Élections européennes en France, pour quel connard pro-Frexit vais-je voter ?

Par Alain Tortosa

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Je suis conscient qu’il est très mal vu de produire des « ondes négatives », mais je n’en ai que faire.

Dans le mur !

Les derniers sondages donnent 93 % des votes pour une liste pro-européenne. Et j’imagine que seule une petite partie des 7 % restants concerne un candidat pro Frexit.

Je rappelle aux normies et autres zombis qui viennent de sortir de 10 ans de coma
que les listes Rassemblement National, Reconquête ou LFI sont officiellement anti-Frexit et donc pro-UE.

Des sondages « vrais »

Je ne nie pas une dose de manipulation dont l’objectif est de décourager et d’indiquer aux moutons pour qui voter, mais la fraude ne peut représenter 50 % de l’électorat.

Je veux bien être généreux et leur accorder 10 % à 15 % de tricherie, mais pas plus.

Les listes pro-européennes feront donc au moins 85 % des voix lors des prochaines élections alors même que Macron avait déclaré à la BBC lors du Brexit que les français voteraient probablement pour le Frexit.

Quand bien même l’abstention demeure sans doute plus importante chez les « anti » que chez les « pro », le fait est que de très nombreux anti-Européens vont voter pour une liste pro-Europe.

Cela me dépasse, mais il est factuel que des milliers de personnes qui sont conscientes des maux apportés par cette Europe dictatoriale vont voter pour un parti pro-européen !

Le plus délirant est que certains pourraient croire qu’en votant RN ou Reconquête, la situation évoluera positivement, à ce stade cela relève de la psychiatrie ou d’une profonde méconnaissance.

La « résistance »

Tableau pour le moins pitoyable s’il en est même si le maître mot est officiellement « unité ».

  • Les abstentionnistes : Cette catégorie de résistants est protéiforme.

    • * Les abstentionnistes militants.
      Ceux-ci sont extraordinaires, ils vivent dans une illusion (mes émotions me soufflent « délire »).
      Ne pas voter serait une forme d’expression et leur foi leur laisserait croire que si cette abstention montait à 80 % cela entraînerait un bouleversement politique. Imaginer un tel score serait illusoire, c’est comme imaginer qu’ils étaient autant à être résistants durant la 2e Guerre mondiale. Ils « l’étaient », oui, mais après la fin de la guerre. L’idée serait que l’on puisse affirmer que celles et ceux qui sont au pouvoir perdraient leur légitimité et que les médias aux ordres iraient dans ce sens. Ridicule au plus grand point. Depuis quand les gouvernants en auraient quelque chose à foutre du peuple. Quand bien même, il leur suffirait de supprimer le suffrage universel ou de rendre le vote obligatoire. Moins les résistants votent et plus les moutons sont représentés et plus les maîtres du monde peuvent sélectionner le gagnant d’une élection. C’est chouette de se penser militant en ne votant pas, mais c’est comme ne plus voter par dépit.
      * Les abstentionnistes « révolutionnaires ».
      Un pas de plus est franchi dans l’utopie. Ces adeptes construisent le monde de demain bien souvent sur du papier. Leur objectif est le changement non par les urnes, mais par la révolution. Ici encore ce serait trop simple si cette mouvance était uniforme, deux grandes familles totalement opposées la composent :
      a) Les révolutionnaires « à l’ancienne ». Coup d’état, force, têtes plantées dans des pics, etc.
      b) Les idéalistes qui construisent un monde de demain basé sur l’amour et des fleurs qui feraient reculer des chars. Soit ils croient qu’un élan humaniste fera tomber les ténèbres, soit ils imaginent que la dictature leur permettra de se forger des îlots de paradis. Naïf s’il en est.
      * Les abstentionnistes désespérés.
      Je pourrais pencher de leur côté les soirs de lucidité. « à quoi bon, c’est foutu, le mal est partout, les moutons veulent souffrir en captivité, il n’y a plus d’espoir ».
      Derrière ce « tous pourris », il y a la croyance en l’impossibilité de changer quoi que ce soit. Dans leur monde ceux qui se disent résistants avec une visibilité ou une aura sont de l’opposition contrôlée. Les Trump, les Poutine et à une échelle plus franco-française, les Asselineau et autres Philippot ne sont que des leurres qui travaillent pour l’Ordre mondial. Ces abstentionnistes se voient souvent comme des purs, mais n’iront jamais brandir un drapeau en disant « suivez mon panache blanc ». Je reconnais humblement ne pas avoir ce courage. Comme leurs valeurs et leur honnêteté les empêchent de rejoindre le camp des enculés afin « d’en profiter avant la fin du monde », ils sont condamnés à vivoter, se débrouiller, système D dans ce monde pourri avec comme seule alternative de fréquenter assidûment le comptoir d’un bar, « monde de merde ! ». Je me reconnais en eux d’autant plus que mon sentiment de totale inutilité ne fait que croître.
      * Les abstentionnistes du « je m’en branle ».
      Je ne crois pas qu’il y en ait vraiment parmi les résistants même si cela peut s’entendre. Il est difficile de faire semblant dès lors que l’on a ouvert la boîte de Pandore. Ce monde est pire que ce que l’on avait imaginé dans nos cauchemars et il devient compliqué pour ne pas dire impossible de faire semblant, de faire comme si. Peut-être est-il possible de se mentir à soi-même, mais agir mois après mois, année après année comme si le monde ne tournait pas trop mal et que l’apocalypse n’était pas au coin de la rue me semble impossible. Je ne dis pas que ce ne serait pas reposant d’être un normie qui vit sa petite (très petite ?) vie au jour le jour, métro, boulot, dodo, vacances, gigot avec belle-maman le dimanche. Mais dès lors que l’on sait que nous sommes dans une dictature qui va s’amplifier au-delà de l’imaginable, dès lors que l’on sait que l’objectif des maîtres du monde est notre obéissance et notre annihilation, il me semble bien illusoire d’imaginer faire semblant bien longtemps. Tôt ou tard le conscient sera rattrapé par sa conscience ou la dictature qui va le balayer.

  • Les votants pro-Frexit : En face des abstentionnistes nous avons donc les votants, pas forcément de gaieté de cœur, mais au moins pour ne pas vivre avec le regret du « si j’avais, si nous avions… peut-être que ». Je ne reviendrai pas sur les anti-UE, anti-dictature, antiguerre qui votent consciemment pour un candidat pro-UE, cela relève de la psychiatrie. En l’occurrence l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Il n’y a pas de parti d’opposition à l’Assemblée nationale. À maintes reprises les députés avaient la possibilité de faire chuter le gouvernement par une motion de censure et ils ne l’ont pas fait, preuve de leur allégeance à l’UE et à la dictature. Les partis qui ne prônent pas le Frexit sont soit membres de la majorité, soit membres de l’opposition contrôlée, cela ne se discute même pas.

Un argument s’oppose à la mouvance abstentionniste, je ne vois pas en quoi en votant nous ferions le jeu de la dictature.
Vous imaginez qu’ils se disent « eux ils sont bien soumis ils votent »
ou qu’ils disent « eux ils sont bien cons, ils pensent résister en nous laissant un boulevard ».

Pourquoi voter Frexit ?

Rester dans l’Union européenne c’est poursuivre le chemin vers plus de dictature et peut-être même la mort dans une guerre voulue par l’OTAN. Une France dans l’UE ne peut décider de RIEN !

Le Brexit est une réalité alors le Frexit n’est pas une utopie. Parler en son temps de Brexit était délirant et imaginer qu’il se concrétise encore plus.

Le Frexit est une condition nécessaire. Si à un croisement une route mène vers la mort et l’autre vers l’inconnu, il n’y a AUCUNE question à se poser, on prend l’inconnu, même si elle menait aussi à la mort.

Ce n’est qu’une étape, il faut quitter quasi toutes les organisations dictatoriales qui nous privent de notre liberté de choix. L’OTAN, l’OMS, les traités de libre-échange, la CEDH et j’en passe.

La Suisse a été condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour inaction dans la lutte contre le réchauffement climatique !

Nous sommes à un point de notre histoire où une instance prévue pour la défense des droits
de l’Homme condamne un pays pour ne pas avoir imposé suffisamment de dictature !

« Le Frexit ou la mort. »

Je suis abonné à un nombre incalculable de groupes Telegram et qu’est-ce que je constate ?

  • Il y a peu de publications des candidats des listes pro-Frexit sur les différents canaux.
  • Certaines listes me sont même totalement inconnues.

Pour quel connard pro-Frexit vais-je donc voter ?

    J’écris sciemment connard pour la simple raison que les candidats ne font pas liste commune.
    Chacun prône l’union, chacun demande aux autres de le rejoindre et chacun le concrétise si peu.
    Il y a ceux qui se disent prêts à abandonner leur première place « preuve de leur non-narcissisme ».
    Bien entendu quand on les interroge, l’absence d’union est toujours le fait de l’autre « moi je veux bien, mais c’est lui qui veut pas, je ne peux pas lui imposer ».
    Personnellement je n’en ai strictement rien à foutre si machin dit ceci, s’il est pour ou anti cela, le seul point commun qui m’importe est qu’ils soient tous pro-Frexit !
    Quand la France aura retrouvé son indépendance, sa monnaie, ses frontières, son armée, sa justice, sa politique de santé, d’éducation, etc. alors libre à ces candidats de s’entre-déchirer sur la place publique.
    Je ne sais donc pas quel connard choisir, connard pour lequel je vais voter sans état d’âme, alors même que j’aurais plaisir à l’insulter.
    Avec leur ego mal placé, nous aurons largement moins de députés pro-Frexit, de couverture médiatique et cela me met en rogne. Je vais devoir choisir et cela m’est insupportable, mais putain, faites alliance !

    Merci.

    Alain Tortosa2
    10 avril 2024.
    https://7milliards.fr/tortosa20240410-pour-quel-connard-voter.pdf





    Une analyse des origines et des mécanismes du pouvoir juif

    [Source : littoria.substack.com via unz.com]

    Sur les origines et les mécanismes du pouvoir juif : une analyse sombartienne

    Par Joseph Jordan

    Le monde universitaire s’est enflammé pour expliquer les origines et les mécanismes du pouvoir juif dans l’Occident moderne. La question est truffée de mines antipersonnel et l’une des parties du débat est fortement étouffée.

    Une théorie qui gagne du terrain, défendue par des personnalités telles que Richard Hanania et Nathan Cofnas, professeur à Cambridge, est que la surreprésentation massive de la population juive ashkénaze dérive de sa supériorité génétique sur les Blancs dans le domaine intellectuel. Cette théorie a proliféré dans des publications juives de grande importance, comme le New York Times, qui a publié un article intitulé « Les secrets du génie juif » de l’auteur sioniste Bret Stephens. Le journal s’est ensuite excusé d’avoir fait la promotion de ce qui constitue en fait une science raciale auprès de son public libéral en colère, mais l’article n’a pas encore été entièrement rétracté.

    L’hypothèse ashkénaze du QI a été réduite à une conjecture sur un seul front par le Dr Kevin MacDonald, dont les théories évolutionnistes de la cohésion juive ont été contestées par Cofnas, conduisant à un débat entre les deux hommes en 2021 publié dans la revue académique Philosophia. En 2022, Philosophia a rétracté la défense des théories du Dr MacDonald tout en maintenant les attaques de Cofnas — un acte flagrant de basculement d’échelle inconciliable avec l’esprit du libre débat.

    Ron Unz, qui est lui-même juif, a également publié un travail sérieux réfutant les affirmations selon lesquelles la surreprésentation dramatique des Juifs dans les universités de l’Ivy League (qui sont un ticket d’or pour accéder à l’élite américaine) serait le produit du mérite ou de l’intelligence dans « Le mythe de la méritocratie américaine ». Dans cet ouvrage, Unz démontre la médiocrité des Juifs dans leurs activités intellectuelles par rapport à leur situation professionnelle et économique globale.

    Plus récemment, le Dr Neema Parvini a rédigé une étude approfondie sur les maigres données étayant la thèse du QI élevé des Ashkénazes, les réfutant toutes au motif qu’elles n’ont pas été reproduites de manière convaincante, que la méthodologie est médiocre et que, dans certains cas, comme dans celui du Dr Richard Lynn (2004), « L’intelligence des juifs américains », elles ont été inventées de toutes pièces.

    À première vue, l’hypothèse avancée par Cofnas, Hanania, Stephens et d’autres est faiblement étayée lorsqu’on examine les groupes témoins. Nous utiliserons des Asiatiques plutôt que des Blancs, afin de contrôler les préjugés personnels potentiels de cet auteur.

    Si l’intelligence héritée, le haut niveau d’éducation et le mérite global expliquent à eux seuls l’influence relative au sein de l’élite américaine, pourquoi les Asiatiques de l’Est — dont les partisans de la théorie du QI ashkénaze s’accordent à dire qu’ils ont le QI le plus élevé de toutes les races du monde — sont-ils largement absents des lieux de pouvoir américains tels que la politique, la finance et la gestion d’actifs, le droit et les médias ?

    La population totale d’Asie de l’Est (Chinois, Coréens, Japonais, Taïwanais, etc.) est supérieure à celle des Juifs aux États-Unis. Selon les données sur la main-d’œuvre fédérale américaine, les Asiatiques sont considérablement surreprésentés dans les emplois professionnels (12 % de la main-d’œuvre totale), mais ils ont moins de chances d’être promus à des postes de direction d’entreprise que les noirs et les métis hispanophones. Certains peuvent expliquer cela comme un problème du régime d’action positive, mais alors, pourquoi les capitalistes juifs sont-ils si fortement représentés alors qu’ils sont légalement catégorisés comme « blancs », le groupe le plus discriminé de tous ?

    Dans le domaine de la gestion d’actifs — le monde de l’immobilier, du capital-investissement, des fonds spéculatifs et d’autres sources importantes d’argent et de pouvoir au sein de la communauté juive — les disparités entre les Asiatiques intelligents et les Juifs sont encore plus frappantes. L’ensemble de la population asiatique en Amérique (5,6 %) contrôle à peine 2,4 % des sociétés de gestion d’actifs et gère, au sein de ce chiffre, 0,3 % de tous les actifs, malgré des études montrant que ces sociétés sont mieux gérées que leurs concurrents non asiatiques.

    Comparez cela à une seule grande société juive de gestion d’actifs, BlackRock de Larry Fink, qui entretient une relation ploutocratique particulière avec la Réserve fédérale. Fink gère à lui seul près de 10 000 milliards de dollars, bien qu’il ait nécessité des plans de sauvetage du monde entier en raison d’épisodes de mauvaise gestion.

    Il n’est donc pas surprenant que parmi les principaux donateurs milliardaires des partis démocrate ou républicain, où les Juifs travaillant dans le secteur de la gestion d’actifs (l’argent « facile à gagner ») représentent 50 % ou plus des principaux mécènes, la structure politique américaine soit très sensible aux caprices de l’État d’Israël tout en ciblant simultanément la Chine avec des guerres commerciales et un défi géopolitique à Taïwan.

    La même dynamique s’observe dans d’autres domaines, tels que le système universitaire d’élite. Ce pouvoir s’est manifesté récemment par le limogeage humiliant de Claudine Gay de l’Université Harvard et de Liz Magill de l’Université de Pennsylvanie (les rares présidents non juifs des écoles de l’Ivy League), en réponse aux protestations de donateurs juifs de fonds spéculatifs et de capital-risque concernant leur tolérance supposée des manifestations d’étudiants anti-israéliens sur leurs campus respectifs.

    Dans le domaine des organisations non gouvernementales, qui exercent un pouvoir énorme aux États-Unis et dans tous les États satellites du monde, la « philanthropie » de Wall Street fait la loi. George Soros en est l’exemple le plus célèbre, mais il ne représente à peine que la pointe de l’iceberg (le rôle de la finance juive dans les ONG fait l’objet d’un article séparé). Une poignée de milliardaires, pratiquement tous opérant dans le monde de la banque d’investissement et de la technologie, fournissent des réserves inépuisables d’argent aux fondations, aux groupes d’activistes et aux groupes de réflexion qui changent l’Occident de l’intérieur sans le consentement démocratique.

    Dans le domaine des médias, le capital-investissement représente la majorité des investissements aux États-Unis. Le contrôle des médias par les juifs est aujourd’hui de notoriété publique, il n’est donc pas nécessaire de dresser la liste de tous les propriétaires.

    On peut affirmer sans risque de se tromper que le pouvoir d’amasser rapidement des capitaux et de financer ensuite des institutions — encore une fois essentiellement par le biais de la finance, de l’immobilier, du capital-investissement, etc. — plutôt que le mérite individuel objectif est plus déterminant pour décider qui deviendra le prochain président de Harvard, quelle start-up recevra du capital-risque, qui les actionnaires choisiront pour diriger une entreprise, qui obtiendra une tribune au New York Times, qui sera nommé à la tête du département d’État et du ministère de la Justice, etc. Une montagne d’études a prouvé, au-delà de tout doute raisonnable, que les États-Unis fonctionnent comme une oligarchie.

    Peut-être que la domination ashkénaze de ces grandes institutions est soutenue par des nominations oligarchiques, mais une bonne gestion nécessite encore une grande intelligence pour les maintenir fonctionnelles, pourrait-on affirmer. Mais rares sont ceux qui pourraient sérieusement conclure que les médias, la politique, les grandes entreprises, les ONG, les cabinets d’avocats et les universités les plus prestigieuses des États-Unis représentent nos citoyens les plus brillants et les meilleurs. Au contraire, enquête après enquête, il ressort que l’Américain moyen n’a confiance dans aucune de ces institutions dirigeantes pour résoudre les problèmes nationaux et sociaux, ni même pour dire la vérité. L’opinion la plus large est que ces structures sont directement responsables de l’effondrement de notre pays — aucune confiance.

    Les défenseurs de la théorie ashkénaze du QI, s’ils admettent le pouvoir de l’or, des escroqueries boursières et des intérêts composés comme fondement principal de la surreprésentation de l’élite juive, pourraient répliquer que rien n’empêche les non-juifs de défier les juifs en bourse dans la soi-disant économie de marché libre, mais cela s’est également révélé faux.

    Lorsque des acteurs indépendants décident de jouer le jeu de l’argent selon les règles furtives des gagnants — tromperies, conspirations spéculatives, pompages et rejets —, l’« État veilleur de nuit » de Jeremy Bentham, incapable de restreindre ou de combattre le pouvoir de l’oligarchie rapace, reste néanmoins assez fort pour écraser ses opposants.

    Une anecdote récente où cela a été exposé était l’épreuve boursière Gamestop 2021.

    L’incident a commencé lorsqu’un financier juif, Gabe Plotkin de Melvin Capital, a investi 6 milliards de dollars pour faire s’effondrer les actions d’une entreprise en difficulté, Gamestop, et consommer sa carcasse.

    Un individu a repéré le grand mouvement de Plotkin et s’est tourné vers les réseaux sociaux pour faire appel aux petits commerçants utilisant l’application RobinHood pour prendre une contre-position.

    Assez vite, la pompe Gamestop pilotée par Internet a commencé, anéantissant 50 % de l’argent de Melvin Capital et le redistribuant aux travailleurs, aux étudiants et aux chômeurs participant à la campagne financière.

    Plutôt que d’accepter les nouveaux joueurs dans le casino du marché, la Securities and Exchange Commission a lancé une intervention directe. Le président juif de la SEC, Gary Gensler, qui a travaillé chez Goldman Sachs avant de rejoindre le gouvernement fédéral, est intervenu au nom des juifs de Melvin Capital pour menacer l’application qui permet aux vairons de se rassembler pour lutter contre les baleines et a fait radier de la cote les actions qui nuisaient aux banquiers d’affaires. La SEC a ensuite adopté de nouvelles règles pour empêcher que le nouvel accès plus large au marché offert par les applications et les forums de discussion ne permette à ce type de défi à la finance juive de se matérialiser à nouveau.

    Werner Sombart et le pouvoir de l’or

    Le débat en cours sur les origines du pouvoir juif sur l’Occident nécessite donc une hypothèse alternative. Pour cela, on peut consulter les travaux de Werner Sombart, qui fournissent une base théorique pour analyser les origines, la structure et les mécanismes du pouvoir juif.

    Sombart, économiste de l’école allemande, était un universitaire de renommée internationale et un collègue de Max Weber. En 1911, Sombart publie Les Juifs et le capitalisme moderne, sa réfutation du célèbre ouvrage de Weber, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme (1905), ce dernier postulant que le capitalisme et la finance ont émergé des travaux de Jean Calvin et du protestantisme.

    Le point crucial de la contre-théorie de Sombart est que les marchands protestants, comme ceux qui ont soutenu le renversement violent de Charles Ier par Oliver Cromwell au XVIIe siècle, détenaient des valeurs monétaires et commerciales tirées textuellement dujudaïsme. Dans la plupart des cas, des personnalités telles qu’Olivier Cromwell et Guillaume III d’Orange ont même été directement financées par les Juifs dans leur prise de pouvoir.

    Il est important de préciser en préambule que Les Juifs et le capitalisme moderne n’était pas considéré comme un ouvrage antijuif à l’époque de sa publication et que Sombart n’était pas non plus considéré comme un antisémite. Jusqu’à sa brouille avec la révolutionnaire communiste juive Rosa Luxembourg, Sombart jouissait de la déférence de la gauche internationale en tant que pionnier de la critique du capitalisme, auteur d’ouvrages de référence en économie et même créateur du « mème » populaire du « capitalisme tardif » qui circule aujourd’hui dans les cercles de la gauche antiraciste. Ce n’est que dans les années 1930 et après la Seconde Guerre mondiale que les travaux de Sombart sont devenus controversés, mais cela est dû au fait qu’il a ensuite embrassé le national-socialisme en tant qu’alternative au marxisme et au capitalisme, et non à une quelconque réfutation de ses travaux universitaires ou de ses études.

    Dans Les Juifs et le capitalisme moderne, Sombart conteste les arguments à la fois héréditaires et marxistes qui cherchaient à l’époque à expliquer l’importance des Juifs dans les nations européennes. Sa théorie se distingue à certains égards de celle de MacDonald, mais elle la recoupe.

    Selon Sombart, le principal catalyseur de l’essor des Juifs qui ont pris d’assaut l’Europe et plus tard les Amériques depuis les XVIe et XVIIe siècles a été la découverte du Nouveau Monde et l’établissement de la première bourse du monde en 1602 dans la ville d’Amsterdam.

    Selon Sombart, les Juifs ont jeté les bases de l’hypothèque et de la banque d’investissement moderne, des prêts usuraires (contrairement à l’ancien système de prêt romain, qui concernait essentiellement les emprunts personnels), développé des stratégies commerciales sophistiquées dans le Talmud, et littéralement conjuré le concept du marché boursier moderne lui-même par la création et la maîtrise d’instruments financiers antérieurs tels que le système des lettres de change. Alors que les marchés mondiaux s’ouvraient grâce à la découverte du Nouveau Monde et qu’une bourgeoisie européenne autochtone commençait à se développer, les Juifs ont trouvé des alliés politiques parmi les marchands qui comptaient sur eux pour leurs relations internationales et leur accès aux marchés étrangers, ainsi que parmi les rois et les princes qui avaient besoin de prêts de riches prêteurs juifs, d’armes d’entrepreneurs d’armement juifs et de provisions pour mener des guerres, développer leurs économies impériales ou arracher des titres à leurs concurrents.

    Depuis l’Antiquité, les Juifs maîtrisent l’art du prêt d’argent, ce qui leur permet de constituer des blocs de pouvoir qui sèment le trouble parmi les populations européennes et conduisent des institutions telles que l’Église catholique et les monarchies absolutistes à leur interdire de participer à la vie politique. Le commerce d’exploitation pratiqué par les Juifs a été considéré comme maléfique ou socialement déstabilisant par les peuples d’accueil. Il existe de nombreux cas où les pratiques juives ont provoqué des troubles intérieurs, conduisant à des émeutes et à des expulsions complètes.

    Cela a commencé à changer une fois que les Espagnols et les Portugais ont découvert les Amériques. Bien que les Juifs aient été officiellement expulsés des deux nations à la fin du XVe siècle, les Juifs qui avaient amassé de grandes fortunes en tant qu’élites marchandes sous l’occupation maure étaient souvent capables de conserver leur argent et de rester dans le pays en se convertissant au catholicisme. Ces individus, bien qu’ils aient été baptisés, ont dans l’ensemble conservé leur identité et leurs pratiques juives, ce qui les a amenés à être décrits, parfois de manière péjorative, comme des Conversos ou des Marranes.

    Le trésorier royal espagnol, Luis de Santángel, a joué un rôle déterminant dans le financement du voyage historique de Christophe Colomb en 1492, entrepris dans l’espoir de trouver une route commerciale alternative vers la Chine et l’Inde. Au lieu de cela, il a pu découvrir l’Amérique. Suite à cette heureuse avancée, les Juifs marranes ayant des liens avec Santángel devinrent encore plus riches et plus puissants grâce au financement de nouveaux voyages à travers le monde et à l’établissement de colonies marchandes dans les Amériques, retournant en Espagne et au Portugal avec des navires remplis d’or et d’argent.

    Avant New York et Londres, il y avait Amsterdam.

    Le pouvoir croissant des juifs pseudo-chrétiens grâce au pillage du Nouveau Monde a provoqué une nouvelle fois une antipathie généralisée à leur égard dans la péninsule ibérique, ce qui a entraîné une vague d’émigration de l’Espagne et des Pays-Bas sous domination espagnole vers Amsterdam, qui, à l’époque de cet exode de population du XVIe siècle, était dirigée par le chef protestant anti-espagnol et philosémite Guillaume le Taciturne.

    C’est ici que le pouvoir juif tel que nous le connaissons a commencé. Sombart cite des contemporains néerlandais décrivant l’arrivée des Juifs séfarades du Portugal et d’Espagne comme apportant avec eux d’immenses richesses, notamment des trésors de métaux précieux en quantités qu’ils n’avaient jamais vues auparavant. Après la création de la bourse d’Amsterdam, créée pour financer à titre privé les projets étrangers de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, les Juifs se sont immédiatement emparés d’une proportion massive des actions, monopolisant ainsi pour eux-mêmes la bourse.

    Les chiffres exacts de la représentation juive à la bourse d’Amsterdam sont extrêmement difficiles à obtenir. Cela a laissé les historiens perplexes, car les marchés boursiers beaucoup plus petits et peu pertinents qui ont émergé dans d’autres régions d’Europe publiaient généralement des listes publiques d’actionnaires.

    Dans son article de 1982 intitulé « Des marchés efficaces au dix-huitième siècle ? Les bourses d’Amsterdam et de Londres », Larry Neal conclut ouvertement que le secret du système boursier d’Amsterdam avait pour but de ne pas provoquer de controverse locale sur la vaste surreprésentation des Juifs, qui a même éclipsé la participation fortement juive à la City de Londres au XVIIIe siècle :

    « l’absence de listes imprimées à Amsterdam peut provenir de l’importance beaucoup plus grande des courtiers juifs à Amsterdam qu’à Londres. »

    Neal poursuit en indiquant que, selon des échantillons aléatoires de listes d’agents de change d’Amsterdam disponibles :

    « En 1739, 22 des 32 agents de change répertoriés à Amsterdam sont juifs. En 1764, une autre publication indiquait que 36 ou 37 des 41 courtiers répertoriés étaient juifs. »

    Après la victoire du Portugal sur les Néerlandais dans le port d’esclaves africain peuplé de Juifs (le premier du genre dans le Nouveau Monde) de Recife, au Brésil, les Juifs locaux ont été expulsés de force par les forces portugaises. Ces Juifs ont mis le cap sur la colonie néerlandaise de New Amsterdam (à l’époque, le sud de Manhattan, New York), qui était gouvernée par Peter Stuyvesant, employé des Antilles néerlandaises (anciennement Indes orientales néerlandaises).

    Stuyvesant craignait qu’un afflux de Juifs dans sa petite colonie ne la fragilise et demanda à ses employeurs d’expulser les nouveaux migrants en 1654. La demande de Stuyvesant fut rejetée et la compagnie néerlandaise des Indes occidentales lui ordonna en 1655 d’autoriser les Juifs à s’installer et à commercer à La Nouvelle-Amsterdam, dans une lettre qui précisait que les Juifs ne pouvaient pas être refoulés parce qu’ils étaient les principaux actionnaires de la compagnie.

    À Amsterdam, il est devenu évident que les Juifs se sentaient plus à l’aise à la bourse qu’à la synagogue. Le premier et le plus influent livre jamais écrit sur la façon d’utiliser et de dominer le marché boursier fut celui de 1688, Confusión de Confusiones, écrit par le juif espagnol Joseph de la Vega. L’ouvrage est un guide détaillé sur le fonctionnement de la Bourse d’Amsterdam : tracés haussiers et baissiers, transactions sur indices boursiers, contrats à terme, etc. Pour ces Juifs, la bourse était tout à fait intuitive.

    Bien que les Juifs aient été confrontés à certains obstacles à la représentation politique directe à Amsterdam aux XVIIe et XVIIIe siècles, les marchands juifs — grâce à la conquête de la finance et du commerce international — ont créé de nombreux journaux et maisons d’édition destinés à un public païen, tels que l’influente Gazette d’Amsterdam (le premier journal appartenant à des Juifs, publié en plusieurs langues) et le Courant d’Amsterdam. Ils ont pu s’incruster facilement parmi la bourgeoisie locale et la gentry titrée, et ont surtout utilisé leur argent pour intégrer et donner du prestige à des intellectuels tels que Menasseh Ben Israel (né Manoel Dias Soeiro, et dont les bienfaiteurs étaient les marchands juifs Antonio de Montezinos et Abraham Pereyra), dont les ouvrages judaïsants ont joué un rôle important dans le développement de la pensée puritaine anglaise qui allait, de son vivant, s’emparer du pouvoir en Angleterre. Plus tard, sur les conseils de Ben Israel, il parvint à faire annuler l’édit de 1290 du roi Édouard Ier visant à expulser les Juifs en 1656, sous la dictature militaire du fanatique puritain Oliver Cromwell, dont l’armée était approvisionnée par le juif Antonio Fernandes de Carvajal.

    Nous pouvons observer ici un schéma historique très familier : la domination de la haute finance, des affaires et du commerce mondialisé comme précurseur d’une influence politique et sociale et finalement d’une capture totale des institutions, souvent par le biais de prête-noms, de pots-de-vin et de violence.

    Très peu des banquiers, commerçants, spéculateurs, intellectuels et médias juifs qui ont pris Amsterdam étaient des Ashkénazes, la branche supposée des juifs au QI élevé. C’étaient des Séfarades pour l’essentiel, et la plupart d’entre eux étaient baptisés chrétiens.

    La conquête de l’Angleterre

    Depuis leur base de pouvoir dans l’empire néerlandais, les Juifs ont pu soutenir la prise de contrôle de l’Angleterre par leur atout, l’anticatholique Guillaume III d’Orange, lors de la Glorieuse Révolution de 1688, une date d’une grande importance si l’on examine le début du pouvoir juif dans le monde anglophone.

    L’effort de guerre de Guillaume III a ruiné les coffres hollandais et a finalement accéléré le déclin de la Hollande elle-même, mais il a pu maintenir son armée en état et nourrie grâce au soutien des entrepreneurs d’armes juifs Solomon de Medina et Moses Machado. La campagne a été financée du début à la fin par le banquier juif Francisco Suasso, et certains auteurs, comme William Joyce, ont suggéré que les juifs hollandais qui s’étaient récemment insérés dans les cours anglaises sous Cromwell ont joué un rôle important en tant qu’espions aidant les envahisseurs hollandais avec des informations sensibles sur les déploiements et les mouvements des troupes défensives.

    Après avoir consolidé le pouvoir en Angleterre, Guillaume III a commencé à rembourser les banquiers juifs en créant la Banque d’Angleterre usuraire en 1694, dont les Juifs séfarades devinrent les principaux propriétaires, ainsi qu’en établissant une bourse de style Amsterdam dans la ville de Londres en 1698, que le groupe d’argentiers juifs qui accompagnait le roi Guillaume, comme de Medina, a rapidement dominé.

    En s’emparant du pouvoir de l’argent, les Juifs ont fini par dominer les empires anglais et hollandais. Le commerce mondial du sucre et des esclaves africains s’est concentré entre les mains des Juifs dans des centres tels que le Guayana, le Suriname, la Barbade, la Jamaïque, etc. En Afrique du Sud, le juif Benjamin Norden a eu la primeur et est devenu le premier et le plus prospère des marchands « britanniques » du pays. En Australie, la première entreprise commerciale britannique du pays était aux mains du banquier Moises Montefiore, dont la richesse provenait de la City de Londres. Une fois que l’État britannique a adopté l’idéologie du libre-échange, concoctée par l’économiste juif néerlandais David Ricardo, la richesse et le pouvoir de la communauté juive se sont accrus, souvent au détriment des intérêts nationaux anglais tels que l’agriculture.

    Les Juifs ont pu facilement contourner les interdictions parlementaires sur la participation juive directe — qui n’étaient que superficiellement respectées pour empêcher les ouvriers et les paysans anglais de se révolter — grâce à des représentants gentils rémunérés et à des failles légalistes. Alors que la plupart des Juifs ne pouvaient pas siéger au Parlement à cette époque, la bourgeoisie locale avide de profits les a accueillis avec enthousiasme dans leurs cercles sociaux et leurs loges maçonniques.

    En bâtissant leur statut de riches financiers, souvent par des prises de pouvoir illégitimes, l’extorsion et la corruption plutôt que par le mérite tel que le conçoivent les Européens, des banquiers tels que David Salomans et Lionel de Rothschild ont pu imposer au XIXe siècle l’émancipation des Juifs en vertu de la loi britannique, que la Chambre des Lords avait précédemment rejetée pour des raisons de sécurité publique (émeutes de roturiers). L’Angleterre a finalement élu son premier Premier ministre juif « chrétien », Benjamin Disraeli, dont le gouvernement a encore étendu le pouvoir de la City de Londres.

    L’analogie entre l’ascension des Juifs séfarades, supposés avoir un QI inférieur, du XVe au XIXe siècle, et celle des Juifs ashkénazes, au QI élevé, opérant en Allemagne, en Europe de l’Est et aux États-Unis plus récemment, suggère une stratégie (peut-être intuitive sur le plan de l’évolution, comme le pense MacDonald, ou préméditée, comme l’affirme Sombart — où l’établissement de monopoles commerciaux, le blanchiment d’argent, l’espionnage, les banques prédatrices, les conspirations bolcheviques, le népotisme et les escroqueries boursières occupent une place centrale) semblable à celle d’un joueur de poker aux enjeux élevés qui gagne toujours parce qu’il dispose de grandes quantités de fonds collectés par le biais d’escroqueries ou de ruses et d’informations sur les cartes de l’autre joueur. Ce type de comportement est illustré par l’ascension de l’un des premiers et des plus importants capitalistes juifs d’Angleterre, Menasseh Lopes, qui, d’une manière ou d’une autre, savait d’avance qu’une rumeur annonçant la mort de la reine Anne, qui avait fait s’effondrer la bourse de Londres, était fausse. Cette information l’a rendu fabuleusement riche, car elle lui a permis d’acheter des actions à des prix défiant toute concurrence. S’agit-il du fruit d’une intelligence digne de ce nom ou d’une criminalité pure et simple ? L’incarcération de Lopes pour corruption donne une idée de son caractère.

    Revenons à Sombart. En écrivant Les Juifs et le capitalisme moderne, il anticipe le défi du « capitalisme yankee », l’opinion de l’époque selon laquelle les Juifs n’étaient pas seulement rares dans la vie économique américaine, mais qu’ils étaient en fait des immigrants relativement humbles, nouvellement arrivés à New York en 1911.

    Il poursuit en réfutant cette notion en affirmant que, tandis que les capitalistes païens narcissiques occupaient les pages des journaux et attiraient l’attention sur eux, les Juifs travaillaient en groupe pour s’implanter discrètement dans la vie américaine depuis les premières colonies du pays, énumérant plusieurs banques et industries contrôlées par des Juifs, et déclarant même que des États entiers, tels que la Californie, étaient sous l’emprise de la finance juive.

    Enfin, sur la question de l’Amérique, Sombart prédit que les Juifs utiliseront leur modeste richesse pour recréer la stratégie de capture financière, médiatique, intellectuelle et enfin politique d’Amsterdam et de Londres. Il fait ici une prédiction audacieuse sur les immigrants juifs alors pauvres et sur l’avenir de l’Amérique :

    « Considérez qu’il y a plus d’un million de Juifs à New York aujourd’hui, et que la plupart des immigrants ne se sont pas encore lancés dans une carrière capitaliste. Si les conditions en Amérique continuent à se développer selon les mêmes lignes que dans la dernière génération, si les statistiques d’immigration et la proportion des naissances parmi toutes les nationalités restent les mêmes, notre imagination peut se représenter les États-Unis dans cinquante ou cent ans comme un pays habité seulement par des Slaves, des Noirs et des Juifs, où les Juifs occuperont naturellement la position de leader économique. »

    Une traduction de 2017 du même passage dans Les Juifs et le capitalisme moderne ne fait pas référence aux Slaves, mais prévoit plutôt l’avenir de l’Amérique comme un « bidonville noir » supervisé par des financiers juifs. La mention des « Slaves » semble être une mauvaise traduction du mot allemand pour « esclave ».

    Si la validité d’une théorie découle de son pouvoir prédictif, alors Sombart mérite peut-être un second examen.




    Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

    [Publication initiale : profession-gendarme.com]

    Par Dr Gérard Delépine

    Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

    Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

    Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

    Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

    Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

    Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

    Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

    Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

    L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

    Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

    Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

    Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

    Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

    Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

    La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

    De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

    Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

    La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

    Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

    Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

    German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

    «  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

    En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

    Lionel Astruc estime :

    « Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

    Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

    « Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

    Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

    L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

    Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

    Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

    1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

    2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

    3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

    4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

    • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
    • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
    • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

    Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

    5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

    • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
    • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
    • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
    • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
    • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
    • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

    6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

    En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

    « [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

    L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

    Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

    Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

    « La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

    Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

    Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

    Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

    Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

    De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

    Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

    Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

    « Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

    Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

    Lire ou écouter aussi :

    Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

    « Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

    « Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

    @DIVIZIO1

    alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

    Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !





    La Russie demande aux Nations Unies de se préparer à une « reddition inconditionnelle » de l’Ukraine

    [Source : numidia-liberum]

    Par Sorcha Faal

    Un nouveau rapport très instructif du Conseil de sécurité (CS) circulant aujourd’hui au Kremlin note pour la première fois que le président Poutine a révélé :

    « Les frappes sur les installations énergétiques en Ukraine font partie du processus de démilitarisation ».

    Il a ensuite observé à propos du soi-disant sommet de paix en Ukraine que les puissances coloniales socialistes occidentales tiendront en Suisse les 15 et 16 juin, ce qui exclut la Russie :

    « Ils pensent que nous n’avons rien à faire là-bas, et en même temps ils disent que rien ne peut être résolu sans nous… Et comme nous n’y allons pas, c’est devenu une sorte d’absurdité… Ils disent que nous refusons de négocier… Nous ne sommes pas invités, mais ils disent que nous refusons ».

    Conformément aux dispositions de l’article 51 de la Charte des Nations Unies sur la légitime défense, que la Russie a invoquées le 24 février 2022 pour lancer « l’opération spéciale de dénazification » pour la libération et la démilitarisation de l’Ukraine, note ce rapport, l’ambassadeur représentant permanent de la Russie aux Nations Unies, Vasily Nebenzy, a notifié hier au Conseil de sécurité des Nations Unies :

    « Voici comment cela se passera dans l’histoire : un régime inhumain et misanthrope de terroristes et de nazis qui ont trahi les intérêts de leur peuple et l’ont sacrifié pour l’argent et l’aumône de l’Occident. Zelensky et son entourage… Dans ces conditions, les tentatives du chef du régime de Kiev de promouvoir ses “formules” et de convoquer des “sommets” ne provoquent que la perplexité… Bientôt, le seul sujet de toutes les réunions internationales sur L’Ukraine sera la capitulation inconditionnelle du régime de Kiev… Mon conseil est que tout le monde devrait s’y préparer à l’avance. »

    Toujours conformément aux dispositions de l’article 51, ce rapport continue, Vasily Nebenzya a informé le Conseil de sécurité des Nations Unies :

    « Quant aux frappes de précision massives contre les installations pétrolières et énergétiques ukrainiennes, elles sont une réponse aux tentatives du régime de Kiev pour endommager les infrastructures pétrolières, gazières et énergétiques russes… La frappe a atteint son objectif, en perturbant le travail des entreprises de l’industrie militaire ukrainienne et le transfert des réserves vers les zones de combat… Elle a également entravé l’approvisionnement en carburant de l’armée ukrainienne… Comme dans tous les cas précédents, la population civile n’a pas été visée par l’armée russe, même si le régime de Zelensky et ses sponsors occidentaux tentent de prouver le contraire ».

    Le Kiev Post a ensuite révélé :

    « La plus grande centrale thermique du pays qui fournit de l’électricité à trois régions a perdu 100 pour cent de sa capacité de production, a déclaré la société le 11 avril, à la suite d’une attaque aérienne russe nocturne… “L’ampleur des destructions est terrifiante”, a déclaré le président de Centrenergo, Andriy Hota, à BBC News.
    « La plus grande compagnie privée d’électricité d’Ukraine, DTEK, a déclaré que deux de ses centrales électriques avaient été gravement endommagées… La société a ajouté qu’elle avait déjà perdu 80 pour cent de sa capacité de production à la suite des attaques russes entre le 22 mars et 29 mars ».

    Ce rapport indique aussi :

    « Le dernier bombardement intense de la Russie sur l’Ukraine a conduit le Parlement européen à prendre la décision sans précédent de retarder l’approbation du budget du Conseil jusqu’à ce que les dirigeants de l’UE adhèrent pleinement à l’approbation de systèmes de défense aérienne Patriot supplémentaires pour l’Ukraine ».

    Les analystes militaires ont évalué de manière factuelle que tous les systèmes de défense aérienne Patriot dans le monde ne peuvent pas défendre l’Ukraine, en particulier parce que les forces militaires russes ont anéanti des cibles énergétiques ukrainiennes à l’aide de leur dernier missile X-69, qui vole à une altitude de seulement 20 mètres (65 pieds), contournant la surface, ce qui le rend invulnérable aux systèmes de défense aérienne.

    Bien que les puissances coloniales socialistes occidentales continuent de rager contre l’échec de leur guerre par procuration contre la Russie en utilisant l’État fantoche corrompu, l’Ukraine, l’ambassadeur Vasily Nebenzya a également révélé hier au Conseil de sécurité des Nations Unies :

    Ce qui gêne également les propagandistes occidentaux, ce sont les opinions des Ukrainiens ordinaires, qu’ils partagent sur les réseaux sociaux, exhortant leurs compatriotes à craindre non pas les frappes de précision russes, mais les conséquences du fonctionnement des systèmes de défense aérienne ukrainiens déployés dans les zones résidentielles en violation des normes du DIH (Droit International Humanitaire).

    Étant donné que l’Ukraine dispose de moins de systèmes de défense aérienne, il y a également eu moins d’incidents dus à leur utilisation. Les citoyens ukrainiens ordinaires l’ont également remarqué.

    Par ailleurs, l’armée ukrainienne a commencé à se plaindre ouvertement du fait que les habitants de Kharkov, Odessa, Nikolaev, Dnepropetrovsk et d’autres villes et régions d’Ukraine ont commencé à partager activement avec l’armée russe les coordonnées des dépôts d’armes de l’UAF et la localisation des réserves militaires, ce qui clairement démontre la véritable attitude de la population civile à l’égard de ce qui se passe.

    Les Ukrainiens ordinaires réalisent désormais plus clairement qui est leur véritable ennemi et qui représente une menace réelle et non imaginaire pour leur vie.

    Nous pouvons les comprendre, car ils s’inquiètent de choses que nos collègues occidentaux n’ont pas évoquées aujourd’hui.

    Par exemple, ils n’ont pas dit un mot sur les violations des droits des hommes ukrainiens en âge de conscription lors de leur mobilisation forcée. C’est aujourd’hui un véritable fléau pour les familles ukrainiennes. De plus en plus de preuves sont publiées sur Internet selon lesquelles les commissions militaires maltraitent les hommes ukrainiens.

    En violation de toutes les normes et lois, ils les capturent dans les rues comme s’ils étaient des criminels recherchés et les envoient directement au front sans aucune formation particulière, où la seule façon de survivre est de se rendre aux troupes russes.

    Cette dernière étape n’est cependant pas si simple, en raison des escouades composées de nationalistes qui tentent d’éviter le combat direct avec les troupes russes, préférant tirer dans le dos de leurs compatriotes.

    Dans le même temps, ceux qui ont de l’argent et des relations, comme les députés et les fonctionnaires, échappent eux-mêmes à la conscription et emmènent leurs proches en âge de conscription à l’étranger.

    Dans la région de Vinnitsa, l’entrée des hommes en âge de conscription a été interdite dans les zones frontalières de la Moldavie afin de les empêcher de fuir.

    Comme le montre un reportage vidéo publié récemment par la Deutsche Welle allemande, dans de nombreux villages ukrainiens, il n’y a tout simplement plus personne à enrôler. Dans le village de Luzanovka, dans la région de Tcherkassy, qui compte 400 habitants, environ 50 hommes ont été enrôlés. Le chef du conseil local se plaint de n’avoir personne pour creuser les tombes.

    Et cela se produit dans toute l’Ukraine, sur fond de réticence flagrante de l’écrasante majorité des Ukrainiens à se battre pour les intérêts géopolitiques occidentaux.

    Comme l’a admis l’autre jour le président de l’Institut international de sociologie de Kiev, seuls 8 % des hommes interrogés sont prêts à rejoindre volontairement les forces armées ukrainiennes. Le régime de Kiev y voit à juste titre une menace mortelle pour son pouvoir et c’est pourquoi il « serre la vis » par tous les moyens possibles.

    Ainsi, au début du mois, l’âge de conscription des Ukrainiens a été abaissé de 27 à 25 ans et, à en juger par les progrès des troupes ukrainiennes au front, il pourrait bientôt atteindre 17-18 ans.

    Dans son moment d’agonie, Hitler avait compté sur la « Hitlerjugend » pour la défense de Berlin. Le régime angoissant de Zelensky est prêt à faire de même pour sacrifier non seulement les hommes ukrainiens, mais aussi les femmes.

    La loi sur la mobilisation, qui est sur le point d’être adoptée, transformera complètement les Ukrainiens en serfs dont la vie sera à la disposition de Zelensky et de sa clique. Mais les Occidentaux préfèrent garder le silence sur ce sujet. De même qu’ils n’admettent jamais qu’ils préparaient depuis de nombreuses années l’Ukraine à une guerre avec la Russie sous le couvert des accords de Minsk ; et comment ils n’ont pas permis aux Ukrainiens de faire la paix avec la Russie.

    Bien entendu, personne n’a dit aujourd’hui que la situation des droits de l’homme en Ukraine continuait de se détériorer rapidement. Aucun des sponsors occidentaux n’ose critiquer le chef du régime de Kiev, qui a usurpé le pouvoir, annulé les élections et jeté en prison tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec sa dictature.

    Pendant ce temps, le néonazisme est de plus en plus ouvertement encouragé en Ukraine, où les complices des nazis sont glorifiés ; des sentiments nationalistes et racistes sont cultivés au sein de la population.

    Les persécutions à grande échelle contre l’Église orthodoxe ukrainienne canonique (UOC) se poursuivent. Le régime de Kiev s’efforce de créer une image de l’UOC et de ses ministres comme des « collaborateurs de l’ennemi » et encourage la saisie illégale d’églises. Tout ce qui est russe — langue, culture, éducation, médias — est automatiquement soumis à annulation.

    Après que la conseillère militaire en chef de l’Ukraine, Oksana Grigorieva, ait proclamé de manière démoniaque :

    « Le gouvernement ukrainien devrait abandonner sa mentalité de la vieille école et mettre en œuvre une véritable égalité dans ses forces armées… Notre constitution stipule qu’il est du devoir de chaque Ukrainien de protéger sa patrie, donc il est tout à fait normal que les femmes servent aussi ».

    De son côté, le New York Times révèle :

    « Les quelque un million d’hommes qui servent dans l’armée ukrainienne sont battus et épuisés… De nombreux soldats sont en service depuis deux ans. ..Des dizaines de milliers de personnes ont été tuées ou gravement blessées… De nouvelles recrues sont désespérément nécessaires… Mais l’Ukraine se heurte à une contrainte démographique critique qui se profile depuis longtemps : elle compte très peu d’hommes jeunes… En bonne santé les hommes de moins de 30 ans, l’épine dorsale de la plupart des armées, font partie de la plus petite génération de l’histoire moderne de l’Ukraine »

    Une révélation qui s’est jointe au commandant suprême des forces alliées en Europe, le général de l’armée américaine Christopher Cavoli, informant hier les législateurs américains :

    « La Russie est en train de reconstituer ses forces militaires plus rapidement que nos estimations initiales ne le suggéraient… Au cours de l’année écoulée, l’effectif des troupes de première ligne est passé de 360 000 à 470 000… L’armée est en fait désormais plus nombreuse — de 15 pour cent — qu’elle ne l’était lors de son invasion ».

    Parallèlement, le ministère russe de la Défense observe : « Les Ukrainiens étant peu disposés à se porter volontaires pour la folle cause de Zelensky, Kiev a mis à jour ses règles de mobilisation pour recruter de la chair à canon ». Un des hauts responsables ukrainiens a déclaré aux journalistes à propos de du plan comique du président ukrainien Vladimir Zelensky pour une nouvelle contre-offensive :

    « Je vous rappelle que la mise en œuvre du précédent plan de contre-offensive en 2023, que le commandant en chef Zelensky a délicatement qualifié d’“infructueux”, a entraîné des morts et des blessés graves de plus de 166 000 membres des forces armées ukrainiennes, ainsi que la perte de 789 chars, 2 400 autres véhicules blindés et 132 avions ».

    Sur le plan économique, l’article économique américain qui vient de paraître

    « Dans la dernière humiliation pour l’administrateur Biden, le pétrole russe se négocie PARTOUT au-dessus du prix imposé par le G7 » a également révélé : « Le pétrole russe se négocie bien au-delà du prix plafond du Groupe des Sept, censé priver Moscou des revenus de sa guerre en Ukraine, ce qui suggère un non-respect important de cette mesure, que toute personne disposant d’un demi-cerveau ne devrait pas respecter, ce qui, bien sûr, exclut pratiquement tous les bureaucrates “démocrates” qui ont mis en œuvre cette sanction idiote qui n’a fait qu’enrichir les milliardaires »

    À cela s’ajoute la nouvelle :

    « La Banque mondiale a révisé ses perspectives de croissance du PIB russe en 2024-2025 à la hausse ».

    Après que Bloomberg a rapporté hier, citant des responsables anonymes : « Les États-Unis sont à court d’options pour aider l’Ukraine au-delà de l’espoir que le Congrès adopte finalement un programme d’aide de 60 milliards de dollars avant que la ligne de front ne commence à s’effondrer sous la pression russe », conclut ce rapport, Axios a révélé :

    « Les démocrates sont engagés dans une vaste opération visant à persuader les progressistes en retard de signer une pétition de décharge pour forcer le vote du projet de loi d’aide au Sénat sur l’Ukraine, Israël et Taiwan… Mais plus d’une douzaine de progressistes pro-palestiniens ont refusé de signer en protestation contre l’assistance militaire à Israël dans le projet de loi du Sénat »

    Et c’était une révélation à laquelle s’est joint le New York Times de gauche publiant la lettre ouverte « Les calculs sur l’Ukraine ne s’additionnent pas » écrite par le plus haut législateur conservateur du Parti républicain, le sénateur des États-Unis. J.D. Vance, dans lequel il a observé :

    Le président Biden veut faire croire au monde que le plus grand obstacle auquel l’Ukraine est confrontée sont les républicains et notre manque d’engagement envers la communauté mondiale. C’est faux.

    Le défi de l’Ukraine n’est pas le Parti républicain ; ce sont les mathématiques.

    L’Ukraine a besoin de plus de soldats qu’elle ne peut en déployer, même avec des politiques de conscription draconiennes. Et il lui faut plus de matériel que ce que les États-Unis peuvent lui fournir. Cette réalité doit éclairer toute politique future en Ukraine, depuis l’aide supplémentaire du Congrès jusqu’à l’orientation diplomatique fixée par le président.

    La question la plus fondamentale : de combien l’Ukraine a-t-elle besoin et quelle quantité pouvons-nous réellement lui fournir ?

    M. Biden suggère qu’un supplément de 60 milliards de dollars fera la différence entre la victoire et la défaite dans une guerre majeure entre la Russie et l’Ukraine. C’est également faux. 60 milliards de dollars, c’est une fraction de ce qu’il faudrait pour inverser la tendance en faveur de l’Ukraine. Mais ce n’est pas seulement une question d’argent. Fondamentalement, nous n’avons pas la capacité de fabriquer la quantité d’armes dont l’Ukraine a besoin pour gagner la guerre.

    Considérez notre capacité à produire des obus d’artillerie de 155 millimètres. L’année dernière, le ministre ukrainien de la Défense de l’époque a estimé que ses besoins de base en obus étaient supérieurs à quatre millions par an, mais a déclaré qu’il pourrait en tirer jusqu’à sept millions si autant d’obus étaient disponibles. Depuis le début du conflit, les États-Unis ont déployé de grands efforts pour accroître la production d’obus de 155 millimètres. Nous avons à peu près doublé notre capacité et pouvons désormais en produire 360 000 par an, soit moins d’un dixième de ce dont l’Ukraine déclare avoir besoin. L’objectif de l’administration est de porter ce montant à 1,2 million — soit 30 % de ce qui est nécessaire — d’ici la fin 2025. Cela coûterait cher aux contribuables américains tout en produisant un résultat désagréable et familier : l’échec à l’étranger.

    Cette semaine encore, le plus haut commandant militaire américain en Europe a affirmé qu’en l’absence d’une assistance supplémentaire en matière de sécurité, la Russie pourrait bientôt avoir un avantage d’artillerie de 10 contre 1 sur l’Ukraine. Ce qui n’a pas fait la une des journaux, c’est que l’avantage actuel de la Russie est d’au moins 5 contre 1, même après tout l’argent que nous avons investi dans le conflit. Aucun de ces ratios ne conduit vraisemblablement à la victoire ukrainienne.

    Les partisans de l’aide américaine à l’Ukraine ont fait valoir que notre approche a été une aubaine pour notre propre économie, en créant des emplois ici dans les usines qui fabriquent des armes. Mais nos intérêts en matière de sécurité nationale peuvent être — et sont souvent — distincts de nos intérêts économiques.

    L’idée selon laquelle nous devrions prolonger une guerre sanglante et horrible parce qu’elle a été bénéfique pour les affaires américaines est grotesque. Nous pouvons et devons reconstruire notre base industrielle sans expédier ses produits dans un conflit étranger.

    L’histoire est la même lorsque l’on regarde d’autres munitions. Prenez le système de missiles Patriot, notre première arme de défense aérienne. C’est d’une telle importance dans cette guerre que le ministre ukrainien des Affaires étrangères les a expressément exigés. En effet, rien qu’en mars, la Russie aurait lancé plus de 3 000 bombes aériennes guidées, 600 drones et 400 missiles sur l’Ukraine. Pour parer ces attaques, le président ukrainien Volodymyr Zelensky et d’autres ont indiqué avoir besoin de milliers d’intercepteurs Patriot chaque année. Le problème est le suivant : les États-Unis n’en fabriquent que 550 chaque année. Si nous adoptons le programme d’aide supplémentaire actuellement examiné au Congrès, nous pourrions potentiellement augmenter la production annuelle à 650 unités, mais cela représente encore moins d’un tiers de ce dont l’Ukraine a besoin.

    Ces armes ne sont pas seulement nécessaires à l’Ukraine. Si la Chine devait jeter son dévolu sur Taïwan, le système de missiles Patriot serait essentiel à sa défense. En fait, les États-Unis ont promis d’envoyer à Taiwan des missiles Patriot d’une valeur de près de 900 millions de dollars, mais la livraison de ces armes et d’autres ressources essentielles a été sérieusement retardée, en partie à cause des pénuries causées par la guerre.

    Si cela semble mauvais, la situation de la main-d’œuvre en Ukraine est encore pire. Voici les bases : la Russie compte près de quatre fois la population de l’Ukraine. L’Ukraine a besoin de plus d’un demi-million de nouvelles recrues, mais des centaines de milliers d’hommes en âge de combattre ont déjà fui le pays. Le soldat ukrainien moyen a environ 43 ans et de nombreux soldats ont déjà servi deux ans au front avec peu ou pas d’occasions d’arrêter le combat. Après deux ans de conflit, il reste dans certains villages presque plus d’hommes. L’armée ukrainienne a recouru à la contrainte pour servir les hommes et les femmes ont organisé des manifestations pour exiger le retour de leurs maris et de leurs pères après de longues années de service au front. Ce journal a rapporté un cas dans lequel l’armée ukrainienne a tenté d’enrôler un homme atteint d’un handicap mental diagnostiqué.

    Beaucoup à Washington semblent penser que des centaines de milliers de jeunes Ukrainiens sont partis à la guerre avec une chanson dans le cœur et sont heureux de qualifier toute pensée contraire de propagande russe. Mais les principaux journaux des deux côtés de l’Atlantique rapportent que la situation sur le terrain en Ukraine est sombre.

    La Maison-Blanche a répété à maintes reprises qu’elle ne pouvait pas négocier avec le président russe Vladimir Poutine. Ceci est absurde.

    L’administration Biden n’a aucun plan viable permettant aux Ukrainiens de gagner cette guerre.

    Plus tôt les Américains seront confrontés à cette vérité, plus tôt nous pourrons réparer ce gâchis et négocier la paix.

    12 avril 2024


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    https://www.whatdoesitmean.com/index4581.htm


    La Russie prépare la « capitulation inconditionnelle » du régime de Kiev

    Par Moon of Alabama — Le 12 avril 2024

    Lors de la réunion du Conseil de sécurité des Nations unies qui s’est tenue hier, Vasily Nebenzya, représentant permanent de la Russie auprès des Nations unies, a déclaré :

    « C’est ainsi qu’il entrera dans l’histoire — comme un régime inhumain et haineux de terroristes et de nazis qui ont trahi les intérêts de leur peuple et les ont sacrifiés pour l’argent de l’Occident et pour Zelenski et son cercle le plus proche.
    Dans ces conditions, les tentatives du chef du régime de Kiev de promouvoir sa formule et de convoquer des sommets de soutien au régime de Kiev ne font que semer la confusion.

    Très bientôt, le seul sujet des réunions internationales sur l’Ukraine sera la capitulation inconditionnelle du régime de Kiev.

    Je vous conseille à tous de vous y préparer ».




    Le Pacte mondial des maires et les villes de 15 minutes

    [Source : favoris-alcyonpleiades via etresouverain.com]

    L’avocate canadienne Lisa Miron parle des villes de 15 minutes et de la progression rapide du coup d’État contre la démocratie au niveau municipal.

    Elle parle d’une organisation appelée « Global Covenant of Mayors » — il y a 13 000 villes dans le monde qui suivent les ordres d’un gouvernement de l’ombre — et ces maires suivent des ordres qui ont à voir avec le « changement climatique ». Ils dressent des inventaires de CO2.

    Et ils ont découvert que la solution qu’ils entendent mettre en œuvre d’ici 2030 est celle des « interventions sur la consommation ». L’objectif est de 0 kg de viande par personne et par an. Elle dit qu’ils résoudront le problème du changement climatique en nous affamant.

    [Voir aussi (en anglais) :

    https://www.globalcovenantofmayors.org/our-cities
    Liste des villes françaises impliquées pour l’instant :
    Acigné
    Agglomération Seine-Eure
    Aix-Marseille Metropole
    Ambazac
    Amiens
    Amiens Métropole
    Angers Loire Métropole
    Annecy
    Annemasse Les Voirons
    Ay-Champagne
    Bayonne
    Besançon
    Betton
    Béziers
    Bordeaux
    Bordeaux Metropole
    Bougival
    Bourg-La-Reine
    Bourgbarré
    Bourges Plus
    Brécé
    Brest Métropole
    Bruz
    Caen
    Capesterre De Marie-Galante
    Carrieres-sous-Poissy
    Castelnau-Le-Lez
    Celles
    Cesson-Sévigné
    Chalon-Sur-Saône
    Chambéry Métropole
    Changé
    Chantepie
    Chartres-De-Bretagne
    Châtellerault
    Chavagne
    Chelles
    Chevaigné
    Cintré
    Clermont-Ferrand
    Cluses
    Colmar
    Communauté D’Agglomération De La Rochelle Et Ville De La Rochelle
    Communauté D’Agglomération De Nevers
    Communauté d’Agglomération de Niort
    Communauté D’Agglomération Du Muretain
    Communauté D’Agglomération Du Pays Châtelleraudais
    Communauté D’Agglomération Pau Béarn Pyrénéés
    Communauté De Communes Au Pays De La Roche Aux Fées
    Communauté De Communes Carmausin-Ségala-Carmausin
    Communauté De Communes Centre Tarn
    Communauté De Communes Cordais Et Causse
    Communauté De Communes De La Vallée De Chamonix-Mont-Blanc
    Communauté De Communes De Marie-Galante
    Communauté De Communes Monts-D’Alban Et Villefranchois
    Communauté De Communes Pays Des Sorgues Monts De Vaucluse
    Communauté De Communes Val 81
    Communauté De Haute Provence
    Communauté Urbaine De Strasbourg
    Communauté Urbaine Toulouse Métropole
    Corps Nuds
    Côtes d’Armor, 11 communes en action(s)
    Coudekerque-Branche
    Coulaines
    Dieppe Maritime
    Dijon
    Dunkerque Grand Littoral
    Echirolles
    Epinal
    Forbach
    Fréjus
    Gévezé
    Grand Angouleme
    Grand Besancon
    GRAND CHATELLERAULT
    Grand Dole
    Grand Lyon
    Grand Paris Seine Ouest
    Grand-Bourg De Marie-Galante
    Grand-Montauban Communauté d’Agglomération
    Grande-Synthe
    Grenoble
    Grenoble-Alpes-Metropole (La Métro)
    Guipel
    Hennebont
    Illkirch-Graffenstaden
    Ivry Sur Seine
    L’Haÿ-Les-Roses
    L’Hermitage
    La Bastidonne
    La Chapelle-Thouarault
    La Couronne
    La Mézière
    La Rochelle – Communauté D’Agglomération Et Ville
    Lambersart
    Langouet
    Langrolay-sur-Rance
    Le Gouray
    Le Havre
    Le Perray-en-Yvelines
    Le Rheu
    Le Verger
    Léhon
    Les Mureaux
    Lille
    Lille Métropole
    Lons-Le-Saunier
    Loos-En-Gohelle
    Loperhet
    Lorient
    Lorient Agglomération
    Lyon
    Marseille
    Melesse
    Merville
    Métropole du Grand Paris
    Metz
    Montgermont
    Montmélian
    Montpellier
    MONTPELLIER MEDITERRANEE METROPOLE
    Montreuil
    Montreuil-Le-Gast
    Mordelles
    Mulhouse Alsace Agglomération
    Mundolsheim
    Mûrs-Erigné
    Nantes Metropole
    Nice
    Nice Côte D’Azur
    Nouvoitou
    Noyal-Châtillon Sur Seiche
    Oberschaeffolsheim
    Orgères
    Orléans Métropole
    Pacé
    Parc Naturel Régional Du Haut-Jura
    Paris
    Parthenay De Bretagne
    PAYS DE L’ALBIGEOIS ET DES BASTIDES
    Pays De Montbéliard Agglomération
    Pessac
    Plaine Commune
    Plaintel
    Plélan-le-Petit
    Plémet
    Pleslin-Trigavou
    Plessala
    Plouasne
    Plouër Sur Rance
    Plumaugat
    Poissy
    Pont-Péan
    Prin-Deyrançon
    Quetigny
    Quimper
    Quimper Communaute
    Rennes
    Rennes Métropole
    Roubaix
    Rouen
    Saint Etienne Métropole
    Saint Germain-en-Laye
    Saint Jacques De La Lande
    Saint Samson Sur Rance
    Saint-Brieuc Armor Agglomération
    Saint-Erblon
    Saint-Germain-sur-Ille
    Saint-Gilles
    Saint-Gondran
    Saint-Grégoire
    Saint-Juvat
    Saint-Louis De Marie-Galante
    Saint-Médard-Sur-Ille
    Saint-Symphorien
    Salies
    Saulnes
    Schiltigheim
    Seclin
    Sénart
    Sète
    Sèvres
    Strasbourg
    Taden
    Thionville
    Thorigné-Fouillard
    Toulouse
    Trébédan
    Tregueux
    Trémereuc
    Vezin-Le-Coquet
    Vignoc
    Ville De Tours
    Villers-sur-Mer
    Villeurbanne
    Vouneuil Sur Vienne
    Liste des villes canadiennes impliquées pour l’instant :
    Annapolis Royal
    Baie-Saint-Paul
    Beaconsfield
    Boucherville
    Brampton
    Bridgewater- Ns
    Burlington
    Caledon
    Calgary
    Candiac
    Canmore
    Canton de Lochaber-Partie-Ouest
    Cape Breton Regional Municipality
    Chatham-Kent
    Commission de services régionaux Nord-Ouest
    Communauté rurale de Haut-Madawaska
    Courtenay
    District of Saanich
    Durham
    Edmonton
    Fredericton
    Gatineau
    Guelph
    Halifax
    Halton Hills
    Hamilton
    Kingston
    Kitchener
    La Sarre
    Laval
    London- On
    Longueuil
    Mississauga
    Moncton
    Montréal
    Mount Pearl
    Nanaimo
    New Glasglow
    North Vancouver
    Oakville
    Orangeville
    Ottawa
    Prévost
    Rivière-du-Loup
    Rivière-Verte
    Rossland
    Salaberry-De-Valleyfield
    Saskatoon
    Sorel-Tracy
    St. Catharines
    St. John’s
    Surrey
    Thunder Bay
    Toronto
    Township of Huron-Kinloss
    Ucluelet
    Vancouver
    Victoria
    Ville d’Edmundston
    Ville de Saint-Léonard
    Ville de Saint-Quentin
    Whitby
    Windsor

    Villes intelligentes ou politiciens corrompus ?

    ]






    JO 2024 — Le totalitarisme en marche




    Quand s’interroger devient un délit, il est urgent de le commettre

    ou en deux vidéos :








    Psychopathie et Hunger games : Ukraine/France — abattage d’ados en préparation !!!

    [Publication initiale : profidecatholica.com]

    Par Theara

    L’environnement mental et légal en France au niveau du gouvernement, des lois et des médias est clairement de plus en plus psychopathique, totalitaire et étouffant.

    Le Règne de l’Ordo ab chaos consacre les menteurs.

    Les jeunes et les très jeunes sont à présent AUSSI dans le viseur de ces psychopathes.

    Ukraine: enfants de la patrie

    https://lactualite.com/monde/enfants-de-la-patrie

    Un camp de vacances où les enfants apprennent à manier la kalachnikov et à se protéger des grenades : des Ukrainiens prennent les grands moyens pour défendre leur patrie face à leur puissant voisin russe.

    Des lois anti libertés fondamentales sont passées NON STOP à un rythme soutenu : cela mine le moral même des gens bien informés et vaillants, dans ce pays terriblement endormi sous le Soma numérique. 80 % de la Soma population ne voit rien, et ceux qui voient un peu sont assez nombreux, mais se sentent impuissants, suivant des patriotes de carton, agitant des trompettes Tut-tut, désarmés face aux géants du WEF & Consorts dont les GAFAM, L’UE, et BlackRock.

    Macron a pris son nouvel habit de tank, tout fier et caparaçonné. Il se sent invincible, non de par lui-même, mais par ses Mentors, avançant avec jubilation de toutes ses roues blindées sur la France martyrisée qu’il a abîmée, spoliée, empoisonnée, injectée, éborgnée, vendue et mise en pièces, pas encore détruite, mais tel est l’Objectif.

    Sa mascotte en peluche — la bébête de L’Événement — accrochée à son casque kaki…

    Car il est superstitieux, lui qui a une « Mission transcendante » à accomplir…

    Mars 2024 (Mars, Dieu de la Guerre)

    L’article 23 de la LOI de Programmation militaire 2024 — 2039 votée en août 2023 se met en action !!

    JUILLET 2023 :

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-lpm-imperative-serait-elle-le-dernier-masque-en-date-d-un-coup-d-etat

    MARS 2024 : Annonces gouvernementales de réquisitions d’entreprises et « Économie de Guerre » :

    https://www.francetvinfo.fr/politique/armement-le-gouvernement-menace-les-entreprises-francaises-de-proceder-a-des-requisitions_6451351.html

    Pire, Pôle emploi publie de nombreuses annonces d’emploi cherchant des jeunes « pour des emplois militaires », conduire des blindés, etc..

    Des jeunes de 17,5 à 30 ans, donc même des mineurs !
    https://insolentiae.com/france-travail-engagez-vous-quils-disaient-larmee-recrute/

    Texte type des annonces d’emploi :

    « Votre spécialité consiste à combattre au sein d’une section en remplissant un rôle précis : tireur.se armements spécifiques, tireur.se de précision, tireur.se de missile, opérateur.trice radio ou encore pilote d’engin blindé.
    Vous êtes au cœur de l’action et au contact des populations locales.
    De votre efficacité dépendent votre sécurité et celle de vos camarades.
    Vous partez régulièrement en opérations extérieures (outre le territoire national, le régiment a été engagé sur l’ensemble des théâtres d’opérations depuis plus de vingt ans : Liban, Moyen-Orient, Balkans, Afghanistan, Afrique, Europe de l’Est).

    PROFILS et QUALITÉS :
    — Vous êtes âgé.e de 17,5 à 30 ans ;
    — Vous êtes de nationalité française en règle avec les obligations du service national JDC et jouissant de ses droits civiques;
    — Vous êtes capable de vous adapter à toute situation ;
    — Vous avez le goût pour l’effort physique et pour la vie rustique.

    AVANTAGES ET RÉMUNÉRATION :
    9 semaines de permissions, soit 45 jours/an
    -75 % toute l’année avec la SNCF
    Logement et repas inclus,
    1970 euros brut/mois (après une première année de service ; pour un célibataire, sans enfant à charge, hors prime).
    La rémunération en opération extérieure peut être multipliée jusqu’à 2,5. »

    EN FAIT, le POUVOIR PREND EXEMPLE SUR SON ALLIÉ UKRAINIEN :

    https://www.lemonde.fr/m-actu/article/2016/08/19/au-camp-d-entrainement-des-petits-soldats-d-ukraine_4984763_4497186.html

    https://lactualite.com/monde/enfants-de-la-patrie

    EN UKRAINE le « pouvoir » ne s’embarrasse pas même pas d’annonces pour l’emploi !!!!

    La Chair à canon des HUNGER GAMES NAZIS est déjà trouvée et mise dans les bus !

    VIDÉO : DES ADOS à peine sortis de l’enfance sont réquisitionnés et envoyés au FRONT, dont de très jeunes FILLES !!!

    EN FRANCE la psychopathie assumée et la lâcheté législative règnent à tous les échelons et sont devenues un mode de pensée et d’action.

    À chaque article de LOI terrible, venu en ligne directe du WEF, caché dans une « Loi » française !
    QUI VOTE ? QUI VOTE POUR ?

    On a alerté, beaucoup de gens ont alerté, il y a eu des articles de presse, des alerteurs, des vidéos de NDA, de Philippot, de Beatrice Rosen, de Tocsin, Sud Radio, etc..

    Quelques députés votent contre…
    Mais la MAJORITÉ des DÉPUTÉS, et PAS QUE des macronistes, votent POUR
    Alors que les interventions des députés honnêtes sur les dangers manifestes contre les libertés et la vie même des Français étaient LIMPIDES !! CLAIRES !!!
    L’ignorance invincible n’est pas de mise. Ils SAVENT ce que ces articles impliquent pour le Peuple et pour tout justiciable, c’est-à-dire, vous, moi, n’importe qui…

    Donc la réalité est que la Dictature tentaculaire émanant du WEF est votée au PARLEMENT FRANÇAIS SCIEMMENT par une cohorte de « députés », tous partis politiques confondus.

    QUI LES BRIEFE ?

    Les pires articles liberticides sont votés par une majorité de députés Macronie et HORS Macronie.
    Ce sont EUX TOUS les coupables, car certains articles ultra pénalisants pour les libertés, voire la VIE des gens et la PROPRIÉTÉ PRIVÉE pouvaient être éliminés des LOIS par le VOTE PARLEMENTAIRE en quelques SECONDES.

    CHRONOLOGIE (faut-il rappeler que Chonos dévore ses enfants ?)

    JUILLET 2023

    ARTICLE 23 de la LPM
    https://www.mondialisation.ca/urgent-non-a-la-loi-de-programmation-militaire/5679292
    Archi dénoncé, articles de presse, grand article de France Soir, tonnes de tweets contre,
    NDA vidéos, Phillippot vidéos, NDA Vote contre au parlement !!
    Les autres DÉPUTÉS ??? VOTENT TOUS POUR !!

    ENSUITE :

    FÉVRIER 2024

    L’ACCORD BILATÉRAL Macron–Zélinksky (hors article 53 de la Constitution = illégal) a suivi la LPM d’août 2023 comme par hasard !!

    L’ACCORD, palliant au fait que l’Ukraine n’est ni dans l’OTAN ni dans l’UE, contourne cet obstacle en créant ex nihilo UN ENGAGEMENT INTERNATIONAL de la FRANCE envers l’UKRAINE, y compris militaire si besoin et pour 10 ans, avec des milliards versés à l’Ukraine et la garantie de toute aide nécessaire.

    Engagement international de la France ???

    C’est ce qui était rédigé À DESSEIN dans l’article 23 de la LPM en juillet 2023 :

    « En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l’intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres. »

    Tous les députés ont voté POUR cet accord bilatéral Macron Zelinsky sauf NDA et quelques LFI.
    Le RN s’est abstenu, trahissant la France !

    RÉSULTATS AUJ de cet article 23, en MARS 2024 :
    RÉQUISITIONS annoncées par des ministres : concernent des Entreprises pour le moment, mais cela peut aller aux PERSONNES et aux BIENS, comme décrit dans article 23 de la LPM).

    https://www.francetvinfo.fr/politique/armement-le-gouvernement-menace-les-entreprises-francaises-de-proceder-a-des-requisitions_6451351.html

    MARS 2024

    Des ANNONCES PÔLE EMPLOI fleurissent POUR chercher de très jeunes CIVILS pour devenir conducteurs de blindés ou autres emplois militaires

    Entre les deux :

    FÉVRIER 2024

    LOI contre les Dérives sectaires, article 4 :

    Résumé : toute critique (en mettant les interlocuteurs ou lecteurs ou abonnés sur le Net sous « emprise psychique ») (QUI VA DÉTERMINER L’EMPRISE PSYCHIQUE ???) de la « médecine d’État », déterminée et préconisée en « l’état des connaissances actuelles » et le fait de dire par exemple à des gens de ne pas prendre ces « traitements » pourrait vous faire condamner à des amendes lourdes et de la prison.

    Le Conseil d’État était CONTRE !! 2 fois repoussé : au Vote Assemblée Nationale et au Conseil constitutionnel, et ANNULÉ 2 FOIS, revenu et REVOTÉ par on ne sait quels arrangements entre macronie et des « oppositions ».

    EN ce moment :

    Article 5 bis dans un texte de loi sur « l’espace numérique », ces jours-ci : déjà massivement repoussé par Assemblée, mais REVIENT AU VOTE !!

    https://www.senat.fr/rap/l23-469/l23-4690.html

    ETC..

    Alors les Macronards sont des petits soldats aux ordres. C’est évident.
    Mais tous ces députés HORS macronie, soi-disant « opposition », pourquoi les votent-ils AUSSI [en sa faveur] ??

    La LOI DE Programmation Militaire est le plus grand danger actuel.
    La Guerre avec la Russie, si jamais elle arrivait, sera fomentée et orchestrée non par la Russie, mais par les sociétés occultes, Macron n’étant pas le moins important des participants, provoquant et attaquant la Russie.
    DÈS À PRÉSENT, de très jeunes Français sont recrutés et vont être envoyés là-bas sur le terrain en Ukraine, si les parents et les Français en général ne résistent pas. Prévenez les ados, les jeunes, les familles, partagez cet article.

    Merci.

    Theara Truth News
    PARIS — FRANCE
    30 Mars 2024




    Au Canada, un nouveau projet de loi promet d’étouffer la liberté d’expression en prétendant punir des crimes non encore commis

    [Source : reinformation.tv]

    Par Clémentine Jallais

    Parmi les pays occidentaux, le Canada fonctionne un peu comme une boule de cristal. Écoutez ce qu’il dit, voyez ce qu’il fait et vous aurez une petite idée de ce qui risque de vous arriver prochainement… La loi présentée le 24 février dernier est à analyser gravement. Elle consiste à mettre en œuvre un puissant régime de censure, indépendant du Parlement, qui signifierait la fin de la liberté d’expression au Canada. Si elle passe, Justin Trudeau aura réussi à faire advenir un nouveau type d’État totalitaire woke.

    Alors bien sûr, elle affiche la visée de protéger les enfants contre les abus en ligne, à stopper la propagation du terrorisme extrême et du génocide, mais, dans les faits (serait-ce même sa seule intention ?), elle qualifie de « crime » une opinion contradictoire et introduit de nouvelles dispositions qui révolutionnent le droit. Et puis quand on lit par ailleurs que Trudeau vient de rejeter la possibilité de vérifier l’âge pour les sites pornographiques, l’argumentaire de la protection de l’enfance fait doucement rigoler — il y a bien autre chose.

    [Voir aussi :
    Novolangue et pré-crime : la loi C-63 au Canada]

    « Créer un espace en ligne plus sûr et plus inclusif » — et parfaitement totalitaire

    À la base, le projet de loi C-63 a donc été présenté comme un moyen de promouvoir la sécurité en ligne des personnes au Canada et d’y réduire les contenus préjudiciables, en imposant notamment certaines obligations aux plates-formes de médias sociaux. Comme le faisait remarquer le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), c’est bien beau de vouloir supprimer la vengeance pornographique, le partage non consensuel d’images intimes, les contenus qui intimident les enfants ou qui les victimisent sexuellement : mais il y a déjà des lois pour ça.

    Pourquoi cette duplication inutile du Code criminel ? Il faut chercher plus loin, dans cet article 13, dont une proposition antérieure avait déjà soulevé des problèmes constitutionnels, et ses fameux discours dits de haine :

    « Quiconque commet une infraction à la présente loi ou à toute autre loi fédérale, si la commission de l’infraction est motivée par la haine fondée sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, un handicap mental ou physique, un handicap sexuel, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre est coupable d’un acte criminel et passible de l’emprisonnement à perpétuité. »

    La haine, vue comme une « émotion qui implique la détestation ou la diffamation » pourrait donc emmener en prison tout Canadien qui posterait en ligne, motivé par elle, un contenu préjudiciable.

    À cet effet seront créées trois nouvelles entités juridiques sur la sécurité numérique qui réglementeront presque toute personne ou entité opérant comme un « service de médias sociaux » au Canada. Elles pourront établir de nouveaux règlements, sans qu’ils aient besoin d’être débattus, votés ou approuvés par le Parlement, sans donc aucune consultation, ni débat public. Et surtout, la Commission canadienne des droits de la personne aura des pouvoirs supplémentaires pour enquêter sur toutes les plaintes de « discours haineux en ligne » et punir le cas échéant.

    Comment, par une loi, plumer tous les Canadiens qui s’opposent à l’orthodoxie progressiste

    Faut-il une victime ? Pas nécessairement ! Comme le note le JCCF, « aucune victime réelle n’est requise pour que la Commission canadienne des droits de la personne déclare coupable ou impose des sanctions ». Mais, en revanche, tout le monde peut se déclarer victime, du moment qu’on se sent offensé par une prétendue « haine »… Les accusations anonymes et les témoignages secrets sont également autorisés ! Pour transposer en France, un homme de Poitiers pourra porter plainte contre une femme de Lyon qui a fait des remarques désobligeantes en ligne à propos d’une mosquée de Toulon, sans révéler même son identité. On imagine les abus potentiels.

    Dans un processus juridique opaque, le citoyen perdra ainsi le droit ancien et bien fondé de faire face à son accusateur et de pouvoir l’interroger. Sous prétexte que certains plaignants pourraient être soumis à « des menaces, des intimidations ou des discriminations », on les dédouane de toute responsabilité, élément inhérent et nécessaire des procédures judiciaires pénales et civiles comme le rappelait le JCCF.

    Mieux, on leur propose de l’argent ! Si, à l’issue d’une enquête, le tribunal se prononce contre vous pour pratique discriminatoire haineuse, vous pouvez être condamné à payer jusqu’à 50 000 dollars canadiens au gouvernement et jusqu’à 20 000 dollars à chaque personne désignée comme « victime »… Et il n’y a pas de limite au nombre de plaintes qui peuvent être déposées (hormis la sanction pécuniaire qui ne pourra pas dépasser 6 % du revenu brut global de la personne… on est rassuré !).

    Le fait de prôner ou de fomenter le génocide est le discours de haine le plus sévèrement puni, puisqu’il est désormais passible de l’emprisonnement à perpétuité (contre 5 ans actuellement), soit une peine maximale plus longue que pour quelqu’un qui viole un enfant… Les autres risquent « seulement » entre 2 et 5 ans de prison.

    Cerise sur le gâteau, il semble que tout cela s’applique de manière rétroactive, ce qui signifie qu’une personne peut être traduite devant le Tribunal pour tout document publié en ligne, quelle que soit sa date de publication.

    La criminalisation de l’opinion serait effective au Canada

    Le pire est encore à venir. D’aucuns se souviennent du film Minority Report où Tom Cruise recherchait et coffrait les « futurs » criminels, avant même qu’ils ne commettent les crimes dont on avait estimé qu’ils pourraient en être les auteurs. Le projet de loi propose justement d’accorder aux juges le pouvoir d’assigner une personne à résidence pendant 12 mois, s’ils craignent, après dénonciation d’autrui, qu’elle ne soit susceptible de se livrer à une « conduite haineuse »…

    Sans qu’elle n’ait rien commis, la personne devra « porter un dispositif de surveillance électronique », « retourner et demeurer à son lieu de résidence à des heures précisées », et « s’abstenir de consommer des drogues… de l’alcool »… qui pourraient libérer son venin ! Le non-respect de ces restrictions entraînerait une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans de prison.

    Comme le notait le JCCF, c’est une rupture radicale avec des siècles de tradition de common law : « Le respect que notre système juridique accorde aux droits et libertés individuels signifie qu’un accusé est présumé innocent jusqu’à ce qu’il soit prouvé coupable au terme d’un procès équitable, tenu devant un tribunal indépendant et impartial. » Désormais, on punira parce qu’on présuppose ! Ce serait sans doute la première occurrence d’une telle billevesée dans un pays dit démocratique.

    Rendre coupables de crimes les tenants de la liberté d’expression

    Avec quelle facilité, muni d’une telle loi, un gouvernement pourrait faire taire toute dissidence d’opinion… retirant les mots de la bouche, les billets des poches et la marche des pieds… Le courage se paiera cher. Et comment le ministre de la Justice canadien a-t-il qualifié ce projet de loi typiquement orwellien ? D’« engagement pour la paix »… La paix grinçante des dictatures où rien se ne passe, ni ne se pense trop fort qui ne soit dirigé ou permis. Gageons que le Premier ministre Justin Trudeau apprécierait ce nouvel outil, lui, le fervent admirateur du régime communiste chinois et fan du communiste cubain, Fidel Castro, comme le rappelait The New American.

    Ainsi, beaucoup d’accusés seront les vraies victimes de la Haine. Assujettis à la dénonciation de leurs comparses et à l’avis idéologique de bureaucrates non élus, ils seront les jouets de la pensée de groupe, celle du wokisme. Que deviendront le psychologue Jordan Peterson, ou la féministe critique du genre Meghan Murphy ? Il suffira d’un signe, un matin, et leur carrière, leur influence pourraient prendre fin. Et c’est sans parler de tout le mouvement pro-vie et pro-famille. En France, avec le délit d’apologie et de contestation non publique de crime contre l’humanité, voté par les députés le 6 mars, nous sentons les mêmes frémissements. Comme en Irlande, où Elon Musk a promis de s’opposer à la future loi sur la haine en ligne…




    Quand Zinoviev prévoyait la fin de notre démocratie…

    [Publication initiale : dedefensa.org]

    Par Nicolas Bonnal

    La démocratie a mué en occident depuis la fin de la bonne vieille guerre froide : tyrannie anglo-américaine, autoritaire construction européenne sur fond de surpuissance boursière et de grande invasion informatique, l’outil tyrannique par excellence comme a dit Harari. Avec sa féroce tradition jacobine, son messianisme humanitaire et sa conversion au mondialisme étasunien, la France est aux avant-postes de ce virage.

    Alexandre Zinoviev devint un dissident de la société mondiale et mondialiste après avoir été un dissident soviétique. À l’époque il y avait des dissidents, maintenant, comme dit Paul Virilio, il n’y a que des dissuadés dirigés par des enthousiastes.

    En 1998 le maître répond à une interview et explique que tout allait bien à l’ouest quand nous étions sous la menace soviétique (le capital faisait gaffe) :

    « Pendant la guerre froide, la démocratie était une arme dirigée contre le communisme, mais elle avait l’avantage d’exister. On voit d’ailleurs aujourd’hui que l’époque de la guerre froide a été un point culminant de l’histoire de l’Occident. Un bien être sans pareil, un extraordinaire progrès social, d’énormes découverts scientifiques et techniques, tout y était »

    La fin du communisme fut le crépuscule de nos droits sociaux et politiques (Joseph Stieglitz serait d’accord…) :

    « Mais la fin du communisme a aussi marqué la fin de la démocratie, notre époque aujourd’hui n’est pas que post communiste, elle est aussi post démocratique. Nous assistons aujourd’hui à l’instauration du totalitarisme démocratique, ou si vous préférez à l’instauration de la démocratie totalitaire. »

    Zinoviev décrit très bien le redoutable mondialisme qui naît du défunt et redouté communisme :

    « Aujourd’hui nous vivons dans un monde dominé par une idéologie unique, un fait unique, par un parti unique mondialiste. La constitution de ce dernier a commencé à l’époque de la guerre froide, quand des structures transnationales se sont mises en œuvre sous les formes les plus diverses : médias, sociétés bancaires, sociétés commerciales… Malgré leurs différents secteurs d’activités, ces forces étaient unies par leur nature supranationale. Avec la chute du communisme, elles se sont retrouvées aux commandes du monde. »

    Cette démarche est suicidaire, qui va à terme nous priver de nos libertés, de nos économies et aussi (pourquoi pas ?) de nos vies de « mangeurs inutiles » :

    « Les pays occidentaux sont donc dominateurs, mais aussi dominés, car perdent progressivement leur souveraineté au profit de ce que j’appelle la “supra société”. Elle est constituée d’entreprises commerciales et non commerciales dont la zone d’influence dépasse les nations. Les pays occidentaux sont soumis comme les autres au contrôle de ces structures non nationales… Or la souveraineté des nations est elle aussi une part considérable et constituante du pluralisme, donc de la démocratie, à l’échelle de la planète. »

    Zinoviev comprend l’horreur de l’intégration européenne :

    « L’intégration Européenne qui se déroule sous nos yeux, provoque-t-elle la disparition du pluralisme au sein de ce conglomérat, au profit d’un pouvoir supranational. »

    Il comprend que nous ne connaîtrons plus de démocratie politique ou économique comme à l’époque de la guerre froide :

    « Les pays occidentaux ont connu une vraie démocratie à l’époque de la guerre froide. Les partis politiques avaient de vraies divergences idéologiques et des programmes politiques différents. Les organes de presse avaient des différences marquées, eux aussi. Tout cela influençait la vie des gens, contribuait à leur bien-être. C’est bien fini.

    Parce que le capitalisme démocratique est prospère, celui des lois sociales et des garanties d’emploi devait beaucoup à l’épouvantail communiste. L’attaque massive contre les droits sociaux à l’ouest a commencé avec la chute du communisme à l’ouest. »

    À la fin des années 1990, les socialistes sont déjà des agents US-mondialistes (voyez les excellents pamphlets de Guy Hocquenghem et de mon éditeur Thierry Pfister, qui datent des années 1980) :

    « Aujourd’hui les socialistes au pouvoir dans la plupart des pays d’Europe mènent une politique de démantèlement social qui détruit tout ce qu’il y avait de plus socialiste justement dans les pays capitalistes. Il n’existe plus en occident de force politique capable de défendre les humbles. L’existence des partis politiques est purement formelle. Leurs différences s’estompent chaque jour d’avantage. »

    C’est ce totalitarisme financier et médiatique-diplomatique qui se manifeste notamment contre la Serbie.

    « La démocratie tend aussi à disparaître de l’organisation sociale occidentale.

    Cette super structure non démocratique donne des ordres, sanctionne, bombarde, affame. Même Clinton s’y conforme. Le totalitarisme financier a soumis les pouvoirs politiques. Le totalitarisme financier est froid. Il ne connaît ni la pitié, ni les sentiments. Les dictatures politiques sont pitoyables en comparaison de ce totalitarisme-là. Une certaine résistance était possible au sein des dictatures les plus dures, aucune révolte n’est possible contre une banque. »

    L’andouille qui interroge Zinoviev l’accuse de théorie de la conspiration alors que Zinoviev ne pratique que la théorie de la constatation. Zinoviev rappelle que nous sommes bien abrutis :

    « Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou nationale-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. Dans le domaine idéologique, l’idée importe moins que les mécanismes de sa diffusion. Or la puissance de diffusion des médias occidentaux est énorme. (…) Il suffit que la décision soit prise de stigmatiser un Karadzic ou un Milosevic et ça y est, une machine de propagande planétaire se met en branle. Et alors qu’il faudrait juger les dirigeants occidentaux pour viol de toutes les règles de droit existants… La majorité des citoyens occidentaux sont persuadés que la guerre contre la Serbie était juste. »

    Puis Zinoviev fait une remarque intéressante sur un sujet que j’avais évoqué dans la presse russe (pravda.ru) :

    « L’Occident se méfiait moins de la puissance militaire soviétique que de son potentiel intellectuel, artistique, sportif. Parce qu’il dénotait une extraordinaire vitalité. Or c’est la première chose à détruire chez son ennemi. Et c’est ce qui a été fait. La science russe dépend aujourd’hui des financements américains. Et est dans un état pitoyable, car ses derniers n’ont aucun intérêt à faire travailler leurs concurrents. Ils préfèrent faire travailler les avants russes aux États-Unis. Le cinéma soviétique a lui aussi été détruit et remplacé par le cinéma américain. »

    Le destin de l’Amérique est d’abrutir et de « fabriquer de la merde » comme disait un jour à Deauville l’énigmatique et courageux cinéaste Richard Brooks :

    « En littérature, c’est la même chose. La domination mondiale s’exprime, avant tout, par le diktat intellectuel ou culturel si vous préférez. Voilà pourquoi les Américains s’acharnent depuis des décennies à faire baisser le niveau culturel et intellectuel du monde : ils veulent baisser au leur pour pouvoir exercer ce diktat. »

    J’ai évoqué ces réalités dans mes textes sur la culture comme arme de destruction massive. Regardez ce qu’ils ont fait de l’Inde ou de l’Asie… Tous abonnés à Netflix ou Marvel. Même Scorsese ou Ridley Scott s’en sont plaints…

    Tout cela est irrésistible, car c’est malheureusement un vieux processus. C’est l’uniformisation entamée depuis la Renaissance. Ici Zinoviev rejoint Spengler et René Guénon :

    « Le processus d’uniformisation du monde ne peut être arrêté dans l’avenir prévisible. Car le totalitarisme démocratique est la dernière phase de l’évolution de la société occidentale. Évolution commencée à la Renaissance. »

    Sources

    Extrait du livre d’Alexandre Zinoviev : « La grande rupture » Disponible à l’Âge d’homme. L’entretien a été réalisé à Munich en juin 1999 quelques jours avant le retour définitif de Zinoviev en Russie.

    https://alexandrelatsa.ru/2008/01/la-grande-rupture-analyse-de-la-supra-societe-globale

    https://www.pravdareport.com/opinion/122042-western_culture

    Autopsie de l’exception française. Grandeur et Misère — Nicolas Bonnal




    Mon dinner avec André

    Indiqué par Nicolas Bonnal

    « Nicolas Bonnal m’envoie un extrait d’un film de Louis Malle, “my dinner with Andre”… Cette conversation date des années quatre-vingt, et tout y est, mais ce n’est pas si étonnant que cela, tout étant en germe depuis longtemps. Ce qui m’a frappée, ce sont les références à des “points lumineux”, des endroits de résistance où les gens conservent les valeurs humaines et des relations normales, c’est exactement ce que j’ai vu en France : une société de plus en plus étouffante et totalitaire sans que les gens s’en rendent vraiment compte, et des “points lumineux” qu’ils ignorent, qu’ils ne remarquent même pas. J’ai ressenti, depuis que je suis montée à Paris faire mes études, le milieu urbain comme une prison, et c’en est aujourd’hui réellement une, sans que les détenus s’aperçoivent de rien, et même ils estiment que leur incarcération est un grand privilège qui leur donne une supériorité sur ceux qui restent en province… »

    Laurence

    [Voir aussi :
    Néo-totalitarisme : Huxley fait le point en 1957]




    Néo-totalitarisme : Huxley fait le point en 1957

    Par Nicolas Bonnal

    Nota : ce texte est long et nûment référencé. Il apparaîtra pessimiste à certains.

    On est en 1957. Sputnik fait rêver les plus conditionnés, mais Aldous Huxley rappelle :

    « En 1931, alors que j’écrivais Le Meilleur des Mondes, j’étais convaincu que le temps ne pressait pas encore. La société intégralement organisée, le système scientifique des castes, l’abolition du libre arbitre par conditionnement méthodique, la servitude rendue tolérable par des doses régulières de bonheur chimiquement provoqué, les dogmes orthodoxes enfoncés dans les cervelles pendant le sommeil au moyen des cours de nuit, tout cela approchait ; se réaliserait bien sûr, mais ni de mon vivant, ni même du vivant de mes petits-enfants. »

    Il fait un constat après la guerre, comme Bertrand de Jouvenel :

    « Vingt-sept ans plus tard, dans ce troisième quart du vingtième siècle après J.-C. et bien longtemps avant la fin du premier siècle après F., je suis beaucoup moins optimiste que je l’étais en écrivant Le Meilleur des Mondes. Les prophéties faites en 1931 se réalisent bien plus tôt que je le pensais. L’intervalle béni entre trop de désordre et trop d’ordre n’a pas commencé et rien n’indique qu’il le fera jamais. En Occident, il est vrai, hommes et femmes jouissent encore dans une appréciable mesure de la liberté individuelle, mais même dans les pays qui ont une longue tradition de gouvernement démocratique cette liberté, voire le désir de la posséder, paraissent en déclin. Dans le reste du monde, elle a déjà disparu, ou elle est sur le point de le faire. Le cauchemar de l’organisation intégrale que j’avais situé dans le septième siècle après F. a surgi de lointains dont l’éloignement rassurait et nous guette maintenant au premier tournant. »

    Le communisme a facilement chuté partout finalement, mais il a été remplacé parce que Debord nomme le spectaculaire intégré. Tocqueville déjà disait « qu’en démocratie on laisse le corps pour s’attaquer à l’âme. »

    Le futur c’est la carotte plutôt que le bâton (cf. mes textes sur Tocqueville, Nietzsche ou le film Network) :

    « À la lumière de ce que nous avons récemment appris sur le comportement animal en général et sur le comportement humain en particulier, il est devenu évident que le contrôle par répression des attitudes non conformes est moins efficace, au bout du compte, que le contrôle par renforcement des attitudes satisfaisantes au moyen de récompenses et que, dans l’ensemble, la terreur en tant que procédé de gouvernement rend moins bien que la manipulation non violente du milieu, des pensées et des sentiments de l’individu. »

    La manipulation est donc à l’ordre du jour :

    « Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. »

    La clé du système est son renforcement par la démographie explosive :

    « De plus, l’accroissement annuel lui-même s’accroît : régulièrement, selon la règle des intérêts composés et irrégulièrement aussi, à chaque application, par une société technologiquement retardataire, des principes de la Santé publique. À l’heure présente, cet excédent atteint 43 millions environ pour l’ensemble du globe, ce qui signifie que tous les quatre ans l’humanité ajoute à ses effectifs l’équivalent de la population actuelle des États-Unis — tous les huit ans et demi l’équivalent de la population actuelle des Indes. »

    Huxley remet à sa place les blablas sur la pseudo-conquête spatiale :

    « Une nouvelle ère est censée avoir commencé le 4 octobre 1957, mais en réalité, dans l’état présent du monde, tout notre exubérant bavardage post-spoutnik est hors de propos, voire même absurde. En ce qui concerne les masses de l’humanité, l’âge qui vient ne sera pas celui de l’Espace cosmique, mais celui de la surpopulation. »

    Conséquence ? Les « trous à merde » de Donald :

    « Les faits contrôlables semblent indiquer assez nettement que dans la plupart des pays sous-développés, le sort de l’individu s’est détérioré de façon appréciable au cours du dernier demi-siècle. Les habitants sont plus mal nourris ; il existe moins de biens de consommation disponibles par tête et pratiquement tous les efforts faits pour améliorer la situation ont été annulés par l’impitoyable pression d’un accroissement continu de la population. »

    Le « plus froid des monstres froids » (Nietzsche) va se développer. Une remarque digne de Jouvenel :

    « Ainsi, des pouvoirs de plus en plus grands sont concentrés entre les mains de l’exécutif et de ses bureaucrates. Or, la nature du pouvoir est telle que même ceux qui ne l’ont pas recherché, mais à qui il a été imposé ont tendance à y prendre goût… »

    Le Deep State (le « minotaure » de Jouvenel) est condamné à croître avec le totalitarisme dans les pays en voie de surpeuplement :

    « Insécurité et agitation mènent à un contrôle accru exercé par les gouvernements centraux et à une extension de leurs pouvoirs. En l’absence d’une tradition constitutionnelle, ces pouvoirs accrus seront probablement exercés de manière dictatoriale. »

    La surpopulation américaine menacera la démocratie américaine (triplement en un siècle ! La France a crû de 40 % en cinquante ans) :

    « Pour le moment, la surpopulation ne constitue pas pour la liberté individuelle des Américains un danger direct, mais déjà la menace d’une menace. »

    Eugéniste, proche de Carrel ici, Huxley annonce un déclin qualitatif de notre population et de notre intelligence, fait aujourd’hui reconnu :

    « Malgré les nouvelles drogues-miracle et des traitements plus efficaces (on peut même dire en un certain sens, grâce à eux), la santé physique de la masse ne s’améliorera pas, au contraire, et un déclin de l’intelligence moyenne pourrait bien accompagner cette détérioration. »

    Huxley critique froidement les progrès de la médecine (ou leur mauvaise gestion) :

    « La mort rapide due à la malaria a été supprimée, mais une existence rendue misérable par la sous-alimentation et le surpeuplement est main — tenant la règle et une mort lente, par inanition, guette un nombre de plus en plus grand d’habitants. »

    Huxley ici reprend Bernays sur la montée des élites :

    « Nous voyons donc que la technique moderne a conduit à la concentration du pouvoir économique et politique ainsi qu’au développement d’une société contrôlée (avec férocité dans les États totalitaires, courtoisie et discrétion dans les démocraties) par les Grosses Affaires et les Gros Gouvernements. »

    Notre auteur cite Fromm :

    « … Notre société tend à faire de lui un automate qui paie son échec sur le plan humain par des maladies mentales toujours plus fréquentes et un désespoir qui se dissimule sous une frénésie de travail et de prétendu plaisir. »

    Puis Huxley évalue la nullité des hommes modernes et par là se rapproche de René Guénon (voyez l’anonymat dans le règne de la quantité) :

    « Ces millions d’anormalement normaux vivent sans histoires dans une société dont ils ne s’accommoderaient pas s’ils étaient pleinement humains et s’accrochent encore à “l’illusion de l’individualité”, mais en fait, ils ont été dans une large mesure dépersonnalisés. Leur conformité évolue vers l’uniformité. »

    Le futur est à la termitière :

    « La civilisation este entre autres choses, le processus par lequel les bandes primitives sont transformées en un équivalent, grossier et mécanique, des communautés organiques d’insectes sociaux. À l’heure présente, les pressions du surpeuplement et de l’évolution technique accélèrent ce mouvement. La termitière en est arrivée à représenter un idéal réalisable et même, aux yeux de certains, souhaitable. »

    Termitière ? Plus effrayant encore ce passage — car tous les mots sont rentrés dans notre lexique :

    « Ainsi que l’a montré Mr. William Whyte dans son remarquable ouvrage, The Organization man, une nouvelle Morale Sociale est en train de remplacer notre système traditionnel qui donne la première place à l’individu. Les mots clefs en sont : « ajustement », « adaptation », « comportement social ou antisocial », « intégration », « acquisition de techniques sociales », « travail d’équipe », « vie communautaire », « loyalisme communautaire », « dynamique communautaire », « pensée communautaire », « activités créatrices communautaires »…

    Car l’ingénierie sociale c’est la fin du christianisme et même du Christ :

    « Selon la Morale Sociale, Jésus avait complètement tort quand il affirmait que le sabbat a été fait pour l’homme pour l’homme ; au contraire, c’est l’homme qui. a été fait pour le sabbat, qui doit sacrifier ses particularités natives et faire semblant d’être la sorte de bon garçon invariablement liant que les organisateurs d’activités collectives considèrent comme le plus propre à leurs fins. »

    En bon patricien britannique (voyez mon livre sur Tolkien, mes essais sur Chesterton), Huxley refuse cet assemblage :

    « Un gouffre immense sépare l’insecte social du mammifère avec son gros cerveau, son instinct grégaire très mitigé et ce gouffre demeurerait, même si l’éléphant s’efforçait d’imiter la fourmi. Malgré tous leurs efforts, les hommes ne peuvent que créer une organisation et non pas un organisme social. En s’acharnant à réaliser ce dernier, ils parviendront tout juste à un despotisme totalitaire. »

    Le futur indolore de la domination est programmé :

    « Dans les dictatures plus efficaces de demain, il y aura sans doute beaucoup moins de force déployée. Les sujets des tyrans à venir seront enrégimentés sans douleur par un corps d’ingénieurs sociaux hautement qualifiés. »

    Dix ans avant Umberto Eco (voyez mon livre sur Internet), Huxley annonce un nouveau moyen âge, pas celui de Guénon bien sûr, celui de Le Goff plutôt :

    « Les forces impersonnelles du surpeuplement et de l’excès d’organisation jointes aux ingénieurs sociologues qui essaient de les diriger, nous poussent vers un nouveau système médiéval. »

    Huxley annonce la propagande à venir en occident :

    « La propagande pour une action dictée par des impulsions plus basses que l’intérêt présente des preuves forgées, falsifiées, ou tronquées, évite les arguments logiques et cherche à influencer ses victimes par la simple répétition de slogans, la furieuse dénonciation de boucs émissaires étrangers ou nationaux, et l’association machiavélique des passions les plus viles aux idéaux les plus élevés… »

    Huxley méprise la liberté de la presse en rappelant ce simple fait :

    « En ce qui concerne la propagande, les premiers partisans de l’instruction obligatoire et d’une presse libre ne l’envisageaient que sous deux aspects : vraie ou fausse. Ils ne prévoyaient pas ce qui, en fait, s’est produit — le développement d’une immense industrie de l’information, ne s’occupant dans l’ensemble ni du vrai, ni du faux, mais de l’irréel et de l’inconséquent à tous les degrés. En un mot, ils n’avaient pas tenu compte de la fringale de distraction éprouvée par les hommes. »

    On retombe dans le pain et les jeux de Juvénal :

    « Pour trouver une situation comparable, fût-ce de loin, à celle qui existe actuellement, il nous faut remonter jusqu’à la Rome impériale, où la populace était maintenue dans la bonne humeur grâce à des doses fréquentes et gratuites des distractions les plus variées, allant des drames en vers aux combats de gladiateurs, des récitations de Virgile aux séances de pugilat, des concerts aux revues militaires et aux exécutions publiques. Mais même à Rome, il n’existait rien de semblable aux distractions ininterrompues fournies par les journaux, les revues, la radio, la télévision et le cinéma. »

    Une prédiction (prédiction ou constatation ?) terrible :

    « Une société dont la plupart des membres passent une grande partie de leur temps, non pas dans l’immédiat et l’avenir prévisible, mais quelque part dans les autres mondes inconséquents du sport, des feuilletons, de la mythologie et de la fantaisie métaphysique, aura bien du mal à résister aux empiétements de ceux qui voudraient la manipuler et la dominer. »

    Le futur est à la « distraction ininterrompue » qui se mêlera à la propagande.

    Huxley cite Albert Speer. Après Hitler on n’a pas arrêté le progrès.

    « Depuis l’époque de Hitler, l’arsenal des moyens techniques à la disposition de l’aspirant-dictateur a été considérablement développé ! En plus de la radio, du haut-parleur, de la caméra de cinéma et de la presse rotative, le propagandiste contemporain peut faire usage de la télévision pour transmettre non seulement la voix, mais l’image de son client et enregistrer le tout sur des bandes magnétiques. Grâce aux progrès techniques, le Grand Frère peut maintenant être omniprésent presque autant que Dieu. D’ailleurs, il n’y a pas que dans ce domaine que des atouts nouveaux ont été apportés au jeu du dictateur. Depuis Hitler, des travaux considérables ont été faits en psychologie et neurologie appliquées, domaines d’élection du propagandiste, de l’endoctrineur, et du laveur de cerveaux. »

    Puis Huxley compare Hitler à Bernays, l’inventeur de la cigarette pour les femmes :

    « C’est par la manipulation de « forces cachées » que les experts en publicité vous incitent à acheter leurs produits — une pâte dentifrice, une marque de cigarettes, un candidat politique — et c’est en faisant appel aux mêmes, ainsi qu’à d’autres trop dangereuses pour que s’y frotte Madison Avenue, que Hitler a incité les masses allemandes à s’acheter un Führer, une philosophie insane et une Deuxième Guerre mondiale. »

    Après Hitler, la publicité commerciale. Huxley cite Vance Packard et ajoute :

    « Nous n’achetons plus des oranges, mais de la vitalité. Nous n’achetons plus une voiture, mais du prestige. Il en est de même pour tout le reste. Avec un dentifrice, nous achetons non plus un simple détersif antiseptique, mais la libération d’une angoisse : celle d’être sexuellement repoussant. Avec la vodka et le whisky, nous n’achetons pas un poison protoplasmique qui, à doses faibles, peut déprimer le système nerveux de manière utile au point de vue psychologique, nous achetons de l’amabilité, du liant, la chaleur… Avec l’ouvrage à succès du mois, nous acquérons de la culture, l’envie de nos voisins moins intellectuels et le respect des raffinés. »

    Huxley n’est pas très optimise non plus sur l’avenir des enfants mués en de la chair à télé :

    « Comme on pouvait s’y attendre, les jeunes sont extrêmement sensibles à la propagande. Ignorants du monde et de ses usages, ils sont absolument sans méfiance, leur esprit critique n’est pas encore développé, les plus petits n’ont pas atteint l’âge de raison et les plus âgés n’ont pas acquis l’expérience sur laquelle leur faculté de raisonnement nouvellement découverte pourrait s’exercer. En Europe, les conscrits étaient désignés sous le nom badin de « chair à canon ». Leurs petits frères et leurs petites sœurs sont maintenant devenus de la chair à radio et à télévision. Dans mon enfance, on nous apprenait à chanter de petites rengaines sans grand sens ou, dans les familles pieuses, des cantiques. Aujourd’hui, les petits gazouillent de la publicité chantée. »

    Pas d’illusions sur les élections et la politique :

    « Les partis mettent leurs candidats et leurs programmes sur le marché en utilisant les mêmes méthodes que le monde des affaires pour vendre ses produits… Les services de ventes politiques ne font appel qu’aux faiblesses de leurs électeurs, jamais à leur force latente. Ils se gardent bien d’éduquer les masses et de les mettre en mesure de se gouverner elles-mêmes, jugeant très suffisant de les manipuler et de les exploiter. »

    Sur le lavage de cerveau pratiqué dans notre planète-prison, Huxley rappelle :

    « Si le système nerveux central du chien peut être brisé, celui d’un prisonnier politique aussi. Il s’agit seulement d’appliquer les doses de tension voulues pendant le temps voulu. À la fin du traitement, l’interné sera dans un état de névrose ou d’hystérie tel qu’il avouera ce que ses geôliers voudront. »

    Huxley explique pourquoi notre système de suggestibilité encourage le somnambulisme puis il rappelle tristement :

    « L’efficacité de la propagande politique et religieuse dépend des méthodes employées et non pas des doctrines enseignées. Ces dernières peuvent être vraies ou fausses, saines ou pernicieuses, peu importe. Si l’endoctrinement est bien fait au stade voulu de l’épuisement nerveux, il réussira. »

    Opiomanie ou toxicomanie ? Huxley rappelle ici le fameux soma de son roman :

    « La ration de soma quotidienne était une garantie contre l’inquiétude personnelle, l’agitation sociale et la propagation d’idées subversives. Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. »

    Huxley rappelle nos progrès en chimie du cerveau et il prophétise l’addiction américaine responsable aujourd’hui de dizaines de milliers de morts :

    « … prenez le cas des barbituriques et des tranquillisants. Aux USA, ces remèdes peuvent être obtenus avec une simple ordonnance de docteur, mais l’avidité du public américain pour quelque chose qui rendra un peu plus supportable la vie dans le milieu urbain et industriel est si grande, que les médecins ordonnent actuellement de ces spécialités au rythme de 48 millions de prescriptions par an. »

    On contrôlera donc l’opposition politique par les tranquillisants !

    « Les masses ne risqueront pas de créer la moindre difficulté à leur maître. Seulement, dans l’état actuel des choses, les tranquillisants peuvent empêcher certaines personnes de créer assez de difficulté, non seulement à leurs dirigeants, mais à elles-mêmes. »

    On peut même gagner la guerre par les tranquillisants !

    « Lors d’une récente conférence sur le méprobamate, à laquelle je participais, un éminent biochimiste proposa en riant que le gouvernement des USA envoyât gratuitement au peuple soviétique 50 milliards de doses du plus populaire des tranquillisants. La plaisanterie avait son côté inquiétant. »

    Chez Huxley comme chez La Boétie le fond du problème n’est pas la malignité de la science ou des élites sinon la médiocrité de la nature humaine démontrée ici par la science…

    « Les idéaux de la démocratie et de la liberté se heurtent au fait brutal de la suggestibilité humaine. Un cinquième de tous les électeurs peut être hypnotisé presque en un clin d’œil, un septième soulagé de ses souffrances par des piqûres d’eau, un quart suggestionné avec rapidité et dans l’enthousiasme par I’hypnopédie. À toutes ces minorités trop promptes à coopérer, on doit ajouter les majorités aux réactions moins rapides dont la suggestibilité plus modérée peut être exploitée par n’importe quel manipulateur connaissant son affaire, prêt à y consacrer le temps et les efforts nécessaires. »

    Quant au futur, no comment :

    « La liberté individuelle est-elle compatible avec un degré élevé de suggestibilité ? Les institutions démocratiques peuvent-elles survivre à la subversion exercée du dedans par des spécialistes habiles dans la science et l’art d’exploiter la suggestibilité à la fois des individus et des foules ? »

    Il reste que le futur, en 1957, c’est aussi, c’est surtout cent millions de couillonnes sur Instagram admirant et imitant Kylie Jenner. Huxley :

    « Et l’uniformisation des êtres était encore parachevée après la naissance par le conditionnement infantile, l’hypnopédie et l’euphorie chimique destinée à remplacer la satisfaction de se sentir libre et créateur. Dans le monde où nous vivons, ainsi qu’il a été indiqué dans des chapitres précédents, d’immenses forces impersonnelles tendent vers l’établissement d’un pouvoir centralisé et d’une société enrégimentée. La standardisation génétique est encore impossible, mais les Gros Gouvernements et les Grosses Affaires possèdent déjà, ou posséderont bientôt, tous les procédés pour la manipulation des esprits décrits dans Le Meilleur des Mondes, avec bien d’autres que mon manque d’imagination m’a empêché d’inventer. »

    Le monde une prison, conclue Hamlet avec Rosencrantz et Guildenstern.

    Huxley poursuit cruellement par les banalités d’usage sur l’éducation qui nous rendrait résistants :

    « Si nous voulons éviter ce genre de tyrannie, il faut que nous commencions sans délai notre éducation et celle de nos enfants pour nous rendre aptes à être libres et à nous gouverner nous-mêmes. »

    Cette éducation (cf. la chasse aux fake news) peut aisément être recyclée en ce que l’on sait !

    Il rappelle ce truisme :

    « Les effets d’une propagande mensongère et pernicieuse ne peuvent être neutralisés que par une solide préparation à l’art d’analyser ses méthodes et de percer à jour ses sophismes. »

    Huxley rappelle à temps que personne ne veut de contre-propagande !

    « Et pourtant, nulle part on n’enseigne aux enfants une méthode systématique pour faire le départ entre le vrai et le faux, une affirmation sensée et une autre qui ne l’est pas. Pourquoi ? Parce que leurs aînés, même dans les pays démocratiques, ne veulent pas qu’ils reçoivent ce genre d’instruction. Dans ce contexte, la brève et triste histoire de l’Institute for Propaganda Analysis est terriblement révélatrice. Il avait été fondé en 1937, alors que la propagande nazie faisait le plus de bruit et de ravages, par Mr. Filene, philanthrope de la Nouvelle-Angleterre. Sous ses auspices, on pratiqua la dissection des méthodes de propagande non rationnelle et l’on prépara plusieurs textes pour l’instruction des lycéens et des étudiants. Puis vint la guerre, une guerre totale, sur tous les fronts, celui des idées au moins autant que celui des corps. Alors que tous les gouvernements alliés se lançaient dans “la guerre psychologique”, cette insistance sur la nécessité de disséquer la propagande sembla quelque peu dépourvue de tact. L’Institut fut fermé en 1941. »

    Huxley rappelle les raisons de cette timidité :

    « L’examen trop critique par trop de citoyens moyens de ce que disent leurs pasteurs et maîtres pourrait s’avérer profondément subversif. Dans sa forme actuelle, l’ordre social dépend, pour continuer d’exister, de l’acceptation, sans trop de questions embarrassantes, de la propagande mise en circulation par les autorités et de celle qui est consacrée par les traditions locales. »

    Dans son maigre énoncé des solutions (il n’en a pas), Huxley évoque alors la prison sans barreau (the painless concentration camp, expression mise en doute par certains pro-systèmes !) :

    « Il est parfaitement possible qu’un homme soit hors de prison sans être libre, à l’abri de toute contrainte matérielle et pourtant captif psychologiquement, obligé de penser, de sentir et d’agir comme le veulent les représentants de l’État ou de quelque intérêt privé à l’intérieur de la nation. »

    Huxley recommande de protéger les lieux publics et la télévision. Or on ne peut protéger les lieux publics et la télévision qui ne sont là que pour vendre et pour puer : il faut donc les éviter. Si ton œil t’est objet de tentation…

    Il note justement que « les formes libérales serviront simplement à masquer et à enjoliver un fond situé aux antipodes du libéralisme », et que le futur n’est guère plus joyeux que le présent de Bernays :

    « Entre-temps, l’oligarchie au pouvoir et son élite hautement qualifiée de soldats, de policiers, de fabricants de pensée, de manipulateurs mentaux mènera tout et tout le monde comme bon lui semblera. »

    Sur notre futur monopolistique, Huxley ne se fait guère d’illusions (qui s’en fait encore ?) :

    « Mais c’est un fait historique aujourd’hui que les moyens de production sont rapidement centralisés et monopolisés par les Grosses Affaires et les Gros Gouvernements. Par conséquent, si vous avez foi en la démocratie, prenez des mesures pour distribuer les biens aussi largement que possible. »

    Huxley, beaucoup moins méchant que ce que pensent pas mal d’antisystèmes, propose une solution de révolution médiévale digne de Chesterton et Belloc :

    « Par conséquent, si vous souhaitez éviter l’appauvrissement spirituel des individus et de sociétés entières, quittez les grands centres et faites revivre les petites agglomérations rurales, ou encore humanisez la ville en créant à l’intérieur du réseau de son organisation mécanique, les équivalents urbains des petits centres ruraux où les individus peuvent se rencontrer et coopérer en qualité de personnalités complètes, et non pas comme de simples incarnations de fonctions spécialisées. »

    Mais rien n’y fait (on est à l’époque du génial Mumford) :

    « Nous savons que, pour la plupart de nos semblables, la vie dans une gigantesque ville moderne est anonyme, atomique, au-dessous du niveau humain, néanmoins les villes deviennent de plus en plus démesurées et le mode de vie urbano-industriel demeure inchangé. »

    Huxley, qui finit par citer Dostoïevski et son grand inquisiteur, ne se fait guère d’illusions, sondages à l’appui :

    « Aux USA — et l’Amérique est l’image prophétique de ce que sera le reste du monde urbano-industriel dans quelques années d’ici — des sondages récents de l’opinion publique ont révélé que la majorité des adolescents au-dessous de vingt ans, les votants de demain, ne croient pas aux institutions démocratiques, ne voient pas d’inconvénient à la censure des idées impopulaires, ne jugent pas possible le gouvernement du peuple par le peuple et s’estimeraient parfaitement satisfaits d’être gouvernés d’en haut par une oligarchie d’experts assortis, s’ils pouvaient continuer à vivre dans les conditions auxquelles une période de grande prospérité les a habitués. »

    Les jeunes sont soumis, les ados sont pires que les autres, comme je l’ai constaté dans ma jeunesse et comme le montrera le succès mondial de culture sexe, drogue, rock. Huxley :

    « Que tant de jeunes spectateurs bien nourris de la télévision, dans la plus puissante démocratie du monde, soient si totalement indifférents à l’idée de se gouverner eux-mêmes, s’intéressent si peu à la liberté d’esprit et au droit d’opposition est navrant, mais assez peu surprenant. »

    Il évoque les oiseaux (La Boétie évoquait les chiens)…

    « Tout oiseau qui a appris à gratter une bonne pitance d’insectes et de vers sans être obligé de se servir de ses ailes renonce bien vite au privilège du vol et reste définitivement à terre. »

    La suite est lyrique !

    « Le cri de “Donnez-moi la télévision et des saucisses chaudes, mais ne m’assommez pas avec les responsabilités de l’indépendance”, fera peut-être place, dans des circonstances différentes à celui de “La liberté ou la mort”. »

    Et le maître de conclure :

    « Il semble qu’il n’y ait aucune raison valable pour qu’une dictature parfaitement scientifique soit jamais renversée. »

    Demandez à Zuckerberg, à la NSA et à Monsanto ce qu’ils en pensent.

    Sources complémentaires

    Huxley – Le meilleur des mondes ; retour au meilleur des mondes (1957), sur archive.org

    Nicolas Bonnal — Comment les peuples sont devenus jetables ; comment les Français sont morts ; la culture comme arme de destruction massive (Amazon.fr)

    Umberto Eco – Vers un nouveau moyen âge (1972)

    Bertrand de Jouvenel – Du Pouvoir (Pluriel)

    Vince Packard — Hidden persuaders

    Armand Mattelart — Histoire de l’utopie planétaire (la Découverte)

    Chesterton — What I saw in America (Gutenberg.org)

    Shakespeare — Mesure pour mesure ; Hamlet ; La tempête (inlibroveritas.net)

    La Boétie – Sur la servitude volontaire (Wikisource)

    Tocqueville – De la démocratie en Amérique (classiques.Uqac.ca)

    Debord — Commentaires




    La France sous influence

    [Source : Réseau International]

    Entretien du général (2S) Dominique Delawarde avec Rivarol

    Par Dominique Delawarde

    R/ Avant de débuter cet entretien sur l’actualité, je voulais revenir sur l’affaire du « Qui ? » de 2021. Comment avez-vous vécu cet épisode médiatique et quelles sont les leçons que vous en avez tirées ?

    La « comédie » du QUI ayant été très mal interprétée par ceux qu’il faut bien appeler mes adversaires sur le plateau de Cnews, s’est finalement retournée contre eux. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils m’ont donné une notoriété que je n’avais pas, notoriété qui a franchi les frontières et qui me permet aujourd’hui de disposer d’une large audience et d’un large réseau dans plusieurs pays, tant à droite qu’à gauche ou au centre des échiquiers politiques. Par ailleurs, la réaction excessive du chef de plateau sonnait comme un aveu. Ma vérité n’a même pas eu le temps d’être dite qu’elle était déjà reconnue comme telle par l’animateur et ses acolytes, médusés par tant de hâte. J’avais manifestement appuyé, sans le savoir, là où ça fait mal, alors que le sujet abordé par Posternack n’était pas du tout prévu au programme.

    Au total, cela m’a rappelé que les interviews organisés par les médias mainstream peuvent se transformer rapidement en piège à con parfaitement organisé. Chacun se souvient des fameuses émissions de Michel Polac Droit de réponse, qui étaient autant de pièges à cons soigneusement élaborés, toujours joués à 4 ou 5 contre une personnalité à détruire. La chance a voulu que le plan qui me visait ait été très mal joué et se soit retourné contre ses auteurs/acteurs. De nombreuses parodies de la scène ont été diffusées sur internet, et dans plusieurs pays, au détriment de mes adversaires du moment.1

    La synchronisation de l’action entre le plateau de Cnews, un procureur sayan, la LICRA et SOS racisme, quelques journaux complices était si parfaite qu’elle confirmait l’opération préméditée visant à me décrédibiliser. Tout cela était cousu de fils blancs. L’affaire n’a évidemment eu aucune suite, parce qu’elle ne pouvait tout simplement pas en avoir, mais elle a fait le Buzz et la mafia présente sur le plateau a réussi à m’empêcher de parler pour délivrer le message qui devait être le mien ce jour-là. Tout cela a renforcé ma détermination à informer mes concitoyens sur QUI contrôle aujourd’hui le bras de nos politiques et de nos médias, ce qui commence à se voir et à se savoir, particulièrement dans le contexte du conflit israélo-palestinien.2

    R/ Près de deux ans après le début du conflit en Ukraine, quelle est, pour vous, l’origine réelle de cette guerre ?

    Pour moi, les premières racines de cette guerre remontent à l’effondrement de l’Union soviétique. Les néoconservateurs états-uniens, ont immédiatement réalisé qu’une fenêtre d’opportunité s’ouvrait pour modifier durablement l’équilibre géopolitique mondial en leur faveur et éviter le retour d’un challenger susceptible de contester l’hégémonie mondiale acquise par les USA.3 Rappelons, pour mémoire, que l’idéologie néoconservatrice s’est développée dans un cercle sioniste new-yorkais sous la férule de deux sayanim, liés à l’AIPAC (America Israël Public Affairs Committee), Kristol et Podoretz, à la fin des années 60. Les USA étaient alors sous la Présidence de Lyndon Baynes Johnson, lui-même clairement sayan, ainsi qu’en témoignent ses multiples actions très favorables à Israël, et bien sûr son ascendance maternelle.4

    Réalisant que les USA étaient le principal et indéfectible soutien d’Israël. Les pères sionistes US du néoconservatisme souhaitaient évidemment pérenniser l’hégémonie mondiale de leur protecteur et s’efforcer de tirer les ficelles de la politique étrangère de cet hégémon au profit d’Israël, ce qu’ils font d’ailleurs toujours aujourd’hui. Relire à cet égard le best-seller mondial de John Mearsheimer : Le lobby pro-Israël et la politique étrangère américaine.5

    Au cours de la décennie 1991-2000, leur coup de maître, parfaitement réussi, a été le démembrement de l’ex-Yougoslavie en y créant de toute pièce les conditions d’une guerre civile par le biais de mesures économiques.

    Puis, profitant de la faiblesse de la Russie, les néocons ont poussé leurs pions, leurs bases et leurs fusées vers l’Est entre 1999 et 2014 par une succession ininterrompue d’opérations de changement de régime, et de 5 vagues d’extension à l’est de l’OTAN. En 2014, le coup d’État de Maïdan devait être la première phase d’une prise de contrôle de l’Ukraine avant d’entreprendre de nouvelles opérations de déstabilisation aux frontières de la Russie (Biélorussie, Kazakhstan, Arménie-Azerbaïdjan).

    Il est clair et établi que l’objectif ultime des néoconservateurs US était un démembrement de la Russie sur le modèle yougoslave pour en contrôler directement ou indirectement les ressources.

    En 2014, la réaction immédiate des Russes avec l’annexion très rapide de la Crimée et le soutien aux républiques autoproclamées du Donbass a surpris les Occidentaux qui ont entrepris un premier cycle de sanctions économiques anti-russes contre-productives.

    L’arnaque occidentale des accords de Minsk qui ne visaient qu’à gagner du temps pour préparer l’Ukraine à la guerre, selon l’aveu même de Angela Merkel et de François Hollande est venu aggraver la défiance russe envers l’occident otanien.

    En février 2022, la menace d’une opération militaire par le régime de Kiev contre le Donbass se précisant a conduit les Russes à reconnaître les deux républiques autoproclamées et à répondre à leur demande d’assistance en déclenchant l’opération spéciale. Rappelons que les Russes avaient tracé des lignes rouges en décembre 2021 et demandé des négociations sur la sécurité à l’est de l’Europe, demandes que l’OTAN a traitées par le mépris, accélérant ainsi la marche vers l’action militaire.

    Dans cette triste affaire, l’occident a parfaitement appliqué la Doctrine de Pompéo :

    « Nous avons menti, triché, volé, c’est comme si nous avions reçu des cours de formation pour apprendre à le faire ».

    R/ Quels enseignements stratégiques tirez-vous de ce conflit ?

    Je tire aujourd’hui trois enseignements majeurs de ce conflit. Le premier, très surprenant, tient à l’énormité des erreurs d’appréciation commises par les états-majors politiques et militaires occidentaux qui ont, bien qu’ils s’en défendent, provoqué ce conflit. Il y a eu une très forte sous-estimation des forces armées et de la résilience économique russes, mais aussi de la solidité des alliances tissées par Poutine depuis le bombardement de Belgrade, et une surestimation des forces armées et de la résilience économique du camp otano-kiévien.

    Lorsque la stratégie se fonde sur des erreurs d’appréciation d’une telle énormité, elle est forcément perdante.

    Le deuxième enseignement qui peut aussi expliquer le premier et qui est tout aussi surprenant est le jusqu’au-boutisme quasi suicidaire des néoconservateurs des USA et de l’UE dans l’erreur. Condescendants, dominateurs et sûrs d’eux-mêmes, ces gens vont jusqu’à perdre leur lucidité et n’admettront jamais qu’ils se sont trompés. Tenaces, aveuglés par la rage de perdre, bardés de certitudes quant à la supériorité de leur camp, ils perdent leurs capacités d’analyse et de raisonnement, se déconnectent de la réalité et vivent dans l’espoir d’un miraculeux retournement de situation qui viendrait leur donner la victoire. C’est ce qu’on pourrait appeler l’esprit « Massada » qui imprègne les élites sionistes et néoconservatrices.

    Lorsque la stratégie refuse d’évoluer rapidement pour tenir compte des réalités objectives défavorables, elle est forcément perdante.

    Le troisième enseignement, bien connu des militaires, est que, pour gagner les batailles, la concentration des efforts est toujours nécessaire et décisive. Comment les néocons, décidément beaucoup trop sûrs d’eux-mêmes, pouvaient-ils espérer l’emporter en dispersant leurs efforts sur trois fronts simultanément : l’Europe de l’Est (Russie-Ukraine), l’Asie de l’Est (Chine-Taïwan), l’Asie de l’Ouest (Iran-Palestine) ?

    Lorsque la stratégie adoptée s’accompagne d’une dispersion des efforts, elle a toutes les chances d’être perdante.

    R/ Comment évaluez-vous la force de l’armée russe ? Pensez-vous que Moscou soit capable d’atteindre ses objectifs militaires ?

    Pour moi, l’armée russe est aujourd’hui, la meilleure du monde. Pourquoi ? Parce qu’elle s’est préparée depuis plus de 20 ans (après l’humiliation du bombardement de Belgrade) à une confrontation jugée inéluctable, alors même que l’occident otanien, trop sûr de lui, désarmait. Après deux ans de guerre, elle est incontestablement la plus entraînée au combat de haute intensité moderne avec une utilisation massive des nouvelles technologies (drones, guerre électronique) et des feux massifs terrestres et aériens. Elle est bien équipée. Elle tire chaque jour des enseignements et améliore ses équipements en fonction de l’expérience acquise sur le terrain. Son complexe militaro-industriel fonctionne 24 h sur 24 et 7 jours sur 7. Il suffit largement pour alimenter un combat de haute intensité contre l’OTAN et produit, à lui tout seul, davantage que l’ensemble des 32 pays de l’OTAN.

    L’armée russe dispose également d’une avance technologique décisive dans certains secteurs : notamment sur l’hypersonique, mais pas que… Elle a la meilleure défense antiaérienne du monde. Elle agit à proximité de ses frontières, ce qui facilite la logistique.

    Le soldat russe agit pour une cause en laquelle il croit, à juste titre. Celle de la sécurité nationale de son pays face à un occident fourbe et sans parole. Il est non seulement entraîné, mais motivé.

    Tout cela est à comparer avec le triste constat de l’état de l’OTAN, devenue, au fil du temps et des désarmements successifs pour engranger les dividendes de la paix, un conglomérat d’Armées nationales bonsaï en état de décomposition avancée.

    Moscou atteindra ses objectifs militaires lorsqu’il le voudra. Mais il n’a pas intérêt à en terminer trop vite. C’est sur l’opportunité qu’offre cette guerre d’Ukraine que s’accélère la construction de la multipolarité. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se construit l’affaiblissement économique en cours de l’Union européenne qui devrait être durable et qui va rebattre les cartes de la hiérarchie des puissances en Europe. C’est sur cette guerre d’Ukraine et sur les sanctions occidentales illégales et boomerangs que se justifie la stratégie de dédollarisation qui devrait venir à bout de l’hégémonie US. C’est sur cette guerre d’Ukraine que se fonde, par obligation, le réveil d’une économie russe plus autarcique, plus autonome et plus souveraine.

    Arrêter trop tôt, alors que le temps joue en faveur de la Russie, avec une UE et des USA qui s’autodétruisent chaque jour un peu plus ne serait pas une bonne opération pour la Russie, si l’on veut bien prendre du recul et réfléchir… L’armée russe n’est pas le moins du monde en difficulté. Elle est maîtresse des horloges. Elle pourra accélérer lorsqu’elle le décidera, attaquer à partir de, et dans de nouvelles directions, créer de nouveaux fronts en Ukraine, alors même qu’elle se renforce chaque jour et que son adversaire otano-kiévien s’affaiblit. Elle choisira le moment favorable pour tirer le meilleur parti géopolitique de sa victoire.

    R/ La contre-offensive ukrainienne n’a pas permis à Kiev de bousculer les lignes de défense russe. L’armée ukrainienne, malgré l’aide massive de l’OTAN, vous semble-t-elle en mauvaise posture ?

    Elle l’est assurément et le sera plus encore lorsque Vladimir Poutine décidera d’en finir. Si l’ouest de l’Ukraine, peuplée d’irréductibles bandéristes n’intéresse évidemment pas le Président russe, on peut imaginer qu’Odessa, Kherson, Kharkov et peut être même Kiev tomberont dans l’escarcelle russe. Le reste de l’Ukraine sera transformé en un État croupion, enclavé, dysfonctionnel, comme le dit très justement le plus célèbre des géopoliticiens US, John Mearsheimer. Peut-être même l’Ukraine finira-t-elle démembrée.

    Quant à l’avenir politique de Zelensky, étrangement classé numéro 1 au palmarès confessionnel mondial 2022 du Jerusalem Post, et personnalité de l’année 2022 par le Times, chacun peut aisément imaginer ce qu’il sera… lorsque ses bons alliés occidentaux le laisseront tomber.

    R/ La guerre est aussi économique au niveau planétaire. Assiste-t-on à la naissance d’un monde multipolaire dans ce domaine ?

    La naissance du monde multipolaire est incontestable. Non seulement l’économie des BRICS-10 a déjà largement dépassé l’économie du G7 et celle de l’OTAN, mais le rythme de croissance annuel, difficilement réversible, est aujourd’hui de deux à trois fois supérieur pour les BRICS-10. Autrement dit la bascule du centre de gravité économique mondial a déjà eu lieu et le fossé va continuer de se creuser en faveur des BRICS-10 sous le double effet du différentiel de croissance et d’un nouvel élargissement dès octobre 2024.

    Rappelons que le G7 comptait 16 % de la population et 52 % de l’économie mondiale en 1975 lors de sa création et qu’il ne compte plus aujourd’hui que 9 % de sa population et moins de 30 % de son économie.

    En 2024, les 10 pays BRICS comptentdéjà 37,3 % du PIB/PPA de la planète, contre 29,9 % aux pays du G7. Lorsqu’on sait que la seule comparaison pertinente des budgets de défense et de la capacité de résilience des États se fait en parité de pouvoir d’achat, il devrait y avoir là, pour les 7 pays les plus endettés du monde (G7), matière à s’interroger.

    En 2024, les 10 pays BRICS détiennent déjà 44,4 % des gisements de pétrole contre 2,9 % au G7.

    Et cela sans compter, évidemment, les pays « amis des BRICS » et de la Russie producteurs de pétrole (Venezuela, Algérie pour ne citer qu’eux.)

    Les 10 pays BRICS contrôlent 38,3 % de la production industrielle mondiale contre 30,5 % au G7 ; 48,7 % de la production de blé et 54,7 % du Riz contre 18,1 % et 2,6 % au G7.

    Les 10 pays BRICS produisent 79,2 % de l’Aluminium mondial et 30,7 % de l’Or contre 1,3 % et 12,2 % pour le G7.

    Non seulement le nouveau monde multipolaire est bien là, mais il est déjà très puissant et le deviendra toujours plus parce qu’il est appelé à s’étendre et à s’organiser bien davantage et que les différentiels de croissance et de ressources seront désormais toujours plus en sa faveur.

    Évolution comparée des PIB/PPA des BRICS 10, des USA et de l’UE en milliards de $/Parité de pouvoir d’achat (source FMI)

    R/ Comment jugez-vous les propos bellicistes d’Emmanuel Macron envers la Russie ? Pourquoi cette posture martiale du président de la République ?

    Après la déconfiture vécue par le Président français lors de l’ouverture du Championnat du monde de Rugby et celle du Salon de l’Agriculture ; et pour occulter les événements de Gaza et la position insoutenable de l’exécutif français à ce sujet, monsieur Macron estime probablement qu’il faut créer une diversion médiatique. Il a un besoin irrépressible et pathologique d’exister et de passer à autre chose.

    Quoi de mieux que d’enchaîner des buzz politiques et médiatiques ? On a eu le buzz de l’Arme nucléaire mise à disposition de l’UE, voici dernièrement celui d’un envoi éventuel et qui serait assumé de troupes de l’OTAN en Ukraine ou celui du droit des femmes à l’avortement inscrit dans la Constitution, ou encore la « panthéonisation » de Manouchian. Le président occupe le terrain médiatique. On parle de lui. Il est content de lui. Pour lui c’est l’essentiel, pour ne pas dire existentiel.

    Cette posture martiale sur l’Ukraine ne convainc personne, tant elle est ridicule. Elle n’a aucun sens lorsqu’on sait que l’OTAN est nue. Elle est pathétique et fait plutôt sourire, ou pitié. Rares sont ceux qui applaudissent, nombreux sont ceux qui le plaignent. Mais bon, nous ne sommes pas le seul pays à être dirigé par un grand malade. Après tout, les USA le sont aussi…

    R/ Quel est l’état de l’armée française ? Serions-nous capables de rentrer dans un conflit de haute intensité en Europe ?

    Après plus de 30 ans de désinvestissement et de lois de programmation militaire toujours remises en cause avant terme et de budgets de défense rarement exécutés jusqu’au dernier euro, l’état de nos Armées n’est pas bon du tout. La France dispose aujourd’hui de Forces Armées Bonsaï qui croulent sous les problèmes.

    Elle a des problèmes de recrutement, donc d’effectif, de taux de sélection et par conséquent de qualité des personnels. Les candidats ne se bousculent pas pour entrer dans les Armées. Elle dispose de matériels, parfois modernes et sophistiqués, mais difficiles à maintenir (manque de budget, manque de pièces détachées, manque de main-d’œuvre qualifiée…) Une large partie du parc des matériels majeurs est ancien, voire très ancien. Les taux de disponibilité technique opérationnelle ne sont pas très bons si l’on en croit les rapports parlementaires des dernières années. Le coût unitaire des matériels majeurs a explosé et a contraint les Armées à en limiter drastiquement le nombre et à reporter trop souvent leur mise en service pour des raisons budgétaires.

    Alors que le conflit en Ukraine a évolué vers une guerre de tranchées « moderne » de type 1re guerre mondiale, nécessitant des effectifs d’infanterie importants, l’armée française n’a quasiment plus d’Infanterie. Au début de la guerre de 1914, dans un pays qui comptait 40 millions d’habitants, l’infanterie française alignait 1080 bataillons d’infanterie à 1000 hommes soit plus d’un million d’hommes. Aujourd’hui, elle en a moins de 18 pour une population de 68 millions d’habitants. Une partie de ces régiments est déjà déployée hors d’Europe. Elle ne peut donc compter que sur quelques milliers de fantassins pour un éventuel engagement en Ukraine. (dix à douze mille au mieux).

    On me rétorquera : oui, mais en coalition, avec l’Europe, l’Europe, l’Europe, on doit pouvoir faire nombre ? Foutaises ! Toutes les Armées européennes sont aujourd’hui des armées Bonsaï dont les effectifs sont inférieurs aux nôtres. Sans aucun doute, notre armée Bonsaï est la moins pire de toutes. Chacune de ces armées nationales compte sur sa voisine pour faire le boulot…

    La conscription ayant été abandonnée il y a plus d’une génération, il n’y a quasiment pas de réserve mobilisable… Quant aux munitions disponibles, je n’en parle pas. On retomberait sur les fameux quatre jours, connus de tous et nos très faibles stocks ont déjà été très largement entamés par nos dons à l’Ukraine et n’ont pas encore été renouvelés.

    Certains de mes camarades pensent qu’il n’est pas vraiment nécessaire d’en avoir plus parce que nous arriverions ainsi très vite au seuil nucléaire et que nos armes et nos vecteurs, non testés depuis 30 ans, seraient toujours efficaces et dissuasifs. Il s’agit là d’un pari très risqué. En cas d’échange nucléaire, même si l’on parle souvent du pouvoir égalisateur de l’atome, l’avantage va quand même au nombre de têtes nucléaires, à la qualité, à la vélocité et à la flexibilité des vecteurs, à la qualité de la défense et du bouclier antimissile et à la profondeur stratégique du territoire.

    Aujourd’hui, dans tous ces domaines, ni la France, ni l’UE, ni l’OTAN ne font le poids face à la Russie qui dispose de 6000 têtes nucléaires, de vecteurs de conception récente, plus véloces, plus « flexibles » et moins vulnérables que les nôtres, d’une défense antimissile supérieure et surtout d’une immense profondeur stratégique. Rappelons pour mémoire que les fameux LGM-30G Minuteman III de l’US Air Force sont les seuls vecteurs terrestres de l’arsenal nucléaire états-unien. Mis en service en 1970, ces missiles stratégiques US ont donc plus de cinquante ans d’âge et doivent être remplacés dans la décennie à venir en raison de leur obsolescence. Le résultat d’un éventuel échange nucléaire serait donc probablement très « douloureux » et dévastateur pour l’occident otanien.

    En conclusion, oui, la France est capable aujourd’hui d’entrer dans un conflit de haute intensité sur la base de l’incommensurable bêtise d’une gouvernance de poètes, soutenue par des médias biberonnés à l’idéologie néoconservatrice et atlantiste, incapables de prendre du recul et de raisonner.

    Évidemment, la sortie du conflit serait rapide et beaucoup moins glorieuse qu’espérée par le stratège de l’Élysée. C’est bien ce qui rend ridicule ses rodomontades.

    Rebâtir des Forces Armées plus puissantes ? Il faudrait pour cela une population « volontaire » et plus de dix ans d’investissement, d’efforts et d’entraînement. Une belle Loi de programmation militaire, dont on sait déjà, par expérience, qu’elle n’ira pas à son terme et ne sera pas respectée (comme toutes les autres) ne suffira pas à redresser les choses. Les moyens financiers d’un pays dont l’économie s’effondre et dont la dette explose ne permettront pas de s’offrir les budgets dont les militaires rêvent parfois. Rappelons que le simple intérêt annuel de la dette française est déjà très largement supérieur au budget de la Défense et que cette situation est en voie d’aggravation rapide.

    Ce que la France devra payer demain pour l’intérêt de sa dette qui explose, avec des taux d’intérêt qui vont, eux aussi, exploser, sera forcément déduit des investissements du pays, et la Défense française en fera évidemment les frais.

    R/ Existe-t-il des voix dissidentes dans les rangs de la « Grande Muette » ? Quelle est l’opinion de la grande majorité des soldats français sur la politique internationale et nationale ?

    Il n’existe pas de voix dissidentes ouvertes dans les rangs des Armées d’active parce que la hiérarchie, à juste titre, ne le tolérerait pas. En revanche, il existe des voix dissidentes dans l’active qui se sont exprimées sous anonymat dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles, lors de l’épisode dit de la Tribune des généraux. Mais il existe surtout des voix dissidentes nombreuses et fortes chez les militaires de tous grades en retraite qui ont connu la guerre froide.6

    Il y a bien sûr aussi un parti plus conformiste, biberonné à l’atlantisme, qui se satisfait de la propagande grossière des médias mainstream. On le voit régulièrement s’exprimer sur les plateaux télé et nous débiter ses prophéties trop souvent contredites par les réalités du terrain ou de l’économie.

    Il est difficile de mesurer l’opinion des militaires d’active en matière de politique étrangère et de politique intérieure sauf au travers des votes dans les villes de garnison. D’une manière générale, je ne crois pas me tromper en disant que les plus jeunes recrues qui agissent au quotidien, le nez dans le guidon, sont indifférentes à tout discours politique. Les gradés, eux, sont généralement conscients de la déliquescence du pays et votent en conséquence.

    En dehors de quelques courtisans carriéristes, et encore, le président de la République, chef des armées, n’est ni aimé, ni estimé, ni respecté par une majorité des militaires d’active et encore moins par les retraités de l’Armée. Pour le charisme, on est loin de Bonaparte au pont d’Arcole… ou de Napoléon à Austerlitz. Cela laisse très mal augurer du résultat de l’aventurisme militaire « déclaratoire » macronien…

    R/ Autre zone de conflit, le Proche-Orient. Vous avez participé à un voyage d’observation international en Syrie. Quel regard portez-vous sur la renaissance de cette nation martyre ?

    Observons que le chaos syrien, comme le chaos israélo-palestinien, comme le chaos ukrainien ont tous les mêmes racines et les mêmes responsables : les néoconservateurs mondialistes et sionistes Israélo-US-UE. Il suffit de lire quotidiennement la presse israélienne pour se convaincre de l’implication directe et profonde d’Israël dans ces trois conflits.

    La situation en Syrie est encore loin d’un retour à la normale, puisque ce pays est toujours bombardé quasi quotidiennement par Israël, seul pays au monde qui puisse bombarder ses voisins en toute impunité, depuis sa création, grâce à la protection du veto US à l’ONU. Les bouchers de Tel-Aviv poursuivent inlassablement leur œuvre de destruction de la Syrie. Si le président Bachar El Assad n’avait pas eu le soutien d’une forte majorité de son peuple, il y a belle lurette qu’il aurait été renversé.

    Ce qui me frappe dans l’observation de ce peuple martyr, c’est sa résilience très comparable à celle des Palestiniens. Mais les narratifs mensongers dont la presse mainstream occidentale, sous influence sioniste, nous inondent quotidiennement se poursuivent. Heureusement, les populations du monde entier commencent à ouvrir les yeux. Nos médias et nos journalistes n’en sortiront pas grandis.

    La Syrie qui a retrouvé sa place au sein de la Ligue Arabe et qui est aujourd’hui soutenue par l’Iran, la Russie, mais aussi par la Chine, va incontestablement connaître des jours meilleurs.

    La capacité de nuisance des bouchers de Tel-Aviv aura forcément une limite. Espérons, pour eux, qu’il n’y aura pas un jour un gros retour de bâton, de la dimension de ceux que l’histoire a déjà connus…

    R/ Que vous inspire l’épuration ethnique menée par Israël dans la bande de Gaza ?

    Du dégoût ! Un immense dégoût ! Et même de la rage…

    Dégoût que l’actuelle gouvernance nazie d’Israël puisse exercer un tel pouvoir de nuisance à la face du monde et d’un occident moralisateur sans la moindre réaction forte et efficace de l’ONU et de la communauté internationale. L’occident otanien y a perdu son âme et la crédibilité qui lui restait dans le monde.

    Dégoût de la gouvernance US, sionisée jusqu’à la moelle, qui soutient et participe même directement en fournissant les bombes, au massacre des populations civiles palestiniennes et qui a trop longtemps bloqué toute initiative de paix au Conseil de sécurité de l’ONU.

    Dégoût des gouvernances européenne et française, et des médias et journalistes aux ordres, eux aussi, sionisés jusqu’à la moelle, qui suivent la politique étrangère US, inspirée par Tel-Aviv, sans se poser la moindre question et qui préfèrent pleurer abondamment la mort naturelle (selon le chef des renseignements ukrainiens Boudanov)7 du délinquant Navalny que s’apitoyer sur la mort de plus de 32 000 civils palestiniens dont 80 % de femmes et d’enfants et sur le sort des 75 000 blessés répertoriés à ce jour.

    R/ Comment voyez-vous l’avenir de notre pays dans les années décisives qui s’annoncent ?

    Notre pays va connaître de grandes difficultés dans les toutes prochaines années. L’immensité de la dette qui n’en finit pas d’exploser sous la présidence Macron deviendra insupportable avec la hausse des taux d’intérêt liée au déclassement probable, en avril prochain, de la note de la France par les agences de notation.

    Avec un déficit budgétaire programmé à 145 milliards d’euros pour l’année 2024, mais qui pourrait être bien pire et tangenter, voire dépasser le record absolu de l’année 2023, c’est une amputation de tous les programmes d’investissement pour l’avenir qu’il faudra réaliser dans les années à venir si la France veut éviter la faillite.

    Par ailleurs notre pays aura fini de perdre, sous la présidence Macron et en raison de son arrogance, l’influence et les relations amicales qu’il avait encore en Afrique.

    Au Proche et au Moyen-Orient, la France aura perdu toutes ses chances de pouvoir encore influencer les événements en soutenant ouvertement, cyniquement et inconditionnellement une gouvernance Netanyahou génocidaire.

    La France est un Titanic qui s’ignore. Les citoyens français, passagers de ce navire en grande difficulté, pour ne pas dire en perdition, sont en trop large part anesthésiés par des médias complices du mondialisme et du macronisme. Ils continuent de chanter alors que le bateau coule, tant qu’ils ont encore « du pain et des jeux ».

    On peut s’efforcer de leur ouvrir les yeux pour rétablir notre souveraineté et sortir de l’orbite délétère de l’OTAN et de l’UE, mais après tout l’électeur est maître du jeu. Il a toujours les dirigeants qu’il mérite.

    On notera que la réalité du pouvoir en France est aujourd’hui clairement détenue par le petit gang de milliardaires qui contrôlent non seulement les médias mainstream, mais aussi les organismes dits de « fast checking » en charge, moyennant subventions, de décrédibiliser toute opinion dissidente en distribuant des anathèmes.

    La caricature de ce genre d’officine est le site dit « Conspiracy Watch ». Créé par un jeune sayan quarantenaire, ambitieux, (encore un)8 très engagé au service du sionisme israélien et du mondialisme néoconservateur états-unien9, au point de choisir un nom anglo-saxon pour son site. Rémunéré par la Fondation pour la mémoire de la Shoah pour son travail, soutenu par Bernard-Henri Lévy, largement subventionné par l’État français10 pour promouvoir la seule vérité officielle en décrédibilisant la moindre dissidence, ce site décerne des diplômes de complotistes à tous ceux qui ne pensent pas comme le courant mainstream et les milliardaires mondialistes qui le contrôlent.

    Le seul avantage de ce site est qu’il affiche clairement ses allégeances qui crèvent les yeux. Rudy Reichstadt a trouvé le bon filon et les bons maîtres, mais il pousse le bouchon tellement loin qu’il en perd toute crédibilité. Du haut de ses quarante ans, ce jeune homme qui n’avait pas 20 ans en l’an 2000 et ne connaît, in fine, pas grand-chose à la vie et à l’histoire qu’il n’a pas vécue, se permet de s’attaquer à des gens autrement mieux « câblés » et titrés que lui.

    Alain Juillet, Caroline Galactéros, Éric Dénecé, Jacque Hogard, Henry Roure, Anne Laure Bonnel, Pierre Emmanuel Thomann, Thierry Mariani, mais aussi le journal Valeurs actuelles, TV libertés, et France Soir évidemment sont, entre autres, ses cibles de prédilection.

    S’il devait y avoir « un changement de régime » en France dans les années qui viennent, soit pacifique, soit de nature révolutionnaire, il est clair que le nettoyage des écuries d’Augias devrait être entrepris, tant au plan politique qu’au plan médiatique et que l’avenir professionnel du sayan Rudy Reichstadt serait alors évidemment compromis… Mais ce serait une autre histoire…

    R : Quelle est votre analyse sur la récente action terroriste de Moscou.

    Il faut être prudent avant de désigner clairement un responsable dans cette affaire. Toutefois Vladimir Poutine qui est mieux renseigné que moi semble écarter la revendication ISIS, pensant qu’il ne s’agit que d’un paravent pour protéger les véritables commanditaires qui seraient liés au camp otano-kiévien. Il faut donc se poser les bonnes questions et tenter d’y répondre.

    À qui profite une telle opération, menée à un tel moment ? Poutine vient juste d’être réélu triomphalement pour 6 ans quelques jours plus tôt. Toute opération de déstabilisation de sa personne et du peuple russe à ce moment précis profite clairement au camp otano-kiévien, bien davantage qu’à ISIS.

    Il faut d’ailleurs rappeler qu’ISIS a été et reste un outil instrumentalisé par un duo fusionnel CIA-Mossad et parfois par le trio CIA-Mossad-MI6. En clair, une revendication avérée de l’action par ISIS ne nous révélerait pas forcément le vrai commanditaire.

    Y a-t-il dans le mode opératoire des indices qui préciseraient ou excluraient telle ou telle piste ? La réponse est oui.

    Les terroristes arrêtés fuyaient vers l’Ukraine où un chemin et des moyens d’exfiltration avaient été préparés. L’Ukraine n’est pas un pays dans lequel ISIS a pignon sur rue. Il y avait donc au moins des complicités ukrainiennes et très probablement le feu vert des sponsors de l’Ukraine, pour une action de cette ampleur.

    Les terroristes ont stoppé leur action pour fuir sans vraiment terminer le travail. Ce n’est pas dans les habitudes d’ISIS dont les combattants ne craignent pas la mort et se battent jusqu’au bout.

    Lors de leur interrogatoire à chaud, les terroristes n’évoquent jamais de motivations idéologiques, mais l’argent, ce qui désigne la piste du mercenariat plus que celle d’ISIS.

    La précipitation et la coordination des médias occidentaux pour écarter la piste otano-kiévienne en chargeant ISIS me semblent hautement suspectes.

    Le détail de toutes les autres fautes d’exécution de l’opération qui écartent la piste ISIS est donné dans un article très clair de Andrew Korybko qui met en cause le GUR ukrainien.11

    Mon intime conviction dans cette affaire est que le trio CIA-MOSSAD-MI6 et le GUR ukrainien, qui ne reculent devant rien, ne sont probablement pas totalement étrangers à cet acte terroriste.

    Dominique Delawarde




    Appel du Pr Christian Perronne pour stopper le traité pandémies de l’OMS

    [Voir aussi :
    Traité Pandémies de l’OMS : UN COUP D’ÉTAT MONDIAL ?
    OMS : les « traités pandémies » seront votés fin mai
    Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté
    “Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”
    Le traité sur les pandémies, fossoyeur de la souveraineté nationale
    Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS]




    L’indigence intellectuelle des propagandistes politico-médiatiques

    Par Claude Janvier

    Plus « l’élite politico-médiatique » est corrompue, dépravée et pervertie, plus la société s’écroule et plus la majorité de la population s’enfonce dans une indifférence malsaine. Le chaos est proportionnel à l’absence d’éthique et de justice. Masquée par un vernis social où fleurent bon les concepts de « liberté infinie », du « chacun fait ce qui lui plaît » et surtout « de ne pas se mêler de la politique », la France n’est plus que l’ombre d’elle-même.

    L’État de droit n’existe plus depuis au moins quatre décennies. L’exécutif, le législatif et le judiciaire, autrefois indépendant, sont devenus, au fil des ans, un fondu inconsistant, ouvrant la voie à des gouvernements successifs totalement hors-sol et en roue libre.

    Les médias, censés être le quatrième pouvoir qui, dans des temps très anciens remettaient en place, de temps à autre, une élite s’écartant du droit chemin, sont devenus partie intégrante du fondu inconsistant de la pseudo-démocratie appelée France. Achetés et noyautés par les milliardaires du CAC 40, rares sont celles qui dénoncent encore ce qui mérite de l’être.

    Notre pays détient deux tristes records. Celui d’être le deuxième pays au monde, juste derrière les USA, consommant le plus de contenu pédocriminel en ligne1, et aussi, d’avoir obtenu en 2024, la deuxième place au monde de vente d’armes.2

    Bruno Le Maire réclame 10 milliards d’économies à cause d’un budget pour 2024 — voté par un 49-3 —, dont les prévisions de croissance étaient à côté de la plaque. Pour combler ce trou et aider le président ukrainien, l’écrivain-ministre lorgne sur les économies des Français avec le lancement d’un produit d’épargne européen. En clair, planquez vos économies, car le pillage pourrait arriver plus vite que vous ne le supposez.3

    Du côté de Bruxelles, le docte parlement est dans les choux ! 16 milliards d’euros d’aide à l’Ukraine se seraient volatilisés. Certainement pas perdu pour tout le monde.4

    Les médias propagandistes nous serinent, nuit et jour, que l’économie russe ne va pas bien, mais que notre économie roule parfaitement. Avec une inflation des produits alimentaires entre 15 et 20 %,5 une hausse constante de l’énergie et les envolées des taxes diverses et variées, la France est en stagflation. Pas de quoi se réjouir !

    Les médias usent et abusent des réseaux sociaux. Ils aimeraient bien avoir le monopole total de la « toile » mais heureusement, pour l’instant, ce n’est pas le cas. Les patrons des GAFAM censurent à tour de bras, mais malgré cela, les véritables informations circulent.

    Depuis qu’Elon Musk a racheté Twitter pour le rebaptiser X, la censure s’est atténuée. En revanche, les propagandes ineptes et débridées submergent presque quotidiennement ce réseau. LCI occupe, sans conteste, le poste « envié ? » de chef d’escadrille du programme « essorage » de la matière grise française.

    Une pseudo-analyste de la chaîne, passionaria de l’Ukraine, Alla Poedie, sévit sur X quotidiennement. Impossible de relever entièrement sa logorrhée, tant elle est prolifique. Entre ses appels à la guerre sans fin et ses appels à la haine des Russes, qu’elle assimile à des cafards, elle n’arrête jamais. Il faut bien qu’elle justifie son salaire confortable de propagandiste de première classe.6 7

    Voici quelques extraits « savoureux » relevés sur X il y a peu, de la part de pseudo-experts, de « journalistes », de politiciens, etc. Ils prêteraient à rire si les sujets n’étaient pas aussi graves !

    • 21 mai 2023 : Bernard-Henri Lévy, notre grand reporter de guerre en studio : « Et si la stratégie de Zelensky et Zaloujny à Balhmout était : sortir de la ville pour mieux la reprendre… Autrement dit le Cheval de Troie à l’envers ? »
    • 23 juin 2023. LCI : général Michel Yakovleff, officier français, ancien vice-chef d’état-major du GQG de l’OTAN : « Le régime de Poutine est en état de décomposition ». Visionnaire, le général…
    • 1er janvier 2024 : Nicolas Tenzer, géopolitologue, professeur à Sciences Po : « Si nous livrons beaucoup plus d’armes à l’Ukraine, elle va pouvoir non seulement résister à l’agression, mais gagner la guerre. ». Encore un va-t-en-guerre de salon !
    • 20 mars 2024 : LCI. Jean-Noël Barrot. Ministre délégué chargé de l’Europe. @jnbarrot. « En 5 ans, le #CETA s’est révélé gagnant pour l’agriculture, l’industrie et l’emploi. Cet accord avec le Canada est bénéfique pour tous. Le rejeter aujourd’hui au Sénat, c’est renoncer à toute ambition commerciale pour la France. »

    Quel énorme mensonge ! La signature des traités CETA et Mercosur fait entrer sur le territoire européen et français des denrées alimentaires produites selon des normes bien moins strictes, voire tout simplement interdites aux agriculteurs hexagonaux : utilisation d’antibiotiques comme activateurs de croissance, variétés issues de la transgenèse, farines animales, recours à certaines molécules chimiques… Ces accords contribuent ainsi à déverser sur le marché français et européen des matières premières agricoles moins chères, et produites dans des conditions peu soucieuses de l’environnement.

    – 20 mars 2024 : @stephanphoto64. « Frapper Moscou directement au portefeuille est a priori une stratégie payante, d’autant que les finances du Kremlin montrent des signes de fatigue, un “Waterloo financier”, et Poutine commence à assécher les trésors de la nation pour continuer à financer son invasion de l’Ukraine. » Et une déclaration lunaire de plus, une !

    – 20 mars 2024 : Liberté pour l’Ukraine. Site qui m’a bloqué sur X, suite à mon envoi de preuves sur le massacre depuis 2014 au Donbass par les « bons gouvernements ukrainiens ». – Environ 20 000 morts — . Pas de débat, puisque le blocage a été instantané…

    – 26 mars 2024 Florilège d’extraits de vidéo sur LCI : savoureux. Franchement, écoutez, vous ne serez pas déçu !8

    – 26 mars 2024 : Alexis Prokopiev @aprokopiev : « Rappelons que les salariés de Russia Today ne sont pas journalistes, mais des communicants au service du Kremlin, complices des crimes du régime de Poutine propageant la haine contre les Ukrainiens, les Européens et les opposants russes. » Insultant le sieur Prokopiev, bien protégé derrière son clavier.

    – 26 mars 2024 : sur LCI. Sébastien Lecornu. Ministre des armées. @SebLecornu : « On est en train de reconquérir la filière poudre… » En direct de la poudrerie Eurenco à Bergerac en Dordogne. Cocasse et ambigu… La filière poudre… Laquelle ?

    – 26 mars 2024 : sur LCI. Clément Lainier. @CLainier : « L’Ukraine est un pays de paix, qui ne souhaite agresser personne, et qui souhaite seulement vivre. Vivre libre et comme elle l’entend chez elle. Elle est peuplée de gens merveilleux, accueillants, fraternels. Mais elle est martyrisée. Justice doit être faite pour elle. ». Dieu que c’est beau… Ce que le sieur Lainier oublie est que, depuis 2014, la population du Donbass est bombardée tous les jours (20 000 morts environ), que des bataillons aux relents néonazis ont pignon sur rue et que le héros national ukrainien, Stepan Bandera, collaborait avec le troisième Reich.

    – 28 mars 2024 : sur LCI. Valérie Hayer @ValerieHayer : « La résistance dont fait preuve l’Ukraine depuis 2014 est admirable. J’ai tenu à rappeler au président Zelensky notre soutien indéfectible. Un soutien qui sera aussi intense que nécessaire pour mettre fin à l’invasion russe, aussitôt que possible. Slava Ukraini ». La lobbyiste « Macroniste » aurait-elle oublié ce qui est écrit ci-dessus. Souffrirait-elle déjà de la maladie d’Alzheimer ? À fuir aux futures élections européennes.

    – 28 mars 2024 : sur LCI. Olivia Grégoire. Ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation. Impressionnant titre. Dommage que cela ne suive pas… @oliviagregoire : « Notre dette, c’est une dette de protection : la moitié pour protéger notre économie et nos emplois pendant le Covid. 100 milliards pour protéger les Français face à la flambée des prix de l’énergie. Je le dis aux oppositions : qu’est-ce que l’on n’aurait pas dû faire ? » Sans blague ! Une « dette de protection… » Impossible d’imaginer qu’une ministre puisse débiter une telle absurdité. Et pourtant !

    – 29 mars 2024 : sur LCI. Nathalie Loiseau @NathalieLoiseau : « L’Ukraine a besoin de nous et nous avons besoin de l’Ukraine. Nous avons besoin que l’Ukraine gagne la guerre pour pouvoir rester en paix avec nous-mêmes. ». Sans commentaires. Vous connaissez l’oiseau !

    – 31 mars 2024 : sur X. Marion Van Renterghem. « Grand reporter ». Vu l’avalanche de haine qu’elle déverse tous les jours sur la Russie et vu, aussi, son empressement à soutenir l’OTAN, je lui avais envoyé via X, de temps à autre, un rappel concernant les guerres incessantes « made in USA » depuis 200 ans à travers le monde. Elle n’a pas apprécié, et a bloqué mon accès à ses publications. Encore une qui a peur de la vérité et de débattre. Cette réaction puérile prouve bien que les médias mainstream n’invitent presque jamais ceux qui étudient réellement les sujets.

    Si vous ajoutez à ce florilège glané sur X les journaux télévisés, les radios et la presse internet, vous pouvez vous rendre compte de l’ampleur des dégâts.

    La machine de guerre propagandiste tourne à plein régime. La lobotomisation des esprits dépasse le mur du son.

    Face à ce rouleau compresseur, informez-vous auprès des médias libres et indépendants, d’écrivains, d’enquêteurs et de vrais journalistes d’investigation. Le reste n’est que fatras indigeste.

    Claude Janvier. Écrivain, essayiste et chroniqueur de l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TV ADP. Intervenant régulier sur RT France et des médias libres et indépendants. Son dernier livre : « Les Démasqués, Qui dirige réellement le monde ? » KA Éditions https://kaeditions.com/product/les-demasques-qui-dirige-reellement-le-monde/

    Notes :




    Les résultats des prochaines élections européennes ont été truqués

    Le salut est dans le Frexit.
    Voter RN ou Reconquête, c’est voter UE !

    En juin prochain auront lieu les prochaines élections européennes si d’ici là le monde n’a pas basculé dans le chaos suite à une décision des USA et de leur armée otanienne.

    C’est avec émotion que je vous annonce ne plus être complotiste, je suis devenu médium et je vous annonce que les résultats seront faussés.

    À quoi bon voter ?

    Cette question est légitime en ce qui concerne les élections nationales. Il est évident que le mode de scrutin à deux tours mis en place par De Gaule et sans proportionnelle ne permet pas l’émergence d’une véritable opposition. L’objet était de mettre en œuvre une forme de monarchie républicaine.

    Dans ce contexte il est quasi impossible pour un inconnu d’être élu député. Il faut la puissance d’un parti autorisé qui a le droit d’être médiatisé. Quant à Président de la République, c’est totalement IMPOSSIBLE.

    Celles et ceux qui sont élus ne le sont uniquement parce qu’ils sont garants d’une absence totale de changement. Quand bien même le voudraient-ils, les traités européens empêchent toute marge de manœuvre.

    En revanche il n’en est pas de même concernant les élections européennes où la proportionnelle est de mise.

    Un vote « utile » pour des élections européennes ?

    Les autres scrutins en France sont à deux tours et à la majorité. Celui qui obtient 50,0000001 % des voix remporte le pactole. Dans ce cas le « vote utile » peut avoir sa place :

    « Je vais voter pour machin que je n’aime pas trop au premier tour, car mon candidat favori n’a pas la moindre chance de passer au second tour et je ne veux surtout pas que l’autre enculé gagne. »

    Cet argument n’est plus valable pour les élections européennes qui sont à un tour et à la proportionnelle.

    Pour les Européennes le seuil électoral est de 5 % ce qui signifie qu’une liste qui obtient à minima 5 % des voix aura à minima un député européen !

    Alors oui un vote utile peut (et doit) exister, mais uniquement en favorisant une liste souverainiste plus à même de franchir la barre des 5 % !

    Sondages et prospectives

    Tous1 donnent environ les mêmes chiffres :

    La somme des intentions de vote des partis de cette liste donne plus de 90 % des voix.

    Pourquoi me suis-je borné à n’additionner que ces partis alors qu’il y en a d’autres ?

    Pour la simple raison que tous affirment leur vassalité à l’égard de l’Union européenne et de son dictateur en chef, Mme Von Der Leyen.

    Même les partis comme le Rassemblement National ou Reconquête ne prônent plus la sortie de l’Europe, de l’espace Schengen, de l’Euro, de la CEDH ni de l’OMS ou de l’OTAN. Ils nous parlent désormais de « réformer l’Europe de l’intérieur ». Nous avons bien vu le résultat en Italie avec Meloni qui s’est mise à genoux.

    Ils ne parlent même plus d’interroger les Français par référendum sur la sortie de l’UE !

    La stratégie du RN est devenue limpide, ils veulent parvenir sur la plus haute marche du podium et ceci n’est autorisé dans notre belle démocratie que si vous vous soumettez aux maîtres du monde partisans du Grand Reset.

    Autant il était possible de jouer sur les ambiguïtés lors des précédentes élections européennes en disant que les électeurs qui votaient pour le RN étaient opposés à cette UE, autant ce n’est plus d’actualité, le parti étant devenu UE compatible.

    Voter RN, Reconquête ou les autres partis des 90 % du sondage ce n’est pas voter utile, c’est comme voter Macron !

    Il n’y a strictement rien de « vote utile » à donner sa voix au RN ou à Reconquête qui ne sont pas ou plus des partis souverainistes.

    RN :

    Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a déclaré2 le 10 mars 2024 :

    « Le Rassemblement national “ne défend pas le Frexit”. »

    En ceci il a confirmé les propos du 29 février 2024 de Jordan Bardella3, tête de liste aux européennes et Président du Rassemblement National :

    « Nous ne sommes pas pour le Frexit ni public ni caché. »

    Voter Rassemblement National, c’est donc voter pour l’UE !

    Reconquête4 :

    « Pourquoi pas de Frexit, en huit points. »

    Il est intéressant de lire leurs arguments qui sont les mêmes que les autres, « nous allons tous crever si l’on quitte l’UE. ». Dire que j’y croyais il y a quelques années.

    Vous comprenez bien pourquoi je n’ai pas attribué les intentions de vote pour le RN ou pour Reconquête au Frexit, mais aux partis pro-UE !

    LFI :

    Tant que j’y suis citons LFI qui sont les champions du monde de l’hypocrisie et de la tromperie.

    Ceux-ci parlent d’une 6e république, d’une nouvelle constitution plus démocratique tout en ne prônant pas le Frexit, condition pourtant indispensable pour retrouver une indépendance.

    « Jean-Luc Mélenchon n’est pas sur la ligne du “Frexit”, mais ne renie pas complètement cette hypothèse. »

    Ben tiens…

    EELV5 :

    « En tant qu’écologistes, nous défendons l’Europe par conviction de cœur et d’esprit. Parce que nous savons ce que l’idéal européen a apporté et l’espoir qu’il peut encore représenter aujourd’hui, mais aussi parce que nous mesurons, face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et démocratiques de notre époque, au besoin de construire des règles qui permettront de lutter contre les inégalités et de répondre à l’urgence climatique, à quel point l’échelon européen est nécessaire et incontournable. »

    Toujours aussi merveilleux d’entendre les plus grands dictateurs nous parler de démocratie.

    PCF6:

    « S’agirait-il alors de prôner une simple “désobéissance” ou un “Frexit” ? Nous ne partageons pas non plus ces discours qui n’ouvrent aucune perspective pour les peuples. »

    Je vous fais grâce des autres comme le PS, LR ou Renaissance dont la vassalité vis-à-vis de l’UE n’est plus à démontrer.

    En fait si l’on regarde le programme de tous ces partis, il y a deux camps qui se dessinent :

    • Les pro-UE telle qu’elle est et qui veulent accélérer la dictature.
    • Les supposés anti-UE qui font de la diarrhée verbale, des vendeurs de vent, des vendeurs d’illusion, des menteurs qui prônent une « nouvelle UE réformée de l’intérieur » alors que les institutions ne le permettent pas. Notez qu’ils nous la promettent depuis plus de 20 ans.

    Houston, nous avons un problème7

    Comment est-il possible que plus de 90 % des personnes qui s’apprêteraient à voter soutiennent encore cette Europe ?

    Retour vers le futur :

    En 2005 les Français se sont vus demander par référendum s’ils voulaient d’une Constitution européenne, s’ils voulaient abandonner une partie supplémentaire de leur souveraineté au bénéfice de l’Union.

    À cette époque 54,68 % des Français s’étaient prononcés pour le « non ». Je suis d’autant plus libre d’en parler que j’avais voté « oui », pensant que cette constitution allait apporter plus de démocratie dans cette technocratie libérale européenne.

    Pour autant la situation à l’époque n’était pas aussi catastrophique qu’aujourd’hui. Il était encore possible de parler ou de faire un peu rêver d’une Europe de « prospérité économique », de « libertés » et de « paix » sans éclater de rire, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    Notons que l’argument le plus fort était celui de la paix, grâce à l’Europe il n’y aurait plus de guerre et patati et patata.

    Que nous disent les sondages actuels ?

    On nous annonce sans froncement de sourcils que les votes pro-politique-européenne seront de 90 % tandis qu’il y aura au maximum 10 % de votes souverainistes !

    De qui se moque-t-on ?

    Pourriez-vous me dire où sont celles et ceux qui ont voté contre la Constitution européenne en 2005 ?

    2005, 54 % de contre, 2024, 90 % de pour ?!

    De plus en 2019, lors des précédentes élections européennes, le Rassemblement National avait fait 23 % des voix. Et en 2016 le discours du RN était tout autre8 :

    « Marine Le Pen exulte et réclame un “Frexit”. »

    « La présidente du Front national va faire du “Brexit” un argument électoral pour la présidentielle de 2017. »

    Aujourd’hui le RN est à 100 % contre le Frexit, la soupe est trop bonne pour cracher dedans.

    Est-ce à dire que ces 23 % d’électeurs qui approuvaient la sortie de l’UE sont désormais pro-UE au regard des sondages ?

    Forte dégradation de la situation et du rêve européen

    Nous avons :

    • Une Europe qui a imposé (liste non exhaustive) la dictature sanitaire, les masques, les confinements, le passe sanitaire, une extorsion de consentement pour une injection plus létale que salvatrice et aux effets secondaires interdits de médias. Pour une injection a été approuvée sous les SEULES données fournies par les laboratoires avec des contrats conclus à coup de SMS par une personne non mandatée pour cela et pour lesquels même les députés européens n’ont pas accès !
    • Une UE qui a détruit totalement l’économie à la fois par des traités de libre-échange sans la moindre contrepartie de pays aux normes sanitaires et sociales à des années-lumière des nôtres. De lois dites « écologiques » dont le seul objet est la destruction du tissu industriel européen, la destruction de l’agriculture et donc de notre indépendance. Sans compter la destruction de notre savoir-faire en matière de nucléaire alors même que les pseudo-écolo nous bassinent avec le fameux CO2 qui serait « mortel ». Sans compter toutes les normes désormais rétroactives (qui ne s’appliquent pas uniquement au neuf, mais aussi à l’ancien) sur l’isolation des habitations, les véhicules interdits de rouler alors que fonctionnant parfaitement et j’en passe. Normes qui peuvent être ajoutées au chapitre dictature.
    • Une UE qui finance la guerre à coups de milliards sortis d’un chapeau alors que dans le même temps le gouvernement français connaît un déficit abyssal qui devrait être comblé en supprimant des prestations sociales ou en augmentant des impôts. Europe qui n’emploie plus jamais le mot « paix », qui prône la défaite de la Russie et qui n’hésite même pas à brandir la menace nucléaire. Ces gens n’appellent plus qu’à la mort et à la misère. Ukraine, Palestine, etc., le seul mot d’ordre est « guerre totale » contre le « mal », quitte à envoyer nos enfants à l’abattoir.
    • Une UE qui détruit nos traditions, nos valeurs, nos religions, nos racines et surtout la famille. Qui cherche à nous faire croire qu’il n’y a rien qui nous cimente hormis notre consommation de biens. Une UE qui veut nous imposer le Wokisme, l’identité de genre, l’avortement à neuf mois de grossesse, l’apprentissage de la sexualité et de la masturbation dès la maternelle, la pédophilie avec le droit d’un enfant à consentir une relation sexuelle avec un adulte, l’euthanasie le meurtre pour tous les inutiles, vieux, malades, fous, pauvres… Un monstre, un psychopathe sans âme qui ne prône que l’individualisme et la réussite personnelle.

    La dictature en marche, un avenir des plus sombres

    Riez les normies lorsque j’écris que :

    • Les gueux devront présenter un QR-code pour sortir et rentrer dans leur quartier.
    • Ils n’auront plus le droit de posséder un véhicule ou si cher pour être « propre » qu’ils ne pourront plus se l’acheter et devront prendre des transports en commun.
    • Avec l’identité numérique et l’Euro numérique, ils pourront dépenser leur argent uniquement en fonction de « critères écologiques » ou de leur « emprunte carbone ».
    • Ils auront le droit de partir en vacances une fois par an, mais dans un rayon compatible avec leur crédit social et leur statut vaccinal.

    Ricanez donc quand j’écris que seuls les riches, ceux qui posséderont des voitures « propres » et qui pourront racheter aux gueux du crédit carbone, pourront sauver la planète en partant en vacances en avion quand bon leur semble.

    Que d’affirmations aussi gratuites que ridicules ?!

    L’horrible réalité des faits

    Je ne vous en voudrais pas de glousser à foison, néanmoins permettez-moi de vous rappeler les faits suivants :

    S’il y a 20 ans je vous avais annoncé que dans l’avenir :

    • Tu pourras être assigné à résidence sans condamnation ni procès alors que tu es en pleine santé pour protéger la population d’un prétendu « virus ».
    • Tu auras l’obligation d’injecter 11 « vaccins » dès les premiers mois de la vie de ton enfant sans quoi il ne pourra pas fréquenter les collectivités « pour leur santé et pour protéger les plus fragiles ».
    • Des médias internationaux seront fermés du jour au lendemain « pour te protéger de la désinformation » et la censure sera activée sur les médias sociaux. Thierry Breton commissaire européen rédigera le DSA (Digital Services Act) dont l’objectif sera de lutter contre la « Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne9 », bref ni plus ni moins que de la censure.
    • Tu n’auras plus le droit d’utiliser ta voiture, même en parfait état de fonctionnement, dans les grandes villes (et ailleurs) pour « protéger la planète ». L’objectif sera l’interdiction de vente de voitures thermiques en Europe dès 2035 alors que l’ensemble des pays non occidentaux verront leur parc de voiture à pétrole exploser. Le plus merveilleux est que ta voiture « propre » achetée pour jeter ton ancien véhicule tueur de planète sera à son tour interdite de circulation cinq ans plus tard au profit d’une autre encore plus propre qui elle-même subira le même sort quelques années plus tard.
    • Tu n’auras plus le droit de louer ton bien, même en informant le locataire, si c’est une « passoire thermique » puis tu n’auras plus le droit de le vendre ou de l’acheter pour « protéger la planète ». Seuls les grands groupes disposeront des ressources financières et des aides de l’Europe afin de faire disparaître un maximum de propriétaires individuels.
    • Toute dissidence, toute opinion contraire à la doxa te verra dénigré et exclu des médias mainstream.
    • Tu n’auras plus le droit de faire l’école à la maison pour tes enfants sans accord de l’administration et justifier les raisons pour « éviter les dérives sectaires ». En revanche tu devras accepter qu’on leur apprenne la masturbation et la possibilité de changer de genre.
    • Tu n’auras plus le droit de faire un feu de cheminée dans un foyer ouvert pour « sauver la planète du réchauffement climatique ». ni de brûler tes déchets verts, même les jours de pluie. Les chaudières à fioul ou à gaz devront être interdites.
    • Tu n’auras pas le droit d’aller au restaurant sans présenter un QR code prouvant ton statut vaccinal pour « protéger la population d’un virus ».
    • Tu devras présenter un QR code pour rentrer chez toi ou pour accéder à un quartier (épreuve JO) pour « empêcher un attentat » tandis que les autorités utiliseront la reconnaissance faciale pour ta sécurité.
    • Tu pourras être dénoncé et condamné si dans un cadre privé tu tiens des propos non autorisés10.

    Et je ne vous parle pas de toutes les taxes inventées, citons la merveilleuse taxe d’archéologie préventive qui doit être payée pour des travaux de construction quand bien même il n’y aurait strictement aucun vestige dans votre sous-sol.

    Étant donné que 100 % des affirmations précédentes se sont révélées exactes, qu’elles ne relèvent que du fait et non du complotisme, pourriez-vous prendre le risque d’affirmer que mes prospectives dictatoriales sont délirantes ?

    Demandez-vous pourquoi l’UE et les États membres veulent tant de l’euro numérique sinon pour y associer un crédit social.

    Dans ce contexte épouvantable, vous voudriez me faire croire que les gentils Français qui en leur temps avaient voté contre la Constitution européenne seraient devenus pro-européens alors que la situation empire chaque jour sous tous les fronts ?

    Pensez-vous que les anti-constitution d’hier sont devenus débiles au point de croire que leurs malheurs sont liés à Poutine ou au « réchauffement climatique » ?

    De qui se moque-t-on ?

    Le Frexit11 ou la mort !

    Je suis un partisan d’une UE des peuples et démocratique. Mais j’ai conscience que le machin mis en œuvre est exactement le contraire.

    Force est de constater que cette Europe est pour l’instant mortifère et il n’y a de solution que de reprendre une souveraineté nationale.

    Il n’est désormais plus possible de nous faire le coup d’une France isolée et pauvre face à une Europe forte et riche.

    L’UE est morte, notre industrie est morte, les libertés sont mortes, la paix est morte, il ne reste qu’un champ de ruines. Quand la planète et surtout l’Asie parlent, (non pas parlent, mais agissent), de développement, de croissance, cette UE impose diminution des émissions carbone, diminution des consommations d’énergie, diminution de la production, diminution du nombre d’agriculteurs, diminution de la production de viande, etc. bref un modèle 100 % incompatible avec le monde économique.

    Une économie qui ne serait basée que sur le tertiaire sans la moindre production relève de l’escroquerie.

    Nous dire que seuls nous serions dans une situation catastrophique devrait faire rire quiconque a la moindre notion d’économie et regarde la réalité.

    Voter pour un des partis qui font les 90 % du sondage c’est voter pour du vent,
    pour du mensonge, pour de la tromperie et pour de la dictature.

    De Lutte Ouvrière à Reconquête en passant par Renaissance, quel que soit celui qui arriverait au pouvoir aurait la même politique économique, migratoire, guerrière, dictatoriale et sociétale que les autres.

    TOUT se décide au niveau de l’UE !

    Les maîtres du monde n’en ont rien à faire de qui gagne ces élections parmi ceux-ci, au point qu’ils n’hésitent pas à arroser des partis de tout bord, car ils sont gagnants quoi qu’il arrive.

    En revanche ils craignent le Frexit. Vous en avez la preuve absolue dans les médias qu’ils contrôlent : aucun invité pro-Frexit ; aucun débat pour ou contre le Frexit. Le silence total ou juste quelques phrases pour expliquer qu’il mènerait au chaos économique et à la dictature (fou rire dans la salle).

    L’épouvantail du Frexit ne fonctionne plus

    Si en son temps le Frexit passait pour une idée aussi délirante que mortelle, il ne faut pas oublier que le Brexit est passé par là. Et même si les médias ne manquent de nous rappeler que les Anglais vivent en enfer depuis, le fait est que le pays ne semble pas jonché de cadavres et de miséreux dans la rue et sans logement.

    C’est bien ici que nous voyons que le « à quoi bon voter » s’effondre tel un château de cartes.

    J’entends bien que le Frexit n’est pas une solution nécessaire ET suffisante, mais uniquement une solution nécessaire.

    D’autant plus nécessaire que le projet des mondialistes est d’ajouter de nouveaux pays membres afin de rendre l’Europe de plus en plus ingouvernable d’un point de vue démocratique et de plus en plus administrée dictatorialement.

    Entre le néant de l’UE et l’inconnu du Frexit, mon choix est fait.

    À tous les résistants qui lisent ce texte, je dis que le Frexit ne relève pas de l’utopie, nous ne sommes pas plus cons et plus lâches que les rosbifs, si eux l’ont fait nous le pouvons aussi.

    Et il y a bien une chose pour laquelle je suis certain est que l’abstention n’est pas de nature à cheminer vers le Frexit alors que le vote pour une liste pro-Frexit est une condition nécessaire (mais non suffisante) pour mettre en place les modalités.

    Croyez bien que nos dictateurs ne proposeront jamais de mettre au référendum la question du Frexit si un fort mouvement populaire et politique ne s’impose pas.

    Une opposition à l’UE de plus en plus marquée ?

    Vous faites quoi des millions de Gilets jaunes, des millions de Français vent debout durant des semaines contre le passe sanitaire ou des agriculteurs qui ont bien compris que l’UE avait pour objectif de les tuer !

    Sans compter qu’il y aurait environ 10 millions ou plus d’adultes qui ont refusé l’injection expérimentale.

    Pouvez-vous imaginer qu’ils voteraient pour cette UE, pour un prochain abonnement à des injections létales successives ?

    Toute cette opposition, partie émergée de l’iceberg se saurait être représentée par ces partis crédités de 90 % des voix !

    Où sont passés les 54 % du référendum ?

    Nous sommes dans une situation dans laquelle le nombre de Français opposés, déçus, ou trahis par cette UE n’a pu qu’exploser depuis les élections de 2005 et le coup d’État anti-démocratique.

    L’IA me dit que 95 % des Français en âge de voter seraient inscrits sur les listes électorales et que cela représenterait début 2024 ce qui correspond à 49,4 millions d’électeurs adultes.

    Il serait raisonnable de penser que nous sommes largement plus de 30 % pour ne pas dire plus de 50 % comme pour le référendum, à vouloir dire STOP !

    L’occasion d’exister

    D’aucuns diraient « à quoi bon voter » pourtant ils étaient 70 % à avoir mis leur bulletin dans les urnes en 2005.

    L’adage « qui ne dit mot consent » est une réalité. Je ne vois pas en quoi les maîtres du monde seraient attristés par leur non-participation.

    Je vous rappelle que les chiffres finaux sont donnés en fonction du pourcentage d’exprimés et que les absentions ne sont pas comptabilisées. Un vrai décompte dans une démocratie devrait permettre de laisser des chaises vides auquel cas il pourrait devenir intéressant de voir une assemblée avec 40 députés au lieu de 800. Mais ce n’est pas le cas ! Quand bien même l’abstention serait de 80 % (ce qui ne saurait exister) la somme des voix des présentés à l’élection serait quand même de 100 % !

    En revanche si nous votons pour une liste souverainiste pro-Frexit, si cette liste obtient à minima 5 % et quand bien même le gars tête de liste serait un traître, nous n’en avons que faire !

    Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il sera possible de nous compter, nous serons des millions à avoir dit « NON ».

    Il n’y a rien d’antinomique à voter lors d’élections européennes pour dire non à cette Europe.

    C’est l’unique façon d’exister. Je vous rappelle que les journalistes mainstream, pardon les propagandistes mainstream, ne sont que des putes sans la moindre conscience et que si le camp des souverainistes se met à exister électoralement alors il existera dans les médias.

    Pour revenir aux sondages.

    Ne nous trompons pas, il est plus que probable que les sondages deviendront la « réalité » de l’élection.

    Prenons une hypothèse pessimiste et même illogique au regard du rejet de l’institution européenne auprès de nombreux français.

    Ignorons qu’ils soient de plus en plus nombreux à comprendre qu’un Président ou un Député français ne sont que des pions sans le moindre pouvoir et que les lois se décident (à minima) à Bruxelles.

    Le taux de participation en 2005 était d’environ 69 %

    Le taux de participation pour la dernière élection européenne était d’environ 51 %. Soit 8 % de plus qu’en 2014, cela laissant entendre que les Français semblent comprendre que seules ces élections peuvent peser.

    Imaginons que ce taux demeure inchangé et que le différentiel de 18 % d’abstentionnistes par rapport au référendum de 2005 ne soit que des électeurs opposés à cette UE.

    Supposons que les contre d’hier soient les contre d’aujourd’hui alors 18 % abstentionnistes + 10 % de souverainistes (selon le sondage), ne donnerait que 28 % contre l’UE.

    Où sont passés les 55 % de contre de 2005, où ont disparu les 27 % (55-28) qui manquent ?

    Ceci est une preuve du mensonge, laisser entendre que les partis qui veulent rester dans l’UE vont faire 90 % des voix aux élections alors qu’ils n’étaient que 45 % lors du référendum de 2005 relève de la république bananière.

    Si les sondages actuels sont convertis en voix alors nous saurons que les élections ont été truquées comme en 2017.

    Réveillons-nous, réveillons-les !

    Il est d’autant plus difficile de truquer une élection que le nombre de votes à manipuler est important.

    Le sujet n’est pas de savoir si les députés qui s’affirment souverainistes vont nous trahir ou pas.

    En premier lieu parce que c’est leur faire un procès d’intention et qu’en deuxième lieu ce qui compte ce n’est pas ce qu’ils vont faire, mais le nombre d’électeurs qu’ils représentent.

    En ne votant pas, nous ne sommes rien, nous n’existons pas dans les statistiques.

    Ne pas voter pour une liste ostensiblement pro-Frexit
    c’est laisser le tapis rouge aux mondialistes et à la dictature mondiale.

    Il me semble difficile par la suite de se plaindre de la situation et je ne vois pas ce qu’il y aurait de formidable d’aller se saouler jours après jours dans un bar en hurlant « monde de merde, tous des pourritures, il n’y a rien à faire, nous sommes foutus quoique nous fassions ».

    Même le français le plus ignorant nourri exclusivement à la bile des médias voit bien la guerre, la dégradation de l’économie, des valeurs et des libertés. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il comprenne (voyez les paysans) que l’UE est notre arrêt de mort.

    Les médias censurent le sujet du Frexit, ils vont même jusqu’à dire que les Français sont majoritairement contre pour s’assurer que vous n’iriez pas dans la mauvaise direction.

    Informez le peuple et il votera pour le Frexit à n’en point douter.

    Voter pour une liste ouvertement pro-Frexit (Philippot, Asselineau, Lalanne, etc. à voir quel est le vote utile parmi celles et ceux qui font la promotion du Frexit) c’est planter une graine dont la forêt contraindra nos dirigeants à provoquer un référendum.

    Au pire cela les contraindra à reconnaître que « l’UE est une dictature sur le modèle de la Corée du Nord », ce qui serait préférable à l’escroquerie actuelle laissant croire que nous sommes en démocratie sous censure et violation de nos libertés fondamentales.

    Il serait quand même lamentable que la somme des listes pro-Frexit ne fasse que 5 % des voix alors même qu’ils sont plus de 30 %.

    Merci.

    Alain Tortosa12
    28 mars 2024
    https://7milliards.fr/tortosa20240328-le-frexit-ou-la-mort.pdf





    La destruction de la création

    [Source : larealitecacheedumondeactuel.com/infos révélation]

    Remarquez dans le passage … [de la Genèse], au verset [7:]22 : « Tous ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche ». Dieu a placé le « souffle de l’esprit de vie » dans Adam et Eve, dans toute l’humanité et dans toute vie. Le « souffle de l’esprit de vie » est l’énergie divine de la force vitale du Créateur, et c’est ce qui sépare ce que Dieu a créé des ordinateurs, robots, androïdes et l’Intelligence Artificielle, qui, malgré leur incroyable capacité à penser et à raisonner, n’ont pas la force vitale et « le souffle de l’esprit de vie » en eux. Ces machines de l’IA resteront sans âme, ce qui devrait terrifier leurs créateurs et toute l’humanité, car elles deviendront des êtres vivants tout comme les humains et posséderont de nombreux pouvoirs, mais, elles seront sans âme. La Parole de Dieu nous enseigne que Satan a ordonné à deux cents de ses anges déchus de descendre sur le Mont Hermon pour s’accoupler avec des femmes humaines et donner à l’humanité divers pouvoirs occultes et des sciences et technologies avancées.

    Au-dessous du Mont Hermon se trouvait l’ancienne civilisation de Phénicie, dont les commerçants maritimes ont diffusé ces connaissances à travers le monde. Le lien entre le Mont Hermon et la Phénicie explique pourquoi le Nouvel Ordre Mondial est étroitement associé au mythique phénix, qui, selon certains chercheurs, est le symbole au dos du dollar américain, et non un aigle.

    Lorsque Bacon prévoyait que l’Amérique serait à la tête du Nouvel Ordre Mondial et de la « Nouvelle Atlantide », il était conscient de ces thèmes. Le problème est que le Nouvel Ordre Mondial sera dirigé par l’Antéchrist, et la « Nouvelle Atlantide », selon Platon, est le modèle d’une société dirigée par une élite scientifique avec un héritage génétique remontant au Mont Hermon et à la Phénicie. Mais, le principal sujet de préoccupation est que, tout comme les espèces hybrides d’anges déchus et de femmes humaines ont produit une race sans âme, cette race sans âme possédait des technologies avancées et a initié le culte satanique et païen de Baal, Ashtoreth et d’autres dieux qui dominaient le pays de Canaan sous les géants Nephilim. 

    Patrick Cupillard








    Novolangue et pré-crime : la loi C-63 au Canada

    [Source : Réinfo Québec]

    Le gouvernement Trudeau innove à nouveau dans le but de contrôler le débat public sur internet avec la loi C-63, qui introduit entre autres la notion de pré-crime. Avec ses airs de science-fiction dystopique, comment cette loi pourrait-elle affecter la liberté d’expression au Canada ? Capsule de Philippe Langlois politicologue.




    « … quand vous vous apercevez que l’État providence, la mère patrie vous a trahis… »




    “Avant j’admirais l’OMS, là je pense qu’il faut en sortir”

    Wolfgang Wodarg, l’ex-président de la commission Santé au Conseil de l’Europe, dénonce les dérives d’une institution devenue « pompe à fric ».

    [Source : covidhub.ch]

    [Illustration : Dr Wolfgang Wodarg]

    À la fois médecin et ancien député, le Dr Wolfgang Wodarg est particulièrement qualifié pour porter un regard sur les politiques de santé internationales. En 2009, il avait lancé une commission au Conseil de l’Europe pour enquêter sur l’influence des firmes pharmaceutiques dans la déclaration de la pandémie de grippe (H1N1) par l’OMS ; une déclaration qu’il estimait largement « injustifiée ». Cette « mini-pandémie » avait entraîné des achats massifs de vaccins « innovants », brevetés par des grands laboratoires et autorisés « en réponse à l’urgence ».

    Ce scénario connu pourrait bien se pérenniser. À la 77e Assemblée mondiale de la santé qui aura lieu le 27 mai, les membres de l’OMS devront se prononcer sur le « Traité pandémie » et la réforme du « Règlement sanitaire international ». S’ils sont votés, ces deux instruments feraient passer les mesures d’urgence dans le droit ordinaire et ouvriraient la voie à une « ère de politique pandémique », dans laquelle l’OMS tiendrait le rôle central. Le Dr Wolfgang Wodarg explique pourquoi on ne peut plus se fier à cette institution.

    PROPOS RECUEILLIS PAR SENTA DEPUYDT

    S.D: Dr. Wodarg, vous avez été parmi les premiers à critiquer les mesures sanitaires préconisées par l’OMS durant la crise du Covid. Dès le début, vous aviez dénoncé une « pandémie de tests » et ensuite vous aviez averti l’Agence européenne des médicaments des risques liés aux injections Covid, avec vos collègues des « Doctors for Covid Ethics”. Qu’est-ce qui vous qualifiait pour une telle prise de parole ?

    Dr Wolfgang Wodarg : Avant tout, je suis médecin et il s’agit vraiment de mon domaine de compétence. J’ai une spécialité en médecine interne et en pneumologie, une formation en hygiène et en médecine environnementale, un diplôme en santé publique et je me suis spécialisé en épidémiologie à l’Université John Hopkins, aux États-Unis. Au début de ma carrière, j’ai dirigé un institut de santé publique dans le nord de l’Allemagne. J’ai fait cela pendant 13 ans. Et je suis aussi entré en politique. J’ai d’abord siégé au Bundestag, le parlement allemand, durant 15 ans et puis au Conseil de l’Europe à Strasbourg où j’ai longtemps présidé la commission santé.

    Donc, je connais tout cela de l’intérieur. Lors des épisodes de la grippe aviaire et de la grippe H1N1, j’ai vu comment on avait déclaré une pandémie alors qu’il n’y avait pas lieu de le faire. Cela était dû au fait que l’OMS avait changé les critères qui définissent l’urgence sanitaire. Avant cette date, il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois, mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au-dessus des moyennes habituelles. Mais on a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie.

    Quelle est votre perception de l’OMS aujourd’hui ?

    J’ai souvent interagi avec l’OMS durant ma carrière. Au début, je suivais ses recommandations avec assiduité. Par exemple, la ville dans laquelle j’étais élu avait adopté le programme des « Healthy cities », les villes en bonne santé. Malheureusement, par la suite, j’ai assisté à la dérive complète de cette organisation, sous l’influence de ses sponsors.

    L’industrie pharmaceutique a commencé à avoir un impact sur toute une série de normes qui sont définies par l’OMS. Cela peut être la définition de maladies, la manière de signaler les effets secondaires ou même la définition des valeurs pour établir les diagnostics. Par exemple, le jour où les valeurs du taux normal de cholestérol ont été modifiées, cela a immédiatement permis à l’industrie de vendre beaucoup plus de médicaments.

    Aujourd’hui, l’OMS n’est plus au service des populations, elle est l’instrument de ses bailleurs de fonds. L’organisation permet d’ouvrir des marchés pour ses investisseurs, et même d’avoir des ventes garanties. Il suffit de faire peur aux gens pour créer un problème auquel l’industrie pharmaceutique a déjà prévu un remède. Et ensuite, l’OMS en fera une promotion gratuite.

    Par contre, une fois que les produits sont distribués, les vaccins administrés, il n’y a pas de suivi. On ne mesure jamais les conséquences des campagnes à long terme. On ne fait pas non plus d’études comparatives, par exemple entre les vaccinés et les non-vaccinés. Voilà ce qu’est devenue l’OMS, une entreprise de marketing.

    Des maladies comme la grippe ou les coronavirus permettent chaque fois de recommencer avec des [supposés] nouveaux variants. Et maintenant, c’est la grande ouverture des nouveaux marchés. Il y a celui des données de santé numériques, mais aussi tout le business autour de la détection des nouveaux agents pathogènes et les brevets de propriété intellectuelle qui s’en suivent. Sans parler de l’introduction des thérapies géniques et des vaccins basés sur les technologies ARNm. Ça, c’est le gros morceau, il y a déjà des centaines de produits dans le pipeline.

    Que pensez-vous du « traité pandémies » et des amendements au RSI ?

    Pour développer tout ce business, ils ont besoin de maintenir la peur constante de nouvelles pandémies. Pourtant, il n’y a pas de raison d’avoir peur des virus1. Les scientifiques savent que ces risques sont faibles. Ce sont les principes de base de l’épidémiologie : si les maladies sont mortelles, elles circulent peu. Et pour ce qui concerne les menaces bactériennes, nous avons les règles d’hygiène et des médicaments pour en traiter la majorité. À vrai dire, avec toutes les connaissances et les ressources dont nous disposons actuellement, nous avons ce qu’il faut pour être en bonne santé. Nous n’avons pas besoin de l’OMS pour cela. C’est un instrument qui a été inventé pour concentrer du pouvoir.

    Concernant les accords qui seront votés à l’OMS, je vois qu’il y a une opposition du côté des pays en voie de développement, en particulier les pays africains. Ils parlent d’attaques à la souveraineté de leurs pays, ce qui est réel. Mais je pense que beaucoup d’entre eux sont en réalité en train de négocier de l’argent, en particulier sur la question des brevets. L’Afrique est un réservoir d’agents pathogènes, un « potentiel pandémique » à monnayer. Ce sont les nouvelles « mines ».

    Cela dit, toute cette histoire autour des « traités pandémies » cache un problème fondamental qui est le fait qu’une forme de gouvernance mondiale tacite existe déjà. En réalité, avec les Young Global Leaders du Forum économique mondial, tout cela est déjà mis en œuvre partout sous couvert d’urgence et d’adaptation aux nouvelles normes. Regardez, l’Agence européenne des médicaments autorise les produits de thérapies géniques ou la mise sur le marché de substances non testées et l’Europe introduit l’identité numérique. Cela se passe même sans le concours de l’OMS. Nous sommes hypnotisés par ce qui va se passer à Genève, mais en réalité le problème est partout.

    Le business a supplanté la science

    Nos gouvernements ne nous défendent pas. Ils sont au service de ces multinationales avec la complicité des banques, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et leurs partenaires à Davos.

    Vous savez, l’Empire allemand s’est constitué pour créer un marché commun. C’est l’industrie qui a voulu cela, pas les agriculteurs, ni le peuple. Et bien, c’est aussi la logique qui préside à la constitution de l’Europe. C’est le principe de la globalisation : il y a des produits qu’il faut écouler à des consommateurs. Tout cela n’a rien à voir avec la santé, la démocratie ou les droits humains. C’est du pipeau.

    La preuve est que nous en sommes au point où il est devenu impossible de critiquer qui ou quoi que ce soit. Pourtant c’est ce qui nourrit la démarche scientifique : le doute et la critique. C’est vraiment grave. On devrait se souvenir des conséquences que cela peut avoir. Je pense par exemple aux dégâts d’un médicament comme le Softenon qui a causé tant de malformations congénitales. Si plus personne ne peut se plaindre, ni contester leurs affirmations et leurs produits, nous sommes en danger.

    Pourquoi les médecins et les politiques ne réagissent-ils pas ?

    Ils ont tiré les leçons de leurs précédents échecs ! Lors de la pandémie H1N1, nous avons été plusieurs médecins à déconseiller l’utilisation de vaccins expérimentaux. En Allemagne, à peine 4 millions de personnes avaient été vaccinées, alors que le gouvernement avait commandé 50 millions de doses. Cette fois-ci, on a écarté les médecins pour mener une opération militaire2. Rappelez-vous au début, les vaccins devaient être conservés à très basse température et il fallait aller dans des centres de vaccination. Les médecins ont été évincés durant toute une année. Ensuite, cette affaire de température a soudainement disparu, et quand les médecins ont été autorisés à vacciner, on leur a donné beaucoup d’argent pour le faire.

    Quant aux politiciens, ils obéissent tous à la politique des partis. Il est rare de trouver encore des députés qui ont une véritable personnalité. Aujourd’hui, ils sont comme des fonctionnaires qui appliquent un programme économique. Des notions comme la gauche et la droite n’ont plus de signification. Au niveau européen, ils se contentent de créer des monopoles.

    D’ailleurs, l’Europe ne veut-elle pas soustraire la santé aux États membres ? L’Union a mené toute la politique covidienne avec l’argument des « menaces transfrontalières ». À présent, elle crée HERA, une nouvelle agence qui va centraliser les données de santé et gérer les mesures sanitaires pour se préparer aux pandémies. Et avec la réforme du Traité de Lisbonne qui se prépare, l’Union semble vouloir complètement accaparer la compétence santé.

    Tout à fait ! Nous sommes les victimes de cette Commission et de sa présidente Ursula von der Leyen. Les Britanniques se sont retirés à temps. Nos gouvernements doivent insister sur le principe de subsidiarité. En principe toutes les compétences relèvent d’abord des pays de l’Union, sauf s’il y a une raison spécifique pour laquelle la Commission est plus qualifiée. Mais ce n’est certainement pas le cas ici. Nous avons été trahis par l’Europe. Le problème est qu’il y a tant de chantage et de corruption à la tête des gouvernements. Pour moi, je ne vois qu’une résistance à l’échelle locale… Vous savez « le petit village gaulois » (rire).

    La décentralisation du pouvoir est une discussion fondamentale. De manière générale pour la politique européenne et aussi en matière de santé. Je prends l’exemple de la Suisse où le pouvoir régional des cantons est encore assez fort. J’ai été invité récemment à un symposium sur les médecines palliatives et j’ai été émerveillé de voir que chaque canton faisait les choses à sa manière. C’était un échange très riche, parce que chacun a présenté ce qu’il faisait et c’était inspirant pour les autres. C’est un très bon système.

    Malheureusement, on y voit la même tendance. Il y a la révision de loi sur les épidémies qui pourrait limiter la compétence des cantons et soumettre la Suisse aux diktats de l’OMS.

    C’est vraiment dommage. On peut faire tellement mieux avec une médecine adaptée aux individus et à l’échelle locale. Avec toutes ces mesures uniformes, il n’y a plus de diagnostic différentiel, ni de solutions adaptées aux circonstances de vie des populations et des personnes.

    De même pour l’évaluation des risques. Il était évident, en mars 2020, que le Coronavirus n’était pas une véritable menace, mais plutôt une grande pièce de théâtre, menée par des décisions politiques. Et lorsqu’il y a eu des décès, on sait de quoi les gens sont morts : le confinement, le refus d’une prise en charge précoce, l’interdiction d’utiliser des traitements disponibles et surtout, dans les maisons de repos et les hôpitaux, l’administration du Midazolam (équivalent du Rivotril). Les gouvernements devraient analyser tous les échecs des mesures, mais ils ne le font pas.

    Pouvons-nous sortir de ce système ?

    Bien sûr. En fait, la santé, ça commence dans les quartiers. L’homme ne peut pas influencer le climat, il ne peut que s’y adapter. Il n’est pas nécessaire de mener des politiques de santé à l’échelle mondiale. Je pense qu’il faut revenir à une gestion locale. Cela permet d’avoir plus de transparence, une meilleure adaptation à une réalité du terrain et surtout de demander des comptes aux responsables en place. Un tel changement serait déjà énorme. Dans les circonstances actuelles, je pense que nous n’avons pas besoin de l’OMS.


    1 NDLR Voir le dossier Vaccins et virus qui évoque notamment le caractère non scientifique de la virologie et la réfutation de l’hypothèse virale.

    2 La prochaine fois, les mondialistes auront une méthode encore davantage peaufinée, avec notamment les lois de censure contre les résistants. Le seul moyen réaliste et de portée humaine d’empêcher cela est de faire tomber la pierre angulaire de l’édifice — la théorie des germes et sa fille virale (voir la note 1). Pour l’instant, étant donné le faible nombre de personnes en général et de personnels soignants en particulier à remettre en question ces croyances et à s’ouvrir à un nouveau paradigme médical, cela semble utopique. Pourtant, sans ces théories (qui ont été scientifiquement réfutées), les mesures sanitaires ne présentent plus la moindre justification et l’industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements complices s’effondreraient tous rapidement, entraînant ensuite le Nouvel Ordre Mondial dans leur chute.




    Londres 2024 : George Orwell l’avait pensé, le Brexit l’a fait

    L’arnaque du « Brexit » sans rupture avec l’OTAN — Dystopie bankstériste

    La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle racontée par un brillant esprit et voyageur, Lionel Labosse. Londres hors de l’Europe est devenue le cauchemar orwellien prévisible sauce Rothschild. À transmettre aux couillons du Frexit qui veulent imiter le vil escroc Farage (qui travaillait pour un milliardaire du porno). Attention : il n’y a plus d’échappatoire possible. Et rappel : 30 livres le Fish and chips avec de la bière. Pour le reste, cauchemar numérique et soumission globale de la populace. Lionel écrit : « J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : “La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés… le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique.” »

    Nicolas Bonnal

    [Source : altersexualite.com via PG]

    Par Lionel Labosse — samedi 16 mars 2024

    Après 5 ans de pause forcée depuis 2019, je suis retourné dans ma capitale favorite, Londres. Je m’attendais naïvement à admirer une capitale européenne enfin libérée par le Brexit du carcan mondialiste et rendue à la démocratie. Je suis tombé de haut. Comme le disait récemment un commentateur dont j’ai oublié le nom, et le média sur lequel il s’exprimait, le Brexit n’était pas chez ses promoteurs une volonté de fuir l’UE, mais de s’inféoder davantage à l’État profond étasunien. Je dirais même plus, aux banquiers qui ont toujours régné sur la City, cet État dans l’État. Je vais dans cet article d’abord rendre compte de mes observations & découvertes lors de ce 7e séjour à Londres, puis expliquer dans une seconde partie en quoi le Brexit a été selon moi une arnaque au bénéfice des bankstéristes, non pas pour nous dissuader du Frexit, mais pour nous avertir qu’un Frexit sans libération de la domination des États-Unis, et donc d’Israël, dont les États-Unis sont le « proxy » selon le mot du Gal Delawarde, serait un coup d’épée dans l’eau.

    Choses vues à Londres post-Brexit

    Le voyage commence dès la gare. J’ai pris des billets Eurostar à un tarif correct, et vu la faible différence de prix j’ai opté pour « Standard premier ». Mon objectif était la tranquillité et le confort ; mais j’ai été surpris de découvrir que nous avions un petit déjeuner ou un repas offert, que j’ai pris en photo à l’aller et au retour. Il y a, me semble-t-il, moins de trains dans la journée, et au retour, par le dernier train (départ de Londres à 20 h 2), le wagon « Standard premier » était vide à 90 %, ce qui m’a étonné. Je ne sais pas si c’est la saison (février) ou le Brexit, mais j’ai eu l’impression par divers signes que le tourisme a baissé. Les trains moins nombreux ou vides, la pancarte « vacancies » sur plusieurs hôtels, la baisse des tarifs des hôtels alors que tout le reste a augmenté, l’absence de file d’attente à la Tour de Londres, que j’avais renoncé à visiter pour cette raison lors de mes précédents séjours, voilà des signes objectifs, à nuancer bien sûr par la saisonnalité. J’ai pris un des hôtels de la rue Argyle, juste en face de la gare, avec vue sur la gare et un lit plus large et le même style de chambre et d’hôtel familial que je prends d’habitude, pour pas trop cher ; j’ai même eu l’impression que les prix avaient baissé, mais peut-être est-ce parce que les vacances de février sont la période la moins fréquentée.

    Avant d’en passer aux critiques, je dois commencer par montrer ce qui saute aux yeux à Londres au premier coup d’œil quand on vient de Paris. Contrairement à ce que tente de nous faire croire la presse des milliardaires en France, le Brexit n’a pas entamé d’un iota la prospérité britannique, du moins pas plus que les autres économies d’Europe de l’Ouest n’ont été laminées par la politique criminelle des coronazis, hommes de main des banksters. Voici d’abord ma vidéo de comparaison entre Londres et la ville d’Annie Dingo, au ton ironique (mais qui n’aborde pas les points plus complexes qui constitueront la 2e partie de l’article) :

    Je n’étais pas très éveillé à ces questions avant le covidisme, et si vous lisez mon article sur Londres vous pourrez consacrer que j’ai toujours apprécié les manifestations altersexuelles, du moment que cela stimulait l’esprit critique sans chercher à imposer un mode de vie. Ce qui me semble avoir changé, c’est qu’on est passé de provocations salutaires à un raz de marrée wokiste, omniprésent, dont j’ai constaté ou photographié des quantités d’avatars. Par exemple, la statue actuellement visible sur le fameux « 4e socle » de Trafalgar Square, nommée « Antelope » représente un militant panafricaniste, John Chilembwe, aux prises avec un méchant blanc. L’artiste a eu l’idée vraiment géniale, pour montrer la grandeur du gentil noir et la petitesse du méchant blanc, de faire en sorte que la statue du bon noir soit deux fois plus haute que celle du méchant blanc, et qu’il porte un chapeau, ce qui était interdit. Ça, c’est de l’art ! Allez, une grosse subvention… Et cet étalage wokiste a une fonction très claire, en soutien au fascisme des gouvernements occidentaux : effacer la mémoire de Julian Assange qui à ce même endroit proclamait en 2011 une vérité tellement salutaire, et qui, 13 ans plus tard, meurt à petit feu en prison en Angleterre, avec l’assentiment de la quasi-totalité des journaputes du monde occidental.

    J’ai fait un tour dans les grands musées que je visite à chaque séjour, National Gallery, British Museum, Victoria & Albert Museum, et les deux Tate. Au V&A, on entre comme dans un moulin, par les deux entrées, sans le moindre contrôle de quoi que ce soit. Dans les autres, on jette vaguement un œil sur votre sac. En revanche, au British Museum, un directeur bien abruti a fait installer à grands frais une tente avec plusieurs préposés au coup de torche dans vos sacs, qui ne sert qu’à nous faire perdre du temps. Je l’ai prise en photo. Il est donc clair que les terroristes ont des goûts très éclairés en art. Dans tous les cas l’entrée reste gratuite, sauf pour les expositions, mais on est appelé à faire une « donation », et là, l’argent liquide est exceptionnellement autorisé (photo). Cette tente idiote n’existait pas à mon précédent passage, et de fait elle m’a dissuadé, car la bêtise m’énerve, et j’ai attendu l’avant-dernier jour pour une visite éclair. Mais le pire que j’aie eu c’est lors du spectacle Mrs Doubtfire. Là, c’était coup de torche et question insidieuse sur ce que j’avais dans mon sac. Quand on comprend que le prix élevé du billet rémunère aussi des métiers inutiles plutôt que seulement les pros du spectacle, c’est désagréable.

    National Gallery

    Bref, j’ai fait un tour à la National Gallery, où j’ai revu certaines de mes œuvres préférées. L’aile nord étant en travaux, les œuvres ont été redéployées et beaucoup sont rangées, mais le principal était là. Je n’ai pas été saisi par le wokisme dans ce musée. Dans ma salle préférée, j’ai remarqué que Le Christ contemplé par l’âme chrétienne de Vélasquez et Saint Jean à Patmos du même, dont j’avais admiré la juxtaposition, sont actuellement séparés par un petit Greco. Quelle drôle d’idée ! J’ai retrouvé les deux petites crucifixions que j’avais déjà repérées. J’ai admiré à nouveau Bacchanale devant un terme (1633) de Nicolas Poussin, dont j’ai photographié un détail, pour rappeler à certains orthosexuels de la résistance que ce ne sont pas les mondialistes actuels qui ont inventé un certain libertinage, qui semblait certes moins satanique à l’époque de Louis XIII que celui de nos pervers !

    Bacchanale devant un terme (1633), Nicolas Poussin (1594–1665).
    © National Gallery/Lionel Labosse

    J’ai aussi photographié les morceaux de la version anglaise de L’Exécution de Maximilien (1869), d’Édouard Manet, et Baigneurs à la Grenouillère (1869), de Claude Monet, dont je connaissais mieux une variante intitulée La Grenouillère figurant dans le manuel scolaire que j’utilisais jadis pour les Secondes. Un Canaletto a attiré mon attention : The feast day of Saint Roch (1735), qui présente une mise en abyme de tableaux exposés sans doute à l’extérieur de l’église en question pour cette fête. J’ai photographié la Vieille femme grotesque de Quentin Metsys, que j’ai imaginé être un portrait flatteur de notre Première guenon Chibritte ! J’ai photographié un tableau de Piero di Cosimo, Bataille entre les Centaures et les Lapithes (1500-15), et un détail de ce tableau saisissant. La France est à l’honneur de ce grand musée, comme d’ailleurs de tout Londres. Une petite expo (accès gratuit) était consacrée au peintre français Jean-Étienne Liotard, et à son Déjeuner de la famille Lavergne, dont une version peinte était pour la première fois exposée à côté d’une version en pastel. Magnifique ! J’ai aussi photographié un Service à thé (1781). En 2019, c’était aussi un peintre français du XVIIIe, Louis-Léopold Boilly, qui était honoré de la même façon. C’est un peu normal, car la France est le grand pays européen le plus proche ; mais comme disait Emmacruel Nécron « Il n’y a pas une culture française » ! J’ai enfin passé un long moment devant le célébrissime Pluie, Vapeur et Vitesse de Joseph Mallord William Turner (dont je parle dans cet article), pour essayer d’apercevoir le détail du lièvre qui détale devant le train. J’ai pris des photos, mais je les ai supprimées, parce que c’est vraiment une tache indistincte, qu’on finit par entrevoir, mais je crois que le type fumait un peu la moquette. On voit mieux sur la photo proposée par le musée. C’est une tache marron clair sur beige foncé, sur la diagonale entre l’avant du train et le bord inférieur droit du tableau, à peu près aux trois cinquièmes, côté cadre…

    La Tour de Londres

    Le lendemain j’ai visité la Tour de Londres, monument que j’avais laissé de côté volontairement pour une prochaine visite, surtout parce que lors de mes dernières tentatives, la file d’attente était dissuasive. Cette fois-ci, j’ai fait 5 minutes de queue pour acheter le billet (sur place, même si on vous incite à le faire en ligne). C’est très intéressant et très long à visiter. J’ai remarqué que sur les 8 langues proposées par les nombreux panneaux explicatifs (ce qui rend la visite très agréable sans vous obliger à prendre un audioguide ou un truc en ligne), le français est la première langue. Peut-être à cause de Guillaume le Conquérant, le Normand qui fut roi d’Angleterre et construisit la Tour blanche, qui constitue le donjon de l’ensemble, au XIe siècle. Cela donne l’impression qu’on aurait conservé à Paris les vestiges de l’enceinte carolingienne du XIe siècle, et le palais romain qui occupa le site de l’actuel palais de Justice ! Vous pouvez admirer les corbeaux apprivoisés aux ailes rognées, que l’on perpétue selon une légende qui veut que leur disparition sonnerait le glas de la monarchie. La Tour blanche abrite un musée des armes et armures.

    Outils de travail du bourreau de la Tour blanche, à Londres.
    © Lionel Labosse

    J’y ai photographié un bel objet qui m’a inspiré une pensée émue pour Jean-Brichel et son mari, à qui l’on peut souhaiter un destin digne d’Anne Boleyn. On conserve aussi une trace de la ménagerie royale, ancêtre du zoo, mais où les animaux devaient avoir des conditions de vie pas terribles. Les animaux servirent de cadeaux diplomatiques dès le XIIIe siècle, et la ménagerie fut ouverte au public au XVIIIe siècle jusqu’en 1835. J’ai photographié le billet pour garder trace du prix parce que, à part les hôtels, Londres est devenue hors de prix. 33,6 £, soit 40 € (voir infra) !

    Victoria & Albert Museum

    J’ai fait un tour, même deux, à ce musée, couplés à mes visites au Royal Albert Hall. Je l’avais déjà visité, seul, mais aussi avec mes parents, en 2012, je crois (1er voyage d’une série avec mes parents). D’ailleurs les larmes me sont venues aux yeux en voyant un monsieur plus jeune que moi avec un plus vieux, deux gouttes d’eau, comme mon père et moi au même endroit naguère. Donc, on y entre comme dans un moulin, car les terroristes ont annoncé qu’ils ne feraient pas d’attaque à cet endroit. J’ai photographié quelques sculptures. Albert Einstein par Jacob Epstein en 1933 est un must, non loin de Crouching Youth (1934), de Winifred Turner. J’ai apprécié aussi Le Pr Raoult châtiant Véran & Attal avec une mâchoire d’âne (1749), par Vincenzo Foggini.

    J’ai apprécié le restaurant du musée où pour une somme raisonnable comparée aux prix en ville, on peut se régaler de plats cuisinés. J’ai aussi apprécié leurs W.C. customisés, tous décorés aux couleurs du musée, avec des œuvres différentes dans chaque cabine reproduites en carrelage. Dans l’aile Sud, on a une succession de salles consacrées à « The Rise of France » (l’essor de la France). J’envisage un exercice scolaire : transposer ce panneau en 2024 ! J’ai photographié un instrument bizarre qui s’appelle crénequin ou cranequin, qui sert au cranequinier à remonter la corde de l’arbalète. En peinture, j’ai apprécié Seed tile, de John Frederick Herring (1854-56), qui représente, je pense, les semailles par des procédés mécaniques et une traction hippomobile dans une exploitation très riche. Les lecteurs de M&mnoux savent que rien qu’un cheval dans la campagne du XIXe siècle, c’était déjà une rare richesse pour un paysan ; et là vous en avez 12 dans la scène !

    Je suis tombé sur une photographie de la construction de l’Opéra de Paris (Garnier) entre 1864 et 1867, par Louis-Émile Durandelle, de l’atelier Delmaet & Durandelle (Delmaet étant mort en 1862). Reportage fascinant qui montre les ouvriers travailler sans protections. Aujourd’hui, on tombe dans l’excès contraire, même si le bâtiment reste un domaine où les accidents du travail sont nombreux. C’est aussi un des nombreux exemples de cette fascination de Londres pour Paris, qui à cette époque, étaient rivales. J’ai aussi admiré une série de chronophotographies d’Eadweard Muybridge, évoqué dans cet article. Dans une salle était projeté un film de performance de trois créatures trans, avec un concept woke comme quoi ces personnes seraient victimes de l’Intelligence artificielle qui leur ferait subir je ne sais quelle torture sans doute « dignedézeurléplusombrdenotristoir ». Il s’agit de The Zizi Show de Jake Elwes. Ah bon, je suppose que la performance était subventionnée par M. Sam Altman, PDG de Chat GPT et n° 1 au classement 2023 des personnalités juives les plus influentes du Jerusalem post, pour montrer à quel point son automate est respectueux des droits des animaux humains palestiniens, euh non, pardon, des personnes trans ! Au moment où je suis passé, un groupe de 4 femmes trans regardaient la vidéo, oh pas des trans du show-biz, mais des trans de la rue comme j’ai pu en connaître. Elles ne manifestaient aucune réaction face à ce spectacle ridicule qui les instrumentalise. J’aurais bien aimé leur demander leur avis, mais mon manque de maîtrise élémentaire de la langue de Boy George aurait pu me faire commettre un impair. Ma meilleure trouvaille de cette nouvelle visite est une crucifixion, détail d’un retable en bois du XVIe siècle.

    Détail d’un retable (1527-33) attribué à Giovanni Angelo & Tiburzio del Mainok, Victoria & Albert Museum.
    © Lionel Labosse

    Zoo de Londres

    Je n’avais jamais visité ce zoo, qui est pourtant « le plus ancien zoo scientifique du monde » selon Wikipédia. On peut y admirer des mosaïques, et l’ancien « Penguin Pool », un vestige typique du style international dû à Berthold Lubetkin, heureusement abandonné pour « Penguin Beach », vaste espace peu spectaculaire, mais sans doute plus agréable pour nos amis pingouins ! Côté arts, j’y ai aussi photographié une couple de bousiers aux prises avec leur boule de bouse, statue de Wendy Taylor, photo que je dédie à nos amis « fact-shakers », Rudy et Julien notamment ! Le zoo a la particularité de permettre une immersion dans le monde animal, avec par exemple le pavillon des papillons, que l’on peut admirer sans barrière, avec une écloserie à chenilles et une vitrine de cocons. Tous ces pavillons sont protégés par des sas censés empêcher les animaux de sortir. On peut donc admirer des singes, des oiseaux, des fourmis et des araignées (là, beaucoup de gens restent dehors !) Dans le pavillon des oiseaux, on observe de près le Goura de Victoria, ou « Victoria crowned pigeon » pour les intimes. Le pigeon anglais vous a quand même une autre allure que le mougeon français ! C’est devant ce « Blackburn Pavillon » que j’ai filmé l’horloge aux oiseaux, magnifique réalisation manufacturée sans doute commandée par informatique, mais qui nous rappelle ce que l’artisanat peut encore nous proposer de merveilles. Le spectacle dure 1’30 et se répète toutes les 30 minutes.

    La cage des tigres m’a scotché, il y en avait carrément 4 exemplaires, et on pouvait les voir s’amuser avec des boules de polystyrène ou se taquiner. Les lions étaient plus hiératiques, un mâle et une femelle dans un 300 m2 avenue Foch ! Chez les gorilles, c’était extraordinaire, car dans les jours précédents il y avait eu deux naissances, et l’on pouvait entrevoir l’une des mères en train d’allaiter. Une autre femelle s’employait à montrer clairement qu’elle n’était pas une Chibritte ! (photo). L’autre édifice surprenant du zoo est le « Snowdon Aviary » (ouvert en 1965), immense volière qui semble flotter dans l’air grâce à des prouesses de l’architecte Cedric Price et de l’ingénieur Frank Newby. Actuellement elle abrite des singes, mais c’est du gâchis pour un tel espace, il y en avait un paquet qui s’épouillaient dans un coin. On devrait y mettre le gouvernement Macron et la guenon ! Il y a aussi des attractions sympathiques pour les enfants, démonstrations d’oiseaux, etc. Il manque certaines stars des grands zoos, puisqu’on n’a qu’un seul des « big five », ni ours polaire ou bipolaire… mais c’est un grand zoo et un must. Je n’ai pas fait la queue pour rentrer, sans acheter de billet en ligne.

    Tate Britain & Tate Modern

    J’ai fait un tour rapide à la Tate Britain. Je voulais revoir la sculpture en albâtre de Jacob Epstein Jacob et l’ange, qui n’en finit pas de m’émouvoir. Hélas, ma statue préférée a disparu de l’exposition permanente, même si elle est toujours sur le site. L’employée à qui j’ai posé la question dans mon anglais niveau 5e n’a pas pu m’en dire plus ; elle ne sait pas. On ne pouvait pourtant pas ne pas la voir ! Mais il faut laisser la place à l’art woke ! Sinon, j’ai revu sans surprise mes autres œuvres favorites dont j’ai déjà parlé dans l’article ci-dessus. J’ai remarqué et photographié une peinture qui ne m’avait pas encore frappé : Bronze Ballet (1940) d’Edward Wadsworth, qui représente le port du Havre pendant la Seconde Guerre, avec des hélices qui semblent danser.
    Côté Tate Modern, c’est comme à Beaubourg, l’exposition est régulièrement renouvelée de fond en comble. J’ai remarqué une toile de grand format d’André Fougeron, Civilisation atlantique (1953), peinture dénonçant le colonialisme avec un engagement communiste du peintre. Pour le reste, 90 % de la collection permanente que je connaissais est rentrée dans les cartons, au profit d’innombrables œuvres wokistes… mais pas de Premier dame de France au service 3 pièces ; et bien entendu pas une seule œuvre consacrée à la Palestine, à l’Ukraine, au covidisme, à rien qui nous importe. Eh oui, l’art officiel vit de subventions, meurt de liberté ! Là aussi, je n’ai pas revu une des œuvres phares de ce musée, la Femme qui pleure de Picasso. Est-elle visible dans un autre pays pendant ce temps ? Au fait, il paraît que Salvador Dali aurait peint une Amanda-bite conservée dans un coffre des Rothschild !

    Royal academy of arts

    Je suis passé à la Royal Academy of Arts où lors de mon précédent séjour j’avais apprécié l’exposition « The Renaissance nude ». Dans la cour, énième œuvre wokiste, mais d’une grande qualité technique : The First Supper, de Tavares Strachan (né en 1979 aux Bahamas). Du talent, bien sûr, mais est-ce le seul thème intéressant en 2024 ? Panem & circenses ! J’ai payé plein pot pour voir une exposition en réalité minuscule (2 salles !) intitulée « Impressionists on Paper ». Magnifique ! J’ai admiré In the Cab (1880-83), de Giuseppe de Nittis et un dessin de Van Gogh (ci-dessous) sur les fortifications de Paris. Il y avait aussi un de ses dessins d’académie, peu caractéristique de son style. Un dessin préparatoire de Georges Seurat pour la Baignade à Asnières, laquelle est un des fleurons de la National Gallery.

    Les Fortifications de Paris, Vincent Van Gogh, dessin, 1887.
    © WikiArt

    British museum

    J’ai fait un tour rapide au British museum. La file d’attente m’avait dissuadé. Lors de mes précédentes visites on rentrait comme dans un moulin. Ils ont installé une grande tente sur le côté, enfin j’en ai parlé ci-dessus. Tout cela ne sert qu’à gaspiller du fric (alors que l’entrée reste gratuite). À l’intérieur il n’y avait pas tant de monde, donc pourquoi créer ce goulot d’étranglement qui fait perdre énormément de temps ? J’ai remarqué une scène modelée représentant un étranglement rituel en Inde, appelée « Thugee », datée 1857 (voir l’article Thug). Cela ressemble au fameux coup du père François, macron qui vous embobine aves ses lois sociétales à la con, pendant que les députés traîtres de la fausse opposition vous étranglent et vous font les poches. J’ai photographié à nouveau des plats romains en argent du 3e siècle avec svastikas, mais j’en avais déjà parlé lors de mes précédents voyages. J’ai aussi remarqué une « Reducing machine », 1824, France, qui ressemble à celle-ci.

    « Thugee » (1857), British museum.
    © Lionel Labosse

    Autres balades

    Je suis retourné à Greenwich, où j’ai visité le Musée maritime (gratuit). Photos de figures de proue et d’un triskèle, marque de baptême d’un navire. Je voulais parcourir « The Line », un chemin agrémenté de sculptures, mais je me suis planté entre les différentes stations nommées « Greenwich » quelque chose, et je n’avais plus le temps. J’ai parcouru à nouveau le souterrain sous la Tamise, signalé par deux dômes d’entrée. Il est théoriquement interdit d’y rouler à vélo, mais de nombreux livreurs Uber le parcourent. Je me suis d’ailleurs trouvé coincé dans l’ascenseur à la sortie, avec des livreurs qui semblent y être habitués, obligés de se fader l’escalier pour remonter avec leur vélo électrique de 30 kg ! J’aurais dû commencer par le nord, où « The Line » part de la tour Orbit ou « ArcelorMittal Orbit », une structure entre la sculpture et la construction (voir ma vidéo au début de cet article). Les Rosbif ont eu cette idée tardivement pour les JO de 2012, mais cela reste un monument emblématique de Londres, avec « le plus grand toboggan du monde ». Elle se situe juste en face de l’Aquatics Centre construit par Zaha Hadid, qui reste à Stratford (au nord-est de Londres, accessible en zone 2-3 du métro) un site intra-muros majeur. Je montre dans ma vidéo que ce site olympique excentré est un quartier résidentiel correct, où l’on se promène en toute quiétude, à comparer avec l’immonde cloaque dans mon quartier à Paris où les cloportes qui dirigent cette ville ont foutu le « Adidas Arena », seul site olympique pérenne construit sur Paris intra-muros. La comparaison nous donne une honte éternelle.

    Dans le quartier de South Kensington, où se situe le musée V&A, le lycée français, l’ambassade de France (avec le torchon européen à côté du drapeau national, comme l’ambassade d’Italie, alors que l’ambassade d’Irak arbore le drapeau palestinien [photos]), bref un des nombreux quartiers riches de la ville, comme je cherchais un banc pour manger mon sandouiche, je me suis rendu compte qu’il n’y en a pas, et que les jolis squares du quartier sont tous privés (photo). Eh oui, les riches n’aiment pas que les pauvres s’installent chez eux… S’ils viennent à Paris pour les JO ils vont faire une crise cardiaque ! Mais « le Brexit a entraîné le pays au fond du gouffre » ! À Hyde Park j’ai admiré d’énormes camélias en fleurs, ce qui m’a inspiré l’envie d’en acheter un petit pour mon balcon. Toujours les canards à St Jame’s Park, où j’ai raté la relève de la garde. Comment cette ville peut-elle rester aussi belle alors qu’ils ont fait de Paris une poubelle ?

    Manifestation pro-palestinienne, Londres, 17 février 2024.
    © Lionel Labosse

    Un matin, j’avais perdu mon bonnet. Londres étant la seule ville au monde où j’eusse déjà perdu un bonnet (acheté au Pérou et que j’adorais), j’ai cru à un complot judeo-maçonnique, d’autant que juste avant de le perdre, j’avais pris un selfie avec une affiche pro-palestinienne, vêtu dudit bonnet, pour une association. Je suis retourné au Royal Albert hall où il était envisageable que je l’eusse perdu lors du spectacle Alegria. Et c’est là que je suis tombé sur une manifestation pro-palestinienne, dont j’avais vu des préliminaires partout en ville depuis le matin. Pas de complot judeo-maçonnique donc, sauf que j’ai tapé trois fois « pro-palestinienne », 4 même, sur mon smartphone, et il refuse de l’enregistrer et de me le proposer… là il y a complot, non ? Bref, vous verrez dans ma vidéo que c’était une manifestation énorme, avec des méchants musulmans au couteau entre les dents (et même des gens normaux !), et que tout se passait bien, dans le plus grand calme, sans que des nervis juifs d’extrême droite ou des blackblocks n’agressent les manifestants, et pas la queue d’un flic à l’horizon. Notre tyran devrait passer un coup de fil à Rishi Sunak pour lui apprendre comment on s’y prend pour rendre impossible le droit à manifester.

    Devant le parlement, il y avait quelques femmes « militantes » sans doute bien payées par les milliardaires, avec des panneaux pour évoquer les otages (propagande pour le génocide en fait, soyons clair), là aussi sans problème. Je leur ai dit ma façon de penser dans mon anglais niveau 5e… « Just stop genocide ». Enfin, cela n’intéressait personne, et il y avait mille fois plus de monde à la manif pour Gaza, mais au moins tout se passait dans le calme. Sur Parliament Square, j’ai photographié la statue de Millicent Fawcett la suffragette, dont je dédie le slogan aux complotistes. « Courage calls to courage everywhere » (« Le courage appelle le courage partout »). La statue a été installée en 2018, et je ne l’avais pas encore vue.

    Millicent Fawcett (1847-1929) « Courage calls to courage everywhere ».
    © Lionel Labosse

    Londres est aussi réputé pour l’art de rue. Dans le quartier de Shoreditch, j’ai photographié un lettrage immense « I don’t like this anymore », et auprès du Zoo, « Art Lovers », une peinture murale de l’artiste Bambi qui a droit à une notice Wikipédia.

    « Art Lovers », peinture de Bambi, Londres, Regent’s Park.
    © Bambi/Lionel Labosse

    J’ai fait ce petit film au ton quelque peu ironique (voir au début de l’article) pour comparer Londres et Paris. J’ai filmé dans le désordre et monté dans l’ordre. Quand j’ai filmé les deux séquences de Paris, il pleuvait et donc je n’ai pas eu droit à la foule de zombies à laquelle je m’attendais, et puis il semble que les édiles, qui nous importent des « migrants » par milliers pour alimenter la mafia, fassent plus ou moins le ménage, parce que si nous on peut supporter ça, les touristes des JO méritent qu’on glisse un peu cette poussière sous le tapis… Le problème est que le tas de poussière est désormais dix fois plus grand que le tapis. Vous constaterez la différence entre les deux gares, du Nord et Saint-Pancras, enfin leur environnement surtout, car en tant que telle je n’ai rien contre l’architecture de la Gare du Nord, sauf que le touriste londonien qui débarque comprend tout de suite que Paris est une ville du Tiers-Monde. J’ai filmé aussi une concession Ferrari dans le quartier de Green Park. J’étais passé devant 3 Ferrari garées dans la rue. J’ai compris quand je suis tombé sur le nid juste à côté. 500 m plus loin c’est Porsche, etc. Dans le magnifique square d’où j’ai filmé, pas une tente de migrant, pas un clodo, pas un drogué… Mais le Brexit a provoqué la faillite du pays ! Le seul truc que j’ai trouvé casse-couilles dans la ville (mis à part le gros dossier par lequel je terminerai l’article), ce sont les innombrables tuk-tuk qui proposent leurs services dans les quartiers touristiques, avec la musique à fond pour attirer le pigeon. Et dans le métro, vous avez aussi des messages sonores insupportables, mais d’un seul type (je ne me souviens plus, mais disons la sécurité), et pas la propagande sur les « coups de chaud » en janvier, le « harcèlement sexuel » comme on les subit à Paris. Sinon, j’ai photographié un nouveau modèle de bus londonien à deux étages. À cause du Brexit, ils en sont réduits à avoir des planchers en parquet, et des sièges en velours rouge, alors que nous les Parigots on a du plastoc. Vive Annie Dingo !

    Au royaume de la comédie musicale

    Mrs Doubtfire

    L’un des grands attraits de Londres est la quantité de spectacles de grande qualité qu’on peut y voir. J’y ai mes habitudes en comédies musicales. J’essaie de choisir des spectacles que j’ai une chance de comprendre. Cette année, j’ai choisi Mrs Doubtfire, adaptation du film lui-même adapté du roman jeunesse Quand papa était femme de ménage, d’Anne Fine (1987). Magnifique spectacle, comme toutes les comédies musicales de Londres. Je l’ai déjà dit dans mon précédent article sur Londres, mais il faut insister. Dans cette ville existe une industrie particulière, prospère, spécifiquement consacrée à ce type de spectacles. Chaque soir, dans chacune de ces salles qui sont toutes des chefs-d’œuvre d’architecture (voyez ma photo de la sortie du spectacle à la salle de Shaftesbury), des centaines de personnes viennent en famille et se ruinent pour assister à un spectacle vivant. Pour ce spectacle, j’ai compté 22 comédiens sur scène, sans oublier les musiciens et tous les employés (moins les fouilleurs de sacs, totalement inutiles & nuisibles au plaisir). Tous ces gens contribuent à la prospérité de Londres. La distribution inclut, comme beaucoup, 3 enfants, sans doute doublés ou triplés pour respecter la loi. Ces enfants apprennent le métier et perpétueront la tradition. N’en déplaise à Elon Musk, il faut souhaiter que malgré la fameuse « Intelligence » artificielle, rien ne remplace le plaisir d’assister à des performances d’êtres humains qui se défoncent pour produire ces spectacles vivants.

    En ce qui concerne la pièce, la situation est complexe. J’avais signalé un défaut du livre édité en 1987 et soumis à la Clause 28 de sinistre mémoire. Mais la situation s’est retournée comme une crêpe depuis lors, et maintenant, ce n’est plus l’État qui persécute les altersexuels, mais les faux LGBT à la Soros qui cassent les couilles à tout le monde. Alors au lieu de développer quelques scènes amusantes, mais subtiles et non provocatrices où le personnage serait titillé par son changement de sexe, les scénaristes ont introduit artificiellement une dose insupportable de wokisme à tous les étages. Le protagoniste a un frère gay caricatural qui lui procure le travestissement. Là, je suis d’accord, c’est plus plausible que dans le roman, et c’est sans doute à cause de la Clause 28 que l’auteure avait inventé que le frère était prothésiste, OK. Mais pourquoi coller subitement un enfant à ce couple gay, avec une tirade wokiste sur les enfants qui ont tous des familles différentes, bla, bla, bla ? Message avec lequel je suis d’accord en principe bien sûr, mais là ça fait trop, c’est téléphoné, c’est comme du placement de produit idéologique.

    Ce délire n’empêche pas que la pièce m’ait profondément ému parce que le socle reste présent, et le socle, c’est un père désespéré parce qu’on l’empêche de voir ses enfants suite à un divorce, et prêt à tout pour les retrouver. Le travestissement a un sens non pas militant à la mords-moi-le-nœud, mais dans le fait que, prenant le rôle d’une femme, il se rend compte qu’en tant qu’homme il a mal agi et n’a pas été capable de comprendre sa femme. Le motif reste dans la pièce, mais c’est gâché par le collage de l’indigeste propagande LGBT wokiste qui noie le message sous le catéchisme de cette nouvelle religion hégémonique.

    Moulin Rouge

    J’étais très attiré par ce spectacle, adapté non pas d’Offenbach ou du film de Jean Renoir ou même de John Huston, mais basé sur le film musical éponyme de Baz Luhrmann (2001), que je n’ai pas vu, mais qui se trouve sur la liste du BO pour le thème Paris, ville capitale ?. Si j’ai été époustouflé par les qualités techniques et musicales du spectacle, du niveau inégalable de la scène londonienne (et new-yorkaise en l’occurrence), la trame m’a laissé indifférent. Le Paris de la pièce est une ville de carton-pâte, chromo suranné maintenu en coma artificiel pour exciter la rémanence du souvenir d’une ville attirante. Cela se passe à Montmartre, avec un scénario calqué sur La Dame aux camélias. Un élément de décor montre des toits en zinc typiques de Paris, et c’est tout, ou plutôt, le reste du décor montre un éléphant parce que la pièce mise en abyme se passe en Inde, Inde de carton-pâte itou. La musique est un medley de succès anglo-saxons enchaînés à grande vitesse, sans aucun rapport avec Paris. Il y a, je crois, un bref extrait d’une chanson de Piaf. Et puis évidemment, comme pour la pièce précédente, un personnage bien gay comme il faut, en dehors de toute vraisemblance. Cerise sur le gâteau, le personnage de Toulouse-Lautrec est interprété par un comédien noir. Le message est-il « Désolés, nous n’avons pas trouvé de comédien handicapé, donc on a embauché un noir, c’est une sorte de handicap » ? En tout cas cela ridiculise encore plus le scénario. Donc j’ai passé un bon moment devant un bon spectacle avec des performances d’artistes qui font le show, mais gâché par le placage idéologique et une vision caricaturale de Paris.

    Alegria, Cirque du Soleil

    J’ai été bouleversé par le spectacle Alegria du Cirque du Soleil au Royal Albert Hall. C’est la 2e fois que je vois un spectacle dans cette salle ; mais la première fois c’était un concert classique. Cela faisait longtemps que j’avais envie de voir le Cirque du Soleil, eh bien je n’ai pas été déçu. Rien de woke ici, car c’est la reprise d’un vieux spectacle, et il n’y a pas encore de loi pour introduire de façon forcée du wokisme dans les vieux spectacles. Le Cirque du Soleil, fondé au Québec en 1984, est maintenant une multinationale du spectacle, américano-chinoise, qui joue simultanément dans le monde entier de nombreux spectacles plus ou moins anciens. Alegria date de 1994. Vous avez sur scène un nombre invraisemblable de circassiens des catégories les plus nobles (trapézistes, jongleurs, acrobates, clowns), plus de nombreux musiciens & chanteurs. Les places sont donc chères, mais on en a pour son argent. J’ai été époustouflé et ému aux larmes par tous ces numéros d’artistes de cirque qui donnent la preuve que l’homme peut effectuer des prouesses par la maîtrise de son propre corps que l’« Intelligence artificielle » ne pourra pas atteindre. Des milliers d’heures d’entraînement quotidien pour accomplir ces prouesses à couper le souffle. Cela me rappelle le spectacle et le livre du Cirque Gruss. Il ne manque que les animaux. Tous les numéros sont extrêmement spectaculaires, les numéros de clown sont moins ma tasse de thé, mais les enfants dans la salle étaient ravis. Dans l’équipe actuelle au Royal Albert hall, la chanteuse est française, Sarah Manesse, voix magnifique. J’ai regretté de n’avoir pas pris une meilleure place pour mieux voir. Au diable l’avarice quand on est face à tant de talent. Voici une vidéo d’une version ancienne du spectacle, pour vous en donner une idée.

    La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle

    Après ces considérations touristiques, il faut maintenant aborder le sujet qui fâche. Je m’étais rendu à Londres la fleur au fusil, car malgré mon ironie, vous avez compris que je suis un chaud partisan du Brexit, modèle pour moi du Frexit que j’appelle de mes vœux. Il est possible qu’on n’en ait même pas besoin, car si les Allemands votent le Dexit avant nous, l’UE éclatera d’un seul coup. Mais j’ai vite déchanté. Le Brexit est une arnaque au profit de « la Banque », et c’est ce que je voudrais expliquer ici.
    J’ai fait un bref article à part qui synthétique plusieurs documents à propos du pouvoir de « la banque », qui selon l’éphémère Premier ministre britannique Liz Truss, est plus puissante que les dirigeants élus. David de Rothschild est le plus puissant des banquiers de la City et de Paris, et Alain Minc a dit que macron était une « pute » pour Rothschild. Cependant un fait nous rend l’espoir, la victoire inattendue de George Galloway, élu député à Rochdale lors d’élections législatives partielles le 28 février 2024.

    Mise en place en douceur
    de la « ville de 15 minutes », à Londres.
    © Lionel Labosse

    J’avais remarqué comme tout complotiste qui se respecte, que le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique. Les « villes de 15 minutes », qui sont selon la presse des milliardaires qui nous pillent, une « théorie du complot », sont mises en place avec le procédé d’ingénierie sociale du « Nudge ». Et cela, comme à Paris, a commencé avec le remplacement subreptice des grandes cartes de la ville entière qui permettent de se situer dans l’espace, par d’affriolantes cartes partielles avec un cercle (qui n’est pas « de craie caucasienne », mais quand même diabolique) : « 5/15 minutes walk »). Inutile de chercher à savoir ce qu’il y a au-delà du jardin du curé, comme dans « Le vilain petit canard » d’Andersen. Il est un fait que les jeunes sont habitués à ne plus voir de cartes et à se repérer non pas en regardant en l’air, mais en baissant la tête vers un écran hypnotiseur. Récemment, j’ai affiché des cartes Michelin de Paris et de l’Île-de-France dans ma classe. Les étudiants s’y précipitent comme une volée de moineaux, ils sont heureux de pouvoir montrer où ils habitent. Eh oui, les fascistes ont fait supprimer dans les salles et dans les rues presque toutes les cartes globales pour habituer subrepticement les gens à la « ville de 15 minutes », avec seulement des plans de quartier. Alors quand ces jeunes voient une carte qui leur permet d’appréhender un territoire, ils ont une révélation !

    En même temps, comme dirait l’employé de Rothschild, qu’ils wokisent l’esclavage du passé, les Londoniens affichent fièrement leurs chaînes d’esclaves modernes des banquiers, les mêmes qui tirèrent profit de l’esclavage d’hier… Les commerçants proclament haut & fort leur fierté d’être « cashless » (sans espèces). Et je l’ai vérifié, c’est encore pire qu’en Islande et en Norvège, c’est-à-dire que l’on paie partout, même pour trois fois rien, avec sa carte ou, si l’on est moderne, avec son smartphone. De nombreux endroits, y compris les plus inattendus, sont « cashless », comme par exemple des baraques à frites. La plupart des supermarchés conservent quelques caisses automatiques à pièces, voire parfois un caissier (en fait un employé polyvalent) qui peut vous prendre des espèces. En revanche pour les dons facultatifs dans les musées gratuits, alors là le cash est accepté, dans des urnes gratuites !

    « We’re cashless ». Restaurant, Londres.
    © Lionel Labosse

    Petite anecdote annexe : j’avais conservé quelques billets de 20 £ de mon précédent séjour, mais quand j’ai voulu en utiliser pour acheter ma dose de cocaïne, mon dealer habituel (fournisseur officiel de Rishi Sunak, qui accepte encore le cash) m’a dit qu’ils n’étaient plus valables. J’ai dû aller les échanger à la Banque d’Angleterre, métro Bank, au cœur du Léviathan. Après fouille des sacs et interrogatoire, je suis dirigé vers un luxueux bureau, où une dizaine d’employés attendaient derrière des vitres. J’étais le seul, donc je me dirige vers un guichet, et on m’échange très aimablement mes biftons pour des plus petits et moins smarts, mais échangeables contre de la bonne poudre péruvienne. En sortant j’ai voulu photographier une magnifique mosaïque au sol représentant un caducée, mais dix flics m’ont plaqué au sol, menotté, violé… euh non, ça, c’était mon cauchemar de la nuit suivante ! Bref, on ne peut même pas prendre une photo, en tout cas c’était une expérience ! Je me suis donné beaucoup de mal pour en retrouver une image sur Internet, dans une vidéo sur le site de la banque elle-même, à la 32e minute. Ces mosaïques sont l’œuvre de Boris Anrep, un méchant russe. On devrait les détruire !

    À part l’hôtel, comme je l’ai dit plus haut, j’ai remarqué une inflation terrible des prix. Pour vous donner un ordre d’idée, un simple fish & chips et une bière, sur les quais près de la Tate Modern quand même, 27 livres (photo), à multiplier par 1,25 à peu près. C’est du délire ! Dans le fameux Rock & Sole Plaice d’Endell Street censé faire le meilleur fish & chips ever in the world, j’ai payé 32 £, et il faut savoir que les prix affichés sont augmentés d’un service de 12,5 % (voir ma photo de la note). Pour être honnête, à Greenwich, dans un pub pas du tout miteux et juste à côté du métro, j’ai payé dans les 12 £ pour la même chose, taxes incluses. J’avais repéré lors de ma précédente escapade un fast-food japonais, « Wasabi », où je m’étais régalé de bons plats chauds. Eh bien les prix ont pris l’ascenseur, et les quantités ont fondu, de sorte que pour quelque chose comme 8 £ (alors que j’avais noté dans mon article précédent des prix dans les 5 ou 6), j’ai mangé un truc qui ne m’a ni plu ni rassasié. Je n’y suis pas retourné, mais j’ai vu qu’ils vendent dorénavant les mêmes plats dans les supermarchés, ce qui a dû modifier la stratégie marketing. Le bon plan que je puis vous donner, c’est des menus combinés dans les supérettes, où la réduction est significative ; mais parfois il faut avoir une carte de fidélité… Je voyage seul ; bien entendu pour une famille, avec des enfants affamés et fatigués, autant se couper les veines !

    Le Brexit est une arnaque. En fait la Banque (comprenez David de Rothschild, le propriétaire de macron) impose sa dictature dystopique. Paiement quasi obligatoire en carte ou par smartphone, et caméras de flicage omniprésentes. J’ai renoncé à nager dans la magnifique piscine olympique de Zaha Hadid, dont j’ai fait l’éloge dans ma petite vidéo. Il faut s’enregistrer en ligne, m’a dit la brave « caissière ». Bienvenue chez George Orwell. C’est terrifiant. J’ai essayé d’expliquer mon ressenti à cette dame assez âgée. Elle a eu l’air de comprendre & compatir. Eh oui, sous couvert de « Brexit », David de Rothschild et ses copains milliardaires ont affermi la dictature de la City, qui constitue une enclave autogérée dans Londres. On ne peut plus faire un pas sans non seulement être tracé comme des objets manufacturés, mais aussi sans payer la moindre dépense, même 1 £, en numérique. On a donc dû passer depuis le Brexit, de 60 % de paiement en carte, à 90 %. Il suffit de multiplier le pourcentage des banques, donc du propriétaire de macron.

    Et s’il n’y avait que ça ! Il faut ajouter tous les frais annexes : location du terminal de paiement, frais bancaires, etc. Et ne croyez pas que le paiement en cash soit la panacée, car pour les commerces, le fond de caisse en rouleaux est facturé, mais surtout si par esprit rebelle, vous faites un retrait dans un distributeur, le jackpot est encore pire. J’ai relevé pour mémoire : pour 100 £ retiré, on m’a compté 123,33 €, soit bien plus que le taux normal (ce serait plutôt 117 €), et en même temps pour reprendre le mantra du teckel de Rothschild, la banque ajoute une taxe de retrait (le nonos du petit teckel caché dans la machine) de 5,57 %, soit 6,38 €. Donc, au lieu de me coûter 117, 27, mes 100 £ m’ont coûté 129,71. 12,44 % de frais pour la banque. Bon, je veux bien qu’il faille payer le distributeur et les employés qui vont nourrir le teckel caché dedans, mais c’est quand même bien payé, surtout qu’en principe, l’argent que vous avez sur votre compte rapporte déjà à votre banque puisqu’elle le prête, donc on pourrait considérer l’usage des distributeurs comme un prêté pour un rendu… En ce qui concerne les paiements par carte, mon relevé de compte m’a appris que les frais sont de 2,8 % à peu près. Quand on rechigne à donner un pourboire à une ouvreuse dans un théâtre pour une place à 100 €, sachons que le pourboire qu’on donne aux Rothschilds est de 2,8 €. J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : « La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés ».

    J’ai encore été témoin d’une scène à la station de métro dans mon quartier ce jour : une pauvre dame qui baragouine le français, réclame ses tickets. L’employé lui explique qu’elle s’est fait couillonner par « la banque » (je vous la fais courte) : elle voulait juste un ticket, elle a eu une jolie carte à 2 € plus 2 tickets chargés sur la carte à je ne sais plus combien, soit le double. Elle proteste : elle possédait déjà une carte, mais là elle voulait juste un ticket. Si elle veut se faire rembourser, ce n’est pas au guichet, mais il faut écrire à telle adresse mentionnée sur la facturette (et encore, elle a eu la présence d’esprit de cliquer sur « oui, je suis une mauvaise citoyenne qui veut la mort de la planète et ne fait pas confiance aux banques, j’exige d’imprimer le ticket »). Oui, bien sûr, pour réclamer 2 € la pauvre dame va demander à un voisin de lui rédiger une belle lettre, acheter une enveloppe, un timbre, etc. ! Et c’est tous les jours que l’on constate ce genre d’arnaques qui s’additionnent. Cela a commencé il y a longtemps, quand « pour nous faciliter la vie », les autorisations de prélèvement direct des prestataires sur nos comptes en banque se sont multipliés, sans que l’on ait à donner notre accord, que ce soit pour un abonnement Vélib, la location d’une voiture, tout et n’importe quoi. Une fois donné votre accord pour une prestation, le prestataire peut modifier le prix ou prélever un complément sans autorisation sous n’importe quel prétexte. C’est tellement « pratique » ! Sauf que s’il faut réclamer, c’est un parcours du combattant entre David et Goliath ! L’autre jour, l’employée de la piscine m’explique son mécontentement sur l’arnaque des JO : elle ne travaillera que quelques jours en juillet avant d’aller chez elle en Serbie. Mais pour ces quelques jours, elle devrait payer une carte de transport au tarif délirant que l’État fasciste a annoncé pour les JO. Je lui ai suggéré la solution, mais elle y avait déjà songé, et la moitié de ses collègues : arrêt de travail. On va bien s’amuser, mais s’il faut en passer par là pour que les gens comprennent le Hold-up de la banque contre nous le peuple ! Hold-up, c’est le titre du film de Pierre Barnérias auquel j’ai consacré ce récit. De quoi s’agit-il d’autre que de dénoncer un Hold-up ? Avec ce « Brexit » déloyal, Londres nous met en garde.

    Le milieu gay à l’avant-garde du fascisme bankstériste

    Maintenant que les enfants sont couchés, j’en termine par ce bref addendum pro domo (attention, jeu de mots !) sur mon expérience traumatisante dans ce qu’il reste du milieu gay londonien. Si l’un des trolls ou des gros abrutis homophobes à 1 neurone qui s’avachit la bedaine devant son ordi en parcourant cet article quand il sera repris par Profession gendarme arrive jusque-là, combien de vomissures et de délations dignes de la Kommandantur va me valoir ce paragraphe ? Je cite d’avance les grands auteurs à destination de ces trolls :

    « Pendant la collaboration, la tendance à la calomnie et à la délation était d’autant plus exacerbée que le courage des collaborateurs, d’autant plus zélés qu’ils étaient anonymes, était protégé par la collusion entre Vichy & la Gestapo. »

    Extrait de Madame Ghislaine Pétain, vie & œuvre d’une Première dame méconnue, par Jakomar de Bragmardo, traduit du swahili par Bernard-Henry Lévy, Gallimard, 1993).

    Bref, voici ce que j’ai constaté en after. Je rappelle que je suis un peu à la diète question fleurette, rapport à mon grand âge, mais que ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder ce qu’il y a à manger. Bref, les soirs où je n’étais pas au spectacle, j’ai remis les pieds dans mes traces de ce qu’il reste des saunas et autres lieux de rencontre dans lesquels ledit grand-âge ne me fait pas refouler. Par rapport à l’hécatombe constatée en 2019, il n’y a rien eu de pire en ce qui concerne les 4 établissements où j’ai mis le pied. Sauf que la revue papier que j’avais l’habitude de prendre à la librairie « Gay’s the word » n’existe plus. Obligation d’utiliser son smartphone, pour que Rothschild et Bill Gates sachent tout de moi. Je serai bref : à une exception près, les tenanciers de ces établissements censés être des lieux récréatifs participent de tout cœur à la brutalisation à l’œuvre dans la dystopie à grande échelle que nous subissons depuis le National-covidisme. Voici, du plus léger au pire :
    Augmentation des tarifs, désormais les plus chers saunas du monde (enfin dans ma modeste expérience). En plus de cela dans un établissement dont jadis j’adorais l’ambiance, au lieu d’avoir dix pour cent des cabines privées, ils sont passés à 95 %, dont ils ne louent en réalité que 5 % moyennant un surplus qui s’ajoute au tarif déjà explosé, et du coup l’établissement est dans un état de désolation qui le met aux antipodes de ce qu’était censé être ce type d’endroit. Dans un autre, après des travaux, ils ont séparé l’établissement en deux, sauna d’un côté et salle de sport de l’autre, de sorte que l’endroit est riquiqui et stressant ; il est impossible de s’isoler.

    « Cashless » dans deux établissements sur 4. Dans l’un des deux autres, comme je payais en espèces, on a exigé un document d’identité ou une carte bancaire en dépôt, sans doute pour que je ne vole pas la clé du vestiaire ! Et les deux types, un jeune et un vieux de l’âge d’avoir connu le sida avant les traitements, ont protégé leur main avec une serviette avant de me prendre ledit document des mains. Ils ne portaient pas la muselière, mais harcelaient un employé chargé du nettoiement, qui passait et repassait comme un dément partout dans l’établissement pourtant petit, pour désinfecter les sols. Inutile de dire que j’ai passé un fort mauvais moment. Des tarés, rendus fous par le National-covidisme, et à qui personne n’a dit que la guerre est finie.

    Dans un seul de ces établissements, pour la première fois au monde dans un commerce, j’ai dû subir une photographie par caméra. Là on est vraiment dans le fascisme banquier ultime, et je ne vois pas comment ces collabos peuvent encore grimper d’un échelon dans la brutalisation bankstériste. À l’intérieur du même établissement, il y a des caméras dans les couloirs, alors que les gens y sont souvent en petite tenue voire à poil. Que font ces enculés de ces images ? Comment les gays londoniens ne se sont pas révoltés ? La réponse va de soi : toutes les associations soi-disant LGBT sont en réalité financées par Soros et ses copains bankstéristes. Et pour les naïfs, ce qui se cache au bout du « tout smartphone » et de l’euro numérique, c’est la réduction en esclavage de l’homme occidental, qui est en cours d’expérimentation en Ukraine, malgré les minables dénégations de la presse fasciste : votre smartphone et votre compte seront bloqués si vous n’êtes pas un bon citoyen, par exemple si vous ne vous faites pas vaxiner (ça, c’était pour tester le taux d’obéissance du mougeon) ou si vous ne vous présentez pas au bureau de recrutement pour vous faire sacrifier sur l’autel, je veux dire le front ukrainien. C’est ce que veulent tous les Rothschilds et leurs nombreux teckels. Que ceux qui se sont fait injecter sous la menace ne se vexent pas, mais se révoltent contre les fascistes qui les ont manipulés. Ce sont ces bankstéristes qui veulent notre mort, et leur arme est le smartphone, l’euro et l’identité numérique.

    « Rendez-vous au bureau de recrutement de l’armée au plus vite. Votre compte sera réactivé, et vous serez mort sous 48 h. Veillez à désigner un héritier, sinon le solde de votre compte sera versé aux œuvres sociales de la banque ».

    Cerise sur le gâteau, et je ne l’aurais pas réalisé si je n’avais pas enfin visité la Tower of London et ses geôles : les cabines où quand on a trouvé chaussure à son pied on peut se mettre à l’abri et lire en chœur les œuvres complètes de Dominique Strauss-Kahn, sont de dimension réduite, soit trop basses, soit trop étroites pour qu’on puisse s’y allonger ou y rester debout, et souvent les deux. Il s’agit là d’une torture physique digne des in pace de l’Inquisition ou des cages exposées dans ladite salle des tortures de la Tour de Londres.

    Bref, même si à Paris j’avais constaté sous la dictature que les gays du milieu, bien qu’ils soient souvent de mon âge et aient connu l’époque Act-Up où l’on s’opposait au pouvoir quand on était gay, étaient complètement acquis à la dictature covidiste, ce qui m’avait profondément écœuré, à Londres c’est dix fois pire, ils sont vraiment aux avant-postes du totalitarisme, ce sont les influenceurs du monde de George Orwell. Cela fait mal quand on fait (à son corps défendant en ce qui me concerne) un chouia partie d’une prétendue « communauté », de constater que les leaders se comportent en kapos de camps de concentration. Je fais un parallèle avec la situation des juifs, qui est exactement la même. 80 % des juifs, que ce soit en Israël ou dans la diaspora, se sont faits les auxiliaires d’un nazisme juif génocidaire. Une « amie » juive, pourtant « de gauche » et même anticovidiste (il est rare d’avoir les deux ensemble), m’a dit qu’elle allait se « radicaliser », alors qu’elle prétend haïr Netanyahu. Je ne puis plus être son ami. Eh bien chez les gays c’est pareil, maintenant que le système les a choisis comme auxiliaires et chouchous de la dictature, 80 % de ces crétins se comportent en kapos. Comment cela a-t-il pu advenir d’après vous ? Il suffit de se mettre un instant du côté des milliardaires. Combien cela coûte-t-il d’après vous d’acheter l’opinion d’un groupe d’influence ?

    Subventionner de façon claire ou occulte les 5 médias, les 5 associations, les 5 influenceurs les plus écoutés du groupe, sans compter de plus modestes oboles versées aux petites associations de quartier. Le premier qui se rebellera ou émettra le moindre doute verra aussitôt se déchaîner contre lui « des trolls indiscrets, qui, sans connaissance de cause, crieront en public contre eux, qui les accableront d’injures, et les damneront hautement de leur autorité privée ». (Voir ma parodie de Dom Juan). C’est ce qui se passe avec la trouducusphère pourtant débusquée par le scandale du Fonds Marianne, mais qui continue à sévir, je veux parler notamment de la bande de l’ignoble Rudy Reichstadt, qui opère sous la direction et le financement de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, dirigée par David de Rothschild, employeur de Choupinet, et sous couvert de « lutte contre le séparatisme », nous explique que sur la bite à Chibritte, circulez y a rien à voir. Le montage est digne d’un malfrat de banlieue, mais le mot « Shoah » que ces escrocs ont mis dessus fonctionne à la façon des gousses d’ail contre les vampires !

    Attention, que les homophobes et antisémites ne se réjouissent pas, car quand je dis à la louche 80 %, eh bien c’est la même proportion que dans la population neutre. La seule chose c’est qu’on aurait pu espérer que des gens qui font plus ou moins partie d’un groupe, sinon d’une communauté, qui a plus ou moins subi un phénomène de bouc émissaire, soient un peu plus alertés sur la frontière entre humanité & fascisme. Eh bien non, pas du tout. Enfin je ne découvre rien, sauf que la conclusion est effrayante et constitue un avertissement salutaire :
    Le « Brexit » est un leurre. Ce qu’il faut, c’est sortir de la mainmise de la banque et des milliardaires, donc pas de « Frexit » ou de « Dexit » sans sortie de l’OTAN, et dissolution de tous les groupes d’influence de type Bilderberg, Trilatérale, WEF, etc. Je crains que la méthode Poutine ne soit la seule susceptible de nous sauver : une balle dans la tête de chaque oligarque, et basta. Donc pour l’instant je tiens ma ligne : il faut voter, surtout aux élections européennes, et si possible voter pour une liste qui soit ignorée par les médias aux mains des bankstéristes, et non une liste de vendus comme le RN qui soit présentée du matin au soir comme un « danger », alors qu’on sait bien que ce parti est dorénavant un parti collaborationniste. Attention, je parle d’une élection à un seul tour. Il est bien évident que si l’on avait à nouveau à choisir dans un 2e tour entre la peste RN et le choléra macron, je choisirais le parti qui n’a pas encore été au pouvoir, parce qu’on n’est pas à l’abri d’une bonne surprise non plus. La politique relève parfois du shalom géant. Pardon, du slalom !

    Pour l’instant, je suis affligé du spectacle désolant que nous proposent Asselineau & Philippot. Ces deux messieurs semblent n’avoir pas de pires ennemis que l’autre. Ils sont en train de nous expliquer l’un et l’autre que Poutine & Zelensky doivent négocier, alors qu’eux-mêmes sont incapables de discuter avec un alter ego dont ils partagent 95 % des idées. La politique c’est le compromis. Micron a bien embauché des types qui avaient craché sur lui quelques mois avant. Comment comptent-ils gouverner la France s’ils venaient à être élus ? Un gouvernement UPR sans aucun Patriote, ou vice-versa ? Alors avec qui ? Des membres des différents partis sionistes ? Avec l’amuseur Lassalle ? Avec LFI, parti covidiste & climatiste ? Bref, c’est rageant, mais il faut voter, alors la proposition récente de Dieudonné/Lalanne me semble pour l’instant une bonne alternative, surtout qu’ils ont fait un appel du pied aux deux ennemis jurés et qu’ils sont pro-frexit. Espérons que le nœud gordien se dénoue dans les semaines qui viennent.

    Je termine par un document de première importance à écouter et partager, sans grand rapport avec ce qui précède, sauf que cela concerne aussi la dictature actuelle, qui tue les gens et compte organiser son impunité : le député Andrew Bridgen mène un débat sur la surmortalité, le 16 janvier 2024, à Westminster Hall. C’est un combat solitaire, mais un mois après, l’élection surprise de George Galloway constitue peut-être un espoir que ces combats ne soient pas si vains que ça.




    Le traité sur les pandémies, fossoyeur de la souveraineté nationale

    Par Iurie Rosca — 26 mars 2024

    Lettre ouverte aux députés du parlement de la République de Moldavie

    Cher Monsieur/Madame le Député,

    Par la présente, je souhaite attirer votre attention sur un danger imminent qui menace la République de Moldavie en tant qu’État indépendant, libre de déterminer sa propre politique intérieure et étrangère conformément aux intérêts nationaux et au bien commun. Il s’agit du fait qu’un document international est en cours d’adoption par l’Organisation mondiale de la santé, qui échappe totalement à l’attention des décideurs, des médias et de l’opinion publique de notre pays.

    Je veux parler du « Traité sur les pandémies », élaboré et promu avec insistance par les grandes sociétés pharmaceutiques par l’intermédiaire de leur bureaucratie affiliée à l’OMS. Ce document doit être adopté à la fin du mois de mai de cette année lors de l’assemblée générale de cette organisation1. Habituellement, ces réunions rassemblent des représentants du système de santé ayant des fonctions secondaires, qui sont loin de comprendre les enjeux stratégiques de ces actions. En effet, si ces projets se concrétisent dans deux mois, tous les pays du monde perdront de manière irréversible leur souveraineté étatique.

    C’est précisément pour cette raison que je vous demande d’adresser une requête officielle au ministère de la Santé, afin d’obtenir des informations exhaustives sur le projet de traité sur les pandémies et sur toutes les modifications proposées par les représentants des pays membres de l’OMS à ce document. Je vous prie également de proposer que des auditions publiques soient organisées sur ce sujet au Parlement et qu’un large débat public soit organisé dans la société, avec la participation d’experts indépendants et de la presse, sur ce sujet d’une importance vitale pour notre État et pour la vie, la liberté et la santé de chaque citoyen.

    Nous vous informons qu’à l’heure actuelle, plusieurs scientifiques, médecins, avocats et personnalités internationales ont activement participé à l’information des décideurs des pays du monde sur les énormes dangers que représentent certains groupes d’intérêts financiers qui cherchent à imposer le traité sur les pandémies et le règlement sanitaire international. Ces personnes d’un niveau académique et moral irréprochable ont formé une coalition mondiale de centaines de personnalités de différents pays appelée Door to Freedom2.

    Dr Meryl Nass

    Au premier rang de ce mouvement international se trouve sa fondatrice, le Dr Meryl Nass, une scientifique médicale qui compte plus de 40 ans de carrière professionnelle et qui est l’un des plus grands experts mondiaux en matière d’armes biologiques, d’épidémies et de maladies transmissibles aux États-Unis3.

    Les changements radicaux proposés transformeraient l’OMS d’une institution internationale dotée de fonctions consultatives en une agence émettant des décisions contraignantes pour tous les États membres. Ainsi, par exemple, une décision prise par le directeur général de l’OMS serait contraignante pour tous les États membres. Notons que cette position est occupée par un marxiste radical éthiopien à la réputation plus que douteuse, Tedros Adhanom Ghebreyesus4. En d’autres termes, un seul bureaucrate international aura le droit exclusif de déclarer une pandémie mondiale, qui perturbera la vie de toutes les sociétés. De plus, ce même personnage dictera des mesures restrictives contre le bon fonctionnement de l’économie et de la société dans son ensemble. En outre, il aurait également le droit discrétionnaire de dicter le traitement que tout citoyen devrait recevoir, les médicaments, les vaccins ou les restrictions qui devraient être rendus obligatoires pour tous.

    Tedros Adhanom Gebreyesus

    Toutes ces mesures draconiennes sont imposées à la suite de la soi-disant pandémie de Covid-19, qui a causé des millions de « morts subites » dues à l’inoculation de sérums expérimentaux, affectant de manière catastrophique la santé de milliards de personnes ainsi que l’économie mondiale par le biais des blocages imposés sous ce prétexte. J’insiste sur le fait que le discours dominant, promu par les médias corporatistes et les fonctionnaires corrompus depuis mars 2020, vise à provoquer la panique et donc l’obéissance aux mesures imposées sous le prétexte d’une urgence sanitaire. Cette opération de guerre psychologique avec un message alarmiste est amplifiée à l’approche de la réunion de mai de l’OMS par le lancement d’un autre élément de peur publique, connu sous l’étrange nom de code « Maladie X »5.

    Dans ce cas, la formule classique PROBLÈME – RÉACTION – SOLUTION s’applique. C’est-à-dire que dans la première phase, une fausse crise est déclenchée, suivie d’une réaction de panique de l’opinion publique et d’un stress généralisé, pour qu’enfin ceux qui ont causé le problème et prévu la réaction proposent la solution préfabriquée. C’est le piège psychologique et juridique dans lequel tous les pays du monde sont actuellement poussés. Dans le cas de la République de Moldavie, la situation est aggravée par le fait que pas un seul décideur ou parti parlementaire des deux législatures qui se sont succédées depuis 2020 n’a adopté une approche critique de cette question, qui provoque pourtant des transformations globales d’un impact sans précédent dans l’histoire. Et à l’approche des élections présidentielles, le risque est grand que ce problème d’importance vitale échappe à l’attention des décideurs politiques.

    Nous constatons également que, s’il était adopté, le traité sur la pandémie violerait gravement la Constitution de notre État, car ses auteurs n’ont pas l’intention de soumettre le document au débat et à la ratification des parlements nationaux. En outre, l’imposition de conditions exceptionnelles sous le prétexte de la santé portera gravement atteinte aux droits humains fondamentaux, tels que le droit à l’information et à la libre expression, le droit à la liberté de mouvement, le droit de voyager, le droit de choisir un médecin et un traitement, le droit de réunion, etc. Plus grave, le traité sur les pandémies vise à instaurer un régime de surveillance généralisée de l’ensemble de la population, qui serait entièrement accablée par le stigmate de la « présomption de culpabilité » en cas de désobéissance au régime de vie édicté par l’OMS.

    Je voudrais également vous informer que le Dr Meryl Nass et ses collègues sont invités dans les parlements des pays européens, où ils font des conférences pour familiariser les députés avec des sujets qui leur sont généralement étrangers, mais qui sont d’une importance fondamentale. Elle s’est récemment exprimée au Parlement européen6. Je vous suggère donc d’inviter officiellement le Dr Meryl Nass à s’exprimer lors de la session plénière du Parlement. Si cette solution est rejetée, l’invitation pourrait être faite par n’importe quel groupe parlementaire. Si, toutefois, aucun groupe parlementaire n’est disposé à entamer un dialogue avec cette experte de renommée mondiale, tout député pourrait demander une vidéoconférence avec elle. Bien entendu, les députés moldaves pourraient également bénéficier de l’expertise d’autres spécialistes hautement qualifiés du mouvement civique international « Door to Freedom ».

    Enfin, j’aimerais également présenter l’entretien que j’ai récemment mené avec le Dr Meryl Nass :
    https://arcaluinoe.info/ro/blog/2024-03-15-qtxkthxi/ ;
    https://odysee.com/@PlanulRosca:e/interview_with_Dr_Meryl_Nass_by_Yuri_Roshka:7.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées,

    Iurie Roșca, membre du Parlement pendant quatre mandats (1994-2009),
    Journaliste,
    Président de l’Université populaire

    26.03.2024

    Contact : chisinauforum2024@protonmail.com





    Traité Pandémies de l’OMS : UN COUP D’ÉTAT MONDIAL ?

    [Source : Bam is Back – Press]

    La Dr Meryl Nass, spécialiste des armes biologiques et lanceuse d’alerte à la pointe du combat contre le « Traité sur les pandémies » de l’OMS, nous donne toutes les clés, enjeux et échéances :

    • pour comprendre pourquoi ce Traité est une menace politique mondiale imminente ;
    • pour partager autour de soi et alerter le plus grand nombre.

    https://doortofreedom.org/





    Immoralité et consumérisme

    [Extrait de 01 — Tradition : Echapper à la catastrophe sociale, écologique et migratoire.]

    Par Sylvain Marcelli

    Ce que cette histoire nous révèle est capital. Edward Bernays savait que lorsque la morale s’efface, le consumérisme se propage. Il a donc entrepris de briser un tabou tenace : celui du tabagisme féminin, afin que les investisseurs puissent accroître leurs profits.

    Tout comme les fabricants de cigarettes de cette époque, notre société est soumise à l’impératif de croissance économique : il faut vendre et produire toujours plus de richesses, et pour ce faire, le monde occidental n’a pas d’autre choix que de « déconstruire » son propre héritage moral, dans l’espoir de créer de nouveaux comportements consuméristes qui n’existaient pas auparavant.

    Origine et sens de la morale

    Le problème, c’est que la morale est nécessaire à l’équilibre d’une société. Elle est apparue dans un but précis : émanciper l’individu de ses propres pulsions, afin qu’il vive en harmonie avec les siens. C’est ainsi que sont apparus les commandements bibliques tel « tu ne tueras point ». De nos jours, cette leçon nous semble évidente, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Il reste possible à cet égard que cette tentation vous gagne, fût-ce inconsciemment, sous le coup d’une colère passagère ou d’une jalousie intense. C’est humain, et pourtant nous ne cédons pas à cette envie, parce que nous avons appris à modérer nos instincts.

    D’autres commandements, tels que « tu ne voleras point » ou « tu ne commettras pas d’adultère », ont également contribué à façonner notre civilisation, en dépit des tentations qui peuvent nous inciter à commettre ces péchés. Il est donc crucial de souligner ce qui suit : la modération des comportements n’est pas quelque chose d’inné. Elle s’acquiert dans le cadre d’un processus éducatif particulièrement long et rigoureux, « car la chair, dit la Bible, a des désirs contraires à l’esprit, et l’esprit en a de contraires à la chair ».

    Parmi les œuvres de la chair figurent, selon les Saintes Écritures, « l’adultère, la fornication, les querelles, la jalousie, les disputes, le meurtre, les ivrogneries, la débauche et toutes les choses semblables. Ceux qui commettent de telles choses, conclut ce passage, n’hériteront pas du Royaume des cieux, car les fruits de l’Esprit sont la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, l’amour, le bien, la fidélité, la tempérance ».

    Société de consommation

    La morale chrétienne est certes l’une des expressions les plus connues de l’enseignement traditionnel, mais elle n’en est pour autant pas la seule. Fort longtemps avant elle, le philosophe Aristote mettait déjà en garde contre les dérives induites par nos propres sentiments, ainsi que nos émotions et nos tentations, qui « privent l’homme de sa faculté à raisonner ».

    Le problème, c’est que cet enseignement est incompatible avec l’impératif de croissance qui caractérise notre société. Car le consumérisme n’a pas besoin de sages ni de philosophes qui se gardent de céder à leurs tentations, mais bien au contraire de gens « qui se lâchent » sans aucune forme de retenue. Le consumérisme implique à cet égard de consentir à l’excès. Il suppose de se soumettre à toutes les pulsions qui traversent nos corps. Par conséquent, l’humanité nouvelle dont le monde moderne a besoin est plus que jamais émotive, impulsive et compulsive. C’est pourquoi notre société promeut tant que faire se peut les comportements les plus débridés qui soient : YOLO et carpe diem ! Au nom du profit, personne ne doit plus entendre parler de retenue comportementale. Il s’agit de délaisser notre morale et nos traditions. Alors au diable nos vieux enseignements de modération. On disqualifiera socialement ceux qui persisteront à s’en réclamer. On dira d’eux qu’ils sont ringards, « réacs » et parfois même « fascistes ». N’essayez pas de comprendre. Contentez-vous de consommer. Soumettez-vous aux désirs que les communicants stimulent dans votre inconscient, et surtout prenez du plaisir, encore et encore, jusqu’à ce que vous deveniez accros à ce mode de vie.

    Soumission consentie

    Indéniablement, l’idéologie du Progrès est séduisante. Car même le plus sage d’entre nous ne cessera jamais d’être tenté. Nous apprenons certes à dominer nos pulsions, mais il n’est pas possible de s’en défaire totalement. Elles continuent de vivre en nous. Le Système se consacre donc à les solliciter, beaucoup plus qu’elles ne sont naturellement censées l’être, jusqu’à ce qu’on y cède.

    Alors on cède. Cela peut arriver n’importe quand, dans un moment de faiblesse par exemple. Ce n’est pas quelque chose de grave, car on se contente généralement de céder avec modération. Et puis, à force, cela devient une habitude. Il faut dire que nos vies ne sont pas toujours simples. Le travail et le stress nous incitent à relâcher la pression. C’est ainsi que, peu à peu, la soumission consentie aux pulsions qui nous traversent devient un véritable mode de vie, et nous devenons ainsi les esclaves du monde moderne.

    Ainsi, et afin de ne nous laisser aucune chance d’y échapper, nos sociétés modernes sont devenues progressivement le lieu d’une hypersexualisation du désir. Ce n’est pas surprenant, car le plaisir charnel est de toutes nos tentations la plus puissante et incontrôlable qui soit. C’est elle qui plus que toute autre est susceptible de nous convaincre de nous « laisser aller », au point de renoncer peu à peu à toutes les frontières morales que l’on s’était précédemment imposées. C’est elle qui plus que toute autre nous conditionne au diktat de nos propres émotions. C’est elle qui plus que toute autre peut nous convaincre de renoncer aux limites qui jadis garantissaient notre liberté. Le système est malin. Il sait que nul n’est plus esclave que celui qui chérit ses chaînes : celles du désir, celles de l’envie, celles du plaisir.

    Il n’est pas surprenant, dans de telles conditions, que notre société soit devenue le vecteur de tout un tas de revendications d’apparence « libertaires », à l’instar des discours ultra-déconstructivistes que revendiquent les LGBT. Le but est ici inchangé : inciter les peuples à l’abandon progressif de leurs anciennes frontières morales. Célébrer l’exubérance individuelle et l’impulsivité sexuelle au profit d’une société nouvelle et outrancièrement consumériste.

    Déconstruction et éducation

    L’enseignement public français contribue largement au conditionnement mental de notre jeunesse, comme en témoigne le propos suivant de Vincent Peillon, ami revendiqué des francs-maçons et ancien ministre de l’Education nationale, dans un ouvrage intitulé La Révolution française n’est pas terminée.

    L’auteur y déclare sans détour que la morale laïque — c’est-à-dire déconstruite — « doit permettre à tout un chacun de s’émanciper dans le respect des libertés ». Mais de quoi précisément les progressistes voudraient-ils nous émanciper ? La réponse est donnée plus loin : « Il faut être capable d’arracher l’enfant à tous ses déterminismes : familial, ethnique et culturel… » Il s’agit donc ici d’une « libération » dans la déconstruction cognitive totale. Cette méthode devrait nous inciter à la plus grande méfiance. Notons que Vincent Peillon n’a pas jugé utile d’en appliquer le principe à ses propres enfants, dont les prénoms ne révèlent aucun souhait apparent d’éducation « déconstruite ». Il serait donc légitime de demander pourquoi les progressistes ont si souvent tendance à prôner pour les autres enfants presque tout l’inverse de ce qu’ils réservent aux leurs. Le lecteur trouvera sans doute « par lui-même » l’explication qui lui semblera la plus juste.




    Sénateur Malcom Roberts : « Le FEM veut contrôler aussi l’agriculture »

    [Source : Ciel voilé]






    Septembre 2001 aux États-Unis : quelle fut l’origine des événements ?

    Par Christian DARLOT

    Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences.

    Sénèque

    La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins.

    Edmund Burke

    Tout pouvoir est une conspiration permanente.

    Honoré de Balzac

    La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable.

    Mark Twain

    On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles.

    Georges Courteline

    Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique.

    Marshall McLuhan

    Le bobard dément prépare le bombardement.

    Éphraïm Camember, 29 juillet 1881

    Résumé :

    Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis furent prétexte à des guerres dévastatrices, et la dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de ces attentats éclairent leur origine et leur dessein.

    Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

    Table des matières

    • 1 Coïncidences

      • 1.1 Coïncidences à Manhattan
      • 1.2 Coïncidences au Pentagone
      • 1.3 Coïncidences économiques et politiques

    • 2 Disparition des avions

      • 2.1 Complicités
      • 2.2 Leurres
      • 2.3 Avion abattu
      • 2.4 Avion détourné
      • 2.5 Appels téléphoniques
      • 2.6 Victimes
      • 2.7 Accusation

    • 3 Scénario imaginable

      • 3.1 Destruction des tours
      • 3.2 Choix imposé au Gouvernement

    • 4 Puissances étatiques et supra-étatiques

      • 4.1 Négociations internationales ; le prix du silence
      • 4.2 Conséquences politiques
      • 4.3 Réseaux oligarchiques.

    Un article précédent a montré que la version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat contre le Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction des tours : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias. Comment ces évènements furent-ils possibles ?

    1 Coïncidences

    Des coïncidences étonnantes accompagnèrent ces évènements extraordinaires. 1

    1.1 Coïncidences à Manhattan

    – Une société de sécurité du World Trade Center, Securacom, était dirigée par un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III, et une autre par un frère de Cheney. Or, le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux de maintenance.

    – Un exercice de réaction à une attaque terroriste biologique, Tripod II, était organisé à New York et programmé pour le lendemain, 12 septembre. De nombreux secouristes avaient été rassemblés depuis plusieurs jours, et un centre de commandement avait été installé sur un quai du fleuve Hudson. Ces préparatifs furent bien utiles, puisque le Bureau de gestion des urgences de New York, situé dans la tour n° 7, devint bientôt indisponible ! 2

    – Au matin du 11 septembre, plusieurs sociétés ayant des bureaux dans les tours envoyèrent à leurs employés des courriels leur enjoignant de ne pas venir ce jour-là, ou de partir au plus vite.

    – Un des hommes les plus riches du monde, Warren Buffet, organisait ce 11 septembre un « petit déjeuner de charité » et un tournoi de golf sur le site militaire d’Offutt, siège de l’US STRATCOM (STRATegic COMmand, commandement des armes atomiques, doté d’un bunker souterrain à 18 mètres sous le niveau du sol), où George Bush passa au cours de l’après-midi. Cette base était aussi le poste de commandement d’un exercice en cours. Plusieurs dirigeants d’entreprises ayant leur siège dans les tours du WTC avaient été invités et étaient arrivés la veille au soir. Pour employer comme lieu de fête une base militaire très importante, l’assentiment du Secrétaire à la Défense était évidemment nécessaire.

    – Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux. 3 Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n° 7, il avait acquis six semaines auparavant les tours jumelles, immeubles déficitaires, et les avait assurées séparément contre des attentats, chacune pour une valeur de 3,6 milliards de dollars. 4 En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance et les compagnies de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance !

    – Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines auparavant par le groupe de « performance » Gelatin qui fit pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de la tour. Que se passa-t-il à l’intérieur ? L’assureur des Tours jumelles, Maurice Greenberg dirigeait depuis 1993 Kroll Incorporated, une société de sécurité du World Trade Center. 5 En 1999, son fils Jeffrey Greenberg devint PDG de la société de gestion de risques Marsh & McLennan, dont des bureaux occupaient huit étages, du 93e au 100e. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages ; 295 membres du personnel furent tués.

    – Après la première explosion dans la tour nord, cinq hommes sommairement travestis en Palestiniens furent aperçus dansant et se filmant sur fond de tour en flammes. Signalés par des passants à la police, ils furent arrêtés, se déclarèrent Israéliens, et furent identifiés comme agents du Mossad, agissant sous la couverture d’une entreprise de déménagement du New Jersey, en réalité inexistante. 6 Quelques semaines plus tard, ils furent libérés par l’intercession de Michael Chertoff, fonctionnaire antiterroriste au Département de la Justice, doté des deux nationalités étasunienne et israélienne. 7 Expulsés des États-Unis, ils déclarèrent à une chaîne de télévision israélienne qu’ils étaient venus à New York pour « couvrir l’évènement ». 8 Les pompiers prévoyants vérifient en effet le bon fonctionnement des pompes et l’étanchéité des tuyaux la veille d’un incendie.

    – Selon le WTC Building Performance Report publié en mai 2002 par la FEMA le bâtiment 7 abritait des bureaux du Département de la Défense, de la CIA (le plus grand hors de Washington) et d’autres agences (NSA, FBI), de la Security and Exchange Commission SEC (institution fédérale de contrôle des marchés financiers), de l’Internal Revenue Service (le fisc) et un dépôt d’archives judiciaires contenant, parmi bien d’autres, des dossiers sur la manipulation par ENRON des tarifs de l’électricité en Californie. Les documents sur ces malversations furent ainsi fort opportunément détruits.

    Au 23étage, le centre de surveillance et d’alerte de l’agglomération new-yorkaise, aménagé deux ans auparavant pour un coût de 13 millions de dollars, devait permettre de gérer en lieu sûr une crise grave (ouragan, attaque terroriste). Il fut détruit, mais par bonheur fut suppléé par le centre de commandement installé pour l’exercice Tripod II ! 9

    1.2 Coïncidences au Pentagone

    – En mars 2001, Bruce Hoffman, un dirigeant de la Rand Corporation, déclara à des officiers supérieurs de l’armée de l’air étasunienne : « Nous essayons de préparer nos armes contre Al-Qaïda, l’organisation — ou peut-être le mouvement — associé à Ben Laden. […] Pensez un moment à ce que fut l’attentat à la bombe contre le World Trade Center en 1993. Maintenant, considérez qu’il est possible de faire tomber la tour nord sur la tour sud et de tuer 60 000 personnes. […] Ils trouveront d’autres armes, d’autres tactiques et d’autres moyens pour atteindre leur cible. Ils ont un choix évident d’armes, dont […] les drones. »

    – Un exercice Mass Casualty MASCAL, code Abbotsville, en mai 2000, prévoyait la frappe d’un avion contre la façade ouest du Pentagone, celle où l’explosion se produisit le 11 septembre 2001. Entre le 24 et le 26 octobre 2000, un autre exercice MASCAL éprouva la préparation des équipes d’intervention d’urgence en cas d’écrasement d’un Boeing 757. 10

    – Quelques jours avant le 11 septembre 2001, des experts en explosifs nucléaires du ministère de la Défense avaient été envoyés en Allemagne pour une visite de courtoisie. Colin Powell était parti pour deux jours à Lima, et d’autres personnalités du ministère étaient absentes.

    – Selon M. Dov Zakheim, sous-secrétaire d’État à la Défense et contrôleur budgétaire, des milliards de dollars manquaient, pour l’année 2000, dans les comptes du Département de la Défense des États-Unis, et des titres douteux venaient à échéance au 12 septembre, ce qui ne l’empêcha pas de partir en voyage, lui aussi en Allemagne. Un audit fut annoncé par le Secrétaire d’État à la Défense, M. Donald Rumsfeld, et le matin même du 11 septembre 2001 des contrôleurs budgétaires commencèrent à enquêter sur ces détournements de fonds, en étudiant les archives du budget du ministère de la Défense, récemment transférées dans cette partie rénovée du Pentagone. Les archives brûlèrent. Dans cette aile du Pentagone venait aussi de s’installer un service de renseignement de la Marine, l’ONI (Office of Naval Intelligence), dont plusieurs membres furent tués. Officiellement 125 personnes furent tuées au Pentagone, et parmi elles 34 étaient comptables ou analystes, tous civils. Avis aux entendeurs.

    – Ce jour même, pour des manœuvres de l’armée de l’air, des avions avaient été envoyés en mission dans toutes les directions. Le thème de ces manœuvres Vigilant Warrior et Vigilant Guardian était « des avions détournés frappent des immeubles », et une manœuvre de moindre envergure simulait l’écrasement d’un avion sur le siège d’une agence de renseignements. Des silhouettes d’avions fictifs étaient insérées sur les écrans parmi celles représentant des avions réels. 11 Aussi les aiguilleurs du ciel peinaient-ils à distinguer la fiction de la réalité supposée. Ce jeu de guerre ne fut interrompu qu’une heure environ après les évènements à Manhattan.

    D’autres exercices annuels en cours, Northern Guardian et Northern Vigilance, simulaient une attaque russe. Les chasseurs de la défense aérienne patrouillant habituellement au Nord-Est étaient donc partis en Alaska et au Canada. Les dates habituelles de sept exercices aériens avaient été modifiées pour inclure le 11 septembre parmi les jours de leur déroulement.

    – À l’occasion de ces manœuvres, des spécialistes de la défense aérienne avaient été déplacés (en congé ou en mission) et remplacés par des militaires sans expérience du poste auquel ils étaient provisoirement affectés. Ce bouleversement de l’organigramme du commandement fut évidemment décidé avec l’accord de chefs militaires hauts gradés, par des fonctionnaires haut placés dont beaucoup avaient deux nationalités, étasunienne et israélienne, et étaient liés au « Project for a New American Century » (PNAC).12Ce cercle politique professait que seul un « nouveau Pearl Harbour » ferait accepter au peuple étasunien les actions nécessaires pour faire perdurer la domination mondiale des États-Unis. 13 

    – Selon des sources militaires, à cause de ces manœuvres, quatre chasseurs seulement étaient armés et prêts à décoller à la base d’Andrews protégeant la capitale, à une vingtaine de kilomètres de Washington. Les avions de chasse volèrent à des vitesses anormalement lentes, et les F-18 du Corps des Marines, basés aussi à Andrews, ne furent pas envoyés intercepter le prétendu Boeing 757 s’approchant de Washington. 14

    – Alors que le pays paraissait attaqué, Donald Rumsfeld, joua au brancardier amateur. Il resta injoignable pendant une demi-heure et ne participa aux réunions qu’après 10 heures, une heure et quart après le début des évènements. Force est de conclure qu’il laissait les militaires prendre des décisions et assumer la responsabilité de la suite. Le Secrétaire d’État à la Défense gambadant sur la pelouse…15 Abandon de poste ; on en a démis pour moins que cela.

    – La société AMEC Construction Management, qui venait d’achever des travaux dans cette aile du Pentagone, 16 fut aussitôt chargée du déblayage par Donald Rumsfeld, sans appel d’offres. Outrepassant son pouvoir de Secrétaire d’État à la Défense, Rumsfeld la fit aussi participer au déblayage des ruines du World Trade Center, à New York et non à Washington. 17

    – Les contrats avec l’État, liés aux guerres, rapportèrent plusieurs milliards de dollars à la société Halliburton où Richard Cheney avait exercé, entre deux épisodes politiques. 18 Contrats de gré à gré, bien entendu, dont, au mépris de la Constitution, une part revenait à Cheney.

    – Un incendie eut lieu le 11 septembre au matin, non au Pentagone, mais dans une annexe de la Maison-Blanche. Ce sinistre rarement mentionné paraît couvert par le secret.

    1.3 Coïncidences économiques et politiques

    – Les services d’espionnage anglo-saxon, dont le fameux ÉCHELON des « cinq yeux », prétendent détecter, par analyse sémantique, même l’emploi de termes voilés dans des messages. Ces préparatifs leur auraient pourtant échappé ? Des services de renseignement allemand, français, israélien, jordanien, marocain, russe, affirmèrent avoir prévenu les services étasuniens de risques de détournements d’avion, dès janvier 2001 et encore au cours de l’été. 19 Qui intoxiqua qui ?

    – Au cours des jours précédents, des achats de 5 milliards de dollars de bons du Trésor étasunien, et le volume inhabituel des achats d’options à la baisse des actions en bourse des compagnies aériennes prouvent que des spéculateurs financiers anticipaient les attaques. 20

    – Un projet d’exploiter les réserves de pétrole et de gaz d’Asie centrale, étudié depuis plusieurs années, nécessitait de faire passer un oléoduc et un gazoduc à travers l’Afghanistan. En 1997, des délégués du gouvernement taliban furent invités au siège de l’Union Oil Company of California, Unocal, sis au Texas dont George W. Bush était alors gouverneur, mais ce projet buta sur les droits de passage demandés par les Talibans. En février 1998, John J. Maresca, ancien diplomate et personnalité éminente du Pentagone, alors vice-président pour les relations internationales d’Unocal, affirma au Comité des relations internationales du Congrès qu’un gouvernement afghan favorable aux États-Unis serait nécessaire pour que ce projet aboutisse. Quelques jours avant les attentats, les négociateurs étasuniens avaient menacé les négociateurs afghans d’une invasion. 21 Selon le quotidien israélien Ma’ariv, les bases militaires étasuniennes bâties en Afghanistan après l’invasion jalonnaient le trajet projeté. 22

    – Associées dans l’industrie pétrolière, les familles Bush et Séoud tenaient ce jour-là une réunion. 23 Quoique les autorités étasuniennes aient interdit à l’aviation commerciale mondiale toute liaison avec les États-Unis, des ressortissants séoudiens purent quitter les États-Unis. 24 Un Boeing 707 s’envola aussi vers Tel-Aviv.

    – Une semaine après les attentats, des lettres contenant des bacilles du charbon, modifiés en laboratoire, furent envoyées à des personnalités politiques, dont les sénateurs Patrick Leahly et Tom Daschle, qui tentaient d’amender le Patriot Act. Vingt-deuxpersonnes furent contaminées dont 5 moururent. L’enquête incrimina le biologiste Bruce Irvins, 33 ans de service au laboratoire militaire de Fort Detrick, mais « déséquilibré mental ayant agi seul » (un de plus !) et opportunément suicidé en août 2008 à la veille de son arrestation. Néanmoins George Tenet, directeur de la CIA en 2001, vante dans ses mémoires (2007) l’efficacité de cette agence pour retracer ces lettres piégées jusqu’à leur origine : Al-Qaïda. Pudiquement nommé US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, ce laboratoire spécialisé dans les armes biologiques est devenu fameux par sa participation aux manipulations du virus du Covid.

    – Deux centaines de ressortissants israéliens furent expulsées au cours des jours suivants. 25

    – Des membres de la commission d’enquête sur les attentats participaient à des firmes pétrolières, à des compagnies aériennes, à Boeing, ou à des sociétés en lien avec la CIA, avec Larry Silverstein, ou dont l’activité dépendait de la situation politique, comme la compagnie de mercenariat Blackwater. D’autres furent ensuite compromis dans des scandales comme la faillite frauduleuse de l’institution de garantie immobilière Fannie Mac. La commission fut présidée d’abord par Henry Kissinger, qui démissionna pour ne pas révéler les noms des clients de son cabinet de conseil, puis par Thomas Kean, en relation d’affaires avec les familles Bush et Ben Laden. 26 La commission était dirigée autoritairement par Philipp David Zelikow27, collaborateur proche de Richard Cheney, Condolizza Rice et Karl Rove. 28

    2 Disparition des avions 

    2.1 Complicités

    Au début de juin 2001, le Secrétaire d’État à la Défense, Donald Rumsfeld, modifia les procédures coordonnant l’aviation civile et la défense aérienne, établies depuis les années 60. Il retira aux commandants des bases le pouvoir de décider et se l’attribua à lui — même.

    Les pirates de l’air auraient réussi à détourner pas moins de quatre avions de ligne sans provoquer d’alerte. Comment déjouer les services de sécurité de plusieurs aéroports en même temps ? La société de sécurité était israélienne, originaire d’un pays en alerte permanente. Nulle preuve de leur présence dans les aéroports ni à bord des avions ne fut présentée. Les procédures de sécurité à bord sont strictes, l’accès à la cabine de pilotage est réglementé, et le personnel navigant est attentif et entraîné à réagir aux imprévus.

    Ces habiles pirates ne savaient pas piloter ; tout au plus quelques-uns étaient-ils capables de faire des ronds dans l’air à bord d’avions d’écolage. Pourtant ils auraient pris les commandes d’appareils très complexes, qu’ils n’avaient jamais pilotés, et pour changer de route sans être repérés, auraient débranché les « transpondeurs » assurant les communications, dont ils connaissaient donc le fonctionnement. Ils auraient volé à basse altitude pour ne pas être repérés par les radars civils, mais cette ruse ne permet pas d’échapper aux radars militaires. Des avions de chasse sont à tout instant prêts à décoller, interviennent plusieurs fois par jour, et mettent en moyenne un quart d’heure à joindre un avion s’écartant de sa route. Comment détourner quatre avions pendant 33, 49, 83 et 112 minutes, sur 500 km, sans être interceptés ? 29

    Trois jours après seulement, le FBI publia sur une affiche les photos et les noms de 19 suspects, dont six étaient « supposés » pilotes et huit « présumés » Séoudiens. La date de naissance de sept seulement était connue, et la nationalité de huit ne l’était pas ; 6 habitaient en Arabie, Égypte, Maroc et protestèrent véhémentement contre cette usurpation d’identité qu’ils demandèrent aux consulats étasuniens de reconnaître en publiant un démenti.

    2.2 Leurres

    La chasse aérienne chercha en vain deux avions au-dessus de l’Atlantique. La confusion des vrais avions et des leurres insérés, pour les manœuvres, sur les écrans du contrôle aérien laisse planer le doute sur leur trajet et même sur leur envol. Décollèrent-ils ? Atterrirent-ils sur un aéroport discret, mais doté d’une piste de longueur suffisante ? Ont-ils été démontés dans un hangar ? Ou même, scénario rocambolesque : furent-ils jetés dans l’Atlantique et les équipages récupérés par un navire croisant par-là ?

    2.3 Avion détourné

    Un avion fut peut-être réellement détourné, mais plutôt piloté par des complices. Il pourrait avoir atterri sur la base aérienne militaire Westover dans le Massachusetts, dont le personnel avait été averti la veille que la base serait fermée ce jour-là. De cet avion partirent les appels téléphoniques des hôtesses, dont les paroles paraissent avoir été choisies pour faire passer à demi-mots un message de détresse. Le sort de l’avion et des passagers est inconnu.

    2.4 Avion abattu

    L’avion United Airlines 93 (« Let’s roll! ») s’écrasa en Pennsylvanie, officiellement près de Shankville, dont des habitants dirent avoir entendu un sifflement et une explosion. Les autorités locales ne trouvèrent que quelques débris, mais de grands morceaux furent trouvés à 14 km de là, près d’un lac. Le FBI boucla le site de Shankville et annonça que l’avion s’était enfoncé profondément dans le sol meuble (sic), puis qu’il avait été déterré, mais pas reconstitué selon l’usage. Pourtant placées dans la queue de l’avion, les deux « boîtes noires » auraient été trouvées à 3 m et 8 m de profondeur. Un avion-taupe. Cet avion fut vraisemblablement abattu par erreur, parce qu’il ne s’était pas posé assez vite après l’interdiction de vol.

    2.5 Appels téléphoniques

    Plusieurs appels téléphoniques auraient été envoyés par des passagers à leurs proches. Ces appels ont été si abondamment commentés qu’un résumé est inutile. Le plus célèbre est celui de Barbara Olson, seule personne à avoir décrit des pirates tenant en respect tout l’équipage et les passagers en brandissant des coupe-papiers. Des armes comme le pistolet Glock 17 sont conçues pour n’être pas détectées par les portiques de sécurité, mais les pirates auraient préféré des cutters contraignant au corps à corps. Le seul témoin fut Barbara Olson, et l’enquête montra l’inexistence de son appel téléphonique. En 2001 la technique ne permettait pas de communiquer par téléphones portables en vol, et les appareils de bords avaient été supprimés. Tous ces messages furent donc émis à partir du sol, y compris ceux des hôtesses. Le téléphone du passager censé avoir lancé le cri de ralliement « Let’s roll! » fonctionna encore pendant 15 minutes après l’écrasement de l’avion ! Les récits sur des appels prétendument envoyés par des passagers à leurs proches pendant le vol participèrent donc à la mise en scène.

    2.6 Victimes

    Le FBI interdit promptement de publier des informations sur les passagers, le vol, et même l’heure de décollage. 30 Composer une liste de passagers bidon est au programme du premier cycle de barbouzologie. 31 Des personnes furent toutefois vraiment tuées dans l’avion tombé en Pennsylvanie et vraisemblablement dans celui d’où partirent les appels des hôtesses.

    2.7 Accusation

    Le grand coupable, M. Oussama Ben Laden, fut officiellement désigné six heures après ; jamais enquête ne fut si rapide. Les télévisions et la presse battirent aussitôt furieusement du tam-tam, empêchant d’argumenter raisonnablement. Lancée dès les premières heures par des personnalités politiques, cette accusation ne put plus être discutée. Pourtant M. Ben Laden ne fut pas inculpé aux États-Unis pour ces attentats, dont il condamna la lâcheté le 16 septembre 2001, par un communiqué sur la chaîne d’information Al Jazeera. Il était alors soigné à l’hôpital militaire de Rawalpindi, protégé par les autorités pakistanaises pourtant alliées aux étasuniennes. Le 28, il déclara à des journalistes du quotidien pakistanais Ummat : « Je n’avais pas connaissance des attaques, je ne considère pas le meurtre de femmes, d’enfants et d’autres êtres humains innocents comme un acte louable… Un gouvernement existe dans le gouvernement des États-Unis. C’est à ce gouvernement secret qu’il faut demander qui a organisé les attentats ». Deux fois encore, il affirma n’avoir pas participé à ces attentats. 32 Les vidéos où il s’en vante furent reconnues fausses par l’institut suisse Dalle Molle, dont l’expertise fait autorité pour authentifier des enregistrements audio et vidéo. 33 Des revendications d’origine inconnue ne furent pas confirmées ensuite : étonnante discrétion de la part d’un mouvement terroriste supposé capable d’organiser secrètement, du fond d’une grotte, des attentats d’une telle ampleur. 34

    Selon les notices nécrologiques publiées par la presse du Proche-Orient et par Fox News, puis confirmées le 19 janvier 2002 par M. Pervez Musharraf, président du Pakistan, M. Oussama Ben Laden mourut d’insuffisance rénale en décembre 2001 et fut enterré dans les montagnes au sud-est de l’Afghanistan. Pour le besoin de leur scénario, les organisateurs le firent survivre fictivement encore dix années. 35

    3 Scénario imaginable

    Les arguments physiques exposés dans l’article précédent ne pourraient être réfutés que par d’autres arguments physiques, mais l’interprétation des agissements humains présentée ci-dessous pourrait être révisée si de nouvelles informations étaient révélées. Quoique la vérité ne soit pas encore connue avec certitude — mais cela viendra — une vue rétrospective des faits permet de proposer un scénario, dont la cohérence reconstruite est évidemment discutable. Sa critique argumentée permettrait de progresser vers une compréhension réaliste des évènements.

    Des groupes différents pourraient avoir organisé des complots gigognes emboîtés 36 :

    – Un « petit » complot, dont les instigateurs étaient les Bush et les Séoud, aurait visé le Pentagone pour mettre en scène un attentat fictif contre un ministère d’État, afin de fournir un prétexte à envahir un pays souverain, l’Afghanistan.

    – À l’insu de ses organisateurs, ce « petit complot » aurait été éventé par des agents d’un État du Proche-Orient, qui auraient organisé un « grand » complot visant à contraindre les États-Unis à mener des guerres au Proche-Orient, non seulement pour le pétrole, mais surtout dans l’intérêt de cet État, afin de détruire les capacités militaires et économiques des États voisins. Après les évènements, les organisateurs du grand complot auraient fait plier ceux du petit. 37

    3.1 Destruction des tours 

    Qui déclencha les bombes ? Les organisateurs du complot ou les chefs militaires ?

    – Puisque chaque pays pratique le secret militaire, le nombre de bombes atomiques dans le monde n’est pas connu précisément. Elles ne paraissent pas aussi bien gardées que les humains sains d’esprit le souhaiteraient ; ainsi, lors de la dissolution de l’URSS, une partie de l’arsenal disparut, et pas seulement des chars ou des armes à feu. Les organisateurs pourraient ainsi avoir disposé eux-mêmes de bombes. 38

    – La multiplicité des manœuvres aériennes ce jour-là prouve le pouvoir des organisateurs sur le ministère de la Défense. Les chefs militaires sont en charge de la sécurité du pays ; ils s’attendaient à un attentat : pourraient-ils avoir été induits en erreur ? Au cours de l’été précédent, ils peuvent avoir fait entreposer des bombes thermonucléaires dans le bâtiment n° 7, centre de gestion de tous les bâtiments du World Trade Center, afin de pouvoir procéder si nécessaire à une démolition d’urgence. Nul danger à stocker ce type d’explosif, tout à fait stable tant que les deux parties de la masse critique de la bombe-amorce restent séparées. 39

    Leur réaction pourrait donc être imaginée ainsi :

    « Alertés dès les explosions dans les tours, les chefs militaires ne crurent évidemment pas un instant à la fable des avions, mais supposèrent que des missiles étaient entrés dans les tours, et pas pour y placer des bombes à confettis. Ces chefs étaient à Washington, loin de New York, ne disposant que d’informations partielles et sans les experts en explosifs nucléaires, mais face à un dilemme auquel ils avaient déjà réfléchi : risquer qu’une explosion nucléaire à 300 m au-dessus du sol, altitude idéale, détruise la ville, causant peut-être 10 millions de morts, ou détruire les tours et ainsi les bombes supposées y avoir été placées par des missiles, en faisant certainement périr les personnes qui y étaient. La destruction mécanique d’une bombe nucléaire ne déclenche en effet pas d’explosion nucléaire. Afin de minimiser les pertes humaines, les chefs militaires donnèrent eux-mêmes l’ordre de placer les bombes de démolition dans les loges souterraines, et de les faire exploser. Une heure fut nécessaire pour la mise en place, sans doute via des tunnels partant du bâtiment 7, puis pour permettre aux opérateurs de se carapater en refermant les portes blindées. Ainsi, les bombes auraient été déclenchées sur ordre de chefs militaires ignorant le complot, et pas sur ordre des comploteurs. »

    Mouiller les militaires à leur insu serait très habile ; un trait de génie (de génie du mal !).

    Comment estimer la vraisemblance de ce petit roman ?

    Quoiqu’il en ait été, au cours de l’après-midi le bâtiment 7 (troisième tour) fut détruit par le même procédé, effaçant des indices sur la technique employée. 40

    3.2 Choix imposé au Gouvernement

    Pendant toute la journée, le Président de la République étasunienne, M. G. W. Bush, fut promené en avion. 41 Complice du petit complot ? 42 En activant le plan de « continuité du gouvernement » hors des conditions légales puisque le Président était mis à l’écart volontairement, le Vice-Président Richard Cheney et le Secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld usurpèrent le pouvoir. Coup d’État. 

    Le soir, devant le Gouvernement et les chefs militaires réunis à Raven Rock — le QG souterrain creusé dans les Appalaches — les organisateurs du grand complot donnèrent le choix aux autres dirigeants : obéir, ou supporter le poids d’une accusation les incriminant, mais disculpant les organisateurs. Les dirigeants accréditèrent la version qui leur fut dictée. 43

    Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent.

    Les chefs militaires n’eurent d’autre option que d’obéir, eux aussi, aux ordres d’attaquer les pays du Proche-Orient. 44 À chaque niveau de commandement, une vérité fut inventée pour le niveau inférieur. 45 Quelques militaires furent promus. 46 Le cafouillage de la défense aérienne et la vulnérabilité du Pentagone écornèrent la réputation de l’armée étasunienne : l’apparence d’une incompétence stupéfiante fut le prix que les organisateurs du complot firent payer au pays pour qu’il paraisse agressé. Omerta : l’irradiation de Manhattan pendant plusieurs mois était inavouable ; la panique eût emporté l’économie étasunienne.

    Quoique spéculative, cette interprétation des évènements est fondée sur des faits avérés. La révélation de nouvelles informations pourrait évidemment conduire à la réviser, et sa critique argumentée permettrait de l’améliorer.

    Conclusion 

    Les moyens techniques, les coïncidences, et la biographie des participants aux évènements montrent que les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan furent organisés par des services secrets des États-Unis et d’un petit État du Proche-Orient, en lien avec une partie de leur gouvernement. 47 Depuis 2001, les dirigeants des États-Unis obéissent à ceux de ce petit État.

    Bien entendu, la plupart des ressortissants de ces États n’ont pas pris part à ces crimes. Cela va de soi, mais dans le trouble général mieux vaut le rappeler. 48

    4 Puissances étatiques et supra-étatiques

    4.1 Négociations internationales ; le prix du silence

    Les réseaux de détection établis pour surveiller les essais nucléaires mesurent précisément, même à des milliers de km, les effets des explosions : ondes sismiques et émissions de radionucléides. Les dirigeants des principales puissances du monde, les membres permanents du Conseil de Sécurité, plus l’Allemagne, le Canada, et peut-être d’autres, furent alertés le jour même et reçurent un rapport de leurs services de renseignement dans la semaine. 49 Tous les États feignirent de croire à la version officielle des évènements, faute d’avoir la puissance politique suffisante pour la contredire. Après vinrent les négociations : d’un côté les demandes « Cessez de susciter des troubles dans le Caucase », « Ne vous mêlez pas de la situation au Tibet ni au Turkestan oriental », « Laissez-nous nos puits de pétrole en Irak », et de l’autre côté les menaces « Rappelez-vous que nous contrôlons l’information et la finance ; ne risquez pas d’être calomniés, déconnectés du réseau de paiement international ou soumis à des spéculations contre vos titres de dette. ».

    4.2 Conséquences politiques

    L’attentat de Manhattan fut prétexte à promulguer des lois restreignant les libertés, à organiser la surveillance de masse et à déclencher des guerres, tout cela dans des délais si brefs qu’ils révèlent des textes déjà rédigés et des agressions déjà planifiées. 50 Les lois coercitives furent ensuite étendues aux pays vassaux des États-Unis. 51 Vingt ans après, « l’urgence sanitaire » et « la menace sur le climat » servent de prétexte à imposer d’autres contraintes tyranniques. Un totalitarisme s’installe, surveillant sans cesse davantage les citoyens.

    Les accords entre puissances ne valent que quelques années. Dès 2003, le refus opposé par les dirigeants de la France à l’agression contre l’Irak 52 décida les gouvernants anglo-saxons à spolier les firmes pétrolières françaises de leurs investissements en Irak, et à soumettre définitivement le rival millénaire. En mars 2003, Condoleezza Rice, alors conseillère du président G. W. Bush pour la sécurité nationale, déclara :

    « Il faut ignorer l’Allemagne, pardonner à la Russie et punir la France. »

    En 2005, un autre coup d’État eut lieu, en France cette fois : l’AVC de Chirac fut l’occasion du retour de Sarkozy au Gouvernement, puis de sa promotion à la Présidence. 53 La France a depuis perdu toute indépendance. En résultèrent successivement le traité de Lisbonne, la vente de réserves d’or, la soumission de la France au commandement de l’OTAN, l’envoi de militaires en Irak et en Afghanistan, la participation aux agressions contre la Libye et la Syrie, contraires au Droit international et aux intérêts de la France.

    Les Présidents de la République Française sont désormais des larbins de l’oligarchie mondialiste, choisis et promus par leurs maîtres. La soumission s’est aggravée depuis 2017. Le freluquet qui feint de diriger est un gauleiter en escarpins. Il applique les ordres reçus : vente à la découpe de l’industrie française, ruine de l’agriculture, répression violente des opposants, complicité dans la covidinguerie, approbation du pacte migratoire, aide active au régime installé en Ukraine par le coup d’État de 2014, et à présent adhésion servile aux sanctions contre la Russie et soutien à l’expansionnisme génocidaire israélien.

    4.3 Réseaux oligarchiques.

    Ces attentats permettent d’apercevoir les desseins des suprémacistes étasuniens et israéliens, et aussi ceux des mondialistes. L’empire du mensonge est celui de la finance. Par les participations croisées à leur capital, les firmes supranationales, industrielles et financières, sont intégrées en réseaux mondiaux. Leurs décisions visent la maximisation du profit, quelles qu’en soient les conséquences, et la rivalité les y contraint. Leurs budgets sont comparables à ceux d’un État moyen. 54 Elles entretiennent des services d’analyse, de programme et d’action, mènent leur propre politique 55 et influencent les gouvernements, au point à présent de choisir les candidats présentés aux électeurs et de changer à leur gré le résultat des élections. Les dirigeants les plus puissants se concertent, puis donnent force publicité aux desseins prétendument généreux exposés par leurs représentants à Davos, au Bilderberg ou au G7. 56 Une apparence de débat couvre les arrangements, et les décisions sont dictées aux institutions supranationales comme l’OMS ou l’Union Européenne, qui les imposent aux États et ceux-ci aux citoyens.

    L’oligarchie mondiale n’est évidemment pas coiffée par une « coupole » centrale dirigée par le capo dei capi omniscient, dont les ordres seraient inexorablement appliqués. Les personnes, les firmes, les États, ont de multiples intérêts pratiques ou idéologiques, parfois convergents, souvent divergents. Dans ces vastes réseaux de complicités et de duplicités, conflits et ententes alternent, et quelquefois de véritables complots se trament, comme lorsque deux banques s’entendent pour pousser une rivale à la faillite, se partager ses dépouilles, et déclencher une crise permettant de rafler des actifs financiers ou réels. Tantôt adversaires, tantôt alliés, les rivaux coopèrent pour de grands projets, comme l’illustre l’aggravation délibérée de l’épidémie de Covid 57 : quelles que soient l’origine du virus à la mode et sa dangerosité pour les personnes faibles, il a permis d’endetter les États et de donner aux grandes firmes des milliards créés sans contrepartie par les banques centrales qu’elles dirigent. Il sert de prétexte aux dangereux vaxxins et au contrôle social nécessaire à la « Grande Réinitialisation ». 58

    L’analyse présentée dans ces deux articles peut choquer des personnes généreuses ; pourtant, dès lors que la conspiration est prouvée, ce ne sont pas les « complotistes » qu’il faut blâmer, mais les comploteurs. Malgré leurs conflits, les factions oligarchiques s’unissent dans leur volonté de dominer les peuples. Les attentats sous faux drapeau, les tensions internationales et les guerres, en Ukraine et au Proche-Orient, participent à leurs stratégies. Comprendre leurs desseins et leurs méthodes est indispensable pour nous libérer.

    Libérons-nous !

    Regardez les auteurs et la date :


    1 Une recherche par mots-clés permet de vérifier facilement, sur des sites internet officiels ou sur des sites de journalisme d’investigation, les faits cités ici ; exemples : Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004 ; Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/. Des articles signés Michel Straugof, publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone, exposent en détail la biographie de personnalités actives dans cette affaire, en particulier au ministère de la Défense étasunien.

    2 Sur la base d’un rapport de Carnegie Mellon (1997), une directive du Président Clinton, PDD 63 du 22 mai 1998, institua la Presidential Commission on Critical Infrastructure Protection, « Commission présidentielle pour la protection des infrastructures critiques », chargée de recenser les moyens d’assurer le fonctionnement du pays en cas de troubles graves. Cette commission envisagea des attaques de pirates ou « d’États terroristes », et une illustration montrait un avion frappant des tours. Le 911 est le numéro d’appel d’urgence aux E-U.

    3 Larry Silverstein se disait ami de Benjamin Nathanyaou, Yitzhak Rabin, Ariel Sharon, Ehud Barak…

    4 Le désamiantage aurait coûté environ un milliard de dollars, et la mise aux normes de sécurité et de télécommunications, 800 millions. Le coût de l’investissement fait par Silverstein et ses associés (bail emphytéotique et quelques travaux) varie selon les sources de 14 millions de dollars (c’est peu !) à 3,6 milliards (c’est beaucoup !). Le plan de démolition des tours fut bien entendu transmis aux nouveaux propriétaires.

    5 Selon l’usage, des contre-assurances avaient été conclues par prudence. 

    6 Des images montrent leur camionnette décorée de l’image d’un avion frappant une tour… réalité ou montage ?

    7 Chertoff rédigea la version finale du Patriot Act, voté quelques jours après le 11 septembre 2001. Il mena aussi la procédure contre Zacarias Moussaoui, dont les avocats demandèrent l’accès à des documents classés confidentiels et le témoignage de prisonniers détenus à Guantánamo, prétendument membres d’Al-Qaïda. Les procureurs rejetèrent ces demandes, arguant de menaces possibles contre la sécurité nationale, prétexte fréquent depuis 2001. Face à ce refus, la juge Leonie Brinkema interdit aux procureurs de requérir la peine de mort. Moussaoui fut condamné à la prison à perpétuité pour terrorisme, malgré sa folie évidente et quoique l’accusation ait reconnu qu’il n’avait pas participé aux attentats du 11 septembre 2001.

    8 Ehud Barak se trouvait à ce moment même dans un studio de la BBC, à Londres, et déclara qu’il était temps de lancer une guerre contre la terreur.

    9 Les professionnels de la sécurité voulaient un site moins exposé que le WTC, mais l’équipe municipale de Rudolph Giuliani imposa ce choix, très critiqué.

    10 Pourtant un exercice sur la chute d’un avion sur le Pentagone avait d’abord été écarté comme trop peu réaliste.

    11 Avant de devenir sous-secrétaire d’État à la Défense, Dov Zakheim avait été, de 1987 à 2001, vice-président de System Planning Corporation, société créatrice d’un dispositif de guidage d’avions gros porteurs, et d’un logiciel permettant de faire apparaître des leurres sur des radars durant des exercices.

    12 Cf. les articles signés Michel Straugof publiés en 2019 sur le site Le Saker francophone. Le PNAC fut fondé par William Kristol et Robert Kagan, époux de Victoria Nuland qui organisa le coup d’État de 2014 à Kiev. Kagan est à l’origine d’une lettre ouverte du PNAC, adressée au Président Clinton le 26 janvier 1998, pour demander une guerre contre l’Irak, déjà sous prétexte que ce pays aurait possédé des armes de destruction massive. En 2000, le document du PNAC Rebuilding America’s Defenses « Reconstruire les défenses de l’Amérique » présenta les armes biologiques ethniques comme un outil politiquement utile pour les États-Unis.

    13 Le Council on foreign relations est surtout composé de suprémacistes étasuniens, et le Project for a New American Century rassemble surtout des sionistes étasuniens. Jeb Bush en est membre.

    14 Comme les détournements étaient fictifs, il ne fallait pas que des pilotes constatassent l’inexistence des avions.

    15 Vérifiait-il que tout se passait comme prévu ?

    16 Pour un coût de 258 millions de dollars.

    17 Une partie des débris fut transportée sur le champ d’épandage de Fresh Kills, près de New York, devenu le cimetière des victimes non identifiées des attentats, et transformé depuis en parc de promenade.

    18 Secrétaire d’État à la Défense pendant les mandats de Bush père, Cheney fit employer, pendant la guerre du Golfe de 1991, des mercenaires de KBR, filiale du groupe pétrolier Halliburton, dont il devint vice-président en 1995. Son revenu déclaré en 2005 était modestement de 8,8 millions de dollars. Actionnaires de sociétés de mercenaires, Richard Cheney et Donald Rumsfeld s’enrichirent énormément par les guerres qu’ils organisèrent.

    19 AFP, 22 novembre 2001, International Herald Tribune, 21 mai 2002.

    20 Marc Chesney et Loriano Mancini, professeurs à l’université de Zurich, concluent : « la probabilité qu’il y ait eu délits d’initiés est forte pour American Airlines, United Airlines, Merrill Lynch, Bank of America, Citigroup et JP Morgan. Ce n’est pas une preuve juridique, mais le résultat de méthodes statistiques. ». Délits d’initiés entre le 6 et le 10 septembre : Dailymotion https://www.dailymotion.com/video/x5a2zu William Bergman, Curious Coincidences of 2001: Following the 9/11 Money Trail, Sanders Research Associates, 4/01/06. Jacques Follorou, Une spéculation massive à la veille du drame inquiète les autorités. Le Monde, 19 septembre 2001.

    Le 10 septembre, le baril de pétrole augmenta de 13 %, et des options de vente furent prises sur plusieurs sociétés :

    • 4 516 sur American Airlines, 11 fois plus que le volume moyen annuel, contre seulement 748 options d’achat.
    • 4 744 options à la vente d’actions de United Airlines entre le 6 et le 7 septembre 2001, contre 396 à l’achat.
    • 1 209 options de vente contre 13 les jours précédents sur Marsh & McLennan occupant des bureaux dans huit étages de la tour nord (du 93e au 100e), prétendument frappés par le vol 11 d’American Airlines.
    • 2157, 100 fois plus d’options de vente qu’à l’ordinaire, sur Morgan Stanley, présente dans 22 étages du WTC. Sept années plus tard, cette banque fut l’une des organisatrices et bénéficiaires de la crise de 2008.
    • 5 615, 60 fois plus qu’à l’ordinaire, 12 215 en peu de jours, sur Merrill Lynch présente dans un bâtiment voisin.
    • Les options de vente sur l’assureur Citigroup furent 45 fois plus nombreuses que d’ordinaire du 6 au 10.

    Mais les actions des firmes d’armement s’envolèrent !

    Très mollement menée, l’enquête sur ces délits d’initiés ne permit pas de connaître l’origine des informations reçues par les spéculateurs. Deux ans plus tard, le 19 septembre 2003, le FBI annonça la clôture de l’enquête, affirmant qu’absolument nulle preuve n’existait de spéculation liée à une connaissance éventuelle des attentats.

    21 En 1997, Zbigniew Brzezinski avait écrit que le maintien de l’hégémonie des États-Unis nécessitait de contrôler les vastes réserves de pétrole et de gaz de l’Asie Centrale. Or, après l’échec des négociations entre les Talibans et les firmes pétrolières des É-U, le commandant Ahmed Shah Massoud fut assassiné, l’avant-veille des attentats, au moyen d’une caméra piégée, par de faux journalistes tunisiens qui moururent avec lui. Les connaisseurs de l’Afghanistan affirment qu’il était le seul chef capable de fédérer et diriger une résistance armée, et de bouter l’envahisseur hors du pays. Une interprétation cohérente des faits devrait expliquer la coïncidence de sa mort avec les attentats et l’invasion de l’Afghanistan par les troupes des États-Unis et de leurs alliés. Les soupçons se portent sur l’ISI pakistanaise, liée à la CIA. Il n’y a pas que le pétrole et le gaz qui rapportent : la production d’extrait de pavot fut de 2300 tonnes en 1995, puis réduite par les Talibans à 200 en 2000, et remonta à 8400 tonnes en 2007.

    22 Le président nommé de l’Afghanistan occupé fut Hamid Karzaï, ancien cadre de l’Unocal, dont les frères gérèrent la production et la commercialisation de la cocaïne, avec l’aide de la CIA.

    23 Salim Ben Laden, frère aîné d’Oussama, était l’associé de George W. Bush à Houston (Texas) dans la société pétrolière Harken. Les familles Ben Laden et Bush ont fondé le fonds de gestion de portefeuille Carlyle. Selon Éric Laurent, dès son accession au pouvoir, l’administration Bush fit cesser les enquêtes du FBI sur M. Oussama Ben Laden, Al-Qaida et la participation de la famille royale séoudienne au financement du terrorisme.

    24 Six avions d’affaires et un gros porteur décollèrent le 13 septembre, emmenant 40 Séoudiens dont 24 personnes de la famille Ben Laden dans un Learjet mis à leur disposition par la firme d’armement Raytheon (N-Y Times).

    25 Le 30 avril 2001, la base aérienne de Tinker, en Oklahoma, signala la possibilité d’espionnage par des étudiants israéliens se disant artistes peintres. Suspicious activities Involving Israeli Art Students at DEA facilities juin 2001. Une trentaine d’« étudiants » habitaient près du domicile de pirates de l’air présumés.

    26 Kean fut actionnaire et directeur du groupe pétrolier Amerada Hess, ayant une société commune avec Delta Oil, firme pétrolière séoudienne.

    27 En novembre 1998, le magazine Foreign Affairs publia l’article « Catastrophic Terrorism: Tackling the New Danger », cosigné par Zelikow, membre du PNAC, annonçant : « Comme Pearl Harbor, [un attentat grave] diviserait notre avenir en un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes réduisant les libertés civiles, autorisant une plus grande surveillance des citoyens, la détention de suspects et le recours à la force meurtrière. De nouvelles violences pourraient suivre les attaques terroristes à venir ou les contre-attaques américaines. Les Américains jugeraient tardivement que leurs dirigeants ont fait preuve de négligence en ne s’attaquant pas au terrorisme de manière plus urgente. ». En septembre 2002, à l’université de Virginie, Zelikow déclara que l’Irak n’exerçait pas de « véritable menace » contre les États-Unis, mais que la « menace non déclarée » était la « menace contre Israël ; rhétoriquement, le gouvernement américain ne veut pas trop insister sur cette menace, parce qu’elle n’est pas très populaire ». Le même mois, dans The National Security Strategy of The United States of America « La stratégie de sécurité nationale des États-Unis d’Amérique », il prôna la doctrine de la guerre préventive, et six mois plus tard, les États-Unis agressèrent l’Irak en violant la résolution 1441 de l’ONU. En 2003, il fut directeur exécutif du Rapport de la Commission du 11 septembre. Constatant ses appartenances partisanes, les familles des victimes du 11 septembre demandèrent en vain sa démission.

    28 Rove présida les réunions d’un comité créé en août 2002 à la Maison-Blanche, chargé d’élaborer une stratégie « pour diffuser l’affirmation de la Maison-Blanche que Saddam Hussein était une menace pour les États-Unis ».

    29 Selon le New York Times, les enregistrements des échanges entre le sol et les chasseurs furent « égarés ou effacés ». Même sort, quelques semaines après, pour les échanges entre le contrôle aérien et les avions détournés.

    30 À 13 h 10, American Airlines (AA) publia les listes des passagers et des membres d’équipage. Celle du vol 77 mentionnait 64 personnes. Le FBI interdit ensuite à AA, à l’aéroport de Dulles et même à la FAA de publier des informations. Une liste officielle recensa 56 personnes, mais pas les cinq pirates, et le rapport de la commission en mentionne 58, « terroristes » compris. Éric Laurent La face cachée du 11 septembre, Plon, 2004. Comme après toute catastrophe aérienne, des journalistes cherchèrent des familles éplorées dans les aéroports de destination, mais la plupart furent bredouilles, excepté pour l’avion tombé en Pennsylvanie. Dean T. Hartwell Planes without Passengers: the Faked Hijackings of 9/11. Le gouvernement fédéral offrit 1,7 million de dollars aux familles des victimes en échange de l’abandon de toute poursuite ; pourquoi, si des terroristes étaient les auteurs du crime ?

    31 Les services secrets tiennent prêtes en permanence des listes de quelques dizaines de personnes imaginaires. Les fausses personnalités sont détaillées, précisant enfance, famille, études, diplômes, stages, emplois et domiciles successifs, liaisons, amis et violons d’Ingres. Combien de Smith, Ford, Ferguson et Fernandez dans les États très peuplés des côtes Est et ouest des É-U ? Truquer une liste de passagers est plus facile que modifier les lois de la Physique, plus facile que faire voler à 900 km/h, au niveau de la mer, un avion dont les ailes s’arracheraient s’il volait à plus de 400 km/h, plus facile que viser à cette vitesse une cible de 60 m de large, plus facile surtout que créer des millions de joules, exploit à la portée du seul Divin Créateur.

    32 http://archives.cnn.com/2001/US/09/16/inv.binladen.denial/index.html

    www.globalresearch.ca/interview-with-osama-bin-laden-denies-his-involvement-in-9-11

    Pendant l’été 2001, Oussama Ben Laden était hospitalisé sous le nom de Hassan al Talal, à l’hôpital étasunien de Dubaï (NY Times, 1/11/2001). Le 12 juillet, il reçut la visite de l’agent de la CIA, Larry Mitchell ; la discussion aurait été houleuse (Le Figaro, 31 octobre 2001). Cet agent quitta Dubaï peu après, le 15 juillet.

    RFI — Attentats — Ben Laden et la CIA : les détails de la rencontre

    Les talibans demandèrent des preuves de la culpabilité de Ben Laden, mais ne les obtinrent pas et refusèrent donc de l’extrader. (Washington Post, 29 octobre 2001).

    33 Au cours des années suivantes, la silhouette de Ben Laden grossit, maigrit, et même rapetissa !

    34 Le Times publia le 29 novembre 2001 une coupe des grottes fortifiées de Tora-Bora en Afghanistan, paraissant sortie d’une BD de Black et Mortimer : air conditionné, aire pour hélicos, portes blindées, issues de secours.

    35 Le 8 août 2011, un hélicoptère vétuste s’écrasa au centre de l’Afghanistan. À bord, plusieurs membres du commando censé avoir abattu Oussama Ben Laden. De belles funérailles consolèrent fort leurs familles. Ainsi, il n’y eut jamais de preuves et il n’y a désormais plus de témoins. Assassinat ? Une autre interprétation est possible : à expédition inexistante, commando imaginaire. Si, comme tout l’indique, l’élimination de M. Ben Laden fut une pure fable, il a suffi d’attendre un accident — il s’en produit fatalement au cours d’une guerre — pour révéler que les morts étaient les membres de la courageuse équipe qui avait soulagé le monde de l’ennemi public n° 1. Héros dont l’identité avait jusqu’alors été tue, dans l’intérêt national et pour ne pas embarrasser leur modestie.

    36 Laurent Guyénot https://reseauinternational.net/11-septembre-2001-la-theorie-du-complot-pirate/

    37 Peut-être même les organisateurs du grand complot ont-ils inspiré, incité et aidé les organisateurs du petit.

    38 C’est la thèse de Khalezov (cf. article précédent).

    39 Des explosifs chimiques furent aussi placés, peut-être aux emplacements prévus, selon le plan de démolition.

    40 Le bâtiment 7 était le centre de contrôle de tout l’ensemble immobilier, communiquant avec d’autres bâtiments par des passages en sous-sol. Les explosions sous les Tours Jumelles ne pouvaient manquer d’y laisser des traces.

    41 Que le Président et les principaux ministres soient emmenés en lieu sûr par des gardes du corps est normal, mais ce qui ne l’est pas, c’est que le Président soit promené toute la journée à bord de l’avion présidentiel, et ainsi déchu en fait de son pouvoir. Le 10 septembre, G.W. Bush alla en Floride et y passa la nuit, protégé par des batteries antiaériennes ; le 11 au matin, il lisait un conte pour enfants à des écoliers. Dans la journée, l’avion présidentiel alla de Floride à une base militaire en Louisiane, passant au-dessus du Golfe du Mexique, lieu idéal pour un accident. G.W. Bush ne fut vraisemblablement emmené à Raven Rock qu’après qu’il eut cédé. Sur quoi ? Sur le programme d’agression au Proche-Orient ?

    42 Pour rappel, George Walker Bush fut élu Président de la République des États-Unis d’Amérique par la grâce du trucage des élections en Floride par son frère John Ellis Bush, gouverneur de cet État.

    43 Au mois d’avril 2004, George W. Bush se présenta devant la commission d’enquête, mais exigea de témoigner sans prêter serment et sans que l’audition ne soit ni publique, ni filmée, ni enregistrée. Il exigea aussi d’être accompagné du vice-président Richard Cheney, disant : « Cela nous donnera l’occasion de répondre aux membres de la commission. » Bref, il fut chaperonné.

    44 Donald Rumsfeld, son adjoint Paul Wolfowitz, et Richard Perle, nommé en juillet 2001 président de la commission de la politique de défense, réclamaient depuis des années une nouvelle guerre contre l’Irak, et demandèrent dès le 11 septembre que l’armée la préparât. Quand une agression est décidée, les militaires de bon sens sont écartés ; règle universelle s’appliquant à toute époque et dans tout pays.

    45 Lorsqu’une firme automobile prépare un nouveau modèle, maintes personnes participent au projet, mais les firmes concurrentes n’apprennent que des bribes de renseignements. Les exécutants d’opérations clandestines ne connaissent ni l’identité ni les motifs des commanditaires, et observent le secret. Convaincre un service technique de garder ses observations sous le coude et de fournir un rapport de complaisance est le B A BA du pouvoir. Enfin, le chantage à la vie de la famille est classique : un accident est si vite arrivé !

    46 Dont le général Eberhart, commandant la région aérienne. Ces militaires avaient confirmé sous serment la V.O.

    47 Les magnats du pétrole d’Arabie saoudite trempaient vraisemblablement dans le complot contre l’Afghanistan, mais ne paraissent pas avoir participé à la destruction des tours de Manhattan. M. Donald Trump s’efforça pendant quatre années de mettre fin aux guerres commencées par ses prédécesseurs. Le but du plan de paix partial proposé pour le Proche-Orient était peut-être de délier les États-Unis du chantage subi depuis 2001. En 2020, le trucage de l’élection présidentielle organisé pour l’éliminer fut si évident qu’il aura des conséquences graves. Complot au grand jour. Deuxième coup d’État. Dans le gouvernement de J. Biden, les titulaires d’une dizaine des principaux postes sont des sionistes avoués. Qui décide à présent de la politique ?

    48 Hélas ! On voit que de tout temps / Les petits ont pâti des sottises des grands. Jean de La Fontaine.

    Les deux Taureaux et une Grenouille,Livre second, Fable IV.

    49 Des laboratoires surveillent à tout moment la composition de l’atmosphère et, quoique quelques–uns ne dépendent pas directement d’un gouvernement, leur renommée, leur financement, l’emploi de leurs techniciens et la carrière de leurs chercheurs dépendent des études commandées par les pouvoirs établis. Le soutien d’un État eût été nécessaire pour qu’ils publiassent leurs observations.

    50 Dès le 19 septembre 2001, le projet d’Anti-Terrorism Act comptait 345 pages. Les rédacteurs n’ont pas chômé !

    En France, une la loi sur la sécurité quotidienne fut adoptée le 15 novembre 2001 sous le gouvernement Jospin.

    51 http://lidiotduvillage.org/2020/06/05/le-genie-du-complotisme/

    52 En 2000, le président Clinton apposa la signature des États-Unis au traité sur la Cour Pénale Internationale, CPI. En mai 2002, avant l’agression contre l’Irak, le Président G. W. Bush notifia aux Nations Unies que les États-Unis se déliaient de cet engagement, et Rumsfeld publia dans un communiqué les motifs de cette décision : éviter que des militaires étasuniens puissent être traduits devant la Cour. Depuis cette dénonciation du traité par les États-Unis, la Grande-Bretagne, partie au traité, s’efforce d’employer la CPI dans l’intérêt des pays anglo-saxons.

    53 En 2007, toute la presse promut Ségolène Royal comme la brêle qui se ferait battre. Ce battage publicitaire pour la perdante désignée préfigura l’encensement en 2017 du gagnant choisi par l’oligarchie mondialiste.

    54 BlackRock gère la plus grande masse mondiale d’actifs financiers, presque 9000 milliards de dollars. Par comparaison, le budget de la France (flux) est d’environ 600 milliards d’euros.

    55 Le Danemark a récemment nommé un ambassadeur auprès d’une firme supranationale.

    56 Les GAFAMs sont les ministères de la Vérité.

    57 En France, l’examen des statistiques de mortalité conduit à diviser par au moins cinq le nombre avancé par les dirigeants de « 100 000 morts » dus au Covid. Plus qu’une épidémie de grippe, le Covid fut une épidémie de refus de soin, de tests non valides et d’injections de produits mortels. Ces faits furent dénoncés par maintes personnes, dont Luc Montagnier, Laurent Toubiana, Pascal Sacré, Nicole Delépine,Christian Perronne, Martine Wonner, Alexandra Henrion-Caude,Reiner Fuellmich, Pierre Chaillot, et d’autres valeureux résistants. Les vaxxins sont plus dangereux que la maladie. Parmi de nombreuses références :

    https://www.youtube.com/watch?v=MLMGnfeu_zk ; https://odysee.com/@MartineWonner:b/actu-de-la-semaine-et-invitee-christine-cotton:3 ; https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/belgique-masques-et-confusion-entre-tests-positifs-dits-cas-et ;

    58 L’apôtre du Great Reset, l’inénarrable Klaus Schwab dans son costume de franc-maçon interplanétaire, illustre jusqu’à la caricature l’hubris des dirigeants décidés à imposer leur volonté aux peuples. L’étonnant livre qu’il a publié avec Thierry Malleret, COVID-19 : La Grande Réinitialisation, sonne comme un aveu.

    https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
    [Traduction : https://nouveau-monde.ca/les-valeurs-familiales-de-schwab/]




    Tête à tête — Pierre Jovanovic et Carlo Brusa

    [Source : Reaction19 Italia]




    « Il ne fait aucun doute que la tête du serpent est le système financier »

    Extrait de https://odysee.com/@Quartz:1/The-Great-Awakening—Version-finale:c



    Billet postélectoral russe : poussée hystérique dans les pays de l’Axe atlantiste

    [Source : russiepolitics]

    [Illustration : photo faite par la Garde Russe des soldats de plomb offerts par eux à Macron]

    Par Karine Bechet-Golovko

    La réaction politico-médiatique à la réélection de Vladimir Poutine en Occident dépasse souvent le niveau de l’acceptable et démontre une attitude hargneuse, souvent hystérique, voire infantile, en tout cas très loin des traditions politiques et diplomatiques, qui firent la gloire l’Europe. Mais c’était avant. Quand l’Europe était un sujet politique et les pays européens des acteurs géopolitiques, quand nous étions souverains et que nous défendions nos intérêts. C’était avant le totalitarisme de la globalisation. Désormais, le comportement politique des Européens est descendu dans le caniveau. Et nos élites se font traiter à la hauteur de leur mérite, entraînant nos pays dans la chute.

    Alors que les États-Unis réagissent assez froidement et professionnellement face à la réélection de Poutine, on a l’impression que le reste du monde atlantiste a perdu le sens des réalités. Il est vrai que les États-Unis sont le centre de ce monde et en ce sens sont obligés de préserver au niveau national les règles politiques classiques, c’est d’ailleurs ce qui rend possible une élection de Trump.

    Ainsi, hier lors de la conférence de presse de la Maison-Blanche, le conseiller en sécurité du Président américain, Jake Sullivan répondait à la question sur les conséquences de la réélection de Poutine : tout en rejetant a priori d’envisager l’existence d’un véritable soutien de la population russe envers le président Poutine, car cela remettrait dangereusement en cause le laïus atlantiste, il prend acte des résultats.

    « Jake, avez-vous une réaction à la victoire du président russe Poutine ? Il sera président jusqu’en 2030. Acceptez-vous le résultat et sa victoire ?

    M. SULLIVAN : Eh bien, premièrement, rien dans le résultat des élections n’était imprévisible, parce que Poutine avait fermé l’espace politique, avait enfermé les opposants politiques. Certains de ses opposants politiques sont décédés tragiquement. Il n’y avait donc rien de libre ou d’équitable dans cette élection, et le résultat était prédéterminé.
    Deuxièmement, la réalité est que le président Poutine est le président de la Russie. Nous avons dû faire face à cette réalité tout au long de la guerre en Ukraine, au cours des autres agressions entreprises par la Russie, au cours des autres mesures contraires aux intérêts nationaux des États-Unis, que nous avons vues de la part de ce président et de la Fédération de Russie sous sa présidence. Et nous continuerons à faire face à cette réalité. »

    Il serait amusant de leur demander de commenter les files d’attente des Russes à l’étranger pour aller voter dans les consulats… Ils sont également sous la pression du pouvoir ?

    Il serait également intéressant de connaître le degré de « démocratie » des entraves à la liberté du vote, commises par les pays de l’Axe atlantiste. Ainsi, à Riga, les Russes allant voter se sont vu contrôler leurs documents d’identités, confisqués les documents lettons et 14 personnes ont été déportées. Les autorités américaines ont obstrué l’accès au Consulat russe de Washington et favorisé des perturbations par des activistes pour dissuader les gens de voter, l’ambassadeur russe a d’ailleurs envoyé une note officielle de protestation à ce sujet.

    Ou encore, que dire des DOS attaques menées contre le système électoral russe :

    Il est également amusant de voir critiquer l’absence de transparence à ces élections… tout en interdisant aux observateurs « indépendants » des pays de l’Axe d’aller justement surveiller le déroulement du scrutin en toute indépendance. Ainsi peut-on lire dans France Info :

    « L’élu Les Républicains est membre d’une association baptisée “France Expatriation Russie”. Il a été convié par le pouvoir russe, alors que les observateurs indépendants ont été interdits de se rendre en Russie. »

    Et comme dans tout bon système autoritaire, il a été suspendu de ses fonctions. Comment sinon pourrait-on répéter ad nauseam la prière atlantiste des élections truquées ? Ah, oui, à cause de la mort de Navalny… Le grand héros globaliste… En tout cas, les contradicteurs de la Russie ont du mal. Du mal à trouver de véritables figures pouvant porter leurs intérêts pour détruire la Russie de l’intérieur. Du mal à assumer un véritable combat politique, puisqu’ils se retranchent derrière de plus en plus de barrières d’interdits. Leur hystérie a du mal à cacher leur faiblesse intérieure.

    Les Allemands ne font pas mieux et dans un mouvement de panique, le ministère des Affaires étrangères allemand annonce qu’il n’indiquera plus la fonction de Vladimir Poutine dans les documents. Na ! Et re-Na, d’abord ! Est-ce que ça changera quelque chose ? Rien. Cela contribue simplement à la perte de renommée des pays européens. Peut-être faudra-t-il toucher le fond pour remonter. Espérons que le fond est proche, car la descente devient vertigineuse.

    Et l’hystérie se porte à merveille sur le service public français de l’audiovisuel, sans aucune réaction des autorités de surveillance, qui préféraient se battre contre RT ou Sputnik, afin de détruire tout discours alternatif, et qui préfèrent aujourd’hui s’attaquer à CNews, pourtant bien aligné, que de sanctionner les appels au meurtre. Sur le fond, l’on appréciera la réécriture de l’histoire : Saddam et Kadhafi n’ont pas du tout, mais absolument pas, été écartés et liquidés par les Atlantistes, mais non, c’est uniquement le résultat naturel de la volonté populaire. Amen !

    Les médias préfèrent donner la parole à Zelensky, qui s’inquiète de la durée du mandat de Poutine sans lui demander de justifier l’annulation de toutes les élections nationales en Ukraine. Aurait-il peur d’être trop largement rejeté par la population, pour que la manipulation des élections sous l’égide des organismes internationaux ne permette pas de compenser ce désaveu populaire massif ? Remarquez, de ce point de vue, Zelensky est un véritable président atlantiste — il gouverne contre l’intérêt de son pays et malgré la volonté de son peuple.

    Cette propagande primaire est déversée sur toutes les ondes. Comment prendre au sérieux une telle faiblesse politique ? Ce n’est plus possible. Et la Russie l’a fait savoir : la Garde nationale russe a déposé à l’Ambassade de France en Russie un petit cadeau pour Macron : des soldats de plomb et un petit camion, avec une lettre explicative.

    Je cite :

    « Nous espérons qu’après avoir joué avec des soldats et des véhicules militaires, vous en finirez enfin avec votre complexe Napoléon », ironise la lettre d’accompagnement. « Le sort de sa prétendue grande armée est connu non seulement des Français, mais aussi de la communauté mondiale tout entière. Nous aimerions pouvoir penser que la génération moderne de soldats et d’officiers français n’aura pas à réapprendre une leçon aussi amère par votre volonté. », poursuit-elle.

    Voilà ce qui reste de la grandeur de la France au milieu du second mandat de Macron. Mais faisons-lui confiance, il peut encore faire pire.

    [Voir aussi :
    Billet du vendredi : Macron – Ankou, le meurtrier-fossoyeur de la France
    https://russiepolitics.blogspot.com/2024/03/billet-du-vendredi-macron-ankou-le.html]




    Covidisme, climat, wokisme : les religions postchrétiennes

    [Source : Chaîne officielle TVL]

    Journaliste d’investigation, Aldo Sterone publie « Les nouvelles religions » avec cet avertissement de taille : « l’achat, la possession ou la lecture de ce livre peuvent dégrader votre score social et républicain ! ». L’analyse de l’auteur est la suivante : l’Occident est en passe de devenir la première civilisation à se saborder du plus haut de sa gloire pour des raisons purement idéologiques. L’Occident est poussé vers l’hystérie et le rapport névrotique dans tous les aspects. Et Aldo Sterone de passer en revue, avec finesse et férocité, les nouvelles religions postchrétiennes occidentales qui ont principalement pour nom le wokisme, le covidisme et le climat.

    Le monde occidental décrit par Aldo Sterone est un univers qui s’écroule et s’effondre. Sombre et peut-être quelque peu résigné, l’auteur a cette phrase lourde de sens : « Je vous le dis sans détour, si vous le pouvez, foutez le camp ! ». Un constat qui laisse peu de place à un renversement de situation et qui ne manquera pas de faire débat.




    Malinformation : la dernière trouvaille des censeurs pour supprimer les « vérités qui dérangent »

    L’UE s’en empare avec son Media Freedom Act, sous prétexte de protéger les journalistes et la liberté de la presse :

    [Source : Ciel Voilé]






    Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

    [Source : kla.tv]

    00:00:00: Introduction
    00:02:46: Point 1 – La pauvreté
    00:03:21: Point 2 – La faim
    00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
    00:05:59: Point 4 – L’éducation
    00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
    00:08:03: Point 6 – L’eau
    00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
    00:11:20: Point 8 – La croissance économique
    00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
    00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
    00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
    00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
    00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
    00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
    00:28:30: Point 15 – La biodiversité
    00:30:01: Point 16 – Les sociétés
    00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

    Transcription

    L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

    Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

    AGENDA 2030 de l’ONU

    L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

    L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

    1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

    Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

    2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

    L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

    3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

    L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

    4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

    Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

    5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

    La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

    6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

    Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

    7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

    Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

    8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

    Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

    9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

    Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

    10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

    L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

    11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

    Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

    12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

    Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

    13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

    La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

    14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

    Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

    15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

    Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

    16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

    Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

    17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

    La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

    Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

    de hm.

    Sources/Liens :

    Agenda 2030
    https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
    https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




    L’État français n’aime pas ceux qui lui résistent




    OMS : les « traités pandémies » seront votés fin mai

    [Source : covidhub.ch]

    Contrôle de la population, santé numérique, business pandémique : des « plans de lutte » qui menacent la démocratie.

    Traité Pandémie, Règlement Sanitaire International et Politique « Une seule santé » : à travers ces différents instruments, l’OMS sera-t-elle l’organe exécutif de la gouvernance mondiale ?

    Lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé, fin mai 2024, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS, et son armée d’experts et de lobbyistes tenteront un tour de force : prendre les pleins pouvoirs et transformer cette agence onusienne de conseil en un organe de direction et de centralisation.

    La journaliste Senta Depuydt a suivi cette saga durant deux ans, a présenté les enjeux essentiels de ces prochaines tractations dans une conférence récente. Elle y a aussi relaté les différents épisodes qui ont mené à la réécriture des textes, face à la mobilisation croissante de lanceurs d’alerte, politiques et mouvements citoyens, pour rejeter ces accords. Travail à huis clos, langage opaque, dépassement des délais prescrits, l’on comprend comment les parties intéressées s’y prennent pour contourner tous les processus et garde-fous démocratiques afin de réaliser leurs objectifs.

    Tout surveiller, tout contrôler, tout détecter
    … et ouvrir de nouveaux marchés

    Avec la santé au cœur de la politique de l’urgence, l’OMS aura une place centrale dans un système de gestion supranational organisé entre les différentes agences onusiennes. Selon le « Traité pandémies » (ou « Accords de convention et protocoles ») et la version révisée du Règlement sanitaire international, son directeur serait habilité à déclarer, à lui seul, des urgences sanitaires réelles et potentielles. L’OMS aurait ensuite pour mission de recommander, voire imposer, tout le cortège des « mesures pandémiques », y compris des quarantaines ou des mesures de vaccination.

    Entre deux urgences, son rôle est de développer et de gérer les réseaux de surveillance des personnes et des microbes, en particulier avec le réseau mondial de certificats de santé numériques (ou « passes sanitaires »).

    Par ailleurs, avec la politique « One Health, Une seule santé », l’organisation pourrait s’immiscer dans l’ensemble des activités humaines, du climat à l’information, en passant par l’éducation, les transports, le logement, la nourriture, la culture, l’aide sociale, les activités économiques, le sport et même « les habitudes comportementales ».

    Contourner les processus démocratiques

    La journaliste relate comment, suite à l’épisode de la « variole du singe » lors de la 75e assemblée mondiale de la santé, Tedros et ses partenaires ont échoué à imposer en urgence la révision du Règlement sanitaire international. Un certain nombre de pays se sont alors réveillés pour dénoncer les atteintes à leur souveraineté nationale et condamner les violations des droits fondamentaux. Face à ces critiques, les rédacteurs du traité ont finalement été forcés de jeter leurs premières copies et d’opérer un changement de langage significatif. Mais malgré une formulation plus séduisante, les objectifs fondamentaux restent inchangés.

    Hors délai pour soumettre les textes, il n’est pas certain que le Traité pandémie soit adopté lors de la prochaine assemblée. Par contre, le risque de voir les éléments les plus contraignants passer dans les amendements du Règlement sanitaire international est élevé. Enfin, il est possible que seuls certains éléments « essentiels » soient adoptés, comme par exemple le certificat de Santé numérique international, la création d’un réseau de laboratoire pour détecter (et breveter) les nouveaux pathogènes ou la « lutte contre la désinformation » sur les réseaux sociaux.

    [Note de Joseph : il existe pourtant un moyen simple d’empêcher cela. Il consiste à répandre largement l’information selon laquelle la théorie des germes et sa fille virale ont été scientifiquement réfutées et que la virologie est devenue une mauvaise religion depuis 70 ans, à cause de son abandon de la méthode scientifique (évitant notamment les expériences gênantes de contrôle).
    Il faut faire connaître le nouveau paradigme médical qui se base sur le terrain et l’équilibre homéostatique du corps :
    — les bactéries sont de minuscules usines chimiques vivant habituellement en symbiose avec les organismes vivants, dont le corps humain (y constituant le microbiome) ; elles y participent notamment à l’assimilation des nutriments et à l’élimination des substances nocives ;
    — quant à ce qui est appelé « virus », il ne s’agit que de composants cellulaires tels que les « exosomes » provenant de l’agression des cellules par divers agents (toxines chimiques, champs électriques, ondes électromagnétiques dont la 4G, la 5G et le Wi-Fi…). Aucun « virus pathogène » supposé lié à une maladie « virale » n’a pour l’instant été réellement isolé. Des expériences de contrôle démontrent notamment que l’effet cytopathique lors de la culture virale se produit pareillement sans la présence de tissus biologiques supposés infectés par un pathogène.
    Voir le dossier Vaccins et virus dont :
    UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT),
    Le château de cartes de la théorie des germes
    et C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! (sur le prétendu « gain de fonction ».)]

    La rencontre s’achève sur les différents arguments et moyens d’action à mettre en œuvre pour empêcher l’adoption de ces instruments, qui s’inscrivent en droite ligne dans le déploiement du « Grand reset ».