement insuffisants pour permettre cette transition.

Même les médias subventionnés québécois commencent à se poser des questions. Le journal Les Affaires constate ainsi l’impossibilité des objectifs fixés. Il affirme :

Dans votre Plan pour une économie verte (PEV) 2030, votre gouvernement établit un objectif de 1,6 million de véhicules électriques sur les routes du Québec d’ici 2030. Sachant qu’en juillet 2022, ce nombre était d’environ 150 000, cela signifie 1,45 million de nouveaux véhicules électriques au cours des sept prochaines années.

Une batterie de voiture électrique contient, en moyenne, 7 kg de lithium. L’atteinte de cet objectif du PEV nécessiterait donc plus de 10 000 tonnes de lithium. Or, la production mondiale totale de lithium, au cours des dernières années, varie entre 80 000 et 100 000 tonnes par année.

Conclusion : urgence climatique ou contrôle social ?

Il y a de quoi en perdre son latin, à savoir ne plus rien comprendre, y perdre la tête, ne plus savoir que faire ou que dire.

Devant des opinions si opposées, qui dit vrai ?

Si on choisit l’option qu’il n’y a pas d’urgence climatique (voire que la transition écologique est une utopie irréalisable), on se fait traiter de climatosceptique et de négationniste.

Si on choisit l’option de l’urgence climatique, on cède à la peur.

Ce qui est certain est qu’on a laissé beaucoup de place à l’urgence climatique dans les publications gouvernementales, les médias subventionnés, écrits ou audiovisuels.

Ceux qui pensent qu’il n’y a pas d’urgence, même s’ils sont des experts dans ce domaine, ont de la difficulté à s’y faire entendre quand ils ne sont pas censurés.

Dans un article récent du journal Le Devoir, n’y voit-on pas écrit : « C’est le 3 mai qu’est soulignée cette année la Journée mondiale de la liberté de la presse. C’est un rappel que la liberté d’expression et de la presse est la clef de voûte de tous les droits de la personne. »

Il serait peut-être le temps de faire ce que l’on dit ! Car les conséquences sur nos libertés risquent d’être majeures. En effet, les populations apeurées pourraient, comme lors de la COVID-19, accepter des décisions radicales, comme, par exemple, des « confinements climatiques ». Une méthode qui semble privilégiée est les « villes 15 minutes », dans lesquelles, en principe, tout se trouvera à moins de 15 minutes de marche… avec de grandes limitations quant à l’utilisation de son auto, limitations qui seront scrutées grâce à une myriade de caméras biométriques. Un projet pilote va être mené prochainement à Oxford. La Ville de Montréal affirme « adhérer au concept ». Et c’est peut-être le cas de votre ville… sans que vous ne le sachiez.

D’autres mesures, comme un « passeport carbone », sont envisagées. Passeport qui sera probablement couplé à votre identité numérique et votre compte en banque : dépassez votre bilan carbone du mois et vous pourriez ne plus pouvoir faire d’achats, ne plus pouvoir acheter un billet d’avion, de l’essence… ou des fruits au prétexte qu’ils ne sont pas produits localement. Les achats effectués à plus de 15 minutes de marche de votre domicile pourraient aussi être rendus impossibles. Etc.

Tout cela amène à s’interroger sur cet intérêt soudain pour le changement climatique (depuis la « fin » de la COVID-19)… alors que nous faisons face à d’autres immenses défis environnementaux, comme les plastiques, notamment dans les océans, mais aussi tous les produits chimiques persistants comme le mercure (tellement présent dans les océans qu’il devient dangereux de consommer du poisson), les PFAS et bien d’autres.

Finalement, l’enjeu du « changement climatique » est-il vraiment climatique… ou politique ? Au prétexte d’une prétendue « crise climatique », nous apprêtons-nous à entrer dans une société de contrôle ?

Nous donnerons le mot de la fin à Ivan Rioufol, grand intellectuel français :

La leçon à en tirer, c’est qu’un peuple soumis à une politique de la peur — que ce soit la peur climatique, la peur du populisme, la peur de la guerre ou encore d’un virus — peut renoncer à toutes ses libertés essentielles.




Ferage admet que le Brexit est un échec

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Modeste Schwartz

Désormais reconnu par Nigel Farage, père du Brexit, l’échec n’est plus contesté que dans certaines salles de conférence du souverainisme français, hauts-lieux de la culture du déni, entre deux génuflexions devant l’icône de Saint Jacques « Spoutnik V » Sapir. Demandons-nous pourquoi.


On pourrait discuter longuement de la justesse des perceptions (concernant les effets de l’immigration, du libre-échange européen, etc.) qui ont amené les gueux britanniques à vouloir quitter la divine UE. Le fait est qu’ils l’ont voulu. Et que le Brexit ne leur a pratiquement rien apporté de tout ce qu’ils en attendaient.

Ce que ces britanniques s’avouent ainsi par la bouche de Farage, c’est qu’en réalité, le mondialisme et l’étatisme, c’est la même chose. Quand on ne combat pas l’étatisme à l’intérieur de ses frontières, la définition de ces frontières importe, finalement, assez peu : nationales, « européennes » ou mondiales, elles seront toujours le cadre d’action permettant à un Bourla d’envoyer suffisamment de SMS à une Ursula pour vous empoisonner sur l’argent de vos propres impôts.

[Note de Joseph : cet échec du Brexit était nettement prévisible dans la mesure où les Britanniques n’en ont pas profité pour sortir carrément du Système, mais sont au contraire toujours contrôlés par les mêmes élites autoproclamées, soumis aux mêmes types de règles bureaucratiques, dépendants des bons vouloirs des milliardaires de la finance mondialiste apatride, et conditionnés par le matérialisme. Et il en serait pareillement avec un Frexit, surtout un qui voudrait s’accomplir en respectant les règles de ce même Système.
Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Changer le Système ?]

L’illusion des « bureaucraties nationales »

Homme d’une grande franchise, Farage n’hésite pas non plus à désigner les responsables immédiats de l’échec : ces élites du Parti Conservateur, en qui on reconnaît soudain (quelle surprise !) des clones parfaits de l’élite entourant le Parti Travailliste.

Autre grand mystère du souverainisme : pourquoi la magie du suffrage universel, qui a porté E. Macron au pouvoir, devrait-elle porter de tout autres fruits quand on lui donne une forme référendaire et que les options sont « rester » (dans l’étatisme oligarchique « européen »), ou « partir » (pour revenir à l’étatisme oligarchique « national ») ? Tout le monde l’ignore. Dans le doute, on recommandera tout de même d’augmenter les doses de démocratisme : comme dans le cas du socialisme, du climatisme, du féminisme, de l’européisme et de la plupart des –ismes, quand ça a l’air de ne pas marcher, c’est qu’il faut ajouter un booster.

Ou serait-ce parce qu’aucune force en ce monde n’est en mesure de protéger les enfants contre le Père Noël ? Parce qu’un peuple infantilisé et féminisé appelle de ses vœux les Ursula, les Sunak, les Macron et les Poutine qui – syndiqués ou non par des structures de type Davos – vont invariablement les vendre sur pieds au capitalisme de connivence, parce que l’abattoir est le destin du bovin ?




« L’État cherche à s’emparer de toute la vie de l’homme : ses décisions, ses goûts, ses croyances, ses idées, ses relations, sa famille, son bonheur même »

[Source : breizh-info.com]

Agustín Laje est diplômé en sciences politiques de l’université catholique de Córdoba (Argentine). Fondateur et directeur de la Fundación Centro de Estudios LIBRE, il est chroniqueur dans différents médias et auteur des livres « Los mitos setentistas » (2011), « Cuando el relato es una Farsa » (2013), « El libro negro de la Nueva Izquierda » (2016), coécrit avec Nicolás Márquez, et « La batalla cultural. Reflexiones para una Nueva Derecha » (2022).

Notre confrère Álvaro Peñas (deliberatio.eu, The European conservative) s’est entretenu avec lui au sujet de son dernier livre, « Generación idiota: Una crítica al adolescentcentrismo ».

Generación Idiota souligne le chemin parcouru par de nombreuses sociétés occidentales, malades du wokisme, vers la « société adolescente ». En plus d’être idiote, peut-on parler d’une génération perdue ?

Agustín Laje : La génération idiote est perdue dans son incapacité à regarder au-delà de son propre nombril narcissique. Ce narcissisme insupportable, souvent déguisé en « woke politics » et en posture progressiste, produit une fermeture d’esprit absolue qui se perd en elle-même. Nous le voyons, par exemple, dans les phénomènes les plus variés, tels que les espaces sécurisés de certaines universités, la qualification de « discours de haine » pour annuler toute idée non conforme à l’hégémonie progressiste, la domination du principe de perception de soi comme mesure de toute réalité possible, et la fin conséquente de la vérité en tant que discours que nous projetons vers une réalité qui se situe (aussi) à l’extérieur de nous (c’est ce que nous pourrions appeler la « post-vérité »).

Cette haine de la vraie diversité (diversité de pensée, de croyances, d’idées, de positions politiques) perd définitivement la Génération Idiote, qui se séduit en croyant que la diversité progresse simplement parce qu’on peut se teindre les cheveux en vert, se sentir dans le mauvais corps, ou coucher avec quelqu’un du même sexe et le célébrer (comme un grand exploit) pendant un mois entier chaque année.

Dans une société fondée sur l’adolescente autocentrée ou l’enfant roi, quelle est la place de la vieillesse et de l’enfance ?

Agustín Laje : Absolument aucune. D’une part, l’adolescentocentrisme repose sur une règle générale que l’on pourrait résumer par « le nouveau est bon, le vieux est mauvais ». La vieillesse est présentée à une société centrée sur l’adolescence comme quelque chose d’essentiellement mauvais, dans des sens différents mais similaires : la vieillesse est démodée ; la vieillesse apporte avec elle une moralité qui, en raison de l’accélération du changement social, est déjà dépassée ; la vieillesse est technologiquement dépassée, dans une société marquée précisément par un changement technologique exponentiel ; la vieillesse, enfin, dans sa proximité avec la mort, rappelle la finitude de la vie, dans une société où la mort équivaut à la fin absolue.

En ce qui concerne l’enfance, de nombreux sociologues et politologues ont dénoncé ces dernières décennies une sorte de « processus d’infantilisation ». Mais le nourrisson est trop innocent et trop pur pour être confondu avec l’idiot adolescent qui domine notre environnement culturel et politique. Le nourrisson, comme l’indique son étymologie même, n’a pas de voix. Le nourrisson est démuni : il ne peut pas s’autodéterminer, ni même prétendre le faire. Au contraire, l’idiot centré sur l’adolescent prétend à l’autodétermination totale, mais la laisse incomplète ou mutilée, car la composante de la responsabilité individuelle est toujours absente.

Toute l’obsession sexuelle actuelle de l’enfance (qui se radicalise chaque jour davantage) est due à la haine et au mépris particuliers que l’idiot adolescent éprouve pour l’idée d’une phase de la vie où l’individu de l’espèce humaine vit sous la domination des autorités de sa famille.

Souvenez-vous de toutes ces théoriciennes féministes des années 70, par exemple, qui voulaient anéantir toute autorité familiale sur les enfants.

L’ » éternel adolescent » représenterait, comme vous le soulignez à juste titre dans votre livre, l’idéal du « surhomme » ou de l’ » homme nouveau ». Greta Thunberg est-elle le meilleur exemple de la société adolescente et des réseaux sociaux, son « royaume des cieux » ?

Agustín Laje : C’est un exemple très pertinent par l’ampleur de sa médiatisation. Ce que Greta révèle, c’est quelque chose qui lui est extérieur, à savoir que notre culture est prête à croire qu’une adolescente va être le principe salvateur d’une apocalypse climatique. Greta elle-même est un personnage peu intéressant. Regardez-la lorsque, enfin, elle a été interrogée dans la rue par des journalistes avec lesquels elle n’avait pas convenu d’un entretien au préalable : la pauvre fille n’a pas pu répondre à une seule des questions intelligentes qui lui ont été posées.

Ce qui est intéressant, en tout cas, c’est de voir comment les élites utilisent l’image de l’adolescence, incarnée par Greta, pour orienter les masses vers certaines attentes, certains thèmes, certains slogans, certaines émotions, etc. Tout cela ne se fait pas seulement avec la puissance des réseaux sociaux, car Greta, à proprement parler, n’est pas un personnage de réseau : c’est un personnage construit par les principales sociétés multimédias.

Il y a quelques années, une vidéo montrait un jeune homme blanc de 1,80 m se présentant comme une femme asiatique de 1,80 m et la majorité des étudiants universitaires acceptaient sa perception de la réalité. Après avoir changé de sexe à volonté, est-il temps de changer d’âge ? Le culte de l’adolescence ouvre-t-il la porte au trans-âge ?

Agustín Laje : La dissolution du sexe comme principe de réalité ouvre certainement la porte à la dissolution de toute autre caractéristique identitaire. Quelle qu’elle soit. Pensez-y de la manière suivante : si la matérialité du sexe (c’est-à-dire sa réalité physiologique, anatomique, génétique, etc.) s’est effondrée en tant que réalité du sexe face aux pressions de l’idéologie du genre (c’est-à-dire les constructions culturelles autour de la sexualité et, dernièrement, la perception de soi en tant que critère définissant l’identité sexuelle), pourquoi un autre critère ne s’effondrerait-il pas, qui, comme l’âge, ne présente même pas une matérialité aussi pressante ? En effet, l’âge dépend du passage du temps. Mais le temps semble être quelque chose de beaucoup moins matériel que le sexe en tant que biologie. Si ce dernier est tombé, a été déplacé en tant que réalité du sexe, pourquoi le temps ne tomberait-il pas en tant que réalité de l’âge ?

Le même exercice peut être fait avec n’importe quelle autre caractéristique de l’identité personnelle. Par exemple, la nationalité. Si la nationalité est définie politiquement par l’État et, en ce sens, est beaucoup moins matérielle (et donc évidente) que le sexe en tant que biologie, pourquoi ne pourrions-nous pas également faire tomber ce principe de définition en vertu de l’autodéfinition par le biais de l’autoperception de l’identité nationale ? Cela semble absurde, mais c’est la même logique.

Vous consacrez un chapitre à la mode et à la vénération de la nouveauté. Mais la mode et la nouveauté sont de plus en plus éphémères. L’insatisfaction, si typique de l’adolescent, et la consommation sont-elles les stimuli de la génération idiote ?

Agustín Laje : En effet, la mode est de plus en plus éphémère, et c’est pourquoi il est si important de rendre compte du vide. La mode n’existe que dans la mesure où elle change, elle dépend en quelque sorte d’un autosabotage permanent. Lorsque tout le monde « devient à la mode », la mode ne peut plus tenir sa promesse de donner un semblant d’identité.

Vous parlez d’ « insatisfaction », typique de l’adolescent, et je pense que c’est ainsi, même si je la compléterais par le problème de l’identité. Insatisfaction par rapport à quoi ? L’insatisfaction par rapport au soi, par rapport à qui ou à ce que je suis. L’adolescence, selon Erik Erikson, est une étape caractérisée par l’absence d’une identité bien définie. L’adolescent « trébuche » parce qu’il ne sait pas encore qui il est vraiment. Or, je crois qu’il se passe exactement la même chose dans notre culture, mais à un niveau sociologique.

L’idée actuelle que chacun doit « inventer » sa propre identité crée trop de stress social, trop de malaise. Peut-être étions-nous beaucoup plus libres lorsque certains traits identitaires ne nous causaient pas un tel malaise, parce qu’ils étaient déjà pris en compte auparavant.

Le monde du divertissement a-t-il pris le rôle des nouveaux héros et saints pour la génération des idiots ?

Agustín Laje : Ce monde s’est, pour ainsi dire, « démocratisé ». Je veux dire que la grande promesse du système de célébrité actuel est que n’importe qui, sans aucun critère de médiation, peut aussi être célèbre. La démocratisation de la célébrité a détruit les critères selon lesquels on devenait célèbre (compétence exceptionnelle, génie, sapience, héroïsme, sainteté, etc.) La grande promesse des réseaux sociaux et de leurs systèmes basés sur les likes et les followers, c’est précisément cela : pouvoir être célèbre tout en étant aussi ordinaire que moi.

Cependant, cette démocratisation de la célébrité a été suivie d’une intensification de notre relation avec les célébrités elles-mêmes, dans laquelle nous sommes plus influencés par elles que jamais auparavant. Nous vivons avec elles toute la journée, tous les jours. Elles sont partout. C’est pourquoi on les appelle aujourd’hui, plutôt, des influenceurs. D’une certaine manière, nous acceptons qu’ils nous influencent : d’ailleurs, nous voulons être influencés par eux car, dans une culture centrée sur l’adolescence, nous souhaitons tous un jour être célèbres à notre tour.

L’actuelle vice-présidente du gouvernement espagnol, Yolanda Díaz, a présenté son nouveau projet politique avec pour « objectif de rendre les gens heureux ». On ne sait pas quelle drogue, quel Soma, elle va utiliser, mais toutes ces bonnes intentions ne cachent-elles pas le pire du totalitarisme ?

Agustín Laje : Elles cachent ce que j’appelle dans mon livre « l’État-nounou », qui est en fait une sorte de totalitarisme light. L’État cherche à s’emparer de toute la vie de l’homme : ses décisions, ses goûts, ses croyances, ses idées, ses relations, sa famille, son bonheur même ! On l’a déjà vu, par exemple, au Venezuela, où le chavisme a créé le « ministère du bonheur ».

La nouveauté de l’État-nounou, c’est qu’il traite ses sujets comme s’ils étaient, justement, des adolescents idiots. Il ne les prive plus de leur liberté au nom de la « lutte des classes », au nom de « l’esprit du peuple », de « l’esprit national », ou de tout ce qui servait d’excuse liberticide aux totalitarismes du XXe siècle : il les prive de leur liberté au nom du bonheur de ceux qu’il prive.

Le mouvement idiot vient d’en haut, des élites. La Nouvelle Droite est-elle la rébellion, la réponse à ce totalitarisme ?

Agustín Laje : C’est d’ailleurs ainsi que je termine le livre, en proposant un modèle de rébellion contre l’empire de l’idiot et, bien sûr, ses marionnettistes : les élites qui l’utilisent. S’il y a bien quelque chose qui reproduit le statu quo, l’ordre établi, c’est le progressisme mondialiste. Regardez comme tous ces néo-gauchistes se sentent à l’aise dans les forums des élites mondiales ; comme ils se sentent à l’aise avec la production des grandes sociétés de divertissement ; comme ils se sentent à l’aise avec les messages habituellement offerts par les stars du show-business ; comme ils se sentent à l’aise avec les fondements des méta-capitalistes ; à l’aise avec les organisations internationales les plus puissantes de la planète ; à l’aise avec les « nouvelles valeurs » des multinationales, qui vendent de l’idéologie dans chacune de leurs publicités ; à l’aise dans les centrales de l’establishment académique ; à l’aise, en somme, avec tout ce qui détient le pouvoir politique, social et économique.

Face à cette réalité, la Nouvelle Droite, plus que simplement « conservatrice », est entièrement subversive. Elle rêve en effet de subvertir la domination de ces élites. Espérons que ce rêve puisse un jour, dans une certaine mesure au moins, devenir réalité.




« Plus jamais Ça ! » revient à toute vitesse

[Source : plusjamais.eu]

Ce documentaire a été produit pour faciliter une discussion au sein du grand public sur les similitudes entre les événements qui ont conduit à l’Holocauste et les événements actuels dans le monde entier dans ce qui a été appelé « la pandémie de covidie ». Comme l’indique le rapport de la Commission présidentielle sur l’Holocauste, présenté le 27 septembre 1979 : « Un survivant se considère comme un messager et un gardien des secrets qui lui ont été confiés. Un survivant a le sentiment d’être le dernier à se souvenir, le dernier à avertir… ».

Ce documentaire est destiné à servir d’avertissement à l’humanité : Never Again Is Now Global (Plus jamais, c’est maintenant). Nous vous encourageons à regarder et à partager cet important documentaire. Toutefois, comme l’indique un avertissement au début du film, celui-ci « contient des images véridiques d’atrocités commises hier et aujourd’hui. La discrétion du spectateur est conseillée.

Il s’agit d’une production de l’Alliance for Human Research Protection (AHRP) avec le soutien financier majeur de Children’s Health Defense.






Une avocate révèle que l’armée canadienne a empêché les médecins de signaler les blessures causées par le vaccin Covid

[Source : naturalnews.com]

Il a été révélé que la raison pour laquelle les médecins canadiens n’ont pas été autorisés à signaler les blessures graves causées par les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est que les Forces Armées Canadiennes (FAC) leur ont ordonné de ne pas le faire.

Selon Catherine Christensen, avocate et fondatrice de Valour Law et du Centre d’action juridique Valour pour le droit militaire, des preuves ont émergé pour démontrer que l’armée canadienne, sous la direction du Premier ministre Justin Trudeau, a conspiré pour cacher la vérité au public sur les blessures et les décès causés par le vaccin Covid.

« Des médecins militaires ont témoigné sous serment qu’on leur avait dit de ne pas signaler les blessures causées par les vaccins, ou que s’ils demandaient comment les signaler, on leur disait de se taire », a révélé M. Christensen lors d’une audience de l’Enquête Nationale des Citoyens (ENC) tenue le 26 avril à Red Deer, dans l’Alberta.

(Voir aussi : Les vaccins obligatoires de Trudeau ont déclenché l’effondrement de l’industrie automobile nord-américaine).

Un médecin militaire canadien et capitaine s’est vu dire directement de NE PAS signaler les blessures causées par la piqûre de covidium

Le NCI est actuellement en train d’évaluer la réponse du Canada à la « pandémie » de Covid et ses effets sur la santé des citoyens canadiens, ainsi que sur leur liberté et leur bien-être social et économique.

Lors de la conférence en question, Christensen représentait 360 soldats des FAC qui ont été directement et négativement affectés par le mandat de l’armée canadienne concernant les vaccins Covid, qui est similaire à celui que le régime de Biden a imposé aux soldats américains.

Christensen a révélé lors de la conférence que les FAC ont choisi d’ignorer toutes les blessures causées par le vaccin Covid et de ne pas suivre les problèmes de santé qui sont apparus chez les soldats qui ont été forcés de se faire injecter.

Nombre de ces soldats ont depuis développé de graves problèmes de santé, comme le syndrome de Guillain-Barré (SGB), une maladie neurologique relativement rare qui endommage les cellules nerveuses.

« On leur a dit de diagnostiquer d’autres choses, comme le syndrome de Guillain-Barré [SGB], lorsque de jeunes hommes s’effondraient sous la douche après les injections », a déclaré M. Christensen, ajoutant et précisant que ces soldats « avaient été blessés par le vaccin ».

En outre, les FAC ont mal classé les dossiers médicaux des soldats en omettant — ou plutôt en refusant — de classer toutes les blessures causées par les vaccins. Mme Christensen affirme qu’elle a « plus de personnes dans ses dossiers qui ont été blessées par des vaccins que de personnes officiellement répertoriées comme ayant été blessées par des vaccins ».

Après s’être entretenue avec de nombreux militaires canadiens qui ont signalé des blessures causées par le vaccin Covid et avoir recueilli leur témoignage sous serment, Mme Christensen est convaincue qu’il s’agit d’une dissimulation délibérée de la vérité, qui remonte en fin de compte au régime de M. Trudeau.

« Je pense que les FAC ne suivaient pas le nombre et le type de blessures liées au vaccin Covid-19 », a déclaré M. Christensen.

Les FAC ont publié le 17 avril des données montrant qu’un total de 375 000 vaccins Covid ont été administrés aux membres de la FAC. Sur ce nombre, 0,09 % ont officiellement signalé « un effet indésirable quelconque à la suite de la première, de la deuxième ou des doses de rappel », indique le rapport de données.

« La majorité des effets indésirables signalés étaient mineurs et se sont résorbés d’eux-mêmes », affirment les FAC.

Parmi les blessures officiellement signalées entre le 7 janvier 2021 et le 1er février 2023, les FAC indiquent que 316 ont été considérées comme « non graves » et seulement 26 comme « graves ». Sur ces 316 cas de blessures, neuf ont été officiellement enregistrés comme myocardites ou péricardites.

Ces chiffres sont bien trop bas, selon M. Christensen, qui maintient que des milliers de membres des FAC ont été gravement blessés par le programme d’injection obligatoire Covid de M. Trudeau — bien que la grande majorité de ces blessures soient ignorées par le gouvernement.

« Et qu’arrive-t-il à ceux qui ont suivi les ordres et pris les injections et qui sont maintenant handicapés de façon permanente ? Anciens Combattants Canada (ACC) leur répond que non, que ces blessures ne sont pas liées au service », a ajouté Mme Christensen dans son témoignage.

Une fois de plus, les vétérans seront confrontés à un système procédural qui les laisse tomber ou les oblige à aller devant les tribunaux pour obtenir une indemnisation méritée.

Les dernières informations sur la corruption qui a eu lieu pendant la « pandémie » de Covid sont disponibles sur le site Fascism.news.

Les sources de cet article sont les suivantes :
LifeSiteNews.com

NaturalNews.com




La Tyrannie Numérique

[Source : AVATAR Media]

[Sur l’illustration :

Attention !
Nous sommes désolés. Nos dossiers indiquent que vous avez donné de l’argent à des activités non autorisées.
Votre compte a donc été suspendu pour 14 jours.

]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal.

[Comment l’informatique facilite la tyrannie planétaire.
Voir aussi :
Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Pourquoi la Chine craint : cest un bêta-test pour le Nouvel Ordre Mondial et un modèle pour les mondialistes
Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
Changer le Système ?]




Le complotisme expliqué

Par Gérard Le Maître

Ce que les médias de masse ne vous diront pas… préférant vous traiter de « complotistes » pour remplir leur part du contrat !

LES ENNEMIS DE LA NATION SONT AU POUVOIR !

Voici [plus bas] une vidéo très documentée de Jean-Dominique MICHEL1 qui explique le mécanisme pour traiter tous les opposants de complotistes qui est fait pour dénigrer, ostraciser toux ceux qui gardent les yeux ouverts et dénoncent justement les complots qui sont montés pour mettre les peuples au pas.

La macronie aux abois, sans majorité, ne maîtrisant plus rien, les manifestations continuent et les casserolades font de plus en plus de bruit, Macron s’agite, essaye de reprendre la main en se déplaçant plusieurs fois par semaine, protégé par des centaines de policiers et gendarmes, interdisant tout rassemblement partout où il va, idem pour le Premier ministre et tout autre ministre, espérant que le peuple gaulois, râleur se lassera…. et la dernière trouvaille c’est de monter en épingle une pseudo dangerosité d’une « ultra-droite » qui n’existe à peine que dans leur imagination, et tout ce qui n’est pas dans la doxa est désormais extrême droite et donc dangereux, à l’inverse de toute l’extrême gauche braillarde, mais tolérée qui peut casser impunément, évidemment tous les médias soumis, corrompus, gavés d’argent de L’État suivent et amplifient le mouvement et font monter la mayonnaise… alors que les ennemis de La Nation sont au pouvoir.

L’affaire (qui n’en est pas une) du maire de Saint Brévin qui démissionne (1 300 démissions passées sous silence depuis les dernières municipales, alors pourquoi celui-ci ? Parce que cette démission arrive à point nommé, c’est la faute à l’extrême droite !)2

LA LUTTE CONTRE LE « COMPLOTISME D’EXTRÊME DROITE » TOURNE À PLEIN RÉGIME

En réalité ceux qui sont montrés du doigt comme complotistes sont ANTI-comploteurs, dénonçant et RÉSISTANT aux complots !

Regardez cette vidéo, c’est passionnant :

Parmi les complots les plus gros (et il y en a eu beaucoup), celui de la fausse pandémie est sans doute celui qui a été fomenté avec les plus gros moyens et le plus grand nombre d’acteurs à tous les niveaux qui y ont participé pour manipuler presque tous les pays de la planète.

Les groupes pharmaceutiques surnommés Big-Pharma controlés par les plus grands organismes financiers du monde ont infiltré toutes les organisations mondiales en particulier L’OMS qui a été le maître d’œuvre en dictant à chaque gouvernement les mesures à prendre.

Savez-vous que ces groupes pharmaceutiques ont été multicondamnés à travers le monde pour leurs méthodes trompeuses, corruption aux plus hauts niveaux.

Le total des condamnations est de 96 milliards de dollars ! ! 

Mais ils ne s’arrêtent pas, sachant que JAMAIS aucun d’eux n’ira en prison et les bénéfices qu’ils réalisent sont supérieurs aux amendes et dédommagements c’est intégré dans leur « business-plan » !

La France est le dernier pays au monde à réintégrer les soignants, mais contrainte et forcée…


1 Jean-Dominique Michel, né en 1965 est un anthropologue suisse qui a acquis une certaine notoriété au début de la pandémie de Covid-19, tout d’abord invité à s’exprimer en tant qu’« expert en santé publique ».

2 France — démission massive de maires depuis 2020




En Australie, 5 millions de dollars de dédommagement pour des habitants confinés en 2020

[Source : lefigaro.fr]

[Photo : WILLIAM WEST / AFP]

Par Thibaut Déléaz

Le gouvernement propose une compensation à 3000 résidents bloqués chez eux par la police pendant plusieurs jours après la détection de cas de Covid-19 dans leurs immeubles.

Cinq millions de dollars australiens. C’est ce que propose le gouvernement de l’État du Victoria à des habitants de Melbourne en dédommagement du confinement très strict auquel ils ont été soumis en juillet 2020, en pleine pandémie de Covid-19. Un accord financier proposé pour éviter un procès, les 3000 personnes concernées, résidents de neuf grands immeubles de logements sociaux, ayant attaqué le gouvernement en justice.

À l’époque, l’Australie menait une politique de «zéro Covid» et les habitants de Melbourne se sont vus imposer pas moins de six confinements stricts, jusqu’au dernier fin 2021, provoquant le ras-le-bol de la population. En juillet 2020, après l’apparition de 23 cas parmi les résidents de ces tours de logements sociaux, le premier ministre du Victoria avait annoncé dans une conférence de presse leur mise en quarantaine immédiate pour éviter une contagion.

Présence policière

La police avait alors encerclé les immeubles, empêchant leurs habitants de sortir pendant cinq jours pour la plupart, jusqu’à deux semaines dans l’une des tours. Dénonçant cette quarantaine forcée qu’ils estiment «illégale», une mauvaise communication de la part des autorités, des problèmes d’approvisionnement en nourriture et les traumatismes causés, 3000 résidents ont donc lancé un recours collectif contre le gouvernement en mars 2021.

À lire aussi L’Australie, forteresse décriée du zéro Covid

Ceux qui acceptent de renoncer aux poursuites se partageront la somme de cinq millions de dollars australiens (environ trois millions d’euros), y compris les enfants, qui recevront une demi-part s’ils avaient moins de 16 ans à l’époque. Beaucoup souhaitaient pourtant simplement que le gouvernement reconnaisse s’être trompé en prenant des mesures disproportionnées. «Je n’attends que des excuses, rien de plus», glisse un habitant au quotidien local The Age .

Jusqu’à présent, le gouvernement s’y est toujours refusé. Son porte-parole a réaffirmé, sans se prononcer sur ce cas précis, que les mesures anti-Covid «étaient nécessaires pour protéger tous les habitants du Victoria et sauver des vies».




Réformes de l’instruction : Macron perpétue le pacte diabolique

[Source : investisseur-sans-costume.com]

Par Guy de La Fortelle

C’est l’histoire d’un professeur de philosophie qui tente d’expliquer à son élève la différence ontologique entre l’être et l’avoir et lui demande ce qu’il choisirait entre un sac d’argent et un bagage intellectuel débordant :

« Le sac d’argent, répond l’élève.

— À ta place, j’aurais pris l’intelligence, reprend le professeur

 C’est normal, chacun choisit ce qui lui manque le plus ».

Cette blague potache n’est pas anodine : voilà le monde dans lequel nous vivons ; un monde dans lequel il y a de plus en plus d’argent et de moins en moins d’intelligence et de compétence ; un monde dans lequel nous prenons la proie pour l’ombre, un monde dans lequel le signe est devenu incroyablement plus important que sa contre-valeur réelle.

École, baccalauréat, IUT, lycées professionnels, université… Emmanuel Macron avale les réformes de l’instruction comme l’on enfile les perles d’un collier.

L’instruction c’est comme le fric : les deux sont réduits à une signature au bas d’un bout de papier, billet ou diplôme, qui ne valent plus guère que l’encre pour les imprimer.

La destruction de la monnaie et du savoir participent de la même forfaiture.

Ils vous ont trompés et la particularité d’Emmanuel Macron est d’accélérer le mouvement de destruction au moment où celui-ci devient flagrant même aux plus obtus même maquillé d’un vernis putréfié de pragmatisme entrepreneurial, accompagné d’une violence mafieuse pour enrober le tout.

Le grand projet d’Emmanuel Macron est de professionnaliser les enseignements secondaires et supérieurs.

La promesse est louable, mais elle est fausse et l’exécution à l’envers : nous nous rendons bien compte que l’empilement des réformes ne consiste pas à régler les problèmes, mais à brouiller les pistes et casser les thermomètres pour tenter de prolonger un peu plus la forfaiture.

Quelle forfaiture ?

La grande arnaque au progressisme

L’État, depuis un demi-siècle, fait la promesse — vaguement fascisante — de l’Homme Nouveau. Là où les dictatures ont échoué, le capitalisme dévoyé a triomphé.

Il a passé cet accord informel avec le peuple : je vous sacrifie pour que vos enfants aient une vie meilleure.

Votre histoire, votre identité, vos métiers, savoir-faire, traditions, les plats que vous mangez, les habits que vous portez, les mots que vous employez, les pays que vous habitez, les histoires que vous racontez, vos contes, vos légendes tout cela doit mourir en échange de quoi vos enfants seront des rois. Ils seront riches, instruits, puissants, libres, oisifs, charnels…

Cela fait 50 ans et la promesse qui a d’abord semblé tenue est finalement corrompue jusqu’à l’os.

Depuis 2008, nous avons pris conscience collectivement que nos enfants seront plus pauvres et moins instruits que nous, qu’ils auront la vie plus dure. Mais au lieu de nous confronter à ce constat, nous faisons l’autruche et nous racontons des histoires en attendant la mort. Il y a là d’ailleurs une question générationnelle : Les retraités votent aussi pour Macron, car il perpétue cette promesse sur laquelle cette génération s’est construite, pas tous bien sûr, mais une majorité ;

Évidemment l’instruction joue un rôle central dans l’appareil de la vaine promesse de l’Homme Nouveau.

Les promesses n’engagent que ceux qui les croient

Politiquement, vous ne pouviez pas détruire 2 millions d’emplois ouvriers sans promettre un avenir meilleur aux enfants de vos victimes expiatoires.

Dommage, les enfants sont finalement plus cons, avilis plutôt que formés.

Plus nous distribuons de diplômes et plus la compétence baisse, plus nous distribuons d’argent et moins nous créons de richesses.

Nous vivons dans un monde où les signes d’intelligence et de compétence se multiplient aussi vite que les signes monétaires, mais où tout comme la monnaie, les compétences et l’intelligence réelles s’effondrent.

Tout comme la mauvaise monnaie chasse la bonne, la fausse compétence chasse la vraie. La promesse progressiste de l’Homme Nouveau est vaine : il s’agissait simplement de vous faire les poches et désormais la peau.

Avec la réduction des déficits publics, l’amélioration de notre système éducatif est sans doute la promesse la plus martelée et la moins bien tenue de ces 40 dernières années par les machins qui nous servent de représentants politiques et servent la

soupe de la Grande Arnaque du progressisme.

Notez que le problème n’est pas l’éducation nationale ni l’enseignement supérieur : ils ne sont pas défaillants, ils remplissent très efficacement leur fonction. Ils servent à merveille la promesse de l’Être Nouveau et repaient en monnaie de singe les naïfs qui ont osé y croire, élèves, parents, professeurs aussi et nombreux.

Cela se voit particulièrement bien dans les chiffres.

En France, plus le niveau de formation augmente et plus nous nous appauvrissons

En 1980, 20 % de la population française avait le bac et moins de 10 % un diplôme du supérieur.

En 2021 la proportion s’est inversée : 82 % de la classe d’âge a obtenu le bac et près de la moitié des 25-34 ans détient un diplôme du supérieur.

Pourtant cette hausse impressionnante des niveaux de diplômes NE s’est PAS accompagnée d’une hausse de l’activité en France qui stagne et cache une hausse de l’activité féminine et une baisse de l’activité masculine…

Le PIB par habitant est lui passé de 9 200 € (±60 000,00 F) à 37 000 € de 1980 à 2021 selon les chiffres de l’INSEE.

Corrigée de l’inflation, cette différence considérable se réduit comme peau de

chagrin à 30 000 € contre 37 000 € et encore n’est-ce que l’inflation officielle et si l’on corrige encore de l’endettement net, privé, public et hors bilan, on se rend compte que malgré des formations toujours plus longues et des diplômes toujours plus ronflants, nous produisons de moins en moins de richesses et nous appauvrissons en réalité et à grande vitesse désormais.

Un demi-siècle d’allongement de l’instruction et d’augmentation des niveaux de diplômes n’a apporté aucun enrichissement matériel ou immatériel (j’assume ici l’aspect nécessairement subjectif de l’immatériel) aux populations qui ont consenti cet effort.

La baisse des niveaux d’instruction a fini par atteindre tous les niveaux : aussi bien les populations qui n’atteignent pas le bac que celles qui complètent un premier cycle universitaire ou celles qui poursuivent des études longues. Signe tranchant que cette baisse atteint aussi les populations les plus éduquées : les niveaux des concours d’entrée aux grandes écoles de commerce et d’ingénieurs baissent eux aussi*.

L’escroquerie démontrée, nous pourrions nous arrêter -là, mais il y a du fruit à pousser l’analyse un peu plus loin.

Nos politiques de formation entravent activement leur adaptation

À la fin des années 1990, nous étions le pays de l’OCDE qui inscrivait le plus d’élèves en études supérieures, mais qui connaissait également le plus fort taux d’échec. Nous avons désormais un profil moyen, terriblement moyen, qui cache à peine d’immenses disparités et la pente descendante que nous parcourons.

Il est faux en revanche de vouloir nous cantonner à cette image d’étudiants désœuvrés qui s’inscrivent à l’université sans y mettre les pieds ni se présenter aux examens comme l’a encore fait Emmanuel Macron il y a un an en affirmant à tort que la moitié des étudiants de première année ne se présentait pas aux examens alors que 70 % obtiennent leur licence ce qui est comparable aux autres pays de l’OCDE.

Les étudiants de BTS en revanche ne sont que 58 % à aller jusqu’au diplôme. Et ce problème-là est autrement plus grave, notamment car il sanctionne aussi bien la défaillance d’instruction à l’entrée et l’absence de débouchés à la sortir pour ces populations.

Comment commencer à travailler plus jeunes et mieux formés

Pourtant, si nous regardons les systèmes d’instruction des pays les plus riches et fonctionnels aujourd’hui nous nous rendons compte qu’ils partagent 2 caractéristiques communes dans les statistiques de l’OCDE : ce sont des pays où nous observons à la fois un fort taux d’études supérieures ET un âge d’entrée sur le marché du travail précoce.

Taux de diplômés du supérieur dans les pays de l’OCDE
Participation au marché du travail des 15-24 ans des pays de l’OCDE

Il se trouve que nous avions les bonnes formations pour répondre à ces enjeux avec les BTS et DUT (désormais BUT) créés au début des années 1960. Nous avions tout ce qu’il fallait pour réussir cette adaptation… C’était sans compter l’idéologie et la destruction des études primaires et secondaires qui se sont propagées aux études supérieures.

Confrontés à une baisse du niveau général, des bacheliers des filières technologiques et générales se sont de plus en plus tournés vers des BTS et DUT, formations plus en lignes avec leur niveau et aspirations réelles. Plutôt que réformer le baccalauréat et les études secondaires, nous avons préféré forcer les BTS et DUT à prendre des quotas d’étudiants sortant des filières professionnelles. Nous avons tué le BTS et prenons désormais la même voix avec les DUT. Les taux de réussites aux examens sont inquiétants à 58 %, le chômage des diplômés, lui, est supérieur à la moyenne… Autant pour la professionnalisation en France qui ne sait pas plus former sa jeunesse que lui offrir des débouchés.

Il n’y a plus de professeurs en France : que font la première dame et la police ?

Enfin, signe de l’effondrement de notre système fort compréhensible d’ailleurs, nous sommes le pays de l’OCDE qui forme le moins d’enseignants ! Nous trônons sur cette dernière marche, nous portons cette tache honteuse. Avec 4,1 % de diplômés du supérieur en éducation, nous sommes derniers des 38 pays développés de l’OCDE qui forment 10,4 % d’enseignants en moyenne parmi leurs étudiants du supérieur.

Pensez-vous que cela toucherait une première dame professeure de lycée ?

Je ne sais ce qui pèse le plus entre les conditions exécrables, les salaires de misère ou le désaveu de notre société pour ceux qui forment le trésor de notre avenir…

Mais l’on trouve encore nécessaire de faire la guerre aux initiatives à la marge qui tentent de se libérer de la spirale d’échec de ceux qui prennent les diplômes pour des hochets et nos enfants pour les gardes rouges de leur idéologie mortifère.

L’unique raison de l’échec français

L’unique raison de l’échec français est la politisation à outrance de notre école et de notre enseignement qui conduit au sacrifice de la formation effective à l’autel du grand marchandage politique, la distribution de diplômes aussi vides que les promesses de lendemains meilleurs.

J’ai repris le thème de l’instruction après une note de l’inénarrable Patrick Artus, chef économiste de Natixis, qui nous a pondu une note tarte à la crème sur « la priorité absolue en France, c’est l’amélioration du système éducatif » qui fait baisser les compétences et augmenter le chômage. Pour Artus, tout se réglera naturellement une fois que nous aurons repris en main la formation de nos générations montantes… Mais pour faire quoi ? Et à quel prix ?

Former une population dispense-t-elle de faire de la politique ? Évidemment non. Mais comme souvent en France, la politique se mêle de ce qui ne la regarde pas pour mieux éviter les sujets sur lesquelles elle devrait agir.

Artus reprend la sempiternelle antienne de la formation, il contribue à la politiser toujours plus, laissant supposer que nous échouons depuis 40 ans non parce que la voie est mauvaise, mais parce que nous ne la descendons pas assez vite.

Laissez profs, parents, élèves et directeurs tranquilles !

Mais c’est tout l’inverse ! Arrêtez de vouloir réformer l’instruction en France et laissez libres ne serait-ce que 10 ans, directeurs, professeurs, parents et élèves de faire ce que bons leur semble au lieu de les entraver toujours davantage et de les perdre en réformes absconses.

Si demain l’Éducation Nationale disparaissait dans une grande nuée : quel mal cela ferait-il ?

Quel mal aux enseignants enfin libres de leur instruction ?

Quel mal aux directeurs enfin libres de leur recrutement, élèves et professeurs ?

Quel mal aux parents enfin libres de choisir leur école ?

Tout ce monde serait bien obligé de se responsabiliser, de se demander ce qu’ils veulent vraiment et des efforts qu’ils sont prêts à consentir.

Voyez déjà les niches d’enseignement libre, primaire, secondaire et supérieur auxquelles on fait la guerre et qui pourtant font florès.

Bien sûr que tout n’est pas perdu, voyez cette génération qui compense le déficit du nombre par un engagement héroïque, qui s’endurcit à ce feu, renforce sa détermination et ne demande qu’à éclore au premier rayon de soleil. Il dépend de nous, collectivement de faire éclore ce nouveau printemps ou de le tuer dans l’œuf.

Un peuple est toujours libre de refuser une loi

N’oubliez pas qu’une loi ne vaut jamais qu’à mesure qu’elle est appliquée : aucun parlement, aucune police, aucun gouvernement ne peut quoi que ce soit contre une population que refuse une loi collectivement, qui en devient inique en système démocratique.

Bien sûr, cela demande un saut dans l’inconnu, l’espérance que d’autres, en nombre suffisant, feront le même choix. Il s’agit en somme de redevenir un peuple, de reprendre ce dont ils vous ont privés depuis un demi-siècle.

À votre bonne fortune,

Guy de La Fortelle

PS Les statistiques utilisées pour cette lettre proviennent essentiellement de l’OCDE et de la Banque mondiale afin de permettre des comparaisons internationales et dans le temps.

https://www.oecd-ilibrary.org/docserver/f8d7880d-en.pdf?expires=1683382257&id=id&accname=guest&checksum=127257E35EB9BAE5083B6DCB7FF5E1CB

https://data.worldbank.org/indicator/SE.TER.ENRR?end=2020&locations=FR-DE-OE-CH&start=1971

* Il y a 20 ans, mes professeurs nous disaient que le niveau des élèves arrivant en classe préparatoire chutait d’année en année, mais que les concours se maintenaient, nous forçant à un effort considérable pour rattraper l’échec de l’enseignement secondaire. Cela ne pouvait durer éternellement et les niveaux des concours ont fini par baisser. Point de statistiques ici, il suffit de regarder les annales des concours.




Les sept facteurs contribuant à l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial

[Source : multipolaristen.de via RI]

Notre lutte antisataniste, la cinquième colonne et la desouverainisation généralisé

Une contribution à la méthodologie multipolariste

Par Peter Töpfer

Pour assurer la victoire de la multipolarité et la défaite de l’unipolarité sataniste, il s’agit pour nous, en Europe centrale et en Occident, de soutenir les forces patriotiques russes en tant qu’avant-garde de la multipolarité, mais aussi et surtout de ne pas soutenir ce que Alexandre Douguine appelle la cinquième colonne à l’intérieur de la Russie, c’est-à-dire les agents satanistes.  

Bien entendu, nous devons faire de même en Europe centrale et en Occident : lutter pour l’indépendance et la souveraineté de notre pôle, c’est-à-dire unir toutes les forces multipolaristes sur place. C’est nécessaire pour pouvoir mener victorieusement ce combat difficile. 

En Europe centrale et en Occident, notre devoir ne peut pas être de fermer les yeux sur l’existence d’une cinquième colonne. Nous devons essayer de faire la distinction, dans chaque situation, entre les forces patriotiques multipolaires et la cinquième colonne. Et nous devons veiller non seulement à combattre l’ennemi évident, mais aussi à ce que la cinquième colonne ne s’installe pas dans nos rangs ou que nous ne la laissions pas faire par confort et par paresse d’analyse. Penser en noir et blanc est d’une belle simplicité. 

Il ne faut en aucun cas sous-estimer la cinquième colonne. Si nous le faisons, nous courons tout droit — et dans l’illusion de résister — vers le cauchemar unipolaire qui se profile déjà clairement à l’horizon proche. 

Lorsque nous définissons les représentants des forces mondialistes au pouvoir d’un pays, nous avons généralement à l’esprit un groupe relativement restreint, infiltré au sein du système politique et administratif, qui sert les intérêts de l’ennemi extérieur. Et l’ennemi extérieur dans ce contexte est ce centre de commandement unique et extraterritorial associé aux élites anglo-saxonnes et aux États-Unis, qui impose un programme unique à tous les pays du monde. Mais avec le déclenchement de la fausse pandémie en 2020, on a vu que ce qu’on appelle habituellement la cinquième colonne n’est pas seulement un nombre limité, à des postes secondaires dans le système politico-administratif de ces pays, mais même les chefs d’État et toute l’équipe gouvernementale. Dans de tels cas, le terme « cinquième colonne » est trop restrictif et trop partiel, et la formulation la plus précise de ces nouvelles réalités géopolitiques serait la suivante : « régime d’occupation » ou peut-être « gouvernance étrangère ». 

En fait, à mon avis, il est nécessaire de dépasser certaines interprétations superficielles des réalités internationales d’aujourd’hui, fondées sur une grille de lecture dépassée ou déformée. Le moment est venu de reconnaître que la tâche assignée par les élites mondialistes au Club de Rome au titre d’élaborations théoriques et à l’ONU au titre d’exécution a été pleinement accomplie. Il s’agit du processus de desouverainisationde tous les pays du monde. Au-delà des rivalités et des conflits entre un certain nombre de pays et l’Occident collectif, un agenda unique apparaît de manière flagrante, imposé par des organisations internationales affiliées aux mondialistes, mais aussi par la tendance commune à promouvoir les mêmes politiques partout dans le monde.

Une évolution vraiment libre vers la multipolarité réelle ne peut toutefois pas être un simple slogan vide de sens, mais doit avoir un contenu et des critères concrets pour nous démarquer de l’ennemi. Si nous ne mettons pas clairement en évidence ces contenus, nous courons aveuglément à notre perte, et Satan ne s’arrête plus de rire.

Afin de garder ces critères à l’esprit et d’en désigner le contenu comme objectif de notre lutte, le catalogue des facteurs, tel qu’il a été établi par Iurie Roşca dans sa contribution à la Conférence internationale sur la multipolarité du 29 avril 20231, peut nous être utile. Iurie Roşca est l’un des militants multipolaristes et antisatanistes les plus éprouvés, ami et compagnon de lutte de longue date d’Alexandre Douguine. 

Ces facteurs — et le fait qu’ils se réalisent partout allègrement sous nos yeux — devraient tempérer quelque peu l’optimisme de certains compagnons de lutte trop naïfs et aider à renforcer la vue, pour ne pas dire à guérir la cécité. Il s’agit des facteurs suivants : 

Premier facteur : la pandémie Covid-19 [NDLR ou plus généralement la théorie virale et sa théorie mère, celle des germes, sans lesquelles aucune « plandémie » n’est possible] et sa réédition possible à tout moment comme accélérateur de la mise en place du Nouvel Ordre Mondial et l’OMS comme instrument du gouvernement mondial. 

Deuxième facteur : la technologie 5G en tant que menace pour la santé publique et en tant qu’instrument de contrôle et de commande mentale et comportementale.

Troisième facteur : la société sans argent liquide et la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC — Central Bank Digital Currency) comme fin imminente de la liberté humaine.

Quatrième facteur : l’introduction de documents électroniques pour un contrôle total. [NDLR Ou l’emprise d’Internet]

Cinquième facteur : les smart cities, les smart things, les smart bodies comme fin de la vie privée et éléments constitutifs du goulag mondial. [NDLR ou l’Intelligence Artificielle et l’informatique en général]

Sixième facteur : le mythe du changement climatique et l’escroquerie du « réchauffement climatique [anthropique] » comme élément significatif de la transformation de notre monde selon la matrice sataniste. [NDLR ou plus généralement le fanatisme écologique.]

Iurie Roşca ajoute comme septième facteur tous les signes du transhumanisme et de son frère jumeau, la technocratie, comme forme finale de la dictature mondiale satanique. Tous les pays ne seraient plus, selon Iurie Roşca, qu’en concurrence pour s’introduire le plus rapidement possible dans la « nouvelle normalité ». 

[Note de Joseph : ces sept facteurs sont liés au départ à une utilisation dévoyée ou sans conscience de la science et tous reposent sur l’informatique.
La théorie virale l’utilise pour notamment les séquençages génétiques qui s’avèrent n’être finalement que des opérations mentales. (Voir le dossier Vaccins et virus.)
La 5G est pilotée par l’informatique et l’électronique sous-jacente.
La CBDC, les documents électroniques, l’IA et le transhumanisme ne peuvent exister sans l’informatique.
Et le fanatisme écologique, notamment en matière climatique, s’appuie sur des modélisations logicielles. D’ailleurs, la science en général s’appuie de nos jours sur de tels modèles.
Sans l’informatique, tout cela, tous les « miracles » technologiques modernes n’existeraient pas.
Celle-ci a probablement été représentée dans l’Apocalypse de Jean par la Bête de la terre, bête qui pouvait aussi symboliser le pays sans qui elle ne serait pas devenue ce qu’elle est actuellement : les États-Unis avec ses deux pouvoirs (ou cornes) interchangeables que sont les Républicains et les Démocrates.
L’informatique repose sur le silicium, l’élément le plus abondant de la croûte terrestre après l’oxygène, notamment du fait de sa présence dans le sable des plages et des déserts.
Bill Gates est né aux États-Unis, a mondialisé l’usage de l’informatique via Microsoft, a prophétisé le smartphone et d’autres éléments liés à l’informatique, a été longtemps l’homme le plus riche du monde grâce à elle, pousse à la vaxination des milliards d’êtres humains pour leur implanter sa marque digitale (sous forme d’adresse MAC — voir notamment https://nouveau-monde.ca/les-vaxines-bluetooth-explications-et-consequences-probables/), sans laquelle en combinaison avec la 5G ou la proche 6G et les non moins proches CBDC il ne sera bientôt plus possible d’acheter et de vendre. Quel meilleur candidat Antéchrist ?
Voir aussi : Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist
et Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique]

Partout où ces facteurs se manifestent, l’ennemi et sa cinquième colonne sont reconnaissables. C’est à l’aune de ces facteurs que tous les acteurs doivent être jugés. Pour pouvoir classer les acteurs, nous ne devons pas attendre que des attentats soient perpétrés contre eux ou qu’ils soient encensés par les médias occidentaux. Seuls les critères énumérés ci-dessus peuvent nous aider à faire la distinction point par point entre amis et ennemis : entre l’unipolarité sataniste et la multipolarité réelle, fondée sur l’indépendance des pôles géopolitiques en tant qu’expression de l’identité civilisationnelle, religieuse et culturelle.

Il semblerait que le « Great Reset » des centres de pouvoir occidentaux prenne également pied dans les pays qui prétendent représenter des pôles géopolitiques alternatifs. L’application des mesures dictées par l’OMS contre la pseudo-pandémie, la numérisation complète de la société, le remplacement de l’argent liquide par des CBDC, etc. font partie de l’agenda officiel de tous les pays BRICS sans exception, ainsi que des pays musulmans qui revendiquent également leur autonomie par rapport à l’Occident.

Le projet mondialiste unique et uniformisant pour tous les pays sans exception est promu notamment à travers l’ONU, comme dans le cas de l’Agenda 21 pour le Développement Durable (climatisme, théorie du genre, féminisme, planification familiale, etc.), ainsi qu’à travers La Banque des règlements internationaux (le contrôle des banques centrales et l’imposition de la monnaie numérique). 

Un autre facteur dévastateur et homogénéisant, ce tsunami de culture de masse qui impose des modèles de vie, des fausses valeurs et une standardisation vestimentaire qui efface toute identité culturelle traditionnelle.

Dans ces conditions, alors que le monde est déjà globalisé par la révolution technologique, les différences entre les pays et les cultures se dissolvent à une vitesse énorme. Et aucun État, aucun chef d’État ou aucune force politique ne semble s’opposer à ces phénomènes d’homogénéisation qui conduisent le monde vers une unipolarité technocratique d’essence démoniaque. Dès lors, la tâche des intellectuels de la Résistance antimondialiste est d’établir un diagnostic juste et honnête de l’état du monde aujourd’hui afin de proposer des solutions pratiques pour sortir de cette impasse historique qui risque de pousser l’humanité dans une phase terminale.

Pour être plus direct encore, je dirais qu’à mon avis un homme d’État qui adhère au principe de multipolarité ne peut pas en même temps promouvoir la politique mondialiste à l’intérieur de son pays. Un homme d’État qui s’opposerait à l’unipolarité satanique serait celui qui rejette résolument le plan de gouvernement mondial unique imposé par les méthodes et les instruments énoncés ci-dessus. Et celui qui adhère à l’agenda décrit ci-dessus est le représentant direct de la cinquième colonne mondialiste dans son propre pays. Si quelqu’un connaît de tels dirigeants nationaux, merci de me le faire savoir. Un débat ouvert et franc à ce sujet serait le bienvenu.

[À propos de l’auteur]

Peter Töpfer : auteur de livres, éditeur, journaliste, traducteur, poète, musicien, directeur de l’Institut pour la vérité des profondeursdepuis 1977 dans la lutte anti-globaliste1989 : reporter de révolution en RDA et en Roumanie1989 : hebdomadaire conservateur „Der Montag“1989 : Cofondateur du Parti pour la réunification de l’Allemagne1995–1997 : Cofondateur Verlag der Freunde (Éditions des amis), auteur entre autres : Anatoli Ivanov, Igor Chafarevitch, Alexandre Routskoï, Reinhold Oberlercher, Serge Thion, magazine Sleipnir, auteurs entre autres : Alexandre Barkachov, Alain de Benoist, Christian Bouchet, Alexandre Dougine, Roger Garaudy, Pierre Guillaume, Tomislav Sunic, Jean Thiriart, 1997–2000 : auteur des Staatsbriefe1999 : avec Hans Cany (France) et Troy Southgate (Angleterre) fondeur du national-anarchisme2004–2006 : Cofondateur du comité « Liberté pour Horst Mahler ! »2006 : Participation à la conférence sur l’Holocauste à Téhéran avec le discours „Sauver l’Occident !“, publié dans : „Исследование Голокауста“ (2007, édition Алгоритм, Moscou)2015 : double CD „Wachablösung“ [Relève de la garde] : reprises allemandes autorisées par Bob Dylan avec essai „I’m not there / Ich bin nicht da“2015–2017 : auteur de Compactà partir de 2021 : travail de réflexion intensif sur les pensées d’Alexandre Dougine2022 : préface pour Alexandre Dougine : « Eurasische Mission » (édition allemande) : « Das Radikale Subjekt als Katechon » [Le sujet radical comme katechon], Publications de livres : nationale Anarchie (2004), Nationalanarchismus (2004), Gedichte [poèmes] (2005), Den Westen retten! [Sauver l’Occident !] (2006), Die Wahrheit — sie sagen und in ihr leben [La vérité — la dire et la vivre, base théorique de la vérité des profondeurs (2006), Pan-Agnostik. Für ein theistisch-agnostisches Bündnis im Kampf gegen den Great Reset [Pan-Agnostique. Pour une alliance théiste-agnostique dans la lutte contre le Great Reset] (2023), Traducteur de Serge Thion, Pierre Guillaume, Roger Garaudy, Robert Faurisson, Jean Raspail, Jean Mabire, Gilad Atzmon, Robert Dun, Sites Internet : https://peter-toepfer.de/, http://blog.peter-toepfer.de/, https://nationalanarchismus.de/, http://tiefenwahrheit.de/, https://multipolaristen.de/, http://peter-post.net/, http://faultierfarm.net/plus d’information


1 https://multipolaristen.de/multipolaristen/politik/internationale-politik/iurie-rosca-der-great-reset-und-das-ende-der-klassischen-geopolitik-30-04-2023/




L’effondrement qui vient : comment s’en prémunir ?

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

Par Alexandre Juving-Brunet

Pour rejoindre les CSP – Comités de Salut du Peuple : www.comitedesalutdupeuple.fr

BIBLIOGRAPHIE :

I. Piero San Giorgio :

« Survivre à l’Effondrement Economique »
https://idoc.pub/queue/san-giorgio-piero-survivre-a-leffondrement-economiquepdf-6ng255pry6lv

« Rues Barbares »
https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2018/03/RUES-BARBARES.pdf

« Survivre à la Guerre Nucléaire »
https://www.piero.com/landin-page-guide-survivre-a-la-guerre-nucleaire/

« NRBC : survivre aux événements Nucléaires, Radiologiques, Biologiques et Chimiques »
https://www.cultureetracines.com/essais/3-nrbc-survivre-aux-evenements-nucleaires-radiologiques-biologiques-et-chimiques.html

II. Alexandre Juving-Brunet

SOUTIEN FINANCIER (Frais d’avocats) :

Bénéficiaire : Alexandre JUVING BRUNET
IBAN : LT81 3250 0952 0605 1996
BIC : REVOLT21

Amitiés résistantes.




Peut-on comparer nazisme et covidisme ?

[Source : anthropo-logiques.org]

La comparaison avec le nazisme est-elle outrancière ?!

Par Don Wilson, juriste canadien

Traduction Jean-Dominique Michel

Beaucoup de gens s’offusquent de voir leur conduite pendant le Covid comparée à celle d’Allemands ayant soutenu la montée du nazisme.

Récapitulons.

Un cinquième de la population était légalement considéré comme impur. Ils étaient interdits d’accès à la plupart des lieux publics, y compris les théâtres, les restaurants, les films, les pubs, les clubs, les piscines, les événements sportifs, les concerts, les conventions, etc.

Pour accéder aux lieux publics, les personnes devaient porter sur elles une marque numérique afin que les autorités puissent confirmer qu’elles n’étaient pas impures.

Les personnes impures étaient licenciées et exclues de la plupart des emplois : éducation, soins de santé, tribunaux – tous les emplois du secteur public, la plupart des emplois syndicaux importants et un grand nombre d’employeurs privés importants. Lorsqu’ils étaient licenciés, les impurs se voyaient refuser l’assurance-emploi, le raisonnement étant qu’ils avaient été licenciés pour un motif valable en raison de leur impureté.

Les impurs sont interdits de voyage en train, en avion et en bateau. Ils n’ont aucun moyen légal de quitter le pays. Même s’ils le voulaient, ils ne pouvaient pas fuir le pays qui les haïssait manifestement. Il est devenu illégal de fréquenter des personnes impures. Ils n’avaient pas le droit d’assister à des mariages ou à des enterrements, ni de rendre visite à des parents ou à des amis malades à l’hôpital.

Des lois spéciales ont été élaborées pour les impurs, les soumettant à une assignation à résidence s’ils se trouvaient à proximité d’une personne ayant récemment subi un test PCR positif. Les personnes impures devaient continuer à se couvrir le visage en public lorsque le port du masque universel a été abandonné.

Il est devenu socialement acceptable de souhaiter la mort aux personnes impures dans les médias sociaux et dans les grands organes de presse. Des personnalités de la santé publique et d’autres politiciens ont donné des conférences de presse pour faire honte et insulter les personnes impures. Le public a développé des noms péjoratifs communs pour les désigner et s’est délecté à insulter les personnes impures.

Les médias publiaient régulièrement des sondages demandant si les personnes impures devaient être arrêtées ou condamnées à une amende. Des personnalités publiques ont ouvertement et fièrement parlé de refuser aux impurs les soins médicaux nécessaires – de les laisser mourir. Les personnes impures ont été retirées des listes de transplantation d’organes, condamnées à une mort quasi certaine.

Aucune date de fin de ces mesures n’a jamais été suggérée, aucun calendrier n’a été donné. Au contraire, ces mesures ont été qualifiées de « nouvelle normalité ».

Le fait de critiquer l’une ou l’autre de ces évolutions faisait de vous un paria social et vous faisait probablement perdre la plupart de vos amitiés et de vos relations familiales, voire votre emploi.

La leçon de l’Holocauste – et du covid – n’est pas que les Allemands, les Albertains ou les gens du XXIe siècle sont exceptionnellement crédules ou mauvais. C’est que pour la plupart des gens, la « moralité » n’est pas une question de principe, mais plutôt d’adoption de ce qu’ils perçoivent comme l’idéologie dominante du groupe – même si cette idéologie est marquée par l’irrationalité gratuite ou l’inhumanité brutale.

En effet, comme dans certaines sectes ou gangs, la brutalité ou l’irrationalité des actes ou des croyances nécessaires pour signaler l’inclusion dans le groupe enracine les gens dans l’idéologie, plutôt que de les repousser ; une sorte de sophisme pervers des coûts irrécupérables.

Donc, oui, si vous êtes une personne typique – albertaine, canadienne ou autre – il est très probable que vous auriez été un nazi si vous étiez né dans l’Allemagne nazie. Si vous avez encouragé les fermetures, les passes et les obligations, cette probabilité s’approche de la certitude.





Comment la crise covid a servi de banc d’essai à la manipulation de masse…

La manipulation de masse lors de la crise covid expliquée par la politologue guadeloupéenne Paméla OBERTAN invitée par l’honnête journaliste Harold Luce. Vous comprendrez pourquoi en Guadeloupe on a eu que ~ 25 % de vaccinés (~ 75 % de non vaccinés). Ils ne regardent pas trop BFM et vous comprendrez pourquoi c’est le seul département où on a envoyé le GIGN pour « forcer » les gens à se faire vacciner !!

[Voir aussi :
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Comment fonctionne le contrôle mental réel
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Psychologie des foules : le désir de croire plutôt que de savoir
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
La clef de la libération]




Nouvelle devise de la macronnie : « FORT ENVERS LES FAIBLES, FAIBLE ENVERS LES FORTS »

Par Gérard Le Maître

« FORT AVEC LES FAIBLES, FAIBLE AVEC LES FORTS — QUEL COURAGE, QUELLE AUDACE »

Ce pourrait être la nouvelle devise de ce gouvernement !

Excès de zèle gendarmerie/police/justice… ou conséquences d’une situation devenue intenable par nos politicards et un gouvernement hors de contrôle débordé par les évènements et qui ne connaît que répression/sanction pour continuer à exister ?

La banderole anti-Macron du retraité faisait désordre…

Passant devant la maison d’un retraité de 77 ans, les gendarmes constatent qu’un foyer de rébellion met en péril la quiétude de ce petit village de l’Eure. Sur le grillage bordant son jardin, le propriétaire a apposé une banderole : « Macron, on t’emmerde ». La musique de « Faites entrer l’accusé » retentit dans les rues de la commune. C’est le début d’une affaire qui va défrayer la chronique de L’Éveil normand :

Alors que le délit d’offense au chef de l’État a été supprimé il y a dix ans, le contrevenant tombe sous le coup de l’outrage à une personne dépositaire de l’ordre public (passible d’un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende).

La multiplicité des Lois en France désormais fait qu’il y en a toujours une qui peut s’appliquer quand il s’agit de punir le petit peuple, mais quand les casseurs regroupés sous l’appellation BlacksBloks cassent, démolissent, blessent des policiers et des gendarmes par centaines plusieurs fois par semaine, La Noble Justice de France ne trouve pas de bonnes raisons de mettre hors d’état de nuire les quelques-uns que police et gendarmerie arrêtent de temps à autre…. c’est probablement une espèce protégée…(([1] https://www.bvoltaire.fr/satire-a-vue-la-banderole-anti-macron-du-retraite-faisait-desordre/))

Pourtant l’exemple est venu d’en haut, de Macron lui-même, il est vrai qu’il s’adressait aux « Non-Vaxx » soit quelques millions de Français (méprisables ?) quand même qui ont voulu garder leur liberté de disposer de leur corps refusant des injections dangereuses, voire mortelles pour certains et s’opposant à une obligation déguisée en contraintes multiples et variées…

Dans « Le Parisien », le président a fait part de sa volonté d’« emmerder » les non-vaccinés.

Une déclaration qui a choqué la scène politique, remarquablement unanime, mais restera sans suite, il est vrai qu’il ne peut être poursuivi, bénéficiant pendant son mandat de l’immunité totale.

(([2] https://www.lepoint.fr/politique/emmerder-les-non-vaccines-les-propos-de-macron-enflamment-l-opposition-04-01-2022-2459195_20.php))

Mais pas de chance pour une adepte de Facebook qui a eu la mauvaise idée de retransmettre le matin même de la dernière prestation du foutriquet un message disant « L’ordure va parler à treize heures »

Elle a été placée en garde à vue et sera jugée au tribunal le 20 juin prochain pour outrage et insulte après avoir publié sur Facebook un message insultant visant le président de la République.(([3] https://www.midilibre.fr/2023/03/30/tout-comprendre-lordure-va-parler-comment-un-post-facebook-sur-macron-peut-valoir-des-poursuites-judiciaires-11100019.php))

Et quand c’est Le Garde des Sceaux/Ministre de La Justice, fait non pas un, mais TROIS bras d’honneur au sein même de L’Assemblée Nationale, aucune poursuite n’est envisagée. Il aurait aussi fait un doigt d’honneur devant la même Assemblée le 7 mars.

Sur la vidéo, relayée par Paris Match, on voit le ministre de la Justice répéter ce geste à trois reprises : à la 3e seconde, la 14e seconde et la 17e seconde de la vidéo.

Il est vrai que lors de sa carrière d’avocat il était réputé pour faire acquitter les racailles, son fonds de commerce. Il avait acquis le surnom d’AQUITATOR ! et leur fréquentation assidue l’a habitué au comportement ordurier…




John Pilger sur la guerre à venir : « Refusez la guerre qu’on veut vous imposer »

[Source : La Gazette du Citoyen via RI]

Par John Pilger pour Counterpunch, le 2 mai 2023

En 1935, le Congrès des écrivains américains a eu lieu à New York, suivi d’un autre deux ans plus tard. Ils ont appelé « les centaines de poètes, romanciers, dramaturges, critiques, auteurs de nouvelles et journalistes » pour discuter de « l’effondrement rapide du capitalisme » et de l’annonce d’une autre guerre. Il s’agissait d’événements palpitants qui, selon un récit, ont réuni 3 500 membres du public et essuyé plus d’un millier de refus.

Arthur Miller, Myra Page, Lillian Hellman, Dashiell Hammett ont averti que le fascisme montait, souvent déguisé, et qu’il incombait aux écrivains et aux journalistes de s’exprimer. Des télégrammes de soutien de Thomas Mann, John Steinbeck, Ernest Hemingway, C Day Lewis, Upton Sinclair et Albert Einstein ont été lus.

La journaliste et romancière Martha Gellhorn a pris la défense des sans-abri et des chômeurs, et « nous tous sous l’ombre d’une grande puissance violente ».

Martha, devenue depuis une amie proche, m’a confié plus tard devant son habituel verre de Famous Grouse et de soda : « La responsabilité que je ressentais en tant que journaliste était immense. J’avais été témoin des injustices et des souffrances causées par la dépression, et je savais, nous le savions tous, ce qui allait arriver si les silences n’étaient pas brisés. »

Martha Gellhorn

Ses paroles résonnent à travers les silences d’aujourd’hui : ce sont des silences remplis d’un consensus de propagande qui contamine presque tout ce que nous lisons, voyons et entendons. Laissez-moi vous donner un exemple :

Le 7 mars, les deux plus anciens journaux d’Australie, le Sydney Morning Herald et The Age, ont publié plusieurs pages sur « la menace imminente » de la Chine. Ils ont coloré l’océan Pacifique en rouge. Les yeux des Chinois étaient martiaux, en marche et menaçants. Le Péril jaune était sur le point de s’effondrer comme sous le poids de la gravité.

Aucune raison logique n’a été donnée pour une attaque contre l’Australie par la Chine. Un « groupe d’experts » n’a présenté aucune preuve crédible : l’un d’eux est un ancien directeur de l’Australian Strategic Policy Institute, une façade du ministère de la Défense à Canberra, du Pentagone à Washington, des gouvernements britannique, japonais et taïwanais et de l’industrie de guerre de l’Occident.

« Pékin pourrait frapper d’ici trois ans », ont-ils prévenu. « Nous ne sommes pas prêts. » Des milliards de dollars doivent être dépensés pour les sous-marins nucléaires américains, mais cela, semble-t-il, ne suffit pas. « Les vacances de l’Australie loin de l’histoire sont terminées », ont-ils conclu quoi que cela puisse signifier.

Il n’y a aucune menace pour l’Australie, aucune. Le lointain pays « chanceux » n’a pas d’ennemis, encore moins la Chine, son plus grand partenaire commercial. Pourtant, le dénigrement de la Chine qui s’inspire de la longue histoire de racisme de l’Australie envers l’Asie est devenu une sorte de sport pour les « experts » autoproclamés. Qu’en pensent les sino-australiens ? Beaucoup sont confus et craintifs.

Les auteurs de cette pièce grotesque de hurlements de chien et d’obséquiosité envers le pouvoir américain sont Peter Hartcher et Matthew Knott, des « journalistes de la sécurité nationale » je pense qu’ils se nomment eux-mêmes. Je me souviens de Hartcher lors de ses escapades payées par le gouvernement israélien. L’autre, Knott, est le porte-parole des costumés de Canberra. Ni l’un ni l’autre n’ont jamais vu une zone de guerre et ses extrêmes de dégradation et de souffrance humaine.  

« Comment en est-on arrivé là ? » dirait Martha Gellhorn si elle était encore là. « Où diable sont les voix qui disent non ? Où est la camaraderie ?

Ces voix sont entendues dans le samizdat de ce site Web et d’autres. En littérature, les goûts de John Steinbeck, Carson McCullers, George Orwell sont obsolètes. Le post-modernisme est désormais aux commandes. Le libéralisme a remonté l’échelle politique. L’Australie, une social-démocratie autrefois somnolente, a promulgué un réseau de nouvelles lois protégeant le pouvoir secret et autoritaire et empêchant le droit de savoir. Les dénonciateurs sont des hors-la-loi, devant être jugés en secret. Une loi particulièrement sinistre interdit « l’ingérence étrangère » par ceux qui travaillent pour des entreprises étrangères. Qu’est-ce que cela signifie ?

La démocratie est conceptuelle maintenant ; il y a l’élite toute-puissante de la corporation fusionnée avec l’État et les exigences « identitaires ». Les amiraux américains sont payés des milliers de dollars par jour par le contribuable australien pour des « conseils ». Partout en Occident, notre imagination politique a été pacifiée par les relations publiques et distraite par les intrigues de politiciens corrompus et à loyer modique : un Johnson ou un Trump ou un Sleepy Joe (Biden) ou un Zelensky.

Aucun congrès d’écrivains en 2023 ne s’inquiète du « capitalisme en ruine » et des provocations meurtrières de « nos » dirigeants. Le plus tristement célèbre d’entre eux, Blair, un criminel prima facie selon la norme de Nuremberg, est libre et riche. Julian Assange, qui a osé prouver aux journalistes que leurs lecteurs avaient le droit de savoir, en est à sa deuxième décennie d’incarcération.

La montée du fascisme en Europe est incontestable. Ou « néonazisme » ou « nationalisme extrême », comme vous préférez. L’Ukraine en tant que ruche fasciste de l’Europe moderne a vu la réémergence du culte de Stepan Bandera, l’antisémite passionné et meurtrier de masse qui a loué la « politique juive » d’Hitler et qui a fait massacrer 1,5 million de Juifs ukrainiens. « Nous poserons vos têtes aux pieds d’Hitler », proclamait un pamphlet banderiste aux Juifs ukrainiens.

Aujourd’hui, Bandera est vénéré en héros dans l’ouest de l’Ukraine et des dizaines de statues de lui et de ses compagnons fascistes ont été payées par l’UE et les États-Unis, remplaçant celles des géants culturels russes et d’autres qui ont libéré l’Ukraine des premiers nazis.

Manifestation de nazis ukrainiens brandissant un portrait de Bandera

En 2014, les néonazis ont joué un rôle clé dans un coup d’État financé par les États-Unis contre le président élu, Viktor Ianoukovitch, accusé d’être « pro-Moscou ». Le régime du coup d’État comprenait d’éminents « nationalistes extrêmes » — des nazis en tout sauf le nom.

Au début, cela a été longuement rapporté par la BBC et les médias européens et américains. En 2019, le magazine Time présentait les « milices suprématistes blanches » actives en Ukraine. NBC News rapportait que « le problème nazi de l’Ukraine est réel ». L’immolation de syndicalistes à Odessa a été filmée et documentée.

Dirigée par le régiment d’Azov, dont l’insigne, le « Wolfsangel », a été rendu tristement célèbre par les SS allemands, l’armée ukrainienne a envahi la région orientale du Donbass russophone. Selon les Nations Unies, 14 000 personnes dans l’est ont été tuées. Sept ans plus tard, avec les conférences de paix de Minsk sabotées par l’Occident, comme Angela Merkel l’a avoué, l’Armée russe est intervenue.

Cette version des événements n’a pas été rapportée en Occident. Si on ne fait que la suggérer, on est immédiatement et abusivement accusé d’être un « apologiste de Poutine », même si l’écrivain (comme moi je l’ai fait) a ou non condamné l’invasion russe. Comprendre l’explication par Moscou que l’extrême provocation qu’une frontière armée par l’OTAN, l’Ukraine, soit la même frontière par laquelle Hitler a envahi la Russie, est un anathème.

Les journalistes qui se sont rendus dans le Donbass ont été réduits au silence, voire traqués dans leur propre pays. Le journaliste allemand Patrik Baab a perdu son emploi et une jeune journaliste indépendante allemande, Alina Lipp, a vu son compte bancaire sous séquestre.

Le problème n’est pas Trump. C’est nous.

En Grande-Bretagne, le silence de l’intelligentsia libérale est le silence de l’intimidation. Les problèmes parrainés par l’État comme l’Ukraine et Israël sont à éviter si vous souhaitez conserver un emploi sur le campus ou un poste d’enseignant. Ce qui est arrivé à Jeremy Corbyn en 2019 se répète sur les campus où les opposants à l’apartheid israélien sont accusés avec désinvolture d’être des antisémites.

Le professeur David Miller, ironiquement la principale autorité du pays en matière de propagande moderne, a été limogé par l’Université de Bristol pour avoir suggéré publiquement que les « atouts » d’Israël en Grande-Bretagne et son lobbying politique exerçaient une influence disproportionnée dans le monde entier — un fait pour lequel les preuves sont volumineuses.

L’université a embauché un QC de premier plan pour enquêter sur l’affaire de manière indépendante. Son rapport a exonéré Miller de la « question importante de la liberté d’expression universitaire » et a conclu que « les commentaires du professeur Miller ne constituaient pas un discours illégal ». Pourtant, Bristol l’a limogé. Le message est clair : quel que soit l’outrage qu’il commet, Israël bénéficie de l’immunité et ses détracteurs doivent être punis.

Il y a quelques années, Terry Eagleton, alors professeur de littérature anglaise à l’Université de Manchester, estimait que « pour la première fois en deux siècles, il n’y a pas d’éminent poète, dramaturge ou romancier britannique prêt à remettre en question les fondements du mode de vie occidental ».

Aucun Shelley n’a parlé pour les pauvres, aucun Blake pour les rêves utopiques, aucun Byron n’a maudit la corruption de la classe dirigeante, aucun Thomas Carlyle et John Ruskin n’ont révélé le désastre moral du capitalisme. William Morris, Oscar Wilde, HG Wells, George Bernard Shaw n’ont pas d’équivalent aujourd’hui. Harold Pinter était alors vivant, « le dernier à élever la voix », écrit Eagleton.

D’où vient le post-modernisme — le rejet de la politique réelle et de la dissidence authentique — ? La publication en 1970 du livre à succès de Charles Reich, The Greening of America, offre un indice. L’Amérique était alors en plein bouleversement. Nixon était à la Maison-Blanche. Une résistance civile, connue sous le nom de « mouvement », avait éclaté des marges de la société au milieu d’une guerre qui touchait presque tout le monde. En alliance avec le mouvement des droits civiques, il a présenté le défi le plus sérieux au pouvoir de Washington depuis un siècle.

Sur la couverture du livre de Reich figuraient ces mots : « Il y a une révolution qui approche. Ce ne sera pas comme les révolutions du passé. Cela viendra de l’individu. »

Le livre de Charles Reich,
The Greening of America

À l’époque, j’étais correspondant aux États-Unis et je me souviens de l’élévation du jour au lendemain au statut de gourou de Reich, un jeune universitaire de Yale. Le New Yorker avait superbement sérialisé son livre, dont le message était que « l’action politique et la vérité » des années 1960 avaient échoué et que seules « la culture et l’introspection » changeraient le monde. C’était comme si l’hippydom (la mode et le comportement hippie, ou la condition d’être hippie) réclamait les classes de consommation. Et dans un sens ça l’était.

En quelques années, le culte du « moi-isme » avait presque submergé le sens de l’action collective, de la justice sociale et de l’internationalisme de beaucoup de gens. La classe, le sexe et la race étaient séparés. Le personnel était le politique et les médias étaient le message. Gagner de l’argent, disait ce dernier.

Quant au « mouvement », son espoir et ses chants, les années de Ronald Reagan et de Bill Clinton ont mis fin à tout cela. La police était maintenant en guerre ouverte avec les Noirs. Les fameux projets de loi sur l’aide sociale de Clinton ont vu des records mondiaux du nombre de Noirs envoyés en prison.

Lorsque le 11 septembre s’est produit, la fabrication de nouvelles « menaces » sur la « frontière de l’Amérique » (comme le Projet pour un nouveau siècle américain a appelé le monde) a achevé la désorientation politique de ceux qui, 20 ans plus tôt, auraient formé une opposition véhémente.

Dans les années qui ont suivi, l’Amérique est entrée en guerre avec le monde.

Selon un rapport largement ignoré des Physicians for Social Responsibility, Physicians for Global Survival et International Physicians for the Prevention of Nuclear War, lauréat du prix Nobel, le bilan dans la « guerre contre le terrorisme » des États-Unis était « d’au moins » 1,3 million de morts en Afghanistan, Irak et Pakistan.

Ce chiffre n’inclut pas les morts des guerres menées et alimentées par les États-Unis au Yémen, en Libye, en Syrie, en Somalie et au-delà. Le vrai chiffre, selon le rapport, “pourrait bien dépasser 2 millions [ou] environ 10 fois plus que celui dont le public, les experts et les décideurs ont connaissance et [est] propagé par les médias et les principales ONG”.

« Au moins » un million de personnes ont été tuées en Irak, disent les médecins, soit 5 % de la population.

L’énormité de cette violence et de cette souffrance semble n’avoir aucune place dans la conscience occidentale. « Personne ne sait combien » est le refrain des médias. Blair et George W. Bush — et Straw et Cheney et Powell et Rumsfeld et les autres responsables — n’ont jamais été en danger de poursuites. Le maestro de la propagande de Blair, Alistair Campbell, est célébré comme une « personnalité médiatique ».

En 2003, j’ai interviewé Charles Lewis, le célèbre journaliste d’investigation, à Washington. Nous avons discuté de l’invasion de l’Irak quelques mois plus tôt. Je lui ai demandé : « Et si les médias constitutionnellement les plus libres du monde avaient sérieusement défié George W. Bush et Donald Rumsfeld et enquêté sur leurs revendications, au lieu de répandre ce qui s’est avéré être une propagande grossière ? »

Il a répondu : « Si nous, les journalistes, avions fait notre travail, il y a de très, très bonnes chances que nous ne serions pas entrés en guerre en Irak. »

J’ai posé la même question à Dan Rather, le célèbre présentateur de CBS, qui m’a donné la même réponse. David Rose de l’Observer, qui avait promu la « menace » qu’aurait représenté Saddam Hussein, et Rageh Omaar, alors correspondant de la BBC en Irak, m’ont donné la même réponse. L’admirable contrition de Rose d’avoir été « dupée » parlait pour de nombreux journalistes privés de leur courage de le dire.

Leur propos vaut la peine d’être répété. Si les journalistes avaient fait leur travail, s’ils avaient interrogé et enquêté sur la propagande au lieu de l’amplifier, un million d’hommes, de femmes et d’enfants irakiens seraient peut-être en vie aujourd’hui ; des millions d’autres n’auraient peut-être pas fui leur foyer ; la guerre sectaire entre sunnites et chiites n’aurait peut-être pas éclaté et l’État islamique (Daesh) n’aurait peut-être pas existé.

Jetez cette vérité à travers les guerres rapaces déclenchées depuis 1945 par les États-Unis et leurs « alliés » et la conclusion est à couper le souffle. Est-ce que cela a déjà été évoqué dans les écoles de journalisme ?

Aujourd’hui, la guerre des médias est une tâche clé du journalisme dit mainstream, rappelant celle décrite par un procureur de Nuremberg en 1945 : « Avant chaque agression majeure, à quelques exceptions près fondées sur l’opportunité, ils ont lancé une campagne de presse destinée à affaiblir leurs victimes et à préparer psychologiquement le peuple allemand. Dans le système de propagande, c’était la presse quotidienne et la radio qui étaient les armes les plus importantes. »

L’un des courants persistants de la vie politique américaine est un extrémisme sectaire qui se rapproche du fascisme. Bien que Trump en ait été crédité, c’est pendant les deux mandats d’Obama que la politique étrangère américaine a sérieusement flirté avec le fascisme. Cela n’a presque jamais été signalé.

« Je crois en l’exceptionnalisme américain avec chaque fibre de mon être », a déclaré Obama, qui a développé un passe-temps présidentiel préféré, les attentats à la bombe et les escadrons de la mort appelés « opérations spéciales », comme aucun autre président ne l’avait fait depuis la première guerre froide.

Selon une enquête du Council on Foreign Relations, en 2016, Obama a largué 26,171 bombes. C’est l’équivalent de 72 bombes par jour. Il a bombardé les personnes les plus pauvres et les personnes de couleur : en Afghanistan, en Libye, au Yémen, en Somalie, en Syrie, en Irak, au Pakistan.

Chaque mardi — a rapporté le New York Times —, il sélectionnait personnellement ceux qui seraient assassinés par des missiles infernaux tirés par des drones. Des mariages, des funérailles, des bergers ont été attaqués, ainsi que ceux qui tentaient de récupérer les parties du corps ornant la « cible terroriste ».

Un sénateur républicain de premier plan, Lindsey Graham, a estimé, avec approbation, que les drones d’Obama avaient tué 4 700 personnes. « Parfois, vous frappez des innocents et je déteste ça », a-t-il dit, mais nous avons éliminé des membres très importants d’Al-Qaïda.

En 2011, Obama a déclaré aux médias que le président libyen Mouammar Kadhafi prévoyait un « génocide » contre son propre peuple.

« Nous savions… », a-t-il affirmé, « que si nous attendions un jour de plus, Benghazi, une ville de la taille de Charlotte [Caroline du Nord], pourrait subir un massacre qui se serait répercuté sur toute la région et aurait souillé la conscience du monde. »

C’était un mensonge. La seule « menace » était la prochaine défaite des islamistes fanatiques par les forces gouvernementales libyennes. Avec ses projets de renaissance du panafricanisme indépendant, une banque africaine et une monnaie africaine, le tout financé par le pétrole libyen, Kadhafi a été présenté comme un ennemi du colonialisme occidental sur un continent dans lequel la Libye était le deuxième État le plus moderne.

L’objectif était de détruire la « menace » de Kadhafi et son État moderne. Soutenue par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, l’OTAN a lancé 9 700 attaques aériennes contre la Libye. Un tiers visait des infrastructures et des cibles civiles, a rapporté l’ONU. Des ogives en uranium ont été utilisées ; les villes de Misurata et de Syrte ont été bombardées en tapis. La Croix-Rouge a identifié des fosses communes et l’Unicef ​​a signalé que « la plupart [des enfants tués] avaient moins de dix ans ».

Quand Hillary Clinton, la secrétaire d’État d’Obama, a appris que Kadhafi avait été capturé par les insurgés et sodomisé avec un couteau, elle a ri et a dit à la caméra : « Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort ! »

Hillary Clinton :

« Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort ! »

https://youtu.be/mlz3-OzcExI

Le 14 septembre 2016, la commission des affaires étrangères de la Chambre des communes à Londres a rendu compte de la conclusion d’une étude d’un an sur l’attaque de l’OTAN contre la Libye, qu’elle a décrite comme un « ensemble de mensonges » — y compris l’histoire du massacre de Benghazi.

Les bombardements de l’OTAN ont plongé la Libye dans une catastrophe humanitaire, tuant des milliers de personnes et déplaçant des centaines de milliers d’autres, transformant la Libye du pays africain au niveau de vie le plus élevé en un État en faillite déchiré par la guerre.

Sous Obama, les États-Unis ont étendu les opérations secrètes des « forces spéciales » à 138 pays, soit 70 % de la population mondiale. Le premier président afro-américain a lancé ce qui équivalait à une invasion à grande échelle de l’Afrique.

Rappelant la ruée vers l’Afrique au XIXe siècle, le Commandement américain pour l’Afrique (Africom) a depuis construit un réseau de suppliants parmi les régimes africains collaboratifs avides de pots-de-vin et d’armements américains. La doctrine « soldat à soldat » d’Africom intègre des officiers américains à tous les niveaux de commandement, du général à l’adjudant. Seuls les casques coloniaux manquent.

C’est comme si la fière histoire de libération de l’Afrique, de Patrice Lumumba à Nelson Mandela, avait été reléguée aux oubliettes par l’élite coloniale noire d’un nouveau maître blanc. La « mission historique » de cette élite, avertit le savant Frantz Fanon, est la promotion d’un « capitalisme rampant, quoique camouflé ».

L’année où l’OTAN a envahi la Libye, en 2011, Obama a annoncé ce qui est devenu connu sous le nom de « pivot vers l’Asie ». Près des deux tiers des forces navales américaines seraient transférées en Asie-Pacifique pour « faire face à la menace chinoise », selon les mots de son secrétaire à la Défense.

Il n’y avait aucune menace de la Chine ; il y avait une menace contre la Chine de la part des États-Unis ; quelque 400 bases militaires américaines formaient un arc le long du bord du cœur industriel de la Chine, qu’un responsable du Pentagone a décrit avec approbation comme un « nœud coulant ».

Dans le même temps, Obama a placé des missiles en Europe de l’Est visant la Russie. C’est le récipiendaire béatifié du prix Nobel de la paix qui a augmenté les dépenses consacrées aux ogives nucléaires à un niveau supérieur à celui de toute administration américaine depuis la guerre froide — après avoir promis, dans un discours émouvant au centre de Prague en 2009, d’« aider à débarrasser le monde des armes nucléaires ».

Obama et son administration savaient très bien que le coup d’État que sa secrétaire d’État adjointe, Victoria Nuland, avait été envoyée pour superviser contre le gouvernement ukrainien en 2014 provoquerait une réponse russe et conduirait probablement à la guerre. Et c’est ainsi.

J’écris ceci le 30 avril, jour anniversaire du dernier jour de la plus longue guerre du XXe siècle, au Vietnam, dont j’ai fait état. J’étais très jeune quand je suis arrivé à Saigon et j’ai beaucoup appris. J’ai appris à reconnaître le bourdonnement distinctif des moteurs des géants B-52, qui larguaient leur carnage du haut des nuages ​​et n’épargnaient rien ni personne. J’ai appris à ne pas me détourner devant un arbre calciné recouvert de morceaux de corps humains ; J’ai appris à valoriser la gentillesse comme jamais auparavant. J’ai appris que Joseph Heller avait raison dans son magistral Catch-22 : que la guerre ne convenait pas aux gens sains d’esprit. Et j’ai appris ce qu’était « notre » propagande.

Tout au long de cette guerre, la propagande disait qu’un Vietnam victorieux propagerait sa maladie communiste dans le reste de l’Asie, permettant au Grand Péril jaune du nord de s’abattre. Les pays tomberaient comme des « dominos ».

Le Vietnam de Hô Chi Minh a été victorieux, et rien de ce qui a été annoncé ne s’est produit. Au lieu de cela, la civilisation vietnamienne s’est épanouie, remarquablement, malgré le prix qu’elle a payé : trois millions de morts, des mutilés, des difformes, des toxicomanes, des empoisonnés, des perdus.

Si les propagandistes actuels obtiennent leur guerre avec la Chine, ce ne sera qu’une fraction de ce qui est à venir. Refusez la guerre qu’on veut vous imposer !

John Pilger est un journaliste et cinéaste australo-britannique basé à Londres. Le site Web de Pilger est : www.johnpilger.com. En 2017, la British Library a annoncé une archive John Pilger de tout son travail écrit et filmé. Le British Film Institute inclut son film de 1979, « Year Zero: the Silent Death of Cambodia », parmi les 10 documentaires les plus importants du XXe siècle.

Lien de l’article en anglais :

https://www.counterpunch.org/2023/05/02/the-coming-war-speak-up-now/




L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer les fermes laitières, bovines, porcines et avicoles à travers le pays ! Bonne voie vers la famine

[Source : information645]

(Natural News) Les « coupures climatiques » sont là. L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer définitivement les exploitations laitières, bovines, porcines et avicoles aux Pays-Bas. Il y a à peine un an, le gouvernement néerlandais a annoncé un plan visant à réduire les émissions d’azote dans tout le pays de plus de 50 % d’ici 2030.
Le 2 mai, la Commission européenne a approuvé un plan qui paierait les éleveurs pour qu’ils ferment indéfiniment les zones de conservation désignées s’ils s’engagent à ne jamais reprendre la même activité d’élevage ailleurs. Les réglementations environnementales de l’UE sont une menace pour les libertés économiques fondamentales et les répercussions auront un impact sur les droits de l’homme et l’approvisionnement alimentaire lui-même.

Le Green Deal européen soudoie les petits agriculteurs pour qu’ils ferment définitivement

Dans le cadre du Green Deal européen, les gouvernements soudoient les petits et moyens agriculteurs pour qu’ils arrêtent définitivement leurs opérations parce que leurs installations produisent des niveaux élevés d’azote. L’azote est désormais étiqueté comme un « polluant » qui devrait être réduit de 50 % dans toute l’Europe. Dans le cadre du Green Deal, il est « nécessaire et approprié » d’« améliorer les conditions environnementales des zones ciblées et de permettre une production de haute qualité, durable et respectueuse de l’environnement », ce qui implique la fermeture de centaines de petites exploitations. Le gouvernement néerlandais a prévu un budget d’environ 1,47 milliard d’euros (1,62 milliard de dollars) pour rembourser les agriculteurs et les fermer définitivement.

Les fonds seront utilisés pour indemniser les agriculteurs « jusqu’à 100 % » des pertes qu’ils subissent après avoir accepté « volontairement » de fermer les sites d’élevage laitiers, bovins, porcins et avicoles. La Commission européenne appelle ces rachats des « subventions directes ».

Dans le cadre du plan du gouvernement, ces nouveaux rachats de petites et moyennes exploitations sont appelés « programmes ». Le gouvernement néerlandais maintiendra les programmes en vigueur jusqu’en février 2028, jusqu’à ce que la plupart des exploitations agricoles soient regroupées entre les mains de quelques-uns. La Commission européenne affirme que les régimes sont « proportionnés » et que la compensation « apporte des effets positifs qui l’emportent sur toute distorsion potentielle de la concurrence et des échanges dans l’Union européenne ».

Les agriculteurs ne sont éligibles aux rachats que s’ils peuvent prouver qu’ils ont produit pendant cinq années consécutives. Les mondialistes du WEF à l’origine du nouveau plan savent que les Pays-Bas sont l’un des principaux exportateurs de viande et de produits agricoles dans le monde. Selon l’Office national des statistiques, les exportations agricoles néerlandaises s’élevaient à 122,3 milliards d’euros l’année dernière. Les agriculteurs se battent contre les nouvelles règles environnementales qui menacent leur existence même, mais le gouvernement néerlandais conspire avec le WEF.

L’UE détruit les libertés fondamentales et restreint la production alimentaire, le tout pour le « plus grand bien ».

Robbin Voorend est l’un de ces agriculteurs qui se sont prononcés sur le Green Deal européen. Les programmes gouvernementaux d’émissions d’azote ont déjà réduit sa production animale de 90 à 95 %. Le producteur laitier Martin Neppelenbroek atteste que le gouvernement a abattu 95 % de son troupeau.

Ces stratagèmes ne suffiront pas à convaincre chaque agriculteur de fermer ses portes, donc des pots-de-vin et des paiements supplémentaires seront inclus dans le plan plus large. Dans le cadre du programme LBV-plus de 975 millions d’euros (1,77 milliard de dollars), certains agriculteurs qui arrêtent les opérations à haut niveau d’azote recevront jusqu’à 120 % de compensation de la capacité de production perdue. Dans le cadre du Green Deal européen, les États membres peuvent accorder à certains agriculteurs un « bonus vert » supplémentaire de 20 % — s’ils ferment leurs exploitations pour des raisons « environnementales ».

La commentatrice politique néerlandaise Eva Vlaardingerbroek estime que les rachats de l’UE pourraient fermer définitivement 3 000 fermes néerlandaises ou plus.

« C’est comme ça qu’ils font : ils mettent un couteau sous la gorge des agriculteurs. Ils s’assurent de ne pas renouveler leurs licences, ils les affligent chaque jour de nouvelles règles et restrictions, puis leur offrent un pot-de-vin, sachant que beaucoup le prendront par pur désespoir. Tout est si ignoble », a écrit Vlaardingerbroek, tout en remettant en question la légalité du gouvernement interdisant aux agriculteurs de recommencer.

« Toute l’idée de l’UE était censée concerner la liberté de circulation et la liberté des travailleurs. Ce sont des trucs de l’URSS de niveau supérieur », a averti Vlaardingerbroek.

Les sources comprennent :




Dupont-Aignan : « LA VÉRITÉ EST EN TRAIN D’ÉCLATER »




La viande sera-t-elle interdite ?

[Source : articles.mercola.com]

Par Dr Mercola

Résumé

La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité. Jamais personne n’a eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui.

Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser.

Outre les appels à une interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.

Selon des chercheurs de l’Université d’Oxford, la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole. Ils affirment également que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Mais les préoccupations environnementales ne sont pas les seules à prendre en compte. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et à base de plantes. Une enquête récente a révélé que les viandes d’origine végétale contiennent de grandes quantités de substances antinutritionnelles qui empêchent l’absorption par l’organisme de minéraux tels que le fer et le zinc, ce qui pourrait entraîner des carences nutritionnelles problématiques.


La viande est un aliment de base célèbre depuis l’aube de l’humanité.1 Personne n’a jamais eu besoin de justifier la consommation de protéines animales — jusqu’à aujourd’hui. Selon la cabale mondialiste qui s’efforce d’obtenir le monopole de l’approvisionnement alimentaire, la consommation de viande est au cœur du changement climatique provoqué par l’homme et doit cesser afin de « sauver la planète ».

En septembre 2019, un avocat britannique est allé jusqu’à demander l’adoption de nouvelles lois interdisant la consommation de viande pour protéger l’environnement, et ce genre de folie ne fera probablement que s’intensifier avec le temps. Comme le rapportait le Guardian à l’époque2:

« L’avocat Michael Mansfield a suggéré l’adoption de nouvelles lois contre l’écocide — les pratiques qui détruisent la planète — et, dans ce cadre, la viande pourrait être visée. Je pense qu’au vu des dégâts que la consommation de viande cause à la planète, il n’est pas absurde de penser qu’un jour elle deviendra illégale », a-t-il déclaré.

Outre l’interdiction pure et simple de la consommation de viande, d’autres stratégies coercitives ont également été proposées, telles que la modification des subventions agricoles et des lois commerciales, la modification des régimes alimentaires dans les hôpitaux et les écoles, l’ajout d’étiquettes d’avertissement, l’éducation (lire : la propagande) et la mise en place de diverses taxes, y compris des taxes spécifiques sur la viande et des taxes plus générales sur le carbone.3

La santé humaine sacrifiée à l’environnement

Le Guardian cite une recherche4,5,6 de l’Université d’Oxford, publiée à l’été 2018, qui affirme que la production de viande et de produits laitiers est responsable de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produites par le secteur agricole, et que le bétail utilise 83 % des terres agricoles disponibles alors qu’il ne fournit que 18 % des calories et 37 % des protéines alimentaires.

Les préoccupations environnementales ne peuvent pas être la seule considération. La santé humaine doit également être prise en compte, et les chercheurs avertissent que nous ne savons pratiquement rien des effets à long terme sur la santé des substituts de viande cultivés et d’origine végétale.

Mais les préoccupations environnementales sont-elles le seul facteur valable dans cette équation ? Qu’en est-il de la santé humaine ? Est-il raisonnable de condamner intentionnellement l’ensemble de l’humanité à une mauvaise santé et à une faible cognition simplement parce qu’une petite cabale assoiffée de pouvoir prétend que la production alimentaire a un impact néfaste sur le climat ?

De nombreuses activités poursuivies par ces mondialistes ont des effets néfastes sur l’environnement, mais on ne les voit pas s’attaquer à ces problèmes. Au lieu de cela, ils s’en prennent à la nourriture !

L’aspect le plus exaspérant de ce débat est le fait que la santé humaine et la santé environnementale peuvent être optimisées simultanément. Si la cabale mondialiste avait vraiment de bonnes intentions, elle inciterait les agriculteurs à adopter des pratiques agricoles régénératrices et une gestion holistique du bétail.

Le problème serait résolu. Nous aurions des aliments plus sains et plus denses en nutriments et l’environnement se régénérerait rapidement. La normalisation du climat ne tarderait pas à suivre. Pour en savoir plus, voir « L’alimentation et l’agriculture régénératives : Survie et renaissance ».

Mais non, l’agriculture régénératrice ne fait même pas partie de la discussion. Elle est intentionnellement ignorée, et c’est ainsi que l’on sait que les mondialistes n’ont pas l’intention de résoudre un problème réel. Leur intention est de contrôler l’approvisionnement alimentaire en s’assurant que tous les aliments sont brevetables et leur appartiennent.

Une étude met en garde : l’interdiction de la viande nuirait à la santé humaine

De l’autre côté de ce débat, nous avons des recherches7 qui montrent que l’élimination de la viande et des produits laitiers de l’alimentation humaine aurait des conséquences néfastes sur la santé. Comme l’a rapporté Nutrition Insight à la mi-avril 20238:

« Parmi les recherches de plus en plus nombreuses établissant un lien entre la diminution de la consommation de viande et divers avantages pour la santé, une nouvelle étude conclut qu’il est risqué de supprimer ou de réduire la consommation de viande dans les régimes alimentaires, car la viande est un aliment riche en nutriments qui “continue à jouer un rôle clé dans la santé et le développement de l’être humain”.

Les chercheurs expliquent que la viande est une source de protéines et de nutriments de haute qualité qui ne sont pas toujours faciles à obtenir avec des régimes sans viande et qui sont souvent sous-optimaux ou déficients dans les populations mondiales.

“Les aliments d’origine animale sont supérieurs aux aliments d’origine végétale pour ce qui est de fournir simultanément plusieurs micronutriments biodisponibles et des macronutriments de haute qualité essentiels à la croissance et au développement cognitif”, note le Dr Adegbola Adesogan, directeur du Global Food Systems Institute de l’Université de Floride et coauteur de l’étude. Les recommandations diététiques visant à éliminer les aliments d’origine animale des régimes alimentaires ne tiennent pas compte de leur importance… »

En effet, comme indiqué dans le présent document9, l’anatomie, la digestion et le métabolisme humains indiquent que l’espèce humaine est non seulement compatible avec une consommation relativement importante de viande, mais qu’elle en est également tributaire, et le fait de déconnecter l’ensemble de la population de nos modèles alimentaires évolutifs augmente le risque de carences en nutriments et de maladies chroniques, au lieu de le réduire.

La viande est plus que la somme des nutriments individuels

Nous savons déjà que la prépondérance des aliments transformés dans le régime alimentaire occidental est responsable de la charge de morbidité actuelle, et la suppression de l’un des rares aliments entiers restants — la viande — ne fera sans doute qu’aggraver la situation.

Parmi les nutriments spécifiques présents dans la viande et difficiles à obtenir dans les régimes sans viande figurent les vitamines B, en particulier la vitamine B12, le rétinol, les acides gras oméga-3 à longue chaîne, le fer et le zinc sous des formes biodisponibles, la taurine, la créatine et la carnosine, qui ont tous des fonctions importantes pour la santé. Comme le notent les auteurs10:

« En tant que matrice alimentaire, la viande est plus que la somme de ses nutriments individuels. De plus, au sein de la matrice alimentaire, elle peut servir d’aliment clé dans les interventions diététiques basées sur l’alimentation pour améliorer l’état nutritionnel, en particulier dans les régions qui dépendent fortement des céréales de base.

Les efforts visant à réduire la consommation mondiale de viande pour des raisons environnementales ou autres au-delà d’un seuil critique risquent d’entraver les progrès vers la réduction de la dénutrition et de ses effets sur les résultats physiques et cognitifs, et donc d’étouffer le développement économique…

Abstraction faite du degré d’impact négatif que la viande peut avoir sur divers facteurs liés à la santé humaine et planétaire, l’objectif du présent article est de résumer les aspects nutritionnels positifs de la consommation de viande.

La mise en évidence, la compréhension et la pondération de ces paramètres seront nécessaires pour permettre une analyse coût-bénéfice appropriée de toute transformation du système alimentaire, et en particulier de celles qui visent à réduire fortement, voire à éliminer, la consommation de viande ».

Nous avons un problème d’origine humaine. Fort bien

Nous avons un problème d’origine humaine, mais il ne s’agit pas du changement climatique en tant que tel. Le problème est que la production alimentaire a été dénaturée. Dans un article paru le 24 avril 2023 dans The Scotsman11, le chroniqueur Philip Lymbery partage ses souvenirs d’un voyage dans la vallée agricole italienne.

Alors qu’il visitait de « jolis villages », « des pâturages et des champs de culture à perte de vue », il s’est rapidement rendu compte qu’il manquait quelque chose : le bétail. Il n’a jamais vu un seul animal de ferme. Les pittoresques pâturages étaient tous vides.

« Où étaient les vaches qui produisaient le lait pour le Parmesan ou le Grana Padano, célèbres dans le monde entier ? Ou les porcs réputés pour le jambon de Parme ? Ou les poules produisant les œufs pour la carbonara ? Ce que j’ai découvert, c’est que les agriculteurs de la région agricole la plus riche d’Italie avaient oublié comment garder les animaux à l’extérieur.

Ils avaient tout simplement un angle mort. Ils ne voyaient pas pourquoi il n’était pas juste de les garder enfermés à l’intérieur toute la journée, tous les jours. Ils ne voyaient pas l’ironie de faire pousser de l’herbe, de la tondre et de la mettre en balles pour nourrir les vaches incarcérées », écrit-il.

« Ils avaient perdu de vue le fait que les vaches, les cochons et les poulets aiment autant que nous l’air frais et le soleil. Cela m’a fait penser à une autre phrase de Locatelli : “Il vaut mieux avoir une viande fantastique une fois par semaine que de se gaver tous les jours de viande bon marché, élevée sans soin. Nous devons tous nous habituer à la qualité et non à la quantité”. »

Même les produits alimentaires présentés comme issus de vaches nourries à l’herbe, comme le célèbre parmesan italien Parmigiano Reggiano, ont été élevés en intérieur, a découvert M. Lymbery. Au lieu de laisser les vaches brouter librement dans tous ces pâturages, l’herbe coupée est jetée dans des usines obscures où des centaines de vaches sont entassées.

Selon M. Lymbery, moins de 1 % des fermes italiennes qui fournissent des produits laitiers pour la production de parmesan ont laissé les vaches paître librement à l’extérieur en 2016. (Il a demandé au consortium qui régit la fabrication du parmesan des statistiques actualisées pour 2023, mais n’a pas reçu de réponse). Au lieu de cela, le « zéro pâturage » est la norme, c’est-à-dire que les vaches sont gardées en permanence à l’intérieur.

M. Lymbery a également découvert, au cours de ses voyages en Italie, que les champs de culture sont principalement destinés à l’alimentation animale, et non à l’alimentation humaine. Ce sont ces pratiques qui ont un effet néfaste sur l’environnement. C’est l’élevage industriel qui pose problème, et non l’agriculture ou la production alimentaire en général. Comme indiqué précédemment, la solution réside dans l’agriculture régénératrice et l’élevage holistique, et non dans la multiplication des faux aliments transformés.

Les fausses viandes ne sont pas un substitut viable à la vraie viande


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Comme indiqué dans le document « La viande rouge n’est pas un risque pour la santé », la recherche a démontré que la viande rouge non transformée ne présente qu’un risque très faible d’effets néfastes sur la santé, si tant est qu’il y en ait. En revanche, les élevages de viande sont d’importants producteurs d’émissions de CO2 et il a été démontré que les viandes d’origine végétale inhibent l’absorption des minéraux chez l’homme.

Ces deux substituts de viande sont également ultra-transformés12 et peuvent donc entraîner le même type de détérioration de la santé que d’autres aliments transformés. L’obésité13, le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer et la dépression ne sont que quelques exemples d’affections dont on sait qu’elles sont favorisées et exacerbées par un régime alimentaire à base d’aliments transformés14,15,16,17,18.

En décembre 2022, des chercheurs suédois ont averti que les substituts de viande à base de plantes présentaient des niveaux très élevés de phytates — des antinutriments qui inhibent l’absorption des minéraux dans le corps humain. Par conséquent, même si le substitut de viande semble contenir de nombreux nutriments nécessaires, tels que le fer, votre corps ne peut pas les absorber. Il est tout à fait prévisible que les substituts de viande à base de plantes puissent entraîner des carences en nutriments préjudiciables à la santé. Comme le rapporte Nutrition Insight19:

« L’étude, publiée dans la revue Nutrients, a analysé 44 substituts de viande vendus dans les supermarchés suédois, principalement composés de protéines de soja et de pois. Elle comprenait également des produits à base de soja fermenté (tempeh) et des mycoprotéines (champignons).

Tous les produits avaient une teneur élevée en fer et en zinc, mais une faible biodisponibilité (à l’exception du tempeh et des produits à base de mycoprotéines). Cela signifie que les minéraux traversent le tractus gastro-intestinal sans être absorbés », explique à NutritionInsight Ann-Sofie Sandberg, co-auteur de l’étude et professeur de sciences de l’alimentation et de la nutrition à l’université de Chalmers.

Sandberg précise que les mycoprotéines ne contenaient pas de fer, mais des quantités relativement élevées de zinc. L’absorption du zinc pourrait être influencée négativement par les parois cellulaires des champignons, bien que cela ne soit pas encore connu.

Parmi ces produits, nous avons constaté une grande variation dans le contenu nutritionnel et dans la façon dont ils peuvent être durables du point de vue de la santé. En général, l’absorption estimée de fer et de zinc à partir de ces produits était extrêmement faible », déclare Cecilia Mayer Labba, auteur principal de l’étude…

Sandberg explique que le fer le plus disponible pour l’absorption provient de la viande et du poisson contenant du fer héminique, qui est très facilement absorbé. La viande et le poisson contiennent également ce que l’on appelle le « facteur viande » — des tissus musculaires ou des acides aminés — qui stimule l’absorption du fer non héminique dans l’ensemble du repas. Il y a donc deux raisons pour lesquelles les protéines animales sont supérieures pour l’absorption du fer. L’absorption du zinc est également stimulée par les protéines animales.

Le décret jette les bases des aliments créés en laboratoire

Les dirigeants gouvernementaux semblent toutefois ignorer totalement les risques liés à une transition globale des aliments réels et entiers vers des alternatives transformées et synthétiques.

En septembre 2022, le président américain Joe Biden a signé un « décret sur l’avancement de la biotechnologie et de l’innovation en matière de biofabrication pour une bioéconomie américaine durable, sûre et sécurisée »20, qui ouvre la voie à la prise en charge de la production alimentaire par la biotechnologie.

Fin mars 2023, Joe Biden a développé ce principe dans un rapport intitulé « Bold Goals for U.S. Biotechnology and Biomanufacturing »21 [Des objectifs audacieux pour la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis]. Selon ce plan, l’industrie alimentaire doit être dirigée par la biotechnologie, et les « améliorations » auxquelles nous pouvons nous attendre sont davantage de viandes cultivées en laboratoire et d’aliments végétaux issus de la bio-ingénierie. Un plan similaire est également détaillé dans la loi britannique de 2023 sur les technologies génétiques et l’élevage de précision22.

Parmi les objectifs spécifiques mis en avant dans le rapport « Bold Goals »23 de Joe Biden figure la réduction des émissions de méthane provenant de l’agriculture de 30 % d’ici 2030, en partie grâce à la réduction des émissions de méthane provenant du bétail ruminant.

Alors que Bill Gates investit dans le développement de masques faciaux capturant le méthane pour le bétail24, le moyen le plus simple de réduire les émissions provenant du bétail est d’éliminer purement et simplement les animaux, ce qui, bien entendu, signifie moins de nourriture réelle.

Parmi les nombreux problèmes posés par ce plan, il y a le fait que les contribuables paieront désormais pour le financement par le gouvernement des sociétés privées impliquées dans l’industrie des faux aliments. Le résultat final est hautement prévisible. Il s’agira d’une répétition de ce qui s’est passé avec les subventions agricoles.

Au lieu de subventionner les aliments les plus nutritifs, les subventions agricoles gouvernementales vont presque exclusivement aux grandes exploitations de monoculture qui cultivent du maïs génétiquement modifié, du soja et d’autres ingrédients de base utilisés dans les aliments transformés. En conséquence, l’industrie des aliments transformés s’est développée à nos dépens, tandis que la santé publique s’est détériorée.

La même chose va se produire ici. Au lieu d’investir dans l’agriculture régénératrice, le gouvernement soutient une toute nouvelle industrie de faux aliments, allant des viandes cultivées en laboratoire à la production d’insectes à grande échelle. Pendant ce temps, les données relatives à la sécurité des viandes d’origine végétale, des viandes synthétiques cultivées et des protéines d’insectes font cruellement défaut.

Pour ne citer qu’un exemple, un rapport de mars 2023 sur l’identification des risques alimentaires25 de l’agence britannique des normes alimentaires (FSA) et des normes alimentaires d’Écosse souligne qu’il existe des « lacunes considérables dans les connaissances » en ce qui concerne la production de viande à base de cellules. Il existe peu ou pas de données sur la toxicologie, les profils nutritionnels, la stabilité des produits, les risques d’allergie, les risques de contamination et les effets indésirables de ces produits lorsqu’ils sont consommés par l’homme.

Exemples de dangers potentiels

Les problèmes potentiels identifiés par la FSA sont les suivants:26,27

Réactifs, bains d’air ou d’eau contaminés
Matériel mal nettoyé ou mal entretenu
Non-respect des protocoles de nettoyage lors de la culture de cellules
Non-respect des bonnes pratiques de laboratoire (BPL) et/ou des bonnes pratiques de fabrication (BPF)
Utilisation d’antibiotiques, de fongicides et/ou de produits chimiques toxiques pour l’homme dans la production
Consommation de virus utilisés dans le processus de fabrication
Contamination croisée d’une lignée cellulaire par une autre en raison de l’utilisation concomitante de plusieurs lignées cellulaires
D’autres risques de contamination croisée, tels qu’un mauvais entretien des équipements, de mauvaises méthodes de nettoyage, un stockage incorrect des cellules, l’utilisation de plusieurs lignées cellulaires dans une même zone, l’utilisation de mauvaises cellules et un étiquetage incorrect.
Nouvelles maladies et/ou réactions allergiques à de nouvelles protéines en raison de l’utilisation de lignées cellulaires d’animaux qui ne sont pas courants dans le régime alimentaire local
Carences nutritionnelles, « étant donné que le profil nutritionnel peut être différent de ce qu’il remplace ».

Comme l’indique le rapport sur l’identification des risques alimentaires28:

« Il existe de nombreuses étapes de développement pour la production de viande cultivée… depuis le prélèvement d’une lignée cellulaire dans un petit flacon ou une biopsie et l’augmentation du volume de culture par étapes (prolifération), jusqu’à ce qu’un bioréacteur de taille commerciale puisse être ensemencé, jusqu’à la différenciation des cellules pour obtenir le type de cellule final souhaité.

Ensuite, ils les font mûrir, généralement sur un support, pour augmenter la teneur en protéines, puis détachent/broient les cellules avec/de leur support pour obtenir un produit final qui peut être utilisé pour fabriquer des cellules semblables à celles de la viande. À chaque étape, différents produits chimiques, produits biologiques, milieux de culture, additifs et suppléments sont utilisés pour garantir une culture réussie. »

La contamination peut se produire à chacune de ces étapes. Chaque additif présente également des risques potentiels, connus et inconnus, car divers sous-produits sont créés au cours du processus. Dans la vidéo plus haut, je passe en revue quelques-uns des nombreux dangers potentiels associés aux fausses viandes.

Compte tenu du traitement en plusieurs étapes auquel sont soumises les viandes cultivées, il est tout simplement impossible qu’elles soient aussi sûres que les viandes conventionnelles, pour lesquelles les principaux risques de contamination se limitent à l’abattage, au traitement, à l’emballage, à la distribution et au stockage. Avec les fausses viandes, une contamination dangereuse peut se produire à n’importe quel moment de la fabrication, en plus de ces « points faibles » conventionnels.

Les aliments ultra-transformés n’ont rien d’écologique

Les aliments ultra-transformés vont également à l’encontre des objectifs écologiques et durables. Par exemple, les aliments ultra-transformés sont déjà responsables de 17 % à 39 % de la consommation totale d’énergie liée à l’alimentation, de 36 % à 45 % de la perte totale de biodiversité liée à l’alimentation et jusqu’à un tiers des émissions totales de gaz à effet de serre liées à l’alimentation.29

Alors, comment l’augmentation de la fabrication et de la consommation d’un nombre encore plus important d’aliments ultra-transformés va-t-elle permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre ? Comme l’indique un article paru en septembre 2022 dans le Journal of Cleaner Production30:

« Les aliments ultra-transformés sont des produits fondamentalement non durables ; ils ont été associés à des résultats sanitaires et sociaux médiocres et leur production nécessite des ressources environnementales limitées… ils sont responsables d’une quantité importante d’énergie liée à l’alimentation, et d’émissions de gaz à effet de serre ».

Et malgré tous les beaux discours sur l’« équité », l’augmentation de la consommation d’aliments transformés aggravera les inégalités économiques, car elle détournera l’argent des petits agriculteurs et des exploitants indépendants vers les sociétés transnationales qui font appel à des travailleurs sous-payés.

La viande bovine sera-t-elle interdite ?

Aussi fou que cela puisse paraître, il y a toutes les raisons de penser qu’une interdiction de la viande finira par devenir réalité. Personnellement, je ne pense pas que cela se fera par le biais de lois interdisant la consommation de viande.

Au contraire, la viande sera tout simplement supprimée au fur et à mesure que les agriculteurs seront contraints de limiter la taille de leurs troupeaux pour se conformer aux diverses restrictions sur l’utilisation des engrais et aux limites des émissions de carbone. De fausses alternatives prendront alors leur place et, au fil du temps, les gens oublieront comment produire leur propre nourriture. À ce moment-là, l’humanité sera entièrement capturée et réduite en esclavage.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Participer à la solution


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En fin de compte, si nous voulons être libres et si nous voulons la sécurité alimentaire, nous devons concentrer nos efforts sur la construction d’un système décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de vrais aliments de manière durable et qui distribuent ces aliments localement.

Les stratégies permettant d’y parvenir ont été abordées lors du symposium Attack on Food [Attaque contre l’alimentation] organisé par la Children’s Health Defense le 4 mars 2023 (voir la vidéo ci-dessus). Par exemple, le Dr John Day et Beverly Johannson ont donné des conseils sur la manière de cultiver sa propre nourriture et de conserver les aliments que l’on cultive. Parmi les autres stratégies utiles, citons l’achat d’aliments auprès des agriculteurs locaux et des marchés de producteurs, ainsi que la création de plateformes alimentaires indépendantes qui éliminent les intermédiaires.

La dernière session du symposium a porté sur des solutions sociétales plus larges pour lutter contre la guerre de l’alimentation. Le représentant américain Thomas Massie a mis en évidence les principales vulnérabilités de l’approvisionnement alimentaire américain, qui s’est effondré pendant la pandémie lorsque les agriculteurs ont dû euthanasier les animaux parce qu’ils ne pouvaient pas les faire transformer.

Quatre conditionneurs de viande contrôlent 85 % de la viande transformée aux États-Unis. L’un d’entre eux appartient à la Chine, un autre au Brésil et les deux autres sont des multinationales. Les prix des denrées alimentaires augmentent alors que les agriculteurs sont ruinés. En 2017, Massie a présenté le Processing Revival and Intrastate Meat Exemption (PRIME) Act31, mais le projet de loi n’a pas avancé depuis son introduction à la Chambre.

La loi PRIME permettrait aux agriculteurs de vendre de la viande transformée dans de petites installations d’abattage et aux États de fixer leurs propres normes de transformation de la viande. Les petits abattoirs n’ayant pas d’inspecteur parmi leur personnel — une exigence que seules les grandes installations peuvent facilement remplir — il leur est interdit de vendre leur viande. La loi PRIME supprimerait cette réglementation sans sacrifier la sécurité, puisque des inspections aléatoires de l’USDA pourraient toujours avoir lieu.

« Si un agriculteur souhaite vendre du porc, du bœuf ou de l’agneau à un consommateur, tant que ce consommateur, cet agriculteur et ce transformateur se trouvent dans le même État et ne franchissent pas les frontières de l’État, le gouvernement fédéral n’intervient pas dans cette transaction », a déclaré M. Massey.

M. Massey a également présenté un projet de loi visant à protéger l’accès au lait cru (HR 4835, Interstate Milk Freedom Act of 202132).33 Ce projet de loi a été présenté à la fin du mois de juillet 2021, sous la forme d’un amendement à la loi agricole de 2018. Contactez vos représentants et demandez-leur de soutenir ces projets de loi.


Sources et Références

1, 7, 9, 10 Animal Frontiers April 15, 2023

2, 3 The Guardian September 23, 2019

4 Science June 1, 2018; 360: 987-992

5 Science Erratum February 22, 2019

6 The Guardian May 31, 2018

8 Nutrition Insight April 17, 2023

11 The Scotsman April 24, 2023

12 Friends of the Earth, From Lab to Fork, June 2018 (PDF)

13 Cell Metabolism, 2019; doi: 0.1016/j.cmet.2019.05.008

14 JAMA Internal Medicine February 11, 2019;179(4):490-498

15 BMJ February 14, 2018; 360

16 JAMA 2017;317(9):912-924

17 BMJ, 2019;365:I1451

18 BMJ, 2019;365:l1949

19 Nutrition Insight December 9, 2022

20 White House Executive Order on Advancing Biotechnology September 12, 2022

21, 23 Bold Goals for US Biotechnology and Biomanufacturing March 2023

22 Genetic Technology (Precision Breeding) Act 2023

24 Cowboy State Daily March 23, 2023

25, 26 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022

27 Food Safety News March 24, 2023

28 Food standards Agency Hazards Identification Report November 2022, Page 8

29, 30 Journal of Cleaner Production September 25, 2022; 368: 133155

31 HR 2657 PRIME Act

32 HR4835 Interstate Milk Freedom Act 2021

33 Thomas Massie Press Release July 30, 2021




Quel sera l’impact réel des cryptomonnaies de banques centrales ?

[Source : Entrepreneur Mindset]

https://youtu.be/kbPBRR0WAnw?t=71